LAS PROFECÍAS DEL PAPA JUAN XXIII/LE PROFEZIE
DI PAPA GIOVANNI XXIII
Fin des temps
Cette section fait
référence aux sections des prophéties sous l'onglet ''Analyse''.
Les
prophéties de la semaine sainte
Le Grand Réveil Louis D'Alencourt
Prière du premier samedi du mois
Prière du Saint Rosaire
2024
Décembre 2024
23 décembre
LE SOLEIL OU « GRAND ÉCLAIR À L’ORIENT »?
Demain s’ouvre l’année du triomphe satanique, l’année du Jubilé
2025, l’année du testament de Bergoglio (voir analyse du 17 septembre,
LE TESTAMENT DE BERGOGLIO).
Ceux qui visitent régulièrement la section analyse du site savent que
nous portons une attention particulière à l’astre du jour parce que
c’est le signe qui nous a été donné à Fatima le 13 octobre 1917.
Ce signe qui a effrayé la foule mais pour sœur Lucie qui était la
vision de la Sainte Famille suivi des trois personnifications de la
Sainte Vierge Marie, se terminant par Notre-Dame du Carmel.
Puisque le monde ne s’est pas converti, ils est alors évident que nous sommes dû pour cette « tempête solaire ».
L’année 2024 est sur le point de se terminer et dans moins d’un mois la fin des 3,5 années depuis Traditionis Custodes du 16 juillet 2021 interdisant la messe Tridentine approche.
« Grand Éclair à l’Orient » ou la « Foudre en Plein Jour » ou «
Le Temps est Proche » sont les trois prophéties que nous pouvons
reliées à une intervention humaine comme une bombe puissante dans ce
contexte de guerre, mais aussi, ce vers quoi nous penchons, soit une
intervention divine, et ce venant du soleil car « Vous n'entendrez pas le tonnerre, lui aussi sera imprévu. » nous confirme la prophétie.
Puisque tout notre civilisation actuelle ne repose que sur la
technologie et l’électricité, une tempête d’une rare intensité,
inconnue depuis notre époque « moderniste » spirituelle où tout a été
abandonné à Satan, représenterait bien « Dieu a déchaîné la guerre de la nature pour empêcher la guerre des hommes. » de la prophétie de Jean XXIII.
Alors, qu’en est-il du soleil ces dernières semaines alors que nous sommes en plein dans le maximum solaire en 2025?
L’activité solaire a été particulièrement tranquille en ce mois de décembre.
Rappelons pour ceux qui ont oublié, qu’on mesure l’activité solaire par
le nombre de taches apparentes et par l’étendue qui est reliée à la
complexité magnétique de ces dernières.
Nous
pouvons surveiller l’activité solaire depuis le début des années 2000
grâce à des satellites d’observation solaire reliés aux ordinateurs sur
terre.
Plus la complexité magnétique est élevée plus la chance de voir une
éruption solaire de classe X, la plus grande sur l’échelle de mesure,
est élevée.
Si l’éruption solaire est accompagnée d'une éjection de masse coronale
(CME) (une bulle magnétique se déplaçant dans l’espace) se dirigeant
vers la Terre, alors nous risquons de tout perdre : électricité,
électronique, et tout ce qui s’en suit.
Par un « malheureux hasard », le 26 novembre dernier, un tuyau d'eau
servant à refroidir la salle des serveurs du Centre commun des
opérations scientifiques (JSOC) de l'Observatoire de la dynamique
solaire (SDO) s'est cassé. Cela a causé d'importantes inondations dans
le bâtiment et d'importants dégâts d'eau dans le laboratoire qui abrite
les machines qui traitent et distribuent les données des instruments de
l'imageur héliosismique et magnétique (HMI) et du réseau d'imagerie
atmosphérique ( AIA) ainsi que du vaisseau spatial IRIS.
Indice? Signe?
Nous devons donc présentement avoir recours aux observations
astronomiques des institutions et des particuliers pour suivre
l’évolution du soleil.
Le satellite SOHO de la NASA nous permet toujours d’être témoin des éruptions solaires et des CME.
Donc, tout n’est pas perdu.
Autre fait intéressant par rapport au « Grand Éclair à l’Orient », une
nouvelle étude scientifique publiée dans la revue Science conclue que
nous devrions être à l’affût des « super-éruptions » solaires.
L’étude conclue que les étoiles semblables à notre soleil dans notre
Voie lactée produisent des super-éruptions environ tous les 100 ans.
Les super-éruptions sont des éruptions solaires environs 50 fois plus
puissante que l’événement Carrington en 1859, événement qui à lui seul
représenterait un réel danger pour notre monde gavé de technologie.
Les 10 astronomes de l’étude ont observé 56,450 étoiles comparables au soleil grâce au télescope Kepler entre 2009 et 2018.
Ils ont identifiés 2889 super-éruptions sur 2527 étoiles avec cette énergie 50 fois plus élevée que l’événement Carrington.
Selon leurs mesures, la Terre n’a pas été frappé par une super-éruption dans le dernier siècle.
En
conclusion, nous sommes dû pour une super-éruption solaire, ou
simplement, notre soleil est moins actif que les autres étoiles
comparables au soleil dans notre Voie lactée.
Mais, nous, nous connaissons l’avertissement de Fatima.
Nous pouvons reliés les prophéties de Jean XXIII au soleil.
D’ailleurs, la prophétie de l’Église #11 du 7ème sceau se termine par : « Attendez
le signe de Jean. L'agneau est prêt. Signez-vous sept fois avec une
main fatiguée et attendez. La lumière vient encore de l'Occident. »
La lumière vient encore de l’Occident (donc de l’ouest) peut signifier deux choses :
- Il s’est passé physiquement un signe à l’est (Grand Éclair à l’Orient)
-
ou, comme les égyptiens attendaient impatiemment de voir si le dieu
solaire allait réapparaître le matin après son périple de la nuit, nous
sommes en présence du signe de Jonas, les trois jours de noirceur, et
nous attendons plein d’espoir, ce retour de la lumière.
La
force d’une super-éruption aurait évidemment des impacts probables au
niveau de la structure terrestre, qui est une immense boule magnétique.
Et la dernière prophétie #12 concernant l’église est « L’arrivée de la lumière ».
Et c’est relié à l’établissement du Royaume de Dieu sur terre.
« Avant l'ultime lumière, les pasteurs auront reconnu le signe. », soit le Grand Éclair à l’Orient.
« Le premier soleil illumine la balance de l'univers. »
Soit qu’il s’est passé de quoi avec le soleil, soit que c’est une représentation mystique du retour du Christ.
« Lumière de l'Occident, dernière lumière avant l'éternelle, inconnue. »
Le
père Malachi Martin qui avait lu le 3ème secret de Fatima nous a bien
averti de surveiller le ciel à l’est, à l’orient, pour LE SIGNE.
Il semble qu'il s’est juste tromper sur son estimé dans le temps.
Si
2024 est l’année où tout bascule, 2025 est l’année de la chute des deux
Babylone si la prophétie de Don Bosco du retour du Lys de Paix avant
mai 2026 est véridique.
Est-ce que Bergoglio se rendra à sa 13ème année de pontificat, chiffre appartenant à la Sainte Vierge?
Bergoglio, avec l'ajout des nouveaux cardinaux, a créé 111 des 140 électeurs admissibles pour le prochain conclave papal.
Les franc-maçons aiment bien le chiffre 11.
Pâques en 2025 sera le 20 avril.
Ainsi, le dimanche de Quasimodo où Thomas représentant les
incrédules de notre temps, demandent à avoir les preuves de la
résurrection, sera le 27 avril.
Le nombre d’années entre l’élection de Jean XXIII et le 27 avril 2025
sera de 66 ans et 6 mois, ce qui confirme le summum de la divinisation
de l’humain dans toute sa trinité, le 666.
Aussi, la canonisation de Jean XXIII a eu lieu le 27 avril 2014.
Donc, 11 ans en 2025.
Le chiffre franc-maçonnique par excellence.
22 décembre
« Mgr Carlo Maria Viganò : « L'Église aujourd'hui est en plein délire »
Entretien d'Andrea Caldart avec l'Arzobispo Carlo Maria Viganò
Andrea Caldart : L'Église de Bergoglio semble en émoi : de nombreux
fidèles continuent de voir ce pape excommunier des prêtres et d'autres,
parce qu'ils présentent la preuve que le pape Benoît XVI n'a jamais
vraiment renoncé au « munus » pétrinien. Monseigneur Viganò, dans
quelle Église vivons-nous ?
Carlo Maria Viganò : « L'église » de Bergoglio n'est pas seulement en
effervescence : elle est en plein délire. Si cela peut arriver, c'est
précisément parce qu'il ne s'agit plus de l'Église catholique, mais de
sa scandaleuse contrefaçon, et parce qu'à la place du pape sur le trône
de Pierre siège un tyran hérétique et usurpateur . La décomposition
entre munus et ministériel est un artifice produit par la pensée
hégélienne de Joseph Ratzinger-Benoît XVI : je l’ai longuement expliqué
dans mon discours sur le sujet, en parlant d’une « Papauté décomposée
». J'aimerais profiter de cette occasion pour réitérer ici un concept
que je considère comme fondamental : toute attaque contre l'institution
divine de la Papauté (et, avec elle, de l'Église) a pour objectif
ultime la transformation du pouvoir sacré du Pontife Romain . C'est ce
que souligne en revanche la doctrine hérétique de la synodalité : elle
porte atteinte à la constitution divine et à la nature monarchique de
l'Église, voulue par son divin Fondateur, Notre Seigneur Jésus-Christ,
qui est Roi non seulement des sociétés temporelles, mais aussi - et
surtout - de la société religieuse, c'est-à-dire de l'Église
catholique, corps mystique dont il est la tête.
Si Bergoglio était pape, la promesse d'une assistance spéciale faite
par le Seigneur au Prince des Apôtres et à ses successeurs serait
infondée et fausse, ce qui est totalement inconcevable et contraire à
la foi. Par conséquent, si Bergoglio peut exercer sa propre action
dévastatrice sur l’Église et propager ses erreurs, c’est parce que son
autorité a été usurpée avec préméditation et méchanceté et, en tant que
telle, est nulle. Ceux qui pensent que la crise a commencé avec ce «
pontificat » se trompent : la volonté de manipuler la papauté romaine
remonte au Concile Vatican II, poursuivie avec l'encyclique Ut unum
snot sint de Jean-Paul II, confirmée par l'anomalie de la
démission de Benoît XVI et que Bergoglio a fait sienne - en parfaite
cohérence avec ses prédécesseurs - avec le document d'étude L'Évêque de
Rome du Dicastère pour la Promotion de l'Unité des Chrétiens. Redéfinir
la papauté « dans une clé œcuménique et synodale » est le modus
operandi typique des hérétiques pour dissimuler derrière de vagues
formules une action délibérément subversive, contraire à la foi et à la
pratique constante de l’Église catholique romaine.
Il faut prendre acte du coup d'État fomenté par l' Église profonde et
qui a porté au pouvoir, au sommet de la Hiérarchie catholique, les
cinquièmes colonnes de l'ennemi, c'est-à-dire de l'anti-Église
maçonnique, de la synagogue de Satan.
Andrea Caldart : Au fil des ans, vous avez émis plusieurs critiques sur
la question de la transparence et de la gestion des problèmes internes
de l'Église. Quelles étapes vous semblent essentielles pour restaurer
la confiance des fidèles ?
Carlo Maria Viganò : Ce que vous appelez « transparence » dans le
langage bureaucratique trouve sa contrepartie religieuse dans le fait
de savoir que nous sommes toujours sous le regard de Dieu. Rien
n'échappe à Notre-Seigneur : ni ce qu'on fait, ni ce qu'on va faire, ni
les intentions qui nous animent. Si ceux qui soutiennent Bergoglio et
ratifient sa fraude avaient agi avec cette conscience, ils ne
l'auraient même pas admis au Conclave. Pour que le coup d'État
réussisse, il fallait pouvoir compter sur une Hiérarchie corrompue et
susceptible de chantage : la corruption de la volonté dans la violation
des principes moraux s'accompagnait de la corruption de l'intellect
dans la falsification progressive de l'esprit.
La Révolution, dans sa matrice ontologiquement antichrétienne et
anti-Christ , a nié l'origine divine de l'autorité terrestre,
déconnectant les dirigeants de leur obligation d'exercer le pouvoir
dans les limites du Bien en tant qu'expression de la Seigneurie suprême
du Christ. Cela a rendu l’autorité – civile et ecclésiastique –
autoréférentielle et essentiellement tyrannique, pervertissant
l’obéissance chrétienne en complicité servile. Citoyens et fidèles se
sont retrouvés à obéir au pouvoir temporel et spirituel même lorsqu'il
trahissait sa propre fin; et désobéir au véritable et unique détenteur
de l'Autorité, Notre Seigneur, confiné par la laïcité libérale et
conciliaire à la sphère privée des individus. Si le lien entre le
Christ Roi et le Pontife et ses représentants sur terre n'avait pas été
rompu, rien de ce que nous avons vu se produire n'aurait été possible.
À ceux qui soutiennent que l'action subversive de la Hiérarchie
moderniste bénéficie du soutien et de la reconnaissance pacifique et
universelle du peuple chrétien, il faut rappeler que soixante ans
d'endoctrinement moderniste par le clergé conciliaire - et cinquante
ans d'anarchie hérétique et sacrilège dans le domaine liturgique - les
erreurs philosophiques, doctrinales et morales que la Sainte Église
avait toujours condamnées et combattues ont été lentement normalisées. Les
quelques personnes qui veulent rester fidèles à la Tradition doivent
comprendre que nous sommes à une époque de persécution et d'apostasie
et doivent s'organiser pour résister aux loups déguisés en brebis et
aux faux bergers. Dans une magnifique parabole, le Seigneur nous
parle des faux bergers et des mercenaires, qui ne se soucient pas des
brebis, et nous rappelle que les brebis reconnaissent la voix du Berger
(Jn 10) : c'est le sensus Ecclesiæ qui permet à l'Église de survivre.
Andrea Caldart : Comment évaluez-vous l'état actuel de l'Église
catholique par rapport aux valeurs traditionnelles et à la modernité ?
Carlo Maria Viganò : L'Église catholique n'a rien à voir avec l'Église
bergoglienne, qui est conciliaire, synodale et œcuménique, mais elle
n'est certainement pas catholique. Il ne se pose comme tel que pour
obtenir l'obéissance de ses fidèles, sachant très bien que c'est
justement sur ce mensonge que sa hiérarchie peut exercer son pouvoir.
D'un autre côté, la fiction d'une autorité subversive qui agit contre
l'institution qu'elle préside est également reproduite par les
dirigeants civils, qui sont à la fois des traîtres et des usurpateurs. Ce
qui est déconcertant, c'est de voir le niveau d'obscurcissement des
consciences que la société a atteint, pour ne pas savoir comment réagir
à la violation des principes les plus sacrés et même pour coopérer
passivement à sa propre extermination physique et morale.
Andrea Caldart : À quoi faut-il attribuer cette attitude de
renoncement, d'aplatissement total des positions idéologiques du monde
moderne, de la part de l'Église de Bergoglio ?
Carlo Maria Viganò : Le désir de plaire à la mentalité du monde a
commencé au moment où la Hiérarchie, à ses sommets, a cessé d'être une
pierre d'achoppement et est devenue complice et coresponsable de la
diffusion des principes libéraux et laïques. Cela s'est produit dans
l'Église catholique à travers la révolution permanente inaugurée par le
Concile Vatican II, qui a complètement bouleversé toute la « hiérarchie
des valeurs » en déplaçant arbitrairement et illégitimement le centre
de gravité du corps ecclésial de Dieu vers le monde , du Christ. Cette
révolution, en affirmant vouloir restaurer la centralité de l'homme,
ses droits et sa « dignité infinie », nie par conséquent la centralité
de Dieu et le confine à la sphère privée de la conscience de
l'individu, déplaçant ainsi Notre-Seigneur de sa seigneurie
universelle. Au moment où l'exercice de l'autorité du pape et des
évêques trouve sa légitimité dans le consentement des fidèles, ils
n'agissent plus comme vicaires du Christ (qui d'en haut leur
confère le pouvoir sacré de paître son troupeau), mais qui deviennent
plutôt de simples représentants d'un mandat « collégial » ou « synodal
» (qui vient donc d'en bas ). Il est évident qu'une telle autorité
devient autoréférentielle et sans limites, par conséquent
essentiellement tyrannique.
Prétendre que l'Église doit être démocratique et que les laïcs peuvent
ou doivent participer à son gouvernement est évidemment un mensonge
colossal : non seulement parce que cela contredit la structure
monarchique que Notre Seigneur lui a donnée en la fondant sur Pierre,
mais aussi parce que derrière l'aspect subversif l'action de ses
promoteurs cache l'indicible détermination à le détruire, en le
frappant en son cœur, c'est-à-dire en la Papauté.
Dans la folle illusion de pouvoir détruire l'Église catholique, ses
ennemis savent bien que le moyen le plus efficace n'est pas de confier
à une multitude ce qu'on sait faire de mieux, mais au contraire de
pouvoir compter sur une autorité corrompue et pervertie.
Le premier pas vers cette autodestruction de l'Église a été accompli
précisément en inculquant aux fidèles un sentiment d'infériorité à
l'égard de ceux qui ne professent pas la Foi, et en les convainquant
que la Foi est en opposition et en contradiction avec la Science, comme
si le Seigneur n'était pas l'auteur des deux. Les fidèles seraient donc
des crédules, des rêveurs, des trompés qui croient aux miracles, à la
chute de la manne dans le désert, à la guérison des aveugles de
naissance ou des infirmes, à la multiplication des pains et des
poissons, dans la Résurrection du Christ et dans tous ces dogmes que
l'Église catholique enseigne mais qu'un esprit moderne non obscurci par
la « superstition papiste » sait bien qu'ils ne sont que des métaphores
et des élaborations de la « communauté primitive ». Une communauté
d'imposteurs, dans laquelle la nécessité de donner corps à une
institution organisée capable de rivaliser avec les autres religions a
inventé une série de mythes, en premier lieu celui de la divinité de
Notre-Seigneur. C'est, en résumé, la pensée du modernisme apparue au
XIXe siècle, condamnée au début du XXe siècle et qui a progressivement
pénétré l'Église jusqu'à s'imposer avec le Concile Vatican II. La
vision scientifique – et non scientifique – de la religion a convaincu
le clergé et les fidèles qu’ils doivent se considérer inférieurs et
méritant, tout au plus, une tolérance mal dissimulée, mais certainement
pas autorisés à défendre une Vérité considérée comme relative et non
universelle. Essentiellement, le diable a d’abord réussi à donner aux
citoyens le droit à l’erreur, puis à nier ce droit à la Vérité, le
réservant uniquement à l’erreur. L'alibi initial de la liberté pour
toutes les religions a été démontré pour ce qu'il est : une guerre
totale contre la Vérité unique de Dieu pour le triomphe des nombreux
mensonges de Satan, prince du mensonge.
Jorge Bergoglio, dans la continuité de ses prédécesseurs immédiats -
bien que certainement de manière plus décousue et plus agressive - a
usurpé l'autorité papale pour l'utiliser à son encontre, car ce n'est
qu'en se faisant passer pour Pape qu' il pouvait obtenir l'obéissance
immédiate du clergé et des laïcs dans son pays. Et ce sont précisément
ceux qui aujourd'hui reconnaissent Bergoglio comme pape légitime, mais
se réservent le droit de lui résister et de lui désobéir dans ce qu'ils
considèrent comme étant en contradiction avec la papauté et la doctrine
catholique, qui rendent cette situation humainement irréversible, dans
laquelle celui qui devrait être le Vicaire du Christ est le principal
architecte de l’action dissolvante de la Papauté et de l’Église
catholique. (Je pense à mes frères Burke, Sarah, Mueller, Schneider...
qui rendent un terrible service à la Vérité).
Andrea Caldart : Une question se pose spontanément : où « subsiste »
l’Église catholique aujourd’hui ? Comment l'Église catholique peut-elle
exister sans tête visible ?
Carlo Maria Viganò : L'Église catholique ne subsiste certainement pas
dans l'Église bergoglienne : certainement pas dans le conventicule des
cardinaux et des évêques qui soutiennent et accompagnent le tyran par
peur, timidité, intérêt, chantage ou acquiescement. Cela
suffirait pour comprendre, dans la perspective eschatologique de la fin
des temps et de la persécution finale annoncée par les Saintes
Écritures, le caractère singulier et extraordinaire de tout ce qui se
passe dans l’Église du Christ. C'est pour cette raison qu'il
n'est pas possible d'évaluer cette crise à la lumière des catégories et
des normes que l'Église s'est données pour des temps de relative
normalité. En ce sens, si l’on ne peut pas physiquement séparer
l’ivraie du bon blé, on peut au moins distinguer la mauvaise plante en
attendant que les moissonneurs viennent la jeter au feu.
Andrea Caldart : De nombreuses personnes dans le monde ont déclaré
avoir été sauvées des vaccinations forcées grâce à vos nombreuses
interventions et dénonciations des choses mauvaises et mauvaises que
les gouvernements ont faites et continuent de faire pour la mise en
œuvre de la Grande Réinitialisation et du Nouvel Ordre.
Carlo Maria Viganò : La farce de la pandémie, dont les crimes et les
horreurs apparaissent lentement même dans les grands médias, a ouvert
les yeux de nombreuses personnes intellectuellement honnêtes, y compris
des athées et des non-catholiques. Cet éveil des consciences constitue
certainement une occasion de s'approcher du Seigneur, au moment où
elles comprennent l'unité du plan satanique et anti-humain de la Grande
Réinitialisation et y reconnaissent l'action d'un esprit diabolique qui
cherche dans la destruction de l'homme pour annuler la Création de Dieu
et la Rédemption opérée par Notre Seigneur.
Ce qu'on peut faire, c'est suivre l'exhortation de saint Pierre :
Résistez fermement dans la foi, sachant que vos frères et sœurs du
monde entier souffrent les mêmes choses que vous (1 Pierre 5, 9).
Nous ne devons pas perdre la paix du cœur ni l'amitié avec Dieu face aux événements dont nous sommes témoins. Plus l'ennemi semble puissant et proche du triomphe, plus sa défaite inexorable face à l'archange Michel se rapproche.
On nous demande de rester fidèles, et de le faire avec les moyens
matériels et spirituels que le Seigneur nous assure dans les moments
d'épreuve. Organisons-nous en petites communautés, où la messe de tous
les temps est le cœur battant de notre action personnelle, familiale et
sociale. Préservons les enfants et les jeunes, en les éduquant avant
tout dans l'amour de Dieu et de la Sainte Vierge. Encourageons ceux qui
se sentent seuls et abandonnés, car la solitude est l'une des armes que
l'adversaire utilise pour nous prosterner et nous faire tomber. Prions
assidûment le Saint Rosaire. Vivons dans la charité fraternelle, sous
le regard de Dieu.
Andrea Caldart : En regardant vers l'avenir, quelles sont les priorités
de votre mission pastorale et quel message jugez-vous essentiel de
transmettre aux fidèles en ce moment historique ?
Carlo Maria Viganò : La tâche d'un évêque, c'est-à-dire d'un successeur
des apôtres, est résumée par saint Paul (2Tm 4, 1-5) : Je vous adjure
devant Dieu et devant Jésus-Christ, qui jugera les vivants et les morts
avec leur apparence et leur royaume : prêchez la Parole, insistez sur
toutes les occasions favorables et défavorables, convainquez,
réprimandez, exhortez avec toute sorte d'enseignement et de patience.
Car le temps viendra où ils ne supporteront plus la saine doctrine,
mais, désireux d'entendre, ils chercheront en grand nombre des docteurs
selon leurs propres désirs, et ils détourneront leurs oreilles de la
vérité et se tourneront vers les fables. Mais tu restes vigilant en
toutes choses, endures les souffrances, accomplis la tâche
d'évangéliste, accomplis fidèlement ton ministère. C'est ce que
j'essaie de faire. C'est ce que je ferai jusqu'à mon dernier souffle.
Et je prie ardemment pour que les autres évêques et prêtres fassent de
même, devant Dieu et le Christ Jésus, qui doit juger les vivants et les
morts, par son apparence et son royaume.
Dans ce combat spirituel, il est essentiel de penser aussi à l’avenir
de notre société et de l’Église. Ainsi, tout comme dans les affaires
mondiales, beaucoup s'organisent en communautés pour subvenir à leurs
besoins matériels - par exemple, pour fournir une alimentation saine ou
pour donner une éducation non idéologique à leurs enfants - de même,
dans les choses spirituelles, il est nécessaire d'organiser une
résistance qui assure de bons et saints prêtres qui continuent à
célébrer la messe et les sacrements dans la fidélité à la Tradition.
La Fondation Exsurge Domine a précisément pour objectif principal de
promouvoir et de soutenir la formation de nouvelles vocations
sacerdotales, dans la fidélité à la Tradition et à la Liturgie de tous
les temps, dans l'amour de l'Église catholique romaine et de la
Papauté. » (aldomariavalli.com)
21 décembre
ORDO AB CHAO
« En temps de persécution religieuse, l’intervention
divine attend ordinairement deux choses avant de se produire :
– D’abord que la purification des bons soit suffisamment accomplie ;
– Ensuite, que le triomphe des méchants soit sur le point de s’achever. » (abbé Augustin Lémann, 1886)
Ce temps des persécutions religieuses, est ce temps où Pierre le Romain
dans la prophétie des papes de Saint-Malachie conduit son peuple parmi
les tribulations, la dernière étape de la purification par Vatican II.
L’ère bergoglioènne.
L’ère du chaos.
Chaos utiliser par l’Antichrist pour la venue du « messie guerrier » judéo-maçonnique, pour établir l’ordre.
Le politique nous donne des signes évidents de chaos en cette fin
d’année 2024, où tout bascule : instabilité politique au Canada,
en France, en Grande-Bretagne, en Allemagne, aux États-Unis, …
Domenico Margiotta, franc-maçon du 33ème degré converti au
catholicisme à la fin du XIXème siècle, et qui dénoncera dans ses
livres les pratiques occultes de la franc-maçonnerie :
« Le
nombre 77 est sacré parce qu’il est le produit de la multiplication de
7, nombre sacré, par 11, nombre sacré. Le nombre 7 est sacré
parce qu’il est le total du nom ineffable du Grand Architecte de
l’Univers, qui est en sept lettres (Lucifer, nom révélé seulement dans
les triangles). Le nombre 11 est également nombre sacré
luciférien, parce que cabalistiquement il représente l’En-Soph et les
dix Séphiroth, dont les incarnations maçonniques sur terre sont le
souverain pontife de la franc-maçonnerie universelle et les dix
patriarches composant le sérénissime grand collège des maçons
émérites. Enfin le nombre 77 est trois fois sacré, parce qu’il est
le nombre de la hiérarchie céleste selon le Livre Apadno. C’est en
l’honneur de ce nombre que la juridiction suprême de la
haute-maçonnerie est divisée en 77 provinces triangulaires. »
Selon le « Projet 47 » de Louis d’Alencourt (voir analyses précédentes)
le messie judéo-maçonnique se découvre à la vue de tous le 20 janvier
prochain, c’est à dire 77 ans après la création d’Israël en 1948.
Le religieux domine le politique, quoiqu’on en dise.
Et le chaos est très présent au Vatican.
Dénoncé par quelques braves, toujours peu nombreux :
« … Les erreurs manifestées par François découlent de son aversion pour
la Tradition, qui le mène à maltraiter les traditionalistes, à
persécuter les évêques et les prêtres et à en annuler certains. Sa
procédure habituelle consiste à intervenir indirectement dans les
diocèses en nommant des « coadjuteurs » progressistes des évêques
respectifs. Dans bien des cas, il critique les prêtres, qu'il semble
mépriser, les qualifiant d'« arriérés » [« indiétistes »] parce qu'ils
aiment et suivent la Tradition. Ce mépris contraste avec l’amour pour
les prêtres manifesté par les papes ... Jean-Paul II et Benoît XVI.
La mariologie de François est déficiente : lorsqu'on lui a demandé de
proclamer la Co-Rédemptrice, il a refusé, avec un mauvais argument
affirmant qu'elle ne pouvait pas être appelée Co-Rédemptrice « parce
qu'elle n'est pas divine ». Il est clair qu'il ne comprend pas le
mystère de la participation de Marie à l'œuvre de rédemption. Le style
de François est populiste, ce qui lui vient de sa sympathie politique
pour le phénomène argentin du péronisme, mouvement auquel il adhère
depuis sa jeunesse, au sein du groupe connu sous le nom de « Garde de
fer ».
La question de l'infaillibilité ne se pose pas. En fait, il exerce son
activité en utilisant l'autorité papale de manière très naturelle. Il
est bien conscient d'être pape et est considéré comme tel par les
fidèles, sauf que beaucoup n'approuvent pas ses choix politiques et
reconnaissent clairement que cette dimension politique est étrangère à
la fonction de Successeur de Pierre.
Le pontificat actuel est axé sur l’agenda mondialiste et le dialogue
interreligieux ; il ne peut pas remplir son mandat de répandre la
connaissance et l'amour de Jésus-Christ. Mais le mandat apostolique
demeure : « Allez partout dans le monde et prêchez l'Évangile à toutes
les nations ; Celui qui croira et sera baptisé sera sauvé, celui qui ne
croira pas sera condamné » (Mc 16, 16). Cela vaut pour ce monde, qui
attend le rétablissement du Successeur de Pierre.
+ Héctor Aguer
Archevêque émérite de La Plata ». (lifesitenews.com)
« CITÉ DU VATICAN ( LifeSiteNews
) — Un employé frustré du Vatican a affirmé que le pape François
donnait la préférence au « lobby gai » lorsqu'il s'agissait de prendre
des décisions.
Dans une entrevue anonyme accordée au média italien Panorama , un
membre du syndicat du Vatican s'est plaint que non seulement ses
collègues étaient mécontents de la prétendue gestion financière de
François, mais qu'il accordait une forte préférence à ceux qui sont en
faveur de l'agenda homosexuel.
« On ne peut progresser que si on est ami d'un des deux lobbys qui
comptent : soit le « lobby gai », qui est vaste et très puissant, soit
le « Club Santa Marta » autour du Pape », dit-il. qui portait les
initiales «GF», a déclaré au média.
La personne a en outre fait remarquer que si « vous voulez adhérer,
vous ne pouvez pas lire les journaux de centre-droit et vous devez
parler espagnol ». Il faut être vert, pro-migrants et, surtout,
pro-palestinien. Pour eux, Nicolas Maduro est un saint et Donald Trump
est un diable.»
L'influence du lobby homosexuel dans l'Église n'est pas une simple
spéculation. LifeSite présente depuis des années une documentation
détaillée sur les efforts du groupe. Son pouvoir sur François est
indiqué, entre autres, par ses nominations papales, le traitement
réservé aux groupes homosexuels et d'autres signes de favoritisme
évident.
Ce mois-ci, François a nommé 21 nouveaux cardinaux, dont le prêtre
dominicain pro-LGBT, le père Timothy Radcliffe. François a également
rehaussé le profil public du prêtre jésuite pro-LGBT James Martin en
louant à plusieurs reprises son travail et son groupe hérétique
Outreach. De plus, François a récemment accueilli au Vatican un ermite
transgenre basé aux États-Unis et a souvent accueilli au Vatican
d'autres groupes de personnes confuses en matière de genre… »
« Lors de son audience du 16 décembre 2024 avec une délégation du
Conseil méthodiste mondial, François a faussement suggéré que les
catholiques professent la même foi que les méthodistes :
« L'an prochain, les chrétiens du monde entier célébreront le 1700e
anniversaire du premier concile œcuménique : Nicée. Cette occasion nous
rappelle que nous professons la même foi et avons donc la même
responsabilité d'offrir des signes d'espérance qui témoignent de la
présence de Dieu dans le monde. »
Bien qu'il soit vrai que les méthodistes et les autres protestants
acceptent le Symbole de Nicée, il est évidemment incorrect de suggérer
que les catholiques et les méthodistes « professent la même foi ». Le
pape Léon XIII a réfuté en profondeur la fausse affirmation de François
dans son encyclique de 1896 sur l'unité des chrétiens, Satis Cognitum :
« Mais celui qui s'écarte ne serait-ce que sur un point de la vérité
divinement révélée rejette absolument toute foi, puisqu'il refuse ainsi
d'honorer Dieu comme la vérité suprême et le motif formel de la foi. «
Dans bien des choses, ils sont avec moi, dans quelques affaires pas
avec moi ; mais dans le peu de choses où ils ne sont pas avec moi, les
nombreuses choses dans lesquelles ils sont ne leur serviront à rien »
(S. Augustinus dans Psal. liv., n. 19). Et c'est à juste titre ; car
eux, qui prennent de la doctrine chrétienne ce qu'ils veulent,
s'appuient sur leurs propres jugements, pas sur la foi ; et n'amenant
pas toute intelligence en captivité à l'obéissance du Christ (2 Cor.
X., 5), ils s'obéissent plus vraiment à eux-mêmes qu'à Dieu. »
Ainsi, quiconque rejette ne serait-ce qu’un seul point de la vérité
divinement révélée rejette la Foi dans son ensemble. Parce que les
méthodistes (comme les autres protestants) rejettent de multiples
points de vérité divinement révélés, ils rejettent la vraie foi,
s'appuyant plutôt sur leurs propres jugements. En tant que tels, les
méthodistes ne « professent évidemment pas la même foi » que les
catholiques… » (theremnant.com)
La Tradition est l’ennemi de l’œcuménisme.
Voilà pourquoi Bergoglio s’acharne tant sur la Tradition, car elle
empêche la conversion complète de l’église au protestantisme sous
couverture d’œcuménisme.
« … Evelyn Waugh à l'archevêque John Heenan du 25 novembre 1962 (moins
de deux mois après l'ouverture du Concile), la « protestantisation »
était évidente dès le début pour ceux qui avaient des yeux pour voir :
« La vraie difficulté (je pense) est que les Continentaux se déforment
pour nous faire ressembler le plus possible aux protestants. Comme
j'aimerais qu'on puisse les persuader (une grande majorité, je le
crains) qu'être à l'aise avec notre messe et nos cérémonies est bien
plus important que d'avoir raison selon les livres des antiquités
liturgiques.
Waugh avait tout à fait raison, et Michael Davies a confirmé
l'existence de ce processus de « protestantisation » lors de son
conseil du pape Jean :
« L'histoire du dialogue œcuménique initié par le Concile a été celle
de concessions continuelles de la part de l'Église catholique au
protestantisme – sans aucune réciprocité. . . . [L]'exemple le plus
grave en a été la modification de la messe romaine pour la rendre aussi
acceptable que possible à ceux qui rejettent l'enseignement catholique
sur le sacrifice et la transsubstantiation. (p. 154)
Mais qu'est-ce qu'être « protestantisé » ? Il n’y a aucun sens réel
dans lequel l’Église catholique actuelle pourrait être « protestantisée
» parce qu’elle ne peut pas changer de cette façon. Tout ce qui
ressemble à l’Église catholique et qui pourrait être « protestantisé »
serait nécessairement une église contrefaite. L'Église synodale de
François nous a aidés à mieux comprendre ce qui a été protestantisé.
Comme de plus en plus de catholiques le réalisent, cette Église
synodale est essentiellement une version plus avancée et officielle de
la soi-disant « Église conciliaire », qui, à bien des égards,
représentait une contrefaçon de l’Église catholique. Alors que les bons
catholiques auraient pu être en désaccord sur le sens ou la légitimité
du terme « Église conciliaire », François et ses collaborateurs
soulignent régulièrement les réalités selon lesquelles leur Église (a)
est maintenant appelée « Église synodale » et (b) a peu de
chevauchement avec l'Église catholique sur le plan doctrinal.
Dans cette optique, François avait généralement raison de dire que son
Église a la même foi que l'Église méthodiste. Cependant, lors de cette
audience particulière avec les méthodistes, il a fait référence à tort
à son église en l'appelant l'Église catholique plutôt que l'Église
synodale. Que ce soit par ignorance ou par malveillance, c'est le genre
d'erreur que les vrais catholiques devraient veiller à corriger. Si
François n'a pas la compréhension ou la décence nécessaire pour
identifier correctement son église contrefaite, nous avons une réelle
obligation de le corriger afin de minimiser les chances que d'autres
croient à tort qu'il parle de l'Église catholique dans de de tels cas.
Cette obligation de défendre la véritable Église catholique s'étend à
la nécessité pour nous de coopérer avec la grâce de Dieu pour vaincre
le faux œcuménisme qui tourmente le Corps mystique du Christ depuis des
décennies. Même si le faux œcuménisme est étranger à l'Église parce
qu'hérétique, cette notion erronée de l'unité des chrétiens nuit aux
catholiques d'innombrables manières. Dieu a permis que ces préjudices
deviennent de plus en plus clairs en 2024, avec le document de l'évêque
de Rome et le Synode sur la synodalité . Pour ceux qui aiment l'Église
catholique, cela nous appelle à faire plus que jamais en 2025 pour
lutter charitablement contre le fléau du faux œcuménisme. Cœur Immaculé
de Marie, priez pour nous ! » (theremnant.com ci-haut)
La fausse église prophétisée par Anne Catherine Emmerich.
« Parce qu'ils tiennent pour certain qu'il est très rare de trouver des
hommes dépourvus de tout sens religieux, ils semblent avoir fondé sur
cette croyance l'espoir que les nations, bien qu'elles diffèrent entre
elles sur certaines questions religieuses , sauront sans trop de
difficultés, parvenons à nous mettre d'accord en tant que frères sur la
profession de certaines doctrines, qui forment pour ainsi dire une base
commune de la vie spirituelle.
C'est
pourquoi ces personnes organisent fréquemment des congrès, des réunions
et des discours, auxquels assistent un grand nombre d'auditeurs et où
tous, sans distinction, sont invités à se joindre à la discussion,
aussi bien les infidèles de toute espèce que les chrétiens, même ceux
qui se sont malheureusement éloignés du Christ ou qui, avec obstination
et obstination, nient sa nature divine et sa mission. Certes, de telles
tentatives ne peuvent en aucun cas être approuvées par les catholiques,
fondées comme elles le sont sur cette fausse opinion qui considère
toutes les religions comme plus ou moins bonnes et louables,
puisqu'elles manifestent et signifient toutes de différentes manières
ce sens qui est inné en nous tous, et par lequel nous sommes conduits à
Dieu et à la reconnaissance obéissante de son règne.
Non
seulement ceux qui soutiennent cette opinion se trompent et se
trompent, mais encore, en déformant l'idée de la vraie religion, ils la
rejettent et se détournent peu à peu vers le naturalisme et l'athéisme,
comme on l'appelle ; d'où il s'ensuit clairement que celui qui soutient
ceux qui soutiennent ces théories et tente de les réaliser abandonne
complètement la religion divinement révélée. » (le Pape Pie XI,
Mortalium Animos, encyclique de 1928 sur l'unité religieuse)
« ( LifeSiteNews
) — Le deuxième dimanche de l'Avent, les chaînes de télévision du monde
entier ont diffusé deux services catholiques : la messe de réouverture
de Notre-Dame de Paris et la messe papale de fin du consistoire.
Ce qui unissait les deux messes, cependant, n'était nullement l'unité
de la célébration de la messe selon le nouveau missel de Paul VI ; au
lieu de cela, il était visible que les deux messes s'écartaient des
prescriptions de son missel d'une manière idiosyncrasique, démontrant
ainsi au monde entier qu'il n'existe pas de « nouvelle messe ».
Ce qui est encore plus frappant, c'est que les deux messes se
caractérisent par un rejet évident de la tradition : les vêtements, les
gestes, les rites centraux et même certaines parties de la prière
eucharistique ne donnent plus aucune indication sur la manière dont la
messe a été célébrée pendant 1 600 ans. Au lieu de cela, le lien avec
la tradition semblait avoir été coupé au couteau, et les deux messes
semblaient flotter dans un espace liturgique vide.
Cependant, la tradition dans l'Église est une chose délicate. Quiconque
y voit simplement une « coutume » qui peut être maintenue ou abolie ne
comprend pas la signification de la tradition de l’Église. Pour
l’Église, la tradition est toujours synonyme de légitimité, et
personne ne peut revendiquer une légitimité contraire à la
tradition, ni pour lui-même ni pour ses actions. Cela s'applique bien
sûr à la doctrine de la foi ainsi qu'à la célébration de la Sainte
Messe, et cela lie le pape ainsi que tout évêque.
Dans ce contexte, ce qui suit me semble significatif : nous,
catholiques, on nous prescrit une façon de penser autoritaire et
orientée vers le pape. Cela a fonctionné aussi longtemps que les papes
représentaient les enseignements de l’Église. Mais le pape actuel ne le
fait pas, et ça vaut aussi pour la célébration de la messe
traditionnelle. Ses actions ne sont pas légitimes parce qu'elles
contredisent la tradition, mais lui et ses partisans s'en moquent.
Mais en même temps, il met dans un dilemme les catholiques qui
s'accrochent à la messe traditionnelle. Ils sont contraints à «
l’illégitimité » par le pape et croient devoir justifier leur
légitimité. Mais ce n'est précisément pas le cas ! La messe
traditionnelle fait pleinement partie de la tradition de l'Église et
toute la tradition s'y reflète. Personne ne peut ébranler sa
légitimité, pas même un pape ennemi de la tradition et de la messe
traditionnelle.
À l'inverse, les tenants de la « nouvelle » messe doivent se demander
quelle est leur légitimité liturgique. D'autant plus s'ils ne
respectent pas les règles en vigueur et évitent délibérément tout lien
avec la tradition. Ces messes reflètent-elles encore la foi catholique,
ou ne sont-elles pas simplement le reflet d’un faux néo-catholicisme,
moitié protestant et moitié ce qu’on appelle désormais « synodal » ?
J'aimerais encourager tous ceux qui sont attachés à la messe
traditionnelle : ne vous laissez pas intimider et ne vous laissez pas
prendre au jeu d'être poussés vers l'illégitimité, imposés par des
interdictions ou autrement harcelés.
Rassurez-vous plutôt : seule la messe traditionnelle est dans la pleine
tradition de l'Église, et pour cette seule raison tout prêtre a le
droit de la célébrer, et tout croyant a le droit d'y assister. François
ne peut pas changer ça et personne d'autre ne le peut ! Alors ayez
confiance en vous et soyez catholique avec confiance !
Les néo-catholiques synodaux, en revanche, n’ont aucun lien avec la
tradition, et même s’ils – comme les ariens d’autrefois – sont
aujourd’hui majoritaires, ils ne sont pas catholiques, ou du moins pas
vraiment catholiques.
La messe du pape et la messe à Notre-Dame l'ont démontré de manière
éclatante. Et ils ont illustré la rupture dramatique dans l'Église
survenue avec la « nouvelle messe », quelque chose que François a
renforcé.
Tout cela ressemblait un peu à la Révolution française : à cette
époque, un peuple de plébéiens avait dévasté Notre-Dame et y avait
installé une nouvelle foi et une nouvelle « déesse ». Ils ont
littéralement piétiné la foi traditionnelle, et quiconque suit la messe
traditionnelle agit dans l’esprit révolutionnaire de ces gens. Avec
l'orgueil des plébéiens, ils adoptèrent de nouveaux rites qui leur
étaient propres et devinrent maîtres de la liturgie ; finalement un
geste diabolique.
La célébration de la Sainte Messe, par contre, requiert autre chose :
une humble entrée dans le courant de la tradition et une immersion dans
la forme traditionnelle de la Messe. Merci de rester fidèle à la foi
catholique et à la messe traditionnelle. (Le P. Heimerl)
Le mot d’Espérance de Mgr Strickland en cette fin d’année :
« ( LifeSiteNews ) — Chers frères et sœurs en Christ,
En cette période de l'année, alors que nous attendons Notre-Seigneur,
je voudrais attirer un instant notre attention sur saint Joseph, un
personnage plutôt silencieux mais très important dans l'Avènement de
Notre-Seigneur. Nous connaissons Saint Joseph comme charpentier parce
que Saint Matthieu et Saint Marc utilisaient le terme grec
tekton pour décrire son travail, terme courant désignant un
ouvrier du bois, un constructeur, un « menuisier » – dont les
compétences en menuiserie incluent « assembler des morceaux de bois
ensemble. Les pères latins interprétaient ce mot comme « charpentier ».
Le mot « menuisier » est un mot approprié pour saint Joseph car, à bien
des égards, il a été appelé à être un constructeur d'escaliers qui
fournissaient des marches permettant au ciel de « rejoindre » la terre
et à la terre de « rejoindre » » le ciel. La Sainte Vierge Marie a été
appelée à être la Mère de Dieu et saint Joseph a construit un escalier
en lui offrant le mariage et une maison où l'Enfant Jésus pourrait
vivre sur terre. Jésus-Christ a habité dans la maison fournie par saint
Joseph, et bien qu'une maison et toutes les marches construites par
saint Joseph auraient été faites de matériaux terrestres, le ciel a
marché dessus, on pourrait donc dire qu'il a construit un escalier qui
reliait le ciel à la terre.
Lorsque nous pensons aux escaliers et aux choses qui « joignent » le
ciel et la terre, nous pensons naturellement à l'Église du Christ, car
en tant que catholiques, nous nous tenons sur un escalier, ou un pont,
construit par le Christ qui relie la Terre au ciel. Les marches de cet
escalier sont les sacrements qui comblent l'abîme qui sépare le
Créateur du créé, et le Dépôt de la Foi en est la charpente. Tant que
nous nous tenons fermement sur cet escalier, nous pouvons, comme Marie
tenant l’enfant Christ, regarder le visage de Dieu. Car dans son
Église, le Christ nous rencontre véritablement sur terre, comme dans
Son Église il est véritablement présent. Les sacrements sont des signes
efficaces car ils apportent véritablement sur terre (et rejoignent) ce
qu'ils symbolisent. Pour que cela se produise, comme nous le savons, il
doit être correctement « symbolisé » (l’escalier doit être construit
avec les bons matériaux) à la fois dans la « forme » et dans la «
matière ». Si l'un ou l'autre est modifié, la forme (les paroles
prononcées) ou la matière (la partie physique du sacrement), alors la
validité est détruite. Chaque planche de cet escalier fait donc partie
intégrante de l’ensemble.
Cet escalier, ou pont, qui relie la terre au ciel, a toujours tenu bon,
malgré les attaques constantes de l'extérieur tout au long de
l'histoire de l'Église. Cependant, nous voyons maintenant des attaques
provenir de l'Église elle-même et de ceux qui prétendent avoir
l'autorité pour mener cette guerre. Ce qui se passe maintenant est le
point culminant de ce que les déchus ont systématiquement, avec une
intention diabolique, planifié et de ce qui a été prophétisé par de
nombreux saints tout au long de l’histoire de l’Église. Cependant, les
planches de cet escalier ont été données par le Christ lui-même, et
tout matériau de substitution mis à leur place ne supportera pas le
poids de ce qui nous a été donné. C'est pourquoi il me tient à cœur, en
tant qu'évêque, que les fidèles ne perdent pas de vue le véritable
escalier et ne se retrouvent ensuite debout sur un escalier construit
avec des matériaux de substitution, se demandant pourquoi leur église
semble si vide. Le Christ sera toujours présent dans son Église, debout
sur l'escalier qu'il a construit, mais nous devons être certains que
c'est là qu'on est aussi, et qu'on n'a pas été attaqués par le « singe
de l'Église » prophétisé par l'archevêque Fulton Sheen.
En tant qu'évêque, j'ai promis – quel qu'en soit le prix – de rester
ferme sur le véritable escalier qui a été donné par le Christ et qui
repose en Lui, et dont la charpente est le Dépôt de la Foi, et bien sûr
de le protéger de tous ceux qui essaieraient de le faire. Je suis
appelé à me rappeler que le précieux sang du Christ marque cet
escalier, qu'il est aussi taché par le sang des martyrs, et que je dois
aussi être prêt à verser mon sang pour le protéger. Pour que Christ
meure pour nous, il a dû devenir homme et s'abandonner à l'atrocité de
la mort tout en détenant la clé même de la vie. Cela a nécessité une
volonté sans précédent – il a fallu la Volonté de Dieu. Et c'est là
qu'Il appelle chacun de nous : à marcher complètement dans la Volonté
de Dieu.
Quand a commencé la tentative de destruction de cet escalier ?
Plusieurs considèrent Vatican II comme le coupable. Je suis né en
octobre 1958, la même année et le même mois où le pape Jean XXIII a été
élu à la chaire de Saint-Pierre en tant que Pontifex Maximus (Pontife
suprême), ce qui signifie grand bâtisseur de ponts. Je mentionne cela
parce que très souvent cette année est soulignée comme le début de la
tourmente dans l’Église que nous voyons actuellement déborder
d’innombrables façons. Il est vrai que son pontificat et sa décision de
convoquer le Concile Vatican II ont été un moment charnière dans
l’histoire de l’Église. Le 11 octobre 1962, le pape Jean XXIII ouvrait
le Concile Vatican II ; cependant, il est décédé en juin 1963 et Paul
VI, son successeur, a pris sa place. La quatrième et dernière session
du Conseil s'est terminée en décembre 1965.
Était-ce le début ? Il semble bien qu'il y ait eu une tentative
systématique de démolition de ce qui était considéré comme «
irréformable » avant Vatican II. Et pourtant, comment les responsables
ont-ils essayé de détruire ce qui est éternel ? Ils y sont parvenus en
essayant de limiter ce qui relevait du ciel à une définition terrestre,
et cela s'est fait de manière plus efficace en tentant de substituer
des matériaux fabriqués par l'homme à ce qui a été donné du ciel.
Cependant, lorsqu'une extrémité repose sur la terre et qu'une autre
extrémité repose au ciel, comme le fait l'Église, alors l'homme ne peut
pas la détruire. Ce qu'il peut faire, cependant, c'est obscurcir la
Vérité en proposant le « singe de l'Église » à sa place.
Il ne fait aucun doute que bien des choses ont changé après Vatican II.
L'accent a été mis sur l'Église marchant avec le « monde », ce qui a
définitivement ouvert la porte à des conceptions théologiques qui
compromettaient l'identité unique de l'Église. Des idées comme
l'œcuménisme ont porté un coup dur à l'escalier, car le Christ n'a
jamais dit que son Église devait faire partie du monde ; en fait, il a
dit le contraire.
Avec Vatican II, un mouvement ciblé a commencé à encourager l'Église à
engager un « dialogue » avec d'autres confessions. Pourtant, je dois
demander : « De quoi y avait-il lieu de dialoguer ? » Le Christ nous a
donné son Église. Il est clair maintenant que c'est la progression
logique de ce qui est issu de Vatican II que nous en sommes maintenant
au point où le Saint-Père peut faire une déclaration comme : « Toutes
les religions sont des chemins qui mènent à Dieu », et la majorité des
évêques et des cardinaux se contentent de hocher la tête, sans jamais
dire un mot.
Et pourtant, ils savent – ils ne peuvent pas s'empêcher de le savoir
– qu'ils abandonnent l'escalier qu'ils ont promis de protéger. Ce que
le pape Boniface VIII enseignait infailliblement dans sa Bulle
Unam Sanctam (1302) se trouve sur cet escalier : « Nous sommes
contraints en vertu de notre foi de croire et de soutenir qu'il n'y a
qu'une seule Église catholique, et qu'elle est apostolique. Nous le
croyons fermement et le professons sans réserve. En dehors de cette
Église, il n’y a ni salut ni rémission des péchés. Ainsi, l'époux
proclame dans le Cantique : « Une est ma colombe : ma parfaite n'est
qu'une. Elle est la seule de sa mère, l'élue de celle qui l'a enfantée
» (Cant. 6 : 8). Or, cet élu représente le seul corps mystique dont la
tête est le Christ, et la tête du Christ est Dieu. En elle il y a « un
seul Seigneur, une seule foi, un seul baptême » (Eph. 4 : 5). Car au
moment du déluge, il n’existait qu’une seule arche, figure d’une seule
Église.
Il y a de nombreuses paroles divinement inspirées dans l’escalier qui
nous amèneraient à conclure sans exception que « Non, toutes les
religions ne sont PAS des chemins vers Dieu ». Car, comme l'a déclaré
le pape Benoît XV dans son encyclique papale Ad Beatissimi
(1914), paroles qui se trouvent également sur cet escalier : « Telle
est la nature du catholicisme qu'il n'admet pas plus ou moins, mais
doit être considéré comme un tout ou dans son ensemble rejeté : « C'est
la foi catholique, selon laquelle, à moins qu'un homme ne croit
fidèlement et fermement, il ne peut être sauvé » (Symbole d'Athanase).
Il n'est pas nécessaire d'ajouter des termes qualificatifs à la
profession de catholicisme : il suffit à chacun de proclamer : « Mon
nom est chrétien et mon nom de famille est catholique », mais qu'il
s'efforce d'être réellement ce qu'il appelle lui-même.
L'Église catholique a TOUJOURS condamné la fausse croyance selon
laquelle toutes les religions sont bonnes et « de Dieu ». C'est la
fausse doctrine de l'indifférentisme religieux, et c'est une planche
qu'il ne faut jamais placer sur cet escalier sacré. Il y a eu beaucoup
d'autres planches que les hommes ont essayé de placer depuis Vatican II
et qui sont faites de matériaux fabriqués par l'homme. Ils ont essayé
de remplacer les matériaux célestes par des matériaux fabriqués par
l'homme parce qu'ils croyaient que les matériaux d'origine étaient «
périmés ». Cependant, ce que le ciel a bâti ne devient jamais démodé.
Une grande partie de ce qui est ressorti du Deuxième Concile
représentait un mouvement de l’Église catholique vers l’Église
conciliaire. Ce qui est particulièrement tragique, c'est qu'il est
probable qu'à ce stade, nous ayons perdu l'objectif d'amener le monde à
Christ.
Cependant, rien n'a été aussi dommageable pour l'escalier que les
changements survenus dans le Saint Sacrifice de la Messe. tombeau vide
: « Où l'ont-ils déposé ? » Les changements dont l'Église a été témoin
dans le Saint Sacrifice de la Messe depuis Vatican II ont laissé
beaucoup de gens ignorants de l'endroit où Il se trouve et de Son
sacrifice d'amour pour toute l'humanité, car la croyance en la présence
réelle a considérablement chuté.
L'ancienne messe a été supprimée en 1970 et de nombreux catholiques ont
quitté l'Église, le pape Paul VI accusant en fait tous ceux qui
observaient l'ancienne messe de rebelles contre le concile. Alors que
je réfléchis aux changements survenus dans la messe à la suite de
Vatican II, l’archevêque Marcel Lefebvre me vient à l’esprit. Mgr
Lefebvre, fondateur de la Fraternité Saint-Pie X (FSSPX), une société
sacerdotale traditionaliste, a été qualifié de désobéissant, de rebelle
et même de schismatique dans les années 1970 et 1980 pour avoir refusé
de célébrer la nouvelle messe. estimait que l'Église était en proie à
une profonde « crise de la foi » due à l'infiltration du modernisme et
du libéralisme. Il sentait qu'il y avait une tentative active
d'arracher les planches de l'escalier et de les remplacer par des
planches du monde. Il a consacré quatre évêques « soucieux de la
tradition » sans l'approbation papale (bien qu'il ait demandé à
plusieurs reprises l'approbation pendant des années après avoir été
informé que l'approbation serait accordée) parce qu'il estimait que
sans des évêques qui soutenaient les enseignements traditionnels et la
messe latine tridentine, la continuité de la Tradition de l'Église
serait en danger. Et ainsi, il s'est assuré que l'escalier soit
préservé intact.
En 1976, alors que Lefebvre était sur le point d'ordonner 13 prêtres
dans la Fraternité, Mgr Giovanni Benelli, du Secrétariat d'État du
Vatican, lui a écrit pour lui demander de rester fidèle à l'Église
conciliaire, et Mgr Lefebvre a a répondu : « Quelle est cette église ?
Je ne connais pas d'église conciliaire. Je suis catholique!
Moi-même, ayant été au séminaire à une époque où le latin n'était même
pas enseigné, et ayant toujours célébré le Novus Ordo (nouvelle messe)
en tant que prêtre et évêque, j'ai entrepris un voyage pour comprendre
cette question. Je voudrais nous exhorter tous à reconnaître, comme je
suis parvenu à le reconnaître, que les problèmes liés à la Sainte Messe
ont commencé à cause d'une tentative de détourner l'attention de
Jésus-Christ et de son sacrifice qui EST la Sainte Messe .
Je crois que nous devrions chacun nous efforcer d'être des chrétiens du
premier siècle au XXIe siècle, et c'est particulièrement significatif
dans le domaine de la Sainte Messe. Cène, rendant présent Le sacrifice
une fois pour toutes du Christ. Des récits comme celui de saint Justin
martyr nous offrent des descriptions très anciennes de ce qui s'est
passé lors de la Sainte Messe, et la beauté de ces récits est qu'ils
sont si proches dans le temps du sacrifice que la messe commémore. Nous
devons garder notre concentration sur Jésus-Christ comme le faisaient
les premiers chrétiens, de sorte que la distance temporelle par rapport
à son sacrifice devienne insignifiante parce que nous sommes concentrés
sur le même Seigneur crucifié et ressuscité comme les premiers
chrétiens.
Il ne fait aucun doute qu'avec la nouvelle messe, l'attention portée à
Jésus-Christ a diminué. Cela a souvent été observé de manière subtile,
mais nous avons également été témoins d’une négligence drastique de la
Présence réelle de Jésus-Christ, qui s’élève dans bien des cas au
niveau du blasphème depuis Vatican II. Lorsque la liturgie s'est
tournée vers le peuple et s'est éloignée de Jésus-Christ, elle a ouvert
la porte à une négligence extrême de sa présence sacrée.
Il est intéressant de noter que même si le Novus Ordo est généralement
célébré dans la langue vernaculaire, la langue commune du pays où il
est célébré, tandis que la messe traditionnelle est célébrée en latin,
la langue normative du Novus Ordo est également le latin. Bien que des
dispositions aient été prises pour que la messe soit célébrée dans la
langue vernaculaire locale pour des raisons pastorales, il a toujours
été supposé que la messe continuerait à être célébrée en latin, et le
pape Benoît XVI a exhorté à la réintroduction du latin dans le Novus
Ordo.
Lors de l'introduction du Novus Ordo, de nombreuses rampes d'autel ont
été supprimées. Cependant, la rampe d'autel nous a aidés à maintenir la
distinction entre le sanctuaire (où se trouve l'autel et qui représente
le ciel, où mène notre escalier) et le reste de l'Église (qui
représente la terre et où commence notre escalier). Dans la messe
latine traditionnelle, les communiants s'agenouillent devant la rampe
de l'autel (la porte du ciel) et reçoivent l'Eucharistie sur la langue
du prêtre.
Bien qu'il existe de nombreuses messes sacrées et belles du Novus Ordo
célébrées de manière constante, il est un fait que la Nouvelle Messe a
représenté une rupture dans des siècles de continuité liturgique. Et
cela s'est accompagné d'un déclin massif de la fréquentation de la
messe, des vocations et de la croyance dans les enseignements
catholiques fondamentaux. Le pape Benoît XVI a répondu à ces
préoccupations avec son motu proprio Summorum Pontificum de
2007 dans lequel il a élargi l'accès à la messe latine
traditionnelle . l'accès à la messe latine traditionnelle. Mais
lisons ces paroles du pape Pie V dans sa Constitution apostolique
Quo Primum de 1570 à propos de la messe traditionnelle latine :
De plus, par les présentes [cette loi], en vertu de Notre autorité
apostolique, Nous accordons et concédons à perpétuité que, pour le
chant ou la lecture de la messe dans n'importe quelle église, ce Missel
devra désormais être suivi absolument, sans aucun scrupule de
conscience ou de crainte d’encourir une pénalité, un jugement ou une
censure, et peuvent être utilisés librement et licitement. Les
supérieurs, administrateurs, chanoines, aumôniers et autres prêtres
séculiers ou religieux, quel que soit le titre désigné, ne sont pas non
plus tenus de célébrer la messe autrement que comme nous l'avons
enjoint. Nous déclarons et ordonnons également que personne, quel qu'il
soit, ne soit contraint ou contraint de modifier ce Missel, et que ce
présent document ne puisse être révoqué ou modifié, mais demeure
toujours valable et conserve toute sa force malgré les constitutions et
décrets antérieurs du Saint-Siège, comme ainsi que toutes constitutions
générales ou spéciales ou édits des conseils provinciaux ou synodaux,
et nonobstant la pratique et la coutume des églises susmentionnées,
établies par une prescription longue et immémoriale…
Les paroles prononcées par Mgr Lefebvre lors de l'ordination de 13
prêtres en 1976 sont des paroles qui doivent nous tenir à cœur. Il a
dit : « Car si la très sainte Église a voulu garder à travers les
siècles ce précieux trésor qu'elle nous a donné du rite de la Sainte
Messe canonisée par saint Pie V, cela n'a pas été sans but. C'est parce
que cette messe contient toute notre Foi, toute la Foi catholique : Foi
en la Très Sainte Trinité, Foi en la Divinité de Notre Seigneur
Jésus-Christ, Foi en la Rédemption de Notre Seigneur Jésus-Christ, Foi
au Sang de Notre Seigneur Jésus Christ. C'est ce que nous croyons.
C'est ce que nous croyons en célébrant le Saint Sacrifice de la Messe
de tous les temps. C'est une leçon de foi et en même temps une source
de notre foi, indispensable pour nous en cette époque où notre foi est
attaquée de toutes parts. Nous avons besoin de cette vraie messe, de
cette messe de tous les temps, de ce sacrifice de Notre Seigneur
Jésus-Christ pour remplir réellement nos âmes du Saint-Esprit et de la
force de Notre Seigneur Jésus-Christ.
Le pape Benoît XVI a déclaré : « Ce que les générations précédentes
considéraient comme sacré reste sacré et grand pour nous aussi, et cela
ne peut pas être tout d’un coup totalement interdit ou même considéré
comme nuisible. Il nous incombe à tous de préserver les richesses qui
se sont développées dans la foi et la prière de l'Église.»
Je pense qu'il est également important de préciser ici que la FSSPX
n'est pas en dehors de l'Église catholique et que, bien qu'elle soit
canoniquement irrégulière, elle n'est pas schismatique. Mgr Athanasius
Schneider a mené une étude approfondie sur la FSSPX et, par conséquent,
a donné une défense claire et cohérente de la Fraternité. Il a dit que
les catholiques peuvent assister aux messes de la FSSPX et recevoir les
sacrements de son clergé sans souci. Bien qu'il reconnaisse la «
situation canonique irrégulière » de la FSSPX, il déclare que cela
n'équivaut pas à être en dehors de l'Église, et il a félicité la FSSPX
pour avoir défendu la foi et la liturgie catholiques traditionnelles.
Mgr Schneider a également appelé à leur pleine reconnaissance canonique
par le Vatican, affirmant que la FSSPX adhère aux enseignements et aux
sacrements catholiques traditionnels tels qu'ils étaient pratiqués
pendant des siècles avant Vatican II.
En conclusion, j'aimerais citer une déclaration célèbre de Mgr Lefebvre
en 1974. Il est clair que Mgr Lefebvre a suivi un chemin d'apôtre et a
été amené à établir un lieu sûr, un refuge, où se tiendrait la messe
des siècles en sa forme pure, un lieu où le dépôt de la foi serait
protégé et l'escalier conservé intact, même pendant que le singe de
l'Église arracherait les planches et jetterait tout ce qu'il y a de
plus précieux. Voici la déclaration de Mgr Lefebvre :
Nous tenons fermement, de tout notre cœur et de toute notre âme, à la
Rome catholique, Gardienne de la foi catholique et des traditions
nécessaires à la préservation de cette foi, à la Rome éternelle,
Maîtresse de la sagesse et de la vérité.
Nous refusons en revanche et avons toujours refusé de suivre la Rome
des tendances néo-modernistes et néo-protestantes qui se sont
clairement manifestées dans le Concile Vatican II et, après le Concile,
dans toutes les réformes qui en ont découlé.
Toutes ces réformes, en effet, ont contribué et contribuent encore à la
destruction de l'Église, à la ruine du sacerdoce, à l'abolition du
sacrifice de la messe et des sacrements, à la disparition de la vie
religieuse, à une politique naturaliste et l'enseignement teilhardien
dans les universités, les séminaires et la catéchétique ; un
enseignement dérivé du libéralisme et du protestantisme, maintes fois
condamné par le Magistère solennel de l'Église.
Aucune autorité, pas même la plus haute de la hiérarchie, ne peut nous
forcer à abandonner ou à diminuer notre foi catholique, si clairement
exprimée et professée par le Magistère de l'Église depuis dix-neuf
siècles.
« Mais si nous, dit saint Paul, ou un ange du ciel vous prêchons un
évangile en plus de celui que nous vous avons prêché, qu'il soit
anathème » (Galates 1 : 8).
N'est-ce pas ce que le Saint-Père nous répète aujourd'hui ? Et si l’on
peut discerner une certaine contradiction dans ses paroles et dans ses
actes, ainsi que dans ceux des dicastères, eh bien, nous choisissons ce
qui a toujours été enseigné et nous faisons la sourde oreille aux
nouveautés qui détruisent l’Église.
Il est impossible de modifier profondément la lex orandi
sans modifier la lex credendi . Au Novus Ordo Missae
correspondent un nouveau catéchisme, un nouveau sacerdoce, de nouveaux
séminaires, une Église pentecôtiste charismatique, tout ce qui s'oppose
à l'orthodoxie et à l'enseignement éternel de l'Église.
Cette Réforme, née du libéralisme et du modernisme, est empoisonnée de
part en part ; elle découle de l'hérésie et aboutit à l'hérésie, même
si tous ses actes ne sont pas formellement hérétiques. Il est donc
impossible à tout catholique consciencieux et fidèle d’épouser cette
Réforme ou de s’y soumettre de quelque manière que ce soit.
La seule attitude de fidélité à l’Église et à la doctrine catholique,
en vue de notre salut, est un refus catégorique d’accepter cette
Réforme.
C'est pourquoi, sans aucun esprit de rébellion, d'amertume ou de
ressentiment, nous poursuivons notre œuvre de formation des prêtres,
avec pour guide l'intemporel Magistère. Nous sommes convaincus que nous
ne pouvons pas rendre un plus grand service à la Sainte Église
catholique, au Souverain Pontife et à la postérité.
C'est pourquoi nous nous attachons à tout ce qui a été cru et pratiqué
dans la foi, la morale, la liturgie, l'enseignement du catéchisme, la
formation du prêtre et l'institution de l'Église, par l'Église de tout
le temps ; à toutes ces choses telles que codifiées dans ces livres qui
ont vu le jour avant l'influence moderniste du Concile. Nous le ferons
jusqu'à ce que la véritable lumière de la Tradition dissipe les
ténèbres qui obscurcissent le ciel de la Rome éternelle.
En faisant cela, avec la grâce de Dieu et l'aide de la Bienheureuse
Vierge Marie, ainsi que celle de saint Joseph et de saint Pie X, nous
sommes assurés de rester fidèles à l'Église catholique romaine et à
tous les successeurs de Pierre , et d'être les fidèles
dispensateurs mysteriorum Domini Nostri Jesu Christi in Spiritu
Sancto. Amen.
L'archevêque n'a pas écrit cela dans un esprit de rébellion, mais
plutôt comme un cri de ralliement pour tous ceux qui veulent se battre
pour le Christ Roi. J'offre cette même déclaration ainsi que mon cri de
bataille pour combattre pour Lui.
En terminant cette lettre, je le fais en renouvelant notre
concentration sur Jésus-Christ. L'Église est à Lui, la Messe est à Lui,
Il s'est offert au Père une fois pour toutes pour le salut de nos âmes.
Résistons à toute nouvelle tentative visant à diminuer notre
concentration sur Lui et attirons plutôt toute l’Église – ordonnés,
religieux et laïcs – à Le connaître plus profondément « dans la
fraction du pain ». Et proclamez au monde que Jésus-Christ est le
Sauveur et le Seigneur de tous.
Et à mes confrères évêques, je cite les paroles du pape Jean-Paul II :
« Nous devons défendre la vérité à tout prix, même si nous sommes à
nouveau réduits à douze ».
Que Dieu Tout-Puissant vous bénisse et que notre Sainte et Immaculée
Mère vous protège et vous guide toujours vers son Divin Fils, Notre
Seigneur Jésus-Christ.
Mgr Joseph E. Strickland
Évêque émérite »
17 décembre
LE CORPS MYSTIQUE DE L’ANTÉCHRIST
« Il est inspiré non par
l’Esprit du Christ, mais par l’esprit du serpent. C’est le nouvel élu,
le corps mystique de l’Antéchrist. » Mgr Fulton Sheen
Le corps mystique de l’Antéchrist, c’est le système Antéchrist avec ses valeurs inversées, basées sur le socialisme/communisme.
On explique depuis 2011 que Satan échouant dans ses tentatives
d’éliminer l’Église, a choisi la voie de la conversion de l’Église en
église conciliaire, pour en faire son corps mystique à l’image du corps
mystique du Christ.
C’est Vatican II qui a accéléré le processus d’une telle « transfiguration ».
Et l’élément clé est le concept du « Peuple de Dieu ».
Ce concept est abondamment abordé dans plusieurs de nos analyses en ce
qui a trait à la religion noachide que l’élite judéo-maçonnique veut
imposer : seul peuple prêtre ayant accès à Dieu.
Dans le noachisme, la Sainte Trinité doit disparaître et Jésus doit être considéré comme un simple prophète.
Le Christ n’ayant pas été reconnu comme Messie par le judaïsme, les
pharisiens ont écrit le Talmud pour contrer la chrétienté naissante, et
la Kabbale, espérant donner au peuple juif éventuellement son « Messie
guerrier ».
Ainsi, certains textes de l'Ancien Testament ont été modifiés pour
favoriser la conquête du monde et conséquemment détruire le
christianisme.
Le « messie guerrier » arrive. Nous l’avons expliqué avec le « projet 47 » de Louis d’Alencourt.
Trump, comparé à Cyrus le Grand (voir analyse du 28 octobre) par
Netanyahu, semble bien celui qui donnera le coup de pouce en ce sens
selon ses intentions annoncées depuis l’élection du 5 novembre.
Louis D’Alencourt :
La troisième guerre mondiale commencée démontrera « … une fois de plus
l’animosité entre les trois grandes religions monothéistes (chrétiens,
juifs et musulmans), les promoteurs du nouvel ordre mondial proposeront
la religion mondiale du noachisme via le faux prophète.
La
religion noachide sera présentée comme celle de la « nouvelle
civilisation de l’amour », celle de l’Antéchrist et de son bras droit,
le faux prophète.
« Le Dieu unique est actuellement adoré sous des formes multiples, au
sein de cultes bien différents, mais à l’époque messianique, le monde
spirituel verra se réaliser l’unité d’adoration » explique un promoteur
de la religion noachide.
En
somme, une religion universelle et cosmopolite, réunissant tous les
hommes devenus enfin frères. Albert Pike est un peu plus clair : ce
sera « la manifestation universelle de la pure doctrine de Lucifer,
enfin révélée aux yeux de tous ». » (grandreveilwordpress.com)
Cette religion noachide est la révélation du messie guerrier via le corps mystique de l’Antéchrist, puisque Satan singe Dieu.
C’est pourquoi l’église conciliaire doit renoncer au Christ pour s’y conformer, pour abaisser Jésus à un simple prophète.
Le concept clé du corps mystique du Christ et de l’Antéchrist est le « peuple de Dieu ».
Louis D’Alencourt sur le Peuple de Dieu :
« tout membre du peuple de Dieu est appelé Fils de la
promesse, et cette promesse divine c’est la domination du monde,
et la possession de toutes ses richesses.
En
théorie, ce peuple est supérieur à tous les autres parce qu’il a été
choisi par Dieu, qu’il en possède l’exclusivité (par le sang et par la
foi), exclusivité qui ne s’étend pas aux Gentils (les autres
peuples non-juifs), et qu’à ce titre, il est le seul à rendre un culte
à l’unique et vrai Dieu, culte qui lui a été donné et transmis par Dieu
en personne.
Je
rappelle que le premier des dix commandements est d’affirmer qu’il n’y
a qu’un seul Dieu et qu’un seul culte à lui rendre ; or les juifs
prétendent, encore aujourd’hui, en tant que Peuple élu, avoir
l’exclusivité de cette foi et de ce culte, et donc d’être eux seuls les
Fils de la promesse….
Voilà pourquoi le Messie révèle un nouveau statut du Peuple de Dieu qui
ne pouvait pas être connu auparavant ; et voilà pourquoi, du
coup, la possibilité d’être membre du peuple de Dieu s’élargit à
tous les hommes, juifs de naissance comme Gentils.
Je rappelle que les descendants d’Abraham, Isaac et Jacob, avaient
droit au titre de Fils de la Promesse, de Fils de Dieu. Or le Christ
étend ce statut à tous ceux qui croient en lui, nous rappelle saint
Jean dans le prologue de son évangile : « Mais à tous ceux qui l’ont reçu, il a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu, à ceux-là qui croient en Lui. » (Jean 1:12)
Et le nouveau peuple de Dieu, élargi de cette façon, puisque sa
pierre d’achoppement c’est le Christ, porte désormais un nouveau nom,
dérivé de son fondateur : le christianisme, les chrétiens.
Il faut donc bien comprendre cette distinction essentielle :
Le mot juif pris dans son sens spirituel c’est à dire
désignant le peuple de Dieu, est remplacé par le
mot chrétien à partir de Jésus-Christ, parce qu’il désigne
les mêmes personnes.
Cela veut dire que lorsqu’on transpose un texte de l’Ancien Testament
dans le monde après Jésus-Christ, les
termes Israël, juif ou peuple de Dieu doivent
être appliqués aux chrétiens et non pas aux juifs, puisque les juifs
après Jésus ne désignent plus les enfants de Dieu.
Il est là le drame du sens spirituel du mot juif : il ne désigne plus depuis Jésus le Peuple de Dieu.
Et Jésus ne l’a pas caché : « C’est pourquoi je vous le dis : le royaume de Dieu vous sera ôté pour être donné à un peuple qui en produira les fruits. » (Matthieu 21:43).
C’est très clair : Jésus leur dit que le royaume spirituel n’est plus
entre les mains des juifs mais d’un autre peuple, celui qui sera appelé
les chrétiens, un mot au singulier (peuple) pour montrer que le
principal c’est la foi qui les unit.
Voilà pourquoi en réaction, les juifs qui ne se convertirent pas vont
créer le judaïsme, rabbinique au départ, talmudique par la suite, qui
continue à se considérer comme le peuple élu.
C’est un mensonge, au même titre que la mystification ethnique dont on
parlait plus haut : le judaïsme n’est pas la religion de Dieu.
La religion de Dieu c’est le christianisme, c’est à dire le mosaïsme initial corrigé, enrichi et sanctifié par le Messie.
Sans la mise à jour effectuée par le Messie, le judaïsme perd
son statut de religion de Dieu, même s’il fait référence au mosaïsme de
l’Ancien Testament et le perpétue en partie.
D’ailleurs les chrétiens se réfèrent tout autant à l’Ancien Testament
que les juifs et sont les seuls à disputer aux juifs le statut de
Peuple de Dieu. À raison. (grandreveilwordpress.com)
Benoît XVI, dans son dernier discours au clergé de Rome le 14 février
2013, a condamné le « Conseil des médias »pour la promotion des idées
de ceux qui cherchaient à « décentraliser l'Église » :
« C’était une herméneutique politique : pour les médias, le Concile
était une lutte politique, une lutte de pouvoir entre différentes
tendances au sein de l’Église. Il était évident que les médias
prendraient le parti de ceux qui leur semblaient plus proches de leur
monde. Il y avait ceux qui recherchaient la décentralisation de
l'Église, le pouvoir pour les évêques et ensuite, à travers
l'expression « Peuple de Dieu », le pouvoir pour le peuple, les laïcs.
Il y avait cette triple question : le pouvoir du Pape, qui était
ensuite transféré au pouvoir des évêques et au pouvoir de tous – la
souveraineté populaire.»
C’est
bien là que Bergoglio a mené la barque de Saint-Pierre avec son synode
des synodes selon les mots de Benoît XVI :
• Décentralisation de l'Église
• Pouvoir accru des évêques par rapport au pape
• Pouvoir pour les laïcs, à travers l’expression « Peuple de Dieu »
• Transférer le pouvoir du pape au peuple – souveraineté populaire
La
vérité maintenant se discerne à travers le processus d'écoute du «
Peuple de Dieu ». Le processus synodal est la décentralisation ultime
possible de l’autorité.
Dans
la note qui accompagne le Document final, signée le 24 novembre en la
solennité du Christ Roi de l'Univers et publiée lundi 25 novembre,
Bergoglio décrit à quoi ressemble ce processus de décentralisation dans
la pratique :
« Le Document final contient également des indications qui, à
la lumière de ses orientations fondamentales, peuvent déjà être mises
en œuvre dans les Églises locales et les regroupements d'Églises, en
tenant compte des différents contextes, de ce qui a déjà été fait et de
ce qui reste à faire pour apprendre et développer toujours mieux le
style propre à l'Église synodale missionnaire… »
Tout est maintenant entre les mains des laïcs, des prêtres et des évêques locaux.
La
discussion de Bergoglio sur l'aspect « magistral » du Document final
ajoute un autre élément au processus de décentralisation dans l'Église
synodale :
«
Le Document final fera partie du Magistère ordinaire du
Successeur de Pierre (cf. CE 18 § 1 ; CCC 892), et à ce titre je
demande qu'il soit accepté. Il s'agit d'une forme d'exercice de
l'enseignement authentique de l'évêque de Rome, avec quelques
caractéristiques inédites mais qui correspond en fait à ce que j'ai eu
l'occasion de souligner le 17 octobre 2015, lorsque j'affirmais que la
synodalité était le cadre interprétatif approprié pour comprendre le
ministère hiérarchique. »
C'est la nouvelle norme de l'église synodale.
Ce n’est plus l’Église catholique.
Bergoglio offre ses opinions et ses idées et laisse le processus décisionnel lui-même se dérouler jusqu'au Peuple de Dieu.
Le
concept du « Peuple de Dieu » est central à la construction de la
nouvelle Église synodale, basé sur le processus synodale allemand,
cette fausse église prophétisée par Anne Catherine Emmerich :
« Je vis tout ce qui tient au protestantisme prendre de plus en plus le
dessus, et la religion tomber en décadence complète. II y avait à Rome,
même parmi les prélats, bien des personnes de sentiments peu
catholiques qui travaillaient au succès de cette affaire. Je vis aussi
en Allemagne des ecclésiastiques mondains et des protestants éclairés
manifester des désirs et former un plan pour la fusion des confessions
religieuses et pour la suppression de l’autorité papale. Et ce plan
avait, à Rome même, des fauteurs parmi les prélats.
Ils bâtissaient une grande église étrange et extravagante ; tout le
monde devait y entrer pour s’y unir et y posséder les mêmes droits ;
évangéliques, catholiques, sectes de toute espèce : ce devait être une
vraie communion des profanes où il n’y aurait qu’un pasteur et un
troupeau. Il devait aussi y avoir un Pape mais qui ne posséderait rien
et serait salarié. Tout était préparé d’avance et bien des choses
étaient déjà faites ; mais à l’endroit de l’autel, il n’y avait que
désolation et abomination.»
En sommes-nous effectivement rendus là?
Évidemment.
Bergoglio dans son message à l’ouverture de Notre-Dame de Paris a bien salué que tous étaient bienvenus.
Ainsi, TOUS les baptisés sont membres du « Peuple de Dieu », qui est « l’Église synodale ».
Benoît XVI, dont la force était la doctrine et la théologie, dans son
discours final au clergé de Rome, au courant des tendances
progressistes au sein du Vatican, a rappelé le concept clé du « Peuple
de Dieu » indispensable à l’Église catholique :
« Voilà, disons, les deux éléments de base – et entre-temps, dans la
recherche d'une vision théologique complète de l'ecclésiologie, une
certaine critique est apparue après les années 1940, dans les années
1950, à propos du concept de Corps du Christ : le mot « mystique »
a été jugé trop spirituel, trop exclusif ; le concept de « Peuple de
Dieu » a alors commencé à entrer en jeu .
Le
Concile a accepté à juste titre cet élément qui, chez les Pères, est
considéré comme une expression de la continuité entre l'Ancien et le
Nouveau Testament.
Dans le texte du Nouveau Testament, l'expression Laos tou Theou ,
qui correspond aux textes de l'Ancien Testament, désigne – à deux
exceptions près, je crois – l'ancien Peuple de Dieu, les Juifs, qui
parmi les peuples du monde , goim, sont « le Peuple de Dieu. Les
autres, nous, païens, ne sommes pas en soi le Peuple de Dieu : nous
devenons fils d'Abraham et donc Peuple de Dieu en entrant en communion
avec le Christ, l'unique semence d'Abraham.
En communiquant avec lui, en étant un avec lui, nous devenons nous aussi le Peuple de Dieu.
En
un mot : le concept de « Peuple de Dieu » implique la continuité des
Testaments, la continuité de l'histoire de Dieu avec le monde, avec
l'humanité, mais il implique aussi l'élément christologique.
Ce n'est que par la christologie que nous devenons le Peuple de Dieu, et ainsi les deux concepts se combinent.
Le Concile a choisi d’élaborer une ecclésiologie trinitaire : Peuple de Dieu le Père, Corps du Christ, Temple du Saint-Esprit. »
En
éliminant l’Église christocentrique par une église synodale dans sa
note du 25 novembre 2024, Bergoglio a coupé le petit lien qui demeurait
avec le corps mystique du Christ.
L’église conciliaire est morte puisque détachée de la vigne nourricière.
Elle fait partie maintenant du corps mystique de l’Antéchrist, qui selon l’Apocalypse, est condamné à mort.
La branche saine de la Tradition, les deux témoins, ressusciterons l’Église.
10 décembre
« Pape François: Mission accomplie
Le
9 mai 2019, j'ai soutenu que la meilleure façon de détruire l'Église
catholique institutionnelle serait d'utiliser ses propres armes contre
elle-même, en particulier le pouvoir et la primauté du pape.
L'Église catholique, bien sûr, est indéfectible ; mais je soutiens
maintenant que François a accompli la mission de ruiner la
manifestation temporelle de l'Église. Comme l'archevêque Fulton Sheen
l'avait prévu, nous avons maintenant le « singe de l'Église… vidé de
son contenu divin ».
«C'est un peu dramatique», pensez-vous. « François a-t-il interdit la
messe traditionnelle latine alors qu'on ne regardait pas ? Ce à quoi je
réponds qu’il a fait pire : il a interdit le motif de la messe
traditionnelle latine, ou de toute autre messe d’ailleurs.
Il n’y a pas eu d’annonce majeure, pas même un autre motu proprio . Le
coup final n'a pas eu lieu à Rome. Ça s'est passé à Singapour. Vous en
avez entendu parler, mais vous n'y avez probablement pas beaucoup
réfléchi.
Le 13 septembre 2024, dans des remarques apparemment spontanées devant
un groupe diversifié de jeunes d'un collège catholique, François a
déclaré : « Toutes les religions sont un chemin pour arriver à Dieu… Il
n'y a qu'un seul Dieu et chacun de nous a un langage pour arriver à
Dieu. Certains sont sikhs, musulmans, hindous, chrétiens et suivent des
chemins différents.
Ces remarques ont été sévèrement critiquées par d'importants
catholiques parce que François semblait dire qu'une religion en vaut
une autre. Cela s'appuierait sur le Document sur la fraternité humaine,
que le pape a signé à Abou Dhabi le 4 février 2019, déclarant que « le
but premier et le plus important des religions est de croire en Dieu… ».
Nous avons ici le chef de 1,390 milliard de catholiques dans le monde,
le pape infaillible, le successeur de saint Pierre, lançant dans une
conversation informelle, devant le monde entier, l'idée que l'Église
catholique n'est pas nécessaire « pour arriver à Dieu ».
Techniquement, c'est vrai. En fait, vous n'avez besoin d'aucune église
pour « arriver à Dieu ». Saint Thomas d'Aquin a développé cinq
arguments par lesquels la raison humaine seule pouvait « arriver à Dieu
».
Mais François s'adressait à un groupe interconfessionnel dans un
établissement d'enseignement catholique. Il est donc peu probable que
le terme ambigu « arriver à Dieu » (terme qui, je crois, a été
soigneusement inventé) signifie simplement « arriver à l’existence de
Dieu ». Parce qu’il a mentionné quatre religions spécifiques comme
exemples de « chemins » pour « arriver à Dieu », François devait
vouloir dire quelque chose de plus, comme « connaître Dieu » ou «
croire en Dieu ». Cela serait conforme à la Déclaration d'Abu Dhabi
concernant l'objectif le plus important de toutes les « religions ».
(Notez le pluriel.)
Je soutiens que l'histoire ne réside pas dans ce que François a dit,
mais dans ce qu'il n'a pas dit, alors qu'il avait le devoir de le dire,
en tant qu'évêque consacré de l'Église catholique . La ruine finale de
l'Église catholique institutionnelle a été accomplie lorsque François a
dit à ces jeunes : « Il n'y a qu'un seul Dieu », sans donner de détails.
Quoi? Ça semble tellement familier. Donc catholique. Nous le disons à
chaque messe : « Je crois en un seul Dieu, le Père tout-puissant… ».
Le monde ne connaît pas – ou ne s'en soucie pas beaucoup – les
conditions nécessaires à des déclarations papales infaillibles. Le
monde n'analyse pas les déclarations papales comme je le fais ici. Le
monde a une impression de la gravité du pape et perçoit le message
voulu par le pape , quelle que soit l'ambiguïté des mots utilisés et
quel que soit le contexte théologique dans lequel le message est
délivré.
Le message était le suivant : Dieu, le Père Tout-Puissant, est le même
pour toutes les religions. Mais comme François n'a pas mentionné
Jésus-Christ et le Saint-Esprit, les autres Personnes divines du Dieu
trinitaire, comme le fait le Credo catholique, le message était
également que Jésus-Christ et le Saint-Esprit ne sont pas pertinents
dans une discussion sur « l'arrivée à Dieu ». .»
L’essentiel du message est que la divinité de Jésus-Christ n’a pas
d’importance. Par conséquent, sa passion, sa mort et sa résurrection
n’ont aucune importance. La Sainte Eucharistie n'a pas d'importance. Le
sacerdoce (masculin ou féminin) n'a pas d'importance. Les sacrements
n'ont pas d'importance. Aucune messe, traditionnelle latine ou autre,
n’a d’importance. L'Église catholique institutionnelle n'a pas
d'importance ; il a été vidé de son contenu divin.
En 2013, le cardinal Cormac Murphy-O'Connor a dit : « Quatre années de
Bergoglio suffiraient pour changer les choses. » En 2017, l'ancien
cardinal Theodore McCarrick a admis qu'il existait un plan pré-conclave
pour élire Jorge Bergoglio comme celui qui pourrait « réformer
l'Église… [et dans] cinq ans, il pourrait nous remettre sur la bonne
voie » .
Le cardinal Donald Wuerl a expliqué qu'après le Concile Vatican II, les
papes Jean-Paul II et Benoît XVI s'étaient égarés ; mais François avait
remis l'Église sur le chemin tracé par le concile. L'évaluation de
Wuerl était que « [la papauté] ne ressemblera plus jamais à ce qu'elle
était il y a 25 ans ou plus ».
Cette évaluation était trop étroite. Comme Ross Douthat l'a montré dans
son livre To Change the Church , François ne change pas seulement la
papauté, mais aussi le catholicisme lui-même. Ça a pris plus de onze
ans, mais finalement la pierre angulaire a aussi été rejetée. La
mission de François est accomplie.
Épilogue
L'archevêque Sheen n'a pas tardé à souligner que nous étions à la fin
de la chrétienté, mais pas à la fin du christianisme. De même, en 1958,
le père Joseph Ratzinger observait que la taille de l'Église était
devenue une sorte d'obstacle à son activité missionnaire. « Tôt ou
tard, dit-il, avec ou contre la volonté de l’Église… elle deviendra
extérieurement un petit troupeau ».
Notre tâche est donc de prier pour la restauration de l’Église
institutionnelle, tout en demeurant une partie du petit troupeau, où
seule compte la divinité de Jésus-Christ et tout ce qui en découle. » (onepeterfive.com)
08 décembre
NOTRE-DAME SE RELÈVE
Ou, l’imminence de la résurrection de l’Église.
C’est sous une météo exécrable (la tempête Darragh) que s’est déroulé la cérémonie de réouverture de Notre-Dame de Paris.
Le discours du président français, qui devait se faire sur le parvis de
la cathédrale ( puisque les présidents ne sont pas autorisés à exprimer
de discours politique au sein d'un lieu religieux ), a eu lieu dans
l’antre de Notre-Dame, comme un signe donné par Dieu à toute la planète
que l’humanisme a atteint son apogée, à l’intérieur même de l’Église.
Le président français a vanté les mérites des artisans pour avoir
rebâti la cathédrale en 5 ans, comme promis, élevant devant les
dirigeants mondiaux, les rois et les reines, le savoir faire humain
dans toute sa splendeur.
L'orgueil.
Satan singe Dieu.
Selon la Kabbale, le chiffre 5 est le chiffre de l'humain parfait – débarrassé du côté animal.
Le président français a vanté la fraternité universelle, si chère au franc-maçons, et à Bergoglio, évidemment.
« … Et pour rendre cela possible, une fraternité inédite.
Fraternité de ceux qui ont donné sur tous les continents, de toutes les religions, de toutes les fortunes.
Unis par l’espérance, et réunis dans ces murs.
Fraternité des compagnons, apprentis, et de tous les métiers, ici réunis…
Fraternité des échafaudeurs, des grutiers, ...
Cette cathédrale fut ainsi la métaphore heureuse de ce qu’est une Nation, et ce que devrait être le monde.
Fraternité d’un peuple déterminé à faire de grands choix ; fraternité universelle et entraide.
» (président Macron)
Au sein de Notre-Dame de Paris, par la volonté de Dieu, nous avons vu
la bête de la terre, réuni sous le même toit avec le représentant de la
bête de la mer (puisque Bergoglio ne s’est pas présenté).
Les deux Babylone des prophéties de Jean XXIII réunis.
Emmanuel Macron à la première rangée au côté de Donald Trump, Brigitte Macron et Jill Biden.
Cela ne rappelle-t-il pas le lien avec le « projet 47 » du Grand Réveil?
«
La France c’est avec les États-Unis, le pays emblématique de Babylone,
la fameuse ville de l’Apocalypse, qui représente la société moderne,
laïque et athée, fruit de l’œuvre de Satan. » (Louis D’Alencourt –
grandreveilwordpress.com)
Merci à Mgr Ulrich qui a louangé Dieu...
Et à la manière bergoglienne, spécifié que tous sont bienvenus,
catholiques comme visiteurs non croyants à l’intérieur de Notre-Dame de
Paris.
Après avoir auparavant symboliquement fait ouvrir les portes sur
lesquelles il a donné neuf coups de crosse, officialisant la
renaissance de ce chef-d’œuvre gothique du XIIe siècle.
Est-ce une indication de la 9ème heure de la Passion de l’Église, comme la Passion du Christ?
Le grand orgue, restauré et nettoyé suite à l’incendie de 2019, a
retenu son souffle pour cet instant, avant
d’être «réveillé» par l’archevêque.
Cela ne fait-il pas le lien avec les trompettes de Jéricho ou celles de l’Apocalypse?
Quant à Bergoglio, sa seule citation après avoir fait l’éloge de l’entrée gratuite à Notre-Dame :
« Puisse la renaissance de cette admirable église constituer un
signe prophétique du renouveau de l’Église en France ».
C’est beaucoup plus que cela…
Car la réouverture de Notre-Dame, la dimension spirituelle, annonce la résurrection de l’Église de la Tradition.
Ce qui est la prophétie #9 de Jean XXIII non achevée concernant Benoît XVI:
« Marie Très Sainte, fille et mère de
Dieu, maîtresse du temps futur, bats le rappel de tes fils dans les
campagnes, pour qu'ils abattent les deux Babylone.
Et que la Mère soit Une, comme toi tu es unique.
La terre détruira le ciment et de terre sera, Reine, ta nouvelle Église.
Et sur la terre de blé, pour la faim de tes peuples, fleur sur son nouvel autel. Amen. »
En 2024, année où tout bascule, c’est la France qui est au centre du monde.
Pourquoi la France est-elle un signe plus grand et plus fort qu’ailleurs ?
« Parce que dans la symbolique divine, la France figure le peuple de Dieu.
Dans la mystique biblique, la cité sainte, Jérusalem puis Rome, villes
aux sept collines, figure l’institution, l’Église, c’est à dire là où
se trouve Dieu. La papauté peut s’installer provisoirement dans une
autre ville, pour diverses raisons, à Viterbe ou Avignon par exemple,
mais les textes saints continueront à dire « Rome » pour symboliser
l’institution créée par le Dieu vivant pour le relier aux hommes.
Il en est de même pour le peuple ; depuis Jésus-Christ, le peuple de
Dieu est constitué de tous ceux, peuples, nations et langues, qui
croient en la divinité de Jésus-Christ, le baptême étant le signe
visible de l’entrée de chacun au sein du peuple de Dieu.
Mais, de même qu’autrefois Israël désignait à la fois le pays et le
peuple, une nation choisie par Dieu figure toujours ce peuple dans la
mystique divine. Ce sera la France, d’où les deux privilèges qui lui
sont exclusifs : celui de posséder un roi de « droit divin », le seul à
être considéré comme « lieutenant du Christ » et celui d’être appelée «
la fille aînée de l’Église ».
Ceci ne veut pas dire que les enfants de Dieu doivent forcément être
français mais que cette nation figure le peuple de Dieu. C’est la
raison pour laquelle les textes prophétiques indiquent que Dieu veut
régner sur la France et par la France sur le monde.
Il ne s’agit pas là d’une domination temporelle sur les autres nations
mais d’une référence au rôle mystique de la France, dans son sens
religieux, car la chrétienté doit effectivement régner sur le monde.
Notons tout de même que la France est probablement le pays qui ait donné à la chrétienté le plus de saints et de missionnaires.
Par conséquent, on peut et on doit s’attendre à ce que la France et
Rome soient liées dans les signes divins eschatologiques déterminants.
Nous allons d’ailleurs le démontrer quelques lignes plus loin…
»(Louis D’Alencourt – grandreveilwordpress.com)
L’Église flambe.
Tel était le titre de l’analyse du regretté Louis D’Alencourt suite à l’incendie de Notre-Dame de Paris. (lien précédent)
« Or l’Église qui flambe, c’est la Rome conciliaire, c’est celle qui
s’est muée en « grande prostituée » de l’Apocalypse, l’Église adultère
qui trompe son divin maître en réclamant la liberté religieuse et en
affirmant que nous partageons le même Dieu avec des religions qui ne
reconnaissent pas la divinité du Christ. C’est l’Église tâchée du sang
du Christ qu’elle crucifie quotidiennement par son encouragement au
péché, son refus de la vertu, ses accointances avec le monde.
L’Église qui flambe n’est donc pas l’Église une, sainte et apostolique
qui perdure dans la FSSPX car cette dernière, même si elle est
indirectement associée aux turpitudes de Rome, n’en partage ni les
péchés, ni les erreurs, ni l’infamie.
L’Église qui flambe, c’est celle qui va recevoir le paiement de son
salaire, le prix du sang, le salaire des traîtres et des apostats… et
avec elle la chrétienté entière, ou du moins ce qu’il en reste puisque,
en abandonnant les principes du règne social de Jésus-Christ, elle est
devenue la grande Babylone, la cité de toutes les infamies, retournée
au paganisme, elle aussi appelée à flamber telle Sodome dont elle
reproduit les péchés à l’identique.
Babylone c’est donc le monde entier, et son destin est indissociable de celui de l’Église.
Quand Notre-Dame flambe, c’est le signe que l’Église ET le monde
flambent et se consument déjà mystiquement (quoique… l’apostasie soit
visible et flagrante), avant de basculer dans l’embrasement au sens
propre et… visible.
…
Il reste un dernier point à aborder : définir où nous placer dans la chronologie de l’Apocalypse.
L’incendie de Notre-Dame de Paris est un signe universel : le monde
entier en a pris connaissance, et tout le monde a compris que ce
n’était pas un événement de plus, mais un signe majeur.
Peu importe ensuite les interprétations : nul ne peut nier qu’il
fut un grand signe à la fois majeur, universel et visible. Or ceci
est nécessaire au préalable pour susciter une prise de conscience des
populations.
… »
Si l’incendie de Notre-Dame de Paris fut un signe universel parce que
le monde entier a vu, tel était aussi le signe de la réouverture de la
cathédrale avec la présence des « rois » du monde et la couverture
mondiale en direct.
L’Église achève sa Passion et vivra sa résurrection.
Puisque la cathédrale avait brûlé au dimanche des rameaux, ainsi a-t-on
substitué la lecture du jour lors de la cérémonie religieuse de
réouverture par le rituel des Rameaux.
« Portes, levez vos frontons, levez-les, portes éternelles :
qu’il entre, le roi de gloire ! Qui est ce roi de gloire ?
C’est le Seigneur, Dieu de l’Univers ; c’est lui, le roi de
gloire… »
L’entrée triomphale de l’Église à l’image du Christ à Jérusalem une semaine avant sa Passion.
« Qu’est ce que le dimanche des Rameaux ?
C’est l’entrée triomphale du Christ à Jérusalem une semaine avant sa Passion.
Tout Jérusalem et même beaucoup plus, car de nombreux juifs d’autres
contrées étaient montés à Jérusalem pour la Pâque, accueille l’entrée
du Christ dans la ville sainte comme un roi, comme le Messie.
Mais attention, à la fin de la semaine, donc très rapidement après, ce fut la Passion, la mort de Jésus et sa mise au tombeau.
...
Parce qu’il s’agit de la « passion » du monde satanique,
concrétisée par la chute de Babylone, de la prostituée et des bêtes. »
(Louis D’Alencourt – grandreveilwordpress.com)
Signe?
Si la réouverture de Notre-Dame le 7 décembre constitue le dimanche des
rameaux, alors 5 jours plus tard, c’est le Vendredi Saint, la mort du
Christ.
Dieu annonce-t-il la mort de l’Église pour le 12 décembre?
Jour de Notre-Dame de Guadelupe ou la dame de l’Apocalypse.
Alors que le 13 décembre consacrera le retour de la couronne d’épines qu’aurait porté le Christ lors de sa crucifixion.
«
Souvenez-vous... quand ces moments viendront : les commandements de
Dieu, les prières du matin et du soir, le Saint Rosaire, les
sacrements, le catéchisme, les saints et faites tout dans la foi de nos
pères, dans la foi de nos pères !.. . dans la foi de nos pères !!… et
n'écoutez plus personne." (Padre Pio)
06 décembre
On ne peut passer sous silence le chaos qui s’installe en Syrie avec l’avancée rapide des troupes rebelles islamiques.
Ce chaos est voulu.
D’un côté, le président Assad (les forces armées arabes syriennes) avec
ses alliées (l'armée de l'air russe, le Hezbollah, l'Iran et sa milice
irakienne).
Et
de l’autre, la Turquie (armée nationale syrienne, les États-Unis, et
Israël) supportant « HTS » (Hay'at Tarir al-Sham) – les anciens «
rebelles » d'Al-Qaïda, de l'EI et d'al-Nosra.
En
bref, les États-Unis, la Turquie et Israël soutiennent les terroristes
islamiques pour renverser Assad, tout comme ils ont armé et
utilisé des terroristes comme Al-Qaïda et ISIS dans le passé pour faire
avancer leurs programmes politiques.
Le président syrien aimerait bien que l’Iran vienne à son secours.
Mais, l’Iran sait bien qu’Israël garde l’œil sur eux.
Car,
les derniers rapports de l’Agence internationale de l'énergie atomique
indique que l’enrichissement de l’uranium iranien a augmenté
considérablement.
Si
l'Iran poursuit ses projets d'enrichissement d'uranium à ce rythme, il
sera en mesure de produire 12 bombes nucléaires prochainement.
On voit que ce conflit oppose chiites (le gouvernement et ses alliés), et sunnites (les rebelles supportés par l’occident).
C’est bien selon la prophétie politique # No 27: La foudre en plein jour de Jean XXIII.
C’est bien ce qui se dessine à l’horizon pour l’ouverture du septième sceau dans cette région où « S'affronteront croissant de lune, étoile et croix. » selon la prophétie #11 de l’Église « le 7ème Sceau ».
« Mgr Strickland et le diacre Fournier : les chrétiens doivent rester forts dans l’Église alors que le monde s’effondre
( LifeSiteNews )
— Dans le septième chapitre de l'Évangile de saint Matthieu, nous
lisons ces paroles de Jésus à ses disciples concernant la manière dont
ils devraient vivre leur vie :
«
Quiconque écoute mes paroles et les met en pratique sera comme un homme
sage qui a bâti sa maison sur le roc. La pluie tombait, les inondations
arrivaient et les vents soufflaient et brassaient la maison. Mais il ne
s'est pas écroulé ; il était solidement fixé sur le roc. Et quiconque
écoute ces paroles mais ne les met pas en pratique sera comme un fou
qui a bâti sa maison sur le sable. La pluie tombait, les inondations
arrivaient et les vents soufflaient et brassaient la maison. Et il
s'est écroulé et a été complètement détruit. (Matthieu 7)
Il
est temps de faire une évaluation honnête. Nous devrions nous poser
cette question : « Sur quelles fondations bâtissons-nous ? »
On
vit une époque de plus en plus turbulente. Le tumulte de la violence
dans nos rues semble se produire si souvent qu'on n'en est même plus
surpris. Partout où l'on regarde, on constate un ébranlement des
fondements moraux sur lesquels on s'appuyait autrefois. Il y a des
fractures dans le tissu de notre ordre civil et des blessures profondes
qui doivent être guéries.
Et
oui, l'Église aussi est ébranlée. Toutefois, les chrétiens ne doivent
pas avoir peur. Notre vie ensemble dans le Seigneur, notre connexion
dans le Corps mystique du Christ, est toujours en mesure de fournir un
lieu d'abri, non seulement pour nous, mais aussi pour d'autres qui
recherchent la stabilité alors que les secousses continuent tout autour
. Les fausses fondations, dont certaines ont endormi même certains
croyants et les ont amenées à la complaisance, pourraient bientôt
tomber sous la pression provoquée par les troubles et le déclin
croissants. Mais comme l'apôtre Pierre l'a rappelé aux premiers
chrétiens persécutés, « le jugement commence dans la maison de la foi
». (1 Pierre 4:17)
Tous
ceux qui portent le nom de chrétien, même si nous sommes divisés, sont
néanmoins appelés à cette Église fondée sur Jésus-Christ. C'est le seul
endroit de véritable sécurité – l'endroit où nous pouvons rester forts
et en sécurité, et d'où nous devons tendre la main à ceux qui
succombent à la peur qui se déchaîne dans le cœur des hommes, des
femmes et des nations. C'est parce que l'Église a un fondement
inébranlable, Jésus-Christ, qui est le même « hier, aujourd'hui et
éternellement ». (Hébreux 13 : 8) Et c'est en Lui.
C'est
là qu'on doit se tenir - et rester ensemble - en Jésus-Christ. On ne
peut pas s'éloigner des turbulences qui nous entourent. Mais, en nous
basant sur la base solide à partir de laquelle nous pouvons apporter
stabilité et liberté à ceux qui commencent à craindre ce qui nous
attend, nous devons à partir de là mener « le bon combat de la foi ».
(1 Tim. 6:12)
L'Église militante
De ce lieu de sécurité, on peut faire la guerre ensemble contre le
monde, la chair et le diable. De là, nous pouvons atteindre tous les
hommes et toutes les femmes avec l'amour de Dieu, pleinement manifesté
en Jésus-Christ. Et à partir de là, on peut reconstruire les fondements
d'une liberté authentique et guider les autres sur le chemin de la
seule paix durable.
Le lundi 21 mai 2012, le pape Benoît XVI a organisé un déjeuner avec
les membres du Collège des Cardinaux pour les remercier de leur
gentillesse en lui souhaitant un joyeux 85e anniversaire le 16 avril
2012. Il a également tenu à remercier ses amis pour lui souhaitant un
joyeux septième anniversaire de son élection à la Chaire de Pierre le
19 avril 2012. Des sources de Vatican News rapportent que Benoît XVI a
rappelé aux frères sur lesquels il comptait pour ses conseils et
conseils que « l'Église, le Corps mystique, existe sur cette terre ». ,
et est appelée l’Église militante, parce que ses membres luttent contre
le monde, la chair et le diable.
Il a partagé plusieurs de ses moments de joie pendant son ministère
apostolique en tant que successeur de Pierre, ainsi que ses aperçus des
luttes, en disant aux cardinaux :
«(Je) remercie particulièrement le Seigneur pour les nombreuses années
qu'il m'a données, des années avec de nombreux jours de joie, des
moments merveilleux, mais aussi des nuits sombres. Mais
rétrospectivement, on comprend que les nuits étaient nécessaires et
bonnes. On voit que le mal veut gouverner le monde et qu'il faut se
battre contre le mal. Nous (voyons) cela le fait de bien des manières,
sanglantes, avec diverses formes de violence, mais aussi déguisées en
bien et détruisant ainsi les fondements moraux de la société. Nous
sommes dans ce combat et (dans) ce combat, c'est très important d'avoir
des amis. Je suis entouré d'amis du Collège des Cardinaux : ce sont mes
amis et je me sens chez moi, je me sens en sécurité en compagnie de
grands amis qui sont avec moi, ensemble.
Nous croyons que les sentiments exprimés ce jour-là pointaient vers une
action historique qu'il a entreprise le 28 février 2013. Avec
l'humilité qui caractérisait son extraordinaire papauté, Benoît a
démissionné de sa charge apostolique. L'annonce était simple et
directe. Il a été présenté à un consistoire de ses frères dans
l'épiscopat, cardinaux réunis à Rome où il a approuvé plus de 800
causes de canonisation. Il est devenu le premier pape depuis 1294 à
démissionner de cette manière.
L'utilisation de l'expression « Église militante » pour décrire la
mission de l'Église sur Terre était autrefois très courante. Cependant,
pour de nombreuses raisons, y compris une possible mauvaise
compréhension du terme à une époque de plus en plus violente, il est
tombé en désuétude. Il faut le raviver et le replacer dans son propre
contexte, un contexte spirituel. En 1953, le pape Pie XII, qui avait
dirigé l'Église à travers deux décennies d'obscurité dans un monde
assiégé par la guerre, déclarait sans équivoque : « Nous appartenons à
l'Église militante ; et elle est militante parce que sur terre, les
puissances des ténèbres sont toujours impatientes d’envisager sa
destruction.
Alors que nous faisons face à une hostilité croissante simplement parce
que nous professons notre foi chrétienne dans notre vie quotidienne, il
est important d'entendre à nouveau les paroles que l'apôtre Paul a
adressées aux chrétiens d'Éphèse : « Nous ne luttons pas contre la
chair et le sang ; mais contre les principautés, contre les puissances,
contre les princes des ténèbres de ce siècle, contre les armées
spirituelles de méchanceté dans les lieux célestes. (Éph. 6:11,12)
La foi et l'avenir
En 1969, le cardinal Joseph Ratzinger, devenu plus tard le pape Benoît
XVI, a écrit un petit livre intitulé La foi et l'avenir . Il
y parlait de ce qui pourrait arriver à l’Église. Il ne se doutait pas
alors qu'il occuperait la chaire de Pierre. Voici quelques extraits qui
méritent une réflexion sérieuse :
« L'Église deviendra petite et devra recommencer plus ou moins depuis
le début. Elle ne pourra plus habiter bon nombre des édifices qu’elle a
construits dans la prospérité. À mesure que le nombre de ses adhérents
diminue, elle perdra bon nombre de ses privilèges sociaux. En tant que
petite société, [l'Église] exigera beaucoup plus de l'initiative de ses
membres individuels.
« Ce sera une tâche difficile pour l'Église, car le processus de
cristallisation et de clarification lui coûtera une énergie précieuse.
Cela la rendra pauvre et la fera devenir l'Église des doux. Le
processus sera long et fastidieux, comme l'était le chemin qui mène au
faux progressisme à la veille de la Révolution française – lorsqu'un
évêque pouvait passer pour intelligent s'il se moquait des dogmes et
insinuait même que l'existence de Dieu n'était en aucun cas certaine.
Mais lorsque l'épreuve de ce criblage sera passée, une grande puissance
jaillira d'une Église plus spiritualisée et simplifiée.
« Dans un monde totalement planifié, les hommes se retrouveront
indiciblement seuls. S'ils ont complètement perdu de vue Dieu, ils
ressentiront toute l'horreur de leur pauvreté. Alors ils découvriront
le petit troupeau de croyants comme quelque chose de complètement
nouveau. Ils le découvriront comme un espoir qui leur est destiné, une
réponse qu’ils ont toujours cherchée en secret.
« Il me semble donc certain que l’Église traverse des temps très
difficiles. La vraie crise vient tout juste de commencer. Il faudra
compter sur de formidables bouleversements. Mais je suis aussi sûr de
ce qui restera à la fin : non pas l'Église du culte politique, déjà
morte, mais l'Église de la foi. Il se pourrait bien qu'elle ne soit
plus le pouvoir social dominant dans la mesure où elle l'était jusqu'à
récemment ; mais elle connaîtra un nouvel épanouissement et sera
considérée comme la maison de l'homme, où il trouvera la vie et
l'espoir au-delà de la mort.
« Mais dans tous les changements que l'on pourrait deviner, l'Église
retrouvera son essence à nouveau et avec une pleine conviction dans ce
qui a toujours été au centre : la foi au Dieu trinitaire, en
Jésus-Christ, le Fils de Dieu fait homme, la présence de l’Esprit
jusqu’à la fin du monde.
Notre foi et notre vie ensemble
On a tous un besoin d'appartenance, précisément parce qu'on est pas
solitaires par nature. Nous avons été façonnés et créés pour la
relation. Le cœur de la Révélation chrétienne est que Dieu n'est pas
non plus solitaire. Dieu est une Trinité de Personnes Divines, Père,
Fils et Saint-Esprit, qui, dans l'amour parfait, sont parfaitement Un.
Jésus a prié pour qu'on fasse l'expérience de ce genre d'unité, tout de
suite - et qui se terminerait dans la vie à venir. Cette belle prière
de Jésus est consignée dans son intégralité dans le chapitre 17 de
l’Évangile de saint Jean. Voici un extrait :
« Je prie non seulement pour eux, mais aussi pour ceux qui croiront en
moi par leur parole, afin qu'ils soient tous un, comme toi, Père, tu es
en moi et moi en toi, afin qu'eux aussi soient en nous , afin que le
monde croie que Tu m'as envoyé. Et je leur ai donné la gloire que tu
m'as donnée, afin qu'ils soient un, comme nous sommes un, moi en eux et
toi en moi, afin qu'ils soient amenés à la perfection comme un, afin
que le monde sache que tu m'as envoyé. (Jean 17 : 20-23)
Par l'Incarnation salvatrice – la conception, la nativité, la vie, la
mort, la Résurrection et l'Ascension de Jésus-Christ, la Deuxième
Personne de la Trinité et le Verbe incarné – nous sommes rendus
capables de participer à la communion trinitaire , par la grâce de
Dieu.
Cette participation commence maintenant et s'ouvre sur
l'éternité. Ce n'est pas un concept ésotérique ou mystique réservé à
quelques-uns seulement - c'est une vie chrétienne normale. Nous sommes,
selon les mots de l’apôtre Pierre, « participants de la nature divine
». (2 Pierre 1 : 4) Nous sommes appelés à avoir une relation
en Lui et les uns avec les autres pour le bien du monde.
C'est dans le don de soi à Dieu, puis par la grâce les uns envers les
autres, qu'on se retrouve vraiment et qu'on découvre notre véritable
mission dans ce monde. L'affirmation chrétienne est que nous avons été
faits pour Dieu, et comme le dit si bien saint Augustin, « nos cœurs
sont agités jusqu'à ce qu'ils reposent en Toi ». C'est là qu'on trouve
aussi notre vraie maison. Cette maison est dans l'Église, d'où nous
nous tournons maintenant vers le monde. Dieu aime toujours tellement le
monde qu'il envoie son Fils (Jean 3 : 16). Son Fils est
toujours en vie. Il a été élevé. Il marche maintenant à travers son
Corps, l'Église, dont nous sommes véritablement membres. (1 Cor.
12 : 12-26)
L'Église est fondamentalement une réalité relationnelle, une rencontre
permanente avec Jésus Ressuscité, une participation à la communion
trinitaire en et par Jésus-Christ. C'est la tête du corps. L'Église
n'est pas quelque chose mais Quelqu'un . C'est une
partie essentielle d'être chrétien. Il y a une barre verticale et une
barre horizontale à cette croix sur la colline du Calvaire. L’une des
paroles les plus souvent citées des premiers pères chrétiens est
peut-être celle de saint Cyprien de Carthage, qui écrivait : « Celui
qui n’a pas l’Église pour mère ne peut pas avoir Dieu pour père.
Ce genre de langage familial souligne le fait irréfutable que les
premiers chrétiens croyaient qu’appartenir à Jésus, c’était appartenir
à son Église. Ils croyaient que, tout comme nous sommes tous nés du
sein de notre mère, de même nous sommes invités par Dieu, en et par
Jésus-Christ, à « naître de nouveau » dans l'Église, la nouvelle
humanité étant recréée en Lui.
Le processus de rédemption commence lorsque nous traversons les eaux
sacramentelles des fonts du Saint Baptême. Cela continue à mesure que
nous coopérons avec la grâce qui nous est donnée dans notre vie au sein
de l’Église. Il ne sera pleinement achevé que lorsque le Seigneur
reviendra et que nous serons ressuscités dans des corps ressuscités –
et que nous vivrons dans un nouveau ciel et une nouvelle terre ! Cette
compréhension de l’Église comme participation à Jésus-Christ et entrée
dans la communion trinitaire se retrouve dans les écrits des premiers
Pères de l’Église. Nous vous proposons quelques exemples dans ce qui
suit.
Les premiers Pères de l'Église
Tout d'abord, quelques paroles d'Origène (185-254 de notre ère) : « Le
Christ a inondé l'univers de vagues divines et sanctifiantes. Pour ceux
qui ont soif, il fait jaillir une source d'eau vive de la blessure que
la lance a ouverte de son côté. De la blessure du côté du Christ est
sortie l'Église, et il en a fait son épouse. Ensuite, de l'évêque
Irénée de Lyon (120-203 de notre ère), disciple de Polycarpe et
lui-même disciple de l'apôtre Jean : « Nous avons besoin de nous
réfugier auprès de l'Église, de boire du lait à son sein, d'être
nourris des Écritures du Seigneur. Car l'Église a été implantée dans le
monde comme un paradis.
On pourrait continuer, mais on l'a fait valoir. Les premiers chrétiens
ne considéraient pas l’Église comme quelque chose ,
mais comme Quelqu’un . L'adhésion à l'Église n'était ni
coûteuse ni facultative. Ils y voyaient une norme pour chaque chrétien
– et une source de vie pour tous. Nous résumerons une partie de ce que
vous trouverez dans leurs beaux écrits en quelques-unes de nos propres
phrases en utilisant l'imagerie déployée dans les écrits des premiers
pères chrétiens.
L'Église est une semence du Royaume à venir. L'Église est la vigne sur
laquelle nous sommes greffés. L'Église est Jésus ressuscité, rendu
véritablement présent dans le monde. L'Église est la nouvelle famille
commencée sur la Croix. L'Église est l'endroit où nous apprenons à
aimer en entrant dans la communion même de l'Amour de la Divinité
révélé dans le don total du Fils de Dieu sur le deuxième arbre de la
Croix. Née du côté blessé du Sauveur, qui est le « nouvel Adam », sur
l'autel de la Croix, l'Église est son corps mystique poursuivant sa
mission rédemptrice sur la terre.
Nous ne faisons pas l'Église à notre image, l'Église nous refait à
l'image du Christ par la grâce. Concluons avec quelques paroles
inspirantes de l'un de nos théologiens contemporains préférés, un laïc
orthodoxe nommé Olivier Clément. Il écrit à propos de l'Église :
« Dans le Christ ressuscité, dans son corps glorifié, à l'ouverture
même de ses plaies, ce n'est plus la mort qui règne mais l'Esprit, le
Souffle de Vie. Et la croix de victoire et de lumière, qui est le
modèle de notre baptême, peut désormais transformer la situation la
plus désespérée en une mort et une résurrection, une « Pâque », un
point de passage sur le chemin de l'éternité. Et voilà ce qu’est
l’Église, cette institution profondément sainte : elle est le sein
baptismal, le calice eucharistique, la brèche faite pour l’éternité par
la Résurrection dans le couvercle infernal du monde déchu. »
Construisez sur le rocher, combattez
Choisissons de bâtir notre vie sur le Rocher du Seigneur Jésus-Christ
et de son Église – et ouvrons grandes nos portes aux hommes et aux
femmes de notre époque qui recherchent stabilité et refuge alors que le
monde est ébranlé. Soyons forts et accueillons les autres dans le seul
lieu de véritable sécurité, l’Église qui porte son nom. Elle est
peut-être divisée, mais elle reste sa demeure et révèle son plan pour
toute la race humaine. Alors que nous prions, marchons et travaillons
ensemble, il guérira les blessures de nos divisions et rétablira notre
pleine communion. En tant que chrétiens, nous sommes appelés à nous
aimer les uns les autres, en Lui. (Jean 13:34, 35.) Nous avons aussi la
grâce de faire exactement cela.
Il est temps de se préparer pour la bataille à venir et de devenir
l’Église militante de ce moment de l’Histoire . Souvenez-vous
des paroles de l'apôtre Paul :
« Soyez forts dans le Seigneur et dans la force de sa puissance.
Revêtez toutes les armes de Dieu, afin de pouvoir résister aux ruses du
diable. Car nous ne luttons pas contre la chair et le sang, mais contre
les principautés, contre les puissances, contre les dirigeants du monde
de ces ténèbres présentes, contre les armées spirituelles de la
méchanceté dans les lieux célestes. Prenez donc toutes les armes de
Dieu, afin que vous puissiez résister au mauvais jour et, après avoir
tout surmonté, tenir debout.
« Tenez donc debout, après avoir ceint vos reins de la vérité, et ayant
revêtu la cuirasse de la justice, et ayant chaussé vos pieds de
l'équipement de l'évangile de paix ; prenez surtout le bouclier de la
foi, avec lequel vous pourrez éteindre tous les traits enflammés du
malin. Et prenez le casque du salut et l'épée de l'Esprit, qui est la
parole de Dieu. Priez en tout temps dans l’Esprit, avec toutes sortes
de prières et de supplications. (Éph 6 : 10-18) »
05 décembre
En voilà un qui confirme encore une fois que l'église, la grande prostituée de l'Apocalypse, est condamnée.
Il
confirme que l'Antéchrist est au pouvoir, mais n'ose pas, comme les
autres « Élie » potentiels, affirmer que nous sommes à la fin des temps.
C'est
quand même incroyable puisqu'ils connaissent très bien les écritures,
et surtout, le catéchisme, qui ne peut être plus limpide que cela:
Le
Catéchisme de l’Église catholique nous enseigne qu’«avant l’avènement
du Christ, l’Église doit passer par une épreuve finale qui ébranlera la
foi de nombreux croyants. La persécution qui accompagne son pèlerinage
sur la terre dévoilera le “mystère d’iniquité” sous la forme d’une
imposture religieuse apportant aux hommes une solution apparente à
leurs problèmes au prix de l’apostasie de la vérité. L’imposture
religieuse suprême est celle de l’Anti-Christ, c’est-à-dire celle d’un
pseudo-messianisme où l’homme se glorifie lui-même à la place de Dieu
et de son Messie venu dans la chair. […] L’Église n’entrera dans la
gloire du Royaume qu’à travers cette ultime Pâque où elle suivra son
Seigneur dans sa mort et sa Résurrection» (§675).
L'Église n'entrera dans la gloire du Royaume qu'à travers cette ultime
Pâque où elle suivra son Seigneur dans sa mort et sa Résurrection (cf.
Ap 19, 1-9). Le Royaume ne s'accomplira donc pas par un triomphe
historique de l'Église (cf. Ap 13, 8) selon un progrès ascendant mais
par une victoire de Dieu sur le déchaînement ultime du mal (cf. Ap 20,
7-10) qui fera descendre du Ciel son Épouse (cf. Ap 21, 2-4). Le
triomphe de Dieu sur la révolte du mal prendra la forme du Jugement
dernier (cf. Ap 20, 12) après l'ultime ébranlement cosmique de ce monde
qui passe (cf. 2 P 3, 12-13) (§677).
« Une année de « Fiducia supplicans » : le pape, l'apostasie « synodale » et « l'hérésie gaie ».
par P. Joachim Heimerl von Heimthal
Il y a des hommes qui ressemblent à un cri solitaire dans le
désert, et nous savons par la Bible que c'est généralement l'Esprit de
Dieu qui repose sur de tels hommes.
Joseph Strickland, évêque de Tyler, au Texas, qui a été déposé à tort par François, est un tel homme.
Il partage le même sort que les prophètes de la Bible, à savoir que personne ne l'écoute.
Des millions de personnes écoutent maintenant Mgr Strickland, mais pas ses confrères évêques.
Lorsque Strickland leur a récemment demandé de prendre enfin position
sur le fait que François n'enseigne plus la foi catholique, ses paroles
sont tombées dans le silence. Personne n’a osé soutenir le Texan qui
disait si hardiment la vérité, aucun évêque aux États-Unis et
certainement personne ailleurs.
Néanmoins, ce que Strickland a dit reste vrai : François défend une
nouvelle Église « synodale » et avec elle une nouvelle foi qui n’est
plus catholique et qui doit être résolument rejetée ! Personne n’est
obligé de croire en une Église « synodale ». Au contraire : la foi
traditionnelle de l’Église l’interdit.
Alors que les évêques gardaient le silence sur tout cela, le supérieur
du district allemand de la Fraternité Pie a clairement appelé un chat
un chat. Il a qualifié « l’Église synodale » du pape de « diabolique »,
de « trahison de la mission du Christ » et d’« anti-évangile ».
Mais ça dérange personne non plus. Les rangs des évêques écoutent
encore moins la voix de la Fraternité Pie que celle du Texas. Au lieu
de cela, le silence des évêques orchestre une apostasie à plusieurs
voix : celle du Pape et d'une grande partie du monde catholique, et il
semble presque qu'il s'agisse d'une nouvelle « normalité ».
Mais d'où vient l'indifférence de ceux qui sont désignés gardiens de la
vérité et qui, par leur silence, ne servent pas Dieu, mais plutôt
Satan, le « père du mensonge » (cf. 1 Jean 3, 8) ?
Leur apostasie pourrait-elle surgir de rien ? - À peine. Au contraire,
elle est probablement latente depuis longtemps, et il a suffi d’un pape
comme François pour qu’elle devienne enfin visible.
Le document controversé « Fiducia supplicans », publié il y a un an, le
montre peut-être le plus clairement : le pape lui-même a autorisé la «
bénédiction » des couples irréguliers, c'est-à-dire la bénédiction des
homosexuels et des adultères.
Aux yeux des Écritures, une telle « bénédiction » est une abomination
et un blasphème. Néanmoins, le document est resté en vigueur jusqu'à ce
jour, et la - légère - résistance des évêques a été étouffée dès le
début.
La signification de « Fiducia supplicans » est donc double : le
document est la Magna Carta, qui documente de la manière la plus
évidente l’apostasie générale des évêques. Et cela rend visibles les
forces qui ont travaillé en secret au sein de l’Église pendant trop
longtemps, à savoir les nombreux homosexuels parmi les évêques et les
cardinaux.
Ce n'est certainement pas un secret que le clergé est
traditionnellement infiltré par des homosexuels, même si les gens
n'aiment pas en parler ouvertement. Ça vaut aussi pour le haut clergé.
Des estimations fiables (en l'absence de données fiables) évaluent ce
chiffre à environ les deux tiers, et même s'il était inférieur (ce que
je ne crois pas), l'Église détient un record sans précédent.
Il y a de nombreuses raisons à cela, notamment sociologiques, et parmi
les membres du clergé les plus âgés, jusqu'à la génération du pape, un
nombre supérieur à la moyenne a échappé aux représailles sociales en
choisissant le célibat.
Aujourd'hui, les choses sont différentes, du moins dans les sociétés
occidentales, et les homosexuels coincés dans le sacerdoce et surtout
dans l'épiscopat font maintenant pression avec véhémence dans les
coulisses du Vatican pour que l'Église s'ouvre à la nouvelle voie.
Soyons clairs : l’Église est tombée aux mains d’hommes gais plus âgés.
Ce n'est que dans ce contexte qu'on peut comprendre que le pape a rendu
le monstrueux possible avec la « Fiducia supplicans » et qu'en même
temps il a rencontré si peu de vents contraires : très peu de gens se
souciaient de la « bénédiction » du péché et de l'apostasie de Dieu ;
La plupart des gens s'y sont manifestement identifiés depuis longtemps
et ont spécifiquement élaboré ce document sous la direction du cardinal
Fernandez.
Depuis lors, rien n'est plus pareil : ce qu'on appelle communément «
l'hérésie gaie » a pris l'Église en otage avec l'approbation du Pape,
et de plus en plus d'évêques et de cardinaux prétendent hypocritement
qu'ils ont été impliqués dans un « processus synodal en écoutant » ont
soudainement « compris ». Ils ont compris – miraculeusement – que
l’homosexualité était « voulue » par Dieu et n’était en aucun cas un
péché, contrairement à la révélation et à l’enseignement vieux de 2 000
ans de l’Église.
Un changement étonnant, ne trouvez-vous pas ? Ou n'est-il pas plus
probable que tous ces prélats aient simplement saisi l'occasion pour
finalement justifier leur disposition et « l'approuver » avec l'aide du
pape ? Qui d'autre pourrait promouvoir « l'hérésie gaie » si ce n'est
ces messieurs les plus révérends qui sont eux-mêmes « gais » et qui
sont uniquement motivés par elle et non par le « Saint-Esprit » ?
C'est aussi incroyable que vrai : l'Église est en captivité
babylonienne d'un haut clergé homosexuel qui, en commençant par «
l'hérésie gaie », installe progressivement une nouvelle pseudo-église,
exactement celle devant laquelle Mgr Strickland nous met en garde.
Le navire de l'église vit ainsi quelque chose comme la mutinerie du
Bounty, mais avec une différence cruciale : le capitaine lui-même est
ici avec les mutins, et les hommes qui, comme Strickland, rejettent la
mutinerie des « gais », sont presque le dos au mur.
Pendant ce temps, l'Antéchrist règne dans la maison du Seigneur, et le
Pape lui-même lui a érigé un autel d'idoles appelé « Fiducia supplicans
». Ce ne sera pas la dernière si François reste longtemps au pouvoir.
J'aimerais contredire tous ceux qui objectent aujourd'hui que François
n'est de toute façon pas le pape légitime et que c'est la seule raison
pour laquelle ces circonstances effrayantes sont possibles. Il n’y a
pas d’autre pape que François. Mais il a probablement fallu un pape
comme lui pour dénoncer l’œuvre de Satan dans l’Église et la pousser à
l’extrême. – Oui, François est le pape légitime, et il ne l’est pas à
la gloire de Dieu, mais à la honte éternelle du Siège apostolique,
qu’il a profané avec la « Fiducia supplicans ».
Et pourtant : Peut-être Dieu a-t-il seulement voulu rendre visible la
défiguration de son Église par François pour la restaurer par un
successeur plus digne de Pierre ? Qui sait ?
Entre-temps, il est important d’écouter la voix des hommes justes,
c’est-à-dire ceux qui ne représentent pas « l’hérésie gaie » et donc
leur propre tempérament, mais qui, comme Mgr Strickland, sont la voix
de Dieu. – « Celui qui a des oreilles pour entendre, qu’il entende ! »
(Mt 11, 14). » (marcotosatti.com)
Une année de « Fiducia supplicans »... Effectivement.
2024, l'année où tout bascule.
Qu' « Élie » de la fin des temps se lève!
À la Gloire de Dieu!
04 décembre
LE SIGNE DE JONAS III – LES 40 JOURS
Le signe de Jonas mentionné par le Christ en Matthieu 24, le
seul signe que nous aurons, les trois jours au tombeau, les trois
jours de noirceur.
Jonas, qui ne voulait pas délivrer le message de Dieu aux habitants de
Ninive, a eu le « privilège » d’expérimenter les trois jours de
noirceur dans le ventre du poisson.
Cela l’a définitivement convaincu et à sa sortie, il part à Ninive
délivrer son message : « Encore 40 jours et Ninive sera détruite ».
Au compte long, nous avons vu dans les analyses précédentes que nous
avons atteint les 100 ans de destruction de Satan ajoutés aux 40 ans
d’attente dans le désert à l’image du Christ, notre carême, depuis la
vision de Léon XIII du 13 octobre 1884.
Nous savons que le 40 est le nombre de l'attente:
- Jésus a vécu 40 jours au désert après son baptême;
- Le peuple juif a erré 40 ans dans le désert avant d'entrer en Terre sainte ;
- Moïse a jeûné 40 jours avant de recevoir les tables de la Loi;
- le Déluge a duré 40 jours, avant que Noé n'ouvre la fenêtre de l'Arche;
- les 40 jours d’errance du prophète Élie pour aller du mont Carmel à l’Horeb, la montagne de Dieu;
- Et c’est aussi le signe du carême, 40 jours avant Pâques.
Tel est le scénario des trois jours de ténèbres : après les 40
jours, Dieu nettoie et purifie la terre par le feu avant de se
manifester aux élus.
Car le Seigneur ne se manifeste pas aux autres : tout le monde
verra son signe mais seuls les élus jouiront de sa vision.
Comme sœur Lucie a vu la Sainte Famille le 13 octobre 1917 et les trois
métamorphoses de la Sainte Vierge Marie, alors que les autres voyaient
le miracle du soleil fonçant sur eux.
Les habitants de Ninive se sont convertis.
Mais contrairement à Ninive, l’Apocalypse nous indique qu’il n’y aura pas de conversion en cette fin des temps :
Il est expliqué que malgré les signes, « les autres hommes, ne se
repentirent ni de leurs meurtres, ni de leurs enchantements, ni de leur
impudicité, ni de leurs vols.» (Apoc. 9, 21).
Une attitude confirmée dans le livre de Daniel : « il y en aura
beaucoup qui seront purifiés, blanchis et éprouvés ; et les méchants
feront le mal, et aucun méchant ne comprendra ; mais les intelligents
comprendront. » (Daniel 12, 10)
Babylone
n’a que 40 jours avant le début des châtiments et des deux derniers
grands malheurs (6è et 7è trompettes) de l’Apocalypse.
Le signe de Jonas est relié à l’Apocalypse, la résurrection des deux témoins.
Nous avons vu dans la dernière analyse que les 40 jours précédant les 3
jours de noirceur sont reliés au témoignage d’Élie ou Jean, et que ces
40 jours (avant le 16 janvier, les 42 mois depuis Traditionis Custodes)
commencerait selon notre hypothèse le 7 décembre.
La cathédrale Notre-Dame de Paris ré-ouvre le 7 décembre décembre.
Et la Fille Aînée de l'Église est aussi importante que Rome.
Est-ce qu’on occultera l’Immaculée Conception à Notre-Dame de Paris par une discours à caractère maçonnique?
En tout cas, les « rois » de la terre y seront réunis pour la réouverture et ce n’est probablement pas pour la Sainte Vierge.
« Le président américain élu Donald Trump a annoncé lundi qu’il se
rendrait samedi en France afin d’assister à la réouverture de la
cathédrale Notre-Dame de Paris, où une cinquantaine de chefs d’État et
de gouvernement sont attendus. »
Bergoglio a refusé d'y assister, car il dit qu’il est trop occupé par
la nomination de 21 nouveaux cardinaux (jeunes pour conserver les
valeurs bergogliennes, progressistes, et sans culture théologique) lors
du consistoire du 7 et 8 décembre.
« Il y a un manque de grandes figures, avec une lumière propre, des
pasteurs, bien sûr, mais aussi des intellectuels puissants, avec un
arrière-plan philosophique, théologique et canonique convaincant et
reconnaissable.
À ce jour, la quasi-totalité des cardinaux créés par le pape François
(163 au 8 décembre) sont des personnes qui se comportent comme des
clones du pontife, ou plutôt, comme on l’a écrit ces derniers jours, «
ce sont des cardinaux copié-collé ». » (benoit-et-moi.fr)
N’oublions pas que le 7 décembre est un premier samedi du mois, en
relation avec la demande de la Sainte Vierge à Fatima. (Lien de la
prière du premier samedi du mois ci-haut)
Voyant l’urgence de la situation, Lifesitenews.com
démarre une neuvaine du 8 au 17 décembre, consacrée à la conversion du
pape François et à la restauration de l'Église catholique.
Comme on le voit, les deux témoins sont constitués des laïques (Énoch) et des clercs (Élie) qui se lèvent vu la situation.
Nous savons que Satan singe Dieu.
Et, grâce à l’analyse « Projet 47 de Louis D’Alencourt » nous savons
que l’élite judéo-maçonnique espère son messie pour le 20 janvier.
Or, le 12 décembre, c’est la fête de Notre-Dame de Guadelupe.
Mgr Burke termine sa neuvaine de 9 mois, et Notre-Dame de Guadelupe, c’est la femme de l’Apocalypse au septième sceau.
Si on additionne 40 jours on arrive au 21 janvier, le lendemain de l’assermentation du président américain.
C’est un sérieux avertissement du Ciel.
Louis D’Alencourt :
« Quelqu’un de bien plus savant et érudit que moi m’a révélé un
jour qu’à la fin des temps, il ne fallait plus compter en années
mais en jours.
Je crois que le Seigneur Dieu, dans sa très grande miséricorde, va
effectivement accorder aux hommes une ultime chance avant le
déchaînement de sa colère.
Sauf que le message cette fois-ci sera : dans 40 jours Babylone sera détruite.
Par conséquent, « Sortez de Babylone mon peuple, de peur que vous n’ayez part à ses péchés » et repentez-vous
« Elle est tombée, la grande Babylone, elle est
tombée ! » (Apoc. 18, 2) et avec elle, la grande Prostituée
tombe aussi.
Si vous lisez bien l’Apocalypse, à ce moment-là la bête n’est pas
morte, d’une part, et cela se réalise devant les rois de la terre, qui
se lamentent « hélas, hélas, Babylone, grande ville, ville si
puissante, ta condamnation est venue en ce moment ».
Pourtant les rois de la terre ne sont pas mieux que Babylone,
puisqu’ils font partie de l’équipe de la bête. » (note : ils
seront à Notre-Dame de Paris le 8 décembre) (grandreveilwordpress.com)
Mais, nous devons aussi considérer qu’il y a eu un autre 40 jours, les 40 jours après la Résurrection du Christ!
« Les Actes des apôtres nous apprennent que durant les 40 jours entre
la Résurrection et l’Ascension, le Christ leur parlait du Royaume
de Dieu, sans plus de précisions.
Il y a deux notions importantes à retenir :
– Après la Résurrection, le Christ n’apparaît qu’à ses apôtres et
disciples, c’est-à-dire que seuls des justes le voient, et
non plus la multitude du peuple.
Un des volets de la prédication d’Élie sera d’annoncer le Royaume de
Dieu ; mais ce discours ne sera compris et entendu que par les
justes et la foule des rachetés ; les autres seront imperméables à
de tels propos.
– L’Ascension symbolise à la fois le départ et le retour du
Christ. Qu’il y ait 40 jours d’écart entre l’annonce du royaume et le
retour effectif du Christ est là aussi significatif. Il renforce l’idée
que le délai ultime est bien de 40 jours avant de voir la terre
promise. » (Louis D’Alencourt – grandreveilwordpress.com)
Les écritures nous mentionnent qu’à la fin des temps, le tiers des humains seront éliminés.
La traduction exacte est plutôt : la troisième partie.
Il s’agît des incroyants, de ceux qu’on ne peut espérer la conversion avec les événements à venir.
Cela se passe à la sixième trompette (c’est tout le chapitre 10 et 11 de l’Apocalypse).
L’autre tiers, ce sont les justes, et l’autre, ce sont les « tièdes »,
ceux dont la chance de sauver leur âme est encore possible.
Les 40 jours avant « l’Ascension » pourrait bien servir cette cause.
Nous avons identifié dans notre hypothèse le 16 janvier 2025, soit la
fin des 42 mois depuis l’interdiction de la messe Tridentine.
Si on y ajoute les trois jours de noirceur comme le Christ au tombeau, nous arrivons au 19 janvier 2025.
Si on y ajoute les 40 jours après la résurrection avant l’Ascension, nous arrivons au 28 février 2025.
C’est la date effective de la démission de Benoît XVI en 2013.
Donc 12 ans entres les deux dates, 12 comme les douze apôtres.
Quant à Bergoglio, NSJC lui laissera-t-il atteindre son 12 ans le 13 mars prochain?
Ce chiffre appartient à Marie (exemple les apparitions du 13 du mois en 1917), et non au faux prophète.
Nul ne connaît le jour ni l’heure mais plus nous avançons plus les pièces du casse-tête se mettent en place.
Nous pourrions avoir des signes « d’Élie » en fin de semaine.
2 décembre
LA MORT DES DEUX TÉMOINS
« … lorsque l’Apocalypse se révèle, elle doit être
comprise par tous, c’est-à-dire qu’à partir de ce moment, le
sens littéral l’emporte sur le sens mystique. » (Louis D’Alencourt
- grandreveilwordpress.com)
La mort des deux témoins est un événement important car il indique la
fin de la sixième période, tout juste précédé par l’ouverture du
sixième sceau : le grand tremblement de terre et ce qui s’en suit,
et la sixième trompette, soit les 4 anges liés au grand fleuve de
l’Euphrate : Armageddon.
(À ce titre, un avant goût du « tremblement » terrestre pourraient être
le signe de la guerre, et comme signe de la sixième trompette à venir,
nous avons assisté la semaine dernière à la prise de la ville d’Alep en
Syrie, sur le bord de l’Euphrate, par l’armée islamique (les 4 anges
étant relâchés).)
Alors quelle partie de l’évangile doivent prophétiser les deux témoins de l’Apocalypse?
Eh bien tout simplement celui qui a trait au retour du Christ, en
commençant par le début, c’est à dire l’épisode de Jonas cité par Jésus
lui-même, soit;
1) le retour du Christ est maintenant très proche.
2)
le seul signe qui sera donné avant son retour sera celui de Jonas, et
justement celui-ci venant d’avoir lieu, Babylone sera détruite dans 40
jours et cette destruction sera le début des châtiments et des deux
derniers grands malheurs (6è et 7è trompettes).
3)
Par conséquent, « Sortez de Babylone mon peuple, de peur que vous
n’ayez part à ses péchés » et repentez-vous.
Il est difficile d’imaginer la manière dont seront « exécutés » les « deux témoins » de l’Apocalypse.
Nous savons qu’ils sont la référence aux laïcs et membres du clergé qui sont demeurés fidèles à la Loi et aux Prophètes.
On les nomme symboliquement Énoch et Élie.
« Énoch préfigure tous les autres qui, n’appartenant pas à la
catégorie des « justes » n’en sont pas moins des
« hommes de bonne volonté » et qui, quelle que soit leur
religion et leurs sensibilités, comprendront eux aussi la teneur des
événements et se lèveront pour le dire. » (Louis D’Alencourt, grandreveilwordpress.com)
« … on peut aussi faire un parallèle avec le livre
d’Hénoch car celui-ci est en lien direct avec la fin des
temps.
Voici ce qu’en dit l’abbé Arminjon dans son livre Fin du monde présent et mystères de la vie future :
« Le livre d’Hénoch, bien qu’apocryphe, semble contenir les
principales croyances qui avaient cours en Judée au temps de
Jésus-Christ. Quand les hommes, est-il dit, auront comblé la
mesure de leurs iniquités envers Dieu et envers Israël, alors viendra
le grand cataclysme dont le déluge n’a été que le prélude et comme
l’avertissement. Cette fois-ci, la justice divine ira jusqu’au
bout ; le mal sera vaincu à jamais ; la terre sera purifiée
par le feu, non plus par l’eau. Sous des cieux nouveaux, une terre
nouvelle, commencera le règne sans fin de l’Elu, règne de justice, de
fidélité et de paix, véritable règne de Dieu, dans lequel Israël sera
le peuple roi. »
Il est là le lien entre Hénoch et le premier témoin...
Le chapitre 11 de l’Apocalypse semble se référer plutôt à Élie, même
s’il parle des deux témoins dans leur ensemble, car la caractéristique
de « fermer le ciel et d’empêcher la pluie » se rapporte
directement à la vie d’Élie, puisqu’il en a usé au début de sa vie
publique face au roi Achab.» (Louis D'Alencourt, grandreveilwordpress.com)
« Mikail et Jean descendront sur terre. » nous confirme la prophétie de l’Église concernant François.
Juste après son décès.
Ce Jean, est probablement le précurseur : Élie.
Élie accomplie le rôle du second témoin de l’Apocalypse et celui de l’annonciateur du retour du Christ comme Jean-Baptiste.
Élie est le prêtre qui est monté sur le Carmel pour convertir les adorateurs de Baal.
Nous pouvons affirmer aujourd'hui que les adorateurs de Baal sont en grand nombre :
À toutes les religions qui ne sont pas de la tradition, on y ajoute le
paganisme à manière du synode amazonien, le protestantisme, et tout ce
qui relève des valeurs inversées qui sont sacrifiées sur l’autel de
l’humanisme depuis que le faux prophète est sur le trône de
Saint-Pierre.
Nous avons deux indices important pour mieux cerner le « quand » et « l’événement » symbolisant la mort des deux témoins :
- Ils prophétisent pendant 1260 jours ou 42 mois.
- Les habitants de la terre se réjouiront parce qu’ils ont fait le TOURMENT des habitants de la terre.
Par contre, identifier le moment du début de la prêche des deux
témoins, et de la durée de la bête parallèlement pour 42 mois est
difficile en soi.
Nous avons émis l’hypothèse du 16 juillet 2021, soi la date de
Traditionis Custodes interdisant la messe Tridentine, et surtout, fête
de Notre-Dame du Carmel, reliée donc à Élie (voir analyses précédentes).
Parce que c’est là que la multitude d’ « Élie » ont élevé la voix au Vatican.
Est-ce qu’un cardinal ou un évêque plus influent sortira du lot plus nous approchons de la fin de l’hypothèse des 42 mois (voir 20 novembre - L’ANGE EXTERMINATEUR) le 16 janvier prochain?
Cela reste à voir.
Car pour avoir un « Élie »à la manière de Jean-Baptiste, il faut que ce dernier proclame :
- La fin des temps
- Le repentir
Pour l’instant, seul le cardinal Burke a mentionné du bout des lèvres que nous sommes « peut-être » à la fin des temps.
Mgr Vigano attend toujours l’Antichrist alors qu’il est déjà là comme système.
Mgr Strickland affirme que nous sommes au bord du précipice.
C’est tout.
Il n’y a personne d’autre du clergé qui se démarque comme un « Élie ».
Mais, la mort des deux témoins est étroitement relié au signe de Jonas, les trois jours au tombeau qui suivent leurs morts.
Et, le signe de Jonas est indissociable des 40 jours donné à Ninive pour se convertir, pour éviter la destruction.
Si on recule de 40 jours à partir du 16 janvier, alors nous devrions
avoir un « Élie » qui se manifeste le 7 décembre, juste avant la fête
de l’Immaculée Conception, fête dont Bergoglio bafoue depuis son
intronisation.
Bergoglio prépare-t-il une annonce qui provoquera définitivement le
schisme ( la guerre dans la mère de la prophétie du Jean XXIII du
7ème sceau)?
Pourquoi les habitants de la terre se réjouissent-ils à la mort des deux témoins?
À cause de la disparition de la messe Tridentine?
Pas vraiment.
Mais, cette étape est nécessaire au triomphe de Satan pour y substituer le messie judéo-maçonnique à venir.
En fait, les habitants de la terre se réjouissent de la conversion de
l’église conciliaire à l’humanisme depuis la libération des mœurs en
1968, parce que cette dernière a imposé des valeurs morales strictes
depuis l’Ascension de NSJC, ce code moral important pour passer le chas
de l’aiguille qui mène à la vie éternelle puisque le peuple n’est pas
assez mature pour aimer Dieu de toute ses forces et son prochain comme
lui-même.
Et cette libération des mœurs, cette réjouissance, connaît son apogée
avec le wokisme, qui a dominé la scène médiatique ces dernières années.
Ceux qui restent et espèrent à se réjouir sont du clergé.
Les autres se réjouissent déjà puisque c’est la grande apostasie et que Bergoglio a éliminé le péché.
C’est pourquoi nous voyons la montée en puissance de la reconnaissance
de l’homosexualité au sein des prêtres de l’église conciliaire.
C’est pourquoi que le nouveau prédicateur de Sainte-Marthe aime bien
trouvé des perles d’homosexualité dans la Bible pour ses sermons :
« Le nouveau prédicateur homophile du pape François
Le père Roberto Pasolini, nouveau prédicateur attitré du pape, invente une Bible homo
… La tendance, très marquée dans les milieux homosexuels, à découvrir
toujours et partout l’homosexualité, même au prix de devoir réécrire
toute l’histoire, est bien connue… » (benoit-et-moi.fr)
Que reste-t-il à faire pour que le document final du synode des synodes
devienne la base de la « nouvelle église », où « tous seront inclus »
pour citer Bergoglio, et qu’ainsi tous les « habitants de la terre » se
réjouissent, prêtres inclus?
Pour l’instant, c’est un mystère, mais il est évident que l’humanité
est de retour à Sodome et Gomorrhe, et au temps de Noé au déluge
lorsque la méchanceté des hommes était grande sur la terre, et que
toutes les pensées de leur cœur se portaient chaque jour uniquement
vers le mal.
« Car, sachez-le bien, aucun impudique, aucun impur, aucun homme cupide
(lequel est un idolâtre), n'a d'héritage dans le royaume du Christ et
de Dieu. » (Eph. 5, 5)
« Dehors les chiens, les magiciens, les impudiques, les meurtriers, les
idolâtres, et quiconque aime le mensonge et s'y adonne ! » (Apoc.
22, 15)
Novembre 2024
30 novembre
Voici
un aperçu de la philosophie russe sur la guerre en cours, alors que 39%
des russes dans un dernier sondage se disent favorables à l'utilisation
de l'arme nucléaire.
N'oublions que le patriarche Cyrille et le président russe sont d'anciens membres du KGB.
«
Malgré les discussions en cours du 25e Congrès du Conseil populaire
mondial russe concernant la doctrine du « monde russe » et ses
implications, le 26e Conseil a encore renforcé les relations étroites
entre le Patriarcat de Moscou et le Kremlin . La réunion a également
souligné le soutien de l'Église aux aspirations des dirigeants
politiques.
Le 28 novembre, le patriarche Cyrille de Moscou a présidé la réunion du
26e Conseil populaire mondial de Russie, intitulée « Le monde russe :
défis externes et internes ».
Dans son discours , le patriarche Cyrille a souligné le « modèle unique
d'interaction entre l'Église et l'État », soulignant son rôle central
dans la préservation des valeurs culturelles et spirituelles.
« Lorsque nous parlons de l'Orthodoxie comme d'une foi traditionnelle,
nous soulignons le rôle de l'Église en tant que gardienne vitale,
transmettant ces valeurs de génération en génération à travers sa
doctrine, ses prières et la formation des pensées et des croyances des
gens. Cela fait de l’Église un porteur indispensable de ces valeurs »,
a-t-il déclaré.
« Aujourd’hui, notre pays bénéficie d’un modèle sans précédent
d’interaction entre l’Église et l’État. Ce modèle garantit pleinement
la capacité de l'Église à sauvegarder et à transmettre ses valeurs aux
générations futures.
La forme actuelle de coopération est un rêve dont les générations
précédentes ne pouvaient que rêver. L'Église vit librement, sans
ingérence extérieure, tandis que l'État respecte sa mission.
Cette collaboration harmonieuse s'étend à l'éducation des enfants et
des jeunes, ainsi qu'à la promotion du climat spirituel et culturel de
la nation. Ensemble, nous visons à renforcer les valeurs essentielles à
la préservation de l’identité et de l’authenticité de nos citoyens.
Perdre ces valeurs signifierait perdre notre capacité à nous défendre
et à défendre notre patrie », a ajouté le patriarche Cyrille.
Dans ses remarques précédentes , le patriarche Cyrille a mis en
contraste sa focalisation antérieure sur les défis auxquels est
confronté le « monde russe »avec l'accent qu'il met actuellement sur
ses menaces les plus critiques.
« Parmi les menaces extérieures qui pèsent sur le monde russe, la plus
urgente aujourd’hui est l’opération militaire en cours. L'escalade
tragique du conflit fraternel entre la Russie et l'Ukraine est
constamment alimentée par des forces extérieures bien connues, qui ont
recours à la stratégie séculaire du diviser pour régner », a-t-il
déclaré.
Kirill
a notamment évité d'aborder le fait que le conflit a commencé avec
l'intervention militaire russe en Ukraine en 2014 , en commençant par
l' annexion de la Crimée .
Le patriarche Cyrille a attribué la guerre aux actions de « forces
extérieures » et l'a présentée comme un affrontement culturel et
spirituel plus large. « La Russie, l’Ukraine et la Biélorussie sont
perçues comme une épine dans le pied du monde occidental en raison des
valeurs que nous défendons, qui constituent le fondement de notre
identité spirituelle et culturelle », a-t-il affirmé.
Kirill
est allé -encore une fois- encore plus loin, en proposant une
justification du conflit , le présentant comme une défense de ces
valeurs. « Ces valeurs sont désormais héroïquement défendues par nos
soldats combattant dans la zone d’opérations militaires spéciales »,
a-t-il déclaré, bénissant ainsi la guerre qui ravage la région depuis
près de trois ans.
Le patriarche a également imputé la responsabilité du conflit au monde
occidental, l'accusant de ne pas vouloir « reconnaître le droit des
autres cultures à leur identité et à leur indépendance ». Il a ajouté :
« C'est évident dans l'escalade incessante, qui menace d'évoluer vers
une collision directe entre deux mondes. »
Le patriarche Cyrille s'est empressé d'exprimer sa gratitude à Dieu
pour la réponse mesurée du président russe Vladimir Poutine aux
provocations, louant son attitude calme. Dieu merci, le président
Poutine, conscient de sa responsabilité, fait preuve de prudence et de
sang-froid face aux provocations cyniques, tout en continuant à
progresser vers les objectifs fixés : protéger les intérêts légitimes
et justifiables de la Russie et du monde russe ", a-t-il déclaré. .
Abordant le sujet des menaces nucléaires – souvent évoqué par le
président russe – Kirill a fait remarquer qu'alimenter la peur avec des
scénarios apocalyptiques ou spéculer sur des questions nucléaires
manque de mérite spirituel. Il a exhorté les chrétiens à ne pas
craindre la soi-disant « fin du monde », mettant l'accent sur une
vocation plus élevée : « Nous attendons le Seigneur Jésus, qui viendra
dans une grande gloire pour détruire le mal et juger toutes les
nations. Toutefois, ça veut pas dire qu'on doit laisser le mal
triompher. Notre mission terrestre est d'être des guerriers du
Seigneur, luttant contre les forces du mal. C'est l'objectif de la
Russie.»
Le patriarche a également évoqué les défis sociétaux, notamment la
question de l'alcoolisme , qu'il a qualifié de stéréotype néfaste . «
Pendant des siècles, de faux récits sur la prétendue propension des
Russes à boire ont été perpétués et ancrés dans la conscience publique.
C'est faux ! Le peuple russe a toujours été travaillant et responsable.
Sans ces qualités, il aurait été impossible de bâtir une nation comme
la Russie », a-t-il déclaré.
Kirill a en outre exprimé sa gratitude au président Poutine pour avoir
favorisé une relation de coopération entre l'État et l'Église . « Je
tiens à exprimer mes sincères remerciements à notre président pour la
direction prise par nos dirigeants politiques vers la collaboration
avec l'Église orthodoxe russe, pour le développement d'un véritable
dialogue et d'un partenariat significatif. Puisse ce parcours continuer
à jeter les bases du progrès futur de notre pays et de relations encore
plus dynamiques et fructueuses entre l'Église et l'État », a-t-il
conclu. » (orthodoxtimes.com)
Le
président russe a fait l'apologie de son dernier missile en spécifiant
dernièrement qu'en groupant ces dits missiles dans une attaque, que
cela aurait le même effet qu'une bombe nucléaire, avec des températures
atteignant la température du soleil.
« La terre frisera le massacre » de la prophétie de Jean XXIII ne concerne plus uniquement l'arme nucléaire semble-t-il.
29 Novembre
L’ÉGLISE HUMANISTE
Bergoglio a affirmé (voir dernière analyse) que l'Église a été «
éclairée par le Saint-Esprit » pendant le processus du synode des
synodes et qu’il « souhaitait » que le document final du Synode
soit accepté comme faisant partie du Magistère de l'Église.
Mais le cardinal Müller ne l’entend pas ainsi :
« Les partisans de la soi-disant « Église synodale » sont coupables de
« péchés contre le Saint-Esprit » en essayant de renverser
l'enseignement catholique avec une « idéologie éveillée » et de «
subordonner l'Église du Dieu Trinité » à des programmes mondialistes
comme l'Agenda 2030, a dit le cardinal.
( LifeSiteNews
) — Le cardinal Gerhard Müller a déclaré que les partisans de la
soi-disant « Église synodale » sont coupables de « péchés contre le
Saint-Esprit ».
Dans un essai publié dans First Things , le cardinal Müller a critiqué
le concept moderne de « synodalité » du pape François, énumérant sept
façons dont « l'Église synodale » pèche contre le Saint-Esprit.
« Des factions ayant des arrière-pensées ont détourné le principe
traditionnel de synodalité, c'est-à-dire la collaboration entre les
évêques (collégialité) et entre tous les croyants et les bergers de
l'Église (basée sur le sacerdoce commun de tous les baptisés dans la
foi), pour faire avancer leur programme progressiste.
« En effectuant un virage à 180 degrés, la doctrine, la liturgie et la
moralité de l’Église catholique doivent être rendues compatibles avec
une idéologie néo-gnostique éveillée », a-t-il déclaré.
Dans une tentative de changer l'enseignement de l'Église sur le mariage
ou l'ordination des femmes, les partisans du Synode invoquent une
prétendue « communication directe entre le Saint-Esprit et les
participants au Synode », a poursuivi le cardinal Müller.
« Mais quiconque, en faisant appel à l'inspiration personnelle et
collective du Saint-Esprit, cherche à concilier l'enseignement de
l'Église avec une idéologie hostile à la révélation et avec la tyrannie
du relativisme se rend coupable à divers titres d' un « péché contre le
Saint-Esprit ». " (Matt. 12 :31 ; Marc 3 :29 ; Luc 12 :10) », a ajouté
le cardinal allemand.
« Le péché le plus courant » des sept péchés contre le Saint-Esprit «
est celui où l'origine et le caractère surnaturels du christianisme
sont niés afin de subordonner l'Église du Dieu Trinité aux buts et aux
objectifs d'un projet de salut mondain, qu'il soit écologique.
Le cardinal Müller a averti que c'est un péché contre le Saint-Esprit
de réinterpréter « l'histoire du dogme chrétien comme une évolution de
la révélation, reflétée dans l'avancement des niveaux de conscience
dans l'Église collective, au lieu de confesser la plénitude
insurpassable de grâce et de vérité en Jésus-Christ.
Il a expliqué que le pape et sa fonction d'enseignant « ne sont pas
au-dessus de la parole de Dieu, mais la servent, en enseignant
uniquement ce qui a été transmis ( Dei Verbum , 10). »
Le pape ne peut donc pas changer le dépôt de la foi, tel qu'il a été pleinement révélé en Jésus-Christ.
De plus, le cardinal Müller a déclaré que c'est un péché contre
l'Esprit Saint « lorsque l'unité de l'Église dans l'enseignement de la
foi est livrée à l'arbitraire et à l'ignorance des conférences
épiscopales locales (qui se développent doctrinalement à des rythmes
différents) sous prétexte d’une soi-disant décentralisation.
Citent l'œuvre de saint Irénée de Lyon contre les Gnostiques, le
cardinal écrit : « Bien que dispersée dans le monde entier, jusqu'aux
extrémités de la terre… l'Église catholique possède une seule et même
foi dans le monde entier (Irénée de Lyon, Contre Hérésies , livre I,
10, 1-3).
Les remarques du cardinal Müller font probablement référence à la
conférence des évêques allemands, dont la majorité a approuvé des
textes hérétiques pro-LGBT et d'autres textes lors de la « Voie
synodale » des évêques allemands.
Dans une référence probable aux « annulations » injustes par le pape
François, telles que la destitution de Mgr Joseph Strickland de son
diocèse de Tyler, au Texas, et de Mgr Daniel Fernández Torres de son
diocèse d'Arecibo, à Porto Rico, le cardinal Müller a dit :
C'est un péché contre le Saint-Esprit, qui, par le sacrement de
l'Ordre, a nommé des évêques et des prêtres comme pasteurs de l'Église
de Dieu (Actes 20 :28), de les déposer, ou même de les séculariser, à
sa seule discrétion.
Le cardinal a aussi critiqué la politisation de l'Église selon la «
philosophie révolutionnaire » et les idées de la Révolution française
comme un péché contre le Saint-Esprit :
C'est un péché contre le Saint-Esprit lorsque la division politique et
idéologique de la société depuis les Lumières européennes et la
Révolution française est incorporée dans une philosophie réparatrice ou
révolutionnaire de l'histoire et lorsque l'Église une, sainte,
catholique et apostolique est ainsi paralysée par opposant en interne
les factions « progressistes » aux factions « conservatrices ».
L'ancien chef du CDF a conclu son essai en rappelant aux fidèles de
mettre leur confiance uniquement en Jésus-Christ et non dans les
idéologies modernistes « éveillées ».
« Quiconque veut vraiment entendre ce que l'Esprit dit à l'Église ne
s'appuiera pas sur des inspirations spiritualistes et des platitudes
idéologiques éveillées, mais placera toute sa confiance, dans la vie et
la mort, uniquement en Jésus, le Fils du Père et le Oint du
Saint-Esprit », a déclaré le cardinal Müller.
Il a conclu en citant l'Évangile de saint Jean : « Ceux qui m'aiment
garderont ma parole, et mon Père les aimera, et nous viendrons vers eux
et ferons notre demeure avec eux… Mais l'Avocat, l'Esprit Saint, qui le
Père enverra mon nom, vous enseignera tout et vous rappellera tout ce
que je vous ai dit. (Jean 14 :23-26)
»
Nous mettons l’article du blog d’Aldo Maria Valli, même si en italien, pour montrer la photo de la nouvelle église de Berlin (et l’autel païenne ) et traduisant les paroles de l’archevêque de Berlin lors de l’inauguration :
« Aucun dieu sombre n'est pas à l'œuvre ici et menaçant. L'esprit
d'hospitalité règne ici. L'Église doit être un lieu d'ouverture pour
les croyants, y compris ceux des autres religions, ainsi que pour les
non-croyants. Et aussi pour tous ceux qui veulent juste relaxer ».
C’est bien l’église humaniste.
Où tous sont inclus selon Bergoglio.
Le péché n’existant plus, et où les valeurs inversées sont la norme.
Le Saint-Esprit est invoqué lorsqu’ils en ont besoin pour modifier la doctrine.
La Tradition devient hors norme.
Elle est la menace à la nouvelle église.
C’est l’église inversée.
27 novembre
La prophétie #11 de l’église, le septième sceau, confirme le
début de la guerre : « S'affronteront croissant de lune, étoile et
croix. »
Alors qu’il y a guerre aussi au sein de l’Église.
Pourquoi la guerre?
Parce que l’élite judéo-maçonnique a comme principe de faire naître
l’ordre par le chaos, la peur, et aussi parce la guerre représente un
sacrifice de masse.
« L'élite judéo-maçonnique ne peut attendre trop longtemps. Leur messie
doit venir par un sacrifice sanglant, le sacrifice de l'humanité pour
la survie de l'élite et sa progéniture. » écrivions nous le 6 novembre
dernier.
« Le basculement d’un monde dans une étape supérieure passe par un
sacrifice expiatoire égal à l’obtention d’un « bien » défini selon les
critères des thuriféraires du système pharisaïque. S’agissant de
l’établissement d’une gouvernance mondiale, ce « bien » ne peut être
adoubé que d’une manière holocaustique. » (Pierre Hillard, Des origines
du mondialisme à la grande réinitialisation, p.251)
Aujourd’hui, le monde retient son souffle avec la nouvelle du cessez-le-feu au Liban.
Or, Israël confirme que c’est pour mieux se concentrer sur la menace iranienne.
Du côté de l’Ukraine, l’État profond fait tout ce qui est en son
pouvoir pour augmenter la tension avec la Russie, malgré
l’avertissement donnée par cette dernière avec le lancement de missiles
balistiques supersoniques (sans charge nucléaire) sur l’Ukraine, une
première dans toute l’humanité.
« Pour la 1ère fois de l’histoire, la Russie tire un missile nucléaire ICBM sur l’Ukraine sans charge ! ». (insolentiae.com)
« Guerre. Point de situation. A 2 doigts de la catastrophe majeure ! ». (insolentiae.com)
Face à cette escalade, au lieu de prendre la voie diplomatique, la
France décide d’envoyer des missiles SCALP à « longue portée » à
l’Ukraine tout en précisant que l’envoi de troupes au sol n’est pas
exclu.
« L'Europe a soif, elle aura du sang dans les rues .» (prophétie politique #22 « Grand Éclair à l’Orient »).
« Selon le New York Times , les responsables américains
et européens ont discuté d'une série d'options
qui, selon eux, dissuaderaient la Russie de s'emparer davantage de
territoire ukrainien, notamment en dotant Kiev d'armes nucléaires.
» (zerohedge.com)
Signes qu’on prépare le pire de la guerre, la Suède, la Finlande, et la
Norvège ont envoyé un livret à leurs populations concernant la manière
de survivre à la guerre.
L’Allemagne recense ses bunkers et demande à la population de préparer leurs propres abris à la maison.
« L’Allemagne recense ses bunkers… j’espère que vous avez une bonne cave ! » (insolentiae.com)
« Finlande et Suède encouragent la population à se préparer à la guerre ! » (insolentiae.com)
« L'OTAN relance les discussions sur l'envoi de troupes européennes en
Ukraine et avertit les dirigeants du monde des affaires de se préparer
à un « scénario de guerre » »
(zerohedge.com)
Et on avertit les entreprises européennes d’être prêtes à entrer dans une économie de guerre.
C’est le cas des gouvernements allemands et néerlandais.
«Chef de l’Otan ” les entreprises doivent être prêtes à la guerre” » (insolentiae.com)
« L’armée allemande prépare les entreprises à la guerre ! » (insolentiae.com)
L’élite judéo-maçonnique veut son messie.
Avant l’entrée en scène de Trump.
«... si contre toute attente Trump est élu, la situation sera
insupportable pour le comité des 300, tous leurs projets annoncés
tombant à l’eau, donc ils sont capables de tout envoyer en l’air »
(Louis D’Alencourt – grandreveilwordpress.com – projet 47)
C’est la raison de tous ces avertissements de la dernière semaine.
Tout s’accélère.
Même avec Bergoglio, qui veut le chaos le plus rapidement possible.
Les deux Babylone agissent bien de pair, comme dans les prophéties de Jean XXIII.
« ( LifeSiteNews ) – Le pape François souhaite que le document final du Synode soit accepté comme faisant partie du Magistère de l'Église.
Ce matin, le pape François a publié une « note » officielle pour
accompagner son « Document final de la 16e Assemblée générale ordinaire
du Synode des évêques », c'est-à-dire le document final du Synode sur
la synodalité, qui comprenait un nombre important de non-évêques.
Dans sa « Note », le Pape a demandé que le contenu de ce « Document
final » soit accepté comme faisant partie de son Magistère,
c'est-à-dire de son enseignement faisant autorité en tant que
Successeur de Pierre, chef terrestre de l'Église chrétienne – ou, en
tant que pape François s'est décrit comme « l'évêque de Rome ».
Dans l' original italien , le pape François a salué les
années de rencontres qui ont eu lieu avant le Synode, affirmant
qu'elles comprenaient « l'écoute du peuple de Dieu et le discernement
des pasteurs ». Il a aussi dit que l'Église a été « éclairée par le
Saint-Esprit » pendant le processus.
Reconnaissant
la valeur du chemin synodal accompli, je remets maintenant à toute
l'Église les orientations contenues dans le Document
final , comme retour de ce qui a mûri au cours de ces années, à
travers l'écoute et le discernement, et comme orientation faisant
autorité pour sa vie et sa mission », a-t-il ajouté.
«
Le Document final participe au Magistère
ordinaire du Successeur de Pierre (cf. CE 18 § 1 ; CCC 892) et à ce
titre je demande qu'il soit accepté. Il s'agit d'une forme d'exercice
de l'enseignement authentique de l'évêque de Rome qui présente des
caractéristiques nouvelles, mais qui correspond en fait à ce que j'ai
eu l'occasion de souligner le 17 octobre 2015, lorsque j'affirmais que
la synodalité est le cadre interprétatif approprié pour comprendre le
ministère hiérarchique .»
Tout
en affirmant que le document nécessiterait « plusieurs médiations »,
François a précisé que « [l]es Églises locales et les groupements
d'Églises sont désormais appelés à mettre en œuvre, dans leurs
différents contextes, les instructions faisant autorité contenues dans
le Document , à travers les processus de discernement
et la prise de décision prévues par la loi et par
le document lui-même.
Cette histoire se développe…. »
20 novembre
L’ANGE EXTERMINATEUR
« Il y en aura beaucoup qui seront purifiés, blanchis et
éprouvés ; et les méchants feront le mal, et aucun méchant ne
comprendra ; mais les intelligents comprendront. » (Daniel, 12,10)
La lettre de mgr Strickland dans la dernière analyse confirme que nous arrivons à la fin de la sixième période de l’Apocalypse.
« Vous êtes réunis ici aujourd'hui, apôtres d'aujourd'hui, alors que
l'Église et, par conséquent, le monde sont perchés au bord d'une
falaise. » (Mgr Strickland)
Rappelons à ce stade le calendrier de la fin des temps dans l’ordre chronologique dans l’Apocalypse:
1) Mort des témoins (3,5 jours)
2) Résurrection des témoins
Fin de la sixième période.
Entrée dans la 7ème période :
« Et quand l'Agneau eut ouvert le septième sceau, il se fit dans le
ciel un silence d'environ une demi-heure. » (Apocalypse, 8-1)
3) Mort de l’Antéchrist
4) Chute de Babylone (3ème malheur, Ap. 11, 14)
5) Retour du Christ
6) Jugement dernier
La
sixième période de l’Apocalypse, celle de l’Antéchrist, se termine donc
par une résurrection, celle des témoins, avant l’enclenchement du 777
(7ème sceau, trompette et coupe) où le mystère divin s’accomplit : mort
des bêtes et du dragon, chute de Babylone et Jugement dernier.
La fin de sixième période est caractérisée par la sixième trompette, qui à l’évidence, est la grande guerre au Moyen-Orient.
La confirmation de la mort de l’Église/deux témoins est donc imminente.
Les conséquences du synode amazonien permettant n’importe quoi à la messe est en marche en Amérique du Sud, et au Mexique.
« Le Vatican approuve le rite maya avec danse rituelle, encenseurs féminins et direction laïque des parties de messe. » (lifesitenews.com)
Et les États-Unis autorisent l’utilisation des missiles longues portées en Ukraine.
Poutine a toujours affirmé que cette autorisation constitue un acte de
guerre directe de l’OTAN, puisque ces armes sophistiquées ne peuvent
être manipulées que par les pays les fournissant.
L’Ukraine a utilisé ces armes pour la première fois hier, et Poutine a
signé un décret qui modifie la doctrine militaire nucléaire, même si la
Russie n’est pas attaqué par de telles armes.
Stratégiquement, drainer les ressources russes, et maintenant, nord
coréennes en Ukraine, diminue la capacité d’une intervention russe
autour d’Israël.
On se rapproche de la « terre frisera le massacre » de Jean XXIII, forçant la guerre de la nature par le Père.
On ne connaît ni le jour ni l’heure, mais on peut affirmer que plus
nous avançons dans le calendrier de la fin des temps, plus les signes
du figuier donné par NSJC sont évidents, rapprochant ainsi de plus en
plus l’ouverture du 7ème sceau.
Ce n’est plus une question d’années, mais de mois (peut-être de jours
puisque l’élite judéo-maçonnique veut en finir avant l’arrivée de Trump
au pouvoir; c’est un sacrifice de masse), au plus, 15 mois avant le
mois de mai des deux lunes de 2026 prophétisé par Don Bosco pour le
retour du Lys de Paix (voir analyses précédentes).
La septième trompette, c’est la moisson finale, le châtiment et les trois jours de noirceur prophétisés.
De la mort et de la résurrection des deux témoins, passant par la chute
de Babylone et la mort de l’Antéchrist, menant au Jugement suite au
7ème sceau, ce sera très court.
N’oublions pas que NSJC nous a spécifié que nous n’aurons comme signe
que le signe de Jonas (voir analyses précédentes), c’est à dire trois
jours dans le ventre du poisson (ou au tombeau concernant la Passion de
l’Église à l’image de la Passion du Christ).
Pourquoi?
Parce que nous revivons l’époque moderne des pharisiens qui ne voulaient par accepter Jésus le Messie.
Nous ne le méritons pas.
Même le Vatican n’est même pas capable de reconnaître les signes des temps et guider efficacement les brebis.
Seuls quelques « deux témoins » du clergé traditionnel avertissent que c’est la fin des temps.
C’est la Pâque de l’humanité à l’image de la Pâques du Christ et du peuple hébreu en Égypte.
Louis D’Alencourt (grandreveil.wordpress.com) :
« Le Seigneur Dieu choisit de mourir au moment de la Pâque juive, très
exactement la veille de la Pâque, c’est dans tous les évangiles. La
date de la Rédemption du monde, par cette mort sur la croix aussi
providentielle que mystérieuse, se situe au 14 Nizan. C’est un fait
indéniable que personne ne nie ou remet en cause.
Rappelons que la Pâque juive est la commémoration de la sortie d’Égypte
sous la direction de Moïse. Dans la nuit du 14 au 15 Nizan, la
dixième plaie s’abat sur l’Égypte : le passage de l’ange
exterminateur qui met à mort tous les premiers nés d’Égypte, des hommes
au bétail. Ce sera la dernière plaie, qui décide le Pharaon à laisser
partir les Hébreux la nuit même.
Voilà donc le secret de la Semaine Sainte, et dont nous
devons tenir compte si nous effectuons un parallèle avec notre temps
: entre la mort du Christ et sa Résurrection, il y a le passage de
l’ange exterminateur, la dixième plaie d’Egypte – et c’est cet
événement qui va provoquer la libération du peuple de Dieu.
Or, les théologiens nous expliquent que le jour de la Présentation au
Temple..., « Siméon prophétise que le Seigneur sera, comme
l’ange exterminateur, un signe de contradiction : délivrance pour
ceux qui l’accueillent, châtiment pour les autres. »
Il se trouve que c’est exactement ce que nous dit aussi l’Apocalypse
car en réalité, sortir de Babylone, cri de l’ange avant la chute de la
ville, équivaut à sortir d’Égypte. C’est la même signification.
C’est à dire que les enfants de Dieu, après la mort de l’Église mais
avant sa Résurrection, qui correspond en réalité à la Résurrection des
témoins, seront invités à sortir de Babylone -appelée
d’ailleurs Égypte et Sodome au chapitre 11- au moment du passage
de l’ange exterminateur. »
Les trois jours de ténèbres sont à l’image de la 9ème plaie d’Égypte avant le passage de l’ange exterminateur.
L’ange exterminateur interviendra à l’ouverture du 7ème sceau, pour purifier la terre.
La rapidité des derniers événements du calendrier de la fin des temps
est « le temps d’un éclair » : « Car, comme l'éclair part de
l'orient et brille jusqu'à l'occident, ainsi en sera-t-il de
l'avènement du Fils de l'homme. » (Matthieu 24, 27)
Parce que sinon les élus ne survivraient pas à la mort de l’âme (les morts envierons les vivants nous affirme-t-on).
Pour identifier le signe de Jonas à venir, selon NSJC, nous n’avons que
le signe du figuier : l’abomination de la désolation sur le trône
(c’est accompli), la guerre finale (elle est entamée), et la prêche des
deux témoins au même titre que la durée de la bête : 42 mois (1260
jours).
Pouvons-nous relier la prêche et la mort des deux témoins à un événement récent?
Effectivement.
Traditionis Custodes (publié le 16 juillet 2021 en la fête de ND du
Carmel, figure de la dernière apparition de Fatima) interdisant la
messe tridentine.
C’est bien à ce moment précis que plusieurs (même s’ils sont peu
nombreux) se sont élevés pour défendre la Tradition (dont Mgr
Strickland qui a perdu la charge de son diocèse parce qu’il célébrait
la messe traditionnelle).
Or, si on y ajoute 42 mois nous nous retrouvons au 16 janvier 2025 selon l’échéancier de l’Apocalypse.
Et, 4 jours plus tard, aura lieu l’assermentation du président américain.
Nous l’avons vu dans l’analyse «Projet 47 », le 20 janvier 2025,
c’est l’échéance du plan judéo-maçonnique : la venue du messie
juif.
« Parce que les élites juives, civiles et rabbiniques, ont demandé
à l’ensemble des juifs du monde de réciter une prière mondiale pour
demander le Messie le 21 février 2021 : ce jour-là, tous les juifs
du monde devaient réciter la même prière à la même heure, 18h heure de
Jérusalem.
Or le 21 février 2021 est distant de 47 mois, au jour près, du 20 janvier 2025. » (Louis D’Alencourt – Grand Réveil)
Le 47 est le chiffre du Saint Nom de Jésus.
Les deux témoins ont eu la chance de défendre la messe tridentine et l’Église catholique durant ces 42 mois.
Quels sont les quelques autres événements en 2021 pour démontrer que la
bête est « sortie des eaux (Apocalypse) » et qu’elle règne à la vue de
tous?
-Le drame du 6 janvier 2021 au Capitole.
-Le cardinal Sarah qui a été écarté comme préfet de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements en 2021.
Il était probablement un obstacle à la nouvelle messe en préparation.
Il fut punit pour la sortie de son livre dont la préface avait été
signée par Benoît XVI tout juste avant le rapport amazonien qui voulait
redéfinir le sacerdoce.
-Le signe visible de « La bête » est le « Gardien de la paix aux Nations-Unies » le 9 novembre 2021.
-Interdiction de la messe en latin dans la basilique Saint-Pierre :
« CITÉ DU VATICAN, 30 juin 2021 ( LifeSiteNews ) — Le Vatican
a décidé d’interdire le latin, la langue traditionnelle de l’Église
catholique, de la célébration de la plupart des messes dans la
basilique Saint-Pierre. »
-L’ouverture du synode des synodes :
« Chers frères et sœurs, que ce Synode soit un véritable temps de
l'Esprit ! . . . Le Père Congar, de mémoire bénie, a dit un jour : « Il
n'est pas nécessaire de créer une autre Église, mais de créer une
Église différente » ( Vraie et fausse réforme dans l'Église ). C'est le
défi. » (François, 9 octobre 2021, Discours d'ouverture du Synode)
LES TROIS JOURS DE NOIRCEUR
Où trouve-t-on les signes de la chute de Babylone/ les trois jours de noirceur?
-Jean XXIII : « bats le rappel de tes fils dans les campagnes,
pour qu'ils abattent les deux Babylone. Et que la Mère soit Une, comme
toi tu es unique. La terre détruira le ciment et de terre sera, Reine,
ta nouvelle Église. »
-
La Salette : « Voici la bête avec ses sujets se disant le
sauveur du monde. Il s’élèvera avec orgueil dans les airs pour aller
jusqu’au Ciel ; il sera étouffé par le souffle de saint Michel
archange. Il tombera, et la terre qui, depuis trois jours sera en de
continuelles évolutions, ouvrira son sein plein de feu ; il sera plongé
pour jamais avec tous les siens dans les gouffres éternels de
l’enfer. »
- Jean-Paul II (AVANT la publication du faux troisième secret de Fatima
en 2000) : Une interview de Jean-Paul II donnée en Allemagne en
novembre 1980, publiée dans la revue Stimme des Glaubins, dans laquelle
on va retrouver des détails précis du texte de sœur Lucie :
Question : Et le troisième secret de Fatima, il aurait dû être révélé en 1960 ?
Jean-Paul II : Vu le sérieux de son contenu, mes prédécesseurs ont
diplomatiquement choisi de reporter sa publication pour ne pas
encourager les puissances communistes à faire certains mouvements. D'un
autre côté, la suite devrait suffire à tous les chrétiens : s'il y a un
message dans lequel il est écrit que les océans inonderont des zones
entières de la terre, et qu'à un moment des millions de gens mourront,
il va de soi que publier un tel texte n'est pas souhaitable.
- Padre Pio et tous les prophètes sur les trois jours de noirceur (voir le lien dans l’analyse du 14 novembre 2024)
- Notre Seigneur Jésus à Lucie (1917) (Du livret « Abba, Père » : extrait du message page 31) :
« Voici
l’heure de l’agonie. Voici l’heure de l’abandon, du reniement…Voici
l’heure des trois jours de ténèbres, des trois jours de la mise au
tombeau. Vis ce temps de détresse dans l’attente de la
résurrection ».
La Terre entrera en convulsions.
Le phénomène des trois jours de ténèbres est un renouveau terrestre
pour la naissance de la Jérusalem Céleste, pour les âmes pures qui
resteront.
Très rapide.
On l’a vu ci-haut.
L’ange exterminateur passe avant la résurrection, avant la fin des
trois jours de noirceur, et le pharaon a libéré le peuple hébreu la
nuit même du passage de l’ange exterminateur.
C’est donc dire qu’il y aurait juste AVANT la résurrection des deux
témoins (qui confirme la fin de la sixième période du calendrier de la
fin des temps) : l’entrée dans la 7ème période, la mort de
l’Antéchrist et la chute de Babylone.
Tout cela en TROIS JOURS!
Nous avons eu comme avertissements des aurores boréales intenses le 13
mai et le 13 octobre 2024 reliées aux dates de début et fin des
apparitions de la Vierge Marie à Fatima.
Réitérons qu’en 1917 où tous voyaient le miracle du soleil, sœur Lucie
voyait la Sainte Famille et les trois figures de Marie : Notre-Dame du
Rosaire qui s’éleva au firmament à côté du soleil, joints par
Saint-Joseph et l’Enfant Jésus qui bénissaient le monde, puis Marie
devint Notre-dame des Douleurs, joint par Jésus qui bénissait à son
tour le monde, puis Marie devient Notre-Dame du Carmel.
C'est à l'image que les élus verront la délivrance dans les châtiments alors que les non croyants verront leurs fins atroces.
La dernière apparition se termine par ND du Carmel.
Or le Carmel, c’est aussi le 16 juillet 1878 pour la 18ème et dernière apparition à Lourdes.
Cela fera 147 ans en 2025.
Et 147 divisé par 3,5 donne 42 pile.
N’oublions pas que la fête du Carmel du 16 juillet est liée au prophète
Élie (Élie, le précurseur, voir analyse du 8 avril 2022).
Dans le livre des rois, Élie a le pouvoir de faire pleuvoir, ou bien de
retenir la pluie, tout comme les 2 témoins de l’Apocalypse, c’est à
dire d’ouvrir le passage pour recevoir les grâces sanctifiantes en
cette fin des temps.
Énoch et Élie représentent les deux témoins de l’Apocalypse, les deux colonnes dans le songe de Don Bosco sur la fin des temps.
Ce qui est confirmé à la Salette :
« L’Église sera éclipsée, le Monde sera dans la consternation. Mais
voilà Énoch et Élie remplis de l’Esprit de Dieu ; ils prêcheront avec
la force de Dieu et les hommes de bonne volonté croiront en Dieu et
beaucoup d’âmes seront consolées ; ils feront de grands progrès par la
vertu du Saint-Esprit et condamneront les erreurs diaboliques de
l’Antéchrist. »
Le chiffre 16 est un chiffre important.
Il représente la Résurrection.
Nous avons vu ci-haut que Jésus est crucifié le jour de la préparation
de la Pâque, c’est à dire, dans le calendrier mosaïque, le 14 Nizan,
puisque la Pâque a lieu dans la nuit du 14 au 15 Nizan.
C’était un vendredi puisque le lendemain, jour de la Pâque, tombait cette année là sur un jour de sabbat, donc un samedi.
Nous savons, toujours par les évangiles, que Jésus meurt à la 9ème
heure (15h) le 14 Nizan puis est mis au tombeau avant la nuit pour
ressusciter le troisième jour, à savoir le 16 Nizan au petit matin.
La résurrection à l’aube du 16 nous donne la preuve de la divinité de NSJC.
Nous avons vu que le 16 juillet, c’est aussi la date de publication de
Traditionis Custodes en 2021, tentative vaine pour essayer de faire
taire ce qui reste des deux témoins.
Notre-Dame du Carmel est fêtée le 16 juillet.
Le prophète Élie est fêté le 20 juillet.
Il y a trois jours et demi entre les deux fêtes…
DEUX dates importantes donc.
Récapitulons :
Le signe du figuier en Matthieu 24 se précise.
Nous entrons dans un temps très critique.
Que nous indiquent les 16 juillet et 20 juillet 2021?
Le début possible de la prêche de 42 mois des deux témoins nous menant jusqu’à leur mort/mort de l’Église?
Ce qui serait le 16 janvier 2025.
Les deux témoins étant liés à Élie, ressusciteront-ils 3 jours après la mise au tombeau, comme le Christ?
Le 20 janvier 2025… ou juste avant la venue du messie judéo-maçonnique?
Nul ne le sait.
Mais…
« Par une froide nuit d’hiver » (Padre Pio, le début des trois jours de noirceur).
16 novembre
Lettre
de Mgr Strickland aux évêques réunis à Baltimore dernièrement,
confirmant les propos des dernières analyses et l’urgence de la
situation :
La mort de l’Église à venir.
( LifeSiteNews ) — Chers évêques,
Vous
êtes réunis ici aujourd'hui, apôtres d'aujourd'hui, alors que l'Église
et, par conséquent, le monde sont perchés au bord d'une falaise.
Et
pourtant, vous qui êtes chargés de la garde des âmes, choisissez de ne
pas dire un mot du danger spirituel qui abonde. Aujourd'hui, nous
sommes à l'aube de tout ce qui a été prophétisé sur l'Église et les
abominations qui surgiraient en ces temps, une époque où tout l'enfer
attaquerait l'Église de Jésus-Christ, et une époque où les anges déchus
de l'enfer ne cherchent pas à entrer dans ses salles sacrées, mais
restez à l'intérieur, regardant par les fenêtres et déverrouillant les
portes pour accueillir une destruction plus diabolique.
Je pense que saint Jude pensait à des hommes comme beaucoup d'entre
vous lorsqu'il décrivait des hommes qui se régalaient « ensemble sans
crainte, se nourrissant eux-mêmes, nuages sans eau, emportés par
les vents, arbres d 'automne infructueux, deux fois morts, arrachés par
les racines, vagues déchaînées de la mer, écumant leur propre confusion
; étoiles errantes… » (Jude 1 : 12-13).
Beaucoup
de gens se demandent ce qu’il faudra pour que plusieurs évêques
s’élèvent enfin contre les faux messages qui circulent constamment du
Vatican sous la direction du pape François, et je me pose sans cesse la
même question :
QU'EST-CE QU'IL FAUT FAIRE ?
Ne
savez-vous pas que Notre-Seigneur enverra ses anges vengeurs pour
accumuler des charbons ardents sur la tête de ceux qui ont été appelés
à être ses apôtres et qui n'ont pas gardé ce qu'il leur a donné ?
Et
pourtant, presque tous, mes frères, avez assisté silencieusement au
déroulement du Synode sur la Synodalité, une abomination construite non
pas pour garder le dépôt de la foi mais pour le démanteler, et pourtant
peu de cris ont été entendus de votre part , hommes qui
devraient être prêts à mourir pour le Christ et son Église.
Le
document final du Synode a été publié, mais avec le tour de passe-passe
si caractéristique du Vatican contrôlé par François. En attirant
l'attention sur des questions qui préoccupaient beaucoup, ils ont
glissé dans ce qui a toujours été leur véritable objectif, sans que
personne ne s'en aperçoive. Ce qu'ils recherchaient en premier lieu,
c'était le démantèlement de l'Église du Christ en remplaçant la
structure de l'Église telle que Notre Seigneur l'a instituée par une
nouvelle structure de « synodalité » d'inspiration diabolique qui est
en réalité une nouvelle église qui n'est en aucun cas catholique.
Nous
voyons maintenant se dérouler sous nos yeux les paroles prophétiques du
vénérable archevêque Fulton Sheen : « Parce que sa religion sera la
fraternité des hommes sans la paternité de Dieu, il établira une
contre-Église qui sera le singe de l'Église, parce que lui, le Diable,
est le singe de Dieu. Elle aura toutes les notes et caractéristiques de
l’Église, mais à l’envers et vidée de son contenu divin, elle sera un
corps mystique de l’Antéchrist qui ressemblera en tous points au corps
mystique du Christ… » (Radiodiffusion ; 26 janvier , 1947).
Avec la pression en faveur de la « synodalité », nous voyons que les
ennemis du Christ nous proposent, comme le dit l'archevêque Sheen : «
une nouvelle religion sans croix, une liturgie sans monde à venir, une
religion pour détruire une religion, ou une la politique qui est une
religion – une religion qui rend à César même les choses qui
appartiennent à Dieu.
QU'EST-CE QU'IL FAUT FAIRE ?
Une
compréhension rudimentaire de la papauté nous laisse avec la réalité
que le pape François a abdiqué sa responsabilité de servir de gardien
principal du dépôt de la foi. Chaque évêque fait cette promesse
solennelle de garder le dépôt de la foi, mais l'office pétrinien existe
avant tout pour être le gardien des gardiens et le serviteur des
serviteurs. Saint Pierre a reçu la charge qui porte son nom lorsque,
après la Résurrection, le Christ lui a demandé trois fois : «
M'aimes-tu ? et saint Pierre répondit : « Tu sais que je t'aime »,
guérissant ainsi sa trahison alors que le Christ endurait sa
Passion. Et qui est ce Jésus que Pierre prétend aimer ? Il est
bien sûr la Vérité Incarnée ; ainsi saint Pierre déclare qu'il aime la
Vérité. Cela nous laisse avec cette question : « Le pape François
aime-t-il la Vérité incarnée par Jésus-Christ ? Malheureusement, ses
actions et sa politique qui promeuvent une version relativisée de la
vérité qui n'est pas du tout la vérité nous amènent à une conclusion
dévastatrice : l'homme qui occupe la Chaire de Saint-Pierre n'aime pas
la vérité et cherche à la remodeler à l'image de la vérité.
Il
ne peut y avoir aucun évêque qui ignore les déclarations du pape
François qui constituent des dénégations sans ambiguïté de la foi
catholique. Par exemple, François a déclaré publiquement que Dieu veut
l'existence de toutes les religions et que toutes les religions sont un
chemin vers Dieu. Dans cette déclaration, le pape François a nié faire
partie intégrante de la foi catholique. Combien d'âmes seront perdues
si elles acceptent sa déclaration erronée selon laquelle toutes les
religions mèneront au salut ? Ce que je trouve si difficile à
comprendre, c'est que les apôtres des temps modernes, des hommes
ordonnés pour être les gardiens de la foi, refusent de reconnaître cela
et ignorent ou même promeuvent ce mensonge mortel. Chaque évêque et
cardinal devrait déclarer publiquement et sans équivoque que François
n'enseigne plus la foi catholique. Des âmes sont en jeu !
Par conséquent, je demande encore :
QU'EST-CE QU'IL FAUT FAIRE ?
En
tant que successeurs des Apôtres, cette situation doit obliger les
évêques de l’Église du Christ à répondre nous-mêmes à la question
centrale : « Aimons-nous vraiment Jésus-Christ, la Vérité incarnée ?
Avec un pape qui s'oppose activement aux vérités divines de notre foi
catholique, la responsabilité incombe aux évêques du monde de professer
leur propre amour pour Notre Seigneur, de garder le dépôt sacré de la
foi et de s'opposer à toute tentative de démanteler la Vérité.
Revenons
à la conversation fatidique entre notre Seigneur ressuscité et saint
Pierre. Lorsque Pierre répond : « Seigneur, tu sais que je t’aime »,
Jésus répond : « Pais mes agneaux » et encore « Pais mes brebis ».
Comment Pierre doit-il nourrir les agneaux du Christ ? Avec la Vérité
bien sûr – avec Jésus-Christ Lui-même qui EST la Vérité.
Et
pourtant, où sont ces hommes que le Seigneur a appelés pour faire
paître ses brebis ? Où sont les successeurs des Apôtres qui ont promis
de défendre les brebis au prix de leur vie ? Ils sont assis à quelques
mètres de là, se tapotant le dos, écoutant des paroles dont ils savent
sans aucun doute qu'ils ne sont pas la Vérité, gambadant dans les
ténèbres et blasphémant la Vérité même pour laquelle les premiers
apôtres sont morts.
QU'EST-CE QU'IL FAUT FAIRE ?
Vous
avez des paroles de ceux qui ont parlé dans la Sainte Écriture, de la
sagesse de la Sainte Tradition de l'Église et des conseils d'anciens
papes et d'une grande multitude de saints selon lesquels de faux
enseignants viendraient et que la sainte la foi serait attaquée, et
pourtant la plupart d'entre vous sont partis au combat sans armure, et
ont ensuite réagi comme quelqu'un de perplexe que sa peau ait été
transpercée par des flèches empoisonnées. Vous avez reçu tout ce qui
était nécessaire pour vous assurer que vos têtes ne soient pas tournées
par les mensonges de Satan. Pourquoi donc êtes-vous sortis sans
l'armure de Dieu ? Il est de VOTRE responsabilité, lorsque vous voyez
des flèches empoisonnées du mensonge tomber sur les hommes, de les
appeler et de leur dire : « Revêtez l'armure de Notre Seigneur qui est
la Vérité, et vous ne serez pas blessé. »
Et aux fidèles, je pose la même question :
QU'EST-CE QU'IL FAUT FAIRE ?
Et
si vos bergers ne se mobilisent pas ? Et s'ils avaient tous accepté
trente pièces d'argent, et qu'ils restaient silencieux face au mensonge
qui transperce encore davantage les mains et les pieds de
Notre-Seigneur ? Alors, qu'est-ce qu'il faudra pour que vous
parliez ?
Beaucoup pourraient dire que ce n’est pas votre responsabilité ;
vous pouvez vivre la Vérité tranquillement dans votre cœur. Cependant,
dire la Vérité ne peut jamais relever simplement de la responsabilité
de quelqu'un d'autre, car Dieu a gravé la Vérité dans le cœur de chaque
personne. La Vérité est donc la propriété de chacun en tant que don
sacré de Dieu. Et personne ne pourra jamais dire qu'il n'y a pas de
Vérité en eux – et jamais un homme ne pourra prétendre à juste titre
que pour trouver la Vérité, il a dû la recueillir du vent, ou qu'il ne
pouvait la recueillir que des paroles d'un autre. L'âme reconnaît la
Vérité et s'en nourrit, et ceux qui dépérissent par manque de Vérité ne
dépérissent pas parce qu'aucune part de Vérité ne leur a été donnée
dans leur propre âme.
En
fait, la Vérité a été réprimée encore et encore par une telle personne
– et on lui a si souvent dit de « se retirer » – jusqu’à ce qu’elle
n’ose plus relever la tête. Et c'est pourquoi un homme se trouve dans
un état si triste et pourquoi lorsqu'il s'écrie : « Ce n'est pas ma
faute si je n'avais pas de Vérité ou si je ne la connaissais pas quand
je l' j'ai rencontré », il parle dans l'erreur.
Notre
Seigneur Jésus-Christ, accordant le libre arbitre à ceux qu'il aime,
c'est-à-dire à chaque personne sans exception, a donné le don de la
Vérité à chacun d'entre nous, de sorte que s'il il y a une
prédisposition dans le cœur d'un homme, alors il est la propension de
l'âme à vibrer vers Sa Vérité. Par conséquent, l'âme, lorsqu'elle est
privée de la Vérité, reste en sommeil jusqu'à ce qu'elle se transforme
en quelque chose de froid et de dur. N'avez-vous pas vu comment même
les anges des ténèbres reconnaissent la Vérité et ne peuvent faire
autre chose que ce que Notre Seigneur leur commande – et pourtant ils
s'efforcent de cacher la Vérité à chaque homme, jusqu'à la damnation
éternelle de chacun ?
Alors je demande encore : QU'EST-CE QU'IL FAUT FAIRE ? VOULEZ-VOUS MOURIR POUR LUI ?
Mgr Joseph E. Strickland
Évêque émérite
»
Le
cardinal Zen confirme que la mascarade du synode n'avait comme but de détruire
l'Église et que cette dernière est maintenant « synodale »:
« I. Le Synode qui vient de s’achever ne peut être appelé « Synode des évêques ».
…
Sous le nom de Synode des évêques, le pape François a institué une nouvelle assemblée hybride….
Si tous les problèmes particuliers ont été écartés de la discussion et
ne sont pas résolus par le Synode, à quoi aboutira le Synode de
2024 ? La victoire de la synodalité ! L’Église synodale ! Une Église
inconditionnellement inclusive ! C’est-à-dire une communauté
démocratique de baptisés marchant ensemble….
L’Instrumentum Laboris de la session synodale de 2024 contient la
proposition de codifier l’autonomie des conférences épiscopales
nationales en matière de doctrine.( !)
Allons-nous devenir comme l’Église anglicane ? Nous ne serons plus
l’Église « une, catholique et apostolique » ! Nous ne serons plus
l’Église ‘sainte’, parce que sans principes moraux fiables pour
discerner entre la sainteté et le péché. Si cette autonomie avait
été approuvée, notre Église se serait effondrée. Le Seigneur ne
l’a pas permis. De nombreux fidèles, avertis du danger, ont prié. Et
ils ont été exaucés. Deo gratias.
... le Pape a déclaré qu’il reconnaissait en bloc le document de
conclusion du Synode et qu’il n’écrirait pas d’exhortation
post-synodale.
…
Non. Le Saint-Père croit aux « processus » (le temps est plus important
que l’espace). Commencer un processus plutôt que d’obtenir
immédiatement certains résultats.
Le Synode est terminé, mais le processus a commencé ! Avec ce document
final, l’Église synodale commence ; en elle, nous devons vivre !
Prions l’Esprit Saint et confions-nous à la Sainte Vierge. » (benoit-et-moi.fr) »
Mgr Vigano sur l'attitude de Bergoglio:
« ( LifeSiteNews )
— Notre Seigneur s'est associé aux pécheurs pour les convertir : pensez
à Madeleine, qui était adultère, ou à Zachée, qui était percepteur
d'impôts pour le compte de l'Empire romain. L'effet seul de la présence
du Seigneur convertit ces âmes, qui abandonnent le chemin du péché et
se convertissent à Lui. « Va et ne pèche plus. »
Le Sauveur ne cache pas la culpabilité, mais au contraire la signale
comme un obstacle au salut et à la sainteté et offre sa grâce pour
changer sa vie et le suivre. Parce que c'est le salut de l'âme que veut
le Seigneur, et non la normalisation du péché. La bataille contre le
monde, la chair et le diable se mène et se gagne d'abord en
reconnaissant l'ennemi et en s'armant pour pouvoir le renverser.
Les
connaissances de Bergoglio sont tout le contraire. Il ne s'intéresse
pas au salut des âmes, qu'il encourage en réalité au péché et au
scandale public. Sa « sympathie » pour les ouvriers d’iniquité est
affichée, tout comme son aversion pour ceux qui servent fidèlement
Notre Seigneur.
Bergoglio s'approprie l'enseignement et l'exemple de Notre-Seigneur,
s'attribuant l'autorité de déclarer ce qui est bien et ce qui est mal –
prérogative exclusive de Dieu.
Il
ne dit pas « Va et ne pèche plus », mais « Dieu t'aime tel que tu es ».
Mais il ne dit pas ça à tout l'monde ! Il existe des catégories de «
pécheurs » qui doivent changer : les rigides, les arriérés, les
catholiques qui s’opposent à l’apostasie.
Pour
Bergoglio, le péché n'est pas contre Dieu, mais contre l'anti-décalogue
de « l'Église conciliaire et synodale » et contre l'agenda mondialiste.
C'est donc impardonnable. Dieu peut être nié, offensé, blasphémé et
contredit, mais pas Bergoglio. Ce mensonge, raconté par celui qui
prétend être le Pape, trahit le mandat du Christ et la confiance des
fidèles, montrant cet usurpateur tel qu'il est réellement.
C'est ce qui rend l'action de Bergoglio non seulement frauduleuse, mais fondamentalement « antichristique ». »
On ne peut nier à la lecture de ces derniers articles que le temps
presse et qu'il y a un décompte sur le court terme pour l'ultime
période de conversion.
La
mort de l'Église nous sera donc confirmée très bientôt avec les décrets
de Bergoglio liés à la synodalité installée et, on le répète, à «
la constitution apostolique Episcopalis communio du 18 septembre 2018,
François a introduit la possibilité d’attribuer un caractère
magistériel aux documents finaux du synode. (voir analyse du 31
octobre) ».
Quand on gouverne par décrets, c'est signe qu'on est dans une dictature.
14 novembre
LA FIN DE LA PAPAUTÉ
Le rapport final du synode des synodes ne peut être compris
qu’en le comparant au plan judéo-maçonnique, puisque Bergoglio n’est
qu’un valet mis en place pour le dernier acte, le quatrième coup de
canon de Pike.
Le rapport confirme la fin de l’autorité de la papauté par le simple évêque de Rome, et l’annonce de la mort de l’église.
C’est le calendrier de l’ennemi qui dicte la fin des temps.
C’est de l’intérieur, par l’orgueil, l’égoïsme, et la haine que chutera Babylone.
NSJC attends le moment opportun afin de sauver le plus d’âmes possibles.
« P. Joachim Heimerl von Heimthal
Vous
avez peut-être aussi été surpris lorsque le pape François a déclaré
pour la première fois que la « synodalité » faisait partie de la nature
de l’Église. Après tout, à ce jour, personne ne sait ce qu’il associe à
ce terme, et il n’apparaît nulle part dans l’histoire de l’Église.
Lorsque
François a ensuite convoqué le « Synode biennal sur la synodalité »,
vous avez été peut-être encore plus surpris, et probablement aussi par
ses résultats, qui sont maintenant disponibles dans le document final.
Mais qu'est-ce qui se cache derrière tout ça ou qu'est-ce qui, selon Goethe, est « le nœud du problème » ?
En
termes simples, ce que François appelle « synodalité » n'est qu'un
système complexe de mensonges, et le « synode sur la synodalité » était
lui-même un mensonge : ce n'était pas un « synode des évêques » car un
le quart des participants n'étaient pas des évêques, mais des laïcs.
D'ailleurs,
aucun « synode des évêques » n'a d'autorité, qu'on veuille l'attribuer
au « Saint-Esprit » ou au « sens de la foi des fidèles ». C'est
d'autant moins vrai que François a occupé stratégiquement le synode ;
les résultats étaient clairs dès le départ.
Un
tel « synode » n'est qu'une chose : c'est une étiquette frauduleuse de
la part du pape, et il montre de manière choquante à quel point
François utilise naturellement le mensonge.
En
fin de compte, ce « synode des évêques » était en quelque sorte un
super mensonge, c'est pourquoi, dans notre contexte, on l'appelle «
mensonge papal numéro 1 ».
Le
« mensonge papal numéro 2 », par contre, était que François avait
toujours souligné que la « synodalité » n’était pas un processus
politique mais véritablement « spirituel ».
Qu'un
pape puisse prescrire des « épreuves spirituelles » est évidemment
douteux, car même un concile ne se considérerait pas comme une «
épreuve spirituelle ».
Cependant,
son document final démontre que le « Synode mondial » n’est pas un
processus « spirituel », mais purement politique : les résultats des
votes individuels sont énumérés point par point et les décisions sont
prises à la majorité.
Il
va sans dire qu'il s'agit d'une méthode purement politique et non
spirituelle, et cela s'applique également au fait qu'on ne peut pas
voter sur l'Église et sur la foi. Ce n'est certainement pas le cas si
l'on considère que dans l'histoire de l'Église, il n'était pas rare que
des minorités s'accrochent à la foi révélée, par exemple à l'époque de
l'arianisme .
Le
« mensonge papal numéro 3 » est cependant plus difficile à comprendre
car il concerne ce que François appelle habituellement le «
discernement ».
Selon
lui, cette « distinction » est constitutive des processus « synodaux ».
Ce que le Pape entend par « distinction » n’est pas, comme toujours,
clair. Ce qui est clair, cependant, c'est qu'à la fin du « Synode », il
a lui-même renoncé à toute forme compréhensible de distinction et, en
bref, a déclaré que les résultats majoritaires du Synode faisaient
partie du magistère pontifical.
Mais
ce faisant, il a donné au « Synode » une autorité qu’il n’a pas et
qu’aucun pape ne pourra jamais lui attribuer. Car même s'il s'agissait
d'un véritable « synode des évêques », il aurait eu au mieux un
caractère consultatif (!), et même le pape lui-même n'aurait pas pu y
changer. Il ne peut pas céder ou simplement partager avec des tiers
l'autorité qu'il a reçue du Christ.
En
d'autres mots : François a remplacé le magistère papal par un nouveau
magistère qui n'existe pas vraiment et qui se reflète dans les
résultats des votes d'un pseudo-synode des évêques. À cet égard, la
conclusion du « Synode » a été une étape historique, et le « mensonge
papal numéro 3 » s’est avéré être un acte d’arbitraire papal et une
trahison de sa propre fonction.
Cependant,
en raison du caractère systématique du mensonge, le pape s'est placé
dans une situation précaire : de nombreuses déclarations contenues dans
le document final du « Synode » sont incompatibles avec la foi
catholique.
Ils
témoignent de la rapidité avec laquelle le catholicisme s'est évaporé
et du soutien que François y apporte. Pour le dire un peu plus
grossièrement, on pourrait aussi parler d’un « synode » hérétique et
d’un « pape hérétique », ce que font désormais ouvertement de plus en
plus de catholiques.
Cette
dimension hérétique devient plus claire là où le Synode parle de
lui-même dans le document final et crée ainsi une compréhension de
l'Église qui reste purement horizontale, intra-mondaine et
communautaire.
Alors
qu'en revanche, selon l'enseignement catholique, l'Église est le
sacrement universel du salut, l'union « synodale » se rapproche ici du
« sacramentel » et trouve un parallèle sérieux avec la « célébration de
l'Eucharistie » ( voir No. .27). On avance même que l'Esprit de Dieu
agit dans le « Synode » de la même manière que dans la Sainte Messe,
qui, au contraire, s'adresse uniquement à une communauté protestante.
Le péché et la grâce ne jouent plus aucun rôle ici, le sacrifice de la
croix et la rédemption ne sont même pas évoqués.
Soyons
clairs : il n'y a aucune trace de la foi catholique ici, et si la «
synodalité » est quelque chose, alors c'est le triomphe ultime de
Luther sur l'Église.
Seul
François est responsable de tout cela en établissant un « magistère »
de mensonges et d'hérésies, et ce n'est pas la première fois.
L'objectif
de ce « magistère » est clair : François et ses disciples veulent
fonder une nouvelle Église qui ne soit plus l'Église du Christ et qui
ne soit plus dans la succession des apôtres.
Cela devient plus évident dans le problème de la soi-disant « consécration de la femme ».
Dans le document final, le « Synode » et François déclarent que l'ordination des « diacres » est une question « ouverte ».
Mais
comme bien des choses, c'est aussi un mensonge, car les apôtres n'ont
mis la main que sur les hommes, et l'Église s'est à juste titre vue
engagée au fil des siècles dans cette tradition apostolique.
C'est
pour cette raison qu'il n'y a jamais eu de « diaconesses » valablement
ordonnées et il aurait été du devoir du Pape de clarifier
définitivement ce point, au plus tard à la fin du synode.
Mais c'est exactement ce que François a choisi de ne pas faire et a plutôt approuvé le mensonge flagrant de son « Synode ».
La
question apparemment « ouverte » devrait maintenant être clarifiée plus
tard par les experts, mais cette démarche cache aussi un autre mensonge
: la foi de l'Église n'est jamais ce que pensent les experts
individuels, mais seulement ce que croit l'Église dans son ensemble, ce
que croit l'Église dans son ensemble. Cela signifie que selon la
pratique apostolique, seuls les hommes peuvent être ordonnés.
François
et son « Synode » sont loin d'être des vérités de foi aussi claires. Le
mensonge ne mène jamais à la vérité et jamais à Jésus-Christ, qui a dit
clairement devant Pilate : « Quiconque est de la vérité entend ma voix
» (Jean 18 :37). –
En
revanche, on préfère ne pas écouter la voix de François et de son
synode. Les mensonges synodaux nous éloignent du Christ et de son
Église.
Rappelons-nous : peu avant le « Synode », François lui-même a nié le
seul salut par le Christ, et avec cela TOUT a été dit sur lui et sur
son « Synode ». (stilumcuriae.com)
« les résultats majoritaires du
Synode faisaient partie du magistère pontifical … On avance même que
l'Esprit de Dieu agit dans le « Synode » de la même manière que dans la
Sainte Messe, qui, au contraire, s'adresse uniquement à une communauté
protestante. Le péché et la grâce ne jouent plus aucun rôle ici, le
sacrifice de la croix et la rédemption ne sont même pas évoqués.
Soyons clairs : il n'y a aucune
trace de la foi catholique ici, et si la « synodalité » est quelque
chose, alors c'est le triomphe ultime de Luther sur l'Église. »
Le processus synodal cache un coup d’État.
« la constitution apostolique Episcopalis communio du 18
septembre 2018, François a introduit la possibilité d’attribuer un
caractère magistériel aux documents finaux du synode. (voir analyse du
31 octobre) »
Ce n’est pas une possibilité.
Il l’a fait avec le rapport du synode des synodes.
Donc, tout confirme de plus en plus, dont le P. Joachim Heimerl
von Heimthal ci-dessus, que l’église catholique en est à son dernier
souffle puisque le rapport a un caractère magistériel.
Il s’applique.
Point.
Selon le regretté Louis D’Alencourt du Grand Réveil et les écrits d’Albert Pike, le grand pontife luciférien (voir l’article du Grand Réveil sur les coups de canons), « la lutte terrestre durera encore un an avant le quatrième coup de canon. »
Le quatrième coup de canon est l’abolition définitive de la papauté.
D’après le texte de Pike, le dernier pape « se convertira à la
religion de Lucifer et fera cause commune avec l’Antéchrist. »
« Albert Pike et le livre Apadno nous donnent une clé :
« Jérusalem tressaillira de
joie, car celui de ses fils qui pour commander aux adorateurs d’Adonaï
avait fermé les yeux à la lumière, recouvrera la vue, déposera le
triple diadème maudit et mettra son honneur à travailler à l’œuvre du
rempart de Dieu, du Dieu le meilleur et le plus grand. »
Explication : Jérusalem, dans le langage biblique, c’est l’Église.
Adonaï c’est le nom que donnent les palladistes au Bon Dieu, et celui
qu’ils appellent Dieu c’est Lucifer et la lumière c’est la sienne.
Toute la difficulté avec l’adversaire, c’est qu’il garde les mêmes
termes, mais en leur donnant un sens inversé. On retrouve donc les mots
de catholique, lumière, miséricorde, Dieu etc… mais ils n’ont pas le
même sens dans leur bouche que dans la nôtre. C’est très subtil et très
déstabilisant car ils usent des mêmes descriptions.
Diana Vaughan explique qu’il s’agit « du dernier pape des catholiques » et que « Par
le rempart de Dieu, on désigne le frère [maçon] qui occupera le
souverain pontificat luciférien, au temps de la mission publique de
l’Antéchrist ».
Voilà.
Benoît XVI a eu à déposer la tiare de force pour faire monter le frère maçon sur le trône.
Bergoglio est le destructeur.
Plus besoin de preuves.
Il court à sa perte et décédera bientôt car nous sommes dans le temps de la moisson.
Car on sait avec les dernières analyses que, et la clique
judéo-maçonnique, et les chiites provoquent la guerre pour faire venir
leurs messies respectifs.
Or, « la justice divine s’abattra sur le monde au moment où
l’Antéchrist (le Messie des juifs) apparaîtra, selon la Salette :
« Voici la bête avec ses sujets
se disant le sauveur du monde. Il s’élèvera avec orgueil dans les airs
pour aller jusqu’au Ciel ; il sera étouffé par le souffle de saint
Michel archange. Il tombera, et la terre qui, depuis trois jours sera
en de continuelles évolutions, ouvrira son sein plein de feu ; il sera
plongé pour jamais avec tous les siens dans les gouffres éternels de
l’enfer. »
La bête qui se dit le sauveur du monde et qui s’élève avec orgueil dans
le ciel : n’est-ce pas là l’exacte description de la synagogue de Satan
obtenant le pouvoir spirituel des mains du pape lui-même, comme si elle
accédait enfin à l’échelle de Jacob? »
Remarquez : la terre sera en de continuelles évolutions pour la purification par le feu.
Trois jours.
Comme prophétisé par le Padre Pio.
C'est donc dire que nous approchons rapidement da la mort de l'Église et des deux témoins de l'Apocalypse.
À la neuvième heure, comme le Christ au vendredi Saint, l'Église, avec toute l'humanité ira au tombeau pour trois jours.
On compte maintenant en termes de mois, semaines et puis jours.
Ce qui est confirmé dans les prophéties de Jean XXIII :
- la terre détruira le ciment (prophétie concernant Benoît XVI)
- L’Asie en flammes (prophétie La Foudre en Plein Jour)
- Dieu a déchaîné la guerre de la nature pour empêcher la guerre des hommes. (prophétie Grand Éclair à l’Orient)
Il est clair que la terre entrera en convulsions.
D’ailleurs, il y a 69 volcans actifs présentement, beaucoup plus que la moyenne de 45 des dernières années.
Louis D’Alencourt :
« Sur le calendrier de l’Antéchrist
Le livre Apadno continue :
« Mais il y aura encore des
millions d’aveugles, le rameau d’olivier se changera en épée, et la
lutte terrestre durera un an, jusqu’au quatrième coup de
canon, qui sera tiré dans l’île de la vengeance. »
Là c’est intéressant car nous apprenons qu’il leur faudra encore un an avant de se déclarer vainqueurs.
Diana Vaughan explique :
– « Le quatrième coup de canon, c’est l’abolition définitive du pouvoir spirituel de la papauté chrétienne » ;
– « L’île de la vengeance, c’est l’île de Malte
» . Pourquoi Malte ? Parce que les palladistes estiment que les
chevaliers de l’ordre de Malte, rivaux des Templiers, ont obtenu après
leur disgrâce la plus grande partie de leurs richesses. » (legrandreveil.com – le plan de satan)
Un an.
C’est le délai nécessaire pour faire accepter l’abolition de la papauté
à la petite cuillère, sans provoquer trop de remous, par l’application
des rapports des dix comités du synode à venir.
« Le rameau d’olivier se changera en épée » et il y aura lutte terrestre; pour faire adhérer les « millions d'aveugles ».
C’est bien une référence à la guerre.
Pour les prochains mois, semaines, sinon jours?
Netanyahou a avertit l’Iran qu’au prochain missile tiré vers Israël,
ces derniers attaqueront les sites nucléaires et pétroliers iraniens.
Le futur président américain a donné son aval.
Les bombes nucléaires israéliennes sont dissimulées dans des
sous-marins afin de les soustraire à l’intelligence militaire
ennemie :
« Selon des sources étrangères, Israël possède entre 80 et 200 armes
nucléaires, y compris la capacité de tirer depuis des sous-marins, ce
qui rend presque impossible la destruction de toutes les armes
nucléaires signalées par Israël lors d'une première frappe sur son
territoire . (jesuralempost.com)
Quels sont les liens avec les prophéties de Jean XXIII?
Plusieurs.
N’oublions pas que les prophéties « Grand Éclair à l’Orient », « Le
Temps est Proche « et la « Foudre en plein jour » sont toutes reliées à
un éclair, de la foudre.
La
foudre en plein jour, de l’Orient, lorsque l’Islam sera divisé, avec le
premier jour de malheur d’Europe, lorsque l’ennemi partira de la «
petite île de la Méditerranée ».
Le
grand éclair à l’Orient où la terre frisera le massacre, où les
véritables assassins sont en Europe et veulent la Méditerranée.
Le temps est proche ou la chute de Babylone où « Dieu a déchaîné la guerre de la nature pour empêcher la guerre des hommes.»
Les prophéties de l’Église :
Concernant
François où « Le grand frère d'Orient fera trembler le monde par la
croix renversée sans les lis. », donc la guerre et où la mère est
devenu orpheline.
Concernant la prophétie #11 « Le 7ème sceau » : il y a guerre entre les peuples et dans l’église.
Le
grand éclair à l’Orient représente probablement le signe des trois
jours de noirceur : le signe de Jonas, le seul signe que nous
aurons.
Ou selon Malachi Martin qui avait prédit un signe dans le ciel, à l’est, selon ce qu’il avait lu du troisième secret de Fatima.
Il affirmait que le signe dans le ciel nous montrerait que Dieu existe
quant il déclara en 1997 que « le grand facteur déclenchant aura lieu
dans le ciel. Observez toujours le ciel. Le signe de la
Vierge apparaîtra dans le ciel, et c’est pour bientôt. D’ici les
10 ou 20 prochaines années. Ce sera un choc pour tout le
monde. Cela montrera que Dieu existe. Lorsqu’un jour de printemps, vous
verrez dans le ciel un signe, comme une aurore boréale, tout
commencera… »
C’est
un signe de la Vierge donc de la dame de l’Apocalypse avec les deux
pieds sur la lune : « Puis il parut dans le ciel un grand
signe : une femme revêtue du soleil, la lune sous ses pieds, et
une couronne de douze étoiles sur sa tête ».
Jean
XXIII utilise les termes suivant dans la prophétie du 7ème sceau :
« Attendez le signe de Jean. L'agneau est prêt. Signez-vous sept fois
avec une main fatiguée et attendez. La lumière vient encore de
l'Occident. »
Le signe de Jean : la dame de l’Apocalypse ou l’image de Notre-Dame de Guadelupe.
La Vierge Marie voile le soleil de son manteau et la lune des ses pieds.
Padre Pio dans la prophétie des trois jours de noirceur confirme que le soleil sera voilé par un matin froid d’hiver.
Malachi Martin parle d’un jour de printemps.
Puisque cela confirmera l'existence de Dieu, ce ne peut qu'être qu'un phénomène divin.
Le Jubilé 2025 est la dernière chance de conversion.
Une grâce de Dieu quoiqu’en fasse les faux prophètes au Vatican.
« Car, comme l'éclair part de l'orient et brille jusqu'à l'occident,
ainsi en sera-t-il de l'avènement du Fils de l'homme. » (Matthieu 24,
27)
11 novembre
« Je tiens à vous dire que le peuple juif a une longue mémoire ;
nous nous souvenons donc de la proclamation du grand roi Cyrus le
Grand, le roi perse, il y a 2 500 ans. Il a proclamé que les exilés
juifs à Babylone pouvaient revenir et reconstruire notre Temple à
Jérusalem.
Nous nous souvenons qu'il y a cent ans, Lord Balfour a publié la
proclamation Balfour qui reconnaissait les droits du peuple juif sur sa
terre ancestrale.
Nous nous souvenons qu'il y a soixante-dix ans, le président Harry S.
Truman a été le premier dirigeant à reconnaître l'État juif.
Et nous nous souvenons qu'il y a quelques semaines, le président Donald
J. Trump a reconnu Jérusalem comme capitale d'Israël. Monsieur le
Président, notre peuple s'en souviendra à travers les âges. » (Benjamin
Nétanyahou - voir analyse du 28 octobre)
Effectivement, le futur président Trump a déjà eu plusieurs
conversations depuis son élection avec le premier ministre israélien
concernant la Palestine et l’Iran.
Il a clairement confirmé qu’il ressaiera l’étau sur l’Iran par des
mesures économiques encore plus drastiques, tout en affirmant qu’il est
hors de question que l’Iran accède à la bombe nucléaire.
« Ces derniers jours, Nétanyahou a eu trois conversations téléphoniques
avec Trump. De quoi ont-ils discuté? Entre autres d’attaques contre les
installations nucléaires iraniennes.
«Nous
sommes d’accord sur la menace iranienne dans tous ses aspects et sur le
danger qu’elle pose», a déclaré hier le premier ministre israélien.
Nétanyahou
vient aussi de nommer un nouveau ministre de la Défense, Israël Katz.
Ce dernier a déclaré que la destruction des infrastructures nucléaires
iraniennes était sa priorité… » (journaldemontreal.com)
Ainsi, « Les responsables de la Défense craignent que l'Iran n'agisse contre Israël avant le retour de Trump à la Maison Blanche
Les
services de renseignement ont commencé à intensifier le partage de
renseignements et les évaluations de la situation avec l’armée
américaine pour éviter de négliger des développements critiques.
Des
inquiétudes ont été exprimées au sein de l’establishment de la défense
israélienne quant au fait que l’Iran pourrait tenter
d’exploiter la période précédant le retour au pouvoir de l’ancien
président américain Donald Trump pour agir contre Israël.
Les
services de renseignement ont commencé à intensifier le partage de
renseignements et les évaluations de la situation avec l’armée
américaine pour éviter de négliger des développements critiques.
Les
responsables soulignent que les dirigeants politiques israéliens
doivent comprendre la politique iranienne proposée par Trump pour
façonner leur propre stratégie militaire et diplomatique. Plusieurs
membres de la communauté de la défense estiment que les efforts
diplomatiques visant à freiner les ambitions nucléaires de l'Iran « ont
atteint leur terme ».
Certains
responsables de la défense rappellent la déclaration de Trump lors
d'une récente convention : « L'Iran n'aura pas d'armes nucléaires »,
tout en ajoutant que s'il était élu, il viserait à mettre fin aux
guerres plutôt qu'à à en déclencher de nouvelles. Des questions
demeurent quant à ses méthodes envisagées.
Lors
de discussions privées, des sources ont déclaré que Trump avait confié
à ses associés que s'il avait eu quelques mois de plus au cours de son
premier mandat, il aurait imposé des sanctions supplémentaires pour
déstabiliser l'économie iranienne. Maintenant, la question pour Israël
est de savoir si le gouvernement du premier ministre Netanyahu
s'alignera sur Trump sur une nouvelle série de sanctions contre l'Iran
ou s'il fera pression en faveur d'une initiative militaire plus large
ciblant les installations nucléaires iraniennes.
Jusqu'à présent, Trump n'a pas fourni de politique détaillée sur le programme nucléaire iranien... » (jerusalempost.com)
Il ne reste pas beaucoup de temps pour se convertir au Christ.
Le 24 décembre prochain, s’ouvrira le Jubilé 2025.
Ce jubilé, c’est l’occasion de faire pénitence en se remémorant les 2025 années depuis la naissance du Christ.
Le symbole approprié d’un jubilé est l’ouverture des portes saintes, et
non un logo aux origines douteuses, ni à une mascotte issue des pires
valeurs inversées du système antichrist pour justement, séduire la
jeunesse selon le Vatican.
La porte est l’image temporelle de l’ouverture de la porte spirituelle qu’est le Christ, qui mène au Salut.
Le pénitent durant le Jubilé confirme son baptême en reconnaissant la seule porte valable, le Christ.
En 2024, année où tout bascule, c’est une donc une porte spirituelle qui s’ouvre.
Une étape cruciale de la fin des temps menée par la Sainte Vierge pour le retour de son Fils.
Mais le Vatican ne l’entends pas ainsi.
Le Jubilé 2025 sera l’occasion de célébrer le synode des synodes, avec
le dépôt des rapports des dix comités sur les questions brûlantes du
synode pour la fin juin, en plus des surprises que nous réservent
Bergoglio, tel l’interdiction de la messe tridentine et l’annonce d’une
nouvelle messe œcuménique.
2025 est donc l’année du choix.
Pour ou contre le Christ.
Effectivement, on le répète, tout doit être conclu avant mai 2026 si la
prophétie de Don Bosco est véridique, c’est à dire le retour du Lys de
paix avant mai 2026.
Rappelons que pour le jubilé 2025, Bergoglio a créé une Commission pour
les témoins de la foi qui fait référence au grand jubilé de Jean-Paul
II de l’an 2000, où il a voulu mettre en lumière ces hommes et ces
femmes qui, bien que non canonisés, ont manifesté avec force leur foi.
« Qui sont les témoins de la foi?
Permettez-moi de donner un exemple: celui qui me vient immédiatement à
l’esprit est Dietrich Bonhoeffer (1906-1945), un théologien et pasteur
d’église luthérien qui a été tué parce qu’il s’opposait au nazisme.
L’Église ne le proclame pas martyr parce qu’il n’était pas catholique. »
«Dans un monde où il semble parfois que le mal l'emporte - conclut
François - je suis certain que l'élaboration de ce catalogue, également
dans le contexte du Jubilé imminent, aidera les croyants à lire notre
époque à la lumière de Pâques, en puisant les raisons de vivre et de
faire du bien dans le trésor de la fidélité généreuse au Christ». (vaticannews.va)
C'est encore l'utilisation du double sens, de l'ambiguïté bergoglienne.
Il
utilise « à la lumière de Pâques » et saisit l'occasion en 2025
pour inviter à progresser « vers l’unité visible », en s’accordant sur
la date de Pâques, que catholiques et orthodoxes célébreront le 20
avril en 2025, pour promouvoir l'oecuménisme.
On célèbre donc tout autant le protestantisme lors du Jubilé, en fait, l’humanisme.
Car le thème principal du Jubilé 2025 « pélerins de l'espérance » est l'oecuménisme.
C’est ce qu’on constate en examinant le calendrier des célébrations du Jubilé (holyart.fr).
C'est
ce qu'on constate avec l’itinéraire européen, un des trois itinéraires
de pèlerinage proposés à Rome. qui aura un caractère œcuménique, le
Jubilé coïncidant avec les 1700 ans du Concile de Nicée (325), premier
concile christologique.
Les pères conciliaires de Nicée n'auraient sûrement pas été d’accord avec cette récupération œcuménique.
Ainsi
les 28 églises et basiliques de cet itinéraire comptent des églises
non-catholiques, comme l’église San Teodoro du patriarcat orthodoxe
grec, ou encore l’église luthérienne allemande.
Ce
n’est que la suite du synode de la miséricorde infinie de 2016 pour
l'humanisme, où tous doivent être inclus, Bergoglio éliminant à cette
occasion la notion de péché.
Le Jubilé 2025 n’est pas représentatif des Jubilés passés.
Il n’est pas représentatif de l’Église catholique.
Tout comme le synode des synodes.
Mgr Joseph Stickland :
« ( LifeSiteNews
) — L'évêque Joseph Strickland a adressé une réprimande cinglante au
Synode sur la synodalité tout en appelant les catholiques à s'opposer à
ceux qui suivent les traces de Judas Iscariote.
« Il y a des menaces à l’horizon. Ce Synode sur la Synodalité, je le
rejette, parce qu'il n'est pas catholique. De nombreuses voix ont déjà
dit que ce n'était pas l'Église catholique », a fait remarquer Son
Excellence lors de la couverture de la soirée électorale de LifeSite,
mardi soir. "Nous sommes à une époque où Judas Iscariote lève sa
vilaine tête."
Tout en exhortant les catholiques à travers les États-Unis à «
être forts et joyeux dans la vérité », Stickland a en outre
déclaré à l'animateur John-Henry Westen qu'il s'agissait d'un « moment
critique pour cette nation et… pour l'Église universelle » car il y a «
des menaces pour cette universalité ». qui viennent malheureusement de
Rome même, du Vatican.
«
Nous sommes en territoire dangereux pour cette nation, mais plus
important encore, et de manière plus critique, je crois, pour la foi
catholique », a-t-il poursuivi. « La foi catholique, l'Église
catholique, ne s'effondrera pas. Le Christ a promis qu'il prévaudrait
contre les portes de l'enfer jusqu'à la fin des temps. Mais « s’il
s’agit de nous opposer à un prêtre, à un évêque ou à quelqu’un du
Vatican qui proclame un faux message, nous devons être des disciples
suffisamment forts de Jésus-Christ pour dire : « Non. On vit la vérité
qui est Christ. Il est la vérité incarnée.
Strickland
a maintenu un profil public actif depuis qu'il a été démis sans
cérémonie par le pape François de son poste d'évêque de Tyler, au
Texas, pour son soutien à la messe latine, entre autres
choses. Il a pris la parole au Forum sur la vie de Rome cette
année et a continué à fournir des conseils pastoraux aux catholiques à
la recherche de conseils fiables sur un large éventail de questions. En
août, il a publié une déclaration énergique rappelant les
prétendues paroles de Notre-Dame de Fatima selon lesquelles il y aurait
« une apostasie qui commencerait au sommet » de l’Église.
Strickland
a aussi dit à Westen que Judas Iscariot voulait « une fraternité
mondiale des hommes », mais qu'un tel « royaume sur terre » était «
contraire à ce que Jésus-Christ a proclamé ».
«
Nous avons l’occasion de combattre les ténèbres, le mal et les faux
messages qui affectent et infectent même l’Église », a-t-il expliqué.
«
On doit devenir forts. On doit être clairs. Nous devons prendre la
parole et ne permettre à personne en poste ou en chaire de dire quelque
chose qui n'est pas fidèle au Christ et laisser tomber cela.
Strickland
a en outre appelé les catholiques à prier devant le Christ dans le
Saint-Sacrement et à « arrêter de faire des compromis » avec ceux
qui sèment l’erreur et à « proclamer clairement quelle est cette vérité
parce que trop de gens se trompent » .
6 novembre
L’EMPEREUR EST DE RETOUR
Difficile d’imaginer ce dénouement il y a quelques années lors
de la défaite de 2020 qui changeait la donne quant à la prophétie
politique « Le temps est proche » où deux empereurs qui occupent le
pavé géopolitique vont à leurs déchéances en même temps...
Que la guerre interne au Vatican.
Cette victoire de Trump ramène donc l’empereur et signifie donc une
chose : nous entrons dans une ère de chaos et de vengeance.
La dominance mondiale des États-Unis va s’effriter rapidement pour mener à la chute de Babylone.
Ce sera très rapide, comme l’affirmait le regretté Louis D’Alencourt du Grand Réveil dans ses analyses.
Pourquoi?
L'explication de Louis:
«
Que ce soit une sorte de sauveur remplaçant Biden au pied levé avant ou
après son élection, je pense que cette nouvelle ère sera mort-née et
que l’Amérique est déjà condamnée, car si contre toute attente Trump
est élu, la situation sera insupportable pour le comité des 300, tous
leurs projets annoncés tombant à l’eau, donc ils sont capables de tout
envoyer en l’air, et si Trump n’est pas élu, le pays basculera dans la
guerre civile, les Républicains refusant certainement la triche pour
une seconde fois. » (grandreveilwordpress.com - Projet 47)
L'élite judéo-maçonnique ne peut attendre trop longtemps.
Leur messie doit venir par un sacrifice sanglant, le sacrifice de l'humanité pour la survie de l'élite et sa progéniture.
Les
faucons israéliens montent déjà aux barricades et demandent l'attaque
immédiate avant la date du 20 janvier 2025, date de passation des
pouvoirs entre présidents. (clin d'oeil au Projet 47: Satan singe Dieu
et il y 77 jours entre la date du 5 novembre et le 20 janvier 2025)
Ils veulent profiter du fait que Biden a les mains liées.
Comme signe potentiel allumant le chaos: la prophétie « Grand Éclair à l’Orient » a comme
particularité d’être précédée par l'assassinat d’un « chef » au sud ou
dans le sud des États-Unis.
« Grand Éclair à l’Orient » ne signifie pas nécessairement que c’est l’issue d’une explosion créée par l’humain.
Dieu agit et dans un monde où le surnaturel a été chassé, quoi de mieux
que d’avoir une intervention divine pour montrer qu'Il existe, et pour
une purification par le feu comme c’est annoncé.
On penche depuis longtemps pour une tempête majeure du soleil dans nos
analyses mais qui sait ce que notre système cosmique peut encore nous
réserver?
D’ailleurs, en cette confirmation électorale américaine, la complexité
des taches solaires faisant face à la Terre a tellement augmentée
rapidement, que la NOAA a augmenté la probabilité d’une tempête majeure
de classe X à 35%.
Du jamais vu depuis belle lurette.
Normalement, cela tourne autour de 10%.
Cette tache n'a pas mis de temps à produire.
Une éjection de classe X2 a eu lieu quelques heures après le lancement de l'alerte.
Tout cela juste après le synode des synodes qui comme on l’a laissé
entendre signifierait la mort de l’Église, Une, Catholique et
Apostolique.
Mgr Eleganti concernant le rapport du synode :
« ( LifeSiteNews
) — L'évêque suisse Marian Eleganti a averti que la décentralisation
espérée du Synode du Vatican sur la synodalité de « l'enseignement et
de la discipline » catholiques « serait la fin de la catholicité de
l'Église ».
Dans un article récent publié sur le site Web d'Eleganti, il a souligné
le fait que, comme le pape François et les principaux religieux du
synode l'ont signalé à plusieurs reprises, l'un des résultats souhaités
du synode est une « régionalisation culturelle de l'enseignement et de
la discipline » de l'Église en contradiction avec sa pratique éternelle.
« Une condition préalable à cela est une amélioration de l'autorité
doctrinale des conférences épiscopales (Dieu nous en préserve !) », a
écrit Eleganti. "Ce serait alors la fin de la catholicité de l'Église
si les choses étaient différentes en Pologne qu'en Allemagne ou en
Afrique."
Le mot « catholique » signifie universel – ainsi, la « régionalisation
de l’enseignement et de la discipline » porterait effectivement
atteinte à la catholicité, ou à l’universalité, de l’Église… »
Et comme on le sait depuis longtemps, la messe est en jeu.
Le cardinal Gadecki confirme qu’on discute ardemment d’une nouvelle
liturgie au Vatican, avec une « nouvelle vision » de l’Eucharistie. (vidéo sur ce sujet ici).
Une célébration plus synodale et moins centrée sur le prêtre.
Centrée sur l’humain avec une expérience plus participative.
C’est exactement la conclusion du synode amazonien, qui est entré dans
une phase expérimentale de trois ans juste avant le synode 2024.
Et c’est exactement ce que permet le rapport du synode 2024 confirmant
les soupçons que les évêques ont maintenant le pouvoir de faire la
liturgie comme ils l’entendent, pour plaire à la base, au bon peuple.
L’église s’est convertie.
Protestantisée.
Humanisée.
« … il ne fait aucun doute que la transformation de l’Église catholique
est presque achevée, et qu’elle doit finir soit par une réforme du
sacerdoce, soit par une réforme de la messe supprimant la Présence
Réelle, soit les deux.
Je soupçonne Rome de préparer ce projet de réforme de la messe en
cachette afin de bénéficier de l’effet de surprise pour l’imposer d’un
coup et autoritairement.
La mutation de l’Église catholique sera terminée, elle sera réellement
morte, accomplissant doublement les prophéties, à savoir le lynchage de
la grande Prostituée (l’Eglise conciliaire) et la mort des Témoins (la
Tradition).
Ainsi l’Église aura achevé en totalité sa Passion, mort incluse.
Qu’on se rassure, la durée au tombeau est courte et on en connaît l’issue : la Résurrection.
Pour quand toutes ces choses-là ? Très vite après la mort de Benoît XVI, celui qui les retient. Celle-ci
ne saurait tarder.
Louis d’Alencourt, le 8 juillet 2022, en la fête de sainte Elisabeth du Portugal » ( La réforme de la messe, plan secret du Vatican
- grandreveilwordpress.com)
C’est cette période de chaos annoncée pour tenter de mettre en place le messie judéo-maçonnique.
Ainsi, Armageddon et la modification liturgique pour tenter d’éliminer la présence réelle vont de pair.
Aucune surprise ici.
Le temps est définitivement proche.
4 novembre
PROJET 47 : LE JOUR D’AVANT
Les juifs attendent toujours un messie temporel qui
viendra les délivrer pour leur donner la terre promise, c’est à dire le
pouvoir sur le monde, et les délivrer de la Rome moderne, alors que les
chiites, Iran en tête, attendent le mahdi qui les délivrera d’Israël et
du monde occidental, États-Unis en tête.
Le fonds de l’histoire est religieux.
La situation au Moyen-Orient est critique et chacun des deux
belligérants pensent en sortir vainqueur parce que justement c’est une
question de religion, quitte à tout détruire pour repartir à neuf.
C’est l’histoire du phœnix, la « grande réinitialisation », Tikoun Olam
(voir analyses précédentes) qui guident la clique judéo-maçonnique,
pour un monde unipolaire, ou multi polaire, selon les clans anglo-saxon
ou russe respectivement.
Pour arriver à cette fin, il leur faut organiser un grand chaos mondial
pour faire accepter le messie « humaniste » à tous, qui n’est pas un
être physique en soi, mais un système car le peuple juif (lire ici la
clique judéo-maçonnique) dans leur conception, est le messie, seul
peuple prêtre entre les goys et Dieu.
Une journée avant les élections américaines et la finalité du projet 47
si cher au regretté Louis D’Alencourt du Grand Réveil, où en sommes
nous?
L’Iran constatant que les dommages de la dernière attaque israélienne
sont plus importants qu’estimés en partant, a décidé qu’elle lancera
une nouvelle attaque, peut-être à partir de l’Irak.
« Le guide suprême iranien, l'ayatollah Ali Khamenei, a menacé Israël,
promettant une « réponse écrasante » aux représailles d'octobre.
L'Iran prévoit une attaque complexe contre Israël, qui pourrait
inclure des missiles dotés d'ogives de grande puissance, selon un
article du Wall Street Journal publié lundi , citant des
responsables arabes et iraniens.
Le rapport note que l’armée iranienne serait également impliquée dans cette série potentielle d’attaques.
« Nos militaires ont perdu des gens, ils doivent donc réagir », a affirmé un responsable iranien.
Il aurait ajouté que l'attaque, probablement axée sur des cibles militaires israéliennes, serait plus agressive.
Le
responsable iranien a en outre ajouté que la réponse de la République
islamique viendrait après les élections américaines, mais avant
l'investiture en janvier d'un nouveau président. » (jerusalempost.com)
Et vendredi, les États-Unis ont annoncé de nouveaux déploiements
d’avions de combats et de bombardiers, incluant des moyens de défense
contre les missiles balistiques.
Tout en avertissant désormais Téhéran « qu’ils « ne seront pas en
mesure de retenir Israël » si la République islamique riposte, ont
déclaré samedi à Axios des responsables américains et israéliens.
« Nous avons dit aux Iraniens : nous ne pourrons pas retenir Israël, et
nous ne pourrons pas garantir que la prochaine attaque sera calibrée et
ciblée comme la précédente », a déclaré le responsable américain. »
(zerohedge.com)
Il est donc clair que les américains avaient demandé à Israël d’y aller avec une riposte modérée le 26 octobre dernier.
Les indices sont donc évidents que la porte du chaos ouvrira pleinement suite à l’élection américaine demain.
Pour les prophéties de Jean XXIII, c’est le « Grand Éclair à l’Orient »
où une frappe arrivera par surprise (Israël attaquera-t-elle avant,
sachant que l’Iran a confirmé la semaine passée qu’il se lance dans
l’armement nucléaire?) et que la terre frisera le massacre, tout en
enflammant l’Europe au passage.
Lorsque L’Europe demande à tous 72 heures de stocks d’autosuffisances, c’est qu’il y a anguille sous roche (insolentiae.com)
C’est la chute prévue de Babylone dans le calendrier de la fin des
temps de l’Apocalypse, et des deux Babylone de Jean XXIII dans la
prophétie de Benoît XVI : « La terre détruira le ciment »
Ce sera aussi la « guerre de la nature » de la prophétie politique #32
« Le temps est proche » où deux empereurs règnent, et qui vont à leurs
déchéances.
Pour nous chrétiens catholiques qui font partis des « deux témoins »
fidèles à la Loi et aux Prophètes, la chute de Babylone est le signe
d’une grande épuration avant la seconde venue de NSJC.
C’est le châtiment des méchants, la délivrance de ce monde pourri.
C’est la séparation du bon grain de l’ivraie.
C’est l'important d'avoir conservé la Foi comme demandé dans la parabole des vierges folles.
Notre seule arme est le Rosaire.
La seule attitude à avoir est de se retirer de Babylone par la prière comme l’a indiqué le Christ en Matthieu 24.
Le signe de Jonas, le seul que nous aurons, approche.
Gardons la Foi et l’Espérance.
Nous rajoutons des liens de la prière du premier samedi du mois et du Saint Rosaire en début de page ci-haut.
2 novembre
Réaction du cardinal Burke sur le rapport final du synode des synodes :
« CITÉ DU VATICAN ( LifeSiteNews )
— Le cardinal Raymond Burke a déclaré que les propositions du Synode
sur le document final de la synodalité sont « extrêmement gênantes et
dangereuses »…
Le document, adopté par le pape François plutôt que d'être utilisé pour
rédiger une exhortation apostolique, contient des plans pour une
gouvernance laïque accrue, une liturgie synodale, et soutient que le
diaconat féminin est une question qui « reste ouverte ».
Mais Burke a critiqué l'événement et le texte, réitérant son argument
de longue date selon lequel le synode a un objectif indéfini : «
Personne n'a été capable de définir ce qu'est la synodalité – c'est
devenu une sorte de lieu réservé pour avancer.
François ayant adopté le document final du synode dans le magistère
papal, cela signifie que l'organe consultatif – composé de clercs et de
laïcs – est en fait devenu un organe d'enseignement. Burke a rejeté
l'idée selon laquelle le synode est une « marque essentielle de
l'Église », tout en admettant qu'il reste une place appropriée pour la
consultation au sein de la sphère ecclésiale :..
Le document final du synode a lancé un appel fort à la mise en œuvre
d'un rôle accru des laïcs à travers l'Église, notamment en ce qui
concerne la gouvernance. Certaines limites supplémentaires seraient
également imposées au pouvoir papal, le document affirmant qu'un pape
ne peut pas « ignorer une direction qui émerge d'un discernement
approprié au sein d'un processus consultatif, surtout si cela est fait
par des organismes participatifs ».
Interrogé par Arroyo sur ces commentaires, Burke a déclaré que « les
gens qui font ce genre de propositions devraient être capables
d'exprimer de manière articulée, claire et compréhensible pour les
fidèles catholiques ce que cela signifie, sinon c'est un discours très
dangereux "… »
Bref, ce rapport confirme que c’est bien la mort de l’église, la
structure de décision se laïcisant est un démantèlement annoncé, à la
sauce du synode amazonien.
« Une liturgie synodale » confirme le cardinal Burke.
La liturgie est bien en jeu contrairement à ce qu’affirmait le cardinal
Hollerich à la fin du synode: « Interrogé sur ce point lors du briefing
synodal de samedi soir, Hollerich a déclaré qu’il n’y avait aucun
projet de « révolution » liturgique. »
Pour ceux qui se demande ce qui est arrivé avec la comète de la fin du
synode, et bien, à l’image de la fausse église qui disparaîtra avec la
venue de la Lumière , elle s’est évaporée à l’approche du soleil.
01 novembre
Il semble finalement que l’Iran frapperait Israël prochainement, peut-être avant les élections américaines.
«
Les renseignements israéliens suggèrent que l'Iran se prépare à
attaquer Israël depuis le territoire irakien dans les prochains jours,
peut-être avant l' élection présidentielle américaine du 5
novembre, a rapporté jeudi Axios, citant deux sources israéliennes non
identifiées.
L'attaque
devrait être menée depuis l'Irak en utilisant un grand nombre
de drones et de missiles balistiques , ajoute le rapport
Axios.
Le rapport indique que mener cette attaque par l'intermédiaire de
milices pro-iraniennes en Irak pourrait être une tentative de Téhéran
d'éviter une nouvelle attaque israélienne contre des cibles
stratégiques en Iran.
Plus tard jeudi, un article du New York Times , citant trois
sources iraniennes, a déclaré que l'ayatollah Ali
Khamenei avait déjà ordonné lundi au Conseil suprême de sécurité
nationale iranien de se préparer à frapper Israël… » (jerusalempost.com)
C’est donc dire qu’Israël répondrait par une attaque sur les sites les
plus importants d’Iran, c’est à dire les industries pétrolières et
nucléaires, comme l'avait annoncé le chef de l'IDF.
C’est bien le scénario du « Grand Éclair à l’Orient » de Jean XXIII qui se dessine à l’horizon.
Du côté de l’Église, les derniers articles sur le synode confirme que Jésus n’est plus au centre de l’Église.
L’Église semble morte.
C’est ce qu’atteste le document final du synode des synodes.
Puisque la conclusion du synode n’est que du vent, alors pourquoi avoir prolongé le synode jusqu’en 2024?
Pour célébrer via le Jubilé 2025.
Il n’y aura pas d’exhortation apostolique.
Pourquoi?
Cette
manière de faire permet d’éliminer la dimension verticale des prises de
décisions (via le pape, les cardinaux, les évêques,…) et laisse le
libre choix aux paroisses de faire la liturgie et leur pastorale en
pigeant dans les principes du rapport final pour s’adapter à la réalité
de l’ « esprit missionnaire » woke qui fait l’affaire des fidèles.
Notez qu’il y a eu plus de 1200 amendements entre la première mouture du rapport et la version finale.
Ces
amendements n’ont pas été inclus mais pourraient l’être selon le désir
de Bergoglio et les conclusions des comités d’ici juin 2025.
Est-ce la 9ème heure qui vient de sonner?
L’Église est-elle au tombeau pour 3 jours?
Qu’est-ce que cela représente en terme de temps?
Voici d’autres réflexions sur la conclusion du synode, c’est à dire la mise en œuvre de l’agenda woke via la base :
«
Père Gilles Routhier, quelle est la signification de cette annonce de
François de ne pas faire suivre le synode d’une exhortation apostolique?
L'exhortation
apostolique risquait de clore le synode, alors que le document final
fait un pont entre ce que nous avons vécu pendant trois ans et la
prochaine étape qui est l'étape de mise en œuvre. Il ne s'agit pas de
clore. Il s'agit de dire, maintenant, que nous passons à une autre
phase toute aussi importante. Sinon ça resterait une exhortation
apostolique de plus. Ça aurait fait un beau livre sur les étagères
d'une bibliothèque.
Quelle lecture faites-vous de cette décision du Pape François, de cet
exercice de l'autorité, en décidant précisément de ne pas recourir à ce
qui était l'habitude, après un synode, une exhortation post-synodale?
Le Pape souhaite donner aux Églises locales la responsabilité qui est
la leur de mettre en œuvre les conclusions du synode. On demande, on
suggère aux conférences épiscopales de faire quelque chose de ce
document final, pour qu’il soit, en quelque sorte, une carte pour la
route à suivre. On est toujours en route, on ne s'arrête pas.
Est-ce que cette décision du Pape François a une dimension œcuménique?
En un sens, oui. Et les observateurs ou les délégués fraternels ont
aimé participer à cet exercice parce qu'ils voient eux aussi qu'il y a
quelque chose qui est en train de bouger dans l'Église catholique. Je
pense que ce qui est en train d'advenir est quelque chose
d'irréversible. On ne pourra pas retourner en arrière. (vaticannews.va)
On croirait entendre Bergoglio : aucun retour en arrière.
Évidement puisqu'il y a contrainte de temps pour rencontrer les exigences de l’Agenda 2030.
Le religieux et le politique doivent fusionner.
«…
Avec la dernière session du faux Synode des évêques sur la synodalité,
l'évêque de Rome a franchi une nouvelle étape dans son objectif
d'éradiquer de l'Église catholique son fondateur, chef suprême de
l'institution qu'il a fondée sur la base de son sang et de celui dans
lequel le jésuite argentin se croit le chef suprême, au-delà des
paroles pieuses et des gestes « d'humilité » qu'il exerce publiquement,
pour déguiser la poigne de fer avec des gants de velours qui
accompagnent son gouvernement despotique, démasculinateur et
pro-homosexuel.
Le
spectacle du Synode sur la Synodalité 2024 est terminé, dont les
conclusions ont été présentées dans un Document final qui, pour
la première fois dans l'histoire des synodes des évêques, a remplacé
l'Exhortation apostolique publiée par les Pontifes régnants afin
de recueillir et tenir compte des conclusions de chaque
Synode.
Mais
dans ce cas, JMB a décidé que le Document remplace l'Exhortation qu'il
devait rédiger, car il contient « des indications très concrètes qui
peuvent guider la mission des Églises, dans les différents continents,
dans les différents contextes », ce qui c'est pourquoi qui a décidé de
« le rendre désormais accessible à tous », comme l'enseigne
l'enseignement ecclésial.
Mais
en agissant ainsi, de manière très sibylline, l’évêque de Rome a
transformé l’un des trois axes de la Révélation, en introduisant comme
magistère ecclésial les conclusions d’une assemblée « synodale », en
elle-même hétérogène et insignifiante. C'est-à-dire qu'il a été
constitué par le jésuite argentin dans « l'enseignement ecclésial »,
dans le cadre de la Révélation, ce qu'un petit groupe de personnes
éclairées « par l'Esprit » a erré pendant près d'un mois comme
expériences de vie, encouragées par un compagnon qui les faisait
réfléchir, à la manière des Exercices Spirituels Ignatiens
. À la différence que ces Exercices s'appliquent à l'origine à
l'individu qui réfléchit et médite sur les Mystères divins, tandis que
la méthodologie utilisée dans le Synode a été appliquée collectivement
aux sentiments, pensées et croyances personnels, comme matière à
écouter , à dialoguer.
Il faut tenir compte du fait que cet événement « synodal » :
1) constituait en réalité une parodie d'un synode des évêques, comme un
faux synode, car en plus de celui-ci participaient des religieux et des
religieuses, des laïcs, etc. ;
2°)
au total, 368 personnes (272 évêques et 96 non-évêques) ont participé à
cet événement « synodal », que le pape Bergoglio a manipulé comme une
Assemblée générale ou un mini Conseil universel, avec la majorité de
ses membres arbitrairement choisis par lui et en grande partie certains
sont partisans du progressisme qui a caractérisé le pontificat actuel ;
3º)
réitérant le contenu de la première session synodale tenue l'année
dernière et à d'autres occasions antérieures, le grand absent de
cet événement n'a été nul autre que Jésus-Christ, ignoré et laissé de
côté , pour lui donner la primauté fondamentale du « dialogue
dans l'Esprit », pas au Seigneur ressuscité .
Le salut final de JMB le montre très clairement : il n'y a pas une
seule mention de Jésus-Christ ou du Christ, complètement absent, il y a
seulement deux mentions en passant au Seigneur et au Seigneur
ressuscité, mais pas aussi centrales dans le discours. Et il n’y a plus
l’Église bimillénaire du Christ, une, sainte, catholique et
apostolique (mention zéro), mais plutôt l’Église « synodale »,
horizontale, d’écoute et d’harmonie « dans l’Esprit » .
Et que cette absence du Seigneur ressuscité n'est pas accidentelle est
démontrée par le Document final lui-même , dans lequel bien que
Jésus/Jésus-Christ soit mentionné 31 fois, le noyau central du texte
est la synodalité , mentionnée 77 fois comme axe au cœur
des réflexions. En d’autres termes : Jésus-Christ n’est pas le
centre de l’Église « synodale », mais de la synodalité , comme « un
chemin de renouveau spirituel et de réforme structurelle pour rendre
l’Église plus participative et missionnaire, pour la rendre plus
capable de marcher avec chaque homme. Cette « nouvelle » voie de
l'Église synodale n'a plus pour but ni pour mission « d'établir toutes
choses dans le Christ » (saint Pie X), ni d'annoncer « le nom, la
doctrine, la vie, les promesses, le royaume, le mystère de Jésus de
Nazareth, Fils de Dieu » (Paul VI), ni réaffirmer Jésus-Christ comme «
centre du cosmos et de l'histoire » et « marcher en Lui » (Jean-Paul
II), encore moins « offrir le monde à Jésus-Christ ». et son message de
salut » (Benoît XVI). Rien de tout cela, pour l'« Église » synodale
bergoglienne, la mission de l'Église est « de marcher avec chaque homme
et chaque femme en rayonnant la lumière du Christ ». Il ne s’agit
plus de rendre Jésus-Christ présent dans le monde par la prédication et
l’évangélisation des cultures, mais plutôt de faire rayonner sa
lumière , mais pas vers Lui.
Et
si Jésus-Christ n'est plus le centre et le fondement, alors l'« Église
» synodale le devient, qui cesse d'être le Corps du Christ institué et
fortifié au cours de 2000 ans de mission évangélisatrice, pour devenir
une assemblée constituée à travers « la conversion des sentiments, des
images et des pensées qui vivent dans nos cœurs, ainsi que la
conversion de l'action pastorale et missionnaire »[4]. C'est-à-dire que
ce n'est plus le Christ et sa présence ecclésiale dans le monde qui
sont le fondement de la vie et de la mission de l'Église, mais
plutôt les sentiments, les images et les pensées qui résident
dans le cœur , pour faire naître le « l'échange de dons et
l'entrelacement des liens qui nous unissent dans l'Église ».
Comme on peut le constater tout au long de la lecture du Document
, la Révélation dans son ensemble - Écriture Sainte, Tradition et
Magistère - n'est plus le centre et le fondement de la réflexion
synodale et de la pastorale, mais plutôt « l' écoute, le dialogue et la
réconciliation ».
Et
Jésus-Christ ? Eh bien, merci, qu'il reste calme au Ciel et ne dérange
pas les synodaux démasculinisés et homosexualisés, afin qu'ils puissent
faire entrer « tout le monde, tout le monde, tout le monde », même si
le Seigneur lui-même a clairement dit que plusieurs sont appelés au
salut et d'autres à la damnation, et que « celui qui me dit Seigneur,
Seigneur n'entrera pas dans le Royaume des Cieux, sauf celui qui fait
la volonté de mon Père céleste » (Mt 7, 21). Volonté du Père totalement
absente des réflexions et des conclusions du faux Synode des évêques
récemment conclu.
Le fait est que la synodalité bergoglienne n'a qu'une
signification ou une orientation horizontale - les membres actuels de
l'Église -, mais elle manque totalement d'orientation verticale
et historique : il n'y a pas d'écoute ni de dialogue avec le Dieu
vivant, Un et Trine, ni avec le sanctifiante - les saints qui vivent
aujourd'hui au Ciel - ni avec la doctrine impérissable des Pères,
Maîtres et Docteurs de l'Église ni avec le Magistère Pontifical presque
bimillénaire. C'est la raison pour laquelle le Document
final conclut en affirmant que l'Église bergoglienne est
synodale, parce qu'elle est « un peuple de disciples missionnaires qui
marchent ensemble », c'est-à-dire qu'elle n'est plus le peuple de Dieu,
ni le Corps du Christ, ni le Temple du Saint-Esprit, simplement une «
ville de marcheurs ». Et sibyllin et astucieux, le texte se tourne vers
la Vierge dans son personnage d' Hodiguitria , terme grec qui
signifie « celle qui montre le chemin » [du grec οδός (chemin). Ηγήτρια
(guide), c'est-à-dire la Femme qui, dans l'iconographie
gréco-catholique orientale, désigne l'Enfant Jésus comme la voie à
suivre, mais que le néo-magistère de Bergoglio fait référence au chemin
synodal, sans aucune référence au Seigneur ressuscité.
En bref, l'« Église » synodale conçue par Don Jorge Mario Bergoglio est l'Église du Christ, mais sans le Christ .
Une véritable schizophrénie diabolique. » (stilumcuriae.com)
Aujourd’hui premier novembre, la Toussaint.
Pensons à nos proches décédés demain pour qu’ils reçoivent les grâces de nos prières.
Octobre 2024
31 octobre
Décidément, il n’est vraiment rien sorti du synode des synodes.
Les vaticanistes le confirmant.
Ce que confirme benoit-et-moi.fr.
«
Je m’attendais à avoir des choses à commenter et des articles à
traduire, bref, un peu de travail à la conclusion (est-ce vraiment la
conclusion?) de cet interminable synode. Et puis… rien. No comment. Les
« synodaux » ont passé trois semaines à brasser du vent et ce qui est
éventuellement sorti baigne dans la confusion. Je m’en suis finalement
totalement désintéressée, et j’avoue que j’ai tout simplement cessé de
suivre.
Juste
après, on apprend la sortie d’un encyclique. Celle-là aussi, je doute
qu’elle laisse un souvenir impérissable dans le magistère bergoglien…
et dans la mémoire des catholiques.
Le
problème de ce pape, c’est qu’à force de parler à tort et à travers
dans des improvisations hasardeuses, plus personne ne le prend au
sérieux, et à moins qu’il ne profère de vraies énormités, totalement
contraires au depositum fidei (ce qu’il n’ose pas encore tout à fait
faire), même les médias progressistes l’ignorent. L’inflation de la
parole a tué la parole.
Voici un formidable résumé du sentiment des fidèles, publié sur le portail espagnol Info Vaticana. »
L’encyclique
sur le sacré-cœur de Bergoglio est interprété comme un acte pour dirigé
l’attention ailleurs que sur le rapport synodal (elle fut publiée en
presque en même temps).
«
Chaque fois que sa popularité auprès des catholiques les plus fidèles
commence à s’effriter, François sort un atout de sa manche, quelque
chose qui sent l’encens traditionnel.
Nous approchons de la fin du Synode de la synodalité, ce grand projet
qui était censé révolutionner l’Église, mais qui, à ce stade, en a
laissé plus d’un sans voix .
Que reste-t-il de tout ce fracas médiatique ? Beaucoup de bruit pour
rien. Personne n’écoute, personne ne s’intéresse. Et il semble que, de
plus en plus, les vrais catholiques – ceux qui vont à la messe et
s’engagent réellement dans leur foi – se sentent étrangers à ce qui
vient de Rome.
Alors, maintenant, quoi ?
Ah,
mais François n’est pas un imbécile. Il sait que le noeud est serré et
que la déconnexion avec une partie importante de son troupeau est
évidente. Alors, quel meilleur moyen de regagner la faveur des fidèles
que d’utiliser une vieille formule ? Rien de moins qu’une encyclique
traditionnelle. Car bien sûr, quand les choses vont mal, il y a
toujours la possibilité d’éblouir les catholiques qui respectent encore
ce qui sonne pieux, ce qui a une saveur traditionnelle, ce qui leur
rappelle que l’Église n’a pas commencé avec François.
La nouvelle encyclique, Dilexit Nos, ressemble à un mouvement
stratégique pour redonner une lueur d’espoir aux méfiants, et quelle
coïncidence qu’elle arrive juste après ce Synode désastreux ! Comme
pour dire : « Allons, détendez-vous, regardez, je suis aussi un pape
comme les anciens »… »
Or, ce n’est pas le cas.
Plusieurs papes pré-Vatican II ont sonné l’alarme contre de tels manœuvres :
«
Certains critiques de François ont loué ce qui semble bon dans son
encyclique Dilexit Nos. Mais l'Église ne nous oblige pas à passer au
crible les œuvres de ses ennemis pour trouver ce qui pourrait être bon
: en fait, plusieurs papes enseignent le contraire. » (lifesitesnews.com – long article en anglais malheureusement )
Ainsi, le maître de l’ambiguïté a encore frappé.
Le mystère d’iniquité n’est pas facile à comprendre.
C’est troublant.
Nous sommes dans cette période trouble de la Passion de l’Église comme à la Passion de NSJC.
« Depuis la sixième heure jusqu'à la neuvième, il y eut des ténèbres sur toute la terre. »
Autre article sur benoit-et-moi.fr qui confirme notre dernière analyse.
Le processus synodal cache un coup d’État.
«
Passionnante analyse. Les conclusions posées par le pape ouvrent
peut-être à des développements inattendus que Giuseppe Nardi n’hésite
pas à assimiler à un coup d’état dans l’Église. Enfin, c’est une
hypothèse, mais bien étayée. Pour comprendre la démarche un tantinet
tordue du locataire de Sainte Marthe, il faut remonter à un document
vieux de 6 ans, qui n’avait à l’époque guère retenu l’attention, hormis
celle des spécialistes en droit canon: par la constitution apostolique
Episcopalis communio du 18 septembre 2018, François a introduit la
possibilité d’attribuer un caractère magistériel aux documents finaux
du synode.
Le
pape François tire-t-il finalement le frein à main ? Ou réalise-t-il un
coup d’état ? Nous ne serions pas sous le pontificat de François s’il
n’y avait pas d’ambiguïté à ce sujet.
Dans
un premier temps, il a prolongé la durée du synode des évêques, qui en
réalité n’est nullement un synode des évêques, jusqu’en juin 2025. Au
terme de la deuxième session, François annonce maintenant qu’il renonce
à la publication d’une exhortation post-synodale, comme c’était l’usage
jusqu’à présent. Y a-t-il des objections juridiques ? Ou François
veut-il tenter pour la première fois un putsch « synodal » en insérant
ses interventions dans la constitution de l’Église de 2018 ?
Les particularités du synode sur la synodalité ont déjà été maintes
fois soulignées. Le synode des évêques institutionnalisé était une
invention de la phase finale du Concile Vatican II, introduite par le
pape Paul VI. François a introduit le terme de « synodalité », qui n’a
aucune signification canonique, c’est-à-dire en termes de droit
canonique. On pourrait parler d’un mot-clé, voire d’un slogan à la
mode. Le secteur des relations publiques invente de nouveaux termes
pour des choses anciennes afin de relancer les affaires.
…
2024
François déclare à la clôture du synode que, pour la première fois, il
ne publiera pas d’exhortation post-synodale, mais qu’il mettra à
disposition le document final du synode comme « guide pour la mission
des Églises sur les différents continents et dans les différents
contextes (…) », reconnaissant ainsi « le chemin synodal » et «
remettant » son document au peuple de Dieu.
2025 Reconnaissance du caractère magistériel du document final du synode (modifié ?)?
…
François
n’a toutefois pas fait son annonce de samedi sans raison. En d’autres
termes, il a une intention, mais comme toujours, il ne se laisse pas
dévoiler.
Plusieurs scénarios s’offrent à lui.
Il pourrait faire réviser le document final du synode, ce pour quoi il
dispose de suffisamment de temps jusqu’en juin 2025, et transmettre ce
document révisé à l’Église avec un caractère non contraignant en tant
que document du synode;
ou bien le faire entrer en vigueur avec un caractère contraignant à
différents niveaux en tant que magistère du synode (pas le sien). »
Bergoglio a un plan caché.
Le Jubilé 2025 sera son moment de célébration.
Du jamais vu, ils ont décidé d’avoir une mascotte du Jubilé.
Quelle farce.
« Mgr Fisichella (préfet du Dicastère pour l’Évangélisation depuis
2010) a présenté hier en conférence de presse la « mascotte » du jubilé
2025 (jubilé qui est censé célébrer le 2025-ème anniversaire de la
naissance de Jésus, nous rappelle Yves Daoudal). Pas vraiment
catholique, avec la figure de Greta Thunberg comme emblème. Et on se
demande bien pourquoi le jubilé a besoin d’une mascotte, comme
n’importe quel évènement « festif » planétaire mondain (cela nous
rappelle tristement Paris 2024).
Mais
le scandale ne s’arrête pas là. Le designer chargé de la conception de
l’objet s’est signalé par des créations… douteuses, comme des gadgets
pour les gay-prides et des vibromasseurs.
Seule consolation: beaucoup de ces hideux objets finiront probablement
très vite dans une poubelle (jaune, ou grise? that is the question…) » (benoit-et-moi.fr)
On ne parle plus du Christ dans ce Jubilé.
C’est la suite du Jubilé de la Miséricorde infinie.
Babylone est vraiment en train de chuter.
Ci-dessous suit une brève réflexion de Mgr Carlo Maria Viganò à la
suite de la clôture du Synode pluriannuel du pape François sur la
synodalité.
« Le « Synode sur la synodalité » qui vient de s’achever est une icône
de la duplicité et de la nature frauduleuse de l’Église conciliaire et
synodale.
La promotion de l’agenda mondialiste n’est que trop évidente.
La subversion hiérarchique de la parité de genre est à l’origine de la
discussion surréaliste sur l’ordination des femmes, permettant
d’entamer une expérience pastorale qui puisse dans un avenir proche
servir d’alibi au changement officiel de doctrine sur le sacrement de
l’ordre. Tout comme l’acceptation de l’idéologie LGBTQ+, servilement
transposée au Synode selon les prémisses de Fiducia supplicans, est un
objectif mondialiste.
La Deep Church agit en rupture totale avec le corps ecclésial,
exactement comme le Deep State légifère à l’encontre des citoyens.
Indépendamment des articles de foi spécifiques auxquels le Synode
apporte des modifications par des moyens pastoraux, il est également
évident que le but ultime de Bergoglio est de détruire l’Église
catholique en déformant la nature de la papauté telle qu’elle a été
instituée par Notre-Seigneur.
L’Église de Jorge Mario Bergoglio est une « Église synodale »,
c’est-à-dire qu’elle n’est ni monarchique ni divine, mais démocratique
et humaine. Son autorité n’est pas vicaire du Pouvoir sacré du Christ,
mais l’expression fausse et trompeuse d’une prétendue volonté
populaire, ou pire encore, un signe de l’Esprit, derrière lequel se
cache une organisation subversive. Les fidèles sont trompés par de faux
pasteurs et par des mercenaires.
Tout dans les paroles et les actes de l’Église synodale est mensonge.
Car son but est d’imposer d’autorité, sous couvert d’une demande
populaire, ce qu’aucun fidèle catholique n’a jamais demandé parce que
cela contredit l’enseignement de Notre Seigneur. Cette autorité,
usurpée dans un but opposé à celui que Jésus-Christ lui a donné, est
totalement illégitime et il devrait être du devoir de chaque Successeur
des Apôtres de dénoncer cette farce synodale, ultime étape de la
révolution conciliaire, par laquelle l’Épouse de l’Agneau est remplacée
par la Prostituée de Babylone, asservie au Nouvel Ordre Mondial.
Certains pensent que les inquiétudes sur les intentions subversives de
Bergoglio sont excessives et infondées, citant la dernière « encyclique
» sur la dévotion au Très Sacré Cœur de Jésus comme un exemple de son
orthodoxie en dents de scie. Ce document est une diversion pour tromper
les fidèles, selon la stratégie de tromperie bien rodée propre au
jésuite et péroniste Bergoglio, confirmant sa duplicité et sa
malhonnêteté intellectuelle.
Le thème de Dilexit nos – traité dans une tonalité résolument
antimoderne – constitue une tentative maladroite de réappropriation
frauduleuse par la Compagnie de Jésus du culte du Sacré-Cœur, dont elle
est la gardienne historique. Cette dévotion, née pour contrer l’hérésie
janséniste, doit inévitablement être détournée pour donner l’apparence
de la rigueur théologique à l’hérésie opposée, c’est-à-dire à une forme
de laxisme doctrinal et moral qui admet tout comme déjà guéri et
pardonné par l’infinie Miséricorde de Dieu.
Ce qui est parfaitement cohérent avec l’intention du Synode.
+ Carlo Maria Viganò, archevêque
Notre Seigneur Jésus Christ Roi
27 octobre 2024 » (benoit-et-moi.fr)
Une confirmation rassurante ici : le pape ne peut en rien modifier
la messe en contradiction avec la loi divine, ce qui est la vérité
postulée par NSJC où les portes de l’enfer ne prévaudront jamais sur
l’Église.
« ( LifeSiteNews )
— Le célèbre exorciste et théologien Chad Ripperger a précisé que
le pape ne peut pas modifier la messe en contradiction avec la loi
divine positive, par exemple en modifiant la consécration d'une manière
« qui l'invaliderait ».
Alors que l'on craignait que le Vatican puisse promulguer ou
permettre de nouvelles modifications de la messe après le Synode sur la
synodalité, Ripperger a récemment discuté de son livre The Limits
of Papal Authority Over the Liturgy avec le Dr Robert
Moynihan et Matt Gaspers de À l'intérieur du Vatican.
L'exorciste a d'abord fait la distinction importante entre le pouvoir
et l'autorité, le pouvoir étant la « capacité d'effectuer un changement
», tandis que l'autorité donne à une personne le droit de
déterminer quelque chose ou d'adopter un changement . « Le seul qui a
une autorité absolue, c'est Dieu », a-t-il souligné.
Dans
son livre, Ripperger a partagé une citation du cardinal Joseph
Ratzinger (pape Benoît XVI) qui exprime les limites de l'autorité
du pape sur la liturgie, lue à haute voix par Gaspers lors de
l'entrevue de septembre :
«
Le pape n’est pas un monarque absolu dont la volonté fait loi ; il est
plutôt le gardien de la Tradition authentique et, par le fait même, le
premier garant de l'obéissance. Il ne peut pas faire ce qu'il veut… Sa
règle n'est pas celle du pouvoir arbitraire, mais celle de l'obéissance
dans la foi. C'est pourquoi, en ce qui concerne la liturgie, il a la
tâche d'un jardinier et non celle d'un technicien qui construit de
nouvelles machines et jette les anciennes aux ordures.
Le
rôle du pape est limité plus spécifiquement par la loi divine positive
– celle qui est expressément révélée par Dieu – et par la loi
naturelle, a expliqué Ripperger.
Un
exemple clé de la façon dont le pape ne peut pas changer la
liturgie est de changer les « paroles de la consécration » d'une
manière « qui l'invaliderait », a déclaré Ripperger, car cela violerait
la loi divine positive ordonnée par Dieu lorsque le Christ a dit
pendant la Dernière Cène : « Faites ceci en mémoire de
moi ».
Cela
signifie également que la consécration – par laquelle le Corps, le
Sang, l'Âme et la Divinité du Christ Jésus sont rendus présents dans
l'Eucharistie – ne peut être omise, ce qui, selon les spéculations,
pourrait se produire dans le cadre expérimental, appelé « rite
amazonien » du Messe, selon Anthony Stine de Return
to Tradition.
Le pape ne peut pas non plus « insérer quelque chose dans la liturgie…
qui soit contraire à la loi naturelle », comme le « culte des idoles
païennes », a ajouté l’exorciste.
«
C'est précisément son obéissance à ces choses qui est précisément
l'objectif de son bureau », a déclaré Ripperger à propos du pape.
Gaspers a souligné le point du prêtre théologien selon lequel, parce
que la foi catholique est immuable et que la liturgie est basée sur la
foi, des changements dans la messe concernant ses principes
fondamentaux sont impensables.
«
Étant donné que le dépôt de la foi ne change pas et constitue
la loi ou la loi autour de laquelle s'articule le
développement liturgique, seul un développement organique peut
légitimement être envisagé », a cité Gaspers dans le livre de Ripperger.
L'exorciste
a déclaré avoir souligné dans son livre que « ce n'est pas à nous de
déterminer comment nous adorons Dieu », en citant l'Ancien Testament
comme preuve de cela, puisque Dieu était « très exact » en dictant
comment la liturgie est censée se dérouler.
«
Même le Christ a dit : 'Faites ceci en mémoire de moi.' Il est donc
très précis sur certaines choses qui doivent être faites » dans la
liturgie, a déclaré Ripperger. "Et c'est à Dieu de prendre ces
décisions."
a
noté que le pape a « un peu de latitude » concernant les parties «
accidentelles » de la messe – c'est-à-dire ses aspects extérieurs, qui
se sont en fait « développés au fil du temps » – mais que ceux-ci ne
peuvent pas tenter de modifier les fondamentaux : la foi elle-même, la
loi divine positive et la loi naturelle.
«
En fin de compte », nous devons reconnaître que Dieu a déterminé la
manière dont nous devons l'adorer, a déclaré Ripperger, c'est pourquoi
« la tradition est si essentielle », et il approfondit l'importance de
cela dans son livre .
«
Parce que c'est précisément à travers la tradition que ce que Dieu nous
a enseigné sur ces questions nous parvient », a déclaré l'exorciste,
soulignant que l'Écriture est également considérée comme faisant partie
de la tradition.
Le
fait est que c'est précisément à travers ces choses qui nous ont été
transmises depuis le tout début, depuis l'époque des apôtres jusqu'à
aujourd'hui, que nous savons réellement que c'est ce que nous sommes
censés faire , a-t-il poursuivi.
En
d'autres termes, « plus quelque chose reste longtemps dans la
liturgie, plus on sait que c'est la volonté de Dieu qu'il y soit
utilisé », a déclaré Ripperger.
Son
analyse semble suggérer des problèmes avec le Novus Ordo
Missae, ainsi que mettre en garde contre des changements
potentiels à venir dans cette messe, ou même contre une nouvelle messe
(« Messe » ?). En effet, Ripperger, Gaspers et Moynihan ont fait
allusion aux dommages que le Novus Ordo a infligés à la foi
des gens en raison de l'apparition soudaine de nombreux changements
radicaux dans la liturgie.
"Quand
il y a autant de changements" dans la messe, "en fin de compte... ce
qui se passe c'est... ça leur donne l'impression que la foi elle-même
pourrait changer, ou que le contenu de la foi pourrait changer », a
déclaré le Père. Ripperger, ajoutant qu'il n'est "pas la seule personne
à avoir attiré l'attention sur ce problème particulier".
En fait, selon Ripperger, saint Thomas d’Aquin lui-même a déclaré
que si la loi est modifiée trop fréquemment, sa force finit par
s’éroder. »
Rappelons suite à notre dernière analyse que les élections américaines 2024 sont un pivot, un point de bascule.
D’ailleurs les prophéties de Jean XXIII font état d’une guerre civile
aux États-Unis, mais les prophéties politiques sont plus difficiles à
interpréter.
Tout comme la prophétie « Grand Éclair à l’Orient ».
Le Jerusalem Post a publié une analyse qui confirme qu'Israël a mis la
pédale douce dans la dernière attaque contre l’Iran à la demande des
États-Unis pour qu’il n’y ait pas d’influence sur le résultat des
élections.
Le
chef de la Force de Défence Israélienne a confirmé que si l’Iran
réplique, les cibles seraient les points stratégiques majeurs.
Bref, ils ont testé la défense iranienne et ils savent à quoi s’en tenir.
Israël devrait frapper après les élections.
Préparez-vous car une attaque majeure contre l’Iran (ces derniers
bloqueront le détroit d’Ormuz, voie navigable du pétrole) ou de la
Chine contre Taïwan (ce qui se dessine à l’horizon après les élections;
il y aura un blocus des pays occidentaux contre la Chine en
représailles), vont avoir une incidence majeure sur le coût des biens
et services.
Une inflation de guerre n’est jamais négligeable.
28 octobre
LE PROJET 47 : LA SUITE
À
une semaine des élections américaines, effectuons un retour sur le
dernier article du regretté Louis D’Alencourt du Grand Réveil qui
anticipait avec impatience cette date du 5 novembre et sa vision du
Projet 47 pour le venue du « messie » le 20 janvier 2025, jour
d’assermentation du président, et date invoquée en 2021 :
«
Parce que les élites juives, civiles et rabbiniques, ont demandé à
l’ensemble des juifs du monde de réciter une prière mondiale pour
demander le Messie le 21 février 2021 : ce jour-là, tous les juifs
du monde devaient réciter la même prière à la même heure, 18h heure de
Jérusalem.
Or le 21 février 2021 est distant de 47 mois, au jour près, du 20 janvier 2025. »
« Seuls les imbéciles, les naïfs et les ignorants, soit la majorité de
nos concitoyens, ne savent pas que depuis deux mille ans la communauté
juive caresse un projet messianique basé sur les promesses de Dieu
faites à son peuple via les prophètes de l’Ancien Testament -à
commencer par Isaïe-, à savoir la domination du monde, l’accaparement
et la jouissance de ses richesses. »
(projet 47 - grandreveilwordpress.com)
Telle est la théorie développée dans l’article « Projet 47 » : la venue du messie judéo-maçonnique.
Cinq mois se dont écoulés depuis la publication de l’article.
Où en sommes-nous? Que s’est-il passé depuis le mois de mai?
Albert Pike (dernière analyse) :
« La Troisième Guerre mondiale doit être fomentée en utilisant les
divergences que les agents des Illuminatis attiseront entre les
Sionistes Politiques et les dirigeants du monde musulman. La guerre
doit être menée de telle manière que l’Islam (le monde Arabe y compris
la religion de Mahomet) et le Sionisme Politique (y compris l’État
d’Israël) se détruisent mutuellement. Dans le même temps, les autres
nations une fois de plus divisées entre elles à ce propos, seront
forcées de se combattre jusqu’à un état d’épuisement complet, physique,
moral, spirituel et économique. »
Tel est le plan pour en arriver au messie judéo-maçonnique.
Or, nous constatons en cette fin d’octobre 2024 que :
- La guerre entre l’Islam chiite et Israël s’est étendue et amplifiée.
-
La guerre en Ukraine persiste et la Corée du Nord fournie de l’armement
et des combattants (plus de 12000) en abondance à la Russie. Idem pour
la Chine.
- L’Iran resserre ses liens avec ces derniers.
- La Chine menace Taïwan.
-
Bref, il existe deux axes maintenant confirmés, que nous connaissons
depuis longtemps pour les avoir analysés : l’axe anglo-saxon qui
veut un messie avec domination unipolaire, et l’axe des Loubavitch,
Russie en tête, qui veut un messie avec un monde multipolaire.
« M. Poutine présente l’invasion de l’Ukraine comme « le fer
de lance de la destruction de l’ancien ordre mondial et de la
construction d’un nouvel ordre », a déclaré Alexander Gabuev,
directeur du Centre Carnegie Russie-Eurasie à Berlin. « Le BRICS
est la structure la plus puissante et la plus représentative de ce
nouvel ordre mondial. » (lapresse.ca)
Les
pays associés aux BRICS (axe russo-chinois) ont décidé de faire tomber
le dollar américain la semaine dernière et publié leur projet d’une
nouvelle monnaie commune.
-
Tous les pays dominants ont augmenté de façon drastique l’immigration
avec comme conséquence des prix des loyers et des habitations
augmentant en flèche. Le but : diluer le christianisme et
l’identification culturelle pour pouvoir imposer la nouvelle religion
humaniste.
-
Tous les pays ont augmenté leurs dépenses fiscales conséquemment,
plongeant ces derniers dans une dette qui ne sera pas remboursée. Les
deux guerres ont parallèlement la même fonction : augmenter la
dette tout en épuisant les ressources militaires des autres
nations y participant : matérielles et humaines.
« Dans le même temps, les autres nations une fois de plus divisées
entre elles à ce propos, seront forcées de se combattre jusqu’à un état
d’épuisement complet, physique, moral, spirituel et économique. »
(Albert Pike ci-haut)
Voilà l'état de notre monde à l'aube des élections américaines.
Les brebis sont menées à abattoir par l’anxiété et l’épuisement.
Le « Projet 47 » est étroitement lié aux élections américaines selon Louis D’Alencourt.
Pour la venue du messie judéo-maçonnique.
Depuis la parution de l’article, il s’est passé une série d’évènements
proprement extraordinaires dans le contexte d’une campagne électorale.
Un
débat où le président sortant, le plus vieux de l’histoire en exercice,
a démontré que l’âge avait affecté ses facultés cognitives.
Ce qui a mené à son retrait de la course présidentielle un mois plus tard.
L’ex-président Trump a échappé à deux attentats contre sa personne.
Les deux camps sont au coude à coude et les mensonges pleuvent dans les médias pour influencer la masse quant au vote.
Louis D’Alencourt :
« Par conséquent la stratégie paraît claire : le candidat qui doit
gagner le 5 novembre est très certainement le Démocrate, quitte à
tricher encore une fois, comme ils l’ont fait en 2020 pour reprendre la
main et évincer Trump. Ceci me paraît être leur projet avec certitude.
Ensuite, l’inconnue réside dans le fait qu’on ne sait pas encore si
celui ou celle choisi pour être le 47è Président, qui doit être selon
moi forcément juif, ce qui n’est pas le cas de Biden, sera révélé peu
de temps avant l’élection, remplaçant le candidat Biden à la dernière
minute, dans un contexte et une situation arrangés pour la circonstance
(l’actualité internationale est suffisamment riche pour
« organiser » de grands changements), ...
Conclusion
Le Projet 47, c’est l’entrée dans l’ère de l’hégémonie et de la
domination des élites juives, du judaïsme et de l’esprit juif sur le
monde (le tout formant leur « Messie »), et cette ère, nous
disent-ils avec leurs signes ésotériques, commencerait à l’investiture
du 47è Président américain, le 20 janvier 2025.
Mais puisque le 47 est aussi le chiffre du Christ en gloire, il n’est
pas interdit de penser que l’inverse peut se passer et qu’en réalité,
ce sera la victoire du Christ sur le monde, le démon et la synagogue.
Et le signe de la conversion en masse des juifs à la fin du monde comme
le pressent la tradition chrétienne. »
Nous
savons tous (analyses précédentes) que l’Islam chiite, Iran en tête,
espère voir son « mahdi » ou messie apparaître suite à une guerre avec
Israel.
Ils ont donc intérêt à continuer l’escalade.
Du côté israélien :
«
Netanyahou est sous l'influence de certains ministres messianiques et
racistes qui le forcent à déclencher une escalade pour accélérer la
venue du Messie et ce n'est pas une manière saine pour un État comme
Israël dans un environnement hostile et complexe » (Ehud Barak,
ancien Premier ministre israélien)
Pour les israéliens au pouvoir, le comportement de Trump lors de la
dernière élection n'a été que stratégie pré-électorale, voici un rappel
des propos tenus par Netanyahu le 5 mars 2018 à Washington DC quant à
celui qu'il compare au roi Cyrus.
« Je tiens à vous dire que le peuple juif a une longue mémoire ; nous
nous souvenons donc de la proclamation du grand roi Cyrus le Grand, le
roi perse, il y a 2 500 ans. Il a proclamé que les exilés juifs à
Babylone pouvaient revenir et reconstruire notre Temple à Jérusalem.
Nous nous souvenons qu'il y a cent ans, Lord Balfour a publié la
proclamation Balfour qui reconnaissait les droits du peuple juif sur sa
terre ancestrale.
Nous nous souvenons qu'il y a soixante-dix ans, le président Harry S.
Truman a été le premier dirigeant à reconnaître l'État juif.
Et nous nous souvenons qu'il y a quelques semaines, le président Donald
J. Trump a reconnu Jérusalem comme capitale d'Israël. Monsieur le
Président, notre peuple s'en souviendra à travers les âges. » (israelnationalnews.com)
Jésuralem, c’est la capitale qui doit être reconnue comme centre du système messianique judéo-maçonnique… à la place de Rome.
« L’idée principale véhiculée par ces pièces est que le président Trump
initie un processus prophétique qui facilitera finalement, le moment
venu, la reconstruction du Troisième Temple. » (pierre hillard)
Netanyahou, rappelons-le, est celui qui d'après le rabbin Schneerson, « remettra les clés d'Israël au Messie »
Voilà pourquoi on le maintient au pouvoir depuis des années.
« Netanyahou : détenir les clés du Messie
Une division au sein de la coalition dirigée par le premier ministre
Benjamin Netanyahu pourrait mener à de nouvelles élections, ce qui
susciterait l'inquiétude de certains, tandis que d'autres notent que
cette évolution aurait pu être prédite à maintes reprises comme le
précurseur d' une époque meilleure et beaucoup plus messianique.
...
Même si les élections pourraient mettre fin au long séjour de Netanyahu
au poste de premier ministre, certains pensent qu’elles marqueront le
début d’une ère entièrement nouvelle, beaucoup plus messianique.
Le lien le plus fort de Netanyahu avec le Messie était celui du
rabbin Menachem Mendel Schneerson , le dirigeant de
Loubavitch Habad décédé en 1994. Les deux hommes se sont rencontrés
pour la première fois en 1984, lorsque Netanyahu était ambassadeur
d'Israël auprès des Nations Unies.
Avant que Netanyahu ne retourne en Israël en 1988 pour rejoindre le
Likoud, le Rabbi lui a donné des conseils qui se sont révélés au moins
en partie prophétiques.
...
« Ça me fait vraiment mal, en tant qu'ami, en tant que frère, en tant
qu'ami proche, de voir comment les gens versent constamment le sang de
Netanyahu », a confié le rabbin Schneerson à Nachshon. »
Mais j'ai une surprise pour toi, il va s'en sortir et il va se tenir
debout, du côté de Dieu. Il a une promesse du Rabbi, et il va tenir
jusqu'au bout. Nous avons vu cela se produire jusqu'à présent, et c'est
aussi comme ça que ça va se passer désormais. Il s'en sortira et il
continuera, et j'espère qu'il pourra remettre ses clés au Machia'h (le
Messie), et nous aurons la Rédemption complète et véritable.
Le rabbin Loubavitch n'était pas le seul tsadik (homme juste)
éminent à avoir de grandes attentes à l'égard de Netanyahu. Le
rabbin Yitzchak Kaduri, l'un des chefs spirituels sépharades les
plus influents du siècle, décédé en 2006 à l'âge de 106 ans, a
rencontré Netanyahu en 1997 lors de son premier mandat de premier
ministre.
Le rabbin Kaduri a murmuré un long message à l'oreille des politiciens.
Le rabbin Shmuel Shmueli, un disciple du rabbin Kaduri, a révélé que
Kaduri avait toujours soutenu que Netanyahu servirait très longtemps et
qu’après son mandat, le Messie arriverait. Avant sa mort, Kaduri avait
dit qu'il attendait l'arrivée prochaine du Messie juif et qu'il l'avait
rencontré un an plus tôt.
En mai, Breaking Israel News a rapporté l'opinion du
rabbin Levi Sudri, soulignant les nombreux parallèles entre l'actuel
premier ministre et Jonathan, le fils du roi biblique Saül. Sudri a
suggéré que Netanyahu remplit la fonction de Moshiach ben Yosef (Messie
de la maison de Joseph) dans la première moitié du processus
messianique en deux étapes.
Moshiach ben Yosef est un processus pratique et banal qui comprend
le rassemblement des exilés et la construction de la Terre
d'Israël. La deuxième étape, Moshiach Ben David (Messie de la maison de
David) est un processus miraculeux qui comprend le rétablissement de
la dynastie davidique et l'achèvement du Troisième
Temple .
Le rabbin Sudri a expliqué qu’en tant que réincarnation de Jonathan et
manifestation du Machia’h ben Yosef, Netanyahu ouvre la voie au
Machia’h ben David, plus transcendant, qui suivra immédiatement.
« Il est très clair que nous voyons chez le premier ministre Benjamin
Netanyahu qu’il accomplit son destin de Machia’h ben Yosef ,
c’est-à-dire la réincarnation de Jonathan », avait alors déclaré le
rabbin Sudri à Breaking Israel News . « Le nom « Netanyahu » (נתניהו)
est composé des mêmes lettres que le nom « Jonathan (יהונתן). »
Ce sentiment a été repris par le rabbin Moshe Ben Tov , connu
pour sa capacité à percevoir le passé et le présent des gens en
regardant la mezouza à leur porte. Après avoir accroché une mezouza
dans le bureau du premier ministre, le rabbin Ben Tov a fait une
déclaration remarquable au premier ministre.
« Il est très important que votre amour pour Israël continue jusqu’à
l’arrivée du Machia’h parce que vous allez rester au pouvoir et allez
le rencontrer », a déclaré le rabbin Ben Tov à Netanyahu. "Vous allez
lui remettre les clés de ce bureau."… » (israel365news.com)
Pour la kabbale, c’est le temps du messie, et tout sera fait pour qu’il arrive, car cette guerre est spirituelle.
Le religieux domine toujours le politique, quoiqu’en pense la masse laïcisée.
27 octobre
LE RAPPORT
L’éléphant a-t-il accouché d’une souris?
Trois longues années de consultations et de tables rondes pour en arriver à un rapport… qui ne conclut sur rien.
Rien.
Que du vent, sauf comme conclusion que le processus synodal est là pour demeurer indéfiniment.
Le
futur cardinal Radcliffe avait bien raison de dire dans sa méditation
du 21 octobre (analyse précédente) qu’il y aurait beaucoup de
déceptions.
Pour ceux qui ne le savent pas encore le rapport a été publié après approbation rapide de Bergoglio samedi le 26 octobre.
«
Il n’y aura pas d’exhortation apostolique post-synodale, a annoncé le
pape François, à la fin du synode de trois ans, mais il est ordonné que
le processus se poursuive.
CITÉ DU VATICAN ( LifeSiteNews
) — Le texte officiel et le document final du Synode pluriannuel sur la
synodalité ont été publiés : plus silencieux sur les questions dites «
brûlantes » que l'année dernière, mais appelant plutôt à une réforme à
l'échelle de l'Église conformément à « synodalité » – un mot décrit
comme signifiant une concentration sur l'œcuménisme, l'écoute et le
renouveau. »
Alors…
Au premier abord, ce n’est pas la conclusion à laquelle nous nous attendions.
Pas
de grande déclaration. Pas d’interdiction de la messe tridentine. Pas
de grande manœuvre d’œcuménisme via une nouvelle messe.
En fait, le synode, cela n’existe pas comme l’ont analysé les différents spécialistes théologiques dans les dernières analyses.
On
en conclu donc que la base n’a réellement rien à dire dans la destinée
de l’église comme l’ont spécifié les intervenants du Vatican depuis
2021.
Voici ce que déclarait Bergoglio à l’ouverture de ce dernier :
«
Chers frères et sœurs, que ce Synode soit un véritable temps de
l'Esprit ! . . . Le Père Congar, de mémoire bénie, a dit un jour : « Il
n'est pas nécessaire de créer une autre Église, mais de créer une
Église différente » ( Vraie et fausse réforme dans l'Église ). C'est le
défi. » (François, 9 octobre 2021, Discours d'ouverture du Synode)
Voilà.
La fausse église prophétisée par Anne Catherine Emmerich et autres.
Le
synode n’a été qu’une grande réinitialisation, et N’EST, qu’un paravent
pour adapter l’église au renouveau mondial humaniste, à la nouvelle
religion de l’Agenda 2030.
Si
notre hiérarchie catholique avait été peuplée d’évêques saints et
fidèles, ces paroles auraient suffi à forcer la fin du Synode sur la
Synodalité avant qu’il ne commence.
« Enraciné
dans la tradition de l'Église, tout le chemin synodal s'est déroulé à
la lumière du magistère conciliaire. Le Concile Vatican II a été comme
une graine jetée sur le terrain du monde et de l'Église . . . . Le
chemin synodal met effectivement en pratique ce que le Concile a
enseigné sur l'Église comme mystère et l'Église comme peuple de Dieu,
appelé à la sainteté par une conversion continue qui naît de l'écoute
de l'Évangile. En ce sens, le chemin synodal constitue un acte
authentique supplémentaire de réception du Concile, approfondissant
ainsi son inspiration et redynamisant sa force prophétique pour le
monde d'aujourd'hui .» (Paragraphe 5 du rapport)
Cet exemple démontre qu’à l’image de Bergoglio, tout est ambiguïté, et continuera de l’être.
Et,
ce paragraphe confirme la fin de Vatican II, dont le rejeton, le «
processus synodal » est là pour rester, et damner les âmes.
On
le répète, l’église synodale implique LE processus démocratique qu'on a
vu à travers le Synode, au moins superficiellement. En réalité,
cependant, ce sont les ennemis de l'Église (avec Satan à leur tête) qui
prennent les décisions, tout en faisant semblant de permettre aux
fidèles d'avoir leur mot à dire.
Alors que le Saint-Esprit est celui qui guide toutes les décisions critiques dans l' Église catholique.
Pas ici dans ce processus superficiel.
Alors, que pouvons nous en conclure.
Simplement que l’Église est morte ou le sera bientôt car le processus synodale est un acte d’euthanasie sur cette dernière.
Est-ce la mort des deux témoins?
Il ne semble pas que ce soit encore le cas.
Car,
il faut avoir la mémoire longue, Bergoglio attends toujours les
rapports de ses comités sur les questions non résolues pour le début
2025.
C’est là que tout se décide.
Dans la tête de Bergoglio.
Et personne d’autre.
Car,
selon la Constitution apostolique de Bergoglio de 2018, Episcopalis
communio , une fois que le document final d'un synode « est
expressément approuvé par le Pontife romain, le document final
participe au Magistère ordinaire du Successeur de Pierre ».
Donc, Bergoglio a le mot final sur tout.
Il y aura donc plusieurs surprises à l’horizon dont l’interdiction totale de la messe Tridentine.
Et, comme nous l’avons vu pendant le synode, la mise en pratique pour trois ans du rapport du synode amazonien.
Pas de modification de la Liturgie pour l’instant, mais si on le
mentionne dans le rapport final, c’est qu’on y pense et qu’on attend le
moment propice pour agir :
«
« Approfondir le lien entre liturgie et synodalité aidera toutes les
communautés chrétiennes, dans la diversité de leurs cultures et
traditions, à adopter des styles de célébration qui rendent visible le
visage d'une Église synodale », peut-on lire dans le texte. (26 :
312/43) Interrogé sur ce point lors du briefing synodal de samedi soir,
Hollerich a déclaré qu’il n’y avait aucun projet de « révolution »
liturgique.
«
Il n’est pas prévu de remplacer les prêtres par des laïcs ou des laïcs,
juste pour rendre le processus un peu plus participatif », a-t-il
déclaré. » (lifesitenews.com ci-haut)
Nous en saurons plus avec les analyses des spécialistes qui sortiront cette semaine.
Pendant
la publication du rapport, « Des catholiques du monde entier se
rassemblent à Rome pour le pèlerinage international annuel de la messe
latine Summorum Pontificum, au cours duquel le cardinal Gerhard Müller
a conduit les fidèles en prière à l'intérieur de la basilique
Saint-Pierre. » (lifesitesnews.com – en anglais- mais des photos donnent une idée).
Pour terminer, la comète de la fin du synode plonge présentement vers le soleil (image ici du satellite SOHO : la comète vient du sud-est, en bas en droite de l’écran) et nous verrons ce qu’il en advient.
Vive le Christ Roi!
25 octobre
Dernier droit pour le synode des synodes: les participants sont en train d'écrire le rapport final.
Le
futur cardinal Radcliffe, toujours responsable des méditations
synodales, a eu le privilège de guider les « brebis synodales » en ce 21
octobre, avant la phase de rédaction du document.
Cela se résume à « liberté de parler et d'accepter des décisions même décevantes ».
On prépare donc les esprits à accepter l'inacceptable: la mort de l'Église et des deux témoins.
«
Le père Radcliffe a appelé les participants à mettre en pratique la
mission de «prêcher et incarner» une double liberté, «la double hélice
de l'ADN chrétien»: «la liberté de dire ce que nous croyons et
d'écouter sans crainte ce que les autres disent»...
«nous
avons la liberté de ceux qui croient que, comme l'écrivait saint Paul
aux Romains (Rm 8.28), “Dieu fait tout pour le bien de ceux qui
l'aiment”, et qu'en fin de compte “nous pouvons être en paix parce que
”rien ne peut nous séparer de l'amour de Dieu», pas même
l'incompétence, pas même l'erreur ». Ce n'est qu'ainsi que nous pouvons
passer de la première liberté, celle qui nous fait dire «je», à la
liberté plus large qui nous fait «appartenir à l'Église et dire
“nous”». » (vaticannews.va)
L'église du « nous », c'est l'église synodale. En permanence. Évoluant au gré des moeurs des fidèles.
Comme
preuve, il clôture sa méditation en mettant l'accent sur la façon dont
la « liberté » synodale se traduit par le besoin de se libérer avec
audace des contraintes de l'orthodoxie.
Lire ici: se libérer de la Tradition, la véritable Église catholique fondée sur Pierre, la pierre angulaire de l'Église.
«
Si nous avons seulement la liberté d'argumenter pour nos positions,
nous serons tentés par l'arrogance de ceux qui, selon les mots de
Lubac, se considèrent comme 'la norme incarnée de l'orthodoxie'. Nous
finirons par battre le tambour de l'idéologie, qu'elle soit de gauche
ou de droite.
Si nous n'avons que la liberté de ceux qui font confiance à la
Providence de Dieu mais n'osent pas entrer dans le débat avec leurs
propres convictions, nous serons irresponsables et ne grandirons
jamais. » (vaticannews.va ci-haut)
C'est
ce type de « liberté » qui permet à un prêtre catholique qui soutient
haut et fort l'agenda LGBTQ d'être le guide spirituel du Synode.
Cependant,
comme les catholiques le savent, cet état d'esprit exclut la véritable
liberté que Dieu offre à ceux qui respectent sa vérité et conduit
plutôt ses adhérents à être esclaves du péché, qui est une facette clé
du processus synodal.
Ce n’est pas là le vrai sens de la liberté chrétienne.
Dieu nous a créé libre pour faire le choix entre être sauvé par le Christ, ou perdre son âme à jamais.
Ce n'est qu'en vivant selon ce que l'Église enseigne réellement qu'on peut avoir la liberté intérieure dont parle saint Paul.
Ces paroles confirment nombres de prophéties en passant par Anne Catherine Emmerich et l'archevêque Fulton Sheen :
« Il établira une contre-Église qui sera le singe de l'Église, car lui,
le Diable, est le singe de Dieu. Elle aura toutes les notes et les
caractéristiques de l'Église, mais à l'envers et vidée de son contenu
divin. (Mgr Fulton Sheen, Le communisme et la conscience de l'Occident
).
Ainsi,
nous aurons la conclusion de Vatican II avec le rapport final qui sera
déposé par les participants en ce dimanche 27 octobre 2024.
Octobre 2024 est l'année où tout bascule (voir analyse du 18 septembre: À L'AUBE DU SALUT).
La
fausse église montrera à tous les adeptes du mondialisme qu'elle s'est
pleinement convertie aux valeurs humanistes de la « théologie de la
libération » à la sauce bergoglienne.
Si
ce n'est pas une coïncidence, Bergoglio a rendu un grand hommage au
père de la théologie de la libération qui est décédé le 22 octobre
dernier, alors que Jean-Paul II et Benoît XVI avaient pris les
dispositions nécessaires pour s'éloigner de cette idéologie marxisante.
(voir benoit-et-moi.fr)
Mais, l'Église ne périra point.
En ce 27 octobre, selon l'Église, c'est la fête de Notre Seigneur Jésus-Christ Roi.
Pas de hasard pour les véritables croyants qui ont la vue pour voir.
Le monde n'a jamais été sous une telle tension qu'en cette fin de mois
où s'entrecroisent la fin du synode, Israël qui menace l'Iran d'une
attaque foudroyante, ce qui va mettre le feu aux poudres pour
l'élargissement du conflit au Moyen-Orient, la guerre ukrainienne, les
menaces de la Chine envers Taïwan, et les élections américaines dans
deux semaines.
Et le soleil...
Une
série de taches solaires sont apparues hier qui élèvent drastiquement
le niveau d'alerte des possibilités d'une tempête solaire majeure.
(photo ici)
Ces taches au sud-ouest sur l'image se déplaceront vers le sud-est durant les prochains 14 jours.
Elles feront donc face à la terre lorsqu'elles seront en plein centre de l'astre du jour.
C'est à suivre...
22 octobre
LE FAUX PROPHÈTE, LE SYNODE, ET LA MESSE
L’ascension
de Bergoglio au trône de Saint-Pierre est la conséquence d’un processus
très long engendré par la franc-maçonnerie, directement lié au
relâchement des démons pour la fin des temps évoqué par Léon XIII (voir
analyses précédentes sur Léon XIII et l’importance du chiffre 13).
La franc-maçonnerie avait réussi à placer son premier pape sur le trône de Saint-Pierre suite au décès de Léon XIII en 1903.
Mais, le cardinal Rampolla nouvellement élu fut évincé grâce à
l’intervention de l’empereur François-Joseph d’Autriche qui usa de son
droit de veto (privilège réservé à l’Autriche, à la France et à
l’Espagne. Évidemment, le droit de veto fut aboli peu de temps après).
Ce qui n’empêcha pas les cardinaux de mettre son buste dans la salle
papale en face de la liste des papes décédés avec l’inscription
suivante :
«
Marianus Rampolla del Tindaro titulaire de Sainte-Cécile (tu
Transtevere) étant dévôt du bienheureux Pierre et ayant comme
archiprêtre de la basilique offert à cette dernière une splendeur
insigne l’Ordre des Chanoines plein de reconnaissance envers ce grand
homme perpétue sa mémoire année 1914. »
« Franc-maçon appartenant supérieurs lucifériens (OTO : Ordo
Templi Orientis) au service du pape Léon XIII et qui faillit lui
succéder en 1903. Par un coup de pouce de la Providence, c’est Saint
Pie X qui arriva sur le trône de Saint-Pierre. Son action permit de
retarder le développement du modernisme dans l’Église. Cette
infiltration, sans oublier les relais au service de Rampolla, on
perduré après sa mort… cela a donné Vatican II… » (Pierre Hillard,
Archives du Mondialisme, p. 178)
Rampolla fut l’homme d’action dans le domaine spirituel pour détruire
l’église et amener l’humanité au nouvel humanisme. Il a échoué à
devenir pape pour accélérer le processus, mais son réseau a perduré
après sa mort en 1913 pour en venir à l’assimilation de l’Église aux
dogmes judéo-maçonniques.
Du côté politique, c’est Josef Hieronim Retinger qui a tenu le rôle
pour la construction européenne (organisme maintenant supra-national
qui dicte ses lois au pays en faisant partis), prélude nécessaire au
nouvel ordre mondial.
Rampolla et Retinger se connaissaient, et s’estimaient.
La tentative Rampolla avait échoué.
Les franc-maçons essayèrent de nouveau en 1958 où le cardinal Siri fut
élu pape mais on lui a fait rapidement savoir au conclave, sous
menaces, qu’il devait laisser la place au cardinal Roncalli.
« Mes chers amis, le Siège
de Pierre et les places d'autorité à Rome étant occupés par des
antéchrists, la destruction du Royaume de Notre Seigneur s'effectue
rapidement jusque dans Son Corps Mystique ici-bas, notamment par la
corruption de la Sainte Messe. qui est à la fois l’expression splendide
du triomphe de Notre-Seigneur sur la Croix – Regnavit a Ligno Deus – et
la source de l’extension de son royaume sur les âmes et les sociétés. »
(MgrLefebvre, un an avant la consécration de quatre évêques pour la
Fraternité Saint-Pie X)
Ainsi, la porte était ouverte pour Vatican II et la venue du faux prophète : Bergoglio.
Le faux prophète n’est mentionné qu’à deux occasions dans
l’Apocalypse : pour la toute fin des temps, pour la préparation de
l’acte final, Armageddon.
« Et je vis sortir de la bouche du dragon, et de la bouche de la bête,
et de la bouche du faux prophète, trois esprits impurs, semblables à
des grenouilles. Car ce sont des esprits de démons qui font des
prodiges, et ils vont vers les rois de toute la terre, afin de les
rassembler pour le combat du grand jour du Dieu tout-puissant. Voici
que je viens comme un voleur. Heureux celui qui veille et qui garde ses
vêtements, pour ne pas aller nu et ne pas laisser voir sa honte !
Et ils les rassemblèrent dans le lieu appelé en hébreu Armaguédon. » (Apocalypse 16, 13-15)
Le
dragon, Satan, est accompagné de la bête de la terre (le système
antichrist; Nations-Unies, France, Fille Aînée de l'Église converti à
la laïcité avec à sa tête Macron) et le faux prophète Bergoglio pour le
Vatican, soient les deux Babylone de la prophétie de Jean XXIII.
«
Quand les mille ans seront accomplis, Satan sera relâché de sa prison,
et il en sortira pour séduire les nations qui sont aux quatre
extrémités de la terre, Gog et Magog, afin de les rassembler pour le
combat : leur nombre est comme le sable de la mer.
Elles montèrent sur la surface de la terre, et elles cernèrent le camp
des saints et la ville bien-aimée ; mais Dieu fit tomber un feu du
ciel qui les dévora. Et le diable, leur séducteur, fut jeté dans
l'étang de feu et de soufre, où sont la bête et le faux prophète, et
ils seront tourmentés jour et nuit aux siècles des siècles. »
(Apocalypse 20, 6-10)
Nous avons eu la preuve depuis 2013, que Bergoglio parle comme un
esprit impur, ni oui, ni non, que de l’ambiguïté, ne se fiant
aucunement aux dogmes, mais à l’« esprit humaniste », esprit habitant
maintenant le synode des synodes, et non, l’Esprit-Saint.
Il est bien celui qui prône l’amalgame de toutes les religions et pour
y parvenir prêche l’immigration de masse pour éliminer l’identification
culturelle, et surtout l’identification au christianisme catholique.
Il prépare le nouvel ordre mondial avec l’élite judéo-maçonnique
dominante, prônant les cessez le feu et la paix
mondiale pour arriver à cette fin avec une seule religion humaniste.
«Le
pape François a canonisé hier, le 20 octobre, les martyrs de
Damas. Dans la nuit du 9 au 10 juillet 1860, dans le cadre de la
persécution des chrétiens, des druzes ont pris d’assaut le couvent des
franciscains dans la vieille ville de Damas. Ils y ont tué onze
chrétiens dont ils se sont emparés : huit franciscains et trois laïcs
arabes.
L’Osservatore
Romano, le quotidien officiel du pape, a présenté les nouveaux saints
sans mentionner pourquoi ils avaient souffert le martyre : Parce qu’ils
avaient refusé d’embrasser l’islam. » (benoit-et-moi.fr)
Voilà.
On ne froisse pas l'Islam parce qu'elle doit absolument entrer dans le
rang (voir analyses précédentes et le pacte d'Abu Dhabi signé par
Bergoglio).
Voici ce qu’avait affirmé Albert Pike, le grand prophète luciférien du XIXème siècle :
« La
Troisième Guerre mondiale doit être fomentée en utilisant
les divergences que les agents des Illuminatis attiseront entre
les Sionistes Politiques et les dirigeants du monde musulman. La guerre
doit être menée de telle manière que l’Islam (le monde Arabe y compris
la religion de Mahomet) et le Sionisme Politique (y compris l’État
d’Israël) se détruisent mutuellement. Dans le même temps, les autres
nations une fois de plus divisées entre elles à ce propos, seront
forcées de se combattre jusqu’à un état d’épuisement complet, physique,
moral, spirituel et économique. » (grandreveilwordpress.com)
C’est exactement ce à quoi nous assistons au Moyen-Orient.
Le prince du mensonge étant orgueilleux, ainsi en est-il du fils
spirituel, le faux prophète : Bergoglio sortira une troisième
autobiographie en deux ans, confirmant sa volonté d’un testament
perpétuel de son pontificat (voir analyses précédentes).
Et ce testament est marqué, comme ce fut prophétisé, par la grande apostasie.
« Mgr Viganò : le « faux prophète » Bergoglio est coupable d’« apostasie totale » (analyse 14 décembre 2023)
«
Comme il l’a fait en Hongrie devant les jésuites (« le soutien
incroyable au restaurationnisme » est une « maladie nostalgique ».),
Bergoglio cite encore Saint Vincent de Lérins, et portant fièrement le
chapeau de « faux prophète » de l’Apocalypse, il divise au lieu de
rassembler, il égare au lieu de ramener la brebis à la bergerie, il
manipule les mots avec sa langue fourchue pour empoisonner l’âme,
provoquer le schisme en faisant croire qu’il est le chef de la nouvelle
église moderniste, et que tous, doivent être inclus au banquet
comme l’a dit Jésus. » (analyse 28 août 2023)
Le faux prophète, c'est aussi celui qui cache la vérité pour atteindre l'objectif du dragon.
Pendant
qu'on discute au synode des synodes, Bergoglio a créé dix comités qui
ont pour mandat de conclure les dix questions non résolues d'octobre
2023. Le rapport lui sera remis en 2025, soit hors synode!
Et le 5ème comité... Obscur...
«
Le champ d’action de ce groupe comprend « les questions théologiques et
canoniques concernant les formes ministérielles spécifiques » et, en
particulier, « la recherche théologique et pastorale sur l’accès des
femmes au diaconat ».
Au cours de sa présentation, le cardinal a indiqué aux membres du
synode que la possibilité de restaurer le diaconat féminin reste une
question ouverte.
Le cardinal a toutefois mis en garde contre une décision « précipitée »
qui court-circuiterait le discernement nécessaire sur cette question,
ainsi que sur les questions plus générales concernant les ministères
féminins dans l’Église catholique.
Dès le départ, cependant, le groupe d’étude n° 5 a été entouré de mystère.
Contrairement aux neuf autres groupes, sa composition n’a toujours pas
été révélée. Lors de présentations vidéo spéciales le jour de
l’ouverture du synode, des photos ont été montrées des membres de
chaque groupe d’étude, à l’exception du groupe n°5.
Au cours des réunions spéciales du 18 octobre, qui avaient été ajoutées
au calendrier du synode pour permettre aux délégués de dialoguer avec
les responsables de chaque groupe d’étude, la session du groupe d’étude
n°5 a été animée par deux jeunes fonctionnaires du Dicastère pour la
Doctrine de la Foi du Vatican.
Selon de nombreux participants, ceux-ci ont distribué aux délégués
synodaux des feuilles indiquant comment ils pouvaient soumettre leurs
commentaires pour le groupe d’étude n°5.... » (benoit-et-moi.fr)
Louis
D'Alencourt a toujours affirmé que la mort de l'Église ou des deux
témoins arriveraient par l'abolition de la Présence Réelle ou la
dilution du sacerdoce:
«
les questions théologiques et canoniques concernant les formes
ministérielles spécifiques » est exactement un mandat pour diluer le
sacerdoce.
Le faux prophète est partie intégrante du 3ème secret de Fatima :
«
Voici ce qu’on soupçonne d’être le 3ème secret, reconstitué par Frère
Michel de la Trinité au terme d’une étude publiée il y a plus de trente
ans (en 1985) !
Tandis
qu’au Portugal se conservera toujours le dogme de la foi, dans bien des
nations peut-être dans le monde presque entier, la foi se perdra. Les
pasteurs de l’Église manqueront gravement aux devoirs de leurs charges.
Par leur faute, les âmes consacrées et les fidèles en grand nombre se
laisseront séduire par des erreurs pernicieuses partout répandues. Ce
sera le temps du combat décisif entre la Vierge et le Démon. Une
vague de désorientation diabolique déferlera sur le monde. Satan
s’introduira jusqu’au plus haut sommet de L’Église. Il aveuglera les
esprits, il endurcira le cœur des pasteurs. Car Dieu les aura livrés à
eux-mêmes en châtiment de leur refus d’obéir aux demandes du Cœur
Immaculé de Marie. Ce sera la grande apostasie annoncée pour les
derniers temps, le faux agneau, faux prophète trahissant l’Église au
profit de la Bête, selon la prophétie de l’Apocalypse. »
Le regretté Louis D’Alencourt du Grand Réveil nous révélait que :
«
Bergoglio (le pape François) est sans chiffre parce qu’il est unique,
il est à la fois le dernier et le premier. Le dernier pape de
l’ex-catholicisme et le premier chef de la nouvelle religion de
l’humanité.
Il
est chargé d’accomplir la dernière mutation de l’Église, on pourrait
même dire sa mue ; il ne s’agit pas d’une disparition en tant que
telle, mais d’une transformation. Elle n’aura même pas besoin de
changer de nom, parce que sa requalification en religion de l’humanité
constituera de facto la disparition de l’original.
Cependant il subsiste un problème de taille : la messe.
La messe fait tâche d’encre, elle ne colle pas avec ce discours ni
son esprit, ni même l’ambiance. Car la messe, même sous sa
forme ordinaire (la messe de Paul VI), même dénaturée, est
peut-être le dernier lieu, le dernier office, à vénérer ostensiblement
Jésus-Christ comme Dieu, malgré leurs efforts pour le diluer dans
l’humanisme ambiant. En tous cas, la messe telle qu’elle existe encore
-et je rappelle qu’elle constitue l’office principal des catholiques-
n’est pas compatible avec cette nouvelle théologie, qui voit Dieu
partout, dans toutes les religions, justement parce qu’elle ne lui
donne pas son vrai nom : Jésus-Christ. Sauf à la messe.
C’est une incongruité. Une incompatibilité avec la nouvelle théologie
du Vatican. En toute logique, elle aurait déjà dû être réformée,
adaptée au goût du jour, assaisonnée d’œcuménisme comme tout le reste,
pour qu’elle soit compatible avec leur nouveau Dieu, universel et non
Trinitaire.
Mais ce n’est pas si simple.
Il faut rappeler que la messe catholique ou orthodoxe est le seul
office religieux qui prétende faire venir Dieu en personne sur l’autel
à chaque office. Aucune autre religion n’a une telle prétention,
personne n’ose prétendre faire venir Dieu sur place et encore
moins physiquement (car c’est bien l’objet du miracle de la
Transsubstantiation : l’hostie et le vin dans le calice sont les signes
visibles d’une Présence divine réelle, par définition invisible puisque
Dieu est un pur esprit. D’où leur changement de substance : la Présence
Réelle est physique !)
Personne ne le fait parce que cette idée ne peut pas et ne pouvait pas
être humaine : seul Dieu pouvait en avoir l’idée et l’instaurer parmi
les hommes. Parce que si Dieu ne se rendait pas présent à ce moment-là,
la supercherie serait découverte et la religion en question ferait long
feu.
Voilà
pourquoi aucune religion, en dehors de nous, ne prend le risque de
déclarer faire venir Dieu durant ses célébrations. Si c’était facile à
faire, et s’il suffisait de l’affirmer sans preuve, tout le monde le
ferait.
Or
personne ne le fait. Même pas les Protestants, parce que le fondateur
des protestants, Luther, savait très bien au fond de lui-même, qu’il
était un hérétique coupé de la grâce et du soutien divin.
Pour
tromper son monde, il a donc institué à la place de la messe une
célébration commémorant la Sainte Cène mais sans Consécration ni
miracle de la Transsubstantiation. La messe de Luther n’est qu’une
cérémonie où l’on prie Dieu comme dans toutes les autres religions,
sans le signe distinctif qui fait le privilège de la seule vraie
religion, de la seule agréée par Dieu parce que fondée par Lui, un
signe exceptionnel inégalable et inimitable : la Présence Réelle.
Et la garantie de la Présence Réelle est donnée d’une part par
l’expérience unique de la vie divine en soi (la véritable spiritualité)
et par les innombrables miracles accomplis chez les catholiques seuls.
Rappelons
que le principe des Ex-voto et de la canonisation n’existe que dans le
catholicisme et l’orthodoxie. Aucune religion ne nous imite
sur ce plan et pour cause : parce qu’aucune ne peut prétendre aux
miracles qui prouvent la présence de Dieu. Les plaques de remerciements
(Ex-voto) témoignent de ces miracles au quotidien et n’existent que
dans nos églises, de même pour les saints, une canonisation ne peut
être prononcée qu’après constat avéré d’un ou plusieurs miracles liés
au saint.
Voilà
pourquoi les protestants ont abandonné le culte des saints : là aussi,
Luther savait très bien que dans sa contrefaçon du christianisme il n’y
aurait pas de miracles et donc pas de saints ; pour le masquer,
l’astuce a consisté à supprimer le culte des saints.
D’autre part, l’Eucharistie catholique est le principal sacrement qui
unit l’homme à Dieu, appliquant à l’homme le mystère de l’union
hypostatique effectuée par le divin Maître. Par les sacrements, mais
principalement par l’Eucharistie car celui-ci a l’éminente qualité
d’être répétitif, Dieu insuffle à l’homme la grâce sanctifiante, et le
divinise en s’unissant à la nature humaine, c’est à dire non par le
corps mais par l’esprit (c’est le véritable sens du mot spirituel,
la vie spirituelle ne peut s’appliquer en réalité qu’aux catholiques en
état de grâce et sûrement pas à tout le monde).
C’est
dans notre âme que Dieu habite, c’est notre âme que Dieu nourrit par
ses sacrements, principalement l’Eucharistie, faisant de ses enfants
des temples du Saint-Esprit selon l’expression de saint Paul.
Voilà pourquoi le Royaume de Dieu n’est pas de ce
monde (matériel) mais d’ordre spirituel. C’est par l’âme que Dieu
s’unit à l’homme.
Ainsi donc, modifier la messe n’a rien d’anodin. » (grandreveilwordpress.com)
Voilà pourquoi on s’attaque dans les derniers mois à ceux et celles qui pratique la Messe Tridentine.
Cet obstacle gênant doit être éliminer au plus vite, le temps presse.
Une autre victime?
« ( LifeSiteNews )
— La journaliste du Vatican Diane Montagna rapporte que l'archevêque
émérite de Dublin d'Irlande, Diarmuid Martin, et l'archevêque émérite
de Tours de France, Bernard-Nicolas Aubertin, ont été sollicités pour
effectuer la visite apostolique récemment annoncée par le
Vatican à la Fraternité sacerdotale de Saint-Pierre.
Fondée en 1988 pour les prêtres désireux d'offrir la messe latine avec
l'accord du Vatican, la FSSP a annoncé cette visite fin
septembre dans un communiqué.
«
Cette visite n'a pour origine aucun problème de la Fraternité, mais a
pour but de permettre au dicastère de savoir qui nous sommes, comment
nous allons et comment nous vivons, afin de nous apporter toute l'aide
dont nous pourrions avoir besoin », a dit le groupe.
L'annonce a été considérée comme un signe inquiétant d'une
possible répression de la FSSP par le pape François, alors que de
précédentes visites apostoliques de communautés et de membres
du clergé à l'esprit traditionnel , notamment Mgr Joseph
Strickland, les frères franciscains de
l'Immaculée et les Carmélites de Fairfield, l'ont
fait …. »
La guerre mené par le faux prophète et ses maîtres judéo-maçonniques a
pour but d’éliminer Dieu sur cette terre pour y faire régner Satan
comme seul maître.
Louis D’Alencourt (lien ci-haut) :
«
Cette guerre ayant démontré une fois de plus l’animosité entre les
trois grandes religions monothéistes (chrétiens, juifs et musulmans),
les promoteurs du nouvel ordre mondial proposeront la religion mondiale
du noachisme via le faux prophète. La religion noachide sera présentée
comme celle de la « nouvelle civilisation de l’amour », celle
de l’Antéchrist et de son bras droit, le faux prophète. « Le Dieu
unique est actuellement adoré sous des formes multiples, au sein de
cultes bien différents, mais à l’époque messianique, le monde spirituel
verra se réaliser l’unité d’adoration » explique un promoteur de
la religion noachide. En somme, une religion universelle et
cosmopolite, réunissant tous les hommes devenus enfin frères. Albert
Pike est un peu plus clair : ce sera « la manifestation
universelle de la pure doctrine de Lucifer, enfin révélée aux yeux de
tous ». »
17 octobre
LA COMÈTE DE LA MORT?
En
hommage aux écrits du regretté Louis D’Alencourt du Grand Réveil :
son analyse des plus pertinentes à l’ouverture du synode en 2021.
Et,
à dix jours de la conclusion le 27 octobre, il est temps d’ajouter à
l’analyse de Louis, les quelques révélations qui ont transpiré des
premières sessions, car il faut le mentionner, la loi du silence est
imposée aux participants, et où, seuls quelques porte-paroles donnent
des informations au compte goutte aseptisées par la bureau de presse du
Vatican.
Le synode est même absent des principaux médias, comme s’il n’existait pas, ce qui est normal dans cette humanité apostasiée.
Ce qui est tout un contraste avec l’ouverture de Vatican II.
« LE SYNODE DE LA MORT » (grandreveilwordpress.com)
«
Nous nous doutions que le synode sur la synodalité lancé par le
« pape » François en octobre 2021 serait l’instrument pour
achever l’Église et faire périr définitivement le peu de catholicisme
authentique qui restait encore présent, nous en avons désormais la
quasi certitude. »
… Le 10 octobre 2021, lors de l’ouverture de ce synode, le Figaro titrait :
« François lance sa grande réforme de l’Église »
Donc personne ne se méprend sur le contenu réel et les objectifs de
cette démarche, ni Rome qui ne se cache plus, ni les médias grand
public.
C’est très simple : la méthode consiste à entreprendre des réformes de
fond, décidées et prévues depuis longtemps, sous le couvert de la
volonté populaire. On expliquera que les décisions prises ne
proviendront pas de l’autorité ecclésiastique souveraine, mais des
souhaits de la base, c’est à dire des croyants et des pratiquants
du monde entier, après les avoir consultés.
(Note: Cela est confirmé aujourd’hui : Le synode deviendra LA manière de faire de l’église.
La base des chrétiens et ses prêtres « aux mœurs perverties » choisira
la direction à prendre selon le calendrier humaniste :
« De toute évidence, le but de cette conférence était de renverser la
classe hiérarchique de l’Église et de mettre en œuvre un système
démocratique », a écrit le cardinal Joseph Zen à propos du Synode sur
la synodalité…. Le cardinal Joseph Zen a lancé un avertissement sévère
au sujet du Synode sur la synodalité et de la division persistante
résultant des Fiducia Supplicans, affirmant que « l'avenir de l'Église
» est « incertain » à moins que les problèmes ne soient résolus.
« Je suis très inquiet de la manière dont cette soi-disant « synodalité
» du Synode des évêques pourra être conclue sans heurts », a commencé
Zen , l'évêque émérite de Hong Kong.
Le dernier essai du cardinal, publié le 17 octobre, renouvelle ses
préoccupations et ses critiques antérieures à l'égard du Synode sur la
synodalité, mais fait également référence à la déclaration controversée
Fiducia Supplicans de 2023 qui a approuvé les « bénédictions »
homosexuelles.(lifesitenews.com)
«Il a averti que certains, « ne comprenant pas correctement la notion
de synode, pourraient penser, par exemple, que l’Église catholique est
désormais devenue une sorte d’organisme démocratique doté d’une sorte
de nouvelle constitution ». (cardinal Tobin, analyse précédente))
Ceci est d’une totale hypocrisie, il s’agit en réalité d’un faux
synode, d’une consultation pipée, dont les conclusions étaient déjà
écrites avant même qu’il ne s’ouvre.
...
Petit aparté : il semblerait que les Églises locales n’aient pas toutes
appliqué le principe aberrant d’étendre la consultation à tous, à
commencer par ceux qui ne sont pas concernés par le catholicisme. Alors
en janvier 2022, on a repoussé la première étape d’avril au 15 août
2022 pour forcer les diocèses catholiques à au moins y associer les
protestants et les orthodoxes, sous prétexte de « dimension œcuménique
» du processus synodal.
« Le Vatican a publié une lettre demandant aux évêques
catholiques d’inviter les dirigeants orthodoxes et protestants locaux à
participer à l’étape diocésaine du processus de deux ans menant au
Synode de 2023 sur la synodalité. » ; lettre du 17 janvier
cosignée par le cardinal Mario Grech, secrétaire général du Synode des
évêques, et le cardinal Kurt Koch, président du Conseil pontifical pour
la promotion de l’unité des chrétiens.
« Le dialogue entre chrétiens de différentes confessions,
unis par un seul baptême, occupe une place particulière dans le
cheminement synodal », avancent-ils pour justifier cette démarche.
« En effet, la synodalité et l’œcuménisme sont des processus de « marcher ensemble ».
Là encore le ton est donné.
Mais si les catholiques demandent leur avis aux autres, en quoi
resteront-ils catholiques ? Devons-nous nous fondre et nous confondre
avec le monde ou bien au contraire défendre et renforcer ce qui fait
notre spécificité et notre différence ? Ne sommes-nous pas capables par
nous-mêmes d’analyser nos forces et nos faiblesses, et d’évaluer
comment nous sommes perçus, et pourquoi ? »
(Note: Effectivement, le but ultime est la nouvelle religion humaniste
« débarrassée » de ce gênant obstacle qu’est la présence réelle, le
Christ. Nous savons tous maintenant que des groupes « wokes » ont leurs
représentants au synode et font du lobbying ( François reçoit un groupe « trans »
), que les autres religions chrétiennes présentes (orthodoxes,
mennonites, protestants, etc.) et Bergoglio savourent l’idée d’un
œcuménisme avec comme célébration une forme commémorative à la sauce
protestante sans le Christ.
« Synodalité et œcuménisme: un seul chemin
La conférence de presse de ce jeudi 10 octobre sur les travaux de
l'assemblée sur la synodalité était centrée sur le thème de l'unité des
chrétiens. Le cardinal Koch, le métropolite orthodoxe Job, l'évêque
anglican Warner et la pasteure mennonite Graber étaient les invités de
cette réunion. Demain, une veillée œcuménique avec la communauté de
Taizé aura lieu au Vatican. » (vaticannews.va)
Ainsi, Bergoglio pourra se vanter d’avoir réussi l’impossible, le rêve
de Paul VI, une religion qui se dit chrétienne, sans la Sainte Messe,
humaniste.
Pour que son œuvre soit éternelle, Bergoglio, on l’a vu dernièrement,
nommera encore plus de cardinaux le 8 décembre prochain, des cardinaux
gagnés à la cause, et assez jeune pour pouvoir perpétuer l’église
synodale.
Les cardinaux nommés par Bergoglio sont maintenant majoritaires, ET, SANS profondeur théologique.
«
Il y a un manque de grandes figures, avec une lumière propre, des
pasteurs, bien sûr, mais aussi des intellectuels puissants, avec un
arrière-plan philosophique, théologique et canonique convaincant et
reconnaissable.
À ce jour, la quasi-totalité des cardinaux créés par le pape François
(163 au 8 décembre) sont des personnes qui se comportent comme des
clones du pontife, ou plutôt, comme on l’a écrit ces derniers jours, «
ce sont des cardinaux copié-collé ». (benoit-et-moi.fr)
Comment Bergoglio a-t-il réussi à faire avaler la pilule concernant l’œcuménisme humaniste?
Vous allez tous comprendre ici la manœuvre si importante de Bergoglio
abandonnant le titre de pape pour n’être que le simple « évêque de Rome
» il y a quelques années (confirmant la dernière citation de la
prophétie des papes de Saint-Malachie : Pierre le Romain) :
« Qui dit œcuménisme dit primauté de l’évêque de Rome, une question
latente depuis des siècles qui reste indirectement l'une des
thématiques du synode en cours.
Une Église catholique plus synodale pourrait ouvrir la porte à une
avancée significative en la matière. Depuis Ut Unum Sint de Jean Paul
II en 1995, la primauté du Pape est ouvertement posée et des gestes
concrets ont jalonné les dernières décennies: d’abord la demande de
pardon de Paul VI et du Pape polonais, puis le 13 mars 2013, la manière
dont François s’est présenté aux fidèles au soir de son élection: «la
tâche du Conclave était de donner un Évêque à Rome. […] La communauté
diocésaine de Rome a son Évêque». Jorge Mario Bergoglio ne s’est pas
cité comme Pape.
Ce qui pourrait sembler un détail pour les uns, a été en réalité perçu
comme le franchissement d’une nouvelle étape du dialogue œcuménique.
Orthodoxes et protestants sont en effets ouverts à la question du rôle
de l’évêque de Rome et l’exercice de la primauté. » (vaticannews.va) )
Continuons avec Louis D’Alencourt :
« Revenons à ce document de travail que doit préparer Rome pour la seconde phase du synode.
Sur quoi va-t-il se baser ? Sur une synthèse des consultations nationales.
Cette synthèse, nous pouvons la faire dès maintenant, car se dégagent
des grandes lignes communes à presque tous les rapports, et qui sont
sans surprise, comme si tout le monde suivait un mot d’ordre établi
d’avance. Ce qui n’a rien d’étonnant, je le rappelle, les dés sont
pipés. »
(Note: Le cardinal Tobin nous a confirmé dernièrement la « grande
sagesse » de Bergoglio qui a déjà décidé du rapport final : ce
sera un amalgame de ses propres encycliques et Exhortations
Apostoliques humanistes.
D’ailleurs, un informateur a confirmé que tous les sujets qui avaient
été écartés lors de la session de 2023 qui faisaient scandales, ont été
ramenés sur le tapis en ce mois d’octobre 2024, parce qu’il est
important que cela soit dans le rapport final.
« CITÉ DU VATICAN ( LifeSiteNews
) — À travers le processus et le style du Synode sur la synodalité, le
pape François semble tenter subtilement mais fermement de mettre en
œuvre de manière irréversible les points les plus controversés de son
pontificat.
« Le synode sur l’Amazonie a ouvert la voie au synode sur la synodalité
», a déclaré le cardinal Leonardo Steiner, archevêque de Manaus au
Brésil, aux journalistes du Vatican le 15 octobre. C’est un « voyage
construit jour après jour », a-t-il déclaré… « La synodalité », a-t-il
soutenu, « nous explique que nous devons être de plus en plus ouverts à
l’inculturalité et à l’interreligion. » Steiner a également salué le
style synodal consistant à « être ouvert à l’écoute des religions et
des cultures afin que l’Évangile soit de plus en plus inculturé. »)
...
(Louis D’Alencourt) Une religion peut-elle ou doit-elle se réformer ?
Il est essentiel de rappeler quelques données fondamentales avant
d’entrer dans le détail de ces propositions : une religion n’est
pas une institution comme les autres.
Une religion a pour but de relier l’homme à Dieu, et particulièrement
la religion catholique, puisqu’elle revendique le privilège d’être la
seule religion à relier l’homme au seul, vrai et unique Dieu : la
Sainte Trinité : UN seul Dieu en trois Personnes (Père, Fils et
Saint-Esprit).
D’autre part, le catholicisme fonde sa doctrine, ses dogmes et ses
rites sur la Révélation, à savoir sur l’enseignement donné par Dieu en
personne aux hommes, tout au long de l’Ancien Testament, et surtout par
le Verbe, Jésus-Christ, Dieu fait homme, venu sur terre pour enseigner
les hommes et créer son Église (celle qui est à Rome), qu’il a chargée
de perpétuer son œuvre par l’enseignement de sa doctrine et
l’administration des sacrements, afin de procurer aux hommes le salut
de leurs âmes et la vie éternelle.
Par conséquent, il n’appartient pas à l’homme de modifier quoi que
ce soit de cet enseignement, ou de le réinterpréter ou de l’adapter au
gré de ses caprices et de ses envies.
...
Ainsi donc, il est totalement incongru, inadapté et même sacrilège
de demander aux hommes leur avis sur une doctrine, des règles, des
valeurs et un culte qui ont été définis par Dieu en personne et
transmis, explicités et ordonnancés fidèlement par ceux qu’il en avait
chargés : les apôtres et leurs successeurs (la fameuse succession
apostolique que seule l’Église catholique peut revendiquer
historiquement par ses papes).
Répétons-le, car c’est nécessaire, aucune autre religion, pourtant
fausse, ne se permet de tels impairs, de telles violations de ses
propres fondements.
Seuls quelques aspects concernant le rite et ses applications
pratiques, ou la nécessité de préciser certains points de doctrine
selon l’évolution des mœurs et l’apparition de nouvelles pratiques, ou
idées, peuvent être envisagés dans la vie d’une religion. Mais c’est
tout.
Il faut donc prendre conscience du niveau d’apostasie, de
désorientation et d’ignorance abyssales des catholiques contemporains,
à commencer par la haute hiérarchie, pour ne serait-ce qu’envisager de
discuter ou de réformer des points de doctrine, de valeurs, ou
d’application du culte (la liturgie) qui ne dépendent pas des hommes
mais de Dieu.
Quel est l’enjeu à ce stade ?
Il faut déjà savoir que le concile Vatican II a radicalement modifié,
déformé et perverti le visage de l’Église, ses bases, sa perception du
monde, la définition de sa mission, sa place et son rôle dans la
société, et surtout l’interprétation et l’enseignement de sa doctrine.
Il a aussi dévoyé considérablement l’administration des sacrements, et
par conséquent altéré la puissance et l’efficacité des grâces qui en
découlent, par la désacralisation et la dénaturation de la liturgie.
C’était ses buts cachés, mais les élites qui ont convoqué ce concile
savaient ce qu’ils faisaient, et ils sont parvenus à leur but.
Il en est résulté une apostasie générale, car :
– de l’Église du Christ, on est passé à l’Église de l’homme ;
– du christianisme, on a basculé dans l’humanisme ;
– de la recherche de la vie éternelle on est passé à la défense de la dignité de la personne humaine ;
– de la royauté sociale du Christ, on a opté pour la définition luciférienne et maçonnique des droits de l’homme ;
– du respect et de la défense de la loi naturelle, on a choisi la foi
dans les progrès scientifiques, techniques et sociaux humains.
Apostasier c’est quoi ? C’est rejeter ou déformer la doctrine initiale
pour lui substituer une autre foi, une autre doctrine au gré des
circonstances. En ce qui nous concerne, la doctrine initiale étant
issue de la Révélation, elle est d’essence divine et donc unique, seule
vraie, inaltérable et immuable : l’apostasie dans ce cas n’est même pas
envisageable et constitue alors une très grave violation de nos devoirs
et de nos responsabilités.
Tandis que les valeurs morales, sociales, économiques et religieuses
basculaient progressivement dans un satanisme au début équivoque et
discret, aujourd’hui public et palpable, où le péché devient la norme
par la valorisation et même l’institutionnalisation à grande échelle
des 7 péchés capitaux et des trois concupiscences, l’Église catholique,
au lieu d’allumer le contre-feu avec ses 7 vertus et ses 7 sacrements,
a abandonné le combat, d’une part en accompagnant cette évolution plus
qu’en s’y opposant, et d’autre part en cherchant à concilier la foi
avec ce néo-paganisme issu du matérialisme. Autrement dit, l’Église
s’est fourvoyée en faisant le choix de l’homme qui se fait
dieu à la place du Dieu fait homme, qui évolue en faire-valoir de
l’humanité déifiée.
…
Ainsi donc, vouloir concilier la foi en Dieu et la société
matérialiste, c’est justement vouloir concilier Dieu et Mammon, la
chair et l’Esprit ; et puisque, nous le savons, celui qui l’a emporté
depuis 60 ans c’est Mammon, c’est la vie selon la chair, c’est
l’humanisme, alors cela veut dire que l’Église catholique issue du
concile mène les hommes, le plus souvent, à la damnation, c’est à dire
exactement à l’inverse de son rôle et de sa mission.
...
La Sainte Écriture, et Jésus-Christ lui-même, appellent cela La
loi et les prophètes : la Loi ce sont les règles données par Dieu,
les prophètes ceux qui parlent au nom de Dieu. Par extension, les
prophètes désignent ceux qui enseignent la Vérité Révélée et la
doctrine qui en découle.
...
Mais cette fois-ci, on arrive à l’accomplissement final du concile et
de ses objectifs occultes, après soixante ans de bons et loyaux
services des papes conciliaires successifs (qui sont chaleureusement
remerciés en étant tous canonisés), on arrive à ce qui n’avait
encore jamais été fait : envisager de modifier la doctrine, c’est à
dire les textes légaux, en matière de foi et de mœurs.
...
Voilà pourquoi je parle de mort de l’Église. Car si on modifie la
doctrine elle-même en matière de foi et de mœurs, ainsi que les bases
fondamentales de certains sacrements, au profit d’idéologies contraires
au catholicisme initial, c’est à dire à la volonté et à l’enseignement
de Dieu en personne, alors il s’agit d’un basculement inédit
dans autre chose, une autre religion, mais ce ne sera plus la
religion de Jésus-Christ ; enfin, du VRAI Jésus, pas du faux qu’on
nous sert depuis cinquante ans, plus proche du prophète, aussi illustre
soit-il, que du Dieu fait homme. »
( Note: Comme le confirmait Louis D’Alencourt, ce synode des synodes est la mort de l’Église annoncée.
Il n’y a que deux manières d’assassiner l’Église dans sa Passion, avant
sa résurrection : éliminer la présence réelle par une nouvelle
célébration commémorative ou changer les règles du sacerdoce afin
d’enlever le pouvoir sacramentel du prêtre.
L’église conciliaire s’est protestantisée pour plaire à l’élite
humaniste de ce monde, pour faire partie de ce monde, alors que le
Christ a toujours avertit qu’on ne peut servir Dieu et Mammon à la
fois. )
Louis D’Alencourt :
« Aujourd’hui, cette Passion est déjà très largement avancée, l’Église
depuis le concile est devenue méconnaissable suite aux déformations
liturgiques et doctrinales qui confirment et prouvent qu’elle a
accomplit son apostasie et adopté des positions protestantisées,
voire hérétiques.
Il ne reste plus qu’à donner le coup de lance final, celui qui assurera
la mort certaine et définitive, c’est le synode sur la synodalité qui
s’en chargera.
Mais alors, me dira-t-on, qu’en est-il de la promesse divine
que les forces de l’enfer ne prévaudront pas contre son
Église ? C’est oublier qu’il existe, au sein de celle-ci, une
partie saine qui n’a pas déformé la doctrine ni dévoyé la liturgie
: la Tradition, qui fait perdurer l’Église d’avant, celle sainte
et sans tâche, une et apostolique, la véritable Église de Dieu, et dont
les membres constituent les derniers Témoins de la foi.
L’épisode final de la mort de l’Église (conciliaire) aura pour
conséquence, aussi, la probable mort, du moins en apparence, de la
Tradition, événement que l’Apocalypse décrit dans l’épisode de la
« mort des Témoins » … »
Ainsi en est-il.
Le
synode de la mort mène à la mort de l'église et des deux témoins, deux
éléments essentiels du calendrier de l'Apocalypse avant la chute de
Babylone.
Les signes dans le ciel sont présents pour nous accompagner.
L’autre
comète découverte juste avant le synode (voir analyse du 30 septembre;
Lumière dans le Ciel) et se dirigeant vers le soleil pour la fin du
synode, semble s’être fragmentée, ce qui réduira son intensité
lumineuse, mais aucunement son importance.
Car, ce qui est plus intéressant, c’est le rôle qu’elle pourrait avoir
en cette fin de synode si sa désintégration dans l’astre du jour
provoque une tempête solaire vers la terre.
La comète du synode de la mort aurait alors une grande signification.
Pour suivre l’évolution de cette nouvelle comète en français ici.
Une
tache solaire complexe fait face à la terre pour les dix prochains
jours, et la NASA/NOAA confirme que le cycle solaire 25 a atteint son
maximum, qui durera durant l'année 2025.
Pas de hasard.
Fin du synode de la mort, mort des deux témoins, tempête solaire?, chute de Babylone...
Tout
a cela aurait un sens logique... juste avant les élections américaines
et la fin de la neuvaine de Notre-Dame de Guadelupe du cardinal Burke
le 12 décembre prochain.
14 octobre
LA COMÈTE DU SYNODE
Saint-Jean,
dont l’évangile est spirituelle par rapport aux trois autres qui
décrivent plus des faits historiques, est le seul qui décrit le
transfert de la co-rédemption à la Sainte Vierge Marie au pied de la
croix par : « Femme, voilà votre fils. Fils voilà votre
mère. »
Car, c’est Marie qui conduit au Fils.
Saint-Jean représente toute l’humanité dont Marie est Mère.
Saint-Jean
nous a donné l’Apocalypse, la Révélation, et l’image de la femme avec
les deux pieds sur la lune, l’image révélée par Notre-Dame de
Guadelupe, la Sainte Vierge Marie à la fin des temps.
En ce mois du Rosaire si crucial à cause du synode, une comète nous accompagne, comme signe de la fin des temps.
Hier,
13 octobre, il semble que nous n’ayons pas eu de signe majeur du côté
géopolitique, mais la comète TSUCHINSHAN-ATLAS s’est révélée pour la
première fois à l’œil nu à toute l’humanité.
(Images sur spaceweather.com)
Elle est facilement visible au sud-ouest, environ 40 minutes après le coucher du soleil.
Retournons
au 13 octobre 2023 avant la première portion du synode des
synodes : « avant la congrégation générale, une messe a été
célébrée par le cardinal Fridolin Ambongo, archevêque de Kinshasa en RD
Congo et président du SCEAM, symposium des conférences des évêques
d’Afrique et de Madagascar. Dans son homélie, il a considéré ce synode
comme une nouvelle Pentecôte qui renouvellera certainement l'Église
dans la communion de ses membres et dans la participation active de
tous à la vie et à la mission de l'Église. » (vaticannews.va)
L’article
publié par le Vatican est amputé intentionnellement pour démontrer que
l’église synodale est la voie, voie dirigée par le Saint-Esprit, rien
de moins qu’une « nouvelle Pentecôte » avec une petite mise en garde
contre le malin à la toute fin, qui lutte pour empêcher la nouvelle
église synodale.
Rien de moins.
Or, dans cet article du catholicworldreport.com nous découvrons qu’il a mentionné Satan à plusieurs reprises :
«
Le diable lance des attaques pour diviser l'Église, et nous devons
riposter avec l'arme du Saint-Esprit, a déclaré vendredi un cardinal de
la République Démocratique du Congo lors de la Messe.
...
“Si
nous avons le courage de regarder notre réalité actuelle en tant
qu'Église, il ne sera pas difficile de voir comment le Malin est à
l'œuvre, influençant notre façon d'être et d'agir. Le Malin veut nous
voir divisés; il pourrait même utiliser certains d'entre nous pour sa
cause,”, a déclaré l'archevêque de Kinshasa, encourageant les gens à se
battre avec “les armes de la synodalité.”
...
La
lecture “nous rappelle que le diable est toujours présent et actif dans
notre monde,”, a déclaré le cardinal. “Sa force réside précisément dans
la stratégie de se rendre invisible et d'apparaître sous les formes les
plus séduisantes et les plus rassurantes. Connaissant bien sa proie, le
diable lance ses attaques à partir des réalités les plus sensibles.
Il cite le pape Benoît XVI qui a dit“le Malin cherche toujours à gâcher
le travail de Dieu, semant la division dans le cœur humain, entre le
corps et l'âme, entre l'individu et Dieu, dans les relations
interpersonnelles, sociales et internationales .. Le Malin sème la
discorde.”
“C'est pourquoi nous devons combattre courageusement le Malin, en
utilisant les armes de la synodalité,” a-t-il poursuivi, “qui exigent
l'unité, la marche ensemble, le discernement priant, l'écoute mutuelle
et ce que l'Esprit a à dire à l'Église.”
“Nous sommes appelés à combattre ce puissant adversaire avec une arme
tout aussi puissante à notre disposition: l'Esprit Saint, protagoniste
de cette nouvelle façon d'être Église — l'Église synodale.” »
Et
dans ce monde aux valeurs inversées, le système antichristique, même au
sommet du Vatican avec l’Antichrist personnifié sur le trône de
Saint-Pierre, ils ne sont même pas capable de voir que cet esprit du
synode des synodes, est le même Satan dont Paul VI en 1963 avait
confirmé la présence au sein même du Vatican.
Satan est en train de convertir l’Église pour en faire sa propre église puisqu’il ne peut l’éliminer.
Et les aveugles n’y voient rien.
Un des « McCarrick boys » (voir article sur benoit-et-moi.fr sur ce sujet), le cardinal Tobin, affirme « que la synodalité met en œuvre le « programme » du pape François pour l'Église ».
Donc, la conclusion et le rapport final sont déjà décidés d’avance comme plusieurs le soupçonnent.
« Avec « Amoris Laetitia, Fratelli Tutti, Laudato Si », le pape
François a « distillé la sagesse » des synodes précédents, a déclaré le
cardinal Joseph Tobin lors d'un point de presse au Saint-Siège
aujourd'hui. »
Ainsi,
le rapport final sera un amalgame de toutes les encycliques de
Bergoglio, soit une église transformée, uniquement basée sur
l’humanisme, décentralisée du Christ.
«
Selon Tobin aujourd'hui, les membres du concile ont fortement conseillé
au pape que l'immigration ou la vie sacerdotale devraient être au
centre des préoccupations, mais François a décidé de faire le synode
sur la « synodalité », provoquant une forte confusion au sein du
concile.
Tobin
a salué la décision du pape François, tout en soulignant qu'il ne
l'avait pas comprise à l'époque. « Mon péché a été de remettre en
question la sagesse du Saint-Père », a-t-il déclaré. « Je l'ai absous
en essayant de comprendre ce qu'il voulait dire et pourquoi il y
accorde de la valeur. »
Le
cardinal de 72 ans a suggéré que l'accent mis par François sur la
synodalité reliait les thèmes et documents clés de son pontificat. »
Remettre en question la sagesse du Saint-Père?
On n’y voit vraiment plus clair chez les cardinaux.
On voit bien que Satan est à l’œuvre.
Ainsi,
il confirme par ses paroles que ceux qui ne sont pas pour la synodalité
(un concept qui n’existe pas), sont contre la sagesse de Bergoglio, et
donc contre la nouvelle église.
Exactement
ce qu’avait anticipé le regretté Serge Monast (voir analyse du 20
septembre dernier) où le chrétien vivant la Tradition est considéré
comme une nuisance, un terroriste qui mérite l’exclusion ou le bâillon.
«
En distillant la sagesse qui a été présentée lors des synodes suivants
– Amoris Laetitia, Fratelli Tutti, Laudato Si' –, il m’est apparu
clairement que le Saint-Père ne proposait pas simplement un programme,
mais qu’il m’aidait, ainsi que d’autres, à comprendre que pour faire
cela, pour répondre au Seigneur de cette manière, il faut penser
différemment à la manière dont l’Église vit et agit. »
Maintenant, conclut Tobin, l’attention de François à la synodalité « est un grand moment de grâce pour l’Église et le monde ».
Le lien établi par Tobin entre trois documents clés écrits par François
et le Synode est remarquable car il présente le Synode sur la
synodalité comme un moyen de mettre pleinement en œuvre les
propositions contenues dans les textes précédents…
Il
a averti que certains, « ne comprenant pas correctement la notion de
synode, pourraient penser, par exemple, que l’Église catholique est
désormais devenue une sorte d’organisme démocratique doté d’une sorte
de nouvelle constitution ». (lifesitenews.com)
Voilà.
La
trahison suprême, le synode des synodes, le Judas des Judas qui fait
passer l’église conciliaire dans la nouvelle ère en ce mois d’octobre
2024, en donnant le coup final pour faire mourir l’Église dans sa
Passion à l’image du Christ, pour faire mourir les « deux témoins » de
l’Apocalypse, comme prévu par Saint-Jean.
Et
dans son orgueil, Bergoglio lègue ainsi son testament, sa manœuvre
finale qu’il espère éternelle (voir analyse du 17 septembre, LE
TESTAMENT DE BERGOGLIO), sans retour en arrière comme il l’a affirmé si
souvent, la conclusion de Vatican II.
Nous vivons un temps critique, la fin des temps, et peu s’en aperçoivent.
Même
le cardinal Burke y est allé du bout des lèvres en se demandant, devant
les signes présents (voir 17 septembre), si nous n’étions pas à la fin
des temps.
Pourtant le signe du figuier donné par le Christ en Matthieu 24 pour nous guider en cette occasion est bien facile à décrypter.
Et
comme à la venue du Christ sur cette terre il y a plus de 2000 ans un
signe dans le ciel annonçait sa venue, nous avons en ce mois d’octobre
un signe dans le ciel annonçant sa seconde venue.
Même
si les signes du zodiaque dans le ciel sont une œuvre païenne, il est
quand même intriguant de constater que la comète
TSUCHINSHAN-ATLAS s’est révélée le 13 octobre aux pieds de la
constellation de la Vierge, qui elle écrase la constellation du
Serpent, comme en référence à la Genèse et à l’Apocalypse.
L’Alpha et l’Oméga, le début et la fin d’un cycle, la fin des temps.
12 octobre
La
veillée de prière œcuménique célébrant l’entrée dans l’œcuménisme pour
une seule religion humaniste, soit Vatican II, donne le ton à la
conclusion du synode des synodes.
C’est le 11 octobre, date si chère au francs-maçons.
Et c’est le 11 octobre que nous avons eu cette tempête solaire avec aurores pour nous donner un signe.
«CITÉ DU VATICAN ( LifeSiteNews )
— Le pape François s'est joint aux délégués œcuméniques et aux
participants du Synode sur la synodalité dans une veillée de prière
œcuménique au Vatican ce soir, au cours de laquelle le lien entre
œcuménisme et synodalité a été une fois de plus affirmé.
Pour
clôturer la journée complète de réunions du Synode, vendredi 11
octobre, les participants ont pris part à une veillée de prière
œcuménique très attendue sur la Place des Protomartyrs au Vatican, lieu
traditionnel du martyre de saint Pierre.
Le
pape et le synode étaient accompagnés d'un certain nombre de délégués
œcuméniques, escortés du cardinal Kurt Koch, préfet du Dicastère pour
la promotion de l'unité des chrétiens.
La
date a été choisie délibérément, car elle marquait l'anniversaire de
l'ouverture du Concile Vatican II, qui « a marqué l'entrée de l'Église
catholique dans le mouvement œcuménique », a déclaré Koch aux
journalistes jeudi.
Donnant
un signe de fatigue, François n'a pas prononcé son homélie prévue lors
de la veillée, bien que le bureau de presse du Saint-Siège l'ait
ensuite publiée en ligne .
(note: voir ici pour le sermon)
(extrait :
«En ce jour où nous nous souvenons de l’ouverture du Concile
Vatican II, qui a marqué l’entrée officielle de l’Église catholique
dans le mouvement œcuménique, nous sommes réunis avec les Délégués
fraternels, nos frères et sœurs des autres Églises.
…
L’unité des chrétiens et la synodalité sont liées. En effet, si
« le chemin de la synodalité est justement celui que
Dieu attend de l’Eglise du troisième millénaire » (Discours
50e anniversaire de l’institution du Synodes des Évêques, 17
octobre 2015), il doit être parcouru par tous les chrétiens. « Le
chemin de la synodalité […] est et doit être œcuménique, de même que le
chemin œcuménique est synodal » (Discours à Sa Sainteté Mar Awa
III, 19 novembre 2022). Dans les deux processus, il ne s’agit pas tant
de construire quelque chose que d’accueillir et de faire fructifier le
don que nous avons déjà reçu. Et comment se présente le don de
l’unité ? L’expérience synodale nous aide à en découvrir certains
aspects. )
Dans son texte préparé, François a réitéré ce qui a été un thème
constant et important tout au long du synode de trois ans : « L’unité
des chrétiens et la synodalité sont liées. »
«
Le cheminement de la synodalité… est et doit être œcuménique, tout
comme le cheminement œcuménique est synodal », a-t-il déclaré,
poursuivant les points de discussion longuement exposés par le cardinal
Koch lors d'un point de presse du 10 octobre .
Notant
que le Saint-Esprit « nous guide vers une plus grande communion »,
François a fait valoir qu’il n’était pas clair à quoi ressemblerait une
telle unité :
De même que nous ne savons pas à l’avance quel sera le résultat du
Synode, nous ne savons pas non plus exactement à quoi ressemblera
l’unité à laquelle nous sommes appelés… Comme le disait le Père Paul
Couturier, l’unité des chrétiens doit être implorée « comme le Christ
veut » et « par les moyens qu’il veut ».
François a également souligné l'aspect particulier du Synode en matière
de relations œcuméniques, affirmant que l'événement « nous aide à
redécouvrir la beauté de l'Église dans la variété de ses visages ».
Reprenant une phrase qu’il répétait souvent, François a déclaré que «
l’unité n’est pas l’uniformité, ni le résultat d’un compromis ou d’un
contrepoids ».
Il a plutôt déclaré que « l’unité des chrétiens est l’harmonie entre la
diversité des charismes suscités par l’Esprit pour l’édification de
tous les chrétiens ».
La date de la veillée était déterminante, tout comme le lieu. François
et toute l’assemblée œcuménique étaient assis sur la place où la
Tradition rapporte que saint Pierre fut martyrisé, crucifié la tête en
bas. « En ce lieu, les protomartyrs romains nous rappellent
qu’aujourd’hui encore, dans de nombreuses parties du monde, des
chrétiens de différentes traditions donnent leur vie ensemble pour leur
foi en Jésus-Christ, incarnant un œcuménisme de sang », a commenté
François.
Il
a également parlé de « honte » face au « scandale de la division parmi
les chrétiens, le scandale de notre incapacité à porter un témoignage
commun au Seigneur Jésus ».
François
a présenté le synode comme une solution possible à ce problème, et
comme « une opportunité de faire mieux, de surmonter les murs qui
existent encore entre nous ».
Reprenant
une fois de plus les thèmes du Synode, François a souligné « le terrain
commun de notre baptême partagé, qui nous pousse à devenir des
disciples missionnaires du Christ, avec une mission commune. Le monde a
besoin de notre témoignage commun ; le monde a besoin que nous soyons
fidèles à notre mission commune ».
Alors
que le « terrain d’entente du baptême » a été évoqué ce soir dans le
cadre d’un effort œcuménique, au sein du Synode, il est également
utilisé pour appeler à un renforcement du ministère et de la
gouvernance des laïcs dans l’Église catholique.
Œcuménisme catholique
Au
cours des dernières années, depuis le Concile, l’engagement catholique
dans l’œcuménisme a connu une croissance exponentielle, alors que,
parallèlement, la promotion de la foi par l’Église a considérablement
diminué.
Comme
l’enseignent les catéchismes, l’œcuménisme catholique authentique
implique la mise en pratique du commandement du Christ de prêcher
l’Évangile et d’amener des âmes à l’Église. (Mt 28, 19)
Dans
Libertas , le pape Léon XIII , se référant aux relations de
l'Église avec les autres religions, écrit que l'Église catholique
tolère « certaines libertés modernes, non parce qu'elle les préfère en
elles-mêmes, mais parce qu'elle juge opportun de les permettre ; elle
exercerait sa propre liberté dans des temps plus heureux ; et, par la
persuasion, l'exhortation et la supplication, elle s'efforcerait, comme
elle y est tenue, de remplir le devoir qui lui est assigné par Dieu de
pourvoir au salut éternel de l'humanité. »
Le
pape Pie XI, dans Mortalium Animos, a également mis en garde
fermement contre « la fausse opinion qui considère toutes les religions
comme plus ou moins bonnes et louables, car elles manifestent et
signifient toutes de différentes manières ce sens qui est inné en nous
tous et par lequel nous sommes conduits à Dieu et à la reconnaissance
obéissante de sa règle. »
À
la lumière du danger – déjà régulièrement évoqué – des conséquences
d’un œcuménisme défaillant, un décret du
Saint-Office du Vatican de 1949 demandait aux évêques chargés de
promouvoir le véritable œcuménisme d’attirer les âmes vers l’Église et
de toujours enseigner la plénitude de la priorité de l’Église. Le
document disait :
Il n’est en aucun cas permis de passer sous silence ou de voiler sous
des termes ambigus la vérité catholique sur la nature et la voie de la
justification, la constitution de l’Église, la primauté de juridiction
du Pontife romain et la seule véritable union par le retour des
dissidents à la seule véritable Église du Christ.
La pratique actuelle du Vatican est beaucoup plus conciliante que celle
des décennies précédentes, privilégiant l’unité œcuménique par rapport
à la pratique antérieure de l’intégrité doctrinale. »
10 octobre
Sans surprise à l’approche du 13 octobre.
Une
éjection de masse coronale se dirige vers la terre pour produire une
tempête d’aurores aussi intense que le phénomène du 11-13 mai dernier.
Ici, la vidéo de l’éjection avec en bonus le passage de la comète du 13 octobre venant de la droite pour contourner le soleil.
Les taches solaires sont présentement très grosses, instables et dirigées face à la Terre.
Le
13 octobre, date du miracle du soleil en 1917, nous atteindrons 107
années révolues depuis l’apparition de Notre-Dame du Rosaire.
Le troisième secret de Fatima concerne la perte de la Foi au sommet de l’Église et la grande apostasie.
Regretté père Gabriel Amorth (était exorciste du Vatican) :
«
« En effet, déclare Amorth, un jour Padre Pio m’a dit avec beaucoup de
tristesse : « Tu sais, Gabriele ? C’est Satan qui a été introduit
dans le sein de l’Église et qui, dans très peu de temps, viendra
diriger une fausse Église . »
« Oh mon Dieu ! Une sorte d’Antéchrist ! Quand vous a-t-il prophétisé cela ? » [demande Zavala].
« Cela devait être vers 1960, car j’étais déjà prêtre à cette époque. »
«
Est-ce pour cela que Jean XXIII a eu une telle panique à l’idée de
publier le Troisième Secret de Fatima, afin que les gens ne pensent pas
qu’il était l’antipape ou quoi que ce soit d’autre… ? »
Un sourire léger mais entendu dessine sur les lèvres du père Amorth.
« Padre
Pio vous a-t-il parlé d’autres catastrophes à venir : tremblements de
terre, inondations, guerres, épidémies, famines… ? A-t-il fait
allusion aux mêmes fléaux prophétisés dans les Saintes Écritures ? »
[demande M. Zavala]
« Rien
de tout cela ne lui importait, si terrifiants qu’ils fussent, sauf la
grande apostasie au sein de l’Église. C’était le problème qui le
tourmentait vraiment et pour lequel il priait et offrait une grande
partie de sa souffrance, crucifié par amour » [dit le père
Amorth].
« Le troisième secret de Fatima ? »
" Exactement. " (lifesitenews.com)
Ce qui confirme que l’important, c’est la perte des âmes.
Le Ciel ne parle que des choses du Ciel.
Notre-Dame avait averti que si la Russie ne se convertissait pas que les erreurs du communisme se répandraient sur le monde.
N’est-ce
pas ce que nous avons à la tête de l’église? Un pape adepte de la
théologie de la libération et sa clique socialo-marxiste ne prônant que
des messages humanistes et non du Christ?
Quant
au temporel, c’est nous qui faisons l’histoire, et Dieu dirige la
nature humaine et terrestre pour nous retourner sur le bon chemin, si
nous en avons la volonté.
Ce 13 octobre prochain pourrait être la journée (un an après l’intervention d’Israël à Gaza) pour frapper l’Iran.
L’Iran menace les autres pays arabes si ils permettent l’utilisation de l’espace aérien pour une attaque israélienne :
«
Téhéran a fait savoir aux États du Golfe qu’il serait
« inacceptable » qu’ils permettent l’utilisation de leur
espace aérien contre l’Iran et que toute action de ce type entraînerait
une riposte, a déclaré mardi un haut responsable iranien, alors que le
pays se prépare à une éventuelle riposte israélienne à l’attaque de
missiles iraniens de la semaine dernière. » (timesisrael.com)
Le
chef du parti conservateur canadien s’ajoute à la liste de ceux qui
veulent une frappe contre les installations nucléaires
iraniennes :
«
Canada : Le chef de l’opposition soutient une frappe israélienne contre
le programme nucléaire iranien... ce qui serait un cadeau juif pour
l'humanité » (timesisreal.com)
Il est temps de ramener la prophétie de Bernadette Soubirou (on ne sait pas par contre si elle est véridique) :
«
"Bernadette a écrit en 1879 au Pape Léon XIII afin de lui soumettre des
messages pour notre siècle. De ces cinq prophéties, quatre se sont déjà
réalisées. Cette lettre, considérée comme perdue pendant 120 ans,
aurait été retrouvée par le Père français Antoine Lagrande au Vatican
alors qu'il cherchait des documents sur des miracles à Lourdes. Cette
lettre au Pape, écrite juste avant sa mort par Bemadette, comprend cinq
messages de la Sainte Vierge concernant les événements de notre siècle
et l'avenir après l'an 2000. Le contenu de la lettre n'a jamais été
publié et les personnes au Vatican avouent qu'elle avait été égarée. Le
Père Lagrande a découvert cet écrit en décembre dernier [décembre 1997]
dans une armoire métallique, dans la cave de la bibliothèque vaticane.
Il s'agit de cinq pages séparées et sur chaque page se trouve une
révélation.
...Au
début du XXIe siècle, on assistera au choc des adeptes de Mahomet et
des nations chrétiennes. Une terrible bataille aura lieu dans laquelle
5 650 451 soldats perdront la vie et une bombe très destructrice sera
lancée sur une ville de la Perse. Mais à la fin c'est le signe de la
croix qui vaincra et tous les musulmans se convertiront au
christianisme. Suivra un siècle de paix et de bonheur car toutes les
nations déposeront les armes. Une grande richesse s'ensuivra car le
Seigneur va répandre sa bénédiction sur les croyants. Sur toute la
terre, il ne restera pas une seule famille vivant dans la pauvreté et
souffrant de la faim. A un homme sur dix Dieu donnera le pouvoir de
guérir les maladies de ceux qui appellent à l'aide. Suite à ces
miracles, on entendra les cris d'allégresse d'un grand nombre. Le 21e
siècle sera nommé: «Deuxième Age d'Or de l'humanité». »
Revoici la LA PROPHÉTIE DE DON BOSCO concernant le venue de l’Iris de paix avant le mois de mai des deux lunes :
La copie de cette prophétie a été envoyée à Rome le 12 février 1870,
comme en témoigne la Civiltá Cattolica , Vol. VI, Série 8, 1872, pp.
299 et 303, par le Père Joachim Berto (secrétaire particulier de Don
Bosco).
Il a copié cette prophétie à la demande de Don Bosco quelques semaines après l'Épiphanie.
« … Il y aura toujours un violent ouragan. L'iniquité est consommée; le
péché prendra fin et avant que deux pleines lunes du mois des fleurs ne
passent, l'iris de la paix apparaîtra sur la terre.
Le Grand Ministre verra l'épouse de son roi habillée pour la fête.
Sur le monde entier, un soleil apparaîtra si brillant qu'il ne l'a
jamais été depuis les flammes du Cénacle jusqu'à aujourd'hui, et il ne
sera pas revu jusqu'au dernier jour. »
L’iris de paix est la
fleur de lys, figure du Christ Roi, que nous retrouvons évidement dans
les prophéties de l’Église de Jean XXIII.
« Ouvrez votre cœur au lis. La voix sera puissante, annoncée par les
trompettes. (Retour du Christ, l’ultime soleil, le premier Soleil.)
Lumière de l'Occident, dernière lumière avant l'éternelle, inconnue. La
vérité sera plus simple que tous l'ont dit, que tous l'ont écrit. »
(Prophétie de l’Église #12 « L’arrivée de la Lumière »)
La voix est annoncée par les 7 trompettes de l’Apocalypse.
Le P. Berto écrit dans son interprétation de la prophétie qu’en l’an
1874, le mois de mai a deux pleines lunes (Lune Bleue), l'une le 1er et
l'autre le 31.
« Cependant, aucun événement extraordinaire profane ou surnaturel ne
s'est produit ce mois-là. En effet suivant la séquence du texte, cet
événement devrait suivre «l'ouragan» de «l'iniquité» et du «péché» qui
suivrait lui-même le traité du Latran de 1929. En mars 1988 et 1999, il
y a deux pleines lunes. Dans le premier, il n'y avait pas de cessation
notable du péché dans le monde. Ce dernier n'est pas encore venu. » (franciscan-archive.org)
Observons le ciel et la guerre de la nature.
Ces signes sont des avertissements.
07 octobre
« Grand Éclair à l’Orient »?
Pas vraiment mais un séisme de 4.6 a été détecté en Iran et tout
indique qu’il y a eu un essai nucléaire souterrain dans le désert
iranien.
Alors qu’Israël prépare sa riposte à l’attaque de missiles de la
semaine dernière, l'Iran tient à démontrer qu'elle possède la bombe
atomique.
La comète du 13 octobre est sur le point de contourner le soleil et de
devenir un objet céleste observable de soir autour du 9 octobre, et
peut-être de jour.
Voici un photographie prise le matin avec la tour Eiffel (non visible à l’œil nu encore).
Retour sur l’importance du 7 octobre et du 13 octobre via le site du Grand Réveil du regretté Louis D’Alencourt.
« Les 7 octobre et 13 octobre
Le 7 octobre est la date d’une des plus grandes victoires
militaires catholiques face aux musulmans : le 7 octobre 1571 la
coalition formée par le pape bat la flotte ottomane lors de la bataille
navale de Lépante. Cette victoire est due explicitement aux
innombrables chapelets récités par toute la chrétienté dans ce but.
C’est pourquoi, en action de grâce d’un succès qui protègera pour
longtemps la chrétienté de la menace islamique, le pape instituera au 7
octobre la fête de Notre-Dame du Rosaire, afin de faire le lien avec la
prière privilégiée qui nous a obtenu cette grâce du Ciel.
Le
13 octobre est la date du miracle du soleil à Fatima. Les célèbres
apparitions de la Vierge Marie à Fatima au Portugal se sont déroulées
du 13 mai au 13 octobre 1917, sur 6 apparitions, la dernière du 13
octobre constituant une preuve incontestable de leur origine divine
puisque les 70 000 personnes présentes assistèrent en direct au
« miracle du soleil ».
Le
lien entre les deux dates a été effectué par la Vierge Marie en
personne. En effet, au cours des apparitions de Fatima, la Vierge dit à
plusieurs reprises aux voyants : « le dernier jour, je vous
dirai qui je suis et ce que je veux. » Et le dernier jour, le 13
octobre, elle révèle effectivement son nom : « Je suis
Notre-Dame du Rosaire ». Cette information de toute première
importance, donnée par le Ciel faut-il le rappeler, relie le 7 octobre
au 13 octobre, et Lépante à Fatima. Ca devra donc servir un jour. »
En résumé : La guerre est déclenchée par le Hamas le 7 octobre et l’ultimatum d’Israël le 13 octobre.
Rappelons l’analyse du 18 septembre sur ce sujet en relation avec le 24 mai :
« Auxilium Christianorum » « Notre-Dame Auxiliatrice » est fêtée le 24 du mois de mai.
Ce titre fut donné à la Sainte Vierge Marie et officiellement introduit
dans l’Église par Pie V, après la célèbre victoire de Lépante en 1571,
lorsque qu'il ordonna d'inscrire dans la litanie Lorétienne
l'invocation "Maria Auxilium Christianorum, ora pro nobis".
Saint Pie V ne cacha point qu'il attribuait à l'intercession de
la sainte Vierge le succès de Lépante. Il ajouta aux litanies de
Lorette, c'est-à-dire de la sainte Vierge, l'invocation "Secours des
chrétiens, priez pour nous", et fixa au 7 octobre une fête en l'honneur
de Notre-Dame de la Victoire.
Il y a donc un lien direct entre les mois d’octobre et de mai.
Sachant que Don Bosco a prophétisé aussi la venue du Lys de Paix avant
le mois des deux lunes, et que le seul possible maintenant est mai
2026, on ne peut qu’anticiper que le mois d’octobre 2024 est crucial.
L’Antichrist
personnifié fera ses dernières nominations de cardinaux en décembre, et
à la surprise de tous, Timothy Radcliffe (oui, oui, celui qui fait les
méditations pré-synode et ses positions hétérodoxes, surtout pour son
activisme en faveur de la reconnaissance de l’homosexualité dans
l’Église, dont on a fait mention dernièrement), à 79 ans.
C’est une récompense pour son travail de sape de l’église puisqu’il ne
sera pas éligible à voter à un conclave ( on ne peut voter à 80 ans et
plus).
Les nominations selon la liste sont partisanes et surtout, des évêques
très jeunes seront promus, afin de perpétuer la destruction de l’église
pour encore de nombreux conclaves : le testament de Bergoglio
(analyse du 17 septembre dernier).
Voir Effets collatéraux dans l’Église et autres articles sur benoit-et-moi.fr
Prions Notre-Dame du Rosaire en cette journée si cruciale.
Prière de Notre-Dame du Saint Rosaire :
« Ô Bienheureuse Vierge Marie, Reine des Cieux et Mère de la
Miséricorde, nous nous tournons vers toi avec des cœurs humbles et
reconnaissants en ce moment sacré où nous invoquons les mystères de ton
Saint Rosaire. Toi qui es notre étoile du matin, guide-nous à travers
les méandres de nos vies, éclairant notre chemin de la lumière de ton
Fils bien-aimé, Jésus-Christ.
Au
commencement de chaque Ave Maria, nous méditons sur l'Annonciation, ce
moment divin où l'Archange Gabriel t'a saluée comme pleine de grâce, et
où tu as, avec une humble soumission, accepté la volonté de Dieu en
devenant la Mère du Sauveur. Que cette méditation nous enseigne
l'obéissance confiante face aux desseins mystérieux de Dieu, et qu'elle
fortifie notre foi en sa providence divine.
Pendant
chaque dizaine, nous contemplons les mystères joyeux, lumineux,
douloureux et glorieux de la vie de ton Fils, Jésus. Que ces moments de
prière approfondissent notre compréhension de l'amour infini de Dieu
manifesté en Jésus-Christ, et que nous soyons inspirés à suivre ses
enseignements et à imiter son exemple.
Au
cours des mystères joyeux, nous réfléchissons à la naissance du Christ,
à son enfance à Nazareth et à la présentation au Temple. Sainte Marie,
Mère de Dieu, intercède pour nous, afin que, comme toi, nous puissions
accueillir Jésus dans nos vies avec une joie ineffable.
Dans
les mystères lumineux, nous contemplons le baptême de Jésus, ses
miracles et l'institution de l'Eucharistie. Sainte Marie, Reine des
Apôtres, accorde-nous la grâce de vivre nos vies à la lumière de la
vérité éternelle de ton Fils.
Les
mystères douloureux nous conduisent au jardin de Gethsémani, au chemin
de croix, à la crucifixion et à la mort de Jésus sur la croix.
Mère
compatissante, sois notre réconfort dans les moments de souffrance, et
guide-nous à travers les épreuves de la vie avec la foi inébranlable
que tu as démontrée au pied de la croix.
Les
mystères glorieux célèbrent la résurrection, l'Ascension, la Pentecôte
et ton couronnement comme Reine du Ciel. Sainte Marie, notre Reine et
notre Mère, aide-nous à aspirer à la gloire éternelle du Royaume de
Dieu et à cheminer avec espérance vers notre patrie céleste.
Pendant
chaque Ave Maria, nous te prions pour notre église, pour tous les
fidèles, pour les âmes du purgatoire, et pour le monde entier. Ô
Notre-Dame du Saint Rosaire, prie pour nous, maintenant et à l'heure de
notre mort.
Amen. »
05 octobre
L'ancien
Premier ministre Ehud Barak estime qu'Israël pourrait attaquer
l'industrie pétrolière iranienne, tout comme le président Biden l’a
confirmé cette semaine.
Plus nous approchons du 13 octobre plus la situation devient tendue.
Retour sur l’analyse du 153, le chiffre des rachetés :
1871 ajouté de 150 ans donne exactement le début du synode des synodes de Bergoglio en 2021.
Ajouté du chiffre de la Sainte Trinité, nous atteignons comme spécifié octobre 2024.
Signe
des temps : Considérant que Bergoglio était supposé clore le
synode en 2023, il n’y a pas de hasard quant au fait qu’il a du
prolongé cette conclusion en 2024.
Dans
l’analyse de la prophétie politique #32 « Le temps est proche » qui est
liée au « Grand Éclair à l’Orient », nous avions potentiellement
identifiée la fille de Caïn comme étant Greta Thunberg qui ouvrait
ainsi la voie pour la nouvelle religion anxio-climatique, supporté par
le Laudato Si de Bergoglio.
C’était en août 2018.
« La fille de Caïn est montée au Nord, pour prêcher. Luxure dans la nouvelle Babylone, pour sept ans.
La septième année tombe le
septième voile de Salomé, mais il n'existe pas d'empereur, il n'existe
pas qui saura lever l'épée et couper le cou de Jean.
Le temps est proche. »
La septième année est donc 2025, l’année du jubilé.
Le
septième voile reliée à la danse de Salomé est donc le signe de
l’ouverture du septième sceau, la prophétie de l’église #11 de Jean
XXIII, et puisqu’il n’y a pas d’empereur, cela indique que le chaos
mondial est à nos portes.
La prophétie concernant François spécifie bien que :
« Le grand frère d'Orient fera trembler le monde par la croix renversée sans les lis. »
C’est exactement ce que fait le chef chiite en Iran, à la botte de Satan, croyant faire venir son messie au dépend des juifs.
Sur
une notre plus positive en ces temps si critiques, Camaron, sur le blog
le Grand Réveil de Louis D’Alencourt avait l’habitude de rappeler
l’importance de l’acte de réparation à la Vierge Immaculée demandée par cette dernière à Fatima, à tous les premiers samedis du mois :
«
Pour rappel important, comme tous les premiers samedi du mois,
n’oublions pas de prier à l’attention de notre Mère du ciel ce
magnifique acte de réparation à la Vierge Immaculée, pour tous les
outrages dont elle fait l’objet en cette période des derniers temps.
Acte de réparation à la Vierge Immaculée
A réciter le premier samedi du mois…
Très
Sainte et Immaculée Vierge Marie, Mère de Dieu, qui êtes aussi notre
Mère : nous nous agenouillons respectueusement devant vous, afin de
réparer par ce témoignage d’honneur et d’amour toute la souffrance que
vous ont causée à vous et à votre Divin Fils, la négligence,
l’ingratitude, le reniement et les blasphèmes.
Ô
Marie, chef-d’œuvre incomparable de la Très Sainte Trinité, objet des
complaisances éternelles de Dieu ! Le Fils Eternel de Dieu est votre
Fils selon la nature humaine, le sang de votre sang. Votre dignité
touche ainsi à l’infini ; vous êtes, ô Marie, l’Immaculée Conception,
pleine de grâces et de mérites, la Vierge-Mère, la Reine du Ciel et de
la Terre. Vous êtes notre Co-Rédemptrice, notre Médiatrice et notre
réconciliatrice. Vous êtes la Mère de la Sainte Eglise et
l’exterminatrice de toutes les hérésies, la Trésorière du Cœur de
Jésus, la Dispensatrice de toutes les faveurs célestes, la
Toute-Puissance suppliante, la Mère de miséricorde, notre Consolatrice
et notre Refuge.
Votre bonté et votre miséricorde égalent votre force et votre dignité.
Et cependant, il y a des malheureux qui, comme de vrais suppôts de
l’enfer, vous dédaignent et vous insultent, vous et votre Divin Fils.
Il en est qui méconnaissent votre dignité incomparable et vos bontés
maternelles. D’autres qui sapent l’œuvre de la Rédemption dans les âmes
rachetées par le sang de Jésus et qui cherchent à déchristianiser le
monde.
Et
combien, même parmi les chrétiens, qui aiment trop peu leur Mère et
montrent par leur manière d’agir qu’ils n’ont pas assez de confiance en
Vous, Mère de miséricorde, consolatrice des affligés, et refuge des
pécheurs. Combien qui se flattent, ô Mère, de vous aimer de tout cœur
et continuent étourdiment de renouveler par le péché les souffrances de
Jésus et de transpercer votre Cœur maternel. Et moi-même que j’estime
peu ce que vous êtes pour nous ! Que de fois je me suis joint aux
bourreaux du Calvaire ! Et, au lieu d’être pour vous un fils aimant,
j’ai trop souvent attristé votre tendre cœur de Mère par ma négligence
et mon indifférence.
Ô Cœur maternel de Marie, ayez pitié de nous ! Miséricorde et
conversion pour ceux qui cherchent à déraciner dans les âmes des
pauvres et des enfants l’amour pour Jésus et pour vous. Miséricorde et
conversion pour tous les pécheurs ! Miséricorde et pardon pour moi
aussi, pour toutes mes fautes et mes négligences !
A
titre de réparation, ô la meilleure des Mères, je vous offre la louange
et tout l’honneur qui vous ont jamais été rendus par le ciel et la
terre, en particulier par le Divin Cœur de Jésus. Je vous présente tout
l’hommage qu’on vous rend aujourd’hui sur toute la terre, en public et
au foyer. Je m’offre aussi moi-même avec mon amour d’enfant et ma
piété, avec toutes les adversités et les bonnes actions de ce jour. Je
vous promets d’être désormais tout vôtre, d’animer et de répandre votre
culte, tant que je le pourrai.
Ô
bonne Mère, répandez en nous et sur le monde entier, le surplus de
votre miséricorde maternelle, en même temps qu’une vive piété pour
Jésus et votre Saint Cœur ! Exterminez les hérésies, et écrasez pour
toujours la tête du serpent infernal ! Obtenez la paix pour la terre,
et la victoire pour notre Mère la Sainte Eglise ! Régnez sur nous et
sur le monde entier, et que, par votre règne, nous arrive le règne du
Divin Cœur de Jésus ! Ô bon Jésus, je vous en conjure par l’amour que
vous portez à votre Mère : accordez-moi de l’aimer vraiment comme vous
l’aimez et comme vous désirez qu’elle soit aimée. Ainsi-soit-il !
Indulgence plénière pour tous ceux qui, le premier samedi du mois vont
à la communion et font acte de Réparation pour les blasphèmes contre la
Vierge Immaculée.
04 octobre
Saint-Augustin, Léon XIII, Pie IX, et le 13
Nous ramenons sur la table l’analyse du 24 mars 2018 clarifiant les
explications de Saint-Augustin sur la signification du chiffre 153,
tout en liant ces dernières aux analyses récentes sur Léon XIII et le
chiffre 13.
Pourquoi?
Parce
que ce mardi 1er octobre, à l’occasion de la retraite du Synode, le
père dominicain Timothy Radcliffe, ancien maître de l'Ordre des
prêcheurs, a proposé dans sa troisième méditation une réflexion sur le
thème de «La pêche miraculeuse», s’appuyant sur l’Évangile de saint
Jean.
Il n’y a pas mais pas de hasard ici.
Pas du tout avec la signification hautement eschatologique de cette pêche miraculeuse en cette fin des temps.
Surtout dans le contexte actuel géopolitique et synodal.
On
rappelle brièvement qui est Timothy Radcliffe, choisi en 2023 et 2024
pour guider les méditations à caractère humaniste du synode des synodes
(via benoit-et-moi.fr).
« Le frère dominicain, qui fut supérieur de l’Ordre de 1992 à 2001,
mais dont la réputation mondiale est surtout due à la quantité
d’écrits, traduits dans de nombreuses langues, en claire
opposition à la doctrine catholique (notamment sur le thème de
l’homosexualité mais aussi sur d’autres sujets chauds, comme la
communion aux divorcés remariés, le rôle des femmes, etc.), doit, à la
demande du pape, diriger la retraite de prière en préparation à
l’assemblée du Synode des évêques qui se tiendra au Vatican du 1er au 3
octobre 2023. »
Ce qu’il a dit :
« Nous voici arrivés à la grande énigme: 153 poissons gras. Je pourrais
vous ennuyer pendant des heures avec toutes les explications
merveilleuses et souvent absurdes de ce nombre.
Pourquoi 153? Certains disent qu’il devait y en avoir 153. Mais
imaginez les compter en bondissant partout. D’autres font référence aux
153 églises qui existaient peut-être à l’époque. D’autres aux 153
nations qui étaient alors connues. Cela signifie clairement
l’abondance. La providence abondante de Dieu est à l’œuvre. Saint John
Henry Newman a décrit la providence comme «l’œuvre silencieuse de
Dieu». L’Instrumentum Laboris s’ouvre par une citation d’Isaïe: «Sur
cette montagne, le Seigneur de l’univers fera pour tous les peuples un
festin de mets succulents, un festin de vins bien affinés, de mets
succulents remplis de moelle, de vins bien affinés et filtrés» (25,6).
» (vaticannews.va)
Cette intervention est à l’image de tout le pontificat de Bergoglio en
quelques phrases : des paroles frivoles, aucune idée, aucune
direction, de l’ambiguïté, aucune théologie.
C’est l’ignorance complète de la Tradition et des pères de l’Église, dont dans ce cas-ci, Saint-Augustin.
Pourtant, Saint-Augustin détient la clé de la signification du chiffre 153.
Pourquoi le 153?
Dans le Nouveau Testament, il y a deux pêches miraculeuses, une avant
la résurrection du Christ, et la seconde, relatée par Saint-Jean, liée
à une manifestation de Jésus ressuscité au même groupe de pêcheurs.
Retenez bien :
Jésus confirme alors aux apôtres l'aspect physique de sa résurrection
ET le caractère universel de la mission qui leur est confiée (153
miraculeuse dans les filets).
Matthieu (13, 47-50) nous précise aussi que la pêche représente aussi
le Jugement, le tri, la séparation du bon grain de l'ivraie.
«… le royaume des cieux est encore semblable à un filet qu'on a jeté
dans la mer et qui ramasse des poissons de toutes sortes. Lorsqu'il est
plein, les pêcheurs le retirent, et, s'asseyant sur le rivage, ils
choisissent les bons pour les mettre dans des vases, et jettent les
mauvais. Il en sera de même à la fin du monde : les anges viendront et
sépareront les méchants d'avec les justes, et ils les jetteront dans la
fournaise ardente : c'est là qu'il y aura des pleurs et des grincements
de dents.»
Mais le sujet est complet avec le « Traité sur l'Évangile de Jean de Saint Augustin » sur les 153 poissons :
« Quant à la pêche qui suivit la résurrection, elle désigne l’Église du
ciel; car les poissons viennent tous de la droite, comme les élus;
comme les élus ils sont comptés, et s’ils sont au nombre précis de 153,
c’est que ce nombre encore désigne les élus. »
« Ce nombre ne représente pas uniquement les élus qui ressusciteront
pour la vie éternelle, et ne veut pas dire qu’ils seront seulement cent
cinquante-trois : il représente aussi les milliers de saints qui
vivent sous l’empire de la grâce de l’Esprit : cette grâce
s’accorde avec la loi de Dieu comme avec un adversaire ; ainsi,
l’Esprit vivifie et la lettre ne tue pas ; ce que la lettre
commande s’accomplit avec le secours de l’Esprit, et si on ne l’observe
point parfaitement, cette omission est pardonnée. Tous ceux qui se
trouvent soumis à l’influence de cette grâce, ce nombre les figure
donc, c’est-à-dire qu’il les représente figurativement il est composé
de trois fois cinquante, plus trois, qui représentent le mystère de la
Trinité : le nombre cinquante est formé par le résultat de sept
multiplié par sept, auquel on ajoute un ; car sept fois sept font
quarante-neuf. On y ajoute un, pour signifier que celui qui est
symbolisé par sept à cause de ces sept opérations, est un : nous
le savons, le Saint-Esprit a été envoyé le cinquantième jour après la
résurrection du Sauveur, il avait été promis aux disciples, et ils
avaient reçu l’ordre de l’attendre. » (fr.wikisource)
Un jubilé dans l’Ancien Testament est l’année suivant 7 cycles de 7 années où sont remis les dettes.
Pour être du nombre des élus, il faut avoir accompli la loi de Dieu, ou
les 10 commandements, avec le secours des 7 dons de l’Esprit-Saint. Le
nombre 17 est ainsi le chiffre des élus. Additionnez tous les nombres
inférieurs jusqu’à celui-là, vous obtiendrez cent cinquante-trois.
« Jamais le Seigneur n’aurait donné cet ordre, s’il n’avait eu dessein
de nous tracer un enseignement qui nous fût salutaire. Qu’importait à
Jésus-Christ qu’on prît des poissons ou qu’on n’en prît pas ?
Rappelons-nous que les disciples firent deux pêches sur l’ordre de
Notre-Seigneur Jésus-Christ, l’une avant sa passion, l’autre après sa
résurrection.
Ces deux pêches figurent donc l’Église; l’Église telle qu’elle est
aujourd’hui, et l’Église telle qu’elle sera à la résurrection des
morts. Aujourd’hui, en effet, les bons et les méchants sont
innombrables dans son sein, tandis qu’après la résurrection elle ne
renfermera que les bons, dont le nombre sera fixé. »
« 153 représente Le nombre caractéristique de la mission du Christ dans
le nouveau testament qui symbolise l’ensemble des rachetés. Les pères
de l’Église s’accordent à voir dans le nombre 153 le symbole
d’universalité de l’Église. Saint Augustin va dans le même sens en
affirmant qu’il symbolise la totalité des élus.
Saint Augustin déclare : « Dans le nombre dix-sept comme dans ses multiples on trouve un sacrement admirable ».
Sont ainsi réunis dans le filet à la fois les Juifs (pour la loi) et les païens (pour l’Esprit Saint).
Saint Augustin explique encore que c’est 50, le nombre du Jubilé,
doublement placé sous le nombre 3 le chiffre de la Divinité, il l’est
par la multiplication (3 x 50 = 150) et par l’addition (150 + 3 = 153)
; ce Nombre 153 signifie en quelque sorte le Jubilé des jubilés ; il
pourrait être le Nombre de l’Église de l’Agape, celle du grand Jubilé
messianique...» (H. Kruse : vd 1960, p. 129-148, cité par : Bible
chrétienne Évangiles, no 371.)
Du 13 mai 1917 au 13 octobre 1917, Marie est apparue aux 3 bergers sur une période de 153 jours.
153, c'est aussi le nombre du Rosaire, soit 3 chapelets d'Ave Maria.
L’apparition forcée du 19 août 1917 renvoie à Saint-Joseph dont on la fête est le 19 mars, date d’intronisation de Bergoglio.
Nombre de jours entre le 19 mars et le 19 août : 153.
Donc, 153 signifie le Jubilé des jubilés.
Le pape Léon XIII a eu sa vision du Christ et de Satan le 13 octobre 1884.
Nous avons analysé dernièrement que nous atteignons en 2024 les 100 ans
de destruction de Satan ajoutés aux 40 ans d’attente dans le désert à
l’image du Christ, notre carême, depuis la vision de Léon XIII du 13
octobre 1884.
Le 13 est le chiffre de la purification (facilement confirmé par la Vierge Marie à Fatima entres autres).
Le chiffre de Marie est le 13 : la lettre M demandée rue du Bac au dos
de la médaille miraculeuse est la 13ème lettre de l’alphabet, et la
série des apparitions tous les 13 du mois à Fatima vient confirmer ce
choix (la Sainte Vierge étant aussi la 13ème après les 12 apôtres).
Alors, que nous indique cette méditation pré-synode du père Radcliffe avec sa pêche miraculeuse de 153 poissons?
Déduisons simplement 153 années de 2024 et nous avons 1871.
Or,
1871 est le début d’un cycle de destruction de l’Église, soit la perte
des États pontificaux en 1870 qui fait surgir la « question romaine ».
La loi
des Garanties, de son intitulé complet loi des Garanties sur les
prérogatives du Souverain pontife et du Saint-Siège et sur les
relations de l'État avec l'Église est une
loi italienne promulguée le cherchant à résoudre
la « question romaine », née de la disparition des États
pontificaux survenue un an auparavant..
Après
la prise de Rome en 1870, pape Pie IX, dernier souverain des États
pontificaux, se déclare alors « prisonnier du Vatican ».
La question romaine ne sera résolue qu’avec les accords du Latran en 1929.
Alors
le Vatican devient royaume temporel où selon l’Apocalypse ne régneront
que 8 rois avant la fin des temps (voir l’analyse du 13 septembre
2024 : « Le 8ème roi : l’oméga »), soit 8 papes depuis 1929.
C’est
confirmé encore une fois dans l’ouvrage « Le diable au XIXè
siècle » en 1894 : il s’agit d’une séance de questions à Lucifer
lors d’une réunion privée de hauts responsables maçonniques.
À la question « combien de papes après Léon XIII » [le pape régnant de l’époque] le démon répond :
« Neuf, et après eux je règnerai ». (grand reveil wordpress, Louis D’Alencourt)
Pie IX, est un grand pape qui a condamné toute forme de modernisme dans l’Église.
Il proclama le dogme de l'Immaculée Conception.
Il convoqua le premier concile œcuménique du Vatican, qui définit notamment l'infaillibilité pontificale.
Le
8 décembre 1870, Pie IX déclare officiellement et « pour
perpétuelle mémoire » saint Joseph « Patron de
l’Église universelle ».
Le
7 juillet 1871, est reconnu à saint Joseph le droit à un culte
supérieur à celui des autres saints; à saint Joseph furent accordées
par Dieu des grâces spéciales.
Nous
arrivons à la fin du cycle, la fin des temps, et Bergoglio commencera
le jubilé de la victoire synodale (s’il se rend jusque là) le 8
décembre, jour évidemment important de l’Immaculée Conception.
Quatre jours plus tard, ce sera la fin de la neuvaine de Notre-Dame de Guadelupe, ou Notre-Dame de l’Apocalypse.
Tout est finalement relié.
Saint-Joseph, Marie, Fatima, le 13 et le 153.
1871 à 2024.
Le début de la destruction physique de l’Église, et son achèvement par le synode des synodes en 2024.
La résurrection suivra.
03 octobre
« La terre frisera le massacre. Un seul mourra pour tous et il était le meilleur.
Ce n'est pas le temps d'un roi,
ce ne l'a jamais été. Depuis la mort de Frédéric, chaque roi est
usurpateur. Que le roi s'en aille, reste le peuple. L'Europe a soif,
elle aura du sang dans les rues.
Mais aussi de grandes
processions et la Vierge Heureuse descendra sur terre. Vous ne la
verrez pas dans la grotte, mais dans un cœur qui revivra. Depuis les
ténèbres, elle apportera la parole que tous comprendront.
C'est le temps des lettres. »
Quelques pensées sur la fin de la prophétie « Grand Éclair à l’Orient » qui se dessine à l’horizon avec l’Iran et Israël.
La terre sera en péril: c'est bien ce qui se dessine.
Un
seul mourra pour tous et il était le meilleur : On peut penser au
successeur de Bergoglio (pas nécessairement pape, comme le cardinal
secrétaire d’État Pietro Parolin par exemple; puisque on ne sait pas
s’il y aura le temps d’un autre conclave) de la prophétie le concernant
qui mourra assassiné.
Ce qui voudrait dire que le décès de Bergoglio est imminent.
C’est le temps des lettres : l’Alpha et l’Oméga, le début et la fin d’un cycle.
Le début du cycle : Vatican II.
La fin du cycle : le synode des synodes.
À l’image de Jean XXIII qui a ouvert Vatican II mais qui est décédé avant sa fin, en sera-t-il de même pour Bergoglio?
La Sainte Vierge descendra sur terre.
C’est
l’image de la femme de l’Apocalypse, les deux pieds sur la lune et qui
voile le soleil, l’image de Notre-Dame de la Guadelupe, où on voit les
constellations sur sa tilma.
D’une manière ou d’une autre, on sait grâce à Fatima, que le soleil est concerné en cette fin des temps.
Et, Malachi Martin affirmait que le signe dans le ciel nous montrerait que Dieu existe.
Et,
avec l’ajout d’une tache solaire gigantesque hier, on peut affirmer que
la terre fait face à des possibilités de tempêtes solaires assez
vigoureuses pour l’instant.
Tempête solaire de classe X9.1, la plus grosse du cycle 25 vient d'avoir lieu.
À suivre pour l'éjection de masse coronale s'il y a lieu.
Il y aura des aurores possibles à partir de cette nuit.
Revue des actualités d’hier :
- Ouverture du Synode: le Pape invite à prier et jeûner pour la paix le 7 octobre… (vaticannews.va)
Mais, ne fait aucune mention de la fête de Notre-Dame du Rosaire.
- Bennett : « Le moment est venu pour Israël de détruire le programme nucléaire iranien »
Selon l'ex-Premier ministre, "nous avons la justification. Nous avons
les outils. Maintenant que le Hezbollah et le Hamas sont paralysés,
l'Iran se tient à découvert" (timesofisrael)
- Israël, qui promet de répondre avec force à l’attaque de missiles
lancée mardi contre son territoire par l’Iran, pourrait profiter de
l’occasion pour viser les installations nucléaires du pays, préviennent
des experts. (lapresse.ca)
« J’emprunte ce titre très réussi à Samuel Martin qui, sur Boulevard
Voltaire a trempé sa plume dans le vitriol pour présenter la grotesque
cérémonie pénitentielle qui a ouvert avant-hier la seconde partie du
Synode.
(A propos, la parenthèse belge, qui a fait espérer, ou redouter à
certains, que le pape soit devenu conservateur, s’est très vite
refermée).
.
Luisella Scrosati reprend une récente interview du cardinal Müller, qui
passe au crible les nouveaux péchés sans oublier d’envoyer quelques
piques bien senties à ses adversaires (« certains anti-intellectuels de
l’épiscopat, qui aiment se référer à leurs talents pastoraux en raison
de leur manque de formation théologique« ) , qui laissent mal augurer
de l’ambiance dans la salle du Synode auquel lui-même participe.
Parfois, il nous vient, peu charitablement, le regret que le ridicule
ne tue pas – disons plus sobrement: ne fasse pas disparaître sous
terre. Si les noms des cardinaux qui se sont prêtés toute honte bue à
cette mascarade sont souvent inconnus (celui de Tucho ne pouvait
manquer, et il ne surprendra personne) comment un intellectuel présumé
comme le cardinal Schönborn, qui ose par surcroît se présenter comme un
disciple de Benoît XVI a-t-il pu proférer ces idioties sans être
paralysé par le fou-rire… ou par la honte? » (benoit-et-moi.fr)
02 octobre
Comme prévu, tout va très vite en ce mois d’octobre.
Sans surprise, l’Iran a lancé des missiles sur Israël plongeant ce
monde dans l’inquiétude quant à la riposte que cette dernière emploiera.
Les experts en politique pensent qu’une attaque contre les installations nucléaires iraniennes est en préparation.
« Netanyahu : « l’Iran a commis une grave erreur ce soir et en paiera le prix » (timesofisrael)
« Washington renforce sa présence au Moyen-Orient avec « quelques milliers » d’effectifs supplémentaires (timesofisrael)
Et, « Khamenei menace Israël d’une attaque « plus forte et plus douloureuse »
Après avoir tiré 180 missiles balistiques sur Israël, le guide suprême
iranien Ali Khamenei publie sur Twitter une illustration d’une vaste
cache d’armes souterraine, avertissant que la victoire de Téhéran est
proche. » (timesofisrael)
Remarquez l’image dans ce lien qui reflète facilement les intentions du chef religieux.
Digne de l’enfer.
Les suppôts de Satan sont libérés.
Une éjection solaire de classe X7.1 a eu lieu durant ces événements. C’est la deuxième plus grande tempête du cycle solaire 25.
Rien de grave à l’horizon car l’éjection de masse coronale associée n’est pas énorme.
Mais les taches solaires augmentent rapidement en ce début de mois, élevant le risque de tempêtes plus intenses.
01 octobre
Voilà.
C’est commencé.
Le synode des synodes ouvre sur la retraite des participants et
aujourd’hui c’est le moment de la confession universelle sur les péchés
qui n’existent pas.
« CITÉ DU VATICAN ( LifeSiteNews )
— L'évêque Athanasius Schneider a accusé un événement du Synode du
Vatican sur la synodalité d'être « un outil pour promouvoir un nouvel
agenda au sein du synode pour établir de nouvelles doctrines qui sont
contraires à la révélation divine, ou qui sapent la révélation divine ».
….
Mais Schneider a rejeté l’idée, affirmant qu’en ce qui concerne les «
péchés contre la synodalité », il n’y a « pas de tels péchés dans la
révélation divine ».
La liste des péchés proposés inclut le « péché d’utiliser la doctrine
comme des pierres à lancer ». Schneider a cependant soutenu que « ces
nouvelles doctrines inventées dans cette soi-disant synodalité, ce sont
les vraies pierres qu’elles jettent aux fidèles, parce qu’elles sont
des distorsions et qu’elles nuisent aux fidèles et mettent en danger
leur salut éternel ».
Il a déclaré que la charité authentique comprend l’itération de la doctrine catholique :
Une
vraie doctrine n’est pas contre la charité : transmettre la doctrine
est une des plus hautes expressions de la charité envers le prochain,
l’amener au droit de la vérité et à la lumière de la vérité ne nous
donne que le vrai bonheur.
Ces
nouvelles doctrines et méthodes synodales confuses nous apportent
ambiguïté, incertitude, et personne ne donnera sa vie pour quelque
chose d'ambigu. Nous donnerons seulement notre vie pour ce qui est
vrai, pour ce qui est solide comme un roc, c'est-à-dire le Christ – Il
est le roc, Il est la vérité et seulement pour Lui. Avec la grâce de
Dieu, chaque chrétien doit être prêt à donner sa vie.
Pendant cet acte d’hypocrisie humaniste qui attire l’attention de tous
au Vatican, Bergoglio agît en cachette, encore une fois contre un
organisme relié à la Tradition, car c’est contraire au synode en
cours :
« ( LifeSiteNews ) — La Fraternité Sacerdotale Saint-Pierre (FSSP) a été informée qu'elle recevra une visite apostolique du Vatican.
La FSSP est une communauté internationale de prêtres sous l'autorité du
Saint-Siège qui célèbre la messe traditionnelle latine dans les églises
du monde entier. »
« CITÉ DU VATICAN ( LifeSiteNews )
— L’évêque Athanasius Schneider a déclaré que le pape François a
contredit « l’Évangile tout entier » en affirmant que toutes les
religions sont un chemin vers Dieu. »…
Une telle affirmation du pape François est clairement contraire à la
révélation divine, elle contredit directement le premier commandement
de Dieu qui soit toujours valable – « Tu n’auras pas d’autres dieux que
moi » – c’est tellement clair, et une telle déclaration contredit
l’Évangile tout entier.
Schneider a ensuite rappelé aux téléspectateurs que « Jésus-Christ a dit : « Nul ne vient au Père que par moi. » »
Suite
à la conclusion de l’enquête du Vatican sur les apparitions de la
Vierge Marie à Medjugore publié la semaine passée, il semble que l’on
visait également sinon ultimement les apparitions et les miracles à
Fatima en 1917…
Ce qui est très révélateur à l’approche de ce 13 octobre 2024.
«
En marge de la note récemment émanée, dont on a pu croire qu’elle
concernait essentiellement sinon uniquement Medjugorje
(cf. Merjugorge: ce n’était pas assez clair), une interview du
père Stefano Cecchin, président de l’Académie pontificale mariale,
franciscain.. et néo-franciscain. Il semblerait que Medjugorje était,
au moins en partie, un prétexte, et que ce sont d’autres apparitions
qui inquiètent le Vatican…
Par ailleurs, c’est le père Cecchin qui, reprenant la ligne
officielle de Sainte Marthe, a déclaré « absolument faux » tous les
messages qui parlent de « châtiments ». Or, c’est exactement ce que
fait le message de Fatima, et pas seulement lui. »
À lire sur benoit-et-moi.fr
La guerre au Moyen-Orient s’intensifie.
Israël
a fait son entrée dans le sud du Liban juste après le discours du
premier ministre aux Nations-Unies, où il « exhorte le monde à préférer
la « bénédiction » de la paix à la « malédiction »
de l’Iran » (timesofisrael)
...
«
« J’ai un message pour les tyrans de Téhéran : si vous nous
frappez, nous vous frapperons. Il n’y a pas d’endroit en Iran que le
bras long d’Israël ne puisse atteindre, et c’est vrai pour tout le
Moyen-Orient », a poursuivi le chef du gouvernement israélien.
« Nous gagnons, nous gagnons, nous gagnons, nous gagnons, nous
gagnons, nous gagnons, nous gagnons, nous sommes en train de
gagner », s’est exclamé Netanyahu. »
On sait bien de quelle paix l’élite judéo-maçonnique veut nous imposer.
Néanmoins,
cela confirme nos analyses depuis le début, c’est l’Iran qui est
concerné par la prophétie politique « Grand Éclair à l’Orient », du
moins, elle en est la cause.
Et la Chine qui donne son soutien à l’Iran (timesofisrael).
Liban : la Turquie presse Israël de retirer ses soldats « au plus vite »
Preuve que les événements sont bien enclenchés pour la bataille finale de la fin des temps.
Les deux Babylone ont amorcé leurs chutes.
Septembre 2024
30 septembre
LUMIERE DANS LE CIEL
Nous avons analysé l’importance du pape Léon XIII dans les dernières analyses.
« Lumière dans le ciel » est la devise attribuée à Léon XIII dans la prophétie des papes de Saint-Malachie.
Et la « lumière dans le ciel » est bien présente en cette fin de cycle,
en ce mois de la conclusion de Vatican II par le synode des synodes.
C’est la comète de l’espoir pour les chrétiens catholiques.
Nous y sommes.
C’est le début du synode dans deux jours.
Et, la comète qui l’accompagne, et que nous verrons à l’œil nu autour
du 12 octobre prochain, si tout continue ainsi, a triplé sa luminosité
en une seule journée, signe qu’elle sera probablement visible en plein
jour à cette date.
Il est estimé que cette comète a déjà visité la terre il y a plus de 80000 ans.
La comète n’est visible qu’au lever du soleil à l’est près de l’horizon
en cette fin de mois. Mais elle deviendra de plus en plus visible entre
le 12 et le 20 octobre lorsqu’elle prendre de l’altitude tout en se
distançant du soleil.
Lien de spaceweathergallery pour les images de la comète.
Ci-joint l’image simulée donnée par Stellarium le 12 octobre prochain.
Voici la vue de la comète depuis la station spatiale.
Mais, aujourd’hui, juste avant le début du synode, la découverte d’une autre comète excite la communauté astronomique :
Une nouvelle comète rasante du soleil.
« Elle est déjà de magnitude 11 avec une chevelure verte de 2 degrés et une courte queue. »
L'orbite de la nouvelle comète rappelle à de nombreux experts celle de
la grande comète Ikeya-Seki (C/1965 S1). En 1965, Ikeya-Seki est
devenue si brillante lorsqu'elle est passée près du Soleil qu'elle
était visible en plein jour à une magnitude de -10. Les observateurs
japonais l'ont vue en plein midi.
« A11bP7I est au moins 4 à 5 magnitudes plus faible qu'Ikeya-Seki à la
même distance », note Qicheng Zhang de l'observatoire Lowell. «
Néanmoins, elle pourrait encore produire un spectacle visuel important
début novembre si elle survit à sa rencontre rapprochée avec le Soleil.
»
Comme Ikeya-Seki, la nouvelle comète rasante du Soleil de Kruetz. Les
comètes Kreutz rasantes sont des fragments issus de la désintégration
d'une comète géante il y a environ 2000 ans. Chaque jour, plusieurs
fragments passent près du soleil et se désintègrent ; en effet, les
coronographes SOHO en ont découvert des milliers. En règle générale,
ils sont très petits, mais A11bP7I pourrait être une exception : un
gros fragment qui survit à la chaleur et devient visible à l'œil nu.
Karl Battams, expert en comètes rasantes au Naval Research Lab,
aimerait voir une belle démonstration, mais il est également plein de
prudence : « Les comètes Kreutz présentent souvent des comportements «
explosifs ». Ainsi, même si j'espère de tout mon cœur une Ikeya-Seki
2.0, il semble qu'il pourrait également s'agir d'un fragment Kreutz
beaucoup plus petit qui aurait simplement éclaté un peu plus tôt que
prévu [nous faisant penser qu'il est plus gros et plus brillant qu'il
ne l'est en réalité] ». » (spaceweather.com)
Et voilà.
Quelle coïncidence.
Une comète visible dans le ciel du jour en plein synode et pour la date
historique du 13 octobre, et une autre pour clore le synode à la fin du
mois d’octobre.
Cette dernière est une fragment d’une comète plus grande éclatée il y a environ 2000 ans.
L’étoile du berger?
Et cette comète se dirige droit dans le soleil (elle ne fera pas le tour; c’est une rasante du soleil).
Quelle sera l'impact possible?
Ce
genre de comètes peuvent provoquer des éjections de masses coronales
(tempêtes solaires) et donc perturber la Terre, si dirigées vers cette
dernière.
On la compare à la grande comète de 1965, la dernière de ce type vue en plein jour.
« Les comètes peuvent défier de telles prédictions, mais Ikeya-Seki a
agi comme prévu. Alors qu'elle s'approchait du périhélie, les
observateurs ont signalé qu'elle était clairement visible dans le ciel
diurne à côté du Soleil. Au Japon, où elle a atteint le périhélie à
midi heure locale, elle a été vue briller à une magnitude de -10. Elle
s'est avérée être l'une des comètes les plus brillantes observées au
cours du dernier millénaire, et est parfois appelée la Grande Comète de
1965. » (Wikipedia)
Une magnitude de -10, c’est énorme.
La
comète du 13 octobre atteindra peut-être une magnitude de -4 (plus le
chiffre est négatif plus la magnitude (brillance) est grande; la Lune a
une magnitude de - 2.5 à - 12.75 lorsqu'elle est pleine).
Le synode des synodes, on le sait, conclura avec l’intention d’une
messe œcuménique et un dialogue interreligieux pour que l’église
catholique soit complètement adaptée à la nouvelle religion humaniste
pour la venue du messie judéo-maçonnique.
Or, en 1965, lors de la grande comète, pratiquement à la même date où
elle était visible par la majorité des humains, Paul VI publiait Nostra
Aetate, la déclaration du concile Vatican II sur
les relations de l'Église catholique avec les religions non
chrétiennes (judaïsme, islam, bouddhisme, hindouisme et
autres religions).
Nostra aetate est un des fondements du dialogue
interreligieux catholique contemporain, renouvelant les
relations que l'Église établit avec les autres religions non
chrétiennes.
ET, le concile Vatican II s’est conclu le 8 décembre 1965.
Bergoglio début son jubilé 2025 le 8 décembre prochain.
La boucle est bouclée.
Nous avons bien là des signes que Dieu veille.
À nous de veiller aussi.
À
suivre... surtout qu'Israël entreprend son attaque au sol au Liban
présentement et que l'Iran se demande encore comment réagir à
l'assassinat du chef du Hezbollah.
Un chef est donc mort en Orient.
Est-ce celui de la prophétie « Grand Éclair à l'Orient » ?
Si
c'est le cas, surveillons l'autre chef qui sera assassiné au dans le
sud ou au sud de Luther, les États-Unis, selon la prophétie.
27 septembre
LE MESSIE
Le fond de l’histoire est religieux.
Au travers les âges, le Père a choisi un peuple, les juifs, pour
devenir le peuple élu afin d’éliminer le paganisme petit à petit et de
créer une seule religion monothéiste.
Le
peuple hébreu a été forcé d’abandonner ses cultes (on pense au veau
d’or par exemple) et sacrifices sanglants pour préparer le sacrifice
non sanglant, celui de l’Agneau de Dieu, qui est perpétué
éternellement via la Sainte Messe.
Afin de mener l’humain vers le Royaume des Cieux qui n’est pas de ce
monde, et donc d’avoir intérieurement le mode de pensée nécessaire,
Dieu a pris ce dernier par la main en établissant des lois (les dix
commandements) pour ensuite compléter la Loi avec les enseignements du
Christ.
Il n’y a qu’un seul Dieu a été remplacé par « aimer Dieu de toutes tes
forces et ton esprit » et le système de valeurs des dix commandements a
été remplacé par « tu aimeras ton prochain comme toi même ».
Ce monde fait face à deux visions distantes de la notion de Messie.
La première est spirituelle. C’est celle que nous connaissons via l’Évangile.
C’est le Christ.
Et, son retour à la fin des temps est strictement spirituel.
C’est la récolte du bon grain et de l’ivraie.
C’est le Royaume spirituel du Christ qui descend sur terre, la nouvelle Jérusalem : « que ton règne vienne,
que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel. »
C’est la purification par le feu.
La deuxième vision du Messie n'est que matérielle, temporelle.
C’est celle des talmudistes judéo-maçonniques.
Ce Messie est le peuple juif sans son entier (l’élite de la kabbale).
Hélas, elle a toujours ses relents du paganisme, des sacrifices
sanglants, de l’holocauste nécessaire pour l’expiation des péchés.
Ces élites attendent la réalisation de la promesse faite au peuple juif par Dieu, celui de la terre promise.
Or, pour eux, la terre promise, c’est le monde entier.
Ils croient qu’ils sont destinés à le dominer financièrement,
matériellement, afin d’être le seul peuple prêtre entre Dieu et les
esclaves que nous sommes à leurs yeux.
Que ce soit la vision du clan des Loubavitch appuyant les russes, ou le
clan des Rothschild avec la vision anglo-saxonne de la venue du Messie
par la force (d’où les guerres expiatoires), la finale planifiée est un
système supra-national à la sauce 1984, l’un étant multipolaire (voulu
par les russes), l’autre étant unipolaire (les anglo-saxons).
Israël veut entraîner l'axe anglo-saxon dans cette guerre autour de Meddigo.
Elle provoque l'Iran pour la forcer à s'impliquer.
Mais en finale, le plan va échouer.
Les divisions entre les clans conduira à la chute de Babylone.
Le sacrifice sanglant mener par Israël ne réussira pas.
Car le Christ est venu compléter la Loi et a promis que c’est son Église qui triomphera à la fin.
Dernièrement, tout s’accélère et les indices augmentent à chaque jour
qui passe pour confirmer cette chute éminente des deux Babylone.
Trump vient d'affirmer que l’Iran veut l’éliminer et que s’il était en
poste et qu’un pays essaie de s’en prendre à un candidat à l’élection
américaine, alors il n’hésiterait pas à bombarder les villes
importantes du dit pays.
« « Si j’étais président, j’informerais le pays proférant des
menaces, en l’occurrence l’Iran, que si vous faites quoi que ce soit
pour nuire à cette personne, nous ferons détruire vos plus grandes
villes et le pays lui-même », a déclaré le candidat républicain
lors d’un meeting de campagne. » (lapresse.ca)
Cela va dans le sens de la prophétie politique #22 « Grand Éclair à
l’Orient » que nous analysons depuis le tout début de l’ouverture du
site, en ciblant l’Iran.
Du côté russe, Poutine affirme qu’il abaisse la ligne rouge concernant la politique nucléaire du pays :
« Le président russe Vladimir Poutine a prévenu mercredi que son pays
pourrait utiliser l’arme nucléaire en cas de « lancement
massif » d’attaques aériennes et que tout assaut mené par un pays
non nucléaire, mais soutenu par une puissance disposant de l’arme
atomique pourrait être considéré comme une agression
« conjointe ». » (lapresse.ca)
Israël, dans sa guerre contre l’islam chiite, a frappé le port de Tartous en Syrie. (timesofisrael.com)
Pour ceux qui ne le savent pas, le port de Tartous est le port d’attache au Moyen-Orient pour la marine russe.
Bref, tous les indices pointent vers un conflit majeur autour de la plaine de Meddigo, comme c’est annoncé dans l’Apocalypse.
Le fond de l’histoire est religieux : dans ce monde laïcisé ou
paganisé, les aveugles ne voient plus que tout est orienté en fonction
du Messie temporel.
Bergoglio en est un participant très actif, quoiqu’il en pense.
Mais Dieu a d’autres plans...
26 Septembre
TIKOUN OLAM
La rédemption par le péché ou le sacrifice de masse pour obtenir quelque chose de supérieure.
Plus la rédemption par le péché est élevée plus la récompense est grandiose.
C’est la philosophie du sacrifice qui caractérise les esprits tordus
judéo-maçonniques et qui est très bien expliquée dans les écrits de
Pierre Hillard.
« Le basculement d’un monde dans une étape supérieure passe par un
sacrifice expiatoire égal à l’obtention d’un « bien » défini selon les
critères des thuriféraires du système pharisaïque. S’agissant de
l’établissement d’une gouvernance mondiale, ce « bien » ne peut être
adoubé que d’une manière holocaustique. » (Pierre Hillard, Des origines
du mondialisme à la grande réinitialisation, p.251)
Nous y avons fait référence dans l’analyse du 29 juillet 2021.
« … En référence à Pierre Hillard (vidéo du 18 juillet avec Civitas), la kabbale juive tient ses principes de la gnose.
Pour eux, Dieu n’a pas créé un monde parfait pour laisser le soin à ses créatures de le rendre parfait.
C’est… et oui, la « grande réinitialisation ».
Serge Monast l’a toujours affirmé, le religieux est au-dessus du
politique, il faut penser comme l’ennemi pour comprendre le plan, et le
plan de l’ennemi n’est que strictement religieux.
La « réparation » de la société ou « grande réinitialisation », c’est « Tikoun Olam ».
Et c’est ce que vous avez sous les yeux en 2021, ce spectacle grandiose de l’ennemi à la 7ème période de l’Apocalypse.
« Tikoun Olam : Dans la tradition toranique, cela signifie toute action
qui vise à améliorer le monde, en le rapprochant de l’état de
complétude conformément au but pour lequel il a été créé. Tikoun olam
engage lʼhumanité entière à penser « la réparation » de la société.
Bien que la nature du monde soit intrinsèquement bonne, elle est
soumise à des lacunes métaphysiques; son Créateur a délibérément laissé
une place aux créatures afin de compléter son œuvre… »
Pourquoi Tikoun Olam maintenant, en 2021?
Parce que le temps est venu: « … tikkoun olam déclencherait ou
accomplirait les prophéties concernant la venue du Messie ou celles du
monde à venir… » (wikipedia.org)
N’oublions pas que Christine Lagarde avait déjà bien avertit en janvier 2014… + 7 ans, donc 2021.
L’engrenage est engagé et ils ne peuvent plus reculer. Il ne peut plus
y avoir d’extension imprévue parce qu’un Trump émerge par exemple. Il
faut un contrôle total de la population, politiciens inclus, soit les
10 rois de l’Apocalypse.
C’est ce qu’affirme Bergoglio: aucune marche arrière. Donc, lui aussi n’a plus le choix.
Il doit aller de l’avant et vite. Il doit procéder à l’élimination de
la présence réelle, CAR le Verbe Incarné est l’obstacle qui doit sauter
pour avoir « Tikoun Olam », soit la venue de leur Messie. »
On peut affirmer que la pression exercée par les dirigeants obscurs a bien augmentée depuis 2021.
Cette grande réinitialisation a son objectif final : l’Agenda 2030
où « vous ne posséderez rien mais vous serez heureux » affirment-ils.
Le sacrifice de masse en cours a pour but le nouvel ordre mondial avec
des organismes supranationaux, dont les acteurs majeurs sont non élus,
et qui décideront des lois sans que les dirigeants des pays n’aient
leurs mots à dire.
C’est le rêve de Davos avec la clique judéo-maçonnique qui contrôle
tout : finance, lois, biens matériels, etc. via les 18 objectifs
énoncés dans l’Agenda 2030.
Les indices en 2024 de cette réalisation :
- endettement à l’extrême des pays pour mener à un krach afin de pousser la monnaie numérique qui permettra le contrôle total.
- immigration de masse dans tous les pays afin de détruire l’identité nationale.
- destruction de l’église catholique qui fait toujours obstacle à leurs plans.
- mise en place de dirigeants politiques à titre de marionnettes qui
exécutent le plan, presque tous issus des écoles « young leaders » de
Davos.
- la jeunesse est soumise à l’abrutissement mental par l’électronique afin d’en faire des citoyens esclaves de l’Agenda 2030.
Le but est de « désincarner » le peuple de sa nationalité et du reste
de spiritualité et de valeurs morales qui lui restent, pour le rendre
esclave d’une poignée d’élites au service de Satan, avec une nouvelle
religion humaniste.
D’ailleurs, en voici un qui voit clair et qui sonne l’alarme :
« Le président argentin dénonce avec virulence « l’agenda idéologique » de l’ONU
L’ONU, a déclaré Javier Milei dans son premier discours à l’Assemblée
générale depuis son élection fin 2023, est devenue « un
modèle de gouvernement supranational de bureaucrates internationaux qui
prétendent imposer aux citoyens du monde un mode de vie
déterminé », d’où sa « perte de crédibilité ».
…
Une
organisation « née pour défendre les droits de la personne a été
l’un des principaux promoteurs de violations systématiques des
libertés, comme les quarantaines mondiales de 2020, qui devraient être
considérées un crime contre l’Humanité », a asséné M. Milei,
en référence aux confinements imposés lors de la pandémie de la
COVID-19.
« Quoique
bien intentionné », l’Agenda 2030 de l’ONU « n’est rien
d’autre qu’un programme gouvernemental socialiste supranational visant
à résoudre les problèmes de la modernité avec des solutions qui
menacent la souveraineté des États-nations », a martelé le
dirigeant qui se décrit comme « anarcho-capitaliste ».
Pour Javier Milei, « l’Agenda 2030 a échoué » et adhérer
au « Pacte pour l’Avenir » serait « persister dans
l’erreur en redoublant d’efforts sur un programme qui a échoué ».
« Fin de cycle »
« Nous
sommes dans une fin de cycle », a-t-il lancé. « Le
collectivisme et la posture morale woke se sont heurtés à la réalité,
et n’ont plus de solutions crédibles ».
… » (lapresse.ca)
Alors que Macron soutient la cause:
« Le président français Emmanuel Macron a appelé à une réforme de
l’ordre mondial « injuste » actuel afin que les humains puissent
coexister plus pacifiquement dans le « Nouvel Ordre Mondial ».
Ce
que le dirigeant n'a pas dit, c'est que les esclaves seraient toujours
des esclaves et que les gouvernements continueraient à les gouverner,
c'est seulement cette illusion qui va disparaître.
S'exprimant
devant la communauté catholique de Sant'Egidio, Macron a déclaré :
« Nous devons avoir suffisamment d'imagination pour penser à la paix de
demain, une paix en Europe sous une forme nouvelle. »
Si
le continent européen veut devenir plus stable, chacun devrait
reconnaître qu’il n’est « ni tout à fait l’Union
européenne, ni résolument l’OTAN », a-t-il affirmé.
«
Nous devrons réfléchir à une nouvelle forme d'organisation de l'Europe
et repenser notre relation avec la Russie » une fois le conflit
ukrainien terminé, a ajouté le président.
Macron
a également affirmé que le système mondial créé au lendemain de la
Seconde Guerre mondiale était « incomplet et injuste », car de
nombreuses nations modernes n’existaient même pas à cette époque et
n’avaient pas « leur place à la table des négociations ».
Il
a déclaré que les organismes internationaux, tels que les Nations
Unies, la Banque mondiale et le Fonds monétaire international,
devraient être réformés en conséquence.
… » (zerohedge.com)
Voilà qui confirme le plan.
Les guerres actuelles sont des guerres pour créer un monde nouveau,
soit dominé par l’axe anglo-saxon ou soit multipolaire comme le veut
Poutine et ses alliés.
Que ce soit un ou l’autre, c’est une dominance judéo-maçonnique qui mène le bal.
C’est pourquoi nous assistons à cette boucherie au Moyen-Orient, car le
sacrifice expiatoire est obligatoire pour avoir un « monde meilleur,
réparé.
Et cela se nomme pour la fin des temps : Armegedon.
Il y a guerre aussi dans l’église également comme le confirme la prophétie de l’église #11 de Jean XXIII.
L’utilisation du sacrifice planétaire pour Tikoun Olam est une
nécessité pour faire renaître le phœnix des ses cendres via le chaos
provoqué.
C’est le même constat dans l’église.
C’est la finale d’un plan satanique qui a cours depuis longtemps.
Dans son court ouvrage de 1974 sur la crise de l'Église Saint
Athanase et de l'Église de notre temps, Mgr Rudolf Graber a cité
les paroles prophétiques du chanoine Roca (1830-1893), un prêtre qui,
il y a plus de cent ans, parlait des secrets des conspirations
corporatives contre la papauté :
« Il y a un sacrifice en vue qui représente un acte solennel
d'expiation… La papauté tombera ; il mourra sous le couteau consacré
que forgeront les pères du dernier concile. Le César papal est une
hostie couronnée pour le sacrifice » (p. 35).
23 septembre
Une comète visible de jour est un événement très rare.
La dernière fut la la comète McNaught (image ici) le 13 janvier 2007.
Elle fut six fois plus brillante que Hale-Bopp en 1997, et 100 fois
plus brillante que la comète de Halley lorsqu'elle est apparue en 1986.
C’est donc dire que la comète du 13 octobre prochain pourrait être prophétique, comme analysée précédemment.
Le 13 octobre, jour du miracle du soleil à Fatima, est intimement relié
à la date du 7 octobre car, comme nous le savons maintenant, c’est « la
date d’une des plus grandes victoires militaires catholiques face aux
musulmans : le 7 octobre 1571 la coalition formée par le pape bat la
flotte ottomane lors de la bataille navale de Lépante.
Cette victoire est due explicitement aux innombrables chapelets récités
par toute la chrétienté dans ce but. C’est pourquoi, en action de grâce
d’un succès qui protégera pour longtemps la chrétienté de la menace
islamique, le pape instituera au 7 octobre la fête de Notre-Dame du
Rosaire, afin de faire le lien avec la prière privilégiée qui nous a
obtenu cette grâce du Ciel.
Le 13 octobre est la date du miracle du soleil à Fatima. Les célèbres
apparitions de la Vierge Marie à Fatima au Portugal se sont déroulées
du 13 mai au 13 octobre 1917, sur 6 apparitions, la dernière du 13
octobre constituant une preuve incontestable de leur origine divine
puisque les 70 000 personnes présentes assistèrent en direct au «
miracle du soleil ».
Le lien entre les deux dates a été effectué par la Vierge Marie en
personne. En effet, au cours des apparitions de Fatima, la Vierge dit à
plusieurs reprises aux voyants : « le dernier jour, je vous dirai qui
je suis et ce que je veux. » Et le dernier jour, le 13 octobre, elle
révèle effectivement son nom : « Je suis Notre-Dame du Rosaire ». Cette
information de toute première importance, donnée par le Ciel faut-il le
rappeler, relie le 7 octobre au 13 octobre, et Lépante à Fatima. Çà
devra donc servir un jour. » (Louis D’Alencourt, grandreveil.wordpress.com)
Rappelons qu’il y a eu trois phases dans le miracle du soleil du 13 octobre 1917 :
– Apparition des couleurs lors de la « danse du soleil »
– Une pause où « le soleil s’arrêta »
– Puis la chute du soleil à la toute fin.
On peut y associer facilement les phases suivantes en relation avec la ligne rouge du synode des synodes d’octobre 2024 :
– Avertissement ou action de grâces de la Sainte Vierge (les aurores du 13 mai dernier par exemple)
– Pause de réflexion, temps de conversion (la demi-heure où tout s’arrête dans l’Apocalypse?)
– Suivi de la purification par le feu.
Car, « le retour du Christ nécessite préalablement une purification
totale de la terre et l’éradication du mal et de tous ceux qui font le
mal, événement décrit dans l’Apocalypse comme la chute de Babylone et
par nos contemporains par l’expression fin du monde, et qui est
précédé, selon les Saintes Écritures, d’un signe dans le ciel.
Or ce signe dans le Ciel est double : l’Apocalypse nous parle de la
Femme dans le ciel et l’évangile du signe du Fils de l’homme dans le
ciel (donc la croix – Matthieu 24:30). » (Louis D’Alencourt,
grandreveil.wordpress.com, lien ci-haut)
Le 7 octobre étant la date du Saint-Rosaire, quoique de plus normal
pour le diable d’attaquer à cette date précise, afin de matérialiser la
bataille d’Armagedon tel que prophétisé dans l’Apocalypse.
Car c’est bien le 7 octobre 2023 que les démons ont poussé le Hamas vers Israël, afin de déclencher cette guerre ultime.
En date d’aujour’hui, il est clair que cette escalade qui dure depuis
maintenant presque un an, terrorise le monde, et que le Moyen-Orient
est sur le point de s’enflammer.
L’ultimatum d’Israël fut donné le 13 octobre 2023.
« Qu’est-ce que cela veut dire du point de vue eschatologique, c’est-à-dire du point de vue du Ciel ?
a) Que le Hamas et par extension le monde musulman sont condamnés ; le
7 octobre est la date d’une victoire majeure de la chrétienté sur les
musulmans, et il en sera de même aujourd’hui.
b) L’ultimatum du 13 octobre est l’ultime manifestation de la
miséricorde de Dieu : l’unique chance de salut offerte aux musulmans
pour les sauver de la damnation éternelle, et probablement la dernière,
est de se tourner vers la Vierge Marie afin de se convertir au Christ,
seul vrai et unique Dieu dans le mystère de la Sainte Trinité. Voilà
pourquoi le Ciel a choisi un prénom musulman (Fatima) comme lieu de son
ultime message. Il faut que les musulmans sachent qu’un miracle est
possible -leur conversion en masse- comme le fut le miracle du soleil
du 13 octobre. » (Louis D’Alencourt, grandreveil.wordpress.com)
Mais, c’est voulu.
La kabbale juive se réjouit d’avance de la venue de son messie et de
l’élimination de l’obstacle majeur « Jésus Christ » et de sa présence
réelle grâce à la magie de Bergoglio.
Car n’oublions pas, encore une fois, que "Netanyahou est sous
l'influence de certains ministres messianiques et racistes qui le
forcent à déclencher une escalade pour accélérer la venue du Messie et
ce n'est pas une manière saine pour un État comme Israël dans un
environnement hostile et complexe" (Ehud Barak, ancien Premier
ministre israélien) (voir analyses précédentes).
L’autre fait inquiétant :
Les faucons israéliens demande une attaque immédiate contre l’Iran.
Car, ils estiment qu’Israël n’a pas la puissance et le personnel
militaire pour riposter à une attaque venant de 5 fronts différents.
Pour eux, la survie du pays en dépend étant donné l’avancement rapide vers l’arme nucléaire en Iran. Le temps est compté.
Voir ici un article (en anglais) sur le Jerusalem Post comme exemple.
Israël a plus que besoin de l’axe anglo-sioniste pour triompher.
D’ailleurs, l’attaque d’hier dans le sud du Liban suggère selon les
témoins de l’utilisation de bombes de plus en plus puissantes de la
part d’Israël (voir ici).
Nous assistons rapidement à la réalisation de la prophétie politique #22 de Jean XXIII « Grand éclair à l’Orient ».
Car, le seul moyen qu’a Israël pour survivre, est de lancer une attaque
nucléaire sur les deux villes importantes d’Iran, avant qu’il ne soit
trop tard.
Le 7 octobre 2024 est donc à surveiller.
Selon Jean XXIII, Dieu déclenchera la guerre de la nature pour empêcher la destruction de la planète.
Nous n’en sommes pas loin.
Le soleil est au maximum du cycle 25.
La probabilité des tempêtes solaires atteignant la Terre augmentent considérablement à cette époque de l'année.
Pourquoi ?
Parce que pendant les semaines autour des équinoxes, le champ
magnétique de la Terre est exceptionnellement bien connecté à celui du
Soleil. C'est ce qu'on appelle « l' effet Russell-McPherron ».
20 septembre
Retour sur la dernière tempête solaire de cette semaine.
Après les rares aurores jaunes et oranges (voir analyse du 26 août),
voici donc que nous avons été témoins de très rares aurores « bleues »,
signe que le cycle solaire s’intensifie :
« Les aurores boréales sont généralement vertes et rouges. Le bleu est
très inhabituel. Il faut une forte tempête géomagnétique pour les
produire, plus un ingrédient supplémentaire.
« La lumière du soleil à haute altitude frappait les rayons bleus », …
Ce processus est appelé « diffusion résonnante ». Au sommet de la zone
d’aurore, les molécules d'azote ionisées (N2+) produisent naturellement
de la lumière bleue. La lueur bleue est généralement trop faible pour
être visible. Cependant, lorsque ces ions sont frappés par la lumière
du soleil du matin, ils capturent et réémettent des photons du soleil,
amplifiant la couleur bleue. » Alan Dyer (photo ici)
La comète d’octobre prochain vient d’émerger de derrière le soleil, et la première photographie (ici)
démontre que sa structure est toujours forte et qu’elle pourra être
observée à l’œil nu très bientôt, peut-être même durant le jour.
Comme par hasard…
Cette comète est visible dans la constellation de la Vierge.
Voici le premier volet d’un article qui confirme nos analyses des dernières années :
« Père Heimerl : Le pape François célèbre l'accomplissement de la
prophétie de la bienheureuse Anne Catherine Emmerich sur « l'Église
obscure »
Selon la mystique allemande Anne Catherine Emmerich, l'« après-Église »
ne sera pas une contre-Église ou une Église schismatique, mais l'Église
catholique elle-même, car elle s'éloigne de plus en plus du Christ.
( LifeSiteNews ) — Il y a deux cents ans, la mystique
allemande Anne Catherine Emmerich mourait à Dülmen, en Westphalie. La
religieuse stigmatisée a vu dans ses visions non seulement la vie de
Jésus, mais aussi l’avenir de l’Église. Peu avant sa mort, elle a
déclaré : « Il y aura une église après l’Église. »
A
l'époque d'Emmerich, une telle chose était difficilement imaginable, et
que serait une « église après » ? Je l'avoue : je me suis moi-même posé
cette question, du moins jusqu'à l'apparition de l'« église synodale »
avec le pape François et, avec elle, son déclin rapide.
Mais une chose à la fois : qu’ont à voir François, « l’Église synodale » et la bienheureuse Anne-Catherine ?
La
clé réside dans un amendement apporté par Emmerich, dans lequel elle
parle d’une « église obscure ». Elle entend par là une église dans
laquelle la lumière du Christ est éteinte. Par conséquent, l’«
après-église » ne sera pas une contre-église ou une église
schismatique, ni une « église » protestante comme l’« église » des
anglicans ou des luthériens. Au contraire, l’Église catholique
elle-même sera cette « post-église » parce qu’elle s’éloigne de plus en
plus du Christ.
C'est
ici qu'entre en jeu François, qui a ouvertement contredit ses
prédécesseurs et – au moins en partie – le Christ lui-même. Le cardinal
George Pell a donc à juste titre qualifié le pontificat de François de
« désastre », on pourrait aussi dire : un pontificat qui ne correspond
pas à la volonté du Christ.
Ou
bien pourrait-on imaginer que le Christ aurait « béni » les adultères
et les couples homosexuels ? Qu’il aurait toléré les rites païens dans
son Église et restreint le mandat missionnaire confié à ses disciples ?
Et encore moins qu’il aurait soumis ses enseignements divins à la
volonté de l’homme et même les aurait relativisés par rapport aux
autres religions ? Certainement pas !
Mais
dans l’Église que François a déclarée « synodale », tout cela et,
malheureusement, bien plus encore se produit. Il est évident que cette
Église ne se préoccupe plus de la volonté du Christ, mais de la volonté
des hommes, à laquelle François se conforme volontiers ; tout ce qu’il
appelle « humain » ou « pastoral » n’est en réalité que ce qui
obscurcit la lumière du Christ.
L’Église
obscure de ce pape semble être faite uniquement d’hommes. C’est
pourquoi elle n’est plus orientée vers Dieu mais seulement vers les
hommes dans une coopération « synodale ».
Celui
qui suit les discours du pape, par exemple récemment en Asie, ne peut
que s'étonner de voir à quel point il a peu à dire sur Dieu et sur la
foi ; en fin de compte, sa prédication est un mélange de politique,
d'écologie et d'action sociale agrémenté d'ingrédients religieux ;
parfois même, ceux-ci sont désormais totalement absents.
Si
Emmerich était encore en vie aujourd’hui, elle ne parlerait pas d’une «
après-église » mais de « l’église synodale » de notre pape. Ici, « tout
le monde, tout le monde » est invité, comme le dit constamment
François, mais chacun se demande : « Invité à quoi ? »
Nous
ne savons pas pourquoi Dieu permet que cette situation désastreuse se
produise, et Emmerich n'a pas non plus répondu à cette question.
Cependant, elle a explicitement souligné que l'« église
post-confessionnelle » serait « conçue par des voyous allemands », et
elle avait raison sur ce point également.
Ce
qu’elle avait prophétisé il y a 200 ans s’est réalisé avec la « Voie
synodale » allemande, et François lui-même a adopté officieusement leur
programme hérétique dans l’actuel « Synode mondial ».
Non,
le « Synode mondial » n’a pas pour but de mettre un terme à l’hérésie
allemande, mais de l’aider à triompher. François s’en est déjà occupé.
Ou alors pourquoi pensez-vous qu’il a rempli tous les postes clés avec
des sympathisants des « canailles » allemandes, sans parler de la
prépondérance des participants ?
C'est
tellement évident qu'on peut le sentir avec les mains : ce pape veut
une nouvelle Église, et c'est à cette « Église franciscaine » que
pensait la visionnaire de Dülmen lorsqu'elle parlait de la sombre «
après-Église ».
Mais
elle a aussi dit à propos de l’introduction de cette « Église » : «
Seul le Seigneur a voulu qu’il en soit autrement. » En fin de compte,
l’Église du Christ n’est pas entre les mains des hérétiques allemands,
ni entre les mains de François. C’est peut-être un signe d’espoir ! »
Tout est fait pour convertir l’église conciliaire à la nouvelle religion humaniste mondiale.
Ce n’est pas une surprise pour personne.
Nos analyses confirment cette situation depuis longtemps.
Et on sait qu’à la fin il ne restaura que l’autel selon Anne Catherine Emmerich : la Sainte Messe traditionnelle.
C’est
exactement tel que l’avait prédit le regretté Serge Monast qui était
bien informé, c’est à dire qu’il y a un plan en cours sur le long
terme, et dont Bergoglio mettra la touche finale:
« …L’Église, sous le pouvoir de l’Anti-Pape, sera absolument identique
à l’Église de Jérusalem au temps de Jésus-Christ. Elle partagera
l’idéologie des Nations-Unies de la même manière que les Prêtres du
Temple partageaient l’Idéologie et le Pouvoir avec les Romains. Elle
conservera les croyances en Jésus-Christ comme façade afin de
dissimuler ses réels intérêts qui seront, en réalité, la richesse, le
Pouvoir Politique et Religieux, et l’opportunisme sur tous les fronts
tel que cela était le cas de l’Église de Jérusalem au temps de l’Empire
Romain. Elle établira de nouveaux »Concepts Religieux », tous
basés sur la divinité de l’Homme où celui-ci sera considéré comme étant
le »Centre »… … En accord avec l’Agenda International à remplir,
la première initiative de l’Anti-Pape en sera une de réconciliation
truquée avec l’ensemble des Églises Chrétiennes du monde… L’élection
d’un Anti-Pape aura eu pour effet de provoquer un »Schisme »
majeur, supposé être le dernier devant survenir dans le Monde Chrétien…
Voici donc le «Mensonge des Mensonges»! Voici «l’Abomination des
Abominations»! Les faux chrétiens étant à la tête de la nouvelle église
mondiale; et prétendant être les seuls et uniques représentants de
Jésus-Christ d’un côté; de l’autre, les vrais et réels disciples de
Jésus-Christ sur la route du Calvaire considérés comme étant les
ennemies de l’État Mondial tel que cela était le cas, il y a deux
milles ans, en face des prêtres de Jérusalem, et en face de l’empereur
romain à Rome. »
Mais si c’est aussi évident, pourquoi n’y a-t-il pas plus de cardinaux et d’évêques qui s’élèvent contre cette nouvelle église?
Tout
simplement parce qu’ils sont corrompus comme les Pharisiens et les
Scribes au temps du Christ : ils ne veulent pas perdre leurs
privilèges, leurs conforts, et leur sentiment de supériorité face au
petit peuple.
Les aveugles qui conduisent les aveugles.
Pourquoi le Père laisse-t-il faire?
Parce que c’est le temps de la séparation du bon grain de l’ivraie.
Il faut bien qu’il y ait une épreuve afin de pouvoir choisir.
Mais
le Christ interviendra avec sa Mère pour sauver le petit reste fidèle,
celui qui s’éloignera de Babylone en pensée et en action.
18 septembre
À L'AUBE DU SALUT
Rien ne s’améliore du côté des guerres en Europe et au
Moyen-Orient, et, additionnées à la crise au sein même de l’église
catholique, nous avons en mains toutes les indications que le mois
d’octobre 2024 risque d’être le mois pivot où tout bascule.
À la lumière des dernières analyses, nous rappelons le calendrier de la fin des temps donné par l’Apocalypse :
La mort de l’Antichrist débute la dernière et 7ème période, soudaine et
très rapide, à l’image de Sodome et Gomorrhe, et du temps de Noé.
Selon l’ordre chronologique donné dans l’Apocalypse, nous avons :
1) Mort des témoins (3,5 jours)
2) Résurrection des témoins
Fin de la sixième période.
Entrée dans la 7ème période :
« Et quand l'Agneau eut ouvert le septième sceau, il se fit dans le
ciel un silence d'environ une demi-heure. » (Apocalypse, 8-1)
3) Mort de l’Antéchrist
4) Chute de Babylone (3ème malheur, Ap. 11, 14)
5) Retour du Christ
6) Jugement dernier
7) Règne définitif et sans partage du Christ (Ap. 21-22)
Notez qu’avant l’ouverture du 7ème sceau dans les prophéties de
l’Église de Jean XXIII (prophétie #11 juste avant celle de François),
que la situation est critique au niveau de la guerre, surtout au
Moyen-Orient, et de l’église, alors que le pape actuel « est décédé »
ET qu’il y a guerre dans l’église.
Ce temps critique à la fin de la sixième période nous est indiqué par
NSJC en Matthieu 23-24, puisque c’est vers l’Église qu’il faut jeter
notre regard, car tout est en fonction de la Rédemption via l’Église en
ce bas monde, quoiqu’en pense Bergoglio.
Les cardinaux et les évêques d’aujourd’hui sont bien les Scribes et les
Pharisiens qui sont assis dans la chaire de Moïse du temps de Jésus.
« Faites donc et observez tout ce qu'ils vous disent ; mais n'imitez pas leurs œuvres, car ils disent et ne font pas. »
«
Et, lorsque en présence de l'abomination de la désolation, annoncée par
le prophète Daniel, établie en lieu saint, — que celui qui lit,
entende ! — alors que ceux qui sont dans la Judée s'enfuient
dans les montagnes. »
Heureusement, NSJC nous a promis que ces jours seraient abrégés, à cause des élus, car nul n’y échapperait.
C’est ce que mgr Strickland nous explique quant à la prière:
(À propos de Jésus)
« … Il s’éloigne souvent pour prier. Certes, le Christ avait besoin de
communier avec son Père en esprit, dans le grand mystère de la Trinité.
Mais il enseigne aussi toujours. Il nous donne un exemple de ce que
nous devons faire : nous éloigner et prier ».
… Strickland a également noté que notre Seigneur allait souvent
prier avant de faire des déclarations importantes, et nous voyons dans
ce passage de l’Évangile qu’il a nommé ses apôtres, un moment important
de son ministère public.
L’évêque a ensuite souligné que ce passage parle ensuite d’une « grande
foule de ses disciples » – une distinction est ainsi faite
entre les 12 apôtres et les autres disciples.
«
Je pense que nous devons être très clairs sur cette distinction dans
l’Église d’aujourd’hui. Nous savons que les évêques sont les
successeurs des apôtres, les successeurs de ces 12 que le Christ a
choisis. Bien sûr, malheureusement, Judas Iscariote, l’un d’eux, est un
traître, une note et un rappel qui donne à réfléchir que cet élément de
trahison demeure dans l’Église, cet élément d’infidélité au Christ.
Mais heureusement, 11 des 12 étaient profondément engagés – pas
parfaits, et ils ont parfois trébuché en cours de route avec des
reniements et de la confusion, tout comme nous, mais ces 12 ont été
choisis pour être apôtres. »
...
« Je pense qu’il est vraiment important de se concentrer sur la réalité
: l’humanité est la même [aujourd’hui] qu’elle l’était alors. Beaucoup
résistent, mais beaucoup veulent toucher Jésus-Christ. Et je pense que
nous, en particulier dans notre foi catholique, devons nous rappeler
qu’il ne s’agit pas seulement d’un souhait ou d’un espoir, mais qu’il
est possible pour nous de toucher Jésus-Christ, sa présence
eucharistique, d’être réellement nourris par son Corps et son Sang, son
Âme et sa Divinité », a-t-il déclaré.
...
Strickland a ajouté que si de nombreux fidèles ont besoin d'entendre la
voix de leurs bergers, même Notre Seigneur s'est retiré pour prier à de
nombreuses reprises, comme dans cet Évangile de Luc et pendant sa
grande agonie dans le jardin... Strickland … a souligné que nous devons
prier pour notre pays, et en particulier pour le Saint Rosaire.
Rappelant aux auditeurs que l'histoire a été changée par la prière du
Rosaire à Lépante , « croyons que ce même pouvoir est à notre
disposition si seulement nous l'acceptons », a déclaré Son Excellence.
» (lifesitenews.com)
On peut facilement faire le lien entre Judas et Bergoglio dans ses
propos, ainsi qu’à la situation décrite quand aux Pharisiens et aux
Scribes au temps de Jésus.
Et, il est plus que temps de se retirer et prier.
Se retirer veut dire aussi de se couper mentalement de la corruption de
l’esprit initiée par Babylone et ses valeurs morales de plus en plus
dégradantes.
Être dans un état de prière, de grâce constante, connecté par le
Saint-Esprit dans ses tâches quotidiennes est une séparation de
Babylone.
Et, l’arme ultime dans ce moment critique nous le connaissons, c’est le Rosaire.
À l’aube du synode, et donc de notre Salut qui suivra, car la chute de
Babylone représente l’Espérance du Salut pour les fidèles au Christ et
à Marie, il est important de se retirer avec le Rosaire, si puissant,
qu’il a fait tomber les ottomans à Lépante, pour contrer les forces
maléfiques qui agiront pendant ce mois du Rosaire.
Car octobre, et spécialement le 7 octobre, est dédié au Rosaire.
Mgr Strickland sur le Rosaire :
« Soulignant que le Rosaire est un voyage à travers la vie du Christ,
Son Excellence a réfléchi sur le premier mystère du Rosaire,
l’Annonciation, qui montre le début de la vie de Notre Seigneur. «
Lorsque
l’ange Gabriel vient annoncer à la Sainte Vierge Marie qu’elle a été
choisie par Dieu pour porter Jésus, le Fils de Dieu dans son sein,
Marie dit « oui ». Et les Écritures nous disent, et nous chantons à
Noël « Joie au monde », que le chant de Dieu est conçu dans le sein de
Marie. » Mgr Strickland a ensuite noté que c’est ici que commence
l’histoire de Jésus et que c’est également là que commence notre
cheminement en priant le Rosaire.
L'évêque
a ensuite souligné que les piliers de la foi catholique sont
l'Eucharistie et le rosaire, faisant référence à une vision de
saint Jean Bosco dans laquelle l'Église est un navire dans une
terrible tempête, ancrée au pilier de Marie et de Notre Seigneur
eucharistique. « Nous avons besoin de ces piliers en cette période de
défi et de folie où trop de gens disent : "Nous n'avons pas besoin de
Dieu ; nous pouvons réparer ce monde nous-mêmes". Nous faisons un
excellent travail dans ce domaine, n'est-ce pas ? » (lifesitenews.com)
Les piliers de la fin des temps sont le Rosaire et l’Eucharistie.
C’est la raison des attaques contre l’Eucharistie depuis Vatican II, et cette attaque finale du synode 2024.
Les pharisiens modernes en profiterons en plus pour célébrer Vatican II le 11 octobre prochain.
C’est pourquoi Anne Catherine Emmerich a vu qu’il ne resterait que l’autel à la fin des temps.
La
vision de Saint Jean Bosco énoncé par mgr Strickland est bien connue, et
présente dans plusieurs de nos analyses (voir 20 avril 2020).
Car,
les deux colonnes, dont l’une supporte l’Hostie « Salus credentium » («
Salut des croyants ») et l’autre surmontée de la statue de la
Vierge Immaculée, aux pieds de laquelle on peut lire : « Auxilium
Christianorum » (« Secours des chrétiens »), sont un signe de la fin
des temps.
« Auxilium Christianorum » « Notre-Dame Auxiliatrice » est fêtée le 24 du mois de mai.
Ce titre fut donné à la Sainte Vierge Marie et officiellement introduit
dans l’Église par Pie V, après la célèbre victoire de Lépante en 1571,
lorsque qu'il ordonna d'inscrire dans la litanie Lorétienne
l'invocation "Maria Auxilium Christianorum, ora pro nobis".
Saint Pie V ne cacha point qu'il attribuait à l'intercession de
la sainte Vierge le succès de Lépante. Il ajouta aux litanies de
Lorette, c'est-à-dire de la sainte Vierge, l'invocation "Secours des
chrétiens, priez pour nous", et fixa au 7 octobre une fête en l'honneur
de Notre-Dame de la Victoire.
Il y a donc un lien direct entre les mois d’octobre et de mai.
Sachant que Don Bosco a prophétisé aussi la venue du Lys de Paix avant
le mois des deux lunes, et que le seul possible maintenant est mai
2026, on ne peut qu’anticiper que le mois d’octobre 2024 est crucial.
Spécialement parce qu’aussi le 13 octobre est lié à 1884 et la
libération des démons pour détruire l’Église, ainsi qu’au miracle du
soleil en 1917.
Cette date ne nous a pas été présentée par la Sainte-Vierge sans raison.
Nul ne connaît le jour ni l’heure sauf le Père mais les signes du figuier sont là afin de nous dire :
« Soyez prêt et retirez vous de Babylone. »
17 septembre
LE TESTAMENT DE BERGOGLIO
Alors que le cardinal Burke se demande si on est à la fin des
temps, ceux qui observent attentivement et comprennent, savent que la
fin du calendrier initié en 1962 par Jean XXIII arrive, et en
conséquence, prouve que nous sommes bel et bien à la fin des temps
depuis plusieurs décennies.
On n’attend pas l’Antichrist.
Nous sommes en présence de l’Antichrist système depuis très longtemps, et de l'Antéchrist personnifiée depuis le 13 mars 2013.
C’est ce que nous avons essayé de démontrer à l’aide des prophéties de
Jean XXIII, surtout consacrées à l’Église puisque énumérées dans
l’ordre des papes successifs, ainsi que les actualités, et ce depuis
2011.
C’est ce que nous avons identifié dans les dernières analyses de septembre.
Vatican II a été le dernier coup de canon de Satan pour saper l’Église,
et les papes qui se sont succédés n’ont fait pencher l’Église qu’un peu
plus vers l’œcuménisme, la fraternité, le dialogue interreligieux,
ainsi que le démantèlement de la Sainte Messe en une parodie qui
atteint son paroxysme avec les célébrations amazoniennes en cours
d’essais.
La conclusion du synode des synodes d’octobre 2024 est le dernier acte de Bergoglio.
Son testament.
Pour les chrétiens allumés, ce fut 3 années de ténèbres.
Comme le signe de Jonas.
Lorsque Jonas sort finalement du ventre du poisson, il part à Ninive
délivrer son message : « Encore 40 jours et Ninive sera détruite ».
Nous avons analysé dernièrement que nous atteignons les 100 ans de
destruction de Satan ajoutés aux 40 ans d’attente dans le désert à
l’image du Christ, notre carême, depuis la vision de Léon XIII du 13
octobre 1884.
C’est la même date que le miracle du soleil de 1917.
C’est en plein au milieu du synode d’octobre 2024.
Bergoglio et ses sbires ont publié hier, lendemain de la fête de
Notre-Dame des Douleurs, les dernières modalités sur le déroulement de
ce dernier.
Voici l’essentiel du résumé publié par LifesiteNews.com, ajoutés de nos commentaires entre parenthèses :
« Voici ce qui se passera au Synode sur la synodalité en octobre
CITÉ DU VATICAN ( LifeSiteNews ) — Le bureau de presse du
Vatican a publié les détails du prochain Synode sur la synodalité qui
débutera plus tard ce mois-ci...
Cet événement marque le point culminant d’un processus pluriannuel
entamé en 2021. Les rencontres devraient aboutir à un document final
émanant du pape François ou approuvé par lui.
...
La
retraite, qui se déroulera principalement en privé (seules certaines
sections seront diffusées en direct par les portails d'information du
Vatican), sera à nouveau principalement dirigée par le père Timothy
Radcliffe, OP, un dominicain anglais de 79 ans, connu pour sa
promotion de l'idéologie LGBT et sa contradiction avec
l'enseignement de l'Église sur le sujet.
Comme
l’année dernière, Radcliffe sera rejoint par l’abbesse bénédictine
italienne Mère Maria Ignazia Angelini, et les deux continueront d’agir
pendant tout le mois comme « assistantes spirituelles » du Synode.
Une
nouveauté cette année est la veillée pénitentielle qui se tiendra le
soir du 1er octobre dans la basilique Saint-Pierre. Sous la conduite du
pape François, trois personnes « qui ont souffert du péché : le péché
d’abus ; le péché de guerre ; le péché d’indifférence face au drame
présent dans le phénomène croissant des migrations dans le monde entier
» seront entendues.
Après
cela, « aura lieu la confession d’un certain nombre de péchés », a
annoncé le Vatican, sans donner de détails précis sur le déroulement de
l’événement : pourrait-il donc s’agir d’une forme de confession
générale ?
«
Le but n’est pas de dénoncer le péché des autres, mais de se
reconnaître comme l’un de ceux qui, par omission ou par action,
deviennent cause de souffrance et responsables du mal infligé aux
innocents et aux sans défense », écrit le Vatican.
« Celui qui exprime la demande de pardon le fera au nom de tous les baptisés. »
(Cela
ressemble drôlement à une confession humaniste à la mode woke pour
remettre les pendules à zéro. Du moins on ne spécifie pas ici si la
demande de pardon sera faite au Père, ou à l’humanité entière; pour
preuve la liste qui suit.)
Les péchés particulièrement « confessés » incluent :
• Péché contre la paix
• Péché contre la création, contre les populations autochtones, contre les migrants
• Péché d'abus
• Péché contre les femmes, la famille, la jeunesse
• Le péché d'utiliser la doctrine comme des pierres à lancer
• Péché contre la pauvreté
• Péché contre la synodalité/manque d’écoute, de communion et de participation de tous
(Péché contre la création, contre les migrants : Bergoglio
manipule comme les politiciens. Cela nous en avons la preuve depuis
2013. Voyez ici la contradiction : les pays qui ont reçus le
tsunami en immigration se retrouvent avec une pénurie de logements,
dont les prix augmentent à vue d’œil, et se trouvent dans l’obligation
d’augmenter le rythme de création de nouveaux logements, détruisant
ainsi la terre et la nature si chère à Bergoglio, tout en augmentant
conséquemment les émissions polluantes.
Péché d’utiliser la doctrine : on veut éliminer la doctrine et
empêcher les faiseurs de troubles tels que les cardinaux Burke, Sarah,
et autres, ainsi que les évêques qui défendent la vraie Foi.
Bref, c’est le SIGNE DE LA MORT DES DEUX TÉMOINS à venir. Sur le court terme.
Péché contre la synodalité : Voilà. La ligne rouge est tracée.
Pour ou contre la synodalité. Mêmes valeurs que le système woke. Ceux
contre le principe de la synodalité seront ostracisés.
Rappelons ceci (voir 9 juillet) : « Le terme même de « synodalité
» a été vivement critiqué par d’éminents prélats, tels que le cardinal
Raymond Burke et le cardinal Joseph Zen, comme étant imprécis et sans
fondement historique. Mais l'IL précise que depuis le début du synode
en 2021, « les termes synodalité et synodal ,
dérivent de l'ancienne et constante pratique ecclésiale de
rassemblement au synode ces dernières années ».
La mission synodale est effectivement un concept moderne inventé par Bergoglio et ses fidèles collaborateurs.
« Ce document sera différent de celui utilisé pour la première session.
«Si, lors de la première session, il était important de mettre en
évidence les thèmes à aborder de manière ample, le document de travail
de la session d'octobre entend plutôt souligner certains nœuds à
défaire pour répondre à la question Comment être une Église
synodale en mission, en tenant compte du chemin parcouru jusqu'à
présent et en proposant des arguments théologiquement fondés ainsi que
des propositions concrètes pour aider au discernement confié aux
membres de l'assemblée», a déclaré Mgr Riccardo Battocchio, secrétaire
spécial de la XVIe Assemblée. » (vaticannews.va))
Après la « confession », le pape François adressera une demande de
pardon à « Dieu et aux sœurs et frères de toute
l’humanité … au nom de tous les fidèles ».
(Voilà qui confirme le volet humaniste, puisque selon Bergoglio, tous les chemins mènent à Dieu.)
… )
Donc, Bergoglio veut léguer une église synodale en mission.
Mais, puisque tous les chemins mènent à Dieu selon lui, alors, comment peut-on parler de mission de l’Église?
La notion tombe d’elle même puisque l'église concilaire catholique n'a alors plus de mission.
C’est un paravent pour une « fraternité universelle », une église convertie à l’humanisme, la conclusion de Vatican II.
La preuve :
« Pape François: la synodalité crée la fraternité en dehors de l’Église » (vaticannews.va) (analyse du 27 juin dernier)
« ... Le «profond renouvellement» que le Pape appelle de ses vœux trouve sa source dans le Concile Vatican II.
Le Pape qui l’a initié, ... Jean XXIII parlait d’un «aggiornamento»
(«une mise à jour») quand celui qui l’a clos, ... Paul VI, évoquait un
«renouveau florissant de l’Église». Toujours sur la nécessité de
réforme, François a cité son prédécesseur, le Pape Benoit XVI, qui
souhaitait une réforme afin de parvenir à une communauté dans laquelle
le Divin peut opérer, «une communauté dans laquelle un 'je' n'est plus
contre un autre 'je'»... »
Donc, Bergoglio indique bien qui va clore l'« aggiormamento » initié par Jean XXIII avec la fin du synode en octobre prochain.
Élimination de la messe traditionnelle suivi de la conversion TOTALE de l'église conciliaire à l'humanisme.
Les valeurs sont finalement inversées (on ne parle plus au futur): C'est l'église qui s'est convertie et non le monde qui
s'est converti au Christ, comme le voulait NSJC en créant son épouse,
l'Église, établie sur le roc qu'est Saint-Pierre.
Rappelons les 5 perspectives tirés de synod.va (le lien ne fonctionne plus, évidemment) dans l’analyse du 27 juin dernier :
«La perspective #4 doit retenir l’attention sur « La méthode synodale » pour 2024:
« Enfin, la liturgie étant à la fois miroir et nourriture de la vie de
l’Église, le travail portera également sur la dimension liturgique : «
Si l’Eucharistie façonne la synodalité, le premier pas est d’honorer sa
grâce avec un style de célébration qui soit à la hauteur de ce don et
avec une fraternité authentique » (RdS3k).
Le groupe de travail, qui assumera la perspective transversale de la méthode synodale, explorera
des points tels que :
a) la relation féconde entre l’enracinement liturgique et sacramentel de la vie synodale de
l’Église (écoute de la Parole et célébration de l’Eucharistie) et la pratique du discernement
ecclésial ;
b) une meilleure clarification de la configuration de la « conversation dans l’Esprit », en tenant
compte de la pluralité des déclinaisons qu’elle connaît grâce à l’expérience de multiples
spiritualités ecclésiales et de différents contextes culturels (cf. RdS 2i-j) ;
…
f) la promotion d’un style de célébration adapté à une Église synodale, qui permette de vivre et
de témoigner de la participation commune de tous, tout en respectant et en promouvant la
spécificité des rôles, des charismes et des ministères de chacun…. »
Et plus loin:
« Il faut privilégier ce qui est le plus efficace pour l’annonce de l’Évangile, en ayant le courage
d’abandonner ce qui s’avère moins utile ou même un obstacle. C’est cet élan vers la mission qui fait
que le processus synodal n’est pas un exercice où l’Église se regarde dans le miroir et se préoccupe de
ses propres équilibres, mais qu’elle est projetée vers le monde et l’humanité tout entière, en demandant
à chaque membre du Peuple de Dieu d’offrir sa contribution irremplaçable.
L’œcuménisme du sang (cf.RdS 7d) nous rappelle avec force que le
témoignage de l’Évangile jusqu’au don de la vie concerne tous les
baptisés, sans distinction d’appartenance confessionnelle : c’est donc
la mission commune qui constitue le vecteur du chemin vers l’unité des
chrétiens, à partir de formes concrètes de collaboration, qu’il faut
continuer à promouvoir et à expérimenter. »
Bref, tout cela confirme que le processus synodale n'est qu'une
illusion: seul la volonté de Bergoglio compte, et les décisions
donneront l'apparence d'être prises par des comités.
Quant aux 5 perspectives: c'est exactement le synode amazonien qui revient sur la table.
La « célébration liturgique » (on ne dit pas la MESSE dans ce document) sera laissé à la discrétion des « locaux ».
C'est un démantèlement de la messe pour en effacer l'essentiel: la présence réelle du Christ. » écrivions nous.
Voilà.
Tout est dit.
Ou presque…
Veillée de prière œcuménique (tiré du lien LifesiteNews ci-haut, inclu dans le processus du synode) :
« Alors que le Synode de 2023 a commencé par un événement de prière œcuménique, cette année verra un rassemblement similaire le 11 octobre. La
date est délibérée, étant le 62e anniversaire de l'ouverture du Concile
Vatican II et près de 60 ans depuis la publication du Décret sur
l'œcuménisme Unitatis Redintegratio .
La cérémonie se déroulera sur la Place des Protomartyrs, où, comme le
précise le communiqué de presse du Vatican, saint Pierre a été
martyrisé selon le témoignage de la tradition. »
(Rappelons que l'église est veuve après 60 ans.)
VOILÀ.
LE TESTAMENT DE BERGOGLIO.
On
connaît tous la signification du 11 pour la kabbale (voir analyses
précédentes), et en ce jour d’octobre, Bergoglio confirme qu’il sera
celui qui CONCLUERA Vatican II.
Fusion totale dans un œcuménisme humaniste et fraternel prêt pour l’Agenda 2030.
Il veut être reconnu comme l’illustre pape qui a sauvé l’église alors qu’il sera vomit de la bouche de Dieu (Apocalypse 3, 16).
Le temps est proche.
16 septembre
Sans surprise, l’État profond fera tout pour que les démocrates remportent la présidence américaine.
Ils ne peuvent se permettre de perdre encore quatre années.
Une deuxième tentative d’attentat contre l’ex-président n’est pas anodin.
Leurs plans sont trop avancés, et surtout, la dette des États ne peut croître indéfiniment. Une crise est à l’horizon.
Comme les analyses le confirment depuis longtemps, la prophétie « Grand
Éclair à l’Orient » est encore plus proche de semaines en semaines.
« et en Occident, sera tué un chef. Au sud de Luther »
Notez pour ceux que ne le savent pas que « Luther » dans les prophéties
est le nom prophétique pour la terre des protestants, les États-Unis.
Cela confirme aussi en quelque sorte les écrits de Louis D’Alencourt (le projet 47; sont dernier article avant de nous quitter).
Commentaire de mgr Vigano sur les dernières paroles de Bergoglio avant son retour à Rome :
« Je suis le chemin, la vérité et la vie. Nul ne vient au Père que par moi. » (Jean 14:6)
Bergoglio, avec ses déclarations impies adressées aux jeunes de
Singapour selon lesquelles « toutes les religions sont un chemin vers
Dieu », offense la Majesté de Dieu, trahit la Révélation divine,
piétine les principaux Mystères de notre Foi et annule le Sacrifice
rédempteur du Fils de Dieu, Notre Seigneur Jésus-Christ.
Ses
paroles mensongères sont particulièrement insidieuses parce qu’elles
s’adressent aux nouvelles générations, que Bergoglio trompe en leur
faisant croire qu’il est possible d’être sauvé sans reconnaître que
Jésus-Christ est le Fils de Dieu, l’unique Sauveur, et que son Église
est l’unique arche du salut. Je suis la porte (Jn 10, 9) a dit Notre
Seigneur de lui-même.
Nier cette vérité, c’est apostasier la foi et fouler aux pieds la Croix.
Le
faire du plus haut des Seuils est un scandale d’une gravité sans
précédent, surpassé seulement par le silence craintif ou complice de la
majorité de l’épiscopat.
La « passio Ecclesiæ » s’accomplit dans la trahison d’une autorité usurpée, d’un nouveau Sanhédrin également apostat. »
Finalement un cardinal, non le moindre, le cardinal Burke affirme que nous somme probablement à la fin des temps :
« ( LifeSiteNews ) — Le cardinal Raymond Burke estime que nous vivons peut-être les « derniers temps ».
« Est-ce que ce sont les derniers temps ? Je ne sais pas. Notre
Seigneur lui-même a dit que c'est au Père de prendre ces décisions.
Mais il semble bien que ce soit le cas, et nous avons donc besoin d'une
intervention forte de Notre Seigneur », a écrit Burke dans un post
publié sur X jeudi, alors qu'il appelait les gens à se joindre à
sa neuvaine de Notre-Dame de Guadelupe.
Dans un autre article publié lundi sur X, Burke a appelé son auditoire
à invoquer l’intercession de la Vierge Marie pour obtenir la grâce
d’être « des compagnons de travail fidèles et courageux dans la vérité
» avec le Christ. Il a raconté comment Notre Seigneur avait envoyé la
Sainte Mère par des apparitions pour nous ramener à Dieu au cours des
siècles, comme en 1531, lorsque le « sacrifice humain » ravageait le
Mexique et que la révolte protestante attaquait l’Église catholique en
Europe. Puis, Dieu a envoyé Notre-Dame de Guadalupe pour « amener
d’innombrables cœurs à son Cœur Immaculé afin qu’ils puissent se
reposer dans son Cœur glorieux et transpercé, y trouvant le bon ordre
de la Loi et de l’Amour divins. »
...
Le
13 juillet, Burke a reconsacré l'Amérique au Cœur Immaculé de
Marie lors d'un événement mensuel commémorant les anniversaires des
apparitions de Fatima, rejoint par environ 3 000 fidèles catholiques.
Lors de son homélie, Burke a appelé les catholiques à se
préparer à la possibilité du martyre pour être restés fidèles au
Christ.
« Nous devons nous tourner quotidiennement vers le Christ et embrasser
le martyre blanc de l’indifférence, du ridicule et de la persécution »,
a-t-il déclaré, avertissant que « certains d’entre nous pourraient même
être appelés à donner le témoignage ultime du martyre rouge, de la mort
en restant fidèles au Christ et à son plan pour notre salut et le salut
du monde. »
«
Chacun de nous est appelé, avec Marie Immaculée, à faire sa part dans
l'œuvre salvifique du Christ, selon sa vocation de vie et ses dons
distincts », a-t-il expliqué.
«
Chacun de nous est appelé à prier et à faire pénitence pour la
conversion de la Russie, à célébrer les premiers samedis de réparation
et à prier le Rosaire, en gardant dans notre cœur, un avec le Cœur
Immaculé de Marie, tout ce que Notre Seigneur a dit et fait pour notre
salut éternel. »
«
Puissions-nous, unis de cœur avec le Cœur Immaculé de Marie, garder
toujours dans nos cœurs le Mystère de la Foi, afin qu'avec Marie, nous
puissions apporter au monde le Christ et son œuvre salvifique », a prié
le prélat.
15 septembre
En route vers le synode
La Sainte Vierge Marie est apparue aux enfants le 13 octobre 1917
en Notre-Dame du Rosaire, le rosaire, seule arme pour la fin des temps,
en Notre-Dame des Douleurs, et en Notre-Dame du Carmel.
Nous fêtons aujourd’hui Notre-Dame des Douleurs.
Et des douleurs, nous lui en donnons par tous nos péchés.
Bergoglio en tête avec ce synode à l’odeur putride dont, nous nous en
doutions depuis le début, est arrangé à la sauce Bergoglio comme tous
ses autres synodes auparavant.
( LifeSiteNews )Mar
20 août 2024 — L'évêque suisse Marian Eleganti a déclaré que le
Synode du Vatican sur la synodalité était déterminé par des « agendas
tout faits » et a critiqué le pape François pour son hypocrisie.
Dans une interview accordée au média suisse kath.ch, il a
affirmé que « les agendas tout faits détermineront le processus synodal
et le contrôleront dès le début ».
Il
a déclaré que le processus synodal du pape François n'est pas
réellement un processus « d'écoute » déterminé par les opinions des
laïcs, comme le prétendent souvent les partisans de la « synodalité ».
«
Je crois que dans de tels processus, les éditeurs qui formulent les
documents finaux sont le facteur décisif – pas nécessairement le
Saint-Esprit », a déclaré Eleganti. « On ne peut pas impliquer 1,2
milliard de catholiques dans un tel processus. »
« Cela est aussi immédiatement instrumentalisé pour la politique de l’Église », a-t-il ajouté.
«Aujourd'hui,
la soi-disant 'réalité vécue' est utilisée comme une autre 'source de
révélation'», a déclaré l'évêque suisse à propos des perspectives du
synode.
Citant
le philosophe colombien Nicolás Gómez Dávila, Eleganti a déclaré : «
N’ayant pas réussi à amener les gens à mettre en pratique ce qu’elle
enseigne, l’Église contemporaine a décidé d’enseigner ce qu’elle
pratique. »
Le
prélat a averti que le synode pourrait conduire au schisme « si la
frustration d'avoir encore une fois échoué dans son propre programme
devient suffisamment grande ».
Il a ensuite critiqué l'hypocrisie de François qui promeut la « synodalité » tout en agissant lui-même de manière autoritaire.
«
Bien que le pape François ait écrit Synodalité sur sa bannière, il a un
style de leadership très autoritaire », a déclaré Eleganti. "Il
intervient dans le processus synodal et le dirige, par exemple en
retirant les questions importantes de l'assemblée plénière et en les
déléguant à des commissions qui travaillent de manière autonome."
«Il
a également remis à l'ordre du jour du deuxième synode sur la famille
un vote rejeté par la majorité de l'assemblée plénière. Le document
final du Synode amazonien a déçu Mgr Kräutler pour des raisons
similaires.»
"Je
ne refuse pas au pape François l'autorité et l'autorisation de le
faire", a précisé Eleganti. "Il est le Pape et doit agir selon sa
conscience devant Dieu."
Cependant, « certains se demanderont ce que signifie exactement pour lui la synodalité ».
« Apparemment, la synodalité a des limites. Beaucoup voient une contradiction dans les actions du pape », a-t-il conclu.
« … L'autorité du Pontife romain est le dérivé de l'autorité
du Christ et tire sa légitimité de sa conformité à cette réalité
ontologique. En revanche, l'autorité de Bergoglio est ouvertement
proclamée indépendante et autoréférentielle : il pense qu'il peut
utiliser et abuser de son propre pouvoir et de l'autorité (et de la
direction) de l'Église catholique simplement parce qu'il sait que le
clergé et le peuple chrétiens ont habitué, dans le soixante dernières
années, à accepter tout changement que l'Autorité leur imposait. Au nom
d'une "démocratisation" de l'Église conciliaire - aujourd'hui
rebaptisée "synodalité" - le lien entre l'autorité du Christ et celle
de son vicaire sur terre a été rompu, créant ainsi les prémisses d'un
exercice tyrannique du pouvoir. Bergoglio veut être reconnu comme pape
légitime car ce n’est qu’à partir de cette position qu’il pourra exiger
l’obéissance des catholiques et achever la transformation du
catholicisme romain en religion maçonnique de l’humanité…
Cette servilité de l'Église envers le monde est souhaitée et préméditée
: elle inclut le soutien à la fraude climatique et au culte idolâtre de
la Terre Mère, après avoir été explicitée par la fraude criminelle
psycho-pandémique et la « vaccination » massive avec des produits
prouvés nocifs, voire mortels. , sérums et presque toujours
stérilisants, produits avec des fœtus avortés avec
le placet du Vatican . Il est donc évident que le rôle de
Bergoglio dans la mise en œuvre de l'enfer mondialiste a été décisif et
nous montre comment le jésuite argentin - comme les dirigeants des
principaux pays occidentaux tels que Biden, Macron, Trudeau, Starmer et
d'autres - a été placé sur le trône. de Pierre en tant qu'émissaire du
Forum économique mondial.
Une
telle trahison dans le gouvernement de l’Église catholique confirme
un vice d’intention dans la prise en charge de la Papauté,
tel qu’elle invalide la légitimité même de celui qui a usurpé le
pouvoir et en abuse pour détruire l’institution qu’il préside. C’est là
le nœud de la question : un Pape peut-il contredire la doctrine que
Notre Seigneur lui a ordonné de défendre, de garder et de transmettre,
allant jusqu’à prêcher l’hérésie ?
Un
pape peut-il se considérer à ce point déconnecté du Christ Roi et
Pontife, au point d’utiliser la papauté contre la volonté du Christ,
transformant son Église en une organisation antichrétienne, au service
de l’élite mondialiste ? De quelle « Église » Bergoglio est-il le «
Pape » ? » (mgr vigano- 10 sept - aldomariavalli)
Et Bergoglio de conclure son voyage en Asie :
«
Toutes les religions sont un chemin vers Dieu. Elles sont – je fais une
comparaison – comme des langues différentes, des idiomes différents,
pour y parvenir. Mais Dieu est Dieu pour tous. Et parce que Dieu
est Dieu pour tous, nous sommes tous ses enfants.
« Mais mon Dieu est plus important que le tien ! Est-ce vrai ? »
Il
n’y a qu’un seul Dieu et nous, nos religions sont des langues, des
chemins vers Dieu. Certains sont sikhs, d’autres musulmans, d’autres
hindous, d’autres chrétiens, mais ce sont des chemins
différents. Compris? » (benoit-et-moi.fr)
Cette affirmation a causé un tollé général dans la communauté catholique.
Évidemment.
« Des mots qui sonneraient comme une platitude désarmante sur les
lèvres de n’importe qui, mais qui laissent perplexe lorsqu’ils sont
prononcés par le successeur de l’apôtre Pierre, dont le ministère
consiste à confirmer ses frères dans la foi, et non à les désorienter.
François,
en revanche, le réinterprète à sa manière, comme si saint Pierre avait
entamé un dialogue avec les juifs et les païens, leur disant que la
mort et la résurrection du Christ n’ont rien apporté de
substantiellement décisif à l’histoire de l’humanité, si ce n’est une
nouvelle voie alternative vers Dieu, mais toujours facultative et sans
la prétention d’être la seule vraie. Comme la variante d’une autoroute.
Peut-être
le Pape croit-il que l’affirmation qui est sortie de la bouche même de
Jésus-Christ – « Je suis le chemin, la vérité et la vie » (Jn 14,6) –
était une coquille de quelque copiste, ou une réinterprétation des
disciples du Seigneur, qui n’avaient encore rien compris au dialogue
interreligieux, ou même un délire de toute-puissance d’un certain
Jésus-Christ, qui s’était monté la tête en se prenant pour Dieu.
«
Personne ne vient au Père si ce n’est par moi. Si vous me connaissez,
vous connaîtrez aussi le Père » (Jn 14,6-7) : une “perspective”
résolument opposée à celle du Pape. » (lien benoit-et-moi.fr ci-haut)
« … La doctrine catholique sur le Christ unique sauveur est, comme on
le voit, liquidée. Et de la manière la plus claire possible. Quel sens
l’évangélisation a-t-elle à ce stade ? Et l'esprit missionnaire ?
Pourquoi des légions de catholiques ont-elles tout sacrifié, même la
vie elle-même, pour prêcher l’Évangile si chaque foi est la même que
les autres et qu’elles mènent toutes également à Dieu ?
Bien
sûr, ce n’est pas la première fois que Bergoglio s’exprime en ces
termes, mais il ne l’a jamais fait avec autant de brutalité.
À ce stade, on se demande : qu’en est-il de la papauté elle-même ? À quoi ça sert ?.. » (aldomariavalli)
« Le seul chemin vers Dieu le Père est par son Fils Jésus-Christ. Le
nier, c'est nier la foi catholique, c'est une hérésie », a écrit
l'évêque Strickland en réponse au pape François. » (lifesitenews.com)
Voilà.
Cela nous donne une idée claire et finale du personnage actuellement sur le trône de Saint-Pierre.
Il n'y a plus aucun doute.
Si les tièdes n'ouvrent pas les yeux avec ses dernières paroles, alors ils ne les ouvriront jamais.
Bergoglio
a renié la fonction du pape dès le premier jour en se déguisant en
agneau, prêchant la pauvreté avec ses vieux souliers, refusant les
appartements normalement occupés par le pape pour aller habiter à
Sainte-Marthe, et continue depuis de s’affirmer comme le destructeur,
comme simple évêque de Rome, et qui affirme maintenant que tous les
chemins mènent au Père.
Il ne pouvait pas agir ainsi tant et aussi longtemps que le katéchon était vivant, car Benoît XVI était un expert en théologie.
Mais maintenant, il peut tout faire.
Mise à jour concernant les signes du Ciel :
La comète d’octobre continue sa progression. Elle n’est pas visible pour l’instant car elle est trop près du soleil.
Soleil, qui comme prévu, continue d'élever son activité et ses taches en plein maximum solaire, avec une éruption de classe X4.5 hier suivi d’une éjection de masse coronale qui est en partie dirigée vers la terre.
Conséquemment, il y aura des aurores assez spectaculaires dans la nuit
du 16 au 17 septembre, car la force est de trois sur une échelle de
cinq (la force de la tempête du 13 mai dernier était de cinq).
Les signes sont de plus en plus nombreux.
En route vers le synode.
13 septembre
Le 8ème roi : l’oméga
« Et la bête qui était et qui n'est plus, en est elle-même un huitième
et elle est des sept, et elle s'en va à la perdition. » (Apocalypse 17,
9-11)
Évidemment, il s’agît de Bergoglio (voir analyses précédentes).
La damnation l’attend fort probablement, sa perdition, mais le physique
est le reflet de l’âme, et il est en train d’accélérer sa mort
terrestre par ses agissements tout en entraînant plusieurs âmes avec
lui.
« Au cours de ces 11 années de « pontificat », les attaques contre la
doctrine, la liturgie et la morale ont été systématiques et ont
conduit à une perte généralisée de la foi que nous pouvons maintenant
constater dans tous les domaines du tissu ecclésial : dans les
diocèses, les paroisses et les communautés religieuses. » (benoit-et-moi.fr)
Le 13, rappelons le, est le chiffre symbolique qui indique un passage à
venir, le début et la fin d’un cycle, l’alpha et l’oméga.
« Je suis venue vous demander de venir ici pendant six mois de suite,
le 13, à cette même heure. Ensuite je vous dirai qui je suis et ce que
je veux. Après, je reviendrai encore ici une septième fois. » déclare
la Sainte Vierge lors de sa première apparition à Fatima.
Fatima et Bergoglio sont liés, car le troisième secret concerne
l’apostasie générale, même au sommet de l’église, confirmant La Salette
avec l’antichrist sur le trône.
Lors des apparitions à Fatima, le petit François voit la Sainte
Vierge mais ne l’entend pas, comparativement à sa sœur et sa cousine.
Nous pointant Bergoglio de la fin des temps.
L’actuel occupant du siège de Pierre est le premier pape à porter le nom de François.
La contre-église de Bergoglio est tellement éloignée de celle qui a
grandi et perduré durant presque deux mille ans qu’on peut considérer
qu’elle n’entend pas les messages de la Très Sainte Vierge.
Remarquez aussi la dernière phrase de Marie ci-haut: Elle confirme qu’elle reviendra une septième fois.
Pour la fin des temps.
Du 13 mai au 13 octobre il y a pile 5 mois, soit 153 jours. Cinq mois
ce n’est pas six mois. Cependant la Sainte Vierge dit bien qu’elle
viendra six mois de suite et que cela correspondra à six apparitions
puisqu’elle en prévoit d’ores et déjà une septième.
Cela veut dire qu’elle compte le mois de mai, c’est à dire le mois en
cours ainsi que la première apparition. De mai à octobre il y a 5 mois
qui s’étalent sur 6 mois. Pour décompter, le Ciel dit : 6 mois, ce qui
correspond au mode de calcul biblique qui raisonne en mois ou en années
commencés.
Ainsi, selon le mode de calcul biblique, Bergoglio atteindra 13 ans de pontificat le 13 mars 2025.
Sa limite?
L’apparition d’août à Fatima en 1917 a été reportée du 13 au 19 car les
autorités avaient empêché les enfants de se rendre au lieu des
apparitions.
Le 19 renvoie à Saint-Joseph dont on la fête est le 19 mars, date d’intronisation de Bergoglio.
Nombre de jours entre le 19 mars et le 19 août : 153.
Le 153 est le chiffre relié au Christ, le chiffre de la pêche
miraculeuse dans le Nouveau Testament qui symbolise l’ensemble des
rachetés : la deuxième Pâques dans la Bible, la mort et la
résurrection du Christ (voir analyses précédentes).
Lors du miracle du soleil le 13 octobre 1917, la Sainte Famille est
apparue aux enfants, nous montrant l’importance de ce qui est Vérité,
et ce qui est à venir, à la fin des temps.
Car les trois membres de la Sainte Famille sont liés à l’Église dans sa Passion.
Le 13 octobre 1917, pendant que les voyants voyaient la Sainte Famille,
les autres qui s’étaient déplacés apercevaient le soleil dansant.
La première Pâques a d’ailleurs eu lieu suivant un 13 : dans la nuit du 14 au 15 Nisan nous indique la Bible.
Nous nous apprêtons donc à vivre la troisième Pâque et la seconde
rédemption de l’humanité, la dernière, avant le Jugement dernier.
Or cette fois, ce sera vraiment la fin du grand cycle, la fin des temps, le Jugement suivi de la nouvelle Jérusalem.
Et Bergoglio en est le signe visible : l’antichrist personnifié
qui s’en va à sa perte, et qui est lié comme nous l’avons vu dans les
dernières analyses, au chiffre 13.
La vie temporelle et la vie spirituelle sont liés.
Le physique ne peut se passer du spirituel, et vice-versa.
Nous sommes corps et âme.
Quand l’Église va, le monde terrestre va, les structures et les
institutions tiennent la route et recherchent le bien commun, à savoir
le salut des âmes en Jésus-Christ, malgré les innombrables difficultés.
Quand l’Église flanche, la société civile se dégrade moralement, mais
aussi culturellement et socialement, et s’enfonce dans la débauche, la
cupidité, l’envie, la bêtise et la méchanceté.
C’est le cas depuis le concile Vatican II (1965) et Mai 68, dont les fruits pourris se sont étendus au monde entier.
D’ailleurs, le point Alpha ou point zéro de Léon XIII avec sa
vision du diable, a son pendant « monde civil » car c’est le 13 octobre
1884 qu’était défini le méridien de Greenwich comme point zéro pour le
monde entier.
Le départ d’un nouveau cycle.
Les comètes sont des signes particuliers du Ciel.
Pour nous avertir.
Comme le 13 octobre prochain.
Tout comme les aurores boréales.
Comme cette tempête céleste du 13 mai dernier.
Or, le synode des synodes est l’apothéose de la grande apostasie.
Le testament de Bergoglio.
La conclusion du synode est inévitable dans le calendrier
eschatologique pour confirmer la mort des deux témoins de l’Apocalypse.
Suivi très très rapidement par la chute de Babylone liée à la chute du Vatican.
Dieu a un plan.
La 7è église de l’Apocalypse a commencé avec l’avènement de Bergoglio, l’Antéchrist-personne, le 13 mars 2013.
Vont s’enclencher à partir du 13 octobre prochain, ou pas très
longtemps après, les trois autres 7 (d’où le 777), à savoir 7è sceau,
7è trompette et 7è coupe.
« Fidèle à cette tâche, Bergoglio s’apprête maintenant à porter un coup
décisif qui dévastera profondément la nature même de l’Église
catholique.
Il s’agit d’une opération d’une gravité sans précédent puisqu’il
prétend précisément changer définitivement les connotations de
l’Église, connotations voulues et établies par son divin Fondateur
lui-même.
Quel est le projet de Bergoglio ? Et quelle nouvelle physionomie entend-il donner à la structure ecclésiale ?
Ceux qui connaissent l’histoire et la théologie de l’Église n’auront
certainement pas besoin de faire de grands efforts spéculatifs
: il s’agit simplement d’imposer à l’Église une version actualisée
de la Réforme protestante.
Il est évident que la nouvelle approche sert le système car moins la
structure ecclésiale est compacte, plus elle sera malléable aux
influences du grand projet mondialiste (cf. Agenda 2030 – Forum
économique mondial…)…
Aurait-il été excessif de rappeler à l’Argentin que la Cène protestante
n’est pas le Sacrifice eucharistique et qu’il n’y a pas en elle de
présence réelle capable de transformer la substance du pain et du vin
en la réalité du Corps et du Sang du Christ ? La Cène ne peut être
comprise que comme une présence de Grâce qui peut être reçue par ceux
qui s’en approchent avec les dispositions appropriées…
Tiré du portail canadien francophone Radio-Canada.ca, l’évêque de
Rouyn-Noranda « rapporte en ces termes la réponse que lui a faite le
pape François à une préoccupation qu’il avait concernant le manque de
prêtres dans les petites communautés :
“Écoutez, vous oubliez deux choses : l’avenir de l’Église se joue
davantage autour de la parole de Dieu qu’autour de l’eucharistie” » (benoit-et-moi.fr)
Vous l’aurez compris depuis nombres d’analyses ici: Bergoglio, le
8ème roi de l’Apocalypse éliminera la présence réelle en
protestantisant l’église.
Plus besoin d’Eucharistie.
L’Oméga, le point de non retour (c’est ce qu’affirme continuellement
Bergoglio d’ailleurs : il n’y aura pas de retour en arrière), va
être atteint à la fin octobre.
À partir de là, c’est l’inconnu.
C’est entre les mains du Père.
On peut fort parier que le Jubilé 2025 ne sera pas celui prévu dans les plans au Vatican, l’élite mondiale et Bergoglio.
« La souffrance de l’Église précède la parousie [Second avènement du Christ, ndt]
Cela
semble en effet inéluctable. Si l’Église est le Corps mystique du
Christ, et qu’elle ne peut avoir d’autre existence que la vie de son
Époux mystique : de même que le Christ a été livré aux mains de ses
ennemis, de même l’Église subira nécessairement le même sort.
Cependant, si nous partageons aujourd’hui les souffrances du Corps
mystique, nous partagerons bientôt aussi le mystère de sa résurrection
et de son exaltation.
La lutte a atteint son point culminant et, dans le champ de l’Église, le bon grain est sur le point d’être séparé de l’ivraie.
À l’horizon se profile déjà l’effondrement des potentats de ce monde
qui se sont enrichis en spéculant sur la peau des peuples et qui ont
profané les institutions du Siège apostolique.
Le Seigneur, juste juge, rendra bientôt à chacun ce qui lui appartient.
Mais
qu’adviendra-t-il de celui pour qui le martyre de l’Épouse du Christ se
consomme aujourd’hui ? Ne pourrions-nous pas partager les dures paroles
de l’Évangile : « Il vaudrait mieux pour cet homme qu’il ne soit jamais
né » (Mt 26, 24) ? » (benoit-et-moi.fr)
On confirme.
Même
le pape Pie XII qui a suivi de près la question des apparitions de
Fatima a affirmé avoir été le témoin, à trois reprises, à Rome, les 30
et 31 octobre et le 1er novembre 1950, jour de la proclamation du dogme
de l'Assomption de la Vierge Marie, du même phénomène solaire qu'à
Fatima.
On a vu dans une analyse précédente qu’entre le 13 octobre 1884 et le
13 octobre 1917, il y a exactement 33 ans, l’âge du Christ à sa mort.
Entre le 13 octobre 1917 et le 1 novembre 1950 : 33 ans et quelques jours.
La Sainte Vierge nous reviendra à la fin des temps, à l’Apocalypse, la
Révélation, une 7ème fois comme affirmé en 1917, sous la forme d’une
femme voilant le soleil.
Par trois fois Pie XII a vu le miracle du soleil à la fin octobre 1950.
Est-ce que cela annonce les trois jours de ténèbres de la fin des temps prophétisés par plusieurs?
Le signe de Jonas (voir analyses de juillet 2024)?
Le synode des synodes se termine le 29 octobre.
Pourrait-il y avoir un lien?
Car le soleil est bien entré dans le maximum solaire qui s’intensifie.
Ainsi
que le risque de guerre Russie-OTAN aujourd'hui après l'approbation du
Canada et de la Grande-Bretagne pour l'emploi de missiles longues
portées par l'Ukraine.
12 septembre
Quand on affirme que le Vatican avec en tête Bergoglio entraînent la jeunesse vers l'Agenda 2030.
La « grande réinitialisation » religieuse est en court depuis longtemps.
La preuve.
Remarquez que Bergoglio est actif avec les jésuites depuis qu'il est
évêque pour former les esprits à la nouvelle religion humaniste!
Remarquez aussi qu'à chaque voyage de Bergoglio, que plusieurs
rencontres avec les satellites jésuites des pays concernés sont prévues
à l'horaire, empiétant même sur le but dudit voyage.
« Ce fut le cas, en Indonésie, de la rencontre avec le mouvement «
Scholas occurrentes », dans son nouveau siège au centre de Jakarta, le
premier en Asie du Sud-Est.
Ce mouvement, fondé par Bergoglio en Argentine lorsqu’il était
archevêque de Buenos Aires, est aujourd’hui un réseau d’un demi-million
d’écoles sur les cinq continents, élevé en 2015 au rang de Fondation
pieuse de droit pontifical ayant son siège dans la Cité du Vatican.
Toutefois, on n’y trouve pas grand-chose de « pieux », voire rien du tout.
Dans les nombreux discours de François aux « Scholas », le silence sur le Dieu chrétien, Jésus et l’Évangile est presque total.
La formule dominante est celle du « nouvel humanisme », avec son
cortège de « maison commune », de « solidarité universelle », de «
fraternité », de « convergence », d’« accueil ».
Les religions sont également mises dans le même sac et neutralisées dans un dialogue indistinct.
Les invités à ces événements sont des stars du show-business et du sport, de George Clooney à Lionel Messi.
Le nom donné par François à une nouvelle université qu’il a créée en
2023 et confiée à des « Scholas occurrentes » l’illustre bien : «
Universidad del sentido », l’université du sens, où « ce qui est
enseigné n’est pas une chose mais la vie elle-même ».
À Jakarta, pour symboliser ce sentiment de fraternité, les étudiants
avaient mis en place un « polyèdre du cœur », avec l’assemblage de
centaines d’objets personnels apportés par chacun, auxquels le pape lui
aussi a ajouté le sien : une reproduction de l’héroïne de la bande
dessinée argentine Mafalda.
Bien sûr, il n’est pas surprenant qu’un pape comme Jorge Mario
Bergoglio se préoccupe autant des écoles et de la formation des
nouvelles générations, lui qui fait partie de la Compagnie de Jésus,
qui a été pendant des siècles le grand éducateur des classes
dirigeantes.
Mais ce qui frappe, c’est l’absence de toute spécificité chrétienne dans son ambitieux projet éducatif. » (benoit-et-moi.fr)
L'escalade
entre la Russie et l'OTAN se poursuit: possibilité par les britanniques
et les américains d'autoriser les missiles à longue portée pour
l'Ukraine si l'Iran fournit des missiles du même type à la Russie.
Poutine confirme que si c'est le cas, alors l'OTAN sera considéré en guerre contre la Russie.
«
La terre frisera le massacre. Un seul mourra pour tous et il était le
meilleur. » se rapproche. (prophétie « Grand Éclair à l'Orient »)
08 septembre
LA SEMAINE DE DANIEL
À la lumière de la dernière analyse sur l’importance du 13
et du 84, et sur la signification du chiffre 40 comme temps d’attente,
de carême, avant la Pâques et la résurrection :
Jésus nous indique que le prophète Daniel a son importance à la fin des
temps, en Matthieu 24, confirmé en décembre 2023 par mgr Vigano :
(LifeSiteNews) — L'archevêque Carlo Maria Viganò a répondu à la
question « Le pape est-il catholique ? à la conférence du week-end
dernier affirmant avec force que Jorge Maria Bergoglio est un « faux
prophète » qui correspond à la description de celui dont parle le
prophète Daniel au moment de la « persécution finale » de l'Église, à
qui aucun catholique ne doit en « rien » obéissance ou collaboration
mais plutôt résistance inébranlable.
« Nous sommes… bien au-delà de l'hérésie », a déclaré Son Excellence.
"[St. Robert] Bellarmin n'aurait jamais pu imaginer qu'un émissaire de
la franc-maçonnerie puisse aller jusqu'à être élu pape dans le but de
démolir l'Église de l'intérieur, en usurpant et en abusant du pouvoir
même de la papauté contre la papauté elle-même. Il n’aurait pas non
plus pu imaginer qu’un hypothétique pape dépasserait la simple hérésie
et embrasserait l’apostasie totale. »
…
Viganò a réitéré une fois de plus que "nous n'avons pas affaire à une
situation dans laquelle un pape adhère à une hérésie spécifique (ce que
Bergoglio a d'ailleurs fait à plusieurs reprises)". Au contraire, «
aucun Docteur de l’Église n’a jamais envisagé la possibilité d’un pape
apostat ou d’une élection falsifiée et manipulée par des puissances
ouvertement hostiles au Christ, car une telle énormité ne pouvait se
produire que dans un contexte unique et extraordinaire comme celui de
la persécution finale annoncée par le prophète Daniel et décrite par
saint Paul. L'avertissement de Notre Seigneur videritis abominationem
desolationis – lorsque vous verrez l'abomination de la désolation (Mt
24, 15) – doit être compris comme tel précisément en raison de son un
caractère unique absolu. »
Dernières preuves confirmant ces affirmations:
- Le voyage en Indonésie de Bergoglio :
« JAKARTA, Indonésie ( LifeSiteNews
) — En conclusion d'une rencontre avec des jeunes de différentes
confessions à Jakarta, le pape François a donné une bénédiction sans
invoquer la Trinité, ce qui, selon lui, est « valable pour toutes les
religions ».
...
Après avoir échangé avec certains des jeunes concernés, le pape a
annoncé qu'il donnerait une bénédiction finale. Le groupe étant composé
de membres de différentes religions (Scholas n'est pas une organisation
catholique), la bénédiction de François revêtait un caractère
multiconfessionnel.
« Je voudrais donner une bénédiction. Une bénédiction signifie dire du
bien, souhaiter du bien à quelque chose », a-t-il commencé. Poursuivant
sa prière de bénédiction à la foule rassemblée, qui comprenait des
catholiques et des musulmans, François a ajouté :
Ici, vous êtes de religions diverses, mais nous n'avons qu'un seul Dieu, il est unique.
Et en union, en silence, nous prierons le Seigneur et je donnerai une
bénédiction pour tous, une bénédiction valable pour toutes les
religions.
Que Dieu bénisse chacun d’entre vous.
Qu'il bénisse tous vos désirs.
Qu'il bénisse vos familles.
Qu'il vous bénisse présent (ici).
Qu'il bénisse votre avenir. Amen.
En conclusion, François n'a pas fait le signe de croix comme le fait
habituellement un clerc catholique lorsqu'il donne une bénédiction, et
n'a pas invoqué le nom de la Sainte Trinité. »
« Cette bénédiction sans la croix est une absurdité, mais c’est surtout
une trahison et une apostasie. On pourrait déjà se demander si
Bergoglio n'était que M. Bergoglio, mais comme il se présente et va
visiter les pays comme Pape de l'Église catholique, et que la
bénédiction catholique a lieu en invoquant le nom du Père, du Fils et
du Saint-Esprit et traçant un signe de croix, Bergoglio s'est comporté
en infidèle et trompeur. Et dans ces quelques mots prononcés pour
expliquer sa décision, il a parlé de véritables hérésies, car il n'est
pas vrai que « nous n'avons qu'un seul Dieu », et le Vicaire du Christ,
dont la tâche première est de confirmer ses frères dans la foi, ne peut
pas le faire « une bénédiction valable pour toutes les religions »…
Maintenant la question se pose : pourquoi Bergoglio est-il allé là-bas,
en Indonésie ? Ces voyages sont appelés voyages apostoliques, mais qu’y
a-t-il d’apostolique dans une bénédiction absurde qui n’est pas une
bénédiction ? Bergoglio le dit clairement, s'il en a le courage : le
but de ces visites est toujours et uniquement le dialogue, véritable
dogme de l'Église néo-moderniste. En effet, non seulement le dialogue,
mais le syncrétisme, le mélange arbitraire d'éléments religieux
incompatibles entre eux. Afin de proclamer une religion universelle
unique… » (aldomariavalli.com).
Le but est toujours le même : la nouvelle religion humaniste œcuménique
de l’Agenda 2030, qui n’en est pas une (puisque aucun objectif
spirituel n’est mentionné dans l’Agenda 2030), mais un culte rendu à
Satan.
- Sur la miséricorde universelle, thème cher à Bergoglio, qui élimine ainsi la notion de péché:
« Le salut universel ? En tant que professeur de mathématiques, je vous
le dis : faites le calcul, ça ne peut pas être comme ça !
...
nous vivons à une époque où, même dans l'Église, la question de la
destinée éternelle de l'âme semble totalement hors de propos, et le
message est souvent transmis qu'après la mort, nous irons tous au ciel.
Ces derniers jours, un prêtre qui prêche sur YouTube (j'évite de citer
son nom) a répondu mot pour mot à une de mes questions que "les péchés
vont en enfer parce que Dieu sauve les pécheurs". Ainsi, tout le monde
est en sécurité. Mais cette idée d’un salut automatique, pour tous, est
fausse et même hérétique car elle contredit l’enseignement de l’Église
et les paroles mêmes de Jésus.
Affirmer que le paradis est réservé à tous les hommes après la mort
équivaut à dire qu'aucune âme créée ne court le risque d'être damnée et
donc que personne n'est jamais allé en enfer jusqu'à présent et que
personne n'y ira dans le futur. Il n'y aurait que Satan avec les anges
rebelles (à moins qu'il ne soit dit qu'à la fin il y aura aussi une
amnistie pour eux : après tout, Dieu est miséricordieux, n'est-ce pas
?).
Or, Dieu est certes miséricordieux, mais il est aussi juste, et pour
être acceptée, la miséricorde doit trouver une âme qui reconnaît
qu'elle a péché et qui a besoin de pardon. La miséricorde de Dieu est
reçue, par le sacrement de la confession, avec une repentance et une
supplication sincères.
...
Partons donc des points fixes, certains et établis : l'Évangile, le catéchisme et la tradition.
Le Catéchisme de l'Église catholique (n. 1033) explique :
Mourir dans un péché mortel sans se repentir et sans accueillir l'amour
miséricordieux de Dieu signifie rester séparé de Lui pour toujours par
notre libre choix.
Sauf le cas de Judas Iscariote, car Jésus le dit très clairement, nous
ne pourrons jamais savoir avec certitude si une âme est damnée ou non.
En fait, nous ne savons pas si cette âme a fait, peut-être un instant
avant sa mort, un acte de contrition sincère et a demandé pardon à Dieu
comme le bon larron sur la croix. Cependant, il semble clair que cette
terrible issue est possible pour tout être humain. Dieu nous laisse
libre de l’accueillir comme Seigneur et Sauveur ou de le rejeter.
Dans l'Évangile, nous lisons :
Un homme lui demanda : « Seigneur, ceux qui sont sauvés sont-ils peu
nombreux ? Il répondit : « Efforcez-vous d'entrer par la porte étroite,
car beaucoup, je vous le dis, tenteront d'entrer et n'y parviendront
pas » (Luc 13,23-24).
« Beaucoup » dit Jésus. Eh bien, à propos de ce passage, j'ai toujours
entendu des commentaires dans lesquels il est dit que Jésus ne répond
pas à la question, mais ce n'est pas vrai !
Examinons la réponse et connectons-la à d'autres passages qui parlent de la même question.
Nous voyons le passage similaire dans Matthieu 7 : 13-14.
Entrez par la porte étroite, car la porte est large et le chemin est
large qui mène à la perdition, et nombreux sont ceux qui entrent par là
; combien étroite est au contraire la porte et le chemin qui mène à la
vie, et combien rares sont ceux qui les trouvent ! (Matthieu 7;13-14).
Nous constatons que le pronom « beaucoup » contraste plus clairement avec « quelques-uns » qui sont sauvés.
Et encore :
Parce que beaucoup sont appelés mais peu sont élus (Matthieu 22,14).
Les paroles de Jésus semblent dramatiques lorsqu'il précise que même
parmi ceux qui avaient une relation de prédilection avec le Seigneur,
il y en aura qui iront dans le feu éternel :
Beaucoup me diront en ce jour-là : Seigneur, Seigneur, n'avons-nous pas
prophétisé en ton nom, chassé les démons en ton nom et accompli de
nombreux miracles en ton nom ? Mais je leur dirai : je ne vous ai
jamais connu ; éloignez-vous de moi, ouvriers d'iniquité » (Matthieu 7,
22-23).
Encore ce pronom : « beaucoup ».
Mais dans les paroles de Notre Seigneur (jamais dites au hasard, car la
plénitude de la lumière et de la vérité habite dans le Fils de Dieu) il
y a aussi des valeurs numériques.
Dans la parabole des dix vierges, nous avons cinq folles et cinq sages.
Jésus aurait pu dire, par exemple, que huit étaient sages et deux
étaient insensés ou utiliser d'autres paires de nombres dont la somme
fait dix, mais il dit que la moitié d'entre eux sont damnés.
Dans la parabole des serviteurs et des talents, cela se passe un peu
mieux : une personne sur trois va en enfer, mais si telle était
l'estimation des âmes perdues, ce serait encore un nombre élevé.
Nous ne pouvons rapporter ici tous les apports des mystiques, saints et
bienheureux qui ont eu des visions d'un enfer décrit comme plein de
damnés. Souvenons-nous seulement des apparitions de Fatima (reconnue
par l'Église) et de ce que la Sainte Vierge disait sur la nécessité de
prier pour les pauvres pécheurs puisque déjà à cette époque (année
1917, une époque où le sens religieux, la foi et les coutumes étaient
certainement meilleurs que nos temps malheureux) tant d'âmes ont été
perdues.
D’un autre côté, s’il n’y avait aucune possibilité de damnation, comme
cela est souvent prêché ou sous-entendu aujourd’hui, pourquoi la Mère
de Dieu aurait-elle enseigné la prière qui est encore récitée
aujourd’hui dans le chapelet :
Mon Jésus, pardonne nos péchés, préserve-nous des feux de l'enfer et
amène toutes les âmes au ciel, en particulier celles qui ont le plus
besoin de ta miséricorde ?
Nous ne pouvons certainement pas établir avec une certitude
mathématique le pourcentage d'âmes damnées par rapport à la totalité
des âmes créées, ni dire combien ont été damnés en moyenne au cours des
différents siècles de l'histoire chrétienne. Cependant, nous ne pouvons
pas non plus falsifier l'Évangile et le clair paroles de Notre Seigneur
Jésus-Christ qui a versé son sang précieux pour nous offrir le salut et
détruire nos péchés.
Nous restons ancrés dans le magistère authentique de l’Église, certains
que quiconque meurt dans la grâce de Dieu, en se repentant de ses
péchés et en invoquant de tout cœur la miséricorde du Seigneur Jésus,
ne sera pas damné.
Souvenons-nous de la grande et merveilleuse promesse faite par Jésus à l'humanité à travers sainte Marguerite-Marie Alacoque :
Je vous promets, dans l'excès de miséricorde de mon cœur, que mon amour
tout-puissant accordera la grâce de la pénitence finale à tous ceux qui
communieront le premier vendredi du mois, pendant neuf mois
consécutifs. Ils ne mourront pas dans ma disgrâce, ni sans avoir reçu
les saints sacrements, et dans ces derniers instants mon cœur leur
donnera un asile sûr.
Fais, Seigneur, par l'intercession de la Vierge Marie et de Saint
Michel, qu'en vainquant l'ennemi de notre salut, chacun de nous puisse
accepter cette invitation du Cœur de Jésus et décider de vivre, au
moins une fois dans sa vie, cette belle pratiquer avec amour, avec foi
et profonde humilité, protégeant ainsi le salut de son âme.
Sacré-Cœur de Jésus, j'ai confiance et j'espère en Toi. » (aldomariavalli.com)
- Sur le prochain synode :
Comme nous l’affirmons depuis le longtemps, le synode des synodes est
la dernière chance pour faire passer l’impensable, pour une conversion
de l’église conciliaire à l’église universelle humaniste de l’Agenda
2030.
« Le cardinal Müller suggère que des « forces anti-catholiques »
promeuvent l'Agenda 2030 en faveur de l'avortement au sein du Synode
CITÉ DU VATICAN ( LifeSitenews
) — Le cardinal Gerhard Müller a averti que le synode actuel sur la
synodalité pourrait être utilisé par les « progressistes » et les «
forces anticatholiques » pour mettre en œuvre l’Agenda 2030 dans
l’Église.
« Il existe toujours le danger que des progressistes autoproclamés, en
collusion avec les forces anticatholiques de la politique et des
médias, introduisent dans l’Église un Agenda 2030 dont le cœur est une
vision wokiste de l’humanité diamétralement opposée à la dignité divine
de chaque personne humaine », a déclaré le cardinal allemand dans une
interview à InfoVaticana.
…
Le cardinal a critiqué ouvertement le Synode, et son inclusion aux
réunions du Vatican a été contestée par les progressistes : « Des
groupes hérétiques déguisés en progressistes ont, pour leur part,
critiqué cette décision [son inclusion] comme une simple manœuvre
tactique du pape, qui voulait envoyer un signal aux catholiques
orthodoxes, décriés comme conservateurs ou même traditionalistes, que
les participants étaient équilibrés. »… »
« CITÉ DU VATICAN ( LifeSiteNews
) — Le rite de la messe amazonienne, très attendu et controversé,
entrera dans une « phase expérimentale » de trois ans plus tard cette
année, a attesté un théologien clé.
Dans un nouveau rapport numérique de Vida Nueva, des détails
révolutionnaires ont été révélés sur le rite de messe proposé en
Amazonie – fruit du synode amazonien de 2019 qui s'est tenu au Vatican.
Sans citer mot pour mot les propos de Vida Nueva, elle a déclaré que «
le rite amazonien entrera dans la phase expérimentale – qui durera
trois ans jusqu’en 2028 – à la fin de 2024. » »
« Le préfet de la CDF a té reçu deux fois dans un bref laps de temps
par « El Papa », et ces audiences ont été (inhabituellement) rapportées
par le bureau de presse, leur conférant un caractère officiel qui
laisse présager qu’un document non négligeable (je n’ose dire «
important ») est en cours d’élaboration. Occasion de se rappeler d’une
curieuse note du même Tucho dans un « rescriptum ex audentia » du 23
octobre dernier. » (benoit-et-moi.fr)
Le prophète Daniel par l’indication de la « semaine » de la fin des
temps, en un temps, deux temps et la moitié d’un temps, que plusieurs
interprètent par une semaine de 3.5 années, ou remis au double, 7
années, est difficile à cerner dans la réalité, mais c’est un fait que
nous devons considérer à titre d’analyses.
Mais Saint-Jean dans l’Apocalypse nous indique que la bête et les deux témoins ont la même durée de vie.
Normal, puisque les témoins font front contre la bête.
La durée de vie de la bête étant de 1260 jours ou 42 mois, plusieurs
eschatologues en concluent qu’une division par 3.5 est de mise pour
leurs recherches sur la chute de Babylone.
Nous venons de voir dans l’analyse précédente que les démons sont
relâchés en 1884 et que la période accordée au démon pour la
destruction de l’église est de 100 années, et nous avons suggéré un
temps d’attente additionné de 40 années nous amenant en 2024.
Plus précisément le 13 octobre 2024.
En plein synode.
En pleine relation avec Fatima en 1917.
Avec comme signe une comète au plus près de la terre pour cette date exacte.
Le 13 octobre 2024 et le 13 octobre 1884 sont séparés de 140 années.
140 est divisible par 3.5 et nous donne 40.
Exactement le temps d’attente.
Et, le soleil est de la partie.
Voici ce que nous révèle spaceweather.com sur l’activité solaire du
mois d’août dernier, et du progrès dans le cycle solaire 25, qui nous
plonge peut-être dans une période mouvementée pour octobre 2024 si on
suit la logique des dernières analyses (déjà, le début septembre a été
très actif mais les trois éjections de masse coronales des derniers
jour ont eu lieu sur la face cachée du soleil et donc dirigées hors de
la trajectoire de la terre.) :
« L'activité solaire continue de s'intensifier. En août 2024, le nombre
mensuel moyen de taches solaires a dépassé 200 pour la première fois en
23 ans, doublant presque les prévisions officielles :
On ne s'attendait pas à ce que le cycle solaire actuel (cycle solaire
25) soit aussi fort. Lorsqu'il a commencé en décembre 2019, les experts
ont prédit qu'il serait faible comme son prédécesseur immédiat, le
cycle solaire 24. Au lieu de cela, le cycle solaire 25 peut être sur le
point de rivaliser avec certains des cycles les plus forts du 20ème
siècle. Déjà en mai 2024, nous avons connu une tempête géomagnétique de
classe centenaire avec des aurores boréales observées dans le Pacifique
Sud, en Amérique centrale et en Afrique du Sud.
La dernière fois que le nombre de taches solaires était aussi élevé,
c’était en septembre-décembre 2001. Le soleil se préparait à lancer les
grandes tempêtes d'Halloween de 2003, qui comprenaient la plus forte
éruption solaire de classe X jamais enregistrée (X45) et une CME si
puissante qu'elle a été ressenti par la sonde Voyager qui quittait
alors notre système solaire. Une répétition n'est pas garantie, mais le
nombre actuel de taches solaires nous dit que c'est possible.
Dans quelques années, nous pourrions regarder en arrière et réaliser
que 2024 était le maximum du cycle solaire 25. Ou pas ; les «
prévisions officielles » initiales prévoyaient que le maximum solaire
se produirait en juillet 2025. Quoi qu'il en soit, nous avons
probablement au moins 2 ans de plus d'activité solaire élevée à venir.
Demeurez à l'écoute. »
Voilà.
Le 13 octobre 2024 pourrait être très significatif.
04 septembre
LÉON XIII
Le 13.
Ce chiffre qui semble avoir toute son importance et qui nous a été
pointé par Notre-Dame de Fatima en 1917 de mai à octobre avec le
miracle du soleil.
Le chiffre 13, c’est le chiffre du passage, de la Pâques, qui est la porte de l’instabilité, vers le renouveau, la résurrection.
Léon treizième du nom, « (1878-1903) est le premier pape du XXe siècle.
Passionné par son époque, il s'efforça de la comprendre et d'ouvrir
l'Église à ses débats. Il avait à cœur la misère des nouvelles classes
ouvrières et s'engagea sur les grandes questions sociales de son temps
» (la-croix.com)
C’est donc lui qui condamne en premier les erreurs du modernisme
commencé en 1858 : par Les origines des espèces de Darwin, La liberté
de Mill, et Une contribution à La critique de l’économie politique de
Karl Marx.
Dans ces trois ouvrages sont résumés les erreurs de l’âge moderne.
L’homme annonçait son INDÉPENDANCE vis-à-vis de Dieu.
C’était le début de la déification de l’homme aboutissant à cette fin des temps.
Léon XIII annonçait la période d’instabilité dominé par le diable vers le renouveau, la fin des temps.
C’est en effet le 20 avril 1884 que Léon XIII publie Humanum genus condamnant la franc-maçonnerie (quatre encycliques de ses 86 publiés condamnent la franc-maçonnerie).
Onze encycliques sur les 86 promeuvent le Rosaire.
Il identifie ainsi le racine du problème de ce monde et son remède.
Le 13 octobre suivant, même date que le miracle du soleil de 1917, mais
en 1884, Léon XIII a sa vision de Satan qui demande 100 ans pour
détruire l’Église à NSJC :
« Après la Messe, j’entendis deux voix, une douce et bonne, l’autre
gutturale et dure ; il semblait qu’elles venaient d’à côté du
tabernacle. Il s’agissait du démon qui s’adressait au Seigneur, comme
dans un dialogue.
Voici ce que j’ai entendu :
– La voix gutturale, la voix de Satan dans son orgueil, criant au Seigneur : “Je peux détruire ton Église.”
– La voix douce du Seigneur : “Tu peux ? Alors, fais le donc.”
– Satan : “Pour cela, j’ai besoin de plus de temps et de pouvoir.”
– Notre Seigneur : “Combien de temps ? Combien de pouvoir ?”
– Satan : “75 à 100 ans et un plus grand pouvoir sur ceux qui se mettent à mon service.”
– Notre Seigneur : “Tu as le temps, tu auras le pouvoir. Fais avec cela ce que tu veux.”
Puis, j’ai eu une terrible vision de l’enfer : j’ai vu la terre comme
enveloppée de ténèbres et, d’un abîme, j’ai vu sortir une légion de
démons qui se répandaient sur le monde pour détruire les œuvres de
l’Église et s’attaquer à l’Église elle-même que je vis réduite à
l’extrémité. Alors, Saint Michel apparut et refoula les mauvais esprits
dans l’abîme. Puis, j’ai vu Saint Michel Archange intervenir non à ce
moment, mais bien plus tard, quand les personnes multiplieraient leurs
prières ferventes envers l’Archange. »
Les démons sont donc relâchés en 1884, pour la naissance du système antichristique de la fin des temps :
« Comme nous l’avons écrit, même si le programme est largement décrit
dans Utopia de Thomas More, il fut réadapté fin XIXe siècle dans le
cadre du monde anglo-saxon par la Société fabienne (Fabian Society) en
1884. L’objectif déclaré de cet institut à l’origine de la création du
parti travailliste anglais (le labour) et de la London School of
Economics (LSE) est de favoriser une gouvernance mondiale reposant sur
la fusion du capitalisme et du socialisme afin d’aboutir à un «
socialisme de marché » dont le modèle rêvé est la Chine. Il est vrai
que de nombreux agents anglo-saxons acquis à cette Société fabienne ont
coopéré avec d’autres instituts mondialistes comme le Canadian
International Council ou CIC (Walter Lockart Gordon, James Endicott,
…), petit frère de la Chatham House (Royaume-Uni) et du Council on
Foreign Relations (CFR, États-Unis). C’est ce fameux CIC qui a joué un
rôle certain en favorisant la création d’un frère jumeau chinois en
1949, le Chinese People’s Institute of Foreign Affairs (CPIFA). »
(Pierre Hillard, Mondialisme : "La Bête de l’événement est là et elle
arrive")
Deux chiffres importants donc : le 13 et le 84.
Entre le 13 octobre 1884 et le 13 octobre 1917, il y a exactement 33 ans, l’âge du Christ à sa mort.
Ce n’est pas un hasard puisque la franc-maçonnerie est intensément
active au Vatican avec le cardinal Rampolla en tête, élu pape en 1903
suite au décès de Léon XIII, mais qui grâce à l’intervention de
l’empereur François-Joseph qui usa de son droit de veto, fut évincé.
1884 additionné de cent années nous donne 1984, la fameuse année identifiée par George Orwell dans son roman.
1984, l’année de la consécration de la Russie par Jean-Paul II qui fut non valable.
(Or, après la consécration du monde accomplie par le pape Jean-Paul II
le 25 mars 1984, sœur Lucie (de Fatima) déclara nettement aux
carmélites de Coïmbre, à ses parents et familiers, à des religieux,
évêques et cardinaux : « Non, la consécration n’a pas été faite comme
le veut Notre-Dame. »)
1984 additionné des 40 années du Christ dans le désert, et en ce qui
nous concerne, la Passion de l’Église de la fin des temps, notre
carême, nous donne 2024, année de séparation du bon grain de l’ivraie.
40 est le nombre de l'attente:
- Jésus a vécu 40 jours au désert après son baptême;
- le peuple juif a erré 40 ans dans le désert avant d'entrer en Terre sainte ;
- Moïse a jeûné 40 jours avant de recevoir les tables de la Loi;
- le Déluge a duré 40 jours, avant que Noé n'ouvre la fenêtre de l'Arche.
Après le carême, nous savons tous que c’est la Pâques, ou mort et
résurrection du Christ, donc la mort de l’Église et sa résurrection
pour la fin des temps, avec comme signe visible la mort et la
résurrection des deux témoins de l’Apocalypse avant la chute de
Babylone.
Pour 2024 fort probablement puisque le retour du Lys de paix, le
Christ, selon la prophétie de Don Bosco est avant le mois des deux
lunes, soit mai 2026.
Et puisque la durée de vie de la bête dans l’apocalypse est de 42 mois, 1984 additionné de 42 ans donne 2026.
1984 suivi du « 27 octobre 1986 : Jean-Paul II invite personnellement
les représentants de toutes les religions les plus répandues du monde à
une réunion de prière œcuménique à Assise, la ville de
Saint François...
Arrêtons-nous un instant et réfléchissons : Notre Seigneur Jésus-Christ
a placé son Vicaire et l'Église sur cette terre pour annoncer la vérité
et dispenser la grâce et le salut à tous les hommes, quelle que soit
leur religion, les appelant à la conversion, au prix du martyre : et
ainsi ce que firent les apôtres, ainsi que tous les saints et martyrs
pendant deux mille ans. Mais voici maintenant un Pape qui convoque les
non-catholiques non pas pour les exhorter à la conversion ou même pour
une simple discussion, mais plutôt pour les pousser à prier selon leurs
fausses et vaines croyances humaines (quand pas
diaboliques ) afin d'obtenir une quelconque monde de paix .
Quelle paix ? Ce ne sera certainement pas la paix du Christ que
l’on obtiendra en désobéissant à celui qui a ordonné à ses apôtres : «
Allez dans le monde entier et prêchez l’Évangile à toute la création.
Celui qui croira et sera baptisé sera sauvé, mais celui qui ne croira
pas sera condamné » (Mc 16, 15)… » (aldomariavalli.com)
Bergoglio est en train d’achever le plan œcuménique.
Les chiffres 13 et 84 identifiés par Léon XIII nous donnent des références.
Le 84 dans la bible, c’est l’âge de la prophétesse Anne le jour de la purification de la Vierge Marie.
« Anne, elle aussi, est «prophète», porte-parole de Dieu. Elle est âgée
de 84 ans, c'est dire qu'elle a 7 fois 12 ans. Dans la symbolique
biblique des nombres, le chiffre 7 suggère la perfection et le 12
l'universalité. Le lecteur devine ainsi qu'Anne représente parfaitement
les croyants de son peuple qui attendent «la délivrance de Jérusalem».»
(croire.la-croix.com)
Or, 84 c’est aussi 2×42 : « il faudra rendre à Babylone au double de ses œuvres » (Apoc. 18, 6)
Le 11 février, date anniversaire de Notre-Dame de Lourdes, est aussi la
date anniversaire des accords de Latran de 1929, où le « royaume
Vatican » fut officialisé.
Ces accords furent la première étape d’une longue route du déclin de
l’Église et de son basculement vers l’Antéchrist système et maintenant
l’Antéchrist personnifié.
Entre 1929 et 2013, année de démission de Benoît XVI, il y a 84 ans.
Benoît XVI a démissionné exactement le 11 février, date anniversaire
des apparitions de Notre-Dame de Lourdes en 1858, à l’âge de 84 ans.
Depuis, il n’y a plus de pape valide.
Le 11 février 2013 était donc le signal de la purification de ce monde (voir l’analyse de la prophétie concernant Benoît XVI).
Suivi par l’élection de Bergoglio le 13 mars 2013, l’abomination de la désolation sur le trône de Saint-Pierre.
Le plan maçonnique peut alors aller de l’avant et achever l’église.
Puisque, comme nous l’indiquions au début, le 13 est symbole de mort et
de résurrection, 13 ans de règne de Bergoglio nous mènent en 2026,
année du mois de mai des deux lunes prophétisée par Don Bosco pour le
retour du Lys de paix.
Ainsi, la fin de 2024, avec surtout cette fin de synode d’octobre,
s’annonce pleines de surprises, pour le bien des chrétiens, pour le
malheur de ceux qui font partie de la synagogue de Satan.
Car, Bergoglio peut-il aller plus loin passé le synode et son année jubilaire de 2025?
Non.
Bergoglio est Pierre II le romain de la prophétie de Saint-Malachie.
Il a choisi le nom de François, non suivi d’un chiffre comme les autres papes, indiquant qu’il n’y aurait pas de suite.
Il a même abandonné le titre de pape pour être le simple évêque de Rome, dans la synodalité totale.
Son dernier acte, le synode des synodes se terminant en octobre 2024,
sera suivi du jubilé 2025 pour célébrer le développement humain
intégral, l’homme déifié dans toute sa splendeur :
« Dans la perspective du Jubilé 2025, nous nous dirigeons vers « une
vie qui devient chant d'amour pour Dieu, pour l'humanité, avec et pour
la création, et qui trouve sa plénitude dans la sainteté » (dicastère
pour le service du développement humain intégral, Jubilé 2025)
(vaticannews.va).
Chaque mot ici est choisi en fonction de la célébration de la nouvelle
religion humaniste qui englobera l'église conciliaire suite à la
conclusion du synode 2024.
Ce sont des mots génériques: qui est le Dieu de la déclaration? Que représente cette « sainteté »?
Alors que nous devrions y lire pour ce Jubilé 2025: « qui trouve sa plénitude dans le Christ ».
Notez bien que les principes de cette rencontre seront partis prenants
du Jubilé 2025, célébrant à la fois la « fraternité maçonnique » et la
victoire de la voie synodale sur toute l'église.
Le logo de ce jubilé est pro LGBT (vaticannews.va) pour inclure tout le
monde dans ce jubilé, pour le cri de victoire de l’œcuménisme, pour la
conclusion de Vatican II. On nous l’a annoncé avec l’année 2023
consacrée aux 60 ans de Vatican II.
Et à partir de 60 ans, l’Église est veuve.
Pour ceux qui n'ont pas encore vu le logo du jubilé 2025 , curieusement révélé plus de 2 ans à l'avance.
Il a été dévoilé en juin, mois de la fierté gay en opposition au Sacré-Coeur.
Sur la mer agitée en termes de corruption morale, d’un monde où
l’identification au Christ est relégué au second plan au Vatican pour
l’inclusion LGBT, suivez la tendance horizontale avec les couleurs des
voiles LGBT, et là, vous avez un choix à faire, « Pèlerins de
l’Espérance », vers le haut avec le Christ, ou vers les abîmes avec
l’ancre.
2025 est l’année du choix.
Effectivement, on le répète, tout doit être conclu avant mai 2026 selon
la prophétie de Don Bosco, c’est à dire le retour du Lys de paix avant
mai 2026.
Or, pour le jubilé 2025, Bergoglio a créé une Commission pour les
témoins de la foi qui fait référence au grand jubilé de Jean-Paul II de
l’an 2000, où il a voulu mettre en lumière ces hommes et ces femmes
qui, bien que non canonisés, ont manifesté avec force leur foi.
« Qui sont les témoins de la foi?
Permettez-moi de donner un exemple: celui qui me vient immédiatement à
l’esprit est Dietrich Bonhoeffer (1906-1945), un théologien et pasteur
d’église luthérien qui a été tué parce qu’il s’opposait au nazisme.
L’Église ne le proclame pas martyr parce qu’il n’était pas catholique. »
«Dans un monde où il semble parfois que le mal l'emporte - conclut
François - je suis certain que l'élaboration de ce catalogue, également
dans le contexte du Jubilé imminent, aidera les croyants à lire notre
époque à la lumière de Pâques, en puisant les raisons de vivre et de
faire du bien dans le trésor de la fidélité généreuse au Christ». (vaticannews.va)
« À la lumière de Pâques ».
Effectivement, comme analysé ci-haut, après les 40 années de carême
menant à 2024, suit la Pâques, la mort et la résurrection des deux
témoins de l’Apocalypse, comme le laisse entendre Bergoglio avec son
Jubilé 2025.
Or, curieusement, la 103ème devise des prophéties des papes de
Saint-Malachie est « Ignis Ardens », ou Feu Ardent, est celle du pape
Saint Pie X, gardien de la tradition, symbole des deux témoins que sont
la loi et les prophètes des derniers temps.
Elle est précédée de la 102ème devise « Lumen in Caelo » (Lumière dans
le Ciel) attribuée à…. Léon XIII qui nous a laissé la prière de
Saint-Michel Archange pour cette occasion spécifique.
« La fête de Notre-Dame du Rosaire, célébrée le 7 octobre, a été
instituée par le Pie V en 1573, pour remercier Marie de cette victoire.
En 1883, le pape Léon XIII décrétait solennellement que le mois
d'octobre de cette année-là serait entièrement consacré à «la Saint
Reine du Rosaire». Depuis, le mois d'octobre, durant lequel comme au
mois de mai, on prie particulièrement la Vierge, est appelé le mois du
Rosaire. »
Et ce mois du Rosaire est bafoué depuis nombres d’années post-Vatican
II avec des rencontres et synodes douteux pour détruire l’Église,
spécialement ce dernier, le synode des synodes d’octobre 2024.
Léon XIII, « Lumière dans le Ciel » ne pouvait pas faire mieux que
d’avertir l’Église avec « Humanum genus », publié le 13 octobre 1884.
Car, pour la fin du synode de cette année, il semble qu'il y aura une comète dans le ciel qui sera au plus près de la Terre le 12 octobre 2024.
Un signe pour le 13 octobre?
La prière de Léon XIII à Saint-Michel Archange, instaurée après sa
vision de l'enfer, lorsque les démons ont été relâchés en 1884.
Elle faisait partie de la Sainte Messe de 1886 jusqu'à Vatican II.
C'est Paul VI, et oui, qui la retira avant le dernier droit contre
l'Église (voir analyse Paul VI dans les prophéties de l'Église)
Saint Michel Archange,
défendez-nous dans le combat
et soyez notre protecteur contre la méchanceté et les embûches du démon.
Que Dieu lui commande, nous vous en supplions;
et vous, Prince de la Milice Céleste,
par le pouvoir divin qui vous a été confié,
précipitez au fond des enfers Satan
et les autres esprits mauvais qui
parcourent le monde pour la perte des âmes.
AMEN.
Août 2024
26 août
Le rouge et le vert habituels des aurores se sont mélangés
le 11 août dernier, signe du Ciel à la clôture des JO de Paris et de sa
prestation diabolique.
En conséquence, des aurores avec du jaune et du orange, comme pour
signifier le Feu purificateur à venir, un événement rare, très rare.
Ici, un exemple spectaculaire du phénomène au-dessus des plaines canadiennes.
Les experts confirment que nous ne sommes que dans le début de la phase maximum solaire du cycle 25.
Le nombre de taches avec un potentiel de tempêtes dépassent le maximum atteint en 2001.
De plus, puisque la purification en sera une par le feu, il ne faut pas négliger l'activité volcanique.
La moyenne des volcans en activité mineure et plus, se situait autour de 45 depuis plusieurs années.
Or, le nombre de volcans en activité a augmenté considérablement avec
l'approche du maximum solaire: il y en a 67 en activité ce matin dans
le monde.
Déjà 2 de plus que vendredi dernier.
En ces temps si critiques, Mgr Strickland lance un cri de ralliement:
« ( LifeSiteNews ) — Ce qui suit est le texte intégral d'une nouvelle
lettre de Mgr Joseph Strickland, évêque émérite de Tyler, Texas,
mettant en garde les fidèles contre le « mal qui s'empare de notre
monde et de l'Église » et les exhortant à « se préparer spirituellement
». quoi qu’il arrive », notamment par une fervente dévotion à
Notre-Dame et à l’Eucharistie.
Mes chers frères et sœurs en Christ,
Je me sens une fois de plus obligé de vous écrire et de vous encourager
à rechercher une vie plus profondément enracinée dans le Sacré-Cœur de
Jésus-Christ.
Au moment où ceci sera publié, cela fera un an depuis que ma première
lettre a été écrite, publiée le 22 août 2023, Reine de Marie. Je crois
sincèrement que cette lettre a été guidée par la Providence divine, et
le point central de cette lettre, un an plus tard, est d'exhorter,
voire de supplier, que nous commencions tous à voir la main de Dieu
dans tout ce qui se déroule dans l'Église et dans le monde.
La lettre d'il y a un an concernait le Synode sur la synodalité en
cours, qui approchait en octobre 2023. Elle a été suivie de sept
lettres amplifiant les préoccupations que j'avais soulevées dans cette
lettre originale. Comme beaucoup d’entre vous le savent, j’ai continué
à écrire ces lettres sous l’impulsion du Saint-Esprit. Laissez-moi être
clair : je ne prétends pas avoir reçu une révélation particulière. J’ai
simplement été poussé par une foi profonde et mon amour pour
Jésus-Christ à ouvrir les yeux sur ce qui se passe autour de nous.
Cet appel à « ouvrir les yeux » est au cœur de la lettre que vous êtes
en train de lire. J'ai fait de mon mieux pour exhorter tous ceux qui
ont lu ces lettres à prendre conscience de la corruption et des
puissantes forces du mal qui nous poussent lentement mais sûrement vers
une calamité dévastatrice. Je n’ai aucun désir d’être un « prophète de
malheur », mais je crois que je dois m’exprimer et pointer du doigt le
mal qui s’empare de notre monde et de l’Église. À ce stade, je dois
dire : nous DEVONS ouvrir les yeux avant qu’il ne soit trop tard !
Notre système politique national, le Vatican et de trop nombreuses
organisations influentes à travers le monde sont engagés dans un
programme qui n’est rien de moins qu’une trahison de Jésus-Christ et de
son Église au XXIe siècle. Tout comme la trahison de Judas Iscariote il
y a près de deux mille ans, cette trahison actuelle émane même de ceux
qui se trouvent au cœur même de l’Église et de l’État. Nous devons
ouvrir les yeux sur ces attaques contre le corps mystique du Christ
afin de demeurer dans le Christ qui est la Vérité incarnée et
d’embrasser le salut qu’il nous a gagné sur la croix. Nous devons
également nous efforcer de conduire autant d’autres âmes que possible à
la plénitude de la vérité trouvée uniquement en Notre Seigneur
Jésus-Christ et sauvegardée par Son Épouse, l’Église catholique. Les
tentatives visant à expliquer cette trahison moderne du Christ ont
perdu tout semblant de crédibilité. Nous devons reconnaître qu’une
seule main maléfique est à l’origine de toutes ces forces disparates –
et qu’elle n’est rien de moins que la main de Satan, le prince des
ténèbres.
Au moment où j'écris ces lignes, peu après le 15 août, solennité de
l'Assomption de la Bienheureuse Vierge Marie, nous lisons des rapports
faisant état du décès de sœur Agnès Sasagawa, la visionnaire des
messages approuvés par l'Église de la Bienheureuse Vierge Marie à
Akita, au Japon en 1973. J'insiste sur le fait que je ne revendique
aucune connaissance particulière de ses messages, mais je ne crois pas
qu'une révélation particulière soit nécessaire pour comprendre le
contenu de ces messages. Si nous regardons simplement les messages
d’Akita avec les yeux de la foi, nous devons conclure que ce que nous
voyons dans le monde aujourd’hui correspond à ce qui a été prédit dans
ces messages.
Les messages d’Akita nous donnent un terrible avertissement sur ce que
nous voyons se dérouler sous nos yeux. Non seulement nous voyons
cardinal contre cardinal et évêque contre évêque, mais nous voyons
évêques contre prêtres et pape contre cardinaux. Nous voyons des
blasphèmes contre Notre Seigneur et Notre Sainte Mère et des attaques
contre la doctrine émanant des bureaux du Vatican, le pape François
restant silencieux ou, par inaction, donnant une approbation tacite.
Les messages d'Akita nous rappellent également les messages de
Notre-Dame à Fatima en 1917. Dans ces messages, Notre-Dame avertissait
que les erreurs de la Russie, qui incluaient la franc-maçonnerie à
partir de laquelle le communisme est né, se répandraient dans le monde
entier à moins et jusqu'à ce que la Russie soit consacrée de la manière
qu'elle a décrite – lors d'une cérémonie publique du Pape, en union
avec tous les évêques du monde, à Son Cœur Immaculé. Cela n'a jamais
été fait en totale conformité avec les instructions de Notre-Dame. De
plus, Notre-Dame a spécifiquement demandé que le Troisième Secret de
Fatima soit révélé en 1960, mais il a été supprimé, et il y a de
nombreuses raisons de douter que l'intégralité du Troisième Secret ait
jamais été révélée.
Le futur pape Pie XII, 31 ans avant le début du Concile Vatican II,
prononçait ces paroles : « Je suis inquiet des messages de la Sainte
Vierge à la petite Lucie de Fatima. Cette insistance de Marie sur les
dangers qui menacent l'Église est un avertissement divin contre le
suicide d'altérer la foi, dans sa liturgie, sa théologie et son âme…
J'entends tout autour de moi des innovateurs qui souhaitent démanteler
la Sainte Chapelle, détruire l'universel. flamme de l’Église, rejeter
ses ornements et lui faire éprouver des remords pour son passé
historique… Un jour viendra où le monde civilisé reniera son Dieu, où
l’Église doutera comme Pierre a douté. Elle sera tentée de croire que
l’homme est devenu Dieu. Dans nos églises, les chrétiens chercheront en
vain la lampe rouge où Dieu les attend. Comme Marie-Madeleine, pleurant
devant le tombeau vide, ils demanderont : « Où l'ont-ils emmené ? »
En effet, il s’agissait de paroles prophétiques puisque, depuis Vatican
II, nous assistons à une tentative de « mettre à jour la foi » en
éloignant l’Église du dépôt de la foi, qui ne peut être ni changé ni
amendé. Il est facile de comprendre pourquoi la révélation du Troisième
Secret de Fatima devait avoir lieu en 1960, et pourquoi elle a été
supprimée par ceux qui avaient l’intention de changer ce qui ne pouvait
l’être. Le cardinal Ratzinger, avant de devenir pape Benoît XVI, a
déclaré que le Troisième Secret faisait référence aux « dangers qui
menacent la foi », et il a fait un parallèle entre le message de Fatima
et celui d'Akita. Le cardinal Mario Luigi Ciappi, qui avait lu le
Troisième Secret, a déclaré que la Vierge avait dit que l'apostasie
commencerait par le haut. Padre Pio a parlé d'une « fausse église » et
d'une « grande apostasie » survenue après 1960 en ce qui concerne le
Troisième Secret. Cependant, lorsque le prétendu Troisième Secret a été
publié en 2000, il ne disait rien de ces choses.
En 2019, le pape François, lorsqu’on lui a demandé pourquoi Dieu «
permet » tant de religions dans le monde, a répondu : « … il existe de
nombreuses religions. Certains sont nés de la culture, mais ils
regardent toujours vers le ciel ; ils se tournent vers Dieu. Il a dit
que « ce que Dieu veut, c'est la fraternité entre nous », et il a
ajouté que « nous ne devons pas avoir peur de la différence. Dieu a
permis cela. Cependant, s’il n’y avait vraiment aucune différence entre
les religions du monde, et si ce que Dieu voulait était simplement « la
fraternité entre nous », alors on pourrait conclure que l’Église
catholique n’est plus la seule vraie religion, et qu’elle n’est en
effet pas la seule véritable religion. l'arche de notre salut.
Cependant, nous savons que ce n’est pas la vérité. Il faut donc
s'inquiéter des paroles rapportées de la Vierge concernant une
apostasie qui commencerait par le haut.
En conclusion, je dois crier qu'ignorer les demandes et les
remontrances de Notre Sainte Mère à Fatima et Akita a mis l'Église et
le monde dans une condition extrêmement périlleuse. Je n'écris pas ces
mots forts sur Fatima et Akita pour ébranler votre foi, mais plutôt
avec le fervent espoir que vous prendrez conscience de la nécessité
pour nous de nous repentir, de confesser nos péchés et de nous
accrocher farouchement aux deux piliers de la foi que saint Paul a
fondés. Jean Bosco a vu de manière si claire et prophétique dans un
rêve en 1862 – les piliers de notre Seigneur eucharistique et de sa
Mère – la Bienheureuse Vierge Marie. Je prie pour que notre réponse à
toutes les perturbations et au mal d’aujourd’hui soit de trouver une
foi et une espérance plus profondes en Notre Seigneur. Nous ne devons
jamais quitter l'Épouse du Christ, mais nous ne pouvons pas non plus
rester silencieux tandis que d'autres tentent de la changer ou d'en
faire une caricature du vase de salut qu'elle est censée être.
Aucun d’entre nous n’a le pouvoir d’éviter une catastrophe, mais nous
pouvons et devons être spirituellement préparés à toute éventualité. Il
est impératif que nous veillions à rester toujours en état de grâce et
que nous acceptions tous les actes de réparation possibles avant qu’il
ne soit trop tard.
Inspirons-nous de Josué 24 :15 : « Quant à moi et à ma maison, nous servirons l’Éternel. »
Que Dieu Tout-Puissant vous bénisse et que notre Reine et Mère la
Bienheureuse Vierge Marie intercède pour vous et vous conduise toujours
vers son Fils.
Mgr Joseph E. Strickland
Évêque émérite, diocèse de Tyler »
14 août
LIBERTÉ, FRATERNITÉ, ÉGALITÉ : LA PSEUDO VICTOIRE DE L’HUMANISME
La boucle est bouclée.
12 ans après la cérémonie de clôture maçonnique des JO de Londres (voir
analyses précédentes : symbolique du phœnix et du virus du Covid : Pierre Hillard),
cette ouverture symbolique de la « grande réinitialisation » dont nous
entendons parlé depuis plusieurs années, devrait atteindre son apogée
tel qu’annoncé par la cérémonie de clôture des JO de Paris.
Le 12, chiffre significatif de la bible, est singé par la franc-maçonnerie, encore une fois.
Rappelons-nous le film catastrophique 2012 suite à la supposée fin du monde du 21 décembre 2012 reliée au calendrier maya.
« 21 décembre : fin du monde
QUI a eu les moyens, la constance et le culot de donner un écho mondial
à ce qui fut considéré comme un des plus gros canulars du siècle ? Je
veux parler de la fin du monde au 21 décembre 2012.
A partir d’un calendrier maya reconstitué pour l’occasion et
complètement bidon -de toute façon invérifiable-, pendant plus de dix
ans (!) l’information a tourné en boucle dans le monde entier,
suscitant articles de presse, ouvrages en tous genres, émissions de
télévision, mouvements survivalistes, et même un film à gros budget.
Franchement, seule cette oligarchie mondiale a les moyens et la
possibilité de donner une telle publicité à ce qui apparaîtra comme un
non-événement. Vraiment ? Quand on sait qu’un jeune obscur banquier,
issu de chez Rothschild (tiens tiens) est bombardé la même année
secrétaire général adjoint de l’Elysée et qu’il propulsé comme par
miracle à la Présidence du pays cinq ans plus tard, et qu’il est né un
21 décembre, n’importe quel observateur avisé fera le lien entre d’une
part cette ascension surprise et la date du 21/12, et d’autre part avec
la fameuse oligarchie capable de financer autant le personnage que le
joli mythe de la fin du monde. Mais on ne fait pas quelque chose pour
rien : les investissements colossaux autour du 21 décembre (le concept
comme le personnage) et les risques pris interdisent toute
improvisation ni hasard.
C’est très curieux, tout le monde s’en fiche, mais pas les initiés, car ils savent eux, que tout ceci est volontaire.
Après avoir beaucoup travaillé sur le sujet, ce n’est qu’en 2015 que
j’ai fini par comprendre le sens réel lié au 21 décembre : cela voulait
dire « fin du monde chrétien » ; et donc le rôle joué par Macron, et
l’ère inaugurée par le 21 déc 2012, avaient pour but de concrétiser cet
objectif, d’où la nomination trois mois après au Vatican de l’homme
chargé de réaliser cette destruction ultime de l’Eglise.
J’en ai eu la confirmation en 2023 dans le livre de mémoires de Mgr
Georg Gänswein, le secrétaire particulier de Benoît XVI. Rien que le
titre du livre annonce la couleur : « Rien d’autre que la vérité« , ce
qui veut dire qu’en réalité il va passer son temps à cacher ou déguiser
cette vérité. Et ça ne loupe pas, à aucun moment il n’explique ou
n’insinue que la démission de Benoît XVI lui aurait été arrachée. Par
contre, il nous livre une information incroyable en faisant semblant de
la considérer presque comme banale. Voilà ce qu’il écrit page 208 de
son livre : « L’idée originale de Benoît XVI était d’annoncer sa
démission à la fin de l’audience à la Curie romaine à l’occasion des
vœux de Noël, fixée cette année-là au 21 décembre, et de déclarer que
le 25 janvier 2013 se conclurait son pontificat. »
Il explique ensuite que ses collaborateurs l’ont dissuadé de ce projet
à cause de la proximité de Noël. Mais évidemment !! Ce 21 décembre,
présenté comme un jour banal par Gänswein, c’était le fameux 21
décembre 2012 !! Vous imaginez ce qui se serait passé si le pape avait
annoncé sa démission ce jour-là ? Tout le monde aurait compris le
message subliminal qui se cachait derrière cette fameuse fin du monde :
la fin de l’Eglise ! Ce qui prouve que Benoît XVI avait bien compris
les projets de nos ennemis, et en choisissant le 21 décembre, il leur
coupait l’herbe sous le pied, il révélait le complot, Bergoglio aurait
été démasqué avant même d’être nommé.
Notons également que le démon, qui pilote tous ces hommes et ces
événements, sait que ces mots cachent une terrible réalité : s’il y a
fin de l’Eglise, et surtout fin de son pouvoir spirituel, alors c’est
aussi la fin du monde car le règne du Christ ne peut avoir de fin. Oui
c’est vrai : détruire l’Eglise c’est provoquer la fin du monde. Voilà
pourquoi, je l’ai déjà expliqué, les derniers souverains personnifient
les deux Bêtes de l’Apocalypse (qui sont aussi des systèmes) : Emmanuel
Macron personnifie la Bête de la terre, le pouvoir politique et
médiatique, et Bergoglio personnifie la Bête de la mer, le pouvoir
spirituel, l’ensemble formant l’Antéchrist (système), la
personnification de l’Antéchrist-personne revenant à la Bête de la mer,
donc Bergoglio.
Ceci je l’explique depuis dix ans, mais je commence enfin à voir des
auteurs traitant sérieusement Macron ou Bergoglio, ou les deux,
d’Antéchrist. Ils auront mis le temps ! » (Louis D'Alencourt, grandreveil.wordpress.com)
Ces jeux olympiques donc, ont été marqués par de multiples références à
la révolution française de 1789 qui a contribué à la naissance du monde
actuel, apostasié, humaniste, où tous sont égaux dans la miséricorde
infinie chère à Bergoglio, et à la gloire du monarque en vue, Macron.
Comme exemple, le parcours du marathon était exactement le chemin
choisi par les femmes et hommes marchant vers Versailles en 1789.
L’homme masqué de la cérémonie d'ouverture, donc sans visage,
égalitaire, avait fait place au cheval pâle mécanique de l’Apocalypse
et à la tragédie de la dernière Cène.
Les nouvelles générations gavées aux jeux vidéos et les « wokes » n’y ont vu que du feu.
Tout comme à la cérémonie de clôture dont le symbole le plus éloquent fut le « golden voyager» ou le voyageur doré en français.
(voir aussi: « Clôture des JO: ce que les journalistes n'ont pas vu » (benoit-et-moi.fr)
Les faits marquants de cette cérémonie :
Alors que les continents stylisés sur le parterre du stade sont
parcourus d’éclairs et de fumée symbolisant la terre en convulsion,
prête à renaître, (quoique pour nous on y voit l’enfer), surgit du ciel
le voyageur doré au travers de jets lumineux qui forment en partant un
pentagramme de Baphomet.
Une fois au sol, il commence une danse macabre, rencontrant Nike, la
déesse de la victoire, avant d’être rejoint par d’innombrables démons
ou formes humaines boueuses, qui vont excaver l’anneau olympique
manquant (il n’y a que quatre anneaux au toit du stade à ce moment là;
il manque une pièce du casse-tête; les anneaux représentant le nouveau
monde issue de la grande réinitialisation, le monde de « paix »
humaniste) pour ensuite le hisser au toit du stade.
Alors le voyageur doré monte au sommet d’une pyramide constituée des démons et célèbre son triomphe au son d’une musique rock.
Cela rappelle drôlement la pyramide avec l'oeil qui voit tout à son sommet, la 33ème marche de l'initiation maçonnique.
Le voyageur doré « atterrit dans un monde désert et mystérieux, prêt à
être exploré » confirme le Comité International Olympique (CIO).
Selon certaines sources, le personnage est un hommage à de nombreuses
références du patrimoine historique français, dont l'Esprit de la
Bastille, faisant encore une fois référence à la révolution de 1789.
Supposément, l'idée derrière la pièce dystopique est que les Jeux disparaissent avant de renaître.
Selon le concepteur artistique, le voyageur doré atterri sur une terre
post-apocalyptique et cherche à reconstituer les vestiges de ce monde
qui n'existe plus afin de comprendre qui habitait ce monde.
Quel est le nom du groupe rock français qui a performé à la cérémonie suite à l'élévation finale du voyageur doré?
Phoenix.
Voilà.
Le lien est clairement établi pour l'initié.
Dans un monde inondé de symboles maçonniques, le voyageur doré est
inévitablement une référence au phœnix (voir les multiples références
dans les analyses précédentes), renaissant des cendres des continents
en convulsions.
Un nouveau monde à l’image des élites mondiales, de Satan.
Outre le lien de Pierre Hillard ci-dessus, rappelons le phœnix du Fonds Monétaire International pour refaire le monde post-covid :
Doré, comme le voyageur doré.
Puisque Satan singe et que nous savons que l’Antichrist est d’abord et
avant tout le système mondial actuel sans Dieu, ce dernier indique la
résurrection d’un nouveau système des cendres de l’ancien (le monde
christocentrique européen).
Devant des milliards de téléspectateurs.
Voilà.
Mais Dieu a un tout autre plan.
Nous avons eu des aurores encore un fois en ces 11 et 12 août.
Nous avons eu les signes depuis la démission de Benoît XVI (dont la a
basilique du Sacré-Cœur de Paris, qui est restée visible comme une
cathédrale faite de lumière alors que tout la ville était noyé dans
l’obscurité après la cérémonie d’ouverture de JO), comme l’éclair sur
le dôme de la basilique Saint-Pierre.
Le dôme qui soudainement dernièrement, est devenu noir.
« Aucun d’entre nous n’oubliera jamais la photographie qui, le 12
février 2013, immédiatement après l’annonce de la démission du pape
Benoît XVI, a capturé le moment où la foudre a frappé le sommet de la
coupole de Saint-Pierre.
Cette image, devenue un symbole iconique de l’un des événements les
plus dramatiques de l’histoire bimillénaire de l’Église, a fait et fait
encore l’objet, de la part de nombreux croyants, de commentaires, de
réflexions, de craintes et de considérations sur la signification
réelle ou présumée de cet événement.
En revanche, du côté des athées-agnostiques, la question a alimenté les
sarcasmes de ceux qui y voient le caractère superstitieux, rétrograde
et fanatique de nombreux aspects de la foi et de la religion.
Il n’y a pas et il n’y aura jamais de moyen de réconcilier ces
positions ; en fait, je dirais que ce serait un exercice stupide et
futile que d’essayer de le faire.
Chacun peut voir dans ce tableau ce que son cœur (entendu comme un
ensemble plus ou moins cohérent de foi, de scepticisme, de conscience
et de convictions) lui suggère. Je pars de là pour donner un sens à ma
contribution, pour proposer mon point de vue personnel sur la façon
dont parfois des événements et des faits – qu’ils soient apparemment
naturels et explicables ou le résultat d’actions humaines conscientes –
peuvent représenter ensemble une image qu’un croyant devrait néanmoins
ressentir le besoin d’analyser et sur laquelle il devrait réfléchir en
profondeur.
Dans ce contexte, c’est précisément la coupole de Michel-Ange, avec la
façade de Maderno [Carlo Maderno, 1556-1629, architecte italien; il a
réalisé la façade de la Basilique] qui en dissimule partiellement la
vue, qui représente une sorte de « théâtre » métaphysique. Un
proscenium d’où, ces dernières années, ont pris forme, aux yeux des
croyants qui veulent voir au-delà du simple sens concret, des messages
inquiétants qui ne sont que trop cohérents avec les phénomènes
climatiques que l’Église catholique temporelle est en train de
traverser.
J’ai déjà parlé de l’éclair qui a suivi l’annonce de Ratzinger, et qui
a précédé d’un mois l’élection de Jorge Mario Bergoglio au trône
pontifical. Je voudrais maintenant m’arrêter sur deux autres événements
qui, d’une manière différente, semblent confirmer à quel point cette
basilique, la plus grande et la plus importante du monde catholique,
est devenue une sorte de « centre de communication » dont la governance
– et c’est un autre aspect inquiétant de la question – ne peut pas, à
mon avis, être clairement identifiée. Mais procédons dans l’ordre.
L’événement dont je vais parler maintenant n’a rien de surnaturel ; il
a malheureusement été accouché par un esprit humain, un pontife qui,
deux ans et demi plus tôt, avait ravi le monde en se présentant avec ce
« bonsoir frères et sœurs » digne du meilleur Mike Bongiorno [sobriquet
d’un célèbre présentateur de télévision]. C’était le 8 décembre 2015,
fête de l’Immaculée Conception. Je me trouvais ce soir-là sur la place
Saint-Pierre. Je ne pouvais pas encore savoir qu’à partir de ce jour,
je ne mettrais plus jamais les pieds sous la colonnade du Bernin.
Le Saint-Siège avait organisé une sorte de spectacle tout en lumières
[cf. benoit-et-moi.fr/2015-II/actualite/fiat-lux], en couleurs et en
images gigantesques et fantasmagoriques projetées sur la façade de la
basilique. On aurait pu s’attendre à une sorte d’allégorie en l’honneur
de Marie Immaculée, sur fond des plus importantes musiques composées en
son honneur au cours des siècles.
A la place, il s’est passé quelque chose de monstrueux : des images de
forêts, d’animaux (certains vraiment horribles), de paysages plus ou
moins sauvages. Un sabbat entièrement dédié à la nature et à la faune
de notre planète. C’était le nouveau fétiche écologiste auquel le
néo-paganisme bergoglien avait consacré sa dernière œuvre littéraire,
ce Laudato sì’ anticipant toutes les obscénités catholico-climatiques
qu’il allait nous déverser dans les années à venir. Marie, Mère de
l’Eglise et notre Avocate, s’est transformée en Mère Terre !
Cette kermesse, qui coïncidait sans vergogne avec la fête de
l’Immaculée Conception, était aussi le salut de l’Église catholique à
la Conférence mondiale sur le climat qui se tenait ces jours-là dans le
« Parigi o cara » de mémoire de Verdi.
Il n’est pas inutile de rappeler qui étaient les concepteurs et les
exécutants matériels de ce spectacle indigne (je ne sais pas s’ils ont
été payés par le Saint-Siège et combien) : un partenariat entre Vulcan
Inc., la LiKa Shing Foundation et Okeanos, en collaboration avec la
Ocean Preservation Society et Obscura Digital. . Pour ceux qui ont le
temps, il sera très instructif d’en savoir plus sur ces entreprises,
organisations et personnalités dont les noms sonnent déjà comme un
programme [un début de réponse ici, peut-être:
benoit-et-moi.fr/2015-II/actualite/son-et-lumiere-sur-la-façade-de-saint-pierre].
Quelque trois ans après le message subliminal de l’éclair frappant le
crucifix de la coupole, revoici la basilique, cette fois par la main de
l’homme (mais guidé par qui ?), protagoniste d’un sombre spectacle de
mort.
De nombreux croyants de l’époque ont exprimé bruyamment leur étonnement
et leur protestation face à cette incroyable imposture. Aucun d’entre
eux ne pouvait cependant se douter que ce qui était proposé n’était
qu’une petite mise en bouche de ce qui allait arriver quelques années
plus tard. En effet, en octobre 2019, le funeste synode d’Amazonie a
officialisé l’entrée du paganisme dans l’Église catholique. L’image de
la pachamama en procession d’adoration dans l’église Traspontina à Rome
a été le symbole iconique de ces jours terribles [dossier ici:
www.benoit-et-moi.fr/2020/tag/pachamama].
Et voici le troisième événement, celui qui depuis quelque temps suscite
la curiosité (pour certains, l’angoisse) de nombreux Romains et de la
multitude de touristes qui affluent chaque jour à Saint-Pierre. Cet
événement est à nouveau attribuable, comme la foudre, à un phénomène
physico-chimique pour lequel, cependant, personne n’a jusqu’à présent
réussi à donner une explication plausible, semble-t-il : la coupole de
Saint-Pierre est devenue noire !
Voici comment le corrierediroma.org décrit la situation :
À la fin des travaux [de restauration, Ndlr], le Dôme est apparu
nettoyé, blanc (même si certaines parties avaient déjà noirci à cause
de la pollution), mais il y a un phénomène qui a frappé (et qui frappe)
les yeux des Romains et des autres : les dalles de plomb. La structure
a pris une couleur tout à fait inhabituelle dans sa partie courbe. Les
dalles sont devenues sombres, comme si elles s’étaient soudainement
oxydées. Cette couleur gris clair, typique des coupoles de la
Renaissance et du Baroque, qui accompagne le panorama de Rome depuis
des siècles, a soudainement disparu de LA coupole par excellence,
prenant une couleur, pour l’œil humain, presque noire. Que s’est-il
passé ? Il serait intéressant de connaître, par le biais d’un
communiqué des services techniques du Vatican, la raison d’un tel «
phénomène » qui a radicalement changé la vision traditionnelle de « der
Cuppolone« .
Un signe des temps qui changent ? Qui sait si quelqu’un peut répondre à
cette question. Il semble que ce soit un processus d’oxydation qui ait
affecté la structure, bien que personne, à l’heure actuelle, n’ait été
en mesure d’expliquer la cause d’un tel phénomène et la raison pour
laquelle il s’est manifesté de la manière et au moment que nous
observons.
La dernière question posée par le journaliste est toutefois
intéressante. On pourrait en ajouter d’autres : quels sont les temps
qui changent ? Dans quelle direction ? Et pourquoi maintenant ? Une
chose est sûre : aucun bureau technique, aucun ingénieur expert en
structures anciennes ne pourra jamais répondre à ces questions. Pour
moi, c’est un message supplémentaire (et inquiétant) que la grande scène
Michelangelesco-Bernin nous offre depuis une douzaine d’années.
Suis-je, moi aussi, un membre de cette armée dispersée, superstitieuse,
fanatique et rétrograde qui se plaint de présences maléfiques et de
messages lugubres venant de la Jérusalem souterraine à la Via della
Conciliazione ?
Qui sait ?
Peut-être, face à tout cela, le Poète n’hésiterait-il pas à proclamer :
Papa Satàn, Papa Satàn aleppe ! [Premier vers du Chant VII de l’Enfer
de Dante]. (benoit-et-moi.fr)
Il ne restera que l'autel prophétisait Anne Catherine Emmerich.
Voilà le message du dôme noir qui confirme le tout.
Il ne restera que la présence réelle malgré la volonté de Bergoglio et son synode.
Cela, nul ne peut y toucher.
Demain, c'est la fête de l'Assomption de Marie.
Un signe puissant en cette fin des temps.
Une tache solaire gigantesque sur le soleil... Une éjection de masse coronale ce matin qui pourrait donner du fil à retordre.
À suivre...
10 août
Cérémonie de clôture en vue demain 11 août, une tache
solaire gigantesque en position parfaite pour une éjection solaire
majeure (le mois d'août est déjà le mois avec le plus de taches
solaires du cycle 25, et il ne fait que commencer), et le silence du
8ème roi de l'Apocalypse toujours de mise.
Quelles abominations nous réservent-ils à Paris?
Quelles seraient les conséquences d'une tempête solaire majeure à ce stade-ci?
Une seule réponse aux multiples conséquences: la perte électrique et électronique.
Aucun véhicule ne fontionnant, aucune lumière possible, aucune
nourriture distribuée, en fait tous les biens matériels nécessaires.
Noirceur donc et retour à l'âge de pierre, pour un certains temps, peut-être des mois.
Avec des satellites déviés de leurs trajectoires pour aller fondre dans l'atmosphère terrestre.
La guerre de la nature prophétisée par Jean XXIII, qui arrête ainsi la guerre en Ukraine et au Moyen-Orient.
Voilà pourquoi nous surveillons le soleil.
Ce qui correspond aussi à l'ouverture du septième sceau, la chute de Babylone, et la fin de la papauté telle qu'on la connaît.
Ce système antichristique achève car son coeur est pourri.
« C'est ici qu'il faut un esprit doué de sagesse. — Les sept têtes sont
sept montagnes, sur lesquelles la femme est assise. Ce sont aussi sept
rois :
Les cinq premiers sont tombés, l'un subsiste, l'autre n'est pas encore
venu, et quand il sera venu, il doit demeurer peu de temps.
Et la bête qui était et qui n'est plus, en est elle-même un huitième et
elle est des sept, et elle s'en va à la perdition. » (Apocalypse 17,
9-11) »
La clé pour démarrer le compte (guidé par « l’esprit de sagesse » et du
fait qu’on ne peut reconnaître les faits qu’en y étant présent) est
celui qui « subsiste », c’est à dire Benoît XVI. Cinq papes avant lui
donc.
Et la bête qui était et qui n'est plus, en est elle-même un huitième et elle est des sept, et elle s'en va à la perdition.
Et Bergoglio, qui représente la bête marxiste socialiste
judéo-maçonnique, est le septième pape, mais il a décidé d’abandonner
son titre de vicaire du Christ, ET, d’abandonner son titre de pape en
décidant qu’il n’était, dans son idée de collégialité, que l’évêque de
Rome (en référence aux sept collines).
Il est devenu le huitième, la bête cachée derrière le titre de pape, et qui s’en va à la perdition.
Il est donc roi du Vatican, vassal de Satan, qui domine le Saint-Siège.
Il résume à lui seul tout Vatican II en ayant pour mission d'achever l'Église.
« En d’autres termes, on assiste à une symbiose quasi parfaite entre
l’Antéchrist-personne et l’Antéchrist-système. Nous avons vu tout à
l’heure que l’âme et le principal moteur de l’Antéchrist (système)
c’était la judéo-maçonnerie. Si Bergoglio est l’Antéchrist-personne,
nécessairement on doit trouver de fortes convergences. Eh bien ils ne
s’en cachent même pas :
– Bergoglio reprend à son compte le même discours sur le grand
remplacement effectué par la judéo-maçonnerie dans les pays chrétiens,
par la promotion d’une immigration massive en provenance de pays tiers
bien évidemment non-chrétiens. Rappelons que le Vatican fut signataire
du pacte de Marrakech.
– Son encyclique sur le climat reprend elle aussi l’ensemble des thèses
maçonniques, à savoir une dégradation des ressources naturelles et une
évolution du climat du fait de l’activité humaine, et surtout le dogme
maçonnique qui consiste à croire que l’homme peut, par sa propre
action, modifier cette évolution du climat. Nous avons encore là
toujours cette même déification de l’homme, censé aujourd’hui influer
sur le climat comme s’il était Dieu. Pour un catholique défenseur de la
Création de l’univers par Dieu, adopter cette position est une double
preuve de son apostasie d’une part, et du partage sans réserve de la
vision maçonnique d’autre part.
– Même chose avec son encyclique sur la Fraternité humaine ; là
Bergoglio n’a pas cherché à se cacher puisqu’il a repris des thèmes
chers à la franc-maçonnerie, jusqu’au titre même de l’encyclique, ainsi
que la même idéologie. On ne pouvait pas être plus aligné. Ce qui
compte c’est la dignité humaine et non la royauté sociale du Christ ;
Bergoglio réussit l’incroyable prodige d’écrire la théologie de la
religion maçonnique, et personne ne s’en aperçoit.
– Même alignement sur la maçonnerie dans la promotion de la religion
universelle dont tout le monde parle au futur sans se rendre compte
qu’elle existe déjà : la religion universelle c’est celle des droit de
l’homme, et celle-ci est reconnue quand toutes les religions lui font
allégeance. Or c’est bien le cas, tous les papes du concile se sont
déplacés à l’ONU pour y déclarer leur soumission.
– Autre signe visible de l’apostasie enclenchée à Vatican II : ses
rapprochements, bien plus précis que ceux de ses prédécesseurs, avec
les protestants (luthériens notamment), les musulmans et les juifs, qui
sont une négation de la doctrine catholique vis à vis des hérétiques,
et, encore plus grave, une négation de la divinité du Christ, non plus
implicite mais explicite. Manifestement Bergoglio ne sait pas qu’il n’y
a qu’un seul Dieu, un seul baptême, une seule foi (Ephésiens 4:5), et
un seul Sauveur, le Christ, en dehors duquel personne ne peut être
sauvé.
– Durant la crise du Covid, Bergoglio s’est parfaitement aligné avec
les recommandations des organisation internationales maçonniques,
oubliant là encore la position traditionnelle de l’Eglise selon
laquelle les épidémies sont des punitions de nos péchés, pour emboiter
le pas au discours sanitaire manipulateur et mensonger des pouvoirs
publics actuels. Là encore il a parfaitement montré dans quel camp il
se trouvait et qui étaient ses amis et inspirateurs.
– Etc, etc… jusqu’à l’Ukraine où il s’aligne lui aussi sur la version occidento-américaine des faits...
Alors quel est le rôle de l’Antéchrist-personne, le 8è roi, de Bergoglio-François ?
De mettre à mort la prostituée, comme c’est écrit, c’est à dire de
détruire ce qui reste de l’Église, celle qu’ils ont déformée et qui a
apostasié, parce que l’autre, la vraie qui perdure dans la Tradition,
est intouchable.
Parallèlement, ses amis maçons détruisent de leur côté tout ce qui
reste de valable dans la société civile, parce que la destination de
tous doit être la perdition, l’enfer pour tous. Le pire c’est que
l’Eglise elle aussi nous y entraîne.
Et puis il reste à Bergoglio une dernière action capitale à faire :
quand on constate le niveau réel et effrayant de l’apostasie dans
l’Eglise conciliaire, on se rend compte qu’il n’y a plus qu’un seul
endroit où elle considère encore le Christ comme Dieu, c’est la messe,
y compris celle de Paul VI. Inacceptable pour ces gens-là.
On sait ce qu’il leur reste à faire. » (Louis D'Alencourt, legrandreveil.wordpress.com)
04 août
Le Saint Siège a finalement émis un communiqué à propos de la cérémonie d'ouverture des JO de Paris.
« Le Saint-Siège a été attristé par certaines scènes de la cérémonie
d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris et ne peut que se joindre aux
voix qui se sont élevées ces derniers jours pour déplorer l’offense
faite à de nombreux chrétiens et croyants d’autres religions.
Dans un événement prestigieux où le monde entier se réunit autour de
valeurs communes ne devraient pas se trouver des allusions ridiculisant
les convictions religieuses de nombreuses personnes.
La liberté d’expression, qui, évidemment, n’est pas remise en cause, trouve sa limite dans le respect des autres. » (vatican.va)
Trop peu trop tard.
C'est un communiqué générique prouvant la mollesse du Vatican
contrairement aux cardinaux qui ont condamné fortement le spectacle
satanique par les mots appropriés dans une telle circonstance.
Concernant la situation au Moyen-Orient, les États-Unis ont envoyé un
escadron d'avions de chasse supplémentaire en Israël, tout en
augmentant le nombre de navires présents dans le Golf Persique et en
Méditérannée à douze, dont un porte avions.
Les israéliens et les américains s'attendent à une attaque de l'Iran aussi tôt que lundi le 5 août.
Mais qu'est-ce que l'Iran a à gagner en supportant les groupes terroristes du Hamas et du Hezbollah?
La réponse se trouve dans la religion chiite: leur messie se révélerait
lors d'une guerre mondiale les impliquant avec Israël. Ils ont donc
intérêt à provoquer la guerre. Au dépend de leur population.
« nous sommes à la charnière entre la 6è et la 7è et dernière période de l’Apocalypse. Allons à l’essentiel :
La 6è période c’est celle de l’Antéchrist, qui règne déjà depuis bien
longtemps (plusieurs décennies en tant que système, onze ans en tant
que personne).
La 7è période c’est la chute de l’Antéchrist et de son monde (chute de
Babylone, c’est-à-dire du monde moderne), le nettoyage de la planète de
tous ses éléments hostiles à Dieu (ce que les profanes appellent la fin
du monde, en la confondant avec la fin de la planète terre, ce qui
n’est pas le cas), la victoire du Christ et son retour (Parousie) et
son règne sans fin.
La 7ème période est morcelée en 4 sous-ensembles : 7è église, 7è sceau,
7è trompette, 7è coupe, mais il y a une subtilité : les 7 dernières
coupes ont lieu une fois la 7è période enclenchée.
Les derniers événements de la 6è période se chevauchent avec les premiers de la 7è (les 6 premières coupes).
Et enfin il est vraisemblable de penser que l’ensemble de ces
événements (les derniers de la 6è trompette et les 6 coupes)
constituent une préparation de la grande confrontation finale de la 7è
période.
Donc, enclencher une guerre de grande envergure en Palestine revient à
nous confirmer que se mettent en place les derniers éléments de la 6è
période, et que la grande bataille finale de la 7è est pour bientôt. »
(Louis d'Alencourt, legrandreveil.wordpress.com)
« ... ce sont des esprits de démons qui font des prodiges, et ils vont
vers les rois de toute la terre, afin de les rassembler pour le combat
du grand jour du Dieu tout-puissant. » (Apocalypse, 16-14)
C'est exactement ce qui est en train de se produire.
03 août
C’est quand même stupéfiant que tous les médias font écho
à propos des attaques à la frontière d’Israël, une poudrière pouvant
mener à une guerre mondiale, sans faire référence ou même penser que
cet endroit est exactement en lien avec : « Et ils les
rassemblèrent dans le lieu appelé en hébreu Armaguédon.
Puis le septième répandit sa coupe dans l'air ; et il sortit du
sanctuaire une grande voix venant du trône, qui disait : " C'en est
fait ! " » (Apocalypse, 16-17)
Armaguédon ou Meddigo.
Remarquez selon l'Apocalypse que c'est à ce moment que ce situe la fin
de la sixième période et le début du septième sceau avec sa coupe.
L’Iran jure de venger la mort du chef du Hamas sur son territoire, et
selon les sources d’intelligence, ce serait le 12 août, journée de fête
nationale en Israël, Tisha B’Av, qui commémore la perte du premier et
du deuxième temples.
C’est très symbolique.
Rappelons nous la destruction du temple en 70, destruction annoncée par le Christ.
Destruction reliée à la future chute de Babylone?
Ou du « Grand Éclair à l’Orient » de la prophétie politique de Jean XXIII?
Car, un chef est mort en Orient. Il ne reste qu’un chef à tomber au sud des États-Unis.
La guerre contre l’Église et la célébration de cette victoire du 26
juillet, aura-t-elle ses échos à la cérémonie de clôture du 11 août,
juste avant Tisha B’Av?
« Le show de Paris : un acte de guerre contre la civilisation chrétienne
« Quelle qu’en soit l’inspiration, l’initiative ne remonte pas à un
directeur artistique déjanté, mais exprime un message commandé par les
plus hautes autorités françaises, à commencer par le chef de l’État. »
…
« Macron lui-même, dont la récente débâcle électorale n’a pas égratigné
l’arrogance, a voulu proposer au monde un nouveau message d’ «
inclusivité » antichrétienne. »
Dionysos est le dieu « hybride » des orgies païennes, de la sensualité
débridée et de l’aveuglement de la raison, et l’intention déclarée des
organisateurs était de remplacer le mystère sublime du christianisme
par la bacchanale dionysiaque.
…
La haine du christianisme a toujours eu besoin de représentations
symboliques et la Révolution française s’est nourrie de mythologies
païennes dès ses débuts. Il y a une continuité évidente entre la
parodie blasphématoire de la Cène du 26 juillet et l’intronisation de
la déesse Raison le 10 août 1793 à Paris sous les traits de la déesse
égyptienne Isis.
…
« Macron et ses collaborateurs ont voulu donner raison à la Révolution
française dans ce qu’elle a de plus abject : la mise à mort de la reine
de France, victime innocente, comme le roi Louis XVI, de la haine
révolutionnaire qui, dans les souverains français, voulait frapper le
principe de la Royauté sociale du Christ. »
Cependant, ceux qui identifieraient la France au spectacle
blasphématoire qui a ouvert les Jeux olympiques auraient tort. La
France n’est pas la place de la Guillotine, mais Notre Dame et la
Sainte Chapelle ; la France n’est pas Robespierre ou Macron, mais Saint
Louis et Sainte Jeanne d’Arc. Il serait donc erroné d’identifier le
spectacle de dégénérescence qu’offre Paris ces mois-ci avec la
civilisation occidentale à laquelle la France a tant donné. L’Occident,
c’est l’histoire d’une foi religieuse, d’un mode de vie, d’un art,
d’une littérature, d’une musique, mais aussi de grandes batailles pour
la défense de la civilisation ;
Les ennemis de l’Occident cherchent à se venger. Pour cela, pour gagner
la guerre, ils savent que l’Occident doit cesser d’être chrétien,
revenir aux idées et aux coutumes du paganisme, tomber comme une pomme
mûre, comme ce fut le cas pour l’Empire romain. (benoit-et-moi.fr)
Tout cela arrive comme nous l’écrivions dans les analyses précédentes, au début du maximum solaire du cycle 25.
« On ne s'attendait pas à ce que le cycle solaire 25 soit aussi fort.
Lorsqu'il a commencé en décembre 2019, les experts ont prédit qu'il
s'agirait d'un cycle faible comme son prédécesseur immédiat, le cycle
solaire 24. Si cette prévision s'était fiée, le cycle solaire 25 serait
l'un des cycles solaires les plus faibles depuis un siècle.
Au lieu de cela, le cycle solaire 25 a dépassé le cycle solaire 24 et
pourrait être sur le point de rivaliser avec certains des cycles les
plus forts du 20ème siècle.
Déjà en mai 2024, nous avons connu une tempête géomagnétique de classe
centenaire avec des aurores boréales observées dans le Pacifique Sud,
en Amérique centrale et en Afrique du Sud.
La dernière fois que le nombre de taches solaires était aussi élevé, le
soleil était sur le point de lancer les grandes tempêtes d'Halloween de
2003, qui comprenaient la plus forte éruption solaire à rayons X jamais
enregistrée (X45) et un CME si puissant qu'il a finalement été détecté
par le vaisseau spatial Voyager au bord du système solaire.
Sommes-nous au maximum solaire? Le consensus n'est pas encore là. Le
nombre de taches solaires pourrait continuer à augmenter dans les mois
à venir et, sur la base du comportement des cycles précédents, nous
pouvons nous attendre en toute confiance à une activité solaire élevée
pendant au moins 2 à 3 ans de plus. »
(spaceweather.com)
Deux taches solaires assez importantes font faces à la terre pour les
10 prochains jours, donc incluant le 11 août pour la fin des JO de
Paris.
Une de ces deux taches a provoqué une éjection de classe X14 la semaine
passée lorsqu’elle était située sur la face cachée du soleil.
Elle a ce potentiel d’en produire d’autres et de plus fortes intensités.
Tout s’accélère.
Mais, la masse humaine est ignorante de ce qui s’en vient.
Ce sera tout un choc.
01 août
Nous entrons dans la période du maximum solaire du cycle 25 (voir analyses précédentes sur les conséquences possibles).
Le soleil a augmenté considérablement ses taches solaires, et conséquemment ses éruptions solaires, spécialement depuis hier.
C'est à surveiller pour les prochaines semaines, sinon les prochains jours.
Surtout avec les derniers événements.
NSJC ne peut laisser faire.
L'élite maçonnique adore passer ses symboles durant les cérémonies de
fermeture des jeux olympiques. Spécialement lorsque ces derniers ont
lieu dans une ville conquise à la maçonnerie.
Nous avions été témoins à Londres en 2012 du stade avec ses arches en
forme d'équerre et de compas, de l'apparition d'un virus géant
(éventuellement le Covid) durant la cérémonie, et de la renaissance du
phoenix (éventuellement « grande réinitialisation »).
La cérémonie de clôture à Paris aura lieu le 11 août.
Le 11 est le chiffre préféré de la franc maçonnerie, singeant le Dieu
trinitaire pour donner le sommet de la pyramide maçonnique, le 33.
Pour le chrétien, c'est le 15 qui compte en août car c'est la fête de
l'Assomption de Marie, symbolisée dans l'art avec les deux pieds sur la
lune lors de son élévation, comme la femme dans l'Apocalypse.
Les deux prochaines semaines peuvent réserver des surprises pour le système antichrist.
« La décadence développe des goûts dépravés. Comment peut-on être surpris par un blasphème ?
par Cristina Vai
« Les idéologies du XXe siècle sont l'Antéchrist » (Carl Gustav Jung).
Alors, pourquoi ne sommes-nous pas surpris si la société
libérale-marxiste née de la franc-maçonnerie tolère tout sauf le
christianisme ?
« Tout est toléré sauf les intolérants » disait Karl Popper. Une
société fondée sur le marché, sans valeurs spirituelles, sans
principes, ne peut que considérer comme intolérants ceux qui fondent
leur vie sur le Christ, sur la Vérité. La foi est amour et l'amour est
total ou il ne l'est pas. Celui qui aime un peu n'aime pas.
« La liberté mène au totalitarisme » (Del Noce). Aujourd’hui, la
responsabilité personnelle n’existe plus. Ce n’est pas l’individu qui
agit mal, c’est la société qui le pousse à le faire. Le criminel, la
brute, le dépravé, le déviant est une victime. Au contraire, le Christ
nous a enseigné que le mal n’est pas dans les choses, mais vient du
cœur de l’homme. « L'impureté, le vol, le meurtre, l'avidité, la
méchanceté, la tromperie, la débauche, l'envie, la calomnie, l'orgueil,
la folie : toutes ces mauvaises choses viennent du dedans » (Matthieu 7
: 19).
Au centre de tout, pour le Christ, se trouve le cœur de l’homme. Quel
dialogue, quel respect pourrait-il y avoir entre nous qui aimons le
Christ par-dessus tout et ceux qui le haïssent et l'insultent ?
« La faute la plus grave de l'Église est d'accepter passivement sa
propre liquidation par un pouvoir qui se moque de l'Évangile » (Pier
Paolo Pasolini, athée et communiste). Pourquoi devrions-nous nous
étonner de l'horreur, des blasphèmes, de la laideur, de l'obscénité, du
conformisme de cet Occident moderne où triomphent les Rothschild, les
Soros, les Schwab, les Bill Gates, la chose la plus dégoûtante de
l'histoire du monde ? ? La Sainte Vierge de La Salette ne nous
avait-elle pas prévenu ? "La France a corrompu l'Univers, un jour elle
sera punie."
« La décadence développe des goûts dépravés, pousse les hommes à
rechercher des jouissances nouvelles et étranges. On ressent un désir
aigu de s’avilir, de se dégrader, de se moquer de tout ce qu’on croyait
auparavant grand et beau » (Vilfredo Pareto). La haine des
révolutionnaires pour la noblesse, pour la beauté est telle que
personne, à l'époque, ne fut plus humiliée d'un sadisme infernal que
Marie-Antoinette. Son fils est mort à l'âge de dix ans, dément, de faim
et de misère. Prisonnière à la Conciergerie, Marie-Antoinette n'avait
aucune intimité et devait subir la dérision et l'humiliation
continuelles de ses geôliers. Elle avait développé des maladies de peau
dues au manque d’hygiène, ses cheveux devenaient blancs du jour au
lendemain. On ne lui avait laissé qu'un petit crucifix pour prier et
elle se rendit seule à la potence parce qu'elle refusait d'être
accompagnée par un prêtre qui avait juré par la constitution.
Aujourd'hui encore, après deux siècles, on se souvient d'elle pour une
phrase sur les brioches qu'elle n'a jamais prononcée et aux Jeux
olympiques du Diable, le monde entier se moque de sa douleur. »
(aldomariavalli-it)
Juillet 2024
13 juillet
La suite du signe de Jonas.
Le Catéchisme de l’Église catholique nous enseigne qu’«avant
l’avènement du Christ, l’Église doit passer par une épreuve finale qui
ébranlera la foi de nombreux croyants. La persécution qui accompagne
son pèlerinage sur la terre dévoilera le “mystère d’iniquité” sous la
forme d’une imposture religieuse apportant aux hommes une solution
apparente à leurs problèmes au prix de l’apostasie de la vérité.
L’imposture religieuse suprême est celle de l’Anti-Christ, c’est-à-dire
celle d’un pseudo-messianisme où l’homme se glorifie lui-même à la
place de Dieu et de son Messie venu dans la chair. […] L’Église
n’entrera dans la gloire du Royaume qu’à travers cette ultime Pâque où
elle suivra son Seigneur dans sa mort et sa Résurrection» (§675).
L'Église n'entrera dans la gloire du Royaume qu'à travers cette ultime
Pâque où elle suivra son Seigneur dans sa mort et sa Résurrection (cf.
Ap 19, 1-9). Le Royaume ne s'accomplira donc pas par un triomphe
historique de l'Église (cf. Ap 13, 8) selon un progrès ascendant mais
par une victoire de Dieu sur le déchaînement ultime du mal (cf. Ap 20,
7-10) qui fera descendre du Ciel son Épouse (cf. Ap 21, 2-4). Le
triomphe de Dieu sur la révolte du mal prendra la forme du Jugement
dernier (cf. Ap 20, 12) après l'ultime ébranlement cosmique de ce monde qui passe (cf. 2 P 3, 12-13) (§677).
La vie est SPIRITUELLE.
La guerre actuelle est une guerre de l’esprit.
Le corps non baptisé sans l’Esprit-Saint actif est voué à la mort éternelle.
C’est ce qui est en jeu.
L’Épouse du Christ descendra du Ciel pour la victoire finale.
C’est ce qui est confirmé dans les prophéties de l’Église de Jean XXIII également.
Et cette image de la fin des temps de la Vierge Marie triomphante est
celle de la femme voilant le soleil avec les deux pieds sur la lune
dans l’Apocalypse.
C’est le SIGNE de la Vierge.
C’est ce qu’elle a démontré par la figure de Notre-dame de Guadelupe.
Et elle est enceinte : de la nouvelle Église appelée à renaître.
C’est peint dans plusieurs tableaux également relatant L'Assomption de la Vierge Marie, solennité liturgique fêté le 15 août.
Que pouvons nous espérer suite à l’avertissement du signe de Jonas du 11 mai dernier?
Ce seul signe que le Christ nous accorde en cette fin des temps.
Est-il complet?
Nous nous devons de nous poser la question avec la suite des événements des dernier mois.
Rappelons que l’aurore de janvier 1938 a été suivie d’une autre série d’aurores en août 1939.
Nous pourrions avoir droit au même schéma après la tempête solaire du 11 au 13 mai dernier.
Car...
Le signe de Jonas est beaucoup plus intense selon les prophéties.
C’est physiquement une période de trois jours de noirceur.
Et nous verrions cet événement prochainement, dans un laps de temps
plus court que les 20 mois entre 1938 et 1939, car eschatologiquement,
nous sommes sur le temps court.
Le nombre 24 est associé à un sentiment de complétude. On pense qu'il
représente l'ordre parfait de Dieu et l'achèvement des cycles.
2024 est donc l’annonce de la chute de Babylone, de la fin du cycle de cette génération pécheresse identifiée par le Christ.
24, c’est aussi la fête de Jean le Baptiste, le précurseur avant le 25,
qui appartient au Christ, associé à Marie, via l’Annonciation du 25
mars.
2024 est donc le précurseur de 2025.
C’est en Matthieu 24 que NSJC décrit la fin des temps.
Le soleil s’obscurcira, la lune ne donnera plus sa lumière, et les
étoiles tomberont du ciel (satellites? Un retour de la technologie,
fruit de l’orgueil humaine?)
Ensuite, Jésus indique qu’ « apparaîtra dans le ciel le signe du Fils de l'homme ».
« Car, comme l'éclair part de l'orient et brille jusqu'à l'occident, ainsi en sera-t-il de l'avènement du Fils de l'homme. »
Qu’est-ce que le signe du Fils de l’homme?
Une croix dans le ciel?
Malachi Martin de son côté, qui avait lu le troisième secret de Fatima, nous désigne plutôt le signe de la Vierge.
Il déclara en 1997 que « le grand facteur déclenchant aura lieu dans le ciel. Observez toujours le ciel. Le signe de la Vierge apparaîtra dans le ciel, et c’est pour bientôt. D’ici les 10 ou 20 prochaines années. Ce sera un choc pour tout le monde. Cela montrera que Dieu existe. Lorsqu’un jour de printemps, vous verrez dans le ciel un signe, comme une aurore boréale, tout commencera… »
Tout commencera : donc l’annonce de trois jours de noirceur à venir.
La tempête du 13 mai a-t-elle été un choc pour l’humanité?
Non.
Est-elle précurseur étant donné la relation avec Fatima et la Vierge Marie quant aux dates?
Oui.
Le processus est donc commencé, mais pas terminer.
Alors, qu’est que le signe de la Vierge?
Le signe de la Vierge de l’Apocalypse, revêtue du soleil, la lune sous ses pieds, et une couronne de douze étoiles sur sa tête?
Ou, le miracle du Soleil à Fatima?
Les deux semblent désignés la même chose : un soleil voilé par la Vierge Marie.
« Ce fut alors que l'on put regarder parfaitement le soleil, rapporte
le père de Jacinthe et de François, sans en être incommodé. On aurait
dit qu'il s'éteignait et se rallumait, tantôt d'une manière, tantôt
d'une autre. Il lançait des faisceaux de lumière, de-ci, de-là, et
peignait tout de différentes couleurs : les arbres, les gens, le sol,
l'air. Mais la grande preuve du miracle était que le soleil ne faisait
pas mal aux yeux. »
Réitérons que pendant que tous voyaient le miracle du soleil, sœur
Lucie voyait la Sainte Famille et les trois figures de Marie :
Notre-Dame du Rosaire qui s’éleva au firmament à côté du soleil, joints
par Saint-Joseph et l’Enfant Jésus qui bénissaient le monde, puis Marie
devint Notre-dame des Douleurs, joint par Jésus qui bénissait à son
tour le monde, puis Marie devient Notre-Dame du Carmel.
Trois dates à retenir donc: 16 juillet, 15 septembre, 7 octobre.
Le Carmel, c’est aussi les deux apparitions de la Sainte Vierge en
Notre Dame du Carmel, soient le 13 octobre 1917 à Fatima, et le 16
juillet 1878 pour la 18ème et dernière apparition à Lourdes.
Et comme à Fatima, les choisis de Dieu pourrait avoir l’apparition de
la Vierge, alors que les autres pourraient ne voir qu’un soleil voilé
ou dansant.
Même le pape Pie XII qui a suivi de près la question des apparitions de
Fatima a affirmé avoir été le témoin, à trois reprises, à Rome, les 30
et 31 octobre et le 1er novembre 1950, jour de la proclamation du dogme
de l'Assomption de la Vierge Marie, du même phénomène solaire qu'à
Fatima.
«C'était le 30 octobre 1950, écrit Pie XII au crayon de papier, parfois
raturé mais de façon très lisible, sans aucun doute sur l'authenticité
du document, l'avant-veille du jour de la définition solennelle de
l'Assomption, je faisais ma promenade habituelle dans les jardins du
Vatican en lisant et en étudiant (…) j'ai regardé le ciel et j'ai été
touché par un phénomène que je n'avais jamais vu. Le soleil qui était
encore assez haut, apparu comme un globe opaque jaunâtre, entouré par
un cercle lumineux». Le pape dit alors qu'il pouvait le regarder «sans
se faire aucunement mal aux yeux, un très léger nuage s'était formé
devant». Puis il décrit: «le globe opaque a légèrement bougé vers
l'extérieur, soit en tournant, soit en déplaçant de gauche à droite et
vice et versa. Mais à l'intérieur du globe, on voyait avec une grande
clarté et sans interruption de très forts mouvements» (Pie XII).
Et cela montrera que Dieu existe selon Malachi Martin.
Les chrétiens reconnaîtront le signe parce que cela sera probablement
en forme de Croix, le Signe du Fils de l’homme, ou vraiment comme un
miracle, le signe de la Vierge Marie comme à l’Assomption, voilant le
soleil, qui ne fait pas mal aux yeux.
Les tièdes hésiteront. Les athées et les apostats idolâtreront la
science par ses explications, car comme à Fatima, ils ne verront qu’un
phénomène astronomique (rappelons que les voyants voyaient la Sainte
Famille en octobre 1917).
Quiconque connaît l’Apocalypse et la femme avec les deux pieds sur la
lune entourée d’une couronne de 12 étoiles, sait bien que ce signe
serait un avertissement sérieux!
Une autre piste de réflexion vient de l’apparition aux 3 Fontaines.
Un phénomène dans le ciel, miraculeux, du même genre que celui de
Fatima s’est reproduit localement, reliant les deux apparitions.
Ce fut le 12 avril 1980 en commémoration du 33ème anniversaire de
l’apparition (le 12 avril 1947) aux 3 Fontaine, 33 étant le nombre du
Christ.
Plusieurs milliers de personnes réunies aux Trois Fontaines assistèrent
à un « miracle du soleil ». L’astre se serait mis en mouvement et le
ciel serait devenu bleu, violet puis rose.
La Vierge de la Révélation, comme on l’appelle aux Trois Fontaines,
apparut couronnée d’étoiles, comme au chapitre 12 de l’Apocalypse.
Comme Notre-Dame de Guadelupe dont nous pratiquons la neuvaine du cardinal Burke jusqu’au 12 décembre 2024.
Donc, ce soleil voilé ou miracle du soleil est accompagné de couleurs comme les aurores, comme spécifié par Malachi Martin.
Et, le 13 octobre 1917, le soleil s'obscurcissant 3 fois de suite à
intervalles réguliers à Fatima désignant les 3 jours de ténèbres.
Le père Malachi Martin dans un interview en 1997 confirmait aussi que
ce signe viendrait quand « le dernier pape sera sous le contrôle de
Satan »
Citons aussi le secret de La Salette.
« Voici le roi des rois des ténèbres. Voici la bête avec ses sujets, se
disant le sauveur du monde. Il s’élèvera avec orgueil dans les airs
pour aller jusqu’au Ciel ; il sera étouffé par le souffle de Saint
Michel Archange. Il tombera, et la terre qui, depuis trois jours, sera en de continuelles évolutions, ouvrira son sein plein de feu ; il sera plongé pour jamais avec tous les siens dans les gouffres éternels de l’enfer. »
Lorsque Satan se déclarera roi et sauveur du monde, ce qui est confirmé
par l’époque actuelle, Saint-Michel Archange frappera, et ces
tribulations dureront trois jours.
Le père Malachi Martin encore une fois : Il y aura bien trois jours de
ténèbres au-dessus de notre terre, trois jours pendant lesquels il sera
très dangereux de se trouver dehors. Même chez soi cela pourrait être
dangereux.
« A.B. : Trois jours sans soleil ???
M.M.: Oui, sans la lumière à laquelle nous sommes habitués. Mais quand
cela se passera, comme d’habitude, les scientifiques donneront des
explications géophysiques et astronomiques pour rassurer. (...) Cela n’arrivera pas dans 200 ans... Ni dans 50 ans... Ni dans 30 ans. (...) Toute la terre sera concernée, sans exception, toutes les religions, toutes les races, toutes les régions. Ce sera terrifiant. »
Donc, cela concerne toute l'humanité, mais le point de référence est la religion catholique.
Les phénomènes seront géophysiques et astronomiques.
Le chiffre 13 appartient à Marie comme le prouve les apparitions du 13 du mois en 1917.
C’est le 13 juillet 1917 qu'elle demande la consécration de la Russie.
Le 14 est le chiffre de la prise de la Bastille, symbole de la franc-maçonnerie.
Le 14 juillet 2000, il y a donc 24 ans, une énorme tempête solaire eu lieu.
Mais, les effets (aurores boréales, et problèmes électroniques) se sont
fait sentir le 16 juillet suivant, fête de Notre-Dame du Carmel, une
des trois figures de l’apparition du 13 octobre 1917 à Fatima.
Remarquez dans la prophétie politique de Jean XXIII « Grand Éclair à
l’Orient » que l’humanité n’a aucun préavis sur le phénomène à venir:
« Grand éclair à l'Orient. Vous n'entendrez pas le tonnerre, lui aussi sera imprévu.»
Pas de tonnerre avertissant du cataclysme cosmique.
Cette prophétie est, soit le signe de la Vierge, ou simplement une explosion atomique ou du genre, probablemetn en Iran.
Mais nous savons nous situer dans la fin des temps grâce à cette prophétie, parce:
- Qu’un roi tentera de prendre le contrôle de l’Europe; ce que nous avons expliqué dans une des dernières analyses.
- Que l’esprit trouble, fille de fugitifs de Nuremberg, est l’Ukraine
(expliqué dans la section « analyse », « prophéties politiques »).
- Que c’est la guerre et que la terre frisera le massacre, ce qui est
le cas avec l’Ukraine, Taïwan et Israël contre Hamas-Liban-Iran-Yémen.
- Que cela arrivera quand deux chefs importants mourront; nous sommes en attente sur ce sujet.
- Et que conséquemment, il y aura retour vers Marie dans les cœurs.
- Et que c’est le temps des lettres, l’alpha et l’oméga, le début et la FIN d’un cycle.
Comme nous l’expliquons depuis maintes analyses, une tempête solaire
dans le maximum solaire de ce cycle 25 pourrait être la cause de la
chute de Babylone car notre humanité dépend entièrement de la
technologie et de l’électricité.
Mais, elle ne causerait probablement pas une noirceur durant trois jours.
Alors, une possibilité pour une tel événement serait une superéruption solaire.
On en entend rarement sur le sujet car cela ne se produit pas très souvent.
Les étoiles jeunes en produisent beaucoup, mais une étoile d’âge moyen comme notre soleil en produise très rarement.
C’est un événement solaire de 10 fois à 100 supérieur à l’événement de Carrington de 1859.
Des scientifiques ont prouvé en 2012 que c’est arrivé la dernière fois
en 775 de notre ère (isotopes retrouvés dans les carottes de glace et
dans les lignes de croissance des arbres).
« Les premiers signes d’une ampleur encore plus grande des tempêtes
solaires sont apparus en 2012, avec la découverte d’une méga-tempête 10
à 100 fois plus puissante que l’événement de Carrington, survenu vers
775 après J.-C. « C’était vraiment stupéfiant », déclare Nicolas Brehm
de l’ETH Zurich. « Nous ne pensions pas qu’une chose d’une telle
ampleur pouvait se produire. » (scientificamerican.com)
Une
telle tempête ferait inévitablement gonfler l’atmosphère terrestre sur
son passage, amenant par le fait même les satellites dans l’atmosphère
causant « une pluie d’étoiles », tout en produisant des aurores que
nous ne pouvons imaginer (une tempête solaire fait gonfler l’atmosphère
terrestre à la manière d’une guimauve sur le feu).
Voici une vidéo
de la NASA imaginant
le phénomène (à 1m 35s) avec à gauche la terre et son éjection de
classe X45 et ce qui a été enregistré sur une plus petite étoile par
les scientifiques comme méga tempête solaire (nasa.gov).
Cela ressemble drôlement aux descriptions des différentes prophéties ou signes visibles discutés en début d’article.
Semblable à l’événement de Betelgeuse visible de la terre en 2019, où
l’étoile a éjecté sa matière en direction de notre vue, bloquant son
intensité lumineuse.
Lors des éjections solaires du 10 mai 2024, environ 5000 engins
spatiaux ont dû manœuvrer pour maintenir leur altitude, résistant au
gonflement de l’atmosphère terrestre qui les freinait et les attirait
vers la terre.
L'atmosphère terrestre a déjà été chauffée à ce point, plus récemment lors des tempêtes d'Halloween de 2003.
À cette époque, cependant, le nombre de satellites était relativement
faible (moins de 1000) et la technologie de migration satellitaire en
plus haute altitude n’existait pratiquement pas.
Mais grâce principalement à l'avènement de Starlink en 2019, la terre
compte désormais plus de 10 000 satellites actifs, soit dix fois plus
qu'en 2003!
Depuis le début de l’année 2024, plus de 130 fusées ont été lancées vers l’espace!
Une superéruption solaire auraient des conséquences géophysiques et
astronomiques pour un vrai signe de Jonas tel que décrit par Malachi
Martin et la prophétie de La Salette.
09 juillet
Le document de travail pour le synode 2024 a été publié cette semaine.
« Publié le 9 juillet, le long Instrumentum laboris (IL)
déclare qu'au centre du processus synodal pluriannuel « se trouve un
appel à la joie et au renouveau du peuple de Dieu dans la suite du
Seigneur et dans son engagement à servir sa mission. », ajoutant que
les catholiques « renouvellent aujourd'hui notre engagement dans cette
mission en pratiquant la synodalité, qui est une expression de la nature de l'Église » (lifesitenews.com)
« Une expression de la nature de l’Église »
La nature de l’Église n’a jamais été synodale puisque les bases de la
doctrine ont été mises par le Christ lui-même, et par les apôtres et
les pères de l’Église : c’est la Tradition.
Tradition contre qui l’église conciliaire s’acharne puisque c’est la Vérité.
Et Satan n’aime pas la Vérité.
« Le terme même de « synodalité » a été vivement critiqué par
d’éminents prélats, tels que le cardinal Raymond Burke et le cardinal
Joseph Zen, comme étant imprécis et sans fondement historique. Mais
l'IL précise que depuis le début du synode en 2021, « les
termes synodalité et synodal , dérivent de
l'ancienne et constante pratique ecclésiale de rassemblement
au synode ces dernières années ».
La mission synodale est effectivement un concept moderne inventé par Bergoglio et ses fidèles collaborateurs.
« Ce document sera différent de celui utilisé pour la première session.
«Si, lors de la première session, il était important de mettre en
évidence les thèmes à aborder de manière ample, le document de travail
de la session d'octobre entend plutôt souligner certains nœuds à
défaire pour répondre à la question Comment être une Église synodale en mission,
en tenant compte du chemin parcouru jusqu'à présent et en proposant des
arguments théologiquement fondés ainsi que des propositions concrètes
pour aider au discernement confié aux membres de l'assemblée», a
déclaré Mgr Riccardo Battocchio, secrétaire spécial de la
XVIe Assemblée. » (vaticannews.va)
« une Église synodale en mission ».
Ils en reviennent toujours à cette « mission », qu’ils essaient
toujours de redéfinir hors de la Tradition, dans le seul but d’arriver
à l’œcuménisme et ainsi mettre sur la table une messe sans présence
réelle qui conviendrait à tous.
L’église conciliaire deviendrait alors totalement… protestante puisque
les protestants considèrent la messe comme étant un rassemblement
commémoratif.
N’oublions surtout pas que Bergoglio a toujours affirmé à maintes reprises qu’il n’y aura « jamais de retour en arrière ».
Donc pour eux, la Tradition est du passé, et le triomphe à venir de Vatican II est la voie, la « mission ».
Alors que le Christ a fondé l’Église pour être éternelle.
Examinons les trois éléments essentiels du document de travail pour octobre 2024 :
« Selon l'IL, le synode a mis en évidence la conscience de « la variété
des charismes et des vocations que l'Esprit Saint éveille constamment
dans le Peuple de Dieu ». Il existe ainsi, parmi les instances
participantes au synode, une triple volonté
« d'élargir les possibilités de participation et d'exercice de la
coresponsabilité de tous les baptisés, hommes et femmes, dans la
variété de leurs charismes, vocations et ministères ». .»
Les trois « directions » sont les suivantes :
• Un « besoin de renouveler la proclamation et la transmission de la foi par des voies et moyens adaptés au contexte actuel ».
• Le « renouveau de la vie liturgique et sacramentelle,
à commencer par des célébrations liturgiques belles, dignes,
accessibles, pleinement participatives, inculturées et capables de
nourrir l’élan vers la mission ».
• « Reconnaître
et transformer la douleur suscitée par la non-participation de tant de
membres du Peuple de Dieu à ce chemin de renouveau ecclésial et
à la lutte de l'Église pour bien vivre les relations entre hommes et
femmes, entre générations et entre personnes et groupes d’identités
culturelles et de conditions sociales différentes, en particulier ceux
qui sont pauvres et exclus. »
- Triple volonté : singerie copiée sur la Trinité pour faire aboutir la « mission ».
- Renouveler la foi par des voies et moyens adaptés au « contexte actuel ».
Comme
nous l’affirmons depuis des années, c’est l’église catholique qui s’est
adaptée au mondialisme et à l’humanisme, et on veut pousser le concept
plus loin pour en faire la religion de Satan, dans l’esprit « woke » de
la miséricorde universelle où tous et chacun ont leur place.
Tous.
Plus de péché, plus de jugement, plus de Tradition.
Et quel contexte actuel avons-nous sur cette planète?
Que des troubles et des problèmes, que du chaos. Belle perspective pour l’église.
C'est l'inversion des valeurs prophétisée pour la fin des temps.
L'église n'y échappe pas.
- « renouveau de la vie liturgique et sacramentelle »
C’est clair. Le rapport final fera en sorte de laisser libre cours à
l’imagination quant à la célébration eucharistique : des cultes
païens à la sauce Pachamama célébrés à maintes reprises par Bergoglio,
alors qu’il n’a pas célébré la Sainte Messe depuis 2022.
- « Reconnaître et transformer la douleur suscitée par la
non-participation de tant de membres du Peuple de Dieu à ce chemin de
renouveau ecclésial »
Inclure tout le monde. S’adapter aux nouvelles tendances pour attirer
les tièdes et les athées dans un monde qui favorisera la culture du
péché, ces idées qui germent dans la tête des tarés pour entraîner la
jeunesse catholique dans la voie de l’enfer.
Et quand cette jeunesse, lorsqu'elle trouve son salut dans la Tradition, tels
les pèlerinages à Chartres, et à Oviedo en Espagne comme exemples, et
bien on leur interdit de suivre la voie de la Tradition :
« OVIEDO, Espagne ( LifeSiteNews )
— Un pèlerinage traditionnel florissant en Espagne s'est vu interdire
de célébrer sa messe traditionnelle de fin de pèlerinage dans le
sanctuaire marial de Covadonga.
Dans
une publication du 6 juillet sur les réseaux sociaux, les organisateurs
ont annoncé que le Vatican était intervenu pour restreindre le
pèlerinage à pied traditionnel de Notre-Dame de la Chrétienté, qui
attire de nombreuses jeunes familles bien qu'il n'en soit qu'à sa
quatrième année en Espagne.
Une lettre des
organisateurs du pèlerinage indiquait que « l'archevêché d'Oviedo nous
a informés qu'il avait reçu des instructions du Dicastère pour le culte
divin indiquant que la messe traditionnelle latine ne doit pas être
célébrée à Covadonga ». »
La table est mise.
Tout
est clair: pour le Christ et la Tradition, ou pour l'église conciliaire
qui s'excommunie elle-même en jugeant injustement ses propres prêtres droits:
mgr Strickland, mgr Vigano, le cardinal Burke, etc...
Les
prêtres qui prônent la Vérité sont excluent alors que ceux qui pratiquent
le péché (tous les scandales que nous avons vu au Vatican ces dernières
années) demeurent dans l'église, on les cache, et même ceux qui élèvent
le péché pour justifier que tous doivent être « inclus » recoivent une
tribune pour proclamer la parole « woke » tels que le père James Martin
qui a pour mission de promouvoir l'homosexualité, et Tucho, écrivain
érotique du Vatican, élevé au titre de cardinal et responsable du
dicastère de la foi pour faire appliquer les désirs de Bergoglio, ou
l'élévation des peintures érotiques du jésuite Rupnik (l'agresseur
sexuel présumé sur plusieurs soeurs) un peu partout dans des lieux
religieux dont une mosaïque à la basilique Notre-Dame du Rosaire à
Lourdes, en France.
Les valeurs sont inversées. C'est un fait.
Il y a un schisme dans l'Église. C'est un fait.
Les chrétiens sont devant LE choix, le Christ ou mammon. C'est un fait.
Bref, les prophéties sont pratiquement accomplies.
On
ne connaît ni le jour ni l'heure mais nous savons pertinemment que nous
sommes dans ce temps si important où tout peut basculer en un instant,
et qu'à l'exemple de la parabole des vierges folles, il est fortement
conseillé d'avoir de l'huile en sa possession pour assister aux noces.
06 juillet
La nouvelle est finalement tombée: mgr Vigano a été officiellement excommunié par le Vatican:
«
Un communiqué du Dicastère pour la doctrine de la foi a annoncé le
vendredi 5 juillet 2024 l’excommunication latae sententiae de Mgr Carlo
Maria Viganò, dans un procès extra-judiciaire auquel l’ancien nonce aux
Etats-Unis ne s’était pas présenté. Il a donc été condamné par
contumace.
Le site Vatican News expose que Mgr Viganò a été excommunié « pour
avoir voulu rompre la communion avec l’évêque de Rome et l’Eglise
catholique ».
C’est ce que détaille le communiqué : « Ses déclarations publiques
manifestant son refus de reconnaître et de se soumettre au Souverain
pontife, son rejet de la communion avec les membres de l’Eglise qui lui
sont soumis ainsi que son rejet de la légitimité et de l’autorité
magistérielle du concile Vatican II, sont bien connus. »
Le décret conclut : « Au terme de la procédure pénale, le très révérend
Carlo Maria Viganò a été reconnu coupable du délit réservé de schisme. »
Le 24 juin 2024, sur le site de Religion News Service, l’évêque
auxiliaire d’Astana au Kazakhstan, a conseillé la prudence. Tout en
critiquant les positions sédévacantistes de Mgr Viganò, Mgr Athanasius
Schneider considère que François « augmenterait les divisions » dans
l’Eglise s’il excommuniait l’ancien nonce apostolique.
« Je pense que le Pape serait sage et prudent s’il n’excommuniait pas
l’archevêque Viganò », avait-il déclaré. Et il précisait : « je pense
qu’aujourd’hui l’Eglise a tellement de divisions internes qu’il serait
imprudent, même s’il y a un motif canonique, de juger l’archevêque
Viganò ». Car « même un aveugle perçoit que nous vivons une époque de
grande confusion en ce qui concerne la clarté de la doctrine et de la
morale ». (FSSPX news)
Voilà.
L'Église inversée à son meilleur qui accuse de schisme alors que c'est cette église concilaire qui se sépare de la Tradition.
La ligne est tracée et en tant que chrétiens c'est bien l'Heure du choix.
Juin 2024
28 Juin
LA FOLIE
La
folie s’est emparée des hautes instances au Vatican, la clique
bergoglienne ne pouvant plus supporté le fait que le mouvement
traditionaliste en cours généré par leurs actions contraires à la Loi et
aux Prophètes, au lieu de décapiter la Tradition, a au contraire, fait
renaître l’Église pré-Vatican II.
Ainsi
Satan, dans sa rage de voir qu’il n’aura pas la victoire, veut emporter
avec lui le plus d’âmes possible dans sa grande finale, finale de la
fin des temps, dont le calendrier est accéléré comme jamais auparavant.
Fille
Aînée de l’Église, Rome, guerre en Ukraine, guerre par Israël qui croît
faire venir son messie… bref rien n’est et ne sera épargné.
Satan
va essayer de bloquer la transsubstantiation et Bergoglio est son
atout, atout chancelant, ce qui nous faire dire de nouveau : nous
sommes sur du temps eschatologique court.
Ici un extrait d’une réflexion sur la fin de la folie sur le blog aldomariavalli.it:
« Nous voilà donc au cœur du sujet.
Benoît XVI a fait grand bruit en 2007 ! Au lieu de faciliter la
disparition du saint sacrifice de la messe, de l’Eucharistie, à des
fins œcuménistes et aujourd’hui aussi mondialistes, elle a provoqué,
consciemment ou non, l’effet inverse. Et cela explique aussi la haine
dont il fut de plus en plus entouré, jusqu'à l'acte du Renoncement.
À ce stade, deux besoins deviennent nécessaires aux destructeurs – internes et externes – de la Foi et de l’Église catholique :
l'abolition, le plus rapidement possible, de la messe habituelle à
messe du rite apostolique romain antique (RRaa), qui, en raison de sa
fidélité absolue à la Vérité, en raison de son immuabilité
substantielle objective, doit nécessairement être le premier pas vers
l'élimination définitive de l'Eucharistie du monde ;
cela fait, changer définitivement le canon de la messe montinienne
(toujours mutable en raison de son relativisme anthropocentrique
intrinsèque), de manière, précisément, à éliminer la
Transsubstantiation dans ce rite également.
Ayant atteint ces deux objectifs dans les plus brefs délais, le «
christianisme » sera prêt à être prêt et adaptable aux deux grands
objectifs de la Révolution :
l'union de toutes les confessions chrétiennes dans un «
super-christianisme » avec une idée abstraite et gnostique de Dieu,
sans sacrements et donc sans Eucharistie : l'Être suprême de la mémoire
maçonnique et des Lumières, qui en soi nécessite aussi la disparition
de la Trinité entité, tandis que la Mère de Dieu se transformera en
déesse Gaia, comme Bergoglio nous l'a déjà fait comprendre avec le
culte idolâtre de la pachamama ;
la « dissolution » (si l'on peut dire) ou la « conversion » de ce «
super-christianisme » en la future religion mondiale mondialiste. Une
religion païenne, anti-humaine, car trans-écologique, post- et
trans-humaine, préparant à son tour l'avènement de l'Antéchrist dans le
monde.
Et ici s'explique, pour ceux qui veulent comprendre avec honnêteté
mentale et morale, la haine, autrement inexplicable, envers le RRaa et
la guerre qui en découle, menée non pas par Néron, Elizabeth I
d'Angleterre ou par Robespierre ou Staline, ni même par les mahométans,
mais des hiérarchies de l’Église actuelle Vatican II, une Église qui,
pour la plupart, n’est plus catholique, mais qui est certainement
encline au mondialisme dominant de la Nouvelle Révolution Mondiale en
cours. »
L’erreur
fondamentale de plusieurs vaticanistes est de penser que la venue
l’Antichrist est à mettre au futur, alors que nous l’avons maintes fois
démontré:
C’est un système.
Le système dans lequel nous vivons présentement et qui a des visages personnifiés pour le faire vivre, tel que Bergoglio.
Le calendrier de la fin des temps (voir analyses précédentes) est clair :
La
mort des deux témoins est un événement clé qui fait basculer le monde
pour l’ouverture du 7ème sceau, donc la fin de Babylone avant le
Jugement dernier.
Et
nous vivons présentement cette mort des deux témoins, car nous sommes
passés au crible par Dieu dans cette Passion de l'Église.
C’est la séparation du bon grain et de l’ivraie.
Le Jugement dernier n’est pas le châtiment des chrétiens, car ces derniers vivent présentement leur calvaire!
C'est celui des méchants!
Et si NSJC n’intervenait pas, le petit reste que nous sommes serait condamné à être séduit et damné par ce système Antichrist.
Ainsi notre Foi et notre Espérance nourris par la prière, nous permet de vaincre.
Les
chrétiens reconnaîtront le signe de la résurrection des deux témoins et
se réjouiront, car pour eux ce sera le moment de la récolte, alors que
le monde impie sera consterné de voir le monde qu’il chérie retourner à
la poussière…
Car
la vie est spirituelle, de l’Esprit, et ceux qui décident de nier ce
Royaume de Dieu qui n’est pas de ce monde, perdront le privilège d’y
accéder
À jamais.
La fin de la folie est à nos portes.
Mgr Vigano passe à l’attaque contre le tribunal du Vatican et accuse (extrait d'un long texte):
Fait grave, à la veille des fêtes Saint-Pierre et Saint-Paul.
Le politique et le religieux sont sur le point de basculer dans le chaos.
« Mes accusations contre Jorge Mario Bergoglio (aldomariavalli.it)
Devant mes frères dans l'épiscopat et devant tout le corps ecclésial,
j'accuse Jorge Mario Bergoglio d'hérésie et de schisme, et comme
hérétique et schismatique, je demande qu'il soit jugé et démis du trône
qu'il a indignement occupé pendant plus de onze ans. Cela ne contredit
en rien l'adage Prima Sedes a nemine judicatur , car il est évident
qu'un hérétique, parce qu'il est incapable d'assumer la papauté, n'est
pas au-dessus des prélats qui le jugent.
J'accuse également Jorge Mario Bergoglio d'avoir provoqué - en raison
du prestige et de l'autorité du Siège Apostolique qu'il usurpe - de
graves effets indésirables, la stérilité et la mort chez les millions
de fidèles qui ont suivi son appel insistant à se soumettre à
l'inoculation d'un sérum génétique expérimental. produit auprès de
fœtus avortés, conduisant à la publication d'une note indiquant son
utilisation comme moralement admissible ( ici et ici ). Il devra
répondre devant le Tribunal de Dieu de ce crime contre l'humanité.
Enfin, je dénonce l'accord secret entre le Saint-Siège et la dictature
communiste chinoise, par lequel l'Église est humiliée et contrainte
d'accepter la nomination gouvernementale des évêques, le contrôle des
célébrations et les limitations de sa liberté de prédication, tandis
que les fidèles catholiques le Siège Apostolique sont persécutés en
toute impunité par le gouvernement de Pékin dans le silence complice du
Sanhédrin romain.
Le rejet des erreurs de Vatican II
Je considère comme une question d'honneur d'être "accusé" de rejeter
les erreurs et les déviations impliquées par le soi-disant Concile
œcuménique Vatican II, que je considère comme totalement dépourvu
d'autorité magistrale en raison de son hétérogénéité par rapport à tous
les véritables Conciles. de l'Église, que je reconnais pleinement et
que je salue, comme le font tous les actes magistraux des Pontifes
romains.
Je rejette de manière convaincante les doctrines hétérodoxes contenues
dans les documents de Vatican II et qui ont été condamnées par les
Papes jusqu'à Pie XII, ou qui contredisent de quelque manière que ce
soit le Magistère catholique (voir Annexe I). Je trouve pour le moins
déconcertant que ceux qui me jugent pour schisme soient ceux qui
adhèrent à la doctrine hétérodoxe selon laquelle il existe un lien
d'union « avec ceux qui, étant baptisés, reçoivent le nom de chrétien,
mais ne l'obtiennent pas pleinement ». professent la foi ou ne
maintiennent pas « l'unité de communion sous le successeur de Pierre »
(LG, 15). Je me demande avec quelle facilité on peut reprocher à un
évêque le manque de communion qui existerait également avec les
hérétiques et les schismatiques.
Je condamne, rejette et rejette également les doctrines hétérodoxes
exprimées dans le soi-disant « magistère post-conciliaire » issu de
Vatican II, ainsi que les récentes hérésies relatives à « l'Église
synodale », la reformulation de la Papauté dans une clé œcuménique. ,
l'admission des concubinaires aux sacrements et la promotion de la
sodomie et de l'idéologie du « genre ». Je condamne également
l'adhésion de Bergoglio à la fraude climatique, une folle superstition
néo-malthusienne née de ceux qui, haïssant le Créateur, ne peuvent
s'empêcher de détester aussi la Création, et l'homme avec elle, créé à
l'image et à la ressemblance de Dieu…
Donné à Viterbe, le 28 juin, année du Seigneur 2024, veille des saints Apôtres Pierre et Paul.
+ Carlo Maria Viganò, archevêque »
27 juin
Que dire de plus?
Tout
confirme que la Fille Aînée de l'Église a été plongée dans le chaos
intentionnellement par la franc-maçonnerie dans ce plan à long terme
pour éliminer le centre de la chrétienté européenne en même temps que
Rome.
Le
président français, fils spirituel des Rothschild, attise le feu et
affirme sans gêne que la « guerre civile » est aux portes de la France,
et que même, dans le contexte actuel de la fin des temps, que ce sera
une « guerre de religion » au même titre que la guerre entre les
protestants et les catholiques du temps.
« Laïcité, guerres de Religion, islam : ce qu’Emmanuel Macron en dit dans un podcast » (la-croix.com)
Comme le spécifie Charles Sannat (insolentiae.com):
« Quand le président parle de guerre civile, même si c’était évidemment
un scénario étudié dans mon dossier, ne soyons pas naïfs, avant même
que le président ne l’évoque, lui, en en parlant de la manière la plus
officielle qui soit, il matérialise ce risque.
Il fait prendre corps à ce risque. Quand je l’évoque, on peut toujours
dire que c’est une élucubration d’économiste de grenier normand
pessimiste… pas quand c’est le président qui l’évoque.
En l’évoquant, il prend le risque d’auto-réaliser le risque.
Plus grave.
Il précise ce que serait cette guerre civile. Une guerre de religion.
Nous l’avons tous compris.
Macron est un pyromane, pyromane comme le dit Bauer... »
La
bête de la terre marche réellement main dans la main avec la bête de la
mer (d'ailleurs, les deux, Macron et Bergoglio, étaient assis côte à
côte au sommet du G7 en Italier dernièrement).
«
Dans la perspective du Jubilé 2025, nous nous dirigeons vers « une vie
qui devient chant d'amour pour Dieu, pour l'humanité, avec et pour la
création, et qui trouve sa plénitude dans la sainteté » (dicastère pour
le service du développement humain intégral, Jubilé 2025) (vaticannews.va).
Chaque
mot ici est choisi en fonction de la célébration de la nouvelle
religion humaniste qui englobera l'église conciliaire suite à la
conclusion du synode 2024.
Ce sont des mots génériques: qui est le Dieu de la déclaration? Que représente cette « sainteté »?
Nous devrions y lire pour ce Jubilé 2025: « qui trouve sa plénitude dans le Christ ».
Depuis
2013, la chrétienté est confronté à ce maître de l'ambiguïté qui fait
tout pour plaire à tous, et, REJETER tout ce qui est conforme à
la Doctrine et à la Tradition.
« Pape François: la synodalité crée la fraternité en dehors de l’Église » (vaticannews.va)
« ... Le «profond renouvellement» que le Pape appelle de ses vœux trouve sa source dans le Concile Vatican II.
Le
Pape qui l’a initié, ... Jean XXIII parlait d’un «aggiornamento» («une
mise à jour») quand celui qui l’a clos, ... Paul VI, évoquait un
«renouveau florissant de l’Église». Toujours sur la nécessité de
réforme, François a cité son prédécesseur, le Pape Benoit XVI, qui
souhaitait une réforme afin de parvenir à une communauté dans laquelle
le Divin peut opérer, «une communauté dans laquelle un 'je' n'est plus
contre un autre 'je'»... »
Donc, Bergoglio indique bien qui va clore l'« aggiormamento » initié par Jean XXIII avec la fin du synode en octobre prochain.
Élimination de la messe traditionnelle suivi de la conversion TOTALE de l'église conciliaire à l'hunanisme.
Les
valeurs sont finalement inversées (on ne parle plus au futur à partir
de 2024): C'est l'église qui s'est convertie et non le monde qui s'est
converti au Christ, comme le voulait NSJC en créant son épouse,
l'Église, établie sur le roc qu'est Saint-Pierre.
Justement,
c'est sur un roc solide qu'elle est établie, et tout renaîtrà à partir
de la Tradition, grâce au zèle de Mgr Lefebvre qui a conservé la petite
flamme.
Le blog Caminante Wanderer
argentin, qui n'est pas du tout pour Bergoglio, ne mâche pas ses mots,
et énonce un fait établi: « Le schisme se situe entre catholiques et
non-catholiques. »
Il y a schisme et le choix doit être fait: pour ou contre le Christ.
Il n'y a plus d'entres les deux. Les tièdes seront vômis confirme l'Apocalypse.
«
Un long article de Diane Montagne paru mardi dernier laisse entendre
que la rumeur lancée par Rorate Coeli sur l'apparition d'un nouveau
document restreignant encore davantage la célébration de la messe
traditionnelle est fondée. Montagne est une journaliste sérieux avec de
très bonnes sources au Vatican.
Le document aurait été personnellement commandé par le pape François à
Mgr Viola, du Dicastère du Culte, et aurait le soutien des cardinaux
Parolin et Gurgerotti, et de Mgr Migliore, nonce à Paris. En substance,
cela consisterait à restreindre la célébration de la messe
traditionnelle exclusivement aux prêtres appartenant aux ex-instituts
Ecclesia Dei , qui sont principalement au nombre de trois : Fraternidad
San Pedro, Instituto Cristo Rey et Instituto del Buen Pastor. Aucun
prêtre diocésain, aucun prêtre religieux et aucun évêque ne pouvait
célébrer la Sainte Messe ou le reste des sacrements selon le rite
traditionnel. L'article peut être lu en anglais et en italien .
Faisons quelques observations :
1. Un tel document laisserait l'Église dans une situation bien pire que
celle qu'elle avait après Summorum pontificum , mais bien meilleure que
celle qu'elle avait avec Jean-Paul II, même après Ecclesia Dei . En ces
temps terribles, célébrer la messe traditionnelle était quelque chose
de plus sérieux que d'assister à un rite satanique ou de participer aux
orgies du cardinal Coccopalmiero. Et il était préférable de devenir
mormon plutôt que de devenir « lefebvriste ».
2. Mais depuis lors, la situation a changé, et elle a beaucoup changé.
Peut-être qu’en Amérique Latine nous ne réalisons pas pleinement le
changement, car dans nos pays, malheureusement, le document ne
changerait pratiquement rien. Mais en Europe ou aux États-Unis, c’est
différent. Prêtres et fidèles se sont vite « habitués » à la messe
traditionnelle, ce qui est logique, et il ne me semble pas qu'ils se
résigneront facilement à monter dans les trains qui les mèneront au
nouvel Auschwitz ou à Birkenau où les vieux progressistes du Vatican
veulent leur appliquer la solution finale.
3. Dans le post précédent, un lecteur, pour une raison que je ne
connais pas, m'a demandé avec colère pourquoi j'avais utilisé
l'expression « solution finale ». Et j'ai répondu parce que c'était
celui que Rorate Coeli avait utilisé, et pas seulement eux, pour faire
référence à la situation. Si le nouveau document était finalement signé
par le Pape, il s'agirait effectivement d'une « solution finale »,
cette fois préparée non pas par Reinhard Heydrich mais par Vittorio
Viola. Et cela pour plusieurs raisons.
4. Les traditionalistes ne pourront plus circuler librement dans une
réserve délimitée par les hauts grillages érigés par Traditiones
custodes, non pas tant pour qu'ils ne puissent pas s'échapper mais pour
que d'autres ne puissent pas entrer dans cet espace. Les progressistes
constatent qu'il y a de plus en plus de monde à l'intérieur : 18 000
jeunes cette année au pèlerinage de Chartres, c'est un nombre non
négligeable et très significatif pour ce qui se passe. Ils ont alors
choisi d'enfermer les tradis infectés dans des cages : celles des
anciens instituts Eclessia Dei et de la FSSPX qui, n'en déplaise aux
intéressés, est, du point de vue pratique francisciste, l'égale des
autres.
5. La « solution finale » de Viola consisterait donc à n'accorder la
célébration de la messe traditionnelle qu'aux fidèles qui veulent ou
peuvent se mettre en cage. Les autres sont soit aryens, soit se
douchent dans les chambres à gaz. La solution est bien pensée – on dit
que le chef du jésuite Ghirlanda est derrière elle – mais elle me
semble être une solution de bureau. Malheureusement pour le pape
François, il n’a ni les SS ni la Gestapo. Une bonne partie de l'Église
s'est déjà rebellée contre lui avec les absurdités de Fiducia et, dans
ce cas aussi, il pourrait y avoir une rébellion peut-être moins massive
mais avec des effets beaucoup plus graves.
6. Fiducia supplicans était une fantaisie de Tucho Fernández qui a peu
d'effet pratique, concret et immédiat pour les fervents fidèles
catholiques. En revanche, une restriction de la liturgie traditionnelle
comme celle qu’ils envisagent affectera de près la vie de dizaines de
milliers d’entre eux. Il ne me semble pas que les 18 000 pèlerins
acceptent tranquillement la nouvelle que la messe traditionnelle en la
cathédrale de Chartres est définitivement terminée. Et il ne me semble
pas non plus que les Américains, les Français ou les Allemands le
fassent. Et encore moins les prêtres, surtout les plus jeunes, qui ont
connu et apprécié la messe traditionnelle. Et encore moins me
semble-t-il que tous les évêques sont aussi lâches que l'ont été les
évêques argentins d'accepter passivement un ordre aussi pervers que
celui qu'ils veulent leur imposer : que même eux, successeurs des
apôtres, ne peuvent pas célébrer la messe traditionnelle. Où est donc
l’autorité de l’évêque ? Bergoglio et Ghirlanda revendiqueront-ils
l’obédience jésuite ? Par ailleurs, je crois que la situation risque de
provoquer la colère de plusieurs d'entre eux. Je ne peux pas imaginer
le cardinal Müller accepter humblement les ordres du Vatican.
7. Comme l'a récemment déclaré Aldo Maria Valli et comme beaucoup
d'entre nous le constatent depuis des années, nous sommes confrontés à
un schisme de fait qui, jusqu'à présent, ne s'est pas manifesté
ouvertement. Et le schisme ne se situe pas entre traditionalistes et «
catholiques obéissants ». Le schisme se situe entre catholiques et
non-catholiques. Les auteurs du document doivent veiller à ce qu'il ne
se transforme pas en un meurtre de l'archiduc François Ferdinand et ne
génère pas une situation impossible à arrêter. Ils jouent avec le feu.
Les catholiques de tous bords – ils portent des cravates, des
mantilles, des soutanes noires, violettes ou rouges – en ont assez du
pontificat de François, qui a laissé l'Église en ruines...
Conclusion : Les nouvelles concernant le document restrictif sont
crédibles. Il faudra voir ce que François décidera finalement, qui peut
tout décider comme nous l'avons vu tout au long de ces années. La
vérité est que les hiérarques de l’Église, malgré les preuves ou à
cause de celles-ci, sont déterminés à exterminer la liturgie
traditionnelle, même si cela implique des dommages énormes et
irréparables pour l’Église. Ils nous détestent ; nous sommes pourris. »
26 juin
EN ROUTE VERS LE 16 JUILLET
Il semble bien que le temps s'accélère, ce qui confirme nous sommes sur un temps eschatologiquement court.
Si
l'abolissement de la messe traditionnelle est décrété par le Vatican le
16 juillet prochain comme la rumeur le veut, si cet événement
représente bel et bien la mort des deux témoins annoncés dans
l'Apocalypse, alors ce monde babylonien aura toute une surprise.
Car c'est de sa chute finale qu'il s'agît.
La fin de la 6ème période.
Et vous savez tous ce qui arrive à l'ouverture du 7ème sceau.
Notez que le cardinal Parolin soutient entièrement la position de Bergoglio contre la messe traditionnelle.
Nous
proclamons qu'il pourrait être Pierre II le romain de la prophétie de
Saint-Malachi, et que l'Église sous sa tutelle vivra ses dernières
tribulations sur du court terme.
Car Bergoglio sait qu'il ne lui reste plus beaucoup de temps.
Et il a une mission à accomplir.
«
CITÉ DU VATICAN, 25 juin 2024 — Après avoir effectué plusieurs
recherches sur des rapports récents , j'ai été informé par des sources
fiables qu'un nouveau document du Vatican plus restrictif que
Traditionis Custodes existe bel et bien, qu'il est soutenu par le
cardinal secrétaire d'État du Vatican, le cardinal Pietro Parolin, et
qu'il a été présenté au pape François.
Des sources bien informées ont confirmé que le nouveau document, s'il
était publié, interdirait à tous les prêtres autres que ceux
appartenant à des instituts ex- Ecclesia Dei approuvés d'offrir le
Saint Sacrifice de la Messe dans le Vetus Ordo, ou ancien rite comme on
l'appelle communément.
Elle interdirait également aux évêques de célébrer eux-mêmes ou
d'autoriser la célébration du Vetus Ordo dans leurs diocèses, et
suspendrait les autorisations existantes accordées par le Dicastère
pour le culte divin et la discipline des sacrements après Traditionis
Custodes.
Des sources indiquent que les paroisses personnelles gérées par
d'anciens instituts Ecclesia Dei (par exemple, la Fraternité
sacerdotale Saint-Pierre ou l'Institut du Christ Roi Souverain Prêtre)
seraient autorisées à continuer. Cependant, on ne sait pas si et dans
quelle mesure les prêtres de ces instituts seraient autorisés à
administrer des sacrements tels que le baptême, la confirmation et le
mariage aux fidèles sous la forme traditionnelle.
Bien que cela semble « sauver et protéger » les anciens instituts
d’Ecclesia Dei, il n’est pas clair non plus si les ordinations
diaconales et sacerdotales dans le Vetus Ordo continueraient à être
autorisées.
Genèse du nouveau document
En février 2023, quelques semaines seulement après la mort de Benoît
XVI, on a appris qu'un projet de document était en cours d'examen par
le pape François, qui élargirait et renforcerait son motu proprio
Traditionis Custodes de 2021. Il affirmerait également que la seule
liturgie officielle du rite latin est le Novus Ordo, et réglementerait
strictement les anciennes communautés d'Ecclesia Dei.
Des sources vaticanes avaient alors indiqué que le document, une
constitution apostolique, avait déjà été présenté au pape François fin
janvier 2023 par les supérieurs du Dicastère pour le culte divin et la
discipline des sacrements, dirigé par le cardinal Arthur Roche.
Le document aurait été rédigé principalement par le secrétaire du dicastère, l'archevêque Vittorio Francesco Viola, OFM.
Cependant, selon ce rapport, le cardinal italien Gianfranco Ghirlanda,
SJ, largement considéré à Rome comme le canoniste préféré du pape,
cherchait à persuader François de promulguer une constitution
apostolique alternative qui, à première vue, pouvait sembler plus douce
mais qui s'est finalement avérée pire en cherchant une fois pour toutes
à enterrer la liturgie latine traditionnelle.
Roche et Ghirlanda se disputant l'imprimatur du pape, le document a été
bloqué et, un an plus tard, il se trouvait toujours dans une impasse.
Le pape François a donc confié cette année à l'archevêque Viola la
supervision du document.
Si le document décrit ci-dessus devait être publié, il serait toujours
conforme aux assurances données par le pape François aux anciens
instituts d'Ecclesia Dei approuvés. Et même si l'on nous dit qu'aucune
date de publication n'a été fixée, le risque d'un nouveau document,
selon nos sources, est sérieux, réel et potentiellement imminent.
Soutien du cardinal Pietro Parolin
Selon certaines sources, l'archevêque Viola s'est mis à travailler
discrètement sur un nouveau document, en consultant, entre autres, le
cardinal Victor Fernández, préfet du Dicastère pour la doctrine de la
foi.
Lors de la rédaction du document, l'archevêque Viola aurait également
bénéficié du soutien et de l'approbation de trois personnalités clés de
l'Église : le secrétaire d'État du Vatican et architecte de l'accord
secret Vatican-Chine, le cardinal Pietro Parolin; le préfet du
Dicastère pour les Églises orientales, le cardinal Claudio Gugerotti;
et le nonce apostolique du pape à Paris, l'archevêque italien Celestino
Migliore.
Les lecteurs se souviendront peut-être que le cardinal Parolin,
consulteur du Dicastère pour le culte divin et du Dicastère pour la
doctrine de la foi, aurait soutenu Traditionis Custodes. En fait, lors
d’une réunion en janvier 2020 à l’époque de la Congrégation pour la
doctrine de la foi, le cardinal Parolin a affirmé que les instituts
sacerdotaux traditionnels refusent d’accepter le changement et ne sont
pas disposés à concélébrer. Parolin a également déclaré qu’il
partageait l’inquiétude des autres prélats réunis quant au fait que ces
groupes soient populaires auprès des jeunes. (Plus tôt au cours de la
réunion, le préfet de la Congrégation pour l’éducation catholique de
l’époque, le cardinal Giuseppe Versaldi, avait insisté sur le fait
qu’il fallait comprendre pourquoi la messe traditionnelle en latin
attirait les jeunes, et avait affirmé que beaucoup des jeunes
participant au pèlerinage Paris-Chartres souffraient de « toutes sortes
de problèmes psychologiques et sociologiques ».) Le cardinal Parolin a
donc recommandé à la CDF d’exiger des groupes sacerdotaux traditionnels
qu’ils fournissent un signe concret de communion qui reconnaîtrait la
validité du Novus Ordo et démontrerait clairement qu’ils sont « dans
l’Église ».
Le cardinal Parolin, tout comme le cardinal Gugerotti, est également un
protégé du défunt diplomate du Vatican, le cardinal Achille Silvestrini
(1923-2019), membre éminent du groupe de Saint-Gall qui a fait campagne
pour empêcher l'élection de Benoît XVI en 2005.
Les liens étroits entre Parolin et Silvestrini remontent à 1986,
lorsqu'il a rejoint le corps diplomatique du Vatican à l'âge de 31 ans
et que Silvestrini était secrétaire aux relations avec les États. De
plus, un an seulement après la mort de Silvestrini, le cardinal Parolin
a été nommé président de la Villa Nazareth, un centre éducatif qui,
grâce aux efforts de Silvestrini , est devenu un centre du pouvoir
ecclésiastique progressiste à Rome. La Villa Nazareth a également été
considérée comme le siège italien du groupe de Saint-Gall et comme
ayant des liens douteux avec la Chine .
Le cardinal Gugerotti, pour sa part, a été pendant cinq ans (1997-2001)
sous-secrétaire de la Congrégation pour les Églises orientales pendant
le mandat de neuf ans de Silvestrini comme préfet.
Mais malgré leur lien, les deux cardinaux seraient concurrents sur un
autre point important : ils ont tous deux en vue la papauté.
Mgr Migliore, 71 ans, allié du cardinal Parolin et diplomate chevronné,
a occupé plusieurs postes importants, notamment celui d'observateur
permanent du Saint-Siège auprès des Nations unies et du Conseil de
l'Europe, de sous-secrétaire aux relations avec les États et de nonce
apostolique en Russie. Le pape François l'a nommé nonce apostolique à
Paris en janvier 2020.
Plus tôt ce mois-ci, le site français Pax Liturgique rapportait que Mgr
Migliore « fait tout son possible pour que Traditionis
custodes soit pleinement appliqué » et « attise les flammes de la
liturgie anti-traditionnelle des évêques français, insistant notamment
sur le fait que la messe traditionnelle doit être tolérée le moins
possible et que les autres sacrements, notamment les baptêmes, les
mariages et les confirmations, ne doivent jamais être donnés sous la
forme traditionnelle ».
Si le document décrit ci-dessus devait être publié, il serait toujours
conforme aux assurances données par le pape François aux anciens
instituts d'Ecclesia Dei approuvés . Et même si l'on nous dit qu'aucune
date de publication n'a été fixée, le risque d'un nouveau document,
selon nos sources, est sérieux, réel et potentiellement imminent. »
(The Remnant)
« beaucoup
des jeunes participant au pèlerinage Paris-Chartres souffraient de «
toutes sortes de problèmes psychologiques et sociologiques ». »
C'est bien l'église inversée.
Les
deux témoins, laïcs et le clergé fidèles à la Loi et aux Prophètes, à
la Tradition, sont ceux qui ont des problèmes entre les deux oreilles.
C'est
bien ce qu'affirmait le regretté Serge Monast dans ses écrits (voir
analyses précédentes) où les chrétiens de la Tratidion deviennent les
terroristes, les menaces au nouveau système humaniste.
Et
maintenant préparons-nous pour la finale tant annoncé par les
eschatologues qui suivent l'actualité vaticane : l’abolition de la
transsubstantiation.
Ce sera introduit dans la nécessaire mise à jour de la liturgie du
novus ordo, lorsque débarrassée du vetus ordo, la messe traditionnelle.
C'est l'acte le plus important depuis la venue du Christ.
Et
NSJC ne laissera pas une telle manoeuvre sans conséquence, car il est
avec nous jusqu'à la fin des temps, via la transsubstantiation.
Notez
que Benoît XVI avait rétabli la légitimité de la messe tridentine, par
une tour de passe passe, la qualifiant de « rite extraordinaire » via
le motu proprio Summorum Pontificum de 2007. Il avait écrit que la
messe tridentine n'avait jamais été abolie et que des fidèles,
assemblés en groupe stable, pouvaient légitimement demander qu'elle
soit dite dans leur diocèse.
Traditionis Custodes du 16 juillet 2021 a aboli ce motu proprio.
22 juin
LE POINT DE NON RETOUR
Le
tremblement de terre causé par la convocation de Mgr Viganò au Vatican,
démontre à la face du monde, ce qui était caché pour certains, qu’il y
a guerre au sein de l’église.
Ce
qui est conforme avec la prophétie de l’église #11 de Jean XXIII « le
7ème sceau », point important s’il n’en faut dans le calendrier de la
fin des temps.
« Il y aura la guerre dans la Mère, et les troupeaux se disperseront. »
C’est l’aboutissement d’un projet de longue haleine comme on a pu le constater dans les multiples analyses des dernières années.
Une
guerre accentuée par les faux prophètes du Vatican suite à Vatican II
contre la Tradition, l'Écriture, le Magistère et maintenant plus
ouvertement, contre la Doctrine.
Tenter
de museler Mgr Viganò, est le signal envoyé par les apostats qui
confirme la mort des deux témoins à venir, une dernière attaque
définitive systématique et généralisée contre l’Église, la vraie, celle
qui ne s’est pas prostituée pour emprunter les termes apocalyptiques,
l’Église traditionnelle catholique.
Il
est donc vraiment raisonnable de croire que la date du 16 juillet
pourrait être celle de l'annonce de la suppression définitive et sans
exception du vetus ordo de la liturgie tridentine suite à l’accusation
de Mgr Viganò.
C’est un point de non-retour pour ce monde, cette génération condamnée par le Christ dans l’Évangile.
Mgr Viganò ne s’est par présenté pour son procès, considérant la
malhonnêteté de la procédure tout en confirmant que l’acte d’accusation
est déjà déclaré, amenant même la preuve que la clique bergoglienne
avait laissé filtrer les accusations à la revue américaine jésuite «
America », puisqu’un article sur le sujet semble avoir été écrit avant
même que qu’il ne rende public le document du Vatican.
(sa réponse sur aldomaria valli.it, en italien)
Les jésuites d'Amérique ont déjà confirmé les conclusions sur le sort
de son procès, l’excommunication, sort qui attend tous les chrétiens se
considérant de la tradition, les deux témoins, les laïcs et le clergé
fidèles à la Loi et aux prophètes.
L’église conciliaire en est finalement arrivé à la conclusion, confirmant bientôt la fin de la sixième période de l’Apocalypse.
L’Église
est inversée, sa partie conciliaire accusant de schisme sa partie
traditionnelle, alors que c’est cette partie conciliaire qui s’est
séparée de l’Église.
Voilà.
Le mystère d’iniquité est de plus en plus clair et confirmé.
Le point de non-retour est atteint.
Le
choc, le silence d’une demi-heure suite à la mort des deux témoins
probablement décrété le 16 juillet prochain en la fête de Notre-Dame du
Carmel, confirmera la fin de la 6ème période et l’ouverture par le fait
même du 7ème sceau :
« Et quand l'Agneau eut ouvert le septième sceau, il se fit dans le ciel un silence d'environ une demi-heure. » (Apocalypse, 8-1)
21 juin
Nous nous en allons tranquillement vers la mort des deux témoins, comme prévu.
«
Le Dicastère pour la Doctrine de la Foi m’a informé, par un simple
mail, de l’ouverture d’un processus pénal extrajudiciaire à mon
encontre, m’accusant d’avoir commis le crime de schisme et m’accusant
d’avoir nié la légitimité du « Pape François », d’avoir rompu la
communion « avec Lui » et d’avoir rejeté le Concile Vatican II. Je suis
convoqué au Palais du Saint-Office le 20 juin, en personne ou
représenté par un avocat. Je suppose que la condamnation est également
prête, compte tenu de la procédure extrajudiciaire.
Je considère les accusations portées contre moi comme un honneur. Je
pense que le libellé même des accusations confirme les thèses que j’ai
défendues à maintes reprises dans mes discours. Ce n’est pas un hasard
si l’accusation portée contre moi concerne la remise en cause de la
légitimité de Jorge Mario Bergoglio et le rejet de Vatican II : le
Concile représente le cancer idéologique, théologique, moral et
liturgique dont l' »Église synodale » bergoglienne est une métastase
nécessaire.
L’épiscopat, le clergé et le peuple de Dieu doivent sérieusement se
demander s’il est conforme à la profession de foi catholique d’assister
passivement à la destruction systématique de l’Église par ses
dirigeants, tout comme d’autres dirigeants détruisent la société civile.
> Le mondialisme appelle au remplacement ethnique : Bergoglio
encourage l’immigration incontrôlée et appelle à l’intégration des
cultures et des religions.
> Le mondialisme soutient l’idéologie LGBTQ+ : Bergoglio autorise la
bénédiction des couples de même sexe et impose l’acceptation de
l’homosexualité aux fidèles, tout en couvrant les scandales de ses
protégés et en les promouvant aux plus hauts postes de responsabilité.
> Le mondialisme impose l’agenda vert : Bergoglio vénère l’idole
Pachamama, écrit des encycliques délirantes sur l’environnement,
soutient l’Agenda 2030 et attaque ceux qui remettent en cause la
théorie du réchauffement climatique anthropique.
Il sort de son rôle en matière strictement scientifique, mais toujours
dans une seule direction, diamétralement opposée à ce que l’Église a
toujours enseigné.
> Il a imposé l’utilisation de sérums géniques expérimentaux, qui
ont causé de très graves dommages, la mort et la stérilité, en les
qualifiant d’ « acte d’amour », en échange de financements des
industries pharmaceutiques et des fondations philanthropiques.
Ce consensus total avec la religion de Davos est scandaleux.
> Partout où les gouvernements au service du Word Economic Forum ont
introduit ou étendu l’avortement, promu le vice, légitimé les unions
homosexuelles ou la transition de genre, encouragé l’euthanasie et
toléré la persécution des catholiques, pas un mot n’a été consacré à la
défense de la Foi ou de la Morale menacée, au soutien des batailles
civiles de nombreux catholiques abandonnés par le Vatican et les
évêques.
> Pas un mot pour les catholiques persécutés en Chine, avec la
complicité du Saint-Siège qui considère les milliards de Pékin plus
importants que la vie et la liberté de milliers de Chinois fidèles à
l’Église romaine.
> Pas de schisme, dans l’ « Église synodale » présidée par
Bergoglio, ni de la part de l’épiscopat allemand, ni de la part des
évêques nommés par le gouvernement et consacrés en Chine sans mandat de
Rome. Parce que leur action va dans le sens de la destruction de
l’Église, elle doit être cachée, minimisée, tolérée et enfin encouragée.
Au cours de ces onze années de « pontificat », l’Église catholique a
été humiliée et discréditée principalement à cause des scandales et de
la corruption des échelons supérieurs de la hiérarchie, totalement
ignorés alors que l’autoritarisme le plus impitoyable du Vatican
faisait rage contre les prêtres et les religieux fidèles, les petites
communautés de religieuses traditionnelles, les communautés liées à la
messe en latin.
Ce zèle unilatéral rappelle le fanatisme de Cromwell, typique de ceux
qui défient la Providence dans la présomption de se savoir enfin au
sommet de la pyramide hiérarchique, libres de faire et défaire à leur
guise sans que personne ne s’y oppose.
Et cette œuvre de destruction, cette volonté de renoncer au salut des
âmes au nom d’une paix humaine qui nie Dieu, n’est pas une invention de
Bergoglio, mais le but principal (et inavouable) de ceux qui ont
utilisé un Concile pour contredire le Magistère catholique et commencer
à démolir l’Église de l’intérieur, à petits pas, mais toujours dans une
seule direction, toujours avec la tolérance indulgente ou l’inaction
coupable, sinon l’approbation explicite des Autorités romaines.
L’Église catholique a été occupée lentement mais sûrement, et Bergoglio
a été chargé de la transformer en une agence philanthropique, l’ «
Église de l’humanité, de l’inclusion, de l’environnement » au service
du Nouvel Ordre Mondial. Mais ce n’est pas l’Église catholique, c’est
sa contrefaçon.
La renonciation de Benoît XVI et la désignation par la mafia de
Saint-Gall d’un successeur conforme aux diktats de l’Agenda 2030
devaient permettre – et ont permis – que le coup d’État mondial soit
géré avec la complicité et l’autorité de l’Église de Rome.
Bergoglio est à l’Église ce que les autres dirigeants mondiaux sont à
leurs nations : des traîtres, des destructeurs, des liquidateurs
définitifs de la société traditionnelle avec une certitude d’impunité.
Le vice de consentement (vitium consensus) de la part de Bergoglio, en
acceptant l’élection, se fonde précisément sur l’éloignement évident de
ses actions de gouvernement et de magistère par rapport à ce que tout
catholique de tout temps attend du Vicaire du Christ et du Successeur
du Prince des Apôtres. Tout ce que fait Bergoglio constitue une offense
et une provocation à l’Église catholique tout entière, à ses saints de
tous les temps, aux martyrs qui ont été tués dans l’odium Fidei, aux
papes de tous les temps jusqu’au Concile Vatican II.
Il s’agit aussi et surtout d’une offense au divin Chef de l’Église,
Notre Seigneur Jésus-Christ, dont Bergoglio exerce l’autorité sacrée au
détriment du Corps mystique, avec une action trop systématique et
cohérente pour apparaître comme le résultat d’une simple incompétence.
Dans l’action de Bergoglio et de son entourage, se réalise
l’avertissement du Seigneur : Méfiez-vous des faux prophètes, qui
viennent à vous sous l’apparence d’agneaux, mais qui, au fond, sont des
loups ravisseurs (Mt 7,15). Avec eux, je m’honore de n’avoir ni ne
vouloir aucune communion ecclésiale : leur lobby est un lobby qui
déguise sa complicité avec les maîtres du monde pour tromper tant
d’âmes et empêcher toute résistance à l’établissement du Royaume de
l’Antéchrist.
Face aux accusations du Dicastère, j’affirme, en tant que Successeur
des Apôtres, être en pleine communion avec l’Église catholique
apostolique romaine, avec le Magistère des Pontifes romains et avec la
Tradition doctrinale, morale et liturgique ininterrompue qu’ils ont
fidèlement conservée.
Je répudie les erreurs néo-modernistes inhérentes au Concile Vatican II
et au soi-disant « Magistère post-conciliaire », en particulier en
matière de collégialité, d’œcuménisme, de liberté religieuse, de
laïcité de l’État et de liturgie.
Je répudie, rejette et condamne les scandales, les erreurs et les
hérésies de Jorge Mario Bergoglio, qui manifeste une gestion absolument
tyrannique du pouvoir, exercé à l’encontre de la finalité qui légitime
l’Autorité dans l’Église : une autorité vicaire de celle du Christ et
qui, en tant que telle, ne doit obéir qu’à Lui. Cette séparation de la
papauté de son principe légitimant qu’est le Christ pontife transforme
le ministerium en une tyrannie autoréférentielle.
Aucun catholique digne de ce nom ne peut être en communion avec cette «
Église bergoglienne », car elle agit en discontinuité et en rupture
flagrantes avec tous les papes de l’histoire et avec l’Église du Christ.
Il y a cinquante ans, dans ce même palais du Saint-Office, l’archevêque
Marcel Lefebvre a été convoqué et accusé de schisme pour avoir rejeté
Vatican II. Sa défense est la mienne, ses paroles sont les miennes, ses
arguments sont les miens, avant lesquels les autorités romaines ne
pouvaient pas le condamner pour hérésie, devant attendre qu’il consacre
des évêques pour avoir le prétexte de le déclarer schismatique et de
révoquer son excommunication alors qu’il était déjà mort. Le schéma se
répète même après que dix lustres ont prouvé le choix prophétique de
Mgr Lefebvre.
En ces temps d’apostasie, les catholiques trouveront dans les pasteurs
fidèles au mandat reçu de Notre Seigneur un exemple et un encouragement
à demeurer dans la vérité du Christ.
Depositum custodi, selon l’exhortation de l’Apôtre : à l’approche du
moment où je devrai rendre compte au Fils de Dieu de toutes mes
actions, j’entends persévérer dans le bonum certamen et ne pas manquer
au témoignage de foi qui est exigé de celui qui, en tant qu’évêque, est
doté de la plénitude du sacerdoce et a été constitué successeur des
Apôtres.
J’invite tous les catholiques à prier pour que le Seigneur vienne au
secours de son Église et donne du courage à ceux qui sont persécutés à
cause de la foi.
+ Carlo Maria Viganò, archevêque
20 juin 2024 »
20 juin
On
a vu dans les dernières analyses que le temporel rejoint le spirituel
aux niveaux des bêtes de la terre et de la mer de l'Apocalypse, que la
Fille Aînée de l'Église rejoint Rome à la fin des temps, donc que le
chao part des deux entités.
Comme
preuve supplémentaire, voici ce qui se passe en France conjointement
avec le Vatican concernant la messe tridentine et Traditionis Custodes.
De
plus, ceux qui lisent ces analyses depuis quelques années savent qu'il
y a un flou à propos de la succession des papes selon le prophétie de
St-Malachie, et que selon les prophéties concernant l'Église de Jean
XXIII, il y a la possibilité d'un remplaçant du pape élevé par les
circonstances extrêmes de la situation, c'est à dire du Secrétaire
d'État Pietro Parolin en position sur le siège de Saint Pierre sans
conclave (voir analyses précédentes sur le cardinal Pietro Parolin
comme étant probablement Pierre II le romain de la prophétie de
Saint-Malachie, celui qui serait assassiné selon la prophétie de Jean
XXIII).
«
... Du point de vue français, nous pouvons confirmer qu'un haut
fonctionnaire aussi représentatif que le Nonce Apostolique en France
fait tout pour obtenir une application maximale de la Traditionis
Custodes . Mgr Celestino Migliore attise toujours l'ardeur liturgique
anti-traditionnelle des évêques de France, insistant pour que la messe
traditionnelle soit tolérée le moins possible et que les autres
sacrements, notamment les baptêmes, les mariages et les confirmations,
ne soient jamais administrés de manière traditionnelle. .
Un nonce apostolique est par mission un organe de la Secrétairerie
d'État. Cela confirmerait que le cardinal Pietro Parolin, fils
spirituel du cardinal Silvestrini, leader de la Rome libérale pendant
des décennies, est un pur « progressiste », admirateur de l'Ostpolitik
du cardinal Casaroli, qu'il a imité et même dépassé dans ses accords
avec la Chine, qui se cache sous la surface d'un homme sensé (il ne se
souciait qu'à moitié d'approuver que Fiducia Supplicans permettait la
bénédiction des couples homosexuels. Son nom apparaît constamment
aujourd'hui parmi les papabilis, celui d'un homme de la lignée de
Bergoglio, mais sérieux, réfléchi trempant dans les dossiers).
Sans avoir de cabinet fantôme, ce Secrétaire d'État/candidat au titre
de Pape a des hommes sur lesquels il peut compter le moment venu... si
le moment vient... Et l'un d'eux est le Nonce Migliore, de l'écurie du
Cardinal Becciu et une des personnalités les plus importantes du corps
diplomatique du Saint-Siège. Il a été envoyé en France en 2020 pour «
bergogiser » l'épiscopat français. En ce sens, l'abandon de Michel
Aupetit de l'archevêché de Paris, suivi de la nomination de Laurent
Ulrich à ce siège, est l'une de ses plus brillantes réussites.
On raconte qu'une promesse tacite aurait été faite à l'efficace
Celestino Migliore : il serait le secrétaire d'État du pape Parolin,
mais à condition qu'il parvienne à éradiquer le traditionalisme en
France. D'où ses efforts disproportionnés auprès de la Conférence
épiscopale française et des évêques, qui éviteraient à un Parolin
devenu pape d'avoir à gérer cet épineux dossier.
C'est ce zèle tout à fait carriériste qui suscite une grande
consternation parmi les évêques de France, même parmi ceux convaincus
du bien-fondé de la Traditionis Custodes mais qui se rendent compte
qu'une telle entreprise est impossible en France à moins de se lancer
dans une croisade bien étrangère à l'époque où nous vivons, et dont le
succès serait très incertain en ces temps de dialogue et d'Église
synodale.
Mais entre-temps, le nonce Migliore continue d'insister, même à huis
clos, en affirmant qu'il ne faut pas prendre au sérieux les fidèles
traditionnels. » (caminante-wanderer.blogspot.com)
Nous approchons du 40 jours après la date du signe de Jonas du 13 mai dernier.
Et
la tache solaire qui a causé cette tempête est toujours active après un
passage face à la terre en début juin, et qui est maintenant sur le
point de réapparaître face à la terre autour de la Saint-Jean Baptiste.
Il est rare qu'une tache solaire conserve son énergie pour durer aussi longtemps.
Pour l'instant, c'est toujours le cas.
19 juin
Voilà que cela se confirme exactement comme prévu selon les dernières analyses:
« Des sources ont déclaré à Rorate Caeli que les responsables du
Vatican souhaitent interdire la messe latine de la manière « aussi
large, définitive et irréversible que possible », et une source a
informé LifeSiteNews que cette interdiction sera probablement émise à
l’occasion du troisième anniversaire de Traditionis Custodes.
( LifeSiteNews
) — Plusieurs sources « crédibles » ont informé un média catholique
traditionnel que le Vatican prévoyait de publier un document «
interdisant » la messe traditionnelle latine, et une source a informé
LifeSiteNews que cela se produirait probablement le 16 juillet.
« On tente de mettre en œuvre, le plus vite possible, un document du
Vatican contenant une solution stricte, radicale et définitive
interdisant la messe traditionnelle en latin », a rapporté lundi Rorate
Caeli , qui attribue la nouvelle aux « sources les plus crédibles, dans
différents continents », y compris aux « cercles proches » du cardinal
Arthur Roche, préfet du Dicastère pour le culte divin.
Ces sources seraient « les mêmes… qui ont été les premiers à révéler
qu’un document comme Traditionis Custodes viendrait » et qui ont
également « révélé à Rorate que le Vatican avait envoyé une enquête aux
évêques » sur leur mise en œuvre du TLM à la suite du motu de 2007 du
pape Benoît XVI. proprio Summorum Pontificum , qui a permis une large
utilisation de la messe latine.
Selon Rorate , ceux qui planifient cette suppression « définitive » du
TLM sont « frustrés » par les « résultats apparemment lents » du
document du pape François restreignant la messe en latin, Traditionis
Custodes , en particulier aux États-Unis et en France, et « veulent
l’interdire et le fermer partout et immédiatement »… »
15 juin
LE QUATRIÈME COUP DE CANON
« … Les assassins sont en Europe. Ils veulent la Méditerranée…
Ce
n'est pas le temps d'un roi, ce ne l'a jamais été. Depuis la mort de
Frédéric, chaque roi est usurpateur. Que le roi s'en aille, reste le
peuple. L'Europe a soif, elle aura du sang dans les rues. » (prophétie politique « Grand Éclair à l’Orient » de Jean XXIII)
Nous
assistons au dernier acte avant la chute définitive de Babylone la
grande : la guerre sur le territoire israélien pour l’embrasement
autour de la Méditerranée.
La synagogue de Satan établie en Europe mène le bal.
Elle a sa marionnette, fils spirituel des Rothschild, Emmanuel Macron.
Suite à l’article du signe de Jonas, on se doutait que le chaos guettait la fille aînée de l’Église pour juillet 2024.
Force est de constater que tout semble se mettre en place avec les
élections législatives du 30 juin : le lendemain de la fête des
saints Pierre et Paul.
Le spirituel rejoint le temporel.
La bête de la mer rejoint la bête de la terre pour une grande finale.
Pour
l’importance du Vatican et de la France en ce moment critique, voici un
résumé du regretté Louis D’Alencourt du Grand Réveil: « 1958, le tournant : l’Église est veuve »
« Rome détient le pouvoir spirituel ; c'est la nouvelle Jérusalem et le Vatican le nouveau temple de Dieu.
L’Église est fondée à Rome, et c'est là qu'y meurent ses deux
fondateurs : saints Pierre et Paul. Cette fondation sera prolongée
jusqu'à aujourd'hui par la continuité apostolique des souverains
pontifes.
La
France détient le pouvoir temporel ; le peuple de Dieu est désigné dans
l'Ancien Testament par un mot qui désigne à la fois une entité
collective (le peuple) son fondateur (Jacob) et même son territoire. Ce
mot c'est Israël.
Le
Nouveau Testament a changé la donne : le peuple de Dieu n'est plus le
peuple hébreu, il est constitué désormais de tous les hommes qui
croient en la divinité de Jésus-Christ et qui affirment publiquement
cette foi par le baptême, condition obligatoire pour devenir
officiellement enfant de Dieu.
Le
royaume de Dieu créé par Jésus lors du triduum pascal est donc
constitué d'un nouveau peuple, rassemblé dans un nouveau temple
(l’Église) et disposant d'un nouveau territoire : le monde entier.
Mais
de même qu'il faut un siège pour la nouvelle église (ce sera Rome) il
faut un pays et un peuple pour continuer à symboliser à la fois la
terre promise et le peuple de Dieu…
C’est la France, terre choisie de toute éternité par la Sainte Vierge...
À la fin des temps, les deux endroits sur lesquels le monde aura les yeux fixés sont Rome et la France.
Emmanuel Macron est né un 21 décembre. A ce niveau-là, le hasard
n'existe pas. Surtout quand on sait que le prénom Emmanuel veut dire
"Dieu avec nous" en hébreu. On comprend mieux pourquoi la presse aux
ordres le compare à Jupiter.
Personnellement,
je pense que dans leur esprit Emmanuel Macron est une sorte de nouveau
roi David ; il n'est pas le Messie, car le Messie est Dieu (les juifs
sont les premiers à le savoir) mais il leur faut un grand roi (le plus
grand puisque le Messie est appelé fils de David) qui saura épauler le
Messie le moment venu… »
Nous ne sommes plus eschatologiquement sur du temps long, mais court.
Car Satan est sur le point de proclamer sa victoire.
L’Antichrist est présent.
C’est un système.
Le système politique et spirituel dans lequel nous vivons et qui est sur le point d’atteindre son apogée.
La prophétie de Jean XXIII au début de cet article est très claire.
Emmanuel Macron veut s’imposer comme roi.
Emmanuel Jean-Michel Frédéric
Macron, de son nom complet, a mis la France dans le trouble
financièrement, et provoque sans équivoque la Russie en envoyant
des troupes au sol en Ukraine, de même que des armes plus sophistiquées.
Du chaos à venir l’ordre doit surgir.
La bête de la mer (Vatican) rejoint la bête de la terre (politique, Macron en tête) en ce mois de juin.
Comme
preuve ultime, nous avons Bergoglio qui participe à la réunion du G7
cette semaine, confirmant ainsi la fusion de l’église conciliaire à la
religion humaniste franc-maçonnique.
« Ce
sera pendant ce temps que naîtra l’antéchrist, d’une religieuse
hébraïque, d’une fausse vierge qui aura communication avec le vieux
serpent, le maître de l’impureté ; son père sera évêque » (La Salette)
La
religion catholique conciliaire (fausse vierge) et son père évêque
(c’est bien ce qu’affirme être Bergoglio) couche avec la synagogue de
Satan (religieuse hébraïque).
Alors
que le mois de juin est le mois consacré au Sacré-Cœur dans l’Église
catholique, il est devenu le mois de la fierté gay, même pour Bergoglio.
Satan
ayant donc transmuté tout ce qui était sacré dans la société chrétienne
pour des considérations humanistes, s’apprête à donner le quatrième
coup de canon.
Cette
stratégie de Satan, expliquée dans l’article de Louis D’Alencourt dans
la référence ci-dessus, est le long cheminement pris par les
franc-maçons pour éliminer la présence du Christ sur cette terre.
Albert Pike, chef luciférien bien connu a en résumé le plan.
Les trois premiers ont été donné (extraits de l’article du Grand Réveil):
« 1) Premier coup de canon : l’œuvre et l’action de Luther
Date retenue par Pike : 10 décembre 1520 (Luther brûle la bulle papale et le droit canonique)
2) Deuxième coup de canon : destruction de la monarchie catholique par la décapitation d’un roi chrétien.
Date : 21 janvier 1793 (mort de Louis XVI)
3) Troisième coup de canon : abolition du pouvoir temporel des papes.
Date : 20 septembre 1870 (chute des États Pontificaux)
4) Quatrième
coup de canon : abolition définitive de la papauté ; plus
exactement « abolition du pouvoir spirituel de la papauté
chrétienne, après l’abolition du pouvoir temporel.
Date : à déterminer ; fait ou à venir ?
Puisque
le quatrième coup de canon semble similaire au troisième (la papauté
est concernée dans les deux cas) et que les enjeux se suivent (perte du
pouvoir temporel d’abord, du pouvoir spirituel ensuite), on peut tenter
d’établir un parallèle entre les deux périodes historiques afin
d’essayer de savoir quand réellement le quatrième coup de canon a été
tiré.
C’est
là que la France intervient, et effectivement les faits sont
suffisamment troublants pour être signalés : à chaque fois, les
événements de Rome sont précédés d’un changement majeur de régime en
France. Comme s’il fallait d’abord neutraliser la France, protectrice
de l’Église catholique, avant de pouvoir s’attaquer à la papauté... »
À CHAQUE FOIS, LES ÉVÉNEMENTS DE ROME SONT PRÉCÉDÉS D’UN CHANGEMENT MAJEUR DE RÉGIME EN FRANCE.
Et, en ce mois de juin, nous avons bien les signes de la parabole du figuier, autant politique que spirituel.
Surtout suite au possible signe de Jonas du 11 au 13 mai dernier.
Quels sont les signes de « feuilles tendres du figuier » auxquels nous avons droit?
Le premier, évidement, est la guerre qui s’intensifie, et la France qui en est le moteur principal de montée en tension.
De
même, l’OTAN pousse la provocation encore plus loin en permettant que
les armes américaines puissent être utilisées en territoire russe, tout
en confirmant que les chasseurs F16s danois et hollandais sont sur le
point d’être livrés à l’Ukraine.
La
Russie répond que chaque pays accueillant les armes utilisées contre
son territoire sera susceptible d’être une cible, tout en envoyant une
flotte navale pour un «exercice» dans les eaux des caraïbes, accostant
même à Cuba avec 4 navires et un sous-marin.
Çà
commence drôlement à ressembler à la crise d’octobre 1962… et à la
prophétie de Jean XXIII « Grand Éclair à l’Orient » où la terre frisera
le massacre.
Jean XXIII avait cru bon justement de publier « Pacem in Terris » le 11 avril 1963 pour calmer le jeu.
Au
niveau spirituel, Bergoglio est sur le point de fusionner l’église
conciliaire définitivement avec la pensée maçonnique par son humanisme
débridé, en interdisant simplement la tradition.
Nous savons de toute façon ce qui arrivera puisque l’Apocalypse nous avertit : il y aura mort des deux témoins.
Mais le signe le plus évident de la fin des temps est le décès éventuel de Bergoglio.
Car c’est Dieu et la chrétienté qui importent, et c’est là qu’il faut regarder.
Bergoglio vieillit. Il a de la difficulté à respirer, à marcher,… Bref sa santé décline à vue d’œil.
LE TEMPS PRESSE.
La fin de la papauté est l’objet de plusieurs prophéties qui concordent toutes sur ce point.
Toutes.
- Jean XXIII avec la prophétie de l’Église #11 « Le Septième Sceau ».
- La prophétie de Saint-Malachie sur les 111 papes successifs.
-
La prédiction de Satan cité dans le « Diable au XIXème
siècle », publié en (1893, le docteur Bataille explique comment
des questions sont posées à Lucifer via Sophia Walder lors de séances
occultes bien particulières :
« A la dernière de ces séances, du moins à la dernière à laquelle
j’assistai en cette année-ci, la question posée à la pythonisse
luciférienne fut :
– Combien de papes succéderont à Léon XIII ?
Et la réponse, en lettres rouges, qui parut sur la chair blanche, fut :
– Neuf, et après je règnerai. »
Il y a bien eu 9 papes après Léon XIII avant de voir le destructeur Bergoglio monter sur le trône de Saint-Pierre.
C’est avec lui qu’il règne.
Effectivement.
-
La suite de Garabandal cité dans l’analyse générale : trois papes
après Jean XXIII, dont un ne compte pas (Jean-Paul I), avant le
destructeur.
-
Diana Vaughan était une grande prêtresse luciférienne de la fin du
XIXème siècle, miraculeusement convertie, et qui eut le temps de faire
quelques révélations avant d’être enlevée par les francs-maçons. Dans
un de ses livres, elle explique certains versets du
livre Apadno (prophéties sataniques dictées par Lucifer à
Albert Pike), et notamment les versets 18 et 19 :
« Le
verset 18 explique que le dernier pape des catholiques sera un
juif converti à la religion du Christ ; pendant son
pontificat, il n’y aura plus un seul juif qui ne soit luciférien.
Lui-même, lorsque l’Antichrist se sera révélé au monde, il
abandonnera son catholicisme romain, non pas pour retourner au
mosaïsme, mais pour adopter le culte de Lucifer ; il déposera
la tiare et son zèle sera grand pour l’œuvre du palladisme triomphant.
Dans l’Apadno, ce franc-maçon qui occupera le souverain pontificat
luciférien, au temps de la mission publique de l’Antichrist, est aussi
appelé le Rempart de Dieu.
- Dans l’Apocalypse :
«
C'est ici qu'il faut un esprit doué de sagesse. — Les sept têtes sont
sept montagnes, sur lesquelles la femme est assise. Ce sont aussi sept
rois :
Les
cinq premiers sont tombés, l'un subsiste, l'autre n'est pas encore
venu, et quand il sera venu, il doit demeurer peu de temps.
Et
la bête qui était et qui n'est plus, en est elle-même un huitième et
elle est des sept, et elle s'en va à la perdition. » (Apocalypse 17,
9-11) »
La clé pour démarrer le compte (guidé par « l’esprit de sagesse » et du
fait qu’on ne peut reconnaître les faits qu’en y étant présent) est
celui qui « subsiste », c’est à dire Benoît XVI. Cinq papes avant lui
donc.
Et la bête qui était et qui n'est plus, en est elle-même un huitième et elle est des sept, et elle s'en va à la perdition.
Et Bergoglio, qui représente la bête marxiste socialiste
judéo-maçonnique, est le septième pape, mais il a décidé d’abandonner
son titre de vicaire du Christ, ET, d’abandonner son titre de pape en
décidant qu’il n’était, dans son idée de collégialité, que l’évêque de
Rome (en référence aux sept collines).
Il est devenu le huitième, la bête cachée derrière le titre de pape, et qui s’en va à la perdition.
Il est donc roi du Vatican, vassal de Satan, qui domine le Saint-Siège.
C’est
pourquoi il faut avoir à l’œil la date du 29 juin prochain quant aux
intentions de Bergoglio concernant la messe traditionnelle.
Car Rome a perdu la foi et est devenu le siège de l’Antichrist conformément à l’annonce à la Salette.
Et,
comme la Chrétienté a pris ses ailes à Rome, les persécutions partent
aussi de Rome parce qu'aux derniers Temps, l'Église est inversée par
rapport à elle-même.
Il en est de même pour le politique.
Les persécutions partiront du chaos dans la fille aînée de l’Église.
Conformément aux prédictions de la Salette, l’Église a été éclipsée, le Monde catholique est dans la consternation.
Les
deux témoins, les fidèles à la Loi et aux prophètes du clergé et les
laïcs, avec comme tête la tradition, prêchent avec la force de Dieu et
condamnent les erreurs diaboliques de l’Antéchrist.
Le calendrier de l’Apocalypse s’accélère, car nous sommes maintenant sur du temps court.
Le temporel rejoint le spirituel.
Et juste quand nous écrivions cette analyse clé...
BERGOGLIO LANCE LE QUATRIÈME COUP DE CANON!
Le 13 juin dernier, un mois jour pour jour après le signe de Jonas.
107
années après l'apparition du 13 juin 1917 à Fatima où la Sainte Vierge
demande la dévotion à son COEUR IMMACULÉ, qui est le refuge, NOTRE
refuge pour la fin des temps.
ET, c'est le 13 juillet 1917 qu'elle demande la CONSÉCRATION DE LA RUSSIE.
Les 100 ans accordés à Satan pour détruire l'Église sont terminés (vision de Léon XIII).
Nous avons eu 7 ans de grâce supplémentaire.
Bergoglio a publié le document qui fera basculé la papauté! (voir ici en français)
ET LA MESSE.
L’œcuménisme dans toute sa gloire.
Et signé (remarquez la page couverture) par…
L’évêque de Rome.
Évidement.
Ce qu’en dit Mgr Vigano :
«
Le document d'étude du Dicastère pour la promotion de l'unité des
chrétiens « L'évêque de Rome. Primauté et synodalité dans les dialogues
œcuméniques et dans les réponses à l'encyclique Ut unum sint" est
l'application cohérente des prémisses subversives posées par Vatican II
et les "papes conciliaires" :
– La messe a été frelatée sur le modèle de la Cène protestante ;
– le prêtre est devenu le « président » d'une assemblée ;
–
l'autorité a été retirée aux évêques par les conférences épiscopales et
le synode, qui se l'ont appropriée au nom de la collégialité ;
–
maintenant le Pape doit devenir le « primus inter pares » des sectes
chrétiennes, il doit trahir le mandat confié par le Christ à Pierre et
à ses successeurs et abdiquer le rôle de Vicaire du Christ.
La
secte bergoglienne s'apprête à rejoindre les autres communautés
schismatiques et hérétiques, après avoir embrassé leurs erreurs. Bref,
le futur chef de la nouvelle Religion de l’Humanité souhaité par
l’élite maçonnique du Nouvel Ordre Mondial se dessine déjà.
Ce
plan a nécessité des décennies de préparation et a utilisé la démission
de Benoît XVI comme un élément supplémentaire pour détruire la papauté,
compte tenu de l'action destructrice du jésuite argentin.
La
trahison commence au sommet de l'institution, et elle n'a pas commencé
avec Bergoglio : ce document d'étude n'est rien d'autre que la
reproposition de ce que Jean-Paul II espérait dans l'encyclique Ut unum
sint, qui à son tour fait référence au Vatican. Concile II.
La
trahison était déjà inhérente à l’œcuménisme, proposée à nouveau dans
la période post-conciliaire dans les mêmes termes avec lesquels elle
avait été condamnée auparavant.
L'usurpateur
Bergoglio utilise le pouvoir de la Papauté pour la discréditer,
l'humilier et déformer définitivement son essence immuable voulue par
le Christ lui-même. Et sans changer officiellement (doctrinalement)
l'institution monarchique de l'Église, en fait (pastoralement)
Bergoglio la renverse, en faisant une institution synodale seulement
apparemment démocratique dans laquelle l'Église profonde est une alliée
de l'État profond dans l'établissement de l'anti- Dictature du Christ
du Nouvel Ordre Mondial.
Bergoglio
a usurpé la papauté avec l’intention perverse de détruire ce qui
restait de l’Église catholique : muter génétiquement la papauté afin de
la soumettre totalement à l’idéologie mondialiste.
Bergoglio
abuse du pouvoir suprême dans l’Église pour démolir l’Église,
exactement comme dans la sphère civile d’autres subversifs abusent de
leur autorité pour effacer la souveraineté et l’identité même des
peuples.
La révolution conciliaire suit le même schéma subversif que l’on a vu appliqué dans la sphère civile depuis la
Révolution française et qui nous est à nouveau proposé aujourd’hui avec le coup d’État de l’Agenda 2030.
Bergoglio est le syndic de faillite d'un plan diabolique planifié il y a plus de soixante ans. »
On l'avait annoncé et analysé abondamment.
Et
toujours affirmé qu'il ne s'agissait que de l'annoncer car nous savons
en tant que chrétiens éveillés que la présence réelle ne sera jamais
écarter.
C'est la promesse de NSJC: « Je serai avec vous jusquà la fin du monde »
Cette génération est condamnée.
La messe oecuménique abolissant la présence réelle est à nos portes!
C'est confirmé par le Vatican.
La suite appartient au Christ.
Dieu vous bénisse.
01 juin
En hommage au regretté Louis D’Alencourt (grandreveil.wordpress.org), qui a inspiré en partie cette analyse.
La disparition de Louis pour ses lecteurs a été un choc monumental, puisque rien le laissait présager un tel dénouement.
Paix à son âme.
Sa mission est donc terminée dans ce monde temporel.
Il méritait grandement de partir sans être témoin du courroux qui s’en vient.
Le Père, en venant le chercher si tôt nous donnerait-il un signe?
Cela signifierait-il qu’il ne reste que peu de temps pour se convertir?
Car,
à partir de la fin de la 6ème période de l'Apocalypse (c'est à dire
maintenant), lorsque la chute de Babylone est enclenchée, il sera trop
tard, car le 7ème sceau ouvre la porte du Jugement.
La parabole du figuier (Matthieu 24, 32-35) est très appropriée.
Maintenant!
« Écoutez
une comparaison prise du figuier. Dès que ses rameaux deviennent
tendres, et qu'il pousse ses feuilles, vous savez que l'été est proche.
Ainsi, lorsque vous verrez toutes ces choses, sachez que le Fils
de l'homme est proche, qu'il est à la porte. Je vous le
dis en vérité, cette génération ne passera point que toutes ces choses
n'arrivent.Le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront point. »
LE SIGNE DE JONAS? (partie II)
Avez-vous remarqué que Bergoglio n’a pas été le célébrant principal de la messe depuis le milieu de l’année 2022?
La
messe tridentine est au cœur du sujet car elle fait obstacle à la
futur cérémonie œcuménique poussée par Bergoglio dans les derniers
mois.
D’où ses attaques :
- « CITÉ DU VATICAN, 30 juin 2021 ( LifeSiteNews
) — Le Vatican a décidé d’interdire le latin, la langue traditionnelle
de l’Église catholique, de la célébration de la plupart des messes dans
la basilique Saint-Pierre.
- Traditionis Custodes du 16 juillet 2021 interdisant la messe tridentine.
-
Bergoglio renforce son Motu Proprio Traditionis Custodes lors de la
fête des Saints Pierre et Paul en juin 2022, pour le dernier droit vers
la messe œcuménique. (vaticannews.va)
- « C’est pourquoi j’ai écrit Traditionis custodes , afin que l’Église
élève, dans la variété de tant de langues, une seule et même prière
capable d’exprimer son unité.
« Comme je l’ai déjà écrit, j’entends que cette unité soit rétablie dans toute l’Église de rite romain », a déclaré François…
«
Bergoglio a l’intention de mettre fin à la messe traditionnelle en
latin en imposant le Novus Ordo à tout le rite romain sous prétexte
d’unité », a averti le clerc, affirmant plus tard que l’exhortation du
pape à « abandonner nos polémiques pour écouter ensemble ce que
l’Esprit dit à l’Église » est une manière voilée de dire « nous devons
abandonner la Tradition et nous soumettre à sa volonté [de François] ».
La
journaliste vaticane Bree Dail a écrit que, « selon plusieurs sources,
le pape François » ne croit plus au débat en cours « sur »
l’herméneutique de la continuité « , mais « a clairement exprimé sa
position personnelle, en rupture avec son prédécesseur, Benoît XVI »… »
(lifesitenews.com)
-
Dans son homélie pour la fête des saints Pierre et Paul, le pape a
semblé comparer les catholiques « rigides » à la persécution de
l’Église par saint Paul.
…
Le pape François s’est alors lancé dans ce qui est devenu une attaque
régulière contre les catholiques « rigides », semblant suggérer que les
catholiques « rigides » sont comme saint Paul dans son zèle
anti-catholique.
« Le pape appelle à la fin de la « défense intransigeante de la tradition »
Comme on le voit, les attaques ont lieu à la fête de Saint-Pierre et Saint-Paul, le 29 juin.
On se rappelle que c’est en cette journée aussi que…
«
devant la situation de l’Église d’aujourd’hui, nous avons le sentiment
que par quelque fissure la fumée de Satan est entrée dans le peuple de
Dieu… » Paul VI, 29 juin 1972.
C’est le contexte actuel.
Le
synode des synodes est supposé achever le plan dont la victoire sera
ensuite célébrée par un temps de fraternité universelle, le Jubilé 2025.
Le temps presse.
Voyons nous un mouvement de masse de conversion à la vraie Foi?
La réponse est évidente.
Le signe de Jonas est proche…
Ou, a eu lieu!
En quoi consiste le signe de Jonas?
Rappelons
en quelques mots l’histoire de Jonas : celui-ci est chargé par
Dieu d’aller porter un message à la ville de Ninive, en Assyrie.
Jonas
refuse sa mission et s’embarque sur un bateau vers une destination
opposée. Dieu provoque une tempête qui aboutit à la conclusion que la
présence de Jonas est la cause de cette tempête, et celui-ci est jeté à
l’eau.
Il est avalé alors par un grand poisson dans le ventre duquel il reste 3 jours et 3 nuits.
Le
poisson le rejette sur le bon rivage et Jonas part à Ninive délivrer
son message : « Encore 40 jours et Ninive sera
détruite ».
Les
gens de Ninive crurent en Dieu, décrétèrent un jeûne et se couvrirent
de sacs, du roi jusqu’aux bêtes, et se repentirent de leurs mauvaises
actions.
Finalement, devant l’attitude de pénitence des ninivites, Dieu épargnera la ville.
Le signe de Jonas que Jésus indique, ce sont les 3 jours que passe ce dernier dans l’obscurité dans le ventre du poisson.
Ce signe est indissociable de la mission de Jonas qui consiste à annoncer que dans 40 jours Ninive sera détruite.
Alors, quelle est la nature de ces 3 jours?
Le livre de Jonas parle d’une grande tempête.
Après
ses 3 jours et 3 nuits, Jonas prend immédiatement le chemin de Ninive
car cette dernière n’a que 40 jours pour se convertir avant d’être
détruite.
Le même sort nous attend.
Mais contrairement à Ninive, l’Apocalypse nous indique qu’il n’y aura pas de conversion en cette fin des temps :
Il est expliqué que malgré les signes, « les autres hommes, ne se repentirent ni de leurs meurtres, ni de leurs enchantements, ni de leur impudicité, ni de leurs vols.» (Apoc. 9, 21).
Une attitude confirmée dans le livre de Daniel : « il
y en aura beaucoup qui seront purifiés, blanchis et éprouvés ; et les
méchants feront le mal, et aucun méchant ne comprendra ; mais les
intelligents comprendront. » (Daniel 12, 10)
Le Christ nous l’a indiqué.
Le seul signe qui sera donné avant son retour sera celui de Jonas.
Et,
Babylone n’aura que 40 jours avant le début des châtiments et des deux
derniers grands malheurs (6è et 7è trompettes) de l’Apocalypse.
Que représente le chiffre 40?
«
La durée de quarante jours, ... recouvre une valeur symbolique. Est-ce
à dire qu’historiquement, quarante jours, soit quarante journées et
quarante nuits, ont séparé la Résurrection du Christ de son
Ascension ?
Pas nécessairement.
Ces
quarante jours désignent en fait un temps d’attente et rappellent à la
fois les quarante jours du Déluge qui s’abat sur la Terre, les quarante
ans du peuple hébreu dans le désert, les quarante jours du jeûne de
Moïse au Mont Sinaï avant de recevoir la loi, les quarante jours
d’errance du prophète Élie et les quarante jours que le Christ passe au
désert.
Tous traduisent une durée, une durée longue et mystérieuse.
Quarante,
dans la tradition de l’Église, c’est aussi le nombre de jours
du Carême : c’est le temps de l’attente, le temps du silence
et de la prière, un temps nécessaire d’épreuve, de cheminement et de
maturation pour se préparer à retrouver Dieu. Une période nécessaire,
aussi, pour que les disciples s’approprient la vérité ahurissante de la
résurrection, pour ensuite en témoigner à leur tour. Quarante jours
pour se rappeler que la foi est un chemin, toujours un chemin, et que
l’épreuve, l’ajustement et le doute précèdent l’heureuse union avec
Celui qui nous aime tant.(fr.aleteia.org)
Notons également, que le nom de Jésus (Ieshoua) a pour valeur numérique 47 en hébreu.
Le nombre du Christ en gloire est donc le 47.
Le
mois de mai est le mois de Marie ; rien ne nous interdit de penser
qu’en l’honneur de la Vierge Marie, les armées célestes ont commencé la
grande épuration.
Puisque les apparitions de Fatima ont commencé le 13 mai 1917.
Puisque
Don Bosco avec sa prophétie sur le retour de l'Iris de Paix prévient
que ce sera avant le mois des fleurs, de Marie, de mai, ayant deux
pleines lunes (c'est à dire mai 2026).
L'entièreté
du calendrier de la fin des temps (chute de Babylone, mort des témoins,
résurrection des témoins, mort de l'Antichrist, etc..) doit avoir lieu
avant cette limite si la vision de Don Bosco est véridique.
Le
regretté Louis d’Alencourt (du Grand Réveil) indiquait qu’il y avait un
compte long en eschatologie, et qu’au derniers temps, le compte serait
court.
En jours.
Dans
la nuit du 10 au 11 mai dernier, une série d’éjections de masse
coronales du soleil a atteint notre planète provoquant la tempête
magnétique la plus intense depuis des décennies.
Elle s’est terminée 3 jours et 3 nuits plus tard, dans la nuit du 13 mai, date anniversaire de Fatima.
Du vendredi après-midi au dimanche, comme la Passion du Christ.
Comme indiqué par le signe de Jonas.
De plus, la tempête a eu lieu le lendemain de la fête de l’Ascension, le jeudi 9 mai.
À L’Ascension, NSJC, qui était jusque là visible pour ses apôtres et disciples, rejoint le Père.
Deux anges s’adressent alors aux disciples qui regardent encore en l’air : « Hommes
de Galilée, pourquoi vous arrêtez-vous à regarder au ciel ? Ce Jésus
qui, du milieu de vous, a été enlevé au ciel, en viendra de la même
manière que vous l'avez vu monter. » (Actes 1, 11).
C’est donc à l’Ascension que ce qui était visible est redevenu invisible.
Conformément à la parole des anges, c’est à l’Ascension que ce qui était invisible redeviendra visible.
C’est peut-être ce qui est arrivé en début mai.
Si
c’est le cas et si nous sommes sur un compte court, alors les 40 jours
de conversion, selon le signe de Jonas, s’applique à partir du 13 mai.
Ce qui nous amène au 22 juin, juste avant la Saint-Jean Baptiste, le précurseur du Christ.
Le chiffre sacré du nom de Jésus étant 47, ceci nous amène au 29 juin, soit la solennité Saint Paul et Saint Pierre.
Et on sait que cette date est fatidique : fumée de Satan annoncée par Paul VI, attaques contre la Sainte Messe, etc.
Parce que aussi, cette fête est importante pour le mouvement œcuménique moderne!
Alors, est-ce que la tempête du 11 mai représente le signe de Jonas?
Elle a été vue par toute la planète, même dans des endroits où on n’est pas témoin d’aurores boréales ou australes normalement.
Est-ce que l’impact incite à la conversion?
Certainement
pas parce que le monde a sacrifié le surnaturel pour la science, et que
les cerveaux sont anesthésiés par l’apostasie, le matériel, la
jouissance des biens de ce monde, le sens de l’invincibilité, en la
croyance que l’humain peut contrôler tout… même le climat.
Et de toute façon, l’Apocalypse nous confirme qu’il n’y aura pas de conversion!
Alors, pourquoi un signe?
Parce
que Dieu s’adresse à nous par le visible et que les sages de ce monde
qui existent regardent encore le ciel, en attente d’un signe, car ils
connaissent les écritures.
N’oublions pas : l’invisible redeviendra visible.
Logiquement, si signe il y a eu, l’étape des 40 jours devrait être critique, l’humanité devrait s’inquiéter.
Est-ce le cas?
Pas vraiment.
On a jouit du spectacle puis on est retourné à ses affaires habituelles.
Or,
la tache solaire qui a provoqué la tempête du 11 mai vient de
réapparaître (28 mai) de son périple de 12.5 jours derrière la face
cachée du soleil.
Et, immédiatement, elle nous a donné trois éjections de classe X2.9, X1.1 hier, et X1.4 ce matin.
C'est la 49ème éjection de classe X du cycle 25 du soleil (des cycles de 11 ans).
On a déjà égalé le nombre du cycle précédent au total, le cycle 24.
Et nous ne sommes même pas au maximum solaire...
Quand on sait que la limite du diable est de 49 coudées...
Rien
d’inquiétant pour l'instant (la tache ne faisant pas face directement à
la terre encore), si ce n’est qu’une possibilité d’aurores mineures,
mais les 10 prochains jours nous donnerons plus de détails lorsque la
tache AR3697 nous fera face directement.
La probabilité d’une nouvelle tempête est passée de 1% à 30% en une seule journée le 31 mai.
La tempête du 11 mai a servi d’avertissement.
49 jours à partir du 11 mai nous amène en juillet, prêt pour l'entrée dans le maximum solaire.
Babylone
la grande pourrait bien chuter en juillet 2024, mois important, puisque
la fille aînée de l'Église s'élèvera par son égoïsme avec les jeux
olympiques, sans oublier le 16 juillet, fête de ND du Carmel, une des
trois figures de Marie lors du miracle d'octobre 1917, et date choisie
par Bergoglio pour publier Traditionis Custodes il y a déjà trois ans.
Et dire que Satan singe Dieu, un chiffre singeant la Trinité tel que le trois est de mise pour une telle prédiction.
Étant
donné l'importance du moment et avec ce que nous venons de démontrer
dans les analyses, des mises à jour seront publiées aussitôt qu'une
alerte d'éjection de masse coronale (CME) sera émise.
Pour
ceux qui se demandent pourquoi et qui n'ont pas lu les analyses
précédentes, une tempête majeure comme en 1859 et 1989 a le potentiel
d'envoyer ce monde au moyen âge en courcircuitant tout ce qui est
électronique, et puisque ce monde orgueilleux ne dépend que de
l'électronique pour sa survie maintenant...
Ce serait alors un vrai signe de Jonas, quelques jours sinon des mois de noirceur.
Mai 2024
30 mai
LE SIGNE DE JONAS? (partie I)
LE signe.
Qui, actuellement, a la faculté de reconnaître le signe?
Nous
savons que le Vatican élabore une nouvelle messe œcuménique qui aura
pour conséquence de faire disparaître la présence réelle, du moins,
c’est l’intention mais nous savons que c’est impossible.
Mais, dans notre monde déchristianisé, qui est-ce que cela intéresse?
Pourtant, la messe demeure au cœur du sujet au Vatican.
Pourquoi?
Parce c'est la dernière étape du plan de destruction établi par la synagogue de Satan depuis longtemps.
Pendant que le monde s’apostasie, la synagogue croit encore au spirituel, car il domine le politique.
Cette
dernière a établi son emprise sur le temporel grâce à la finance,
les magouilles, aux accords de Latran, et à Vatican II: en effet, la
puissance de la synagogue de Satan s’étend sur tous les peuples, toutes
les nations, tous les continents, et sur le Vatican avec Bergoglio qui
met la touche finale!
Alors
que c’est le Christ qui devrait être au centre de nos sociétés tel
qu’il l’a demandé aux apôtres en leur disant d’aller baptiser et
convertir les païens.
Quant au spirituel, la synagogue se considère comme le seul peuple prêtre valable entre les hommes et Dieu.
D’où les notions de rédemption et de paix: seul ce peuple peut sauver le monde et lui garantir la paix.
Mais pour avoir la paix, il faut avant avoir la guerre.
C’est le scénario auquel nous avons droit maintenant.
Et, ce pouvoir spirituel de la synagogue doit être reconnu par tous.
Tous.
Mais il reste un obstacle pour fouler Rome aux pieds définitivement : la messe et la présence réelle.
Voici le contexte dans lequel nous attendons, nous chrétiens éveillés, le signe qui nous sera donné.
Mais quel signe?
NSJC a été très clair.
Nous n’aurons que le signe de Jonas!
En rappel, voici ce que Luc (11, 29) a rapporté dans son Évangile :
«
Le peuple s'amassant en foules, il se mit à dire : " Cette
génération est une génération méchante ; elle demande un signe, et
il ne lui en sera point donné d'autre que celui du prophète Jonas.
Car, de même que Jonas fut un signe pour les Ninivites, ainsi le Fils de l'homme sera un signe pour cette génération.
La
reine du Midi se lèvera, au jour du jugement, avec les hommes de cette
génération, et les condamnera, parce qu'elle est venue des extrémités
de la terre entendre la sagesse de Salomon : et il y a ici plus
que Salomon.
Les
hommes de Ninive se lèveront, au jour du jugement, avec cette
génération et la condamneront, parce qu'ils ont fait pénitence à la
prédication de Jonas ; et il y a ici plus que Jonas. »
Si on recoupe avec l’Évangile de Matthieu, nous constatons qu’il y a deux parties à la prophétie de Jésus :
- Ses trois jours au tombeau avant sa résurrection.
-
Le jugement pour cette « génération », c’est à dire, pour la génération
chrétienne qui a eu pour mission d’évangéliser le monde lorsque le «
peuple élu » a perdu ce droit en ne reconnaissant pas le Christ.
La reine de Saba, païenne égyptienne adorant multiples divinités, a été converti au seul Dieu par Salomon.
Les hommes de Ninive, se sont CONVERTIS à la suite de l’avertissement de Jonas.
Puisque
aujourd’hui les valeurs sont inversées, avec la grande apostasie et le
retour à tout ce qui se termine en «isme», les chrétiens actuels
fidèles, les DEUX TÉMOINS de l’Apocalypse (ceux fidèles à la Loi et aux
Prophètes, la tradition, le dogme) ont le droit de condamner ce
qui se trame contre la chrétienté, même au Vatican.
D’ailleurs, Saint-Jean dans l’Apocalypse donne le même commandement que le Christ : sortez de Babylone!
L’Église vit sa Passion comme le Christ l’a vécu.
C’est
pourquoi le signe de Jonas s’adresse à nous en cette fin des temps,
pour le Jugement final, comme il s’adressait aux pharisiens et aux
scribes au temps de Jésus.
Et, nous avons peut-être eu ce signe dernièrement…
Du moins, il faut considérer le fait parce que des indices pointent en cette direction.
Comme introduction, la pensée du vaticaniste Roberto de Mattei relayé par (benoit-et-moi.fr) cette semaine :
« Dans l’Antiquité et au Moyen-Âge chrétien, on scrutait le ciel pour
connaître le sens des événements extraordinaires, comme les mages lors
de l’apparition de l’étoile comète annonçant la naissance du Sauveur.
Et lorsque Jésus mourut sur le Calvaire, le ciel s’obscurcit et la
terre trembla (Mt 27, 45-51). Il était en effet normal,
commentent les Pères de l’Église, que les ténèbres tombent sur la terre
au moment où était crucifié celui qui était venu apporter la lumière au
monde.
À
Fatima, en juillet 1917, la Vierge a révélé aux trois bergers que le
châtiment qui frapperait l’humanité si elle ne répondait pas à ses
demandes serait anticipé par un grand signe du ciel: « Lorsque
vous verrez une nuit illuminée par une lumière inconnue, sachez que
c’est le grand signe que Dieu vous donne qu’il se prépare à punir le
monde pour ses crimes, au moyen de la guerre, de la famine et de la
persécution de l’Église et du Saint-Père» .
La
Seconde Guerre mondiale, qui éclate le 1er septembre 1939, est précédée
de deux aurores boréales, les 25 et 26 janvier 1938 et le 23 août 1939.
Sœur Lucie, dans l’institut de Santa Dorotea à Tuy, en Espagne, où elle
séjournait alors, semblait identifier l’aurore boréale de 1938 au
« grand signe » prophétisé par Notre-Dame. »
Retenez ceci : il y a eu deux séries d’aurores en janvier 1938 et août 1939.
Le
regretté Louis D’Alencourt, du Grand Réveil, considérait que les
aurores indiquaient le début de la guerre ouverte contre l’Église.
Donc,
cette guerre a commencé réellement en 1939 sous le règne du pape Pie
XII, le dernier pape prédestiné ne marchant pas main dans la main avec
la franc-maçonnerie, consacré évêque le 13 mai 1917 par le pape Benoît
XV, le jour du début des apparitions de Fatima!
Et, cet extrait de la prophétie de Jean XXIII de l’église No 4: Pie XII , nous confirme le tout :
« ... Sur
des croix feintes et dans des prétendues Églises, beaucoup parleront au
nom d'un pouvoir mesquin. Les chiens courront à Rome et la Mère sera
liée aux branches de la croix. Celui qui ne prendra pas les armes devra
se cacher. Et les soi-disant fils s'empareront du troupeau. »
C’est l’annonce de la prise du troupeau par les idées des lumières et de Vatican II.
Qui a initié Vatican II?
On
pense aussitôt à Jean XXIII, mais c’est Pie XII sous la pression de
certains cardinaux. Pie XII voyant le danger des tentacules maçonniques
s’infiltrer au Vatican, a reculé et a mis le projet sur la glace.
Prophétie de l’église concernant Jean XXIII , son successeur :
« Et
dans les papiers du Père mort il trouvera le projet pour rassembler les
bergers et parler au troupeau. Il osera l'inosé. Il se trompera, mais
ce sera un bien.
Il voudra connaître le monde et le faire connaître avec ses yeux aux simples. Le scandale arrivera mais tous comprendront. »
Voici
deux références qui confirment que Pie XII avait eu l’idée du concile
mais dans sa grande sagesse l’avait abandonné afin de ne pas créer de
schisme.
«
Tout de même honnête, Peter Hebbletwhaite rappelle que c’est Mgr
Ruffini qui en a eu l’idée en 1939, avant même d’être cardinal, mais
Pie XII ne s’y arrêta pas. Devenu archevêque de Palerme, il revint à la
charge en 1948, avec le soutien du cardinal Ottaviani, dans le but
d’obtenir la condamnation des erreurs modernes ; cette fois, le Pape en
ordonna la préparation secrète. Mais Pie XII abandonna quelques mois
plus tard, lorsque les réactions des prélats consultés laissèrent
entrevoir de grandes divisions au sein de l’épiscopat. Finalement, au
dernier conclave, les deux cardinaux s’adressèrent à celui vers qui le
vote s’orientait.
Le 30 octobre 1958, donc deux jours après son élection, Jean XXIII
en parla à son secrétaire et se fit apporter les archives de la
préparation de 1948. Après en avoir pris connaissance, il résolut que
son concile se ferait dans un tout autre esprit : son objectif
principal serait pastoral et non pas doctrinal, il fallait répondre aux
besoins nouveaux de l’Église et du monde. Sa décision est
définitivement arrêtée le 28 novembre. » (crc-resurrection.org)
« Ce dernier chapitre traite du pape Pie XII en tant que
précurseur du Concile Vatican II, et commence par aborder les
relations préconciliaires entre Pacelli et les deux futurs papes du
Concile, Jean XXIII et Paul VI, comme pour fixer une ligne de
continuité. » (erudit.org)
Avec Vatican II à l’horizon, l’église commence le dernier droit vers la conversion à l’humanisme.
Pie XII sentant le danger à l’interne, répond avec l’encyclique « Humani Generis », la « Famille Humaine » qu’il voit en péril, se tournant vers Satan.
«
Humani generis est l’encyclique pontificale de Pie
XII promulguée le 12 août 1950. Elle concerne les « opinions
et erreurs modernes menaçant de miner les fondements de la doctrine
catholique. Elle s'oppose notamment à la Nouvelle Théologie. »
(wikipedia)
Pie XII :
«
Supposons que le communisme soit l’un des instruments de subversion les
plus évidents utilisés contre l’Église et les Traditions de la
Révélation Divine. Nous verrons alors la contamination de tout ce qui
est spirituel : philosophie, science, droit, enseignement, arts,
médias, littérature, théâtre et religion.
Je m’inquiète des confidences de la Vierge à la petite Lucie de Fatima.
Cette insistance de la Bonne Dame sur les dangers qui menacent l’Église
est une mise en garde divine contre le suicide qui représente une
altération de la Foi dans sa liturgie, sa théologie et son âme.
Je sens autour de moi que les innovateurs veulent démanteler la Sainte
Chapelle, détruire la flamme universelle de l’Église, rejeter ses
ornements et la rendre coupable de son passé historique. Ici, je suis
convaincu que l’Église de Pierre devra se réapproprier son passé, sinon
son propre tombeau sera fouillé.
Je mènerai ce combat de toutes mes forces à l’intérieur de l’Église,
comme à l’extérieur, même si les forces du mal peuvent un jour profiter
de ma personne, de mes actes ou de mes écrits, comme on le sent
aujourd’hui déformer l’histoire de l’église. Toutes les hérésies
humaines qui altèrent la Parole de Dieu sont faites pour apparaître
meilleures qu’elle.
Il
viendra un jour où le monde civilisé reniera son Dieu, où l’Église
doutera comme Pierre a douté. Il sera alors tenté de croire que l’homme
est devenu Dieu, que son Fils n’est qu’un symbole, une philosophie
comme tant d’autres. Dans les églises, les chrétiens chercheront en
vain la lampe rouge où Jésus les attend ; comme le pécheur en larmes
devant le tombeau vide, ils crieront : « Où l’ont-ils emmené ? ».
Ce
sera alors que des prêtres d’Afrique, d’Asie, des Amériques – ceux
formés dans les séminaires missionnaires – se lèveront et diront et
proclameront que le « pain de vie » n’est pas un pain ordinaire, que la
Mère de Dieu-homme n’est pas une mère comme beaucoup d’autres. Et ils
seront déchirés pour avoir témoigné que le christianisme n’est pas une
religion comme les autres, puisque son chef est le Fils de Dieu et que
l’Église (catholique) est son Église ». »
(itreamoribianchi-araldidelvangelo.com)
Pie
XII ne pouvait pas si bien l’affirmer : apostasie, valeurs
inversées, d’innombrables motu proprio de Bergoglio, dont Fiducia
Supplicans qui a fait déborder le vase : toute l’Afrique s’est
refusé à ce dernier acte.
L’église s’est bien sabordée de l’intérieur comme il était prévu.
Les aurores de 1938/1939 indiquaient le début du dernier droit de la guerre contre l’Église.
Les aurores de 2024 indiquent la fin du calvaire de l’Église.
À suivre...
26 mai
Mgr
Ager, archevêque émérite de Buenos Aires (ancien fief de Bergoglio),
donne son opinion sur ce qui s'est passé à la rencontre de la «
fraternité maçonnique » du 11 mai dernier au Vatican:
« ( LifeSiteNews
) — « Le Pape convoque 30 lauréats du prix Nobel pour réfléchir à la
fraternité », titre La Prensa dans un article du média EFE. Il fait
référence à la récente « Rencontre mondiale sur la fraternité humaine
», dont le thème était « Soyez humains ». L’objectif était « d’élaborer
un nouveau Pacte mondial de Fraternité et un nouveau code de l’être
humain, en plus d’annoncer un grand événement sur la fraternité au
cours de l’Année Sainte [Jubilé] qui sera célébrée en 2025 ». La liste
des invités comprenait la dirigeante indigène guatémaltèque Rigoberta
Menchú, le directeur de la NASA Bill Nelson, le maire de New York Eric
Adams et la militante des enfants mozambicains Graça Machel, qui est
également la veuve de Nelson Mandela.
"On s'efforcera d'élaborer des propositions concrètes pour commencer à
changer l'histoire, pour stimuler les réformes qui font défaut, pour
comprendre où le principe de fraternité est déjà présent dans la vie
sociale et pour discerner les paramètres nécessaires pour le mesurer",
a expliqué le Le Saint-Siège, qui a ajouté que le 11 mai, lors du seul
événement organisé dans le petit État, Bergoglio recevra les
participants en audience privée.
Le Saint-Siège – à l’envie de la franc-maçonnerie universelle – a
adopté l’idéologie de la Révolution française : « Liberté, égalité,
fraternité ». Où a-t-il rangé le commandement de Jésus à Pierre et aux
Onze de faire de tous les peuples ses disciples – c'est-à-dire des
chrétiens ? Le successeur de Pierre est malheureusement celui qui
conduit l’Église de Rome sur ce mauvais chemin que toute l’Église doit
suivre. Il y a une manière de réagir selon la Tradition : l’apôtre Paul
reprochait à Pierre son hypocrisie parce qu’il mangeait avec ceux qui
venaient du paganisme mais commença à « judaïser » à l’arrivée de
Jacques, cousin du Seigneur et chef de l’Église de Jérusalem. Dans la
lettre aux Galates, Paul dit : « Je lui ai résisté en face » ( kata
prosōpon autō antestēn ) et appelle ce comportement « hypokrisis ».
(2:11-2:13)
La tradition a donné au Pontife romain la plus haute autorité, mais les
cardinaux, avec tout le respect que je lui dois, peuvent lui faire
prendre conscience du danger que Rome adopte le dogme de la Révolution
– ce que les papes n'ont pas fait depuis Grégoire XVI, qui a condamné
énergiquement la contagion. du libéralisme dans son encyclique Mirari
Vos . Il faut se souvenir de Pie IX, de son encyclique Quanta Cura et
du Syllabus des Erreurs . Le magistère de Pie XII et de ses successeurs
se démarque également. L'Église a reformulé et mis à jour sa doctrine
sans violer ses racines dans la Tradition. Jean-Paul II a largement
exprimé le chemin de l'Église à l'occasion de son entrée dans le XXIe
siècle...
"Il
est nécessaire de se reconnaître à nouveau dans l'humanité commune et
de mettre la fraternité au centre de la vie des peuples", a déclaré le
Pape.
Le grand absent dans tout cela, c'est Jésus-Christ. Pour juger de ce
que signifie cette absence, il suffit de rappeler l'œuvre de saint
Paul, notamment ses lettres aux Éphésiens et aux Colossiens. Le Christ
est tout pour l'Église. Je me souviens de deux expressions
significatives de Paul VI : « Nous avions espéré un printemps
florissant, mais un hiver rigoureux est arrivé » et « Il semble que,
par quelque fissure, la fumée de Satan soit entrée dans l'Église de
Dieu » – la Le Pontife exprime ainsi son désenchantement après le
Concile Vatican II...
Le
dogme de la Révolution française – « liberté, égalité, fraternité » –
est un autre évangile qui propage l'incrédulité, l'oubli de
Jésus-Christ, la Parole du Père. Le successeur de Pierre et toute
l’Église ne peuvent pas l’adopter ni pactiser avec elle dans une fausse
paix. La Parole qui court vite ne doit pas s’arrêter.
Dans la continuité de l'œuvre rédemptrice du Christ, la mission de
l'Église est orientée vers la consécration du monde. Ce concept
recouvre une double réalité : d'une part, le monde bon, œuvre de la
création de Dieu ; et de l’autre, une sorte de « seconde nature »,
comme disait Blaise Pascal : le monde du péché, de la vanité et du
mensonge, l’aliénation de l’homme, le domaine dans lequel se déroule
l’action de l’ennemi. Ce monde doit être arraché au mal et conduit à
Dieu par la Parole, qui est le Christ. C'est aussi la mission du
successeur de Pierre et de toute la communauté des fidèles. Son prix
est la Croix du Christ et la disponibilité des disciples au martyre.
Une question reste ouverte sur le destin d'Israël et de la prédication
aux Juifs au milieu d'une mission qui visait dès l'origine à procurer
la conversion des païens. Mais il faut tenir compte de la mystérieuse
paganisation du monde chrétien. La position de l'Église vis-à-vis du
dogme de la Révolution française doit être replacée dans ce contexte
théologique.
+ Héctor Aguer
Archevêque émérite de La Plata
Buenos Aires, vendredi 24 mai 2024
Fête de Marie Auxiliatrice »
En
cette journée du 11 mai, nous rappelons que le Ciel a envoyé un signe,
des aurores comme en 1938, qui, je m'en remet à notre cher ami Louis
d'Alencourt, ne présageaient par la deuxième guerre mondiale, mais la
guerre à toute l'église, ce que nous subissons depuis.
Notez
bien que les principes de cette rencontre seront partis prenants du
Jubilé 2025, célébrant à la fois la « fraternité maçonnique » et la
victoire de la voie synodale sur toute l'église.
On arrive vraiment au bout du calvaire.
24 mai
Quel choc.
Louis
D'Alencourt, fondateur du blog « le grand réveil »
(legrandreveil.wordpress.com) nous a quitté subitement pour rejoindre
le Père.
Ce
berger eschatologue des temps modernes a ramené beaucoup de gens à la
Foi, tout en cultivant l'Espérance si nécessaire en ces derniers temps.
Peut-être un signe du Ciel.
Nos prières l'accompagnent ainsi qu'à sa famille.
19 mai
Une partie de la partie « Grand Éclair à l'Orient » est peut-être en train de se réaliser...
« Incertitude sur le sort du président après un accident d’hélicoptère » sur tous les médias.
« Ceci arrivera quand en Orient sera mort un chef et en Occident, sera tué un chef. Au sud de Luther. »
18 mai
Cette rencontre sur la fraternité maçonnique a été accompagné de l'une des 20 plus grandes tempêtes magnétiques depuis 500 ans.
Les
aurores boréales et australes ont été des signes qui nous ont été
donnés comme la Sainte Vierge l'a fait en 1938 pour annoncé la
troisième guerre mondiale.
La tempête de mai 2024 a commencé le vendredi 11 mai pour se terminer à la fête de Fatima, le lundi 13 mai.
Avons-nous eu le signe de la Passion de l'Église qui s'achève?
La tache solaire AR3664 a émit au total 12 éjections de classe X!
Le summun a été atteint dans la nuit du 10 au 11 mai parce que 3
éjections de masses coronales (CME) de vitesses différentes se sont
rejointes pour atteindre la terre au même moment.
Les aurores boréales et australes ont été vues dans tous les
continents: Europe, Asie, Océanie, Amérique du Sud, Amérique du Nord,
Afrique et dans les 50 États américains.
Les réseaux sociaux et les médias débordent d’images sublimes du phénomène.
Ce fut un signe mondial comme en 1938.
Ce qui s'en vient devrait nous tenir aux aguets puisque nous ne sommes
pas encore dans le maximum solaire, mais la fréquence des éjections de
classe X par une seule tache est impressionnante.
Imaginez si cela devait venir de plusieurs taches à la fois.
Il y a en moyenne 12 taches nous faisant face sur le disque solaire depuis quelques semaines.
Mais aucune n’a la complexité pour reproduire le phénomène de la fin de semaine dernière...
Pour l'instant.
Les
astronomes surveille la tache AR3664 dans son périple autour du soleil,
qui prend 12.5 jours du côté de la face cachée, afin de voir si elle
survivra pour mieux nous revenir.
Rappelons
que les scientifiques savent pertinemment que cette humanité est à
risque de tout perdre ce qui est électronique par une éjection de
classe X du soleil, suivi d'une éjection de masse coronale assez
importante comme en 1859 et 1989.
Certains estiment que cela prendrait entre 4 et 10 ans pour s'en remettre...
Bref, l'Apocalypse pour cette humanité qui ne carbure qu'à l'électronique.
09 mai
Une fraternité maçonnique...
Le Vatican pousse loin.
«
CITÉ DU VATICAN ( LifeSiteNews ) — Le Vatican s’associe à la Fondation
Fratelli Tutti pour accueillir la deuxième « Rencontre mondiale sur la
fraternité humaine », qui verra des dirigeants laïcs et des lauréats du
prix Nobel tenter de « trouver des réponses » pour construire «
l’avenir ».
Annoncés lors d’une conférence de presse le 7 mai, les détails de la «
Rencontre mondiale sur la fraternité humaine » des 10 et 11 mai ont été
révélés principalement par le cardinal archiprêtre de la basilique
Saint-Pierre, Mauro Gambetti. Il a parlé de la nécessité « d’attirer
l’attention du monde » sur la nécessité de « fraternité », exprimant
son espoir que l’événement aidera les gens à « redécouvrir » des
aspects tels que le « dialogue humain ».
« Cette expérience », a déclaré Gambetti, vise à « renouveller la charte de l’humanité ».
L’événement de cette semaine est intitulé « Soyez humain » et est
organisé conjointement par la Fondation Fratelli Tutti – née de
l’encyclique Fratelli Tutti de 2020 du pape François – et le Vatican.
Il attirera de nombreux lauréats du prix Nobel de la paix à des
événements à Rome et au Vatican. Des hommes d’affaires, des militants
politiques, l’économiste Jeffrey Sachs et l’épouse de Nelson Mandela,
Graca Machel Mandela, seront également présents.<
Une série de « tables rondes » auront lieu à travers la ville et au
Saint-Siège, avec les lauréats du prix Nobel et d’autres participants
de premier plan répartis en conséquence entre les différents événements
qui « feront une fois de plus des propositions pour une planète
fraternelle ».
Les personnalités discuteront de « comment promouvoir la valeur de la
fraternité entre les peuples à une époque où la guerre et la peur
dominent nos jours ».
Comme le souligne la Fondation Fratelli Tutti , « des personnalités du
monde entier, des lauréats du prix Nobel, des scientifiques, des
artistes, des professeurs, des maires, des médecins, des managers, des
travailleurs, des champions sportifs tenteront de trouver des réponses
».
De telles réponses « peuvent être différentes, elles peuvent ne pas
être sans équivoque. Mais ils seront les éléments constitutifs de
l’avenir », a déclaré la fondation.
Le pape François dirigera un événement avec les enfants dans la
nouvelle salle du Synode du Vatican, cet événement étant spécialement
organisé pour mettre l’accent sur la voix des enfants en tant que
prochaine génération. François livrera « une réflexion sur le thème de
la fraternité, qui lui est particulièrement cher », a indiqué la
Fondation Fratelli Tutti .
Un concert de clôture aura lieu à 21h30 le 11 mai, sur les marches de
la Basilique Saint-Pierre. Entre autres noms, il mettra en vedette le
compositeur italien Giovanni Allevi, l’actrice et animatrice de
télévision italienne Eleonora Daniele et le chanteur country américain
pro-LGBT Garth Brooks.
Aucune mention n’a été faite de l’implication de la religion en
général, ou de la foi catholique en particulier, dans les discussions.
La Fondation Fratelli Tutti a déclaré que cet événement de 2024 « fait
suite au succès de l’année dernière », faisant référence à la première
Journée mondiale de la fraternité humaine en 2023, organisée à la
basilique Saint-Pierre, présentée comme un moyen de démontrer que
« la fraternité humaine est possible ». » … »
On vous entretient souvent de la possibilité d’une tempête solaire et des taches qui les produisent.
Cette semaine et pour les prochains jorus, nous avons l’exemple le plus intense du cycle 25 (cycles de 11 ans) commencé en 2020.
La tache 3664
a doublé de dimension en 24 heures et devient ainsi une menace très
sérieuse puisque face à la terre, très grande, et de polarités
instables.
Trois éjections de classe X depuis hier.
C’est intriguant, car lundi sera le 107ème anniversaire de Fatima.
Une éjection de classe X majeure comme en 1859 ou 1989 grillerait TOUT ce qui est électronique sur cette planète.
Bref, chute de Babylone et donc noirceur totale, chaos, et Apocalypse.
Or, ce matin, la tache 3664 a atteint la dimension de celle de l'événement Carrington de 1859.
Voir photo sur spaceweather.com.
Cette humanité n'a JAMAIS été aussi à risque que cette semaine.
Bénie soit Notre Dame de Fatima.
Car, si une éjection solaire majeure a lieu, cette humanité n'aura que 12 heures pour réagir.
Prières et chandelles de la chandeleur seront alors de mise pour les avertis.
06 mai
Comme
prévu, çà bouge du côté du soleil avec deux taches solaires de
complexité forte (donc ayant le potentiel de produire des tempêtes
solaires) visible sur le disque solaire cette semaine.
La
tache AR3663 n’est pas seulement active, elle est hyperactive. Rien que
le 5 mai, elle a déclenché deux éjections de classe X (les plus fortes
et donc les plus dangereuses) et huit éjections moyennes de classe M.
Une
de ces éruptions solaires majeures atteignant X4,52 (panne radio R3) a
été détectée autour de AR 3663 dans le quadrant nord-ouest à 06h35 UTC
(6 mai). Il s’agit désormais de la troisième éruption solaire la plus
forte en termes d’éjections de classe X maximal au cours du cycle
solaire 25 actuel.
Une
éjection de classe X ayant le potentiel de perturber le champ
électromagnétique de la Terre avec pour conséquences de griller les
systèmes électriques et surtout électroniques est à prévoir.
En termes de prophéties, on fait référence aux trois jours de noirceur de Padre Pio par exemple.
C’est ainsi que nous voguons tranquillement vers le maximum solaire prévu pour juillet/octobre 2024.
Comme au temps de Noé, tous se bidonnent et « vivent leurs vies ».
Pendant
ce temps, nous continuons à assister à la Passion de l'église selon
Bergoglio, et nous avons les indices qu'effectivement, la tendance est
vers l'oecuménisme total, et donc vers une célébration commune à tous
sans présence réelle.
«
CITÉ DU VATICAN ( LifeSiteNews ) — Le pape François a reçu
jeudi les dirigeants de la Communion anglicane au Vatican, et tout en
parlant du rôle « controversé » de la papauté, le pontife a évoqué la
possibilité d’une nouvelle « entente » qui pourrait résulter des
relations œcuméniques et le Synode sur la Synodalité.
Le
matin du 2 mai, les membres de la réunion des primats de la Communion
anglicane ont rencontré le pape François au Vatican, dans ce que les
anglicans ont décrit comme le « point culminant » de leur réunion de
cinq jours à Rome.
Le
discours du Pontife aux anglicans contenait une possibilité
révolutionnaire : à savoir, une décision de François, prise par le
Synode sur la synodalité, d’utiliser la papauté elle-même comme outil
de négociation œcuménique, d’une manière qui pourrait – du moins sur le
papier – paraître saper l’autorité exercée par le pape.
Primats anglicans à Rome
Le
rassemblement des Primats a attiré pour la première fois à
Rome des dirigeants anglicans du monde entier. Là, ils ont tenu une
série de réunions, visité des sanctuaires catholiques à travers la
ville et ont également rencontré le pape François et le cardinal Mario
Grech, secrétaire général du Synode des évêques. Leur rassemblement de
haut niveau était censé contribuer à « l’unité » entre les différents
corps anglicans à travers le monde, bien que, comme indiqué ci-dessous,
une telle « unité » soit un sérieux point de discorde étant donné la
dissidence au sein du corps anglican sur les bénédictions pour les
personnes de même sexe.
S’adressant aux
primats assemblés, François a remercié l’archevêque anglican de
Cantorbéry Justin Welby pour sa collaboration continue avec
le pape et sa « coopération fraternelle au nom de l’Évangile ».
«
Le Seigneur appelle chacun de nous à être un bâtisseur d’unité et, même
si nous ne sommes pas encore un, notre communion imparfaite ne doit pas
nous empêcher de marcher ensemble », a déclaré François, faisant écho
aux thèmes qu’il a utilisés lors des fréquentes rencontres œcuméniques
qu’il a organisées. assiste aux côtés de Welby.
François
a également accordé une mention honorable à la Commission
internationale anglicane-catholique (ARCIC), qui a – a-t-il déclaré – «
fait de grands efforts pour surmonter les divers obstacles qui
s’opposent à l’unité ».
La papauté : une « question controversée et source de division »
Le
plus remarquable dans le discours du pape a été la description qu’il a
donnée de sa propre fonction. Remerciant les primats anglicans de
s’être réunis à Rome, François a déclaré : « Je me rends compte que le
rôle de l’évêque de Rome est toujours une question controversée et qui
divise parmi les chrétiens. »
Poursuivant,
François semble suggérer qu’une nouvelle compréhension de la papauté
pourrait être développée, qui s’avérerait plus acceptable pour les
anglicans, étant donné l’opposition anglicane à la primauté papale.
Il a cité la description du pape Grégoire le Grand comme « serviteur
des serviteurs de Dieu » et la propre déclaration de Jean-Paul II dans
son encyclique œcuménique Ut Unum Sint , dans laquelle
le pape polonais a déclaré : « sa désignation est la meilleure garantie
possible » contre le risque de séparation du pouvoir (et notamment de
la primauté) du ministère. Une telle séparation contredirait le sens
même du pouvoir selon l’Évangile : « Je suis parmi vous comme celui qui
sert ».
Faisant
allusion à d’éventuels changements de compréhension de la papauté,
François a déclaré que « pour cette raison, il est nécessaire d’engager
‘un dialogue patient et fraternel sur ce sujet, un dialogue dans
lequel, laissant de côté les controverses inutiles’, il s’efforce de
comprendre comment le ministère pétrinien peut se développer comme un
service d’amour pour tous.
Il
a salué le travail du groupe ARCIC, notant que « des résultats positifs
ont été obtenus dans les différents dialogues œcuméniques sur la
question de la primauté en tant que « cadeau à partager ».
Un synode sur la synodalité pour réécrire la papauté ?
Non
content de s’engager dans un « dialogue » sur la papauté, François a
déclaré qu’il espérait que le Synode pluriannuel sur la
synodalité conduirait à « une meilleure compréhension du rôle de
l’évêque de Rome ».
Le
Synode devrait se conclure en octobre prochain, avec la deuxième
réunion d’un mois d’évêques, de prêtres, de laïcs et de représentants
œcuméniques participant tous à la réunion du Vatican. Même si les
représentants œcuméniques n’ont pas de droit de vote, ils participent
au reste des activités du mois.
Parmi
les participants au Synode de 2023 se trouvait un prélat anglican, et
François a exprimé sa joie d’anticiper « une nouvelle participation
œcuménique à la session qui se tiendra cet automne ».
« Je
prie pour qu’une meilleure compréhension du rôle de l’évêque de Rome
soit l’un des fruits du Synode », a-t-il déclaré. « Le rapport de
synthèse à la fin de la première session a appelé à une étude plus
approfondie du lien entre synodalité et primauté à différents niveaux :
local, régional et universel...» (lifesitenews.com)
Et, cette nouvelle est un indice de plus (voir analyses précédentes):
«
Le cardinal secrétaire d’Etat Pietro Parolin est en campagne électorale
pour le prochain conclave et le fait savoir plus clairement que jamais.
Après
le pontificat du pape François, il n’y aura « pas de volte-face ». Ce
sont les mots du cardinal Pietro Parolin, secrétaire d’Etat, mercredi
soir lors de la présentation d’un livre à Rome.
Le plus proche collaborateur du pape a répondu à la question d’un
journaliste sur ce qu’il adviendrait plus tard des réformes initiées
par le pape. « Avec de la patience, de la prière et du discernement,
les dirigeants de l’Eglise pourront compter sur l’assistance de
l’Esprit Saint dans leurs décisions, y compris après le pontificat
argentin. C’est précisément parce qu’il s’agit de l’action de l’Esprit
qu’il ne peut y avoir de revirement », a affirmé Parolin.
.
Ecclesia semper reformanda »
———–
Le chef de la diplomatie du Saint-Siège, originaire du nord de
l’Italie, a fait sienne la formule ‘Ecclesia semper reformanda’,
c’est-à-dire que l’Eglise doit toujours être réformée, ‘ramenée à sa
juste forme’. « Les difficultés qui surgissent sur le chemin ne doivent
pas ‘être lues seulement comme un danger, mais aussi comme une chance
»; cela fait « partie de la sage pédagogie de Dieu, par laquelle il
nous éduque, nous fait mûrir et progresser ». (benoit-et-moi.fr)
« Et il y aura un autre Père, avant que tu sois enseveli, pour prier loin pour toi, pour les blessures de la Mère.
Mikail et Jean descendront sur terre....
Le grand frère d'Orient fera trembler le monde par la croix renversée sans les lis.
Le nouveau Père ira vers lui mais laissera la Mère orpheline. »
«
Où croyez-vous fuir, maintenant que vous avez détruit les Églises et
tué le dernier Père ? » confirme la prophétie de l’Église le « 7ème
Sceau » de Jean XXIII.
03 mai
Le mois de mai. Le mois de Marie. Le mois du début des apparitions de Fatima.
Le mois de la prophétie de Don Bosco (voir analyses précédentes).
« … Il y aura toujours un violent ouragan. L'iniquité est consommée; le
péché prendra fin et avant que deux pleines lunes du mois des fleurs ne
passent, l'iris de la paix apparaîtra sur la terre.
Le Grand Ministre verra l'épouse de son roi habillée pour la fête.
Sur le monde entier, un soleil apparaîtra si brillant qu'il ne l'a
jamais été depuis les flammes du Cénacle jusqu'à aujourd'hui, et il ne
sera pas revu jusqu'au dernier jour. »
L’iris de paix (traduit parfois de l’italien par arc-en-ciel) est la
fleur de lys, figure du Christ Roi, que nous retrouvons évidement dans
les prophéties de l’Église de Jean XXIII.
« Ouvrez votre cœur au lis. La voix sera puissante, annoncée par les
trompettes. (Retour du Christ, l’ultime soleil, le premier Soleil.)
Lumière de l'Occident, dernière lumière avant l'éternelle, inconnue. La
vérité sera plus simple que tous l'ont dit, que tous l'ont écrit. »
(Prophétie de l’Église #12 « L’arrivée de la Lumière »)
La voix est annoncée par les 7 trompettes de l’Apocalypse.
Le P. Berto écrit dans son interprétation de la prophétie qu’en l’an
1874, le mois de mai a deux pleines lunes (Lune Bleue), l'une le 1er et
l'autre le 31.
« Cependant, aucun événement extraordinaire profane ou surnaturel ne
s'est produit ce mois-là. En effet suivant la séquence du texte, cet
événement devrait suivre «l'ouragan» de «l'iniquité» et du «péché» qui
suivrait lui-même le traité du Latran de 1929. En mars 1988 et 1999, il
y a deux pleines lunes. Dans le premier, il n'y avait pas de cessation
notable du péché dans le monde. Ce dernier n'est pas encore venu. »
(franciscan-archive.org)
Le prochain mois de mai avec deux lunes est en 2026, et le retour de
l’iris de paix arrivera AVANT ce mois fatidique si la prophétie est
véridique.
C’est donc dire que tout le calendrier de la fin des temps (voir analyses précédentes) doit avoir lieu avant cette limite.
On ne connaît ni le jour ni l’heure, mais avec la situation mondiale
actuelle, nous pouvons en déduire qu’effectivement tout se déroulera
très vite.
À commencer par la Fille Aînée de l’Église qui aura la démonstration
qu’elle est sous l’emprise totale de Mammon, à la vue de toute la
planète, lors des cérémonies d’ouverture des Jeux Olympiques le 26
juillet prochain.
Satan
est orgueilleux et la bête de la terre, Macron, multiplie ses
apparitions publiques dernièrement, comme s’il était le roi de l’Europe
(référence la prophétie « Grand Éclair à l’Orient »), enivré de
narcissisme, pour l’ultime victoire du 26 juillet.
Le temple, Notre-Dame, a été détruit, pour être re-consacré à Mammon avec ses fresques maçonniques de la kabbale.
N’oublions par les cérémonies de 2012 et de la suite avec le Covid, et le phœnix qui renaît de ses cendres.
De
plus, si la bête de la mer agît en parallèle avec celle de la terre:
cela fera trois ans le 16 juillet que Traditionis Custodes a été
publié, et on sait pertinemment que Bergoglio veut fermer le robinet
définitivement de ce côté.
Nous avons discuté longuement de l’importance de l’électricité pour ce monde.
2024, c’est la poussée exponentielle de l’IA et de la prolifération des robots dans le monde industriel.
Quand Amazon licencie, c’est parce que les robots font le travail maintenant.
Or,
ce monde qui était dépendant à l’ordinateur et ses à côtés, devient
maintenant hyper dépendant quant aux chaînes d’approvisionnement, parce
que les robots ont besoin d’électricité.
Le soleil, sans faire la manchette populaire, continue son ascension vers le maximum solaire du cycle 25.
L’augmentation des taches solaires est exponentielle: de presque rien à 16 en moyenne dans les deux dernières semaines.
Chaque tache solaire a un potentiel de tempête solaire.
Mais
ce qui retient l’attention, c’est le fait que plusieurs d’entres elles
agissent en synchronicité au niveau des éjections solaires. Exemple: 5
taches éloignées l’une de l’autre ont produit le phénomène en même
temps.
Et çà continue, çà « boullionne » (spaceweather.com) avec des éjections à répétitions, certes moyennes pour l’instant, mais c’est une progression vers le maximum solaire…
Prévu pour juillet 2024.
Si
vous suivez l’actualité climatique, vous avez sans doute remarqué que
des records de chaleurs sont établis en Amérique du Sud, Afrique, et
Sud Asiatique…
Plus de 5 degrés au minimum au-dessus de la normale.
On est loin du dit « réchauffement climatique ».
Le soleil est plus fort.
Dieu est à l’œuvre et les aveugles ne voient pas. C'est la guerre de la nature pour empêcher la guerre des hommes.
L’été
dans l’hémisphère nord s’annonce donc particulièrement plus violente
qu’en 2026 au niveau des ouragans, tempêtes et feux de forêts.
Le
soleil entre dans son maximum solaire donc (des cycles de 11 années)
et, puisque nous sommes à la fin des temps, il est peu probable que
cette humanité décadente devra attendre encore 11 ans pour le prochain
maximum (2035) pour voir la chute de Babylone et son système Antichrist.
Mais
puisque Dieu doit agir, et que le Jugement sera par le feu, on ne voie
que les possibilités d’un astéroïde (aucun en vue pour l’instant) ou
l’action du soleil, qui retournerait cette humanité orgueilleuse à
l’âge de la pierre, car uniquement basée sur l’électricité.
C’est le même constat qu’Einstein qui craignait la bombe nucléaire:
«
Je ne sais pas comment sera la troisième guerre mondiale, mais ce dont
je suis sûr, c´est que la quatrième guerre mondiale se résoudra à coups
de bâtons et de pierres. » Albert Einstein
L’élite sait pertinemment que le système est très fragile face à une éjection de masse coronale majeure à venir.
C’est documenté scientifiquement.
Et
cette humanité, en 2024, balance complètement dans le gouffre de Satan
avec l’intelligence artificielle, avec l’approbation de Bergoglio!
« Le Pape participera à la session du G7 sur l’intelligence artificielle
Le
Souverain pontife s’exprimera lors de la session ouverte aux États non
membres du sommet du G7, qui se tiendra mi-juin dans les Pouilles au
sud de l’Italie. La Salle de presse du Saint-Siège confirme ce vendredi
soir l’annonce de la présidente du Conseil. Giorgia Meloni remercie le
Saint-Père d’avoir accepté l’invitation de son pays pour apporter «une
contribution décisive à la régulation éthique et culturelle de
l’intelligence artificielle»…
Remerciant
le Saint-Père d’avoir accepté l’invitation de l’Italie, «sa
présence apporte du prestige à notre nation et à tout le
G7», Giorgia Meloni explique que le gouvernement italien
entend valoriser la contribution du Saint-Siège sur la question de
l’intelligence artificielle, en particulier après l' »Appel de
Rome pour l’éthique de l’IA en 2020 » (Rome Call for AI
Ethics), promu par le conseil pontifical pour la Vie, qui
vise «à donner une application concrète au concept d’algoréthique,
c’est-à-dire à donner de l’éthique aux algorithmes».
«Je
suis convaincue, a-t-elle ajouté, que la présence du Pape
apportera une contribution décisive à la définition d’un cadre
réglementaire, éthique et culturel pour l’intelligence artificielle,
car c’est sur ce terrain, sur le présent et l’avenir de cette
technologie que se mesurera à nouveau notre capacité, la capacité de la
communauté internationale, à faire ce qu’un autre Pape, — Jean-Paul II,
a rappelé dans son célèbre discours aux Nations unies le 2 octobre
1979, à savoir que l’activité politique, nationale et internationale
vient de l’homme, s’exerce par l’homme et est pour l’homme», a encore
expliqué la présidente du Conseil italien.
Giorgia
Meloni ajoute que l’intelligence artificielle «sera le plus grand défi
anthropologique de cette époque», «une technologie qui peut générer de
grandes opportunités mais qui comporte aussi d’énormes risques et qui
affecte inévitablement les équilibres mondiaux». «Notre engagement, a
conclu la dirigeante italienne, est de développer des mécanismes de
gouvernance pour s’assurer que l’intelligence artificielle est centrée
sur l’homme et contrôlée par l’homme, c’est-à-dire qu’elle maintient
l’homme au centre et qu’elle a l’homme comme but ultime». » (vaticanews.va)
Tout est dit.
Avril 2024
22 avril
Nous avons été témoins de l’échange de coups entre Israël et
l’Iran, chacun essayant de se sauver la face par rapport à sa
population.
C’est la progression rapide vers la prophétie « Grand Éclair à l’Orient
» et de tout ce qui s’en suit pour ce qui est de l’Église.
Car, comme disait le regretté Serge Monast, le religieux mène le
politique, et c’est bien d’une question religieuse à laquelle nous
assistons :
"Netanyahou est sous l'influence de certains ministres messianiques et
racistes qui le forcent à déclencher une escalade pour accélérer la
venue du Messie et ce n'est pas une manière saine pour un Etat comme
Israël dans un environnement hostile et complexe" (Ehud Barak,
ancien Premier ministre israélien)
Rappelons les paroles d’un pape très au courant du danger du modernisme, et de la fin des temps, Pie X :
« En effet, contre leur Créateur, « les nations ont eu des
frémissements de rébellion et les peuples ont conçu des idées insensées
», et le cri des ennemis de Dieu est presque unanime : « Éloignez-vous
de nous ». C’est pourquoi le respect envers le Dieu éternel a
complètement disparu chez la plupart des gens, et dans la conduite de
la vie, tant publique que privée, le principe de sa volonté suprême
n’est plus pris en compte ; En effet, de toutes nos forces et de tous
nos artifices, nous avons tendance à supprimer complètement même la
mémoire et la notion de Dieu.
Quiconque considère cela doit aussi craindre que cette perversion des
âmes ne soit une sorte d'avant-goût et presque un avant-goût des maux
prévus pour la fin des temps ; et que « le fils de perdition », dont
parle l'Apôtre, ne foule pas déjà ces terres. Avec une grande audace,
avec une telle fureur, la piété religieuse est attaquée partout, les
dogmes de la foi révélée sont contestés et des tentatives obstinées
sont faites pour supprimer et effacer toute relation entre l'homme et
Dieu ! Et en effet, avec une attitude qui, selon l'Apôtre lui-même, est
typique de « l'Antéchrist », l'homme, avec une témérité sans précédent,
a pris la place de Dieu, s'élevant « au-dessus de tout ce qui porte le
nom de Dieu » ; au point que, bien qu'il ne puisse éteindre
complètement en lui la notion de Dieu, il rejette néanmoins sa majesté,
se consacre ce monde visible, comme un temple, et s'offre à l'adoration
des autres. "Il est assis dans le temple de Dieu, se montrant comme
s'il était Dieu." » (Pie X, 4 août 1903)
Imaginez ce qu’il dirait aujourd’hui…
Mgr Huonder, décédé le mois dernier, à Écône parce qu’il était retourné
à l’Église Mère et voulait être enterré auprès de Mgr Lefebvre,
déclarait en 2023 :
« Les
contacts avec la Fraternité, l’étude de son histoire et
l’approfondissement des questions théologiques m’ont permis de porter
un regard nouveau. C’est un nouveau regard sur les soixante-dix,
quatre-vingts dernières années de vie de l’Église. Nous pouvons parler
d’une retractatio, d’une nouvelle évaluation de la situation de la
foi au moment du Concile et après. Il m’est apparu plus clairement
pourquoi l’Église en est arrivée là où elle en est aujourd’hui.
L’Église se trouve aujourd’hui – en 2023 – dans l’une des plus grandes
crises de son histoire. C’est une crise interne à l’Église. Elle a
touché tous les domaines de la vie de l’Église : la prédication,
la liturgie, la pastorale et le gouvernement. C’est une crise profonde
de la foi. Quiconque se plonge dans le développement et la vie de la
Fraternité se heurte malgré lui à la cause et aux origines de cette
crise. Car la Fraternité est, en un certain sens, un enfant de cette
crise. Elle l’est dans la mesure où son fondateur a voulu, en créant
cette institution, remédier à la crise et venir en aide à
l’Église. » (laportelatine.org)
Il confirme donc ce que tous les conservateurs au Vatican n’osent affirmer publiquement : l’Église est en crise.
Mais nous savons tous qu’elle doit subir sa Passion à l’image du Christ pour ressusciter.
C’est la mort des deux témoins et leurs résurrection dans l’Apocalypse.
C’est une partie importante du calendrier de la fin des temps.
Et c’est dans la prophétie du 7ème sceau de Jean XXIII : « Où croyez-vous fuir, maintenant que vous avez détruit les Églises et tué le dernier Père ? »
12 avril
Le premier mois de la neuvaine pour l’intervention de
Notre-Dame de Guadelupe (la femme de l’Apocalypse avec les deux pieds
sur la lune) initié par le cardinal Burke est complétée.
Cette neuvaine est d’une extrême importance.
Le monde n’a jamais, jamais, été aussi proche de la destruction par l’humain :
- du point de vue spirituel par la grande apostasie prophétisée.
- par la guerre imminente prophétisée par St-Jean et qui est mentionnée dans les prophéties de Jean XXIII.
Satan, le dragon, a le contrôle via la bête de la terre et la bête de la mer.
Dans cette poursuite vers la religion mondiale de l’humanisme,
Bergoglio se proclame à nouveau patriarche de l'Occident (titre
qu’avait éliminé Benoît XVI), afin de s'ériger en interlocuteur à
égalité avec le patriarche d'Orient, alors que la religion catholique
est une religion monarchique établie par le Christ.
La bête de la terre, a envoyé son vassal au Québec, qui a prononcé un
discours complètement dédié à la victoire des lumières : « la
liberté par la laïcité », gage de fraternité, etc. Bref un ode à la
franc-maçonnerie.
C’est le triomphe de l’inversion des valeurs par les suppôts du diable.
Alors que l’on sait tous que la seule liberté passe par le Christ.
C’est une preuve de plus que l’heure du Jugement est proche.
Au niveau géopolitique, deux déclarations majeures par le président
américain sont le signal que nous allons franchir la ligne rouge.
Les États-Unis attaqueront la Chine si cette dernière attaque
directement un bateau philippin ou japonais, ainsi que l’Iran si cette
dernière réplique à la destruction de son ambassade en Syrie par Israël
la semaine dernière.
« Frappes imminentes de missiles sur Israël par l’Iran selon le renseignement américain ! ».
Voilà.
« Le grand frère d'Orient fera trembler le monde par la croix renversée sans les lis. » n’attend que le moment pour frapper.
N’oublions pas que la branche judéo-maçonnique ainsi que les chiites
ont ce point en commun : il faut provoquer une guerre pour la
venue du messie.
Alors, « S'affronteront croissant de lune, étoile et croix. Quelqu'un
brandira la croix noire. Des vallées du Prince viendront les chevaliers
aveugles.» et tout commencera avec le « Grand éclair à l'Orient. »
« La terre frisera le massacre.»
« Ce n'est pas le temps d'un roi, ce ne l'a jamais été. Depuis la mort
de Frédéric, chaque roi est usurpateur. Que le roi s'en aille, reste le
peuple. L'Europe a soif, elle aura du sang dans les rues. »
Ce roi, on le connaît, c’est la bête de la terre, et il cherche la guerre.
C’est le président français.
Mais, « Dieu a déchaîné la guerre de la nature pour empêcher la guerre
des hommes. » (prophéties de l’Église #10 et #11, ainsi que politique
#22 et #32)
Nous sommes ainsi, au niveau spirituel, très proche de la :
1) Mort des témoins (3,5 jours); et la
2) Résurrection des témoins
Ainsi, se termine la sixième période.
La 7ème période de l’Apocalypse décrite ci-haut suivra par la :
3) Mort de l’Antéchrist; et la
4) Chute de Babylone (3ème malheur, Ap. 11, 14) )
Mars 2024
27 mars
Bergoglio
est le « pape » qui correspond à la description de la bête de la
mer de l’Apocalypse puisqu’il possède un pouvoir universel et
mondial qui s’applique aux enfants de Dieu.
La bête de la mer s’est révélée avec Vatican II et son action est
évidente pour ceux qui connaissent les écritures : il y a 666 mois
pile entre l’élection de Jean XXIII et sa canonisation.
La bête de la mer représente le religieux.
La bête de la terre représente le politique.
Le président Macron est celui qui correspond à la description de la bête de la terre.
Car la France est toujours la fille aînée de l’Église et elle a un rôle
indispensable : celui d’établir une société christocentrique
mondiale.
Ce mandat est de plus en plus réduit (il ne sera toutefois pas effacé)
depuis la révolution des lumières avec la prise du pouvoir par la
franc-maçonnerie.
« Macron : « La Bête de l’événement est là » » (entrevue accordée au Financial Times le 16 avril 2020).
Emmanuel Macron, a confirmé dans son discours du 13 avril 2020 le « plan de l’après 11 mai ».
Et Macron le 24 août 2023 ( agence Reuters):
« Les Français doivent se préparer à d’avantage d’efforts et de
sacrifices alors que le monde est confronté à une grande bascule ». à
prévenu Macron mercredi en préambule au conseil des ministres Le ton
grave, le chef de l’état à appelé à l’unité alors que nous sommes en
train de vivre » une grande bascule, un grand bouleversement,
avec la fin de l’abondance, la fin d’une forme d’insouciance, et la fin
des évidences »…
« Le moment que nous vivons peut sembler être structuré par une série de crises plus graves les unes que les autres ».
Guerre économique, guerre religieuse, guerre par les armes, ...
Que va faire Poutine maintenant qu’il a la raison parfaite pour élargir la guerre grâce à l’attentat du 24 mars?
Surtout qu’il a éliminé de son langage le terme « opération spéciale en
Ukraine » dans son discours de ré-élection pour certifier que c’est bel
et bien une guerre qui est engagée.
C’est dans l’habitude de l’élite remplie d’orgueil d’annoncer à
l’avance leurs plans. Ils ne se cachent plus car ils sont sûrs de la
victoire.
Et dernièrement, loi sur l’avortement insérée dans la constitution, loi
sur l’euthanasie à venir, et volonté de mettre des troupes françaises
en Ukraine dans la région d’Odessa tout en évoquant la Loi des
réquisitions de guerre, tout en attirant les pays d’Europe à le faire.
Les articles des dernières semaines sur les sites vaticanistes font
référence à la France qui veut attirer le monde dans la guerre
nucléaire.
On approche bien du point culminant des prophéties de Jean XXIII où
Dieu déclare la guerre de la nature pour empêcher la guerre des hommes.
Durant ce temps, la bête de la mer donne ses ordres pour le synode 2024
comme nous avons pu le voir dans le dernier article : élimination
de la présence réelle par la permission de pratiquer les coutumes
locales.
C’est une déformation totale de la messe pratiquée depuis 2000 ans.
Le dragon, Satan, coordonne les actions des deux bêtes exactement comme prévu par l’Apocalypse.
25 mars
« Le cardinal Parolin invite le monde à se convertir à la culture de l’écologie intégrale…
«Nourrissons-nous de beauté et d’amour, des énergies pour sauver le
monde» est le thème choisi pour la troisième édition du festival Cinéma
pour la création, promu par le Cercle Laudato si’ de San Giorgio in
Bosco, dans la province de Padoue. Ce vendredi 22 mars, le secrétaire
d’État du Saint-Siège, le cardinal Pietro Parolin, s’est adressé aux
participants dans un message vidéo. L’événement, qui a débuté le 9
février dernier, est composé de lectures, de conférences et de
projections de films et de documentaires, inspirés par les thèmes de
l’écologie intégrale contenus dans l’encyclique Laudato si’ du Pape et
l’exhortation apostolique Laudate Deum…. » (vaticannews.va)
Synode octobre 2024:
Bergoglio a changé le processus encore une fois.
Le dix sujets principaux relevés dans le rapport 2023 seront attribués
à dix comités de la curie romaine qui auront pour mission de produire
un rapport en juin 2025.
Bref, ils ont le mandat d’agir avec les « églises locales », mais on
voit bien que le processus synodal vient de prendre le bord, car avec
le climat de terreur régnant sous la dictature de Bergoglio, il est
évident que ces groupes d’étude de la curie ne feront que rapporter la
volonté de Bergoglio.
Il évite ainsi que les sujets sensibles de 2023 soient de retour en octobre 2024.
« … la Salle de Presse du Saint-Siège a tenu une conférence de presse
pour illustrer deux nouveaux documents du Secrétariat général. Le
premier document est intitulé « Comment être une Église synodale en
mission ? Cinq perspectives pour approfondir théologiquement en vue de
la Deuxième Session », tandis que le second est « Groupes d’études sur
les questions soulevées lors de la Première Session de la 16ème
Assemblée Générale Ordinaire de le Synode des Évêques à
approfondir en collaboration avec les Dicastères de la Curie romaine. »
Dans la lettre au cardinal Grech, le Pape a déclaré que le rapport de
synthèse « énumère de nombreuses questions théologiques importantes,
qui sont toutes liées à des degrés divers au renouveau synodal de
l’Église et non sans répercussions juridiques et pastorales ».
« Ces questions, de par leur nature même », a-t-il observé, « exigent
une étude approfondie » des groupes d’étude pour examiner les questions.
« Comme il ne sera pas possible de réaliser cette étude lors de la
Deuxième Session », qui aura lieu du 2 au 27 octobre 2024, le Pape a
déclaré : « Je suis en train de faire en sorte qu’ils soient affectés à
des groupes d’études spécifiques, afin qu’ils puissent être
correctement examinés…
Tout cela, a suggéré le Saint-Père, « permettra à l’Assemblée, dans sa
deuxième session, de se concentrer plus facilement sur le thème général
que je lui avais assigné à l’époque et qui peut maintenant être résumé
dans la question : « Comment être une Église synodale en mission ?
Le Pape a déclaré que les groupes d’étude présenteront un premier
rapport de leurs activités lors de la deuxième session et viseront, si
possible, à conclure leur mandat d’ici juin 2025. » (vaticannews.va)
Le synode 2024 se résume donc à l’église qui part en mission avec ses cinq perspectives que voici: (synod.va)
La perspective #4 doit retenir l’attention sur « La méthode synodale » pour 2024:
« Enfin, la liturgie étant à la fois miroir et nourriture de la vie de l’Église, le travail portera également sur la
dimension liturgique : « Si l’Eucharistie façonne la synodalité, le premier pas est d’honorer sa grâce
avec un style de célébration qui soit à la hauteur de ce don et avec une fraternité authentique » (RdS
3k).
Le groupe de travail, qui assumera la perspective transversale de la méthode synodale, explorera
des points tels que :
a) la relation féconde entre l’enracinement liturgique et sacramentel de la vie synodale de
l’Église (écoute de la Parole et célébration de l’Eucharistie) et la pratique du discernement
ecclésial ;
b) une meilleure clarification de la configuration de la « conversation dans l’Esprit », en tenant
compte de la pluralité des déclinaisons qu’elle connaît grâce à l’expérience de multiples
spiritualités ecclésiales et de différents contextes culturels (cf. RdS 2i-j) ;
…
f) la promotion d’un style de célébration adapté à une Église synodale, qui permette de vivre et
de témoigner de la participation commune de tous, tout en respectant et en promouvant la
spécificité des rôles, des charismes et des ministères de chacun…. »
Et plus loin:
« Il faut privilégier ce qui est le plus efficace pour l’annonce de l’Évangile, en ayant le courage
d’abandonner ce qui s’avère moins utile ou même un obstacle. C’est cet élan vers la mission qui fait
que le processus synodal n’est pas un exercice où l’Église se regarde dans le miroir et se préoccupe de
ses propres équilibres, mais qu’elle est projetée vers le monde et l’humanité tout entière, en demandant
à chaque membre du Peuple de Dieu d’offrir sa contribution irremplaçable.
L’œcuménisme du sang (cf.RdS 7d) nous rappelle avec force que le
témoignage de l’Évangile jusqu’au don de la vie concerne tous les
baptisés, sans distinction d’appartenance confessionnelle : c’est donc
la mission commune qui constitue le vecteur du chemin vers l’unité des
chrétiens, à partir de formes concrètes de collaboration, qu’il faut
continuer à promouvoir et à expérimenter. »
Bref,
tout cela confirme que le processus synodale n'est qu'une illusion:
seul la volonté de Bergoglio compte, et les décisions donneront
l'apparence d'être prises par des comités.
Quant aux 5 perspectives: c'est exactement le synode amazonien qui revient sur la table.
La « célébration liturgique » (on ne dit pas la MESSE dans ce document) sera laissé à la discrétion des « locaux ».
C'est un démantèlement de la messe pour en effacer l'essentiel: la présence réelle du Christ.
21 mars
Bergoglio apparaît très enflé ces dernières semaines et n’est pratiquement plus capable de se déplacer seul.
Son décès imminent sera signe de chaos, pour l'église (selon la liste
de la suite des papes de St-Malachie et les prophéties de l'Église de
Jean XXIII), et pour le monde.
« La semaine dernière, je me trouvais au Vatican en tant que
conférencier invité à l’Académie pontificale des sciences sociales,
[Pontifical Academy of Social Sciences, PASS]…
Le Vatican, qui fait environ un huitième de la taille de Central Park à
New York, possède une charmante maison d’hôtes appelée Domus [Sainte
Marthe], où j’ai séjourné quatre jours. C’est aussi la résidence
permanente du pape François…
Mes collègues de la PASS et moi-même – 25 personnes – étions en train
de dîner dans la petite salle à manger de la Domus, lorsque le pape est
entré et s’est assis à deux tables de nous.
… il était surréaliste de le voir entrer dans la salle à manger de la
maison d’hôtes avec un déambulateur et un assistant à chaque bras. Ce
fut bizarre quand il s’est assis dos à nous. Je voulais aller le voir
et le saluer, mais les gardes suisses nous avaient interdit de
l’approcher ou de l’appeler…
Le pape est en mauvaise santé, il peut à peine parler ou marcher ; et
il exhale la tristesse. J’ai été heureux de résider chez lui pendant
quatre jours, mais je ne pense pas qu’il y restera encore longtemps. (benoit-et-moi.fr)
Il y a 13 jours, impossible de monter dans la papamobile (vidéo).
La
prophétie le concernant s'achève et la prophétie de l'Église #11
approche à grands pas avec les horreurs de la guerre dans l'église et
dans le monde.
Nous l'anticipions, 2024 est l'année où tout bascule (voir analyse du 31 décembre 2023).
Fortifions nous dans la prière de la neuvaine de Notre-Dame de Guadelupe guidé par le cardinal Burke.
Seuls les armes du Ciel pourrons sauver les âmes.
7 mars
La grosse majorité des messages donnés par Dieu après Vatican II sont des illusions du diable.
Difficile pour le chrétien catholique de faire la part des choses.
Mais, un message relayé par un site catholique sérieux...
Il
faut peut-être donner le crédit du doute à ceci, étant donné l'urgence
de la situation, et que ce message fut reçu par la communauté
religieuse catholique, La Mission de la Divine Miséricorde, près de San
Antonio, au Texas, qui vivent leur vie pour le Christ et sa Sainte Mère
(https://missionofdivinemercy.org/), et que l'évêque a essayé
d'interdire la publication, mais que Dieu a exigé qu'il soit publié.
On fait référence à Tepeyac, la colline des apparitions de ND de
Guadelupe, la dame de la fin des temps, justement après l'annonce de la
neuvaine du cardinal Burke.
Curieusement, ils sont situés à la limite du corridor pour l'éclipse totale du soleil le 8 avril prochain.
Çà vaut ce que çà vaut, mais au moins, çà donne espoir.
Publié via Lifesitenews:
« Dieu le Père. Il est temps de rejoindre mon armée – Un appel aux prêtres et aux évêques.
22 février 2024
À Mes enfants dispersés à travers le monde –
Votre Dieu vous parle depuis la petite colline sainte, Notre nouveau Tepeyac.
Le moment est venu, Mes enfants, de vous appeler à vous joindre à Mon
armée – l'armée que J'ai formée et forgée en silence, dans ce qui est
caché, avec d'innombrables épreuves, sacrifices et souffrances.
Combien de petits bataillons ai-je formés à travers le monde, sur
chaque continent. Comme des citernes d'eau pure pour donner vie à Mes
enfants affamés et abandonnés. Affamés de Vérité, affamés de Moi – et
abandonnés par ceux qui sont devenus une pierre d'achoppement pour Moi
: Mes fils prêtres, à qui J'ai donné le mandat et la mission de prendre
soin de Mes brebis, de les protéger et de les nourrir de Ma Nourriture
Sacrée.
Mais ces bergers se sont endormis et vous ont abandonnés, Mes enfants, la grande majorité d'entre eux.
J'ai des Bergers fidèles – la joie de Mon Cœur – qui, unis à Mon Jésus,
travaillent sans cesse pour guider Mes brebis dans Mon bercail. Et
combien ils sont détestés et persécutés. Ils recevront la couronne du
martyre pour ce témoignage et travailleront en mon honneur.
Ma Voix est sur le point de tonner pour réveiller Mes enfants endormis, ivres du monde et des mensonges de Satan.
Ils ne reconnaissent pas les temps, ils ne reconnaissent pas Ma Voix et ils Me sont INUTILES.
Mais Je les réveillerai avec le tonnerre de Ma Voix.
Mes enfants, vous qui souffrez en voyant la dévastation de Mon Église,
en voyant le monde complètement dominé par Satan et ses cohortes –
levez vos yeux et votre cœur vers Moi, les enfants.
Vous m'avez appelé et je viens.
Vous avez été fidèle, et maintenant je vous montre que JE SUIS votre DIEU FIDÈLE.
Fidèle à Ma Parole. Fidèle à Ma Vérité. Fidèle à Mon Amour pour vous.
Je viens, mes enfants, restaurer ce qui est à moi.
Je viens, mes enfants, prendre possession de ce que Satan, dans son orgueil infini, a voulu me prendre.
Je viens, les enfants, reconquérir vos cœurs et ceux de tous Mes enfants.
Levez les yeux, mes enfants, et attendez-Moi.
Élevez vos cœurs, Mes petits, et faites-Moi confiance.
Élevez vos cœurs et vous Me verrez.
N'ayez pas peur.
Votre Dieu se lève à votre place.
Reste en Moi et n'aie pas peur.
—–
Écrivez maintenant, ma fille, pour mes fils Prêtres.
Ceux qui, au lieu d'être mes plus proches collaborateurs, mes
instruments les plus dociles et fidèles, mon repos, sont devenus un
très grand obstacle ; âmes de voleurs, volant à Mes enfants ce qui leur
appartient en tant qu'héritiers et par nécessité : Ma Grâce, Ma
Guidance, Ma Lumière, Mon Pardon. Âmes rebelles à Ma Voix, âmes
paresseuses.
Des âmes qui, m'ayant perdu, ne me cherchent pas. S'aventurant de plus
en plus loin dans les ténèbres, ils tournent le dos à Ma Lumière.
Ils deviendront plus secs et plus flétris que le figuier que j'ai maudit avant d'entrer à Jérusalem.
Au fil des années, je les ai taillés et fertilisés, essayant de les faire revivre, mais ils refusent mon aide.
MON AIDE . L'aide que j'envoie comme et quand je veux, comme une
rosée pour mes enfants. Malheur à ces bergers qui me gênent et me sont
inutiles.
Je donne une opportunité de plus ; Je vous l'accorde – une dernière
opportunité – obtenue pour vous par le sacrifice et la prière de ceux
que vous avez méprisés et abandonnés,
Mes âmes victimes – en réponse à elles, Je vous donne une opportunité de plus. NE LE GASPILLE PAS.
Je t'attendrai encore une heure, mais si tu ne réponds pas, si tu ne
M'écoutes pas, Je poursuivrai Mon Plan, en te mettant de côté pour que
tu ne causes plus de dégâts par ton inaction.
J'ai besoin de votre aide, mes fils. Je t'ai appelé; Je t'ai créé pour
cette Heure, afin que tu M'aides et que tu aides tes frères. Pour que
vous M'emmenez vers les âmes qui en ont le plus besoin ; afin que vous
protégiez Mes brebis, afin qu'avec Ma Puissance et Mon autorité vous
les libériez des griffes de Satan. Pour que vous emmeniez Ma Paix et
Mon Espoir dans les ténèbres du désespoir – pour que vous nourrissiez
Mes brebis, pour que vous les guérissiez.
Mes fils, c'est un travail très ardu. Épuisant. Déposer votre vie à chaque minute, à chaque pas.
J'AI BESOIN DE TOI.
RÉVEILLEZ-VOUS, mes fils.
Voyez ce qui se passe EN VÉRITÉ autour de vous.
Sortez des miasmes de l'ennemi, de ses confusions et séductions.
Ma voix est claire, directe. Le oui c'est oui et le non c'est non.
La Vérité est LUMIÈRE.
Mes fils, vous êtes entourés de mensonges. ON VOUS A MENTI. Et vous
avez absorbé ces mensonges qui sont si nuisibles parce qu’ils
obscurcissent la VÉRITÉ, et en obscurcissant la Lumière de la Vérité,
votre être tout entier est obscurci et vous êtes facilement distrait,
et vous devenez complètement inoffensif pour Mon ennemi.
J'ai besoin de fils de guerriers. PRÊTRES ET SOLDATS.
Intrépide au combat.
Je t'ai donné une épée le jour où tu m'as été consacré, pour mon service dans Mon Temple.
Qu'en as-tu fait ?
Je t'ai offert une étole blanche et pure. Dans quel état est-il maintenant ?
Et vos mains consacrées et ointes, à quoi les avez-vous utilisées ?
OÙ EST VOTRE FOI, mes fils ?
Au lieu d’être la forte flamme invincible qui vous donne vie et chaleur
et qui fait de vous de véritables collègues de travail, vous l’avez
laissé s’éteindre. Je ne vois qu'une petite flamme ici et là – si
pauvre et si faible.
FILS, C'EST POURQUOI LES TÉNÈBRES S'ONT PROPAGÉES. PARCE QUE IL N'Y A PAS DE FOI EN MES PRÊTRES .
LA FOI SIMPLE ET PURE DES ENFANTS.
LA FOI FORTE ET VAILLANTE DE MES ENFANTS.
LA FOI LOYALE JUSQU'À LA MORT.
LA FOI QUI EST LUMIÈRE ET VIE.
VOUS L'AVEZ LAISSÉ S'ÉTEINDRE. En vous et en Mes enfants.
VOUS ÊTES RESPONSABLES DE TANT D'OBSCURITÉS, FILS.
Et vous, appelés Évêques, qui devriez être des pères pour mes fils
Prêtres, des exemples et des guides, vous êtes devenus bien pires que
des démons, car au moins les démons Me reconnaissent comme Dieu, même
s'ils Me haïssent.
Mais vous M'AVEZ REJETÉ et VOUS M'AVEZ UTILISÉ À VOS PROPRES FINS.
Malheur à vous. Malheur à vous si vous ne reconnaissez pas cette
dernière opportunité. Si vous ne vous tournez pas vers Moi, si vous ne
reconnaissez pas votre culpabilité et votre responsabilité.
Oui, vous portez une terrible responsabilité. Gigantesque. Et je t'appellerai pour un compte.
PERSONNE NE SE MOQUE DE MOI.
PERSONNE NE PROFITE DE MOI.
Vous êtes tellement aveuglé que vous ne voyez pas comment vous êtes utilisé et manipulé.
Je vous parle, mes fils, qui étiez autrefois sincères en me suivant.
Je dois vous corriger – c'est de la miséricorde.
Je dois te réveiller – c'est la miséricorde.
Je dois vous secouer – c'est la justice.
Je suis ton père. Et j'ai Miséricorde. Mais je suis aussi votre Roi et j'exige votre loyauté et votre obéissance.
Et je suis ton DIEU. N'OUBLIE PAS CELA.
Et en tant que DIEU, j'ai droit à TOUT . Que tu me donnes TOUT .
Reconsidérer. Écoutez Ma Voix. Ces mots que je vous
donne MAINTENANT pour vous montrer ce dont j'ai besoin de
vous MAINTENANT .
Vous n’avez pas seulement laissé la fumée de Satan s’infiltrer dans Mon
Sanctuaire ; mais vous avez laissé toute une armée de démons prendre
votre place.
Et vous avez permis à l'usurpateur de s'asseoir sur la chaise de Mon
Pierre – celui qui commet la Grande Trahison qui laissera Mon Église
désolée.
ET VOUS L'AVEZ PERMIS.
Et vous portez avec vous la terrible responsabilité de cette horrible offense envers Moi, votre DIEU.
Vous m'avez abandonné et vous avez abandonné mes petits. Et vous avez abandonné Mon Jésus.
Malheur à vous.
Fils, écoutez- Moi MAINTENANT . Tournez-vous vers
moi maintenant . Laissez vos critères derrière vous et
recevez MA LUMIÈRE. Vous êtes dans l’obscurité et vous ne vous en
rendez pas compte.
Mais moi, votre DIEU, j'ai Miséricorde.
Moi, votre bon Père, j'ai pitié de votre aveuglement, de votre famine et de votre nudité.
Et Je vous offre ces PAROLES afin qu'en elles vous M'entendiez ; c'est
d'eux que vous vous habillez, et c'est par eux que vous vous nourrissez.
HÂTEZ-VOUS, mes fils. IL N'Y A PLUS DE TEMPS .
J'ai besoin que tu sois complètement à moi.
Ne résistez pas à Ma Voix, mes fils.
Je vous parle en tant que votre Père.
Mais bientôt je parlerai en tant que DIEU TOUT-PUISSANT ET UNIQUE. LE SEIGNEUR DIEU DES HÔTES.
CELUI QUI EST .
LE SEUL.
PERSONNE NE PEUT RÉSISTER À CETTE VOIX.
Devant ce Tonnerre Dévastateur, qui détruira, fera tomber toute
présence de l'ennemi et tous ceux qui l'ont choisi à Moi ; Je vous
donne cette dernière
opportunité.
Je vous rappelle le dicton bien connu : « Celui qui court avec les loups apprend à hurler ».
Vous n'avez pas reconnu les loups qui vous entourent. Vous les avez
reçus comme de vrais bergers. Et au lieu de prononcer seulement Mes
Paroles, Ma Vérité, vous les avez laissés hurler et vous avez commencé
à les imiter également.
LEVEZ-VOUS, mes fils. SUR SES GARDES.
RÉVEILLEZ-VOUS.
LUTTE. DÉFENDEZ CE QUE JE VOUS AI CONFIÉ .
C'EST LE DERNIER APPEL. Je te veux dans mon armée.
MAINTENANT .
J'AI MON PROJET, NE ME Gênez PAS.
NE ME Gênez PAS.
N'oubliez pas que vous êtes des serviteurs. Que vous êtes des fils. Et à ce titre, vous Me devez obéissance et fidélité.
Une fois que vous vous êtes levé, élevez vos frères prêtres.
Rappelez-vous que JE SUIS votre Tête. JE SUIS Qui vous unit. JE SUIS votre chef et capitaine.
Votre Heure est passée.
Et le MIEN COMMENCE MAINTENANT. MON HEURE. L’HEURE À LAQUELLE MON PLAN
EST RÉVÉLÉ POUR CE QU’IL EST – INFINI, PUISSANT, INÉBRASSABLE. RADIANT.
Pendant des années, vous êtes restés sourds à Ma Voix qui parle avec
ces petites voix – dispersées à travers le monde et à chaque époque de
l'Église, pour le bien de tous Mes enfants.
Vous les avez mis de côté, les considérant comme superflus, comme de simples imaginations d’esprits instables.
Mais maintenant, J'UNIS CES VOIX DANS MA VOIX DE TONNERRE.
MA VOIX TONNERA JUSQU'AUX FINS DE TOUT CE QUI EST CRÉÉ.
MA VOIX Atteindra les profondeurs les plus profondes.
TOUT CE QUI EXISTE SENTIRA LE TONNAGE DE MA VOIX.
JE SEULEMENT PEUT DIRE « ASSEZ ! »
LE ASSEZ GRAND qui défait les œuvres de Satan.
MOI, VOTRE DIEU LE DIT.
Et Je vous appelle à reprendre place dans Mon armée et à élever avec Moi votre voix dans ce grand cri.
Je vous attends, mes fils. UNE HEURE DE PLUS.
PAS PLUS.
Je t'attends depuis longtemps et il ne me reste plus de temps.
Mettez de l'ordre dans vos maisons, mes fils.
J'ARRIVE.
Et je rendrai visite à CHACUN DE VOUS .
Etes-vous prêt pour cette visite de MA PART ? NON.
C'est pourquoi je viens vous réveiller. Pour que vous vous prépariez.
Pour que vous vous souveniez de votre Abba et que vous vous souveniez de votre véritable vocation.
FILS, LEVEZ-VOUS.
MAINTENANT .
MON PLAN AVANCE INEXORABLEMENT. UN PLAN DE MISÉRICORDE ET DE JUSTICE.
UN PLAN DE BONTÉ ET DE PUISSANCE.
MON PLAN POUR RECONQUÉRIR MES ENFANTS, MON ÉGLISE ET TOUS
MA CRÉATION.
Écoutez-moi, mes fils.
SE LEVER.
Votre Abba, votre Père qui vous aime.
Votre Seigneur et Dieu.
Celui QUI EST, QUI ÉTAIT et QUI EST À VENIR.
AMEN.
J'ARRIVE.
NOTE : Comme cela arrive fréquemment, les lectures de la messe du jour
suivant la transmission d'un de ces messages, semblent confirmer ce qui
a été dicté. Parfois très clairement, parfois plus subtilement.
Les lectures du 27 février (mardi de la deuxième semaine du Carême) étaient :
Isaïe 1, 10, 16-20
« Écoutez la parole de l'Éternel, princes de Sodome ! Écoutez
l'instruction de notre Dieu, peuple de Gomorrhe ! Lavez-vous
proprement ! Éloignez vos méfaits de devant mes yeux ; cessez de
faire le mal ; apprendre à faire le bien. Faites de la justice votre
objectif : réparer les torts, entendre le plaidoyer de l'orphelin,
défendre la veuve. Allons, remettons les choses en ordre, dit l'Éternel
: Même si vos péchés sont comme l'écarlate, ils peuvent devenir blancs
comme la neige ; Même s'ils sont rouge cramoisi, ils peuvent devenir
blancs comme de la laine. Si vous le voulez bien et si vous obéissez,
vous mangerez les bonnes choses du pays ; Mais si vous refusez et
résistez, l’épée vous consumera ; car la bouche de l’Éternel a parlé !
Ps 50 :8-9, 16bc-17, 21 et 23
« Ce n'est pas à cause de vos sacrifices que je vous réprimande, car
vos holocaustes sont toujours devant moi. Je ne prends de ta maison ni
taureau ni chèvre de ton bercail. Pourquoi récitez-vous mes statuts et
professez-vous mon alliance de votre bouche, alors que vous haïssez la
discipline et rejetez mes paroles derrière vous ? Quand vous faites ces
choses, serai-je sourd ? Ou pensez-vous que je suis comme vous ? Je
vous corrigerai en les dessinant sous vos yeux. Celui qui offre des
louanges en sacrifice me glorifie ; et à celui qui suit le bon chemin,
je montrerai le salut de Dieu.
Ez 18:31
Rejetez loin de vous tous les crimes que vous avez commis, dit l'Éternel, et faites-vous un cœur nouveau et un esprit nouveau.
Mt 23, 1-12
Jésus parla aux foules et à ses disciples, disant : « Les scribes et
les pharisiens se sont assis sur la chaire de Moïse. Faites donc et
observez tout ce qu'ils vous disent, mais ne suivez pas leur exemple.
Car ils prêchent mais ils ne pratiquent pas. Ils attachent de lourds
fardeaux difficiles à porter et les déposent sur les épaules des gens,
mais ils ne lèvent pas le petit doigt pour les déplacer. Toutes leurs
œuvres sont jouées pour être vues. Ils élargissent leurs phylactères et
allongent leurs glands. Ils aiment les places d'honneur lors des
banquets, les places d'honneur dans les synagogues, les salutations sur
les marchés et le salut « Rabbi ». Quant à vous, ne vous faites pas
appeler « Rabbi ». Vous n'avez qu'un seul maître et vous êtes tous
frères. N'appelez personne sur terre votre père ; vous n'avez
qu'un seul Père aux cieux. Ne soyez pas appelé
« Maître » ; vous n'avez qu'un seul maître, le Christ.
Le plus grand d'entre vous doit être votre serviteur. Celui qui s’élève
sera humilié ; mais celui qui s'humilie sera élevé. »
Curieusement, ces lectures du 27 février terminaient les 11 ans complétés depuis la démission officielle de Benoît XVI.
Février 2024
28 février
Nous y sommes : 11 ans révolus depuis l’envolée du pape émérite vers Castel Gandolfo.
Et juste avant cet anniversaire, la bête de la Terre fait le vœu de voir des troupes françaises en Ukraine.
Le 11 représente un passage, entre les deux colonnes.
Le même jour, le cardinal Burke, cardinal conservateur des dubias,
prend le contrôle de la barque de Saint-Pierre et proclame une neuvaine
de 9 mois commençant le 12 mars, pour contrer le 11 ans révolus de
Bergoglio du 13 mars prochain.
Cette neuvaine prend fin donc le 12 décembre, et c’est voulu, pour la fête de Notre-Dame de Guadelupe.
ND de Guadelupe, c’est la femme de l’Apocalypse avec les deux pieds sur la lune qui voile… le soleil!
La tilma, le manteau de la Vierge, nous a été préservée par miracle
depuis 1531, car c’est une signe qui appartient à la fin des temps, un
rappel.
Cette neuvaine est pour contrer le synode des synodes et ses horreurs,
qui sera célébré par le jubilé 2025, commençant probablement comme ceux
qui ont précédés, le 8 décembre.
Nous avons ici un signe.
Une mort annoncée des témoins le 8 décembre et une résurrection des témoins le 12 décembre?
(Analyse du 02 décembre 2023 :
LA FIN DES TEMPS, VRAIMENT?
Plusieurs se demandent, sommes-nous réellement à la fin des temps?
Selon le calendrier de la fin des temps spécifié dans l’Apocalypse, nous avons pour étapes avant le retour de NSJC :
1) Mort des témoins (3,5 jours)
2) Résurrection des témoins
qui terminent la sixième période.
On peut affirmer que les attaques du Vatican contre ses prêtres qui
favorisent la tradition OU qui ne sont pas dans la même ligne de la
politique des affaires étrangères du Vatican prôné par Bergoglio,
constituent la preuve irréfutable de cette fin de la sixième période.
Le synode des synodes parachèvera le tout.
...
Le cardinal Burke serait sur le point de se faire retirer son salaire et son appartement car il parle trop.
L’entrée dans la 7ème période de l’Apocalypse est caractérisée par la :
3) Mort de l’Antéchrist
et la
4) Chute de Babylone (3ème malheur, Ap. 11, 14) )
Dans l’histoire chrétienne, dans les moments difficiles, Dieu
intervient, MAIS seulement en faveur des justes et conditionné par
leurs PRIÈRES, en reconnaissance de leur impuissance.
Exemples : Jonas à Ninive, la victoire de Lépante donnant lieu la vénération de Notre-Dame du Rosaire.
Cette neuvaine de 9 mois instaurée par le cardinal Burke est un baume pour ces moments difficiles (notre traduction) :
« Dans un monde aux prises avec une grande maladie, une guerre fait
rage en Europe. Après des années de trêve, une nouvelle invasion de la
Palestine menace de perturber le Moyen-Orient. Les débats théologiques
sont politisés et conduisent des millions de croyants à abandonner la
foi. Un évêque écrit : à moins que la main de Dieu n'intervienne
directement, tout sera perdu. »
Notre Seigneur ne nous a pas dit d'avoir peur. Quelles que soient les
ténèbres de notre époque, les hommes et les femmes de foi ne sont
jamais privés de la vérité et de l’amour du Christ, ni des soins
fidèles de sa Mère.
Lorsque Notre-Dame est apparue pour la première fois à San Juan Diego,
il y a environ cinq cents ans, l’époque était très similaire à la
nôtre. Même à cette époque, le monde était aux prises avec la famine et
la maladie, et la guerre en Terre Sainte menaçait de réduire au chaos
cette région magnifique et tourmentée.
Même alors, une confusion empoisonnée au sein de l’Église rongeait la foi des chrétiens du monde entier.
Puis nous avons vu les forces du péché se retirer devant la Madone.
Grâce au partenariat humble et courageux de saint Juan Diego avec la
grâce, Notre-Dame a revendiqué le Nouveau Monde pour le Christ,
attirant près de neuf millions de nouvelles âmes dans l'Église au
moment de la mort de saint Juan Diego en 1548. C'est cette même
maternité de soin et de protection que nous recherchons aujourd'hui, un
soin et une protection qu'Elle nous accordera, si nous le demandons
sincèrement.
À
cette fin, je demande à tous les catholiques, en particulier ceux des
Amériques, de se joindre à moi pour prier une neuvaine de neuf mois
pour implorer l'intercession de Notre-Dame, à partir du 12 mars.
Cet immense engagement spirituel culminera avec la consécration à
Notre-Dame de Guadalupe le 12 décembre, jour de sa fête. Pour vous
guider, ceux qui s'engagent dans cette grande cause spirituelle peuvent
s'attendre à de courtes réflexions vidéo de ma part chaque mois, ainsi
qu'à des réflexions et des prières écrites régulières.
La
conversion de nos cœurs transforme infailliblement notre monde : nous
ne perdons jamais la foi dans la sollicitude de Notre-Dame envers nous,
et nous ne perdons jamais la foi dans la vérité et l'amour du Christ.
Les ténèbres du péché semblent si grandes. Mais Notre Seigneur ne nous
a pas appelé à la peur ! Le mal ne peut pas miner la puissance de la
grâce de Dieu, et le péché ne peut pas empêcher la miséricorde
guérisseuse de Notre Seigneur d'atteindre ceux qui se repentent et la
recherchent. Et rien ne peut diminuer le soin et la protection de
Notre-Dame envers nous, qui restent aussi forts aujourd'hui qu'ils
l'étaient il y a cinq cents ans.
Dans le Sacré-Cœur de Jésus et dans le Cœur Immaculé de Marie, et dans le Cœur très pur de Saint Joseph. »
Raymond Leo Cardinale Burke (novena.cardinalburke.com)
26 février
Deux années de guerre en Ukraine.
Dieu déchaîne la guerre de la nature pour arrêter la guerre des hommes… et la perte du petit reste, la tradition.
Le cycle solaire 25 qui a présentement donne des signes, comme un
avertissement, certes invisibles pour la masse qui ne peuvent voir
l’activité solaire à moins de s’y intéresser.
S’y intéresser parce que le dernier Jugement sera un Jugement par le feu contrairement à ce qui s’est passé du temps de Noé.
Or, notre soleil menace notre civilisation qui ne vit uniquement que par l’électronique.
Et les spécialistes sont unanimes : une tempête solaire majeure
digne de l’événement Carrington de 1859, plongerait cette civilisation
dans le moyen âge.
Or, depuis le 22 février, une tache solaire règne en maître, la plus
grosse du cycle 25, à 60% de superficie que la tache solaire de 1859.
Cette nouvelle tache solaire a généré 3 éjections de classe X (les plus
puissantes) dont une de classe X6,5, soit la plus puissante depuis la
dernière tempête solaire en 2017.
De plus, janvier et février 2024 sont au-dessus de la normale en termes
de températures, en la dépassant de plus de 1,5 degrés Celsius, soit la
cible que l’élite se donne comme limite pour 2050!
Conséquences : des hivers anormaux dans le nord et des étés anormaux dans le sud de notre planète.
Le phénomène El Nino s’estompe dans l’océan pacifique pour laisser place à la Nina, un courant froid.
Conséquences : une absence de cisaillement de vents vers l’Atlantique qui contrecarre les montées d’air chaud des ouragans.
On prévoit donc plus d’ouragans et de tempêtes remontant le Gulf Stream vers l’Europe cet été.
La guerre de la nature décrétée par Dieu est évidente.
Côté spirituel, que s’est-il passé en février?
Réponse : un coup de barre important par l’étendue de l’intelligence artificielle (IA).
Après l’annonce d’Apple au début du mois (40 ans après l’événement
1984; voir analyses précédentes), ce fut au tour de Google de se lancer
avec Gemini.
Ce monde, qui déjà ne sait plus quoi croire sur le net, sera
complètement sous le joug de la machine, du démon, de ce qu’a
prophétisé St-Jean en parlant des miracles modernes dans l’Apocalypse.
Et Apple en a rajouté un couche en introduisant Apple Vision Pro (Apple Vision. Voulez-vous de ce monde-là ? Regardez !) Insolentiae.com
Conséquences : Une fausse réalité que les nouvelles générations
vont croire comme véridique : isolation dans un nouveau monde de
l’esprit du démon, leur « spirituel », plus tangible que le monde de
l’esprit offert par le Christ, qui lui n’est pas visible.
C’est l’aboutissement de la guerre à la famille, la dernière.
« La bataille finale entre Dieu et Satan portera sur le mariage et la famille »
« La bataille finale entre Dieu et le royaume de Satan portera sur
le mariage et la famille » confiait il y a plusieurs années Sœur
Lucia dos Santos, une des trois voyantes de Fatima, au cardinal
Carlo Caffarra, alors qu’il travaillait à la fondation de l’Institut
pontifical Jean Paul II d’études sur le mariage et la famille
à Rome.
« Toutefois, Notre Dame lui a déjà écrasé la tête ».
N’est-ce pas ce à quoi nous assistons?
Après avoir introduit une brèche dans la famille avec la révolution
féminine, envoyé les enfants à la garderie (crèche), les avoir isolés
dans les jeux vidéos pour les rendre esclaves, nous en sommes à la
finale « woke » et le mariage homosexuel au Vatican.
De plus, l’isolement prend sa forme la plus vicieuse dans la grande
apostasie, où le chrétien devient l’exception et est traité comme un
terroriste, un grain de sable qui empêche la religion humaniste, de
l’égalité de tous et de la miséricorde infinie par sa doctrine
vieillotte.
Nous assistons tous à une accélération fulgurante de l’immigration de
masse (et encore le mot n’est pas assez fort) dans tous les pays
chrétiens, en Europe, et au Canada.
Le but est de faire tomber les chrétiens pratiquants à une minorité
pour établir la charte des droits et libertés des Nations-Unies :
l’Agenda 2030.
Bonne nouvelle : quand l’ennemi sent la soupe chaude, il accélère le processus.
Et nous y sommes, dans cette accélération.
Les paroles du Christ qui nous demande de s’isoler dans les montagnes
lorsque nous sommes témoins de l’abomination de la désolation installée
sur le trône de Saint-Pierre, et qui est le principal défenseur des
droits à l’immigration humaniste, prend tout son sens.
Prière, Foi, Espérance et Charité.
Ce sont les seules armes efficaces à notre portée.
4 février
2023 a été le témoin d’un phénomène météorologique
exceptionnel : une séquence de plus de 300 jours où l'eau est
anormalement chaude dans les océans du globe.
Et janvier 2024 n’a pas fait exception, dépassant même la température moyenne de janvier 2023.
La sécheresse continuera à certains endroits comme les pluies diluviennes ailleurs.
Les éco-anxieux vont blâmer le réchauffement climatique mais nous savons que :
« Dieu a déchaîné la guerre de la nature pour empêcher la guerre des hommes.(prophétie politique #32 : Le Temps est Proche)
Et effectivement, nous anticipions 2024 comme une année où tout bascule
vu le contexte géopolitique mondial, et spirituel du côté du Vatican.
2024 semble donc l’année où nous allons vivre l'aboutissement de certaines prophéties politiques et de l’église de Jean XXIII.
Nous avions ciblé l’Iran depuis longtemps comme pays susceptible d’être témoins du « Grand Éclair à l’Orient ».
Les récents développements entre Israël et le Hamas vont dans ce sens.
Rappelons qu’une des deux factions sionistes, la branche anglo-saxonne
qui a son siège à la City de Londres, croient que la venue du messie
doit être forcé en multipliant les conditions nécessaires, au lieu
d’attendre.
Ce messie n’est rien d’autre que la domination mondiale du peuple sioniste (celui qui vit du Talmud).
Nous avons été témoins de l’Iran qui garde un pied sur le frein tout en
fournissant les armes nécessaires au Hamas et au Hezbollah au Liban,
tout en s’associant à la Russie, à la Chine, et à la Corée du Nord.
Comme nous l’écrivions le 23 octobre dernier, les deux axes, Gog et Magog, sont en places.
Israël a tout l’occident derrière lui.
La séquence des derniers événements :
Le groupe armé État islamique (EI) a revendiqué l'attentat qui a fait 84 morts en Iran le 3 janvier dernier.
Nous apprenons ensuite que les deux états qui financent l’EI pour sa résurrection soudaine sont le Qatar et l’Arabie Saoudite.
Malgré les apparences, nous assistons donc à la fin de la prophétie
politique #30 « Le livre maudit », soit la fin de la guerre islamique
entre les sunnites et la branche chiite menée par l’Iran.
L’Iran via sa branche positionnée en Irak réplique en tuant 3 soldats
américains et blessant plusieurs autres par une attaque d’une base
américaine au nord de la Jordanie.
Les américains, en pleine campagne électorale, ne peuvent laissé passer.
Ils ont commencer des représailles contre des groupes pro-iraniens en Irak et en Syrie.
Nous sommes en pleine escalade du conflit mondial à venir.
L’Iran ne digère pas non plus, supporté par la Russie au Conseil de
Sécurité des Nations-Unies, que l’axe anglo-saxon procède à plusieurs
frappes au Yémen suite au blocage pétrolier par les Houthis.
Mais, « de l'Orient la foudre en plein jour, quand l'idole sera abattue et les mangeurs de cœurs se seront dispersés. » (prophétie politique # 27)
« Quand l'Islam sera divisé, et les fils de Mahomet lutteront contre les fils de Fatima »…
« Les fils de Mahomet vaincront, le nom de Fatima sera reconsacré … »
Pour intégré les musulmans dans le nouvel ordre mondial, il est
nécessaire pour l’élite de ne garder que la branche fidèle au
capitalisme : les sunnites.
Il font faire le sale boulot par l’EI qui s'occupe de faire monter la
tension envers les chiites (voir Grand éclair à l'Orient), ces sunnites
apostasiés.
C’est le même constat quant à la prophétie « Grand Éclair à l’Orient ».
En
pleine année électorale aux États-Unis, dans un contexte on le sait, de
tension extrême, lié à cette situation prête à exploser en Orient,
bref, la table est mise pour l’aboutissement de cette prophétie.
« Ceci arrivera quand en Orient sera mort un chef (Iran?) et en Occident, sera tué un chef. Au sud de Luther (sud des États-Unis, ou un pays au sud des États-Unis) ».
« Les assassins sont en Europe. Ils veulent la Méditerranée ».
Ce
que veut avant tout Israël, et l’axe anglo-saxon, dans cette guerre
pour la bande de Gaza, c’est bien de s’approprier les réserves gazières
au large de la Méditerranée.
La fille de Caïn, si c’est bien Greta Thunberg, est toujours active.
La luxure de L’Europe dure sept ans à partir de son apparition mémorable d'août 2018, ce qui donne comme limite août 2025.
À « la septième année tombe le septième voile de Salomé ».
2024 est donc cette année de transition, où le chaos règne.
Du côté spirituel, la publication Fiducia Supplicans cultive l’ambiguïté et le rejet chez les fidèles.
Jamais de toute l’histoire de l’église, une publication n’a été si ouvertement contestée à l’intérieur du Vatican.
La mort de l’église est imminente.
Et ainsi l’ouverture du septième sceau.
Annonçant le retour du Christ en Gloire.
Janvier 2024
23 janvier
L’identité numérique doit être appliquée en 2025 selon les plans de l'élite.
Davos 2024: la maladie X, un rappel du coronavirus 2020:
« … Alors que le monde est aux prises avec des défis sans précédent,
les dirigeants, innovateurs et décideurs politiques du monde entier se
réunissent pour aborder l’intersection des forces économiques,
sanitaires et technologiques lors de la réunion 2024 du FEM à Davos. Au
premier plan des discussions se trouve le paradigme émergent pour faire
face à la menace énigmatique connue sous le nom de « Maladie X ».
La maladie X, un virus 20 fois plus mortel que le Covid-19, était le
sujet de discussion lors de la réunion de mercredi. Bien que cela
n’existe pas encore, les scientifiques rapportent qu’un agent pathogène
mortel pourrait déjà circuler dans les espèces animales et être à
l’origine de la maladie X.
La présence de l’OMS à Davos est cruciale alors que le monde est confronté à la menace imminente de la « maladie X ».
« Vous pouvez même appeler Covid la première maladie X et cela pourrait se reproduire » – Dr Tedros, chef de l’OMS.
L’ordre du jour du Dr Tedro comprenait des points clés sur le
renforcement des systèmes de santé, la distribution équitable des
vaccins et les efforts de collaboration pour prévenir, détecter et
répondre aux menaces sanitaires émergentes.
Un point clé à retenir ; Le moment est désormais crucial pour
collaborer à la construction d’une infrastructure sanitaire mondiale
plus robuste et interconnectée, en reconnaissant le lien indissociable
entre la santé publique et la stabilité des économies. » (forbes.com)
C’est une article de Forbes. Pas n’importe quelle publication pour passer le message.
l’OMS force pour avoir l’accord mondial pour une action concertée
contre les pandémies, c’est à dire: lui passer le pouvoir seul au gré
des nations, pour 2024.
« Les gouvernements poursuivent les discussions sur le texte de négociation de l’accord sur les pandémies.
… L’organe de négociation a recommandé que les sous-groupes poursuivent
les discussions informelles avec les États Membres et proposent le
texte des articles qui leur ont été soumis pour le 15 janvier 2024,
afin qu’ils soient examinés lors de la huitième réunion de l’organe de
négociation qui se tiendra du 19 février au 1er mars 2024. La neuvième
aura lieu du 18 au 28 mars 2024… » (who.int)
Bref, çà va vite.
Et après la clôture de Davos 2024, O surprise, on annonce hier que les
chinois ont continué leur expériences sur deux SRAS-CoV-2 prélevés chez
le pangolin et que ce dernier est mortel dans 100% des cas étudiés.
« Le coronavirus pangolin GX_P2V(short_3UTR) lié au SRAS-CoV-2 peut
provoquer une mortalité de 100 % chez les souris transgéniques ACE2
humaines, potentiellement attribuable à une infection cérébrale à un
stade avancé. Ceci souligne un risque de propagation du GX_P2V chez
l’homme et fournit un modèle unique pour comprendre les mécanismes
pathogènes des virus liés au SRAS-CoV-2…» (biorxiv.org)
On prépare une diminution massive de la population ainsi qu’un contrôle numérique total.
22 janvier
11 février 2024 : grande messe du football américain, le SuperBowl, aura lieu dans la ville du péché par excellence, Las Vegas.
Le SuperBowl, c’est LA vitrine pour passer un message au niveau mondial via une publicité unique qui n’a pas de prix.
Contrairement
à tout autre événement sportif qui célèbre une « coupe » quelconque, le
SuperBowl procède par un compte croissant en chiffres romains.
2024 est donc l’année du SuperBowl LVIII ou 58.
Le
spectacle de la mi-temps, toujours axé sur les extravagances
démoniaques, aura pour thème : « Apple Music spectacle de demi-temps »
… avec le logo de la pomme bien en vue.
Pourquoi ceci en 2024?
Nous connaissons tous le livre 1984.
Et, Apple produit le premier ordinateur accessible à tous le 11 avril 1976.
Le Apple I se vendait 666.66 dollars.
En
1984, le Apple Macintosh a été le premier ordinateur personnel de
bureau tout-en-un grand public à succès doté d’une interface
utilisateur graphique, d’un écran et d’une souris intégrés.
Apple
présente en 1984 l’ordinateur personnel comme nouveau produit de
consommation, pavant la voie au futur smartphone et l’Intelligence
Artificielle.
Le 22 janvier, donc 40 ans aujourd’hui, c’est l’introduction pour sa
seule fois, de la publicité télévisée historique, présentant la machine
comme un outil de rébellion contre un système politique dystopique.
Apple profite d’une coupure dans le troisième quart pour annoncer le Macintosh avec « 1984 ». (vidéo)
Un temps, deux temps (3 quarts donc) … et la moitié d’un temps par la
suite, car le temps sera raccourci et le 4ème temps n'arrivera pas à sa
fin.
En fait, il semble que 1984 ne s’adressait pas à cette année, mais à 2024.
Pour preuve le narratif de la publicité 1984 :
« Mes amis, chacun de vous n’est
qu’une petite cellule du grand corps de l’État. Et aujourd’hui, ce
grand corps s’est débarrassé de ses parasites. Nous avons triomphé de
la dissémination incontrôlée des faits. Les bandits et les destructeurs
ont été éliminés. Les herbes empoisonnées de la désinformation ont été
enfermés dans la poubelle de l’histoire. Que chacun, que chaque cellule
se réjouisse ! Aujourd’hui, nous célébrons le premier anniversaire de
la Directive sur la Purification de l’information. Nous avons créé,
pour la première fois dans l’histoire, le jardin de l’idéologie pure où
chacun pourra s’épanouir à l’abri de la peste des vérités
contradictoires et confuses. Notre Unification de la pensée constitue
une arme plus puissante que n’importe quelle flotte ou armée sur terre.
Nous formons un peuple. Avec une volonté. Une détermination. Une cause.
Nos ennemis pourront converser entre eux jusqu’à en mourir. Et nous les
enterrerons avec leur propre confusion. »
Le premier Macintosh sera ensuite mis en vente le 24 janvier 1984, et
la promotion sera faite à la télévision par Bill Gates, qui a créé
Microsoft par la suite.
Pourquoi une analyse sur ce sujet aujourd’hui?
Parce ce qu’on annonce en grandes pompes aujourd’hui, quarante ans
après avoir lancé la révolution des ordinateurs personnels, que le Mac
gagne en popularité au-delà des adeptes d’Apple et pourrait connaître
une nouvelle gloire grâce à l’intelligence artificielle (IA).
Quarante, c’est le temps de l’épreuve, le temps qu’il faut pour
approcher Dieu, se convertir et faire appel à sa miséricorde. Cela fait
référence aux 40 ans que le peuple hébreu a passé dans le désert mais
aussi 40 jours que Jésus a passé dans ce même désert, avant de
commencer sa vie publique, on nous annonce ici une vie publique encore
plus visible pour le système Antéchrist ou l'Antichrist personnifié.
Ne sommes nous pas dans une ère de désinformation grandiose?
La présidente de la Communauté européenne n’a-t-elle pas demander le
contrôle totale de l’information à Davos 2024 la semaine passée?
«
C’est pourquoi, a-t-elle expliqué, la Commission européenne a élaboré
la loi sur les services numériques, car la désinformation et la
désinformation peuvent se transformer en discours de haine, la chose la
plus dangereuse au monde. Il faut l’écraser ! Enfoncé dans la terre
sous le talon d’une botte ! »
Le 19 janvier dernier, la rédacteur en chef du WSJ admet aux élites de Davos que « l’information ne nous appartient plus ».
Milei, le nouveau président argentin à Davos :
« Je suis ici aujourd’hui pour vous dire que l’occident est en danger.
Il est en danger parce que ceux qui sont supposés défendre les valeurs
de l’occident sont corrompus par une vision du monde qui conduit
inéluctablement au socialisme et donc à la pauvreté ».
On donne l’impression qu’il les sermonne… Mais c’est le message qui compte : l’Occident est en danger.
Le fait n’est pas anodin : le 11 février 1858 commence les apparitions
à Lourdes, 12 ans après l’apparition mariale de La Salette, avec
l’annonce de l’Antéchrist sur le trône de Saint-Pierre.
Date de démission forcée de Benoît XVI : 11 février 2013, 84 ans jour pour jour après les accords de Latran!
Nous sommes dans la 11ème année du règne de l'Antéchrist Bergoglio.
Marie annonce à Bernadette Soubirous qu’Elle est l’Immaculée Conception.
Le 16 juillet 1858, date de la dernière apparition, Bernadette devient L’Élie des temps nouveaux. (laportelatine)
Le chiffre 16 est un chiffre important.
Il représente la Résurrection.
Et puisque Satan singe, que nous annonce-t-on pour le 16 juillet 2024?
Puisque
nous somme à la 9ème heure, le 16 juillet 2024 risque d’être un jour
eschatologique majeur et porteur d’un signe que peu pourront renier.
Rappelons que Notre-Dame du Mont Carmel, c’est le scapulaire qui protège à la fin des temps.
Le
16 juillet, c’est aussi la date de publication de Traditionis Custodes
en 2021, tentative vaine, pour l’instant, pour essayer de faire taire
ce qui reste des deux témoins.
L’identité numérique est prévue pour 2025 pour arriver à la finale du plan de l’Agenda 2030.
L’importance du chiffre 11 pour la kabbale:
Ce chiffre représente une porte qui s’ouvre, un passage, une Pâques, entre les deux colonnes.
C’est donc dire qu’il représente un nouveau départ, une grande
réinitialisation ou des étapes menant à cette étape ultime, et un
sacrifice ou suite à un sacrifice.
Satan singe et inverse, et évidement il n’offre pas une porte vers le Ciel avec son 11.
Exemples : armistice le 11 du 11ème mois, 11 septembre 2001, accident de la centrale Fukushima, 11 mars 2011, etc..
Jean XXIII publie son encyclique humanitaire PACEM IN TERRIS le 11 avril 1963.
Alors, pour l’année 2025 : Le Jubilé et les références au chiffre 11.
« la signification du jubilé dans la tradition juive : c’est
l’accomplissement de l’œuvre, la réussite, le couronnement, l’année «
divine » où l’on se repose de son travail. » à la 50ème année, après la
limite du diable, le 49.
« Le 11 février 2022, jour de la mémoire de la bienheureuse Vierge
Marie de Lourdes, le pape François a adressé une lettre à Mgr Rino
Fisichella, président du Conseil pontifical pour la promotion de la
nouvelle évangélisation, pour le Jubilé de 2025… le thème « Pèlerins
d’espérance ».
La réussite de ce Jubilé, a-t-il affirmé, sera possible « si nous
sommes capables de retrouver le sens de la fraternité universelle »… Le
pape François a ajouté que les quatre constitutions du concile
œcuménique Vatican II « unies au magistère des dernières décennies »,
continueront « à orienter et à guider le saint peuple de Dieu ». Après
avoir déclaré que la Bulle d’indiction « sera émise en temps voulu »,
le pape François a stipulé l’année précédant l’événement jubilaire,
2024, « pourra être consacrée à une grande “symphonie” de prière ». »
(lacroix.com)
Le Jubilé pour la bête Vatican est l’occasion d’ouvrir une porte, les
Portes Saintes pour l’Église et une singerie inversée pour l’église
conciliaire sous l’attention de Satan.
Et pour ce passage prévue, il faut une préparation :
« Mgr Fisichella a en outre souligné l’indication du Pape François de
consacrer les deux prochaines années précédant le Jubilé sur deux
thèmes particuliers. L’année 2023 sera ainsi consacrée à revisiter les
thèmes fondamentaux des quatre Constitutions du Concile Vatican II,
dont on célébrera le 11 octobre prochain le 60e anniversaire de
l’ouverture, «afin que l’Église puisse respirer à nouveau» cet
«enseignement profond et actuel». Une série de supports utiles, «écrits
dans un langage attrayant», sont en préparation.
L’année 2024 sera consacrée en revanche à la prière, pour «créer un
cadre favorable au Jubilé et permettre que les pèlerins puissent se
préparer à cet événement, qui est avant tout spirituel, de façon
cohérente et efficace». » (osservatoreromano.va)
En 2023, on célèbrait le fameux 11 octobre 1962 et ses fruits pourris,
alors que pour ceux qui ont les yeux ouverts, on célèbre en réalité le
veuvage de l’Église (60 ans selon Saint-Paul).
Alors, qu’en 2024, on prépare mentalement les âmes pour accepter
l’inévitable, la suppression de la présence réelle par l’institution
d’une célébration œcuménique avec la fin du synode des synodes.
Les Jubilés sont liés à une date de début et de fin précises : le 8 décembre.
Et le 8 décembre c’est la date de célébration de l’Immaculée Conception
: date qui a son importance considérant l’Apocalypse pour les
références à Marie, celle qui écrasera la tête du serpent et mettra fin
à Babylone.
Alors, que célébrera l’église conciliaire (rappelons que Bergoglio a
lancé le thème du jubilé de 2025 un 11 février, à la fête de Lourdes)?
La renaissance, comme… la grande réinitialisation.
« … le prochain jubilé est l’occasion d’un réveil… une occasion de
«contempler la beauté de la création et de prendre soin de notre maison
commune». » (vaticannews.va)
L’église sera témoin d’un réveil, mais pas celui qu’elle espère…
Le logo de ce jubilé est pro LGBT (vaticannews.va) pour inclure tout le
monde dans ce jubilé, pour le cri de victoire de l’œcuménisme, pour la
conclusion de Vatican II. On nous l’a annoncé avec l’année 2023
consacrée aux 60 ans de Vatican II.
Or, pour le jubilé 2025, Bergoglio a créé une Commission pour les
témoins de la foi qui fait référence au grand jubilé de Jean-Paul II de
l’an 2000, où il a voulu mettre en lumière ces hommes et ces femmes
qui, bien que non canonisés, ont manifesté avec force leur foi.
« Qui sont les témoins de la foi?
Permettez-moi de donner un exemple: celui qui me vient immédiatement à
l’esprit est Dietrich Bonhoeffer (1906-1945), un théologien et pasteur
d’église luthérien qui a été tué parce qu’il s’opposait au nazisme.
L’Église ne le proclame pas martyr parce qu’il n’était pas catholique. »
(vaticannews.va)
Cela nous rappelle pas les « deux témoins » de l’Apocalypse.
Satan singe et inverse…
La grande réinitialisation actuelle n’est possible que par le code QR ou son successeur.
C’est ainsi que la bête de la terre (humaniste, Nations-Unies, franc
maçonnerie judéo-maçonnique) a pris le contrôle total de nos vies pour
nous rendre esclaves du système antichristique.
Tout se fait maintenant via le téléphone intelligent.
Un marché aujourd’hui dominé par la compagnie Apple.
Il faut remonter à la création de l’ordinateur accessible pour tous,
ancêtre en sorte du smartphone actuel, pour voir la bête sortir de
l’eau, en termes apocalyptiques.
C’est Apple qui produit le premier ordinateur accessible à tous le 11 avril 1976.
Le Apple I se vendait 666.66 dollars.
Don Jean de Monléon dans son livre Le prophète Daniel:
« Malgré les efforts des bourreaux, la flamme ne montait qu’à 49
coudées, elle n’arrivait pas à cinquante… Pourquoi cela ? Parce que 50
est le chiffre de la Pentecôte, le symbole de la transformation totale
que, seule, la grâce du Saint-Esprit est capable d’opérer dans l’homme.
»
Par conséquent, « le démon ne peut dépasser 49 coudées, parce qu’il est
incapable d’agir efficacement sur le fond de l’âme, sur la volonté, si
celle-ci est résolue à tenir bon. »
Sachant donc que la limite du diable est de 49, la limite de Babylone serait donc le 11 avril 2025 (1976+49 années).
Le Vatican doit obligatoirement suivre, car deux bêtes (terre et mer) agissent ensemble selon l’Apocalypse.
C’est à l’été 1976 que Paul VI suspend Mgr Lefebvre suite à la consécration de 13 prêtres et isole ainsi la tradition.
Le 11 septembre 1976, à Castel Gandolfo, une célèbre rencontre eu lieu
entre Mgr Lefebvre et Paul VI où ce dernier dépose ses accusations.
Le nombre de jour entre le 11 avril 1976 et le 11 septembre 1976 liant les deux bêtes : 153.
Le chiffre des rachetés de la pêche miraculeuse (voir analyses précédentes) de la fin des temps.
La fin des temps se mesurant en deux temps, un temps et un demi temps (3 étapes).
Un temps : 21 ans
Deux temps : 42 ans
Un demi temps : la donnée inconnue : nul ne connaît le jour ni l’heure…
Un temps : 21 ans
De 1962 à 1983.
1983 : Jean Paul II modifie le droit canon le 25 janvier 1983 et
celui-ci est effectif le 27 novembre suivant au premier dimanche de
l’Avent, ce qui en soit est un signe d’une nouvelle étape.
Le code de droit canonique de 1917 a été promulgué le 27 mai 1917 (peu après la première apparition de Fatima donc).
Nombres d’années entre le 27 mai 1917 et le 27 novembre 1983 : 66 ans et 6 mois.
Les 21 années de Vatican II à 1983 ont donc servi de préparation pour éclipser l’Église selon les prophéties de La Salette.
Deux temps : 42 ans
De 1983 à 2025.
Le nouveau droit canon plonge l’Église dans la fosse humaniste officiellement.
Le 5 avril 1983, Mgr Lefebvre répond à une lettre envoyée par Jean-Paul II via le cardinal Ratzinger.
L’Église est en crise.
La messe traditionnelle est ciblée.
« Sans doute c’est en raison de cette oppression des consciences
exercée d’une manière inconcevable à l’intérieur de l’Église que vous
prévoyez de publier un décret concernant l’usage de l’ancien rite
romain de la Messe. N’est-ce pas, en effet, une oppression inique
d’enlever aux prêtres le rite de leur Messe d’ordination et de les
contraindre sous peine de suspens d’adopter un nouveau rite à
l’institution duquel ont participé six pasteurs protestants !
C’est au pied du crucifix que je vous réponds, Très Saint-Père, uni à
tous les évêques, prêtres, religieux, religieuses, fidèles qui ont subi
un véritable martyre moral par l’imposition forcée de cette Réforme
liturgique. Que de larmes, que de douleurs, que de morts prématurées
dont demeurent responsables ceux qui ont indûment imposé ces
changements opérés au seul titre d’un œcuménisme aberrant.»
(laportelatine.org)
L’humanisme œcuménique a été inscrit dans l’ADN de l’Église avec le nouveau code de droit canon.
Concrètement.
On trouve une autre confirmation par la deuxième apparition de la Vierge Marie à Sœur Catherine Labouré à la rue du Bac:
La libération des justes, les 153 de la seconde pêche miraculeuse
commencent donc au début de la phase de 42 ans, la période de prêche
des deux témoins pour sauver le plus d’âmes possibles.
Cette phase commence par la validité du nouveau code de droit canon le 27 novembre 1983.
Or, le 27 novembre est la date anniversaire de l’apparition de la rue
du Bac en 1830 et conséquemment de l’existence de la médaille
miraculeuse.
Il y a exactement 153 ans entre l’apparition et le 27 novembre 1983.
2025, c’est aussi 161 ans par rapport au syllabus de Pie IX (publié le 8 décembre 1864) condamnant le maçonnisme et ses erreurs.
C’est bien là le mal de notre époque (suite à l’avertissement de Fatima avec le communisme).
161, c’est le chiffre de l’humain déifié, le 6, entre les deux colonnes
maçonnique (les colonnes Boaz et Jakin), représenté par le chiffre 11.
La porte que veulent ouvrir les kabbalistes (la grande réinitialisation
de 2025) est indiquée par la date de l’avertissement de Pie IX et qui
est reliée à Marie.
Mais, en 2025, cela fera aussi 171 ans que le dogme de l’Immaculée
Conception a été proclamé par Pie IX, le 8 décembre 1854 exactement.
La Vierge Marie, c’est la clé de la victoire dans l’Apocalypse, celle qui écrasera la tête du serpent.
Si le 161 représente le chiffre de l’homme déifié entre les deux colonnes du 11, 2025 représente aussi le 6 transfiguré.
6X3,5 (en référence au 1 temps, 2 temps et un demi temps de la durée de
vie de la bête dans l’Apocalypse) donne 21 et divisé par le chiffre de
la Trinité, donne 7.
Le chiffre du Père, entre les deux colonnes.
Deux portes donc : une porte menant au Ciel et l’autre menant à l’enfer
dépendant de l’application du trio « Foi, Espérance, Charité » pratiqué
par chacun.
Les deux colonnes représenteraient les « deux témoins » ressuscités
après les 3 jours et demi : les deux oliviers de l’Apocalypse.
Rappelons aussi qu’il y avait deux colonnes dans le songe de Don Bosco.
Ces deux témoins, on les nomment aussi Énoch et Élie.
Confirmés par La Salette :
« L’Église sera éclipsée, le Monde sera dans la consternation. Mais
voilà Énoch et Élie remplis de l’Esprit de Dieu ; ils prêcheront avec
la force de Dieu et les hommes de bonne volonté croiront en Dieu et
beaucoup d’âmes seront consolées ; ils feront de grands progrès par la
vertu du Saint-Esprit et condamneront les erreurs diaboliques de
l’Antéchrist. »
La prêche des deux témoins aurait donc débuté officiellement en 1983 pour 42 ans.
Effectivement, tout doit être conclu avant mai 2026 selon la prophétie
de Don Bosco, c’est à dire le retour du Lys avant mai 2026.
19 janvier
IL N’Y AURA AUCUN RETOUR EN ARRIÈRE
Tel est la devise de Bergoglio depuis 2013.
Après
la publication de Fiducia Supplicans et la dernière déclaration selon
laquelle l’enfer n’existe pas, nous pouvons effectivement comprendre
entièrement le personnage.
Pour nous aider, faisons appel encore une fois à José Arturo Quarracino (voir 24 novembre 2023).
Bergoglio
« ... devrait retirer le document et renvoyer
« Tucho », mais il ne le fera pas pour deux
raisons :
1) Il a un très gros ego, qui a été exacerbé par son exercice de la papauté
2) Parce qu’il est doté d’arrogance, car au fond de lui, il se croit supérieur.
Ses dernières déclarations, selon lesquelles ceux qui « critiquent
la Déclaration n’ont pas compris ou sont fermés d’esprit » vont
dans ce sens, comme s’il disait « Je suis la Vérité » ou la
fameuse phrase de Louis XIV : « Je suis l’Etat [l’Eglise] ».
Il a cessé d’être un berger qui fait paître les brebis du Seigneur
(commandement de Notre Seigneur Jésus-Christ à Pierre à la fin de
l’Évangile de Jean) pour devenir un chef qui impose des nouveautés. Ce
qu’il dit dans la lettre qu’il a adressée au cardinal Tucho Fernandez
lorsqu’il l’a nommé préfet de la DDF le montre également, en ce sens
que la mission de ce dernier est d’adapter tous les documents du
Saint-Siège à l’ « humus » de la Tradition (et non à la
Tradition) et au « magistère actuel » – celui de François. Et
tout le magistère précédent ? Envoyé aux archives.
Je suis convaincu qu’il n’est pas anodin qu’il se soit dépouillé de
tous les attributs pontificaux comme étant « historiques »,
c’est-à-dire du passé (ils ne sont plus valables) pour ne garder que
celui d’évêque de Rome. Ce n’est pas non plus un fait anodin qu’il
se soit allié à la Maison Rothschild et au Conseil pour un capitalisme
inclusif*.
Si Dieu le veut, Bergoglio reviendra peut-être à la raison et au
Seigneur, mais je le vois très compromis, comme on dit en espagnol. Il
ne donne pas l’impression qu’il va abandonner son service d’aumônier
d’une Église hybride au profit des puissances financières mondialistes,
de son Nouvel Ordre Mondial génocidaire avec les illusions d’une Grande
Réinitialisation et de la mise en œuvre du transhumanisme. L’espoir est
la dernière chose à perdre, dit le proverbe, mais je crois que don
Jorge Mario ne se corrigera pas. » (benoit-et-moi.fr)
Le personnage cultive le sens de l’ambiguïté, nous le savons.
« Il a dit qu'il aimait penser que l'enfer est vide. "C'est quelque
chose de personnel, pas un dogme", a-t-il ajouté, comme pour rendre
cette déclaration moins sérieuse. Mais il est le pape, le vicaire du
Christ sur terre. Chacune de ses déclarations, même si elles sont
exprimées à un niveau personnel, a un poids spécifique différent de
celui des autres. Et il sait bien comment cela fonctionne : « Si le
Pape le disait… ».
Pourquoi
dis-je qu’avec ses paroles le Pape a mis l’Église en liquidation ?
Simple. Si l'enfer est vide, cela signifie qu'il n'y a pas de jugement.
Et s’il n’y a pas de jugement, cela signifie qu’il n’y a pas de péché.
Et s’il n’y a pas de péché, cela signifie que notre Seigneur est venu
dans le monde pour rien car un monde sans péché n’a pas besoin de
rédemption. Et si notre Seigneur Jésus est venu pour rien, cela veut
dire qu’il a fondé l’Église pour rien. Et s’il l’a fondé pour rien,
c’est qu’il ne sert à rien. Et si ce n’est pas nécessaire, vous pouvez
facilement l’abolir. Et si elle peut être abolie, que doit faire le
Pape ?
Bergoglio, en liquidant l’Église, a également liquidé le Pape, et donc lui-même. Un suicide. Vous en rendez-vous compte ?
Pour
paraphraser Francesco, j'aime penser qu'il ne s'en rend pas compte et
que ses facultés mentales ne sont pas en ordre. Malheureusement, ce
n'est pas le cas. Comme me le disent des amis argentins qui le
connaissent, et comme le confirment certains des palais sacrés, il ne
s'intéresse au pouvoir que pour le pouvoir. Et l'image de soi. Après
moi le déluge. Il est donc heureux si les Fazios de service
s'agenouillent devant lui. Arrêt. Le reste ne l'intéresse pas du tout.
En effet, il se réjouit que l’Église soit en train d’être liquidée.
Parce qu'en réalité, il la méprise. Au Vatican, on en parle à voix
basse depuis un certain temps. Le Numéro Un, comme on l'appelle là-bas,
méprise la hiérarchie, méprise les cardinaux, méprise les évêques,
méprise tout le mécanisme curial et ecclésial, une machine qui n'a de
sens pour lui que dans la mesure où elle lui permet d'exercer le
pouvoir et de cultiver son image. » (aldomariavalli.it)
Orgueil. Culture du mépris. Sens de l’ambiguïté voulue.
Aucun retour en arrière.
C’est un fait.
Éliminer la Tradition considérée par lui-même comme à l'état d’humus
pour pondre de nouveaux documents via le DDF pour le « magistère actuel
». Pour lui-même. Pour sa gloire. Pour celle de Satan.
Envoyer 2000 ans d’histoire, toutes les publications des apôtres et pères de l’Église aux oubliettes.
Ce qu’il y a à comprendre avec l'église conciliaire présente?
Des
aveugles qui conduisent les aveugles et qui lèchent les bottes du
puissant sur le trône à la manière des pharisiens il y a 2000 ans.
Tout cela est volontaire de la part de Bergoglio et témoigne ainsi de l’Antichrist sur le siège de Saint-Pierre.
Point.
Rappelons Saint-Paul:
«...
Que personne ne vous égare d'aucune manière ; car auparavant
viendra l'apostasie, et se manifestera l'homme de péché, le fils de la
perdition, l'adversaire qui
s'élève contre tout ce qui est appelé Dieu ou honoré d'un culte,
jusqu'à s'asseoir dans le sanctuaire de Dieu, et à se présenter comme
s'il était Dieu.
Ne vous souvenez-vous pas que je vous disais ces choses, lorsque j'étais encore chez vous ?
Et maintenant vous savez ce qui le retient, pour qu'il se manifeste en son temps.
Car le mystère d'iniquité s'opère déjà, mais seulement jusqu'à ce que celui qui le retient encore paraisse au grand jour.
Et
alors se découvrira l'impie, que le Seigneur (Jésus) exterminera par le
souffle de sa bouche, et anéantira par l'éclat de son avènement.
Dans
son apparition cet impie sera, par la puissance de Satan, accompagné de
toutes sortes de miracles, de signes et de prodiges mensongers,
avec toutes les séductions de l'iniquité, pour ceux qui se perdent,
parce qu'ils n'ont pas ouvert leur cœur à l'amour de la vérité qui les
eût sauvés.
C'est pourquoi Dieu leur envoie des illusions puissantes qui les feront croire au mensonge,
en sorte qu'ils tombent sous son jugement tous ceux qui ont refusé leur
foi à la vérité, et ont au contraire pris plaisir à l'injustice. »
Le Katéchon n'est plus depuis le 31 décembre 2022.
Et depuis, les tièdes, nous l'espérons, ont découvert l'impie.
Cette
pauvre âme a besoin d'aide et il a entièrement raison d'implorer la
prière pour lui-même car dès l'apparition sur le balcon le 13 mars
2013, il savait qu'il allait détruire ce qui restait de l'Église.
C'est le Judas de la Passion de l'Église.
Aucun retour en arrière.
18 janvier
Il
y a maintenant un mois, le Dicastère pour le Doctrine de la Foi faisait
paraître Fiducia Supplicans, confirmant par le fait que l’église
conciliaire niait sa doctrine et que cet organisme censé protéger le
cœur de l’église, avait basculé dans l’apostasie grâce à la nomination
de Bergoglio.
C’est
le signe hors de tout doute que nous sommes bel et bien dans la phase
de la mort de l’église, au Vendredi Saint de la Passion, et nous
dirions même, à sa fin en 2024, à la 9ème heure.
Entre
le 13 mars 2013, élection de Bergoglio, et le 31 décembre 2022, décès
de Benoît XVI, soit la durée de la cohabitation des deux papes
prophétisée par Anne Catherine Emmerich et Jean XXIII, il y a 3580
jours, et comme un jour est comme 1000 ans, par la division nous
arrivons au 3.5 (les 1260 jours de l’Apocalypse : voir analyses
précédentes).
Tout se tient.
Car 3580 jours représentent 9 ans, 9 mois et 18 jours.
Le 9 est le chiffre de l'aboutissement, la période de gestation chez l'humain, et la mort du Christ à la neuvième heure.
9 multiplié par n'importe quel autre chiffre (exemple 9x2=18) et additionnant le résultat donne toujours 9.
9 est aussi 3x3, un multiple de la Trinité.
Nous avons donc aussi, 9 ans, 9 mois, (1+8 jours) soit 9 et en additionnant le tout on arrive à 27, soit encore le 9 ( 2+7).
Nous n’essayons pas de démontrer quoi que ce soit ici en terme de numérologie ou autre.
Ce domaine appartient à d’autres.
Tout
ce qu’on affirme, c’est que le Père nous laisse un indice que nous
somme à la neuvième heure, que la fête est terminée pour Babylone.
C’est bien depuis le décès de Benoît XVI que Bergoglio, se sentant finalement libre, a commencé à déverser son fiel.
Le Katéchon n’était plus là pour faire obstacle.
En fait, Bergoglio est enragé depuis cette fin 2022, confirmant hors de
tout doute la prophétie de la Salette : Rome apostate est devenue
le siège de l’Antéchrist (« Ce n’est pas un dogme, juste mon opinion : j’aime penser que l’enfer est vide. J’espère qu’il l’est
», a déclaré Bergoglio, interrogé par Fabio Fazio dans le cadre de
l’émission populaire « Che tempo che fa » sur la chaîne de télévision
italienne Nove.
C’est encore une opinion du pontife s’exprimant à titre personnel qui a
donné lieu à une cascade de commentaires sur l’opinion particulière ou
le délire du pape.
François contredit une fois de plus Benoît XVI qui, en 2008, lors d’une
rencontre avec les curés romains au début du Carême, avait mis en garde
les fidèles : le salut n’est pas immédiat et ne viendra pas à tout le
monde, c’est pourquoi il voulait mettre en évidence la possibilité
réelle d’aller en enfer. « L’enfer dont on parle peu à l’heure
actuelle, existe et est éternel », avait-il affirmé, ajoutant qu’il
n’est pas vide. (benoit-et-moi.fr))
Bergoglio a accumulé toute cette rage contre Benoît XVI en tant que
cardinal Ratzinger au Dicastère de la Doctrine de la Foi pendant de
nombreuses années, et comme pape, car Benoît XVI s'est toujours référé
à la Doctrine pour faire obstacle aux progressistes.
Bergoglio y a gouté aussi avec Amoris Laetitia tronquée grâce à la
parution du livre du cardinal Sarah avec la préface de Bergoglio.
Bergoglio essaie donc d'effacer toute trace de Benoît XVI dans sa rage,
allant jusqu'à donner l'ordre d'effacer les armoiries de Benoît XVI sur
ses chasubles à la Basilique Saint-Pierre, et en plaçant sur le trône
du DDF son antithèse, Tucho Fernandez, pour la destruction finale de
l'église comme prophétisée par Anne Catherine Emmerich, où il ne
restera que l'autel (la Sainte Messe) et la partie nord de l'Église (la
Tradition, les deux témoins).
Autre preuve :
« Le Vatican prêt à ouvrir la voie à la fin de la règle du célibat pour les prêtres ?
Une
déclaration d’un haut responsable du Vatican remet sur la table une
question évoquée en des termes parfois contradictoires par le pape.
Le
Vatican permettra-t-il bientôt aux prêtres de se marier ? C'est en
tout cas la volonté affichée par l'archevêque de Malte, dont les propos
sont rapportés, ce 8 janvier par nos confrères
du Guardian. Charles Scicluna, qui s'exprime également en tant que
secrétaire adjoint du dicastère pour la Doctrine de la foi au sein
du Vatican, estime que l'Église devrait repenser l'obligation de
célibat pour les prêtres, tout en reconnaissant que certains
considéreront cette décision comme « hérétique ».
Dans un entretien accordé au journal Times of Malta, il
déclare : « Si cela ne tenait qu'à moi, je réviserais la
règle qui requiert le célibat pour les prêtres. L'expérience m'a montré
que c'est un sujet que nous devons aborder sérieusement. » Il
ajoute que « l'Église a perdu de grands prêtres, car ils ont
choisi le mariage » et que « certains doivent composer avec
une relation sentimentale secrète ».
Une question déjà évoquée par le pape
« Il
y a de la place pour le célibat dans l'Église, insiste-t-il, mais il
faut prendre en considération le fait qu'il arrive parfois aux prêtres
de tomber amoureux et d'être contraints de choisir entre ça et leur
vocation. C'est probablement la première fois que je le déclare
publiquement, et cela paraîtra hérétique aux yeux de certains… »
Et bien...
On semble donc indiquer que le DDF joue le rôle central pour tout
changer rapidement, et ce sans consultation avec les évêques ou les
cardinaux!!!
N’oublions
pas la prophétie de Don Bosco sur la venue de l'iris de paix avant le
mois de Marie des deux lunes, et c'est pourquoi il y a quelques années
nous anticipions 2025 comme étant critique, à cause du jubilé aux
couleurs déjà annoncées LGBT+ etc, et parce que mai 2026 est le
prochain mois de Marie des deux lunes.
Or,
depuis le départ du Katéchon, il y a 3.5 années entre décembre 2022 et
mai 2026, moins le temps raccourci annoncée par NSJC, qui sera une grâce
pour nous car déjà nous pouvons voir que la Tradition passera dans le
tordeur en 2024.
On
forcera la séparation via les horreurs répandues par Tucho. (une
enquête est parue dans Le Temps.ch la semaine dernière attaquant la
SSPX sur des allégations d’inconduites sexuelles).
Rappel des 42 mois (1260 jours) selon la description de l’Apocalypse 12, 6 : un temps, deux temps et un demi temps.
Rappel
du décompte long selon l’hypothèse d’octobre 2022 (voir analyses
précédentes) : un temps (1962-1983), deux temps (1983-2025), et un demi
temps (ou nul ne connaît le jour ni l’heure), soit 1962 plus 21 ans,
plus 42 ans pour 2025.
Nous
savons grâce au miracle du soleil du 13 octobre 1917 que la
purification se fera par le feu, et probablement que le soleil y
occupera une grande place.
Le cycle solaire 25 devait atteindre son apogée fin 2024 selon les dernières données de l’évolution du cycle solaire.
L'enfer est vide déclare Bergoglio... Encore une fois.
À quoi sert donc l'église puisque le péché n'existe plus et qu'il n'y a plus de conséquences à nos actes?
Pourquoi donc NSJC est-il venu pour nous absoudre des péchés et fonder son Église?
Nous sommes dans un décompte court de 42 mois depuis le 31 décembre 2022.
Un temps est déjà passé...
Tout se tient.
7 janvier
« Mgr Carlo Maria Viganò
À propos du communiqué de presse sur la réception de
Fiducia Supplicans
5 janvier 2024
Le cardinal Fernández écrit qu'« il n'y a pas de place pour
nous éloigner doctrinalement de cette Déclaration ou pour la considérer
comme hérétique, contraire à la Tradition de l'Église ou blasphématoire
». Comment réagiriez-vous à une telle remarque ?
Il n'est pas surprenant que l'auteur d'un document en soi hérétique
tente de le défendre, contre toute évidence. Au contraire, il s'étonne
de l'impudence de ceux qui contredisent cette synodalité qui, selon les
bergogliens, est censée laisser l'autonomie aux « églises particulières
». Mais c’est ce qui arrive lorsqu’un lobby qui prétend avoir une
légitimité « démocratique » découvre que le peuple – qui n’est
souverain qu’en paroles – ne soutient pas ses projets subversifs. Le
consensus populaire se transforme alors en « dérive populiste » (comme
lorsque les démocrates ne gagnent pas honnêtement une élection) et la
même chose se produit dans l’Église bergoglienne.
Je voudrais cependant attirer l'attention sur un autre élément qu'il ne
faut absolument pas sous-estimer : la provocation délibérée de la part
de Bergoglio et de son acolyte. Si Tucho était réellement de bonne foi,
il n'aurait jamais promulgué la Déclaration Fiducia Supplicans, car il
était largement prévisible que ce coup d'État aurait suscité de vives
réactions. de vives protestations. De la façon dont s'est déroulée
cette affaire scandaleuse – au point même de ne pas convoquer la séance
plénière du Dicastère pour discuter du contenu du document – on peut
comprendre ce que j'annonce déjà depuis un certain temps, à savoir que
Bergoglio veut provoquer un schisme dans l'Église et poussent les
pasteurs et les fidèles à partir, ou en tout cas à se retrouver dans
une situation d'ostracisation volontaire ou imposée dans laquelle leur
résistance est de fait annulée ou ignorée. C'est ce qui constitue la
marque du « pontificat » du jésuite argentin, et il l'a lui-même
déclaré en 2016 : « Je pourrais entrer dans l'histoire comme celui qui
a divisé l'Église ». Cette action de division, typique du Malin, esprit
de division et semeur de discorde, est incontestable et trouve une
démonstration supplémentaire dans la provocation de Fiducia.
Supplicans, que défend son auteur, dans un conflit d'intérêts
grotesque, décidant même motu proprio qu'il ne peut pas être considéré
comme hérétique ou blasphématoire, sans argumenter et en sachant très
bien que le Magistère de l'Église a toujours condamné la sodomie et a
donc considéré impensable de bénir ou même d'approuver indirectement
ceux qui vivent en état de concubinage public ou comme sodomites.
Dans tous les cas, tout document portant la signature de Tucho peut
être considéré comme dépourvu de toute valeur, en raison de l’hérésie
manifeste de Tucho lui-même et de sa complicité avec Bergoglio dans le
discrédit de la Sainte Église en usurpant son autorité pour la démolir
de l’intérieur.
Le cardinal Fernández déclare également que l'opposition aux Fiducia
Supplicans « ne peut pas être interprétée comme une opposition
doctrinale, car le document est clair et définitif sur le mariage et
sexualité." Pourtant, il semble que toute opposition au FS ne soit pas
basée sur ses lignes selon lesquelles le mariage est un mariage entre
homme et femme, mais plutôt sur le fait qu'il autorise les bénédictions
pour les couples de même sexe.
Ce document est un monument de l’hypocrisie pharisienne. Tout d'abord,
il feint d'ignorer que la distinction byzantine entre bénédictions
liturgiques et extra-liturgiques est clairement contredite par la
valeur que leur attribuent ceux qui les dispensent et ceux qui les
demandent, ainsi que bien sûr ceux qui ont jugé il convient de
commenter la question dès maintenant. Un bon curé sait très bien que
pour le fidèle laïc moyen, le simple fait de bénir une union signifie
l'approuver. En outre, bénir un couple pécheur public, même dans la
sacristie, avec des parents et des amis est considéré comme une
condition préalable nécessaire pour arriver, dans un délai relativement
court, au mariage tout court. En revanche, on a fait à peu près la même
chose lorsque, dans le domaine civil, les unions civiles ont été créées
pour accompagner le mariage entre un homme et une femme, grâce au
soutien des partis conservateurs à qui on avait fait croire que ces
unions civiles les syndicats n’avaient pas l’intention de remettre en
question le mariage traditionnel. Et en fait, il existe aujourd’hui des
mariages civils entre personnes du même sexe, et personne ne se
souvient même de ce qu’étaient les unions civiles.
Pour tromper, Tucho souhaite que l'attention soit portée sur un aspect
non pertinent – à savoir que la bénédiction ne remet pas en question
le fait que le sacrement du mariage n'est possible qu'entre un homme et
une femme – afin d'éviter de prendre en considération la sodomie, ce
péché contre nature qui crie vengeance au Ciel, qui en fait Fiducia
Supplicans déclassifie et légitime. De cette manière, les conséquences
qu'aura réellement la Fiducia Supplicans – conséquences que nous
pouvons déjà voir appliquées de manière cohérente par les prêtres et
les évêques bergogliens – sont ignorées. Le premier d'entre eux
consiste à induire parmi les fidèles l'idée qu'une union homosexuelle
ou autrement illégitime peut avoir une sorte de légitimation de seconde
zone, ouvrant ainsi cette fenêtre d'Overton ce qui conduira
nécessairement à légitimer non seulement les mariages homosexuels, mais
aussi ceux entre conjoints multiples (au nom de l'inclusion envers ceux
qui pratiquent le polyamour) ou avec des mineurs (lorsque la
pédophilie, selon les auspices de l'ONU, sera reconnue comme
d'habitude) ou avec des animaux. Je me souviens, en passant, que parmi
les préoccupations du Synode sur la Synodalité dirigé par Bergoglio, il
y avait aussi une attention pastorale non seulement pour les couples
illégitimes qui vivent dans un état de concubinage public ou sodomites,
mais aussi pour les polygames. En relisant ces désirs, on comprend
aujourd'hui quelle était la volonté de Bergoglio et de ses complices
depuis le début.
D'autre part, depuis soixante ans, les exceptions aux normes ordinaires
ont servi de prétexte pour introduire des innovations autrement
inacceptables, depuis la pratique de l'administration de la communion
dans la main jusqu'à l'institution des « ministres de l'Eucharistie »
et des filles de chœur, de la introduction de langues vernaculaires à
la place du latin jusqu'au remplacement du chant grégorien par des
chants profanes.
J'ajoute également un autre élément : le fait que les « couples » qui
demandent cette bénédiction sont déjà « mariés » civilement ou ont
l'intention de le faire et ne considèrent pas leur union comme un
péché. C’est cette union pécheresse à laquelle on demande d’être bénie
; ce sont les deux composantes de cette union pécheresse qui demandent
à être bénies.
Tucho savait très bien qu'il ne pouvait pas émettre cette Déclaration
avec l'approbation des membres du Dicastère et de l'Épiscopat, car elle
était contraire à la foi et à la morale. C'est pour cette raison qu'il
a dû recourir à un coup d'État, en gardant bien cachée la rédaction du
document pour éviter qu'il ne soit bloqué avant même sa publication.
Penser qu’il l’a fait sans considérer les réactions que cela
susciterait est donc naïf, car le but de Tucho était précisément de
créer la division dans l’Église. Sa réaction de colère confirme que la
synodalité – comme toute fiction pastorale bergoglienne – n’est que
l’écran hypocrite derrière lequel se cache l’autoritarisme tyrannique
d’une secte d’hérétiques corrompus qui font siennes les exigences
anti-humaines de l’élite mondialiste, piétinant l’enseignement du
Christ.
Le Cardinal Fernández dit que les passages de FS sur les bénédictions
sont une « doctrine éternelle », mais il admet également que la «
véritable nouveauté » de FS est son enseignement sur les bénédictions,
qui est « un réel développement par rapport à ce qui a été dit sur les
bénédictions dans le Magistère et dans les textes officiels du
Magistère. Église." Que devons-nous en penser ?
Si nous voulions donner un exemple de ce que l'on entend par «
jésuitisme », je crois que ces mots de Tucho pourraient parfaitement
résumer le concept. Au fond, ce que Tucho essaie de nous faire croire,
c'est que oui, les bénédictions en tant que sacramentelles sont une
doctrine pérenne, mais que pour bénir un couple irrégulier, il fallait
introduire cette « vraie nouveauté » qui les déforme, en faisant cette
application spécifique. Vous comprenez tous qu'il s'agit d'une pure
folie, dictée par un esprit hérétique et motivée par une mauvaise
volonté, diaconat-non-diaconat, d'un sacerdoce-non-sacerdoce étranger à
la doctrine pérenne en raison du changement introduit. Cela s'est déjà
produit dans le domaine doctrinal avec la condamnation arbitraire et
absurde de la peine de mort, introduite par Bergoglio avec le même
procédé rhétorique qui cache la tromperie : la peine de mort a été
considérée comme légitime et c'est une doctrine pérenne ; cependant,
aujourd’hui, nous introduisons la « vraie nouveauté » de sa nature
anti-évangélique et c’est pourquoi nous la condamnons. Il est
prévisible qu'avec la même hypocrisie pharisienne, Tucho et son maître
inventeront une forme de « ministère non ordonné » pour les femmes,
réitérant d'une part que le sacerdoce est réservé aux hommes
uniquement, et qu'il s'agit d'une doctrine pérenne, mais ajoutant le «
vraie nouveauté » d'un « ministère non ordonné », c'est-à-dire d'un
ipso facto.
Il faut comprendre une fois pour toutes qu'ils usurpent l'autorité
sacrée des Pasteurs de l'Église du Christ pour la détruire, damner les
âmes, offenser la Divine Majesté et obéir à leurs maîtres ; exactement
comme dans la sphère civile, les dirigeants des nations occidentales
sont soumis – par intérêt ou par chantage – à l’élite mondialiste et
antichristique. Tous deux utilisent leur pouvoir pour faire le mal,
contrairement au but pour lequel ce pouvoir a été établi. Si nous
continuons à obéir à une autorité corrompue, sans la rejeter et sans la
juger comme elle le mérite, nous ne sortirons jamais de cette impasse. »
4 janvier
Jamais,
jamais de toute l'histoire de la papauté, le Discastère pour la
Propagation de la Foi n'avait eu à clarifier, ajuster, modifier,
annuler, l'une de ses décisions car ses déclarations sont basées sur la
doctrine.
Sauf
le 18 décembre avec Fiducis supplicans qui était basée sur du vide, sur
l'esprit tordu du cardinal Tucho et de son maître Bergoglio.
Ainsi,
aujourd'hui, un besoin de clairifier la situation s'est fait sentir
devant les protestations des prêtres et de plusieurs épiscopats dans le
monde. (voir la déclaration complète vaticanews.va)
«
Je cite le grand théologien du Concile, Jean Danielou, qui explique que
le temps chrétien est par définition un temps apocalyptique. Avec la
mort et la résurrection du Christ, tout est déjà accompli, rien de
substantiellement nouveau ne peut arriver. Le temps est donné pour
choisir : soit avec le Christ, soit contre. Ivan Illich confirme aussi
qu’après l’ère chrétienne, il n’y a pas d’ère post-chrétienne, mais
seulement un temps apocalyptique, celui de l’Antéchrist. Au contraire,
au congrès de Florence en 2015, le Pape François a dit qu’ «
aujourd’hui, nous ne vivons pas tant une époque de changement qu’un
changement d’époque ». Comme si de nouvelles époques pouvaient exister
et que l’Église devait s’y adapter. Mais l’Église ne doit pas s’adapter
aux temps, elle doit sauver tous les temps ». (Antonio Socci, benoit-et-moi.fr 2019)
Il n'y aura et il n'y a pas d'autres époques.
C'est l'heure du choix qui s'achève: pour ou contre le Christ.
L'église n'existe pas depuis l'élection de Bergoglio en 2013.
Bergoglio
veut faire oublier la doctrine, veut faire oublier les vestiges de la
chrétienté, pour le bien de l'Antichrist système.
Le maître de l'ambiguïté est à découvert. Sa chute est commencée. Cette sortie médiatique est une autre preuve.
Seuls ceux fidèles à la Foi et aux Prophètes, les deux témoins, voient clair.
L'année 2024 commence effectivement sur la voie du chaos, comme nous l'anticipions.
Décembre 2023
31 décembre
2024 L’ANNÉE OÙ TOUT BASCULE
C’est probablement la dernière année de Bergoglio.
Intuitivement, il le sait, puisqu’il avance le calendrier.
Son but : provoquer le schisme. Intentionnellement.
2024
sera une année de chaos au niveau politique : des élections un peu
partout dont les États-Unis, la Chine qui pourrait profiter de la
confusion pour attaquer Taïwan (le président chinois dans son discours
du nouvel an vient de déclarer « la Chine sera sûrement réunifiée » et
cette dernière est sur le point de reprendre les essais nucléaires),
les américains ré-ouvre la base de Tinian, lieu de décollage des
bombardements nucléaires contre le Japon, tout en ajoutant un autre
point de tension entre le Vénézuélia et le Guyana.
Selon la prophétie de Jean XXIII concernant Bergoglio, il meurt dans sa terre natale et à partir de ce fait, tout bascule, :
« Mikail et Jean descendront sur terre. » c’est-à-dire que le combat de l’Apocalypse descend sur terre pour la finale, le 7ème sceau, et « Le grand frère d'Orient fera trembler le monde par la croix renversée sans les lis. », c’est-à-dire que le conflit israélien devient mondial.
Aujourd’hui, en cet anniversaire du décès de Benoît XVI, aucune mention de la part de Bergoglio.
Mais ce dernier ordonne : « A bas toutes les armoiries de Benoît XVI ». La "damnatio memoriae" du pape Ratzinger continue.
Les
énormes chagrins que le défunt pontife a dû endurer au cours des dix
années de cohabitation n'ont pas suffi. Les funérailles célébrées avec
l’incapacité de porter l’héritage du prédécesseur qui est un véritable
père de l’Église n’ont pas suffi. Aujourd'hui, un an après la mort de
Benoît XVI, l'ordre est venu de Santa Marta : « A bas les armoiries de
Benoît XVI sur ses chasubles ! ».
C’est
ce qu’ont entendu le maître des célébrations liturgiques pontificales
et le personnel de la sacristie pontificale. C'est ainsi que les
chasubles (des quatre couleurs liturgiques) ont été envoyées chez le
tailleur pour remplacer les armoiries du pontife défunt par la tiare et
les clés décussées. » (aldomariavalli.it)
Par
tradition tous les autres vêtements aux armes de Paul VI, Jean
XXIII ou de Jean-Paul II se trouvent tous dans la sacristie pontificale
et personne n'a jamais osé y toucher.
Voilà.
L’Antichrist personnifié de déchaîne.
Mais, il y a autre chose… Un signe… qui concerne Bergoglio, qui le relie à la prophétie le concernant.
Le
17 décembre dernier, date de l’anniversaire de Bergoglio, la foudre a
frappé, comme lors de la démission de Benoît XVI, et juste avant la
Déclaration Fiducia supplicans du préfet du Dicastère pour la Doctrine
de la foi le 18 décembre.
C’est
arrivé au Sanctuaire Notre-Dame-du-Rosaire de Saint-Nicolas en
Argentine, en banlieue de Buenos Aires, ancien fief de Bergoglio avant
d’être élu au Vatican. (article en italien et photos romait.it)
La statue de Saint-Pierre à l’entrée du sanctuaire a perdu son auréole, la clé papale et la main droite.
Ce
signe nous indique de début de la fin pour Bergoglio, surtout dans le
contexte de son futur voyage dans sa terre natale en 2024.
Rappelons
que Bergoglio, ancien archevêque de Buenos Aires qui n'a pas cru au
miracle de la transubstantiation de 1996, dans le sanctuaire qui
curieusement a une resssemblance avec Medjugorie.
Ce sanctuaire a été bâtit sur la base d'apparitions de la Sainte-Vierge et Jésus (photo du sanctuaire avec la statue de Saint-Pierre à droite de l'escalier:
L'église
a reconnu les apparitions qui sont probablement fausses car il n’y a
pas de réelles apparitions depuis Fatima (les messages avec en bonus Bergoglio dans le sanctuaire: Donc,
Saint-Pierre perd l'auréole, la clé (il y avait une seule clé et non
les deux reliées par une corde sur la statue, c’est la symbolique au
Vatican, une clé pour le temporel et une clé pour le spirituel, les
deux reliées), ce qui signifie la mort de la prostituée de
l'Apocalypse... durant le voyage de Bergoglio??
Donc,
2024 sera une année de bascule, peut-être plus vite que prévu étant
donné la santé de Bergoglio déclinante qui voudra peut-être sortir les
conclusions du synode une par une via le Dicastère pour la
Doctrine de la foi au lieu d’attendre la fin octobre 2024.
Ce qui sera éventuellement célébrer par une année de Jubilé 2025.
19 décembre
Bénédiction
des couples irréguliers, une couverture pour cacher le problème des
couples homosexuels, approuvée par le discastère pour la doctrine de la
Foi, hors liturgie.
C'est le geste qui manquait.
L'église conciliaire bascule.
Genèse : « Dieu vit que cela était bon. Dieu les bénit ».
L'église trouve donc cela...
Bon.
L'église bénit donc le péché et ne demande plus la conversion.
Tous sont acceptés.
La miséricorde infinie a fait son oeuvre.
Le lègue de Bergoglio qui voit sa mort approcher et qui risque le tout pour le tout...
Même avant la conclusion du synode d'octobre 2024.
C'est donc dire que la situation est pressante puisqu'il ne peut plus
attendre pour faire cette annonce, annonce qui, on le voyait venir,
était prévue par la conclusiondu synode partie 2023.
«
Hier, après avoir appris la nouvelle du dernier document pontifical sur
la bénédiction des couples homosexuels, j’ai parlé à plusieurs
personnes plus ou moins liées aux milieux ecclésiastiques et curiaux.
La réaction de tous a été la même : incrédulité, étonnement,
stupéfaction. Le sentiment est celui d’avoir sauté d’une falaise, cette
même falaise sur laquelle le Pape François a été en équilibre pendant
tout son pontificat.
Les dégâts, très importants, sont désormais irréparables et l’Église est en chute libre.
Les fonctionnaires de la Curie
romaine ne sont pas exactement des traditionalistes, mais ils doivent
eux aussi être effrayés et furieux. Il est facile de le déduire car il
y a deux ans, le même dicastère de la Doctrine de la Foi avait publié
un document qui disait exactement le contraire de celui publié hier, et
les théologiens qui y travaillent sont toujours les mêmes. Se sont-ils
contredits ? Je ne le crois pas. Il s’agit d’un artefact rédigé par
Tucho, approuvé par Bergoglio et publié sans passer par la voie
habituelle, au-delà des déclarations de discussion inaccoutumées par
lesquelles s’ouvre le texte. Ne clarifiez pas parce que cela obscurcit,
devrait-on dire au cardinal Fernández.
Un autre qui doit être furieux
est le cardinal Parolin, qui a écrit il y a quelques semaines aux
évêques allemands pour leur dire que la question de la bénédiction des
pratiques homosexuelles n’était pas négociable. Il est devenu clair
qu’il s’agissait d’une initiative personnelle, probablement pour se
positionner face aux cardinaux pour le prochain conclave, comme nous
l’avons déjà dit dans ce blog.
La première question qui se pose est de savoir pourquoi ils ont agi de la sorte.
Pour
des raisons pastorales ? Il ne me semble pas que les couples de même
sexe se pressent aux portes des églises en attendant d’être bénis. Et
ceux qui voulaient cette bénédiction l’ont obtenue il y a longtemps. La
pratique, du moins en Argentine, est habituelle depuis au moins
vingt-cinq ans.
Les raisons sont diverses, et
la principale, à mon avis, est de continuer à caractériser un
pontificat qui n’est plus progressiste mais rupturiste. Bergoglio et
Fernández – deux Argentins, la nation préférée de la Vierge selon
certains… – veulent achever la construction d’une nouvelle église,
complètement détachée de celle qui a été fondée par Notre Seigneur et
qui est restée ferme dans sa doctrine pendant vingt siècles. Tous deux
veulent avoir le privilège d’être les auteurs de l’achèvement de
Vatican II. Et ils y sont parvenus.
Il y a probablement aussi des motifs personnels.
Bergoglio
et Fernández possèdent des personnalités labyrinthiques –
psychopathique pour l’un, féminoïde pour l’autre -, toutes deux
chargées d’un profond ressentiment. Tucho, en particulier, ne s’est
jamais remis de la rancœur et de l’humiliation qu’il a reçues pendant
des années de la part de la Doctrine de la Foi lorsque ce dicastère,
ainsi que celui de l’Éducation catholique, l’ont empêché d’accéder au
poste de recteur de l’Université catholique d’Argentine, précisément en
raison de la défense voilée qu’il avait faite des pratiques
homosexuelles dans un article de journal. À cet égard, cette interview
réalisée par l’un des pires médias d’Argentine a été très révélatrice.
Maintenant, il se venge. Tout cela est très prévisible dans son schéma
psychologique.
Au-delà des dégâts et de
l’effet que peut avoir ce document, la question que beaucoup d’entre
nous se posent est de savoir comment sortir de cette situation.
L’Église, si elle veut
survivre, ne peut pas soutenir et valider la déclaration Fiducia
supplicans. Sera-t-il possible de revenir en arrière ? Pendant ce
pontificat, c’est certainement impossible. Nous savons déjà qui sont
les deux détenteurs du pouvoir suprême. Mais je crois savoir qu’il y a
au moins deux éléments qui pourraient être utiles au prochain pontife
pour essayer de réparer certains des dommages infligés.
Premièrement, le nombre
d’erreurs théologiques, liturgiques et pastorales contenues dans le
document qui sont déjà mises en lumière par un certain nombre de
théologiens sérieux, comme dans le cas présent.
Un
pape peut avoir tous les pouvoirs qu’il veut, mais il y a des choses
qu’il ne peut pas faire, par exemple supprimer un commandement.
Car,
en effet, la déclaration supprime le sixième commandement [« Tu ne
commettras pas d’adultère »] du Décalogue – et elle le fait précisément
le 18 décembre, au moment où l’on chante l’antienne O Adonai si
appropriée à ces temps. Il n’y a plus de péché à le commenter puisque
toute pratique sexuelle mérite d’être bénie. Et rappelons que les
évêques avaient déjà, au début de la pandémie, suspendu le troisième
commandement, libérant les fidèles de l’obligation d’assister à la
messe les dimanches et jours saints. En d’autres termes, le pontificat
franciscain a transformé le décalogue en octologue.
Deuxièmement, je pense qu’il
est impératif que les voix qui s’opposent à ce document, qui renverse
vingt siècles de Tradition, s’expriment clairement, avec force et
massivement.
Hier encore, l’évêque Joseph Strickland a appelé tous les évêques à dire NON à la bénédiction des couples de même sexe.
Je
pense que le temps est venu pour les cardinaux, les évêques et les
prêtres de s’exprimer, de dire clairement ce qu’ils pensent ; il n’est
pas possible qu’ils se taisent comme des chiens muets. Deux coquins
sont en train de détruire l’Église et il n’y a pas de réaction, comment
est-ce possible ? Si l’opposition est forte aujourd’hui, il sera
beaucoup plus facile pour le prochain pape de revenir en arrière et de
déclarer Fiducia supplicans nulle et non avenue ? Je sais, c’est du pur
fantasme. Peu après que la déclaration a été connue, un prêtre
conservateur a écrit ce qui suit sur ses réseaux :
« Bénir n’est pas absoudre.
Vous pouvez aussi bénir des chiots et des chatons. Même des tortues. Et
ne pas valider ainsi qu’ils ont une âme, ou qu’ils sont donc des
enfants de Dieu ».
Ce sont justement les
conservateurs émasculés, qui préfèrent, comme l’autruche, se cacher la
tête dans le sable, qui sont les pires.
Une dernière réflexion : la
situation désespérée que nous vivons a été rendue possible par les
caractéristiques tumorales acquises par la papauté romaine depuis Pie
IX, encouragées par l’ultramontanisme.
Ce
qui s’est passé fait froid dans le dos : un imbécile placé à la tête du
plus important discastère de l’Église par pur favoritisme est capable
de changer la doctrine en vigueur depuis plus de vingt siècles
simplement parce qu’il obtient, on ne sait par quel moyen, la signature
du pontife.
Autrefois,
de tels rustres obtenaient tout au plus une luxueuse villa dans un coin
des États pontificaux ou l’accès à un lupanar privilégié. Aujourd’hui,
ils obtiennent l’abrogation des commandements de la loi de Dieu, et
l’Église ne dispose d’aucun mécanisme adéquat et efficace pour
l’empêcher.
Le
pape de Rome s’est érigé en monarque absolu, a décapité les organes de
contrôle et de contrepoids du pouvoir et, au fil des ans, le
Frankenstein conçu par l’ultramontanisme a pris vie. Nous le subissons.
» (caminante-wanderer.blogspot.com)
16 décembre
L’élection
du président argentin en octobre dernier laissait à penser que
Bergoglio n’irait pas en Argentine en 2024 comme il le souhaitait étant
donner tout le fiel que ce candidat a déversé sur lui lors de la
campagne électorale.
Tout
ceci nous éloignait de la possibilité que Bergoglio y décède, ce qui
serait en accord avec la prophétie de Jean XXIII le concernant.
O surprise, Bergoglio a révélé cette semaine :
«
Dans un entretien accordé à une chaîne de télévision mexicaine, diffusé
le 13 décembre, le pape François explique vouloir être enterré dans un
autre lieu que Saint-Pierre de Rome, et avoir travaillé à une
simplification du rituel des obsèques papales…
La
chose est dite sur le ton de la confidence, mais elle n’avait jamais
été révélée jusqu’alors. Le pape François a affirmé dans un entretien
diffusé par la télévision mexicaine NMas, le 13 décembre, vouloir être
enterré à la basilique romaine Sainte-Marie-Majeure, en raison de sa
dévotion particulière à la Vierge Marie.
« L’endroit est prêt. Je veux être enterré à Santa Maria Maggiore », explique François….
Deux
autres déplacements sont « en attente », révèle François : «
L’un en Polynésie et l’autre en Argentine. »
Le
pape confirme avoir été invité dans son pays d’origine par Javier
Milei, le nouveau président en place depuis le 10 décembre, et semble
ne pas tenir compte des insultes proférées à son encontre avant d’être
élu.
Javier
Milei avait notamment jugé que François était le « représentant du
Malin sur terre », complice des « dictatures ». » (la-croix.com)
Bergoglio décide donc de profaner ce lieu saint qu’est Sainte-Marie Majeur…
Le catholique moyen peut bien être en désarroi.
Bergoglo
traîne la Sainte-Vierge dans la boue depuis des années, ce qui fait
l’affaire de plusieurs qui collent à la franc-maçonnerie vaticane, puis
de l’autre, fait un geste en faveur de la Sainte Vierge Marie, ce qui
fait dire aux catholiques tièdes: tu vois, il aime la Sainte Vierge.
L’ambiguïté, sa marque de
commerce, le mensonge, en déformant la doctrine, et l’orgueil, en se
citant toujours lui-même pour fabriquer ses histoires sans queue ni
tête pour troubler la âmes, le caractérisent au plus haut point.
«
Dans son apparition cet impie sera, par la puissance de Satan,
accompagné de toutes sortes de miracles, de signes et de prodiges
mensongers, avec toutes les séductions de l'iniquité, pour ceux qui se
perdent, parce qu'ils n'ont pas ouvert leur cœur à l'amour de la vérité
qui les eût sauvés.
C'est pourquoi Dieu leur
envoie des illusions puissantes qui les feront croire au mensonge, en
sorte qu'ils tombent sous son jugement tous ceux qui ont refusé leur
foi à la vérité, et ont au contraire pris plaisir à l'injustice.
» (Saint-Paul, Th 2)
Mais Bergoglio garde la flamme allumée pour 2024, année où le monde et spirituel et politique pourrait basculer.
Nous savons tous que 2024 sera l’année cruciale dans cette fin des temps avec la conclusion du synode des synodes.
On
ne pouvait pas anticiper que Bergoglio aurait l’intention de visiter
l’Argentine en 2024 (car la Providence a éliminé l’intention première
pour 2017).
On
ne pouvait anticiper ainsi que le prophétie de Jean XXIII le concernant
ne correspondait pas nécessairement à l’intention de Bergoglio d’être
enseveli dans sa terre natale, mais peut-être au fait qu’il y trouvera
la mort durant son voyage, d’où l’expression «à Rome ils ne voudront
pas te donner ».
Jean XXIII (prophétie François) : « Ton
règne sera grand et bref. Père, il sera bref mais il te mènera loin,
dans la lointaine terre où tu es né et où tu seras enseveli.A Rome ils
ne voudront pas te donner. »
« Et alors se découvrira
l'impie, que le Seigneur (Jésus) exterminera par le souffle de sa
bouche, et anéantira par l'éclat de son avènement. » (Saint-Paul, Th.
2, 8)
14 décembre
« Mgr Viganò : le « faux prophète » Bergoglio est coupable d’« apostasie totale »
"Nous avons toutes sortes de preuves sur les distinctions entre hérésie
formelle et matérielle, mais aucune n'empêche l'action destructrice de
Bergoglio", a déclaré samedi l'archevêque Carlo Maria Viganò.
(LifeSiteNews) — L'archevêque Carlo Maria Viganò a répondu à la
question « Le pape est-il catholique ? à la conférence du week-end
dernier affirmant avec force que Jorge Maria Bergoglio est un « faux
prophète » qui correspond à la description de celui dont parle le
prophète Daniel au moment de la « persécution finale » de l'Église, à
qui aucun catholique ne doit en « rien » obéissance ou collaboration
mais plutôt résistance inébranlable.
« Nous sommes… bien au-delà de l'hérésie », a déclaré Son Excellence.
"[St. Robert] Bellarmin n'aurait jamais pu imaginer qu'un émissaire de
la franc-maçonnerie puisse aller jusqu'à être élu pape dans le but de
démolir l'Église de l'intérieur, en usurpant et en abusant du pouvoir
même de la papauté contre la papauté elle-même. Il n’aurait pas non
plus pu imaginer qu’un hypothétique pape dépasserait la simple hérésie
et embrasserait l’apostasie totale. »
...
Le message de 50 minutes de l'archevêque Viganò (qui a été réduit, a
déclaré Mazza à LifeSite, à 34 minutes pour le stream) est une
évaluation puissante de l’état de l’Église aujourd’hui. Il a également
évoqué les événements actuels à Gaza, dénonçant « l’hérésie » du
sionisme tout en mentionnant l’île d’Epstein et le « chantage » que les
services de renseignement israéliens exercent sur les politiciens pour
les contrôler. Mais en fin de compte, son discours a servi de réponse
aux critiques de ses déclarations sur la papauté ces derniers
mois.
"Nous avons toutes sortes de preuves sur les distinctions entre hérésie
formelle et matérielle, mais aucune n'empêche l'action destructrice de
Bergoglio", déclare Viganò, qui a récemment a ouvert une maison de
formation en Italie pour les futurs prêtres. « Nous ne pouvons pas nous
comporter comme si nous résolvions une question sur un point de droit
canonique. Non. Le Seigneur est outragé, l’Église est humiliée et des
âmes se perdent parce qu’un usurpateur reste sur le trône. »
En même temps, il a déclaré que « ce que nous ne pouvons pas faire,
parce que nous n'en avons pas l'autorité, c'est déclarer officiellement
que Jorge Mario Bergoglio n'est pas pape. La terrible impasse dans
laquelle nous nous trouvons rend toute solution humaine impossible.
»
Son Excellence a fait des remarques similaires dans son « Consensus
Vitium » message du 1er octobre. À l'époque, Viganò affirmait que les
catholiques devraient considérer le possibilité que Jorge Bergoglio ait
obtenu la charge de papauté avec une « intention criminelle » de «
réaliser un coup d'État au sein de l'Église et d'amener le prophète de
l'Antéchrist sur le trône de Pierre ». Il a doublé ces propos samedi en
mentionnant qu'une « intelligence luciférienne » est à l'œuvre.
«Nous savons que John Podesta travaillait au nom d'Hillary Clinton et
d'Obama – et de l'élite mondialiste en général – pour promouvoir une
'révolution colorée' au sein de l'Église, censée évincer Benoît XVI de
la papauté et élire un pape ultra-progressiste, et modifier
substantiellement le Magistère catholique en lui faisant accepter les
exigences de l'Agenda 2030 : l'égalité des genres, l'introduction de
l'idéologie de genre et de la doctrine LGBTQ+, la démocratisation de la
gouvernance de l'Église, la collaboration au projet néo-malthusien du
Grand Reset, la coopération sur l’immigrationnisme et annuler la
culture », a-t-il déclaré.
« Il me semble clair que ce projet subversif a trouvé une réalisation
parfaite dans la nomination de Bergoglio – et j'utilise délibérément le
mot « nomination » – et qu'il est confirmé par son modèle cohérent
d'actes de gouvernance et d'enseignement magistral, tant public que
privé, au cours de cette décennie des plus propices.
...
"Son hétérogénéité par rapport à la papauté est désormais évidente et
perçue aussi bien par les simples fidèles que par une grande partie du
clergé, et même par certaines franges des médias", a rappelé samedi
Viganò. « Le consensus et le soutien au jésuite argentin viennent en
grande partie de l’aile ultra-progressiste et pro-hérétique qui a
parrainé son élection : tous des membres notoires de l’Église profonde
et étroitement liés au lobby homosexuel et pédophile de l’État profond.
»
« L’objection selon laquelle accuser le « Pontife régnant » d’hérésie
ou d’apostasie pourrait provoquer des divisions et des scandales est
démentie par l’évidence de la division et du scandale qui sont déjà
largement présents dans le corps ecclésial précisément à cause de
l’hérésie et de l’apostasie de Bergoglio », a-t-il poursuivi.
« L’intention de nuire à l’Église en agissant au nom d’une puissance
ennemie n’est pas compatible avec l’acceptation de la papauté, et il y
a donc un défaut de consentement donné par la volonté de l’élu –
confirmée par ses paroles et ses actes au cours de la période des dix
dernières années. »
...
Au cours de son discours de samedi, Mgr Viganò a fait allusion aux
écrits de saint Robert Bellarmin. Bellarmin, jésuite, est né au XVIe
siècle et est docteur de l'Église. Son Pontifice De Romano est souvent
cité en référence pour ses théories sur la manière dont un pape
pourrait perdre sa charge s'il enseigne l'hérésie. Son Excellence a
déclaré que même si de nombreux catholiques constatent le chaos semé
par le Vatican aujourd'hui, ils n'en tirent pas les conclusions
nécessaires.
"Pour eux, il est permis de critiquer Bergoglio, mais à condition de ne
jamais critiquer l'idole conciliaire [Vatican II], le fétiche
intouchable des Montiniens."
« L’hérésie et l’apostasie de Bergoglio » sont « la pointe de l’iceberg
d’une crise bien pire et plus répandue de la Hiérarchie et du Clergé
qui a commencé il y a soixante ans et qui a maintenant presque atteint
son apogée », a également expliqué Viganò. Vatican II a été « défini à
juste titre par ses propres architectes comme « le 1789 de l’Église ».
Jean XXIII, Paul VI, Jean-Paul Ier, Jean-Paul II et Benoît XVI n’ont
pas manqué de souligner à quel point les principes révolutionnaires et
maçonniques – liberté, égalité , fraternité – pourrait en quelque sorte
être partagée et s’approprier le catholicisme.
Viganò a réitéré une fois de plus que "nous n'avons pas affaire à une
situation dans laquelle un pape adhère à une hérésie spécifique (ce que
Bergoglio a d'ailleurs fait à plusieurs reprises)". Au contraire, «
aucun Docteur de l’Église n’a jamais envisagé la possibilité d’un pape
apostat ou d’une élection falsifiée et manipulée par des puissances
ouvertement hostiles au Christ, car une telle énormité ne pouvait se
produire que dans un contexte unique et extraordinaire comme celui de
la persécution finale annoncée par le prophète Daniel et décrite par
saint Paul. L'avertissement de Notre Seigneur videritis abominationem
desolationis – lorsque vous verrez l'abomination de la désolation (Mt
24, 15) – doit être compris comme tel précisément en raison de son un
caractère unique absolu. »
Son Excellence a également évoqué à deux reprises la Fraternité
sacerdotale Saint-Pie X, fondée par l'archevêque français Marcel
Lefebvre (1905-1991) en 1970. Dans le passé, Viganò a félicité Lefebvre
pour avoir préservé la foi après le Concile Vatican II . Samedi, il a
semblé adresser un avertissement au groupe.
« La vexata quæstio – « Bergoglio est-il catholique ? » – est abordée
sous de nombreux angles différents selon différents critères issus de
divers héritages culturels », a-t-il déclaré. « Le point de vue
scolastique traditionnel ; le point de vue modéré et conciliaire, ou,
pourrions-nous dire, montinien ; et celui qui oscille, pour ainsi dire,
entre les deux rives, reconnaissant Bergoglio comme Pape bien qu’il
soit de facto canoniquement indépendant de lui (je fais référence à la
FSSPX). Mais nous devons reconnaître qu’aujourd’hui il est possible de
partager, avec de nombreux prêtres et laïcs, un sentiment de grave
malaise et de grave scandale dû à la présence encombrante du jésuite
argentin.
"La Hiérarchie se limite à faire preuve soit de lâcheté, soit de
complicité avec le tyran, et les quelques voix discordantes n'osent pas
tirer les conclusions qui s'imposent face aux hérésies et aux
absurdités du locataire de Santa Marta."
« Et nous arrivons ici au uccincum dolens », a-t-il poursuivi, «
c'est-à-dire la grande contradiction qui unit les partisans du Vatican
II avec ses opposants historiques – la Fraternité Saint-Pie X in primis
– en voulant procéder à une évaluation de faits objectivement
extraordinaires en utilisant des normes d'évaluation ordinaires . »
« Comme je l'ai souvent dit, il me semble que certains commentateurs se
soucient plus de la doctrine de la papauté que du salut des âmes, de
sorte qu'ils se retrouvent à préférer être gouvernés par un pape
hérétique et apostat plutôt que de reconnaître qu'un hérétique ou un
apostat ne peut être à la tête de l’Église à laquelle, comme tel, il
n’appartient pas. »
« Notre tâche ne doit pas être de nous lancer dans les spéculations
abstraites des canonistes, mais de résister de toutes nos forces – et
avec l'aide de la grâce de Dieu – à l'action explicitement destructrice
du jésuite argentin, refusant avec courage et détermination toute
collaboration, même indirecte, avec lui et ses complices.
Son Excellence a conclu son discours en déclarant que les catholiques
peuvent être « moralement certains » que « le locataire de Santa Marta
est un faux prophète ». En tant que tels, ils sont « autorisés en
conscience à lui révoquer notre obéissance », car il se comporte comme
un « sanglier biblique » qui « ne se soucie pas des brebis ».
« Le « problème Bergoglio », a-t-il ajouté, « ne peut être résolu par
des moyens ordinaires : aucune société ne peut survivre à la corruption
totale de l’autorité qui la gouverne et de l’Église ».
"Tant que la société et l'Église continueront d'être prises en otage
par les ennemis du Christ Roi et de sa très auguste Mère, nous ne
pourrons pas espérer la fin de cette épreuve des plus douloureuses,
parce que nous n'aurons pas mis les efforts nécessaires afin de choisir
notre camp que le Seigneur attend de nous pour nous faire participer à
son triomphe total et définitif sur Satan. »
08 décembre
LE NOUVEL ÉDEN SELON L'ÉLITE
Fin
2020, Bergoglio avait associé le Vatican avec le capitalisme inclusif,
un bébé de l’élite pour resserrer l’étau sur la population mondiale
qu’ils veulent contrôler.
Rappelons
que le plan de l’élite en est un de long terme, mais qui s’est accéléré
après la première guerre mondiale qui a fait perdre le contrôle aux
monarchies en Europe et permis la révolution bolchévique en 1917 pour
créer deux pôles majeurs, est et ouest, afin de diriger la pensée du
peuple vers un but précis, par la peur.
Le
père engendre le fils, et le fils engendre le père. Ces élites vivent à
travers le sang de leur progéniture et veulent devenir les maîtres du
monde, ce monde aux ressources limités qu’il faut à tout prix conserver
pour sa survie.
Satan,
selon la vision du pape Léon XIII a eu ses 100 ans pour arriver à ses
fins. Agissant via l’élite, il contrôle présentement le destin des âmes.
Le petit reste est vraiment… petit.
L’élite, confiante, ne se cache plus et déclare à qui veut bien l’entendre la finale de son plan.
Revenons
à cet organisme, le « Conseil pour un Capitalisme Inclusif », dirigé
par nut autre que Lyne Forester de Rothschild, épouse de feu Sir Evelyn
de Rothschild de la branche anglaise :
«
L’initiative mondialiste, appelée « Le Conseil pour le capitalisme
inclusif avec le Vatican » (The Council for Inclusive Capitalism with
the Vatican), se présente comme une organisation pro-capitaliste qui
vise à créer « des économies et des sociétés plus fortes, plus justes
et plus collaboratives ».
Le
groupe d’élite, qui s’appelle pompeusement « Les Gardiens » (The
Guardians), se qualifie lui-même de « collaboration historique de PDG
et de dirigeants mondiaux travaillant avec la direction morale du pape
François pour exploiter le pouvoir des affaires pour de bon », indique
le site internet. » (https://www.inclusivecapitalism.com/).
«
… Parmi les 27 gardiens figurent des PDG, des présidents et autres
hauts fonctionnaires d’entreprises telles que Mastercard, DuPont,
l’ONU, Johnson & Johnson, VISA, BP, Bank of America et la Fondation
Rockefeller…
Les
nombreux engagements du Conseil se répartissent en quatre catégories:
«Les hommes, la planète, les principes de gouvernance, la prospérité».
Dans le cadre de sa vision globale, le Conseil propose «l’égalité des
chances pour tous de rechercher la prospérité et la qualité de vie,
quels que soient les critères tels que le milieu socio-économique, le
sexe, l’origine ethnique, la religion ou l’âge…
C’est l’Agenda 2030 des Nations-Unies, auquel adhère pleinement Bergoglio.
Ce
dernier a précédemment exprimé son soutien aux objectifs de l’ONU ,
soit «l’accès universel aux services de santé sexuelle et
reproductive, y compris la planification familiale, l’information et
l’éducation, et l’intégration de la santé reproductive dans les
stratégies et programmes nationaux», ce qui comprend la contraception
et l’avortement.
Fin
2020, s’’adressant au Conseil pour le capitalisme inclusif, le Pape
François a déclaré : «Un système économique juste, digne de confiance
et capable de relever les défis les plus profonds auxquels l’humanité
et notre planète sont confrontés est urgent. Vous avez relevé le défi
en cherchant des moyens de faire du capitalisme un instrument plus
inclusif pour le bien-être humain intégral... »
C’est les système Antichristique, basé sur l’humanisme, la religion de l’humain qui se divinise, qui s’adore.
Fin
novembre 2023, Lyne Forester de Rothschild transmet la
progression du concept de capitalisme inclusif pour notre monde (vidéo):
C’est
l’intelligence artificielle (IA) qui gérera le tout (avez-vous remarqué
ce blitz concernant l'IA dans les médias en 2023 afin de faire accepter
le principe?)
Le
but est de prendre les impôts des gens afin de gouverner à leur place,
le gouvernement ne servant qu'à collecter ces mêmes impôts.
Les
« gardiens » du Conseil pour le Capitalisme Inclusif, c’est à dire les
PDG de Goldman Sacks, Coca-Cola, IBM, etc...lié à l'IA auront le
rôle de redistribuer cet argent à la masse populaire.
C’est
le système des crédits économiques, pour forcer les gens à consommer
selon le désir des élites, dans un cadre défini, dans un laps de temps
défini, sinon vous perdez le crédit accordé.
Lyne
Forester de Rothschild, avec l’approbation de Bergoglio, veut donc
imposer une sorte de dictature technologique et économique.
« Seule une IA en conjonction avec les multinationales peut redistribuer les richesses » affirme-t-elle.
Beau monde en perspective.
Avec la bénédiction de Bergoglio.
NSJC ne laissera pas faire car le petit reste doit survivre.
Autre preuve que nous sommes à la fin des temps.
Que Marie nous protège en cette fête de l'Immaculée Conception.
02 décembre
LA FIN DES TEMPS, VRAIMENT?
Plusieurs se demandent, sommes-nous réellement à la fin des temps?
Selon le calendrier de la fin des temps spécifié dans l’Apocalypse, nous avons pour étapes avant le retour de NSJC :
1) Mort des témoins (3,5 jours)
2) Résurrection des témoins
qui terminent la sixième période.
On
peut affirmer que les attaques du Vatican contre ses prêtres qui
favorisent la tradition OU qui ne sont pas dans la même ligne de la
politique des affaires étrangères du Vatican prôné par Bergoglio,
constituent la preuve irréfutable de cette fin de la sixième période.
Le synode des synodes parachèvera le tout.
Mgr
Strickland a été la dernière victime, et Mgr Baisi en Argentine
subirait le même sort car il n’aurait pas assez favorisé la gauche
chéri de Bergoglio lors des dernières élections.
Le cardinal Burke serait sur le point de se faire retirer son salaire et son appartement car il parle trop.
L’entrée dans la 7ème période de l’Apocalypse est caractérisée par la :
3) Mort de l’Antéchrist
et la
4) Chute de Babylone (3ème malheur, Ap. 11, 14)
Jean XXIII dans sa prophétie de l’Église concernant Benoît XVI spécifie :
« Alors
le saint aux pieds nus descendra du mont et, devant la tombe du
va-nu-pieds, éclatera le règne béni de la Très Sainte Vierge. Écoutez ses paroles. Marie
Très Sainte, fille et mère de Dieu, maîtresse du temps futur, bats le
rappel de tes fils dans les campagnes, pour qu'ils abattent les deux
Babylone. »
Lorsque
le Saint aux pieds nus, Benoît XVI, a remis sa démission le 11 février
2013, la foudre a frappé le dôme de la basilique Saint-Pierre à
plusieurs reprises (voir analyse 01 janvier 2022).
Puis s’en est suivi l’élection de Bergoglio, l’Antéchrist personnifié.
La Passion annonçant la mort de l’église s’est accélérée à partir de ce 13 mars 2013.
Jean XXIII spécifie ici les « deux Babylone », c’est à dire Babylone Vatican, et Babylone Nations-Unies.
L’une représente le pouvoir spirituel et l’autre le pouvoir politique, chacune avec leur innombrables tentacules.
Mais elles ne font qu’un, la « Babylone la grande » spécifié dans l’Apocalypse, soit le système Antichrist actuel.
Plus les deux Babylone se confondent en une seule, plus le signe de la fin approche.
L’église conciliaire sous Bergoglio a pris la tangente de l’humanisme adopté par l’Agenda 2030 aux Nations-Unies.
Le
fait que Bergoglio devait se rendre à la COP 28 à Dubaï cette semaine
et qu’il en a été empêché par la grâce de Dieu, était une preuve ultime
de cette unification car il se rendait à « l’église »
œcuménique regroupant christianisme, islam et judaïsme, pour
cautionner ou bénir le plus vaste réseau de manipulation et de mensonge
à l’heure actuelle dans le monde, son bébé chéri, le réchauffement
climatique.
C’est la Babylone politique.
Babylone
spirituelle la rejoint ici dans l’œcuménisme, c’est-à-dire l’adaptation
de l’église catholique à la perversion morale des dernières années, en
plus de la réduction au silence des conservateurs qui ont encore le
courage de se lever dans les circonstances.
Pas besoin de fournir d’exemples, nous en avons eu plein la vue juste dans les dernières années.
Le wokisme et ses rejetons
pour les athées de la laïcité, la miséricorde infinie (sans la justice
rattachée, faut-il le rappeler) d’où l’élimination du péché pour
l’église conciliaire.
En fait, comment se fait-il que la majorité des chrétiens catholiques ne se posent même pas la question :
Pourquoi Jésus a-t-il donc été envoyé par le Père si le péché n’existe pas?
Anne
Catherine Emmerich a vu qu’à la fin il ne resterait que le mur nord et
l’autel après la destruction de l’Église, soient les témoins ressuscité
(mur nord) et l’autel (la Sainte Messe), car les portes de l’enfer ne
prévaudront point contre l’Église.
La
chute de Babylone, du système Antichrist, est déjà amorcée par le signe
des nombreuses guerres annoncées par NSJC en Matthieu 24.
Sa mort spirituelle est amorcée par la déchéance de son Antichrist personnifié sur le trône de Saint-Pierre :
« Le Pape attaqué par ses soutiens: le conflit israélo-palestinien a changé la donne
Giuseppe
Nardi analyse minutieusement l’interview du très bergoglien historien
de l’Eglise Massimo Faggioli par le site HuffPost (cf. Une interview
critique d’un homme du premier cercle, Massimo Faggioli), et arrive
comme moi à la conclusion que les soutiens du Pape le lâchent, et que
la raison ne doit rien à un caprice ou à une quelconque versatilité due
à l’usure du pouvoir. Pour le reste, il va sans dire que l’auteur est
seul responsable de ses opinions (précaution nécessaire de ma part vu
l’inflammabilité du sujet…)
Israël change tout
Le bergoglien devient critique du pape
Les
attaques contre le pape François à propos du conflit au Proche-Orient
se poursuivent. Elles ne sont pas de nature théologique, mais
politique. Et d’un seul coup, la page se tourne dans le vent. François
est-il lâché par des forces qui l’ont soutenu jusqu’à présent ? » (benoit-et-moi.fr)
En récapitulation :
- La bête c’est la religion de l’homme divinisé par la matière qui s’adore lui-même, le côté politique laïc athée ;
–
La Grande prostituée c’est l’Église conciliaire, infidèle à sa mission
de convertir et sauver les âmes, qui lui sert de support spirituel;
–
Babylone, c’est la société civile (les deux Babylone, l’Antéchrist
système) qui découle de ces nouvelles mentalités, et qui désigne le
monde entier, soumis à la bête et à son esprit.
–
Les deux témoins, c’est la Tradition, qui refuse cet esprit, le combat
et le dénonce, à la fois de façon spirituelle (maintien de la doctrine
et de la messe tridentine) et matérielle (esprit anticonformiste et
résistant aux idées modernistes, dans la société civile).
Nous sommes bien à la fin des temps.
2024 sera une année de bascule.
Novembre 2023
26 novembre
« Une stratégie pour le moins déconcertante par sa malveillance évidente.
Bergoglio fomente d'abord les
revendications de la Conférence épiscopale allemande sur des questions
non débattues car déjà définies par le Magistère : divorce, polygamie,
sodomie, sacerdoce féminin, célibat.
Puis, avec le Synode sur la
synodalité, il alimente les impulsions autonomistes des Églises
nationales en matière doctrinale et morale.
Et quand le lent engrenage
subversif se met en marche, le jésuite argentin fait envoyer à son
secrétaire d'État une lettre dans laquelle il rappelle hypocritement
que l'enseignement catholique sur l'homosexualité et le sacerdoce n'est
pas un sujet de discussion.
Sauf à organiser une série de
réunions de l'épiscopat allemand au Vatican avec les principaux
dicastères romains visant à vérifier ce qui est immuable et ce qui ne
relève pas de cet enseignement qui vient d'être réitéré.
C'est le procédé typique du
péronisme luciférien : inciter ses subordonnés à prendre des mesures -
apparemment "spontanées" et "venant de la base", mais en réalité
savamment planifiées d'en haut - pour introduire des déviations
doctrinales, morales et liturgiques contraires à la foi catholique.
Dans le même temps, il leur envoie un signal de « feu vert », leur indiquant clairement que leurs demandes seront acceptées.
Ainsi, lorsque les évêques
ultra-progressistes en demandent 100, Bergoglio a déjà décidé de se
poser en médiateur et d'en accorder 50, ce qu'il voulait obtenir depuis
le début.
Bergoglio est le point d’appui autour duquel tourne toute l’attaque contre l’Église du Christ. »
Mgr Vigano 25 novembre 2023
24 novembre 2023
BERGOGLIO : Le loup dans la bergerie.
À
l’image de l’Antichrist, nous avons vu le vrai visage du pape de la «
miséricorde infinie » agir avec hypocrisie en destituant Mgr Strickland.
Le pape de « l’ouverture » s’attaque à ses propres brebis.
On juge l’arbre à ses fruits, et présentement, ils sont pourris.
Confusion chez les fidèles, déception chez les catholiques qui
espéraient beaucoup le 13 mars 2013, diminution des séminaristes
contrairement à ce qui se passe chez la Tradition, diminution des
fréquentations des messes conciliaires contrairement à la Tradition,…
Bref, Satan est à l’œuvre dans sa dernière salve pour triompher et effacer le nom de NSJC des cœurs fidèles.
Cette interview du neveu du cardinal archevêque de Buenos Aires
il y a quelques années, démontre comment Bergoglio est monté sur le
trône en Argentine, en « serpentant » parmi les coulisses du pouvoir
d’une manière très agile.
Intéressant puisqu’on peut faire aisément le parallèle avec son ascension au Vatican.
Le Bergoglio d’avant, et après avoir été élu pape.
Il a fait la même chose contre Benoît XVI.
« Qui est Bergoglio? l’itinéraire d’un arriviste manipulateur décrit par quelqu’un qui le connaît bien
9 Jan 2022 | Actualités
José
Arturo Quarracino (né à Buenos Aires en 1953) est un universitaire
argentin, et le neveu du cardinal Quarracino, primat d’Argentine
jusqu’en 1998, et prédécesseur de Jorge Bergoglio dans ses fonctions.
The Wanderer publie une partie de l’interview qu’il vient d’accorder à
Gloria.tv. On y assiste, stupéfait, à la transformation d’un modeste
prêtre effacé et pieux (c’est du moins ainsi que le voyait le naïf
cardinal Quarracino) en un intrigant habile à naviguer dans toutes les
eaux et sans pitié pour ses ennemis. Marco Tosatti en donne une version
en italien, légèrement différente, avec des réponses pas dans le même
ordre, et surtout plus complète. Il y a notamment une longue digression
sur le péronisme, et ce que François doit à ce mouvement…
Qui est Bergoglio? Entretien avec José Quarracino (extraits)
Bergoglio était loin de Buenos Aires lorsque Quarracino l’a nommé évêque auxiliaire…
C’est
exact. En 1992, Bergoglio avait été » exilé » par la
Compagnie de Jésus dans la province de Cordoue, assigné là pour le
tenir éloigné de Buenos Aires, où il avait servi Provincial de la
Compagnie pendant plusieurs années. La fin de son mandat fut marquée
par une grande division interne entre pro- et anti-Bergoglio.
Pourquoi votre oncle a-t-il choisi Bergoglio ?
Mon
oncle l’avait rencontré en 1973 ou 1974 lorsqu’il était Provincial,
mais la personne qui lui a parlé pour le « sauver de son exil » était
l’un de ses professeurs dans la Société, le père Ismael Quiles SJ, un
saint prêtre. A l’époque Bergoglio passait un très mauvais moment, tant
sur le plan mental que psychologique. C’est pourquoi mon oncle a
demandé au Saint-Siège de le nommer évêque auxiliaire – alors qu’il en
avait déjà d’autres. Dans le livre d’Austen Ivereigh, The Great
Reformer, on trouve un récit détaillé de comment mon oncle a dû se
battre pour que le Saint-Siège fasse de Bergoglio un évêque.
Vous dites donc que Bergoglio a été nommé évêque « par compassion » ?
D’une part, mon oncle connaissait suffisamment bien le père Ismael
Quiles et il l’appréciait beaucoup, car – comme je l’ai déjà dit –
c’était un excellent prêtre et un jésuite exemplaire. Et au-delà du
conflit interne avec la Compagnie de Jésus, Bergoglio présentait
l’image d’un homme pieux, très ignatien, avec une vie très austère,
développant beaucoup de sympathie avec ceux qui, comme on dit en
espagnol, « lui plaisaient ». Cette nomination a également résolu le
grand problème de Bergoglio, à savoir le terrible conflit interne qu’il
vivait avec nombre de jésuites qui avaient été ses amis et avec
lesquels il pris ses distances.
Savez-vous pourquoi Bergoglio a produit une telle scission en tant que provincial jésuite ?
Je ne connais pas les détails, mais vu de loin, je pense que c’est sa
personnalité psychologique qui l’a mis en conflit avec ses frères,
parce qu’il a toujours aspiré au pouvoir, et le moyen qu’il a trouvé
pour réaliser ce désir était de s’appuyer fortement sur les prêtres
plus jeunes et les novices, et pas tellement sur les prêtres adultes et
plus âgés. Ce que l’on a appris, c’est que lorsqu’il a cessé d’être
provincial pour des raisons statutaires, il est en fait resté actif
comme s’il l’était encore, sapant l’autorité des nouvelles autorités,
tant à la direction de la Compagnie qu’à la faculté de théologie où les
jésuites étaient formés, dans la ville de San Miguel, siège historique
de la Compagnie de Jésus.
Quel genre d’impression Bergoglio a-t-il laissé en tant qu’évêque auxiliaire ?
En tant qu’évêque auxiliaire, Bergoglio a su gagner l’affection et
l’estime d’une grande partie du jeune clergé de l’archidiocèse, avec sa
simplicité, sa piété, son accompagnement et sa gestion psychologique,
qu’il a exercée comme peu d’autres, souvent pour le meilleur, et dans
certains cas pour le pire. Avec ceux qui tombaient en disgrâce auprès
de lui, il était souvent très dur, voire cruel. Et il mettait
subtilement le clergé adulte « de côté » afin de promouvoir ses amis et
ses jeunes protégés.
En tant qu’évêque auxiliaire, Bergoglio différait-il de Bergoglio en tant que provincial ?
En général, il ne gardait pas autant de visibilité et n’avait pas
autant de responsabilités exécutives que lorsqu’il était provincial,
mais il avait parfois des attitudes qui attiraient beaucoup
l’attention, comme celle de couper tous les liens avec quelqu’un et
pour toujours, sans que l’évêque disgracié ne sache souvent ce qu’il
avait fait de mal.
Le cardinal Quarracino s’entendait-il bien avec son évêque auxiliaire ?
Je dirais très bien. Mon oncle l’aimait beaucoup et, dans sa position,
Bergoglio lui a été d’une grande aide, surtout dans le travail
pastoral, lorsqu’il a commencé à souffrir de maladies qui limitaient sa
mobilité (pendant deux ans, il n’a pas pu marcher et a vécu dans un
fauteuil roulant, et un jour – miraculeusement – il a retrouvé la
mobilité de ses jambes).
N’y avait-il pas d’autres évêques auxiliaires ?
Si, au cours des dernières décennies, l’archidiocèse a toujours eu
plusieurs évêques auxiliaires, car bien qu’il s’agisse d’un petit
territoire, il compte environ trois millions de personnes, 251
paroisses, 54 congrégations masculines et 121 congrégations féminines,
des zones résidentielles et d’autres à l’habitat précaire, etc.
L’archidiocèse était alors divisé en quatre vicariats, avec leurs
évêques auxiliaires respectifs. Il était impossible de ne pas avoir 4
ou 5 évêques auxiliaires pour s’occuper d’un archidiocèse de cette
taille.
Dans ce contexte, Bergoglio a su se démarquer des autres évêques
jusqu’à être nommé vicaire général de l’archidiocèse et, dans les
dernières années de la vie de mon oncle, il est devenu évêque
coadjuteur avec droit de succession (ce qui signifie qu’à la mort de
mon oncle, il prenait immédiatement la relève comme nouvel archevêque).
Comment avez-vous perçu Bergoglio en tant qu’évêque auxiliaire ?
De 1995 à 2002, j’ai travaillé dans le cercle de Bergoglio, à la fois
comme évêque auxiliaire et comme chancelier de l‘Universidad del
Salvador, où je travaillais. À cette époque, il cultivait un profil
très jésuite, très pieux, très pastoral. Mais il a maintenu une
opposition très forte avec la Compagnie de Jésus, au point que
lorsqu’il est devenu évêque, l’Ordre a dû nommer un prêtre colombien,
le père Álvaro Restrepo, comme provincial, car aucun des jésuites
argentins ne s’entendait bien avec Bergoglio. Ce fut une affrontement «
à mort », comme on a l’habitude de dire en Argentine.
Était-il un « conservateur » ?
Sur le plan doctrinal, Bergoglio a cultivé un profil orthodoxe, avec de
nombreuses touches jésuites. Sur le plan pastoral, il a eu tendance à
mettre l’accent sur l’attention portée aux problèmes sociaux et à la
prise en charge des enfants et des familles. Et le service des pauvres
comme priorité, avec beaucoup de permissivité et de laxisme en matière
liturgique et sacramentelle.
Lorsque Bergoglio a remplacé votre oncle comme archevêque de Buenos
Aires, avez-vous ressenti un changement ? Quel souvenir gardez-vous de
son séjour à Buenos Aires ?
Il y a eu un changement total dans sa façon de procéder. Il a d’abord
pris soin de se débarrasser de ceux qui avaient été d’excellents
collaborateurs de mon oncle, comme Mgr José Erro, recteur de la
cathédrale de Buenos Aires et saint prêtre, à qui il a demandé par
téléphone de démissionner de son poste et de prendre sa retraite. Sans
aucune forme de considération ou de remerciement. Je pense qu’il a agi
ainsi pour faire savoir au clergé de Buenos Aires que la direction de
l’archevêché allait changer radicalement, balayant tout ce qui
signifiait la continuité avec la période précédente, tout en prenant
soin de maintenir quelque chose de l’héritage de mon oncle.
Ainsi, l’aimable évêque auxiliaire est soudainement devenu un archevêque revêche? Qu’est-ce que les gens ont dit à ce sujet ?
Ce qui a choqué et déstabilisé beaucoup de gens, c’est que dans presque
toute son expérience d’archevêque titulaire, il a presque toujours
présenté un visage renfrogné, amer, triste, une « face de vinaigre »
comme il le disait parfois à certaines religieuses et à des chrétiens «
traditionalistes » ou « orthodoxes ». Il était très impressionnant de
voir ce visage si « distant » des autres dans les célébrations
liturgiques ou sacramentelles, totalement dépourvu de joie lorsqu’il
célébrait l’Eucharistie, comme cela s’est produit dans ses célébrations
en tant que Pape. Personne ne pouvait expliquer la raison de cette
façon d’agir et de se présenter, qui était très blessante pour certains.
En revanche, il est très frappant de constater qu’après avoir été élu
pape, il a commencé à montrer le visage joyeux et jovial qu’il n’avait
pratiquement jamais eu à Buenos Aires. Au point que certains se sont
demandés si ce n’était pas son ambition inassouvie – devenir pape – qui
le motivait au final.
Comment Bergoglio a-t-il gouverné à Buenos Aires?
Il a commencé à avoir une relation très distante en général avec tous
ceux qu’il ne connaissait pas et qui ne faisaient pas partie de son
cercle d’amis. Jusqu’à ce qu’il devienne pape, les commentaires des
fidèles de l’archidiocèse sur le visage colérique qu’il montrait
toujours dans chacune de ses activités publiques étaient monnaie
courante. Un prêtre en qui il avait confiance, un curé de paroisse, lui
a demandé – en plaisantant mais aussi sérieusement – de ne plus faire
de visites pastorales s’il allait montrer ce que Bergoglio lui-même a
appelé « une face de vinaigre ».
S’est-il lui-même qualifié de « face de vinaigre » ?
Il ne s’y référait presque jamais et n’en parlait pas. Il a commencé à
utiliser cette expression en public lorsqu’il est devenu pape.
Y avait-il, à cette époque, des preuves que le Bergoglio orthodoxe était devenu hétérodoxe ?
Pas dans les premières années, mais au fil du temps, il a commencé à
montrer des signes d’un certain « relâchement », pas tant dans ce qu’il
disait que dans ce qu’il faisait, comme s’il s’agissait de dérapages ou
d’attitudes voyantes.
Mais il a vraiment commencé à montrer son comportement hétérodoxe un an
et demi après sa prise de fonction comme archevêque à part entière,
après la mort de mon oncle (28 février 1998). C’était une semaine avant
l’ouverture officielle de l’année jubilaire 2000, à Noël 1999. Ce
jour-là, le 18 décembre 2000, Bergoglio a convoqué l’archidiocèse de
Buenos Aires pour célébrer la « messe du millénaire » (et non du
jubilé), qui n’avait bien sûr rien à voir avec la célébration de
l’Église universelle, anticipant l’initiative papale.
Pourquoi cela ?
La seule explication que je puisse trouver aujourd’hui est qu’il l’a
fait pour montrer au « monde du pouvoir » qui dirige réellement le
monde – la ploutocratie mondialiste – qu’il était suffisamment
indépendant pour agir indépendamment de l’Église universelle, mais en
veillant aux formes. Ce n’est pas un hasard s’il a été le candidat du
progressisme ecclésiastique pour succéder à Jean-Paul II en 2005,
contre Ratzinger.
Quelle était la stratégie de Bergoglio en tant qu’archevêque ?
Pendant son mandat à Buenos Aires, il est devenu célèbre parce que
personne ne savait ce qu’il pensait vraiment, puisqu’il disait toujours
à chaque interlocuteur qui lui rendait visite ce qu’il voulait
entendre. Et il était également connu parce qu’il commençait à mettre
les prêtres plus âgés ou adultes au second plan ou à les ignorer
directement, afin de mettre en avant les jeunes prêtres qui avaient une
grande dévotion pour lui. Et de façon très voyante, il a imposé aux
séminaristes de l’archidiocèse une loi leur interdisant de porter la
soutane, tant à l’intérieur de la maison d’études que dans leur travail
pastoral extérieur.
Sur le plan social ?
Sur le plan social, il a accordé une importance croissante au travail
de proximité dans les bidonvilles urbains, comme ce qu’il a appelé plus
tard « l’Église en marche », mais avec la recommandation – ou
l’exigence – de ne pas insister sur la formation sacramentelle et la
prédication.
Au niveau politique ?
Sur le plan politique, il a cultivé des relations avec pratiquement
tout le spectre politique de l’archidiocèse, sans s’engager dans un
secteur particulier. En ce sens, la confrontation qu’il a eue avec le
président de l’époque, Néstor Kirchner, a été très marquante pour
beaucoup, probablement parce qu’il s’agissait de personnalités presque
identiques, qui prétendaient avoir tout le pouvoir entre les mains, ou
presque.
Quelle était la stratégie derrière cela ?
Probablement d’accumuler le plus de pouvoir possible, afin de ne pas
avoir à dépendre de quelqu’un ou d’une force ou d’un secteur
particulier.
Comment a-t-il géré les finances ?
En ce qui concerne les finances, je n’ai presque rien à dire, car je
n’ai pas eu accès à ce genre d’informations. Je peux juste vous dire
qu’il a commencé à encercler et à coincer les ordres et les
congrégations les plus orthodoxes, d’une part à cause de leur fermeté
doctrinale (qui était pour lui une « dureté »), et d’autre part parce
que ces ordres avaient souvent un patrimoine important.
Comment le séminaire de Buenos Aires s’est-il développé sous la direction de Bergoglio ?
D’après ce que je sais, grâce au témoignage de certains séminaristes
qui ont été contraints d’aller dans un autre diocèse, le séminaire – à
l’époque l’un des plus importants du pays en termes de formation
académique – a commencé à baisser le niveau d’exigence de la formation
doctrinale et théologique, pour mettre l’accent sur la formation à
l’action pastorale, quoi que cela signifie, avec pour résultat que les
nouveaux prêtres se caractérisent de plus en plus comme des agents
d’assistance sociale, à quelques exceptions près, mais avec peu ou pas
de formation doctrinale, théologique ou intellectuelle.
En ce sens, l’une des initiatives prises par Bergoglio en tant
qu’archevêque à part entière a été, comme je l’ai mentionné
précédemment, d’interdire aux séminaristes de l’archidiocèse de porter
la soutane, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur du séminaire. Ce qu’il
a également fait à Rome, en tant qu’évêque de Rome.
Certains disent que le cardinal Bergoglio est coupable de « couvrir des cas d’abus homosexuels ». C’est vrai ?
Malheureusement, oui, souvent parce qu’il s’agissait de personnes
proches de lui. Le cas d’un prêtre de son entourage intime, connu pour
avoir des penchants homosexuels, qu’il a « aidé » en l’envoyant à Rome
quelques années avant qu’il ne devienne pape, a été très commenté,
entre autres, parce qu’il lui a permis de connaître de nombreuses
intimités du Saint-Siège, sentant – ou sachant – qu’il pouvait arriver
là où il est arrivé [ndt: s’agit-il de Mgr Pedacchio, cf.
http://benoit-et-moi.fr/2013-III/actualites/les-nominations-de-franois.html].
Il ne faut pas oublier que ces types de personnalités ont tendance à
être très prédisposées à porter et à rapporter des informations de
toutes sortes. Des informations que l’archevêque d’alors aimait avoir
sous la main et connaître.
Avez-vous également des informations de première main sur ces affaires ?
Oui, et j’ai pu le vérifier personnellement. En avril 2001, quelques
mois après sa création en tant que cardinal, une personne travaillant à
l’Universidad del Salvador, dont il était non seulement le grand
chancelier mais aussi le grand contrôleur, lui a apporté la preuve
qu’une personne très proche du nouveau cardinal, qui non seulement
travaillait à l’université mais était aussi un fonctionnaire de l’État,
avait distribué des photos pornographiques à des membres de
l’université pour s’amuser. En conséquence, le proche collaborateur de
Bergoglio a continué à travailler sans problème pendant plusieurs
années encore, et la personne qui l’a mêlé à cette « affaire » a été
licenciée sans motif de l’université quelques mois plus tard.
On dit que le cardinal Bergoglio avait des secrétaires qui avaient
l’habitude d’assister à la messe à la Fraternité Saint-Pie. Bergoglio a
également semblé défendre Pie X. Comment cela s’inscrit-il dans l’image
du François liberal ?
Il a toujours été caractérisé par le fait de jouer avec les contraires,
passant d’un extrême à l’autre : un jour, il est orthodoxe – devant un
groupe de médecins catholiques ou devant des micros, il condamne
l’avortement de vive voix, le décrivant comme un acte exécuté par un
tueur à gages – et le lendemain, il reçoit et fait l’éloge d’Emma
Bonino, ou de la présidente argentine, avorteuse avouée, et l’autorise
à participer à une messe célébrée sur l’autel à côté de l’urne
contenant les restes de saint Pierre.
Qui peut comprendre cela ?
Cela a toujours été le jeu de Bergoglio, un jeu de ruse, pas de
sagesse, parce que c’est un moyen qui lui permet de ne pas être
catalogué et, en même temps, qui lui permet de garder l’initiative.
Bien qu’il s’agisse finalement d’une ruse de vol court, comme celui des
poulets.
En tant que pape, François s’est révélé être très pro-homosexuel. Cela était-il visible lorsqu’il était cardinal ?
Pour autant que je sache, l’attitude gay-friendly de Bergoglio n’a
jamais été aussi évidente et visible, ni en tant que jésuite ni en tant
qu’évêque. Elle n’était pas non plus trop évidente en tant que
cardinal, car cela aurait éventuellement rendu impossible son élection
comme pape au sein du collège des cardinaux. On connaît des cas de
prêtres ayant de tels comportements qui ont toujours compté sur la
protection discrète de Bergoglio. Il ne l’a fait ouvertement que
lorsqu’il est devenu titulaire de la Chaire de Pierre, en donnant le
spectacle aberrant de donner refuge et protection politique et
cléricale à un criminel notoire tel que l’évêque Gustavo Zanchetta.
Beaucoup ont suggéré que François veut des collaborateurs qui peuvent
être soumis au chantage et contrôlés. Avez-vous des éléments pour
confirmer cela ?
Malheureusement, oui, et à tous les niveaux, en plus du fait qu’il
s’est toujours entouré de personnalités médiocres, soumises et
serviles. Parce que le leadership de Bergoglio, plutôt que d’être un
dictateur comme Henry Sire l’a caractérisé, est typiquement despotique,
il n’admet pas la dissidence ou l’indépendance de jugement.
Comme à l’époque où il était Provincial des Jésuites d’Argentine ?
On a beaucoup parlé de la confrontation de Bergoglio avec les Jésuites
après la fin de son mandat de Provincial des Jésuites. Ce que peu ou
très peu disent, peut-être pour des raisons de discrétion et de
décorum, c’est que ceux qui l’ont le plus affronté étaient ceux qui
avaient été ses collaborateurs ou ses compagnons dans sa direction de
l’Ordre. Certains d’entre eux étaient des amis très proches de lui, qui
le respectaient et l’aimaient beaucoup.
Pourquoi cette confrontation ultérieure ?
On ne l’a jamais su. On savait qu’il s’agissait de personnes sérieuses,
avec leur propre personnalité, ni manipulables ni sujettes au chantage.
»
(benoit-et-moi.fr)
12 novembre
La mort des deux témoins de l'Apocalypse, çà commence avec la destitution de ceux qui promouvoient la Tradition.
On a eu un autre exemple hier.
La destitution de Mgr Strickland, annoncé en ce jour du Souvenir, un 11 maçonnique, c’est gros, très gros. Çà fait de la vague.
C’est une décision clé qui va mettre le schisme au grand jour. La chute de Bergoglio Antéchrist vers sa onzième année commence…
Le Texas, c’est différent,
très à part dans les États-Unis. C’est un pays dans un pays. Ils sont
derrières leur évêque et on verra de quel bois ils se chauffent.
« Le « cas » Strickland illustre la « méthode Bergoglio », celle d’un Pape qui ne supporte pas la critique » (benoit-et-moi.fr)
« Le pape dictateur a « viré » Mgr Strickland. La honte » (benoit-et-moi.fr)
Mgr Schneider: « La
destitution de l’évêque Joseph E. Strickland constitue un jour noir
pour l’Église catholique de notre époque … « Le seul chef d’accusation
qui est maintenant sûr d’obtenir une punition sévère est l’observation
attentive des traditions des Pères. » Ces mots de Saint Basile (Ep.
243) illustrent parfaitement la déposition de l’évêque de Tyler, Texas,
U.S.A., Son Excellence Joseph E. Strickland.
Nous sommes témoins d’une
injustice flagrante à l’égard d’un évêque qui a fait son devoir en
prêchant et en défendant avec parésie la foi et la morale catholiques
immuables et en promouvant le caractère sacré de la liturgie, en
particulier dans le rite traditionnel immémorial de la messe…. Dans le
même temps, plusieurs évêques qui soutiennent publiquement l’hérésie,
les abus liturgiques, l’idéologie du genre et invitent ouvertement
leurs prêtres à « bénir » les couples de même sexe, ne sont nullement
importunés ou sanctionnés par le Saint-Siège.
L’évêque Strickland entrera
probablement dans l’histoire comme un « Athanase de l’Église des
États-Unis » qui, contrairement à saint Athanase, n’est pas persécuté
par le pouvoir séculier, mais incroyablement par le pape lui-même. Il
semble qu’une sorte de « purge » des évêques fidèles à la foi
catholique immuable et à la discipline apostolique, qui se déroule déjà
depuis un certain temps, ait atteint une phase décisive.
Puisse le sacrifice que Notre
Seigneur a demandé à l’évêque Strickland porter de nombreux fruits
spirituels pour le temps et l’éternité. Mgr Strickland et d’autres
évêques fidèles, qui ont déjà été invités à démissionner, qui sont
actuellement marginalisés ou qui seront les prochains sur la liste,
devraient dire en toute sincérité au pape François :
Saint-Père, pourquoi nous
persécutez-vous et nous frappez-vous ? Nous avons essayé de faire ce
que tous les saints papes nous ont demandé de faire ? Avec un amour
fraternel, nous offrons le sacrifice de ce type de persécution et
d’exil pour le salut de votre âme et pour le bon état de la Sainte
Église romaine. En effet, nous sommes vos meilleurs amis, Très Saint
Père !
Athanasius Schneider,
évêque auxiliaire de Sainte-Marie à Astana». (benoit-et-moi.fr)
Mgr Vigano: « La destitution
de Son Excellence l’archevêque Joseph Strickland, surtout après l’échec
de la tentative de lui tendre une embuscade avec la Visite apostolique,
apparaît comme une forme lâche d’autoritarisme, qui ne cadre en rien
avec les discours de Bergoglio sur « l’accueil » et « l’inclusivité ».
Voir le sacrilège et pervers
Marco Rupnik incardiné dans le diocèse de Capodistria, ou Mgr Michael
Olson toujours en fonction malgré la pétition des fidèles de Fort Worth
suite à ses abus et comportement scandaleux avec les Sœurs Carmélites
d’Arlington, alorue Mgr Strickland était l’un des rares évêques
fidèles, est persécuté et expulsé sans raison, nous montre dans toute
son arrogance la tyrannie du jésuite argentin.
Une tyrannie qui scandalise d’autant plus les fidèles que la majorité des Pasteurs se taisent par lâcheté ou complicité.
Cette affaire révélera qui se
tient aux côtés de la véritable Église du Christ et qui choisit de se
tenir aux côtés de ses ennemis déclarés. Garder le silence et subir
cette énième violation des principes les plus élémentaires de justice
et de vérité, c’est se rendre complice d’un subvertisseur. »(twitter.com/CarloMVigano)
« Le pape de la Miséricorde destitue l’évêque Strickland
Par : Michael J. Matt : The Remnant Newspaper
Le Bureau de presse du
Saint-Siège a annoncé aujourd’hui que le pape François a destitué Mgr
Strickland de son poste d’évêque de Tyler et l’a remplacé par intérim
par Mgr Joe Vásquez d’Austin.
C’est la guerre totale.
François représente un danger évident et présent, non seulement pour
les catholiques du monde entier, mais aussi pour le monde entier
lui-même. Il semble maintenant qu’il s’efforce activement d’enterrer sa
fidélité à l’Église de Jésus-Christ. S’il en est ainsi, qu’il soit
anathème.
Que Dieu vous bénisse, Votre Excellence. Nous sommes à vos côtés maintenant et, s’il vous plaît à Dieu, pour toute l’éternité.
Voici le dernier tweet de Mgr Strickland en tant qu’évêque de Tyler, écrit la veille de sa destitution :
« Réjouissez-vous toujours
que… peu importe ce que le jour nous apporte, Jésus-Christ est le
Chemin, la Vérité et la Vie, hier, aujourd’hui et pour toujours. Que
les saints et la Bienheureuse Vierge Marie nous inspirent toujours à
retourner au Christ, peu importe la façon dont nous errons. dans les
ténèbres. Jésus est Lumière issue de la Lumière. »
(remnantnewspaper.com)
10 novembre
Quelques
extraits des deux derniers textes de Mgr Vigano sur la situation qui
empire à chaque semaine, en plus des deux nouveautés en
préparation :
- L’autorisation papale pour modifier les textes de la doctrine!
-
Une modification du conclave pour y inclure 25% de laïcs, évêques,
prêtres, etc. avec droit de vote… À l’image du synode! Avec le prétexte
de la « démoncratie ».
Le synode des synodes et la guerre en Israël détournent assez
l’attention que Bergoglio et la mafia vaticane en profitent pour
détruire l’église petit à petit comme l’avait prophétisé Anne Catherine
Emmerich.
Ils n’avaient pas avec Vatican II, osé changé les textes fondamentaux, il était trop tôt.
Ils
avaient tranquillement modifié la façon de les interpréter et de les
enseigner via la pastorale, en prenant pour exemples l’œcuménisme et la
nouvelle messe de Paul VI.
Maintenant que les esprits sont mûrs (ils le disent précisément dans le
texte suivant: « Après presque cinq décennies, le moment est venu
de réviser ces normes »), ils vont modifier les textes.
Cela, c’est modifier la doctrine.
Nous faisons face à une nouvelle église, une secte comme le spécifie Mrg Vigano plus loin.
Cela, c’est la mort de l’Église dans sa passion à l’image de la Passion de NSJC.
«
VATICAN CIY ( LifeSiteNews ) –– Le pape François a publié de nouvelles
priorités et de nouveaux statuts pour l’Académie pontificale de
théologie du Vatican, déclarant qu’une théologie nouvellement centrée
est nécessaire, basée sur un « bon sens » populaire qui « ne correspond
souvent pas au visage chrétien ». de Dieu. »
Les
commentaires du Pape sont intervenus dans un motu proprio du 1er
novembre , par lequel il a publié de nouvelles orientations et de
nouveaux statuts pour l’Académie pontificale de théologie (PATH).
François
a écrit que le PATH a « constamment incarné la nécessité de placer la
théologie au service de l’Église et du monde », mais que selon ses
nouvelles directives, un changement serait introduit.
«
Après presque cinq décennies, le moment est venu de réviser ces normes,
pour les rendre plus adaptées à la mission que notre époque impose à la
théologie », a écrit le Pape. « Une Église synodale, missionnaire et «
sortante » ne peut avoir d’équivalent qu’une théologie « sortante ».»
Opérant
sous les auspices du Dicastère de la Culture et de l’Éducation, PATH a
été fondée en 1718 et était auparavant décrite comme ayant « la mission
de promouvoir le dialogue entre la foi et la raison et d’approfondir la
doctrine chrétienne selon les indications du Saint-Père ».
Les nouveaux statuts du pape François remplacent ceux les plus récemment transmis au PATH par le pape Jean-Paul II en 1999.
Pourtant, le document papal présente ce qui semble être un concept de
théologie essentiellement anticatholique, chargeant les théologiens
d’engager un dialogue avec diverses cultures et religions plutôt que de
s’appuyer sur les vérités intemporelles et immuables de la foi
catholique.
…
« La
promotion de la théologie dans le futur ne peut se limiter à proposer à
nouveau de manière abstraite des formules et des schémas du
passé », a déclaré le pape François dans la première ligne de son
texte italien intitulé » Ad theologiam promovendam « .
«
Appelée à interpréter prophétiquement le présent et à entrevoir de
nouveaux itinéraires pour l’avenir à la lumière de la Révélation, la
théologie devra faire face à de profondes transformations culturelles,
consciente que : « Ce que nous vivons n’est pas simplement une ère de
changement, mais un changement de époque’ », a déclaré Francis, citant
un de ses discours antérieurs, dans un style autoréférentiel qui est
devenu caractéristique de son écriture… » (lifesitenews.com)
« Selon ce que nous avons appris, un document du Vatican est en cours
d’examen par le pape François qui réformerait le conclave, excluant de
la phase préparatoire les cardinaux de plus de quatre-vingts ans. Le
document réviserait radicalement la forme des congrégations générales
et révolutionnerait les règles sur l’élection du pape, garantissant que
les laïcs, les religieux et les religieuses disposent de vingt-cinq
pour cent des voix.
Des sources vaticanes bien informées nous ont confirmé que depuis la
fin du printemps des rencontres ont eu lieu à Santa Marta entre le pape
François et le cardinal Gianfranco Ghirlanda, canoniste jésuite, avec
un objectif précis : réformer l’Universi Dominici gregis, la
constitution apostolique de Jean-Paul II de 1996, sur la vacance du
Siège Apostolique et l’élection du Pontife Romain.
À partir de fin août, les réunions sont devenues plus fréquentes et ont
eu lieu au moins une fois par semaine, jusqu’à ce que l’assemblée
synodale commence début octobre.
Avec la prétention d’un « retour à l’Église primitive », l’idée serait
de faire en sorte que les cardinaux électeurs, choisis pour la plupart
par le pape François, disposent de soixante-quinze pour cent des voix,
tandis que les vingt-cinq pour cent restants seraient attribués à des
laïcs et religieux, nommés par le Pape François avant que le Siège
Apostolique ne devienne vacant.
Le document en question exclurait des congrégations générales précédant
le début de l’élection papale tous les cardinaux sans droit de vote,
c’est-à-dire ceux qui ont atteint l’âge de quatre-vingts ans. Il faut
garder à l’esprit que, de l’avis de beaucoup, le nouveau pape est
choisi précisément dans les congrégations générales, car c’est dans
cette phase préparatoire que sont discutés les problèmes de l’Église et
les qualités qui doivent distinguer le candidat approprié. Compte tenu
de la longue expérience des cardinaux de plus de quatre-vingts ans et
du rôle central qu’ils jouent dans la formation des orientations des
cardinaux électeurs, leur exclusion doit être considérée comme une
blessure au Sacré Collège et au conclave lui-même. En outre, la
modification réduirait la proportion de cardinaux non nommés par le
pape François à une minorité encore plus petite au moment de la
discussion.
Le document modifierait également radicalement les procédures et
l’organisation des congrégations générales, en éliminant les séances
plénières (au cours desquelles tous les cardinaux se réunissent) et en
établissant de petits groupes de travail avec un responsable dirigeant
les discussions, à l’instar de ce qui s’est produit lors de l’assemblée
synodale d’octobre dernier.
On dit que le pape François, bien que déterminé à réformer le conclave
papal dans un style plus « synodal », n’a pas encore prononcé un « oui
» définitif au document qui, s’il est promulgué, rencontrera
certainement une résistance considérable de la part des membres du
Sacré Collège. (RemnantNewspaper.com) »
Depuis cette révélation, il y a beaucoup de discussions sur les réseaux vaticanistes de cette réforme du conclave.
Çà rejoint encore les révélations du regretté Serge Monast dans le « complot … contre la chrétienté »:
«
… même si cette élection frauduleuse d’un Pape sera réalisée avec les
apparences de la Tradition de l’Église, elle n’en sera pas moins
inacceptable. Pourquoi? Parce qu’habituellement, un Pape est élu par
les Cardinaux et non par les Évêques. De plus, cette élection se fera
sur la base de (l’Élection Démocratique), et non sous l’inspiration de
l’Esprit-Saint. Mais cette élection biaisée sera présentée aux
différentes Églises Chrétiennes à travers le monde comme élection
démocratique; quelque chose de nouvellement instauré comme processus
légitime dans la nouvelle tradition de la Nouvelle Église du futur.) … »
C’est exactement ce que Bergoglio veut présenter avec un futur conclave basé sur le voie synodale.
Juste
le fait d’annoncer cette révolution, qui est évidement frauduleuse, qui
donnerait un pape non valide, confirme en fait que Benoît XVI était le
dernier pape valide et que Bergoglio est Pierre II le romain.
Donc, cette préparation en cachette est un signe évident de la fin.
« … la synagogue de Satan, l’ancienne église conciliaire et
synodale, dont les ministres corrompus sont animés par l’intérêt
personnel, par la soif de pouvoir et de plaisirs, aveuglés par
l’orgueil qui les fait se mettre devant la Majesté de Dieu et le salut
des âmes : une secte de traîtres et de renégats qui ne reconnaissent
aucun principe immuable mais qui se nourrissent de provisoires, de
contradictions, d’incompréhensions, de tromperies, de mensonges et de
chantages ignobles. Cette anti-Église ne peut être
qu’intrinsèquement révolutionnaire, parce que sa subversion de l’ordre
divin n’accepte rien d’éternel a priori, et même l’abhorre précisément
parce qu’elle est immuable, parce qu’elle ne peut y toucher, puisqu’il
n’y a rien à ajouter à la perfection ou à l’amélioration. modifier.
La révolution
permanente, symbole de la structure ecclésiastique actuelle, a séduit
de nombreux fidèles et clercs par l’attrait de la mentalité libérale et
de la pensée hégélienne, faisant croire à de nombreux modérés que leur
vie tranquille momentanée est suffisante pour garantir une impossible
coexistence entre Tradition et Révolution, pour le seul fait qu’ils
sont autorisés à célébrer l’ancienne messe en échange d’accepter le
compromis et de ne pas remettre en question Vatican II, comme les Juifs
avec les prêtres de Baal à l’époque du prophète Élie.
Carlo Maria Viganò, archevêque
4 novembre 2023
En la fête de saint Charles Borromée,
évêque de Milan et confesseur »
«
Nous devons faire face à une réalité douloureuse et terrible :
Bergoglio se présente comme hostile aux catholiques fidèles au
Magistère – qu’il ridiculise, condamne et marginalise – et complice de
ceux qui contredisent ouvertement ce que l’Église enseigne immuablement
depuis deux mille ans. Non seulement cela : il veut amener les bons
catholiques – et avec eux les quelques évêques et prêtres qui
professent encore la foi dans son intégrité – à se séparer de la secte
qui a infiltré et envahi l’Église, les provoquant avec une arrogance
effrontée pour qu’ils se sentent scandalisé et offensé.
L’
inclusivité qui inspire Bergoglio dans son œuvre de démolition est
exactement le contraire de ce que nous a enseigné Notre Seigneur, qui
dans la parabole du banquet de noces (Mt 22, 1-14) ne laisse aucun
doute sur la nécessité de porter la robe de la Grâce pour être admis.
Dans ce passage évangélique, le seigneur qui trouve un invité sans
vêtements le fait attacher par ses serviteurs et le jeter dans les
ténèbres extérieures, où il y a des pleurs et des grincements de dents
(ibid., 13).
Les
paroles du Sauveur « Vous serez mes amis si vous faites ce que je vous
commande » (Jn 15, 14) ou encore « Ce n’est pas celui qui dit «
Seigneur, Seigneur », mais celui qui fait la volonté de mon Père qui
entrera dans le Royaume des Cieux » (Mt 7, 21) ne donnent pas lieu à
des malentendus, et le fait qu’un « pape » ose les contredire est d’une
gravité sans précédent qui ne peut en aucun cas être tolérée, pour le
bien des âmes et pour aujourd’hui, nous nous trouvons face au paradoxe
d’un « maître » autoproclamé de l’Église – parce que
Bergoglio agit comme tel – qui chasse du banquet ceux qui portent la
robe de mariée et admet tous les autres sans discernement. Mais si «
l’Église » de Bergoglio ne veut pas de catholiques, comment peut-elle
se dire « catholique » ? Si ceux qui exercent leur autorité de « pape »
le font contre l’autorité du Christ, comment peuvent-ils être
considérés comme son vicaire ?
À
la National Gallery de Londres se trouve un splendide tableau de
Rembrandt, réalisé en 1636 : Le Festin de Belshazzar , qui reprend
l’histoire du prophète Daniel (Dan 5). Le roi babylonien Belshazzar, en
plein siège par le roi de Perse Cyrus le Grand, avait organisé un
somptueux banquet à la cour, utilisant les vases sacrés du Temple volés
comme butin par Nabuchodonosor pour des libations. A cette occasion,
devant tous les invités et dignitaires, une main apparut et écrivit des
mots incompréhensibles sur le mur de la salle royale, devant le
chandelier (Dan 5, 5). C’est Daniel qui interpréta ces sombres paroles,
Mane, Thecel, Phares (Dan 5, 25) :
Mane
: Dieu a compté votre royaume et y a mis fin. Thecel : Vous avez été
pesé dans la balance et trouvé léger. Phares : votre royaume est divisé
et donné aux Mèdes et aux Perses (Dan 5, 26-28).
Face
à la contemplation de la passio Ecclesiæ de la part de Bergoglio et de
ses complices, nous pouvons espérer et prier pour que ceux qui n’ont
pas cru face à l’action silencieuse du Bien puissent se convertir par
l’évidence troublante de ce qui s’y oppose. Avant qu’il ne soit trop
tard.
Carlo Maria Viganò, archevêque ou
9 Novembre 2023
Dans la dédicace de la basilique des Saints. Sauveur »
05 novembre
LE SYNODE PARTIE I
Nous avons eu droit à une conclusion ambiguë de cette partie du synode, comme son maître sait si bien le faire.
Aucune résolution.
Que des concepts qui doivent être retournés vers le peuple pour son consentement.
Il faut comprendre la méthode Bergoglio.
Son
plan de diviser la dernière session pour une partie en 2023, et se
donner 2024 pour faire progresser ses réformes chez les fidèles était
prévisible.
Comme le confirme Michael Matt
(The Remnant) dans la conférence de presse donnée aujourd’hui par le
groupe qui s’est réuni à Rome pour contrer le synode (Jeanne Smitts,
lifesitenews, The Remnant, et autres…):
««
Le plan est d’utiliser le processus synodal pour convertir le monde
catholique au cours des 12 prochains mois afin qu’il accepte des
changements massifs », a-t-il poursuivi.
« Pourquoi? Parce que
vaincre 2000 ans de théologie morale catholique basée sur la Bible va
prendre du temps.» (lifesitenews.com)
Caïphe
Bergoglio, ne pouvant condamner l’Église dans sa Passion, la renvoie
donc devant Pilate, qui demandera à la foule de choisir entre
Jésus-L’Église-La Tradition et Barabas-L’église conciliaire.
On connaît tous la réponse.
Car les deux témoins de l’Apocalypse doivent mourir afin de ressusciter.
Pour
contrer le modernisme, Mgr Schneider a publié un nouveau catéchisme la
semaine dernière pour y inclure les erreurs du modernisme.
Donc, les évêques ont le pouvoir de le faire.
Nous comprenons maintenant pourquoi Bergoglio veut inverser la pyramide et donner le pouvoir aux évêques avec son synode.
La
condamnation de l’Église passera donc sur le dos de la foule catholique
pour que le clergé conciliaire puisse s’en laver les mains à la manière
du sanhédrin au temps de Jésus, d’où la dernière phase de consultation
du synode 2024.
Pas
sûr qu’on se rende en octobre 2024 par contre, car si guerre il y a, il
y aura un retour vers l’Église, par la peur, une résurrection des
témoins pour la dernière chance de conversion.
C’est à voir.
Il n’y a pas beaucoup de temps… et les deux témoins, c’est à dire la Tradition, n’a pas encore été condamnée.
Fatima
est accomplie avec l’apostasie générale et le clergé humaniste qui
conduit les âmes vers la vision de l’enfer que les enfants ont eu.
La Salette est accomplie.
Le
fils de la perdition s’est installé sur le trône de Saint-Pierre :
« Rome perdra la foi et deviendra le siège de l’Antéchrist ».
« « C’est le synode des ténèbres. Que veut vraiment le pape ? Les déclarations de Mgr Mutsaerts…
Alors
que le rapport de synthèse de la première session du synode sur la
synodalité est présenté au Vatican, l’évêque néerlandais Rob Mutsaerts,
qui avait décidé il y a un an de quitter l’assemblée en déclarant : «
Dieu est hors de ce processus synodal ignoble », prend la parole…
Aujourd’hui,
les anges pleurent en entendant le langage ecclésiastique utilisé par
le synode : vide de sens, hypocrite, pseudo-sociologique, presque
psychologique… » (benoit-et-moi.fr)
«
Le Cardinal Müller affirme que le Synode sur la synodalité est utilisé
par certains pour préparer l’Eglise à accepter de faux enseignements
Le préfet émérite de la Congrégation pour la doctrine de la foi évalue la première phase de la réunion synodale au Vatican. » (benoit-et-moi.fr)
« le cardinal Jean-Claude Hollerich, rapporteur général du synode, lors d’une conférence de presse le 28 octobre.
«
Cette liberté et cette ouverture changeront l’Église, et je suis sûr
que l’Église trouvera des réponses, peut-être pas la réponse exacte que
tel ou tel groupe souhaite, mais des réponses qui permettront à la
plupart des gens de se sentir bien et écoutés ».
«
Le processus commence, commence vraiment, à la fin du synode. Ainsi,
l’année prochaine, j’espère qu’il y aura un document qui sera un vrai
document, où certaines questions théologiques de la synodalité, et
ainsi de suite seront également prises en compte. Mais même le document
final ne sera qu’une « étape » d’une « Église en mouvement ». Et je
pense que c’est ce qui est important : nous sommes en mouvement. »
«
il y a des sujets qui sont importants pour certaines personnes et qui
devraient continuer à l’être, même s’ils n’ont pas été mentionnés dans
le rapport de synthèse du 28 octobre. Et je pense qu’une Église
synodale essaiera plus facilement de parler de ces sujets que l’Église
telle qu’elle était structurée dans le passé (..) Cela ne veut pas dire
qu’une Église synodale va tout accueillir ».
«
Il était clair pour moi que certains sujets susciteraient des
résistances. Je suis très étonné que tant de personnes aient voté en
faveur du projet. Cela signifie que la résistance n’était pas aussi
grande qu’on le pensait auparavant. Alors oui, je suis heureux de ce
résultat. Des résultats similaires, lors d’un vote parlementaire,
seraient considérés comme très positifs ».
«
Je pense que les gens repartiront demain ou après-demain avec le cœur
plein d’espoir, avec beaucoup d’idées, et je me réjouis de les revoir
l’année prochaine ».
La
Tradition veille pour encore un peu de temps, grâce à la FSSPX et des
combattants des derniers temps tels Mgr Vigano et Scheider, les
cardinaux Burke, Sarah et autres.
La
FSSPX fut réellement créé le 13 octobre 1969 lorsque Mgr Lefebvre
accepte d’enseigner une poignée de séminaristes pour continuer la
Tradition.
Quand
on sait que la fête des Saints, avant d’être transférée au 1er
novembre, était située au 13 mai, voilà deux concordances reliées à
Fatima, l’apparition emblématique de la fin des temps avec la vision de
l’enfer, le troisième secret concernant la grande apostasie dans
l’Église (donc le concile) et hors de l’Église.
L’Apocalypse et les dernières apparitions valides de la Sainte-Vierge se dévoilent ainsi.
Octobre 2023
21 octobre
Gog et Magog
Sans surprise la situation se corse, évidement.
Les
américains quittent Israël et le gouvernement des États-Unis demande à
ses citoyens de ne plus voyager hors du pays si possible.
De
plus, l’embargo sur le pétrole vénézuélien de la part des américains a
été levé pour les prochains six mois, en prévision d’un autre embargo,
cette fois des pays arabes producteurs.
On ne peut se passer du pétrole pour faire la guerre.
Les deux axes, Gog et Magog, sont en places.
Israël a tout l’occident derrière lui.
L’Iran
déclare qu’elle attaquera Israël si ce dernier y va de son attaque
terrestre (attaque qui a reçu le feu vert de Biden cette semaine).
L’Iran avec la guerre en Ukraine est lié à la Russie, qui est lié à la Chine.
La Russie a appuyé le Hamas et Israël jure vengeance contre cette dernière, qui depuis des années est présente en Syrie.
C’est bien le rassemblement prophétisé pour Gog et Magog dans l’Apocalypse.
Malgré
le fait que les arabes sunnites semblent appuyés les chiites présent en
Palestine et au Liban, nous savons grâce à la prophétie politique du «
Livre Maudit » de Jean XXIII que cette animosité entre les deux
factions musulmanes achèvent et qu’il n’y aura qu’un vainqueur côté
arabe.
«
Entre les guerres, quelqu'un parlera d'amour. Mais même vaincu,
faux, démasqué, le livre aura toujours quelques adeptes, jusqu'à la fin
des temps. »
Entre les guerres Bergoglio parle d'amour, de paix, de fraternité avec l'Islam. Nous y sommes.
De plus, nous prévoyons depuis
longtemps que la prophétie « Grand Éclair » à l’Orient se
matérialiserait en Iran… et la Terre friserait le massacre, avant
l’intervention du Père via la « guerre de la nature », le Jugement par
le feu.
2024 est une année d’élections aux États-Unis.
Il y a sûrement une relation avec la prophétie.
Du
côté du Vatican, le cardinal Parolin a de plus pris la parole au synode
et a décidé de centrer sa vison de la synodalité sur la doctrine
catholique.
C’est une direction inattendue pour les disciples de Bergoglio.
N’oublions
pas que nous soupçonnons Parolin d’être le dernier acteur de la
prophétie concernant François, celui qui serait assassiné, qui serait
Pierre II le romain de la prophétie des papes de Saint-Malachie, qui conduirait le troupeau durant les dernières tribulations.
Et, dans tout ce chaos...
Quel
espoir pour les apostasiés qui ne veulent la paix que pour retourner
dans leur matérialisme et humanisme débridé? Aucun, car c’est la fin
des temps et ils l’ignorent.
L’Espérance n’est que pour le petit reste.
Car il voit clair.
Il connaît les écritures et donc le jeu de l’ennemi.
Et il sait que les temps que nous vivons mènent au Salut promis par NSJC.
Dieu utilise le mal pour en arriver au bien.
Les prochains mois vont être difficiles pour les non croyants.
15 octobre
FATIMA ET ND DU ROSAIRE
Le
13 octobre 1917, pendant le spectacle du miracle du Soleil, un tableau
en trois actes apparu aux enfants: ils ont vu Notre-Dame du Rosaire qui
s’éleva au firmament à côté du soleil, joints par Saint-Joseph et
l’Enfant Jésus qui bénissaient le monde, puis Marie devint Notre-dame
des Douleurs, joint par Jésus qui bénissait à son tour le monde, puis
Marie devient Notre-Dame du Carmel, et demande la consécration à son
cœur immaculée.
Trois dates importantes pour cette fin des temps : 16 juillet, 15 septembre, 7 octobre.
Nous
écrivions lors de cette consécration de Bergoglio que cette dernière
était illusoire aussi parce que y sont absents les fondamentaux
demandés expressément par Notre-Dame du Rosaire :
– la récitation quotidienne du chapelet, seule solution pour obtenir la paix ;
– la dévotion au Cœur Immaculé de Marie des premiers samedis du mois ;
– le combat contre les péchés et surtout les péchés les plus graves (cesser d’offenser davantage Dieu répète-elle).
Ainsi
le 16 juillet 2021, en la fête de ND du Carmel, Bergoglio s’attaqua à
la Tradition, aux deux témoins de l’Apocalypse, les laïcs et le clergé
fidèles à la Loi et aux Prophètes en cette fin des temps, avec «
Traditionis Custodes » contre la messe traditionnelle.
En
cette fête de Notre Dame du Rosaire le 7 octobre 2023, s’ouvre le 7ème
sceau, la prophétie #11 de Jean XXIII concernant l’Église, avec
l’attaque suicidaire du Hamas contre Israël, le prélude à Armagueddon
dans l’Apocalypse.
« La
longue paix fera oublier les erreurs passées. Elle fera oublier le
grand frère crucifié renversé. Il y aura la guerre dans la Mère, et les
troupeaux se disperseront. Alors quelqu'un criera sang et sera écouté.
Malheur à celui qui aura crié, le premier sang à couler sera le sien.
S'affronteront
croissant de lune, étoile et croix. Quelqu'un brandira la croix noire.
Des vallées du Prince viendront les chevaliers aveugles.
Derrière eux, les corbeaux de la faim, de la famine, de la peste.
Où croyez-vous fuir, maintenant que vous avez détruit les Églises et tué le dernier Père ?
Attendez
le signe de Jean. L'agneau est prêt. Signez-vous sept fois avec une
main fatiguée et attendez. La lumière vient encore de l'Occident.»
La
longue paix a fait oublier les deux grandes guerres. Elle a fait
oublier le grand frère crucifié renversé (c’est à dire Saint-Pierre et
la suite des papes, soit la grande apostasie constatée aujourd’hui).
Il
y a guerre dans la Mère, c’est à dire l’Église, avec le schisme entre
l’Église traditionnelle et conciliaire, en plein synode des synodes,
qui en est la révélation.
Le Hamas, dans un geste incompréhensible, a crié sang, vengeance, et le sang palestinien et le premier à couler.
Cet embryon de guerre va s’envenimer.
Deux
portes avions américains dans la Méditéranée, et l’Iran qui affirme que
si Israël y va d’une attaque terrestre, qu’il interviendra.
Alors s’affronteront effectivement les trois grandes religions.
Nous sommes dans une période déterminante.
Les prophéties politiques et de l’Église de Jean XXIII entrent dans une phase déterminante, critique pour les âmes.
Nous connaissons l’unique remède : le Rosaire et la dévotion au cœur immaculée de Marie.
Mais l’humanisme de Babylone Nations-Unies et Babylone Vatican aveuglent.
Seul le petit reste a la sagesse pour voir et agir dans son refuge personnel par la prière, la Foi, l’Espérance et la Charité.
Le Temps est proche.
3 octobre
L'AVANT SYNODE
Une bombe eschatologique avant le synode.
C'était à prévoir.
Les
cardinaux conservateurs gardiens de la tradition ont demandé des
éclaircissements sur les sujets à venir au synode et à l'action du
Saint-Esprit version Bergoglio.
Deux clans sont formés.
Nous le savions.
Ils n'ont pas obtenus les réponses claires, tout en recevant un texte tronqué, malhonnête, indigne du Vatican.
Ils
demandaient à la lumière de l'Évangile un oui ou un non, et ils ont
obtenus l'ambiguïté comme Bergoglio sait le faire pour laisser les
portes ouvertes à toutes les interprétations.
« L’eau a commencé à bouillir.
L’une des caractéristiques des
temps post-chrétiens que nous vivons au sein de l’Église est
l’inversion. Nous savons que le diable, dans son envie, cherche à
imiter Dieu et le fait aux antipodes, c’est-à-dire en inversant ce
qu’Il fait dans la sagesse (Proverbes, 3,19). Les exemples se
multiplient chaque semaine. Voyons quelques cas des deux dernières
semaines :
1- Dans une interview, la
médiatique cloîtrée dominicaine Lucia Caram, amie du pape François,
déclare ouvertement qu’il n’y a pas de péché dans les relations
sexuelles avec des personnes du même sexe, tant qu’elles sont faites
dans l’amour. Elle affirme également que le pape François vient de
nommer un homosexuel au poste de préfet d’un dicastère très important
du Vatican.
2- Le président de la
Conférence épiscopale allemande, Mgr Bätzing, a demandé au Vatican de
revoir la mesure qui empêche l’ordination de prêtres homosexuels qui
pratiquent secrètement leur sexualité. En d’autres termes, il a demandé
que les prêtres homosexuels puissent exercer librement leur sexualité.
Il y a quinze ans, personne
n’aurait pensé que nous vivrions une époque aussi mouvementée. Ce n’est
plus seulement le mariage des prêtres qui est réclamé, mais la libre
sexualité des prêtres, et de tous, quoi qu’il arrive. La gravité des
propos tenus par ces personnages louches, et pour lesquels ils devront
tôt ou tard rendre des comptes, est difficilement mesurable. Par
exemple, quel est le message adressé aux bons jeunes catholiques qui
vivent dans la continence et la chasteté dans leurs fréquentations,
comme le veut la doctrine de l’Église ? Que ce sont de sacrés imbéciles
qui gaspillent le temps de la jeunesse fleurie dans des béatitudes
complètement dépassées : s’abstenir de relations sexuelles
hétérosexuelles avec le petit ami ou la petite amie que l’on aime !
Mais y a-t-il quelque chose de plus saint et de plus beau que cela ?
Quels idiots !
Prenons un dernier exemple :
le pape François a assisté à la chapelle funéraire où reposait la
dépouille de Giorgio Napolitano, ancien président de l’Italie,
communiste et franc-maçon. Il n’a pas donné l’absolution, ni béni le
corps, ni fait aucun signe chrétien. Le chef de l’Église et gardien de
la foi nie le témoignage public de la foi en la vie future et prive
l’âme d’un malheureux de l’aide que, même après la mort, il pourrait
lui apporter. François n’est qu’un personnage de plus dans le monde,
qui a la particularité de porter du blanc, mais qui n’est pas très
différent de n’importe quel autre dirigeant mondial.
Oui, ce sont des inversions qui crient haut et fort que l’eau a commencé à bouillir.
Mais il y a une inversion plus
profonde et plus grave, une inversion qui échappe à la morale, une
inversion théologique qui nous dessine une nouvelle Église. Une manière
simple de l’expliquer est l’article que le père Antonio Spadaro,
jésuite, a publié le 20 août dans un journal italien [ndt: nous en
avons parlé à plusieurs reprises, voir en particulier: Le blasphème du
père Spadaro]. Il y commente l’épisode évangélique de Matthieu 7, 24-30
:
Et voici qu’une femme
cananéenne, venue de cette région, s’écria : Seigneur, Fils de David,
aie pitié de moi, car ma fille est tourmentée par un démon. Mais Jésus
ne lui répondit pas un mot. Ses disciples s’approchèrent et le
supplièrent : Renvoie-la, car elle crie après nous. Mais il répondit :
Je ne suis envoyé qu’aux brebis perdues de la maison d’Israël. Elle
s’approcha et se prosterna devant lui, en disant : « Seigneur, aide-moi
! Il répondit : Il n’est pas bon de prendre le pain des enfants et de
le jeter aux chiens. Elle dit : Oui, Seigneur ; mais les chiens aussi
mangent les miettes qui tombent de la table de leurs maîtres. Jésus
répondit : Femme, ta foi est grande ; qu’il te soit fait comme tu veux.
Et sa fille fut guérie à l’heure même.
Le jésuite Spadaro écrit:
Jésus a été insensible. La
dureté du Maître est inébranlable. […] La miséricorde n’est pas pour
elle. Elle est exclue. On ne discute pas. [Jésus] répond à la pauvre
femme de manière moqueuse et irrespectueuse. Il n’est pas bon de
prendre le pain des enfants et de le jeter aux petits chiens. Jésus
semble aveuglé par le nationalisme et le rigorisme théologique.
La femme rétorque alors que
même les petits chiens mangent les miettes qui tombent de la table de
leurs maîtres. Le commentateur Spadaro poursuit :
Quelques mots, mais bien dits,
comme pour bousculer la rigidité de Jésus, le conformer, le « convertir
» à soi. Et Jésus apparaît aussi guéri, et à la fin il se montre libéré
de la rigidité des éléments théologiques, politiques et culturels
dominants de son temps.
En somme, selon le Père
Spadaro, Jésus a péché par rigidité, mais il s’est ensuite converti et
a été guéri. Jésus était donc un pécheur comme tous les hommes. Une
hérésie flagrante et impie.
Après cette publication, le
pape François a récompensé son frère jésuite en le nommant
sous-secrétaire du dicastère pour la culture et l’éducation.
Mais la gravité du fait, à mon
sens et comme j’en ai discuté avec des amis plus savants que moi, ne
réside pas tant dans l’hérésie déversée que dans le fait que Spadaro
suppose que le Seigneur avait besoin d’un autre, en l’occurrence, « un
autre » qui n’était même pas juif, pour le convertir. C’est-à-dire que
la conversion lui est venue par le dialogue et l’écoute de l’ « autre
», de tout « autre », même de l’ « autre » le plus éloigné de « ma
vérité ». Jésus était malade de dureté et de rigidité, et c’est la
parole d’une païenne qui l’a guéri. La maladie n’était donc pas dans la
païenne, mais dans le Christ lui-même.
N’est-ce pas ce que nous avons
vu tout au long du pontificat de François ? C’est l’Église qui est
malade, ce sont les catholiques, chargés de rigidités théologiques et
de visages vinaigrés ; « l’Église est pécheresse », a-t-il dit lors de
son voyage de retour de Mongolie ; les prêtres sont cruels et méchants;
les catholiques qui prient le rosaire sont des pélagiens, les jeunes
qui assistent à la messe traditionnelle ont des problèmes
psychologiques, les religieuses sont de vieilles filles et ils sont
tous une bande de rigides.
Et le problème, c’est qu’ils
ne dialoguent pas. Ils s’accrochent à une Église qui a accumulé au fil
des siècles une série de mandats, de préceptes et d’assurances qui ne
sont rien d’autre qu’une sédimentation dont il faut se débarrasser.
Et pour guérir de cette
maladie, l’Église a besoin, comme Jésus, de dialoguer avec l’ « autre
», et plus il est « autre », mieux c’est, car plus grand sera le remède
qu’il pourra apporter.
D’où la nécessité du dialogue
et de l’écoute, qui ne sont pas des activités anodines, mais des moyens
indispensables à la guérison ou, en d’autres termes, à la conversion.
Car la vérité, en réalité, ne réside pas dans les formules et les
préceptes stagnants de l’Église catholique, mais dans la fraîcheur des
vérités qui résident dans l’ « autre », qui devient la source de la
révélation.
Par conséquent, l’ « autre » n’est plus l’ennemi de l’Église, ses ennemis, ce sont les autres.
Le document préparatoire au synode le dit au n. 21 :
21. Il existe aussi l’acteur “
de plus ”, l’antagoniste, qui apporte sur la scène la division
diabolique entre les trois autres. Face à la perspective perturbatrice
de la croix, certains disciples s’en vont et des foules changent
d’humeur. Le piège qui divise – et qui entrave donc un cheminement
commun – se manifeste aussi bien sous les formes du rigorisme
religieuse, de l’injonction morale, qui se présente comme plus
exigeante que celle de Jésus, ou sous celles de la séduction d’une
sagesse politique mondaine qui se veut plus efficace qu’un discernement
des esprits.
En d’autres termes, les «
antagonistes », les « démons » de la nouvelle Église, c’est nous, les
catholiques fidèles à la doctrine des Apôtres et enseignée par nos
pères. C’est nous qui sommes venus diviser et entraver le dialogue
entre l’Église et le monde. Nous sommes des démons, et en tant que
tels, nous devons être persécutés.
On comprend alors l’obsession
« franciscaine » pour le synode et la synodalité. C’est le moyen
d’officialiser l’écoute de « l’autre », d’en faire une révélation et de
changer ainsi définitivement la doctrine de l’Église.
Rappelons un fait oublié : le
15 septembre 2018, François a promulgué le motu proprio Episcopalis
communio par lequel il établit que le pape ne peut plus écrire
d’exhortation apostolique post-synodale, mais simplement confirmer les
conclusions du synode, qui deviendront automatiquement magistère. Ce
que les post-chrétiens écoutant le synode qui commence aujourd’hui à
Rome (évêques, prêtres, religieuses, laïcs, catholiques, païens et
athées) et sur lequel planera l’Esprit Saint, fera l’année prochaine
partie du magistère de l’Église. Ainsi, l’Église sera guérie de ses
rigidités comme l’a été son fondateur.
C’est la grande inversion. La
vérité n’est plus dans l’Église du Christ, elle est en dehors d’elle.
Elle ne doit plus être celle qui enseigne, mais celle qui se laisse
enseigner. Elle n’est plus celle qui guérit, mais celle qui a besoin
d’être guérie. L’eau est bel et bien en train de bouillir.
On connaît l’histoire d’une
grenouille jetée dans une marmite remplie d’eau qui se réchauffe
lentement. L’augmentation progressive de la température étant très
lente, la grenouille n’a pas pu la percevoir pendant la majeure partie
du processus. Lorsqu’elle a réalisé le danger et vu que l’eau était en
train de bouillir, il était trop tard. Si la grenouille était entrée
dans l’eau à des températures élevées, elle aurait sauté hors de l’eau
lorsqu’elle aurait perçu le danger d’y rester et aurait échappé à la
mort.
Dans le même ordre d’idées, le
père Santiago Martín, dans son commentaire de la semaine dernière,
parle du cancer qui s’est finalement révélé. Il explique qu’il a
commencé à se développer avec le modernisme, qu’il s’est aggravé avec
la théologie libérale et qu’il s’est répandu dans l’Église pendant le
Concile. Les papes conservateurs, comme Jean-Paul II et Benoît XVI, ont
vu le danger et l’ont combattu, mais, de manière incompréhensible, ils
ont promu à de hautes fonctions des personnes qui défendaient de telles
doctrines. Aujourd’hui, le désordre est devenu évident. Nous avons
enfin compris que l’Église est gravement malade, probablement atteinte
d’un cancer en phase terminale. Il ne reste plus qu’à attendre que les
anticorps agissent, en espérant qu’ils existent, et que Dieu nous sauve.
(…)
Ce n’est plus seulement une
question d’entêtement en latin, ce n’est plus une question de
désobéissance. Il en va de la survie même de l’Église. » (benoit-et-moi.fr)
« C’est une véritable bombe
qui vient d’être lancée à deux jours de l’ouverture des travaux,
Riccardo Cascioli titre justement dans son éditorial « Une rafale de
Dubia s’abat sur le Pape ». Sept ans après les fameux « Dubia des 4
cardinaux », formulés après la parution d’Amoris Laetitia et qui n’ont
jamais reçu de réponse, cinq cardinaux (*), venant des cinq continents
(il devait y en avoir six, mais le cardinal Pell, initiateur du projet,
est mort subitement en janvier dernier) ont écrit au Pape le 10 juillet
dernier, et lui ont posé des questions précises sur tous les sujets
brûlants dont doit débattre le Synode imminent (synodalité, immuabilité
de la doctrine, bénédictions des partenariats homo, ordination des
femmes). Ils ont reçu une réponse dès le lendemain (on imagine la
colère de François… mais la lettre, adressée aux seuls cardinaux Burke
et Brandmüller, n’a pour le moments pas été publiée) aussi vague que
dilatoire, qui en réalité ne répond à rien.
Selon Sandro Magister:
Dès le 11 juillet, le pape leur avait répondu par une lettre qui parvint aux destinataires le 13.
Seulement, cette réponse a
semblé aux cinq cardinaux aussi redondante (sept feuillets dans
l’original espagnol) que vague et évasive, loin de résoudre les cinq «
dubia ».
Bien que signée par François,
la lettre dénote le style d’écriture de son théologien de confiance,
l’Argentin Victor Manuel Fernández, sur le point d’assumer le rôle de
nouveau préfet du dicastère pour la doctrine de la foi.
Les cinq cardinaux ont donc
envoyé une seconde lettre, très précise, demandant une réponse par oui
ou par non, qui à ce jour, presque deux mois après, n’a pas reçu de
réponse. »
https://www.benoit-et-moi.fr/2020/2023/10/02/synode-les-nouveaux-dubia/
« Pour parer le coup de la
publication des Dubia des cinq cardinaux, le Préfet du Dicastère pour
la Doctrine de la Foi et la Communication du Vatican ont monté une
opération pour faire croire que le Pape a répondu et qu’il n’y a plus
rien à dire.
Si vous n’avez pas de raisons,
vous essayez la ruse et la tromperie. C’est la seule façon d’expliquer
la démarche du nouveau Préfet du Dicastère pour la Doctrine de la Foi,
le Cardinal Victor Manuel Fernández, qui a publié sur le site du
Dicastère les premiers Dubia envoyés au Pape par les cinq cardinaux le
10 juillet dernier et la réponse signée par le Pape François.
Mais les questions et les
réponses font partie d’un seul document qui porte la date du 25
septembre. En fait, cette date se réfère à la requête que Fernández
lui-même a faite au Pape de publier les parties saillantes de sa
réponse, qui date du 11 juillet.
Cela donne l’impression que le 25 septembre est bien la date de la réponse.
Un effet clairement voulu, à
tel point que la date du 11 juillet n’apparaît pas au bas de la réponse
du Pape. En outre, Fernandez ignore totalement la deuxième demande
d’éclaircissement des cinq cardinaux, datée du 21 août, dans laquelle
il est expressément indiqué que la lettre du pape du 11 juillet ne
répond pas du tout à leurs questions. Et en effet, disent les
cardinaux, « vos réponses n’ont pas résolu les doutes que nous avions
soulevés, mais les ont plutôt approfondis ».
De plus, la lettre publiée par
le Dicastère pour la Doctrine de la Foi n’est pas la lettre complète
(voici le pdf de la lettre complète) [en espagnol, Jeanne Smits propose
sa traduction en français sur son blog] reçue uniquement par les
cardinaux Burke et Brandmüller, qui comporte également une introduction
et une conclusion qui ne figurent pas dans le document proposé par le
cardinal Fernandez.
Dans la partie manquante,
outre l’agacement évident perçu à l’initiative des cinq cardinaux, le
Pape les réprimande en affirmant qu’ « il n’est pas bon d’avoir peur »
des « questions » et « interrogations » recueillies dans le processus
de préparation du Synode. Comment elles ont été recueillies, nous le
savons parfaitement!
En tout cas, ce qui est
évident, c’est que pour parer le coup des Dubia rendus publics ce
matin, un colossal travail de mystification a été mis en place au
Vatican pour tromper l’opinion publique catholique et faire passer pour
close une question qui est au contraire plus ouverte que jamais. Et
toutes les structures vaticanes possibles ont été mobilisées à cette
fin.
C’est ainsi que Vatican News
titre immédiatement : » Le Pape répond aux Dubia de cinq cardinaux « ,
voulant donner l’impression que la réponse est celle d’aujourd’hui.
A tel point que ni dans le
titre, ni dans le résumé, ni dans le corps de l’article, une seule date
n’est mentionnée. Un véritable tour de passe-passe digne d’un
professionnel, qui ne manque pas au sommet de la communication vaticane.
Et des sources bien informées
nous disent aussi que la Secrétairerie d’État s’est arrangée pour
obtenir de Canale 5 [chaîne italienne du groupe Mediaset, propriété de
la famille Berlusconi, ndt] – pouvant compter sur un vaticaniste « ami
» [il semblerait que ce soit un certain Fabio Marchese Ragon] – un
reportage qui, dès ce soir, rendra compte de la réponse du Pape aux
Dubia.
Voici donc le récit officiel
que le Saint-Siège promeut : les Dubia ont déjà reçu une réponse,
l’affaire est close, le Synode peut se dérouler tranquillement comme
prévu.
Ce faisant, le pape François
voudrait éviter définitivement de donner une réponse claire aux Dubia
reformulés après sa lettre. Et ce n’est pas tout : la version du
Vatican insiste seulement sur le fait qu’il y a eu une réponse, mais ce
n’est pas vrai, même si l’on examine la lettre du pape, elle a un
contenu problématique et inquiétant, comme l’ont souligné les cinq
cardinaux.
Nous sommes donc confrontés à
un nouveau mensonge colporté par les dirigeants du Saint-Siège qui,
malgré leurs déclarations d’ouverture à l’Esprit Saint, semblent bien
plus intéressés par la promotion de leur propre agenda. » (benoit-et-moi.fr)
Retenez cet extrait:
« Rappelons un fait oublié :
le 15 septembre 2018, François a promulgué le motu proprio Episcopalis
communio par lequel il établit que le pape ne peut plus écrire
d’exhortation apostolique post-synodale, mais simplement confirmer les
conclusions du synode, qui deviendront automatiquement magistère. »
Voilà.
Bergoglio n'a plus besoin de publier une exhortation apostolique post-synodale depuis cette date.
C'est donc dire que tout se qui sera dit dans ce synode des synodes deviendra magistère, donc en vigueur automatiquement.
Les dés sont pipés d'avance.
Septembre 2023
19 septembre
L’ESPRIT SAINT
Il a le dos large avec Bergoglio...
Comme nous pouvons le constater depuis le début du pontificat de Bergoglio, l’Esprit-Saint prend toute la place.
Il
est à l’origine du synode des synodes, il conseille les fidèles qui à
leur tour font part à la hiérarchie vaticanesque des « désirs » reçus.
L’Esprit-Saint est devenu synonyme de modernisme, de progression.
Alors que Jésus est devenu synonyme de dogme, de rigidité.
Un
des proches de Bergoglio a exprimé dernièrement son désir de démantelé
la Sainte-Trinité afin que le Christ ne prenne pas toute la place, et
que l’Esprit-Saint en devienne le flambeau de la contre-église.
Il
n’est donc pas surprenant que Bergoglio ne parle presque jamais du
Christ et de la nécessité de convertir et de baptiser comme l’a ordonné
NSJC à ses apôtres.
Il y a donc la doctrine de l’Église qui s’oppose à la doctrine de Bergoglio, inspiré du Saint-Esprit.
«
Au tour du Wanderer de commenter le passage
de l’interview de Tucho par Edward Pentin où il est question
du charisme unique du successeur de Pierre, et de l’opposition entre la
doctrine de toujours (statique, donc morte), et la « doctrine de
François », dynamique donc vivante. Avec la conséquence que tout
ce que prononce François est contraignant pour les catholiques, et que
ne pas obéir est une attitude schismatique
Il
s’avère donc désormais que nous, catholiques, sommes obligés de suivre
non pas la doctrine de l’Église, mais la doctrine du pape. C’est
un non-sens, une absurdité inconcevable dans la bouche de celui qui
devrait être le chef théologique de l’Église. C’est une chose
d’affirmer que le Magistère a son propre charisme dans la mission de
garder infailliblement la foi donnée une fois pour toutes à l’Église,
et c’en est une autre d’affirmer que le Pape a un charisme qui protège
sa propre doctrine. » (benoit-et-moi.fr)
Ce « Saint-Esprit » de Bergoglio, vous l’aurez deviné, n’est pas le Saint-Esprit de la Trinité.
C’est l’esprit de l’imposteur, du maître de l’inversion.
Il n’est donc pas surprenant qu’on accorde toute l’attention à la base de la pyramide pour le synode.
Est-ce
la tête, le berger, qui guide le troupeau, ou est-ce le troupeau qui
décide où il veut aller et se perdre dans le précipice?
Le chrétien éveillé connaît la réponse… mais peu on l’esprit assez clair pour voir.
Ainsi à l’image de NSJC, l’Église va à sa mort parce qu’elle n’a plus de berger.
Nous nous retrouvons donc au synode le mois prochain.
À l’image de Jésus, l’Église sera jugée devant le « sanhédrin ».
« Le grand-prêtre interrogea l’Église de la Tradition sur ses disciples et sur sa doctrine.
L’Église
lui répondit : J’ai parlé ouvertement au monde ; j’ai toujours
enseigné dans les églises et au Vatican, où tous les Chrétiens
s’assemblent, et je n’ai rien dit en secret.
Pourquoi
m’interroges-tu ? Demande à ceux qui m’ont entendu, ce que je leur ai
dit; eux, ils savent ce que j’ai enseigné. »
A
ces mots, un des satellites qui se trouvait là, donna un soufflet à
l’Église, en disant : « Est-ce ainsi que tu réponds au
grand-prêtre Bergoglio? »
L’Église lui répondit :
« Si j’ai mal parlé, fais voir ce que j’ai dit de mal ; mais si
j’ai bien parlé, pourquoi me frappes-tu ? »
Alors
Caïphe Bergoglio se leva, et venant au milieu, il interrogea l’Église,
disant : « Ne réponds-tu rien à ce que ces hommes déposent contre toi ?
»
L’Église
gardait le silence. Et Bergoglio lui dit : « Je t’adjure par le
Dieu vivant de nous dire si tu es l’Épouse du Christ, le Fils de Dieu ?
»
L’Église
lui dit : « Je le suis, et vous verrez l’Épouse du Fils de
l’homme siéger à la droite du Tout-Puissant, et venir environné des
nuées du ciel. »
Alors
Bergoglio déchira ses vêtements, en disant : « Elle a blasphémé,
qu’avons-nous encore besoin de témoins ? Vous venez d’entendre son
blasphème : que vous en semble ? » Ils répondirent : » Elle
mérite la mort. »
Ainsi,
fin octobre 2024, ou même peut-être avant, nous ferons face à la mort
des deux témoins de l’Apocalypse, l’Église Traditionnelle avec son
clergé et ses fidèles, ainsi que la mort de l’église conciliaire, la
contre-église, assimilée au mondialisme de l’Agenda 2030.
Il doit en être ainsi.
Mais l’Église ressuscitera au troisième jour, renouvelée, à temps pour le Jugement final.
Pour
ceux qui trouvent que le temps est long, rappelons-nous que tout
s’accélère à la mort des deux témoins : chute de Babylone, mort de
la grande prostituée (église conciliaire), et mort de l’Antichrist.
Le chaos qui s’en suivra est inimaginable pour le commun des mortels.
Seuls
ceux retirés dans les montagnes, à l’écart de Babylone par leur Foi et
leurs prières intérieures auront la force requise pour voir l’Époux au
mariage.
12 septembre
Jakin
et Boaz sont les deux colonnes franc-maçonniques qui représentent la
dualité, la terre et la lune, le masculin et le féminin,.. le bien et
le mal.
Elles
sont liées au chiffre 11, comme hier, 11 septembre, date anniversaire
de l’écrasement des « deux » tours de New-York en 2001.
Le 11 est donc très important pour la kabbale, en tant que sacrifice, ou de triomphe.
Or,
le 11 février 2013, Benoît XVI, qui se voit forcé de démissionner de sa
charge pontificale, choisi intentionnellement cette date pour contrer
ce mal forcé, car c’est la fête de Notre-Dame de Lourdes.
«
Par conséquent, depuis le 11 Février 2013, le ministère papal
n’est plus celui d’avant. Il est et reste le fondement de l’Église
catholique; et pourtant, c’est un fondement que Benoît XVI a
profondément et durablement transformé dans son pontificat
d’exception (Ausnahmepontifikat), à propos duquel le sobre
cardinal Sodano, réagissant avec simplicité et immédiateté après la
surprenante déclaration de renoncement, profondément ému et presque
saisi d’égarement, s’était exclamé que cette nouvelle avait résonné
parmi les cardinaux réunis «comme un coup de tonnerre dans un ciel
serein». C’était le matin de ce même jour où, dans la soirée, un
éclair kilométrique avec un incroyable fracas frappa la pointe de la
coupole de Saint-Pierre posée sur la tombe du Prince des Apôtres.
Rarement le cosmos a accompagné de manière plus dramatique un tournant
historique. Mais le matin de ce 11 Février, le doyen du Collège
des cardinaux Angelo Sodano conclut sa réponse à la déclaration de
Benoît XVI avec une première et tout aussi cosmique évaluation du
pontificat, quand enfin il dit:
«Bien sûr, les étoiles dans le
ciel continueront toujours à briller, tout comme brillera toujours au
milieu de nous l’étoile de Votre pontificat». »
(Benoit-et-moi.fr)
Le
chiffre de la Vierge Marie, le 13 (en référence aux apparitions de
Fatima en 1917, à chaque 13 du mois pendant 6 mois), nous permet
d’identifier un moment clé.
La montée sur le trône de Saint-Pierre de l’abomination de la désolation le 13 mars 2013.
Bergoglio entrera dans sa 11ème année de pontificat en 2024.
Le
triomphe attendu de la mafia de St-Gaal qui l’a fait élire (raté en
2005, réussi en 2013) est la finale du synode des synodes en 2024.
À
l’image de Jean XXIII qui n’a pas vu son triomphe Vatican II, il ne
serait pas surprenant que le Ciel intervienne et que Bergoglio ne voit
pas la fin de cette contre-église qui s’installe, de son « Vatican III
».
Avec le recul, il est temps de faire une mise au point des prophéties de l’Église concernant Benoît XVI et François.
Benoît XVI :
« Deux frères et personne ne sera le vrai Père. La Mère sera veuve.
Les frères d'Orient et d'Occident se tueront et dans l'assaut tueront leurs enfants.
Alors le
saint aux pieds nus descendra du mont et, devant la tombe du
va-nu-pieds, éclatera le règne béni de la Très Sainte Vierge.
Écoutez ses paroles.
Marie Très
Sainte, fille et mère de Dieu, maîtresse du temps futur, bats le rappel
de tes fils dans les campagnes, pour qu'ils abattent les deux Babylone.
Et que la Mère soit Une, comme toi tu es unique.
La
terre détruira le ciment et de terre sera, Reine, ta nouvelle Église.
Et sur la terre de blé, pour la faim de tes peuples, fleur sur son
nouvel autel. Amen. »
Avec
la démission de Benoît XVI, nous avons bien eu deux frères ou deux
papes en même temps, un légitime, l’autre l’imposteur… pour ceux qui
peuvent voir.
Mais la Mère, l’Église, s’est retrouvée veuve.
Nous avions là le début de l’ère du destructeur de l’Église prophétisé par Anne Catherine Emmerich.
Ce
n’était pas évident, le soir du 13 mars 2013, lorsque tous les médias
décrivait ce pape comme la copie moderne de Saint-François D’Assise, le
défendeur des pauvres, qui comme eux refusera les appartements
pontificaux et tout ce qui est lié au décorum de la fonction papale.
« Bonsoir » a été le premier mot prononcé, et « prier pour moi ».
Rien n’annonçait pour les simples et pauvres catholiques ce qui s’en venait pour les prochaines années.
Au
décès de Benoît XVI le 31 décembre 2022, nous l’avons vu dans les
analyses, les vannes ont été relâchées. Plus rien ne peut arrêter la
mise en place de la contre-église.
On
efface l’héritage de Benoît XVI, héritage d’ailleurs qui est
complètement inversé avec les nouvelles nominations dans les postes
clés de la protection de la Foi, et du culte divin.
Nous nous attendions à un geste éclatant de la Vierge Marie lors des funérailles de Benoît XVI en accord avec la prophétie.
Il n’y a rien eu.
Mais, en y regardant de plus près…
Et si cela avait eu lieu en ce 11 février 2013…
Ce
coup de tonnerre chez les cardinaux énoncé par le Cardinal Sodano
ci-haut, reflété par l’éclair sur le dôme du Vatican (voir photo
officielle).
Noté qu’il y a qu’une photo de l’éclair qui
est parue dans les médias, mais ce soir là, c’était un déchaînement de
coups tonnerre et d’éclairs qui avait lieu sur le Vatican.
«… devant la tombe du va-nu-pieds, éclatera le règne béni de la Très Sainte Vierge.
Écoutez ses paroles. »
Le
va-nu-pieds et le Saint aux pieds nus, Jean-Paul II et Benoît XVI liés
(voir analyses précédentes et de l’Église) ce soir là débute le règne
béni de la Très Sainte Vierge.
Notez
dans le calendrier de la fin des temps (voir analyses précédentes) que
ce règne débute tout d’abord par la chute de Babylone et la mort de
l’Antéchrist.
Avec le recul, quand a-t-on eu le signe du début de la fin pour l’Église et pour cette société identifié au « wokisme »?
En mars 2013.
Et qu’est-ce que la prophétie nous annonce en mentionnant « écoutez ses paroles »?
La
destruction du ciment, de tout ce qui est la vérité de ce bas monde,
ancré solidement dans les esprits, pour être éventuellement remplacé
par la simplicité de la terre, tel que créée par le Père.
C’est une phase, la dernière phase de la fin des temps.
Et cette phase est sur le point de se terminer.
La prophétie concernant François spécifie bien :
« Ton
règne sera grand et bref. Père, il sera bref mais il te mènera loin,
dans la lointaine terre où tu es né et où tu seras enseveli.
A Rome ils ne voudront pas te donner. »
On
a toujours pensé dans les analyses que cela concernant le décès de
Bergoglio (qui a exprimé le désir d’être inhumé à Rome et non dans sa
terre natale en Argentine).
Alors…?
Or…
Règne grand : destruction de l’Église, instauration de la contre-église.
Règne bref : 11 ans, le triomphe de la mafia maçonnique.
2024 :
voyage en Argentine possible pour Bergoglio, qui ne verrait
probablement pas la fin de son synode, et décéderait lors de ce voyage
en terre natale.
À Rome ils ne voudront pas te donner :
Évidement!
C’est le grand architecte désigné par la mafia de St-Gaal pour mener à terme le monstrueux synode des synodes en octobre 2024.
Notez selon la prophétie, qu’à sa mort « Mikail et Jean descendront sur terre. »
C’est le début officiel du 7ème sceau de l’Apocalypse (voir l’entrée dans la période du 7ème sceau, analyse du 12 juillet 2023).
5 septembre
JEAN XXIV
Dans
l’avion au retour de Mongolie, Bergoglio est encore intervenu sur son
souhait de voir Jean XXIV comme son successeur, afin de terminer le
travail de Vatican II… Une petite blague?
Pas nécessairement puisqu’il l’avait fait en octobre 2021 (voir analyses précédentes: «
La presse nous informe qu’il y a quelques jours, le pape François a
répondu en ces termes à l’invitation de l’évêque de Raguse à visiter
son diocèse en 2025 : « Le Saint-Père a souri, hoché la tête, et a dit
en plaisantant qu’en 2025, ce sera Jean XXIV qui fera cette visite ». »
(benoit-et-moi.fr))
En prononçant volontairement
le nom de Jean XXIV, Bergoglio confirme ainsi qu’un décompte a bel et
bien commencé avec Jean XXIII et Vatican II, et qu’il s’achèvera avec
lui et son infâme synode.
Et il a ajouté ce fait très important en précisant qu’il faut faire la différence entre idéologies et la doctrine.
C’est très malin. Surtout dans le contexte actuel avec la Tradition.
Il
fait ainsi comprendre que la doctrine traditionnelle, le retour en
arrière, ce qu’a défendu bec et ongles Benoît XVI, est de l’idéologie.
«Souvent,
des idéologies sont introduites dans l’Église. Elles la coupent de la
vie qui vient de la racine et qui monte vers le haut. Ces idéologies
détachent l’Église de l’influence de l’Esprit Saint. »
…
Dans l’Église aussi, nous devons faire la distinction entre doctrine et
idéologie : la vraie doctrine n’est jamais idéologique, jamais ; elle
est enracinée dans le peuple saint et fidèle de Dieu ; au contraire,
l’idéologie est détachée de la réalité, détachée du peuple…»
Ainsi, ses idées à lui relèvent de la doctrine, et celles qu’il rejette, sont de l’idéologie.
C’est un beau tout de passe passe digne du maître de l’inversion.
Que ceux qui ont des oreilles pour entendre comprennent.
«Si
vous allez à la racine de ces idées, vous trouverez des idéologies.
Toujours, quand, dans l’Église, on veut se détacher du chemin de la
communion, ce qui apparaît toujours, c’est l’idéologie. Et l’on accuse
l’Église de ceci ou de cela… Mais on ne l’accuse jamais de ce qui est
vrai : elle est pécheresse ! Jamais ces gens ne disent le péché… Ils
défendent une ’doctrine’, qui est comme l’eau distillée, qui n’a de
goût pour rien et qui n’est pas la vraie doctrine catholique qui se
trouve dans le Credo.»
Donc l’Église, la Tradition, est pécheresse, et donc elle se trompe, transformant ainsi sa doctrine en idéologie.
ET il ose mentionner comme référence le Credo alors qu’il le brime à chaque jour.
Quant
du synode des synodes, il précise que « dans le Synode, il n’y a pas de
place pour l’idéologie, c’est une autre dynamique. Le Synode est un
dialogue, entre les baptisés, entre les membres de l’Église, sur la vie
de l’Église, sur le dialogue avec le monde, sur les problèmes qui
affectent l’humanité aujourd’hui. Si l’on pense à prendre un chemin
idéologique, le Synode s’arrête. Dans le Synode, il n’y a pas de place
pour l’idéologie, il y a de la place pour le dialogue en se confrontant
entre frères et sœurs, et en se confrontant la doctrine de l’Église.»
Et
les débats seront secrets… pas pour le peuple… alors qu’il nous met
devant le fait depuis des années que l’Esprit-Saint parle à partir du
peuple, qu’il veut établir une pyramide inversée pour le futur de
l’église.
« Et
pour garantir la «religiosité et la liberté de parole» des personnes
qui s’exprimeront lors du synode, François a annoncé que les débats
seront «secrets» et que seul le ministère pour la communication sera
habilité à écrire «des rapports sur les progrès du synode» sous forme
de «communiqués de presse».
Bref, le peuple n’aura que les miettes qu’on veut bien leur jeter.
De
plus, il confirme encore une fois qu’il procédera avec son encyclique
Laudato Si II le 4 octobre, fête de Saint-François… pile pour
l’ouverture du synode des synodes.
Bergoglio pense susciter de l’engouement pour son synode en ramenant Jean XXIV sur le tapis…
Mais il oublie que Dieu a bien souvent d’autres plans.
Jean XXIII avait ouvert Vatican II…
Et n’a pas vu la fin.
Tout
comme Bergoglio pourrait ne pas voir la fin de son synode version
octobre 2024 si la prophétie le concernant suggére qu’il mourrait lors
de son voyage en terre natale, en Argentine, s’il confirme toujours ce
voyage prochainement.
Août 2023
28 août
LE FAUX PROPHÈTE: FILS DU PRINCE DU MENSONGE
Un
article intéressant de Lifesitenews.com qui nous démontre encore une
fois la « langue fourchue » de Bergoglio, qui affirme une chose sans
donner tous les détails afin de tromper la brebis perdue.
« RUPTURE : Le pape François semble rejeter l’idée selon laquelle les homosexuels sont appelés à la chasteté.
Les
commentaires du pape aux jésuites portugais faisaient écho à de telles
occasions antérieures, dans la mesure où il refusait de prononcer une
doctrine catholique sur des questions claires et morales. »
Les discussions avec les jésuites à Lisbonne lors des journées mondiales de la jeunesse ont été publiées.
1er thème: l’homosexualité et la chasteté prônée par l’église:
« Le pontife argentin a
critiqué ce qu’il a appelé l’examen des « péchés en dessous de la
taille » ou des « péchés de la chair » avec une « loupe ».
Au lieu de cela, il a semblé
minimiser l’appel universel à la chasteté, arguant que « l’attitude
pastorale la plus appropriée pour chaque personne doit être appliquée ».
Nous ne devons pas être
superficiels et naïfs, en forçant les gens à adopter des choses et des
comportements pour lesquels ils ne sont pas encore mûrs ou dont ils ne
sont pas capables. Il faut beaucoup de sensibilité et de créativité
pour accompagner les gens spirituellement et pastoralement. Mais tout
le monde, tout le monde, tout le monde est appelé à vivre dans l’Église
: ne l’oubliez jamais. »…
Évidement, tout le monde est appelé à joindre l’Église.
Mais
il ne mentionne jamais le besoin de conversion qui accompagne le péché
car pour lui c’est la miséricorde infinie, sans justice.
2ème thème: Catholiques américains « réactionnaires » et « indietristes »
« Le pape François n’est pas
étranger aux critiques hâtives des catholiques américains, et cela a
été souligné par de nombreux commentateurs comme une particularité de
son pontificat. S’adressant à ses confrères jésuites à Lisbonne, il a
décrit et critiqué une « attitude réactionnaire très forte » aux
États-Unis.
« Je voudrais rappeler à ces
gens que l’indietrismo (être tourné vers le passé) est inutile », a
déclaré François, « et nous devons comprendre qu’il y a une évolution
appropriée dans la compréhension des questions de foi et de morale tant
que nous suivons la trois critères qu’indiquait déjà Vincent de Lérins
au Ve siècle : la doctrine évolue ut annis consolidetur, dilatetur
tempore, sublimetur aetate [c’est-à-dire se consolidant avec les
années, se développant avec le temps, s’approfondissant avec l’âge].
« La doctrine progresse,
s’étend et se consolide avec le temps et devient plus ferme, mais elle
progresse toujours », a soutenu le pontife. « Le changement se
développe depuis la racine vers le haut, en se développant selon ces
trois critères. »
Citant un exemple de sa
perception d’une évolution de la « doctrine », François a soutenu que «
la peine de mort est un péché. Vous ne pouvez pas l’utiliser, mais ce
n’était pas le cas auparavant. Une telle affirmation est en
contradiction avec des siècles d’enseignement catholique et avec les
paroles de l’Écriture.
Dans son attaque voilée contre
la messe traditionnelle et ses fidèles, François a expliqué que « les
indiétristes… forment quelque chose de fermé, déconnecté des racines de
l’Église et vous perdez la sève de la révélation ».
Il a soutenu que ces personnes
promeuvent une Église alternative : « l’idéologie remplace la foi,
l’appartenance à un secteur de l’Église remplace l’appartenance à
l’Église ». »
Comme il l’a fait en Hongrie
devant les jésuites (« le soutien incroyable au restaurationnisme » est
une « maladie nostalgique ».), Bergoglio cite encore Saint Vincent de
Lérins, et portant fièrement le chapeau de « faux prophète » de
l’Apocalypse, il divise au lieu de rassembler, il égare au lieu de
ramener la brebis à la bergerie, il manipule les mots avec sa langue
fourchue pour empoisonner l’âme, provoquer le schisme en faisant croire
qu’il est le chef de la nouvelle église moderniste, et que tous,
doivent être inclus au banquet comme l’a dit Jésus.
Voici les paroles exactes de Saint Vincent de Lérins (extrait de Lifesitenews):
« Cependant, saint Vincent de
Lérins n’a pas plaidé pour un rejet de l’enseignement de l’Église –
malgré la manière dont ses paroles sont couramment utilisées
aujourd’hui. Il a plutôt déclaré que, à mesure que le corps physique
d’un individu grandit conformément au plan ordonné par Dieu, tout
développement de la doctrine de l’Église doit suivre la même loi du
progrès.
Le saint a écrit qu’un tel
processus devrait « être consolidé par les années, élargi par le temps,
affiné par l’âge, et pourtant, en même temps, continuer sans corruption
et sans mélange, complet et parfait dans toutes les mesures de ses
parties, et, pour ainsi dire, dans tous ses membres et sens propres,
n’admettant aucun changement, aucun gaspillage de sa propriété
distinctive, aucune variation dans ses limites.
Saint Vincent était en fait
très clair dans son opposition à une doctrine nouvelle qui n’avait
aucun fondement dans la Tradition de l’Église. Dans les cas où la
confusion règne au sein de l’Église, du fait qu’une partie s’est «
coupée de la communion de la foi universelle », saint Vincent présente
un enseignement clair sur la réponse catholique :
Et si une nouvelle contagion
cherchait à infecter non seulement une partie insignifiante de
l’Église, mais l’ensemble ? Il lui appartiendra alors de s’attacher à
l’Antiquité, qui, à l’heure actuelle, ne peut être séduite par aucune
fraude de nouveauté. »
Voilà.
L’obession de Bergoglio pour
la messe traditionnelle, pour son non retour en arrière, etc… est
contredit par le Saint qu’il cite parce qu’il veut orienter selon son
programme, sa marche vers le synode où tous seront inclus.
Quelqu’un qui cache volontairement des passages de la vérité est un menteur, un menteur qui mène les âmes au précipice.
Il
est le chef de la contre-Église vouée à Satan, qui à l'image de la
crise d'identité du genre qui inonde ce monde immonde, est son pendant
spirituel.
Il y a bien deux Babylone comme prophétisé par Jean XXIII.
«
Viganò fustige le Secrétariat des Communications du Vatican pour avoir
présenté Jésus comme « un malade, un prisonnier de la rigidité »
Par : Carlo Maria Vigano
Les paroles de Spadaro
[extraites de son article « Les graines de la révolution : Jésus loue
la grande foi de la femme païenne », NOTE: voir post du 23 août sur le
Grand Réveil sur la « rigidité » de Jésus ] sont comme une flaque
d’eaux usées contenant l’écume du pire modernisme qui tourmente
l’Église depuis plus d’un siècle.
C’est le modernisme qui n’a
jamais été définitivement éradiqué des séminaires et des universités
soi-disant catholiques, auquel une secte d’hérétiques et d’égarés a
érigé le totem du Concile Vatican II à la place de deux mille ans de
Tradition. Il y a quelque temps encore, cette « synthèse de toutes les
hérésies » essayait de se rendre présentable en ne manifestant pas son
caractère antichristique, qui lui était pourtant consubstantiel : il
risquait encore qu’un prélat vaguement conservateur et pas encore
pleinement engagé dans la cause ne se rende compte son danger
intrinsèque.
Bien entendu, la divinité du
Christ était considérée comme un simple vœu pieux découlant du besoin
de sacré de la « communauté primitive ». Ses miracles étaient réduits à
des exagérations, ses paroles à des métaphores ; en revanche, « il n’y
avait pas d’enregistreurs », a déclaré Arturo Sosa, supérieur général
de la Société de Satan. Aujourd’hui, protégés par un jésuite qui, en
violation de la Règle de saint Ignace, occupe le Siège de Pierre, les
pires adeptes de cette secte se sentent libres de laisser libre cours à
leurs divagations et arrivent, dans un délire infernal, au point de
blasphémer Jésus-Christ, qui a déjà fait l’objet d’épithètes
inquiétantes de la part de Bergoglio. « Jésus est devenu un serpent, il
est devenu un diable », a déclaré l’Argentin il y a quelque temps.
Il trouve son écho chez
Spadaro, qui, avec l’arrogance de celui qui se croit impuni, ose
définir Notre Seigneur comme « un malade, prisonnier de la rigidité et
des éléments théologiques, politiques et culturels dominants de son
temps » ; « indifférent à la souffrance, colérique et insensible ;
incassablement dur; un théologien impitoyable ; moqueur et
irrespectueux; aveuglé par le nationalisme et le rigorisme théologique.
Il est inutile d’expliquer à ces esprits embrouillés ce que les Saints
Pères ont enseigné à propos du passage évangélique de la femme
cananéenne : ils ont intérêt à maintenir l’idole de Vatican II bien
haut sur son piédestal ; et peu leur importe si, pour défendre leurs
erreurs, ils doivent piétiner le Fils de Dieu, l’offenser et le
blasphémer comme n’avaient pas osé le faire même les pires hérésiarques
du passé.
L’article de Spadaro n’est pas
une simple provocation – quelque chose d’inédit en soi – mais la
manifestation, l’épiphanie, comme dirait un « théologien » de Santa
Marta, d’une contre-Église avec ses faux dogmes, ses préceptes
mensongers, sa prédication trompeuse, ses ministres corrompus et
corrupteurs. Une contre-Église prosternée devant l’Antéchrist, devant
tout ce qui représente le déni et le défi de la Seigneurie de Dieu sur
l’homme. Fierté. Fierté luciférienne. Une fierté qui ne connaît ni
limites ni freins. La secte qui éclipse l’Église du Christ ne se cache
plus : elle se montre et prétend remplacer définitivement la véritable
Église, elle montre ses idoles et exige qu’elles soient adorées, au
prix de nier le Sauveur lui-même, de réfuter sa divinité, de juger son
actions, contestant ses paroles.
Mais si les simples ont déjà
compris que le prix de ce ὕβρις est νέμεσις, presque tous les pasteurs
– cardinaux, évêques et prêtres – se retournent et détournent le
regard. Ils savent bien que leur lâcheté, leur conformisme et leur
désir de ne pas paraître rétrogrades les ont rendus co-responsables de
cette révolution infernale, qu’ils auraient pu arrêter en son temps ;
mais comme depuis soixante ans ils ont adhéré eux aussi au culte du
Concile, ils préfèrent continuer sur le chemin entrepris vers la ruine
de l’Église et des âmes, plutôt que de s’arrêter et de revenir au point
où ils ont dévié le chemin. Ainsi, ils finissent par préférer le
triomphe des méchants – et avec lui la diffamation blasphématoire de
Jésus-Christ – à l’humble aveu de leurs torts. Ils préfèrent laisser
dire que Notre Seigneur avait tort, « aveuglé par la rigueur
théologique, » plutôt que de reconnaître qu’ils sont eux-mêmes
emprisonnés dans les erreurs et les hérésies du modernisme. La mesure
est pleine, et le moment est venu de choisir de quel côté nous nous
trouvons. Soit avec Bergoglio et Spadaro, avec le Synode sur la
Synodalité, avec une Église humaine et contrefaite asservie au Nouvel
Ordre Mondial, soit avec Dieu, son Église et ses saints. Et à y
regarder de plus près, il est déjà inouï d’émettre l’hypothèse que des
catholiques – je ne parle pas des prêtres ou des prélats – puissent
considérer qu’il est possible d’avoir le choix.
+ Carlo Maria Viganò, Archevêque
27 août 2023
Dimanche 13 après la Pentecôte »
25 août
LE DESTRUCTEUR DE L’ÉGLISE
«
Il y aura très peu de chrétiens qui obéiront au véritable Souverain
Pontife et à l’Église catholique romaine avec un cœur loyal et une
parfaite charité. Au moment de cette tribulation, un homme, non élu
canoniquement, sera élevé à la papauté, lequel, par ruse, s’efforcera
d’entraîner beaucoup de monde dans l’erreur et dans la mort… en ces
jours-là, Notre Seigneur Jésus-Christ leur enverra non pas un vrai
Pasteur, mais un destructeur. » (Saint-François D’Assise)
« Où croyez-vous fuir,
maintenant que vous avez détruit les Églises et tué le dernier Père ? »
(prophétie #11 concernant l'Église de Jean XXIII)
« Et si ces jours n’étaient abrégés, nul n’échapperait ; mais, à cause des élus, ces jours seront abrégés. » (NSJC)
On ne peut se tromper.
C’est là la limite pour l’intervention de NSJC, afin de sauver le petit reste en cette fin des temps.
En
plein processus du synode des synodes et sur ce qui se passe maintenant
dans le monde catholique, on peut réellement se demander quelle
atrocité ou geste de l’église conciliaire allumera l’étincelle?
Mais
comme l’idiot qui regarde le doigt et non la lune que pointe le sage,
ce n’est pas l’église conciliaire qu’il faut regarder, car comme
l’affirme Mgr Vigano dans sa dernière intervention, c’est elle qui se
sépare du cep et non le contraire.
Et
de ce côté, Bergoglio a été très clair avec Traditionis Custodes, et sa
haine dévoilée à ce moment là envers l’Église véritable… et bien-sûr
avec lui, il n’y aura aucun retour en arrière.
Il semble donc que ce qui sortira du synode est inimaginable, bien au delà des anticipations.
La tradition doit recevoir toute notre attention car elle est les « deux témoins » de l’Apocalypse.
Et on sait que les « deux témoins » seront mis à mort.
On
peut facilement anticiper que la mort des « deux témoins » sera
beaucoup plus qu’un isolement quelconque des traditionalistes.
Le
regretté S. Monast dans ses analyses avait laisser entendre que les
traditionalistes grâce au subterfuge de l’inversion, seraient traités
comme des terroristes et que les églises seraient fermées.
Pie X dans ses visions a vu les russes à Gênes et le pape marché sur les cadavres de ses prêtres.
Malachi
Martin a affirmé que si l’église révélait le 3ème secret de Fatima que
les églises seraient pleines à craquer… ce qui n’est pas le cas avec la
pseudo révélation du secret par l’église en 2000.
La
tradition est ce germe qui menace l’établissement de cette nouvelle
église et le succès de Satan. Bergoglio le sait. Son comportement le
prouve depuis plus de 10 ans.
L’ex-communion de la FSSPX en 1988 n’a pas empêché le petit reste de disparaître.
Donc, la suite du synode sera plus qu’une ex-communion des traditionalistes.
Présentement
nous assistons à une renaissance de l’Église traditionnelle, qui attire
beaucoup de jeunes, et cela, Satan ne peut laisser continuer.
Alors, il utilise son faux témoin pour séduire par l’ambiguïté et l’inversion, en destructeur :
Bergoglio leur donne une religion anti-chrétienne (derniers JMJ au début du mois à Lisbonne):
« Même s’il était vrai que la
présence de tous ces jeunes a démontré qu’un nouveau monde est possible
– comme l’a dit François -, nous ne savons pas pour quel nouveau monde
ces jeunes s’engageront.
La
probabilité qu’ils s’engagent dans un monde anti-chrétien, sans le
savoir et en pensant faire le contraire, est très élevée. » (benoit-et-moi.fr)
Mais cela, c’est du moyen long
terme, et nous savons selon les analyses et les événements que nous
sommes sur un calendrier court : avant le mois des deux lunes de
Marie, Mai 2026 pour le retour de l’Iris de Paix (prophétie de Don
Bosco).
Ce
n’est ni Traditionis Custodes ou son complément à venir (car Bergoglio
prépare des compléments, le prochain à sortir: «J’écris une deuxième
partie à l’encyclique Laudato si’» affirme le Pape François » (vaticannews.va) qui
engendrera une séparation entre l’Église traditionnelle et l’église
conciliaire suite au synode, ni une nouvelle messe oecuménique, ni une
nouvelle religion humaniste car elle s’appliquerait à long terme.
Il
semble que l’élément déclencheur sera la fermeture pure et simple des
églises qui ne se conformeront pas à la nouvelle doctrine bergoglienne,
et la persécution des prêtres et religieuses par la « gestapo du
Vatican ».
En fait, le synode se présente déjà comme une ultime destruction du peu de catholicisme qui reste à Rome.
Même les non-catholiques perçoivent cette transmutation de l’église aux valeurs du mondialisme.
Ce
qui va émerger du synode, ce n’est plus l’Église catholique, mais autre
chose, une aberration nommée provisoirement « Église
synodale » avec de nouvelles bases dogmatiques, de doctrine, de
liturgie.
ET AINSI DE DIEU!
Il va y avoir un énorme schisme avec un éclatement de l’église en plusieurs structures comme anticipé par le regretté S. Monast.
C’est en cela qu’on peut
parler de « mort des témoins » car à cet instant précis (du
grand schisme) personne ne pourra revendiquer être l’Église, personne
n’en aura le droit ni la légitimité.
Et, on en a déjà un avant goût:
Le
premier élément de l’équation: il est dit que Bergoglio veut être
reconnu comme celui qui a fait cette « grande réinitialisation »
synodienne.
Comme un roi. Il est donc pressé vu son âge et son état de santé.
Comme autre preuve, le consistoire de septembre. Normalement, des réunions précèdent un consistoire. Pas cette fois.
« Le consistoire d’un pape pressé » (benoit-et-moi.fr)
Mgr
Vigano a fondé un site pour faire des dons pour les prêtres de la
tradition qui ont été expulsés, qui se retrouvent sans ressources et
sans logis, parce que Bergoglio et sa gestapo procèdent à une chasse
aux sorcières.
Des
ordres contemplatifs masculins et féminins sont dissous afin de priver
le monde des prières qui maintiennent une certaine cohésion spirituelle
sur cette planète.
Le but de Satan est donc de les faire disparaître car elles sont un obstacle majeur:
«
Les abus de pouvoir répétés de ceux qui détiennent l’autorité
ecclésiastique à l’égard des communautés religieuses – en particulier
celles des femmes et des contemplatifs – font partie d’un plan
subversif mené par des prélats corrompus et hérétiques, visant à priver
l’Église des grâces que les âmes consacrées descendent dessus. Au-delà
des excuses trompeuses qui caractérisent les cas individuels, le fil
conducteur qui unit l’expulsion des bénédictins de leur monastère de
Pienza aux dominicains de Fognano ou de Marradi et aux carmélites
d’Arlington émerge avec toute évidence : d’un côté, la fureur
idéologique du Département vatican des religieux, dirigé par un
ultra-moderniste préfet et un secrétaire corrompu et impitoyable, tous
deux protégés par Bergoglio; d’autre part, les intérêts immédiats
-principalement de nature financière- du Saint-Siège lui-même et des
Ordinaires locaux. » (Mgr Viganò en soutien aux carmélites d’Arlington)
Bergoglio persécute les
évêques qui s’élèvent contre lui. Le dernier en liste Mgr Strickland au
Texas ( qui a reçu l’heureuse visite surprise de la gestapo vaticane):
« Les fidèles catholiques implorent le pape François de ne pas renvoyer
l’évêque Strickland » (lifesitenews.com)
« Formidable analyse d’Andrea Gagliarducci, qui donne corps à ce nous
avons évoqué précédemment sur L’Eglise à la veille. Nous voyons un peu
mieux que nous sommes à la veille de quelque chose d’important, de
grave, mais nous ne savons pas quoi. En tout cas, c’est la fin d’un
monde. Ce que l’auteur résume parfaitement dans sa conclusion:
…
peut-être que le mur de Berlin est tombé et que nous parlons tous de
quelque chose qui n’existe plus. En réalité, à présent, les analyses du
Vatican ne peuvent plus utiliser les anciennes catégories parce que le
pape François ne les utilise pas. Le problème, cependant, c’est qu’il
n’y a pas de nouvelles catégories. Tout est incertain. » (benoit-et-moi.fr)
Le regretté Serge Monast avait quand même vu juste dans ses écrits sur les étapes à venir:
«
– La fuite forcée de Jean-Paul II du Vatican (on sait que c’est Benoît XVI).
– La prise du pouvoir, au Vatican, par l’antipape.
– La naissance de la nouvelle église internationale avec la falsification de toutes les doctrines religieuses chrétiennes.
– L’instauration des persécutions internationales basées sur la nouvelle doctrine de la nouvelle église internationale.
– La soumission de toutes les
églises à l’Antéchrist (notons que cette soumission surviendra
uniquement après le travail accompli par le « faux témoin ». La prise
du pouvoir politique et militaire par l’Antéchrist sous la conduite des
Nations-Unies (notons, ici, que le premier pouvoir étant situé
au-dessus du politique et du militaire, est un pouvoir religieux).
– Les cinq et uniques pouvoirs de l’Antéchrist sur l’humanité.
– La survivance de la chrétienté renouvelée sous le règne de l’Antéchrist.
– La chute de l’Antéchrist, et le démantèlement de son royaume. »
On peut faire le rapprochement entre le synode et la soumission de toutes les églises à l’Antéchrist.
Anne
Catherine Emmerich dans sa prophétie concernant le destructeur de
l’Église affirmait qu’il ne resterait que l’autel à la fin.
Peut-être est-ce l’autel de notre coeur suite à la résurrection des deux témoins?
La conclusion de ce synode sera effroyable pour l’Église.
C'est sa Passion, sa Mort et sa Résurrection.
Mais Marie protège l’Église traditionnelle.
«
Marie se tenait debout sur l'Église du côté du Nord et étendait son
manteau pour la protéger. C'était seulement le pavé (les fondations) et
la partie postérieure de l'Église (le chœur et l'autel), tout le reste
avait été démoli par la secte et par les serviteurs de l'Église
eux-mêmes. »
«
Quand même il ne resterait qu'un seul chrétien catholique, l'Église
pourrait triompher de nouveau, car elle n'a pas son fondement dans
l'intelligence et les conseils des hommes. » (Anne Catherine Emmerich)
La puissance du destructeur augmentera en ce 4 octobre 2023 avec l’ouverture de la première partie du synode des synodes.
Notre
Foi doit être forte et immuable alors que tout s’écroule autour de soi,
une nécessité selon les paroles de NSJC : les guerres doivent
avoir lieu ainsi que la persécution afin de générer une soif intense
pour la Vérité chez les tièdes. Ils demanderont la voie lorsque les
écailles sur leur yeux tomberont. Ils ne seront pas beaucoup, mais ils
auront besoins de ses fidèles laïcs et religieux, les « deux témoins »
de l’Apocalypse qui seront ressuscités pour les guider et guérir leurs
blessures.
Voici une autre preuve donner en ce dimanche 20 août par le destructeur Bergoglio lui-même.
Pour préparer les esprits à la nouvelle église, à la « conversion » TOTALE de l’église à un autre Dieu :
«
Hier dimanche, lors de l’Angélus sur la place Saint-Pierre, le pape
François a interprété l’évangile du jour, Mt 15,21-28 [1]. A cette
occasion, le chef de l’Église est revenu sur un de ses thèmes favoris :
la rigidité. Il lui a opposé le fait que Jésus avait « changé » et
n’était pas resté figé sur ses positions…. « Le changement de Jésus. Il
adressait sa prédication au peuple élu ; mais ensuite, l’Esprit Saint a
poussé l’Église jusqu’au bout du monde. Mais ici s’accomplit,
pourrait-on dire, une anticipation, de sorte que l’universalité de
l’action de Dieu se manifeste déjà dans l’histoire de la femme
cananéenne. Cette disposition de Jésus est intéressante : face à la
demande de la femme, il « anticipe les plans », il devient encore plus
indulgent et compatissant face à son cas concret. Dieu est ainsi : il
est amour, et celui qui aime ne reste pas figé. Oui, il reste ferme,
mais pas figé. Il ne reste pas figé sur ses propres positions, mais se
laisse bouger et émouvoir ; il sait changer ses programmes.
L’amour est créatif, et nous, les chrétiens, sommes appelés à être
prêts à changer si nous voulons imiter le Christ. Que de bien il fait
dans nos relations, mais cela vaut aussi pour la vie de foi : être
doux, écouter vraiment, être touché au nom de la compassion et du
bien-être des autres, comme Jésus l’a fait avec la Cananéenne. La
douceur pour changer. La douceur de cœur pour changer.
(…)
Par
exemple, en partant du changement opéré par Jésus : suis-je capable de
changer d’avis ? Est-ce que je peux être compréhensif et compatissant,
ou est-ce que je reste rigide dans mes positions ? Y a-t-il de la
rigidité dans mon cœur ? Ce qui n’est pas la fermeté : la rigidité est
mauvaise, la fermeté est bonne ».(benoit-et-moi.fr)
Jamais, au grand jamais, l’Église n’a aussi été en péril depuis sa fondation par NSJC.
À
cause de la grande apostasie, qui empêche l’Esprit-Saint d’atteindre
les cœurs comme Il l’avait fait au temps des premiers chrétiens.
Ainsi,
les messages essentiels du Nouveau Testament, Paroles de Dieu, peuvent
être déformées afin de mener au précipice ceux, peu nombreux, qui
cherchent encore la Vérité.
«
… C’est ainsi que l’Évangile nous est expliqué dans la nouvelle version
jésuite, corrigée: Jésus reste d’abord « indifférent » ; puis il répond
de manière « irritée et insensible » ; « il répond de manière moqueuse
et irrespectueuse » ; il prétend « être théologien » ; il refuse la
miséricorde ; c’est une « chute de ton, de style d’humanité » ; Jésus
apparaît comme « aveuglé par le rigorisme et le nationalisme
théologique ». Mais les paroles de la femme « bouleversent la rigidité
de Jésus », elles le convertissent. Jésus apparaît « guéri » : « libéré
de la rigidité des éléments théologiques, politiques et culturels de
son temps ».
Selon
la version des Jésuites, Jésus serait donc un « indietriste« qui
convertit et est miraculeusement guéri par la femme païenne. Une image
plastique de ce que nous vivons aujourd’hui : des catholiques encore
tenaillés par la doctrine et le catéchisme, nationalistes, théologiens,
bigots et jugeurs, incapables de se mettre à jour, malades
d’indietrisme et de rigorisme, qui ont besoin de se convertir et de se
guérir en écoutant la païenne, en écoutant les athées, les distants,
les anticléricaux qui font de belles batailles, en un mot, en écoutant
et en suivant le monde. C’est – pour le jésuite – le début d’une
révolution.
Dans ses sermons, saint Augustin affirme :
« Le Christ s’est montré indifférent à son égard, non pour lui refuser sa miséricorde, mais pour allumer son désir » .
Personnellement, je trouve que la première lecture de ce dimanche,
tirée du prophète Isaïe, éclaire le passage de l’Évangile : Dieu offre
la possibilité d’accéder aux promesses faites à Israël à tous ceux qui
se convertissent à Lui. À ceux qui sont prêts à l’adorer, à changer de
vie et à respecter ses commandements. La conversion est donc une
condition sine qua non pour bénéficier pleinement de la miséricorde et
des grâces réservées par Dieu aux hommes qui, dans leur liberté,
peuvent rejeter la conversion et la grâce.
L’idée
que c’est Jésus qui doit se convertir semble quelque peu exagérée et
dictée – comme l’a dit un prêtre – par une forme de «
miséricordieusement correct ». Un besoin d’utiliser l’Évangile pour
pousser à une conversion au monde qui trahit une passion malsaine pour
ce qui est loin de Dieu et de ses commandements. » (benoit-et-moi.fr)
Préparer les esprits, c’est à dire à séparer déjà les deux camps, la mort de l’église telle qu’on l’a connu.
Pourquoi Bergoglio avait-il besoin d’une deuxième séance du synode en 2024?
Les derniers cardinaux nécessaires à son projet seront en place en septembre prochain.
Ils seront alors 137 cardinaux électeurs, soient 17 de plus que les 120
autorisés, et parmi eux, encore des conservateurs « rigides ».
Or, plusieurs atteindront l’âge de 80 ans dans l’année 2024, ramenant
le nombre à 120, et tous acquis à Bergoglio en …. octobre 2024.
« CITÉ DU VATICAN ( LifeSiteNews
) –– L’éminent prélat américain Raymond Cardinal Burke a averti que la
« synodalité » et le « synodal » sont devenus des « slogans » utilisés
comme façade pour « changer radicalement la compréhension que l’Église
a d’elle-même, en accord avec une idéologie contemporaine qui nie une
grande partie de ce que l’Église a toujours enseigné et pratiqué…
Le cardinal a pris pour cible les interventions régulières du pape
François sur la manière dont l’Église doit devenir « synodale », en
déclarant :
On nous dit que l’Église que nous professons, en communion avec nos
ancêtres dans la foi du temps des Apôtres, comme étant Une, Sainte,
Catholique et Apostolique, doit maintenant être définie par la
synodalité, un terme qui n’a pas d’histoire dans la doctrine de
l’Église et pour laquelle il n’existe pas de définition raisonnable.
Il
a dénoncé la « synodalité » comme étant une façade pour une «
révolution » qui travaille à modifier « radicalement » l’Église
catholique conformément à une « idéologie contemporaine » qui rejette
une grande partie de l’enseignement de l’Église :
La
synodalité et son adjectif synodal sont devenus des slogans derrière
lesquels une révolution est à l’œuvre pour changer radicalement la
compréhension que l’Église a d’elle-même, en accord avec une idéologie
contemporaine qui nie une grande partie de ce que l’Église a toujours
enseigné et pratiqué. Il ne s’agit pas d’une question purement
théorique, car l’idéologie est déjà mise en pratique depuis quelques
années dans l’Église d’Allemagne, répandant largement la confusion et
l’erreur et leurs fruits, la division – voire le schisme – au grand
préjudice de nombreuses âmes.
Les
méfaits de la Voie synodale allemande, écrit Burke, sont susceptibles
d’être constatés dans le Synode sur la synodalité, car « la même
confusion, la même erreur et la même division s’abattent sur l’Église
universelle » et ont « déjà commencé »… »
«Seuls les distraits peuvent penser que le prochain synode sur la
synodalité en octobre 2023 et octobre 2024 ne perturbera pas l’Église.
En réalité, ce synode représentera un tournant décisif : il peut
changer le visage de l’Église, nous en donner un autre d’une nature
différente sans que nous nous en rendions compte.
Ce
ne sera pas un passage indolore parce que cette fois le synode ne
traitera pas de tel ou tel sujet pastoral, mais il traitera de la
synodalité, et comme aujourd’hui on prétend que la synodalité est
une caractéristique essentielle de l’Église, le synode traitera de
toute l’Église, comme s’il s’agissait d’un concile.
Il nous dira comment sortir d’un passé caractérisé
• par un retard de deux cents ans sur le monde [selon le défunt cardinal Martini, ndt],
• par une structure descendante et pyramidale qu’il faut renverser,
• par un doctrinarisme et
un indietrisme incapables de faire résonner la voix de
l’Évangile dans l’histoire d’aujourd’hui,
• par un enfermement sur soi sans capacité d’inclusion envers ceux qui sont différents,
• par un manque de démocratie, d’écoute mutuelle, de capacité de choisir ensemble,
• par un identitarisme exagéré alors que Dieu veut que toutes les religions existent,
• par un moralisme trop rigide qui accorde
peu d’importance aux circonstances dans lesquelles la conscience décide
d’agir,
• par la volonté de ne pas se limiter à éduquer les consciences mais de se substituer à elles,
• par un manque d’ouverture à la nouveauté,
• par un manque de miséricorde
• et, surtout, par une incapacité à écouter ce
que l’Esprit Saint nous demande aujourd’hui, un Esprit qui s’exprime
dans le dialogue entre tous, fidèles et infidèles, catholiques et
athées, et dans les événements et les défis de l’histoire.
C’est de tout cela que parlera le synode
Comme
seuls les distraits peuvent se permettre de ne pas s’en préoccuper, TFP
a très bien fait de publier un petit livre efficace et facile d’accès
intitulé Processo sinodale: un Vaso di Pandora [Processus
synodal : une boîte de Pandore], de Julio Loredo et José Antonio Ureta,
qui fournit toutes les informations possibles sur le prochain synode en
termes clairs et concis [*]. Afin que nous n’arrivions pas naïfs ou mal
informés, ce sur quoi comptent beaucoup de ceux qui se consacrent au
changement, sans « si » ni « mais ». La formule
choisie est excellente : 100 questions et 100 réponses. Le fascicule
sera envoyé par ses promoteurs à tous les cardinaux et évêques ainsi
qu’à des milliers de prêtres. Un travail stimulant, digne et opportun.
Si
nous reconsidérons ne serait-ce qu’un instant les quelques points
énumérés ci-dessus, nous nous rendons compte que les changements dans
l’Église pourraient faire l’effet d’une bombe.
• Le concept de Tradition est en grand danger,
• il n’y aura plus de distinction entre l’Église enseignante et l’Église apprenante,
• les décisions non seulement pastorales mais aussi
doctrinales seront prises dans l’Église après un débat au sein de
l’assemblée,
• des synodes mixtes (c’est-à-dire composés de
clercs et de laïcs, comme c’est déjà le cas pour ce synode où siègeront
également des laïcs avec droit de vote) pourraient être établis pour
gouverner l’Église aux côtés de l’évêque ou même du pape,
• la morale catholique serait révisée en continuité
avec les nouveautés d’Amoris laetitiae, dans le sens
de l’intégration dans la vie de l’Eglise de l’homosexualisme, du
transgendérisme, de la cohabitation hors mariage, de l’adultère,
• sans compter que l’enseignement sur la
contraception, d’irréformable qu’il est, serait considéré comme devant
être mis à jour,
• un nouvel œcuménisme de type syncrétiste serait
ouvert, mais sans évangélisation – assimilée à un prosélytisme à éviter
-,
• les critères de l’Eglise seraient adaptés à ceux
du monde, et la pastorale aurait la victoire définitive sur la doctrine.
La
vie de l’Église pourrait devenir une question d’histoire, de processus,
de temps… et avec le temps émergerait le nouveau souffle de l’Esprit
auquel il faut s’ouvrir et se risquer, en évitant de fixer des limites
à Dieu.
Le
fascicule aborde toutes ces questions une à une. Tous les documents
préparatoires – depuis le discours de François en 2015 à l’occasion de
l’anniversaire de l’institution du Synode des évêques par Paul VI
jusqu’à l’Instrumentum laboris préparé par le Secrétariat du
Synode comme guide pour les travaux du Synode – ont été examinés et
sont cités ici.
Des
informations sont données sur la « répétition générale » de
ce synode constitué par le Sinodaler Weg allemand.
Sans oublier le fait que seuls des hommes d’une certaine orientation
ont été placés dans le comité directeur du synode et que les autres
nominations ont été pilotées, ce qui est contesté ici, c’est la méthode
suivie consistant à confier au processus synodal lui-même la tâche de
clarifier ce que l’on entend par synodalité – laissant ainsi de côté
les critères doctrinaux qui sont anticipés, certains et orientés.
D’un tel synode, tout peut sortir, comme d’une boîte de Pandore, image qui donne son titre à l’ouvrage.
À partir du 4 octobre prochain, nous entrerons comme dans un tunnel. On
espère en sortir pour « revoir les étoiles ». Mais les
prémisses sont très inquiétantes, notamment parce que, comme cela s’est
déjà produit lors de récents synodes, on a l’impression que les
conclusions sont déjà établies à l’avance. » (benoit-et-moi.fr)
17 août
«
En cette période de grande crise dans l’Église catholique, cette prière
nouvellement composée par Mgr Athanasius Schneider qui nous réaffirme à
tous la nécessité pour Jésus-Christ et sa Sainte Église catholique et
apostolique de régner en maître. sur le monde entier.
Prière
Dieu tout-puissant et éternel,
Père, Fils et Saint-Esprit, nous nous agenouillons devant Votre Majesté
et Vous remercions du fond de notre âme pour le don inestimable de la
Foi catholique, que Vous avez daigné nous révéler par Jésus-Christ,
Vrai Dieu et vrai homme. Nous avons reçu cette lumière divine dans le
saint baptême et vous avons promis de garder cette foi inviolée jusqu’à
la mort.
Augmentez en nous Votre don de
la Foi Catholique. Par Votre grâce, puisse-t-elle être fortifiée et
rendue inébranlable. Augmentez quotidiennement en nous la compréhension
de la beauté et de la profondeur de la foi catholique, afin que nous
puissions vivre dans la joie profonde de votre vérité divine et être
prêts à tout sacrifier plutôt que de compromettre ou de trahir cette
foi. Accordez-nous la grâce d’être résolus à subir mille morts pour un
seul article du Credo.
Recevez gracieusement notre
acte d’humble réparation pour tous les péchés commis contre la foi
catholique par les laïcs et le clergé, en particulier par les membres
du clergé de haut rang qui, contrairement à la promesse solennelle
qu’ils ont faite lors de leur ordination d’être des enseignants et des
défenseurs de l’intégrité de la Foi Catholique, sont devenus les
champions de l’hérésie, empoisonnant le troupeau qui leur est confié et
offensant gravement la Divine Majesté de Jésus-Christ, la Vérité
Incarnée.
Accordez-nous la grâce de voir
tous les événements de notre vie, et les immenses épreuves que traverse
actuellement notre Sainte Mère l’Église, à la lumière surnaturelle de
la foi. Puissions-nous croire que Vous ferez surgir du vaste désert
spirituel d’aujourd’hui une floraison renouvelée de foi qui ornera le
jardin de l’Église de nouvelles œuvres de foi et donnera lieu à une
nouvelle ère de foi.
Nous croyons fermement que la
foi catholique est la seule vraie foi et religion, que vous invitez
chacun à embrasser librement. Par l’intercession de la Bienheureuse
Vierge Marie, destructrice de toutes les hérésies, et des grands
Martyrs et Confesseurs de la foi, que la Foi Sainte, Catholique et
Apostolique triomphe à nouveau dans l’Église et dans le monde, afin
qu’aucune âme ne soit perdue sauf venez plutôt à la connaissance de
Jésus-Christ, le seul Sauveur de l’humanité, et par une foi droite et
une vie juste, atteignez la béatitude éternelle en vous, ô Très Sainte
Trinité, Père, Fils et Saint-Esprit. A Vous soit rendu tout honneur et
toute gloire, pour les siècles des siècles. Amen.
+ Athanasius Schneider, évêque auxiliaire de l’archidiocèse de Sainte Marie à Astana»
14 août
LE MYSTÈRE D’INIQUITÉ RÉVÉLÉ : LES DEUX BABYLONE
Le catéchisme stipule que le
mystère d’iniquité nous sera finalement révélé lorsque l’imposture
religieuse donnera aux humains la solution apparente à leurs problèmes
au prix d’une apostasie généralisée.
«
675 Avant l’avènement du Christ, l’Église doit passer par une épreuve
finale qui ébranlera la foi de nombreux croyants (cf. Lc 18, 8 ; Mt 24,
12). La persécution qui accompagne son pèlerinage sur la terre (cf. Lc
21, 12 ; Jn 15, 19-20) dévoilera le » mystère d’iniquité » sous la
forme d’une imposture religieuse apportant aux hommes une solution
apparente à leurs problèmes au prix de l’apostasie de la vérité.
L’imposture religieuse suprême est celle de l’Anti-Christ, c’est-à-dire
celle d’un pseudo-messianisme où l’homme se glorifie lui-même à la
place de Dieu et de son Messie venu dans la chair (cf. 2 Th 2, 4-12 ; 1
Th 5, 2-3 ; 2 Jn 7 ; 1 Jn 2, 18. 22). »
Lorsque nous sommes témoins d’un tel événement, ainsi nous serons en présence de l’Antichrist.
Nous y sommes. Aucun doute.
Nul besoin d’expliquer encore en long et en large ce qui a été développé dans les analyses passées.
Le
problème majeur pour plusieurs qui n’ont pas apostasié (ce qui est un
petit nombre en réalité) est le fait que l’église conciliaire considère
toujours cette partie du catéchisme comme étant au futur.
C’est l’aveugle qui conduit les aveugles au précipice.
Nous
savons pertinemment que l’abomination de la désolation présentement sur
le trône de Saint-Pierre, Bergoglio, utilise insidieusement un langage
et une manière de faire qui favorise l’ambiguïté.
Mgr
Vigano d’ailleurs affirme dans la dernière entrevue que rien ne vient
de lui au point de vue de la doctrine et de la pastorale. Il ne fait
que répondre à des questions. Constamment.
Bergoglio
utilise la méthode avancée par les lucifériens eux-mêmes, en donnant
des significations et des interprétations aux mots différentes.
C’est là la tromperie subtile de Satan : l’inversion.
Pour
bien comprendre le danger de cette inversion, voici quelques extraits
avancés par Albert Pike dans une recueil de textes publié à la fin du
19è siècle, ce qui en dit long sur le travail à long terme qui a été
effectué pour saper l’autorité de l’église jusqu’à la conclusion dont
nous sommes témoins présentement :
- « le titre de catholique est réservé à nous seuls »
- nous mettrons d’avant la « double destruction du temple d’Adonaï et de l’édification du temple de Lucifer »
(Adonaï dans leurs langage est le « dieu mauvais », la Sainte Trinité, et Lucifer est le « dieu bon »)
- « L’œuvre principale est celle qui a pour but de transformer les catholiques romains en libre-penseurs déistes. »
-
« lorsque nous nous trouverons être un milliard et plus (de
catholiques lucifériens) faisant enfin flotter haut nos étendards, il
faut que nous soyons prêts à produire l’explosion qui fera sauter le
temple d’Adonaï ».
-
« la même impulsion qui anéantira le temple d’Adonaï découvrira,
aux yeux de l’humanité dûment préparée, le temple jusque là caché de
notre divin maître. Lucifer roi verra alors le monde entier se
consacrer à lui et l’adorer : sa religion sera dès lors vraiment
catholique. »
- « le règne de l’athéisme sera devenu synonyme d’immortalité et d’amour passionné de l’humanité »
Ils prêchent un nouvelle
doctrine, basée sur le « pur amour », une « révélation nouvelle qui
doit nous unifier dans un immense amour sans préjugés »
C’est
l’humanisme dans tout sa gloire avec l’humain déifié qui peut tout sans
l’aide de Dieu, exactement comme il est décrit dans le catéchisme.
C’est
donc la raison principale qui voile les yeux de plusieurs chrétiens
catholiques car la tactique est de parler d’amour, de Jésus, des choses
de l’église mais en donnant des sens différents aux mots prononcés par
la bouche de ces imposteurs, de ces faux prophètes.
Le synode des synodes n’est-il pas le dernier instrument destiné à faire « exploser le temple d’Adonaï » ?
Ceci résume bien le mystère d’iniquité, mystère de l’inversion et de l’injustice.
La
prophétie de Jean XXIII concernant Benoît XVI stipule que la Vierge
Marie doit détruire les « deux » Babylone, les deux inversions majeures
ou injustices qui concernent l’humanité, les deux « royaumes » qui
constituent le système Antichrist : Le Vatican et les
Nations-Unies.
Car cette injustice se manifeste présentement sur ces deux fronts.
Mgr Vigano l’a bien expliqué dans la dernière entrevue.
Ce
n’est pas l’Église traditionnelle qui se sépare du cep, c’est l’église
conciliaire qui par sa mutation face à l’humanisme s’éloigne de ses
origines christiques, et fait passer les « deux témoins » fidèles à la
Loi et aux Prophètes, la Tradition, comme des marginaux, des hérétiques
qui ne veulent pas faire progresser l’église.
Bref, Notre Seigneur a raison.
Ce sont les chrétiens qui sont persécutés à la fin car ils sont les terroristes qui menacent le succès du nouveau système.
Ainsi en est-il du côté humaniste pour ceux qui ne croient pas dans le Christ sur cette terre, ou ceux qui ont apostasié.
Tout ceux qui ne pensent pas
au système des nouvelles valeurs proposées par le nouveau système par
l’inclusion de tous, grâce à la miséricorde infinie, qui culmine avec
le grand spectacle mondial des mouvements « wokes », sont ostracisés.
« Le
nouveau critère sera ainsi défini : Les vrais chrétiens
seront ceux qui partageront toutes les croyances religieuses du Nouvel
Ordre Mondial en tant que nécessité de base pour la survie de
l’humanité. » S. Monast, 1995.
Il avait vu juste.
13 août
Excellent résumé de toutes les analyses des derniers mois grâce à Mgr Vigano, ardent défenseur de la Foi.
« Monseigneur Viganò : « Le plus grand dommage de ce pontificat ? Le discrédit jeté sur la papauté »
Entretien avec Matt Gaspers de « Catholic Family News »
CFN : Votre Excellence, nous
sommes maintenant dans la dixième année du pontificat de François. De
son « Qui suis-je pour juger? » Chez Amoris Lætitia , de la Déclaration
d’Abu Dhabi à l’incident de la Pachamama (et au Synode sur la
synodalité en cours), nous avons été témoins de scandales papaux
vraiment sans précédent au cours de la dernière décennie – des
scandales qui touchent à la fois la foi et la morale. Selon vous, quel
a été le problème le plus dommageable de ce pontificat et comment
l’Église peut-elle s’en remettre ?
Carlo Maria Viganò : C’est
difficile – et je pense que beaucoup seront d’accord avec moi –
identifiez le problème qui a le plus négativement influencé les actions
et les paroles de Bergoglio. Chacun de ses gestes est délibérément
provocateur et histrionique, intentionnellement conçu pour laisser
l’interlocuteur perplexe, ou pour l’offenser ou se moquer de lui.
Quiconque pense que Bergoglio est naïf se trompe : chacun de ses mots
est censé susciter le scandale, se démarquer de tous ses prédécesseurs,
critiquer le passé de l’Église, le déformer avec des simplifications
irritantes. Et surtout : il ne prétend jamais. Si vous l’avez remarqué,
ses propos les plus controversés ne sont pas le résultat d’une
déclaration autonome, mais la réponse à des questions posées par
d’autres, selon les indications reçues, car il semble que le sujet ait
été choisi par l’intervieweur ou l’interlocuteur. Si vous remarquez,–
du « Qui suis-je pour juger » au dernier « Dieu t’aime tel que tu es »
– sont des réponses à des questions. Bergoglio lui-même nous le
confirme lors de la conférence de presse à son retour du Portugal : «
Merci pour le courage de poser cette question. Merci » ( ici ).
En pratique, quel que soit le
sujet abordé, tous les propos de Bergoglio reposent a priori sur une
fiction, un mensonge. Dans certains cas, ces manipulations se font avec
des systèmes plus élaborés, mais toujours malhonnêtes et déloyaux :
pensons aux manœuvres pour imposer sa ligne lors des récents synodes,
et au mépris absolu des règlements. Ajoutez à cela le mépris moqueur
avec lequel il attribue aux autres circonstances et aux autres ce qu’il
fait ostensiblement en premier.
Au-delà des scandales
individuels, je crois que le plus grand dommage causé à l’Église par ce
« pontificat » est le discrédit et le déshonneur jetés sur la papauté,
l’Église, le clergé et les fidèles. Sa haine de la Tradition ne connaît
pas de repos, et cela se répercute nécessairement sur ce qui est une
expression naturelle de cette Tradition : doctrine, morale, liturgie,
spiritualité. La démolition est systématique et part principalement de
l’autorité, corrompue et asservie à l’ennemi, qui abuse de son pouvoir
dans un but contraire à celui qui la légitime. La démocratisation de
l’Église, la collégialité conciliaire, la synodalité de Bergoglio sont
des mensonges colossaux, derrière lesquels se cache la tyrannie : le
parallèle avec les gouvernements soumis à l’élite mondialiste est
évident, et confirme une coordination unique des deux actions
subversives. Et les deux institutions, comme nous pouvons le voir, sont
discréditées et délégitimées précisément par ceux qui détiennent des
rôles d’autorité. Comme ça, si quelque chose de cette crise devait
prendre fin à l’avenir, restaurer la confiance dans l’Église et
restaurer son autorité sera humainement presque impossible.
CFN : Dans une récente
interview ( ici ), vous disiez que certains cardinaux « créés par
Benoît XVI se sont révélés complètement inférieurs aux attentes des
fidèles conservateurs » et que certains d’entre eux « ont été témoins
lors du dernier Conclave de choses qu’ils n’ont pas dénoncer
publiquement ». De quoi pensez-vous qu’ils ont été témoins et pourquoi
ne les signalent-ils pas ?
Certains cardinaux entrés au
Conclave en 2013 ne semblent pas comprendre la gravité de ce qui s’est
passé et se passe, sous de fausses apparences de légalité formelle.
Nous les avons entendus défendre la papauté à l’épée, déclarant que les
erreurs promulguées par Bergoglio et ses provocations impromptues ne
doivent pas être considérées comme le magistère papal ; nous les avons
entendus demander à Bergoglio de dissoudre la Dubia sans même que
celle-ci daigne répondre, et tout s’est arrêté là. Mais cette
dénonciation des effets – c’est-à-dire le » pontificat »
actuel – est tout à fait inutile lorsqu’il refuse, malgré tout, de
reconnaître leurs causes dans la révolution conciliaire. Leur volonté
tétragonale de « sauver » le pseudo-magistère de Vatican II, qui est la
cause lointaine de la crise actuelle, rend toute action en faveur de
l’Église complètement vaine.
Quant au silence sur les
événements survenus pendant le Conclave, je vois la mentalité légaliste
l’emporter sur l’urgente nécessité de mettre fin au coup subversif de
l’église profonde. Leur principal souci n’est pas de porter atteinte à
l’observance des normes valables en temps de relative normalité, car on
ne peut pas dire qu’ils ont violé les préceptes humains, alors qu’avec
leur respect des procédures, ils se retrouvent à cautionner la
violation des préceptes divins par partie – pas moins – que les chefs
de la hiérarchie catholique.
Je trouve incompréhensible
qu’un membre du Collège des cardinaux puisse confier à des amis qu’il a
été témoin de faits tels qui annuleraient l’élection de Jorge Mario, et
en même temps qu’il ne veuille pas les dénoncer publiquement pour ne
pas rompre le secret pontifical : ce secret qui a déjà été rompu en en
parlant à quelqu’un qui n’y peut rien, oblige Son Éminence à se taire
devant l’Église, dont les Pasteurs pourraient peut-être régler
l’affaire. Mais ici nous ne parlons pas du Sceau de la Confession, mais
de questions qui ont raison d’être réservées tant que cela ne se fait
pas au détriment de l’institution qui les a mises en vigueur ;
autrement nous nous retrouvons comme les pharisiens de l’Evangile, qui
demandaient à Notre-Seigneur s’il était permis de sortir un âne du
puits le jour du sabbat.
Les indiscrétions de ces
Cardinaux portent sur la preuve de graves irrégularités, sans donner
plus de détails. Je me souviens de ce qui s’est passé en 1958, avec la
question de la fumée d’abord blanche puis noire : il semble que l’élu
était le cardinal Giuseppe Siri, mais qu’en raison de l’opposition du
régime communiste soviétique, il a forcé la main en forçant les Pères
pour élire un autre pape, qui par coïncidence était le conciliateur
Angelo Giuseppe Roncalli.
Si ces confidences étaient
bien vraies, je n’ose pas penser à l’angoisse morale de quelqu’un qui
s’apprête à emporter le secret dans sa tombe, alors qu’il aurait
l’occasion de démasquer les manipulations de la mafia saint-galloise.
S’ils n’étaient pas vrais, cela n’aurait aucun sens d’en parler même
avec les personnes les plus fiables (qui, cependant, ont parlé à
quelqu’un depuis que la nouvelle a été divulguée).
CFN : D’un point de vue humain, pensez-vous que le prochain Conclave ne répétera pas le résultat de 2013 ?
Sauf interventions
extraordinaires de la Providence, le Collège des cardinaux est
largement discrédité par Bergoglio : Caligula se borne à menacer de
nommer son cheval Incitatus prêtre et consul ; cela crée plutôt des
cardinaux qui, sous Pie IX, auraient été envoyés in partibus
infidelium. L’issue du prochain Conclave paraît donc évidente, rebus
sic stantibus . Mais si des preuves d’actes répréhensibles graves
apparaissaient lors du Conclave de 2013, cela rendrait ipso facto
l’élection qui a suivi, et par conséquent tous les actes de
gouvernement et de magistère accomplis par l’élu, nuls et non avenus.
Parmi ces actes, la création de Cardinaux, pour que tous les
Consistoires de Bergoglio soient caducs : on se retrouverait comme par
magie dans la situation de 2013 et cela perturberait les plans de
Bergoglio, car les Électeurs du prochain Conclave seraient certainement
moins enclins à répéter les erreurs déjà commises et, fort de
l’expérience de cette décennie, pourrait élire la moins pire d’entre
elles.
CFN : L’année prochaine, les
Américains feront face à une autre élection présidentielle. En 2020,
vous avez beaucoup soutenu les efforts de Donald Trump pour remporter
un second mandat. À la lumière de sa promotion continue des vaccins
COVID et de sa rhétorique en faveur de l’agenda LGBTQ, pensez-vous que
les catholiques peuvent encore le soutenir dans une autre candidature à
la présidence ? Le considérez-vous encore comme une sorte de « katéchon
» ?
Le président des États-Unis
d’Amérique peut être une sorte de katechon s’il comprend le coup d’État
mondial perpétré par l’État profond . Je crois que Donald Trump a
compris la tromperie à laquelle il a été soumis par Fauci et les autres
vendeurs de BigPharma, et qu’il est également capable – comme Robert F.
Kennery, Jr. est capable sur le front démocrate – de vérifier si le
SRAS -Le virus CoV-2 fait partie d’un projet militaire, qui n’a fait
appel à des sociétés pharmaceutiques que pour la production à grande
échelle de sérums (d’ailleurs significativement démarré en 2019, avant
la déclaration d’urgence pandémique).
En ce qui concerne les autres
formes de soutien plus ou moins explicites à des mouvements ou
idéologies contraires à la foi catholique, je voudrais suggérer au
président de ne pas se laisser influencer par les rapports et les
pourcentages des agences de communication électorale, et de réfléchir à
la responsabilité devant Dieu des décisions que, en tant que président
des États-Unis, il prend. La tâche du président des États-Unis est de
gouverner son peuple pour le bien commun, selon la justice et dans le
respect de la loi naturelle et divine. S’il remplit cette tâche, le
Seigneur – qui est tout-puissant et qui décide du sort des nations et
des individus – il le bénira et bénira le peuple américain; si vice
versa il manque à ses devoirs et se laisse aller à la mentalité du
monde et aux conseils de ses experts électoraux, il ne peut
certainement pas s’attendre à ce que Dieu, offensé et désobéi, l’aide
lui et la nation.
Il faut dire que Trump, lors
de ses récents rassemblements, a vivement dénoncé les politiques
éveillées et s’est engagé à lutter contre la transition de genre et les
mutilations d’enfants, l’endoctrinement au genre dans les écoles,
l’hypersexualisation de l’enfance et le trafic d’enfants. Il est
significatif que, juste au moment où la perception populaire de la
menace extrêmement grave du lobby pédophile augmente, le ministère
américain de la Justice n’a rien de mieux à faire que de réduire le
niveau d’alarme sociale : de toute évidence, le dôme de pervers qui
manœuvre Biden sent la conscience du public respirer dans son cou.
En tout cas, je préfère mille
atouts à un Biden, cela ne fait aucun doute. Aussi, parce que Trump
s’est montré en fait beaucoup plus proche de l’image d’un politicien
catholique que ne l’a fait le soi-disant catholique Biden.
CFN : Avez-vous des réflexions
sur Robert F. Kennedy, Jr., et sa campagne pour remporter la nomination
du Parti démocrate à la présidence ? Compte tenu de son soutien à
l’avortement, un catholique pourrait-il voter pour Kennedy en toute
bonne conscience ?
Robert Kennedy a certainement
une vision claire de la pandémie et de la fraude aux vaccins et de
l’assaut de l’État profond contre les droits fondamentaux des
Américains. Les aspects positifs de son programme politique n’enlèvent
rien au fait qu’il soutient l’avortement, ce qui signifie qu’on ne peut
pas voter pour lui, d’autant plus que Kennedy se déclare catholique
bien qu’il soit en grave contradiction avec l’enseignement de l’Église
ainsi qu’avec la loi naturelle. Là aussi il faut un sursaut d’orgueil,
qui laisse de côté les calculs électoraux et fait un choix radical. Le
compromis n’est plus praticable aujourd’hui.
CFN : L’événement le plus
important depuis que Joe Biden a pris ses fonctions a sans doute été le
déclenchement de la guerre entre la Russie et l’Ukraine, qui semble
avoir été provoquée au moins en partie par de mauvais acteurs. Que
pensez-vous que l’État profond espère accomplir à travers ce conflit en
cours ?
La crise ukrainienne a été
préparée pendant des années, afin de détruire la Fédération de Russie
par un processus de balkanisation, afin de garantir une hégémonie de
l’anglosphère dans l’équilibre géopolitique international et de
maintenir les nations européennes dans une position de subordination
par rapport à l’anglo -puissance américaine.
Le conflit a entraîné un
nouveau rapprochement de Poutine avec Xi Jinping, ce qui était
largement prévisible et aurait pu être évité. Il est possible que
pousser la Russie dans les bras de la Chine puisse constituer, dans
l’esprit de la hiérarchie du Nouvel Ordre Mondial, le casus belli pour
une déclaration de guerre à la Chine elle-même, ce qui est conforme à
la demande de la Maison Blanche aux partenaires européens de mettre fin
aux soi-disant accords commerciaux de la Route de la Soie. Cette
demande aura non seulement de graves répercussions sur la réduction des
exportations vers la Chine et sur les augmentations prévisibles des
matières premières et des produits semi-finis en provenance de Chine
qui ont été jusqu’à présent importantes ; elle constitue aussi le
prémisse d’une instabilité et d’une crise économique qui sont
généralement l’antichambre d’un conflit militaire, au profit des
marchands d’armes et des profiteurs de la reconstruction (voir l’Irak,
mais aussi la Grèce). Je doute cependant que l’élite ait le temps
nécessaire pour atteindre ces objectifs : ses jours sont comptés, car
le mensonge sur lequel repose son pouvoir est désormais exposé.
Au-delà des stratégies
politiques d’une partie de l’establishment américain, on sait que la
guerre en Ukraine a aussi servi à cacher les scandales de la famille
Biden et à couvrir l’activité de biolaboratoires financés par le
Pentagone et l’Amérique ou ses alliés : des virus artificiels
génétiquement modifiés pour être efficaces sur certains groupes
ethniques ont été découverts dans ces laboratoires, en violation des
accords internationaux. L’échec partiel du projet de pandémie – qui
prévoyait en 2015 de très fortes réductions de la population mondiale –
est probablement dû au fait que Poutine a accéléré le début de son
opération militaire et mis en prison les scientifiques de ces
biolaboratoires.
N’oublions pas que l’Ukraine
est le principal acteur du marché de la maternité de substitution, de
la prédation d’organes et de la traite des êtres humains, qui alimente
également le réseau pédophile. Les dénonciations des organisations
humanitaires ne laissent aucun doute sur ces horreurs sans précédent :
des enfants sont tués et démembrés pour envoyer leurs organes dans des
cliniques en Occident ; des soldats ukrainiens blessés se font prélever
leurs organes dans le même but ; la vie de créatures innocentes est
vendue à de riches pervers pour satisfaire leurs abominables
déviations. Et l’on sait à quel point l’État profond est composé de
personnages susceptibles de faire l’objet d’un chantage précisément
dans la poursuite de ces crimes exécrables, une dynamique mise en
lumière par le récent film Sound of Freedom .
CFN : Si la paix en Ukraine était le véritable objectif, quelles mesures faudrait-il prendre pour l’obtenir ?
L’Ukraine agit comme un bélier
dans la guerre par procuration de l’OTAN contre la Fédération de
Russie, nous devrions donc d’abord cesser de considérer Zelensky comme
un interlocuteur légitime dans tout accord de paix. S’il n’a compté
pour rien dans la déclaration de guerre et dans la poursuite des
actions militaires menées jusqu’ici, je ne vois pas quel devrait ou
pourrait être son rôle à une table de négociations de paix.
Certes, la crise ukrainienne
peut se terminer immédiatement, si Kiev redevient un tampon entre le
bloc de l’OTAN – qui s’était auparavant engagé à ne pas s’étendre à
l’Est – et garantit l’autonomie du Donbass et l’indépendance de Donetsk
et de Lougansk. Le problème est que les dommages subis et la dette
colossale contractée par l’Ukraine pour faire face à l’achat d’armes et
à l’envoi de soldats au front rendent difficile la fin du conflit,
notamment parce que la victoire contre la Russie est impossible sans
l’accord officiel et l’implication d’autres nations. Tant qu’il y avait
un plan pour envoyer simplement de vieux chars ou quelques volontaires,
l’OTAN a convaincu ses pays membres de soutenir la guerre, mais je ne
crois pas qu’ils veuillent vraiment déclencher une guerre mondiale,
malgré les déclarations fulminantes de certains politiciens.
CFN : Dans des déclarations et
interviews passées, vous avez exprimé un soutien notable à la Russie
dans le contexte de la guerre. Alors que l’Ukraine a clairement le
soutien des mondialistes occidentaux, n’êtes-vous pas d’accord pour
dire que la forte alliance de la Russie avec la Chine communiste est
tout aussi préoccupante, en particulier à la lumière des prophéties de
Notre-Dame de Fatima concernant les « erreurs de la Russie » ?
Mon soutien n’est pas pour la
Russie en soi, mais pour ceux qui s’opposent activement aux plans du
Nouvel Ordre Mondial à ce stade. Il était bien connu qu’un conflit
entre les États-Unis et la Fédération de Russie renforcerait
inévitablement les liens de cette dernière avec la Chine : il reste à
espérer que l’alliance entre Poutine et Xi Jinping ne soit pas
seulement à l’avantage du régime communiste chinois, et que l’équilibre
sera maintenu.
Je crois cependant que le
moment est venu de sortir de la cage idéologique qui nous amène à
considérer les Américains comme « bons » et les Russes comme « mauvais
», sur la base d’un préjugé voulu et imposé par l’État profond. Comme
l’a observé à juste titre Giulio Andreotti – avant d’être évincé de la
politique internationale par l’intervention des services atlantiques
avec la collaboration d’informateurs du crime organisé et de la mafia –
« l’OTAN aurait dû être dissoute au profit d’un objectif social lorsque
le mur de Berlin est tombé en 89 » ( Repubblica , 28 octobre 2004).
Tant que nous ne réaliserons pas que les gouvernements occidentaux sont
les otages d’un dôme d’élite de subversifs qui gèrent le pouvoir contre
les peuples, nous ne pourrons pas vaincre ce cancer institutionnel qui
altère l’équilibre international et se nourrit des guerres, de la
famine et de la pauvreté.
Lorsque Notre-Dame parle des «
erreurs de la Russie », nous devrions considérer que ces erreurs se
sont maintenant répandues dans tout l’Occident, tandis qu’en Russie
l’athéisme matérialiste et le communisme sont devenus une minorité.
C’est en Occident — et même au sein de l’Église catholique — que les
erreurs marxistes sont aujourd’hui publiquement professées par les
gouvernements, dans une union infernale entre socialisme et libéralisme
qui est l’expression des deux grands courants maçonniques, les courants
socialiste et révolutionnaire de la franc-maçonnerie française. et les
courants libéraux et institutionnels de la franc-maçonnerie
anglo-américaine.
CFN : L’un des fléaux cachés
de notre monde aujourd’hui est le trafic d’enfants. Le nouveau film
Sound of Freedom avec Jim Caviezel, l’acteur qui a incarné Notre
Seigneur dans La Passion du Christ de Mel Gibson , met en lumière ce
fléau et appelle tout le monde à aider à l’éradiquer . Pendant ce
temps, le ministère de la Justice de Joe Biden semble minimiser le
problème ( ici ). Croyez-vous, comme le fait Caviezel, qu’il existe un
lien entre les élites mondiales, les agences gouvernementales et la
traite des enfants ?
Comme je l’ai dit plus tôt,
l’Ukraine est au centre du trafic d’enfants et de la pédophilie, qui
implique principalement les membres de l’élite satanique du Nouvel
Ordre Mondial et les agences gouvernementales de nombreux États. Je ne
suis pas surpris que cette élite cherche par tous les moyens à
minimiser ou à cacher ces crimes odieux, en recourant également au
pouvoir qu’elle possède à travers la politique, les médias et le monde
du divertissement. Si nous pensons à la façon dont le fils de Joe
Biden, qui a été photographié dans des poses avec des mineurs aussi
obscènes qu’éloquentes, est toujours en liberté, nous devons nous
demander quelles forces sont en jeu et quelle est la profondeur de la
corruption de nos dirigeants. et toute la classe dirigeante qui gravite
autour d’eux.
La dénonciation de Caviezel a
le mérite de mettre au jour ce réseau de complicités et de crimes qui
crient vengeance devant Dieu, et qui ne peuvent rester impunis. Je
pense aussi que l’effondrement désormais imminent de l’ensemble de
l’État profond sera davantage dû à l’indignation des citoyens
ordinaires face aux horreurs qu’il a perpétrées contre les enfants qu’à
la preuve de leur plan d’extermination de l’humanité au moyen de
pandémies et de famines.
Quand j’entends Klaus Schwab
déclarer : « Les confinements climatiques arrivent : plus de débat
nécessaire », je me demande à quel point ces subversifs – Schwab,
Gates, Soros, etc. – sont pressés de mener à bien leur projet infernal
afin de cacher la réalité de ce qu’ils font. Leurs plans de contrôle
total visent finalement à se garantir l’impunité en manipulant la
Vérité et en imposant un mensonge.
CFN : À la lumière de la
suppression croissante de la Vraie Messe par la hiérarchie, quels
conseils donneriez-vous aux catholiques qui craignent d’assister à la
Messe ou de recevoir des sacrements d’un prêtre dépourvu de facultés
écrites ou en « statut canonique irrégulier » ?
Au cours des années 1970,
alors que Mgr Marcel Lefebvre prend ses distances avec « l’église
conciliaire » et continue d’ordonner des prêtres garants de la
célébration de la messe catholique, les premières mesures prises contre
la Fraternité sacerdotale Saint-Pie X sont d’ordre canonique :
suspension un divinis pour avoir conféré les Ordres dans un institut
devenu irrégulier du jour au lendemain. La même chose que Mgr Lefebvre
avait faite jusqu’à la veille avec les encouragements du pape était
devenue du jour au lendemain illicite. Ce n’est que quinze ans plus
tard, en 1988, avec le sacre des évêques que l’excommunication est
imposée à Lefebvre, puis révoquée par Benoît XVI. Mgr Lefebvre a eu la
force de témoigner de sa fidélité au Christ même en désobéissant aux
ordres de la Hiérarchie, et c’est grâce à cette sainte désobéissance
que le clergé et les fidèles ont pu bénéficier d’abord du Motu Proprio
Ecclesia Dei puis de Summorum Pontificum .
En fait, je dirais plus :
beaucoup de ceux qui aujourd’hui se livrent à donner de petites leçons
d’orthodoxie à d’autres, cherchant à démontrer l’acceptabilité de
Vatican II, et qui assistent aux célébrations liturgiques de l’ancien
rite avec l’accord tacite qu’ils ne rejeteront pas le Concile — ces
individus ne peuvent le faire que grâce à « l’intransigeance »,
c’est-à-dire à la fermeté de principe, de Mgr Marcel Lefebvre, qui a
dénoncé les erreurs de cette très malheureuse assemblée et la réforme
liturgique qui l’a suivie. Sans son courage; sans le témoignage des
prêtres qui ont continué à célébrer la messe de tous les âges et qui
ont été arrachés des autels uniquement parce qu’ils étaient ordonnés
par leurs évêques, le rite traditionnel aurait définitivement disparu
de nos églises,
Et donc je me demande : est-il
possible que l’autorité de l’Église puisse être utilisée pour empêcher
la même chose que l’autorité de l’Église a bénie et louée avant le
Concile ? Le pouvoir vicariant du pape et des évêques peut-il aller à
l’encontre du but pour lequel Notre-Seigneur, détenteur de ce pouvoir,
a établi l’Église ? Et encore : quelle crédibilité peut avoir
l’autorité des Bergers lorsqu’elle établit d’abord une norme
universelle, puis l’interdit, puis la restaure, puis enfin de facto
supprime le même rite ? Il faut reconnaître que l’exercice de
l’autorité ecclésiastique est indissolublement lié au but pour lequel
le Christ a institué la Hiérarchie sacrée, et qu’aucun pouvoir
subversif ne peut usurper cette autorité sans se mettre en opposition
avec l’Église et avec le Christ lui-même. L’abolition de la messe
apostolique par Paul VI pour la remplacer par une contrefaçon écrite
par des hérétiques était un abus, et l’annulation de Summorum
Pontificum par Bergoglio était aussi un abus. Ce n’est pas un hasard
s’ils font tous deux partie d’une « Église conciliaire » détachée de
l’Église catholique ; une « Église » autoréférentielle qui s’est
séparée de la Tradition Sacrée, avec ses propres « saints », ses
propres rites, sa propre doctrine et sa propre moralité, le tout en
contraste frappant avec les Saints, les Rites, la Doctrine et la Morale
de l’Église du Christ.
Quiconque entrave la
célébration de la messe tridentine le fait indéfectiblement pour de
mauvaises raisons. Mais dans toute l’histoire de l’Église, personne n’a
jamais osé interdire la célébration du Saint Sacrifice sous une forme
particulière au motif qu’elle n’exprime pas une « nouvelle
ecclésiologie ». Car si quelqu’un avait jamais dit cela, il aurait
implicitement reconnu par ces mêmes mots qu’il existe une nouvelle
formulation doctrinale en contraste avec celle de la messe de tous les
âges, ce qui, pour un catholique, est complètement inacceptable et
inconcevable.
Si donc la messe de saint Pie
V est hétérogène par rapport à la religion imposée par « l’Église
conciliaire », alors c’est « l’Église conciliaire » qui se place hors
de l’Église, et non ceux qui, ne changeant rien à ce qui a toujours été
célébrée et crue, souhaite défendre un rite qui a façonné et façonne
encore la sainteté des fidèles et des prêtres.
J’ai personnellement fondé l’
Association Exsurge Domine afin d’aider les prêtres et les religieux et
religieuses qui sont persécutés par la junte bergoglienne. Nous
construisons un village monastique dans la province de Viterbo en
Italie, afin de donner un foyer aux moniales de Pienza qui ont été
persécutées par le Saint-Siège et leur évêque. Nous aidons des prêtres
laissés sans paroisse simplement parce qu’ils célèbrent la messe
apostolique, des prêtres qui ont été retirés du ministère uniquement
parce qu’ils n’acceptent pas l’apostasie actuelle. J’en appelle à tous
les catholiques, leur demandant de contribuer à ce projet.
Les échecs de l’église
profonde, comme ceux de l’état profond, peuvent être cachés et niés,
mais ils sont apparents dans toutes leurs conséquences désastreuses.
Pour extraire l’Église profonde du corps ecclésial — tout comme
l’amputation d’un membre infecté — il faut avant tout dénoncer les faux
bergers, résister fermement à leurs ordres illégitimes et coordonner la
pastorale des petites communautés de ceux qui sont « réfractaires ”.
Cela n’assurera probablement pas la victoire, mais notre engagement,
notre désir sincère de servir le Seigneur et de sauver les âmes, notre
témoignage de la cohérence de nos vies chrétiennes, pourront amener le
Seigneur à ce « tout » que seul notre « néant » peut bouger.
Et c’est, après tout, ce qui
donne une raison d’espérer dans ces circonstances : pas le fatalisme
(orthodoxe) de ceux qui attendent une intervention divine sans lever le
petit doigt ; pas l’activisme (protestant) qui laisse de côté l’aide de
Dieu et place tout son espoir en lui-même ; mais plutôt le pragmatisme
sain (catholique et romain) qui combine la toute-puissance de Dieu pour
décider du sort du monde avec la généreuse coopération de l’homme qu’il
a créé et racheté. En un mot, c’est la multiplication des quelques
pains et poissons.
10 août 2023
Saint Laurent Martyr »
6 août
«
Après l'interview de François avec "Vida Nueva" / Monseigneur Viganò :
"Préparons-nous pour un crescendo de provocations sans précédent"
Excellence, enfin motus velocior dit-on souvent de l'attitude de
François visant à liquéfier le peu qui reste de la doctrine catholique
et à épouser la pensée du monde. Les chroniques les plus récentes le
confirment, dont l'énième entretien, cette fois. Quelle est votre
évaluation ?
La Journée mondiale de la jeunesse, célébrée cette année à Lisbonne, a
confirmé l'accélération du plan de Bergoglio pour provoquer un schisme.
Ses dernières nominations, que définir comme provocatrices est un
euphémisme ; les propos des futurs cardinaux, visant à entériner la «
révolution bergolienne » ; la présence de James Martin pour promouvoir
l'acceptation de l'idéologie LGBTQ chez les jeunes; la récente
déclaration de Bergoglio à un transgenre : « Dieu nous aime tels que
nous sommes, vas-y » [ ici ] : il ne manquait qu'une interview dans
laquelle l'Argentin « avoua » à une rédaction de journalistes
agenouillés et acclamés pour compléter le image [ ici ].
Le ton adorateur de l'interview est plus qu'embarrassant : ce qui, pour
quelqu'un qui prétend détester l'hypocrisie et la servilité, semblerait
tragique s'il n'était pas grotesque. La courtoisie mielleuse des
journalistes va jusqu'à définir Bergoglio "comme un curé de village
habitué à traiter tout le monde de la même manière, ou une femme qui se
démène du matin au soir pour subvenir aux besoins de sa famille".
Cependant, le lyrisme prégnant de Vida Nueva a l'inconvénient de
souligner l'apparente spontanéité des propos de l'interviewé, largués
comme des bombes à retardement attendant de les voir exploser.
De l'interview, il apparaît que Bergoglio s'attendait à moins que de
devenir pape. Mais l'histoire dit quelque chose de très différent...
Je suis émerveillé par les dons littéraires de Bergoglio : l'évocation
évocatrice de sa surprise lors de l'élection ne concilie pas avec ce
que nous savons maintenant qu'il s'est passé au Conclave de 2013 et
confié par un cardinal électeur mais incapable de le révéler
publiquement. Et en se présentant comme un speculum totius humilitatis
il parle de lui-même comme d'une « victime du Saint-Esprit et de la
Providence », comme pour imputer le malheur de ce « pontificat » à Dieu
lui-même, et non aux manipulations de l'Église profonde avec la Mafia
de San Gallo, et de l' état profond avec les mails de John Podesta et
Hillary Clinton.
Et nous arrivons aux bombes à retardement…
La première bombe à retardement : « Le Synode était le rêve de Paul VI.
À la fin du Concile Vatican II, il s'est rendu compte que l'Église
d'Occident avait perdu sa dimension synodale ». Une manière de
confirmer le caractère subversif de la collégialité de Vatican II, en
contrepoids à la primauté pétrinienne solennellement et infailliblement
proclamée au Concile Vatican I par le bienheureux Pie IX. Ainsi
apprend-on que la collégialité épiscopale théorisée par les innovateurs
dans Lumen Gentiumelle devait se prévaloir du synode des évêques comme
organe parlementaire sur le modèle des formes civiles de gouvernement.
En substance, l'application dans la sphère ecclésiastique du principe
maçonnique diffusé par la Révolution française pour renverser les
monarchies catholiques. "Il s'agit d'avancer pour retrouver cette
dimension synodale que l'Eglise d'Orient a et que nous avons perdue",
affirme Bergoglio. Mais cette « dimension synodale » est un terme de
novlangue moderniste pour ne pas admettre la subversion délibérée de la
papauté comme forme d'autorité monarchique. C'est une attaque contre
l'institution divine de l'Église, perpétrée par celui qui devrait
plutôt la défendre contre les hérétiques. Nous assistons à la
démolition de l'enseignement suprême et de l'autorité gouvernementale
du Pontife romain, le lien de l'unité catholique, par celui qui est
assis sur le Trône de Pierre et qui agit et est obéi en vertu de
l'autorité reconnue par le Pontife Romain. C'est comme voir le chef des
pompiers ordonner à ses subordonnés de verser de l'essence dans la
brousse et d'y mettre le feu, après avoir fait vider les réservoirs et
asséché les réserves d'eau.
On parle aussi du Synode de 2001…
Oui, dans l'inquiétante séquence des "remaniements de la réalité" de
Bergoglio, il y a aussi un souvenir du Synode de 2001, quand Bergoglio
évoque cet épisode : "Alors le cardinal chargé de la coordination est
venu, a examiné les papiers et a commencé à dire : 'Ce n'est-ce pas que
vous votez… même pas cela ». J'ai répondu: "Eminence, c'est hors des
groupes..."". Et l'auditeur naïf pense: «Vous voyez comme Bergoglio est
bon, qui veut que la base dise aux évêques quels sont les vrais
problèmes des fidèles, etc. etc.", pour découvrir ensuite que ce qui
était alors "sorti des groupes" était présenté comme tel, ni plus ni
moins que ce qui s'est passé de façon farfelue au Synode de la Famille,
dont les documents ont été préparés par l'entourage de Bergoglio et par
lui préalablement approuvé ; et encore plus évidemment au Synode de
Synodalité, pour laquelle le questionnaire envoyé aux diocèses,
paroisses et groupes a été formulé de manière à exclure certaines
questions et à orienter les réponses dans le sens souhaité. Quand
Bergoglio rassure « Mais les choses ont été « épurées ». Nous avons
fait des progrès et, aujourd'hui, tout est voté et écouté», il faut
comprendre que les accrocs représentés auparavant par la CDF ou par
d'autres Congrégations ont été éliminés soit avec la nomination
d'hérétiques parfaitement alignés, soit avec l'exclusion des Romains
Curie de tout rôle de coordination au profit des « Églises nationales »
ou des Conférences épiscopales, toutes occupées par des hérétiques et
des esclaves corrompus à Santa Marta.
« Nous avons aussi l'exemple du synode sur la famille. De l'extérieur,
la Communion des divorcés s'est imposée à nous comme un thème majeur.
Dans ce cas, il y avait celui de la psychologie ondulatoire, qui
tentait de se développer. Mais, heureusement, le résultat est allé
beaucoup plus loin… beaucoup plus loin». Au point - je dirais - de
susciter la protestation formelle de quelques cardinaux et de nombreux
prélats, prêtres, religieux et théologiens, face à l'écart de la
doctrine traditionnelle sur l'adultère, le concubinage public et la
famille. N'oublions pas l'opération frauduleuse avec laquelle certains
hommes de main de Bergoglio sont allés voler dans les boîtes aux
lettres des Pères synodaux le livre sur les erreurs d' Amoris lætitia
dans lequel ils dénonçaient l'ingérence dans le déroulement du Synode
par les progressistes.
Même dans les régions où la dissidence des fidèles et des pasteurs
vis-à-vis du régime actuel du Vatican est la plus grande, comme
l'Afrique par exemple, les rôles clés ont été confiés par l'autorité à
des personnes qui bénéficient du soutien de Bergoglio, même s'ils sont
tout à fait insuffisants pour occuper certains postes. d'une grande
responsabilité.
Il semble donc que l'affirmation «Dans le Synode, le protagoniste est
le Saint-Esprit» sert à donner une aura d'autorité aux décisions prises
par Jorge Mario, qui n'ont absolument rien de divin, et se montrent en
effet intrinsèquement opposées au Magistère catholique.
Au cours de l'entretien, un Concile Vatican III est évoqué…
Oui, ça arrive quand un journaliste de Vida nueva demande-t-il
provocateur : « Ce synode sur la synodalité semble tout couvrir : des
propositions de renouveau liturgique au besoin de communautés plus
évangélisatrices, en passant par une vraie option préférentielle pour
les pauvres, un vrai engagement en matière d'écologie intégrale,
l'accueil des collectifs LGBTQ . A-t-on jamais pensé à lui donner la
forme du Concile Vatican III?». Nous serions horrifiés même d'entendre
l'hypothèse qu'un Synode pourrait traiter de sujets très délicats – la
réforme liturgique et l'évangélisation des communautés – et d'autres
totalement étrangers aux finalités de l'Église, comme « une véritable
option préférentielle pour les pauvres, une véritable engagement en
matière d'écologie intégrale, d'accueil des collectifs LGBTQ ». Et
pourtant, ce sont les sujets abordés aux JMJ 2023, ces jours-ci. Et ce
sont les thèmes - répétés de manière obsessionnelle par les médias,
dans les écoles, sur le lieu de travail, en politique - de l'Agenda
2030 et de la Grande Réinitialisation, tous deux ontologiquement
incompatibles avec la religion catholique parce qu'ils sont
intrinsèquement anti-chrétiens et anti-chrétiens.
La réponse de Bergoglio est inquiétante : « Les choses ne sont pas
mûres pour un Concile Vatican III. Et ce n'est même pas nécessaire en
ce moment puisque Vatican II n'a même pas encore commencé. C'était très
risqué et il fallait payer. Mais il y a toujours cette peur qui
s'insinue parmi nous chez les "vieux catholiques" qui déjà à Vatican I
se définissaient comme "dépositaires de la vraie foi"».
Quel est l'objectif final ?
Nous avons compris que le but principal de Bergoglio était de semer la
division et de détruire. Son modus operandi est toujours la meme chose.
Tout d'abord, elle provoque artificiellement un "débat" sur des
questions qui ne peuvent pas faire l'objet de controverses dans
l'Église, ayant déjà été définies par le Magistère : d'un côté les
ultra-progressistes et de l'autre les conservateurs. Les catholiques
traditionnels, comme je l'ai expliqué plus tôt, n'ont pas suivi ces
illusions de Newchurch depuis longtemps, et ils s'en accommodent
parfaitement. Puis il fait proposer ce qu'il veut obtenir – une
modification doctrinale, morale, disciplinaire, liturgique – par un
médiateur ostensiblement neutre qui tente de trouver un compromis tout
en se pliant en réalité au côté progressiste. À ce stade, Bergoglio,
d'en haut et comme s'il découvrait seulement alors qu'il y a une
question à clarifier sur laquelle une déclaration faisant autorité est
nécessaire, impose un changement qui semble moins grave que ce que les
ultra-progressistes avaient demandé, mais qui reste inadmissible pour
un catholique, alors contraint de désobéir. Et sa désobéissance devient
instantanément hérésie ou schisme, simplement en rappelant les erreurs
des anciens catholiques à Vatican I.
Mais c'est là que réside la tromperie la plus perfide : les déviations
doctrinales des anciens catholiques sont rejetées de manière simpliste
par Bergoglio comme une prétention à être "les dépositaires de la vraie
foi" - quelque chose que chaque hérésiarque a toujours essayé de
défendre - tandis que les anciens catholiques ont montré que ils
partagent avec eux l'église bergoglienne qui a bien plus d'hérésies
qu'elle n'a de vérités communes avec les traditionalistes, à commencer
par le sacerdoce féminin. Et il est surprenant que Bergoglio ne se
souvienne pas que les revendications doctrinales des anciens
catholiques ont commencé bien avant le Concile Vatican I, pour des
questions de nominations papales d'évêques aux Pays-Bas, mais ont
rapidement montré leur assonance avec les modernistes,
Nous avons donc compris que l'identification d'un ennemi - en
l'occurrence « les rigides », c'est-à-dire les catholiques fidèles au
Magistère immuable - est le corollaire de la déification de la
Révolution dans l'Église : le Synode est l'œuvre de l'Esprit Saint et
Bergoglio est victime de la Providence. Alors soit on accepte
l'apostasie comme voulue par Dieu – ce qui est absurde autant que
blasphématoire – soit on se retrouve ipso facto dans le cercle des
ennemis de Bergoglio, méritant ainsi la condamnation réservée aux
hérétiques et aux schismatiques. Étrange façon de comprendre la
parrêsia et l'inclusivité de l'église de la miséricorde.
L'interview reprend aussi le thème du "rigide" tant détesté par le pape...
"François n'ignore en rien la résistance à la réforme qu'il s'apprête à
mener", commente un journaliste. Et il cite les paroles d'un prêtre
"qui a un pied dans la Curie et l'autre dans son diocèse": "Je suis
préoccupé par la rigidité des jeunes prêtres", dit Bergoglio. Et il
vous a semblé!
Que le lecteur se rassure, étonné que Bergoglio ne se soit pas encore
aventuré dans un de ses monologues contre les prêtres non pas
traditionnels, mais même vaguement conservateurs. Les rigides, en fait,
à l'égard desquels il a tissé une série inégalée d'insultes depuis les
premiers jours de son « pontificat ». La provocation du prêtre "qui pue
l'odeur du mouton" - j'imagine en jeans et baskets - est sautée par
l'acteur, qui répond promptement : "Ils réagissent comme ça parce
qu'ils ont peur d'un moment d'insécurité que nous vivons vivent et que
la peur ne les laisse pas marcher. Nous devons éliminer cette peur et
les aider." Une approche psychanalytique qui laisse bouche bée, en
vérité, et qui trahit la volonté de reprogrammer le Clergé, justement
préoccupé par un "moment d'insécurité" qui perdure depuis soixante ans,
afin de l'inciter à céder aux innovations et aux déviations du Concile.
Mais les paroles de l'entendement pharisien se transforment aussitôt en
accusations et en insinuations : « Par contre, cette carapace cache
beaucoup de pourriture. J'ai déjà eu à intervenir dans certains
diocèses de différents pays avec des paramètres similaires. Derrière ce
traditionalisme, nous avons découvert de graves problèmes moraux et des
vices, des doubles vies. Nous connaissons tous des évêques qui, ayant
besoin de prêtres, ont eu recours à des gens qu'ils avaient chassés
d'autres séminaires parce qu'ils étaient immoraux ».
Il faut s'étonner de la détermination de Bergoglio à éradiquer
l'indicible vice grec des séminaires conservateurs, mais de ne pas
vouloir le voir même face aux plaintes des victimes du prédateur en
série McCarrick, harceleur de séminaristes et de jeunes clercs, ainsi
que la mafia lavande de ses sbires, crée des cardinaux et les promeut
au sommet des dicastères romains. Et il ne semble pas que ce nouveau
Pier Damiani de Santa Marta juge l'ancien jésuite Rupnik, dont il a
révoqué l'excommunication pour les crimes très graves et les sacrilèges
innommables qu'il a commis, digne de ses flèches. Si vous voulez voir
Rupnik enchaîné dans une cellule de Castel Sant'Angelo, mettez le
chapeau romain sur sa tête.
Cette indulgence de Bergoglio envers ses protégés – qui compte une
longue liste de frères jésuites, unis par l'hérésie sur le plan
doctrinal et la sodomie sur le plan moral – ne s'explique peut-être pas
par le fait que lorsqu'il était maître des novices le Was Argentino se
comportait en un parcours qui n'est pas sans rappeler celui de
l'ex-archevêque de Washington ? Qui legit intelligat .
Oublions donc les paroles de Notre-Seigneur dans l'Évangile : "Viens,
bon et fidèle serviteur, car tu as été fidèle en peu de temps" (Mt
25,21), et écoutons la "victime de l'Esprit Saint" : "Je n'aime pas la
rigidité car c'est un mauvais symptôme de la vie intérieure. Le pasteur
ne peut pas se permettre d'être rigide. [...] Quelqu'un m'a dit
récemment que la rigidité des jeunes prêtres vient du fait qu'ils sont
fatigués du relativisme actuel, mais ce n'est pas toujours le cas". Et
l'on retrouve ici le cliché typique des anticléricaux du XIXe siècle :
celui qui se montre vertueux est un pharisien qui cache des vices
impurs, tandis que celui qui semble vicieux et immoral est en fait bon
et n'a besoin que d'être accepté.
Voici donc les "bienheureuses Imeldas" - je suppose que vous faites
référence à la bienheureuse Imelda Lambertini, une religieuse
dominicaine décédée après avoir reçu miraculeusement la Sainte
Eucharistie apportée en vol par les anges - c'est-à-dire les prêtres
d'un monde irréel et irrévérencieux modèle de religiosité religieuse
ostentatoire, qui fait « un visage de saint », à mettre devant « des
séminaristes normaux, avec leurs problèmes, qui jouent au foot, qui ne
vont pas dans les quartiers pour dogmatiser ». Mieux vaut un bon laïc
qu'un mauvais prêtre, les mangeurs de prêtres du passé résumaient avec
moins d'hypocrisie, sachant pertinemment que le paradoxe devait servir
à stigmatiser la majorité des bons et non la minorité des mauvais.
Le commentaire de la rédaction de Vida Nueva est inquiétant : « Une
fois ordonnés ces prêtres identifiés comme « rigides », comment
sont-ils accompagnés pour entrer dans Vatican II ? Car, au fond, ils
souffrent de ne pas pouvoir accueillir ce qui vient…».
En effet, il semble entendre parler un membre du Comité central du
Parti communiste chinois : comment reprogrammer ces prêtres, les forcer
à accepter les innovations du Concile ? Avec du chantage, de
l'autoritarisme, de l'intimidation et surtout en leur montrant ce qui
arrive à ceux qui ne cèdent pas. Les faire « adoucir » : « Il y a des
gens qui vivent piégés dans un manuel de théologie, incapables d'avoir
des ennuis et de faire avancer la théologie ». Pour "avoir des ennuis",
comme l'affirme Bergoglio, il ne faut pas être hérétique ou corrompu,
mais fidèle au Magistère, "pris au piège dans un manuel de théologie".
Et il conclut par une de ses perles de sagesse : « La théologie
stagnante me rappelle que l'eau stagnante est la première à se
corrompre, et la théologie stagnante crée la corruption ».
La solution proposée par Bergoglio va dans le sens d'une sécularisation
des instituts de formation cléricale : « Il faut mettre l'accent sur
une formation humaniste. Ouvrons-nous à un horizon culturel universel
qui les humanise. Les séminaires ne peuvent pas être des cuisines
idéologiques. Les séminaires doivent former des pasteurs, pas des
idéologues. Le problème des séminaires est sérieux».
Rappelons que les disciplines « humanistes » sont umanæ res et litteræ
, et que « l'humanisation » d'une éducation laïque et universelle n'y
est pour rien. Sans dire que si un séminaire ne dispense pas une
formation intellectuelle et doctrinale - hâtivement définie comme
"cuisine idéologique" - les nouveaux prêtres n'auront rien de nouveau à
enseigner au monde, se rendant ainsi inutiles et superflus.
Bergoglio démontre une fois de plus qu'il dénonce le comportement des
autres comme répréhensible, au moment même où lui-même l'adopte. En ce
qui concerne la nécessité de privilégier la relation de l'évêque avec
son troupeau, il ne se rend pas compte que ses propos sonnent moqueurs
lorsqu'il déclare : « Vous voyez déjà que dans les nouvelles
nominations d'évêques - non seulement en Espagne, mais dans le monde
entier - je appliquer un critère général : une fois qu'un évêque est
résidentiel et assigné, il est déjà marié à ce diocèse. Si vous en
regardez un autre [si vous espérez un transfert], c'est "l'adultère
épiscopal". Quiconque cherche une promotion commet un “adultère
épiscopal”». Pourtant, des évêques aimés de leurs fidèles - comme Mgr
Joseph Strickland au Texas - font l'objet d'intimidations et de visites
apostoliques, dans le but de les destituer, les obligeant à
démissionner.
L’entretien collectif aborde également le thème du tournant vert …
Oui, inévitable. «Pour novembre, avant la tenue du Sommet des Nations
Unies sur le climat à Dubaï, nous organisons une réunion de paix avec
les chefs religieux à Abu Dhabi. Le cardinal Pietro Parolin coordonne
cette initiative, qui se déroulera en dehors du Vatican, dans un
territoire neutre qui invite tout le monde à se rencontrer». Car – nous
l'avons compris – l'important est de se rencontrer, de cheminer
ensemble, « dans un lieu neutre » même si le chemin emprunté mène vers
l'abîme. Et nous savons bien que "neutre" signifie ostensiblement
non-catholique, dans lequel il n'y a pas de place pour Notre-Seigneur :
l'empressement de Bergoglio à apparaître dans tous les événements
ouvertement hostiles au Christ suffirait à comprendre à quel point il
est complètement étranger, incompatible et hétérogène quant au rôle
qu'il recouvre.
Que prévoyez-vous pour l'avenir immédiat?
Préparons-nous à un crescendo de provocations sans précédent : des
bombes à retardement prêtes à exploser pour semer la désorientation, la
confusion, la division. Mais préparons-nous aussi au réveil des
consciences, d'abord des fidèles et du clergé, mais - Dieu nous en
préserve - aussi de certains évêques, face à de telles énormités, pour
la défense de l'Église du Christ. Très bientôt, nous aurons peut-être à
nos côtés de braves gens honnêtes et bons qui ne peuvent plus se livrer
aux divagations d'une secte d'hérétiques infidèles, sans espoir et sans
charité. » (aldomariavalli.it)
3 août
Intervention de Mgr Vigano:
«
Note de la rédaction : Le texte suivant est tiré du discours de Mgr
Carlo Maria Viganò lors d’une conférence avec le mouvement politique
Civitas à Pontmain, France, le 29 juillet 2023.
Ne croyez pas que je sois venu apporter la paix sur la terre ; Je ne
suis pas venu apporter la paix, mais une épée. Je suis venu séparer le
fils de son père, la fille de sa mère, la belle-fille de sa belle-mère
: et on aura pour ennemis ceux de sa propre maison. – Mt 10 : 34‐36
( LifeSiteNews ) — Permettez-moi, chers amis, d’adresser mes
salutations à tous les organisateurs de cette nouvelle édition de votre
Université d’Été, en particulier au président de Civitas, Alain Escada
; aux intervenants, dont les interventions éclairent les différents
aspects de la crise civile et ecclésiale actuelle ; et aux participants
qui, par leur présence, confirment la détermination des bons
catholiques à combattre le bonum certamen sous les bannières du
Christ-Roi.
Ces rencontres de formation doctrinale, culturelle et sociale sont le
signe d’un éveil des consciences et des cœurs : Quia hora est iam nos
de somno surgere. Nunc enim propior est nostra salus, quam cum
credidimus . C’est maintenant l’heure de se réveiller du sommeil, car
notre salut est plus proche que lorsque nous avons accepté la foi pour
la première fois (Rom 13:11).
La consistance du bien
Comme il y a une consistance du bien, il y a aussi une consistance du
mal. Le bien, attribut substantiel de Dieu, a aussi sa propre
consistance dans ce qui y participe : l’amour de la mère qui prépare le
goûter de ses enfants ; la sollicitude du propriétaire de l’entreprise
envers ses employés ; la préparation des cours par le professeur ; le
dévouement du médecin aux patients; la disponibilité du prêtre dans le
soin des âmes qui lui sont confiées – tout cela est conforme au bien.
Même repasser une chemise, entretenir le jardin, organiser une
conférence, fêter un anniversaire avec ses proches devient cohérent
avec ce que nous sommes, car nous nous comportons selon ce que nous
sommes : Agere sequitur esse .
Ceux qui vivent dans le bien et donc dans le vrai ; ceux qui «
respirent » le bien – des célébrations auxquelles ils assistent à
l’église aux interactions avec leurs proches et à l’éducation dans la
famille – n’ont pas besoin de vouloir faire le bien, car cela vient
spontanément dans une bonne âme. Et c’est exactement ce que la grâce
accomplit en nous, en transformant des actions qui sont en elles-mêmes
moralement neutres – ou seulement humainement bonnes – en œuvres
vertueuses, où l’habitude dans le bien devient vertu et tout imprègne
notre vie ; et à ajouter aux actions bonnes dans l’ordre naturel ce
quid qui les élève dans l’ordre surnaturel en les dirigeant vers une
fin supérieure.
D’un autre côté, quand vous aimez le Seigneur, que pouvez-vous
souhaiter de plus beau et de plus satisfaisant que de faire sa volonté
? Et quoi de plus motivant, dans nos relations avec nos prochains, que
de leur faire connaître ce Vrai Saint qui est aussi suprêmement Bon et
Juste ? Bonum diffusivum sui , selon l’adage scolastique : Le bien est
en soi expansif, susceptible de se répandre. Cela nous est démontré par
l’œuvre du Créateur, qui à partir de rien fait exister toutes les
choses, visibles et invisibles. Cela nous est confirmé par l’œuvre du
Rédempteur, qui tire l’homme rebelle en Adam de l’abîme de l’offense à
la majesté divine par le sacrifice de l’Homme-Dieu.
La consistance du mal
Mais comme il y a une consistance dans le bien, il y a aussi une
consistance dans le mal ; et ces actions que nous jugeons apparemment
peu graves – si nous ne les contextualisons pas – s’avèrent être les
rouages d’un engrenage, peut-être marginal et petit, mais qui lui
permettent de fonctionner, et sans lequel quelque chose se bloquerait.
C’est pourquoi le mal – qui est ontologiquement un non‐être, une
absence de Bien – essaie de s’insinuer dans nos âmes à petits pas,
obtenant des échecs progressifs, s’assurant qu’il ne suscite en nous
aucune inquiétude ni aucun remords ; puis grandit et se développe comme
un cancer. Et là où le bien apporte plus de bien, le mal appelle plus
de mal, nous habituant à lui et à tout ce qu’il attire.
Les plans infernaux de l’élite mondialiste – dont nous avons vu qu’ils
sont intrinsèquement mauvais – sont également cohérents les uns avec
les autres, car ils sont motivés par la haine de l’adversaire envers le
Christ. le projet de Bill Gates d’obscurcir le soleil et de vacciner la
population mondiale ; le plan de Soros d’envahir les pays occidentaux
par des hordes de musulmans et de saper la famille naturelle en
finançant les mouvements éveillés et LGBT ; le plan de Klaus Schwab
pour nous forcer à manger des insectes ou nous confiner dans des «
villes intelligentes » de 15 minutes ; le projet de Harari d’effacer
l’idée d’un Dieu transcendant et de composer une Bible « politiquement
correcte » ; le plan de l’État profond pour centraliser le contrôle des
citoyens au moyen de l’identification numérique, de la monnaie
électronique et de la manipulation du vote ; Le plan de Bergoglio pour
transformer l’Église en une agence de l’ONU.
Dans tout ce qui s’est passé ces dernières décennies sous une forme
plus souterraine – et plus récemment de manière évidente – on peut voir
un mensonge, une intelligence capable de s’organiser d’une manière qui
apparaît à la fois infaillible et imparable. Car il faut bien
l’admettre : celui qui a construit cette machine infernale, dont tous
les engrenages semblent s’imbriquer parfaitement, fait preuve d’une
intelligence supérieure, angélique, voire satanique.
La victoire apparente des méchants
Notre observation de l’efficacité organisationnelle des méchants ne
doit pas nous effrayer, ni nous faire renoncer à lutter contre leurs
plans. En effet, je crois que c’est précisément cette « perfection »
dans le camp ennemi qui finira par constituer sa propre condamnation :
Simul stabunt, simul cadent , dit l’adage latin – ils tiendront ou
tomberont ensemble. Et il en sera bien ainsi, car le triomphe du mal
est une fiction, une simulation, simplement la mise en scène d’une
scène, une scène qui repose – comme tout ce qui vient de Satan – sur
l’apparence et le mensonge.
Revenons un instant à Pâques de l’an 33 ap. J.-C. Plaçons-nous parmi
ceux de Jérusalem qui ont été témoins de la crucifixion de Jésus, après
l’avoir vu accomplir des miracles et des guérisons. Même sur le
Golgotha, en l’absence des apôtres, la mise en scène de Lucifer aurait
dû entériner la défaite du Messie, la dispersion de ses disciples,
l’envoi de son enseignement aux oubliettes et le désaveu de sa divinité.
Mais précisément sur la Croix, instrument de mort et d’infamie, le sort
de l’humanité a été renversé par celui qui par la mort du corps a rendu
la vie à l’âme, et qui, se laissant clouer à ce bois, a cloué enfer à
ça. O mors, ero mors tua . Notre nature, blessée par le péché originel,
a du mal à comprendre que la victoire du Christ s’accomplit selon la
logique de la charité plutôt que selon la logique de la haine, et que
sa victoire est d’autant plus inexorable et définitive que nous ses
enfants laisser plus de place à l’action de Dieu et moins de confiance
dans les moyens humains.
Satan l’illusionniste
Ne jugeons donc pas l’apparente « vie heureuse de ceux qui sont mauvais
» du Psaume 36 comme le signe d’une défaite inéluctable : cet
impressionnant déploiement de forces, cette scénographie qui semble si
réaliste, cette chorégraphie impressionnante, tout cela constitue la
seule ressource dont le grand menteur peut puiser – l’illusion – et le
seul moyen de nous faire croire qu’il est puissant et invincible. C’est
un grand magicien, c’est certain : mais à ce titre il peut nous
émerveiller en tant qu’illusionniste, nous tromper avec ses tours qui,
une fois sortis de scène et vus au grand jour révèlent leur pathétique
incohérence.
L’astuce de sortir un lapin d’un chapeau ou le spectacle d’une femme
sciée en deux ne marchent que tant que le public reste à distance, se
laisse tromper par la lumière tamisée et les gestes théâtraux du
magicien – et c’est ainsi également avec les mantras du respect de
l’environnement, de la santé des citoyens et de la fraternité
universelle. En revanche, qui parmi les spectateurs d’un spectacle «
magique » ou quelqu’un qui s’attarde dans le métro à regarder un
artiste jouer au jeu des trois petites tasses penserait que les « trucs
» sont réels ? Qui donnerait crédit à un docteur Dulcamara qui propose,
comme dans l’œuvre de Donizetti, un médicament qui est « un remède
contre les maux de dents, une liqueur admirable et un puissant
destructeur de souris et de punaises de lit ? (Felice Romani, L’élisir
d’amour, scène V, Dulcamara).
La fiction – ou, plus précisément, une vente frauduleuse, car c’est de
cela qu’il s’agit – est la marque du commerce de Satan. Comprate il mio
specifico, per poco ve lo do – Achetez mon article ; Je te le donne
pour un peu d’argent . Ce marchand filou – et avec lui tous ses
serviteurs, non moins occupés à vendre leurs breuvages – nous rappelle
certains personnages qui, il y a encore quelque temps, sur les parkings
des restaurants d’autoroute, offraient aux imprudents un magnétoscope
pour quelques euros, qui se sont alors révélés être une enveloppe
alourdie par une brique ; ou ceux qui, en échange d’une somme pour le
traitement de la notarisation, promettent dans un e-mail de donner au
lecteur l’héritage d’un millionnaire africain qui vient de décéder.
Mais si nous savons tous parfaitement que derrière ces promesses
retentissantes il n’y a qu’une fraude contre nous, pourquoi y a-t-il
encore ceux qui y croient ? L’efficacité de l’inoculation expérimentale
de masse de sérum d’ARNm n’était-elle pas tout aussi manifestement
fausse ? Le récit de la crise énergétique, obtenu en imposant des
sanctions au plus grand exportateur européen de gaz naturel, n’est-il
pas tout aussi ridicule ? La fraude environnementale n’est-elle pas
grotesquement infondée ? Pourtant, en regardant autour d’eux, il semble
que beaucoup, beaucoup de gens sont plus que disposés à croire les
mensonges de ces Dulcamaras, ces colporteurs forains qui, du Forum
économique mondial ou de la Fondation Bill & Melinda Gates, de
l’Union européenne ou de l’Organisation mondiale de la santé, vantent
les vertus de leurs filtres miraculeux : revenu universel, abolition de
la pauvreté, défaite de la maladie et de la paix. Seulement pour
découvrir que nous devons payer ce revenu universel en nous endettant
et en abandonnant la propriété privée, que leur « abolition de la
pauvreté » mène à la misère des individus et des nations, que Big
Pharma veut que nous ayons un besoin chronique de soins médicaux, et
que la paix du Nouvel Ordre Mondial signifie la guerre perpétuelle.
Comment était-ce possible ?
Beaucoup ces dernières années se sont demandé : comment était-il
possible qu’une si grande partie de l’humanité ait pu consentir à tout
cela ? Si l’on regarde en arrière – en remontant aux années 1980, par
exemple, avant que la haute finance ne décide d’attaquer les nations
européennes avec la privatisation des biens de l’État et avec la
destruction définitive de la société et de la famille, qui avait déjà
commencé bien avant -, cela semble presque impossible qu’en peu de
temps l’ennemi aurait pu prendre des mesures aussi impressionnantes
sans susciter de réactions et de résistance significatives. Et si nous
écoutons les paroles de ceux que Roncalli appelait des prophètes de
malheur, qui dès les premières séances de Vatican II ont annoncé
l’apostasie à laquelle cela conduirait,
Et nous revenons ici à la fraude, à l’adultération de la foi, de la
morale, de la liturgie, à la tromperie coupable de ceux qui, constitués
en autorité, se révèlent ennemis de ceux qu’ils devraient au contraire
protéger, et amis de ceux qu’ils devrait s’opposer ou se convertir. La
chimère d’une fraternité dépourvue de la paternité commune de Dieu est
démasquée comme fraude ; l’actuosa participatio qui a détruit le culte
public en le protestantisant est une fraude ; le sacerdoce partagé des
fidèles est une fraude, frauduleusement insinuée au concile pour
affaiblir le sacerdoce hiérarchique ; la prétendue démocratisationde
l’Église est fraude : Son Divin Fondateur l’a voulue monarchique, ce
qu’aucune autorité humaine ne pourra jamais changer ; l’œcuménisme est
aussi une fraude, par laquelle la majesté divine est humiliée au niveau
de la prostitution, comme l’Écriture appelle avec éloquence les fausses
religions. Tous les dieux des païens sont des démons (Ps 96:5), et les
sacrifices des païens sont faits aux démons et non à Dieu (1 Co 10:20).
La bonne question
Essayons de reformuler plus clairement la question : « Comment a-t-il
été possible que des peuples qui ont grandi dans l’héritage de la
pensée grecque et romaine, à la lumière de la Révélation chrétienne et
de la civilisation qu’elle a édifiée, aient décidé de croire à un faux
mensonge flagrant, à savoir que la paix, la concorde, la prospérité et
le bonheur loin de Dieu sont possibles ? En effet, se rangeant
ouvertement du côté d’un ennemi que le Christ a déjà vaincu et vaincu ?
»
En y regardant de plus près, nous aurions pu également poser cette
question à Adam et Eve : « Vous étiez dans le paradis terrestre ; vous
avez rencontré le Seigneur et lui avez parlé ; vous n’avez eu ni
maladie ni mort; vous aviez une intelligence agile dans l’apprentissage
et la compréhension ; tu n’étais pas sujet à la convoitise de la chair…
tu avais tout, parce que tu avais Dieu : eh bien, comment as-tu pu
croire le serpent, qui t’a promis qu’en désobéissant à l’ordre du
Seigneur tu obtiendrais ce que tu avais déjà ? Quand il était évident
qu’une créature rampante ne pourrait jamais rivaliser avec
l’omnipotence du Créateur ?
On retrouve des promesses semblables dans les tentations auxquelles
Notre-Seigneur a voulu se soumettre dans le désert : même dans ce cas,
Satan offre au maître de toutes choses les domaines de la terre qui lui
appartiennent déjà, osant lui demander en échange une acte d’adoration
idolâtre aussi absurde qu’impossible. Tout cela sera à vous, si vous
vous prosternez et m’adorez (Lc 4, 7). A ces absurdités dictées par un
esprit pris au piège et obstiné dans la mauvaise volonté, le Seigneur
répond en citant l’Ecriture, sans même daigner argumenter leur
fausseté. Car avec le diable il ne peut y avoir de discussion : c’est
une perte de temps. Satan doit être chassé et tenu à l’écart.
Le péché de l’homme moderne et contemporain
La fraude colossale qui a été ourdie contre l’homme moderne n’est en
rien différente de celle qui a marqué la chute de nos premiers parents
: croire le mensonge en tant que tel, renverser l’ordre divin. Nous
n’avons pas été trompés par un nouveau mensonge, car la même tromperie
est évidente depuis le début : devenir sicut dii en mangeant l’arbre de
la connaissance du bien et du mal ou prétendre que les amputations
chirurgicales peuvent transformer un homme en femme est sensiblement la
même tromperie, comme offrir nos premiers-nés à Baal ou les tuer dans
l’utérus pour ne pas augmenter l’empreinte carbone.
Ce que Satan nous demande, ce n’est pas tant d’accomplir une action
répréhensible, mais de nous la faire faire en acceptant comme vraie
qu’elle n’a pas de conséquences : jette-toi du haut de cette tour, et
tes anges viendront te soutenir. Faites-vous vacciner avec ce sérum
expérimental, et vous ferez un geste d’amour. Achetez un enfant avec
une grossesse de substitution et vous serez un parent. Renoncez à votre
liberté et vous serez libre. Achetez ce que vous ne pouvez pas vous
permettre et vous endetterez pour toujours, et vous serez heureux.
Enfermez votre mère âgée dans une maison de retraite et elle sera prise
en charge par du personnel qui la fera se sentir bien. Laissez vos
enfants changer de sexe et ils se sentiront comblés. Que l’État soit
laïc et légifère sans condition de la part de l’Église, et la concorde
régnera entre les fidèles de toutes les religions.
Aucune de ces promesses n’a même un semblant de vérité : ce sont toutes
des mensonges, et à ce titre le Prince du Mensonge veut que nous les
acceptions, car avec elles nous acceptons la subversion de l’ordre
divin. C’est pourquoi ce n’est pas une erreur, mais un péché dont nous
sommes moralement responsables.
Les conséquences d’accepter le mensonge
Le concept de tolérance du mal – qui, dans une société encore
chrétienne, pourrait en quelque sorte admettre des exceptions limitées
pour un plus grand bien – a été annulé par la société civile et
l’Église lorsque, ayant perdu la référence transcendante du bien
suprême et du saint vrai – le Seigneur Dieu – il n’y a plus de mal à
tolérer, ni de propriété à protéger.
Car l’acceptation contemporaine à la fois de la vérité et de sa
négation – le mensonge – est une contradiction logique, avant même
d’être théologique. Et c’est le résultat d’un processus qui, je crois,
mérite d’être analysé très attentivement.
Subversion par l’autorité
Le processus auquel je me réfère est cette séquence d’événements liés
qui a conduit l’Église catholique – et avec elle les nations dans
lesquelles les catholiques sont présents et socialement pertinents – à
personnaliser la relation des fidèles avec Dieu là où elle avait été
publique – par le culte, le; liturgie – et de collectiviser, pour ainsi
dire, la relation des fidèles avec Dieu, quand elle avait été
personnelle – conversion, prière, méditation, expérience ascétique et
mystique.
Cette inversion – empruntée aux protestants – fait en sorte que
l’action du culte public de l’Église devienne un moment
d’auto‐célébration d’individus et de groupes, et non la voix chorale de
l’Épouse ; et en même temps elle annule l’union intime de l’âme avec
son Seigneur – qui ne peut être atteinte que dans le souvenir
individuel – pour exalter une « communauté », lui donner la consistance
et l’attrait d’une « marche ensemble », même si la marche n’a pas de
but.
La normalité hiératique, qui se dresse au-dessus du temps et de
l’espace, cède au caractère provisoire de l’expérience, au résultat
inconnu, à la créativité pathétique ou à l’improvisation sacrilège. Et
ce principe s’étend nécessairement à la vie civile, où le témoignage du
catholique non seulement n’est pas nécessaire, mais est bien à déplorer
; et où les dirigeants, même s’ils sont théoriquement catholiques,
peuvent légiférer contrairement à la loi de Dieu et à l’Église. Parce
que chacun d’eux est persuadé qu’il peut penser d’une manière et agir
dans l’autre sens, alors qu’en réalité ils finissent par penser en
fonction de leur comportement.
Le rôle de l’Église profonde
Tant que la hiérarchie de l’Église était fidèle à son mandat, toute
persécution des gouvernements anti‐catholiques et révolutionnaires
était affrontée avec honneur et fermeté, souvent même avec l’héroïsme
du martyre, comme en Vendée, en Espagne, au Mexique, en Union
soviétique. , et la Chine. Mais dès que Vatican II a « réinitialisé »
la hiérarchie dans un sens libéral et progressiste, la hiérarchie
elle-même a commencé à promouvoir la sécularisation de la société et
l’exclusion volontaire de l’Église et de la religion de toutes les
sphères de la vie civile, allant jusqu’à appeler à la révision des
Concordats.
En l’espace de quelques générations, la civilisation chrétienne qui
s’est construite grâce à l’Église catholique a été niée et oubliée, au
point de saper les fondements du contrat social. Il ne s’agit pas de
statistiques ou de chiffres – qui peuvent aussi être documentés – mais
d’un changement radical de la société, des principes qui animent ses
citoyens, des espoirs que les grands-parents et les pères ont pour les
générations futures. Je parle de la capacité de nos grands-parents et
de nos parents à renoncer à tant de conforts pour garantir une
éducation ou un foyer à leurs enfants ; Je parle du décrochage de la
famille par le divorce, de la création délibérée d’une crise économique
qui rend impossible d’être autonome, de pouvoir se marier et d’éduquer
des enfants, de savoir que l’autorité civile et religieuse sont amies,
Cela a également conduit des générations à perdre progressivement mais
inexorablement tout cet héritage de comportements quotidiens, d’idiomes
et d’habitudes qui étaient la traduction pratique de la manière d’être
d’un catholique ; un abandon encouragé par ceux qui ont inculqué aux
citoyens et aux fidèles un sentiment de honte pour leur passé, pour
leur histoire, leurs traditions et leur foi. Il est déconcertant que
cette trahison se soit accomplie sans aucune résistance, après avoir
été imposée d’en haut tant dans la sphère civile que même, de manière
inédite, dans la sphère ecclésiale.
La laïcité de l’État, avec laquelle les nations se débarrassent de la
seigneurie du Christ, constitue la base philosophique et théologique
sur laquelle pourrait être théorisée la dissolution de la société
chrétienne : sans elle, le divorce, l’avortement, l’euthanasie, la
sodomie, la manipulation génétique et le transhumanisme pourraient
n’ont jamais été introduits dans la législation nationale. Et cela
s’est produit avec le soutien décisif de l’Église profonde depuis les
années 1960, et plus récemment avec l’asservissement total de la
hiérarchie catholique à l’Agenda 2030 : comme l’a reconnu Mgr. Hector
Aguer, ancien archevêque de La Plata en Argentine.
L’éclatement de la famille
Tout cela a disparu : aucun jeune membre d’une famille moderne n’a
jamais entendu parler de la vie d’autrefois. Ce qu’on croyait. Ce qu’on
espérait. D’autre part, où sont les grands-parents, qui jadis
s’occupaient de leurs petits-enfants et leur transmettaient les
souvenirs de leurs ancêtres, leur sagesse, leur simple religiosité ? Ce
sont les grands-parents qui amenaient leurs petits-enfants prier devant
l’image de Notre-Dame, leur enseignaient les prières, comment faire un
examen de conscience, comment réciter un Requiem – « Seigneur,
accorde-leur le repos éternel » – en passant devant d’un cimetière, le
sens de l’obéissance aux parents, de l’honnêteté, du respect de sa
parole.
La franc-maçonnerie a éliminé les personnes âgées, les transformant en
marchandises pour le commerce des établissements de soins ou les
exterminant avec le sérum génétique ou la ventilation forcée. Leur
absence, depuis des décennies, s’est accompagnée d’une attaque frontale
contre la femme, dans son rôle d’épouse et de mère : un autre élément
de cohésion de la famille démoli, un autre rempart abattu. L’atteinte à
la figure paternelle – autrefois calquée sur l’autorité et la bonté de
Dieu le Père – s’est faite par la corruption des mœurs, par la
pornographie et la promiscuité, et enfin – après avoir coupé le cordon
ombilical qui lie la sexualité à la relation conjugale relation à des
fins de procréation – l’homme, le mari, le père, le citoyen a été
davantage détruit en stigmatisant sa « masculinité toxique », en
l’efféminant, le castrer à la fois dans sa volonté et dans son
intellect ; d’abord en plaçant le moyen (le plaisir légitime de l’acte
conjugal) avant la fin naturelle (la procréation), puis en substituant
le moyen à la fin.
Et les enfants, séparés de leurs parents qui travaillent, trouvent à la
télévision, sur internet, sur les réseaux sociaux, via des
applications, à l’école – voire partout – un nouvel oracle, une entité
qui les décharge de la responsabilité de choisir et leur dit quoi
penser , quoi vouloir et contre qui diriger leurs frustrations. Et
inimici domini domestici eius – et ses ennemis seront ceux de sa propre
maison (Mt 10:36). Cette entité – à laquelle le pouvoir voudrait
attribuer des caractéristiques quasi divines, simulant les facultés de
l’intelligence humaine – propose un nouveau credo écologiste, exalte de
nouvelles vertus « vertes » et « éveillées », désigne de nouveaux
maîtres, et célèbre ses liturgies. Parce qu’elle se présente comme une
religion et comme telle exige des fidèles leur assentiment et leur
obéissance à ses ministres.
La religion d’État
Le système d’endoctrinement s’est avéré efficace et, au cours de
l’histoire, il n’a changé que quelques détails en raison des temps
nouveaux ou du progrès technologique, mais il a toujours conservé son
schéma d’origine. Et c’est ce schéma qu’il faut faire connaître, si
l’on veut s’y opposer sous toutes ses formes : sanitaire, énergétique,
climatique, guerrière, financière, religieuse. Un schéma indéniablement
inspiré non seulement par l’annulation de la seule vraie religion, mais
aussi par son remplacement par la religion luciférienne du progrès, de
l’humanité, de la fraternité et de la Terre Mère.
Ne nous étonnons donc pas si le prétexte initial avec lequel la
franc-maçonnerie sapait l’autorité de l’Église catholique au nom de la
liberté religieuse s’effondre, laissant la domination incontestée –
également reconnue au niveau institutionnel – de la seule religion
compatible avec l’idéologie du Nouvel Ordre Mondial : le culte de
Satan. Qui, après s’être caché pendant deux siècles derrière Prométhée
et la déesse Raison, sort aujourd’hui publiquement au grand jour et
revendique pour lui-même cette exclusivité qu’il avait reprochée à la
véritable Église et lui avait déniée, au point de devenir la « religion
d’État ». », imposant ses dogmes absurdes et ses fausses croyances à la
communauté internationale, endoctrinant les enfants et les jeunes dans
les écoles et obligeant les citoyens à se conformer à ses préceptes.
Il semble que l’on assiste à un renouveau mondial du paganisme comme
sous le règne de Julien l’Apostat : une sorte de revanche des cultes
idolâtres sur la religion du Christ, une revanche des ténèbres sur la
lumière. Mais cela, on le sait, est ontologiquement impossible.
Lève-toi, ô Seigneur
Face à l’abdication de l’autorité civile, de nombreux groupes dans le
monde s’organisent pour s’opposer aux violations des libertés
fondamentales, les dénoncer là où c’est possible et coordonner l’aide à
ceux qui sont ostracisés en raison de leur résistance. Ce n’est pas une
substitution d’autorité, ni une forme de sédition : c’est la réponse
nécessaire – en attendant des temps meilleurs – de ceux qui voient leur
avenir, leurs biens et leur vie même menacés.
J’ai considéré qu’il était de mon devoir de pasteur de prendre une
initiative similaire dans le domaine ecclésial, en fondant
l’association Exsurge Domine pour contrer la persécution inversée et
inversée que subissent les prêtres et les religieux traditionnels de la
secte Bergoglienne en raison de leur fidélité à l’Église du Christ. ,
qui est aujourd’hui infesté de traîtres, d’individus corrompus et de
mercenaires.
Exsurge Domine, sous mon patronage personnel, veut venir en aide aux
clercs, religieux, moines et moniales qui ont été privés de leurs
moyens de subsistance, expulsés de leurs monastères, et fait l’objet de
persécutions de la part de leurs supérieurs parce qu’ils sont liés à la
liturgie apostolique ou parce qu’ils ne veulent pas renier le charisme
de leur ordre. Des curés qui du jour au lendemain sont éloignés de leur
paroisse, des religieuses à qui Rome impose une abbesse progressiste,
des clercs réduits à l’état de laïcs sans procès et avec des
accusations calomnieuses : toutes ces bonnes âmes, amoureuses du
Seigneur et fidèles à l’Église, ont besoin d’aide matérielle, de
soutien spirituel et d’assistance juridique et canonique.
Je vous demande à tous d’être les promoteurs de cette initiative, avec
vos connaissances et amis, et de contribuer selon vos possibilités au
financement de notre premier projet : la construction d’un village
monastique dans la province de Viterbe pour accueillir la Bénédictine
communauté de Pienza. Votre soutien, ainsi que vos prières, permettront
à ces bons prêtres et religieux de ne pas succomber aux purges
bergogliennes et de pouvoir exercer le ministère ou suivre le charisme
qu’ils ont généreusement choisi selon la volonté de Dieu.
Conclusion
Je voudrais terminer mon propos en évoquant ce lieu même, Pontmain, où
le 17 janvier 1871, la Vierge Marie est apparue sous le titre de
Notre-Dame de France.
Peu de temps après, le 18 mars 1871, la guerre franco‐prussienne se
terminera par la défaite de Napoléon III et les émeutes du mois de mars
suivant donneront lieu à la Commune de Paris. En cette circonstance la
franc-maçonnerie française (d’inspiration socialiste et liée aux
centres du pouvoir culturel) organisa une révolution qui fut cependant
noyée dans le sang au mois de mai suivant suite à l’intervention du
gouvernement de Versailles sur les ordres de la franc-maçonnerie
anglaise (qui était libérale et liée à pouvoir institutionnel).
Aujourd’hui, ce fossé entre les différentes franc-maçonneries a été
surmonté par un pactum sceleris qui les unit – concilium fecerunt in
unum (Ps 70, 10) – dans le but commun d’achever l’établissement du
Nouvel Ordre Mondial, prémisse nécessaire au règne de l’Antéchrist. .
La Sainte Vierge, dans son apparition à Pontmain, n’a rien dit. À ses
pieds se trouvait un rouleau ouvert avec des lettres d’or qui disaient
: « Priez, mes enfants. Dieu vous répondra très bientôt. Mon Fils
permet que Son Cœur soit touché. Eh bien, aujourd’hui encore, ces
paroles de réconfort restent vraies et valables : le Seigneur répondra
très bientôt, car il y a beaucoup de bonnes âmes qui, dans cette phase
d’apostasie et de crise d’autorité, se réveillent de la torpeur dans
laquelle elles sont restées pendant beaucoup trop long.
La supercherie infernale du mondialisme est vouée à l’échec total : sur
ce point il ne peut y avoir le moindre doute. La Babel de l’Ordre
Nouveau s’effondrera sous le poids de ses mensonges, marque indubitable
de l’œuvre du diable. La tâche qui nous incombe est de proclamer la
vérité, de rappeler au monde que le salut ne vient que du Christ,
Prince de la Paix, dont la Seigneurie sur les nations et sur l’Église,
usurpée par une autorité rebelle et corrompue, doit être restauré.
Que la Très Sainte Vierge, Reine des Victoires et Médiatrice de toutes
les Grâces, hâte la fin de cette tribulation, afin que s’accomplissent
ses paroles prononcées à Fatima en 1917 : « A la fin mon Cœur Immaculé
triomphera ».
+ Carlo Maria Viganò, archevêque »
Juillet 2023
27 juillet
LE POINT DE NON RETOUR
Peu importe ce qui ressort du synode des synodes, nous comprenons aujourd'hui que le rubicon a été franchi.
« Le simple fait que l’Église permette et encourage une réunion avec la
densité institutionnelle d’un synode pour discuter de questions qui
visent à modifier directement la foi et la morale telles qu’elles nous
ont été transmises par les apôtres et défendues par tous les pères et
maîtres est un signe retentissant que quelque chose de très profond
s’est brisé ; une bonne partie, une très bonne partie dirais-je, de la
hiérarchie n’a plus la foi. Pour eux, l’Église n’est qu’une
organisation parmi d’autres, et tout ce qu’ils ont pensé et enseigné
sur elle-même n’est rien d’autre que des fables compréhensibles des
temps passés, mais absolument insoutenables aujourd’hui. »
(caminante-wanderer).
Bergoglio mettra la touche finale en septembre avec la nomination de
nouveaux cardinaux assez jeunes qui ont 20 ans devant eux pour
continuer la destruction de l'Église.
Mais nous savons qu'ils ne sont rendront pas à ce point final car l'Église qu'a fondée le Christ ne peut disparaître.
C'est l'annonce des intentions qui est le point déterminant et cette
limite est octobre 2024 pour le rapport et 2025 pour l'application des
mesures du synode.
Comme
prophétisé par Anne Catherine Emmerich, nous aurons ainsi deux églises:
la traditionnelle et l'église conciliaire qui se sera adaptée aux goûts
du monde, une église humaniste, où la majorité des fidèles suivent le
faux prophète à l'aveugle, sans avoir conscience que l'Église est en
crise, ou tout simplement pour les semi-éveillés, pensant que nous
avons affaire à une autre « crisounnette » au sein de l'église... et
que cela passera.
« Les deux Églises (caminante-wanderer)
...
Mais quel mystère que des articles comme celui-ci soient encore écrits
alors que 95 % des fidèles ne réfléchissent pas une seconde à ces
problèmes, existentiels pour nous. Le matin, je travaille dans une
institution catholique et le soir, je lis The Wanderer. Le
court-circuit est absolu : lequel des deux mondes est le vrai ? Celui
du matin est rose, plein d’espoir, étranger à tout conflit de foi ou de
curialité. Il vit dans une église de joie, de bonne foi, où je
travaille entouré de gens généreux et de religieuses très pieuses. On y
respire la vertu et la paix. Quel mystère mon Dieu!!!!
La situation décrite est bien réelle. Ceux d’entre nous qui sont
conscients de la dérive catastrophique que prend l’Église depuis
quelques décennies, et qui s’est encore accentuée sous le pontificat de
François, sont peu nombreux, très peu nombreux. Le commentateur nous
attribue avec une générosité excessive 5% du nombre total de
catholiques. Je crois que nous sommes beaucoup moins nombreux.
La grande majorité vit dans un monde rose où tout va plus que bien et
où nos évêques et le pape de Rome savent ce qui est le mieux pour
l’Église. Et, comme l’indique également le commentaire, la grande
majorité de ces catholiques sont de bonnes personnes, pieuses à leur
manière, croyant en Dieu, pratiquant les vertus et animées des
meilleurs souhaits pour leurs frères et pour l’Église elle-même. On
peut à juste titre soutenir que beaucoup de ces aspects positifs sont
basés sur l’émotionnel ; le même émotionnel qui les a conduits à
accepter sans discussion la communion des divorcés (« Les pauvres ! Ils
ont le droit de reconstruire leur vie ») et qui les conduira à accepter
la bénédiction des couples homosexuels (« Ils sont si bons et ils
s’aiment tellement ! »).
Mais sont-ils à blâmer ? Ce serait à discuter. Comme le dit le
proverbe, « ce n’est pas la faute du cochon, mais de celui qui le
nourrit ». J’ai cependant de sérieux doutes quant à l’opinion positive
du commentateur sur les « religieuses très pieuses ». Je ne sais pas si
c’est dû à l’influence de Castellani [Leonardo Castellani (1899-1981),
sj, souvent cité par the Wanderer, voir sa biographie sans le biais du
mainstrean ICI], mais je pense que les religieuses sont une espèce du
genre féminin extrêmement dangereuse pour les autres et pour
elles-mêmes.
Mais c’est la question sous-jacente du commentaire qui mérite réflexion
: « Lequel des deux mondes est le vrai ? Le rose ou le sombre? Les 95%
ou les 5%? ». Heureusement, les lecteurs du blog ne sont pas enclins à
croire aux fantasmes de la démocratie et à la raison automatique des
majorités, et nous savons, parce qu’on nous l’a dit et enseigné, qu’à
un moment donné de l’histoire, ceux qui garderont la foi seront très
peu nombreux, presque insignifiants.
Le problème n’est pas le nombre. Le problème est de savoir pourquoi
certains d’entre nous voient – et sont certains de ce qu’ils voient –
ce que d’autres ne voient pas. En fait, la question devrait être posée
dans l’autre sens, puisque nous avons la certitude qui découle de
l’évidence écrasante. Pourquoi les autres ne voient-ils pas l’évidence
? Et c’est là le grand mystère, comme le souligne le commentateur. Car
il ne s’agit pas de voir quelque chose de caché ou une vérité obtenue
au terme d’un raisonnement théologique complexe. Non. Il s’agit
simplement de voir l’évidence, ce qui est tautologique, car c’est
justement parce que c’est évident (ex-videre), que cela saute aux yeux,
qu’on ne peut pas le nier. On ne peut pas ne pas le voir.
Je crois qu’une grande partie du monde ne le voit pas simplement parce
qu’elle ne veut pas le voir, c’est-à-dire par un acte de volonté
positive. C’est le cas dans le monde conservateur et juanpabliste [de
Jean-Paul II]. J’ai des contacts fréquents avec des amis appartenant à
l’Opus Dei, dans toutes ses strates et dans tous ses âges, et il est
impossible de leur parler de « crise de l’Église ». Ils ne parlent pas
de ces questions, et quand on leur montre, presque à l’improviste, ce
qui se passe, la réflexion la plus audacieuse que vous obtiendrez d’eux
sera de dire : « Ce sont les misères de l’Église ». Cela règle tout, y
compris leur conscience, et ils continuent à sourire dans ce monde de
paraboles.
Et la situation est similaire dans le reste de l’univers conservateur :
Légionnaires du Christ; Fasta [Fraternité des Groupes Saint Thomas
d’Aquin], IVE [Institut du Verbe incarné] , Schönstatt, et probablement
aussi kikos [de Kiko Argüello, co-initiateur du chemin
néocatéchuménal] et charismatiques, et tout le charivari qui ne
manquera pas d’envahir Lisbonne [à l’occasion des JMJ] dans quelques
semaines.
Mais un autre groupe, probablement la majorité, ne le voit pas parce
qu’il ne peut pas le voir, parce qu’il n’en a pas la capacité. Ce sont
ceux pour qui l’Église a été changée par inadvertance, et pour eux,
être catholique, c’est vivre dans ce monde toujours rose où tout se
résout par « prends ma main mon frère » et où il leur semble tout à
fait normal que l’Église s’adapte continuellement aux modes et aux
exigences ondoyantes du monde.
Ce sont ceux qui se sentent à l’aise dans des messes transformées en
spectacles de guitares et de tambours, dans lesquelles l’Eucharistie
n’est rien d’autre que le pain partagé de la communauté et dans des
paroisses où la catéchèse a cessé d’enseigner les vérités de la foi
pour former les enfants à être de bons frères et de bonnes sœurs pour
tous les hommes. Bref, ce sont les « catholiques » qui vivent dans
l’Eglise fondée lors du Concile Vatican II et qui, de même qu’un
catholique né il y a un siècle ne reconnaîtrait pas comme catholique
une messe d’aujourd’hui alors qu’il en reconnaîtrait une célébrée il y
a un millénaire, ces nouveaux catholiques non seulement ne
reconnaîtraient pas comme catholique une messe de 1960, ni un
catéchisme ou un livre de dévotion de ces années-là, mais se
réclameraient avec conviction d’une autre foi, désavouant celle
enseignée par les apôtres.
Hésitant et inquiet au moment où j’écris ces lignes, la vérité est que
le mystère signalé par le lecteur n’est pas si mystérieux que cela. En
fait, la chose la plus logique est que « le court-circuit est absolu »,
car « lequel des deux mondes est le vrai? ».
Les deux le sont. Le problème vient de nous qui continuons à considérer
que les deux mondes sont un seul et même monde et qu’ils devraient se
ressembler. Deux Églises se présentent à nous, avec deux liturgies
complètement différentes, deux théologies complètement différentes,
deux symboles interprétés de manière complètement différente, deux
morales complètement différentes, et nous pourrions continuer à
souligner les distinctions. Le pontificat de Bergoglio n’a fait que
décanter ce qui a commencé avec Vatican II et – soyons honnêtes – a été
renforcé par le très long mandat de Jean-Paul II.
Il semblerait que les deux Églises soient désormais clairement
délimitées, le même pape les confondant toutes deux : l’une, l’Église
de la publicité et vendue au monde ; l’autre, avec à peine une poignée
de fidèles, l’Église des promesses :
Il
peut y avoir deux Églises, l’une, l’Église de la publicité, Église
magnifiée par la propagande, avec des évêques, des prêtres et des
théologiens médiatisés, et même avec un Pontife aux attitudes ambiguës
; et l’autre, l’Église du silence, avec un Pape fidèle à Jésus-Christ
dans son enseignement et avec quelques prêtres, évêques et fidèles qui
lui sont inféodés, dispersés comme des « pusillus
grex » sur toute la terre. Cette seconde Église serait
l’Église des promesses, et non la première, qui pourrait échouer. Un
seul et même Pape présiderait les deux Églises, qui apparemment et
extérieurement n’en seraient qu’une. Le Pape, par ses attitudes
ambiguës, serait à l’origine de l’ambiguïté. En effet, d’une part, en
professant une doctrine irréprochable, il serait le chef de l’Église
des promesses. D’autre part, en produisant des actes équivoques, voire
répréhensibles, il apparaîtrait comme encourageant la subversion et
entretenant l’Église gnostique de la publicité.
*
Julio Meinvielle, De la cábala al progresismo, Salta : Editora Calchaquí, 1970. »
24 juillet
LE SCHISME
Mgr Vigano nous l’a indiqué dans sa dernière intervention.
La
logique de Bergoglio est de « créer les prémisses d’un schisme, qu’il
nie et déplore en paroles, mais qu’il prépare depuis longtemps.
Bergoglio veut séparer, d’une manière ou d’une autre, la partie bonne
des fidèles et des clercs de l’Église officielle ; et pour y parvenir,
pour qu’ils se détournent du Sanhédrin moderniste, il a placé à des
postes clés de la Curie romaine les personnes qui garantissent la pire
gestion des dicastères qui leur sont confiés, avec le pire résultat
possible et le plus grand dommage pour le corps ecclésial. »
Le
katéchon décrit dans Saint-Paul avait la puissance de retenir l’homme
de péché, le fils de la perdition, qui veut provoquer le schisme, afin
d’isoler la Tradition, et ensuite l’excommunier.
C’est la mort des deux témoins de l’Apocalypse.
L’identification du katéchon nous permet de nous situer dans le calendrier de la fin des temps.
Benoît XVI était le katéchon, ce qui est abondamment documenté dans plusieurs de nos analyses.
Ce dernier le savait bien.
Il connaissait son rôle déterminant et sa démission ne fut pas un hasard.
A
une « question pressante d’un journaliste allemand lui demandant
pourquoi « il ne pouvait pas mourir », le Saint-Père ait
répondu qu’il devait rester « comme un mémorial pour le message
authentique de Jésus, comme une lumière sur la montagne » , avant
de conclure « A la fin, le Christ vaincra » »
(benoit-et-moi.fr)
L’apostasie est présente.
Le
katéchon n’étant plus, le champs est maintenant libre pour le fils de
la perdition qui s’est installé sur le trône de Saint-Pierre tel
qu’annoncé aussi à La Salette.
C’est le destructeur de l’église tant de fois décrit dans les prophéties d’Anne Catherine Emmerich.
«
La nomination du futur préfet de la foi exprime de manière
significative ce que les gros titres cités au début veulent dire par la
destruction de l’héritage de Benoît. Alors que François a écarté à la
première occasion le cardinal Müller, appelé par Benoît, il hisse
maintenant à ce poste, avec son acolyte argentin de longue date,
quelqu’un qui a immédiatement annoncé une sorte
d’autodémolition. Il veut modifier le catéchisme, relativiser les
affirmations de la Bible, mettre le célibat en discussion. »
Nous découvrons aujourd’hui cet impie qui promulgue sa parole de vérité par ses « miracles de la technologie ».
«
Le début a attiré l’attention. J’ai été impressionné par son engagement
pour les pauvres, les réfugiés, pour la protection inviolable de la
vie.
En
même temps, le public étonné a observé que Bergoglio ne tenait pas
beaucoup de ses promesses, qu’il se contredisait sans cesse et qu’il
créait ainsi une confusion considérable. A cela s’ajoutent les
nombreux cas où il a gouverné durement, destitué des personnes mal vues
et fermé des institutions précieuses créées sous Jean-Paul II. »
Et nous savons que la fin n’est pas loin grâce au synode des synodes en cours.
C’est l’ultime épreuve de l’Église et au travers de ce calvaire nous découvrons finalement le vrai visage de Bergoglio.
«
Bergoglio ne s’est pas rendu service avec cette affaire. Cela lui ôte
toute crédibilité. On ne peut pas parler en permanence, Bible en main,
d’amour fraternel, de respect mutuel et de miséricorde et en même temps
piétiner ces vertus. »
«
Dans son apparition cet impie sera, par la puissance de Satan,
accompagné de toutes sortes de miracles, de signes et de prodiges
mensongers, avec toutes les séductions de l'iniquité, pour ceux qui se
perdent, parce qu'ils n'ont pas ouvert leur cœur à l'amour de la vérité
qui les eût sauvés.
C'est
pourquoi Dieu leur envoie des illusions puissantes qui les feront
croire au mensonge, en sorte qu'ils tombent sous son jugement tous ceux
qui ont refusé leur foi à la vérité, et ont au contraire pris plaisir à
l'injustice. » (Saint-Paul, Th 2)
Il est 15h pour l’Église. Elle
se meurt. Les digues sont ouvertes avec les dernières nominations de
Bergoglio aux postes clés pour avoir sa conclusion tant attendu.
Il
a eu besoin de dix années pour imposer ses cardinaux à son éventuel
successeur (alors qu’on sait qu’il est le dernier pape, par la
prophétie de Jean XXIII et par la prophétie de Saint-Malachie sur la
liste des papes) pour qu’il ait les mains liées avec son programme
progressiste.
Aucun retour en arrière selon lui.
Et
c’est bien ce que Satan veut, car ses paroles on le sait maintenant,
s’adressent directement à la messe traditionnelle : aucun retour
vers la messe traditionnelle possible.
Les
extraits ci-haut sont du biographe de Benoît XVI, Peter Seewald qui
était très proche qui ne cache plus les intentions de Bergoglio et qui
confirme que les digues sont ouvertes. (vraiment percutant via benoit-et-moi.fr)
Seul l’intervention du Christ peut nous sauver.
Nous savons tous que 2024 sera l’année cruciale dans cette fin des temps avec la conclusion du synode des synodes.
Or,
on ne pouvait anticiper que Bergoglio aurait l’intention de visiter
l’Argentine en 2024 (car la Providence a éliminé l’intention première
pour 2017).
On
ne pouvait anticiper ainsi que le prophétie de Jean XXIII le concernant
ne correspondait pas nécessairement à l’intention de Bergoglio d’être
enseveli dans sa terre natale, mais peut-être au fait qu’il y trouvera
la mort durant son voyage, d’où l’expression «à Rome ils ne voudront
pas te donner ».
Jean XXIII (prophétie François) : « Ton
règne sera grand et bref. Père, il sera bref mais il te mènera loin,
dans la lointaine terre où tu es né et où tu seras enseveli.A Rome ils ne voudront pas te donner. »
«
Et alors se découvrira l'impie, que le Seigneur (Jésus) exterminera par
le souffle de sa bouche, et anéantira par l'éclat de son avènement. »
(Saint-Paul, Th. 2, 8)
16 juillet
LA STRATÉGIE DE BERGOGLIO
Pour
le dernier acte pour exécuter l'Église selon les écritures, il y avait
deux possibilités telles que nous l'avions vu dans les analyses des
dernières années: l'élimination pure et simple de la présence réelle
(ou du moins son intention de la faire) par une nouvelle messe
oecuménique, ou simplement en éliminant la branche saine de l'Église,
la Tradition.
Or, Bergoglio semble choisir la deuxième voie, et sa
stratégie de Bergoglio pour isoler et ensuite éliminer les
traditionalistes est avancée par Mgr Vigano... exactement comme prédit
par le regretté Serg Monast.
Tout
est fait littéralement pousser les traditionalistes et les « deux
témoins », c'est à dire ceux du clergé et des fidèles qui ont gardé la
Foi dans la Loi et les Prophètes tel que nous l'a enseigné le Christ,
vers la Fraternité Saint Pie X, car la clique vaticaniste sait bien
qu'il n'y aura jamais de compromis de ces derniers qui sera accepté
pour les réintégrer dans l'église conciliaire.
Et
lorsque ce sera fait, Bergoglio excommuniera la Fraternité, et les «
deux témoins » seront officiellement morts, pour trois jours, comme
décrit dans l'Apocalypse.
Et Satan pense qu'il aura triomphé.
Erreur... car Dieu a un magnifique plan pour le berner à l'image de la résurrection de NSJC.
« Quelle est la logique suivie par Bergoglio dans ses nominations ?
La logique de Bergoglio est
très évidente : il veut créer les prémisses d’un schisme, qu’il nie et
déplore en paroles, mais qu’il prépare depuis longtemps. Bergoglio veut
séparer, d’une manière ou d’une autre, la partie bonne des fidèles et
des clercs de l’Église officielle ; et pour y parvenir, pour qu’ils se
détournent du Sanhédrin moderniste, il a placé à des postes clés de la
Curie romaine les personnes qui garantissent la pire gestion des
dicastères qui leur sont confiés, avec le pire résultat possible et le
plus grand dommage pour le corps ecclésial.
Les restrictions progressives
à la célébration de l’ancienne Liturgie servent à enfermer les
conservateurs dans des réserves de chasse, pour les canaliser ensuite
vers la Fraternité Saint-Pie X, dès que le Synode aura porté à leurs
tragiques conséquences les changements doctrinaux, moraux et
disciplinaires qui se préparent et auront provoqué un exode des
catholiques vers ce qui, après la suppression ou la normalisation des
Instituts Ecclesia Dei, deviendra le « monopole » de la Tradition.
Mais à ce moment-là –
c’est-à-dire quand les catholiques traditionnels auront migré dans la
Fraternité et que ses dirigeants croiront avoir remporté une victoire
sur la concurrence de Summorum Pontificum (supprimé) – une nouvelle
provocation intolérable obligera au moins une partie de la Fraternité
Saint-Pie X à prendre ses distances avec la Rome bergoglienne, validant
ainsi l’ « excommunication » du traditionalisme, qui n’est plus
représenté au sein de l’Église officielle, si tant est qu’il l’ait
jamais été. C’est pourquoi, à mon avis, il est important de maintenir
une certaine parcellisation, afin de rendre plus complexe la manœuvre
malveillante d’éviction des catholiques traditionnels du corps
ecclésial.
Diaconesses, abolition du
célibat ecclésiastique, bénédiction des couples homosexuels, tolérance
de la polygamie, théorie du gender, idéologie LGBTQ, panthéisme
écologique à la Teilhard de Chardin : tels sont les points de discorde
que Begoglio ouvre délibérément entre l’aile conservatrice (mais pas
traditionnelle, déjà distante ou dépassée) et l’aile
ultra-progressiste. Son but est de créer l’affrontement, de le laisser
grandir, d’encourager par des nominations et des promotions les
partisans des cas les plus extrêmes, puis d’assister à la réaction
prévisible de condamnation des quelques bons évêques, prêtres et
religieux restants, qui, face à l’écueil-Bergoglio, auront deux choix :
retourner souffrir en silence ou se lever, dénoncer la trahison de la
Vérité catholique et être contraints de quitter leur poste et d’exercer
leur ministère dans la clandestinité ou au moins dans une apparente
irrégularité canonique.
Une fois les pasteurs gênants
ostracisés et les fidèles conservateurs écartés, la hiérarchie
bergoglienne pourra exercer un contrôle total sur le clergé et le
peuple, certaine de l’obéissance des laissés-pour-compte. Et cette
secte, qui de catholique n’aura plus que le nom (et peut-être même
plus), éclipsera totalement l’Épouse de l’Agneau, dans le paradoxe
d’une Hiérarchie traîtresse et corrompue qui abuse de l’autorité du
Christ pour détruire son Église.
C’est ce que souhaitent les
commanditaires de Bergoglio et de ses minion [sic!] mais le sensus
fidei du peuple saint de Dieu pourrait conduire beaucoup à rejeter
cette fraude et à participer à une action de résistance ferme et de
dénonciation résolue. Le Seigneur permettra que l’Église paraisse
morte, que les forces de l’enfer croient l’avoir vaincue, parce qu’il
veut que le Corps mystique suive le chemin de la Croix et de
l’Enterrement, comme son divin Chef, s’il veut le rejoindre dans la
gloire de la Résurrection.
On dit que le Collège des cardinaux, tel que voulu par François, représente l’Église universelle : vraiment ?
Si l’on soumettait un
questionnaire anonyme aux éminents membres du Collège des cardinaux,
dans lequel ils devraient répondre par « vrai » ou « faux » à une série
de propositions sur lesquelles le Magistère s’est déjà infailliblement
exprimé, on découvrirait avec horreur que la majorité absolue, voire la
quasi-totalité des cardinaux ne sont pas « catholiques », tout court.
Et dans le nombre de ceux-ci, je crois que nous trouverions aussi
quelques conservateurs. L’hérésie notoire de nombreux prélats est
confirmée par leurs propres déclarations, devant lesquelles Bergoglio
s’est bien gardé d’ouvrir la bouche, comme il sait le faire sans trop
de scrupules à l’égard des quelques prélats restés fidèles.
L’actuel Collège des cardinaux
est la quintessence de l’Église bergoglienne : ses membres représentent
la large diffusion du modernisme et du progressisme conciliaire dans le
monde. Mais ils ne sont certainement pas l’expression de l’Église
universelle : d’abord parce qu’ils n’en font pas partie, ne serait-ce
qu’en apparence, étant hérétiques ; ensuite parce que, par la grâce de
Dieu, les fidèles et le clergé apprennent – après soixante ans
d’horreurs [post-conciliaires], depuis dix ans encore plus évidentes –
à ne pas prendre pour argent comptant tout ce qui sort de la bouche du
pape, de l’évêque ou du curé. Ceux-ci, après avoir prêché la
désobéissance au vrai Magistère, se retrouvent donc à subir les
conséquences d’une désobéissance qui, cette fois, est bonne et
légitime, parce qu’elle obéit au Christ.
Nous assistons à l’effacement
systématique de toute une partie de l’Église – identifiable
géographiquement, mais aussi idéologiquement – qui reste catholique :
quelques évêques américains, avec leurs diocèses ; de nombreux évêques
africains, fidèles surtout sur le plan moral ; et un nombre croissant
de curés, de prêtres, de religieux et de religieuses qui se rendent
compte qu’ils sont les prochaines victimes des purges de Santa Marta (…)
Tucho Fernández sera cardinal. Jusqu’à récemment, cela semblait être une plaisanterie. Ce n’est pas le cas.
Cela reste une plaisanterie,
car ce qui se passe depuis dix ans relève plus de la farce que de la
tragédie. Tout ce que la secte de Santa Marta enfante est une
supercherie : la prétendue « démocratisation » du synode sur la
synodalité, où les questions soumises aux communautés locales sont
formulées de manière à obtenir les réponses souhaitées, toujours selon
un dessein subversif précis qui part de Bergoglio lui-même.
L’implication des femmes dans le gouvernement de l’Église est un
mensonge : c’est contraire à la volonté de Notre Seigneur et aucun
pouvoir, aussi tyrannique et autoritaire soit-il, ne peut changer le
sujet du sacrement de l’ordre. Les clins d’œil scandaleux des prélats
et des clercs aux vices et aux modes de vie de la soi-disant «
communauté LGBTQ » sont une tromperie : ils utilisent les faiblesses
des laïcs égarés par l’idéologie woke pour légitimer leurs péchés
personnels, qui émergent tôt ou tard dans leur prosaïsme embarrassant.
Fernández lui-même, qui courtise Bergoglio depuis des années avec des
déclarations publiques d’estime, de confiance en sa capacité
réformatrice, de certitude de l’inexorabilité de son action «
prophétique » (dans le néo-langage du Concile, synonyme d’ « hérétique
») en tant que Pasteur suprême de l’Église, est lui aussi un personnage
construit.
Fernández est à Bergoglio ce
que Zelenskyj est à Biden : des marionnettes dans les mains de
marionnettes. Les ficelles sont toujours tirées par cette même élite
subversive qui relie la Maison Blanche au Vatican, les courriels de
Podesta à l’abdication de Ratzinger, l’État profond à l’Église
profonde, Nancy Pelosi au « père » James Martin sj.
Il ne fait aucun doute que
Fernández a été placé à la tête de l’ancien Saint-Office pour ne rien
faire de ce que devrait faire le préfet de ce très important dicastère,
aujourd’hui rétrogradé. Il fera exactement le contraire: il encouragera
les hérésies et les déviations morales des théologiens en vogue
aujourd’hui, des évêques impatients de déménager à l’hôtel Santa Marta,
des partisans de la théorie du genre ; et en revanche, il agira avec
une fermeté impitoyable pour le prêtre qui critique une déclaration
hérétique de Bergoglio ou de l’un de ses protégés, pour l’évêque qui
dénonce les déviations du Synode, pour le professeur de séminaire qui
enseigne encore les actes magistériels antérieurs à Vatican II. Nous
verrons jusqu’où ira le zèle de ce Fernández pour plaire à son
commanditaire, et combien de temps ceux qui sont visés par les talibans
de la Pachamama supporteront ces attaques sans y répondre, voire en les
ignorant tout simplement....
La crise actuelle est le
châtiment par lequel le Seigneur punit l’Église et le monde de
l’infidélité de ses ministres et des gouvernants des nations. Nous
considérons ce fléau comme le geste sévère d’un Père trop longtemps
offensé, mais qui veut encore nous sauver. La conversion est la seule
voie possible : revenons à Dieu, avant que la Miséricorde ne cède à la
Justice. » (benoit-et-moi.fr)
12 juillet
UN TEMPS, DEUX TEMPS, ET UN DEMI TEMPS
«
... « Ouvrons ces deux foutoirs que sont le Droit canonique (celui de
’83) ou le Catéchisme (de ’94), pour en retirer beaucoup de choses
inutilisables et faire de la place pour en mettre et en ajouter
d’autres qui sont nécessaires pour assurer la continuité du cheminement
synodal.
Le Nouveau Code de 83 et le
Nouveau Catéchisme (de 94) sont souvent qualifiés de nouveaux
“ratzingerianamente” [ndt – je comprends: nouveautés ratzingeriennes,
de toute façon, l’allusion est claire] , mais ils ne sont pas si
nouveaux, parce que sur de nombreux points ils ne sont pas en accord
avec Lumen Gentium et Gaudium et Spes.
La révision de ces deux textes
est un sujet incontournable pour la réalisation de la synodalité
ecclésiale. Entre les deux synodes sur la famille qui ont précédé
Amoris laetitia, le pape François a publié le Motu proprio « Mitis
Iudex Dominus Iesus », par lequel il a anticipé le tournant pastoral du
droit canonique, que ces synodes n’ont pas encore pu aborder, se
limitant à sauver de justesse les décisions de discernement au for
interne. » (benoit-et-moi.fr)
Nous
avons vu dans les analyses précédentes que l’humanisme était intégré au
code du droit canonique par Jean Paul II en 1983 et que la limite du
diable était 2025.
Or,
ce synode de 2023-24 s’attaque directement à ce droit canon ou plutôt
tend vers la modification complète de ce dernier et ainsi transformer
l’église conciliaire en église de Satan, d’où l’extraordinaire tour de
passe passe inimaginable, qu’on qualifie de mystère de l’iniquité dans
l’Apocalypse.
D'ailleurs,
Bergoglio a annoncé un nouveau consistoire pour nommer 19 nouveaux
cardinaux en septembre, juste avant le synode d'octobre, et plusieurs
de ceux-ci y auront droit de vote, dont le fameux Mgr Fernandez.
Tous
sont des progressistes, et Bergoglio n'a jamais ou presque nommé de
cardinaux conservateurs depuis son intronisation, contrairement à ses
prédécesseurs, pour avoir un équilibre au prochain conclave.
Il n'y aura pas de retour en arrière affirme-t-il et il prend les moyens pour que cela n'arrive pas.
Nous
savons que les deux Babylone Nations-Unies et Vatican forment le
système antichristique 666, la bête, avec à sa tête des
personnifications humaines tel que Bergoglio.
Les
derniers moments de la fin des temps sont caractérisés par un compte
d’un temps, deux temps et un demi temps (voir analyse 24 octobre 2022).
Le
demi temps est la période cruciale, ultime qui représente le temps de
la purification dans l’Apocalypse (les 7 sceaux, 7 coupes, 7
trompettes) et dans les prophéties de Jean XXIII (sept fois, sept fois,
sept fois).
Le chiffre 6, celui de l’homme déifié dans sa trinité (666=18), est purifié par 6X3,5 (ce qui donne 21 ou 777).
Rappel
du décompte selon l’hypothèse d’octobre 2022 : un temps
(1962-1983), deux temps (1983-2025), et un demi temps (ou nul ne
connaît le jour ni l’heure), soit 1962 plus 21 ans, plus 42 ans pour
2025.
Nous
savons grâce au miracle du soleil du 13 octobre 1917 que la
purification se fera par le feu, et probablement que le soleil y
occupera une grande place.
Le
code de droit canonique de 1917 a été promulgué le 27 mai 1917 (peu
après la première apparition de Fatima donc) et a donc été modifié en
1983.
Nombres d’années entre le 27 mai 1917 et le 27 novembre 1983 : 66 ans et 6 mois.
Le cycle solaire 25 devait atteindre son apogée en juillet 2025.
Or, tout s’accélère et les scientifiques prévoient donc le maximum solaire pour la fin 2023, début 2024.
En effet, 2023 est particulièrement actif du côté solaire...
«
LE COMPTE DE TACHES SOLAIRES A ATTEINT UN SOMMET EN 21 ANS : Le soleil
fait la fête comme en 2002. C'est la dernière fois que le nombre de
taches solaires était aussi élevé qu'aujourd'hui. Le nombre moyen
mensuel de taches solaires pour juin 2023 était de 163, selon le Centre
d'analyse des données sur les influences solaires de l'Observatoire
royal de Belgique. Cela éclipse chaque mois depuis septembre 2022 :
On ne s'attendait pas à ce que
le cycle solaire 25 soit aussi fort. Lorsqu'il a commencé en décembre
2019, les prévisionnistes pensaient qu'il s'agirait d'un cycle faible
semblable à son prédécesseur immédiat, le cycle solaire 24. Si cette
prévision s'était avérée exacte, le cycle solaire 25 serait l'un des
cycles solaires les plus faibles depuis un siècle. Au lieu de cela, le
cycle solaire 25 a dépassé le cycle solaire 24 et pourrait être sur le
point de rivaliser avec certains des cycles les plus forts du 20e
siècle. La dernière fois que le nombre de taches solaires était aussi
élevé, le soleil était sur le point de lancer les grandes tempêtes
d'Halloween de 2003, qui comprenaient la plus forte éruption solaire à
rayons X jamais enregistrée (X45), des aurores aussi loin au sud que le
Texas et un CME si puissant, il a finalement été détecté par le
vaisseau spatial Voyager aux confins du système solaire. »
(spaceweather.com)
https://spaceweather.com/
«
Les tempêtes solaires d'Halloween étaient une série de tempêtes
solaires impliquant des éruptions solaires et des éjections de masse
coronale qui se sont produites de la mi-octobre au début novembre 2003,
culminant vers les 28 et 29 octobre. Cette série de tempêtes a généré
la plus grande éruption solaire jamais enregistrée par le système GOES,
modélisée aussi forte que X45 (initialement estimée à X28 en raison de
la saturation des détecteurs de GOES)…
L'une des tempêtes solaires a
été comparée par certains scientifiques dans son intensité à
l'événement Carrington de 1859. Ces événements se sont produits pendant
le cycle solaire 23, environ trois ans après son pic en 2000, qui a été
marqué par une autre occurrence d'activité solaire connue sous le nom
d'événement du 14 juillet. » (wikipedia.org)
«
La tempête solaire du 14 juillet était une puissante tempête solaire du
14 au 16 juillet 2000 pendant le maximum solaire du cycle solaire 23.
La tempête a commencé le jour de la fête nationale de la France, le 14
juillet. Il s'agissait d'une éruption solaire, d'un événement de
particules solaires et d'une éjection de masse coronale qui a provoqué
une violente tempête géomagnétique. » (wikipedia.org)
Il y a eu plus d’éjection de
classe X, la dernière en date du 3 juillet, que dans les six premiers
mois de 2023 que dans toute l’année 2022.
Le réchauffement climatique a le dos large…
Et si Dieu était en train d’agir?
Car il fut prouvé par la NASA que toutes les planètes de notre système solaire se réchauffent…
Présentement il y a des canicules sous-marines inhabituelles, dont une d’une ampleur jamais vue en Atlantique Nord
Des
sécheresses un peu partout dans le monde (la moitié des récoltes de
maïs perdues dans le mid-ouest américain cet été) qui côtoient des
orages et des trombes d’eau ailleurs (il faut bien que cet eau évaporé
aille quelque part).
Le phénomène El Nino est de retour… et il fait référence à l’enfant Jésus...
L’arctique canadien a des températures de 10 à 18 degrés au-dessus des normales.
Des feux de forêts sur des territoires immenses en mains endroits.
Et, on vient de le voir, octobre 2024, soit la fin du synode moins 2003 donne 21, le chiffre de la purification 777.
De
plus, la tempête d’Halloween, fête satanique en soi, a eu lieu le 28
octobre, jour d’élection de Jean XXIII qui a parti le bal de Vatican II.
Or, entre le 28 octobre 1958 et 2024 il y a exactement 66 ans.
Notons aussi qu’entre ce 28 octobre 1958 et le 27 avril 2014, date de la canonisation de Jean XXIII, il y a exactement 666 mois.
Ce fut un signe donné pour nous indiquer que nous étions en présence du système antichristique 666 depuis Vatican II.
Et la tempête d’Halloween 2003 faisait partie du cycle solaire qui avait débuté par l’événement de la Bastille en 2000.
Or, on le sait, les deux derniers bastions catholiques à éliminer sont le Vatican et la Fille aînée de l’Église.
Du 28 octobre 1958 au 28 juillet 2023, il y aura exactement 777 mois depuis l’élection de Jean XXIII.
Nous sommes sur le point d’entrer dans le 7 ème sceau, la prophétie #11 de l’Église selon Jean XXIII.
6 juillet
Bergoglio
a réalisé l’impensable en nommant un de ses proches au sommet du
dicastère (notez la préparation qui avait eu lieu avant en changeant le
nom de «congrégation» à «dicastère» pour couper le lien avec l’ère de
Benoît XVI, basée entièrement sur la doctrine) pour la doctrine de la
foi.
C’est
le dernier mouvement avant le synode qui annoncent définitivement les
intentions bergogliènnes : la destruction totale de l’église ou en
fait, sa transformation subtile en église de Satan.
«
Je vis qu’un certain nombre de pasteurs acceptaient des idées
dangereuses pour l’Église. Ils construisaient une grande Église,
étrange et extravagante. N’importe qui était accepté, afin de s’y
joindre et d’avoir les mêmes droits: les évangélistes, les catholiques,
les sectes de toutes croyances. Ce devait être la nouvelle église …
mais Dieu avait d’autres projets … » (Anne Catherine Emmerich)
Les analyses pleuvent sur les sites dédiés au Vatican.
En voici quelques unes :
« On peut se poser avec
appréhension la question du devenir de ce dicastère central de la Curie
romaine, sachant que si cette Congrégation change, c’est toute
l’Église qui change« . En effet » La CDF (ou ex-CDF] n’est
pas un centre culturel, elle n’anime pas la recherche théologique, elle
ne provoque pas de débats et n’initie pas de processus de
confrontation. C’est plutôt le contraire qu’il faut dire. La
Congrégation dit le dernier mot et clôt, sur ce point, la
recherche, le débat et le processus« . C’est tout cela qui va être
bouleversé avec l’arrivée du sicaire du Pape – une arrivée
soigneusement programmée par l’intéressé lui-même. » (benoit-et-moi.fr)
« la personne de Fernández et
la mission spécifique qui lui est confiée par la lettre de nomination
sont taillées sur mesure pour l’assemblée plénière du Synode qui
débutera à l’automne… Fernández est la bonne personne pour dédouaner
enfin, en douceur, la ligne que Mgr Paglia a adoptée pour l’Académie
pontificale pour la vie et l’Institut Jean-Paul II. C’est un fanatique
du discernement supra todos, du cas par cas, de la non-existence
d’actes intrinsèquement désordonnés. Bref, il est
le clone non seulement de François, mais aussi de
Paglia ». » (benoit-et-moi.fr)
« Mgr Fernandez, il y a 8 ans:
« « J’ai lu que certains
disent que la Curie romaine est une partie essentielle de la mission de
l’Eglise, ou qu’un préfet du Vatican est la boussole sûre qui empêche
l’Église de tomber dans la pensée light; ou bien que le
préfet assure l’unité de la foi et garantit au pape une théologie
sérieuse. Mais les catholiques, en lisant l’Evangile, savent que le
Christ a assuré un guide, et une lumière spéciale au Pape et à
l’ensemble des évêques, mais pas à un préfet ou à une autre structure.
Quand on entend dire des choses de ce genre, il semblerait presque que
le Pape soit un de leurs représentants, ou quelqu’un qui est venu
déranger et qui doit être contrôlé».
[François] a sans doute un
objectif que nous ne comprenons pas encore. Il faut savoir qu‘il vise à
des réformes irréversibles. Si un jour, il avait l’intuition qu’il
lui reste peu de temps, et qu’il n’en a pas assez pour faire ce que
l’Esprit lui demande, vous pouvez être sûr qu’il accélérera».
La chose qui me préoccupe le
plus, c’est que les théologiens n’offrent pas de nouvelles analyses sur
l’Église, sur le sens théologique de ses structures, sur le statut des
Conférences épiscopales des pays et régions, et sur la vraie place de
la Curie romaine en relation avec le Pape et avec le Collège des évêques
Non, on ne revient pas en
arrière. Si François n’était plus pape et quand il ne le sera plus, son
héritage reste fort. Par exemple, le pape est convaincu que ce
qu’il a déjà écrit ou dit ne peut être puni comme une erreur. Donc, à
l’avenir tout le monde pourra répéter ces choses sans la crainte de
recevoir des sanctions. » (benoit-et-moi.fr)
« Mgr Fernandez n’a pas de doctrine et sa foi catholique est plus que douteuse.
La
première affirmation est prouvée si l’on s’approche de l’un des
exemplaires de son abondante production bibliographique. Nous ne
parlons pas ici de son ouvrage le plus connu, El arte de
besar (L’art du baiser). Choisissez n’importe lequel de ses autres
livres et vous verrez qu’ils sont toujours volumineux et adaptés à la
lecture de religieuses âgées et désenchantées ; une sorte
d’auto-assistance légère avec une coloration chrétienne. Quant à sa
foi, si l’on écoute ce qu’il dit dans ses homélies ou ce qu’il écrit
dans la presse, il n’est pas téméraire de douter du caractère
catholique de ce qu’il croit. Le cardinal Müller lui-même, en 2016, en
tant que préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi, l’a
qualifié d’hérétique (sogar häretisch). En d’autres termes, c’est
un hérétique – selon la qualification du cardinal – qui sera chargé de
veiller à l’orthodoxie de la foi catholique. Personne n’aurait pu
imaginer une situation plus absurde, ni Mgr Robert Benson, ni Hugo Wast
[écrivain argentin, 1883-1962], ni Soloviev, ni Castellani [Leonardo
Castellani, écrivain et poéte argentin, 1899-1981]. La réalité, une
fois de plus, dépasse la fiction. » (benoit-et-moi.fr)
« ( LifeSiteNews ) -
L’archevêque argentin Hector Aguer a comparé le Synode et la Synodalité
à «l’Agenda mondialiste 2030» de l’ONU et au schisme protestant.
…
Dans
une lettre publiée par Rorate Caeli, Aguer a critiqué le nouveau
document de travail , ou Instrumentum Laboris (IL), du Synode sur la
synodalité, qui souligne la nécessité « d’ accueillir ceux qui se
sentent exclus de l’Église en raison de leur statut ou de leur
sexualité ».
Aguer a déclaré que « l’Église synodale formule une glose progressive sur l’Évangile ».
« L’ Instrumentum
Laboris définit comment assumer ecclésialement l’ Agenda 2030
mondialiste « , a-t-il déclaré. « Il est admirable de voir comment
la monarchie pontificale fait dire à la ‘démocratie synodale’
exactement ce qu’elle veut que cette ‘démocratie’ dise. C’est quelque
chose comme lancer une pierre et cacher la main.
…
Il
a noté qu’à travers le Synode « l’Église catholique commence
tardivement à suivre la voie ouverte par la Réforme protestante, à une
époque où le protestantisme a depuis longtemps été englouti par le
monde ».
« C’est le moment de citer ce
qu’un luthérien danois qui fut un grand philosophe chrétien, Soren
Kierkegaard, écrivait dans son Journal en 1848 : « En ce moment, alors
qu’il est question de réorganiser l’Église, on voit combien il y a peu
de christianisme dedans », a poursuivi l’archevêque.
Aguer
a en outre critiqué la participation des laïcs au processus synodal, en
particulier des laïques, et a estimé que « les vocations
sacerdotales ne sont plus une priorité » dans « l’Église
synodale ».
«
L’itinéraire de la future Assemblée, déjà préparé depuis deux ans, fait
parler et voter la ‘foule’ — surtout et de manière inédite la féminine
», écrit-il. « C’est ce que j’ai sous-entendu avec l’exemple bien connu
de la pierre. Lorsque la conception de cette autre Église sera achevée,
le Souverain Pontife, face aux critiques qui ne manqueront pas, pourra
dire : « Je ne l’ai pas fait » !
Aguer a déclaré que la
nouvelle ecclésiologie appelée «synodalité» est ambiguë car elle
n’indique pas clairement dans quelle direction l’Église est censée
aller.
« Le
but, alors, peut être la nouvelle Église progressiste, à contre-courant
de la grande Tradition ecclésiale », a écrit l’archevêque.
« L’un
des sujets à l’ordre du jour, qui attire rapidement l’attention,
est » comment l’Église peut-elle être plus réceptive aux personnes
LGBTQ + « », a-t-il déclaré, notant que l’expression »
personnes à tendances homosexuelles « qui a été utilisée dans le
Catéchisme et d’autres documents de l’Église est remplacé par ce
nouveau terme idéologique « personnes LGBTQ+ ».
Aguer
a conclu que «la vérité objective et la reconnaissance des préceptes
par lesquels la vertu et le péché sont jugés et reconnus ne comptent
plus». Au contraire, « ce qui compte maintenant, c’est ce que
ressentent ceux qui se considèrent comme exclus ; c’est leur sentiment
qui compte, pas l’ état objectif dans lequel ils se trouvent.
« Le
programme synodal, comme celui du Synode allemand, dessine une autre
Église, hétérogène par rapport à la grande et unanime Tradition »,
a-t-il déclaré.
Aguer
a mentionné qu’il connaissait personnellement le pape François depuis
45 ans. Il a comparé François et les auteurs des documents du Synode à
des « causes secondes » par lesquelles Dieu permet que le mal
se produise.
«
Je reconnais et vénère François comme Successeur de Pierre, Vicaire du
Christ », écrit-il. «Mais François est toujours Jorge Bergoglio.
Maintenant, je connais Jorge Bergoglio depuis 45 ans. Il est une ’cause
seconde’. »
On voit bien dans ce témoignage la prophétie d’Anne Catherine Emmerich qui s’exécute.
Juin 2023
25 juin
Le temps est proche.
Le calendrier de la fin des temps se précise.
Nous avons pu le constater avec ce brouhaha en Russie hier déclenché le
jour de la Saint-Jean Baptiste, l’annonciateur du Christ.
Babylone Nations-Unies marche main dans la main avec Babylone Vatican et son synode.
Le
document de travail du synode vient d’être publié, le 21 juin, soit 60
ans après l’élection de Paul VI en 1963, une autre preuve du veuvage de
l’église.
« Attention, avis de tempête, révolution dans l’Église en vue
Depuis le début de ce
pontificat, on se demandait quand cela allait arriver, et certains
journalistes audacieux faisaient même des titres sur le pape «
démolisseur », mais on ne voulait pas encore y croire, mettant cela sur
le compte de la recherche d’un scoop, voire des délires complotistes de
méchants conservateurs.
Là nous y sommes. Au moment où
le physique du Pape le lâche et où la perspective du conclave semble
une réalité chaque jour plus concrète, le synode qu’il a voulu risque
de constituer l’estocade finale. L’Instrumentum Laboris du prochain «
synode sur la synodalité » qui vient d’être publié envisage une série
de bouleversements reposant (si l’on peut dire!) sur « l’inversion
totale de la hiérarchie habituelle de la prise de décision ecclésiale
au profit des laïcs » (Le Figaro). Cela inclut l’ordination d’hommes
mariés, le diaconat féminin (en attendant plus), l’accueil de TOUS, y
compris les LGBT, la mise sous tutelle des évêques par les laïcs. J’en
passe.
Maintenant, savoir si ces
mesures qu’il n’est pas excessif de qualifier de révolutionnaires vont
être, ou pouvoir être, appliquées, c’est une autre histoire. Les
prêtres et les évêques vont peut-être enfin réagir, peut-être même se
révolter. Même dans ce cas, François sera malgré tout parvenu à ses
fins, annoncées depuis le début: initier des processus irréversibles.
Bref, « fare casino »
Reste l’autre question: le Pape sera-t-il à même de mener lui-même ce projet à son terme? » (benoit-et-moi.fr)
« Instrumentum Laboris du Synode: les séminaires dans la ligne de mire
Alors que les séminaires se
vident faute de vocations, et que les rares jeunes attirés par le
sacerdoce sont rebutés par la piètre qualité de la formation, le
document préparatoire au Synode sur la synodalité en rajoute une dose
et risque de leur porter le coup final. Le point de vue d’un initié, le
blog (précieux) Silere non possum.
…
bientôt, il faudra bien que quelqu’un retourne à la Maison du Père et
là, il faudra démêler toute la confusion qui a été créée et qui a
transformé l’Église en un lieu où tout le monde parle de synodes mais
où plus personne ne prie. » (benoit-et-moi.fr)
«
Hier a été présenté l’Instrumentum Laboris du Synode qui débutera le 4
octobre prochain, sous la bannière du « cheminement » mais sans but. La
seule chose certaine est qu’il s’agit d’un « processus » ouvert à
toutes les conclusions, même les plus révolutionnaires. La vérité est
remplacée par la relation. » (benoit-et-moi.fr)
« Le cardinal Raymond Leo
Burke, ancien chef de la signature apostolique, a critiqué le prochain
synode des évêques sur la synodalité pour l’ordre du jour derrière
l’ambiguïté des prélats chargés de le diriger.
Dans
une longue interview avec EWTN qui couvrait le synode sur la
synodalité, les abus cléricaux contre les homosexuels, la messe
traditionnelle en latin et le refus de la sainte communion pour ceux
qui persistent dans un péché grave manifeste, le cardinal a déclaré
qu’en plus des tentatives claires de changement des enseignements
sexuels et moraux de l’Église, un problème avec le synode sur la
synodalité est que les principaux cardinaux ne peuvent même pas
articuler clairement le sens de la synodalité.
« Le
fait est qu’il n’y a pas d’idée claire de ce qu’est la
synodalité », a-t-il déclaré. « Ce n’est certainement pas un signe
de l’Église. Les signes de l’Église sont un, saints, catholiques et
apostoliques. »
Notant
que le manque de clarté sur ce qu’est la synodalité a permis aux
évêques de faire avancer un programme hétérodoxe qui est loin d’être
fidèle à l’enseignement et à la pratique constants de l’Église, en
particulier en ce qui concerne la morale sexuelle, Burke a déclaré : «
En Allemagne, c’était un slogan faire avancer… des enseignements et des
pratiques qui sont clairement contraires à l’enseignement et à la
pratique constants de l’Église, et cela a causé d’énormes dégâts en
Allemagne. L’état de l’Église en Allemagne est franchement alarmant, et
cela semble maintenant devenir un programme dans l’Église universelle à
travers le synode ».
Burke
a raconté que « le chef du Synode des évêques a récemment accordé
une interview dans laquelle il semble indiquer qu’il n’a pas une idée
claire de ce qui va se passer ni une idée claire de ce qu’est la
synodalité. Pourtant, il continue à diriger ce processus. Et, bien sûr,
le président de la session synodale sur la synodalité, [le cardinal
luxembourgeois Jean-Claude] Hollerich, a publiquement épousé des
enseignements et des pratiques qui sont clairement contraires à ce que
l’Église a toujours enseigné dans la pratique.
«Ce
sont donc des questions de la plus haute importance. Ma prière
personnelle chaque jour à notre Seigneur est qu’il veille d’une manière
ou d’une autre à ce que le synode n’ait pas lieu, car franchement, je
n’en vois aucun bien. » » (marcotosatti.com)
Du côté de Babylone Nations-Unies, çà avance à grand pas.
Après
l’annonce de l’intention de la création d’une monnaie unique mondiale
par la Banque Mondiale pour septembre 2023, les Nations-Unies annonce
l’identification numérique pour la lier aux comptes bancaires des
particuliers.
L’Apocalypse de Saint-Jean se déroules sous nos yeux et peu le voit.
« Identification numérique de planification des Nations Unies liée aux comptes bancaires
L’Organisation
des Nations Unies (ONU) prévoit d’introduire un système mondial
d’identification numérique lié aux comptes bancaires des individus.
Le
plan, qui est similaire au système développé par le Forum économique
mondial (WEF), est décrit dans trois nouvelles notes d’orientation de
l’ONU intitulées « Un pacte numérique mondial, des réformes de
l’architecture financière internationale et l’avenir de l’espace
extra-atmosphérique ». Gouvernance.
L’objectif de ces notes est de faire avancer la « vision pour l’avenir » du secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres.
Intitulée officiellement « Our
Common Agenda », la « vision » de Guterres devrait recevoir le feu vert
en septembre 2024 lors d’un événement baptisé « The Summit for the
Future ».
Du rapport (https://www.un.org/sites/un2.un.org/files/our-common-agenda-policy-brief-gobal-digi-compact-en.pdf):
Les
identifiants numériques liés aux comptes bancaires ou d’argent mobile
peuvent améliorer la fourniture de la couverture de protection sociale
et servir à mieux atteindre les bénéficiaires éligibles.
Les
technologies numériques peuvent aider à réduire les fuites, les erreurs
et les coûts dans la conception des programmes de protection sociale.
Tout
comme leurs homologues non officiels du WEF, l’ONU parle également de
réglementer fondamentalement l’avenir numérique mondial.
L’organisation
non élue utilise des expressions telles que « coopération
internationale » et « de nombreuses parties prenantes » qui « feront
avancer les principes, les objectifs et les actions » pour décrire cet
agenda mondialiste.
L’ONU décrit cet objectif comme « un avenir numérique ouvert, libre, sécurisé et centré sur l’humain ».
Cependant,
l’avenir numérique tel qu’envisagé par ces groupes sera tout le
contraire d’être ouvert, libre ou centré sur l’humain.
Quant
à la « vision » de l’ONU pour un futur système financier mondial, elle
est censée être harmonisée avec l’Agenda 2030 pour le développement
durable.
Il serait régi par quelque chose appelé « l’organe suprême » qui n’a pas encore été mis en place.
Les
acteurs clés ici seraient le chef de l’ONU, ainsi que le Groupe des 20,
le Conseil économique et social et les « chefs des institutions
financières internationales ».
Dans ce cadre, l’ONU voit des « visions » d’un « Pacte numérique mondial ».
Essentiellement,
l’objectif est d’avoir des personnes, des appareils et des entités,
tous liés dans un réseau connecté qui pourrait apparemment être
administré de manière centralisée, apparemment par des bureaucrates non
élus.
Lorsque
ceux qui planifient ce futur programme s’inquiètent de tout impact
négatif, ils ne le voient jamais comme affectant potentiellement tout
le monde – mais seulement « la société civile (…) ou des groupes
sélectionnés exclus des avantages sociaux ».
Pendant
ce temps, le WEF vient de s’associer à une société de biométrie de
premier plan pour faire avancer son propre programme de numérisation de
l’humanité.
La
société suédoise de biométrie Fingerprint Cards a fait un grand pas
dans la communauté des nouveaux champions du WEF, une assemblée
d’entreprises de taille moyenne.
Le
WEF tient à promouvoir les formes biométriques d’identification
numérique et affirme que la technologie servirait de gardien de
«l’inclusion sociale».
Le
programme de la communauté des nouveaux champions comprend une réunion
à Tianjin, en Chine, du 27 au 29 juin, lors du rassemblement WEF Summer
Davos.
Charles
Burgeat, vice-président principal de la stratégie chez Fingerprint
Cards, a partagé ce qu’il pensait être une pépite de sagesse :
« En tant que fier membre
du programme WEF New Champions Community, nous voulons être reconnus
comme une entreprise axée sur les objectifs qui contribue positivement
aux changements nécessaires pour opérer dans le nouveau monde numérisé.
« En
rejoignant cette communauté, nous sommes impatients de réfléchir et
d’échanger des idées avec des pairs, et d’apporter notre expertise de
l’industrie de la biométrie. »
Les
cartes d’empreintes digitales ont fait face à des eaux agitées au
premier trimestre de 2023, enregistrant une perte de 70 millions de
couronnes suédoises (6,4 millions de dollars) sur un chiffre d’affaires
de 117 millions de SEK (10,8 millions de dollars), a rapporté Biometric
Update .
Cependant,
l’entreprise a progressé, franchissant des étapes clés, notamment en
intégrant sa biométrie d’empreintes digitales dans 700 smartphones
Android et en expédiant 1 million de modules de capteurs biométriques
pour les cartes de paiement.
Le
Redmi K60 de Xiaomi a obtenu la distinction d’être le premier
smartphone doté de la technologie de sous-affichage des cartes
d’empreintes digitales.
Xiaomi est une entreprise technologique chinoise.
Le WEF, déjà bien familiarisé avec la tapisserie numérique de la biométrie, continue de défendre le secteur.
L’organisation avait précédemment intronisé Yoti dans une coalition associée. » (zerohedge.com)
Et ceci lié au fait que :
Les clés d’accès annoncent la mort du mot de passe (lapresse.ca)
« Entretien avec un politicien sorti de l’État profond.
Călin
Georgescu a travaillé pour les Nations Unies en tant qu'expert en
développement durable pendant 17 ans et pendant les mêmes années, il a
été président du conseil d'administration du Centre européen de soutien
au Club de Rome. Il a également occupé les postes de conseiller du
ministre de l'Environnement, secrétaire général du ministère de
l'Environnement, directeur du département des organisations économiques
internationales au ministère roumain des Affaires étrangères. Il a
vécu de nombreuses années en Suisse et en Autriche et a décidé de
retourner dans son pays natal, en fondant le mouvement "Eau, Nutrition
et Energie" et le projet "Terre de nos Ancêtres", qui rassemble depuis
de nombreux membres et sympathisants.
Dans
l'interview du 21 mai 2022, il évoque son travail et le processus au
sein des Nations Unies et du Club de Rome, et comment ses nobles
objectifs ont été bloqués au fil du temps et il s'est rendu compte, au
fil de son travail, que tout tourne autour autour de l'argent et du
pouvoir et que les personnes, l'environnement et la paix ne sont pas le
véritable objectif de ces institutions. En 2021 il a quitté ces
institutions et ne fait plus partie de ces ONG. Ce sont des choses
que nous avons écrites et réécrites pendant des années, mais
lorsqu'elles sont confirmées par une personne qui a fait partie de ce
que nous appelons l' État profond , cela devrait inciter les
mécréants à lever les antennes. Bien que, comme nous le savons, il
n'y a pas plus sourd que celui qui ne veut pas entendre. Voici
quelques extraits de l'interview que j'ai traduits de l'anglais.
"La raison de la création de
la Société des Nations puis de l'Organisation des Nations Unies était
pour qu'il n'y ait plus de guerres dans le monde, mais comme nous le
savons tous, chaque année, nous avons eu au moins 20/30 conflits sur
toute la planète.
[...]
le Club de Rome est entré pour influencer les décisions. Les
politiciens entrent en jeu et le Club de Rome commence à devenir
"politiquement correct" et dès que vous commencez à être politiquement
correct, vous perdez totalement votre liberté et vous avez en fait
perdu votre objectif. En tant qu'être humain, la première chose
est avant tout de vivre dignement, avec honneur et de ne pas opprimer
la vie des autres pour plaire aux intérêts des politiciens.
[…]
être politiquement correct signifie accepter un programme qui n'est pas
celui de la dignité et du respect humains. Entre nous, d'abord le
respect de soi et ensuite le respect des autres. Et aussi
respecter la terre mère et cela s'est produit dans toutes les parties
de la planète
[…]
J'étais en Somalie, après quatre ou cinq ans, après la catastrophe de
1995. Ils ont tué près d'un million de personnes locales pour leurs
propres intérêts et ce n'est pas facile à comprendre. Surtout
quand on voit de ses propres yeux ce qu'il y a à l'intérieur : il y a
deux ou trois ethnies qui s'affrontent. Il y en a beaucoup
d'autres autour de nous, comme des étrangers qui n'investissent que
pour les faire combattre. […] En ce moment, la situation est la
même partout.
[…]
aucun être humain ne veut la guerre, seul un esprit fou peut le croire
aussi parce que nous croyons en Dieu et que nous sommes
chrétiens. […] Ceux qui avaient un large public et qui parlaient
de paix - Martin Luther King ou Gandhi ou n'importe qui d'autre, même
Jésus, qui parlaient de paix - ils ont tous été tués ou ont essayé de
les éliminer.
[...]
nous avons besoin du langage de Jésus, nous ne pouvons pas utiliser le
langage des politiciens. Si nous voulons survivre, nous devons
être plus spirituels. […] Je dois dire qu'il y a une sorte de
guerre entre l'humanité et le transhumanisme.
[…]
il s'agit de contrôler les gens, et ils trouvent la solution. Ils
construisent une école et par l'éducation ils contrôlent presque tout
le monde, car les enfants y vont avec pureté, innocence et amour de la
vie et quittent l'école comme des adultes standardisés.
[…]
parce que les artistes pensent toujours que tu es libre, qu'il n'y a
pas de limites pour toi, que tu peux tout essayer et que tu es toujours
limité dans cette société. La société n'a pas besoin que vous
soyez sage, car cela va à l'encontre de l'investissement de la société
dans la nouveauté, donc ils n'ont pas besoin que vous soyez
sage. Ils ont besoin que vous soyez obéissant pour respecter les
règles, pour respecter l'ordre du jour, pour être politiquement
correct, sinon si vous êtes libre vous êtes rebelle.
[…]
Au fait, vous pouvez voir comment les médias coordonnent intelligemment
tous ces processus. [...] de coordonner l'esprit, l'information
est coordonnée et très souvent j'entends des gens proches de moi dire
"à la télé ils ont dit ceci et cela", donc tout le monde est lié à la
télé.
[…]
Mon honneur d'être un être humain ne me permet pas d'accepter d'être
guidé par les autres ou un autre agenda, sachant que l'agenda
international est totalement différent de la façon dont les médias
l'expliquent au peuple.
[…] L'agenda
de l'État Profond , si je peux m'exprimer ainsi, est juste de
contrôler les gens et de contrôler les gens comme ils le font depuis
deux ans pour contrôler l'âme, contrôler l'humanité qu'aucun plus
devrait exister. Nous pouvons voir que ce que nous risquons de
perdre aujourd'hui, si nous ne nous tenons pas debout, nous risquons de
perdre l'humanité de nous-mêmes. C'est bien leur but, car l'âme
demeure pour toujours, et s'ils parviennent à la contrôler, ils
contrôlent les gens. Tout est basé sur le pouvoir.
[...]
ils se concentrent exactement sur l'émotion, ils vous contrôlent avec
la peur qu'il y ait une guerre, la peur de ne pas avoir de salaire, la
peur de ne pas avoir à manger, la peur de ne pas avoir d'eau, tout est
contrôlé.
[…] La souveraineté, il faut promouvoir la souveraineté.
[…]
tout ce qui s'est passé dans le monde aujourd'hui, c'est juste pour
contrôler les gens, contrôler la propriété privée et tout concentrer
dans une main pour faire de la centralisation, même si on parle de
démocratie. Aussi si l'on parle de capitalisme ou de
mondialisation, c'est uniquement pour tout concentrer dans une seule
main.
[…]
J'ai travaillé sur l'Agenda 2030 ou sur l'Agenda 21, appelez-le comme
vous voulez, qui n'est qu'un chapitre de l'Agenda 21. L'Agenda 2030 est
un problème, c'est une question d'autodétermination ou de détermination
externe. Si vous lisez l'Agenda 2030 des Nations Unies, vous
trouverez de belles choses comme avoir de l'air pur, de la bonne
nourriture, la santé pour tous. Si vous le lisez, vous pensez que
c'est le paradis sur terre.
[...]
si aujourd'hui dans une communauté je cultive du maïs et dans une autre
communauté je cultive des pommes, on leur donne la pomme et ils me
donnent le maïs. Cela arrive partout, cela peut arriver parce que
la philosophie de l'univers est l'amour entre nous. L'amour est la
principale puissance qui peut exister sur cette planète. Et c'est
la raison pour laquelle les politiciens et toutes les ONG ne parlent
jamais d'amour ?
Je me souviens brièvement d'un autre entretien avec Georgescu.
Reiner
Fuellmich, l'avocat allemand luttant contre la fraude dans le scandale
du COVID-19, a interviewé Călin Georgescu le 24 janvier 2023, qui
décrit le processus d'infiltration mondiale et de prise de contrôle des
Nations Unies par des oligarques, en particulier par Klaus Schwab du
Forum économique mondial (WEF)
Călin
Georgescu révèle comment Trump avait fait dérailler les plans de
l'État profond qui devaient avoir lieu en 2016 sous la présidence
d'Hillary Clinton.
La
pandémie devait avoir lieu en 2016. Il semble que les pénuries de
nourriture et d'eau prévues pour 2020 aient été repoussées à 2025.
On parle de la façon dont la
légalisation de la pédophilie est l'un des points d'arrivée des
milliardaires qui contrôlent l'ONU, l'OMS et tous les acronymes
internationaux.
Georgescu
est convaincu que son système est sur le point de
s'effondrer. Personnellement, je ne leur fais pas confiance tant
que je n'ai pas vu leur tête rouler, évidemment dans un sens
métaphorique. » (marcotosatti.com)
«
Un haut responsable du Forum économique mondial (WEF) a appelé à la
"réécriture" des écritures religieuses par l'intelligence artificielle
(IA) pour créer une "nouvelle Bible" mondialisée.
Yuval
Noah Harari, conseiller principal du WEF et de son président, Klaus
Schwab, affirme que l'utilisation de l'IA pour remplacer les Écritures
créera "des religions unifiées qui sont vraiment correctes".
Harari, auteur et professeur influent, a lancé cet appel lors d'un discours sur "l'avenir de l'humanité".
Selon Harari, le pouvoir de
l'IA peut être exploité et utilisé pour remodeler la spiritualité
conformément à la vision mondialiste d'« équité » et d'inclusivité du
WEF.
S'adressant au journaliste Pedro Pinto à Lisbonne (Porugal), Harari a déclaré au public élitiste :
"C'est la première fois [dans l'histoire] que la technologie peut créer de nouvelles idées."
"Vous savez que la presse, la
radio et la télévision diffusent les idées créées par le cerveau
humain, par l'esprit humain", mais "elles ne peuvent pas créer une
nouvelle idée".
"Vous savez que [Johannes]
Gutenberg a imprimé la Bible au milieu du XVe siècle :
l'imprimerie a imprimé tous les exemplaires de la Bible que Gutenberg
avait commandés, mais n'a pas créé une seule nouvelle page." « Je
n'avais aucune idée personnelle sur la Bible : est-elle bonne ? Il
est mauvais? Comment interpréter cela ? Comment interpréter
ça ?
Harari a révélé plus tard que
lui et ses alliés du WEF avaient une solution aux prétendus problèmes
qu'il venait de mettre en évidence.
"L'IA peut créer de nouvelles idées, voire écrire une nouvelle Bible ", a-t-il déclaré.
"Tout au long de l'histoire,
les religions ont rêvé d'avoir un livre écrit par une intelligence
surhumaine, par une entité non humaine", a-t-il ajouté.
"D'ici
quelques années, il pourrait y avoir des religions qui sont
réellement correctes (...) il suffit de penser à une religion
dont le livre saint est écrit par une IA ."
"Cela pourrait être une réalité dans quelques années."
[Harari a souligné lors d'une
autre réunion récente que les programmes informatiques comme ChatGPT
dominent le langage humain et peuvent profiter de cette fonction pour
influencer la culture, selon le Times of Israel .
Selon le journal, Harari a
déclaré que "depuis des milliers d'années, les prophètes, les poètes et
les politiciens ont utilisé le langage et la narration pour manipuler
et contrôler les gens et remodeler la société". Et "maintenant, il
est probable que l'IA puisse le faire. Et une fois que vous le
pourrez... vous n'aurez plus besoin d'envoyer des robots tueurs pour
nous tirer dessus." En fait, "cela peut inciter les humains à
appuyer sur la gâchette".
Harari a également déclaré que
"contrairement à ce que supposent certaines théories du complot, il
n'est en fait pas nécessaire d'implanter des puces dans le cerveau des
gens pour les contrôler ou les manipuler". Il a également averti
que "nous devons agir rapidement avant que l'IA n'échappe à notre
contrôle" et que "les gouvernements doivent immédiatement interdire la
diffusion dans le domaine public d'outils d'IA plus révolutionnaires
avant qu'ils ne soient sûrs", a ajouté le journal.
Harari promeut fréquemment des idées qui impliquent le remplacement de l'humanité par des machines.
Comme rapporté
précédemment par Slay News, Harari a jubilé l'année dernière que «
nous n'avons tout simplement pas besoin de la grande majorité de la
population » dans le monde d'aujourd'hui.
Selon
Harari, la majeure partie du grand public est devenue "superflue" et
sera peu utile à l'élite mondiale à l'avenir. En ce sens, Harari
soutient que les technologies modernes telles que l'intelligence
artificielle "permettent de remplacer les gens".
Harari
a déclaré que "si nous remontons au milieu du XXe siècle - et peu
importe que ce soit aux États-Unis avec Roosevelt, ou en Allemagne avec
Hitler, ou même en URSS avec Staline - et que nous pensons à construire
l'avenir, alors les matériaux de construction sont ces millions de
personnes qui travaillent dur dans les usines, dans les fermes, les
soldats. "Nous avons besoin d'eux". Mais il ajoute que
"maintenant, en ce début de XXIe siècle, nous n'avons plus besoin de la
grande majorité de la population", car "l'avenir réside dans le
développement de technologies de plus en plus sophistiquées, comme
l'intelligence artificielle et la bio-ingénierie". La plupart des
gens n'y apportent rien, sauf peut-être leurs données, et quoi que les
gens continuent à faire d'utile, ces technologies vont le rendre de
plus en plus superflu et permettre de remplacer les gens. » (marcotosatti.com)
L’intelligence artificielle est sur toutes les lèvres ces derniers mois et ce n’est par pour rien.
C’est la montée en puissance de Satan qui s’annonce comme le sauveur de cette « humanité » et de sa planète.
Une religion humaniste avec une écriture de sa « bible » par l'intelligence artificielle.
La fin est proche.
Car Dieu a d’autres projets…
08 juin
LE 8ÈME ROI
Le 8ème roi, c’est l’Antéchrist personnifié au faîte de l’église, comme prophétisé à La Salette.
Bergoglio.
« Dans son billet du 31 mai
2023, Sandro Magister, sous le titre « Le Pape François, monarque de
droit divin », analyse la nouvelle « Loi Fondamentale de l’État de la
Cité du Vatican » [c’est-à-dire, en termes profanes, la Constitution] ,
sortie le 14 mai dernier, presque en catimini car éclipsée par l’impact
de la visite de Zelensky au Pape. Le sous-titre est plus explicite: «
Ce qu’aucun pape n’avait osé faire avant lui ». Un comble, pour un
pontife qui a fait de la collégialité et de la synodalité son cheval de
bataille… » (benoit-et-moi.fr)
Ce qu’on peut comprendre de
l’article et donc de la nouvelle constitution, c’est que la boucle
commencée en 1929 avec l’Accord de Latran est bouclée.
Bergoglio et bel et bien
devenu le 8ème roi en ce 14 mai 2023 (ce n’est pas une date
anodine : Le 14 mai 1948 était proclamée la naissance de
l’État d’Israël. 75Ème anniversaire cet année pour la gloire de la
judéo-maçonnerie qui a réussi à mettre sur le trône de Saint-Pierre son
pantin.)
Roi de « droit divin », et on sait de quel dieu…
L’État du Vatican était un outil guidé par le Saint Siège pour faire rayonner la foi chrétienne, avec le Christ Roi à sa tête.
Bergoglio vient de mettre
officiellement dans la constitution l’État du Vatican en priorité sur
le Saint Siège pour faire rayonner la foi humaniste, uniquement.
Il élimine par le fait même
l’importance du rôle du Secrétaire d’État en prenant les rennes seul
pour les relations et décisions diplomatiques (ligne directe avec les
dirigeants de ce monde), en tant que 8ème roi, d’où la remarque de
Sandro Magister sur la pseudo importance pour Bergoglio à propos de sa
« synodalité ».
C’est l’inversion totale, en
laissant croire que tout se décide dans la collégialité, alors qu’on
sait à travers les branches que Bergoglio est un dictateur qui règne
par la peur.
On
a ainsi un bon indice encore une fois que le rapport sur le synode est
déjà décidé par Bergoglio et qu’il essaiera d’amener les évêques et le
25% de laïcs à voter pour son programme, et non l’inverse.
Nous avons un échéancier
devant nous pour octobre 2024 avec ce synode, et les décisions qui
mènent à cette conclusion surgissent tranquillement.
Comme Bergoglio le dit à maintes reprises: « il n’y aura pas de retour en arrière ».
Ainsi que l’avait prédit le regretté Serge Monast:
«
…L’Église, sous le pouvoir de l’Anti-Pape, sera absolument identique à
l’Église de Jérusalem au temps de Jésus-Christ. Elle partagera
l’idéologie des Nations-Unies de la même manière que les Prêtres du
Temple partageaient l’Idéologie et le Pouvoir avec les Romains. Elle
conservera les croyances en Jésus-Christ comme façade afin de
dissimuler ses réels intérêts qui seront, en réalité, la richesse, le
Pouvoir Politique et Religieux, et l’opportunisme sur tous les fronts
tel que cela était le cas de l’Église de Jérusalem au temps de l’Empire
Romain. Elle établira de nouveaux »Concepts Religieux »,
tous basés sur la divinité de l’Homme où celui-ci sera considéré comme
étant le »Centre »… … En accord avec l’Agenda International
à remplir, la première initiative de l’Anti-Pape en sera une de
réconciliation truquée avec l’ensemble des Églises Chrétiennes du
monde… L’élection d’un Anti-Pape aura eu pour effet de provoquer un
»Schisme » majeur, supposé être le dernier devant survenir
dans le Monde Chrétien…
Voici
donc le «Mensonge des Mensonges»! Voici «l’Abomination des
Abominations»! Les faux chrétiens étant à la tête de la nouvelle église
mondiale; et prétendant être les seuls et uniques représentants de
Jésus-Christ d’un côté; de l’autre, les vrais et réels disciples de
Jésus-Christ sur la route du Calvaire considérés comme étant les
ennemies de l’État Mondial tel que cela était le cas, il y a deux
milles ans, en face des prêtres de Jérusalem, et en face de l’empereur
romain à Rome. »
C’est
un signe évident de la fin des temps car il confirme que le 8ème roi
est sur le trône, concrètement, inscrit dans une constitution.
«
C'est ici qu'il faut un esprit doué de sagesse. — Les
sept têtes sont sept montagnes, sur lesquelles la femme est assise. Ce
sont aussi sept rois :
Les
cinq premiers sont tombés, l'un subsiste, l'autre n'est pas
encore venu, et quand il sera venu, il doit demeurer peu de temps.
Et la bête qui était et qui
n'est plus, en est elle-même un huitième et elle est des sept, et elle
s'en va à la perdition. » (Apocalypse 17, 9-11)
La
clé pour démarrer le compte (guidé par « l’esprit de sagesse » et du
fait qu’on ne peut reconnaître les faits qu’en y étant présent) est
celui qui « subsiste », c’est à dire Benoît XVI. Cinq papes avant lui
donc.
Et la bête qui était et qui n'est plus, en est elle-même un huitième et elle est des sept, et elle s'en va à la perdition.
Et
Bergoglio, qui représente la bête marxiste socialiste judéo-maçonnique,
est le septième pape, mais il a décidé d’abandonner son titre de
vicaire du Christ, ET, d’abandonner son titre de pape en décidant qu’il
n’était, dans son idée de collégialité, que l’évêque de Rome (en
référence aux sept collines).
Il est devenu le huitième, la bête cachée derrière le titre de pape, et qui s’en va à la perdition.
Il est donc roi du Vatican, qui domine le Saint-Siège.
Le geste concret qu'il vient de poser est la preuve.
Un
roi totalement temporel, qui a abandonné le titre de Vicaire du Christ,
et qui vient de mettre à égalité l’État du Vatican avec les autres
nations prônant le mêmes valeurs humanistes.
C’est l’abandon du Christ.
Heureusement que la Tradition veille.
Mai 2023
29 mai
« HOMÉLIE
en la solennité de la Pentecôte
Envoie ton Esprit et ils seront créés
et tu renouvelleras la face de la terre.
[Tu envoies ton souffle et ils sont créés,
Et tu renouvelles la face de la terre]
Salmo 103, 30
Quelle est la caractéristique
de l'Amour ? C'est gratuit . Qui aime, aime sans rien attendre en
retour. Celui qui aime se réjouit que le bien dont il jouit puisse être
partagé par l'aimé. Ceux qui aiment n'ont pas de demi-mesure : ils
aiment totalement, sans réserve. Celui qui aime veut le bien de l'aimé,
sait dire non. Cela est vrai au plus haut degré lorsque l'Amour est
divin, lorsque l'Amour du Père envers le Fils et du Fils envers le Père
est si parfait et infini qu'il est la Troisième Personne de la Sainte
Trinité, le Saint-Esprit Paraclet.
La magnificence est le signe
distinctif des souverains et des princes, qui inspirent leur libéralité
à la magnificence de Dieu, de la même manière qu'ils conforment leur
gouvernement à la justice divine. Mais rien ne peut rivaliser avec la
magnificence de l'œuvre de Dieu : une magnificence infinie tant dans
l'ordre de la Création que -et de manière infiniment supérieure- dans
l'ordre de la Rédemption. Une magnificence divine dans ses perfections,
illimitée dans sa capacité de rayonner, semblable à la lumière
bienfaisante du Soleil, comblant chacun et chacune de grâces et de
faveurs imméritées et gratuites. Et c'est la gratuité absolue qui
caractérise l'œuvre de Notre-Seigneur, établie de toute éternité des
temps pour réparer le péché d'Adam par l'Incarnation, la Passion et la
Mort de l'Homme-Dieu. Gratuits sont aussi les Cadeaux Esprit Saint;
Gratuite est la Grâce, gratuite, accordée gratuitement. Libre est
l'éternité bénie qui nous est préparée au Ciel ; Gratuite est la
sanctification que l'Église opère à travers les Sacrements et le Saint
Sacrifice de la Messe.
Mais si la gratia , la
gratuité absolue du Bien qui nous vient de Dieu, est une note divine
qui unit la toute-puissance et la miséricorde dans le lien admirable de
la Charité ; au contraire, tout ce qui vient de Satan a un prix, pas du
tout gratuit, car il n'a rien à donner et tout à voler avec tromperie
et mensonges ; parce qu'elle vient de ceux qui veulent notre mal
présent et éternel, enviant par-dessus tout la Rédemption du Christ et
plus encore l'humilité de la Vierge Immaculée, que la Sainte Trinité a
librement parée du privilège d'être conçue sans tache de péché, d'être
une digne tabernacle du Très-Haut.
Satan, le marchand de mort.
Satan, l'éternel trompeur, celui qui vend avec fraude ce qui ne lui
appartient pas, et avec fraude achète notre âme immortelle,
l'échangeant avec le néant de biens faux, éphémères et mensongers. Et
c'est la tromperie, la simulation, le mensonge que l'on voit régner
dans le champ adverse. Un mensonge que Satan veut faire reconnaître
comme tel, mais qui n'en est pas moins approuvé et accepté. Car tandis
que l'œuvre de Dieu est l'œuvre de la vérité - procédant de Celui qui
est la Vérité absolue -, l'œuvre du diable est une fiction. Satan est
le grand scénographe de la réalité virtuelle du monde d'aujourd'hui, de
la société esclavagiste mondialiste de l'Ordre Nouveau, dans laquelle
la simulation et la falsification sont la marque de l'action de
l'Adversaire.
« Quelle belle fille : elle
ressemble à une poupée ! » entend-on. "Quel beau paysage : on dirait
une carte postale !" Dans ces expressions courantes, souvent utilisées
avec naïveté, se manifeste la matrice frauduleuse de l'œuvre de
l'Ennemi qui, en tant que créature, est incapable de créer à partir de
rien, et doit donc recourir à l'imitation du Créateur pour nous tromper
nous les hommes. Le Prince de ce monde nous propose des modèles
artificiels et faux, qui prétendent être ce qu'ils ne sont pas et qui
ne sont pas mus -comme les oeuvres de Dieu- par une Charité infinie,
mais par une haine livide envers la Majesté divine et envers Ses
créatures. La maternité de substitution, la manipulation génétique, la
bio-ingénierie, le transhumanisme et les mutilations obscènes de la
transition de genre, la parodie du mariage homosexuel,Simia Dei .
Ce qui se passe dans
l'enceinte sacrée n'est pas différent, où les hérétiques et les
apostats ont toujours essayé de remplacer les perfections de la
Révélation divine par leurs propres falsifications ; se présentant, en
effet, comme ce qu'ils ne sont pas, comme de faux bergers, comme de
faux prophètes, comme des antéchrists. Le même Antéchrist, qui régnera
dans les derniers temps avant d'être exterminé par le souffle du
Christ, est un simulateur, un imitateur frauduleux du vrai Christ. Le
prophète de l'Antéchrist est aussi un imposteur, qui est présenté dans
l' Apocalypse comme son mainteneur, le chef de la Religion de
l'Humanité, le prédicateur de l'écologie et de l'humanisme maçonnique.
Si nous observons la situation
désastreuse dans laquelle se trouve l'Épouse du Christ, nous trouvons
incrustés en elle comme des tumeurs malignes tous ces faux bergers et
mercenaires qui font du mensonge et de la tromperie leur raison de
vivre, et qui, comme leurs pairs dans la sphère civile, ils se
présentent comme des promoteurs de la paix et de la fraternité, comme
des défenseurs des faibles, des pauvres et des déshérités, alors qu'en
réalité ils sont les serviteurs des puissants, complices des tyrans,
promoteurs de division et impitoyables avec ses ennemis, c'est-à-dire
les bons Les chrétiens. Mais surtout : contre Dieu, contre
Jésus-Christ, contre la Bienheureuse Vierge Marie, contre la Sainte
Église.
Dans ses actions tout est faux
: le synode de synodalité est faux, ce qui sous l'apparence d'un vrai
synode dénature la Foi ; les prétendues consultations avec le peuple de
Dieu sont fausses, pilotées par tromperie ; ses revendications sur la
dignité des femmes, utilisées pour saper le sacerdoce catholique, sont
fausses ; Sa charité envers les pécheurs est fausse, qu'il ne
réprimande pas mais confirme dans le péché, perdant leur âme. Aussi
faux est « l'esprit » qui inspire ses illusions ; faux le « dieu des
surprises » qui légitime ses erreurs ; fausse sa "pentecôte" qui
contredit l'action du Paraclet et fausse son "église" qui éclipse la
véritable Église du Christ. Faux, scandaleux et criminel est la parodie
d'un sacrement auquel a été érigé un sérum expérimental qui modifie le
génome humain grâce à la technologie de l'ARNm, mais que Bergoglio n'a
pas hésité à définir sacrilège comme un "acte d'amour" et un "léger
espoir pour tout le monde." Faux respect pour le Créé par "l'église
amazonienne", qui rend un culte idolâtre à la Terre Mère et ratifie les
manipulations de géo-ingénierie contre la nature que Dieu a créée.
Veni, Sancte Spiritus, reple
tuorum corda fidelium : et tui amoris in eis ignem accende [Viens,
Esprit Saint, remplis le cœur de tes fidèles et allume en eux le feu de
ton amour]. En effet, la divine Liturgie du jour de la Pentecôte est un
hymne à l'Esprit Saint : un chant d'amour de l'Église à l'Amour divin,
qui procède du Père et du Fils. Dans le Graduel de la Messe , pour
souligner la puissance de cette invocation, nous avons prononcé ces
paroles à genoux : Viens, Esprit Saint, remplis le cœur de tes fidèles,
et allume en eux le feu de ton amour . Un feu qui illumine nos esprits
de Foi et réchauffe nos cœurs de Charité.
L'Esprit Saint -qui est
l'Esprit de Vérité- agit en silence : le silence de nos cœurs qui se
laissent conseiller et inspirer ; le silence du recueillement de cette
église, où le sang-froid digne de la liturgie divine s'incline devant
l'action du Paraclet invoqué par les ministres pour bénir et sanctifier
les choses et les personnes ; le silence de tant d'âmes qui dans le
monde semblent sans voix, dominées par la clameur infernale des armées
de l'Ennemi, mais qui accomplissent la volonté de Dieu. Et en silence
s'accomplissent les miracles les plus incroyables de l'Esprit Saint
qui, avec une magnificence divine, nous prodigue ses dons gratuits,
comme la grâce surnaturelle est gratuite.
Implorons le Consolateur –
dulcis hospes animæ, doux hôte de l'âme – avec les paroles de la
splendide Séquence de la Pentecôte, qu'Il soit pour nous repos dans la
fatigue d'affronter nos devoirs quotidiens, rafraîchissement dans le
désert torride de ce monde rebelle, consolation dans les larmes que
nous avons versées en voyant sa femme tourmentée sur terre. Que le
Paraclet purifie toute souillure de péché, baigne de Grâce l'aridité de
tant d'âmes, guérisse les blessures de nos cœurs qui saignent pour
cette passio Ecclesiæ qui semble sans fin. Pliez la dureté des pécheurs
à la volonté de Dieu, alimentez l'apostolat des Pasteurs avec la flamme
de la Charité, maintenez ferme la Foi de tant de personnes qui
vacillent face au triomphe apparent du mal.
Viens, Esprit Saint, et
renouvelle la face de la terre, que le Père a créée, que le Fils a
rachetée, et que tu sanctifies par la sainte Église. Et ainsi soit-il.
+ Carlo Maria Vigano, Arzobispo
28 mai 2023
Dimanche de Pentecôte »
28 mai
« HOMÉLIE
pour l'octroi de la Sainte Confirmation
à la veille de la Pentecôte
Celui qu'on appelle le Paraclet, le don du Dieu Très-Haut.
Hymne. Viens, Créateur
Aujourd'hui, nous célébrons la
Vigile de la Pentecôte. L'ancienne liturgie baptismale de ce jour,
abolie avec la réforme de 1955, a été récemment remise en usage par de
nombreuses communautés qui suivent le rite tridentin, de plus avec
l'autorisation de la Commission Ecclesia Dei . La raison de cette
décision peut être attribuée au fait que les auteurs de l' Ordo
Hebdomadæ Sanctæestablishus de Pie XII sont les mêmes que ceux du
Rubricarum Instructum de Jean XXIII et du Novus Ordo Missæ de Paul VI.
En vue de retrouver les trésors du Rite traditionnel, cette
redécouverte s'explique donc non seulement de la Semaine Sainte d'avant
1955, mais aussi de la liturgie symbolique de la Pentecôte, dite Pâques
des Rosesen mémoire de l'antique coutume de faire tomber une pluie de
pétales de roses du haut de la voûte de nos églises, censées
représenter les langues ardentes du Saint-Esprit. Cela se produit
encore dans la Basilique de Santa Maria ad Martyres , le Panthéon
romain.
Son caractère baptismal
rappelle la Veillée pascale, de sorte que les catéchumènes qui
n'avaient pas reçu le baptême le samedi saint - par exemple parce
qu'ils n'étaient pas encore prêts ou malades - pouvaient être admis
parmi les néophytes lors de la fonction solennelle d'aujourd'hui. Cet
ancien rite contemple la bénédiction de la Fontaine Sacrée et l'octroi
du lavage sacramentel, et nous rappelle la sollicitude de la Sainte
Église, qui est Maîtresse en exigeant la préparation appropriée des
candidats au Baptême, et Mère en leur accordant une autre occasion à la
conclusion de la saison de Pâques. La lecture des prophéties constitue,
selon Dom Guéranger, une référence évidente au samedi saint, avec le
double symbolisme de la Pâque et de la Pentecôte juives qui
s'accomplissent dans la Pâque et la Pentecôte chrétiennes.
Certes, le grand Pie XII,
envers qui nous avons une profonde vénération, n'a pu percevoir dans
ces premiers pas de la liturgie du renouveau , commencée dans les
années 1920, la menace qui apparaîtra plus tard évidente avec la
soi-disant « réforme conciliaire ». C'est pourquoi la récupération des
rites antérieurs à 1955 ne remet nullement en cause son pontificat, ni
son amour pour la liturgie romaine. Nous pouvons plutôt reconnaître la
ruse diabolique avec laquelle ont agi les Innovateurs, qui ont miné à
petits pas le trésor inestimable du culte catholique. Au lieu de
divulguer ce patrimoine, fruit de siècles de développement harmonieux,
ils ont jugé plus commode de le simplifier, démontrant en cela non
seulement une mentalité totalement étrangère à une véritable
compréhension de la liturgie divine, mais aussi un mépris substantiel
pour le saint peuple de Dieu, considéré comme un tort incapable de se
nourrir spirituellement en y puisant. Mais cela, rappelez-vous, n'était
encore qu'un prétexte, une excuse - leactuosa participatio, la
participation active des fidèles – derrière laquelle se cachait la
volonté de saper la Foi, la lex credendi, par la falsification de son
expression priante, la lex orandi .
En fin de compte, les
Innovateurs révèlent leur manque de confiance dans l'action de la Grâce
infuse par l'Esprit Saint – qui opère aussi à travers la Liturgie – et
dans la capacité de l'homme à y correspondre. Dans leur mentalité, rien
ne doit nous mettre à l'épreuve, rien ne doit représenter une
opportunité d'amélioration : tout doit être à la portée de tous, aucun
trésor ne doit être divulgué à ceux qu'ils jugent médiocres et
ignorants ; ce qui trahit leur fière croyance qu'ils sont supérieurs à
leur troupeau. Ce classisme présomptueux ne se limite pas à
l'extérieur, mais s'étend aussi aux affaires intérieures, de sorte que
pour eux l'ignorance de la Foi, l'accommodement indolent de la Morale,
la paresse dans la Spiritualité et l'Ascétisme doivent être la règle
pour une masse qu'ils n'ont aucune envie de guider, instruire, avertir.
Trop d'efforts, pour ceux qui d'abord ne croient pas, n'aiment pas,
n'espèrent pas. Trop d'efforts, pour ceux qui s'affairent à bâtir une
église à leur image, considérant l'Église du Christ et sa Liturgie
anciennes et impensables. Pour cela, ils dépersonnalisent les individus
et les anéantissent en une assemblée sans visage et sans volonté à
laquelle imposer une vision horizontale dépourvue d'aspiration
surnaturelle, dans la certitude – que nous avons d'ailleurs sous les
yeux – qu'un rite qui exprimeune autre vision ecclésiologique et
doctrinale aurait fini par changer la Foi de ceux qui en auraient été
témoins.
Inversement, les bons Pasteurs
sont les premiers qui, dans le sillage de la Tradition et dans la
pratique constante et humble de ce qu'ils prêchent, ont la tâche
d'indiquer de grands objectifs aux âmes qui leur sont confiées. Soyez
saint, comme votre Père est saint(Mt 5, 48), Notre-Seigneur nous
exhorte. Et cette sainteté, faite d'héroïsme (même silencieux) et
d'abandon généreux à la volonté de Dieu, est la réponse à la Grâce qui
rend possible à Dieu ce que nous ne pourrions jamais accomplir par
nous-mêmes. Et aujourd'hui, avec l'octroi de la Sainte Confirmation au
jeune Gabriel, nous en avons la preuve : le Seigneur, qui nous appelle
à être fils du Père Éternel et membres vivants de l'Église par le
Baptême, fait de nous des soldats du Christ dans le Sacrement de la
Confirmation, prêt à combattre le bon combat. Mais Il ne nous laisse
pas seuls dans cette épreuve : Il nous fournit les armes spirituelles
pour affronter l'Ennemi de notre âme. L'Esprit Saint nous donne ces
armes très puissantes - gratuitement, comme tout ce qui vient de Dieu -
précisément dans la Confirmation et dans tous les Sacrements : l'armure
de Dieu, la ceinture de la vérité,
Ne soyons pas fiers de ce que
le Seigneur nous permet d'être, ni des succès que nous obtenons grâce à
Lui ; mais ne nous laissons décourager ni par nos échecs, ni par notre
faiblesse, ni par l'inexpérience dans le maniement de ces armes, ni par
le manque de dextérité dans leur maniement. Répétons plutôt avec saint
Paul : Je puis tout en celui qui me fortifie (Phil 4, 13).
Dans cette Veillée solennelle
qui nous prépare à la descente du Paraclet, invoquons l'Esprit Saint
avec la confiance de celui qui connaît avec réalisme et humilité sa
propre faiblesse, mais aussi la puissance infinie du Seigneur Dieu des
armées déployées, et qui n'est pas moins formidable que la nôtre
augusta Condottiere, Maria Santissima, terribilis ut castrorum acies
ordinaria. La guerre spirituelle que nous menons contre le monde, la
chair et le diable a été gagnée sur la Croix, où Notre Seigneur et Dieu
a vaincu l'ennemi ; où la semence bénie de la Femme couronnée d'étoiles
et revêtue de soleil écrasa la tête du Serpent antique. Elle connaîtra
la victoire totale à la fin des temps, quand à nouveau la Femme
annoncée dans la Genèse et le fruit de Ses entrailles extermineront
l'Antéchrist et Satan. Nous nous trouvons au milieu de ce conflit
d'époque, et si nous voulons triompher avec le Christ et avec Sa Très
Sainte Mère, nous devons combattre avec enthousiasme sous les bannières
glorieuses de notre Roi, protégés par l'armure que le Saint-Esprit -
παράκλητος, c'est-à-dire défenseur, conseiller et avocat – nous rend
disponibles, surtout avec la Grâce conférée dans la Confirmation.
Nous avons des idéaux élevés,
de grands défis, des duels passionnants à affronter. Avec l'aide de
Dieu, le jeune Gabriel en aura aussi, que l'Église enrôle dans ses
rangs comme miles Christi, lui fournissant tout l'équipement spirituel
dont il a besoin, lui fournissant les soins de la Confession,
nourrissant sa force et sa vigueur de la Nourriture surnaturelle. de la
Très Sainte Eucharistie. Gabriel : La force de Dieu . Le Saint-Esprit
vous donnera aussi – comme il a donné et continue de donner à chacun de
nous – ses dons, le septénaire sacré : sagesse, intelligence, conseil,
courage, connaissance, piété, crainte de Dieu.
Ne nous laissons donc pas
décourager par ceux qui veulent que nous soyons faibles et désarmés,
résignés et ignorants, pour mieux pouvoir craquer et vaincre : plaçons
plutôt toute notre espérance en Dieu, qui nous appelle à la l'héroïsme
de la sainteté parce qu'il nous veut à sa droite au jour glorieux de la
victoire, où il fera de ses ennemis son marchepied (Ps 109, 2). Et
ainsi soit-il.
+ Carlo Maria Viganò, archevêque »
20 mai
« Étonnez-vous, réjouissez-vous : nous sommes devenus le Christ.
Saint Augustin, dans John. Évan. Tract , 21, 8
par Monseigneur Carlo Maria Viganò
La Divine Liturgie de cette
Messe votive en l’honneur de la Très Sainte Vierge Marie, sous
l’invocation de Regina Crucis, nous propose dans l’Épître la vision de
l’Apocalypse de la Femme et du Dragon, qui offre à cette célébration
solennelle de grands et importants points de réflexion.
La Femme représente la Très
Sainte Vierge Marie et donc l’Église, dont elle est Reine et Mère,
étant Mère de Notre Seigneur et Dieu, Chef du Corps Mystique et Mère
spirituelle des chrétiens, qui en sont les membres vivants. Sous ses
pieds virginaux, la Femme piétine la lune, symbolisant ainsi le mépris
pour les choses transitoires et changeantes, qui s’oppose à l’éternité
immuable de Dieu. Elle est revêtue du Soleil de Justice, c’est-à-dire
placée sous la protection du Christ et porte une couronne de douze
étoiles, les douze Apôtres qui constituent les joyaux de l’Église. Les
cris pour les douleurs de l’accouchement font allusion au fait que la
Sainte Église – et la Très Sainte Vierge Marie – engendrent les enfants
de Dieu à la vie de la Grâce, unissant dans la Compassion et la
Co-rédemption leurs peines à la Passion et à la Rédemption du Christ,
et méritant ainsi à la Vierge le titre de Reine de la Croix. La Vierge
Marie était avec le Christ tandis qu’Il se disait, du haut de la Croix,
Souverain du monde ; et au pied de celle-ci, elle se revêtit du manteau
royal d’une douleur parfaite, en s’en laissant transverbérer et
couronner, tenant avec le divin Fils le sceptre de la souffrance.
L’Église – Marie qui en est la
Mère – engendre aussi les plus chers de leurs enfants : les prêtres,
ministres du Soleil et du Sang, comme les appelait sainte Catherine de
Sienne. Leur naissance attire le Dragon, c’est-à-dire Satan, parce
qu’il veut les déchiqueter pour les empêcher de renouveler mystiquement
le Sacrifice de la Croix, par lequel le Seigneur a restauré dans
l’ordre surnaturel ce que le péché d’Adam avait mérité de perdre. Et
depuis l’expulsion de nos premiers parents, la promesse du Protévangile
(Gn 3, 15) se réfère infailliblement à la vision de l’Apocalypse, dans
laquelle la bataille entre le Christ et Satan est reproposée, entre le
lignage du Christ qui est l’Église et le lignage de Satan qui est
l’anti-église ou le Sanhédrin mondialiste maçonnique.
J’attire votre attention sur
le triple assaut du Dragon : le premier est contre Jésus-Christ, le
Fils nouveau-né de la Femme (Ap 12, 5), qui échappe à ses attaques et
est enlevé au ciel ; le second est contre la Femme (Ap 12, 6), qui fuit
dans le désert – allégorie d’un lieu protégé des assauts de Satan –
pour une période de 1260 jours, c’est-à-dire 42 mois ou 3 ans et demi,
c’est-à-dire le temps du règne de l’Antéchrist (Ap 12, 6 et 14) ; le
troisième est contre les enfants de la Femme, c’est-à-dire les
Chrétiens et l’Église, qui obtiennent cependant la victoire sur le
Dragon grâce au Sang de l’Agneau (Ap 12, 11).
Je trouve cette triple
distinction de l’assaut de Satan très édifiante et significative. Nous
voyons que le diable attaque toujours le Christ, d’abord dans Sa
Personne, puis dans Son Corps Mystique, et enfin dans Ses fidèles.
Pourtant, la victoire que le Seigneur veut obtenir ne se réalise que
dans le troisième assaut : Et le dragon fût rempli de fureur contre la
Femme, et il alla faire la guerre au reste de ses enfants, à ceux qui
observent les commandements de Dieu et qui gardent le témoignage de
Jésus (Ap 12, 17). Qui sont-ils ? De qui parle saint Jean, quand il
fait allusion à la descendance de la Femme, sinon de ceux qui sont
restés fidèles et n’ont pas apostasié la Foi, et qui ne se sont pas
laissés emporter par la queue du Dragon (Ap 12, 4) ? C’est une grande
consolation de voir combien le Seigneur se complaît à appeler ses
enfants à combattre dans la bataille contre Satan, afin que, grâce à
leur généreux abandon à la volonté de Dieu, ils deviennent des
instruments dociles du triomphe du Christ sur celui qui fut homicide
dès le commencement (Jn 8, 44). Le Seigneur ne veut pas gagner seul :
Il veut que Sa victoire soit aussi la nôtre, si nous descendons sur le
champ de bataille sous les bannières du Christ Roi et de Marie Reine,
qui nous ont rachetés – le Christ dans la Passion et la Rédemption et
la Très Sainte Vierge Marie dans la Compassion et la Co-Rédemption – de
notre état d’esclaves du diable. Et voici la Croix, sur laquelle le Roi
est assis et aux pieds de laquelle se tient la Reine Mère ; Reine et
Mère de tout baptisé, mais surtout de chaque prêtre, et que le Seigneur
lui a confié comme ses vaillants sujets et ses enfants dévoués.
Ne nous laissons donc pas
surprendre par la haine féroce du Dragon envers les enfants de
l’Église, qui sont tous les enfants spirituels de la Très Sainte Vierge
Marie : cette haine est le reflet de la haine envers l’Église
elle-même, envers la Vierge Immaculée et envers le Fils de Dieu, Notre
Seigneur Jésus-Christ. Soyons plutôt surpris si le Dragon n’essaie pas
de nous dévorer, car cela signifierait qu’il ne voit pas le Christ en
nous, et qu’il ne nous considère pas comme un obstacle dans la guerre
qu’il mène contre Dieu. Soyons surpris si ses serviteurs nous traitent
comme leurs amis, car alors nous devons comprendre que nous agissons et
pensons selon l’esprit du monde, et non selon Dieu.
C’est pourquoi, dans cette
société corrompue et rebelle, asservie au Mal par une élite de pervers
dans l’esprit et dans la volonté, le Dragon de l’anti-église est si
déchaîné contre les prêtres : il sait très bien combien ils sont
redoutables, car entre leurs mains le Seigneur a placé le pouvoir divin
de consacrer le Corps et le Sang du Christ, d’offrir la Victime
immaculée au Père dans le Saint Sacrifice de la Messe, de perpétuer le
fleuve de grâces et de bénédictions qui protège la Femme réfugiée dans
le désert, image de l’Église. Tout tourne autour de la Croix, car c’est
là que Satan a été vaincu par Notre Seigneur, c’est là que Sa Très
Sainte Mère, unie à la Passion du Fils, a écrasé la tête du Serpent
comme promis dans le Protévangile. C’est là que la Mère de l’Église se
montre terribilis ut castrorum acies ordinata, contre le chaos des
hordes infernales qui assiègent la Citadelle.
Sacerdoce, Messe, Eucharistie,
Très Sainte Vierge Marie : ces fondements de notre Religion sont
attaqués quotidiennement par le diable et ses serviteurs. Le Sacerdoce,
parce qu’il continue dans l’Église l’action sanctifiante de sa Tête ;
la Messe, qui est l’action principale du Sacerdoce ; la Très Saint
Eucharistie, qui rend le Christ réellement présent sous les saintes
espèces, qui devient nourriture spirituelle pour la patrie céleste ; la
Vierge Marie, tabernacle vivant du Très-Haut et modèle de cette sainte
humilité qui renverse l’orgueil de Lucifer.
Certes, nous devrions trembler
pour le sort de ceux qui, aveuglés par le péché, s’en prennent à ce qui
est le plus efficace pour mener cette bataille. Et nous devrions être
horrifiés d’entendre celui qui s’est assis sur le Trône du Vicaire du
Christ accuser comme arrièrisme la garde du dépôt de la Foi, comme
rigidité la fidélité à l’enseignement de Notre-Seigneur, comme
formalisme l’obéissance à ce qu’Il a enseigné aux Apôtres. Parce que
ces paroles délirantes, ces déclarations aberrantes qui se multiplient
depuis dix ans dans le silence narcotisé de la Hiérarchie, des clercs
et des fidèles constituent la preuve la plus évidente et la plus
déconcertante de l’étrangeté, de l’extranéité de Bergoglio au rôle
qu’il occupe, voire de son aversion évidente pour tout ce qui est
catholique, apostolique et romain ; à tout ce qui réalise le plus
intimement la présence du Christ Roi et Pontife : le Sacerdoce, la
Messe, l’Eucharistie. Et à Celle qui est Mère de l’Église et Reine de
la Croix. Le sang se fige dans nos veines à entendre la doctrine de la
Co-Rédemption et de la Médiation de la Très Sainte Vierge Marie
qualifiée de « tonterias » – bêtises.
Non, chers frères : nous ne
sommes pas « malades de la nostalgie », parce que nous ne sommes pas –
et ne devons pas être – du monde, mais dans le monde. Parce que les
paroles de Notre Seigneur ne sont pas soumises aux modes ou aux
variations du temps : veritas Domini manet in æternum. Nous ne
regrettons pas une époque lointaine, un âge d’or révolu, car nous
savons bien que la bataille entre le Christ et Satan qui a commencé
dans le Paradis terrestre est destinée à se poursuivre et à
s’intensifier d’autant plus que le redde rationem des derniers temps se
fait plus proche et inexorable, qui verra l’Archange Saint Michel
repousser Satan et ses satellites, pour la deuxième fois et pour
toujours, dans l’abîme. Le nôtre n’est pas un attachement au passé,
mais à l’éternel. Ce n’est pas une façon d’échapper aux défis du
présent en se réfugiant dans une oasis d’esthétisme, car s’il en était
ainsi – et c’est malheureusement le cas pour certaines communautés
dites conservatrices – nous serions coupables d’échanger la forme
contre la substance, de transiger sur les principes pour en préserver
les apparences extérieures.
Regardons ce qui se passe dans
cette phase cruciale de l’histoire de l’humanité et de la vie de
l’Église avec réalisme et sans nous laisser tromper : nous sommes très
proches de la fin des temps, et peut-être que ces trois ans et demi
pendant lesquels la Femme fuira dans le désert ne sont pas aussi
éloignés que nous le souhaiterions. Trois ans et demi pendant lesquels
l’Antichrist régnera en maître sur le monde, persécutant et martyrisant
les fidèles dans l’indifférence du monde, dans le silence des médias,
dans l’insouciance complice des faux pasteurs, avec leur complicité
insensée et sordide, qui manifeste leurs véritables intentions et, ce
qui est pire, leur trahison de Notre-Seigneur.
Si vous êtes le Fils de Dieu,
descendez de la Croix : les hiérarques de la secte conciliaire le
répètent, lorsqu’en abusant de leur pouvoir comme les Grands Prêtres du
Sanhédrin, ils voudraient effacer le Sacerdoce institué par le Christ
en transformant le prêtre en fonctionnaire, empêchant le Saint
Sacrifice de la Messe, le corrompant en un banquet convivial, profanant
la Très Sainte Eucharistie en admettant à la Communion ceux qui ne sont
pas dignes de la recevoir. Descendez de la Croix, crient-ils,
c’est-à-dire n’accomplissez pas la Rédemption que nous craignons tant.
Descendez de l’autel, avertissent-ils aujourd’hui : afin que la
Rédemption ne soit pas perpétuée et prolongée dans le temps, afin que
le Sacrifice d’il y a dix-neuf cent quatre-vingt-dix ans reste confiné
au passé, soit rendu stérile et improductif comme le talent enterré
dans le champ par le serviteur infidèle. Nous ne sommes pas les
arriérés, les malades de nostalgie : ce sont plutôt eux qui regardent
avec horreur la réalité de leur propre guerre déjà perdue et essaient
par tous les moyens d’empêcher le triomphe du Christ – après avoir
échoué dans l’assaut contre Lui et contre la Femme revêtue de soleil –
frappant aujourd’hui les enfants de l’Église, les enfants de la Très
Sainte Vierge Marie.
Comment pouvons-nous vaincre
le Dragon ? Grâce au sang de l’Agneau et à la parole de leur témoignage
(Ap 12, 11) : grâce à la Messe, que ce Sang très précieux verse encore
abondamment aujourd’hui pour le salut des âmes ; grâce au Sacerdoce,
qui rend la Messe possible et répand la parole de témoignage par la
prédication ; grâce à la Très Sainte Eucharistie, Corps et Sang de
l’Agneau. Et grâce à la Femme, image de la Très Sainte Vierge Marie et
de l’Église, dans les entrailles de laquelle Notre-Seigneur a été formé
et du sein de laquelle naissent spirituellement les enfants de Dieu.
Regardons les événements sub
specie æternitatis : ce n’est qu’ainsi que nous comprenons la tromperie
de celui qui agit selon la mentalité du monde – dont le Prince est
Satan – et que nous pouvons le contrer. Et ne renonçons pas à être
comme le Seigneur nous veut, et non comme ils nous voudraient, dans
leur « vision pastorale », les mercenaires et les loups déguisés en
agneaux. Aux énièmes déclarations déconcertantes et scandaleuses de
Bergoglio répondent pour nous les paroles du Vénérable Pontife Pie XII
: Derrière ceux qui accusent l’Église d’être rigide, il n’y a que la
perversion du faux prophète qui attaque la vérité du Christ lui-même.
Ainsi soit-il.
+ Carlo Maria Viganò, archevêque
20 mai 2023
Samedi sous l'Octave de l'Ascension »
Comme
nous l'avons constaté au cours des analyses passées, les trois ans et
demi du règne de la bête et en parallèle, des deux témoins de
l'Apocalypse, sont un ordre de temps (2 temps, 1 temps et la moitié
d'un temps) et ne sont donc pas à prendre au pied de la lettre pour 3,5
années de notre calendrier, car tout est allégorique dans l'Apocalypse.
Ainsi, nous sommes déjà sous le règne de la bête et nous achevons cette durée de temps.
Nous sommes déjà à la fin, et non en période d'attente du trois ans et demi.
18 mai
« Mgr Vigano. Homélie en la fête de l'Ascension du Seigneur
Pourquoi te poses-tu la question quand tu lèves les yeux vers le ciel ?
A 1, 11
Dans l'introït de la messe
d'aujourd'hui, nous avons chanté : Viri Galilæi, quid admiramini
aspicientes in cælum ? Hommes de Galilée, de quoi vous émerveillez-vous
en levant les yeux vers le ciel ? Les deux Anges demandent aux Apôtres,
absorbés de voir le Seigneur monter. La question des messagers célestes
est rhétorique : le prodige qui déroge aux lois de la nature n'est rien
comparé au miracle de la Résurrection dont ils seront témoins jusqu'à
leur martyre.
Pourquoi êtes-vous surpris de
voir le Seigneur monter au ciel ? Êtes-vous surpris de le voir
miraculeusement monter pour disparaître dans les nuées, ou êtes-vous
surpris qu'il vous laisse seul, maintenant qu'il est ressuscité et peut
restaurer le royaume d'Israël (Actes 1:6) ? Mais ne vous a-t-il pas
déjà dit : Je vais vous préparer la place. Et quand je serai parti et
que je vous aurai préparé une place, reviendrai-je et vous prendrai-je
avec moi, afin que là où je suis, vous soyez aussi (Jn 14:2-3) ?
Pourquoi le Seigneur n'est-il
pas resté avec nous ? S'il n'était pas monté au ciel si tôt, en effet :
s'il était encore ici sur terre, il aurait pu voyager et faire
connaître son Évangile avec l'autorité d'un Dieu qui s'est fait homme,
est mort et ressuscité. Le christianisme se serait répandu plus
rapidement et avec plus de succès, épargnant également la vie de
nombreux martyrs. Si le Seigneur était resté ici sur terre, il aurait
pu vraiment restaurer le royaume d'Israël dans l'Église catholique,
étant lui-même celui qui gouvernerait comme Pontife et comme Roi, il
aurait traversé les siècles sans vieillir, ce qui aurait suffi pour lui
convertir le monde. C'est pourquoi les Apôtres s'étonnent : parce
qu'ils agissent et pensent encore selon la mentalité du monde.
Notre-Seigneur, après trente
ans de vie retirée et trois de ministère, vainc en trois jours l'ancien
Serpent par sa passion et sa mort, rachetant au prix de son sang le
plus précieux toute âme enlevée au salut éternel par le péché d'Adam.
Il nous a rachetés, il nous a achetés esclaves du diable pour nous
rendre libres de ne plus être des serviteurs mais des amis (Jn 15:15).
Dans les quarante jours qui suivirent la Résurrection, Il enseigna aux
Apôtres les vérités de la Foi et de célébrer les Sacrements, et à la
fin de ce "séminaire" accéléré tenu par nul autre que le Seigneur
lui-même, le temps est venu de quitter le Haut Salle : Allez pour tout
le monde, prêchez l'évangile à tous les hommes. Celui qui croira et
sera baptisé sera sauvé ; celui qui ne croira pas sera condamné(Mc 16,
15-16). C'est Son dernier commandement, Son héritage avant de quitter
cette terre.
Dix jours seulement s'écoulent
entre l'Ascension du Seigneur et la descente du Saint-Esprit : vous
recevrez la puissance du Saint-Esprit, qui viendra sur vous, et vous
serez Mes témoins à Jérusalem, dans toute la Judée, en Samarie et en
jusqu'aux extrémités de la terre (Actes 1:7). Les flammes du Paraclet
qui s'arrêtent sur la tête des Apôtres et de la Sainte Vierge le jour
de la Pentecôte donnent naissance à la Sainte Église, Corps Mystique du
Christ, et à partir de ce moment les portes du Cénacle - jusqu'alors
fermées par peur des Juifs ( Jn 20 , 19) - elles s'ouvrent largement et
un nouveau peuple surgit, renaissant dans l'Esprit Saint, qui ne pense
plus selon l'esprit du monde, mais selon Dieu. Nous le chanterons dans
quelques jours :Il délivre Spiritum tuum, et creabuntur ; et renovabis
faciem terræ . Dès qu'ils se sont laissés toucher par la grâce, ils ont
changé leur façon de penser. Et c'est grâce à cela qu'ils comprennent
la nécessité de l'Ascension. L'Église naît lorsque les Onze restés
fidèles à leur Maître comprennent que ce vide laissé sur cette terre
par le Seigneur, cet espace de temps qui va de Son Ascension au ciel à
Son retour dans la gloire à la fin des temps, doit être servir à faire
les trésors infinis des mérites de la Passion du Christ, avec la
prédication de l'Evangile à toutes les nations, avec le témoignage de
notre Foi, avec la conversion des âmes à l'unique Pasteur dans l'unique
Berceau, dans l'unique Baptême, dans la seule profession fidèle.
La Sainte Église est la
continuation de la présence de Son divin Chef jusqu'à la fin du monde.
C'est dans son sein le plus pur - le Saint des Saints, l'Autel de Dieu
- que dans le Saint Sacrifice de la Messe, sous les voiles
eucharistiques, le Seigneur descend avec son Corps et son Sang
glorieux, son Âme et sa Divinité. Et ce sont des hommes qui
accomplissent ce miracle ineffable, grâce au Sacerdoce desquels
Notre-Seigneur Jésus-Christ reste sur cette terre, présent aux yeux de
la Foi, prisonnier du Tabernacle, afin qu'avec saint Thomas nous
puissions Le reconnaître et L'adorer comme notre Seigneur et notre Dieu
même sans mettre les doigts dans Ses saintes Plaies.
Le Saint-Sacrement de l'Autel,
cœur battant de la Sainte Église, est le don divin du Seigneur qui
monte au ciel à ses fidèles qu'il laisse dans cette terre d'exil, dans
cette vallée de larmes, dans ce champ de bataille qui ne connaît jamais
de répit. Et tandis que l'on se souvient du mystère de l'Ascension en
éteignant symboliquement le cierge pascal en chantant l'Evangile, une
autre flamme reste allumée : c'est celle de la lampe rouge qui brûle à
côté du Tabernacle. Elle honore la Présence du Roi des rois, qui
s'humilie dans son infinie magnificence en s'exposant à l'irrévérence,
au sacrilège et à la profanation des méchants, afin d'avoir la
consolation de nous voir prosternés devant Lui, pour Le prier, pour le
remercier des faveurs accordées, pour l'implorer d'une faveur, pour lui
demander pardon de nos manquements, pour le recevoir dans la Très
Sainte Eucharistie et faire de nos âmes le temple de la Très Sainte
Trinité. Mettre toute notre foi, toute notre espérance, tout notre
amour en Lui :fais que je croie toujours plus en toi, espère en toi,
t'aime .
Si Notre-Seigneur avait voulu
son propre triomphe selon la mentalité du monde, Il nous aurait créés
sans libre arbitre, nous programmant pour ne faire que Sa volonté, sans
mérite et sans culpabilité. Il n'aurait même pas créé les anges
pécheurs, évitant d'avoir contre les rangs des esprits rebelles. Il
nous aurait rendus tous égaux, nous répartissant équitablement sur la
planète, nous équipant du strict nécessaire et contrôlant chacune de
nos actions. Bref, il aurait agi comme Klaus Schwab, qui voudrait nous
asservir et effacer ce qui fait de nous des humains et de notre
Créateur merveilleusement divin : notre unicité, notre liberté de
L'aimer et de rendre la magnificence de Ses grâces à notre misère.
Le "succès" du Seigneur ne
s'accomplit pas selon la mentalité du monde, car s'il en était ainsi ce
ne serait qu'une illusion, un feu d'artifice éphémère, comme toutes les
choses mondaines qui ne viennent pas de Dieu, délicatesse du père qui
laisse le fils avec la satisfaction de lui démontrer ses propres
capacités, fruit tiré de l'enseignement du père. Comme l'artisan qui,
devant s'absenter, laisse l'atelier au plus expérimenté, pour lui
donner l'occasion de confirmer la confiance bien placée. Et il sait
qu'à son retour, il ne sera pas déçu.
Notre-Seigneur monte au ciel
parce qu'à partir de ce moment chacun de nous, et en particulier les
Successeurs des Apôtres, ont le mandat de proclamer le salut de Dieu
dans un monde rebelle et apostat, d'apporter la lumière du Christ dans
les ténèbres du péché et de la mort. Je vous envoie comme une brebis
parmi les loups (Mt 10, 16), nous dit-il, prédisant qu'un disciple ne
vaut pas plus que son maître, ni un serviteur ne vaut plus que son
maître (Mt 10:25). C'est un moment d'épreuve, qui dure - avec des
résultats mitigés - depuis deux mille ans : l'Église continue à rendre
le Christ présent sur la terre, et à l'offrir mystiquement au Père.
Mais combien de loups, déguisés non seulement en agneaux, mais même en
bergers ! Combien de mercenaires corrompus, trompés qu'ils peuvent
frauder le maître avant son retour ! Combien de traîtres qui cherchent
à détruire l'Église précisément pour effacer la présence de Dieu et
empêcher le salut des âmes !
Dans la question des deux
anges aux disciples, il y a un avertissement : que Jésus, qui vous a
été enlevé au ciel, reviendra comme vous l'avez vu monter au ciel
(Actes 1, 11). Cela renvoie à la fin des temps, lorsque Notre-Seigneur
triomphant de la mort et du péché reviendra juger les vivants et les
morts, pour conclure par un procès universel cette victoire sur
l'antique Serpent annoncée dans le Protoévangile (Gn 3, 15), inauguré
avec l'Incarnation, accomplie avec la Passion et la Mort sur la Croix,
mais encore incomplète car il manque la condamnation publique de Satan
et de ses serviteurs. Une condamnation inexorable, déjà écrite, mais
qui reste à prononcer. Liber scriptus proferetur, in quo totum
continetur, unde mundus judicetur , nous chantons dans le Dies iræ. Le
livre qui a été écrit, dans lequel tout est contenu, sera lu et le
monde sera jugé.
Mais quand le Fils de l'homme
viendra, trouvera-t-il la foi sur la terre ? (Lc 18, 8). Si nous
regardons autour de nous, nous devrions dire oui, car les adversités
que nous traversons permettent à de nombreuses âmes de se convertir et
de revenir à Dieu, et cette célébration en est la preuve. Mais si l'on
regarde le monde, il y a de quoi horrifier, à commencer par
l'apostasie, la corruption et l'immoralité dans lesquelles se trouve la
hiérarchie catholique. Beaucoup de mes confrères et beaucoup de prêtres
pensent qu'il est plus facile de promouvoir une version soft du
christianisme - humanitaire, écologiste et mondialiste - parce que son
"édition complète" est considérée comme peu pratique pour la mentalité
du monde. Avec une mentalité mercantile, ils croient pouvoir « rajeunir
l'entrepôt » en proposant un nouveau « produit » qui répond aux goûts
des clients. Des choses peu exigeantes, aussi génériques que
rassurantes pour ceux qui ne veulent rien changer à leur vie :
solidarité, acceptation, inclusion, synodalité, résilience,
éco-durabilité. Et surtout : pas de référence au péché, donc pas de
péché originel, pas de rédemption, mais seulement une « marche ensemble
», vers l'abîme. La Passion et la Mort du Seigneur est une charge, elle
divise, elle n'inclut pas. Il ne construit pas de ponts, il construit
des murs.
Mais est-ce peut-être la Foi
que le Seigneur a enseignée aux Apôtres pendant les trois années de
ministère public et, après la Résurrection, jusqu'au moment de
l'Ascension ? Est-ce pour cela qu'il a institué les Saints Ordres, et
tous les sacrements ? Est-ce cela qu'il ordonna d'enseigner à toutes
les nations ? Pour cette raison les Martyrs sont-ils morts dans
d'atroces tourments ? Se faire dire que la mission divine de l'Église
de convertir les peuples est « un non-sens solennel » ? Pour cette
raison, les Saints Pères et Docteurs de l'Église ont-ils consacré leur
vie à la prédication de la doctrine ? Écouter les discours délirants et
incohérents contre ceux qui restent fidèles à la Sainte Tradition,
marginalisés comme rétrogrades ou nostalgiques pathologiques? Des
prêtres catholiques ont-ils été persécutés pour cela dans l'Angleterre
d'Henri VIII ou dans la France de la Terreur ? Voir interdite cette
messe haïe des hérétiques de tous les temps ?
Les deux anges avertissent non
seulement les disciples avec leurs têtes hautes, mais aussi chacun de
nous : que Jésus, qui vous a été enlevé au ciel, viendra, comme vous
l'avez vu monter au ciel (Actes 1 :11). . Et à son retour, il demandera
à ses administrateurs ce qu'ils ont fait des talents inestimables qu'il
leur a laissés dans le coffre de la Sainte Église. Rendez compte de
votre intendance (Lc 16, 2). Je tremble à l'idée du Jugement de Dieu,
qui a établi le Pape et les Évêques en autorité pour être d'autres
Christs et prêcher l'Évangile à tous les peuples, et aujourd'hui
l'Église se trouve infestée par un Sanhédrin d'hypocrites, d'hérétiques
et d'apostats déterminés à partager son vêtement inconsutil avec les
puissants de la terre. Comment le patrimoine du Christ, composé des
Sacrements et de la Sainte Messe, s'est-il fait fructifier ? En copiant
la « Cène » aux Protestants et en interdisant le Rite Apostolique ?
Comment se sont multipliés les talents de prédication et d'apostolat,
les trésors de doctrine des saints théologiens ? En promouvant
l'œcuménisme iréniste et en participant sacrilège au panthéon des «
religions abrahamiques » d'Abu Dhabi ? en faisant adorer au Vatican
l'idole infernale de la Pachamama ? encourager les vices et se moquer
des vertus ? promouvoir des prélats indignes et persécuter de bons
prêtres ? Ces bureaucrates corrompus se précipiteront pour déterrer le
trésor,
L'Ascension du Seigneur nous
montre que c'est Sa volonté que nous collaborions à l'œuvre du salut,
car nous sommes des membres vivants de Son Corps qui est l'Église, et
en tant que tels nous devons suivre docilement sa Tête divine. Il
demande aux Pasteurs, auxquels il a ordonné de prêcher l'Evangile et de
baptiser toutes les nations, sans laisser d'ambiguïté sur la
condamnation qui attend ceux qui ne se convertissent pas et ceux qui
n'annoncent pas l'Evangile. Parce que l'autorité des Pasteurs est
vicariante , c'est-à-dire qu'elle existe précisément parce qu'elle
s'exerce en l'absence physique de Notre-Seigneur, seul Chef de
l'Église. Celui qui t'écoute m'écoute, et celui qui te méprise me
méprise (Lc 10, 16): ce sont des paroles qui rassurent ceux qui sont
méprisés du monde parce qu'ils prêchent le Christ, mais qui doivent
terrifier ceux qui sont accueillis par le monde parce qu'ils prêchent
un autre évangile au nom du Christ. Et malheur à ceux qui font mépriser
le Christ parce qu'avec l'autorité du Christ ils répandent l'erreur,
légitiment le péché et le vice, causent le scandale avec leur propre
mode de vie.
Le Seigneur s'en va sans
bruit, comme en silence. Il est ressuscité. Seul, Il se laisse voir par
les Disciples, afin que l'évidence de Son Ascension au ciel soit suivie
de la Foi en Sa présence sacramentelle dans la Très Sainte Eucharistie
gardée par l'Église, l'Espérance de Le retrouver dans la gloire céleste
et l'ardente Charité de l'aimer et de venir pour vous. C'est l'héritage
que l'Église du Christ a transmis intact depuis deux mille ans, et que
personne ne peut modifier ou falsifier, s'illusionnant qu'il peut s'en
tirer : Deus non irridetur . Car lorsque le Seigneur reviendra, il
voudra reprendre possession des biens spirituels inestimables qu'il a
confiés à ses ministres pour administration, et dont ils devront rendre
compte.
Chérissons donc tous - tous :
des dirigeants de l'Église aux fidèles les plus humbles - le temps qui
nous reste. De ce qu'il nous reste dans cette vie mortelle, avant de
nous retrouver devant Dieu pour le Jugement particulier. De ce qui
reste dans le monde et dans l'Église avant la fin des temps, avant le
Jugement Dernier. Si même une seule âme a été gagnée au Christ par
notre prédication, par notre exemple, par une de nos bonnes paroles,
nous pourrons sereinement montrer au Seigneur que nous avons multiplié
les talents reçus et entendre la réponse : Bravo, bon et fidèle
serviteur... entre dans la joie de ton Seigneur (Mt 25, 23). Que cette
espérance soit valable surtout pour ceux que le Seigneur a placés en
autorité dans l'Église : telle est l'intention des prières que nous
déposons aux pieds de la Reine des Apôtres et Mère de l'Église, Marie
la Très Sainte. Et ainsi soit-il. »
15 mai
L’EXPÉRIENCE-SENTIMENT
Voilà exactement comment le grand architecte Bergolio modifie l’église.
La pyramide inversée.
Le peuple qui décide.
Mené
par les émotions, le vécu, les faussetés suggérés par le malin, alors
qu’il n’y a pas d’espoir sans le phare lumineux dans la nuit, le Christ.
" Tu
le dis, je suis roi. Je suis né et je suis venu dans le monde pour
rendre témoignage à la vérité : quiconque est de la vérité écoute
ma voix. " (Jean, 18-37)
NSJC indique bien qu’il n’y a qu’une seule voie à suivre, et une seule voix à écouter.
Et pourtant, le Vatican prend le chemin contraire avec le synode des synodes.
Le
seul phare temporel qui demeure alors, est la tradition, les deux
témoins de l’Apocalypse, ceux qui laïcs et clergé demeurent fidèles à
la Loi et aux Prophètes.
C’est
ce qu’accomplie la FSSPX en s’opposant à la bête, à ses principes et
idées tordus tout en défendant l’intégralité de la Foi, de la doctrine
via les sacrements et la liturgie tridentine de l’Église.
C’est ce que confirme Mgr Pagliarani dans un entretien récent. (fsspx.news)
«
Tout d’abord, par rapport à l’autorité, on souhaite explicitement la
reconnaissance d’une Eglise qui fonctionne à l’envers, et dans laquelle
l’Eglise enseignante n’ait plus rien à enseigner…
on
prône une Eglise sans doctrine, sans dogme, sans foi, dans laquelle on
n’a dès lors plus besoin d’une autorité qui enseigne quoi que ce soit.
Tout est dissout dans un esprit d’amour et de service, sans trop savoir
à quoi cela correspond – si cela correspond à quelque chose – et où
cela doit mener…
L’Église offre ainsi à l’humanité un enseignement qui ne correspond plus à la transmission d’une Révélation transcendante…
Je
pense qu’il n’est pas nécessaire d’être un expert très averti pour
saisir la volonté manifeste d’en finir avec la messe tridentine…
Pour
le bien de l’Eglise, la Fraternité doit garder et garantir, à ses
prêtres et à ses fidèles, la pleine liberté de la célébration de la
liturgie traditionnelle. En même temps, la Fraternité doit continuer à
assurer la conservation de la théologie traditionnelle qui accompagne
et soutient cette même liturgie. Un catholique encore lucide ne saurait
renoncer à cette doctrine : son changement au cours du Concile est
bien ce qui – pour paraphraser le cardinal Roche – a inspiré la
nouvelle messe. Nous avons le devoir de garder l’une et l’autre, avec
la pleine liberté de nous opposer aux erreurs et à ceux qui les
enseignent. En effet, si la liturgie est par définition publique, la
profession de foi qui lui est associée l’est aussi… »
12 mai
CE MONDE EST PERDU
Sermon très révélateur (vidéo) de l’abbé Puga sur « ce monde ».
Très pertinent pour la fin des temps.
« Le monde dans lequel
nous sommes n’est pas notre monde ; c’est pourquoi le Christ dit qu’il
ne prie pas pour le monde. Ce monde disparaîtra, ou plus exactement il
sera transformé à la fin des temps pour être rendu acceptable, et du
moins vivable, pour des âmes qui ont été transformées en Notre-Seigneur
Jésus-Christ. Et c’est pourquoi le monde d’aujourd’hui est un exil pour
le chrétien. »
« Nous ne sommes pas dans l’admiration des merveilles de ce monde, surtout tel qu’il est aujourd’hui. »
« Mon royaume n’est pas de ce monde dit Jésus à Pilate ; oui le royaume du chrétien n’est pas de ce monde. »
« Le péché nous rend
esclave du monde, nous sommes accrochés à ce monde par le péché, et
celui qui est accroché à ce monde par le péché, périra avec ce monde
qui sera détruit pour être transformé. »
Ce monde est celui de Satan, modifié à sa main depuis des décennies, et surtout pour l’église, depuis Vatican II.
C’est un monde malade.
Les fruits en sont le témoignage lorsqu’on regarde les dernières générations qui ont mis de côté le Christ.
Elles sont aveugles, sans phare, perdues et errantes sans savoir pourquoi.
Les délices de Capoues où « on a une vie » finalement sont un poison insidieux et ainsi,
« Au nom de la liberté on permet les pires crimes » (abbé Puga ci-haut) :
- avortement
- manipulation mentale des jeunes quant au transgénérisme, propagande LGBT+, etc.
- destruction de la famille et du sacrement du mariage
- guerres
- esclavage mental de la société par la technologie, les médias, la publicité.
- le « wokisme », dernière
trouvaille pour justifier l’humanisme sociétaire, cette nouvelle
religion à IMPOSER et dont un des outils est l’immigration de masse
pour éliminer toute traces chrétiennes des civilisations.
Et dans tout ceci,
malheureusement, le Vatican s’est directement aligné sur cette religion
humanisme avec en tête Bergoglio et sa propre définition de la
miséricorde pour atteindre un humanisme athée : promulgation de
l’immigration massive (pacte de Marrakech), répandre la thèse du
réchauffement climatique (encyclique sur le climat Laudato Si),
humanisme religieux (encyclique Fratelli Tutti), adhérence à l’Agenda
2030 maçonnique aux Nations-Unies (tous les papes depuis Vatican II),
adhérence à la dictature mondiale du Covid, bref une dégradation
fulgurante par rapport à la doctrine de l’Église, en un temps, disons,
record.
Ce monde est un monde de culture de la mort.
«
( LifeSiteNews ) – Un professeur catholique a fustigé le pape
François, accusant le pontife de « détruire les fondements de la foi et
de la morale ».
Josef
Seifert, professeur de philosophie renommé et ami intime du pape
Jean-Paul II, a publié une lettre ouverte adressée aux cardinaux de
l’Église catholique, dans laquelle il appelait les évêques de l’Église
à résister aux actions hétérodoxes du pape François, comme la signature
de le document d’Abou Dhabi.
« Le
pape François – je le dis avec un cœur saignant – n’est pas le »
garant de la foi « , mais il détruit constamment de plus en plus
les fondements de la foi et de la morale avec cela et bien d’autres
déclarations et déclarations », a écrit Seifert.
Le
professeur autrichien a spécifiquement critiqué le « Document sur la
fraternité humaine pour la paix mondiale et le vivre ensemble »,
souvent appelé document d’Abu Dhabi, que François a signé avec le Grand
Imam d’Al-Azhar. Le document stipule que « [l]e pluralisme et la
diversité des religions, des couleurs, des sexes, des races et des
langues sont voulus par Dieu dans sa sagesse, par laquelle il a créé
les êtres humains ».
« Rappelons-nous la
Déclaration sur la Fraternité de tous les Peuples signée par le Pape
François avec le Grand Imam Ahmad Mohammad Al-Tayyeb », a déclaré
Seifert.
«
Ne serait-ce pas une hérésie et une terrible confusion de prétendre que
Dieu — de même qu’il a voulu la différence des deux sexes —
c’est-à-dire avec sa volonté positive — a aussi directement voulu la
différence des religions et donc toute idolâtrie et hérésie ? Oui, la
Déclaration d’Abu Dhabi n’est-elle pas bien pire que l’hérésie, à
savoir l’apostasie ?
«
Ne devriez-vous pas tous, cardinaux et évêques, prononcer votre ferme
‘non possumus’ [nous ne pouvons pas] lorsque François demande que ce
‘document’ soit la base de la formation des prêtres dans tous les
séminaires et facultés de théologie ?
« Vrai
comme il est en soi » que le pape est le pape et le garant de la
foi « , cette déclaration ne peut pas être appliquée à un pape qui
a signé la déclaration d’Abu Dhabi et l’a diffusée dans le monde
entier, et qui a dit et fait beaucoup d’autres des choses contraires à
l’enseignement constant de l’Église.
«
Que dois-je répondre à un ami luthérien cher et profondément croyant,
pour la conversion duquel je prie depuis des années, lorsqu’il m’écrit
qu’avec cette déclaration d’Abu Dhabi, l’Église catholique a quitté le
sol du christianisme ? Il a demandé.
«
Ne faudrait-il pas que tous les cardinaux écrivent au pape comme un
seul homme et lui demandent de retirer cette déclaration apostolique ?
Le
professeur de philosophie a également dénoncé la promotion par François
des «unions civiles» homosexuelles, ce qui contredit directement
l’enseignement de l’Église et ses prédécesseurs.
«
Sa déclaration selon laquelle il faut promouvoir les alliances
civiles/unions civiles d’homosexuels contredit directement les
déclarations claires du magistère de l’Église (cf. les considérations
sur les projets de reconnaissance légale de la cohabitation entre
personnes homosexuelles du 3 juin 2003, publiées sous le pontificat de
saint Pape Jean-Paul II), mais surtout la Sainte Écriture et toute la
tradition de l’Église ! Seifert a déclaré.
«
Ne devriez-vous pas tous, cardinaux, comme l’a fait à merveille Mgr
Athanasius Schneider, accomplir un véritable acte d’amour pour le pape
et l’exprimer publiquement et aussi clairement que lui, avec toute la
clarté requise ?
Seifert a rappelé aux
cardinaux de l’Église catholique qu’ils devraient un jour répondre de
leurs actions (ou de leur inaction) devant le siège du jugement de Dieu.
«
Ne devez-vous pas, cardinaux, trembler avant le moment où le Christ
vous demandera comment vous pourriez remplir le mandat missionnaire
solennel de Jésus si vous ne protestiez pas contre la Déclaration d’Abu
Dhabi, qui dit le contraire diamétralement des paroles de Jésus ? écrit
le professeur.
De
plus, Seifert a critiqué François pour avoir contredit l’enseignement
de l’Église sur la peine de mort et changé le Catéchisme de l’Église
catholique.
Il
a également appelé le pape pour avoir dit que les âmes damnées sont
détruites au lieu d’aller en enfer pour l’éternité. Le Pontife aurait
fait ces remarques dans l’une de ses tristement célèbres interviews
avec le journaliste athée Eugenio Scalfari .
« Tous
les cardinaux ne devraient-ils pas protester dans de nombreux autres
cas, par exemple lorsque le Pape introduit arbitrairement un changement
théologiquement et ecclésiastiquement erroné dans le Catéchisme
catholique, qui contredit les paroles claires de Dieu dans la Sainte
Écriture (déjà dans le Livre de la Genèse) et de nombreuses
déclarations doctrinales des papes sur la peine de mort formulées dans
une tradition ininterrompue et aussi des faits historiques », a écrit
Seifert.
« [O]r
quand – contre de nombreuses paroles énergiques de Jésus et des dogmes
de l’Église catholique – il parle d’un enfer vide ou même, comme les
Témoins de Jéhovah, prétend que les âmes des pécheurs incurables ne
vont pas en enfer mais sont détruites? »
Le
professeur autrichien a ensuite reproché à François d’avoir nommé des
membres qui contredisent ouvertement « le noyau de l’enseignement
moral biblique et de l’Église et les encycliques Humanae Vitae,
Evangelium Vitae et Veritatis Splendor à l’Académie pontificale pour la
vie[.] »
«
Comment pouvez-vous, cardinaux […], garder le silence sur cela et bien
d’autres « désolations du sanctuaire » au lieu de faire beaucoup plus
que les laïcs critiques et les théologiens pour faire tout leur
possible pour proclamer ces nombreuses vérités de la foi que le Pape
ouvertement ou tacitement contredit par des paroles et aussi des actes
(comme la célébration de la Réforme, l’érection de la statue de Luther
au Vatican, le timbre célébrant la Réforme, le culte Pacha Mama dans
les jardins du Vatican et la basilique Saint-Pierre, etc.) [ …]”
Seifert
est un professeur de philosophie catholique renommé qui a été renvoyé
d’une université catholique en Espagne en 2017 pour avoir ouvertement
critiqué le pape François. Il enseigne actuellement encore la
philosophie à l’Université Ludwig-Maximilians de Munich. »
Cette dégradation des mœurs,
morales et spirituelles, rapides, sont des preuves convaincantes que
les limites sont atteintes.
La destination de la majorité des âmes est l’enfer pour tous.
Et
le pire c’est que l’église elle-même nous y entraîne, réalisant la
prophétie du Christ des aveugles conduisant les aveugles au gouffre.
Comme
dernier geste, Bergoglio entraîne les jeunes pousses catholiques dans
ce sillon avec la Journée mondiale de la jeunesse 2023 au
Portugal :
« Notre mission est de construire les JMJ Lisbonne 2023 (JMJ Lisbonne
2023) sur la base des objectifs de durabilité adoptés au niveau
mondial, des objectifs de Laudato si’ mis en avant par le Vatican,
ainsi que de l’Agenda 2030 des Nations unies (SDG). »
« Les JMJ Lisbonne 2023 seront marquées par les encycliques Laudato si’
et Fratelli Tutti du pape François, ainsi que par l’exhortation
apostolique Christus Vivit. Elles nous invitent à prendre grand soin de
notre maison commune. Le Saint-Père affirme que « tout est lié ».
Le
souci de l’environnement doit donc être associé à un amour sincère pour
nos semblables et à un engagement sans faille pour résoudre les
problèmes de la société ». La JMJ Lisbonne 2023 portera en son
cœur le concept d'écologie intégrale’. » ( www.lisboa2023.org/fr )
Remarquez
que la rencontre préparatoire a eu lieu le 17 octobre 2022 à Fatima et
annoncée le 13 octobre (journée du miracle du soleil en 1917).
Ce n'est pas un hasard.
Remarquez aussi qu'une nouvelle cathéchèse sera utilisée (RISE UP ou en français « debout, élevez vous »):
«
Le Comité local d'organisation (COL) des Journées mondiales de la
jeunesse (JMJ) Lisbonne 2023 inaugurera un nouveau modèle de catéchèse
- les Rencontres Rise UP - impliquant une série de réunions
préparatoires entre avril, mai et juin. Il propose que des jeunes du
monde
entier soient les protagonistes de la réflexion sur les thèmes centraux
pour le monde et la vie en société : l'écologie intégrale, l'amitié
sociale et la miséricorde.
Avec le lancement de l'itinéraire catéchétique Rise UP, les JMJ de
Lisbonne 2023 offriront à tous les jeunes une expérience en ligne avec
le voyage synodal 2021-2024, actuellement en cours dans l'Église
universelle sous le thème "Pour une Église synodale : communion,
participation et mission". »
Surpris?
L'objectif est clair pour 2024. Tout est planifié au moindre détail.
L'étau se resserre à l'insu de plusieurs.
Ainsi, le petit reste ne survivra plus très longtemps dans ce contexte.
Le synode des synodes est un décompte.
Pour la fin de Babylone Vatican.
Et pour la fin de Babylone Nations-Unies.
Les deux Babylone des prophéties de Jean XXIII.
Car, il ne reste plus qu’un seul endroit où le Christ est vivant si ce n’est pas dans les âmes, c’est la messe.
Et c’est inacceptable à leurs yeux.
Il y a longtemps que l’élite franc-maçonne attend ce moment.
On sait donc à l’avance la conclusion du synode.
1 mai 2023
Le synode des synodes au Vatican qui va à l’encontre de son propre droit canon.
C’est bien le signe que le chaos s’est installé.
Bergoglio
change les règles du jeu pour que la conclusion soit finalement la
sienne, ou du moins, selon le document final qui est probablement déjà
décidé.
Alors…
Le synode ne sera plus composé seulement d’évêques… Qui verront leur pouvoir décisionnel réduit de 25%.
« Encore un document papal destructeur: des non-évêques et des femmes au Synode… des évêques.
Motus in fine velocior. La
locution latine qui exprime que le mouvement s’accélère vers la fin n’a
jamais été aussi vraie qu’aujourd’hui au moins dans l’Église (voir
ci-dessous). Le Pape semble pris d’une véritable frénésie réformatrice,
ou plutôt destructrice, comme s’il savait (lui ou ceux qui le
« conseillent ») qu’il ne lui restait plus beaucoup de temps
pour faire ce qu’il a été élu pour faire. Hier, on apprenait
que « le 17 avril 2023, le Saint-Père a approuvé l’extension
de la participation à l’Assemblée du Synode aux ‘non-évêques’ (prêtres,
diacres, hommes et femmes consacrés, laïcs hommes et femmes) ».
Maintenant, au Synode des
ÉVÊQUES, les laïcs (hommes et femmes nommés par lui) voteront aussi
parce que beaucoup d’évêques ne voteront pas comme le veut le Pape.
Il était une fois… Au Synode des ÉVÊQUES, seuls votaient les évêques (cf. can. 342 et 343 Code de droit canonique).
En
un coup de force inattendu, le Saint-Père François a modifié la
Constitution apostolique Episcopalis Communio du 15 septembre
2018 et a inséré 70 laïcs choisis, de fait, par le Pape à partir d’une
liste proposée.
Outre
les nouveaux membres, il convient de mentionner qu’y compris parmi les
membres de nomination pontificale, il sera possible d’avoir des membres
non ÉVÊQUES.
Enfin, il est prévu que 50 % d’entre eux soient des femmes et que la présence de jeunes soit également valorisée.
...
Tout
cela alors que le Synode est en cours (comme François a l’habitude de
le faire, pour changer les règles d’un processus… en cours quand il
voit que le processus ne se déroule pas comme il le voudrait).
Mais
alors, quid de la synodalité que le Pape François appelle de
ses vœux et qu’il proclame tellement? Compte-t-elle pour rien si elle
ne décide pas comme LUI le souhaite ?
Du
politiquement correct sur mesure, un précédent très dangereux pour
la structure hiérarchique de l’Église et un nombre anormal de
participants nommés par François lui-même (avec un document final
qui pourrait être non seulement consultatif mais délibératif, le diable
est dans les détails…) !
Définition
de la ‘synodalité’ [selon François] : en cours de Synode, les
membres du Synode sont changés jusqu’à ce qu’il n’y ait plus que ceux
qui votent démocratiquement comme LUI le souhaite (sauf un ou deux,
pour donner l’apparence d’une discussion).... » (benoit-et-moi.fr)
Saint-François
d’Assise dans sa prophétie avait bien averti, comme s’il savait qu’on
usurperait son nom… et son amour pour les pauvres et la nature :
«
Il y aura très peu de chrétiens qui obéiront au véritable Souverain
Pontife et à l’Église catholique romaine avec un cœur loyal et une
parfaite charité. Au moment de cette tribulation, un homme, non élu
canoniquement, sera élevé à la papauté, lequel, par ruse, s’efforcera
d’entraîner beaucoup de monde dans l’erreur et dans la mort… en ces
jours-là, Notre Seigneur Jésus-Christ leur enverra non pas un vrai
Pasteur, mais un destructeur. »
«
Il y avait à Rome, même parmi les prélats, bien des personnes de
sentiments peu catholiques qui travaillaient au succès de cette
affaire. Je vis aussi en Allemagne des ecclésiastiques mondains et des
protestants éclairés manifester des désirs et former un plan pour la
fusion des confessions religieuses et pour la suppression de l’autorité
papale… » Anne Catherine Emmerich
Elle a vu juste avec le synode allemand qui entraînera le synode bergoglien.
« CITÉ DU VATICAN (
LifeSiteNews ) - Dans un geste signal, le pape François a approuvé la
participation d'hommes et de femmes laïcs à participer au Synode sur la
synodalité et à obtenir jusqu'à 25% des droits de vote de l'assemblée...
De plus, le Synode sur la
Synodalité sera rejoint par d'autres "experts" qui n'auront pas le
droit de vote, et ne recevront donc pas le titre de "Membre de
l'Assemblée". Ces "experts" - peut-être tirés des " experts " qui ont
rédigé le document de travail pour l'étape continentale - seront
rejoints par d'autres "facilitateurs".
Le côté œcuménique du synode
devient de plus en plus évident ces dernières semaines, avec l'annonce
officielle que "des délégués fraternels, des membres d'autres Églises
et Communautés ecclésiales participeront également"...
Avec l'approbation officielle
maintenant donnée pour l'implication et le vote des laïcs dans le
synode, les ressemblances avec la « voie synodale » hétérodoxe
allemande, qui comprend également des membres laïcs et cléricaux,
augmentent... » (lifesitenews.com)
Le synode est l'ultime finale de l'Antéchrist pour adapté l'église aux mondanités humanistes du système antichrist.
Nous
avons donc l'avantage de connaître la date de la fin de la bête de
l'Apocalypse: novembre 2024 au plus tard dépendant des nouvelles règles
à venir s'il y a lieu.
Avril 2023
19 avril
« Prenez garde que nul ne vous séduise. »
Telles sont les paroles de NSJC en Matthieu 24 concernant la fin des temps.
Ces
paroles s’adressent évidement aux chrétiens d’aujourd’hui, indiquant
que des chrétiens catholiques tomberaient sous le joug de Satan (sans
compté le protestantisme), donc qu’il y aurait « deux » types de
catholiques.
Un passage de l'Apocalypse nous donne l'indice concernant ces deux groupes.
On discute souvent de la bête, des deux bêtes dans l’Apocalypse, mais rarement de la « femme ».
«Quand le dragon se vit précipité sur la terre, il poursuivit la femme qui avait mis au monde l’enfant mâle.
Et les deux ailes du grand
aigle furent données à la femme pour s’envoler au désert, en sa
retraite, où elle est nourrie un temps, des temps et la moitié d’un
temps, hors de la présence du serpent…
Et le dragon fût rempli de
fureur contre la femme, et il alla faire la guerre au reste de ses
enfants, à ceux qui observent les commandements de Dieu et qui gardent
le commandement de Jésus…» (Apocalypse. Chap. 12, 13-17)
Les Pères de l'Église ont
expliqué ce passage de façon claire : la femme dans le ciel est à la
fois une allégorie de la Vierge Marie et de l'Église.
L’Église doit s’enfuir au désert, se mettre à l’écart du monde et de ses tentations.
Comme le Christ nous demande de fuir dans les montagnes en Matthieu 24.
Mais
en cette fin des temps, la femme, l’Église, à partir des persécutions
de Vatican II en 1962, génère un « enfant mâle », une nouvelle
génération de chrétiens refusant cette évolution : la tradition
qui se regroupera derrière Mgr Lefebvre.
Cet « enfant mâle », va se mettre à l’écart de l'Église conciliaire, et de la Babylone pécheresse, donc aller au désert.
Ces
chrétiens qui affichent préférence pour la tradition vont s’isoler
durant 1260 jours, soit la même durée que les témoins, parce qu’ils
sont les représentants des deux témoins (clergé et laïcs fidèles à la
Loi et aux Prophètes), et parce qu’ils s’opposent à la Bête, qui a la
même durée de vie selon l’Apocalypse.
Selon le calendrier de la fin des temps (voir analyses précédentes), la bête meurt après la résurrection des deux témoins.
C’est l’ouverture du 7ème sceau, et à ce point il n’y a plus de pape.
« Où croyez-vous fuir, maintenant que vous avez détruit les Églises et tué le dernier Père ? » confirme la prophétie de l’Église le « 7ème Sceau » de Jean XXIII.
Plus d’Église. Plus de phare dans la brume. C’est le temps du Jugement.
Ce dernier Père élu par un conclave, on le sait maintenant, était Benoît XVI.
Non pas Bergoglio. Non pas un autre pape (comme nous anticipions le cardinal Pietro Parolin).
Benoît XVI a été assassiné à petit feu.
C’est là le mystère d’iniquité
qui se révèle petit à petit, une branche saine et l’autre pourrissant,
une Église traditionnelle pré-Vatican II, et une église conciliaire
menée au gouffre par Bergoglio.
Citons les paroles de Louise de Jésus concernant le 7ème sceau :
« au septième sceau,
l’Archange saint Michel tuera de son souffle l’Antéchrist, qui tombera
mort au milieu de ses partisans. Et alors les grands châtiments
commenceront à pleuvoir sur la terre, la famine, la peste, une
terrible guerre sur mer et sur terre, puis un embrasement qui sera
l’œuvre de la secte impie et incendiaire. »
C’est exactement ce que confirme la prophétie de Jean XXIII :
« Quelqu'un brandira la croix noire. Des vallées du Prince viendront les chevaliers aveugles. Derrière eux, les corbeaux de la faim, de la famine, de la peste. Où croyez-vous fuir, maintenant que vous avez détruit les Églises et tué le dernier Père… »
Examinons les paroles de NSJC en Matthieu 24;
- « Car plusieurs viendront sous mon nom, disant : C'est moi qui suis le Christ, et ils en séduiront un grand nombre. »
Qui n’a pas été séduit par la
technologie de pointe, par l’image de la bête via la télévision, les
ordinateurs, les téléphones intelligents.
- « Cet
évangile du royaume sera prêché dans le monde entier, pour être un
témoignage à toutes les nations ; alors viendra la fin. »
Cet parole a été accomplie sous Pie XI!
- « Quand
donc vous verrez l'abomination de la désolation, annoncée par le
prophète Daniel, établie en lieu saint, — que celui qui lit,
entende ! — alors que ceux qui sont dans la Judée s'enfuient
dans les montagnes ; »
Nous savons tous qu’il est présentement sur le trône de Saint Pierre.
- « Car, comme l'éclair part de l'orient et brille jusqu'à l'occident, ainsi en sera-t-il de l'avènement du Fils de l'homme. »
L’effet de surprise : sous Noé, sous Sodome et Gomorrhe, et prochainement pour notre génération.
La stupeur en frappera
plusieurs car ils ne connaissent pas les écritures et sont dans
l’ignorance, alors que d’autres se sont laissés séduire et ont
abandonné la barque.
Ainsi arrivera le Fils de l’Homme après les trois jours de ténèbres.
- « Aussitôt
après ces jours d'affliction, le soleil s'obscurcira, la lune ne
donnera plus sa lumière, les étoiles tomberont du ciel, et les
puissances des cieux seront ébranlées. Alors
apparaîtra dans le ciel le signe du Fils de l'homme, et toutes les
tribus de la terre se frapperont la poitrine, et elles verront le Fils
de l'homme venant sur les nuées du ciel avec une grande puissance et
une grande majesté.
Tels furent les jours de Noé, tel sera l'avènement du Fils de l'homme.
Car
dans les jours qui précédèrent le déluge, les hommes mangeaient et
buvaient, se mariaient et mariaient leur filles, jusqu'au jour où Noé
entra dans l'arche ; et ils ne surent rien, jusqu'à ce que le
déluge survînt, qui les emporta tous : ainsi en sera-t-il à
l'avènement du Fils de l'homme. »
Donc, TOUTES les conditions ont été remplies.
Tous ont eu la chance de connaître les paroles du Christ.
La grande apostasie s’est imposée malgré tout.
L’abomination de la désolation est en haut lieu à Rome.
La mort des deux témoins est
proche, nous le savons grâce au synode des synodes, et à la rumeur
d’une exhortation apostolique en préparation pour interdire la messe
traditionnelle.
Alors viendra la fin de ce monde spécifie NSJC.
13 avril
L'échéancier avance plus vite qu'ils le pensent, semble-t-il...
« CITÉ DU VATICAN ( LifeSiteNews
) - Concernant son récent séjour à l'hôpital, le pape François aurait
déclaré qu'il était arrivé inconscient, soulevant ainsi des questions
sur la véracité d'un incident que le bureau de presse du Vatican a
constamment tenté de blanchir.
Les commentaires du pape ont
été révélés par les médias italiens le 11 avril et auraient été faits
par lui à un confident personnel. Selon Michèle Ferri, qui s'est
entretenue avec François au téléphone le dimanche de Pâques comme il le
fait régulièrement, le pape a déclaré qu'il était arrivé inconscient à
l'hôpital et que quelques heures auraient fait la différence entre la
vie et la mort.
Le pape à l'hôpital : que s'est-il passé ?
François a été emmené à
l'hôpital Gemelli de Rome le mercredi 29 mars, le bureau de presse du
Saint-Siège déclarant le jour que le pape était là pour "des examens
précédemment programmés". Mais les médias italiens ont rapidement
démystifié le récit officiel, François devant annuler une interview
prévue et ses rendez-vous après l'audience de mercredi et être
transporté d'urgence à l'hôpital dans une ambulance. Selon les
dépêches, qui citent des sources à l'hôpital, Francis souffrait de
"problèmes cardiaques" ainsi que de problèmes respiratoires à son
arrivée.
Un communiqué du Vatican du
soir du même jour déclarait alors que le pape se plaignait depuis
quelques jours de quelques difficultés respiratoires et que les
médecins avaient découvert une « infection respiratoire (hors infection
au Covid 19) qui nécessitera quelques jours de soins appropriés ».
thérapie médicale hospitalière.
Un tel diagnostic était en
contraste apparent avec la condition physique du pape quelques heures
plus tôt lors de son audience hebdomadaire, où il était animé et ne
présentait pas de signes d'une telle condition signalée.
Les déclarations officielles
minimisant la gravité de l'état du pontife, François a ensuite avoir
été libéré de l'hôpital le 1er avril. Lors de sa sortie, l'homme de 86
ans a plaisanté en disant qu'il était "toujours en vie".
Avant sa libération samedi,
vendredi après-midi, François avait visité le service d'oncologie pour
enfants, où il avait béni les patients et baptisé un bébé, ce qui ne
correspondait pas à son diagnostic d'infection respiratoire.
Un appel téléphonique révèle la gravité de l'état
Les observateurs étant
toujours confus quant à la véritable nature de l'état de santé du pape
François, et les déclarations du bureau de presse du Saint-Siège
semblant manifestement trompeuses, François a ensuite participé aux
cérémonies de la semaine sainte et de Pâques, la plupart du temps comme
prévu. Il s'est cependant retiré du chemin de croix du Vendredi saint
au Colisée, invoquant le «froid intense» de ces derniers jours.
Cependant, le dimanche de
Pâques, François a effectué une tâche régulière : appeler Michele
Ferri, le frère d'Andrea Ferri, qui a été assassiné en juin 2013.
Depuis, François s'est lié d'amitié et a appelé Michele 90 fois, y
compris lors de fêtes comme Pâques.
S'adressant à Il Resto del
Carlino, Michele a rapporté le contenu de son appel du dimanche de
Pâques avec le pape. "Je suis toujours en vie, m'a-t-il dit", a déclaré
Michele.
"C'est comme ça qu'il a
commencé, et j'ai entendu une voix en forme, sonnante et sereine cette
fois, mieux que la dernière fois, puis il avait semblé un peu fatigué",
a ajouté Michele.
Michele a déclaré que François
avait confié au téléphone qu'il était « arrivé inconscient » au
Gemelli, après avoir souffert d'une maladie pendant douze jours. Le
pape aurait dit : "Encore quelques heures et je ne sais pas si je
racontais l'histoire."
François aurait ajouté que "je l'ai vraiment mal vu".
Alors qu'il était encore
adolescent, François s'est fait enlever un poumon en raison d'une
infection. Puis en 2021, le pontife a déjà subi une opération du côlon
de six heures au Gemelli pour se faire enlever une partie de son côlon
en raison d'une diverticulite. Il y a ensuite passé 10 jours en
convalescence.
Au moment de l'opération, et
après celle-ci, des rumeurs ont couru selon lesquelles il souffrait
d'un cancer et approchait de la fin de son pontificat. Ces rumeurs ont
été étayées par son utilisation de longue date d'un fauteuil roulant et
l'augmentation des problèmes de genou. François a par la suite nié la
suggestion qu'il avait un cancer.
Ce nouveau rapport éclaire
maintenant davantage l'admission soudaine et toujours déroutante de
François à l'hôpital il y a deux semaines. Le fait que la santé d'un
pape soit entourée de secret, en particulier à mesure qu'un pontife
avance en âge, n'a rien d'inhabituel.
Mais les déclarations du
Vatican concernant la récente hospitalisation de François dénotent un
contraste marqué avec la vérité et une détermination à continuer dans
la promotion d'une réalité alternative.
Le pontificat du pape François
a été marqué par des démonstrations de puissance, comme en témoigne le
nombre remarquablement élevé de motu proprios qu'il a émis sur une
variété de sujets : en seulement 10 ans, il a publié 61 de ces
documents, bien plus que l'accord de Jean-Paul II 31 en 27 ans.
Pour un Pontife comme
François, s'assurer que personne ne sache la vérité sur sa santé
déclinante sera vital s'il veut conserver le pouvoir au sein du Vatican.
LifeSiteNews a contacté le
bureau de presse du Saint-Siège pour commenter les commentaires papaux
signalés, mais n'a pas reçu de réponse au moment de la publication. »
12 avril
Mise à jour concernant le cycle solaire.
L'activité
assez intense du cycle 25 dans les derniers mois oblige les
scientifiques à réviser leur prédiction du maximum solaire (soit le
maximum de taches solaires et donc de possibilités de tempêtes
solaires) entre la fin de 2023 et juillet 2024.
C'est tout un changement par rapport à la prédiction initiale pour juillet 2025 (ensuite révisée autour d'octobre 2024).
Image du graphique avec la nouvelle prédiction.
C'est donc dire que si le
soleil a effectivement quelque chose à voir avec la fin des temps, et
bien, c'est un indice que tout s'accélère, et que...., ce nouveau
maximum arrive pile à point pour hypothétiquement empêcher Bergoglio de
conclure son affreux synode, en plus de la chute de Babylone la grande,
des deux Babylone dont parlent Jean XXIII.
Nous avons vu dernièrement que Bergoglio semble avoir des problèmes de santé et que son temps est compté.
À sa mort, plusieurs prophéties reconnues prendront fin.
Ce n’est pas rien.
Car il est l’Antichrist personnifié et que l’Apocalypse nous prédit la défaite de Satan et de son système à la fin des temps.
Vérifications avec :
- Les révélations de la Vierge à La Salette où « Rome perdra la foi et deviendra le siège de l’Antéchrist ».
Aucun doute ici.
Rome,
la ville aux sept collines identifié dans l’Apocalypse, a sombré dans
l’apostasie depuis Vatican II et a entraîné la majorité des brebis dans
le gouffre, grâce à l’adoption par L’église conciliaire de
l’Antéchrist-système au sein de sa structure.
En
effet, on y parle maintenant que des droits de l’homme, du
réchauffement climatique, et de la pauvreté en termes matérialistes
(ex : immigration nécessaire).
Son discours n'est plus christocentrique.
Et Bergoglio, le 8ème roi de l’Apocalypse, siège bien sur le trône de Saint Pierre.
- La prophétie des papes de Saint Malachie. Nous sommes en présence du dernier pape.
-
La révélation de Satan ( dans « Le diable au XIXè
siècle »,1894) : « combien de papes après Léon
XIII »? « Neuf, et après eux je règnerai ».
En effet le 9ème et dernier pape est Benoît XVI.
Satan règne donc avec Bergoglio sur le trône.
Et Jean XXIII dans la prophétie de l’Église #11 « Le 7ème Sceau » spécifie « Où croyez-vous fuir, maintenant que vous avez détruit les Églises et tué le dernier Père ? »
Il
semble bel et bien avec le temps qu'il s'agît de Benoît XVI, qu'ils ont
forcé à démissionner, puis isoler, et fait mourir à petit feu.
La Résurrection dans l’Église catholique est appelée « le 8è jour ».
« Après les sept jours douloureux de la Semaine sainte, voici le Huitième jour, le jour joyeux de Pâques. »
Le chiffre 8 est le chiffre de la plénitude, de l’infini, de la vie éternelle, de Dieu.
(le nom de Jésus en grec correspond au nombre 888)
Satan singeant Dieu concrétise sa plénitude avec son 8ème roi.
Après c’est la fin.
Tout se tient.
On rappelle le calendrier de la fin des temps.
La mort de l’Antichrist débute
la dernière et 7ème période, soudaine et très rapide, à l’image de
Sodome et Gomorrhe et du temps de Noé.
Selon l’ordre chronologique donné dans l’Apocalypse, nous avons :
1) Mort des témoins (3,5 jours)
2) Résurrection des témoins
Fin de la sixième période.
Entrée dans la 7ème période :
3) Mort de l’Antéchrist
4) Chute de Babylone (3ème malheur, Ap. 11, 14)
5) Retour du Christ
6) Jugement dernier
7) Règne définitif et sans partage du Christ (Ap. 21-22)
11 avril
LE MONDE DU MENSONGE
La poussée récente des agents
conversationnels utilisant l'intelligence artificielle prôné dans les
médias est en quelque sorte, la cerise sur les gâteau quant à l’ère des
« fake news », l’apothéose du mensonge, par le prince du mensonge qui
singe Dieu, Satan.
En effet, ces nouvelles
technologies ont pour but de modifier l’opinion publique, de cacher la
vérité puisqu’elles se servent de ce qui est publié sur le net pour
faire leurs recherches.
Le gouvernement chinois a bien
compris l’importance de cet outil : des agents à son service
inondent présentement le web de fausses publications pour discréditer
ce qui est contre leur idéologie, tout en mettant des publications
favorables à la cause communiste chinoise.
Ainsi les agents conversationnels dit « intelligents » puisent dans des sources qui ne sont majoritairement que mensonges.
Ces outils liés aux téléphones
intelligents ne font qu’abaisser le niveau intellectuel des jeunes
générations, tout en provoquant des crises « conspirationnelles » chez
les plus fragiles mentalement qui n’ont pas la foi chrétienne sur
laquelle se reposer, pour amener au discernement et à la vérité, la
seule Vérité qui vaut la peine de cultiver en soi.
Ce n'est pas un hasard car c’est la fin, le temps de la récolte par la séparation du bon grain de l’ivraie annoncé par NSJC.
Comprenez-vous bien maintenant
les paroles de NSJC en Matthieu 24 qu'il faut
s’isoler dans les montagnes, de se mettre à l’écart de cette influence
néfaste.
Car ce qui nous attend en tant que société avec ces outils, c’est le chaos.
Physique, mental, et spirituel.
Mgr Vigano dans son sermon de Pâques :
« Le monde moderne est l'otage
du mensonge. Tout ce qui est théorisé par l'élite, affirmé par les
Institutions et propagé par les médias est un mensonge, une fausseté et
une tromperie.
L'urgence psychopandémique est
un mensonge, tout cela à cause d'un virus créé en laboratoire dans le
but d'une vaccination de masse aussi inefficace que nocive pour la
santé. La théorie du genre est un mensonge, qui nie la distinction
des sexes voulue par le Créateur, et qui cherche à annuler l'image et
la ressemblance de Dieu dans l'homme. Le changement climatique est
un mensonge, basé sur la fausse prémisse d'une crise climatique
provoquée par l'homme et sur la chimère encore plus fausse selon
laquelle la réduction des émissions de dioxyde de carbone dans certains
pays peut même modifier de manière minime la température de la
Terre. La crise ukrainienne est un mensonge, qui a été provoqué
afin de détruire le tissu social et économique des nations européennes
par des sanctions déraisonnables contre la Fédération de
Russie. L'Agenda 2030 est un mensonge imposé par une bande de
subversifs dans le but d'asservir l'humanité.
Le plus déconcertant est que
cette fraude contre les peuples - perpétrée par les autorités qui
devraient plutôt les protéger et les défendre - a également infecté le
corps ecclésial, où d'autres mensonges non moins graves corrompent la
pureté de la Foi, offensant la Divinité Majesté et causant la damnation
de nombreuses âmes, que le Seigneur a chèrement payées, les rachetant
par son Très Précieux Sang.
L'œcuménisme est un mensonge qui
abaisse le Dieu vivant et vrai au niveau des idoles des
nations.
La Voie Synodale est un mensonge, qui subvertit la
constitution divine de l'Église voulue par le Christ sous le faux
prétexte d'écouter le Peuple de Dieu.
La réforme liturgique est un
mensonge, introduit sous prétexte de rendre la messe compréhensible aux
fidèles, dans le seul but d'honorer Dieu et de plaire aux
hérétiques.
Le diaconat féminin est un mensonge qui, avec l'alibi
de donner un rôle aux femmes, attaque la messe et les sacrements et
trafique les ordres institués par Notre-Seigneur. La possibilité
pour les couples divorcés et cohabitants de recevoir la Sainte
Communion est un mensonge, la bénédiction des unions homosexuelles est
un mensonge, l'entrée des transsexuels au Séminaire est un mensonge :
la morale ne suit pas les modes du jour, quoi qu'en dise
Bergoglio. L'acceptation de la sodomie est un mensonge, qui semble
trop souvent vouloir légitimer la conduite de nombreux prélats et
clercs plutôt que de sauver les âmes de pauvres pécheurs.
Ces mensonges ont
l'effronterie de se manifester comme des mensonges évidents, dépourvus
de tout argument rationnel ou crédible. Ce ne sont pas les
mensonges avec lesquels on essaie maladroitement de cacher quelque
chose : ce sont l'affirmation arrogante de la falsification, de la
subversion de la logique, de la négation de la vérité.
Mais pourquoi tant de gens
choisissent-ils volontairement de renoncer à leur propre jugement
critique et d'accepter des mensonges flagrants comme rationnels et
vrais ? Car l'adhésion à l'erreur est le prix que le monde demande
à ses adorateurs, à ceux qui ne veulent pas être marginalisés,
criminalisés et persécutés. Et qui est le prince du mensonge si ce
n'est Satan, le père du mensonge, lui qui était un meurtrier dès le
début ? Satan, qui tenta nos premiers parents par un mensonge non
moins éhonté : Si vous mangez de ce fruit, vous serez comme des
dieux. C'était un mensonge éhonté, et en le croyant, Adam et Eve
ont choisi d'abdiquer la raison et de désobéir à Dieu afin de suivre
une fausse promesse faite par une créature répugnante.
Ce que Satan promet à
Notre-Seigneur quand il Le tente dans le désert était aussi un mensonge
: Tout cela sera à toi . . . pour quelque
chose dont le Christ n'était pas seulement déjà le maître mais aussi le
Créateur.
Dans l'épître de la messe en
ce jour très saint où nous célébrons la résurrection d'entre les morts
de Notre-Seigneur Jésus-Christ, l'Apôtre nous exhorte à éliminer le
vieux levain : expurgate vetus fermentum . Quiconque
connaît les anciennes méthodes de fabrication du pain sait que
la pâte mère est cette portion de farine et d'eau qui,
lorsqu'elle est laissée à fermenter, devient la masse levante. Il
peut être conservé pendant des décennies, périodiquement re-pétri avec
de la nouvelle farine et de l'eau nouvelle, de sorte que le pain
d'aujourd'hui est sensiblement lié à tous les pains précédents
remontant dans le temps. Mais si
le fermentum est vetus, si le levain est vieux, cela
affecte la nouvelle pâte et le nouveau pain. Purger le vieux
levain, c'est recommencer à zéro, accomplir une véritable « grande
réinitialisation » de chaque âme individuelle et du corps social,
annuler le ferment de la malice et de la perversité, et recommencer
avec les pains sans levain, figure de l'Eucharistie et Saint-Sacrement
de l'Alliance nouvelle et éternelle faite par le Christ avec son
Église, renouvelée dans la grâce et non soumise aux changements de
temps, de mode et de circonstances.
C'est pourquoi Saint Paul
parle des azymes , des pains sans levain. Un pain
d'austérité, le pain de ceux qui n'ont pas le temps de conserver
vivante la pâte mère, le pain de ceux qui se préparent les reins ceints
à manger l'Agneau sans tache et les herbes amères avant d'abandonner la
terre d'Egypte et de traverser la Mer
Rouge. La réinitialisation , la Nouvelle Création, la
Nouvelle Pâque, s'accomplit en Christ, l'unique, indispensable,
éternelle Vérité, la Parole Vivante et Vraie du Père Éternel. La
vraie remise à zéro est le retour à la Vérité du Christ, de
Celui qui a dit de Lui-même : Je suis le chemin, la vérité et la
vie . Une Vérité qui est , alors que l'erreur au
contraire n'existe pas. Une Vérité qui exigela sincérité de
notre part - dans les pains sans levain de la sincérité -
comme réponse nécessaire à la lumière de la Vérité - et la
vérité .
Satan, le singe de Dieu, imite
de façon grotesque la Création, se livrant à des monstruosités que
toute personne sensée reconnaît comme telles. Il mime encore plus
grotesquement la Rédemption, promettant aux hommes un bien qui lui est
inconnu et qu'il ne possède pas lui-même d'abord, demandant en échange
que les hommes le reconnaissent comme leur dieu. Nous devons
reconnaître sa loi pour ce qu'elle est ; nous devons la rejeter et
la combattre.
Si nous luttons pour la Vérité
– pour n'importe quelle vérité, pas seulement la vérité théologique –
nous nous alignons du côté du Christ ; du côté de Celui qui ne
mentait pas lorsqu'il annonçait à Ses Apôtres Sa propre Mort et
Résurrection.
Si au contraire nous
choisissons de ne pas lutter pour la Vérité, voire de laisser proclamer
ou répandre l'erreur nous-mêmes, nous nous alignons du côté de Satan,
le prince du mensonge, du côté de celui qui promet et fait ne pas les
garder, dans le seul but de nous entraîner dans cet abîme de damnation
où il a choisi de sombrer quand, commettant le péché d'orgueil, il a
cru pouvoir se mettre à la place de Dieu et décider de ce qui est et de
ce qui n'est pas, c'est-à-dire ce qui est vrai et ce qui est faux, ce
qui est bien et ce qui est mal, ce qui est beau et ce qui est
laid. Et de fait, le monde infernal dans lequel nous nous
précipitons aujourd'hui est composé de mensonges, de méchanceté et de
laideur. Il ne pouvait en être autrement.
Ce n'est pas par hasard que
Satan est appelé le prince de ce monde : il n'est pas roi ; son
pouvoir est éphémère et permis par Dieu seulement jusqu'à ce que le
moment vienne de mettre fin à la période d'épreuve et que le moment du
Jugement vienne. Ce n'est pas différent pour les serviteurs de
Satan. Même si leur puissance semble nous submerger, même si les
moyens dont ils disposent semblent illimités et écrasants, leur fin
approche inexorablement alors que le Christ reprend Son Royaume
Universel. Oportet illum regnare , il faut que cela arrive,
c'est dans l'ordre voulu par Dieu, et personne, pas même tout l'Enfer
réuni, ne peut prolonger d'un seul instant le triomphe apparent du mal.
Il y a deux jours seulement,
nous contemplions les Mystères de la Passion et de la Mort du Seigneur,
après les manœuvres du Sanhédrin, le tumulte de la foule et les
tortures des bourreaux. Avec Joseph d'Arimathie et les femmes
pieuses, nous avons accompagné le corps sans vie de Jésus vers le
sépulcre. Nous sommes restés en prière dans le silence nu de nos
églises. Mais « Consummatum est » ne signifie pas « Tout
est perdu », mais plutôt « Tout s'est accompli », c'est-à-dire «
L'œuvre de la Rédemption est accomplie ».
Χριστὸς ἀνέστη est la
salutation grecque de Pâques : le Christ est ressuscité. A
quoi la réponse est donnée : Ἀληθῶς ἀνέστη – Vraiment Il est
Ressuscité – Surrexit Dominus vere . Cet ἀληθῶς,
ce vere , contient la réalité de la Résurrection du Sauveur,
la vérité de cet événement historique dans lequel la
Miséricorde de l'Homme-Dieu a réparé le péché d'Adam causé par le
mensonge de Satan, qui a continué à mentir quand il accusé le Christ de
faux témoins, et qui ment encore aujourd'hui, essayant de faire échouer
les fruits de la Rédemption.
Aujourd'hui, après que les
notes solennelles de l' Exsultet ont annoncé la gloire de la
Résurrection, célébrons le triomphe du Christ sur la mort et le péché,
sa victoire sur Satan. Célébrons également la victoire de l'Église
et de la civilisation chrétienne sur les ennemis terrestres, car le
sort du Corps mystique a été décrété au moment où sa tête divine a
cloué l'ancien serpent sur la croix. Mors et vita duello
conflixere mirando : Dux vitæ mortuus, regnat vivus.
• Carlo Maria Viganò, archevêque
9 avril 2023
Dimanche de Pâques, à la Résurrection du Seigneur »
Le prince du mensonge est à son apogée.
Il a instauré un système,
l’Antéchrist avec à sa tête des personnifications Antichrist tel que le
« faux pape » Bergoglio (car si Benoît XVI fut forcé de démissionner
comme on le croit, le conclave n’était donc pas valide).
La bête de la mer s’est
révélée avec Vatican II et son action est évidente pour ceux qui
connaissent les écritures : il y a 666 mois pile entre l’élection
de Jean XXIII et sa canonisation.
C’est à partir du concile et tout ce qui s’ensuit que l’Église et la chrétienté basculent.
Idem pour ce monde sans base solide, évidement, que nous connaissons aujourd’hui.
La période qui a précédé a été témoin des signes avant-coureurs de l’Antéchrist, de ceux qui ont préparé le terrain.
Les prophéties de Jean XXIII soulignent que ce dernier a trouvé les racines du concile dans les papiers de Pie XII.
Aujourd’hui on sait que Pie XII voyant le danger a refusé de procéder (voir analyses précédentes).
C’est donc à partir de Jean XXIII que la bête immerge de l’eau (de la foule) : l’Antéchrist est là, et il règne.
Il y a eu 7 rois (papes) depuis Latran en 1929 où les papes sont devenus rois (voir analyses précédentes).
Le 8ème, Bergoglio,
l’Antéchrist personnifié, récapitule tout ce que les 7 papes précédants
ont initié et complété.
C'est la conclusion de Vatican II à laquelle nous assistons.
Bergoglio est le pape qui
correspond à la description de la bête de la mer puisqu’il possède un
pouvoir universel et mondial qui s’applique aux enfants de Dieu.
Rappelons-nous les paroles du
regretté S. Monast (voir analyses précédentes) en cette fin des
temps: le religieux domine le politique.
Dans cette ère du mensonge,
l’Église catholique s’est muée en grande prostituée comme le spécifie
l’Apocalypse, ce qui ne lui retire par le statut d’épouse pour autant
car...
L’Église perdure par la Tradition et ses deux témoins.
La parabole de la samaritaine nous donne aussi un indice.
La
Samaritaine d'aujourd'hui symbolise l’Église conciliaire: comme en
Samarie on ne savait plus qui était du juif ou ou du paganisme, de même
chez les conciliaires on ne sait
plus ce qui relève du chrétien et du non-chrétien.
Car c'est le règne de l'ambuiguïté, où Bergoglio et ses serviteurs mélangent le tout et son contrraire.
Et NSJC a affirmé à la samaritaine : tu as eu 5 maris et l’actuel n’est pas ton mari.
Combien de papes depuis le concile?
5 papes.
Bergoglio, on le sait ne peut pas être considéré comme pape.
Or, le pape est le vicaire du Christ.
Ce que refuse Bergoglio en
spécifiant qu’il n’est que l’évêque de Rome, et qui a fait enlevé le
titre de vicaire du Christ dans l’annuaire au Vatican.
Alors quel est le rôle de l’Antichrist-personnifié, le 8è roi?
C’est très clair dans l’Apocalypse, il est celui qui mettra à mort la prostituée.
« ...
Dans son apparition cet impie
sera, par la puissance de Satan, accompagné de toutes sortes de
miracles, de signes et de prodiges mensongers, avec toutes les
séductions de l'iniquité, pour ceux qui se perdent, parce qu'ils n'ont
pas ouvert leur cœur à l'amour de la vérité qui les eût sauvés.
(note : pensons à toute cette technologie que l’on peut associer à
ces miracles)
C'est pourquoi Dieu leur
envoie des illusions puissantes qui les feront croire au mensonge, en
sorte qu'ils tombent sous son jugement tous ceux qui ont refusé leur
foi à la vérité, et ont au contraire pris plaisir à l'injustice. » Saint-Paul (Th 2, 2)
Les miracles et les prodiges, nous les avons grâce à l’électronique et l’intelligence artificielle.
« En ce qui concerne
l'avènement de notre Seigneur Jésus-Christ et notre réunion avec lui,
nous vous prions, frères, de ne pas vous laisser ébranler facilement
dans vos sentiments, ni alarmer, soit par quelque esprit, soit par
quelque parole ou lettre supposées venir de nous, comme si le jour du
Seigneur était imminent.
Que personne ne vous égare
d'aucune manière ; car auparavant viendra l'apostasie, et se
manifestera l'homme de péché, le fils de la perdition, l'adversaire qui
s'élève contre tout ce qui est appelé Dieu ou honoré d'un culte,
jusqu'à s'asseoir dans le sanctuaire de Dieu, et à se présenter comme
s'il était Dieu. » Saint-Paul (Th 2, 2)
La grande apostasie est là.
Le fils de la perdition est
présent, assis dans le sanctuaire (physiquement à Rome, mais aussi
spirituellement dans le cœur des humains).
Il est le 8ème roi, ou la bête à 7 têtes de l’Apocalypse qui est résumé par la 8ème tête.
Son dernier acte prévu :
éliminer la présence réelle dans l’Eucharistie par l’imposition d’une
célébration œcuménique commune suite au synode.
Je serai avec vous jusqu’à la fin des temps (via l’Eucharistie) avait spécifié NSJC.
Si nous en sommes rendus là, c’est précisément parce que …
Nous sommes rendus à la fin des temps.
02 avril
Avec l’hospitalisation de Bergoglio, les spéculations sont reparties en grande.
Pensons aussi que nous en sommes au dernier pape selon la prophétie des papes de Saint-Malachie.
«
Le pape François est hospitalisé cet après-midi du 29 mars pour une
infection respiratoire, et va rester à l’hôpital quelques jours.
Il aurait eu des problèmes de coeur et des difficultés respiratoires liées. (lifesitenews.com)
« … « Le pape François est en train de mourir. C’est
une question de jours ou de semaines, tout au plus de quelques mois ».
Telle est l’information qui circule depuis un certain temps au sein de
la Curie romaine. La gravité de sa maladie est un secret de
polichinelle et a déjà été commentée en divers endroits. Comme le dit
Specola, plus que jamais indispensable ces jours-ci, « les papes
jouissent d’une bonne santé jusqu’à trois jours de leur mort ».
Ce qui aurait pu n’être considéré que comme une rumeur provenant des
sombres centrales antibergogliennes, a pris de l’importance en raison
de la soudaine dégradation subie hier, qui l’a contraint à être
hospitalisé à l’hôpital Gemelli. En outre, les grandes lignes des
célébrations de la Semaine Sainte sans sa présence sont déjà préparées
: le cardinal Re présidera le dimanche des Rameaux et la veillée
pascale ; le cardinal De Donatis présidera la messe chrismale et le
cardinal Gambetti la célébration du Vendredi saint…. » (benoit-et-moi.fr)
Or, selon les dernières nouvelles, il est sorti de l’hôpital et finalement il va assister aux messes de la semaine pascale.
Ce qu’il faut aussi
considérer : Bergoglio « s’était déjà rendu incognito « au
moins deux fois à la clinique universitaire Agostino Gemelli pour des
examens » au cours des trois semaines précédant son
hospitalisation mercredi dernier…. » (benoit-et-moi.fr)
« ... Le malaise
Bergoglio a fait appel à
l’humour pour commenter ce qui lui était arrivé et s’est exclamé « Je
suis toujours vivant » face aux questions de ceux qui lui demandaient
comment il se sentait. Malgré sa bonne volonté, le souverain pontife
n’a pas répondu spécifiquement à la question la plus attendue, celle de
la raison de son hospitalisation. Il a dit qu’il avait ressenti « un
malaise, comme lorsqu’on a mal à l’estomac » et plus tard, au Vatican,
il a dit qu’il ne savait pas ce qu’il avait, invitant les journalistes
à poser la question aux médecins.
La référence à la mort que le
pape a faite dans son message de salutations aux journalistes qui
l’attendaient à l’hôpital Gemelli laisse penser qu’il ne s’agissait pas
simplement d’un contrôle programmé. En effet, le souverain pontife a
cité une personne plus âgée que lui qui lui a dit un jour : « Je n’ai
pas vu la mort, mais je l’ai vue venir…. C’est moche, hein ».
Communication
En remerciant les
journalistes, François a révélé qu’il avait lu les reportages le
concernant ces derniers jours et a mentionné Il Messaggero en
particulier, en disant que « c’est beau et clair, cela sert à éviter
les fantasmes ». Des mots qui suggèrent que la reconstruction la plus
fiable de sa situation clinique est celle présentée par la vaticaniste
du quotidien romain, Franca Giansoldati. La journaliste écrit que «
quand il s’est présenté dans le service, il était en grande détresse,
son cœur fibrillait dangereusement et sa saturation en oxygène était
préoccupante » et que les facteurs de risque au moment de son arrivée
étaient élevés. Un tableau peu rassurant par rapport à celui fourni par
les communications officielles... » (benoit-et-moi.fr)
Tout semble confirmer qu'il
semble bel et bien d'un malaise cardiaque... Sinon pourquoi aller
visiter des enfants malades « sans masque » alors que la version
officielle est que c'est un problème respiratoire contagieux.
C’est à suivre… et on
surveille les célébrations de la semaine sainte, surtout que
l’intervention de la Sainte-Vierge (fin de la prophétie concernant
Benoît XVI) n’a pas eu lieu comme prévue aux funérailles de Benoît XVI,
effectivement… Mais « devant la tombe du va-nu-pieds »…
Mars 2023
27 mars
LA PERSÉCUTION EST SPIRITUELLE
Plusieurs n’allument pas sur
cette fin des temps, parce que constatent-ils, la persécution des
chrétiens n’est pas généralisée à part quelques minorités ici et là.
L'un des malaises qui annoncent la parousie est la persécution.
À maintes reprises, l'évangile assure que les chrétiens de la fin des temps seront sévèrement persécutés.
De plus, cette persécution, contrairement au début de la chrétienté, n’est pas majoritairement physique, mais spirituelle.
Il a été impossible par le passé pour Satan de faire plier les chrétiens par la torture physique.
Au contraire, cela a produit des martyrs qui aujourd’hui renforcent la Foi via la prière par leurs intercessions.
Albert Frank-Duquesne,
écrivain théologien belge converti au christianisme souligne dans
son ouvrage « Ce qui t'attend après ta mort » :
« toutes les forces que le
Démon peut mobiliser en ce monde, il les concentre et, par une
persécution que les prédictions eschatologiques du Christ Lui-même nous
présentent comme recourant plus à la séduction qu'à la violence, il les
lance contre l’Église pour un définitif assaut. C'est alors que
l'ivraie et le bon grain, le mal et le bien, si mystérieusement
entremêlés ici-bas, vont tenter de se désécheveler, de se dégager l'un
de l'autre, de se présenter dans leur nudité révélatrice, pour
conquérir la terre. » (p. 94).
La fin est proche comme nous le constatons avec les signes que NSJC nous a donné en Matthieu 24.
L’une des caractéristiques
de ce moment ultime est qu'il surprendra tout le monde comme au temps
de Noé.
Tout furent emmenés presque sans s'en rendre compte et sans le
savoir comme le spécifie les écritures.
Il convient néanmoins de veiller à cette indifférence néfaste et dangereuse de ce monde humaniste, ou l’aveugle guide l’aveugle.
Cette société et surtout le Vatican qui devrait guider les pauvres brebis égarées, n’est plus christocentrique.
En effet le Christ a été
évincé, et surtout, c’est évident, depuis l’élection de Bergoglio, les
valeurs humanistes ont remplacées les valeurs christiques.
NOUS SOMMES au milieu d'une très forte persécution et nous n'en sommes même pas conscients.
Et ceux qui le sont peuvent
difficilement y résister, ou sinon céder au découragement, d’où le
raccourcissement cette fin des temps annoncée dans l’Apocalypse afin
que les quelques élus ne succombent eux aussi.
Cette
dernière et grande persécution est dominée par les grands séducteurs
qui occupent toute la place dans les médias (qu'ils ont achetés
d'ailleurs).
C'est
l'époque des grands miracles décris par Saint Jean grâce aux ondes et
les téléphones dit intelligents. Suivra l'intelligence artificielle
très bientôt.
Et la vérité est que les
séductions que nous devons combattre sont de plus en plus intenses.
Nous sommes témoins que l’énorme majorité, non seulement d'humains sans
foi, mais de chrétiens et de religieux, succombent en masse.
L'Église elle-même, dans sa structure visible, a été complètement emportée par cette séduction.
C’est ce qu’on appelle la mort
des deux témoins dans l’Apocalypse (voir analyse précédentes et le
calendrier de la fin des temps).
L’annonce de cette mort est
évidente. Les dates sont inscrites dans l’histoire avec la fin du
synode des synodes pour octobre 2024.
À moins que les délais ne soient raccourcis, par Dieu, ou par l’ennemi qui se sent pressé de triompher.
23 mars
Ce chaos tel que vu par Mgr Vigano:
« Votre Excellence, quelle est
votre opinion sur la situation politique internationale ? Ne vous
semble-t-il pas aussi que le discours sur l'Ukraine est en train de
changer ?
Cette crise internationale a
été provoquée par l' État profond américain dans le but de détruire le
tissu social et économique des États européens. Cette destruction
économique avait commencé avec la farce pandémique et les confinements
, mais devait être rendue plus dévastatrice par les sanctions de
l'Union européenne contre la Fédération de Russie, suite à la réaction
de la Russie aux provocations de l'OTAN et à la persécution de la
minorité russophone, depuis lors. depuis 2014 et en violation des
Protocoles de Minsk, par le régime fantoche de Zelensky. Les choses se
sont déroulées comme prévu, comme nous l'avons vu, et le récit dominant
s'est immédiatement aligné....
Or le problème est que la
marionnette de Biden et Soros - Zelensky - doit répondre à deux entités
auxquelles il doit son ascension politique, ses gains et son avenir, à
commencer par une banale survie. D'une part, l' état profond.
Les globalistes exigent que
Zelensky se conforme non seulement à la provocation de la Russie et au
rejet de tout accord de paix, mais aussi à l'introduction des mariages
homosexuels, du genre, de la doctrine LGBTQ : ce qu'il fait presque en
priorité par rapport au conflit avec la Fédération russe. D'un autre
côté, le soutien interne à l'Ukraine provient de bataillons et de
mouvements néonazis, mais ces fanatiques s'empressent d'écarter
Zelensky lorsque sa politique n'est pas compatible avec la leur. Et
Zelensky, comme toutes les mouches cocher, croit pouvoir jouer au
leader en faisant monter les enchères, en menaçant de frapper la
Fédération de Russie, en voulant conquérir la Crimée et anéantir
définitivement l'empire de Moscou. Zelensky commence à agacer non
seulement ses prétoriens, mais aussi les états profonds , car la menace
d'une guerre mondiale les arrange tous , mais presque personne ne veut
une vraie guerre mondiale....
En tant qu'ancien nonce
apostolique aux États-Unis, comment jugez-vous le comportement de
l'Amérique et en particulier de l'administration Biden ?
Joe Biden est une marionnette
pathétique de l'État profond et de l'élite mondialiste. Son élection a
été obtenue par fraude, et entretenue avec le drame du 6 janvier 2021
au Capitole, avec l'urgence psychopandémique et maintenant avec la
crise ukrainienne. Son niveau de corruption le rend totalement
vulnérable au chantage - comme c'est le cas pour presque tous les
dirigeants internationaux - mais la dégénérescence cognitive dont il
souffre le montre désormais totalement inadapté au rôle qu'il joue, car
même Biden, comme Zelensky, pourrait dire ou faire quelque chose qu'il
ne doit pas dire ou faire. Les vrais redoutables et dangereux sont les
marionnettistes de Biden, les Dems avec leur idéologie éveillée , l'
état profond avec son projet mondialiste, les théoconspiro-sionistes et
fauteurs de guerre, le réseau criminel des pédophiles satanistes s'est
infiltré dans les ganglions de l'État, du secteur privé, de
l'information, d'Hollywood et de l'église bergoglienne.
Joe Biden est comme Jorge
Mario Bergoglio : il est à la tête d'une institution qu'il a pour
mission de détruire, non seulement par son action gouvernementale et le
réseau de corruption qu'il utilise, mais aussi par le discrédit qu'il
lui jette. Bergoglio fait de même dans l'Église, soutenu par l' église
profonde reflétant l' état profond, et de ce fait élu pour empêcher la
présence de Benoît XVI d'entraver le coup d'Etat mondialiste. Et tout
comme Bergoglio se montre totalement étranger au rôle de pape, Biden
est complètement étranger au rôle de président des États-Unis. Mais
c'est exactement pourquoi je suis là. De plus, tous deux appartiennent
à ce « catholicisme progressiste » qui depuis le Concile Vatican II
s'est allié à l'élite maçonnique pour mener à bien le projet
synarchique du Nouvel Ordre Mondial. Et tous deux – comme Obama et
Nancy Pelosi – appartiennent à cette « soupe culturelle » qui s'est
servie d'un personnage comme McCarrick, et qui se sert aujourd'hui de
prélats non moins compromis, comme Cupich, Gregory, Tobin, Farrell,
McElroy, à qui McCarrick doit sa carrière ecclésiastique...
Qui est derrière tout ça ? Pourquoi cette fureur contre la Tradition ?
La Tradition est le lien par
lequel le Christ a voulu lier l'autorité de la Hiérarchie à
l'enseignement immuable du Magistère. Ce qui était vrai à la naissance
de l'Église, ce pour quoi les martyrs ont été tués et les chrétiens
persécutés, est toujours vrai, est vrai aujourd'hui et le sera aussi
demain, car il trouve son fondement en Notre-Seigneur, qui est l'Alpha
et l'Oméga, principe et fin de tout, immuable dans Son essence divine
qui est parfaite pour cela.
Depuis Vatican II, et surtout
au cours de ces dix dernières années de " pontificat " - appelons-le
ainsi - la Vérité révélée a été mise de côté, parce qu'elle est
considérée comme gênante et " clivante ", au profit du dialogue
œcuménique et du consensus des le monde. Mais ce n'est pas ce que le
Christ a commandé à Saint Pierre et aux Apôtres : Il n'a pas commandé
de dialoguer, de plaire au monde, de garder le silence sur l'Évangile
et de propager l'agenda mondialiste. Notre-Seigneur a commandé aux
Apôtres de prêcher l'Evangile à tous les peuples, les baptisant au nom
du Père, du Fils et du Saint-Esprit, et disant clairement que celui qui
croira sera sauvé, et que celui qui ne croira pas sera damné. .
La haine de la Tradition est
la dernière étape avant la haine du Christ, dont les néomodernistes
nient la divinité et qu'ils considèrent comme une sorte de « figure
symbolique » créée par la « communauté primitive ». Nous ne pensons pas
que les hérétiques et les corrompus qui sont au sommet de la Hiérarchie
aujourd'hui ne soient que modérément progressistes : ceux qui les
manœuvrent depuis soixante ans sont issus des mêmes covens de
conspirateurs responsables du coup d'État mondialiste. Et il serait
étrange que des gens dévoués au mal endurent ces forteresses de prière
et de pénitence qui entravent leurs plans. Pour la même raison, ils ne
peuvent tolérer la Messe traditionnelle : précisément parce qu'elle est
traditionnelle , c'est-à-dire le fruit d'un développement harmonieux au
cours des deux millénaires de la vie de l'Église, sous la conduite de
l'Esprit Saint.
Il faut avoir un regard
surnaturel, et comprendre que le combat actuel est essentiellement
spirituel, dans lequel Dieu et Satan, les enfants de la Lumière et les
enfants des ténèbres s'affrontent. Et que la victoire appartient à
Dieu, et à ceux qui - ici et maintenant - prennent parti sous la
bannière du Christ. Il va falloir se battre, c'est sûr ; mais la
victoire finale est encore plus certaine : non prævalebunt .
...
Je vous bénis tous. » (aldomariavalli.it)
Le châtiment de Sodome : Abbé G. Puga, Église St-Nicolas-du-Chardonnet
21 mars
LA DESTRUCTION FINALE
Cette phase est belle et bien entamée.
Les deux bêtes montent en puissance pour le cri de la victoire finale.
La
bête Nation-Unies représentant le politique, via la guerre comme
diversion, met la touche finale sur le contrôle monétaire mondiale.
Vous
avez sûrement remarqué la crise financière en cours avec les faillites
bancaires, résultat de la montée des taux d’intérêts des grandes
banques centrales contrôlant le système.
Que constate-t-on?
Que
les petites et moyennes banques subissent un « bank run » et ne
pourront survivre dans les prochaines semaines si cette situation
persiste.
Ainsi,
les banques en difficultés sont absorbées par les gros joueurs sous
garanti des gouvernements, déjà surendettés, et les banques centrales.
En effet, centraliser les pouvoirs financiers permettra de passer à l’ère de la monnaie numérique plus facilement.
Quant à la bête Vatican, représentant le religieux, nous savons tous vers où elle nous dirige :
« Aldo Maria Valli sur les dix ans de Francisco
(I Cor. 7,23) Vous avez été achetés chèrement; ne vous faites point esclaves des hommes.
Pour
commenter les dix années de pontificat de François, les mots écrits par
Demos (alias feu le cardinal Pell) dans le mémorandum qu’il voulait
distribuer à tous les cardinaux il y a un an suffiraient : « Un
désastre à bien des égards, une catastrophe ».
Bergoglio
a réussi l’exploit, uniquement possible pour certains individus
particulièrement doués, de détruire sans reconstruire. Il a été choisi
pour apporter de l’air frais. Après dix ans, l’air est irrespirable. Et
la papolâtrie qui se déchaîne ces jours-ci, à l’occasion de
l’anniversaire, le rend encore plus méphitique.
Au
Vatican, on se croirait à Pyongyang, sous un régime despotique,
capricieux et cruel. Dans une atmosphère de sous-empire, les espions et
les informateurs dominent la scène. Mais plus que des complots, ce sont
des tremblements. Chacun est terrifié à l’idée de tomber sous le regard
du tyran. Qu’il s’agisse d’une conviction ou d’un coup de foudre, à
peine lever la tête, c’est être écrasé dans une étreinte mortelle.
C’est pourquoi beaucoup préfèrent faire le mort pour ne pas mourir.
Les
journalistes soumis lui posent toujours les mêmes questions anodines et
il donne toujours les mêmes réponses. Les interviews se multiplient,
mais ce ne sont que des copier-coller au nom d’une piété mortifère.
Pendant
ce temps, l’Église catholique est en plein désarroi (voir l’Allemagne)
et Pierre, au lieu d’agir comme un roc, nourrit la confusion et
l’ambiguïté.
Dans
ce contexte, beaucoup se lamentent spontanément sur Benoît XVI, mais il
faut le dire clairement : Ratzinger a eu beau se rendre compte du
désastre, il n’a rien pu faire contre la dérive, parce qu’il faisait
lui-même partie du projet de destruction. Un projet qui a un nom, le
Concile Vatican II, et une racine précise : le modernisme.
Paradoxalement,
nous devrions être reconnaissants à François. Avec son intempérance, il
a rendu clair pour tout le monde (sauf, bien sûr, pour ceux qui ne
veulent pas voir) ce que le modernisme voulait et a finalement réalisé
: soumettre l’Église au monde. Si Benoît XVI, avec ses retraites, a
réussi au moins en partie à dissimuler la catastrophe, avec François,
tout est devenu clair : le catholicisme liquide prôné par les
modernistes a pleinement conquis le trône de Pierre. En effet, les
sermons qui en sortent ressemblent en tout point aux discours des
mondialistes maçonniques. Il n’y a plus de distinction. La soudure a eu
lieu.
S’en
prendre à Bergoglio, c’est donc s’inquiéter du dernier rhume d’un
organisme miné par des tumeurs foudroyantes et des métastases
galopantes.
La
preuve ? Demandez à un bon catholique de notre époque, qui va peut-être
encore régulièrement à la messe, s’il croit à la royauté sociale de
Jésus-Christ. S’il croit que Jésus-Christ est vraiment le Roi de toutes
les nations et le Seigneur de l’univers. S’il croit que Celui qui est
le Créateur et le Rédempteur de la nature humaine possède, en
conséquence, un pouvoir souverain sur les hommes, en tant qu’individus
et en tant que communautés sociales.
Le
catholique en question vous regardera comme on regarde un Martien et, à
supposer qu’il comprenne votre langue, commencera à argumenter qu’en
réalité, il faut réconcilier la foi avec le monde, que rien ne peut
être imposé, qu’il faut dialoguer, discerner et cheminer ensemble, que
la liberté religieuse existe, que les droits de l’homme doivent être
pris en compte, qu’il y a aussi de bonnes choses dans d’autres
religions…. Cent ans, pas mille, ont passé depuis que les papes
proclamaient encore la royauté sociale du Christ (l’encyclique Quas
primas de Pie XI, qui a introduit la solennité du Christ-Roi, date de
1925), mais nous n’avons même pas un faible souvenir de cette Église et
de cet enseignement. La Révolution a pénétré l’Église et l’a conquise
de l’intérieur. Les saboteurs modernistes ont atteint le but pour
lequel ils ont tant travaillé.
L’homme a été mis à la place de Dieu.
Compte
tenu du travail accompli par le modernisme (multiples tunnels creusés
dans l’organisme vivant de l’Église pour y implanter le virus de
l’apostasie), le pontificat de François est une conséquence logique et
nous devons le considérer comme tel.
Et
alors ? Face à la Révolution, la seule solution est la
Contre-Révolution. Mais il faut savoir qu’elle implique le martyre. A
prendre ou à laisser. Si vous le prenez, ne vous faites pas d’illusions
en pensant que vous éviterez les persécutions et les souffrances.
Aldo Maria Valli
16 mars 2023 »
L’encyclique Quas primas de Pie XI, qui a introduit la solennité du Christ-Roi, date du 11 décembre 1925.
Serait-ce la limite des 100 ans accordés à Satan dans le songe de Léon XIII?
Sachant que le 11 représente une porte, un passage...
« CITÉ DU VATICAN ( LifeSiteNews
) - Défendant les restrictions croissantes sur la messe traditionnelle
en latin, le cardinal Arthur Roche - qui dirige la Congrégation du
Vatican (aujourd'hui Dicastère) pour le culte divin et la discipline
des sacrements - a déclaré que "la théologie de l'Église a changé".
S'exprimant sur BBC Radio 4
pour une émission diffusée le 19 mars, Roche a défendu les restrictions
à la messe traditionnelle, que lui et le pape François ont mises en
place depuis juillet 2021.
« La théologie de l'Église a
changé », a soutenu Roche. "Alors qu'avant le prêtre représentait, à
distance, tout le peuple - ils étaient canalisés par cette personne qui
seule célébrait la messe."
Maintenant, cependant, Roche a
déclaré que "ce n'est pas seulement le prêtre qui célèbre la liturgie
mais aussi ceux qui sont baptisés avec lui, et c'est une déclaration
énorme à faire".
Quelques instants auparavant,
les commentaires de Roche avaient été devancés par le biographe papal
Austen Ivereigh, qui affirmait que ceux qui se consacraient à la messe
traditionnelle étaient « devenus un mouvement sapant le Concile Vatican
II ». Par conséquent, a déclaré Ivereigh, les restrictions étaient
nécessaires "pour mettre une limite, pour mettre des frontières, non
pas pour la supprimer, mais pour la remettre entre les mains des
évêques".
Non, la théologie de l'Église
ne peut pas changer. Mais le fait que les pouvoirs actuels croient que
cela peut changer est tout ce qu'il faut savoir sur la racine de notre
crise actuelle. https://t.co/GUy9fUmwcE
– Père V (@father_rmv) 19 mars 2023
Le spécialiste de la liturgie
Matthew Hazell a souligné les commentaires de Roche, notant que
contrairement à l'affirmation du cardinal, l'enseignement de l'Église
n'avait pas changé. Il a souligné l'enseignement du pape Pie XII dans
son encyclique Mediator Dei de 1947 , dans laquelle le pontife a exposé
l'enseignement catholique sur la congrégation s'unissant au prêtre dans
le sacrifice de la messe.
Or il est clair que les
fidèles offrent le sacrifice par les mains du prêtre du fait que le
ministre à l'autel, en offrant un sacrifice au nom de tous Ses membres,
représente le Christ, la Tête du Corps Mystique. C'est pourquoi on peut
dire à juste titre que toute l'Église offre la victime par le Christ.
Alors que les arguments du «
peuple sacerdotal » ont été beaucoup avancés depuis Vatican II,
principalement par ceux qui cherchent à éradiquer une différence entre
prêtres et laïcs, Pie XII a clairement noté la différence dans leurs
actions respectives :
Cependant, le fait que les
fidèles participent au sacrifice eucharistique ne signifie pas qu'ils
soient également dotés du pouvoir sacerdotal. Il est très nécessaire
que vous fassiez bien comprendre cela à vos troupeaux…
Or les fidèles participent à
l'oblation, entendue dans ce sens restreint, à leur manière et d'une
double manière, à savoir parce qu'ils offrent non seulement le
sacrifice par les mains du prêtre, mais aussi, dans une certaine
mesure, en union avec lui. C'est en raison de cette participation que
l'offrande faite par le peuple est également incluse dans le culte
liturgique….
Mais la conclusion que le
peuple offre le sacrifice avec le prêtre lui-même n'est pas basée sur
le fait que, étant membres de l'Église non moins que le prêtre
lui-même, ils accomplissent un rite liturgique visible ; car ceci n'est
le privilège que du ministre qui a été divinement nommé à cet office :
il est plutôt basé sur le fait que les gens unissent leurs cœurs dans
la louange, l'impétration, l'expiation et l'action de grâces avec les
prières ou l'intention du prêtre, voire du Souverain Sacrificateur
lui-même, afin que dans une seule et même offrande de la victime et
selon un rite sacerdotal visible, elle soit présentée à Dieu le Père.
Il est évidemment nécessaire que le rite sacrificiel externe, de par sa nature même, signifie le culte interne du cœur.
Pie XII a également puisé dans
le pape Innocent III pour désigner l'enseignement de l'Église dans
l'offrande conjointe du sacrifice :
« Non seulement, dit Innocent
III de mémoire immortelle, les prêtres offrent le sacrifice, mais aussi
tous les fidèles : car ce que le prêtre fait personnellement en vertu
de son ministère, les fidèles le font collectivement en vertu de leur
intention.
Par conséquent, l'affirmation
de Roche selon laquelle la théologie a changé ne semble pas être
soutenue par l'enseignement de l'Église - à la fois celui des temps
récents et celui des papes des époques anciennes. Son argument selon
lequel le peuple se joint maintenant au prêtre pour offrir le sacrifice
a toujours été enseigné, avec une différenciation soigneuse entre le
prêtre et les différents rôles du peuple.
Pourtant, l'affirmation
frappante du cardinal anglais selon laquelle « la théologie de l'Église
a changé » n'est pas sans précédent.
L'année dernière, il s'est
entretenu avec Vatican News, déclarant que les restrictions à la messe
traditionnelle n'étaient qu'une "régulation de l'ancienne liturgie" qui
était nécessaire parce que Vatican II a proposé "une nouvelle liturgie
pour la vie vitale de l'Église".
Le cardinal a déclaré :
Tout ce qui se passe, c'est la
réglementation de l'ancienne liturgie du Missel de 1962 en arrêtant la
promotion de celui-ci, car il était clair que le Concile, les évêques
du Concile, sous l'inspiration de l'Esprit Saint, proposaient une
nouvelle liturgie pour la vie vitale de l'Église, pour sa vitalité.
Cette tâche est "vraiment très
importante", a-t-il dit, avant d'ajouter "résister c'est-à-dire, c'est
quelque chose qui est vraiment très sérieux aussi".
Quelques semaines plus tard,
Roche alla jusqu'à suggérer que les catholiques attachés à la liturgie
traditionnelle étaient « plus protestants » que catholiques. Il a cité
une "réforme" nécessaire de la liturgie - une réforme qui, a-t-il dit,
a abouti au Novus Ordo.
Mais les fidèles de la messe latine traditionnelle "traînaient les pieds" dans l'opposition, a affirmé Roche.
Cette réforme est en cours,
mais c'est un processus lent parce qu'il y a ceux qui traînent les
pieds à cet égard et non seulement traînent les pieds mais s'opposent
obstinément à ce que l'Église a réellement décrété.
C'est une affaire très
sérieuse. Au final, les gens doivent se demander : suis-je vraiment
catholique, ou suis-je plutôt protestant ?
Il a décrit le Concile Vatican
II comme "la législation la plus élevée qui existe dans l'Église",
affirmant que "si vous ne tenez pas compte de cela, vous vous mettez de
côté, aux confins de l'Église. Vous devenez plus protestant que
catholique.
Mais contrairement à la
déclaration de Roche selon laquelle Vatican II proposait une « nouvelle
liturgie », dans son discours de 1988 attaquant l'archevêque Marcel
Lefebvre, le cardinal Joseph Ratzinger a déclaré : « Ce Concile
particulier n'a défini aucun dogme et a délibérément choisi de rester à
un niveau modeste, comme un simple conseil pastoral; et pourtant
beaucoup le traitent comme s'il s'était transformé en une sorte de
superdogme qui enlève l'importance de tout le reste.
Pendant ce temps, la rumeur
veut que Roche prépare encore plus de restrictions sur la liturgie
traditionnelle, avec déjà trois documents de ce type émis contre elle
depuis juillet 2021. Selon le journaliste respecté du Vatican, le Dr
Robert Moynihan, un prochain décret de François contre la messe
traditionnelle ne sera pas seulement une « nouvelle suppression du TLM
», mais « porteront également le « poids » d'une Exhortation
apostolique ». »
« ( LifeSiteNews
) — Le cardinal Gerhard Müller, ancien chef de la Congrégation pour la
doctrine de la foi (CDF), a fustigé la voie synodale allemande
hérétique, affirmant qu'elle est pire qu'un schisme et la qualifiant de
variante de la « culture éveillée matérialiste et nihiliste » qui a
abandonné "l'essence même du christianisme".
Dans une récente interview
avec le magazine conservateur allemand Tichys Einblicke, Müller a
été interrogé sur son dernier livre "In Buona Fede", dans lequel il a
déclaré que la situation de l'Église catholique en Allemagne est "pire
qu'un schisme".
Müller a expliqué que tandis
que les églises orthodoxes schismatiques restaient concentrées sur le
Christ, la voie synodale en Allemagne a abandonné « l'essence même du
christianisme […] au profit de sa transformation en une variante de la
culture éveillée matérialiste et nihiliste de l'auto-rédemption de
l'homme » et la création de soi.
"Au lieu de la parole de Dieu
dans l'Écriture Sainte et la Tradition de l'Église, on se réfère aux
'autorités' comme Michel Foucault, Judith Butler, Helmut Kentler ou
Yuval Harari", a poursuivi Müller.
"On ne peut pas chasser le
diable avec Belzébuth, c'est-à-dire que dans la lutte contre la
pédophilie, on ne peut priver la sexualité humaine des exigences des
commandements de Dieu et du pouvoir transformateur de sa grâce et la
réduire à un plaisir privé exempt de morale."
« L'Église catholique, depuis
Irénée de Lyon, n'a jamais laissé les gnostiques de tous les temps s'en
tirer avec la promiscuité sexuelle démoralisante, la polygamie et le
brouillage de la distinction entre l'homme et la femme en disant que
Dieu ne se soucie pas du monde matériel et de la corporéité de l'homme
(Contre les hérésies I, 28, 2).
Le cardinal allemand a en
outre déclaré que la "culture éveillée", qui est également représentée
dans la Voie synodale, conduit l'humanité plus loin sur la voie de
l'autodestruction. A la racine de ce problème, Müller identifie une «
anthropologie erronée, qui fait du mariage de l'homme et de la femme
une variante arbitraire de la libido égocentrique ».
Commentant l'appel à
l'ordination des femmes, le prélat allemand a déclaré: «[c]e que les
femmes ne peuvent pas recevoir le sacrement d'ordination aux niveaux
d'évêque, de prêtre / presbytre et de diacre n'est pas
historique-sociologique ("patriarcal") ou psychologique ( « anti-femmes
», ce qui est une folie même en tant que terme), mais une question de
la nature sacramentelle (et précisément non fonctionnelle) de ce
sacrement lui-même en tant que représentation du Christ en tant
qu'Époux de l'Église dans sa relation avec elle en tant qu'Épouse. ”
L'intervieweur a interrogé
Müller sur le reproche des partisans de la Voie synodale selon lesquels
les ennemis de la Voie synodale n'offriraient aucune bonne solution.
"Nous n'avons pas besoin de penser à une solution du tout parce que
nous vivons par la puissance de la rédemption de Dieu", a répondu
l'ancien chef du CDF.
« Il suffit que nous
témoignions par la parole et la vie de l'Evangile du Christ, dont la
croix est plus intelligente que tous les intellectuels et plus forte
que toute la puissance des puissants et des riches de ce monde. Alors
nous pouvons répondre à tous ceux qui nous interrogent sur le sens et
la raison de l'espérance qui nous soutient dans la vie et dans la mort
(cf. 1 P 3, 15).
On a également demandé à
Müller pourquoi il pensait que l'Allemagne était le centre de ce
"Sonderweg" (chemin spécial) plutôt que l'Espagne, la France ou
l'Italie.
"Malheureusement, il y a
encore le Furor teutonicus, la tendance indomptable à toujours vouloir
instruire et dominer le monde entier", a-t-il répondu. « Les
catholiques allemands souffrent toujours d'être des citoyens de seconde
classe (et des érudits en théologie et en sciences) depuis le
Kulturkampf [guerre des cultures] dans l'Empire de Bismarck et les
revendications de supériorité de la Leitkultur protestante prussienne
[culture dominante]. C'est une ironie de l'histoire de l'Église que
face au défi d'une déchristianisation agressive de l'Occident, les
catholiques veulent surmonter leur complexe d'infériorité en se
référant à leur commune médiocrité.
"Quel est votre conseil aux
fidèles catholiques d'Allemagne qui n'aiment pas le chemin synodal mais
qui ne trouvent plus la stabilité habituelle à Rome ?" l'intervieweur a
demandé à Müller.
"Un regard sur l'histoire de
l'Église nous aide à faire face plus facilement aux hauts et aux bas",
a déclaré le cardinal allemand. «Après tout, nous, chrétiens, ne sommes
pas promis à une réussite comme dans une entreprise humaine, mais à
l'aide de l'Esprit Saint même en période de déclin ou même de
persécution. En bourse, les prix montent et descendent. Nous vivons de
la promesse de Jésus qu'il sera toujours avec nous jusqu'à la fin du
monde.
« Le roc sur lequel Jésus
bâtit son Église, même les portes de l'enfer ne peuvent vaincre. Mais
celui qui est assis dans le fauteuil de Pierre, comme l'homonyme de ce
bureau, peut personnellement échouer. C'est pourquoi le Christ prie
pour Pierre afin que sa foi ne s'éteigne pas (cf. Lc 22, 32).
« Malgré toute notre fidélité
au Pape, qui est naturelle pour un catholique, nous devons aussi
toujours garder clairement à l'esprit que nous appartenons à l'Église
du Christ et que le Pape, l'évêque et le prêtre ne sont que ses
serviteurs — parfois infidèles — qui sont toujours besoin de repentance
et de renouveau », a conclu Müller.
La Voie synodale est un projet
de réforme hétérodoxe lancé par la Conférence épiscopale allemande et
le Comité central des catholiques allemands en décembre 2019. Lors de
sa dernière assemblée en mars, une écrasante majorité des membres de la
Voie synodale, dont plus des deux tiers des évêques allemands, ont voté
en faveur de documents hérétiques, réclamant des femmes diacres , des
«bénédictions» des unions homosexuelles et même des prêtres
«transgenres» dans un texte chargé d'idéologie de genre. »
12 mars
L’identité numérique est prévue pour 2025.
Ils ont maintenu les taux d’intérêts bas pour la masse et les gouvernements.
La guerre ukrainienne et la
résultante inflation font monter les taux pour amener ces derniers à la
faillite et donc à l’acceptation par le peuple de la monnaie digitale
via l’identité numérique.
Tout se tient. Tout progresse… vers sa fin.
L’importance du chiffre 11 pour la kabbale:
Ce chiffre représente une porte qui s’ouvre, un passage, une Pâques, entre les deux colonnes.
C’est donc dire qu’il
représente un nouveau départ, une grande réinitialisation ou des étapes
menant à cette étape ultime, et un sacrifice ou suite à un sacrifice.
Satan singe et inverse, et évidement il n’offre pas une porte vers le Ciel avec le 11.
Exemples : armistice le 11 du 11ème mois, 11 septembre 2001, accident de la centrale Fukushima, 11 mars 2011, etc..
Jean XXIII publie son encyclique humanitaire PACEM IN TERRIS le 11 avril 1963.
Alors, pour l’année 2025 : Le Jubilé et les références au chiffre 11.
« la signification du jubilé
dans la tradition juive : c’est l’accomplissement de l’œuvre, la
réussite, le couronnement, l’année « divine » où l’on se
repose de son travail. » à la 50ème année, après la limite du diable,
le 49.
« Le 11 février 2022, jour de
la mémoire de la bienheureuse Vierge Marie de Lourdes, le pape François
a adressé une lettre à Mgr Rino Fisichella, président du Conseil
pontifical pour la promotion de la nouvelle évangélisation, pour le
Jubilé de 2025… le thème « Pèlerins d’espérance ».
La réussite de ce Jubilé,
a-t-il affirmé, sera possible « si nous sommes capables de retrouver le
sens de la fraternité universelle »… Le pape François a ajouté que les
quatre constitutions du concile œcuménique Vatican II « unies au
magistère des dernières décennies », continueront « à orienter et à
guider le saint peuple de Dieu ». Après avoir déclaré que la Bulle
d’indiction « sera émise en temps voulu », le pape François a stipulé
l’année précédant l’événement jubilaire, 2024, « pourra être consacrée
à une grande “symphonie” de prière ». »
(lacroix.com)
Le Jubilé pour la bête Vatican
est l’occasion d’ouvrir une porte, les Portes Saintes pour l’Église et
une singerie inversée pour l’église conciliaire sous l’attention de
Satan.
Et pour ce passage prévue, il faut une préparation :
« Mgr Fisichella a en outre
souligné l’indication du Pape François de consacrer les deux prochaines
années précédant le Jubilé sur deux thèmes particuliers. L’année 2023
sera ainsi consacrée à revisiter les thèmes fondamentaux des quatre
Constitutions du Concile Vatican II, dont on célébrera le 11 octobre
prochain le 60e anniversaire de l’ouverture, «afin que l’Eglise puisse
respirer à nouveau» cet «enseignement profond et actuel». Une série de
supports utiles, «écrits dans un langage attrayant», sont en
préparation.
L’année 2024 sera consacrée en
revanche à la prière, pour «créer un cadre favorable au Jubilé et
permettre que les pèlerins puissent se préparer à cet événement, qui
est avant tout spirituel, de façon cohérente et efficace». » (osservatoreromano.va)
On y est.
En 2023, on célèbre le fameux
11 octobre 1962 et ses fruits pourris, alors que pour ceux qui ont les
yeux ouverts, on célèbre en réalité le veuvage de l’Église (60 ans
selon Saint-Paul).
Alors, qu’en 2024, on prépare
mentalement les âmes pour accepter l’inévitable, la suppression de la
présence réelle par l’institution d’une célébration œcuménique avec la
fin du synode des synodes.
Cette fin du synode sera
probablement célébrée dans la fin de semaine du 11 octobre 2024 (en
référence au 11 octobre de Vatican II (François veut faire grandir l'Église du Concile Vatican II)
Rappelons
que 2025, c’est en plein dans le maximum solaire du cycle 25 (prévu
entre octobre 2024 et juillet 2025) augmentant la probabilité du forte
tempête solaire qui annihilerait tout ce qui est d'électronique sur
cette planète, et ainsi arrêter la guerre.
Les statistiques sur
l’activité solaire du cycle 25 du mois de février sont encore une fois
au-dessus de la prédiction des astronomes : cela fait 24 mois
consécutifs que le nombre de taches solaires prévues sont au-delà des
prédictions.
Toutes les taches solaires de février en une image (spaceweathergallery2.com):
Les Jubilés sont liés à une date de début et de fin précises : le 8 décembre.
Et le 8 décembre c’est la date
de célébration de l’Immaculée Conception : date qui a son
importance considérant l’Apocalypse pour les références à Marie, celle
qui écrasera la tête du serpent et mettra fin à Babylone.
Alors, que célébrera l’église
conciliaire (rappelons que Bergoglio a lancé le thème du jubilé de
2025 un 11 février, à la fête de Lourdes)?
La renaissance, comme… la grande réinitialisation.
« … le prochain jubilé est
l'occasion d'un réveil… une occasion de «contempler la beauté de la
création et de prendre soin de notre maison commune». » (vaticannews.va)
L’église sera témoin d’un réveil, mais pas celui qu’elle espère…
Le logo de ce jubilé est pro LGBT (vaticannews.va)
pour inclure tout le monde dans ce jubilé, pour le cri de victoire
de l’œcuménisme, pour la conclusion de Vatican II. On nous l’a annoncé
avec l’année 2023 consacrée aux 60 ans de Vatican II.
Or, pour le jubilé 2025,
Bergoglio a créé une Commission pour les témoins de la foi qui fait
référence au grand jubilé de Jean-Paul II de l’an 2000, où il a voulu
mettre en lumière ces hommes et ces femmes qui, bien que non canonisés,
ont manifesté avec force leur foi.
« Qui sont les témoins de la foi?
Permettez-moi
de donner un exemple: celui qui me vient immédiatement à l'esprit est
Dietrich Bonhoeffer (1906-1945), un théologien et pasteur d'église
luthérien qui a été tué parce qu'il s'opposait au nazisme. L'Église ne
le proclame pas martyr parce qu'il n'était pas catholique. »
(vaticannews.va)
Cela ne vous rappelle pas les « deux témoins » de l’Apocalypse?
Satan singe et inverse...
Nous avons bien spécifié les preuves du décompte menant à 2025 dans les analyses précédentes.
Un résumé :
La grande réinitialisation actuelle n’est possible que par le code QR ou son successeur.
C’est ainsi que la bête de la
terre (humaniste, Nations-Unies, franc maçonnerie judéo-maçonnique) a
pris le contrôle total de nos vies pour nous rendre esclaves du système
antichristique.
Tout se fait maintenant via le téléphone intelligent.
Un marché aujourd’hui dominé par la compagnie Apple.
Il faut remonter à la création
de l’ordinateur accessible pour tous, ancêtre en sorte du smartphone
actuel, pour voir la bête sortir de l’eau, en termes apocalyptiques.
C’est Apple qui produit le premier ordinateur accessible à tous le 11 avril 1976.
Le Apple I se vendait 666.66 dollars.
Don Jean de Monléon dans son livre Le prophète Daniel:
« Malgré les efforts des
bourreaux, la flamme ne montait qu’à 49 coudées, elle n’arrivait pas à
cinquante… Pourquoi cela ? Parce que 50 est le chiffre de la Pentecôte,
le symbole de la transformation totale que, seule, la grâce du
Saint-Esprit est capable d’opérer dans l’homme. »
Par conséquent, « le démon ne
peut dépasser 49 coudées, parce qu’il est incapable d’agir efficacement
sur le fond de l’âme, sur la volonté, si celle-ci est résolue à tenir
bon. »
Le diable n’a donc pas le
droit d’aller jusqu’à 50, le chiffre en jours qui sépare la
Résurrection de la Pentecôte, et qui est le chiffre d’un jubilé.
Sachant donc que la limite du diable est de 49, la limite de Babylone serait donc le 11 avril 2025 (1976+49 années).
Le Vatican doit obligatoirement suivre, car deux bêtes (terre et mer) agissent ensemble selon l’Apocalypse.
C’est à l’été 1976 que Paul VI suspend Mgr Lefebvre suite à la consécration de 13 prêtres et isole ainsi la tradition.
Le 11 septembre 1976, à Castel
Gandolfo, une célèbre rencontre eu lieu entre Mgr Lefebvre et Paul VI
où ce dernier dépose ses accusations.
Le nombre de jour entre le 11 avril 1976 et le 11 septembre 1976 liant les deux bêtes : 153.
Le chiffre des rachetés de la pêche miraculeuse (voir analyses précédentes) de la fin des temps.
La fin des temps se mesurant en deux temps, un temps et un demi temps (3 étapes).
Un temps : 21 ans
Deux temps : 42 ans
Un demi temps : la donnée inconnue : nul ne connaît le jour ni l’heure…
Un temps : 21 ans
De 1962 à 1983.
1983 : Jean Paul II modifie le
droit canon le 25 janvier 1983 et celui-ci est effectif le 27 novembre
suivant au premier dimanche de l’Avent, ce qui en soit est un signe
d’une nouvelle étape.
Le code de droit canonique de 1917 a été promulgué le 27 mai 1917 (peu après la première apparition de Fatima donc).
Nombres d’années entre le 27 mai 1917 et le 27 novembre 1983 : 66 ans et 6 mois.
Les 21 années de Vatican II à 1983 ont donc servi de préparation pour éclipser l’Église selon les prophéties de La Salette.
Deux temps : 42 ans
De 1983 à 2025.
Le nouveau droit canon plonge l'Église dans la fosse humaniste officiellement.
Le 5 avril 1983, Mgr Lefebvre répond à une lettre envoyée par Jean-Paul II via le cardinal Ratzinger.
L'Église est en crise.
La messe traditionnelle est ciblée.
« Sans doute c’est en raison
de cette oppression des consciences exercée d’une manière inconcevable
à l’intérieur de l’Église que vous prévoyez de publier un décret
concernant l’usage de l’ancien rite romain de la Messe. N’est-ce pas,
en effet, une oppression inique d’enlever aux prêtres le rite de leur
Messe d’ordination et de les contraindre sous peine de suspens
d’adopter un nouveau rite à l’institution duquel ont participé six
pasteurs protestants !
C’est au pied du crucifix que
je vous réponds, Très Saint-Père, uni à tous les évêques, prêtres,
religieux, religieuses, fidèles qui ont subi un véritable martyre moral
par l’imposition forcée de cette Réforme liturgique. Que de larmes, que
de douleurs, que de morts prématurées dont demeurent responsables ceux
qui ont indûment imposé ces changements opérés au seul titre d’un
œcuménisme aberrant.» (laportelatine.org)
L’humanisme œcuménique a été inscrit dans l’ADN de l’Église avec le nouveau code de droit canon.
Concrètement.
On trouve une autre confirmation par la deuxième apparition de la Vierge Marie à Sœur Catherine Labouré à la rue du Bac:
La libération des justes, les
153 de la seconde pêche miraculeuse commencent donc au début de la
phase de 42 ans, la période de prêche des deux témoins pour sauver le
plus d’âmes possibles.
Nous venons de démontrer que cette phase commence par la validité du nouveau code de droit canon le 27 novembre 1983.
Or, le 27 novembre est la date
anniversaire de l’apparition de la rue du Bac en 1830 et conséquemment
de l’existence de la médaille miraculeuse.
Il y a exactement 153 ans entre l’apparition et le 27 novembre 1983.
2025, c’est aussi 161 ans par rapport au syllabus de Pie IX (publié le 8 décembre 1864) condamnant le maçonnisme et ses erreurs.
C’est bien là le mal de notre époque (suite à l’avertissement de Fatima avec le communisme).
161, c’est le chiffre de
l’humain déifié, le 6, entre les deux colonnes maçonnique (les colonnes
Boaz et Jakin), représenté par le chiffre 11.
La porte que veulent ouvrir
les kabbalistes (la grande réinitialisation de 2025) est indiquée par
la date de l’avertissement de Pie IX et qui est reliée à Marie.
Mais, en 2025, cela fera
aussi 171 ans que le dogme de l’Immaculée Conception a été proclamé par
Pie IX, le 8 décembre 1854 exactement.
La Vierge Marie, c’est la clé de la victoire dans l’Apocalypse, celle qui écrasera la tête du serpent.
Si le 161 représente le chiffre de l’homme déifié entre les deux colonnes du 11, 2025 représente aussi le 6 transfiguré.
6X3,5 (en référence au 1
temps, 2 temps et un demi temps de la durée de vie de la bête dans
l’Apocalypse) donne 21 et divisé par le chiffre de la Trinité, donne 7.
Le chiffre du Père, entre les deux colonnes.
Deux portes donc : une
porte menant au Ciel et l’autre menant à l’enfer dépendant de
l’application du trio « Foi, Espérance, Charité » pratiqué par chacun.
Les deux colonnes
représenteraient les « deux témoins » ressuscités après les 3 jours et
demi : les deux oliviers de l’Apocalypse.
Rappelons aussi qu’il y avait deux colonnes dans le songe de Don Bosco.
Ces deux témoins, on les nomment aussi Énoch et Élie.
Confirmés par La Salette :
« L’Église sera éclipsée, le
Monde sera dans la consternation. Mais voilà Énoch et Élie remplis de
l'Esprit de Dieu ; ils prêcheront avec la force de Dieu et les hommes
de bonne volonté croiront en Dieu et beaucoup d'âmes seront consolées ;
ils feront de grands progrès par la vertu du Saint-Esprit et
condamneront les erreurs diaboliques de l'Antéchrist. »
La prêche des deux témoins aurait donc débuté officiellement en 1983 pour 42 ans.
Effectivement, tout doit être
conclu avant mai 2026 selon la prophétie de Don Bosco, c’est à dire le
retour du Lys avant mai 2026.
9 mars
«
Nous devons être prudents dans nos prédictions. Ce que disait saint
Augustin est toujours vrai : l’homme est un abîme ; personne ne peut
prévoir ce qui émergera de ces profondeurs. Et celui qui croit que
l’Église n’est pas seulement déterminée par l’abîme qu’est l’homme,
mais qu’elle atteint l’abîme le plus grand, le plus infini, qui est
Dieu, sera le premier à hésiter dans ses prédictions, car ce désir naïf
de savoir avec certitude ne pourrait être que l’annonce de son
inaptitude historique. (…)
L’avenir de l’Église peut
résider et résidera dans ceux dont les racines sont profondes et qui
vivent dans la pure plénitude de leur foi. Il ne résidera pas chez ceux
qui ne font que s’adapter au moment présent, ni chez ceux qui se
contentent de critiquer les autres en se prenant pour des juges
infaillibles, ni chez ceux qui choisissent la facilité, qui éludent la
passion de la foi en la déclarant fausse et obsolète, tyrannique et
légaliste, tout ce qui exige quelque chose des hommes, les blesse et
les oblige à se sacrifier.
Pour le dire plus positivement
: l’avenir de l’Église, une fois de plus comme toujours, sera façonné
par les saints, c’est-à-dire par des hommes dont l’esprit est plus
profond que les slogans du jour, qui voient plus que ce que les autres
voient, parce que leur vie embrasse une réalité plus large.
La générosité, qui rend les
hommes libres, ne s’obtient que par la patience de petits actes
quotidiens d’abnégation. Grâce à cette passion quotidienne, qui révèle
à l’homme combien il est asservi par son ego, grâce à cette passion
quotidienne et à elle seule, les yeux de l’homme s’ouvrent lentement.
L’homme ne voit que dans la
mesure de ce qu’il a vécu et subi. Si aujourd’hui nous ne sommes plus
très capables de prendre conscience de Dieu, c’est parce qu’il nous est
très facile de nous échapper, de fuir les profondeurs de notre être à
travers le sentiment narcotique de tel ou tel plaisir. De cette façon,
nos profondeurs intérieures nous restent fermées. S’il est vrai qu’un
homme ne peut voir qu’avec son cœur, alors combien nous sommes aveugles
!
De quelle manière cela
influe-t-il le problème que nous examinons ? Cela signifie que tout le
discours de ceux qui prophétisent une Église sans Dieu et sans foi
n’est que du bavardage inutile.
Nous n’avons pas besoin d’une
Église qui célèbre le culte de l’action dans les prières politiques.
Elle est entièrement superflue. Et donc elle va se détruire.
Ce qui restera sera l’Église
de Jésus-Christ, l’Église qui croit au Dieu qui s’est fait homme et qui
nous promet la vie après la mort. Le prêtre qui n’est qu’un travailleur
social peut être remplacé par le psychothérapeute et d’autres
spécialistes, mais le prêtre qui n’est pas un spécialiste, qui ne reste
pas dans les tribunes à regarder le match, à donner des conseils
officiels, mais qui se met au nom de Dieu à la disposition de l’homme,
qui l’accompagne dans ses peines, dans ses joies, dans ses espoirs et
dans ses craintes, un tel prêtre sera certainement nécessaire à
l’avenir.
Faisons un pas de plus.
De la crise d’aujourd’hui
émergera une Église qui aura beaucoup perdu. Elle deviendra petite et
devra recommencer plus ou moins depuis le début. Elle ne pourra plus
habiter nombre des bâtiments qu’elle avait construits dans la
prospérité. Le nombre de ses fidèles diminuant, elle perdra également
la plupart de ses privilèges sociaux. Contrairement à une période
antérieure, elle sera davantage perçue comme une société volontaire,
dans laquelle on n’entre que par libre décision. En tant que petite
société, elle exigera beaucoup plus de l’initiative de ses membres
individuels.
Elle découvrira sans doute de
nouvelles formes de ministère et ordonnera au sacerdoce des chrétiens
qui exercent une profession. Dans de nombreuses petites congrégations
ou groupes sociaux autosuffisants, le service pastoral sera normalement
assuré de cette manière.
Parallèlement, le ministère
sacerdotal à plein temps sera indispensable, comme auparavant. Mais
malgré tous ces changements que l’on peut supposer, l’Église
retrouvera, avec toute son énergie, ce qui lui est essentiel, ce qui a
toujours été son centre : la foi dans le Dieu trinitaire, en
Jésus-Christ, le Fils de Dieu fait homme, dans l’assistance de
l’Esprit, qui durera jusqu’à la fin. Elle repartira de petits groupes,
de mouvements et d’une minorité qui remettra la foi et la prière au
centre de l’expérience et qui revivra les sacrements comme un service
divin et non comme un problème de structure liturgique.
Ce sera une Église plus
spirituelle, qui ne s’arrogera pas un mandat politique en flirtant
tantôt avec la gauche, tantôt avec la droite. Elle le fera avec
difficulté. Le processus de cristallisation et de clarification la
rendra pauvre, il en fera une Église des petites gens, le processus
sera long et ardu, car il faudra éliminer l’étroitesse d’esprit
sectaire et l’obstination pompeuse. On peut prédire que tout cela
prendra du temps.
Le processus sera long et
ardu, comme l’a été le chemin du faux progressisme à la veille de la
Révolution française – où un évêque pouvait être considéré comme
intelligent s’il se moquait du dogme et insinuait même que l’existence
de Dieu n’était pas du tout certaine – jusqu’au renouveau du XIXe
siècle.
Mais après l’épreuve de ces divisions, une grande force émergera d’une Église intériorisée et simplifiée.
Les hommes qui vivront dans un
monde totalement programmé connaîtront une solitude indescriptible.
S’ils auront complètement perdu le sens de Dieu, ils ressentiront toute
l’horreur de leur pauvreté. Et ils découvriront alors la petite
communauté des croyants comme quelque chose de totalement nouveau : ils
la découvriront comme une espérance pour eux-mêmes, la réponse qu’ils
avaient toujours cherchée en secret.
Il me semble certain que des
temps très difficiles sont à venir pour l’Église. Sa véritable crise ne
fait que commencer. Elle doit faire face à de grands bouleversements.
Mais je suis aussi très
certain de ce qui restera à la fin : non pas l’Église du culte
politique, qui est déjà morte, mais l’Église de la foi.
Il est certain qu’elle ne sera
plus la force sociale dominante dans la mesure où elle l’était encore
récemment. Mais l’Église connaîtra une nouvelle floraison et apparaîtra
comme la maison de l’homme, où il peut trouver la vie et l’espérance
au-delà de la mort ».
L’Église catholique survivra
malgré les hommes et les femmes, pas nécessairement grâce à eux, et
nous avons encore notre rôle à jouer. Nous devons prier et cultiver la
générosité, l’abnégation, la fidélité, la dévotion sacramentelle et une
vie centrée sur le Christ. »
(1969, père Joseph Ratzinger, radio allemande)
3 mars 2023
« L'évêque auxiliaire
d'Astana, Athanasius Schneider, a accordé une interview à LifeSiteNews
dans laquelle il a averti que les tendances actuelles dans l'Église
catholique, en particulier le Synode sur la synodalité, sont
"dangereuses" pour la foi catholique et sont des "poisons spirituels".
Comme
le veut le prélat kazakh, il parlait avec force et sans détour.
Schneider a toujours été particulièrement critique à l'égard de ce
Synode et a averti que l'actuel Synode sur la synodalité est "un outil
utilisé pour diluer de plus en plus la clarté de la foi catholique,
comme nous l'observons, jetant de plus en plus de confusion et de
confusion doctrinale dans la vie de la Église".
"C'est un abus flagrant de l'institution du synode, que l'Église a comprise depuis 2 000 ans", a-t-il déclaré.
Schneider
a souligné qu'un synode bien ordonné a des prérogatives claires : « Le
synode est un instrument du magistère, mais son premier objectif est de
clarifier la doctrine sans équivoque, sans aucun doute ».
La
deuxième tâche d'un synode devrait être de "repousser les erreurs de
l'époque", mais Schneider a averti que les actions actuelles du synode
permettent la propagation de "poisons, de poisons spirituels".
Un
vrai synode devrait également traiter des questions "disciplinaires"
pour fournir un "remède contre les abus", a-t-il déclaré.
Au
lieu de cela, il a décrit le synode sur la synodalité comme semblable à
un "parlement d'une manière mondaine", quelque chose qui "est contraire
à toute l'histoire de l'Église et à toute la méthode de Dieu. C'est
mondain, ce n'est même pas chrétien".
En
outre, Mgr Schneider a souligné la particularité de l'attention de
l'Église catholique à "l'écoute" plutôt qu'à l'enseignement. "Toute
l'humanité doit écouter la voix du Christ, pas les autres", a-t-il
déclaré. S'entendre plutôt que le Christ est "contre la révélation",
a-t-il ajouté.
"C'est pourquoi le Christ n'a
pas dit à tous les apôtres : 'Allez et écoutez toutes les nations',
mais 'Allez, enseignez et instruisez ce que je vous ai enseigné'. C'est
le message de l'Église : ne vous présentez pas, ne tenez pas de
sessions parlementaires et n'écoutez pas les gens, mais proclamez la
vérité, naturellement avec clarté et charité », a ajouté l'évêque
auxiliaire d'Astana.
Tout
en avertissant des dangers posés par de nombreux courants de pensée
moderne dans l'Église catholique, Mgr Schneider a offert des
encouragements aux catholiques sur la manière de préserver la foi. «
Étudiez la foi catholique », a-t-il dit.
"Etudiez bien les anciens catéchismes où se trouve la foi immuable".
Il
a mentionné certains textes post-conciliaires, tels que Humanae Vitae
et Vertitatis Splendor, mais a surtout souligné que les catholiques
doivent suivre les enseignements et les documents pré-conciliaires pour
leur clarté.
L'évêque
auxiliaire a également exhorté les catholiques à faire de la Sainte
Eucharistie "le centre de leur vie". Il a encouragé à recevoir la
Sainte Communion avec une grande révérence, à genoux et sur la langue
"pour éviter tout danger de profanation ou de minimisation de la
révérence".
En
outre, Schneider, un fervent partisan de la liturgie traditionnelle de
l'Église, a déclaré que rechercher la messe traditionnelle est un
"geste d'amour" pour son prochain et un acte de "fidélité à la Sainte
Mère l'Église".»
L’Église vit sa Passion.
Rappelons la dernière phrase de la prophétie des papes de St-Malachi :
« Dans
la dernière persécution de la Sainte Église Romaine siégera Pierre le
Romain qui fera paître ses brebis à travers de nombreuses
tribulations; celles-ci terminées, la cité aux sept collines sera
détruite ; et le Juge redoutable jugera son peuple. »
Plusieurs prophéties confirment que Rome sera détruit.
Et c’est peut-être là le mystère de la fin de la prophétie concernant Benoît XVI.
« devant la tombe du va-nu-pieds, éclatera le règne béni de la Très Sainte Vierge.
La
terre détruira le ciment et de terre sera, Reine, ta nouvelle Église.
Et sur la terre de blé, pour la faim de tes peuples, fleur sur son
nouvel autel. »
Il est bien spécifié que c’est le point de départ du renouvellement pour la nouvelle terre.
Anne Catherine Emmerich spécifiait bien qu’il ne resterait pratiquement que l’Autel suite à la destruction.
Un peu comme cela nous a été annoncé par le feu à la cathédrale Notre-Dame de Paris où l’autel a été épargné.
Saint-Paul
dans 2 Timothée 3 : 1-9 nous indique aussi la voie à suivre en
cette fin des temps tout en affirmant que cette folie des apostats leur
éclatera en plein visage.
«
Sache que, dans les derniers jours, il viendra des temps difficiles.
Car les hommes seront égoïstes, cupides, fanfarons, superbes,
blasphémateurs, rebelles à leurs parents, ingrats, impies, sans
affection, sans loyauté, calomniateurs, intempérants, cruels, ennemis
des gens de bien, traîtres, insolents, enflés d'orgueil, amis des
voluptés plus que de Dieu, ayant les dehors de la piété sans en avoir
la réalité : éloigne-toi de cette sorte de gens.
Tels sont ceux qui s'insinuent
dans les familles pour captiver des femmelettes chargées de péchés,
travaillées de passions de toute espèce, qui toujours apprennent sans
pouvoir jamais parvenir à la connaissance de la vérité.
Pareils à Jannès et à Jambrès
qui s'opposèrent à Moïse, de même ces hommes, viciés d'esprit et
pervertis dans la foi, s'opposent à la vérité.
Mais ils ne feront plus de progrès ; car leur folie éclatera aux yeux de tous, comme celle de ces deux hommes-là. »
C’est l’heure de la révélation et plusieurs seront très, très surpris.
Février 2023
25 février
« Traditionis Custodes: les évêques ont la terreur de parler
Alors que dans les paroisses,
les fidèles simples et naïfs sont convaincus que François est le Pape
de la miséricorde, ceux qui vivent chaque jour autour de Bergoglio ont
un témoignage bien différent. C’est, une fois de plus, le grand pouvoir
de la communication que le Pape a complètement asservi à lui-même.
En ce qui concerne
le Motu Proprio « Traditionis Custodes » et le
rescrit qui s’y rapporte aussi, il y a beaucoup à dire et le discours
se fait très ample. Alors que François se dit miséricordieux et
accueillant envers tous, il montre qu’il ne supporte absolument pas
ceux qui célèbrent l’Eucharistie selon un rite qui lui est
incompréhensible. De plus, le Pape ne s’est pas du tout demandé
comment les fidèles vivent ce moment au sein de l’Eglise, où ils voient
le Pape ne plus célébrer le Divin Sacrifice.
La perplexité est grande et
les gens sont scandalisés. Ce n’est pas une question de
« forme » mais de « fond ». Surtout ceux qui ont
été habitués à voir Jean-Paul II, qui était vraiment malade et mourant,
célébrer l’Eucharistie.
De nombreuses questions se
posent donc lorsque le Pape choisit de se lever pour recevoir des
personnes en audience ou pour échanger le signe de paix. Pendant
l’épiclèse, il ne se lève pas, mais lorsqu’il doit donner la paix au
célébrant, il le fait. S’il faut baiser les pieds du puissant du Sud
Soudan, il se jette à terre, mais pendant la consécration il ne fait
pas de génuflexion.
Oui, l’ambiguïté est la devise
de ce pontificat. Nous l’avons vu à de nombreuses reprises. Ceux qui
ont à cœur la figure du Pape continuent cependant à appeler les fidèles
à l’obéissance et à la prière. En fait, il y a beaucoup de gens dans
l’Église aujourd’hui qui font l’éloge du Pape et disent qu’ils sont
obéissants parce qu’il est le Pape. Il suffirait cependant de faire un
petit retour en arrière pour revenir en 2011, lorsque ces personnes
insultaient le Pontife.
La question n’est pas du tout
anodine, bien au contraire. Aimer Bergoglio est une chose, aimer
le Pape en est une autre. Celui qui aime le Pape, l’aime quel qu’il
soit. Celui qui aime Bergoglio en viendra bientôt à détester le Pape.
Les journalistes, tous sans exception, sont des amoureux de Bergoglio
et non du Pape.
Ceux qui aiment le successeur
de Pierre, par contre, sont critiques précisément parce qu’ils se
soucient du Pape et de l’Église. Cela, pourtant, ne plaît pas à
François, car alors qu’il dit que les autres sont idéologiques, il
montre qu’il est imprégné d’idéologie.
Nous l’avons vu lors de
l’audience générale du mercredi 22 février 2023. François s’en est pris
à ceux qui lui reprochent d’avoir choisi de signer le Rescriptum qui
donne au Saint-Siège une compétence exclusive sur l’autorisation de
célébrer selon le Vetus Ordo.
« Faites attention, a dit
le pape a braccio, que l’Évangile n’est pas une idée, l’Évangile
n’est pas une idéologie : l’Évangile est une proclamation qui touche
votre cœur et vous fait changer de cœur, mais si vous vous réfugiez
dans une idée, dans une idéologie qu’elle soit de droite ou de gauche
ou du centre, vous faites de l’Évangile un parti politique, une
idéologie, un club de personnes ».
Tous les collaborateurs de ce
site participent à la célébration de l’Eucharistie selon le Missel de
Saint Paul VI, et certains participent aussi aux
célébrations Vetus Ordo. Personne n’a jamais songé à considérer un
rite comme meilleur ou pire que l’autre. Diaboliser un rite ou, pire
encore, les fidèles qui sont attachés à ce rite, n’est certainement pas
une démonstration d’amour pour le peuple saint de Dieu.
François, lors de son voyage au Sud-Soudan, a dit aux évêques :
« J’ai dit ‘soyez
miséricordieux’. La miséricorde. Pardonnez toujours. Quand un croyant
vient se confesser, il vient demander le pardon, il vient demander la
caresse du Père. Et nous, avec un doigt accusateur : ‘Combien de fois ?
Et comment l’as-tu fait ?…’. Non, pas cela. Pardonnez. Toujours. ‘Mais
je ne sais pas…, parce que le code [de droit canonique] me dit…’. Le
code, nous devons le respecter, parce qu’il est important, mais le cœur
du pasteur va plus loin ! Prends le risque. Pour le pardon, tu risques.
Toujours. Pardonne toujours dans le sacrement de la réconciliation. Et
ainsi tu sèmeras le pardon pour toute la société ».
Le Pape devrait nous expliquer
pourquoi nous devons accueillir et pardonner une personne impénitente
et qui n’a pas à cœur le salut de son âme, mais nous ne pouvons pas
célébrer le Divin Sacrifice selon un rite qui appelle à la prière et au
recueillement ?
À quoi servirait le sacrement
de la réconciliation si nous absolvions tout le monde sans
critères ? Ce serait une moquerie, pour nous et pour le pénitent
lui-même. Le Pape dit : prenez des risques ! Je réponds: « Non,
Votre Sainteté, je ne ‘risque’ pas mon âme et celle de mes pénitents,
car il y va du salut ou de la damnation éternelle. Si je me tenais
devant le Seigneur et que je disais que vous m’avez dit d’absoudre les
impénitents, le Père éternel me demanderait un compte rendu de ce que
j’ai médité dans l’Écriture ».
Il ne s’agit pas, comme
François veut malheureusement nous le faire croire, d’être puritains.
On ne refuse presque jamais l’absolution au confessionnal, mais quand
c’est nécessaire, on doit le faire. Souvent, ce sont précisément les
pénitents qui ont besoin de l’absolution.
Bien souvent, ce sont les
pénitents eux-mêmes qui demandent à être accompagnés spirituellement.
Bien sûr, il serait beaucoup plus simple d’absoudre, de quitter le
confessionnal et de retourner à ses « affaires ». Mais ce
n’est pas ce que l’on attend de nous. L’accompagnement spirituel est
beaucoup plus « guérissant » que l’absolution donnée sans
repentir. Notre tâche, en fait, est de sortir le fidèle de la situation
de péché et non de l’y laisser.
Traditionis Custodes
Précisément parce que nous
n’agissons pas par idéologie, il serait utile que le Pape commence à
être transparent. On parle souvent de transparence, non ? Commençons
maintenant.
François, dans sa Lettre aux
évêques du monde pour présenter le Motu Proprio « Traditionis
Custodes » sur l’usage de la liturgie romaine d’avant la
Réforme de 1970 écrit :
« Les réponses reçues ont
révélé une situation qui me chagrine et me préoccupe, confirmant
la nécessité pour moi d’intervenir ».
Que ces réponses soient
rendues publiques et puissent être consultées! Combien d’évêques ont
signalé qu’il y avait des problèmes ? Quels étaient ces problèmes ?
Qu’ont fait ces évêques pour corriger ces réalités qui niaient la
validité du Concile?
Une confrontation avec
plusieurs évêques montre que les lettres envoyées à Rome étaient tout à
fait positives et non pas comme le prétend le Dicastère.
Il est clair que, si le
travail est confié à Arthur Roche [le préfet du Culte divin] et
Vittorio Viola [le secrétaire], la question n’est certainement pas
traitée par des personnes « neutres » ou « libres »
sur le sujet. Ce sont des personnes formées dans un athénée purement
idéologique [l’Institut Saint-Anselme, très marqué à gauche]. Si vous
ouvrez un dictionnaire et que vous cherchez « idéologie »,
vous trouverez une photo de Saint-Anselme.
L’intention de St Jean Paul II
et de Benoît XVI était la communion. Avec Summorum Pontificum,
Benoît XVI n’a pas agi avec l’intention de s’adresser à la Fraternité
saint Pie X. Bien sûr, il l’a fait aussi pour cela, mais il a surtout
été guidé par la volonté d’apporter la paix également au sein de
l’Église catholique. Il existe de nombreux rites et personne n’a
jamais offensé ou enlevé quelque chose à un autre. Où est le
problème ? Le problème est uniquement idéologique. Le Pape qui dit
accueillir tout le monde, devient ainsi une source de contradiction et
chasse ceux qui célèbrent selon un rite qu’il ne conçoit pas.
Oui, parce que François ne
comprend pas vraiment le vetus ordo. La messe [pour lui] doit être
un moment de fête, où tous participent et l’aspect sacrificiel est
supprimé. Lors de la célébration eucharistique du jeudi 23 février dans
la basilique de Sainte-Sabine, le pape s’est déshabillé alors que le
chant final n’était pas encore terminé. Il a retiré ses vêtements dans
le presbytère, devant tous les fidèles. Il est monté dans son fauteuil
roulant et a traversé toute la basilique.
Dans nos paroisses, nous
passons beaucoup de temps à éduquer les fidèles au recueillement. Nous
apprenons aux célébrants à rendre grâce et à ne pas enlever
immédiatement leurs vêtements liturgiques. Et ensuite, ils allument la
télévision et ils voient cela ? Quel exemple leur donnons-nous ?
Croyons-nous en ce que nous professons ?
Tout cela est une source de
scandale pour les fidèles. Le Christ n’est plus au centre, c’est le
Pape qui l’est. Ce narratif est le moteur du pontificat de François
depuis dix ans: « L’Église est laide et mauvaise, je l’ai
améliorée », « les prêtres sont mauvais, les évêques
désobéissants et moi pas ».
Les évêques sont terrifiés
Nous ne voulons certainement
pas minimiser la question liturgique, mais l’attitude utilisée par
François avec l’ancienne messe est utilisée avec d’autres questions de
gouvernance. Il suffit de penser au Motu Proprio Mitis Iudex
Dominus Iesus concernant les causes de nullité matrimoniale. Quand
François a vu que sa réforme n’était pas mise en œuvre, il a
immédiatement nommé ceux qui devaient superviser et intervenir pour
s’assurer qu’elle se déroule selon sa volonté.
Quand Benoît XVI a publié
le Motu Proprio Summorum Pontificum en 2007, l’épiscopat n’a
eu aucun problème à intervenir pour dire au Pape qu’il n’était pas
d’accord. Les positions étaient diverses et n’étaient en aucun cas
voilées ou cachées. L’évêque de Sora-Aquino-Pontecorvo, heureusement
devenu émérite, Luca Brandolini, a déclaré : « C’est un jour de
deuil, non seulement pour moi, mais aussi pour tous ceux qui ont vécu
et travaillé pour le Concile Vatican II ».
Benoît XVI n’avait en aucun
cas éliminé le novus ordo, mais avait ouvert et donné plus de
possibilités. Brandolini, qui ne jouit pas d’une grande intelligence, a
oublié que Ratzinger a vécu lui-même le Concile œcuménique et
l’intention des Pères du Concile.
Alessandro Plotti, le grand
promoteur des pires épiscopats toscans à l’époque de Jean-Paul II, a
même déclaré que, malgré le Motu Proprio, dans l’archidiocèse de
Pise, les prêtres devaient encore demander la permission à l’évêque.
Que reste-t-il de ces évêques ? Seulement leur idéologie et ses fruits,
des diocèses qui ont des séminaires vides et qui se dirigent vers
l’abîme.
L’évêque Sebastiano
Dho parlait d’une Église parallèle. Et l’évêque de Côme, qui nous
a montré aujourd’hui sa diligence dans les cas d’abus, a pris la peine
de dire que nous devons être prudents. Pour la Messe ancienne prudence,
pour lancer des enquêtes contre les abuseurs, non. Ce sont les mêmes
évêques qui reçoivent les journalistes dans leur salon en survêtement.
A juste titre, certains fidèles disent : « Mais pourquoi les évêques ne disent-ils rien aujourd’hui ? ».
Nous aussi, nous nous posons
cette question depuis un certain temps. Il faut beaucoup de courage,
car Plotti, Coletti, Brandolini, Dho, etc. sont restés dans leurs
diocèses et ont continué à vivre paisiblement. Benoît XVI n’a
jamais mis personne à la porte, même lorsqu’ils le critiquaient de
manière aussi mesquine. François, en revanche, a mis à la porte ses
proches collaborateurs pour bien moins que cela. Les exemples sont
nombreux. L’un d’eux est le bon archevêque Jorge Carlos Patrón Wong. Le
prélat mexicain s’est toujours distingué par son humanité, même envers
de nombreux séminaristes qui avaient des difficultés financières ou
familiales. Bergoglio l’a convoqué en novembre 2021 et lui a dit :
« Merci pour ton travail, très bien, mais maintenant j’ai besoin
de toi à Jalapa ». L’évêque a pâli et a été surpris. « Très
bien Votre Sainteté, le temps de terminer le semestre et je retourne au
Mexique », lui a-t-il dit. Le pape a pris un air sombre et a dit :
« Non, non. Maintenant ! À Noël, tu dois y aller ! » Le jour
de la fête de l’Immaculée Conception, il lui a fait publier la
nomination et l’a renvoyé au Mexique. Les raisons ? Aucune. Même ici,
au Vatican, le prélat était très aimé et a laissé un très bon souvenir.
Mais le système est celui du provincial jésuite : « Je commande,
tu obéis ». Et, comme un bon provincial, François veut tout savoir
sur tout le monde.
Si tel est le système, les
évêques disent à juste titre : « Qui m’oblige à le faire? Le pape
te dit de le corriger en face, mais ensuite il t’expédie au Kenya. Ou
pas ». » (benoit-et-moi.fr)
22 février
La
date du 3 avril risque de passer à l'histoire comme étant celle de la
mort des deux témoins, car le Vatican s'apprêterait à éradiquer la
messe traditionnelle et tout ce qui lui est reliée, comme les
ordinations et les sacrements.
« Le pape révise une nouvelle Constitution apostolique pour renforcer Traditionis Custodes
(Diane Montagna par The Remnant)
Le Remnant a appris
qu'un document du Vatican est actuellement en cours d'examen par le
pape François et élargirait et renforcerait son Motu Proprio
Traditionis Custodes 2021, et affirme que la seule liturgie
officielle du rite latin est le Novus Ordo et réglementerait
rigoureusement les anciennes communautés Ecclesia Dei.
Des sources vaticanes bien
informées ont confirmé à The Remnant, qui avait annoncé avec
précision Traditionis Custodes avant sa publication en 2021, que le
projet de document, sous la forme d'une constitution apostolique,
a été présenté au pape François fin janvier par les supérieurs du
Dicastère pour le culte divin et la discipline des sacrements, dirigés
par le cardinal Arthur Roche.
Le document aurait été rédigé
par des fonctionnaires du Dicastère, sous la direction de son
secrétaire, Mgr Vittorio Francesco Viola, OFM, en collaboration avec au
moins un consultant du Bureau des célébrations liturgiques du Vatican.
Alors que Traditionis
Custodes vise principalement à contrer la diffusion de la
messe latine traditionnelle et des sacrements au sein du clergé
diocésain, ce nouveau document porterait un coup particulièrement dur
aux anciennes communautés Ecclesia Dei en interdisant les
ordinations diaconales et sacerdotales dans le Vetus Ordo, interdisant
l'administration d'autres sacrements aux fidèles et exigeant la
concélébration de tous les prêtres, y compris les membres de ces
instituts.
L'interdiction des messes dominicales dans le Vetus Ordo serait également en discussion .
The Remnant a
également appris qu'un cardinal italien nommé en 2022 tente de
persuader le pape François de promulguer une constitution apostolique
alternative, qui à première vue peut sembler moins dure mais qui est en
réalité pire, cherchant à enterrer une fois pour toutes la liturgie
latine traditionnelle.
Ce second brouillon ne
mentionnerait jamais le Vetus Ordo, mais célébrerait plutôt le 54e
anniversaire de la promulgation de la constitution apostolique de Paul
VI dans le Nouveau Missel romain (3 avril 1969), donnant comme date
probable de sa publication le lundi de la Semaine Sainte
[ 3 avril 2023 ndt] .
Selon certaines sources, le
document relate les "bénédictions" de la réforme liturgique de Paul VI
et les "fruits abondants" qu'elle a produits dans l'Église, et cherche
à "la couronner et la compléter" en déclarant que, désormais, le seul
rite officiel de l'Église latine est le Missel romain de Paul VI,
le Novus Ordo .
Sans
jamais dire un mot du Vetus Ordo, cette seconde option ferait avancer
tout ce qui est contenu dans la première par les conséquences qu'elle
implique.
Cela donnerait aux évêques qui
sont hostiles à la liturgie traditionnelle - ou qui sont prêts à la
sacrifier pour ce qu'ils considèrent comme le plus grand bien - la clé
pour l'éradiquer de leurs diocèses. Et cela renforcerait les
efforts du cardinal Arthur Roche pour forcer les évêques "inclusifs" à
appliquer son interprétation de Traditionis Custodes, après des
tentatives répétées de le faire d'une manière considérée par les
canonistes comme contraire au droit de l'Église.
Mais à ce stade, il n'y a rien
de définitif, nous dit-on, et il y a une résistance considérable de la
part des membres de la Curie romaine, qui croient que la promulgation
par le pape François de l'une des deux constitutions apostoliques
enverrait l'Église dans des eaux inconnues, blessant davantage le Corps
mystique du Christ et être considéré (par les catholiques et les
non-catholiques) comme un acte cruel et diviseur.
Elle serait également
interprétée par les cardinaux, les évêques, les prêtres, les religieux
et les laïcs comme une répudiation totale de l'héritage du pape Benoît
XVI quelques mois après sa mort. »
Cette
date choisie juste après le dimanche des rameaux 2023 n'est pas une
coïncidence (en plus de célébrer l'application du Novus Ordo de Paul VI
de 1969).
Surtout par rapport à la mort et la résurrection des témoins de l'Apocalypse en référence à la Semaine Sainte.
Il y a un cri de triomphe à l'horizon pour l'ennemi.
Nous n'aurons pas beaucoup à attendre pour être nous-mêmes témoins de cette rumeur.
N'oublions
pas que la dernière partie de la prophétie concernant Benoît XVI avec
l'intervention de la Vierge Marie devant le tombeau du saint aux pieds
nus (voir analyses précédentes) n'a pas encore eu lieu.
Et c'est bien l'héritage de Benoît XVI qu'on essait d'enterrer en annulant SUMMORUM PONTIFICUM de 2007.
21 février
Point de vue de Mgr Vigano sur le fait que le FBI fiche les chrétiens catholiques traditionnels.
« Le FBI dresse le profil des catholiques traditionalistes. Vigano : Et beaucoup dorment...
Le totem de la liberté de
culte permet aux adorateurs de Satan d'ériger un monument
blasphématoire à Baphomet devant le Capitole de l'État de l'Arkansas à
Little Rock ou une statue de démon sur la façade du palais de justice
de New York pour célébrer un juge avorteur de la Cour suprême ; tandis
qu'au Nouveau- Mexique, le temple satanique inaugure une clinique qui
pratique des avortements rituels et bénéficie de la reconnaissance de
l'État. Pendant ce temps, les services secrets de l'administration
Biden n'ont rien de mieux à faire que de dresser le profil des
catholiques traditionnels et de surveiller les communautés dans
lesquelles la liturgie est célébrée en latin, comme si elles
représentaient une menace pour l'ordre établi et un danger potentiel
pour le institutions de l'État.
Cette nouvelle doit être lue,
à mon avis, comme une conséquence logique et nécessaire d'un autre
événement analogue et similaire : le culte idolâtre rendu par les chefs
de la hiérarchie catholique au démon de la Pachamama dans la Basilique
Saint-Pierre et dans d'autres églises catholiques. , et la persécution
simultanée des catholiques traditionnels par l'autorité ecclésiastique
avec le Motu Proprio Traditionis Custodes et avec ses nouvelles
restrictions, qui seraient imminentes.
Cette
opération de criminalisation de la dissidence de la part du pouvoir
temporel et spirituel n'est pas fortuite et devrait susciter une
condamnation très ferme et une opposition décisive, tant de la part des
citoyens et de leurs représentants dans les institutions civiles, que
des fidèles et surtout de leurs pasteurs ; une condamnation qui ne peut
se limiter à cet épisode récent, très grave en lui-même, mais qui doit
aussi s'étendre à l'inquiétante conspiration de parties déviées de
l'Etat collaborant avec des parties déviées de l'Eglise : d'une part l'
état profond et de l'autre l' église profonde, tous deux corrompus et
soumis à l'élite mondialiste, avec des objectifs subversifs dont les
bases idéologiques sont unies par la haine du Christ, de l'Église et de
la Sainte Messe.
Comme
je l'ai expliqué dans mon allocution La religion d'État ( ici ), il est
évident que la séparation de l'Église et de l'État et la prétendue
"laïcité" du gouvernement temporel en ce qui concerne les questions
religieuses constituent le prétexte trompeur et malveillant avec lequel
exclure Dieu de la société pour laisser entrer Satan.
La Révolution a subverti
l'ordre social en renversant ses principes et ses fins, mais elle a
maintenu et exploité à son profit cette alliance du Trône et de
l'Autel, c'est-à-dire du pouvoir temporel et du pouvoir spirituel, qui
caractérisait la société chrétienne, et en particulier les monarchies
catholiques. Ceux qui accusent l' ancien régime de la tyrannie n'ont
jamais eu l'intention d'abolir, par exemple, la censure des médias au
nom de la liberté d'opinion : ils ont simplement voulu se l'approprier
dans un but opposé, afin de censurer la vérité et propager l'erreur.
Ceux qui critiquaient le pouvoir temporel des Papes ne voulaient pas
empêcher l'ingérence de l'Église dans les affaires publiques, mais se
l'approprier – comme on le voit aujourd'hui – afin d'utiliser
l'autorité et le pouvoir de la Papauté pour démolir l'Église et
soutenir les exigences du Nouvel Ordre Mondial. Le « dogmatisme » qui
s'opposait à Pie IX ou Pie XII parce qu'il s'opposait à la pensée
moderne a évolué et s'est perverti dans le dogmatisme œcuménique et
synodal de Vatican II et de Bergoglio, démontrant que la question était
spécieuse, ne se concentrant pas sur les moyens mais à la fin.Ainsi,
aujourd'hui, nous ne sommes pas surpris par l'autoritarisme avec lequel
l'État impose des contrôles et des limitations aux libertés
fondamentales - qui jusqu'à hier étaient exécrées comme une expression
du totalitarisme nazi - ni par l'autoritarisme avec lequel la
Hiérarchie soutient l'idéologie mondialiste et collabore avec des
gouvernements inféodés. au Forum économique mondial et à l' Agenda 2030
.
Si nous continuons à croire
qu'il est possible d'adopter une attitude de prétendue « neutralité »
gouvernementale face à la question de la religion, nous condamnons
notre civilisation à l'extinction, car nous nions cette lutte entre le
Bien et le Mal qui fait partie de l'histoire de l'humanité et du destin
éternel des individus. Nul ne peut servir deux maîtres , nous enseigne
Notre-Seigneur dans l’Évangile (Mt 6,24) ; nous ne pouvons pas non plus
décider de ne servir ni l'un ni l'autre lorsque nous sommes confrontés
à un affrontement où notre neutralité est déjà en elle-même une aide à
l'Ennemi. Et ici, il faut se demander quelle responsabilité assument
les politiciens et les prélats qui restent inertes à veiller, se
bornant à déplorer les excès du Mal et non ses causes. Insister pour
sauver à tout prix la laïcité de l'État, alors qu'ils'est avéré être
une chimère illusoire utilisée pour le détruire depuis ses fondements,
ou s'acharner à défendre Vatican II alors que l'on constate son échec
retentissant et les dommages incalculables causés à l'Église, est un
pis-aller de ceux qui considèrent leur rôle de gouvernants et de
pasteurs comme exclusivement celui de se contenter de protéger les
institutions qu'ils représentent, refusant de saisir leurs graves
infidélités et excluant ainsi la possibilité d'en faire profiter les
citoyens et les fidèles. Un médecin est appelé à soigner le patient, à
ne pas se limiter à diagnostiquer la maladie ou même à la dissimuler
simplement parce qu'il ne veut pas admettre que les autorités
sanitaires sont corrompues, ou parce qu'il n'ose pas désobéir à des
ordres déraisonnables et faire face les conséquences.
Ce à quoi nous assistons à ce
stade crucial, c'est à la disparition des prétextes qui servaient
jusqu'ici à justifier les « acquis sociaux » - démocratie, liberté
d'opinion et de culte, respect des minorités, etc. - et en même temps à
la manifestation arrogante des véritables mobiles de l'élite criminelle
qui usurpe l'autorité dans l'État et dans l'Église : l'inconciliabilité
entre, d'une part, le modèle chrétien de société dans lequel
Notre-Seigneur Jésus-Christ règne dans les sphères civile et religieuse
pour nous conduire librement faire le Bien et ainsi nous faire
participer à la béatitude éternelle, et d'autre part le modèle de
société dystopique où la tyrannie de Satan impose le chaos et la
rébellion pour nous contraindre, en violant notre liberté, à faire le
mal et nous damner pour l'éternité.
Le profilage des catholiques
traditionnels par les services de renseignement n'apparaît injustifié
que si l'on suppose à tort que les dirigeants actuels poursuivent le
bien commun et la sécurité de la nation ; mais elle est amplement
justifiée lorsqu'elles ont pour but l'imposition d'un culte
mondialiste, intrinsèquement antichristique et inconciliable avec la
foi chrétienne. En même temps, la persécution des fidèles liés à la
liturgie tridentine par la hiérarchie catholique n'est inouïe et
impensable que si l'on s'obstine à présupposer chez les pasteurs le
zèle pour la gloire de Dieu et pour le salut des âmes. Si on les voit
pour ce qu'ils sont vraiment, à savoir des loups déguisés en brebis ou
des mercenaires, leur aversion pour la messe apostolique est plus que
compréhensible, et il serait d'ailleurs étonnant qu'ils ne le
manifestent avec tant de fureur. En un sens, nous constituons à leurs
yeux le « groupe témoin » des non-vaccinés aux côtés de la multitude de
ceux qui ont été inoculés avec le sérum génique.
C'est vrai : nous,
catholiques, sommes une menace pour ceux qui veulent un monde rebelle à
Dieu et une « Église synodale » soumise à l'esprit de ce monde. Les
Martyrs témoignent de l'héroïsme de la présence du prénom dans la
société, un héroïsme face aux tourments et à la mort infligés à ceux
qu'une autorité pervertie considère comme des ennemis parce qu'elle
connaît et craint leur exemple, et surtout la puissance explosive de
l'Évangile.
Si nous comprenons qu'il n'y a
pas de troisième voie - aucune sorte de synthèse qui combine la thèse
du Bien et l' antithèse du Mal - et que nous devons choisir de quel
côté nous battre - comme l'ont fait les méchants - nous aurons une
chance de résistance et victoire. Vous êtes le sel de la terre (Mt
5:13). Demander la tolérance dans un monde malade ne nous préserve pas
de la contagion, mais ne sert qu'à retarder notre annulation, nous
prive de saveur et nous destine à être piétinés par les hommes.
+ Carlo Maria Viganò, archevêque »
19 février
La nouvelle religion mondiale est pratiquement partout.
Seuls
les chrétiens traditionnels catholiques et quelques autres éclairés par
l'Esprit-Saint sont conscients de l'état actuel dans lequel nous nous
trouvons sur cette terre.
Car la vie est spirituelle. La vie est Esprit.
Et l'illusion est de nous faire croire que l'humain se sauvera lui-même grâce à ses facultés.
Lire ici, l'élite se sauvera, le reste sera sacrifié.
D'où la nécessité de la guerre pour justifier le nouvel ordre à venir,
D'où la nécessité d'un synode pour aplanir les obstacles vers la nouvelle religion mondiale du côté du Vatican.
Nous approchons de la fin. Nous sommes très proches de la mort des deux témoins.
Le 7ème sceau n'est pas très loin.
«
La société moderne est en train de formuler une foi antichristique, à
laquelle on ne peut s’opposer sans être puni par l’excommunication
sociale. Il est donc plus que naturel d’avoir peur de cette force
spirituelle de l’Antéchrist, et il faut vraiment l’aide de la prière
d’un diocèse entier, et de l’Église universelle pour y opposer de la
résistance.» (Benoît XVI)
« Voici
donc le «Mensonge des Mensonges»! Voici «l'Abomination des
Abominations»! Les faux chrétiens étant à la tête de la nouvelle église
mondiale; et prétendant être les seuls et uniques représentants de
Jésus-Christ d'un côté; de l'autre, les vrais et réels disciples de
Jésus-Christ sur la route du Calvaire considérés comme étant les
ennemies de l'État Mondial tel que cela était le cas, il y a deux
milles ans, en face des prêtres de Jérusalem, et en face de l'empereur
romain à Rome...
Le nouveau critère sera ainsi
défini : Les vrais chrétiens seront ceux qui partageront toutes les
croyances religieuses du Nouvel Ordre Mondial en tant que nécessité de
base pour la survie de l’humanité. » (Serge Monast, Le Complot des Nations-Unies contre la Chrétienté,1995; voir aussi 29 juillet 2021)
Dernière intervention de Mgr Vigano:
«
Dans une intéressante interview sur Fox News intitulée The Church of
Environmentalism ( ici ), le journaliste Tucker Carlson a mis en
lumière une contradiction qui a peut-être échappé à beaucoup de gens
mais que je considère extrêmement révélatrice.
Carlson rappelle que la
Constitution américaine interdit toute religion d’État, mais depuis
quelque temps le parti démocrate au pouvoir impose au peuple américain
le culte mondialiste, avec son agenda vert, ses dogmes éveillés, ses
condamnations et sa culture d’annulation, ses prêtres de la Santé
mondiale Organisation, les prophètes du Forum économique mondial. Une
religion à tous égards, englobant non seulement la vie des individus
qui la pratiquent, mais aussi la vie de la nation qui la confesse
publiquement, y adapte les lois et les peines et inspire l’éducation et
toute action gouvernementale autour d’elle .
Au
nom de la religion globaliste, ses adhérents exigent que tous les
citoyens se comportent conformément à la morale du Nouvel Ordre
Mondial, acceptant sans critique – et avec une attitude de soumission
dévote à l’autorité religieuse – la doctrine définie ex cathedra par le
Sanhédrin de Davos .
Les
citoyens ne sont pas simplement tenus de partager les motivations qui
justifient les politiques sanitaires, économiques ou sociales imposées
par les gouvernements, mais de donner leur assentiment aveugle et
irrationnel, qui va bien au-delà de la foi. Pour cette raison, il n’est
pas permis de contester la psychopandémie, de critiquer la gestion de
la campagne de vaccination, d’argumenter le non-fondé des alarmes
climatiques, d’opposer les preuves de la provocation de l’OTAN à la
Fédération de Russie avec la crise ukrainienne, de demander des
enquêtes sur l’ordinateur portable de Hunter Biden ou la fraude
électorale qui a empêché le président Trump de rester à la Maison
Blanche, ou refuse de rester là alors que les enfants sont corrompus
par des obscénités LGBTQ.
Après
trois ans de folies incompréhensibles pour un esprit rationnel mais
amplement justifiables dans une perspective de fidéisme aveugle, la
proposition formulée par une clinique américaine de demander aux
patients de renoncer à une partie de leur anesthésie afin de réduire
leur trace de gaz carbonique et « sauver planète » ( ici) ne doit donc
pas être lu comme un prétexte grotesque pour réduire les dépenses
hospitalières au détriment des patients, mais comme un acte religieux,
une pénitence à accepter de bon gré, un acte éthiquement méritoire. Le
caractère pénitentiel est indispensable dans cette opération de
conversion forcée des masses, car il contrebalance l’absurdité de
l’action par la récompense d’un bien promis : portant le masque (qui ne
sert à rien) le citoyen/religieux adhérent a fait son propre geste de
soumission, s’est « offert » à la divinité (l’État ? la communauté ?).
Une soumission confirmée avec l’acte tout aussi public de vaccination,
qui représentait une sorte de « baptême » dans la foi mondialiste,
l’initiation au culte.
Les
grands prêtres de cette religion en sont même arrivés à théoriser le
sacrifice humain par le biais de l’avortement et de l’euthanasie : un
sacrifice exigé par le bien commun, pour ne pas surpeupler la planète,
peser sur la santé publique ou sur la sécurité sociale. Même les
mutilations subies par ceux qui professent la doctrine du genre et la
privation des facultés reproductives induite par l’homosexualité ne
sont rien d’autre que des formes de sacrifice et d’immolation de soi :
de son corps, de sa santé, y compris de sa vie (recevoir, par exemple,
un thérapie génique expérimentale manifestement dangereuse et souvent
mortelle).
L’adhésion
au mondialisme n’est pas facultative : c’est la religion d’État, et
l’État « tolère » les non-pratiquants dans la mesure où leur présence
n’empêche pas la société d’exercer ce culte. En effet, dans sa
présomption d’être légitimé par des principes « éthiques » pour imposer
aux citoyens ce qui représente un « bien » supérieur incontestable,
l’État oblige aussi les dissidents à accomplir les actes élémentaires
de la « morale mondialiste », les punissant s’ils ne se conforment pas
aux ses préceptes.
Manger
des insectes et non de la viande, s’injecter des drogues au lieu de
mener une vie saine ; utiliser l’électricité au lieu de l’essence;
renoncer à la propriété privée et à la liberté de mouvement ; contrôles
et limitations durables des droits fondamentaux ; accepter les pires
déviations morales et sexuelles au nom de la liberté ; renoncer à la
famille pour vivre isolé, sans rien hériter du passé et sans rien
transmettre à la postérité ; effacer son identité au nom du
politiquement correct ; renier la foi chrétienne pour embrasser des
superstitions; conditionner son travail et sa subsistance au respect de
règles absurdes – autant d’éléments destinés à faire partie de la vie
quotidienne de l’individu, une vie basée sur un modèle idéologique
dont, à bien y regarder, personne ne veut et que personne n’a demandé,
et qui ne justifie son existence qu’avec le croque-mitaine d’une
apocalypse écologique non prouvée et indémontrable.
Cela
viole non seulement la liberté de religion tant vantée sur laquelle
cette société est fondée, mais veut nous conduire pas à pas,
inexorablement, jusqu’à rendre ce culte exclusif, le seul autorisé.
L’«
église de l’environnementalisme » se définit comme inclusive mais ne
tolère pas la dissidence, et elle n’accepte pas de s’engager
dialectiquement avec ceux qui remettent en question ses diktats. Ceux
qui n’acceptent pas l’anti-Évangile de Davos sont ipso facto hérétiques
et doivent donc être punis, excommuniés, séparés du corps social et
considérés comme des ennemis publics ; il faut les rééduquer par la
force, à la fois par un martèlement incessant des médias mais aussi par
l’imposition d’une stigmatisation sociale et de formes de consentement
véritablement extorsionnaires, à commencer par le consentement «
éclairé » de se soumettre contre leur gré à l’obligation de vaccination
et se poursuivant dans la folie de la soi-disant « cité des 15 minutes
», qui est d’ailleurs anticipée en détail dans les points
programmatiques de l’Agenda 2030 (qui sont finalement des canons
dogmatiques contraires).
Le
problème avec ce phénomène inquiétant de superstition de masse, c’est
que cette religion d’État ne s’est pas imposée de facto uniquement aux
États-Unis d’Amérique, mais qu’elle s’est également propagée à toutes
les nations du monde occidental, dont les dirigeants se sont convertis
au mondialisme ». Parole » par le grand apôtre de la Grande
Réinitialisation, Klaus Schwab, son « pape » autoproclamé qui est donc
investi d’une autorité infaillible et incontestable. Et comme dans l’
Annuario Pontificion peut lire la liste des cardinaux, évêques et
prélats de la curie romaine et des diocèses répartis dans le monde,
ainsi sur le site du Forum économique mondial on trouve la liste des
«prélats» du mondialisme, de Justin Trudeau à Emmanuel Macron, en
découvrant que non seulement les présidents et premiers ministres de
nombreux États appartiennent à cette « église », mais aussi de nombreux
responsables, chefs d’organismes internationaux et de grandes
entreprises multinationales, et membres des médias. A ceux-ci, il faut
aussi ajouter les « prédicateurs » et les « missionnaires » qui œuvrent
pour la diffusion de la foi mondialiste : acteurs, chanteurs,
influenceurs, sportifs, intellectuels, médecins, enseignants. Un réseau
très puissant, très organisé, répandu non seulement au sommet des
institutions, mais aussi dans les universités et les tribunaux, dans
les entreprises et les hôpitaux.
Il
est déconcertant – vous devez l’admettre – que dans le nombre de
convertis à la religion universelle on puisse aussi compter des
représentants des religions du monde, et parmi eux même Jorge Mario
Bergoglio – que les catholiques considèrent aussi comme le chef de
l’Église de Rome – avec toutes les lâchetés des ecclésiastiques qui lui
sont fidèles. L’apostasie de la hiérarchie catholique a atteint le
point d’adorer l’idole de la Pachamama, la « Terre mère »,
personnification démoniaque du mondialisme « amazonien » œcuménique,
inclusif et durable. Mais n’est-ce pas Jean Podesta lui-même qui a
prôné l’avènement d’un « printemps de l’Église » qui remplacerait sa
doctrine par une vague sentimentalité écologiste, trouvant la prompte
réalisation de ses espoirs dans l’action coordonnée qui a conduit à la
démission de Benoît XVI et de la élection de Bergoglio?
Ce
à quoi nous assistons n'est rien d'autre que l'application inverse du
processus qui a conduit à la diffusion du christianisme dans l'Empire
romain puis dans le monde, une sorte de revanche de la barbarie et du
paganisme sur la Foi du Christ. Ce que Julien l'Apostat a tenté de
faire au IVe siècle, c'est-à-dire restaurer le culte des dieux païens,
est aujourd'hui poursuivi avec zèle par de nouveaux apostats, tous unis
par une « fureur sacrée » qui les rend aussi dangereux que convaincus
de l'être, capables de réussir dans leurs intentions grâce aux moyens
infinis dont ils disposent.
En
réalité, cette religion n’est rien d’autre qu’une incarnation moderne
du culte de Lucifer : la récente performance satanique aux Grammy
Awards parrainée par Pfizer n’est que la dernière confirmation d’une
adhésion à un monde infernal jusqu’alors passé sous silence parce qu’il
était encore considéré comme inavouable. Ce n’est pas un mystère que
les idéologues de la pensée mondialiste soient tous indistinctement
anti-chrétiens et anticléricaux, significativement hostiles à la morale
chrétienne, ostensiblement opposés à la civilisation et à la culture
que l’Évangile a façonnées en deux mille ans d’histoire. Non seulement
cela: la haine inextinguible envers la vie et envers tout ce qui est
l’œuvre du Créateur – de l’homme à la nature – révèle la tentative
(presque réussie, bien que délirante) de trafiquer l’ordre de la
Création, de modifier les plantes et les animaux, changer l’ADN humain
même par des interventions de bio-ingénierie, priver l’homme de son
individualité et de son libre arbitre, le rendant contrôlable et même
maniable par le transhumanisme. Au fond de tout cela, il y a la haine
de Dieu et l’envie du sort surnaturel qu’Il a réservé aux hommes en les
rachetant du péché par le Sacrifice de la Croix de Son Fils.
Cette
haine satanique s’exprime dans la volonté de rendre impossible aux
chrétiens de pratiquer leur religion, de voir ses principes respectés,
de pouvoir apporter leur contribution à la société et, en définitive,
dans la volonté de les inciter à faire le mal, ou à moins pour
s’assurer qu’ils ne peuvent pas faire le bien, encore moins le répandre
; et s’ils le font, de déformer leurs motivations originelles (amour de
Dieu et du prochain) en les pervertissant à de pitoyables fins
philanthropiques ou écologistes.
Tous
les préceptes de la religion mondialiste sont une contrefaçon des Dix
Commandements, leur inversion grotesque, un renversement obscène. En
pratique, ils utilisent les mêmes moyens que l’Église a utilisés pour
l’évangélisation, mais dans le but de damner les âmes et de les
soumettre non pas à la Loi de Dieu, mais à la tyrannie du diable, sous
le contrôle inquisiteur de l’anti-église de Satan. Dans cette
perspective, les services secrets américains font également état de
groupes de fidèles catholiques traditionnels, confirmant que l’inimitié
entre la semence de la Femme et celle du serpent (Gn 3,15) est une
réalité théologique à laquelle croient les ennemis de Dieu. surtout, et
que l’un des signes de la fin des temps est précisément l’abolition du
Saint Sacrifice et la présence de l’abomination de la désolation dans
le temple (Dn 9, 27).
Église
profonde et état profond, révélant la matrice essentiellement
luciférienne des deux : parce que tous deux savent très bien quelles
sont les grâces infinies qui se déversent sur l’Église et sur le monde
à travers cette messe, et ils veulent empêcher que ces grâces soient
données afin que ils n’entravent pas leurs plans. Ils nous le montrent
eux-mêmes : notre combat n’est pas seulement contre des créatures de
chair et de sang (Eph 6, 12).
L’observation
de Tucker Carlson met en lumière la tromperie dont nous font
quotidiennement l’objet nos gouvernants : l’imposition théorique de la
laïcité de l’État a servi à éliminer la présence du vrai Dieu des
institutions, tandis que l’imposition pratique de la religion
mondialiste sert à introduire Satan dans les institutions, dans le but
d’établir ce nouvel ordre mondial dystopique dans lequel l’Antéchrist
prétendra être vénéré comme un dieu, dans son délire fou pour remplacer
Notre-Seigneur.
Les
avertissements du livre de l’Apocalypse prennent de plus en plus de
concrétisation, plus le plan procède pour soumettre tous les hommes à
un contrôle qui empêche toute possibilité de désobéissance et de
résistance : ce n’est que maintenant que nous comprenons ce que
signifie ne pas pouvoir acheter ou vendre sans le laissez-passer vert,
qui n’est rien sinon la version technologique de la marque au chiffre
de la Bête (Ap 13:17).
Mais
si tout le monde n’est pas encore prêt à reconnaître l’erreur d’avoir
abandonné le Christ au nom d’une liberté corrompue et trompeuse qui a
caché des intentions indicibles, je crois qu’aujourd’hui beaucoup sont
prêts – psychologiquement, avant même rationnellement – à prendre acte
du coup d’état avec lequel un lobby de fanatiques dangereux parvient à
prendre le pouvoir aux États-Unis et dans le monde, décidé à tout
faire, même les plus téméraires, pour le maintenir.
Par
un détour de la Providence, la laïcité de l’État – qui en soi offense
Dieu parce qu’elle lui dénie le culte public dont il est souverain –
pourrait être l’argument pour mettre un terme au projet subversif de la
Grande Réinitialisation. Si les Américains – et avec eux les peuples du
monde entier – peuvent se révolter contre cette conversion forcée,
exigeant que les représentants des citoyens aux postes de gouvernement
rendent des comptes aux détenteurs de la souveraineté nationale et non
aux dirigeants du Sanhédrin mondialiste, il sera peut-être possible
d’arrêter cette course vers l’abîme. Mais pour cela, il faut avoir
conscience que ce ne sera qu’une première étape dans le processus de
libération de ce lobby infernal.
Depuis
trop longtemps citoyens et fidèles subissent passivement les décisions
de leurs responsables politiques et religieux face à l’évidence de leur
trahison. Le respect de l’autorité se fonde sur la reconnaissance d’un
fait « théologique », c’est-à-dire de la Seigneurie de Jésus-Christ sur
les individus, les nations et l’Église. Si les autorités de l’État et
de l’Église agissent contre les citoyens et les fidèles, leur pouvoir
est usurpé et leur autorité nulle et non avenue. N’oublions pas que les
gouvernants ne sont pas les propriétaires de l’État et les maîtres des
citoyens, de même que le Pape et les évêques ne sont pas les
propriétaires de l’Église et les maîtres des fidèles. S’ils ne veulent
pas être comme des pères pour nous; s’ils ne veulent pas notre bien et
font tout pour nous corrompre de corps et d’esprit,
+ Carlo Maria Viganò, archevêque »
14 février
LE GERME DE LA RÉSURRECTION
Le
germe de la résurrection de l’Église réside dans la tradition et Rome
via Bergoglio fait tout pour « tuer » ce germe, dont une manœuvre
majeure prévue le 3 avril sur la messe et les sacrements dans le rite
traditionnel semble-t-il, soit au tout début de la semaine sainte 2023.
C’est la même date choisit par Paul VI pour imposer la nouvelle messe de 1969.
Pourquoi en est-il ainsi?
On
s’en doute. Évidement parce que Satan agit via Bergoglio à la tête de
l’église, mais un sondage américain vient de démontrer que ceux qui ne
jurent que par la messe traditionnelle sont les mêmes qui sont contre
le contre nature, l’inversion des valeurs de la nouvelle société
humaniste.
Donc, la tradition risque de faire échouer leurs plans et on doit les coincer dans le coin.
Rappelons qu’en 2001 Bush avait fait inscrire sur la liste des terroristes possibles les chrétiens.
Rappelons
aussi ce rapport des Nations Unies de 2020: « Les religions doivent se
soumettre à l’ONU en matière de droits des femmes, droits LGBT… selon
un rapport sur les droits de l’homme. » (leblogdejeannesmits.blogspot.com).
On sait aussi que Bergoglio
marche main dans la main avec Bartholomé I (le patriarche vert
orthodoxe), côté œcuménisme, humanisme et réchauffement climatique.
D’ailleurs,
c’était la première fois depuis le schisme de 1054 qu’un patriarche
orthodoxe assistait à la messe d’intronisation d’un pape, en 2013.
Bartholomé I a reconnu la
séparation de l’église orthodoxe ukrainienne de l’église de Russie au
début du conflite, et depuis ce temps sa tête est mise à prix.
Question :
Et si l’église orthodoxe russe représente elle aussi un germe de
renaissance puisque la tête de l’église orthodoxe est tout aussi
prostituée que la Rome conciliaire?
Les
deux seules religions qui se défendent présentement contre les valeurs
inversées sont biens la tradition catholique et l’église orthodoxe
russe.
L’occident dépravé essaie bel et bien de « tuer » ce qui reste des deux noyaux de la chrétienté.
Rappelons
aussi les paroles du père Malachi Martin sur le 3ème secret de Fatima
(malgré le fait que nous n’avons pas encore vu le signe du ciel qui
devait avoir lieu une vingtaine d’années après l’interview (1997)):
« Le châtiment qui va venir sera le pire de vos cauchemars, à la puissance ‘exponentielle’ »
«
L’Apostasie dans l’Église constitue la toile de fond ou le contexte du
3ème Secret. L’Apostasie [châtiment spirituel] a déjà commencé ! Mais
les châtiments prédits dans le Secret sont bien réels, ce sont aussi
des châtiments physiques et ils sont terribles ! »
«Vous
savez, si le Vatican révélait le 3ème Secret ce serait un tel choc chez
les gens, que les églises seraient immédiatement remplies de fidèles à
genoux, les confessionnaux de toutes les églises, cathédrales et
basiliques seraient pleins à craquer, même le samedi soir ! »
Quel est le rôle de la Russie dans le Secret de Fatima ?
«
Très important ! Si on croit aux révélations de Notre Dame de Fatima,
le salut du monde, la guérison de TOUS ses maux, commencera en Ukraine
et en Russie.
C’est
pour cela que la Vierge avait tant parlé de la Russie, qui, la
première, devait être guérie de ses erreurs, car elle permettra ensuite
au reste du monde d’aller mieux et de guérir de ses péchés.
C’est un Message très mystérieux puisqu’on aurait pu croire que selon nous, Occidentaux, le salut du monde viendrait de l’OUEST.
Mais
non ! Selon Fatima, notre salut viendra de l’Est, et en particulier de
la Russie et de l’Ukraine, ce qui est extraordinaire en soi. »
Le 3è secret de Fatima, pas besoin de le dévoiler, il fut donné dès le début. Rien n’a été caché en réalité.
Mais il fallait du recul pour le comprendre et le savoir.
Ce qu’on a aujourd’hui.
Qu’a dit soeur Lucie ?
Que le secret devait être dévoilé en 1960 « parce que ce sera plus clair ».
En 1960 le pape Jean XXIII ne
le dévoile pas parce qu’il va l’accomplir lui-même en personne sous nos
yeux par le concile Vatican II.
Ce concile est l’arme priviligiée pour détruire l’Église.
C’est ce que démontrent entres autres les prophéties d’Anne Catherine Emmerich (voir analyses précédentes).
Le résultat est la grande apostasie via la soumission de l’Église à la synagogue de Satan et au monde des valeurs inversées.
Jamais,
jamais un pape n’a versé autant dans l’ambiguïté et la séduction pour
faire pencher la balance vers les valeurs de la nouvelle société (tant
condamnée par nombre de papes auparavant sous le nom de « modernisme»).
Un pape qui ne connaît pas la doctrine de l’Église en plus.
Du jamais vu.
Ainsi
le 3è secret de Fatima se révèle tout seul à partir de 1960, parce
qu’on le vit à partir de ce moment-là. Mais il faudra attendre les
trente ou quarante années nécessaires pour voir clair, pour
s’apercevoir ou du moins d’être capables de faire des liens.
La
Russie joue un rôle central dans les apparitions de Fatima où il est
mentionné qu’elle répandra ses erreurs, le communisme socialiste, mais
qu’elle se convertira finalement à la fin.
Ce qui est très d’actualité d’ailleurs.
Dieu a été inscrit dans la constitution russe et des lois anti-inversion des valeurs ont été votées.
On construit des églises contrairement à l’occident où on désacralise et laïcise tout.
Donc,
nous assistons à une guerre religieuse et effectivement, il semble y
avoir deux germes qui permettraient de ressusciter l’Église originelle,
deux germes comme les deux témoins de l’Apocalypse?
Peut-être,
quoique la référence est plus du côté des chrétiens et le clergé
fidèles à la Loi et aux Prophètes car les deux témoins prophétisent
durant tout le règne de la bête, pas seulement à la fin du règne de
celle-ci.
13 février
« Homélie de Monseigneur Carlo Maria Viganò du soixantième dimanche
Alors Yahweh vit que la méchanceté de l'homme sur la terre était grande,
et que toutes les pensées de ton coeur
étaient dirigés uniquement contre le mal, chaque jour
Gén. 6, 5
Le soixantième dimanche, nous
approchons du temps de la pénitence et du jeûne en préparation de
Pâques. Depuis une semaine l'Alleluia n'a pas été entendu dans la
liturgie, remplacé dans la messe par le Tract. Et en ce dimanche
presque pénitentiel, avec les lectures des matines, nous sommes
accompagnés d'une méditation sur le péché qui a poussé Dieu à
exterminer l'humanité rebelle avec le Déluge, ne sauvant que la famille
de Noé.
Les Saintes Écritures parlent
de la méchanceté des hommes : « toutes les pensées de son cœur étaient
dirigés uniquement contre le mal, tous les jours. »
Il est difficile de croire que
l'humanité ait pu commettre en d'autres temps ce que nous la voyons
commettre aujourd'hui : dans aucune culture antique l'abîme du mal n'a
été aussi profond qu'on le voit s'ouvrir dans le monde contemporain :
massacres, violences, guerres, perversions, vols, meurtres,
profanations et sacrilèges, commis non seulement par des personnes
isolées, mais imposés par la loi par les dirigeants des nations, promus
dans les médias, encouragés par les enseignants et les magistrats, et
tolérés et même approuvés par les prêtres. On se demande si l'homme
d'aujourd'hui méritera des châtiments plus terribles que le Déluge, vu
le mal qui inspire toutes ses actions contre Dieu, contre ses
semblables et contre la Création. Et en contemplant le triomphe
apparent dumysterium iniquitatis, voyant à quel point le mal est
répandu et profondément enraciné dans ce monde corrompu et apostat, on
se demande combien de temps la Divine Majesté tolérera les abominations
des hommes. Nous avons du mal à croire la promesse du Seigneur : "Je ne
maudirai plus jamais la terre à cause de l'homme, car les désirs du
cœur humain ont été mauvais depuis son enfance, et je n'exterminerai
plus jamais tous les êtres vivants, comme je l'ai fait" (Genèse 8, 21).
Ce qui nous étonne, ce n'est
pas tant le silence avec lequel nous avons été laissés à notre propre
sort et à nos tribulations, que le fait que l'impunité pour les crimes
et péchés actuels peut constituer une peine encore plus terrible et
plus grave que celle qui pourrait être infligée sur nous par le Père
Éternel. La modernité païenne plongée dans la barbarie prépare de ses
propres mains un fléau bien plus calamiteux que l'antique Déluge, une
destruction bien plus large de l'espèce humaine, avec laquelle elle
croit pouvoir éliminer de la Terre, non pas les méchants mais les bons
: ceux qui restent fidèles au Seigneur et à sa sainte Loi.
Et tandis que des nuages
noirs et menaçants s'accumulent, gros de la pluie qui les noiera, nos
contemporains se moquent de ceux qui préparent leur arche spirituelle
pour se mettre en sécurité avec leurs les proches,
La Sainte Écriture et les
Pères nous enseignent que l'Arche est une figure de la Sainte Église,
grâce à laquelle les élus peuvent être sauvés du naufrage général. Hæc
est arca – chantons-nous dans la Préface de la Dédicace –
quæ nos a mundi ereptos diluvio, in portum salutis inducit . Et où
pouvons-nous trouver l'Arche du salut ? Comment le distinguer des faux
destinés à couler sous le poids de ceux qui s'y installent, dans une
imitation faite pour mettre les méchants à l'abri tandis que le pilote
empêche les gentils d'embarquer et expulse même ses enfants, les
stigmatisant de passagers clandestins indigne de se sauver du déluge ?
Cette idée affligeante n'est
pas si farfelue si l'on tient compte de qui occupe actuellement la
Chaire de Saint-Pierre. De ce qu'on voit, l'Arche de l'Église veut
accueillir tout le monde sauf ceux qui remplissent les conditions pour
se sauver de la catastrophe. De plus, il semblerait que cela ne sert à
rien, qu'il n'y aura pas de déluge auquel on puisse échapper. Pire
encore : le gigantesque déluge provoqué, non par la juste colère de
Dieu mais par le flot d'iniquité des hommes, est considéré comme une
régénération, une opportunité de réduire la population mondiale sur la
base des plans délirants du Grand Reset. Comme sur le Titanic,
l'équipage et les passagers dansent ivres et insouciants alors que le
navire avance à toute vapeur vers l'iceberg qui va le chavirer, tel un
monument arrogant à l'orgueil qui se croit à l'abri de la justice
divine.
Mais si d'une part ces
considérations humaines peuvent nous gêner et nous faire craindre pour
notre survie, d'autre part nous pouvons reconnaître la véritable Arche
de salut, car nous la voyons prête à monter au Mont Calvaire où elle a
été construite, et au calvaire mystique de l'autel où nous attendons
chaque jour.
Peu importe si un autre nous
est montré –même s'il est fait par des personnes en qui nous avons
confiance et qui ne doivent pas nous tromper–, ou s'il y a ceux qui le
considèrent inutile et pour cette raison se moquent de nous ou nous
prennent pour des fous. Peu importe qu'il y ait ceux qui nient le
déluge imminent, en étant eux-mêmes les architectes impies, dans leur
sotte prétention de vouloir contrôler les phénomènes atmosphériques par
la géo-ingénierie.
Nous savons que la véritable
Arche, la seule Arche, est la Sainte Église. Et d'après les paroles de
Notre-Seigneur, divin Pilote qui tient bien le gouvernail, nous savons
que cette Arche sortira indemne du déluge et trouvera enfin la terre
ferme où s'installer. Pour cette raison, nous sommes plus que
déterminés à ne pas être trompés en croyant que nous pouvons nous
sauver en dehors de l'Arche susmentionnée ou en en construisant une
nous-mêmes.
Dans l'Épître de la Messe
d'aujourd'hui, Saint Paul énumère toutes les épreuves que la semence de
la Parole de Dieu devra affronter, en s'appuyant sur l'exemple de la
Parabole du Semeur que l'Évangile nous présente : « Il m'a dit : ' Ma
grâce suffit, car dans la faiblesse la force se perfectionne » » (2
Cor.12,9). Reconnaître notre faiblesse, être conscient de notre
impuissance, que nous ne sommes rien, nous aide à percevoir la
puissance de Dieu, d'autant plus intensément que notre humilité et
notre confiance en Lui sont grandes . Ma grâce te suffit. Parce
que c'est la Grâce qui nous rend dignes de nous réfugier dans l'Arche ;
celui qui nous permet d'y rester pendant le déluge ; et par grâce nous
atteindrons le port céleste.
Ne perdons donc pas la Grâce
de Dieu. Escaladons la montagne mystique au sommet de laquelle l'Arche
nous attend. Arche dans laquelle nous trouverons aussi la nourriture de
l'âme : le Pain des anges.
Ainsi soit-il.
12 février 2023
dimanche dans la soixantième »
4 février
Bergoglio a le champ libre.
Ainsi de plus en plus de croyants devront admettre que finalement l'Antéchrist est sur le trône.
Même les prêtres, qui pourtant étudient les écritures depuis longtemps refusent de le dire ouvertement.
Un exemple parmi tant d'autres:
«Lettre ouverte au Pape François
Elle est signée (avec nom,
prénom, qualité et même numéro de téléphone et adresse mail pour
joindre l’auteur) d’un » prêtre de montagne » comme il se qualifie
lui-même. Bref, un curé de terrain, mal vu par sa hiérarchie – il
explique pourquoi.
… 3) Si je le fais, c’est
parce que j’ai observé dans ton magistère, tant oral qu’écrit, quelque
chose d’anormal, presque schizophrénique, comme si tu avais une double
personnalité ou, en tout cas, des troubles de la personnalité non
résolus, qui sont déplaisants chez tout le monde, mais d’autant plus
chez quelqu’un qui exerce, légitimement ou illégitimement, un office
public, encore plus s’il s’agit d’un office pastoral ou de direction
spirituelle.
Il y a des moments où tu
parles très bien, avec une grande sensibilité humaine, de la douceur,
une connaissance des problèmes, même avec des traits de poésie ; et il
y a d’autres moments où tu parles de façon étrange, ambiguë,
paradoxale. Oh, que tu es de peu de valeur en tant qu’enseignant de la
Foi, c’est évident ! Parfois, tu ne sembles même pas avoir la Foi, et
il semble que tu ne t’intéresses qu’à l’horizon terrestre, de sorte que
– en te déguisant presque derrière le rôle que tu exerces – tu fais des
citations du Christ, des saints, de l’Écriture Sainte, mais tu sembles
te sentir étranger à tout cela ; il semble que, ce faisant, tu suives
un modèle culturel auquel tu es lié, et non une conviction profonde.
Tout cela est très déplaisant. Ta superficialité, ton apathie
théologique, ton horizon culturel obstinément fixé sur certaines
vérités, intouchables pour toi, nous mettent mal à l’aise. Il est
désagréable de faire la comparaison, cela peut t’offenser, j’imagine ;
mais comment ne pas voir le fossé qui te sépare, en tant que maître de
Foi et de vie chrétienne, d’un Benoît XVI, d’un Jean-Paul II ? Sur
certains points, ensuite, tu t’es certainement égaré ; en voici
quelques-uns.
4) Ta vision de la fraternité
universelle n’est pas la vision chrétienne, mais la vision maçonnique :
tu devrais savoir bien mieux que moi que nous, chrétiens, nous nous
appelons frères dans la mesure où nous sommes baptisés, et non dans la
mesure où nous sommes membres de la soi-disant famille humaine ;
l’Église nous a toujours enseigné, et tu devrais le faire aussi (et au
contraire tu ne le fais pas), que nous sommes frères par grâce et non
par nature. Serais-tu franc-maçon ? Serais-tu un sympathisant de la
franc-maçonnerie ? Aurais-tu renié la véritable doctrine selon laquelle
ceux qui adhèrent à la franc-maçonnerie commettent un grave péché ? Et,
si ce n’est pas le cas, pourquoi répètes-tu constamment des pensées
franc-maçonnes en les faisant passer pour des pensées chrétiennes ?
5) Ta vision œcuménique est
erronée. A juste titre, de nombreux croyants scandalisés se demandent
pourquoi tu continues à fréquenter des membres d’autres religions, avec
un prurit et des déclarations qui les laissent pantois. Tu n’aurais pas
dû affirmer, comme tu l’as fait, que toutes les religions sont une
bénédiction de Dieu, tu n’aurais pas dû et tu ne dois pas te mettre
côte à côte avec les membres d’autres religions ! Tu devrais et tu
aurais dû réitérer, si tu es Pape, que « extra Ecclesiam nulla salus »,
mais tu ne l’as pas fait et tu t’obstines à ne pas vouloir le faire. Au
contraire : alors que tu prônes le prétendu dialogue à tout prix, avec
une attitude sévère et répréhensible, tu interdis aux fidèles qui
aiment la liturgie tridentine de continuer à la célébrer : mais comment
oses-tu être maître de la vie spirituelle des autres ? Donc : respect
maximal, selon toi, pour les athées, les agnostiques, les bouddhistes,
les mondialistes, les francs-maçons, les luthériens, les islamistes, et
poing dur avec les catholiques traditionalistes ? Mais ne te rends-tu
pas compte que tu as donné des signes ou, du moins, induit de forts
doutes sur ton équilibre personnel, avant même ton équilibre sacerdotal
?
6) Enfin (mais je pourrais en
dire beaucoup plus), y compris pendant les trois années de la pandémie
fantôme, ton attitude a été un scandale suprême : de la soumission
totale aux indications des représentants des grandes entreprises
pharmaceutiques et des gouvernements collaborateurs du Nouvel Ordre
Mondial, un ordre résolument maçonnique, élitiste, favorable au
transhumanisme et d’inspiration satanique déclarée. Comment as-tu pu
sombrer dans l’abîme en déclarant les prétendus vaccins moralement
licites, voire moralement obligatoires ? Frère, tu as fait le grand
écart, tu as enseigné le mal et induit le mal ! Pour ce seul péché
contre l’humanité, pour lequel tu n’as jamais demandé pardon, tu
devrais te retirer.
C’est la condition générale de
l’Église qui me pousse à te parler ainsi. Elle souffre. L’Église : nous
avons appris à l’aimer dès notre plus jeune âge et à la sentir, la
respecter et l’honorer comme notre mère spirituelle ; et de notre
propre mère terrestre, elle nous a été indiquée comme le trésor le plus
précieux que nous aurions dans la vie, comme Tabernacle ouvert et
unique et ne faisant qu’un avec le tabernacle fermé des églises ; comme
le Christ sanglant, mort et ressuscité vivant dans le temps, son Corps
mystique, la vie des âmes. Oh, l’Église, pour l’amour de laquelle nous
avons désiré tout bien et au service de laquelle nous nous sommes mis !
Oh, l’Église, épiphanie dans le temps de la Jérusalem éternelle et
nouvelle vers laquelle nos pas se hâtent joyeusement ! Pourtant,
l’Église souffre. Te souviens-tu du jour où tu as dit oui à Dieu dans
la prêtrise ? Et le jour où tu as répété et porté à la plénitude
sacramentelle ce Oui à l’épiscopat ? Renouvelle donc ces Oui, soit en
pleurant amèrement, comme Pierre, sur tes trahisons et en changeant de
vie, soit en te retirant dans la vie privée et en convoquant un nouveau
conclave.
Le présent et l’avenir de
chacun de nous sont entre les mains de Dieu, qui est, comme le disait
le saint Père Léopold Mandić, « médecin et médicament »; nous nous
confions donc à Lui, dans un esprit filial, confiant, d’abandon total.
Je ne te demande pas de
m’écouter, mais d’écouter ce que, dans ta conscience, ces paroles
fraternelles, franches et sacerdotales de ma part peuvent te suggérer,
si tu les lis.
Cordialement.
don Floriano Pellegrini
puntifermi.altervista.org » (benoit-et-moi.fr)
C'est exactement le résumé de toutes les analyses concernant Bergoglio depuis son élection.
Le maître de l'ambiguïté à l'oeuvre pour entraîner le plus de fidèles possibles dans l'abime.
Heureusement qu'il ne reste plus beaucoup de temps.
Janvier 2023
23 janvier
La terre frisera le massacre (prophétie politique «Grand Éclair à l’Orient»)
C’est désolant, mais nous nous rapprochons de plus en plus de ce fait.
Tout comme la guerre d’Armageddon prophétisée dans l’Apocalypse.
Remarquez que le fond de cette 3ème guerre mondiale (car c’est bien de cela qu’il s’agît en Ukraine) est religieuse.
Du moins c’est ce que laisse entendre les autorités russes.
Et l’Occident, l’Europe, renie sa fondation chrétienne dans tout cela.
Avec la venue de chars d’assauts lourds fournis par les membres de l’OTAN, le scénario catastrophique prend de l’ampleur.
Tout est fait pour alimenter le feu.
C’est bien ce qui est décrit dans la prophétie de Jean XXIII : « L'Europe a soif, elle aura du sang dans les rues. »
Le tableau actuel au niveau géopolitique est criant de vérité.
L’axe occidental contre l’axe Russie-Chine-Iran et quelques autres dont la Corée du Nord.
Or, les russes livreront des avions de chasses performants à l’Iran dans moins de deux mois.
Le nouveau gouvernement israélien de coalition dominé par l’extrême droite n’entend pas rire.
L’Iran fournit de plus des drones et des missiles à la Russie.
Pendant que toute l’attention est tournée vers l’Ukraine, qui sait ce qui arrivera en Iran?
C’est bien là l’avertissement : « Grand éclair à l'Orient. Vous n'entendrez pas le tonnerre, lui aussi sera imprévu. »
C’est bien l’ouverture du 7ème sceau de l’Apocalypse, la prophétie de l’Église #11 de Jean XXIII : « Alors quelqu'un criera sang et sera écouté. Malheur à celui qui aura crié, le premier sang à couler sera le sien. S'affronteront
croissant de lune, étoile et croix. Quelqu'un brandira la croix noire.
Des vallées du Prince viendront les chevaliers aveugles. Derrière eux, les corbeaux de la faim, de la famine, de la peste. »
C’est bien une guerre religieuse où s’affronteront l’Islam, Israël et la chrétienté.
2023 est l’année du passage, de la Pâques de la fin des temps.
De
l'aboutissement probable de la fille de Caïn en octobre (voir analyses
précédentes et surtout l'analyse des prophéties politiques « Grand
Éclair à l'Orient » et « le Temps est Proche »).
Pas sûr que nous verrons la fin du synode des synodes de Bergoglio, car le temps presse.
L’Église agonise.
Mais le tout se terminera dans le retour de Notre Sainte Mère et de son Divin Fils.
C’est ainsi que se termine la prophétie « Grand Éclair à l’Orient » :
« Mais
aussi de grandes processions et la Vierge Heureuse descendra sur terre.
Vous ne la verrez pas dans la grotte, mais dans un coeur qui revivra.
Depuis les ténèbres, elle apportera la parole que tous comprendront. C'est le temps des lettres. »
C'est le temps de l’Alpha et l’Oméga.
Le début et la fin d’un cycle.
La fin d’une génération annoncée par NSJC en Matthieu 24.
C’est ainsi que se termine la prophétie #11 « le 7ème sceau » :
« Où croyez-vous fuir, maintenant que vous avez détruit les Églises et tué le dernier Père ? Attendez
le signe de Jean. L'agneau est prêt. Signez-vous sept fois avec une
main fatiguée et attendez. La lumière vient encore de l'Occident. »
Et oui.
Malgré le reniement de son passé chrétien, l’Occident possède le germe de la résurrection dans la tradition conservée.
Bénit soit le Seigneur.
9 janvier
Il semble que Bergoglio est maintenant sur une poudrière depuis le décès de Benoît XVI.
Et surtout, il semble qu’il est prêt à aller jusqu’au bout avec ses réformes.
Il
n’est pas du tout confirmé que nous devrons attendre la fin du synode
pour voir le tout exploser, comme prévue donc en fait par la fin de la
prophétie concernant Benoît XVI (voir analyses précédentes).
« Sarajevo 1914. L’Église après la mort de Benoît XVI
Depuis
que le décès du pape Benoît XVI est connu, un conflit est devenu
visible, celui qui s’est installé depuis 2013 au sein de l’église entre
le secteur « conservateur » – j’entends par là ceux qui, dans la lignée
de la tradition bimillénaire, soutiennent que l’Église est une
institution fondée par Jésus-Christ avec une finalité transcendante et
surnaturelle consistant dans le salut des âmes – et le secteur «
progressiste », composé de ceux qui considèrent que l’Eglise est une
institution humaine – peut-être la plus ancienne et la plus puissante –
dont la finalité est immanente et consiste à promouvoir l’homme à tous
les niveaux, y compris le religieux, mais en donnant à ce terme un sens
diffus, éloigné de toute vérité dogmatique ou morale.
La
semaine dernière, nous avons été témoins d’événements que nous aurions
cru impossibles il y a encore quelques jours. L’archevêque Georg
Gänswein, a rendu publiques des déclarations explosives concernant
l’impact sur le Pape Benoît XVI de la promulgation de Traditionis
custodes, et la manière dont il a été de facto écarté de sa position de
Préfet de la Maison pontificale, avec les mots que le Pape émérite
aurait prononcés à ce sujet: « Je crois que le Pape François ne me fait
pas confiance et qu’il veut que vous soyez mon gardien ». Le livre de
mémoires de Mgr Gänswein sera publié dans les prochains jours, et tout
porte à croire qu’il révélera de nombreux autres détails significatifs.
Pour leur part, et comme nous
l’avons détaillé la semaine dernière [Organisation des obsèques: tous
les scandales], le Pape François et sa cour de Santa Marta n’ont pas
hésité à infliger autant d’humiliations posthumes au Pape Benoît XVI
qu’ils le pouvaient. Il semblerait qu’ils aient profité de ses
funérailles pour donner libre cours à la rancœur qu’ils entretenaient
depuis des années, montrant au monde entier la profondeur de leurs
haines.
La
question qui taraude l’esprit de tous les analystes est de savoir
comment les deux acteurs ont pu mettre en lumière la gravité du conflit
de cette manière.
Mgr
Gänswein n’est pas quelqu’un qui agit sur un coup de tête et nous ne
pouvons pas penser qu’il a agi de manière impulsive. Un conservateur
comme lui ne commettrait jamais une telle erreur et, surtout, les
entretiens – du moins certains d’entre eux – ont certainement été
enregistrés avant d’être diffusés et ses mémoires étaient également
prêts depuis longtemps ; un livre ne s’écrit pas, ne trouve pas
d’éditeur et n’est pas publié en une semaine. En d’autres termes,
chaque mesure prise jusqu’à présent par Mgr Gänswein a été
soigneusement réfléchie et calculée.
Il
me semble que ce n’est pas le cas du pape François, homme de
gouvernement rusé. Même si sa rancœur à l’égard du pape défunt était
profondément ancrée, il est difficile de trouver une explication à ces
funérailles bâclées. Le président du Portugal a émis une critique
formelle de la manière dont les choses ont été gérées et Václav Klaus,
ancien président de la République tchèque, a publiquement mis en cause
les raisons d’un si triste spectacle. La seule raison qui me vient à
l’esprit est que Bergoglio a été aveuglé par sa colère – comme il l’a
été en d’autres occasions – et qu’il ne s’est pas arrêté pour réfléchir
à la brutalité et au caractère scandaleux de son comportement.
Le Tagepost, un grand journal
allemand, a estimé qu’avec la mort de Benoît XVI, une nouvelle étape du
pontificat de François, voire de l’église elle-même, commence. Et la
raison en est que Ratzinger a agi comme une sorte de tampon qui a
amorti la fureur des conservateurs contre les excès de Bergoglio. Ou,
comme l’a dit le cardinal Müller, les conservateurs pouvaient aller se
faire soigner au monastère Mater Ecclesiae. A présent, il n’y a plus de
tampon et il n’y a pas non plus de maison de soin. L’affrontement est
inévitable et nous le voyons, et nous le verrons dans les semaines à
venir…
Ce
qui est dangereux, extrêmement dangereux, c’est que François a sous la
main un conflit potentiel capable de déclencher la guerre ; il y a un
archiduc qui se promène à Sarajevo. Le bruit court dans les cercles du
Vatican que la véritable intention de François est de nommer l’évêque
allemand Heiner Wilme comme préfet de la Congrégation pour la doctrine
de la foi. Et c’est un personnage décrit par tous comme
ultra-progressiste, aligné sur les décisions les plus extrêmes du
synode allemand.
Pour lui, par exemple, la
Sainte Messe n’est pas un élément important de la vie chrétienne et il
propose une révision complète de l’enseignement de de l’Eglise sur la
sexualité. On dit qu’il n’a pas encore été nommé en raison de la forte
opposition que François a rencontrée de la part de nombreux évêques et
cardinaux comme le cardinal Müller. Mais s’il devait faire pression
pour cette nomination, ce qui est tout à fait probable étant donné les
circonstances, il ne fait aucun doute que l’Eglise entrera dans une
lutte et une division très profondes dont personne ne sait comment
elles se termineront.
Ce sera la fin et le fruit ultime du pontificat de François, le pire et le plus nuisible des papes de l’histoire de l’Église.» (benoit-et-moi.fr)
Et çà risque de brasser car Mgr Georg Gänswein sort un livre sur Benoît XVI:
« Aujourd’hui, après la
disparition du Pape émérite, le moment est venu pour l’actuel Préfet de
la Maison pontificale de dire la vérité sur les calomnies flagrantes et
les manœuvres obscures qui ont tenté en vain de jeter de l’ombre sur le
magistère et les actions du Pontife allemand, et donc de faire
connaître enfin le vrai visage de l’un des plus grands acteurs de ces
dernières décennies, trop souvent injustement dénigré par les critiques
comme « Panzerkardinal » ou « Rottweiler de Dieu ».
.
Un récit authentique et franc
dans lequel, assisté de la plume experte du vaticaniste Saverio Gaeta,
Mgr Gänswein offre une reconstruction autorisée d’une période très
spéciale pour l’Église catholique, abordant également les questions sur
des événements énigmatiques, tels que les dossiers Vatileaks et les
mystères de l’affaire Orlandi, le scandale de la pédophilie et les
relations entre le pape émérite et son successeur François.
.
Le résultat est un témoignage
intense de la grandeur d’un homme, d’un cardinal, d’un Pape qui a
marqué l’histoire de notre temps et qui émerge ici comme un phare de
compétence théologique, de clarté doctrinale et de sagesse prophétique.
»(benoit-et-moi.fr)
Et pendant ce temps, des files d’attentes pour un dernier hommage à Benoît XVI dans la crypte vaticane (benoit-et-moi.fr)
Tout se confirme tranquillement…
«Mais
aussi de grandes processions et la Vierge Heureuse descendra sur terre.
Vous ne la verrez pas dans la grotte, mais dans un coeur qui revivra.
Depuis les ténèbres, elle apportera la parole que tous comprendront.» (prophétie politique du Grand Éclair à l’Orient).
8 janvier
Benoît XVI… La suite
«Vous
serez en haine à tous à cause de mon nom ; mais celui qui
persévérera jusqu'à la fin, celui-là sera sauvé.» (Matthieu, 10-22)
Le dernier rite funéraire dans le tombeau du va-nu-pieds, dans la grotte vaticane, ce qui n’a pas été télévisé.
Les ennemis de Benoît XVI se font aller depuis son décès.
On voit bien que Satan est déchaîné, ce qui prouve le rôle incontestable du katéchon qui n’est plus pour faire obstacle.
Toujours, toujours, le pape nouvellement élu préside la cérémonie de la grotte vaticane.
Bergoglio n’y est même pas allé.
«
Le pape François était déterminé à se retirer dans ses quartiers
de Santa Marta dès la fin de la messe funéraire. Deux de ses
plus proches collaborateurs ont dû insister fortement pour lui faire
voir l’inopportunité du geste. Finalement, il a accepté de voir le
cercueil du pape Benoît dans l’atrium de la basilique Saint-Pierre,
dépouillé de ses vêtements pontificaux. Et il a refusé catégoriquement
d’accompagner le cortège jusqu’à la crypte et d’y célébrer les derniers
sacrements, qui ont été pris en charge par le cardinal Re, doyen du
Sacré Collège… »
En fait, les agissements de Bergoglio pointent directement l’Antichrist sur le trône.
« Organisation des obsèques: tous les scandales. .. Le cœur mesquin du Pape François »
Un résumé via benoit-et-moi.fr
De plus, l’homélie de Bergoglio est qualifiée de misérable.
Une misérable homélie (benoit-et-moi.fr)
Ainsi donc, il semble bien que
la dernière partie de la prophétie s’adresse à Bergoglio puisque nous
n’avons pas eu «le» signe de la Sainte Vierge.
Le mystère persiste donc mais le délai est sur du très court terme car le saint aux pieds nus est descendu du mont.
En fait, il y a bien eu un signe mais que tous n’ont pas vu.
Les
funérailles se sont déroulés dans la brume. Le dôme de la basilique qui
avait été frappé par la foudre lors de la démission de Benoît XVI en
2013, était complètement englouti dans les ténèbres jusqu’à la lecture
de l’évangile de Saint-Luc.
Comme pour nous montrer que la tête de l’église est dans les ténèbres.
Alors, une croix lumineuse apparue entre les nuages.
Une photo a été prise par ceux qui étaient dans les balcons surplombant la place Saint-Pierre.
En enlevant un peu de luminosité à l’image on peut voir plus clairement.
05 janvier
On ne comprend bien souvent que les prophéties que lorsqu’elles se sont réalisées d’où la difficulté d’anticiper.
Il n'y a pas eu d’action de la part de la Vierge Marie lors des funérailles de Benoît XVI.
C’est donc dire que la prophétie concernant ce dernier n’est pas tout à fait terminée.
La ligne a été franchie mais la Sainte Vierge attend son moment.
Nous avons qualifié Benoît XVI du bon larron des derniers temps (voir analyses précédentes).
Pour ceux qui ont bien suivi la cérémonie, on peut affirmer qu’on ne peut pas faire mieux pour confirmer ce fait.
Les desseins de Dieu sont magnifiques…
Car c’était l’évangile de Saint-Luc avait été choisi pour la célébration :
«
39 Or, l’un des malfaiteurs pendus à la croix l’injuriait, disant :
» Puisque tu es le Christ, sauve-toi toi-même et sauve-nous !
»
40 Mais l’autre le reprenait,
en disant : » Ne crains-tu donc pas Dieu, toi non plus, condamné
que tu es au même supplice ?
41 Pour nous, c’est justice, car nous recevons ce qu’ont mérité nos crimes ; mais lui, il n’a rien fait de mal. »
42 Et il dit à Jésus : » Seigneur, souvenez-vous de moi, quand vous serez parvenu dans votre royaume. »
43 Jésus lui répondit : » Je te le dis en vérité, aujourd’hui tu seras avec moi dans le Paradis. »
44 Il était environ la sixième heure, quand des ténèbres couvrirent toute la terre jusqu’à la neuvième heure.
45 Le soleil s’obscurcit, et le voile du temple se déchira par le milieu.
46 Et Jésus s’écria d’une voix
forte : » Père, je remets mon esprit entre vos mains. » En
disant ces mots, il expira. »
Cet
extrait est un signe extraordinaire car il confirme la statut de bon
larron de Benoît XVI, tout en se terminant par la mort du Christ…
Annonçant ainsi la mort de l’Église à l’image de la Passion du Christ.
À suivre...
02 janvier
«SEIGNEUR, JE T'AIME»
Telles furent les dernières paroles de Benoît XVI avant son dernier souffle.
Un simple ouvrier dans la vigne du Seigneur comme il aimait se décrire, qui ne vivait que pour l’Amour et la Vérité.
Comme
il l’a souhaité, cette simplicité, ce dépouillement des choses
temporelles, est reflété dans son testament spirituel et dans ses
funérailles.
Les premières images de Mater Ecclesiae démontrent toute cette simplicité :
(benoît-et-moi.fr)
Le transfert vers la basilique Saint-Pierre s’est effectué aux petites heures ce matin (vaticannews.va)
«Coopérateur de la vérité», telle était sa devise épiscopal.
Il a témoigné de la Vérité en permettant au germe de l’Église traditionnelle de continuer.
Son
Motu Proprio de 2007 rétablissant le statut de la messe tridentine et
la levée de l’ex-communion de la FSSPX en 2009 qui permet une lignée de
prêtres légitimes consacrés par Mgr Lefebvre afin que l’Église
ressuscite, sont deux faits magistraux qui le prouvent.
Il était un élément clé de la fin des temps : le katéchon.
Ce n’est donc pas un hasard que le 31 décembre ait été choisi par Dieu pour nous confirmer ces signes.
Une
date que tous vont se souvenir, mais surtout une date, le dernier jour
de 2022, qui ferme cette année horrible marquée par la guerre qui n’est
que le début des tribulations apocalyptiques, mais qui est suivie par
le 1er janvier, jour de la solennité de la Vierge Marie, comme pour
signifier que son règne est arrivé.
Revenons
sur les quelques signes qui nous démontrent que la sixième période de
l’Apocalypse achève (en référence au calendrier de la fin des temps;
voir analyses précédentes) :
-
les deux signes majeurs annoncés par les exégètes sont complétés, c’est
à dire l’évangile annoncée par toute la terre, et la grande apostasie.
- On sait (voir analyse générale) que les tribulations apocalyptiques s'accélèrent au décès de Benoît XVI.
- Nous vivons la fin de la prophétie des papes selon Saint-Malachie.
-
l’Église est confirmée veuve selon les paroles de Saint-Paul : en
effet, au tout dernier jour de 2022, le Seigneur confirme les soixante
années écoulées depuis Vatican II (1962), le poison infiltré qui a
pourri l’Église, et surtout qui à partir de la nouvelle messe en 1969,
a confirmé l’abomination de la désolation prophétisée par
Notre-Seigneur lui-même.
-
l’hypothèse que Benoît XVI est le saint aux pieds nus de la prophétie
de Jean XXIII le concernant est plus que probable : il a
accompagné Jean-Paul II comme gardien de la Foi et les deux étaient
très liés.
D’ailleurs, c’est Benoît XVI qui a présidé les funérailles de Jean-Paul II.
Et Benoît XVI a exprimé le vœu d’être inhumé dans l’ancien tombeau de Jean-Paul II dans la crypte de la basilique.
Benoît
XVI, aussi comme le saint aux pieds nus dans sa simplicité, dépouillé
de tout, dans sa prison au monastère Mater Ecclesiæ sur le
mont au Vatican.
Car Mater Ecclesiæ, qui
tient son nom de l'expression latine Mater Ecclesiæ signifie
« Mère de l'Église », est sur un mont au jardin du Vatican.
C’est en lien direct aussi avec le 1er janvier, solennité de Marie, et de la Passion de l'Église.
Benoît XVI est donc bel et
bien descendu du mont selon la prophétie, et son décès est le signe
visible de la mise à mort des deux témoins de l’Apocalypse à venir.
- sa prophétie se termine par l’appel à la Vierge Marie pour ouvrir la septième période et le fameux septième sceau.
Ce qui est intriguant avec la prophétie en relation au signe attendu devant la tombe du va-nu-pieds sont les mots : « Écoutez ses paroles ».
Ce signe, ce miracle, comporte donc un message, et un message est habituellement porté par la voix.
De plus, il doit être à la portée d’une multitude, à l’image du miracle du soleil du 13 octobre 1917.
C’est la tribune qui sera offerte par ces funérailles surveillées par tous via les médias.
Le
tombeau de Jean-Paul II, à la chapelle Saint-Sébastien, est près de
l’entrée à droite de l’allée menant à l’autel de Saint-Pierre.
Mais
ce n’est pas nécessaire qu’un miracle se produise directement devant la
chapelle Saint-Sébastien, car cette partie de la prophétie est réalisée
dans le sens que le tombeau de Jean-Paul II était dans les grottes
vaticanes jusqu’en 2011.
Donc en un sens, les funérailles de Benoît XVI auront lieu devant la chapelle Saint-Sébastien.
Décembre 2022
31décembre
Le pape Benoît XVI est décédé en ce 31 décembre 2022.
Paix à son âme.
Dieu fait bien les choses.
Il a fallu attendre le dernier jour de 2022, comme pour nous signifier que la récréation est terminée.
Le katéchon n’est plus.
Il n’y a donc plus de pape légitime.
La chrétienté est orpheline. L’Église est veuve. Nous sommes livrés à la Bête de l’Apocalypse.
2023
ne sera donc pas une année comme les autres : ce sera le temps des
révélations et en parti, l’année des événements apocalyptiques.
La prophétie concernant Benoît XVI :
«Deux frères et personne ne sera le vrai Père. La Mère sera veuve.»
Exact.
«Les frères d'Orient et d'Occident se tueront et dans l'assaut tueront leurs enfants.»
Guerre en Ukraine sur fond de guerre religieuse, ou des deux factions judéo-maçonniques.
« Alors le saint aux pieds nus descendra du mont et… »
Benoît XVI, le saint aux pieds nus est décédé.
«... devant la tombe du va-nu-pieds, éclatera le règne béni de la Très Sainte Vierge.»
Éclatera…
Ce sera donc très visible, sans ambiguïté, un signe fort.
Devant la tombe du va-nu-pieds…
Deux interprétations possibles :
-
lors des funérailles devant la tombe de Jean-Paul II, c’est à dire la
chapelle Saint-Sébastien à l’entrée de la basilique Saint-Pierre,
ou
- à l’ancienne tombe de Jean-Paul II car il est prévu que Benoît XVI y sera inhumé.
Lorsque Benoît XVI a été élu, il est allé prier sur la tombe de Jean-Paul II selon la tradition.
Puisque nous avons une situation inusité avec Bergoglio, est-ce que ce dernier ira prier au tombeau après l’inhumation?
Toujours est-il, la Sainte-Vierge devrait signifier le début des dernières tribulation par un acte quelconque.
«Écoutez ses paroles.
Marie Très
Sainte, fille et mère de Dieu, maîtresse du temps futur, bats le rappel
de tes fils dans les campagnes, pour qu'ils abattent les deux Babylone.
Et que la Mère soit Une, comme toi tu es unique.
La
terre détruira le ciment et de terre sera, Reine, ta nouvelle Église.
Et sur la terre de blé, pour la faim de tes peuples, fleur sur son
nouvel autel. Amen.»
C’est
un appel évident aux événements apocalyptiques, un renouvellement
complet de la terre, et on sait que cela sera par la puissance du feu.
N’oublions
pas que la prophétie concernant François se déroule en parallèle et
qu’il est signifié que « Mikail et Jean descendront sur terre.», donc
l’Archange Michel et l’Apocalypse de Jean.
Il est bien spécifié que « Le grand frère d'Orient fera trembler le monde par la croix renversée sans les lis. »
Il semble ici que cela désigne le patriarche Kyrill, ou la Russie, et son rôle dans la guerre en Ukraine.
C’est à suivre.
Mais pour l’instant, il est intéressant de voir où exactement Benoît XVI sera inhumé.
Car
si chaque pape peut spécifier ses propres arrangements funéraires, et
bien que la famille de Benoît soit enterrée en Allemagne, son biographe
Peter Seewald a déclaré qu'il voulait être enterré dans la tombe qui
appartenait à son prédécesseur Jean-Paul II avant d'être canonisé et
déplacé ailleurs au Vatican.
De
plus, les funérailles auront lieu jeudi 5 janvier, juste avant
l’Épiphanie, confirmation du Christ Roi par les mages qui apportent
l’or pour le Roi, l’encens réservé à Dieu, et la myhrre pour atténuer
les souffrances.
Le Ciel semble donc nous avertir que 2023 ne sera pas de tout repos.
30 décembre
LE MYSTÈRE D’INIQUITÉ
« Et maintenant vous savez ce
qui le retient, pour qu'il se manifeste en son temps. Car le mystère
d'iniquité s'opère déjà, mais seulement jusqu'à ce que celui qui le
retient encore paraisse au grand jour. » (Thes. 2, 6-7)
Nous sommes en présence du katéchon (Benoît XVI) et du destructeur de l’église (Bergoglio).
Benoît
XVI, le saint aux pieds nus qui descendra du mont (voir la prophétie le
concernant) prochainement, ouvrira la porte sur 2023.
La
fin de cette prophétie est l’appel de Marie pour la phase finale du
calendrier de la fin des temps, car il est bien spécifié que la terre
détruira le ciment, que tout ce qui est matériel, temporel, doit être
renouvelé pour la Jérusalem Céleste.
2023 sera donc éprouvant, physiquement, et spirituellement.
Ainsi, on ne peut regarder 2023 sans garder notre attention sur ce mystère d’iniquité qui est à l’œuvre.
2024
sera l’année de la présentation du résultat du synode des synodes mais
le travail de fond se fera en 2023, dans un contexte tout de même
effrayant avec la l’escalade de la guerre en Ukraine :
« Les frères d'Orient et d'Occident se tueront et dans l'assaut tueront leurs enfants. » (prophétie concernant Benoît XVI)
On ne l’avait tout simplement pas vu venir : cette partie de la prophétie ne concernait pas l’islam, mais la guerre en Ukraine.
2023 verrait aussi l’effondrement du système en entier.
Tout est préparé d’avance pour installer la grande réinitialisation, la fausse résurrection.
En
effet, si l’antichrist est d’abord et avant tout un système, c’est donc
un système, une nouvelle civilisation avec pour dieu Satan qui doit
ressusciter pour apporter le « bonheur » à la masse.
Rappelez-vous l’Agenda 2030 du WEF : « En 2030, vous ne posséderez rien, et vous serez heureux ».
Mais revenons à ce mystère d’iniquité.
Le mystère d’iniquité est déroutant pour le chrétien fidèle à la Loi et aux Prophètes, les deux témoins de l’Apocalypse.
Depuis
presque maintenant 10 années, nous avons vu le mystère d’iniquité lancé
ses idées « progressistes » sur le pavé, laissant les fidèles dans la
confusion par un silence perpétuel faces aux interrogations qui les
tourmentent, ou face aux demandes d’éclaircissement de la part des
cardinaux fidèles à la loi et aux prophètes (pensons à la saga des
dubia par exemple).
Mensonges, ambiguïtés
volontaires, déformations de la Vérité et de la vie des Saints,
orgueil, colères non contrôlées, peurs de la pandémie (alors qu’un pape
doit donner sa vie pour ses brebis. Nous devrions voir des processions
du Saint-Sacrement partout. Mais non.), élimination du péché… tout cela
sous les apparences du plus pauvre des pauvres, Saint-François D’Assise.
Nous
pouvons en deviner quelques parties parce que nous sommes en plein dans
l’action de son œuvre, mais il demeure avant tout un mystère jusqu’à ce
que tout soit révéler avec le retour en Gloire de NSJC.
Quels indices avons-nous?
Saint-Paul (Th 2, 2):
« En ce qui concerne
l'avènement de notre Seigneur Jésus-Christ et notre réunion avec lui,
nous vous prions, frères, de ne pas vous laisser ébranler facilement
dans vos sentiments, ni alarmer, soit par quelque esprit, soit par
quelque parole ou lettre supposées venir de nous, comme si le jour du
Seigneur était imminent.
Que personne ne vous égare
d'aucune manière ; car auparavant viendra l'apostasie, et se
manifestera l'homme de péché, le fils de la perdition, l'adversaire qui
s'élève contre tout ce qui est appelé Dieu ou honoré d'un culte,
jusqu'à s'asseoir dans le sanctuaire de Dieu, et à se présenter comme
s'il était Dieu.
Ne vous souvenez-vous pas que je vous disais ces choses, lorsque j'étais encore chez vous ?
Et maintenant vous savez ce qui le retient, pour qu'il se manifeste en son temps.
Car le mystère d'iniquité s'opère déjà, mais seulement jusqu'à ce que celui qui le retient encore paraisse au grand jour.
Et alors se découvrira
l'impie, que le Seigneur (Jésus) exterminera par le souffle de sa
bouche, et anéantira par l'éclat de son avènement.
Dans son apparition cet impie
sera, par la puissance de Satan, accompagné de toutes sortes de
miracles, de signes et de prodiges mensongers, avec toutes les
séductions de l'iniquité, pour ceux qui se perdent, parce qu'ils n'ont
pas ouvert leur cœur à l'amour de la vérité qui les eût sauvés.
(note : pensons à toute cette technologie que l’on peut associer à
ces miracles)
C'est pourquoi Dieu leur
envoie des illusions puissantes qui les feront croire au mensonge, en
sorte qu'ils tombent sous son jugement tous ceux qui ont refusé leur
foi à la vérité, et ont au contraire pris plaisir à l'injustice. »
Benoît XVI, sait que nous sommes en présence de l'Antichrist.
Il n’y a pas de doute.
Il identifie l’Antichrist au « système humaniste ».
Toute personne qui est contre
les principes chers à François dont l’immigration, le réchauffement
climatique, les célébrations païennes, l’œcuménisme… est
automatiquement « stigmatisée » et identifiée comme ennemi de la
nouvelle religion.
C’est exactement ce qu’affirmait le regretté Serge Monast dans ses écrits.
La seule différence c’est que tout s’est passé sous une forme plus insidieuse, plus hypocrite.
« La société moderne est en
train de formuler une foi antichristique, à laquelle on ne peut
s’opposer sans être puni par l’excommunication sociale. Il est donc
plus que naturel d’avoir peur de cette force spirituelle de
l’Antéchrist, et il faut vraiment l’aide de la prière d’un diocèse
entier, et de l’Église universelle pour y opposer de la résistance.»
(Benoît XVI)
Lifesitenews révèle plus de contenu de l'interview qui a servi à la biographie:
« Interrogé sur l'affirmation
souvent répétée selon laquelle en tant que pape, il a rencontré «de
nombreux blocages» pendant sa papauté de la part de la Curie romaine,
le pape Benoît XVI a répondu: «Les blocages provenaient plus de
l'extérieur que de la Curie. Je ne voulais pas simplement promouvoir
avant tout la purification dans le petit monde de la Curie, mais dans
l'Église dans son ensemble. » Expliquant plus en détail ses pensées, il
a ajouté qu '«entre-temps, les événements ont montré que la crise de la
foi a conduit aussi spécialement à une crise de l'existence
chrétienne». C'est, a-t-il poursuivi, ce que le «pape doit avoir devant
ses yeux»...
Mais la véritable menace pour
l'Église et avec elle pour le bureau de Petrine ne vient pas de telles
choses, mais de la dictature mondiale d'idéologies apparemment
humanistes. »
Contredire cette dictature, a expliqué Benoît, cela «signifie l'exclusion du consensus de base de la société».
C'est dans ce contexte que Benoît a mentionné l'«Antichrist».
L'Église catholique enseigne
qu'avant la glorieuse seconde venue du Christ, l'Église passera par une
«épreuve finale» qui «ébranlera la foi de nombreux croyants».
«La persécution qui accompagne
son pèlerinage sur terre dévoilera le« mystère de l'iniquité »sous la
forme d'une tromperie religieuse offrant aux hommes une solution
apparente à leurs problèmes au prix de l'apostasie de la vérité»,
déclare le Catéchisme de l'Église catholique.
"La tromperie religieuse
suprême est celle de l'Antéchrist, un pseudo-messianisme par lequel
l'homme se glorifie à la place de Dieu et de son Messie incarné",
a-t-il ajouté.
Le vénérable archevêque Fulton
J. Sheen dans un sermon radiophonique de 1947 a décrit l'Antéchrist
comme un «grand humanitaire» qui «parlera de paix, de prospérité et
d'abondance».
«L'antichrist ne sera pas
ainsi appelé, sinon il n'aurait pas de disciples. Il ne portera pas de
collant rouge, ne vomira pas de soufre, ne portera pas de lance ni
n'agitera une queue fléchée comme Méphistophélès à Faust », a déclaré
Sheen.
«Sa logique est simple : s’il
n’y a pas de paradis, il n’y a pas d’enfer. S’il n’y a pas d’enfer, il
n’y a pas de péché. S’il n’y a pas de péché, il n’y a pas de jugement,
et s’il n’y a pas de jugement, alors, le mal est le bien, et le bien
est le mal. Mais au-delà de toutes ces descriptions, Notre
Seigneur nous enseigne que l’antéchrist Lui ressemblera tellement qu’il
pourrait même tromper les élus –or, il est clair qu’aucun diable tel
qu’on le connait dans les descriptions populaires, ne pourrait tromper
les élus. Ainsi, par quel moyen viendra-t-il dans ce nouvel âge
pour rallier des partisans de sa religion ?
Il utilisera le prétexte religieux pour détruire la Religion.
Il parlera même du Christ et affirmera qu’Il était le plus grand homme qui ait vécu. »
Rappel des derniers temps par Anne Catherine Emmerich :
« Je vis une forte opposition entre deux papes … et je vis combien funestes seraient les conséquences de cette fausse Église… »
« Quand le royaume de
l’Antéchrist sera proche, apparaîtra une fausse religion qui ira contre
l’unité de Dieu et de son Église. Cela entraînera le plus grand schisme
jamais vu dans le monde. »
« Je vis qu’un certain
nombre de pasteurs acceptaient des idées dangereuses pour l’Église. Ils
construisaient une grande Église, étrange et extravagante. N’importe
qui était accepté, afin de s’y joindre et d’avoir les mêmes droits: les
évangélistes, les catholiques, les sectes de toutes croyances. Ce
devait être la nouvelle église … mais Dieu avait d’autres projets … »
« Je vis le Pape en prières ; il était entouré de faux amis qui souvent faisaient le contraire de ce qu’il disait.
Je vis le saint Père dans une grande tribulation et une grande angoisse touchant l’Église. Je le vis entouré de traîtres.
Ils veulent enlever au pasteur
le pâturage qui lui appartient ! Ils veulent en imposer un qui livre
tout aux ennemis ! (alors saisie de colère, A.C. Emmerich leva le poing
en disant) Coquins d’allemands ! Attendez ! Vous n’y réussirez pas ! Le
pasteur est sur un rocher ! Vous prêtres, vous ne bougez pas ! Vous
dormez et la bergerie brûle par tous les bouts ! Vous ne faites rien !
Oh, comme vous pleurerez cela un jour ! ».
«
Je vois le Saint-Père dans une grande angoisse. Il habite dans un
bâtiment autre que celui d’avant et il n’y admet qu’un nombre limité
d’amis qui lui sont proches. Je crains que le Saint-Père ne souffrira
beaucoup d’autres épreuves avant de mourir. Je vois que la fausse
église des ténèbres fait des progrès, et je vois l’énorme influence
qu’elle a sur les gens ».
Concernant l'Apocalypse et la dernière lignée de papes:
«
C'est ici qu'il faut un esprit doué de sagesse. — Les
sept têtes sont sept montagnes (Rome), sur lesquelles la
femme (église) est assise. Ce sont aussi sept
rois (papes depuis Latran en 1929):
Les
cinq premiers sont tombés, l'un subsiste, l'autre n'est pas
encore venu, et quand il sera venu, il doit demeurer peu de
temps. (Donc la clé pour démarrer le compte est celui qui «
subsiste », c’est à dire Benoît XVI. Cinq papes avant lui donc depuis
l’État du Vatican (donc des rois temporels) en 1929. S’ensuit
Bergoglio, qui doit demeurer peu de temps : C’est ce qui est
confirmer dans la prophétie de Jean XXIII le concernant :
« Ton règne sera grand et bref »)
Et la bête qui était et qui
n'est plus, en est elle-même un huitième et elle est des sept, et elle
s'en va à la perdition. (Ap. 17, 7-11) (Et Bergoglio, qui représente la
bête marxiste socialiste, est le septième pape, mais il a décidé
d’abandonner son titre de vicaire du Christ, ET, d’abandonner son titre
de pape en décidant qu’il n’était, dans son idée de collégialité, que
l’évêque de Rome (en référence aux sept collines). Il est devenu le
huitième, la bête cachée derrière le titre de pape, et qui s’en va à la
perdition) »
Or,
Saint-François d’Assise dans sa prophétie avait bien averti, comme s'il
savait qu'on usurperait son nom... et son amour pour les pauvres et la
nature :
« Il y aura très peu de
chrétiens qui obéiront au véritable Souverain Pontife et à l’Église
catholique romaine avec un cœur loyal et une parfaite charité. Au
moment de cette tribulation, un homme, non élu canoniquement, sera
élevé à la papauté, lequel, par ruse, s’efforcera d’entraîner beaucoup
de monde dans l’erreur et dans la mort… en ces jours-là, Notre Seigneur
Jésus-Christ leur enverra non pas un vrai Pasteur, mais un destructeur.
»
C’est simple : « Qui n’a pas le Fils, n’a pas le Père. Celui qui n’honore pas le Fils, n’honore pas le Père. » (Saint-Jean)
Cette fausse fraternité universelle sans le Christ Roi est une hérésie.
« Alors on vous livrera aux tortures et on vous fera mourir, et vous serez en haine à toutes les nations, à cause de mon nom.
Alors aussi beaucoup failliront ; ils se trahiront et se haïront les uns les autres.
Et il s'élèvera plusieurs faux prophètes qui en séduiront un grand nombre.
Et à cause des progrès croissants de l'iniquité, la charité d'un grand nombre se refroidira.
Mais celui qui persévérera jusqu'à la fin sera sauvé...
Quand donc vous verrez
l'abomination de la désolation, annoncée par le prophète Daniel,
établie en lieu saint, — que celui qui lit, entende ! —
alors que ceux qui sont dans la Judée s'enfuient dans les montagnes.. »
(Matthieu 24).
Benoît XVI est le dernier rempart.
Il
est le bon larron de la fin des temps, car malgré ses erreurs, il a
préservé le germe de l’Église par le motu proprio de 2007 et par la
levée des excommunications sur la FSSPX en 2009.
La
disparition du katéchon est le signe de la mort des deux témoins de
l’Apocalypse, ce qui veut dire aussi en signe d’espoir que la
résurrection de l’Église à partir du germe préservé est proche.
28 décembre
Bergoglio annonce que Benoît XVI est gravement malade.
Prions pour le katéchon.
La prophétie le concernant est sur le point de se terminer.
La mort des deux témoins de l'Apocalypse approche donc à grands pas.
19 décembre
POURQUOI M'AS TU ABANDONNÉ?
C'est ainsi que l'église crucifiée s'exclame aujourd'hui.
Pour
preuve de la mort imminente de l'église à l'image de la Passion du
Christ, nous cherchons les signes de Dieu pour nous conforter dans les
épreuves, mais empêtrés que nous sommes dans les ténèbres, nous ne
voyons rien.
Comme après la neuvième heure sur la croix, l'orage pointe à l'horizon.
Mais cet orage annonce le retour de la Lumière et est signe d'espoir, de résurrection.
Mgr Vigano dans un texte
très long en préparation de Noël 2022, si important dans le contexte
actuel, nous rappelle qu'une civilisation non basée sur le Christ Roi
est voué à mourrir.
« Mgr Viganò : La royauté du Christ ne se limite pas à l’Église, mais s’étend à toutes les nations
De même, la négation de ce principe est l’apanage de la pensée hérétique et de l’idéologie maçonnique.
( LifeSiteNews
) — La doctrine de la royauté du Christ constitue une discrimination
entre l’Église catholique et « l’Église conciliaire » ; en effet, c’est
le point de séparation entre l’orthodoxie catholique et l’hétérodoxie
néomoderniste, car les adeptes de la laïcité et de la laïcité libérale
ne peuvent accepter que la Seigneurie de Notre-Seigneur s’étende à la
sphère civile, la soustrayant ainsi à l’arbitraire des puissants ou des
la volonté de la population manipulable.
Pourtant, l’idée même que
l’autorité a son fondement dans un principe transcendant n’est pas née
avec le christianisme, mais fait partie de notre héritage gréco-romain.
Le même mot grec ἱεραρχία désigne d’une part « l’administration des
choses sacrées », mais d’autre part il désigne aussi le « pouvoir sacré
» de l’autorité, où les engagements qui s’y rattachent constituent de
manière significative un λειτουργία , une fonction publique dont l’Etat
s’en charge.
De même, la négation de ce
principe est l’apanage de la pensée hérétique et de l’idéologie
maçonnique. La laïcité de l’État constitue la principale revendication
de la Révolution française, dont le protestantisme a fourni les
fondements théologiques, qui s’est ensuite transformé en erreur
philosophique avec l’avènement du libéralisme et du matérialisme athée.
Cette vision d’un tout
entièrement cohérent et harmonieux qui traverse le cours du temps et
franchit les frontières de l’espace, conduisant l’humanité à la
plénitude de la Révélation du Christ, était propre à cette Civilisation
dont l’effacement et l’annulation sont souhaités au nom d’une dystopie
inhumaine parce qu’intrinsèquement impie, puisqu’elle est issue de la
haine inextinguible de l’Adversaire, éternellement privé du Bien
suprême par orgueil et rébellion contre la Volonté de Dieu.
Il n’est pas surprenant que
nos contemporains ne comprennent pas les raisons de la crise actuelle :
ils se sont laissés frustrer le patrimoine de sagesse et de mémoire
construit au cours de l’histoire grâce à l’intervention pédagogique de
la Providence, qui a inscrit dans cœur de chaque homme les principes
éternels qui doivent guider tous les aspects de leur vie. Cette
merveilleuse παιδεία a permis à des peuples éloignés de Dieu et plongés
dans les ténèbres du paganisme de se prédisposer, par des moyens
naturels, à l’éclatement de la dimension surnaturelle dans l’histoire,
c’est-à-dire à l’avènement du Christ, en qui tout est récapitulé et se
montre comme faisant partie du divin κόσμος .
Quand Auguste ordonna la
publication de l’Enéide – dont Virgile avait ordonné dans son testament
la destruction, la considérant incomplète – la Pax Romana venait de
commencer dans tout l’Empire ; une paix accordée au monde pour
accueillir l’Incarnation du Fils de Dieu et arracher l’humanité à
l’esclavage de Satan. Les échos de cette paix solennelle et sacrée
résonnent encore aujourd’hui dans les paroles grandioses du Martyrologe
romain, que nous entendrons à nouveau le matin de la veille de Noël :
Fondée par la ville de Rome en
l’an sept cent cinquante-deux, la quarante-deuxième année du règne
d’Octave Auguste, le monde entier s’est composé en paix… est devenu un
homme.
L’an sept cent
cinquante-deuxième depuis la fondation de la ville de Rome, l’an
quarante-deuxième du règne de l’empereur Octave Auguste, le monde
entier étant en paix, . . . Jésus-Christ, Dieu éternel et Fils du Père
éternel, désirant consacrer le monde par sa présence très aimante, a
été conçu par le Saint-Esprit. . . et est né de la Vierge Marie à
Bethléem de Juda, ayant été fait homme.
Quarante ans seulement avant
la Naissance du Sauveur, Virgile eut l’occasion de fréquenter les fils
d’Hérode venus étudier à Rome. C’est d’eux qu’il a appris les
prophéties messianiques de l’Ancien Testament et l’annonce de la
naissance imminente du Puer qui est chantée dans sa quatrième églogue :
La Vierge revient déjà, les royaumes de Saturne reviennent,
une nouvelle génération est déjà envoyée du haut des cieux.
Vous n’êtes qu’un enfant nouveau-né, avec qui le fer d’abord
cessera, et toute la nation dorée s’élèvera dans le monde,
chaste faveur Lucine : ton Apollon règne déjà.
Et que Dante montre Statius rappelant au Purgatoire (XXII, 70-72) :
Siècle et renouveler;
la justice revient et la première fois humaine,
et la progéniture est descendue du ciel.
L’âge se renouvelle;
La justice revient, et le temps primitif de l’homme,
et une nouvelle progéniture descend du ciel.
Dans cette attente anxieuse de
l’avènement du Christ, Auguste sauve de la destruction le poème de
Virgile, y voyant cette aspiration à un monde où règne la paix, après
un siècle de guerres civiles. Il voyait en Enée le modèle de ceux qui
se reconnaissent pius , en tant qu’ils sont respectueux de la volonté
divine et des liens qui en découlent envers leur Patrie [ patrie ] et
leur famille, insérés par la Providence dans les événements contingents
de l’histoire, participant à la volonté de Dieu fixée dans l’éternité.
On comprend aisément que l’âme
d’une personne droite et honnête, même privée de la Foi, puisse se
sentir portée à une noble destinée, devant laquelle les dieux faux et
menteurs se taisent, la Sibylle reste muette et l’Oracle des Aracœli se
retire. On voit alors dans fatalité – fas en latin – la référence au
verbe fari, qui signifie « parler » et renvoie à la Parole de Dieu, à
la Parole éternelle prononcée par le Père. Le chrétien reste ravi de
tant de bonté paternelle, de cette main providentielle qui accompagne
l’humanité qui erre dans les ténèbres vers la Lumière du Christ, le
Rédempteur du genre humain.
Il y a quelque chose
d’ineffable dans cette vision de l’histoire et de l’intervention de
Dieu en elle, quelque chose qui touche les âmes et les pousse vers le
Bien, éveillant l’espérance d’actes héroïques, d’idéaux pour lesquels
se battre et donner sa vie.
C’est sur cette composition
parfaite du temporel et de l’éternel, de la nature et de la Grâce, que
le monde a pu accueillir et reconnaître le Messie promis, le Prince de
la Paix, le Rex pacificus vainqueur du péché et de la mort, le
Desideratus cunctis gentibus .
Du Cénacle aux catacombes, des
communautés des premiers chrétiens aux basiliques romaines converties
au culte du vrai Dieu, s’élève la prière que le Seigneur a enseignée
aux Apôtres : adveniat regnum tuum, fiat voluntas tua sicut in cœlo et
in terra . Ainsi un empire païen devint le berceau du christianisme, et
avec ses propres lois et sa propre influence civile et sociale rendit
possible la diffusion de l’Evangile et la conversion des âmes au
Christ. Les âmes simples, assurément ; mais aussi les âmes des érudits,
des nobles romains, des fonctionnaires impériaux, des diplomates et des
intellectuels, qui ont réussi à se voir – comme Pie Enée– engagé dans
un dessein providentiel, appelé à donner sens à ces vertus civiques, à
cette aspiration à la justice et à la paix qui sans la Rédemption
seraient restées incomplètes et stériles.
Le rôle « providentiel » de l’État
L’économie
du Salut, dans cette vision « médiévale » et chrétienne des événements,
reconnaît aux individus le privilège de faire eux-mêmes partie de ce
grand plan de la Providence divine : une actuosa participatio –
pardonnez-moi d’emprunter une expression chère aux Innovateurs – de
l’homme dans l’intervention de Dieu dans l’Histoire, où la liberté de
chacun est confrontée à un choix moral donc décisif pour son destin
éternel : un choix entre le Bien et le Mal, entre se conformer à la
volonté de Dieu – fiat voluntas tua – et suivre sa propre volonté en
lui désobéissant – non serviam .
Or, précisément dans
l’adhésion des individus à l’action de la Providence, on comprend
comment la société terrestre, qui est composée de ces individus, assume
à son tour un rôle dans le dessein de Dieu, permettant aux actions de
ses membres d’être dirigées plus efficacement par l’autorité des
gouvernants vers le bonum commune qui les unit dans la poursuite d’un
même but.
L’État, en tant que société
parfaite, c’est-à-dire une société qui possède en elle-même tous les
moyens nécessaires à la poursuite du quid unum perficiendum– a donc une
fonction propre, principalement ordonnée au bien des citoyens, à la
protection de leurs intérêts légitimes, à la protection de la Patrie
contre les ennemis extérieurs et intérieurs, au maintien de l’ordre
social. Il va sans dire qu’en éprouvant les tentatives et les échecs de
ceux qui nous ont précédés – suivant la vision éminemment chrétienne de
Giambattista Vico – les peuples civilisés ont su saisir l’importance de
l’étude de l’histoire, permettant de réels progrès et reconnaissant la
validité de La pensée aristotélicienne-thomiste précisément parce
qu’elle s’est développée sur la base de la connaissance de la réalité
et non sur la création de théories philosophiques abstraites.
On retrouve cette vision de la
bonne gouvernance représentée symboliquement dans les fresques
d’Ambrogio Lorenzetti au Palazzo Pubblico de Sienne, confirmant la
profonde religiosité de la société médiévale ; une religiosité de
l’institution, certes, mais qui était partagée et s’appropriait ceux
qui, revêtus de fonctions publiques, considéraient leur rôle comme une
expression conforme à l’ordre divin – le κόσμος , justement – imprimé
par le Créateur sur le corps social .
De ce rôle historique de l’Empire romain, nous avons un exemple dans l’Enéide (VI, 850-853) :
Souviens-toi que tu gouvernes le peuple romain
ce seront vos compétences, et la manière d’imposer la paix
épargnez les sujets et battez les orgueilleux.
Mais Rome, c’est à toi seul, avec une influence terrible,
Pour gouverner l’humanité et faire obéir le monde,
Disposant de la paix et de la guerre par ta propre voie majestueuse ;
Pour apprivoiser l’orgueilleux, l’esclave enchaîné à la liberté :
Ce sont des arts impériaux, et dignes de toi.
C’est la conscience de cette
mission providentielle qui a fait la grandeur de Rome ; c’est la
trahison de cette tâche due à la corruption des mœurs qui a décrété sa
chute.
Le concept de laïcité et la sécularisation du pouvoir
Il
n’aurait pas pu en être autrement, puisque le concept de « laïcité de
l’État » était complètement impensable pour les dirigeants et les
sujets des nations occidentales de toute époque antérieure à la
pseudo-réforme protestante. Ce n’est que depuis la fin de la
Renaissance que la théorisation de l’athéisme a permis la formulation
d’une pensée philosophique qui soustrait l’individu au devoir de
reconnaître et de rendre un culte public à la divinité ; et, à partir
des Lumières, les principes maçonniques se sont répandus à travers la
sécularisation forcée de la société civile suite à la Révolution
française, le renversement des monarchies de droit divin et la féroce
persécution de l’Église catholique.
Aujourd’hui, le monde
contemporain considère comme un mérite de revendiquer sa propre
laïcité, alors que dans le monde gréco-romain la rébellion contre les
dieux était considérée comme une marque d’impiété et un signe de
révolte contre l’État, dont l’autorité était l’expression d’un pouvoir
sanctionné et ratifié d’en haut. Discite justitiam moniti, et non
temnere divos – Apprends la justice, et prends garde de mépriser les
dieux – avertit Phlégyas, qui fut jeté dans le Tartare et condamné à
crier cet avertissement sans répit ( Æn. , VI, 620). La culture
classique dont nous avons hérité comme prémisse naturelle pour la
diffusion du christianisme, et que le Moyen Âge a reconnue et
valorisée, est donc fondée sur le devoir de ne pas mépriser les dieux ,
montrant comment l’absence de religion est la cause de la ruine de la
Nation, de la trahison de la Patrie à l’instauration de la tyrannie, de
la promulgation ou de l’abolition des lois au nom de l’intérêt
économique à la violation des préceptes les plus sacrés de la vie
civile.
Pour montrer à quel point ces
peurs étaient fondées, nous osons contempler les ruines de notre
société contemporaine, capable de légitimer des horreurs sans précédent
telles que le meurtre d’innocents dans l’utérus, la corruption
d’enfants par la théorie du genre et la sexualisation de l’enfance, et
leur exploitation dans les rituels infernaux du lobby pédophile, dont
les membres infâmes occupent des postes de pouvoir et que personne
n’ose jusqu’ici tenter de condamner. Le monde contemporain est gouverné
par une secte de serviteurs du diable voués au mal et à la mort. Ceux
qui se taisent, fermant les yeux devant de telles monstruosités, sont
les complices coupables de ces crimes horribles qui crient vengeance
devant Dieu.
Le caractère sacré de l’autorité
Jusqu’à
la Révolution française, les gouvernants trouvaient leur légitimité
dans l’exercice de l’autorité au nom de Dieu, et en même temps les
gouvernés voyaient leurs droits protégés contre les abus de pouvoir,
puisque l’ensemble du corps social était hiérarchisé sous le pouvoir
suprême, du Seigneur unique, qui a été reconnu comme Rex tremendæ
majestatis précisément parce qu’il est le juge même des rois et des
princes, des papes et des prélats. Couronnes, diadèmes et mitres
parsèment les représentations de l’Enfer dans les scènes du Jugement
dernier peintes dans nos églises.
Cette sacralité de l’autorité
n’est pas un concept ajouté après coup à un pouvoir né neutre à
l’origine. Au contraire, tout pouvoir a toujours trouvé son origine
dans la référence à la divinité, tant en Israël que chez les nations
païennes, qui ont ensuite acquis dans le monde occidental la plénitude
de l’investiture surnaturelle avec l’avènement du christianisme et sa
reconnaissance comme religion d’État par l’empereur Théodose. Ainsi
l’empereur d’Orient était César dans une cour qui, à Byzance, parlait
en latin ; le tsar des Russies et le tsar des Bulgares étaient
également des Césars, et enfin il y avait le Saint Empire romain
germanique, dont le dernier souverain, le bienheureux Karl von
Habsburg, fut renversé par la franc-maçonnerie au moyen de la Première
Guerre mondiale.
L’éducation des futurs
souverains, de la noblesse et du clergé était tenue en haute estime et
ne se limitait pas à dispenser un enseignement intellectuel et
pratique, mais prévoyait nécessairement une formation morale et
spirituelle spécifique assurant des principes solides, l’habitude de la
discipline, la capacité de maîtriser ses passions et la pratique des
vertus du gouvernement. Tout un système social a rendu ceux qui
exerçaient l’autorité conscients de leur responsabilité devant le
Christ-Roi, seul détenteur de la seigneurie temporelle et spirituelle
que ses ministres sur la terre devaient exercer dans un cadre
strictement indirect. Pour cette raison, comme cela s’est produit par
exemple dans le cas de Frédéric II de Souabe, la supériorité de
l’Autorité spirituelle de l’Église sur l’autorité temporelle des
Souverains a permis au Pontife romain de libérer les sujets d’un Roi
qui abusait de son pouvoir de leur lien d’obéissance.
La sécularisation étendue à toute autorité
La
sécularisation de l’autorité civile a été suivie plus récemment par la
sécularisation de l’autorité religieuse qui, avec le Concile Vatican
II, a été significativement dépouillée – et pas seulement
extérieurement – de sa sacralité au profit d’une vision profane (et
révolutionnaire) dans laquelle le pouvoir ecclésiastique vient d’en
bas, en vertu du seul Baptême, et est déléguée par le « peuple
sacerdotal » à ses représentants, auxquels sont conférées diverses
tâches de « présidence », comme dans les sectes calvinistes.
Le paradoxe est ici d’autant
plus évident qu’il introduit dans l’Église – déformant ainsi sa nature
– la dynamique de tolérance au sein d’une société civile qui ne
reconnaît pas les droits de la vraie religion, et finit par les
légitimer en les faisant siens. Dans cette perspective, les très graves
déviations propagées aujourd’hui par le Synode sur la synodalité dans
un ton démocratique et parlementaire ne sont rien d’autre que la mise
en pratique des principes théorisés par le Concile, pour lesquels la
laïcité – c’est-à-dire la rupture du lien entre l’autorité terrestre et
sa légitimation surnaturelle – aurait dû s’étendre à toute société
humaine, et en même temps exclure toute tentation « théocratique »
comme obsolète et inopportune.
Inévitablement, aucune
autorité n’était hors de portée de ce processus, du pater familias à
l’enseignant, du magistrat au fonctionnaire du gouvernement. Le devoir
de ceux qui étaient soumis à l’autorité de lui obéir et de ceux qui
exerçaient l’autorité de l’administrer avec sagesse et prudence
rappelaient la paternité divine de Dieu. En tant que telle, elle devait
être délégitimée, car la rébellion est avant tout contre l’autorité de
Dieu le Père. La révolution des « Soixante-Huit » n’était qu’une
émanation de la Révolution, dans laquelle tout ce que le libéralisme
avait conservé à des fins d’utilitarisme ou de commodité pour se
garantir un minimum d’ordre social a finalement été démoli, conduisant
les nations occidentales à l’anarchie.
L’action subversive des sociétés secrètes
La
secte infâme, consciente de la puissance de l’alliance entre Trône et
Autel, complota dans l’ombre pour corrompre les souverains et attirer
la noblesse dans ses rangs, à commencer par la dynastie capétienne. En
réalité, déjà dans les Principautés allemandes avec l’hérésie
protestante, puis dans l’Angleterre d’Henri VIII avec le schisme
anglican, il y avait des conventicules actifs d’initiés de matrice
gnostique qui s’opposaient à la papauté et aux souverains légitimes qui
lui étaient fidèles.
Il est cependant certain et documenté que la Révolution a constitué le
principal instrument par lequel les sociétés secrètes ont frappé les
nations catholiques pour les arracher à la Foi et les asservir à leurs
fins idéologiques et économiques, et partout où la Franc-Maçonnerie a
réussi à agir, elle a toujours eu recours à les mêmes outils et la même
propagande, afin d’obtenir la sécularisation des institutions
publiques, l’annulation de la religion d’État, l’abolition des
privilèges ecclésiastiques et de l’enseignement catholique, la
légitimation du divorce, la dépénalisation de l’adultère et la
propagation de la pornographie et d’autres formes de vice.
Parce
que ce monde chrétien dans tous les aspects de la vie quotidienne
devait être effacé et remplacé par une société impie et irréligieuse
vouée à la satisfaction des plaisirs les plus bas, se moquant de la
vertu, de l’honnêteté et de la rectitude : ce sont les « acquis » de
l’idéologie libérale, qui l’anticléricalisme le plus abject appelle «
progrès » et « liberté ».
Les innombrables condamnations
par le Magistère des sectes secrètes étaient amplement justifiées par
la menace à la paix des nations et au salut éternel des âmes. Tant que
l’Église eut un allié valable dans l’autorité civile, l’action de la
franc-maçonnerie progressa lentement et fut contrainte de dissimuler
son intention criminelle.
Ce n’est qu’avec la corruption
de l’autorité ecclésiastique, poursuivie par un patient travail
d’infiltration et achevé à la fin du XIXe siècle grâce au modernisme,
que la franc-maçonnerie put compter sur la complicité de clercs
insoumis et fornicateurs, égarés dans l’intellect et volonté, et qui
ont ainsi été facilement réduits en esclavage et soumis à un chantage.
Leur ascension dans les rangs de l’Église, stoppée par la vigilance
prévoyante de saint Pie X, reprend tranquillement dans les dernières
années du pontificat d’un Pie XII affaibli, et connaît un essor sous
Jean XXIII, lui-même probablement membre d’une loge ecclésiastique. Une
fois de plus, nous voyons comment la corruption des individus contribue
à la dissolution de l’institution à laquelle ils appartiennent.
La révolution civile, sociale et économique
La
Révolution commencée en France en 1789 eut les mêmes modes de mise en
œuvre : d’abord la corruption de l’aristocratie et du clergé ; puis
l’action des sociétés secrètes qui s’infiltraient partout ; puis la
propagande médiatique contre la Monarchie et l’Église, et en même temps
l’organisation et le financement d’émeutes et de manifestations de rue
pour inciter le peuple, qui était appauvri et accablé d’impôts en
raison des spéculations de la haute finance internationale et de
l’insuffisance de l’État aux mutations du système économique européen.
Dans
ce cas également, le levier principal qui a permis à la théorie
subversive de la franc-maçonnerie de se traduire en une véritable
révolution était représenté par la classe qui avait le plus grand
intérêt à s’approprier les biens des nobles et de l’Église, non
seulement pour brader un bien inestimable patrimoine immobilier,
meubles, objets d’art, mais aussi pour transformer radicalement le
tissu socio-économique traditionnel, à commencer par l’exploitation des
grands domaines, jusque-là pour la plupart laissés à produire leurs
récoltes selon des rythmes naturels et des systèmes archaïques.
En fait, après la Révolution française, nous avons eu la Première
Révolution industrielle qui, avec l’invention de la machine à vapeur et
la mécanisation de la production, a imposé les migrations massives
d’ouvriers et de paysans des champs vers la métropole afin de les
convertir en main-d’œuvre bon marché, après les avoir privés de la
possibilité d’avoir des moyens de subsistance autonomes et les avoir
induits à la misère avec de nouveaux impôts et taxes.
La deuxième révolution
industrielle a eu lieu entre le Congrès de Paris (1856) et le Congrès
de Berlin (1878), impliquant principalement l’Europe, les États-Unis et
le Japon dans de nouvelles avancées technologiques forcées telles que
l’électricité et la production de masse.
La
troisième révolution industrielle a commencé dans les années 1950 et
s’est étendue à la Chine et à l’Inde, et a concerné principalement
l’innovation technologique, informatique et télématique, puis s’est
étendue à la nouvelle économie, l’économie verte, et le contrôle des
informations.
Cela
était censé créer un climat culturel de confiance néopositiviste dans
les possibilités de la science et de la technologie pour assurer le
bien-être matériel de l’humanité. L’action de manipuler les masses a
donné une large place à l’imagination de ce que la société pourrait
devenir, en la suggérant à travers le thème cinématographique de la
science-fiction.
Depuis l’année 2011, la
quatrième révolution industrielle a enfin commencé, qui consiste en
l’interpénétration croissante entre le monde physique, numérique et
biologique. Il s’agit d’une combinaison des avancées de l’intelligence
artificielle (IA), de la robotique, de l’Internet des objets (IoT), de
l’impression 3D, du génie génétique, des ordinateurs quantiques et
d’autres technologies. Le théoricien de ce processus dystopique est le
tristement célèbre Klaus Schwab, fondateur et directeur exécutif du
Forum économique mondial.
La sécularisation de l’autorité comme prémisse du totalitarisme
Séparer
artificiellement l’harmonie et la complémentarité hiérarchique entre
l’autorité spirituelle et l’autorité temporelle était une opération
malheureuse qui prévoyait, aussi souvent qu’elle était réalisée, soit
la tyrannie, soit l’anarchie. La raison n’en est que trop évidente : le
Christ est Roi à la fois de l’Église et des Nations, car toute autorité
vient de Dieu (Rm 13, 1). Nier que les gouvernants aient le devoir de
se soumettre à la Seigneurie du Christ est une très grave erreur, car
en l’absence de la loi morale, l’État peut imposer sa propre volonté
indépendamment de la volonté de Dieu, et donc subvertir le divin κόσμος
de la Civitas Dei , en le remplaçant par l’arbitraire et le χάος
infernal de la civitas diaboli .
Aujourd’hui, les nations
occidentales sont prises en otage par des potentats qui ne répondent ni
à Dieu ni au peuple de leurs décisions, car ils ne tirent leur
légitimité ni d’en haut ni d’en bas.
Le coup d’État qui a été préparé et exécuté par le lobby subversif du
Forum économique mondial a effectivement évincé les gouvernements de
leur statut d’indépendance par le biais de pressions extérieures et a
privé les États de leur souveraineté. Mais ce processus dissolutif a
maintenant été exposé à cause de l’arrogance avec laquelle les satrapes
du Nouvel Ordre Mondial – tout est nouveau quand cela les concerne, et
tout est vieux quand il doit être renversé – ont révélé leurs plans,
estimant qu’ils sont maintenant proches de la victoire finale.
Au
point que même des intellectuels certainement pas accusés de
conservatisme se mettent à dénoncer l’ingérence intolérable de Klaus
Schwab et de ses sbires dans le gouvernement des nations. Il y a
quelques jours le Pr Franco Cardini déclarait : « Les forces qui gèrent
désormais l’économie et la finance choisissent, corrompent et
déterminent la classe politique, qui devient ainsi un comité
d’entreprise ».
Et
l’on sait bien que derrière ce « comité d’affaires » se cachent des
visées de profit aveugle, au détriment de l’économie des Etats, mais
aussi des projets inquiétants de contrôle minutieux de la population,
de dépopulation forcée, de chronicisation des maladies. face à la
privatisation totale des services publics. La mentalité qui préside à
cette Grande Réinitialisation est la même qui animait la bourgeoisie et
les usuriers des siècles passés, soucieux d’exploiter les grands
domaines que la noblesse et le clergé ne considéraient pas comme une
source de profit.
Je le hais car il est chrétien,
Mais plus pour ça en basse simplicité
Il prête de l’argent gratuitement et fait tomber
Le taux d’utilisation ici avec nous à Venise.
Pour ces personnes, l’humanité
est une entrave gênante qu’il faut rationaliser et instrumentaliser
dans la poursuite de leurs objectifs criminels, et la morale chrétienne
est un obstacle odieux à l’établissement d’un gouvernement aux mains de
la finance. Si cela est possible aujourd’hui, c’est qu’il n’y a pas de
référence morale transcendante qui arrête leurs délires, ni de pouvoir
qui échappe à cet ignoble asservissement aux intérêts privés. Et ici,
nous comprenons que la situation actuelle est essentiellement une crise
d’autorité, au-delà de la compréhension des individus quant à la menace
posée par le coup d’État mondial de l’élite usuraire.
La Nativité du Christ
La
Naissance du Sauveur a représenté la percée de l’éternité dans le temps
et l’Histoire, avec l’Incarnation de la Deuxième Personne de la Très
Sainte Trinité dans le sein virginal de Marie Très Sainte. En la
personne de Notre-Seigneur, vrai Dieu et vrai homme, l’autorité de Dieu
s’ajoute à celle du descendant de la semence royale de David, et la
Rédemption du genre humain par le Sacrifice de la Croix rétablit dans
l’économie de la Grâce l’ordre divin brisé par le péché originel
inspiré par le Serpent.
L’Enfant Roi, couché dans la
crèche, se montre à l’adoration des bergers et des mages, enveloppé de
langes, comme c’était l’apanage des souverains : et hoc vobis signum
(Lc 2, 6). Il remue les étoiles et est honoré par les anges, mais il
choisit la crèche pour son trône, la pauvre hutte de Bethléem pour son
palais terrestre, tout comme au Golgotha – et aussi dans la vision de
l’Apocalypse – c’est la Croix qui est le trône de gloire.
Notre-Seigneur reçoit l’hommage des sages d’Orient en reconnaissance de
ses titres de Roi, de Prêtre et de Prophète ; mais déjà il doit fuir
celui qui voit en Lui une menace pour sa puissance. Hérode insensé et
cruel, qui ne comprend pas quenon eripit mortalia, qui regna dat
cœlestia – Il n’enlève pas les royaumes terrestres, qui accorde les
royaumes célestes.
Insensés
et cruels sont les puissants d’aujourd’hui, qui dans le massacre de
millions d’innocents – un massacre perpétré contre leurs corps comme
contre leurs âmes – veulent consolider leur tyrannie de la mort, et qui
dans l’esclavage des peuples renouvellent leur rébellion contre le Roi
des rois et le Seigneur des princes, qui a racheté ces âmes par Son
propre Sang.
Mais c’est dans l’humble
affirmation de sa Seigneurie que l’Enfant de Bethléem manifeste la
divinité du Fils de Dieu dans l’union hypostatique de l’Homme-Dieu. Une
divinité qui allie la toute-puissance du Pantocrator à la fragilité du
bébé non sevré, le formidable jugement du Juge Suprême au cri du
nouveau-né, l’immuable éternité de la Parole de Dieu au silence de
l’enfant, la splendeur de la gloire de la Majesté divine avec la misère
d’un abri pour animaux dans la nuit froide de la Palestine.
Dans cette contradiction
apparente qui unit merveilleusement la divinité à l’humanité, le
pouvoir à la faiblesse, et la richesse à la pauvreté, nous trouvons
aussi la leçon que nous tous, et particulièrement ceux qui sont
constitués en autorité, devons tirer pour notre vie spirituelle et pour
notre survie même. .
Même le Souverain, le Prince,
le Pontife, l’Évêque, le magistrat, l’enseignant, le médecin et le père
jouissent d’un pouvoir qui puise dans la sphère de l’éternité, dans la
Royauté divine du Fils de Dieu, car dans l’exercice de leur autorité
ils agissent au nom de Celui qui la légitime tant qu’elle reste fidèle
à ce pour quoi elle a été voulue.
Quiconque vous écoute, M’écoute. Et celui qui me méprise méprise celui qui m’a envoyé (Lc 10:16).
Pour
cette raison, obéir à l’autorité civile et ecclésiastique signifie
obéir à Dieu, dans l’ordre hiérarchique qu’Il a décrété. Pour cette
raison, désobéir à ceux qui abusent de leur autorité est également
nécessaire, afin de sauvegarder cet ordre qui a son centre en Dieu, et
non dans le pouvoir terrestre qui en est le vicaire. Sinon, on finit
par adorer celui qui détient le pouvoir, en lui rendant l’hommage
auquel il n’a droit que dans la mesure où il est à son tour soumis à
Dieu.
Aujourd’hui,
cependant, l’hommage à ceux qui détiennent des positions de pouvoir non
seulement n’a aucun lien de subordination due au Christ Roi et Pontife,
mais est plutôt Son ennemi. Et aussi, où la prétendue souveraineté
populaire propagée par la chimère de la démocratie s’est révélée être
une tromperie colossale contre ce peuple qui n’a personne à qui faire
appel pour voir ses droits protégés. D’autre part, quels « droits »
pourraient revendiquer ceux qui ont toléré qu’ils usurpent Dieu ?
Comment s’étonner que le pouvoir se transforme en tyrannie quand on
accepte qu’il n’a plus aucun rapport avec le transcendant, seul garant
de la justice pour le pauvre, l’exilé, l’orphelin et la veuve ?
Rétablir toutes choses en Christ
Le
triomphe apparent des méchants – des criminels du Forum économique
mondial aux hérétiques de la « voie synodale » – nous confronte à la
dure réalité du Mal, voué à la défaite définitive, mais aussi permis
par la Providence comme instrument de punition pour humanité
capricieuse.
Parce
que la pauvreté, les épidémies, la misère induite par les crises
planifiées, les guerres impitoyables motivées par des intérêts
économiques, la corruption des mœurs, le massacre des innocents reconnu
comme un « droit de l’homme », la dissolution de la famille, la ruine
de l’autorité, la dissolution de la civilisation, la barbarie de la
culture et de l’art, l’anéantissement de tout élan vers la vertu et le
Bien, tout cela n’est que la conséquence nécessaire d’une trahison
opérée progressivement mais toujours dans le même sens, et ce n’est
toujours qu’une introduction du pire c’est encore :non serviam contre
la Majesté divine, qui devient d’autant plus impitoyable et furieuse
que grandit la présomption satanique de pouvoir gagner une bataille
dont Satan sortira éternellement vaincu.
Dors, ô enfant ; ne pleure pas;
Dors, ô enfant céleste :
Les tempêtes n’oseront pas
Faire rage contre ta tête,
Utilisé sur la terre d’autrefois
Comme des chevaux de bataille avant
Ton très face à face !
Récapituler toutes choses dans
le Christ (Ep 1, 10), signifie recomposer l’ordre brisé par le péché,
tant dans l’ordre naturel que dans l’ordre surnaturel, tant dans la
sphère privée que dans la sphère publique, restituant la Couronne
royale au Roi de rois, à qui dans un délire de ὕβρις la Révolution l’a
enlevée; et, avant même, restituer la triple couronne au Souverain
Pontife, arrachée par l’idéologie de Vatican II et par l’apostasie de
ce « pontificat ».
Papes et Rois, prélats et
chefs des nations, fidèles de l’Église et citoyens des États, tous
doivent revenir, dans une palingénésie mûe par la Grâce, au Christ, au
Christ Roi et Pontife, à l’unique Vengeur des vrais droits de Son
peuple, à l’unique Protecteur des faibles et des opprimés, à l’unique
Conquérant de la mort et du péché. Et dans ce chemin de retour vers le
Christ, l’humilité nous guidera pour savoir retracer à rebours le
chemin facile de perdition que nous avons entrepris en abandonnant le
chemin du Calvaire tracé pour nous par le Seigneur. C’est un chemin
qu’Il a parcouru le premier, et sur lequel Il nous accompagne par la
Grâce des Sacrements, qui conduit à la Croix comme seule prémisse à la
gloire de la Résurrection.
Celui qui croit qu’en
continuant sur cette voie il est possible de changer les choses ;
qu’une limite peut être placée sur l’idéologie de la mort et du péché
du Nouvel Ordre Mondial ; que les méchants puissent être empêchés de
propager les horreurs de la pédophilie, de la perversion, de
l’annulation des sexes, du meurtre d’enfants, des faibles et de
personnes âgées, est illusoire.
Si
le monde est devenu un enfer grâce à la Révolution, il ne peut
redevenir moins mauvais et moins meurtrier qu’avec une action
contre-révolutionnaire. Si la Hiérarchie est devenue un réceptacle
d’hérétiques, de corrompus et de fornicateurs grâce à Vatican II et à
la liturgie réformée, elle ne peut redevenir l’image de la Jérusalem
céleste qu’en revenant à ce que les Apôtres, Pères et Docteurs, Saints,
Papes et Les évêques l’ont fait jusqu’avant le Concile.
Continuer sur le chemin de la perdition conduit, en effet, à la perdition.
Plus tôt chacun de nous sera
capable de renforcer son appartenance au Christ, plus tôt la société
commencera son retour vers son Seigneur. Et cette appartenance
inconditionnelle à un Dieu qui s’est incarné pour nous racheter doit
commencer par l’humble adoration de l’Enfant Roi, au pied de la crèche,
avec les bergers et les mages.
Dors, ô enfant céleste :
Les nations ne savent pas
qui est né ;
Mais le jour viendra
Quand ils seront
Votre noble héritage;
Toi qui dors si humblement,
Toi qui es caché dans la poussière :
Ils vous connaîtront comme roi.
Puisse venir pour nous tous le
moment béni où, touchés par la Grâce et émus par la vision salutaire de
l’enfer sur terre qui se prépare si nous restons inertes pendant que
s’installe la dystopie mondialiste, nous reconnaissons le Roi. Et dans
lequel, en Le reconnaissant, nous pouvons combattre sous Ses saints
insignes avec le redoutable Vainqueur de Satan – l’Immaculée – la
bataille historique contre l’Ennemi de l’humanité. Ce sera une créature
– une Femme, une Vierge, une Mère – qui écrasera la tête de l’ancien
Serpent, et avec elle la tête de ses disciples maudits.
Et qu’il en soit ainsi.
+ Carlo Maria Viganò, archevêque
17 décembre 2022
Samedi de l’Avent des Quatre Saisons »
09 décembre
LA DYNAMIQUE DU SYSTÈME DE L'ANTICHRIST
Les aveugles conduisent des aveugles.
« Or, si un aveugle conduit un aveugle, ils tomberont tous deux dans la fosse. »
Le
regretté Serge Monast avait vu juste : « Le nouveau critère sera
ainsi défini : Les vrais chrétiens seront ceux qui partageront toutes
les croyances religieuses du Nouvel Ordre Mondial en tant que nécessité
de base pour la survie de l’humanité. » (Serge Monast, Le Complot des
Nations-Unies contre la Chrétienté,1995; voir aussi 29 juillet 2021)
Ne croyez vous pas vivre cette période ultime?
Le système Antichrist tel un pieuvre géante emprisonne ses proies une à une.
Seuls
lui échappent ceux qui vivent hors de Babylone, les chrétiens fidèles à la
Loi et aux Prophètes, les deux témoins de l’Apocalypse.
Ce
système est représenté par les bêtes à sept têtes et dix cornes de
l’Apocalypse, en plus du faux témoin sur le trône de Saint-Pierre.
Depuis
la pandémie, il est évident que ceux qui sont à la tête des pays ne
sont que des clones, des « têtes » faisant parties d’une puissance
temporelle supérieure, qui a toujours aimé vivre dans l’ombre
mais qui n’a plus peur de s’étaler au grand jour maintenant qu’elle
pense gagner la guerre à l’Agneau… Car c’est cela qui est au cœur de
cette guerre.
Les gouvernants appliquent les directives en restreignant les libertés d’être et de penser.
Ils
appliquent des lois et des principes qui sont contre nature, légitimant
ainsi le péché, tout comme le fait Bergoglio au Vatican.
Ainsi,
ceux qui ne pensent pas comme le système sont carrément rejetés, mis de
côté, et bientôt, on leur coupera les vivres grâces à la monnaie
électronique.
Il n’est pas étonnant d’avoir le sentiment de vivre dans un monde de fous.
La rage de Satan est telle qu’il pousse même l’humanité à détruire la planète qui la fait vivre au nom de l'économie.
Ce
n’est pas les cris désespérés de la jeunesse qui y changera grand-chose
car elle est envoûtée dans la nouvelle religion humaniste basée sur les
droits de l’homme et le « saint » réchauffement climatique.
On
le sait. La puissance supérieure qui mène se réserve son paradis
terrestre... après avoir réduit la population à un niveau acceptable.
«
...L'Église, sous le pouvoir de l'Anti-Pape, sera absolument identique
à l'Église de Jérusalem au temps de Jésus-Christ. Elle partagera
l'idéologie des Nations-Unies de la même manière que les Prêtres du
Temple partageaient l'Idéologie et le Pouvoir avec les Romains. Elle
conservera les croyances en Jésus-Christ comme façade afin de
dissimuler ses réels intérêts qui seront, en réalité, la richesse, le
Pouvoir Politique et Religieux, et l'opportunisme sur tous les fronts
tel que cela était le cas de l'Église de Jérusalem au temps de l'Empire
Romain. Elle établira de nouveaux ''Concepts Religieux'', tous basés
sur la divinité de l'Homme où celui-ci sera considéré comme étant le
''Centre''... ... En accord avec l'Agenda International à remplir, la
première initiative de l'Anti-Pape en sera une de réconciliation
truquée avec l'ensemble des Églises Chrétiennes du monde... L'élection
d'un Anti-Pape aura eu pour effet de provoquer un ''Schisme'' majeur,
supposé être le dernier devant survenir dans le Monde Chrétien…
Voici donc le «Mensonge des
Mensonges»! Voici «l'Abomination des Abominations»! Les faux chrétiens
étant à la tête de la nouvelle église mondiale; et prétendant être les
seuls et uniques représentants de Jésus-Christ d'un côté; de l'autre,
les vrais et réels disciples de Jésus-Christ sur la route du Calvaire
considérés comme étant les ennemies de l'État Mondial tel que cela
était le cas, il y a deux milles ans, en face des prêtres de Jérusalem,
et en face de l'empereur romain à Rome.» (S.Monast, idem ci-haut)
«
… En outre, la quantité de lois, de décrets et de règlements est telle
que non seulement il devient nécessaire de faire appel à des experts
pour savoir si une certaine action est permise ou interdite, mais que
même les fonctionnaires chargés de faire appliquer les règles
deviennent confus et contradictoires.
Dans
une telle société, l’art de vivre ne peut que consister à minimiser
l’obligatoire et l’interdit et, à l’inverse, à maximiser le permis,
seul domaine dans lequel sinon le bonheur, du moins la joie devient
possible. Mais c’est précisément ce que les misérables qui nous
gouvernent font tout pour empêcher et rendre difficile, en multipliant
les règles et les règlements, les contrôles et les
vérifications. Jusqu’à ce que la morne machine qu’ils ont
construite se ruine, bloquée par les règles et les dispositifs mêmes
qui étaient censés lui permettre de fonctionner. » (benoit-et-moi.fr)
Alors...
« Qui commande dans le monde (occidental) aujourd’hui?
... Il n’y a plus que la
réalité d’un modèle unique, macrolibéral, turbo-capitaliste, garni
d’une idéologie unique, libérale, humanitaire et
progressiste. Mais il n’y a plus de concurrence de modèles, ni
même de référence visible à un État et à une souveraineté ; il n’y a
que la domination réelle et globale d’un système de commandement, qui
se présente comme unique, irréversible, indépassable. Il n’y a pas
de droite ou de gauche, de conservateur ou de progressiste, par rapport
à ce système impersonnel, acéphale et polycentrique… Dans ce contexte,
tout leadership, à commencer par celui qui reçoit une investiture
démocratique et populaire, disparaît. Les chefs d’État et de
gouvernement ne sont que des hologrammes, des larves, des fantômes en
transit qui donnent un visage délavé et provisoire au pouvoir qui les
surplombe ; des figurations mimétiques d’un Système techno-financier
inoxydable qui veille sur le sort de l’humanité et décide en dernier
ressort de l’agenda des événements, fabrique les lignes directrices et
façonne l’opinion publique, ou déstructure toute autre opinion qui
n’est pas alignée ou favorable à son système.
Tel est l’Occident
aujourd’hui. Non pas une civilisation, ou une représentation plurielle
du monde libre et de la pensée indépendante, mais son contraire.
Pourtant, il se présente sous
une forme qui préserve l’aspect rassurant d’un système évolué et
global, fondé sur la liberté et la démocratie, voire articulé sur les
droits de l’homme, la paix même au prix de la guerre, l’inclusion même
au prix de lourdes exclusions, la liberté infinie des désirs même au
prix de la suppression de tout ce qui ne se conforme pas à ce cadre. Il
n’y a rien qui rappelle la civilisation, et donc les traditions, les
identités, les différences ; il n’y a que la mégamachine totalitaire
dans l’infini du présent global.
La contestation ne connaît
aucun exutoire, toute tentative de déviation est durement punie et
réprimée ; les Trump et les Johnson sont expulsés dès qu’ils présentent
une quelconque difformité, il n’y a pas de place pour des leaderships
qui ne soient pas totalement inféodés au Pouvoir dominant. Il est
obligatoire de croire que nous vivons dans le Meilleur des Mondes
possibles. » (benoit-et-moi.fr)
« La société moderne est en
train de formuler une foi antichristique, à laquelle on ne peut
s’opposer sans être puni par l’excommunication sociale. Il est donc
plus que naturel d’avoir peur de cette force spirituelle de
l’Antéchrist, et il faut vraiment l’aide de la prière d’un diocèse
entier, et de l’Église universelle pour y opposer de la résistance. »
(Benoît XVI)
Tel est la dynamique de l’Antichrist.
Un système où tous étouffent sans le savoir, où règne la peur et les fausses paix, où les âmes… meurent.
Hors de Babylone sont ceux qui
sont dans la chair mais ne vivent pas selon la chair. Ils passent leur
vie sur la terre tout en contemplant le ciel car NSJC leur a
promis. Ils obéissent aux lois établies, en rendant à César ce qui est
à César, et leur manière de vivre surpasse toutes les lois.
Il n’y a pas de sortie possible sans un système basé sur le Christ Roi.
Novembre 2022
25 novembre
LA BÊTE EST SORTIE DE L’EAU
Comme les événements se précipitent…
Nous ne pouvons plus parler de la bête au futur.
Elle se montre et le peuple chloroformé par ses appétits matérialistes ne réagit même pas.
Effectivement,
les politiciens issus de l’école du Forum Économique Mondial
l’admirent, et les élites milliardaires montés sur l’autel suprême de
leur montagne de profits se donnent le droit d’être les nouveaux
gourous planétaires, les nouveaux messies qui prennent la place de Dieu
et dictent leur monde idéal.
C’est la fusion entre le politique et le privé, le système Antichrist.
Rappelez-vous « la bête est là » d’Emmanuel Macron.
Rappelez-vous La bête « Gardien de la Paix et de la Sécurité » a été placée aux Nations-Unies le 21 décembre 2021.
Et cette semaine à l’APEC (Asia-Pacific Economic Cooperation) :
« Êtes-vous du côté américain
ou chinois ? Parce que maintenant, progressivement, beaucoup de gens
aimeraient voir qu'il y a deux ordres dans ce monde. C'est une énorme
erreur, même pour les États-Unis et la Chine.
"Nous avons besoin d'un ordre mondial unique" (Emmanuel Macron). »
Tout juste après le G20 et le
B20 (Le forum du B20 de représentants d'entreprises a une ligne de
communication directe avec les dirigeants du Groupe de 20 (G20). Le
secteur privé formule des recommandations de politique générale lors de
la réunion annuelle du G20).
Et le président du Forum Économique Mondial, Klaus Schwab a eu droit son moment durant ce B20 :
«
1. … Nous pouvons parler d’une multi-crise, une crise économique,
politique, sociale, écologique et institutionnelle, mais en fait ce à
quoi nous devons faire face est une profonde restructuration systémique
de notre monde, et cela prendra un certain temps, et le monde aura une
apparence différente après que nous ayons terminé le processus de
transition.
Politiquement
les forces qui dirigent la transformation politique est une transition
vers un monde multipolaire, qui a la tendance à rendre notre monde plus
fragmenté.
Pour
ces raisons, les événements comme le B20, le G20, et ainsi de suite,
sont des connecteurs des plus importants pour éviter une plus grande
segmentation.
Je dirais, « blocalisation » au lieu de « globalisation » de notre monde.
Si vous regardez les forces de transformations économiques, je voudrais juste en citer quatre :
a. la transition énergétique.
b. la transformation de nos chaînes d’approvisionnement.
c. l’intégration des coûts externes tel que la gestion des plastiques dans les océans.
C’est pourquoi en marge du B20
et du G20, je profite de l’occasion pour annoncer la création d’un O20
pour prendre soin de nos océans.
d.
nous voyons les conséquences de la militarisation de nos économies.
Maintenant, tout cela signifie, c’est qu’une transformation de nos
économies vont amener des réductions de revenus et des coûts
supplémentaires aux entreprises, ce qui peut conduire à de vastes
tensions sociales que nous voyons se développer dans le monde
maintenant.
Comment pouvons nous faire face à une telle transition qui peut durer plusieurs années?
N’appliquez pas seulement la gestion de crise, ni juste réagir, mais construisez le futur avec un but.
Nous
devons utiliser ce temps de transition avec en vue un concept clair de
ce que nous voulons accomplir, de réaliser comment nous voulons sortir
de cette période de transition : nous voulons en sortir avec un
monde plus durable, plus résilient et plus inclusif.
2.
… révolution des forces industrielles… bref AI, technologie quantique,
monde de Meta, etc. La force de cette révolution est
différente :
• sa portée, non seulement une ou deux innovations mais l’ensemble de
la technologie (donc un messie technologique est annoncé) qui va
complètement changer la manière dont nous produisons, dont nous
consommons, dont nous communiquons.
• La vitesse : nous sommes à un point d’inflexion d’un
développement technologique exponentiel. La technologie va changer
COMPLÈTEMENT. CELA AURA UN IMPACT MÊME SUR QUI NOUS SOMMES (il mise sur
le métaverse).
• Les gagnants prennent tout car la nouvelle technologie sera très dure
à copier. Si vous êtes premiers nés, vous êtes les gagnants, et cela
déterminera la concurrence mondiale au niveau national, au niveau des
entreprises en large mesure.
Depuis
la crise de la Covid on a tendance à penser que les gouvernements ont
pris le dessus. NON. Ce devrait être les gouvernements ET les
entreprises, qui doivent coopérer pour devenir un POISSON RAPIDE, car
dans notre monde d’aujourd’hui, ce n’est plus tellement qui est le gros
poisson qui mange le petit poisson, mais c’est le poisson rapide qui
mange le poisson lent. Bref intégration des entreprises et des
gouvernements est nécessaire pour la gouvernance des nations. »
Ces élites pensent qu’ils ont beaucoup de temps pour compléter leur révolution.
La révolution technologique
dont Schwab parle, si on se souvient bien de son livre, c’est la
fusion, l’intégration de l’intelligence artificielle dans le corps
humain, d’où son exemple chéri du métavers.
C'est le transhumanisme.
C’est inévitable pour eux étant donné qu’ils veulent contrôler tout.
Il faut donc introduire la technologie de contrôle dans le corps humain.
La vitesse d’exécution est
rapide: il donne l’exemple lors de l’écriture de son livre il y a 5 ans
où il nommait 23 nouvelles technologies dont 5 étaient déjà réalisées.
En 2022 dit-il, toutes ces technologies sont réalisées et même
dépassées.
Dans les deux prochaines
années, nous verront la monnaie numérique de la part des banques
centrales, et le contrôle individuel pratiqué avec le passeport Covid
implanté, sous prétexte de protection de l’identité des donnés des
individus.
Exemples:
– les banques américaines ont lancé leurs pilotes de monnaie numérique pour 2023.
– La banque russe a fait de même, ainsi que la Chine, l’Inde, etc.
–
« L’usurpation d’identité touche des centaines de milliers de Canadiens
par année, et le Québec est la province où le plus grand nombre de cas
sont rapportés. Une des solutions au fléau : l’identité numérique, un
projet qui pourrait voir le jour dès 2025 et qui soulève des questions
inédites sur la propriété des renseignements personnels des Québécois.
« 100 % des Canadiens vont être touchés » » (lapresse.ca)
Tout pointe vers une dictature mondiale, un seul ordre mondial, et une seule religion mondiale.
Les bêtes de la Terre et de la Mer agissent de pair.
Ils pensent qu’ils ont beaucoup de temps parce qu’ils se prennent pour des dieux.
Or, le plan divin suit la tendance de l’église, de son Église.
Et cette Église, elle subit sa passion à l’image du Christ.
Ce plan de Dieu se déroule sous nos yeux et presque personne ne le voit.
Le faux prophète de l’Apocalypse, le grand prêtre du sanhédrin (Vatican II) est sur le trône et il condamne l’Église.
Ce que Mgr Vigano confirme :
« Viganò: La farce pandémique COVID a servi de ballon d’essai pour le Nouvel Ordre Mondial
( LifeSiteNews ) — … Je suis heureux de pouvoir m’exprimer et partager avec vous mes réflexions sur la crise mondiale actuelle.
Une
crise que l’on peut considérer comme ayant commencé avec l’urgence
pandémique, mais dont on sait qu’elle est planifiée depuis des
décennies avec des objectifs très précis par des personnalités bien
connues.
S’arrêter
à la seule pandémie serait en effet une grave erreur, car cela ne
permettrait pas d’envisager les événements dans toute leur cohérence et
leur interdépendance, nous empêchant ainsi de les comprendre et surtout
d’identifier les intentions criminelles qui les sous-tendent.
Vous aussi – chacun avec votre propre expertise dans les domaines
médicaux, scientifiques, juridiques ou autres – conviendrez avec moi
que le fait de vous limiter à votre propre discipline, qui dans
certains cas est extrêmement spécifique, n’explique pas complètement la
justification de certains choix qui ont été fais par les gouvernements,
organismes internationaux et agences pharmaceutiques.
Par exemple, trouver du matériel « ressemblant au graphène »
dans le sang de personnes qui ont été inoculées avec des sérums
expérimentaux n’a aucun sens pour un virologue, mais cela a du sens
pour un expert en nanomatériaux et en nanotechnologie qui comprend à
quoi peut servir le graphène.
Cela a également du sens pour un expert en brevets médicaux, qui
identifie immédiatement le contenu de l’invention et le relie à
d’autres brevets similaires. Cela a également du sens pour un expert en
technologies de guerre qui connaît les études sur l’homme amélioré (un
document du ministère de la Défense britannique l’appelle «homme
augmenté» en termes transhumanistes) et est donc capable de reconnaître
dans les nanostructures de graphène la technologie qui permet
l’augmentation de la performance de guerre du personnel militaire.
…
Ces derniers jours, lors du sommet du B-20 à Bali, Klaus Schwab a donné
des instructions aux chefs de gouvernement – presque tous issus du
programme Young Global Leaders for Tomorrow du Forum économique mondial
– sur les prochaines étapes à suivre en vue d’établir un gouvernement
mondial.
Le président d’une organisation privée très puissante avec d’énormes
moyens économiques exerce un pouvoir indu sur les gouvernements
mondiaux, obtenant leur obéissance de dirigeants politiques qui n’ont
aucun mandat populaire pour soumettre leurs nations aux illusions de
pouvoir de l’élite : ce fait est d’une gravité sans précédent.
Klaus Schwab a déclaré : « Dans la quatrième révolution industrielle,
les gagnants prendront tout, donc si vous êtes un précurseur du Forum
économique mondial, vous êtes les gagnants » (ici). Ces déclarations
très sérieuses ont deux implications : la première est que « les
gagnants prendront tout » et seront « gagnants » – il
n’est pas clair à quel titre et avec la permission de qui. La seconde
est que ceux qui ne s’adapteront pas à cette « quatrième révolution
industrielle » se retrouveront évincés et perdront – ils perdront tout,
y compris leur liberté. En bref, Klaus Schwab menace les chefs de
gouvernement des vingt nations les plus industrialisées du monde de
réaliser les points programmatiques de la Grande Réinitialisation dans
leurs nations. Cela va bien au-delà de la pandémie : c’est un coup
d’État mondial, contre lequel il est essentiel que les peuples se
soulèvent et que les organes encore sains des États entament un
processus juridique international. La menace est imminente et sérieuse,
À la lumière de ces déclarations – et de celles d’autres personnes non
moins délirantes que Yuval Noah Harari, le conseiller de Schwab – nous
comprenons comment la farce pandémique a servi de ballon d’essai pour
imposer des contrôles, des mesures coercitives, restreindre les
libertés individuelles et augmenter le chômage et la pauvreté. Les
prochaines étapes devront être réalisées au moyen de crises économiques
et énergétiques, qui sont essentielles à la mise en place d’un
gouvernement synarchique aux mains de l’élite mondialiste.
Et ici, chers amis, permettez-moi de parler en tant qu’évêque. Car dans
cette série d’événements auxquels nous assistons et que nous
continuerons d’assister, votre engagement risque d’être contrecarré ou
limité par le fait de ne pas voir sa nature essentiellement
spirituelle. Je sais que deux siècles de pensée des Lumières, de
révolutions, de matérialisme athée et de libéralisme anticlérical nous
ont habitués à penser la Foi comme une affaire personnelle, ou qu’il
n’y a pas de Vérité objective à laquelle nous devons tous nous
conformer. Mais c’est le fruit d’un endoctrinement propédeutique, bien
antérieur à ce qui se passe aujourd’hui, et il serait insensé de croire
que l’idéologie anti-chrétienne qui animait les sectes secrètes et les
groupes maçonniques du XVIIIe siècle n’avait rien à voir avec
l’idéologie anti-chrétienne qui anime aujourd’hui des gens comme Klaus
Schwab, George Soros et Bill Gates. Les principes moteurs sont les
mêmes : rébellion contre Dieu, haine de l’Église et de l’humanité,
fureur destructrice dirigée contre la Création et surtout contre
l’homme parce qu’il est créé à l’image et à la ressemblance de Dieu.
Si vous partez de cette évidence, vous comprendrez qu’il n’est pas
possible de prétendre que ce qui se passe sous nos yeux résulte
uniquement de la recherche du profit ou de la volonté de pouvoir.
Certes, la partie économique ne peut être ignorée, compte tenu du
nombre de personnes qui ont collaboré avec le Forum économique mondial.
Et pourtant, au-delà du profit, il y a des buts inavoués qui relèvent
d’une vision « théologique » – c’est vrai, c’est inversé, mais toujours
théologique – une vision qui voit deux faces opposées : la face du
Christ et la face de l’Antéchrist.
Il ne peut y avoir de neutralité, car lorsqu’il y a un affrontement
entre deux armées, ceux qui choisissent de ne pas combattre font aussi
un choix qui affecte l’issue de la bataille. D’autre part, comment
est-il possible de reconnaître dans vos nobles et hautes professions
l’ordre admirable que le Créateur a placé dans la nature (des
constellations d’étoiles aux particules de l’atome) et ensuite nier que
l’homme fait aussi partie de cette ordre, avec son sens moral, ses
lois, sa culture et ses découvertes ? Comment l’homme, qui est la
créature de Dieu, peut-il prétendre ne pas être soumis à des lois
éternelles et parfaites ?
Notre combat n’est pas contre des créatures faites de chair et de sang,
mais contre les Principautés et les Puissances, contre les princes de
ce monde de ténèbres, contre les esprits du mal qui habitent les lieux
célestes (Eph 6:12).
D’un côté, il y a la Cité de Dieu – celle dont parle saint Augustin –
et de l’autre, il y a la Cité du diable. On peut dire qu’à cette époque
la cité du diable est clairement identifiable dans le mondialisme
néo-malthusien, le Nouvel Ordre Mondial, les Nations Unies, le Forum
Economique Mondial, l’Union Européenne, la Banque Mondiale, le Fonds
Monétaire International, et dans toutes ces soi-disant «fondations
philanthropiques» qui suivent une idéologie de la mort, de la maladie,
de la destruction et de la tyrannie. Et aussi dans ces forces qui ont
infiltré les institutions, que nous appelons l’État profond et l’Église
profonde.
Par contre, il faut reconnaître que la Cité de Dieu est plus difficile
à identifier. Même les autorités religieuses semblent avoir trahi leur
rôle d’orientation des fidèles, préférant servir le pouvoir et propager
leurs mensonges. Ceux-là mêmes qui devraient protéger et sanctifier les
âmes les dispersent et les scandalisent, qualifiant les bons chrétiens
de fondamentalistes rigides. Comme vous pouvez le voir, l’attaque est
sur plusieurs fronts, et c’est donc une menace mortelle pour
l’humanité, frappant à la fois le corps et l’âme.
Et pourtant, précisément à une époque où il est difficile de trouver
des repères faisant autorité – aussi bien dans le domaine religieux que
temporel – on voit de plus en plus de personnes qui comprennent,
ouvrent les yeux et reconnaissent le esprit criminel derrière
l’évolution des événements. Il est maintenant clair que tout est lié,
sans avoir à écarter ceux qui le disent comme des « théoriciens du
complot ». Le complot est déjà là : nous ne l’inventons pas, nous
le dénonçons simplement, en espérant que les gens se réveilleront de
cette narcose suicidaire et exigeront que quelqu’un mette fin au coup
d’État mondial. Les opérations d’ingénierie sociale et de manipulation
de masse ont démontré hors de tout doute que ce crime était prémédité,
et combien il est cohérent avec une vision « spirituelle » du conflit
qui se déroule actuellement :
J’espère que ce grand travail que vous entreprenez portera bientôt les
fruits attendus, mettant fin à un temps d’épreuve dans lequel nous
voyons comment le monde deviendra si nous ne nous tournons pas vers le
Christ, si nous continuons à penser que nous pouvons coexister avec le
mal, le mensonge et le culte de soi. Après tout, la Cité de Dieu est le
modèle de ceux qui vivent dans l’amour, la maîtrise de soi et le mépris
de Dieu pour le monde ; la cité du diable est le modèle de ceux qui
vivent dans l’amour-propre, se conforment au monde et méprisent Dieu.
Je vous remercie et vous bénis tous.
+ Carlo Maria Viganò, archevêque »
L’Église par le processus synodal est soumise à la condmanation à venir de Pilate :
« Les contours du processus
synodal deviennent de plus en plus clairs. Il fournit un porte-voix
pour les points de vue non religieux… Ce que le document de travail
semble suggérer, c’est de compiler une liste de griefs et d’en discuter
ensuite. Mais la mission de l’Église en est une autre. Il ne s’agit pas
d’examiner toutes les opinions et de parvenir ensuite à un accord.
Jésus nous a commandé autre chose : proclamer la vérité… À ce jour, le
processus synodal ressemble à une expérience sociologique qui n’a que
peu à voir avec l’Esprit Saint qui devrait résonner en chacun. Tout
cela pourrait presque être qualifié de blasphématoire ».
Ces
évaluations proviennent d’un évêque, Monseigneur Robert Mutsaerts,
auxiliaire du diocèse de ‘s-Hertogenbosch aux Pays-Bas, qui les a
publiées sur son blog annonçant qu’il avait abandonné le synode avec
une raison très claire : « Dieu est hors du cadre de cet ignoble procès
synodal. Le Saint-Esprit n’a absolument rien à voir avec cela. Parmi
les protagonistes de ce processus il y a pour moi un peu trop de
défenseurs du mariage homosexuel, des gens qui ne pensent pas vraiment
que l’avortement est un problème et ne se montrent jamais vraiment en
défenseurs du riche credo de l’Église, car ils veulent avant tout être
appréciés à leur environnement séculier. Tout cela n’est pas pastoral,
ce n’est pas aimer. Les gens veulent des réponses honnêtes. Il ne
veulent pas rentrer chez eux avec plus de questions. Vous éloignez les
gens du salut. C’est pourquoi j’ai abandonné le procès synodal ».
…
La rhétorique de l’accueil et de l’inclusion selon Mgr Mutsaerts cache cependant des objectifs pervers.
«
Le mantra du processus – écrit l’évêque néerlandais – est : écouter.
Qui? Tous ». Ce qui se traduit en fait par offrir un mégaphone aux
points de vue les plus éloignés de la doctrine de l’Église. Quand le
document affirme que l’Église « apprend, par l’écoute, à
renouveler sa mission évangélisatrice à la lumière des signes des
temps, afin de continuer à offrir à l’humanité une manière d’être et de
vivre dans laquelle chacun puisse se sentir inclus comme
protagoniste » , c’est déclarer quelque chose qui n’a rien à voir
avec la proclamation de la vérité.
Le paragraphe 39 est
explicatif, où, à propos des « exclus », on lit :
« Parmi ceux qui demandent un dialogue plus significatif et un
espace plus accueillant, on trouve aussi ceux qui, pour diverses
raisons, ressentent une tension entre l’appartenance à l’Église et
leurs propres relations amoureuses, telles que : les divorcés remariés,
les parents célibataires, les personnes vivant dans des mariages
polygames, les personnes LGBTQ, etc. ».
Mais
la mission de l’Église, commente l’évêque néerlandais, n’est pas
d’écouter tous ceux qui vivent en dehors de ses enseignements. La
mission de l’Église « n’est pas d’examiner toutes les opinions et de
trouver ensuite un accord. Jésus nous a commandé autre chose :
proclamer la vérité ; c’est la vérité qui vous rendra libre ».
Particulièrement
curieux, note Mutsaerts, est le point où l’on dit que l’Église ne fait
pas attention à la polygamie. Mais, d’ailleurs, le document ne fait
même pas attention aux traditionalistes. Et eux aussi se sentent
exclus. En effet, ils le sont littéralement du pape François (
Traditionis custodes ). Apparemment, il ne peut y avoir aucune empathie
pour eux ».
D’où
le jugement clair de l’évêque, qui parle du synode comme d’une
« expérience sociologique » qui « n’a pas grand-chose à
voir avec l’Esprit Saint », alors que « ce qui devient de
plus en plus clair, c’est que le processus synodal sera utilisé pour
changer certaines positions de l’Église, jetant l’Esprit Saint dans la
mêlée comme un soutien ».
«
Surtout, ce qui ressort des écoutes, c’est une foi évaporée, qui n’est
plus pratiquée, qui n’accepte pas les positions de l’Église. Les gens
se plaignent que l’Église n’accepte pas leurs positions. Mais ce n’est
pas tout à fait vrai. Ce sont les évêques flamands et allemands qui
prennent leurs distances avec le peuple, ce qui est en réalité bien
plus tragique. Ils ne veulent plus appeler le péché par son nom et donc
on ne parle plus de conversion et de repentance ».
…
«
La phase finale du processus synodal ne peut s’avérer qu’une confusion
dans la Tour de Babel. Comme on pouvait s’y attendre, quiconque n’a pas
de place pour son opinion dira qu’il a été exclu. Et c’est une recette
pour le désastre. Si chacun a le droit de faire ce qu’il veut – ce qui
est en fait impossible – le désastre est complet. Alors l’Église se
sera niée et gaspillée son identité ».
… (aldomariavalli.it)
La mort de l’Église est donc imminente.
Le temps est compté contrairement à ce que pensent les élites de ce monde.
Et
entre la mort du Christ et la résurrection, entre la mort des deux
témoins de l’Apocalypse et la résurrection de ces derniers, il n’y a
que trois jours.
Benoît XVI est l’image vivante des deux témoins.
«
… « Ratzinger souffre pour l’Église », nous dit Peter Seewald. Certes,
et il y a de quoi. Par contre, il est douteux que ce soit la seule
situation de « son Église » en Allemagne qui l’inquiète… C’est une
interprétation « religieusement correcte » destinée à ne pas heurter la
susceptibilité de François. Mais Benoît a certainement bien d’autres
sujets d’affliction pour l’Eglise.
(…) Seewald a confié avoir été
reçu en audience par le pape émérite ce mois-ci et avoir eu
l’impression que le vieux théologien souffre beaucoup de « la situation
actuelle de l’Église » au point de confesser que « peut-être Dieu le
voulait encore ici pour témoigner au monde »… » (benoit-et-moi.fr)
Dieu veille.
7 novembre
LA BÊTE SORT DE L’EAU partie II (en référence à l’analyse du 2 juin 2022)
Déjà
presque six mois depuis cette analyse et on peut affirmer avec le recul
que l’élite judéo-maçonnique a accéléré sa transition vers la « grande
réinitialisation ».
Elle se fait avec la guerre,
les pénuries, l’inflation, essayant de démoraliser la population tout
en initiant la peur pour finalement proposer le nouveau système, le
messie tant attendu.
« C'est le temps des deux empereurs.
Et la Mère n'a pas de père, parce que beaucoup veulent être son père. Et deux seront soutenus par les adversaires.
Les cris et les barrières de la contestation se lèvent, mais déjà la Bête sort de l'eau. »
(Jean XXIII, Le Temps est Proche)
Les deux empereurs sont en place.
Ne vous méprenez pas, aucun des deux n’est un sauveur, ne représente une bonne cause, le bien contre le mal.
Les deux sont les reflets du clivage est-ouest de la bête système, de l’antichrist système.
Les
deux ont en commun la nouvelle religion humaniste mais diffèrent sur la
manière de gérer le monde : pour l’axe anglo-saxon, c’est un monde
unipolaire à la morale dégénérée, pour l’axe avec en tête la Russie,
c’est un monde multipolaire avec comme base une morale humaniste, la
religion ayant sa place en tant que religion œcuménique basée sur
l’humanisme.
Vous devinerez que l’église conciliaire adhère à ce dernier principe avec son faux prophète Bergoglio.
Cette
église court une grand danger car l’axe anglo-saxon ne désire que faire
la guerre à la grande prostituée, et l’éliminer, comme décrit dans
l’Apocalypse.
C’est
pourquoi l’église catholique est la seule qui « réfléchie » par un
synode, qui n’est autre qu’une adaptation, un abaissement de ses dogmes
pour adhérer à la religion humaniste.
Toutes les autres grandes religions mondiales demeurent dans leurs tranchées. Pas un ïota de leurs principes est en cause.
Il n'est pire aveugle que celui qui ne veut pas voir.
Nous
avons vu dans les analyses précédentes les interventions de Pierre
Hillard sur cette guerre entre les deux clans judéo-maçonniques, l’un
proche de la City de Londres, et l’autre proche de la Russie, qui n’est
qu’une guerre pour le partage du gâteau mondial.
Le
clan anglo-saxon veut avoir toutes les richesses limitées du monde,
alors que le clan mené par la Russie prône le partage des richesses
(toujours dans le contexte que les richesses seront entre les mains
d’une minorité; le petit reste, les goïm, ceux qui ne sont pas dignes
de faire parti du peuple prêtre, seront réduit à l’esclavage).
Quelques preuves qui ne relèvent pas du complotisme et qui prouve que nous sommes dans la dernière ligne droite.
Elles viennent toutes de la Russie car l’occident cache bien son jeu.
Cet
occident proclamant « paix et sécurité » à la manière indiqué par
Saint-Paul, mais qui nous prépare un chaos total via le pion ukrainien.
La
Russie affirme que la guerre ne se situe pas sur sa seule intervention
en Ukraine, mais sur ces deux visions du monde antagonistes du nouvel
ordre mondial qui ne peuvent plus cohabiter.
C’est l’heure du choix entre deux types de civilisations.
Là est le véritable affrontement.
Le
ministre des affaires extérieures russe a prononcé le 24 octobre
dernier aux Nations-Unies, un discours axé essentiellement sur ce
point :
« Aujourd’hui
la question de l’ordre mondial qui se dessine est claire pour tout
observateur impartial : elle est de savoir si cet ordre mondial est un
ordre nouveau, démocratique, juste, un monde sans chantage, sans que
l’on ait besoin de faire peur à ceux qui ne sont pas d’accord avec
nous, sans néocolonialisme ; ou le monde que nous avons aujourd’hui,
l’ordre hégémonique, qui contraint tout un chacun à vivre selon
certaines règles, même si l’on n’est pas d’accord avec ces règles. La
Russie a choisi d’avoir, avec nos alliés et partenaires et les pays qui
partagent nos idéaux, nous souhaitons voir ce monde advenir. Ce
qui ne nous convient plus, c’est ce modèle unipolaire du développement
mondial, qui ne sert que les intérêts de l’Occident. »
« La
période historique de domination sans partage de l’Occident sur les
affaires mondiales touche à sa fin, le monde unipolaire appartient au
passé. Nous nous trouvons à un tournant historique. La décennie qui
s’ouvre devant nous est peut-être la plus dangereuse, la plus
imprévisible et la plus importante depuis la fin de la Seconde Guerre
mondiale. L’Occident est incapable de diriger seul l’humanité, mais il
tente désespérément de le faire, et la plupart des nations du monde ne
sont plus disposées à le supporter. (…) Cet état de fait est lourd de
conflits mondiaux ou d’une chaîne de conflits, ce qui constitue une
menace pour l’humanité, y compris l’Occident lui-même. »
L’axe
représenté par la Russie rêve d’une grande union économique eurasienne,
autonome pour larguer le système occidental, de Lisbonne à Vladivostok
comme l’a déjà affirmé le président russe.
L’Ukraine est la façade de ce conflit majeur.
Jean XXIII avait prévenu dans la prophétie « Grand Éclair à l’Orient » :
« Le temps a nourri un esprit trouble, à l'ombre de la croix rouge et noir, inconnue de tous, fille des fugitifs de Nuremberg.
Elle a ourdi le crime contre elle-même. Il y en a qui renoncent à la vie, par amour du mal.
La terre frisera le massacre. »
« Nous
déchaînerons les nihilistes et les athées et provoquerons un formidable
cataclysme social qui démontrera clairement aux nations, dans toute son
horreur, l'effet de l'athéisme absolu, l'origine de la barbarie et de
la subversion sanglante. Alors les citoyens de partout, contraints de
se défendre contre une minorité mondiale de révolutionnaires, […]
recevront la vraie lumière à travers la manifestation universelle de la
pure doctrine de Lucifer, enfin révélée aux yeux du public ; une
manifestation qui sera suivie de la destruction du christianisme et
aussi de l'athéisme, qui seront conquis et écrasés à la fois !
(Albert Pike, grand pontife luciférien, cf. Lettre du 15 août 1871 à
Giuseppe Mazzini, Bibliothèque du British Museum, Londres).
La seule société possible apportant la paix est une société qui met en son centre le Christ Roi.
Voilà pourquoi l’Église perdurera éternellement, car il faut une base sur laquelle reconstruire.
Ce système antichrist a pratiquement mis dehors le Christ.
Le cri de victoire de Satan approche.
Ainsi, les deux Babylone courent à leur perte.
Le temps est proche.
Très proche.
Octobre 2022
24 octobre
Pour ceux qui suivent l’actualité au Vatican, vous avez constaté que
« Le Pape annonce deux sessions du Synode sur la synodalité. Après
la récitation de la prière de l’Angélus, le Pape a annoncé que les
fruits du parcours synodal sont nombreux et qu’ils doivent mûrir. Pour
cette raison, il a décidé de tenir non plus une mais deux sessions du
Synode sur la synodalité en octobre 2023 et octobre 2024. » (vaticannews.va)
Le Vatican se dirige avec une
synodalité permanente où le pape centralisateur choisira les idées
contraires aux dogmes pour semer plus de confusion chez les fidèles,
mais surtout détruire l’église de l’intérieur, exactement comme l’a
prophétisé Anne Catherien Emmerich.
« ... le synode se coule
dans l’assembléisme. Mais truqué. Car avec le synode 2014-2015 sur
la famille, le pape a forcé la main par rapport aux positions des
évêques et l’a en fait géré en le pilotant depuis le centre. Et c’est
la même chose aujourd’hui. L’assembléisme qui
se profile à l’horizon donnera donc la possibilité d’introduire des
changements doctrinaux au nom de la décentralisation... » (benoit-et-moi.fr)
Les deux Babylone progressent donc vers leurs chutes finales.
L’Apocalypse nous révèle que
les 10 rois du monde (en place présentement, c’est à dire tous
interchangeables puisque issus des « youngs leaders » de Davos,
suspendus aux mamelles du Forum Économique Mondial) détesteront la
Prostituée, l’église conciliaire, et chercheront à la faire
disparaître, ce qui est relié à la mort des deux témoins.
C’est le but du synode des synodes.
Sans surprise, la division du
rapport final du synode pour la deuxième partie en octobre 2024 nous
amène exactement à la « limite de Babylone » .
Voir l'anlyse du 29 novembre 2021 dont voici le résumé :
Le
13 mai 2026, nous atteindrons une période de 109 ans depuis les
apparitions de la Vierge Marie à Fatima, soit les 100 ans donnés comme
indication à Léon XIII + la 9ème heure où tout est accompli (c’est à
dire la mort du Christ sur la croix, donc de l’Église pour nous).
Nous savons aussi que mai 2026 est la limite pour le retour du Lys selon la prophétie de Don Bosco.
2025, c’est en plein dans le
maximum solaire du cycle 25 (prévu entre octobre 2024 et juillet 2025)
augmentant la probabilité du forte tempête solaire qui anihilerait tout
ce qui est d'électronique sur cette planète, et ainsi arrêter la guerre.
La période de prédiction des deux témoins est de 42 mois (période des châtiments, soit le 2ème malheur de l’Apocalypse).
C’est la même durée de vie que les deux bêtes.
«
Puis il parut dans le ciel un grand signe : une femme revêtue du
soleil, la lune sous ses pieds, et une couronne de douze étoiles sur sa
tête... et la femme s'enfuit au désert, où Dieu lui avait préparé une
retraite, afin qu'elle y fût nourrie pendant mille deux cent soixante
jours… Et les deux ailes du grand aigle furent données à la femme pour
s'envoler au désert, en sa retraite, où elle est nourrie un temps, des
temps et la moitié d'un temps, hors de la présence du serpent. » (Ap.
11,1-14)
La clé eschatologique est un
temps, des temps et la moitié d'un temps, soit une période divisible
par 3,5, ce qui est reconnue par les pères de l’Église et les
eschatologues.
Évidemment, le 42 pour les 42 mois, etc...
La
limite de Babylone ou des deux Babylone spécifiées par Jean XXIII (le
Vatican et les Nations-Unies, les deux bêtes de la terre et de la mer
de l’Apocalypse), doit donc se mesurer en base 3,5.
Mais pourquoi cette suite?
Pourquoi pas deux temps, un temps et la moitié d’un temps?
Pourquoi pas 3 temps et la moitié d’un temps?
Il y a donc une indication ici
par Saint Jean de trois étapes à franchir qu’il nous faut rechercher
pour en arriver à la limite de Babylone.
Les deux témoins seront au tombeau pendant 3,5 jours (par rapport à 3,5 années de la vie des deux bêtes).
Selon les eschatologues, cela indique qu’après cet événement le décompte s’écoule en semaines, si ce n’est qu’en jours.
C’est rapide.
Et c’est ce qui est démontré dans l’Apocalypse.
La mort de l'Antéchrist système suit la résurrection des deux témoins, où :
« A cette même heure, il se fit un grand tremblement de terre... » (Ap. 11,13)
Rappelez vous les trois
prophéties politiques de Jean XXIII: « Grand Éclair à l'Orient », « La
Foudre en Plein Jour », et « Le Temps est Proche ».
Un temps de paix, très court,
permettra de rassembler le plus d'âmes possible, car à la septième
trompette qui suit, le troisième malheur arrive avec la mort de
l'Antéchrist.
C'est là que se produisent
tous les signes que plusieurs relient à la fin des temps (dont les
trois jours de noirceur, le signe de Jonas donné par le Christ, et
prophétisés par Padre Pio par exemple) arrivent.
Un autre chiffre important est le 49 (7X7), divisible en base 3,5 aussi et qui est la limite du diable,
Rappel avec Don Jean de Monléon, dans son livre Le prophète Daniel:
« Malgré les efforts des
bourreaux, la flamme ne montait qu’à 49 coudées, elle n’arrivait pas à
cinquante… Pourquoi cela ? Parce que 50 est le chiffre de la Pentecôte,
le symbole de la transformation totale que, seule, la grâce du
Saint-Esprit est capable d’opérer dans l’homme. »
Par conséquent, « le démon ne
peut dépasser 49 coudées, parce qu’il est incapable d’agir efficacement
sur le fond de l’âme, sur la volonté, si celle-ci est résolue à tenir
bon. »
Le diable n’a donc pas le
droit d’aller jusqu’à 50, le chiffre en jours qui sépare la
Résurrection de la Pentecôte, et qui est le chiffre d’un jubilé.
Rappelons ici que 2025 est une année de jubilé.
C’est très important car 49 explique beaucoup de choses.
Il explique aussi l’importance
de la Pentecôte incarnée dans la symbolique des deux témoins
ressuscités comme spécifiée dans l’analyse du 22 novembre, c’est à dire
une nouvelle église où Marie revivra dans les cœurs comme dans la
prophétie concernant Benoît XVI.
N’oublions pas aussi que l’épisode de la chute des murs de Jéricho est reliée.
Ce n’est qu’au 7ème jour et septième tour que les murs s’écroulèrent.
7 tours pendant 7 jours : la limite du diable= 49.
Autre chiffre important, le 60, car il explique le veuvage selon Saint-Paul.
Nous
avons vu que nous avons atteint cette soixantième année en 2022 suite à
l’ouverture du concile Vatican II le 11 octobre 2022.
Or
aussi, le veuvage de l’église conciliaire suite à Vatican II (dont
Nostra Aetate voté à la dernière session le 28 octobre 1965 (Jean XXIII
a été élu un 28 octobre)), sera en 2025.
« Où croyez-vous fuir,
maintenant que vous avez détruit les Églises et tué le dernier Père ? »
spécifie Jean XXIII dans la prophétie de l’Église #11 « Le Septième
Sceau ».
L’Église est bien veuve lors de l’ouverture du septième sceau.
LES PREUVES DU DÉCOMPTE
Alors, par où commencer?
Le grande réinitialisation actuelle n’est possible que par le code QR ou son successeur.
C’est
ainsi que la bête de la terre (humaniste, Nations-Unies, franc
maçonnerie judéo-maçonnique) a pris le contrôle total de nos vies pour
nous rendre esclaves du système antéchristique.
Tout se fait maintenant via le téléphone intelligent.
Un marché aujourd’hui dominé par la compagnie Apple.
Il faut remonter à la création
de l’ordinateur accessible pour tous, ancêtre en sorte du smartphone
actuel, pour voir la bête sortir de l’eau, en termes apocalyptiques.
C’est Apple évidement (nom qui
ne relève pas du hasard car c'est une référence au Jardin d’Éden qu'on
voyait dans les premières pubs) qui a produit le premier ordinateur
publique, du nom de Apple I, et qui se vendait 666.66 dollars.
La date : le 11 avril 1976.
Sachant que la limite du
diable est de 49, nous en déduisons donc que la limite de Babylone est
le 11 avril 2025, ou du moins en 2025.
Ça, c’est pour la bête de la terre.
La bête de la mer, Vatican, doit obligatoirement suivre, car ils agissent ensemble selon l’Apocalypse.
Paul VI suspend Mgr Lefebvre le 22 juillet 1976 suite à la consécration de 13 prêtres.
Ce dernier, en réponse, convoque le 29 août 1976 les intégristes à Lille pour une messe célébrée selon le rite de saint Pie V.
Rappelons que le phare des « deux témoins » de l’Apocalypse, de la tradition, est la FSSPX fondée par Mgr Lefebvre.
Or, le 11 septembre 1976, à Castel Gandolfo, une célèbre rencontre eu lieu entre Paul VI et Mgr Lefebvre où la bête Vatican est identifiée.
Contre le Christ.
C’est bien ce que nous avons aussi dans la prophétie de Jean XXIII concernant Paul VI.
Nombre de jour entre le 11 avril 1976, et le 11 septembre 1976 liant les deux bêtes : 153.
Le chiffre des rachetés de la pêche miraculeuse (voir analyses précédentes) de la fin des temps.
La limite du diable est donc bien 2025.
Rappelez-vous : la fin des temps se mesure ainsi : deux temps, un temps et un demi temps (3 étapes).
Un temps : 21 ans
Deux temps : 42 ans
Un demi temps : la donnée inconnue : nul ne connaît le jour ni l’heure...
Or, on sait grâce à la
prophétie de Jean XXIII « Le Temps est Proche » que la limite de
la fille de Caïn est le 18 août 2025 ou octobre 2023 (voir analyses
précédentes):
« Le premier empereur meurt de faim, enfermé dans la tour de son rêve.
Le second empereur dans le désert, attaqué par les animaux de la peste, inconnus.
La fille de Caïn est montée au Nord, pour prêcher. Luxure dans la nouvelle Babylone, pour sept ans.
La
septième année tombe le septième voile de Salomé, mais il n'existe pas
d'empereur, il n'existe pas qui saura lever l'épée et couper le cou de
Jean. Le temps est proche.»
Il n’y a plus d’empereur à
cette date (à la limite du 49 ans : comme pour la chute des murs de
Jéricho, nous avons ici 7 voiles X 7 ans)
C’est donc dire que Babylone est tombée.
ET il est spécifié que lorsque le septième voile est tombé, qu’il n’y a personne pour couper le cou de Jean.
Jean-Baptiste, c’est l’avant Jésus.
Son rôle d’alors est typiquement apocalyptique : la fin est très proche et les châtiments vont suivre.
Les méchants vont être punis
et les justes récompensés, d’où l’urgence de se convertir, car au jour
du Jugement, il sera trop tard.
Car, ce qui suit est la date dont nous ne pouvons connaître le jour ni l’heure.
Fait important qui renforce cette hypothèse :
Jean XXIII publie son encyclique humanitaire PACEM IN TERRIS le 11 avril 1963.
Il y a donc 62 ans entre cette date et le 11 avril 2025, la limite du diable.
C’est 6 mois piles après le 11 octobre 1962 à l’ouverture du concile, et on en arrive ainsi à 62.5 années ou 42 + 20,5 ans.
Vérifions le décompte (les
trois étapes) de la fin des temps afin de voir s’il y des corrélations,
des événements marquants chacune des étapes.
Un temps : 21 ans
De 1962 à 1983.
1983 : Jean Paul II modifie le
droit canon le 25 janvier 1983 et celui ci est effectif le 27 novembre
suivant au premier dimanche de l’Avent, ce qui en soit est un signe
d’une nouvelle étape.
Le code de droit canonique de 1917 a été promulgué le 27 mai 1917 (peu après la première apparition de Fatima donc).
Nombres d’années entre le 27 mai 1917 et le 27 novembre 1983 : 66 ans et 6 mois.
Les 21 années de Vatican II à 1983 ont donc servi de préparation pour éclipser l’Église selon les prophéties de La Salette.
Deux temps : 42 ans
De 1983 à 2025.
Le nouveau droit canon plonge l'Église dans la fosse humaniste officiellement.
Le 5 avril 1983, Mgr Lefebvre répond à une lettre envoyée par Jean-Paul II via le cardinal Ratzinger.
L'Église est en crise.
La messe traditionnelle est ciblée.
« Sans doute c’est en raison
de cette oppression des consciences exercée d’une manière inconcevable
à l’intérieur de l’Église que vous prévoyez de publier un décret
concernant l’usage de l’ancien rite romain de la Messe. N’est-ce pas,
en effet, une oppression inique d’enlever aux prêtres le rite de leur
Messe d’ordination et de les contraindre sous peine de suspens
d’adopter un nouveau rite à l’institution duquel ont participé six
pasteurs protestants !
C’est
au pied du crucifix que je vous réponds, Très Saint-Père, uni à tous
les évêques, prêtres, religieux, religieuses, fidèles qui ont subi un
véritable martyre moral par l’imposition forcée de cette Réforme
liturgique. Que de larmes, que de douleurs, que de morts prématurées
dont demeurent responsables ceux qui ont indûment imposé ces
changements opérés au seul titre d’un œcuménisme aberrant.»
(laportelatine.org)
L’humanisme œcuménique a été inscrit dans l’ADN de l’Église avec le nouveau code de droit canonoque.
Concrètement.
On trouve une autre confirmation par la deuxième apparition de la Vierge Marie à Soeur Catherine Labouré à la rue du Bac:
La libération des justes, les
153 de la seconde pêche miraculeuse (voir analyses précédentes
l’interprétation de Saint-Augustin et la notion de jubilé des jubilés),
commencent donc au début de la phase de 42 ans, la période de prêche
des deux témoins pour sauver le plus d’âmes possibles.
Nous venons de démontrer que cette phase commence par la validité du nouveau code de droit canon le 27 novembre 1983.
Or, le 27 novembre est la date
anniversaire de l’apparition de la rue du Bac en 1830 et conséquemment
de l’existence de la médaille miraculeuse.
Il y a exactement 153 ans entre l’apparition et le 27 novembre 1983.
CONCLUSION
« Il y a vingt siècles plus l'âge du Sauveur. Amen » affirme Jean XXIII.
Considérant un décalage de 7 ans pour la naissance du Christ selon Benoît XVI, nous arrivons à 2033 moins 7 ans : 2026.
Exactement avant la venue du Lys selon Don Bosco.
Avant les deux lunes de mai 2026.
Soit à l'automne 2025 pour la limite de Babylone.
Il
se peut que le rapport de la première moitié de la session finale du
synode en octobre 2023 soit celui qui signifiera la mort des deux
témoins (car la première date pour la fille de Caïn est probablement en
octobre 2016 lorsque Bergoglio a signé le pacte avec les luthériens).
Une année de plus donnera à Bergoglio le temps de voir les réactions et d'en mettre plus pour la finale prévue d'octobre 2024.
Prévue...
Car c'est peut-être durant cette période que nous assisterons à la
résurrection des deux témoins (voir le calendrier de la fin des temps
dans les analyses précédentes).
Le décompte final est lancé.
14 octobre
La mort des deux témoins de l’Apocalypse est proche.
Le
11 octobre marquait les 60 ans de l’ouverture du Concile Vatican
II : les soixante ans pour officiellement être veuve selon
Saint-Paul.
L’Église est donc officiellement veuve, confirmée dans la prophétie de Jean XXIII concernant Benoît XVI.
On assiste donc à la conclusion des deux prophéties en parallèles, celle concernant François et Benoît XVI.
Mais le katéchon veille encore.
Il
est la figure représentative du petit reste, des fidèles à la Loi et
aux Prophètes, autant laïcs que du clergé, de la Tradition.
Le pape régnant est bel et bien Benoît XVI.
« … Tout part de la rencontre
organisée par la Fondation Joseph Ratzinger/ Benoît XVI pour présenter
un livre écrit prétendument à quatre mains (en fait, il n’en est rien!)
par le pape « émérite » et le mathématicien athée Piergiorgio Oddifrddi
…
Tout d’abord, l’archevêque
Gänswein a commencé par une merveilleuse amphibologie [ndt: figure de
style qui consiste en une ambiguïté grammaticale qui peut donner lieu à
diverses interprétations d’une même phrase]: « Avant de venir ici, j’ai
prié les vêpres, avec le pape Benoît, comme le fait tout prêtre
catholique. Et cela dit tout » [“Prima di venire qui ho pregato con
Papa Benedetto, come ogni sacerdote cattolico fa, i vespri. E questo
dice tutto”].
En
effet, tout est dit. La construction astucieuse de la phrase permet
parfaitement de la comprendre comme suit : « Avant de venir ici, je
priais les vêpres, comme le fait un vrai prêtre catholique,
c’est-à-dire EN UNION AVEC LE PAPE BENOÎT ».
Mais entrons dans le vif du sujet et laissons Mgr Gänswein poursuivre, selon la vidéo:
Le pape Benoît m’a dit, tout
d’abord: « Ne faites pas un salut institutionnel, faites un salut
personnel de ma part et dites à tout le monde : ‘Je n’ai pas mérité
cette illustre liste de présentateurs’. J’ai dit : « Saint Père, si je
dis cela, ils ne me croient pas, mais j’obéis »; « Ou vous croyez ou
vous ne croyez pas, si vous ne croyez pas, lisez, soit Jérémie, soit
Isaïe. Je ne dis pas quel verset et quel chapitre, mais la réponse est
là » ( «O credete o non credete, se non credete leggete, o Geremia o
Isaia. Non dico quale versetto e quale capitolo, ma lì è la risposta» ).
Nous vous laissons imaginer le choc lorsque, au chapitre 36, verset 5, l’auteur de ces lignes a lu cette phrase :
« Jérémie ordonna donc à Baruch : « JE SUIS EMPÊCHÉ et je ne peux pas entrer dans le temple du Seigneur ».
Le Saint-Père, dont nous
disons depuis deux ans qu’il est empêché, a choisi parmi 73 livres
bibliques le seul dans lequel apparaît l’expression « je suis empêché» .
(…)
Mais
passons maintenant au deuxième livre de l’Ancien Testament cité par le
Pape, celui d’Isaïe, qui ne parle pas d’empêchement, mais mentionne le
mot « prisonnier »/ »captifs » pas moins de 14 fois. Le thème de leur
libération victorieuse revient sans cesse : les prisonniers qui doivent
sortir des ténèbres : « Moi, le Seigneur, je t’ai appelé pour la
justice et je t’ai pris par la main ; je t’ai formé pour que tu ouvres
les yeux des aveugles et que tu fasses sortir de la prison les captifs,
de l’enfermement ceux qui habitent dans les ténèbres » (42,6). Cela
semble être une invitation très claire aux prêtres fidèles à Benoît
XVI, mais qui vivent encore dans la clandestinité, à sortir de
l’obscurité et à crier la vérité, à savoir que le pape est seulement
Benoît XVI.
Encore
une fois, les prisonniers, libérés, répudieront leurs geôliers : « …ils
feront prisonniers ceux qui les avaient asservis et domineront leurs
adversaires » (14,2).
Un point en particulier nous a frappé, au ch. 51, verset 14 :
Bientôt, le prostré sera libéré, il ne mourra pas dans un cachot, et le pain ne lui manquera pas !
En
résumé : le pape s’est déclaré empêché, mais le prisonnier (lui-même)
sera bientôt libéré (…) Les prisonniers, c’est-à-dire les vrais
catholiques, seront libérés et le Seigneur rendra justice.
...
Pour finir, je cite Benoît XVI répondant à une question de Peter Seewald en 2016 dans son livre « Dernières conversations »
«Vous connaissez la prophétie
de Malachie, qui au Moyen Age compila une liste des papes futurs,
prévoyant également la fin du monde, ou tout au moins la fin de
l’Église. Selon cette liste la papauté se terminerait avec votre
pontificat. Et si vous étiez effectivement le dernier à représenter la
figure du pape telle que nous la connaissons à ce jour?».
.
«Tout peut être» (« tout est possible »)
*
Benoît XVI, Dernières conversations, Fayard 206, page 263
Cité par Antonio Socci, benoit-et-moi.fr/2016/actualite/benoit-xvi-dernier-pape » (benoit-et-moi.fr)
Retour sur la prophétie « Grand Éclair à l’Orient ».
Nous
avons tous été témoins du déferlement de missiles et d’attaques aux
drones de la part de la Russie suite à l’attentat contre le pont en
Crimée.
- Constatant qu’Israël considère la partie sud est ukrainienne comme une seconde Judée.
- Constatant que la Russie
ayant grandement diminué son inventaire de drones et de missiles depuis
le début de la guerre, achète et envoie des missiles et drones
iraniens; ce dont nous avons été témoins cette semaine.
- Constatant que les agences
d’espionnage fomentent une révolution en Iran depuis le décès de la
jeune iranienne il y a quelques semaines.
- Constatant que les élections
israéliennes ont lieu dans deux semaines, ainsi que les élections de
mi-mandat aux États-Unis le 8 novembre.
- Constatant ceci :
«« Je
ne serais pas surprise si un sénateur ou un élu se faisait tuer »,
déclarait la sénatrice républicaine Susan Collins en début octobre dans
les colonnes du New York Times.
« Ce
qui n’était à l’origine que des appels téléphoniques agressifs se
traduit désormais par des menaces et de la violence réelle », a
assuré l’élue de 69 ans, après qu’un individu a brisé une vitre de son
domicile, dans le Maine. »
Il
n’est pas difficile de conclure qu’un décès d’un homme politique à
l’Orient, et au sud des États-Unis pour activer la prophétie sont très
proches.
En
fait, il semble bel et bien, voyant la situation géopolitique, et le
fait que l’Iran détient probablement des armes atomiques maintenant,
qu’Israël ne se gênera pas, surtout sachant que la Russie est
maintenant prise dans l’étau, c’est à dire qu’elle ne pourra pas
intervenir dans ce nouveau conflit à l’horizon, à cause de la situation
ukrainienne.
Rappelons le calendrier de la fin des temps :
Selon l’ordre chronologique donné dans l’Apocalypse, nous avons :
1) Mort des témoins (3,5 jours)
2) Résurrection des témoins
Fin de la sixième période.
Entrée dans la 7ème période :
3) Mort de l’Antéchrist
4) Chute de Babylone (3ème malheur, Ap. 11, 14)
5) Retour du Christ
6) Jugement dernier
7) Règne définitif et sans partage du Christ (Ap. 21-22)
N’oublions
pas que la sixième période de l’Apocalypse (6è Église, sceau et
trompette) se termine par une bataille générale, donc mondiale, où les
forces de la bête coalisées semblent gagner contre l’Église (mort des
témoins).
Mais il est clair dans la prophétie le « Temps est Proche » : (« La fille de Caïn est montée au Nord, pour prêcher. Luxure dans la nouvelle Babylone, pour sept ans. La
septième année tombe le septième voile de Salomé, mais il n'existe pas
d'empereur, il n'existe pas qui saura lever l'épée et couper le cou de
Jean. ») qu’il n’y a
personne pour couper la tête de la Tradition, du petit reste, du
bourgeon destiné à renaître, des deux témoins ressuscités.
Tout comme les portes de l’enfer ne prévaudront pas contre son Église a affirmé le Christ.
Considérant
octobre 2016 (voir analyses précédentes en référence au pacte en Suède
avec les luthériens) comme point de départ potentiel du règne de la
fille de Caïn, 7 années nous mènent à la conclusion du synode des
synodes d’octobre 2023, c’est à dire de la destruction formelle de
l’église et des sacrements confirmée dans un document.
05 octobre 2022
Nous entrons en territoire extrêmement dangereux avec le soleil cette semaine.
Une
tache gigantesque (AR3112) et d’une extrême complexité (le plus haut
sur l’échelle en fait) redevient visible après son séjour derrière la
face cachée du soleil.
Spaceweather.com:
« UNE GRANDE TACHE SOLAIRE
DANGEREUSE : L’une des plus grosses taches solaires depuis des années
vient de tourner sur le limbe nord-est du soleil.
AR3112 a plus d’une douzaine de noyaux sombres dispersés sur 130 000 km de terrain solaire…
L’image ci-dessus (plus facile à suivre l’évolution ici: www.solarham.net)
est une carte magnétique de la surface du soleil avec une photo en
lumière blanche d’AR3112 en médaillon. Cela montre ce qui rend ce
groupe de taches solaires si dangereux. Les polarités magnétiques
positives et négatives se heurtent – un mélange explosif qui pourrait
produire une éruption solaire de classe X.
L’émergence d’AR3112 déjà
complètement formé et instable pourrait annoncer deux semaines
d’activité solaire élevée alors que le groupe de taches solaires
transite par le disque solaire, faisant face à la Terre tout le temps. »
Elle est du calibre de la
tache qui a plongé le Québec dans la noirceur le 13 mars 1989, ainsi
que le fameux événement Carrington du 01 septembre 1859.
Il y eu une éjection de classe X le 02 octobre mais non dirigée vers la terre.
C’est à surveiller de très très près.
Sans ordinateur, pas de guerre, pas de voiture, pas de tout ou presque en fait.
Et le 13 octobre 2022 nous serons à 105 ans du miracle du soleil de Fatima.
L'incendie de Notre Dame a eu lieu le 105è jour le 15 mars 2019.
L’incendie nous renvoie donc à 3 ans et demi après, et cela tombe deux jours après l’anniversaire du miracle du soleil...
Soit les fameux 42 mois de l'Apocalypse (1260 jours) associés à la Bête et aux 2 Témoins.
Voici
quelques extraits de l’interview de Mgr Vigano à la Conférence sur
l’identité catholique prouvant encore une fois que nous sommes à la fin
des temps.
« Monseigneur Viganò / Entretien avec Michael J. Matt pour la Catholic Identity Conference
De nombreux catholiques
croient aujourd’hui que la Sainte Mère l’Église traverse la pire crise
de l’histoire, qui dépasse même celle de l’hérésie arienne. Pensez-vous
que c’est ainsi?
Je ne sais pas si cette crise
est la pire que l’Église aura à affronter d’ici à la fin des temps;
c’est certainement le pire à ce jour, tant pour la proportion
dévastatrice de l’apostasie, que pour la narcotisation du bas Clergé et
des fidèles envers la Hiérarchie. En d’autres occasions, la persécution
fut plus féroce, mais elle trouva de la résistance chez les évêques et
de l’opposition chez les catholiques, qui pouvaient considérer le siège
de Pierre comme un phare de vérité et un obstacle à l’établissement du
royaume de l’Antéchrist. Aujourd’hui le katèchon a cessé, au moins
temporairement, et le Siège apostolique est occupé par un ennemi
déclaré de l’Église du Christ.
Jamais dans l’histoire nous
n’avons été témoins d’une trahison systématique de la Foi, de la
Morale, de la Liturgie et de la discipline ecclésiastique, favorisées
et même promues par l’Autorité suprême de l’Église elle-même, dans le
silence complice de la Hiérarchie et dans l’acceptation sans réserve de
nombreux clercs et les fidèles. La gravité de cette situation est
exacerbée par le fait que le travail dissolutif de l’Église profonde
avance en synchronisation avec l’action subversive de l’État profond
dans les nations, faisant des fidèles catholiques l’objet d’une double
attaque, aussi fidèle et aussi citoyens.
Ces deux réalités, désormais
indiscutables, ont en commun la haine inextinguible de Satan envers le
Christ, son Église, sa sainte Loi, la civilisation chrétienne. Cette
tromperie est si évidente qu’elle ne peut plus être qualifiée de «
théorie du complot ».
Si l’on y réfléchit, il est
troublant que les protagonistes de ce plan criminel – tant dans les
gouvernements que dans l’Église – soient issus de ce milieu chic
radical dans lequel le progressisme « catholique » conciliaire, le
pacifisme, l’écologisme sont nés et se sont développés depuis les
années 1960, l’ homosexualité et tout le répertoire de la gauche
éveillée. Comme je l’ai déjà dit, les évêques individuellement et toute
la Hiérarchie des dernières décennies devront répondre devant Dieu et
l’Histoire de leur complicité dans cette crise, voire d’avoir été en
quelque sorte des inspirateurs et des partisans, abdiquant le rôle de
l’Église de Domina Gentium…
François a déclaré que les
traditionalistes « rejettent Vatican II ». Étant donné que le 14
février 2013, le pape Benoît XVI a déclaré que le Concile avait été
détourné par les médias – causant ainsi des dommages incalculables à
l’Église et « banalisant la liturgie » – tous les catholiques ne
devraient pas « rejeter le Concile » tel qu’il a été présenté au monde.
, selon Benoît, des médias ?
Tout d’abord, il faut préciser
que l’apport médiatique au récit conciliaire n’est que partiel et
marginal au regard de la valeur clairement subversive de Vatican II,
voulue par ses rédacteurs. Il n’y a pas de « bon Concile » fantôme qui
aurait été « trahi » par les modernistes : il a été conçu dans la forme
pour l’empêcher d’être catholique dans le fond, dissimulant les écueils
qu’il contenait (et qu’il révélera peu après) derrière une verbosité et
des concepts équivoques. Si les médias avaient détourné le Concile
contre l’intention des Pères et des Papes qui le voulaient, pourquoi,
face aux déviations répétées véhiculées par la presse, aucun d’entre
eux n’a réaffirmé la doctrine catholique ? Si la banalisation de la
liturgie dans la période post-conciliaire n’était que la faute des
médias, pourquoi aucun évêque n’a-t-il jamais proposé la célébration du
Novus Ordo dans la continuité de Vetus , mais a-t-il plutôt mis à
profit les innovations du rite montinien pour le promouvoir ? Si
l’ancienne liturgie ne représentait pas une menace pour la nouvelle,
pourquoi cette persécution sans merci de ceux qui voulaient continuer à
célébrer sous la forme ancienne ?
En cela Bergoglio a
parfaitement raison : les catholiques qui veulent rester fidèles à la
Tradition rejettent Vatican II précisément parce qu’il est étranger et
opposé à la Tradition, qui est la norme de la foi. Et cela confirme non
seulement la catholicité de la liturgie traditionnelle, mais
l’extranéité de la liturgie réformée au développement harmonieux que le
culte a connu au cours des siècles, d’où sa substantielle
non-catholicité.
Les catholiques ont donc non
seulement le droit, mais aussi le devoir d’exiger que l’Église vénère
la Sainte Trinité de la manière la plus parfaite, et non avec un rite
fallacieux, né d’esprits doctrinalement et moralement déviants, destiné
à plaire aux hérétiques et à rabaisser les Foi. Il ne s’agit pas «
d’inventer » une liturgie plus catholique que celle du Novus Ordo ,
mais de réparer la très grave vulnus infligée à l’Église avec la
suppression d’un rite bimillénaire pour lui substituer son déplorable
contrefaçon. Restaurer la liturgie catholique et interdire la liturgie
réformée sera une étape incontournable dans la restauration de l’Église.
Il semble au moins plausible
que le Pape Bergoglio ait été installé sur la Chaire de Pierre pour
saper la théologie de la Papauté. Lorsque nous critiquons François, ne
contribuons-nous pas à ce même agenda concernant la papauté ?
Ceux qui ont réussi à faire
élire Bergoglio au Conclave de 2013 savaient très bien que le principal
résultat de son installation sur le trône de Pierre serait le discrédit
de la papauté et l’humiliation de l’Église catholique, ainsi que la
propagation d’hérésies, de morales des erreurs et des scandales très
graves. En effet, c’est précisément dans son action constante, dans le
ruissellement impitoyable de ces dix dernières années que la Papauté a
connu l’assaut le plus grave et le plus puissant, mené par celui qui
doit à la Papauté son autorité sur le corps ecclésial. Une action
extérieure n’aurait pas produit les mêmes résultats. Il faut dire aussi
que le renoncement de Benoît XVI et le monstrum catholique, ont donné
naissance à la « papauté émérite » et ont porté un coup mortel à
l’Église, permettant de mener à bien le plan contre elle qui prévoyait
l’élection d’un pape qui suivrait l’agenda de l’élite.
Critiquer Bergoglio pour ce
qu’il fait à l’Église ne fait pas le jeu de ses commettants, de la
mafia de Saint-Gall ou de l’élite mondialiste maçonnique qui l’y
voulait. L’indignité de l’Argentin au Soglio di Pietro est, en
revanche, un signe évident de l’action préméditée et malveillante de
ceux qui savent bien que le moyen le plus efficace de démolir une
institution consiste dans le travail de discrédit effectué par ceux qui
y détiennent la plus haute autorité. Ce n’est pas différent de ce qui
se passe aujourd’hui dans la sphère civile, dans laquelle toute la
classe politique et dirigeante est corrompue et soumise aux intérêts
criminels de la même élite antéchristique, qui d’une part corrompt les
âmes avec la propagande LGBTQ + et la théorie du genre ., d’autre part,
il se sert d’évêques corrompus – comme cela se passe en Belgique avec
les « bénédictions » des unions homosexuelles – pour pousser à
l’extrême les propos de Bergoglio, à commencer par « Qui suis-je pour
juger ».
J’aimerais voir une
implication extrêmement grave (et inévitable) de cette légitimation
progressive de la doctrine LGBTQ+ et de l’ idéologie du genre.dans la
vie de l’Église. Nous savons que le magistère de l’Église condamne les
actes contre nature comme « intrinsèquement pervers » : ils sont un mal
; quiconque les fait pèche gravement et s’il ne se repent pas, son âme
est vouée à la damnation éternelle. Ecriture Sainte – Ancien et Nouveau
Testament nous dit sans équivoque. Au contraire, les propos de
Bergoglio et les actes de ses complices visent à lever toute
condamnation morale sur la sodomie et la pratique du changement de
sexe. Mais que se passera-t-il lorsque, dans quelques années, il y aura
des « fidèles » transsexuels qui demanderont à être admis dans les
Ordres ? Je n’ajouterai rien d’autre : je vous laisse comprendre
l’abîme qui s’ouvre devant nous.
A ceux qui s’obstinent à
distinguer ce qui du « magistère » bergoglien est contraignant et ce
qui ne l’est pas, je pense qu’il est inutile de répéter que cette
approche formelle peut peut-être sauver l’infaillibilité papale, mais
certainement pas l’image de l’Église, et au elle démontre en même temps
l’extranéité totale de Bergoglio à la papauté : elle est
instinctivement perçue même par les simples fidèles comme le rejet d’un
organe transplanté dans un organisme qui ne le reconnaît pas comme le
sien . Le sensus fidei leur fait comprendre ce que l’analyse de ses
déclarations hérétiques confirme au théologien ou au canoniste. La
célèbre « Buonasera » du balcon de la Loggia di San Pietro le 13 mars
2013 représente la quintessence de cette irrémédiable aliénation… » (remnantnewspaper.com)
Septembre 2022
22 septembre
LA GRANDE PROSTITUÉE
Les Nations-Unies ont voté une
résolution le 2 septembre dernier considérant l’avortement comme
faisant parti des droits de l’homme.
Réplique du Vatican : rien.
Pourtant, il y a un délégué du Vatican attitré aux Nations-Unies.
Cette semaine, les évêques de la Flandre en Belgique ont publié un rite de « bénédiction » des unions homosexuelles.
Réaction du Vatican : nil.
«
L’initiative des évêques de Flandre n’est pas un acte de rébellion
ouverte, surtout pas contre le pape François. Depuis son élection,
celui-ci mène l’Eglise avec détermination sur la voie d’une
reconnaissance de l’homosexualité. Ce projet est un fil rouge de
l’actuel pontificat et est considéré comme l’une de ses principales
préoccupations….
Le
15 mars 2021, la Congrégation pour la doctrine de la foi, dans sa
réponse (responsum) aux doutes (dubia) concernant une bénédiction
de couples homosexuels, a répondu par un non clair et a déclaré que de
telles bénédictions de couples homosexuels n’étaient « pas
possibles » selon l’enseignement de l’Église. Le pape François a
« réparé » la démarche de la Congrégation pour la doctrine de
la foi en exprimant son étonnement face au texte et s’est vengé de la
défense de la doctrine de la foi qu’il n’avait pas souhaitée en
purgeant la Congrégation pour la doctrine de la foi des responsables du
document. … » (benoit-et-moi.fr)
La bête avance, « sort de l’eau » comme l’affirme la prophétie de Jean XXIII.
En
effet, nous voyons effectivement le vrai visage de l’église conciliaire
post Vatican II, la grande prostituée de l’Apocalypse.
Elle est complice, sinon l’initiatrice des attaques de la morale contre la doctrine catholique.
Babylone
Vatican agit en parallèle avec Babylone Nations-Unies (les deux
Babylone de la prophétie de Jean XXIII) dans cette montée du phénomène
social « woke » qui n’est qu’une perversion des mœurs.
Rome a choisi son camp.
Et c’est celui de Satan.
Il n’est pas surprenant que nombre de prophéties prévoient la destruction de Rome.
Voici la :
«
Déclaration de Monseigneur Carlo Maria Viganò concernant les
« bénédictions » des couples homosexuels célébrées en Belgique
de Carlo Maria Vigano
Avec
un grand scandale pour le salut des âmes et pour l’honneur de l’Église
du Christ, la Conférence épiscopale de Belgique a approuvé et publié un
rite de « bénédiction » pour les unions homosexuelles,
contrevenant effrontément à l’enseignement immuable du Magistère
catholique, qui elle considère ces unions comme « intrinsèquement
perverses » et qui, comme telles, non seulement ne peuvent les
bénir, mais doivent plutôt les condamner comme contraires à la morale
naturelle. Le fondement idéologique de ce rite sacrilège est indiqué
dans les propos subtilement trompeurs d’ Amoris lætitia , selon
lesquels « toute personne, quelle que soit son orientation
sexuelle, doit être respectée dans sa dignité et reçue avec
respect ».
Le
processus de dissolution doctrinale et morale mené par la secte
bergoglienne se poursuit sans arrêt, quels que soient la désorientation
qu’il provoque chez les fidèles et les dommages incalculables qu’il
cause aux âmes.
Il est maintenant évident,
au-delà de tout doute, l’absolue inconciliabilité entre l’enseignement
de l’Évangile et les déviations de ces hérétiques, qui abusent de leur
pouvoir et de leur autorité en tant que pasteurs dans le but opposé à
celui pour lequel le Christ a institué la Hiérarchie sacrée dans
l’Église. Et c’est encore plus évident le jeu pervers des rôles qui
assigne à ceux qui siègent à Rome la formulation de principes
hétérodoxes en opposition avec la doctrine catholique et à leurs
complices dans les diocèses leur application scandaleuse, dans la
tentative infernale de saper la morale afin de obéir à l’esprit du
monde.
Les
excès honteux de certains représentants de la Hiérarchie trouvent leur
origine dans un plan délibéré et voulu d’en haut, qui, grâce à la voie
synodale, veut rendre l’épiscopat rebelle autonome dans la propagation
des erreurs de foi et de morale, tandis qu’avec l’autoritarisme il
empêche les fidèles de proclamer la Vérité du Christ.
21 septembre 2022
Matthieu l’apôtre et l’évangéliste
Mercredi, les Quatre Saisons de Septembre »
15 septembre
En cette fête de Notre Dame des Douleurs. :
Je désire auprès de la croix
Me tenir, debout avec toi,
Dans ta plainte et ta souffrance.
Vierge des vierges, toute pure,
Ne sois pas envers moi trop dure,
Fais que je pleure avec toi.
Du Christ fais-moi porter la mort,
Revivre le douloureux sort
Et les plaies, au fond de moi.
Fais que Ses propres plaies me blessent,
Que la croix me donne l’ivresse
Du Sang versé par ton Fils.
Je crains les flammes éternelles ;
Ô Vierge, assure ma tutelle
À l’heure de la justice.
Ô Christ, à l’heure de partir,
Puisse ta Mère me conduire
À la palme des vainqueurs.
À l’heure où mon corps va mourir,
À mon âme, fais obtenir
La gloire du paradis.
L’heure est grave.
Les tambours de la guerre sonnent de plus en plus.
Le
16 octobre sonnera la fin des 42 mois révolus depuis l’incendie de
Notre Dame de Paris, si cela était un signe important qui nous était
révélé.
Le « grand éclair à l’Orient » n’aura jamais été aussi près.
La Russie a averti. Les frappes nucléaires sont à la porte de l’Europe si l’occident continue à maintenir l’Ukraine.
Israël est prêt à faire de même avec l’Iran.
C’est un monde sans paix. C’est la fausse paix des prophéties qui est terminée.
C’est le résultat de l’apostasie générale.
Saint Paul dans sa lettre aux romains a bien vu.
Le salaire de cette apostasie est la mort éternelle.
« Il faut le dire
clairement : le monde est en train de se transformer en une Sodome
et Gomorrhe universelle. Nous ne pourrons pas y échapper en déménageant
ailleurs, car cette transformation est universelle. Il faut garder
notre calme, mais s’y préparer dès maintenant, avec tous les moyens à
notre disposition, pour ne pas être surpris au réveil.
La Sodome et Gomorrhe universelle
Il
est toujours difficile de faire le prophète de malheur, mais parfois il
n’est pas possible de s’y soustraire. Une culture diabolique s’installe
chaque jour davantage dans le monde. Après avoir refusé Dieu par
l’apostasie et l’athéisme, l’humanité contemporaine veut inévitablement
se substituer à lui. Et les résultats sont sataniques. C’est l’homme
qui prétend déterminer le bien et le mal. C’est lui qui prétend choisir
de vivre ou de mourir, d’être tel ou telle, d’accorder la vie ou de la
supprimer... Bref, de décider tout ce que Dieu était censé décider, et
cela à une échelle universelle.
Mais
le pire de tout cela, c’est la volonté manifeste d’initier les
innocents à ces principes abominables. Il y a une attention toute
particulière portée sur l’enfance et la jeunesse, dans le but de les
introduire dès leur plus jeune âge dans cette nouvelle vision de la
réalité, de les corrompre, et de leur apprendre ce que seuls les
adultes sont censés connaître, et aussi ce que même les adultes ne
devraient pas connaître dans une société encore humaine et saine.
Moralement parlant, on constate une véritable volonté de détruire
l’innocence là où elle est censée se trouver naturellement. Nous en
sommes là. Le problème n’est pas seulement le péché qui envahit le
monde et qui contamine tout sur son passage, mais le fait que tout cela
soit approuvé et imposé. C’est le signe que Dieu, abandonné par
l’homme, a à son tour abandonné l’homme à son sort.
…
La faiblesse des hommes d’Église
Devant
cet état de fait, l’Église issue du Concile se trouve dans une impasse.
Cela était inévitable depuis le jour où le dialogue a remplacé la
prédication de la vérité. La volonté de se conformer au monde, de
l’accepter tel qu’il est, sans plus le condamner dans ses égarements,
sans plus l’affronter, cette volonté est en train de porter ses
derniers fruits. Il y a déjà des portions considérables de l’Église qui
prônent ouvertement l’acceptation des abominations évoquées plus haut.
D’autres portions de l’Église semblent ne plus savoir au nom de quoi on
pourrait s’y opposer. Bref, tout est prêt pour une nouvelle Sodome et
Gomorrhe.
…
Menzingen, le 3 septembre 2022,
en la fête de de saint Pie X
Don Davide Pagliarani, Supérieur général »
(fsspx.news)
« « UN JOUR VIENDRA… » : LA PROPHÉTIE TROUVÉE DE PIE XII
En
1972, une biographie sur le Pape Pie XII intitulée Pie XII devant
l’Histoire, écrite par Mgr. Georges Roche et Philippe Saint Germain,
jamais traduits en italien. Les auteurs rapportent des confidences
inédites que le Cardinal Eugenio Pacelli, alors « lointain »,
fit à deux amis, le Comte Enrico Pietro Galeazzi et Monseigneur
Slozkaz, concernant les apparitions de Fatima et l’apostasie de
l’Église catholique. Il est intéressant de noter que Sœur Lucia Dos
Santos n’a écrit les visions et les secrets qu’en 1941 et 1944, donc ce
que le cardinal Pacelli de l’époque a dit – qui se réalise tragiquement
– suggère que tout ne nous a pas été révélé pendant le Jubilé de 2000.
Nous vous avons traduit ces confidences, véritables prophéties du futur
Pie XII : lisez et méditez.
«
Supposons que le communisme soit l’un des instruments de subversion les
plus évidents utilisés contre l’Église et les Traditions de la
Révélation Divine. Nous verrons alors la contamination de tout ce qui
est spirituel : philosophie, science, droit, enseignement, arts,
médias, littérature, théâtre et religion.
Je
m’inquiète des confidences de la Vierge à la petite Lucie de Fatima.
Cette insistance de la Bonne Dame sur les dangers qui menacent l’Église
est une mise en garde divine contre le suicide qui représente une
altération de la Foi dans sa liturgie, sa théologie et son âme.
Je sens autour de moi que les
innovateurs veulent démanteler la Sainte Chapelle, détruire la flamme
universelle de l’Église, rejeter ses ornements et la rendre coupable de
son passé historique. Ici, je suis convaincu que l’Église de Pierre
devra se réapproprier son passé, sinon son propre tombeau sera fouillé.
Je
mènerai ce combat de toutes mes forces à l’intérieur de l’Église, comme
à l’extérieur, même si les forces du mal peuvent un jour profiter de ma
personne, de mes actes ou de mes écrits, comme on le sent aujourd’hui
déformer l’histoire de l’église. Toutes les hérésies humaines qui
altèrent la Parole de Dieu sont faites pour apparaître meilleures
qu’elle.
Il
viendra un jour où le monde civilisé reniera son Dieu, où l’Église
doutera comme Pierre a douté. Il sera alors tenté de croire que l’homme
est devenu Dieu, que son Fils n’est qu’un symbole, une philosophie
comme tant d’autres. Dans les églises, les chrétiens chercheront en
vain la lampe rouge où Jésus les attend ; comme le pécheur en larmes
devant le tombeau vide, ils crieront : « Où l’ont-ils emmené
? ».
Ce
sera alors que des prêtres d’Afrique, d’Asie, des Amériques – ceux
formés dans les séminaires missionnaires – se lèveront et diront et
proclameront que le « pain de vie » n’est pas un pain
ordinaire, que la Mère de Dieu-homme n’est pas une mère comme beaucoup
d’autres. Et ils seront déchirés pour avoir témoigné que le
christianisme n’est pas une religion comme les autres, puisque son chef
est le Fils de Dieu et que l’Église (catholique) est son Église ». »
(itreamoribianchi-araldidelvangelo.com)
Préparez-vous.
Le système économique va tomber.
Il tombe toujours quand le monde entre en guerre.
Les prophéties de l’Église vont se dérouler à grande vitesse aussitôt les deux signes importants accomplis :
Le
décès de Benoît XVI, signifiant la mort éminente de Babylone Vatican,
et le « grand éclair à l’Orient » pour la chute du système Babylone
Nations-Unies.
Les funérailles d'Élisabeth II auront lieu le 19 septembre, soit le jour anniversaire de l’apparition de la Salette.
Un autre symbole fort représentant la chute imminente de Babylone.
8 septembre
Tout un symbole…
La reine Élisabeth II est décédée le jour de la nativité de la Sainte-Vierge Marie.
Une nouvelle étape s’enclenche
pour la fin des temps si les prophéties de Marie-Julie Jahenny ( de
1881) s’adressent ce monarque :
«
En Angleterre : A cette époque, l'Angleterre aura trahi son peuple
sous l'empire d'une reine ; à sa descente du trône , les choses ne
se passeront pas comme le Seigneur l'exige.
…
Avant même, peut être que la première crise de la Fille ainée de
l'Eglise ne soit commencée, il y aura des nouvelles douloureuses de ces
peuples : Angleterre, Perse ( Iran, Iraq, Turquie) , Jérusalem.
Tous auront subi de grands maux.
A
la sortie de ce trouble, il y aura un nouveau règne pour la terre
anglaise et un choix se fera , quand soudain, la mort viendra frapper
ceux qui ont en main le gouvernail de ce royaume. Pour cette terre, il
se fera bien du mal et elle sera divisée en quatre parties, car leurs
volontés ne s'accorderont nullement. Le choix des catholiques sera
rejeté.
L'Angleterre
reviendra au catholicisme après les châtiments. La France, ne pourra
s'empêcher, à cause de sa charité, d'envoyer ses enfants au secours de
ce peuple en péril. »
Comme
on le sait, l’Angleterre et toute l’Europe est en ébullition à cause
des hausses des coûts de l’énergie (voulus) liés à la guerre en Ukraine.
Charles Sannat : « Danger. Vers des révoltes en Europe sur les prix de l’énergie ! »
Cette crise majeure mondiale est voulue parce que la mondialisation est dans un cul de sac.
L’inflation
voulue (qui était supposée être temporaire soit dit en passant) mettre
le peuple à genoux (taux d’intérêts relevés) afin de causer un chaos
contrôlé pour permettre la grande réinitialisation.
L’Europe pousse ainsi ( en fait l’occident au complet) la guerre à tout prix, quitte à faire souffrir son peuple.
Ainsi la nouvelle première
ministre britannique fraîchement confirmé cette semaine : « Quand
« la » nouvelle Premier ministre britannique promet
l’apocalypse » (benoit-et-moi.fr).
Rappelons aussi que l’entente proposée sur le développement d’armes nucléaires avec l’Iran est tombée à l’eau aujourd’hui.
Tous des signes que nous attendions avec impatience depuis longtemps.
Pourquoi?
C’est l’imminence de la prophétie du « Grand Éclair à l’Orient » qui malgré le chaos sème l’espoir marial.
N’oublions
pas aussi que les élections de mi-mandat américaines arrivent à grands
pas en novembre (en référence à l’assassinat au sud de Luther (voir
analyses des prophéties politiques).
Le roi européen Macron est en poste.
L’esprit trouble, fille des fugitifs de Nuremberg (les nazis) domine l’actualité, c’est à dire l’Ukraine.
La terre est sur le bord du massacre.
L’Europe a soif, elle aura du sang dans les rues (effectivement, elle sacrifie son peuple à la guerre).
Les assassins sont en Europe spécifie la prophétie.
« Mais
aussi de grandes processions et la Vierge Heureuse descendra sur terre.
Vous ne la verrez pas dans la grotte, mais dans un cœur qui revivra.
Depuis les ténèbres, elle apportera la parole que tous comprendront.
C'est le temps des lettres. »
Ce retour de la Sainte Vierge dans les cœurs est exactement la résurrection des deux témoins de l’Apocalypse.
Et ce réveil ne peut avoir lieu que si Benoît XVI décède (voir analyse précédente), donc dans les prochaines semaines???
Les prochains mois seront mouvementés et importants.
C’est
le temps des lettres : l’Alpha et l’Oméga, le début et la fin,
c’est à dire la Pâques, le passage, le nouveau cycle, soit la chute de
Babylone avant le retour de NSJC (voir le calendrier de la fin des
temps dans les analyses précédentes)
02 septembre
L’Église est éclipsée.
Mais Benoît XVI veille quoique qu’il est très diminué physiquement.
Dernière apparition de Benoît XVI pour la visite des nouveaux cardinaux issus du Consistoire.
Benoît XVI est le katechon, celui qui retient le bras de Jésus.
Sa
disparition est le signal de la destruction des deux Babylone (voir la
prophétie le concernant et les analyses précédentes), et cela se
produira lors de la célébration de ses obsèques devant la tombe de
Jean-Paul II à la basilique Saint-Pierre selon la prophétie.
Devra-t-on
attendre la fin du synode 2023 ou le signe donné par Bergoglio sur son
intention de supprimer la présence réelle par une nouvelle messe
œcuménique?
Évidement, non.
Car Benoît XVI est l’image de la Tradition, de la branche conservatrice au Vatican, du dogme et de la Foi.
À sa mort, les progressistes « danseront » de joie.
C’est écrit. C’est la mort des deux témoins de l’Apocalypse : « Et
les habitants de la terre se réjouiront à leur sujet ; ils se
livreront à l'allégresse et s'enverront des présents les uns aux
autres, parce que ces deux prophètes ont fait le tourment des habitants
de la terre. » ( Apocalypse 11.10 )
Analyse du 28 décembre 2021 et du 1 janvier 2022 :
«
… Benoît XVI: comme pape émérite ayant démissionné de sa charge
administrative du Vatican, et non comme pape, qui reste saint, comme le
saint aux pieds nus dans sa simplicité, dépouillé de tout, dans sa
prison au monastère Mater Ecclesiæ sur le mont au Vatican.
En effet, le
monastère Mater Ecclesiæ, qui tient son nom de l'expression
latine Mater Ecclesiæ qui signifie « Mère de
l'Église », est sur un mont au jardin du Vatican.
C’est très significatif en ce qui concerne la fin des temps.
« Alors le saint aux
pieds nus descendra du mont et, devant la tombe du va-nu-pieds,
éclatera le règne béni de la Très Sainte Vierge. » (fin de la
prophétie concernant Benoît XVI)…
« Ton règne sera grand et
bref. Père, il sera bref mais il te mènera loin, dans la lointaine
terre où tu es né et où tu seras enseveli. » (prophétie concernant
François)
Cette prophétie s’adresse évidement à Bergoglio.
Lors de son décès, « A Rome ils ne voudront pas te donner. ».
Évidement, car il est la figure de proue de l’église conciliaire progressiste.
C’est Rome qui ne veut pas le
donner, et non l’Église de la Tradition, qui au contraire, y verra une
libération, la résurrection de la foi via la résurrection des
deux témoins!
« Et il y aura un autre Père, avant que tu sois enseveli, pour prier loin pour toi, pour les blessures de la Mère. »
« Avant que tu sois enseveli » ne veut pas nécessairement dire qu’il est mort.
C’est un ordre de temps : AVANT
La conclusion évidente est
qu’un autre pape serait immédiatement élu après le décès de Bergoglio,
anticipant même une consécration immédiate du cardinal Pietro Parolin,
sans conclave, face à la situation exceptionnelle qui arrivera (i.e. la
terre frisera le massacre ou simplement la dernière trouvaille de
Bergoglio, soit nommé un pape successeur avant la mort du pape ne
fonction). »
Anne Catherine Emmerich avait reçu la grâce de voir cette période qui est la nôtre :
« J’ai vu également la
relation entre les deux papes … J’ai vu combien seraient néfastes les
conséquences de cette fausse église. Je l’ai vue augmenter de
dimensions; des hérétiques de toutes sortes venaient dans la ville (de
Rome). Le clergé local devenait tiède, et j’ai vu une grande obscurité
».
« Je vois le Saint-Père dans
une grande angoisse. Il habite dans un bâtiment autre que celui d’avant
et il n’y admet qu’un nombre limité d’amis qui lui sont proches. Je
crains que le Saint-Père ne souffrira beaucoup d’autres épreuves avant
de mourir. Je vois que la fausse église des ténèbres fait des progrès,
et je vois l’énorme influence qu’elle a sur les gens ».
« Je vis l’Église des apostats
prendre de grands accroissements. Je vis les ténèbres qui en partaient
se répandre alentour et je vis beaucoup de gens délaisser l’Église
légitime et se diriger vers l’autre, disant : «Là tout est plus beau
plus naturel et mieux ordonné ».
« Je vis croître la tiédeur du
clergé local, je vis un grand obscurcissement se faire. Alors la vision
s’agrandit de tous côtés. Je vis partout les communautés catholiques
opprimées, vexées, resserrées et privées de liberté. Je vis beaucoup
d’églises fermées. Je vis de grandes misères se produire partout. Je
vis des guerres et du sang versé. Je vis le peuple farouche, ignorant,
intervenir avec violence ».
« Je vis le secours arriver au moment de la plus extrême détresse ».
«Tous devaient y être admis,
pour être unis et avoir des droits égaux: évangéliques, catholiques et
sectes de toutes dénominations. Telle devait être la nouvelle Église
... Mais Dieu avait d'autres projets»
Inutile de prouver que nous sommes bel et bien dans cette période.
Les extrêmes climatiques depuis quelques mois mettent bien des gens à l’épreuve.
Ce n’est que le début.
Car
l’inflation et la récession liés à ces caprices météorologiques (la
guerre de la nature selon les prophéties de Jean XXIII) vont
plonger le monde dans un chaos tel que l’humain n’a jamais été témoin.
D’où l’importance de la Foi et du Rosaire car psychologiquement, ce sera difficile.
Mais pour nous, c'est la résurrection des vivants et des morts qui pointe à l'horizon.
Août 2022
26 août
Deux grandes constatations surgissent des derniers mois.
La
première, de causes naturelles (alors que nous savons que c’est la «
guerre de la nature » des prophéties de Jean XXIII) est la sécheresse
catastrophique dans toutes les parties du globe.
Le
manque d’eau potable ainsi que des rendements insuffisants des récoltes
feront de 2023 une année très difficile pour les populations à risque.
Ces
manques d’eau, ont par ailleurs, une répercussion énorme sur la chaîne
d’approvisionnement comme on a pu le constater avec la navigation
restreinte sur le Rhin en Allemagne, ou par les coupures d’énergie dans
les usines de la Chine.
La
deuxième, pour ceux qui ont les yeux pour voir, est la provocation pure
et simple, intentionnelle, de la chute de l’économie mondiale pour
servir la cause de la grande réinitialisation.
Toutes
les banques centrales des pays occidentaux, sans exception, augmentent
les taux d’intérêts intentionnellement pour contrer la très redoutée
poussée inflationniste causée par eux avec les confinements
obligatoires pendant deux années.
En
même temps, ces mêmes pays poussent l’économie vers des énergies plus
vertes à des coûts exorbitants provenant à même les impôts de la classe
moyenne, car dans cette grande réinitialisation, la survie de l’élite
en dépend.
Les pays asiatiques, dépendant de la demande gargantuesque des occidentaux, luttent pour garder le rythme de production.
C’est
une guerre économique contre la Chine, évidement, qui a déjà de la
difficulté avec la sécheresse « exceptionnelle », qui se joue.
Tous
doivent être « motivés », par la force s’il le faut, à joindre le
mouvement mondialiste basé sur la religion humaniste avec comme langage
commun le réchauffement climatique.
D’où la guerre en Ukraine pour affaiblir la Russie.
Relisez la prophétie politique #32 « Le Temps est Proche ».
Tout y est.
Et cela se produit juste avant la fin des 7 ans de règne de la fille de Caïn.
Et
comme on soupçonne que la fille de Caïn est la nouvelle église
œcuménique de Bergoglio qui s’est fait jour à la face du monde lors de
la signature avec les luthériens en octobre 2016, les sept années se
terminent en 2023.
Les dates sont quand mêmes assez révélatrices…
Après avoir reçu les
luthériens au Vatican le 13 octobre 2016, Bergoglio se rend ensuite en
Suède pour le pacte avec les luthériens.
La semaine de Daniel de 7 ans commencerait donc en octobre 2023.
Comme prophétisé par Daniel,
le sacrifice et l’oblation ont été interrompu à la moitié de la
semaine, avec la Pâques du 12 avril 2020.
Le
monde a été témoin d’une Pâques sans fidèle au Vatican et les églises
fermées un peu partout à travers le monde à cause des confinements
n’ont pas célébrer la Pâques.
Au même moment, au niveau politique, la bête de la Terre :
« Macron : « La Bête de l’événement est là » » (entrevue accordée au Financial Times le 16 avril 2020).
Emmanuel Macron, a confirmé dans son discours du 13 avril 2020 le « plan de l’après 11 mai ».
Et Macron ce 24 août 2023 ( agence Reuters):
« Les
Français doivent se préparer à d’avantage d’efforts et de sacrifices
alors que le monde est confronté à une grande bascule ». à prévenu
Macron mercredi en préambule au conseil des ministres Le ton grave, le
chef de l’état à appelé à l’unité alors que nous sommes en train de
vivre » une grande bascule, un grand bouleversement, avec la fin
de l’abondance, la fin d’une forme d’insouciance, et la fin des
évidences »…
« Le moment que nous vivons peut sembler être structuré par une série de crises plus graves les unes que les autres ».
Guerre économique, guerre religieuse, guerre par les armes, guerre de la nature…
C’est
dans l’habitude de l’élite remplie d’orgueil d’annoncer à l’avance
leurs plans. Ils ne se cachent plus car ils sont sûrs de la victoire.
Mais Dieu avait d’autres plans…
2023
sera un signe de purification par le feu, par le feu du Saint-Esprit
pour ceux qui sont en état de grâce, car la conclusion du synode
d’octobre 2023 risque de faire des flammèches.
On surveille le Consistoire du 29 août de Bergoglio.
On
le soupçonne de vouloir introduire un coadjuteur du pape, c’est-à-dire
un cardinal élu pape qui n’entre en fonction que lorsque l’autre meurt,
pour assurer la continuité de son travail de destruction progressiste
de l’église.
Ce qui, confirmerait, sans surprise pour nous, une phrase clé de la prophétie de l’église #10 concernant François : « Et il y aura un autre Père, avant que tu sois enseveli, pour prier loin pour toi, pour les blessures de la Mère. »
Dans
nos analyses, nous avons toujours soupçonné que le cardinal Pietro
Parolin accéderait à la papauté intérimaire sans conclave, et devenir
le « Pierre le Romain » de la prophétie de Saint-Malachie.
Voilà qui pourrait être la réponse.
11 août
Quelques
articles sur l’état de l’église ainsi qu’une confirmation de la grande
apostasie par le cardinal Burke qui nous laisse une note encourageante.
Nous
sommes mis à l’épreuve et comme dans la parabole des 10 vierges, il
nous faut garder de l’huile pour l’arrivée de l’époux, c’est à dire
garder notre flamme de la Foi allumée.
« L’évêque de la « théologie pop » à la tête de l’Académie pontificale de théologie
Le pape François a nommé Mgr Antonio Staglianò, actuellement évêque de Noto, président de l’Académie pontificale de théologie.
La mission de l’académie,
rappelle le Vatican, est de « promouvoir le dialogue entre la foi
et la raison ainsi que l’approfondissement de la doctrine chrétienne,
en suivant les indications du pape », et Staglianò était considéré
comme l’homme juste au bon endroit.
L’annonce a été faite par
l’évêque lui-même, qui s’est dit reconnaissant au pontife et heureux de
la reconnaissance « pour la prédication de l’Évangile, pour l’œuvre de
charité, et aussi pour la tentative faite dans notre Église locale
d’inventer, en le sens de découvrir de nouvelles formes de
communication « au service de l’Evangile ». « Nous – a poursuivi
l’évêque de Noto – l’appelons théologie pop « .
En me nommant – a poursuivi
l’évêque -, le pape signifie que « je peux, en travaillant dur,
apporter l’académie, la science théologique au peuple de Dieu ». »
Ci-dessous,
vous pouvez voir et écouter quelques leçons de théologie pop données
par l’évêque : (vidéo en italien mais qui donne le ton de cette mimique
charismatique aldomariavalli.it )
Ils essaient de changer la mentalité des nouvelles générations, autant au Vatican, que dans la population en général.
En
plus de ceci qui confirme ce qui s’en vient à la conclusion du synode
des synodes… les valeurs inversées, c’est à dire que le peuple veut et
non ce que Dieu veut.
« CHICAGO ( LifeSiteNews
) – Le chef ouvertement pro-homosexuel de la commission épiscopale
européenne a de nouveau mis en doute la doctrine catholique éternelle
sur l’homosexualité et a semblé suggérer qu’il pense que l’Église
catholique peut changer son enseignement à travers le « Synode sur
la synodalité, » et a affirmé qu’il savait qu’il était « en
plein accord avec le pape François » sur la question.
Dans un échange de 90 secondes
capturé sur vidéo dimanche à la paroisse Holy Child Jesus à Chicago,
Illinois, le cardinal jésuite Jean-Claude Hollerich, qui joue un rôle
important dans le synode du pape François sur la synodalité en tant que
rapporteur général, a déclaré que « nous devons donner une
interprétation à l’enseignement biblique » lorsqu’on lui a demandé ce
qu’il pensait d’un éventuel changement dans la doctrine catholique sur
l’éthique sexuelle.
Néanmoins,
des documents synodaux de diocèses du monde entier ont déjà signalé des
appels, apparemment de la part de paroissiens, à des changements dans
les enseignements concernant les unions homosexuelles et le célibat
sacerdotal.
Lors de la visite de Hollerich
aux États-Unis, l’activiste catholique laïc Richard Smaglick a demandé
si le cardinal de haut rang pensait que la sodomie ne pouvait plus être
considérée comme un péché grave dans la doctrine catholique à la suite
du processus synodal mondial.
« Je
ne sais pas ce que le synode apportera », a répondu Hollerich,
« nous écoutons maintenant les gens du monde, ce qu’ils
expriment ».
«
Je commence à recevoir des rapports. Comme vous le savez, je suis le
rapporteur général du synode et donc, en lisant tout cela, en
septembre, nous ferons une première ébauche pour les rencontres
continentales qui auront lieu », a expliqué le cardinal, qui est
également archevêque de Luxembourg. , ajoutant plus tard qu’il
« ne considérerait jamais la sexualité séparée de l’amour »…
« La
Bible dit que le soleil tourne autour de la terre », a poursuivi
Hollerich. « Ainsi, la Bible est… [nous] devons donner une
interprétation à la Bible… »
Suite à la visite de Bergoglio au Canada...
« Nécromancie papale en mondovision. Bergoglio participe à un rituel païen invoquant « le cercle sacré des esprits »….
Il
fut un temps où, dans l’Église, cet « accès au cercle sacré des esprits
» était désigné par un nom spécifique, la nécromancie. Et condamné et
poursuivi par l’autorité catholique. Mais maintenant, dans la
néo-église conciliaire, même cela devient permis – en fait, encouragé
en personne, dans le monde entier, par le pontife romain lui-même…
Il
faut comprendre comment ce rituel d’accès au monde des esprits est
présent dans tout l’ésotérisme – c’est-à-dire à l’opposé de la religion
catholique. On le retrouve même dans les rites d’initiation de la
‘Ndrangheta, où, peut-être en raison de l’influence de la secte
maçonnique, des invocations sont faites à une « chaîne sainte »
d’esprits du triumvirat du Risorgimento italien (c’est-à-dire
maçonnique) : « Sous la lumière des étoiles et la splendeur de la lune,
je forme la chaîne sainte, au nom de Garibaldi, de Mazzini et de La
Marmora, dans les mots d’un homme d’humilité, je forme la société
sainte ».
Revenant
sur le scandale au Canada, après le rituel païen, François a prononcé
un discours dans lequel il a condamné la « colonisation idéologique »,
déplorant une « mentalité colonialiste » passée qui, selon lui, «
négligeait la vie concrète des gens et imposait certains modes
culturels prédéterminés ».
Au
contraire, Bergoglio semble soutenir avec véhémence les rites païens
des peuples indigènes, affirmant que « le Saint-Siège et les
communautés catholiques locales s’engagent concrètement à promouvoir
les cultures indigènes par des formes spécifiques et appropriées
d’accompagnement spirituel, qui incluent l’attention à leurs traditions
culturelles, leurs coutumes, leurs langues et leurs processus
éducatifs, dans l’esprit de la Déclaration des Nations unies sur les
droits des peuples indigènes ».
Absolument : oui au paganisme, et sous les auspices de l’ONU – deux choses auxquelles le Vatican est soumis aujourd’hui.
Auparavant,
lors de sa visite au Canada, le pape, portant la coiffe traditionnelle
indigène, avait assisté à une « danse de guérison », pleine de tambours
qui étaient apparemment censés imiter « le battement de cœur de la mère
terre » – c’est-à-dire, en traduction amazonienne, de Pachamama, la
mère terre, son idole de prédilection.
Le
chef religieux indien a déclaré : « De l’ouest, nous avons le vent,
l’oxygène que nous respirons, c’est le gouvernement de la terre mère.
Et du côté nord, nous avons la terre mère, la terre mère est ce que
nous sommes. La terre mère est toute la vie végétale, la terre mère,
notre mère, est aussi la mère de toute la vie des insectes, la terre
mère est aussi la mère de tous les animaux sur terre, dans l’eau, dans
l’air ».
« La mère terre est bien sûr la mère de toute l’humanité », a ajouté le chef « spirituel ».
Le
processus de paganisation dont le pape est un intermédiaire, sinon un
organisateur, est désormais indéniable. Et embarrassant. Désespérant. »
(benoit-et-moi.fr)
Le cardinal Burke, qui célèbre toujours la messe tridentine, :
« ... met en garde contre "l'avancement de l'apostasie" dans l'Église lors de l'homélie de la messe en latin
WAUSAU, Wisconsin ( LifeSiteNews
) – Le cardinal Raymond Burke a offert encouragement et espoir aux
catholiques traditionnels dans une récente homélie, déplorant le «
poison de la pensée mondaine » au sein de l'Église.
Au cours de son homélie du 7
août à l'Oratoire Sainte-Marie dirigé par l'Institut du Christ Roi
Souverain Prêtre (IKCSP) à Wausau, Wisconsin, Burke s'est adressé aux
fidèles catholiques, mettant en garde contre les attaques à l'intérieur
et à l'extérieur de l'Église catholique.
« Des temps comme le présent
ne sont pas différents de ceux du peuple élu avant la chute de
Jérusalem », a-t-il déclaré. « La culture laïque est une rébellion
ouverte et violente contre le bon ordre que Dieu a inscrit dans la
nature et surtout dans le cœur humain.
"L'intégrité du mariage et de
la famille, la dignité inviolable de la vie humaine et la liberté
fondamentale de religion sont régulièrement violées au profit d'une
culture fondée sur la volonté de cœurs humains corrompus", a poursuivi
Burke.
"Le poison de la pensée
mondaine affecte la vie de l'Église, éloignant les cœurs du Christ, du
respect de la vérité de la doctrine chrétienne et de l'adoration de
Dieu en esprit et en vérité", a averti Burke.
Son homélie intervient au
milieu de restrictions croissantes sur la messe latine traditionnelle
alors que le cardinal Cupich de Chicago a annulé les messes publiques
et les confessions des prêtres de l'ICKSP dans son diocèse, laissant
quelque 400 à 500 fidèles chaque dimanche privés de la messe et des
sacrements traditionnels.
Cette décision est intervenue
après que les prêtres de l'ICKSP ont refusé de signer une lettre
présentée par Cupich, déclarant que la messe Novus Ordo est la seule
véritable expression du rite romain, rejetant ainsi le rite romain
traditionnel et son charisme.
"L'apostasie est
douloureusement évidente dans la vie de ceux qui prétendent être de
fervents catholiques tout en ignorant la tradition apostolique", a
déclaré Burke.
"Dans de tels moments, les
cœurs sincères luttent pour comprendre la volonté permissive de Dieu
tandis que Satan les tente au doute et au découragement, et à l'abandon
de la bataille quotidienne contre les forces du mal", a-t-il déclaré.
"Mais nous ne devons jamais
céder au doute, au découragement et à l'abandon de la bataille
quotidienne pour défendre notre Seigneur et sa sainte Église", a
déclaré Burke, ajoutant, "même des ennemis de l'intérieur de l'Église".
Le cardinal Burke a toujours
exprimé son soutien à la messe en latin, défendant la Tradition contre
de nouveaux documents publiés par la Congrégation (aujourd'hui
Dicastère) pour le culte divin et la discipline des sacrements (CDW). »
9 août
LA PERSÉCUTION DE L’ÉGLISE
« Voici
donc que je te donnerai quelques-uns de la synagogue de Satan, qui se
disent être juifs et ils ne le sont pas, mais ils mentent. » (Apoc. 3:9)
Dans
l’Apocalypse, ces paroles sont données à l’église de Philadelphie, la
dernière de la suite, la 7ème, pointant ainsi sur la fin des temps, sur
la dernière persécution de l’Église.
Avec la venue du Christ, les « juifs » sont devenus les chrétiens, le peuple de Dieu.
Ainsi, ceux qui se disent du Christ mais ne le sont pas, mentent.
L’abbé Julio Meinvielle (théologien argentin), « Les juifs dans le mystère de l’histoire » (réédition février 2007):
« Saint Paul, dans son
Epître aux Romains, où il révèle le mystère du peuple juif, fait voir
comment Esaü, l’aîné selon la chair, c’est le peuple juif uni à Abraham
par les simples liens du sang, et Jacob le frère cadet, c’est
l’Église (formée de Juifs et de Gentils), qui, parce qu’elle est unie
par la foi au Christ, est préférée à Esaü. »
« Face à l’Eglise, qui est Isaac, Jacob, Abel, que va faire la Synagogue ? Que va faire le juif ? Il remplira le rôle d’Ismaël, d’Esaü, de Caïn.
Que faisait Ismaël avec Isaac
? Il se moquait de lui et le persécutait. Que faisait Esaü contre Jacob
? La Genèse nous dit : (XXVII) « Donc Esaü hait toujours Jacob
pour la bénédiction que son père lui avait donnée. Et il disait en son
cœur : viendront les jours de deuil de mon père, et je tuerai mon frère
Jacob. »
Voici
le rôle qui incombe dès lors à la Synagogue, au juif qui reste juif et
ne veut pas reconnaître le Christ : il s’emploiera à persécuter
l’Église, comme le fait remarquer l’Apôtre.
Et il devra le faire parce que telle est sa mission, son rôle théologique. Alors le juif sera l’agent de l’iniquité. »
« Après
le Christ, il n’y a, pour les descendants d’Abraham, que deux chemins :
ou bien être chrétiens en adhérant au Christ, ou bien être juifs.
Celui, qui sciemment, ne se convertit pas sincèrement au Christianisme,
est juif, avec toutes les perversités sataniques de la race
stigmatisée. »
« Dans
le monde actuel, dans toutes les manifestations de la vie, il ne peut y
avoir que deux modes véritablement fondamentaux, deux pôles
d’attraction : le chrétien et le juif. Seulement deux religions : la
chrétienne et la juive. Seulement deux internationalismes : le chrétien
et le juif. Tout ce qui n’est pas du Christ et pour le Christ se fait
en faveur du judaïsme. De là vient que la déchristianisation du monde
va de pair avec sa judaïsation.
Pourquoi
ne peut-il y avoir que ces deux modes ? Parce que ce sont les seuls
voulus par Dieu. Ce sont les seuls théologiques. Dieu a réparti le
monde entre Isaac et Ismaël, entre Jacob et Esaü, entre Caïn et Abel,
entre le Christ et l’Anti-Christ. Toutes les forces humaines doivent se replier sur l’un ou l’autre front. »
« Mais plus est élevée la
grandeur d’Israël, qui a été prédestiné dans le Christ, plus grande
devra être sa fidélité au Christ. Malheur à ce peuple s’il en vient à
répudier Celui qui est son salut ! Alors il continuera à être le
premier, mais le premier dans l’iniquité. Et tout ce que le monde peut
produire de plus inique et de plus pervers sortira aussi de ce
peuple. »
C’est donc ce déchaînement satanique auquel nous assistons.
Tout ce qui n’est pas lié à la doctrine de l’Église fondée et voulue par le Christ, est contre le Christ.
Ainsi, la Tradition est le phare des deux témoins de l’Apocalypse.
C’est inscrit dans le catéchisme :
« L’Épreuve ultime de l’Église
675 Avant
l’avènement du Christ, l’Église doit passer par une épreuve finale qui
ébranlera la foi de nombreux croyants (cf. Lc 18, 8 ; Mt 24, 12).
La persécution qui accompagne son pèlerinage sur la terre (cf. Lc 21,
12 ; Jn 15, 19-20) dévoilera le " mystère d’iniquité "
sous la forme d’une imposture religieuse apportant aux hommes une
solution apparente à leurs problèmes au prix de l’apostasie de la
vérité. L’imposture religieuse suprême est celle de l’Anti-Christ,
c’est-à-dire celle d’un pseudo-messianisme où l’homme se glorifie
lui-même à la place de Dieu et de son Messie venu dans la chair (cf. 2
Th 2, 4-12 ; 1 Th 5, 2-3 ; 2 Jn 7 ; 1 Jn 2, 18. 22).
676 Cette
imposture antichristique se dessine déjà dans le monde chaque fois que
l’on prétend accomplir dans l’histoire l’espérance messianique qui ne
peut s’achever qu’au-delà d’elle à travers le jugement
eschatologique : même sous sa forme mitigée, l’Église a rejeté
cette falsification du Royaume à venir sous le nom de millénarisme (cf.
DS 3839), surtout sous la forme politique d’un messianisme sécularisé,
" intrinsèquement perverse " (cf. Pie XI, enc. " Divini
Redemptoris " condamnant le " faux mysticisme " de cette
" contrefaçon de la rédemption des humbles " ; GS 20-21).
677 L’Église
n’entrera dans la gloire du Royaume qu’à travers cette ultime Pâque où
elle suivra son Seigneur dans sa mort et sa Résurrection (cf. Ap 19,
1-9). Le Royaume ne s’accomplira donc pas par un triomphe historique de
l’Église (cf. Ap 13, 8) selon un progrès ascendant mais par une
victoire de Dieu sur le déchaînement ultime du mal (cf. Ap 20, 7-10)
qui fera descendre du Ciel son Épouse (cf. Ap 21, 2-4). Le triomphe de
Dieu sur la révolte du mal prendra la forme du Jugement dernier (cf. Ap
20, 12) après l’ultime ébranlement cosmique de ce monde qui passe (cf.
2 P 3, 12-13).
680 Le
Christ Seigneur règne déjà par l’Église, mais toutes choses de ce monde
ne lui sont pas encore soumises. Le triomphe du Royaume du Christ ne se
fera pas sans un dernier assaut des puissances du mal.
681 Au
Jour du Jugement, lors de la fin du monde, le Christ viendra dans la
gloire pour accomplir le triomphe définitif du bien sur le mal qui,
comme le grain et l’ivraie, auront grandi ensemble au cours de
l’histoire .
682 En
venant à la fin des temps juger les vivants et les morts, le Christ
glorieux révélera la disposition secrète des cœurs et rendra à chaque
homme selon ses œuvres et selon son accueil ou son refus de la grâce. »
Le prince du mensonge est donc à l’œuvre pour envoûter le plus d’âmes possibles.
Bergoglio,
tout en gardant les mêmes mots et les mêmes noms façonne le mensonge de
la doctrine en en changeant le sens, ce qui cause la confusion au sein
même de l’Église.
Un dernier exemple d’une de ses paroles de la semaine dernière :
« Je vous encourage à
continuer à travailler sur la culture de la rencontre, qui raccourcit
les distances et nous enrichit de nos différences, comme l’a fait
Jésus, qui s’est fait proche de tous. »,
Ce Jésus est l’image du Jésus fabriqué à la sauce de la miséricorde infinie (« Qui suis-je pour juger? »).
Ce n’est pas celui des Évangiles.
Il applique ce même principe à Marie et à l’Église.
Les faits, les fruits de son pontificat, démontrent qu’il méprise Marie, et le Christ (voir analyses précédentes).
Il faut être vigilant.
La
conclusion du synode des synodes d’octobre 2023 ne fera qu’accentuer
cette persécution de l’Église et de ses fidèles de la tradition, les
deux témoins, ceux fidèles à la Loi et aux Prophètes, laïcs et clergé.
Et
dans toute cette confusion, un petit mais grand signe porteur d’espoir…
qui prouve si ce n’est pas truqué, que la présence réelle toujours
d’actualité (sachant que le but ultime de Bergoglio est sa messe
œcuménique éliminant la présence réelle) :
« GUADALAJARA, Mexique ( LifeSiteNews ) – Un prétendu miracle eucharistique a été signalé la semaine dernière au Mexique.
Le 22 juillet 2022, une vidéo
a été enregistrée à la paroisse Notre-Dame du Rosaire dans la ville de
Zapotlanejo, près de Guadalajara, au Mexique. La vidéo montre une
hostie consacrée dans un ostensoir qui semble battre au rythme d’un
cœur humain. ..
Le prêtre argentin Père Carlos
Spahn, fondateur et supérieur de la Famille Religieuse du Cœur Immaculé
et de la Miséricorde Divine, prêchait à la paroisse et venait d’exposer
le Saint-Sacrement à l’adoration des fidèles.
S’adressant
à ACI Prensa, l’agence de presse sœur de langue espagnole de CNA, le P.
Spahn a expliqué que l’événement a eu lieu pendant l’Adoration juste
après qu’il ait offert la messe. « Nous avons exposé le Saint-Sacrement
; J’ai dit les prières pour l’exposition, et quand je me suis levé pour
aller à la sacristie, cela a commencé à arriver.
« Certaines
personnes l’ont vu », a-t-il poursuivi. Ils « ne pouvaient
pas croire ce qu’ils voyaient, et nous avons au moins deux
séquences », a-t-il déclaré. Ces vidéos ont été prises par
« des gens qui ont rapidement sorti leur téléphone portable, l’ont
filmé », qui ont immédiatement remis la séquence au prêtre
« pour qu’ils ne la modifient pas ou quoi que ce soit ».
« J’atteste donc que c’est authentique, à partir du moment exact », a déclaré Spahn.
Offrant
«une interprétation personnelle» de l’hôte palpitant, le P. Spahn a dit
qu’il révèle « le cœur du Christ, qui bat d’amour pour les
hommes », et qui, a-t-il déploré, « est si outragé, si
abandonné, si méprisé… que parfois nous ne le traitons pas comme nous
le devrions, avec plus de soin. , avec plus de foi, avec plus de
dévouement.
Mettant
en garde contre toute position officielle sur l’événement avant un
jugement de l’Église, Spahn a précisé : « Je ne dis pas
officiellement que c’est un miracle, car je n’ai pas l’autorisation de
le faire ».
Après
l’événement, le prêtre a dû se déplacer rapidement vers un autre
diocèse où il devait également prêcher. L’affaire a donc été laissée au
curé local pour qu’il la soumette au diocèse pour examen.
Spahn
a expliqué juste après son départ : « [l]’archidiocèse n’a pas été
consulté à ce sujet parce que nous n’étions que de passage ; maintenant
je suis dans un autre diocèse en train de prêcher. Cependant, il a
déclaré que le prêtre local serait en mesure de trouver « des
personnes pour signer et témoigner de ce qu’elles ont vu, et cette
documentation peut être envoyée à la personne appropriée ». »
La vidéo.
Juillet 2022
17 juillet
Tous
les papes post Vatican II vont être canonisés pour prouver que cette
église conciliaire est valide, même ceux à l'image de Jean XXIII qui
n'ont pas eu les miracles nécessaires pour justifier la cause.
En vue de la béatification de Jean-Paul I le 4 septembre prochain, un retour sur son décès troublant.
« "Il criait au pape": un prêtre catholique affirme que le cardinal franc-maçon a tué Jean-Paul Ier
ROME (LifeSiteNews)
— Le dernier homme à avoir parlé au pape Jean-Paul Ier, bientôt
béatifié , était un cardinal de la curie romaine que le pape avait
l'intention de destituer en raison de son appartenance à la
franc-maçonnerie. Quelques heures seulement après une réunion houleuse
avec le cardinal au Palais apostolique, le pape a été retrouvé mort.
Le 25 septembre 1978, à peine
trois jours avant que le nouveau élu Jean-Paul Ier ne soit retrouvé
mort, le Saint-Père rencontra Mgr Edouard Gagnon. Pr. Charles Murr, le
secrétaire de Gagnon, a détaillé les circonstances de cette rencontre
dans un livre récent intitulé Meurtre au 33e degré ...
Lors de cette réunion, Gagnon
a présenté à Jean-Paul Ier les conclusions d'une enquête de trois ans
sur l'ensemble de la curie romaine qu'il avait menée sur ordre du pape
Paul VI. L'enquête visait spécifiquement à découvrir la présence de
francs-maçons dans les bureaux du Vatican.
Deux hommes se sont distingués
dans cette enquête par les postes qu'ils occupaient au sein de la Curie
: l'archevêque Annibale Bugnini, l'architecte de la liturgie du Novus
Ordo, et le cardinal Sebastian Baggio, le chef de la Congrégation pour
les évêques, responsable de la nomination des évêques à travers le
monde. Sous le mandat de 12 ans de Baggio, un âge de retraite de
75 ans a été imposé à l'épiscopat, lui permettant de nommer des évêques
de tendance libérale dans le monde entier. L'appartenance de Baggio et
de Bugnini à la franc-maçonnerie a été confirmée par des documents
vérifiés comme authentiques par des agents spéciaux d' INTERPOL,
l'Organisation internationale de police criminelle, selon le témoignage
de Murr.
En 1978, en raison de son
implication dans la franc-maçonnerie, Bugnini avait été envoyé par Paul
VI en Iran en tant que nonce apostolique, où, selon Murr, on pensait
qu'il pouvait faire le moins de mal. Baggio, cependant, occupait
toujours son poste au Vatican lorsque Jean-Paul Ier a été élu à la
Chaire de Pierre. Sa destitution fut l'un des principaux sujets de la
rencontre de Gagnon avec Jean-Paul Ier le 25 septembre 1978.
Au cours de cette réunion,
Jean-Paul I a accepté de traiter avec le cardinal Baggio et son
appartenance à la loge, selon le témoignage de Murr, qui a conduit
Gagnon à la réunion et lui a parlé immédiatement après. Trois jours
plus tard, le 28 septembre, le pape téléphone au cardinal pour venir le
rencontrer ce jour-là. Après avoir répondu que son emploi du temps
était chargé, Baggio a accepté de rencontrer le Saint-Père dans son
bureau ce soir-là.
Le 28 septembre à 20 heures,
le cardinal Baggio entra dans les appartements pontificaux. Personne
d'autre ne devait être présent pendant que deux gardes suisses
attendaient devant la porte. L'heure de la journée et l'absence des
autres à la réunion étaient toutes deux inhabituelles. La rencontre a
duré environ une heure. Le seul témoignage concernant cette réunion
papale est venu quelques jours plus tard de l'un des gardes suisses en
service: que la voix en colère de Baggio s'était élevée et pouvait être
entendue à travers la porte, suggérant une confrontation houleuse avec
le pontife.
« A 8 heures, Baggio monta à
la résidence du Saint-Père dans le Palais apostolique, raconte Murr, et
resta avec lui pendant environ une heure. Et il y avait des cris. Pas
le pape. Le pape ne criait pas. Baggio criait au pape. Comment
savons-nous cela? Il se trouve que je le connais. il se trouve que je
sais. C'était par un garde suisse qui était à l'extérieur de la porte.
Il y avait deux gardes suisses. Ils ont rapporté ces cris. Baggio est
parti. Furieux. Après une heure."
Jean-Paul I a été retrouvé
mort le lendemain matin à 4h45. Le rapport officiel du Vatican sur la
cause de sa mort a changé plusieurs fois. Le dernier rapport était que
le Pontife a subi une crise cardiaque dans la nuit vers 23 heures.
Aucune autopsie ou test sanguin n'a jamais été effectué.
La dernière rencontre de
Jean-Paul Ier avec le cardinal Baggio et l'appartenance de ce dernier à
la franc-maçonnerie ont été tenues secrètes par le Vatican pendant des
décennies. Un article du Time Magazine racontant l'histoire est la
seule preuve de l'époque où le P. Charles Murr a pu récupérer comme
preuve extérieure. « Le seul endroit », dit Murr, « où j'ai vu un
rapport de la rencontre entre le Saint-Père, Jean-Paul Ier et le
Cardinal Baggio, Sebastian Baggio, était dans Time Magazine . J'en ai
une copie. Ça m'a coûté cher à trouver.
Murr allègue que la
confrontation entre le pape et le cardinal de haut rang, membre à la
fois de la curie romaine et de la loge maçonnique, a très bien pu être
ce qui a causé à Jean-Paul Ier une crise cardiaque quelques heures plus
tard. Mais étant donné la nature de la confrontation, Murr allègue
également que les circonstances de la mort du Pontife la qualifieraient
de meurtre maçonnique.
«Le pape, qui avait un cœur
malade, prend des médicaments contre l'hypertension, je crois, à cause
de cette rencontre, a subi une crise cardiaque deux ou trois heures
plus tard et est décédé. Maintenant vous dites, eh bien, ce n'est pas
vraiment un meurtre… J'ai demandé au cardinal Gagnon : Pensait-il que
le pape avait été assassiné ? Et il a dit : 'Tu sais, Charles. Il y a
bien des manières de tuer un homme. Je crois que c'est ce qui s'est
passé. Je crois que c'est le meurtre. C'est le meurtre dont je parle.
Murr a appelé le Vatican à
publier le rapport d'enquête Gagnon sur la présence de francs-maçons au
sein de la Curie romaine, y compris la documentation sur Bugnini et
Baggio. L'appel est particulièrement pertinent compte tenu de la
béatification prochaine de Jean-Paul Ier le 4 septembre. Le rapport
Gagnon pourrait faire la lumière non seulement sur la mort de Jean-Paul
Ier, mais sur les événements qui ont plongé l'Église dans sa crise
actuelle. »
« Dans Desiderio desideravi, Benoît XVI est totalement absent,..
depuis la promulgation de la
lettre apostolique Traditionis custodes il y a un an, qu’entre celui
qui exerce actuellement le ministère pétrinien et son prédécesseur
immédiat (qui n’est plus pape, mais qui est toujours vivant), il
n’existe pas seulement une différence d’accentuation, ni même une
différence de position, mais une véritable discontinuité ; et pas sur
une question secondaire, mais sur quelque chose qui est au cœur même de
notre foi. Pour le dire en termes très simples et populaires, adaptés
aux simples soldats que nous sommes : l’un des deux pense que la Messe
vetus ordo est vivante, l’autre pense qu’elle est morte. Comme deux
médecins qui, face à un corps humain, disent : « il est vivant, c’est
une personne vivante » ; « non, c’est juste un cadavre » [allusion à
une page du « Pinocchio » de Collodi]. Sauf que nous ne sommes pas dans
une page de Pinocchio…
Si l’Église catholique change
de doctrine, un problème se pose. Je dirais un gouffre. Si le pape dit
: ‘la messe Vetus Ordo – que certains, même des jeunes, insistent pour
demander, après cinquante ans ! (ce qui doit signifier quelque chose) –
doit être déracinée parce qu’elle ne correspond pas à la foi de
l’église’, de deux choses l’une : soit elle ne correspond plus à la foi
de l’église parce que cette foi a changé ( !?!?!?!?!), soit elle était
déjà mauvaise avant (!?!?!?!?!?!). Le seul tertium proposé, pour
échapper à ces deux désastres, est de soutenir que la « vieille messe »
correspond et exprime la foi de l’église (donc elle est bonne !), mais
que, face à la demande de beaucoup de ses enfants qui demandent à être
nourris d’une nourriture qu’ils reconnaissent en conscience comme la
plus appropriée pour leur bien spirituel, la mère église refuse de la
leur donner simplement parce qu’elle en a décidé ainsi. Mais quel genre
de mère serait-ce ? Benoît XVI, qui tout au long de sa vie a placé la
liturgie au centre de sa réflexion théologique et de sa pastorale (et
qui aurait peut-être mérité qulque attention de la part des rédacteurs
de Desiderio desideravi), en tant que pape a senti qu’il devait le leur
donner, ce pain que les fidèles demandaient. François, au moins depuis
un an, a décidé exactement le contraire : il leur en laisse un petit
peu en attendant qu’ils meurent, et puis plus rien. Ils ne peuvent pas
avoir raison tous les deux.
Si Benoît s’est trompé,
François devrait le dire et éventuellement le prouver. Faire comme si
ce n’était pas le cas est contraire à la vérité. Et s’il n’y a pas de
vérité, il ne peut y avoir de beauté non plus.
C’est pourquoi le silence sur Benoît XVI dans cette lettre apostolique est à mon humble avis incompréhensible et inacceptable.
Leonardo Lugaresi
6 juillet 2022 » (benoit-et-moi.fr)
On voit depuis quelques jours un montée des prêtres qui disent finalement tout haut ce qui se passe à la tête du Vatican.
Le cardinal Sarah qui a été écarté comme préfet de la Congrégation pour
le culte divin et la discipline des sacrements en 2021 revient à la une.
Il était probablement un obstacle à la nouvelle messe en préparation.
(punit pour la sortie de son livre dont la préface avait été signée par
Benoît XVI tout juste avant le rapport amazonien qui voulait redéfinir
le sacerdoce: « Le pape émérite Benoît XVI et le cardinal Robert Sarah,
préfet de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des
sacrements, signent un livre intitulé « Des profondeurs de nos cœurs »,
dédié au sacerdoce, dévoile le Figaro le 12 janvier 2020. Ensemble ils
y réaffirment comme principe fondamental le célibat sacerdotal. »
https://fr.aleteia.org/2020/01/13/benoit-xvi-et-le-cardinal-sarah-reaffirment-dans-un-livre-limportance-du-celibat-sacerdotal/),
« Sarah en couverture. La rédaction de Paris Match se révolte …
L’éditorial, en revanche, s’inquiète du fait que « les positions les
plus controversées du cardinal Sarah ont été étouffées ». Or, il ne
semble pas que le préfet émérite de la Congrégation pour le culte divin
et la discipline des sacrements ait jamais eu d’autres positions que
celles que l’on trouve depuis toujours dans la doctrine de l’Église
catholique. » (benoit-et-moi.fr)
Récemment dans sa dernière entrevue sur la décennie de son pontificat,
Bergoglio concluait: « Je n’ai pas inventé ce que j’ai fait. J’ai
recueilli ce que les cardinaux avaient dit dans les réunions
pré-conclave ».
Ici, il fait sûrement référence à la mafia St-Gall qui l’a élu.
Petit retour en arrière, car la messe œcuménique fait partie des ces réunions pré-conclave:
« Le biographe du pape : Le synode à venir transformera l’Église conformément à « Objectifs de la mafia de St-Gall »
( LifeSiteNews
) – L’homme qui a décrit avec enthousiasme le pape François comme un «
grand réformateur » seulement un an et demi après le début de sa
papauté prédit maintenant que le prochain synode des évêques sur la
synodalité pourrait apporter une transformation révolutionnaire de
l’Église catholique.
Austen Ivereigh a écrit jeudi sur les objectifs du synode « Pour une
Église synodale », qui doit commencer en octobre, le qualifiant de «
bouleversement historique » et de « potentiellement le moment le plus
transformateur du catholicisme depuis le Concile Vatican II, qui
cherche à s’ancrer de façon permanente dans la vie de l’Église.
« Le « synode de deux ans sur la synodalité », a écrit Ivereigh dans
Commonweal , « est destiné à marquer le christianisme pour toujours. »
Il a noté: «Pourtant, jusqu’à présent, le désengagement a été presque
total. (Votre curé a-t-il mentionné quelque chose ? C’est ce que je
pense.) »
L’aspect peut-être le plus « transformateur » du synode, a écrit
Ivereigh, est que le « peuple de Dieu » ne sera plus composé de «
spectateurs passifs », mais sérieusement consultés pour discerner la
voix du Saint-Esprit. Les évêques restent les « juges en chef » et le
Pape a la décision finale dans ce processus.
Ivereigh a écrit : « Ainsi, ‘le but de ce synode’ – et en effet, le but
d’une Église synodale – ‘est d’écouter, en tant que peuple de Dieu tout
entier, ce que le Saint-Esprit dit à l’Église.’ » Il a en outre noté
que le document préparatoire du synode affirmait que c’était le rôle du
diable (« les diabolos ») « d’essayer de séparer » le peuple de Dieu,
le Saint-Esprit et les évêques dans un synode.
Le vademecum , ou manuel du synode, stipule expressément que le
processus de discernement synodal de « l’écoute » doit inclure « les
catholiques qui pratiquent rarement ou jamais leur foi, etc. de la foi,
les personnes d’autres traditions religieuses, les personnes sans
croyance religieuse, etc.
« Personne – quelle que soit son appartenance religieuse – ne devrait
être exclu du partage de son point de vue et de ses expériences, dans
la mesure où il souhaite aider l’Église dans son cheminement synodal à
la recherche de ce qui est bon et vrai », lit-on dans le texte.
Selon Ivereigh, ce processus de consultation ne sera pas au service
d’un « programme » idéologique particulier : « Un synode n’est pas
appelé à défendre ou à changer quoi que ce soit ; elle est appelée à
permettre une assemblée qui discerne ce que l’Esprit Saint demande à
l’Église en ce moment par rapport à la mission pour laquelle elle
existe : évangéliser.
En effet, les « noyaux thématiques » du document préparatoire à
explorer lors du synode sont quelque peu vagues et davantage orientés
vers le processus que vers les « problèmes ». Ces sujets incluent des
variations du thème de la «synodalité», que le cardinal Mario Grech a
expliqué «est la forme de communion de l’Église – Peuple de Dieu». En
conséquence, les « noyaux thématiques » comprennent « les compagnons de
route », « l’écoute », « la parole » et « le dialogue dans l’Église et
la société », entre autres sujets.
Mais Ivereigh croit aussi que la synodalité aboutit à une sorte de
synthèse, ou ce qu’il appelle « l’alchimie », de différents points de
vue : « Entrer en synodalité, c’est embrasser une alchimie dans
laquelle l’Esprit agit comme une complexio oppositorum , et tout ce qui
est bon et valide, est préservé dans une nouvelle vision », écrit-il.
Les attentes d’Ivereigh concernant le prochain synode, telles que
publiées dans Commonweal, font écho aux thèmes de sa biographie de 2014
du pape François, « Le grand réformateur : François et la création d’un
pape radical ».
Comme l’a expliqué un critique de cette biographie, Ivereigh a déclaré
qu’il existe trois « clés de la papauté de François ». L’une de ces
clés est la détermination de François à « apprendre et entendre
l’infaillibilité du saint peuple fidèle de Dieu ». Ivereigh l’a réitéré
dans une interview avec Raymond Arroyo, affirmant que le pape François
s’est « toujours enraciné dans ce qu’il appelle le saint peuple fidèle
de Dieu ».
Une autre « clé » est la nécessité pour le Pape de « réunir de
véritables synodes de gouvernance et de démanteler les structures »
afin de réaliser une « réforme institutionnelle » de l’Église. Au cœur
de tout cela se trouve ce que Ivereigh a soutenu être un objectif
déterminé des partisans de Bergoglio depuis le début : la mise en œuvre
de la collégialité par l’Église.
La biographie d’Ivereigh ne se limite pas à décrire le passé et
l’idéologie du pape François, mais tient à prédire comment le
«programme ambitieux» du pape François «se terminera probablement», car
Ivereigh est parvenu à une connaissance intime du long et déterminé
ordre du jour du groupe de cardinaux qui ont soutenu Bergoglio : la
mafia St-Gall.
Bien qu’Ivereigh ne les qualifie pas de « mafia », le cardinal Godfried
Daneels, l’un des proches du groupe, a révélé en 2015 que c’est ainsi
que le groupe s’appelait lui-même.
Karim Schelkens, l’un des biographes de Daneels, a déclaré dans une
interview en 2015 : « L’élection de Bergoglio a été préparée à
Saint-Gall, sans aucun doute. Et les grandes lignes du programme que le
Pape met en œuvre sont celles dont Danneels et Cie commençaient à
discuter il y a plus de dix ans.
Ivereigh a écrit dans la biographie du pape François que le groupe de
Saint-Gall a été formé à la fin des années 1990 en raison d’une «
préoccupation croissante » concernant une « position » qui «
ressemblait à certains critiques comme si elle remontait aux jours
précédant le Concile Vatican II. » : la position selon laquelle il n’y
a « qu’un seul « Magistère », ou autorité enseignante, dans l’Église,
et que l’Église universelle est « ontologiquement antérieure » à
l’Église locale.
Le groupe de Saint-Gall considérait cette position traditionnelle comme
opposée à la véritable « collégialité », qu’Ivereigh décrit comme l’un
de ses objectifs les plus ardemment souhaités pour l’Église. Selon
Ivereigh, la collégialité est une sorte d’autorité conjointe dans
laquelle les évêques aident à gouverner l’église cum et sub Petro –
avec et sous le pape. Dans son idée de collégialité, « l’Église locale
participe au gouvernement de l’Église universelle ».
« Le groupe de Saint-Gall croyait que ce qu’il fallait, c’était une
réforme en profondeur de la gouvernance, un rétablissement de
l’équilibre entre les Églises locales et universelles, vers une
authentique collégialité », a écrit Ivereigh.
La « mafia » autoproclamée a déploré le manque de collégialité de
l’Église comme un obstacle à l’évangélisation, ainsi qu’à « l’unité
chrétienne ». Quelque chose d’aussi fondamental que « l’affirmation du
pouvoir papal » après la Réforme, a écrit Ivereigh, a été « cité comme
une pierre d’achoppement majeure » par les dirigeants des « traditions
réformées ou orthodoxes ».
Cette vision radicale et hétérodoxe de la collégialité a été articulée
par l’un des membres du groupe de Saint-Gall, l’actuel cardinal Walter
Kasper, en opposition à un document de 1992 du cardinal Ratzinger.
Ivereigh a expliqué que Kasper a fait valoir « dans un article
largement publié en décembre 2000 » que la position du cardinal
Ratzinger « est devenue « vraiment problématique lorsque la seule
Église universelle est identifiée à l’Église romaine, et de facto avec
le Pape et la Curie romaine », la décrivant comme « une tentative de
restaurer le centralisme romain ».
Ivereigh a déclaré que Kasper « a poursuivi en affirmant que la
collégialité était vitale pour résoudre les questions pastorales telles
que l’admission des personnes divorcées et remariées à la communion,
ainsi que pour rendre crédible l’invitation catholique à l’unité avec
les autres chrétiens. Le progrès de l’unité dépendait, soutenait-il, de
cette reconnaissance de la valeur de l’Église locale. « Le but ultime
n’est pas une Église unie uniforme, mais une Église dans la diversité
réconciliée. L’expression « diversité réconciliée » a été adoptée par
Bergoglio à Buenos Aires lorsqu’il a discuté des relations avec
d’autres chrétiens et d’autres confessions. »
Ivereigh a expliqué que ces premières préoccupations du groupe de
Saint-Gall ont été reprises dans les discussions lors du conclave
suivant la démission du pape Benoît XVI. « On a beaucoup parlé de
réforme de la gouvernance… et de contact fluide entre Rome et l’Église
locale », a écrit Ivereigh. Il a cité le porte-parole du Vatican, le P.
Federico Lombardi a déclaré aux journalistes le 9 mars, quelques jours
avant le conclave papal, que « la collégialité avait été » un thème
constant dans ces discussions « .
Ivereigh a également cité le cardinal Seán O’Malley de Boston comme se
souvenant : « Nous étions tous à peu près certains qu’il y aurait des
changements spectaculaires et une nouvelle façon de voir la Curie, avec
plus de collégialité. »
« Le diagnostic du groupe de Saint-Gall au début des années 2000 était désormais le plat du jour », écrit Ivereigh.
Ivereigh lui-même est l’ancien assistant du cardinal Murphy-O’Connor,
qu’Ivereigh a décrit dans « Le grand réformateur » comme faisant partie
du « noyau » du groupe de Saint-Gall depuis ses débuts.
Dans un article de septembre 2017 pour The Tablet , Ivereigh a décrit
Murphy-O’Connor comme un « faiseur de rois » lors du conclave qui a élu
le pape François. Ivereigh a déclaré que le cardinal était « fier
d’avoir ouvert ce canal pour que le Saint-Esprit se mette au travail ».
»
« … Une autre humiliation s’est produite lorsque le pape a éliminé la
plupart des membres existants de la Congrégation pour le culte divin et
les a remplacés par des personnes plus hostiles à Sarah et à ses
opinions liturgiques. Et il y a la question de la « messe œcuménique »,
une liturgie destinée à unir catholiques et protestants autour de la
Sainte Table. Bien que jamais officiellement annoncé, un comité
relevant directement du pape François travaille sur cette liturgie
depuis un certain temps. Certes, ce sujet relève de la compétence de la
Congrégation pour le Culte Divin, mais le Cardinal Sarah n’a pas été
officiellement informé de l’existence du comité. Selon de bonnes
sources, le secrétaire de Sarah, Arthur Roche – qui occupe des
fonctions opposées à celles de Benoît XVI et de Sarah – est impliqué,
tout comme Piero Marini, le bras droit de Monseigneur Bugnini, auteur
notamment de L’église en Iran et Novus Ordo Missae.
A ces noms s’ajoutent le sous-secrétaire du Culte divin, Corrado
Maggioni, et un laïc, le liturgiste extrêmement « progressiste » Andrea
Grillo. Récemment, Grillo a durement attaqué Benoît XVI après que le
pape émérite ait écrit dans la préface d’un des livres de Sarah qu’avec
Sarah, « la liturgie est entre de bonnes mains ». Et Grillo a attaqué
Sarah lui-même, l’appelant « incompétent et inadéquat ». Si Grillo se
comporte aussi grossièrement, c’est qu’il est sûr d’être protégé par
des amis haut placés. . . »
(Marco Tosatti, 23 octobre 2017)
ET qui est actuellement le préfet de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements?
Mgr Arthur Roche, qui sera élevé comme cardinal ce 27 août 2022.
Benoît XVI, comme plusieurs, trouve le temps long...
«
Je n’aurais pas pensé que le dernier bout de chemin entre le monastère
et les portes du ciel où se tient Pierre pouvait être aussi long », a
dit le prélat allemand (Benoît XVI)… Puis les larmes le reprennent
lorsqu’il évoque plus spécifiquement la santé faiblissante de Benoît
XVI : « Entre temps, le pape émérite… [ l’archevêque tente tant bien
que mal de retenir ses sanglots et laisse s’écouler quelques secondes
de silence ] … est devenu un homme très âgé, physiquement fragile, mais
dont l’esprit et le regard sont, Dieu merci, toujours aussi éveillés et
brillants. Même si sa voix est de plus en plus faible et
incompréhensible. Les dernières années ont eu raison de ses forces.
Mais malgré ses forces déclinantes, il a conservé l’humble sérénité de
son cœur. Comme elle se manifestait peut-être le plus clairement
autrefois devant le monde entier dans les moments où il répondait aux
questions des enfants, toujours de manière totalement libre et
rafraîchissante. »… » (benoit-et-moi.fr)
Il faut être attentif pour voir les signes. Dieu est à l’oeuvre pour
freiner cette guerre épouvantable mais nécessaire eschatologiquement
parlant.
J’en ai fait la remarque dans
quelques posts: ce n’est pas les incendies et la chaleur qu’il faut
regarder, normale certes pour l’été (néanmoins des records sont battus
partout) mais anormale lorsqu’elle est mondiale, et que la sécheresse
est mondiale, ce qui veut dire famine et manque d’eau à l’horizon.
Exemples:
« Les quatre coins du monde menacés » : Ouest américain, Inde, France, Chili, Corne de l’Afrique, Maroc… (lapresse.ca)
Un milliard de chinois dans la « rôtissoire » (zerohedge.com)
Et on pourrait ajouter une dizaine de liens sur le même sujet sur la situation à travers le monde.
Ils ont tous un point en commun: la perte des récoltes.
Après avoir perdu les récoltes
du blé d’hiver, le mid-ouest américain a perdu sa récolte de maïs (plus
de 80% de pertes) parce que la chaleur extrême a empêcher la floraison.
Même situation dans l’ouest canadien quant à la moutarde, le colza et le blé.
Ailleurs, comme au Pakistan, Bangladesh, Australie, etc… C’est la pluie en abondance, autre menace pour les récoltes.
2023 va être une épreuve hors de l’ordinaire pour les deux Babylone.
08 juillet
Plus de preuves que Bergoglio est le faux témoin, l’Antéchrist personne de la deuxième Babylone des prophéties de Jean XXIII.
« ( LifeSiteNews
) – Nous sommes honorés de publier ci-joint une lettre ouverte au Père
Jesusmary Missigbètò, écrite par Sa Grâce l'archevêque Carlo Maria
Viganò, honorant ce prêtre africain pour sa défense loyale de la vérité
de la foi catholique.
Le père Jésus-Marie – un
pseudonyme de l'abbé Janvier Gbénou – avait commencé à dénoncer
publiquement certaines des déclarations scandaleuses du pape François,
après que le pape eut publiquement soutenu les unions civiles
homosexuelles en octobre 2020. Le prêtre africain a été expulsé par
l'Opus Dei et suspendu en tant que prêtre pour exactement cette
critique charitable et bienveillante du pape, et en juin de cette
année, le pape François lui-même a approuvé ces sanctions sévères.
Le Père Jésus-Marie n'est pas
autorisé à exercer son ministère sacerdotal et ne peut célébrer la
Sainte Messe en privé que s'il s'abstient de toute nouvelle critique
publique du pape François.
À la lumière de cette punition
pour un prêtre des plus humbles et des plus aimables, c'est une grande
joie et un grand soulagement pour nous que l'archevêque Viganò vienne à
sa défense. Le prélat italien souligne à juste titre que le Père
Jésus-Marie a fait ce qu'il fallait et que cela doit être honoré pour
son témoignage catholique.
En vérité, je vous le dis, ce sera plus tolérable pour le pays de Sodome et Gomorrhe au jour du jugement que pour cette ville.
Amen, je vous le dis : ce sera
plus tolérable pour le pays de Sodome et Gomorrhe au jour du jugement
que pour cette ville. Mt 10:15
Révérend Père Janvier, cher Père Jésus-Marie Missigbètò,
J'ai appris par la presse la
nouvelle de votre suspension a divinis et de votre expulsion de l'Opus
Dei, qui vous a été imposée par la Congrégation des Évêques comme
sanction canonique pour avoir manqué de « respect et d'obéissance au
Souverain Pontife. ”
Permettez-moi de vous exprimer
ma proximité spirituelle à un moment de grande épreuve pour vous : en
tant que catholique baptisé et en tant que ministre de Dieu, il doit
être douloureux pour vous d'être accusé par la même personne qui, avec
la miséricorde qui distingue son chaque acte, reçoit des avorteurs
notoires, des cohabitants publics, des travestis, des sodomites, des
ecclésiastiques rebelles, des hérétiques, des usuriers et ceux qui
affament leur peuple.
J'imagine qu'il est très
décourageant de se voir reprocher ce qui en d'autres temps aurait
mérité des louanges – sinon même la gloire des autels – pour les saints
qui n'ont pas hésité à gronder, même durement, la corruption de la Cour
pontificale. Un saint Pierre Damien ou une sainte Catherine de Sienne
seraient aujourd'hui scandalisés par la duplicité de celui qui ne
manque jamais une occasion de dénigrer les bons catholiques et de
plaire aux ennemis du Christ et de son Église.
Ce que vous affrontez pour
votre fidélité au Magistère et pour votre véritable respect du Siège du
Très Saint Pierre est une occasion d'expier les fautes et les scandales
des ecclésiastiques, dans l'esprit d'expiation et de réparation qui
nous unit en tant que membres du Corps Mystique pour Notre Seigneur qui
en est le Chef, immolé sur la Croix en réparation des offenses commises
par les hommes contre la Très Sainte Trinité.
Votre épreuve, cher et
révérend Père Gbénou, vous unit à ces autres épreuves, souvent encore
plus dures à supporter, auxquelles beaucoup de vos frères prêtres ont
été soumis par leurs Supérieurs : prêtres chassés de leurs paroisses et
contraints de vivre et de dormir dans leur voitures ou dans des
logements de fortune ; les pasteurs retirés de leurs paroisses parce
qu'ils ne veulent pas renoncer à la célébration du Saint Sacrifice dans
le Rite Apostolique ; les religieux renvoyés de leurs monastères et
couvents parce qu'ils ne veulent pas renoncer à leur fidélité au
charisme de leur Ordre ; séminaristes qui se trouvent empêchés de se
former au sacerdoce simplement parce qu'ils n'acceptent pas la
dissipation et la mondanité qui leur sont imposées.
Si jamais vous avez des doutes
sur les intentions de ceux qui, usurpant l'autorité contre le but pour
lequel elle a été instituée par le Christ, se déchaînent contre ceux
qui sont bons, je vous invite à considérer comment leur sévérité se
dissout face aux insuffisances beaucoup plus graves du clergé
fornicateur, des prélats corrompus et des cardinaux qui sont des
agresseurs et des voleurs.
Votre crime, Révérend Père,
c'est d'avoir créé avec eux un dangereux terme de comparaison, en
découvrant le tombeau grouillant de vers qu'est l'église bergoglienne.
Si vous aviez participé à la « Gay Pride » en publiant vos photos dans
des poses indignes, je ne dirai pas d'un ecclésiastique, mais même d'un
païen ; si vous aviez fait scandale en vous livrant à des relations
honteuses avec un autre prêtre ; si vous aviez nié les vérités
catholiques ou contesté la morale chrétienne, vous seriez désormais à
la tête d'un dicastère romain, ou l'évêque d'un diocèse prestigieux, et
vous vous trouveriez dans vos atours ecclésiastiques enfilés juste à
côté de celui qui vous a privé de la faculté de célébrer la messe,
d'entendre les confessions et de prêcher. Tout comme vous, de nombreux
autres prêtres et pas mal d'évêques et même de cardinaux se voient
plutôt tournés en dérision, offensés, trop catholique.
Je me demande si, face à la
honte de la corruption du clergé corrompu qui plaît tant à Bergoglio au
point de s'entourer d'eux dans les chambres de Santa Marta, vous devez
considérer les sanctions qui vous ont été infligées comme un motif de
fierté. L'esilio che m'è dato, onor mi tegno - L'exil qui m'a été
donné, je le considère comme un honneur (Dante). Si la maison de Dieu
est devenue un repaire de voleurs, celui qui veut rester près du
Seigneur doit secouer la poussière de ses pieds (Mt 10,14), et ne
daigne même pas saluer ceux qui renient le Christ et Le crucifient
chaque jour en leur conduite.
Réjouissez-vous donc, cher et
révérend Père, car si les ennemis de Dieu ne trouvaient en vous aucune
raison de vous persécuter, cela signifierait que vous ne témoignez pas
de votre fidélité au Seigneur. Si le monde vous hait, sachez qu'il m'a
haï avant vous (Jn 15,18), a dit la Sagesse Incarnée. Les épreuves
présentes sont donc une cause de consolation spirituelle, une occasion
de sanctification et une occasion d'édification des simples. Le
Seigneur vous rendra au centuple ce que vous endurez.
À toi, cher Père, et à tous
ceux qui, comme toi, sont persécutés propter iustitiam (Mt 5, 10), je
dédie mon souvenir chaque fois que je prie dans le Saint Sacrifice de
la Messe.
+ Carlo Maria Viganò, archevêque
6 juillet 2022
« Abidjan – 1er juillet 2022
Au Souverain Pontife le Pape François
Cher Père,
Je viens de recevoir le Décret
de la Congrégation pour les Évêques, signé par vous et le Cardinal Marc
Ouellet, dans lequel vous validez les sanctions qui m'ont été imposées
par la Prélature de l'Opus Dei parce que, selon le Décret, j'ai manqué
« de respect et d'obéissance au Souverain Pontife » (Code de Droit
Canon 273). Bref, il m'est interdit de prêcher, de confesser et de
célébrer la messe en public et en privé.
Je prends note de votre
décision que je n'approuve pas car elle est injuste. De plus, je ne
peux pas, en conscience, renoncer à ma critique publique du pape
François car, depuis 2016, vous avez vous-même gravement manqué « de
respect et d'obéissance à Dieu et au Peuple de Dieu ». En effet, avant
d'être pape et évêque, vous êtes prêtre et, selon le Code de droit
canonique, « dans la conduite de leur vie, les clercs sont tenus d'une
manière particulière à poursuivre la sainteté puisque, ayant été
consacrés à Dieu par un nouveau titre en la réception des ordres, ils
sont dispensateurs des mystères de Dieu au service de son peuple »
(276). De plus, en tant qu'évêque et pape, vous êtes concernés par les
canons suivants : « un apostat de la foi, un hérétique ou un
schismatique encourt une excommunication latae sententiae » (1364) ; «
Une personne qui, dans un spectacle ou un discours public, dans un
écrit publié ou dans d'autres utilisations des instruments de
communication sociale, prononce un blasphème, porte gravement atteinte
aux bonnes mœurs, exprime des insultes ou excite la haine ou le mépris
contre la religion ou l'Église doit être punie. avec une peine juste »
(1369).
Ô Père, laissez-moi vous dire
que vous avez manqué à votre devoir de sainteté sacerdotale, épiscopale
et papale ; et que vous avez propagé des hérésies et gravement porté
atteinte aux bonnes mœurs. Et dans votre cas, plus que pour un simple
prêtre ou évêque, c'est même très grave, car le bon exemple d'un pape
peut faire beaucoup de bien, tandis que son mauvais exemple peut faire
beaucoup de mal. Souvenez-vous des paroles suivantes de Jésus-Christ,
Notre Seigneur et Maître, Vrai Juge de tous les hommes et même du Pape
François : « On demandera beaucoup à celui qui a reçu beaucoup, et on
demandera encore plus à celui qui a reçu plus » (Luc 12:48); "Celui qui
fait tomber un de ces petits qui croient en moi, il vaudrait mieux pour
lui qu'une grande meule soit attachée autour de son cou et qu'il soit
jeté dans l'abîme de la mer... malheur à l'homme par qui le la chute
vient ! » (Matthieu 18 :6-7). Mais vous avez plusieurs fois
scandalisé le monde entier en contredisant la Tradition chrétienne.
Permettez-moi maintenant de vous en donner la preuve...
1. Est-il moralement juste
qu'un chrétien, un prêtre ou un évêque prenne l'initiative de demander
des lois sur la coexistence homosexuelle ? Dieu et l'Église catholique
ont toujours dit "non". Le pape saint Jean-Paul II et le pape émérite
Benoît XVI nous ont rappelé que tout chrétien a le « devoir de
témoigner de la vérité » et de montrer « une opposition personnelle
absolue à de telles lois », faute de quoi il commet « un acte gravement
immoral » (Document de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi, 3
juin 2003). Malheureusement, vous avez répondu "oui". En effet, le 21
octobre 2020 et le 15 septembre 2021, vous avez appelé publiquement à
l'adoption de lois civiles de coexistence homosexuelle (cf. ma 1ère
lettre ouverte) : « Ce qu'il nous reste à faire, c'est une loi civile
de coexistence ; ils ont le droit d'être couverts légalement. J'ai
défendu cela. Permettez-moi de vous indiquer, Père, où se situe votre
erreur : vous confondez « lois de coexistence » et « lois de protection
». Les lois de coexistence sont liées à l'idéologie LGBTQ tandis que
les lois de protection sont liées à la discrimination humaine. Il
existe des lois de protection pour les enfants, les femmes enceintes,
les personnes handicapées, les migrants, les prisonniers, etc. Toutes
ces personnes ont droit à une considération et à un traitement humains,
mais elles n'ont pas besoin de lois spéciales sur la coexistence
homosexuelle.
2. Est-il moralement juste de
donner le sacrement de l'Eucharistie à des politiciens publiquement
favorables à l'avortement qui ne renoncent pas à l'avortement ? Dieu et
l'Église catholique ont toujours répondu « non » (cf. Code de droit
canonique 915-916). Malheureusement, vous avez répondu "oui". En effet,
le 15 septembre 2021, vous avez publiquement donné votre accord, avec
l'incroyable soutien des cardinaux Ladaria, Peter Turkson, Wilton
Gregory, des archevêques Paglia et Michael Jackels, etc. (cf. ma 4e
lettre ouverte). Le 29 juin 2022, certainement consciemment et avec
préméditation, vous avez permis à Nancy Pelosi, publiquement connue
pour son soutien à l'avortement, de recevoir la Sainte Eucharistie au
Vatican, lors d'une messe célébrée par vous, et sachant très bien que
cela était publiquement interdit à elle par son évêque-résident. Ainsi,
vous conduisez l'Église catholique à manquer de respect à ses propres
lois énoncées dans le Code de droit canonique et vous manquez de
respect à Dieu et au peuple catholique.
3. Est-il moralement juste de
pratiquer une hystérectomie (ablation de l'utérus) avec l'accord
d'experts médicaux mais sans urgence médicale pour la santé de la mère
? Dieu et l'Église catholique ont toujours dit "non". Le pape saint
Jean-Paul II et le pape émérite Benoît XVI ont clairement indiqué que
si un groupe d'experts médicaux confirment à une femme que ses futures
grossesses ne constitueront pas une menace pour sa santé ou sa vie,
elle ne peut pas se faire enlever l'utérus sous prétexte que ses
futures grossesses n'arriveront jamais à terme (cf. Document de la
Congrégation pour la Doctrine de la Foi ; 31 juillet 1993).
Malheureusement, vous et la Congrégation pour la Doctrine de la Foi
avez répondu « oui ». En effet, le 10 décembre 2018, avec le cardinal
Luis Francisco Ladaria Ferrer, S.J., (préfet) et l'archevêque Giacomo
Morandi (secrétaire), vous avez ouvert la porte à la stérilisation
directe, la première mesure anti-nataliste de l'Église catholique et la
première erreur de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi (cf. ma
3ème lettre ouverte).
[NB : Pour une analyse
approfondie des erreurs dans cette décision du CDF, voir Joshua
Schulz et William Hamant, "Non-sterilising Hysterectomies ? A
Catholic Critique of the CDF," Linacre Quarterly 2020, vol. 87(2)
182-195, disponible ici ; ainsi qu'une analyse plus courte
ici.--Ed.]
4. Est-il moralement juste de
dire que « l'engagement de vivre dans la continence peut être proposé »
aux chrétiens et est « une option » ? Dieu et l'Église catholique ont
toujours répondu "non". Tous les catholiques ayant un minimum de
formation chrétienne orthodoxe (et même les non-chrétiens qui
s'efforcent de vivre la loi morale naturelle) savent que la chasteté
n'est jamais une option mais un devoir moral sérieux pour tout être
humain (cf. Catéchisme de l'Église catholique 2331- 2400).
Malheureusement, vous avez répondu "oui". En effet, le 5 septembre
2016, vous et les évêques de la Région pastorale de Buenos Aires ont
affirmé que « l'engagement à vivre dans la continence peut être
proposé. Amoris laetitia n'ignore pas les difficultés de cette
option... l'option mentionnée peut, en fait, ne pas être faisable".
108). En 2000 ans d'histoire catholique, c'est la première erreur
doctrinale-morale papale ainsi enregistrée dans les Archives du Vatican
(cf. ma 2ème lettre ouverte), avec le soutien étonnant de plusieurs
cardinaux, évêques et prêtres : Parolin, Kasper, Schönborn,
Coccopalmerio , Vallini, Cupich, Grech, Paglia, Forte, Scicluna, Fenoy,
McElroy, Spadaro, Bordeyne, etc.
Ma sanction ce matin montre
clairement que vous, et [Monseigneur] Fernando Ocáriz, et le cardinal
Marc Ouellet, conservez toujours une capacité de jugement moral.
Pourquoi alors vos silences coupables et scandaleux face à des
cardinaux qui manquent gravement « de respect et d'obéissance à Dieu et
au Peuple de Dieu » ? Cardinal Hollerich, S.J. (qui a déclaré
publiquement que « l'enseignement de l'Église selon lequel
l'homosexualité est un péché est faux »), le cardinal Marx (qui a
déclaré publiquement que « l'homosexualité n'est pas un péché »), le
cardinal Matteo Maria Zuppi (qui a permis au père Gabriele Davalli de
bénir un homosexuel couple lors d'une messe le 11 juin 2022), le
cardinal Blase Cupich (qui a permis au père Joe Roccasalva d'autoriser
un couple homosexuel à prononcer l'homélie lors d'une messe le 19 juin
2022, fête des pères), etc.
Quelle sanction pour ces
cardinaux infidèles à l'enseignement traditionnel de l'Église
catholique ? Aucun. Au contraire, les postes de responsabilité et de
louange publique du Pape François alors que les prêtres fidèles à la
Tradition chrétienne sont sanctionnés. Ô Père, quelle est cette justice
injuste du Pape François et du Vatican ? Êtes-vous sûr que Dieu peut
accepter une telle injustice ? Pourquoi aujourd'hui ce vent de
dictature dans l'Église catholique contre ceux qui préfèrent obéir à la
loi divine absolue au lieu de suivre votre désobéissance flagrante à
cette loi divine éternelle ? Avec tout cela, pensez-vous vraiment
mériter le respect des chrétiens, quand vous les amenez à offenser Dieu
et à mépriser sa loi éternelle ?
Enfin, la condamnation que
j'ai reçue dans le décret de ce matin est injuste parce qu'elle ne
tient pas compte des paroles suivantes de Jésus-Christ (dont, je le dis
avec respect, il serait bon que vous et [Monseigneur] Ocáriz et le
cardinal Ouellet méditiez calmement) : « Pourquoi remarques-tu
l'écharde dans l'œil de ton frère, mais ne perçois-tu pas la poutre en
bois dans ton propre œil ? Comment peux-tu dire à ton frère :
‘Laisse-moi enlever cette écharde de ton œil’, alors que la poutre est
dans ton œil ? Hypocrite, ôte d'abord la poutre de ton œil ; alors tu
verras clair pour enlever l,écharde de l'œil de ton frère. (Matthieu
7:3-5) Quelles sont mes erreurs (écharde) par rapport aux erreurs du
pape François (poutre en bois) ?
J'espère que les intellectuels
catholiques auront le courage de défendre cette vérité, par amour de
Jésus et de son Église. Quel est le plus grand crime du prêtre africain
aujourd'hui sanctionné ? Avoir eu l'audace de contredire en public le
Pape François et sa Congrégation pour la Doctrine de la Foi. Cependant,
Jésus (30 ans) n'a-t-il pas fait de même avec les chefs religieux de
son temps (60, 70, 80 ans) parce que c'était lui qui était dans la
vérité ? Malheureusement, ils l'ont livré pour être crucifié. Pourtant,
c'est de ce sacrifice que Dieu a tiré sa victoire : la lumière de la
Vérité a brillé sur les ténèbres de l'erreur et du mensonge. Père très
cher, je me réfugie dans le flanc ouvert de Jésus Crucifié et dans les
larmes de la Vierge Marie au pied de la Croix...
Votre fils en Jésus, Marie et Joseph,
Abbé Janvier Gbénou
(nom de plume : Père Jesusmary Missigbètò) »
Dernier commentaire de Mgr Vigano après la parution de la lettre apostolique sur la liturgie.
On passe tous les longues réflexions sur l’État profond (trop long). On sait tous ce qu’est le système Antichrist maintenant.
Ce qui concerne l’Église:
«
… Mais si au cours des dernières décennies les adeptes du «
progressisme catholique » – expression qui en elle-même est déjà un
oxymore – se sont efforcés de saper la Tradition et de la remplacer par
son antithèse, en ces dix années du « pontificat » bergoglien, la
culture de l’annulation a pris le dessus les connotations d’une fureur
idéologique, allant de l’éthique de situation d’ Amoris Laetitia à
l’écologisme néo-malthusien de Laudato Si’ en passant par l’œcuménisme
maçonnique de Fratelli Tutti , mais se manifestant aussi par la
suppression effrontée des signes extérieurs, des vêtements liturgiques
aux vêtements papaux insignes et titres, et même avec Traditionis
Custodes et Desiderio Desidera viallant jusqu’à l’annulation
substantielle de la Liturgie apostolique, à laquelle le Motu Proprio
Summorum Pontificum avait donné une parenthèse de relative liberté
après quarante ans d’ostracisme.
…
L’Église
profonde et l’État profond évoluent en parallèle et en synchronisation,
car ce qui les émeut tous les deux, c’est la haine de Jésus-Christ. La
matrice antichristique réside dans la tromperie, qui est la marque du
Menteur : une tromperie qui a commencé par faire croire à Adam et Ève
que leur désobéissance les rendrait semblables à Dieu, alors qu’en
réalité ils avaient été créés « à l’image et à la ressemblance de Dieu
». ” précisément en se conformant librement au cosmos divin
impressionné par le Créateur dans les créatures et dans la création. On
retrouve la même duperie à nous faire croire que l’homme peut renier
Dieu et se rebeller contre sa Sainte Loi sans conséquences, alors que
Satan d’abord, péchant par orgueil, s’est damné pour l’éternité. Le
mythe de la liberté, dont la licence et le libertinage sont des
contrefaçons, est un mensonge. L’État laïc, qui nie la seigneurie du
Christ-Roi dans la société, est un mensonge. L’œcuménisme, qui place la
Vérité de Dieu sur le même plan que l’erreur au nom d’une paix et d’une
fraternité qui ne peuvent exister en dehors de l’unique Église du
Christ, la Sainte Église catholique, est un mensonge. C’est un mensonge
d’avoir érigé le progrès en bien absolu, car ce qu’il considère comme
un bien est en réalité un mal qui affecte les individus et la société,
tant la société laïque que la société spirituelle.
C’est
pourquoi, face à toutes les absurdités bergogliennes, qui célèbrent
sans conteste les succès de Vatican II et les conquêtes de l’Église
post-conciliaire malgré la présence d’une crise énorme, tout
commentaire est superflu. Ce qui nous est vendu comme la dernière
découverte de la modernité – de l’idéologie du genre à l’idéologie
néo-malthusienne de la santé – est de vieux rebuts idéologiques dont le
seul but est d’éloigner les âmes de Dieu, de sorte que l’adage « la
misère aime la compagnie » devient un résumé approprié de l’action
maléfique du diable, qui est envieux que les créatures douées d’une âme
et d’un corps aient été accordées par la Providence la Rédemption que
les anges, en tant qu’esprits purs, n’ont pas été accordée. Une
Rédemption accomplie au moyen de l’Incarnation de la Seconde Personne
de la Très Sainte Trinité, perpétuée dans ses fruits par le Corps
Mystique du Christ, la Sainte Église.
Bergoglio
accuse les gens de gnosticisme et de pélagianisme s’ils ne peuvent
accepter l’idée d’un pape gnostique et pélagien, pour qui le bien ne
consiste pas à se conformer au modèle de perfection qui nous est
destiné par Dieu le Créateur et Rédempteur, mais plutôt à faire
n’importe quoi que chacun de nous croit bon. Mais ce n’est, après tout,
rien d’autre que le péché de Lucifer, ériger son Non Serviam en règle
morale.
L’archevêque Crepaldi a bien
fait de souligner la matrice antichristique de la culture Cancel . Mais
cette analyse, valable et vraie de ce qui se passe dans le monde civil,
doit aussi être courageusement étendue au monde catholique, dans lequel
la même matrice antichristique existe sans conteste depuis que le
Concile Vatican II a fait du nouveau et éphémère, niant deux mille ans
de Tradition fondée sur la Parole de Dieu et sur l’enseignement des
Apôtres et des Pontifes romains. La fureur idéologique de Bergoglio
n’est que la conséquence logique de ces prémisses, et le fait qu’un
massothérapeute puisse concevoir le logo gay-friendly du Jubilé 2025 (
ici ) n’est que la dernière et lamentable confirmation d’une métastase
en cours.
J’exhorte
mes frères dans l’épiscopat, les prêtres et tous les fidèles à
comprendre cet aspect fondamental de l’apostasie actuelle, car nous ne
pourrons faire aucun bien pour convertir la société civile et rendre la
couronne royale au Christ tant que cette couronne a été usurpée par ses
ennemis dans le sein même de l’Église.
+ Carlo Maria Viganò, archevêque
2 juillet 2022 » (marcotasatti.com)
Pour
ceux qui n'ont pas encore vu le logo du jubilé 2025 dont fait référence
Mgr Vigano ci-dessus, curieusement révélé plus de 2 ans à l'avance, voir vaticannews.va.
Il a été dévoilé en juin, mois de la fierté gay en opposition au Sacré-Coeur.
Sur
la mer agitée en termes de corruption morale, d’un monde où
l’identification au Christ est relégué au second plan au Vatican pour
l’inclusion LGBT, suivez la tendance horizontale avec les couleurs des
voiles LGBT, et là, vous avez un choix à faire, « Pèlerins de
l’Espérance », vers le haut avec le Christ, ou vers les abîmes avec
l’ancre.
2025 est l’année du choix.
Effectivement,
tout doit être conclu avant mai 2026 selon la prophétie de Don Bosco,
c’est à dire le retour du Lys avant mai 2026.
06 juillet
LA TROISIÈME ROME
Alexandre Douguine est le conseiller de Poutine sur la question du mystique, du religieux.
Ses écrits nous indiquent une
piste concernant l’état d’esprit en arrière plan de cette guerre (la
guerre entre la faction judéo-maçonnique libérale, progressiste, et la
faction judéo-maçonnique nationaliste, sur le terrain de l’Ukraine,
mais surtout de la Syrie, car c'est dans cette direction qu'il faut
regarder).
Il s’agit de la thèse de
la Troisième Rome sur laquelle repose la vision eschatologique du
peuple russe, qui se résume à ceci :
Pour eux Rome a perdu sa
fonction de représentant du Christ sur terre lors du grand schisme
entre l’Orient et l’Occident en 1054.
Byzance est alors devenu la
deuxième Rome, représentant la fonction ecclésiale suprême sur cette
terre (lire ici l’orthodoxie), au grand dam des catholiques.
Or, lors de la chute de
Constantinople en 1453 aux mains des turcs, le patriarcat de Moscou
s’est senti alors responsable de la tradition, comme seule dépositaire
de la lignée depuis le Christ, prenant alors la fonction comme
troisième Rome.
«« Moscou – Troisième Rome »... (références tirées d'un article paru sur mospat.ru)
La source du concept de « Troisième Rome », profondément mystique, est à chercher dans l’eschatologie biblique…
( Note : dans le dernier
royaume prédit par le prophète Daniel, chapite 7, 23 : «
Il me parla ainsi : " La quatrième
bête, c'est un quatrième royaume qui sera sur la
terre, différent de tous les royaumes, et qui dévorera toute la terre,
la foulera et la réduira en poudre. »)
La « formule de Philothée »
« Sache, ami du Christ et
ami de Dieu, que tous les royaumes chrétiens sont arrivés à leur fin et
se rassemblent dans l’unique royaume de notre souverain, c’est-à-dire
le royaume romain, suivant les livres prophétiques. Deux Rome sont
tombées, la troisième est debout, et il n’y aura pas de quatrième.
L’apôtre Paul mentionne souvent Rome dans ses épîtres, et il est dit
dans les commentaires : « Rome est le monde entier ».
Vois, élu de Dieu : tous les royaumes chrétiens sont emplis
d’infidèles ; seul tient le royaume de notre souverain, par la
grâce du Christ. Il convient à celui qui règne de s’en tenir à cela
avec grande crainte en invoquant Dieu, de ne pas espérer en l’or et en
la richesse qui passent, mais en Dieu qui donne tout. »
Le sens véritable de la
« formule de Philothée » est contenu dans ces derniers
mots : une responsabilité morale écrasante – le poids de la
« Troisième Rome », du dernier royaume terrestre – pèse sur
le souverain russe. Responsable du monde entier, il doit régner
« avec grande crainte », mettant son espoir non dans les
biens terrestres, mais dans l’aide de Dieu...
Sous
Pierre le Grand, l’idéologie changea radicalement. Pierre n’aimait pas
Byzance qui, selon lui, avait péri à cause de la bigoterie de ses
dirigeants et de son dédain de l’art militaire. Son idéal n’était pas
la seconde Rome, mais la première, comme en témoigne l’adoption du
titre d’empereur et l’institution du Sénat. Si l’Empire russe
continuait à prétendre au rôle de leader dans le monde chrétien, cette
prééminence avait perdu sa dimension mystique de « dernier
royaume ». ..
Le starets Philothée, en
proposant il y a 500 ans cette formule, ne faisait que constater une
réalité historique de son époque : hormis la Russie moscovite,
tous les États orthodoxes avaient été rayés de la carte et toutes les
Églises autocéphales (y compris le Patriarcat œcuménique de
Constantinople) étaient soumis à l’autorité de dirigeants hétérodoxes.
Surtout, le concept même de Dernier Royaume, ni alors, ni par la suite,
ne renvoyait à une prétention de la Russie à l’héritage politique
byzantin ou, encore moins, à l’hégémonie.
Au
contraire : la Troisième Rome était l’image mystique du
« dernier royaume » de l’histoire universelle, une
responsabilité morale exceptionnelle pesant sur ses dirigeants. Devant
répondre du sort de l’humanité, il leur fallait mettre leur espoir non
dans les richesses qui passent, ni en la force ou en la gloire de
« ce siècle », mais uniquement en Dieu. »
Évidemment cette thèse est
inacceptable pour les catholiques, et même pour les autres communautés
orthodoxes non dépendantes du patriarcat de Moscou.
Renier l’héritage d’un
millénaire d’expansion et de rayonnement mondial de la sainteté et
l’universalité de L’Église catholique est un non lieu.
Mais cette thèse explique très
bien le combat eschatologique qui a lieu présentement, duquel est
imbibé le président Poutine qui y croit dur comme fer depuis le retour
de l’influence de l’église orthodoxe russe dans la nouvelle
constitution (auparavant précédé de nouvelles constructions d’église
sous le règne de Poutine).
Poutine ne s’est-il pas
identifier à Pierre Le Grand dernièrement, affirmant seulement comme
lui vouloir reprendre les territoires qui lui appartiennent?
Selon Douguine : « La
Troisième Rome-Moscou et le tsar orthodoxe sont dotés d’une fonction
eschatologique pour rassembler sous leur ombre salvatrice tous les
peuples du monde avant la fin du monde. »
« Après la chute de
l’empire byzantin, la mission de la Sainte Russie était d’être la terre
choisie, l’espace eschatologique du Nouvel Israël, prêt à servir de
véhicule à la Seconde Venue, à l’apparition de la Nouvelle
Jérusalem. »
C’est la fusion nécessaire, voulu, entre le pouvoir ecclésiastique et le pouvoir politique russe.
Cette guerre est d’abord et avant tout religieuse.
Elle est le prélude à la grande guerre annoncée dans les prophéties de Jean XXIII.
Douguine: « Le
messianisme russe remonte au XVè siècle, c’est à dire à l’époque où
seule la Sainte Russie demeurait la dernière grande puissance
orthodoxe. Conformément à la doctrine orthodoxe de la symphonie,
le peuple russe et le tsar russe ont repris à Byzance la vocation de
servir de barrière contre l’arrivée du fils de perdition. La Russie
sacrée est devenue sainte et le peuple russe s’est transformé en
porteur de Dieu ; c’est un fait théologique absolument évident et
strictement conforme à la foi orthodoxe. La formule du starets
Philothée -Moscou, Troisième Rome- est la base de l’identité de
l’Eglise russe. Depuis la chute de l’empire byzantin, être russe
signifie être choisi pour une confrontation apocalyptique avec Satan
libéré juste avant la fin du monde. »
Douguine attribue au dernier
empire orthodoxe (la Russie) la fonction eschatologique
du katechon, ce dernier rempart évoqué par saint Paul, et qui
bloque l’arrivée de la bête, de l’Antéchrist.
Poutine considère que l’Occident avec son capitalisme, et sa foi dans un humanisme tous deux débridés, constituent l’Antéchrist.
C’est l’Antéchrist système que nous avons pu identifier via les analyses.
Sur ce point, ils ont raison.
Quelqu’un, quelque part, doit être le sonneur d’alarme en ces temps si importants.
Et c’est le rôle de la Russie, rôle identifié par le père Malachi Martin dans ses écrits.
Cette thèse explique le soutien du patriarche Kirill dans cette guerre.
La vision eschatologique est la même.
Parce qu’il y a toujours
« un lien étroit entre le facteur national et étatique avec la
vérité eschatologique et métaphysique de la foi orthodoxe. »
indique Douguine.
La troisième Rome a sonné l’alarme.
Le jour de la séparation du bon grain de l’ivraie est à nos portes.
Dieu utilise la Russie comme fléau du monde en ces derniers temps.
Combien de gens réalisent que c'est une guerre pour les âmes?
« Et Dieu ne ferait pas justice à ses élus qui crient à lui nuit et jour, et il tarderait à leur égard ?
Je vous le dis, il leur
fera bientôt justice. Seulement, quand le Fils de l'homme viendra,
trouvera-t-il la foi sur terre ? » (Luc 18, 7-8)
01 juillet
LE SEPTIÈME VOILE
« Devant la situation de
l’Église d’aujourd’hui, nous avons le sentiment que par quelque
fissure la fumée de Satan est entrée dans le peuple de Dieu… » Paul VI,
29 juin 1972.
Pour remettre ce sermon de Paul VI
dans son contexte, en rapport avec le sacerdoce et la liturgie, qui
sont les deux seules possibilités pour tenter d’éliminer la présence
réelle : une nouvelle liturgie, ou une formation du sacerdoce qui
n’aura plus rien de sacré.
Bergoglio en profite donc pour
renforcer son Motu Proprio Traditionis Custodes de Bergoglio en cette
fête des Saints Pierre et Paul :
« Le Pape publie une Lettre apostolique sur la Liturgie
Le
Pape François publie ce 29 juin «J’ai désiré d’un grand désir», une
Lettre apostolique au peuple de Dieu offrant des pistes de réflexion
sur la célébration de la liturgie. Un an après la publication du Motu
proprio Traditionis Custodes, François invite les fidèles à redécouvrir
la beauté de la liturgie, notamment à travers la formation…
Le
texte, divisé en 65 paragraphes, revient sur les résultats de la
plénière du Dicastère du Culte divin de février 2019. Il fait suite au
Motu proprio Traditionis custodes, publié le 16 juillet 2021, qui a
réaffirmé l’importance de la communion ecclésiale autour du rite issu
de la réforme liturgique post-conciliaire.
Cette
Lettre apostolique, indique François, n’est pas une nouvelle
instruction ou un directoire avec des normes spécifiques. Elle souhaite
davantage apporter des pistes de réflexion pour comprendre la beauté de
la célébration liturgique et son rôle dans l’évangélisation. Elle se
conclut par un appel du Pape François: «Abandonnons nos polémiques pour
écouter ensemble ce que l’Esprit dit à l’Eglise. Sauvegardons notre
communion. Continuons à nous émerveiller de la beauté de la liturgie».
…
“«Ce
n’est pas un hasard si cet immense effort de réflexion du Conseil
œcuménique – qui est la plus haute expression de la synodalité dans
l’Église et dont je suis appelé, avec vous tous, à être le gardien de
la richesse – a commencé par une réflexion sur la Liturgie.» – Pape
François”
…
Or,
en tant que catholique, on ne peut pas, précise-t-il, «reconnaître la
validité du Concile et ne pas accueillir la réforme liturgique née du
« Sacrosanctum Concilium »». C’est pourquoi le Saint-Père a
estimé de son devoir d’affirmer que les livres liturgiques promulgués
par Paul VI et Jean-Paul II, conformément aux décrets du Concile
Vatican II, étaient l’unique expression du Rite romain…
Le
Pape conclut la Lettre apostolique en demandant «à tous les évêques,
aux prêtres et aux diacres, aux formateurs des séminaires, aux
enseignants des facultés de théologie et des écoles de théologie, à
tous les catéchistes et catéchistes, d’aider le peuple saint de Dieu à
puiser à ce qui a toujours été la source première de la spiritualité
chrétienne.» Il réaffirme ce qui a été établi dans Traditionis
custodes, afin que «l’Église puisse élever, dans la variété des
langues, une seule et même prière capable d’exprimer son unité». Cette
unique prière est le Rite romain issu de la réforme conciliaire, et
établi par les saints pontifes Paul VI et Jean-Paul II. » (vaticannews.va)
Bergoglio affirme bien qu’il offre des pistes de réflexion…
C’est ainsi affirmer qu’il prépare une réforme de la liturgie.
Ce n’est plus un secret.
Un peu plus de précisions sur Lifesitenews:
«
… « La non-acceptation de la réforme liturgique, comme aussi une
compréhension superficielle de celle-ci, nous détourne de l’obligation
de trouver des réponses à la question que je reviens répéter : comment
pouvons-nous grandir dans notre capacité à vivre pleinement l’action
liturgique ? ? Comment continuer à se laisser émerveiller par ce qui se
passe dans la fête sous nos yeux ?
En conséquence, le pape a
déclaré qu’il est de son « devoir d’affirmer que « les livres
liturgiques promulgués par saint Paul VI et saint Jean-Paul II,
conformément aux décrets du Concile Vatican II, sont l’expression
unique de la lex orandi de la Rite », réitérant son décret du document
Traditionis custodes .
Plus
loin dans le document, le pape appelle « tous les évêques, prêtres
et diacres, les formateurs dans les séminaires, les instructeurs dans
les facultés de théologie et les écoles de théologie, et tous les
catéchistes » à tenir compte de son commandement de ne pas
« revenir à cela », à la forme rituelle que les pères du
Concile [Vatican II], cum Petro et sub Petro , ont ressenti le besoin
de réformer, approuvant, sous la conduite de l’Esprit Saint et suivant
leur conscience de pasteurs, les principes d’où est née la réforme.
François a souligné le travail des papes Paul VI et Jean-Paul II comme garantissant « la fidélité de la réforme du Concile ».
«
C’est pourquoi j’ai écrit Traditionis custodes , afin que l’Église
élève, dans la variété de tant de langues, une seule et même prière
capable d’exprimer son unité.
« Comme
je l’ai déjà écrit, j’entends que cette unité soit rétablie dans toute
l’Église de rite romain », a déclaré François…
« Bergoglio
a l’intention de mettre fin à la messe traditionnelle en latin en
imposant le Novus Ordo à tout le rite romain sous prétexte
d’unité », a averti le clerc, affirmant plus tard que
l’exhortation du pape à « abandonner nos polémiques pour écouter
ensemble ce que l’Esprit dit à l’Église » est une manière voilée de
dire « nous devons abandonner la Tradition et nous soumettre à sa
volonté [de François] ».
La
journaliste vaticane Bree Dail a écrit que, « selon plusieurs
sources, le pape François » ne croit plus au débat en cours
« sur » l’herméneutique de la continuité « , mais
« a clairement exprimé sa position personnelle, en rupture avec
son prédécesseur, Benoît XVI »… »
Bergoglio se contredit intentionnellement:
« C’est pourquoi j’ai écrit
Traditionis custodes , afin que l’Église élève, dans la variété de tant
de langues, une seule et même prière capable d’exprimer son unité. »
On
sait tous qu’il donne le pouvoir de célébrer l’Eucharistie aux évêques
pour s’adapter aux coutumes locales, l’exemple amazonien en est un, et
ainsi provoquer une multiplication de prières, et non une seule.
Il ment.
On juge l'arbre à ses fruits: Il désacralise la messe petit à petit.
C’est une opération de préparation psychologique pour la conclusion du synode des synodes en octobre 2023.
Rappelons que la limite de Babylone selon les précédentes analyses :
Entre la fin du synode 2023 et 2025.
La
prophétie « Le Temps est Proche » nous donne l’échéance : les deux
possibilités de l’identité de la fille de Caïn qui prophétise pour 7
ans étant Greta Thunberg ou la nouvelle église œcuménique de Bergoglio.
Or, plus on avance dans le temps plus il semble que cela a rapport avec le synode :
La
fille de Caïn est la nouvelle église œcuménique de Bergoglio qui part
de la signature avec les luthériens en octobre 2016, ce qui débute la
semaine de Daniel, l'arrêt du sacrifice en mars 2020 à cause du
coronavirus et les sept années se terminent en 2023.
« La fille de Caïn est montée au Nord, pour prêcher. Luxure dans la nouvelle Babylone, pour sept ans.
La
septième année tombe le septième voile de Salomé, mais il n'existe pas
d'empereur, il n'existe pas qui saura lever l'épée et couper le cou de
Jean.
Le temps est proche. »
Qu’est-ce que la danse des 7 voiles et pourquoi fait-elle partie ce cette prophétie?
La danse
des 7 voiles est parfois reliée à la danse exécutée par Salomé
pour Hérodote Antipas afin d’obtenir la tête de Saint Jean-Baptiste.
Il
s’agit en fait d’une modification judéo-chrétienne d’un mythe sumérien
dont la protagoniste est la déesse , Ishtar, déesse des
conflits et des inversions (ce qu’est exactement Bergoglio, le maître
des conflits et de l’ambiguïté; il affirme d’ailleurs dans sa dernière
interview sur son bilan de la décennie: « Je n'ai pas
inventé ce que j'ai fait. J'ai recueilli ce que les cardinaux
avaient dit dans les réunions pré-conclave ") qui descend aux enfers.
Bref, Ishtar ou Vénus, l’étoile du matin, ou le pentagramme…
C’est en référence à Lucifer.
La
fille de Caïn est montée au Nord pour prêcher (c’est à dire Bergoglio
en Suède en octobre 2016 pour signer le pacte avec les luthériens;
fille de Caïn qui tua Abel, donc l’église conciliaire, la prostituée de
l’Apocalypse qui éclipse l’Église traditionnelle.)
Luxure dans la nouvelle Babylone, pour sept ans : ici donc luxure au Vatican.
À
partir d’octobre 2016, Bergoglio au nom de l’église catholique
conciliaire, enlève un voile à chaque année, voile enlevé qui petit à
petit révèle le vrai visage de la prostituée, qu’on ne reconnaît plus,
et qui aboutira à son apogée en octobre 2023 :
La septième année tombe le septième voile… et il n’y aura plus d’empereur pour couper la tête de Jean.
L’empereur ici est probablement Bergoglio car la prophétie spécifie bien que les deux autres empereurs politiques sont morts.
Est-ce que Bergoglio va décéder ou démissionner avant la fin du synode?
Donc,
on se prépare à faire entrer dans le rang ces « traditionalistes » de
la messe tridentine suite à ce deuxième avertissement de la lettre
apostolique du 29 juin.
Jamais, au grand jamais, car ils sont les témoins qui feront renaître l’Église, les traditionalistes ne lâcheront le morceau.
Ils sont déjà marginalisés.
Bergoglio va donc les pousser au bord du précipice.
Quand
l’église conciliaire enlèvera le 7ème voile, on verra son visage
définitif suite à sa « transformation » annoncée à chaque étape
depuis 2016 :
Nouveau
sacerdoce (mariage des prêtres, ordination des femmes), nouvelles mœurs
(accueil des LGBT et mariage religieux homosexuel), nouvelle
organisation (prise du pouvoir des laïcs via la
« démocratisation » diocésaine) et nouvelle messe œcuménique
sans Présence Réelle.
Alors la Tradition au sens large ne pourra pas rester dans l’église de Rome.
Elle devra quitter.
Et
la prostituée les accusera de tous les maux, eux qui n’ont rien compris
à « l’évolution » de cette société qui veut le bien de tous,
esclave de l’humanisme donc de Satan.
Ce sera la mort des deux témoins.
Rappel du calendrier de la fin des temps :
LE CALENDRIER DE LA FIN DES TEMPS
Selon l’ordre chronologique donné dans l’Apocalypse, nous avons :
1) Mort des témoins (3,5 jours)
2) Résurrection des témoins
Fin de la sixième période donc en octobre 2023.
Entrée dans la 7ème période qui se termine avant mai 2026:
3) Mort de l’Antéchrist
4) Chute de Babylone (3ème malheur, Ap. 11, 14)
5) Retour du Christ
6) Jugement dernier
7) Règne définitif et sans partage du Christ (Ap. 21-22)
Juin 2022
19 juin
ALERTE ROUGE
« Et la famine arrête les armées.
Les hommes se comptent mourir.
Et après la famine; la peste.
Dieu a déchaîné la guerre de la nature pour empêcher la guerre des hommes. » (Prophétie de Jean XXIII le « Temps est Proche »)
Nul doute que nous y sommes.
Les signes en cette saison 2022 sont inquiétants quant aux récoltes.
D’où l’importance d’avoir un plan de résilience pour soi et la famille.
Les
conditions de sécheresse sont à leurs plus hauts niveaux, du jamais vu
depuis des décennies, et le tout lié à une population mondiale à
nourrir la plus importante ayant existé sur cette planète.
« Alerte à la sécheresse » (lapresse.ca, résumé incluant des photos)
C’est partout sur le globe.
Des températures au-delà de 50 degrés dans le sud ouest américain.
En Europe, en Amérique du Sud, dans sud-ouest canadien, en Inde…
Qui
dit sécheresse extrême dit pluie extrême à certains endroits, comme au
Bangladesh. Il faut bien que les nuages aillent quelque part.
Dans
ce contexte de dé-mondialisation où chaque pays se referme sur lui-même
pour assurer ses chaînes de production (ce qui prendra du temps, temps
qu’ils n’auront pas), il se passe la même chose au niveau de
l’industrie agro-alimentaire.
L’Inde a interdit l’exportation de blé et de riz pour assurer sa survie alimentaire.
Ce n’est pas le seul pays à le faire.
C’est donc dire que plusieurs chaînes alimentaires verront les produits de base se raréfier d’ici l’automne.
Il
est temps d’aller vers les « montagnes » à la demande du Christ, c’est
à dire de se préparer à cette chute de Babylone et de la Grande
Prostituée de l’Apocalypse.
Ceux qui vivent de la Sagesse du Saint-Esprit voient les signes.
Et à l’image de la parabole des vierges folles, ils font réserves d’huile, au niveau temporel et surtout spirituel.
Les deux empereurs de la prophétie, les présidents chinois et russe, achèvent leur temps sur terre.
« Le premier empereur meurt de faim, enfermé dans la tour de son rêve.
Le second empereur dans le désert, attaqué par les animaux de la peste, inconnus. »
C’est le point positif avec l’arrêt de la guerre.
« La fille de Caïn est montée au Nord, pour prêcher. Luxure dans la nouvelle Babylone, pour sept ans.
La
septième année tombe le septième voile de Salomé, mais il n'existe pas
d'empereur, il n'existe pas qui saura lever l'épée et couper le cou de
Jean.
Le temps est proche.»
18 juin
RÉSILIENCE
C’est l’heure de son plan de résilience personnel : temporel mais surtout spirituel.
C’est la fin du mondialisme. La chute sera brutale pour le commun des mortels.
Les conséquences de cette chute résumées par Pierre Hillard (vidéo).
Vivre en dehors de Babylone tout en étant de Babylone n’a jamais été aussi important.
Nous
avons évidement l’aspect spirituel de la fuite dans les montagnes
enseignée par le Christ en Matthieu 24, c’est à dire rechercher le
confort dans la prière et conserver sa foi face à l’abomination de la
bête-système et de sa représentation au Vatican en cette fin des temps.
Mais
dans cette « Pâques » satanique, ce passage judéo-maçonnique initié
volontairement, et qu’ils nomment « grande réinitialisation » ou Agenda
2030, se trouve obligatoirement une réalité temporelle qui sera dure à
vivre sans la Foi.
La chute du système économique, volontaire, provoquée, est un sacrifice obligatoire à leurs yeux pour atteindre l’objectif.
Foi, Espérance, Charité n’ont jamais été aussi d’actualité pour le chrétien catholique.
On ne doit pas oublier la Charité.
Plusieurs en auront grandement besoin.
Les
causes visibles de cette chute économique sont claires : pénuries
par dysfonctionnement des chaînes de production et de distribution à
cause des confinements covidiens, guerre en Ukraine, distribution de
monnaie des gouvernements pour maintenir la demande durant les
confinements qui s’est maintenant tarie.
70% de l’économie dans un pays est générée par la demande des consommateurs.
La demande entraîne l’inflation.
Mais cette inflation est atypique et est maintenant majoritairement générée par les pénuries.
Le signe : la production pétrolière est au maximum, c’est à dire que physiquement on ne peut plus extraire plus de pétrole.
« À
l’exception de deux à trois membres #OPEC, tous sont au
maximum de la production pétrolière. Le monde doit accepter ces faits
brutaux. C’est un défi mondial. – Barkindo, secrétaire général de l’OPEP »
Cette
inflation galopante (voulue) durera jusqu’à ce que les banques
centrales avec les hausses de taux d’intérêts réussissent à renverser
la croissance mondiale, car augmenter la production demande des
investissements et et du temps.
Mais tout ceci a un prix.
Ils
préparent donc la seule solution valable, et qui sert leur cause, c’est
à dire une récession semblable à la grande récession de 1929.
Et pour y arriver, la guerre doit être totale.
À l’image des prophéties apocalyptiques politiques de Jean XXIII.
Nous sommes sur le point d’entrer dans une économie de guerre.
« « Cela va tout changer. Macron annonce l’entrée dans une économie de guerre » L’édito de Charles SANNAT
… Vous devez retenir ceci.
«
Une modification législative pour pouvoir réquisitionner, dans
certaines circonstances, des entreprises civiles à des fins militaires »
Macron (qu’on l’aime ou pas n’étant pas le sujet) a dit deux choses importantes et qu’il ne faut pas ignorer.
1/ Nous rentrons dans une économie de guerre.
2/ Nous allons réquisitionner des entreprises civiles à des fins militaires.
Nous allons entrer dans une autre phase d’un autre monde et cela va secouer très fort…. »
Les deux Babylone de la prophétie concernant Benoît XVI seront éventuellement abattues.
Babylone
Nations-Unies pour le côté géopolitique, temporel de cette terre, et
Babylone Vatican II pour le côté spirituel qui a renié le Christ.
C’est le but du synode des synodes d’octobre 2023.
Un grand chamboulement s’y prépare, décidé d’avance :
«
Mariage des prêtres, femmes diacres ou prêtres, transparence dans les
décisions paroissiales, révision de la liturgie… Les propositions
issues des diocèses de France pour «le synode sur la
synodalité», voulu par le pape, pourraient bouleverser l’ordre
établi dans le sacerdoce des prêtres. «Une réelle
reconnaissance» envers eux est pourtant soulignée. Elles ont
été étudiées, mercredi à Lyon, par les évêques, puis transmises à Rome,
à la suite d’un vote sur le principe de les communiquer «en l’état» au
Vatican et «sans retouche», accompagnées d’une lettre, également votée
par les évêques, qui les met en perspective en soulignant certaines
«aspirations» et certains «manques»… » (lefigaro.fr)
La
plupart des suggestions des évêchés envoyées dans la phase 1 du synode
se terminant en août gardent le flou concernant la modification de la
liturgie.
Le
sujet est en effet sensible mais on sait déjà que le but visé est en
rapport avec le synode amazonien : paganisme et œcuménisme.
Reste
donc à savoir quand ils feront leur annonce ou leurs intentions quant à
la modification de la Sainte Messe pour une messe œcuménique diabolique
qui annoncera la tentative de suppression de la présence réelle.
Après le décès de Benoît XVI car il est le katéchon qui les en empêche.
Nous le saurons bien vite.
À partir de ce moment, le calendrier de la fin des temps raccourcira à vitesse grand V pour le peuple aveuglé.
La résilience est de mise d’ici ce temps.
C’est un passage obligatoire.
02 juin
DÉJÀ LA BÊTE SORT DE L’EAU (Jean XXIII)
La grande messe élitiste de Davos est passée.
Ils
passent à une vitesse supérieure pour la fusion entre l’humain et la
technologie, c’est à dire à un contrôle à la chinoise grâce à
l’intelligence artificielle.
Pour le chrétien allumé, la bête, il la voit depuis longtemps.
Pour
le monde ordinaire, la bête est envoûtante, mais ils en voient les
effets collatéraux : inflation, pénuries, crises financières,
guerres, famines qui pointent…
C’est
le chaos contrôlé, le sacrifice « bon » de l’élite judéo-maçonnique qui
plaît à son dieu, qui provoque la transition, la déstabilisation, et
qui amène le messie tant attendu.
Pierre Hillard : Le mondialisme est profondément satanique. (vidéo)
À cette étape, Mgr Vigano tente d’avertir les « endormis » à propos de ces esprits tordus de la bête :
«
Votre Excellence, la crise du Covid-19 et la réglementation pandémique
entre dans sa troisième année ; pendant ce temps, la guerre en Europe
de l’Est, et surtout la guerre politique et médiatique massive, ont
ajouté au mélange. Comment évaluez-vous cette évolution ?
Clarifions
un point fondamental : la crise ukrainienne a été délibérément
provoquée par l’ État profond pour forcer le monde à mener à bien les
réformes de la Grande Réinitialisation, en particulier la soi-disant «
transition technologique » et le « tournant vert ». C’est le deuxième
niveau du coup d’État des technocrates mondialistes après la farce
pandémique.
La
psychopandémie a marqué le premier palier d’une véritable attaque
lancée pour s’approprier le contrôle gouvernemental. En réalité, ils ne
cherchent aujourd’hui qu’à contourner le pouvoir politique, qui jusqu’à
présent n’était qu’un simple exécuteur d’ordres. Sous prétexte de
pandémie, des systèmes de contrôle de la population à grande échelle
ont été mis en place, y compris les systèmes de traçabilité des
citoyens individuels, inoculés avec le sérum génétique expérimental.
Tout
récemment, lors du Forum de Davos, le PDG de Pfizer, Albert Bourla, a
déclaré : « Imaginez une puce biologique incluse dans une pilule qui,
une fois avalée et pénétrant dans l’estomac, envoie un signal. […]
Imaginez les applications, la possibilité de faire obéir les gens. […]
Ce qui se passe dans ce domaine est fascinant » ( ici). Et il dit
« ce qui se passe » parce qu’il s’agit de technologies
existantes, pas de projets imaginatifs. La présence de graphène et de
nanocircuits auto-assemblés est désormais aussi admise par ceux qui, il
y a un an, pointaient du doigt comme des « théoriciens du
complot » qui ont tiré la sonnette d’alarme. La population des
nations adhérant à l’Agenda 2030 est en grande partie « vaccinée »,
c’est-à-dire qu’elle est génétiquement modifiée et que son système
immunitaire est irréversiblement compromis. Et peut-être – comme le
dénoncent certains juristes – on découvrira qu’avec le sérum génétique
ils ont inoculé des puces qui peuvent aussi contrôler les réactions des
gens, interférer avec leur comportement, les rendre dociles en cas
d’émeutes ou violents s’il est nécessaire d’avoir prétexte à des
interventions militaires. Nous sommes bien au-delà du coup global :
c’est le plus grand, le plus sensationnel.
Vous
pouvez bien imaginer le risque découlant de donner à l’OMS le contrôle
souverain des États sur le système de santé en cas d’urgence
pandémique, alors que qui doit décider des campagnes de vaccination et
des thérapies, des mesures de confinement et de verrouillage, est
financé par des sociétés pharmaceutiques et la Fondation Bill &
Melinda Gates, qui théorise la pandémie perpétuelle et le rappel
vaccinal perpétuel. La résolution qui devait être votée par l’OMS – et
qui du moins pour l’instant a été évitée – allait également dans le
sens d’un contrôle total par la synarchie mondialiste. Ne soyons donc
pas surpris si, dans une pitoyable tentative de dissimulation des
effets néfastes du sérum génique expérimental, l’OMS tire désormais la
sonnette d’alarme sur le prétendu monkeypox, dont les symptômes sont
curieusement similaires à certains des effets secondaires du
« vaccin » à ARNm ( ici ). L’OMS et l’EMA (financées à 75%
par BigPharma) se sont montrées en conflit d’intérêts clair et
totalement dépendantes de l’industrie pharmaceutique.
Quant
à la crise russo-ukrainienne, ce qui aurait pu être une opération de
paix visant à mettre fin à la persécution ethnique de la minorité
russophone en Ukraine par des extrémistes néo-nazis a été délibérément
et coupablement transformé en guerre. Les appels répétés de Poutine à
la communauté internationale pour que le protocole de Minsk soit
respecté sont tombés dans l’oreille d’un sourd.
Pouquoi? Pour la simple raison que c’était une excellente opportunité.
Tout
d’abord pour créer une crise énergétique mondiale à table, avec
laquelle forcer la transition vers des sources d’énergie alternatives
avec toutes les affaires que cela représente. Sans crise, comment la
hausse du prix du gaz et du pétrole se justifie-t-elle comme un outil
pour forcer les entreprises et les particuliers à faire la fameuse
« transition écologique » pour laquelle personne n’a jamais
voté et qui a été imposée par des bureaucrates asservis à l’élite ?
Deuxièmement,
détruire de manière contrôlée et impitoyable toutes les entreprises
considérées comme inutiles ou nuisibles à l’économie mondiale des
multinationales. Des millions d’entreprises artisanales, de petites
entreprises qui rendent les pays d’Europe et l’Italie en particulier
uniques, sont contraintes de fermer car, après les catastrophes causées
par les fermetureset par les règles de la psychopandémie, une
augmentation des prix du gaz et du pétrole a été provoquée, avec une
spéculation criminelle de la part du « marché » et sans que
la Fédération de Russie ne prélève un centime de plus. Tous voulus par
l’Union européenne sur ordre de l’OTAN, à travers des sanctions qui
touchent ceux qui les ont imposées. L’annulation de l’économie
traditionnelle n’est pas une conséquence malheureuse d’un conflit
inattendu, mais l’action criminelle préméditée d’une mafia mondiale,
par rapport à laquelle la mafia traditionnelle est un partenariat
bénéfique. L’avantage de cette opération subversive revient aux
multinationales qui peuvent acheter des entreprises et des biens
immobiliers au prix de la faillite, et aux institutions financières qui
profitent de prêts usuraires pour des millions de nouveaux pauvres. Ici
aussi, les visées idéologiques – et infernales – des élites dirigeantes
profitent de la complicité de potentats économiques qui n’ont que des
visées lucratives. Avec la guerre, l’industrie de guerre et la non
moins florissante des technologies de l’information et des mercenaires
ont l’opportunité de conclure des affaires lucratives, avec lesquelles
récompenser généreusement les politiciens qui ont voté pour l’envoi
d’armes et de moyens à l’Ukraine.
Troisièmement,
la guerre en Ukraine devait permettre la dissimulation du scandale
Hunter Biden, impliqué avec la société Metabiota dans le financement
des bio-laboratoires dans lesquels sont produites en masse des armes
biologiques. Le siège de l’aciérie d’Azovstal a été motivé précisément
par la nécessité de cacher à la fois les membres des forces étrangères
de l’OTAN ainsi que les néonazis d’Azov et de Pravj Sektor, ainsi que
les biolabs interdits par les conventions internationales et qui
devaient mener à bien expériences sur la population locale.
Quatrièmement, parce que le
récit psychopandémique, malgré la complicité du courant dominant, n’a
pas empêché la vérité de fuir et de se répandre progressivement dans
des secteurs toujours plus larges de l’opinion publique. La crise en
Ukraine devait être une excellente opération de distraction de masse,
pour éviter la visibilité aux nouvelles de plus en plus incontrôlables
sur les effets létaux du sérum expérimental et les conséquences
désastreuses des mesures prises par les États lors de l’urgence
pandémique. La falsification des données est désormais manifeste ; la
dissimulation délibérée des résultats de la première phase de l’essai
est autorisée par les entreprises pharmaceutiques elles-mêmes ; la
prise de conscience de l’inutilité du port du masque et du
confinementest certifié par plusieurs études; l’atteinte à l’équilibre
psychophysique de la population et en particulier des enfants et des
personnes âgées est incalculable, tout comme elle l’est pour les élèves
suivant l’enseignement à distance. Pour ne pas laisser les gens
commencer à comprendre ce qu’on leur a fait, les occuper devant la télé
ou sur les réseaux sociaux avec de la propagande anti-russe est la
moindre des choses que peuvent faire ces criminels fous, responsables à
la fois de la pandémie et la crise russo-ukrainienne.
Si
l’on reprend le scénario de ce scénario voulu par l’élite mondialiste,
on constate qu’au scénario de la pandémie s’ajoutent d’autres scénarios
non moins inquiétants, que l’on a déjà vus anticipés par les médias
depuis l’année dernière : la crise énergétique, non pas comme une
conséquence malheureuse d’un conflit imprévisible en Ukraine, mais
comme un moyen par lequel d’une part imposer l’ économie verte motivée
par une urgence climatique inexistante, et d’autre part détruire les
économies nationales, faisant échouer les entreprises pour au profit
des multinationales, provoquant du chômage et créant ainsi une
main-d’œuvre sous-payée, obligeant les États à s’endetter parce qu’ils
sont privés de leur souveraineté monétaire ou en tout cas en déficit
perpétuel pour cause de seigneuriage.
L’urgence
alimentaire est aussi dans le scénario de Klaus Schwab : elle a
commencé pour certains produits aux Etats-Unis et en Europe et plus
généralement pour les grains et produits céréaliers dans de nombreux
pays d’Afrique ou d’Asie. Ensuite, nous découvrons que Bill Gates est
le plus grand propriétaire terrien des États-Unis au moment même où il
y a une pénurie de céréales et de produits agricoles ; et que Bill
Gates est aussi à la tête d’une start-up qui produit du « lait
humain artificiel » alors qu’aux États-Unis il y a pénurie de lait
en poudre pour les enfants. Et n’oublions pas que les multinationales
agricoles parviennent à imposer l’usage de leurs semences stériles –
qu’il faut racheter chaque année – et à interdire les semences
traditionnelles, ce qui permettrait aux pays pauvres de ne pas en
dépendre.
Celui
qui a conçu la série de crises actuelles, dont les bases ont été posées
au début des années 1990 avec la privatisation des entreprises
publiques, a également veillé à placer les gouvernements, les
institutions et les organismes internationaux en charge des banques
centrales et des grands actifs stratégiques, dans les médias et dans
les principales religions mondiales, des personnalités formées et
entraînées par le Forum économique mondial à cet effet. Regardez les
premiers ministres des grands pays européens, Canada, Australie,
Nouvelle-Zélande : ils ont tous été recrutés par les Young Global
Leaders for Tomorrow, et le fait qu’ils soient au sommet de ces
nations, l’ONU et la Banque mondiale devraient être plus que suffisant
pour les juger tous pour subversion et haute trahison.
Les
accusations faciles de « complot » ne tiennent plus, tout comme
l’accusation de « collaborationnisme » ne tient plus pour quiconque
s’interroge sur la crise russo-ukrainienne et sa gestion au niveau
international.
Ceux
qui ne veulent pas comprendre l’intrigue parce qu’ils ont peur de ce
qu’ils pourraient découvrir s’obstinent à nier qu’il y ait un scénario
et un réalisateur, qu’il y ait des acteurs et des figurants, des décors
et des costumes. Mais on peut vraiment croire que les personnes les
plus riches et les plus puissantes du monde accepteraient de lancer une
telle attaque contre l’humanité pour réaliser leur rêve mondialiste
délirant, avec un énorme déploiement d’énergie et de ressources, sans
avoir tout prévu dans le détail et en effet tout quitter au cas? Si
ceux qui doivent planifier l’achat d’une maison ou le démarrage d’une
entreprise agissent ainsi, pourquoi serait-ce une « complot »
de reconnaître que pour obtenir des résultats indicibles et criminels,
l’élite doit recourir au mensonge et à la tromperie ?
Si
vous me permettez une analogie, je dirais que notre attitude face aux
faits présents est similaire à celle de quelqu’un qui se retrouve à
devoir reconstituer un puzzle de milliers de pièces, sans avoir l’image
finale devant lui. Ceux qui ont construit le puzzle mondialiste l’ont
fait précisément pour rendre méconnaissable ce qu’ils voulaient
réaliser. Cependant, ceux qui voient l’image entière ou même une partie
considérable de celle-ci reconnaissent comment les différentes pièces
s’emboîtent. Et ceux qui ont vu l’image finale savent aussi interpréter
les silences et la connivence des gouvernants et même des partis
d’opposition, comment expliquer la complicité des médecins et des
ambulanciers dans les crimes commis dans les hôpitaux contre toute
preuve scientifique, ou celle des évêques et des curés qui sont arrivés
pour priver les non-vaccinés des sacrements. Lorsque de grandes zones
du puzzle sont clairement visibles – et c’est ce qui se passe – les
tuiles restantes peuvent être placées plus facilement. Et à ce
moment-là, Klaus Schwab, George Soros, Bill Gates, les autres
conspirateurs et ceux qui les manœuvrent du haut du dôme, prendront la
fuite, pour éviter d’être lynchés. » (aldomariavalli.it)
Cette comparaison du casse tête de Mgr Vigano est du domaine de la bête aux 7 têtes et 10 cornes de l’Apocalypse.
On en voie maintenant l’image.
Voici ce qui ressort de Davos 2022:
En un mot, technologie, ou contrôle par l’intelligence artificielle.
C’est l’agenda des 12 prochains mois.
Une
nouvelle application qui sera testée par Alibaba mesurant l’empreinte
carbone du sujet, aboutissant à un système de point, crédit social à la
chinoise.
««Le
panéliste du WEF se vante d’un « suivi de l’empreinte carbone
individuelle »: le président du groupe Alibaba se vante du
développement d’un « suivi de l’empreinte carbone
individuelle » pour surveiller ce que vous achetez, ce que vous
mangez et où... »
Évidemment, ils ont besoin de la reconnaissance faciale:
«
Alors que nous nous précipitons « tête baissée vers un avenir où les
nouvelles technologies convergeront pour aggraver ce risque », nous
devons nous préparer à l’aube d’une « technologie de reconnaissance
faciale presque parfaite et d’autres identifiants, de la démarche
humaine à la respiration en passant par l’iris, » selon Salomon.
Selon
le chercheur en technologie, les bases de données biométriques d’un
avenir pas trop lointain seront de nature centralisée. Opaques à
l’extrême, nos données seront récoltées par les personnes occupant les
postes les plus élevés imaginables – vous savez, le genre de personnes
qui se rendent à Davos pour des débats polis. De plus, a ajouté
Solomon, jetez la géolocalisation des identifiants dans le mélange, et
vous avez une recette pour le chaos absolu. Ces identifiants vous
suivent, plus précisément le vous numérique, en temps réel. Vous pouvez
courir autant que vous voulez, mais vous ne pouvez pas vous cacher… » (zerohedge.com)
Et un besoin essentiel d’une
monnaie mondiale électronique, pour le particulier pour son crédit
social, et pour les échanges entres nations afin de remplacer SWIFT:
Le président de Mastercard:
« Miebach, participant à un
panel sur les monnaies numériques des banques centrales au WEF et
organisé par le Global Blockchain Business Council, était l’un des
rares participants à vouloir suggérer que le système SWIFT, longtemps
dominé par les intérêts occidentaux, pourrait devenir obsolète le long
avec la prolifération des monnaies numériques parmi les banques
centrales. »(zerohedge.com)
Bref, sans électronique, pas de bête mondiale.
Le miracle du soleil du 13 octobre 1917 est une bonne indication où tout s’en va.
Parlant de soleil, le cycle 25 commencé à l'automne 2020 (cycle de 11 ans) s'avère bien plus actif que les prédictions.
(suivi du cycle solaire via le site de la NOAA)
Le maximum prévu est pour 2025, exactement avant le mois des deux lunes pour le retour du lys prophétisé par Don
Bosco (voir analyses précédentes).
Les tempêtes solaires sont l'ennemi de la technologie élitiste.
Le Seigneur veille, en cette dernière heure.
« N'aimez point le monde, ni ce qui est dans le monde.
Si quelqu'un aime le monde,
l'amour du Père n'est pas en lui. Car tout ce qui est dans le monde, la
concupiscence de la chair, la concupiscence des yeux, et l'orgueil de
la vie, ne vient point du Père, mais du monde.
Le monde passe, et sa concupiscence aussi ; mais celui qui fait la volonté de Dieu demeure éternellement.
Mes petits enfants, c'est la
dernière heure. Comme vous avez appris que l'antéchrist doit venir,
aussi y a-t-il maintenant plusieurs antéchrists : par là nous
connaissons que c'est la dernière heure.
Ils sont sortis du milieu de nous, mais ils n'étaient pas des nôtres ;
car s'ils eussent été des
nôtres, ils seraient demeurés avec nous ; mais ils en sont sortis, afin
qu'il soit manifeste que tous ne sont pas des nôtres... » (Jean, 1ère
lettre, chapitre 2)
Mai 2022
23 mai 2022
Plus nous nous enfonçons dans le gouffre avec cette guerre, plus nous allons assister à toutes sortes de chaos un peu partout.
Le krach économique arrive avec sa récession brutale.
Voir Charles Sannat :
Pourquoi le krach vous menace?
Inflation = récession préparez vous !
En témoigne le Sri Lanka présentement.
Cela fait parti intégrante de la prophétie politique #32 « Le Temps est Proche » où « Les cris et les barrières de la contestation se lèvent, mais déjà la Bête sort de l'eau. »
La
bête évoqué par Macron qui sort de l’eau, c’est à dire des foules, aux
yeux de tous, est associé au fameux code QR (code QR : voir Pierre
Hillard « De la tirannie sanitaire au nouvel ordre mondial »)
Cette bête fait la guerre à la Mère.
C’est un combat spirituel qui a ses répercussions temporelles, et ce sera effroyable.
Les trois critères tirés de la vidéo de Pierre Hillard :
1. Rejet de la Sainte Trinité
2. Rejet du Christ comme Fils du Dieu Incarné
3. Rejet de la Sainte Vierge
(Allez à 33 minutes direct pour l’aspect religieux du combat actuel.)
Le
programme résumé dans le noachisme, la religion pour les goïm, c’est à
dire ceux qui ne font pas parti de la clilque judéo-maçonnique, diffusé
uniquement en 1914, explique que :
«
La Sainte Trinité doit disparaître, Jésus doit être considéré comme un
simple prophète appelé à une auguste mission religieuse, et disparition
du sacerdoce. »
La
disparition du sacerdoce entraîne automatiquement la suppression
évidente du sacrifice et l’oblation, de la présence vivante dans les
Espèces, étant donné le niveau de désacralisation des prêtres formés
sous l’ombre de Vatican II.
Revenons au code QR, le moyen de contrôle choisi par l’élite pour atteindre l’objectif de l’Agenda 2030.
Qui avait réellement entendu parlé du code QR avant la psycho pandémie de 2020?
Aujourd’hui, elle fait partie des mœurs même si les autorités ont abandonné le passeport sanitaire…
Pour l’instant…
Pour
l’instant car avec cette nouvelle psycho pandémie de la variole
simienne, les autorités amènent le peuple tranquillement vers des
objectifs précis.
Tout juste avant le sommet de Davos (qui s’est ouvert aujourd’hui), on entend parlé de ce variole du singe.
Le premier cas a été rapporté en Grande-Bretagne le 7 mai.
On pensait que c’était bénin, localisé.
Soudainement, plus de 11 pays déclarent au moins un cas quelques deux semaines plus tard (tableau sur zerohedge.com).
On n’en meurt pas encore…
Pour l’instant.
Mais comme par hasard, une simulation en biosécurité tenue à Munich à l’automne 2021 avait comme agent virulent…
La variole simienne.
Dans le scénario, l’ « attaque » a lieu le 15 mai 2022 et au 10 janvier 2023, plus de 1.3 millions de morts, alors que…
Selon les scientifiques des articles ci-haut on ne meurt pas de ce virus.
Alors pourquoi autant de morts dans cette simulation?
Dans la simulation, le 10 mai
2023, le nombre de morts en comparaison de janvier passe à 27 millions
et à 271 millions au premier décembre 2023.( simulation via zerohedge.com)
Et cette nouvelle psycho pandémie arrive juste à point…
Au
moment où les états mondiaux s’apprêtent à donne plus de pouvoir à
l’Organisaiton Mondiale de la Santé, en termes de confinements et de
vaccination…
Le vote a lieu à la fin de la semaine de la rencontre annuelle de l’OMS.
D’où l’avertissement de Mgr Vigano:
« (LifeSitenews.com)
– Dans les prochains jours, les nations qui adhèrent à l’Organisation
mondiale de la santé (OMS) voteront des résolutions concernant la
gestion des pandémies par l’OMS. Ces résolutions transféreront la
souveraineté en matière de santé des citoyens à un organisme
supranational largement financé par l’industrie pharmaceutique et la
Fondation Bill & Melinda Gates. Si ces résolutions sont approuvées
à la majorité, l’OMS aura l’autorité internationale exclusive en cas de
pandémie pour imposer toutes les règles, y compris les quarantaines,
les confinements, les vaccinations obligatoires et les passeports
vaccinaux. Il convient également de garder à l’esprit que cette
organisation jouit de l’immunité et que ses membres ne peuvent donc
être ni jugés ni condamnés s’ils commettent des crimes.
Étant
donné que la cession de souveraineté est considérée comme un crime de
haute trahison par les lois de chaque nation, et que les parlements ne
peuvent légiférer contre les intérêts de la Nation, encore moins violer
les libertés naturelles et les droits fondamentaux des citoyens qu’ils
représentent, je crois qu’il n’échappera à personne que cette tentative
de l’OMS de s’approprier un pouvoir proprement national vise à empêcher
toute forme d’opposition à « l’Agenda 2030 », qui dans le domaine de la
santé vise aussi à accomplir le la réduction drastique des services
médicaux et hospitaliers, la privatisation de l’industrie de la santé
et la prévention des maladies grâce aux vaccins.
…
Le Saint-Siège doit réaffirmer les droits, protéger les personnes sans défense
Le
Saint-Siège – qui est Observateur permanent auprès des Nations Unies et
également de l’OMS depuis un an maintenant – a le devoir de réaffirmer
le droit des individus d’accepter ou de refuser des traitements de
santé, en particulier face au danger concret d’effets indésirables,
encore en partie inconnues, de ce traitement génétique expérimental. Et
si jusqu’à présent Bergoglio et sa cabale se sont livrés aux délires de
Gates, Schwab et Soros, le moment est venu pour l’Église catholique de
défendre les plus faibles, les enfants à naître, les enfants et les
personnes âgées sans défense, ainsi que ceux qui ont fait l’objet d’un
chantage par le cynisme d’hommes d’affaires et de conspirateurs afin de
les forcer à être inoculés avec un sérum contaminé par des lignées
cellulaires de fœtus avortés .
Le
silence conspirateur actuel du Vatican, après les déclarations hâtives
qu’il a faites au début de la pandémie et ses approbations honteuses de
Big Pharma, sera imputé à la condamnation du Sanhédrin romain, qui
s’est rendu complice d’un crime contre Dieu et l’homme. Jamais dans
toute l’histoire la Hiérarchie ne s’est prostituée au pouvoir temporel
d’une manière aussi servile et abjecte. Prions pour que certains
évêques trouvent le courage de se distancer de la ligne
collaborationniste de Bergoglio et trouvent les mots pour ouvrir les
yeux de ces braves gens qui ont jusqu’ici été trompés par la propagande
mondialiste. »
Préparez-vous, surtout spirituellement, car on approche de la limite de Babylone à grands pas.
Les
avertissements sur la famine mondiale 2023 fusent de partout, et même
de la publication économique officielle des Rothschild, The Economist.
L’image vaut milles mots.
13 mai
Le
président français et la présidente de l’union européenne ont poussé
encore plus loin le concept d’une Europe fédérée à la conférence sur
l’avenir de l’Europe qui s’est achevée le 9 mai dernier.
Ils
se disent prêt à revoir tous les traités afin d’y parvenir dans un
court laps de temps, ce qui favoriserait l’entrée de l’Ukraine dans
l’Union Européenne.
Nous
assistons à vitesse grand V à la consolidation de grands blocs
économiques comme l’a bien souvent « prophétisé » Pierre Hillard dans
ses ouvrages.
« Son rêve c’est d’être empereur d’Europe » à propos d’Emmanuel Macron (Olivier Delamarche vidéo).
« Ce
n'est pas le temps d'un roi, ce ne l'a jamais été. Depuis la mort de
Frédéric, chaque roi est usurpateur. Que le roi s'en aille, reste le
peuple.
L'Europe a soif, elle aura du sang dans les rues. » (prophétie Grand Éclair à l’Orient).
Nous y sommes donc.
C’est bien Emmanuel Macron qui est visé dans cette prophétie.
La révolte du peuple est proche.
Ils la veulent.
La guerre.
Du chaos naîtra la « grande réinitialisation ».
C’est leur concept du phœnix.
Mais pour nous, c’est la délivrance qui approche.
« Mais
aussi de grandes processions et la Vierge Heureuse descendra sur terre.
Vous ne la verrez pas dans la grotte, mais dans un cœur qui revivra.
Depuis les ténèbres, elle apportera la parole que tous comprendront.»
C’est la seconde pentecôte.
La lueur d’espoir du Jugement pour les justes.
C’est la résurrection des « deux témoins » de l’Apocalypse, ce silence d’une demi-heure pour convaincre les tièdes.
Après la guerre?
Qu’est-ce qui arrêtera la guerre?
C’est limpide dans la prophétie « Le Temps est Proche » :
C’est la famine : « Et la famine arrête les armées. »
N’entendons nous pas les cris d’alerte sur la famine dans les médias ces jours-ci?
Dieu y ajoutera la sécheresse comme composante outre la guerre.
Il les prendra au mot.
Voici un résumé de l’activité solaire d’avril:
Niveau d’intensité très au-dessus de la normale par rapport aux derniers cycles solaires.
Début mai: plus de 20 éruptions de masses coronales (CME) en une semaine.
Quelques classe X de force 1.5 en moyenne, en majorité non dirigées vers la terre.
L’astre solaire est plus
chaud, il n’y a pas que le réchauffement climatique généré par l’humain
car la NASA mesure une augmentation des températures sur les autres
planètes.
Dieu avait d’autres plans…
Sécheresse un peu partout ce
printemps. Le Mid-Ouest américain n’a pas reçu de pluies depuis
octobre. Les niveaux d’eau des barrages au Colorado sont à quelques
centimètres de ne plus être capable de générer de l’électricité.
Plus de la moitié des États-Unis est en état de sécheresse.
Carte américaine des conditions de sécheresse
Vidéo qui dit tout (en anglais mais les images sont stupéfiantes).
« Une tempête de poussière déferle sur une ville du Dakota du Sud » (lapresse.ca)
L’effet
de la Niña est présent pour une troisième année consécutive. (El Niña
est le contraire de l’effet El Niño ou Enfant Jésus).
Fait très rare.
Tout cela en plus de la guerre en Ukraine laisse envisager des réserves alimentaires beaucoup moindre pour la masse.
Déjà les pays sud américains ont arrêté les exportations de céréales après leur saison d’été désastreuse.
ET la peste reviendra : « Et après la famine; la peste. »
Nouvelle mutation de la Covid?
« Et la Mère n'a pas de père, parce que beaucoup veulent être son père. Et deux seront soutenus par les adversaires. »
Donc, tout se passe lorsque les deux papes sont en fonction.
Car après la disparition de Benoît XVI, c’est le septième sceau qui sera ouvert.
Le septième sceau, c'est la mort du système Antéchrist et de ses deux bêtes, celle de la mer, et de la terre.
Encore une fois, le calendrier de la fin des temps (voir limite de Babylone 29 novembre 2021) :
Selon l’ordre chronologique donné dans l’Apocalypse, nous avons :
1) Mort des témoins (3,5 jours)
2) Résurrection des témoins
Fin de la sixième période.
Entrée dans la 7ème période :
3) Mort de l’Antéchrist
4) Chute de Babylone (3ème malheur, Ap. 11, 14)
5) Retour du Christ
6) Jugement dernier
7) Règne définitif et sans partage du Christ (Ap. 21-22)
N’oublions pas qu’au septième sceau, tout ira très vite.
La majorité des tribulations et châtiments ont lieu durant cette courte période.
Un petit reste doit y survivre afin que des âmes justes ne se perdent dans ce système.
08 mai
LES SIGNES
« Dieu a déchaîné la guerre de la nature pour empêcher la guerre des hommes. »
Outres les inondations dans l’hémisphère sud, ce sont les conditions de sécheresse qui inquiètent les autorités.
Aux États-Unis, des conditions apocalyptiques, les pires en 1200 ans selon les scientifiques (voir la carte ici ).
En Irak, 5 tempêtes de sable majeurs durant le mois d’avril.
Du jamais vu.
Première tempête de sable du mois de mai : La ville de Nassiriya recouverte de sable (lapresse.ca)
Ces
conditions météorologiques liées à l’effondrement de l’exportation de
céréales à cause de la guerre en Ukraine, créent une situation
intenable pour certains pays, surtout en Afrique.
C’est la famine qui pointe à l’horizon :
« Une crise sans précédent pour le continent » africain, selon un représentant de l’ONU » (lapresse.ca)
La guerre de la nature prophétisée par Jean XXIII s’accroît en intensité avec la guerre des hommes.
« Grand éclair à l'Orient. Vous n'entendrez pas le tonnerre, lui aussi sera imprévu.
Ceci arrivera quand en Orient sera mort un chef et en Occident, sera tué un chef. Au sud de Luther. (…) »
Les rumeurs que le président russe souffrirait d’un cancer de la thyroïde s’intensifient.
Simples rumeurs? Ou serait-il ce chef en Orient qui décédera?
On
peut facilement imaginé tout le chaos qui s’ensuivrait car Poutine gère
seul et il n’y a pas de dauphin pour prendre le relais.
Or, n’est-il pas prophétisé que la « terre frisera le massacre »?
« Le premier empereur meurt de faim, enfermé dans la tour de son rêve.»
Effectivement,
le président russe qui rêve du retour à la grande Russie est enfermé
dans sa tour. Il s’isole de tous, par peur de la Covid-19 ou parce
qu’il serait immunodéprimé par les traitements de son cancer.
En Chine, la stratégie
nationale de « zéro COVID-19 » dans le pays est entrain de
rendre la population folle… et affamée.
La
plupart des 25 millions d’habitants de Shanghai sont confinés
depuis début avril et sont surveillés par des mesures restrictives
dignes du roman 1984.
« Le second empereur dans le désert, attaqué par les animaux de la peste, inconnus. »
Les
villes chinoises sont désertes, rien ne bouge ou presque, comme dans le
désert, et les « animaux » de la pandémie du Covid pullulent, et que la
grogne monte chez le peuple.
« Le
grand frère d'Orient fera trembler le monde par la croix renversée sans
les lis. Le nouveau Père ira vers lui mais laissera la Mère orpheline. »
Et si le grand frère d’Orient était le patriarche orthodoxe russe?
Car présentement, il se colle plus à Satan, sans surprise, qu’à l’enseignement du Christ.
«
Le pape François a averti le chef de l'Église orthodoxe russe, le
patriarche Cyrille, de ne pas devenir "l'enfant de chœur de Poutine",
a-t-il déclaré dans une interview cette semaine. Dans ses paroles les
plus fortes à ce jour contre le patriarche pro-guerre, François a
également critiqué Kirill pour avoir approuvé les raisons invoquées par
la Russie pour envahir l'Ukraine. "Je lui ai parlé pendant 40 minutes
via Zoom", ... "Les 20 premières minutes, il m'a lu, une carte à la
main, toutes les justifications de la guerre." "Je l'ai écouté et je
lui ai dit : je ne comprends rien à cela", a déclaré le pape. "Frère,
nous ne sommes pas des clercs d'État, nous ne pouvons pas utiliser le
langage de la politique mais celui de Jésus". "Le patriarche ne peut
pas se transformer en enfant de chœur de Poutine", a déclaré le pape. »
01 mai
L’ALPHA ET L’OMÉGA
« Je
suis l'alpha et l'oméga " [le commencement et la fin], dit le
Seigneur Dieu, celui qui est, qui était et qui vient, le Tout-Puissant. » (Apocalypse 1, 8)
Nous arrivons à la fin du cycle.
Le temps du choix : la vie éternelle ou la seconde mort.
« Puis
il me dit : " C'est fait ! Je suis l'alpha et l'oméga,
le commencement et la fin. A celui qui a soif, je donnerai gratuitement
de la source de l'eau de la vie. Celui qui vaincra possédera ces choses ; je serai son Dieu et il sera mon fils. Mais
pour les lâches, les incrédules, les abominables, les meurtriers, les
impudiques, les magiciens, les idolâtres et tous les menteurs, leur
part est dans l'étang ardent de feu et de soufre : c'est la
seconde mort. » (Apocalypse 21, 6-8)
La déchristianisation des nations chrétiennes a rendu le monde aveugle.
Qui est assez allumé de nos jours pour reconnaître la réalité spirituelle?
Cette fin de cycle n’est perçu que par le petit reste, et encore.
La majorité vit sur l’espérance du « retour à la normale », au dieu consommation matériel et aux délices de Capoue.
Tous les avertissements des Saints papes contre le modernisme, le socialisme, etc. ont été mis aux oubliettes.
L’Église, et par ricochet ce monde, sont dans une spirale descendante qui achève.
La
fin est rapide, au grand étonnement de tous, folle, trop forte pour le
mental sans le soutien de la prière, comme au temps de Noé.
Ce monde sera surpris… comme un voleur nous avait avertit le Christ.
La
vision « holocaustique » de l’élite judéo-maçonnique pour un bien
suprême, le messie tant attendu, le peuple prêtre finalement « élu » à
la place du Verbe Incarné comme seul lien direct avec Dieu, se
manifeste intensément avec cette dernière phase du sacrifice ultime,
une guerre à grande échelle, un sacrifice de masse qui fait ressortir
tout le mal qu’il y a dans l’humain.
Cette guerre spirituelle dépasse l’entendement humain à cause de l’apostasie généralisée.
Et
ceux qui ont le pouvoir de faire éclater la Vérité sont jetés dans le
même panier que les « complotistes », terme à la mode et outil très
astucieux avancé par Satan et ses sbires.
C’est le dernier acte des aveugles qui conduisent les aveugles.
Du loup déguisé en agneau.
« Je
vous le dis en vérité, cette génération ne passera point que toutes ces
choses n'arrivent. Le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne
passeront point. » (Matthieu 24, 34-35)
C’est ainsi que NSJC nous a donné les signes cités en rapport avec la parabole du figuier au printemps.
L’abomination de la désolation est sur le trône et cette génération chrétienne a oublié ses paroles.
Comme
le peuple juif a été jugé comme n’étant plus le peuple élu (avec
transfert de la mission à l’Église catholique, gardienne des Lois et de
la Foi; les « deux témoins »), avec la destruction du temple de Salomon
en 70, elle aussi sera jugé.
L’illusion
de la miséricorde infinie entretient l’indifférence quant à
l’importance de la conversion véritable en marge du Jugement imminent.
Ce Jugement n’aboutira pas à un règne de 1000 ans de paix comme plusieurs le croient.
Cette période est du passé.
Les
1000 ans sont l’âge d’or des Pères de l’Église, un tournant majeur,
commencé avec la conversion de l’empereur Constantin en 312.
L’Église débute alors une époque de forte croissance après l’époque des persécutions romaines.
C’est l’affirmation progressive de Jésus comme Dieu Un et Trin, qui marque ce temps fécond.
Cette
période de 1000 ans est témoin de la naissance de la Fille Aînée de
l’Église, la France, qui prend forme avec le baptême de Clovis par
Saint Rémi, et qui produit une royauté de droit divin.
Cette royauté atteint son apogée sous Saint Louis en tant qu’unité spirituelle et politique catholique.
Cela devrait toujours être le
cas dominant sur cette terre aujourd’hui, puisque la parole du Christ a
été prêché presque partout.
Cette
période de 1000 ans confronte le Verbe Incarné à la synagogue de Satan
qui refuse ce Messie et qui déchaîne tout sa haine via le Talmud
(création entre 500 et 600) .
Ce travail patient et sournois aboutit aux Lumières et à la révolution de 1789 mettant fin à cette royauté de droit divin.
Le point tournant fut le règne de Philippe IV le Bel qui rejeta l’autorité spirituel du Vicaire du Christ.
« … En
1296, le pape rappela au roi que “ le clergé ne pouvait être soumis à
aucun impôt sans l’accord du Saint-Siège.” et plus tard, en 1302, le
pontife romain insista sur “la supériorité du pouvoir spirituel sur le
pouvoir temporel, et par ce biais la supériorité du pape sur les rois,
ces derniers étant responsables devant le chef de l’Église.” La guerre
entre les deux souverains était déclarée. Pour asseoir son autorité et
pour emporter l’adhésion populaire à sa politique, le roi de France
convoqua pour la première fois des États Généraux du royaume… » (catholiquedefrance.fr)
La suite est claire. En 1303,
Phillippe IV le Bel décida de remplacer le pape via un concile
œcuménique à Lyon pour le juger et le déposer. Le pape excommunia le
roi et s’ensuivit des événements clés qui aboutirent à la mort du pape.
Le
règne du roi Philippe le Bel durant le XIVème siècle marque la fin des
Templiers. L’ordre est accusé d’hérésie. Le pape Clément V prononce la
dissolution de l’ordre le 3 avril 1312.
Le règne de 1000 ans est terminé : 312 – 1312.
C’est
alors le début d’une longue pente descendante pour l’Église (dont la
réforme protestante; création de la franc-maçonnerie en 1717, etc.), et
pour la Fille Aînée de l’Église, avec une laïcisation progressive
qui continua de croître sous le règne de Charles VII avec l'application
de la « Pragmatique Sanction de Bourges», malgré la triple donation
de Sainte Jeanne d’Arc qui redonnait le Royaume du Christ à son
lieutenant temporel.
« Les
États Généraux furent un tournant dans l’histoire de France et dans
celle de l’Église. Cet événement entraîna la dislocation progressive de
l’Église et par conséquent du royaume de France. L’Église s’affaiblira
par le grand schisme d’Occident au XIVe siècle, par la Réforme
protestante puis par les Lumières. Le royaume de France, quant à lui,
changera de dynastie rapidement après la mort de Philippe IV le Bel
pour entrer dans celle de Valois et des Bourbons amenant doucement la
Révolution française. Saint Rémi, lors du baptême de Clovis, avait
prévenu :
Le
roi sera victorieux et prospère tant qu’il sera fidèle à la foi
romaine. Mais il sera châtié toutes les fois qu’il sera infidèle à sa
vocation. Il soumettra tous les peuples à son sceptre. Il durera
jusqu’à la fin des temps ! » (catholiquedefrance.fr ci-haut)
« Si
un jour cette race royale que j'ai tant de fois consacrée au Seigneur,
rendant le mal pour le bien, lui devenait hostile; envahissait ses
Églises, les détruisait, les dévastait: (…) », alors les châtiments viendraient. (voir testament de Saint Rémi)
Les 1000 ans sont donc du passé.
Ce monde est séduit comme prévu dans l’Apocalypse.
C’est
le temps de Gog et Magog pour le combat final autour de la Syrie
(malgré le fait qu’on tourne notre regard vers l’Ukraine).
Le « Grand Éclair à l’Orient » nous surprendra affirme la prophétie de Jean XXIII.
Au Vatican, l’abomination de la désolation est sur le trône, c’est à dire le faux prophète.
La bête est là nous a affirmé E. Macron.
La bête « Gardien de la Paix et de la Sécurité » a été placée aux Nations-Unies le 21 décembre 2021 (et peu après la guerre éclata…)
Cette
bête est semblable à la description dans l’Apocalypse… Et elle
représente le retour aux sacrifices façon Inca, c’est à dire le «
sacrifice humain ».
Les acteurs du dernier acte sont donc tous en place…
L’Apocalypse (21, 7-10) spécifie bien que c’est après les milles ans que Satan est relâché de prison pour détruire l’Église.
Ce qui a pris plusieurs siècles (et n’oublions pas les derniers 100 ans accordés selon la vision du pape Léon XIII).
Pierre Hillard refait le résumé dans son nouveau livre (vidéo).
« Quand
les mille ans seront accomplis, Satan sera relâché de sa prison, et il
en sortira pour séduire les nations qui sont aux quatre extrémités de
la terre, Gog et Magog, afin de les rassembler pour le combat :
leur nombre est comme le sable de la mer. Elles montèrent sur la
surface de la terre, et elles cernèrent le camp des saints et la ville
bien-aimée; mais Dieu fit tomber un feu du ciel qui les dévora. Et le
diable, leur séducteur, fut jeté dans l'étang de feu et de soufre, où
sont la bête et le faux prophète, et ils seront tourmentés jour et nuit
aux siècles des siècles. »
Et c’est après que vient la
conclusion du Jugement, avec un troisième affirmation de l’alpha et
l’oméga, montrant au peuple ce qui l’attend s’il ne se convertit
pas :
« Je suis l'alpha et l'oméga, le premier et le dernier, le commencement et la fin. Heureux
ceux qui lavent leurs robes, afin d'avoir droit à l'arbre de la vie, et
afin d'entrer dans la ville par les portes ! Dehors les chiens,
les magiciens, les impudiques, les meurtriers, les idolâtres, et
quiconque aime le mensonge et s'y adonne ! C'est
moi, Jésus, qui ai envoyé mon ange vous attester ces choses, pour les
Églises. C'est moi qui suis le rejeton et le fils de David, l'étoile
brillante du matin. » (Apocalypse 22, 13-16)
L’Alpha de cette génération à partir du Verbe Incarné s’achève avec son retour glorieux (spirituel et non physique), l’Oméga.
Aujourd’hui, du strict point de vue humain, Satan semble avoir gagné la partie.
Mais c’est sans compter sur NSJC et de notre Sainte Mère Marie.
Quand
tout semblera perdu, c’est là que nous serons témoins de cette
intervention aussi vite que l’éclair, soudaine, qui fera que les portes
de l’enfer ne prévaudront pas contre l’Église, et que le Cœur Immaculée
de Marie triomphera tel que promit à Fatima.
C’est l’Alpha et L’ Oméga du temps long, de la Genèse jusqu’à la victoire du Christ Roi et la Sainte Vierge.
« je
mettrai une inimitié entre toi et la femme, entre ta postérité et sa
postérité ; celle-ci te meurtrira à la tête (Oméga), et tu la
meurtriras au talon. » (Genèse 3, 15).
Tout a un sens.
Ce long cycle destiné à racheter les âmes depuis Adam et Éve qui ont chuté est sur le point de connaître son apogée.
Avril 2022
15 Avril
LE SACRIFICE DE L’ÉGLISE
« Jésus leur répondit :
" L'heure est venue où le Fils de l'homme doit être glorifié. En
vérité, en vérité, je vous le dis, si le grain de blé tombé en terre ne
meurt pas, il demeure seul ; mais s'il meurt, il porte beaucoup de
fruit. Celui qui aime sa vie, la perdra ; et celui qui hait sa vie
en ce monde, la conservera pour la vie éternelle. Si quelqu'un veut
être mon serviteur, qu'il me suive, et là où je suis, là aussi sera mon
serviteur. Si quelqu'un me sert, mon Père l'honorera. » (Jean 12,
23-26)
Hors de Babylone, des deux Babylone.
Fuite dans les montagnes, dans les grottes… de notre âme.
Nous
sommes dans Babylone mais nous devons la fuir en s’isolant par la
prière et par des gestes de charité qui prouvent que nous ne lui
appartenons point.
Comme
le Christ s’est sacrifié pour la rémission des péchés, l’Église,
l’Épouse du Christ, doit se sacrifier pour le Salut du Monde.
L’enfer ne prévaudra pas sur son Église affirme le Christ. Elle doit ressusciter.
Mais
ce passage, cette Pâques nécessaire pour mériter la vie éternelle,
demandera beaucoup de courage, de volonté et de prières pour les
chrétiens qui font partis de ce corps mystique.
Le Christ a instauré par son acte ultime la pérennité du sacrifice non sanglant par l’instauration de la Sainte Messe.
Les talmudistes ont une autre vision du sacrifice.
Pour ces derniers, par le refus de reconnaître le Messie, le sacrifice sanglant demeure.
Il est même nécessaire, car dans la pensée judéo-maçonnique c’est le moyen de faire venir leur messie.
Ce
messie talmudiste, c’est l’ultime dominance du peuple juif (lire ici
l’élite) sur le monde tel que promis par le Dieu de l’Ancien Testament.
Alors que le Messie est venu pour toutes les âmes.
Nous arrivons à cet aboutissement.
En langage d’aujourd’hui : le nouvel ordre mondial.
C’est
le refus du Verbe Incarné, le Christ, le Messie, par le peuple juif qui
nous mène à ce point crucial en 2022, la grande réinitialisation ou
Tikoun Olam pour les kabbalistes (voir Pierre Hillard ou les analyses précédentes).
Ces sacrifices modernes, à
l’image des sacrifices dans l’Ancien Testament, sont la Covid via la
vaccination, la guerre en Ukraine qui a débuté le 24 février 2022, et
tout se qui découlera de la chute du système provoquée: angoisses
financières, famines, révolutions, soulèvement des peuples, ...
C’est pour eux la rédemption par le péché.
Plus on sacrifie, plus Dieu sera à l’écoute de son peuple.
Le
talmud est en opposition au catholicisme et doit placer le peuple juif
en tant que serviteurs souffrant de l’humanité, pour accélérer la venue
messie.
Il y a donc une notion ici de « quantité quant aux sacrifices nécessaires ».
Voir Mort au cléricalisme ou sacrifice humain. Mgr Gaume
C’est le combat final entre Dieu et Satan.
L’élite judéo-maçonnique pense faire renaître de ses cendres le système mondial après le chaos instauré.
Combien de fois avons nous vu le phœnix comme symbole de cette renaissance chez l’élite (voir analyses précédentes)?
Ils sont passé à une vitesse supérieure grâce à la Covid.
Contrôle de la population en vue à la manière chinoise, grâce à la technologie.
Une guerre nécessaire et voulue.
Par
la création monétaire à l’infini depuis la crise de 2008 (le système
financier est sous respirateur artificiel), les pays se sont endettés
encore plus par les programmes de soutien durant la pandémie.
Pénuries,
chaînes d’approvisionnement interrompues, injection de monnaie
abondante, ont créé un inflation incontrôlable qui ne se résorbera pas.
L’élite
via les banques et les réserves fédérales coupe les vivres aux
récalcitrants (la Russie par exemple) et augmente les taux d’intérêts
pour faire tomber le système et pousser les pays vers la faillite.
C’est
l’heure du phœnix, qui doit renaître des cendres du sacrifice sanglant,
avec une monnaie unique, un peuple prêtre maître du monde, l’homme
déifié à son apothéose, le 666 dans toute sa trinité.
Mais Dieu avait d’autres projets pour citer Anne Catherine Emmerich.
Dieu interviendra avant par la guerre de la nature pour sauver le petit reste.
Et cette terre sera purifiée par le sacrifice ultime de l’Épouse du Christ, l’Église.
« La
terre détruira le ciment et de terre sera, Reine, ta nouvelle Église.
Et sur la terre de blé, pour la faim de tes peuples, fleur sur son
nouvel autel. Amen. » (prophétie de Jean XXIII concernant Benoît XVI)
Deux signes majeurs du dernier acte avant le Jugement dont nous ne connaissons ni le jour ni l’heure :
-
La chute de Babylone, du système actuel dont nous a prévenu NSJC en
Matthieu 24, et qui précède le Jugement (voir calendrier de la fin des
temps 29 novembre 2021).
-
Le décès de Benoît XVI qui annonce la mort des deux témoins, donc de
l’Église traditionnelle, puisque la prophétie de Jean XXIII ci-haut est
bien un déclencheur des derniers événements.
Cette Pâques 2022 est importante.
Elle est liée à Benoît XVI, à son anniversaire, demain, samedi saint.
« Je
suis né un samedi saint, le 16 avril 1927, à Marktl am Inn. Ma
naissance, le dernier jour de la Semaine sainte et la veille de Pâques,
n’est jamais passée inaperçue dans l’histoire familiale, d’autant plus
que j’ai été baptisé dès le matin de ma naissance avec l’eau tout juste
bénite la « nuit pascale », célébrée à l’époque le matin. Et être le
premier baptisé avec l’eau nouvelle fut considéré comme un signe du
Ciel. Le fait que ma vie ait été ainsi plongée dès le début dans le
mystère pascal m’a toujours rempli de gratitude, car ce ne pouvait être
qu’un signe de bénédiction. Bien sûr, ce n’était pas le dimanche de
Pâques mais le samedi saint ; or plus j’y repense, plus cela me semble
être en accord avec notre vie humaine toujours en attente de Pâques,
qui n’est pas encore dans la pleine lumière, mais s’en approche dans la
confiance. »
Ma vie, souvenirs, Joseph Ratzinger, (éd. Fayard, pages 8-9)
8 avril
ÉLIE, LE PRÉCURSEUR
Le 24 juin, nous fêtons la Saint-Jean Baptiste, au solstice d’été.
Jean-Baptiste on le sait, est le précurseur du Christ.
Il annonce cette lumière qui vient illuminer les ténèbres.
Sans cette lumière, nous étions voué à la mort de l’âme par nos péchés.
Jean-Baptiste fut comparé de nombreuses fois au prophète Élie dans le nouveau testament.
Élie occupe une place importante.
Il fut, bien des années auparavant, précurseur du Christ.
Le jour de la transfiguration, c’est Élie et Moïse qui sont au côté de Jésus.
Ils représentent les deux candélabres, les deux oliviers,… les deux témoins de l’Apocalypse.
Les "deux fils de l'huile", c'est-à-dire les deux oints de Dieu, sont le roi et le grand prêtre qui préfigurent le Christ.
C’est aussi ceux qui sont fidèles à la loi et aux prophètes.
Dans
le livre des rois, Élie a le pouvoir de faire pleuvoir, ou bien de
retenir la pluie, tout comme les 2 témoins de l’Apocalypse, c’est à
dire d’ouvrir le passage pour recevoir les grâces sanctifiantes en
cette fin des temps.
Élie, c’est le Carmel.
Que fait Élie au Mont Carmel ?
Élie a le rôle de ramener le roi Achad dans le droit chemin car ce dernier a abandonné Dieu pour sacrifier au dieu Baal.
C’est le retour au paganisme… comme aujourd’hui au Vatican.
Alors il convoque l’ensemble du peuple sur le mont Carmel ainsi que 450 prêtres de Baal pour les confondre.
Tel sera le rôle des deux témoins prochainement.
L’autre épisode reliant la Sainte Vierge Marie et Élie selon les pères de l’Église est celui-ci :
« Élie
monta au sommet du Carmel et, se penchant vers la terre, il mit son
visage entre ses genoux, et il dit à son serviteur : « Monte,
regarde du côté de la mer. » Le serviteur monta et,
ayant regardé, il dit : « Il n'y a rien. »
Et Élie dit : « Retourne sept fois. » A la
septième fois, il dit : « Voici un petit nuage, comme la
paume de la main d'un homme, qui s'élève de la mer. » » (1 Rois,
18, 42-44)
(Notez encore l’importance du chiffre sept (voir analyses précédentes) tout
comme dans l’épisode de Jéricho et les allusions nombreuses dans les
prophéties de Jean XXIII.
En effet ce n’est qu’au septième tour au septième jour que les murs de Jéricho s’effondrent et qu’il y a libération.)
Le
Carmel, c’est aussi les deux apparitions de la Sainte Vierge en Notre
Dame du Carmel, soient le 13 octobre 1917 à Fatima, et le 16 juillet
1878 pour la 18ème et dernière apparition à Lourdes.
Elle montre la fin d’un cycle. L’Oméga dans l’« Alpha et L’Oméga ».
« Mais
aussi de grandes processions et la Vierge Heureuse descendra sur terre.
Vous ne la verrez pas dans la grotte, mais dans un cœur qui revivra.
Depuis les ténèbres, elle apportera la parole que tous
comprendront. C'est le temps des lettres. » (prophétie Grand
Éclair à l’Orient)
« Quoi qu'il en soit, la
signification profonde n'est pas douteuse. Après s'être révélée comme
la Vierge du Rosaire, Notre-Dame se montre à nous le 16 juillet comme
la Reine du Mont Carmel, et il semble que tous les détails de
l'Apparition prennent leur pleine signification, quand on les met en
parallèle avec la vision du prophète Élie, que la liturgie rappelait
et fêtait ce jour-là.
Notre-Dame du Carmel était
particulièrement honorée à Lourdes. Une confrérie y avait été érigée
depuis des siècles. Les confrères étant contraints d’aller à Tarbes
pour gagner l’indulgence, on avait obtenu du provincial des Carmes
l’autorisation de la gagner dans l’église paroissiale, à condition
qu’on bâtît une chapelle; pour l’édifier on avait démoli une partie du
collège de la ville.
Toutes
les familles chrétiennes de Lourdes portaient le scapulaire, y compris
la famille Soubirous. Le matin même du 16 juillet, Bernadette, à une
époque où la communion n’était pas fréquente, avait reçu l’Eucharistie…
Cette
petite nuée, disent unanimement les saints Pères, était la figure de la
Vierge qui allait naître au septième âge du monde petite par son
humilité, nuée par sa fécondité ; s’élevant de la mer, parce que Marie
s’est élevée de notre nature viciée sans participer à son amertume;
toute brillante, parce que le soleil de justice l’a enveloppée de ses
rayons ; marquée de l’empreinte du pied d’un homme pour rappeler au
serpent maudit le talon qui doit l’écraser.
Le 16 juillet 1858, Bernadette sera l’Élie des temps nouveaux.
…
Or,
de loin, la ligne qui cintrait la niche royale de Notre-Dame de Lourdes
dessinait assez exactement la figure du nuage de la vision d’Élie. Et
donc, se détachant sur le ciel déjà obscur, la lumière qui enveloppait
la Vierge reproduisait au-dessus du torrent – à cette époque fort
large en cet endroit – la nuée lumineuse qui avait surgi du sein de la
mer. Mais, pour Bernadette, la réalité remplaçait le symbole. La nuée
du prophète livrait son mystère.
Et
de même qu’Élie fut comblé de joie à ce spectacle, songeant à la pluie
qui allait tomber sur les campagnes désolées de la Judée, de même,
parce que le mystère de Lourdes se clôture sur cette vision, une
immense allégresse fait tressaillir notre espérance. La nuée mystique
est apparue à Lourdes. La rosée fécondante ne peut tarder à se déverser
sur la terre assoiffée… » (laportelatine.org)
Le chiffre 16 est un chiffre important.
Il représente la Résurrection.
Les
évangiles nous apprennent que Jésus est crucifié le jour de la
préparation de la Pâque, c’est à dire, dans le calendrier mosaïque, le
14 Nizan, puisque la Pâque a lieu dans la nuit du 14 au 15 Nizan.
C’était un vendredi puisque le
lendemain, jour de la Pâque, tombait cette année là sur un jour de sabbat,
donc un samedi.
Nous savons, toujours par les
évangiles, que Jésus meurt à la 9ème heure (15h) le 14 Nizan puis est
mis au tombeau avant la nuit pour ressusciter le troisième jour, à
savoir le 16 Nizan au petit matin.
Donc deux moments critiques comme indices de la fin des temps.
La
9ème heure, reliée ici à Benoît XVI, car nous sommes dans la 9ème année
depuis sa démission, démission donnée à la date anniversaire de la
première apparition à Lourdes.
Et la résurrection à l’aube du 16 qui nous donne la preuve de la divinité de NSJC.
Puisque nous somme à la 9ème
heure, le 16 juillet 2022 risque d’être un jour eschatologique majeur
et porteur d’un signe que peu pourront renier.
Rappelons que Notre-Dame du Mont Carmel, c’est le scapulaire qui protège à la fin des temps.
Le
16 juillet, c’est aussi la date de publication de Traditionis Custodes
en 2021, tentative vaine pour essayer de faire taire ce qui reste des
deux témoins.
Le 16 avril est la date de naissance de Benoît XVI.
Notre-Dame du Carmel est fêtée le 16 juillet.
Or, le prophète Élie est fêté le 20 juillet.
Il y a trois jours et demi entre les deux fêtes…
Et comme les deux témoins de l’Apocalypse doivent ressusciter après trois jours, il y a cette possibilité donc :
Mort des témoins le 16 juillet et résurrection le 20 juillet.
À surveiller donc.
03 avril
DE LA SALETTE À FATIMA : LOURDES et Benoît XVI
Le secret donné à Mélanie à la Salette devait être rendu public à partir de 1858.
1858,
c’est l’année du début des erreurs du modernisme (condamnés par Léon
XIII) : Les origines des espèces de Darwin, La liberté de Mill, et
Une contribution à La critique de l’économie politique de Karl Marx.
Dans ces trois ouvrages sont résumés les erreurs de l’âge moderne.
L’homme annonçait son INDÉPENDANCE vis-à-vis de Dieu.
C’était le début de la déification de l’homme aboutissant à ce que nous vivons maintenant.
1858, c’est l’année des apparitions de Lourdes, exactement le 11 février 1858 à la grotte de Massabielle.
La Sainte Vierge s’identifie comme « Je suis l’Immaculée Conception ».
Le révérend Fulton Sheen
souligne qu ' « au moment même où le monde a nié le péché originel,
notre Mère a revendiqué sa prérogative uniquement comme la sienne ...
elle seule a été conçue de manière immaculée - tous les autres sont nés
dans le péché originel ».
Lors
de l'apparition de la Sainte Mère à Lourdes, note Sheen, Dieu a répondu
à la prétention arrogante de l'homme à l'indépendance et a fourni la
preuve de ses erreurs en démontrant que le Ciel existe et qu’il veille.
La
Salette renvoie sur Lourdes, qui elle-même renvoie sur Fatima, les deux
apparitions qui annoncent le Fils, le retour de NSJC dans sa
Gloire.
Un retour dans la Gloire mais
sans autre signe que ce qu’il y a à partir du 7ème sceau de
l’Apocalypse, inclus dans le secret de Mélanie (la Salette).
Ce
sera un retour éclair, frappant, soudain : « je viendrai
comme un voleur » , « personne ne se doutera de rien »
dans les deux Babylone « Vatican » et « Nations-Unies ».
Sauf les 144 000 justes, c'est à dire ceux qui sont restés « éveillés ».
Le 11 février est aussi la date anniversaire des accords de Latran de 1929, où le « royaume Vatican » fut officialisé.
Ces
accords furent la première étape d’une longue route du déclin de
l’Église et de son basculement vers l’Antéchrist système et maintenant
l’Antéchrist personnifié.
Entre 1929 et 2013 il y a 84 ans.
Nous connaissons l’importance
du 84 (voir analyses précédentes): c’est l’âge de la prophétesse Anne
le jour de la purification de la Vierge Marie.
Or, 84 c’est aussi 2×42 : « il faudra rendre à Babylone au double de ses œuvres » (Apoc. 18, 6)
Le 11 février 2013 était donc le début de la purification de ce monde.
Benoît XVI est né le 16 avril 1927, soit le jour de la mort de sainte Bernadette Soubirous, la voyante de Lourdes.
Les
conditions de sa démission sont douteuses, puisqu’on lui a forcé la
main par un chantage financier, à savoir la coupure du Vatican du
système bancaire SWIFT en janvier 2013.
Benoît XVI annonçait ensuite sa démission le 11 février 2013.
Dieu nous conserve deux papes simultanément, nous montrant que le vrai pape subsiste parallèlement au faux prophète.
Son
départ fut le signe de l’entrée de l’humanité dans l’ultime temps de
pénitence des dernières tribulations (d’où l’importance de la date de
départ).
Celui qui le suit est le dernier de la prophétie de saint Malachie.
Ainsi se déroule présentement la dernière persécution de la Sainte Église romaine, avant le Jugement dernier.
Ainsi
le 13 février 2022, nous sommes entrés dans la 9ème heure, heure de la
mort du Christ sur la croix (soit 9 ans depuis la démission de Benoît
XVI).
11 jours après, la guerre en Ukraine était lancée.
Le 11, c’est le chiffre préféré des kabbalistes.
L’éventuel décès de Benoît
XVI, on le sait, annoncera la mort des deux témoins de l’Apocalypse, et
sonnera la fin de la sixième période, avant l’ouverture du 7ème sceau.
La prophétie politique « Grand Éclair à l’Orient » est de plus en plus claire :
« Ce
n'est pas le temps d'un roi, ce ne l'a jamais été. Depuis la mort de
Frédéric, chaque roi est usurpateur. Que le roi s'en aille, reste le
peuple. L'Europe a soif, elle aura du sang dans les rues. » en
référence à Frédéric de Hohenstaufen (Frédéric II), qui
connut des conflits permanents avec la papauté et se
vit excommunié par deux fois. Le
pape Grégoire IX l'appelait l'Antéchrist.
En
2022, ce personnage est probablement Emmanuel Macron, oint choisi pour
la gouvernance mondiale en Europe, en sauveur, dans ce dernier droit
avec la guerre en Ukraine.
« Mais
aussi de grandes processions et la Vierge Heureuse descendra sur terre.
Vous ne la verrez pas dans la grotte, mais dans un cœur qui revivra.
Depuis les ténèbres, elle apportera la parole que tous comprendront. C'est le temps des lettres. »
Remarquez
ici qu’on ne verra pas la Sainte Vierge dans la grotte, comme à
Lourdes, mais dans un cœur qui revivra, alors que nous serons dans les
ténèbres.
Elle apportera la PAROLE.
C’est le temps des lettres, de la fin du cycle, de l’Alpha et l’Oméga.
C’est la seconde Pentecôte.
C’est prophétisé par Mélanie de la Salette :
«
… j’appelle les Apôtres des derniers temps, les fidèles disciples de
Jésus-Christ qui ont vécu dans un mépris du monde et d’eux-mêmes, dans
la pauvreté et dans l’humilité, dans le mépris et dans le silence, dans
l’oraison et dans la mortification, dans la chasteté et dans l’union
avec Dieu, dans la souffrance et inconnus du monde.
Il
est temps qu’ils sortent et viennent éclairer la terre. Allez, et
montrez-vous comme mes enfants chéris ; je suis avec vous et en vous,
pourvu que votre foi soit la lumière qui vous éclaire dans ces jours de
malheur. Que votre zèle vous rende comme des affamés pour la gloire et
l’honneur de Jésus-Christ.
Combattez, enfants de lumière, vous, petit nombre qui y voyez, car voici le temps des temps, la fin des fins. »
Même
si certains ont des doutes quant aux visions de Maria Valtorta, il est
intéressant de voir que le rôle de Notre Sainte Mère est central, c'est
par Elle que nous est donné le Fils et le Saint-Esprit :
«
Et puis voilà la Lumière, le Feu, l’Esprit-Saint, qui entre avec un
dernier bruit mélodieux sous la forme d’un globe très brillant et
ardent dans la pièce close, sans remuer les portes et les fenêtres, et
qui plane un instant au-dessus de la tête de Marie à environ trois
palmes de sa tête qui est maintenant découverte, car Marie, voyant le
Feu Paraclet, a levé les bras comme pour l’invoquer et a rejeté la tête
en arrière avec un cri de joie, avec un sourire d’amour sans bornes. Et
après cet instant où tout le Feu de l’Esprit-Saint, tout l’Amour est
rassemblé au-dessus de son Épouse, le Globe très Saint se partage en
treize flammes mélodieuses et très brillantes, d’une lumière qu’aucune
comparaison terrestre ne peut décrire et descend pour baiser le front
de chaque apôtre. » (maria-valtorta.org)
« Alors
le saint aux pieds nus descendra du mont et, devant la tombe du
va-nu-pieds, éclatera le règne béni de la Très Sainte Vierge.
Écoutez ses paroles. »
01 avril
« Les
hommes se comptent mourir. Et après la famine; la peste. Dieu a
déchaîné la guerre de la nature pour empêcher la guerre des hommes. » (Prophétie politique #32 Le Temps est Proche)
La
guerre en Ukraine par les deux factions judéo-maçonniques fait partie
du plan de la grande réinitialisation (lire aussi Agenda 2030) de Davos.
Une mise au point par Pierre Hillard sur le sujet (vidéo).
À venir donc pour accomplir
l’Agenda 2030 : pseudo-pandémie (presque du passé) pour conserver
la culture de la peur et du contrôle de la population, krach économique
à venir pour établir les bases de la nouvelle monnaie électronique
mondiale, famine mondiale pour réduire la population, et guerre pour
semer le chaos car l’ordre vient du chaos selon eux.
«
Aujourd'hui, on a parfois l'impression de parler du Nouvel Ordre
Mondial, de la Grande Réinitialisation , de l'Agenda 2030, de
Davos, etc. Ceux qui tentent de réfléchir à ces questions sont
dépeints, selon les informations dominantes, comme des théoriciens du
complot, des populistes, des extrémistes qui pourraient peut-être
rejoindre les rangs du front no vax vitupéré.. Le but de cet
article est d'essayer de clarifier, sur la base d'une analyse objective
du texte, l'Agenda 2030 pour le développement durable, une résolution
adoptée par l'Assemblée générale des Nations Unies le 25 septembre
2015. Avec cela, nous entendons initier une série de réflexions et
d'arguments qui, au-delà du climat actuel d'opposition exaspérée,
voudraient éclairer les esprits assombris par ce nouveau climat «
idéologiquement correct » qui afflige le système politique, financier
et médiatique.
Qu'est-ce que l'Agenda 2030 pour le développement durable
Pour
pouvoir s'exprimer convenablement sur n'importe quel sujet, surtout en
cette époque de confusion embarrassante et de superficialité, il est
nécessaire de lire les textes, de s'en tenir aux sources officielles et
d'éviter tout raccourci. Les 35 pages au format A4 qui contiennent
les indications de l'Agenda 2030 explicitent la volonté de transformer
le monde à travers 17 Objectifs, condensés dans une petite page, et
déjà dès le Préambule ils transmettent un contenu et un langage sur
lesquels il faut réfléchir. En premier lieu, l'adjectif « durable
» apparaît plus de 200 fois, tout comme dans le texte on recourt
massivement à des adjectifs tels que « inclusif », « résilient » ou à
des expressions telles que « égalité des sexes », « droit à la santé
reproductive ». » qui transmettent souvent des idéologies de
genreou ils ont tendance à légitimer les pratiques
d'avortement. Le contenu est enveloppé dans un langage liquide,
dans lequel les termes sont placés de manière ambiguë et imprécise,
mais qui révèle ce que le père Cornelio Fabro appelait le "principe
d'immanence".
Tout
est conçu et situé sur un plan horizontal, sans aucune dimension
spirituelle ni tension éthique, où non seulement la présence de Dieu et
de sa Grâce n'est jamais évoquée, mais où tout peut être résolu à
partir de l'homme. Le point 53 de l' Agenda 2030 se lit
comme suit : « L'avenir de l'humanité et de notre planète est
entre nos mains », tout comme le point 59 nie la référence à toute
vocation transcendante et énonce clairement : « …Nous réaffirmons
que la planète Terre et ses écosystèmes sont notre maison et que
l'expression «Terre Mère» est commune à de nombreux pays et
régions”. Dans ce contexte horizontal, les trois dimensions du
développement durable sont postulées : économique, sociale et
environnementale ; les déterminations, les résolutions qui
jalonnent l'Agenda s'affirment, avec ce langage liquide qui a été
évoqué et qui est cité ici : « Nous sommes déterminés à mettre fin
à la pauvreté et à la faim, sous toutes ses formes et
dimensions… » ou : « Nous sommes déterminés à promouvoir des
sociétés pacifiques, justes et inclusives, exemptes de peur et de
violence ».
Déclaration d'intention et vision de l' Agenda 2030
Dans
l' Introduction à la Déclaration d'intention , l'autorité
avec laquelle sont fixés les objectifs de l' Agenda 2030 est
célébrée avec autosatisfaction (les majuscules sont fidèlement
reproduites dans le texte) : « Nous, les Chefs d'État et de
Gouvernement et la Haute Représentants, réunis au siège des Nations
Unies à New York du 25 au 27 septembre 2015 pour la célébration du 70e
anniversaire de l'ONU, nous fixons aujourd'hui les nouveaux Objectifs
mondiaux de développement durable ». Vient ensuite
la vision , l'imagination, qui m'a rappelé ce que disait
Klaus Schwab, PDG du WEF (World Economic Forum) de Davos, en juin 2020,
lorsqu'il prônait un « reset » général ( Great Reset ).) en pleine
urgence Covid : « La pandémie comme opportunité de ré-imaginer et
de réajuster le monde ». Il était clair que
la vision de Davos et du WEF était basée sur l'Agenda 2030
pour le développement durable : « Un monde juste, équitable et
tolérant, ouvert et socialement inclusif qui répond également aux
besoins des plus vulnérables… un monde dans lequel la consommation ,
les processus de production et l'utilisation des ressources naturelles
sont durables ». Le monde imaginé
et désiré reflétait une dimension anthropologique amputée de
l'ascétisme spirituel, réduite à la corporéité terrestre, en opposition
ouverte avec la vision classique et chrétienne de l'homme comme unité
substantielle de l'âme et du corps. Pour soutenir
celaVision et ces Déclarations d'intention, il fallait se référer
à quelque chose d'antérieur et universellement reconnu, la Déclaration
Universelle des Droits de l'Homme de 1948 : « Le nouvel Agenda est
basé sur la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme ».
…
L'Église
catholique a aussi fait siennes les indications et a emprunté le
langage « inclusif et durable » de l' Agenda 2030 , il suffit
de penser aux formes exprimées dans les différents synodes
diocésains. Le discours serait très long et impliquerait
l'appareil médiatique, la finance et la philanthropie grossière des
riches comme Jeff Bezos ou Bill Gates. Tout cela et tous ces
personnages seraient volontiers supprimés : L' Agenda 2030 pour le
développement durable n'est pas durable ! » (Marcotosatti.com)
On le sait, ce plan n’aboutira pas car Dieu va déchaîné la guerre de la nature pour empêcher la guerre des hommes.
D’où
encore l’indication qu’il ne reste pas beaucoup de temps avant le
retour de NSJC puisque l’élite mondiale ne peut plus reculer.
Satan
a lui-même fixé l’objectif, 2030, mais nous savons grâce à Don Bosco
(voir analyses précédentes) que ce sera avant mai 2026.
La chute de Babylone arrivera bien avant selon le calendrier de la fin des temps (voir analyses précédentes).
D’ailleurs,
cette guerre de la nature qui entraînera la chute de Babylone, qui est
nulle autre que le septième sceau de l’Apocalypse, sera
éprouvante :
« Derrière eux, les corbeaux de la faim, de la famine, de la peste. » (prophétie de l’Église #11 Le Septième Sceau)
Ceux qui pensent encore que nous avons bien du temps devant nous sont dans l'erreur car les
indices pullulent sur ce qui nous attend probablement cet automne :
- « Biden: « il va y avoir un nouvel ordre mondial et nous devons le diriger ! » L’édito de Charles SANNAT »
- Tous nous préviennent d’une
famine mondiale d’ici 8 mois. Le grand gourou de Davos inclus : «
Klaus Schwab vous prévient. Famine et misère pour tous. » (insolentiae.com)
- Le midwest américain n’a
presque pas reçu d’eau depuis octobre 2021. Le « Dust Bowl » ou « bol à
poussière » des années 30s se répète.
- Les prix des fertilisants ont explosé à cause de la guerre en Ukraine et des prix élevés du pétrole. Plusieurs
agriculteurs se tournent vers des cultures moins gourmandes de sorte
que l’offre ce certains produits va diminuer grandement.
« Un homme averti en vaut deux ».
C’est
pourquoi qu’aura lieu la résurrection des « deux témoins » (voir le
calendrier de la fin des temps) avant le septième sceau, car comme
aussi prophétisé à la Salette, le monde aura besoin de phares pour les
conduire sous la gouverne du Saint-Esprit.
C’est Marie qui guidera ses enfants, la femme avec les pieds sur la lune et revêtue de soleil.
Quand?
Au décès ou peu après le décès de Benoit XVI :
« Alors
le saint aux pieds nus descendra du mont et, devant la tombe du
va-nu-pieds, éclatera le règne béni de la Très Sainte Vierge.
Écoutez ses paroles. Marie
Très Sainte, fille et mère de Dieu, maîtresse du temps futur, bats le
rappel de tes fils dans les campagnes, pour qu'ils abattent les deux
Babylone. Et que la Mère soit Une, comme toi tu es unique. La
terre détruira le ciment et de terre sera, Reine, ta nouvelle Église.
Et sur la terre de blé, pour la faim de tes peuples, fleur sur son
nouvel autel. Amen. » (prophétie concernant Benoît XVI)
« Mais
aussi de grandes processions et la Vierge Heureuse descendra sur terre.
Vous ne la verrez pas dans la grotte, mais dans un cœur qui revivra.
Depuis les ténèbres, elle apportera la parole que tous comprendront. C'est le temps des lettres.» (prophétie Grand Éclair à l’Orient)
Plus nous approchons de l’ouverture du 7ème sceau, plus nous aurons des signes.
Encore faut-il les voir et savoir les interpréter.
La connaissance des écritures est essentielle.
Dans ce temps de grande apostasie, peu donc ont la capacité de voir les signes.
Comme au temps de Noé, et de Sodome.
Et
lorsque nous serons pleinement avancés avec la septième coupe et la
septième trompette, les signes s’intensifieront et le temps sera comme
en accéléré.
Pour
preuve, les prophéties de l’Église de Jean XXIII sur la succession des
papes s’établissaient sur une longue période à cause des règnes qui
étaient plus longs.
Mais
présentement, nous avons deux prophéties en parallèles, si ce n’est
trois, parce que le Père nous a donnés deux papes en même temps pour
identifier l’imposteur faux prophète, tout en pointant où nous en
sommes sur le calendrier.
« Écoutez
une comparaison prise du figuier. Dès que ses rameaux deviennent
tendres, et qu'il pousse ses feuilles, vous savez que l'été est proche.
Ainsi, lorsque vous verrez toutes ces choses, sachez que le Fils de
l'homme est proche, qu'il est à la porte. Je vous le dis en vérité,
cette génération ne passera point que toutes ces choses n'arrivent. Le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront point. » (Matthieu 24, 33-35)
On
peut voir que le décès de Benoît XVI déclenche la finale avec la venue
de la Sainte-Vierge Marie dans les cœurs et que les trois dernières
prophéties de l’Église se réaliseront dans un court, très court laps de
temps.
En attendant la seconde Pentecôte…
Gardons la Foi et l’Espérance dans la prière pour recevoir les grâces nécessaires pour être forts dans les temps à venir.
On est au temps du figuier...
Mars 2022
30 mars
On le sait, la Sainte-Vierge a ordonné que tous les évêques participent à la consécration au Cœur Immaculé de Marie.
Alors que Bergoglio a lancé une invitation…
Digne
de son concept de synodalité qui doit triompher sur tout afin d’aboutir
à un œcuménisme global, la religion humaniste de Satan.
« CITÉ DU VATICAN (
LifeSiteNews ) – Le jour de la consécration de la Russie par le pape
François, le chef de l’Académie pontificale mariale internationale a
poursuivi la position passée du Vatican en essayant de séparer
Notre-Dame de Fatima de la prière de consécration du 25 mars, soulevant
des questions quant à pourquoi l’un des principaux mariologistes de
l’Église minimise le rôle de Notre-Dame.
…
Bien
que la traduction anglaise officielle ne mentionne pas Notre-Dame de
Fatima, ni les erreurs de la Russie dont elle a mis en garde, le pape
et les évêques qui l’ont rejoint ont prié la consécration devant une
statue de Notre-Dame de Fatima et ont consacré la Russie et l’Ukraine
au « Cœur Immaculé ». L’intention du jour est apparue clairement
orientée vers Fatima, étant faite devant la statue de Notre-Dame de
Fatima.
Pourtant, quelques heures
seulement avant la consécration, Vatican News a publié une interview du
P. Stefano Cecchin, OFM, président de l’ Académie mariale
internationale pontificale de Rome, qui a fait de gros efforts pour
dissocier complètement la consécration de la demande de
Notre-Dame de Fatima, et à la place mettre en évidence le rôle de la « synodalité ».
Expliquer les demandes de Fatima en tant que « synodalité »
Une
partie des demandes de Notre-Dame de Fatima en 1917 et 1929 était que
la Russie serait consacrée, et que le Pape « ordonnerait » aux évêques
de se joindre à lui dans cette action capitale.
Cependant,
le P. Cecchin a ignoré cet aspect crucial derrière les événements du 25
mars et a plutôt expliqué la demande du pape François pour que tous les
évêques se joignent à lui pour consacrer la Russie et l’Ukraine comme
faisant simplement partie du « concept de synodalité ».
Répondant
pourquoi les évêques avaient été invités à rejoindre le Pape, le P.
Cecchin a déclaré : « Il me semble que ce choix est lié au concept de
synodalité que le pape François ne cesse de réitérer. Le Pape
représente l’Église, le sens de l’unité, mais l’unité avec l’Église et
dans l’Église, qui est – comme il l’appelle – notre maison commune.
Pr.
Cecchin a même expliqué la demande de François d’être rejoint dans la
prière comme étant liée à l’encyclique papale « blasphématoire » du
Pape sur la fraternité humaine, Fratelli Tutti , en disant : « Nous ne
sommes donc pas sauvés seuls, comme le pape François nous l’a rappelé
dans Fratelli Tutti et toujours ensemble. Nous devons demander à Dieu
le salut du monde.
« Là
où deux ou trois sont réunis en mon nom, je serai au milieu
d’eux », nous rappelle l’Évangile, et le pape François souligne
que le voyage pour sauver le monde, nous devons le faire ensemble, pas
seuls. C’est pourquoi, en ce moment, toute l’Église doit être unie,
comme dans un grand Synode, un grand Concile, dans lequel Dieu est
invité à intervenir… » (lifesitenews.com)
Cette consécration du 25 mars est donc illusoire.
Parce
que celui qui l’a présidé est le faux prophète, alors que le pape
régnant, Benoît XVI est le seul pape légitime habiliter à le faire…
Car
ceux qui l’ont poussé à la démission en coupant le système bancaire du
Vatican du système bancaire mondialiste SWIFT en janvier 2013, ont agi
en fonction de mettre le faux prophète sur le trône (ce qui était prévu
en 2005 pour Bergoglio).
Le
Seigneur nous rend une grande grâce en gardant en vie deux « frères »
selon les dires de Jean XXIII afin de pouvoir faire le pour et le
contre, nous donner la possibilité de voir que les prophéties de la
Salette et de Fatima sont accomplis, ou presque…
« Deux frères et personne ne sera le vrai Père. La Mère sera veuve. » (prophétie concernant Benoît XVI)
La
consécration est illusoire aussi parce que y sont absents les
fondamentaux demandés expressément par Notre-Dame du Rosaire :
– la récitation quotidienne du chapelet, seule solution pour obtenir la paix ;
– la dévotion au Cœur Immaculé de Marie des premiers samedis du mois ;
– le combat contre les péchés et surtout les péchés les plus graves (cesser d’offenser davantage Dieu répète-elle).
Cette
illusion de l’Antéchrist est d’autant plus importante comme
signification qu’elle a même séduit les élus : les chrétiens
catholiques conciliaires, et même à un certain point les
traditionalistes.
C’est ce qui était annoncé pour la fin des temps.
Alors nous y sommes.
Cet
acte de prestidigitation est un piège : donner de faux espoirs à
une humanité déboussolée et la tromper avec une conversion de la Russie
pour mettre fin à la guerre, sans demander un virage à 180 degrés par
rapport aux péchés consumés.
Il
envoie le signal qu’on peut continuer comme avant sans se soucier des
conséquences, grâce à la miséricorde infinie qui lui est chère.
Alors que la coupe est pleine.
Et que Dieu est d’abord et avant tout synonyme de Justice.
Celui sur le trône de Saint-Pierre est un hérétique: Pierre le romain de la prophétie de St-Malachie.
Il n’est même pas catholique admet Mgr Vigano.
La
peur de reconnaître publiquement l’effroyable réalité de ce dernier
pontificat et son œuvre de destruction de l’église à l’image des
prophéties d’Anne Catherine Emmerich (voir analyses précédentes) par
les traditionalistes et les quelques cardinaux allumés est un signe de
la mort des « deux témoins » qui pointe à l’horizon.
En effet, il faut être dans la lie jusqu’au cou pour constater que seul Dieu peut nous sauver, et l’admettre humblement.
Ce sera la résurrection des témoins qui donnera la chance aux tièdes de faire leur choix avant le 7ème sceau.
27 mars
L’APOCALYPSE MARIALE
Deux apparitions majeures de Notre-Dame nous guident en cette fin des temps : Fatima et la Salette.
Fatima
Un
unique secret est donné aux enfants à Fatima le 13 juillet 1917
comportant trois parties, qui forment un tout cohérent et qui sont
étroitement interdépendants dans le temps.
La première partie concerne le salut des âmes (c’est une guerre pour les âmes que nous vivons).
La partie centrale concerne le salut des nations et de la chrétienté, de la paix du monde.
La dernière partie (le fameux 3ème secret) traite de la sauvegarde de la Foi et du Salut de l’Église.
La
vision de l’enfer marque le 1er secret si les conditions de la Sainte
Vierge ne sont pas respectées… Et en effet nous vivons présentement
l’enfer sur terre.
Il n’est pas difficile de savoir où s’en vont la majorité des âmes avec cette grande apostasie.
Le 2ème secret concerne la guerre totale contre la chrétienté et l’Église due aux erreurs répandues par la Russie.
Nous
vivons présentement ce moment, passant par les accords du Latran de
1929 où le Vatican devient un état, un « royaume » dans les termes de
l'Apocalypse, et prenant de l’ampleur surtout depuis Vatican II, le
tout passé à une vitesse supérieure depuis l’élection de Bergoglio.
Le
mystère d’iniquité est la guerre que se livre l’église à elle-même par
sa vision progressiste socialiste, de l’intérieur, et la guerre menée
par l’élite mondiale par l’inversion des valeurs naturelles, la
progression de la laïcité, et évidement, les persécutions physiques que
subissent nombres de chrétiens dans le monde, en passant par le
Moyen-Orient et la Chine.
Voici
ce qu’on soupçonne d’être le 3ème secret, reconstitué par Frère Michel
de la Trinité au terme d’une étude publiée il y a plus de trente ans
(en 1985) !
« Tandis
qu’au Portugal se conservera toujours le dogme de la foi, dans bien des
nations peut-être dans le monde presque entier, la foi se perdra. Les
pasteurs de l’Église manqueront gravement aux devoirs de leurs charges.
Par leur faute, les âmes consacrées et les fidèles en grand nombre se
laisseront séduire par des erreurs pernicieuses partout répandues. Ce
sera le temps du combat décisif entre la Vierge et le Démon. Une
vague de désorientation diabolique déferlera sur le monde. Satan
s’introduira jusqu’au plus haut sommet de L’Église. Il aveuglera les
esprits, il endurcira le cœur des pasteurs. Car Dieu les aura livrés à
eux-mêmes en châtiment de leur refus d’obéir aux demandes du Cœur
Immaculé de Marie. Ce sera la grande apostasie annoncée pour les
derniers temps, le faux agneau, faux prophète trahissant l’Église au
profit de la Bête, selon la prophétie de l’Apocalypse. »
Il s’agît bien évidement de la grande apostasie dans l’Église et de la chute du pape, le faux témoin, l’antéchrist sur le trône.
Un article intéressant
concerne une lettre de 26 lignes écrite par Soeur Lucie à Tuy en 1944
en référence au 3ème secret, et qu’aurait lu
Malachi Martin nous confirmantiencore une fois que l’Antéchrist est sur le trône de Saint-Pierre.
«
… Personne, jusque-là, n’avait remarqué la confirmation exceptionnelle
entre ce que dit le Père Malachie Martin : « une écriture sur 26 lignes
», et la découverte fortuite de cet auteur espagnol désormais
introuvable d’explication de la vision de Fatima, fournie par Sœur
Lucie (et notons d’ailleurs ici que le texte en question a fait l’objet
d’une expertise calligraphique très rigoureuse, par Begoña Slockcker de
Arce, calligraphe experte de la prestigieuse Jefatura de Investigación
e Criminalistica de la Guardia Civil, qui a certifié son origine,
« établie en sa propre main », précisément dans Sœur Lucia
dos Santos.).
Alors je suis allé « compter » les lignes qui composaient ce texte incroyable : juste… 26 lignes !
…
« JMJ
Tuy, le 1er avril 1944
Maintenant, je vais révéler le troisième fragment du secret ; cette partie est l’apostasie dans l’Église !
Notre-Dame nous a montré une vision d’un individu que je décris comme « le « Saint-Père », devant une multitude qui le louait.
Mais il y avait une différence avec un vrai Saint-Père, le regard du diable, celui-là avait les yeux du mal.
Puis,
quelques instants plus tard, nous avons vu le pape lui-même entrer dans
une église, mais cette église était l’église de l’enfer, il n’y a pas
moyen de décrire la laideur de cet endroit, il ressemblait à une
forteresse en béton gris, avec les murs cassés les coins et les
fenêtres comme des yeux, avaient un pic sur le toit du bâtiment.
Nous
avons immédiatement levé les yeux vers Notre-Dame qui nous a dit que
vous avez vu l’apostasie dans l’Église , cette lettre peut être ouverte
par le Saint-Père, mais elle doit être annoncée après Pie XII et avant
1960.
Sous le règne de Jean-Paul II, la pierre angulaire de la tombe de Pierre doit être enlevée et transportée à Fatima.
Puisque le dogme de la foi n’est pas gardé à Rome, son autorité sera retirée et remise à Fatima.
La cathédrale de Rome doit être détruite et une nouvelle construite à Fatima.
Si 69 semaines après l’annonce de cet ordre, Rome continue son abomination, la ville sera détruite.
Notre-Dame nous a dit qu’il est écrit, Daniel 9,24-25 et Matthieu 21, 42-44 »
...
Rosanna Maria Boccacci et Sergio Russo » (martotosatti.com)
Ce qu’on peut affirmé en 2022,
c’est que les trois parties du grand secret de Fatima sont RÉALISÉES et
que l’Antéchrist occupe toute la place au Vatican.
Il ne reste pas beaucoup de temps pour sauver des âmes.
C’est la raison du chaos présent.
Des choix doivent être faits.
Dans l’Apocalypse, les noms d’endroits utilisés montrent ce qui est bien et ce qui est mal.
Par exemple, Égypte, Sodome,… désignent ce qui est mal.
Ainsi,
dans le 3ème secret, le Portugal désigne le peuple saint, les deux
témoins de l’Apocalypse, le petit reste qui demeurent uni au
Christ et à la vraie Foi.
La conclusion du grand secret de Fatima:
À la fin mon Cœur Immaculé triomphera.
C’est bien un triomphe qui caractérise la fin de la prophétie de Benoît XVI de Jean XXIII :
« Écoutez ses paroles. Marie
Très Sainte, fille et mère de Dieu, maîtresse du temps futur, bats le
rappel de tes fils dans les campagnes, pour qu'ils abattent les deux
Babylone.Et que la Mère soit Une, comme toi tu es unique. La
terre détruira le ciment et de terre sera, Reine, ta nouvelle Église.
Et sur la terre de blé, pour la faim de tes peuples, fleur sur son
nouvel autel. Amen. »
Alors, qui a-t-il entre les deux, entre la fin du grand secret de Fatima et la triomphe de Marie?
C’est le 7ème sceau (la prophétie concernant l’Église #11 de Jean XXIII).
Et c’est ce qui est décrit dans la prophétie de la Salette.
La Salette
Le chanoine Millon, dans une étude datant de 1938, a très bien résumé le contenu du secret:
« On peut distinguer dans
le secret trois thèmes principaux : le thème moral, le thème
prophétique, le thème eschatologique.
Le thème moral comprend
l’énumération des désordres attribués au clergé et aux ordres
religieux, ainsi qu’aux dirigeants des peuples et aux peuples eux-mêmes.
Le thème prophétique annonce les fléaux et calamités qui seront la juste punition de ces désordres.
Le thème
eschatologique prévoit les événements qui doivent précéder,
accompagner ou suivre la venue de l’Antéchrist, précurseur de la fin
des temps. »
Donc, on peut maintenant affirmer que le thème moral, comme dans le secret de Fatima, est accompli.
Le thème eschatologique précède la venue de l’Antéchrist et l’accompagne.
Nous avons vu dans le
calendrier de la fin des temps (voir 29 novembre) que cette phase se
termine à la mort et à la résurrection des deux témoins de l’Apocalypse.
C’est la sixième période : le 6ème sceau, 6ème coupe, 6ème trompette.
C’est
la déification de l’humain, l’Antéchrist système et ses Antéchrists
personnifiés à son apogée poussant les âmes à leurs pertes, le 666.
« Un
avant-coureur de l’antéchrist, avec ses troupes de plusieurs nations
combattra contre le vrai Christ, le seul Sauveur du monde ; il répandra
beaucoup de sang et voudra anéantir le culte de Dieu pour se faire
regarder comme un dieu. La
terre sera frappée de toutes sortes de plaies (outre la peste et
la famine qui seront générales) ; il y aura des guerres jusqu’à la
dernière guerre qui sera alors faite par les dix rois de l’antéchrist,
lesquels rois auront tous un même dessein et seront les seuls qui
gouverneront le monde. Avant que ceci arrive, il y aura une espèce de
fausse paix dans le monde ; on ne pensera qu’à se divertir ; les
méchants se livreront à toutes sortes de péchés ; mais les enfants de
la Sainte Église, les enfants de la foi, mes vrais imitateurs,
croîtront dans l’amour de Dieu et dans les vertus qui me sont les plus
chères. Heureuses les âmes humbles conduites par l’Esprit-Saint ! Je
combattrai avec elles jusqu’à ce qu’elles arrivent à la plénitude de
l’âge. »
L’avant-coureur de l’Antéchrist, c’est le communisme.
La fausse période de paix est passée (voir analyses de mars 2022).
La terre est frappée de plaies et a eu ses guerres jusqu’à la dernière qui vient de débuter.
Ensuite,
la Sainte Vierge nous décrit la mise en place du mondialisme et de
la grande finale avec les 10 rois de l’Apocalypse.
Ce
royaume de l’Antéchrist est le résultat du mariage entre la
franc-maçonnerie, la judéo-maçonnerie (la fausse vierge hébraïque), et
le vieux serpent (la religion catholique conciliaire, Vatican II,
et l’évêque de Rome qui n’est plus Vicaire du Christ).
« Ce
sera pendant ce temps que naîtra l’antéchrist, d’une religieuse
hébraïque, d’une fausse vierge qui aura communication avec le vieux
serpent, le maître de l’impureté ; son père sera Ev. [ce
mystérieux Ev est généralement interprété par : évêque]...
Rome perdra la foi et deviendra le siège de l’antéchrist.
Les démons
de l’air avec l’antéchrist feront de grands prodiges sur la terre et
dans les airs, et les hommes se pervertiront de plus en plus.
Dieu aura
soin de ses fidèles serviteurs et des hommes de bonne volonté.
L’Évangile sera prêché partout, tous les peuples, toutes les nations
auront connaissance de la vérité !
J’adresse
un pressant appel à la terre : j’appelle les vrais disciples du Dieu
vivant et régnant dans les cieux ; j’appelle les vrais imitateurs du
Christ fait homme, le seul et vrai Sauveur des hommes ; j’appelle mes
enfants, mes vrais dévots, ceux qui se sont donnés à moi pour que je
les conduise à mon divin Fils, ceux que je porte, pour ainsi dire dans
mes bras, ceux qui ont vécu de mon esprit ; enfin j’appelle les Apôtres
des derniers temps, les fidèles disciples de Jésus-Christ qui ont vécu
dans un mépris du monde et d’eux-mêmes, dans la pauvreté et dans
l’humilité, dans le mépris et dans le silence, dans l’oraison et dans
la mortification, dans la chasteté et dans l’union avec Dieu, dans la
souffrance et inconnus du monde. Il est temps qu’ils sortent et
viennent éclairer la terre. Allez, et montrez-vous comme mes enfants
chéris ; je suis avec vous et en vous, pourvu que votre foi soit la
lumière qui vous éclaire dans ces jours de malheur. Que votre zèle vous
rende comme des affamés pour la gloire et l’honneur de Jésus-Christ.
Combattez, enfants de lumière, vous, petit nombre qui y voyez, car voici le temps des temps, la fin des fins. »
L'Évangile est prêché presque partout sur la terre, surtout depuis la venue d'internet.
Nous
vivons l’époque des démons de l’air avec les médias d’informations
électroniques (surtout le téléphone intelligent) qui s’opposent à la
Vérité.
Cet appel de Notre-Dame est très semblable à la fin de la prophétie concernant Benoît XVI appelant la chute des deux Babylone.
L’Église traditionnelle est éclipsée par l’église conciliaire de Vatican II et le temps des deux témoins est venu.
L’Antéchrist n’est pas quelque chose ou quelqu’un qui doit venir.
Il est là, sur terre, présentement.
Faire
croire qu’il reste du temps et que nous ne sommes pas à la fin des
temps, comme certains l’affirment, ne sont que paroles et illusions de
Satan pour perdre plus d’âmes.
À la fin, même l’Antéchrist sera adoré de l’église.
Avec
la consécration du 25 mars 2022, Bergoglio est d’autant plus dangereux
qu’il n’hésite pas à se couvrir d’une authenticité garantie par le
Ciel, c’est l’imposture suprême, qui va lui donner une vraie légitimité…
Une couverture pour le faux pape prophète.
« L’Église sera éclipsée, le monde sera dans la consternation.
Mais
voilà Enoch et Elie, remplis de l’Esprit de Dieu : ils prêcheront avec
la force de Dieu, et les hommes de bonne volonté croiront en Dieu, et
beaucoup d’âmes seront consolées ; ils feront de grands progrès par la
vertu du Saint-Esprit, et condamneront les erreurs diaboliques de
l’antéchrist. »
Le
thème prophétique qui annonce les fléaux et calamités qui seront
la juste punition de ces désordres est pour ce qui s’en vient à court
terme.
« La
nature demande vengeance pour les hommes et elle frémit d’épouvante
dans l’attente de ce qui doit arriver à la terre souillée de crimes.
Tremblez,
terre, et vous qui faites profession de servir Jésus-Christ et qui, au
dedans vous adorez vous-mêmes, tremblez ; car Dieu va vous livrer à son
ennemi, parce que les lieux saints sont dans la corruption ; beaucoup
de couvents ne sont plus les maisons de Dieu, mais les pâturages
d’Asmodée et des siens.
Les
saisons seront changées, La terre ne produira que de mauvais fruits.
Les astres perdront leurs mouvements réguliers, la lune ne reflétera
qu’une faible lumière rougeâtre ; l’eau et le feu donneront au globe de
la terre des mouvements convulsifs et d’horribles tremblements de
terre, qui feront engloutir des montagnes, des villes (etc.) »
C'est
la guerre de la nature énoncée dans les prophéties de Jean XXIII
provoquée par le Père pour arrêter cette guerre destructrice.
Ce
sont les trois jours de noirceurs, la période entre la fin du secret de
Fatima et la conclusion, le miracle du soleil du 13 octobre 1917, soit
le 7ème sceau avec ses 7 coupes et ses 7 trompettes, bref ce qui
arrivera suite à la résurrection des deux témoins (voir calendrier de
la fin des temps du 29 novembre) et à la chute des deux Babylone et la
mort de l’Antéchrist.
Considérant
le retour du Lys selon la prophétie de Don Bosco avant mai 2026 (voir
analyses précédentes), on peut affirmer que le temps qui reste est
effectivement très court.
TOUS les grands signes de l’Apocalypse se retrouvent au 7ème sceau.
D’où
le fait que plusieurs interprètent que nous ne sommes pas à la fin des
temps parce qu’il n’y a pas des signes donnés par le Ciel.
À tort.
Dieu est sur le point de démontrer sa présence à ceux qui le nient.
Les signes seront abondants et tellement forts que si les jours n’étaient abrégés, peu d’élus survivraient.
Alors…
Tout est sur le point d’être révélé (Apocalypse signifie révélation).
L’Apocalypse Mariale est sur le point d’être amorcée, à partir du décès de Benoît XVI… « « éclatera le règne béni de la Très Sainte Vierge.
Écoutez ses paroles.»
La parabole des 10 vierges est plus que jamais d’actualité.
Faisons provision d’huile céleste.
Foi, Espérance, Charité.
25 mars
Deux articles qui résument bien la situation actuelle:
« « LA CONSÉCRATION DE LA RUSSIE PAR LE SAINT-PÈRE… MAIS : QUELLE « CONSÉCRATION » ?
MAIS SURTOUT : QUEL " SAINT PÈRE " !
"Ainsi donc, si quelqu'un vous dit : "Voici, le Christ est ici, voici, il est là",
ne le croyez pas; parce que de faux Christs et de faux prophètes s'élèveront
et ils feront des signes et des présages pour tromper, si cela était possible, même les élus.
Mais tu fais attention ! J'ai tout prédit."
(Evangile de Saint Marc: 13,21-23)
Le communiqué de presse du
Bureau de Presse du Vatican est frais et frais : "Vendredi 25 mars,
lors de la Célébration de la Pénitence qu'il présidera à 17h00 dans la
Basilique Saint-Pierre, le Pape François consacrera au Cœur Immaculé de
Marie la Russie et Ukraine ... "
Et pourtant certaines
questions se posent spontanément : comment un « évêque de Rome », qui
jusqu'à hier (12 décembre 2019) définissait la grande Mère de Dieu
comme ayant elle-même : «... voulait être métisse pour nous, elle
métisse . .. Elle s'est mélangée pour être Mère de tous, elle s'est
mélangée à l'humanité. Pouquoi? Parce qu'il a "mélangé" Dieu . Et c'est
là le grand mystère : Marie la Mère Dieu « mixte » … » ose-t-elle se
tourner aujourd'hui vers la sublime et la plus pure Immaculée
Conception ?
Et comment cet « évêque vêtu
de blanc », qui il y a exactement un an (24 mars 2021), a-t-il refusé à
l'auguste Reine du Ciel et de la terre d'être sa « co-rédemptrice »,
puisque : «... Notre-Dame qui, comme Mère à qui Jésus nous a confiés,
elle nous enveloppe tous ; mais en tant que Mère, non en tant que
déesse, non en tant que co-rédemptrice : en tant que Mère... »,
contradictoirement demain, aurez-vous recours à votre puissante et
divine intercession ?
Et étendons à nouveau un voile
de silence pitoyable sur d'autres et multiples agréments, dits de la
Sainte Vierge, que "l'évêque venu du bout du monde" a exprimé ces
dernières années sans retenue...
Une autre question, cependant,
dépasse toutes les autres : comment cette « Consécration » peut-elle
être effectivement mise en œuvre, si le Saint-Père est actuellement en
exil volontaire au monastère Mater Ecclesiae au Vatican ?
"Qui est-il?", Dit une
célèbre chanson de Renato Zero, très populaire vers la fin des années
70... Certes, qui est vraiment Bergoglio, la recherche bien documentée
du journaliste Andrea Cionci , dans le journal Libero , ainsi que sur
plusieurs autres sites (
https://www.byoblu.com/2021/12/06/papa-e-antipapa-lin Inquiry
-il-card-montezemolo-svela-il-mistero-sullo-stemma-di- benedetto
-xvi-part-43/ , etc.).
Sans oublier que nous-mêmes,
déjà début 2018, avons consacré un livre entier à cette question :
"Es-tu celui-là, ou faut-il en attendre un autre ?" (
https://www.amazon.it/Sei-quello-dobbiamo-aspettarne-altra/dp/1093750979
).
Et enfin signalons comment
dans un de nos articles (daté du 3 juillet 2021), sur ce même blog,
nous avons souligné le fait que : « Tandis que Benoît - comme Moïse -
montait seul sur la montagne, pour prier, là-bas dans le " plaine ", le
plus haut prêtre Aaron conduit le peuple élu à l'apostasie, au moyen du
veau d'or ... " (
https://www.marcotosatti.com/2021/07/03/russo-boccacci-i-vaccini
-viens-nuovo-vitello -doro-qui-sera-jamais-aaron / ).
En conclusion : ce "pouvoir de
tromperie" s'est-il vraiment répandu - métastase presque démoniaque -
dans tout le corps ecclésial, au point de pouvoir "tromper beaucoup" ?
» (marcotosatti.com)
« Depuis que le Pape François
a annoncé qu'il consacrerait la Russie (et l'Ukraine) au Cœur Immaculé
de Marie, avec tous les évêques du monde - auxquels il a adressé un
appel spécifique en ce sens -, le monde catholique tout entier vit dans
l'attente de cet événement historique.
Il y a ceux qui, animés d'un esprit pieux, voient dans le geste
pontifical une solution définitive qui mettra fin à la guerre, conduira
à la conversion de la Russie et au redressement moral du monde moderne.
D'autres, en revanche, animés d'un esprit critique, pointent
d'éventuelles omissions et contradictions. En tout cas, il faut noter
que l'annonce du pape François - plaçant Fatima au centre des
événements contemporains - a touché une fibre profonde dans l'opinion
publique mondiale.
L'acte de François est lié à une demande spécifique faite par Notre-Dame à Fatima en 1917.
S'adressant aux petits bergers, Notre-Dame a voulu parler au monde
entier, exhortant tous les hommes à la prière, à la pénitence, à
l'amendement de la vie. D'une manière particulière, elle s'adressa au
Pape et à la Sainte Hiérarchie, leur demandant la consécration de la
Russie à son Cœur Immaculé.
Ces demandes, la Mère de Dieu les a faites face à la situation
religieuse dans laquelle se trouvait le monde entier au moment des
apparitions. Notre-Dame a indiqué cette situation comme extrêmement
dangereuse. A un tel point l'impiété et l'impureté avaient pris
possession de la terre que pour punir les hommes cet authentique
massacre qu'était la Grande Guerre 1914-1918 aurait éclaté.
Cette conflagration prendrait fin rapidement, et les pécheurs auraient
le temps de se corriger, selon l'appel fait à Fatima. Si cet appel
avait été entendu, l'humanité aurait connu la paix. S'il n'avait pas
été écouté, une autre guerre encore plus terrible éclaterait. Et, au
cas où le monde serait resté sourd à la voix de sa Reine, une hécatombe
suprême, d'origine idéologique et de portée universelle, entraînant de
sévères persécutions religieuses, aurait affligé tous les hommes,
entraînant de grandes épreuves pour les catholiques : " La Russie
répandra ses erreurs dans le monde entier, favorisant les guerres et
les persécutions de l'Église (…) Les bons seront martyrisés. Le
Saint-Père devra beaucoup souffrir » .
« Pour empêcher tout cela - continue Notre-Dame - Je viendrai
demander la consécration de la Russie à Mon Cœur Immaculé et la
Communion réparatrice des premiers samedis. S'ils acceptent Mes
requêtes, la Russie se convertira et ils auront la paix » . Après une
période d'extrêmes tribulations et de terribles châtiments «
comme on n'en a jamais vus » (Sainte Jacinthe de Fatima), Notre-Dame
promet le triomphe final : « Enfin, Mon Cœur Immaculé triomphera.
Le Saint-Père me consacrera la Russie, qui se convertira, et une
période de paix sera accordée au monde » .
Aujourd'hui encore, les experts discutent de la validité ou non des
différentes consécrations faites par Pie XII et Jean-Paul II.
Notre-Dame avait posé trois conditions : que la consécration soit faite
par le Souverain Pontife, qu'elle mentionne la Russie, et qu'elle soit
faite en union avec tous les évêques du monde. D'une manière ou d'une
autre, toutes les consécrations - 1942, 1952, 1982, 1984 - manquaient
d'au moins une des conditions. Après avoir affirmé péremptoirement que
la consécration de 1984, faite par Jean-Paul II, n'était pas valable,
la voyante Sœur Lucie avait changé d'avis, attestant au contraire sa
conformité à ce que Notre-Dame demandait. C'est la position la plus
répandue dans l'Église et parmi les fidèles en général.
Nous ne voulons pas entrer dans une question aussi complexe. Cependant,
nous signalons qu'à la Cova da Iria, Notre-Dame a indiqué deux
conditions, toutes deux indispensables, pour conjurer les châtiments
dont elle nous menaçait.
L'une de ces conditions était la consécration. Supposons que cela ait
été fait de la manière demandée par la Sainte Vierge. La deuxième
condition demeure : la divulgation de la pratique de la communion
réparatrice les cinq premiers samedis du mois. Il nous semble clair que
cette dévotion ne s'est pas encore répandue dans le monde catholique
dans la mesure voulue par la Mère de Dieu.
Et il y a encore une autre condition, implicite dans le message mais
aussi indispensable : c'est la victoire du monde sur les mille formes
d'impiété et d'impureté qui aujourd'hui, bien plus qu'en 1917, le
dominent. Tout indique que cette victoire n'a pas été obtenue, et, au
contraire, qu'en la matière on se rapproche de plus en plus du
paroxysme. Ainsi, un changement de direction de l'humanité devient de
plus en plus improbable. Et, à mesure que nous avançons vers ce
paroxysme, il devient plus probable que nous avancions vers la
réalisation des châtiments.
A ce stade, il est nécessaire de faire une observation, à savoir que,
si les choses n'étaient pas vues de cette manière, le message de Fatima
serait absurde. En effet, si Notre-Dame affirmait en 1917 que les
péchés du monde avaient atteint un niveau tel qu'ils nécessitaient le
châtiment de Dieu, il ne semblerait pas logique que ces péchés aient
continué d'augmenter pendant plus d'un demi-siècle, que le monde ait
obstinément refusé et jusqu'à la fin de tenir compte de ce qu'il a été
dit à Fatima, et que la punition ne vienne pas. Ce serait comme si
Ninive n'avait pas fait pénitence et, malgré tout, les menaces du
prophète ne s'étaient pas réalisées.
De plus, la même consécration demandée par Notre-Dame n'aurait pas pour
effet de supprimer le châtiment si le genre humain devait rester de
plus en plus attaché à l'impiété et au péché. En fait, tant que les
choses resteront ainsi, la consécration aura quelque chose d'inachevé.
Bref, puisque l'énorme transformation spirituelle exigée de la Cova da
Iria n'a pas eu lieu dans le monde, nous avançons de plus en plus vers
l'abîme. Et, à mesure que nous avançons, cette transformation devient
de plus en plus improbable.
Nous applaudissons l'acte du Pape François et nous y ajoutons
s'il suit les exigences fixées par Notre-Dame à Fatima. Cependant, tant
que cet acte ne sera pas suivi d'une véritable croisade spirituelle
contre l'immoralité galopante - avortement, homosexualité, LGBT, lubies
indécentes, pornographie, genre et j'en passe - la simple consécration
de la Russie - pourtant agréable à la Divine Providence - ne
supprimera-t-il pas le Châtiment.
Permettez-moi de soulever une autre préoccupation, et non des moindres.
A Fatima, Notre-Dame a souligné, comme l'élément le plus dynamique du
processus révolutionnaire qui a conduit l'humanité vers l'abîme, les
"erreurs de la Russie", c'est-à-dire le communisme, qui a trouvé son
siège et son feu dans l'expansion de l'Union soviétique. Il n'y aura
pas de véritable conversion tant que cette idéologie ne sera pas
rejetée dans toutes ses manifestations.
Or, précisément dans ce domaine, le pontificat du pape François s'est
distingué par sa proximité avec l'extrême gauche : de la proximité avec
la dictature cubaine, au soutien aux « mouvements populaires »
latino-américains d'origine marxiste, sans oublier les contacts avec le
patriarche Kiryll, qui était un fidèle serviteur et propagandiste de la
dictature soviétique.
Là aussi, sauf bon sens, il nous semble que tant qu'une véritable
croisade spirituelle contre le communisme et ses partisans ne suivra
pas le vendredi à Saint-Pierre, la consécration de la Russie seule ne
servira pas de panacée à sauver la civilisation d'une catastrophe. » (aldomariavalli.it)
Le 25 mars est le jour le plus important de l’histoire de l’humanité:
le jour de l’Incarnation (« et incarnatus est »), c’est à dire le jour
où Dieu descend sur terre (« et descendit de caelis ») en prenant la
nature humaine (« et homo factus est »).
Rendons grâce à la Sainte Vierge Marie pour son fiat qui a permis au Christ Sauveur de racheter tous les péchés du monde.
24 mars
Fatima et la consécration de la Russie, abbé Puga, Église Saint-Nicolas-du-Chardonnet (vidéo).
Pierre Hillard sur l’Ukraine, sur l’histoire du conflit de 2022, du coup raté de 2004, réussi en 2014 (vidéo).
Des origines du mondialisme à la grande réinitialisation – Entretien avec Pierre Hillard. (lectures francaises.info)
«
… Il faut donc un territoire bien délimité pour pouvoir constater
l’efficacité de la consécration au Cœur Immaculé de Marie. Le monde est
un ensemble trop vaste pour que nous puissions voir sa conversion et
donc le triomphe du Cœur Immaculé de Marie. D’autre part, la Russie
plus l’Ukraine est un territoire bien défini, tout autant que la Russie
seule.
Cependant, la consécration proposée par le Saint-Siège ne concerne pas
seulement la Russie et l’Ukraine, car tant dans la lettre
d’accompagnement que dans la prière elle-même, il est parlé d’une
consécration de nous-mêmes ainsi que de l’Église et de l’humanité, en
particulier la Russie et Ukraine. L’ajout de nous-mêmes, de l’Église et
de l’humanité signifie que la demande de Notre-Dame n’est pas
satisfaite….
Enfin, et c’est là le point le plus grave, il n’est jamais question de
communion réparatrice les premiers samedis du mois. Or cette demande
est particulièrement importante et ne peut être omise pour les raisons
suivantes :
La première raison : Le but principal des apparitions de Fatima est le
salut des pécheurs à travers l’établissement dans le monde de la
dévotion au Cœur Immaculé de Marie. C’est une volonté de Dieu lui-même
que Notre-Dame a confiée aux petits voyants. Le 13 juin 1917, elle leur
dit : « Jésus veut établir dans le monde la dévotion à mon Cœur
Immaculé. A ceux qui embrassent cette dévotion, je promets le salut.
Ces âmes seront chéries par Dieu comme des fleurs placées par moi pour
orner son trône. La demande est répétée presque mot pour mot le 13
juillet 1917 : « Pour sauver les âmes, Dieu veut établir dans le monde
la dévotion à mon Cœur Immaculé. Si nous faisons ce que je vais vous
dire, beaucoup d’âmes seront sauvées et nous aurons la paix. Dans un
acte qui doit nous procurer tant de grâces, il est donc indispensable
de respecter l’esprit des apparitions de Fatima et de veiller à ce
qu’il participe concrètement à l’établissement de la dévotion au Cœur
Immaculé de Marie.
Deuxième raison : Notre-Dame dit le 13 juillet 1917 : « Je viendrai
demander la consécration de la Russie à mon Cœur Immaculé ET la
communion réparatrice des premiers samedis du mois. Si mes demandes
sont écoutées, la Russie se convertira et il y aura la paix », et non «
ma demande ». Cela signifie que si toutes ses demandes ne sont pas
satisfaites, la Russie ne se convertira pas et il n’y aura pas de paix.
La troisième raison : Des deux demandes formulées le 13 juillet, la
Sainte Vierge est venue la première pour demander la communion
réparatrice des premiers samedis du mois. En fait, elle le demanda le
10 décembre 1925 à Pontevedra, demande répétée le 15 février 1926,
trois ans avant de demander la consécration de la Russie. La première
demande est forcément plus importante que la seconde…
Afin de répondre plus pleinement aux demandes de Notre-Dame, il est
également souhaitable que la prière mentionne les buts de cette
consécration, notamment l’obtention des fruits qui s’y rattachent, à
savoir : – la conversion de la Russie et de l’Ukraine, c’est-à-dire le
retour à la Église catholique, seule bergerie du Pasteur éternel, sous
l’autorité du Vicaire du Christ sur terre, – la paix pour le
monde que, par la volonté divine, seule Notre-Dame peut obtenir,
– l’arrêt des fléaux, conséquences des erreurs de la Russie
répandu dans le monde entier, – le triomphe du Cœur Immaculé… » (lifesitenews.com)
Reste à savoir si Bergoglio prononcera exactement la prière telle qu’écrite…
Jean-Paul II avait la « Russie » dans son texte en 1984 mais a décidé de ne pas prononcer ce mot lors de la consécration.
23 mars
Voilà.
Le texte est sorti.
Beaucoup d’allusions humanistes.
Bergoglio montre qu’il sauve l’humanité et la maison commune…
Via Marie.
Et donc, une consécration globale avec petite mention pour la Russie et l’Ukraine.
Le texte au complet via le lien vaticannews.va
«
… Mais nous avons perdu le chemin de la paix. Nous avons oublié la
leçon des tragédies du siècle passé, le sacrifice de millions de morts
des guerres mondiales. Nous avons enfreint les engagements pris en tant
que Communauté des Nations et nous sommes en train de trahir les rêves
de paix des peuples, et les espérances des jeunes. Nous sommes tombés
malades d’avidité, nous nous sommes enfermés dans des intérêts
nationalistes, nous nous sommes laissés dessécher par l’indifférence et
paralyser par l’égoïsme. Nous avons préféré ignorer Dieu, vivre avec
nos faussetés, nourrir l’agressivité, supprimer des vies et accumuler
des armes, en oubliant que nous sommes les gardiens de notre prochain
et de la maison commune. Nous avons mutilé par la guerre le jardin de
la Terre, nous avons blessé par le péché le cœur de notre Père qui nous
veut frères et sœurs. Nous sommes devenus indifférents à tous et à
tout, sauf à nous-mêmes. Et avec honte nous disons : pardonne-nous,
Seigneur !
…
Mère de Dieu et notre Mère,
nous confions et consacrons solennellement à ton Cœur immaculé
nous-mêmes, l’Église et l’humanité tout entière, en particulier la
Russie et l’Ukraine. Accueille cet acte que nous accomplissons avec
confiance et amour, fais que cesse la guerre, assure au monde la paix.
Le “oui” qui a jailli de ton Cœur a ouvert les portes de l’histoire au
Prince de la paix ; nous espérons que la paix viendra encore par ton
Cœur. Nous te consacrons l’avenir de toute la famille humaine, les
nécessités et les attentes des peuples, les angoisses et les espérances
du monde…. »
Comme
anticipé, ce n’est pas une consécration de la Russie pour arrêter les
erreurs du communisme, mais une supplication à la va vite pour arrêter
la guerre et ramener une paix humaniste.
Reste à savoir si la Sainte Vierge appréciera…
21 mars
LE MYSTÈRE DE LA CONSÉCRATION DE LA RUSSIE
« Le pape va-t-il vraiment consacrer la Russie? »
Diplomatie mondialiste?
Bergoglio a renoncé à son titre de Vicaire du Christ…
Ne l’oublions pas…
Il n’est que le simple évêque de Rome…
Alors, quelle crédibilité a-t-il par rapport à Benoît XVI?
Et, cette consécration du 25 mars 2022 :
Est-ce que le critère « avec tous les évêques » se réalise?
« Consécration de la Russie et de l'Ukraine: le Pape invite les évêques à s'unir à lui
La
prière de la consécration au Cœur Immaculé de la Vierge sera prononcée
par le Pape le vendredi 25 mars dans la basilique Saint-Pierre. L'acte
sera réalisé en communion avec les Églises de tous les continents. »
(vaticannews.va)
Alors que la Sainte-Vierge a ordonné à tous les évêques…
Ce n’est pas une invitation.
En fait, la consécration la plus complète de la Russie a été faite par le dernier pape légitime: Pie XII.
Après
avoir consacré le monde le 31 octobre 1942 sans mentionner la Russie,
Pie XII voyant les erreurs du communisme se répandre à grande vitesse
après la 2ème guerre mondiale (en 1939 la Russie était encore la seule
nation communiste sur terre, mais lors de la décennie qui suivit,
l'Union soviétique prit l'Estonie, la Lettonie et la Lituanie (1940),
la Bulgarie (1944), la Pologne (1945), la Roumanie (1945) et la Hongrie
(1946)), fit la consécration de la Russie sur le tard le 7 juillet 1952
dans « Sacro Vergente Anno ».
« ... 9. Consécration des peuples de Russie au Cœur Immaculé de Marie
Nous, donc, pour que les
Nôtres et vos prières soient exaucées plus facilement, et pour vous
donner une attestation singulière de Notre bienveillance particulière,
comme il y a quelques années nous avons consacré le monde entier au
Cœur Immaculé de la vierge Mère de Dieu, ainsi maintenant , d'une
manière très spéciale, nous consacrons tous les peuples de Russie au
même Cœur Immaculé, dans la certitude qu'avec le patronage le plus
puissant de la Vierge Marie, les vœux se réaliseront avec joie le plus
tôt possible, que Nous, que vous, que toutes les bonnes personnes
forment pour une vraie paix, pour une harmonie fraternelle et une
liberté due à tous et en premier lieu à l'église; afin que, par la
prière que Nous élevons avec vous et avec tous les chrétiens, le
royaume salvifique du Christ, qui est « le royaume de vérité et de vie,
le royaume de sainteté et de grâce, le royaume de justice, dans toutes
les parties de la terre, il triomphe et est solidement établi.
Et
avec une invocation suppliante nous prions la même Mère très clémente,
afin qu'elle assiste chacun de vous dans les calamités présentes et
obtienne pour votre divin Fils cette lumière qui vient du Ciel, et
implore pour vos âmes cette vertu et cette force, par lequel, soutenus
par la grâce divine, puissiez-vous vaincre victorieusement toute
impiété et toute erreur.
Rome, près de Saint-Pierre, le 7 juillet 1952, en la fête des saints Cyrille et Méthode, an XIV de Notre Pontificat. » (vatican.va)
La consécration au monde a été entendue par le Ciel.
« Très vite, sœur Lucie fit savoir que ces victoires étaient le fruit de l’acte du Saint-Père. Le
28 février 1943, elle écrivit à l’évêque de Gurza : « Le Bon Dieu m’a
déjà montré son contentement de l’acte bien qu’incomplet selon son
désir, réalisé par le Saint-Père et par plusieurs évêques. Il promet,
en retour, de mettre fin bientôt à la guerre. La conversion de la
Russie n’est pas pour maintenant ».»
De même, le 4 mai 1943, elle
écrivit au père Gonçalvès : « Il [Notre-Seigneur] promet la fin de la
guerre pour bientôt, eu égard à l’acte qu’a daigné faire Sa Sainteté.
Mais comme il fut incomplet, la conversion de la Russie sera pour plus
tard ».
On peut donc affirmer que la consécration de 1952 est valide, quoique imparfaite.
Ainsi donc, les consécrations subséquentes n’avaient pas lieu d'être.
En 2022, c'est la fin des temps et les erreurs de la Russie se sont répandues.
C'est du passé.
La
Sainte Vierge a demandé la consécration comme une pénitence
universelle, un changement de cap dans les mœurs, et non pour se sauver
d'une guerre à la va vite parce que le temps presse, et non pour
retourner au monde dépravé d'avant.
C'est pourquoi nous avons bien
hâte de voir le texte qui, on peut hautement l’anticiper, sera comme
tout ce que Bergoglio a prononcé depuis son élection, une consécration
au caractère humaniste demandant la paix universelle sur terre, et non
une demande de pénitence, de conversion à la vraie Foi catholique.
La consécration de Pie XII a
été imparfaite certes, mais un certain temps de paix a quand même été
accordé, et non pas la paix universelle, prouvant que Notre-Dame avait
entendu cette prière.
Or, c'est intéressant, cette consécration aura 70 ans le 7 juillet prochain.
Rappelons que le 16 juillet est la fête de Notre-Dame du Carmel, une des trois figures qu’a pris la Vierge Marie à Fatima.
C’est aussi la date du Motu Proprio « Traditionis Custodes » qui brime la Tradition.
C’est une déclaration de guerre spirituelle.
Et,
70 est divisible par 3,5 (voir analyses précédentes sur l’importance du
« un temps, deux temps et un demi temps de l’Apocalypse) ce qui donne
20 ans.
- Un temps: 20 ans nous
amènent en 1972, plus précisément le 29 juin: « La fumée de Satan est
entrée dans le peuple de Dieu » (Paul VI).
-
Deux temps plus tard, soit 40 ans, nous amènent en 2012 pour le fameux
31 décembre, la fin du monde des Mayas, grande mascarade annonçant la
fin de « ce monde », pour faire place à la grande réinitialisation de
2020 (rappeler vous les olympiques de Londres truffés de signe
maçonniques lors des cérémonies, dont le stade; voir Pierre Hillard ici : Phoenix qui renaît de ses cendres, coronavirus à venir, etc...)
- Et un demi-temps, 10 années de plus, nous amène en 2022...
Or, si on prend la fin de la
deuxième guerre mondiale en 1945 accordée par la consécration du monde
par Pie XII, nous avons un chiffre très significatif aussi: 77 ans de
paix, un certain temps de paix...
77 est un des chiffres qui symbolisent la dernière limite du diable selon Mgr Gaume.
Sachez aussi que Sœur Lucie ne
dévoile l’existence des « secrets » et le contenu des deux
premiers secrets que dans ses mémoires, publiées pour la première fois
en portugais en 1942.
Seul Pie XI a eu connaissance
de ceux-ci, vers 1930, après l’apparition à Sœur Lucie de NSJC à Tuy en
1929, lui affirmant que c’était le moment de dévoiler à ce dernier ses
instructions.
Donc le grand public n’a pas
pu faire le lien entre Russie, communisme et secrets de Fatima avant
1942, c’est à dire bien après les méfaits du communisme.
Donc, déjà en 1930, le mal communiste depuis la révolution de 1917 avait beaucoup avancé.
Le
pire est venu après, à savoir l’extension mondiale du communisme, soit
par la terreur dans les pays de l’Est, soit par le socialisme
occidental
dont nous sommes témoins aujourd’hui (tout ce qui est en «isme», contre nature).
Justement,
il fallait que l’on comprenne, en l’ayant vécu, ce qu’était vraiment le
communisme, pour avoir la volonté de le combattre, y compris dans sa
version socialiste.
La
confirmation de NSJC Soeur Lucie en 1931 lui révèle que le
triomphe de son Cœur Immaculé se fera avec du retard: « ... Comme
le roi de France, ils s’en repentiront, et ils le feront, mais ce
sera tard. La Russie aura déjà répandu ses erreurs dans le monde,
provoquant des guerres et des persécutions contre l'Église. Le
Saint-Père aura beaucoup à souffrir. »
Lire ici : Benoît XVI.
(Notre-Seigneur
faisait ici une référence explicite aux demandes du Sacré-Cœur données
par Sainte Marguerite Marie Alacoque le 17 juin 1689 au Roi de
France. Suite au refus du roi Louis XIV – ainsi qu'à celui de son
fils et de son petit-fils, le roi Louis XV et le roi Louis XVI – de
consacrer publiquement la France au Sacré-Cœur de Jésus, comme le Ciel
l'avait demandé par Saint français reconnu de l'époque, la
Contre-Église protestante et maçonnique a mené à bien le grand
bouleversement de la Révolution française de 1789.)
« A la fin, mon Immaculé triomphera… » affirme la Sainte Vierge.
C’est bien ce qu’affirme les prophéties de l’Église de Jean XXIII.
17 mars
Le 25 mars de l’an 0, pour la première et la seule fois de l’histoire, Dieu s’est fait homme.
La Sainte Vierge Marie a accueilli par son fiat le germe qui nous sauve du péché et de l’enfer, le Christ Jésus.
En
cette journée si importante qu’est l’Annonciation, où tout a débuté,
l’Antéchrist tentera de se substituer en 2022 au Dieu vrai en se
présentant comme le sauveur du monde moderne.
C’est un simulacre volontaire luciférien destiné à profaner ce jour saint. C’est un sacrilège.
C’est un « Acte
sans valeur (donnant les apparences de répondre positivement aux
demandes mariales de 1917) car fait par un homme ("le pape" François)
adepte de la Révolution depuis Vatican II. L'ennemi est sublimement
vicieux… » (Pierre Hillard)
Ayons l’esprit aiguisé.
Rappelons les conditions de Notre-Dame :
- consécration en union avec tous les évêques catholiques
- consécration de la Russie et non du monde
- communion réparatrice des premiers samedis
Telle était la demande du 13 juillet 1917 et du 13 juin 1929.
Présentement,
quelques évêques paniquent et de leur plein gré se joignent à la
consécration parce que Bergoglio ne les a pas encore appelé.
TOUS.
De plus, l’unité au sein des évêques n’existe pas.
Il n’y a qu’à regarder les fruits du synode allemand qui s’achèvent pour voir que la crédibilité de certains est douteuse.
Ce
n’est sûrement pas le Saint-Esprit qui parle via ces voix allemandes, qui se
rapprochent beaucoup plus du plan de Satan que de la Tradition des
pères de l’Église.
De plus, le choix des mots sera d'une extrême importance en ce 25 mars 2022:
Que
vaut une consécration sans une demande universelle, sans ambiguïté, de
conversion totale à la vraie religion catholique, celle instaurée par
le Christ à partir de Pierre, le roc solide de l’Église.
Sans
pénitence, sans reconnaissance des péchés humanistes qui sont causes de
cet instrument par lequel Dieu nous porte à réfléchir, la guerre, quel
intérêt y-a-t-il à consacrer la Russie?
Si
c’est pour accomplir la paix mondiale universelle sur les bases
humanistes des valeurs judéo-maçonniques, ou pour retourner au «
monde d’avant », alors c’est un coup d’épée dans l’eau.
La pénitence est OBLIGATOIRE :
«
(…) Mais à Fatima, la Vierge avait clairement demandé, en même temps
que la consécration, la communion de réparation les cinq premiers
samedis et la pénitence. En particulier, dans le troisième secret, nous
voyons l’ange appeler à trois reprises le monde à la pénitence. Cela
signifie tout d’abord reconnaître que la guerre et les calamités sont
des moyens que Dieu permet pour châtier le monde, et leur force est le
péché des hommes. La Vierge utilise précisément le terme
« châtiment », même s’il nous déplaît. La véritable cause du
mal qui nous afflige, ce sont nos péchés, notre désobéissance
continuelle à Dieu, foulant aux pieds ses commandements, notre manque
total de respect et de dévotion envers Lui, le Bien suprême.
Ainsi,
tandis que nous espérons la paix, nous devons aussi faire très
attention à ne pas considérer la consécration à la Vierge comme un acte
magique, par lequel nous obtenons ce qui nous arrange. Ce serait
défier Dieu que de demander la paix et la prospérité, sans vouloir
mettre fin au péché, sans vouloir abandonner un mode de vie, en privé
et en public, qui offense Dieu. La pénitence est absolument nécessaire,
tout comme la réparation. » (benoit-et-moi.fr)
Cette journée importante sera peut être une indication précieuse quant au calendrier de la fin des temps.
La Sainte Vierge pourrait prendre Bergoglio à son propre jeu.
Ayons en tête : « Alors
le saint aux pieds nus descendra du mont et, devant la tombe du
va-nu-pieds, éclatera le règne béni de la Très Sainte Vierge. Écoutez ses paroles. » (prophétie concernant Benoît XVI)
Car
cette si cette consécration a lieu sur le parvis de la basilique
Saint-Pierre, elle le sera donc devant le tombeau de Jean-Paul II (le
va-nu-pieds) qui repose dans la chapelle de Saint-Sébastien.
Si le saint aux pieds nus est bien Benoît XVI, son décès pourrait avoir lieu d’ici le 25 mars.
Et la prophétie spécifie bien : « Écoutez ses paroles »…
Ces paroles que tous entendront contrairement aux apparitions de 1917, sonnent le début de la chute de Babylone.
Le temps presse.
L’heure de révéler le vrai 3ème secret de Fatima est arrivée.
15 mars
Et bien, il va le faire…
« Le Pape consacrera la Russie et l'Ukraine au Cœur Immaculé de Marie
La
consécration aura lieu le vendredi 25 mars pendant la célébration de la
pénitence que le Pape François présidera à 17 heures dans la basilique
Saint-Pierre… » (vaticannews.va)
38 ans jour pour jour après celle de Jean-Paul II en 1984.
Bon.
1984 a été imparfaite parce que Jean-Paul II n’a pas spécifié la Russie.
«
Il s’est abstenu de mentionner explicitement la Russie parce que les
diplomates du Vatican avaient insisté pour qu’il ne mentionne pas ce
pays, sinon des conflits politiques pourraient survenir […]. Peu
de temps après, il m’a invité à déjeuner. Dans notre cercle restreint,
il a évoqué le désir qu’il ressentait en lui de mentionner la Russie
lors de cette consécration plutôt que de céder à ses conseillers. Puis
il nous a dit, le visage rayonnant, que ce qu’il avait renoncé à faire
par lui-même avait néanmoins été accompli. Par l’intermédiaire de ses
amis, il avait appris quelque chose d’important et de réconfortant pour
lui : que certains évêques orthodoxes russes avaient utilisé leur
propre consécration du monde à la Mère de Dieu comme une occasion de
consacrer la Russie d’une manière très spéciale à Marie.
Une
fois de plus, cependant, la demande de Marie n’avait pas été accordée :
la Vierge avait demandé la consécration par le pape en communion
avec tous les évêques catholiques du monde, et non par les évêques
orthodoxes. » (benoit-et-moi.fr)
Dans le lien ci-dessus vous
avez les explications du père Amorth à propos du mensonge de la
supposée lettre de sœur Lucie écrite au cardinal Bertone confirmant la
consécration de 1984.
Donc, Bergoglio consacrera la Russie au Cœur Immaculé de Marie.
Remarquez qu’il le fera seul.
Non en communion avec tous les évêques catholiques du monde.
Du moins, c’est ce que nous savons pour l’instant.
C’est une exigence formulée par Notre-Dame à Fatima,.
Posons nous la question?
Si Bertone n’a pas menti, si la consécration de Jean-Paul II est valide comme on l’affirme depuis des années au Vatican, alors…
Pourquoi en faire une autre?
Soit
celle de 1984 est valide et on confirme que cela suffit, ou, on
nous confirme par cette nouvelle consécration qu’on nous a menti depuis
1984.
La raison?
La
bête imitera le Christ jusqu’au bout, elle le singera, ce qui est
normal puisqu’elle trône à sa place dans le Temple de Dieu.
L’Antéchrist se présente comme le sauveur du monde.
Est-ce
qu’une consécration par celui qui ne s’agenouille pas devant le
Saint-Sacrement et qui a ridiculisé la Sainte Vierge Marie depuis des
années est valide?
Cela ressemble beaucoup plus à une illusion de l’Antéchrist.
14 mars
« Que se cache-t-il derrière ce conflit? »
Enfin, une publication (Marianne) qui met le doigt sur la vraie raison de cette guerre.
Charles
Sannat fait le point sur le « partage du gâteau » dans cette dernière
phase pour le nouvel ordre mondial, la grande réinitialisation. (insolentiae.com)
FATIMA, LA VIERGE MARIE, ET JEAN XXIII
Le
décès de Benoît XVI permettra d’enclencher la dernière phase de cette
guerre interne dans l’église contre la Tradition, dont l’issue sera la
mort des « deux témoins » spécifiée dans l’Apocalypse.
Donc, un coup de grâce sera donné par Bergoglio en voyant que le dernier obstacle non progressiste est éliminé.
Parions que le synode en cours y jouera pour beaucoup, quoiqu’il nous a montré qu’il gouverne par Motu Proprio, par décrets.
À l’image de plusieurs gouvernants sur cette planète, Bergoglio se comporte comme un dictateur.
Il
maintient son image via le processus des synodes, mais il ne prends
jamais en compte l’avis de ses pairs. Les rapports sont déjà écris et
les décisions prises à l’avance.
La guerre risque d’accélérer ses plans.
Remarquez
qu’au déclenchement de cette guerre, il n’a pas encore demandé de
processions avec le Saint-Sacrement, il n’a pas demandé au monde de se
convertir à la Vraie Foi, qu’il n’a pas offert au monde la Seule Voie
possible pour sauver le monde : un retour vers le Christ.
Non.
Ses seules paroles sont encore une fois basées sur le nouvelle religion humaniste.
La paix est une question de bon vouloir humanitaire : « … ceux
qui soutiennent la violence en la justifiant par des motifs
religieux, «profanent le nom» de Dieu qui est «le seul
Dieu de la paix»…
Le Pape est une voix qui crie dans le désert...» (vaticannews.va)
Évidement puisqu’il ne se base que sur des moyens humanistes.
Alors que le monde est en péril.
Conséquemment
face à un tel danger reconnu, ceux qui ont la connaissance
s’interrogent sur la validité de la consécration de la Russie au Cœur
Immaculé de Marie tel que demandée à Fatima.
« La conversion de la Russie et la pertinence du Message de Fatima
La guerre en Ukraine a catapulté le Message de Fatima au centre des discussions.
Les références mystérieuses de
la Mère de Dieu de 1917 à la Russie et ses erreurs sont à l'origine du
budget de la mort et de la destruction en Ukraine : « Si mes demandes
sont entendues, la Russie se convertira et il y aura la paix ; sinon,
il répandra ses erreurs dans le monde entier, favorisant les guerres et
les persécutions de l'Église ; les bons seront martyrisés, le
Saint-Père devra beaucoup souffrir, diverses nations seront anéanties ».
Notre-Dame a également parlé
de la conversion finale de la Russie après la consécration de la nation
à son Cœur Immaculé. Beaucoup ont affirmé à juste titre que les erreurs
de la Russie étaient celles du communisme. La Russie les a en fait
répandus dans le monde entier à partir de 1917.
Une reconversion controversée
Depuis l'effondrement de
l'Union soviétique en 1991, cependant, une opinion erronée a commencé à
circuler parmi les catholiques occidentaux, selon laquelle il
s'agissait de la conversion de la Russie prévue par Notre-Dame. Le
récit de la conversion s'est renforcé sous Vladimir Poutine.
Le récit de la conversion fait
référence à la chute du communisme et aux tentatives ultérieures de
rétablir un semblant d'ordre dans le pays ravagé par sept décennies de
régime athée. Certains voient la montée de la profession religieuse
(mais pas de la pratique) après la guerre froide comme une sorte de
conversion continue.
Certains catholiques
n'intègrent que trop rapidement ces développements dans le message de
Fatima. Aussi petit soit-il, un geste est immédiatement interprété
comme faisant partie d'un processus de conversion. De plus, ils sont
heureux de voir l'orthodoxie russe, et non l'Église catholique, comme
l'instrument de Dieu dans cette conversion. Comme si cela ne faisait
aucune différence.
Tous ces points font l'objet
de discussions parmi ceux qui, en Occident, soutiennent ce qu'on
pourrait appeler le récit de la conversion de la Russie à la lumière de
Fatima. La discussion comprend souvent un contre-récit, qui affirme que
les nations occidentales décadentes et moralement corrompues doivent
également se convertir, peut-être plus que la Russie.
…
Une conversion indésirable
Cependant, le fait qui va le
plus à l'encontre du récit de la conversion est que la plupart des
Russes s'identifient à l'Église orthodoxe russe, et non à l'Église
catholique romaine. Par conséquent, ils rejettent le récit de Fatima
car il est catholique. L'histoire de la conversion russe tombe sur le
fait que les Russes ne veulent pas être convertis de Fatima.
Cela ne veut pas dire que les
Russes ne souhaitaient pas se libérer du joug soviétique. Cela signifie
simplement que les Russes ne voient pas cette libération venir de
Notre-Dame de Fatima. Malheureusement, ils n'encadrent pas les
changements qui se produisent en Russie dans le cadre d'un triomphe
universel du Cœur Immaculé de Marie.
Le récit de la conversion de
la Russie rencontre d'autres difficultés. Les hiérarques orthodoxes
russes ont tendance à voir les apparitions de Fatima comme un canular
catholique visant à envahir ce qu'ils prétendent être un "territoire
canonique" et une zone d'influence exclusivement orthodoxes. Vu à la
lumière du Grand Schisme de 1054, lorsque l'Église d'Orient a quitté
Rome, le message de Fatima est rejeté. Les orthodoxes ont longtemps
persécuté les catholiques en Russie et inhibé la pratique de la vraie
foi.
Au lieu d'embrasser le Message
de Fatima comme une aide divine pour encourager les Russes en cette
période de grand besoin spirituel, l'Église orthodoxe russe le regarde
avec ressentiment. Il soutient que la Russie n'a pas besoin de
conversion, puisqu'elle est chrétienne depuis plus de mille ans. Il n'y
a pas besoin de consécration car le peuple russe a déjà reconnu
Notre-Dame comme la Mère de Dieu, la Theotokos.
En bref, l'Église orthodoxe russe s'exclut du Message de Fatima parce que ses hiérarques ne croient pas qu'il vient du ciel.
Ainsi le plus grand soutien est rejeté
Il y a donc un grand et sombre
silence autour de Fatima dans les vastes étendues de la Russie.
L'Église russe et les responsables civils ne font pas appel à cet allié
surnaturel le plus puissant qui leur a promis la libération des maux
modernes. En conséquence, la Russie ne s'est pas convertie et languit
dans la corruption morale et le péché qui dominent le monde.
Même l'Occident ne s'est pas
converti, bien sûr. Il n'a même pas écouté le Message de Fatima alors
qu'il pouvait en tirer tant d'avantages. Si le Message de Fatima
n'avait pas été rejeté, l'appel universel de Notre-Dame à la prière, à
la pénitence et à l'amendement de la vie aurait produit de telles
merveilles qui auraient transformé le monde.
Un récit qui n'est pas fini
Le Message de Fatima est
toujours d'actualité aujourd'hui. Cependant, pour que cela ait un sens,
une position vraiment équilibrée doit être prise, en supposant que
l'Est et l'Ouest n'ont pas écouté le Message de Fatima. Le monde entier
a besoin de conversion car l'erreur domine encore partout. L'Orient et
l'Occident ont adopté une position différente de celle demandée par la
Mère de Dieu à Fatima et, par conséquent, embrassent un monde pécheur
et moderne. Puisque le message de Notre-Dame n'a pas été entendu,
l'Orient et l'Occident se dirigent vers un châtiment sans précédent
dans l'histoire du monde.
Ce n'est pas le moment de se
pointer du doigt, mais de se frapper la poitrine en signe de repentir.
Aujourd'hui plus que jamais, le monde a besoin de Fatima. Il a besoin
de repentance. Son seul espoir de survie est la Madone. » (aldomariavalli.it)
« Son seul espoir de survie… »
Notez
que cette vision de la possibilité d’une sorte de résurrection de
l’Église et de la chrétienté est partagée par bon nombre de théologiens
qui face à l’évidence, refusent d’admettre que nous avons atteint le
point de non retour.
C’est la fin des temps.
Or,
les textes majeurs dans les évangiles et l’Apocalypse nous préviennent
d’avance qu’à la fin tout disparaît afin que le Christ revienne sur une
terre purifiée.
Pour le dernier Jugement.
C’est
ce qu’on nomme la Jérusalem Céleste, soit de nouveaux cieux et une
nouvelle terre, tous les deux occupés seulement par les justes.
La résurrection de l’Église, c’est le monde d’après.
Ce n’est pas dans ce monde comme ils sont nombreux à l’envisager.
Car présentement, il y a guerre dans l’Église et elle intensifiera (« Il y aura la guerre dans la Mère, et les troupeaux se disperseront.» (prophétie de l’Église #11, le 7ème sceau))
Le patriarche Kirill de
l’église orthodoxe russe s’est collé au président russe pour justifier
la guerre dans un sermon très critiqué (egaliteetreconciliation.fr) car une lutte contre le péché ne justifie pas la guerre!
Cette position a généré des fruits de discorde où plusieurs églises
orthodoxes se séparent immédiatement du patriarcat de Moscou. (exemples
ici et ici).
L'Église catholique est l'instrument de conversion de Dieu.
Lire ici la Tradition.
Qui aura beaucoup à faire lorsque tout s'écroulera.
C'est la résurrection des témoins.
Vous tous qui gardez la Foi auront quelques jours pour convertir les tièdes qui retourneront au Christ.
L’église orthodoxe dans son orgueil ne retournera pas dans son berceau catholique.
L’espoir
humaniste d’une église réunie demeure dans l’œcuménisme bergoglien, et
encore pire, pour une fraternité universelle avec les dieux des autres.
Ce n’est pas ce qu’a voulu le Christ en instaurant son Église sur le socle de Pierre.
D’où le conflit interne de Bergoglio comme nous l’avons vu avec l’interview de don Nicolas Bux (analyse précédente).
La consécration de la Russie au Cœur Immaculé de Marie était LA CONDITION pour éviter les erreurs du communisme.
Maintenant il est trop tard.
Cette
même Russie, dans son orgueil comme se disant seule porteuse du message
du Christ, justifie cette guerre contre les erreurs occidentales
qu’elle a elle même répandues.
L’Occident
dépravé, c’est justement la conséquence du socialisme et de ses fruits
immoraux en vertu de la liberté, de l’égalité et de la fraternité.
« La Russie et le message de Fatima (suite): le point
…
... père Amorth ...
« Je n’ai aucun doute sur
le fait que la consécration n’a pas été réalisée dans les termes requis
par la Vierge Marie. Mais nous ne devons pas perdre de vue ce
qu’Elle-même a voulu nous dire par l’intermédiaire de Sœur Lucie:
« A la fin, mon Cœur Immaculé triomphera. Le Saint-Père me consacrera
la Russie et un temps de paix sera accordé au monde ». » (benoit-et-moi.fr)
Ce temps de paix est chose du passé.
Après la consécration
imparfaite de Jean-Paul II en 1984, il y a bien eu 25 années de temps
de paix entre l’invasion de la Crimée par la Russie en 2014 et la chute
du mur de Berlin en 1989 qui a conduit à la chute de l’URSS en 1991.
Nous attendons maintenant le triomphe du Cœur Immaculé de Marie.
Les signes en ce sens abondent dans les prophéties concernant l’Église de Jean XXIII.
« ...
éclatera le règne béni de la Très Sainte Vierge.Marie Très Sainte,
fille et mère de Dieu, maîtresse du temps futur, bats le rappel de tes
fils dans les campagnes, pour qu'ils abattent les deux Babylone. Et que
la Mère soit Une, comme toi tu es unique. La terre détruira le ciment
et de terre sera, Reine, ta nouvelle Église. Et sur la terre de blé,
pour la faim de tes peuples, fleur sur son nouvel autel. Amen. » (prophétie concernant Benoît XVI).
Marie est Reine du Monde et sera reconnue comme telle.
« L'Europe a soif, elle aura du sang dans les rues.
Mais
aussi de grandes processions et la Vierge Heureuse descendra sur terre.
Vous ne la verrez pas dans la grotte, mais dans un cœur qui revivra.
Depuis les ténèbres, elle apportera la parole que tous comprendront.
C'est le temps des lettres. » (prophétie politique Grand Éclair à l’Orient).
Donc, consécration ou non,
aussi imparfaite soit-elle, les questionnements quant à cette
consécration qui aurait évité ce à quoi nous assistons, sont révolus.
Et ce n’est pas Bergoglio qui la fera cette consécration.
Et selon Jean XXIII, il n’y aura plus de père (de pape).
Le processus final est donc bien engagé.
La chute de Babylone viendra après la mort des deux témoins.
Ensuite viendra le Jugement.
11 mars 2022
« Deux frères et personne ne sera le vrai Père. La Mère sera veuve.
Les frères d'Orient et d'Occident se tueront et dans l'assaut tueront leurs enfants. »
«
Occident et orient: Notons par ailleurs que les noms occident
(ouest) et orient (est) s'écrivent avec une minuscule
initiale lorsqu'ils font référence aux directions, aux points
cardinaux, mais qu'ils commencent par une majuscule quand ils désignent
une partie du monde, un ensemble de pays et leurs nations. »
La
prophétie concernant Benoît XVI (ci-dessus) étant en même temps que la
prophétie « Grand Éclair à l’Orient », pouvons nous toujours affirmer
qu’Orient et Occident désignent ici les deux factions islamiques comme
anticipées depuis des années?
Ou alors…
Se
pourrait-il que ces deux termes de la prophétie de Jean XXIII désignent
l’Ukraine et la Russie, frères parce que de mêmes origines : Rus
(Kiev).
Est-ce
que la prophétie du « Grand Éclair à l’Orient, » pointe donc la Russie
contrairement à ce que Pier Carpi affirme dans le livre?
Évidement, si c’est le cas, il n’est pas difficile de voir que la « terre frisera le massacre ».
Mais
puisque qu’Occident et Orient sont utilisés ici dans une prophétie
concernant l’Église, il se peut que cela indique au niveau spirituel la
lutte acharnée entre le Vatican et le monde catholique dépravé par les
valeurs occidentales, contre les valeurs chrétiennes de l’église
orthodoxe russe intégrées dans le statut d’État qu’est la Russie…
Une
guerre des âmes, qui tue des âmes, qui tue même les enfants qui n’ont
pas accès au message du Sauveur étant donné l’apostasie générale de
leurs parents…
Car c’est la fin des temps.
Et
le délai qui reste est court pour rallier ces âmes qui n’ont jamais
entendu parler du Christ ou qui le renient tout simplement.
« Entre l’Ukraine et la Russie, il y a aussi une guerre de religion….
(La
Verità, 7 mars 2022) Il y a les bombes, qui déchirent les villes et
brisent des vies. Il y a les tables de négociation, qui éloignent les
parties au lieu de les rapprocher, rendant plus concrète la perspective
que le « pire » est encore à venir. Et puis il y a l’autre guerre, la
guerre de religion, qui déchire les églises de Russie et d’Ukraine. «
Ce conflit embarrasse aussi beaucoup le Vatican », déclare à La Vérità
don Nicola Bux, théologien et expert des églises et liturgies
orientales. « S’il bouge en faveur de Moscou, il s’expose aux
accusations de l’Occident ; s’il bouge contre, il risque de
compromettre la parade programmée avec le patriarche russe Kirill ».
-
Don Bux, le monde arabe est divisé par un conflit religieux qui dure
depuis des siècles. Vous attendiez-vous aussi à une nouvelle guerre,
entre chrétiens, menée sur le continent européen ?
Je
me souviens de l’interview que l’idéologue russe Alexandre Douguine a
accordée au quotidien Il Foglio il y a quelques années : « De patrie du
logos, l’Europe est devenue une caricature d’elle-même, toute tournée
vers le genre et les idéologies libérales ». Face à la trahison des
racines chrétiennes, je pense que Vladimir Poutine s’est senti investi
d’une mission, une sorte de retour au passé. Avec le soutien de
l’Église orthodoxe de Moscou.
- Outre la présence de missiles de l’OTAN à la frontière, y a-t-il autre chose, à votre avis ?
Avant les missiles, il y a une question culturelle : la Russie a retrouvé les racines chrétiennes que l’Europe a perdues.
- Qu’est-ce que la guerre a à voir avec tout cela ?
La
guerre est aussi le résultat de tout cela : le conflit repose sur la
vision, absurde pour nous, que pour freiner la dérive anthropologique
de l’Europe, on peut même recourir aux armes.
Pour nous, c’est absurde.
Le problème est que
l’Occident, en particulier les États-Unis, a fait la même chose : nous
avons vu ce que l’idée d’exporter la démocratie dans les régimes du
Moyen-Orient a entraîné.
- Ne pensez-vous pas que nous sommes confrontés à deux conceptions diamétralement opposées de la démocratie ?
Poutine
a une idée corrompue de la démocratie : au vu des fruits produits par
un immigrationnisme insensé et des théories du genre avancées par
l’Occident, pour lui, cette démocratie a échoué.
A cela s’ajoutent les intérêts
de l’Église orthodoxe russe: le schisme entre le patriarcat de Moscou
et celui de Kiev a été un coup dur pour le patriarche Kirill. La
reconnaissance de l’Église ukrainienne indépendante par le patriarcat
de Constantinople a affaibli sa position. Joue-t-il un jeu parallèle ?
C’est ici qu’intervient la fameuse » symphonie « , qui pour nous était l’alliance entre le Trône et l’Autel.
- C’est-à-dire ?
Pour
les orthodoxes, il doit y avoir une symphonie entre l’Église et l’État.
Ils doivent marcher en harmonie s’ils veulent parvenir au salut de
l’humanité. Si l’on connaît la « symphonie », on peut comprendre
comment Moscou veut protéger la partie de la nation russe présente en
Ukraine avec sa propre Église, même si cela contraste avec la vision de
la culture et de la politique de l’Église orthodoxe ukrainienne, sur
laquelle Bartholomée de Constantinople a étendu son manteau, du moins
en ce qui concerne la politique ecclésiastique.
C’est
Bartholomée lui-même qui a reconnu l’indépendance de l’Église
ukrainienne, est c’est pour cela qu’il s’est retrouvé dans le
collimateur de Moscou.
Il
est soutenu par les Américains. Le patriarcat de Constantinople à
Istanbul est là, toléré par les Turcs, parce que l’Amérique est
derrière lui. Le Vatican, avec le nonce apostolique à Ankara, protège
également le patriarcat, sinon il l’aurait déjà jeté par-dessus bord :
les Turcs et les Grecs sont comme chiens et chats ».
-
Après les 236 prêtres et diacres de l’Eglise orthodoxe russe, le chef
de l’Eglise ukrainienne soumise au Patriarcat de Moscou a également
demandé à Poutine de mettre fin à la guerre. Le seul qui n’a pas
exprimé de mots clairs de condamnation est Kirill lui-même : y a-t-il
de l’embarras dans l’Église de Moscou ?
Je
ne suis pas convaincu, je ne pense pas qu’il y ait d’embarras dans le
Patriarcat de Moscou. Même les Russes qui sont opposés à la guerre
contre Kiev, qui est le berceau de la chrétienté slave, ne sont en
grande partie pas favorables aux « droits » proposés par l’Union
européenne, qui sont partagés par la partie europhile de l’Ukraine.
-
En Russie, ceux qui manifestent pour la paix finissent en prison, y
compris les enfants et les personnes âgées. Comment le patriarche
peut-il rester indifférent à tout cela ?
Le
cadre de référence est différent du nôtre : les Russes ont l’idée de la
nation, à laquelle tout doit être soumis. Après tout, lors du massacre
des Romanov, les bolcheviks n’ont pas hésité à tuer les enfants de
Nicolas II. Kirill vient du monde du KGB : le patriarche ne parle pas
parce que le bras séculier de la Russie le couvre et le bénit.
- Quel rôle le Saint-Siège pourrait-il jouer dans cette guerre ?
Aplati
comme il l’est sur la vision démocratique américaine et sur la vision
latino-américaine mouvementiste populaire, je crains que le Saint-Siège
n’ait pas de rôle, du moins pas de rôle majeur.
- La perspective que le pape François agisse comme médiateur dans cette crise ne vous convainc pas ?
J’ai
du mal à l’imaginer dans un rôle de médiateur : lui qui n’a jamais
caché ses tendances progressistes ? Le pape tente par tous les moyens
de transférer à l’Église catholique l’idée orthodoxe de la synodalité,
ce qui est dangereux et voué à l’échec. Il s’est aplati sur les
positions du patriarche de Constantinople et sur ses batailles « vertes
», et je crois que c’est embarrassant aussi pour Moscou : comment
pourraient-ils l’accepter après avoir écouté les propositions qu’il a
faites ces dernières années ?
- Lesquelles?
Sans
aucun doute, le soutien à l’immigrationnisme indiscriminé,
principalement d’origine musulmane. Pour les Russes, l’Islam est un
peuple à évangéliser et ils ne peuvent tolérer que l’Europe chrétienne
se laisse envahir de manière passive. Je me souviens de la lectio
magistralis du métropolite Hilarion Alfeev, haut représentant du
Patriarcat de Moscou, qui depuis la Faculté de théologie de Bari, a
lancé une attaque sévère contre le christianisme européen asservi à un
agenda qui brade le continent et dénature l’anthropologie.
-
Que pensez-vous de la visite du pape François à l’ambassade de Russie
auprès du Saint-Siège ? La version « de passage par hasard » du
Saint-Père a suscité un certain mécontentement dans la diplomatie
vaticane.
Je
voudrais citer les mots utilisés par un cardinal pour le commenter : «
On fait tout ce qu’on peut pour être admiré par les hommes ».
- Que veut-il dire ?
François
se lance dans ces actes spectaculaires parce qu’il veut être remarqué,
qu’on le voie sortir du moule. Il ne se rend pas compte qu’il est en
train de démolir le caractère sacré de la figure du pape.
Par ailleurs, certaines personnes n’ont pas apprécié sa présence dans un talk-show il y a quelque temps.
Pour
le courant du monde catholique qui déteste le sacré, tout cela n’est
pas un problème. Ceux qui considèrent le pape comme le vicaire du
Christ et non comme un fonctionnaire, au contraire, ne l’acceptent pas.
Le successeur de Pierre ne va pas chez Fabio Fazio. Paul VI a dit : «
Montini n’est plus, il n’y a que Paul VI ». Aujourd’hui, cette phrase
doit être lue à l’envers : le pape est Bergoglio, pas François. Il veut
que la personne émerge, et non la fonction dont elle a été investie.
Selon
le chef de l’Église ukrainienne gréco-catholique, Sviatoslav Shevchuk,
si François s’était rendu en Ukraine, la guerre aurait pris fin avant
même de commencer.
Je
ne pense pas que François écoute les catholiques grecs. Il n’a jamais
aimé les uniates, il a toujours préféré les orthodoxes aux catholiques
comme lui. Contrairement à saint Jean-Paul II, qui connaissait bien la
dynamique interne du monde slave, il a une vision progressiste,
imprégnée de la conviction que les gréco-catholiques doivent être tenus
à distance parce qu’ils empêchent l’œcuménisme avec les orthodoxes.
Alors
que les tapis rouges sont déroulés pour les orthodoxes au Vatican, les
catholiques grecs doivent passer par la porte de derrière, comme s’ils
étaient des croyants de seconde zone. Un document commandé par le
cardinal Silvestrini , en 1998, répudie comme méthode d’unité du passé
l’union d’une Église orthodoxe avec Rome. Soit les 14 églises
orthodoxes le font, soit aucune ne peut le faire seule : en bref, une
utopie.
Tandis que les églises orthodoxes s’excommunient entre elles, l’œcuménisme catholique a échoué.
- En quoi a-t-il échoué, à votre avis ?
L’œcuménisme
repose sur le principe que nous sommes tous des chrétiens baptisés :
ceux qui passent d’une Église à l’autre, par exemple, n’ont pas à être
rebaptisés. Au contraire, les orthodoxes russes et grecs le font. Face
à l’inimaginable déchristianisation de l’Europe, nous devons reprendre
le chemin de l’évangélisation : c’est seulement ainsi que la division
entre les chrétiens prendra fin. » (benoit-et-moi.fr)
« Alors
le saint aux pieds nus descendra du mont et, devant la tombe du
va-nu-pieds, éclatera le règne béni de la Très Sainte Vierge.
Écoutez ses paroles.»
Nous avons identifié Benoît XVI comme étant le possible « saint aux pieds nus » dans l’analyse du 28 décembre 2021.
Voici les dernières photos de Benoît XVI ce lundi 7 mars:
Extrêmement amaigrit et fatigué. Aucune expression réelle sur son visage. (benoit-et-moi.fr)
Remarquez que Benoît XVI est
né le 16 avril 1927 et c'était le samedi saint cette année là, tout
comme le 16 avril sera le samedi saint en 2022.
Paix à son âme qui doit être déchirée en ce moment face à la guerre réelle et celle qui a lieu à l’intérieur de l’église.
Comme
nous avons pu le remarquer jusqu’à maintenant, Bergoglio a les mains
liés dans le conflit car il tient à son œcuménisme à tout prix et une
intervention vis à vis des orthodoxes russes mettrait en péril son plan
de « paix » avec l’islam.
Alors que sa place… est à Kiev.
Rappelons que la limite de Babylone semble se situer entre la fin du synode 2023 et 2025 (voir analyse du 29 novembre 2021).
Le
13 mai 2026, nous atteindrons une période de 109 ans depuis les
apparitions de la Vierge Marie à Fatima, soit les 100 ans donnés comme
indication à Léon XIII + la 9ème heure où tout est accompli (c’est à
dire la mort du Christ sur la croix, donc de l’Église pour nous).
Nous savons aussi que mai 2026 est la limite pour le retour du Lys selon la prophétie de Don Bosco.
Il est alors bon de se rappeler les deux possibilités de l’identité de la fille de Caïn qui prophétise pour 7 ans :
Greta ou la nouvelle église œcuménique de Bergoglio.
« La fille de Caïn est la
nouvelle église œcuménique de François qui part de la signature avec
les luthériens en octobre 2016, ce qui débute la semaine de Daniel,
l'arrêt du sacrifice en mars 2020 à cause du coronavirus et les sept
années se terminent en 2023. » écrivions nous le 14 avril 2020.
Avec
la guerre en Ukraine, nous devons considérer cette possibilité plus
sérieusement, quoique c’est tôt par rapport au mois des deux lunes de
mai 2026 prophétisé par Don Bosco pour le retour en Gloire du Lys (voir
analyses « la limite de Babylone »).
Toutefois, nous avons
l’information, confirmée ou non, que la « Russie recrute des Syriens
pour combattre en Ukraine, confirme le Pentagone. »
Ce qui veut dire que le conflit pourrait éventuellement reprendre en Syrie où la Russie y joue un rôle important.
La plaine de Mediggo (Armageddon) ne se situe pas très loin de ce pays.
La boîte de Pandore est ouverte.
Mais
il semble (en référence aux paroles du Christ face au royaume de Satan
divisé; voir 5 mars 2022) que comparé aux paroles de Jean dans
l’Apocalypse, que nous ne sommes qu’à la période où se mettent en place
les conditions pour que combattent les dix cornes (les dix rois issuent
du WEF) avec la grande prostituée (c’est à dire le sionisme libéral,
donc l’Occident, qui est à l’origine de la mutation de la chrétienté
via l’église conciliaire).
07 mars
LA GRANDE ILLUSION
Avec cette guerre, ayons toujours à l’esprit :
« Refusez
les assassins qui se présenteront, refusez ceux qui seront présentés.
Les assassins sont en Europe. Ils veulent la Méditerranée. » (Prophétie Grand Éclair à L’Orient)
Ces assassins sont ces factions judéo-maçonniques qui contrôlent la finance et l’économie.
Ils
ont soumis tous les gouvernements à des organismes supra-nationaux qui
prennent maintenant les décisions : Nations-Unies, OTAN,
Commission Européenne…
Si
ces gouvernements ne vont pas de le sens voulu, c’est la coupure
financière, qui passe maintenant presque exclusivement par
l’électronique, donc facile à contrôler.
Un
signe qui ne trompe pas : la Suisse, traditionnellement neutre quelles
que soient les circonstances, y compris lors des deux premiers conflits
mondiaux, vient cette fois-ci de rejoindre l’Occident dans son hystérie
anti-russe, ce qui prouve que les directives partent de très haut.
Les
pays ont tous été plongés dans des dettes colossales grâce à la
première manœuvre, la pandémie, qui avait été planifiée à partir de
l’exercice pré-pandémie « événement 201 ».
Ayez
à l’esprit la devise du Forum Économique Mondial (World Economic Forum
ou WEF) : « Vous ne posséderez rien, et vous serez heureux. »
C’est
ainsi qu’ils expriment le futur de la planète en vue de l’Agenda 2030
(voir analyse du 9 janvier 2021, Babel II, en ayant en tête toute
l’évolution qui a eu cours juste en une année).
Le
temps de la grande illusion était venue : provoquer un conflit
comme une arme de distraction massive qui légitime de nouvelles
restrictions aux libertés dans les Nations occidentales qui furent
implantées grâce à l’alerte pandémique, selon les plans de
la Grande Réinitialisation du Forum Économique Mondial et de l' Agenda 2030 des Nations Unies .
Comme
nous l’avons vu dans une analyse précédente, le président russe était
pris dans un coin avec le choix du mondialisme unipolaire anglo-saxon,
ou la guerre.
Il
est tombé dans le piège, ils ont trouvé un méchant, et nous avons cette
crise planifiée qui doit maintenant s’étendre afin de :
- restreindre encore plus les libertés individuelles.
- plonger les pays encore plus dans la dette par une augmentation des crédits accordés aux forces armées.
- faire croître l’inflation et les pénuries
- faire chuter les systèmes financiers
- couper les moyens de
communications libres (internet et téléphones intelligents) (car la
plupart des médias ont été achetés par les élites) par une cyberattaque
majeure (ce que le WEF a simulée à deux reprises en juillet 2020 et
2021)
- rebâtir sur les cendres avec
la grande réinitialisation (dont le symbole qu’ils ont choisi est le
Phoenix, expliqué à plusieurs reprises dans les analyses) avec leurs
valeurs et leurs conditions.
Il
n’est donc pas surprenant de voir depuis plusieurs jours le président
ukrainien réclamer de l’OTAN une zone d’exclusion aérienne malgré les
refus répétés… jusqu’ici.
Pourquoi?
Pour avoir une guerre totale.
De qui est le porte parole le président ukrainien? Comment a-t-il été mis en poste?
Il est issu de l’école des jeunes leaders (WEF Young Globard Leaders) du Forum Économique Mondial.
Tout
comme le premier ministre canadien, la vice première ministre
canadienne, le président français, la première ministre de la
Nouvelle-Zélande,…
Là est la grande illusion.
Manipuler l’opinion du peuple afin que celui-ci finisse lui-même par demander l’intervention militaire de l’OTAN.
On l’a vu dans plusieurs manifestations pro-ukrainiennes en fin de semaine : « no fly zone, no fly zone, no fly zone »
Oui, Babylone s’en va à sa perte.
Il
n’y aura point de paix à l’horizon sans le Christ, sans du moins, une
Église avec un Pape digne de ce nom à la manière de Pie XII qui clamera
tout haut : Assez!
Mais il n’y en aura pas.
« Où croyez-vous fuir, maintenant que vous avez détruit les Églises et tué le dernier Père ? » (prophétie de l’église #11)
C’est la fin des temps, la fin de la grande illusion…
Heureusement.
« ... Et Dieu avait d’autres projets. » (Anne Catherine Emmerich).
05 mars
Note
1 : en relation avec les dernières analyses, le premier ministre
israélien a rencontré le président russe aujourd’hui à Moscou.
Note 2 : le porte avions USS Harry S. Truman est en Mer d’Égée… au cas où…
Un porte avions, c’est une île flottante faite de mains d’hommes :
« De
la petite île de la Méditerranée partira le cri du nouveau chevalier.
Et les bateaux aux fausses bannières seront coulés. Le premier jour
d'Europe. » (prophétie politique #27 la « Foudre en Plein Jour »).
LE TEMPS DES LETTRES
« C'est le temps des lettres. » confirme la prophétie « Grand Éclair à l’Orient ».
C’est l’Alpha et l’Oméga, le début et la fin, le changement de cycle.
Pour eux, la grande réinitialisation, pour nous, la fin des temps et le retour du Christ en Gloire.
Nous savons déjà comment cela va se terminer.
Par une intervention divine, le Jugement.
La prophétie le « Temps est Proche » se déroule sous nos yeux.
« C'est le temps des deux empereurs.
Et la Mère n'a pas de père, parce que beaucoup veulent être son père. Et deux seront soutenus par les adversaires.
Les cris et les barrières de la contestation se lèvent, mais déjà la Bête sort de l'eau.
Et la famine arrête les armées.
Les hommes se comptent mourir.
Et après la famine; la peste. »
Deux empereurs, deux papes et la confusion dans l’église, et … La Bête.
« Macron : "La Bête de l’événement est là" » (entrevue accordée au Financial Times le 16 avril 2020)
Ce que nous vivons est
l’aboutissement (l’Oméga) de ce qui a commencé au 16ème siècle avec les
talmudistes (l’Alpha) pour éliminer la présence réelle, le Verbe
Incarné, afin de voir leur messie enfin arriver.
«
Comme nous l’avons écrit, même si le programme est largement décrit
dans Utopia de Thomas More, il fut réadapté fin XIXe siècle
dans le cadre du monde anglo-saxon par la Société fabienne (Fabian
Society) en 1884. L’objectif déclaré de cet institut à l’origine de la
création du parti travailliste anglais (le labour) et de la London
School of Economics (LSE) est de favoriser une gouvernance mondiale
reposant sur la fusion du capitalisme et du socialisme afin d’aboutir à
un « socialisme de marché » dont le modèle rêvé est la Chine.
Il est vrai que de nombreux agents anglo-saxons acquis à cette Société
fabienne ont coopéré avec d’autres instituts mondialistes comme le
Canadian International Council ou CIC (Walter Lockart Gordon, James
Endicott, …), petit frère de la Chatham House (Royaume-Uni) et du
Council on Foreign Relations (CFR, États-Unis). C’est ce fameux CIC qui
a joué un rôle certain en favorisant la création d’un frère jumeau
chinois en 1949, le Chinese People’s Institute of Foreign Affairs
(CPIFA). » (Pierre Hillard, Mondialisme : "La Bête de l’événement
est là et elle arrive"
, Egalitéetreconciliation.fr)
N’oublions pas la vision de Léon XIII, (lui qui condamna la synagogue de Satan en avril 1884 ) du 13 octobre 1884 pour les 100 ans accordés à Satan.
Nous assistons présentement à une guerre interne entre les deux factions judéo-maçonniques dominantes.
Les 10 rois de l’Apocalypse sont bien en selle.
Poutine est le châtiment de l’Occident dépravé et pervers.
Mais aucun des deux clans ne sera victorieux, car ce sont deux clans qui ne vivent que par le mensonge.
C’est écrit dans l’Apocalypse : Babylone va tomber.
Ce que confirme aussi Jean XXIII.
La confirmation nous est donné par le Christ lui-même :
« " Comment Satan peut-il chasser Satan ?
Si
un royaume est divisé contre lui-même, ce royaume ne saurait
subsister ; et si une maison est divisée contre elle-même, cette
maison ne saurait subsister.
Si
donc Satan s'élève contre lui-même, il est divisé, il ne pourra
subsister, et sa puissance touche à sa fin. » (Marc 3,23-26)
Sa puissance touche à sa fin...
Les
appels à la paix sont bien intentionnés mais ils prônent tous un retour
à la normale, une paix sans Dieu, une paix relevant de l’homme déifié
et des ses droits humanistes représentés par Babylone Nations-Unies et
Babylone Vatican.
Il n’y aura pas de paix autre que celle accordé par le Christ.
Le retour à la normale pré-Covid, ou pré-Invasion de l’Ukraine, c’est terminé.
C’est la synagogue de Satan qui l’affirme avec sa grande réinitialisation et son Agenda 2030.
Et Dieu les prends aux mots.
Mais comme Lui l’entends.
Réjouissez-vous
dans le Seigneur car vous êtes dans Babylone sans être de Babylone,
parce que vous avez la Foi et la connaissance requise pour faire face à
cette épreuve.
« Marie
Très Sainte, fille et mère de Dieu, maîtresse du temps futur, bats le
rappel de tes fils dans les campagnes, pour qu'ils abattent les deux
Babylone.
Et que la Mère soit Une, comme toi tu es unique. »
04 mars
C’est l’heure de la conversion des tièdes.
Le système de valeurs si cher au mondialisme est allé trop loin.
L’Europe, pilier central mondial du christianisme a abandonné ses valeurs chrétiennes.
D’où l’intervention divine via la Russie tel que spécifié dans les secrets de Fatima.
« ... la Russie sera l’instrument choisi par le Ciel pour punir le monde entier... »
C'est bien le début de la chute de Babylone... (référez vous au calendrier de la fin des temps (analyse du 29 novembre).
Il est fort probable que cela ne s'arrêtera pas après l'Ukraine…
La prophétie de Jean XXIII (Grand Éclair à l’Orient) est claire : « L'Europe a soif, elle aura du sang dans les rues et la terre frisera le massacre. »
« Les « valeurs de l’Occident »: mais c’est quoi, au juste?..
Il
fut un temps où il s’agissait de valeurs chrétiennes, mais aujourd’hui
elles ont été totalement mises de côté et sont combattues sans
rémission.
Alors, que sont-elles ? Je vais essayer d’en faire une liste, pas par ordre de priorité, avec une brève glose ensuite.
Donc,
en vrac : la célébration de la mémoire de la Shoah, la gay pride pour
affirmer socialement la théorie du genre, le scientisme, le positivisme
juridique, le syncrétisme religieux, l’écologisme, l’immigrationnisme
pour nourrir le multiculturalisme, le libertinage (c’est-à-dire la
pornographie, la prostitution, l’avortement, l’euthanasie, les joints
et les drogues), l’étatisme élevé à la dimension continentale,
la cancel culture liée au progressisme idéologique.
…
Je suis dans le monde, mais en
tant que chrétien, je ne suis pas du monde, et si c’est ce que
l’Occident est devenu, renonçant au christianisme et surtout au Christ,
je reste fidèle au Verbe fait chair dans la Vierge Marie. Quoi qu’il en
soit, car c’est seulement de Lui que viennent les paroles de vérité. Et
tant pis pour l’OTAN, ceux qui la commandent et ceux qui servent
l’Ennemi.»
(benoit-et-moi.fr)
Alexandre
Douguine nous donne le point de vue de la Russie, mais ayant un
parti-pris pour la civilisation orthodoxe orientale, orienté et
exagéré, mais cela nous renseigne sur la véritable cause de cette
guerre.
« « Ce n’est pas une guerre
contre l’Ukraine. C’est une confrontation contre le globalisme en tant
que phénomène planétaire intégral.
C’est une confrontation à tous les niveaux – géopolitique et idéologique.
La Russie rejette tout dans le
mondialisme : l’uni-polarisme, l’atlantisme, d’une part, et le
libéralisme, l’anti-tradition, la technocratie, en un mot, le Great
Reset, d’autre part.
Il est clair que tous les dirigeants européens font partie de l’élite libérale atlantiste.
La Russie est désormais exclue des réseaux mondialistes. Elle n’a plus le choix : soit construire son monde, soit disparaître.
La Russie a tracé une voie
pour construire son monde, sa civilisation. Et nous sommes en guerre
contre cela. D’où leur réaction légitime.
Et maintenant, la première
étape a été franchie. Mais le souverain face au mondialisme ne peut
être qu’un grand espace, un État-continent, un État-civilisation. Aucun
pays ne peut résister longtemps à une déconnexion complète.
La Russie est en train de créer un champ de résistance mondial.
Sa victoire serait une
victoire pour toutes les forces alternatives, de droite comme de
gauche, et pour tous les peuples. Nous entamons, comme toujours, les
processus les plus difficiles et les plus dangereux.
Mais quand on gagne, tout le
monde en profite. Ça devrait être comme cela. Nous créons les
conditions d’une véritable multipolarité. Et ceux qui sont prêts à nous
tuer maintenant seront les premiers à profiter de notre entreprise
demain.
Qu’est-ce que cela signifie pour la Russie de rompre avec l’Occident ? C’est le salut.
L’Occident moderne, où
triomphent les Rothschild, Soros, Schwab, Bill Gates et Zuckerberg, est
la chose la plus dégoûtante de l’histoire du monde.
Ce n’est plus l’Occident de la
culture méditerranéenne gréco-romaine, ni le Moyen Âge chrétien, ni le
XXe siècle violent et contradictoire.
C’est un cimetière des déchets toxiques de la civilisation, c’est l’anti-civilisation.
Et plus tôt et plus
complètement la Russie s’en détache, plus tôt elle revient à ses
racines. A quoi ? Aux racines chrétiennes, gréco-romaines,
méditerranéennes, européennes… C’est-à-dire aux racines communes au
véritable Occident.
Ces racines – les leurs ! – l’Occident moderne les a supprimés. Et elles sont restés en Russie.
La Russie n’est pas l’Europe
occidentale. La Russie a suivi les Grecs, Byzance et le christianisme
oriental. Et elle suit toujours cette voie. Oui, avec des zigzags et
des détours. Parfois dans des impasses. Mais ça bouge.
La Russie est née pour
défendre les valeurs de la Tradition contre le monde moderne. C’est
précisément cette « révolte contre le monde moderne ». Vous comprenez ?
L’Europe doit rompre avec
l’Occident, et les États-Unis doivent aussi suivre ceux qui rejettent
le mondialisme. Et alors tout le monde comprendra la signification de
la guerre moderne en Ukraine.
Beaucoup de gens en Ukraine
l’ont compris. Mais la terrible propagande colérique libérale-nazie n’a
rien laissé de côté dans l’esprit des Ukrainiens.
Ils reviendront à la raison et
se battront avec nous pour le royaume de la lumière, pour la tradition
et une véritable identité chrétienne européenne. Les Ukrainiens sont
nos frères. Ils l’étaient, ils le sont et ils le seront.
La rupture avec l’Occident
n’est pas une rupture avec l’Europe. C’est une rupture avec la mort, la
dégénérescence et le suicide. »
Alexandre Douguine. » (profidecatholica.com)
Bref, les valeurs du nouveau monde ne reflètent que les conséquences du péché, étant donné l’apostasie générale… ou presque.
La coupe déborde.
Le
dernier défenseur de ces valeurs, Benoît XVI va bientôt décéder car il
représente les deux témoins qui seront mis à mort avant la chute finale
de Babylone.
On se dirige droit vers Armageddon, la bataille finale où « Mikail et Jean descendront sur terre
» affirme Jean XXIII dans la prophétie concernant François, c’est à
dire le combat de l’Archange Michel durant la révélation (apocalypse).
On
se prépare à la grande lutte de l'esprit contre celui qui le nie
confirme la prophétie « le Concile d’Alexandrie » (Saint Petersbourg
serait le théâtre d’un homme important qui parlera au monde dans ce
contexte, puis mourra près de la Neva).
Et
une autre information appuyant la possible intervention d’Israël selon
les prophéties de Jean XXIII (Le Concile d’Alexandrie) :
L’Ukraine, proie de différentes factions oligarchiques
«
...il faut rappeler une réalité historique et spirituelle se
surajoutant aux aspects politiques, stratégiques et énergétiques.
En
effet, la partie orientale de l’Ukraine faisait partie de l’Empire
Khazar dont la population s’est convertie progressivement à partir du
VIIIe siècle au judaïsme.
En
2022, certaines factions juives considèrent ces territoires comme une
seconde Judée. Nous avons les Juifs « traditionalistes » (oligarques)
soutenant Poutine (les Loubavitch autour du rabbin Berel Lazar) qui
s’opposent aux factions juives ukrainiennes, oligarques liés à
l’Occident.
L’actuel
président ukrainien cité au début de cet article, Volodymyr Zelensky,
est de confession juive. Nous avons en réalité un véritable
enchevêtrement d’intérêts et d’oppositions multiples, tant financiers
que spirituels, déchirant ce milieu, l’ensemble se répercutant sur les
relations entre la Russie et l’Occident. Ce phénomène avait été
souligné dès 2014 par Times of Israel dont le titre était
annonciateur des rivalités profondes au sein de ce milieu : « Les
Juifs de Russie et d’Ukraine sont en guerre ». (Pierre Hillard) »
(lectures-francaises.info)
Les points suivant du calendrier de la fin des temps se succéderont très rapidement maintenant.
1) Mort des témoins (3,5 jours)
2) Résurrection des témoins
Fin de la sixième période.
Entrée dans la 7ème période :
3) Mort de l’Antéchrist
4) Chute de Babylone (3ème malheur, Ap. 11, 14)
01 mars
« Refusez
les assassins qui se présenteront, refusez ceux qui seront présentés.
Les assassins sont en Europe. Ils veulent la Méditerranée. » (Prophétie Grand Éclair à L’Orient)
Quelques
indices liés à la prophétie (Pier Carpi dans son analyse de 1976
écarte d’emblée la Chine et la Russie comme cible du Grand Éclair.
Mais
si ce n’était pas le cas?
Et si c’était par rapport à l’Ukraine? (N’oublions pas qu’Israël possède l’arme nucléaire.)
Comme indiqué dans la dernière analyse, Israël semble beaucoup plus proche de l’Ukraine qu’on le pense.
« La
délégation russe se trouve dans la ville biélorusse de Gomel et est
prête à négocier avec les représentants de Kiev ; ceux-ci, faisant
preuve d’incohérence, n’ont pas saisi cette opportunité jusqu’à
présent », a déclaré M. Poutine lors d’un appel téléphonique
avec le premier ministre israélien Naftali Bennett, selon un communiqué
du Kremlin.
Selon le Kremlin, Naftali Bennett « a proposé une médiation israélienne afin de suspendre les hostilités ». (lapresse.ca)
L’attaque aujourd’hui sur l’antenne de télévision de Kiev situé près du site de Babi Yar est un sacrilège et soulève l’indignation chez les juifs.
« Ce
n'est pas le temps d'un roi, ce ne l'a jamais été. Depuis la mort de
Frédéric, chaque roi est usurpateur. Que le roi s'en aille, reste le
peuple. L'Europe a soif, elle aura du sang dans les rues. » (Prophétie Grand Éclair à L’Orient)
« Macron Roi, les élections reportées? »
« Le 26 décembre 1957, le Père
Agustin Fuentes, qui s’apprêtait à devenir postulateur des causes de
béatification de Francisco et Jacinta Marto, rencontra Sœur Lucie dans
son couvent de Coimbra, au Portugal. Ici, il a pu s’entretenir
longuement avec la visionnaire de Fatima. À son retour au Mexique, il
organisa une conférence de presse concernant sa rencontre, dans
laquelle il rapporta les paroles de Sœur Lucie. Le Père Alonso,
l’archiviste officiel de Fatima pendant plus de 16 ans, a déclaré que
le compte rendu de cette conférence a été publié « avec toutes les
garanties d’authenticité et avec l’approbation épiscopale requise, y
compris celle de l’évêque de Fatima ».
Le père Fuentes a déclaré que le message venait « de la bouche même du voyant principal ».
LE RAPPORT DU PERE FUENTES
Je
voudrais vous parler de la dernière conversation que j’ai eue avec Sœur
Lucie le 26 décembre (l’année dernière). Je l’ai rencontrée dans son
couvent. Elle avait l’air très triste, très pâle et émaciée. Il m’a
dit, »
… La Russie, le fléau de Dieu
«
Dis-leur, Père, que bien des fois la Sainte Vierge a dit, à mes cousins
François et Jacinthe et à moi, que de nombreuses nations
disparaîtront de la face de la terre. Elle a dit que la Russie sera
l’instrument choisi par le Ciel pour punir le monde entier, si nous
n’obtenons pas d’abord la conversion de cette pauvre nation. »» (marcotossatti.com).
Nous assistons à la poussée finale du mondialisme après la « pandémie », avant la chute de Babylone.
Pierre Hillard a toujours affirmé que c’est le partage du gâteau.
Or, il y a le clan pour un
contrôle unipolaire anglo-saxon, et l’autre dont fait parti Poutine
pour un partage des pouvoirs et régions.
Poutine ne veut pas entrer dans le rang, et il se sent tout puissant.
Cette guerre n’est rien de plus que le chef-d’œuvre des élites judéo-maçonniques.
Ils ont acculé Poutine pour ne lui donner que deux issues : se rendre au mondialisme unipolaire ou c’est la guerre.
Le territoire sacrifié choisi est donc l’Ukraine, qui a une connotation émotive avec le berceau russe: Kiev.
Et pour le « timing », c’est maintenant ou jamais.
L’effet pandémie se terminant,
les élites ayant démontré qu’on peut contrôler la masse avec un
passeport sanitaire, ils passent à l’autre étape de la « grande
réinitialisation »: une guerre pour effacer toutes les dettes, faire
chuter le système financier, et repartir sur des bases neuves.
Pour ce faire, il faut garder la masse dans la peur et l’incertitude.
Ils ne peuvent plus reculer depuis que la fenêtre s’est ouverte avec la « pandémie ».
Prions NSJC afin de demeurer fort dans l’épreuve.
Février 2022
25 février
LA LIMITE DE BABYLONE PARTIE VI
Voilà.
La chute de Babylone est commencée avec cette invasion gratuite de l’Ukraine.
« Au XVII siècle, la Vierge
apparut en bas du village de Hrushiv (Ukraine). Le peuple planta un
saule pour commémorer l’événement.
Un siècle plus tard, une
source jaillit au pied du saule. Les gens venaient pour puiser cette
eau claire. Il en résulta des guérisons qui firent la réputation du
sanctuaire...
Le
12 Mai 1914, la Vierge se manifeste à nouveau pour avertir le pays des
malheurs qui allaient fondre sur lui. (Note: une journée avant
l'apparition de Fatima).
Ce fut d’abord une lumière qui fut aperçue près de la chapelle de la Sainte Trinité.
La lumière fut visible durant toute la journée.
Puis, 22 personnes, des paysans, virent la Vierge, une seule fois.
Elle leur annonça que les
croyants allaient souffrir pendant « 80 » ou « 90 ans », que la Russie
allait devenir impie, que les ukrainiens allaient connaître des
persécutions, que certains vivraient assez longtemps pour « voir trois guerres, mais l’Ukraine sera libre ensuite »…. » (touteslespropheties.wordpress.com)
À remarquer que les 25 années
de « fausse paix », de « récoltes abondantes » prophétisées à La
Salette, se sont bien terminées en 2014 à l’invasion de la Crimée par
la Russie (25 ans depuis la chute du mur de Berlin, qui a conduit à la
chute de l’URSS en 1991).
Cette invasion russe cette semaine n'en est que la suite planifiée depuis longtemps.
La Sainte Vierge nous avait pourtant bien averti à Fatima à propos du péril russe, du communisme.
Les
joueurs des prophéties politiques le « Grand Éclair à l’Orient » et le
« Temps est Proche » sont maintenant plus facilement identifiables.
« C'est le temps des deux empereurs. »
Poutine
a son rêve du retour de l’Empire russe, et Xinping voit la Chine comme
remplaçante des États-Unis sur l’échiquier mondial.
Poutine
mourra dans la tour de son rêve, le président chinois dans le désert
par la peste (c’est bien de là qu’est arrivé le virus Covid-19).
C’est
l’intervention divine, la guerre de la nature, qui empêchera le
massacre de la terre. Famines à prévoir donc dans ces pays qui seront
de plus en plus isolés.
Nous
avions grandement soupçonné l’Ukraine comme étant « l’esprit trouble »
de la prophétie « Grand Éclair à l’Orient » à plusieurs reprises :
Soit le 12 décembre 2020
«
Le temps a nourri un esprit trouble, à l'ombre de la croix rouge et
noire, inconnue de tous, fille des fugitifs de Nuremberg
» (expression utilisée par Jean XXIII pour les financiers derrières les
guerres; les banksters. Mais, il y a aussi l'Ukraine, qui en 2014
est infiltrée par le nazisme, ces descendants des nazis dont Hitler
avait peur durant la deuxième guerre mondiale).
« Elle a ourdi le crime contre elle-même Il y en a qui renoncent à la vie, par amour du mal. »
«
Ce qui se passe maintenant est le résultat de la politique de huit ans
de l'Occident, dans le but de créer un régime russophobe agressif sur
le territoire de l'Ukraine avec la légalisation des formations
néo-nazies.
"Nous travaillerons pour la démilitarisation et la dénazification de l'Ukraine" » (Poutine 23 février 2022).
Soit le 12 janvier 2020
« Nous le savons, l'Ukraine semble avoir un rôle déterminant dans les événements à venir. Pour Jean XXIII, Nuremberg n'est pas terminé.
Signe que nous sommes bien à la fin des temps, l'Ukraine assiste
présentement à la montée en puissance du ''fuhrer blanc'', au bataillon
Azov. » (en anglais: sott.net)
Soit le 18 décembre 2021
« L’année 2021 se termine dans
un atmosphère de tensions constantes au niveau géopolitique :
guerres Russie/États-Unis et alliés en Ukraine, Israël/Iran,
Chine/Taïwan et alliés, la question de la Biélorussie, …
Ce sont les rumeurs de guerres de la fin des temps. »
Rappelons nous les paroles du père Malachi Martin :
« Quel est le rôle de la Russie dans la Vision de Fatima ?
«
Très important. Si on croit à la Vision de Fatima, le salut du monde,
la guérison de tous ses maux, commencera en Ukraine et en Russie. C’est
pourquoi la Vierge avait autant parlé de la Russie, qui, la première,
devait être guérie de ses erreurs, car elle permettra ensuite au reste
du monde d’aller mieux et de guérir de ses péchés. C’est un message
très bizarre puisqu’on aurait pu croire que selon nous, occidentaux, le
salut du monde viendrait de l’Ouest.
Mais non.
Selon Fatima, notre salut
viendra de l’Est, et en particulier de l’Ukraine et de l’État russe, ce
qui est extraordinaire en soi. »
Puisque
le « Grand Éclair » est à l’Orient, notre attention doit donc se
tourner vers le soleil, qui se lève à l’est, par une intervention
divine (tempête solaire), ou par le fait que l’enjeu principal,
maintenant, c’est la Syrie ou l’Iran, ce qu’on appelle en jargon
biblique, Armageddon.
Les
tensions sont toujours aussi vives dans les négociations sur le
nucléaire iranien, et la patience d’Israël est à sa limite. Pendant que
la Russie s’occupe de l’Ukraine, Israël pourrait en profiter ou même
les alliés avec le port de Tartous en Syrie (lieu où sont basés les
russes).
Point
intéressant et surtout surprenant, la prophétie politique #23 de Jean
XXIII « le Concile d'Alexandrie » nous cet indice pertinant ou non,
nous le saurons éventuellement:
«
Israël qui trouve en ces jours une nouvelle terre autour de la cité aux
toits d'or. Il est temps de laver le sang de tes enfants. Israël
accourt dans la cité et la sauve. Finalement, l'étoile a six pointes. »
Kiev est une cité au toits d'or, tout comme Prague.
Le président et le premier ministre ukrainiens ont des origines juives.
À suivre de ce côté...
Pour l'instant, les deux clans majeurs judéo-maçonniques s’affrontent pour l’établissement du « messie peuple élu ».
C’est bien la fin des temps.
À
surveiller donc selon la prophétie de Jean XXIII : la mort d’un
chef d’État en Orient, et l’assassinat d’un chef d’État au sud des
États-Unis…
Avant le « Grand Éclair ».
Pour
les chrétiens, ces signes sont nécessaires et à la demande de Jésus, il
faut garder la tête froide, dans la prière avec le Rosaire, seul arme
valide.
C’est cette Espérance du retour du Christ qui s’accélère.
La chute de Babylone est nécessaire, comme indiquée dans l’Apocalypse.
22 février
Bergoglio
met de l’avant la synodalité comme la voie de l’avenir pour l’église,
mais agit au contraire en dictateur en proclamant Motu Proprio sur Motu
Proprio.
Quarante
neuf pour être exact. C’est le pape qui en a utilisé le plus, et de
loin, pour façonner l’église à sa main, ou la main de son maître…
C’est une autre preuve concernant le faux prophète ou l’antéchrist personnifié des derniers temps.
«
Andrea Gagliarducci s’interroge à son tour sur la prédilection du Pape
pour les « motu proprio » (*) et les rescrits, contredisant
son désir affiché de synodalité et de décentralisation… Le nombre
anormal de MP, en l’absence de Concile, dénote le manque total
d’implication de la Curie romaine dans le processus décisionnel (il est
souvent arrivé que les préfets de la Curie aient eu connaissance de la
mesure par le Bureau de presse) et une tendance dictatoriale marquée,
contraire à la « collégialité » tant vantée… Le troisième
indice est que le Pape n’a aucun scrupule à changer le droit canon
quand il en a besoin. Comme il le dit, il le fait pour promouvoir une
« saine décentralisation », mais, en prenant lui-même les
décisions, il concentre le pouvoir entre ses mains. Le pape
François est-il conscient de la contradiction qu’il crée par ses
actions ? Ou pense-t-il que ce n’est que de cette manière que les
anciens mécanismes peuvent être remis en question ? » (benoit-et-moi.fr)
Le Nouveau Motu Proprio qui
modifie la structure de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi
(CDF), et qui oriente ses intérêts vers le « progrès des sciences et le
développement de la société ».
Autant dire l’humanisme bergoglien.
« … La Section doctrinale, par
l’intermédiaire du Bureau doctrinal, s’occupe des questions relatives à
la promotion et à la protection de la doctrine de la foi et des mœurs.
Elle encourage également des études visant à accroître la compréhension
et la transmission de la foi au service de l’évangélisation, afin que
sa lumière soit un critère pour comprendre le sens de l’existence,
notamment face aux questions posées par le progrès des sciences et le
développement de la société.
La
« nouvelle » CDF est donc responsable d’une activité qui est en quelque
sorte promotionnelle (« encourager les études »), en particulier dans
le sens spécifié par le Motu Proprio : la Lettre Apostolique semble
indiquer aux théologiens dans quelles directions orienter la réflexion
scientifique, en indiquant également quelles sont les questions qui
sont considérées comme dignes d’une étude particulière, au service de
l’évangélisation. À cet égard, ce qui est particulièrement frappant,
c’est la volonté d’accroître la compréhension et la transmission de la
foi afin de comprendre le sens de l’existence (sic) surtout (notez le
surtout) face aux questions posées par les progrès de la science et
l’évolution de la société… » (benoit-et-moi.fr)
« CITÉ DU VATICAN (
LifeSiteNews ) – Le pape François a annoncé aujourd’hui une
réorganisation de la Congrégation pour la doctrine de la foi (CDF),
divisant les éléments doctrinaux et disciplinaires en deux parties
distinctes au milieu des rumeurs selon lesquelles il modifierait la
Congrégation pour devenir plus favorable aux LGBT ... »
(lifesitenews.com)
Le 11 février, Bergoglio a lancé le thème du jubilé de 2025:
La renaissance… comme la grande réinitialisation.
Et, « … une occasion de «contempler la beauté de la création et de prendre soin de notre maison commune». » (vaticannews.va)
Où est Jésus?
ET voilà!
Ce que nous anticipions depuis des années est arrivé. Les évêques ont les pleines compétences avec un nouveau Motu Proprio.
« Le Pape transfère aux évêques des compétences réservées au Saint-Siège
Avec
la publication d’un Motu proprio ce mardi 15 février, le Pape François
établit que les ordinaires des Églises locales pourront intervenir dans
la gestion des séminaires, la formation des prêtres, la rédaction des
catéchismes et dans d’autres domaines sans avoir besoin de
l’approbation du Vatican, mais d’une confirmation plus simple…. » (vaticannews.va)
La porte est donc grande
ouverte pour la conclusion du grand synode bergoglien: la messe pourra
être adaptée aux saveurs locales comme pour les autochtones amazoniens.
C’est la destruction voulue du corps mystique du Christ par l’élimination d’une « prière commune » vers le Père.
Un chaos spirituel orchestré.
Retour à la case départ avec chacun son dieu à son image.
C’est une autre manière d’enlever la présence réelle en désacralisant la messe.
Heureusement qu’il y a la Tradition.
10 février
Paix et Sécurité
«
Quand les hommes diront : " Paix et sûreté ! "
c'est alors qu'une ruine soudaine fondra sur eux comme la douleur sur
la femme qui doit enfanter, et ils n'y échapperont point. »
(Saint-Paul, Th.1, 5-3)
Sécurité, paix, facilité augmentée dans la vie quotidienne,…
Voici ce que nous réserve les
bonzes de la grande réinitialisation, copié sur le modèle chinois, dont
le passeport sanitaire n’est que la pointe de l’iceberg.
« Ma femme a du crédit » (vidéo).
Benoît XVI, en réponse aux dernières critiques (vatican.va)
fait référence à son départ, à son jugement, qu’il compare subtilement
au Jugement Dernier, donc du retour du Christ, sachant pertinemment ce
qu’il fait, le rôle qu’il occupe.
« Bientôt, je serai face au
juge ultime de ma vie. Bien que, regardant en arrière ma longue vie, je
puisse avoir beaucoup de motifs de frayeur et de peur, mon cœur reste
joyeux parce que j’ai confiance que le Seigneur n’est pas seulement le
juge juste mais, en même temps, l’ami et le frère qui a déjà souffert
lui-même mes manquements et qui, en tant que juge, est en même temps
mon avocat (Paraclet). À l’approche de l’heure du jugement, la grâce
d’être chrétien me devient toujours plus claire. Être chrétien me donne
la connaissance, bien plus, l’amitié avec le juge de ma vie et me
permet de traverser avec confiance la porte obscure de la mort. À ce
propos, me revient sans cesse à l’esprit ce que Jean rapporte au début
de l’Apocalypse : il voit le Fils de l’homme dans toute sa grandeur et
tombe à ses pieds comme mort. Mais Lui, posant sur lui sa main droite,
lui dit : « Ne crains pas ! C’est moi…. » (cf. Ap 1, 12-17)… »
Mais,
le bout important est ceci, juste avant ce paragraphe, celui qui donne
l’indice qu’il est fort bien au courant de ce qui se passe dans
l’Église:
«
Je comprends de plus en plus la répugnance et la peur que le Christ a
ressenti sur le Mont des Oliviers quand il a vu tout ce qu’il allait
devoir vaincre intérieurement. Que les disciples dorment à ce
moment-là, représente malheureusement la situation qui, aujourd’hui
encore, se reproduit, et par laquelle je me sens aussi interpellé.
Ainsi, je ne peux que prier le Seigneur, les anges et tous les saints
et vous aussi, chers frères et sœurs, de prier pour moi le Seigneur
notre Dieu. »
La dernière photo de Benoît XVI juste avant la publication de sa lettre (benoit-et-moi.fr) est avec le chasuble rouge pour la première fois, symbole des martyrs!
À
l’aube du début de la 9ème année de la démission (demain), il fait
référence à la 9ème heure, au Mont des Oliviers, pour la « Gloire de
l’olive », du fait qu’il ne lui reste pas beaucoup de temps.
7 février
Partout
dans le monde, la crise du Covid-19 provoque une scission qui n’est que
l’ultime révélation de ce monde aux valeurs inversées, voulues par
Satan, voulue par la judéo-maçonnerie…
Ces deux pôles, pour ou contre la vaccination, sont le reflet du travail dans l’ombre qui n’a émergé que récemment...
Afin de mieux contrôler la masse, en créant l’ordre à partir du chaos.
C’est là que le « wokisme » a été mis à l'avant plan.
On le propose que comme seule voie du salut, à la place du Verbe Incarnée.
Signe donc des derniers instants avant la chute de Babylone.
Tout comme toutes ces attaques contre Benoît XVI dans les dernières semaines.
Satan procède toujours ainsi. Il séduit… Il ment… puis il sacrifie ses propres troupes pour les envoyer à la mort suprême.
«
Mais pourquoi l’idéologie woke, notre nouveau maître, s’empare-t-elle
du cœur et de l’esprit de tant de personnes, en particulier des jeunes
?
Une
raison simple : parce qu’elle s’est imposée comme une “religion” de
substitution au christianisme et qu’elle apporte aux gens des réponses
aux questions de sens. Mering déclare :
“Bien que ses racines et son
histoire soient athées, l’idéologie woke prend la manière et les
caractéristiques d’une religion fondamentaliste. Il a des dogmes et des
dénonciations. Il remplace la lutte contre le péché par des séances de
lutte. Sa vision est messianique, ses dogmes indiscutables. Mais plutôt
qu’une fin éternelle, elle trouve et administre le salut et la
damnation dans ce monde.”.. » (lesalonbeige.fr)
Le « wokisme » est un fourre tout qui permet un « œcuménisme » d’apostats de la bête de la terre.
Du côté de la bête de la mer, c’est l’œcuménisme religieux qui est avancé.
Le premier est poussé par les politiciens, le second par Bergoglio et ses sbires.
Les deux ont une visé commune:
ceux qui ne font pas parti de ce nouvel ordre, sont maintenant les «
terroristes » du nouveau système, système évidement aux valeurs
inversées.
La tradition est donc hors norme, de même que les gens dits « normaux » (les croyants, les couples hommes-femmes, etc…)
« Tenir fermement aux fausses
interprétations des croyances du passé, c’est en même temps se battre
contre le progrès de l’Humanité. » S. Monast
D'où
le fait que Bergoglio terrorise les traditionnalistes et ceux qui
tiennent à la doctrine de l'Église Sainte et Apostolique.
« Le nouveau critère sera
ainsi défini : Les vrais chrétiens seront ceux qui partageront toutes
les croyances religieuses du Nouvel Ordre Mondial en tant que nécessité
de base pour la survie de l’humanité. » (Serge Monast, Le Complot des
Nations-Unies contre la Chrétienté,1995)
Nous vivons les derniers moments de cette illusion gigantesque dont Saint-Paul nous avait averti :
« C'est pourquoi Dieu leur
envoie des illusions puissantes qui les feront croire au mensonge, en
sorte qu'ils tombent sous son jugement tous ceux qui ont refusé leur
foi à la vérité, et ont au contraire pris plaisir à l'injustice. »
Foi, Espérance et Charité demeurent toujours les piliers sur lesquels les vrais chrétiens doivent s’appuyer.
Et la clé, c'est la Vierge Marie.
Prière à Notre-Dame du Perpétuel Secours
«O sainte Vierge Marie, qui,
pour nous inspirer une confiance sans bornes, avez voulu prendre le nom
si doux de Mère du Perpétuel Secours, je vous supplie de me secourir en
tout temps et en tout lieu, dans mes tentations, après mes chutes, dans
mes difficultés, dans toutes les misères de la vie, et surtout au
moment de ma mort.
Donnez-moi, ô charitable Mère,
la pensée et l’habitude de recourir toujours à vous, car je suis sûr
que si je vous invoque fidèlement, vous serez fidèle à me secourir.
Procurez-moi donc cette grâce des grâces, la grâce de vous prier sans
cesse et avec la confiance d’un enfant, afin que, par la vertu de cette
prière fidèle, j’obtienne votre Perpétuel Secours et la persévérance
finale.
Bénissez-moi, ô tendre et secourable Mère, et priez pour moi, maintenant et à l’heure de ma mort. Ainsi soit-il. »
Janvier 2022
17 janvier
Complément aux analyses du 8 et 18 décembre 2021
« La terre frisera le massacre. Un seul mourra pour tous et il était le meilleur. » (prophétie politique Grand Éclair à l’Orient).
Guerre en Ukraine? Grand éclair à l’Orient? Corée du Nord? Iran?..
Le choix ne manque pas présentement.
« Un seul mourra pour tous »
TOUS.
Qui est le seul personnage qui peut se vanter de représenter toute la population de la terre?
Le vicaire du Christ établi par la succession des apôtres.
Ici, Benoît XVI.
« Il était le meilleur »
Pour être classifié de « meilleur », il faut évidement qu’il y ait au moins deux personnes à comparer.
C’est une allusion évidente au fait qu'il a été mis de côté, qu’il y a un « faux vicaire du Christ » sur le trône.
Bergoglio a laissé tomber son titre de vicaire du Christ.
Comme prophétisé dans l’Apocalypse.
« Et l'ange me dit : " Pourquoi t'étonner ? Moi je vais te dire le mystère de la femme (l’église, le Vatican) et de la bête qui la porte (la franc-maçonnerie via l’outil communisme/socialisme), et qui a les sept têtes et les dix cornes.
La bête que tu as vue était et n'est plus
(le communisme, soit la menace donnée par la Sainte Vierge à Fatima, en
référence à la chute du régime soviétique, à la fin de la guerre
froide, installant la fausse paix prophétisée); elle
doit remonter de l'abîme, puis s'en aller à la perdition. Et les
habitants de la terre, dont le nom n'est pas écrit dès la fondation du
monde dans le livre de la vie, seront étonnés en voyant la bête, parce
qu'elle était, qu'elle n'est plus, et qu'elle reparaîtra. (ce
que nous voyons maintenant avec la montée en puissance du mondialisme,
en fait tout ce qui est en « isme » : modernisme, communisme,
wokisme, capitalisme, matérialisme athée, multiculturalisme,
totalitarisme, etc. Menaces grandement combattues par les papes
pré-Vatican II)
C'est ici qu'il faut un esprit doué de sagesse. — Les sept têtes sont sept montagnes (Rome), sur lesquelles la femme (église) est assise. Ce sont aussi sept rois (papes depuis Latran en 1929):
Les
cinq premiers sont tombés, l'un subsiste, l'autre n'est pas
encore venu, et quand il sera venu, il doit demeurer peu de temps. (Donc
la clé pour démarrer le compte est celui qui « subsiste », c’est à dire
Benoît XVI. Cinq papes avant lui donc depuis l’État du Vatican (donc
des rois temporels) en 1929. S’ensuit Bergoglio, qui doit demeurer peu
de temps : C’est ce qui est confirmer dans la prophétie de Jean
XXIII le concernant : « Ton règne sera grand et bref »)
Et la bête qui était et qui n'est plus, en est elle-même un huitième et elle est des sept, et elle s'en va à la perdition.
(Ap. 17, 7-11) (Et Bergoglio, qui représente la bête marxiste
socialiste, est le septième pape, mais il a décidé d’abandonner son
titre de vicaire du Christ, ET, d’abandonner son titre de pape en
décidant qu’il n’était, dans son idée de collégialité, que l’évêque de
Rome (en référence aux sept collines). Il est devenu le huitième, la
bête cachée derrière le titre de pape, et qui s’en va à la perdition)
Revenons à Benoît XVI qui « mourra pour tous » dans ce temps si critique.
Sa seule action possible vu sa
situation et son âge est la prière, car toute la question actuelle
n’est qu’une guerre pour les âmes menée par Satan.
C’est ce qui est en jeu : l’âme.
Et la seule arme on le sait, est la prière, particulièrement le Rosaire.
On sait aussi que Benoît XVI est le probable Saint va nu pieds des prophéties de l’Église.
Donc, le décès imminent de
Benoît XVI est en lien direct avec la prophétie « Grand Éclair à
l’Orient », où de surcroît, un roi essaie de s’établir sur le trône de
l’Europe (fort probablement Emmanuel Macron).
Les prochains mois seront donc riches en révélations concernant ces deux prophéties.
Le calendrier de la fin des
temps (voir 29 novembre 2021) nous confirme que l’année 2022 est
probablement la fin de la sixième période de l’Apocalypse.
C’est un passage, un rite, avant la mort de l’Antéchrist et la chute des deux Babylone.
Ce rite dans le temporel est représenté par la haine que Bergoglio (donc Satan) porte envers la Tradition.
Des rumeurs proclament que d’autres restrictions à son Motu Proprio Traditionis Custodes s’ajouteront en février.
Les progressistes du Vatican
forcent donc la main, dans une dernière tentative, pour la messe de
Paul VI, le « nouveau rite » de Vatican II, mais associé au paganisme
dont on veut le retour en force.
Et, c’est sans considérer la perte du « sacré » du sacerdoce qui s’annonce :
« Une théologie et une pratique de la mort du sacerdoce
Par L’ABBÉ CLAUDE BARTHE
«
L’Église est à bout de souffle » : c’est le message, pour une part
correspondant à la réalité, pour une part fabriqué, que veut donner, en
France, en Allemagne, ailleurs, le battage médiatique intense autour
des scandales des abus sexuels. Et le message se poursuit : elle doit
donc se réformer structurellement en se purifiant de tout cléricalisme
dans un mode de fonctionnement plus démocratique, plus synodal.
Il ne s’agit pas de nier que
le cléricalisme soit néfaste, si on l’entend de l’arrogance de certains
clercs oubliant que leur « part d’héritage », kleros en grec, est
d’abord le ministère et le service. Mais le terme, utilisé comme un
slogan et de manière dépréciative, fait en réalité écho aux principes
idéologiques de la société moderne, toujours plus sécularisée. Et comme
à l’époque de Gambetta et de son cri : « Le cléricalisme, voilà
l’ennemi », c’est le sacerdoce catholique qui est visé.
Une théologie de l’effacement du sacerdoce
Comme
on a connu des théologies de la mort de Dieu, qui avalisent «
religieusement » l’athéisme ou l’agnosticisme contemporain[1], on
pourrait parler d’une théologie de la mort du sacerdoce donnant une
caution « catholique » à l’effacement du sacerdoce dans la société. Les
théologiens qui s’y emploient explorent deux types de réflexion, qui ne
s’excluent pas mais se complètent.
–
La perspective synodale consiste à faire que presbytérat et épiscopat
soient pour le peuple de l’Église locale concrète et émanant de lui. Le
P. Hervé Legrand, op, est un bon représentant de cette visée[2]. Il
convient de sortir de la figure administrative qu’a revêtue, selon lui,
un clergé fonctionnarisé et de retrouver sa conception traditionnelle,
ce qu’on lui accordera volontiers, sauf à discuter sur la manière de
revenir à la tradition. Il voudrait pour sa part retrouver le modèle de
l’organisation ecclésiastique du début du IIIe siècle, qu’on peut
deviner à travers la Tradition apostolique d’Hippolyte de Rome.
L’Église locale, explique-t-il, était une communauté présidée par un
évêque, seul véritable prêtre, entouré de quelques presbytres, qui
n’étaient pas encore des sacerdotes. Cette communauté choisissait son
pasteur, duquel il n’était pas exigé d’état de vie spécial (célibat).
Selon Hervé Legrand, on pourrait revenir à cette organisation en
s’inspirant de la manière dont on choisit les diacres permanents :
l’Église locale se demanderait de quel type de pasteurs elle a besoin,
les appellerait et leur ferait donner une formation locale en phase
avec la culture et les nécessités concrètes, sans les obliger
nécessairement au célibat. Les pasteurs, dans cette perspective
synodale, naîtraient en quelque sorte du Peuple de Dieu pour
l’accompagner dans sa mission, et le sacerdoce ministériel apparaîtrait
comme une émanation et un service du sacerdoce des fidèles.
–
La perspective de « pluriministérialité » (Henri-Jérôme Gagey, Céline
Baraud) cherche à intégrer, pour ne pas dire à noyer, le sacerdoce dans
un foisonnement de ministères laïcs issus des charismes du Peuple de
Dieu[3]. A l’origine a été un article du P. Joseph Moingt, sj : «
L’avenir des ministères dans l’Église catholique »[4], qui parlait de
la possibilité de « distribuer à d’autres ministres, et notamment à des
laïcs, tout ou partie des fonctions jusqu’ici exercées par des prêtres
».
Le
P. Christoph Theobald, sj, qui joue actuellement un rôle très actif
dans les commissions préparant l’assemblée du Synode sur la synodalité,
avec des théologiens comme Arnaud Join-Lambert (Suisse), Alphonse
Borras (Belgique), Gilles Routhier (Québec), imagine l’avenir comme
ceci[5] : en Europe de l’Ouest, les prêtres fort rares de demain
devront être des « prêtres-passeurs », la plupart du temps itinérants,
qui éduqueront les chrétiens à la foi, feront mûrir leur sens des
responsabilités, puis s’effaceront ; des ministres laïcs stables
prendront le relais sur le terrain, et assureront une « présence
d’Église », dans la gouvernance des communautés, dans le service de la
Parole (prédication, catéchèse, animation de la liturgie, écoute qui
pourrait entre autres doubler ou suppléer le sacrement de pénitence),
dans l’hospitalité (accueil, rencontres). Les « prêtres-passeurs »
pourront d’ailleurs être repérés et choisis par les communautés parmi
ceux qui assureront ces ministères pluriels. Et plutôt qu’une formation
spécialisée dans des séminaires, l’ensemble de ces acteurs et même
l’ensemble de la communauté pourra bénéficiera d’une formation
permanente.
Une laïcisation du personnel ecclésiastique… » (resnovae.fr)
L’autre intérêt qui laisse croire à ce futur pas très lointain est le symposium sur le sacerdoce 2022:
«
Accroître les vocations au sacerdoce, améliorer la façon dont les laïcs
et les prêtres travaillent ensemble et faire en sorte que le service,
et non le pouvoir, motive la demande d’ordination sont autant de
résultats possibles d’un grand symposium prévu par le Vatican en
février 2022.
«Un
symposium théologique ne prétend pas offrir des solutions pratiques à
tous les problèmes pastoraux et missionnaires de l’Église, mais il peut
nous aider à approfondir les fondements de la mission de l’Église», a
déclaré le cardinal québécois Marc Ouellet, préfet de la Congrégation
pour les évêques et principal organisateur du symposium prévu du 17 au
19 février 2022.
Le
symposium, intitulé Vers une théologie fondamentale du sacerdoce, vise
à encourager une compréhension du sacerdoce ministériel enracinée dans
le sacerdoce de tous les croyants conféré par le baptême, en
s’éloignant de l’idée que le ministère ordonné appartient au «pouvoir
ecclésiastique», a déclaré le cardinal lors d’une conférence de presse
le 12 avril… »
Mais le véritable rite avant le dévoilement du 7ème sceau, c’est la Pâques.
À l’image de la Pâques juive, le Christ a subi sa Pâques, tout comme l’Église doit la subir comme il a été prophétisé.
À
l’image du Christ méconnaissable après les tortures qu’on lui a
infligés, parce que ses marques représentaient tout le mal et les
péchés qu’il y avait dans ses bourreaux, l’Église actuelle est revêtue
de tous les péchés de cette pauvre humanité, et est donc méconnaissable
également.
C’est la coquille de la Rome conciliaire comme Jésus dans son humanité visible.
Mais, l’Église par la
Tradition, reste pure dans son âme, comme l’âme de Jésus a toujours été
pure et connectée au Père, même en subissant les supplices.
Et c’est justement cette âme qui a permis au corps du Christ de ressusciter.
Ainsi il en sera de même pour l’Église.
C’est là le mystère d’Iniquité à l’œuvre.
C’est la prophétie concernant Benoît XVI.
Février risque d’apporter quelques nouvelles clés.
01 janvier
2022 : LE SAINT AUX PIEDS NUS DESCEND DU MONT?
Le seul obstacle qui retient
Bergoglio quant à sa tentative de l’élimination de la présence réelle
dans une nouvelle messe œcuménique est Benoît XVI.
Cette élimination correspond à l’arrêt du sacrifice et l’oblation du prophète Daniel, à la moitié de la semaine de 7 ans.
Prenant l’hypothèse que cette
semaine correspond au 7 années de la fille de Caïn débutant le 20
août 2018 (voir analyse des prophéties politiques à propos de Greta
Thunberg), et se terminant en 2025 juste avant la prophétie du retour
du Lys de Don Bosco en 2026.
Le 20 août est la date
précédant la fête de Saint-Pie X, qui a un rôle hyper important dans
cette fin des temps, en référence à la tradition, les deux témoins, la
FSSPX…
Surtout depuis la parution du
Motu Proprio Traditionis Custodes, qui continue de faire des vagues
(certaines rumeurs affirment que de nouvelles restrictions auront lieu
en février).
La moitié de la semaine de Daniel donc serait autour de février 2022.
Est-ce que Benoît XVI est l’image de l’Église vivant sa neuvième heure à l’image du Christ sur la croix?
Car le 11 février 2022 débute la neuvième année depuis la démission de Benoît XVI, le protecteur de la présence réelle.
La journée même de cette démission, rappelons nous, la foudre frappa le dôme de la basilique Saint-Pierre (vidéo).
En
2005, à son élection, nous devions considérer la lutte interne révélée
peu après, entre Benoît XVI et son secrétaire d’État, le cardinal
Bertone, qui rêvait de lui succéder.
« Deux frères et personne ne sera le vrai Père. La Mère sera veuve. » (prophétie concernant Benoît XVI).
Mais beaucoup plus tard, nous avons la preuve que nous étions en présence de deux prétendant au trône de Saint-Pierre :
François : simple évêque de Rome comme il l’affirme.
« Il n’en demeure pas moins
que Bergoglio a toujours manifesté une certaine allergie envers les
appareils extérieurs catholiques : il ne s’agenouille jamais devant le
Saint-Sacrement, il ne porte pas les armoiries pontificales à la
ceinture, il a renoncé au titre de Vicaire du Christ, il refuse le
baiser de l’anneau, il ne vit pas au Palais apostolique et ne va pas à
Castel Gandolfo l’été: comme s’il voulait nous dire lui-même qu’il
n’est pas le pape. »
Et Benoît XVI: comme pape
émérite ayant démissionné de sa charge administrative du Vatican, et
non comme pape, qui reste saint, comme le saint aux pieds nus dans sa
simplicité, dépouillé de tout, dans sa prison au monastère Mater Ecclesiæ sur le mont au Vatican.
En effet, le monastère Mater Ecclesiæ, qui tient son nom de l'expression latine Mater Ecclesiæ qui signifie « Mère de l'Église », est sur un mont au jardin du Vatican.
C’est très significatif en ce qui concerne la fin des temps.
« Alors
le saint aux pieds nus descendra du mont et, devant la tombe du
va-nu-pieds, éclatera le règne béni de la Très Sainte Vierge. » (fin de la prophétie concernant Benoît XVI)
Au décès de Benoît XVI, devant
la tombe de Jean-Paul II, c’est à dire lors des funérailles (4 jours
après le décès), nous assisterions à la « résurrection des deux témoins
», l’appel à Marie qui renaîtra dans les cœurs.
Le mot utilisé est « éclatera ».
C’est vite. C’est gros.
Quel sera l’acte significatif?
Une apparition de la Sainte-Vierge? Le décès foudroyant de Bergoglio
célébrant la messe funéraire?
La prophétie suivante, celle
concernant Bergoglio, a été influencée dans son analyse par ce qu’en
déduisait l’auteur du livre, Pier Carpi (voir son analyse).
Mais une toute autre
interprétation est possible, en tenant compte du fait que Benoît XVI
est toujours vivant, maintenant, pendant le règne de François.
Avec cette perspective en
tête, on réalise que les trois prophéties de Jean XXIII concernant
Jean-Paul II, Benoît XVI, et François sont interreliées, et non des
événements se produisant à la suite de l’autre comme la suite des papes
précédents du livre de Pier Carpi.
« Ton
règne sera grand et bref. Père, il sera bref mais il te mènera loin,
dans la lointaine terre où tu es né et où tu seras enseveli. » (prophétie concernant François)
Cette prophétie s’adresse évidement à Bergoglio.
Lors de son décès, « A Rome ils ne voudront pas te donner. ».
Évidement, car il est la figure de proue de l’église conciliaire progressiste.
C’est
Rome qui ne veut pas le donner, et non l’Église de la Tradition, qui au
contraire, y verra une libération, la résurrection de la foi via
la résurrection des deux témoins!
« Et il y aura un autre Père, avant que tu sois enseveli, pour prier loin pour toi, pour les blessures de la Mère. »
« Avant que tu sois enseveli » ne veut pas nécessairement dire qu’il est mort.
C’est un ordre de temps : AVANT
La
conclusion évidente est qu’un autre pape serait immédiatement élu après
le décès de Bergoglio, anticipant même une consécration immédiate du
cardinal Pietro Parolin, sans conclave, face à la situation
exceptionnelle qui arrivera (i.e. la terre frisera le massacre).
Mais
Parolin ne serait pas Père. Il dirigerait l’église, en tant que
secrétaire d’État (pas de conclave suite au décès inattendu de
Bergoglio dans un situation critique: Pandémie? Confinements? Guerre?
Invasion russe de Rome?) dans sa dernière tribulation qui mène à la
destruction physique de Rome, comme Jérusalem a été détruite en 70.
C’est le Petrus Romanus de la fin de la prophétie de St-Malachie.
MAIS, cela pourrait aussi être Benoît XVI qui vit au monastère Mater Ecclesiæ,
qui effectivement, connaissant la situation critique dont nous avons
discuté plus haut, ne fait que prier et être le chien de garde de
l’Église, le katéchon.
Alors « Mikail et Jean descendront sur terre. »
C’est la fin du sixième sceau et de la sixième trompette.
C’est le prologue à la prochaine prophétie, le septième sceau.
« Le grand frère d'Orient fera trembler le monde par la croix renversée sans les lis. »
On
pense toujours à un membre du clergé (les cardinaux sont frères dans
les prophéties concernant l’Église), ou d’un dirigeant religieux
musulman.
Mais,
« frère d’Orient » et « judéo-maçonnerie » sont des termes très liés,
et surtout à la solde de Satan, à la croix renversée sans les lis.
Dans
cette fin des temps, c’est bien la franc-maçonnerie qui jubile en
faisant trembler le monde par sa grande réinitialisation, les rumeurs
de guerres, et surtout la pandémie!
La croix renversée avec les lis, c’est Saint-Pierre.
Sans les lis, c’est Lucifer devenu Satan.
Lucifer,
c’est selon plusieurs interprétations occultes, celui qui préside à
l’Orient, associé à la planète vénus, au pentagramme.
Alors que le vrai Fils d’Orient est le Christ.
Veni, veni, o Oriens
Viens, viens ô Orient
Réconforte nous par ton avènement ;
Repousse les brouillards de la nuit
Et les ténèbres sinistres de la mort. (Veni, veni Emmanuel – hymne de l’Avent.)
« Le nouveau Père ira vers lui mais laissera la Mère orpheline. »
Non
pas le nouveau père qui prie pour les blessures de la Mère, blessée à
mort par le progressisme œcuménique post Vatican II, mais le nouveau
père élu, qui a fait mourir les espoirs placés en lui le soir du 13
mars 2013, en plongeant finalement l’église dans le marxisme
socialiste, l’outil cher à la judéo-maçonnerie.
Bergoglio a bel et bien laissé la mère, l’Église de la Tradition, isolée, orpheline.
Rome
est très fière de sa nouvelle approche synodiale, pour et par le
peuple, pour « vivre » la nouvelle église des pauvres, église
politisée, église socialiste marxiste, vendue à la judéo-maçonnerie par
son Judas.
Trop tard nous avons été
témoins de ses actions, et sa renonciation au titre de vicaire du
Christ a confirmé le tout : Rome est devenu le siège de
l’Antéchrist!
Lorsque le 7ème sceau est ouvert à la prophétie suivante, c’est la précipitation dans le feu purificateur.
« La longue paix fera oublier les erreurs passées. Elle fera oublier le grand frère crucifié renversé… »
La longue paix après 1945 et
surtout la période post-Vatican II en ce qui concerne l’Église, a fait
oublié le grand frère crucifié renversé, c’est à dire Saint-Pierre.
C’est le signe de l’apostasie généralisée.
« Où croyez-vous fuir, maintenant que vous avez détruit les Églises et tué le dernier Père ? » confirme la prophétie.
Non pas Bergoglio. Non pas un autre pape (comme nous anticipions le cardinal Pietro Parolin).
Mais Benoît XVI. Qui est assassiné à petit feu.
C’est là le mystère d’iniquité
qui se révèle petit à petit, une branche saine et l’autre pourrissant,
avec chacun son représentant à sa tête.
Louise de Jésus : « au
septième sceau, l’Archange saint Michel tuera de son souffle
l’Antéchrist, « qui tombera mort au milieu de ses
partisans. Et alors les grands châtiments commenceront à
pleuvoir sur la terre, la famine, la peste, une terrible guerre sur mer
et sur terre, puis un embrasement qui sera l’œuvre de la secte impie et
incendiaire. »
Au septième sceau, c'est la mort du système Antéchrist et de ses deux bêtes, celle de la mer, et de la terre.
Il est intéressant de
constater (voir analyse générale; Jean-Paul I ne comptant pas)
maintenant qu’il y a bien eu trois pape depuis la mort de Jean XXIII,
le dernier, Bergoglio, ayant renoncé à tout ce qui le qualifiait de
pape, et qu’il est le faux prophète, l'antéchrist personnifié des
tribulations.
Constatons aussi que (selon
les devises de la prophétie de St-Malachie) nous sommes en présence des
deux papes la « labeur du soleil » et la « gloire de l’olive ».
Nous savons donc que le soleil
aura une part importante à jouer dans la chute technologique de
Babylone (le miracle du soleil à Fatima en 1917) et que les « deux
témoins » sont les « deux oliviers » qui ressusciteront.
La clé, le moment critique où tout bascule, est le décès de Benoît XVI.
Un événement spectaculaire
aurait lieu à ses funérailles, devant la tombe de Jean-Paul II, située
à la chapelle Saint-Sébastien, à l’entrée de la basilique Saint-Pierre.
Ce n’est donc qu’une question de temps, d’un très court temps...
Décembre 2021
28 décembre
LE SAINT AUX PIEDS NUS
« Alors
le saint aux pieds nus descendra du mont et, devant la tombe du
va-nu-pieds, éclatera le règne béni de la Très Sainte Vierge.
Écoutez ses paroles. »
Dans l’analyse de la prophétie
de Jean XXIII concernant Jean-Paul II, nous avions identifié le
personnage du dalaï lama comme le probable « saint aux pieds nus » de
la prophétie.
Les années de pontificat Benoît XVI/François, nous donnent matière à réfléchir quant à l’identification du « saint ».
Bergoglio est l’Antéchrist sur
le trône prophétisé à La Salette, celui qui correspond au fils de la
perdition de Saint-Paul :
« Que personne ne vous égare
d'aucune manière ; car auparavant viendra l'apostasie, et se
manifestera l'homme de péché, le fils de la perdition,l'adversaire qui
s'élève contre tout ce qui est appelé Dieu ou honoré d'un culte,
jusqu'à s'asseoir dans le sanctuaire de Dieu, et à se présenter comme
s'il était Dieu. » (Thes. 2, 3-4)
Bergoglio est celui qui s’élève contre la tradition, nous en avons eu les preuves évidentes et certaines en 2021.
Il s’est déifié au point de se
prendre pour Dieu afin de résoudre tous les problèmes de la planète:
problèmes économiques, migration, pauvreté, réchauffement climatique,
etc.
Benoît XVI, c’est celui-ci :
« Et maintenant vous savez ce
qui le retient, pour qu'il se manifeste en son temps. Car le mystère
d'iniquité s'opère déjà, mais seulement jusqu'à ce que celui qui le
retient encore paraisse au grand jour. » (Thes. 2, 6-7)
Les actes posés par chacun de
ces derniers nous confirment que nous sommes en présence du katéchon
(Benoît XVI) et du destructeur de l’église (Bergoglio).
La prophétie de mai 2026 de
Don Bosco pour le retour du Lys comme échéance nous confirme aussi
qu’il reste peu de temps avant le Jugement.
Pieds nus, va-nu-pieds… Deux termes qui portent à confusion et qui suggèrent le voyage, les pèlerinages, etc.
Alors que, cela signifie aussi simplicité, oubli de soi pour l’amour des autres, sacrifice, celui qui n’a rien...
Comme Saint-Benoît qui a renoncé à tout.
La sainteté dans l’église catholique exprime l'état de communion avec Dieu, dans l'Église, par le baptême.
Alors, le dalaï lama peut-il être saint?
Évidement que non selon cette définition.
Il ne répond pas à cette condition car le seul chemin menant au Père, c’est le Christ.
De manière concise, la
« sainteté » s'exprime comme le désir et
la vocation de tout homme à rejoindre
le Christ dans un état de communion. Il s'agit, selon
l'Évangile, d'une action impossible à l'être humain mais pas
à Dieu et qui se fait par la collaboration de l'être humain à
l'action divine dans le monde. Le « saint » est donc toute
personne qui parvient à cette proximité.
Les saints au sens strict sont
ceux qui, comme « le bon larron » à qui le Christ
dit : « Aujourd'hui, tu seras avec moi
au Paradis », ont atteint la béatitude éternelle, contemplent
Dieu au Ciel et intercèdent pour les êtres humains
ici-bas.
Benoît XVI est le bon larron.
Après avoir suivi Jean-Paul II
dans le mensonge avec la révélation du troisième secret de Fatima en
2000, et lorgné du côté de la mondialisation au tout début de son
mandat, il a vite réalisé la corruption intérieure de l’Église et a
préféré démissionné de sa charge administrataive pour la protéger.
Il est devenu le bon larron, le katéchon.
Il est fort probablement le saint aux pieds nus.
Un petit rappel qui révèle la sainteté, et sa condition de « pieds nus ».
Le Cardinal Joseph
Ratzinger est né à Marktl am Inn, dans le diocèse de Passau
(Allemagne), le 16 avril 1927, soit un samedi saint.
Le 25 novembre 1981,
quatre ans et demi après leur première rencontre, Jean-Paul
II nomme le cardinal Ratzinger préfet de la congrégation pour
la doctrine de la foi.
Il devient le conseiller et
ami fidèle de Jean-Paul II qui le veut à ses côtés jusqu’à la fin. Un
simple et humble ouvrier dans la vigne du Seigneur.
« Donner
un nom sacré aux choses sacrées, donner un nom profane aux choses
profanes. Dans ta maison tu recevras un saint aux pieds nus » (prophétie concernant Jean-Paul II).
Benoît en latin, Benedictus , veut dire béni de Dieu.
Saint-Benoît est le « Patron de l’Europe ».
Sa parole de Vie : « Ne rien préférer à l’amour du Christ ».
Le cardinal Ratzinger avait
l’habitude de dire qu’en tant que préfet de la Congrégation pour la
Doctrine de la Foi, sa tâche était de défendre la foi des simples
contre les doctrines ambiguës et erronées de ceux que l’on appelle les
sages de ce monde.
Il a toujours insisté pour avoir le droit de publier ses livres malgré que plusieurs voulaient et veulent le faire taire.
Et on pourrait ajouter
aujourd’hui, qu’il nous défend contre les errances de Bergoglio, ce
qu’il fait à merveille via les préfaces qu’ils signent dans les
nombreux livres à des moments opportuns (rappelez vous le livre du
cardinal Sarah après le synode amazonien, qui a forcé Bergoglio à
reculer).
Le cardinal Ratzinger EST le gardien de la foi encore aujourd’hui.
Ce qui est impossible pour le préfet actuel sous la garde de Bergoglio, qui a les mains liées.
«Coopérateur de la vérité», comme le spécifiait sa devise épiscopale.
« Il y a ensuite une autre
clef qui permet une lecture complémentaire de la personnalité du
Saint-Père et qui ne peut être négligée: le nom qu’il s’est choisi,
Benoît. Qui, en effet, plus que saint Benoît de Norcia incarne cette
synthèse entre contemplation et action, laquelle a donné une juste
réponse à la grande crise du passage entre l’Empire romain et ce qui
allait devenir l’Europe?
Aujourd’hui, nous sommes dans
une autre longue période de transition historique. Celle-ci a culminé
de façon tragique en Europe, au XXe siècle, et se dirige vers une fin
encore mal définie, qui ne sera certainement pas eurocentrique mais
bien plutôt globale. » cardinal Tarcisio Bertone (benoit-et-moi.fr)
«
En la personne de Benoît XVI c’est un chef d’Église aux principes
clairs et à la volonté forte qui est monté sur la scène de la politique
mondiale. Le nom de pape qu’il s’était choisi, Benoît, indique qu’il
portait sur son temps un diagnostic pessimiste, comparant la situation
actuelle et la décadence qui caractérisait la romanité tardive à
l’époque de saint Benoît. Déjà, dans l’homélie qu’il avait prononcée à
la veille de son élection, le 18 avril 2005, il avait pris clairement
position à ce sujet. » (chiesa.espresso.republica.it)
Cette partie du sermon avant le conclave de 2005 :
«
Combien de vents de la doctrine avons-nous connus au cours des
dernières décennies, combien de courants idéologiques, combien de modes
de la pensée... La petite barque de la pensée de nombreux chrétiens a
été souvent ballottée par ces vagues - jetée d'un extrême
à l'autre: du marxisme au libéralisme, jusqu'au
libertinisme; du collectivisme à l'individualisme radical; de
l’athéisme à un vague mysticisme religieux; de l'agnosticisme au
syncrétisme et ainsi de suite. Chaque jour naissent de nouvelles sectes
et se réalise ce que dit saint Paul à propos de l'imposture des hommes,
de l'astuce qui tend à les induire en erreur (cf. Ep 4, 14).
Posséder une foi claire, selon le Credo de l’Église, est souvent défini
comme du fondamentalisme. Tandis que le relativisme, c'est-à-dire se
laisser entraîner "à tout vent de la doctrine", apparaît comme l'unique
attitude à la hauteur de l'époque actuelle. L'on est en train de mettre
sur pied une dictature du relativisme qui ne reconnaît rien comme
définitif et qui donne comme mesure ultime uniquement son propre ego et
ses désirs.
Nous
possédons, en revanche, une autre mesure: le Fils de Dieu,
l'homme véritable. C'est lui la mesure du véritable humanisme. Une foi
"adulte" ne suit pas les courants de la mode et des dernières
nouveautés; une foi adulte et mûre est une foi profondément enracinée
dans l'amitié avec le Christ. C'est cette amitié qui nous ouvre à tout
ce qui est bon et qui nous donne le critère permettant de discerner
entre le vrai et le faux, entre imposture et vérité. Cette foi adulte
doit mûrir en nous, c'est vers cette foi que nous devons guider le
troupeau du Christ. Et c'est cette foi, - cette foi seule - qui crée
l'unité et qui se réalise dans la charité. Saint Paul nous offre à ce
propos - en contraste avec les tribulations incessantes de ceux qui
sont comme des enfants ballottés par les flots - une belle
parole: faire la vérité dans la charité, comme formule
fondamentale de l'existence chrétienne. Dans le Christ, vérité et
charité se retrouvent. Dans la mesure où nous nous rapprochons du
Christ, la vérité et la charité se confondent aussi dans notre vie. La
charité sans vérité serait aveugle; la vérité sans charité serait comme
"cymbale qui retentit" (1 Co 13, 1). » (vatican.va)
Benoît XVI, plus que quiconque au Vatican, comprenait l’enjeu pour l’Église, à la fin des temps.
« Le saint parlera aussi pour toi dans chaque contrée et du monde des blanches fleurs t'envelopperont.»
Le cardinal Ratzinger a parlé en tant que préfet, et par ses livres en tant que cardinal.
Il a donc marché main dans la main pendant presque tout le pontificat de Jean-Paul II.
« Et tu te feras va-nu-pieds, et tu marcheras avec le saint va-nu-pieds.» (prophétie concernant Jean-Paul II)
Durant 23 ans, il rencontra Jean-Paul II chaque vendredi
soir pour faire le point sur le travail de la congrégation pour la
doctrine de la foi.
Ils se voyaient aussi au déjeuner du mardi, et parfois avant, pour
discuter, souvent avec d'autres, des questions théologiques relatives
aux documents et interventions que prépare le pape (encycliques,
audience du mercredi, discours…).
L'encyclique Veritatis Splendor,
que Joseph Ratzinger considère comme le texte théologiquement le plus
élaboré du pontificat de Jean Paul II, doit beaucoup à leur
collaboration.
À suivre...
21 décembre
Il y a guerre dans l'Église.
C'est le temps des décisions.
Satan séduit par mensonge, et le faux prophète, Antéchrist sur le
trône, n'en manque pas une pour leurrer les âmes comme nous l'avons vu
dans le dernier article.
Mais...
« on
ne doit pas obéir à un ordre injuste et mauvais car l’obéissance
cesserait d’être une vertu pour se transformer en servilité. »
« Avec la grâce de Dieu et l’aide puissante de la prière, cette loi
injuste doit être combattue. C’est ce qu’affirme l’ abbé Claude Barthe
après la réponse de la Congrégation pour le culte divin et la
discipline des sacrements concernant les dubia sur certaines
dispositions de la lettre apostolique Traditionis custodes .
Selon l’abbé Barthe,
liturgiste, professeur à l’ Institut du Christ-Roi Souverain Prêtre, la
résistance doit être mise en œuvre partout, « tant dans les séminaires
que dans le champ de l’apostolat ».
« Je reste convaincu –
poursuit-il – qu’avec Traditionis custodes, les Romains intransigeants
ont déclenché une guerre qu’ils ne peuvent que perdre. Mais une guerre
qui peut causer de gros dégâts, il ne faut pas le cacher. Nous devons
donc prier intensément pour soutenir ceux qui auront à prendre des
décisions ».
L’abbé Barthe, qui est aussi
aumônier du pèlerinage Summorum pontificum , ne cache pas les risques
pour tous ceux qui décident de résister : évêques, supérieurs, prêtres,
séminaristes. Suspension a divinis possible, et suppression pour les
communautés. « En tout cas, le rapport de force est aujourd’hui bien
plus favorable au monde traditionnel qu’il n’y paraît ».
« Les abus spirituels
continuent » titre Crisismagazine.com en précisant, dans une note
d’Eric Sammons, que « le pape François poursuit sa guerre contre la
célébration traditionnelle des sacrements ».
Concernant les dispositions
établies par les dirigeants du Vatican, Sammons est explicite : « Il
n’y a qu’une seule façon de le dire : ce sont de mauvais ordres. Il
peut être diplomatique d’essayer d’adoucir le commentaire, mais en
temps de guerre, la diplomatie est mise à l’écart. Et ne vous méprenez
pas : c’est une guerre car le pape lui-même l’a déclarée à tout
catholique fidèle aux formes antiques de la liturgie romaine ». De
plus, « ce sont des ordres méchants et vindicatifs. Elles ressemblent à
une purge soviétique des dissidents menée en 1988. Les murs
s’effondrent autour de l’Église, mais, au lieu d’essayer de les
réparer, le pape et le Vatican abattent le seul mur solide « et » le
fait que ces directives soient promulguée une semaine avant Noël ne
fait qu’amplifier leur méchanceté ».
« Il y a quelques années –
écrit Sammons – un ami a dit qu’il croyait que le pape François était
un père spirituellement violent. Je frissonnai instinctivement. Pour
mon sens catholique inné, un tel langage était inapproprié pour le
Saint-Père. Mais maintenant, je ne vois pas comment les actions du pape
concernant l’ancien rite peuvent être considérées comme autre chose que
des abus. »
« Un père violent est un
maître de la manipulation. Fait croire que le problème, ce sont les
enfants. Cela déforme la réalité afin qu’ils pensent qu’ils méritent
l’abus et, s’ils osent le défier, les présente comme des membres de la
famille sans amour et qui divisent. Ses enfants vivent dans un état
constant d’insécurité et de confusion, et c’est ainsi que le pape
actuel traite ses enfants fidèles au rite antique. S’ils trouvent que
leur vie spirituelle s’enrichit en assistant à la Messa vetus ordo , il
suggère qu’ils ont des tendances schismatiques. Si pour eux la messe
paroissiale novus ordoce n’est pas satisfaisant, il les accuse de
rejeter Vatican II. Et quand ils se plaignent de son traitement injuste
à leur égard, il dit que tout montre qu’ils ont besoin de nouvelles
corrections. C’est un abus spirituel, pur et simple ».
« J’espère et prie – conclut
Sammons – que les évêques du monde entier ignoreront tout simplement
ces dernières directives. Ce ne serait pas la première fois que les
commandements du Vatican seraient ignorés. Le canon 87 précise que «
l’évêque diocésain, chaque fois qu’il juge contribuer à leur bien
spirituel, peut dispenser les fidèles des lois disciplinaires
universelles et particulières édictées pour son territoire ou pour ses
sujets par l’autorité suprême de l’Église ». De toute évidence, se
dispenser de ces directives est pour le bien spirituel de beaucoup. Si
un évêque diocésain veut éviter d’être lui-même un père abusif, il doit
ignorer ces commandements et s’occuper des besoins spirituels de ses
enfants ».
« Il suffit de connaître ne
serait-ce que l’ABC de la théologie morale – dit Don Andrea Mancinella,
un ermite du diocèse d’Albano – pour savoir qu’un ordre injuste et
mauvais ne doit pas être obéi, car l’obéissance cesserait immédiatement
d’être une vertu pour se transformer en servilité, qui est au contraire
un péché ».
« Alors ne paniquez pas, vous
devez simplement suivre la doctrine catholique. Pour le reste, Dieu
lui-même pourvoira : nous chassent-ils des paroisses et des églises ?
Et puis on va faire la fête dans les maisons des bons fidèles
catholiques, ou dans les garages, ou à l’extérieur. Point ». »
(aldomariavalli.it - traduction)
« L’étrange synodalité de Bergoglio, qui n’écoute que le fidèle « vetus ordo »
L’Église synodale, qui a fait exploser la révolution de la tendresse, a
donné un autre exemple clair de la direction que prennent sa synodalité
et sa tendresse, avec la réponse à certaines dubia envoyées par les
évêques à la Congrégation pour le culte divin sur l’application des Traditiones Custodes
. Bien sûr, les réponses de ces dubia (à laquelle il a été répondu
rapidement, pas comme d’autres qui attendent toujours), visent toutes à
étouffer davantage la liturgie traditionnelle dans l’Église catholique.
La
synodalité, nous explique le Pape François, exige que l’Église écoute
tout le monde, et insiste sur « tout le monde », sans aucune exception.
Mais les faits, plus éloquents que les mots, nous disent qu’il existe
un groupe qu’il ne faut jamais écouter et qu’il faut plutôt massacrer :
celui des catholiques traditionalistes, obstacle qu’il faut éliminer au
plus vite.
Il y a des détails dans le document qui suscitent l’incrédulité. Il est
écrit, par exemple : « De plus, cette célébration [nous nous référons à
la messe traditionnelle] n’est pas appropriée pour être incluse dans
l’horaire des messes paroissiales, car elle n’est fréquentée que par
les fidèles adhérant au groupe. Enfin, il faut éviter qu’il y ait
concomitance avec les activités pastorales de la communauté paroissiale
». Une discrimination documentée, de peur que les fidèles « normaux »
ne soient infectés par le virus traditionaliste. Les fidèles du groupe
traditionaliste doivent rester isolés et protégés, évitant tout contact
avec des personnes normales. Et il ne faut pas oublier qu’il y a cinq
jours, le Vatican s’est excusé pour avoir fait du mal à la communauté
LGBT en supprimant de sa page officielle un lien vers un site d’un
groupe qui défend les droits des homosexuels, car les pauvres s’étaient
sentis discriminés. Je me demande si les cardinaux de la Curie ou le
pape François sont capables de percevoir la douleur qu’ils causent aux
fidèles catholiques qui préfèrent la liturgie traditionnelle et qui se
sentent aussi discriminés par des dispositions comme celles-ci. Nous ne
nous attendons pas à des excuses publiques comme cela s’est produit
pour la communauté LGBT ; on s’attend encore moins à ce que la
référence aux liens de sites traditionalistes soit incluse dans le site
officiel du Vatican. Nous nous contentons de ne pas être persécutés et
de pouvoir exister.
...
Comme l’a souligné le Père Claude Barthe, le problème le plus grave et
le plus complexe se posera dans les séminaires des communautés
religieuses Ecclesia Dei, puisque le document interdit explicitement
l’utilisation du Pontificale Romanum avant la réforme liturgique. En
d’autres termes, il interdit l’attribution des sacrements de
confirmation et d’ordination sacerdotale selon le rite traditionnel. Et
les nombreux séminaristes qui peuplent ces séminaires sont là
précisément parce qu’ils veulent être ordonnés avec ce rite, et plus
tard veulent pouvoir le célébrer. Interdire le traditionnel Pontificale
Romanum c’est un coup porté au cœur de ces communautés (on dit que
d’autres coups viendront en février). Face à cela, le Père Barthe
insiste sur le fait que le devoir est de résister à une loi injuste. Et
je suis d’accord. Ce seront les dirigeants de ces instituts, conseillés
par des experts, qui initieront la résistance de la manière qu’ils
jugeront la plus efficace.
Enfin, quelques réflexions.
...
Le
mouvement traditionaliste est trop grand pour être dispersé à force de
documents et les évêques ont eu de nombreuses années à leur disposition
pour voir les fruits de la liturgie traditionnelle dans leurs fidèles.
Ce document ne fait qu’attiser le feu. La pax liturgica que le pape
Benoît avait obtenue a été brisée, et ce sera la guerre. Mais comme la
guerre cause des dégâts, dans bien des cas graves, aucun évêque
catholique ne voudra de guerres sanglantes dans son diocèse. Nous
devrons endurer l’averse et espérer que Bergoglio mourra le plus tôt
possible. J’espère que son successeur, quel qu’il soit, reviendra à la
pax benedictina , sinon par conviction, du moins pour ne pas voir son
pontificat ensanglanté.
Il y a quelques jours, l’annonce sensationnelle du cardinal Burke de
son retour à la vie publique avec une série de cérémonies pontificales
et traditionnelles a attiré mon attention. Ce n’était pas le bon
moment, pourtant il a eu le courage de parler et d’agir selon sa
conscience. Ce n’est plus le même homme qui a vu la mort en face et
était sur le point de traverser Léthé (je suppose que je n’ai pas eu
une telle expérience ; bien que j’en connaisse plusieurs qui l’ont vécu
mais qui sont restés aussi mauvais et pécheurs que avant de). Mais
peut-être que le cardinal aura le courage de résister et, par exemple,
pourrait célébrer une ordination sacerdotale à la suite du pontifical
traditionnel. Qu’est-ce qui pourrait arriver? Il pourrait être suspendu
a divinis, mais Bergoglio, le roi de la miséricorde, oserait-il le
faire ? Le même pape qui a accordé aux prêtres de la FSSPX de célébrer
les sacrements de mariage et de pénitence selon le rite traditionnel
suspendrait-il un cardinal de la Sainte Église romaine pour un acte
similaire ? Que se passerait-il si une telle chose arrivait ? Il
créerait un nouveau Lefebvre, et cela ne convient à personne, encore
moins à lui. » (caminante-wanderer.blogspot.com)
19 décembre
Ce qui était une rumeur la semaine dernière ne l’est plus.
Voilà. C’est fait.
Bergoglio
interdit les sacrements et l’ordination dans les paroisses établies par
l’évêque avec le rite traditionnel comme prévu.
C'est un préambule faisant parti de sa feuille de route pour éliminer la présence réelle.
Sa destruction de l'Église continue.
« Le Saint-Siège répond aux questions des évêques sur la célébration de la messe en latin…
Les sacrements dans le rite ancien
Le
deuxième «dubium» concerne la possibilité de célébrer non seulement
l’Eucharistie (avec le Missale Romanum de 1962, objet de la concession)
mais aussi les autres sacrements prévus par le Rituale Romanum (la
dernière editio typica date de 1952) et le Pontificale Romanum
précédents à la réforme liturgique. Rappelons tout d’abord que le
Rituale Romanum couvre les sacrements du baptême, de la pénitence, du
mariage, de l’onction des malades et des sacramentaux tels que les
rites funéraires. Le Pontificale Romanum, quant à lui, concerne les
sacrements présidés par l’évêque, c’est-à-dire la confirmation et les
ordinations. La réponse est négative : l’autorité du Saint-Siège estime
en effet que pour progresser dans la direction indiquée par François,
la possibilité d’utiliser des livres liturgiques abrogés ne peut être
accordée, mais qu’il faut accompagner les fidèles «vers une pleine
compréhension de la valeur de la forme rituelle» issue de la réforme
liturgique. Toutefois, il existe des distinctions importantes. Le
«responsum» précise qu’il ne sera possible d’utiliser l’ancien rite que
dans les «paroisses personnelles érigées canoniquement», c’est-à-dire
exclusivement dans les paroisses déjà établies par l’évêque et dédiées
aux fidèles liés à l’ancien rite. Toutefois, dans ces mêmes paroisses,
il ne sera pas permis d’utiliser le Pontificale pour les confirmations
et les ordinations. La raison de cette interdiction, en ce qui concerne
la confirmation, s’explique par le fait que la formule même du
sacrement de la confirmation a été modifiée par saint Paul VI et qu’il
n’est donc pas jugé opportun d’utiliser une formule abolie, étant donné
les changements substantiels apportés… » (vaticannews.va)
C’est une déclaration de guerre à ses fidèles.
Nous arrivons tranquillement à l’ouverture du 7ème sceau.
« Il y aura la guerre dans la Mère, et les troupeaux se disperseront. »
Tel est la constatation de Jean XXIII dans la prophétie de l’Église #11.
« Les cris et les barrières de la contestation se lèvent, mais déjà la Bête sort de l'eau.» (prophétie politique #32 « Le Temps est Proche »)
« Avec la grâce de Dieu et
l'aide puissante de la prière, cette loi injuste doit être combattue.
C'est ce qu'affirme l' abbé Claude Barthe après la réponse de la
Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements
concernant les dubia sur certaines dispositions de la lettre
apostolique Traditionis custodes .
Selon l'abbé Barthe,
liturgiste, professeur à l' Institut du Christ-Roi Souverain Prêtre, la
résistance doit être mise en œuvre partout, « tant dans les séminaires
que dans le champ de l'apostolat ».
« Je reste convaincu -
poursuit-il - qu'avec Traditionis custodes, les Romains intransigeants
ont déclenché une guerre qu'ils ne peuvent que perdre. Mais une guerre
qui peut causer de gros dégâts, il ne faut pas le cacher. Nous devons
donc prier intensément pour soutenir ceux qui auront à prendre des
décisions ».
L'abbé Barthe, qui est aussi
aumônier du pèlerinage Summorum pontificum , ne cache pas les risques
pour tous ceux qui décident de résister : évêques, supérieurs, prêtres,
séminaristes. Suspension a divinis possible, et suppression pour les
communautés. "En tout cas, le rapport de force est aujourd'hui bien
plus favorable au monde traditionnel qu'il n'y paraît".
"Les abus spirituels
continuent" titre Crisismagazine.com en précisant, dans une note
d'Eric Sammons, que "le pape François poursuit sa guerre contre la
célébration traditionnelle des sacrements".
Concernant les dispositions
établies par les dirigeants du Vatican, Sammons est explicite : « Il
n'y a qu'une seule façon de le dire : ce sont de mauvais ordres. Il
peut être diplomatique d'essayer d'adoucir le commentaire, mais en
temps de guerre, la diplomatie est mise à l'écart. Et ne vous méprenez
pas : c'est une guerre car le pape lui-même l'a déclarée à tout
catholique fidèle aux formes antiques de la liturgie romaine ». De
plus, « ce sont des ordres méchants et vindicatifs. Elles ressemblent à
une purge soviétique des dissidents menée en 1988. Les murs
s'effondrent autour de l'Église, mais, au lieu d'essayer de les
réparer, le pape et le Vatican abattent le seul mur solide « et » le
fait que ces directives soient promulguée une semaine avant Noël ne
fait qu'amplifier leur méchanceté ».
« Il y a quelques années -
écrit Sammons - un ami a dit qu'il croyait que le pape François était
un père spirituellement violent. Je frissonnai instinctivement. Pour
mon sens catholique inné, un tel langage était inapproprié pour le
Saint-Père. Mais maintenant, je ne vois pas comment les actions du pape
concernant l'ancien rite peuvent être considérées comme autre chose que
des abus. »
« Un père violent est un
maître de la manipulation. Fait croire que le problème, ce sont les
enfants. Cela déforme la réalité afin qu'ils pensent qu'ils méritent
l'abus et, s'ils osent le défier, les présente comme des membres de la
famille sans amour et qui divisent. Ses enfants vivent dans un état
constant d'insécurité et de confusion, et c'est ainsi que le pape
actuel traite ses enfants fidèles au rite antique. S'ils trouvent que
leur vie spirituelle s'enrichit en assistant à la Messa vetus ordo , il
suggère qu'ils ont des tendances schismatiques. Si pour eux la messe
paroissiale novus ordoce n'est pas satisfaisant, il les accuse de
rejeter Vatican II. Et quand ils se plaignent de son traitement injuste
à leur égard, il dit que tout montre qu'ils ont besoin de nouvelles
corrections. C'est un abus spirituel, pur et simple".
« J'espère et prie - conclut
Sammons - que les évêques du monde entier ignoreront tout simplement
ces dernières directives. Ce ne serait pas la première fois que les
commandements du Vatican seraient ignorés. Le canon 87 précise que «
l'évêque diocésain, chaque fois qu'il juge contribuer à leur bien
spirituel, peut dispenser les fidèles des lois disciplinaires
universelles et particulières édictées pour son territoire ou pour ses
sujets par l'autorité suprême de l'Église ». De toute évidence, se
dispenser de ces directives est pour le bien spirituel de beaucoup. Si
un évêque diocésain veut éviter d'être lui-même un père abusif, il doit
ignorer ces commandements et s'occuper des besoins spirituels de ses
enfants ».
"Il suffit de connaître ne
serait-ce que l'ABC de la théologie morale - dit Don Andrea Mancinella,
un ermite du diocèse d'Albano - pour savoir qu'un ordre injuste et
mauvais ne doit pas être obéi, car l'obéissance cesserait immédiatement
d'être une vertu pour se transformer en servilité, qui est au contraire
un péché".
« Alors ne paniquez pas, vous
devez simplement suivre la doctrine catholique. Pour le reste, Dieu
lui-même pourvoira : nous chassent-ils des paroisses et des églises ?
Et puis on va faire la fête dans les maisons des bons fidèles
catholiques, ou dans les garages, ou à l'extérieur. Point". »
(adomariavalli.it)
Mgr Vigano dans son message de
Noël après avoir encore une fois cette semaine, avec l’aide du cardinal
Müller cette fois, mis en garde contre le nouveau système
satanique :
« Viens, Emmanuel, lâche
Israël captif. Viens, Emmanuel : libère ton peuple
captif. Libère-le aussi aujourd'hui, comme tu l'as libéré avec ta
très sainte naissance et avec ta passion et ta mort. Libérez la
Sainte Église en révélant les faux bergers et mercenaires, comme vous
avez révélé l'envie des Grands Prêtres et leurs silences sur les
Prophéties messianiques, cachées aux simples. Libère les nations
des mauvais dirigeants, de la corruption, de l'esclavage du pouvoir et
de l'argent, de l'esclavage du Prince de ce monde, du mensonge de la
fausse liberté, de la tromperie du faux progrès, de la rébellion à Ta
sainte Loi. Libère chacun de nous de ses misères, du péché, de
l'orgueil, de la présomption de pouvoir se sauver sans
Toi. Délivre-nous de la maladie qui afflige notre âme, de la peste
des vices qui infectent notre vie, de l'illusion de pouvoir
vaincre la mort, qui est la récompense de notre rébellion. Parce
que Toi seul, ô Seigneur, es le vrai Libérateur ; ce n'est qu'en
Toi qui es la Vérité que nous serons libres, nous verrons tomber les
chaînes qui nous lient au monde, à la chair et au diable.
Veni, ou Oriens. Viens,
Orient : chasse les ombres de la nuit et dissipe les ténèbres de la
nuit. Allez, Clavis Davidica . Viens, clef de David,
ouvre tout grand la patrie céleste ; faire le chemin vers le ciel
en toute sécurité et fermer la porte de l'enfer. Viens,
Adonaï . Viens, ô Puissance, tu as donné la loi d'en haut à
ton peuple sur le Sinaï, dans la majesté de la gloire. Viens, Rex
gentium. Viens, Roi des peuples, régner sur nous, Prince de la
Paix, Ange du Grand Conseil. Venez descendre dans le temps et dans
l'histoire, secouez cette tour infernale de Babel que nous avons bâtie
en Vous défiant en Votre Majesté.
Viens,
Seigneur. Car dans ces deux années de folie pandémique nous avons
compris que l'Enfer ne consiste pas tant dans la souffrance du corps,
mais dans le désespoir de Te connaître au loin, dans Ton silence, à
nous laisser sombrer dans l'horreur sourde de Ton absence .
Et bénie soit votre Très
Sainte Mère et notre Mère, que vous nous avez laissée à côté de nous en
ces jours terribles comme notre Avocate, car dans la vision de cet
enfer sur terre, nous pouvons trouver la médecine spirituelle à travers
laquelle vous accueillir dans notre âme, dans nos familles, dans nos
nations, te rendant cette couronne que nous t'avons usurpée.
Bénis,
ô Enfant Roi, ceux qui se laisseront conquérir par Ton amour, pour
lequel tu n'as pas hésité à t'incarner et à mourir pour nous. Que
l'émerveillement reconnaissant de ceux qui sont morts en Adam, le
nouvel Adam renaît en Toi, réponde à cet Amour divin; de ceux qui,
étant tombés avec Eve, en Maria la nouvelle Eve peut ressusciter.
Et qu'il en soit ainsi.
+ Carlo Maria Viganò, archevêque
Samedi des Quatre Saisons de l'Avent
18 décembre 2021 »
VENI, VENI EMMANUEL (chant et musique)
18 décembre
L’année 2021 se termine dans
un atmosphère de tensions constantes au niveau géopolitique :
guerres Russie/États-Unis et alliés en Ukraine, Israël/Iran,
Chine/Taïwan et alliés, la question de la Biélorussie, …
Ce sont les rumeurs de guerres de la fin des temps.
Rumeurs de guerres qui confirment que la prophétie politique #22 « Grand Éclair à l’Orient » est plus que jamais à nos portes.
La France, le pays, est peut-être l’esprit trouble, inconnue de tous, qui a ourdi le crime contre elle-même.
En effet, dans cette ultime étape de la grande réinitialisation que nous allons franchir en 2022, l’élite (refusez les assassins que présenteront) grâce à ses pions politiques en place (refusez ceux qui seront présentés) imposera sa volonté aux peuples.
En Europe, le fils spirituel
des Rothschild, le président Macron, sera élevé mystiquement au rang de
roi (la France prend les rennes de l’Union Ruropéenne le 1 janvier
2022), et aura pour mandat d’entamer la dernière ligne droite afin de
soumettre la Fille Aînée de l’Église, et allumer le feu géopolitique.
« S’il
fallait résumer en une phrase l’objectif de cette présidence, je dirais
que nous devons passer d’une Europe de coopération à l’intérieur de nos
frontières à une Europe puissante dans le monde, pleinement souveraine,
libre de ses choix et maître de son destin » (Emmanuel Macron, 9 décembre 2021)
Le roi jupitérien sera
probablement assermenté suivant l’élection du 24 avril prochain, le 1er
mai, lors de la grande fusion de vénus et de jupiter, vénus
représentant Lucifer, et jupiter, celui qui sacre les rois selon les
traditions occultes.
Un affront à Marie encore une fois (mai est le mois de Marie).
« Ce
n'est pas le temps d'un roi, ce ne l'a jamais été. Depuis la mort de
Frédéric, chaque roi est usurpateur. Que le roi s'en aille, reste le
peuple. L'Europe a soif, elle aura du sang dans les rues. »
Les conséquences sont assez claires.
« La terre frisera le massacre » et un seul mourra pour tous. Il était le meilleur.
Ici nous avons affaire au
prochain pape suivant Bergoglio, celui qui est assassiné, ou tout
simplement, et c’est hautement plus probable devant l'échéance qui
reste, le décès du katéchon, Benoît XVI, car c’est lui qui ouvre la
porte de la chute des deux Babylone (voir la prophétie le concernant).
La phrase « il était le meilleur » donne l'indice qu’il y a eu une erreur de parcours, qu’on ne l’a pas reconnu à sa juste valeur… dans ces temps troubles.
D’ailleurs c’est après sa mort
que Jean XXIII prophétise le retour de la Sainte Vierge, ce qui est
confirmé par la fin de la prophétie « Grand Éclair à l’Orient »:
« Mais
aussi de grandes processions et la Vierge Heureuse descendra sur terre.
Vous ne la verrez pas dans la grotte, mais dans un cœur qui revivra.
Depuis les ténèbres, elle apportera la parole que tous comprendront.
C'est le temps des lettres. »
La dénomination des variants du Covid-19? Les lettres de l'alphabet grecque? Ou l'Alpha et l'Oméga.
Considérant la semaine de
Daniel (7ans) et la durée de la fille de Caïn (7ans) débutant le 20
août 2018 (voir analyse « le Temps est Proche »), la moitié de la
semaine où le sacrifice et l’oblation seront abolis est en 2022.
Bergoglio vient d’émettre ses directives face aux questions du Motu Proprio Traditionis Custodes :
tous les sacrements selon le rite ancien sont interdits, de même que
les ordinations de prêtres selon le rite ancien dans les paroisses
Ecclesia Die. (vaticannews.va)
Il
ne reste que deux obstacles dans son plan : que fera-t-il
face à la FSSPX et face à la célébration de la Sainte Messe en latin,
qui n’est pas encore interdite complètement avec les dernières
directives?
Confirmant la destruction de
l’église par l’abomination de la désolation, Bergoglio a fondé le 8
décembre dernier (encore un coup bas le jour de l’Immaculée Conception)
sa fondation de la fraternité universelle Fratelli Tutti.
« Une
« Fondation Fratelli tutti » rattachée à la basilique
Saint-Pierre de Rome a été lancée mercredi par le pape François qui a
signé un décret portant création officielle de la nouvelle
entité. Il vise à encourager « la fraternité et le dialogue »
entre les pèlerins et les touristes visitant le Vatican.
Les références à Dieu, à la
Sainte Trinité, à Notre-Seigneur Jésus-Christ et à sa Mère bien-aimée
sont totalement absentes de ce catalogue des « valeurs »
politiquement correctes de la nouvelle fondation, parmi lesquelles les
préoccupations écologistes et « la fraternité entre croyants et
non-croyants sont bien sûr, primordiales.
L'exemple de ce qui se
passe à Notre-Dame de Paris vient immédiatement à l'esprit : ...
les projets de relooking de l'intérieur du joyau gothique incluent la
création d'un « sentier de découverte » pour les personnes de
toutes religions, menant à travers des chapelles dédiées aux cinq
continents et messages de l'Ancien et du Nouveau Testament et culminant
avec Laudato si' . La rénovation de Notre-Dame devrait
inclure des bancs avec des systèmes d'éclairage modernes, des éléments
d'"art contemporain" et des projections de musique et de lumière dans
les chapelles latérales, "créant les conditions d'une expérience" qui
plairait aux nombreux non-catholiques de la cathédrale.
La
refonte de Notre-Dame veut une rupture nette avec la liturgie
traditionnelle, comme l'a clairement indiqué le concepteur de la
refonte, le père Gilles Drouin, fervent promoteur de Traditionis
custodes ... » (lifesitenews.com)
Il n’y aura pas de retour à la normale.
La guerre des âmes est une guerre à finir et Satan est déchaîné.
Nous voyons les signes, et ces signes sont ceux de l’Espérance pour nous.
8 décembre
L'ÉTAT DE L’ÉGLISE
Le bon grain et l’ivraie dans le même champ. L’arbre avec une branche pourrissant et l’autre saine.
C’est
cohérent avec la Prostituée de l’Apocalypse d’un côté, et la Femme
protégée au désert de l’autre, deux images qui présentent une même
épouse aux deux visages.
Cela accomplit ainsi la
promesse de NSJC que les forces de l’enfer ne prévaudront pas contre
elle, ce qui est le cas grâce à la Tradition.
Voilà les derniers moments de l’Église.
La branche saine pourra évidement ressusciter les « deux témoins » de l’Apocalypse!
«
Est-il possible qu’il n’y ait personne, avec l’autorité nécessaire,
capable de signaler le processus de destruction vers lequel le Pape
François conduit l’Église ? Certes, quelqu’un s’en rend compte, mais
qui devrait parler se tait.
Je
rappelle quelques épisodes déconcertants de ces derniers jours. Un
livre intitulé Love Tenderly est paru . Histoires sacrées de
religieuses lesbiennes et queer dans lesquelles vingt-trois nonnes
lesbiennes et queer (que sera une nonne queer ?) racontent leurs
histoires d' »amour sacré ». La congrégation des Sœurs de la
Miséricorde a exprimé l’espoir que ce livre « éclairera les esprits sur
le caractère sacré et l’infinie diversité de Dieu ». Eh bien, jusqu’à
présent, la Congrégation pour les Religieux du Vatican n’a rien dit et
les religieuses lesbiennes, auteures du livre, continueront à se
prélasser joyeusement dans leurs amours impurs.
Dans
le même temps, le Saint-Père a accepté la démission de l’archevêque de
Paris, Mgr Aupetit, qui lui avait mis le poste à sa disposition après
qu’un hebdomadaire l’ait accusé d’avoir une relation amoureuse avec une
femme. A cette accusation, l’archevêque a répondu qu’il s’agissait
d’une situation ambiguë qui s’était produite en 2012, que ses
supérieurs avaient toujours été au courant de la situation et que cette
relation, bien que inconfortable, n’avait en aucun cas eu une dimension
sexuelle. . Malgré tout cela, l’évêque fut expulsé de son siège.
Monseigneur Aupetit était un évêque modéré ou conservateur, notamment
sur certaines questions comme la bioéthique et l’homosexualité, sur
lesquelles il s’était exprimé avec toute la clarté de la doctrine de
l’Église catholique.
Il
s’avère alors que le Vatican – c’est-à-dire le gouvernement de l’Église
catholique – se tait face à un scandale tel que la publication des
amours lesbiennes de certaines religieuses et agit avec la plus grande
sévérité face à une affaire obscure. , et certainement alimentée par
ses ennemis, dont elle fait intervenir un évêque respectueux de la
doctrine de la foi. Et tout à la fois. N’est-ce pas fou?
Et
encore plus fou, c’est que Bergoglio, lors de la conférence de presse
de retour de son voyage en Grèce, a détaillé les péchés contre le
sixième commandement commis par Aupetit. Peut-on être si dérangé ou si
méchant ?
Le
2 décembre, rencontrant les catholiques présents à Chypre, le pape
François a déclaré : « Il y a et il n’y a pas de murs dans l’Église
catholique, s’il vous plaît ! C’est une maison commune, c’est le lieu
des relations, c’est la coexistence des diversités : ce rite, cet autre
rite… … La diversité de tous et, dans cette diversité, la richesse de
l’unité « . Maintenant, quelqu’un peut-il nier l’impudence de
Bergoglio ? Il faut rappeler à cet homme qu’il y a quelques mois, il a
lui-même construit un immense mur, avec des barbelés et des éclats de
bouteilles dessus, pour éloigner de l’Église catholique – la même qu’il
prétend n’avoir pas de murs – les fidèles qui préfèrent le rite
traditionnel, à travers le motu proprio Traditionis Custodes appelé.
Je
ne joue à rien ; Je rapporte simplement les faits. Il s’avère qu’en
quelques jours on nous dit que nous sommes dans l’Église de la
diversité, où même les religieuses lesbiennes sont considérées comme la
preuve de la richesse de la création divine, mais l’existence de
quelques « différents » (les rigides qui selon l’évêque Roche
s’accroche à un rite abrogé) est farouchement interdit. Évidemment,
tous les bons et tous les mauvais ne sont pas identiques. Nous devons
abattre les murs qui nous séparent des musulmans, des protestants, des
homosexuels et de toute autre minorité, mais nous devons construire des
murs, avec des clôtures et des fossés où nagent les crocodiles et les
requins, pour éloigner la minorité indésirable des catholiques
traditionnels.
Samedi,
le pape François a rencontré les plus hautes autorités de Grèce, pays
où il était en visite apostolique. Et là, très fier, il a fait une
défense acharnée de la démocratie, et s’est dit inquiet car « il y a un
recul de la démocratie. Elle requiert la participation et l’implication
de tous et demande donc des efforts et de la patience. C’est complexe,
alors que l’autoritarisme est précipité… ». Je ne sais pas quelle sera
la réaction des dirigeants mondiaux face à ce personnage culotté.
J’espère que le discrédit de Bergoglio dans les échelons supérieurs du
pouvoir sera énorme. Tout d’abord, je me demande avec quel courage un
monarque absolu parle de démocratie, et fulmine contre l’autoritarisme.
Cela ressemble à une blague. L’un des papes les plus autoritaires de
ces derniers temps, il exige le consensus et les démocraties.
Que
dira le cardinal Angelo Becciu, qui a été exproprié non seulement de
toutes ses charges mais aussi de ses privilèges cardinaux, sans trop de
compliments, lors d’un entretien avec le Souverain Pontife ? Becciu
n’est pas un saint de ma dévotion, mais tout homme a droit à un procès
équitable. Et il ne l’avait pas. Le monarque absolu, dans les dix
minutes, a décidé de sa culpabilité et a appliqué la peine dans son
bureau. Le « procès » se déroule ces jours-ci à huis clos,
mais pas de manière très serrée, puisque les vidéos publiées par le
Corriere della sera filtrent quotidiennement . Et, d’après ce qui a été
divulgué jusqu’à présent, il semble que c’est François qui a autorisé
chacune des transactions immobilières opaques et millionnaires qui se
sont soldées par un désastre et pour lesquelles il a par la suite blâmé
Becciu.
Mais,
plus important encore, je me demande comment il est possible pour un
pape de pontifier sur la démocratie, ses faiblesses et ses dangers. Eh
bien, il semble à l’Église que les principes de la Révolution sont
corrects et que la démocratie libérale qui prévaut dans le monde
d’aujourd’hui est le gouvernement idéal pour toutes les nations. Ce qui
est exactement le contraire de ce que l’Église a unanimement enseigné
au cours des deux derniers siècles. Alors, qui devons-nous écouter ? Au
pape François ou aux papes précédents ?
Nous
savons déjà que le chœur des évêques, des prêtres et des fidèles se
lèvera en hurlant pour nous dire que nous devons être en parfait accord
avec le Pape François. Attention. Comme nous l’avaient prévenu Carlos
Esteban et Fernando Beltrán la semaine dernière , l’Église catholique
est en train de devenir rapidement une secte. Et quand tout cela sera
fini, et dans peu de temps, ce ne sera plus l’Église du Christ, et les
portes de l’enfer auront le pouvoir de prévaloir sur elle.
Poursuite
de la réflexion : il est surprenant qu’une institution millénaire comme
l’Église latine n’ait pas prévu de mécanismes juridiques pour agir dans
des cas comme celui de l’actuel pontife. Il est vrai qu’il y a des
siècles on utilisait sans trop de chichi un thé bien parfumé ou une
fenêtre ouverte sur les hauteurs de Castel Sant’Angelo. Mais, à mon
avis, il aurait fallu envisager quelque ressource canonique qui
permettrait au moins de bâillonner un pape déséquilibré. » (caminante-wanderer.blogspot.com)
La nature humaine de l’Église s’est dévoyée dans la Rome issue du concile.
Ce n’est pas pour rien aussi que Jean XXIII utilise aussi le terme « Rome » concernant la prophétie de François : « à Rome ils ne voudront pas te donner ».
Bergoglio ne s'identifie-t-il pas seulement au titre « d'évêque de Rome »?
Ayant renoncé à la charge de vicaire du Christ!
La nature divine de l'Église est demeurée pure et sainte dans la Tradition pour éviter les morsures de la bête.
D’où le terme dans la
prophétie de La Salette : « Rome perdra la foi »… « et
deviendra le siège de l’Antéchrist ».
Ce n’est donc pas la véritable Église qui perd la foi mais Rome qui l’éclipse selon la prophétie.
Rome est très fière de sa nouvelle
approche synodiale, pour et par le peuple, pour « vivre » la
nouvelle église des pauvres, église politisée, église socialiste
marxiste, vendue à la judéo-maçonnerie par son Judas.
Que notre Sainte-Mère, Pure et Immaculée, vienne à notre secours en ce jour béni!
Priez pour nous aujourd'hui, et lors de notre mort.
Amen.
6 décembre
Deux interventions visionnaires de deux personnages clés pour cette époque:
«
Mais ce qui légitime aussi notre frayeur, c’est de penser que par cette
dégradation de l’Église, cette dégradation des idées même dans
l’Église, des idées, parce que ce sont les idées libérales qui
pénètrent à l’intérieur de l’Église, les idées en définitive,
maçonniques qui pénètrent à l’intérieur de l’Église, qui était encore
le bastion qui résistait.
Maintenant que l’ennemi a
pénétré jusque dans les plus hauts sommets de l’Église, comme le disait
Notre-Dame de Fatima, comme le prédisaient Notre-Dame de Fatima et
Notre-Dame de la Salette, c’est en même temps tout l’édifice social qui
est en train de s’en aller, parce que l’Église, par ses principes,
soutenait encore, je dirais, la vraie liberté,. La liberté d’accomplir
notre devoir.
C’est ça. Pourquoi avons-nous la liberté ? Pour accomplir notre devoir.
Parce que nous avons le devoir d’aimer Dieu et d’aimer notre prochain
et d’accomplir par conséquent
notre devoir, notre devoir vis-à-vis de Dieu dans la religion et notre
devoir vis-à-vis de notre prochain par les fonctions que nous avons ;
fonctions sociales quelles qu’elles soient. Nous avons à accomplir
notre devoir d’état.
Or, de moins en moins nous
sommes capables d’accomplir notre devoir d’état, aussi bien religieux
que social, parce que tout devient dirigé et orienté par un État
socialiste.
Le socialisme fait des progrès
considérables ; mais cela avec toute la puissance de la maçonnerie
actuelle qui est partout, partout, partout ; qui est à Rome, qui est
partout.
La maçonnerie est partout et
dirige tout. Bientôt nous serons fichés avec des ordinateurs, nous
aurons tous notre numéro et nous ne pourrons plus rien faire sans que
tout soit indiqué sur la fiche que nous aurons, et tout ça par
ordinateur.
Nous serons dans une situation
pire que dans un pays soviétique. On dira que ce sont des pays libres,
mais ce ne sont pas des pays libres : on ne sera plus libre de faire
quoi que ce soit. On imagine, c’est absolument inouï.
La constitution aussi du
gouvernement européen est très grave et très dangereuse, parce que
c’est un gouvernement qui est rempli de maçons et par conséquent, ils
vont appliquer maintenant à l’Europe, d’une façon globale, tous les
principes maçonniques. On allait jusqu’à dire ceci, pour le
gouvernement européen, que, évidemment, on proclame les droits de
l’homme, on proclame les droits de la femme. Si la femme a les droits
égaux à ceux de l’homme, eh bien, on n’a pas le droit de ne pas donner
à la femme l’autorisation d’être prêtre. Alors, on va poursuivre les
évêques qui ne veulent pas ordonner des femmes, parce que les femmes
ont les mêmes droits que les hommes. C’est possible, ça été mis dans
les journaux, qu’on allait arriver à des choses comme celles-là, sous
prétexte de droits, d’égalité des droits.
C’est épouvantable, on ne
s’imagine pas vers quoi on va actuellement, vers une socialisation qui
apparemment pour nous, ne parait pas aussi dure que celle du communisme
mais qui, en définitive, va être tout simplement une image du
communisme, mais réalisée par des moyens scientifiques au lieu d’être
réalisée par la force, comme l’ont fait les communistes, ce sera la
même chose.
Alors on éliminera de la
société tous ceux qui ne veulent pas se soumettre à cet ordre. A cet
ordre socialiste. On les éliminera. Il y aura toujours moyen de les
éliminer. Maintenant on élimine les enfants qui gênent, on éliminera
bientôt les vieillards. Bientôt les vieillards vont y passer aussi ; et
après, ce n’est pas difficile de faire une piqûre ou de faire quelque
chose à quelqu’un qui est malade, qui est gênant ; on le fait
disparaître. On le fera disparaître de la société sous prétexte que ces
gens-là sont gênants. Ils n’arrivent pas à se faire encadrer dans les
normes qui sont prévues. Nous allons vraiment vers une société
affreuse, qui se dit libre et qui n’aura plus aucune liberté, mais
aucune liberté... »
Mgr Lefebvre, 22 août 1979, à Shawinigan au Québec.
Audio (à partir de 47.00)
«
Allons encore un peu plus loin. De la crise actuelle émergera l’Église
de demain – une Église qui aura beaucoup perdu. Elle sera de taille
réduite et devra quasiment repartir de zéro. Elle ne sera plus à même
de remplir tous les édifices construits pendant sa période prospère. Le
nombre de fidèles se réduisant, elle perdra nombre de ses privilèges.
Contrairement à une période antérieure, l’Église sera véritablement
perçue comme une société de personnes volontaires, que l’on intègre
librement et par choix. En tant que petite société, elle sera amenée à
faire beaucoup plus souvent appel à l’initiative de ses membres.
Elle va sans aucun doute découvrir des nouvelles formes de ministère,
et ordonnera à la prêtrise des chrétiens aptes, et pouvant exercer une
profession. Dans de nombreuses petites congrégations ou des groupes
indépendants, la pastorale sera gérée de cette manière. Parallèlement,
le ministère du prêtre à plein temps restera indispensable, comme
avant. Mais dans tous ces changements que l’on devine, l’essence de
l’Église sera à la fois renouvelée et confirmée dans ce qui a toujours
été son point d’ancrage : la foi en un Dieu trinitaire, en Jésus
Christ, le Fils de Dieu fait Homme, en l’Esprit-Saint présent jusqu’à
la fin du monde. Dans la foi et la prière, elle considérera à nouveau
les sacrements comme étant une louange à Dieu et non un thème
d’ergotages liturgiques.
L’Église sera une Église plus spirituelle, ne gageant pas sur des
mandats politiques, ne courtisant ni la droite ni la gauche. Cela sera
difficile pour elle, car cette période d’ajustements et de
clarification va lui coûter beaucoup d’énergie. Cela va la rendre
pauvre et fera d’elle l’Église des doux. Le processus sera d’autant
plus ardu qu’il faudra se débarrasser d’une étroitesse d’esprit
sectaire et d’une affirmation de soi trop pompeuse. On peut
raisonnablement penser que tout cela va prendre du temps. Le processus
va être long et fastidieux, comme l’a été la voie menant du faux
progressisme à l’aube de la Révolution française – quand un évêque
pouvait être bien vu quand il se moquait des dogmes et même quand il
insinuait que l’existence de Dieu n’était absolument pas certaine – au
renouveau du XIXe siècle. Mais quand les épreuves de cette période
d’assainissement auront été surmontées, cette Église simplifiée et plus
riche spirituellement en ressortira grandie et affermie. Les hommes
évoluant dans un monde complètement planifié vont se retrouver
extrêmement seuls. S’ils perdent totalement de vue Dieu, ils vont
réellement ressentir l’horreur de leur pauvreté. Alors, ils verront le
petit troupeau des croyants avec un regard nouveau. Ils le verront
comme un espoir de quelque chose qui leur est aussi destiné, une
réponse qu’ils avaient toujours secrètement cherchée. Pour moi, il est
certain que l’Église va devoir affronter des périodes très difficiles.
La véritable crise vient à peine de commencer. Il faudra s’attendre à
de grands bouleversements. Mais je suis tout aussi certain de ce qu’il
va rester à la fin : une Église, non du culte politique car celle-ci
est déjà morte, mais une Église de la foi. Il est fort possible qu’elle
n’ait plus le pouvoir dominant qu’elle avait jusqu’à maintenant, mais
elle va vivre un renouveau et redevenir la maison des hommes, où ils
trouveront la vie et l’espoir en la vie éternelle. »
1969, père Joseph Ratzinger, radio allemande.
Novembre 2021
29 novembre
(l'apparition de la rue du Bac ajoutée à l'analyse du 28 novembre)
LA LIMITE DE BABYLONE PARTIE V
(suite du 26 octobre 2021)
Pourquoi se réfère-t-on aux nombres bibliques?
Plusieurs chiffres sont l’ADN originel de la « nombration » de l'écriture codée hébraïque.
Le peuple hébreu, originairement le peuple de Dieu, a une langue où la valeur numérique de son alphabet a une origine sacrée.
Ce qui s’est perpétué avec la religion catholique et le nouveau Testament.
INTRODUCTION
La
limite de Babylone semble se situer entre la fin du synode 2023 et 2025
(probablement plus vers la fin de la période de la « fille de Caïn »
indiquée par Jean XXIII, soit le 18 août 2025; voir analyses
précédentes).
Le
13 mai 2026, nous atteindrons une période de 109 ans depuis les
apparitions de la Vierge Marie à Fatima, soit les 100 ans donnés comme
indication à Léon XIII + la 9ème heure où tout est accompli (c’est à
dire la mort du Christ sur la croix, donc de l’Église pour nous).
Nous savons aussi que mai 2026 est la limite pour le retour du Lys selon la prophétie de Don Bosco.
2025, c’est en plein dans le maximum solaire du cycle 25 (prévu entre octobre 2024 et juillet 2025).
2025, c’est 161 ans par rapport au syllabus de Pie IX condamnant le maçonnisme et ses erreurs.
C’est bien là le mal de notre époque (suite à l’avertissement de Fatima avec le communisme) sur le point d’aboutir.
161,
c’est le chiffre de l’humain, le 6, entre les deux colonnes maçonnique
(les colonnes Boaz et Jakin), représenté par le chiffre 11, chiffre
hautement préféré par la judéo-maçonnerie.
Mais,
nous venons de le voir dans l’analyse du 22 novembre, la chute de
Babylone doit être précédée par la mort des deux témoins.
Donc, pour connaître la limite de Babylone, il faut la mettre en perspective dans le calendrier de la fin des temps.
LE CALENDRIER DE LA FIN DES TEMPS
Selon l’ordre chronologique donné dans l’Apocalypse, nous avons :
1) Mort des témoins (3,5 jours)
2) Résurrection des témoins
Fin de la sixième période.
Entrée dans la 7ème période :
3) Mort de l’Antéchrist
4) Chute de Babylone (3ème malheur, Ap. 11, 14)
5) Retour du Christ
6) Jugement dernier
7) Règne définitif et sans partage du Christ (Ap. 21-22)
La période de prédiction des deux témoins est de 42 mois (période des châtiments, soit le 2ème malheur de l’Apocalypse).
C’est la même durée de vie que les deux bêtes.
C’est
pendant cette période que « doit se montrer la patience des
saints, qui gardent les commandements de Dieu et la foi en Jésus. »
(Ap. 14, 12).
Ce sont les deux témoins fidèles à la Loi et aux Prophètes.
«
Puis on me donna un roseau semblable à un bâton, en disant :
" Lève-toi et mesure le temple de Dieu, l'autel et ceux qui y
adorent. Mais le parvis extérieur du temple, laisse-le en dehors
et ne le mesure pas, car il a été abandonné aux Nations, et elles
fouleront aux pieds la ville sainte pendant quarante deux mois. Et je donnerai à mes deux témoins de prophétiser, revêtus de sacs, pendant mille deux cent soixante jours. (Ap. 11,1-3)
« Puis il parut dans le ciel
un grand signe : une femme revêtue du soleil, la lune sous ses
pieds, et une couronne de douze étoiles sur sa tête... et la femme
s'enfuit au désert, où Dieu lui avait préparé une retraite, afin
qu'elle y fût nourrie pendant mille deux cent soixante jours… Et les
deux ailes du grand aigle furent données à la femme pour s'envoler au
désert, en sa retraite, où elle est nourrie un temps, des temps et la
moitié d'un temps, hors de la présence du serpent. » (Ap. 11,1-14)
La
clé eschatologique est un temps, des temps et la moitié d'un temps,
soit une période divisible par 3,5, ce qui est reconnue par les pères
de l’Église et les eschatologues.
LES NOMBRES CLÉS
Évidemment, le 42 pour les 42 mois, etc...
Divisé
par 3,5, cela donne 12, c’est à dire le nombre des 12 tribus juives,
des 12 apôtres, les douze étoiles autour de la tête de la femme revêtue
de soleil ci-haut, des 144 000 élus (12 tribus multipliés par 12000
élus,
etc.)
Reprenons le 161 en début d’analyse :
161 divisé par 3,5 donne 46.
46 est le chiffre par excellence d’un commencement, de la vie (en référence aux 46 chromosomes par exemple).
Le chiffre de la vie terrestre est le 46.
Le chiffre de la vie céleste est le 47.
Or le nom de Jésus (Ieshoua) a pour valeur numérique 47 en hébreu.
Dans l’évangile, les juifs rétorquent à Jésus qu’il leur a fallu 46 ans pour construire le Temple de Jérusalem.
Le 46 est donc associée à une construction terrestre, le Temple symbolisant la vie terrestre.
Seulement
celui-ci ne peut sanctifier les humains qu’une fois habité par le 47,
c’est à dire par Dieu lui-même, présent dans le Saint des Saints, donc
avec Jésus, le seul chemin qui mène au Père.
2025 est donc une année de libération, de commencement, suite à la chute de Babylone et de la mort de l’Antéchrist.
La
limite de Babylone ou des deux Babylone spécifiées par Jean XXIII (le
Vatican et les Nations-Unies, les deux bêtes de la terre et de la mer
de l’Apocalypse), doit donc se mesurer en base 3,5.
Mais pourquoi cette suite?
Pourquoi pas deux temps, un temps et la moitié d’un temps?
Pourquoi pas 3 temps et la moitié d’un temps?
Il
y a donc une indication ici par Saint Jean de trois étapes à franchir qu’il nous
faut rechercher pour en arriver à la limite de Babylone.
Jésus nous y a introduit par le signe du figuier en Matthieu 24 concernant la fin des temps.
Cette grâce nous a été donné par NSJC afin d’avoir du temps pour se convertir.
Car au jour du Jugement, il sera trop tard.
C’est
cette dernière date dont nous ne pouvons connaître ni le jour ni
l’heure, soient les points 5,6, et 7 du calendrier de la fin des temps.
La limite de Babylone est donc extrêmement liée à la mort des deux témoins:
«
Et quand ils auront achevé leur témoignage, la bête qui monte de
l'abîme leur fera la guerre, les vaincra et les tuera; et leurs
cadavres resteront gisants sur la place de la grande ville, qui est
appelée en langage figuré Sodome et Égypte, là même où leur Seigneur a
été crucifié. » (Ap.11,7)
Sodome et Égypte, c'est Jérusalem, remplacée par Rome comme centre de la chrétienté pour notre époque.
Sodome est le type de l'abomination. Son nom veut dire « la muette ou l'aveugle ».
Égypte, est la terre de l'idôlatrie. Son nom veut dire en hébreu « ténèbres ». (réf: Dom Jean Monléon, Le Sens Mystique de l'Apocalypse).
Aveuglément,
apostasie, décadence morale, etc... caractérisant les 42 années
nécessitant la prêche des deux témoins... principalement via internet
depuis la Covid-19.
Et
Rome, le Vatican, l’Église traditionnelle, est abandonnée aux Nations
pour être foulée aux pieds pendant quarante deux mois donc.
Les deux témoins seront au tombeau pendant 3,5 jours (par rapport à 3,5 années de la vie des deux bêtes).
Selon les eschatologues, cela indique qu’après cet événement le décompte s’écoule en semaines, si ce n’est qu’en jours.
C’est rapide.
Et c’est ce qui est démontré dans l’Apocalypse.
La mort de l'Antéchrist système suit la résurrection des deux témoins, où :
« A cette même heure, il se fit un grand tremblement de terre... » (Ap. 11,13)
Rappelez
vous les trois prophéties politiques de Jean XXIII: « Grand Éclair à
l'Orient », « La Foudre en Plein Jour », et « Le Temps est Proche ».
Un
temps de paix, très court, permettra de rassembler le plus d'âmes
possible, car à la septième trompette qui suit, le troisième malheur
arrive avec la mort de l'Antéchrist.
C'est là que se produisent tous les signes que plusieurs relient à la fin des temps (dont
les trois jours de noirceur, le signe de Jonas donné par le Christ, et
prophétisés par Padre Pio par exemple) arrivent.
Nous savons aussi que le chiffre de l’humain est le 6, et donc le 666 représente l’humain déifié dans sa trinité.
Le chiffre du Père dans la Trinité est le 777 (divisible par 3,5).
Le 6 est transfiguré au 7 par le 3,5.
En effet, 3,5 multiplié par 6 donne 21, et 21 c’est 3X7, chiffre de perfection divine.
D’où
le 666 au sommet de sa gloire aujourd’hui, et qui est donc le chiffre
de la bête par lequel nous ne pourrons plus vendre ou acheter nous dit
Saint Jean.
Avec le passeport sanitaire, on peut dire que nous y sommes presque.
Ils
sont en train de forcer la marque à ceux qui ne veulent pas adhérer au chiffre de
la bête en pensées (marqué au front) et par action (marqué à la main
droite), soit le système antichristique.
C’est aussi le symbole CUP, série de 3 fois six chiffre de toute transaction monétaire.
Un autre chiffre important est le 49 (7X7), divisible en base 3,5 aussi et qui est la limite du diable,
Rappel avec Don Jean de Monléon, dans son livre Le prophète Daniel:
« Malgré les efforts des
bourreaux, la flamme ne montait qu’à 49 coudées, elle n’arrivait
pas à cinquante… Pourquoi cela ? Parce que 50 est le chiffre de la
Pentecôte, le symbole de la transformation totale que, seule,
la grâce du Saint-Esprit est capable d’opérer dans l’homme. »
Par conséquent, « le
démon ne peut dépasser 49 coudées, parce qu’il est incapable d’agir
efficacement sur le fond de l’âme, sur la volonté, si celle-ci est
résolue à tenir bon. »
Le diable n’a donc pas le
droit d’aller jusqu’à 50, le chiffre en jours qui sépare la
Résurrection de la Pentecôte, et qui est le chiffre d’un jubilé.
Rappelons ici que 2025 est une
année de jubilé (voir analyse du 4 juin 2021; jubilé appelé par
Bergoglio dans son message publié mardi le 3 février 2021 pour le
150ème anniversaire de la proclamation de Rome après la perte de
États pontificaux!)
C’est très important car 49 explique beaucoup de choses.
Il explique aussi l’importance
de la Pentecôte incarnée dans la symbolique des deux témoins
ressuscités comme spécifiée dans l’analyse du 22 novembre, c’est à dire
une nouvelle église où Marie revivra dans les cœurs comme dans la
prophétie concernant Benoît XVI.
N’oublions pas aussi que l’épisode de la chute des murs de Jéricho est reliée.
Ce n’est qu’au 7ème jour et septième tour que les murs s’écroulèrent.
7 tours pendant 7 jours : la limite du diable= 49.
Autre chiffre important, le 60, car il explique le veuvage selon Saint-Paul.
Or, le veuvage (60 ans) de
l’église conciliaire suite à Vatican II (dont Nostra
Aetate voté à la dernière session le 28 octobre 1965 (Jean XXIII a
été élu un 28 octobre)), sera en 2025.
« Où croyez-vous fuir,
maintenant que vous avez détruit les Églises et tué le dernier Père ? »
spécifie Jean XXIII dans la prophétie de l’Église #11 « Le Septième
Sceau ».
L’Église est bien veuve lors de l’ouverture du septième sceau.
Un autre chiffre à avoir à l’esprit est le 63, car 3,5 X (6+6+6) donne 63, le chiffre de la transfiguration.
LES PREUVES DU DÉCOMPTE
Alors, par où commencer?
Le grande réinitialisation actuelle n’est possible que par le code QR ou son successeur.
Sans surprise, le code QR ressemble à la disposition d’un temple maçonnique et à la base de la pyramide du Louvre (voir ici).
C’est
ainsi que la bête de la terre (humaniste, Nations-Unies, franc
maçonnerie judéo-maçonnique) a pris le contrôle total de nos vies pour
nous rendre esclaves du système antéchristique.
Tout se fait maintenant via le téléphone intelligent.
Un marché aujourd’hui dominé par la compagnie Apple.
Il faut remonter à la création
de l’ordinateur accessible pour tous, ancêtre en sorte du smartphone
actuel, pour voir la bête sortir de l’eau, en termes apocalyptiques.
C’est Apple évidement (nom qui
ne relève pas du hasard car c'est une référence au Jardin d’Éden qu'on voyait dans les premières pubs) qui a produit le premier
ordinateur publique, du nom de Apple I, et qui se vendait 666.66 dollars.
La date : le 11 avril 1976.
Sachant que la limite du
diable est de 49, nous en déduisons donc que la limite de Babylone est
le 11 avril 2025, ou du moins en 2025.
Ça, c’est pour la bête de la terre.
La bête de la mer, Vatican, doit obligatoirement suivre, car ils agissent ensemble selon l’Apocalypse.
Paul VI suspend Mgr Lefebvre le 22 juillet 1976 suite à la consécration de 13 prêtres.
Ce dernier, en réponse, convoque le 29 août 1976 les intégristes à Lille pour une messe célébrée selon le rite de saint Pie V.
Rappelons que le phare des « deux témoins » de l’Apocalypse, de la tradition, est la FSSPX fondée par Mgr Lefebvre.
Or, le 11 septembre 1976, à Castel Gandolfo, une célèbre rencontre eu lieu entre Paul VI et Mgr Lefebvre. (sspx.ca)
« Le début de la rencontre,
rapporté par les deux sources, fut un véritable réquisitoire contre le
fondateur de la Fraternité : « une tempête », dira plus tard
l'archevêque à ses séminaristes, résumant les reproches du Pape : «
Vous me condamnez ; Je suis moderniste, protestant. C'est
intolérable ! Vous faites un travail méchant.
Le compte rendu textuel du
cardinal Benelli révèle à quel point ces accusations étaient fortes : «
J'espérais trouver avant moi un frère, un fils, un ami », a déclaré
Paul VI. "Malheureusement", a-t-il poursuivi, "la position que
vous avez adoptée est celle d'un antipape... Elle dépasse toute mesure
dans ses paroles, ses actions et son attitude générale." Ce qui
est en jeu ici, a poursuivi le Saint-Père :
... n'est pas la personne,
c'est le Pape, et vous avez jugé le Pape infidèle à la Foi dont il est
le garant suprême. C'est peut-être la première fois dans
l'histoire que cela se produit. Vous avez dit au monde entier que
le Pape n'a pas la Foi, qu'il ne croit pas, qu'il est moderniste, et
ainsi de suite ! Bien sûr, je dois moi-même rester
humble. Mais vous, vous vous êtes mis dans une situation
terrible. Vous avez accompli des actions extrêmement graves devant
les yeux du monde. »
La bête Vatican est identifiée. Nul doute ici.
Sortie de l’eau.
Le 11 septembre 1976.
Contre le Christ.
C’est bien ce que nous avons aussi dans la prophétie de Jean XXIII concernant Paul VI.
Nombre de jour entre le 11 avril 1976, et le 11 septembre 1976 liant les deux bêtes : 153.
Le chiffre des rachetés de la pêche miraculeuse (voir analyses précédentes) de la fin des temps.
La limite du diable est donc bien 2025.
Mais, on le sait, c’est grâce à Jean XXIII que le schisme s’est accéléré.
Il fut élu le 28 octobre 1958.
Or, du 28 octobre 1958 au 28 avril 2025, il y a 66.5 années.
On s’approche ainsi du chiffre 66.6, et 66.5 divisé par 3,5 donne 19.
C’est donc bien en base 3,5.
Mais le plus important est que Jean XXIII ait convoqué le concile Vatican II.
C’est là qu’a débuté la Passion de l’Église.
Exactement le 11 octobre 1962.
La période s’étalant du jeudi 11 octobre 1962 au vendredi 11 avril 2025 est de 749,99 mois!
Ou 62,5 années.
Ou 63 années si
on continue jusqu’au 11 octobre 2025, soit le chiffre de la
transfiguration du 666 (voir début de l’analyse).
3,5x (6+6+6)= 63
63 est aussi : 21 + 42.
Rappelez-vous : la fin des temps se mesure ainsi : deux temps, un temps et un demi temps (3 étapes).
Un temps : 21 ans
Deux temps : 42 ans
Un demi temps : la donnée inconnue : nul ne connaît le jour ni l’heure...
Or,
on sait grâce à la prophétie de Jean XXIII « Le Temps est Proche
» que la limite de la fille de Caïn est le 18 août 2025
(voir analyses précédentes):
« Le premier empereur meurt de faim, enfermé dans la tour de son rêve.
Le second empereur dans le désert, attaqué par les animaux de la peste, inconnus.
La fille de Caïn est montée au Nord, pour prêcher. Luxure dans la nouvelle Babylone, pour sept ans.
La
septième année tombe le septième voile de Salomé, mais il n'existe pas
d'empereur, il n'existe pas qui saura lever l'épée et couper le cou de
Jean. Le temps est proche.»
Il
n’y a plus d’empereur à cette date (à la limite du 49 ans : comme
pour la chute des murs de Jéricho, nous avons ici 7 voiles X 7 ans)
C’est donc dire que Babylone est tombée.
ET il est spécifié que lorsque le septième voile est tombé, qu’il n’y a personne pour couper le cou de Jean.
Jean-Baptiste, c’est l’avant Jésus.
Son rôle d’alors est typiquement apocalyptique : la fin est très proche et les châtiments vont suivre.
Les
méchants vont être punis et les justes récompensés, d’où l’urgence de
se convertir, car au jour du Jugement, il sera trop tard.
Ce
qui veut dire qu’au 18 août 2025, on a toujours le temps de se
convertir car contrairement à l’époque du Christ, Jean est toujours là
pour nous, mais comme la fin de la prophétie l’affirme, le temps est
proche!
Car, ce qui suit est la date dont nous ne pouvons connaître le jour ni l’heure.
Fait important qui renforce cette hypothèse :
Jean XXIII publie son encyclique humanitaire PACEM IN TERRIS le 11 avril 1963.
Il y a donc 62 ans entre cette date et le 11 avril 2025, la limite du diable.
C’est 6 mois piles après le 11 octobre 1962 à l’ouverture du concile, et on en arrive ainsi à 62.5 années ou 42 + 20,5 ans.
Vérifions
le décompte (les trois étapes) de la fin des temps afin de voir s’il y
des corrélations, des événements marquants chacune des étapes.
Un temps : 21 ans
De 1962 à 1983.
1983 :
Jean Paul II modifie le droit canon le 25 janvier 1983 et celui ci est
effectif le 27 novembre suivant au premier dimanche de l’Avent, ce qui
en soit est un signe d’une nouvelle étape.
Qu’a-t-il de particulier?
Il
remplace le Code de droit canonique de 1917 et tient
compte des changements apportés par le concile Vatican II.
(Rappelons nous les 100 ans accordés à Satan selon la vision de Léon
XIII, et surtout Fatima en 1917).
Cette
idée a germé dès 1959 dans l'esprit de Jean XXIII. Elle
a été ensuite reprise par Paul VI, qui établit les schémas
directeurs du nouveau code.
Le
code de 1983 met moins l'accent sur le caractère hiérarchique
et ordonné de l'Église. Il veut au contraire promouvoir l'image d'une
Église-peuple de Dieu (référence explicite à
la constitution de 1964 Lumen Gentium) et d'une
hiérarchie au service des autres (can. 204).
Le code développe notamment
les possibilités d'adaptations pour tenir compte des impératifs
pastoraux et instaure un régime plus souple pour les dispenses.
Donc on peut bien affirmer que ce but est en train d’être achevé par nul autre que Bergoglio!
« Les
fidèles du Christ sont ceux qui, en tant qu'incorporés au Christ par le
baptême, sont constitués en peuple de Dieu et qui, pour cette raison,
faits participants à leur manière à la fonction sacerdotale,
prophétique et royale du Christ, sont appelés à exercer, chacun selon
sa condition propre, la mission que Dieu a confiée à l'Église pour
qu'elle l'accomplisse dans le monde. » (Jean Paul II)
C’est
donc ici que la bête de la terre et la bête de la mer font
fusion : la nouvelle religion humaniste basée sur la déification
de l’homme fait partie officiellement de l’ADN de l’église conciliaire,
inscrit dans un code.
Le code de droit canonique de 1917 a été promulgué le 27 mai 1917 (peu après la première apparition de Fatima donc).
Nombres d’années entre le 27 mai 1917 et le 27 novembre 1983 : 66 ans et 6 mois.
Les 21 années de Vatican II à 1983 ont donc servi de préparation pour éclipser l’Église selon les prophéties de La Salette.
Deux temps : 42 ans
De 1983 à 2025.
On vient de voir que le nouveau droit canon plonge l'Église dans la fosse humaniste officiellement.
Le 5 avril 1983, Mgr Lefebvre répond à une lettre envoyée par Jean-Paul II via le cardinal Ratzinger.
L'Église est en crise.
La messe traditionnelle est ciblée.
«
Sans doute c’est en raison de cette oppression des consciences exercée
d’une manière inconcevable à l’intérieur de l’Église que vous prévoyez
de publier un décret concernant l’usage de l’ancien rite romain de la
Messe. N’est-ce pas, en effet, une oppression inique d’enlever aux
prêtres le rite de leur Messe d’ordination et de les contraindre sous
peine de suspens d’adopter un nouveau rite à l’institution duquel ont
participé six pasteurs protestants !
C’est au pied du crucifix que
je vous réponds, Très Saint-Père, uni à tous les évêques, prêtres,
religieux, religieuses, fidèles qui ont subi un véritable martyre moral
par l’imposition forcée de cette Réforme liturgique. Que de larmes, que
de douleurs, que de morts prématurées dont demeurent responsables ceux
qui ont indûment imposé ces changements opérés au seul titre d’un
œcuménisme aberrant.» (laportelatine.org)
Commentaires de Mgr Lefebvre sur le nouveau droit canon en 1983:
«
... C’est explicite dans la présentation du Droit Canon : le nouveau
code est fait dans le but de faire passer dans un langage canonique
l’ecclésiologie conciliaire. Qu’est-ce que ça veut dire, cela ? Le
nouveau code est fait pour faire passer en langage légal, canonique
l’ecclésiologie conciliaire… Et donc le but du nouveau Droit Canon,
c’est de faire passer les principes, l’esprit – ils parlent même de
l’esprit du Concile Vatican II. »
« Ensuite, le nouveau Droit
Canon professe surtout la collégialité... Collégialité dans les
rapports entre les églises, les églises locales et les églises
universelles, et entre les autorités, entre les évêques et le pape. Et
bien, dans le nouveau Droit, il y a deux pouvoirs suprêmes de l’Église.
Il y a le pouvoir du pape qui a le pouvoir suprême, et ensuite le pape
avec les évêques. »
«
L’obéissance aveugle est un contresens et nul n’est exempt de
responsabilité pour avoir obéi aux hommes plutôt qu’à Dieu. C’est trop
facile de dire : - Moi, j’obéis. S’il se trompe, et bien je me trompe
avec lui… Mais comme disait Mgr - Je préfère me tromper avec le pape,
que d’être dans la vérité contre le pape !… Alors, il faut traduire ça
: - Je préfère être contre Notre-Seigneur Jésus-Christ avec le pape,
plutôt que d’être avec Notre-Seigneur Jésus-Christ contre le pape !…
C’est idiot !… On est pour Notre-Seigneur Jésus-Christ et, par
conséquent, dans la mesure où le pape est vraiment le vicaire du Christ
et agit en tant que vicaire du Christ, et nous donne la lumière du
Christ, nous sommes bien sûr prêts à fermer les yeux et à le suivre
partout. Mais, dès lors que cette lumière n’est plus celle de
Notre-Seigneur Jésus-Christ, qu’on nous emmène vers des horizons
nouveaux - qui sont dits explicitement nouveaux, on ne s’en cache
pas. Tout est nouveau, nouveau code de Droit canonique, nouveau
missel… tout est nouveau, nouvelle ecclésiologie - ça ne va plus, ça…
Cette résistance doit être publique si le mal est public et est un objet de scandale, c’est ce que dit Saint Thomas. »
«
C’est marqué dans le discours du pape, dans la constitution qui
présente le nouveau code de droit canonique, C’est lui-même qui dit ces
choses-là. Peuple de Dieu, Communion, Service, Collégialité,
Œcuménisme. Voilà les caractéristiques de la nouvelle ecclésiologie de
Vatican II. C’est clair. C’est clair que c’est la continuation du
travail qui a été fait par Vatican II dans la liturgie, dans les
catéchismes et dans la Bible, bible œcuménique, la fameuse TOB,
traduction œcuménique de la bible.
Alors, qu’est ce que nous
devons penser de cela ? Eh bien, c’est que ce droit canon est
inacceptable. Il n’y a pas de nouvelle Ecclésiologie dans
l’Église. On ne va pas donner une nouvelle définition à l’Église, si …
Alors on s’est trompé pendant 2000 ans. L’Église ne savait pas ce
qu’elle était pendant 2000 ans. Tout à coup, la voilà devenue
œcuménisme, collégiale, communion. Communion de quoi, de qui, avec qui,
avec quoi ? »
«
Autre chose qui touche la foi dans le nouveau droit canon, c’est de
pouvoir donner cette hospitalité eucharistique comme ils l’ont appelée
d’une manière invraisemblable, on peut appeler çà un sacrilège en
définitive, hospitalité eucharistique : Un protestant pourvu qu’il
croit à la présence réelle selon la foi catholique peut recevoir la
sainte communion. »
C’est bien ce que nous affirmions ci-haut.
L’humanisme œcuménique a été inscrit dans l’ADN de l’Église.
Concrètement.
On trouve une autre confirmation par la deuxième apparition de la Vierge Marie à Soeur Catherine Labouré à la rue du Bac:
La
libération des justes, les 153 de la seconde pêche miraculeuse (voir
analyses précédentes l’interprétation de Saint-Augustin et la notion de
jubilé des jubilés), commencent donc au début de la phase de 42 ans, la
période de prêche des deux témoins pour sauver le plus d’âmes possibles.
Nous venons de démontrer que cette phase commence par la validité du nouveau code de droit canon le 27 novembre 1983.
Or,
le 27 novembre est la date anniversaire de l’apparition de la rue du
Bac en 1830 et conséquemment de l’existence de la médaille miraculeuse.
Il y a exactement 153 ans entre l’apparition et le 27 novembre 1983.
Cette description de la seconde apparition est en lien direct avec la période de la fin des temps (voir fr.aleteia.org).
La Sainte Vierge apparaît sous le tableau de Saint-Joseph.
Saint Joseph représente l’Église pure dont il est le gardien et le patron.
Saint Joseph, est l’époux putatif de la Sainte Vierge. Le pape, est donc l’époux putatif de l’Église.
Mais présentement, le pape renie ce rôle.
Et l'Église est ainsi présentement éclipsée.
La
Sainte Vierge se tient debout sur le demi-globe terrestre, ses pieds
écrasant le serpent. Les rayons dorés sont les grâces pour ceux fidèles
à la Loi et aux Prophètes, les rayons sombres, pour les
grâces que personne ne demande en référence à la grande apostasie.
C’est bien le tableau de l’Apocalypse. La phase des deux témoins de 42 années.
Un ovale est apparu autour de la Sainte Vierge.
C’est
la protection de la Vierge des derniers temps pour l’Église et ses
fidèles, comme lorsque le Christ demande de fuir vers les montagnes,
dans une grotte, c’est à dire s’isoler de Babylone par la prière.
« Ô Marie conçue sans péché, priez pour nous qui avons recours à vous. »
L’envers de la médaille à l’intérieur de l’ovale, dans la bulle de protection:
-
Deux cœurs. Celui du Christ couronné d’épines, celui de la Vierge Marie
transpercée d’un glaive : C’est la passion de l’Église à l'image
du Christ. Rappelons nous la prophétie de Saint-Siméon à la
consécration de Jésus au temple: un glaive te transpercera le coeur...
- La croix du Christ et le « M » de Marie entrelacés: Jésus et Marie comme co-rédempteurs de la fin des temps.
-
Et l’indice de la durée puisqu’il y a 12 étoiles en référence à la
femme avec les deux pieds sur la lune portant une couronne de 12
étoiles, aux 42 années.
Rappeler vous le calcul en base 3,5 (3,5 X 12 = 42) en référence au 42 années de prêche des deux témoins.
Ainsi commençait la mission des deux témoins de l’Apocalypse le 27 novembre 1983 :
«
le temple de Dieu, l'autel et ceux qui y adorent… a été abandonné aux
Nations, et elles fouleront aux pieds la ville sainte pendant quarante
deux mois.Et je donnerai à mes deux témoins de prophétiser, revêtus de
sacs, pendant mille deux cent soixante jours. (Ap. 11,1-3) »
Mission qui s’achève maintenant.
Les deux témoins vont être mis à mort.
Comme le Christ.
Après leurs résurrection, il ne restera qu’un demi temps...
Et ce temps se mesure en mois, sinon en semaines, sinon en jours...
Nul le connaît ni le jour ni l’heure… Sinon le Père.
Voilà.
Au jour du Jugement, il sera trop tard pour se convertir.
Comme avec la parabole des 10 vierges qui suit Matthieu 24.
Une fois la porte fermée, plus personne n’entre.
Je ne les connais même pas affirme le Christ.
De
par les textes de l’Apocalypse et des prophéties de l’Église de Jean
XXIII, nous savons que le rôle essentiel avant le retour du Christ est
celui de la Vierge Marie, la pure, sans tache originelle.
Or, en 2025, cela fera 171 ans que le dogme de l’Immaculée Conception a été proclamé par Pie IX, le 8 décembre 1854 exactement.
Si
le 161 analysé au début du texte représente le chiffre de l’homme
déifié entre les deux colonnes du 11, nous avons donc ici le 6
transfiguré, le 7, le chiffre du Père, entre les deux colonnes.
Grâce à la Vierge Marie qui nous mène au Fils, seul chemin qui mène au Père.
Les deux colonnes ici représentent les « deux témoins » ressuscités après les 3 jours et demi : les deux oliviers.
Ces deux témoins, on les nomment aussi Énoch et Élie.
La Salette pour les 42 années de témoignage des deux témoins :
« L’Église sera éclipsée, le
Monde sera dans la consternation. Mais voilà Énoch et Élie remplis de
l'Esprit de Dieu ; ils prêcheront avec la force de Dieu et les
hommes de bonne volonté croiront en Dieu et beaucoup d'âmes seront
consolées ; ils feront de grands progrès par la vertu du
Saint-Esprit et condamneront les erreurs diaboliques de l'Antéchrist. »
Ce qui est la sixième période des châtiments de l’Apocalypse.
« Malheur aux habitants de la
Terre ! Il y aura des guerres sanglantes et des famines, des
pestes et des maladies contagieuses ; il y aura des pluies d'une grêle
effroyable d'animaux ; des tonnerres qui ébranleront des villes ; des
tremblements de terre qui engloutiront des pays ; on entendra des voix
dans les airs ; les hommes se battront la tête contre les murailles ;
ils appelleront la mort, et, d'un autre côté, la mort sera leur
supplice : le sang coulera de tous côtés ».
Les deux témoins dans l’Ancien Testament :
« Je repris la parole et je
lui dis : " Que sont ces deux oliviers à la droite du
candélabre et à sa gauche ? "
Je repris une seconde fois la
parole et lui dis : " Que sont ces deux grappes d'olivier qui
se trouvent auprès des deux entonnoirs d'or d'où l'or
découle ? "
Il me parla en ces
termes : " Ne sais-tu pas ce que c'est ? " Je
répondis : " Non, mon seigneur. "
Et il me dit : " Ce
sont les deux fils de l'onction qui se tiennent près du Seigneur de
toute la terre. " (Zacharie, 4, 11-14)
Les deux témoins dans le Nouveau Testament :
« Ceux-ci sont les deux oliviers et les deux candélabres qui sont dressés en présence du Seigneur de la terre. » (Ap. 11,4)
CONCLUSION
« Il y a vingt siècles plus l'âge du Sauveur. Amen » affirme Jean XXIII.
Considérant un décalage de 7 ans pour la naissance du Christ selon Benoît XVI, nous arrivons à 2033 moins 7 ans : 2026.
Exactement avant la venue du Lys selon Don Bosco.
Avant les deux lunes de mai 2026.
Soit à l'automne 2025 pour la limite de Babylone.
27 novembre
Cet article est trop important pour ne pas le traduire en français et le rendre disponible pour les intéressés.
La fusion entre le biologique et le techonologique, la 4ème révolution
de Swab et de l'élite a été officiellement annoncée il y a quelques
semaines.
Il s'agît du métavers.
C'est tout un affront.
Car c'est la singerie de Satan du Royaume de Dieu finalement établit sur la terre.
C'est l'annonce que la présence de Dieu sur cette planète sera éliminée à très court terme.
Évidemment.
C'est un ultimatum.
Une ligne rouge franchie qui aura des conséquences.
« La fausse liberté du métavers, où l'illusion triomphe (lifesitenews.com)
Un monde isolé et déconnecté de la réalité et de la nature des choses
peut nourrir des passions débridées, opposées à toute règle morale.
La prochaine étape de la révolution de l'information est le
soi-disant métaverse * , une plate-forme puissante qui va au-delà
de tout ce qui a été vu jusqu'à présent. Il sera commercialisé comme la
prochaine génération d'Internet, facilitant des expériences intenses et
ouvrant de nouveaux marchés.
Certains craignent que ce métavers n'aggrave les
dépendances actuelles aux médias sociaux, et d'autres y voient une
distraction bien plus dommageable, en particulier pour les jeunes.
Cependant, personne ne semble considérer les implications morales du
projet. Le métavers nuira aux âmes. Malheureusement,
personne ne voit de raison d'impliquer Dieu et la moralité dans une
invention technologique apparemment en dehors du domaine privé de la
religion. Pire encore, le clergé ne montre aucun signe de
reconnaissance du problème. Il n'est même pas dans son radar.
Mais le problème existe. Le métavers est une attaque
métaphysique contre la vision du monde de l'Église. Elle efface la
nature d'un univers créé par Dieu et rend possibles des actes immoraux
qui L'offensent gravement.
Un processus d'imagination et de destruction
Le métavers doit être compris dans le contexte d'un
processus d'effort continu de la modernité pour mettre l'humanité, et
non Dieu, au centre de toutes choses.
En effet, la modernité est obsédée par l'imagination de nouveaux mondes
sans Dieu. Les Lumières ont introduit des moyens d'étendre la réalité à
ses limites en développant de nouvelles technologies, philosophies et
modes de vie.
Les temps modernes ont inauguré la glorification de l'homme. La société
est devenue une collection de personnes, ce « tas de sable fait par des
individus » de Hobbes, chacun guidé par son intérêt personnel et
maintenu en ordre par une forte règle de droit comme on le trouve dans
son Léviathan.
Ainsi, l'individualisme moderne vise à détruire les structures
extérieures - tradition, coutumes ou corps intermédiaires - qui
entravent l'intérêt personnel, détruisant de nombreux mécanismes moraux
qui facilitent la pratique de la vertu en commun. De plus, elle a créé
un ordre frénétique dans lequel, en plaçant l'homme au centre de tout,
la religion est reléguée au rang d'affaire privée.
La postmodernité a brisé la société
L'ordre de la modernité a été bouleversé par la postmodernité inaugurée
dans les années 1960, qui proposait de libérer l'imaginaire et de lever
toutes les contraintes morales. La postmodernité a poussé
l'individualisme à l'extrême grâce à l'utilisation de nouvelles
technologies, philosophies et modes de vie. La société a été
bouleversée par les drogues psychédéliques, la musique rock et la
révolution sexuelle.
Avec la même logique avec laquelle la modernité idolâtrait l'intérêt
personnel, l'individualiste postmoderne fait du « droit » à
l'autosatisfaction le seul droit absolu - même lorsqu'un tel
comportement est autodestructeur. L'individualiste postmoderne cherche
à détruire ces structures internes - logique, identité ou unité - qui
empêchent la gratification instantanée. Les récits « déconstruits » de
la postmodernité ont isolé encore plus les individus et les ont poussés
à créer leurs réalités en dehors de Dieu et de sa morale.
Cependant, la modernité et la postmodernité étaient encore en quelque
sorte ancrées dans une réalité extérieure à laquelle les gens ne
pouvaient pas complètement échapper. Il y avait des limitations
physiques et ontologiques qui contrôlaient l'imagination. Un homme
pouvait s'identifier comme quelque chose qu'il n'était pas, mais le
désir n'altère pas la réalité. De plus, son imagination n'était pas
évidente pour tout le monde autour de lui.
Une nouvelle phase de perception de la réalité
L'introduction du métavers surmonte cet obstacle pour
modifier la réalité. Cela fait partie de ce que de nombreux
futurologues appellent une quatrième révolution industrielle .
Suivant les traces de la modernité et de la postmodernité, la prochaine
étape du processus est l'auto-imagination en dehors de la réalité. Les
obstacles qui se dressent sur le chemin sont la façon actuelle de
percevoir la nature, l'existence et l'être.
Cette prochaine vague d'innovation technologique permettra aux
individus de s'immerger dans un monde créé par eux. Les gens
deviendront des avatars, c'est-à-dire des cyber-représentations
d'hommes, de femmes, d'animaux ou de choses qui « vivent » dans
la cybersphère . Ils pourront être où bon leur semble, que ce
soit sur la lune, au sommet d'immeubles ou "dans une campagne peuplée
de licornes". Cette plate-forme peut être habitée par des
extraterrestres, des anges, des démons ou tout ce qui suit les
fantasmes impliqués.
Les gens feront des choses surhumaines dans lesquelles les actes
sembleront n'avoir aucune conséquence. Même si vous ne changez pas ce
qui existe, vous pouvez puissamment nourrir le mensonge selon lequel
votre imagination est plus réelle que la réalité.
Cette immense plate-forme virtuelle est plus qu'une simple extension
d'Internet, qui permet aux gens de parcourir le World Wide Web. Cette
nouvelle étape « incarne Internet en plaçant l'humain au centre de
celui-ci ». Dans ce nouveau royaume, l'imagination règne.
Ce n'est pas de la science-fiction
Ce projet n'est plus de la science-fiction. On en parle dans les médias
institutionnels comme le Wall Street Journal . Toutes les
sociétés de médias sociaux y mettent des éléments. Mark Zuckerberg
vient de rebaptiser Facebook, l'appelant Meta. Elle investira 10
milliards de dollars et embauchera 10 000 nouveaux employés pour
construire ce nouveau monde.
« Le métaverse sera la plus grande révolution des
plates-formes informatiques que le monde ait jamais connue, plus grande
que la révolution mobile, plus grande que la révolution Web », déclare
Marc Whitten de Unity Software dans un article du Wall Street
Journal .
Le métaverse propose un univers parallèle en trois dimensions de
réalité virtuelle et augmentée où les avatars numériques se
rencontreront en nombre illimité. Les gens seront équipés de lunettes
spécialisées et même d'équipements tactiles de pointe, qui leur
permettront de sentir et de toucher des choses éloignées en temps réel,
pouvant mélanger le monde réel avec l'imaginaire.
Daren Tsui, PDG de Together Labs Inc. déclare : « L'expérience de
l'avatar sera si réelle qu'il est difficile de faire la différence
entre une rencontre virtuelle et une rencontre physique. Et
l'expérience virtuelle n'en sera que meilleure ».
Création consécutive d'un monde illusoire
Il y a trois problèmes principaux avec le métaverse . Le premier
est qu'il encourage les gens à se détacher de la réalité en créant un
monde illusoire sans conséquence ni sens. Les gens sont libres de
défier la nature en faisant des choses impossibles, comme marcher sur
la lune ou regarder un match de baseball depuis l'assiette du lanceur.
Les choses les plus absurdes deviennent possibles dans un monde
imaginaire déconnecté de la réalité.
Les gens ne sont plus liés au temps et peuvent voyager dans ce qu'ils
imaginent être le passé ou le futur. Même la mort peut être « vaincue »
avec des avatars et des algorithmes qui ramènent ce qui semble être des
parents décédés ou des personnages historiques avec lesquels on peut
converser et interagir. Vous êtes libre de faire des choses aux autres
(qui peuvent exister ou non) ou même de vous couper les bras sans
conséquences. Tout fantasme, même le plus macabre, peut devenir réalité
dans le métavers . De cette façon, des espaces sombres et
sinistres peuvent être ouverts qui faciliteront les actes pécheurs ou
leurs simulations.
Un monde si isolé et déconnecté de la réalité et de la nature des
choses peut nourrir les passions débridées qui rejettent toute retenue
morale. Un espace comme celui-ci peut rapidement passer d' Alice
au pays des merveilles à une maison de fous. L'intempérance
frénétique d'Internet et des médias sociaux actuels cause déjà des
problèmes psychologiques et sociaux. Dans quelle mesure la capacité du
métavers à engloutir les gens dans leurs frénésies et leurs
dépressions sera-t-elle encore plus exponentielle ?
Destruction de l'identité
La deuxième raison de s'inquiéter du métaverse est qu'il
assimile l'identité au choix. Le paradigme postmoderne permet déjà à
une personne de s'identifier comme autre chose. Cependant, cette
identification n'existe que dans l'esprit de la personne trompée.
Généralement, le monde extérieur peut percevoir l'illusion.
Néanmoins, le métaverse change cette perception. La
personne devient le modèle parfait de ce qu'elle désire et ne peut pas
être. Il n'est pas nécessaire que ce soit une personne, mais cela peut
être un animal, une plante ou une chose. Il ne doit pas s'agir d'un
seul être, mais d'une cacophonie d'êtres sans unité dans ce monde
fantastique.
Le mensonge de s'identifier à la liberté est rendu possible avec
le métavers . Le philosophe existentialiste Jean-Paul Sartre a
écrit que « l'homme est la liberté », ce qui rendrait les gens
essentiellement illimités. Dans son livre L' être et le néant ,
Sartre disait que « la liberté n'est rien d'autre qu'un choix qui se
crée ses propres possibilités ».
Le métavers est la réalisation de cette idée déformée de la
liberté qui se rebelle contre les limitations contingentes de la nature
humaine, pouvant transformer les individus en dieux de leurs fantasmes.
Démolition de la métaphysique
Cependant, l'aspect le plus dangereux du métavers est la
démolition de la vision métaphysique de la vie qui conduit l'âme au
Créateur.
Tout le monde, même les enfants, se consacre à la métaphysique. La
nature humaine et en particulier l'âme nécessitent une compréhension
rationnelle de soi et de l'univers. Par conséquent, une définition
classique de la métaphysique est qu'il s'agit d'une enquête
philosophique sur les principes et les causes ultimes. En s'engageant
dans la métaphysique, les individus recherchent la nature des choses
qui existent et les intègrent dans une vision cohérente.
Une vue vraie des choses rend douloureusement claire la nature finie et
contingente de chaque être humain. Pourtant, en comprenant les
conceptions de la Création, les gens voient que le but de l'existence
transcende les limitations physiques et sociales, poursuivant un chemin
vers le Créateur en tant que reflet de la nature. Ce processus donne un
sens et un but à la vie alors que les âmes s'efforcent d'atteindre leur
but ultime en Dieu.
La révolution du transhumanisme
Les philosophies derrière le métavers sont contraires à
cette vision métaphysique classique. Il n'y a aucune tentative pour
comprendre la nature des choses, seulement pour avoir l'expérience
illimitée d'événements aléatoires. Cette notion « transhumaine » du
monde comprend l'humanité comme un processus en constante évolution.
L'ingénieur de la « Grande réinitialisation » Klaus Schwab décrit cette
prochaine phase comme la « fusion imminente des mondes numérique,
biologique et physique ».
L'idée du métavers est cohérente avec la vision de l'auteur
à succès du New York Times Yuval Noah Harari, qui écrit
fréquemment sur ces sujets en imaginant explicitement un avenir sans
âme ni libre arbitre, sans moi unifié et sans Dieu. un monde
algorithmique d'expériences aléatoires où l'on est ce que l'on devient.
Il soutient qu'il n'y a pas de religions mais seulement de puissantes
fictions, tout comme le métavers , dans lequel les gens «
créeront des mondes virtuels entiers avec des enfers et des paradis ».
L'auteur n'est pas le seul à croire en cet avenir glacial. Parlez au
nom d'une classe progressiste de scientifiques, d'hommes d'affaires et
d'universitaires du Big Data et de la Silicon Valley, qui se sont tous
donné pour tâche de changer la nature et la réalité humaines à travers
des artifices tels que le métavers et qui ne cachent pas
leur refus de la création divine et de ses ordre moral.
Le refus s'impose
Ce sont des préoccupations urgentes face au métaverse
entrant. Bien sûr, toutes ses applications ne contiendront pas la
pleine dose de ces plans destructeurs pour l'humanité. Cependant, la
direction générale mène à un nouveau monde arrogant sans Dieu. De
telles conclusions ne viennent pas des théories du complot, mais sont
ouvertement révélées par les promoteurs du métavers .
Par conséquent, le métavers doit être rejeté parce que sa
vision du monde est contraire à celle de l'Église. Il est navrant que
quelque chose d'aussi grand puisse apparaître à l'horizon et que les
bergers des âmes aient si peu à en dire. Dans la société sans Dieu
d'aujourd'hui, l'apostasie de la pratique de la Foi est causée bien
plus par des inventions technologiques comme celles-ci que par des
disputes théologiques abstraites.
Craignez également que vous ne vouliez pas voir où cela mènera.
L'histoire montre que lorsqu'on laisse libre cours aux passions, on
finit par aboutir au désespoir nihiliste. L'expérience excessivement
intempérante du plaisir causé par le métavers peut
éventuellement nécessiter les sentiments les plus intenses de douleur
existentielle. Ainsi, le processus de décomposition de la modernité
suivra son cours complet : de l'intérêt égocentrique à
l'autosatisfaction, à l'auto-imagination, à l'auto-annihilation.
En fait, ce sera un monde dominé par les illusions, les absurdités et
le déni de l'être, où le sens et le but sont annulés et les règles
bizarres de l'imagination reçoivent un nom tout aussi bizarre. De cette
façon, les visionnaires sécularisés du métavers planifient
un enfer virtuel sur terre.
_________________________________
* Metaverse (en anglais Metaverse ) est (…) une sorte de
réalité virtuelle partagée via internet , où l'on est
représenté en trois dimensions à travers son avatar . (...) Sur
cette plateforme chacun peut créer en 3D ce qu'il
veut, commerces , bureaux , discothèques et
plus, le tout potentiellement ouvert aux utilisateurs »
23 novembre
Comme
spécifié dans l'analyse d'hier, plus on s'approche de la mort et la
résurrection des deux témoins, et de la mort de l'Antéchrist système,
plus le temps accélère.
Ce fait nous est confirmé par les paroles même du démon lors d'un exorciste.
«
( LifeSiteNews ) – Un célèbre exorciste américain a déclaré que Satan
lui avait dit lors d’une séance d’exorcisme que Dieu « est sur le point
de me retirer mon pouvoir ».
Lors d’un podcast la semaine
dernière, le P. Chad Ripperger a déclaré qu’il « commandait » à
l’esprit d’expliquer les motifs de son comportement. Ripperger a
déclaré que le diable – qu’il a identifié comme étant Belzébuth – a
commencé à pleurer, admettant que Dieu est sur le point de mettre fin à
son influence sur les affaires de l’Église.
Le prêtre a déclaré qu’il ne
pouvait pas donner de détails intimes sur les raisons entourant la
possession parce qu’il n’avait pas la « permission de son évêque de
parler » sur les rouages de l’affaire. Il a déclaré que le contexte
de l’attaque démoniaque était « certains problèmes au sein de l’Église
».
Ripperger croit que
l’admission diabolique de Dieu restreignant le niveau d’influence que
les anges déchus ont sur les affaires de l’Église aura des applications
sur une plus large « situation géopolitique par application ».
L’influence des diaboliques
sur la sphère politique a été discutée sur le podcast US Grace Force,
animé par Doug Barry et Fr. Richard Heilman. Le trio a discuté de la
crise de l’Église catholique – que Ripperger a appelée « cette
obscurité que nous vivons » – et de la présence de la philosophie
marxiste dans la gouvernance du monde entier.
L’exorciste a soutenu que le
communisme s’est propagé dans le monde entier, ce qui, selon lui, est
attesté par le fait que « l’État profond du monde entier a pu fermer
l’économie mondiale en moins de deux semaines ».
L’avènement des blocages
mondiaux au début de la pandémie déclarée était la preuve pour
Ripperger qu’une influence marxiste a conduit à un « contrôle du récit
» qui a arbitré les messages entourant COVID-19.
En dehors de son expertise en
matière spirituelle et religieuse, Ripperger a publié de nombreux
articles dans le domaine de la psychologie humaine . Il a déclaré dans
l’interview que son travail avec les personnes possédées l’avait amené
à étudier la psychologie comme moyen d’aider plus efficacement ceux qui
venaient à lui. En conséquence, il a publié une série de conférences «
sur la façon dont la psychologie diabolique et la psychologie
communiste sont fondamentalement… les mêmes ».
Il lui est apparu récemment, a
déclaré Ripperger, que la « structure » de la façon dont les
gouvernements et les démons actuels traitent les gens n’est pas sans
rappeler une « relation abusive ». Il a fait référence à des manuels de
psychologie « où ils parlent de la structure des cas de violence
domestique », arguant que « l’éclairage au gaz » est une composante du
comportement abusif.
L’éclairage au gaz est défini
comme la manipulation de quelqu’un par des moyens psychologiques pour
qu’il remette en question sa propre santé mentale. Selon Ripperger, les
démons et les gouvernements le font – comme un conjoint violent – en
faisant des réclamations aux maltraités qui ne sont pas vraies, puis en
dénonçant la personne pour ne pas croire au mensonge avec un
comportement abusif.
Ripperger pense qu’un exemple
de cet éclairage au gaz est que le terme « suprémaciste blanc » est
utilisé comme péjoratif pour décrire une personne qui n’a pas
d’antécédents de comportement raciste. La personne est alors « éclairée
» lorsqu’elle est tenue de se défendre contre des accusations non
prouvées de racisme.
L’exorciste a estimé que le
comportement des gouvernements est une preuve de « panique » car « ils
font tout ce qu’ils peuvent … aussi vite qu’ils le peuvent sans
réfléchir ». Il a relié la panique qu’il a vue dans les affaires du
gouvernement à la panique qu’il a vue dans le démon qu’il exorcise.
Ripperger pense qu’au sein du gouvernement et de l’Église, les
fonctionnaires « ont tendance à se dépasser » parce qu’« ils se
précipitent… ils se rendent compte que leur temps presse et qu’ils
doivent donc « faire quelque chose ».
« Cette panique que nous
voyons… ils se bousculent littéralement [dans] la situation
géopolitique… et même dans une certaine mesure au sein de l’Église »,
a-t-il ajouté.
« Les démons savent que leur
temps est limité, alors ils essaient de réprimer n’importe quoi … alors
nous allons commencer à voir les gouvernements devenir de plus en plus
tyranniques … c’est une indication qu’ils surjouent leur main … parce
que ils bluffent tellement… ils mentent parce que leur temps est très
court.
Ripperger n’a pas suggéré que
la société et l’Église connaîtraient la paix ou l’ordre immédiat même
avec la dissipation de toute tyrannie spirituelle. Il a dit que « le
mal ne s’en va pas tranquillement, il piétine comme un bébé… vous savez
[un] enfant violent.
Lorsqu’on lui a demandé
comment les laïcs pouvaient se préparer « à vraiment s’accroupir et à
s’engager dans cette bataille », Ripperger a répondu que les
catholiques devraient se garder « sous le manteau de Notre-Dame, avoir
une forte dévotion envers elle, lui demander sa protection ». »
22 novembre
LA MORT DES DEUX TÉMOINS
Le
calendrier de la fin des temps décrit dans l’Apocalypse entre vraiment
dans la 7ème période ( où il y a la 7ème église, le 7ème sceau, et la
7ème trompette, soit le 777) après la mort des témoins et leur
résurrection.
Cet événement n’est pas très loin.
Nous
savons que le synode en cours devrait mené à une nouvelle église
humaniste avec une célébration œcuménique adaptée au us et coutumes
paroissiales, bref un retour au panthéisme qui a commencé avec le
synode amazonien et la pachamama à la basilique Saint-Pierre en 2019.
Donc
l’Église traditionnelle avec le clergé et les chrétiens fidèles à Loi
et aux Prophètes représentent les « deux témoins » aujourd’hui.
Première
possibilité de la mort des témoins : comme avec le dernier
Motu Proprio Traditionis Custodes forçant la messe conciliaire, une
nouvelle directive de Bergoglio concernant la messe œcuménique en
préparation, forcée pour tous, déclencherait le schisme tant prophétisé.
Ainsi,
ceux qui voudront demeuré au sein de l’église catholique, les
conservateurs, devront de plier à cette directive, et ceux qui ne
voudront pas simplement y adhérer seront excommuniés.
Dans un cas, comme dans l’autre, ils seront morts dans le sens donné par l’Apocalypse.
Deuxième
possibilité : Klaus Swab avec sa grande réinitialisation nous a
préparé une cyber pandémie depuis deux ans. Et, en effet, pour
contrôler la masse qui est hyper dépendante des ordinateurs et qui ne
peut se passer de son téléphone intelligent, il faut qu’ils contrôlent
absolument internet.
Il y aura donc une panne internet mondiale. Ils l’ont annoncé.
Mais
comme Klaus Swab l’affirme, le retour à la normale n’aura pas lieu.
Bergoglio utilise le même langage quant à l’église où il n’y aura pas
de retour en arrière, c’est à dire, l’avant Vatican II.
Ils ont facilement démontré avec la pandémie Covid-19 qu’ils pouvaient fermer et interdire les lieux de cultes, les églises.
Ils savent donc qu’ils peuvent répéter l’exercice de ce côté, mais de façon permanente.
Pour l’instant, il faut même le passeport sanitaire pour assister à la messe dans certains endroits.
Nous
avons été témoins que le seul moyen dans le plus fort des confinements
pour assister à la messe ou tout simplement demeurer connecté avec le
religieux était internet.
Quoi
de plus facile alors, après une cyber pandémie, de revenir avec un
internet renouvelé, où toute indication religieuse ne concordant pas
avec le système humaniste de fraternité universelle, serait tout
simplement censurée, incluant les blogs et les courriels.
Ainsi,
cette mort des « deux témoins » impliquerait inévitablement que la
tradition ne vivrait que grâce au Saint-Esprit, à une nouvelle
Pentecôte.
Les deux témoins auront eu le temps de prophétiser pendant 42 mois.
C’est le même délai que la durée de vie des deux bêtes de l’Apocalypse.
Vatican
II est le point de départ de cette guerre contre les âmes, de la montée
de la bête de la mer qui a contrôle sur tous les royaumes, c’est à dire
le Vatican (car en termes d’ouverture pour le Royaume des Cieux, il y a
seulement la religion catholique comme voie possible).
C’est pourquoi que dans le chapitre 11 de l’Apocalypse, Saint Jean affirme qu’ils ont le pouvoir de fermer le ciel.
À
noter que la mort des deux témoins ne dure que 3,5 jours, comparer à la
durée de vie des deux bêtes, soit 42 mois ou 3,5 années,.
C’est
donc un indice qu’après leur mort, tout s’accélère, puisque ce qui suit
c’est la mort de l’Antéchrist et la chute de Babylone la grande, soit
ce qui précède le retour de NSJC et le Jugement dernier.
Le concile EST le châtiment des chrétiens catholiques, des justes, du peuple fidèle à la Loi et aux Prophètes!
C’est bien cette torture psychologique qui est présentement appliquée au peuple de Dieu.
Les châtiments tant attendu par plusieurs ne sont pas devant mais derrière nous.
Ce qui se profile à l’horizon, c'est le châtiment de ceux qui ne sont pas avec le Christ, les autres.
C’est bien là que la synode 2023 veut mener le monde.
Pour ou contre le Christ.
La mort des deux témoins symbolisée par le décès éventuel de Benoît XVI, un témoin visible et important.
C’est confirmé par la prophétie de Jean XXIII le concernant.
« devant la tombe du va-nu-pieds, éclatera le règne béni de la Très Sainte Vierge. »
Soit,
à la célébration des obsèques de Benoît XVI, devant la tombe de
Jean-Paul II, située directement à l’entrée de la basilique
Saint-Pierre.
« Écoutez ses paroles.
Marie
Très Sainte, fille et mère de Dieu, maîtresse du temps futur, bats le
rappel de tes fils dans les campagnes, pour qu'ils abattent les deux
Babylone. »
C’est l’appel de la chute des deux Babylone, soit juste après la mort des deux témoins.
« La terre détruira le ciment et de terre sera, Reine, ta nouvelle Église. »
Confirmant
ainsi que la nouvelle Église (en fait la Tradition qui aura su
ressusciter l’Église) n’en saura pas une politisée comme la
conciliaire, mais vivante dans les cœurs.
Pier
Carpi dans son analyse utilisent les termes : « construite par des
hommes nouveaux, qui ont gardé les traditions antiques de type
campagnard, des traditions simples en tout cas. »
Jean XXIII dans la « prophétie politique #22: Grand Éclair à l'Orient » confirme le tout par « ce
n'est pas le temps d'un roi, ce ne l'a jamais été. Depuis la mort de
Frédéric, chaque roi est usurpateur. Que le roi s'en aille, reste le
peuple. L'Europe a soif, elle aura du sang dans les rues.
Mais
aussi de grandes processions et la Vierge Heureuse descendra sur terre.
Vous ne la verrez pas dans la grotte, mais dans un cœur qui revivra.
Depuis les ténèbres, elle apportera la parole que tous comprendront. »
Il s’agit bien d’une nouvelle Pentecôte après la mort des deux témoins.
Ce n’est pas dans une grotte donc dans ce qui a été, une église physique temporelle, mais dans le cœur que cela se vivra.
Et, ici est indiqué que ce n’est pas le temps d’un roi, d’un leader mondial mis sur le trône après la grande réinitialisation.
Tout concorde.
14 novembre
LES GRANDES COMÈTES DES DERNIERS TEMPS
Les 3 comètes analysées ici sont les dernières grandes comètes de longues périodes
visibles à l’œil nu, c’est à dire imprévues ou simplement parce
qu’elles viennent de très loin, et qu’on ne reverra plus jamais, donc
de comètes qui apparaissent à des moments clés.
Ces
3 comètes ont été ou sera visibles au nord et au sud à la fois, pour
que cela soit significatif, c’est à dire vu par tous, et non comme la
comète Hale-Bopp en 1997 qui n’a été vu que dans l’hémisphère nord.
La
comète Leonard, si elle atteint une magnitude tout près de zéro ou
moins, pourrait donner tout un spectacle lorsqu’elle « rasera » vénus
le 17 décembre.
Notons
que c'est la date anniversaire de Bergoglio, et que vénus est la
planète maître de la franc-maçonnerie, représenant Lucifer via le
pentagramme symbolique.
Alors, un signe comme à la naissance du Christ?
C'est à suivre.
Notions de magnitude : plus le chiffre est petit, plus c’est brillant.
Le chiffre 7 et ses multiples très présents (7 fois, 7 fois, 7 fois, etc... dans les prophéties de Jean XXIII par exemple).
Il y a donc beaucoup de
relations au chiffre 7, et surtout, l’importance du 14 au 15, et
conséquemment, du 21 (notions du 777, chiffre par excellence singé par
Satan et ses sbires de la kabbale).
Commençons par la comète MacNaught avec son jour le plus brillant, soit le 14 janvier 2007.
Elle fut la comète la plus
brillante en plus de 40 ans et fut facilement visible pour les
observateurs de l’hémisphère sud en janvier et en février 2007.
Elle a atteint la magnitude de -2.
La comète vue d’Allemagne
Benoît XVI, le bon larron de
notre fin des temps, rétablit l’ordre par rapport à la messe tridentine
avec Summon Pontificum 7 mois plus tard, soit le 7 juillet 2007.
7 ans plus tard, c’est la comète ISON qui était cataloguée comme la possible comète du siècle.
Ce fut un flop monumental (à
l’image de Babylone prochainement) puisqu’elle s’est désintégrée lors
de son passage autour du soleil.
Mais, Babylone jubile en 2014
et çà commence le 15 janvier 2014 (exactement 7 ans après le passage de
MacNaught autour du soleil) avec le discours de Christine Lagarde et
l'importance du chiffre 7.
Et ensuite le 23 janvier 2014 (Davos), elle lance qu’il est temps de faire un « reset », une réinitialisation.
(voir analyses précédentes)
Concept dont nous sommes habitués d’entendre maintenant.
2014, c’est aussi Brescia, patrie de Paul VI, où la croix de Jean-Paul II est tombée, tuant un jeune touriste.
Le 27 avril 2014, ce sont les
canonisations de Jean XXIII et Jean-Paul II, qui ont contribué
grandement à cette phase de l'humanisme créée par Paul VI à la dernière
séance de Vatican II.
Le 8 juin 2014 : c’est la
prière pour la paix de Bergoglio avec Shimon Peres, et Mahmoud Abbas,
thème donc si cher pour développer la « fraternité universelle », la
nouvelle religion.
Donc, la comète MacNaught est la plus brillante des comètes de longues périodes depuis plus de 40 ans.
Selon les astronomes, c’est donc à la comète de 1965 Ikeya–Seki que l’on fait référence.
Elle fut découverte le 18
septembre 1965, étant au plus près du soleil le 21 octobre 1965, et
elle a atteint une magnitude de -10!!!
Elle est considérée comme la plus grande comète du 20ième siècle.
Et ce n’est pas pour rien :
1965, c’est la fin de Vatican II, avec le nouveau missel.
C’est la quatrième session, du 14 septembre au 8 décembre 1965.
On s’intéresse alors au schéma 13, qui traite de la place de l’Église dans le monde moderne.
Ce schéma est le cœur du présent synode sur l’avenir de l’église!!!
(Est-ce le début des 42 mois
de la bête avec la comète Leonard le 17 décembre, car 2021 + 3.5 années
donnent exactement au maximum de l’activité solaire du cycle 25 prévu?
Et puisque le signe qui a été donné à Fatima en octobre 1917 concerne
la soleil, alors il faut s'y interesser.)
Le 15 septembre 1965, Paul VI,
dans le Motu Proprio Apostolica Sollicitudo, établit le Synode des
évêques (ce qui est le mal qui gangrène l’église et qui est la voie
ultime prise par Bergoglio aujourd'hui).
Le 4 octobre 1965, Paul VI se
rend à New York pour prononcer un discours devant l’Assemblée générale
des Nations-Unies et, à son retour à Rome, il adresse la parole au
Concile. La religion humaniste prend son envol.
« Reconnaissez-lui au moins ce
mérite, vous, humanistes modernes, qui renoncez à la transcendance des
choses suprêmes, et sachez reconnaître notre nouvel humanisme : nous
aussi, nous plus que quiconque, nous avons le culte de l’homme.» Paul VI
Retour à notre comète de 2021, Leonard.
Au plus près de la terre le 12 décembre, fête de ND de Guadeloupe, soit ND de l’Apocalypse.
En passant tout près de vénus dans la nuit du 17 au 18 décembre, elle arrivera au plus près du soleil le 3 janvier 2022, fête du Saint Nom de Jésus, soit la journée où elle sera la plus brillante!
Nouvelle photo (11 novembre) : Cette photo démontre que Leonard est passée d’une magnitude 11 à 9 depuis une autre photo prise le 9 novembre. C’est rapide!
Les astronomes calculent présentement une magnitude de +1 au 3 janvier 2022.
La comète est positionnée comme la comète MacNaught en 2014, près de l’équateur, donc visible dans les hémisphères nord et sud.
Il y a 14 ans, 11 mois et 20 jours (ce qui devient ici intéressant), entre MacNaught et Leonard.
Or, en 2021 nous avons eu le 16 juillet : Traditionis Custodes de Bergoglio qui annihile le Motu Proprio de Benoît XVI de 2007.
Ainsi, la comète Leonard
semble être la comète du passage de la 14 ème année de Summon
Pontificum (2021) vers la 15 ème année (qui serait atteint ainsi le 7
juillet 2022), mais qui n’aura pas lieu parce que annulé par Bergoglio.
Or, c'est dans la nuit du 14
au 15 Nizan (en mars ou avril), qu'a lieu la première Pâques en Égypte
(à la 10ème plaie), Pâques signifiant passage, donc la libération du
peuple juif des griffes du pharaon.
La nuit de la libération des hébreux est donc à rapprocher de la nuit de libération des justes.
Mais
la libération se déroule en deux temps : une fois le choc amorti,
pharaon poursuit les hébreux dans l’intention de les exterminer.
Ce n'est qu'au passage de la mer Rouge que tout se termine avec la fin que l'on connaît.
Nous verrons si la comète Leonard est un signe envoyé commençant la libération des élus des derniers temps.
Plus que quelques semaines à attendre.
Conséquemment,
puisque les actions de Benoît XVI ont été effacés avec le Motu Proprio
du 16 juillet dernier, date non anodine, on peu donc affirmer que son
travail sur cette terre semble accompli.
Cela fait parti aussi de l'équation...
Pour enclencher la dernière partie de la prophétie le concernant.
Octobre 2021
29 octobre
L’AVERTISSEMENT DU CIEL
Une étrange tache solaire qui
nous mettait déjà la puce à l’oreille en début de semaine a produit la
première de classe X1 (la plus basse sur une échelle de 10
logarithmique) du cycle 25.
Photo de l’éjection du 28 octobre
Cet événement est en lien avec
notre société humaniste qui ne repose que sur sa technologie et sa
science, et avec Jean XXIII et Vatican II.
Jean XXIII a été élu le 28 octobre 1958.
– la foule a su qu’un pape avait été élu en 1958 à 17h08 (fumée blanche).
– L’heure de la présentation de Jean XXIII au balcon devait être autour de 17h30 logiquement.
Or, en temps universel, 17h30 heure de Rome, est 15h30 UTC.
Or, l’heure de l’éjection de classe X1 sur la photo ci-haut est à 15h35 UTC
Donc, cela fait 63 ans pile.
Retour sur l’élection du pape Jean XXIII.
On anticipe donc un impact
d’une éjection de masse coronale (CME) en halo forte sur la terre pour
le 30 octobre à 20h, heure de Paris, ou 14h, heure de Montréal.
Sans surprise, la CME devrait
frapper la terre la journée où les bêtes se rassemblent à Rome pour la
réunion du G20: Macron, Biden et Bergoglio.
Le but est évidemment la
grande réinitialisation verte (et son passeport sanitaire qui deviendra
écologique) qui sera lancée à la COP 26 à partir de dimanche.
Et les bêtes ont donné les signes!
Les deux Babylone des prophéties de Jean XXIII (Vatican et les Nations-Unies)
« COP26: à la BBC, le Pape évoque le climat comme défi de civilisation.
«Le
changement climatique et la pandémie de Covid-19 mettent en évidence la
vulnérabilité radicale de tous et de tout, et soulèvent de nombreux
doutes et questions sur nos systèmes économiques et l’organisation de
nos sociétés», a affirmé le Souverain pontife, constatant que «nos
sécurités se sont effondrées, notre appétit de pouvoir et notre soif de
contrôle s’effritent».
Nous nous sommes découverts
faibles et craintifs, a estimé le Pape, car plongés dans une série de
«crises»: sanitaire, environnementale, alimentaire, économique,
sociale, humanitaire et éthique.
Des
crises transversales, «fortement interconnectées et annonciatrices
d’une ‘’tempête parfaite’’, capable de briser les ‘’liens’’ qui
unissent notre société au sein du précieux cadeau de la Création»,
a-t-il souligné, insistant sur «l’exigence d’une vision», des
«compétences en matière de planification et une rapidité d’exécution,
afin de repenser l’avenir de notre maison commune et de notre projet
commun».
Conscient que ces crises
mettent face à des choix radicaux difficiles, le Pape a rappelé que
chaque moment de difficulté contient également des opportunités, «qui
ne peuvent être gaspillées».
…
Répétant
«qu’on ne peut sortir seul d’une crise», le Souverain pontife argentin
a rappelé l’appel commun signé le 4 octobre avec des chefs religieux et
des scientifiques. «À cette occasion, j’ai été frappé par le témoignage
d’un des scientifiques qui a déclaré: ‘’Ma petite-fille, qui vient de
naître, devra vivre dans un monde inhabitable d’ici 50 ans, si les
choses continuent ainsi’’. Nous ne pouvons pas permettre cela!», a
raconté François… » (vaticannews.va)
En parallèle avec la bête de
la terre ou Babylone Nations-Unies qui nous lance ceci (regardez bien
la vidéo. Elle indique vers où ils nous dirigent)
« Ne choisissez pas l’extinction.
Le
monde dépense annuellement la somme colossale de 423 milliards de
dollars pour subventionner la consommation de combustibles fossiles –
pétrole, électricité produite par la combustion d’autres combustibles
fossiles, gaz et charbon. Selon une nouvelle étude du Programme des
Nations Unies pour le développement (PNUD) publiée aujourd’hui, ce
montant est quatre fois supérieur à celui qui est demandé pour aider
les pays pauvres à lutter contre la crise climatique, l’un des points
de friction de la conférence mondiale sur le climat COP26 qui s’ouvre
la semaine prochaine… »
La tempête solaire est donc bel et bien un avertissement.
Nous verrons demain pendant que le « gratin » de ce monde abuseront de la bonne chair et du vin en abondance à leur G20.
Et la référence de Jean XXIII pour Vatican II en ce 28 octobre n’est pas un hasard.
Élu il y a 63 ans.
Or, selon la formule de
l’Apocalypse de la durée de la bête, 1 temps, 2 temps et la moitié d’un
temps, soit 3,5 années ou 42 mois, les eschatologues privilégient donc
une division en base 3,5.
Donc 63 années divisées par
3,5 donnent 18, et 18 est donc 6+6+6, se référant donc à la bête tout
comme il y a 666 mois entre l’élection de Jean XXIII et sa canonisation!
Voici une référence qui
confirme que Pie XII avait eu l’idée du concile mais dans sa grande
sagesse l’avait abandonné afin de ne pas créer de schisme.
Mais Jean XXIII a décidé d'ouvrir la boîte de pandore... pour une société humaniste.
« Tout de même honnête,
Peter Hebbletwhaite rappelle que c’est Mgr Ruffini qui en a eu l’idée
en 1939, avant même d’être cardinal, mais Pie XII ne s’y arrêta pas.
Devenu archevêque de Palerme, il revint à la charge en 1948, avec le
soutien du cardinal Ottaviani, dans le but d’obtenir la condamnation
des erreurs modernes ; cette fois, le Pape en ordonna la préparation
secrète. Mais Pie XII abandonna quelques mois plus tard, lorsque les
réactions des prélats consultés laissèrent entrevoir de grandes
divisions au sein de l’épiscopat. Finalement, au dernier conclave, les
deux cardinaux s’adressèrent à celui vers qui le vote s’orientait.
Le
30 octobre 1958, donc deux jours après son élection, Jean XXIII en
parla à son secrétaire et se fit apporter les archives de la
préparation de 1948. Après en avoir pris connaissance, il résolut que
son concile se ferait dans un tout autre esprit : son objectif
principal serait pastoral et non pas doctrinal, il fallait répondre aux
besoins nouveaux de l’Église et du monde. Sa décision est
définitivement arrêtée le 28 novembre. »
Est-ce que la tempête solaire
qui frappera causera des dégâts par rapport à l’électronique (en
référence aux passeports planifiés entres autres), pour contrer les
deux Babylone?
N’oublions pas ceci :
« Marie
Très Sainte, fille et mère de Dieu, maîtresse du temps futur, bats le
rappel de tes fils dans les campagnes, pour qu'ils abattent les deux
Babylone. » (fin de la prophétie concernant Benoît XVI)
À surveiller donc demain, tout comme Benoît XVI.
26 octobre
LA LIMITE DE BABYLONE PARTIE IV
(suite de mai et juin 2021)
La période d'octobre 2021 à 2025 semble être celle où tout balance écrivions nous.
En
ce mois d’octobre, nous avons plus de précisions suite à l’ouverture du
synode 2021-2023 concernant l’avenir de l’église telle qu’on la connaît.
Nous
avons vu que la semaine de Daniel (1 jour = 1 an) pourrait être la
période s’étendant d’octobre 2019 à octobre 2026, avec l’arrêt possible
du sacrifice et de l’oblation prophétisé pour mai 2023.
Les deux mois clés de la Sainte Vierge Marie dans le calendrier sont mai et octobre.
Le
13 mai 2026, cela fera donc 109 ans depuis les apparitions, soit
les 100 ans + la 9ème heure, où tout est accompli (c’est à dire la mort
du Christ sur la croix, donc de l’Église pour nous).
Mai 2026, c'est le retour du Lys prophétisé par Don Bosco.
Nous savons grâce à la vision du pape Léon XIII que Satan a eu 100 ans pour conquérir le monde.
Ces
100 ans commencent fort probablement en 1914 avec la première guerre
mondiale où depuis, nous avons vu une croissance exponentielle dans la
technologie, la médecine, les transports, etc., pour mener à la
mondialisation, et bientôt à la dictature technofasciste.
« Depuis la sixième heure
jusqu'à la neuvième, il y eut des ténèbres sur toute la terre. Vers la
neuvième heure, Jésus cria d'une voix forte : " Eli, Eli, lamma sabacthani, c'est-à-dire, mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'avez-vous abandonné ? " »
C’est maintenant au tour de l’église d’abandonner ses fidèles.
«
L’Église catholique ne s’est pas placée du côté de la vérité mais du
côté du pouvoir, elle est devenue « constitutionnelle »,
acceptant tous les slogans de la propagande du système et les gonflant
même de significations morales et religieuses de solidarité, alors
qu’il s’agissait en fait d’abus, de tromperie et de chantage. Dans de
nombreux cas, les dispositions ecclésiastiques sont devenues encore
plus strictes que celles du gouvernement, et les fidèles ont été
contraints de ne pas penser par eux-mêmes : la libre pensée et l’esprit
de clocher sont répandus et encouragés dans l’Église d’aujourd’hui sur
tous les sujets du Credo, mais pas sur le Green pass : là, le
pape est Draghi. » (benoit-et-moi.fr)
Autre fait qui pourrait avoir son importance, le volcan à La Palma entrait en éruption le 19 septembre dernier.
Le
nombre de jours entre cette date et le 12 décembre, fête de Notre-Dame
de Guadeloupe, qui est en fait La Dame de l’Apocalypse, est de 84.
Ce chiffre représente l’âge de la prophétesse Anne.
«
Anne, elle aussi, est «prophète», porte-parole de Dieu. Elle est âgée
de 84 ans, c'est dire qu'elle a 7 fois 12 ans. Dans la symbolique
biblique des nombres, le chiffre 7 suggère la perfection et le 12
l'universalité. Le lecteur devine ainsi qu'Anne représente
parfaitement les croyants de son peuple qui attendent «la délivrance de
Jérusalem».» (croire.la-croix.com)
En
rappel, le 84 est ciblé dans l’Apocalypse par le fait que les
châtiments doivent être remis au double à Babylone la grande, soit 2 X
42 mois, 42 représentant la durée de la bête ou la moitié de la semaine
de Daniel (3,5 années).
Entrevoir donc le volcan La Palma comme un signe est du domaine du possible à cause de ceci:
«
Et le deuxième ange sonna de la trompette, et une sorte de grande
montagne tout en feu fût jetée dans la mer ; et le tiers de la mer
devint du sang… » (Apocalypse 8,8)
Est-ce que la Sainte Vierge nous donne un signe à La Palma? (voir la photo)
Le 84 menant au 12 décembre,
pointe sur la comète Leonard qui sera au plus près de la terre, et
probablement visible à l’œil nu au sud au coucher du soleil.
Rappelons
que cette comète a été découverte le 3 janvier 2021 (fête du Saint Nom
de Jésus) et qu’elle passera au plus près du soleil à la même date en
2022!
Leonard,
c’est un lien direct avec le thème choisi par la revue The Economist en
décembre 2018 quant à ses prédictions pour l’année 2019 avec comme
thème principal le 500ème anniversaire du décès de Léonardo De Vinci (The World in 2019 de The Economist)
C’était la 33ème édition et on sait tous ce que représente le 33.
Rappelons
que « The Economist n'est pas n'importe quelle publication – il
est directement lié à l'élite mondiale. Il appartient en partie à
la famille bancaire Rothschild d'Angleterre et son rédacteur en chef,
John Micklethwait, a assisté à plusieurs reprises à la conférence
Bilderberg.
En
bref, la direction de The Economist a une connaissance intime
du programme de l'élite et fait de son mieux pour le promouvoir.
L'esquisse de Da Vinci était
basée sur les travaux de Vitruve, un architecte romain qui était
considéré comme le « premier grand maître » de la
franc-maçonnerie. Assez convenablement, l'homme de Vitruve
représente visuellement le but ultime de la franc-maçonnerie : la
quadrature du cercle.
Dans
la symbolique maçonnique, le carré représente le corps physique et le
cercle représente l'âme. À plus grande échelle, le carré
représente le monde matériel, tandis que le cercle représente le
domaine spirituel. L'un des buts de la franc-maçonnerie est
d'harmoniser ces deux mondes opposés (physique et spirituel) pour créer
« l'homme parfait ». Ce concept est pleinement représenté dans le
logo de la Franc-Maçonnerie.
Le logo de la franc-maçonnerie
combine une équerre et une boussole – deux outils utilisés en
architecture. L'équerre est utilisée pour dessiner des carrés
tandis que la boussole est utilisée pour dessiner des cercles. En
"quadrant le cercle", on dit que le franc-maçon atteint la divinité. » (vigilantcitizen.com)
C’est bien le triomphe de l’humanisme, sans Dieu, sans le Christ, qui est donc annoncé en 2019.
À
l’image de la codification de De Vinci, les écritures sont à l’envers
et donc la couverture doit être regardée dans un miroir pour pouvoir
les lire.
C’est
là le message que les valeurs sont inversées, de la difficulté de
séparer la vérité du mensonge qui caractérise notre période, bref c’est
l’inversion satanique.
Le mensonge est aussi représenté par la figure du président chinois sous la forme de Pinocchio, le menteur.
Revenons sur l’homme de Vitriuve : L’original de De Vinci est un homme, avec tout son appareil.
Les
rédacteurs de The Economist ont coupé l’image au bas, et tatoué Mee Too
(mouvement contre les abus sexuels) sur la poitrine de l’homme,
confirmant l’avancement des notions de transgenre, LGBTQ, BLM, WOKE,
etc. pour affaiblir le système.
Avec l’effet miroir, les bras gauches de l’homme de Vitriuve deviennent les droits et inversement.
Ainsi,
un des bras gauches a le code ADN : nous savons maintenant qu’il
s’agît des vaccins ADN/ARN qui ont été injectés aux populations.
Le bras gauche est normalement le bras qu’on choisi pour l’injection lorsqu’on est droitier.
Un
des deux bras droits tient un smartphone avec le code QR : on sait
maintenant que cela représente l’obligation de le passeport sanitaire
qui deviendra le passeport écologique après la COP 26 et qui annonce la
dictature mondiale, où règnent les 10 rois de l’Apocalypse.
L’autre
bras droit tient une balance avec des humains dans chaque plateau.
C’est le nouvel apartheid, celui où les non vaccinés sont mis à l’écart
de la société et ne peuvent plus travailler sans le passeport
sanitaire. Les mis à part de la société, dont font partie les
chrétiens, sont les nouveaux terroristes associés au nouveau système
des valeurs comme identifié dans les écrits du regretté Serge Monast.
Le
pangolin représente évidement le début de la pandémie de covid-19,
animal qu’on soupçonnait d’être à l’origine de l’infection (le monde a
connu la virus à la fin de l’automne 2019, alors que la revue est
sortie en décembre 2018!). Quelqu’un savait.
Face au au pangolin, le visage d’Artemisia Gentileschi, peintre italienne. Pourquoi?
En
référence à l’artémisia, plante bien connue pour soigner le paludisme
tout comme la chloroquine qui avait été identifié au début pour soigner
efficacement la covid-19.
La
grande réinitialisation verte obligatoire en 2019 est représentée par
la voiture électrique. Nous sommes en plein dedans avec la fin de
l’énergie fossile abondante à prix raisonnable.
Les 4 cavaliers de l’Apocalypse sont sur la couverture.
La cigogne a le code CUP sur son baluchon. C’est la venue de la monnaie digitale électronique.
Un autre signe qui nous attend: la reconnaissance faciale.
«
Moscou est la première ville d’Europe à avoir massivement mis en place
le paiement par reconnaissance faciale. La capitale russe le rend
possible dès ce 15 octobre dans plus de 240 stations de son métro… » (sputniknews.com)
Ce qui nous attend. Exemple chinois (facebook- vanessa inzaghi)
Les deux signes maintenant fortement associés aux bêtes de la terre et de la mer, surtout en regard de l’église.
Le
signe fort du dernier mois, tout en haut de la page couverture, un
volcan en attente qui ressemble étrangement au volcan La Palma qui est
entré en éruption le 19 septembre dernier.
Ce
n’est pas nécessairement qu’ils savaient, mais que Dieu les poussent
dans leur orgueil en réalisant leurs désirs… pour leurs pertes.
Le
signe de Mona Angelica représentant Angélina Joli en madone, dans la
posture de la Joconde. Elle personnifie celle qui supporte toutes les
ONGs à caractères humanistes, pour les immigrants réfugiés entres
autres.
C’est la nouvelle religion.
Elle est utilisée pour promouvoir le nouveau « Pacte sur les migrations » des Nations-Unies.
Or, on sait qu’au synode 2019 sur l’Amazonie, Bergoglio a introduit la pachamama à la basilique Saint-Pierre.
On peut donc associer la figure de la pachamama à cette madone sur la couverture du magazine 2019.
La Palma, le volcan, la couverture, la photo de la Sainte Vierge à La Palma, la comète Leonard…
Dieu avait d’autres projets...
Le lien avec la limite de Babylone, des deux Babylone prophétisé par Jean XXIII se précise donc.
Cela confirme que tout a débuté effectivement en 2019 et que le compte à rebours suit effectivement son cours.
Le synode bergoglien de 2023 est évidemment d’inspiration satanique, et non du Saint-Esprit comme ils aiment si bien l’affirmer.
Il est en lien direct avec le synode amazonien et le retour au paganisme, aux idoles, qui sera accordé à chaque église locale.
« Le pape François crée un organe ecclésial pour mettre en œuvre le controversé Synode amazonien…
Le
paragraphe 115 du document final du Synode amazonien appelait
à une « structure synodale » pour l'Amazonie, qui lui permettrait de
développer sa propre forme régionale de catholicisme et d'intégrer ses
traditions indigènes dans ses pratiques religieuses… » (lifesitenews.com)
C’était le 20 octobre dernier.
Or, Vatican I s’est terminé abruptement un certain 20 octobre...
Le premier
concile œcuménique du Vatican, ou simplement appelé Vatican I, est
le concile œcuménique de l'Église catholique. Il se tient
du 8 décembre 1869 au 20 octobre 1870.
Convoqué par Pie IX, il définit notamment l'infaillibilité
pontificale. Il est interrompu quand les troupes italiennes
envahissent Rome. Suspendu sine die, il n'est jamais repris.
Le
conseil a été convoqué pour traiter des problèmes contemporains de
l'influence croissante du rationalisme , de
l' anarchisme , du communisme ,
du socialisme , du libéralisme et
du matérialisme . Son but était, en outre, de définir
la doctrine catholique concernant l'Église du Christ.
C’est bien le problème qui caractérise cette période intense depuis 2019 : le socialisme bergoglien.
Le premier sujet mis en débat
fut l'ébauche dogmatique de la doctrine catholique contre les multiples
erreurs dues au rationalisme. Le Concile a condamné le
rationalisme, la laïcité, le libéralisme, le naturalisme, le
modernisme, le matérialisme et le panthéisme. L'Église catholique
était sur la défensive contre l'idéologie principale du XIXe siècle.
Nous avons donc un Alpha : Vatican I
Nous allons vivre un Oméga : la fin de Vatican II selon Bergoglio.
Nous
avons expliqué dans de multiples analyses la signification du triple
jubilé ajouté de 3 années en référence à Saint-Augustin, le 153.
Nous
avons vu que la semaine de Daniel commencée avec la pachamama à la
basilique Saint-Pierre en octobre 2019 était probablement l’aspect
visible, la confirmation à toute la planète de l’abomination de la
désolation dans le lieu saint.
Et que la moitié de la semaine, où exactement serait signé l’arrêt du sacrifice perpétuel, pointe donc sur mai 2023.
2023-153 ans donne 1870.
On l’a vu ci-haut, l’image de l’arrêt du concile Vatican I est une invasion de Rome.
C’est le signe, l’Alpha de la destruction de Rome.
L’Oméga se réalise donc au printemps 2023 écrivions-nous, confirmé par les prophéties de Jean XXIII :
Cette destruction de Rome est confirmée par la prophétie No 11 de l’Église de Jean XXIII: Le 7ème Sceau :
« Où croyez-vous fuir, maintenant que vous avez détruit les Églises et tué le dernier Père ? »
Juste après « Mikail et Jean descendront sur terre » de la fin de la prophétie concernant François.
Si
on se réfère à la semaine de Daniel, l’Église à l’image de la Passion
du Christ irait au tombeau le 5ème jour (2019+5=2024), soit la fin de
l’automne 2024, demeurait au tombeau en 2025, le sixième jour, et
ressusciterait en Mai 2026 selon la prophétie de Don Bosco.
N’oublions
pas que l’arrêt du sacrifice perpétuel n’aura pas lieu, donc cette
église transformée que veut Bergoglio grâce au synode ne connaîtra pas
son aboutissement.
C’est la chute des deux Babylone, avant, confirmée dans la prophétie concernant Benoît XVI.
En
examinant le calendrier du synode 2021-2023, nous sommes en mesure
d’entrevoir que le rapport préliminaire (déjà décidé d’avance; le
synode n’est que de la poudre aux yeux comme les précédents), sortira
en mars 2023.
On
ne serait pas surpris que la date du rapport soit le 19 mars 2023, fête
de Saint-Joseph, père putatif de l’Église, qui a pour mission de
conserver sa pureté, et aussi parce que Bergoglio y fêtera ses 10
années de pontificat.
Rappelons que le synode 2021-2023 est la conclusion de Vatican II.
En voici une preuve :
«
Le Père Karl Rahner, SJ, était le chef du groupe révolutionnaire au
Concile Vatican II. Il était le parrain du cardinal Carlo Maria
Martini, SJ, chef de la mafia de Saint-Gall qui a poussé à la démission
de Benoît XVI et l’élection de Bergoglio.
La mafia de Saint-Gall voulait
mener à terme les propositions de Rahner. Ce dernier est cité comme
disant en 1962 : « Des Églises majeures avec leur propre discipline,
leur propre liturgie et leur propre héritage spirituel et théologique
pourraient également être formées à l'avenir, par la « providence
divine » [sic], disons en Afrique, en Asie, ou en Amérique du
Sud. » (réf : Pour une réforme missionnaire de
l'Église, édité par le père Antonio Spadaro, SJ et le professeur Carlos
Maria Galli (tous deux proches collaborateurs de Bergoglio).)
Martini avait élaboré, en
1999, un « plan pour une succession de synodes, sur des sujets
allant de la communion pour les divorcés et remariés civilement à
l'ordination des hommes mariés ». Basil Hume, un autre membre
du Groupe de Saint-Gall, a inspiré la pensée de Martini, qui parlait
déjà en 1981 d'une Église «synodale» «où le pouvoir était transféré du
centre papal vers l'organe consultatif connu sous le nom de synode des
évêques. " Quiconque suit les développements actuels dans l'Église
voit clairement comment l'agenda du Groupe de Saint-Gall est mis en
œuvre sous le pape François, « leur » candidat. » (lifesitenews.com)
C’est bien là le plan de la nouvelle église amazonienne, et on pourrait même dire : la conclusion du synode 2021-2023.
D’ailleurs, le Vatican caractérise le synode de « révolution », rien de moins!!!
«
… L’assemblée des évêques du monde reportée en octobre 2023 ; un
parcours de deux ans lancé par le pape François et par chaque diocèse
en octobre prochain, avec une phase diocésaine, une phase continentale
et une phase universelle : ce sont les principales nouveautés qui se
dessinent dans le schéma annoncé ce 21 mai 2021 par le Secrétariat
général du synode. Une révolution pour cet événement institué par le
Concile Vatican II… » (fr.zenit.org)
L’Oméga, à l’image de l’Alpha de 1870, est la destruction de Rome.
Et maintenant, on peut avancer que ce serait entre mars 2023 et octobre 2023.
La chute de Babylone suivra immédiatement ce triomphe éphémère des 10 rois de l’Apocalypse sur l’église.
Le
protecteur, le kataéchon, Benoît XVI, devrait donc nous quitter durant
cette période car c'est la chute des deux Babylone qui termine la
prophétie de Jean XXIII le concernant.
17 octobre
Le procès de béatification de Jean-Paul 1er est ouvert après confirmation d'un miracle.
Cette volonté de déclarer saints les papes post Vatican II est digne du
nouveau système qui a besoin des « ses saints », même sans miracle
comme dans le cas de Jean XXIII... Alors qu'on refuse la digne
ascension à Pie XII.
C’est
donc le 28 octobre 1958 avec l'élection de Jean XXIII qu'a commencé
cette nouvelle génération de papes pour la nouvelle église.
Rappelons-nous
que Jean XXIII a été canonisé 666 mois pile après son élection, ce qui
en soit est un signe volontaire de l'Antéchrist-système.
D'ailleurs,
Bergoglio, pour confirmer par une autre manière, qu'il vient d'entrer
dans la phase finale pour clore Vatican II avec le synode, a « blagué »
il y a quelques jours en affirmant que son successeur sera « Jean XXIV
».
L'alpha, Jean XXIII.
L'oméga, Jean XXIV.
C'est un signe qu'il envoie et qui n'est pas le fruit du hasard.
« La presse nous informe qu’il
y a quelques jours, le pape François a répondu en ces termes à
l’invitation de l’évêque de Raguse à visiter son diocèse en 2025 : « Le
Saint-Père a souri, hoché la tête, et a dit en plaisantant qu’en 2025,
ce sera Jean XXIV qui fera cette visite ».
Depuis ce jour, les gros
titres et les analystes spéculent sur le successeur que François a en
tête, ou du moins sur ses caractéristiques. Et s’il s’attend à ce qu’il
prenne le nom de Jean XXIV, c’est parce qu’il le croit très lié au plus
que raté Concile Vatican II.
Cependant, nous, Argentins, ne
pouvons pas ignorer certains faits. Il ne fait aucun doute que l’évêque
de Raguse a été encouragé à révéler à la presse son dialogue privé avec
Bergoglio, car il le lui a lui-même demandé. C’est ainsi qu’il s’est
toujours comporté tout au long de son pontificat à Buenos Aires et à
Rome. Alors, que voulait-il dire ? Juste une blague sur son successeur
qui a déjà choisi un nom ?
Il pourrait y avoir autre
chose. Le père Leonardo Castellani, jésuite argentin expulsé de la
Compagnie, bon théologien et excellent écrivain que Bergoglio connaît
très bien, a écrit en 1964 un roman intitulé Juan XXIII, Juan XXIV. Una
fantasía. L’histoire raconte qu’à la mort de Jean XXIII en 1963, le
conclave a élu un pape argentin, un jésuite qui exerçait son ministère
dans le quartier de San Telmo (l’un des quartiers les plus anciens et
les plus traditionnels de Buenos Aires, témoin de la plupart des
événements les plus importants de l’histoire de la ville), un
théologien exceptionnel, qui s’appelait Ducadelia. Eh bien, Pío
Ducadelia a été élu pape et a pris le nom de Jean XXIV...
Juan XXIII, Juan XXIV. Una
fantasía explique dans ses 342 pages comment la bureaucratie du Vatican
rend la vie impossible au pape et sabote ses réformes. Le livre raconte
les vicissitudes de ce pape pour survivre à Rome : trouver le maté,
faire comprendre ses « argentinismes », adapter ses ruses et quelques
tics typiquement porteños que les Romains ne comprennent pas. Au-delà
de ces tribulations quotidiennes, Leonardo Castellani soulève la
nécessité d’une modernisation et d’une humanisation de l’Eglise. Parce
que Ducadelia veut réformer l’institution en partant du sens originel
du mot Église, qui signifie assemblée, c’est-à-dire rassemblement des
fidèles. Il veut vendre les trésors du Vatican, il veut que les
pasteurs soient austères, il veut éliminer le faste, les privilèges, la
rigidité dogmatique, il veut réévaluer le travail des laïcs, il dénonce
le péché ecclésial, il sort la nuit pour se promener dans Rome et
partager la vie des pauvres. Pour toutes ces raisons, ils lui ont mis
des bâtons dans les roues.» (benoit-et-moi.fr)
Si vous avez bien lu, vous aurez compris que Bergoglio est un imposteur sous le nom de François!
Il est Jean XXIV!
( « François ou Jean XXIV -
François ou Jean XXIV ? ». Une manière subtile de dire, d'une part, que
le pape François n'est pas éternel, de l'autre, que les engagements
qu'il prend aujourd'hui seront tenus par ... (la-croix.com) » )
Il sait qu'il est le dernier
pape, parce qu'il connaît très bien les prophéties de St-Malachie, ou
tout simplement parce qu'il ne peut se permettre d'avoir un successeur
qui gâchera tout le travail qu'il accomplit pour détruire l'église.
D'où l'agenda accéléré pour octobre 2023 avec le synode.
D'où
aussi l'agenda accéléré de la bête de la terre en parallèle avec la
passeport sanitaire vers un contrôle total de la société.
L'économie ne peut résister jusqu'en 2030, l'objectif auparavant révélé par l'élite.
L'envoyée du président américain la semaine dernière au Vatican n'y était pas pour une simple visite de courtoisie.
Il s'agissait de se coordonner
pour la grande messe COP 26 dans deux semaines, la rencontre de la
dernière chance comme plusieurs l'affirment.
À noter que cette dernière a lieu en Écosse (en référence ici au rite écossais: Deus Meumque Jus ou Dieu et Mon Droit).
Elle est présidée conjointement par la Grande Bretagne et l'Italie.
La franc-maçonnerie et Rome main dans la main.
Les deux Babylone des prophéties de Jean XXIII à l'oeuvre encore une fois.
« La présidente de la Chambre,
Nancy Pelosi, s'est rendue à Rome la semaine dernière pour participer à
une réunion de législateurs internationaux préparant la Conférence des
Nations Unies sur les changements climatiques en Écosse le mois
prochain. Au cours de la réunion de Rome, elle a profité de l'occasion
pour rencontrer en privé au Vatican le pape François, qui devait
s'adresser à la réunion le lendemain.
Des
vidéos publiées après la réunion montrent Pelosi alors qu'elle entrait
dans la pièce et saluait le pape, lui tenant la main pendant que les
caméras tournaient (NDT: il semble selon certains que la poignée de
mains était du type de la franc-maçonnerie).
Pelosi
a ensuite publié une déclaration sur son site officiel qui disait en
partie : « Le leadership de Sa Sainteté est une source de joie et
d'espoir pour les catholiques et pour tous les peuples, mettant chacun
de nous au défi d'être de bons intendants de la création de Dieu,
d'agir sur le climat, embrasser le réfugié, l'immigrant et le pauvre et
reconnaître la dignité et la divinité en chacun.
"Ce
serait un manquement au devoir pour nous de ne pas entrer dans l'avenir
d'une manière verte et (une) qui réponde à l'urgence de la crise
climatique", a-t-elle écrit. "Nous leur laisserons un monde où ils
pourront être en bonne santé, où ils pourront s'épanouir et atteindre
leur épanouissement." (NDT: à relier évidement avec la déclaration de
Klaus Swab ci-bas).
«
Tout tourne autour des enfants », a ajouté Mme Pelosi – mais quels
enfants ? Voulait-elle dire l'enfant à naître ? Non… mais peut-être que
le pape François l'a fait. Nous ne le saurons jamais avec certitude,
car le Vatican, suivant ses protocoles habituels, n'a publié aucune
déclaration après la réunion.
Dans
son discours à l'assemblée le lendemain, le pape François a réaffirmé
l'appel de Pelosi au « changement » dans les politiques concernant
l'environnement. "Ce changement de direction exigeant exigera une
grande sagesse, une grande clairvoyance et un souci du bien commun : en
un mot, les vertus fondamentales d'une bonne politique", a-t-il déclaré.
«
En tant que dirigeants politiques et législateurs, vous avez la
responsabilité d'influencer les actions des personnes par les moyens
prévus par la loi, qui établit des règles de conduite admissibles à la
lumière du bien commun et dans le respect d'autres principes
fondamentaux tels que la dignité de la personne personne humaine,
solidarité et subsidiarité.
Le
pape François sait que la foule climatique de l'ONU est fortement
pro-avortement. Sa comparution devant l'assemblée lui a offert une
occasion unique de défendre le droit à la vie, mais il n'en a pas
profité... » (source: https://thewandererpress.com/)
La chute de Babylone approche très vite.
Ils vont la provoquer:
pénuries partout, fin de l'énergie fossile abondante et à bon marché,
virage vert obligé qui a un coût énorme, tant financier
qu'environnemental, krach financier, cyber attaque majeure...
Un chaos pour un contrôle total. Une nouvelle monnaie numérique.
L'Agenda 2030 est devenu l'Agenda 2025.
C'est clair.
En plein pour le maximum solaire maintenant avancé pour octobre 2024.
Une
sortie de Klaus Schwab qui donne l’idée juste du but de la grande
réinitialisation: une gouvernance par l’AI, le 666 qui aboutit.
« Klaus Schwab: «Les jeunes détiennent les clés pour bâtir un meilleur avenir». (letemps.ch)
Article seulement pour abonnés mais un blog du même journal donne plus de détails:
« Il est temps de sonner la diane!
13 octobre 2021 Suzette Sandoz
Il est temps de sonner la diane !
«
Les jeunes en ont assez de la corruption et de la stagnation des
dirigeants politiques » ; « les jeunes en ont assez de la menace envers
leur sécurité physique causée par la surveillance et la militarisation
de la police à l’encontre des militants et des personnes de couleur » ;
« les jeunes s’avèrent plus nombreux à faire confiance à une
gouvernance basée sur une intelligence artificielle qu’à celle d’un
être humain ».
Ces
quelques phrases extraites de l’article de M. Klaus Schwab dans le
Temps du 12 octobre (p.12), article intitulé « Les jeunes détiennent
les clés pour bâtir un meilleur avenir », sont inquiétantes.
Elles
semblent légitimer la division de la société en « jeunes, présumés
sains, généreux, altruistes, purs, et « vieux » (tout le reste ?),
présumés favorables à la corruption, à la stagnation, à la surveillance
par la police des manifestants et des personnes de couleur, donc
totalitaires et racistes.
Elles semblent exprimer une haine et une méfiance à l’égard des « autres » que soi.
Elles
paraissent refléter – c’est là le plus inquiétant – une inconscience
crasse du danger que représenterait une « gouvernance basée sur une
intelligence artificielle » donc une soumission totale à la puissance
de la machine, une déshumanisation programmée de la société.
De
tout temps, les « jeunes » ont été choqués, voire révoltés par les «
défauts » imputés aux moins jeunes (immobilisme, hypocrisie, goût du
pouvoir et de l’argent), de tout temps, ils ont eu le sentiment d’être
brimés dans leur liberté (souvenons-nous d’ailleurs de nos vingt ans
!). C’est heureux car si on n’a pas ce réflexe et ce goût de la pureté
et de l’absolu à vingt ans, alors on sent le rance.
Mais
c’est la première fois que je lis que « les jeunes s’avèrent plus
nombreux à faire confiance à une gouvernance basée sur une intelligence
artificielle qu’à celle d’un être humain », et là, je sens naître et
grandir une terrible inquiétude. Que s’est-il passé pour qu’on en
vienne à préférer la machine à l’humain ? Comment peut-on souhaiter
être gouverné par des algorithmes ? Comment peut-on imaginer que ces
résultats froids d’équations et de formules mathématiques seront plus
capables d’humanité que des êtres de chair et de sang ? Comment peut-on
oublier aussi que cette IA est créée par des êtres humains pas toujours
scrupuleux quand ils arrivent, grâce à cette IA adulée, à prendre le
contrôle de la volonté des esclaves humains dont ils ont endormi
l’esprit critique grâce à des ondes chatouillant leur paresse, leur égo
et leur égoïsme ?
Et
ces « jeunes-là » détiendraient « les clés pour un meilleur avenir » ?
Pauvre monde ! Il est temps de sonner la diane! » (letemps.ch)
11 octobre
ÉTRANGER À SON ÉGLISE, MAIS PAS SEUL
«
Étranger aux discours sur le devoir de construire des ponts et non des
murs. Étranger à tout l’attirail du jésuitisme progressiste,
répété comme un perroquet par les collaborateurs du prince. Étranger à
cette Église qui parle comme l’ONU et la franc-maçonnerie et qui, sans
surprise, reçoit les applaudissements des milieux mondialistes.
Il
n’est pas facile de vivre dans l’extranéité. On se sent seul et on
court le risque de devenir exagérément méfiant. Moi, par nature, je
suis enclin à faire confiance et à voir le côté positif. Mais les
hérétiques et les apostats qui ont gravi le temple et s’y sont
installés nous obligent, nous que Prezzolini appelait
les apoti [les « résistants », ceux qui ne tombent
pas dans le panneau, ndt], ceux qui n’y croient pas, à cultiver une
méfiance systématique. Comme une défense légitime de nous-mêmes mais,
avant tout, de la vérité.
Vivre comme un étranger, c’est
devenir un peu un passager clandestin, comme un passager non autorisé,
obligé de regarder autour de lui avec circonspection, car les
contrôleurs peuvent surgir à tout moment. Et ils savent comment vous
normaliser… » (benoit-et-moi.fr)
Dans ce monde bouleversé par Satan et ses sbires, l’espoir est en NSJC et sa Sainte Mère.
Le Dieu Un et Trin veille sur nous.
Les portes de l’enfer ne prévaudront pas.
Jamais!
Dieu seul suffit…
La pandémie de l'Esprit, de l'âme...
« Don Camillo, les eaux et la pandémie la plus grave
"Frères", dit Don
Camillo. « Les eaux sortent du lit de la rivière en tumulte et
submergent tout : mais un jour elles reviendront apaisées, dans leur
lit et le soleil reviendra briller. Et si, à la fin, vous aurez
tout perdu, vous serez encore riche si vous n'avez pas perdu la foi en
Dieu. Mais celui qui doute de la bonté et de la justice de Dieu sera
pauvre et misérable même s'il a sauvé toutes ses choses ».
Don
Camillo a dit cela lorsque le Pô a brisé ses rives et a inondé toute la
ville et la campagne environnante. Lui seul était resté à sa place
et avait amené Dieu aux déplacés par le son des cloches : le passage
des heures et surtout la Sainte Messe.
Nous
avons dans nos yeux les images du film en noir et blanc, images que
l'on compare à celles d'aujourd'hui : non seulement les inondations et
les calamités (qu'il y a) mais surtout la désolation d'un monde où
règnent la peur, le mensonge et l'incapacité. faire la distinction
entre le bien et le mal.
C'est
la pandémie la plus grave : celle de l'esprit et de l'âme. Depuis
près de deux ans, il semble que les gens ont cessé de vivre, mais le
temps presse et il n'y a pas de réduction.
Il
y a ceux qui naissent, peu nombreux en effet, et ceux qui
meurent. Quelqu'un qui se présente devant Dieu pourrait-il
raisonnablement affirmer qu'il a négligé de rendre l'adoration due à
Dieu et le soin de son âme, à cause de Covid ? Pourquoi
sommes-nous sur cette terre ?
Le
catéchisme de saint Pie X déclare : « Dieu nous a créés pour le
connaître, l'aimer et le servir dans cette vie, puis pour en profiter
dans la prochaine au paradis ».
Don
Camillo le dit d'une manière plus simple, mais c'est la même
chose. Le temps qui nous est donné sur cette terre est de
connaître, d'aimer et de servir Dieu. Ce n'est pas une chose de
plus : c'est la chose fondamentale. Nous nous souvenons de l'homme
de la parabole qui avait eu une bonne récolte et avait fait des plans
pour construire une nouvelle grange. Comment Dieu l'appelle-t-il
? Tromper!
Tout
ce qui va au-delà de cela, ou qui l'empêche et lui est contraire, doit
être éliminé de notre vie et de notre journée. En ce sens, Jésus a
dit : « Si ton œil t'offense, arrache-le : il vaut mieux pour toi
entrer dans le royaume de Dieu d'un œil que d'être jeté dans la Géhenne
avec deux yeux » (Mc 9, 47).
Nous
avons perdu ce sens complet, vrai et large de la vie et nous nous
sommes attachés aux idoles, qui ont des yeux et ne voient pas, ont des
oreilles et n'entendent pas. Ceux-ci incluent la santé du
corps. Ce n'est pas une valeur absolue.
Le
corps du baptisé est un temple du Saint-Esprit et comme tel doit être
traité, mais, après le péché originel, il est destiné à la
terre. Il ressuscitera le dernier jour et aura la récompense ou la
punition éternelle. C'est tout. Lazare a été ressuscité par
Notre Seigneur, il a traversé la
Méditerranée jusqu'en France où il était évêque, mais à la fin il est mort aussi.
Béni
soit l'homme qui a été trouvé sans défaut, et qui n'a pas recherché
l'or, ni mis sa confiance dans l'argent et les trésors...
Comme
le dit Don Camillo, nous avons peut-être tout sauvé, mais si nous avons
douté de la bonté et de la justice de Dieu, nous serons pauvres et
misérables.
Cela
signifie qu'au milieu de la folie de ce moment historique et spirituel,
nous devons demander la foi et la défendre de toute attaque, d'où
qu'elle vienne. Nous savons que nous l'aurons, que la Sainte
Vierge, qui a donné la victoire à Lépante, ne nous laissera pas manquer
les moyens de la victoire.
"Ayez
pitié de vous, ô bonne Mère, ayez pitié de nous, de nos âmes, de nos
familles, de nos proches, de nos amis, de nos frères disparus, et
surtout de nos ennemis, et de tant de gens qui se disent Chrétiens, et
pourtant ils déchirent le Cœur aimable de votre Fils. Ayez pitié,
euh ! miséricorde aujourd'hui nous implorons pour les nations
égarées, pour toute l'Europe, pour le monde entier, que vous reveniez
repentis dans vos cœurs. Miséricorde pour tous, ou Mère de la
Miséricorde » (Supplication du Bienheureux Bartolo Longo à la Vierge de
Pompéi, texte original).
Et
puis nous nous agenouillerons nous aussi sur le talus, comme les
paroissiens de Don Camillo, quand les cloches annonceront l'Élévation :
nous déplacés par le ruissellement des eaux, régénérés par l'Eau vive
et le Sang de notre Rédempteur. » (aldomariavalli.it)
Maintenant que la pandémie
suscite un peu moins de peur dans la population, l’élite décide de
mettre à nouveau la fille de Caïn à l'avant plan (voir analyses
précédentes), qui est, rappelons-le, une référence à la prophétie de
Jean XXIII (et qui sert de compte à rebours, depuis août 2018.)
Pour 7 ans, donc pour 2025,
tout comme la prophétie de Don Bosco (voir analyses précédentes) où le
retour du Christ en Gloire est prévu avant mai 2026, avant les deux
lunes du mois des fleurs, du mois de Marie.
Marie, notre phare dans la brume, notre étoile, avec le Christ.
«
L’autre jour, cela faisait impression de voir le ministre de la
Transition écologique Stefano Cingolani presque à genoux devant
la madonina de la planète, Greta Thunberg, qui le regardait
de son regard sinistre et punitif et, en signe d’hostilité, les pieds
tournés vers l’intérieur, sur la défensive. Cela était déjà arrivé à
d’autres grands de ce monde. Un ministre technophile s’est tenu à ses
pieds, suppliant et prosterné, pour être absous de ses péchés
écologiques par la marraine de la Terre, représentant l’esprit du monde
et le tribunal planétaire du futur.
Oui,
le futur. Depuis longtemps déjà, nous ne parlons du futur qu’en
référence à la planète en danger, de la terre en tant
qu’environnement. Depuis qu’il existe une lueur de conscience dans
l’humanité, l’attente de l’avenir a toujours été liée à l’espoir d’un
changement historique, social, politique et économique ; d’un progrès
ou d’une amélioration des conditions de vie personnelles ou collectives
; ou d’un changement spirituel, ce que l’on appelle dans le
langage religieux la métanoïa, la palingénésie, la perspective
eschatologique, l’espoir du salut. Aujourd’hui, en revanche, la seule
façon de penser le futur est de défendre l’environnement, la planète,
le climat, l’air et l’eau ; on ne remet pas en cause les structures
sociales, culturelles, économiques et politiques. Mais des émissions
nocives. Même Bergoglio approuve ce réductionnisme climatique du
futur.
Il
n’y a donc pas d’attente de changement positif mais seulement une
peur, l’angoisse du changement, la menace globale, le danger
mortel. L’idée de l’avenir est associée à la dégradation, donc le
seul projet concernant l’avenir est de sauver le climat de
l’insouciance du présent. Nous sommes ainsi passés d’une idée innovante
et évolutive de l’avenir, au nom du progrès ou de la révolution, à une
idée réactionnaire et régressive de l’avenir, au nom de la conservation.
L’avenir
est compris comme la menace de perdre une condition de vie. Ce
changement coïncide également avec le changement de la composition
sociale du monde progressiste : la classe de référence n’est plus celle
des classes prolétaires, des pauvres qui rêvaient de changer le présent
pour avoir un avenir meilleur, mais c’est celle de la nouvelle
bourgeoisie qui craint de perdre son statut actuel et veut arrêter le
monde, le protéger du futur. Ils veulent se protéger de la menace de
l’avenir. Essayez de demander autour de vous quelles sont les attentes
à l’égard de l’avenir, en dehors des attentes personnelles et privées :
il n’y a aucune trace d’une alternative, même le leitmotiv pétulant de
rêver d’un monde meilleur s’est tari. La meilleure arme pour l’avenir
est le frein à main, ou tout au plus, comme le dit Latouche [Serge
Latouche, ndt], la « décroissance heureuse », ou la moins
malheureuse possible.
Le
renoncement à l’avenir devient également une abdication en faveur des
migrants : les seuls détenteurs vivants du droit à un avenir meilleur
sont reconnus dans ceux qui quittent leurs terres, leurs familles, leur
monde dans l’attente d’un avenir meilleur. Notre avenir est le
leur, ou plutôt ils sont notre avenir, nous ne sommes que des vestiges
du passé s’attardant sur la défensive avant d’être remplacés par eux ou
anéantis par un effondrement planétaire, pour des raisons de pollution
et d’aridité, de dénaturation ou de surpopulation. Nous sommes
handicapés par le futur et notre tâche est de permettre que la planète
leur soit livrée.
Pour
porter le message à son accomplissement, ils sont en train de
construire et de lancer en orbite terrestre, à côté du drone Greta, un
drone coloré, qui peut intégrer le thème de l’écologie avec celui du
racisme : nous avons vu à ses côtés une jeune ougandaise, Vanessa
Nakate, nouveau témoignage de la lutte pour l’environnement et en même
temps de la lutte antiraciste.
La
fabrique d’idoles donne naissance à un nouveau produit pour une
campagne en apparence spontanée, qui est en réalité complètement
préfabriquée, planifiée et gonflée par les médias.
Entre-temps, la
dénonciation environnementale déclenche une compétition internationale
d’hypocrisie : il n’y a pas de multinationale, de chaîne
d’hypermarchés, d’entreprise alimentaire, de société de sécurité ou
d’assurance qui ne fasse pas de la publicité pour son produit non pas
pour ses qualités mais parce qu’il est écologiquement durable, parce
qu’il respecte les protocoles de la rhétorique environnementale,
participe aux campagnes contre le plastique, à la collecte volontaire
des déchets, au recyclage et au catéchisme hydrogéologique et
atmosphérique des jeunes marmottes.
Tout
cela n’est que du vent, ou au mieux un geste symbolique, pour inciter
les utilisateurs à consommer en ayant la fausse conscience de servir la
noble cause du sauvetage de la planète. L’avenir durable est vendu dans
un paquet unique par les émissaires du pouvoir idéologique, commercial
et des marchandises. Entre un avenir comme menace globale pour effrayer
les citoyens et un environnementalisme écolo-furieux pour capter leur
bonne foi, l’attente la plus authentique de l’avenir a disparu. Cela ne
concerne pas seulement le climat, mais aussi l’humanité, les systèmes
politiques, économiques et sociaux, ainsi que les conditions
spirituelles et morales, la justice.
Qui
nous prive de l’avenir ? L’Engrenage nous empêchent de penser le futur
comme différent du présent. Ceux qui dominent le présent s’opposent à
l’avenir : appelez-les establishment, mainstream, système,
ordre en vigueur. Il nous est interdit de penser l’avenir autrement que
comme la perpétuation du présent ; il est impossible et même impensable
d’échapper à son modèle, à son idéologie et à ses canons. Le diagnostic
est radical, mais l’objectif de renverser la domination semble
irréaliste. Mais en attendant, réalisons dans quel monde nous nous
trouvons, qui sont les maîtres du temps qui nous volent l’avenir et
nous disent que ce n’est qu’une question de temps. Autrefois, on
chantait : demain nous appartient… Et au lieu de cela, comme le disait
Paul Valéry : » Il n’y a plus l’avenir qu’il y avait
autrefois ». Le post-humain n’aura pas à penser mais seulement à
fonctionner.
Marcello Veneziani, La Verità, 1er octobre 2021 » (benoit-et-moi.fr)
Ne craignons pas.
Nous ne sommes pas seul.
Ne crains pas…
09 octobre
Le synode est en cours.
On juge l'arbre à ses fruits... Voici un autre exemple des fruits bergogliens... Et du futur de ce synode.
« Hérésie à profusion. Ainsi la "synodalité" est utilisée pour subvertir l'Église
Un «synode international» tenu
en Angleterre a insisté sur le «droit fondamental» de «tous les
catholiques adultes» de «voter dans toutes les décisions sur les
questions de doctrine, de valeur, d'action et toute autre question
concernant le bien commun de leurs communautés».
Le Synode Racine et
Branche , composé de clergé et de laïcs pro-avortement et pro-LGBTQ, a
prétendu mettre en œuvre le programme de réforme du pape François et a
invité des représentants d'autres religions et confessions, dont un «
évêque » anglican.
La conférence, tenue en ligne
et en direct à Bristol du 5 au 12 septembre, a été approuvée par
l'évêque de Clifton, Declan Lang, le premier évêque anglais à interdire
la messe traditionnelle en latin et a pris des dispositions spéciales
pour les messes LGBTQ dans son diocèse.
Monseigneur Lang a lui-même
participé au synode, organisé en partie par le père Richard McKay, curé
de San Nicola da Tolentino à Bristol, où se tiennent des
messes LGBTQ.
"Lorsque les femmes ont été
ordonnées prêtres pour la première fois dans l'Église d'Angleterre en
1994, Richard a parlé fermement et publiquement pour que la même chose
se produise dans l'Église catholique et a continué à le faire", lit-on
dans la biographie de McKay publiée par le synode.
Des orateurs de la gauche
radicale, dont l'ancienne présidente d'Irlande et militante
pro-avortement Mary McAleese, ont pris la parole lors du synode
appelant à une révision radicale de l'enseignement de l'Église,
notamment sur l'idéologie du genre, la sexualité et l'ordination des
femmes.
La réunion a également été
suivie par Claire Jenkins, un homme biologique qui est devenu une femme
après avoir eu quatre enfants et membre d'un groupe de travail qui
conseille les évêques catholiques d'Angleterre et du Pays de Galles sur
les questions « trans ».
Le texte de Bristol
publié par le synode cherche à influencer les décisions des évêques au
niveau local en Angleterre et au Pays de Galles, ainsi qu'au niveau
mondial « dans le cadre de la préparation commune de Rome en 2023 ».
L'écrivain et diacre
britannique Nick Donnelly a déclaré à Church Militant que les
conférenciers synodaux "ont des précédents en préconisant des
changements hérétiques à la foi apostolique".
Il est significatif que les
organisateurs revendiquent la crédibilité de leur "synode" en faisant
appel au processus synodal de François. Le Synode Racine et Branche,
avec la participation d'« experts » anti-catholiques et non-catholiques
et le rejet du vrai catholicisme, nous donne un avant-goût de l'emprise
qui est sur le point de resserrer son emprise sur l'Église.
Le document du Vatican sur la
synodalité publié début septembre appelle à une inclusion radicale des
participants au processus synodal, y compris « des catholiques qui
pratiquent rarement ou jamais leur foi ».
« Personne, quelle que soit
son appartenance religieuse, ne devrait être exclu du partage de sa
propre perspective et de son expérience », souligne le vademecum du
Vatican intitulé Pour une Église synodale : communion,
participation et mission. Vademecum pour le Synode sur la
Synodalité .
En conséquence, le synode de
Bristol a coopté le médecin musulman nigérian Zainab Mai-Bornu ;
Christina Rees, militante de l'ordination des femmes anglicanes ; des «
prêtres » anglicans comme Eve Rose-Keenan, Catherine Okoronkwo et
Victoria Chester ; et l'« évêque » anglican de Bristol Vivienne Faull.
Dans son deuxième mandat au
Comité anglican catholique romain pour les réunions œcuméniques, Faull
est une ardente défenseure du « mariage » gay. Lorsqu'il
était doyen de York Minster, Faull a autorisé la "bénédiction" de la
marche annuelle des fiertés LGBTQ dans la ville.
En plus de soutenir le mariage
homosexuel, le texte de Bristol appelle également à l'abolition du rôle
sacramentel du prêtre comme seul moyen de célébrer la Sainte
Eucharistie.
« Jésus a facilité la
célébration de sa présence avec nous, car le rite de simplement manger
et boire ensemble est inscrit en nous en tant qu'êtres humains. Il
n'exige pas un sacerdoce séparé », affirme le Texte de Bristol,
concluant que « tous les baptisés sont aptes à répondre à l'appel de
Dieu dans chaque ministère ».
Affirmant que « la hiérarchie
dénature la beauté de la diversité », le manifeste « appelle à une
réinterprétation radicale de la manière d'être Église, puisqu'elle est
devenue majoritairement une institution hiérarchique structurée sur un
leadership entièrement masculin ».
« Tout catholique adulte -
lit-on également - a le droit de voter et d'être éligible comme
candidat à n'importe quel ministère de l'Église. Tous les catholiques
ont également le droit de rendre des comptes à leurs dirigeants ».
Le synode remet également en
cause le concept de la « famille » traditionnelle, en demandant « une
réponse pastorale aux différentes formes familiales », et rejette
l'enseignement de l'Église sur le sexe et le genre comme « confus et
contradictoire ».
Un discours du père Thomas
O'Loughlin au synode a provoqué l'indignation sur Facebook après que le
prêtre catholique du diocèse d'Arundel et de Brighton a
déclaré que « Jésus n'a pas fondé l'Église, ni, en effet, n'a pu
fonder l'Église [parce qu'] il appartenait à l'église d'Israël ».
Le prêtre, le père Thomas
Crean, lui a répondu sur les réseaux sociaux en notant qu'"il avait
rarement entendu un modernisme aussi flagrant de la part d'un prêtre
catholique en Angleterre".
"En temps normal - a-t-il
ajouté - une lettre à l'évêque d'Arundel lui demandant d'enquêter sur
le prêtre pour hérésie serait la bonne chose à faire, mais étant donné
l'effondrement de l'État de droit, on se demande si cela en vaut la
peine".
Source : churchmilitant.com »
Et les fruits du synode allemand s'annoncent aussi toxiques...
« Dans les semaines à venir,
le document final issu du synode allemand sera publié et il promet
d’être catastrophique. L’évêque de Ratisbonne l’a qualifié d’hérétique
et le cardinal Kasper l’a qualifié de « non-catholique ». Cet
événement, que nous observons de loin pour l’instant, est révélateur de
la situation réelle dans laquelle se trouve l’Église catholique
aujourd’hui : une Église sans importance, avec une forte tendance à la
disparition. Une étude récente menée en Allemagne a conclu que seuls 12
% de la population, y compris les catholiques, pensent que la religion
a une quelconque importance dans la société. C’est-à-dire que 88% ne se
soucient pas de savoir si l’Église existe ou non. Et si les scandales
de ces dernières années se poursuivent, il ne sera pas étrange qu’ils
préfèrent directement qu’elle n’existe pas. Certes, les pourcentages
seront différents dans le sud de l’Europe, aux États-Unis et en
Amérique latine – la réserve imaginaire de l’Église -, mais de combien
? 20% ? 25% ? La réponse est oui, au mieux.
J’ai tiré ces données d’une
vidéo du père Santiago Martín, que je recommande vivement de regarder.
Et ce prêtre, qui n’est pas un traditionaliste, conclut : « La nouvelle
Église a échoué ». En effet, si après le Concile Vatican II, l’Église,
déjà en recul, a adopté la stratégie de s’adapter au monde pour rester
au centre de l’attention et ne pas perdre les fidèles, cette stratégie
s’est révélée être une erreur effrayante qui nous a conduits à la
situation actuelle d’extinction... » (benoit-et-moi.fr)
Les fruits du socialisme marxisme sont le résultat de l'enseignement de Bergoglio pour la bête de la mer.
« COP26: le Pape prône une alliance entre l’homme et l’environnement
Le
Pape François s’est adressé dans une vidéo à un groupe de jeunes à
l’occasion d’un séminaire sur l’éducation durable à Milan, dans le
cadre de la présidence britannique de la COP26- Conférence des parties,
en partenariat avec l’Italie.
Se soucier des relations
humaines autant que de la protection de l'environnement. Le Pape a tenu
à remercier les jeunes participants pour cette vision «capable
d'interpeller le monde des adultes», car elle révèle le fait «que
vous n'êtes pas seulement prêts à agir, mais que vous êtes également
disponibles pour une écoute patiente, un dialogue constructif et une
compréhension mutuelle», a affirmé l’évêque de Rome dans cette vidéo.
Surmonter la fragmentation
«Je
vous encourage donc à unir vos efforts à travers une large alliance
éducative pour former des générations inébranlables dans le bien,
matures, capables de surmonter la fragmentation et de reconstruire le
tissu des relations afin de parvenir à une humanité plus
fraternelle», leur a assuré le Pape, ajoutant que les jeunes
représentaient non seulement le futur, mais aussi le présent: «Vous
êtes ceux qui construisent aujourd'hui, dans le présent, le futur».
Selon le Saint-Père, le
Pacte mondial pour l'éducation -lancé en 2019- va dans ce sens et
cherche à apporter des réponses partagées au changement historique que
l'humanité connaît et que la pandémie a rendu encore plus évident.
«Harmonie cosmique»
«Les
solutions techniques et politiques ne suffisent pas si elles ne sont
pas soutenues par la responsabilité de chaque membre et par un
processus éducatif qui favorise un modèle culturel de développement et
de durabilité centré sur la fraternité et sur l'alliance entre les
êtres humains et l'environnement», soutient le Pape, plaidant pour
une harmonie entre les personnes, hommes et femmes, et l'environnement.
«Nous ne sommes pas ennemis, nous ne sommes pas indifférents. Nous
faisons partie de cette harmonie cosmique», poursuit-il.
Le Pape encourage une économie circulaire
Grâce
à des idées et à des projets communs, il est possible de trouver des
solutions pour vaincre la pauvreté énergétique et placer le soin des
biens communs au cœur des politiques nationales et internationales, en
favorisant la production durable, l'économie circulaire et la mise en
commun des technologies appropriées, estime donc le Souverain pontife,
jugeant «qu’il est le moment de prendre des décisions judicieuses pour
savoir comment tirer le meilleur parti des nombreuses expériences
acquises ces dernières années, afin de rendre possible une culture du
soin, une culture du partage responsable». (vaticannews.va)
Alors que symboliquement...
« La Porte de l’enfer à Rome
Pourquoi
cette fascination pour le mal? s’interroge Americo Mascarucci sur le
blog de Marco Tosatti, à propos de l’arrivée à Rome de la célèbre
sculpture de Rodin prêtée par la France pour marquer le 700ème
anniversaire de la mort du grand poète italien Dante Alighieri.
Pourquoi célébrer l’enfer, et pas le Paradis ou le Purgatoire, pourtant
eux aussi décrits par Dante? Cette fascination morbide illustre la
dérive d’un monde sans Dieu, confirmant l’analyse de Mgr Vigano, qui
affirme que « Satan est partout, y compris dans l’Eglise, et
personne ne s’oppose à sa domination »… même pas le pape.
Ces derniers jours, on a
beaucoup parlé de l’arrivée à Rome de la célèbre Porte de
l’Enfer qui fera partie intégrante d’une exposition consacrée à
l’Enfer, prévue aux Ecuries du Quirinal du 15 octobre 2021 au
9 janvier 2022. Cette initiative est un hommage au grand poète Dante
Alighieri, 700 ans après sa mort, dans le but de reproduire, à travers
l’art, les suggestions et la chorégraphie, les cercles de l’enfer
décrits dans la Divine Comédie et que de nombreux artistes ont
représentés dans leurs œuvres au cours des siècles. Très bien, mais
pourquoi seulement l’enfer ? Pourquoi pas aussi le Purgatoire et le
Paradis ?..
Et paradoxalement, alors que
le diable est même célébré par des expositions et des festivals, il y
en a qui, dans l’Église, nient son existence, comme l’a fait récemment
le prévôt de la Compagnie de Jésus, Arturo Sosa Abascal, le réduisant à
un symbolisme pur et simple. C’est vrai, les Jésuites, qui se sont
retrouvés au centre d’enquêtes embarrassantes pour les riches donations
reçues par l’Open Society de George Soros, sont les premiers à
favoriser le récit contraire au danger de la damnation éternelle,
n’exaltant pas ouvertement Satan (ce serait trop) mais se limitant à
réduire son danger, encourageant les gens à ne pas avoir peur de
quelque chose qui n’existe pas dans la réalité. Et si l’on n’a pas
peur du diable et de l’enfer, il n’y a plus de règles comportementales
et morales, tous les comportements sont permis, de l’avortement
(instrument destiné par le nouvel ordre mondial à contrôler les
naissances) à l’homosexualité, en passant par l’euthanasie
(l’élimination physique des malades inutiles et improductifs qui
risquent de peser sur le budget de l’État). Et peu importe que le
pape François s’exprime de temps en temps contre l’avortement et
l’euthanasie juste pour apaiser les catholiques traditionalistes, alors
que son agenda est parfaitement superposable à celui des seigneurs du
mondialisme (immigration, écologie intégrale, multiculturalisme, santé,
vaccins).
Ce n’est peut-être qu’une
coïncidence, mais comment ne pas entendre l’alarme de Mgr Viganò au
moment même où le monde est désormais l’otage de politiques sataniques
de plus en plus dirigées contre la personne humaine et la famille
naturelle, et vers l’instauration complète d’un nouvel ordre mondial
maçonnique qui vise à la domination absolue de la finance et du
gouvernement universel par les grands lobbies mondialistes ? Et si ce
dessein était auparavant caché, il se manifeste aujourd’hui clairement
à travers l’ostentation d’un symbolisme satanique, visant à mettre en
évidence qui est le véritable metteur en scène de tout cela et le
sublime inspirateur des politiques mondialistes. » (benoit-et-moi.fr)
Le synode est un compte à
rebours en soi vers la grande célébration oecuménique tant voulue pour
une seule religion mondiale sous la gouverne de la judéo-maçonnerie, le
Christ en moins.
C'est donc une période critique, et finale, qui vient de s'amorcer.
L'élite ne peut attendre l'Agenda 2030.
Dieu veille sur ses enfants.
Septembre 2021
26 septembre
Nous sommes tous au courant de
l’initiative l’Agenda 2030 mise en action par l’élite sous le couvert
des Nations-Unies, avec l’accord de Bergoglio et des autres organismes
voués au gouvernement mondial avec une seule religion.
En observant la vitesse à
laquelle les acteurs de ce scénario diabolique agissent (suite à la
pandémie), il devient de plus en plus évident que l’échéance a été
devancée.
Nous allons donc voir l’étau se resserrer un peu plus face aux mesures sanitaires pour faire fonctionner l’économie.
Car le problème est là :
l’élite est à bout de ressources pour faire continuer dans un système
financier que nous avons tous connus.
La croissance a ses limites et
les actions qu’ils ont prises (du jamais vu! De la croissance
économique qui ne repose en plus que sur la croissance de la dette)
mènent le monde directement dans le mur.
L’inflation et les pénuries
sont des faits actuels, et avant que la révolution ne l’emporte (d’où
l’impossibilité d’attendre 2030), ils devront faire imploser le système
financier pour partir sur de nouvelles bases.
C’est là la véritable grande réinitialisation tant annoncée.
Le tout est une guerre sur fond de religion promulguée par la kabbale judéo-maçonnique et le fruit est mur pour l’église.
La grande apostasie comme prophétisée, est en place.
« Viganò : L'apostasie dans l'Église est désormais visible même pour les plus modérés
Chers frères dans la prêtrise,
Chers frères et sœurs,
Je ne vous dis rien que vous
ne sachiez déjà en vous disant que l'Église du Christ traverse une
crise très grave, et que la Hiérarchie catholique a failli aux graves
obligations de sa mission apostolique et est en partie corrompue. Les
origines de cette crise et de cette apostasie sont désormais évidentes
même pour les plus modérés et résident dans le fait d'avoir voulu
aligner l'Église sur la mentalité du monde, dont le prince, ne
l'oublions pas, est Satan : princeps mundi hujus (Jn 12 : 31 ).
En tant que catholiques, nous
savons et croyons que la Sainte Église est infaillible, c'est-à-dire
qu'elle ne peut être dépassée par les portes de l'Enfer, par la
promesse de Notre-Seigneur : portae inferi non praevalebunt (Mt 16,
18). Mais ce que nous voyons se produire nous montre la réalité d'une
situation terrible, dans laquelle une partie déviée de la Hiérarchie -
ce que j'appelle en abrégé l'église profonde - s'est totalement
abandonnée à l' état profond. Une trahison qui place les pasteurs et
les responsables de l'Église devant une responsabilité morale très
grave et qui impose aux prêtres et aux laïcs des choix courageux qui, à
d'autres moments, seraient difficiles à adopter et justifiables. Nous
sommes confrontés à une guerre, un affrontement d'époque, dans lequel
nos généraux non seulement ne conduisent pas l'armée à affronter
l'ennemi, mais lui ordonnent plutôt de déposer les armes et de se
rendre sans conditions, ils chassent les soldats les plus courageux et
punissent les officiers les plus fidèles. L'ensemble du personnel de
l'Église catholique s'est révélé être un allié de l'ennemi et un ennemi
de ceux qu'il devrait plutôt défendre. Ennemi du Christ et de ceux qui
se targuent de service militaire sous sa bannière.
Comment comprendre, à la
lumière de l'Apocalypse, cette situation terrible et unique dans
l'histoire de l'Église ? Il nous faut d'abord un regard surnaturel pour
comprendre que les événements présents sont permis par Dieu et qu'en
aucun cas ils ne pourront jamais submerger l'Église. La grande
apostasie est annoncée dans les Saintes Écritures et ne doit pas nous
prendre au dépourvu. Éclairés par les paroles de l'Apocalypse de saint
Jean et les révélations approuvées, nous pouvons comprendre que les
derniers temps sont nécessaires pour séparer enfin le bon grain de
l'ivraie, nous permettant de reconnaître qui est avec le Christ et qui
est contre Lui. Nous devons également comprendre que les
tribulations que nous subissons sont aussi la juste punition des
décennies - oserais-je dire des siècles - d'infidélité des catholiques
et d'une partie de la Hiérarchie : infidélités privées et publiques,
enracinées de respects humains, de timidité, de déviations morales et
doctrinales, de compromis avec la mentalité sécularisée et avec les
ennemis de Notre-Seigneur. Si l'on pense que la Révolution française a
été la punition de Dieu pour le non-respect de Louis XIV de lui
consacrer les insignes du Royaume, on comprend bien les conséquences de
la désobéissance du roi de France sur l'avenir de l'Europe :
Nous rappelons le message que
Notre-Seigneur confia à Sainte Margherita Maria Alacoque en 1689, avec
la mission de le transmettre au Roi de France Louis XIV :
« Faites savoir au fils aîné
de mon Sacré-Cœur que, de même que sa naissance temporelle a été
obtenue grâce à la dévotion aux mérites de Ma Sainte Enfance, de même
sa naissance à la grâce et à la gloire éternelle sera obtenue par la
consécration qu'il faire de lui-même à mon Cœur Adorable, qui veut
triompher de son cœur, et par là, des cœurs des grands de la terre.
Le Sacré-Cœur veut régner dans
son palais, être représenté sur ses étendards et gravé sur ses armes,
afin de le rendre vainqueur de tous ses ennemis, mettant à ses pieds
ses ennemis fiers et hautains, afin de le faire triompher tous les
ennemis de l'Église.
Le Sacré-Cœur veut entrer avec
faste et magnificence dans les palais des princes et des rois, afin
d'être honoré aujourd'hui autant qu'il a été outragé, humilié et
méprisé pendant sa Passion. Il souhaite voir les grands de la terre
rabaissés et humiliés à ses pieds, comme il fut alors anéanti. »
Mais s'il y a deux siècles la
désobéissance des dirigeants des affaires publiques méritait le
châtiment sévère du Roi des rois, imaginons quels désastres la
désobéissance de ceux qui gouvernent l'Église a pu causer. Ainsi, si
avec la Révolution française la société civile a évincé le Roi
universel de sa divine seigneurie pour l'usurper et répandre les
erreurs du libéralisme et du socialisme, avec la révolution conciliaire
les papes et les évêques ont enlevé la triple couronne de la tête du
corps mystique et de Son Vicaire, faisant de l'Église du Christ une
sorte de république parlementaire au nom de la collégialité et de la
synodalité. Notons : Notre Seigneur Jésus-Christ non seulement n'est
plus reconnu comme Souverain des nations, mais même pas dans son
Église, dans lequel le but de la gloire de Dieu et du salut des âmes a
été remplacé par la gloire de l'homme et la damnation des âmes qui en
résulte. Ce qui était vice hier est vertu aujourd'hui ; ce qui était
vertu, aujourd'hui est vice : toute l'action moderniste de la secte
moderniste qui infeste le Vatican, les diocèses et les ordres religieux
se caractérise par le bouleversement de ce qui nous a été enseigné et
transmis.
Dans ce contexte de rébellion
et d'infidélité, ceux qui restent fidèles et s'efforcent de continuer à
faire ce qu'ils ont toujours fait sont soumis à une véritable
persécution. Cela a commencé par le ridicule des traditionalistes, les
désignant comme lefebvriens ou comme préconciliaires . Ensuite, selon
la pratique que nous avons vue utilisée dans les régimes totalitaires,
les bons catholiques ont été définis comme fous ou malades : c'est ce
que les sociologues appellent la pathologisation de la dissidence. Ne
croyez pas que j'emploie des expressions exagérées : il y a quelques
jours à peine, un prêtre du Costa Rica a été suspendu de son ministère
et contraint à un traitement psychiatrique pour n'avoir célébré autre
que la messe de Paul VI en latin, malgré l'interdiction de la Evêque,
Mgr. Bartolomé Buigues ( ici ). Aujourd'hui on est dans la
criminalisation des dissidents, et si on ne voit pas encore leur
élimination physique, on sait combien d'entre eux sont suspendus a
divinis, privé des mêmes moyens de subsistance et banni de la vie
ecclésiale. Et cela se produit alors que les personnages scandaleux et
les fornicateurs de toutes sortes ne sont pas seulement punis et
expulsés du ministère, mais ils sont plutôt promus et immortalisés sur
les photos aux côtés de Bergoglio, qui les tient fermement sachant
qu'il peut les utiliser à volonté. On comprend alors pourquoi la
corruption des prélats est instrumentale au plan de la secte
conciliaire : leurs fautes sont un excellent moyen d'obtenir leur
obéissance et leur complicité dans l'accomplissement des pires
atrocités contre l'Église et contre les fidèles.
La Coalition pour les prêtres
annulés ( https://www.facebook.com/canceledpriests/) est une initiative
et certainement une réponse à ce qui se passe, car ce projet entend
venir en aide aux prêtres victimes de persécutions et d'abus canoniques
de la part d'évêques infidèles et renégats. Leur autorité, usurpée pour
faire le mal plutôt que de gouverner le troupeau qui leur est confié
avec sagesse et charité, s'évanouit au moment même où ils l'utilisent
contre le but pour lequel elle a été établie. Il est vrai qu'ils
détiennent le pouvoir : mais ce pouvoir est un abus tyrannique dont on
ne peut ni ne doit se taire. Il est de notre devoir d'élever la voix
pour condamner fermement les actes illégitimes des Bergers qui se sont
révélés être des mercenaires, voire des loups voraces. Et c'est aussi
notre droit non seulement de désobéir aux ordres qui sont illégitimes,
invalides et nuls,
Permettez-moi aussi de
suggérer, à côté de cette initiative louable, la création d'une
Fondation internationale qui puisse recueillir les offrandes et les
dons des fidèles, les détournant des paroisses et des diocèses
complices du régime bergoglien actuel. Lorsque les évêques verront
qu'ils prennent un coup dans leurs comptes bancaires, ils seront
probablement persuadés de tempérer leur approche d'ostracisme des bons
prêtres. Lorsque les tribunaux – civils ou ecclésiastiques – se
rangeront du côté de ceux qui sont persécutés, leurs persécuteurs
seront probablement plus prudents quant à l'abus de leur pouvoir. En
attendant, des initiatives comme la Coalition For Cancelled Priests et
d'autres projets similaires offriront l'occasion de pratiquer les
œuvres de miséricorde et d'acquérir du mérite devant Dieu. Chacun de
nous, selon ses moyens, peut apporter une contribution concrète – pas
nécessairement seulement financière – même en allouant simplement ses
offrandes à ceux qui les méritent et non à ceux qui s'en servent pour
opprimer le bon clergé.
N'oublions cependant pas qu'en
plus de l'assistance matérielle, nous sommes tous appelés à redécouvrir
le sens de la communauté, dont la Hiérarchie conciliaire aime parler
sans jamais la mettre en pratique au sens catholique. Si nous sommes
vraiment frères dans le Christ, alors en tant que frères, nous devons
aussi nous entraider en accueillant nos prêtres, en leur offrant un
lieu de séjour, en préparant un autel familial autour duquel nous
pouvons rassembler nos amis. Nous devons mettre nos compétences à leur
service – même les plus humbles, comme savoir cuisiner, construire un
mur ou réparer un toit – pour ceux qui aujourd'hui sont expulsés de
leurs presbytères et se retrouvent à la rue. Il faut penser aux jeunes
gens qui ont généreusement répondu à une vocation sacerdotale ou
religieuse au cœur de la Tradition et qui voient aujourd'hui leur
Ordination ou Profession religieuse mise en danger s'ils n'acceptent
pas les déviations doctrinales et morales qui s'imposent désormais par
la secte conciliaire. Nous devons faire comprendre aux quelques évêques
et cardinaux qui restent fidèles au Magistère qu'il ne peut y avoir
aucune possibilité de dialogue avec ceux qui ont amplement démontré
qu'ils sont alignés avec l'ennemi. Et nous devons prier la Divine
Majesté, par l'intercession de la Reine du Ciel et de la Mère du
Sacerdoce, en lui demandant qu'elle daigne accepter nos souffrances et
les souffrances de ces bons prêtres pour la conversion de la Hiérarchie
qui a été corrompue aujourd'hui de haut en bas.
Aux nombreux, trop nombreux,
prêtres, religieux et clercs – parmi lesquels n'oublions pas qu'il y a
aussi beaucoup de religieuses, de religieuses et de sœurs – j'adresse
mon affectueux souvenir, partageant leurs souffrances, les exhortant
tous à s'offrir comme victimes dans l'expiation des péchés des
ministres de l'Église. Unissez-vous dans le Saint Sacrifice de la Messe
à l'offrande de la Victime divine, pure, sainte et immaculée : que
votre vie soit un sacrifice agréable à Dieu, dans un véritable esprit
sacerdotal. Et puissiez-vous tous répéter, avant la fin de vos jours,
les paroles du Cantique de Siméon : quia viderunt oculi mei salutare
tuum (Lc 2,30).
J'ai rappelé ci-dessus la
cause des maux actuels : la rébellion contre la Royauté Universelle de
Notre Seigneur Jésus-Christ. La consécration de chacun de nous, des
familles, des communautés, des nations et de la Sainte Église au Très
Sacré-Cœur de Jésus et au Cœur Immaculé de Marie est en mesure
d'émouvoir la Très Sainte Trinité à la compassion et de mettre fin à ce
terrible fléau, ou du moins l'abréger et hâter le triomphe du Roi des
rois sur l'ennemi du genre humain. C'est mon souhait le plus sincère;
c'est la noble intention qui doit animer chacune de nos actions ; c'est
le fondement de la fin terrible et inexorable des plans de Satan.
Christus vincit, Christus regnat, Christus imperat !
+ Carlo Maria Viganò, archevêque» (aldomariavalli.it)
Le
plan pour éliminer la présence réelle à la messe va son train et c’est
le synode qui s’amorcera bientôt qui confirmera cet état de fait.
Voici la traduction de la dernière intervention d'un biographe de Bergoglio.
Selon lui, le synode à venir
confirmerait l'aboutissement des objectifs de la mafia St-Gall, ce que
nous savons depuis longtemps.
« Biographe du pape : Le prochain synode transformera l'Église conformément aux buts de la mafia St-Gall.
La description d'Ivereigh des
objectifs du synode ressemble à ce que la mafia St-Gaal a longtemps
envisagé : un 'équilibre' d'autorité entre 'l'église locale' et
'l'église universelle.'
( LifeSiteNews ) – L'homme qui
a décrit avec enthousiasme le pape François comme un « grand
réformateur » seulement un an et demi après le début de sa papauté
prédit maintenant que le prochain synode des évêques sur la synodalité
pourrait apporter une transformation révolutionnaire de l'Église
catholique.
Austen Ivereigh a écrit jeudi
sur les objectifs du synode « Pour une Église synodale », qui doit
commencer en octobre, le qualifiant de « bouleversement historique » et
de « potentiellement le moment le plus transformateur du catholicisme
depuis le Concile Vatican II, qui cherche à s'ancrer de façon
permanente dans la vie de l'Église.
« Le « synode de deux ans sur
la synodalité », a écrit Ivereigh dans Commonweal , « est destiné à
marquer le christianisme pour toujours. » Il a noté: «Pourtant, jusqu'à
présent, le désengagement a été presque total. (Votre curé a-t-il
mentionné quelque chose ? C'est ce que je pense.) »
L'aspect peut-être le plus «
transformateur » du synode, a écrit Ivereigh, est que le « peuple de
Dieu » ne sera plus composé de « spectateurs passifs », mais
sérieusement consultés pour discerner la voix du Saint-Esprit. Les
évêques restent les « juges en chef » et le Pape a la décision finale
dans ce processus.
Ivereigh a écrit : « Ainsi,
'le but de ce synode' - et en effet, le but d'une Église synodale -
'est d'écouter, en tant que peuple de Dieu tout entier, ce que le
Saint-Esprit dit à l'Église.' » Il a en outre noté que le document
préparatoire du synode affirmait que c'était le rôle du diable (« les
diabolos ») « d'essayer de séparer » le peuple de Dieu, le Saint-Esprit
et les évêques dans un synode.
Le vademecum , ou manuel du
synode, stipule expressément que le processus de discernement synodal
de « l'écoute » doit inclure « les catholiques qui pratiquent rarement
ou jamais leur foi, etc. de la foi, les personnes d'autres traditions
religieuses, les personnes sans croyance religieuse, etc.
"Personne - quelle que soit
son appartenance religieuse - ne devrait être exclu du partage de son
point de vue et de ses expériences, dans la mesure où il souhaite aider
l'Église dans son cheminement synodal à la recherche de ce qui est bon
et vrai", lit-on dans le texte.
Selon Ivereigh, ce processus
de consultation ne sera pas au service d'un « programme » idéologique
particulier : « Un synode n'est pas appelé à défendre ou à changer quoi
que ce soit ; elle est appelée à permettre une assemblée qui discerne
ce que l'Esprit Saint demande à l'Église en ce moment par rapport à la
mission pour laquelle elle existe : évangéliser.
En effet, les « noyaux
thématiques » du document préparatoire à explorer lors du synode sont
quelque peu vagues et davantage orientés vers le processus que vers les
« problèmes ». Ces sujets incluent des variations du thème de la
«synodalité», que le cardinal Mario Grech a expliqué «est la forme de
communion de l'Église - Peuple de Dieu». En conséquence, les « noyaux
thématiques » comprennent « les compagnons de route », « l'écoute », «
la parole » et « le dialogue dans l'Église et la société », entre
autres sujets.
Mais Ivereigh croit aussi que
la synodalité aboutit à une sorte de synthèse, ou ce qu'il appelle «
l'alchimie », de différents points de vue : « Entrer en synodalité,
c'est embrasser une alchimie dans laquelle l'Esprit agit comme une
complexio oppositorum , et tout ce qui est bon et valide, est préservé
dans une nouvelle vision », écrit-il.
Les attentes d'Ivereigh
concernant le prochain synode, telles que publiées dans Commonweal,
font écho aux thèmes de sa biographie de 2014 du pape François, « Le
grand réformateur : François et la création d'un pape radical ».
Comme l'a expliqué un critique
de cette biographie, Ivereigh a déclaré qu'il existe trois « clés de la
papauté de François ». L'une de ces clés est la détermination de
François à « apprendre et entendre l'infaillibilité du saint peuple
fidèle de Dieu ». Ivereigh l'a réitéré dans une interview avec Raymond
Arroyo, affirmant que le pape François s'est "toujours enraciné dans ce
qu'il appelle le saint peuple fidèle de Dieu".
Une autre « clé » est la
nécessité pour le Pape de « réunir de véritables synodes de gouvernance
et de démanteler les structures » afin de réaliser une « réforme
institutionnelle » de l'Église. Au cœur de tout cela se trouve ce que
Ivereigh a soutenu être un objectif déterminé des partisans de
Bergoglio depuis le début : la mise en œuvre de la collégialité par
l'Église.
La biographie d'Ivereigh ne se
limite pas à décrire le passé et l'idéologie du pape François, mais
tient à prédire comment le «programme ambitieux» du pape François «se
terminera probablement», car Ivereigh est parvenu à une connaissance
intime du long et déterminé ordre du jour du groupe de cardinaux qui
ont soutenu Bergoglio : la mafia St-Gall.
Bien qu'Ivereigh ne les
qualifie pas de « mafia », le cardinal Godfried Daneels, l'un des
proches du groupe, a révélé en 2015 que c'est ainsi que le groupe
s'appelait lui-même.
Karim Schelkens, l'un des
biographes de Daneels, a déclaré dans une interview en 2015 : «
L'élection de Bergoglio a été préparée à Saint-Gall, sans aucun doute.
Et les grandes lignes du programme que le Pape met en œuvre sont celles
dont Danneels et Cie commençaient à discuter il y a plus de dix ans.
Ivereigh a écrit dans la
biographie du pape François que le groupe de Saint-Gall a été formé à
la fin des années 1990 en raison d'une « préoccupation croissante »
concernant une « position » qui « ressemblait à certains critiques
comme si elle remontait aux jours précédant le Concile Vatican II. » :
la position selon laquelle il n'y a « qu'un seul « Magistère », ou
autorité enseignante, dans l'Église, et que l'Église universelle est «
ontologiquement antérieure » à l'Église locale.
Le groupe de Saint-Gall
considérait cette position traditionnelle comme opposée à la véritable
« collégialité », qu'Ivereigh décrit comme l'un de ses objectifs les
plus ardemment souhaités pour l'Église. Selon Ivereigh, la collégialité
est une sorte d'autorité conjointe dans laquelle les évêques aident à
gouverner l'église cum et sub Petro - avec et sous le pape. Dans son
idée de collégialité, « l'Église locale participe au gouvernement de
l'Église universelle ».
« Le groupe de Saint-Gall
croyait que ce qu'il fallait, c'était une réforme en profondeur de la
gouvernance, un rétablissement de l'équilibre entre les Églises locales
et universelles, vers une authentique collégialité », a écrit Ivereigh.
La « mafia » autoproclamée a
déploré le manque de collégialité de l'Église comme un obstacle à
l'évangélisation, ainsi qu'à « l'unité chrétienne ». Quelque chose
d'aussi fondamental que « l'affirmation du pouvoir papal » après la
Réforme, a écrit Ivereigh, a été « cité comme une pierre d'achoppement
majeure » par les dirigeants des « traditions réformées ou orthodoxes ».
Cette vision radicale et
hétérodoxe de la collégialité a été articulée par l'un des membres du
groupe de Saint-Gall, l'actuel cardinal Walter Kasper, en opposition à
un document de 1992 du cardinal Ratzinger.
Ivereigh a expliqué que Kasper
a fait valoir « dans un article largement publié en décembre 2000 » que
la position du cardinal Ratzinger « est devenue « vraiment
problématique lorsque la seule Église universelle est identifiée à
l'Église romaine, et de facto avec le Pape et la Curie romaine », la
décrivant comme « une tentative de restaurer le centralisme romain ».
Ivereigh a déclaré que Kasper
« a poursuivi en affirmant que la collégialité était vitale pour
résoudre les questions pastorales telles que l'admission des personnes
divorcées et remariées à la communion, ainsi que pour rendre crédible
l'invitation catholique à l'unité avec les autres chrétiens. Le progrès
de l'unité dépendait, soutenait-il, de cette reconnaissance de la
valeur de l'Église locale. « Le but ultime n'est pas une Église unie
uniforme, mais une Église dans la diversité réconciliée. L'expression «
diversité réconciliée » a été adoptée par Bergoglio à Buenos Aires
lorsqu'il a discuté des relations avec d'autres chrétiens et d'autres
confessions. »
Ivereigh a expliqué que ces
premières préoccupations du groupe de Saint-Gall ont été reprises dans
les discussions lors du conclave suivant la démission du pape Benoît
XVI. « On a beaucoup parlé de réforme de la gouvernance… et de contact
fluide entre Rome et l'Église locale », a écrit Ivereigh. Il a cité le
porte-parole du Vatican, le P. Federico Lombardi a déclaré aux
journalistes le 9 mars, quelques jours avant le conclave papal, que "la
collégialité avait été" un thème constant dans ces discussions ".
Ivereigh a également cité le
cardinal Seán O'Malley de Boston comme se souvenant : « Nous étions
tous à peu près certains qu'il y aurait des changements spectaculaires
et une nouvelle façon de voir la Curie, avec plus de collégialité. »
« Le diagnostic du groupe de Saint-Gall au début des années 2000 était désormais le plat du jour », écrit Ivereigh.
Ivereigh lui-même est l'ancien
assistant du cardinal Murphy-O'Connor, qu'Ivereigh a décrit dans « Le
grand réformateur » comme faisant partie du « noyau » du groupe de
Saint-Gall depuis ses débuts.
Dans un article de septembre
2017 pour The Tablet , Ivereigh a décrit Murphy-O'Connor comme un «
faiseur de rois » lors du conclave qui a élu le pape François. Ivereigh
a déclaré que le cardinal était "fier d'avoir ouvert ce canal pour que
le Saint-Esprit se mette au travail". » (lifesitenews.com)
Il
semble donc de plus en plus évident que tout se jouera avant 2025,
avant le mois de mai 2026 prophétisé par Don Bosco (voir articles
précédents).
17 septembre
L’ÉGLISE EST MORTE
À
part les deux témoins de l’Apocalypse, représentés maintenant par la
tradition, qui a été écarté ou presque avec le dernier Motu Proprio,
nous pouvons affirmer que l’église conciliaire de Vatican II est morte.
Et la bête de la mer s’acharne sur son cadavre.
Exactement comme NSJC l’avait prophétisé dans le si important chapitre en Matthieu 24, celui qui concerne la fin des temps.
« … Partout où sera le cadavre, là s’assembleront les aigles. (Matthieu 24,28) »
«
… Comment est-il possible qu’un pape se mette à traiter un cardinal de
« négationniste » – et nous savons tous très bien de qui il s’agit – en
se moquant du fait que le destin l’a conduit à l’hôpital avec le Covid
? Montrant ainsi que les prêches sur la miséricorde, le pardon et la
tendresse laissent très vite place à la vindicte.
Comment
est-il possible qu’un pape puisse ridiculiser les objections et les
réserves concernant la vaccination contre le Covid-19, en prononçant
des phrases confuses, incompréhensibles, banales, en s’étonnant de la
bizarrerie de personnes qui, tellement habituées à vivre avec les
vaccins, ont maintenant – allez savoir pourquoi – des difficultés à se
faire injecter ces nouvelles préparations miraculeuses ?
Laissant pieusement de côté la
boutade sur le Jésus juif, comment est-il possible qu’un pape,
lorsqu’on lui demande s’il a déjà refusé l’Eucharistie à des personnes
en état de péché public manifeste, en l’espace de quelques minutes,
puisse d’abord se vanter de n’avoir jamais refusé la Communion à
personne, puis affirmer qu’il faut appartenir à une communauté – mal
définie – pour la recevoir ? Et comment est-il possible pour un pape de
contredire ouvertement sur les unions civiles ce que le Magistère a
déjà établi sur la question, en laissant prévaloir ses opinions
personnelles ?
Ce
n’est certainement pas le cardinal Burke, ou quiconque d’autre dans le
collimateur, qui est humilié par une telle interview. Plus de huit ans
après l’élection du pape François, c’est avant tout la papauté qui est
humiliée.
En dehors de cette interview,
la démolition systématique des pontificats de Jean-Paul II et de Benoît
XVI a désormais rendu possible l’idée que le pape n’est plus le gardien
de la foi, ni celui qui confirme ses frères, mais celui qui agit selon
ses propres désirs et sa propre sensibilité et exige d’être obéi, sans
se soucier de montrer sa continuité avec ses prédécesseurs. Au
contraire. Il n’est plus lien d’unité, mais principe de division, qui,
par ses paroles, crée continuellement des étiquettes clivantes pour
marquer les frères qu’il est censé conduire à l’unité et blesser les
brebis qu’il est censé soigner et surveiller.
Humiliation
aussi pour l’Église, réduite à un parti politique médiocre, à la
recherche du consensus médiatique et non plus celui du Christ. Les
paroles de son pasteur suprême ont désormais la même valeur que les
propos tenus dans les bars et l’Épouse du Christ est par conséquent
considérée comme l’une des nombreuses agences philanthropiques. Et même
pas la plus efficace.
Bien
sûr, couvrir la nudité du père (cf. Gn 9, 20-23) est une bonne chose;
mais nous devons nous demander si nous sommes face à une ivresse
accidentelle, non fautive, comme celle de Noé, ou à l’humiliation
systématique et délibérée de tout ce qui est sacré, vrai et juste. Le
Souverain Pontife est le premier à devoir renoncer à lui-même, pour
avoir la pensée du Christ. Comme tout chrétien, plus que tout chrétien,
le Pape ne s’appartient plus. Et à chaque fois qu’il veut mettre sa
propre opinion au-dessus de celle du Christ, il trahit la volonté du
Seigneur, sa mission, et l’Église toute entière… » (benoit-et-moi.fr)
Cet article fait suite aux
autres analyses du voyage de Bergoglio en Slovaquie, surtout aux
questions des journalistes dans l’avion au retour.
« Slovaquie: Le Pape en mode « gay-friendly ».
Dans la série « je dis une
chose, et j’en fais une autre », voici la dernière perle du
Pape-qui-fait-le-ménage-dans-l’Eglise, et qui dénonce les lobbies, y
compris gays! (*). Lors de sa visite en Slovaquie, il a témoigné
ostensiblement son amitié à un évêque ouvertement homosexuel –
d’ailleurs sanctionné par Benoît XVI – au point d’avoir créé au sein le
l’Eglise en Slovaquie un authentique « réseau gay ». On objectera que
l’Eglise condamne le péché – pas le pécheur. Certes. Mais ici, le
pécheur n’a apparemment manifesté aucun repentir (au contraire!), ni
même d’intention de s’amender. Décidément, la miséricorde du Pape du «
qui suis-je pour juger? » est à géométrie variable, et le désir de
flatter le monde l’emporte chez lui sur le devoir d’édifier le peuple
chrétien.
La
visite du pape François en Slovaquie s’est achevée avec la
réhabilitation devant l’opinion publique de l’ancien évêque de Trnava,
Robert Bezák, destitué par Benoît XVI en 2012 et accusé d’avoir même
créé un réseau de prêtres homosexuels. L’embarras de la Conférence des
évêques… » (benoit-et-moi.fr)
Bien belle miséricorde et empathie de Bergoglio, se moquant du cardinal Burke qui a eu une sévère Covid-19:
«
« Dans le collège cardinalice, il y a quelques négationnistes. L’un
d’eux, le pauvre, a attrapé le virus. Ironie de la vie », a déclaré le
souverain pontife dans l’avion qui le ramenait d’un voyage apostolique
en Slovaquie. Ce petit pays d’Europe centrale de 5,4 millions
d’habitants compte seulement la moitié de la population adulte vaccinée.
Sans
le nommer, François faisait allusion au cardinal américain
ultraconservateur Raymond Burke, l’un de ses plus farouches adversaires
au sein de l’Église catholique. Ce dernier avait contracté la COVID-19
au mois d’août et avait dû un temps être placé en soins intensifs dans
un hôpital… » (lapresse.ca)
C’est exactement des méthodes utilisées par le prince du mensonge.
Aucune transparence.
Un masque pour tromper et corrompre les âmes dans des directions sans issues, si ce n’est que le gouffre.
L’église conciliaire est devenue une ONG qui se fond dans la masse du nouvel ordre mondial voulu par Satan et ses sbires.
On ne mentionne pour Jésus, le Christ, mais seulement Dieu, et on ne sait pas lequel avec Bergoglio.
On ne ressuscite pas le Christ
dans la nouvelle église car cela pourrait générer de nouvelles
conversions dans ces temps si difficiles moralement.
Et c’est la dernière chose que ce système a besoin puisqu’ils sont si près du but.
Benoît XVI y va d’une ultime
tentative, pour remettre les pendules à l’heure, et publie que ce
plusieurs estiment être son testament spirituel.
Un dernier livre adressé à l’Europe, cœur du christianisme perdu. (benoit-et-moi.fr)
07 septembre
Comme anticipé, le synode 2021-2023 s’ouvrant en octobre dirige l’Église vers le gouffre de l’œcuménisme...
« Le Document préparatoire du Synode des évêques de 2023 a été publié.
Le Secrétariat Général du
Synode des évêques a rendu public ce mardi 7 septembre le Document
préparatoire et le Vademecum qui accompagneront le prochain Synode sur
la synodalité. Celui-ci sera ouvert les 9-10 octobre à Rome et le 17
octobre dans les Églises particulières, et se conclura par l'assemblée
générale au Vatican en 2023.
Écouter, «sans préjugés».
Prendre la parole, «avec courage et parresia». Dialoguer avec l'Église,
la société et les autres confessions chrétiennes. Le Secrétariat
général du Synode a publié le Document préparatoire et le Vademecum,
textes essentiels indiquant les lignes directrices du prochain chemin
synodal.
...
«Comment se réalise
aujourd'hui, à différents niveaux (du local à l'universel), ce "marcher
ensemble" qui permet à l'Église d'annoncer l'Évangile, conformément à
la mission qui lui a été confiée, et quels pas l'Esprit nous
invite-t-il à faire pour grandir en tant qu'Église synodale ?»...
Inclure tous les baptisés
Pour répondre à cette
question, le Secrétariat du Synode souligne la nécessité de «vivre un
processus ecclésial participatif et inclusif» qui offre à chaque
personne, en particulier à celles qui sont en marge, la possibilité de
s'exprimer et d'être entendues; puis de reconnaître et d'apprécier la
variété des charismes et d'examiner «comment la responsabilité et le
pouvoir sont vécus dans l'Église». Il s’agit aussi d'«accréditer la
communauté chrétienne en tant que sujet crédible et partenaire fiable»
sur les voies du dialogue, de la réconciliation, de l'inclusion et de
la participation. Et aussi de «régénérer les relations» avec les
représentants d'autres confessions, les organisations de la société
civile et les mouvements populaires...
La place des laïcs
Le Document préparatoire
consacre également une large place aux laïcs. Il réaffirme que tous les
baptisés sont des «sujets actifs de l'évangélisation» et qu'il est
fondamental que les pasteurs «n'aient pas peur d'écouter le troupeau».
Dans une Église synodale, en effet, chacun «a quelque chose à
apprendre» de l'autre.
Le texte préparatoire propose
ensuite des questions pour guider la consultation du peuple de Dieu, en
commençant par une question: Comment le «marcher ensemble» est-il
réalisé aujourd'hui dans son Église particulière? Il est donc vivement
conseillé de relire les expériences de son propre diocèse à cet égard,
en tenant compte des relations internes au diocèse entre les fidèles,
le clergé, les paroisses, mais aussi entre les évêques, avec les
différentes formes de vie religieuse et consacrée, avec les
associations, les mouvements et les institutions telles que les écoles,
les hôpitaux, les universités, les organisations caritatives. Il
convient également d'envisager des relations et des initiatives
communes avec d'autres religions et avec le monde de la politique, de
la culture, des finances, du travail, des syndicats et des minorités...
» (vaticannews.va)
La dilution de la religion catholique pour s'adapter à la nouvelle religion mondiale arrive donc à son terme.
Finalement…
Pour
les justes qui n’en peuvent plus d’attendre face à ce monde
désarticulé, cart ils savent que le Jour approche face à ces événements
prophétisés par le Christ.
La conclusion est évidente: le synode mène à la nouvelle messe œcuménique.
Il fallait bien avoir une démarche pour justifier le tout.
Voilà.
C'est fait.
Nous venons d'entrer dans la dernière ligne droite.
La venue de l’Époux est à nos portes.
Car, aussi, Bergoglio est plus malade qu'il ne l'affirme selon AM Valli:
« Quelle est l’atmosphère réelle au Vatican ces jours-ci ?
« Le sentiment de provisoire
et d’insécurité est palpable. Cela s’accompagne d’un climat de tension
et de suspicion, dans la crainte d’être victime de purges et de
représailles.
Des représailles ? Vraiment ?
« Dans le cas récent du motu
proprio abolissant Summorum Pontificum, on a dit clairement aux évêques
que s’ils ne se conformaient pas, ils seraient démis sans trop de
manières ».
Nous allons y venir. En attendant, y a-t-il des informations sur l’état de santé réel du pape ?
« Dans les palais sacrés, on
parle de deux tumeurs qui auraient touché Bergoglio, et de la
difficulté des médecins et du personnel médical de l’hôpital à gérer
l’auguste patient, qui s’est révélé nerveux et intolérant au traitement
».
Mince. Prions pour lui.
« Il y en a certainement qui
veulent laisser penser que François a encore la santé et la force
physique, pour ne pas donner l’idée d’une perte de pouvoir. En réalité,
Bergoglio a subi une intervention chirurgicale d’urgence pour une
maladie grave et, compte tenu de son âge, sa situation n’est pas
facile. »...
Entre-temps, comme vous l’avez
mentionné, le Pontife a pris des mesures pour préparer le terrain à la
suppression de la messe en latin. Pourquoi déclencher cette guerre ?
« Parce que c’est précisément
en déclenchant une guerre et en provoquant des dissensions et des
protestations que Bergoglio peut démontrer que la messe tridentine est
‘source de division’ « .
N’est-ce pas le cas?
« Grâce à une application sage
et généreuse du précédent motu proprio Summorum pontificum de Benoît
XVI, les communautés liées à l’ancien rite ne se sont jamais retrouvées
en conflit avec les autres fidèles et les prêtres. »
François veut-il alimenter un conflit qui n’existait pas ?
« Il provoque d’abord la
réaction exaspérée de ceux qu’il veut frapper, puis face à leur
protestation, il se montre autoritaire et despotique et les accuse de
désobéissance ».
N’est-il pas paradoxal que la
lettre apostolique, avec laquelle on a tenté d’éliminer pratiquement le
rite ancien, s’appelle Traditionis custodes ?
« François, citant le Concile,
appelle les évêques ‘gardiens de la Tradition’ au moment même où il les
oblige à en abolir la principale expression, qui est la liturgie. Ceux
qui y voient une sorte de moquerie n’ont pas tort ».
En effet.
« Il est douloureux que celui
qui est appelé ‘Saint Père’ se montre si cruel avec ses enfants, et si
tolérant avec ceux qui sont déclarés ennemis du Christ, de l’Église et
du Pape. »
...
Récemment, François a fait la
promotion du vaccin anti-Covid comme un « acte d’amour ». Tout cela,
peu après les perplexités exprimées par les traditionalistes américains
au sujet des vaccins. Le cardinal Leo Burke, qui n’a pas été vacciné,
s’est même retrouvé en soins intensifs. En bref, la déclaration de
François, plutôt que d’être adressée à l’Italie, semble s’inscrire dans
le cadre du conflit entre le Pontife et les conservateurs américains.
Est-ce exact?
« Le soutien de Bergoglio au
vaccin est la preuve de l’alignement du Vatican sur les positions du
courant dominant. Une démonstration publique de loyauté envers l’élite
qui détient le pouvoir.
Cette sortie était-elle
appropriée dans un contexte où une rhétorique dogmatique, presque
mystique, s’est construite autour du vaccin ?
« Si le Saint-Siège – et
Bergoglio en personne – n’avait pas soutenu le récit médiatique, la
rhétorique pandémique aurait eu beaucoup plus de mal à s’imposer ».
Que voulez-vous-dire?
« Les experts se sont
autoproclamés prêtres du Covid, donnant au vaccin des connotations
mystiques, tandis que le Vicaire du Christ est devenu un testimonial
des compagnies pharmaceutiques, démontrant ainsi qu’il considère la
santé du corps supérieure au salut de l’âme. Rien n’est plus éloigné de
l’enseignement de l’Évangile et, si je puis dire, rien n’est plus
imprudent.
Dans quel sens ?
« Eh bien, que dira Bergoglio
à ceux qui ont été convaincus de se faire vacciner ‘parce que le pape
l’a dit’, et qui tomberont malades ou mourront des effets secondaires ?
».
... » (benoit-et-moi.fr)
Ce qui est confirmé dans le cas de Bergoglio et sa maladie en analysant son interview à Radio Cope:
« ... L’idée de s’emparer du
récit est immédiatement perçue par les réponses aux questions sur sa
santé. Le pape François révèle qu’il est entré à Gemelli dès 13 heures,
que 33 centimètres d’intestin ont été retirés et qu’une infirmière lui
a sauvé la vie. Et il rassure tout le monde en disant qu’il va bien,
qu’il mène une vie normale, que c’est seulement son cerveau qui doit
traiter le fait qu’il manque 33 centimètres d’intestin.
Par cette réponse, le pape
François s’approprie le récit de sa maladie. Les rumeurs sur la maladie
du pape François ont été diffusées dans certains médias, et l’hypothèse
de la démission du pape a été construite sur cette idée. Cependant,
c’est une réponse qui laisse des points obscurs : si le pape a été
hospitalisé à Gemelli si soudainement, l’opération était-elle prévue à
ce moment-là ou la décision d’opérer a-t-elle été prise plus tard ? Et
pourquoi dit-il qu’une infirmière lui a sauvé la vie ? Cela
signifie-t-il qu’il est confronté à quelque chose de plus grave ? Ce
sont des questions qui restent ouvertes mais qui, cependant,
disparaissent lorsque le Pape, reprenant le récit, ferme toute
possibilité de déni.
C’est la réponse du Pape à ce
qui est apparu comme une crise de pouvoir. De son propre aveu, le pape
François confirme que la réforme de la Curie s’est ralentie en raison
de sa maladie. Dans la même interview, le pape François déclare que le
voyage prévu à Glasgow pour la COP26 (pas encore officialisé) dépendra
largement de son état de santé. Il y a donc une incertitude, que le
pape François a toutefois tendance à minimiser. Et il la minimise parce
que – toujours d’après l’interview – dès que le Pape tombe malade, il
sent un vent de Conclave. En réalité, la réflexion sur son successeur,
qui a commencé dans les couloirs du Vatican à la nouvelle de
l’hospitalisation, n’a pas échappé au Pape... » (benoit-et-moi.fr)
01 septembre
Mgr Vigano confirme que nous arrivons à la fin de la lutte entre Satan et Dieu.
L'article est long. Ici, ce qui ne concerne que l'Église (ce qui est déjà beaucoup car il fait tout un résumé):
« ... Cependant, pour
comprendre cette alliance entre pouvoir civil et pouvoir religieux, il
est nécessaire de reconnaître la dimension spirituelle et
eschatologique du conflit actuel, en le replaçant dans le contexte de
la guerre que Lucifer, depuis sa chute, mène contre Dieu. Cette guerre,
dont l'issue a été décidée ab æternoavec la défaite inexorable de Satan
et de l'Antéchrist et la victoire écrasante de la Femme entourée
d'étoiles, touche maintenant à sa conclusion. C'est pourquoi les forces
des ténèbres sont si sauvages à présent, si impatientes d'effacer le
nom de Notre-Seigneur de la terre, pour non seulement détruire sa
présence tangible dans nos villes en démolissant des églises, en
démolissant des croix et en supprimant les fêtes chrétiennes ; mais
aussi en éliminant la mémoire, en annulant la civilisation chrétienne,
en falsifiant son enseignement et en avilissant son culte. Et pour ce
faire, la présence d'une Hiérarchie fidèle et courageuse, prête à
souffrir le martyre pour défendre la foi chrétienne et l'enseignement
moral, est certainement un obstacle. C'est pourquoi, dès la phase
initiale du plan mondialiste, il était essentiel de corrompre la
Hiérarchie en morale et en doctrine,les cellules dormantes , pour la
priver de toute aspiration surnaturelle, et la rendre vulnérable au
chantage grâce aux scandales financiers et sexuels ; le tout dans le
but de l'exclure et de l'éliminer une fois son but atteint, selon la
pratique établie.
Cette opération d'infiltration
a commencé à la fin des années 50, alors que le projet du Nouvel Ordre
Mondial prenait forme. Il entame son propre travail de subversion
quelques années plus tard, avec le Concile œcuménique Vatican II, en
vue duquel l'élection de Roncalli et l'expulsion du cardinal Siri, le «
dauphin de Pacelli» ou successeur probable comme pape, représentait un
motif d'enthousiasme à la fois pour l'élément progressiste et
moderniste au sein de l'Église, ainsi que pour l'élément communiste,
libéral et maçonnique du monde civil. Vatican II a représenté au sein
du corps ecclésial ce que le serment du court de tennis [de la
Révolution française] était pour la société civile : le début de la
Révolution. Et si à maintes reprises j'ai attiré l'attention sur le
caractère subversif du Concile, je crois aujourd'hui qu'une analyse
historique mérite l'attention dans laquelle des faits apparemment
déconnectés acquièrent une signification inquiétante, expliquant
beaucoup de choses.
Liaisons dangereuses
Comme Michael J. Matt l'a
rapporté dans une vidéo récente à The Remnant ( ici), nous commençons
aujourd'hui à assembler toutes les pièces de la mosaïque, et nous
découvrons – de l'aveu même d'un des protagonistes – que Mgr. Hélder
Câmara, archevêque d'Olinda et de Recife au Brésil, a rencontré ces
années-là le jeune Klaus Schwab, fondateur du Forum économique mondial
et théoricien de la Grande Réinitialisation. Une fois que Schwab a
reconnu Câmara pour son opposition à l'Église traditionnelle et ses
théories révolutionnaires et paupéristes, il l'a invité au Forum de
Davos, considérant sa participation à cet événement comme extrêmement
importante au regard du projet de l'Ordre Nouveau. On sait qu'Hélder
Câmara fut parmi les organisateurs du « Pacte des Catacombes », signé
par une quarantaine d'évêques ultra-progressistes le 16 novembre 1965,
quelques jours avant la clôture du Concile.un autre, nouvel ordre
social » ( ici , n. 9) fondé sur la justice et l'égalité. Et nous ne
sommes pas surpris d'apprendre que parmi les signataires il y avait
aussi Mgr. Enrique Angelelli, évêque auxiliaire de Cordoba en
Argentine, « [un] point de référence pour le père Jorge Mario Bergoglio
de l'époque » ( ici ). Bergoglio lui-même a déclaré dès le début de son
pontificat qu'il était d'accord avec les exigences du Pacte des
Catacombes. Le 20 octobre 2019, lors du Synode sur l'Amazonie, la
célébration du pacte entre les conjurés s'est répétée dans les
Catacombes de Santa Domitilla ( ici), confirmant que le plan commencé
au Concile avait trouvé sa réalisation précisément en Jorge Mario
Bergoglio. Loin de prendre ses distances avec les ultra-progressistes
qui le soutiennent et qui ont déterminé son élection au dernier
Conclave, Bergoglio ne manque jamais une occasion de faire la preuve de
sa parfaite cohérence avec le projet du Nouvel Ordre Mondial, à
commencer par la collaboration des commissions vaticanes. et dicastères
écologistes d'une matrice malthusienne et leur participation au Conseil
pour le capitalisme inclusif, une alliance mondiale avec les
Rothschild, la Fondation Rockefeller et de grandes banques. Donc, d'un
côté, nous avons David Rockefeller avec la Commission trilatérale, et
de l'autre nous avons Klaus Schwab, qui est lié par alliance avec les
Rothschild (ici), avec le Forum économique mondial, et les deux sont
bras dessus-dessous. bras avec le chef de l'Église catholique pour
établir l'Ordre Nouveau au moyen de la Grande Réinitialisation, comme
cela a été planifié depuis les années 1950.
Le plan mondial de dépeuplement
Parmi les associés de ce
pactum sceleris, il faut également compter quelques membres de
l'Académie pontificale pour la vie, dont la structure organisationnelle
a récemment été renversée par Bergoglio lui-même lorsqu'il a supprimé
les membres les plus fidèles au Magistère, les remplaçant par des
partisans de la dépopulation, la contraception et l'avortement. Il ne
faut pas s'étonner du soutien du Saint-Siège aux vaccins : en juin
2011, le Sovereign Independent a titré en première page : « La
dépopulation par la vaccination forcée : la solution zéro carbone ! (
ici ). A côté du titre, une photographie de Bill Gates était
accompagnée d'une citation de lui : «Le monde compte aujourd'hui 6,8
milliards d'habitants. Cela s'élève à environ 9 milliards. Maintenant,
si nous faisons un très bon travail sur les nouveaux vaccins, les soins
de santé, les services de reproduction [avortement et contraception] ,
nous réduisons cela peut-être de 10 ou 15 pour cent . »...
Interférence de l'état profond
Il y a eu de nombreux exemples
d'ingérence de l'État profond dans la vie de l'Église. Nous ne pouvons
pas oublier les courriels de John Podesta et Hillary Clinton, qui
montrent l'intention d'évincer Benoît XVI de la papauté et ainsi
d'initier un nouveau « printemps de l'Église» qui serait progressiste
et mondialiste, ce qui s'est produit plus tard avec la démission de
Benoît et l'élection de l'Argentin. On ne peut pas non plus négliger
l'ingérence d'entités et d'institutions tout sauf proches de la
religion, comme le B'nai B'rith, pour dicter la direction du «
renouveau » de l'Église après Vatican II et surtout sous ce Pontificat.
. Enfin, il faut rappeler d'une part les refus dédaigneux d'accorder
des audiences à des personnalités politiques et institutionnelles
conservatrices, et d'autre part les rencontres passionnées et
souriantes avec les dirigeants de la gauche et du progressisme,
accompagnées d'expressions de satisfaction enthousiaste à l'occasion de
leur élection où le réseau des relations sociales et politiques
constitue une sorte de franc-maçonnerie progressiste et assure des
carrières fulgurantes aux soi-disant «catholiques adultes», ceux qui
utilisent le nom de «chrétien» sans se comporter de manière cohérente
avec la foi et la morale chrétiennes dans leur service des affaires
publiques : Joe Biden et Nancy Pelosi; Romano Prodi, Mario Monti,
Giuseppe Conte et Mario Draghi ; pour n'en citer que quelques-uns.
Comme on peut le voir, la coopération entre l' État profond et l'Église
profonde est de longue date et a maintenant produit les résultats
espérés par ses partisans, avec de très graves dommages tant à l'État
qu'à la religion.
La fermeture des églises début
2020, avant même que les autorités civiles n'imposent les confinements
; l'interdiction de la célébration des messes et de l'administration
des sacrements pendant l'urgence pandémique ; la cérémonie grotesque
réalisée le 27 mars 2020 sur la place Saint-Pierre ( ici ) ;
l'insistance sur les vaccins et leur promotion comme moralement
légitimes malgré le fait qu'ils aient été produits avec des lignées
cellulaires provenant de fœtus avortés ; les déclarations de Bergoglio
selon lesquelles le sérum génétique représente un « devoir moral » pour
tout chrétien ; la mise en place du « Pass Vert» passeport sanitaire au
Vatican et plus récemment dans les écoles catholiques et dans certains
séminaires ; le Saint-Siège interdisant aux évêques d'annoncer qu'ils
sont contre l'obligation de vaccination, rapidement entérinée par
certaines conférences épiscopales - ce sont tous des éléments qui
démontrent la subordination de l' église profonde aux ordres de l' état
profond , et la manière dont le l'église bergoglienne fait partie
intégrante du plan mondialiste. Si l'on combine tout cela avec le culte
idolâtre de la pachamama juste sous les arcades de la basilique
Saint-Pierre ; l'insistance sur l'œcuménisme iréniciste, le pacifisme
et le paupérisme ; l'endossement de l'éthique de situation et la
légitimation substantielle de l'adultère et du concubinage chez Amoris
Laetitia; la déclaration que la peine de mort est moralement illicite ;
l'approbation des politiciens de gauche, des dirigeants
révolutionnaires et des militants de l'avortement ; les mots de
compréhension pour les questions LGBT, les homosexuels et les
transsexuels ; le silence sur la légitimation des unions homosexuelles
et le silence encore plus déconcertant sur la bénédiction des couples
sodomiques par les évêques et prêtres allemands ; et l'interdiction de
la messe tridentine avec l'abolition du Motu Proprio Summorum
Pontificum de Benoît XVI, on se rend compte que Jorge Mario Bergoglio
s'acquitte de la tâche qui lui a été confiée par l'élite mondialiste,
qui veut qu'il soit le liquidateur de l'Église catholique et le
fondateur d'une secte philanthropique et œcuménique d'inspiration
maçonnique censée constituer l'Église universelle. La religion à
l'appui de l'Ordre Nouveau. Que cette action soit menée en pleine
conscience, par peur ou sous le chantage, rien n'enlève à la gravité de
ce qui se passe, ni à la responsabilité morale de ceux qui en font la
promotion.
La matrice luciférienne du Nouvel Ordre Mondial
À ce stade, il est nécessaire
de clarifier ce que l'on entend par « Nouvel Ordre Mondial », ou plutôt
ce que veulent dire ses créateurs, indépendamment de ce qu'ils disent
publiquement. Car d'une part, il est vrai qu'il y a un projet, que
certaines personnes l'ont conçu et sont chargées de le réaliser ; mais
d'un autre côté il est également vrai que les principes inspirants du
projet ne sont pas toujours dévoilés, ou du moins ils ne peuvent pas
être ouvertement admis comme étroitement liés à ce qui se passe
aujourd'hui, car un tel aveu susciterait l'opposition même de ceux qui
sont les plus pacifiques et modérés. C'est une chose d'imposer le «
Green Pass » sous prétexte de pandémie ; mais c'en est une autre de
reconnaître que le but du passeport est de nous habituer à être traqués
; et encore un autre de dire que ce contrôle total est le "marque de la
Bête » dont parle le Livre de l'Apocalypse (Ap 13,16-18). Le lecteur me
pardonnera si, pour démontrer mon argument, je dois recourir à des
citations d'une gravité et d'une méchanceté telles qu'elles suscitent
la stupéfaction et l'horreur - mais cela est nécessaire si nous voulons
comprendre quelles sont les véritables intentions des architectes de
cette l'intrigue sont vraiment, et la vraie nature de la bataille
d'époque qu'ils mènent contre Christ et son Église.
Afin de comprendre les racines
ésotériques de la pensée qui est à la base des Nations Unies, jadis
convoitée par [l'activiste politique italien du XIXe siècle] Giuseppe
Mazzini, nous ne pouvons manquer de considérer des personnages tels
qu'Albert Pike, Eliphas Levi, Helena Blavatsky, Alice Ann Bailey, ou
d'autres disciples des sectes lucifériennes. Leurs écrits, publiés
depuis la fin du XIXe siècle, sont assez révélateurs.
Albert Pike, ami de Mazzini et
confrère franc-maçon, prononça en 1889 en France un discours aux plus
hauts niveaux de la franc-maçonnerie, qui fut ensuite réimprimé le 19
janvier 1935 par la revue anglaise The Freemason . Pike a déclaré :
Ce qu'il faut dire à la foule,
c'est qu'on adore un dieu, mais c'est le dieu qu'on adore sans
superstition […]. La religion maçonnique doit être maintenue dans la
pureté de la doctrine luciférienne par nous tous qui sommes des initiés
des plus hauts degrés. Si Lucifer n'était pas Dieu, Adonaï [sic] [le
Dieu des chrétiens] dont les actes prouvent sa cruauté, sa perfidie et
sa haine de l'homme, la barbarie et la répulsion de la science, Adonaï
et son prêtre le calomnieraient-ils ?
"Oui, Lucifer est Dieu, et
malheureusement Adonaï est aussi Dieu. Car la loi éternelle est qu'il
n'y a pas de lumière sans ombre, pas de beauté sans laideur, pas de
blanc sans noir, car l'absolu ne peut exister que comme deux dieux :
l'obscurité étant nécessaire à la lumière pour lui servir de repoussoir
comme le piédestal est nécessaire à la statue, et le frein à la
locomotive… la doctrine du satanisme est une hérésie ; et la vraie et
pure religion philosophique est la croyance en Lucifer, l'égal d'Adonaï
; mais Lucifer, Dieu de la Lumière et Dieu du Bien, lutte pour
l'humanité contre Adonaï, le Dieu des Ténèbres et du Mal.
Cette profession de foi en la
divinité de Satan n'est pas seulement un aveu de qui est le véritable
Grand Architecte que la Franc-Maçonnerie adore, mais aussi un projet
politique blasphématoire qui traverse l'œcuménisme de Vatican II, dont
le premier théoricien fut la Franc-Maçonnerie :
Le chrétien, le juif, le
musulman, le bouddhiste, le disciple de Confucius et de Zoroastre
peuvent s'unir en frères et s'unir dans la prière au seul dieu qui est
au-dessus de tous les autres dieux (cf. Albert Pike, Morals and Dogma,
éd. Bastogi, Foggia 1984, tome VI, p. 153).
Et l'identité du « dieu unique qui est au-dessus de tous les autres dieux » a été bien expliquée dans la citation précédente.
Dans une autre lettre, Pike écrit à Mazzini :
Nous déchaînerons les
nihilistes et les athées et provoquerons un formidable cataclysme
social qui démontrera clairement aux nations, dans toute son horreur,
l'effet de l'athéisme absolu, l'origine de la barbarie et de la
subversion sanglante. Alors les citoyens de partout, contraints de se
défendre contre une minorité mondiale de révolutionnaires, […]
recevront la vraie lumière à travers la manifestation universelle de la
pure doctrine de Lucifer, enfin révélée aux yeux du public ; une
manifestation qui sera suivie de la destruction du christianisme et
aussi de l'athéisme, qui seront conquis et écrasés à la fois ! (cf.
Lettre du 15 août 1871 à Giuseppe Mazzini, Bibliothèque du British
Museum, Londres).
On ne manquera pas de
remarquer que la « grande hérésie de la séparativité » sonne
curieusement en accord avec l'œcuménisme condamné par Pie XI dans son
Encyclique Mortalium Animos , un œcuménisme qui a été adopté par la
Déclaration Dignitatis Humanae et récemment fusionné dans la doctrine
de « l' inclusivité » formulées par ceux qui ont permis que le culte
idolâtre de la pachamama soit offert dans la basilique Saint-Pierre. Il
est clair que le terme « séparativité » entend désigner en clé négative
la nécessaire séparation du bien du mal, du vrai du faux, du bien du
mal qui constitue le critère de jugement moral du comportement humain.
“ Inclusivité» s'oppose à cette distinction, se laissant volontairement
contaminer par le mal pour adultérer le bien, assimilant le vrai et le
faux afin de corrompre le premier et donner une légitimité au second.
Les racines idéologiques communes de l'œcuménisme
Si l'on ne comprend pas que
les racines idéologiques de l'œcuménisme sont intrinsèquement liées à
l'ésotérisme maçonnique luciférien, on ne peut saisir le lien qui lie
les déviations doctrinales de Vatican II au projet du Nouvel Ordre
Mondial. La révolution de 1968 est un triste exemple de ces ambitions
pacifistes et œcuménistes, où l'« Âge du Verseau » est célébré par la
comédie musicale Hair (1969) puis par John Lennon avec Imagine (1971) :
Imagine qu'il n'y ait pas de paradis. C'est facile si vous essayez.
Pas d'enfer en dessous de nous. Au-dessus de nous, seul le ciel.
Imaginez tous les gens, vivant pour aujourd'hui.
Imagine qu'il n'y ait pas de pays. Ce n'est pas difficile à faire.
Rien pour tuer ou mourir, et pas de religion non plus.
Imaginez tout le monde, vivant en paix.
Tu peux dire que je suis un rêveur mais je ne suis pas le seul.
J'espère qu'un jour vous nous rejoindrez et que le monde ne fera qu'un.
Imaginez pas de possessions. Je me demande si tu peux.
Pas besoin d'avidité ou de faim, une fraternité d'homme.
Imaginez tous les gens, partageant tout le monde.
Ce manifeste du nihilisme
maçonnique peut être considéré comme l'hymne du mondialisme et de la
nouvelle religion universelle : ce n'est pas un hasard s'il a servi de
chanson thème aux Jeux Olympiques de 2012 à Londres, et plus récemment
à ceux de Tokyo. Une âme qui ne s'égare pas ne peut qu'éprouver de
l'horreur à ces paroles blasphématoires. Il en va de même pour les
paroles de la chanson non moins blasphématoire de Lennon, God (1970) :
Dieu est un concept par lequel nous mesurons notre douleur. […]
Je crois juste en moi.
Je comprends que pour
beaucoup, il est désolant d'accepter que la Hiérarchie se soit laissée
tromper par ses ennemis, faisant siennes leurs demandes dans des
questions qui touchent l'âme même de l'Église. Il est certain qu'il y a
eu des prélats maçonniques qui ont réussi à introduire leurs idées dans
le Concile en les déguisant, mais en pleine conscience qu'elles
conduiraient inexorablement à la réalisation de cette démolition de la
Religion qui est la prémisse de l'établissement de l'Ere Nouvelle –
l'ère du Verseau – dans laquelle Notre Seigneur est banni de la société
pour accueillir l'Antéchrist. On comprend alors l'indulgence clinquante
accordée à la franc-maçonnerie par de nombreuses personnalités
catholiques – je pense aux cardinaux Martini et Ravasi, parmi tant
d'autres – et leur opposition aux excommunications que les papes ont
renouvelées contre la secte kathèkon [“celui qui retient” (cfr. 2 Thess
6:7)] à éliminer.
Il faut aussi rappeler, avec
une certaine gêne, que certaines déclarations de Ratzinger suggèrent
une tentative de « christianiser » le projet mondialiste, sans le
condamner comme antichrist et antichrétien :
Laissez l'Enfant de Bethléem
vous prendre par la main ! N'ai pas peur; faites lui confiance ! Le
pouvoir vivifiant de sa lumière est une incitation à la construction
d'un nouvel ordre mondial ( ici ).
Ces paroles confirment
malheureusement le sophisme de la pensée hégélienne, qui a influencé le
professeur de Tübingen jusqu'au Trône. Certes, l'incapacité du Pontife
à prendre position lui a permis d'être considéré en quelque sorte comme
un allié du projet mondialiste, si le président italien Giorgio
Napolitano a pu affirmer dans son discours de fin d'année 2006 au
peuple italien : « Il y a harmonie entre Le Pape Benoît et moi pour
soutenir un Nouvel Ordre Mondial » (31 décembre 2006). D'autre part, le
processus hégélien de thèse-antithèse-synthèse fait écho à la devise de
l'alchimie, Solve et Coagula, qui a été adopté par la franc-maçonnerie
et par l'ésotérisme luciférien. C'est la devise qui figure sur les
armes de Baphomet, l'idole infernale adorée par les plus hauts niveaux
de la secte maçonnique, comme l'admettent ses membres les plus
autoritaires. Dans son essai Lucifer Rising , Philip Jones précise que
la dialectique hégélienne « combine une forme de christianisme comme
thèse avec un spiritualisme païen comme antithèse, avec comme résultat
une synthèse très proche des religions à mystère babyloniennes ».
Le panthéisme mondialiste de Theilard de Chardin
L'œcuménisme est l'un des
thèmes clés de la pensée mondialiste. Ceci est confirmé par Robert
Muller, qui était le secrétaire général adjoint des Nations Unies : «
Nous devons avancer le plus rapidement possible vers un gouvernement
mondial, une religion mondiale et un leader mondial unique . Avant lui,
l'un des défenseurs de la Société des Nations, Arthur Balfour, a créé
la " Société synthétique ", qui avait pour but la création de la "
religion mondiale unique ". Pierre Theilard de Chardin lui-même,
jésuite hérétique condamné par le Saint-Office et aujourd'hui célèbre
théologien du progressisme, considérait les Nations Unies comme «
l'incarnation institutionnelle progressiste de sa philosophie »,
exprimant son espoir que «une convergence générale des religions sur un
Christ universel qui les accomplit toutes….me semble être la seule
conversion possible du monde, et la seule forme sous laquelle une
religion du futur puisse être conçue « afin de « réduire l'écart ».
entre le panthéisme et le christianisme en dessinant ce qu'on pourrait
appeler l'âme chrétienne du panthéisme ou l'aspect panthéiste du
christianisme . On ne manquera pas de remarquer que la pachamama et
l'attribution de connotations mariales à la Terre Mère font de ces
concepts de Theilard de Chardin une réalité inquiétante. Et ce n'est
pas tout : Robert Muller, le théoricien du gouvernement mondial qui est
aussi disciple de la théosophe Alice A. Bailey, déclare : « Teilhard de
Chardin a influencé son compagnon[le père jésuite Emmanuel Saguez de
Breuvery, qui a occupé des postes importants à l'ONU], qui à son tour a
inspiré ses collègues, et ils ont à leur tour initié un riche processus
de réflexion globale et à long terme au sein des Nations Unies, qui a
touché de nombreuses nations et des gens partout dans le monde. J'ai
été profondément influencé par Teilhard . Dans son livre L'Avenir de
l'Homme , Theilard écrit : « Même si sa forme n'est pas encore visible,
demain l'humanité se réveillera dans un monde pan-organisé . Muller a
été le fondateur du World Core Curriculum, qui visait « à orienter nos
enfants vers la citoyenneté mondiale, les croyances centrées sur la
terre, les valeurs socialistes et l'état d'esprit collectif, qui
deviennent une exigence pour la main-d'œuvre du 21e siècle » (Nouvel
Homme Magazine ). Et s'il revendique fièrement Alice A. Bailey parmi
ses inspiratrices, on découvre qu'elle était une disciple du Mouvement
Théosophique fondé par Helena Blavatsky, une luciférienne déclarée.
Afin de bien comprendre le personnage de Blavatsky, voici quelques
citations de ses écrits :
Lucifer représente la Vie, la
Pensée, le Progrès, la Civilisation, la Liberté, l'Indépendance…
Lucifer est le Logos, le Serpent, le Sauveur.
Et, anticipant presque la pachamama :
La Vierge Céleste devient
ainsi, en même temps, la Mère des Dieux et des Démons, car elle est la
Divinité bienfaisante toujours aimante… Mais dans l'antiquité et en
réalité le nom [de ce dieu] est Lucifer. Lucifer est la Lumière divine
et terrestre, à la fois le Saint-Esprit et Satan. »
Et pour couronner le tout:
C'est Satan qui est le dieu de notre planète et le seul dieu.
C'est Alice A. Bailey qui a
fondé la Lucifer Publishing Company , qui est maintenant connue sous le
nom de Lucis Publishing Company , étroitement liée au Lucis Trust,
anciennement Lucifer Trust , reconnu comme une ONG par les Nations
Unies. Si l'on ajoute à cet amoncellement de divagations infernales les
propos de David Spangler, le directeur du Planetary Initiative Project
des Nations Unies, on se rendra compte à quel point la menace qui pèse
sur nous tous est terrible :
Personne ne fera partie du
Nouvel Ordre Mondial à moins d'accomplir un acte d'adoration envers
Lucifer. Personne n'entrera dans le Nouvel Âge s'il ne reçoit pas une
initiation luciférienne (Réflexions sur le Christ, Findhorn, 1978).
Alice A. Bailey écrit sur le New Age :
Les réalisations de la
science, les conquêtes des nations et les conquêtes de territoires sont
toutes révélatrices de la méthode de l'âge des Poissons [l'âge du
Christ], avec son idéalisme, son militantisme et sa séparativité dans
tous les domaines - religieux, politique, et économique. Mais l'ère de
la synthèse, de l'inclusivité et de la compréhension est à nos portes,
et la nouvelle éducation de l'ère du Verseau [l'ère de l'Antéchrist]
doit commencer très délicatement à pénétrer l'aura humaine.
Aujourd'hui, nous voyons
comment les méthodes d'enseignement théorisées par Muller dans le World
Core Curriculum ont été adoptées par presque toutes les nations, y
compris l'idéologie LGBT, la théorie du genre et toutes les autres
formes d'endoctrinement. C'est ce que confirme l'ancien directeur de
l'OMS, le Dr Brock Chisolm, expliquant ce que la politique éducative de
l'ONU souhaite atteindre :
Pour parvenir à un
gouvernement mondial, il est nécessaire d'éloigner de l'esprit des
hommes leur individualisme, la fidélité aux traditions familiales, le
patriotisme national et les dogmes religieux (cf. Christian World
Report, Marzo 1991, Vol. 3).
Revoilà le fil rouge qui relie
non seulement Klaus Schwab à Hélder Câmara, mais aussi Robert Muller et
Alice A. Bailey à Pierre Theilard de Chardin et Emmanuel Saguez de
Breuvery, toujours dans une tonalité mondialiste et sous l'inspiration
funeste de la pensée luciférienne. Une analyse approfondie de ces
aspects inquiétants permettra de faire la lumière sur la vérité et de
révéler la complicité et les trahisons de nombreux ecclésiastiques
asservis à l'ennemi.
Notre réponse à la crise de l'autorité
La corruption de l'autorité
est telle qu'il est très difficile – du moins en termes humains –
d'émettre l'hypothèse d'une issue pacifique. Au cours de l'histoire,
des régimes totalitaires ont été renversés par la force. Il est
difficile de penser que la dictature sanitaire qui s'est installée ces
derniers mois puisse être combattue différemment, puisque tous les
pouvoirs de l'État, tous les moyens d'information, toutes les
institutions internationales publiques et privées, tous les acteurs
économiques et financiers les potentats sont complices de ce crime.
Face à ce sombre scénario de
corruption et de conflit d'intérêts, il est indispensable que tous ceux
qui ne sont pas soumis au plan mondialiste s'unissent en un front
compact et cohérent, afin de défendre leurs droits naturels et
religieux, leur propre santé et celle de leurs proches, leur liberté et
leurs biens. Là où l'autorité manque à ses devoirs et trahit en effet
le but pour lequel elle a été établie, la désobéissance est non
seulement légale mais obligatoire : désobéissance non violente, au
moins pour l'instant, mais déterminée et courageuse. Désobéissance aux
diktats illégitimes et tyranniques de l'autorité ecclésiastique,
partout où elle se montre complice du plan infernal du Nouvel Ordre
Mondial.
Conclusion
Permettez-moi de conclure
cette réflexion par une brève réflexion spirituelle. Tout ce que nous
savons, découvrons et comprenons sur la conspiration mondiale qui se
déroule actuellement nous montre une formidable réalité qui est aussi à
la fois nette et clairement définie : il y a deux côtés, le côté de
Dieu et le côté de Satan, le côté des enfants de la Lumière et du côté
des enfants des ténèbres. Il n'est pas possible de se réconcilier avec
l'Ennemi, ni de servir deux maîtres (Mt 6,24). Les paroles de
Notre-Seigneur doivent être gravées dans nos esprits : « Celui qui
n'est pas avec moi est contre moi, et celui qui ne s'assemble pas avec
moi disperse» (Mt 12:30). Espérer construire un gouvernement mondial
dans lequel la royauté divine de Jésus-Christ est interdite est insensé
et blasphématoire, et personne qui a un tel plan ne réussira jamais. Là
où règne le Christ, règnent la paix, l'harmonie et la justice ; là où
Christ ne règne pas, Satan est un tyran. Considérons-le bien, chaque
fois que nous devons choisir de conclure des accords avec l'adversaire
au nom d'une fausse coexistence pacifique ! Et que ces prélats et chefs
civils qui pensent que leur complicité n'affecte que les questions
économiques ou de santé, feignant de ne pas savoir ce qui se cache
derrière tout cela, considèrent également cela bien.
Tournons-nous vers le Christ,
le Christ qui est le Roi des cœurs, des familles, des sociétés et des
nations. Proclamons-le comme Notre Roi et Marie Très Sainte comme Notre
Reine. Ce n'est qu'ainsi que le projet méchant du Nouvel Ordre Mondial
pourra être vaincu. Ce n'est qu'ainsi que la Sainte Église pourra être
purifiée des traîtres et des renégats. Et que Dieu écoute notre prière.
+ Carlo Maria Viganò, archevêque
28 août 2021
Saint Augustin, évêque et confesseur et docteur de l'Église » (lifesitenews.com)
Août 2021
29 août
A Rome ils ne voudront pas te donner.
«
Ton règne sera grand et bref. Père, il sera bref mais il te mènera
loin, dans la lointaine terre où tu es né et où tu seras enseveli.
A Rome ils ne voudront pas te donner.
Et il y aura un autre Père, avant que tu sois enseveli, pour prier loin pour toi, pour les blessures de la Mère.
Mikail et Jean descendront sur terre. » (1ère partie de la prophétie de Jean XXIII concernant François)
Pour ceux qui suivent
l’actualité au Vatican, vous êtes au courant que l’on évoque depuis une
semaine la démission de Bergoglio pour raisons de santé suite à sa
chirurgie du mois de juillet.
C’est Antonio Socci qui a parti le bal sur son blog.
Il
ajoute que la maladie de Bergoglio est grave et dégénérative, que ce
qui le bloque dans sa décision est que Benoît XVI est toujours en vie
car avoir deux papes émérites ne semble pas dans les plans.
Mais selon une source de Socci, Bergoglio aurait dit « qu’au printemps prochain il pourrait y avoir un nouveau pape ».
Et le Vatican laisse aller ces rumeurs.
C’est donc qu’il y a un certain fondement.
Les troupes se préparent déjà à ce qu’on dit, troupes qui ont à majorité maintenant, promus par Bergoglio.
De
sorte que le cardinal Pietro Parolin (qu’on anticipe comme futur pape
depuis des années) semble vouloir prendre la relève et pousser encore
plus loin « l’humanisation » de l’Église.
D’une
manière ou d’une autre, ces rumeurs indiquent que quelque chose se
prépare, surtout face au synode à venir, puisqu’il s’étale sur 3 ans
(2,5 ans en fait puisque le rapport final sera proposé en mars 2023).
Un peu à la manière de Vatican II (inauguré par Jean XXIII, mais clôturé par Paul VI).
De plus, Bergoglio serait en train de produire un nouveau Motu Proprio pour obliger la retraite à 85 ans pour un pape.
Ce qui serait qu’un autre geste de dénaturation de la fonction.
Le pape n’est pas un président d’entreprise.
Il est le représentant du Christ sur terre!
«
Un nouveau Motu Proprio pour réglementer la « papauté émérite », un
problème canonique effectivement laissé ouvert par Benoît XVI, est
maintenant imminent. Mais ce qui, dans l’esprit de son prédécesseur,
devait rester une exception, deviendra pour François une institution,
avec tous les problèmes que cela comporte: parce que, par nature, une
seule personne peut assumer le titre de pape. Et l’hypothèse annoncée
d’une retraite à 85 ans serait un coup dur pour le cœur de la fonction
pétrinienne… » (benoit-et-moi.fr)
Une semaine après la nouvelle de Socci, c’est un sujet qui se discute de plus en plus à propos de la démission.
Et deux protagonistes seraient sur la liste des papabiles.
Parolin (sans surprise) et Zuppi.
« ... Désormais, le site de
Dagospia, presque certain d'une sortie rapide de la scène du pape
François en raison de problèmes de santé et du renoncement au
pontificat comme prophétisé par Antonio Socci, a signalé que les jeux
seraient déjà ouverts en vue du prochain conclave, avec un jeu à deux
entre l'actuel secrétaire d'Etat Pietro Parolin, soutenu par le bloc
des cardinaux occidentaux et par une partie des latino-américains, et
l'archevêque de Bologne Matteo Zuppi soutenu par les cardinaux du
tiers-monde... » (marcotosatti.com)
Mais il y a toujours l’histoire du Katéchon : Benoît XVI.
N’oublions pas la prophétie le concernant et celle de François : « Deux frères et personne ne sera le vrai Père. La Mère sera veuve.»
Face à Benoît XVI, on se demande si nous avons affaire à un antipape.
La
réponse est pourtant plus évidente : nous avons affaire au faux
témoin, à l’Antéchrist personne du système humaniste, de la grande
fraternité universelle, de la grande réinitialisation (avec un nouveau
pape?), la bête de la mer de l’Apocalypse.
« La reddition de Benoît et la question du « siège bloqué ».
Sous la couverture du silence
des médias généralistes, une véritable "guerre anti-papale" se déroule,
menée par des canonistes, des théologiens et des juristes de divers
pays, fidèles uniquement à Benoît XVI.
« Le pape n'est qu'un » répète
Ratzinger depuis huit ans, sans jamais expliquer lequel des deux, comme
Mgr Gaenswein l'a récemment confirmé (involontairement). La thèse
de l'avocat Acosta, publiée en mars dans le tome « Benoît XVI : Pape
émérite ? », n'a pas été démentie : le canon 332.2 exige la
renonciation au munus (titre divin) pour l'abdication du
pape, tandis que Ratzinger, en dans sa déclaration du 11 février
2013, il déclara ne renoncer qu'au ministerium , l'exercice
actif.
«
Benoît XVI - affirment Acosta et le juriste Sànchez (Univ. Séville) -
n'a jamais abdiqué, il est resté le seul pape. François est un
antipape, les cardinaux nommés par lui, qui ne sont pas valides,
éliront un autre antipape ».
Mais maintenant, la bataille
finale est entre les latinistes, sur un seul verbe :
« videt ». Le Vatican, qui déjà dans les traductions de
la Declaratio avait éliminé la dichotomie munus / ministerium, ne
les rapportant qu'avec "ministère", a traduit " vacet "
par " siège vacant ". Légitime, mais le latiniste Gianluca Arca
explique que, au sens littéral, cela signifie "le siège reste
libre". Confirmer par deux latinistes ("neutres") de La Sapienza,
prof. Ursini et Piras, à tel point que Cicéron écrit : «
« Ego filosophiae semper vaco » - «
J'ai toujours du temps libre pour la
philosophie ».
Ainsi, trois concepts clés de la Declaratio de Benoît subsistent :
1) N'ayant plus la force d'exercer le pouvoir pratique ( Ministerium ), je déclare y renoncer,
2) afin que le siège de saint
Pierre reste LIBRE (pas " vacant" au sens
juridique) à partir de 20h00 le 28 février.
3) Et je déclare que le
prochain nouveau Pontife devra être élu par un conclave
convoqué « par ceux à qui il appartient ».
Ainsi lue,
la Declaratio , d'une « renonciation » canoniquement
problématique, se transforme en une déclaration - non juridique - mais
cohérente de « Sede impedita », selon le canon 412, lorsque « Le siège
épiscopal est dit empêché quand, par suite de captivité, de relégation,
d’exil ou d’incapacité, l’Évêque diocésain est dans l’impossibilité
totale d’exercer sa fonction pastorale dans le diocèse de sorte qu’il
ne peut pas communiquer même par lettre avec ses diocésains. ».
Plausible? Vatileaks et
le limogeage de Gotti Tedeschi racontent comment, à la fin du
pontificat, Benoît a eu de gros problèmes pour se faire obéir et ne
pouvait pas communiquer par lettre, étant donné qu'ils volaient et
divulguaient son courrier privé.
En effet, le 28 février 2013,
il a pris l'hélicoptère, quitté physiquement le siège de San Pietro
pour Castel Gandolfo libre, vide. De là, il salua le monde à
17h30, mais sur le coup de 20h00, il ne signa aucune
renonciation au ministerium , comme l'explique le
théologien Pace : peut-être parce que cela aurait été un acte juridique
invalide ? A partir de ce moment, le siège entravé partirait
et les ennemis de Ratzinger pouvaient faire ce qu'ils
voulaient avec le siège de Saint-Pierre.
« C'est ainsi - Arca et
Sànchez s'accordent à dire - cette étrange phrase 'le conclave doit
être convoqué par ceux à qui il appartient'. Pourquoi n'a-t-il pas
simplement dit « aux cardinaux » ? Conscient du fait que le siège
serait usurpé, Ratzinger précise que, dans tous les cas, le prochain
vrai pape ne doit être élu que par de vrais cardinaux, c'est-à-dire
ceux nommés par de vrais papes, lui et Jean-Paul II, et non par aucun
usurpateurs ».
Toujours pas de réponse du
Vatican qui, depuis deux ans, a choisi de ne pas commenter la question,
se limitant à excommunier des prêtres fidèles à Benoît sans procédure
canonique.
Cependant, le « voir entravé »
explique un certain nombre de bizarreries, comme lorsque Ratzinger a
écrit les « Dernières conversations » : « Aucun
pape n'a démissionné pendant mille ans et même au premier millénaire il
était une exception ». Étant donné que six papes ont abdiqué
au premier millénaire et quatre au second, il est assimilé, comme le
confirme l'historien Mores (univ. Milan), à « l'exception »
du pape médiéval Benoît VIII qui, au premier
millénaire, fut envoyé en exil par un antipape et qui eut donc - par
coïncidence - le siège empêché. Il est également significatif que
l'institution du pape émérite soit désormais considérée comme
inexistante, à tel point que - rapporte IlGiornale.it - le Vatican
travaille (maintenant) à lui trouver une jurisprudence.
Alors, qu'était Ratzinger
pendant huit ans ? Cela expliquerait sa robe blanche, les autres
prérogatives papales dont il continue de jouir et cette étrange
ambiguïté qui persiste dans ses déclarations et entretiens, qui suggère
une impossibilité de communiquer clairement, en raison précisément du
siège entravé.
Le soupçon - très sérieux -
est qu'en fait le pape Ratzinger communique subtilement à travers des
livres et des interviews depuis huit ans, sans que personne ne
recueille ses messages logiques cachés sous d'apparentes
incohérences. Est-il possible que le théologien adamantin et
hautement cultivé, après 2013, oublie le latin, le droit canon,
l'histoire de l'Église, tout en continuant à écrire des livres et à
donner des entretiens approfondis ? Et que toutes ces distractions
conduisent toujours au même scénario de salle entravée ?
La dernière découverte a été
faite par un journaliste de RomaIT, Mirko Ciminiello. Toujours
dans "Dernières conversations", Ratzinger admet qu'il pourrait bien
être lui-même le dernier pape sur la liste des papes de Saint-Malachie
: il ne considère pratiquement pas François comme son successeur
légitime.
Si Benoît n'a pas abdiqué, en
fait, les lignes de succession sont séparées à jamais : un papal et un
anti-papal et si les cardinaux ne règlent pas la question canonique sur
sa Declaratio, la véritable Église continuera sous terre, avec un futur
chef spirituel qui est le véritable successeur de Benoît XVI, alors que
le siège officiel sera perdu, laissé entre les mains d'une nouvelle
église éco-maçonnique-mondialiste qui n'aura rien à voir avec le
catholicisme romain. Au contraire.
Andrea Cionci » (marcotosatti.com)
Stefano
Fontana résume, et nous donne la preuve, que la bête de la mer et la
bête de la terre ne font qu’un maintenant, grâce à Bergoglio.
« Stefano Fontana
La NBQ
27 août 2021
François
démissionnera, non pas pour des raisons de santé ou autres, mais pour
achever le processus de sécularisation de la papauté qu’il a entrepris
avec détermination. Du « bonsoir » initial aux encycliques
horizontales, il ne reste plus que l’acte final de démission comme
étape décisive pour achever le processus de sécularisation de l’Église.
On
parle beaucoup de la démission du pape. À mon avis, François
démissionnera, non pas pour des raisons de santé ou autre, mais pour
achever le processus de sécularisation de la papauté qu’il a entrepris
avec détermination, une étape décisive pour achever le processus de
sécularisation de l’Église.
Le
principal engagement de son pontificat, François l’a précisément mis en
œuvre à cette fin, accélérant un processus déjà engagé depuis le
discours de Jean XXIII sur la lune ou l’entrée des caméras dans
l’appartement papal, mais qui semble désormais avoir contourné les
légitimes intentions pastorales pour devenir un projet
théologico-idéologique acharné et intransigeant.
Une
première manière a été confiée aux gestes. Du « bonsoir » du premier
moment au port ostentatoire de son sac noir à bord de l’avion, de
l’appel direct à X ou Y au téléphone à la visite de la Via dei Coronari
pour acheter des lunettes, de la réponse à un appel téléphonique
pendant l’audience générale à l’aveu qu’il voyait un analyste depuis un
an, du port de toutes sortes de couvre-chefs offerts par les visiteurs
à l’agneau autour du cou lors d’une visite dans une paroisse romaine.
Le pape est l’un des nôtres. Le pape nous aime bien.
Une
autre manière a été de s’exprimer « du tac au tac » sur chaque sujet,
en répondant à chaque question d’une manière approximative,
problématique, incertaine, souvent dangereuse sur le plan doctrinal.
Beaucoup d’exégèses de l’Écriture dans les homélies de Santa Marta sont
forcées et peu fiables, beaucoup de réponses aux journalistes dans
l’avion ont été délibérément irréfléchies, beaucoup d’interventions sur
les affaires courantes – pensons récemment aux positions prises sur le
Covid et la vaccination – sont fausses et inappropriées. Beaucoup de
ses enseignements concernent des observations banales de l’existence
quotidienne : même si le pape n’invite pas les gens à éteindre leur
téléphone portable à table, cela revient au même. Le niveau général a
beaucoup baissé. Un pape bavard, comme nous le sommes aussi.
Une
troisième manière vient de l’idée que le pape devrait renoncer à être
le dernier recours pour définir la vérité de la foi et de la moralité.
À plusieurs reprises, François a omis de donner des réponses à des
questions d’une grande importance pour la vie de l’Église. Le cas le
plus connu concerne l’absence de réponse aux dubia des quatre cardinaux
après la publication de l’exhortation Amoris laetitia. Mais cela
concerne aussi, par exemple, la demande de certains évêques allemands
d’une parole claire sur la communion aux protestants, ou la demande du
président des évêques américains sur la possibilité de donner la
communion aux politiciens pro-avortement. Dans les deux cas, non
seulement le pape n’a pas répondu, mais il a demandé aux évêques de
discuter et de trouver une solution entre eux. François a souvent été
le premier à enfreindre les règles, par exemple en donnant la communion
aux protestants, il a exprimé un fort dédain pour la doctrine et une
appréciation tout aussi forte pour les positions limites ou hors
normes. Et il n’a pas exclu qu’il puisse être le premier pape à
provoquer un schisme. Le pape ne se tient plus devant, mais se tient
maintenant devant, derrière et entre les deux.
Une
autre manière a été de manifester une praxis de tonalité politique et
personnaliste. Les deux conférences sur la famille en 2014 et 2015 ont
été une machination tactiquement parfaite. De même pour le synode
d’Amazonie. Les résultats finaux avaient déjà été préparés dès le
début, un scénario avait été fourni auquel tout le monde devait se
conformer. Le synode allemand a été promu par lui, mais avec une
théâtralité destinée à créer la confusion. Un pape metteur en scène
politique, tantôt impitoyable avec les cardinaux et les prélats de la
Curie, tantôt capable de contourner les obstacles par des manœuvres
internes, tantôt affaiblissant les responsables institutionnels des
dicastères pontificaux et permettant à des personnalités officieuses
qui lui sont liées de faire la pluie et le beau temps, jetés par la
porte et laissés par lui rentrer par la fenêtre. Le traitement réservé
aux cardinaux Müller et Sarah a fait date, tout comme la violence
exercée sur l’Institut Jean-Paul II et l’obstination à s’entourer de
personnages douteux. Ce sont des attitudes très terrestres, d’un leader
politique qui promeut « les siens » en termes de confiance personnelle.
Une
autre manière encore a été de rabaisser la position de l’Église dans
l’évaluation de plusieurs phénomènes du monde d’aujourd’hui au niveau
d’autres acteurs sociaux et politiques internationaux. Les encycliques
Laudato si’ et Fratelli tutti disent en substance les mêmes choses que
les documents des agences des Nations Unies, la vision catholique du
problème environnemental coïncide avec celle de la Cop25 et bientôt de
la Cop26, même la question démographique est désormais abordée en
accord avec les partisans du planning familial, et le même vocabulaire
des Académies des sciences sociales et de la vie (toujours dirigées, en
dépit de tout, par Sorondo et Paglia) est devenu résolument horizontal.
A
une papauté affaiblie correspond un pape protagoniste incontesté. La
contradiction n’est qu’apparente. En effet, pour affaiblir la
signification transcendante et religieuse de la papauté et la
transformer en une papauté horizontale et politique, il fallait faire
preuve de beaucoup de décision, d’énergie et de persévérance. Il ne
reste plus que l’acte final de la démission. La papauté comme la
présidence d’une association ou d’une société. » (benoit-et-moi.fr)
Nous entrons dans une période trouble.
Démission… ou décès prochain?
Décès du protecteur, du Katéchon, Benoît XVI?
Afin que la prophétie prenne son envol…
Afin que Parolin prenne le flambeau pour devenir Petrus Romanus de la prophétie de St-Malachie.
« Marie
Très Sainte, fille et mère de Dieu, maîtresse du temps futur, bats le
rappel de tes fils dans les campagnes, pour qu'ils abattent les deux
Babylone.
Et que la Mère soit Une, comme toi tu es unique.
La
terre détruira le ciment et de terre sera, Reine, ta nouvelle Église.
Et sur la terre de blé, pour la faim de tes peuples, fleur sur son
nouvel autel. Amen. »
« Mikail et Jean descendront sur terre.»
16 août
Sermon
opportun de l’abbé PP. Petrucci de l’église de Saint-Nicolas du
Chardonnet hier en cette fête de l’Assomption de la Vierge Marie.
Abbé PP. Petrucci, «Associée au combat et à la gloire »
« … Et donc, par là le pape
(Pie XII), nous montre, vraiment, le rôle du magistère… le Saint-Esprit
a été aux successeurs de Pierre, non pas pour changer le dépôt révélé,
mais pour le transmettre intacte.
Donc,
le Saint-Esprit n’a pas été donné, ne peut pas être donné pour que
toutes les religions viennent de Dieu, ou alors, pour prôner, hélas, la
dévotion à la Pachamama, comme nous avons vu dans l’église aujourd’hui,
ou alors, pour dire que les divorcés remariés qui vivent en concubinage
peuvent recevoir la Sainte Communion, en contredisant l’indissolubilité du
mariage.
Cette vérité de morale est le sixième commandement.
L’Esprit-Saint
n’est pas donné pour combattre la vraie messe catholique et pour prôner une
nouvelle liturgie œcuménique, à saveur protestante.
Non.
L’Esprit-Saint n’est pas donné pour cela.
Il ne peut pas y avoir d’infaillibilité par rapport à cela.
Et nous devons nous le rappeler, bien-sûr.
Et, mais aussi, faire attention à un piège qui peut nous menacer, face à cette crise dans l’Église.
Et
le piège, c’est se dire, puisqu’il y a des erreurs qui sont diffusées
par la plus haute autorité, depuis le concile Vatican II, donc il n’y a
plus de pape.
Erreur
très grave, qui va contre, contre la structure même de l’Église, comme
Jésus l’a fondée sur des structures visibles, fondée sur Pierre.
Nous pouvons avoir un bon pape, un saint pape, beaucoup de papes sont morts martyrs.
Nous pouvons avoir un pape médiocre ou hélas un pape qui peut être infidèle à sa mission.
Mais, ce n’est pas possible que l’Église puissent exister 50 ans, plus de 50 ans sans pape.
Du point de vue théologique doctrinal, c’est impossible.
Donc, attention à ces pièges.
Nous
vivons aujourd’hui une crise terrible dans l’Église, mais l’Église est
toujours fondée sur Pierre, et Jésus soutient la structure de l’Église
fondée sur Pierre, quelques fois, malgré, malgré le pape lui-même.
Nous avons des exemples dans l’écriture sainte…
Il faut garder la foi dans l’Église, et prier pour elle, prier surtout la Sainte-Vierge…
Nous
devons vivre avec un regard dans le Ciel, comme nous le dit l’oraison
de cette messe, nous détacher des biens de la terre, vivre de la foi et
agir d’une façon conséquente à la foi, et c’est toujours la prière qui
nous donne cette force, la prière et la dévotion à la Vierge Marie, et
surtout le chapelet… »
Le Rosaire est le dernier rempart contre tous les événements que nous vivons aujourd’hui dans cette crise de l’Église.
13 août
LES TROIS PÉRIODES ANTI-CHRISTIQUES DE SAINT PAUL
(Thessaloniciens 2, 3-4) (Suite du 14 juin)
«
Que personne ne vous égare d'aucune manière ; car auparavant
viendra l'apostasie, et se manifestera l'homme de péché, le fils de la
perdition, l'adversaire qui s'élève contre tout ce qui est appelé Dieu
ou honoré d'un culte, jusqu'à s'asseoir dans le sanctuaire de Dieu, et
à se présenter comme s'il était Dieu. »
Voici ce qui disait le vénérable Holzhauser de cette bête annonçant le fils de la perdition :
« Cette bête qui s’élèvera de
terre est un faux prophète qui annoncera le fils de perdition comme
étant le Christ, et il en sera le bras duquel l’Antéchrist opérera des
choses surprenantes tant par des signes que par la puissance de ses
armes. (…) Il est dit que cette bête aura deux cornes semblables à
celles de l’Agneau, parce qu’elle sera un chrétien apostat et qu’elle
s’élèvera secrètement et frauduleusement. Elle (…) occupera le siège
pontifical, tuera le dernier pape successeur légitime de saint Pierre
(…). Alors L’Église sera dispersée dans les solitudes et les lieux
déserts, (…) parce que le pasteur aura été frappé, et que les brebis
seront dispersées. Car il en sera de même qu’au temps de la Passion de
Notre Seigneur. L’Église latine sera déchirée, et à l’exception des
élus, il y aura défection totale de la foi. (…) »
C’est exactement la suite des dernières prophéties de l’Église de Jean XXIII.
C’est
exactement la mort à petit feu pour Benoît XVI, qui comme le bon
larron, a reconnu le signe afin de publier le Motu Proprio
Summorum Pontificum en 2007, avant de se faire tasser par le mafia
Saint-Gaal pour l’élection de Bergoglio.
Qu’est-ce que la bête?
La bête est décrite principalement aux chapitres 13 et 17 de l’Apocalypse.
Sur quoi saint Jean insiste-il quand il la décrit ?
Sur son anti-christianisme profond.
Blasphème, blasphème, blasphème, blasphème,…
Par quatre fois ce mot est répété par Saint-Jean.
Et sur les 7 têtes « il y a des noms de blasphème ».
La bête s’en prend donc à Dieu directement, tout en faisant la guerre aux saints de l’Église.
Et comme signe visible pour la fin des temps, la bête fait la guerre aux « deux témoins ».
Voilà qui est dit.
Mais…
La bête ne fait pas la guerre aux autres, soient ceux qui ne révère pas NSJC.
Parce qu'elle en est adorée!
Il y a donc un clivage entre les chrétiens (ceux qui adorent le Dieu unique et trin) et les enfants de la bête.
On est donc pour le Christ ou contre le Christ.
C’est la séparation du bon grain de l’ivraie.
Le
faux témoin Bergoglio parle du Christ mais agit contre le Christ et son
évangile, contre son Église. C’est le mystère d’iniquité.
Donc,
on doit nécessairement retrouver cette opposition entre ceux qui sont
du Christ et ceux qui sont contre le Christ DANS la marque de la bête.
Le vaccin et/ou le passeport sanitaire ne sont pas la marque de la bête car la bête ne s’attaquent qu’aux chrétiens!
Encore une fois, l’Apocalypse nous révèlent que la bête ne fait pas la guerre à ses enfants.
Ses
enfants partagent les valeurs de la bête et s’épanouissent dans le
nationalisme, le libéralisme, le maçonnisme, le modernisme et le
socialisme, concrètement visibles par les têtes de la bête que
sont le matérialisme, les droits LGBT, la libéralisation des mœurs, la
croyance en la suprématie de la science et surtout la médecine, les
techno-zombies, la laïcité, la fraternité universelle, les droits de
l’homme, le mensonge universel, etc...
Le vaccin est pour tous et cible tout le monde.
Le passeport sanitaire s’adresse à tous et donc ne cible pas uniquement les chrétiens.
La marque de la bête EST spirituelle. Elle tue l’âme, L’Esprit.
C’est sur ce point qu’il faut se méfier et non sur ce qui tue le corps.
La
manière de penser (marque au front) et la manière d’agir (marque à la
main droite) sont les deux composantes de la marque de la bête.
Et ce dirigées contre le Christ.
C’est le contraire de l’Amour enseigné par le Christ, le manque de Charité présent en cette fin des temps.
Bref vivre hors de Babylone pour s’éloigner dans sa « grotte spirituelle ».
Car, nous sommes entrés dans le temps du marquage des 144000 élus du chapitre 7 de l’Apocalypse.
L’Église est dans son agonie avant d’être mise au tombeau.
C’est la mort des deux témoins de l’Apocalypse.
Prions pour l’Église qui à l’image du Christ subit sa passion.
Prions pour Benoît XVI qui bientôt laissera le champs libre pour l’accomplissement des prophéties de Jean XXIII.
Les trois périodes anti-christiques de Saint-Paul sont réalisées.
C’est le temps de la chute de Babylone la grande.
Car les têtes de la bête s’agitent dans tous les sens et leurrent les pauvres âmes.
« Ne craignez pas ceux
qui tuent le corps et qui ne peuvent tuer l’âme ; craignez plutôt celui
qui peut faire périr l’âme et le corps dans la géhenne. »
(Matthieu 10:28)
« le temps de la Purification serait abrégé lorsque les cinq arbres d’hérésie qui infestent la forêt seraient déracinés. Ces cinq arbres sont : le nationalisme, le libéralisme, le maçonnisme, le modernisme et le socialisme » (cité par le P. Bessières S. J. dans
sa biographie d’Anna-Maria Taïgi — D D B 1936 — page 188)
04 août
Le message est clair.
La prière de Bergoglio pour août est « l’église en chemin », pour une église en transformation.
Une
ligne a belle et bien été tracée avec le dernier Motu Proprio, puisque
Bergoglio signifie ici qu’on oublie le passé, qu’on laisse « tout » se
transformer, non pas à lumière du Saint-Esprit, mais à la lumière de
Vatican II.
C’est le même langage que la réinitialisation: transformer, réformer, etc…
Il affirme donc cette dernière poussée en parallèle avec la bête de la terre.
Les prochains mois réserveront la surprise de ce que nous, nous attendons. La messe œcuménique n’est pas très loin.
«
La vocation propre de l’Église est d’évangéliser, ce qui ne signifie
pas dire faire du prosélytisme. La vocation de l’Église, plus encore
son identité, c’est d’évangéliser.
Nous
ne pourrons réformer l’Église qu’à partir d’un discernement de la
volonté de Dieu dans notre vie quotidienne. Qu’à partir d’une
transformation, guidés par l’Esprit Saint. Cette transformation passe
par une réforme personnelle. Laissons l’Esprit Saint, don de Dieu dans
nos cœurs, nous rappeler l’enseignement de Jésus pour le mettre en
pratique.
La
réforme de l’Église commence par nous-mêmes. Sans idées préconçues,
sans préjugés idéologiques, sans raideur, mais en avançant à partir
d’une expérience spirituelle, une expérience de prière, de charité, de
service.
J’imagine
un choix encore plus missionnaire, capable d’aller à la rencontre de
l’autre sans prosélytisme et de transformer toute sa structure pour
l’évangélisation du monde actuel.
Rappelons-nous
que l’Église a toujours eu des difficultés, des crises, justement parce
qu’elle est vivante. Les êtres vivants passent par des crises. Seuls
les morts n’ont pas de crise.
Prions pour l’Église, afin qu’elle reçoive du Saint-Esprit la grâce et la force de se réformer à la lumière de l’Évangile. » (vaticannews.va)
La langue mielleuse d'un côté, des actions contraires de l'autre. C'est la méthode bergoglienne.
Évidement,
aussitôt Summorum Pontificum de Benoît XVI sur le rite ancien
neutralisé ou presque, Bergoglio passe à la vitesse grand V sur le
projet de messe œcuménique, donc de l’élimination de la présence réelle.
Le premier indice n’a pas tardé à sortir, même si ce n'est qu'à l'état de rumeur.
Ce qu'il faut retenir, c'est que le calendrier est serré, autant pour la bête de la mer que pour la bête de la terre.
« Marco Tosatti
Chers
amis et ennemis de Stilum Curiae, un ami d'outre-Murs nous dit - et
bien sûr la nouvelle est à vérifier, mais il semble tout de même juste
et intéressant de l'offrir - que le Pontife régnant veut recommencer à
traiter avec L'intercommunion, c'est-à-dire la possibilité pour les
fidèles de confessions chrétiennes autres que catholiques de participer
à l'Eucharistie.
Pour ce faire, il aurait
chargé le nouveau Secrétaire du Culte divin, l'archevêque franciscain
Vittorio Francesco Viola , ancien prélat de Tortone et professeur à
l'Institut liturgique de Sant'Anselmo à Rome, d'organiser une
commission réservée en septembre, et dans les deux mois de rapporter
les résultats des travaux directement au Pontife.
La méthodologie - contourner
les organes, les Congrégations et les Conseils désignés pour traiter
des questions spécifiques - est très attrayante pour le Pape Bergoglio.
Si la nouvelle se confirmait, il faudrait se demander la raison de ces
temps si serrés.
Une des causes possibles
pourrait être le Synode allemand, où le thème de l'Intercommunion avec
les protestants a été mis à l'ordre du jour. En Allemagne, il y a déjà
eu des fuites en avant par certains évêques dans ce domaine. Le pape
Bergoglio ne s'est pas exprimé clairement sur la question, invitant,
lors d'une réunion en 2018, à trouver un résultat éventuellement
unanime...
Cependant, il est frappant -
toujours si ces rumeurs ont un fondement réel - qu'immédiatement après
avoir tenté d'abroger le Motu Proprio de Benoît XVI Summorum
Pontificum, le Souverain Pontife veuille affronter, et peut-être
résoudre à sa manière, un nœud aussi épineux et, selon pour certains,
ne peut être résolu que par la conversion à l'Église catholique.» (marcotosatti.com)
02 août
L’objectif
est l’Agenda 2030, mais l’ennemi semble viser encore plus à très long
terme, comme s’il était dans une « immortalité transhumanisme » en se
déifiant… alors que l’on sait bien que le temps est compté.
La
bête agit depuis bien longtemps. On ne voit maintenant que le vaccin et
la « passe verte » parce que la bête y va de son coup final: Tikoun
Olam, la grande réinitialisation, le messie-peuple judéo-maçonnique.
Ici
est la plus grande illusion: aveugler les tièdes sur le long terme afin
qu’ils ne reconnaissent pas les signes mis de l’avant par NSJC,
susciter l’espérance « corporelle », étouffer l’âme, l’étincelle si ce
n’est, qui est encore dans leurs cœurs.
Voici
un exemple frappant : le 29 juillet, en pleine fête de
Sainte-Marthe (celle qui terrasse le dragon « tarasque », le Vatican a
décidé de changer le nom de son mouvement écologique pour « Le
Mouvement Laudato Si ».
Un mouvement donc pour le long terme.
Que des indices de « grande réinitialisation » dans la déclaration du Vatican.
Tout
s’accélère depuis juillet ( 7ans et 7 mois depuis la confirmation de
Christine Lagarde; ils avaient mis l’accent sur 2012, mais il semble
bien qu’il fallait inverser, comme le maître de l’inversion, pour 2021
où le 21 est 3X7, et qui est la représentation chiffrée de Dieu et du
Temple, et à ce titre il est considéré par les textes ésotériques comme
un nombre divin ou sacré.), une ligne a été franchie, même pour
Bergoglio avec le Motu Proprio, pas de retour en arrière, pour le «
Temps de la Création 2021 ».
Du site Vatican News:
«Il
y a tant à faire, surtout aujourd’hui : en cette année particulière,
nous devons nous concentrer sur les prochains grands sommets des
Nations unies», déclare Tomàs Insua en faisant référence à la
Conférence des Nations unies sur la biodiversité, Cop15, prévue du 11
au 24 octobre en Chine, et à la Conférence des Nations unies sur le
changement climatique, Cop26, à Glasgow du 31 octobre au 12 novembre,
en vue de laquelle la réunion « Foi et science : vers la
Cop26 » se tiendra également le 4 octobre au Vatican et à Rome.
Les
grands sommets de l’ONU, résume le directeur exécutif du Mouvement
Laudato si’, «ont pour but de rassembler la famille humaine pour agir
de manière urgente face à ces grandes crises : les scientifiques nous
disent qu’elles sont encore plus urgentes année après année. Les signes
sont nombreux : les incendies en Sardaigne, la chaleur et les incendies
records au Canada, la sécheresse à Madagascar, le cri de la terre et
des pauvres qui est encore plus fort. Il est donc nécessaire d’agir».
«Nous,
au sein du Mouvement, a-t-il annoncé, nous contribuons à l’animation
d’une initiative particulière : « Planète saine, population
saine ». Il s’agit d’une pétition avec plus de 200 organisations
catholiques pour lancer un appel aux participants aux sommets de l’ONU
: ce sera l’une de nos priorités dans les mois à venir et surtout
pendant le « Temps de la Création », initiative qui commence
le 1er septembre. Nous demandons une augmentation du niveau d’ambition
lors des deux réunions», en particulier lors de la Cop26, rapporte
Tomàs Insua, «Il est question d’atteindre zéro émission de gaz à effet
de serre au niveau mondial d’ici 2050. Mais nous savons que les pays
les plus riches, qui ont une responsabilité historique pour des siècles
d’émissions, ont plus de chances de réussir la transition d’ici
2035-2040»… »
Le signe « très fort » pour eux avancé par Bergoglio a été donné aux Vêpres de la Pentecôte.
C’est là un signe que tout est brouillé au Vatican. Le souffre de Satan y fait son oeuvre.
«
… le Mouvement tire un encouragement constant à poursuivre son
engagement. «Nous avons écrit une lettre au Pape, l’informant de la
démarche, lui demandant son avis et sa bénédiction avant de déménager
et de changer de nom». François, détaille Tomás Insua, a écrit une
courte lettre de réponse, qui est arrivée pour les Vêpres de la
Pentecôte, le 22 mai, «c’était un signe très fort. Étant donné que ce
processus a été caractérisé par un climat de prière synodale, demandant
la lumière de l’Esprit Saint, le fait que la lettre du Souverain
Pontife soit arrivée le jour de la Pentecôte est un signe qui nous
motive davantage : il l’a adressée au Mouvement Laudato si’, nous
remerciant » pour la mission de promotion de l’écologie intégrale
et pour l’aide » offerte » à l’Église dans le monde
« , ajoutant un souhait pour la Semaine Laudato si’ qui était en
cours à ce moment-là « ». Une nouvelle impulsion, conclu Tomàs
Insua, pour «vivre Laudato si’, qui ne doit pas rester un document
écrit, un document de bibliothèque, mais un document vivant».»
Le long terme. L’ennemi ne voit que le long terme… et il court à sa perte.
Voici la dernière slave de Mgr Vigano.
C’est long, mais c’est nécessaire dans le contexte actuel.
Car, c’est un temps critique.
Il le confirme, les deux bêtes agissent en parallèles (voir analyses précédentes)
« "Je vous dis que si ceux-ci se taisaient, les pierres crieront."
«
Je vous dis que si ces (personnes) se taisent, les pierres elles-mêmes
crieront. » — Jésus, parlant dans l'évangile de Luc 19:40
Traditionis
custodes : c'est l' incipit [« début » ou
« premiers mots »] du document par lequel François annule
impérieusement le précédent Motu Proprio Summorum
Pontificum de Benoît XVI.
Le
ton presque moqueur de la citation ampoulée de Lumen
Gentium n'aura pas échappé : au moment où Bergoglio reconnaît les
Évêques comme gardiens de la Tradition, il leur demande de faire
obstacle à son expression la plus haute et la plus sacrée de la prière.
Quiconque
essaie de trouver dans les plis du texte
quelque escamotage [« tour de passe-passe » ou
« astuce »] pour contourner le texte doit savoir que le
projet envoyé à la Congrégation pour la Doctrine de la Foi pour
révision était extrêmement plus drastique que le texte final : une
confirmation, s'il en était besoin, qu'aucune pression particulière
n'était nécessaire de la part des ennemis historiques de la liturgie
tridentine - à commencer par les savants de Sant'Anselmo - pour
convaincre Sa Sainteté de s'essayer à ce qu'il fait le mieux :
démolir. Ubi solitudinem faciunt, pacem appelant.
[ NDLR :
Les mots latins signifient : « Ils (les Romains) font un désert
(ou une friche) et l'appellent la paix. Les paroles sont tirées
d'un discours d'un certain Calgacus , rapporté par
l'historien romain Tacite dans son
ouvrage Agricola , chapitre 30.]
Le Modus Operandi de François
François
a une nouvelle fois désavoué la pieuse illusion de
l' herméneutique de la continuité , affirmant que la
coexistence du Vetus et du Novus Ordo est
impossible car ils sont l'expression de deux approches doctrinales et
ecclésiologiques inconciliables.
D'un
côté, la messe apostolique, la voix de l'Église du Christ ; de
l'autre, la « célébration eucharistique » montinienne, la voix de
l'Église conciliaire.
Et ce n'est pas une accusation, pourtant légitime, portée par ceux qui expriment des réserves sur le rite réformé et Vatican II.
C'est plutôt un aveu, voire
une fière affirmation d'adhésion idéologique de la part de François
lui-même, chef de la faction la plus extrémiste du progressisme.
Son
double rôle de pape et liquidateur de l'Église catholique lui permet
d'une part de la démolir par des décrets et des actes de gouvernement,
et d'autre part d'utiliser le prestige que comporte sa fonction pour
établir et répandre la nouvelle religion sur les décombres.
de l'ancien.
Peu importe que ses manières
d'agir contre Dieu, contre l'Église et contre le troupeau du Seigneur
soient en contradiction flagrante avec ses appels à
la parrhesia , au dialogue, à la construction de ponts et non
à l'érection de murs : l' église de la miséricorde et
l' hôpital de campagne. s'avèrent être des artifices
rhétoriques vides, puisque ce devraient être les catholiques qui en
bénéficient et non les hérétiques ou les fornicateurs.
En
réalité, chacun de nous est bien conscient que l' indulgence
d' Amoris Laetitia envers le concubinage public et les
adultères serait difficilement imaginable envers ces « rigides » contre
lesquels Bergoglio lance ses fléchettes dès qu'il en a l'occasion.
Après des années de ce
pontificat, nous avons tous compris que les raisons invoquées par
Bergoglio pour refuser une rencontre avec un prélat, un homme politique
ou un intellectuel conservateur ne s'appliquent pas au cardinal
agresseur, à l'évêque hérétique, au politique avorteur ou à
l'intellectuel mondialiste. .
Bref,
il y a une différence flagrante de comportement, à partir de laquelle
on peut saisir la partialité et la partisanerie de François en faveur
de toute idéologie, pensée, projet, expression scientifique, artistique
ou littéraire qui n'est pas catholique.
Tout ce qui n'évoque même que
vaguement quelque chose de catholique semble susciter chez le locataire
de Santa Marta une aversion pour le moins déconcertante, ne serait-ce
qu'en vertu du Trône sur lequel il est assis.
Beaucoup
ont noté cette dissociation, cette sorte de bipolarité d'un pape qui ne
se comporte pas comme un pape et ne parle pas comme un pape.
Le
problème est que nous ne sommes pas confrontés à une sorte
d' inaction de la papauté, comme cela pourrait arriver avec
un Pontife malade ou très vieux ; mais plutôt avec une action
constante qui est organisée et planifiée dans un sens diamétralement
opposé à l'essence même de la papauté.
Non
seulement Bergoglio ne condamne pas les erreurs du temps présent en
réaffirmant avec force la vérité de la foi catholique – il ne l'a
jamais fait ! – mais il cherche activement à diffuser ces erreurs,
à les promouvoir, à encourager leurs partisans, à les diffuser le plus
possible et à accueillir des événements les promouvant au Vatican,
faisant taire du même coup ceux qui dénoncent ces mêmes erreurs.
Non
seulement il ne punit pas les prélats qui forniquent, mais il les
promeut et les défend même en mentant, alors qu'il écarte les évêques
conservateurs et ne cache pas son agacement face aux appels sincères
des cardinaux non alignés sur le nouveau cours.
Non
seulement il ne condamne pas les politiciens avorteurs qui se
proclament catholiques, mais il intervient pour empêcher la Conférence
épiscopale de se prononcer sur cette question, contredisant
cette voie synodale qui lui permet à l'inverse d'utiliser une
minorité d'ultra-progressistes pour imposer sa volonté à la majorité
des Pères synodaux.
La
seule constante de cette attitude, notée sous sa forme la plus
effrontée et arrogante dans Traditionis Custodes , est la
duplicité et le mensonge. Une duplicité qui est bien sûr une
façade quotidiennement désavouée par des positions tout sauf prudentes
en faveur d'un groupe bien précis, que l'on peut identifier par souci
de brièveté à la gauche idéologique, voire à son évolution la plus
récente dans une logique mondialiste. , écologiste, transhumaine et clé
LGBTQ.
Nous
en sommes arrivés au point que même des gens simples ayant peu de
connaissances sur les questions doctrinales comprennent que nous avons
un pape non catholique, du moins au sens strict du terme.
Cela
pose des problèmes de nature canonique qui ne sont pas négligeables,
qu'il ne nous appartient pas de résoudre mais qu'il faudra tôt ou tard
régler.
Extrémisme idéologique
Un
autre élément significatif de ce pontificat, poussé à ses
conséquences extrêmes avec Traditionis Custodes , est
l'extrémisme idéologique de Bergoglio : un extrémisme que l'on déplore
en paroles lorsqu'il s'agit d'autrui, mais qui se manifeste dans son
expression la plus violente et la plus impitoyable lorsque c'est
lui-même qui le met en pratique contre le clergé et les laïcs liés au
rite antique et fidèles à la Tradition Sacrée.
Envers la Fraternité
Saint-Pie X, il se montre prêt à faire des concessions et à
établir une relation de « bons voisins », mais envers les prêtres et
les fidèles pauvres qui doivent endurer mille humiliations et chantages
pour mendier une messe en latin, il ne montre aucune compréhension,
aucune humanité.
Ce
comportement n'est pas accidentel : le mouvement de Mgr Lefebvre jouit
de sa propre autonomie et indépendance économique, et pour cette raison
il n'a aucune raison de craindre des représailles ou des commissaires
du Saint-Siège. Mais les évêques, prêtres et clercs incardinés
dans des diocèses ou des ordres religieux savent qu'au-dessus d'eux
pèse l'épée de Damoclès de la destitution, de la destitution de l'état
ecclésiastique et de la privation de leurs moyens mêmes de subsistance.
L'expérience de la messe tridentine dans la vie sacerdotale
Ceux
qui ont eu l'occasion de suivre mes discours et déclarations savent
bien quelle est ma position sur le Conseil et sur le Novus
Ordo ; mais ils connaissent aussi mon parcours,
mon cursus au service du Saint-Siège et ma prise de
conscience relativement récente de l'apostasie et de la crise dans
laquelle nous nous trouvons.
Pour
cette raison, je voudrais réitérer ma compréhension pour le chemin
spirituel de ceux qui, précisément à cause de cette situation, ne
peuvent pas ou ne sont pas encore capables de faire un choix radical,
comme célébrer ou assister exclusivement à la messe de saint Pie V .
De nombreux prêtres ne
découvrent les trésors de la vénérable liturgie tridentine que
lorsqu'ils la célèbrent et se laissent imprégner d'elle, et il n'est
pas rare qu'une première curiosité envers la « forme extraordinaire » –
fascinante certainement en raison de la solennité du rite – changer
rapidement dans la conscience de la profondeur des mots, de la clarté
de la doctrine, de l'incomparable spiritualité qu'elle fait naître et
nourrit dans nos âmes.
Il
y a une parfaite harmonie que les mots ne peuvent exprimer, et que les
fidèles ne peuvent comprendre qu'en partie, mais qui touche le cœur du
sacerdoce comme seul Dieu peut le faire.
Cela
peut être confirmé par mes confrères qui se sont rapprochés de
l' usus antiquior après des décennies de célébration
obéissante du Novus Ordo : un monde s'ouvre, un cosmos qui
comprend la prière du Bréviaire avec les leçons des Matines et les
commentaires des Pères, le des renvois aux textes de la messe, du
martyrologie à l'heure du prime… Ce sont des mots sacrés – non pas
parce qu'ils sont exprimés en latin – mais plutôt ils sont exprimés en
latin parce que la langue vulgaire les rabaisserait, les profanerait,
comme l'a sagement observé Dom Guéranger.
Ce sont les paroles de
l'Épouse au divin Époux, paroles de l'âme qui vit en union intime avec
Dieu, de l'âme qui se laisse habiter par la Très Sainte Trinité.
Paroles
essentiellement sacerdotales, au sens le plus profond du terme, qui
implique dans le Sacerdoce non seulement le pouvoir d'offrir des
sacrifices, mais de s'unir dans l'offrande de soi à la Victime pure,
sainte et immaculée.
Cela
n'a rien à voir avec les divagations du rite réformé, trop soucieux de
plaire à la mentalité sécularisée pour se tourner vers la Majesté de
Dieu et la Cour céleste ; tellement soucieux de se faire
comprendre qu'il faut renoncer à communiquer autre chose qu'une banale
évidence ; si attentif à ne pas blesser les sentiments des
hérétiques qu'à se permettre de garder le silence sur la Vérité juste
au moment où le Seigneur Dieu se fait présent sur l'autel ; peur
de demander aux fidèles le moindre engagement au point de banaliser le
chant sacré et toute expression artistique liée au culte.
Le
simple fait que pasteurs luthériens, modernistes et francs-maçons de
renom aient collaboré à la rédaction de ce rite doit faire comprendre,
sinon la mauvaise foi et l'inconduite volontaire, du moins la mentalité
horizontale, dénuée de tout élan surnaturel, qui a motivé les auteurs.
de la soi-disant « réforme liturgique » – qui, à notre connaissance,
n'a certainement pas brillé de la sainteté avec laquelle brillent les
auteurs sacrés des textes de l'ancien Missale Romanum et de
tout le corpus liturgique .
Combien
d'entre vous prêtres - et certainement aussi de nombreux laïcs - en
récitant les merveilleux versets de la séquence de la Pentecôte ont été
émus aux larmes, comprenant que votre prédilection initiale pour la
liturgie traditionnelle n'avait rien à voir avec une satisfaction
esthétique stérile, mais avait évolué en une réelle nécessité
spirituelle, aussi indispensable que respirer ?
Comment
pouvez-vous et comment expliquer à ceux qui aujourd'hui voudraient vous
priver de ce bien inestimable, que ce rite béni vous a fait découvrir
la vraie nature de votre Sacerdoce, et que d'elle et d'elle seulement
vous pouvez puiser force et nourriture pour faire face aux engagements
de votre ministère ?
Comment
faire comprendre que le retour obligatoire au rite montinien représente
pour vous un sacrifice impossible, car dans le combat quotidien contre
le monde, la chair et le diable il vous laisse désarmé, prostré et sans
force ?
Il
est évident que seuls ceux qui n'ont pas célébré la messe de saint Pie
V peuvent la considérer comme un clinquant gênant du passé, dont on
peut se passer.
Même
de nombreux jeunes prêtres, habitués au Novus Ordo depuis
leur adolescence, ont compris que les deux formes du rite n'ont rien de
commun, et que l'une est tellement supérieure à l'autre qu'elle en
révèle toutes les limites et les critiques, au point de ce qui rend
presque pénible la célébration.
Il
ne s'agit pas de nostalgie, d'un culte du passé : il s'agit ici de la
vie de l'âme, de sa croissance spirituelle, de l'ascèse et du
mysticisme.
Des concepts que ceux qui
voient leur sacerdoce comme une profession ne peuvent même pas
comprendre, tout comme ils ne peuvent pas comprendre l'agonie qu'une
âme sacerdotale ressent en voyant l'Espèce eucharistique profanée lors
des rites grotesques de la communion à l'ère de la farce pandémique.
La vision réductrice de la libéralisation de la messe
C'est
pourquoi je trouve extrêmement désagréable de devoir lire
dans Traditionis Custodes que la raison pour laquelle
François croit que le Motu Proprio Summorum Pontificum a été
promulgué il y a 14 ans réside uniquement dans le désir de guérir le
soi-disant schisme de Mgr Lefebvre.
Certes,
le calcul « politique » a pu avoir son poids, surtout à l'époque
de Jean-Paul II , même si à cette époque les fidèles de la
Fraternité Saint-Pie X étaient peu nombreux.
Mais
la demande de pouvoir redonner sa citoyenneté à la messe qui pendant
deux millénaires a nourri la sainteté des fidèles et donné la sève de
la vie à la civilisation chrétienne ne peut se réduire à un fait
contingent.
Avec son Motu
Proprio, Benoît XVI a rétabli la Messe apostolique romaine à
l'Église, déclarant qu'elle n'avait jamais été abolie.
Indirectement, il admet qu'il
y a eu abus de la part de Paul VI , lorsque pour donner
autorité à son rite il interdit impitoyablement la célébration de la
liturgie traditionnelle.
Et
même si dans ce document il peut y avoir des éléments incongrus, comme
la coexistence des deux formes d'un même rite, on peut croire que
ceux-ci ont servi à permettre la diffusion de la forme extraordinaire,
sans affecter la forme ordinaire.
En d'autres temps, il aurait
semblé incompréhensible de laisser célébrer une messe chargée
d'incompréhensions et d'omissions, alors que l'autorité du Pontife
aurait pu simplement restaurer l'ancien rite.
Mais
aujourd'hui, avec le lourd fardeau de Vatican II et avec la mentalité
sécularisée désormais largement répandue, même la simple licéité de
célébrer la messe tridentine sans autorisation peut être considérée
comme un bien indéniable - un bien qui est visible par tous en raison
des fruits abondants qu'elle apporte aux communautés où elle est
célébrée.
Et
l'on peut croire aussi qu'elle aurait porté encore plus de fruits si
seulement Summorum Pontificum avait été appliqué dans tous
ses points et avec un esprit de vraie communion ecclésiale.
La prétendue « utilisation instrumentale » du missel romain
François
sait bien que l'enquête menée auprès des évêques du monde entier n'a
pas donné de résultats négatifs, bien que la formulation des questions
ait clairement indiqué les réponses qu'il souhaitait recevoir.
Cette consultation était un
prétexte, pour faire croire que la décision qu'il avait prise était
inévitable et le fruit d'une demande chorale de l'épiscopat.
Nous
savons tous que si Bergoglio veut obtenir un résultat, il n'hésite pas
à recourir à la force, au mensonge et au tour de passe-passe : les
événements des derniers synodes l'ont démontré au-delà de tout doute
raisonnable, l'Exhortation post-synodale rédigée même avant le vote sur
l' Instrumentum Laboris .
Dans
ce cas également, donc, le but préétabli était l'abolition de la messe
tridentine et la prophasis , c'est-à-dire l'excuse apparente,
devait être la supposée « utilisation instrumentale du Missel romain de
1962, souvent caractérisée par un rejet non seulement de la réforme
liturgique, mais du Concile Vatican II lui-même » ( ici ).
En
toute honnêteté, on peut peut-être accuser la Fraternité Saint Pie X de
cet usage instrumental, qui a le droit d'affirmer ce que chacun de nous
sait bien, que la Messe de Saint Pie V est incompatible avec
l'ecclésiologie et la doctrine post-conciliaires.
Mais
la Fraternité n'est pas concernée par le Motu Proprio, et a toujours
célébré en utilisant le Missel de 1962 précisément en vertu de ce droit
inaliénable reconnu par Benoît XVI, qui n'a pas été créé ex
nihilo en 2007.
Le
prêtre diocésain qui célèbre la messe dans l'église qui lui est
assignée par l'évêque, et qui chaque semaine doit subir le troisième
degré par les accusations de catholiques progressistes zélés uniquement
parce qu'il a osé réciter le Confiteor [« Je confesse »]
avant d'administrer Communion aux fidèles, sait très bien qu'il ne peut
pas dire du mal du Novus Ordo ou de Vatican II, car à la
première syllabe il serait déjà convoqué à la Curie et envoyé dans une
église paroissiale perdue dans les montagnes.
Ce
silence, toujours douloureux et presque toujours perçu par tous comme
plus éloquent que bien des mots, est le prix à payer pour avoir la
possibilité de célébrer la Sainte Messe de tous les temps, afin de ne
pas priver les fidèles des Grâces qu'elle se déverse sur l'Église et le
monde.
Et ce qui est encore plus
absurde, c'est qu'alors qu'on entend dire impunément que la messe
tridentine doit être abolie parce qu'incompatible avec l'ecclésiologie
de Vatican II, dès qu'on dit la même chose, c'est-à-dire que la messe
montinienne [ Note : Giovanni Montini était le nom du Pape Paul VI
; Viganò signifie la messe de Paul VI de 1969 ] est
incompatible avec l'ecclésiologie catholique – nous sommes
immédiatement l'objet de condamnation, et notre affirmation sert de
preuve contre nous devant le tribunal révolutionnaire de Santa Marta.
Je
me demande quelle sorte de maladie spirituelle a pu frapper les Bergers
au cours des dernières décennies, afin de les amener à devenir, non pas
des pères aimants mais des censeurs impitoyables de leurs prêtres, des
fonctionnaires en veille permanente et prêts à révoquer tous droits en
vertu d'un chantage qu'ils n'essaient même pas de cacher.
Ce
climat de méfiance ne contribue en rien à la sérénité de bien des bons
prêtres, alors que le bien qu'ils font est toujours placé sous le
prisme de fonctionnaires qui considèrent les fidèles liés à la
Tradition comme un danger, comme une présence agaçante à tolérer. tant
qu'il ressort trop.
Mais comment concevoir même
une Église dans laquelle le bien est systématiquement entravé et
quiconque le fait est regardé avec méfiance et tenu sous contrôle ?
Je
comprends donc le scandale de beaucoup de catholiques, de fidèles, et
de pas mal de prêtres face à ce « berger qui au lieu de flairer
ses brebis, les bat avec colère avec un bâton » ( ici ).
***
L'incompréhension
de pouvoir jouir d'un droit comme s'il s'agissait d'une concession
gracieuse se retrouve aussi dans les affaires publiques, où l'État se
permet d'autoriser les déplacements, les cours, l'ouverture d'activités
et l'exécution de travaux, pour autant qu'un subit une inoculation avec
le sérum génétique expérimental.
Ainsi,
de même que la « forme extraordinaire » est accordée à condition
d'accepter le Concile et la messe réformée, de même dans la sphère
civile les droits des citoyens sont accordés à condition d'accepter le
récit pandémique, la vaccination et les systèmes de traçage. . Il
n'est pas surprenant que dans de nombreux cas ce soient précisément les
prêtres et les évêques – et Bergoglio lui-même – qui demandent que les
gens soient vaccinés pour accéder aux sacrements – la parfaite
synchronie d'action des deux côtés est pour le moins inquiétante.
Mais où est donc cette utilisation instrumentale du Missale Romanum ?
Ne
faut-il pas plutôt parler de l'usage instrumental du Missel de Paul VI,
qui – pour paraphraser les paroles de Bergoglio – se caractérise de
plus en plus par un rejet croissant non seulement de la tradition
liturgique préconciliaire mais de tous les Conciles œcuméniques
antérieurs à Vatican II ?
D'autre
part, n'est-ce pas précisément François qui considère comme une menace
pour le Concile le simple fait qu'une messe puisse être célébrée qui
répudie et condamne toutes les déviations doctrinales de Vatican II ?
Autres incongruités
Jamais
dans l'histoire de l'Église un Concile ou une réforme liturgique n'ont
constitué un point de rupture entre ce qui a précédé et ce qui a suivi !
Jamais au cours de ces deux
millénaires les Pontifes Romains n'ont délibérément tracé une frontière
idéologique entre l'Église qui les a précédés et celle qu'ils devaient
gouverner, annulant et contredisant le Magistère de leurs Prédécesseurs
!
L' avant et
l' après , au contraire, sont devenus une obsession, aussi
bien de ceux qui insinuaient prudemment des erreurs doctrinales
derrière des expressions équivoques, que de ceux qui - avec l'audace de
ceux qui croient avoir gagné, ont propagé Vatican II comme " le
1789 de l'Église », comme un événement « prophétique » et «
révolutionnaire ».
Avant
le 7 juillet 2007, en réponse à la diffusion du rite
traditionnel, un célèbre maître de cérémonie pontifical
répondait avec dépit : « Il n'y a pas de retour en arrière !
Et
pourtant, apparemment avec François on peut revenir sur la promulgation
de Summorum Pontificum – et comment ! – s'il sert à
conserver le pouvoir et à empêcher le Bien de se répandre. C'est
un slogan qui fait sinistrement écho au cri de « Rien ne sera
comme avant » de la farce pandémique.
L'aveu de François d'une
prétendue division entre les fidèles liés à la liturgie tridentine et
ceux qui se sont largement adaptés par habitude ou résignation à la
liturgie réformée est révélateur : il ne cherche pas à guérir cette
division en reconnaissant de plein droit un rite qui est objectivement
mieux par rapport au rite montinien, mais précisément pour éviter que
la supériorité ontologique de la messe de saint Pie V ne devienne
évidente, et pour empêcher que n'émergent les critiques du rite réformé
et de la doctrine qu'elle exprime, il l'interdit, il la qualifie de
clivante, il la cantonne aux réserves indiennes, essayant de limiter au
maximum sa diffusion, afin qu'elle disparaisse complètement au nom de
la culture de l'annulation dont la révolution conciliaire a été la
malheureuse précurseur.
Ne
pouvant tolérer que le Novus Ordo et Vatican II sortent
inexorablement vaincus de leur confrontation avec le Vetus
Ordo et l'éternel Magistère catholique, la seule solution qui
puisse être adoptée est d'effacer toute trace de la Tradition, la
reléguant au refuge nostalgique de un octogénaire irréductible ou une
clique d'excentriques, ou le présentant – comme prétexte – comme le
manifeste idéologique d'une minorité d'intégristes.
D'autre
part, la construction d'une version médiatique cohérente avec le
système, à répéter ad nauseam pour endoctriner les masses,
est l'élément récurrent non seulement dans la sphère ecclésiastique
mais aussi dans la sphère politique et civile, de sorte qu'elle
apparaît avec une preuve déconcertante que l'église profonde et l'état
profond ne sont rien d'autre que deux voies parallèles qui vont dans le
même sens et ont pour destination finale le Nouvel Ordre Mondial, avec
sa religion et son prophète.
La
division est là, évidemment, mais elle ne vient pas des bons
catholiques et du clergé qui restent fidèles à la doctrine de toujours,
mais plutôt de ceux qui ont remplacé l'orthodoxie par l'hérésie et le
Saint Sacrifice par une agape fraternelle.
Cette
division n'est pas nouvelle aujourd'hui, mais remonte aux années 60,
lorsque « l'esprit du Concile », l'ouverture sur le monde et le
dialogue interreligieux ont fait de la paille deux mille ans de
catholicité et ont révolutionné tout le corps ecclésial, persécutant et
ostracisant le réfractaire.
Pourtant
cette division, accomplie en portant la confusion doctrinale et
liturgique au sein de l'Église, ne paraissait pas si déplorable alors
; alors qu'aujourd'hui, en pleine apostasie, ils sont
paradoxalement considérés comme diviseurs qui demandent, non pas la
condamnation explicite de Vatican II et du Novus Ordo , mais
simplement la tolérance de la messe « sous la forme extraordinaire » au
nom de la tant vantée aux multiples facettes pluralisme.
De
manière significative, même dans le monde civilisé, la protection des
minorités n'est valable que lorsqu'elles servent à démolir la société
traditionnelle, alors qu'une telle protection est ignorée lorsqu'elle
garantirait les droits légitimes d'honnêtes citoyens.
Et il est devenu clair que
sous prétexte de protection des minorités la seule intention était
d'affaiblir la majorité des bons, alors que maintenant que la majorité
est composée de ceux qui sont corrompus, la minorité des bons peut être
écrasée sans pitié. : l'histoire récente ne manque pas de précédents
éclairants à cet égard.
La nature tyrannique des gardiens de la Tradition
À
mon avis, ce n'est pas tant tel ou tel point du Motu Proprio qui
déconcerte, mais plutôt son caractère globalement tyrannique accompagné
d'une fausseté substantielle des arguments avancés pour justifier les
décisions imposées.
Le
scandale est également donné par l'abus de pouvoir par une autorité qui
a sa propre raison d'être non pas en empêchant ou en limitant
les grâces qui sont accordées à ses adhérents à travers l'Église, mais
plutôt en promouvant ces grâces ; non pas en ôtant la Gloire
à la Divine Majesté avec un rite qui fait un clin d'œil aux Protestants
mais plutôt en rendant parfaitement cette Gloire ; non pas en
semant des erreurs doctrinales et morales, mais plutôt en les
condamnant et en les éradiquant.
Ici
aussi, le parallèle avec ce qui se passe dans le monde civil n'est que
trop évident : nos gouvernants abusent de leur pouvoir comme le font
nos prélats, imposant des normes et des limitations en violation des
principes les plus élémentaires du droit.
De
plus, ce sont précisément ceux qui sont constitués en autorité, sur les
deux fronts, qui se prévalent souvent d'une
simple reconnaissance de fait par la base – citoyens et
fidèles – même lorsque les modalités par lesquelles ils ont pris le
pouvoir violent, sinon la lettre, puis du moins l'esprit de la loi.
Le
cas de l'Italie – où un gouvernement non élu légifère sur l'obligation
de se faire vacciner et sur le laissez-passer vert, violant la
Constitution italienne et les droits naturels du peuple italien – ne
semble pas très éloigné de la situation dans laquelle l'Église se
retrouve, avec un Pontife résigné remplacé par Jorge Mario
Bergoglio [ NDLR : le nom du Pape François avant qu'il ne
devienne Pape ] choisi - ou du moins apprécié et soutenu - par la
mafia de Saint-Gall et l'épiscopat ultra-progressiste. Il reste
évident qu'il existe une crise profonde de l'autorité, tant civile que
religieuse, dans laquelle ceux qui exercent le pouvoir le font à
l'encontre de ceux qu'ils sont censés protéger, et surtout à l'encontre
du but pour lequel cette autorité a été établie.
Analogies entre l'église profonde et l'état profond
Je
pense qu'on a compris que la société civile et l'Église souffrent du
même cancer qui a frappé la première avec la Révolution française et la
seconde avec le Concile Vatican II : dans les deux cas, la pensée
maçonnique est à la base de la démolition systématique de l'institution
et son remplacement par un simulacre qui conserve ses apparences
extérieures, sa structure hiérarchique et sa force coercitive, mais
avec des finalités diamétralement opposées à celles qu'elle devrait
avoir.
À
ce stade, les citoyens d'une part et les fidèles d'autre part se
trouvent dans la condition de devoir désobéir à l'autorité terrestre
pour obéir à l'autorité divine, qui gouverne les Nations et l'Église.
De
toute évidence, les « réactionnaires » – c'est-à-dire ceux qui
n'acceptent pas la perversion de l'autorité et veulent rester fidèles à
l'Église du Christ et à leur patrie – constituent un élément de
dissidence qui ne peut être toléré d'aucune façon, et donc ils doivent
être discrédités, délégitimés, menacés et privés de leurs droits au nom
d'un « bien public » qui n'est plus le bonum commune mais son
contraire.
Qu'ils
soient accusés de théories du complot, de traditionalisme ou
d'intégrisme, ces quelques survivants d'un monde qu'ils veulent faire
disparaître constituent une menace pour l'accomplissement du plan
global, juste au moment le plus crucial de sa réalisation.
C'est
pourquoi le pouvoir réagit d'une manière si ouverte, effrontée et
violente : l'évidence de la fraude risque d'être comprise par un plus
grand nombre de personnes, de les rassembler dans une résistance
organisée, de briser le mur du silence et de la férocité la censure
imposée par les médias grand public.
Nous
pouvons donc comprendre la violence des réactions de l'autorité et nous
préparer à une opposition forte et déterminée, en continuant à nous
prévaloir de ces droits qui nous ont été abusivement et illicitement
déniés.
Bien
sûr, nous pouvons nous retrouver à devoir exercer ces droits de manière
incomplète lorsque nous nous voyons refuser la possibilité de voyager
si nous n'avons pas notre laissez-passer vert ou si l'évêque nous
interdit de célébrer la messe de tous les temps dans une église de son
Diocèse, mais notre résistance aux abus d'autorité pourra encore
compter sur les Grâces que le Seigneur ne cessera de nous accorder –
notamment la vertu de Force si indispensable en temps de tyrannie.
La normalité qui fait peur
Si
d'une part nous pouvons voir comment la persécution des dissidents est
bien organisée et planifiée, d'autre part, nous ne pouvons pas ne pas
reconnaître la fragmentation de l'opposition. Bergoglio sait bien
que tout mouvement de dissidence doit être réduit au silence, surtout
en créant des divisions internes et en isolant les prêtres et les
fidèles.
Une
collaboration fructueuse et fraternelle entre le clergé diocésain, les
religieux et les instituts Ecclesia Dei est quelque
chose qu'il doit éviter, car elle permettrait la diffusion d'une
connaissance du rite antique, ainsi qu'une aide précieuse dans le
ministère.
Mais
cela reviendrait à faire de la messe tridentine une « normalité » dans
la vie quotidienne des fidèles, ce qui n'est pas tolérable pour
François.
Pour
cette raison, le clergé diocésain est laissé à la merci de ses
Ordinaires, tandis que les Instituts Ecclesia Dei sont
placés sous l'autorité de la Congrégation des Religieux, triste prélude
à un destin déjà scellé.
N'oublions
pas le sort qui est arrivé aux Ordres religieux florissants, coupables
d'avoir été bénis par de nombreuses vocations nées et nourries
précisément grâce à la Liturgie traditionnelle détestée et à la fidèle
observance de la Règle.
C'est
pourquoi certaines formes d'insistance sur l'aspect cérémoniel des
célébrations risquent de légitimer les dispositions du commissaire et
de jouer le jeu de Bergoglio.
Même
dans le monde civil, c'est justement en encourageant certaines dérives
des dissidents que le pouvoir les marginalise et légitime les mesures
répressives à leur égard : il suffit de penser au cas des
mouvements no-vax et à la facilité de discréditer les
protestations légitimes. des citoyens en soulignant les excentricités
et les incohérences de quelques-uns.
Et
il est trop facile de condamner quelques personnes agitées qui, par
exaspération, ont mis le feu à un centre de vaccination, éclipsant des
millions d'honnêtes gens qui descendent dans la rue pour ne pas être
marqués du passeport sanitaire ou licenciés s'ils ne le permettent pas.
se faire vacciner.
Ne restez pas isolé et désorganisé
Un
autre élément important pour nous tous est la nécessité de donner de la
visibilité à notre protestation composée et d'assurer une forme de
coordination de l'action publique.
Avec l'abolition de Summorum Pontificum, nous nous retrouvons vingt ans en arrière.
Cette
décision malheureuse de Bergoglio d'annuler le Motu Proprio du Pape
Benoît est vouée à un échec inexorable, car elle touche l'âme même de
l'Église, dont le Seigneur Lui-même est Pontife et Grand Prêtre.
Et
il n'est pas acquis que tout l'épiscopat – comme on le voit ces
derniers jours avec soulagement – veuille se soumettre passivement à
des formes d'autoritarisme qui ne contribuent certainement pas à
apporter la paix dans les âmes.
Le Code
de droit canonique garantit aux évêques la possibilité de
dispenser leurs fidèles des lois particulières ou universelles, sous
certaines conditions.
Deuxièmement,
le peuple de Dieu a bien compris la nature subversive
de Traditionis Custodes et est instinctivement amené à
vouloir connaître quelque chose qui suscite une telle désapprobation
chez les progressistes.
Ne
nous étonnons donc pas si nous commençons bientôt à voir les fidèles
issus de la vie paroissiale ordinaire et même ceux éloignés de l'Église
se diriger vers les églises où est célébrée la messe traditionnelle.
Il
sera de notre devoir, que ce soit en tant que Ministres de Dieu ou en
tant que simples fidèles, de faire preuve de fermeté et de résistance
sereine à de tels abus, marchant sur le chemin de notre propre petit
Calvaire avec un esprit surnaturel, tandis que les nouveaux grands
prêtres et scribes du peuple se moquer de nous et nous étiqueter comme
des fanatiques.
Ce
sera notre humilité, l'offrande silencieuse des injustices envers nous,
et l'exemple d'une vie conforme au Credo que nous professons qui
méritera le triomphe de la messe catholique et la conversion de
beaucoup d'âmes.
Et rappelons-nous que, puisque nous avons beaucoup reçu, beaucoup nous sera demandé.
Réintégration totale
Quel
père parmi vous, si son fils lui demande du pain, lui donnera une
pierre ? Ou s'il demande un poisson, lui donnera-t-il un serpent à
la place ? (Lc 11, 11-12). Maintenant nous pouvons comprendre
le sens de ces paroles, considérant avec douleur et tourment de cœur le
cynisme d'un père qui nous donne les pierres d'une liturgie sans âme,
les serpents d'une doctrine corrompue, et les scorpions d'une morale
frelatée. Et qui arrive à diviser le troupeau du Seigneur entre
ceux qui acceptent le Novus Ordo et ceux qui veulent rester
fidèles à la messe de nos pères, exactement comme les dirigeants civils
dressent les vaccinés et les non vaccinés les uns contre les autres.
Lorsque
Notre-Seigneur entra à Jérusalem assis sur un ânon, tandis que la foule
étendait des manteaux à son passage, les pharisiens lui demandèrent :
« Maître, réprimande tes disciples .
Le
Seigneur leur répondit : « Je vous dis que s'ils se taisent, les
pierres elles-mêmes crieront » (Luc 19 :28-40).
Depuis soixante ans crient les pierres de nos églises, d'où le Saint Sacrifice a été deux fois proscrit.
Le
marbre des autels, les colonnes des basiliques et les voûtes élancées
des cathédrales crient aussi, parce que ces pierres, consacrées au
culte du vrai Dieu, sont aujourd'hui abandonnées et désertes, ou
profanées par des rites odieux, ou transformés en parkings et en
supermarchés, précisément à cause de ce Conseil que nous tenons à
défendre.
Crions aussi : nous qui sommes les pierres vivantes du temple de Dieu.
Crier
avec foi vers le Seigneur, afin qu'il donne la parole à ses disciples
aujourd'hui muets, et que soit réparé le vol intolérable dont sont
responsables les administrateurs de la Vigne du Seigneur.
Mais pour que ce vol soit réparé, il faut que nous nous montrions dignes des trésors qui nous ont été volés.
Essayons
de le faire par notre sainteté de vie, en donnant l'exemple des vertus,
par la prière et la réception fréquente des sacrements.
Et
n'oublions pas qu'il y a des centaines de bons prêtres qui connaissent
encore le sens de l'Onction Sacrée par laquelle ils ont été ordonnés
Ministres du Christ et dispensateurs du Mystère de Dieu.
Le
Seigneur daigne descendre sur nos autels même lorsqu'ils sont érigés
dans des caves ou des greniers. Contrariis quibuslibet minime
obstantibus [« Toute chose contraire nonobstant »] .
+ Carlo Maria Viganò, archevêque
28 juillet 2021
Sts. Et Thaddée martyrs
Victor : 1 et un pape martyr
1 Innocent, Pape et Confesseur » (marcotosatti.com)
Juillet 2021
29 juillet
Rappel des étapes décrites par
le regretté Serge Monast dans « Le complot des Nations-Unies contre la
Chrétienté » à titre de référence :
La fuite forcée de Jean-Paul II du Vatican
La prise du pouvoir, au Vatican, par l’antipape.
La naissance de la nouvelle église internationale avec la falsification de toutes les doctrines religieuses chrétiennes.
L’instauration des persécutions internationales basées sur la nouvelle doctrine de la nouvelle église internationale.
La
soumission de toutes les églises à l’Antéchrist (notons que cette
soumission surviendra uniquement après le travail accompli par le «
faux témoin ».
La
prise du pouvoir politique et militaire par l’Antéchrist sous la
conduite des Nations-Unies (notons, ici, que le premier pouvoir étant
situé au-dessus du politique et du militaire, est un pouvoir religieux).
Les cinq et uniques pouvoirs de l’Antéchrist sur l’humanité.
La survivance de la chrétienté renouvelée sous le règne de l’Antéchrist.
La chute de l’Antéchrist, et le démantèlement de son royaume.
Le vrai Règne de Jésus-Christ sur une humanité chrétiennement renouvelée.
En référence à Pierre Hillard (vidéo du 18 juillet avec Civitas), la kabbale juive tient ses principes de la gnose.
Pour eux, Dieu n’a pas créé un monde parfait pour laisser le soin à ses créatures de le rendre parfait.
C’est… et oui, la « grande réinitialisation ».
Serge
Monast l’a toujours affirmé, le religieux est au-dessus du politique,
il faut penser comme l’ennemi pour comprendre le plan, et le plan de
l’ennemi n’est que strictement religieux.
La « réparation » de la société ou « grande réinitialisation », c’est « Tikoun Olam ».
Et c’est ce que vous avez sous les yeux en 2021, ce spectacle grandiose de l’ennemi à la 7ème période de l’Apocalypse.
« Tikoun Olam
: Dans la tradition toranique, cela signifie toute action qui vise à
améliorer le monde, en le rapprochant de l’état de complétude
conformément au but pour lequel il a été créé. Tikoun olam engage
lʼhumanité entière à penser « la réparation » de la société. Bien que
la nature du monde soit intrinsèquement bonne, elle est soumise à des
lacunes métaphysiques; son Créateur a délibérément laissé une place aux
créatures afin de compléter son œuvre… »
Pourquoi Tikoun Olam maintenant, en 2021?
Parce
que le temps est venu: « … tikkoun olam déclencherait ou accomplirait
les prophéties concernant la venue du Messie ou celles du monde à
venir… » (wikipedia.org)
N’oublions pas que Christine Lagarde avait déjà bien avertit en janvier 2014… + 7 ans, donc 2021.
L’engrenage
est engagé et ils ne peuvent plus reculer. Il ne peut plus y avoir
d’extension imprévue parce qu’un Trump émerge par exemple. Il faut un
contrôle total de la population, politiciens inclus, soit les 10 rois
de l’Apocalypse.
C’est ce qu’affirme Bergoglio: aucune marche arrière. Donc, lui aussi n’a plus le choix.
Il
doit aller de l’avant et vite. Il doit procéder à l’élimination de la
présence réelle, CAR le Verbe Incarné est l’obstacle qui doit sauter
pour avoir « Tikoun Olam », soit la venue de leur Messie.
C’est donc dire qu’il ne reste plus beaucoup de temps.
Et
si Bergoglio ne procède pas avec sa messe œcuménique, l’autre moyen est
d’éliminer tout simplement physiquement l’église de Rome,
Bergoglio inclu, par une révolution du type 1789 avec Louis XVI guillotiné.
Pie
X avait bien vu un pape fuir sur les cadavres de ses prêtres, quoique
cela pourrait être mystiquement Benoît XVI sur les « cadavres » de ses
prêtres apostasiés.
Ce qui, si c’est le cas, raccourcirait les délais quant aux prophéties de l’Église de Jean XXIII.
Aux maximum 2025 selon la prophétie de Don Bosco, et la fin de la période de la fille de Caïn citée par Jean XXIII.
La résurrection des « deux témoins » approche.
Elle n’est pas que concentrée dans la tradition.
Voici :
« Cher Dr. Tosatti,
la publication du Motu proprio
Traditionis Custodes a généré une avalanche de réactions et de
déclarations, certaines très autoritaires : parmi toutes celles de
carte. Burke et celui de Mgr Schneider.
Ces déclarations publiques
sont flanquées des réactions des fidèles et des prêtres qui ont dû
reconnaître, pour la énième fois, l'hostilité que Bergoglio a à leur
égard, la méchanceté et la violence du Pape de la Miséricorde.
C'est maintenant clair, seul
un aveugle peut ne pas la voir, la haine de Bergoglio pour la
Tradition, pour le catholicisme tel qu'il nous a été donné par deux
mille ans d'histoire. Je serais tenté de dire : la haine de Bergoglio
pour le Dieu catholique et le culte qui lui est dû. Et ce dévoilement,
même douloureux, est peut-être une bonne chose, il est providentiel :
il n'y a plus de place pour les compromis, les troisièmes voies, les
médiations ou les excuses. Fini le temps des illusions avec Traditionis
Custodes : que vous soyez catholique ou que vous soyez bergoglien, il
est tout simplement impossible d'être les deux !
Cette mine se veut une
présentation franche de la réalité factuelle, à d'autres plus qualifiés
que moi pour trouver des solutions théologiques aux problèmes que les
faits se chargent de montrer, sachant très bien que contra factum non
valet argumentum .
Traditionis Custodes a révélé,
au-delà de tout doute raisonnable, la nature du Bergoglio et du
bergoglisme (le bergoglisme qui est, pour paraphraser Lénine, la phase
suprême du modernisme) et a placé ceux qui entendent continuer à être
catholiques dans le besoin de radicalisation.
L'effet véritable et durable
de Traditionis Custodes est et sera la radicalisation du catholicisme
et la distinction toujours plus nette entre catholicisme classique et
néo-catholicisme destiné à se dissoudre, selon le vœu bergoglien, dans
l'indistinct immanentiste de la religion réduite à « l'animation » de
la Fraternité Universelle. Une division toujours plus nette qui
traverse le Peuple de Dieu et détermine la formation d'un clergé
catholique réfractaire face à un clergé néo-catholique assermenté.
Que Bergoglio ne soit pas
catholique est également évident pour les pierres, il est probablement
athée (comme le disait Vittorio Sgarbi à l'époque avec une ironie sans
précédent) car il faut aussi probablement supposer qu'il est marqué par
des troubles psychiatriques de la personnalité, et plus et les plus
fidèles et les prêtres en sont conscients.
Il y a ceux qui considèrent
encore Benoît XVI comme le Pape, il y a ceux qui considèrent le Siège
vacant, ceux qui le considèrent occupé seulement matériellement, ceux
qui considèrent Bergoglio comme un hérétique materialiter mais pas
formaliter, ceux qui le considèrent comme un apostat et d'autres comme
un schismatique . Dans l'ensemble, cependant, ceux qui prennent une
position sédévacantiste, privationniste, bénédictiste (Benoît XVI est
toujours le Pape) sont une très petite minorité.
L'écrasante majorité des
catholiques, laïcs et cléricaux, qui veulent rester catholiques n'ont
pas les outils et même l'intérêt de régler de telles questions, ils se
limitent à 2 certains faits : 1) Je veux absolument rester catholique ;
2) ce que Bergoglio écrit dans Evangelii gaudium, Amoris laetitia,
Laudato sii, Brothers all, Tratitionis Custodes, etc. Ce n'est PAS
catholique.
Des dizaines de millions de
fidèles et plusieurs milliers de prêtres dans le monde ont la certitude
absolue de ces deux points et sur ces deux certitudes ils fondent leurs
actions. Que font-ils? Ils ignorent simplement systématiquement
Bergoglio, désobéissent à Bergoglio par obéissance à Dieu, continuent à
penser, vivre, prier comme si EG, AL, LS, FT, TC, etc. n'avaient jamais
été écrits.
Cette ignorance systématique
de Bergoglio n'est évidemment pas une position théologique mais une
attitude pratique et opérative. Il continue d'agir catholique malgré
les documents non catholiques de Bergoglio. Concrètement, c'est ne pas
se laisser changer par l'action de dissolution en cours. Rester ce que
nous sommes malgré Bergoglio, voire en résistant à Bergoglio.
La grande majorité des prêtres
catholiques (vrais catholiques et non néo-catholiques) ont déjà adopté
cette attitude depuis des années, peut-être sans même s'en rendre
compte. En fait, nous tous prêtres qui avons continué à prêcher et à
confesser selon la doctrine morale et sacramentelle de tous les temps
sans nous adapter à AL, qui nous sommes soigneusement gardés de
répandre le gretinisme de l'ambon, dont nous persistons à croire que le
baptême fait de nous des enfants de Dieu et frères parmi nous en
Christ, qui professons toujours le christianisme catholique apostolique
comme la seule vraie religion et le Christ unique Sauveur, considérant
ainsi les autres religions comme fausses, que nous continuons à réciter
la Gloire et le Notre Père à l'ancienne, ce qui nous n'avons pas
interrompu les messes et les sacrements pendant le confinement.
Maintenant, nous allons
simplement ignorer TC et continuer à célébrer les Saintes Messes selon
le rite habituel. Qui pourra le faire à l'église, qui ne pourra pas le
faire dans des chapelles et des maisons privées. Après TC, les messes «
tridentines » ne diminueront pas, au contraire elles se multiplieront
et seront totalement affranchies de toute censure vaticane et
diocésaine.
Chaque groupe, club,
association s'organisera pour célébrer des messes « clandestines », il
y a des milliers de groupes traditionalistes prêts pour la «
clandestinité liturgique ». Rien qu'en Italie, il y a des centaines de
prêtres prêts à célébrer les messes « tridentines » dans la
clandestinité. Des milliers de prêtres dans le monde sont prêts pour
cette Résistance.
Véritable boomerang pour
Bergoglio, TC réalise déjà : 1) la radicalisation du catholicisme dans
un sens traditionaliste et en opposition de plus en plus consciente au
bergoglisme ; 2) l'explosion partout dans le monde du phénomène des
messes « clandestines » ; 3) le renforcement de la FSSPX avec une
croissance constante de catholiques qui y adhèrent ; 4) l'augmentation
numérique des messes "tridentines" (là où auparavant 1 "officiel" était
célébré, maintenant 3, 4, 5... "clandestins" seront célébrés); 5)
l'augmentation numérique des fidèles qui participent (grâce aux moyens
de communication modernes une messe "clandestine" peut facilement avoir
plus de participation qu'un "officiel" dans la paroisse, d'autant plus
que la "clandestinité" fascine et attire).
Aux théologiens de fournir le cadre théorique, les faits sont ceux-ci.
Dans les années à venir il y
aura un essaim de plus en plus explosif de Messes « clandestines », de
groupes de laïcs militants qui remettront en cause les hiérarchies
modernistes, d'organisations (culturelles, éducatives, éditoriales,
socio-politiques) qui feront la promotion du « traditionalisme
catholique ». Bergoglio avec TC avait l'intention de tuer le "monde de
la Tradition" et a plutôt cédé la place à la Résistance catholique.
Que chacun fasse sa part : Les
prêtres sont toujours généreusement disponibles pour célébrer des
messes "clandestines" selon le rite antique et prêchent toujours la
Doctrine sans variations, les fidèles laïcs s'organisent pour
promouvoir les messes "clandestines", pour soutenir les prêtres et
promouvoir la culture , éducatives (écoles parentales), éditoriales et
politiques qui sont une expression de la Tradition catholique.
Des années de grandes batailles nous attendent !
Un prêtre réfractaire » (marcotosatti.com)
25 juillet
« Il viendra un jour où le monde civilisé reniera son Dieu, quand l'Église doute comme Pierre a douté.
Elle sera alors tentée de croire que l'homme est devenu dieu...
Dans nos églises, les chrétiens chercheront en vain la lampe rouge où Dieu les attend.
Comme Marie-Madeleine, en larmes devant le tombeau vide, ils demanderont : « Où l'ont-ils emmené ? (Pie XII) »
Pourquoi trop se préoccuper du temporel, des vaccins, du Pass Vert, alors que nous savons pertinemment que le temps est compté?
Pauvreté, chômage, inflation...
Le chaos est évidement aux portes et sonne la charge de la chute de Babylone.
L'exemple le plus frappant cette semaine est l'Afrique du Sud.
Ils n'ont plus rien à perdre. Tout pour le corps. Au diable la charité.
La ligne rouge a été franchie par Bergoglio et son Motu Proprio.
Tout s’accélère.
Le signe de la bête, le 666, l’homme déifié, est bien présent depuis longtemps.
Nul doute.
Nous sommes bien en présence de l'Antichrist système et ses nombreuses têtes.
Le feu est dans la maison: sauver son âme est ce qu’il y a de plus important.
Le dernier Motu Proprio va avoir un effet boomerang.
L’intérêt augmentera pour la vraie tradition catholique, celle léguée par le Christ et les pères de l’Église.
L’ennemi va maintenant mettre à mort les deux témoins, mais le cep vivant va se régénérer à la stupéfaction de tous!
La résurrection des « deux témoins » suivra rapidement.
Il semble que nous venons de
vivre le moment « église de Philadelphie », la porte ouverte Summorum
Pontificum de Benoît XVI qui ne peut être fermée par Bergoglio:
« ... Je connais tes œuvres.
Voici que j'ai mis devant toi une porte ouverte, que personne ne peut
fermer, parce que tu as peu de puissance, que tu as gardé ma parole et
que tu n'as point renié mon nom.
Voici que je te donne
quelques-uns de la synagogue de Satan, qui se disent Juifs, et ne le
sont point, mais ils mentent ; voici, je les ferai venir se prosterner
à tes pieds, et ils connaîtront que je t'ai aimé.
Parce que tu as gardé ma
parole sur la patience, moi aussi je te garderai de l'heure de
l'épreuve qui va venir sur le monde entier, pour éprouver les habitants
de la terre.
Voici que je viens bientôt : tiens ferme ce que tu as, afin que personne ne ravisse ta couronne.
Celui qui vaincra, j'en ferai
une colonne dans le temple de mon Dieu, et il n'en sortira plus ; et
j'écrirai sur lui le nom de mon Dieu, et le nom de la ville de mon
Dieu, de la nouvelle Jérusalem, qui descend du ciel d'auprès de mon
Dieu, et mon nom nouveau.
Que celui qui a des oreilles entende ce que l'Esprit dit aux Églises ! »
Si c'est le cas, alors il est bien clair ici que le décès de Benoît XVI enclenche l'épreuve finale.
C’est le prochain grand signe qui enclenche les prophéties de l’Église de Jean XXIII, où la Terre détruira le ciment.
23 juillet
« il s’agit maintenant pour
elles de choisir – avec les éléments de discernement qui sont à leur
disposition – ce qui s’impose à toute conscience catholique bien
éclairée. Beaucoup d’âmes vont se trouver devant un choix important
touchant la foi, car – répétons-le – la Messe est l’expression suprême
d’un univers doctrinal et moral. Il s’agit donc de choisir la foi
catholique dans son intégralité et par elle Notre Seigneur
Jésus-Christ, sa croix, son sacrifice, sa royauté. Il s’agit de choisir
son Sang, d’imiter le Crucifié et de le suivre jusqu’au bout par une
fidélité entière, radicale, conséquente. » (Abbé Pagliarari, supérieur
FSSPX)
Tout est résumé dans réponse du supérieur Pagliarani au Motu Proprio Traditionis Custodes de Bergoglio. (fsspx.news)
Tout.
Tout le cheminement au travers des analyses des dix dernières années.
L’heure du choix, c’est maintenant.
Les étapes révélées par le regretté Serge Monast dans « Le complot des Nations-Unies contre la Chrétienté » ont été franchies.
- « Fuite » de Benoît XVI hors du Vatican (alors qu’il avait prévu Jean-Paul II).
- Élection frauduleuse de l’antipape Bergoglio.
-
Nouvelle église humaniste basée avec falsification des doctrines
religieuses catholiques (ce que Bergoglio fait à merveille avec sa
fraternité universelle entres autres, et son mépris pour la doctrine).
- Soumission de toutes les églises à l’Antéchrist (qui est un Antéchrist système, rappelons le).
«
En accord avec l’agenda international à remplir, le première initiative
de l’antipape en sera une de réconciliation truquée avec l’ensemble des
églises chrétiennes du monde… antipape aura eu pour effet de provoquer
un « schisme majeur », supposé être le dernier devant survenir dans le
monde chrétien...ce schisme sera perçu comme étant le moment attendu de
la chute de l’Église de Rome; ce qui aura pour effet de plonger la
majorité de leurs disciples dans un état de confusion, surtout
lorsqu’ils découvriront qu’il en est tout autrement…
Le premier rôle de l’antipape… en sera un de « Juge Divin » sur toute la chrétienté… »
Comme
spécifié, Bergoglio avec le dernier Motu Proprio a tracé la ligne
rouge, plongeant les catholiques qui étaient encore aveugles dans la
confusion la plus totale.
La parabole du figuier
enseigné dans le très important verset de la fin des temps en Matthieu
24 se révèle finalement à nos yeux.
« Écoutez une comparaison
prise du figuier. Dès que ses rameaux deviennent tendres, et qu’il
pousse ses feuilles, vous savez que l’été est proche. Ainsi, lorsque vous verrez toutes ces choses, sachez que le Fils de l’homme est proche, qu’il est à la porte. »
Nous
avons maintenant la preuve que l’église conciliaire craint le nouvel
élan face à la tradition, tradition qui comme le figuier donne des
rameaux tendres et verts (plus de jeunes à la messe traditionnelle et
plus de jeunes prêtres voulant célébrer le rite tridentin).
Tous
ces signes des dernières semaines nous révèlent réellement que le
temps est compté, car Bergoglio force le choix, le choix entre le
Christ ou Mammon.
C’est
le même argument du côté politique puisque la bête de la Terre et la
bête de la Mer doivent marcher main dans la main : le choix entre
la passe sanitaire ou non.
Dieu nous a accordé une grande Grâce en nous laissant les « deux témoins » gardiens de la tradition.
(N’oublions
pas qu’il y aura mise à mort les « deux témoins » à l’image de NSJC,
mais qu’ils ressusciteront après trois jours, probablement l’épreuve
des trois jours de noirceur prophétisés par Padre Pio et autres.)
Qui
porte des fruits faces aux témoignages de ces nombreux jeunes, et
jeunes séminaristes, qui à cause de la pandémie ont découvert la messe
tridentine via internet?
C’est l’heure de la parabole du vrai cep.
« Je suis la vraie vigne, et
mon Père est le vigneron. Tout sarment qui en moi ne porte pas de
fruit, il le retranche ; et tout sarment qui porte du fruit, il
l'émonde, afin qu'il en porte davantage. Déjà vous êtes purs, à cause
de la parole que je vous ai annoncée. Demeurez en moi, et moi en vous.
Comme le sarment ne peut de lui-même porter du fruit, s'il ne demeure
uni à la vigne, ainsi vous ne le pouvez non plus, si vous ne demeurez
en moi.
Je
suis la vigne, vous êtes les sarments. Celui qui demeure en moi, et en
qui je demeure, porte beaucoup de fruits : car, séparés de moi,
vous ne pouvez rien faire. Si quelqu'un ne demeure pas en moi, il est
jeté dehors, comme le sarment, et il sèche ; puis on ramasse ces
sarments, on les jette au feu, et ils brûlent. Si vous demeurez en moi,
et que mes paroles demeurent en vous, vous demanderez ce que vous
voudrez, et cela vous sera accordé. C'est la gloire de mon Père que
vous portiez beaucoup de fruits, et que vous soyez mes disciples. »
(Jean 15, 1-8)
La fin de l’église conciliaire qui ne porte plus de fruits est amorcée.
Comme
prévue dans les prophéties, dont Jean XXIII : « Où croyez-vous
fuir, maintenant que vous avez détruit les Églises et tué le dernier
Père ? »
Bergoglio embrasse toutes les
diversités humanistes et religieuses mais ne sait faire de place pour
la petite « diversité traditionaliste » de son église.
Qui est capable d’une telle chose, sinon celui qui est aveuglé par Satan.
« A propos de l’islam vous
avez d’ailleurs professé à Abu-Dhabi l’étonnant propos selon lequel la
diversité des religions est le fait de la volonté divine.
Et
voilà donc qu’aujourd’hui vous avez manifesté qu’il ne saurait y avoir
de diversité pour vous au sein de l’Église catholique s’il s’agit d’y
maintenir cette séculaire liturgie ! » (benoit-et-moi.fr)
«
« On vous jettera hors des synagogues » (Jn 16, 2)
L'herméneutique de l'envie de Caïn contre Abel.
Il y a eu de nombreux
commentaires, les uns après les autres, en ces jours qui ont suivi la
déclaration officielle de guerre - faite par François lui-même - de la
hiérarchie ecclésiastique contre la Sainte Messe de tous les
temps. Et plus d'un commentaire a révélé le mépris pas du tout
caché et la clarté absolue simultanée du contenu et de la forme
qui caractérise le Motu Proprio Traditionis
Custodes , écrit dans un style et une formalité plus politiques
que théologiques ou spirituels. C'est en fait une déclaration de
guerre...
Mais François ne s'est pas
limité à « tirer » sur la victime immortelle. Il a voulu franchir
une étape supplémentaire, celle d'un rapide et furieux – pour ne rien
dire de monstrueux – « enterrer vivant » du rite antique,
affirmant que le nouveau rite est la Lex Orandi de l'Église
catholique. D'où il faut déduire que la Messe de tous les temps
n'est plus la Lex Orandi .
Il
est bien connu que Notre Ami [Bergoglio] n'a aucune idée de la
théologie (ce qui revient un peu à dire qu'un médecin n'a aucune idée
de la médecine, ou qu'un forgeron ne sait pas utiliser le feu et fer à
repasser). La Lex Orandi de l'Église, en effet, n'est
pas un « précepte » de droit positif voté par un parlement ou prescrit
par un souverain, qui peut toujours être rétracté, modifié, remplacé,
amélioré ou aggravé. La Lex Orandide l'Église, en outre,
n'est pas une « chose » spécifique et déterminée dans le temps et dans
l'espace, autant qu'elle est l'ensemble collectif des normes
théologiques et spirituelles et des pratiques liturgiques et pastorales
de toute l'histoire de l'Église, depuis les temps évangéliques - et
spécifiquement de la Pentecôte – jusqu'à aujourd'hui. S'il vit
évidemment dans le présent, il est pourtant enraciné dans tout le passé
de l'Église. Il ne s'agit donc pas ici de quelque chose d'humain –
exclusivement humain – que le dernier patron peut changer à son
gré. La Lex Orandi comprend les vingt siècles de
l'histoire de l'Église, et il n'y a aucun homme ou groupe d'hommes au
monde qui puisse changer ce dépôt vieux de vingt siècles. Il n'y a
pas de pape, de concile ou d'épiscopat qui puisse changer l'Évangile,
le Depositum Fidei, ou le Magistère universel de l'Église. La
liturgie de tous les temps ne peut pas non plus être changée… » (aldomariavalli.it)
Bref, Bergoglio n’a pas l’autorité pour poser un tel geste.
Il s’est comporté en dictateur.
Comme le « Juge Divin » décrit par Serge Monast.
Son royaume va s’écrouler.
La chute des deux Babylones indiquera la chute de l’Antéchrist système et de son royaume.
20 juillet
L’HEURE DU CHOIX
Le dictateur, Bergoglio, demande clairement aux fidèles de faire un choix.
ll sait qu'il va mettre au jour le schisme existant formellement.
Il planifie de rouler la grande prostituée dans la boue en mars-octobre 2023.
Les tièdes n'auront plus le choix.
C'est
un point tournant, beaucoup plus grave que 1969 car l'Antéchrist s'est
révélé au grand jour et agit ainsi sans gêne parce qu'il croit sa
victoire si proche.
L’Église sera toujours présente et vivante.
Grâce à Mgr Lefebvre.
La tradition avec ses fidèles et le clergé l’accompagnant est belle et bien l’image des « deux témoins de l’Apocalypse ».
N’oublions
pas qu’à l’image de la Passion du Christ, ils devront être mis à mort
et au tombeau pour 3 jours avant de ressusciter…
Et la religion humaniste s’en délectera.
«
Et les habitants de la terre se réjouiront à leur sujet ; ils se
livreront à l'allégresse et s'enverront des présents les uns aux
autres, parce que ces deux prophètes ont fait le tourment des habitants
de la terre. » (Apocalypse 11, 10)
Depuis vendredi, c’est le début de cette descente.
« Que son sang tombe sur nous et sur nos enfants »
Telles étaient les paroles des juifs à la condamnation du Christ.
Telles sont les paroles de Bergoglio à la condamnation de l’Église.
Le dimanche des rameaux est bien derrière nous.
« On vivait avec ce rite,
cette situation un peu bancale, jusqu’à avant hier soir, ou avant hier
midi, où le pape, donc François a fait ce Motu Proprio… C’est une
décision du pape lui-même, voilà, qu’il impose, et elle réduit a
minima, sur un ton dur, sévère, extrêmement rigide, on pourrait même
dire dictatorial, réduit à une infinie possibilité… la possibilité de
célébrer la messe de Saint Pie V… » ( réaction de l’abbé Puga
de l’Église de Saint-Nicolas-du-Chardonnet sur Traditionis Custodes,
rappelant que tout se joue sur les « aspects essentiels du
Saint-Sacrifice ». )
Autres nouvelles réactions au Motu Proprio
« Il me semble qu'une clé de
tout le corps (document et lettre) est celle du singe. Laisse-moi
expliquer. François indique à plusieurs reprises sa motivation pour ce
qu'il va légiférer, c'est-à-dire la continuité avec ce qu'ont fait ses
prédécesseurs : saint Pie V, qui a abrogé tous les rites antérieurs
pour uniformiser l'usage du même Missel dans toute l'Église, et Benoît
XVI, qui s'occupait pastoralement de ceux qui étaient liés au rite
antique. Or, en se référant à ceux qui l'ont précédé, et caché derrière
ces mêmes motivations, Bergoglio fait exactement le contraire.
Contrairement
à saint Pie V, qui avait abrogé tous les rites qui ne pouvaient se
vanter d'une tradition centenaire, il annule tout ce qui est tradition
apostolique pour imposer une messe née il y a cinquante ans ; et
contrairement à Benoît XVI, jette le désarroi dans les âmes liées à
l'ancienne messe. Une illusion de toute-puissance se dégage, dont ce
pape et ceux qui l'assistent ont déjà amplement donné la preuve. Comme
si, ce faisant, ils voulaient démontrer à eux-mêmes et aux autres
qu'ils sont eux-mêmes l'Église, une monarchie absolue. Après tout,
Benoît XVI se considère naïf, car en accordant un usage généreux de la
messe en latin il aurait fait confiance à des fous (les fidèles et les
prêtres liés au rite antique), des fous qui alors, comme il fallait s'y
attendre, l'ont trahi , utilisant la messe pour combattre leSacré
Conseil et de diviser l'Eglise. Ici, à mon avis, c'est la chose la plus
sérieuse de toute l'opération Traditionis custodes : utiliser la vérité
(pastorale, unité ecclésiale, etc.) pour se mettre au service du
mensonge et utiliser le mensonge (en faisant valoir que les
destinataires de de Benoît XVI ne se comportait pas bien) pour
prétendre servir la vérité.
Le
vrai problème n'est pas Traditionis custodes , mais Summorum pontificum
. Benoît XVI au lieu d'expliquer que personne ne peut réglementer
l'usage de la messe catholique de tous les temps, car c'est la messe
que nous avons reçue des apôtres et que saint Pie V a rendue
obligatoire en l'imposant à toute l'Église contre les diverses
innovations qui ont surgi ici et là, il a fait quelques concessions et
a qualifié cette messe de "forme extraordinaire". Maintenant, dire que
quelque chose est extraordinaire implique que tôt ou tard quelqu'un
dise que maintenant nous devons revenir à la normale. Dire, par
exemple, que le confinement est une situation de vie extraordinaire,
signifie qu'on ne peut pas toujours vivre dans cette condition. En
bref, dans Summorum Pontificum il y avait déjà le germe deTraditionis
custodes . De plus, Benoît XVI a dit que les deux formes, ordinaire et
extraordinaire, auraient pu s'enrichir mutuellement. Mais comment
soutenir sérieusement que le novus ordo , une messe inventée à table,
est capable d'enrichir ce que nous avons reçu de la tradition
apostolique ?
Dans
Traditionis custodes, il est frappant de constater le mensonge flagrant
soutenu où il est dit que les fidèles qui participent à la messe
tridentine ont été une source de division dans l'Église. La réalité -
et on peut bien le vérifier en regardant l'Italie - est exactement le
contraire : les évêques ont supprimé, persécuté, ghettoïsé, menacé les
prêtres qui voulaient célébrer selon le vetus ordo , et les demandes
des laïcs sont souvent restées lettre morte. . Personne ces dernières
années n'a pu expérimenter la normalité du cheminement ecclésial en
utilisant la forme dite extraordinaire. Alors, comment pouvons-nous
maintenant nous attendre à tirer des conclusions par rapport à quelque
chose qui n'a pas réellement été vécu ?
Ce
que François dit vers la fin de la lettre aux évêques frémit lorsqu'il
dit : tandis que dans l'exercice de mon ministère je prends la décision
de suspendre la faculté accordée par mes prédécesseurs, je vous demande
de partager ce fardeau avec moi. Une phrase qui fait impression et qui
n'est pas sans rappeler celle concernant les Juifs : son sang tombe sur
nous et sur nos enfants. On dirait les mots de quelqu'un qui ressent la
gravité de ce qu'il s'apprête à accomplir, il pourrait encore s'arrêter
et à la place il dit : une punition va tomber sur moi et je demande aux
évêques de la partager avec moi. Conscient de sa responsabilité, le
pape dit qu'il faudra payer un prix et décide d'aller de l'avant.
Le
document est caractérisé par la colère, par le ressentiment. Et même
cette circonstance nous fait réfléchir. La colère peut parfois
s'exprimer à travers certains comportements, en paroles ou en gestes,
envers un frère, une sœur ou un groupe. Mais lorsqu'un document
officiel est rédigé, il est médité, révisé, retravaillé. Vous le lisez
et le faites lire. Or, si après tous ces passages il entretient le
stigmate de la colère, le constat ne peut être qu'un : nous sommes face
à un mauvais signe de vulgarité et de décadence. Cette vulgarité et
cette décadence qui ont marqué le pontificat de Bergoglio et qui
constituent un grave vulnus pour l'autorité papale.
Traditionis
custodes contient une vérité , et c'est là que le pape dit celle des
deux : soit on suit le Concile Vatican II, soit on suit l'ancienne
messe. Les deux choses sont incompatibles car elles marquent
l'appartenance à deux confessions différentes et à deux églises
différentes. Quiconque reconnaît le Concile reconnaît l'Église qui est
née à ce moment-là et qui est distincte de la précédente, à tel point
qu'il n'y a plus de place pour la première. Autrement dit, c'est la
pierre tombale sur l'herméneutique de la continuité, un compromis qui
ne pouvait tenir. » (aldomariavalli.it)
« (Lifesitenews.com)
J’ai été ému quand j’ai lu vos
réflexions sur l’état de l’Église et sur la « migration » des
catholiques d’une réalité mourante vers une nouvelle dimension, plus
combative et guérilla, comme vous l’avez écrit, à partir d’une image
tirée d’une radio bien connue. méditation donnée par le jeune Joseph
Ratzinger.
Cette
« migration » n’est pas une migration hors du Corps mystique vers une
réalité humaine et utopique créée dans l’esprit de ceux qui déplorent
la perte du passé et sont dégoûtés du présent. Car si telle était notre
tentation, nous commettrions une trahison de l’Église elle-même, nous
séparant d’elle et excluant ainsi notre salut, qu’Elle seule assure à
ses membres. Réfléchissez à ce paradoxe, cher Aldo Maria : précisément
ceux qui se proclament fièrement fidèles à l’immuable Magistère
catholique seraient ainsi en train de construire une [fausse] oasis,
sans rappeler que nous sommes tous des exsules filii Evae , et que nous
cheminons à travers ce vallée des larmes gementes et flentes.
L’Église
n’est pas finie et ne finira pas. Nous savons que cette crise terrible,
dans laquelle nous assistons à la démolition obstinée du peu qui survit
encore de catholique par ceux que le Seigneur a établis comme pasteurs
de son troupeau, marque la douloureuse Passion et la descente au
tombeau du corps mystique, que la Providence a ordonné d’imiter en tout
son Chef divin.
C’est
ce qui s’est passé aussi sous le ciel sombre de Jérusalem, sur le
Golgotha, quand, voyant le Fils de Dieu élevé sur la Croix, certains
ont cru que la brève parenthèse du Nazaréen était terminée. Mais à côté
de ceux qui – par pessimisme, peur, opportunisme ou hostilité ouverte –
observent cyniquement le râle de l’Église, il y a aussi ceux qui
gémissent et ont le cœur ouvert devant cette agonie, alors même qu’ils
savent que c’est la prémisse nécessaire et indispensable de la
résurrection qui l’attend, elle et tous ses membres. Le râle est
terrible, tout comme le cri du Seigneur qui a percé le silence
incrédule de Parasceve, et avec lui la domination de Satan sur le
monde. Eli, Eli, lamà sabactani ! Nous entendons le Christ crier,
tandis que l’Église gémit. On voit les lances, les massues, le roseau
avec l’éponge imbibée de vinaigre ; on entend les injures vulgaires de
la foule, les provocations du Sanhédrin, les ordres donnés aux gardes,
les sanglots des femmes pieuses.
Voici,
cher Dr Valli, aujourd’hui, nous devons nous tenir au pied de la Croix
alors que nous assistons à la Passion de l’Église. Se tenir debout
signifie rester debout, immobile et fidèle. Avec Marie Très Sainte, la
Mère Douloureuse – stabat Mater dolorosa – que le Seigneur nous a donné
comme Mère au pied de la Croix en la personne de saint Jean, faisant
ainsi de nous, avec le même Disciple bien-aimé, les enfants de sa Mère.
Même dans l’agonie de voir les douleurs de la Passion renouvelées dans
le Corps mystique du Christ, nous savons qu’avec cette dernière
cérémonie solennelle du temps, la Rédemption est portée à son terme :
accomplie par le Fils de Dieu incarné, elle doit trouver sa mystique
correspondance dans les Rachetés. Et de même que le Père s’est plu à
accepter le Sacrifice de son Fils unique pour nous racheter, misérables
pécheurs, de même il daigne voir les souffrances de la Passion se
refléter dans l’Église et dans les croyants individuels. Ce n’est
qu’ainsi que l’œuvre de la Rédemption, accomplie par Jésus-Christ, vrai
Dieu et vrai homme, au nom de l’humanité, peut faire de nous des
coopérateurs et des participants. Nous ne sommes pas les sujets passifs
d’un plan que nous ignorons, mais nous sommes plutôt les protagonistes
actifs de notre salut et du salut de nos frères, à l’exemple de notre
Divin Chef. C’est en cela que l’on peut dire que nous sommes
effectivement un peuple sacerdotal .
Face
à la désolation de ces temps terribles, face à l’apostasie de la
Hiérarchie et à l’agonie du corps ecclésial, nous ne pouvons être
vraiment pessimistes ou céder au désespoir ou à la résignation.
Nous
sommes avec saint Jean et la Vierge Douloureuse au pied d’une Croix sur
laquelle crachent les nouveaux Grands Prêtres, contre laquelle un
nouveau Sanhédrin maudit et jure. D’autre part, nous rappelons que les
chefs de la classe sacerdotale ont été les premiers à vouloir mettre à
mort Notre-Seigneur, et il n’est donc pas surprenant qu’au moment de la
Passion de l’Église ce soient eux précisément qui se moquent de ce que
l’aveuglement de leur âme ne comprend plus.
Nous
laisse prier. Prions avec humilité, en demandant à l’Esprit Saint de
nous donner de la force au moment de l’épreuve. Multiplions nos
prières, nos pénitences et nos jeûnes pour ceux qui sont aujourd’hui
parmi ceux qui brandissent le fouet, pressent la couronne d’épines sur
la tête, enfoncent les clous et blessent le côté de l’Église, comme ils
l’ont fait autrefois avec Christ. Prions aussi pour ceux qui regardent
impassiblement ou détournent le regard.
Prions
pour ceux qui pleurent, pour ceux qui tendent un mouchoir pour essuyer
le visage défiguré, pour ceux qui portent la Croix un temps, pour ceux
qui préparent un tombeau, des enveloppes pour le corps et un baume
précieux. Exspectantes beatam spem, et adventum gloriae magni Dei, et
Salvatoris nostri Jesu Christi – En attendant la bienheureuse
espérance, la venue de la gloire du grand Dieu et de Notre Sauveur
Jésus-Christ (Tite 2 :13).
+ Carlo Maria Viganò, archevêque
14 juillet 2021 »
18 juillet
Voilà. C'est fait.
Bergoglio a sorti son Motu
Proprio « Traditiones Custodes » éliminant Summorum Pontificum de
Benoît XVI concernant le rite « extraordinaire » (voir analyses
précédentes).
« François ajoute enfin une
dernière raison à sa décision de modifier les concessions du passé :
«il est de plus en plus évident, dans les paroles et les attitudes de
nombreuses personnes, qu'il existe un rapport étroit entre le choix des
célébrations selon les livres liturgiques antérieurs au Concile Vatican
II et le rejet de l'Église et de ses institutions au nom de ce qu'ils
jugent être la ‘vraie Église’. Il s'agit d'un comportement qui
contredit la communion, qui alimente cette tendance à la division […]
contre laquelle l'Apôtre Paul a fermement réagi. C'est pour défendre
l'unité du Corps du Christ que je me vois contraint de révoquer la
faculté accordée par mes prédécesseurs». » (vaticannews.va)
Pour conclure dans la directive finale du texte qui passe quasiment inaperçu:
« Les normes, instructions,
autorisations et coutumes antérieures qui ne sont pas conformes aux
dispositions du présent Motu Proprio sont abrogées. ». (lifesitenews.com)
Bergoglio proclame donc qu'il n'y a qu'une seule messe valide:
« la liturgie de Paul VI, ou
le Novus Ordo , est « l'expression unique de la lex orandi du rite
romain... François déclare maintenant que si Benoît avait décrit une
forme "ordinaire" et une forme "extraordinaire" du rite romain, il n'y
en a plus qu'une seule - le Novus Ordo... Les livres liturgiques
promulgués par saint Paul VI et saint Jean-Paul II, conformément aux
décrets du Concile Vatican II, sont l'unique expression de la lex
orandi du rite romain. » (référence lifesitenews ci-haut)
Et évidemment, à référence à
l'incident « Dijon » (voir analyses précédentes) et à ce que Bergoglio
affirme depuis le début de son pontificat: la responsabilité quant au
rite extraordinaire est délégué aux évêques.
Ce n'est donc qu'une décision préparatoire, un indice de ce qui s'en vient.
Puisque tout ce qui est
antérieur à ce Motu Proprio est abrogé, alors une ligne est tracée, un
nouveau départ conforme à tout ce que nous avons vu depuis un peu plus
de 8 ans maintenant.
Le pouvoir de la messe étant
maintenant entre les mains des évêques, ceux-ci se donneront donc la
capacité avec le synode à venir, de modifier la Sainte Messe (ce qui en
reste au niveau conciliaire) pour l'adapter aux us et coutumes
régionales à l’image du rapport final du synode amazonien.
On peut affirmer vraiment qu'actuellement il n'y a qu'un petit reste, que peu d'élus sur cette planète.
Bref, on connaît maintenant le
calendrier: octobre 2023 au plus tard (probablement mars 2023 avec le
pré-rapport du synode), la messe passera au niveau de la pachamama, du
paganisme... officiellement.
Il n'y aura plus d'unité du
corps mystique du Christ alors que Bergoglio pose ce geste parce qu'il
craint justement à ce sujet... alors que c'est lui qui le démembre!
L’abomination de la désolation
sur le trône a vraiment le sens de l’ambiguïté, de la contradiction à
la « Peron », la langue fourchue du mystère d'iniquité.
De plus, le Motu Proprio est promulgué le 16 juillet, en la fête de Notre-Dame du Carmel.
C’est
la preuve de la guerre ouverte de la fin des temps entre Satan et la
Vierge Marie, car en même temps la bête de la terre (Macron) faisait
une visite à Lourdes (alors que le 16 juillet est la journée de la
18ème et dernière apparition).
Les réactions au Motu Proprio :
«
16 juillet 2021 ( LifeSiteNews ) — Alors que la nouvelle que le motu
proprio Traditionis custodes du pape François annule le Summorum
Pontificum de Benoît XVI secoue l’Église catholique, LifeSiteNews a
contacté aujourd’hui l’une des autorités américaines les plus connues
sur la forme extraordinaire de la messe (également appelée la « Messe
latine », la « Forme extraordinaire du rite romain », la « Messe
ancienne »), l’auteur prolifique Dr Peter Kwasniewski .
LifeSiteNews
: Pour les lecteurs qui se limitent à la forme ordinaire de la messe et
non à la forme extraordinaire, pourquoi ce motu proprio est-il si
important ?
Peter
Kwasniewski : Ce motu proprio est important parce que François annule
50 ans d’interventions du Vatican en faveur des catholiques qui aiment
la tradition liturgique de l’Église et qui veulent rester connectés à
cette tradition. Le pape Paul VI a déjà commencé à accorder ce qu’il
pensait être des autorisations nécessaires, puis Jean-Paul II encore
plus dans les années 1980. Et puis, bien sûr, le pape Benoît a dit que
le rite traditionnel n’avait jamais été abrogé, n’avait jamais été
aboli. [Mais] François, même au milieu d’une situation où tant de gens
quittent l’Église, [mais] tant de vocations et de familles vont à la
messe traditionnelle, il intervient et dit essentiellement qu’il veut
abolir tout cela – en quelques années, on dirait. Il veut l’éliminer
complètement.
Il est difficile de décrire
l’ampleur de cela, mais c’est un peu comme dire à des millions de
catholiques de sauter d’un pont ou de se pendre. Le ton des documents
traite beaucoup les catholiques amoureux de la tradition comme s’ils
étaient des lépreux qui doivent être mis en quarantaine ou isolés.
LifeSiteNews
: Mais cela ne ressemble pas au Francis qui aime la diversité. Il a
embrassé les personnes transgenres: « h e qui était elle , mais est –
il , » par exemple. Pourquoi le pape François est-il si dur avec une
section jeune et croissante de l’Église ?
Kwasniewski
: Il y a une réponse en un mot à cette question, et c’est « idéologie
». Pour le vrai progressiste ou libéral, ce que François est sans aucun
doute – cela peut être vu de tant de façons, « diversité » signifie «
diversité selon nos propres termes libéraux et progressistes ». Il y a
une petite partie du spectre où la diversité est autorisée, et c’est
une diversité insignifiante à cela. S’il y a une profonde diversité,
c’est beaucoup plus troublant pour ces personnes.
Et c’est parce qu’il a une
certaine vision de l’Église de Vatican II et de la rénovation complète
de la théologie et de la liturgie. C’est ce qu’il pense. Il pense – il
l’a dit explicitement – que c’est ce que veut le Saint-Esprit. De son
point de vue, s’il est vraiment sincère, il pourrait simplement se voir
comme le gardien de ce que le Saint-Esprit a voulu à et après Vatican
II.
LifeSiteNews
: Dans le motu proprio , François dit essentiellement que le
Saint-Esprit a parlé à travers Vatican II et aller contre Vatican II
c’est aller contre le Saint-Esprit, mais ce que Vatican II a demandé
dans la liturgie n’a pas été fait.
Kwasniewski
: C’est vrai. Il y a là deux problèmes. La première est qu’aucun
théologien compétent n’a jamais simplement assimilé ce qu’un Pape ou un
Concile a dit ou fait avec le Saint-Esprit. Oui, ces choses sont faites
au nom du Saint-Esprit, mais toutes n’ont pas réussi. Beaucoup de
choses ont été révisées ou changées au cours des siècles, et le
Saint-Esprit Lui-même ne change pas.
Mais plus précisément, la
réforme liturgique était quelque chose d’indépendant du Concile, et
elle était en conflit avec les paroles exprimées par le Concile. Cela a
toujours été un sujet controversé. Le Pape ne semble pas reconnaître le
fait qu’il y a eu de nombreux critiques de haut niveau de la réforme
liturgique, y compris son prédécesseur, Benoît XVI. Si le pape François
avait raison, alors son propre prédécesseur serait coupable de
certaines des fautes qu’il attribue aux personnes dans ces documents.
LifeSiteNews : C’est les gardes de la Tradition ou le mouvement anti-Benoît ?
Kwasniewski
: C’est sûr. Le motu proprio lui-même est l’exacte antithèse de
Summorum pontificum et la lettre qui l’accompagne est l’exacte
antithèse de la lettre qui accompagnait Summorum pontificum . Dans
toute l’histoire de l’Église, il n’y a jamais eu de rejet aussi
dramatique d’un prédécesseur du Pape. Jamais. C’est sans précédent, et
je peux le dire en toute confiance.
LifeSiteNews : Il est peut-être trop tôt pour le dire, mais quelles en seront les retombées ?
Kwasniewski
: Confusion. Chagrin. Maux de tête, cauchemars bureaucratiques. Les
évêques n’ont pas besoin de tout le travail supplémentaire et de tous
les ennuis supplémentaires que le Pape vient de leur jeter. Cela
augmentera la division partout, et je veux dire par là pas seulement la
division entre, disons, les catholiques qui vont à la paroisse
Fraternité Saint-Pierre [FSSP] et les catholiques qui vont à la
paroisse Fraternité Saint-Pie X [FSSPX]. Je veux dire la division entre
les évêques, les diocèses, les séminaires et les communautés
religieuses ; Je veux dire, juste à travers le conseil
d’administration. Ce Pape est délirant s’il pense qu’avec un trait de
plume, il peut simplement effacer l’amour que les gens ont pour la
liturgie catholique traditionnelle.
LifeSiteNews
: Il a été rapporté une fois que le pape François a dit « Je pourrais
entrer dans l’histoire en tant que celui qui a divisé l’Église
catholique ». Vraisemblablement, cela signifie un schisme. Est-ce que
cela va arriver?
Kwasniewski
: Cela dépend de la façon dont vous définissez le schisme. Je suis
d’accord avec ceux qui disent qu’il y a déjà un schisme de fait au sein
de l’Église entre ceux qui ont la foi catholique et ceux qui ne l’ont
pas. Les critiques de la messe latine traditionnelle sont très souvent
alignées sur les hérésies et la dissidence des enseignements moraux, il
y a donc déjà un schisme virtuel dans l’Église, et le pape François,
malheureusement, dirige cela.
LifeSiteNews : Alors qui dirige le camp traditionnel ?
Kwasniewski
: Là je dirais le Saint-Esprit ! Car l’Esprit Saint est, en effet,
Celui qui guide l’Église à travers tous les siècles de son culte, de sa
théologie, de sa doctrine et de sa morale. Nous pouvons dire avec
assurance, en regardant plus de deux mille ans d’histoire de l’Église,
que c’est le Saint-Esprit guidant l’Église comme le Christ l’a promis.
Les catholiques traditionnels
se fondent sur des précédents. Nous ne sommes pas des papolateurs qui
ont besoin que le Pape nous dise que nous avons le droit de lacer nos
chaussures et de rentrer nos chemises. Le Pape est là pour régler les
vrais problèmes quand ils surviennent, et sinon on n’a pas vraiment
besoin de trop s’inquiéter pour lui. C’est l’attitude normale des
catholiques à travers l’histoire.
LifeSiteNews : Une dernière question alors : la FSSPX devrait-elle acheter ou construire de plus grandes églises ?
Kwasniewski
: Je ne vais pas dire qu’ils devraient le faire, mais je suis sûr
qu’ils le feront. Il ne fait aucun doute que c’est ce qui va se passer.
» (lifesitenews.com)
16
juillet 2021 ( LifeSiteNews ) — Les catholiques de rite romain qui
aiment les pratiques liturgiques traditionnelles de l’Église catholique
sont en deuil aujourd’hui.
Ce
matin, le pape François a publié un motu proprio appelé Traditionis
custodes , qui fixe des limites strictes à l’utilisation de la messe
traditionnelle latine, un rite que le pape Benoît a appelé « la forme
extraordinaire de la messe » dans son propre motu proprio Summorum
pontificum de juillet 2007 . Critique des « réformes » liturgiques qui
ont suivi et contredit Vatican II, Benoît XVI a donné aux prêtres
catholiques le feu vert pour célébrer la « Messe de Jean XXIII » de
1962 sans demander la permission à leurs évêques. Dans une lettre qui
accompagnait son motu proprio officiel , le pape François a indiqué
qu’il pense que les catholiques ont abusé des dispositions de Benoît et
que ceux qui aiment la messe traditionnelle rejettent Vatican II.
«
Le pape François semble punir tous les prêtres qui célèbrent la messe
traditionnelle et tous les laïcs qui y assistent pour les péchés
présumés de quelques-uns : qui « rejettent Vatican II », quoi que cela
signifie exactement », Dr. Joseph Shaw , président de la Latin Mass
Society of England and Wales , a déclaré à LifeSiteNews aujourd’hui via
les réseaux sociaux.
« L’effet
pratique de ce document, cependant, dans la mesure où il est mis en
œuvre, sera de marginaliser et donc de radicaliser les catholiques
attachés à l’ancien Missel », a-t-il poursuivi.
«
Il est extraordinaire que des milliers de fidèles catholiques qui ont
répondu à l’attitude favorable du Pape Jean-Paul II et du Pape Benoît
XVI à l’ancienne messe, pour la célébrer ou l’assister en parfaite
unité avec leurs évêques et avec le Saint-Père, aient été soudainement
exclus. . Si l’on doit en effet s’attendre à ce que les évêques
gouvernent et guident l’utilisation du Missel de 1962 dans leurs
diocèses, interdire sa célébration dans les églises paroissiales
entravera gravement leurs efforts pour le faire et semble totalement
impraticable. »
Dans
une interview plus longue avec LifeSiteNews, le spécialiste de la
liturgie, le Dr Peter Kwasniewski, a déclaré que le renversement par le
pape François de Summorum pontificum était « sans précédent ».
«
Le motu proprio lui-même est l’antithèse exacte de Summorum pontificum
et la lettre qui l’accompagne est l’antithèse exacte de la lettre qui
accompagnait Summorum pontificum », a déclaré Kwasniewski.
«
Dans toute l’histoire de l’Église, il n’y a jamais eu de rejet aussi
dramatique d’un prédécesseur du Pape. Jamais. C’est sans précédent, et
je peux le dire en toute confiance. »
Gregory
Di Pippo , rédacteur en chef du Nouveau mouvement liturgique en ligne ,
a déclaré à LifeSiteNews que l’accusation du pape François selon
laquelle les catholiques qui aiment la messe en latin ont rejeté
Vatican II est fausse.
« C’est un mensonge, et vous pouvez me citer en disant cela », a déclaré Di Pippo.
Michael
Matt de The Remnant a accusé le pape François d’être » un outil
mondialiste » qui est » obsédé par l’écrasement du petit
reste de croyants dans un monde d’apostasie universelle « . Matt a
écrit que le pontife « a verrouillé Summorum Pontificum parce que,
comme un crucifix pour un vampire, la vieille liturgie catholique
menace le diabolique Nouvel Ordre Mondial auquel François a
signé ».
«
Tout d’abord, la célébration de la liturgie traditionnelle, dans les
termes définis par Summorum pontificum , entraîne une acceptation
implicite du Concile Vatican II et une acceptation implicite de la
validité de la réforme liturgique qui a été adoptée après le Concile –
non dans l’accomplissement du Concile, car ce n’était pas
l’accomplissement du Concile », a-t-il poursuivi.
«
Cependant, personne dans l’Église aujourd’hui, encore moins la papauté,
n’accepte la validité de Vatican II dans le sens où une grande majorité
des réformes adoptées dans le sillage de Vatican II ont été faites au
mépris de la lettre de Vatican II. [Ainsi,] la papauté n’a pas le droit
de dire à qui que ce soit : « Vous n’acceptez pas Vatican II ».
…
Un
évêque américain, l’archevêque Salvatore Cordileone de San Francisco, a
promis aux fidèles qu’ils pourraient toujours accéder à l’ancienne
messe dans sa juridiction. « La messe est un miracle sous toutes ses
formes : le Christ vient à nous dans la chair sous l’apparence du pain
et du vin », a-t-il déclaré à l’ AIIC aujourd’hui. « L’unité sous
Christ est ce qui compte. Par conséquent, la messe traditionnelle en
latin continuera d’être disponible ici dans l’archidiocèse de San
Francisco et fournie en réponse aux besoins et aux désirs légitimes des
fidèles. »
Le pape est «obsédé par l’écrasement du petit reste de croyants laissé dans un monde d’apostasie universelle»
Michael
Matt , rédacteur en chef du journal The Remnant , a écrit aujourd’hui
que les catholiques ne devraient pas se décourager.
« Dieu est responsable de tout, et cela ne se produirait pas s’il ne le permettait pas », a-t-il déclaré.
« Tout cela est déjà arrivé. Je sais, je me souviens, j’ai vécu ça », a-t-il poursuivi.
«
C’est un châtiment, oui, mais cela ne change rien à ce que nous sommes
appelés à faire : nous devons connaître, aimer et servir Dieu, et
résister à ceux qui ne le font pas. François n’a pas le pouvoir de
changer cela.
Matt
a eu des mots tranchants pour le pape François, accusant le pontife
d’être « un outil mondialiste » qui est « obsédé par l’écrasement du
petit reste de croyants laissé dans un monde d’apostasie universelle ».
«
Il a enfermé Summorum Pontificum parce que, comme un crucifix pour un
vampire, la vieille liturgie catholique menace le diabolique Nouvel
Ordre Mondial auquel François a signé », a-t-il écrit.
…
« La vulgarité de ce document n’a d’égale que sa cruauté »
Le spécialiste catholique, le Dr Taylor Marshall, n’a pas mâché ses mots sur son podcast aujourd’hui.
«
Le pape François a largué la bombe sur les catholiques traditionnels,
sur la messe traditionnelle en latin, et c’est la chose la plus
radicale que le pape François ait faite au cours de ses huit années à
Rome », a déclaré Marshall.
…
Le
prêtre-blogueur américain, le père John Zuhlsdorf, a noté
qu’aujourd’hui est la Journée mondiale du serpent , mais n’a pas
précisé. Dans un article séparé sur son blog bien connu, « Father Z » a
écrit que le motu proprio était une insulte.
«
Traditionis custodes… insulte effectivement tout le pontificat de
Benoît XVI et les dispositions pastorales de Jean-Paul II et de toutes
les personnes qu’ils ont affectées », a-t- il écrit.
Notant
que les arrêtés entrent en vigueur immédiatement, le P. Z a dit que le
premier fruit du document « cruel » était le « chaos ».
« Maintenant, les gens
m’écrivent pour me demander ce qu’ils sont censés faire dimanche. Les
prêtres demandent s’ils remplissent l’obligation de dire l’Office avec
le Breviarium Romanum . Les questions se multiplient au fur et à mesure
que j’écris. Le premier fruit de Traditionis est le chaos », écrit-il.
« Par conséquent, je suis obligé de remarquer que la vulgarité de ce document n’a d’égale que sa cruauté », a-t- il conclu.
« Même
ceux qui ont été des critiques invétérés des dispositions de Benoît,
qui peuvent même aller jusqu’à haïr non seulement les formes
traditionnelles de culte, mais les personnes qui les veulent, devraient
être horrifiés par la brutalité de son document. » »
(lifesitenews.com)
« Cher Aldo Maria, à la fin,
voilà Traditiones custodes. Aujourd’hui, 16 juillet 2021, le pape
François, par un motu proprio, sanctionne de facto la fin de la
liturgie selon le Missel de 1962.
Il
s’agit d’une intervention dure et maximaliste qui ne laisse aucune
place à la liberté, ni pour les prêtres ni pour les fidèles. Personne
ne s’y attendait en ces termes.
Pour
François, la liturgie préconciliaire libéralisée par son prédécesseur a
servi à diviser, à priver Vatican II de son autorité, à ne pas
reconnaître le Magistère postconciliaire, ce qui revient à dire qu’il
est d’accord avec la Fraternité Saint Pie X pour dire qu’il y a une
incompatibilité absolue entre l’Eglise préconciliaire et
postconciliaire.
L’intention
du document est claire : abolir le Divin Sacrifice tel qu’il était
célébré jusqu’en 1970, au nom du Concile Vatican II, qui représenterait
la véritable Tradition de l’Église.
Que va-t-il se passer maintenant dans les diocèses ?
Le
pape a décidé de jouer une guerre sale, en jetant la bombe sur les
fidèles attachés à ce qui avait été appelé la « forme extraordinaire ».
Toutefois, contrairement à Nagasaki et Hiroshima, elle ne scellera pas
nécessairement la victoire décisive de la guerre contre la résistance
traditionnelle. Au final, il pourrait s’agir d’une victoire à la
Pyrrhus retentissante.
Il
y a beaucoup de prêtres et de fidèles qui, en ce moment, se sentent
humiliés par leur pasteur et personne ne peut en connaître les
conséquences. Que vont-ils faire ? L’accepteront-ils simplement ?
Feront-ils une action démonstrative sur la place Saint-Pierre pour
demander à leur mère Église pourquoi il y a de la place pour le père
James Martin et pas pour eux ? Pourquoi y a-t-il de la place pour la
voie hérétique allemande et pas pour eux ? Pourquoi y a-t-il de la
place pour tout le monde mais pas pour eux ? Et encore : vont-ils agir
individuellement ou quelqu’un va-t-il prendre la tête de la rébellion ?
Le
pape prétend avoir agi pour restaurer et renforcer la communion et
l’unité de l’Église ; cependant, on voit s’avancer, menaçante, l’ombre
qui pourrait faire se réaliser ses propres paroles quand, en décembre
2016, il s’est laissé aller à cette expression : « Il n’est pas exclu
que je rentre dans l’histoire comme celui qui a divisé l’Église
catholique « .
il Giovane Prete
16 juillet »
(benoit-et-moi.fr)
Curieusement, la tache solaire
dont est sortie la première éjection de classe X du cycle 25 il y a
deux semaines a un étrange comportement depuis le 12 juillet.
Située
maintenant sur la face cachée par rapport à la Terre (pour ceux qui ne
le savent pas le Soleil a une rotation de 28 jours environ), elle
devrait réapparaître en début de semaine.
Donc,
cette tache a émis au moins 3 éjections de masse coronale (CME) en halo
(c'est à dire sur 360 degrés), toutes en éloignement par rapport à la
Terre.
Celle du 16 juillet est spectaculaire (ici: https://ibb.co/QrFXbxC)
Phénomène qui s'est répété hier.
Cette tache devrait commencer à faire face à la Terre cette semaine.
C'est à lier, en cette année de Saint-Joseph, à octobre 1917 à Fatima.
Pendant
le spectacle du miracle du Soleil, un tableau en trois actes apparu aux
enfants: ils ont vu Notre-Dame du Rosaire qui s’éleva au firmament à
côté du SOLEIL, joints par Saint-Joseph et l’Enfant Jésus qui
bénissaient le monde, puis Marie devint Notre-dame des Douleurs, joint
par Jésus qui bénissait à son tour le monde, puis Marie devient
Notre-Dame du Carmel.
Trois dates à retenir donc: 16 juillet, 15 septembre, 7 octobre.
13 juillet
LES MARTYRS DE 2021
Devant cet étau qui se
resserre face aux gestes posés face à la pandémie qui deviennent lois,
le petit reste isolé devient inévitablement qu’un martyr des derniers
temps, psychologiquement pour l’instant, du moins pour la majorité, puisque l’heure des choix est arrivée :
La
clique judéo-maçonnique va de l’avant avec une dernière salve en 2021,
elle n’a plus le choix, avec son système de contrôle total pour sa
propre survie temporelle, et pour son pseudo dieu.
Les
vaccins et le passeport vaccinal ne sont qu’une étape nécessaire,
appliquée au compte-goutte (un conditionnement) pour en venir à une
dictature plus serrée à la chinoise (les rapports d’une élite
judéo-maçonnique idolâtrant le modèle chinois le confirment de plus en
plus).
Petit rappel: « Ce qu’il nous attend si on ne se bouge pas »
Mais, il ne peut y avoir de
dictature mondiale sans l’électronique et sans une seule monnaie
mondiale, électronique, sinon le troc et la micro-économie
permettraient d’éviter le système.
Cet
électronique, ce n’est pas dans les téléphones intelligents que nous la
trouverons, car ce n’est pas tout le monde qui en possèdent.
D’où le concept de transhumanisme à la Klaus Swab ou Bill Gates.
L’invention
par le MIT, présenté le 18 décembre 2019 à Washington, d’une
technologie de vaccination sous-cutanée encapsulée dans des
nanoparticules et des nanocristaux qui deviennent fluorescents à
l’approche d’une lumière proche de l’infrarouge, donne le signal à
l’élite que c’est possible (voir patriote.info par exemple).
Facile alors de « tatouer » un futur code QR individuel de ce type sur la peau.
La
monnaie unique électronique, déjà annoncé comme étant le GOV (The
Economist, le Phoenix renaissant de ses cendres: grande
réinitialisation, voir analyses précédentes).
La révision des DTS (droits de tirage spéciaux) du FMI est prévue pour le 30 septembre 2021: occasion d’officialiser le GOV?
Un article de M.Lucien Cerise résume bien l’étape présente.
« … (le) projet est la société
« sans contact », c’est-à-dire sans contacts humains, programme soutenu
entre autres par le gouvernement sud-coréen, où les interactions
sociales directes disparaîtront et seront encadrées, médiatisées et si
possible remplacées par la techno-science, l’informatique et les
écrans. Pour y parvenir par étapes, le pouvoir accumule les mesures de
contrôle social sans qu’aucune n’annule les autres et en espérant les
rendre irréversibles. Le confinement et le couvre-feu doivent devenir
perpétuels, le port du masque doit être permanent, la distanciation
physique aussi, il faudra nous revacciner tous les six mois pour mettre
à jour notre « passe sanitaire », nouvelle mouture du passeport
intérieur des régimes totalitaires, etc…
La
frontière entre maladie et santé s’efface : nous sommes tous
potentiellement malades, comme chez le Docteur Knock, et nous devons
donc tous accepter d’être tous traités comme des malades. Cette «
nouvelle réalité » de la maladie permanente et omniprésente doit
permettre de remettre votre santé entre les mains du biopouvoir
cybernétique. Comment ? En implantant dans les esprits un parallèle
entre les risques encourus par nos ordinateurs et par nos corps. La
cybernétique ne distingue pas le vivant et la machine. Ainsi, le
biopouvoir pose plusieurs équations : homme = ordinateur ; virus
biologique = virus informatique ; anti-virus biologique = anti-virus
informatique. Bill Gates est l’homme qui incarne cette fusion de
l’informatique et de la santé publique. D’où vient l’intérêt du
fondateur de Microsoft pour les virus biologiques et les vaccins, au
travers notamment de sa fondation GAVI – Global Alliance for Vaccines
and Immunization ? Cela pose question. Lui et d’autres transhumanistes
essayent de nous transformer en névrosés hypocondriaques volontairement
intégrés dans un système fusionnant le corps humain et les machines par
la transposition dans le biologique de ce qui existe en informatique :
la peur permanente des virus – phénomène purement psychologique car, en
réalité, il y a très peu de virus dangereux – et l’obligation de vivre
avec un antivirus fabriqué, un pare-feu dans le langage informatique,
équivalent du masque et du vaccin…
L’occultisme
est un rapport proactif et interventionniste à la perception de la
réalité pour modifier la réalité. On ne touche pas directement la
réalité matérielle, on touche sa perception, et surtout sa perception
narrée, inscrite dans un récit. On peut donc transformer indirectement
la réalité en agissant sur l’esprit des gens qui la perçoivent. Et agir
sur l’esprit signifie agir sur la narration qui raconte la réalité,
principe du Storytelling. Il n’y a pas d’esprit en dehors d’une
narration, d’un langage, d’un code. L’esprit humain est langagier,
structuré par une grammaire et une syntaxe – les phénomènes psychiques
n’arrivent pas au hasard – et constitué physiquement de signes
linguistiques, qui sont les « unités discrètes », les briques
élémentaires, les atomes de l’esprit. Pour agir sur l’esprit d’autrui
comme un occultiste, il faut donc agir sur la narration qui structure
son esprit, devenir un maître linguiste, un maître du langage – plus
simplement, un bon écrivain, un bon scénariste – ce qui explique le
rôle des « formules magiques », ce que l’on appelle aujourd’hui des
slogans, et qui sont omniprésents dans l’espace médiatique et
publicitaire…
Les
médias de masse procèdent à une séance d’hypnose collective en continu,
24 heures sur 24, 7 jours sur 7, que l’on peut décrire à la suite de
Tchakhotine comme un « viol des foules », mais un viol consenti, une
pénétration furtive de l’intériorité d’autrui, pour téléguider autrui,
agir sur lui depuis son extériorité sans qu’il en soit pleinement
conscient. Tout ceci évoque le concept d’Inception, comme dans le film
de Christopher Nolan, consistant à pénétrer dans l’inconscient d’autrui
pour y déposer une idée, un mot-clé, un signifiant déclencheur
(trigger) qui sera activé à un moment donné, pas toujours
immédiatement, comme une bombe à retardement. Tel est le rôle du
symbole de l’arc-en-ciel et de tous les signes de ralliement, hashtags,
graffitis, slogans, et de la pratique d’ingénierie sociale
d’hameçonnage (phishing), fondée sur le double sens, l’ambivalence
sémantique, qui fait passer une signification sous couvert d’une autre
signification, avec un sens caché dans un autre sens, principe de la
stéganographie…
L’esprit
jacobin de la révolution française, c’est l’esprit du progressisme
maçonnique, c’est-à-dire l’esprit scientiste, mathématique,
géométrique. Bien sûr, cette approche entièrement quantitative du
monde, qui réduit tout aux nombres, est assez répandue au-delà de la
pensée maçonnique et se rencontre à diverses époques et en divers lieux…
Le cube est la projection
tridimensionnelle du carré, c’est-à-dire de l’angle droit, qui n’existe
pas dans la nature. Trouver une forme à angles droits dans la nature
signifie qu’une intelligence est forcément passée par là pour la
fabriquer.
Remplacer veut dire tuer. La
culture doit tuer la nature, l’esprit doit tuer le corps, tel est le
cœur conceptuel de la pensée gnostique, progressiste, utopiste,
prométhéenne, transhumaniste et maçonnique. Ce qui était impossible
naturellement deviendra possible culturellement, par la techno-science,
et rendra la nature obsolète. L’esprit vaincra la matière. L’âme
vaincra le corps. L’utopie vaincra le réel.
» (noach.es pour le long article)
La campagne de peur présente
pour pousser le conditionnement de la masse (la vaccination n’en est
que l’outil) est la courroie de transmission pour arriver à leurs fins,
sachant par exemple que le variant Epsilon présent en Californie révèle
que « … Trois mutations dans la protéine de pointe du coronavirus
Epsilon atténuent le pouvoir neutralisant des anticorps induits par les
vaccins actuels ou les infections COVID passées.
Les mutations donnent à cette
variante préoccupante du coronavirus un moyen d’échapper totalement aux
anticorps monoclonaux spécifiques utilisés dans les cliniques et
réduisent l’efficacité des anticorps du plasma des personnes vaccinées…
» (newsroom.uw.edu)
Autrement dit, les anticorps
créés par les vaccins ne reconnaissent plus la protéine Spike qui a
subit trois mutations internes pour changer son « apparence ».
En
relation avec les propos de Lucien Cerise ci-haut, ils ne peuvent
lâcher le morceau dans cette ultime étape (grande réinitialisation): «
Pour y parvenir par étapes, le pouvoir accumule les mesures de contrôle
social sans qu’aucune n’annule les autres et en espérant les rendre
irréversibles. »
Ce qui veut-dire : vaccination à perpétuité pour conditionner entièrement la masse…
C’est
ce qu’a demandé Pfizer/BioNTech la semaine passée : l’autorisation pour
une troisième dose de son vaccin, sachant déjà que le variant Epsilon
échappe à la vaccination.
Logiquement, toute vaccination devrait être arrêtée immédiatement. Mais non.
C’est le royaume du mensonge. Les étapes s’accumulent. Ils n’ont plus le choix d’aller droit devant, droit dans le mur.
Bergoglio
l’a toujours affirmé : il n’y aura pas de retour en arrière, même pour
la religion catholique, d’où l’ultime attaque en préparation contre la
messe tridentine.
Voici un article intéressant afin de se faire un idée de la situation en cours:
«
9 juillet 2021 ( LifeSiteNews) – Le Dr Vladimir Zelenko, le médecin
new-yorkais qui a été le pionnier de l'utilisation de
l'hydroxychloroquine (HCQ) et du zinc comme traitement du COVID-19, a
accordé une longue interview à LifeSiteNews pour expliquer pourquoi ce
protocole a connu un tel succès. S'adressant à Claire Chrétien de
LifeSite, Zelenko a discuté des vaccins contre les coronavirus et du
«groupe de sociopathes» qui veut administrer ces injections au monde
entier, ainsi que de la censure généralisée des informations sur le
traitement du virus.
Zelenko est médecin de famille
depuis deux décennies dans le nord de l'État de New York. COVID-19 a
balayé cette région à l'avènement de l'épidémie de coronavirus en mars
2020. Parmi les cas les plus graves de coronavirus de Wuhan à cette
époque, la plupart des patients ont été mis sous respirateur, mais « 80
à 90 pour cent des personnes sous respirateur étaient mourir, ce
n'était donc pas un très bon modèle de traitement », a noté Zelenko.
Sur 3 000 patients positifs au
COVID dont il s'occupe, Zelenko en a identifié 1 000 comme « à haut
risque » avec lesquels son intervention médicale à base de HCQ et de
zinc « a réduit le taux de mortalité de 7,5% à moins d'un demi pour
cent ».
« Cela représente une réduction de 84 % des hospitalisations et des décès. »
"Sur les 600 000 morts américains que nous avons, nous aurions pu empêcher 510 000 d'aller à l'hôpital et de mourir."
Pourtant, ce protocole n'a pas
été largement adopté par la communauté médicale. De nombreux Américains
qui ont attrapé le coronavirus ont découvert que leurs médecins ne
prescriraient pas d'hydroxychloroquine, ou que les pharmaciens ne
rempliraient pas les ordonnances pour cela.
"Il a été adopté par des
médecins de renommée mondiale qui sont honnêtes et capables de
raisonnement déductif et ne sont pas endoctrinés", a déclaré Zelenko à
LifeSite, mais "malheureusement, 90% des médecins de ce pays sont
incapables de penser de manière indépendante".
« Le résultat net est qu'ils
suivent aveuglément les recommandations de leurs employeurs ou des
agences gouvernementales sans faire preuve de bon sens. Ils ne font que
suivre les ordres, comme le faisaient les nazis...
"Il existe des dizaines
d'études qui corroborent" son approche du traitement du virus, a ajouté
Zelenko, avant d'ajouter que son protocole n'est pas le seul remède
efficace : l'ivermectine est l'une des mesures préventives les plus
puissantes contre la maladie due au virus.
Malgré les restrictions
gouvernementales sur la distribution de HCQ, un élément nécessaire du
protocole, Zelenko a trouvé une alternative en vente libre qui
fonctionne de la même manière pour aider le zinc à pénétrer dans les
cellules et à inhiber la réplication virale.
"C'est le remède contre la
tyrannie", a-t-il déclaré, ajoutant que les principales raisons pour
lesquelles un patient mourra d'une infection au COVID-19 sont centrées
sur "le gouvernement sous lequel vous vivez et le médecin que vous
choisissez", plutôt que sur le virus lui-même.
Expliquant, Zelenko a déclaré:
«Si je peux vous dire « Allez à la pharmacie et procurez-vous de la
quercitine, de la vitamine C, de la vitamine D et du zinc » qui sont
partout en vente libre, et si vous les utilisez à la bonne dose, vous
vous sentirez mieux, et resterez en bonne santé, tout d'un coup, j'ai
donné à l'individu le pouvoir de ne pas être subjugué ou brutalisé par
une terrible gouvernance. les méfaits et les fautes professionnelles
des médecins.
"Il n'y a aucune nécessité médicale pour ce liquide expérimental"
Compte tenu du succès de son
régime de traitement, Zelenko a déclaré qu'"il n'y avait aucune
nécessité médicale pour ce liquide expérimental", en référence aux
vaccins de thérapie génique à ARNm administrés dans le monde. Selon les
Centers for Disease Control and Prevention (CDC), les personnes de
moins de 18 ans ont une « récupération de 99,998% de COVID sans
traitement », a noté Zelenko.
Cela contraste avec les
quelque 7 000 décès et les centaines de milliers d'événements
indésirables signalés après l'injection d'un vaccin à ARNm, a déclaré
le médecin, ajoutant que le risque de préjudice pour les enfants lié
aux vaccins pourrait atteindre 50 à un.
"Ce n'est pas un risque, c'est un meurtre", a-t-il déclaré.
Parmi les 18 à 45 ans, Zelenko
a expliqué que le taux de récupération chute légèrement à 99,95 %. De
même, les risques d'innocuité liés à la prise d'une substance
expérimentale l'emportent sur tous les avantages potentiels, dont
Zelenko admet que l'efficacité est «discutable», même parmi les
personnes appartenant aux catégories à haut risque pour lesquelles son
protocole médical a eu un avantage démontrable.
'Complot pour commettre un génocide par un groupe de sociopathes qui pensent qu'ils sont Dieu'
Qualifiant la crise des
coronavirus de "la plus grande guerre psychologique de l'histoire de
l'humanité", Zelenko a poursuivi en expliquant que le monde entier
était rempli "de peur pathologique".
« Cette peur est ensuite
utilisée pour manipuler le comportement humain », a-t-il déclaré,
rappelant comment certains des hommes les plus puissants du monde,
comme le fondateur et milliardaire de Microsoft Bill Gates, qu'il a
qualifié de « sociopathe », ont utilisé la peur pour faire avancer un
programme. "que la population mondiale doit être réduite."
Concernant la prise de
contrôle actuelle de la santé publique, « en 2020, Gates a déclaré que
sept milliards de personnes devront être vaccinées », avec une solution
qui reste dangereuse et non testée.
Reconnaissant la tâche
gigantesque de convaincre sept milliards de personnes de prendre un
vaccin, Zelenko a suggéré que cette fin ne peut être atteinte qu'en
«générant une telle peur pathologique, puis en proposant une solution
artificielle. Vous devenez leur sauveur.
« Il y a toujours eu des
tyrans et des despotes qui ont l'illusion qu'ils sont une divinité, ou
divins, et estiment qu'ils ont le droit de tracer le cours de
l'histoire humaine. »
La base de la nature humaine, a déclaré Zelenko, peut être considérée de deux manières principales.
Premièrement, « vous pouvez
considérer un être humain comme étant fait à l'image et à la
ressemblance de Dieu… cela signifie que nos vies sont saintes… cela
signifie que nos vies ont des droits humains ».
« Si tel est le cas, ce n'est
pas dans le domaine de l'être humain de décider combien de personnes
devraient être dans le monde et combien de temps nous devrions vivre. »
En opposition, a déclaré
Zelenko, se trouve "l'approche darwiniste … eugéniste qui veut que la
hiérarchie de dominance de l'humanité dépend d'une constitution
génétique supérieure".
"L'idéologie nazie était
exactement cela", a-t-il déclaré. Les nazis se sentaient en droit
d'éradiquer « ceux qu'ils considéraient comme des sous-humains », y
compris ceux qui n'étaient pas d'accord avec eux politiquement, a-t-il
ajouté. « La même chose se produit maintenant, sauf que ce n'est pas
antisémite. »
Selon Zelenko, Gates et Klaus
Schwab du Forum économique mondial, dont ce dernier a écrit le livre
The Great Reset , font partie d'un « groupe de sociopathes ».
Ce groupe pense avoir « évolué vers un être supérieur », un type de « surhumain ».
« Ils font avancer ce
programme transhumaniste », a averti Zelenko, tout en encourageant
l'éradication de la propriété privée et des combustibles fossiles, et
en essayant de vacciner chaque personne sur terre.
« C'est un complot – mais pas
une théorie – et c'est un complot pour commettre un génocide par un
groupe de sociopathes qui pensent qu'ils sont Dieu… C'est une guerre
contre Dieu.
« Nous vivons dans la
Troisième Guerre mondiale… le problème est que l'arme qui est utilisée
[la peur] est un tueur silencieux », a-t-il déclaré.
Le médecin a exhorté les gens : « Ne cédez pas à la peur. »
« Vous êtes mis à l'épreuve par Dieu. À qui vas-tu te prosterner ?
Zelenko lui-même a été
persécuté pour son refus de garder le silence sur ses recherches.
Indépendamment de l' efficacité de son protocole pour sauver la vie des
patients, il a été banni de Twitter, Facebook et YouTube, tout cela en
raison de son approche réussie et contre-narrative de COVID-19.
En termes non équivoques,
Zelenko a décrit la suppression de ses informations sur les traitements
salvateurs et les informations salvatrices fournies par d'autres, dans
le cadre d'un « complot en vue de commettre un meurtre ».
« Je pense que toutes les
morts que nous avons subies dans le monde ont été intentionnelles,
volontaires, malveillantes et dues à une gouvernance néfaste », a-t-il
décrié. « C’est un crime d’envergure historique et biblique. »... » (lifesitenews.com)
La vaccination n’est pas la marque de la bête en tant que telle.
Parce que la marque de la bête mène en enfer et ce n’est pas parce que nous sommes vaccinés que nous sommes damnés.
La marque de la bête c’est l’adhésion au système 666 soit par la pensée (le front) et par ses actions (la main droite).
Volontairement.
Cet épisode vaccinale nous confirme par contre que l’Antéchrist système est bien présent, et visible!
Comme
nous l’affirmons ci-haut, la vaccination est un prétexte pour quelque
chose de bien plus gros que la clique judéo-maçonnique réserve à
l’humanité, un conditionnement psychologique de la masse.
Et n’oublions pas cette phrase du regretté S. Monast: « le religieux domine le politique ».
C’est là qu’est leur
objectif : faire monter Satan sur le trône, le nouveau messie, le
peuple prêtre prêt pour en être la portion visible.
Relisons
attentivement l’analyse de L. Cerise ci-haut, ce qui lié au texte du
Dr. Zelenko, confirme cette « 3ème guerre mondiale »…. contre
l’humanité, et l’âme.
D’où l’importance de la prière, car ils veulent bien couper ce lien de l’Esprit par leur conditionnement psychique.
Ce canal, le Rosaire, est le seul et unique outil pour s’en sortir spirituellement : nous avions été avertis.
Il faut bien comprendre conséquemment pourquoi ils nous semblent qu’il n’y a plus de signe du Ciel, que Dieu s’est retiré.
Pourtant la Source est toujours là.
Mais ils veulent couper le lien de « transmission ».
Ce qui est pratiquement accompli par la Grande Apostasie.
La mutation de la civilisation est pratiquement complète pour eux.
Ce n’est pas un effondrement de civilisation auquel nous avons assisté.
Tout est subtil, calculé.
Elle a été remplacée par une « malsociété ».
Nous
n’avons pas eu le sentiment de confrontation entre les deux
civilisations parce que l’ex-civilisation s’est auto-suicidée en
acquiesçant à son remplacement par Vatican II en faisant croire
qu’il s’agissait pour elle d’une évolution!
C’est
pourquoi que cette civilisation de remplacement est maintenant tout à
fait visible pour les catholiques ayant encore la Foi : elle n’a
plus à se cacher car la victoire est proche, elle est sûre pour eux!
Mais Dieu avait d’autres plans...
«
Il y a une question fondamentale à poser à ceux qui désignent le Mal
Suprême et Absolu qui menace le monde sous le nom de Fascisme, Racisme,
Souveraineté, Homotransphobie: de quels maux souffre réellement notre
société, aussi bien la société italienne que la société occidentale et
mondiale?…
Les
véritables maux et dangers d’aujourd’hui découlent de situations
réelles, des contradictions inévitables du monde actuel, des modèles
d’État et de développement qui ont prévalu, ou remontent aux
responsabilités des classes dirigeantes, des gouvernements et des
pouvoirs de 1945 à aujourd’hui, qui étaient et sont aux antipodes des
maux idéologiques désignés comme les dangers pour l’avenir. Ils ne sont
certes pas issus de ces cultures d’opposition.
La
« malsociété » dans laquelle nous vivons est gouvernée, depuis presque
quatre-vingts ans, par une classe de pouvoir, un establishment qui
s’est toujours opposé aux nazi-racismes et aux phobies énumérés plus
haut, qui au contraire s’est légitimé précisément parce qu’il
s’opposait à ces maux idéologiques et historiques, étant par définition
antifasciste. Par conséquent, croire que les vrais maux de notre
présent sont ceux que pointent obsessionnellement les pouvoirs en
place, les médias, le cinéma, les intellectuels alignés, c’est de la
pure mystification idéologique, c’est nier la réalité et ses vrais
désastres, c’est faire diversion pour ne pas voir les choses telles
qu’elles sont vraiment, c’est nous faire vivre dans une bulle fausse et
virtuelle, à l’intérieur d’une hallucination collective. Pointer du
doigt ces prétendus maux au lieu des vrais, c’est ne pas affronter les
problèmes les plus graves que la réalité de tous les jours,
d’aujourd’hui et de toujours, place devant nous, sur nous, sous nous,
en nous et au-dessus de nous. Chasser les fantômes des maux ou leurs
substituts, en oubliant les vrais….
…
les maux de notre époque s’accompagnent de l’effondrement de la
civilisation et de ses points de référence ; nous sommes dans un désert
spirituel et moral, un désert de sens et de destin, de principes et
d’idéaux, avant d’être un désert de valeurs. Et le désert produit des
monstres, des hallucinations, la mort.
Les
montants et les charnières qui sont les fondements des civilisations
sont criminalisées et détruites parce qu’elles sont considérées comme
porteuses de racisme et de suprémacisme, de nationalisme et de
xénophobie, de nazisme, de fascisme et de diverses autres phobies. Et
pourtant, elles constituent le patrimoine de notre civilisation sur le
plan culturel, civique et religieux, ce qu’on appelle les traditions.
Qui sont alors les moins égoïstes, particulières, brutales et négatives
qui puissent exister, car elles ne concernent pas seulement un peuple,
une nation, un monde, et donc sa primauté exclusive uber alles, mais
touchent l’humanité entière, tous les peuples, toutes les sociétés et
toutes les religions, la condition humaine. Et elles incitent un
individu à se sentir membre d’une communauté. Alors, bien sûr, on peut
aussi les utiliser de manière agressive et discriminatoire ; mais
l’abus d’un principe n’invalide pas sa signification et sa valeur
originale et universelle. Car si des viols, des meurtres et des
violences sont commis au nom de l’amour, cela ne condamne pas l’amour,
mais ceux qui en abusent, le déforment et le brutalisent. Il en va de
même pour l’amour de la patrie, l’amour de Dieu ou l’amour du père et
de la mère, de l’enfant et du frère.
En résumé, nous sommes entrés dans la guerre civile mondiale entre la réalité et sa mystification.
Nous sommes et serons du côté de la réalité autant que possible, aussi longtemps que cela sera possible. » (benoit-et-moi.fr)
En fait, cette 3ème guerre mondiale achève.
Et les prophéties de Jean XXIII le confirme par la prophétie de l'Église #11 ; « Le 7ème Sceau ».
02 juillet
Comme on le sait si bien: L’enjeu, c’est la Messe!
Suite de la saga sur « La Fraternité Saint-Pierre expulsée du diocèse de Dijon » (voir analyse du 14 juin).
«
« Vous allez avoir un nouveau Motu proprio dans les prochains jours ou
semaines », a dit le 26 juin Mgr Minnerath, archevêque de Dijon aux
fidèles de la messe traditionnelle venus manifester devant l’évêché
leur mécontentement. » Mais avant même la parution de ce texte, si tant
est qu’il soit bien publié, les témoignages sur les intentions des
ennemis du précédent motu proprio, celui de Benoît XVI se multiplient :
.
Ainsi, le Cardinal Parolin, Secrétaire d’État, a affirmé devant un
groupe de cardinaux : « Nous devons mettre fin à cette messe pour
toujours !»
.
Et Mgr Roche, nouveau Préfet de la Congrégation du Culte divin, a
expliqué en riant à des responsables de séminaires de Rome et des
membres de la Curie, tous anglophones : « Summorum
Pontificum est pratiquement mort ! On va redonner le pouvoir aux
évêques sur ce point, mais surtout pas aux évêques conservateurs »… » (fr.paix-liturgique.org)
Une transcription de ce qui s’est passé:
« DIJON, France, 30 juin 2020 (LifeSiteNews)
— Dans un nouveau développement concernant l’expulsion de la Fraternité
Sacerdotale Saint-Pierre (FSSP) de son apostolat à Dijon, dans l’est de
la France, Mgr Roland Minnerath a accepté de s’exprimer en personne à
plusieurs centaines de fidèles qui avaient organisé samedi matin une
manifestation pacifique devant son palais archiépiscopal…
Minnerath
a passé environ une demi-heure à expliquer les raisons de son
déménagement et à répondre aux questions – une minorité d’entre elles
agressives – de la foule. Le thème principal de son discours était la «
concélébration »…
L’archevêque
Minnerath a clairement déclaré que la décision de supprimer la FSSP
était liée à la révision par le pape François du Motu proprio Summorum
Pontificum qui sera rendu public « dans quelques jours ou semaines ». «
Le Pape parlera. Je sais ce qu’il va dire », a-t-il déclaré à
l’assemblée choquée.
Roland
Minnerath … a ajouté du poids aux craintes des catholiques à l’esprit
traditionnel en faisant si ouvertement de la concélébration dans le
nouveau rite une condition préalable absolue pour obtenir un apostolat
dans son archidiocèse.
Face
à une foule composée majoritairement de jeunes, de familles avec
enfants et seulement d’une poignée de fidèles âgés, Minnerath a insisté
sur le fait qu’il n’emmenait pas les prêtres de la basilique
Saint-Bernard, où la FSSP est présente depuis 23 ans. : « Je leur
demande seulement de montrer leur communion avec nous », a-t-il
déclaré.
Pour lui; la « concélébration » est une manifestation nécessaire d’une telle communion.
«
Je ne l’ai demandé qu’en signe de communion des prêtres avec d’autres
prêtres et avec leur évêque. Ce sont des choses qui ne peuvent pas être
discutées, c’est la nature de l’Église », a-t-il déclaré.
Ce
n’est évidemment pas vrai, puisque la concélébration fréquente, même
pour la messe chrismale du jeudi saint, est une innovation post-Vatican
II ; avant cela, dans les nombreux siècles où la concélébration était
une rare exception, la « communion » existait tout de même. Aussi, les
Églises orientales en communion avec Rome n’ont pas recours à la
concélébration avec des prêtres de rite latin pour prouver leur union
avec le Saint-Siège.
En
entendant des remarques de cette nature de la foule, ainsi que des
remarques sur le droit canon, Minnerath a demandé : « Avez-vous étudié
la théologie de quelque sorte que ce soit ? En savez-vous plus que moi
à ce sujet ? Alors s’il vous plaît, arrêtez… Le droit canon, je sais ce
que c’est. Si tu veux user d’arguments mesquins, si tu veux continuer à
être mené par le discours de la fraternité qui a un problème… »
« Mais nous voulons le bon Dieu ! a lancé un manifestant.
Minnerath
a répondu : « Je ne vois aucun problème dans leur attitude envers nous
s’ils viennent concélébrer de temps en temps et montrer leur unité avec
l’Église catholique. Vous dites qu’il y a deux rites, mais il y a
l’unité : l’unité est dans la personne du prêtre, mais il ne peut
exclure un autre prêtre. Écoute, je ne sais pas comment tu as été
endoctriné… »
Au
mot « endoctrinés », la foule a sifflé avec colère, et un « paroissien
» a crié : « Vous ne pouvez pas exclure vos propres moutons !
Une fois de plus, Minnerath
rejette l’objection : « Je vous dis que les choses sont devenues plus
claires : j’ai fait une dernière proposition à la FSSP. Soit ils
concélèbrent pour ( inaudible ) et ils restent, soit d’autres prêtres,
soit ils refusent et partent. Est-ce assez simple ? »
Un
autre manifestant a déclaré : « Quand la moitié des églises du diocèse
sont vides, c’est un scandale de licencier deux prêtres !
Minnerath
a répondu : « Cela n’a rien à voir avec ça. Que vous importe que ces
prêtres montrent leur unité avec nous ? Quelle différence cela fait?
Pas du tout! Écoutez, mes amis, je suis le garant de l’Église
catholique et de l’unité dans ce diocèse. Et donc, je fais mon travail.
Je n’ai aucun intérêt à cultiver l’opposition.
À
ce stade, le principal porte-parole de la manifestation a demandé à
l’archevêque de considérer le droit canon, qui stipule : « À moins que
le bienfait des fidèles du Christ n’exige ou ne suggère le contraire,
les prêtres peuvent concélébrer l’Eucharistie ; ils ont cependant
pleinement le droit de célébrer l’Eucharistie individuellement, mais
pas pendant qu’une célébration a lieu dans la même église ou oratoire.
Le
porte-parole a rappelé que peut 902 affirme la liberté de ne pas
concélébrer. « Demandez-leur d’autres signes d’union ! Sinon, c’est un
prétexte pour nous expulser et nous ramener à une sorte de statut de
Dhimmi des années 1970 », a-t-il déclaré. «
Écoutez,
Monseigneur, les années 1970 sont finies, les gens qui sont ici
viennent de tous les horizons. Nous sommes restés volontairement dans
l’Église, et depuis lors, nous sommes considérés comme des chrétiens
quelque peu séparés… Dans notre diocèse, nous sommes tolérés. Cette
situation est intolérable. La nôtre est une communauté vivante, elle a
des catéchumènes, il y a 40 enfants, il y a des prêtres pour vous
servir… Vous voulez leur imposer ça, vous voulez les coincer avec ça,
mais vous ne vous rendez pas compte que vous ramenez un guerre. Ce que
vous faites est détestable. Demandez-leur autre chose.
Minnerath n’a pas répondu aux
arguments mais a dit : « Vous avez tort de faire un grand discours
théologique et canonique. Connaissez-vous l’intégralité du statut de la
FSSP ? … Personne n’est obligé de concélébrer. Mais ce n’est interdit à
personne. Si l’on utilise les différences de rite pour faire une
communauté à part qui ne se reconnaît pas… »
Ici, l’évêque a été interrompu par des protestations et des huées, et il a proclamé : « Je suis l’unité ! »
C’est
lorsqu’un homme plus âgé a grossièrement dit à l’évêque qu’il serait
bientôt « dans une boîte en pin » et qu’il devrait « répondre de ses
actes », a révélé Minnerath, « ce n’est pas moi qui le demande. Vous
aurez un nouveau Motu Proprio du Pape dans quelques jours ou semaines,
ce qui mettra les choses en ordre. Je ne suis pas quelqu’un qui demande
des choses extraordinaires. Vous auriez mieux fait de manifester devant
vos prêtres et de leur demander : pourquoi êtes-vous bloqué sur une si
petite chose ?
« Chantage, Monseigneur », crie un manifestant.
« Pensez-y… La concélébration est le signe du reste, vous comprenez ? » répondit l’évêque.
D’autres
manifestants ont demandé à Minnerath de célébrer le rite traditionnel
en signe d’unité. « Je l’ai fait de temps en temps », a-t-il
répondu. « Je n’ai rien contre l’Ancien Rite. Je fête aussi dans
l’autre. Vous voyez : les prêtres ne doivent pas exclure l’autre rite.
Vous comprenez qu’il s’agit d’un problème qui concerne la structure de
l’Église ? Et je suis ici pour vous le rappeler », a-t-il déclaré,
avant d’ajouter, « le Pape parlera… je sais ce qu’il dira ».
Le
dialogue s’est poursuivi dans la même veine jusqu’à ce qu’un fidèle
rappelle que lors du confinement de l’an dernier, c’est grâce aux
instituts traditionnels et aux associations de laïcs, dont la FSSP, qui
ont poursuivi l’État français pour l’interdiction des messes publiques,
que le l’évêque a pu « célébrer la messe chrismale cette année ».
« Quel signe plus fort d’union sacramentelle y a-t-il que cela ? » demanda le profane.
Il n’y avait pas de réponse.
Un autre a fait remarquer : « Les groupes catéchétiques sont vides dans la plupart des paroisses de Dijon !
« Avez-vous une autre méthode pour attirer les jeunes ? demanda Minnerath.
« La Fraternité Saint-Pierre ! cria la foule.
Après
plusieurs autres échanges, l’organisateur de la manifestation a déclaré
à l’évêque : « Vous laissez à votre successeur un abcès, une division
dans votre diocèse. Nous avons une spécificité rituelle et une
spécificité liturgique et maintenant nous avons une spécificité dans
l’Église. Vous recevez les Orientaux… qui ne concélébrent pas. Laissez
votre successeur décider… Vous partez, mais nous restons.
Bien
que tous sachent que Mgr Minnerath a déjà préparé sa retraite qui aura
lieu dans quelques mois, il a répondu : « C’est très maladroit de votre
part de me jeter dehors. Je ne suis pas encore parti. Les chrétiens
d’Orient, ils ont un autre rite, il n’y a pas de concélébration. Mais
il existe deux formes du rite latin unique, le rite romain. Nous sommes
dans le même rite.
C’est
bien le choix fait par Benoît XVI, qui présentait la TLM et le Novus
Ordo comme deux « formes » d’un même rite, malgré les énormes
différences entre la Messe tridentine et les interprétations multiples
et variées de la Messe de Paul VI comme il est effectivement célébré.
Mgr Minnerath a conclu : «
J’ai fait l’effort de venir seul devant 300 personnes
(applaudissements) alors prends-moi au sérieux comme je te prends au
sérieux, d’accord ? »
Assurément, comme nous approchons du début du synode 2021/2023, l’offensive s’accélère:
« CITÉ DU VATICAN, 30 juin 2021 ( LifeSiteNews
) — Le Vatican a décidé d’interdire le latin, la langue traditionnelle
de l’Église catholique, de la célébration de la plupart des messes dans
la basilique Saint-Pierre.
Le
blog traditionnel MessainLatino.it a annoncé la nouvelle et a publié
une photo d’une note envoyée par Mgr. Franco Camaldo, qui a écrit au
nom du cardinal archiprêtre du Vatican, le cardinal Mauro Gambetti,
OFM, qui a été nommé par le pape François plus tôt cette année.
Camaldo a écrit que les
nouvelles règles entrant en vigueur sont le résultat de la réunion du
Chapitre du Vatican du 9 juin et étaient basées sur ce qui avait été «
proposé » lors de la réunion, combiné à une « réflexion mûre ».
À
partir du 29 juin, écrivait Camaldo, les célébrations eucharistiques
suivraient la procédure déjà en usage dans les « célébrations papales
». C’est-à-dire que la messe ne serait célébrée qu’en « italien », avec
les lectures et les prières des fidèles autorisées à être dites dans «
diverses langues modernes ».
Le latin ne serait autorisé que dans les « parties fixes » de la messe, les « Kyrie, Gloria, Sanctus, Pater et Agnus ».
Les
nouvelles règles s’appliqueront également à la récitation de la
liturgie des heures, car la note indique qu’une telle récitation « peut
également être célébrée en italien », tout en conservant la mélodie
grégorienne. Un peu de latin sera retenu, mais seulement pour « l’Hymne, l’Antienne, le Benedictus, le Magnificat et le Pater »…. »
Pendant qu’aux États-Unis, on sonne le réveil:
« 29 juin 2021 ( LifeSiteNews
) — Les trois quarts des évêques américains ont voté en faveur d’un
réveil eucharistique national de trois ans commençant l’année
prochaine, avec l’objectif déclaré de renouveler l’Église en éveillant
une relation vivante avec le Seigneur Jésus-Christ dans l’Eucharistie ,
répandant un feu de dévotion pour le Saint-Sacrement à travers le pays…
»
Voici une autre preuve qu’une offensive majeure est en cours, en relation avec les commentaires sur la messe tridentine ci-haut:
« Le pape appelle à la fin de la « défense intransigeante de la tradition »
Dans
son homélie pour la fête des saints Pierre et Paul, le pape a semblé
comparer les catholiques « rigides » à la persécution de l’Église par
saint Paul
…
Le pape François s’est alors lancé dans ce qui est devenu une attaque
régulière contre les catholiques « rigides », semblant suggérer que les
catholiques « rigides » sont comme saint Paul dans son zèle
anti-catholique.
«
Comme Paul, nous sommes appelés à être libérés de l’apparence
hypocrite, libérés de la tentation de nous présenter avec la puissance
mondaine plutôt qu’avec la faiblesse qui fait place à Dieu, libérés
d’une religiosité qui nous rend rigides et inflexibles ; libre
d’associations douteuses avec le pouvoir et de la peur d’être incompris
et attaqué.
Le
magazine America, dirigé par des jésuites dissidents, a souligné cet
aspect de l’homélie du pape, rapportant qu’il avait lancé un appel pour
que l’Église soit libérée de la « défense intransigeante de la
tradition ».
Néanmoins,
c’est saint Paul lui-même qui a écrit : « C’est pourquoi, frères, tenez
bon ; et gardez les traditions que vous avez apprises, soit par la
parole, soit par notre épître. (2 Thessaloniciens 2:14)
Puis,
dans sa lettre à Tite, saint Paul stipulait que les évêques doivent
adhérer fidèlement à la doctrine de l’Église : « Embrassant cette
parole fidèle qui est selon la doctrine, afin qu’il puisse exhorter
selon la saine doctrine et convaincre les contrevenants.
Commentant
l’interprétation du pape de la théologie de saint Paul, l’auteur
populaire Deacon Nick Donnelly a écrit : « Le pape Bergoglio interprète
chaque page de la Bible à travers le prisme de lui-même. Ce n’est pas
un saint Paul que je reconnais, c’est Bergoglio Paul.
L’inquiétude
de Donnelly a été reprise par Eric Sammons, rédacteur en chef de Crisis
Magazine, qui a contesté la connaissance biblique du pape : « Cela
ressemble à l’interprétation protestante la plus fondamentaliste de la
vie de saint Paul qu’on puisse imaginer. Je retire cela : même les
protestants fondamentalistes grinceraient des dents devant cette
interprétation. »
Attaques récentes contre des catholiques « rigides »
Les
attaques du pape François contre ceux qu’il décrit comme « rigides »
ont augmenté en régularité ces derniers temps, aujourd’hui étant la
troisième attaque de ce type en autant de semaines.
Lors
de son audience générale la semaine dernière, le pape a dénigré les
prédicateurs en ligne qu’il a qualifiés de « rigides » et qui
cherchent « des solutions aux crises d’aujourd’hui ».
« C’est justement la voie du malin, de ces gens qui divisent, qui ne savent pas construire », a-t-il dit.
« Aujourd’hui
aussi, les prédicateurs ne manquent pas qui, notamment à travers les
nouveaux moyens de communication, peuvent perturber les
communautés », a poursuivi le pape François. « Ils ne se
présentent pas d’abord pour annoncer l’Evangile de Dieu qui aime
l’homme en Jésus crucifié et ressuscité, mais pour insister, en
véritables « gardiens de la vérité » — ainsi ils se disent — sur la
meilleure façon d’être chrétiens. »
Ce qui est confirmé par la FSSPX : « Le pape s’attaque encore à la rigidité »
Et pendant ce temps…
Le « Directeur de l’Académie
pontificale pour la vie : le Vatican « n’aurait pas dû » protester
contre le projet de loi italien sur « l’homophobie »
L’archevêque Paglia, souvent provocateur, a également semblé « soutenir le changement de catéchisme sur l’homosexualité… » (lifesitenews.com)
Il semble évident avec les
dernières nouvelles du Vatican, et ce via les derniers pions mis en
poste au Vatican par Bergoglio, qu’ils sont en train de changer le
catéchisme et l’enseignement de l’Église, et qu’ils tentent d’avaler
tel un ogre les traditionalistes et la messe en latin. Si on ne peut
les éliminer, aussi bien les assimiler.
L’offensive majeure est en cours.
Çà, se sont des signes tangibles.
Pendant
que l’église conciliaire diminue, l’Église grandit, comme un réveil des
« deux témoins », à la manière de Jean Baptiste qui affirmait: « Il
faut qu’il croisse et que je diminue. »
Juin 2021
30 juin
Dans la même ligne de pensée que les articles de l’analyse du 29 juin...
Alors,
que plusieurs s’interrogent sur la méthode qu’utilisera l’élite
ludéo-maçonnique pour intégrer la Chine à la grande réinitialisation…
C’est plutôt le contraire qui se produit…
C’est l’occident qui est amené vers le système chinois.
C’est très bien expliqué par le cardinal Müller.
« 29 juin 2021 ( LifeSiteNews
) — Le cardinal Gerhard Müller a accordé une interview à Lothar
Rilinger, un avocat et auteur de livres allemand. LifeSite est honoré
de publier un extrait pertinent ici (voir le texte intégral
ci-dessous). L’interview plus large traite des aspects et des
fondements de la liberté d’expression, et dans la sélection publiée
ici, le cardinal Müller critique fortement les tendances totalitaires
de notre temps, y compris la grande réinitialisation, le mouvement
Black Lives Matter, les « fanatiques » LGBT ainsi que « Les communistes
annulent la culture ».
En
défense d’une discussion académique libre, le prélat allemand rejette
l’idée que la police ou les institutions publiques contrôlent une telle
discussion, commentant : « C’est juste de la décadence, quand les
professeurs sont invités ou expulsés par la mesure intellectuelle des
activistes du genre, les fanatiques de Black Lives Matter et les
fanatiques LGBT. L’ancien chef de la Congrégation pour la Doctrine de
la Foi poursuit en disant qu’il y a une tentative « à grande échelle »
de codifier dans la loi ce qui est politiquement correct.
Ici,
le cardinal Müller voit que les milliardaires américains et l’industrie
pharmaceutique accompagnent les communistes chinois dans la mise en
œuvre d’une soi-disant grande réinitialisation : « Les super
milliardaires américains, les grands géants de la technologie et
l’industrie pharmaceutique essaient d’imposer leur mauvaise vision de
l’humanité et leur vision du monde économiquement limitée en
combinaison avec le modèle chinois du PC [Parti communiste] sur le
monde entier via leurs fondements et les opportunités de la grande
réinitialisation après la crise du Corona.
Avec
des mots sans ambiguïté, le prélat allemand condamne les tentatives de
dicter aux gens quoi penser et comment parler. Cela inclut la
soi-disant culture d’annulation, qui rejette des parties du patrimoine
d’une nation, ainsi que l’imposition d’une « langue de genre », une
façon d’écrire et de dire des mots allemands en utilisant un astérisque
qui inclut les hommes et les femmes, ainsi que tout autre identité de
genre possible.
Le
cardinal Müller qualifie de telles tentatives de « simplement barbarie,
vandalisme intellectuel », ainsi qu’une « imitation des régimes
totalitaires du XXe siècle à la manière des cauchemars d’Orwell ». Il
propose de décrire cette culture d’annulation avec des mots tels que «
annulez le vautour, la culture des vautours, ou du manque de respect
politique ».
«
Annuler la culture », poursuit le cardinal allemand, « n’est qu’un
autre mot pour désigner le lavage de cerveau que les communistes en
Chine et en Union soviétique ont développé à la plus haute perfection. »
Plus
précisément en ce qui concerne le « langage de genre », Müller
l’appelle un « instrument de domination » utilisé par les personnes
ayant une « mentalité de gardien de bloc ».
«
La grande majorité des Allemands », conclut-il, « rejettent
catégoriquement l’utilisation abusive de leur langue pour terroriser
mentalement les gens ».
Ce
n’est pas la première fois que le cardinal Müller critique vivement
l’évolution politique internationale actuelle qui est favorisée par une
étroite collaboration entre la haute finance américaine et les grandes
technologies, ainsi que les communistes chinois. Dans une interview de
mai 2021 avec M. Rilinger, il a décrit cette nouvelle collaboration –
qu’il appelle le socialisme néo-marxiste du capital – avec les mots
suivants.
En Chine, nous avons un
mélange de capitalisme dans l’économie et de communisme dans
l’idéologie, de telle sorte que les deux systèmes deviennent des moyens
de domination absolue. En Occident, pendant la crise du coronavirus,
les dix hommes les plus riches du monde ont pu augmenter la valeur de
leur fortune de 550 milliards de dollars, tandis que des millions de
personnes ont perdu leur travail ou sont passées sous le seuil de
pauvreté. Dans le même temps, les grandes entreprises médiatiques sont
entre leurs mains. Ainsi, ils détiennent le monopole de
l’interprétation des événements mondiaux, et les gens du commun sont
considérés comme un nouveau-né dont il faut prendre soin. C’est une
nouvelle forme de mélange du capitalisme avec le contrôle marxiste et
la domination des masses. Pourquoi pensez-vous que les milieux
intéressés en Occident admirent le système chinois de surveillance et
de contrôle ?
« La
pensée alignée qui prévaut aujourd’hui », a également expliqué
Müller, « est hostile à l’esprit. Du point de vue de la foi, nous
ne pouvons pas négocier avec les idéologies totalitaires, mais nous
devons retirer le masque de leurs visages. » »
La grande réinitialisation est un mélange de capitalisme avec un contrôle marxiste pour la domination des masses.
Le
but est un longue vie de richesses et de santé pour l’élite via
l’économie « électronique » contrôlée et le transhumanisme pour le
corps.
La 4ème révolution.
Les masses n’auront droit qu’aux miettes.
Une fois les gros joueurs sous contrôle d’un commun accord, les petits pays restants n’auront d’autre choix que de suivre.
Tout système doit s’accompagner d’une religion pour bien tenir en laisse la masse.
C’est la fraternité universelle, les droits de l’homme, l’homme déifié.
À ce titre, citons le pontife tant décrié dans les prophéties de Jean XXIII:
«
Nous aussi, nous plus que quiconque nous avons le culte de
l’homme. » (Paul VI, 7 décembre 1965, discours de clôture du
Concile Vatican II)
Évidemment, le but caché est religieux, profondément religieux.
C’est
l’élimination de la notion du Verbe Incarné, la haine talmudiste, pour
mettre en place le seul messie valable à leurs yeux, le peuple prêtre
privilégié, ayant seul le droit de faire connaître la volonté divine
aux goïms.
C’est le retour au sommet des pharisiens, comme au temps du Christ.
Le regretté Serge Monast l’avait bien anticipé :
« ...L'Église, sous
le pouvoir de l'Anti-Pape, sera absolument identique à l'Église de
Jérusalem au temps de Jésus-Christ. Elle partagera l'idéologie des
Nations-Unies de la même manière que les Prêtres du Temple partageaient
l'Idéologie et le Pouvoir avec les Romains. Elle conservera les
croyances en Jésus-Christ comme façade afin de dissimuler ses réels
intérêts qui seront, en réalité, la richesse, le Pouvoir Politique et
Religieux, et l'opportunisme sur tous les fronts tel que cela était le
cas de l'Église de Jérusalem au temps de l'Empire Romain. Elle établira
de nouveaux ''Concepts Religieux'', tous basés sur la divinité de
l'Homme où celui-ci sera considéré comme étant le ''Centre''... ... En
accord avec l'Agenda International à remplir, la première initiative de
l'Anti-Pape en sera une de réconciliation truquée avec l'ensemble des
Églises Chrétiennes du monde... L'élection d'un Anti-Pape aura eu pour
effet de provoquer un ''Schisme'' majeur, supposé être le dernier
devant survenir dans le Monde Chrétien…
Voici
donc le «Mensonge des Mensonges»! Voici «l'Abomination des
Abominations»! Les faux chrétiens étant à la tête de la nouvelle église
mondiale; et prétendant être les seuls et uniques représentants de
Jésus-Christ d'un côté; de l'autre, les vrais et réels disciples de
Jésus-Christ sur la route du Calvaire considérés comme étant les
ennemies de l'État Mondial tel que cela était le cas, il y a deux
milles ans, en face des prêtres de Jérusalem, et en face de l'empereur
romain à Rome.»
« Le nouveau critère sera
ainsi défini : Les vrais chrétiens seront ceux qui
partageront toutes les croyances religieuses du Nouvel Ordre
Mondial en tant que nécessité de base pour la survie de
l’humanité. » (Serge Monast, Le Complot des Nations-Unies contre
la Chrétienté,1995)
«
La société moderne est en train de formuler une foi antichristique, à
laquelle on ne peut s’opposer sans être puni par l’excommunication
sociale. Il est donc plus que naturel d’avoir peur de cette force
spirituelle de l’Antéchrist, et il faut vraiment l’aide de la prière
d’un diocèse entier, et de l’Église universelle pour y opposer de la
résistance. » (Benoît XVI)
Ce qui est loin d’être le cas.
Le point de non retour a été depuis longtemps dépassé.
Nous sommes témoins du dernier acte pour l’émergence du nouveau peuple messie.
Nous avons le katéchon qui veille, mais jusqu’à quand?
C’est même confirmé par Bergoglio... sous des termes mêmes utilisés dans les prophéties de Jean XXIII (Deux frères et personne ne sera le vrai Père. La Mère sera veuve....)
«
… Après la prière de l’angélus, place Saint-Pierre, le Pape François a
salué le pape émérite à l’occasion du 70e anniversaire de son
ordination sacerdotale. Il a remercié Benoît XVI pour son témoignage.
«Aujourd’hui, c’est un anniversaire qui touche le cœur de nous tous»
: le Pape François, après avoir évoqué la réunion de jeudi 1er juillet
au Vatican sur le Liban, évoque son prédécesseur et le 70e anniversaire
de son ordination sacerdotale. Le Saint-Père s’adresse au pape émérite
directement : «Benoît, cher père et frère, c’est à toi que va notre affection, notre gratitude et notre proximité».
Puis s’adressant aux fidèles réunis place Saint-Pierre, il poursuit : «Lui,
il vit dans le monastère, un lieu voulu pour accueillir les communautés
contemplatives ici, au Vatican, pour qu’elles prient pour l’Église».
Et de poursuivre : «actuellement,
c’est lui le contemplatif du Vatican, qui passe sa vie à prier pour
l’Église et pour le diocèse de Rome dont il est l’évêque émérite».
«Merci, Benoît, cher père et frère» s’exclame François.
«Merci pour ton témoignage crédible. Merci pour ton regard continuellement tourné vers l’horizon de Dieu : merci !», conclut-il sous les applaudissements des fidèles….» (vaticannews.va)
Magnifique leçon d'hypocrisie de l'abomination de la désolation.
Benoît
XVI est celui qui courcircuite ses plans depuis sa démission
(rappelons-nous le livre du cardinal Sarah; voir analyses précédentes).
Benoît XVI est le dernier verrou.
C’est confirmé dans la prophétie le concernant.
29 juin
Que
de tristesse en cette solennité des fêtes de Saint-Pierre et
Saint-Paul, où règnent la contradiction et la l’ambiguïté au Vatican.
Ce n’est pas nouveau.
C’est
là l’œuvre du malin, par l’abomination de la désolation sur le trône de
Saint-Pierre, qui on le rappelle, ne dit plus la messe sur la chair de
Saint-Pierre depuis un bon bout de temps à la basilique portant son nom.
« L’introduction
de la contradiction comme praxis de l’Église est l’une des principales
nouveautés perturbantes de ce pontificat… Les contradictions de ce
genre sont devenues habituelles dans ce pontificat et le caractérisent
de manière très évidente. Si l’idéologie du genre est une « erreur
de l’esprit humain », pourquoi inviter le père Martin à continuer
à travailler pour les droits des LGBT ? Si la Congrégation pour la
doctrine de la foi a placé des jalons précis dans le synode allemand
sur la bénédiction des couples homosexuels, pourquoi le pape François
invite-t-il le président des évêques d’Allemagne à poursuivre sur la
voie synodale ? Autre contradiction : les conférences épiscopales
ont-elles ou non une compétence doctrinale ? Et pourquoi, lorsque
certaines contradictions sont posées à Sainte Marthe ou au Saint-Office
pour être résolues définitivement, la réponse est de les discuter ?..
Si
l’on part de la version traditionnelle de la doctrine et de la
pastorale, la lettre du pape au père Martin est presque
incompréhensible et contradictoire. Pour en comprendre le sens, il faut
la voir du point de vue d’un nouveau paradigme, qui semble être celui
du pape François. Le point de vue traditionnel, fondé sur un ordre
naturel finaliste qui reçoit la lumière de l’ordre surnaturel,
soutenait qu’au niveau objectif, il existait des comportements qui, par
leur essence, détruisaient cet ordre naturel, puisqu’ils ne pouvaient
être ordonnés d’aucune manière au but ultime de Dieu. Un tel
comportement devait être rejeté par la morale personnelle et publique
et ne pouvait être validé légalement par l’autorité politique. Cela ne
signifie pas condamner l’individu, envers lequel la société et l’Église
doivent au contraire exercer leur proximité sans dissimuler la vérité
et le bien. La conséquence de cette vision était qu’à propos de ces
comportements, il était impossible de tomber dans la contradiction,
parce que dire le contraire revenait à accepter le mal et
l’injustice.». (benoit-et-moi.fr)
Pendant
que nous sommes inondés de nouvelles mensongères sur la pandémie, des
origines du Covid-19, d’une vaccination ou non, de possibles puces
électroniques, etc...
L’attention
est détournée intentionnellement pour le tour de prestidigitation en
préparation : la proclamation de la victoire du malin avec sa
nouvelle religion universelle.
Mais nous, nous le savons grâce aux enseignements du Christ que nous mettons en pratique: l'important c'est l'âme.
Le
corps physique est à révérer et à protéger à tout prix par la machine
et ses substituts: vaccins, médicaments miracles, transhumanisme,
exosquelette pour l'handicapé et même pour le soldat du futur, etc.
Ce sont tous des instruments voués à la destruction.
« Puis, ayant appelé le peuple
avec ses disciples, il leur dit : " Si quelqu'un veut marcher à ma
suite, qu'il se renonce lui même, qu'il prenne sa croix et me suive.
Car celui qui veut sauver sa vie, la perdra, et celui qui perdra sa vie
à cause de moi et de l’Évangile, la sauvera. Que servira-t-il à l'homme
de gagner le monde entier, s'il perd son âme ? » (Marc, 8,35)
L'élite judéo-maçonnique est en train de nous virer un contre l'autre. Ne tombons pas dans le panneau.
Nous devons être hors de Babylone tout en étant de Babylone. Nous n'avons pas le choix.
Lisez ceci via
benoît-et-moi.fr
« l’usine d’élevage de crétins fonctionne à plein régime. »
Le temps est à la dernière
manœuvre de l'ennemi, le dernier coup de canon, c’est à dire assembler
laïquement la masse non chrétienne dans le même moule pendant que
Bergoglio et la clique religieuse préparent les temples abrahamiques
pour les chrétiens consentants.
Tous dans la même fraternité universelle.
Les valeurs SONT (et non seront) complètement inversées.
C'est fait.
Nous sommes exclus.
Alors, regardons vers le haut, élevons notre âme, ne nous attachons plus au physique, le temps qui restant s’écoule rapidement.
Cultivons l’Espérance en notre cœur, nous avons tous les outils à porter de main.
Messes, prières, méditations, Foi, Espérance, Charité...
Utilisons les.
La porte est ouverte. Personne le peut la fermer. Il s’agît d’y entrer.
« Je connais tes œuvres. Voici
que j’ai mis devant toi une porte ouverte, que personne ne peut fermer,
parce que tu as peu de puissance, que tu as gardé ma parole et que tu
n’as point renié mon nom.
Voici que je te donne
quelques-uns de la synagogue de Satan, qui se disent Juifs, et ne le
sont point, mais ils mentent ; voici, je les ferai venir se prosterner
à tes pieds, et ils connaîtront que je t’ai aimé.
Parce que tu as gardé ma
parole sur la patience, moi aussi je te garderai de l’heure de
l’épreuve qui va venir sur le monde entier, pour éprouver les habitants
de la terre.
Voici que je viens bientôt : tiens ferme ce que tu as, afin que personne ne ravisse ta couronne. » (Apocalypse 3,8)
« Les ennemis de notre âme
sont toujours les mêmes, et les embuscades qu’ils nous tendent sont
toujours les mêmes. Le monde, avec ses séductions ; la chair, corrompue
par le péché originel et encline au mal ; le Diable, éternel ennemi de
notre salut et qui se sert de la chair pour nous assiéger. Deux ennemis
extérieurs et un intérieur, toujours prêts à nous faire tomber dans le
moment de distraction, de faiblesse. Ces ennemis spirituels
accompagnent chacun de nous de l’enfance à la vieillesse, et l’humanité
à travers les générations et les siècles.
Les
alliés sur lesquels nous pouvons compter pour vaincre le monde, la
chair et le diable sont la Grâce de Dieu, l’assiduité aux Sacrements,
l’exercice des Vertus, la prière, la pénitence, la considération des
Novissimi, la méditation sur la Passion du Seigneur et vivre en sa
présence.
En cette ère rebelle et
déchristianisée, où non seulement la société n’aide pas à la poursuite
de notre but ultime mais fait tout pour nous en éloigner, l’autorité
civile nous oblige à suivre le monde, à assouvir les désirs de la chair
et de servir l’ennemi de l’humanité. Une autorité perverse et
pervertie, qui a manqué à son devoir de gouverner et de gouverner le
corps social pour conduire les individus au salut éternel ; au
contraire : qui nie le salut éternel, rejette son divin Auteur et adore
son Adversaire.
Il
n’est donc pas étonnant que cette modernité apostate, dans laquelle
l’arbitraire est la norme et le vice modèle à suivre, veuille effacer
toute trace de Dieu et du Bien dans la société et dans les individus,
faisant un pacte infernal avec le monde, la chair et le le diable.
C’est ce que nous voyons se produire dans la promotion effrontée de la
sodomie, de la perversion et du vice sous toutes ses formes les plus
abjectes ; et dans la dérision, dans la délégitimation et dans la
condamnation de la pureté, de la droiture et de la vertu.
Mais
si notre lutte quotidienne contre nos ennemis aujourd’hui doit inclure
un effort titanesque pour lutter contre l’État également, que nous
devrions considérer comme notre ami et qui travaille plutôt à nous
corrompre dès notre plus jeune âge, il est douloureux et tragique de
voir d’autres traîtres et les mercenaires s’unissent à ce siège : de
mauvais Bergers qui abusent de leur autorité sacrée reçue de Notre
Seigneur pour nous pousser vers la damnation, nous convaincre que ce
qui jusqu’à hier était considéré comme péché et indigne de ceux qui ont
été rachetés par le Sang du Christ est devenu bien.
L’esprit
mondain, l’asservissement à la concupiscence et – ce qui est plus grave
– le renoncement à lutter contre le Malin ont infecté une grande partie
de la Hiérarchie de l’Église catholique, dès son sommet, en faisant
l’ennemi de Dieu, sa Loi et la nôtre âme. Comme cela s’est produit pour
l’autorité civile, l’autorité religieuse a également abdiqué son propre
rôle, niant le but pour lequel elle était désirée par la Providence
divine.
La
nouveauté de cette perversion de l’autorité, qui est un prélude au choc
d’époque des Derniers Temps, réside précisément dans la corruption des
Pasteurs et dans le fait que les fidèles individuels, comme un troupeau
sans guide, se retrouvent à devoir héroïquement résister à un assaut
sur plusieurs fronts contre la Citadelle, dans lequel ils sont laissés
seuls par leurs chefs, qui ouvrent les portes et laissent entrer les
hordes ennemies pour nous faire exterminer.
La
discussion sur le Zan DDL, l’imposition de l’idéologie LGBTQ + et
l’endoctrinement de la théorie du genre en Italie suivent un plan ciblé
organisé à l’échelle mondiale, qui dans de nombreux pays a déjà été
achevé. Les pays où, après deux siècles de révolutions, l’empreinte du
catholicisme avait survécu dans le tissu social, sont aujourd’hui
complètement paganisés. Les drapeaux arc-en-ciel flottent non seulement
sur les bâtiments des institutions publiques, mais aussi sur les
façades des cathédrales, sur les balcons des évêques et même à
l’intérieur des églises.
Ces derniers temps – même il y
a seulement trente ans – on aurait pu dire que pour soutenir une
minorité de personnes induites en erreur par le vice et les défendre
contre les discriminations, l’État devait intervenir avec des formes de
protection et avec des garanties de leurs libertés. Une affirmation
déraisonnable et illogique, à y regarder de plus près, car la liberté
de la personne humaine consiste dans l’adhésion de la volonté au bien
auquel sa nature est ordonnée, et dans la poursuite de sa fin
matérielle et surnaturelle. Mais dans la grande déception que le diable
a toujours tendu à l’homme, ce prétexte apparent en avait séduit
beaucoup. Il semblait qu’il fallait du courage pour revendiquer le
droit au vice et au péché, contre la dureté impitoyable d’une «
majorité respectable » encore attachée aux préceptes de la religion. La
fierté a été réclamée pour être différent dans un monde d’égaux, avoir
droit à un espace de vice dans un « monde vertueux ».
Dans
ces années, l’Église éleva encore, peut-être avec moins de conviction
mais toujours fidèle à son mandat divin, la voix du Magistère immuable
pour condamner la légitimité d’un comportement intrinsèquement
désordonné. Attentive au salut éternel des âmes, elle a vu quels
désastres allaient s’abattre sur la société avec l’approbation de modes
de vie totalement antithétiques à la Loi Naturelle, aux Commandements
et à l’Évangile. Les Bergers savaient être de courageux défenseurs du
Bien et les Papes ne craignaient pas de se faire l’objet d’attaques
indécentes de la part de ceux qui voyaient en eux le kathekon qui
empêchait la corruption définitive du monde et l’établissement du
Royaume de l’Antéchrist .
Aujourd’hui,
cette bataille héroïque – et dont nous avons appris qu’elle est déjà
affaiblie par une vaste corruption interne des évêques et des prêtres –
ne semble plus avoir de sens, tout comme l’enseignement de l’Écriture
Sainte, des Saints Pères et des Pontifes romains ne semble plus de
donner un sens. Ceux qui siègent à Rome se sont entourés de gens
immoraux, qui font des clins d’œil aux mouvements LGBTQ+ et qui
simulent hypocritement un accueil et une inclusivité qui trahissent
leur choix de domaine et leurs tendances pécheresses. Il n’y a plus de
courage, il n’y a plus de fidélité au Christ, et on va jusqu’à insinuer
que, si Bergoglio pouvait modifier la doctrine sur la peine capitale –
chose inouïe et absolument impossible – il pourrait certainement rendre
la sodomie légale aussi , au nom d’une charité qui n’a rien de
catholique et qui répugne à la Révélation divine.
Les
processions blasphématoires qui défilent dans les rues des capitales du
monde et qui viennent blasphémer et railler méchamment le Sacrifice de
Notre Seigneur dans la Ville Sainte, consacré par le sang de six Saints
Apôtres Pierre et Paul, sont accueillies par les mercenaires de la
secte conciliaire, qui se taisait devant les bénédictions sacrilèges
des couples homosexuels mais condamne comme « rigides » ceux qui
veulent rester fidèles à l’enseignement du Sauveur. Et tandis que les
bons évêques et prêtres sont confrontés quotidiennement à la démolition
qui vient d’en haut, nous voyons publiés les paroles enchanteresses et
séduisantes de Bergoglio à James Martin sj, à l’appui d’une idéologie
perverse et perverse qui offense la Majesté de Dieu et humilie la
mission de l’Église et l’autorité sacrée du Vicaire du Christ.
En
tant que Successeur des Apôtres et Docteur de la Foi, dans un esprit de
véritable communion avec le Siège du Très Saint Pierre et avec la
Sainte Église de Dieu, je leur adresse un sévère avertissement,
rappelant que leur autorité vient de Jésus-Christ, et qu’il n’a de
force et de valeur que s’il reste orienté vers la fin pour laquelle il
l’a constitué. Que ces Pasteurs considèrent les scandales qu’ils
causent aux fidèles et aux simples, et les blessures qu’ils infligent
au corps ecclésial torturé ; scandales et blessures dont ils auront à
répondre devant la Justice divine au jour du Jugement particulier et
devant toute l’humanité au jour du Jugement dernier.
J’exhorte
les nombreux fidèles scandalisés et désorientés face à l’apostasie des
Pasteurs à multiplier leurs prières et pénitences avec un esprit
surnaturel, implorant le Seigneur de daigner convertir les mercenaires,
les ramenant à Lui et à la fidélité à Sa divine enseignement. Prions la
très pure Mère, la Vierge des vierges, d’inspirer des sentiments de
repentance aux Ministres corrompus par le péché et l’impureté, afin
qu’ils songent à l’horreur de leurs péchés et aux terribles douleurs
qui les attendent : qu’ils se réfugient dans les Très Saintes Plaies du
Christ, et soyez purifiés par le lavage du Sang de l’Agneau.
A
nos frères séduits par le monde, la chair et le Diable, j’adresse un
appel du fond du cœur, afin qu’ils comprennent qu’il n’y a pas
d’orgueil à offenser Dieu, à contribuer consciemment aux tourments de
sa Passion, à pervertir sa nature et à malheureusement refusant le
salut qu’il a conquis du Père par sa mort sur le bois de la croix.
Faites de vos faiblesses une occasion de sainteté, un motif de
conversion, une occasion de faire briller la grandeur de Dieu dans
votre vie. Ne vous laissez pas tromper par un Ennemi qui semble
aujourd’hui vous livrer à vos vices, dans le seul but de voler votre
âme et damne-toi pour l’éternité. Soyez fiers – voire : fiers – non pas
de l’asservissement au péché et à la perversion, mais d’avoir pu
résister aux séductions de la chair pour l’amour de Jésus-Christ.
Pensez à votre âme immortelle, pour laquelle le Seigneur n’a pas hésité
à souffrir et à mourir. Prier! Priez la Très Sainte Marie, afin qu’elle
intercède auprès de son divin Fils, en vous donnant la Grâce de
résister, de combattre, de vaincre. Offrez au Seigneur vos souffrances,
vos sacrifices et vos jeûnes pour obtenir cette libération du Mal que
le Séducteur veut vous ravir par la tromperie. Ce sera le vôtre, notre
vraie fierté.
+ Carlo Maria Viganò, archevêque
29 juin 2021
SS. Pierre et Paul » (aldomariavalli.it)
En relation avec ce sujet, juste pour les photos à lever le cœur, prouvant à quel point cette société apostate s'est abaissée...
« Gay Pride, Zan et Melliflue Letters. Je me souviens quand il y avait un pape à Rome. » (marcotosatti.com)
27 juin
LÉONARD… MAÎTRE ET FRÈRE, MAÎTRE ET ESCLAVE.
La prophétie politique la plus mystérieuse de Jean XXIII #26 « Lumière de la Lumière » :
« Amie rotonde défait tes cheveux »
La chevelure, ou coma (mot
latin de même sens), forme un halo à peu près sphérique entourant le
noyau d’une comète, une coupole, une rotonde.
« … Je dis vos prénoms, parce que vous ne pourrez vous cacher quand vous serez appelés.
Wang, Levi, Rustov, Sherman, Tour.
Léonard sera au-dessus de vous, maître et frère, maître et esclave.
Unis donc avant le passage noir.
Gog et Magog se disputent son nom, mais ils connaissent tous deux le passage, aujourd'hui que le Calvaire est retourné.
Mais la croix n'est pas prête… »
Le passage, c’est l’image de
Pâques qui revient en mémoire, du passage de la Mer Rouge par Moïse, du
passage du Christ pour le Royaume des Cieux.
Cette génération est sur le
point de subir le passage noir, la fin des deux Babylone Vatican et
Nations-Unies, main dans la main.
Ces noms semblent représenter
les membres permanents du comité de sécurité des Nations-Unies ou les 5
pays négociant l’accord nucléaire avec l’Iran, quoiqu’il y a un intrus,
Lévi, qui représente sans équivoque Israël, mais surtout le peuple
prêtre, les lévites.
Inutile d’expliquer ici en
détails le rôle du peuple messie voulu (seul peuple prêtre,
noachisme : voir multiples analyses précédentes) par l’élite
judéo-maçonnique, les goïm que nous sommes devenant les servants.
Et Léonard est au-dessus d’eux.
« maître et frère, maître et esclave.»
N’est-ce pas ce que nous vivons dans les temps présents?
Ce monde est soumis et esclave via l’ordinateur par l’image, l’image animée des grands prodiges prédis dans l’Apocalypse.
Cette lente désintégration de
l’être humain pour l’empêcher de penser s’est établie sur plusieurs
décennies, mais elle s’est extrêmement accélérée durant les cent
dernières années, durant le temps alloué à Satan par le Christ (voir la
vision du pape Léon XIII; analyses précédentes) pour séduire les âmes.
L’esclavage technofasciste a
ses tentacules dans tous les domaines : l’administration, les
arts, la littérature, et surtout, dans les relations sociales.
Un exemple parfait est la gestion de la pandémie où la Sainte Vérité a été remplacée par le mensonge et l’ambiguïté.
La science et la machine (ordinateurs et téléphones intelligents) règnent.
L’humanité terrorisée par sa vie matérielle accepte tout pour avoir un retour à la « normale ».
Les citoyens techniques
d’aujourd’hui sont prolétaires de cette société organisée selon les
besoins uniques et la culture de l’élite dominante.
Les caractères distincts qui font que chacun a le potentiel d'être unique sont effacés.
« Je connais tes œuvres : tu as la réputation d'être vivant, mais tu es mort. » (Apocalypse 3,1)
Tous, ou presque, par les décisions de
l’élite et les volontés de Bergoglio et des Nations-Unies (nouvelle
religion universelle et Agenda 2030), devenons des citoyens égaux,
uniformes, traités selon les même lois du mondialisme qui devraient
prendre racines définitivement avec la grande réinitialisation.
Une survie nécessaire pour l’élite dominante.
La soumission à la bête pour les autres.
La plus belle preuve vient de nous être donnée à la dernière rencontre du G7.
Les marionnettes de l’élite
ont décidé (soit 7 pays, une minorité qui ne représente pas la
population mondiale) un impôt de 15% sur les sociétés internationales
ainsi que de vacciner 60 % de la population d’ici le premier
semestre 2022.
L’humain vivant de la Grâce Divine disparaît petit à petit, se sacrifiant à la science, au plan.
Le fait de soumettre l’humain aux lois et aux critères techniques comme les machines équivaut à un assassinat.
C’est le sacrifice humain voulu par la judéo-maçonnerie.
C’est la mort de l’âme.
Des morts sans cadavres, des martyrs sans nom et sans visage.
Un sacrifice sans effusion de sang singé à l’image du sacrifice instauré par le Christ avec la sanctification du pain et du vin.
« il y aura le meurtre sans
assassin. » (le meurtre par la machine, la matrice, le système
technofasciste). (prophétie politique No 22: Grand Éclair à l'Orient)
L’humain, le chrétien, qui a
reçu la grâce du baptême a le pouvoir de faire croître son âme par
l’interaction du Saint-Esprit et ainsi atteindre une dimension autre,
spirituelle, pour mériter le Royaume des Cieux qui n’est pas de ce
monde.
Il devient alors un être unique avec ses spécificités, pleinement aimé du Père.
Il développe ses talents « spirituels » selon la parabole du Christ.
Il reçoit la grâce de la Foi parce qu’il fait les démarches pour mieux connaître et aimer le Père.
Au contraire, l’humain qui
adhère à la machine sociale, s’abaisse au niveau strictement matériel,
sur une vie qui n’est que temporelle avec les peurs qui l’accompagnent.
Il se fond alors dans la masse et perd ce qui le fait vivre : son âme.
Ainsi, le chrétien vivant sa foi aujourd’hui est de plus en plus exclu de la société dominante.
Parce que le chrétien se sent incapable de construire un tel monde.
Il doit fuir dans sa « grotte
intérieure » comme le Christ l’a enseigné, parce qu’il voit aujourd’hui
l’abomination de la désolation sur le trône.
Il se doit donc de demeurer spectateur, à l’écart de Babylone tout en étant de Babylone.
Il devient le Témoin, les «
deux témoins » de l’Apocalypse, fidèle à la Loi et aux Prophètes (les
laïcs et le clergé qui gardent la Foi et l’Espérance).
Mais cela ne signifie aucunement vivre.
Mais il continue de pratiquer
la charité à titre d'exemple, pour être un phare qui luit dans la nuit, car
les esclaves de la machine devront faire face à l’inévitable…
Et quelques uns, des tièdes, chercheront la voie pour sauver leurs âmes.
Mgr Gaume (1871) :
« Quand le plateau d’une
balance descend, l’autre monte. Le signe qui précède appelle
nécessairement celui qui suit. Tout ce que perd la vie de l’esprit
bénéficie à la vie de la chair. Le monde surnaturel n’étant plus rien
pour l’homme, le monde naturel est tout. Cette prépondérance, ou
mieux ce débordement de la vie matérielle est un autre signe de la
fin du monde. (…)
La réponse que nous cherchons
est dans les paroles mêmes du souverain Juge. Il viendra, nous dit-il
lui-même [Matthieu 24, 36-30 : « comme il était aux jours de Noé,
il en sera à l’avènement du Fils de l’homme… »] lorsque la
généralité des hommes ne vivront plus que pour le corps ; lorsque
boire, manger, vendre, acheter, bâtir, se livrer avec passion aux
affaires et aux plaisirs, sera leur occupation dominante et presque
exclusive, le soin qui absorbera tous les autres soins.
Lorsqu’enfoncés dans la
matière et esclaves de leurs sens, le monde spirituel, Dieu,
Jésus-Christ, l’Église, l’âme, l’éternité, les promesses et les menaces
divines, ne seront pour les uns que des chimères, et pour les autres
que des vérités plus ou moins abstraites et presque sans influence
sérieuse sur l’ensemble de leur conduite ; lorsqu’ils ne connaîtront
plus, qu’ils n’aimeront plus, qu’ils ne rechercheront plus que les
réalités palpables, l’or, l’argent, le bien-être du corps ; qu’ils se
moqueront des Noé, dont la voix amie leur annoncera la proximité du
déluge : alors l’homme sera devenu chair. Quand il sera devenu
chair, l’esprit de Dieu se retirera, l’homme aura perdu sa raison
d’être ; puis viendra la fin. »
Léonard est peut être ce signe de la fin.
Car, 2021 sera témoin de la comète C/2021 A1 (Leonard).
Elle a été découverte le 3 janvier 2021.
Fait étonnant, elle sera au
plus proche du Soleil exactement un an après sa découverte soit le 3
janvier 2022. (blogs.futura-sciences.com)
Le 3 janvier est important.
C’est le chiffre de la Trinité.
Mais, qui plus est, c’est la fête du Saint Nom de Jésus.
Son passage au plus près de la
Terre sera le 12 décembre 2021, soit le jour de la fête de Notre Dame
de Guadelupe, la femme de l’Apocalypse avec les deux pieds sur la lune.
Or, ce sera le 490ème anniversaire de l’apparition.
Nous savons tous l’importance
du chiffre 49 (la limite du diable; analyse du 26 mai), et ce multiplié
par 10, le chiffre de l’ordre parfait (10 commandements, 10 plaies
d’Égypte).
Les comètes sont toujours
imprévisibles mais les experts estiment qu’elle atteindra au moins une
magnitude 4, et ils évoquent aussi peut-être une magnitude de 1.5 (plus
le chiffre est petit, plus c’est lumineux), ce qui serait
extraordinaire, du style de la grande comète Hale-Bopp en 1997 pour
ceux qui s’en souviennent.
« Je
dis vos prénoms, parce que vous ne pourrez vous cacher quand vous serez
appelés. Léonard sera au-dessus de vous, maître et frère, maître et
esclave.»
Léonard sera donc bien
au-dessus, dans le ciel, en cette fin d’année 2021, pour le
passage noir s'il s'agît bien d'une comète dans la prophétie de Jean XXIII.
19 juin
Deux article assez révélateurs.
Un
d'Antonio Socci qui confirmerait ce que nous anticipons grâce aux
prophéties de Jean XXIII, et l'autre, la dernière interview de Mgr
Vigano.
« Le crépuscule d’un pontificat.
Passant en revue une succession d’évènements récents et s’appuyant sur
un article paru dans la Repubblica ... Antonio Socci constate que même
ses soutiens son en train de lâcher François. Au fait, huit ans après,
que reste-t-il de « l’effet Bergoglio »?
...
isolement croissant (de Bergoglio) apparaît désormais clairement : il
suffit de considérer les cas énumérés par Melloni (le cardinal Marx et
les évêques allemands, les mouvements ecclésiaux, Enzo Bianchi, le
cardinal Stella et le cardinal Becciu, le vicariat) pour se rendre
compte qu’il s’agit de personnalités et de mondes qui étaient ses
partisans.
Le pape argentin est une personnalité complexe, parfois difficile à
déchiffrer. Certains de ses accents initiaux sur Jésus ont touché des
cordes profondes, comme le besoin de miséricorde de l’homme moderne que
nous sommes, mais l’Évangile dit que le Bon Pasteur est aussi la Vérité
faite chair et demande la conversion.
Dans sa solitude actuelle, le Pape se voit contraint de reconnaître
amèrement que son pontificat, depuis un certain temps déjà, se
précipite vers un échec douloureux...
Si
l’on pense à l’emphase avec laquelle Bergoglio a été acclamé, au début,
dans le monde ecclésiastique (on rêvait d’un « effet Bergoglio »
triomphant), on peut comprendre combien la déception est amère
aujourd’hui.
L’Église – après ces huit années – n’a pas prospéré, mais semble
anéantie. La vie religieuse est dans un état comateux. Son gouvernorat
central, au Vatican, est en proie à un chaos permanent. La confusion, y
compris doctrinale, règne en maître dans la communauté ecclésiale.
Catastrophique, le bilan de la pratique liturgique dominicale et des
vocations, désormais en chute libre (entre autres avec l’effondrement
des mariages sacramentels). Le clergé et les évêques semblent être en
plein désarroi...
Aujourd’hui, la voix de l’Église ne se distingue plus de celle de l’ONU.
La
voix de Pierre ne s’oppose pas aux idéologies dominantes, sécularistes
et de gauche; au contraire, elle est souvent en accord avec elles et
suscite – avec une telle politisation – la consternation des fidèles et
l’enthousiasme des ennemis de toujours de l’Église.
En
dehors des rares interventions de Benoît XVI, il n’y a plus de voix
catholique pour guider les croyants et les peuples dans la continuité
du Magistère constant de l’Église. Jamais l’Église n’avait été
aussi conformiste et aussi peu significative dans le monde sur des
questions d’une énorme importance pour l’humanité actuelle.
Ils
ont fait le désert et l’ont appelé révolution. Mais chaque révolution
dévore sa progéniture et c’est ainsi que nous voyons maintenant la
rupture entre Bergoglio et ses partisans…
Ratzinger a énuméré les dogmes
de ces idéologies, soulignant qu’ « aujourd’hui, ceux qui s’y
opposent sont excommuniés socialement »… La société moderne,
a-t-il ajouté, entend formuler un credo anti-chrétien : ceux qui le
contestent sont punis par l’excommunication sociale ». Il n’est
que trop naturel d’avoir peur de cette puissance spirituelle de
l’Antéchrist.
Mais
François (en plus de Dieu) aurait à ses côtés Benoît XVI et tous les
fidèles catholiques (restants) du monde, qui sont si nombreux.
L’Église pourrait donc vraiment aider à la liberté des peuples.
Antonio Socci » (benoit-et-moi.fr)
Interview de Mgr Vigano:
« La
réforme liturgique commencée en 1964 et qui aboutit à un nouveau missel
en 1969 peut sembler plus radicale que son programme, la
constitution Sacrosanctum Concilium. Pensez-vous que le
Consilium de Monseigneur Bugnini a trahi le Concile, comme le disent
certains, ou qu'il s'est borné à le développer, comme d'autres le
prétendent ?
Mgr Vigano
: Monseigneur Annibale Bugnini a été parmi ceux qui ont
collaboré à l'élaboration de l' Ordo Hebdomadae Sanctae
instauratus qui a été promulgué pendant le pontificat de Pie
XII. Les formations graves du nouveau missel se retrouvent en
germe dans le rite de la Semaine Sainte, ce qui montre que le plan de
destruction avait déjà été entrepris. Il n'y eut pas la moindre
trahison au Concile ; la preuve en est qu'aucun de ses architectes
n'a jamais pensé que la réforme liturgique était incompatible avec
l'esprit de Sacrosanctum Concilium. Si la genèse de
l' Ordo Hebdomadae Sanctae
instauratus est soigneusement étudiée, on verra
que les demandes des novices n'ont été que partiellement satisfaites
mais ont été à nouveau proposées dans le Novus Ordo de Paul VI.
(Note: prophétie concernant Jean XXIII: «
Et dans les papiers du Père mort il trouvera le projet pour rassembler
les bergers et parler au troupeau. Il osera l'inosé. Il se trompera,
mais ce sera un bien.»)
Il
faut souligner que, contrairement à tous les autres conciles
œcuméniques, ce dernier a usé de son autorité pour autoriser une
trahison systématique de la foi et des mœurs à travers les voies
pastorales, disciplinaires et liturgiques. Les missels de
transition entre les rubriques de 1962 et l' Editio
typica de 1970 et celle qui suit immédiatement -
l' Editio typica altera de 1975 - révèlent que le clergé et
les fidèles se sont progressivement habitués au caractère provisoire du
rite, à l'innovation continue et perte d'éléments qui rapprochaient au
départ le Novus Ordo du dernier Missel romain de Jean XXIII. Je
pense, entre autres, à la tranquille récitation du Canon en latin avec
son propitiatoire d'offrande et leVeni, Sanctificator, qui à
travers les adaptations a conduit à la récitation à haute voix,
l'offertoire talmudique et la suppression de l'invocation au
Saint-Esprit.
(Note: prophétie concernant Paul VI: « Babylone
a trop de langues. Tu as brisé la chaîne, tu le sais, tu le sauras
jusqu'à la mort. Langues diverses pour le sacrement, langues diverses
pour les mots. Aujourd'hui elle a disparu. »)
Quelle serait, selon Votre Excellence, la critique la plus importante du Novus Ordo Missae ?
Mgr
Vigano : La critique la plus fondée est qu'ils ont essayé de créer une
liturgie à leur guise en abandonnant le rite bimillénaire qui est né
avec les Apôtres et s'est développé harmonieusement au cours des
siècles. La liturgie réformée, comme tout spécialiste en la matière le
sait, est le fruit d'un accord idéologique entre la lex orandi
catholique et les exigences hérétiques des luthériens et autres
protestants. Et puisque la Foi de l'Église s'exprime dans le culte
public, il était essentiel que la liturgie s'adapte à la nouvelle façon
de croire en affaiblissant ou en niant des vérités jugées
inconfortables pour le dialogue œcuménique». » (marcotosatti.com)
14 juin
LES TROIS PÉRIODES ANTI-CHRISTIQUES DE SAINT PAUL
(Thessaloniciens 2, 3-4)
«
Que personne ne vous égare d'aucune manière ; car auparavant
viendra l'apostasie, et se manifestera l'homme de péché, le fils de la
perdition, l'adversaire qui s'élève contre tout ce qui est appelé Dieu
ou honoré d'un culte, jusqu'à s'asseoir dans le sanctuaire de Dieu, et
à se présenter comme s'il était Dieu. »
Tout est résumé dans une phrase.
Saint-Paul avait vu juste.
Les trois périodes anti-christiques sont réalisées, et conséquemment, ouvrent le chapitre de la chute de Babylone la grande.
En effet, nous sommes témoins de :
1. L’Apostasie des Nations dans les pays dits développé avec la montée en puissance du paganisme promu par Bergoglio.
2.
La manifestation de l’homme de péché centré sur lui-même, déifié, qui
ne vit que par la miséricorde infinie instaurée par Bergoglio mais qui
oublie la justice de Dieu, qui frappe à coup sur, toujours méritée,
lorsque l’homme s’éloigne du droit chemin.
L’homme de péché sur le plan national est incarné par l’avènement d’États sans religion. C’est la concrétisation d’États laïcs.
3.
Et finalement, la manifestation de l’homme de péché au niveau mondial
par la domination de Babylone Nations-Unies et Vatican, main dans la
main, pour une société anti-chrétienne dominé par l’Antéchrist et basée
sur les droits de l’homme des Nations-Unies, dont les représentations
visibles sont la bête de la terre et la bête de la mer de
l’Apocalypse.
C’est Satan dans le cœur, le sanctuaire de Dieu, qui occupe toute la place.
Et
Saint-Paul de continuer, « ne vous souvenez-vous pas que je vous disais
ces choses, lorsque j'étais encore chez vous ? Et maintenant vous
savez ce qui le retient, pour qu'il se manifeste en son temps. Car le
mystère d'iniquité s'opère déjà, mais seulement jusqu'à ce que celui
qui le retient encore paraisse au grand jour. Et alors se découvrira
l'impie, que le Seigneur (Jésus) exterminera par le souffle de sa
bouche, et anéantira par l'éclat de son avènement. Dans son apparition
cet impie sera, par la puissance de Satan, accompagné de toutes sortes
de miracles, de signes et de prodiges mensongers, avec toutes les
séductions de l'iniquité, pour ceux qui se perdent, parce qu'ils n'ont
pas ouvert leur cœur à l'amour de la vérité qui les eût sauvés. C'est
pourquoi Dieu leur envoie des illusions puissantes qui les feront
croire au mensonge, en sorte qu'ils tombent sous son jugement tous ceux
qui ont refusé leur foi à la vérité, et ont au contraire pris plaisir à
l'injustice.»
Le mystère d’iniquité est bien cette présence de l’ambiguïté cultivée par l’impie sur le trône de Saint-Pierre.
Tout est clair.
Car le katéchon, celui qui le retient, Benoît XVI, est encore vivant.
Les
miracles, les prodiges, les illusions puissantes, sont bien cette
dominance de la technologie pour aboutir au transhumanisme, le 4ème
révolution prônée par le gourou de Davos, la grande réinitialisation.
Toutes les techniques pour y arriver sont bonnes : fausses
nouvelles, attaques sous fausses bannières, guerres, pandémies, culture
de la peur, terrorisme, …
Cette montée en puissance a eu une croissance exponentielle depuis l’attaque de septembre 2001.
Et elle achève.
Car
ceux qui refusent la foi à la vérité et qui prennent plaisir à
l’injustice, la majorité des humains, devront faire face à la justice
divine.
Seuls
les « Noé » de notre monde sont capables d’appréhender ce moment
critique pour le retour du Christ en Gloire ; la majorité ayant
perdu la foi.
Les « Noé » ne sont pas nombreux. C’est le petit reste.
C’est
bien Benoît XVI avec l’aide des cardinaux ayant encore les yeux pour
voir, qui jusqu’ici a empêché Bergoglio de mettre la touche finale si
désirée par la judéo-maçonnerie depuis des siècles, la suppression de
la présence réelle dans l’Eucharistie, par l’élimination de la messe
traditionnelle pour abattre le Messie de Dieu, pour devenir le seul
peuple prêtre avec Satan.
Nous
avons été témoins par les confinements à répétition de ces attaques
contre les églises et les lieux de cultes, surtout durant des périodes
si chères comme Noël et la Pâques.
« La Fraternité Saint-Pierre expulsée du diocèse de Dijon » (riposte-catholique.fr)
Le dernier rempart, le Motu
Proprio Summorum Pontificum (2007) de Benoît XVI est attaqué de
toutes parts ces dernières semaines.
Bergoglio a mis ses pions en place pour la dernière phase.
L’annonce de l’interdiction de célébrer la messe tridentine est imminente.
Selon
les rumeurs, seuls les « vieux prêtres » garderont l’autorisation de la
célébrer, le temps qu'ils disparaissent et ce sera la victoire espérée.
« Le Remnant a eu des
confirmations indépendantes qu’un document du Vatican limitant la
lettre apostolique du pape Benoît Summorum Pontificum est soutenu par
au moins deux cardinaux du Vatican, en est à sa troisième ébauche et
menace d’entraver la croissance de la messe latine traditionnelle et
d’autres sacrements en particulier parmi les clergé diocésain.
Deux
membres supérieurs de la hiérarchie ont confirmé le 31 mai que le
document, signalé pour la première fois par Messainlatino.it le 25 mai,
est actuellement en cours d’examen à la Congrégation pour la doctrine
de la foi (CDF).
Plusieurs
sources ont également déclaré à The Remnant que le pape François
souhaitait publier le document bientôt et qu’il est supposé qu’il
reçoit le soutien, à des degrés divers, de deux cardinaux consultants
de la Congrégation pour la doctrine de la foi : le cardinal Pietro
Parolin, Secrétaire d’État du Vatican, et le Cardinal Marc Ouellet,
Préfet de la Congrégation pour les Évêques.
Les
sources ont également déclaré que ces mesures restrictives seront très
probablement mises en œuvre par la Congrégation pour le culte divin et
la discipline des sacrements et son sous-secrétaire nouvellement nommé,
Mgr. Aurelio García Marcías, que le pape François aurait élevé à
l’épiscopat précisément pour réaliser ces plans.
Plusieurs
sources vaticanes de haut niveau ont également confirmé que la première
version du document avait été précédée d’une lettre d’introduction du
pape François qui serait très dure et acrimonieuse envers la messe
tridentine.
Le document en est maintenant
à sa troisième version, les deux premières ayant été jugées trop
sévères. Si elle est finalement publiée, la libéralisation de la forme
extraordinaire de la messe introduite par la lettre apostolique du pape
Benoît XVI en 2007, Summorum Pontificum, risque d’être réduite.
Ce
document autorisait tout groupe stable de fidèles attachés à la «
tradition liturgique antérieure » à demander la messe à leur prêtre
local, qui « consentirait volontiers à leurs demandes ». Le décret
stipulait que la forme la plus ancienne de la messe n’avait
« jamais été abrogée » et que les formes extraordinaire et
ordinaire étaient « deux expressions » d' »un seul rite
romain ».
Le
Remnant a appris que le premier projet imposait de sévères restrictions
sur l’âge des célébrants et est décrit comme quelque peu similaire à
l’indult de Paul VI, qui permettait aux prêtres seniors de continuer à
offrir la messe tridentine après la promulgation du Novus Ordo Missae
par Paul VI. Il a également discuté de l’opportunité d’autoriser ou
d’interdire l’administration des autres sacrements dans la forme
extraordinaire du rite romain... » (marcotosatti.com)
Ce qui est confirmé par un cardinal haut placé à Rome.
« Grand cardinal à Rome : le pape craint des « positions traditionalistes » dans la formation sacerdotale.
10
juin 2021 ( LifeSiteNews ) – Le chef de la Congrégation vaticane pour
les instituts de vie consacrée a récemment déclaré que le pape François
était préoccupé par les idées «traditionalistes» qui s’insinuaient dans
la «formation sacerdotale».
Le pape François a exprimé la
crainte d' »une certaine tendance à s’éloigner un peu du Concile
Vatican II, en prenant des positions traditionalistes » dans la
« formation sacerdotale », selon le cardinal João Braz de
Aviz, préfet de la Congrégation pour les instituts de vie consacrée et
les sociétés de Vie Apostolique, tel que rapporté par Vida Nueva
Espagne ...
Le
diacre Nick Donnelly, auteur et ancien rédacteur en chef d’EWTN
Grande-Bretagne, a envoyé à LifeSiteNews un commentaire sur la
prétendue déclaration du pape François :
Dei
Verbum, la Constitution dogmatique sur la révélation divine, l’un des
documents clés de Vatican II, exhorte les fidèles à recevoir «
l’enseignement, la vie et le culte que l’Église perpétue et transmet à
toutes les générations ». (DV 8). Il est donc ironique que le pape
François adopte une position hostile envers les séminaristes
traditionalistes alors qu’une telle «rigidité» est préconisée comme
essentielle par Dei Verbum. En omettant de souligner l’importance pour
les fidèles de « s’accrocher aux traditions » et de se battre
pour « la défense de la foi transmise une fois pour toutes »,
c’est le pape François qui affiche une « certaine tendance à
s’éloigner un peu du Concile Vatican II, pas les séminaristes et les
prêtres qui soutiennent la Tradition…
«Après
une fois de plus mis en garde contre l’acceptation de jeunes hommes
« rigides » (c’est-à-dire fidèles à la doctrine) au
séminaire, François a déclaré aux évêques qu’il était parvenu à la
troisième ébauche d’un texte contenant des mesures restreignant la
célébration par le prêtre catholique la forme extraordinaire rendue
accessible par Benoît XVI », a rapporté Messa in Latina…
Braz
de Aviz partage l’antipathie du pape François pour les positions
catholiques traditionnelles, au point d’avoir qualifié les
traditionalistes de « se suicider ». Lors d’un discours prononcé en
2015 lors d’un « premier congrès du genre de nombreux directeurs de
formation religieuse du monde » à Rome, Braz de Aviz les a avertis : «
Ne vous éloignez pas des grandes lignes du Concile Vatican II ».
« En
fait, ceux qui s’éloignent du conseil pour faire un autre chemin se
tuent – tôt ou tard, ils mourront », a déclaré Braz de Aviz. « Ils
n’auront pas de sens. Ils seront à l’extérieur de l’église. Nous devons
construire, en utilisant l’Évangile et le concile comme point de
départ. » (lifesitenews.com)
En effet, la continuité avec
la messe désacralisée de Paul VI centrée sur l’homme est vitale pour le
projet grandiose d’œcuménisme en préparation.
Les
centres de culte abrahamique (dont celui d’Abu Dhabi) où on fera du
Christ qu’un simple prophète (ce qui est la limite acceptable pour la
judéo-maçonnerie) prennent de l’ampleur.
Le prochain est à Berlin.
Plusieurs vaticanistes se demandent pourquoi Bergoglio reste muet quant au schisme allemand…
La réponse est tout simplement parce qu’il est le destructeur de l’Église et que cela fait son affaire…
Tout doit être orienté vers la grande fraternité universelle…
La maison commune des trois
religions, est en cours de construction depuis le 27 mai, bâti sur les
ruines de l'église catholique Saint-Pierre du XIIe siècle.
Quel symbole!
Prête pour le jubilé de 2025.
«
La Maison interconfessionnelle a en fait été saluée par le Vatican
comme une « maison de prière réunissant les trois religions du monde
sous un même toit », mais elle a été qualifiée de « gnostique » et de «
syncrétiste » par les catholiques traditionnels. La House of One suivra
la création d'un complexe interreligieux similaire par le soi-disant
« Comité supérieur de la fraternité humaine » connu sous le
nom de The Abrahamic Family House, qui devrait être achevé à Abu Dhabi
d'ici 2022, qui réunira également une église, synagogue et une mosquée
"L'idée est plus grande que le
bâtiment", a déclaré le directeur du projet Roland Stolte lors de la
cérémonie marquant le début des travaux de construction de la
soi-disant "House of One". Conçu il y a dix ans, ce projet ambitieux
devrait ouvrir ses portes d'ici 2025 sur l'île aux musées dans le
centre de Berlin, conformément au reste de la planification de One
World Religion. » (house-of-one.org)
L'illusion d'une seule religion mondiale consacrée à Satan est éphémère.
Le temps est proche.
«
C'est pourquoi Dieu leur envoie des illusions puissantes qui les feront
croire au mensonge, en sorte qu'ils tombent sous son jugement tous ceux
qui ont refusé leur foi à la vérité, et ont au contraire pris plaisir à
l'injustice. »
13 juin
Que le Christ nou inonde de sa grande miséricorde en cette fête du Sacré-Coeur.
Nous
nous devons de faire une mise à jour sur le maximum solaire du cycle 25
qui devrait avoir lieu autour de l’été 2025… Et puisque que la
purification en sera une de « feu ».
Une sécheresse extrême caractérise les Amériques, surtout concentrée dans l’ouest américain et au Brésil (pire sécheresse en 100 ans).
Les
conséquences sont désastreuses: saison des feux de forêts en avance de
deux mois en Californie, interdiction pour les agriculteurs d’irriguer
leurs champs dans certains États pour favoriser la distribution d’eau
potable vers les demeures. Ces derniers abandonnent les cultures et
vendent le bétail faute de trouver du fourrage (zerohedge.com).
Les réservoirs d’eau sont si
bas dans ces deux régions que les barrages électriques ne pourront plus
produire, dont la célèbre dam de Hoover.
Du jamais vu.
Remarquez
ici qu’au grand dam de Bergoglio et des partisans du réchauffement
climatique que la NASA a démontré que ce sont toutes les planètes qui
subissent un réchauffement.
Une
étude et nouvelle théorie assez intéressante sur le point de se
vérifier vient de sortir quant aux cycles solaires: L’événement «
terminal ».
« 11 JUIN 2021/ DR TONY PHILLIPS
10
juin 2021 : Quelque chose d’important est peut-être sur le point de se
produire au soleil. « Nous l’appelons l’événement de fin
(terminal) », déclare Scott McIntosh, physicien solaire au
National Center for Atmospheric Research (NCAR), « et c’est très,
très proche de se produire. »
Si
vous n’avez jamais entendu parler de l’événement de résiliation, vous
n’êtes pas seul. De nombreux chercheurs n’en ont jamais entendu parler
non plus. C’est une idée relativement nouvelle en physique solaire
défendue par McIntosh et son collègue Bob Leamon de l’Université du
Maryland – Comté de Baltimore. Selon les deux scientifiques, de vastes
bandes de magnétisme dérivent à la surface du soleil. Lorsque des
bandes de charges opposées entrent en collision à l’équateur, elles
s’annihilent (ou « terminent »). Il n’y a pas d’explosion ; c’est du
magnétisme, pas de l’antimatière. Néanmoins, l’événement de résiliation
est un gros problème. Il peut lancer le prochain cycle solaire à une
vitesse supérieure…
« Si
l’événement Terminator se produit bientôt, comme nous le prévoyons, le
nouveau cycle solaire 25 pourrait avoir une ampleur qui rivalise avec
les quelques premiers depuis le début de la tenue des dossiers »,
a déclaré McIntosh.
C’est pour le moins
controversé. La plupart des physiciens solaires pensent que le cycle
solaire 25 sera faible, semblable au cycle solaire anémique 24 qui a à
peine culminé en 2012-2013. Les modèles orthodoxes de la dynamo
magnétique interne du soleil favorisent un cycle faible et n’incluent
même pas le concept de «terminateurs».
« Que puis-je dire ? » rit McIntosh. « Nous sommes des hérétiques ! »
Les
chercheurs ont décrit leur raisonnement dans un article de décembre
2020 dans la revue de recherche Solar Physics . En examinant plus de
270 ans de données sur les taches solaires, ils ont découvert que les
événements Terminator divisent un cycle solaire du suivant, se
produisant environ tous les 11 ans. Insistez sur environ . L’intervalle
entre les terminateurs varie de 10 à 15 ans, ce qui est essentiel pour
prédire le cycle solaire.
«
Nous avons constaté que plus le temps entre les terminaisons est long,
plus le cycle suivant serait faible », explique Leamon. « Inversement,
plus le temps entre les terminateurs est court, plus le prochain cycle
solaire sera fort. »
Le cycle solaire 25 s’annonce
comme le contraire. Au lieu d’un long intervalle, il semble venir sur
les talons d’un très court, seulement 10 ans depuis l’événement
Terminator qui a commencé le cycle solaire 24. Les cycles solaires
précédents avec des intervalles aussi courts ont été parmi les plus
forts de l’histoire enregistrée.
Ces
idées peuvent être controversées, mais elles ont une vertu que tous les
scientifiques peuvent apprécier : elles sont testables. Si l’événement
de résiliation se produit bientôt et que le cycle solaire 25 monte en
flèche, les «hérétiques» peuvent être sur quelque chose. Restez à
l’écoute pour les mises à jour. » (spaceweather.com)
Il semble de plus en plus évident que les étés sont de plus en plus secs un peu partout.
Si
l’événement terminal est « court » et que le maximum solaire de juillet
2025 nous donne des tempêtes de classe X, tout concorderait avec les
dernières analyses de la « limite de Babylone ».
Les
astrophysiciens s'inquiètent car notre société n'a jamais été aussi
vulnérable puisque reposant maintenant sur l'ordinateur et la
technologie.
Pour mieux comprendre les tempêtes solaires, le dernier documentaire: « Tempêtes solaires : Une mystérieuse menace | ARTE »
04 Juin
LA LIMITE DE BABYLONE PARTIE III
LA PREUVE DES RELIQUES DE SAINT-PIERRE ?
Paul
VI s’est empressé de confirmer au monde en 1968 que les reliques
trouvées dans les cryptes du Vatican étaient belles et bien celles de
Saint-Pierre.
Il devait agir vite car 1967 était l’année de la mise en œuvre concrète de « Nostra Ætate » qui ouvre le dialogue avec les juifs et évidemment sur l’œcuménisme.
Pour les juifs, avec Nostra Aetate, L’Église triomphante du Christ sort alors de son péché d’orgueil originel pour s’engager dans le dialogue interreligieux.
Les infiltrés aux séances de Vatican II s’en frottaient alors les mains.
Remarquez
que c’est toujours l’église conciliaire qui s’abaisse pour s’adapter
aux normes de la religion de la fraternité universelle, le culte de
l’humain alors qu’Elle devrait proclamer la seule primauté du Christ,
en Christ et par le Christ pour accéder au Père.
Cette génération est donc témoin des fruits de Nostra Aetate aujourd’hui: l’Église est éclipsée comme prédit à La Salette.
« Babylone
a trop de langues. Tu as brisé la chaîne, tu le sais, tu le sauras
jusqu'à la mort. Langues diverses pour le sacrement, langues diverses
pour les mots. Aujourd'hui elle a disparu. Tu as enlevé l'exorcisme au sacrement et de Satan tu as vu le visage. »
(Prophétie de Jean XXIII concernant Paul VI)
Toute l’attention devait donc être consacrée à Nostra Aetate à la fin des années 60s, au détriment de l’apôtre.
Classer
le dossier « Saint-Pierre » une fois pour toute permettait de mettre
l’Église catholique sur un pied d’égalité avec les religions mondiales,
et ouvrir la porte à Assise 1986.
Quant
aux reliques, tout avait commencé à l’élection de Pie XII en 1939. Il a
lui-même lancé les fouilles car Pie XI avait exprimé le désir d’être
inhumé à côté de Saint-Pierre.
C’est
l'épigraphiste Margherita Guarducci (qui n’a pas
participé aux fouilles) qui pensa avoir retrouvé les os de Pierre dans
les ruines déterrées par les fouilles, et ce dans les années 60s.
La modalité de la découverte a cependant soulevé de nombreux doutes parmi les experts, doute qui subsiste toujours.
Le Père Ferrua a été témoin des fouilles dans son entier.
Dans des débats houleux avec Guarducci, il s'est toujours opposé aux conclusions.
La
preuve de Guarducci relevait d’un petit fragment de plâtre rouge,
trouvés à droite d'une niche creusée dans le soi-disant « mur rouge »,
avec quelques lettres gravées. Elle a vu l'expression grecque "Petr
[bone] ome", c'est-à-dire "Pierre est ici", une sorte de preuve
indirecte de son enterrement.
Margherita Guarducci a
commenté des années plus tard ce combat interne qui a sévit durant
cette période, et la raison du pourquoi Paul VI a clos le débat en 1968
pour son œcuménisme si cher à la judéo maçonnerie :
« J’ai
dit que ce faux œcuménisme, sous lequel se cachent des idées malsaines
et des intérêts obscurs et hostiles à l’Église, a joué un rôle
fondamental dans la volonté de minimiser et d’annuler la présence
tangible de Pierre, dans l’Église de Rome. Au début, je n’arrivais pas
à comprendre la raison de ces étranges événements et la tendance
constante à cacher les découvertes. Certains milieux du Vatican y
étaient pour beaucoup. Mais cette obstination à occulter, à nier contre
toute démonstration scientifique les preuves que les reliques du Prince
des Apôtres existent vraiment sous la Basilique de Rome, d’où
venait-elle, sinon d’intérêts obscurs ? Si l’on n’exalte pas
Pierre, on place automatiquement l’Église catholique sur un pied
d’égalité avec toutes les religions. » (30 JOURS, fév. 1990,
p. 54-55)
L’importance
des reliques de Saint-Pierre a refait surface en mars 2021 grâce à des
recherches de trois scientifiques sur l’hypothèse du lieu d’inhumation
du premier apôtre du Christ.
Antonio Socci a publié un papier sur le sujet :
«
C'est peut-être la découverte archéologique du millénaire et la plus
importante de toute l'histoire de l'Église. Si tel est le cas,
l'Année Sainte 2025 serait un événement unique, car le Jubilé
deviendrait un véritable pèlerinage «ad limina Petri».
De quoi
parle-t-on? L'identification du lieu probable à Rome de
l'enterrement de Saint Pierre (et peut-être même de sa dépouille
mortelle).
Trois universitaires
italiens, Liberato De Caro , chercheur du Conseil national de
la recherche [italien], Fernando La Greca , professeur
à l'Université de Salerne, et Emilio Matricciani ,
professeur à l'Institut polytechnique de Milan, ont rédigé une étude
précise sur la revue scientifique
internationale Heritage intitulée «La recherche de
la mémoire de saint Pierre 'ad catacumbas' dans la zone du cimetière
'ad Duos Lauros' à Rome.»
Le
lieu de sépulture de l'Apôtre - selon cette étude - pourrait être dans
les grandes catacombes (qui sont partiellement inexplorées) «ad Duos
Lauros» dans le quartier de Topignattara [au sud-est de la gare Termini
de Rome].
« En fait, dans le
chronographe (c'est-à-dire le calendrier romain) de l'année 354, dans
lequel nous trouvons le Depositio Martyrum de 336, St.
La commémoration de Pierre était « ad catacumbas », et non pas sur la colline du Vatican. »...
Le quartier est dominé par
l'immense mausolée de Sainte-Hélène dont le plafond est fait d'amphores
en terre cuite, appelées «pignatte» dans le jargon populaire, d'où le
toponyme «Torre delle pignatte» puis
Torpignattara. On sait peu de choses sur les vastes catacombes qui
se trouvent en dessous.
Pourquoi le tombeau de la mère
Constantin, celle qui a christianisé l'Empire romain et changé à jamais
l'histoire, se trouve-t-il ici?
En réalité, dans cette zone,
qui appartenait aux « équites singulares » de Maxence,
Constantin fit construire une grande basilique (qui n'existe plus
aujourd'hui) sur les catacombes chrétiennes et aussi le mausolée pour
lui-même ainsi que pour sa mère (bien que plus tard il mourut à
Constantinople et y fut donc enterré).
Mais pourquoi l'empereur
a-t-il construit cette basilique et a-t-il voulu y être enterré avec sa
mère? Il y a un secret qui y est caché depuis près de deux
millénaires: la présence du corps du prince des apôtres dans ces
catacombes.
LES FOUILLES
Nos trois savants, avant
d'arriver à leurs conclusions, rappellent les scavi ou les
fouilles effectuées entre 1940 et 1949 sous l'autel de la basilique
Saint-Pierre au Vatican, où l'on croyait traditionnellement que se
trouvait le tombeau de l'Apôtre.
A cette époque, un petit
monument du IIe siècle a été mis au jour, qui marquait le
lieu du martyr de Pierre, là-bas dans le cirque du Vatican. Ce
petit monument est le « trophacoeum » mentionné dans une
lettre du prêtre romain Gaius écrite à l'époque du pape Zéphyrinus
(199-217). Les archéologues de Pie XII, en 1949, soutenaient ainsi
qu'ils avaient trouvé la tombe, ou du moins la première tombe, de
Pierre - mais pas ses os.
Dans les années suivantes,
l'épigraphiste Margherita Guarducci pensa avoir
retrouvé les os de Peter dans les ruines déterrées dans le
scavi. Mais le Père Ferrua, SJ qui était présent tout au long du
travail, s'est toujours opposé à cette identification.
Guarducci a soutenu qu'elle
avait trouvé la preuve de sa découverte dans un minuscule morceau de
graffiti, avec des fragments de quelques petites lettres, où elle
prétendait lire une référence au nom de Pierre. Les arguments, y
compris les arguments sur ce fragment de plâtre (qui aujourd'hui est
daté de la première moitié du troisième siècle) étaient sans fin et
n'ont jamais abouti à une conclusion certaine.
PAS SEULEMENT UN THRILLER ARCHÉOLOGIQUE
L'Église n'a jamais fait de
déclaration officielle sur cette recherche archéologique. Mais
l'argument est toujours brûlant, et pas seulement pour les archéologues.
En effet, la primauté de
l'évêque de Rome sur l'Église universelle (c'est-à-dire la papauté
elle-même) repose sur le fait que les papes succèdent, dans l'épiscopat
romain, à l'homme à qui Jésus a conféré la primauté:
«Et je vous dis: Vous êtes
Pierre, et sur ce rocher je bâtirai mon Église, et les portes de
l'enfer ne prévaudront pas contre elle. Je vous donnerai les clés
du royaume des cieux, et tout ce que vous lierez sur la terre sera lié
dans les cieux, et tout ce que vous perdrez sur la terre sera délié
dans les cieux » (Mt 16, 18-19).
Ce sujet est devenu explosif
avec Martin Luther au 16 e siècle. Les protestants, pour
contester la papauté, ont commencé à remettre en question le fait
historique de la présence de Pierre à Rome et donc de son épiscopat et
de son martyr dans la Cité.
Mais, à vrai dire, aucune
localité - à l'exception de Rome - n'a jamais revendiqué l'événement du
martyr de Pierre et des témoins historiques de la présence (et du
martyr) de l'Apôtre dans la capitale de l'Empire, à la tête de la
communauté chrétienne là-bas, sont innombrables.
En dehors de la première
lettre de Pierre lui-même dans le Nouveau Testament (contestée parce
que, comme d'autres auteurs chrétiens, elle appelle Rome «Babylone»),
il y a une attestation unanime que Pierre est évêque de Rome par les
écrits du pape Clément (96 après JC), puis Ignace d'Antioche (107 après
JC), puis Irénée de Lyon (vers 180 après JC), Denys l'évêque de
Corinthe (vers 170 après JC), Tertullien (vers 200 après JC), Clément
d'Alexandrie (vers 200 après JC) jusqu'à Saint Jérôme et Eusèbe de
Césarée (au 4 e siècle). Il existe donc une tradition
historique unanime et incontestable.
Néanmoins, au cours des
siècles, la «reine des preuves» a également été recherchée,
c'est-à-dire le lieu de sépulture de l'apôtre à Rome. Tel était
l'objectif des fouilles ou scavi effectués sous la direction
de Pie XII au siècle dernier.
Aujourd'hui, les experts, même
en admettant que dans l'Antiquité la niche vaticane pouvait contenir le
corps de Saint Pierre, estiment que ses restes ont ensuite été déplacés
« ad catacumbas » (d'abord à cause des persécutions, puis à
cause des raids barbares sur la Cité).
En fait, dans le Chronographe
de l'an 354 (c'est-à-dire le calendrier romain), nous trouvons que «la
commémoration de saint Pierre était ad catacumbas , pas sur
la colline du Vatican», comme nos trois savants le rappellent
dans Heritage .
NOUVELLES DÉCOUVERTES
De Caro, La Greca et
Matricciani ont analysé le document du 6 e siècle «
Liber Pontificalis », où toutes les biographies des papes ont été
réunis ainsi que des documents d' archives des siècles
précédents, et ils découvrent que, parmi toutes les anciennes
basiliques romaines dont les constructions sont attribuées à
Constantin, (par exemple Saint Pierre, Saint Jean du Latran, Santa
Croce in Gerusalemme), la seule qui a été définitivement construite par
lui est précisément celle de Tor Pignattara (qui n'existe plus
aujourd'hui) où il a également construit un mausolée pour sa mère.
Les catacombes sur lesquelles
cette basilique a été construite sont appelées Saints Marcellin et
Pierre, deux martyrs mineurs du 4 e siècle. De Caro, La
Greca et Matricciani démontrent qu'en réalité dans l'Antiquité l'ordre
des noms était inversé et que «Pierre» était en fait le Prince des
Apôtres, en l'honneur duquel les catacombes étaient nommées et - selon
la copie la plus ancienne du Liber Pontificalis - aussi la
Basilique « ad duos lauros » (qui est donc la véritable
Basilique Constantinienne de Saint Pierre).
Cela signifierait que cette
basilique était en fait l'emplacement du tombeau de l'apôtre Pierre, et
c'est à côté de Pierre que Constantin voulait être enterré, avec sa
mère.
Les trois savants documentent
également une quantité importante d'épigraphies sépulcrales sur Pierre
dans ces catacombes, datant du milieu du IVe siècle, et une
fresque représentant Saint Pierre tenant un rouleau.
Sur la base de calculs
compliqués sur la disposition de la basilique, les trois auteurs
soutiennent enfin qu'ils ont identifié la crypte, encore inexplorée, où
la tombe de l'apôtre pourrait être localisée. Pourront-ils
maintenant faire des fouilles?..
RÉVÉLATION MYSTIQUE
Un
dernier détail (qui dépasse le cadre de cette étude). Pendant les
années où les fouilles se faisaient sous Saint-Pierre, Pie XII demanda
à Maria Valtorta, une mystique qu'il estimait, où se trouve le tombeau
de l'Apôtre, et elle répondit que c'était dans les catacombes « ad duos
lauros » à Torpignattara et qu'elle avait vu ses restes momifiés dans
une vision, avec ses mains tenant un ancien parchemin. Valtorta a
également décrit la crypte.
La découverte du tombeau de
Pierre serait un événement extraordinaire. Paul VI a dit que les
os de Pierre, pour l'Église, sont comme de l'or. C'est en effet sa
chair même qui a touché et embrassé le Sauveur du monde.
Antonio Socci » (marcotosatti.com)
Voici quelques extraits clés de l’étude des trois savants :
« Cependant, la preuve épigraphique de Guarducci était très faible de sorte qu'elle était très contestée bientôt par Ferrua.
En
fait, il aurait été étrange qu'au IVe siècle, pour soutenir la présence
du Chef des Apôtres, il n'y avait qu'un pauvre graffiti sur une petite
zone de plâtre, et non une épigraphe plus importante, sur marbre,
commandée par Constantin lui-même...
En effet, même admettant que les restes de Pierre sont ceux trouvés à la basilique Saint-Pierre, ils n'ont pas été toujours là.
Aujourd'hui,
l'opinion la plus acceptée est que les restes de Pierre ont été
déplacés dans l'une catacombes romaines, car il existe un autre
souvenir ancien d’une célébration de Saint Pierre ad catacumbas (les
catacombes), daté de la fin de l'époque de l'empereur Constantin
(306-337)...
Parmi
les nombreuses cellules rapportées à la figure 6, la plus importante
semble être la cellule no. 58 - la zone rouge de la figure 6, située
juste un peu au nord de la région où l'épigraphe était a été trouvé.
Dans cette cabine, il y a une fresque représentant Saint-Pierre tenant
un parchemin. »
Le lien de l’étude
des trois savants (en anglais, mais vous pouvez défiler les images des
preuves avancées : la plaque de marbre avec l’épigraphe retrouvé
(Petri facilement lisible), la fresque de la cellule représentant
Saint-Pierre tenant un parchemin, la basilique ad duos lauros de
Constantin telle qu’elle était, et les innombrables calculs
mathématiques précis pointant sur la cellule 58).
L’empereur Constantin aurait
donc délibérément caché le tombeau pour prévenir le vandalisme
(persécutions sépultures chrétiennes et invasions barbares), et aurait
laissé cette mathématique architecturale codée pour retrouver les
reliques de Saint-Pierre dans les générations futures.
Les clés :
-
Le narthex (avant-nef) joignant le mausolée de Sainte-Hélène (de forme
circulaire), mère de l’empereur Constantin, est décalé d’un angle de 4
degrés par rapport à la basilique, ce qui est très anormal pour des
maîtres en architecture qu’étaient les romains (pour la construction
d’aqueducs, ils étaient capable d’avoir une pente de 8 cm de précision
sur 1 km, soit une inclinaison moyen de 0.0046 degré).
- Une erreur de 4% pour le narthex est donc délibérée.
- Les tangentes des cercles internes/externes du mausolée passant par les côtés du narthex se croisent à la cellule 58.
Nous y reviendrons.
LE DERNIER JUBILÉ?
Nous
avons vu dans les dernières analyses que le compte à rebours est lancé
et que la limite de Babylone est probablement avant le mois des deux
lunes de mai 2026.
Bergoglio
a annoncé le 3 février 2020 la venue imminente du prochain jubilé, le
jour de la célébration du 150ème de la proclamation de Rome comme
capitale de l’Italie : le jubilé de 2025 « n’est plus très loin
». » (la-croix.com)
Ce qui peut-être mis en
contexte avec la prophétie de Don Bosco citée dans la dernière
analyse : tout aura lieu avant le mois de mai des deux lunes de
2026.
L’annonce
de Bergoglio sur le jubilé a eu lieu une journée avant la «
Journée internationale de la Fraternité humaine » si cher à ce dernier,
un 4 février.
Un
jubilé, c’est 50 ans, mais tout a été ramené aux 25 ans par le Vatican
car l’espérance de vie à une certaine époque ne permettait normalement
pas d’être témoin d’un jubilé, à moins d’un jubilé extraordinaire
(jubilé de la miséricorde infinie de Bergoglio en 2015/2016 par
exemple).
Nous
avons vu dans les analyses que la vraie raison derrière les jubilés
provenaient du Lévitique 25,10, où « Et vous sanctifierez la
cinquantième année, et vous publierez la liberté dans le pays pour tous
ses habitants. Ce sera pour vous un jubilé, et chacun de vous
retournera dans sa propriété et chacun de vous retournera dans sa
famille. »
Donc, Bergoglio annonce le prochain jubilé lors du triple jubilé (150 ans) de la ville de Rome!
Rome comme capitale de l’Italie unifiée proclamée le 30 juin 1871, le lendemain des fêtes de Saint-Pierre et Saint-Paul.
Mais pour l’Église, c’est la perte de Rome comme capitale des États pontificaux en 1870 qui est important!
Le pape Pie IX a du se réfugié
au palais du Vatican étant prisonnier de fait, débutant la controverse
de la « question romaine », controverse se soldant par les Accords du
Latran en 1929.
Voilà ce qui doit être rappeler!
11
février 1929 (fête de Lourdes, date habillement choisie par Benoît XVI
pour sa démission) - 1870=59 : l’Église était sur le point de
devenir veuve (60 ans) peu après la création du royaume temporel de
l’État du Vatican (rappel : Saint Paul prescrit qu'une femme ne
peut être inscrite au groupe des veuves que si elle est âgée d'au moins
60 ans. (1 Ti 5,9)).
C’est
bien là que la suite des rois (papes) de l’Apocalypse démarre : «
« Les cinq premiers sont tombés (5 papes depuis
Latran en 1929), l'un subsiste (Benoît XVI), (voir
analyses précédentes )… )
Rappelons
aussi que le jubilé extraordinaire de 2015/2016 sur la miséricorde
infini avait été délibérément créé pour le faire coïncider avec
le 50e anniversaire de la conclusion du Concile Vatican
II en 1965!
Le veuvage (60 ans) de l’église conciliaire suite à Vatican II (dont Nostra Aetate voté à la dernière session le 28 octobre 1965 (Jean XXIII a été élu un 28 octobre)), sera en 2025!
Revenons à Saint-Pierre.
Le chef des apôtres fut crucifié le 13 octobre 64.
Comme
signe de la fin des temps, nous savons que le 13 octobre c’est
évidement une date appartenant à Notre-Dame du Rosaire avec le miracle
du Soleil de 1917.
Or, 2026-64 donne 1962.
Exactement l’année d’ouverture du concile Vatican II!
C’est le début de l’éclipse sur l’Église initiée par le Christ via Saint-Pierre.
C’est l’alpha et l’Oméga.
Retrouver
les reliques du chef des apôtres marquerait la fin de l’éclipse sur
l’Église car cette grâce de Dieu confirmerait une fois pour toute la
primauté de L’Église catholique, la seule et unique voie fondée par le
Christ : « moi je te dis que tu es Pierre, et sur cette
pierre je bâtirai mon Église, et les portes de l'enfer ne prévaudront
point contre elle. » (Matthieu 16,8)
Or,
rappelons-nous, Pier Carpi dans les prophétie de l’Église de Jean XXIII
concernant François qui avançait l’hypothèse que les « pas du premier homme » étaient probablement ceux de Saint-Pierre.
Tout se passe avant le 7ème sceau , « Mikail et Jean descendront sur terre ».
ET
« Les urnes ouvertes dans les lieux secrets sous le trésor et seront découverts les pas du premier homme. »
Que nous révèle l’étude des trois savants ci-haut?
Que
les reliques de Saint-Pierre seraient dans la cellule no 58, lieu
secret jusqu’ici, et que la fresque présente représente le chef des
apôtres tenant à la main un parchemin.
« seront découverts les pas du premier homme »…
Un parchemin, un message de Saint-Pierre, attenant aux reliques, serait garder secret pour notre époque, à la fin des temps.
C’est bien ce qu’a confirmé Maria-Valtorta lorsque consultée par Pie XII :
« elle avait vu ses restes momifiés dans une vision, avec ses mains tenant un ancien parchemin. »
Encore
une fois, 2025 semble bel et bien la limite de Babylone : « C'est
peut-être la découverte archéologique du millénaire et la plus
importante de toute l'histoire de l'Église. Si tel est le cas,
l'Année Sainte 2025 serait un événement unique, car le Jubilé
deviendrait un véritable pèlerinage «ad limina Petri» nous révèle
Antonio Socci dans son introduction.
Le triomphe de l’Église
renaissante, la résurrection des deux témoins de l’Apocalypse,
programmés pour le jubilé de 2025 grâce aux bourgeons gardés vivants
par ces « deux témoins », est à nos portes, au grand dam de Bergoglio
et de son église fraternelle universelle, mais ce dernier n’y sera pas
nous confirme la prophétie.
La découverte des reliques de Saint-Pierre confirme en même temps la prophétie concernant François.
Son dénouement est donc proche.
Mai 2021
26 mai
LA LIMITE DE BABYLONE PARTIE II
Nous
avons vu que la semaine de Daniel pourrait être la période s’étendant
d’octobre 2019 à octobre 2026, avec l’arrêt possible du sacrifice et de
l’oblation prophétisé pour mai 2023.
Les deux mois clés dans le calendrier sont mai et octobre.
Deux
mois séparer par le chiffres des rachetés, 153 jours, appartenant à
Marie comme elle nous l’a indiqué via les apparitions de Fatima en 1917.
Le
13 mai 2026, cela fera donc 109 ans depuis les apparitions, soit
les 100 ans + la 9ème heure, où tout est accompli (c’est à dire la mort
du Christ sur la croix, donc de l’Église pour nous).
Nous savons grâce à la vision du pape Léon XIII que Satan a eu 100 ans pour conquérir le monde.
Ces
100 ans commencent fort probablement en 1914 avec la première guerre
mondiale où depuis, nous avons vu une croissance exponentielle dans la
technologie, la médecine, les transports, etc., pour mener à la mondialisation, et bientôt à la dictature technofasciste.
Et qui a donné à l’humain son « sens de l’éternité » temporel illusoire.
Il croit maintenant qu’il peut se passer de Dieu.
Tout comme Bergoglio avec son encyclique « Laudato Si » pour sauver la planète.
Or, 2026-1914 donne 112 ans.
La 112ème devise de la prophétie de Saint-Malachie sur la succession des papes :
112. In psecutione extrema S.R.E. sedebit. Ou « Dans
la dernière persécution de la sainte Église romaine
siégera. » ou « La sainte Église romaine se
trouvera dans une extrême [dernière] persécution. »
On l’a vu, la figure emblématique des deux témoins de l’Apocalypse est Saint Pie X.
Or, Pie X décède le 20 août 1914 quelques jours après le début de la première guerre mondiale.
Le cycle commence donc avec l’élection de Benoît XV et a le potentiel de se terminer au décès du katéchon, Benoît XVI.
Le 12, c’est le chiffre de l’ensemble des disciples.
Il
faut probablement attendre 12 ans après l’écoulement des 100 ans pour
justement rassembler les justes, les 144000 (12X12X1000) qui seront
sauvés.
Après le 12, suit le 13.
Le 13 symbolise la mort à la matière ou à soi-même, vers la naissance à l'esprit.
C’est un passage d’une Pâques annoncée.
L’Antéchrist et la Bête, c’est au chapitre 13 de l’Apocalypse qu’on les trouvent.
Et, comme signe qui nous est donné, Bergoglio est élu le 13 mars 2013.
Le 13 mars 2013 additionné de 13 années (le chiffre de Marie) donne 2026.
La 113ème et dernière devise
de la prophétie de Saint-Malachie est « Petrus Romanus, qui pascet
oues in multis tribulationibus : quibus transactis ciuitas
septicollis diruetur, & Iudex tremendus iudicabit populum suum.
Finis. » ou « Pierre le
Romain, qui fera paître ses brebis à travers de nombreuses
tribulations. Celles-ci terminées, la cité aux sept collines sera
détruite, et le juge redoutable jugera son peuple. Fin. »
C’est la destruction de Rome avant le jugement final (jugement dont on ne peut prédire la date et l'heure).
Donc, à partir du 14 mars
2026, Bergoglio entre dans le 14, et le quatorze représente la fin d’un
cycle, où tout est s’accomplit, c’est à dire la fin de Babylone.
L’Ascension en 2026 sera le jeudi 14 mai : la fin du cycle?
Cette destruction de Rome est confirmée par la prophétie No 11 de l’Église de Jean XXIII: Le 7ème Sceau :
« Où croyez-vous fuir, maintenant que vous avez détruit les Églises et tué le dernier Père ? »
Juste après « Mikail et Jean descendront sur terre » de la fin de la prophétie concernant François.
La limite de Babylone semble donc bien pointer pour mai 2026.
LA PROPHÉTIE DE DON BOSCO
La copie de cette prophétie a
été envoyée à Rome le 12 février 1870, comme en témoigne
la Civiltá Cattolica , Vol. VI, Série 8, 1872, pp. 299
et 303, par le Père Joachim Berto (secrétaire particulier de Don Bosco).
Il a copié cette prophétie à la demande de Don Bosco quelques semaines après l'Épiphanie.
« … Il
y aura toujours un violent ouragan. L'iniquité est consommée; le péché
prendra fin et avant que deux pleines lunes du mois des fleurs ne
passent, l'iris de la paix apparaîtra sur la terre.
Le Grand Ministre verra l'épouse de son roi habillée pour la fête.
Sur
le monde entier, un soleil apparaîtra si brillant qu'il ne l'a jamais
été depuis les flammes du Cénacle jusqu'à aujourd'hui, et il ne sera
pas revu jusqu'au dernier jour. »
L’iris de paix (traduit
parfois de l’italien par arc-en-ciel) est la fleur de lys, figure du
Christ Roi, que nous retrouvons évidement dans les prophéties de
l’Église de Jean XXIII.
« Ouvrez votre cœur au lis. La voix sera puissante, annoncée par les trompettes. (Retour du Christ, l’ultime soleil, le premier Soleil.)
Lumière
de l'Occident, dernière lumière avant l'éternelle, inconnue. La vérité
sera plus simple que tous l'ont dit, que tous l'ont écrit. »
(Prophétie de l’Église #12 « L’arrivée de la Lumière »)
La voix est annoncée par les 7 trompettes de l’Apocalypse.
Le P. Berto écrit dans
son interprétation de la prophétie qu’en l’an 1874, le mois de mai a
deux pleines lunes (Lune Bleue), l'une le 1er et l'autre le 31.
« Cependant, aucun événement
extraordinaire profane ou surnaturel ne s'est produit ce
mois-là. En effet suivant la séquence du texte, cet événement
devrait suivre «l'ouragan» de «l'iniquité» et du «péché» qui suivrait
lui-même le traité du Latran de 1929. En mars 1988 et 1999, il y a deux
pleines lunes. Dans le premier, il n'y avait pas de cessation
notable du péché dans le monde. Ce dernier n'est pas encore venu.
» (franciscan-archive.org)
Maintenant, nous le savons car nous le vivons!
Nous
sommes pleinement témoins du « violent ouragan » perpétuel du péché et de
l’iniquité puisque le mystère d’iniquité est sur le trône.
Bergoglio a aboli le péché par le jubilé de la miséricorde universelle en 2015-2016.
Tous, nous sommes sauvés selon sa doctrine.
C’est la grande apostasie.
Or, la prochaine Lune Bleue au mois des fleurs sera le premier mai 2026 (un vendredi) et le dimanche 31 mai.
Le P. Berto pensait que la première occasion de la Lune Bleue, mai 1874, était la période de la prophétie.
Puisque le péché n’a pas encore été éliminé de la surface de la Terre, nous nous retrouvons donc avec la Lune Bleue de 2026.
De 1874 à 2026 nous avons 152 ans.
C’est
donc dire qu’en juin 2026 nous entrons dans la 153ème année de la
prophétie entre deux Lunes Bleues, le chiffre des justes, des rachetés,
expliqué maintes fois dans les analyses précédentes.
Fait
intéressant, nous avons eu une Lune Bleue en mai 1969, tout juste après
la réforme du missel romain opérée par Paul VI en avril 1969 (car les
phases de la lune se répète à tous les 57 ans).
Dès
le mois de mai 1969 face à cette action de Paul VI, le protestant Max
Thurian de la communauté de Taizé affirmait placidement : « Avec la
nouvelle liturgie, des communautés non-catholiques pourront célébrer la
Sainte Cène avec les mêmes prières que l’Église catholique.
Théologiquement c’est possible » (La Croix, 30 mai 1969, p. 10).
Mais
le péché était toujours présent, et même amplifié, après cette Lune
Bleue de 1969 (qui se souvient du mouvement initiateur de mai 1968?)
Retours à l’automne 2019, au temps de la Pachamamma à la basilique Saint-Pierre :
C’est le début du cycle solaire 25 (un cycle solaire dure 11 ans).
L’apogée,
le maximum solaire pour avoir des tempêtes solaires majeures, est prévu
pour juillet 2025, à la moitié du cycle, plus ou moins 8 mois, selon
les astronomes.
Donc, si c’est le cas, juillet 2025 plus 8 mois nous renvoie au printemps 2026…
Mai 2026?
Si on se réfère à la semaine
de Daniel, l’Église à l’image de la Passion du Christ irait au tombeau
le 5ème jour (2019+5=2024), soit la fin de l’automne 2024, demeurait au
tombeau en 2025, le sixième jour, et ressusciterait en Mai 2026 selon
la prophétie de Don Bosco.
La prophétie #11 de Jean XXIII concernant l’Église, le 7ème sceau, spécifie :
« Il
y aura la guerre dans la Mère, et les troupeaux se disperseront… Où
croyez-vous fuir, maintenant que vous avez détruit les Églises et tué
le dernier Père ?
Attendez
le signe de Jean. L'agneau est prêt. Signez-vous sept fois avec une
main fatiguée et attendez. La lumière vient encore de l'Occident. »
Tout
pointe vers l’attente du 7, du 7ème jour, celui où le Père contemple
son œuvre, car c’est au sixième jour, le jour où l’humain fut créée,
que l’humain déifié (666) verrait sa perte, soit 2025.
Ce
qui correspond effectivement à la fin de la prêche de la fille de Caïn
de la prophétie le « Temps est Proche » : 2025 où il n’y a plus
d’empereur ni de pape.
Jésus
nous as donné des repères pour reconnaître la période que nous vivons
afin de persévérer devant le mystère de l’iniquité :
1.
Comme Noé et le déluge : « Dans les jours qui précédèrent le
déluge, les hommes mangeaient, buvaient, se mariaient ; et ils ne se
doutèrent de rien jusqu’à ce que le déluge survint et les emportât
tous. »
2.
Comme Loth et la destruction de Sodome : « Pareillement comme il
en arriva aux jours de Lot : on mangeait, on buvait, on achetait, on
vendait, on bâtissait ; mais le jour où Lot sortit de Sodome, Dieu fit
pleuvoir du ciel feu et souffre et les fit périr tous. »
« De même en sera-t-il au jour où le Fils de l’homme se révélera ».
Avec
cette grande apostasie, et surtout en temps de pandémie, tous rêvent
d’un retour à la « normale », d’une vie de loisirs et de jouissance matérielle sans Dieu.
Seuls
les justes, symbolisés par les familles de Noé et de Loth dans l’ancien
testament, se prépare spirituellement pour être sauvés.
Et Jésus ajoute : « souvenez-vous de la femme de Loth ».
Donc une fois que les derniers châtiments ont commencé, il sera trop tard pour faire pénitence.
Une autre indice d’échéance nous vient encore du prophète Daniel (3, 47).
Don Jean de Monléon, dans son livre « Le prophète Daniel », nous donne l’explication de la signification du chiffre 49:
« Malgré les efforts des
bourreaux, la flamme ne montait qu’à 49 coudées, elle n’arrivait
pas à cinquante… Pourquoi cela ? Parce que 50 est le chiffre de la
Pentecôte, le symbole de la transformation totale que, seule,
la grâce du Saint-Esprit est capable d’opérer dans l’homme. »
Par conséquent, « le
démon ne peut dépasser 49 coudées, parce qu’il est incapable d’agir
efficacement sur le fond de l’âme, sur la volonté, si celle-ci est
résolue à tenir bon. »
Le diable est donc limité à 49.
2027-49 = 1978.
Août
1978 : Paul VI décède, celui qui a vu et confirmé la fumée de
Satan au Vatican, le grand architecte de Vatican II, celui qui annonce
la chute de la grande prostituée.
« Tu
as brisé la chaîne, tu le sais, tu le sauras jusqu'à la mort… de Satan
tu as vu le visage… Tu n'as pas su avertir, oser, choisir, prier… Les
meilleurs fils s'en vont, ils vont servir le mal qu'ils appellent bien… »
(Prophétie de Jean XXIII concernant Paul VI)
L’autre chiffre intéressant significatif dans les écritures est le 40.
Très
important en tant que représentant une génération, mais surtout comme
symbole de la purification (40 jours au désert, 40 ans dans le désert,
40 jours pour la présentation au temple, etc.)
Or, 2026-40=1986.
C’est l’année de la rencontre d’Assise à l’invitation de Jean-Paul II.
C’est le début réel, la mise en œuvre concrète de l’œcuménisme à la sauce Vatican II.
En août 1986,
Mgr Marcel Lefebvre, dans une lettre envoyée à huit cardinaux,
fustige la rencontre d'Assise et leur demande une protestation
publique.
Il
évoque un « scandale incalculable dans les âmes des
catholiques », qui « ébranle l'Église dans ses
fondements » et accuse Jean-Paul II de
« ruiner la foi catholique, publiquement », par cet
« abominable Congrès des Religions ».
Le chiffre 40 est relié au signe de Jonas, le seul que nous aurons pour cette fin des temps a confirmé NSJC.
Alors
que Jonas est chargé par Dieu d’aller porter un message à la ville de
Ninive, à l’époque la plus grande ville du globe (elle avait supplanté
à ce moment-là Babylone), Jonas refuse sa mission et s’embarque sur un
bateau vers une destination opposée.
Dieu provoque une tempête et Jonas est avalé alors par un énorme poisson duquel il reste 3 jours et 3 nuits.
Le poisson le rejette sur le bon rivage et Jonas part à Ninive délivrer Son message :
« Encore 40 jours et Ninive sera détruite ».
Les
gens de Ninive crurent en Dieu, décrétèrent un jeûne et se couvrirent
de sacs, du roi jusqu’aux bêtes, et se repentirent de leurs mauvaises
actions. Finalement, devant l’attitude de pénitence des ninivites, Dieu
épargna la ville.
Ainsi
les 40 jours ou 40 ans, représentent la limite pour se repentir, se purifier,
sinon c’est les trois jours de ténèbres tant prophétisés qui nous
attendent.
La purification on le sait en sera une par le feu cette fois.
Un
événement important a eu lieu du 13 au 15 Mai 1921, la plus grande
tempête solaire du 20ème siècle, durant le cycle solaire 15.
Cette tempête a fait des dégâts majeurs aux lignes électriques et télégraphiques à cette époque.
Comme un avertissement pour notre temps.
Sachant
que le 13 représente le processus de mort à soi-même, de changement, le
14 la fin d’un cycle, le 15 symbolise la victoire de Marie.
Les spécialistes de la météorologie spatiale appellent régulièrement l'événement de mai 1921 «tempête de 100 ans».
Cependant,
des recherches récentes (à la fois historiques et statistiques)
suggèrent que de telles tempêtes surviennent plus souvent - tous les 40
à 60 ans. Quoi qu'il en soit, nous sommes en retard.
Or, 2026-1921=105
Le chiffre 105, nous l’avons vu dans une analyse précédente, est le triangulaire de 14: la fin d’un cycle.
Le 105 représente la délivrance de l’âme au prise à de terribles tourments et souffrances.
Aussi, 2026-1929 (le royaume temporel du Vatican avec les Accords du Latran) = 97.
Or, le 97 symbolise l'Église du Christ et aussi le royaume du Ciel.
Le
25ème cycle solaire qui a commencé à l’automne dernier nous donne
un alpha et oméga: du 15ème cycle de 1921 au 25ème cycle.
Or le 25, est le chiffre de la naissance du Christ, de l’Annonciation, liant NSJC et Marie en cette fin des temps.
Et le 25 mai 2026, c'est la Pentecôte!
Un
autre fait intéressant et tout aussi important est la consécration du
monde de Jean-Paul II en 1984 conformément à la prophétie de Jean XXIII
le concernant :
« Quand
tu divulgueras la parole de Marie la Très Sainte, ton unique blessure
se fermera. La Mère de l'Église sera Mère du monde. Ange tu seras dit,
béni. »
Or, après la consécration du
monde accomplie par le pape Jean-Paul II le 25 mars 1984, sœur
Lucie (de Fatima) déclara nettement aux carmélites de Coïmbre, à ses parents et
familiers, à des religieux, évêques et cardinaux : « Non, la
consécration n’a pas été faite comme le veut Notre-Dame. »
Mgr Vigano : «L'échec de
la consécration de la Russie au Cœur Immaculé de Marie, a conduit à la
diffusion du communisme dans le monde; aujourd'hui, nous voyons le
communisme allié à l'autre ennemi juré du christianisme, le
libéralisme. »
C'est bien cet aspect du communisme qu'on veut nous faire avaler avec la pandémie et la grand réinitialisation.
Or, 2026-1984 = 42
Ce
42 symbolise peut-être les 42 semaines (1260 jours), 42 mois etc, qui
sont présents dans les prophéties de Daniel et dans l’Apocalypse.
En
résumé, le péché sera éliminé et la paix christique arrivera avant la
Lune Bleue de mai 2026 si la prophétie de Don Bosco se réalise.
Ainsi,
nous ne connaîtrons ni le jour ni l'heure mais nous avons les indices
comme la parabole du figuier laissée intentionnellement par le Christ.
La limite de Babylone imposée arrive donc évidement avant les deux pleines lunes de mai 2026, soit 2025.
Nous
savons par l'analyse du 14 mai qu'octobre 2021 sera un mois important,
si ce n'est que par le début du nouveau synode en grandes pompes, mais
aussi parce que la bête de la Terre, Emmanuel Macron, termine son
quinquennat le 14 mai 2022 et qu'il a affirmé ceci:
Devant la rédactrice en chef du Financial Times le 14 avril 2020 : « La Bête de l’événement est là et elle arrive. »
Suivi le 4 décembre 2020 par:
«
Peut-être que je ne pourrai pas être candidat. Peut-être que je devrais
faire des choses dans la dernière année, dans les derniers mois, dures
parce que les circonstances l’exigeront et qui rendront impossibles le
fait que je sois candidat. »
La grande réinitialisation doit avoir lieu coûte que coûte. Ils ne peuvent plus reculer.
La période d'octobre 2021 à 2025 semble être celle où tout balance.
Nous
ne pouvons savoir ni le jour ni l’heure de la délivrance des justes
mais nous avons les indices qui incitent à la conversion, au repentir,
et qui nourrissent l’espérance du monde de justice et de paix promis et
que tant de chrétiens attendent.
Le compte à rebours des 40 jours de Ninive et bel et bien enclenché pour Babylone.
23 mai
LA LIMITE DE BABYLONE partie I
Selon
la suite logique de la fin des temps dans l’Apocalypse, puisque nous
avons dépassé les 100 ans accordés par Jésus à Satan selon la vision de
Léon XIII, il nous reste à vivre la mort des témoins suivie de leur
résurrection.
Ce
n’est qu’ensuite que se fait l’entrée dans la 7è période dans
l’Apocalypse, soit la 7è église, le 7è sceau, et la 7è trompette.
Cette entrée est marquée par : la mort de l’Antéchrist.
Tous les grands signes que l’on s’attend de voir arrivent à ce moment de la révélation.
Considérant
que Bergoglio, ou son successeur (Pierre le Romain de la prophétie de
Saint-Malachie si ce n’est pas Bergoglio), est probablement
l’Antéchrist personnifié de cette période, cela correspond parfaitement
à la prophétie de l’Église de Jean XXIII concernant François.
Suivra le 3ème malheur, c’est
à dire la chute tant attendue de Babylone la grande ou les deux
Babylone nommées dans la prophétie de Jean XXIII concernant Benoît XVI.
C’est
la consommation des siècles et la purification du monde, soit la venue
imminente des nouveaux cieux et de la nouvelle Terre, la Jérusalem
céleste, prête pour le retour en Gloire de NSJC.
C’est le jugement dernier avant le règne définitif et sans partage du Christ, l’Oint de Dieu.
La fin du monde
post-pandémique dit « normal » de fausse liberté (Babylone) et de ceux
qui le dirigent (les deux bêtes de l’Apocalypse) est
donc annonciatrice du retour du Christ, celui-ci ne pouvant
revenir que sur une terre purifiée.
La limite qui nous intéresse, c’est la chute de Babylone, car après nul ne connaît ni le jour ni l’heure.
Cela nous est interdit.
C’est
pourquoi le Christ nous a donné des signes pour nous préparer, pour se
convertir entièrement : la parabole des dix vierges et la parabole du
figuier entres autres, et surtout Matthieu 24 grâce auquel nous savons
que cela se passera comme au temps de Noé.
Or Noé, qui représente les
justes, est averti 7 jours avant de l’imminence du déluge. Le déluge
qui aujourd’hui est l’équivalent de la chute de Babylone.
Il y a donc un avertissement identifiable pour ceux qui sont animés par la grâce du Saint-Esprit.
Le 7ème sceau, c’est la prophétie entière #11 concernant l’Église de Jean XXIII.
Ce
sont les derniers 42 mois (1260 jours), la durée de la bête de
l’Apocalypse, le triomphe illusoire de Satan, soit les 3,5 dernières
années de la semaine du prophète Daniel.
Cette
période (7ème église, 7ème sceau, 7ème trompette) est à lier à la
prophétie politique le « Temps est Proche » de Jean XXIII avec le
décompte de la durée de la fille de Caïn :
« La fille de Caïn est montée au Nord, pour prêcher. Luxure dans la nouvelle Babylone, pour sept ans. »
Il s’agît bien d’une nouvelle religion : elle est montée au Nord pour « prêcher ».
Comme
spécifié dans plusieurs analyses, il y a la possibilité se terminant en
2023 avec la signature de Bergoglio avec les luthériens en 2016 (voir
la prophétie #32: Le temps est proche), ou, se terminant en 2025 avec
Greta Thunberg comme fille de Caïn.
Cette
nouvelle religion a pour « agent motivant » le « réchauffement
climatique » et est alimentée par Bergoglio avec son enclyclique «
Laudato Si ».
Cette
nouvelle religion de l’humain déifié, seul apte à se sauver, est
beaucoup plus universelle qu’une alliance œcuménique avec les
luthériens.
Donc, selon la prophétie, « la septième année (2025) tombe
le septième voile de Salomé, mais il n'existe pas d'empereur, il
n'existe pas qui saura lever l'épée et couper le cou de Jean. Le temps
est proche. »
S’il n’y a pas d’empereur, c’est qu’il n’y a plus de pape et que Babylone tombe.
Or, nous savons par diverses prophéties que cela implique la destruction physique de Rome... et la fuite ou la mort du pape.
L’ouverture
de cette période est spécifiée par la prophétie de l’Église No 10 «
Pape François: La Gloire de l'Olive et Pierre II »:
« Le nouveau Père ira vers lui mais laissera la Mère orpheline. »
Et elle est confirmée par la prophétie No 11: Le 7ème Sceau :
« Où croyez-vous fuir, maintenant que vous avez détruit les Églises et tué le dernier Père ? »
Nous avons les preuves maintenant que l’Église est éclipsée et entrée dans la phase finale de purification.
Le jugement de la grande
prostituée de l’Apocalypse, l’église conciliaire, aura lieu en
concomitance avec la chute de Babylone, avec ses « sept rois :
« Les cinq premiers sont tombés (5 papes depuis Latran en 1929), l'un subsiste (Benoît XVI), l'autre n'est pas encore venu (François lors de la vision de l’Apôtre Jean, où il voyait Benoît XVI), et quand il sera venu, il doit demeurer peu de temps. Et la bête qui était et qui n'est plus (la bête de la mer, Bergoglio; voir analyses précédentes), en est elle-même un huitième et elle est des sept, et elle s'en va à la perdition
(dans le contexte où Bergoglio a laissé tombé le titre de Vicaire du
Christ, qu’il se vante du titre d’évêque de Rome et qu’il prépare le
nouvel œcuménisme, c’est bien un pape que nous pensions avoir en 2013,
qui était mais n’est plus, puisqu’il s’identifie de plus en plus au
mystère d’iniquité).
Nous savons déjà que Jean XXIII dans la dernière prophétie concernant l’Église a spécifié qu’ « Il y a vingt siècles plus l'âge du Sauveur. Amen. ».
Benoît
XVI a confirmé dans ses recherches qu’il y a une marge d’erreur de six
ou sept ans quant à la naissance du Christ, ce qui donne autour de
2026, puisque personne ne connaît exactement le jour ni l’heure, et que
l’on sait que le temps sera raccourci pour éviter la chute du petit
reste.
Donc 2026 est le point de départ pour identifier la limite de Babylone.
Ce qui correspondrait à la fin de la semaine de Daniel.
Si
on prend l’hypothèse que la fille de Caïn voit son règne se terminer en
2025 et que « Le Temps est Proche » (2026), c’est donc dire que nous
aurions l’arrêt du sacrifice et de l’oblation à la moitié de la semaine
de Daniel, soit 2022 (2026 – 3,5 ans donne juin 2022).
Ainsi le début de cette fameuse semaine serait en 2019 (1 jour =1an).
Qu’en est-il?
Quel événement nous permettrait d’identifier ce moment?
Tout semble se préciser.
Greta Thunberg s’est fait connaître à la face du monde le 20 août 2018.
Le 21 août est la fête de Saint Pie X et ce dernier est la figure emblématique des deux témoins de l’Apocalypse.
C’est un signe évident de la mort et de la résurrection à venir des deux témoins.
L’autre signe est donné par Jésus :
« Quand donc vous verrez l'abomination de la désolation, annoncée par le prophète Daniel, établie en lieu saint… » (Matthieu 24,15)
Octobre 2019 : Bergoglio donne la preuve de l’abomination de la désolation sur le trône.
La Pachamama du synode amazonien est au cœur d’une célébration païenne à la basilique Saint-Pierre.
Pachamama = Terre Mère = Gaïa du nouvel âge = « Laudato Si » de Bergoglio.
S’ensuit comme par hasard l’apparition du virus Covid-19 peu après.
Ainsi
la moitié semaine de Daniel, l’abolition du sacrifice perpétuel, aurait
donc lieu trois ans et demi plus tard, soit autour de mai 2023, et non
juin 2022.
Or, que prévoit-on aussi en octobre 2022, six mois avant?
L’inauguration du temple abrahamique aux Émirats Arabes Unis, dédié à … St-François d’Assise, le Poverello.
« Abrahamic Family
House est donc le nom de cette structure qui abritera une synagogue,
une mosquée et une église, naturellement dédiée au Poverello.
Le projet de Sir David prévoit que les trois lieux de culte soient unis
par des fondations uniques et placés à l’intérieur d’un jardin,
évoquant un nouvel Eden, une réédition gnostique et maçonnique du
paradis de la Création.
« Ainsi que l’a expliqué le
pape, cette “structure… servira comme lieu de culte individuel, mais
aussi pour le dialogue et l’échange interreligieux”. En effet, un
quatrième bâtiment est également prévu, siège du Centre d’études et de
recherches sur la Fraternité humaine, dont l’objectif – tiré du
document d’Abou Dabi – sera de “faire connaître les trois religions”.
…
les racines profondes de la crise actuelle : « Il ne faut pas penser
que la citadelle interreligieuse est une idée originale et
avant-gardiste du pontificat du pape François. Elle vient de l’“esprit
d’Assise” – qui n’était pas, n’est pas et ne pourra jamais être
l’esprit de saint François d’Assise – en 1986, lorsque Jean-Paul
II avait réuni tous les représentants les plus importants des
religions du monde pour prier, dans la fraternité humaine, pour la paix
dans le monde. Mais cet « esprit d’Assise » trouve ses racines dans
le concile Vatican II, comme en témoigne le document Nostra
Ætate (28 octobre 1965), qui a ouvert le dialogue interreligieux,
annulant la mission pédagogique de l’Église de condamner les erreurs
religieuses : “L’Église catholique ne rejette rien de ce qui est vrai
et saint dans ces religions. » (fsspx.news)
Or, Saint-François d’Assise
dans sa prophétie avait bien averti, comme s'il savait qu'on usurperait
son nom... et son amour pour les pauvres et la nature :
« Il
y aura très peu de chrétiens qui obéiront au véritable Souverain
Pontife et à l’Église catholique romaine avec un cœur loyal et une
parfaite charité. Au moment de cette tribulation, un homme, non
élu canoniquement, sera élevé à la papauté, lequel, par ruse,
s’efforcera d’entraîner beaucoup de monde dans l’erreur et dans la
mort… en ces jours-là, Notre Seigneur Jésus-Christ leur enverra
non pas un vrai Pasteur, mais un destructeur. »
C’est simple : « Qui
n’a pas le Fils, n’a pas le Père. Celui qui n’honore pas le Fils,
n’honore pas le Père. » (Saint-Jean)
Cette fausse fraternité universelle sans le Christ Roi est une hérésie.
Suivra octobre 2023.
Ce
sera la synode des évêques convoqué par Bergoglio dont le sujet sera
« Pour une Église synodale: communion, participation et
mission ».
On entend déjà les échos de l’œcuménisme au loin…
Concrétisés dans le futur temple œcuménique abrahamique.
La
voie synodale de Bergoglio est le chemin déguisé vers l’œcuménisme, la
destruction des fondations de l’Église vers la fraternité universelle.
Remarquez
bien aussi: « Il pourrait être significatif que l’assemblée
synodale annoncée coïncide avec le 60e anniversaire de l’ouverture du
Concile Vatican II (1962-1965). Celui-ci avait renforcé le rôle des
évêques et compris l’ensemble de L’Église essentiellement comme le
peuple pèlerin de Dieu. Paul VI a créé l’institution du Synode des
évêques en 1965 comme une conséquence du du Concile Vatican II. » (cath.ch)
Or,
rappelons nous cette parole de Saint Paul où il prescrit qu'une femme
ne peut être inscrite au groupe des veuves que si elle est âgée d'au
moins 60 ans. (1 Ti 5,9)
Cela rejoint bien la prophétie de Jean XXIII concernant Benoît XVI où l’Église est veuve.
« «Décentralisation salutaire»
François
a parlé à plusieurs reprises de «décentralisation salutaire», d’écoute
mutuelle et d’apprentissage à tous les niveaux. » (cath.ch ci-haut)
Il s’agît donc bien d’un Salut qui vient de l’humain déifié, et non du Christ.
Or, on nous annonce le 21 mai dernier « Une nouveauté pour le synode : tout partira des Églises locales ».
« Les 9 et 10 octobre, une
cérémonie solennelle en présence du Pape donnera le coup d’envoi d’un
itinéraire de trois ans, divisé en trois phases (diocésaine,
continentale, universelle), fait de consultations et de discernement,
qui culminera avec l'assemblée initialement prévue en 2022, qui sera
finalement organisée en octobre 2023 à Rome.
«Chacun
à l’écoute des autres ; et tous à l’écoute de l'Esprit-Saint». Pour
rendre concrète et visible cette synodalité souhaitée par François
depuis le début de son pontificat, le prochain synode des évêques,
prévu pour octobre 2023, ne sera pas célébré uniquement au Vatican mais
dans chaque Église particulière des cinq continents, suivant un
itinéraire de trois ans, divisé en trois phases : diocésaine,
continentale, universelle.
Pour la première fois, un synode décentralisé
C'est la première fois dans
l'histoire de cette institution créée par Paul VI pour poursuivre
l'expérience collégiale du Concile Vatican II qu'un synode
«décentralisé» est célébré. Précisément lors de la cérémonie de
commémoration du 50e anniversaire de l'institution du synode, en
octobre 2015, le Pape François avait exprimé son désir d'un parcours
commun «laïcs, pasteurs, évêque de Rome». » (vaticannews.va)
Durée du concile Vatican II : 3 ans.
Durée du synode bergoglien : 3 ans.
Durée
du Christ au tombeau : 3 jours, du vendredi après-midi, pour
ressusciter le dimanche matin (dans la pensée juive du Ier Siècle, une
partie d’un jour était considérée comme un jour entier).
Bergoglio prépare aussi une
nouvelle lignée de prêtres « non sacrés » avec le Symposium théologique
sur les vocations sacerdotales de février 2022 où déjà on annonce
que « les vocations sacerdotales naissent dans les communautés ».
Si on ne peut arrêter le
sacrifice perpétuel, alors éliminera-t-on le pouvoir qui appartient au
prêtre de procéder au sacrifice perpétuel?
À quand la première rencontre ou célébration œcuménique au temple abrahamique où le Christ sera absent?
À une moitié de la semaine de Daniel en mai 2023?
« Michael Haynes note :
Tenace
a mentionné l’image du prêtre comme le ministre ordonné qui dirige la
paroisse et administre les sacrements, comme relevant d’« une vision
très limitative », suggérant qu’« il y a urgence » pour le symposium à
corriger cette vision, « parce que la communauté entière doit être
considérée ».
L’insistance
de Tenace sur une nouvelle compréhension du sacerdoce en référence à la
communauté, semble s’aligner étroitement sur une erreur condamnée par
le pape Pie XII dans son encyclique Mediator Dei (1947), qui mettait en
garde contre la fausseté de la position suivante : « Ils affirment que
le peuple possède un véritable pouvoir sacerdotal, tandis que le prêtre
n’agit qu’en vertu d’une fonction qui lui est confiée par la
communauté. »
Dans
son ouvrage La Messe et les Sacrements, le théologien du XXe siècle, le
père John Laux, a mis en garde contre les dangers inhérents à la
promotion répandue et non clarifiée du sacerdoce des fidèles, puisque
c’est sur cette base que Martin Luther s’est rebellé contre les
autorités ecclésiales.
Laux
a également noté que s’il existe un sacerdoce universel des fidèles, ce
n’est pas la seule forme de sacerdoce puisqu’il existe la plus grande
forme de sacrifice et de sacerdoce instituée par le Christ, la messe et
les descendants ordonnés des apôtres :
« Tous les fidèles sont bien
“une race élue, un sacerdoce royal”, mais ils ne sont pas les
représentants du Christ à l’autel, ils ne changent pas, à la messe, le
pain et le vin en Corps et Sang du Christ, ils ne sont pas les
“dispensateurs des mystères de Dieu”, ce n’est pas à eux que le Christ
a dit : “Faites ceci en mémoire de moi”. »… » (leblogdejeannsmits.blogspot.com)
Le synode bergoglien de 2023 est d’inspiration satanique, et non du Saint-Esprit comme ils aiment si bien l’affirmer.
Il est en lien direct avec le synode amazonien et le retour au paganisme, aux idoles, qui sera accordé à chaque église locale.
C’est
une tentative (car ils ne réussiront pas) de démantèlement du corps
mystique du Christ par la dilution de la possibilité qui est accordé de
changer le pain en la présence réelle du Christ.
Bergoglio a toujours affirmé qu'il suivait une feuille de route et qu'il n'y aura pas de retour en arrière.
Ce synode sera la concrétisation de cette feuille de route.
Son testament.
La limite de Babylone n'est plus très loin.
À suivre...
14 mai
Hier, 13 mai, fête de Fatima, commençait le 105ème année depuis l’apparition de 1917.
Mais, il faut attendre 153 jours, c’est à dire le 13 octobre, avant d’entrer définitivement dans la 105è année.
Les
Pères de l’Église, saint Augustin en tête, nous enseignent que le 17 et
le 153 désignent le Christ, car le 153 est un nombre triangulaire
basé sur le 17 (la somme des chiffres de 1 à 17 donne 153).
On
sait l’importance du 153; c’est le chiffre des justes, du jubilés des
jubilés de Saint-Augustin, le nombre caractéristique de la mission du
Christ dans le nouveau testament qui symbolise l’ensemble des rachetés.
(voir analyses précédentes).
Le
chiffre de Marie est le 13 : la lettre M demandée rue du Bac au
dos de la médaille miraculeuse est la 13ème lettre de l’alphabet,
et la série des apparitions tous les 13 du mois à Fatima vient
confirmer ce choix (la Sainte Vierge étant aussi la 13ème après
les 12 apôtres).
13, est le chiffre de la purification.
Treize, c'est l'élément de trop, celui qui fait passer d'un cycle à un autre.
En effet, Bergoglio a été élu le 13 mars 2013.
14, c’est l’accomplissement, la fin du cycle.
Déjà,
dans l’analyse du 26 avril « LA PURIFICATION DE L’ÉGLISE » nous y
entrevoyons la fin d’une purification, c’est à dire l’Ascension de
l’Église (40 ans après la tentative d’assassinat de JP II; le bâtisseur
qui a accéléré le plan Vatican II, et celui qui a poussé l’œcuménisme
définitivement vers l’avant avec la rencontre d’Assise de 1986).
Bergoglio a souligné évidement ce 40ème anniversaire hier:
«
Il y a des dates, en raison de l’événement auquel elles sont liées, qui
appartiennent non seulement aux livres d’histoire, mais qui sont aussi
inscrites dans les pages de l’histoire de nos vies. L’empreinte laissée
par ces événements est si forte que, même des années plus tard, nous
nous souvenons parfaitement de l’endroit où nous étions et de ce que
nous faisions lorsque la nouvelle nous est parvenue. Le 13 mai 1981 est
sans doute l’une de ces dates.» (vaticannews.va)
Une génération biblique dure aussi 40 ans.
Le 25 mars 2000, nous sommes entrés dans la 51ème génération après le Christ.
Le
jubilé de l’an 2000 (50 générations) décrété par Jean-Paul II,
représenté par le chiffre 50 (voir analyses précédentes) est terminé.
C’est la Pâques de l’Église, la transition apostate avec cette génération.
2000 + 40 ans donne donc 2040.
Nous connaissons tous l’importance du passage en Matthieu 24 pour la fin des temps.
«
Écoutez une comparaison prise du figuier. Dès que ses rameaux
deviennent tendres, et qu'il pousse ses feuilles, vous savez que l'été
est proche. Ainsi, lorsque vous verrez toutes ces choses, sachez
que le Fils de l'homme est proche, qu'il est à la
porte.
Je vous le dis en vérité, cette génération ne passera point que toutes ces choses n'arrivent.
Le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront point. » (Matthieu, 24, 32).
Le
Christ nous a donc donné l’indice que la dernière génération ne passera
point avant que nous voyons la fin des temps, dans un contexte apostat
presque total (mes parole ne passeront point) à part les deux témoins
fidèles à la Loi et aux Prophètes (ceux qui conservent et vivent
l’Évangile dans leur cœur).
Ce
qui est ramené à 2000 ans plus l'âge du Christ par Jean XXIII à la
toute fin des prophéties de l’Église (voir analyses précédentes)…
Moins le temps écourté promis par le Christ car le petit reste y passerait.
Mais revenons au chiffre 105 qui est le triangulaire de 14: la fin d’un cycle, et aux 153 jours d’ici le 13 octobre.
Le 105 représente la délivrance de l’âme au prise à de terribles tourments et souffrances.
C’est la gloire de la résurrection après l’épreuve du Calvaire.
Notez
aussi qu’il y a aussi 153 jours entre le 19 mars, Fête de Saint-Joseph
et le 19 août, date où la l’apparition a été décalée à Fatima parce que
la franc-maçonnerie avait enfermé les enfants le 13 août pour leur
soutiré les fameux 3 secrets (Satan s’inquiétait à propos de celle qui
lui écrasera la tête de son talon!).
Lors de la vision du 19 août
1917, les 3 enfants se firent confirmer le miracle du 13 octobre tout
en confirmant que le père putatif de l’Église, Saint-Joseph, et
l’Enfant Jésus seront là pour apporter la paix dans le monde.
Ce qui fut.
Et il est clair qu’à la fin des temps, la Sainte Famille a toute son importance car Joseph est Père de l'Église.
Or, nous sommes bien dans l’année de Saint-Joseph proclamée par le Vatican, par un triple jubilé (150 ans).
Aussi, nous devons avoir à la mémoire la 105ème devise de la prophétie de Saint-Malachie, « la foi intrépide ».
Nous avons souligné
dernièrement que le confesseur de Soeur Lucie, Mgr da Silva, écrivit en
mars 1937 au pape Pie XI « pour lui exposer les deux grandes demandes
de Notre-Dame, à savoir la consécration collégiale de la Russie et
l’approbation de la dévotion réparatrice des premiers samedis.
Par
un heureux concours de circonstances, la requête de Mgr da Silva
parvenait au Pape deux semaines après la publication de son
encyclique Divini Redemptoris, condamnant le communisme comme
« un fléau satanique » et appelant à lui résister en face,
sans chercher de compromis.
Pie XI a publié Divini Redemptoris le 19 mars 1937, à la fête de Saint-Joseph, soit il y a 84 ans, l’âge d’Anne la prophétesse.
84 est le double des 42 ans de l'Apocalypse (1260 jours), donc 2X42 puisque Babylone se verra remettre au double.
Apocalypse
18, 6 : « Payez-la comme elle-même a payé, et rendez-lui au double
selon ses œuvres ; dans la coupe où elle a versé à boire,
versez-lui le double. »
Il faut souligner aussi en cette année 2021 le fait que Notre Dame de Guadelupe est apparu le 12 décembre 1531.
Le 153 lié au 1(153+le 1), à
l’unité, le 12 du 12ème mois, soit le chiffre des justes, 12X12 ou les
144000 justes de l’Apocalypse.
Or, cela fera 490 ans, soit le 7X7 multiplié par le chiffre du Père, le 10.
Le 49 annonce la fin d’un jubilé, tout en représentant la perfection associé au 10.
Il semble que toute la Sainte Famille est donc réuni pour la chute de Babylone en 2021.
Et comme Notre-Dame du Rosaire
et Notre-Dame des Douleurs sont apparus aux enfants le 13 octobre 1917
en plus de Saint-Joseph et l’Enfant Jésus, il semble que nous avons
l’alpha et l’oméga avec le 105: 1917-2021.
En ce 14 mai, où le décompte des 153 jours commence, le signal de la fin d’un cycle babylonien, signal concocté cette fois par…
Bergoglio et le Vatican, est donné.
« Dreaming of a better restart
» ou « Rêvons d’une meilleure réinitialisation » sur la base de «
Fratelli Tutti » (Tous Frères) est une conférence des Académies
pontificales des sciences et des sciences sociales.
Ils
ont choisi comme couverture le « panthéon de Rome », le temple des
dieux, pour marquer le retour au paganisme, voulant ainsi éclipser la
basilique Sainte Vierge de tous les Martyrs. (segib.org)
Une seule journée. Aujourd’hui. Le 14.
Au lendemain de la fête de Notre Dame à Fatima.
Du gros calibre babylonien.
« Conférence sur la grande réinitialisation / Le Vatican accueille à nouveau l’élite (pro avortement) de l’écologie
La
secrétaire américaine au Trésor Janet Yellen, l’envoyée du président
Biden John Kerry pour le climat et les chefs du FMI, de la Banque
mondiale et de l’Union africaine assistent aujourd’hui à une conférence
de haut niveau au Vatican sur le rêve d’un meilleur redémarrage…
Kerry,
organisateur principal du Sommet de la Terre, est l’un des deux
orateurs principaux à la réunion d’aujourd’hui. L’autre est la
directrice générale du Fonds monétaire international Kristalina
Georgieva. Les deux orateurs principaux sont au Vatican en personne.
Raj
Shah, président de la Fondation Rockefeller, qui, avec ses projets
humanitaires, finance des programmes mondiaux de contraception et
d’avortement depuis des années participe également à la réunion…
Parmi
les autres collaborateurs, deux conférenciers réguliers aux académies
pontificales: les économistes Jeffrey Sachs et Joseph Stiglitz, tous
deux alignés sur la gauche politique. Sachs, un défenseur du contrôle
de la population, connu pour son soutien non critique à la Chine et sa
collaboration étroite avec le sénateur Bernie Sanders, a profité de sa
dernière participation à une réunion de l’académie pontificale pour
lancer une attaque vicieuse contre l’administration Trump des mois plus
tôt des élections présidentielles…
Le
programme de la conférence note que le Pape François, « comme
beaucoup d’autres dirigeants, a souligné que cette situation nécessite
un nouveau départ de solidarité et de fraternité dans la configuration
économique et politique mondiale du point de vue du développement
humain »…
Les
Académies sont également devenues étroitement liées à l’Organisation
des Nations Unies pour objectifs de développement durable (ODD), de qui
sont eux – mêmes au centre de la discussion d’aujourd’hui… » (ncregister.com)
À noter que la publicité du programme mentionne un passage de Fratelli Tutti au tout début, ce qui veut tout dire.
L’Évangile devient sous la transformation de Bergoglio, la base de la religion humaine socialiste.
Ce
passage souligne l’importance de la «musique de l’Évangile» qui
imprègne tous les aspects de la vie et est «la source de la dignité et
de la fraternité humaines».
10 mai
En relation avec le texte du 666 dans la dernière analyse, la dernière conférence internationale du Vatican sur la santé :
« Esprit, corps et âme au cœur de la 5e conférence internationale sur la santé »
« Du 6 au 8 mai, le Conseil
pontifical de la culture et la Fondation Cura organisent un webinaire
spécial pour explorer les points communs entre la religion et la
spiritualité en matière de santé et de bien-être, tout en examinant la
relation entre l'esprit, le corps et l'âme. Un message du Pape est
attendu au terme de ce colloque virtuel de trois jours... » (vaticannews.va)
En
date d’aujourd’hui, rien ne transpire sur le net à propos de
cette conférence. Pas encore de message de Bergoglio, à part qu'à
l'ouverture.
Maître de l'ambiguïté pour ne pas se mouiller complètement et laisser les portes ouvertes, Bergoglio y est allé de ceci:
« Il a salué l’évolution des
techniques médicales, qui «ont ouvert devant nous un horizon de
connaissances et d'interactions qui, il y a quelques siècles, n'étaient
même pas concevables». Ce «progrès des connaissances» se traduit «par
des recherches plus sophistiquées et des soins toujours plus adéquats
et précis», notamment dans le «vaste champ de recherche dans le domaine
de la génétique, visant à vaincre diverses maladies».
Mais précisément, cette
recherche, a observé le Pape, «pose aussi des questions
anthropologiques et éthiques fondamentales, comme, par exemple, la
question de la manipulation du génome humain pour contrôler ou même
surmonter le processus de vieillissement, ou pour obtenir une
amélioration de l'être humain»... » (vaticannews.va)
Oui pour la manipulation génétique, où l'humain devient comme Dieu, mais... mais...
Il faut faire attention au niveau de l’éthique selon lui, qui est une belle valeur de cette nouvelle religion humaniste.
Pourtant
le message de Bergoglio d’aller se faire vacciner au plus vite avec des
vaccins « éthiquement contestables », tous issus de fœtus avortés ou de
manipulations génétiques, contrevient à l’éthique de l’Église.
C’est une collusion directe de Satan contre le Père.
Or, Bergoglio ne s'est jamais
mouillé sur ce sujet alors que beaucoup de cardinaux et d'évêques
demandent de mettre le pied à terre, comme l'Église doit le faire!
Le mystère d’iniquité à l’oeuvre.
Le
cardinal Parolin, futur Pierre II le romain de la prophétie de
St-Malachie (voir analyses précédentes) y est allé aussi de son grain
de sel à l'ouverture de cette conférence:
« Le cardinal Parolin alerte contre le risque d’effondrement systémique
Dans un message vidéo pour
l'ouverture de la 5e Conférence internationale "Mind, Body and Soul",
promue par le Conseil pontifical de la culture et la "Cura Foundation",
le Secrétaire d'État du Saint-Siège a alerté sur la souffrance et la
désolation engendrées par les conduites égoïstes d’une partie de
l’humanité, prédatrice vis-à-vis de l’environnement... » (vaticannews.va)
Ahhhh! Laudati Si.
On ne manque aucune occasion au Vatican pour nous le rappeler.
Parlant justement d’anthropologie et de pandémie…
Où
la grande apostasie règne, et où l’humain athée aveuglé se divinise,
grâce en partie à Bergoglio qui ne sait pas diriger le troupeau.
« … En réalité, la plus grande
(et la plus grave) conséquence des politiques menées pour –
prétendument – lutter contre la pandémie est de nature anthropologique,
et ce qui en émergera, c’est « un homme-masse désincarné et à
désincarner ». Là est le vrai Great Reset…
Le covid change
l’anthropologie. Quel genre d’homme veut-on voir émerger des ruines de
la politique anti-Covid? Un individu dépourvu de relations: le médecin
généraliste n’est pas consultable, les membres de la famille sont des
ennemis potentiels. De plus, les enfermements s’appliquent à tous, que
l’on vive dans une ville ou dans un village. C’est un homme-masse
désincarné auquel il faut changer sa façon de travailler et
d’apprendre, de pleurer les morts, de prier. Un homme hétérodirigé,
dépendant de la machine sanitaire et politique, sans conscience, parce
que dangereuse, qui fera coïncider la vérité avec les données
institutionnelles, attentif à ce qu’il dira et à qui…
Enfin, la question la plus
importante. L’anthropologie de ceux qui gèrent les politiques
anti-covid est celle d’un homme athée : un individu solitaire,
malléable et hétérodirigé précisément parce qu’il est athée. Surtout,
il est craintif et effrayé parce qu’il est athée. Avec Lourdes et les
sanctuaires dédiés à Notre-Dame du Salut fermés, les prêtres célébrant
avec des masques et des désinfectants pour les mains, les volontaires
des carabiniers dans les allées, peu d’espaces ont été réservés à
l’esprit et les rites religieux ont été remplacés par des rites
sanitaires. » (benoit-et-moi.fr)
Cette grande apostasie en est une de manipulation mentale du mystère d’iniquité, nourrit par le culte covidien :
«
Encore un article hors des clous par rapport à l’idéologie dominante,
dont le ton semble toutefois suffisamment pondéré et les arguments
rationnels pour mériter l’attention (même si, à l’instar
de Marcello Veneziani, « je sais que je ne sais pas »…
et donc je doute). L’auteur est un dramaturge et romancier américain
qui vit à Berlin, CJ Hopkins. A travers son exemple personnel, il
analyse les processus de manipulation mentale, fortement inspirés aux
mouvements sectaires mais mis en œuvre à l’échelle planétaire pour
imposer un culte nouveau et fabriquer ce qu’il nomme une
« Nouvelle normalité ». (benoit-et-moi.fr)
Voilà où nous en sommes aujourd’hui.
Le peuple réclame une « nouvelle normalité » avec une fausse liberté.
La bête salive. Elle a faim et soif d'âmes.
Plus elle avance plus elle en demande.
Elle réclame l'église, l'arrêt du Saint Sacrifice.
Car
présentement, l'églies, d’une vision théocentrique et christocentrique
par l’Incarnation du Fils, est passée à une vision anthropocentrique où
l’humain est devenu un dieu.
On l’a vu dans l’analyse précédente, l’Apocalypse désigne l’Antéchrist par le chiffre 666.
Le fait de tripler un chiffre consiste à le diviniser corps, âme et Esprit (le trois étant le chiffre de la Sainte Trinité).
Par
conséquent, le 6 étant le chiffre de l’humain (créé le 6ème jour),
Saint-Jean nous a donné le message que l’humain se sera divinisé par le
666 à notre époque.
Et toute cette manipulation
pandémique est un processus, on le sait maintenant, de la grande
réinitialisation, ce qui est impossible sans la monnaie digitale…
Or, « The Economist » du 8 mai le confirme… Soyez prêt pour le Fedcoin, l’Eurocoin, etc...
Avec
le temple à gauche, la pyramide avec l’œil qui voit tout à droite, et «
In Tech We Trust », en plus du G maçonnique au centre.
Ils ne se cachent plus.
Mais peu de gens ont les capacités de voir dans ce monde de mensonges entretenus délibérement.
Remarquez
que cela survient pile dans la 33ème année après la parution de « The
Economist » 1988 où ils planifiaient le phœnix (la nouvelle monnaie
digitale ) pour 2018.
Le
triomphe de Satan passe par l’imitation de la passion du Christ, mort
et résurrection donc à 33 ans selon les pères de l’église.
Voici un message de Mgr Vigano quant à la grande réinitialisation qui doit avoir lieu, un message d'espérance.
« Carlo Maria Viganò: « La seule vraie grande réinitialisation est le retour à Dieu »
Je
suis très reconnaissant au Dr Patrick Coffin de l’opportunité qui m’a
été offerte de participer au Sommet mondial Truth Over Fear: The
Vaccine and the Great Reset (7-9 mai 2021) (traduction: La Vérité par
dessus la Peur: Le Vaccin et la Grande Réinitialisation)…
…
Si seulement nous avions le bon sens de penser indépendamment,
d’utiliser la rationalité dont le Père éternel nous a doté, nous
comprendrions immédiatement que cette horreur n’est rien d’autre que le
«monde à l’envers» voulu par l’éternel Ennemi de l’humanité, l’enfer
sur la terre attendue par les serviteurs de Satan, le Nouvel Ordre
Infernal qui est un prélude à l’avènement de l’Antéchrist et à la fin
des temps. Ce n’est qu’ainsi que nous pourrions comprendre l’apostasie
des dirigeants de l’Église, tous pris pour donner la preuve de
l’obéissance à l’idéologie mondialiste au point de nier le Christ sur
la croix et de préférer, au doux joug du Christ, les lourdes chaînes de
Lucifer.
S’il
y a une «Grande Restauration» dont l’humanité a vraiment besoin, cela
ne peut se produire que dans le retour à Dieu, dans une véritable
conversion des individus et des sociétés au Christ-Roi, que nous
renversons depuis trop longtemps au nom d’un pervers. liberté qui
accorde tout et tout légitime sauf le Bien. Cette « Grande
Réinitialisation » a eu lieu sur le Golgotha, quand Satan a cru
qu’il mettait le Fils de Dieu à mort et empêchait la Rédemption, alors
qu’en réalité il signait sa propre défaite définitive. Ce à quoi nous
assistons aujourd’hui n’est que les conséquences douloureuses de la
bataille entre le Christ et Satan, entre la lignée de la Femme vêtue de
lumière mentionnée dans l’Apocalypse et la lignée maudite de l’ancien
Serpent. Ainsi, alors que nous approchons de la persécution des
derniers temps, nous avons la certitude surnaturelle que même cette
pandémie grotesque, misérable prétexte pour l’établissement d’une
synarchie anti-humaine et anti-Christ, est vouée à la défaite, car le
Christ a déjà vaincu la défaite éternelle, avec une victoire écrasante
et inexorable. Forts de cette victoire d’époque, dont nous verrons
peut-être très bientôt le triomphe, nous devons combattre sous la
bannière du Christ Roi et sous la protection de la Reine des Victoires,
à qui le Seigneur a donné le pouvoir d’écraser la tête du Mal. Une.
Si
nous retournons au Christ, en commençant par nous-mêmes et avec notre
famille, nous pourrons non seulement ouvrir les yeux pour comprendre
l’absurdité de ce qui se passe autour de nous, mais nous pourrons
également lutter efficacement avec les armes invincibles du Foi. «
Omne, quod est ex Deo, vincit mundum: et haec est victoria, quae vincit
mundum, fides nostra. Car tout ce qui est né de Dieu conquiert le
monde; et c’est la victoire qui a vaincu le monde: notre foi »(1 Jn 5,
4). Puis la nouvelle tour de Babel, le château de cartes Covid, la
farce des vaccins, la fraude de la Grande Réinitialisation
s’effondreront inexorablement, manifestant dans son caractère
diabolique le plan meurtrier de l’Adversaire et de ses serviteurs.
Regardons
la Nouvelle Jérusalem qui descend du ciel, la Sainte Eglise, qui dans
la vision de saint Jean apparaît «comme une épouse ornée pour son mari»
(Ap 21, 2). Écoutons la voix forte qui annonce: « Et Dieu essuiera
toute larme de leurs yeux, et il n’y aura plus de mort, plus de
chagrin, pas de cri, pas de fatigue, parce que les choses anciennes
sont passées » (Ap 21: 4). Notre « Grande
Réinitialisation » s’accomplit en Notre Seigneur: « Voici, je
fais toutes choses nouvelles » (Ap 21, 5), « Je suis Alpha et
Oméga, le commencement et la fin » (Ap 21, 6). Puisse toute la
Cour céleste nous assister et nous protéger dans cette bataille
historique, dans laquelle nous sommes fiers de servir sous la bannière
du Christ-Roi et de Marie Reine.
+ Carlo Maria Viganò, comme évêque
ancien nonce apostolique aux États-Unis d’Amérique » (aldomariavalli.it)
Il n'y a qu'un chemin menant au Père.
Nous savons lequel.
06 mai
LA DIVISION DE BABYLONE, DE BABYLONE VATICAN À BABYLONE NATIONS-UNIES
Le dernier Motu Proprio de
Bergoglio sur la réforme de la transparence des finances au Vatican
renferme un tour de passe passe : les crimes des cardinaux seront
dorénavant jugés par des laïques qui recevront les formations
nécessaires (droit canon, etc…) sous l’autorité directe de Bergoglio.
Avec ce Motu Proprio le sacrement de la confession, pour les cardinaux est terminé.
Mgr Vigano:
«
Conformément à la énième disposition promulguée par celui qui,
collégialement et synodalement, gouverne despotiquement par motu
proprios, les cardinaux de la Sainte Église romaine peuvent être
poursuivis et jugés par des laïcs. Il est impossible de trouver des
explications raisonnables aux décisions improvisées de Bergoglio, qui
s’est infiltré non seulement dans les dicastères romains et le synode
des évêques, ou du moins religieux désordonnés, au nom de la
synodalité, de la démocratisation et de la parité des sexes.Il n’est
pas non plus inutile d’invoquer le Code de droit canonique, que le
Pontife romain peut abroger à volonté. Il est inutile de déplorer la
subversion hiérarchique qui permet à un membre de l’Église apprenante
de juger un membre de l’Église enseignante. Quiconque croit que les
normes et les réformes bergogliennes sont motivées par des buts justes
et visent le bien du corps ecclésial est aux anges. Si vous avez
l’honnêteté intellectuelle de reconnaître que le but de ces innovations
est la démolition de l’Église catholique et la concentration tyrannique
du pouvoir, vous comprendrez leur pleine cohérence et efficacité.
Soumettre les prélats à un tribunal composé de laïcs nommés par le
principal locataire de Santa Marta signifie soustraire la compétence
des pasteurs pour la concentrer sur un individu sous couvert de
démocratie, collégialité et participation des laïcs au gouvernement de
l’Église. Nous avons ici un paradoxe rusé: Bergoglio impose des
réformes apparemment démocratiques contraires à la constitution
monarchique de l’Église du Christ dans le seul but de diviser et de
prendre tout le pouvoir qu’il prétend lui-même vouloir combattre. Par
ce geste, il monopolise le pouvoir de punir ou d’absoudre qui il veut,
garantissant ainsi l’assujettissement des courtisans et promouvant une
curie de flatteurs et de pots-de-vin corrompus.
Un royaume divisé contre lui-même est détruit, et toute ville ou maison divisée contre elle-même ne peut subsister (Mt 12, 25).
+ Carlo Maria Viganò »
L’histoire se répète.
Un royaume divisé annonce imminemment sa chute.
C’est ce que vit Saint-Siméon
en reconnaissant le Messie : devant la lumière venant en ce monde
il voit la division d’Israël, qui mènera à sa perte, à sa dispersion de
par le monde.
« Mais la tâche de Siméon ne
s’arrête pas là. Après la louange vient la prophétie : le don
visionnaire de Syméon – sa lucidité - lui fait entrevoir le drame qui
s’annonce : le peuple d’Israël n’acceptera pas la bonne nouvelle.
Et ceci est un déchirement, tant pour Syméon que pour Marie. Cette
division du peuple d’Israël va courir comme un fil rouge tout au long
de l’œuvre de Luc. » (croire.la-croix.com)
La prophétie de Saint-Malachie sur la succession des papes se termine par la division, les tribulations :
« Dans
la dernière persécution de la sainte Église romaine siégera Pierre le
Romain, qui fera paître ses brebis à travers de nombreuses
tribulations. Celles-ci terminées [les tribulations], la cité aux sept collines sera détruite, et le juge redoutable jugera son peuple. »
Pour l’Église, la division a vu le jour avec Vatican II plus particulièrement.
Et, c’est exactement ce qu’a prophétisé Jean XXIII (à propos de sa propre prophétie) au début de cette époque troublante :
« Puis arrivera Père l'inattendu, fils des champs et des eaux. Je
ne le vois pas. Je crains pour lui. Pour son époque. Pour la Mère. Il
marchera au milieu de gens divisés, prêts à mettre et à arracher la
tunique du Rédempteur… »
La division est le signe précurseur de la chute.
Et Jean XXIII l’a utilisé à plusieurs reprises dans les prophéties politiques :
-
Toi Marcus tu ne pourras rien de loin et tu ne sauras pas
diviser, ton couteau est léger mais trop effilé. La lumière de la
rencontre de paix se réfléchit, le reconnaît, le met en pièces.»
- Luther avait deux chefs ennemis et divisés.
- Quand l'Islam sera divisé, et les fils de Mahomet lutteront contre les fils de Fatima,
-
Voici le livre qui invoque la haine, qui divise les hommes. Combien de
mal il fera, combien de douleurs il fera naître, combien de guerres.
Division dans l’Église, aux États-Unis, dans l’islam…
En les mettant bout à bout nous avons bien l’image de notre époque.
Une époque sur le point de se terminer.
Car nous constatons que Babylone est divisée :
- divisions entre les deux factions judéo-maçonnique voulant s’accaparer la planète
- divisions instaurées par le mouvement « woke »
- divisions générées par la pandémie, la campagne de vaccination, les fausses nouvelles, etc.
«
Sur quoi les Italiens, les Européens, les Occidentaux sont-ils vraiment
divisés aujourd’hui, quelles sont les questions sensibles les plus
significatives?
En
premier lieu, les thèmes de la biopolitique, c’est-à-dire les domaines
qui concernent la vie et la mort, la naissance et les sexes, le taux de
natalité, les adoptions et les mères porteuses, les unions et les
familles homosexuelles, le droit à la vie ou à l’avortement, les
changements d’identité et le transhumanisme, les droits des animaux,
les mœurs, les drogues.
En
second lieu, elles affectent directement les catégories
« protégées » car considérées comme insuffisamment protégées
par les lois et coutumes en vigueur: autrement dit les femmes, les
migrants, les noirs, les homosexuels, les trans, les Roms, les
minorités religieuses.
En
troisième lieu, elles concernent la mémoire historique collective, les
identités, le patrimoine religieux des peuples, les traditions, les
coutumes et leur rejet, les classiques et leur effacement, les arts et
la censure, la toponymie, les monuments, les fêtes et les journées
mondiales, le passé et sa négation. Ce sont les questions qui divisent
le plus au niveau politique, civil ou idéal, au-delà des questions
contingentes, sanitaires ou économiques. L’enjeu est la civilisation,
menacée de l’intérieur et de l’extérieur. Toutes les questions
qualifiées de « clivantes » pour le gouvernement actuel (la
loi Zan [*], la question des migrants, le ius soli) remontent
à ce dualisme…
Classons les deux lignes
opposées de manière à ce qu’elles se respectent mutuellement: d’un
côté, c’est le souci des droits de l’homme qui prévaut; de l’autre,
c’est la défense de la civilisation en péril.
C’est-à-dire
que, d’un côté, ce sont les pierres angulaires de la civilisation – la
famille, le sens religieux, les liens communautaires, la tradition, les
symboles, le patriotisme – qui sont en jeu; de l’autre côté, c’est
l’acquisition de nouveaux droits civils, globaux, de genre, des
minorités qui est en jeu. Y compris le droit de changer de visage, de
sexe et de citoyenneté.
Les
conflits les plus âpres portent en fait sur le racisme, le sexisme, le
colonialisme, le suprémacisme, l’islamophobie, la xénophobie,
l’homophobie, le négationnisme, mais ce sont des variations sur le même
thème: la civilisation ou les droits humains globaux. » (benoit-et-moi.fr).
«
La force d'un pays repose sur son unité culturelle. Quand ce n'est pas
le cas, il est condamné à disparaître. » (Pierre Hillard).
La division le résultat du 666, le chiffre de la bête.
«
le « 7 » est le chiffre de la perfection, mariage du 4
(chiffre du monde créé) avec le 3 (chiffre divin par excellence,
puisque chiffre de la Trinité). Le « 7 » est également le
chiffre de la Création puisque le Multivers fut créé en sept jours. Et
si le 8 est le chiffre du monde transfiguré, accompli, le 6 est celui
du manque, de l’inachevé.
Le
septième jour, Dieu se repose, c’est-à-dire qu’Il contemple Sa
Création, qu’Il s’installe dans une relation libre avec elle. Relation
d’altérité mais aussi d’Éternité….
Or
le 6 refuse d’entrer dans cette dynamique de vie éternelle et
béatifique. Le 6 rejette l’accomplissement, il ferme les portes, il
s’enferme dans une vision finie de la réalité. Le 6, se coupe de la
transcendance et se faisant, il se renferme sur lui-même. Au lieu de se
laisser déifier par l’amour de Dieu, au lieu de se laisser porter sur
le pont arc-en-ciel qui mène au Royaume, là où la Terre et le Ciel
s’épousent, le 6 s’arrête au pied du pont et se déclare autosuffisant.
Se
gargarisant de sa suffisance, il oublie qu’il doit tout au Créateur et
que Celui-ci l’inonde à tout moment de son amour. Celui qui s’arrête au
6 est le contraire du Christ donnant sa vie pour l’Humanité qu’il aime
plus que tout, il est l’Antichrist qui est uniquement tourné vers
lui-même aux dépens du reste du monde. Contrairement au règne de Vie et
de liberté initié par le Christ qui vainc la mort et ouvre sur
l’Éternité, l’Antichrist ne propose que l’esclavage de l’absurde et la
mort.
Pourquoi le 6 est-il répété 3 fois pour donner le 666 ?
Sans
doute doit-on y voir le principe du chiffre appliqué à tous les niveaux
de l’être : corps — âme — esprit. La dictature de la finitude et
du non-sens établie, l’Antichrist peut étendre sa tyrannie totale.
La tyrannie sur le corps
Car
en ne s’ouvrant pas à l’Éternité, en la refusant librement, l’angoisse
de la mort aura tôt fait de submerger l’être humain trop conscient de
sa fragilité physique.
…
La tyrannie sur les corps
L’avilissement
de l’homme par l’homme dont se repaît l’Ennemi du genre humain.
L’Antichrist est incarné par tous les esclavagistes modernes, dans tous
les signes qui réduisent le corps à un objet (prostitution,
pornographie…) ou au contraire dans ceux qui nient son existence
(burqa, niqab…). La tyrannie du corps, le premier 6, détruit toute
forme d’amour, de charité ou même d’empathie vis-à-vis de l’autre. Elle
réduit le prochain à une donnée exploitable, un objet, une chose dont
on peut user et abuser.
La tyrannie sur l’âme
À
chaque période d’obscurantisme : iconoclastes byzantins,
protestants, extrémistes ou talibans détruisant l’expression
artistique, reflet de la Lumière de Dieu. Car les racines qui plongent
dans la Source Trine produisent des arbres portant les fruits de l’art,
de la joie, de la sérénité, de la profondeur de pensée, de la beauté,
toutes choses que l’Ennemi abhorre, car elles font reculer son royaume.
Lui qui met en place deux tactiques d’asservissement de l’âme :
l’obscurantisme superstitieux et l’avènement de l’idiocratie. Le
premier est porté par le dévoiement de l’esprit religieux qui s’oppose
à l’intelligence, à la raison, à l’imaginaire (toutes des vertus qui
viennent de Dieu) et la seconde est l’abrutissement de masse induite
par la dose massive de platitudes et de vulgarités crachées par les
télévisions du monde et certains sites Internet. Véritable poison de
l’âme, il existe une contre-culture nocive qui se distingue, non par un
message contestataire construit, non par une vision du monde
singulière, mais bien par une action involutive détruisant toute
culture et donc toute civilisation.
La tyrannie de l’âme
Le
deuxième 6, détruit toute forme d’émerveillement et d’intelligence. Que
ce soit en la censurant ou en la poussant dans les extrêmes de la
déliquescence, la tyrannie exercée sur l’âme permet d’assécher les
cœurs, de couper l’élan de désir vers Dieu ou d’installer une société
de consommation qui va entretenir et amplifier la tyrannie du corps,
chacun des trois éléments du 666 étant soutenu et amplifiés par les
deux autres.
La tyrannie sur l’esprit
C’est
la vision tronquée de Dieu, de Sa volonté et de Sa nature :
répressions, tortures, châtiments, dolorisme, discriminations,
machisme… La liste est malheureusement interminable et douloureuse.
Douloureuse, car de la pulsion de l’homme pour Dieu devrait résulter
des civilisations immortelles puisant leurs forces à la Source
Immortelle. Dans un retour de balancier, l’homme a le réflexe de
rejeter les images idolâtriques du Dieu terrible mais sombre alors dans
un athéisme non moins catastrophique sur le plan de son évolution
personnelle et collective. Il passe de la dictature de l’idole au refus
conscient de son origine et de sa destination divine.
La tyrannie de l’esprit
Le
troisième 6 est peut-être le pire de tous, car il bâtit des murs entre
le Créateur et sa créature aimée. De Père-Mère aimant et personnel
qu’Il est réellement, Dieu devient, dans l’esprit perverti, un
surveillant d’école, un gendarme, un maton ou à l’inverse une énergie
mécanique floue ou un grand néant.
Une trinité blasphématoire et inversée
Le
triple 6 est une trinité blasphématoire et inversée. Plus qu’un
symbole, il est une émanation vomie par l’abîme, centre spirituel de
haine et d’involution. Force impie, énergie triple d’entropie bien
présente dans notre univers, elle s’infiltre partout comme une tache
d’huile, de sorte que nous pouvons considérer que nous sommes
réellement en terre occupée par l’Ennemi. Nulle institution, nulle
conscience, nulle époque, nulle civilisation n’est à l’abri, notre
seule espoir est d’ouvrir les bras à la Grâce qui pourra nous faire
passer de l’incomplétude du 6 à la perfection du 7 pour finir au 8
transfiguré ! » (aleteia.org)
Deux
choix donc s'offre à l'humain: une fusion avec Dieu par le 777 menant
au 8, ou, une division par le 666 menant à l’apostasie, la mort de
l’âme.
Voilà pourquoi Jésus déclarait qu’on ne peut servir Dieu ou Mammon à la fois… Et qu’il n’y a qu’un seul chemin menant au Père.
La division de Babylone est le témoin actif du système anti-christique 666 au niveau temporel.
Pour les « normaux » de notre société, c’est la chute et le brutal réveil qui les attend.
Pour
ceux qui savent pertinemment que cette division visible n’est que le
pâle reflet de cette guerre spirituelle qui est menée, c’est la Pâques
de l’Église à l’image du Christ qui les attend.
Cette division devient alors un signe d’espérance.
Cette Pâques de l’Église est représentée le 5ème psaume des Vêpres, ces prières qui marquent le début et la fin d’une journée.
C'est l’alpha et l’oméga d’une période, d’un cycle.
Le 5ème psaume commenté par Dom Guéranger dans « L’année liturgique ».
« Quant au dernier et cinquième:
Le
cinquième psaume rappelle la première Pâque, la sortie d’Égypte, et les
merveilles qui l’accompagnèrent et la suivirent ; la mer Rouge, figure
du Baptême ; l’eau qui jaillit du rocher dans le désert ; le culte des
idoles aboli. La Pâque et la Pentecôte chrétiennes accomplissent tous
ces symboles ; et par elles, la bénédiction se répand sur quiconque,
juif ou gentil, veut craindre ou aimer le Christ. Pour prix de nos
péchés, nous étions condamnés à descendre au tombeau ; nous aurions
éternellement ignoré les cantiques de joie de la céleste Jérusalem ; la
Résurrection du Christ nous a fait naître à la vie ; et nous chantons
aujourd’hui, à sa louange et à celle de son Père céleste, le joyeux
Alléluia. »
Le 5ème psaume (Psaume 114-115 (Vulg. CXIII)) commence au passage de la mer Rouge et témoigne de l’abolition du culte des idoles.
C’est le symbole de la chute de Babylone, de la mort des bêtes de l’Apocalypse.
Ce psaume fait aussi la distinction entre la maison d’Israël et la maison d’Aaron, soit l’image symbolique du peuple, et du clergé.
Ce sont les deux témoins de l’Apocalypse, les chrétiens et le clergé fidèles à la Loi et aux Prophètes.
C’est la libération des justes, bénis par le Seigneur, ceux qui sont vivants à l’intérieur.
C’est la Jérusalem céleste.
L’Église sera finalement purifiée.
Avril 2021
26 avril
LA PURIFICATION DE L’ÉGLISE
40 jours après la naissance de
Jésus, le jour de la chandeleur, Marie alla au temple pour se purifier,
selon la coutume, et présenter Jésus.
«
C’est à l’occasion de la purification de Marie et de la consécration de
Jésus à Dieu qu’a lieu la première révélation de Jésus comme Messie. Le
prophète Syméon qui attendait la libération d’Israël, est le
protagoniste privilégié de cet événement. Devant la lumière qui vient
en ce monde il s’efface, comblé de gratitude. Cette scène heureuse et
lumineuse est néanmoins troublée par l’annonce de la division d’Israël.
La lucidité et la clairvoyance ne peuvent laisser dans l’ombre la part
sombre de notre humanité. Ni empiéter sur notre liberté.
...
Il faut être un peu
mathématicien et bien informé de l’attente des temps messianiques pour
comprendre la portée de la toute première phrase de ce court
passage : le « jour fixé par la loi de Moïse » désigne
le jour fixé pour la purification de Marie qui a lieu quarante jours
après l’accouchement. Mais si l’on additionne les unes aux autres
les différentes périodes qui ont eu lieu depuis la première annonce de
Gabriel à Zacharie, au tout début de l’Évangile de Luc, on arrive à un
total de 70 semaines. Ce chiffre n’est pas neutre. Il en est fait
mention dans le livre de Jérémie (Jr 25, 11-14) et de Daniel (Dn, 9,
2 ; 21-24). Daniel pleure sur la ruine de Jérusalem et lit Jérémie.
L’Ange Gabriel vient expliquer que cette période de temps est nécessaire « pour que la justice de Dieu apparaisse ».
Le
lecteur de Luc, à l’époque, ne s’y trompe pas. A travers ces
quelques mots, c’est toute l’attente messianique d’un peuple qui est
condensée. Attente d’un Messie, d’un roi qui délivrera Israël, le
peuple de la promesse, du joug sous lequel il est maintenu. Les temps
sont accomplis. Le jour fixé est arrivé.
...
Syméon,
dont le nom signifie : « Dieu a entendu », attend lui
aussi la Consolation d’Israël, c’est-à-dire sa libération, décrite au
chapitre 40 d’Isaïe qui annonce l’ouverture du salut à toutes les
nations. Poussé par l’Esprit, il se rend au Temple, l’unique demeure de
Dieu sur terre.
La force de la vision
C’est
alors que se produit la rencontre tant attendue de la promesse et de
l’accomplissement. Syméon, affectueusement, prend l’enfant dans ses
bras et il sait que c’est la lumière du monde qu’il porte et désigne à
tous. Oui, il sait et il transmet. Son regard usé à force d’avoir
scruté, observé, attendu, voit dans ce nouveau-né la lumière du monde.
La tâche de veilleur de Syméon se termine. Son bonheur est si grand
qu’il peut désormais s’en aller, s’effacer.
Qui
d’entre nous peut se vanter d’avoir une telle constance, une telle
vigilance, un tel sens du discernement et, surtout, de la
transmission ? Car Syméon est non seulement un visionnaire mais
c’est aussi un « communicant ». La force de la vision qu’il
reçoit lui donne les mots pour dire le salut qui vient. Voilà une belle
leçon pour nous qui avons à « lire les signes des temps ».
Puissions-nous, comme lui, nous tenir dans cette attente active,
sensible à l’Esprit.
… » (croire.la-croix.com)
40 jours.
40
jours dans le désert pour le Christ, le peuple et Moïse 40 ans dans le
désert, le déluge a duré 40 jours, 40 jours de repentir pour le peuple
de Ninive, 40 jours séparent l'Ascension de Jésus de sa Résurrection.
40 est le chiffre de la purification et représente donc le basculement d’une période vers une autre.
Considérant
cette logique, puisque nous sommes à l’époque de la Passion de
l’Église, à quoi correspondrait cette période de purification?
Si on remonte 40 ans en arrière, nous nous retrouvons en 1981.
C’est
une année où le signe visible d’une attaque directe contre l’église est
évident : la tentative d’assassinat de Jean-Paul II le 13 mai 1981.
Cet événement est important car le bâtisseur qui a accéléré le plan Vatican II est bel et bien Jean-Paul II.
C’est lui qui pousse l’œcuménisme définitivement vers l’avant avec la rencontre d’Assise en 1986.
Or, en 2021, le jour de l’Ascension tombe sur le 13 mai.
Serait-ce le terme de la purification de l’Église?
Serait-elle dû pour son Ascension?… Du moins par un marqueur de la fin de son Calvert?
Or,
on le sait par les diverses prophéties souvent mentionnés dans les
analyses, dont Jean XXIII : le pape actuel devra fuir.
Ce 13 mai 2021 pourrait bien être le jour où tout bascule.
C’est aussi la date de la première apparition de Fatima en 1917.
La
fin de Bergoglio ou le décès de Benoît XVI pour entamer la fin de la
prophétie le concernant, qui annonce la chute des deux Babylone.
Jean-Paul
II s’était approprié le terme de « l’évêque vêtu de blanc » du 3ème
secret (est-il authentique?) de Fatima révélé en 2000 pour clore le
sujet quant à la tentative d’assassinat sur un pape.
Or,
si le secret est vrai, avec ce que nous sommes témoins aujourd’hui nous
savons tous que c’est Bergoglio, celui qui a renoncé au titre de
vicaire du Christ, simple évêque de Rome, vêtu uniquement de blanc,
sans le pourpre papal.
Citons de nouveau Anna Maria Taigi :
«
Un jour viendra où le Pape enfermé au Vatican se trouvera
comprimé comme dans un cercle de fer. Toute espérance humaine sera
perdue et c’est alors que Dieu fera éclater, tout à coup, sa
miséricorde…
Les
cadavres tués aux environs de Rome seront aussi nombreux que les
poissons charriés dans cette ville par un récent débordement du Tibre…
La
religion doit être persécutée et les prêtres massacrés. Les Églises
seront fermées, mais seulement pour un court laps de temps. Le
Saint-Père sera obligé de quitter Rome. »
La
prophétie du Pape Saint Pie X: « Ce que je vois est
effrayant ! Sera-ce moi ? Sera-ce mon
successeur ? Ce qui est sûr, c’est que le Pape quittera Rome,
et pour sortir du Vatican, il lui faudra passer sur les cadavres de ses
prêtres ».
Or, il n’y avait pas que Syméon au temple pour être témoin de la venue du Messie.
«
Il y a aussi dans le Temple une prophétesse, Anne, fille de Phanuel.
Elle louait Dieu et parlait de l’Enfant à ceux qui attendaient le
rachat de Jérusalem. La première Alliance est parvenue au terme de sa
course, elle reconnaît en Jésus le Messie tant attendu. La prophétesse
Anne annonce ainsi à tous ceux qui veulent l’entendre qui est
véritablement cet enfant.» (fr.aleteia.org)
«
Anne, elle aussi, est «prophète», porte-parole de Dieu. Elle est âgée
de 84 ans, c'est dire qu'elle a 7 fois 12 ans. Dans la symbolique
biblique des nombres, le chiffre 7 suggère la perfection et le 12
l'universalité. Le lecteur devine ainsi qu'Anne représente
parfaitement les croyants de son peuple qui attendent «la délivrance de
Jérusalem».» (croire.la-croix.com)
Est-ce
que comme Saint-Syméon est relié à la prophétesse Anne de Phanuel, nous
pouvons lier les 40 et 84 ans, en cette période où nous aussi nous
attendons la délivrance des tentacules de Babylone pour la Jérusalem
Céleste?
Le
confesseur de Soeur Lucie, Mgr da Silva, écrivit en mars 1937au pape
Pie XI « pour lui exposer les deux grandes demandes de Notre-Dame, à
savoir la consécration collégiale de la Russie et l'approbation de la
dévotion réparatrice des premiers samedis. Par un heureux concours de
circonstances, la requête de Mgr da Silva parvenait au Pape deux
semaines après la publication de son encyclique Divini Redemptoris,
condamnant le communisme comme « un fléau satanique » et
appelant à lui résister en face, sans chercher de compromis. Dans cette
conjoncture providentielle, l'on devine avec quelle ardeur sœur Lucie
priait et se sacrifiait pour que le Saint-Père prenne la décision
salvatrice de consacrer la Russie au Cœur Immaculé de Marie.
Les semaines et les mois passèrent... Pie XI ne faisait point cas des demandes de la Reine du Ciel. » (crc-resurrection.org)
Voici des extraits de la lettre encyclique de Pie XI «DIVINI REDEMPTORIS»,
qui est un avertissement sévère sur le communisme athée et ses ravages,
qui malheureusement s’est réalisé aujourd’hui avec la mondialisation et
le socialisme si cher à Bergoglio... et le silence de l’église en ce
temps de pandémie où Satan y va du dernier acte pour soumettre la
chrétienté.
« LE COMMUNISME ATHÉE
1. La promesse d'un Rédempteur
illumine la première page de l'histoire humaine; aussi, la ferme
espérance de jours meilleurs adoucit le regret du paradis perdu et
soutint le genre humain cheminant au milieu des tribulations; mais,
quand fut venue la plénitude des temps, le Sauveur du monde, par son
apparition sur terre, combla l'attente et inaugura, dans tout
l'univers, une nouvelle civilisation, la civilisation chrétienne,
autrement plus parfaite que tous les progrès réalisés jusque-là, au
prix de tant d'efforts, chez certains peuples privilégiés.»
...
4.
En face d'un pareil danger, l’Église Catholique ne pouvait se taire et,
en fait, elle n'a pas gardé le silence. Le Siège Apostolique, qui a
pour mission spéciale la défense de la vérité, de la justice, de tous
les biens éternels niés et combattus, par le communisme, le Siège
Apostolique. tout particulièrement, n'a pas manqué d'élever la voix.
Depuis l'époque où des groupes intellectuels prétendirent libérer la
civilisation humaine des liens de la morale et de la religion, Nos
prédécesseurs attirèrent l'attention du monde, d'une façon claire et
explicite, sur les conséquences de la déchristianisation de la société
humaine.
...
8.
Le communisme d'aujourd'hui, d'une manière plus accusée que d'autres
mouvements semblables du passé, renferme une idée de fausse rédemption.
Un pseudo-idéal de justice, d'égalité et de fraternité dans le travail,
imprègne toute sa doctrine et toute son activité d'un certain faux
mysticisme qui communique aux foules, séduites par de fallacieuses
promesses, un élan et un enthousiasme contagieux, spécialement en un
temps comme le nôtre, où par suite d'une mauvaise répartition des biens
de ce monde règne une misère anormale. On vante même ce pseudo-idéal,
comme s'il avait été le principe d'un certain progrès économique: quand
il est réel, ce progrès s'explique par bien d'autres causes, comme
l'intensification de la production industrielle dans des pays qui en
étaient presque privés, la mise en valeur d'énormes richesses
naturelles, l'emploi de méthodes brutales pour faire d'immenses travaux
à peu de frais…
Ce que deviendrait la société.
12.
Que deviendrait donc la société humaine fondée sur de tels principes
matérialistes ? Elle serait une collectivité sans autre hiérarchie que
celle du système économique. Elle aurait pour unique mission la
production des biens par le travail collectif et pour unique fin la
jouissance des biens terrestres dans un paradis où chacun
" donnerait selon ses forces et recevrait selon ses
besoins ". C'est à la collectivité que le communisme reconnaît le
droit ou plutôt le pouvoir discrétionnaire d'assujettir les individus
au joug du travail collectif, sans égard à leur bien-être personnel,
même contre leur propre volonté, et quand il le faut, par la violence.
L'ordre moral aussi bien que l'ordre juridique ne serait plus, dès
lors, qu'une émanation du système économique en vigueur; il ne serait
fondé que sur des valeurs terrestres, changeantes et caduques.
Bref,
on prétend ouvrir une ère nouvelle, inaugurer une nouvelle civilisation
résultant d'une évolution aveugle : " une humanité sans Dieu
!.." »
Notez
que l’encyclique de Pie XI a été publié intentionnellement et consacré
(dans la conclusion) à Saint-Joseph le 19 mars 1937, soit à la même
date que l’intronisation de Bergoglio.
Aussi pour fermer la boucle, donc 84 après l’encyclique, 2021 est une année consacrée à Saint-Joseph.
Saint Joseph représente l’Église pure dont il est le gardien et le patron.
L’Église éclipsée, celle qui règne dans les cœurs des deux témoins, qui perdure dans la tradition, la loi et les prophètes.
Saint Joseph, est l’époux putatif de la Sainte Vierge. Le pape, est donc l’époux putatif de l’Église.
Le
19 mars 2013, nous pensions que nous avions un pape proche des pauvres,
simple, puisqu’il faisait un virage à 180 degré vis à vis de la
tradition.
Maintenant, 8 ans ont passé.
Nous savons pertinement que François a refusé de prendre l’Église pour épouse.
Le siège est vide. Pas de pape. Qu’un évêque de Rome et un pape émérite, le katéchon.
« Deux frères et personne ne sera le vrai Père. La Mère sera veuve. » (Jean XXIII, prophétie concernant Benoît XVI).
Le temps de la purification achève.
22 avril
L’ÉGLISE ÉCLIPSÉE
Comme témoins d’une éclipse, tous nous sommes sous l’ombre…
Même ceux qui distinguent l’ombre de la lumière.
Mais ces derniers, sont au courant que l’ombre n’est que passagère, car ils connaissent les écritures.
Mgr Vigano nous renseigne sur l’Église éclipsée et nourrit notre foi face à cette période « passagère ».
« 20 avril 2021 ( LifeSiteNews ) –
Du
6 au 8 mai 2021, aura lieu la cinquième Conférence internationale du
Vatican, intitulée Explorer l’esprit, le corps et l’âme. Unissez-vous
pour prévenir et unissez-vous pour guérir. Une initiative mondiale de
soins de santé: comment l’innovation et les nouveaux systèmes de
prestation améliorent la santé humaine . L’événement est organisé par
le Conseil Pontifical pour la Culture, la Fondation Cura, la Fondation
Science et Foi et Stem for Life.
Michael
Haynes de LifeSiteNews a rendu compte des sujets à traiter et des
participants, dont le tristement célèbre Anthony Fauci, dont les
conflits d’intérêts scandaleux ne l’ont pas empêché de prendre en
charge la gestion de la pandémie aux États-Unis; Chelsea Clinton,
adepte de l’Église de Satan et fervente défenseur de l’avortement; le
gourou du Nouvel Âge Deepak Chopra; Dame Jane Goodall,
environnementaliste et experte en chimpanzés; les PDG de Pfizer et
Moderna; des représentants de Big Tech; et toute une série d’avorteurs,
de malthusiens et de mondialistes connus du grand public. La conférence
a recruté cinq journalistes éminents comme modérateurs, qui proviennent
exclusivement de médias de gauche tels que CNN, MSNBC, CBS et Forbes.
Cette
conférence – avec le Conseil pour le capitalisme inclusif de Lynn
Forester de Rothschild, le Pacte mondial sur l’éducation et le Panthéon
interreligieux qui se tiendra en juin à Astana, au Kazakhstan – est la
énième confirmation scandaleuse d’un départ inquiétant de l’actuel
Hiérarchie, et en particulier ses plus hauts membres romains, issus de
l’orthodoxie catholique. Le Saint-Siège a délibérément renoncé à la
mission surnaturelle de l’Église, se faisant le serviteur du Nouvel
Ordre Mondial et du globalisme maçonnique dans un contre-magistère
antichristique. Les mêmes Dicastères romains, occupés par des gens
idéologiquement alignés avec Jorge Mario Bergoglio et protégés et
promus par lui, continuent maintenant sans retenue dans leur travail
implacable de démolition de la foi, de la morale, de la discipline
ecclésiastique et de la vie monastique et religieuse, dans un effort
aussi vain que sans précédent pour transformer l’Épouse du Christ en
une association philanthropique asservie aux puissances fortes. Le
résultat est la superposition sur la véritable Église d’une secte de
modernistes hérétiques et dépravés qui ont l’intention de légitimer
l’adultère, la sodomie, l’avortement, l’euthanasie, l’idolâtrie et
toute perversion de l’intellect et de la volonté. La véritable Église
est maintenant éclipsée, niée et discréditée par ses propres pasteurs,
trahie même par celui qui occupe le plus haut trône.
Le
fait que l’Église profonde ait réussi à élire son propre membre pour
mener à bien ce plan infernal en accord avec l’État profond n’est plus
un simple soupçon, mais un phénomène sur lequel il est désormais
essentiel de s’interroger et d’éclairer. La soumission de la Cathedra
veritatis aux intérêts de l’élite maçonnique se manifeste dans toutes
ses preuves, dans le silence assourdissant des Sacrés Pasteurs et dans
la stupéfaction du Peuple de Dieu, abandonné à lui-même.
Démonstration
supplémentaire de cette libido serviendi dégénérée du Vatican vers
l’idéologie mondialiste est le choix des orateurs pour donner des
témoignages et des conférences: partisans de l’avortement, de
l’utilisation du matériel fœtal dans la recherche, du déclin
démographique, de l’agenda LGBT pan-sexuel, et enfin et surtout, de le
récit de Covid et des soi-disant vaccins. Le cardinal Ravasi, président
du Conseil pontifical pour la culture, est certainement l’un des
principaux représentants de l’Église profonde et du progressisme
moderniste, ainsi qu’un partisan du dialogue avec la tristement célèbre
secte maçonnique et un promoteur de la célèbre Cour des Gentils. Il
n’est donc pas surprenant que parmi les organisateurs de l’événement
figure la Fondation Stem for Life, qui se définit fièrement comme «une
non sectaire, non partisane,
En y regardant de plus près,
le sectarisme et la partisanerie de la Conférence du Vatican sont mis
en évidence par le sujet qu’elle aborde, les conclusions qu’elle
cherche à tirer, ses participants et ses sponsors. Même l’image choisie
pour promouvoir la Conférence est extrêmement éloquente: un gros plan
de la fresque de Michel-Ange de la Création au plafond de la Chapelle
Sixtine, dans laquelle la main de Dieu le Père tend la main vers la
main d’Adam, mais les deux mains couvertes de jetable, des gants
chirurgicaux, rappelant les règles de la nouvelle «liturgie de la
santé» et laissant entendre que même le Seigneur lui-même pourrait
propager le virus.
(NDT : lien vaticanconference2021
du Vatican, remarquez le symbole de la conférence, le serpent qui se
mord la queue (orouboros) encore une fois, et aux couleurs LGBT.
Remarquez aussi que cette image représente une « nouvelle genèse » à
partir de la pandémie : la grande réinitialisation et le nouveau
monde technofasciste).
Dans
cette représentation sacrilège, l’ordre de la Création est subverti en
anti-création thérapeutique, dans laquelle l’homme se sauve et devient
l’auteur fou de sa propre «rédemption» de santé. Au lieu de la cuve
purificatrice du Baptême, la religion Covid propose le vaccin, porteur
de handicap et de mort, comme seul moyen de salut. Au lieu de la foi en
la révélation de Dieu, nous trouvons la superstition et l’assentiment
irrationnel à des préceptes qui n’ont rien de scientifique à leur
sujet, avec des rites et des liturgies qui imitent la vraie religion
dans une parodie sacrilège.
Ce
choix d’images a une sonnerie aberrante et blasphématoire, car il
utilise une image bien connue et évocatrice pour insinuer et promouvoir
un récit faux et tendancieux qui dit qu’en présence d’une grippe
saisonnière, dont le virus n’a toujours pas été isolé selon les
postulats de Koch et qui peuvent être efficacement guéris à l’aide des
traitements existants. Il est nécessaire d’administrer des vaccins qui
sont reconnus inefficaces et qui sont encore en phase
d’expérimentation, avec des effets secondaires inconnus, et dont les
producteurs ont obtenu un bouclier criminel d’immunité pour leur
Distribution. Les victimes immolées sur l’autel de la santé Moloch, des
enfants démembrés au troisième mois de grossesse afin de produire le
sérum génique aux milliers de personnes qui ont été tuées ou mutilées,
n’arrêtent pas la machine infernale de Big Pharma, et il est à craindre
une résurgence du phénomène au cours des prochains mois.
On
se demande si le zèle de Bergoglio pour la diffusion du sérum génique
n’est pas également motivé par des raisons économiques de base, en
compensation des pertes subies par le Vatican et les diocèses suite au
verrouillage et à l’effondrement de la fréquentation des fidèles à la
messe et aux sacrements. En revanche, si le silence de Rome sur la
violation des droits humains et religieux en Chine a été payé par la
dictature de Pékin avec des prébendes substantiels, rien n’empêche la
réplication de ce schéma à grande échelle en échange de la promotion
des vaccins par le Vatican.
La
Conférence prendra bien évidemment soin de ne pas mentionner, même
indirectement, l’enseignement perpétuel du Magistère sur des questions
morales et doctrinales de la plus haute importance. À l’inverse,
l’éloge sycophantique de la mentalité mondaine et de l’idéologie
dominante sera la seule voix, avec le répertoire œcuménique amorphe
inspiré par le Nouvel Âge.
Je
note qu’en 2003 le même Conseil Pontifical pour la Culture a condamné
la méditation du yoga et, plus généralement, la pensée New Age comme
étant incompatible avec la foi catholique. Selon le document du Vatican
, la pensée New Age « partage avec un certain nombre de groupes
internationaux influents l’objectif de remplacer ou de transcender des
religions particulières afin de créer un espace pour une religion
universelle qui pourrait unir l’humanité. Étroitement lié à cela, il y
a un effort très concerté de la part de nombreuses institutions pour
inventer une éthique mondiale , un cadre éthique qui refléterait la
nature globale de la culture, de l’économie et de la politique
contemporaines. De plus, la politisation des questions écologiques
colore certainement toute la question de l’hypothèse Gaia ou du culte
de la Terre-Mère.»(2.5). Il va sans dire que les cérémonies païennes
par lesquelles la basilique Saint-Pierre a été profanée en l’honneur de
l’idole de pachamama s’inscrivent parfaitement dans cette «
politisation des questions écologiques » dénoncée par le document du
Vatican de 2003, et qui est aujourd’hui au contraire promue sine glossa
par la so- appelé magistère bergoglien, à commencer par Laudato Sì et
Fratelli Tutti .
A
La Salette, Notre-Dame nous a prévenus: «Rome perdra la foi et
deviendra le siège de l’Antéchrist.» Ce ne sera pas la Sainte Église,
indéfectible par les promesses du Christ, qui perdra la Foi: ce sera la
secte qui occupe le Siège du Très Bienheureux Pierre et que nous voyons
aujourd’hui propager l’anti-évangile du Nouvel Ordre Mondial. Il n’est
plus possible de se taire, car aujourd’hui notre silence ferait de nous
des complices des ennemis de Dieu et du genre humain. Des millions de
fidèles sont dégoûtés par les scandales innombrables des pasteurs, par
la trahison de leur mission, par la désertion de ceux qui, par ordre
sacré, sont appelés à témoigner du Saint Évangile et non à soutenir
l’établissement du royaume de l’Antéchrist .
Je
prie mes frères dans l’épiscopat, les prêtres, les religieux, et en
particulier les fidèles laïcs qui se voient trahis par la Hiérarchie,
d’élever la voix pour exprimer avec un esprit de véritable obéissance à
Notre Seigneur, Chef du Corps mystique, une dénonciation ferme et
courageuse de cette apostasie et de ses auteurs. J’invite chacun à
prier pour que la Divine Majesté soit émue de compassion et intervienne
à notre aide. Que la Très Sainte Vierge, terribilis ut castrorum acies
ordinata , intercède devant le Trône de Dieu, compensant par ses
mérites l’indignité de ses enfants qui l’invoquent avec le titre
glorieux d’Auxilium Christianorum .
+ Carlo Maria Viganò, archevêque
20 avril 2021
La troisième semaine en dessous de 2
après l’octave de Pâques »
Mgr Williamson constate évidement cette église éclipsée par un article sur « La Désintégration Du Pape – I » publié le 17 avril, 2021.
« Des Grecs, de leurs cadeaux, il fallait avoir peur ? Mais pour Rome, les Grecs ne sont qu’enfants de chœurs !
Dans une interview publiée au
début du mois dernier, le Père Davide Pagliarani, Supérieur Général de
la Fraternité Saint Pie X, a abordé un sujet qui, selon ses propres
termes, revêt une importance capitale pour l’Église et pour le monde
d’aujourd’hui. De quoi s’agit-il ? Ce thème n’est pas souvent
traité, tant la chose paraît inconcevable, à savoir : la
décomposition de la pensée elle-même. En effet, analysant la pensée du
Pape François, le Père Pagliarani conclut que le Saint Père, dans son
désir d’atteindre l’homme moderne là où il est, abandonne tout système
de pensée, toute philosophie, toute théologie catholique du passé, au
sens classique de ces deux termes. Cela signifie que, pour atteindre
l’homme moderne, le pape François renonce à la doctrine catholique.
Voici l’argumentation du Supérieur Général :
Le
pape François évolue « au-dessus » de tous les systèmes de pensée.
Alors que, pour Jean-Paul II, certaines doctrines restaient
intouchables ; alors que Benoît XVI se souciait de toujours
paraître fidèle à la Tradition, le Pape François, prenant le
contre-pied, démolit tous les bastions catholiques du passé. Toutefois,
pouvait-il en être autrement ? De même que Vatican II
(1962–1965), avec sa liberté religieuse et son œcuménisme, sapait le
dogme de l’Église, de même, au fil des décennies, l’enseignement moral
conciliaire, déconnecté du dogme, ne pouvait qu’être emporté. C’est
ainsi que, dans l’encyclique Amoris Laetitia de 2016, le pape François
expose une approche entièrement nouvelle de la moralité comme s’il
s’agissait d’une doctrine solennelle de l’Église, à savoir que Notre
Mère l’Église, confrontée aux faits marquants de la vie moderne, doit
devenir une toute autre mère . . . . Elle ne peut plus s’imposer ni
imposer ses lois comme elle le faisait jadis ; elle doit
maintenant, écouter, comprendre et accompagner ses enfants ; elle
doit coller à leur comportement. De telle sorte que les principes
moraux doivent suivre l’évolution de la pratique des hommes, selon les
circonstances changeantes commandées par l’histoire.
Ce faisant, François se
méprend sur l’amour. Aucune mère n’estimera qu’elle doit sauter dans
l’eau d’une rivière dangereuse parce que son enfant y est sauté au
péril de sa vie. Il se méprend également sur la miséricorde : ce
n’est pas faire preuve de miséricorde envers un homme que de le laisser
dans un état de péché déplaisant pour Dieu. Une telle dénaturation de
l’amour et de la miséricorde véritables de Dieu aboutirait, pour
l’Église, à renoncer non seulement à tout l’ordre surnaturel, mais
aussi à tout laisser faire « librement » dans l’ordre naturel.
Cette dénaturation fait qu’aucune barrière ne subsiste, car Notre Mère
Église se trouve adaptée même aux péchés du monde en ne réclamant plus
rien de ses enfants. Dans un premier temps, avec Vatican II, l’Église
s’est adaptée au monde ; maintenant, avec le Pape François, elle
va encore plus loin en s’adaptant aux péchés du monde, délaissant ses
enfants, profondément blessés par le péché originel, sans la Grâce
surnaturelle qui pourrait les guérir.
Que propose donc le Pape
François de mettre en place ? Quel dessein ou quels objectifs
assigne-t-il pour l’Église et le monde ? Premièrement, l’imposition
dans tout l’univers d’une écologie intégrale utopique, afin que le
monde entier s’occupe de la Terre Mère (Pachamama) dans tous les
aspects matériels (Laudato sí, 2015) ; deuxièmement, une
fraternité universelle quasi-maçonnique devant s’occuper de ses
semblables (Fratelli tutti, 2019). Ainsi, Notre Mère l’Église en
est réduite à n’exercer qu’un sacerdoce purement naturel, dépouillé de
tout pouvoir surnaturel, entièrement soumise à l’humanitarisme d’un
État séculier supposément supérieur.
Le Supérieur Général conclut
que la véritable réponse à tous les problèmes modernes est que notre
Mère l’Église prêche à nouveau la doctrine infaillible. A savoir
: la dimension surnaturelle et le destin de l’homme ordonné au Ciel
éternel; la Chute temporelle de l’homme avec sa conséquence durable du
Péché originel; le besoin absolu de la Grâce du Christ pour vaincre le
péché. A elle seule, la doctrine du Christ Roi incarne l’Éternité du
Ciel, la victoire du Rédempteur sur le péché, et l’aide indispensable
de la Grâce surnaturelle, par Lui apportée, en tant que Rédempteur,
pour permettre aux hommes de parvenir au Ciel. Et la Vierge Marie, Sa
Mère, jouera un rôle tout particulier dans la victoire finale de
l’Église, en triomphant des erreurs si subtiles et si pernicieuses,
mais passagères.
L’analyse du Supérieur Général
de la pensée et de l’action du Pape présente une cohérence et une
logique dont nous devrions tous être reconnaissants. Une lumière brille
encore certainement au sommet de la Fraternité Saint Pie X. Nous en
remercions Dieu infiniment. Pour autant, cela signifie-t-il que la
Fraternité soit hors de danger ? A voir. Un Docteur qui enseigne n’a
pas toujours, en tant que tel, les vertus du martyr. Seigneur, ayez
pitié de nous !
Kyrie eleison »
Tous les eschatologues sérieux savent bien que la prophétie de la Salette est confirmée, que l’Église est éclipsée.
Les
Mgr Vigano, Williamson, Scheider ainsi les cardinaux conservateurs dont
Burke élèvent la voix, mais elles sont ridiculisées par Babylone
Vatican, la grande prostituée.
Évidement, une échéance étant arrivée à terme signifie deux choses :
- la chute imminente de Babylone la Grande et,
- le retour Glorieux de NSJC.
Ce qui amène une mise à jour
de l’analyse du 01 avril 2020, en pleine tourmente du début des
méga-confinements à l’échelle de la planète où nous expliquions qu’il
existe deux échéances s’y référant dans les prophéties de Jean XXIII.
La première « Il y a vingt siècles plus l'âge du Sauveur. Amen. » qui termine les prophéties de l’Église.
Benoît XVI a confirmé qu’il y a une marge d’erreur de six ou sept ans quant à la naissance du Christ, ce qui donne 2026.
La
deuxième est de 7 ans démarrant lors de l’identification de la « fille
de Caïn » (qui devait normalement concorder avec la semaine du prophète
Daniel si nous devons en tenir compte).
Selon
nos deux hypothèses, nous aurions donc 2023 si la fille de Caïn est la
nouvelle église œcuménique instaurée par la signature de François avec
les luthériens en octobre 2016, ou nous aurions 2025 si Greta Thunberg
est la fille de Caïn sortie de l’ombre en août 2018.
Puisque
le sacrifice et l’oblation sont pratiquement maintenant arrêtés à cause
de la crise du coronavirus depuis le printemps 2020, il faudrait
pencher pour la première hypothèse car ce fait arrive à la moitié de la
semaine de Daniel comme prophétisé.
Et ce temps, comme on le sait, sera raccourci.
Nous ne connaîtront ni le jour ni l’heure du Jugement, seulement les signes qui nous avertiront de l’arrivée imminente de la chute de Babylone, des deux Babylone identifiées par Jean XXIII.
Donc en théorie il resterait entre 2 à 4 ans mais…
Nous
constatons qu’il y a une accélération dans la suite des événements car
les puissances du mal sentent leurs fins et ils doivent agir vite pour
séduire le plus d’âmes possibles.
La clique judéo-maçonniste est passée en vitesse grand V avec la grande réinitialisation.
Comme le disait si bien Bergoglio à plusieurs reprises : il n’y aura pas de retour en arrière.
L’occasion d’une telle pandémie ne se représentera plus. Tout simplement.
C’est encore plus vrai avec la campagne de vaccination propulsée par l’élite, Bill Gates en tête avec le GAVI.
Rappelons les paroles de J. Attali (en 1981!), conseiller judéo-maçonnique pour plusieurs présidents français :
« On ne pourra pas non
plus faire passer des tests d’intelligence à des millions et des
millions de gens, vous pensez bien ! Nous trouverons quelque chose ou
le provoquerons, une pandémie qui cible certaines personnes, une crise
économique réelle ou pas, un virus qui touchera les vieux ou les gros,
peu importe, les faibles y succomberont, les peureux, les stupides y
croiront et demanderont à être traités. Nous aurons pris soin d’avoir
prévu le traitement, un traitement qui sera la solution. La sélection
des idiots se fera ainsi toute seule : ils iront d’eux-mêmes à
l’abattoir. » (L’Avenir
de la vie – Jacques Attali, 1981) – Entretiens avec Michel Salomon,
collection Les visages de l’avenir, éditions Seghers.
Rappelons que les « vaccins »
à ARNm existent depuis 1960 mais n’avaient jamais été utilisés parce
que les résultantes sont, toujours à ce jour, inconnues.
Pierre Hillard a toujours
affirmé que nous sommes dans une période d’une guerre entre les
factions judéo-maçonnique, pour le partage du gâteau!
C’est ce que nous voyons entre les grands « dieux » de la vaccination, soumis à l’élite de la kabbale.
« L’Agence italienne des
médicaments (Aifa): les vaccins Pfizer et Moderna ont causé plus de
décès qu’AstraZeneca. Pourtant, ce sont eux qui sont destinés à rester
seuls sur le marché. Effet d’une guerre commerciale sans merci. Et Bill
Gates, qui a des intérêts dans Pfizer, a financé une étude, publiée
dans le New England Journal of Medicine, qui démolit l’efficacité
d’AstraZeneca… Mais – se demande-t-on aujourd’hui, après les données
communiquées par l’Aifa – AstraZeneca est-il vraiment le « mauvais
vaccin », qui va devenir une sorte de bouc émissaire?
Face
à la réalité désormais indiscutable des effets indésirables après une
vaccination, quelqu’un doit payer, afin de garantir que d’autres
vaccins continuent d’être utilisés.
D’une
certaine manière, c’est admettre ce que certaines voix tentent depuis
un certain temps avec beaucoup de difficultés – étouffées par le bruit
médiatique – d’expliquer: cette campagne de vaccination est une
grande expérience. Ce fait étant finalement admis, le récit
officiel pourrait commencer à dire: c’est vrai, il peut y avoir des
vaccins qui provoquent des effets secondaires, des vaccins
« mauvais », mais heureusement il y a des vaccins
« bons »…
Si
au départ on a proclamé l’avènement du dieu vaccin, au lieu de Celui Un
et Trin, aujourd’hui on constate que dans l’Olympe des vaccins il y a
des affrontements très lourds…
Certains
commencent à se demander s’il existe une stratégie de
communication concernant les informations sur les événements
indésirables. En effet, on constate que lorsqu’un décès ou un effet
indésirable grave est survenu après l’intervention d’AstraZeneca, le
vaccin en question est invariablement cité. En revanche, lorsque le
médicament Pfizer est administré, il est dit que la personne est
décédée « après la vaccination », sans nommer le sérum
responsable. …
La
Fondation Bill Gates a financé une étude visant à évaluer la sécurité
et l’efficacité d’AstraZeneca par rapport au variant sud-africaine.
L’étude a été récemment publiée dans le prestigieux New England Journal
of Medicine, et les résultats parlent d’une faible efficacité. Un
autre coup dur pour le fabricant, en provenance du magnat américain,
qui depuis 2002 est un financier de Pfizer, et qui a financé le
développement du vaccin Moderna à travers sa créature,
la Coalition For Epidemic Prepared Innovations (CEPI)…
Qu’est-ce qui différencie les « bons vaccins » des autres ? Que ce sont ceux à ARNm.
Au-delà
de la possible guerre commerciale entre les entreprises, il y a aussi
cet aspect qui inquiète: il semble que l’on veuille penser que les
meilleurs produits, le vrai dieu-vaccin, sont ceux qui utilisent cette
technique très récente et expérimentale. Cela pourrait même être le
prélude à une révolution dans le domaine de la vaccination…
Dr Paolo Gulisano » (benoit-et-moi.fr).
Ce qui appelle la célèbre phrase du Christ sous Matthieu (24,28) :
« Partout où sera le cadavre, là s'assembleront les aigles ».
Cette
citation est juste avant la mention du seul signe visible que nous
aurons avant le Jugement, le signe de Jonas, soit les trois jours de
noirceur (voir analyses précédentes).
Et le Christ a été assez clair avec la parabole du figuier aux jeunes rameaux tendres qui suivait :
« Ainsi,
lorsque vous verrez toutes ces choses, sachez que le Fils de
l'homme est proche, qu'il est à la porte. » (Matthieu, 24,33)
Bruits de guerres, pandémie, famines, bouleversements climatiques, etc.
Nous sommes témoins de « toutes ces choses ».
Présentement.
Il
y a une corrélation directe entre la poussée pour la pseudo-victoire
des sbires de Satan, et l’action qui sera prise par NSJC pour son
retour en Gloire.
Sinon, le petit reste y passerait.
C’est donc dire qu’il faut être prêt.
Maintenant.
Il
n’y a plus de temps pour s’interroger à propos du signe de la bête
révélé dans l’Apocalypse, tel que le passeport vaccinale qui est
fortement suggéré par divers gouvernements (on tâte le pouls de la
population, avant, pour voir si elle se révolte à une telle idée; et
non, ils en veulent!).
La marque de la bête la plus dangereuse… Elle est du domaine spirituel.
Le
monde apostasié infiltré dans ses pensées par le mal représente la
marque sur le front, et la manière d’agir dans cette société représente
la marque sur la main droite.
Le
triage du bon grain et de l’ivraie est donc relier à notre façon de
penser et d’agir en société : c’est notre degré de charité,
d’amour profond qui nous habite qui est déterminant.
Selon les commandements du Christ, ou contre.
C’est le temps de l’épreuve.
La foi et l’espérance doivent primer.
Les
événements et les nécessités pour prendre soins de notre corps, notre
temple physique, nous contraignent d’être dans le monde.
Mais,
par la Grâce divine et par nos efforts conscients pour se conformer à
Sa Volonté selon les principes enseignés par Jésus, nous sommes en
mesure de vivre dans le monde sans être du monde.
Cette
distinction, établie par le Christ lui-même nous permet d’agir en tant
que fils et filles de Dieu par notre baptême quels que soient les choix.
Il faut éviter la perte de l’âme.
Voilà comment ne pas adhérer à la marque de la bête.
Mgr Vigano dans une lettre aux italiens nous rappellait ce temps si important :
« … Ce que nous assistons à
ces heures est dramatique - certainement dans toute l'Italie, mais
d'une manière tragiquement exemplaire, à Rome, le cœur du catholicisme.
Le
scénario est d'autant plus déconcertant que ce qui est en jeu n'est pas
seulement la santé publique mais le salut des âmes - et depuis quelque
temps maintenant, en tant que pasteurs, nous avons cessé d'enflammer le
cœur de nos fidèles avec le désir du salut éternel. Nous les avons
ainsi privés de ces dons surnaturels qui nous rendent capables de faire
face aux épreuves ici-bas, même aux assauts de la mort, avec le pouvoir
de la foi et cette étincelle d'espérance inépuisable et inébranlable
qui nous vient de notre aspiration au destin de la gloire pour laquelle
nous avons été créés... » Carlo Maria Viganò (remnantnewspaper.com)
«
Tout homme veut laisser une trace qui demeure. Mais que reste-t-il?
L’argent, non. Les bâtiments ne restent pas non plus, les livres non
plus. Après un certain temps, plus ou moins long, toutes ces choses
disparaissent. La seule chose qui reste dans l’éternité est l’âme
humaine, l’homme créé par Dieu pour l’éternité. Le fruit qui reste est
donc ce que nous avons semé dans les âmes humaines : l’amour, la
connaissance, le geste capable de toucher le cœur ; la parole qui ouvre
l’âme à la joie du Seigneur. » (Benoît XVI)
17 avril
LE PLUS GRAND SACRIFICE DE MASSE QUE CETTE TERRE AIE CONNUE?
La campagne de vaccination
mondiale que nous vivons est identifiée par certains comme le sacrifice
judéo-maçonnique du dernier droit.
« Dans l'esprit du
mondialisme, c'est même nécessaire afin d'offrir en holocauste, au sens
biblique du terme, une part importante de l'humanité en sacrifice. Dans
leur état d'esprit d'inspiration sabbatéo-frankiste, ce sacrifice
permet de passer à une étape supérieure afin d'obtenir en échange un «
bien » , cette fameuse gouvernance mondiale d'inspiration satanique.
Plus
ce sacrifice humain est important, plus la « récompense» est forte.»
(Pierre Hillard, Chroniques du Mondialisme 2010-2020, note 477).
(entrevue de Pierre Hillard,
les relations avec le présent sont surtout à partir de 2h29; ce qui
précède est encore sur l’historique juive talmudique par rapport au mondialisme comme à
l’accoutumé).
Mgr Gaume, dans « MORT AU CLERICALISME OU RÉSURRECTION DU SACRIFICE HUMAIN
» publié en 1877 ne
s’attendait pas sûrement à ce que la situation s’envenime du poison
satanique à ce point dans le siècle suivant.
Faut-il
remarquer que Mgr Gaume n’avait pas vu encore les 1ère et la 2ème
guerre mondiales… Et… Vatican II… lorsqu’il rédigea ce bouquin pour
nous avertir…
Mais
ses paroles sont d’or pour l’an 2021, année de la grande
réinitialisation, 7 ans après le discours maçonnique de Christine
Lagarde sur le chiffre 7 (voir analyses précédentes).
L’ordre par le chaos contrôlé…
C’est
ce que l’élite désire et jusqu’ici, et bien il semble que tout va pour
le mieux pour leur plan technofasciste... jusqu'a ce que NSJC n'y mette
fin!
Mgr Gaume :
« CHAPITRE IX – POSSIBILITÉ DU RETOUR AU SACRIFICE HUMAIN.
1. Le sacrifice est tellement
dans les lois de l’ordre éternel, qu’il a toujours et partout existé.
Le vrai Dieu l’a exigé, et Il l’a eu. Singe de Dieu. Satan l’a exigé,
et il l’a eu. Toujours le vrai Dieu s’est contenté du sacrifice des
animaux.
Devenu
le roi et le dieu de ce monde, princeps hujus seculi, deus hujus mundi,
Satan ne s’est pas contenté du sacrifice des animaux. Ennemi implacable
de l’homme, il a voulu avoir l’homme pour victime : et il l’a eu.
2.
Il a fallu le sacrifice d’une victime divine, pour abolir le sacrifice
des victimes humaines. Partout où la victime divine n’a pas été
immolée, a régné et règne encore l’immolation des victimes humaines :
que le sacrifice divin vienne à cesser, le sacrifice humain recommence.
…
12.
Je viens de dire que la fin des temps est peut-être moins éloignée
qu’on ne pense. Pour rendre non pas certaine, mais soutenable cette
opinion, partagée par des hommes éminents, je n’aurai recours ni aux
prophéties modernes, ni aux calculs chronologiques, ni aux commentaires
de l’Apocalypse. Il me suffit de signaler un fait palpable, visible à
tous les yeux. Le voici :
13.
Il est divinement certain que vers la fin des temps, il y aura un règne
antichrétien. Ce règne sera la plus formidable puissance qui se sera
jamais élevée contre l’Église de Dieu. Les dangers qu’il fera courir
même aux élus, seront tels que si les jours de ce règne diabolique
n’étaient abrégés, personne ne serait sauvé : non salva fieret omnis cero.
Il
est humainement certain que ce règne, si redoutable par son étendue,
par sa puissance, par ses moyens de séduction, ne naîtra pas du jour au
lendemain, comme le champignon sous le chêne. Il aura des préparations
en rapport avec son infernale et sa gigantesque mission.
14.
Je demande maintenant à quiconque jette un regard attentif sur la face
de la terre : «Si, ce qu’à Dieu ne plaise, vous étiez chargé de
préparer le règne antichrétien, vous y prendriez-vous bien autrement
qu’on ne fait aujourd’hui, d’un bout à l’autre de l’ancien et du
nouveau monde ?
Vous
prêcheriez la négation radicale de tous les dogmes chrétiens ; vous
émanciperiez les sens en poussant puissamment au matérialisme, au luxe,
au sensualisme, et en oblitérant autant que possible le sens moral.
15. Afin d’ôter aux nations chrétiennes leur raison d’être, vous les rendriez apostates comme nations.
Vous
anéantiriez l’autorité sociale de l’Église ; vous concentreriez tous
les pouvoirs entre les mains d’un homme, déclarant la politique
indépendante de la religion. Vous attireriez sur les catholiques et sur
le clergé toutes les dérisions, tous les mépris et toutes les haines,
en attendant que vous puissiez les séduire ou les exterminer. Votre cri
de guerre serait le mot qui retentit dans Jérusalem quelques heures
avant le supplice du Rédempteur et peu d’années avant la ruine de la
cité déicide, image de la fin du monde : «Nous ne voulons plus que le
Christ règne sur nous :
Nolumus hunc regnare super nos» (Luc, XIX , 14). Telle est, sauf erreur, la conduite que vous tiendriez et vous seriez logique.
…
17.
Ainsi tout fait prévoir dans un avenir plus ou moins prochain des
guerres immenses et conséquemment des hécatombes de victimes humaines.
Cependant l’homme du monde attend la paix, le catholique le triomphe de
I’Église.
La
paix ! La paix au milieu du renversement de toutes les lois divines !
La paix lorsque toutes les tempêtes humaines sont déchaînées ! Non, le
monde n’aura pas la paix ; il aura ce qu’il a voulu en se révoltant
contre Dieu : la guerre avec toutes ses horreurs.
…
CHAPITRE XXXII – JUSTIFICATION DE CET OUVRAGE
1.
Lucifer est l’ennemi personnel et implacable du Verbe incarné. Sa haine
n’a qu’un but : rendre impossible la croyance au dogme de
l’Incarnation. De là, les trois grandes erreurs qui résument toutes les
autres et qui ont dominé le monde ancien, comme elles tendent à dominer
le monde moderne.
Le Panthéisme ; si tout est dieu, pas d’Incarnation ;
Le Matérialisme ; si tout est matière, pas d’Incarnation ;
Le Rationalisme ; si toute vérité est renfermée dans les limites de la raison, point de mystère, partant point d’Incarnation.
2. Examinées avec soin, toutes
les erreurs modernes, filles des précédentes, n’ont qu’un objet : la
négation de la divinité de Notre-Seigneur. Ce seul dogme admis, elles
s’évanouissent, comme la nuit devant le jour ; ce seul dogme rejeté,
toutes les vérités sans base et sans cohésion tombent les unes après
les autres, et l’humanité rentre dans le chaos.
Or, ce qui ne s’était jamais
vu, la grande négation est aujourd’hui écrite, prêchée, accueillie avec
une ardeur dont le spectacle fait monter la rougeur au front et remplit
l’âme d’épouvante pour le présent, et plus encore pour l’avenir : c’est
un signe des temps.
En effet, si Notre-Seigneur
Jésus-Christ, auteur de la grande révolution qui a changé le monde,
n’est pas Dieu, il faut répudier l’Évangile avec toutes ses
conséquences, revenir au paganisme et se refaire des dieux au gré des
passions. Déjà le monde n’est-il pas rempli de ces nouvelles ou mieux
de ces anciennes idoles de luxure et de cruauté ?
3. Sans l’élément catholique
qui lutte encore pour maintenir, sur son piédestal divin, la personne
du Verbe incarné, le monde moderne retomberait dans les conditions du
monde ancien. Plus cet élément s’affaiblit, ainsi que nous le voyons de
nos jours, plus s’aplanit la voie au retour du démon sur ses antiques
autels. La raison le dit et l’histoire le confirme. A l’homme
d’aujourd’hui aussi bien qu’à l’homme d’autrefois, il faut un Dieu.
Renverser le trône de Jésus-Christ, c’est élever le trône de Bélial.
…
5. Pour paganiser une époque,
une société, un monde, il n’est pas besoin d’idoles matérielles. Le
monde antérieur à l’Incarnation était païen, avant que la main de
l’ouvrier offrit à ses adorations des statues de marbre ou de pierre.
Le paganisme, c’est la négation théorique et pratique du Verbe incarné
; la négation du vrai Dieu, et, comme conséquence inévitable,
l’adoration de ce qui n’est pas le Vrai Dieu. Or, adorer ce qui n’est
pas le vrai Dieu, c’est adorer un faux dieu, c’est adorer Satan, c’est
être païen, c’est retomber dans la gentilité, dont tous les dieux
étaient des démons : omnes dii gentium dæmonia. Ps., XCVI, V .
6. Toutefois, comme l’âme
appelle le corps, le culte intérieur appelle le culte extérieur. Dans
l’antiquité, Satan jouissait de l’un et de l’autre : il avait ses
statues, ses temples, ses autels, ses prêtres. Tout cela, il le possède
encore chez les nations idolâtres d’aujourd’hui. Or, Satan ne change ni
ne vieillit. Ce qu’il fut, il veut l’être ; ce qu’il eut, il veut
l’avoir. Il le veut d’autant plus que les oracles, les évocations, les
apparitions, les prestiges étaient les principaux instruments de son
règne, dont le sacrifice humain fut, et continue d’être l’inévitable
couronnement.
Il paraît donc logiquement
infaillible que tôt ou tard, si Dieu ne l’arrête, par le plus grand des
miracles, Satan reviendra avec tout son cortège de pratiques
victorieuses, toujours anciennes et toujours nouvelles, mais habilement
modifiées suivant les temps et les personnes… »
Donc, le contexte est bien celui de la fin des temps.
La paix selon
l'idéal de Bergoglio n'aura jamais lieu. C'est un leurre car cette paix
n'est pas d'essence divine comme le souligne Mgr Gaume.
Aucun doute.
« Quand les hommes diront
: " Paix et sûreté ! " c'est alors qu'une ruine soudaine fondra sur eux
comme la douleur sur la femme qui doit enfanter, et ils n'y échapperont
point. » (Saint-Paul, Thessaloniciens 1, 5-3)
L’opportunité présentée par la pandémie est le point de bascule vers ce nouveau monde satanique.
Le
cri de victoire de Satan est proche… avant le couperet, le signal qui
sera donné par le Père et par NSJC pour la chute des deux Babylone.
La campagne de vaccination maintient les peuples en esclavage dans la peur et, le mensonge règne.
Les autorités officielles nous incitent au « vaccin », à la « vaccination », à longueur de journée via les médias.
Or, il n’y a pas de vaccin.
Un vaccin arrête immédiatement la maladie, ce qui n’est pas le cas avec le Covid-19.
Les
injections des différentes compagnies pharmaceutiques ne font que
diminuer la gravité de la maladie en cas d’atteinte, et par le fait, le
risque de mourir.
Étant
donné que l'humain déifié n'en a que pour son corps physique et ses «
joies terrestres », il n'est pas surprenant de voir un tel engoument
pour un retour à la normalité.
Le mal à l'âme est dur à supporter mais cette épreuve en feront retourner plusieurs à la bergerie.
C'est un temps de grâce.
Ainsi, on
ne connaîtra jamais toute la vérité sur la pandémie et la campagne de
vaccination, mais ces signaux d’alarmes valent quand même la peine
qu’on s’y attarde :
A) Les vaccins n'ont pas encore passé le stade d'essai de phase III.
La
phase III vise à préciser l’efficacité et les risques sur un
groupe représentatif de la population cible dure de trois à cinq ans.
Les essais portent sur des milliers, de personnes pour évaluer le
rapport bénéfices/risques du vaccin à court et moyen terme. Ces études
permettent de préciser les conditions et les précautions d’emploi du
vaccin et constituent le document (sous le terme d’étude pivot) le plus
attendu du dossier de la demande d’Autorisation de Mise sur le Marché
soumis à l’Agence du Médicament.
La phase IV est la commercialisation.
Du site des essais cliniques du gouvernement américain :
La phase III se terminera le 31 janvier 2023 pour le Pfizer et le 14 février 2023 pour l'Astrazeneca (clinicaltrials.gov).
La situation est donc la suivante :
1. Les vaccins ne sont pas encore approuvé par la FDA américaine.
2.
Cela signifie que ceux qui acceptent le vaccin ne sont que des cobayes
pour les essais cliniques dont on ne connaît pas les conséquences à
moyen-long terme.
Les audiences de Nuremberg
suite à la deuxième guerre mondiale ont révélé que les médecins
nazis avaient forcé ou contraint des prisonniers de guerre et d'autres
à des expériences humaines abusives et même mortelles.
Le
tribunal a aidé à créer le Code de Nuremberg de 1947 qui
établissait largement les normes
internationales reconnues pour l'expérimentation éthique sur
des sujets humains.
Le
premier et le plus vaste principe du Code fournit les conditions
strictes pour établir le consentement volontaire de ceux qui se
soumettent à l'expérimentation humaine, y compris que l'individu ne
peut être exposé à «aucun élément de force, fraude, tromperie,
contrainte, excès ou autre forme ultérieure de contrainte ou
coercition. »
Or,
présentement il semble bien y avoir de la tromperie et de l’excès car
le code spécifie aussi que «le degré de risque à prendre ne doit jamais
dépasser celui déterminé par l’importance humanitaire du problème à
résoudre par l’expérience.»
Inutile de rappeler que le taux de mortalité du au Covid-19 publiés un peu partout sont sous la barre des 1% de la population.
Jean XXIII avait bien raison.
Nuremberg n'est pas terminé.
B) « 7 avril 2021 (LifeSiteNews)
– Dr Michael Yeadon, ancien vice-président et scientifique en chef de
Pfizer pour les allergies et les voies respiratoires, qui a passé 32
ans dans l’industrie à diriger la recherche sur les nouveaux
médicaments et a pris sa retraite du géant pharmaceutique avec «le
poste de chercheur le plus expérimenté avec le plus d’ancienneté » dans
son domaine, s’est entretenu avec LifeSiteNews.
Il
a abordé la propagande «manifestement fausse» des gouvernements en
réponse au COVID-19, y compris le «mensonge» de variantes dangereuses,
le potentiel totalitaire de «passeports vaccinaux» et la forte
possibilité que nous ayons affaire à une «conspiration» qui pourrait
conduire à quelque chose de bien au-delà du carnage vécu dans les
guerres et les massacres du 20e siècle.
Ses principaux points incluaient:
1. Il n’y a «aucune possibilité» que les variantes actuelles du COVID-19 échappent à l’immunité. C’est «juste un mensonge».
2.
Pourtant, les gouvernements du monde entier répètent ce mensonge,
indiquant que nous assistons non seulement à un «opportunisme
convergent», mais à une «conspiration». Pendant ce temps, les médias et
les plateformes Big Tech sont engagés dans la même propagande et la
même censure de la vérité.
3.
Les sociétés pharmaceutiques ont déjà commencé à développer des vaccins
de «complément» («de rappel») inutiles pour les «variants». Les
entreprises prévoient de fabriquer des milliards de flacons, en plus de
la campagne expérimentale actuelle de « vaccin » COVID-19 .
4.
Les agences de régulation telles que la Food and Drug Administration
des États-Unis et l’Agence européenne des médicaments ont annoncé que,
puisque ces vaccins «d’appoint» seront si similaires aux injections
précédentes qui ont été approuvées pour une autorisation d’utilisation
d’urgence, les sociétés pharmaceutiques ne seront pas tenues
d’effectuer des études de sécurité clinique.
5.
Ainsi, cela signifie pratiquement que la conception et la mise en œuvre
de vaccins à ARNm répétés et forcés passent de l’écran d’ordinateur
d’une société pharmaceutique dans les bras de centaines de millions de
personnes, [injectant] une séquence génétique superflue pour laquelle
il n’y a absolument pas de besoin ou de justification.
6.
Pourquoi font-ils cela? Puisqu’aucune raison bénigne n’est apparente,
l’utilisation de passeports vaccinaux avec une «réinitialisation
bancaire» pourrait aboutir à un totalitarisme comme le monde n’en a
jamais vu. Rappelant le mal de Staline, Mao et Hitler, le «dépeuplement
massif» reste une issue logique.
7.
Juste le fait que cela puisse au moins être vrai signifie que tout le
monde doit «se battre comme un fou pour s’assurer que ce système ne
prenne forme. Jamais.
«Et
comme je ne peux penser à une explication bénigne pour aucune des
étapes: variants, vaccins d’appoint, pas d’études réglementaires … ce
n’est pas seulement que je ne peux pas penser à une explication
bénigne, aux étapes décrites et au scénario décrit, et le type de
résolution nécessaire à ce faux problème va permettre ce que je viens
de décrire: des séquences de gènes inconnues et inutiles injectées dans
les bras de milliards de personnes potentielles sans raison.
« Je
suis très inquiet … cette voie sera utilisée pour le dépeuplement
massif, car je ne peux penser à aucune explication bénigne.»…»
Note: Aujourd’hui, 17 avril, Pfizer s’avance déjà sur la nécessité d’une troisième dose.
C) Pour faire suite au commentaires du Dr Yeadon, le témoignage d’une médecin britannique:
«
… nous attirons votre attention sur une lettre parue dans le British
Medicine Journal. Il est signé par Katya Polyakova, médecin et
directrice médicale expérimentée d’un hôpital du Kent (Angleterre) avec
un solide programme concernant, en particulier, les soins
psychiatriques des adolescents et des familles et de nombreux autres
domaines. Bref, une personne interne au système de santé britannique.
Bonne lecture. »
« Cher directeur,
J’ai
eu plus de vaccinations dans ma vie que la plupart des gens et je viens
d’un lieu d’expérience personnelle et professionnelle significative par
rapport à cette pandémie, ayant dirigé un service pendant les 2
premières vagues et affronté toutes les imprévus qui les accompagnaient.
Malgré
cela, ce vers quoi je lutte actuellement, c’est le signalement
inexistant de la réalité de la morbidité causée par notre programme de
vaccination actuel au sein du service de santé et de la population du
personnel. Les niveaux de maladie après la vaccination sont sans
précédents et le personnel devient très malade et certains présentent
des symptômes neurologiques, ce qui a un impact majeur sur le
fonctionnement du service de santé.
Même
les jeunes en bonne santé ont froid pendant des jours, certains pendant
des semaines et certains nécessitent un traitement médical. Des équipes
entières sont éliminées parce qu’elles sont allées se faire vacciner
ensemble.
Dans
ce cas, la vaccination obligatoire est stupide, immorale et
irresponsable lorsqu’il s’agit de protéger notre personnel et la santé
publique. Nous sommes dans la phase volontaire de vaccination, et nous
encourageons le personnel à prendre un produit non autorisé qui a un
impact sur leur santé immédiate, et j’ai l’expérience directe que le
personnel a contracté la Covid APRÈS la vaccination et l’a probablement
transmis. En fait, il est clairement indiqué que ces produits vaccinaux
n’offrent pas d’immunité et n’empêchent pas la transmission. Dans ce
cas, pourquoi les appliquons-nous?
Les
données de sécurité longitudinales ne sont pas disponibles (au plus
quelques mois de données d’essai) et ces produits sont uniquement sous
licence d’urgence. Qu’est-ce que cela signifie qu’il n’y a pas d’effets
indésirables longitudinaux auxquels nous pouvons remédier et qui
pourraient mettre en danger l’ensemble du secteur de la santé?
La
grippe est un grand tueur annuel, elle inonde le système de santé, elle
tue les jeunes, les personnes âgées et les comorbides, et pourtant les
gens peuvent choisir de se faire vacciner ou non (qui était déjà en
circulation depuis longtemps). Et vous pouvez énumérer une foule
d’autres exemples de vaccins qui ne sont pas obligatoires, mais qui
protègent contre des maladies importantes.
La
coercition et l’imposition de traitements médicaux à notre personnel,
aux membres du public, surtout lorsque les traitements sont encore
expérimentaux, sont fermement dans le domaine d’une dystopie
totalitaire nazie et se précipitent bien au-delà de nos valeurs
éthiques en tant que gardiens de la santé.
Toute
ma famille et moi avons eu la COVID. C’est comme la plupart de mes
amis, ma famille et mes collègues. J’ai récemment perdu un parent
relativement jeune avec une comorbidité due à une insuffisance
cardiaque, due à une pneumonie causée par la COVID. Malgré cela, je ne
baisse jamais les bras et je ne suis pas d’accord pour dire que nous
devrions abandonner nos principes libéraux et notre position
internationale sur la souveraineté corporelle, le libre choix éclairé
et les droits de l’homme, et maintenir une coercition sans précédent
sur les professionnels, les patients et les individus pour qu’ils
subissent des traitements expérimentaux avec données de sécurité
limitées. Ceci et les politiques qui l’accompagnent représentent un
danger pour notre société plus que tout ce à quoi nous avons été
confrontés l’année dernière..
Qu’est-il
arrivé à « mon corps, ma décision »? Qu’est-il arrivé au
débat scientifique et ouvert? Si je ne prescris pas d’antibiotique à un
patient qui n’en a pas besoin parce qu’il est en bonne santé, suis-je
un anti-antibiotique? Ou un denier d’antibiotiques? Il est peut-être
temps que les gens réfléchissent vraiment à ce que nous allons faire et
où tout cela nous mène ? » (marcotosatti.com).
D) « Alors, les vaccinés contre le COVID risquent-ils davantage de mourir ? Oui, selon deux documents officiels.»
«
Les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées
aux formes graves et aux décès en cas d’inefficacité initiale du vaccin
ou de réinfection post-vaccinale ou de la virulence d’un variant. »
«
La recrudescence des hospitalisations et des décès est dominée par les
personnes qui ont reçu deux doses du vaccin, soit environ 60 % et 70 %
de la vague respectivement. Cela peut être attribué aux niveaux élevés
de prise du vaccin dans les groupes d’âge les plus à risque. »
(leblogdejeannesmits).
E) « Le vaccin anti-Covid n'est pas un vaccin. Fraude mondiale et nationale.
1) Fraude au vaccin Covid-19
Le
week-end dernier, à la veille de Pâques, par la bouche du président
argentin lui-même, le pays et le monde ont appris qu'Alberto
Fernández avait contracté le célèbre Covid-19 ,
alors qu'il avait reçu deux doses du vaccin russe
Spoutnik-V . En d'autres termes, bien qu'il ait été vacciné,
Don Alberto n'avait pas d'anticorps. Le premier président au monde
à être infecté par le fameux virus d'origine chinoise malgré
l'injection du vaccin «salvateur», tel qu'il est habituellement
présenté.
Déjà
il y a quelques semaines, les autorités sanitaires et
les professionnels de la santé dans le pays ont commencé à
se répandre la version qu’en réalité , les « vaccins » contre
la Covid-19 ne sont pas une immunisation. Ils n’empêchent
pas la contagion, mais plutôt ils atténuent les effets
graves et empêchent qu’une personne infectée et vaccinée
décède . Même les autorités du laboratoire russe qui
fabrique le Spoutnik-V, dans le cas du président argentin, ont
officiellement soutenu la même chose: le vaccin [anti-Covid19]
"garantit une guérison rapide sans symptômes graves" [1], c'est-à-dire
il n'immunise pas mais protège plutôt contre les symptômes
graves causés par le virus.
Mais
l'essence du vaccin en tant que tel, quel qu'il soit, est qu'il produit
une immunisation. C'est ainsi que l'Organisation mondiale de la
santé le définit: «On entend par vaccin toute préparation
destinée à générer une immunité contre une maladie en stimulant la
production d'anticorps. Il peut s'agir, par exemple, d'une suspension
de micro-organismes morts ou atténués, ou de produits ou dérivés de
micro-organismes "[2] -. Et aussi l'agence de santé officielle
américaine Center for Disease Control and Prevention [CDC] -" Produit
qui stimule le système immunitaire système d'une personne pour produire
une immunité contre une maladie spécifique, la protégeant de cette
maladie ", définissant l'immunité comme" Protection contre une maladie
infectieuse. Si vous êtes immunisé contre une maladie, vous pouvez
y être exposé sans être infecté »[3].
Suivant
ces définitions, le CDC soutient que
la vaccination «est l'acte d'introduire un vaccin
dans le corps pour produire une immunité contre
une maladie spécifique» et que la vaccination est
«un processus par lequel une personne est protégée contre
une maladie par la vaccination» [4] , c'est pourquoi ce
terme est «interchangeable avec le terme vaccination ou inoculation».
En
bref: le vaccin en tant que tel immunise et
empêche une personne d'être infectée par une maladie
spécifique, sinon ce n'est pas un vaccin .
Suivant
ces critères internationaux officiels, cela signifie alors
que le vaccin Covid19 n'est pas un vaccin ,
puisqu'il n'immunise pas.
Cela
n'empêche pas les membres de la "communauté scientifique" - qui
agissent en tant que porte-parole officieux du gouvernement - de
déclarer que " les vaccinés doivent continuer à prendre soin
d'eux-mêmes . Il est essentiel que la personne vaccinée, qui
a produit des anticorps et qui est protégée ne se comporte pas comme
l'égoïste . Parce que? "Parce que la
personne vaccinée ne tombe pas malade du coronavirus ,
mais peut avoir une infection
asymptomatique (????) et peut en infecter
d'autres (????) "[5]. En d'autres termes, si vous êtes
vacciné vous ne contractez pas de coronavirus, mais vous pouvez avoir
une infection "sans symptômes" - être vacciné? - et vous pouvez en
infecter d'autres - même si vous n'êtes pas infecté? Si c'est
scientifique ...
Mais
en réalité, la même Organisation Mondiale de la Santé , à
travers les Nations Unies, est celle qui approuve officiellement
ce non-sens scientifique (???) , reconnaissant également
que ces "vaccins" NE VACCINENT PAS , mais plutôt
les essais cliniques "ont montré seulement que les vaccins
protègent les gens contre le développement de la
maladie COVID-19 , qui peut être légère, modérée ou
sévère », mais IGNORANT « si les vaccins protègent
également les gens contre la simple infection par
le virus SRAS-CoV-2 et s'ils protègent ou non contre la
transmission à une autre personne »[6]. En outre, selon les
experts de l'OMS, les personnes vaccinées devraient continuer à porter
des masques, car "nous ne savons toujours pas dans quelle mesure
les vaccins protègent non seulement contre la maladie mais aussi contre
l'infection et la transmission " [7]. Parole de
l'Organisation mondiale de la santé, qui reconnaît ainsi que les
«vaccins» contre Covid19 en danse ne sont pas des
vaccins .
2) Traitement expérimental de thérapie génique
S'ils
ne sont pas des vaccins, alors que sont-ils? Quel scénario
artificiel ont-ils mis en place et quelle histoire sinistre et
diabolique tentent-ils de nous faire croire? Dans quel but?
Le
26 février 2021, le médecin américain Steven Hotze [8], qui vit et
travaille au Texas, a présenté un rapport - par écrit et par vidéo -
intitulé
« Le soi-disant « vaccin » de le COVID-19 est vraiment une
thérapie de gène expérimental dangereuse »[Le soi-disant« vaccin
»Covid-19 est en fait une thérapie génique expérimentale dangereuse]
[9].
Selon
le spécialiste, suivant les paramètres de l'OMS elle-même, «ce
soi-disant« vaccin »contre le COVID-19 ne confère pas aux personnes qui
le reçoivent une immunité contre le COVID-19, ni n'empêche la
transmission de cette maladie. Il ne répond pas à la propre
définition du CDC d'un vaccin », car« un vaccin est un produit qui
stimule le système immunitaire d'une personne à produire une immunité
contre une maladie spécifique. L'immunité est une protection
contre une maladie infectieuse. Si vous êtes immunisé contre une
maladie, vous pouvez vous y exposer sans être infecté ».
En
réalité, ces «vaccins» anti-Covid19 constituent en fait «une thérapie
génique expérimentale non prouvée, qui présente un danger beaucoup plus
grand pour votre santé que le COVID-19 lui-même», car «il s'agit d'une
thérapie génique expérimentale avec un messager synthétique d'acide
ribonucléique (ARNm ), qui fonctionne très différemment.
La
théorie sous-jacente est que lorsque cet ARNm synthétique est injecté
dans votre corps, il s'insère dans vos cellules et commence à produire
les protéines de pointe du coronavirus . À son
tour, on s'attend à ce que votre système immunitaire
produise des anticorps contre la protéine coronavirus fabriquée par vos
propres cellules . "
Le
problème est que ce «vaccin» à ARNm COVID-19 n'a été testé
chez l'homme que pendant quelques mois », ce qui signifie qu'en
plus de ne pas être réellement un vaccin, il s'agit d'un
traitement expérimental dont les fabricants NE SONT PAS
RESPONSABLES . Ne serait-il pas sage de mener des études à
long terme chez l'homme avant de recommander une vaccination de masse?
La
même chose est soutenue par le Dr David Martin [10] et le Dr Judy
Mikovits [11]: «Ce n'est pas un vaccin… Il s'agit d'un ARNm emballé
dans une enveloppe adipeuse qui est délivré à une cellule. Il
s'agit d'un dispositif médical conçu pour stimuler la cellule humaine à
devenir un créateur d'agents pathogènes. Ce n'est pas un vaccin »,
car si c'était le cas, il assurerait l'immunité et réduirait la
transmission du virus. Mais selon les responsables de l'OMS le
reconnaissent, le «vaccin» anti-Covid19 ne fait pas une chose ou une
autre, car «la chaîne d'ARNm qui entre dans la cellule n'a pas pour but
d'arrêter la transmission. C'est un traitement »,
puisqu'il consiste en fait en « un dispositif mécanique ,
sous la forme d'un très petit ensemble de technologies, qui entre dans
le système humain pour activer la cellule et en faire un lieu de
fabrication d'agents pathogènes », ce qui rend le receveur
malade. Pour cette raison, ce dernier n'est pas immunisé et peut
en transmettre et infecter d'autres, et même vacciné il peut être
infecté [12].
Et
le 15 mars de cette année, en Espagne, un groupe de professionnels de
la biologie et des sciences de l'environnement, regroupés dans la
plateforme «Biologistes pour la vérité», a publié
le rapport de revue scientifique Covid-19 de
57 pages, dans lequel ils déterminent, parmi d'autres choses,
que le virus SARS CoV 2 est un virus chimère
artificiel , fabriqué en laboratoire, et qu'en réalité
« l'isolement présumé du virus SARS CoV 2 est une fraude
scientifique […] car aucune culture virale n'a été obtenue,
ni des particules virales viables de celui-ci ». Et que «les
récepteurs ACE2 [une enzyme présente dans le tissu testiculaire, pas
dans le tissu pulmonaire ou les voies
respiratoires ] acceptés pour le virus SRAS CoV 2 », comme
cela a été officiellement imposé, « ils ne se retrouvent ni dans les
poumons ni dans les voies respiratoires, il n'y a donc aucune preuve
qu'il s'agit d'un virus respiratoire […] »[13].
3) L'anticovid «Vaccin» est un logiciel
Comme
on le sait, la société pharmaceutique américaine Moderna Inc. est l'un
des principaux fabricants du vaccin supposé salvateur. Ce qu'ils
essaient de cacher, c'est que cette société - comme toutes celles
impliquées dans la fabrication - est contrôlée par les plus importants
fonds d'investissement au monde: Fidelity Management and
Research, Vanguard Group, BlackRock, Morgan Stanley Investment
Management, etc., c'est-à-dire, les propriétaires de la
finance mondiale spéculative et prédatrice [14].
Cette
même société reconnaît sur son site Internet que le vaccin en question
- le sien, mais aussi celui fabriqué par d'autres sociétés est
" une plateforme technologique d'ARNm qui fonctionne un peu
comme un système d'exploitation sur un ordinateur" , conçue "pour
que vous puissiez vous connecter et jouer de manière interchangeable
avec différents programmes. Dans notre cas, le «programme» ou
«application» est l'ARNm de notre médicament, la séquence unique d'ARNm
qui code une protéine »[15]. En ce sens, le
«vaccin» injecte un véritable code génétique qui ordonne aux
ribosomes de fabriquer des protéines , c'est-à-dire
qu'il introduit l'ARNm dans le tissu et les cellules
cibles du corps, mais en même temps, il doit
contourner le système immunitaire, car si elle est activée, "la réponse
qui en résulte peut limiter la production de
protéines et, par conséquent, le bénéfice thérapeutique des ARNm" [16].
En
d'autres termes, le «vaccin» anticovid19 est un traitement
expérimental, sous réserve d'éventualités , qui n'est
pas scientifique.
Parce
que, comme l'a déclaré le Dr Steven Hotze
susmentionné , «les effets indésirables retardés et à long terme
sont encore plus inquiétants. La thérapie génique expérimentale
avec de l'ARNm synthétique active la production de protéines
COVID-19, mais n'a pas d'interrupteur d'arrêt.
Il
continue de se répliquer et le système immunitaire continue de donner
une réponse immunitaire. Par conséquent, certains chercheurs
craignent que cela ne provoque des réactions auto-immunes, vous
préparant à une vie de maladies inflammatoires graves »[17].
Mais
il y a d'autres complications pires, car il existe «des preuves
convaincantes que cette thérapie génique expérimentale peut déclencher
une réaction de rappel dépendante des anticorps et augmenter la
capacité du virus à infecter vos cellules . En d'autres
termes, si vous contractez une infection à coronavirus après avoir reçu
la thérapie génique expérimentale, il peut y avoir un cas
bien pire que si vous n'aviez jamais subi cette thérapie. De
nombreux experts prévoient une augmentation des infections mortelles,
des troubles inflammatoires et des décès dans les mois à venir pour
ceux qui ont reçu ce traitement »[18].
Le
Dr Hotze conclut ce rapport en déclarant qu '«il existe encore de
nombreuses inconnues à propos de cette thérapie génique
expérimentale. Il n'y a aucune preuve que cela sauve des vies ou
empêche la propagation de l'infection à d'autres [comme le
reconnaissent les responsables de l'OMS eux-mêmes], de sorte que les
bureaucrates de la santé continuent de recommander le masquage et la
distanciation sociale. Personne n'a la moindre idée des effets
indésirables à long terme de cette thérapie génique
expérimentale , mais ils envisagent d'injecter cette thérapie
génique expérimentale dans toute la population.
Cette
thérapie génique expérimentale n'éradiquera pas le coronavirus
responsable du COVID-19, tout comme le vaccin antigrippal n'a pas
éliminé la grippe . Le COVID-19 est là pour rester. Même sans
ce soi-disant «vaccin», les infections diminueront à mesure que de plus
en plus de personnes développeront l'immunité naturelle du troupeau
»[19].
...
Bref,
plutôt que de s'intéresser à la fabrication de vaccins pour lutter
contre la "pandémie", ce qui se fait jour "indique que la pandémie a
été fabriquée pour vacciner le monde entier, comme le prétend
l'inventeur déséquilibré de Windows.
Bref, les «vaccins» contre le Covid-19 ont tout l'apparence d'une véritable fraude médicale et sanitaire .
José Arturo Quarracino » (marcotosatti.com).
F) Alexandra Henrion-Caude (généticienne française renommée):
« On
vous fait faire des anticorps par les vaccins qui au lieu de
neutraliser votre virus, vont l’aider à renter dans les cellules,
parfois même de se répliquer… » (vidéo: planete360.fr).
G) Entrevue du Dr. Sherri Tenpenny aux États-Unis du 9 mars 2021 (traduite via Odysse.com)
: Des personnes vaccinées commenceront à décéder d’ici 1 à 2 années
(avertissement : le titre de la vidéo n’est pas traduite
correctement et suggère que « toute personne » vaccinée décédera; ce
qui est faux).
Le Dr. Tenpenny a le mérite de très bien expliquer le fonctionnement des pseudo-vaccins à l’ARNm.
12 avril
LE TECHNOFASCISME DE LA JUDÉO-MAÇONNERIE.
Tout est prévu, semble-t-il, comme la pandémie.
Nous
avons vu il n’y a pas si longtemps que le World Economic Forum (livre
sur la grande réinitialisation) ne pouvait qu’installer son système via
une cyber attaque, un prétexte.
Ils l’ont baptisé Cyber Polygon.
Ils ont sorti une nouvelle vidéo ce mois-ci (en anglais) démontrant ce à quoi il prépare le monde post-pandémique.
Bref pour résumer, ils comparent la cyberattaque à la pandémie:
Klaus Swab et la kabbale ont soigneusement préparé ce plan pour l’horizon 2022.
La simulation cyber polygon 2021 aura lieu cet été (comme a eu lieu la simulation Event 201 avant la pandémie):
« De «Event 201» à «Cyber Polygon»: la simulation par le WEF d’une «cyber pandémie» à venir.
L’année
dernière, le Forum économique mondial s’est associé au gouvernement
russe et aux banques mondiales pour lancer une simulation de
cyberattaque très médiatisée qui ciblait le secteur financier, un
événement réel qui ouvrirait la voie à une «réinitialisation» de
l’économie mondiale. La simulation, nommée Cyber Polygon, a peut-être
été plus qu’un exercice de planification typique et présente des
similitudes avec l’événement de simulation de pandémie 201 parrainé par
le WEF qui a brièvement précédé la crise du COVID-19.
Mercredi,
le Forum économique mondial (WEF), ainsi que la Sberbank russe et sa
filiale de cybersécurité BI.ZONE ont annoncé qu’une nouvelle simulation
de cyberattaque mondiale aurait lieu en juillet prochain pour instruire
les participants à « développer des écosystèmes sécurisés » en simulant
une chaîne d’approvisionnement cyberattaque similaire au récent
piratage de SolarWinds qui «évaluerait la cyber-résilience» des
participants à l’exercice. Sur le site Web de l’événement récemment mis
à jour, la simulation, appelée Cyber Polygon 2021, avertit de manière
inquiétante que, compte tenu des tendances de numérisation largement
stimulées par la crise du COVID-19, «un seul lien vulnérable suffit à
faire tomber l’ensemble du système, tout comme l’effet domino»,
ajoutant que « une approche sécurisée du développement numérique
aujourd’hui déterminera l’avenir de l’humanité pour les décennies à
venir… » (unlimitedhangout.com)
Jeremy
Jurgens, directeur général du WEF a déclaré dans une vidéo: « Je crois
qu’il y aura une autre crise. Ce sera plus significatif. Ce sera plus
rapide que ce que nous avons vu avec COVID. L’impact sera plus
important et, par conséquent, les implications économiques et sociales
seront encore plus importantes. »
Quant à Klaus Schwab : : «Nous
connaissons tous, mais prêtons encore une attention insuffisante, au
scénario effrayant d’une cyberattaque globale qui pourrait mettre un
terme complet à l’alimentation électrique, les transports, les services
hospitaliers, notre société dans son ensemble.
La crise du COVID-19 serait
considérée à cet égard comme une petite perturbation par rapport à une
cyberattaque majeure. Utiliser la crise du COVID19 comme une
opportunité pour réfléchir aux leçons que la communauté de la
cybersécurité peut tirer et d’améliorer notre manque de préparation à
une potentielle cyber-pandémie. »
En rappel, voici de nouveau le lien de la lecture
de décembre 2020 du Fonds Monétaire International « Refaire le monde
post-COVID » où on voit le phœnix digital sortir de l’œuf du virus de
la Covid.
Klaus Schwab n’hésite pas à
affirmer que la grande réinitialisation, qui est la 4è révolution
industrielle, se prépare sur fond de transhumanisme : « une fusion de
notre identité physique, numérique et biologique ».
Ce
système rêvé, le système 666 à la manière chinoise, verra justement la
Chine être le premier pays à sortir sa monnaie digitale selon ce qui a
été annoncé cette semaine.
Le
17 novembre passé, l’ancien secrétaire d’État américain John Kerry a
assuré aux élites du Forum économique mondial (WEF) qu’une présidence
de Joe Biden ferait rapidement progresser l’agenda mondialiste de la
«grande réinitialisation» «avec plus de rapidité et d’intensité que
beaucoup pourraient imaginer.
Kerry
a fait ses remarques lors d’une table ronde virtuelle «Plateforme
d’action COVID» organisée par le WEF. L’organisation mondialiste a
saisi l’occasion de la pandémie pour introduire des changements
radicaux dans l’économie mondiale.
«La
notion de réinitialisation est plus importante que jamais», a-t-il
déclaré. «Personnellement, je crois… nous sommes à l’aube d’une période
extrêmement excitante.» (weforum.org)
Voilà.
Tout va très vite car ils n’ont pas le choix. Le système financier actuel n’est plus soutenable et vouer à sa perte.
C’est pourquoi que nous voyons Bergoglio s’activer aussi fort de son côté…
Car il s’agit plus qu’un nouveau système financier.
On le sait.
’est la domination de la bête, du dragon, que l’on prépare.
«
Le pape François a adressé le 4 avril dernier une lettre aux
participants à la Réunion de printemps de la Banque mondiale et du
Fonds monétaire international qui se tient actuellement en ligne du 5
au 11 avril dans le contexte de la « relance » à la suite de la crise
créée autour du COVID-19. Le pape y souhaite la mise en place de «
solutions nouvelles », « inclusives et durables », par le biais
notamment de la création ou de la « régénération » d’institutions de «
gouvernance globale ». » (reseauinternational.net)
« En novembre 2020, la
Fondation Canergie en collaboration avec le Forum économique de Davos
(Klaus Schwab) a pondu un rapport évoquant une cyberattaque conduisant
à l'effondrement du système financier mondial. Dans l'esprit de ces
personnes, il s'agit de profiter de ce "malencontreux" événement pour
passer à la vitesse supérieure, c'est-à-dire fusionner les banques
d'affaires, les autorités financières, les entreprises technologiques
et l'Etat de sécurité nationale. Ces ambitions ont pour but d'aboutir à
la concentration des moyens via la centralisation de l'autorité. Ainsi,
la gouvernance mondiale, la monnaie numérique globale doublée d'un
contrôle systématique des activités humaines (n'oublions pas le
passeport vaccinal) aboutiront à un parfait technofascisme. » (Pierre
Hillard)
La chute de Babylone la grande n’est plus très loin.
LA RELIGION PARTAGÉE
Saint-Paul (Th 2, 2):
«
En ce qui concerne l'avènement de notre Seigneur Jésus-Christ et notre
réunion avec lui, nous vous prions, frères, de ne pas vous laisser
ébranler facilement dans vos sentiments, ni alarmer, soit par quelque
esprit, soit par quelque parole ou lettre supposées venir de nous,
comme si le jour du Seigneur était imminent.
Que personne ne vous égare
d'aucune manière ; car auparavant viendra l'apostasie, et se
manifestera l'homme de péché, le fils de la perdition, l'adversaire qui
s'élève contre tout ce qui est appelé Dieu ou honoré d'un culte,
jusqu'à s'asseoir dans le sanctuaire de Dieu, et à se présenter comme
s'il était Dieu.
Ne vous souvenez-vous pas que je vous disais ces choses, lorsque j'étais encore chez vous ?
Et maintenant vous savez ce qui le retient, pour qu'il se manifeste en son temps.
Car le mystère d'iniquité s'opère déjà, mais seulement jusqu'à ce que celui qui le retient encore paraisse au grand jour.
Et alors se découvrira
l'impie, que le Seigneur (Jésus) exterminera par le souffle de sa
bouche, et anéantira par l'éclat de son avènement.
Dans son apparition cet impie
sera, par la puissance de Satan, accompagné de toutes sortes de
miracles, de signes et de prodiges mensongers, avec toutes les
séductions de l'iniquité, pour ceux qui se perdent, parce qu'ils n'ont
pas ouvert leur cœur à l'amour de la vérité qui les eût sauvés.
C'est pourquoi Dieu leur
envoie des illusions puissantes qui les feront croire au mensonge, en
sorte qu'ils tombent sous son jugement tous ceux qui ont refusé leur
foi à la vérité, et ont au contraire pris plaisir à l'injustice. »
« Le sceau papal sur la nouvelle religion partagée
Un lecteur m’écrit:
« Allez
dans le monde entier et vaccinez tous les gens. Ceux qui sont vaccinés
seront sauvés, ceux qui ne le sont pas seront condamnés ».
Je
cite l’Évangile selon Bergoglio. Le message de Pâques, traduit urbi et
orbi par les médias, est que, aux jours du Salut, le chef de l’Église
voit dans la préparation injectable le seul remède pour l’humanité
angoissée et perdue. On dira: « Non, il ne voulait pas dire
exactement cela »;
« Oui,
mais il a aussi dit autre chose »; « Possible, mais il ne
pouvait pas ne pas le dire ». Mais un homme d’expérience comme lui
aurait dû prévoir que cette déclaration, prononcée dans ce contexte,
allait avoir une telle diffusion: l’aveu que, désormais, nous ne
pouvons faire confiance qu’à la Science.
Le
lecteur a raison. Je pense cependant que le résultat obtenu, sur le
plan communicationnel, n’est pas un effet involontaire. En fait, c’est
exactement ce que le Pape avait entrepris de faire: proclamer le nouvel
évangile du salut par la science.
Incroyable,
déconcertant, inquiétant. Sur ce sujet, nous avons désormais utilisé
tous les adjectifs possibles. Nous pouvons en ajouter deux autres:
triste et déprimant. Parce que le pape, lorsqu’il parle (dans le
message urbi et orbi de Pâques!) des vaccins comme d’un
« outil essentiel » contre la pandémie et va jusqu’à appeler
à « un internationalisme des vaccins », fait son ouverture de
crédit de manière totalement superficielle et acritique.
Nous
sommes ici en plein scientisme ou, si vous préférez, en fidéisme
scientiste. Et qu’une telle attitude soit le fait du pasteur suprême de
l’Église catholique ne peut que provoquer le découragement.
Surtout
à une époque où les questions se multiplient sur l’origine des vaccins
et les doutes sur leur efficacité et leurs effets secondaires, la
simple application de la vertu de prudence recommanderait la réserve.
Si l’on considère ensuite la situation dans laquelle se trouvent des
catégories professionnelles entières (2) soumises de fait à un
chantage, parce que ceux qui, en conscience, ne veulent pas se faire
vacciner, autrement dit ne veulent pas être des cobayes pour des
médicaments expérimentaux insuffisamment testés, risquent sérieusement
de perdre leur emploi, le discernement (expression si chère à
Bergoglio) est encore plus nécessaire.
Et
en revanche, que voyons-nous? Que le Pape, avec des paroles prononcées
rien moins que le jour de la Résurrection de Notre Seigneur, avec son
adhésion au conformisme scientifique se pose non seulement comme un
interprète mais comme le premier représentant de ce que j’appelle la
Nouvelle Religion Partagée, une pseudo-religion grotesque et
ultra-dogmatique (aucune objection contre elle n’est permise) qui non
seulement exalte le fidéisme scientifique mais, pour s’imposer, utilise
les catégories de la vraie religion et les pervertit à ses propres fins.
Dans
cette nouvelle pseudo-religion (comme je l’ai écrit dans Virus e
Leviatano) nous avons en fait une trinité (Science, Santé, Sécurité),
nous avons le péché mortel (ne pas adhérer à la vision scientiste, ne
pas collaborer à sa diffusion), nous avons la punition pour le
non-croyant (être littéralement excommunié, mis hors de la communauté,
comme indigne), nous avons les écritures sacrées (celles propagées par
les médias de masse asservis au discours conformiste dominant), nous
avons la demande impérieuse de conversion (à la technoscience comprise
non plus comme un instrument mais comme une divinité), nous avons
l’identification de la croyance au salut (vous êtes sauvé seulement si
vous croyez à cette pseudo-religion et si vous vous faites son
interprète), nous avons les nouveaux bigots (qui s’érigent en juges et
vous mettent hors du consensus humain si vous n’êtes pas aligné) et
nous avons une inquisition qui, au moment où elle vous excommunie, vous
fait tout perdre.
Il
semble que non pas trente-trois ans, mais trois siècles se soient
écoulés depuis les mots que Jean-Paul II a écrits en 1988 au père
George Coyne, alors directeur de l’Observatoire du Vatican. Dans ce
texte, le pape expliquait que, tout comme elle ne propose pas que la
religion devienne la science, l’Église ne propose certes pas non plus
que la science devienne la religion. Malheureusement, nous devons
mettre le verbe au passé: elle ne proposait pas. Avec la circonstance
aggravante – il faut le répéter – qu’on ne parle même plus de science,
mais de fidéisme scientiste. » (benoit-et-moi.fr)
Mensonges, mensonges, mensonges…
Notre
monde n’est pratiquement plus qu’habité par le mensonge grâce aux «
illusions puissantes » envoyées par Dieu (internet, smartphones, tous
les médias) afin que tous ceux qui suivent l’impie sur le trône tombent
sous son jugement.
Jamais
dans l’histoire ces paroles de Saint-Paul aux Thessaloniciens n’auront
été si fortes, dans un dernier acte, sous fonds de pandémie dans un
contexte d’apostasie généralisée.
Et
il le confirme : c’est le jugement, et cela « concerne
l'avènement de notre Seigneur Jésus-Christ et notre réunion avec lui ».
Il n'y a qu'une seule vérité et nous nous devons d'y être fidèle.
08 avril
Deux textes significatifs pour faire suite à l'analyse d'hier...
Et en fait qui résument toutes les analyses de l'ère bergoglienne...
Et qui confirment certaines prophéties politiques de Jean XXIII: Nuremberg n'est pas terminé.
« CONSIDÉRATIONS PROPHÉTIQUES DE DEUX GRANDS AUTEURS: HIER ÉNIGMATIQUE, COMPRIS AUJOURD'HUI!
(pour comprendre encore mieux la situation inédite de l '«Église des deux papes», dans laquelle pourtant un seul est vraiment!)
De
manière totalement inattendue nous avons trouvé sur internet un sermon
du futur bienheureux Fulton John Sheen, qui correspond
parfaitement à la situation actuelle et donc nous le proposons dans sa
version complète:
« Pourquoi est-ce que si peu de gens sont conscients de la gravité de la crise actuelle?
En
partie parce que les hommes ne veulent pas croire que leur temps est
mauvais, en partie parce que cela nécessite un aveu excessif de
culpabilité, et principalement parce qu'ils n'ont pas de termes de
comparaison pour évaluer la fin des temps en dehors
d'eux-mêmes. Seuls ceux qui vivent dans la foi savent vraiment ce
qui se passe dans le monde.
Notre
Sauveur pourrait bien nous dire ce qu'il a dit aux sadducéens et aux
pharisiens de son temps: «Quand ce sera le soir, dites: ce sera
beau, parce que le ciel est rouge. Et le matin: demain sera
orageux, car le ciel est rouge et bas. Alors savez-vous comment
interpréter l'apparence du ciel: et êtes-vous incapable de reconnaître
les signes des temps? "
Reconnaissons-nous les signes de notre temps?
Ils
pointent deux vérités inexorables, dont la première est que nous sommes
arrivés à la fin du chapitre de l'histoire post-Renaissance, qui a fait
de l'homme la mesure de toutes choses. Les trois dogmes
fondamentaux du monde moderne se dissolvent sous nos yeux.
En
premier lieu, on assiste à la liquidation de l' homo
oeconomicus, ou à l'hypothèse que l'homme, qui est un animal très
évolué, n'a d'autre fonction dans la vie que de produire et d'acquérir
de la richesse et donc, comme le bétail au pâturage, de vivre ses
années et mourir.
Deuxièmement,
nous assistons à l'abandon de l'idée de bonté naturelle de l'homme, qui
n'a pas besoin d'un dieu pour lui accorder des droits, ou d'un
rédempteur pour le sauver de la culpabilité, car le progrès est
automatique, grâce à la science. L'éducation et l'évolution, qui fera
un jour de l'homme une sorte de dieu lui-même. Il est certainement
possible que le libéralisme historique ne soit qu'une phase de
transition, d'une civilisation autrefois chrétienne à une civilisation
résolument anti-chrétienne.
La
deuxième grande vérité, annoncée par les signes des temps, est que nous
sommes sans aucun doute à la fin d'une ère de civilisation non
religieuse: j'entends par là celle qui a considéré la religion comme un
appendice de la vie, un pieux surplus, un outil pour construire une
morale individuelle, mais sans pertinence sociale; et à Dieu en
tant que partenaire silencieux, dont le nom était utilisé par
l'entreprise pour se donner un vernis de respectabilité, mais qui
n'avait rien à dire sur la manière de faire des affaires.
Dans
la nouvelle ère dans laquelle nous entrons, il y a à nouveau ce que
l'on pourrait appeler une phase religieuse de l'histoire
humaine. Ne vous méprenez pas ... par "religieux" je ne veux pas
dire que l'homme se tournera vers Dieu, mais plutôt que l'indifférence
envers l'absolu, qui caractérisait l'ère libérale de la civilisation,
sera suivie de la passion, pour un absolu.
Désormais,
la lutte ne sera pas pour les colonies et les droits des nations, mais
pour l'âme des hommes. Les contours de la bataille se dessinent
clairement et les principaux enjeux ne font plus de doute.
Désormais,
les hommes seront partagés entre deux religions, compris à nouveau
comme un abandon à un absolu. Le conflit du futur est entre un
absolu qui est l'homme-Dieu et un absolu qui est
l'homme-dieu; entre le Dieu qui s'est fait homme et l'homme qui
s'est fait dieu; entre "frères en Christ" et "compagnons dans
l'antéchrist".
Cependant,
l'antéchrist ne s'appellera pas ainsi, sinon il n'aurait pas de
disciples. Et il ne portera pas de collants rouges, ni ne vomira
du soufre, ni ne portera une fourche, ni agitera une queue pointue,
comme Méphistophélès dans Faust. En fait, dans aucun passage des
Saintes Écritures, nous ne trouvons une justification au mythe
populaire du diable comme un imbécile qui se déguise en premier «rouge»
de l'histoire. Il est plutôt décrit comme un ange déchu, comme le
prince de ce monde, dont le souci est de nous dire que: il n'y a pas
d'autre monde! Sa logique est simple: s'il n'y a pas de paradis,
il n'y a pas d'enfer; s'il n'y a pas d'enfer, il n'y a pas de
péché; s'il n'y a pas de péché, il n'y a pas de juge, et s'il n'y
a pas de jugement, alors le mal est bien et le bien est le
mal. Mais, au-delà de toutes ces définitions, Notre Seigneur nous
dit qu'il sera si semblable à lui-même qu'il séduira même les
élus , et certainement aucun démon que nous avons vu dans les
livres illustrés ne pourra tromper les élus!
Comment viendra-t-il dans cette nouvelle ère pour gagner des adeptes de sa religion?
Il
sera déguisé en Grand Humanitaire: il parlera de paix, de
prospérité et d'abondance, non pas comme des moyens de nous conduire à
Dieu, mais comme des fins en soi. Il écrira des livres sur la
nouvelle idée de Dieu, pour l'adapter à la façon dont les gens
vivent; il nourrira la foi en l'astrologie, de manière à rendre
non pas la volonté mais les astres responsables de nos
péchés; cela expliquera psychologiquement la culpabilité comme une
sexualité refoulée; les hommes rougiront de honte si leurs
semblables leur disent qu'ils ne sont pas ouverts et libéraux; il
identifiera la tolérance avec l'indifférence, pour ce qui est bien ou
mal; il sollicitera encore plus de divorces, sous prétexte qu'un
autre partenaire est «vital»; cela augmentera l'amour de l'amour
et réduira l'amour pour la personne; il invoquera la religion, pour
détruire la religion; il parlera même du Christ et dira qu'il était le
plus grand homme qui ait jamais vécu; sa mission, dira-t-il, sera
de libérer les hommes de l'esclavage de la superstition et du fascisme,
qu'il ne définira en aucun cas. Mais au cœur de son amour apparent
pour l'humanité et de son discours irrégulier sur la liberté et
l'égalité, il gardera un seul et grand secret, qu'il ne confiera à
personne: il ne croira pas en Dieu.
Puisque sa religion sera la fraternité, sans la paternité de Dieu, il trompera même les élus.[1]
Il établira
une contre-église, qui sera le singe de l'Église, parce qu'il est le
diable, le singe de Dieu: il sera le corps mystique de l'antéchrist,
qui ressemblera malheureusement, extérieurement, à la vraie Église, au
corps mystique du Christ.
Il
amènera l'homme moderne, qui a désespérément besoin de Dieu, dans sa
solitude et sa frustration, à désirer de plus en plus appartenir à sa
propre communauté, ce qui lui fournira un élargissement de son but,
sans aucun besoin de correction personnelle et sans besoin admettre sa
culpabilité individuelle.
Ce
sont les jours où le diable avait une liberté d'action
particulière. Car nous ne devons jamais oublier que Notre Seigneur
a dit à Judas et à ses acolytes: "C'est votre heure".
Mais Dieu a son jour, et le mal a son heure, quand le berger est frappé et les brebis dispersées.
Et
peut-être l'Église a-t-elle déjà fait ses préparatifs, précisément pour
un jour aussi malheureux, dans ce décret du Saint-Père, qui énonce les
conditions dans lesquelles une élection papale peut maintenant avoir
lieu en dehors de la ville de Rome ...
Les hommes qui connaissent l'histoire ont vu venir ces jours sombres.
En
1842, il y a cent cinq ans, le poète allemand Heine écrivait:
«Le communisme, bien que peu en parle maintenant, et se débattant
sur de misérables matelas de paille dans des greniers sordides, est le
héros noir destiné à un grand rôle, quoique temporaire, dans la
tragédie moderne ...
Des
temps sombres et sauvages rugissent à notre adresse, et le prophète qui
a l'intention d'écrire une nouvelle apocalypse devrait inventer des
bêtes entièrement nouvelles: des bêtes si terribles, que les vieux
animaux de Saint-Jean seraient de gentilles colombes et des cupidons en
comparaison. Les dieux se voilent le visage, par pitié pour les
enfants des hommes et leurs fautes de longue date. L'avenir sent
le cuir tanné, le sang, l'athéisme et de nombreux cils. Et je dois
conseiller à nos petits-enfants de naître avec une peau de dos très
épaisse. "
C'était en 1842. On aurait vraiment pu être prévenus ...
Pour
la première fois dans l'histoire, notre époque a été témoin à la fois
de la persécution de l'Ancien Testament par les nazis et de la
persécution du Nouveau Testament par les communistes: quiconque a
quelque chose à voir avec Dieu est haï aujourd'hui, sa vocation est
d'annoncer son fils divin, Jésus-Christ, comme l'ont fait les Juifs, ou
pour le suivre, comme le font les chrétiens.
Comme
les signes des temps indiquent qu'une lutte entre absolus est en cours,
et nous pouvons nous attendre à ce que l'avenir soit une période de
tests, pour deux raisons.
Le premier: la nécessité d'arrêter la désintégration.
L'athéisme
avancerait de plus en plus, s'il n'y avait pas de catastrophes. Ce
qu'est la mort pour un individu, la catastrophe représente pour une
civilisation maléfique: l'interruption de la vie, et pour la
civilisation, l'interruption de son athéisme. Et pourquoi diable
Dieu a-t-il mis un ange avec une épée flamboyante dans le paradis
terrestre, après la chute, sinon pour empêcher nos ancêtres de revenir
et de se nourrir de l'arbre de vie avec lequel, s'ils en avaient mangé,
ils auraient rendu leur culpabilité immortelle?
Et
donc Dieu ne permettra pas que l'iniquité devienne
éternelle! Cependant, il permet à la révolution, à la
désintégration, au chaos de venir nous rappeler que notre pensée a été
erronée, nos rêves ont été méchants. La vérité morale est
confirmée par la ruine qui s'ensuit, quand il est répudié. Le
chaos de notre temps est l'argument négatif le plus fort qui puisse
être avancé en faveur du christianisme. La catastrophe révèle que
le mal s'annihile et que nous ne pouvons pas tourner le dos à Dieu,
comme nous l'avons fait, sans nous faire du mal.
La
deuxième raison pour laquelle une crise doit survenir est d'empêcher
une fausse identification entre l'Église et le monde. Notre
Seigneur voulait que ceux qui étaient ses disciples aient un esprit
différent de ceux qui ne l'étaient pas. Cependant, cette ligne de
démarcation a été floue. Au lieu du noir et blanc, il n'y a que
confusion. La médiocrité et le compromis caractérisent la vie de
nombreux chrétiens.
Ils
lisent les mêmes romans que les païens modernes; ils éduquent
leurs enfants également athées; ils écoutent les commentateurs
eux-mêmes, qui n'ont d'autre critère d'évaluation que de juger
aujourd'hui d'hier et de demain à partir d'aujourd'hui; ils
permettent aux pratiques païennes, comme le divorce et le remariage, de
s'insinuer dans la vie de famille; il y a des dirigeants
catholiques autoproclamés qui ne demandent jamais rien, mais qui
soutiennent au contraire, candidats communistes au
Congrès; ou des écrivains catholiques qui acceptent des
présidences dans les principales organisations communistes, pour
insinuer des idées totalitaires dans les films.
Il
n'y a plus de conflit et d'opposition qui devraient nous
caractériser. Nous influençons le monde, moins que le monde ne
nous affecte! Il n'y a plus de séparation. Nous, qui avons
été envoyés pour créer un centre de santé, avons attrapé la maladie et
avons donc perdu le pouvoir de guérir.
Et,
puisque l'or s'est mélangé à un alliage, le tout devra maintenant être
jeté dans un four pour que les déchets puissent être éliminés par le
feu.
La valeur du test consistera à nous séparer.
La
catastrophe du mal doit venir nous rejeter, nous mépriser, nous haïr,
nous persécuter et puis ... alors nous marquerons notre fidélité, nous
affirmerons notre fidélité, nous déclarerons de quel côté nous
sommes. Notre nombre, en vérité, diminuera, mais notre qualité
augmentera ...
Ce
n'est pas pour l'Église que nous craignons, mais pour le
monde. Nous ne tremblons pas à l'idée que Dieu puisse être
détrôné, mais que la barbarie puisse régner.
Enfin,
trois suggestions pratiques pour notre époque, où les chrétiens se
rendront compte que: un moment de crise n'est pas un temps plein
de désespoir, mais d'opportunités.
Nous sommes nés dans une crise, dans une défaite: la Crucifixion.
Et,
une fois que nous reconnaissons que nous sommes soumis à la colère
divine, nous devenons des objets possibles de la miséricorde
divine. La discipline imposée par Dieu engendre l'espérance en
elle-même. Le voleur de droite est venu à Dieu par la crucifixion.
Deuxièmement,
les catholiques devraient raviver leur foi, accrocher un crucifix chez
eux, se souvenir qu'ils ont une croix à porter: rassembler la famille
tous les soirs pour prier le chapelet; aller à la messe tous les
jours; pratiquez l'heure sainte quotidiennement, en présence de
Notre Seigneur dans l’Eucharistie et en particulier dans les paroisses,
où les pasteurs sont conscients des besoins du monde et dirigent donc
les services de réparation.
Enfin:
juifs, protestants, catholiques, américains, nous tous, ce n'est pas
une unité de religion que nous implorons, car cela est impossible
quand elle est réalisée en sacrifiant l'unicité de la Vérité,
mais une unité de religieux, dans laquelle chacun marche
séparément, à la lumière de sa propre conscience, mais combat à
l'unisson, pour l'amélioration morale du monde.
Les
forces du mal sont unies; les forces du bien sont
divisées. Nous ne pourrons peut-être pas nous rencontrer dans la
même stalle - si Dieu le veut - mais nous pouvons nous rencontrer
à genoux. Vous pouvez être sûr qu'aucun compromis sordide, ni la
propension à garder le pied dans deux chaussures, ne vous
touchera. Ceux qui ont la foi, feraient mieux de rester dans
l'état de grâce, et ceux qui n'ont ni l'un ni l'autre, feraient mieux
de savoir ce qu'ils ont l'intention de faire, car dans l'âge à venir,
il n'y aura qu'un seul moyen d'arrêter nos genoux tremblants, à
savoir: s'agenouiller et priez!
Priez
Saint Michel, Michel le Prince du matin, qui a vaincu Lucifer qui s'est
fait dieu. Quand le monde fut une fois déchiré par un sourire
rebelle dans le ciel, il se leva et fit descendre des sept sphères
l'orgueil qui aurait méprisé le Très-Haut.
Et
priez aussi, priez Notre-Dame et dites-lui: «On vous a donné le pouvoir
d'écraser la tête du serpent, qui a menti aux hommes et leur a dit
qu'ils seraient comme des dieux. Et que vous, qui avez trouvé le
Christ alors qu'il était perdu pendant trois jours, vous le retrouvez,
car notre monde l'a perdu. Donnez, à l'incontinence sénile de
notre verbiage, la Parole. Et, comme vous avez formé la Parole
dans votre ventre, formez-la dans nos cœurs. Céleste Dame des
cieux, en ces jours sombres, allumez nos lampes: rendez-nous la Lumière
du Monde, afin qu’une lumière puisse briller, même en ces jours de
ténèbres . "[2]
Enfin,
nous concluons par une réflexion théologique d'un grand théologien
argentin (bien qu'il soit quelque peu inconnu du grand
public), Julio Meinvielle , présent dans le dernier ouvrage
qu'il a écrit: " De la Cabala al Progresismo "[3] , dans
laquelle il semble faire une incroyable prophétie, et précisément sur
l'Église contemporaine:
«…
Il n'y a aucune difficulté à admettre que l' Église de la
publicité [ou même l' Église de la propagande… et en
tout cas: l' Église contemporaine actuelle] peut être
conquise par l'ennemi et convertie [de l'Église catholique ]
en Église gnostique.
Il
peut [ainsi] y avoir deux Églises: la première, celle de la
«publicité», une Église magnifiée par la propagande, avec des évêques,
des prêtres et des théologiens «médiatisés», avec un Pontife aux
attitudes ambiguës [attention ici, car nous ne sommes qu’en
1970!]; la seconde, l'Église du
silence, avec un [autre] Pape (!) fidèle
à Jésus-Christ dans son enseignement, et avec quelques prêtres,
évêques et fidèles qui lui sont dévoués, dispersés comme pusillus grex [le
Petit Troupeau!] par toute la terre. Cette dernière serait
l' Église des promesses , et non la première, qui
peut manquer [de telles promesses].
Un seul «Pape» présiderait les deux Églises, qui apparemment et
extérieurement sembleraient n'en être qu'une. Ce «Pape», avec ses
attitudes ambiguës, favoriserait [ainsi] le maintien du
malentendu. Car d'une part, professant une doctrine irréprochable
[et en fait, de temps en temps, Bergoglio «joue aussi le Pape»], il
serait à la tête de l'Église des promesses. D'autre part, en
produisant des faits équivoques et même répréhensibles [son action
«pastorale»], il semblerait encourager la subversion et le maintien
de l'Église gnostique [en cela] de la «publicité».
L'ecclésiologie n'a pas suffisamment étudié la possibilité d'une
hypothèse telle que celle que nous proposons ici. Mais à la
réflexion, la promesse d'assistance à la [vraie] Église prend la forme
d'une assistance qui empêche l'erreur d'entrer dans la chaire romaine
et dans l'Église elle-même; de plus, que l'Église [elle-même] ne
disparaît ni n'est détruite par ses ennemis. »
Et,
comme notre évêque américain l'a encore dit: ««… Ce sera une sorte de«
corps mystique »de l'Antéchrist, malheureusement similaire au corps
mystique, trompant beaucoup! »[4]
Et
nous trouvons le même avertissement aussi dans notre Seigneur: « Prenez
garde que personne ne vous trompe ... Beaucoup de faux
prophètes se lèveront et beaucoup vous
tromperont ... Quand vous verrez l'abomination de la
désolation, dont le prophète Daniel a parlé, installé dans le lieu
saint (le lecteur comprend) ... De faux Christs et de faux
prophètes se lèveront et accompliront de grands présages et des
miracles, de manière à induire en erreur, si possible, même les
élus ... »[5]
Sergio Russo et Rosanna Boccacci
(extrait
du livre " Cœurs fermés, esprits fermés, églises fermées ... Ciel
ouvert !", publié sur la plateforme Amazon) via marcotosatti.com. »
C'est bien ce qui arrive.
L'Église de la tradition empêche l'Église de mourrir... à jamais.
L'Antéchrist
fournit aux apôtres de la « vie normale » post-pandémique le miel dont
ils ont besoin, en les gardant dans un état d'esprit naïf, sans aucun
repère, dans une grande apostasie, baignant dans leurs valeurs
d'éco-terrorisme et de droits humanitaires.
Ce que fait Bergoglio.
Cette naïvité de l'esprit est évidement entretenue par cette ère de fausses nouvelles déferlant via les médias.
Elle
mène l'humain à sa perte, non pas physique, car qu'est-ce que la Vie
Éternelle par rapport à ce petit bout de temps sur notre planète.
C'est la perte de l'âme qui est à craindre.
D'où le dilemne introduit par la vaccination.
Le vaccin mène-t-il à la perte de l'âme?
Bien-sûr que non.
Mais il introduit l'élément salvateur face à la peur pandémique alimentée.
C'est possiblement le « nouveau messie » pour les goïm.
C'est
l'état d'esprit dans lequel nous acceptons le vaccin qui cause la perte
de l'âme (tel qu'expliqué dans la précédente analyse).
Le vaccin mène-t-il à la mort physique?
Peut-être... puisque c'est une question de moyen-long terme.
C'est de cet aspect physique que nous entretien le Dr Yeadon.
« 7 avril 2021 (LifeSiteNews)
– Dr Michael Yeadon, ancien vice-président et scientifique en chef de
Pfizer pour les allergies et les voies respiratoires, qui a passé 32
ans dans l’industrie à diriger la recherche sur les nouveaux
médicaments et a pris sa retraite du géant pharmaceutique avec «le
poste de chercheur le plus expérimenté avec le plus d’ancienneté » dans
son domaine, s’est entretenu avec LifeSiteNews.
Il
a abordé la propagande «manifestement fausse» des gouvernements en
réponse au COVID-19, y compris le «mensonge» de variantes dangereuses,
le potentiel totalitaire de «passeports vaccinaux» et la forte
possibilité que nous ayons affaire à une «conspiration» qui pourrait
conduire à quelque chose de bien au-delà du carnage vécu dans les
guerres et les massacres du 20e siècle.
Ses principaux points incluaient:
1. Il n’y a «aucune possibilité» que les variantes actuelles du COVID-19 échappent à l’immunité. C’est «juste un mensonge».
2.
Pourtant, les gouvernements du monde entier répètent ce mensonge,
indiquant que nous assistons non seulement à un «opportunisme
convergent», mais à une «conspiration». Pendant ce temps, les médias et
les plateformes Big Tech sont engagés dans la même propagande et la
même censure de la vérité.
3.
Les sociétés pharmaceutiques ont déjà commencé à développer des vaccins
de «complément» («de rappel») inutiles pour les «variants». Les
entreprises prévoient de fabriquer des milliards de flacons, en plus de
la campagne expérimentale actuelle de « vaccin » COVID-19 .
4.
Les agences de régulation telles que la Food and Drug Administration
des États-Unis et l’Agence européenne des médicaments ont annoncé que,
puisque ces vaccins «d’appoint» seront si similaires aux injections
précédentes qui ont été approuvées pour une autorisation d’utilisation
d’urgence, les sociétés pharmaceutiques ne seront pas tenues
d’effectuer des études de sécurité clinique.
5.
Ainsi, cela signifie pratiquement que la conception et la mise en œuvre
de vaccins à ARNm répétés et forcés passent de l’écran d’ordinateur
d’une société pharmaceutique dans les bras de centaines de millions de
personnes, [injectant] une séquence génétique superflue pour laquelle
il n’y a absolument pas de besoin ou de justification.
6.
Pourquoi font-ils cela? Puisqu’aucune raison bénigne n’est apparente,
l’utilisation de passeports vaccinaux avec une «réinitialisation
bancaire» pourrait aboutir à un totalitarisme comme le monde n’en a
jamais vu. Rappelant le mal de Staline, Mao et Hitler, le «dépeuplement
massif» reste une issue logique.
7.
Juste le fait que cela puisse au moins être vrai signifie que tout le
monde doit «se battre comme un fou pour s’assurer que ce système ne
prenne forme. Jamais.
Le
Dr Yeadon a commencé à s’identifier comme étant simplement un «gars
ennuyeux» qui est allé «travailler pour une grande société
pharmaceutique…
Poursuivant,
il a déclaré: «Mais l’année dernière, j’ai réalisé que mon gouvernement
et ses conseillers mentaient au peuple britannique sur tout ce qui
avait trait au coronavirus.
Absolument
tout: C’est une erreur cette idée de transmission asymptomatique et que
vous n’avez pas de symptômes, mais que vous êtes une source de virus.
Que les verrouillages fonctionnent, que les masques ont une valeur
protectrice évidemment pour vous ou pour quelqu’un d’autre, et que les
variantes sont des choses effrayantes et nous devons même fermer les
frontières internationales au cas où certaines de ces variantes
étrangères désagréables entreraient. »
«Ou,
en passant, en plus de la liste actuelle des vaccins génétiques que
nous avons miraculeusement fabriqués, il y aura des vaccins «
complémentaires »pour faire face aux variantes de fuite immunitaire. »
«Tout
ce que je vous ai dit, chacune de ces choses, est manifestement fausse.
Mais toute notre politique nationale est basée sur le fait que tous ces
éléments sont globalement justes, mais ils sont tous faux. »
«
Mais ce que j’aimerais faire, c’est de parler d’évasion immunitaire
parce que je pense que ce sera probablement la fin de cet événement, ce
qui, je pense, est probablement une conspiration. L’année dernière, je
pensais que c’était ce que j’appelais de «l’opportunisme convergent»,
c’est-à-dire que différents groupes de parties prenantes ont réussi à
bondir sur un monde en plein chaos pour nous pousser dans une direction
particulière. Donc, il semblait que c’était un peu lié, mais j’étais
prêt à dire que c’était juste une convergence. »
«Je
[maintenant] pense que c’est naïf. Il ne fait aucun doute dans mon
esprit que des décideurs très importants dans le monde ont soit prévu
de profiter de la pandémie, soit de créer la pandémie. L’une de ces
deux choses est vraie parce que la raison pour laquelle cela doit être
vrai est que des dizaines et des dizaines de gouvernements disent tous
les mêmes mensonges et font les mêmes choses inefficaces qui coûtent
manifestement des vies.
«
Et ils parlent du même script futur qui est, ‘Nous ne voulons pas que
vous vous déplaciez à cause de ces vermines embêtantes, ces« variants
»» … mais ils disent tous cela et ils disent tous «ne vous inquiétez
pas, il y aura des vaccins « d’appoint » qui permettront de faire face
aux « évadés potentiels ». Ils disent tous cela alors que c’est
manifestement absurde…
«
Mais je vais vous guider, Patrick, car je suis qualifié pour commenter.
Je ne sais pas de quoi parle Vanden Bossche . Il n’y avait aucune
possibilité du tout, sur la base de tous les variants qui sont dans le
domaine public, environ 4000 d’entre eux, aucun d’entre eux n’échappera
à l’immunité [c’est-à-dire deviendra plus dangereus]. »
«Néanmoins,
les politiciens et les conseillers en santé (dans de nombreux
gouvernements) disent qu’ils le sont. Ils mentent. Eh bien, pourquoi
feriez-vous ça? »
«
Voici l’autre chose, en parallèle, qu’affirme les sociétés
pharmaceutiques, plusieurs d’entre elles, il sera assez facile pour
nous d’ajuster nos vaccins génétiques, et nous pouvons les accélérer à
travers le développement, et nous pouvons vous aider.
«
Et voici la partie vraiment effrayante, les régulateurs mondiaux des
médicaments comme [la Food and Drug Administration] FDA, l’agence
japonaise des médicaments, l’Agence européenne des médicaments, se sont
réunis et ont annoncé … puisque les vaccins complémentaires seront
considérés comme si similaires à ceux que nous avons déjà approuvés
pour une autorisation d’utilisation d’urgence, nous n’allons pas
obliger les sociétés pharmaceutiques à réaliser des études d’innocuité
clinique.
«
Et si vous vouliez introduire une caractéristique qui pourrait être
nocive et pourrait même être mortelle, et vous pouvez même l’ajuster
pour dire ‘mettons-la dans un gène qui causera des lésions hépatiques
sur une période de neuf mois,’ ou, vos reins échouent, mais pas tant
que vous n’avez pas rencontré ce type d’organisme [ce serait tout à
fait possible]. La biotechnologie vous offre franchement des moyens
illimités de blesser ou de tuer des milliards de personnes.
«Et
comme je ne peux penser à une explication bénigne pour aucune des
étapes: variants, vaccins d’appoint, pas d’études réglementaires … ce
n’est pas seulement que je ne peux pas penser à une explication
bénigne, aux étapes décrites et au scénario décrit, et le type de
résolution nécessaire à ce faux problème va permettre ce que je viens
de décrire: des séquences de gènes inconnues et inutiles injectées dans
les bras de milliards de personnes potentielles sans raison.
«Je
suis très inquiet … cette voie sera utilisée pour le dépeuplement
massif, car je ne peux penser à aucune explication bénigne.»…»
C'est le combat final qui est en cours.
Tout bon chrétien qui connaît les écritures quant à la fin des temps sait bien que physiquement une masse de gens périront.
Mais, le Christ a donné sa vie pour nous sauver.
Il faut absolument garder son état de grâce malgré les pressions externes.
Vivre hors Babylone tout en étant physiquement dans Babylone.
Il faut être prêt lorsque l'époux se présentera.
07 avril
LA PERSÉCUTION
Mgr
Vigano a été très explicite dans sa méditation de Pâques à propos des «
apôtres et martyrs d’aujourd’hui… », sujets à une persécution beaucoup
plus psychologique que physique, sauf pour certains endroits comme au
Moyen-Orient.
Rappelons
la prophétie du Pape Pie XII sur les terrorismes actuels,
psychologiques, pour décourager, réduire au silence, et tuer les âmes:
« Les
terrorismes intellectuels, d’où qu’ils viennent, sont aussi mortels que
les terrorismes physiques ; ils ne servent, les uns comme les autres,
que de sordides intérêts particuliers, jamais l’intérêt général.
Viendra le temps des crimes légitimés, des crimes sans assassin, des
effets sans cause. »
Voilà notre époque.
Ces
outils ne servent que l’intérêt de l’élite judéo-maçonnique pour
établir le règne de leur « messie » en lieu et place du Verbe Incarné.
Le
reste n’est que poudre aux yeux afin de séduire le plus d’âmes via la
technologie et la vie de loisirs qui fait oublier le mal à l’âme.
Nous savons tous que ce sera un échec car le Christ a vaincu la mort et le mal, et IL RÉGNERA JUSQU’À LA FIN DES TEMPS.
C’est une promesse donnée par le Fils de Dieu lui-même.
Cette
apostasie prophétisée de la fin des temps dans laquelle nous baignons
aveugle évidemment ceux qui cherchent la lumière en dehors du Corps
Mystique du Christ.
Ils ne savent plus où regarder.
Cette
apostasie, contrairement aux martyrs des temps passés qui ont eu à
faire un choix : tu apostasies ou tu meurs, n’est plus extérieure,
n’est plus une question de dilemme, puisque le Vatican via Bergoglio a
proclamé : tu apostasies, tu suis notre fausse doctrine, ou tu
n’es plus catholique!
C’est la persécution la plus diabolique qui ait jamais existé puisqu’elle est interne à l’église!
La
perte d’une âme est un meurtre sans cadavre, des martyrs sans
bourreaux, des persécuteurs qui sont nos proches pour certains, et même
la hiérarchie ecclésiastique catholique!
Le
sang des martyrs passés était d’une fécondation impressionnante,
générant plus de convertis via l’Église naissante combattante, remplie
de Foi dans sa mission ultime, que d’abandons de fidèles voyant leurs
proches se faire massacrer du temps des romains.
Nous
assistons de manière subtile au remplacement d’une civilisation par une
autre au niveau temporel, et sa religion grâce à Vatican II, est le
nouvel œcuménisme prêché par Bergoglio.
Cette fausse église, tel que
le mentionnait Anne Catherine Emmerich, nous fait croire qu’elle est
compatible avec la foi de l’Église telle que voulue par le Christ.
D’où la difficulté de choisir son camp car ce qui est en jeu n’est plus aussi clair que ça l’était pour les martyrs du début.
« C’est une chose d’être dans
le monde et une autre de devenir comme le monde. En parlant comme le
monde parle, et en raisonnant comme le monde raisonne, Bergoglio a fait
s’évaporer Pierre et s’est placé lui-même au premier plan...
«
Mais aujourd’hui, Pierre ne paît pas ses brebis et ne les confirme pas
dans la foi. Pourquoi ? […] Bergoglio parle de Dieu, mais de toute sa
prédication sort un Dieu qui n’est pas le Dieu de la Bible, mais un
Dieu adultéré, un Dieu, je dirais, dépourvu de pouvoir ou, mieux
encore, adapté. A quoi ? A l’homme et à sa prétention d’être justifié
en vivant comme si le péché n’existait pas ». (AM Valli, Rome sans
Pape, voir 24 février 2021 pour lien).
« La Mère sera veuve » confirme Jean XXIII dans la prophétie concernant Benoît XVI.
Cette nouvelle civilisation est bien évidement le système 666 de l’Apocalypse.
Et il semble bien que la
clique judéo-maçonnique y va de son « passeport sanitaire » pour faire
adhérer les nouveaux « martyrs » modernes, car les convertis à la
grande réinitialisation le demandent ce passeport, afin de retrouver
leurs « vies normales »!
Sous l’emprise de Mammon. À leur insu.
C’est là la subtilité…
« 31 mars 2021 ( LifeSiteNews
) –– Une multitude de dirigeants mondiaux ont lancé un appel en faveur
d’un traité sur une pandémie mondiale, prétendument afin de prévenir de
futures pandémies, de distribuer des vaccins et de mettre en œuvre une
approche unilatérale de la gouvernance mondiale.
Le
Premier ministre britannique Boris Johnson, le président français
Emmanuel Macron, la chancelière allemande Angela Merkel, la chef de
l’Organisation mondiale de la santé (OMS), ainsi que 20 autres
dirigeants mondiaux, ont uni leurs forces pour rédiger une lettre
commune avec l’intention apparente de gagner le soutien populaire pour
le plan mondialiste.
Dans
le journal britannique The Telegraph , ainsi que dans d’autres
publications telles que Le Monde en France, les dirigeants ont déclaré
leur intention de «construire une architecture de santé internationale
plus robuste qui protégera les générations futures».
Qualifiant le COVID-19 de
«plus grand défi pour la communauté mondiale depuis les années 1940»,
les 24 dirigeants ont prédit qu’il «y aura d’autres pandémies et
d’autres urgences sanitaires majeures».
«Aucun
gouvernement ou agence multilatérale ne peut à lui seul faire face à
cette menace», ont-ils déclaré. «La question n’est pas de savoir si,
mais quand. Ensemble, nous devons être mieux préparés pour prévoir,
prévenir, détecter, évaluer et réagir efficacement aux pandémies de
manière hautement coordonnée. La pandémie de Covid-19 a été un rappel
brutal et douloureux que personne n’est en sécurité tant que tout le
monde n’est pas en sécurité. »
Cette
dernière phrase pourrait indiquer l’influence du fondateur et
mondialiste engagé du Forum économique mondial (WEF) Klaus Schwab sur
les 24 dirigeants. Il y a quelques semaines, Schwab a déclaré : « Tant
que pas tout le monde est vacciné, personne ne sera en sécurité » , une
déclaration qui en soi pose une question intéressante à propos de la
confiance que ces dirigeants accordent à leur bien loué, mais
dangereux, des injections expérimentales.
Les dirigeants ont réaffirmé leur objectif commun de vaccination mondiale, la décrivant comme un «bien public mondial».
Afin d’atteindre ce «bien
public» et d’assurer un déploiement rapide des vaccins à travers le
monde, les 24 mondialistes ont lancé leur nouveau traité international:
«[Nous] croyons que les nations devraient travailler ensemble à un
nouveau traité international contre la pandémie. Un tel engagement
collectif renouvelé constituerait un jalon dans le renforcement de la
préparation à une pandémie au plus haut niveau politique.
…
Déclarant
que le coronavirus, originaire de Wuhan, en Chine, avait «exploité nos
faiblesses et nos divisions», les dirigeants ont déclaré qu’il était de
leur «responsabilité» de «veiller à ce que le monde tire les leçons de
la pandémie de Covid-19», et de «Saisissez cette opportunité et
réunissez-vous en tant que communauté mondiale pour une coopération
pacifique qui va au-delà de cette crise.»
La proposition devrait être
discutée plus avant entre les dirigeants nationaux lors du sommet du G7
de juin à Cornwall au Royaume-Uni, où Boris Johnson rejoindra ses
homologues du Canada, de France, d’Allemagne, d’Italie, du Japon, des
États-Unis et de l’UE. les signataires ont averti que leur nouveau plan
«prendra du temps et nécessitera un engagement politique, financier et
sociétal soutenu pendant de nombreuses années».
… »
Dans la réalité, le vaccin demeure un vaccin. Comme pour celui de la grippe annuelle.
Expérimental certes, mais la
raison pour le prendre ou non se résume à un risque, risque à moyen ou
long terme, l’avenir le dira... si on s’y rend.
Mais,
celui ou celle qui ADHÈRE au vaccin en âme et conscience pour « SON
PASSEPORT », pour sa liberté qui se voudra une prison (exemple de la
Chine), afin de retrouver la « normalité » SANS DIEU NI FOI, alors
celui-là adhère volontairement au système 666 par la marque sur le
front et la main, PAR SA MANIÈRE DE PENSER ET D’AGIR en harmonie avec
le système 666.
Or,
le chrétien qui continue de PENSER ET D’AGIR selon la volonté divine,
selon les enseignements du Christ, tout en étant alerte pour protéger
son âme, même vacciné ne succombe pas au système 666.
Aucunement.
C’est là l’explication de la fuite dans les montagnes expliquée par le Christ en Matthieu 24 pour cette fin des temps.
S’isoler dans son âme et
conscience hors de Babylone tout en faisant partie physiquement de
Babylone puisque nous n’avons pas le choix.
Tout est une question d’état d’Esprit, de fusion avec le Christ et le Père.
Et, l’avantage pour les chrétiens forts dans la foi qui ne reconnaissent plus ce monde est que tout va présentement très vite.
Plus nous nous approchons de
la chute des deux Babylone, plus nous nous approchons du retour du
Christ en Gloire, car selon l’Apocalypse, la chute du système en est le
prélude imminent.
«
… Car, comme l'éclair part de l'orient et brille jusqu'à l'occident,
ainsi en sera-t-il de l'avènement du Fils de l'homme. » (Matthieu 24,
27).
La VRAIE libération est à nos portes.
Soyons persévérants dans la Foi.
03 avril
Heureuse Pâques à tous.
Que l'Esprit-Saint nous éclaire afin de faire le choix qui s'impose en
ces temps exigeants mais si cruciaux pour l'élévation de l'âme, ou de
sa mort.
Méditation de Mgr Vigano pour cette occasion:
«« Les apôtres et martyrs d’hier revivent dans les apôtres et martyrs d’aujourd’hui »
Passio Ecclesiae. Méditation dans les domaines de la passion et de la mort
par Carlo Maria Viganò, archevêque
C’est votre heure, c’est l’empire des ténèbres (Lc 22, 53).
Les textes de la liturgie du
Sacré Triduum nous frappent, comme un coup de fouet, pour la brutalité
grossière des tourments auxquels le Sauveur a été soumis par la volonté
du Sanhédrin, sur ordre du Procureur romain. La messe, initiée par les
grands prêtres, invoque le sang innocent du Fils de Dieu sur eux-mêmes
et sur leurs enfants, niant en l’espace de quelques jours le triomphe
qui leur a été accordé en entrant à Jérusalem. Les acclamations et les
hosannas se transforment en crucifix et les branches de palmier
deviennent des fouets et des bâtons. Comment peuvent-ils décevoir, les
foules: capables de payer les honneurs avec la même conviction avec
laquelle, peu de temps après, ils décrètent la peine de mort.
Quels sont les protagonistes
et les responsables de cette condamnation? Judas, Apôtre parmi les
Douze, voleur et traître, qui pour trente pièces d’argent remet le
Maître à l’autorité ecclésiastique pour le faire arrêter. Le Sanhédrin,
c’est-à-dire l’autorité religieuse de l’Ancienne Loi, toujours en
vigueur au moment de la Passion. De faux témoins, payés ou en quête de
notoriété, qui accusent Notre Seigneur en se contredisant. Le peuple,
ou plutôt la masse prête pour des manifestations de rue qui se laissent
guider par quelques manipulateurs habiles. Le procureur Ponce Pilate,
représentant de l’empereur en Palestine, qui prononce une sentence
injuste, mais avec autorité officielle. Et tout ces congeries de
subordonnés sans nom qui font rage avec une cruauté sans précédent sur
un innocent, pour le seul fait que cela est attendu d’eux: les gardes
du temple.
Notre Seigneur est condamné à
mort alors que son innocence a été reconnue par le magistrat légitime:
Accipite eum vos et crucifigite; ego enim non invenio in eo causam .
Pilate ne veut pas contrarier les grands prêtres, ni avoir contre la
foule qu’ils peuvent manipuler en faisant appel à la haine des Romains,
qui occupent militairement la Palestine. Il sait quel mépris les
Lévites et les anciens du peuple ont à son égard, le considérant comme
un païen qui doit se tenir éloigné, au point de ne pas vouloir se
contaminer en entrant dans le prétoire: ils restent à l’extérieur, pour
vérifier que le le pouvoir temporel qui les opprime est de les rendre
complices de la condamnation de leur Messie pour blasphème,
c’est-à-dire pour crime de nature religieuse. Au contraire: envoyer un
innocent à mort sans condamnation Innocens ego sum a sanguine justi
hujus , dit Pilate. Ainsi l’autorité civile, par crainte face à
l’arrogance et au chantage d’une émeute, renonce à exercer la justice;
ainsi l’autorité spirituelle, afin de ne pas perdre le pouvoir qu’elle
avait monopolisé, cache les prophéties, insiste pour ne pas reconnaître
le Messie promis malgré les confirmations continues de sa divinité, et
conspire à tuer Jésus-Christ car, en disant la vérité, il a proclamé
Dieu. Les princes des prêtres menacent Pilate: Si hunc dimittis, non es
amicus Cæsaris , et ils viennent se soumettre au pouvoir impérial pour
mettre à mort leur roi: Non habemus regem, nisi Cæsarem. Mais
n’était-ce pas Hérode, le roi de Judée?
Jusqu’à la croix – où le
Seigneur entonne l’antienne de son propre sacrifice avec les paroles du
psalmiste: Deus meus, Deus meus: ut quid me dereliquisti? – ceux qui
connaissaient les Saintes Écritures par cœur prétendent ne pas
reconnaître dans ce cri solennel le dernier avertissement à la
synagogue, présageant l’abolition du sacerdoce lévitique et la
destruction imminente du temple, quarante ans plus tard, par la main de
Titus. Dans le Psaume 21, David prédit ce que les Juifs avaient sous
les yeux et qu’ils ne pouvaient plus comprendre à cause de leur
aveuglement, et nous entendons cet avertissement répété aujourd’hui
dans les Impropérations de la liturgie de Parasceve, incrédule de
l’infidélité du peuple élu et déchirée par la répétition non moins
déchirante de l’infidélité du nouvel Israël, de ses papes, de ses
ministres.
Il n’y a pas un seul mot dans
la liturgie du Triduum pascal qui ne sonne comme une accusation
douloureuse et souffrante; l’accusation du Seigneur qui voit l’acte par
lequel le pouvoir religieux et civil s’allie contre le Seigneur et son
Christ dans la trahison de Judas et de son peuple: Astiterunt reges
terrae, et principes convenerunt in unum, adversus Dominum, et adversus
Christum ejus.
Notre Seigneur dit: Si le
monde vous hait, sachez qu’avant vous, il m’a haï. Si vous étiez du
monde, le monde aimerait ce qui lui appartient; parce que vous n’êtes
pas du monde, mais que je vous ai choisi dans le monde, c’est pourquoi
le monde vous déteste. Souvenez-vous de la parole que je vous ai dite:
Un serviteur n’est pas plus grand que son maître. S’ils m’ont
persécuté, ils vous persécuteront aussi . Avec cet avertissement, le
Sauveur nous rappelle que sa très sainte Passion doit aussi s’accomplir
dans le corps mystique – s’ils m’ont persécuté, ils vous persécuteront
aussi – à la fois chez les individus au cours des siècles et dans
l’Église en tant qu’institution à la fin de temps. Et la correspondance
entre la Passion du Christ et la Passion de l’Église est significative.
Cette correspondance me semble
être encore plus évidente en cette heure d’obscurité, où le pouvoir du
nouveau Sanhédrin infidèle et corrompu s’allie au pouvoir temporel de
persécuter Notre Seigneur et ceux qui lui sont fidèles. Aujourd’hui
encore, les princes des prêtres, assoiffés de pouvoir et désireux de
plaire à l’empire qui les soumet, ont recours à Pilate pour faire
condamner les catholiques, les accusant de blasphème de ne pas vouloir
accepter la trahison de leurs chefs. Les apôtres et les martyrs d’hier
revivent parmi les apôtres et les martyrs d’aujourd’hui, qui pour
l’instant se voient refuser le privilège du martyre sanglant, mais pas
la persécution, l’ostracisme, la dérision. Nous trouvons Judas, qui
vend de bons bergers au Sanhédrin; on trouve les faux témoins, les
scélérats, les fauteurs de troubles de la masse, les gardiens du temple
et les soldats du prétoire; nous trouvons Caïphe déchirant ses
vêtements, Pierre reniant le Seigneur et les apôtres fuyant et se
cachant; nous trouvons ceux qui couronnent l’Église d’épines, ceux qui
la giflent et se moquent d’elle, ceux qui la flagellent et l’exposent à
la moquerie; qui jette sur elle la croix des scandales de ses
ministres, des péchés de ses fidèles; encore aujourd’hui, il y a ceux
qui trempent l’éponge dans du vinaigre et ceux qui transpercent le côté
de l’église avec une lance; même aujourd’hui, il y a un rôle discret et
qui joue par tirage au sort. Mais comme hier, aujourd’hui encore la
Mère de l’Église et un Apôtre resteront au pied de la croix, témoins de
lapassio Ecclesiæ comme ils ont été témoins de la passio Christi,
témoins qui jettent sur la croix les scandales de ses ministres, des
péchés de ses fidèles; encore aujourd’hui, il y a ceux qui trempent
l’éponge dans du vinaigre et ceux qui transpercent le côté de l’église
avec une lance; même aujourd’hui, il y a un rôle discret et qui joue
par tirage au sort.
Chacun de nous, dans ces
heures de silence et de méditation, s’examine. Demandons-nous si nous
voulons être, dans l’action liturgique des temps récents, parmi ceux
qui, ne fût-ce que par conformisme, ont regardé ailleurs, secoué la
tête, craché sur le Seigneur en passant vers le Calvaire.
Demandons-nous si dans cette représentation sacrée nous aurons le
courage d’essuyer le visage sanglant du Christ à l’image dévastée de
l’Église, si nous saurons comment la Cyrénienne aidera l’Église à
porter sa croix, si comme Joseph d’Arimathie nous lui offrirons un
endroit digne où la coucher jusqu’à ce qu’elle soit ressuscitée.
Demandons-nous combien de fois avons-nous giflé le Christ, en prenant
le parti du Sanhédrin et des grands prêtres, combien de fois avons-nous
mis les respects humains avant notre foi,
Lorsque l’Église crie son
Consummatum sous un ciel noir, tandis que la terre tremblera et que le
voile du temple se déchirera de haut en bas, ce qui manque aux
souffrances du Christ (Col 1:24) s’accomplira dans le Corps mystique.
Nous attendrons la déposition de la croix, la composition dans le
sépulcre, le silence absorbé et muet de la nature, la descente aux
enfers. Dans ce cas également, il y aura les gardes du temple pour
s’assurer que le pusillus grex ne se relèvera pas, et il y aura ceux
qui diront que ses adeptes sont venus le voler.
Il viendra également à la
Sainte Eglise le Samedi Saint; l’ Exultet viendra et l’ Alléluia
viendra , après la douleur, la mort et les ténèbres du tombeau. Scimus
Christum surrexisse a mortuis vere : nous savons que son corps mystique
ressuscitera aussi avec lui, juste au moment où ses ministres penseront
que tout est perdu. Et ils reconnaîtront l’Église, comme Notre Seigneur
l’a reconnu, in fractione panis .
Tel est mon souhait, du fond du cœur, pour cette Sainte Pâques et pour les temps qui nous attendent.
+ Carlo Maria Viganò, archevêque
2 avril 2021 »
(aldomariavallil.it)
Mars 2021
31 mars
LE CHAOS ARRIVE
«
Le système a admirablement corrompu nos sociétés, ce qui fait que
beaucoup d’hommes et de femmes sont irrécupérables, irrécupérables… Et
là dans les événements brutaux et sanglants que l’on va connaître, une
sorte de sélection.
Les
êtres qui ont été, …, baisés par le système, certains ne se relèveront
jamais, ils dégageront. Il y aura une forme de sélection, et dans cette
lutte de survie, ce sont ceux qui seront mentalement les plus solides,
les plus volontaires, qui tiendront le coup.
… le système est arrivé à un tel point.
Il a réussi à dégrader l’âme humaine. »
Ce sont là des propos de Pierre Hillard dans sa dernière sortie via « l’écho des canuts » en vidéo (à partir particulièrement de 1h29 minutes, pour la longue conclusion).
Voilà qui résume bien où nous
en sommes dans cette débandade « apostasique » engendrée par le fils du
Mal, en affront au Verbe Incarné, Vrai Dieu et Vrai Homme.
LE
SYSTÈME mis en place via la pandémie par l’élite et ses sbires est tout
simplement le système 666 temporel annoncé dans l’Apocalypse de
Saint-Jean, soit un contrôle total via la technologie.
Le
pouvoir est en train de se concentrer aux mains d’un petit groupe qui
fera basculé la balance par la création d’une monnaie numérique
mondiale contrôlée non plus par les pays ou les régions, mais par les
réserves bancaires privées qui auront alors tout le loisir de couper
les vivres.
Cet élite rêve du modèle chinois…
« Passeport sanitaire, à la mode chinoise (afp.com) »
Qui est confirmé dans cette vidéo, « ce qui nous attend ».
Tout avait été annoncé via la revue de « The Economist, le monde en 2019
», juste avant la pandémie (revue appartenant aux Rothschild, à la City
de Londres) (révélé par Pierre Hillard dans la vidéo ci-dessus).
Le
but est de réduire la population mondiale via la vaccination et de
contrôler ce qui en reste, car les ressources terrestres se font plus
rares.
Le signal d’alarme est même lancé par l’ex-vice-président et directeur scientifique de Pfizer, rien de moins…
«
29 mars 2021 ( Médecins de première ligne américains ) – Le Dr Michael
Yeadon , ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer,
s’est adressé de toute urgence aux médecins de première ligne
américains (AFLDS) à la fin de la semaine dernière, avertissant que la
volonté d’injecter la plus grande partie possible de la population avec
les vaccins expérimentaux du Covid-19 est de « la folie », qui génère
du « mal » et constituent en fait des « crimes contre l’ humanité » qui
peuvent avoir l’intention d’un « dépeuplement à une échelle massive. »
Ayant soutenu qu’il n’y a «
pas de besoins de vaccins » pour le COVID-19, Yeadon souligne
ci-dessous: «VEUILLEZ avertir chaque personne de ne pas s’approcher de
la recharge des vaccins. Il n’y a absolument aucun besoin d’eux… » (lifesitenews.com).
Et devant la polémique créée
par les caillots sanguins et les mortalités engendrées par le vaccin
Astrazeneca, l’élite ne recule devant rien et en bons fils du prince du
mensonge, change le nom et l’emballage du vaccin! (lepoint.fr).
Mgr Vigano avertit… encore une fois.
Mais les gens endoctrinés par le système ne comprennent pas, et ne comprendront pas.
Ils veulent le retour à leurs normalités.
Sans
éducation religieuse catholique avec des bases solides, devant une
telle apostasie, qui peut réellement s’en sortir comme le confirme
Pierre Hillard?
Mgr Vigano :
« COVID-19, LE VACCIN, ET LA GRANDE RÉINITIALISATION »
Ce
que nous avons appris jusqu’à présent sur la pseudo-pandémie nous donne
l’image d’une réalité inquiétante et d’une conspiration criminelle
encore plus inquiétante éclos par des esprits égarés. Cette réalité
n’est cependant pas prise en considération par ceux qui, hypnotisés par
l’endoctrinement médiatique, persistent à considérer une grippe
saisonnière grave comme un fléau pandémique, les traitements connus
comme inefficaces, et les soi-disant vaccins qui sont certes inutiles
et nocifs comme rien. à court de miraculeux...
Un projet planifié depuis des années
Nous
savons que pour mener cette opération criminelle – puisqu’il faut
parler d’un crime contre Dieu et contre l’humanité, et non d’un simple
sort malheureux – il a fallu des années de planification...
Les promoteurs de la pandémie
On sait qui sont les théoriciens de la pandémie comme instrumentum regni , de
Bill Gates à George Soros,
dans un réseau de complicité d’intérêts si vaste et organisé que toute
mesure d’opposition est pratiquement impossible. Avec eux, nous
trouvons le répertoire le plus inquiétant des organisations dites
philanthropiques et des lobbies du pouvoir, comme le Forum économique
mondial avec Klaus Schwab, l’OMS et toutes ses branches nationales, la
Commission trilatérale, le groupe Bildeberg, le Conseil pour
Capitalisme inclusif dirigé par Lady Lynn Forester de Rothschild sous
la direction spirituelle de Bergoglio et, plus généralement, de la
phalange des multinationales, des banques et des groupes de pouvoir qui
appartiennent à ce dôme de conspirateurs. Ne soyez pas surpris si, en
parfaite cohérence avec leurs plans, les sectes et les mouvements
satanistes mondiaux se mobilisent également,
La soumission de la hiérarchie catholique
Enfin,
nous savons – et c’est certainement l’aspect le plus choquant – qu’une
partie de la hiérarchie catholique est également présente dans ce plan,
qui trouve en Jorge Mario Bergoglio un prédicateur obéissant du récit
de la pandémie et le principal sponsor des vaccins, qui a n’hésite pas
à les définir comme «un devoir moral», malgré les très graves
préoccupations éthiques et religieuses qu’elles soulèvent. Bergoglio
est même allé au point de se faire interviewer par le Vaticaniste
Domenico Agasso, dans une conversation contenue dans un livre intitulé
Dio e il mondo che verrà, to recommend to the masses the administration
of the gene serum and to furnish an authoritative and unfortunate
endorsement of the ideology of globalism. And since March 2020, the
Holy See has shown itself to be perfectly aligned with the globalist
plan by ordering the closure of churches and the suspension of the
celebration and administration of the Sacraments. If this had not
really happened, and instead a strong condemnation of this antihuman
and antichristic project had occurred, the highest levels of the Church
would have had a difficult time accepting subjecting the multitudes to
absurd limitations on their natural freedoms, in the name of not only
an ideological enslavement but obviously also economic and social.
N’oublions
pas qu’en contrepartie de la perte des fidèles dans les églises et de
la réduction drastique des offrandes pour les Conférences épiscopales
qui en résulte, il doit nécessairement y avoir une forme alternative de
financement qu’il ne nous faudra pas longtemps pour découvrir. Je pense
que ni la Chine communiste, ni de Rothschild, ni Bill et Melinda Gates
(qui, comme je l’ai appris d’une source faisant autorité, ont ouvert un
compte à l’IOR, la Banque du Vatican), ni le réseau des partis
démocratiques autoproclamés – le La gauche internationale – obéissant à
l’idéologie mondialiste, est étrangère à cette opération. D’autre part,
la Grande Réinitialisation envisage l’établissement d’une Religion
Universelle œcuménique, écologique et malthusienne, qui voit en
Bergoglio son leader naturel, comme l’a récemment reconnu la
Maçonnerie. L’adoration de lapachamama au Vatican, l’accord d’Abu
Dhabi, l’encyclique Fratelli tutti et le prochain sabbat d’Astana vont
tous dans cette direction, complétant l’inexorable processus dissolutif
de l’Église qui a commencé avec le Concile Vatican II.
Deux mondes opposés
Cette
crise sert à créer les conditions nécessaires pour rendre inévitable la
Grande Réinitialisation, c’est-à-dire la transition d’un monde basé sur
la civilisation gréco-romaine et le christianisme à un monde sans âme,
sans racines, sans idéaux. En pratique, c’est le passage du Royaume du
Christ au Royaume de l’Antéchrist, d’une société vertueuse qui punit
les méchants à la société impie et méchante qui punit le bien. Cette
idée détestable d ‘«égalité» qui nous a été inculquée auparavant par
les libres penseurs a maintenant été utilisée pour assimiler le bien et
le mal, le bien et le mal, le beau et le laid, sous prétexte de
reconnaître la liberté d’expression; aujourd’hui, il sert à promouvoir
le mal, l’injustice et ce qui ne va pas, et même à les rendre
obligatoires, afin de délégitimer et d’interdire la bonté, la justice
et la beauté. Conformément à cette vision, L’œcuménisme aussi – qui a
été initialement introduit dans l’enceinte sacrée par le Concile sous
prétexte de ramener hérétiques et schismatiques – montre aujourd’hui sa
charge antichristique, incorporant toutes les fausses religions dans un
panthéon mais proscrivant la religion catholique apostolique, car elle
est la seul vrai et en tant que tel est inconciliable avec l’erreur
doctrinale et la déviation morale. Nous devons donc comprendre que si
nous assistons passivement aux changements en cours et que nous
permettons à l’idéologie mondialiste de s’imposer sous toutes ses
formes les plus abjectes, nous serons bientôt considérés comme des
criminels, incorporant toutes les fausses religions dans un panthéon
mais proscrivant la religion catholique apostolique, car c’est la seule
vraie religion et en tant que telle est inconciliable avec l’erreur
doctrinale et la déviation morale. Nous devons donc comprendre que si
nous assistons passivement aux changements en cours et que nous
permettons à l’idéologie mondialiste de s’imposer sous toutes ses
formes les plus abjectes, nous serons bientôt considérés comme des
criminels, incorporant toutes les fausses religions dans un panthéon
mais proscrivant la religion catholique apostolique, car c’est la seule
vraie religion et en tant que telle est inconciliable avec l’erreur
doctrinale et la déviation morale. Nous devons donc comprendre que si
nous assistons passivement aux changements en cours et que nous
permettons à l’idéologie mondialiste de s’imposer sous toutes ses
formes les plus abjectes, nous serons bientôt considérés comme des
criminels,hostes publici parce que nous sommes fidèles à un Dieu jaloux
qui ne tolère pas le mélange avec les idoles et la prostitution. La
tromperie de liberté, d’égalité et de fraternité propagée par la
maçonnerie consiste précisément à usurper la primauté de Dieu pour la
donner à Satan, avec le prétexte apparent – qui est en tout cas erroné
et immoral – de placer Dieu et Satan sur le même plan. de manière à
permettre une prétendue liberté de choix qui n’existe pas moralement.
Mais le but final, le vrai et incontestable, est fondamentalement
théologique, parce que l’auteur de la rébellion est toujours le même,
l’éternellement vaincu.
Un avertissement salutaire
D’un
autre côté, il y a la puissance de Dieu. Certains d’entre nous, au
début, croyaient que la pandémie était réelle et, avec un esprit
surnaturel, pensaient que c’était en quelque sorte un châtiment divin
pour les graves péchés des individus et des nations: ils appelaient à
des actes de réparation et à des prières pour demandez à Dieu la fin de
la peste. Face à la preuve qu’il n’y a pas de pandémie et que les décès
ont été délibérément amenés à exagérer les effets sur la population,
nous devons considérer Covid comme un fléau, non pas en soi, mais pour
tout ce qu’il a révélé: le plan de Satan pour l’établissement du Nouvel
Ordre Mondial, qui est censé conduire au règne de l’Antéchrist. Le
Seigneur nous montre, avec la sévérité d’un Père, qu’il veut toujours
avertir ses enfants et induire l’humanité en erreur sur les
conséquences du péché.
La réponse des catholiques
Mais
pour que les nations retournent à Dieu, leurs membres doivent déjà lui
appartenir. Pour que le Christ soit Roi des nations, il doit d’abord
régner dans nos âmes, nos familles et nos communautés, et il doit
régner avant tout dans la sainte Église, sur ses ministres, sur le pape
et sur les évêques. Tant que le Dieu vivant et vrai est indigné en
étant placé aux côtés des idoles et des démons, nous ne pouvons pas
espérer que la Miséricorde Divine mettra fin à ce fléau et vaincra
l’ennemi.
Que
cette période de préparation pour la Sainte Pâques soit pour nous tous
un temps de sainteté: dans la pénitence, le jeûne et le sacrifice, nous
devons venir au pied de la Croix et contempler dans la Passion de Notre
Sauveur son acte de victoire sur le Mal. Une. En faisant crucifier le
Rédempteur sur le bois de la Croix, Satan a marqué sa propre défaite,
qui doit encore être rendue définitive à la fin des temps mais qui est
la plus certaine et inexorable.
Revenons
à Dieu! Revenons à la Foi, pure et entière, sans compromis avec la
mentalité du monde. Revenons à la morale chrétienne, à la sainteté de
vie, à la pureté des coutumes.Le nombre des justes retiendra la main
droite du Tout-Puissant et permettra à l’Église d’affronter le Calvaire
de sa persécution finale avec la même dignité avec laquelle Sa Tête l’a
précédé. elle, parce que la croix est le chemin royal qui mène à la
gloire de la résurrection. La voie large et confortable est celle que
nous voyons aujourd’hui et, malheureusement, nous savons très bien où
elle mène. Que la puissante protection de la Très Sainte Vierge,
Notre-Dame et Reine, nous assiste dans ces moments historiques: qu’elle
soit Notre Générale dans ce combat spirituel, aux côtés de Saint Michel
Archange et de toute la Cour céleste.
+ Carlo Maria Viganò, archevêque
25 mars 2021
Annonciation de la Vierge Marie » (marcotosatti.com)
Satan décharge son fiel comme jamais. La récolte des âmes, soutirées au Rédempteur, atteint son sommet.
L’instrument, l’abomination de la désolation sur le trône de Saint-Pierre, n’y manque pas.
Juste avant la Pâques.
Une autre attaque contre la Sainte Mère.
« VATICAN CITY, 25 mars 2021
( LifeSiteNews ) - Le pape François a lancé une nouvelle
attaque contre Notre-Dame, alors qu'il utilisait son audience générale
hebdomadaire pour saper l'enseignement catholique sur sa Divine
Maternité, ainsi que la compréhension de son rôle de co-rédemptrice ,
suggérant qu'un tel titre était le fruit d'exagérations.
Mercredi
matin , alors que le Pape s'adressait à la poignée de
membres du clergé assis autour de lui, ainsi qu'à ceux qui regardaient
via un lien vidéo, il a prononcé un discours contenant un mélange
d'enseignement catholique et non catholique.
François s'est empressé de
dénoncer l'enseignement de Marie comme co-rédemptrice, en soulignant
correctement que le Christ est le médiateur entre Dieu et l'homme, mais
en rejetant la possibilité d'un co-rédempteur: «Le Christ est le
médiateur. Le Christ est le pont que nous traversons pour nous
tourner vers le Père. Il est le seul rédempteur; il n'y a pas
de co-rédempteurs avec le Christ, il est le seul. Il est le
médiateur par excellence.
La
compréhension de l'Église de la co-rédemption mariale a été cohérente
depuis l'époque des premiers Pères - jusqu'à ces derniers temps, quand
elle est devenue un sujet controversé après le Concile Vatican II, en
raison des préoccupations du clergé de gauche quant à son effet sur
l'œcuménisme.
«Marie
désigne le médiateur», a poursuivi François, «Marie est complètement
dirigée vers lui, elle est plus son disciple que sa mère,
pourrions-nous dire.
Ce
point pourrait être lu en contradiction avec l'enseignement de
l'Église, qui a traditionnellement soutenu que tous les titres et
honneurs propres à Marie découlent de son rôle de Mère de Dieu, tel
qu'enseigné au Concile d'Éphèse en 431 .
Semblant
commenter hors du scénario, le pape a précisé son attaque, affirmant
que le Christ n'avait pas l'intention que Marie soit
co-rédemptrice. «La mère qui couvre tout le monde sous son manteau
de mère, Jésus nous a confiés à elle en tant que mère, non en tant que
déesse, pas en tant que co-rédemptrice, en tant que mère.
Le
Pape est allé jusqu'à suggérer qu'un tel titre, par lequel de nombreux
saints et papes se sont adressés à Marie, est né d'une exagération
amoureuse, mais n'était pas vrai en fait. «C'est vrai, la piété
chrétienne aime lui donner de beaux titres, mais c'est surtout une
mère, quel merveilleux titre. Mais rappelez-vous, tous les
merveilleux titres que l'Église donne à Marie, ils n'enlèvent rien au
rôle de médiation unique de Jésus. Parfois, quand nous aimons
quelqu'un, cela nous fait exagérer. »
Alors
que François rejetait négligemment la dévotion à Marie comme
co-rédemptrice comme une exagération, il semblait rejeter
l'enseignement perpétuel de l'Église sur ce sujet - bien que ce ne soit
pas un dogme déclaré ex cathedra . En effet, le
commentateur catholique britannique, le diacre Nick Donnelly,
a noté que le pape François «menait une campagne contre la
doctrine mariale catholique».
Dans
ses commentaires à LifeSiteNews, le diacre Donnelly a souligné une
ignorance délibérée des Écritures de la part du Pape: «En restreignant
les titres de la Bienheureuse Vierge Marie à seulement« Mère »et«
disciple », le Pape François ignore la prophétie du Protoevangelium et
de Siméon selon laquelle elle jouerait un rôle essentiel dans la
rédemption de l'humanité. Le titre Co-Rédemptrice sauvegarde la
révélation divine sur le rôle de Marie.
Qu'est-ce que la co-rédemption?
Le
mot Co-Rédemptrice lui-même est composé des deux mots
latins cum et redimere . Cum se traduit
par «avec» en anglais, désignant une personne agissant aux côtés d'une
autre, mais ne signifie jamais «égal» ou «interchangeable» à la manière
de «copilote», par exemple. Redimere est le verbe qui
signifie «racheter, libérer par paiement». Lorsqu'il est combiné
avec la terminaison féminine du verbe, on obtient le sens «celle qui
rachète avec».
S'inspirant
fortement des Écritures, des personnages tels que les saints Irénée,
Éphraïm, Jérôme et Augustin ont jeté les bases de la
compréhension du terme dans les premiers siècles de l'Église, avant des
théologiens plus tardifs tels que les saints Bernard ,
Bonaventure, Thomas d'Aquin , Louis de Montfort. et Alphonsus
Liguori a pleinement exposé les mystères contenus dans le titre.
En plus de nombreux autres
érudits non canonisés, le Saint-Office a également pesé sur la
question, écrivant en 1908 en réponse à une question sur la
fête des Sept Douleurs de Marie que «la dévotion de la Mère Triste peut
augmenter et la piété des fidèles et leur gratitude envers la
co-rédemptrice miséricordieuse du genre humain peuvent s'intensifier.
Cinq
ans plus tard, le Saint-Office a accordé une indulgence
partielle à une prière adressée à Marie comme «Co-Rédemptrice du genre
humain».
Le
pape Pie XI a également utilisé le terme co-rédemptrice dans le cadre
de ses discours publics, en 1933, 1934 et 1935, en s'appuyant sur le
soutien papal précédent à l'enseignement exprimé par les papes Pie IX,
Léon XIII, Pie X et Benoît XV.
Le
pape Jean-Paul II a également utilisé le terme au moins sept fois au
cours de son pontificat, à la fois dans ses écrits et discours, ainsi
que dans l'enseignement de la signification du titre dans son
encyclique Redemptoris Mater et dans son audience
générale entre 1995 et 1997.
L'enseignement de l'Église sur
ce sujet est si approfondi et constant qu'en 2017, l'Association
mariale internationale a publié une déclaration dans le cadre
d'un appel plus long au pape François, disant: «Non seulement le terme
co-rédemptrice est théologiquement acceptable en articulant l'intimité
et la complémentarité entre le divin Rédempteur et sa mère humaine
immaculée, mais le titre est en fait nécessaire pour désigner et
signifier correctement en un seul terme l'unité providentiellement
conçue entre Jésus et Marie, Dieu-homme et femme humaine, Nouvel Adam
et Nouvelle Eve, Rédempteur et Co-rédemptrice, dans l'œuvre historique
de la Rédemption.
Cependant,
la dernière audience générale n'est en aucun cas la première fois que
l'actuel pape attaque la co-rédemption mariale. Le 12 décembre
2019, François a proclamé que les démarches visant à déclarer
officiellement Marie Co-Rédemptrice étaient de la «folie».
En
réponse, Mgr Carlo Maria Viganò a sévèrement
réprimandé François, disant que «le Pape Bergoglio a une fois de
plus laissé libre cours à son évidente intolérance mariale, rappelant
celle du Serpent dans le récit de la Chute, dans ce Proto-Évangile qui
prophétise l'inimitié radicale placée par Dieu entre la Femme et le
Serpent, et l'hostilité déclarée de ce dernier, qui jusqu'à la
consommation du temps cherchera à saper le talon de la Femme et à
triompher d'elle et de sa postérité (lifesitenews.com). »
En ce Mercredi Saint, alors
que Judas conspire pour faire arrêter le Christ, c’est un espoir de
Salut qui se lève pour ceux et celles inspirés par la vraie foi et la
prière, qui ont les yeux pour voir, et les oreilles pour entendre.
Le père de Mentière nourrit cet espoir dans ses deux dernières conférences de Carême 2021 :
Qu’est que le Salut?
Et, l’homme jugé, qui est sauvé?
16 mars
Il semble qu’on y arrive, à la modification de la Sainte Messe pour abolir la Présence Réelle…
Un
document de la Secrétairerie d'État, donc du cardinal Pietro Parolin en
tête (voir analyse précédentes quant à son rôle anticipé dans la
prophétie concernant François), critiqué immédiatement par le cardinal
Burke, limite la célébration du rite extraordinaire, donc de la messe
traditionnelle, à la Basilique Saint-Pierre.
Notez que cet ordre ne vient pas de la Congrégation pour le culte divin et des sacrements, parce que...
Coïncidence,
une enquête apostolique est ordonnée contre la Congrégation pour le
culte divin, trois semaines après le renvoie déguisé du cardinal Sarah,
d’où le fait qu’il n’aurait pas encore été remplacé.
« Déclaration sur l’offrande de la Sainte Messe dans la Basilique Papale Saint-Pierre
Le
12 mars 2021, la Première Section (Affaires Générales) de la
Secrétairerie d’État du Pape François a publié un document contenant
certaines dispositions concernant l’offrande de la Sainte Messe dans la
Basilique Papale Saint-Pierre au Vatican. Le document est adressé au
Commissaire Extraordinaire de la Fabrique de Saint-Pierre ( Commissario
Straordinario della Fabbrica di San Pietro ), l’institut canonique
chargé de l’entretien de la Basilique Papale, aux chanoines du Chapitre
du Vatican ( Canonici del Capitolo Vaticano ), et au Service des
célébrations liturgiques de la Basilique ( Servizio Celebrazioni
liturgiche della Basilica). Tant la forme que le contenu du document
soutiennent à juste titre les préoccupations les plus profondes des
fidèles et, surtout, des prêtres. Les préoccupations ne concernent pas
seulement la basilique papale de Saint-Pierre, mais aussi l’Église
universelle, dans la mesure où la basilique papale de Saint-Pierre est,
d’une manière particulière, le foyer spirituel de tous les catholiques
et, en tant que telle, devrait être un modèle de la discipline
liturgique pour les Églises particulières.
En ce qui concerne la forme du document, il y a plusieurs préoccupations.
1.
Il s’agit d’un document non signé de la Première Section de la
Secrétairerie d’État, sans numéro de protocole, légiférant sur l’aspect
le plus sacré de la vie de l’Église, l’offrande de la Sainte Messe. Il
porte le sceau de la Première Section avec des initiales . Bien que le
document semble être authentique, c’est-à-dire non falsifié, il ne peut
pas être conservé comme un document contenant une législation valide
pour la liturgie sacrée.
2.
La Secrétairerie d’État n’est pas compétente pour la discipline
liturgique de l’Église et, en particulier, pour la discipline
liturgique à la Basilique Saint-Pierre au Vatican. A juste titre, on se
demande par quelle autorité la Secrétairerie d’État a-t-elle émis des
directives contraires à la discipline de l’Église universelle. Une
autre question concerne le processus suivi pour parvenir à la
publication d’un tel document anormal.
3.
Compte tenu de l’incompétence de la Secrétairerie d’État en la matière,
les fidèles ont le droit de savoir quelle autorité compétente a donné
mandat à la Secrétairerie d’État de légiférer sur la Sainte Liturgie,
c’est-à-dire d’émettre des directives concernant l’offrande de la Messe
dans la Basilique Papale de Saint Pierre.
4.
La basilique papale Saint-Pierre au Vatican a maintenant un cardinal
archiprêtre, mais le document en question ne lui est pas officiellement
communiqué. Il n’est pas non plus fait référence à sa responsabilité de
la discipline liturgique de la Basilique confiée à ses soins.
Le contenu du document est également une source de préoccupations les plus profondes.
1.
Le document suppose que les saintes messes dans la basilique
Saint-Pierre sont actuellement offertes dans un climat dépourvu, dans
une certaine mesure, de souvenir et de décorum liturgique (« di
raccoglimento e di decoro »). Ce n’est certainement pas mon expérience.
Je connais de nombreux prêtres, résidant à Rome et visiteurs de Rome,
qui ont célébré ou célébré régulièrement la messe à la basilique
Saint-Pierre. S’ils m’ont exprimé leur profonde gratitude pour
l’opportunité de célébrer la Sainte Messe dans la Basilique, ils n’ont
pas indiqué que le climat dans lequel ils ont célébré la Sainte Messe
dans la Basilique manquait de quelque manière que ce soit de respect,
de recueillement et dignité qui sied au sacrement des sacrements.
2.
Le document impose la concélébration aux prêtres qui souhaitent offrir
la Sainte Messe dans la Basilique Saint-Pierre, ce qui est contraire à
la loi universelle de l’Église et qui conditionne injustement le devoir
premier du prêtre individuel d’offrir la Sainte Messe quotidiennement
pour le salut du monde. (can. 902). Dans quelle église plus que dans la
basilique Saint-Pierre un prêtre désirerait-il offrir la Sainte Messe,
qui est la manière la plus parfaite et la plus complète dont il
accomplit sa mission sacerdotale. Si un prêtre individuel souhaite
offrir la Sainte Messe dans la Basilique, une fois que les directives
en question seront en vigueur, il sera contraint de concélébrer, en
violation de sa liberté d’offrir la Sainte Messe individuellement.
3.
Concernant l’offrande individuelle de la Sainte Messe, il faut
remarquer qu’il ne s’agit pas seulement d’un droit du prêtre mais aussi
d’un grand fruit spirituel pour toute l’Église, puisque les mérites
infinis du Saint Sacrifice de la Messe sont plus largement et largement
appliqués d’une manière qui sied à notre nature finie et temporelle. Il
est utile de réfléchir à l’enseignement du Concile de Trente,
concernant la situation d’un prêtre qui offre la Sainte Messe sans
qu’aucun membre des fidèles ne reçoive la Sainte Communion. Concernant
la participation des fidèles à la sainte messe, le concile enseigne:
«Le saint concile voudrait certainement que les fidèles présents à
chaque messe y communiquent non seulement par la dévotion spirituelle
mais aussi par la réception sacramentelle de l’Eucharistie, afin que
les fruits de ce très saint sacrifice soient les leurs. Il poursuit en
déclarant: «Mais, si cela ne se produit pas toujours, le conseil ne
condamne pas pour cette raison en tant que messes privées et illicites
[peut. 8 ] dans lequel seul le prêtre communique. Au contraire, il les
approuve et les félicite, car elles aussi devraient être considérées
comme des messes vraiment communautaires, en partie parce que les gens
communiquent spirituellement en elles et en partie parce qu’elles sont
célébrées par un ministre public de l’Église, non pas pour son propre
bien, mais pour tous les fidèles qui appartiennent au corps du Christ
»(Session XXII, chapitre 6). Il faut en outre remarquer qu’un prêtre
n’offre jamais la Sainte Messe seul, même s’il n’y a personne d’autre
physiquement présent, car les anges et les saints assistent à chaque
offrande de la Sainte Messe (can. 903).
4.
En ce qui concerne la Forme Extraordinaire du Rite Romain, que le
document appelle à tort le Rite Extraordinaire, le document fait
référence aux «prêtres autorisés», mais aucun prêtre en règle n’a
besoin d’une autorisation pour offrir la Sainte Messe selon la Forme
Extraordinaire de le rite romain (Motu Proprio Summorum Pontificum ,
art. 2). De plus, le document limite l’offrande de la Sainte Messe
selon la Forme Extraordinaire ou Usus Antiquior du Rite Romain dans la
Basilique Papale Saint-Pierre à la Chapelle Clémentine, à quatre heures
fixes. Est-il supposé, par conséquent, que, chaque jour, seuls quatre
prêtres seront autorisés à offrir la Sainte Messe selon l’ Usus
Antiquiordans la basilique papale de Saint-Pierre? Étant donné que la
loi universelle de l’Église permet au prêtre individuel, dans de telles
circonstances, d’offrir la Sainte Messe, selon la forme ordinaire (
Usus Recentior ) ou la forme extraordinaire ( Usus Antiquior ), la
directive en question est en violation directe du droit de l’Église
universelle. .
5.
Le document légifère également que les messes concélébrées soient
animées liturgiquement ( siano animate liturgicamente ) par le service
des lecteurs et des chanteurs. Si la discipline liturgique de l’Église
prévoit le service des lecteurs et des chanteurs, il ne leur est pas
question d’animer la sainte liturgie. Seul le Christ, en la personne de
qui agit le prêtre, anime la sainte liturgie. Par conséquent, il ne
faut pas penser que l’offrande individuelle de la Sainte Messe est en
quelque sorte moins animée, au vrai sens spirituel, que la messe
concélébrée.
6.
Pour le bien de la foi catholique et pour le bon ordre de la Sainte
Liturgie, expression la plus haute et la plus parfaite de la vie de
l’Église dans le Christ, le document en question doit être abrogé
immédiatement, c’est-à-dire avant sa date supposée effective de 22 mars
e prochaine. De plus, la pensée qui sous-tend un tel document doit être
corrigée, tandis que la discipline de l’Église universelle et la
doctrine liturgique qui la sous-tend sont exposées pour les fidèles.
En
conclusion, la discipline de l’Église reconnaît le droit, et même le
devoir, des fidèles chrétiens de faire connaître à leurs pasteurs leurs
préoccupations concernant les questions qui ont trait au bien de
l’Église et, de même, de faire connaître ces préoccupations à tous les
fidèles chrétiens. (can. 212 §3). Compte tenu de la gravité de la
situation représentée par le document en question, j’espère que
beaucoup de fidèles chrétiens pour qui la basilique Saint-Pierre est,
en un sens particulier, leur église mère, et, surtout, de nombreux
prêtres de partout le monde fera connaître au Pape François et à sa
Secrétairerie d’État leur forte objection au document en question.
Raymond Leo Cardinal BURKE
Rome, le 13 mars 2021 »
« Est-ce le cardinal Sarah qui
est visé? Et si oui, est-ce une vengeance du Pape, ou une façon de le
mettre définitivement hors-jeu en vue du prochain conclave? (en tout
cas, les bergogliens insinuent qu’il est bien la cible, et s’en
réjouissent) Ou bien cela a-t-il un rapport avec les récentes
dispositions relatives aux messes dans la basilique Saint-Pierre, qui
pénalisent la forme extraordinaire du rite romain?.. »
(www.benoit-et-moi.fr).
Extraits du livre sorti aujourd’hui des entretiens de Bergoglio avec le vaticaniste Dominico Agasso.
Le langage utilisé est le même que Swab pour sa grande réinitialisation.
La pierre angulaire de la reconstruction n’est pas le Christ. Sans surprise.
Il
lie l’aspect théologique du Salut à la promotion d’un nouvel ordre
mondial conforme aux politiques mondialistes, suggérant que le salut
dépendait de leur succès.
Il fait la promotion du virage vert. Évidement.
Tout ça en même temps que
l’essai d’empêcher la messe traditionnelle à la basilique Saint-Pierre
(en vigueur lundi 22 mars) afin de remettre en cause le Motu Proprio
de Benoît XVI, et juste après le début, hier, de l’enquête sur la
Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements:
« Votre Sainteté, comment
interprétez-vous le « tremblement de terre » qui a frappé le
monde en 2020 sous la forme du coronavirus ?
«
Dans la vie, il y a des moments d’obscurité. Trop souvent, nous pensons
qu’ils ne peuvent pas nous arriver à nous, mais seulement à quelqu’un
d’autre, dans un autre pays, peut-être sur un continent lointain. Au
lieu de cela, nous avons tous fini dans le tunnel de la pandémie. La
douleur et les ombres ont franchi les portes de nos maisons, envahi nos
pensées, attaqué nos rêves et nos projets. Et donc, aujourd’hui,
personne ne peut se permettre d’être calme. Le monde ne sera plus
jamais le même. Mais c’est précisément au sein de cette calamité que
nous devons saisir les signes qui peuvent s’avérer être les pierres
angulaires de la reconstruction. Les interventions ne suffisent pas à
résoudre les situations d’urgence. La pandémie est un signal d’alarme
sur lequel l’homme est obligé de réfléchir. Ce temps d’épreuve peut
ainsi devenir un temps de choix sages et clairvoyants pour le bien de
l’humanité. De toute l’humanité. »
Quelles sont les urgences que vous entrevoyez?
«
Nous ne pouvons plus accepter les inégalités et les perturbations de
l’environnement en restant inertes. La voie du salut de l’humanité
passe par la reconsidération d’un nouveau modèle de développement, qui
place comme incontestable la coexistence entre les peuples en harmonie
avec la Création. Conscient que chaque action individuelle ne reste pas
isolée, en bien ou en mal, mais a des conséquences sur les autres, car
tout est lié. Tout! En changeant les modes de vie qui contraignent des
millions de personnes, surtout des enfants, à l’emprise de la faim,
nous pourrons mener une existence plus austère qui rendra possible une
répartition équitable des ressources. Il ne s’agit pas de diminuer les
droits de certains pour une péréquation vers le bas, mais de donner des
droits plus nombreux et plus larges à ceux à qui ils ne sont pas
reconnus et protégés. »
…
De quel principe pouvons-nous nous inspirer?
«
Ce qui se passe peut réveiller tout le monde. Il est temps d’éliminer
l’injustice sociale et la marginalisation. Si nous saisissons l’épreuve
comme une opportunité, nous pourrons préparer demain sous la bannière
de la fraternité humaine, à laquelle il n’y a pas d’alternative, car
sans vision globale, il n’y aura d’avenir pour personne. En mettant à
profit cette leçon, les dirigeants des nations, ainsi que ceux qui ont
des responsabilités sociales, peuvent guider les peuples de la Terre
vers un avenir plus prospère et plus fraternel. Les chefs d’État
pourraient se parler, se confronter davantage et se mettre d’accord sur
des stratégies. Gardons tous à l’esprit qu’il y a quelque chose de pire
que cette crise: le drame de son gaspillage. On ne sort pas d’une crise
de la même manière: soit on en sort mieux, soit on en sort moins bien. »
Avec quelle attitude la gaspillerions-nous?
«
En nous refermant sur nous-mêmes. Au contraire, en construisant un
nouvel ordre mondial basé sur la solidarité, en étudiant des méthodes
innovantes pour éradiquer l’arrogance, la pauvreté et la corruption,
tous ensemble, chacun pour sa part, sans se déléguer et se
déresponsabiliser, nous pouvons guérir l’injustice. Travailler pour
fournir des soins de santé à tous. De cette façon, en pratiquant et en
démontrant la cohésion, nous pouvons nous relever. »… »
(www.vaticannews.va).
La prophétie #32 « Le Temps est Proche » est lié aux deux empereurs du moment.
« Le premier empereur meurt de faim, enfermé dans la tour de son rêve.
Le second empereur dans le désert, attaqué par les animaux de la peste, inconnus.»
Trump
a été écarté pour le moment, et donc enfermé dans la tour de son rêve.
On lui a coupé les vivres dans sa faim de pouvoir qui ne cadrait pas
avec le plan judéo-maçonnique de la branche de la City de Londres (les
Rothschild), soit un monde dominé par les anglo-saxons où les
États-Unis doivent se fondre, et non dominer.
Quant à l’empereur chinois, il est bien attaqué par cette crise du coronavirus, la peste, qui n’est pas terminée.
Justement,
la Chine est envahi par une tempête de sable gigantesque depuis hier.
Du jamais vu. Les causes : la pollution et les vents du désert de
Gobi. (photos zerohedge.com).
13 mars 2021
En ce 8ème anniversaire de l’élection de Bergoglio.
Le 8 signifie l'éternité immuable ou l'autodestruction tout en représentant le point d'arrêt de la manifestation.
Nous savons tous dans quelle direction Bergoglio se dirige.
Ce
qui est confirmé par le supérieur général de la Fraternité Saint-Pie X
résumant la pensée et le pontificat de Bergoglio :
« Non pas capituler devant ce monde, mais tout récapituler dans le Christ »
Il établit pour la première fois, à notre connaissance, une distinction entre Bergoglio et ses prédécesseurs.
Benoît
XVI a essayé de rassembler la tradition au modernisme de Vatican II,
peine perdue, alors que Bergoglio a complètement largué la tradition
pour adopter l’humanisme et damner les âmes.
Il n'est pas loin le moment où Bergoglio sera ouvertement proclamé par les fidèles à la Loi et aux Prophètes comme l'Antéchrist.
À
la manière que le Christ l’a proclamé aux scribes et pharisiens de son
temps, ces « pharisiens modernes » sous la tutelle de Bergoglio
méritent le même discours.
C’est le temps de rentrer au bercail ou de suivre l’aveugle qui conduit les aveugles.
Pour
les 8 ans de Bergoglio, les 8 malédictions du Christ (Matthieu 23,
13-31) qui confirment qu’il n’y a qu’un seul Père, qu’un seul Maître,
le Dieu Trine, et non pas le dieu d’Abraham réunissant les
chrétiens, les musulmans et les juifs à la sauce Bergoglienne.
«… Et ne donnez à personne sur la terre le nom de Père ; car vous n’avez qu’un seul Père, celui qui est dans les cieux.
Qu’on ne vous appelle pas non plus Maître ; car vous n’avez qu’un Maître, le Christ.
Le plus grand parmi vous sera votre serviteur.
Mais quiconque s’élèvera sera abaissé, et quiconque s’abaissera sera élevé.
«
Malheur à vous, Scribes et Pharisiens hypocrites, parce que vous fermez
aux hommes le royaume des cieux ! Vous n’y entrez pas vous-mêmes, et
vous n’y laissez pas entrer ceux qui y viennent.
«
Malheur à vous, Scribes et Pharisiens hypocrites, parce que, sous le
semblant de vos longues prières, vous dévorez les maisons des veuves !
C’est pourquoi vous subirez une plus forte condamnation.
«
Malheur à vous, Scribes et Pharisiens hypocrites, parce que vous courez
les mers et la terre pour faire un prosélyte, et, quand il l’est
devenu, vous faites de lui un fils de la géhenne, deux fois plus que
vous !
«
Malheur à vous, guides aveugles, qui dites : Si un homme jure par le
temple, ce n’est rien ; mais s’il jure par l’or du temple, il est lié.
Insensés et aveugles ! lequel est le plus grand, l’or, ou le temple qui sanctifie l’or ?
Et encore : Si un homme jure par l’autel, ce n’est rien ; mais s’il jure par l’offrande qui est déposée sur l’autel, il est lié.
Aveugles ! lequel est le plus grand, l’offrande, ou l’autel qui sanctifie l’offrande ?
Celui donc qui jure par
l’autel, jure par l’autel et par tout ce qui est dessus ; et celui qui
jure par le temple, jure par le temple et par celui qui y habite ; et
celui qui jure par le ciel, jure par le trône de Dieu et par celui qui
y est assis.
«
Malheur à vous, Scribes et Pharisiens hypocrites, qui payez la dîme de
la menthe, de l’aneth et du cumin, et qui négligez les points les plus
graves de la Loi, la justice, la miséricorde et la bonne foi ! Ce sont
ces choses qu’il fallait pratiquer, sans omettre les autres.
Guides aveugles, qui filtrez le moucheron, et avalez le chameau !
«
Malheur à vous, Scribes et Pharisiens hypocrites, parce que vous
nettoyez le dehors de la coupe et du plat, tandis que le dedans est
rempli de rapine et d’intempérance.
Pharisien aveugle, nettoie d’abord le dedans de la coupe et du plat, afin que le dehors aussi soit pur.
«
Malheur à vous, Scribes et Pharisiens hypocrites, parce que vous
ressemblez à des sépulcres blanchis, qui au dehors paraissent beaux,
mais au dedans sont pleins d’ossements de morts et de toute sorte de
pourriture.
Ainsi vous, au dehors, vous paraissez justes aux hommes, mais au dedans vous êtes pleins d’hypocrisie et d’iniquité.
« Malheur à vous, Scribes et Pharisiens hypocrites, qui bâtissez les tombeaux des prophètes et ornez les monuments des justes,
et qui dites : Si nous avions
vécu aux jours de nos pères, nous n’aurions pas été leurs complices
pour verser le sang des prophètes.
Ainsi vous rendez contre vous-mêmes ce témoignage, que vous êtes les fils de ceux qui ont tué les prophètes.
Comblez donc la mesure de vos pères !
Serpents, race de vipères, comment éviterez-vous d’être condamnés à la géhenne ?.. »
Selon Saint-Clément d'Alexandrie, le Christ place sous le signe du 8 celui qu'il fait renaître.
Entrerions-nous
dans la période de la résurrection des deux témoins de l’Apocalypse qui
par le fait même provoque la chute de la grande prostituée, l’église
conciliaire de Vatican II, et des deux Babylone?
11 mars
Paradis terrestre ou béatitude Céleste?
C’est l’heure DU choix.
Avec Dieu et son Fils, ou avec Mammon.
Ce
rêve dérisoire de retour à la « normale pré-pandémique » démontre tout
l’attachement aux biens terrestres de cette humanité, ayant pour prix
la mort de l’âme.
C’est l’avertissement de l’église de Sardes de l’Apocalypse :
«
… Je connais tes œuvres : tu as la réputation d'être vivant, mais
tu es mort. Sois vigilant, et affermis le reste qui allait
mourir ; car je n'ai pas trouvé tes œuvres parfaites devant mon
Dieu. Souviens-toi donc de l'enseignement que tu as reçu et
entendu ; garde-le et repens-toi. Si donc tu ne veilles pas, je
viendrai à toi comme un voleur, sans que tu aies su à quelle heure je
viendrai à toi… »
Ce
peuple centré sur l’humain déifié qui se croit vivant mais qui est mort
est « l’ivraie » de la parabole de la séparation d’avec le bon grain
enseignée par le Christ.
Le bon grain est rare.
Il faut vraiment ouvrir son cœur pour recevoir la grâce et y voir clair en ces temps présents.
Mais tout l’espoir est là, comme dans le grain de sénevé.
Saint Jean, dans sa première lettre (2, 14-17) y fait aussi allusion, à ce choix de la fin des temps :
«
… N'aimez point le monde, ni ce qui est dans le monde. Si quelqu'un
aime le monde, l'amour du Père n'est pas en lui. Car tout ce qui est
dans le monde, la concupiscence de la chair, la concupiscence des yeux,
et l'orgueil de la vie, ne vient point du Père, mais du monde.
Le monde passe, et sa concupiscence aussi ; mais celui qui fait la volonté de Dieu demeure éternellement.
Mes
petits enfants, c'est la dernière heure. Comme vous avez appris que
l'antéchrist doit venir, aussi y a-t-il maintenant plusieurs
antéchrists : par là nous connaissons que c'est la dernière heure.
Ils
sont sortis du milieu de nous, mais ils n'étaient pas des nôtres ; car
s'ils eussent été des nôtres, ils seraient demeurés avec nous ; mais
ils en sont sortis, afin qu'il soit manifeste que tous ne sont pas des
nôtres...
Qui est le menteur, sinon celui qui nie que Jésus est le Christ ?
Celui-là est l'antéchrist, qui nie le Père et le Fils.
Quiconque nie le Fils, n'a pas non plus le Père ; celui qui confesse le Fils, a aussi le Père.
...
Et la promesse que lui-même nous a faite, c'est la vie éternelle.
...
Et
maintenant, mes petits enfants, demeurez en lui, afin que, lorsqu'il
paraîtra, nous ayons de l'assurance, et que nous ne soyons pas, à son
avènement, rejetés loin de lui avec confusion.»
Le père de Mentière explique bien cette situation décrite par Saint-Jean dans sa troisième conférence de carême de Notre-Dame de Paris,
et nous éclaire sur ce choix que nous avons à faire dans ce monde gâté
par le mensonge et le péché : Paradis terrestre ou béatitude
céleste?
« Cette génération ne passera point que toutes ces choses n'arrivent »… nous a indiqué Jésus.
Et il ajoute que tout arrivera aussi vite que la vitesse de l’éclair qui fend le ciel.
Le décès de Benoît XVI est la limite selon la prophétie de Jean XXIII le concernant…
Après, « La terre détruira le ciment et de terre sera, Reine, ta nouvelle Église. »
Tout est aussi confirmé par la prophétie concernant François : « Mikail et Jean descendront sur terre.»
L’Apocalypse, la révélation, et la bataille finale menée par Saint-Michel Archange.
Tout arrivera vite, malgré les apparences, comme au temps de Noé.
Les ténèbres ont envahi notre monde, elles font de l’ombre à l'Église, le Corps Mystique du Christ.
Ce temps de miséricorde pour que les tièdes puissent faire un choix achève.
L’équation du nénuphar (Albert Jacquart) est riche en enseignement en pareilles circonstances :
Un nénuphar a la capacité de se reproduire. Il est seul dans un lac.
Au
bout de 30 jours, le lac entier sera couvert, et évidement, les
nénuphars privés de nourriture et d’espace meurent étouffés, ainsi que
la vie qui habite le lac.
Au bout de combien de jours le lac sera-t-il à moitié couvert?
15 jours?
Et bien non.
Puisque le double est obtenu à chaque jour, au 29 ème jour, encore 50% de la surface est disponible.
Ce n’est qu’au 30ème et dernier jour que l’événement catastrophique arrive.
Mais
comme l’a si bien dit Saint-Pierre : « Mais il est une chose,
bien-aimés, que vous ne devez pas ignorer, c’est que, pour le
Seigneur, un jour est comme mille ans, et mille ans sont
comme un jour ».
Malgré
ce que nous vivons dans l’attente du retour de NSJC qui semble,
interminable à nos yeux, ce monde, comme les nénuphars, croit dans
l’apostasie.
Irrémédiablement.
Cette
amplification dévastatrice des ténèbres se conclura par l’étouffement,
la chute des deux Babylone de Jean XXIII ou de Babylone la Grande de
l’Apocalypse.
Mort soudaine et inévitable de cette Terre... et de l’âme pour certains.
Au 30ème et dernier jour. À la vitesse de l’éclair.
« Je choisis l’Éternité plutôt que la perpétuité » (Père de Menthière (vidéo ci-haut)).
Février 2021
24 février
LA RÉFORME DE LA RÉFORME en péril.
La
« Réforme de la Réforme », c’est la mission que s’était donné le
cardinal Sarah, ex-préfet de la Congrégation pour le culte divin et la
discipline des sacrements.
Son désir ardent de retourner à la messe traditionnelle est annihilé… ou presque.
Bergoglio
a accepté la « démission » du cardinal Sarah au début de la semaine,
alors même qu’il avait prolongé la charge de ce dernier même s’il avait
atteint l’âge limite de 75 ans le printemps dernier.
Mais
le démettre juste après la parution du livre du cardinal Sarah à cette
période, co-signé avec Benoît XVI, ce livre qui mettait des bâtons dans
les roues des projets post-synode amazonien, aurait fait mal paraître
Bergoglio.
Alors,
est-ce le mouvement tant attendu par les progressistes du Vatican vers
la concrétisation de la nouvelle messe œcuménique ou l’abolition de la
présence réelle?
Alors
que nous savons que c’est la dernière étape qu’il reste à franchir
avant la chute des deux Babylone (cela n’arrivera pas, juste l’annonce
par Bergoglio d’une nouvelle forme de la messe suffit).
En
tout cas, la rumeur voulant que le remplaçant du cardinal Sarah soit
mgr Francesco Viola, si elle se concrétise, augure dans ce sens.
Ce
« bugnignien » convaincu (au point qu’il porte l’anneau épiscopal
d’Annibale Bugnini) suit le chemin du destructeur de la messe sous Paul
VI.
« Babylone
a trop de langues. Tu as brisé la chaîne, tu le sais, tu le sauras
jusqu'à la mort. Langues diverses pour le sacrement, langues diverses
pour les mots. Aujourd'hui elle a disparu. » (prophétie de l’Église de Jean XXIII concernant Paul VI).
Un petit rappel de rôle de Bugnini via les écrits du Marquis de la Franquerie :
« Dès la première session du
Concile, la grande attaque des démolisseurs eut lieu contre la liturgie
traditionnelle. C’est à cette occasion que le Cardinal Ottaviani qui
défendait la Messe traditionnelle irrévocablement fixée par Saint Pie
V, dut se rasseoir — lui, pratiquement aveugle — sous les sarcasmes et
la risée des pères conciliaires. C’est ce qu’on appelle sans doute la
charité chrétienne mise en pratique par les libéraux et modernistes !
... Il leur fallait, pour démolir le dogme, bouleverser la liturgie ...
Le
vieux Cardinal Gaétano Cicognani — frère du secrétaire d’État —
président de la Commission préconciliaire de la liturgie, se refusait à
signer le projet de schéma la concernant. Jean XXIII — qui n’avait
jamais su prévoir grand-chose, donna ordre au Secrétaire d’État
d’obtenir cette signature. Prévoyant les désastres qui résulteraient de
ce schéma, bouleversé et très agité, il disait : «On veut me faire
signer ça ! Ah ! ce Bugnini, ce Bugnini, c’est lui qui fait tout cela.
Il entre quand il veut chez le Pape. Il a une influence sur lui
incompréhensible. Il en obtient tout ce qu’il veut !» Devant l’ordre du
Pape, il s’inclina, mais tellement bouleversé que quatre jours après il
était mort !…» (Lucifer et le Pouvoir Occulte, Marquis de la
Franquerie).
«
Les Cardinaux Ottaviani et Bacci, et de nombreux théologiens à leur
suite, ont montré le PÉRIL POUR LA FOI que représente la nouvelle
messe. Leur «Bref examen critique» conclue qu’elle s’éloigne de façon
impressionnante... de la Théologie Catholique de la Sainte Messe «et
porte des atteintes manifestes à la pureté de la Foi» et donc «qu’elle
apparaît, pour parler en termes modérés, comme une INCALCULABLE
ERREUR». Cette messe avait été rejetée par le Synode de 1967.
Rien de surprenant puisque six
pasteurs protestants y ont collaboré et ont obtenu que l’ambiguïté des
termes permette de la célébrer aussi bien par ceux qui croient à la
Présence réelle (les catholiques) que par ceux qui n’y croient pas (les
Protestants pour qui elle n’est qu’un simple mémorial et non un
sacrifice)... Mais celui qui a présidé à son élaboration Monseigneur
Bugnini, n’avait-il pas été écarté par Jean XXIII pour ses erreurs.»
(L’INFAILLIBILITÉ PONTIFICALE, LE SYLLABUS, LA CONDAMNATION DU
MODERNISME ET LA CRISE ACTUELLE DE L’ÉGLISE, Marquis de la Franquerie).
Seul
le faux prophète (qui proclame à tous les vertus de la religion
humaniste), qui renonce à son âme, qui n’est plus connecteur à la
vigne, peut concrétiser cette dernière étape, car il doit être à la
solde de Satan.
« Or, on le sait, « Bergoglio,
qui n’aime pas se présenter comme le successeur du prince des apôtres
et qui, dans l’Annuaire pontifical, a fait passer au second plan
l’appellation de Vicaire du Christ, se sépare implicitement de
l’autorité que Notre Seigneur a conférée à Pierre et à ses successeurs.
Et ce n’est pas une simple question canonique. C’est une réalité dont
les conséquences sont les plus graves pour la papauté ». AM Valli (benoit-et-moi.fr).
La Réforme de la Réforme est en péril parce que Satan est sur le trône de Saint-Pierre.
«
Les prophéties du Livre de l’Apocalypse montrent que Satan cherchera à
imiter l’Église du Christ afin de tromper l’humanité. Il érigera une
église de Satan en opposition à l’Église du Christ. L’Antéchrist s’y
présentera dans le rôle du messie, le faux prophète se présentera sous
l’apparence d’un pape et l’on verra alors apparaître des imitations des
Sacrements de l’Église. On verra aussi des prodiges trompeurs, en
imitation des véritables miracles de l’Église. » (R.P. Sylvester Berry,
The Church of Christ : An Apologetic and Dogmatic Treatise, 1927,
p.119).
Ce
qui est confirmé par plusieurs, dont l’Abbé Arminjon, c’est à dire la
présence de l’abomination de la désolation sur le trône de
Saint-Pierre, est lié à la fin de ce monde et à la chute de Babylone la
Grande, ce qui est imminent.
Malgré
les apparences d’un retour à la « normale » en cette période de
pandémie qui semble soulever l’enthousiasme des marchés économiques
derrières lesquelles magouillent l’élite judéo-maçonique, ce monde
n’est qu’un colosse aux pieds d’argile.
NSJC
va frapper vite comme l’éclair alors que personne ou presque ne s’y
attend… alors que les chrétiens qui représentent les « deux témoins »
n’auront que le signe de Jonas pour se guider.
«
Mais si Jésus-Christ a voulu nous laisser ignorer le temps précis de la
fin du monde, il a jugé utile de nous renseigner en détail sur le mode
et sur les circonstances de ce grand événement. Quant au monde, dit-il,
la chute du monde aura lieu instantanément et à l’improviste : « Veniet dies Domini sicut fur. »
–
Ce sera à une époque où le genre humain, plongé dans le sommeil de la
plus profonde incurie, sera à mille lieues de songer au châtiment et à
la justice. La divine miséricorde aura épuisé toutes ses ressources et
tous ses moyens d’action. L’Antéchrist aura paru. Les hommes répandus
sur tous les espaces auront été appelés à la connaissance de la vérité.
L’Église catholique une dernière fois se sera épanouie dans la
plénitude de sa vie et de sa fécondité. Mais toutes ces faveurs
signalées et surabondantes, tous ces prodiges seront de nouveau effacés
du cœur et de la mémoire des hommes. L’humanité, par un abus criminel
des grâces, sera revenue à son vomissement. Tournant ses attachements
et toutes ses aspirations vers les biens et les grossiers plaisirs de
cette terre, elle se sera, comme parlent les Livres saints, détournée
de Dieu au point de ne plus voir le Ciel et de ne plus se souvenir de
ses justes jugements. Toute foi sera éteinte dans les cœurs. Toute
chair aura corrompu ses voies. La divine Providence jugera qu’il n’y a
plus de remède.
Ce
sera, dit Jésus-Christ, comme aux temps de Noé. Les hommes alors
vivaient insouciants, ils faisaient des plantations, ils construisaient
des maisons somptueuses, ils se raillaient agréablement du bonhomme
Noé, se vouant au métier de charpentier et travaillant nuit et jour à
construire son arche ; ils disaient : Quel fou, quel visionnaire ! Cela
dura jusqu’au jour où le déluge survint et engloutit toute la terre : Venit diluvium et perdidit omnes.
Ainsi
la catastrophe finale se produira lorsque le monde sera le plus en
sécurité ; la civilisation sera à son apogée, l’argent abondera sur les
marchés, jamais les fonds publics n’auront été plus à la hausse. Il y
aura des fêtes nationales, de grandes expositions, l’humanité,
regorgeant d’une prospérité matérielle inouïe, n’aura plus d’espérance
au Ciel ; attachée bassement aux plus basses jouissances de la vie,
elle dira comme l’avare de l’Évangile : « Mon âme, tu as des biens pour
de longues années, bois, mange, amuse-toi… » Mais, tout à coup, au
milieu de la nuit, in media nocte, – car ce sera dans les ténèbres, et
à cette heure fatidique de minuit où le Seigneur apparut une première
fois dans ses abaissements, qu’il reparaîtra dans sa gloire ; – les
hommes, réveillés en sursaut, entendront un grand fracas et une grande
clameur, et une voix se fera entendre qui dira : « Dieu est là, il faut
aller à sa rencontre : Ecce sponsus venit, exile obviam ei. »
(Fin du Monde présent et Mystère de la Vie future,Abbé Arminjon).
Soyons forts dans la persévérance comme nous l’affirme Saint-Paul dans sa lettre aux Éphésiens :
«
Au reste, frères, fortifiez-vous dans le Seigneur et dans sa vertu
toute-puissante. Revêtez-vous de l'armure de Dieu, afin de pouvoir
résister aux embûches du diable. Car nous n'avons pas à lutter contre
la chair et le sang, mais contre les princes, contre les puissances,
contre les dominateurs de ce monde de ténèbres, contre les esprits
mauvais répandus dans l'air. » (6, 10-12).
07 février
DU BON LARRON AU KATECHON
Nous
le savons. La fin de la prophétie de l’Église concernant Benoît XVI est
caractérisée par la chute des deux Babylone commençant aux funérailles
de ce dernier « devant la tombe du va-nu-pieds ».
C’est la fin de notre monde, le colosse aux pieds d’argile, le monde de Satan et de ses sbires.
C’était l’avertissement donné par le prophète Daniel à Nabuchodonosor II…
Mais il s’adresse encore plus à ce monde apostasié, un monde d’humains déifiés sans Dieu.
« Mais
comme les orteils des pieds étaient en partie de fer et en partie
d'argile, ce royaume sera en partie fort, et il sera en partie fragile.
Si tu as vu le fer mêlé à l'argile, c'est qu'ils seront mêlés de
semence d'homme ; mais ils ne tiendront pas l'un à l'autre, de
même que le fer ne peut s'allier avec l'argile. Dans le temps de ces
rois, le Dieu du ciel suscitera un royaume qui ne sera jamais détruit,
et dont la domination ne sera point abandonnée à un autre peuple ;
il brisera et anéantira tous ces royaumes-là, et lui-même subsistera à
jamais… » (Daniel 2, 42-44).
Mais, c’est encore plus cette
église conciliaire, bâtit grâce à Vatican II, signe d’espérance d’un
renouveau pour ces jeunes prêtres des années soixante, qui est appelée
à disparaître... ou à retourner à ses sources.
Parmi ces participants, un
jeune prêtre âgé de 35 ans, Joseph Ratzinger. Déjà connu comme un
brillant théologien, il a assisté aux quatre sessions en tant qu’expert
(peritus) auprès du cardinal Joseph Frings, archevêque de Cologne.
«... « J’étais
certainement progressiste. À cette époque, le progressisme ne
signifiait pas rompre avec la foi, mais apprendre à mieux la comprendre
et à la vivre de manière plus juste, en repartant de ses origines
» . En effet, dans le même temps, « il était convaincu que la
simple intention de s’adapter au monde, sans trouver un juste équilibre
avec la tradition, conduirait l’Église non pas à gagner de nouveaux
fidèles, mais à se perdre elle-même » (benoit-et-moi.fr).
L’Église s’est adaptée au monde, elle est devenue éclipsée, conciliaire.
Mais la tradition veille toujours, ainsi que Benoît XVI.
En
tant que Préfet de la congrégation pour la doctrine de la foi nommé par
le pape Jean-Paul II, le cardinal Ratzinger d’alors reçu la tâche
de promouvoir et de protéger la doctrine et les mœurs conformes à la
foi dans tout le monde catholique (constitution apostolique Pastor
Bonus).
Comme on l’a vu ci-haut le cardinal Ratzinger cherchait l’équilibre avec la tradition via le prisme de Vatican II.
Il faisait parti de ces libéraux voulant faire évoluer L’Église sans qu’elle perde son âme.
Il ne cherchait pas une rupture mais une évolution.
Il a tout de même conservé les liens avec la Tradition comme interlocuteur des traditionalistes.
Pour lui les deux rites pouvaient cohabiter.
En
partie aveugle devant les conséquences du concile, et par l’élan que
lui a donné Jean-Paul II, il a contribué à la construction de la
nouvelle église prophétisée par Anne Catherine Emmerich.
« Deux frères et personne ne sera le vrai Père. La Mère sera veuve. » selon le début de la prophétie de Jean XXIII le concernant.
Malgré son côté conservateur, il est quand même choisit comme successeur de Jean-Paul II.
Il avait amplement prouvé sa soumission, dont le rôle qu'il a joué dans la fausse divulgation du 3ème secret de Fatima en 2000.
Il était des leurs.
Mais c’était sans compter sur le Saint-Esprit qui veille sur son Église.
Son élévation sur le trône de
Saint-Pierre lui a permis ainsi de constater dans les coulisses du
pouvoir que l’Église perdait effectivement son âme.
Ce côté conservateur a pris le dessus face à cette libéralisation accélérée de l’Église.
Comme
saint Dismas, le bon Larron sur la croix fut éclairé par la Grâce et se
convertit en voyant le Christ ainsi torturé être toujours capable de
pardonner : « Père, pardonnez leur car ils ne savent pas ce qu'ils
font », Benoît XVI repris son titre de gardien de la foi, lumière que
nous avons eu dans ce marasme théologique.
Il remet sur la table la messe traditionnelle qu’on avait réussi à faire oublier depuis Paul VI.
ET on sait que la touche finale voulue par Satan et la judéo-maçonnerie est la disparition du sacrifice perpétuel.
En remettant à l’honneur la messe tridentine par son Motu proprio du 7 juillet 2007, il s’exposait inévitablement à l’hostilité des cardinaux vendus à la judéo-maçonnerie agissant en coulisses.
En
tant qu’admirable théologien, il n’a pas remis en cause la nouvelle
messe, mais il l’a qualifiée de rite « ordinaire » tout en qualifiant
la messe tridentine de rite « extraordinaire ».
L’ancien rite était réhabilité tout en donnant le choix aux prêtres de célébrer l’un des deux rites.
Ainsi, les traditionalistes avaient le champs libre.
Un peu plus d’un an après le Motu proprio, Benoît XVI lèvera les excommunications pesant sur la Fraternité saint Pie X.
Il a mis fin à toute notion de schisme entre cette dernière et le Vatican.
La
messe tridentine, ainsi que la tradition en générale, sont ainsi
devenues les « deux témoins » de l’Apocalypse : les membres du
clergé et les fidèles à la Loi et aux Prophètes.
C’est là le bourgeon toujours vivant qui fleurira lorsque le moment sera venu.
Le Ciel et la Terre demeurent liés par ce geste providentiel qui réhabilite dans l’Église le mystère de la Rédemption.
Pour
protéger l’Église et veiller sur elle, Benoît XVI comme on le sait,
démissionne de sa charge politique en 2013, et non du ministère
pétrinien.
Il est ainsi devenu le pape émérite, le Katéchon.
« Qu’est-ce qui a vraiment été vaincu avec la défaite de Benoît XVI?
La
tentative de Ratzinger (désespérée, on peut maintenant le dire) de
sauver le catholicisme post-conciliaire de son destin suicidaire en
« guérissant » l’Église de son mal intérieur et en redonnant
ainsi une âme à l’Occident.
Ce
projet héroïque, à l’instar des héros d’un certain romantisme tragique,
mené avec ténacité par Benoît XVI sur le plan théologique
(herméneutique de la continuité), liturgique (Motu proprio « Summorum Pontificum »),
civilisateur (Discours de Ratisbonne) et politico-juridique (doctrine
des principes non négociables, paradigme du droit naturel comme
fondement de l’État libéral) s’est achevé et a échoué avec la démission
de Benoît XVI (benoit-et-moi.fr).
Benoît XVI veille sur son Église et sur ses brebis.
Il bloque à sa manière les projets diaboliques de la judéo-maçonnerie.
Nous
l’avons vu avec le livre cosigné avec le cardinal Sarah sur le célibat
des prêtres il y a un peu plus d’un an, sorti juste avant la
publication de l’exhortation apostolique du synode amazonien, ce qui a
amené Bergoglio à réviser sa position.
Benoît
XVI et Bergoglio, malgré les apparences que veulent bien nous laisser
croire le bureau de presse du Vatican, sont à l’opposé.
L’un veille, l’autre détruit.
Et la panique est installée dans l’église conciliaire, ce qui est un excellent signe.
Bergoglio a lancé cet avertissement aux fidèles, cet incroyable mensonge : hors de l’église conciliaire, point de salut.
«
… Le pape François lui-même semble en être conscient, et dans son
discours d’hier dans la salle Clémentine, il a eu recours à des
remontrances à saveur montinienne. Il l’a fait, et ce n’est pas un
hasard, en défendant le Concile Vatican II en des termes jamais aussi
clairs et en citant à plusieurs reprises son prédécesseur lombard qu’il
a lui-même canonisé : « Le Concile est le magistère de l’Église », a
déclaré Bergoglio. « Soit vous êtes avec l’Église et donc vous suivez
le Concile, et si vous ne suivez pas le Concile ou si vous
l’interprétez à votre manière, comme vous le souhaitez, vous n’êtes pas
avec l’Église ». François a déclaré que sur ce point, il faut être «
exigeant, sévère », reprochant à ceux qui voudraient négocier
l’héritage du Concile « d’en vouloir plus ». « Non, le Concile, c’est
ça. Et ce problème que nous connaissons, de sélectivité à l’égard du
Concile, s’est répété tout au long de l’histoire avec d’autres Conciles
»… » (benoit-et-moi.fr).
« … A l’évidence,
l’ignorance de ceux qui répètent le refrain de Vatican II
est instrumentum regni depuis que le clergé a été contraint
de mettre de côté la doctrine catholique pour privilégier
l’approche créative du nouveau cours. Bien sûr, utiliser le mot
« annonce » au lieu de kerygma banaliserait
les discours des initiés, tout en révélant l’intolérance
méprisante de la caste envers la masse, obstinément accrochée au
notionnisme (savoir superficiel) postridentin interdit.
Ce
n’est pas un hasard si les novateurs détestent de toutes leurs forces
le Catéchisme de Saint Pie X qui, par la brièveté et la clarté des
questions et des réponses, ne laisse aucune place à l’inventivité du
catéchiste. Le catéchiste doit être – et il ne l’est plus depuis
soixante ans – celui qui transmet ce qu’il a reçu, et non un
« mémorialiste » imaginaire de l’histoire du salut qui
choisit à tour de rôle les vérités à transmettre et celles à laisser de
côté pour ne pas contrarier ses interlocuteurs.
Dans
la miséricordieuse église bergoglienne, héritière de l’église
post-conciliaire (toutes deux déclinaisons d’un esprit qui n’a plus
rien de catholique), il est licite de discuter, de contester, de
rejeter chaque dogme, chaque vérité de la Foi, chaque document
magistériel et chaque déclaration papale antérieurs à 1958.
Car, selon les mots de François, on peut être « frères et
sœurs de tous, indépendamment de la foi »… » (Mgr Vigano) (benoit-et-moi.fr).
Nous vivons un temps de Grâce.
Les jours sont comptés, pour nous, et pour Benoît XVI.
À la manière du songe de Don Bosco, nous entrevoyons à l’horizon les deux colonnes de l’Immaculée et du Saint-Sacrement.
La délivrance est proche.
Janvier 2021
25 janvier
C’est
l’ouverture du 51ème World Economic Forum (lire Davos 2021)
virtuel en ce 25 janvier où les « grands » de ce monde sont invités
pour démarrer cette « grande réinitialisation ».
La revue « The Economist » a préparé la table en prédisant que « le monde pourrait marquer un tournant » cette année.
La
BBC a évoqué la même possibilité en affirmant « pourquoi 2021 pourrait
être un tournant pour lutter contre le changement climatique » car la «
Covid change tout. La pandémie de coronavirus a ébranlé notre sentiment
d’invulnérabilité et nous a rappelé qu’il est possible que notre monde
soit bouleversé d’une manière que nous ne pouvons pas contrôler.
Elle a également provoqué le choc économique le plus important depuis la Grande Dépression.
En réponse, les gouvernements vont de l’avant avec des plans de relance conçus pour redémarrer leurs économies… »(bbc.com)
Pour
ceux qui sont ignorants de ce qui se passe réellement sur cette planète
quant à la guerre spirituelle qui est livrée, parce que justement on ne
voit pas ce qui est esprit, et qui pensent que tout redeviendra à la
normale, alors que c'est la soumission des âmes qu’on prépare, voici ce
que le créateur du forum de Davos, Klaus Swab, avait à dire quant à
l’ultime but à atteindre, le transhumanisme pour la gloire de l’homme
déifié, livré à Satan (voir la vidéo):
«
Klaus Schwab, fondateur du Forum de Davos et promoteur de la grande
Réinitialisation, nous explique le projet d’implantation de puces
électroniques chez l’Homme » (Wikistrike.com).
Satan ne peut plus attendre. Il sent la victoire mais elle n’arrivera point.
Dans
ce contexte, les juifs de part et d’autre de toute la planète
appelleront leur « Messie » le 21 février prochain, via les smartphones
si cher à Satan pour contrôler la masse (vidéo).
Cela rappelle l’épisode des trompettes de Jéricho avant que les murailles ne s’effondrent.
Ils annoncent eux aussi la chute de Babylone la grande à la manière du singe de Dieu, c’est à dire en inversant.
La
venue de leur « Messie » représente pour eux la fin, l’élimination de
la civilisation chrétienne, avec la notion du Verbe Incarné, Vrai Dieu.
Alors que nous, ce que nous attendons, c’est la fin de ce monde païen pour la Gloire et le Règne définitif du Christ sur Terre.
Pour l’instant, c’est la tentative de l’asphyxie de l’âme par Satan et ses sbires.
Dû à la grande apostasie, le Ciel nous est fermé.
Nous
pouvons lié cette épisode de la passion de l’Église et de son corps
mystique, à cette prière et méditation de Jésus sur le rocher avant
l’arrestation (Mt 26,30-56), avec les apôtres Pierre, Jacques et Jean
qui par trois fois se dont endormis au lieu de prier et de soutenir le
Christ qui voyait arriver son heure.
À
la manière du Christ en cet instant fatidique, nous nous sentons
spirituellement asphyxiés, ensevelis vivants dans cette prison qu'est
le monde de Babylone, distinguant difficilement le lien entre nous et
le Père, si ce n’est que par la prière, tout comme Jésus.
Les
chrétiens d’aujourd’hui, si ce n’est physiquement, sont
psychologiquement enchaînés, bâillonnés, empêchés de culte par
soumission humaniste.
Être « orphelins de Dieu » rend fou et cause toutes sortes de problèmes psychologiques qui ne cessent d’être en croissance.
D’où
la Voix de Jésus qui résonne en nous : cette fois, demeurez
éveillés et en constante prière, sous l’Arche Marie pour qu’elle vous
enveloppe de son manteau protecteur.
Peter Kwasniewski s’est posé la question, pour l’Église,
« Y a-t-il eu des crises pires que celle-ci?
Peter Kwasniewski 13 janvier 2021
Ne
détestez-vous pas quand des confrères catholiques vous disent:
«L’Église a fait face à des crises pires que celle-ci auparavant»?
Vous détestez ça parce que
vous savez que c’est faux. De plusieurs papes qui ont flirté avec
l’hérésie, seuls deux semblent avoir franchi une ligne: Honorius et
Jean XXII . Honorius a commis une erreur en ce qui concerne la
christologie; il l’a fait dans une lettre à un évêque. Et pour cela, il
a été anathématisé à titre posthume et excommunié comme hérétique par
un concile œcuménique et par plusieurs de ses successeurs dans la
papauté. Jean XXII a prêché une fausse position sur la vision
béatifique dans une série de sermons – une erreur qui a été
immédiatement attaquée par les théologiens de son temps. Il l’a
rétracté sur son lit de mort. Quelqu’un de sensé pourrait-il rêver de
comparer le désastre polyvalent de la papauté de François à Honorius ou
à Jean XXII? C’est comme comparer Staline à des scouts espiègles.
Si vous insistez, ils pourraient revenir un peu en arrière: «Au moins, il y a eu d’autres crises comparables à celle-ci.»
Sans
aucun doute, la crise arienne a été extrêmement grave: pendant une
certaine période, seule une poignée des centaines d’évêques de la
chrétienté était orthodoxe, sur le point même qui définit le
christianisme. Pourtant, aujourd’hui, la grande majorité des milliers
d’évêques du monde refusent de maintenir des éléments majeurs de la
tradition catholique; ne pas prêcher les dix commandements, et même les
contredire (pensez à Amoris Laetitia); abandonner la défense de
cohérence entre le Magistère ordinaire universel et le Magistère papal
(pensez à la question de la peine de mort); renoncer à l’annonce du
Christ comme Fils de Dieu et seul Sauveur de l’humanité (pensez à la
direction que l’œcuménisme et le dialogue interreligieux ont pris).
C’est une folie collective, une méchanceté en haut lieu jamais vue à
une telle échelle. Ce n’est pas seulement l’empereur qui n’a pas de
vêtements; c’est toute la cour – tous ses fonctionnaires aussi, dans
une sorte de gouvernement de gymnosophes.
La
situation actuelle combine toutes les hérésies antérieures. L’arianisme
de différentes nuances est de retour dans les affaires; nous voyons
revenir le paganisme, le polythéisme et le panthéisme. Paul VI avait
déjà permis au protestantisme, avec le rationalisme des Lumières et le
sentimentalisme romantique, d’envahir le sanctuaire; depuis lors, ces
tendances se sont infiltrées dans tous les autres domaines de l’Église.
L’érastianisme ou la subordination de l’Église à l’État séculier est
désormais assumé comme une norme incontournable et incontestable . Ce
que nous avons, en fait, c’est «la synthèse de toutes les hérésies» –
le modernisme – en plein écran . Nous vivons en effet la pire crise, de
loin la pire, que l’Église ait jamais connue, en vingt siècles
d’histoire.
Permettez-moi de résumer les trois principes du catholicisme moderne:
# 1. Faites toujours confiance aux experts.
# 2. Faites toujours confiance à la hiérarchie.
# 3. Faites toujours confiance au Zeitgeist.
...
La
situation est horrible, oui. Mais nous devions atteindre ce nadir si
jamais l’Église devait être débarrassée du mal persistant du modernisme
et qu’un reste de fidèles devait jamais trouver sa sortie. Nous devons
remercier Dieu d’avoir dénoncé les ténèbres, la perversité, le chaos et
la cruauté de l’agenda moderniste qui, comme Satan lui-même, se déguise
en ange de lumière afin de tromper, si possible, même les élus (cf. 2
Co 11 : 14; Mt 24:24). Notre situation est apocalyptique parce qu’elle
est révélatrice ; ce qui était caché a été, est en train d’être
dévoilé. Les fidèles du Christ qui ont été placés sur terre à ce moment
précis de l’histoire sont les plus aimés de leur Seigneur, qui les
appelle à rester fidèles précisément au moment où c’est le plus
difficile et le plus contre-culturel, voire contre-institutionnel.
L’Église a été autorisée par
Dieu à dériver dans un papocentrisme que nous pouvons voir, avec le
recul historique, extrêmement dangereux et dommageable. Les catholiques
en sont venus à considérer le pape comme un dieu sur terre, un oracle
divin qui ne pouvait jamais se tromper.
…
Quand
Jésus dit au premier pape: «Tu es Pierre; et sur ce rocher je bâtirai
mon église, et les portes de l’enfer ne prévaudront pas contre elle
»(Mt 16, 18), il ne dit pas:« Ne t’inquiète pas, le diable rebondira
chaque fois qu’il essaiera de frapper, et tout ira bien. Nous devrions
plutôt Le croire au mot: d’une part, l’Église se révélera plus forte
que l’enfer à la fin, peu importe à quel point le diable fait fureur et
ravage; d’un autre côté, tout et n’importe quoi, sauf une défaite et
une dissolution totales, est un jeu équitable. C’est lorsque tout
semble perdu que l’Église ressuscitera. La clarté de cette «logique»,
qui reflète celle de la vie du Christ, devient de plus en plus vive à
mesure que l’histoire avance irrésistiblement vers l’avènement de
«l’anarchie», l’Antéchrist, et du Seigneur qui le tuera du souffle de
sa bouche (cf. 2 Th 2, 8).
Les
disciples sur le chemin d’Emmaüs pensaient voir une défaite totale:
«Mais nous avions espéré que c’était lui qui rachèterait Israël» (Lc
24, 21). Tout semblait perdu. Cela doit donc avoir semblé pendant un
certain temps à Lépante. Et quand Notre-Dame dit: « À la fin, mon Cœur
Immaculé triomphera», quelle force mettons-nous sur la phrase « à la
fin »? La fin quand il semble être amer la fin de nos espoirs, la fin
des promesses divines, la fin de la fidélité de Rome: «Quand le Fils de
l’homme viendra, trouvera-t-il la foi sur la terre?» (Lc 18, 8). «Car
il s’élèvera de faux Christs et de faux prophètes, et il fera de grands
signes et prodiges, au point de tromper, si possible, même les élus»
(Mt 24, 24). «Bien-aimés, ne soyez pas surpris de l’épreuve ardente qui
vous attend pour vous mettre à l’épreuve, comme si quelque chose
d’étrange vous arrivait» (1 Pierre 4:12).
En
bref, un effondrement complet de l’Église sur terre – qui a toujours
été une possibilité compte tenu de la logique de la foi et du
témoignage des Écritures – se déroule sous nos yeux, une défaite
apparente et une dissolution sous l’assaut global de le Malin,
exactement comme nous devrions nous attendre à ce qu’il se produise à
un moment donné de l’histoire de l’Église. Si nous sommes déjà dans les
premières phases de la fin au-delà de laquelle il n’y a plus de temps
est impossible à dire. Si nous ne sommes pas à la fin des temps mais
plutôt en passant par un écho avancé, nous pouvons néanmoins dire avec
confiance qu’il faudra un «purgatoire» de catastrophes jusqu’alors
inconcevables pour restaurer l’Église catholique sur terre à un
semblant de raison, que les excès inaugurés par les deux derniers
conseils seront purgés de la circulation sanguine du corps, et une
Ecclesia plus saine, plus humble, plus orthodoxe en émergera – comme
l’or et l’argent sept fois raffinés. » »(onepeterfive.com).
Magnifique
sermon réconfortant de circonstance de l'Abbé B. Martin de Clausonne
(Église Saint-Nicolas-du-Chardonnet) en cette désolation des temps
présents: « À moi la vengeance ».
20 janvier
LE SIGNE DE JEAN
" Ne
scelle point les paroles de la prophétie de ce livre ; car le
moment est proche. Que celui qui est injuste fasse encore le mal ;
que l'impur se souille encore ; que le juste pratique encore la
justice, et que le saint se sanctifie encore. Et voici que je viens bientôt, et ma rétribution est avec moi, pour rendre à chacun selon son œuvre. C'est
moi, Jésus, qui ai envoyé mon ange vous attester ces choses, pour les
Églises. C'est moi qui suis le rejeton et le fils de David, l'étoile
brillante du matin. " (Apocalypse 21, 10).
« Attendez
le signe de Jean. L'agneau est prêt. Signez-vous sept fois avec une
main fatiguée et attendez. La lumière vient encore de l'Occident. »
Quel est le signe de Jean?
Jean XXIII affirme dans la prophétie: L’agneau est prêt.
Donc qu’une limite a été atteinte.
Ce qui est confirmé dans l’Apocalypse par le silence d’une demi-heure : « Et quand l'Agneau eut ouvert le septième sceau, il se fit dans le ciel un silence d'environ une demi-heure » (Apocalypse 8,1)
Tout comme cet extrait de l’Apocalypse, Jean XXIII fait aussi référence au « sept ».
Comme dans la prophétie politique #26 « Lumière de la lumière » où « sept fois sept fois sept fois » est mentionné , prophétie mystérieuse mais qui sans équivoque fait référence à Gog et Magog.
« Quand
les mille ans seront accomplis, Satan sera relâché de sa prison, et il
en sortira pour séduire les nations qui sont aux quatre extrémités de
la terre, Gog et Magog, afin de les rassembler pour le combat :
leur nombre est comme le sable de la mer. » (Apocalypse 20, 7).
C’est pour le septième sceau, les sept coupes, et les sept trompettes du septième sceau.
Ce qui est confirmé aussi dans la prophétie politique « Le Temps est Proche » :
« La
septième année tombe le septième voile de Salomé, mais il n'existe pas
d'empereur, il n'existe pas qui saura lever l'épée et couper le cou de
Jean. Le temps est proche. »
On
rappelle (voir analyse du 12 avril) aussi que c’est en lien avec
l’épisode de Jéricho avant l’entrée en Terre Promise : tour de la
ville 6 jours de suite et au septième et dernier jour, il ont fait sept
tours, mais ce n’est qu’au septième tour que les murailles
s’effondrent : 7 tours, 7ème jour, 7ème tour de la septième
journée : 777.
Et ce septième voile de Salomé tombe à la septième année de…
La prêche kabbaliste de la fille de Caïn.
« La fille de Caïn est montée au Nord, pour prêcher. Luxure dans la nouvelle Babylone, pour sept ans. »
Ce qui suggère une autre
hypothèse quant à l’identité de la fille de Caïn, si la chute de
Babylone est devancée, étant donné que la pandémie semble avoir été
programmée pour l’exécution du plan final, la « grande réinitialisation
».
Et si la fille de Caïn était Christine Lagarde, ex-directrice du Fonds Monétaire Internationale?
Et si nous étions réellement à la fin de la 7ème année?
Rappelons
nous ce discours du 15 janvier 2014 truffé de numérologie kabbaliste
sur le chiffre 7, dans la capitale du franc-maçonnisme par excellence,
Washington DC.
Et ensuite le 23 janvier 2014 où elle lance qu’il est temps de faire un « reset », une réinitialisation.
Fille de Caïn parce que venant de la France, fille aînée de l’Église qui est en sorte « assassinée » par la judéo-maçonnerie.
Mais revenons à cette chute des deux Babylone de Jean XXIII et à l’Apocalypse.
Alors, quelle est ce signe de Jean?
Cette purification annoncée en sera une par le feu.
Et
ce signe de Jean est précédé par la chute de « Babylone la Grande »
provoquée par le feu du Ciel, possiblement par un astéroïde.
« Et
le troisième ange sonna de la trompette ; et il tomba du ciel une
grande étoile, ardente comme une torche, et elle tomba sur le tiers des
fleuves et sur les sources des eaux. Le nom de cette étoile est
Absinthe ; et le tiers des eaux fût changé en absinthe, et
beaucoup d'hommes moururent de ces eaux, parce qu'elles étaient
devenues amères. » (Apocalypse 8, 10).
« Alors
un ange puissant prit une pierre semblable à une grande meule, et la
lança dans la mer, en disant : " Ainsi sera soudain
précipitée Babylone, la grande ville, et on ne la retrouvera plus. » (Apocalypse 18, 21).
« Elle
est tombée, elle est tombée, Babylone la grande, qui a abreuvé toutes
les nations du vin de la fureur de son impudicité ! »(Apocalypse 14,8).
« Malheur ! Malheur ! O grande ville, Babylone, ô puissante cité, en une heure est venu ton jugement ! » (Apocalypse 18,10).
À
notez ici cette unique « heure » qui est liée aux « dix rois qui n’ont
pas encore reçu la royauté, mais qui recevront un pouvoir de roi pour
une heure avec la bête. »
Et c’est cette heure qui fait déborder la coupe.
Qui provoque la chute de Babylone la Grande.
Cette
chute, c’est le châtiment des méchants pour les uns, et la délivrance
des justes pour les autres, car là où certains vivront la fin
de leur monde, les justes y verront l’intervention du Père en
réponse à leurs prières.
Et,
lorsque nous assisteront à ce signe très imminent, et nous y
assisterons, c’est le moment important pour fuir dans les montagnes
pour ceux qui ne l’auront pas encore fait, c’est à dire de se détacher
de Mammon et de ses œuvres, et demander pardon à la manière du bon
larron sur la croix.
C’est l’heure du choix. Pas de place pour les tièdes. C’est la vie éternelle ou la mort de l’âme.
« C'est
fait ! Je suis l'alpha et l'oméga, le commencement et la fin. A
celui qui a soif, je donnerai gratuitement de la source de l'eau de la
vie.
Celui qui vaincra possédera ces choses ; je serai son Dieu et il sera mon fils. Mais
pour les lâches, les incrédules, les abominables, les meurtriers, les
impudiques, les magiciens, les idolâtres et tous les menteurs, leur
part est dans l'étang ardent de feu et de soufre : c'est la
seconde mort. » (Apocalypse 21, 6)
Pour
ceux qui sont déjà dans la prière et la contemplation, qui sont dans
Babylone sans être de Babylone, c’est à dire qui n’agissent ni en
pensée ni en action avec Babylone (les signes sur la main et le front
dans l’Apocalypse), la délivrance est proche.
« Et
j'entendis du ciel une autre voix qui disait : " Sortez du
milieu d'elle, ô mon peuple, afin de ne point participer à ses péchés,
et de n'avoir point part à ses calamités ; car ses péchés se sont
accumulés jusqu'au ciel, et Dieu s'est souvenu de ses iniquités. » (Apocalypse 18, 4)
La lumière pointe déjà à l’Occident.
« Attendez
le signe de Jean. L'agneau est prêt. Signez-vous sept fois avec une
main fatiguée et attendez. La lumière vient encore de l'Occident. »
Le signe de Jean est « la lumière vient encore de l’Occident. »
L’Occident pour les initiés représente la noirceur, les ténèbres après le coucher du soleil à l’ouest.
De cette noirceur naît la création comme le Père a séparé la lumière des ténèbres.
De la noirceur est né la lumière.
C’est de cette « lumière de l’Occident » que renaîtra la vraie lumière, le retour du Christ en Gloire.
C’est
le signe mystique de la noirceur où le Ciel ne communique plus à ses
Saints sur Terre pour guider le peuple, à cause des innombrables péchés
accumulés, et de la grande apostasie.
C’est l’éclipse qui voile l’Église Sainte, Catholique et Apostolique.
Au
niveau temporel, le signe de Jean est donc cette période de noirceur où
personne ne verra le soleil se lever tellement les ténèbres seront
épaisses.
Ce sont les trois jours prophétisés par Padre Pio où il ne faudra pas regarder dehors car les démons feront loi.
« Des
ouragans de feu tomberont des nuages et s’étendront à la terre entière.
Des orages, des tempêtes, du tonnerre et des pluies ininterrompues, des
tremblements de terre couvriront la terre entière pendant 3 jours et 3
nuits. »
Ce sont les trois jours de noirceurs prophétisés par Anne-Marie Taigi :
« Il y aura sur toute la terre d’épaisses ténèbres qui dureront trois jours et trois nuits. »
Ce sont les deux jours de ténèbres précédant les trois jours du châtiment prophétisés par Marie Julie Jahenny :
« Deux jours de ténèbres en dehors des trois jours du châtiment. Seuls les cierges de cire bénits donneront de la lumière.
La
flamme dit que dans les desseins du Seigneur, il y aura deux jours
d’affreuses ténèbres, séparées des trois jours que beaucoup d’âmes ont
annoncés. » 20 septembre 1880
C’est le signe de Jonas pour cette génération :
« Il
leur répondit : " Cette race méchante et adultère demande un
signe, et il ne lui sera pas donné d'autre signe que celui du prophète
Jonas : de même que Jonas fut trois jours et trois nuits dans le
ventre du poisson, ainsi le Fils de l'homme sera dans le sein de la
terre trois jours et trois nuits. Les
hommes de Ninive se dresseront, au jour du jugement, avec cette
génération et la condamneront, parce qu'ils ont fait pénitence à la
voix de Jonas, et il y a ici plus que Jonas. » (Matthieu 12, 39).
Comme à Ninive, ces trois jours de noirceur sont donc l’ultime épreuve de conversion pour les tièdes.
C’est une période de miséricorde avant l’ultime lumière.
La prophétie #12 de l’Église commence d’ailleurs ainsi :
« Avant l'ultime lumière, les pasteurs auront reconnu le signe… »
Et
« Le premier soleil illumine la balance de l'univers. Ouvrez votre cœur au lis. La voix sera puissante, annoncée par les trompettes.
Lumière de
l'Occident, dernière lumière avant l'éternelle, inconnue. La vérité
sera plus simple que tous l'ont dit, que tous l'ont écrit.
Ce sera un bon jugement. »
Cette
noirceur qui éclipse l’Église est sur le point de s’effacer, car comme
le Christ en croix, Elle est toujours vivante en Esprit malgré les
apparences.
« Parce qu'elle dit en son cœur : Je trône en reine ; je ne suis point veuve et ne connaîtrai point le deuil ! » (Apocalyse 18, 7).
« Et
moi je te dis que tu es Pierre, et sur cette pierre je bâtirai mon
Église, et les portes de l'enfer ne prévaudront point contre elle. » (Matthieu 16, 18).
14 janvier
LE SEPTIÈME SCEAU : LA CHUTE DE BABYLONE LA GRANDE
Cette
nouvelle tour de Babel édifiée par l’élite judéo-maçonnique est l’œuvre
ultime qui causera la chute de « Babylone la Grande » ou tout
simplement, la purification de la Terre avec ses innombrables âmes
vendues à Satan.
Cette
Babel II est ce royaume temporel sur lequel trône Bergoglio, celui qui
fait partie de la lignée des papes « rois » depuis l’Accord du Latran
de 1929, mais qui n’est pas pape car il est « la bête qui était et qui n'est plus, en est elle-même un huitième et elle est des sept, et elle s'en va à la perdition. » (Apocalypse 17,11).
Avec les dix rois temporels dominants la planète, qui n’auront qu’un court temps, très court temps
de dominance mondiale avec leur « grande réinitialisation », Bergoglio
fait la guerre à l’Église jusqu’à pratiquement la détruire… jusqu’à ce
que les paroles du Père soient accomplies… et puis Rome sera détruite,
comme tout le reste par la suite.
« … les dix cornes que tu as vues sont dix rois qui n'ont pas encore reçu la royauté, mais qui recevront un pouvoir de roi pour une heure
avec la bête. Ceux-ci ont un seul et même dessein, et ils mettent au
service de la bête leur puissance et leur autorité. Ils feront la
guerre à l'Agneau, mais l'Agneau les vaincra, parce qu'il est Seigneur
des seigneurs et Roi des rois, et ceux qui l'accompagnent sont les
appelés, les élus et les fidèles…
Car Dieu leur a mis au cœur d'exécuter son dessein, et de donner leur royauté à la bête, jusqu'à ce que les paroles de Dieu soient accomplies. Et la femme que tu as vue, c'est la grande cité qui a la royauté sur les rois de la terre. " (Apocalypse 17,11).
Le pouvoir pour « une heure » pour les eschatologues, c'est environ 1 mois.
Notre période actuelle en ce début 2021 est le passage de la 5ème à la 6ème coupe décrit dans l’Apocalypse.
Nous en sommes effectivement au rassemblement des troupes sous l’ordre de Satan pour la bataille finale d’Armageddon.
Les
bêtes de la mer (Bergoglio et l’église conciliaire) et de la terre
(Macron qui usurpe la fille aînée de l’Église, royauté de droit divin),
et le dragon (la synagogue de Satan sous l’égide américaine) sont tous
alignés pour la manœuvre finale, l’obstacle à la maison blanche qui
trônait depuis quatre années ayant été éliminé.
« Je
vous le dis en vérité, cette génération ne passera point que toutes ces
choses n'arrivent. Le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne
passeront point. » (Matthieu 24,35).
La
fin du sixième sceau de l’Apocalypse, sceau caractérisé par une
persécution sans précédent contre les chrétiens, est imminente.
Ce
qui mène à la septième coupe et à l’ouverture du septième sceau, la
chute de Babylone, qui se termine par le Jugement dernier.
Ce
sont les trois jours de noirceur prophétisés par Padre Pio (où il est
fortement recommandé d’avoir en sa possession des chandelles bénies à
la Chandeleur, seule lumière qui sera permise sur cette misérable
Terre).
Le
signe que nous approchons de cette coupe est la nature même du sixième
sceau, caractérisé par un « grand tremblement de terre » qui voile le
soleil et la lune.
C’est
le signal, le signe du figuier au printemps donné par Jésus, pour la
fuite vers les montagnes, vers son sanctuaire, avec le rosaire et ses
cierges bénies (n’est-ce pas encore plus significatif en ce temps de
pandémie où tout ou presque est à l’arrêt?).
Mystiquement,
c’est l’aveuglement, la grande apostasie, la chute des étoiles… c’est à
dire que nous ne pouvons plus voir aucun signe du Ciel, comme si nous
étions abandonnés, sans pasteur au Vatican pour guider et rassurer,
avec la chute des prêtres.
C’est l’aberration Vatican II.
Dans
les prophéties de Jean XXIII concernant l’Église, cette fin du sixième
sceau est la fin de la prophétie de Benoît XVI, le décès du Katechon,
celui qui par sa prière et son sacrifice nous gratifie d’un temps de
miséricorde... et qui empêche Bergoglio de s’aligner complètement avec
les autres bêtes.
C’est
le temps de Marie, la Dame de l’Apocalypse, notre co-rédemptrice, lié à
la résurrection des « deux témoins » de l’Apocalypse.
« … devant la tombe du va-nu-pieds, éclatera le règne béni de la Très Sainte Vierge.
Écoutez ses paroles.
Marie
Très Sainte, fille et mère de Dieu, maîtresse du temps futur, bats le
rappel de tes fils dans les campagnes, pour qu'ils abattent les deux
Babylone.
Et que la Mère soit Une, comme toi tu es unique.
La
terre détruira le ciment et de terre sera, Reine, ta nouvelle Église.
Et sur la terre de blé, pour la faim de tes peuples, fleur sur son
nouvel autel. Amen. »
Devant la tombe du va-nu-pieds…
Soit
le tombeau de Jean-Paul II à l’entrée de la basilique Saint-Pierre où
auront lieu les funérailles de Benoît XVI, temps de pandémie oblige,
est annoncé la chute des deux Babylone qui forment Babylone la Grande,
soit le Vatican et les Nations-Unies, ceux qui ont le pouvoir sur tout
via la nouvelle religion de l’humain déifié.
L’intégration
totale de l’église dans l’Agenda 2030 et le travail nécessaire
pour la « fausse paix » basée sur l’humanisme furent encore une fois
confirmé cette semaine.
« Mgr Caccia: à l’ONU, l’intérêt commun prévaut face à la pandémie.
Le
représentant du Saint-Siège auprès des Nations-Unies revient sur le
rôle de cette institution face à la crise actuelle. Il constate que
chacun essaie de dépasser les intérêts nationaux pour œuvrer au
bien-être de toute l’humanité.
Le travail, la santé, la
protection de l’environnement: trois domaines mis à rude épreuve depuis
le début de la pandémie de Covid-19, et entrent souvent «en
compétition» malgré une étroite interdépendance. Aux yeux de Mgr
Gabriele Giordano Caccia, observateur permanent du Saint-Siège auprès
de l’Organisation des Nations Unies à New York depuis novembre 2019,
l’ONU doit «penser différemment le futur pour garder en harmonie ces
dimensions essentielles».
La paix demande «travail et engagement», rappelle le Saint-Siège.
Les campagnes de vaccination
lancées dans différents pays apportent une note d’espoir, mais aussi le
risque d’un accès inégal aux vaccins. La compétition entre
laboratoires, sur fond d’intérêts nationaux et financiers, a par
ailleurs été rude. «Il faut toujours trouver la solution du bien
commun, qui est la solution de longue durée», prône Mgr Caccia. Le
nonce tient à souligner que les acteurs de l’ONU ont à cet égard
conscience de travailler non pas seulement pour leur propre pays, mais
«pour toute l’humanité».
Il
évoque en illustration les progrès, déjà faits ou à venir, afin de
«limiter l’utilisation de certains armements»: «de petits pas qui vont
dans la direction juste».
Comme
le souligne le Pape François dans son encyclique Fratelli Tutti, «il
faut passer du “moi” au “nous”», rappelle Mgr Caccia – qui a d’ailleurs
rencontré le Saint-Père au Vatican ce 11 janvier. «Les vrais solutions
sont celles qui regardent l’ensemble de la communauté», et «l’ONU
cherche à travailler pour garder cet esprit», assure-t-il. » (vaticannews.va).
La fin de la prophétie
concernant Benoît XVI, est donc l’annonce du Jugement dernier, du
septième sceau, par la destruction de tout ce qui est « ciment » pour
un retour à la nature puisqu'actuellement le contre-nature domine,
autant matériellement, que moralement, qu’éthiquement, que
spirituellement...
« Cependant
le jour du Seigneur viendra comme un voleur ; en ce jour, les
cieux passeront avec fracas, les éléments embrasés se dissoudront, et
la terre sera consumée avec les ouvrages qu'elle renferme. » (Pierre 2, 3.10).
D’ailleurs les dernières nouvelles concernant le pape Benoît XVI confirme évidement son état de faiblesse avancée, vu son âge:
«
Mgr Gänswein a célébré Noël et le Nouvel An avec le pape Benoît émérite
dans le bâtiment du monastère Mater Ecclesiae dans les
jardins du Vatican, où ils résident avec quatre religieuses italiennes.
« Je
prie quotidiennement la Liturgie des Heures avec le Pape émérite Benoît
et aussi le Rosaire. Une part considérable de mon temps est réservée à
la prière. Chaque prêtre, chaque évêque, le Pape aussi, prie non
seulement pour lui-même mais aussi pour les personnes qui leur sont
confiées. Aussi et surtout pour ceux qui ne veulent ou ne peuvent pas
prier », a dit Mgr Gänswein au magazine.
Il a également déclaré que
Benoît XVI restait très alerte mentalement. « Physiquement,
cependant, il est devenu assez faible », a-t-il dit. « A 93
ans, il est à un âge vénérable ». » (benoit-et-moi.fr).
«Du point de vue
physique, il est très fragile et ne peut marcher qu'un peu avec un
déambulateur. Sa voix est également faible. Les temps consacrés au
repos ont augmenté, mais nous continuons à sortir chaque après-midi,
malgré le froid, dans les jardins du Vatican. Chaque jour, je célèbre
la messe et il concélèbre assis. Pour la prière quotidienne, nous lui
avons préparé des textes agrandis afin qu'il puisse mieux suivre la
Liturgie des Heures, et nous continuons à prendre les repas tous
ensemble comme nous l'avons toujours fait. » (vaticannews.va).
Et, va-t-il survivre à cet âge au vaccin anti-covid qu’on lui administré ce matin?
Rappelons aussi que les deux prophéties concernant Benoît XVI et François se déroulent en parallèle :
« Deux frères et personne ne sera le vrai Père. La Mère sera veuve. »
Le veuvage de l’église signifie bien l’agonie de cette dernière avant sa résurrection à l’image de la Passion de NSJC.
L’imminence
de l’ouverture du septième sceau est caractérisée par la « Mikail et
Jean descendront sur terre » de la prophétie concernant François, soit
immédiatement avant « le grand frère d'Orient fera trembler le monde
par la croix renversée sans les lis. »
C’est la transition.
À ce moment, la Mère n’est plus veuve mais « orpheline ».
C’est la période du « Grand
Éclair à l’Orient » de la prophétie politique de Jean XXIII, qui semble
approcher à grands pas, car les tensions avec l’Iran ont atteint un
autre niveau la semaine dernière, un niveau certainement insoutenable
par Israël.
« Le Parlement iranien donne l’ordre au gouvernement de détruire Israël » (lesobservateurs.ch).
« Les responsables israéliens
menacent à nouveau de lancer des frappes préventives sur les
installations de développement nucléaire de l'Iran au milieu de
nouveaux rapports selon lesquels la République islamique intensifie ses
efforts pour fabriquer les matériaux nécessaires à la production
d'ogives nucléaires.
"Dans
l'une des déclarations les plus énergiques d'un responsable israélien,
le Likoud Tzachi Hanegbi, considéré comme un allié du Premier ministre
Benjamin Netanyahu, a menacé qu'Israël pourrait attaquer le
programme nucléaire iranien si les États-Unis rejoignaient l'accord
nucléaire , en tant que président élu américain. Joe Biden a
indiqué qu'il prévoyait de le faire, " rapporte le Times of
Israel .
Et
surtout, un nouveau rapport confidentiel de l'Agence internationale de
l'énergie atomique des Nations Unies (AIEA) allègue que l'Iran
a engagé une étape finale majeure dans le processus nécessaire
pour fabriquer des armes nucléaires . » (zerohedge.com).
Quant
à la fin de la prophétie concernant François, c’est la fuite de ce
dernier ou son décès, ayant pour cause la destruction physique de Rome.
Cette prophétie se termine par « mais
auparavant par ses paroles de vraie science le secret de l'arme qui
détruit les armes. Temps de paix, alors, et sur la haute pierre sera le
nom d'Albert. »
Pier
Carpi dans son analyse originale a lié le « grand frère d’Orient » de
la prophétie # 10 concernant François, au « grand frère crucifié
renversé » de la prophétie #11 concernant l’Église en parlant de cette période de paix.
Mais
force est d’admettre qu’avec la fin des prophéties prévue pour « 2000
ans plus l’âge du Christ », soit autour de 2026, il n’y a plus de temps
réservé pour avoir « une longue paix », puisque le temps sera
raccourcie sinon même les élus seraient emportés. (Matthieu 24).
Il semble donc n’y avoir aucun lien.
Rappelons que le mot « frère » utilisé dans les prophéties concerne généralement un cardinal ou un religieux.
Un grand frère est le frère au-dessus de tous dans sa religion respective.
« Deux frères et personne ne sera le vrai Père. La Mère sera veuve. » c’est à dire deux cardinaux et personne comme pape.
Le « grand frère d’Orient » ou un ayatollah iranien par exemple.
Ainsi, la prophétie de François se termine par la période de paix, et la prophétie #11 commence par la « longue paix fera oublier les erreurs passées. Elle fera oublier le grand frère crucifié renversé. ».
Cette
période de paix fait pratiquement parti du passé car la prophétie #11
concerne la guerre, dans l’église et physiquement sur terre, guerre qui
sera arrêtée par « Dieu a déchaîné la guerre de la nature pour empêcher la guerre des hommes. » (prophétie politique #32 « Le Temps est Proche »), soit par les plaies du 7ème sceau de l’Apocalypse.
La
longue période de paix (prophétisée aussi par Mélanie à La Salette) est
cette période de paix sans guerre mondiale commencée en 1945 après la
bombe atomique, la « vraie science » qui détruit les armes.
Albert dans la prophétie, c’est pour Albert Einstein :
« Einstein est-il le père de la bombe atomique ?
Le
physicien était un pacifiste convaincu. Alors pourquoi a-t-il pressé
les États-Unis de financer la fabrication d'une arme si dévastatrice ?
» (nationalgeographic.fr)
D’où dans la prophétie des noms de Jean XXIII :
« ALBERT - Chaque
étoile vit de sa propre lumière, et le son de la voix ne suffit pas
dans le noir, quand tout autour on meurt. De toi, on dira paix, mais tu
sais que tu n'aurais jamais de paix à l'intérieur. Tard seulement, le
monde connaîtra la douleur que tu as semée, par ton égoïsme. »
Le
septième sceau, la prophétie #11, est bel et bien confirmé par la mort
apparente physique de l’Église, à la manière du Christ sur le croix, ce
qui est affirmé par « où croyez-vous fuir, maintenant que vous avez détruit les Églises et tué le dernier Père ? ».
Donc,
cette « longue paix » qui « fera oublier les erreurs passées » des deux
grandes guerres, ainsi que la période Vatican II, est celle qui fait
aussi « oublier le grand frère crucifié renversé », c’est à dire
Saint-Pierre (donc l’Église), et non le grand frère d’Orient.
C’est là le signe que l’Église traditionnelle est éclipsée, donc de l’apostasie totale.
Et Jean XXIII avertit : « Attendez
le signe de Jean. L'agneau est prêt. Signez-vous sept fois avec une
main fatiguée et attendez. La lumière vient encore de l'Occident. »
À suivre...
09 janvier
BABEL II
«
Dans l’histoire, à côté de la main de Dieu, il faut aussi voir celle du
diable, qui s’oppose toujours aux plans divins pour tenter de réaliser
ses plans déformés. Le royaume de Dieu est celui de l’ordre, de la
paix, de l’harmonie ; celui du diable est le royaume du chaos, du
conflit, de la révolution perpétuelle. » (benoit-et-moi.fr – lien
ci-bas).
L’histoire se répète nous dit-on.
Et,
effectivement, nous en sommes témoins par cette dernière poussée de la
kabbale pour la gloire de Satan, pour l’humain défié en route vers le
transhumanisme.
Les
derniers événements au Capitole ont envoyé de par le monde un signal
clair de la prise du pouvoir de la branche mondialiste qui désire voir
ce pays se fondre avec les idéaux de la City de Londres, contrairement
à la branche patriotique qui désire voir ce pays être le pilier dans ce
nouveau monde de la « Grande Réinitialisation ».
Pour les chrétiens fidèles à la Loi et aux Prophètes, ce ne sont que deux clans qui de toute évidence s’en vont à la déchéance.
La
table est donc mise pour les prophéties politiques de Jean XXIII « Les
États-Unis libérés » (la femme qui jurera sur la bible sera
probablement la future vice-présidente; si on se rend jusque là) et «
Le Temps est Proche ».
À suivre donc pour « Le premier empereur meurt de faim, enfermé dans la tour de son rêve.», s’il s’agissait bien du Président Trump.
La lutte contre les goïm est belle et bien engagée et l’élite salive avec l’aboutissement de leur projet bien en vue.
Il n’y aura plus de retour en arrière, à la « normale » pour le goy.
La pandémie représente le prétexte idéal pour achever cette tour de Babel II.
« Babel au temps du Covid.
… Roberto de Mattei qui voit
dans la pandémie « une nouvelle phase dans la lutte cosmique entre
les forces célestes et celles infernales » et pense que sa
conséquence la plus grave est l’anarchie, le chaos mental et social
qu’elle a engendré: « Personne ne sait quoi penser et souvent des
pensées opposées se succèdent comme dans les cas de dissonance
cognitive ». « Le Covid est un virus traître, menteur et
protéiforme qui terrorise les uns, paralysant leurs forces et détruit
l’équilibre des autres, leur faisant croire qu’il n’existe pas ».
» (benoit-et-moi.fr).
Sans tomber dans le «
complotisme », nul besoin de se questionner quant à la campagne de
vaccination visant justement à réduire la population mondiale, car...
« Prof. Perrone: pour le vaccin, on confond vitesse et précipitation.
Le
pire est que les premiers « vaccins » qu’on nous propose ne sont pas
des vaccins, mais des produits de thérapie génique. On va injecter
des acides nucléiques qui provoqueront la fabrication d’éléments du
virus par nos propres cellules. On ne connaît absolument pas les
conséquences de cette injection, car c’est une première chez l’homme.
Et si les cellules de certains « vaccinés » fabriquaient trop
d’éléments viraux, entraînant des réactions incontrôlables dans notre
corps ?
…
Je suis d’autant plus horrifié que j’ai toujours été en faveur des
vaccins et que j’ai présidé pendant des années des instances élaborant
la politique vaccinale. » (benoit-et-moi.fr).
Ce nouvel ordre grâce au chaos (Ordo Ab Chaos) a un but bien précis :
Un paradis terrestre pour l’élite et un peuple esclave, réduit par rapport à la population actuelle.
Le
transhumanisme pour des capacités et une vie prolongée pour l’élite, et
un transhumanisme pour les sans dents qui permet de tracer leurs faits
et gestes.
Cette cité paradisiaque a déjà un nom : NEOM.
Planifiée à la limite de l’Arabie Saoudite et d’Israël.
La nouvelle « Jérusalem céleste » temporelle.
Un site musulman francophone donne ici
une information pertinente quant au projet (remarquer bien l’image du
site, elle dit tout : du jardin d’Éden en passant par Moïse et le
veau d’or au transhumanisme : nouveau réseau de communication 5G,
Intelligence Artificielle, manipulation de l’ADN, énergie de l’atome.
Tout au service de l’humain divinisé… bâti sur la terre du Mont Sinaï ou du supposé Jardin d’Éden.
Satan est bel et bien le maître de l’inversion.
Tout est prêt pour la bête, le dragon apocalyptique… À l’horizon 2030.
La bête de la Terre, Macron, ne nous avait-il pas averti le 14 avril 2020.
« La rédactrice en chef du FT (Financial Times)pose une question concernant le coronavirus :
«
Est-ce que vous avez jamais imaginé que vous seriez dans une
situation (confinement Covid-19), que vous devriez gérer une crise
pareille ? Et qu’est-ce qu’elle change en vous mais aussi dans la façon
d’être président ? »
Emmanuel Macron:
«
Écoutez, d’abord je ne m’étais rien imaginé parce que je m’en suis
toujours remis au destin. Et au fond c’est la chose la plus simple à
faire. Et ensuite il faut être disponible pour le destin. Moi je
suis dans un état de disponibilité pour agir. (….) Je crois
que notre génération doit savoir que la bête de l’évènement est là et
elle arrive, qu’il s’agisse du terrorisme, de cette grande pandémie ou
d’autres chocs. Il faut la combattre quand elle arrive avec ce qu’elle
a de profondément inattendu, implacable. Il faut le faire en restant
conforme à ces principes et ne rien céder mais en
étant, disponible à l’événement et pour qu’advienne quelque chose
de nouveau, c’est aussi ça. »
« Je
pense que ces moments-là sont ceux qui nous permettent aussi
d’inventer, peut-être, quelque chose de nouveau pour notre
humanité. (….) Je suis dans cet état d’esprit-là. Prêt à me
battre et à essayer à la fois de porter ce en quoi je crois et d’avoir
cette part de disponibilité pour essayer de comprendre ce qui
paraissait impensable. Et il faut avoir cette part de disponibilité, y
compris intellectuelle, je dirai personnelle aussi — sensible
pour accepter l’événement tel qu’il arrive et ne pas le
mettre dans une catégorie tout de suite parce que je pense que nos
peuples le vivent aussi très profondément et nous sommes tous en train
de le vivre comme ça donc il faut accepter que ça nous change.
Sans pouvoir tout dire sur ce que ça change en nous. »
Le projet de la bête, c’est la grande réinitialisation, le 666, le chiffre de la bête…
Annoncé avant la conférence de
presse officielle du 3 juin 2020 avec Klaus Swab et le Prince Charles,
et annoncé même bien avant.
« Les cris et les barrières de la contestation se lèvent, mais déjà la Bête sort de l'eau. » confirme la prophétie de Jean XXIII.
Comme résumé de la grande réinitialisation, rien de mieux que la dernière vidéo d’égalité et réconciliation (preuves à l’appui; ils auraient pu ajouter « Great Reset et Vatican » et tout aurait été complet).
Aussi, la dernière entrevue radiophonique de Pierre Hillard sur la grande réinitialisation : le fonds est religieux! (egaliteetreconciliation.fr).
Les
élites déifiés au sommet de la pyramide (et les goïm tous heureux de
voir leurs dettes effacées ainsi que de se voir verser un revenu
universel) peuvent voguer très longtemps avec un tel système si tous se
contentent ainsi.
Mais ils oublient que c'est une lutte spirituelle et non temporelle qui se jouent présentement.
Dieu,
la Sainte Vierge et NSJC arrêteront cette folie, surtout devant la
menace de l’arrêt du sacrifice perpétuel qui est prévue par la messe
universelle œcuménique.
C'est la limite du « temps de la miséricorde » accordé par NSJC.
Car le but ultime de se défaire à tout prix de la notion du Verbe incarné, du Christ Sauveur, Dieu fait Homme, n’arrivera point.
Car
dans ce système « Agenda 2030 » prévu, car c'est bien l'objectif visé,
rappelons qu’il n'y a aucun élément de spiritualité évoqué dans ce plan
des Nations-Unies.
Tout est d’ordre moral, basé sur la fraternité et sur les droits de l’homme.
Et
comme M. Soral l'explique dans la vidéo ci-haut, il faut leur bien une
morale au-dessus de l'économie mondiale, et nous, nous le savons, c'est
le culte de Satan.
Cet « Agenda 2030 » a ses ramifications partout, et ses adeptes ne se cachent pas.
Des exemples précis :
- l’Agenda 2030 adopté à l’automne 2020 par le Gouvernement du Canada :
- l’Agenda 2030 en France
- L’Agenda 2030 adopté par le Vatican
Cela inclut également des organismes de philanthropie :
« Consortium Accélérer 2030 pour le Québec…
La crise représente un moment unique pour redéfinir notre modèle.
Le
Consortium Accélérer 2030 pour le Québec propose une approche
collective d’actions coordonnées, laquelle est basée sur l’innovation
et le partage des bénéfices. Son objectif: accélérer l’adoption du
cadre de mesure des ODD afin de procurer une vue d’ensemble des besoins
et des solutions dans la transition durable du Québec… » (pfr.ca).
Le directeur nationale de la
santé publique au Québec porte religieusement sur son veston
l’épinglette de l’Agenda 2030 lors des conférences de presse
quotidienne sur la mise au point de la pandémie (lapresse.ca).
L’Agenda 2030, pour lequel la communauté internationale s’est réunie
« affirmant sa volonté d’éradiquer la pauvreté sous toutes ses
formes et dans toutes ses dimensions et de faire en sorte que tous les
enfants, femmes et hommes du monde entier disposent des conditions
nécessaires pour vivre dans une liberté et une dignité
véritables », repose sur cette approche intégrale.
Le
bien de la personne humaine est lié au respect des droits de l’homme
universels et de la dignité humaine. On ne saurait donc surestimer
l’importance de la promotion et de la protection des droits
fondamentaux de l’homme dans la lutte pour l’éradication de la pauvreté
et la promotion d’un développement humain intégral. Cependant, il est
inutile pour l’Assemblée générale que des sujets fassent double emploi
dans différentes commissions ou que des questions controversées qui
empêchent les progrès d’une commission soient introduites dans d’autres
commissions ou forums, avec le même résultat prévisible. Par
conséquent, les considérations spécifiques sur les droits de l’homme et
les libertés fondamentales, y compris la signification du terme
« droits », font partie des discussions de la Troisième
Commission. » (fr.zenith.org).
L’aumônier
des Nations-Unies, on le sait, est l’acteur principal de ce mouvement
maçonnique : immigration, fraternité universelle, lutte contre la
pauvreté (alors que l’élite s’est enrichi de plus de 20% avec la
pandémie), élimination du péché, nivellement horizontal de la doctrine
de l’Église, etc.
« SUPER EX S'INTERROGE: LA FRATERNITÉ INDIQUÉE PAR BERGOGLIO, EST-CE LA FRATERNITÉ CHRÉTIENNE, OU LA MAÇONNIQUE?
...
Parce que le chaos s’est installé au Vatican avec l’abomination sur le
trône qui mise sur la théorie de la libération (i.e. communisme) pour
faire aboutir son plan, une Babel soumise à son Dieu unique, Satan.
«
...Ayant mis de côté les valeurs fondatrices, la Foi, l’Église, le
pays... Bergoglio, propose une fraternité de type communiste,
maçonnique, qui n'est rien d'autre que le royaume du chaos et de la
division: une Babel de religions, églises, langues, coutumes, non pas
différentes, mais conflictuelles !.. » (benoit-et-moi.fr).
Paix à son âme.
Ce Vicaire du Christ qui ne l’est plus par renonciation du titre, a bel et bien indiqué de quel côté de la clôture il se situe.
Pour le chrétien fidèle à la Loi et aux Prophète, c’est l’heure du choix!
«
… Dans la pratique, l’Église dirigée par le pape François, suivi par la
majorité des évêques, a adopté le programme des Nations-Unies, par
exemple en encourageant l’immigration et la censure subséquente des
pays et des gouvernements qui cherchent à la réguler ou à l’empêcher.
Elle insiste ensuite sur le changement climatique, qui nécessiterait un
soin extraordinaire pour la planète, appelée dans les cercles papaux
« mère terre ». De même, la « fraternité
universelle », objectif recherché depuis des siècles par des
sociétés agnostiques et particulièrement anti-catholiques comme la
franc-maçonnerie, est aujourd’hui ouvertement proclamée par le Vicaire
du Christ lui-même, par exemple dans la Déclaration d’Abou Dhabi de
2019 ou dans sa vidéo de janvier 2021…
Ces
exemples suffisent à montrer qu’il n’est pas exagéré ou fantaisiste de
considérer que le pape François occupe une sorte d’aumônerie de l’ONU
en tant que chef religieux de haut rang qui bénit et légitime les
initiatives mondialistes de cet organisme...» (benoit-et-moi.fr).
« La première [interprétation]
soutient qu’une laïcité qui n’est pas laïcisme n’est pas possible. Le
compromis libéral, étant un compromis, est non seulement destiné à
échouer mais aussi à se radicaliser dans un sens
anti-chrétien. Une fois établi le principe selon lequel la société
a un besoin indirect de religion (« l’État a besoin de présupposés
qu’il ne peut se donner à lui-même », disait Bökenförde), elle
finit par ne plus en avoir besoin du tout. En ce sens, le pontificat du
pape François dissipe un malentendu et, de ce point de vue, la remarque
de Galli della Loggia en défense de ce compromis semble naïvement
nostalgique.
Passons
donc à la deuxième version : le compromis entre religion et politique
doit être surmonté dans l’indifférence des rapports entre les deux.
L’Église collabore avec tous, même avec l’ONU, qui veut l’avortement
universel dans ses objectifs pour 2030. Cela semble être la position de
François, qui n’est compréhensible qu’avec l’accentuation du
christianisme en tant que praxis de miséricorde (générique)
au détriment de son évaluation en termes de doctrine. En effet, la
doctrine n’est pas seulement remise entre les mains des conférences
épiscopales, mais aussi entre celles des différents dicastères du
Vatican, la Congrégation pour la Doctrine de la Foi disant une chose et
l’Académie Pontificale pour la Vie une autre. » (benoit-et-moi.fr).
Rappelons encore une fois cette association avec cet organisme mené par Lyne Forester de Rothschild :
«
L’initiative mondialiste, appelée « Le Conseil pour le capitalisme
inclusif avec le Vatican » (The Council for Inclusive Capitalism
with the Vatican), se présente comme une organisation pro-capitaliste
qui vise à créer « des économies et des sociétés plus fortes, plus
justes et plus collaboratives ». Le groupe d’élite, qui s’appelle
pompeusement « Les Gardiens » (The Guardians), se qualifie lui-même
de « collaboration historique de PDG et de dirigeants mondiaux
travaillant avec la direction morale du pape François pour exploiter le
pouvoir des affaires pour de bon », indique le site internet. » (inclusivecapitalism.com).
Cette élite judéo-maçonnique
ose avancer qu’ils sont nos « gardiens », ce qui sans équivoque prouve
un clivage entre deux castes, une dominante, l’autre esclave.
«
Pensez à la façon dont les étoiles se sont alignées pour le sommet
Davos-Assise, à l’Alliance mondiale du « Conseil pour un
capitalisme inclusif », à l’alliance avec l’UNESCO pour le Pacte
mondial sur l’éducation. Cette surprenante et fantastique stratégie de
dialogue et de réconciliation est à la fois fascinante et
curieuse. »
Pas pour ceux qui savent que Satan existe bel et bien et qu’il manigance pour arriver à être adoré à la place du Christ Roi.
Babel II n’attend que sa chute et sa destruction.
Le Temps est Proche.
01 janvier 2021
Les deux volets de L’Apocalypse
Les persécutions contre les chrétiens représentent le premier volet de l’Apocalypse.
Elles sont présentes au niveau psychologique pour certains alors que pour d’autres elles sont vraiment de l’ordre physique.
C’est
un combat ultime mené par Satan, depuis les 100 ans accordés par NSJC
selon le témoignage du pape Léon XIII (1917 + 100 ans), avec l’infiltration de la
franc-maçonnerie jusqu’à la victoire ultime ou presque via le concile
Vatican II, pendant plus de 60 ans maintenant.
« J’appris que Lucifer doit être déchaîné pour un temps, cinquante ou soixante ans avant l’an 2000 du Christ, si je ne me trompe. » Anne Catherine Emmerich
Or,
si on calcule que le malin s’est infiltré dans l’Église depuis
l’élection de Jean XXIII en 1958, nous arrivons autour de
2018, ce qui confirme la période des persécutions comme étant presque à
sa fin pour les fidèles à la Foi et aux Prophètes.
Jean
XXIII confirme dans la prophétie politique du « Livre Maudit » le même
laps de temps quant aux persécutions physiques infligées aux chrétiens
d’Orient surtout, et un peu partout dans le monde avec le terrorisme.
Un temps qui achève donc.
C’est ainsi.
Dieu utilise le démon pour séparer le bon grain de l’ivraie, pour le test ultime afin de se convertir et sauver son âme.
Le
deuxième volet de l’Apocalypse est la chute de Babylone la grande, ou
selon Jean XXIII, les deux Babylone (Vatican et Nations-Unies), c’est à
dire l’éradication des méchants sur Terre.
Cette
situation arrive lorsque le peuple fidèle de Dieu sera dans un péril
extrême et que sans cette intervention de Notre Divine Mère et de Notre
Seigneur, même les élus seraient emportés en enfer.
Car il s’agit bien de la mort des âmes ici.
L’Apocalypse les représentent par le chiffre 144000, chiffre symbolique évidement.
Par
le système antichristique existant (dont l’ultime aboutissement est la
grande réinitialisation), lié à la pandémie par l’interdiction ou
presque du sacrifice perpétuel, nous pouvons affirmer que l’heure est
proche.
Juste
par l’âge de Benoît XVI, le katéchon, nous pouvons affirmer que le jour
de cette chute est plus proche qu’éloignée, ce que confirme la
prophétie de Jean XXIII le concernant.
Donc,
ce qui approche avec cette chute de Babylone, ce sont les persécutions
contre la religion humaniste (hors de l’Église, point de Salut) et non
une persécution ultime contre les fidèles à la Loi et aux Prophètes,
car à la manière de Noé, ils seront protégés par l’Arche Marie, par le Rosaire (toujours en termes de protection de l’âme, ce
n’est pas la mort physique qu’il faut craindre).
C’est
donc l’annonce définitive de la libération du peuple élu sous le règne
définitif et sans partage de NSJC dans toute sa Gloire qui se profile à
l’horizon, un règne qui arrivera aussi vite que l’éclair.
«
Car, comme l'éclair part de l'orient et brille jusqu'à l'occident,
ainsi en sera-t-il de l'avènement du Fils de l'homme. » Matthieu 24
« Attendez le signe de Jean.
L'agneau est prêt. Signez-vous sept fois avec une main fatiguée et
attendez. La lumière vient encore de l'Occident. » (prophétie de l’église
#11 de Jean XXIII, le 7ème sceau).
C’est
donc pour les chrétiens fidèles à la Loi et aux Prophètes la
réalisation d’une promesse qu’ils ont gardée soigneusement dans leur
cœur.
C’est
un événement heureux, indescriptible, qui n’est perçu qu’à travers les
yeux de la Foi, surtout en ces temps brumeux et difficiles.
Évidement,
la justice de Dieu, qui existe encore malgré ce que veut nous faire
croire Bergoglio avec son rappel incessant de la miséricorde infinie à nos
oreilles, va châtier les nations impies, idolâtres et apostates pour
certaines.
Ce grand triomphe vu par Anne Catherine Emmerich comme « une grande fête dans l’Église qui, après la victoire remportée, rayonnait comme un soleil.
Je vis un nouveau Pape très austère et très énergique.
Je vis avant le commencement de la fête, beaucoup d'évêques et de pasteurs chassés par lui parce qu'ils étaient mauvais.
Je vis alors tout près d'être exaucée, la prière «QUE TON REGNE VIENNE».
(note : ce qui confirme la dernière prophétie de l’Église de Jean XXIII).
«Il
me fut dit que cela se rapportait à l'Apocalypse de saint Jean, sur
laquelle diverses personnes dans l’Église doivent recevoir des lumières
et cette lumière tombera tout entière sur l’Église.
Pendant
que le combat s'achevait sur la terre, l'église et l'ange, qui disparut
bientôt, étaient devenus blancs et lumineux. La croix aussi s'évanouit
et à sa place se tenait debout sur l'église une grande femme brillante
de lumière qui étendait au loin au-dessus d'elle son manteau d'or
rayonnant» . (Note : l’Arche de notre protection, Marie).
« Pourtant
l’Église traditionnelle (toute imparfaite et obscurcie qu’elle soit,
pour ne point savoir la lumière qui l’attend) était comme un arbre
plein de sève en comparaison de l’autre qui ressemblait à un coffre
plein d’objets inanimés. Je vis que beaucoup des instruments qui
étaient dans la nouvelle église, comme par exemple des flèches et des
dards, n’étaient rassemblés que pour être employés contre l’église
vivante. »
Voilà.
L’Église traditionnelle est le bourgeon de cette église qui renaîtra de ses cendres.
C’est l’église de Philadelphie (Apocalypse, 3).
« Ecris encore à l'ange de
l'Eglise de Philadelphie : Voici ce que dit le saint, le
Véritable, Celui qui a la clef de David, Celui qui ouvre et personne ne
ferme, qui ferme et personne n'ouvre :
Je
connais tes œuvres. Voici que j'ai mis devant toi une porte ouverte,
que personne ne peut fermer, parce que tu as peu de puissance, que tu
as gardé ma parole et que tu n'as point renié mon nom. »
Cette
porte ouverte qu’on le peut plus fermer est l’église de la tradition,
depuis le motu proprio de 2007 de Benoît XVI levant l’ex-communion de
la FSSPX, tout en réintégrant le rite tridentin pouvant être célébrer
un peu plus tard.
«
Voici que je te donne quelques-uns de la synagogue de Satan, qui se
disent Juifs, et ne le sont point, mais ils mentent ; voici, je
les ferai venir se prosterner à tes pieds, et ils connaîtront que je
t'ai aimé. »
C’est ici l’église conciliaire, qui se dit catholique mais qu’il ne l’est plus.
«
Parce que tu as gardé ma parole sur la patience, moi aussi je te
garderai de l'heure de l'épreuve qui va venir sur le monde entier, pour
éprouver les habitants de la terre.
Voici que je viens bientôt : tiens ferme ce que tu as, afin que personne ne ravisse ta couronne. »
Ce qui confirme que ceux fidèles à la Loi et aux Prophètes sont sous la protection de l’Arche Marie.
Il en est ainsi.
Que cette année 2021 soit une Sainte Année pour tous ceux qui veulent entrer au Royaume des Cieux.
Il ne reste plus beaucoup de temps de conversion.
L’Heure est proche.
La Passion de l’Église achève.
Les justes seront appelés pour aider à la moisson.
Décembre 2020
28 décembre
Le faux prophète et le mystère d’iniquité.
Mgr
Vigano, qui n’est pas dupe face au mystère d’iniquité qui se manifeste
durant le pontificat de Bergoglio, choisit quand même d’être subtil au
lieu de faire surgir la vérité pour de bon, mais il confirme tout de
même que nous sommes en présence de Bergoglio l’imposteur et que ce
dernier n’a aucune autorité.
Ce qui confirme que selon les prophéties de l’église de Jean XXIII, l’Église est veuve parce qu’elle n’a plus de père.
Par
contre il met au futur la « prédication du Faux Prophète », alors que
nous savons bien que la bête de la mer, le faux prophète, l’Antéchrist
personnifié du système antichristique actuel, est bel et bien Bergoglio.
Ce qu’il se refuse donc de pointer directement.
Mais
il confirme bien que nous sommes dans la période tout près du «
Précurseur » qui fera la dernière persécution contre la Sainte Église,
ce que Jean XXIII a défini comme « Le grand frère d'Orient fera trembler le monde par la croix renversée sans les lis. »
« Mgr. Viganò: Nous assistons à une « répétition générale pour l’établissement du royaume de l’Antéchrist »
23 décembre 2020 ( LifeSiteNews
) – L’archevêque Carlo Maria Viganò, dans une nouvelle interview avec
LifeSite, commente le rapport de LifeSite selon lequel depuis le
premier verrouillage du coronavirus en mars, le pape François n’utilise
plus l’autel papal de la basilique Saint-Pierre pour son public Messes,
un autel qui est situé au sommet du tombeau de Saint-Pierre. Au lieu de
cela, le pape utilise un autre autel à la basilique. Pour Viganò, cet
acte papal est symbolique à la lumière du fait que le pape François
lui-même a ordonné lors de la messe de clôture du synode amazonien
d’octobre 2019 qu’un bol de plantes dédié à la fausse déesse Pachamama
soit placé sur cet autel très papal à Saint-Pierre. . Peu de temps
après cet acte, le Pape a également décidé qu’il n’utiliserait plus le
titre de «Vicaire du Christ» dans l’Annuaire du Vatican 2020.
Le prélat italien trouve ici des mots forts sur les récents développements à Saint-Pierre et au Vatican.
«À
mon avis», écrit Viganò, «ce dont nous sommes témoins représente la
répétition générale pour l’établissement du royaume de l’Antéchrist,
qui sera précédée par la prédication du Faux Prophète, le Précurseur de
celui qui exécutera la persécution finale contre l’Église avant la
victoire définitive et écrasante de Notre-Seigneur.»
Le
prélat italien compare la mise en place d’un bol de Pachamama sur
l’autel avec l’intronisation de la «Déesse Raison» à la cathédrale
Notre-Dame de Paris pendant la Terreur de la Révolution française en
1793. Cependant, il explique, cette fois, la profanation d’un l’autel
venait de l’intérieur, commis par les plus hauts niveaux de la
hiérarchie. «L’Église bergoglienne se donne une image de plus en plus
déconcertante, dans laquelle la négation des vérités catholiques
s’accompagne de l’affirmation explicite d’une idéologie intrinsèquement
anti-catholique et antichristique, dans laquelle le culte idolâtre des
divinités païennes – c’est-à-dire des démons – n’est plus caché, qui
apaise la colère des dieux par des actes sacrilèges et des profanations
de choses saintes.
Il
poursuit en disant que cette « présence d’une idole de la« terre mère »
est une offense directe contre Dieu et la Très Sainte Vierge» et «un
signe tangible qui explique en un certain sens les nombreuses
déclarations irrévérencieuses de Bergoglio à l’égard de la Sainte Mère.
»
Ici, l’archevêque italien voit
un lien avec les avertissements de Notre-Dame de Salette du XIXe
siècle. Pour lui, il n’est pas étonnant que «ceux qui veulent démolir
l’Église du Christ et la papauté romaine le fassent du plus haut trône,
selon la prophétie de Notre-Dame à La Salette:« Rome perdra la foi et
deviendra le siège de l’Antéchrist. »
Conformément
à cette augmentation des actes sacrilèges – Viganò mentionne ici aussi
la crèche laide et occultiste de la place Saint-Pierre – le pape
François ne souhaite plus porter le nom de «Vicaire du Christ», et il
n’a pas non plus, depuis des mois, procéder avec une messe publique
télévisée de sa chapelle privée à sa résidence de Sainte Marthe.
Commentant
le fait que le pape François a retiré de son entrée dans l’Annuaire du
Vatican 2020 le titre de «Vicaire du Christ» – il l’a simplement placé
à la fin de son entrée, sous «titres historiques» – Viganò déclare que
«quiconque refuse d’être appelé Vicaire du Christ a apparemment
l’impression que ce titre ne lui convient pas, ou même regarde avec
mépris la possibilité d’être le Vicaire de Celui, qui, par ses paroles
et ses actes, Bergoglio démontre qu’il ne veut pas reconnaître et
adorer comme Dieu. »
Tous
ces actes papaux pris ensemble sont considérés par l’archevêque Viganò
comme un développement vers l’apostasie et le sacrilège, c’est-à-dire
le culte des démons. Et pour lui, ce développement a son début au
Concile Vatican II. «Je crois», explique-t-il, «que les prémisses qui
ont été posées jusqu’à présent – qui remontent en grande partie à
Vatican II, mais aussi à des événements ultérieurs tels que la Réunion
de prière interreligieuse à Assise – conduiront inexorablement à une
voie toujours plus explicite vers une «profession d’apostasie» par les
dirigeants de l’Église bergoglienne.
Mais
Mgr Viganò nous donne aussi encouragement et force. Il rappelle que
«l’Église n’appartient pas au Pape, et encore moins appartient-elle à
une clique d’hérétiques et de fornicateurs qui ont réussi à arriver au
pouvoir par tromperie et fraude». Il continue, en disant:
Par conséquent, nous devons
unir notre foi surnaturelle à l’action constante de Dieu au milieu de
son peuple avec une œuvre de résistance, comme le conseillent les Pères
de l’Église: les catholiques ont le devoir de s’opposer à l’infidélité
de leurs bergers, car le l’obéissance qu’ils leur doivent vise la
gloire de Dieu et le salut des âmes. Nous dénonçons donc tout ce qui
représente une trahison de la mission des bergers, implorant le
Seigneur de raccourcir ces temps d’épreuve. Et si un jour Bergoglio
nous dit que, pour rester en communion avec lui, nous devons accomplir
un acte qui offense Dieu, nous aurons une nouvelle confirmation qu’il
est un imposteur, et qu’en tant que tel il n’a aucune autorité.
L’archevêque espère que cette
crise de l’Église ouvrira les yeux de beaucoup de catholiques tièdes.
Il espère que cela «nous permettra de voir que là où le Christ-Roi ne
règne pas, la tyrannie de Satan est inévitablement établie; là où la
grâce ne règne pas, le péché et le vice se répandent; là où la vérité
n’est pas aimée, les gens finissent par embrasser l’erreur et
l’hérésie. Peut-être, espère-t-il, que cette crise fera réaliser à de
nombreuses personnes qui ont du mal à adorer Dieu «peut-être qu’elles
peuvent maintenant comprendre que sans Dieu, notre vie devient un enfer.
L’archevêque
Viganò conclut cet entretien par ces paroles pleines d’espoir: «Et
prions pour que nous voyions le jour où un Pape reviendra célébrer le
Saint Sacrifice sur l’autel de la Confession de Saint Pierre, dans le
rite que Notre-Seigneur a enseigné à la Apôtres et qu’ils ont transmis
intacts à travers les siècles. Ce sera également un symbole de la
restauration de la papauté et de l’Église du Christ. »
Comme
mentionné dans les dernières analyses, le mystère d’iniquité se révèle
tranquillement dans la présence d’un pape faux prophète qui mêlant
cachotterie, hypocrisie et mensonge, finit par croire lui-même que
c’est sa propre vérité et qu’il l’enseigne ainsi aux fidèles.
Nous
avons les exemples de ses théories sur le réchauffement climatique, sur
l’immigration, sur l’économie, la miséricorde infinie éliminant ainsi
le péché, etc. qui trouvent racines dans la théologie de la libération
importée d’Amérique du Sud.
Or,
dans son pays d’origine, l’Argentine, on connaît bien ce double visage,
d’où le fait que Bergoglio évite d’y voyager et même d’intervenir dans
des débats qui nécessiteraient l’appui tangible du Vatican.
« Avortement, le double jeu de François : le cas de l’Argentine.
Selon
Quarracino, même si le Pape François prononce des mots durs contre
l’avortement, il le fait de telle manière que ceux-ci ne trouvent pas
d’écho dans les grands médias, il ne subit donc pas une forme de
censure mais c’est plutôt lui qui s’adapte volontairement à ce silence.
Car
si le Pape voulait vraiment donner un plus grand impact à ses
déclarations publiques sur l’avortement, pourquoi ne les prononce-t-il
pas lors d’un Angélus dominical, ou au cours d’une grande audience
publique, comme il le fait pour ses plaidoyers vibrants en défense de
l’environnement ou des migrants, et pourquoi préfère-t-il les glisser
dans des lettres privées dont même l’Osservatore Romano ne signale pas
l’existence?.. » (benoit-et-moi.fr).
« … le Père José de Paola fait
savoir ce que Bergoglio lui a écrit sous forme privée: il affirme que
ce que le souverain pontife lui dit n’est pas la même chose que ce
qu’il exprime sous forme publique et officielle…
Quant
aux relations avec Madame Cristina Kirchner, il est peut-être vrai
qu’il n’a jamais eu de relation avec elle depuis qu’elle n’est plus
présidente, mais ce que ne dit pas Bergoglio c’est que c’est lui
qui a organisé personnellement en 2014 la rencontre et le lien avec le
sinistre George Soros, qui est le principal opérateur politique et
financier ces dernières années en Argentine de l’offensive
pro-avortement. C’est depuis cette époque que son exhortation
adressée aux Argentins qui lui rendaient visite, de « prendre soin
de Cristina » est devenue célèbre.
Prendre
soin de Cristina Kirchner (note : ex-prédidente) pour qu’elle soit
maintenant la principale instigatrice, au Sénat argentin, de
l’approbation de la loi génocidaire. C’est à elle qu’il doit
écrire officiellement et publiquement les concepts exprimés sous forme
privée. S’il ne le fait pas, alors nous serons en présence d’un montage
pour couvrir une complicité de fait, même si elle ressemble –
c’est tout ce qu’il y a pour le moment -, à une opposition complète.
Jusqu’à présent, c’est une opposition apparente, dissimulée sous des
formules théoriques.
Faire
des affaires avec les maîtres du Pouvoir Mondial, – les Rothschild, les
Rockefeller, la Fondation Ford, etc., ce n’est pas gratis. Ils vous
réclament le sang de ceux qui peuvent mettre en péril leur
« règne » mondialiste, tout comme Hérode. » (benoit-et-moi.fr).
« Le Pape dédoublé.
Le
mystère du pape Bergoglio et de son dédoublement. Il y a le Bergoglio
quotidien qui, comme l’écrit le théologien dem Vito Mancuso,
« tape quotidiennement sur la structure traditionnelle de
l’Église, tape sur les piliers de la tradition », et qui est donc
la coqueluche de tous les gauchistes, athées, radicaux,
verts, bobos, populistes et communistes de la planète. C’est le
Bergoglio qui parle toujours d’accueillir les migrants, fait un clin
d’œil aux musulmans, oublie les chrétiens persécutés et assassinés,
soutient les progressistes et les révolutionnaires, même radicaux et
laïques, s’oppose à ceux qui n’entrent pas dans son horizon
syndycalo-ong-écologiste, fait de l’œil aux unions gays, au féminisme,
au politiquement correct.
Mais
de temps en temps, de la porte latérale et arrière du Saint-Siège sort
un Bergoglio mineur, clandestin, méconnaissable par rapport au
précédent. Presque tout le monde fait semblant de ne pas le voir, de ne
pas l’entendre, y compris les traditionalistes, et lui, il dit les
choses plus comme pape que comme Bergoglio. Des salles secrètes du
Vatican sort le pape qui condamne sévèrement l’avortement et compare
même les médecins qui pratiquent l’avortement à des assassins,
réaffirmant que l’avortement équivaut à un meurtre. Les médias mettent
en sourdine ce Bergoglio, font semblant de ne pas l’avoir entendu, le
citent en passant et reprennent immédiatement le Bergoglio quotidien.
Mais le Pape caché insiste,
montre à nouveau le bout de son nez et défend, peut-être un peu à voix
basse, la vie, la naissance et la famille, celle naturelle et
traditionnelle ; il sympathise avec les mères argentines qui
manifestent dans les rues pour le droit à la vie. Mais dans les médias
et la communication, seul apparaît le Bergoglio favorable aux unions
homosexuelles, aligné sur l’esprit du temps, sur les batailles des
droits civils, sur les questions environnementales.
Et
encore. De la petite porte de la sacristie, à pas furtifs, émerge le
Pape, défendant le sens et la valeur de la crèche, utilisant à son
sujet des mots appropriés et désormais désuets, se référant aux
traditions chrétiennes, familiales et franciscaines les plus anciennes
et les plus vraies. Mais la lettre apostolique consacrée à l’Admirabile
signum, personne ne la cite, personne n’y prête attention ; de nombreux
prêtres de base continuent à demander de ne pas faire de crèche pour ne
pas heurter la sensibilité des enfants athées ou des enfants d’autres
religions ou de familles d’autres sortes. Et le récit officiel de
Bergoglio au Vatican nous montre la crèche
des aliens installée place Saint-Pierre, dans la série
« Chrétiens sur Mars » ; un outrage à la création et à la
tradition franciscaine. « Horribilis comme l’année 2020″…. » (benoit-et-moi.fr).
C’est la même méthode qui est
appliquée par Bergoglio et le Vatican au niveau l’acceptation morale de
certains vaccins anti-covid développés à base de fœtus humains :
« Au Vatican aussi, on a
distribué un vaccin dont les essais ont nécessité l’utilisation de
lignes cellulaires issues de fœtus avortés. Hier encore, le président
de l’Académie pontificale pour la vie, Mgr Vincenzo Paglia (note : voir analyse du 8 décembre sur son interprétation de Noël 2020 et de sa fresque homo-érotique),
trinquait au Vaccination Day, parlant d' »une lumière qui
s’allume dans un tunnel qui était jusqu’à présent très sombre ».
C’est une campagne vacciniste dans laquelle il faut encadrer la
décision de ne pas vouloir démentir l’interprétation que tous les
médias ont donnée du document de la Congrégation pour la Doctrine de la
Foi, c’est-à-dire le revirement de l’Église qui accepte les vaccins
fabriqués à partir de cellules de fœtus avortés. Un choix très grave,
qui aura des répercussions dramatiques sur la défense de la vie…
Mais la chose est encore plus
grave si l’on tient compte du fait que plusieurs médicaments utilisant
des lignées cellulaires provenant d’autres fœtus avortés sont à l’étude
pour la recherche, et qu’il existe une forte pression pour libéraliser
la recherche sur les embryons (ce qui se produit déjà en
partie). Le message qui a émergé – en dehors de ce qui est
réellement écrit dans la Note – constitue donc le renversement de ce
que l’Église a toujours soutenu et un véritable désastre en ce qui
concerne la défense de la vie…
Hier, Vaccination
Day pour toute l’Union européenne, un triomphant Mgr Vincenzo
Paglia, président de l’Académie pontificale pour la vie, a parlé
d' »une lumière qui s’allume dans un tunnel jusqu’ici très
sombre » et d' »un jour historique qui met en évidence la
responsabilité de la science, de la politique, de la morale et de la
justice »… » (benoit-et-moi.fr).
Il
y a aussi cette dégradation de Sainte Famille exercée
constamment et qui prend de l’ampleur: Jésus n’est qu’un homme qui
a prêché la fraternité et l’amour universelle, la Sainte Vierge est une
métisse, elle reçoit un témoignage du bout des lèvres, en une visite
éclaire à la sauvette à la lueur du jour Place D’Espagne le 8 décembre
pour l’Immaculée Conception, crèches hideuses se succédant d’année en
année qui n’inspirent pas du tout mais abaissent avec des thèmes
propres aux enseignements de Bergoglio dont l’édition de 2017 en lien
avec les militants LGBT en Italie, etc.
« 22 décembre 2020 ( LifeSiteNews ) – L’ archevêque Carlo Maria Viganò a écrit la réflexion suivante sur la crèche de cette année sur la place Saint-Pierre...
Il
convient de rappeler que la crèche blasphématoire de cette année a été
précédée de celle tout aussi sacrilège de 2017, offerte au Vatican par
le sanctuaire de Montevergine, lieu de pèlerinage de la communauté
homosexuelle et transgenre italienne. Cette scène anti-nativité ,
«soigneusement planifiée et préméditée selon les diktats et la doctrine
du pape François», était censée dépeindre de prétendues œuvres de
miséricorde: un homme nu allongé sur le sol, un cadavre au bras
suspendu, la tête d’un prisonnier, un archange avec une guirlande de
fleurs arc-en-ciel, et la coupole de Saint-Pierre en ruines.
Des
tentatives similaires, dans lesquelles la Nativité est prise comme
prétexte pour légitimer des expériences très malheureuses, ont été le
tourment de nombreux fidèles, contraints de supporter les extravagances
du clergé et leur soif d’innovation à tout prix, la volonté délibérée
de profaner – au sens étymologique de rendre profane – précisément ce
qui est sacré, séparé du monde, mis à part pour le culte et la
vénération: crèches «œcuméniques» contenant d’improbables mosquées,
crèches «immigrantes» représentant la Sainte Famille sur un radeau, et
même des crèches faites de pommes de terre ou de ferraille.
…
Il s’agit plutôt de l’imposition arrogante du blasphème et du sacrilège
comme anti-théophanie de la laideur, l’attribut nécessaire du Malin.
...
Et
tout comme la beauté de la liturgie catholique a été remplacée par un
rite qui n’excelle que dans la misère; de même que la sublime harmonie
du chant grégorien et de la musique sacrée a été bannie de nos églises
pour faire résonner en elles des rythmes tribaux et des musiques
profanes; de même que la perfection universelle de la langue sacrée a
été balayée par le Babel des langues vernaculaires; ainsi l’impulsion
de vénération populaire et ancienne imaginée par saint François a été
frustrée, afin de la défigurer dans sa simplicité et de dépouiller son
âme.
La répulsion instinctive que
suscite cette crèche et la veine sacrilège qu’elle révèle en fait un
parfait symbole de l’Église bergoglienne, et peut-être précisément dans
cette ostentation d’irrévérence effrontée envers une tradition
séculaire si chère aux fidèles et aux petits , il est possible de
comprendre l’état des âmes qui l’ont voulu là, sous l’obélisque, comme
un acte de défi à la fois contre le Ciel et contre le peuple de Dieu:
des âmes sans Grâce, sans Foi et sans Charité.
...
Disons-le
simplement clairement: cette chose n’est pas une crèche, car si c’était
le cas, elle représenterait le sublime Mystère de l’Incarnation et de
la Naissance du Fils de Dieu secundum carnem, l’admiration adorante des
bergers et des mages, l’amour infini de la Très Sainte Marie pour le
Divin Infant, et l’étonnement de la création et des anges. En bref, il
représenterait l’état de notre âme alors qu’il contemple
l’accomplissement des prophéties, notre enchantement de voir le Fils de
Dieu dans la crèche, notre indignité pour la Miséricorde rédemptrice.
Au lieu de cela, on prend conscience, de manière significative, du
mépris de la piété populaire, du rejet d’un modèle éternel qui rappelle
l’immuabilité éternelle de la vérité divine, et de l’insensibilité des
âmes arides et mortes devant la majesté du roi infantile et le genou
plié du Magi. On prend conscience de la grisaille sombre de la mort, de
la sombre asepticité de la machine, des ténèbres de la damnation et de
la haine jalouse d’Hérode qui voit son propre pouvoir menacé par la
Lumière salvifique du Roi Infant.
Encore
une fois, nous devons être reconnaissants au Seigneur même dans cette
épreuve, une épreuve qui semble avoir un impact moindre mais qui est
toujours compatible avec les plus grandes tribulations que nous
traversons, car elle aide à enlever les yeux bandés de nos yeux. Cette
monstruosité irrévérencieuse est la marque de la religion universelle
du transhumanisme espérée par le Nouvel Ordre Mondial; c’est
l’expression de l’apostasie, de l’immoralité et du vice – de la laideur
érigée en modèle. Et tout comme tout ce qui est construit par les mains
de l’homme sans la bénédiction de Dieu, en effet contre Lui, il est
destiné à périr, à disparaître et à s’effondrer. Et cela ne se produira
pas parce que quelqu’un d’autre arrivera au pouvoir qui a simplement
des goûts et des sensibilités différents, mais parce que la Beauté est
la servante nécessaire de la Vérité et de la Bonté, tout comme la
laideur est le compagnon du mensonge et de la méchanceté.
+ Carlo Maria Viganò, archevêque
23 décembre 2020 »
Et
continuant du même élan, Bergoglio aux deux visages, spécialiste de
l’ambiguïté, convoque hier une année “Famille Amoris Laetitia”
démarrant le 19 mars prochain, fête de Saint-Joseph.
Il
démontre ainsi une volonté de rendre hommage à la Sainte Famille, à
Saint-Joseph, mais de l’autre main, il détruit et rabaisse en liant
cette « fête » à son exhortation controversée « Amoris Laetitia ».
N’oublions
pas que quatre cardinaux (dont deux sont décédés depuis) ont mit au
défi le pape avec les « dubia de novembre 2016 » concernant les
ambiguités d’« Amoris Laetitia ».
Ils n’ont toujours pas obtenu de réponse…
Et que confirme Bergoglio en déclarant cette « année familiale »?
«
… Aussi, cette année sera-t-elle l’occasion «d’approfondir le contenu
de ce document», a annoncé le Saint-Père au cours de l’Angélus… » (vaticannews.va).
Voilà.
Il
frappe de nouveau à l’occasion du 5ème anniversaire de son exhortation
pour confirmer que cette « année familiale » en sera une de destruction
de la famille pour la mouler au bon vouloir de la « grandr
réinitialisation » et de l’Agenda 2030 : une famille fraternelle,
incluant le contre-nature.
26 décembre
La bête Vatican marche main dans la main avec la bête Nations-Unies dans la préparation de la grande réinitialisation: après le pacte mondial sur l’éducation de Bergoglio du 15 octobre dernier, sa concrétisation :
«
L’ex-secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon, l’économiste
Jeffrey Sachs et le directeur général de l’UNESCO figurent parmi les
orateurs du lancement, peu médiatisé, d’une collaboration entre le
Vatican et les Nations unies visant à éduquer le monde à des modes de
vie durables, à l’égalité de genre et à une culture de paix et de
non-violence…
Le
symposium Vatican des jeunes, des 16 et 17 décembre, organisé par
l’Académie pontificale des sciences, sert de lancement à une
collaboration entre l’initiative du pape François Global Compact
on Education, qui appelle à un nouvel humanisme basé sur un changement
de pensée mondial, et Mission 4.7, un groupe consultatif de
leaders civils et politiques soutenu par les Nations unies qui vise à
atteindre l’objectif éducatif (numéro 4.7) des Objectifs de
développement durable ( Sustainable Development Goals , SDG)
des Nations unies » (benoit-et-moi.fr).
C’est
en plein dans la lignée des architectes du nouvel ordre mondial qui ont
par la suite été suivis par cette élite qui concrétise en 2020 cette
utopie, sans Dieu.
Citons
HG Wells, bien connu pour son roman de science fiction « la guerre des
mondes », mais bien moins connu pour « La conspiration au grand
jour : un schéma pour une Révolution Mondiale (Open
Conspiracy : Blueprint for a World Revolution) (1928).
Ce
plan directeur pour le prochain siècle ( en référence ici à l’Agenda
2030 des Nations-Unies) expliquait la grande stratégie quant à
l’implantation de la nouvelle religion mondiale et du nouvel ordre
social.
Vous
reconnaîtrez ici facilement les prémices de la « Grande
Réinitialisation » d’aujourd’hui ou la 4ème révolution industrielle
poussée par les Klaus Swabs, Bill Gates, Henry Kissinger, George Soros,
etc., ainsi que la direction que l’église conciliaire a prise en
accéléré sous le pontificat de François.
Wells
souligne dans son bouquin la nécessité d'un nouvel évangile
scientifique, d’une nouvelle foi qui doit incarner des formules et des
organisations reliées aux affaires humaines dans leur ensemble, afin de
remplacer les religions judéo-chrétiennes du monde occidental.
Car nous le savons, l’ennemi à abattre, c’est la chrétienté.
Le
nouvel évangile pour la « nouvelle religion synthétique cohérente » de
Wells ( composé d’une série de 3 livres : « L'Esquisse de
l' histoire » (nouveau livre de la Genèse), la « Science de
la Vie » (co-écrit avec Julian Huxley, petit-fils de l’eugéniste Thomas
Huxley, et dont le frère, Aldous, est connu pour son livre « Le
Meilleur des Mondes »), et « Le Travail, La Richesse et Le Bonheur de
l’Humanité », impliquait un reconditionnement du darwinisme en pleine
perte de vitesse, lié à la doctrine du prêtre jésuite bien connu,
Pierre Teilhard de Chardin sur « l’Homme Oméga ».
C’est
le monde de cette élite eugéniste moderne de 2020 en notre présence
(Jean XXIII spécifie bien dans ses prophéties politiques que «
Nuremberg » n’est pas terminé), de la sélection génétique et de
l’élimination des individus qui ne cadre pas dans le plan pré-défini.
C’est
le plan de réduction de la population (par manque de ressources
terrestres avec comme explication le réchauffement planétaire) avec la
grande prophétesse ou la « fille de Caïn » des prophéties de Jean
XXIII, Greta Thunberg.
On
en voit les fruits aujourd’hui avec la nouvelle religion de la
fraternité universelle, sans Dieu, via le paganisme pour brouiller les
cartes, c’est à dire le culte le l’humain déifié.
En 1940, dans le « Nouvel
Ordre Mondial », Wells insiste sur le fait que le «nouvel âge de la
fraternité» qui doit guider la nouvelle Organisation des Nations Unies
ne doit pas tolérer les États-nations souverains (ce qui fut inscrit
dans la Charte des Nations Unies ) mais doit plutôt être guidé par
sa caste d'ingénieurs sociaux (les élites judéo-maçoniques ) qui tirent
les leviers de production et de consommation dans un système de
«collectivisation» de masse, par la fraternisation de l’humain à
travers un contrôle commun.
C’est ce que Bergoglio prône effectivement.
«
Mais de ce Dieu qui est né à Bethléem, il ne reste qu’une trace ténue
dans la dernière encyclique de François « Fratelli tutti »,
au point que Salvatore Natoli, un philosophe réputé, y a plutôt
discerné l’image d’un Jésus qui n’est « rien d’autre qu’un homme », et
dont la noble mission a simplement été de montrer aux hommes que « dans
leur don réciproque, ils ont la possibilité des ‘dieux’ à la manière de
Spinoza : ‘homo homini deus’ ».
Le
silence total sur Dieu est tout aussi impressionnant dans
le message vidéo avec lequel François a lancé le
« Global Compact on Education », un plan ambitieux – et qu’il
a ensuite mis en œuvre en partenariat avec l’ONU – qu’il a
lui-même offert à « toutes les personnalités publiques » engagées au
niveau mondial dans le domaine de l’éducation, quelle que soit la
religion à laquelle ils appartiennent.
Dans ce plan, les mots d’ordre
sont tous exclusivement séculiers. La formule dominante est « nouvel
humanisme », avec son cortège de « maison commune », de « solidarité
universelle », de « fraternité », de « convergence », d’ « accueil »… »
(benoit-et-moi.fr)
Le mystère d’iniquité est déroutant pour le chrétien fidèle à la Loi et aux Prophètes.
«
Ces «éclairés» je les vois toujours dans un certain rapport avec la
venue de l’Antéchrist, car eux aussi, par leurs menées, coopèrent
l’accomplissement du mystère d’iniquité. » Anne Catherine Emmerich
Encore plus pour les tièdes
qui commencent à ouvrir les yeux, car comment concilier ces concepts
avec l’image de François qui célèbre la nativité du Christ en ce Noël
2020?
Comme si ce dernier avait deux visages pour mieux séduire.
Les apparences sont trompeuses.
« Tout
y est (dans cette fausse église) foncièrement mauvais ; c’est la
communion des profanes. Je ne puis dire combien tout ce qu’ils font est
abominable, pernicieux et vain.
Ils veulent être un seul corps en quelque autre chose que le Seigneur.
Il
s’est formé un corps, une communauté en dehors du corps de Jésus qui
est l’Église : une fausse église sans rédempteur, dont le mystère
est de n’avoir pas de mystère.
J’eus
une vision où je vis les autres dans la fausse église, édifice carré,
sans clocher, noir et sale, avec un comble élevé. Ils étaient en grande
intimité avec l’esprit qui y règne. Cette église est pleine
d’immondices, de vanités, de sottise et d’obscurité. Presque aucun
d’eux ne connaît les ténèbres au milieu desquelles il
travaille. Tout y est pur en apparence : ce n’est que du vide.
Elle
est pleine d’orgueil et de présomption, et avec cela destructrice et
conduisant au mal avec toute espèce de beaux dehors. Son danger
est dans son innocence apparente ». Anne Catherine Emmerich
Notez
encore une fois (avec en lien la dernière analyse) que la célébration
de Noël 2020 n’a pas eu lieu sur l’autel de Saint-Pierre, tout comme la
traditionnelle Urbi et Orbi, qui a eu lieu depuis la Salle des
Bénédictions (à cause des restrictions sanitaires!)
« Il
me fut aussi montré qu'il n'y a presque plus de chrétiens dans l'ancien
sens du mot, de même que tous les juifs qui existent encore aujourd'hui
sont de purs pharisiens. » Anne Catherine Emmerich
Elle confirme ici en ces
derniers temps que les fidèles à la Loi et aux Prophètes ne sont
représentés que par la Tradition, et que la clique judéo-maçonnique
domine (les pharisiens talmudistes).
ET elle nous confirme que Marie protège l’Église traditionnelle.
« Marie se tenait debout sur l'Église du côté du Nord et étendait son manteau pour la protéger. C'était
seulement le pavé (les fondations) et la partie postérieure
de l'Église (le chœur et l'autel), tout le reste avait été démoli
par la secte et par les serviteurs de l'Église eux-mêmes. »
« Quand
même il ne resterait qu'un seul chrétien catholique, l'Église pourrait
triompher de nouveau, car elle n'a pas son fondement dans
l'intelligence et les conseils des hommes. » Anne Catherine Emmerich
20 décembre
2020 fut une année où tout s’est accéléré, autant du côté de Babylone Vatican, que de Babylone Nations-Unies.
Elle
se termine sur une note intrigante : des chefs d’États qui se
mettent en quarantaine alors que la nouvelle d’une mutation du virus
qui se répand à une vitesse fulgurante en Grande-Bretagne fait le tour
du monde.
Toute
cette confusion engendrée intentionnellement par le système a pour but
de faire oublier que le Salut vient de Dieu et de son Divin Fils, pour
céder à la tentation de trouver les solutions dans le culte de l’humain
déifié.
Comme
on peut le constater, le fameux « vaccin » par exemple, prend de plus
en plus l’allure d’un « messie » humaniste tant attendu.
Ces
nouveaux repères sur « les « avancées sociales et sociétales,
et les attaques à la foi chrétienne qui se succèdent à un rythme de
plus en plus rapide, dans l’indifférence, quand ce n’est pas avec la
complicité de L’Église » efface tranquillement la mémoire chrétienne,
la religion, « religare » ce qui nous relit à notre Dieu, oubliant nos origines.
Ce qui n’est pas un problème pour une bonne partie de l’humanité non croyante.
Mais
pour la chrétienté catholique, c’est l’apostasie généralisée qui est
pratiquement atteinte, tel que prophétisé par les prophètes.
« La fenêtre d’Overton et l’Église.
…
la fenêtre d’Overton est un modèle sociologique, élaboré par un
sociologue américain qui lui a même donné son nom, pour lequel un
comportement, qui à un certain moment de l’histoire est considéré comme
impossible par la majorité des citoyens ou des peuples, peut être
transformé en un comportement légal et normalisé, transformant en même
temps cette majorité d’opposants en une minorité d’abord raillée, puis
réduite au silence, puis censurée et enfin persécutée.
Le résultat est obtenu en plusieurs étapes : impossible, possible, acceptable, raisonnable, populaire et enfin légal.
Le jeu a parfaitement réussi
avec le divorce, l’avortement, les unions homosexuelles. Et en ce qui
concerne le genre, nous y sommes presque : il est actuellement
dans la phase populaire, en attente d’être légalisé.
Normalement,
il faut environ dix ans pour arriver au résultat, mais si les fenêtres
sont reliées entre elles, comme celles évoquées plus haut, les temps
ont tendance à se réduire. Il ne nous échappe pas que dans notre cas,
l’enchaînement des fenêtres a pour but de déformer, voire d’éliminer,
le concept même de famille…
Le pontificat actuel, au lieu
de donner des signaux clairs, est extrêmement déroutant. Si quelqu’un
comme moi, un quidam de populo, une personne ordinaire, a compris
ce qui se passe, je me demande pourquoi mon Pasteur et ses hommes du
sommet font comme si de rien n’était.
Au contraire. Voilà même la
réforme du missel [qui fait beaucoup discuter en ce moment en Italie,
ndt], dans laquelle l’Esprit Saint devient « rosée » et le
Père ne nous induit pas mais nous abandonne à la
tentation, et où nous sommes appelés à préciser qu’en plus d’être
frères, nous sommes aussi sœurs. A quand les hybrides ?
Il semble que ce pape ait un
taux d’approbation très élevé, mais quelqu’un devrait m’expliquer
pourquoi cette popularité est inversement proportionnelle au nombre de
personnes qui assistent à la messe et s’approchent des sacrements.
Au début, j’ai dit que la
majorité, devenue minorité, est d’abord tournée en dérision, puis
réduite au silence, puis censurée et enfin persécutée, et c’est
exactement ce qui se passe. Pour l’instant, nous sommes encore dans la
phase de censure, mais nous approchons rapidement de la persécution. » (benoit-et-moi.fr)
Cette
phase de persécution, très bien détaillée d’ailleurs par le regretté
Serge Monast dans ses écrits (voir analyses précédentes), a commencé.
Le fait de ne plus avoir accès aux églises et aux sacrements relèvent déjà de ce constat.
Mais la grande
réinitialisation prévue apporterait son lot de problèmes pour le
chrétien fidèle à la tradition, qui deviendra alors l’égal d’un «
terroriste » empêchant le système d’arriver à ses fins.
D’ailleurs sur ce sujet,
«
Michelle Bachelet, ex-présidente du Chili, actuelle Haut Commissaire
des Nations Unies aux droits de l’homme (une sinécure très lucrative
accordée comme récompense pour sa fidélité à ses amitiés maçonniques)
s’exprimait devant la Grande Loge Chilienne. Elle a déclaré sans
ambages que la pandémie doit constituer un grand « reset » , à partir
duquel repartir de zéro sur la bases des « valeurs » maçonniques.
Dans
son discours à la Grande Loge maçonnique du Chili, Michelle Bachelet,
Haut Commissaire des Nations Unies aux droits de l’homme, a déclaré que
la pandémie doit ouvrir « une nouvelle ère basée sur un nouveau contrat
social ». Elle doit constituer un « reset », comme la Seconde Guerre
mondiale, à partir duquel reconstruire à partir de zéro. Et sur la base
des valeurs maçonniques de « fraternité universelle ». L’Église
est-elle d’accord?..
Le
fait est qu’aujourd’hui, il semble que l’Église catholique se soucie
peu de cette séparation, car elle aime utiliser le langage même de
cette « culture et de ces valeurs » qui ont formé l’ex-présidente du
Chili. Une Église qui insiste pour parler de « fraternité universelle
», de « solidarité », de « changement climatique », de « migration »,
de « nouvelle économie » et de « great reset » est une Église qui n’a
pas besoin de se séparer de l’État. Ni de la Grande Loge maçonnique.
Les problèmes ne peuvent surgir que lorsque l’Église catholique remet
le Christ au centre de son action pastorale et pour proclamer la Vérité
de l’Évangile, en expliquant que la « fraternité universelle », la «
solidarité », le « changement climatique », les « migrations » et la «
nouvelle économie » ne pourront jamais sauver les âmes. » (benoit-et-moi.fr).
En effet, l’église conciliaire
a été sacrifiée sur l’autel de la franc-maçonnerie, d’où le terme «
éclipsée » utilisé par la Vierge à La Salette, sans pour autant avoir
un cœur bien vivant grâce à la tradition, aux deux témoins fidèles à la
Loi et aux Prophètes.
« Pourtant
l’Église traditionnelle (toute imparfaite et obscurcie qu’elle soit,
pour ne point savoir la lumière qui l’attend) était comme un arbre
plein de sève en comparaison de l’autre qui ressemblait à un coffre
plein d’objets inanimés. Je vis que beaucoup des instruments qui
étaient dans la nouvelle église, comme par exemple des flèches et des
dards, n’étaient rassemblés que pour être employés contre l’église
vivante. » (Anne Catherine Emmerich).
Les flèches et les dards sont bien ce que nous avons vu lors du synode amazonien d'octobre 2019.
Dernière
preuve de ce constat de la fumée de Satan à l’intérieur de la basilique
Saint-Pierre tel qu’indiqué par Paul VI il y a déjà maintenant bien
longtemps, Bergoglio ignore l’autel papal depuis le rite païen de la
Pachamama lors du synode amazonien.
«
Le 12 décembre, fête de Notre-Dame de Guadalupe, le pape François a
célébré la messe sur l’autre autel, derrière le maître-autel,
et lorsqu’il est passé devant l’autel papal, il ne s’est pas
incliné. Idem pour la messe au consistoire pour les nouveaux
cardinaux le 28 novembre.
Apostasie, suite: l’autel papal inutilisé depuis des mois…
Le maître-autel de la
basilique Saint-Pierre, l’autel utilisé pour les cérémonies présidées
par le pape et qui se trouve juste au-dessus du tombeau de Pierre, est
inutilisé depuis de nombreux mois. »
« … S’agit-il de coïncidences ? À mon avis, non. A Saint-Pierre, on respire le grand vide. Le tombeau de Saint-Pierre abandonné…
La coupe avec la terre et les
plantes, donnée au pape lors de l’offertoire puis placée au-dessus du
maître-autel lors de la messe de clôture du synode amazonien le 27
octobre 2019, avait auparavant été donnée au pape par une
« prêtresse » amazonienne dans les jardins du Vatican lors
d’une cérémonie païenne le 4 octobre 2019, au début du synode.
Peu de temps après cet
événement, le pape François a décidé qu’il ne serait plus appelé, dans
l’Annuaire pontifical 2020, par l’appellation de Vicaire du Christ,
attribuant à cette expression le caractère d’un simple « titre
historique ».
À l’époque, le professeur Schwibach avait écrit sur Twitter : « Il semble qu’ils continuent à tout démanteler » (benoit-et-moi.fr).
«
… Comme l'explique le journaliste allemand, le Pape a également
abandonné ses messes télévisées à sa résidence de Sainte Marthe, et ce
depuis le 18 mai. Schwibach, qui faisait des reportages de ses homélies
régulières (trois à quatre fois par semaine) à Sainte Marthe, a ajouté
qu’aucune explication n’a été fournie sur cet abandon complet des
messes publiques, sauf pour de rares occasions, comme Noël, ou,
récemment, le consistoire du 28 novembre où il avait formé de
nouveaux cardinaux. Ces messes, comme indiqué ci-dessus, ont lieu
à l'autel de la Chaire de Pierre, derrière l'autel papal… » (lifesitenews.com).
Il sera intéressant de voir quel sera l’autel choisi par Bergoglio pour la célébration de la messe traditionnelle de Noël.
Rappelons aussi que lors de la
bénédiction urbi et orbi du 27 mars 2020 pour contrer la pandémie,
Bergoglio a célébré à l’entrée de la basilique.
Avec ce que nous savons
maintenant, il est fort probable qu’une future célébration lors du
décès de Benoît XVI se tienne au même endroit.
Rappelez-vous bien ce fait lors du décès de Benoît XVI, le katéchon.
Car, à l’entrée de la basilique Saint-Pierre, sur la droite, c’est la chapelle de Saint-Sébastien, le tombeau de Jean-Paul II.
… « devant la tombe du va-nu-pieds, éclatera le règne béni de la Très Sainte Vierge. Écoutez ses paroles. Marie
Très Sainte, fille et mère de Dieu, maîtresse du temps futur, bats le
rappel de tes fils dans les campagnes, pour qu'ils abattent les deux
Babylone.Et que la Mère soit Une, comme toi tu es unique. La
terre détruira le ciment et de terre sera, Reine, ta nouvelle Église.
Et sur la terre de blé, pour la faim de tes peuples, fleur sur son
nouvel autel. Amen. » (prophétie de Jean XXIII concernant Benoît XVI).
Que l’Esprit-Saint nous éclaire et que la Grâce de Dieu nous accompagne car nous en aurons grandement besoin.
Nous ne sommes pas seul et c’est là le message que Mrg Vigano nous laisse en cette fin d’année, où il fait le point sur 2020.
Cette Pâques (passage) « 2020 » fait bien partie de la Passion de l’Église.
Catéchisme, paragraphe 677 :
« L’Église
n’entrera dans la gloire du Royaume qu’à travers cette ultime Pâque où
elle suivra son Seigneur dans sa mort et sa Résurrection. Le Royaume ne
s’accomplira donc pas par un triomphe historique de l’Église selon un
progrès ascendant mais par une victoire de Dieu sur le déchaînement
ultime du mal qui fera descendre du Ciel son Épouse. Le triomphe de
Dieu sur la révolte du mal prendra la forme du Jugement dernier après
l’ultime ébranlement cosmique de ce monde qui passe. »
Sa mort est toute proche, et par le fait même, sa résurrection!
« « Nous ne sommes pas seuls »: un récapitulatif 2020 de l’archevêque Viganò.
Les
mois que nous laissons derrière représentent l’un des moments les plus
sombres de l’histoire de l’humanité: pour la première fois, depuis la
naissance du Sauveur, les Saintes Clés ont été utilisées pour fermer
les églises et restreindre la célébration de la messe et des
sacrements, presque en prévision de l’abolition du Sacrifice quotidien
prophétisé par Daniel, qui aura lieu sous le règne de l’Antéchrist.
Pour
la toute première fois, lors de la célébration de Pâques de la
résurrection du Seigneur, beaucoup d’entre nous ont été forcés
d’assister à la messe et aux offices de la semaine sainte par Internet,
nous privant de la Sainte Communion. Pour la première fois, nous avons
pris conscience, avec douleur et consternation, d’être abandonnés par
nos évêques et curés, barricadés dans leurs palais et presbytères par
crainte d’une grippe saisonnière qui faisait à peu près le même nombre
de victimes que dans les autres. ans.
Nous
avons vu – pour ainsi dire – les généraux et les officiers abandonner
leur armée, et dans certains cas ils ont même rejoint les rangs
ennemis, imposant à l’Église une reddition inconditionnelle aux raisons
absurdes de la pseudo-pandémie. Jamais, au cours des siècles, tant de
timidité, tant de lâcheté, tant de désir de se plier à nos persécuteurs
n’ont trouvé un terrain aussi fertile chez ceux qui devraient être nos
guides et nos dirigeants. Et ce qui a le plus scandalisé beaucoup
d’entre nous, c’est la prise de conscience que cette trahison
impliquait les plus hauts niveaux de la Hiérarchie de l’Église bien
plus que les prêtres et les simples fidèles. Précisément du plus haut
trône, duquel nous aurions dû nous attendre à une intervention ferme et
autoritaire pour la défense des droits de Dieu, de la liberté de
l’Église et du salut des âmes, nous avons plutôt reçu des invitations à
obéir à des lois injustes, à des normes illégitimes et à des ordres
irrationnels. Et dans les mots que les médias se sont rapidement
répandus depuis Santa Marta, nous avons reconnu beaucoup, trop de clins
d’œil au langage d’initié de l’élite mondialiste -fraternité, revenu
universel, nouvel ordre mondial, reconstruire en mieux, grande remise à
zéro, rien ne sera plus jamais pareil, résilience – tous les mots de la
nouvelle langue, qui témoignent de l’ idem sentire de ceux qui les
parlent et de ceux qui écoutent leur.
C’était
un véritable acte d’intimidation, une menace à peine voilée, avec
laquelle nos pasteurs ont ratifié l’alarme pandémique, semé la terreur
parmi les simples et abandonné les mourants et les nécessiteux. Au plus
fort d’un légalisme cynique, il a même atteint le point d’interdire aux
prêtres d’entendre les confessions et d’administrer les derniers
sacrements à ceux qui étaient abandonnés en soins intensifs, privant
nos morts bien-aimés de l’enterrement religieux et refusant le Saint
Sacrement à de nombreuses âmes.
Et
si du côté religieux des choses nous nous voyions traités comme des
étrangers et interdits d’accès à nos églises comme les Sarrasins
d’autrefois – alors même que l’invasion implacable d’immigrants
clandestins continuait de reconstituer les coffres des associations
humanitaires autoproclamées – sur le plan civil et côté politique, nous
avons découvert que nos dirigeants avaient une vocation à la tyrannie:
utilisant une rhétorique désormais réfutée par la réalité, ils
voulaient nous faire penser à eux comme des représentants du peuple
souverain. Par les chefs d’État et les premiers ministres, par les
gouverneurs régionaux et les maires locaux, les plus grandes rigueurs
de la loi nous ont été imposées comme si nous étions des sujets
rebelles, des suspects d’être placés sous surveillance même dans
l’intimité de nos propres maisons, des criminels à être chassé même
dans la solitude des bois ou au bord de la mer.
Avec
stupéfaction, nous avons entendu des dizaines d’experts autoproclamés –
dont la plupart sont dépourvus de toute autorité scientifique et
largement en grave conflit d’intérêts en raison de leurs liens avec des
sociétés pharmaceutiques et des organisations supranationales –
pontifier sur des programmes de télévision et sur les pages. des
journaux sur les infections, les vaccins, l’immunité, les tests
positifs, l’obligation de porter des masques, les risques pour les
personnes âgées, la contagiosité de l’asymptomatique et le danger de
voir sa famille. Ils nous ont tonné, utilisant des mots obscurs comme
«distanciation sociale» et «rassemblements», dans une série
interminable de contradictions grotesques, d’alarmes absurdes, de
menaces apocalyptiques, de préceptes sociaux et de cérémonies de santé
qui ont remplacé les rites religieux.
Contraints
de se déguiser en personnes anonymes sans visage, ils nous ont imposé
une muselière absolument inutile pour éviter la contagion et réellement
néfaste pour notre santé, mais indispensable à leurs fins de nous faire
sentir subjugués et obligés de nous conformer. Ils nous ont empêché de
guérir avec des traitements existants et efficaces, en promouvant
plutôt un vaccin qu’ils veulent désormais rendre obligatoire avant même
de savoir s’il est efficace, après des tests incomplets. Et pour ne pas
mettre en péril les énormes profits des laboratoires pharmaceutiques,
ils ont accordé une immunité pour les dommages que leurs vaccins
peuvent causer à la population. Le vaccin est gratuit, nous disent-ils,
mais il sera effectivement payé avec l’argent des contribuables, même
si ses producteurs ne garantissent pas qu’il protégera de la contagion.
Dans
ce scénario qui ressemble aux effets désastreux d’une guerre,
l’économie de nos pays est prostrée, tandis que les sociétés de
commerce en ligne, les sociétés de livraison à domicile et les
producteurs de pornographie sont en plein essor. Les magasins locaux
ferment mais les grands centres commerciaux et supermarchés restent
ouverts: des monuments au consumérisme dans lesquels tout le monde,
même ceux qui ont Covid, continue de remplir ses paniers de produits
étrangers, de fromages allemands, d’oranges marocaines, de farine
canadienne, de téléphones portables et de télévisions fabriqué en Chine.
«Le
monde se prépare à la grande réinitialisation», nous disent-ils avec
obsession. « Rien ne sera plus jamais pareil. » Il va falloir
s’habituer à «vivre avec le virus», soumis à une pandémie perpétuelle
qui nourrit le pharmaceutique Moloch et légitime des limitations
toujours plus haineuses de nos libertés fondamentales. Ceux qui depuis
l’enfance nous ont catéchisés pour adorer la liberté, la démocratie et
la souveraineté populaire nous gouvernent aujourd’hui en nous privant
de liberté au nom de la santé, en nous imposant la dictature, en
s’arrogant un pouvoir que personne ne leur a jamais conféré, ni d’en
haut. ni d’en bas. Et le pouvoir temporel auquel la franc-maçonnerie et
les libéraux s’opposaient férocement chez les pontifes romains est
aujourd’hui revendiqué par eux à l’envers,
De
tout ce scénario humainement décourageant, un fait inévitable émerge:
il y a un gouffre entre ceux qui détiennent l’autorité et ceux qui y
sont soumis, entre les dirigeants et les citoyens, entre la Hiérarchie
et les fidèles. C’est un monstrum
institutionnel dans lequel le pouvoir civil et religieux est presque
entièrement entre les mains de personnes sans scrupules qui ont été
nommées en raison de leur ineptie absolue et de leur grande
vulnérabilité au chantage. Leur rôle n’est pas d’administrer
l’institution mais de la démolir, non de respecter ses lois mais de les
violer, non pas de protéger ses membres mais de les disperser et de les
éloigner. Bref, nous nous trouvons face à la perversion de l’autorité,
non par hasard ou inexpérience mais poursuivie avec détermination et
suivant un plan préétabli: un scénario unique sous une seule direction.
Nous
avons donc des dirigeants qui persécutent leurs citoyens et les
traitent comme des ennemis, tout en accueillant et en finançant
l’invasion de criminels et d’immigrants illégaux; les agents des forces
de l’ordre et les juges qui arrêtent et infligent une amende à ceux qui
violent les règles de distanciation sociale, alors même qu’ils ignorent
ostensiblement les criminels, les violeurs, les assassins et les
politiciens perfides; des enseignants qui ne transmettent pas la
culture ou l’amour du savoir, mais endoctrinent les élèves dans
l’idéologie du genre et mondialiste; les médecins qui refusent de
traiter les malades mais imposent un vaccin génétiquement modifié dont
l’efficacité et les effets secondaires potentiels sont inconnus; des
évêques et des prêtres qui refusent les sacrements aux fidèles mais qui
ne manquent jamais une occasion de propager leur propre adhésion
inconditionnelle à l’agenda mondialiste au nom de la Fraternité
maçonnique.
Ceux
qui s’opposent à ce renversement de tout principe de la vie civile se
retrouvent abandonnés, seuls et sans chef qui les unirait. La solitude,
en effet, permet à nos ennemis communs – comme ils l’ont amplement
démontré – d’insuffler la peur, le désespoir et le sentiment de ne pas
pouvoir se tenir ensemble pour résister aux assauts auxquels nous avons
été soumis. Les citoyens sont seuls face à l’abus du pouvoir civil, les
fidèles sont seuls face à l’arrogance des prélats hérétiques livrés au
vice, et ceux qui veulent dissiper, élever la voix ou protester au sein
des institutions sont également seuls.
La
solitude et la peur augmentent lorsque nous leur donnons du terrain
pour se tenir debout, mais elles disparaissent si nous pensons à la
façon dont chacun de nous a mérité que la deuxième personne de la Très
Sainte Trinité s’incarne dans le sein le plus pur de la Vierge Marie: qui propter nos homines et propter nostram salutem descendit de caelis.
Et nous arrivons ici aux Mystères que nous nous préparons à contempler
dans ces prochains jours: l’Immaculée Conception et la Sainte Nativité
du Seigneur. De ces mystères, chers amis, nous pouvons puiser une
espérance renouvelée pour affronter les événements qui nous attendent.
Surtout,
nous devons nous rappeler qu’aucun de nous n’est jamais vraiment seul:
nous avons le Seigneur à nos côtés. Il veut toujours notre bien, et
donc il ne manque jamais de nous envoyer son aide et sa grâce, si
seulement nous le demandons avec foi. Nous avons la Très Sainte Vierge
à nos côtés, notre Mère aimante et notre refuge sûr. Nous avons près de
nous les armées des anges et la multitude des saints qui, de la gloire
du ciel, intercèdent pour nous devant le trône de la majesté divine.
La
contemplation de cette communauté sublime qu’est la Sainte Église, la
Jérusalem mystique dont nous sommes citoyens et membres vivants, doit
nous persuader que la dernière chose que nous devons craindre est
d’être seul, et qu’il n’y a aucune raison d’avoir peur, même si le
diable fait rage pour nous faire croire qu’il y en a. La vraie solitude
est en enfer, où les âmes damnées n’ont aucun espoir: c’est la solitude
que nous devrions vraiment craindre, et avant elle nous devons implorer
la grâce de la persévérance finale, c’est-à-dire pouvoir mériter la
grâce d’un la mort sainte de la miséricorde de Dieu. Une mort à
laquelle nous devons toujours être préparés en nous gardant en état de
grâce, en amitié avec le Seigneur.
Bien
sûr, les épreuves auxquelles nous sommes confrontés en ce moment sont
énormes, car elles nous donnent le sentiment que le mal triomphe, que
chacun de nous est abandonné à soi-même, que les méchants ont réussi à
vaincre le pusillus grex
[petit flock] et de toute l’humanité. Mais notre Seigneur n’était-il
pas peut-être seul à Gethsémani, seul sur le bois de la Croix, seul
dans le tombeau? Et revenons au mystère de Noël qui approche à grands
pas: la Sainte Mère et Saint Joseph n’étaient-ils pas seuls peut-être
lorsqu’ils se sont trouvés forcés de se réfugier dans une étable car non erat locus illis in diversorio[il
n’y avait pas de place pour eux dans l’auberge]? Imaginez ce que le
père putatif de Jésus a dû ressentir en voyant son Très Saint Époux
prêt à accoucher dans le froid de la nuit de Palestine; Pensez à leurs
inquiétudes pendant la fuite en Égypte, sachant que le roi Hérode avait
déchaîné ses soldats pour tuer l’Enfant Jésus. Même dans ces terribles
situations, la solitude de la Sainte Famille n’était qu’apparente,
tandis que Dieu arrangeait tout selon ses plans. Il a envoyé un ange
pour annoncer la naissance du Sauveur aux bergers.
Il
n’a déplacé pas moins qu’une étoile pour appeler les mages d’Orient à
adorer le Messie. Il a envoyé des chœurs de ses anges pour chanter dans
la grotte de Bethléem. Il a averti Saint Joseph de fuir pour échapper
au massacre d’Hérode.
A
nous aussi, dans la solitude de l’enfermement que beaucoup d’entre nous
sont obligés d’endurer, dans l’abandon de l’hôpital, dans le silence
des rues désertes et des églises fermées au culte, le Seigneur vient
apporter sa compagnie. A nous aussi, il envoie son ange pour nous
inspirer des desseins sacrés, sa très sainte Mère pour nous consoler,
le paraclet pour nous réconforter, dulcis hospes animae .
Nous
ne sommes pas seuls: nous ne sommes jamais seuls. Et c’est finalement
cela que les auteurs du Great Reset craignent le plus: que nous
prenions conscience de cette réalité surnaturelle – mais non moins
vraie – qui fait s’effondrer le château de cartes de leurs infernales
déceptions.
Si
nous pensons à la façon dont nous avons à nos côtés Elle qui écrase la
tête du Serpent, ou l’Archange qui a tiré son épée pour conduire
Lucifer dans l’abîme; si nous nous rappelons que notre Ange Gardien,
notre Saint Patron et nos êtres chers au Ciel et au Purgatoire sont
avec nous: de quoi pouvons-nous jamais avoir peur? Voulons-nous croire
que le Dieu des armées dressées pour la bataille hésite à vaincre un
serviteur de l’éternel vaincu?
Elle
qui en l’an 630 sauva Constantinople du siège, terrorisant les Avars et
les Perses en paraissant formidable dans les cieux; qui en 1091 à
Scicli en Sicile fut invoquée comme Notre-Dame de la Milice et apparut
sur un nuage brillant chassant les Sarrasins; qui en 1571 à Lépante et
de nouveau en 1683 à Vienne a été invoquée comme reine des victoires et
a accordé la victoire à l’armée chrétienne contre les Turcs; qui
pendant la persécution anticatholique du Mexique a protégé les
Cristeros et a repoussé l’armée du maçon Elias Calles – Elle ne nous
refusera pas sa sainte assistance; Elle ne nous laissera pas seuls dans
la bataille; Elle n’abandonnera pas ceux qui ont recours à Elle avec
une prière confiante au moment où le conflit est décisif et la
confrontation touche à sa fin.
Nous
avons eu la grâce de comprendre ce que ce monde peut devenir si nous
renions la Seigneurie de Dieu et la remplaçons par la tyrannie de
Satan. C’est le monde qui se rebelle contre le Christ Roi et Marie la
Reine, dans lequel chaque jour des milliers de vies innocentes dans le
ventre de leurs mères sont sacrifiées à Satan; c’est le monde dans
lequel le vice et le péché veulent effacer toute trace de bien et de
vertu, tout souvenir de la religion chrétienne, toute loi et tout
vestige de notre civilisation, toute trace de l’ordre que le Créateur a
donné à la nature. Un monde dans lequel les églises brûlent, les croix
sont renversées, les statues de la Vierge sont décapitées: cette haine,
cette fureur satanique contre le Christ et la Mère de Dieu est la
marque du Malin et de ses serviteurs. Face à cette révolution totale,La
paix du Christ dans le Royaume du Christ .
Le
Seigneur ne nous donnera la victoire que lorsque nous nous prosternons
devant lui en tant que roi. Et si nous ne pouvons pas encore le
proclamer Roi de nos Nations à cause de l’impiété de ceux qui nous
gouvernent, nous pouvons néanmoins nous consacrer nous-mêmes, nos
familles et nos communautés à Lui. Et à ceux qui osent défier le Ciel
au nom de « Rien ne sera plus pareil », nous répondons en
invoquant Dieu avec une ferveur renouvelée: « Tel qu’il était au
commencement, est maintenant et sera toujours, monde sans fin. »
Prions
la Vierge Immaculée, Tabernacle du Très-Haut, en demandant que dans
notre méditation sur la Sainte Nativité de son Divin Fils qui
s’approche maintenant, Elle puisse dissiper notre peur et notre
solitude, nous rassemblant en adoration autour de la crèche. Dans la
pauvreté de la crèche, dans le silence de la grotte de Bethléem, le
chant des anges retentit; la seule vraie lumière du monde brille,
adorée par les bergers et les mages, et la création elle-même
s’incline, ornant la voûte céleste d’une étoile brillante. Veni,
Emmanuel: captivum résoudre Israël. Viens, ô Emmanuel, libère ton
peuple emprisonné.
+ Carlo Maria Viganò, archevêque
13 décembre 2020
(Lifesitenews.com)
18 décembre
Bergoglio a eu 84 ans hier.
C'est deux fois le chiffre 42 comme les 42 mois (1260 jours) de l'Apocalypse remit au double.
Cela renvoie à la prophétesse Anne (84 ans, Luc 2, 36-38, qui vécut 7 ans avec son mari avant son veuvage et sa vie au Temple).
C'est le chiffre de la durée de la purification.
C'est
84 ans jour pour jour entre le 11 février 1929 (date historique des
Accords de Latran où le Vatican devient un royaume temporel) et le 11
février 2013 (Fête de Notre Dame de Lourdes, soit la démission de
Benoît XVI qui veille toujours comme Katéchon).
C'était la fête de Saint Lazare, signe évident de résurrection: « ôtez la pierre » !
La Sainte Église est prête. Sa passion achève.
Les nouvelles se succèdent à un rythme si important qu’il s’avère difficile de suivre…
Élections
américaines, dirigeants de confinant en synchronisation juste avant les
fêtes pour cause de tests de covid positifs, et bien-sûr, Bergoglio qui
ne manque pas une occasion pour nous annoncer des alliances avec le
dragon mondialiste (après le pacte avec l’organisation de Lyne Forester
Rothschild (voir analyse précédente)).
L’apostasie
verte à la cote et Bergoglio en fin connaisseur qu’il se croit y plonge
l’église entière… et surtout les jeunes pour les former à la nouvelle
église de la Pachamama… tout en se collant à son encyclique « Fratelli
Tutti » qui est devenu son testament, aussi importante que la Sainte
Bible tellement il y fait référence.
« Le pape François promet zéro CO2 d’ici 2050 lors de la conférence de l’ONU sur le climat en faveur de l’avortement.
Le
pape s’est joint aux dirigeants mondiaux favorables au contrôle de la
population, dont le secrétaire général de l’ONU António Guterres et le
Premier ministre indien Narendra Modi, lors d’une vidéoconférence
commémorant l’Accord de Paris sur le climat.
VATICAN
CITY, 14 décembre 2020 ( LifeSiteNews ) – «Le moment est venu pour un
changement de direction», le Pape François a exhorté le monde dans une
vidéo au sommet virtuel de l’ONU sur l’ambition climatique samedi,
avant de supplier les téléspectateurs de ne pas «voler le nouveau
générations de leur espoir dans un avenir meilleur. Le sommet, auquel
ont participé de nombreux dirigeants d’État, a eu lieu pour marquer les
cinq années écoulées depuis la création de l’Accord de Paris sur le
climat...
En outre, il a promis que «le
Saint-Siège s’est engagé à promouvoir l’éducation à l’écologie
intégrale», expliquant que cela signifie que «les mesures politiques et
techniques doivent être associées à un processus éducatif qui favorise
un modèle culturel de développement et de durabilité.»
François
a négligé de mentionner Jésus-Christ, ou quoi que ce soit de religieux
à distance, lors de son apparition au sommet, fondant plutôt ses
déclarations sur «la fraternité et l’alliance entre l’être humain et
l’environnement»…
L’Accord de Paris sur le
climat fait avancer de nombreux maux moraux , notamment l’avortement et
la contraception. Dans le cadre des objectifs de développement durable
de l’accord, un objectif de 2030 est d’avoir atteint «l’accès universel
à la santé sexuelle et reproductive et aux droits reproductifs», un
euphémisme bien connu pour l’avortement, la contraception et la
stérilisation… » (lifesitenews.com).
L’apostasie verte ou « …
Apostasia verde , l’essai dans lequel Matteo D’Amico(*), partant
justement de Laudato sì’ et du synode sur l’Amazonie, examine
l’écologisme du pape François, en arrivant à la conclusion qu’il
configure en fait une nouvelle chrétienté et un nouvel évangile, mais
nouveaux est une façon de parler, parce qu’en réalité ce sont ceux des
technocrates (et des francs-maçons) que nous connaissons bien : « Une
religion syncrétiste, panthéiste, totalement enfermée dans l’immanence
du temps historique, pendant idéologique parfait du gouvernement
mondial dont l’Église se fait coryphée et joyeuse annonciatrice,
complètement vidée de toute référence même vague à une fin
sotériologique ».
D’Amico
ne mâche pas ses mots quand il rappelle que le Nouvel Ordre Mondial,
pour se répandre et s’imposer, a besoin de l’Eglise. Mais pas la
traditionnelle, pas l’Épouse du Christ. Il a besoin d’une Église
défigurée et méconnaissable, qui ne sait que faire écho au récit
oppressant imposé par des pouvoirs qui ont toujours été anti-chrétiens.
Et Laudato sì‘, comme Querida Amazonia sont les « petits livres verts »
de cette Église qui n’a plus besoin de l’Incarnation, qui ne prêche
plus la conversion des âmes à notre Seigneur, qui ne parle plus de
rédemption et de jugement de Dieu. Parce que tout ce qui compte, c’est
l’ « ici-et-maintenant », la seule conversion nécessaire est celle à
l’idéologie écologique dominante et la seule rédemption, toute humaine,
est de suivre les nouveaux commandements du « respect de
l’environnement », dont celui, néo-malthusien, qui prône la réduction
drastique du nombre d’humains sur la planète.
On
a dit plus haut que le bon croyant catholique, peut-être désorienté
mais pas encore complètement dévié, ressent dans sa chair une odeur de
brûlé sans équivoque lorsqu’on lui propose certaines images et qu’on
l’incite à certaines conversions. Néanmoins, approfondir cette nouvelle
religion organique au Nouvel Ordre Mondial est nécessaire, car
l’opération doit être démasquée.
Ce
que D’Amico appelle « les pleurnicheries écologiques du pape » néglige
de se distancier des prétendues preuves scientifiques sur le changement
climatique. Il les fait simplement siennes, et part de là pour
esquisser une théologie sous la bannière de la primauté de la nature
sur l‘homo faber et la civilisation. Le panthéisme suit de près, tout
comme l’ouverture de crédit au gouvernement mondial unifié.
Et
si Laudato sì’ prépare le terrain, dans Querida Amazonia, la semence
écologique est semée à pleines mains. Ainsi, voilà la terre comme «
lieu théologique », comme si un territoire donné pouvait devenir une
source d’inspiration pour la doctrine. Et voici la culpabilisation du
méchant Occident et l’exaltation des bons sauvages, avec des
affirmations au parfum primitiviste qui auraient peut-être pu être
prises au sérieux par les hippies des années soixante mais qui
aujourd’hui semblent ridicules avant de paraître inquiétantes.
Il
est évident que, sur cette base, l’Église n’est plus appelée à
enseigner quoi que ce soit mais seulement à dialoguer, elle ne doit
plus être maîtresse mais, au contraire disciple, car elle a besoin
d’apprendre les nouveaux éléments de la révélation que Dieu fournit à
travers certains territoires (les « périphéries ») et certaines
catégories humaines (les « rejetés »).
Parmi
les diverses manipulations effectuées par la théologie verte, il
convient de signaler celle liée au terme inculturation : une véritable
inversion, par laquelle l’Église n’est plus appelée à prêcher
l’Évangile en utilisant des instruments adaptés à la culture à laquelle
elle s’adresse, mais doit assumer les contenus de cette culture. Le
tout exprimé de la manière ambiguë typique de Bergoglio, à base de «
dépassement des positions rigides », d’ « ouverture des processus »,
d’être « Église sortante ».
Il
est difficile de ne pas être d’accord avec l’analyse du professeur
D’Amico lorsqu’il dit que l’instrumentum laboris du synode amazonien
apparaît marqué par « une véritable fureur destructrice où la haine de
l’Église est à peine dissimulée ». On le voit bien, par exemple, dans
les points où le document demande que les sacrements soient rendus
accessibles à tous en dépassant « la rigidité d’une discipline qui
exclut et aliène », ainsi que lorsqu’il suggère de repenser la figure
du prêtre, tant en ce qui concerne le célibat que le rôle des femmes.
Ce
n’est pas un hasard si, dans le document préparatoire du synode, les
références doctrinales et scripturales sont minimes, alors qu’il y a
une profusion de références aux textes de Bergoglio, « dont on utilise
sans pudeur le jargon, répétant comme un perroquet ses expressions
typiques ».
«
En conclusion », écrit D’Amico, « on ne peut s’empêcher de constater
que l’ensemble du document Querida Amazonia, ainsi que les autres qui
l’ont précédé lors du synode pour l’Amazonie, manifeste un abandon
impressionnant de tout sentiment authentiquement catholique. Le
naturalisme sévit sans retenue, aggravé par une adhésion acritique aux
dogmes de l’idéologie écologiste. A la lumière de tout cela, « la
catastrophe doctrinale, morale et liturgique actuelle, humainement
parlant, ne peut qu’apparaître irréparable. Mais, grâce à Dieu,
l’Église, le corps mystique du Christ, est entre les mains de Dieu, «
qui déterminera le moment où son visage défiguré reviendra briller dans
toute sa beauté surnaturelle ».
En
attendant, ajoutons-nous, le fait que le sensus fidei des bons
catholiques, malgré les efforts des clercs alignés, a déjà laissé
tomber dans l’oubli la plupart des textes du « tournant vert » nous
donne de l’espoir, confirmant que l’Esprit Saint ne nous abandonne pas.
» (benoit-et-moi.fr).
Bergoglio est donc en chute libre… sauf chez « amis pharisiens» mondialistes.
D’où la nécessité pour arriver
à la pleine réalisation de l’église humaniste de refaire l’image de
Bergoglio afin qu’il regagne en popularité chez les conciliaires qui
commencent à ouvrir les yeux et découvrent la vérité.
D’où
le rapprochement (par des photographies lors de la nomination des
nouveaux cardinaux visitant Benoît XVI où le bureau de presse du
Vatican affirme qu’ils s’entendent comme larrons en foire, ou par des
textes publiés qui prêtent des fausse intentions à Benoît XVI par
exemple).
« POUR FRANÇOIS, BENOIT EST-IL TOUJOURS PAPE ?
François sait qu’un nombre grandissant de catholiques s’oppose à son pontificat, avec des critiques qui vont jusqu’au rejet (…)
La thèse que François transmet
au monde par l’intermédiaire de Scalfari — un pontificat
Bergoglio-Ratzinger — semble avoir pour but de soustraire à ce
mouvement d’opposition hétérogène son point central de convergence :
Benoît XVI…
Benoît XVI en quarantaine ?
Il
semble y avoir à cela tout d’abord une explication plausible : François
sait qu’un nombre grandissant de catholiques s’oppose à son pontificat,
avec des critiques qui vont jusqu’au rejet. Pratiquement, une fraction
non négligeable de l’Eglise ne le reconnaît plus réellement comme pape,
mais continue de voir en Benoît XVI le pape légitime. Dans la plupart
des cas, il s’agit là d’une décision prise par chaque individu
séparément, mais il y a aussi des prises de position de groupes
organisés.
Sainte-Marthe
n’a pas pu ignorer que le mince filet d’eau de 2013 est devenu, en
2020, un fleuve respectable, même si, pour des raisons évidentes, peu
en transparaît clairement à l’extérieur…
Les « faiseurs de papes » veulent-ils faire tomber François ?
Les
amis sûrs sont-ils en train de quitter François ? Les forces
progressistes qui le portaient aux nues et le couvraient d’éloges ont,
à un certain moment, commencé à s’irriter et à se détourner de lui
parce qu’il n’a pas pu, ou pas voulu, combler leur soif de changements
radicaux, qu’il attisait pourtant sans cesse lui-même. C’est un
processus aux contours mal définis ; aussi est-il difficile de
mentionner un fait précis. A la lumière des événements, on peut
seulement identifier des étapes et, à ce niveau, l’Eglise allemande
joue un rôle central… » (benoit-et-moi.fr).
« Bergoglio a de fait épuisé
son pontificat, désormais noyé et dramatiquement clivant au sein même
de l’Église. Est-il plausible qu’il s’illusionne de le relégitimer dans
les prochains mois avec l’autorité de Benoît XVI ? Ou bien dans
les cercles bergogliens, redoute-t-on le grand charisme de Benoît que
de plus en plus de croyants considèrent comme le « vrai
pape » et le véritable phare? (Antonio Socci) » (benoit-et-moi.fr).
Ainsi,
pour les 51 ans du sacerdoce de Bergoglio, la presse du Vatican dresse
un portrait à l’opposé de ce que nous avons vu jusqu’ici (on juge
l’arbre à ses fruits, et après presque 8 années de pontificat, on peut
affirmer qu’ils ne sont pas bons).
« Pape François: 51 ans de sacerdoce au service de Dieu et de son peuple.
Jorge
Mario Bergoglio a été ordonné prêtre dans la Compagnie de Jésus le 13
décembre 1969, par l’archevêque argentin Ramón José Castellano. Une
vocation née de l’expérience du pardon de Dieu qui s’est transformée en
une vie donnée avec joie et simplicité. Le prêtre, souligne souvent le
Pape, vit parmi son peuple avec le cœur miséricordieux de Jésus. Retour
sur les traits marquants évoqués et vécus par le Saint-Père à propos du
sacerdoce.
51
années sont passées. C’était le 13 décembre 1969: Jorge Mario
Bergoglio, quatre jours seulement avant son 33e anniversaire, était
ordonné prêtre… » (vaticannews.va).
Pas étonnant que mêmes les
blogueurs vaticanistes commencent à comprendre le mystère de
l’iniquité, qui montre une facette de son visage aux catholiques
conciliaires, et l’autre aux pharisiens mondialistes judéo-maçonniques.
« L’histoire du pape François qui m’a (presque) brisé.
…
Le problème de lire des nouvelles sans fin sans rien faire en réponse,
nous enseigne l’impuissance. Lire des nouvelles uniquement pour se
divertir, c’est comme manger un gâteau sucré pour se nourrir: c’est
tentant mais une mauvaise idée. Le but de LifeSiteNews est de défier le
fil d’actualité de la Culture de la Mort et de répandre l’Évangile de
la Vie. Il vise à faire des lecteurs non des consommateurs mais des
collègues.
Cependant, affronter les
armées de la mort jour après jour est difficile, difficile, difficile,
surtout lorsque ceux sur lesquels nous nous appuyions comme nos
compagnons de vie – en fait, même en tant que nos chefs – semblent être
passés de l’autre côté…
Mais
je vous dirai quand l’incertitude m’est vraiment venue: c’était
l’histoire du pape François qui a signé avec les Woke Capitalists. Je
suis habitué aux histoires selon lesquelles le pape François n’aime pas
les Américains, et qu’il ne se soucie pas des gens riches, et qu’il a
préféré prendre le métro, yadda yadda, donc la révélation avec laquelle
le pape François avait fait cause commune un Rothschild américain et
les sociétés de cartes de crédit m’ont époustouflé. Le nom complet du
Conseil pour le capitalisme inclusif est « Conseil pour le capitalisme
inclusif avec le Vatican », qui cherche tout le monde comme le Vatican
est juste une autre marque. Le pape François est l’aumônier d’un groupe
de capitalistes non catholiques réveillés. S’agit-il de réjouissance –
les milliardaires veulent servir les autres, guidés par le pontife – ou
d’angoisse?..
En tant que catholique, je ne devrais pas avoir à douter de l’orthodoxie et de la loyauté de mon pape… » (lifesitenews.com).
Loyauté du pape? Envers qui?
Alors
que le monde catholique est en plein désarroi et où nous
pourrions trouver inspiration dans une crèche très symbolique inspirant
tout l’amour de la Très Sainte Vierge Marie, de son Époux Saint-Joseph
et de Notre Sauveur venu nous libérer du joug du péché, nous sommes
plutôt mis devant une crèche d’une laideur qui nous rappelle cette fin
des temps, de la domination de l’abomination sur le trône de
Saint-Pierre.
Une tounée en vidéo de la crèche (Agence Reuters).
« La hideuse crèche extra-terrestre du Vatican » (benoit-et-moi.fr),
inaugurée le 11 décembre, juste avant la fête de Notre-Dame de
Guadelupe, Dame de l'Apocalypse (alors qu'on sait ce que représente le
chiffre 11, les deux colonnes maçonniques, pour l'ennemi).
L’église conciliaire est
vraiment passée à l’étape finale, affichant sa haine de la Sainte
Église Catholique, Une et Apostolique, car elle moque l’incarnation du
verbe (voir aussi profession-gendarme.com).
Cela ne restera pas sans réponse.
Ce sont des signes irréfutables de la fin…
Et de la venue de la Jérusalem Céleste.
Christus Vincit!
12 décembre
Notre-Dame
de Guadelupe, priez pour nous.
L’incertitude
des
événements quant à l’élection présidentielle américaine
démontre
encore une fois que nous sommes au cœur de la prophétie
politique « Le
Temps est Proche ».
«
Le premier empereur meurt
de faim, enfermé dans la tour de son rêve. »
reflète bien la situation présente.
Idem
au Vatican :
«
Et la Mère n'a pas de
père, parce que beaucoup veulent être son père.
Et deux seront soutenus par
les adversaires. »
Et
on peut mettre un nom sur « les
cris et les barrières de la contestation se lèvent, mais
déjà la Bête sort de l'eau », c’est à dire la «
Grande Réinitialisation ».
La
Cour
Suprême des États-Unis a refusé d’entendre la cause du Texas
quant
la l’inconstitutionnalité des 4 États ayant permis le vote
par
correspondance.
Comme
les
analyses de la prophétie faisait référence au Rio Grande et
au
Texas, et se confirment ainsi, nous voyons évidemment des
mouvements de
sécession pointent à l’horizon.
«
Le président du Parti républicain du Texas, Allen West:
« Cette
décision aura des ramifications de grande portée pour
l’avenir de notre
république constitutionnelle. Peut-être que les États
respectueux des
lois devraient se lier et former une Union d’États qui
respecteront la
constitution. »
Dans
une
autre déclaration, West a réitéré sa suggestion en écrivant:
« Si nous vivons au Texas, et que nous étions rejoints,
vous
savez, une vingtaine d’autres États, les 1065 membres
différents du
Congrès qui disent: ‘nous ne veulent rester les bras croisés
et
permettre à quatre États d’avoir des pratiques
inconstitutionnelles,
« et quand nous voyons des États comme nous suivre la
loi, mais
que la Cour suprême dit que c’est parfaitement bien, alors
peut-être
devrions-nous avoir une union d’États qui croient en la
Constitution et
se conformera à cette règle de droit, et laissera ces autres
États
sortir de leur propre chemin et les laisser, ne pas être
soutenus par
ces autres États comme nous. » (zerohedge.com).
Du
côté
du Vatican, nous voyons aussi très bien cette « bête qui
sort de
l’eau » liée à la « Grande Réinitialisation », car elle ne
se cache
plus.
Ils
sont si confiants qu’ils laissent tomber la garde…
Mais
la Vierge de l’Apocalypse, Notre-Dame de Guadelupe, veille
au grain.
Bergoglio
a adhéré à un projet, qui de plus a été médiatisé le jour de
l’Immaculée Conception le 8 décembre!
Un
autre
affront à la Sainte Vierge de Bergoglio qui n’a pu
s’empêcher de
faire une visite en catimini à la Place D’Espagne pour faire
taire les
critiques car on lui reprochait son explication de la
crainte de la
Covid alors qu’il avait été à cette réunion avec tous les
représentants
religieux quelques semaines auparavant, sans mentionner sa
crainte de
la Covid, pendant qu’il magouillait avec les Rothschild.
«
… Parmi les 27 gardiens figurent des PDG, des présidents,
des
présidents et d’autres hauts fonctionnaires d’entreprises
telles que
Mastercard, DuPont, l’ONU, Johnson & Johnson, VISA, BP,
Bank of
America et la Fondation Rockefeller…
Les
nombreux
engagements du Conseil se répartissent en quatre catégories:
«Les hommes, la planète, les principes de gouvernance, la
prospérité».
Dans le cadre de sa vision globale, le Conseil propose
«l’égalité des
chances pour tous de rechercher la prospérité et la qualité
de vie,
quels que soient les critères tels que le milieu
socio-économique, le
sexe, l’origine ethnique, la religion ou l’âge…
Le
pape
François a précédemment exprimé son soutien aux objectifs de
l’ONU
, malgré l’appel de l’ONU à «l’accès universel aux services
de santé
sexuelle et reproductive, y compris la planification
familiale,
l’information et l’éducation, et l’intégration de la santé
reproductive
dans les stratégies et programmes nationaux», ce qui
comprend la
contraception et l’avortement.
S’adressant
au
Conseil pour le capitalisme inclusif, le Pape François a
déclaré :
«Un système économique juste, digne de confiance et capable
de relever
les défis les plus profonds auxquels l’humanité et notre
planète sont
confrontés est urgent. Vous avez relevé le défi en cherchant
des moyens
de faire du capitalisme un instrument plus inclusif pour le
bien-être
humain intégral... » (lifesitenews.com).
Le
projet a été crée par Lyne de Rothschild.
« Le Temps est Proche »
effectivement et essayer de mettre le cadenas définitif sur
la Sainte
Messe sonnera le glas de la chute de Babylone la grande!
«
10 décembre 2020 ( LifeSiteNews ) – Dans une interview avec
LifeSiteNews qui sera diffusée vendredi, le cardinal Gerhard
Müller,
ancien chef de la puissante Congrégation pour la Doctrine de
la Foi du
Vatican, a déclaré: «les politiciens n’ont pas le droit
d’interdire le
Saint Messe et célébration des sacrements. »
Alors
que
le cardinal a déclaré que l’Église acceptait volontiers
certaines
mesures de sécurité pour se prémunir contre le coronavirus,
il a noté
que certains gouvernements et politiciens en profitent comme
une
«opportunité de supprimer l’Église catholique».
Le
cardinal
a critiqué l’approche de divers gouvernements comme étant
«incohérente» car tout en permettant des rassemblements de
masse et des
transports en commun très serrés, ils interdisent les messes
dans les
grandes églises…
Et
en
réponse aux politiciens qui conseilleraient aux catholiques
de
simplement «prier à la maison», l’ancien préfet de la
Congrégation de
la Doctrine de la Foi a dit que le Christ lui-même a appelé
l’Église à
se rassembler en mémoire de lui.
«Nous
ne
sommes pas une religion spiritualiste», a-t-il dit. «La
Parole est
devenue Chair, et nous sommes des êtres de chair, de sang et
d’âme.
Nous vivons dans la réalité du monde matériel – également
créé par Dieu
– et nous avons donc besoin de cette médiation corporelle
visible par
les sacrements au sein de la communauté des croyants… » (lifesitenews.com).
Anne Catherine, Emmerich,
Mélanie de la Salette, Padre Pio… ont tous en commun d’avoir
été
informé par la Sainte Vierge sur la fausse église et sur
l’Antéchrist
montant sur le trône.
Ce
que nous sommes témoins aujourd'hui.
Mais
à la fin, le Cœur Immaculé de Marie triomphera!
L’enfer
ne prévaudra point contre la Sainte Église!
Le
regretté
exorciste en chef du Vatican, le père Amorth avait déclaré
en
juillet 2017 que le troisième secret de Fatima concernait
une «fausse
église» à la fin des temps.
Cela
lui avait été confirmé par Padre Pio lui-même.
« Dans un article récent
sur
le «Secret de Fatima», Steve Skojec, le fondateur et
rédacteur en chef
de OnePeterFive , a publié pour la première fois en anglais
des mots de
l’exorciste en chef de Rome, le père Gabriele Amorth (décédé
en 2016),
à propos de Padre Pio et sa connaissance du Troisième Secret
de Fatima.
Ils proviennent d’un livre récemment publié écrit par José
María
Zavala, intitulé Le secret le mieux gardé de Fatima ( El
Sécreto Mejor
Guardado de Fátima ). Zavala a interviewé le père Amorth en
2011 et a
reçu pour instruction de garder l’interview secrète jusqu’à
la mort de
l’exorciste.
Fr.
Amorth
a personnellement connu Saint (Padre) Pio pendant 26 ans, et
c’est de cette figure imposante de la sainteté catholique du
XXe siècle
qu’il prétend avoir appris le contenu du troisième secret de
Fatima.
Selon le P. Amorth, Padre Pio a dit que le Troisième Secret
concernait
l’infiltration du Vatican par Satan et la montée d’une
«fausse église»
– des détails qui ne se trouvent pas dans la publication
officielle du
Vatican du Troisième Secret en 2000. Ci-dessous, nous
publions des
détails sur l’entretien avec le P. Amorth:
Dans l’interview, le P.
Amorth
rapporte – comme il l’a fait ailleurs – qu’il ne croit pas
que la
consécration du monde par le Pape Jean-Paul II en 1984 était
suffisante
pour satisfaire les exigences énoncées par Notre-Dame.
«Il
n’y
avait pas une telle consécration à l’époque», dit-il [le
père
Amorth]. «J’ai été témoin de l’acte. J’étais sur la place
Saint-Pierre
ce dimanche après-midi, tout près du pape; si près que je
pourrais
presque le toucher.
Pressé
par
Zavala de savoir pourquoi il croit si fermement que la
consécration
n’a pas été faite, le P. Amorth a répondu: « Très
simple:
Jean-Paul II voulait mentionner expressément la Russie, mais
finalement
il ne l’a pas fait. »
Fr.
Amorth
a ajouté: «Je n’ai aucun doute que la consécration n’a pas
eu
lieu dans les conditions exigées par la Vierge. Mais il ne
faut pas
perdre de vue ce qu’elle a elle-même voulu nous dire à
travers Lucie:
‘A la fin, Mon Cœur Immaculé triomphera.
Zavala
s’est
alors interrogé sur le troisième secret: «Pardonnez-moi
d’avoir
insisté sur le troisième secret de Fatima: Padre Pio
l’a-t-il alors lié
à la perte de foi au sein de l’Église?»
Fr.
Gabriele fronce les sourcils et sort le menton. Il semble
très affecté.
«En
effet,
dit-il, un jour, Padre Pio me dit très tristement:« Tu sais,
Gabriele? C’est Satan qui a été introduit dans le sein de
l’Église et
dans un temps très court viendra gouverner une fausse
Église. » (veritas-vincit-international.org).
Une nouvelle étude des
scientifiques du National Center for Atmospheric Research
(NCAR)
contredit les prévisions de la NOAA et de la NASA quant au
cycle
solaire 25.
Ils confirment que:
-
le cycle 24 est bel et bien terminé depuis le premier
semestre 2020.
- que le cycle 25 est bel
et bien commencé.
- que le cycle 25 pourrait
être l'un des cycles de taches solaires les plus forts
jamais observés.
« Le nouvel article du NCAR
publié dans Solar Physics et intitulé "Overlapping
Magnetic
Activity Cycles and the Sunspot Number: Forecasting Sunspot
Cycle 25
Amplitude", prédit que le Sunspot Cycle 25 pourrait
culminer avec
un nombre maximal de taches solaires entre 210 et 260. Cela
contredit
les prévisions officielles du National L'Administration de
l'Espace et
de l'Aéronautique et la National Oceanic and Atmospheric
Administration, qui s'attendent toutes deux à ce que le
cycle 25 des
taches solaires soit aussi faible que le cycle 24, soit
autour de 116
taches solaires... » (zerohedge.com).
Cette
étude confirme donc bel et bien ce que nous observons depuis
le début novembre surtout.
Une augmentation
grandissante de l'activité avec déjà quelques éjections
moyennes.
Il
y a donc raison de s’inquiéter en ce temps de quasi
dépendance à la technologie électronique.
Une
éjection de masse coronale majeure retournerait l’humanité à
l’âge de pierre…
Et
confirmerait par le fait même les prophéties de Jean XXIII
concernant la neutralisation des armes.
9 décembre
Une
éruption
solaire mineure accompagnée d’une éjection de masse coronale
(CME) dirigée entièrement vers la Terre a eu lieu lundi.
Les astronomes anticipent
que des impacts mineurs sur l’électronique et les
satellites.
Par
contre, un avertissement de tempête magnétique et donc
d’aurores boréales intenses autour de la nuit de
mercredi (solarham.net).
L’État du Texas poursuit la
Géorgie, le Michigan, la Pennsylvanie et le Wisconsin devant
la Cour
suprême des États-Unis pour l’élection » (zerohedge.com).
Comme quoi nous entrons
pleinement dans ce clivage annoncé (voir la prophétie
politique de Jean
XXIII « Les États-Unis Libérés » et les analyses précédentes
concernant
le Texas) en terre d’Amérique.
Les
premiers vaccins en Occident contre la Covid-19 ont été
injectés hier.
C’est
là
le signal du début d’un contrôle sévère de la population
planétaire
à vaste échelle et de la création d’un passeport
électronique (via les
nanoparticules qui contiennent de la luciférase, enzyme
bioluminescente
servant à la détection via un smartphone).
Finalement,
François
a décidé de se déplacer pour une visite en solitaire à la
Place D’Espagne au petit matin du 8 décembre pour
déposer une
couronne de roses blanches au pied de la Madone pour confier
Rome et le
monde à Marie (vaticannews.va).
Il a par le fait même
décrété
une année spéciale consacré à Saint-Joseph pour le triple
jubilé du
Saint Patron de l’Église, pour nous, avec un grand « E », ne
nous y
trompons point, car Saint Joseph représente l’Église
éclipsée, dans
toute sa pureté à l’image de Marie Co-Rédemptrice, et non la
conciliaire, la Grande Prostituée.
« Avec la Lettre
Apostolique Patris corde
(avec un cœur de père), François rappelle le 150e
anniversaire de la
proclamation de saint Joseph comme Patron de l’Église
universelle. À
cette occasion, une «année spéciale saint Joseph» se tiendra
du 8
décembre 2020 au 8 décembre 2021… » (vaticannews.va).
Saint Joseph figure pour
nous
l’Église restée fidèle, à savoir tous ceux qui restent
attachés à une
foi pure, à la Sainte doctrine enseignée par NSCJ et à une
liturgie non
altérée par Vatican II.
Le
mystère
d’iniquité, quoique de plus en plus clair à nos yeux, mais
toujours difficile à comprendre parfaitement, nous force à
nous
soumettre entièrement à la Volonté de Dieu.
Nous
serons éclairer en temps opportun par l’Esprit-Saint.
Et
dans
ce temps de tribulations et de tiédeur des pasteurs, comme
Saint-Joseph, reconnaissons « le secret du Grand Roi qui lui
a été
découvert » en songe, et que comme Marie est la Mère de Son
Seigneur et
de son Dieu, l’Église est l’Épouse de Notre Seigneur et de
Notre Dieu.
Cette
Sainte
Église, Une, Sainte et Apostolique, née du Saint-Esprit,
avec le
Christ comme pierre angulaire, d’où sortira de nouveau en
Gloire le
Christ Roi!
Elle
n’est
pour l’instant qu’éclipsée, comme il a été révélé, et elle
vit
intensément dans le cœur des justes fidèles à la Loi et aux
Prophètes.
C’est cette véritable
Église qui va se faire jour au moment où l’autre
s’effondrera…
Très
bientôt.
Les
visions
d’Anne Catherine Emmerich que nous pouvons rapprocher
maintenant à ce temps de popularité éphémère des
progressistes au
Vatican, en cette période actuelle de la pandémie :
«
J’ai vu également la relation entre les deux papes … J’ai
vu combien
seraient néfastes les conséquences de cette fausse église.
Je l’ai vue
augmenter de dimensions; des hérétiques de toutes sortes
venaient dans
la ville (de Rome). Le clergé local devenait tiède, et
j’ai vu une
grande obscurité ».
«
Je
vois le Saint-Père dans une grande angoisse. Il habite
dans un bâtiment
autre que celui d’avant et il n’y admet qu’un nombre
limité d’amis qui
lui sont proches. Je crains que le Saint-Père ne souffrira
beaucoup
d’autres épreuves avant de mourir. Je vois que la fausse
église des
ténèbres fait des progrès, et je vois l’énorme influence
qu’elle a sur
les gens ».
« Je
vis
l’Église des apostats prendre de grands accroissements. Je
vis les
ténèbres qui en partaient se répandre alentour et je vis
beaucoup de
gens délaisser l’Église légitime et se diriger vers
l’autre, disant :
«Là tout est plus beau plus naturel et mieux ordonné ».
«
Je vis croître la tiédeur
du clergé local, je vis un grand obscurcissement se faire.
Alors
la
vision s’agrandit de tous côtés. Je vis partout les
communautés
catholiques opprimées, vexées, resserrées et privées de
liberté. Je vis
beaucoup d’églises fermées. Je vis de grandes misères se
produire
partout. Je vis des guerres et du sang versé. Je vis le
peuple
farouche, ignorant, intervenir avec violence ».
« Je
vis le secours arriver au moment de la plus extrême
détresse ».
En
effet,
Dieu dans sa grande miséricorde n’intervient que lorsque
tout
est sur le point de s’effondrer afin de sauver le plus
d’âmes
possibles et de tester la foi des fidèles à la Loi et
aux
Prophètes: arrivée tardive de l’époux dans la parabole des
dix vierges,
les sept tours de Jéricho où Dieu intervient à la septième
trompette du
7ème tour, intervention de Dieu juste avant l'achèvement de
la tour de
Babel, etc.
En
cette
période extraordinaire, pour ne plus se sentir seul, un cri
du
coeur unis aux voix angéliques dans toute la splendeur de la
nature
créée par le Père (musique Illumination de Dan Gibson).
«
Seigneur, ayez pitié de nous : Kyrie Eleison
Christ, ayez pitié de
nous : Christe Eleison
Seigneur, ayez pitié de
nous : Kyrie Eleison »
8 décembre
L’IMMACULÉE
CONCEPTION
Il
est
aberrant de constater cette majorité de prêtres qui sont
tout
simplement hypnotisés, captivés, envoûtés par la bête de la
mer
Bergoglio...
«
Hier encore, nous avons pu y lire les paroles en toute
liberté de
l’habituel Mgr Vincenzo Paglia, président de l’Académie
pontificale
pour la vie, toujours à propos des messes de Noël.
Évidemment, le bon
Paglia vient nous expliquer que cette année, nous avons
l’occasion de
redécouvrir le vrai Noël, ce qui, d’après ce qu’il dit,
semble
impossible quand l’accès aux messes est libre. En fait,
cette année,
nous avons l’occasion, unique en deux mille ans d’histoire,
de vivre
Noël comme il était à l’origine. « Comment était Noël il y a
deux mille
ans ? Pour cet enfant, il y a eu un lockdown total, il a
tout trouvé
fermé, et il n’est pas pour autant retourné au Ciel parce
qu’on ne
pouvait pas célébrer Noël: il est allé dans une étable pour
montrer
combien il nous aimait. Et il n’y avait que quelques bergers
dans les
environs ».
Là,
il ne manquait plus que Jésus confiné [/victime du
lockdown].
Que
dire
? Avec de tels évêques, il n’est même pas nécessaire que la
Commission européenne intervienne pour liquider l’Église. »
(benoit-et-moi.fr).
Ce n’est pas surprenant
venant de cet évêque qui s’est abaissé au niveau de Satan.
C’est
le
même qui avait fait faire une fresque "homo-érotique" dans
laquelle
lui-même est représenté dans une attitude au minimum
déplacée parmi les
homosexuels, les prostituées et d’autres personnages
lascifs, qui sont
élevés au Ciel par le Christ. (benoit-et-moi.fr et lifesitenews.com).
Ce
sont
ces personnages qui entourent Bergoglio et qui veulent par
leur
mouvement « progressiste » transformer l’église… pour que
l’humanisme,
en fait , le transhumanisme, soit triomphant.
Mgr
Vigano frappe fort encore une fois à l’occasion de la
célébration de la fête de l’Immaculée Conception.
Bergoglio,
pour
respecter les mesures sanitaires et éviter les
rassemblements nous
dit-on, ne se présentera pas Place D’Espagne selon la
coutume, pour
rendre grâce.
«
VIRGO POTENS
« En préparation pour la
fête de l'Immaculée Conception.
Le
riche qui s'est régalé de la parabole évangélique (Lc 16,
19-31), après
avoir été condamné aux enfers pour n'avoir pas aidé le
pauvre Lazare,
demande à Abraham d'avertir ses cinq frères des tourments
auxquels il a
été soumis, afin pour les empêcher de tomber dans le même
péché. Abraham lui répond: «S'ils n'écoutent pas Moïse
et les
prophètes, ils ne seront pas non plus persuadés que
quelqu'un
ressuscite d'entre les morts» (Lc 16, 31).
Au
cours
de l'histoire, Notre-Dame est intervenue en tant que Mère
aimante
pour nous avertir des châtiments qui pèsent sur le monde à
cause de ses
péchés, pour inviter l'humanité à la conversion et à la
pénitence, et
pour remplir ses enfants d'innombrables grâces. Partout
où la
Parole de Dieu semble oubliée, là se fait entendre la voix
de la Très
Sainte Marie, maintenant pour annoncer une dévotion
particulière,
maintenant pour demander des sacrifices et des prières pour
échapper
aux pestes et aux fléaux. A Quito, La Salette, Lourdes,
Fatima,
Rome, Akita, Civitavecchia, et dans mille autres lieux, la
Médiatrice
de toutes les Grâces nous a avertis, rappelant l'humanité,
induite en
rébellion contre la Loi Divine, à la vraie repentance et à
la
récitation de le Saint Rosaire. Bien que les divers
moments et
circonstances de ses apparitions changent, Celle qui daigne
se montrer
à nous pauvres mortels est toujours la même, toujours
Miséricordieuse,
toujours notre Avocate.
A
Fatima, la Dame qui est apparue aux enfants bergers a
demandé au Pape,
en union avec tous les évêques, de consacrer la Russie à son
Cœur
Immaculé: cet appel reste sans réponse à ce jour, malgré les
désastres
auxquels le monde devrait faire face parce qu’il n’a pas
tenu compte
des demandes de la Très Sainte Vierge. L'athéisme
militant du
communisme s'est répandu partout, et l'Église est persécutée
par des
ennemis impitoyables et cruels, alors qu'elle est également
infestée de
clercs corrompus livrés au vice. Et pourtant, malgré la
reconnaissance de l'origine surnaturelle des apparitions et
l'évidence
des calamités qui affligent l'humanité, la Hiérarchie refuse
d'obéir à
la Sainte Mère. «S'ils n'écoutent pas Moïse et les
prophètes, ils
ne seront pas non plus persuadés si quelqu'un doit
ressusciter d'entre
les morts», dit Abraham au riche dans la
parabole. Est-il possible
qu'ils ne sachent même pas comment écouter la voix de la
Mère de Dieu,
qui est aussi Notre Mère? Qu'est-ce qui opprime leur
cœur,
qu'est-ce qui obscurcit leur esprit à tel point qu'ils sont
sourds et
aveugles, alors que le monde s'enfonce dans l'abîme et que
tant d'âmes
sont damnées?
En
obéissance
à la Seigneurie universelle du Christ-Roi, nous acceptons
également de vénérer Marie Très Sainte comme notre
Reine. Et quand
nous nous adressons à notre Père avec les mots: «Que ta
volonté soit
faite», nous savons que cela coïncide parfaitement avec la
volonté de
notre Mère, le modèle d'obéissance et d'humilité qui
méritait d'être
choisi dès le début des temps pour générer le Roi des rois
dans son
sein virginal. Chaque désir de la Mère de Dieu est un
ordre pour
nous: il n'a même pas besoin d'être pensé comme un
commandement, car
notre réponse et notre désir est - et doit être - de lui
plaire et de
lui donner la preuve de notre fidélité. Et cela est
éminemment
vrai pour les Ministres Sacrés, qui dans le Sacrement de
l'Ordre
portent sur eux l'onction sacerdotale du Prêtre Suprême
Jésus-Christ:
en chaque prêtre, Marie Très Sainte voit son Fils, qui
renouvelle
mystiquement son propre sacrifice sur l'autel par leurs
mains.
Cela
cause
donc une douleur - une douleur creuse et déchirante - de
voir
l'indifférence de tant d'âmes consacrées et de tant
d'évêques - trop
nombreux - envers la Bienheureuse Vierge Marie. Cela
fait mal et
déchire le cœur d'entendre Bergoglio lui-même parler avec un
tel manque
de respect total pour Notre-Dame, et d'apprendre qu'après
avoir réduit
drastiquement les célébrations papales liturgiques pour la
dernière
Pâques, il a maintenant cherché à profiter de la Covid pour
annuler une
partie des célébrations liturgiques de la Fête Sainte de
Noël et
d'annuler la tradition selon laquelle chaque année, le 8
décembre, le
Pape se rend sur la Piazza di Spagna à Rome pour vénérer le
monument de
la Vierge Immaculée qui y fut érigé en 1857. Ainsi, un autre
morceau de
Rome est jeté un moyen, une autre livre de chair que le
marchand
cynique réclame de la vie du peuple romain comme preuve de
sa fidélité
à la dictature sanitaire.
L'Église
des
catholiques, l'Église qui aime ceux qui s'honorent du nom de
chrétien, est l'Église qui ne se retire pas devant
l'autorité civile,
se faisant ainsi complice et courtisane, mais plutôt
l'Église qui
endure la persécution avec courage et un regard surnaturel,
sachant
qu'il vaut mieux mourir au milieu des tourments les plus
atroces que
d'offenser la Très Sainte Vierge et son Divin
Fils. Elle est
l'Église qui ne se tait pas quand le tyran défie la Majesté
de Dieu,
afflige ses sujets et trahit la justice et l'autorité qui la
légitiment. Elle est l'Église qui ne cède pas face au
chantage ni
ne se laisse séduire par le pouvoir ou l'argent. Elle
est l'Église
qui monte au Calvaire, en tant que Corps mystique du
Christ, afin
d'achever en ses propres membres les souffrances du
Rédempteur et de
ressusciter triomphalement avec Lui. Elle est l'Église
qui assiste
les faibles et les opprimés avec miséricorde et charité,
tandis qu'elle
se tient sans peur et terrible face aux arrogants et aux
orgueilleux. Lorsque le Pape de cette Église parlait,
le troupeau
du Christ entendait la voix consolante du berger, dans une
longue série
de papes unanimes et d'accord dans la profession de la foi
unique.
À
l'inverse, la soi-disant «église» de Bergoglio n'hésite pas
à fermer
les églises, s’arrogeant le droit pervers de refuser le
culte public à
Dieu et de priver les fidèles de la grâce des sacrements par
une
misérable connivence avec le pouvoir civil. Cette
«église» humilie
la Très Sainte Trinité, la rabaissant au niveau des idoles
et des
démons avec des rituels sacrilèges d'une religion
néo-païenne. Il
arrache la couronne et le sceptre au Christ-Roi au nom du
globalisme
maçonnique; il offense la Co-Rédemptrice et la
Médiatrice pour ne
pas agacer les hérétiques, Ses ennemis. Il trahit le
devoir de
prêcher l'Évangile au nom du dialogue et de la
tolérance. Il fait
taire et adultère les Saintes Écritures et les Commandements
de Dieu
afin de plaire à l'esprit du monde. Il altère les
paroles sublimes
et inviolables de la prière que le Seigneur lui-même nous a
enseignées. Il profane la sainteté de la prêtrise,
annulant
l'esprit de pénitence et de mortification du clergé et des
religieux et
les abandonnant aux séductions du diable. Il nie deux
mille ans
d'histoire, méprisant les gloires du christianisme et la
sage
intervention de la Divine Providence dans les affaires
terrestres. Il suit avec zèle les modes et les
idéologies plutôt
que de modeler les âmes pour suivre le Christ. Il se
fait esclave
du Prince de ce monde afin de préserver son prestige et sa
puissance. Il prêche le culte blasphématoire de l'homme
et refuse
les droits souverains de Dieu. Et quand Bergoglio
parle, les
fidèles sont presque toujours scandalisés et
désorientés, parce
que ses paroles sont exactement le contraire de ce qu'ils
attendent
d'entendre du Vicaire du Christ. Il demande
l'obéissance à sa
propre autorité alors même qu'il l'utilise pour détruire la
papauté et
l'Église, contredisant tous ses prédécesseurs, aucun exclu.
Nous
avons
la promesse de la Très Sainte Marie: «À la fin, mon Cœur
Immaculé
triomphera.» Inclinons-nous devant ce cœur qui bat avec
la plus
pure Charité, afin que la flamme de ce saint amour se
reflète sur
chacun de nous, afin que la flamme qui y brûle illumine nos
esprits et
les rend capables de saisir le signes des temps. Et si
nos bergers
se taisent par peur ou par complicité, la multitude de laïcs
et de
bonnes âmes ont l'opportunité de compenser leur trahison et
d'expier
leurs péchés, invoquant la miséricorde de Dieu qui «est
venue au
secours de son serviteur, Israël , se souvenant de sa
miséricorde »(Luc
1, 54).
Aujourd'hui,
les
grands prêtres de ce Sanhédrin moderne scandalisent Notre
Seigneur
et Sa Très Sainte Mère, serviteurs complaisants de l'élite
mondialiste
qui veulent établir le royaume de Satan; demain, ils se
retireront
devant la victoire de Virgo
Potens ,
qui restaurera la Sainte Église et donnera la paix et
l'harmonie à la
société, grâce aux prières et aux sacrifices de tant de ses
enfants
humbles et inconnus.
Que
ce soit notre vœu pour la prochaine Fête de l'Immaculée
Conception, avec laquelle honorer Notre-Dame et Reine.
+
Carlo Maria Viganò, archevêque
1
décembre 2020 »
(lifesitenews.com)
04 décembre
«
Puis il leur dit : " Allez par tout le monde, et
prêchez
l’Évangile à toute créature. Celui qui croira et sera
baptisé, sera
sauvé ; celui qui ne croira pas, sera condamné » (Marc,
15,16)
Le
schisme,
ce dilemme auquel font faces les hommes d’églises, ainsi que
toute l'humanité, est bien spécifié dans les prophéties de
Jean XXIII
concernant l’église.
D’un
côté,
ceux non fidèles à la Loi et aux Prophètes, adhérant ainsi
volontairement ou non aux légions de Satan, et les chrétiens
qui
collent dans toute leur Foi à la tradition enseignée par le
Christ et
les Pères de l’Église, légions du Christ.
Une
seule voie pour la Victoire, le Royaume des Cieux, la Vie
Éternelle : être baptisé dans le Christ et avoir la
Foi.
Cette
tribune écrite par Mgr Thomas Halik dans la-croix.com résume bien ce dilemme.
Les
aveugles qui conduisent les aveugles...
Incapables
d'interpréter
les signes des temps comme beaucoup d'autres parce que
non éclairé par l’Esprit-Saint, ou plutôt envoûté par le
phénomène «
François », ces prêtres sont comme des poules sans tête et
ne sont plus
aptes d’exercer leurs fonctions de pasteurs pour rassurer
les brebis en
ces temps difficiles.
Incapables
de voir que l'Antichrist personne incarnant l’Antichrist
système est sur le trône…
Semant
à tout vent cette diatribe sur la fraternité humaine depuis
des mois maintenant, pour la nouvelle religion mondialiste.
Prions
pour eux afin qu'ils retrouvent le vrai chemin.
«
La révolution de la miséricorde et un nouvel œcuménisme.
Professeur de philosophie
et
de sociologie de la religion à l’Université Charles de
Prague, Mgr
Tomas Halik s’inquiète du fossé qui grandit au sein de
l’Église
catholique entre partisans d’une religion légaliste, tournés
vers le
passé, et défenseurs d’une révolution de la miséricorde,
attentifs aux
signes des temps.
...
Les opposants du Pape
Ce que ces opposants
exigent
du Pape, c’est une application stricte de la lettre de la
Loi. C’est
exactement ce à quoi Jésus s’est opposé toute sa vie lors de
ses
rencontres avec certaines élites religieuses de son temps,
engageant
ses disciples à se méfier du « levain des pharisiens ».
Quel est le style de
réforme
de l’Église de François ? Le Pape n’est pas un
révolutionnaire qui veut
changer la doctrine de l’Église. Ceux qui le connaissent
bien depuis
des décennies disent qu’il n’est pas un théologien
progressiste, mais
plutôt qu’il est miséricordieux. La miséricorde est la clé
pour
comprendre sa personnalité et sa réforme.
Ce Pape ne change pas les
normes écrites, il ne détruit pas non plus les structures
extérieures,
mais il transforme la praxis et la vie. Il ne change pas
l’Église de
l’extérieur. Au contraire, il la transforme beaucoup plus
profondément,
spirituellement, de l’intérieur. Il la transforme par
l’esprit de
l’Évangile ; c’est une révolution de la miséricorde. Dans
son cas, ces
mots ne sont pas de simples phrases pieuses et creuses. Sa
réforme a le
moyen de changer l’Église et de la ramener au cœur du
message de Jésus
plus profondément que bien des réformes passées...
Un catholicisme sans
christianisme
Ainsi, le christianisme ne
préconise pas un renversement révolutionnaire violent du
système de
l’esclavage à la façon de la rébellion de Spartacus. Il
appelle plutôt
à la création d’un climat moral de fraternité humaine et de
respect
mutuel de la valeur de chaque être humain, dans lequel le
système
esclavagiste doit à terme rendre son dernier souffle.
Aujourd’hui, la mentalité
d’une certaine forme de «catholicisme sans christianisme»
(qui
considère Donald Trump comme son chéri) nous rappelle les
scribes et
les pharisiens de l’époque de Jésus. Comment vivre avec ce
poids de
l’histoire de l’Église, garder le respect de l’Église,
sentire cum
ecclesia, et la fidélité à l’Évangile et puiser la force
dans la
promesse de Dieu de nous donner un « avenir plein
d’espérance » ?
Le Pape François ne change
pas
les dogmes et ne remet pas non plus en cause les sections
des documents
de l’Église qui représentent des « produits » ayant expiré
il y a
longtemps et qui sont maintenant toxiques et nocifs. De
même, le
Concile Vatican II n’a pas officiellement annulé, par
exemple, les
indéfendables imprécations de Pie IX concernant la liberté
de
conscience, de la presse et de la religion (le tristement
célèbre
Syllabus des erreurs). Vatican II a plutôt publié un
document
contraignant (la constitution « Joie et espoir » - « Gaudium
et Spes »)
qui a fait de ces valeurs, jusqu’alors rejetées par
l’Église, une
partie intégrante de son enseignement.
Le courage chrétien du Pape
François
Par son exemple personnel
de
courage chrétien, le Pape François nous inspire à ne pas
être ni
intimidés ni découragés par certains événements dans
l’Église. Il nous
appelle à agir comme de libres enfants de Dieu, en exerçant
de façon
responsable la liberté que le Christ nous a offerte et en ne
nous
soumettant pas à nouveau au joug de l’esclavage de la
religion
légaliste, comme l’apôtre Paul nous y invite avec force dans
l’Épître
aux Galates.
Au début de l'"Année de la
Miséricorde«, certains d’entre nous avaient quelques doutes
théologiques pour savoir si la notion de miséricorde
n’interprétait pas
l’amour de Dieu un peu trop » d’en haut". Mais c’est à
travers la
miséricorde que nous invitons Dieu dans des relations
humaines
difficiles et douloureuses, non pas comme garant de
principes
immuables, mais plutôt comme un pouvoir bon, généreux,
compréhensif,
indulgent et réparateur, capable de transformer l’homme,
l’Église et la
société.
La ligne horizontale de la
«fraternité humaine» dont le Pape a parlé dans la récente
encyclique
Fratelli tutti a besoin de sa ligne verticale d’amour en
tant que
miséricorde infinie qui dépasse toutes les frontières
humainement
concevables ; c’est l’amour sans frontières vers lequel nous
ne pouvons
nous diriger qu’en tant que but qui ne sera pleinement
atteint que
lorsque nous serons étreints par les bras de Dieu. Comme la
plupart des
sublimes paroles de Jésus, cet idéal ne doit pas devenir une
«loi». Il
doit plutôt rester une impulsion constamment provocante et
prophétique.
Or en ces temps où le
coronavirus sévit, je ne peux m’empêcher de m’inquiéter
d’une autre
pandémie, celle du fondamentalisme et du sectarisme. En
regardant les
partisans catholiques de Donald Trump, je lutte contre la
grande
tentation du scepticisme : «Le dialogue œcuménique au sein
de l’Église
catholique» est-il même possible ? Je trouve le dialogue
interreligieux, et surtout le dialogue avec des personnes
cultivées et
sérieuses en dehors de l’Église, tellement plus facile que
toute
discussion avec les gens qui combinent la religion avec des
démarches
populistes et nationalistes.
Un grand rêve s’achève en
fumée
Pendant un demi-siècle,
j’ai
vécu un grand rêve : réunir tous ceux qui croient en Christ.
Aujourd’hui, pour moi, ce rêve s’achève en fumée. Il y a des
différences que je considère comme insurmontables, et ces
différences
ne sont pas entre les Églises mais plutôt à travers elles.
Je ne peux
vraiment pas défiler sous la même bannière que les gens qui
prétendent
avec véhémence que Dieu a créé le monde en six jours, que
Moïse est
l’auteur des cinq livres de Moïse (y compris les passages
concernant sa
propre mort), ni avec les gens qui s’opposent à quelque
ordination des
femmes.
Pour un grand nombre de
chrétiens d’aujourd’hui, le contenu positif de la foi s’est
vidé. Ils
doivent donc trouver leur «identité chrétienne» dans des
«guerres
culturelles» contre les préservatifs, l’avortement, le
mariage
homosexuel, etc. Le Pape François a eu le courage de
qualifier ce
catholicisme réducteur et défini en négatif d' « obsession
névrotique ».
Il est certain que je ne
vais
pas quitter l’Église où je continuerai à rencontrer des
personnes avec
de telles opinions et convictions morales à la même table
eucharistique. Je suis bien conscient que je suis moi aussi
un être
humain faillible et sujet à l’erreur. Néanmoins, je suis aux
prises
avec un doute de taille : n’est-il pas temps d’abandonner
les
poursuites de l’œcuménisme de « tous les chrétiens » et de
se
concentrer plutôt sur l’approfondissement d’un œcuménisme
fécond
(partage, synergie et enrichissement mutuel) entre personnes
avisées,
aussi bien croyantes que non croyantes ? Certes, nous
récitons le même
Notre Père et le même Credo. Cependant, je crains que nous
vivions dans
des univers parallèles inconciliables. La différence se
trouve dans le
«cœur» des gens.
J’ai la sensation d’être du
même bord que les personnes qui suivent les connaissances
scientifiques
dans tous les domaines où la science est présente, tout en
posant de
profondes questions éthiques et spirituelles. Le chemin
entre le
fondamentalisme religieux d’un nombre considérable de
chrétiens et le
fondamentalisme scientifique tout aussi arrogant des athées
militants
est souvent étroit et difficile. Je suis néanmoins convaincu
que c’est
la voie à prendre pour suivre le Christ aujourd’hui.
Éviter un schisme
Nous
pourrions peut-être
encore éviter un schisme en instituant une sorte de «
Concile
Apostolique de Jérusalem », dont il est question dans les
Actes des
Apôtres, et en répartissant les tâches : les uns
s’occuperaient des
besoins des croyants qui aspirent aux certitudes du passé,
tandis que
les autres seraient à l’écoute des appels de Dieu dans les «
signes des
temps » à venir. Je me demande souvent si nous ne nous
trouvons pas
aujourd’hui dans une situation similaire à celle de l’apôtre
Paul, qui
a laissé Jacques, Pierre et les autres vénérables apôtres
poursuivre
leur ministère parmi les Juifs chrétiens, et a conduit la
jeune et
courageuse chrétienté de l’espace limité du judaïsme à
l’oikoumene
d’alors, dans un contexte culturel complètement différent.
La mission
de Paul a donné naissance au phénomène que nous appelons
aujourd’hui le
christianisme ; un phénomène qui annonce très probablement
une sorte de
détermination similaire pour franchir les frontières
actuelles.
Aujourd’hui, le Pape
François
nous montre peut-être une telle compréhension de l’Évangile
et une
telle attitude envers la création et les personnes, surtout
celles qui
sont en marge, montrant de façon prophétique ce que nous
appellerons
demain le christianisme. L’identité chrétienne n’est pas
enracinée dans
l’immobilité mais dans le mouvement de l’Esprit qui agit
dans
l’histoire pour conduire les disciples de Jésus toujours
plus
profondément dans la plénitude de la vérité. »
Tout est dit.
Tout
est inversé à la manière habituelle du singe de Dieu, Satan.
Comment ne pas le voir…
À moins que cela ne soit
intentionnel.
Pourtant
les maîtres de l'inversion sont ces pharisiens talmudistes,
cette clique judéo-maçonnique.
Engendrer
une
accusation de pharisaïsme envers ceux qui veulent garder la
Loi de
Dieu comme il a été enseigné est bien une de leur tactiques.
Pourtant,
les mots « révolution » et « miséricorde » infinies leurs
brûlent les
lèvres et laissent un goût amer à ceux qui ont les yeux pour
voir et
les oreilles pour entendre : une révolution majeure,
nommée «
Grand Réinitialisation » via l’élimination du péché va
emporter une
grande partie des brebis égarées.
Le
schisme?
Il
est là depuis longtemps mais on nous le cache.
Les églises se vident et il n'y
a plus de vocations ou presque.
La
prophétie de Jean XXIII concernant Paul VI est claire sur
cette question :
«
Les meilleurs fils s'en
vont, ils vont servir le mal qu'ils appellent bien. Et
ceux qui se pressent autour de toi sont oubliés.»
On
juge l’arbre à ses fruits et on peut maintenant affirmer que
les fruits de Vatican II sont très mauvais.
Rassembler
autour du Christ et non diviser est le mot d’ordre en cette
fin des temps!
«
Et que la Mère soit Une,
comme toi tu es unique. »
(prophétie de Jean XXIII concernant Benoît XVI) n’est pas un
cri de
ralliement concernant l’œcuménisme mais un cri du cœur pour
la Victoire
de la seule Église, Une, Sainte et Apostolique, celle dont
la pierre
angulaire est le Christ…
Ce
qui ne saurait tarder.
Mgr
Vigano nous avertit encore une fois sur les dangers de cette
« Grande Réinitialisation » et nous guide par l’Espérance.
Pour
l’âme…
Afin
qu’elle ne soit pas vendu à Satan.
«
« Vendu à Satan »:
Viganò
se décharge sur le « régime de pseudo-santé » du
coronavirus.
L’archevêque
exilé avait des mots durs pour la «grande réinitialisation»
et ceux qui cherchaient à la mettre en œuvre.
3 décembre 2020 (à
l’ intérieur du Vatican ) – «Ô Dieu, tu es
génial depuis
ton sanctuaire; le Dieu d’Israël donne force et
puissance à son
peuple. – Psaume 68:35
Le
19
novembre 2020, le fondateur du Forum économique mondial,
Klaus
Schwab, a déclaré que «Covid est une opportunité pour
une réinitialisation mondiale ».
En
réalité,
Schwab répétait servilement ce que disait Jacques Attali
dans
l’hebdomadaire français L’Express du 3
mai 2009
[donc, il y a 11 ans]: «L’histoire nous apprend que
l’humanité n’évolue
significativement que lorsqu’elle a vraiment peur: puis elle
se
développe d’abord mécanismes de défense; parfois
intolérables
(boucs émissaires et totalitarismes); parfois inutile
(distractions); parfois efficaces (thérapies qui, si
nécessaire,
peuvent s’écarter de tous les principes moraux
antérieurs). Puis,
une fois la crise passée, la peur transforme ces mécanismes
pour les
rendre compatibles avec la liberté individuelle et les
inscrire comme
politiques d’une démocratie saine.
À
l’époque, c’était la grippe porcine qui, selon les médias,
devait
causer des millions de morts et pour laquelle les nations
achetaient
des millions de doses de vaccins jamais utilisés, car ils se
sont
avérés inutiles, à «Big Pharma». Inutile pour tous –
sauf pour
ceux qui les ont vendus, faisant d’énormes profits.
On
peut
se demander pourquoi un virus grippal qui selon de récentes
données de l’OMS a une mortalité (0,13%) légèrement
supérieure à celle
d’un syndrome grippal saisonnier normal (0,10%) aurait pu
conduire à la
déclaration de la pandémie et à une série de contre-mesures
dans
presque toutes les nations européennes et sur le continent
américain.
On
peut
également se demander pourquoi
les traitements Covid-19 sont généralement
discrédités,
minimisés ou interdits, alors que le vaccin est
considéré
comme la solution la plus efficace.
Et
il
faut expliquer comment il est possible de créer un vaccin,
puisque –
selon les déclarations des US CDC (United States Centers for
Disease
Control and Prevention) – le virus n’a pas encore été isolé.
Quel
antigène peut être utilisé si le virus SARS-CoV-2 ne peut
être isolé et répliqué?
Et
quelle
fiabilité peuvent avoir les tests de virus, puisque les
tests
sont calibrés pour ne détecter que sur le «Coronavirus»
générique en
général?
Et
si
le 19 octobre, l’hôpital Spallanzani de Rome annonçait le
développement d’un test qui distingue la grippe normale du
Covid-19,
pouvons-nous savoir pour quelle raison les patients qui
subissent le
nouveau test se sont-ils révélés positifs?
Ce
manque
de clarté explique peut-être pourquoi certains membres des
conseils d’administration de Moderna et Pfizer ont vendu une
partie des
actions de leur société.
Revenons
donc
aux questions que beaucoup se sont posées il y a des mois,
et au
contenu jamais contredit de mes deux lettres ouvertes au
président
Trump: un plan mondial apparaît dans sa déconcertante
réalité. Les
architectes du plan, créant une alarme sociale injustifiée à
propos
d’une prétendue pandémie – que nous voyons aujourd’hui n’est
pas plus
grave qu’une grippe normale, comme le confirment les données
officielles du monde entier – a été utilisé pour créer une
formidable
crise sociale et économique mondiale et ainsi légitimer la
réduction
drastique des droits fondamentaux de la population.
C’est
ce
que ses auteurs appellent eux-mêmes la Grande
Réinitialisation: la réinitialisation globale de
l’économie,
de la société et de masses de gens.
Dans
ce
projet, le virus Covid joue un rôle fondamental, en tant
qu’alibi
qui justifie – face au «totem» d’une science qui s’est
prostituée aux
intérêts d’une élite après avoir abdiqué sa mission de
sauver des vies
humaines – la privation de liberté, l’ingérence
des
gouvernements dans la vie privée de ses citoyens, la mise en
place d’un
régime de pseudo-santé dans lequel, contre toute
preuve
scientifique objective, le nombre de convives, la distance
entre les
personnes, la possibilité d’acheter, de vendre, respirer et
même prier,
se décide d’en haut.
Quelqu’un,
dans
le silence assourdissant de la Hiérarchie catholique, a
imposé la
fermeture des églises ou la limitation des célébrations
religieuses,
considérant la Maison de Dieu comme un cinéma ou un musée,
mais en même
temps déclarant les cliniques d’avortement «services
essentiels».
Ce
sont
les paradoxes d’un pouvoir malavisé, géré par des gens
corrompus
dans l’âme et vendus à Satan, un pouvoir qui, après avoir
répété de
manière obsessionnelle les mantras de la «démocratie» et du
«pouvoir
appartient au peuple», est désormais contraint d’imposer une
dictature
sur le peuple lui-même, au nom de la réalisation d’objectifs
visant à
protéger les intérêts politiques et financiers de l’élite.
Les
riches
deviennent de plus en plus riches, tandis que les classes
moyennes qui constituent le tissu social et l’âme même des
nations sont
abattues.
La
Révolution française a anéanti l’aristocratie occidentale.
La
révolution
industrielle a effacé les paysans et répandu la
prolétarisation qui a conduit au désastre du socialisme et
du
communisme.
La
Révolution de 68 a démoli la famille et l’école.
Cette grande
réinitialisation,
souhaitée par l’élite mondialiste, représente
la révolution finale avec laquelle ils
créent une
masse informe et anonyme d’esclaves connectés à Internet,
confinés à la
maison, menacés par une série interminable de pandémies
conçues par
ceux qui ont déjà le miraculeux vaccin prêt.
Précisément
ces
jours-ci, avec l’harmonie d’un plan qui semble orchestré
dans les
moindres détails sous une direction unique, l’imposition
d’un vaccin
est théorisée par de nombreuses parties, avant même que
l’efficacité
réelle du vaccin ne soit pleinement connue, et même avant
que le vaccin
ne soit possible. les effets secondaires peuvent être
pleinement
déterminés.
Cette
obligation
de recevoir un vaccin est soupçonnée par beaucoup pour être
liée parallèlement à la délivrance d’un «passeport
sanitaire», de sorte
que ceux qui ont un tel passeport puissent se déplacer sans
limitation,
tandis que ceux qui refusent un vaccin ne pourraient pas
utiliser les
moyens de transport, fréquenter les restaurants et visiter
les lieux
publics, les écoles et les bureaux.
Que
cela
représente une violation intolérable des libertés de
l’individu ne
semble pas être un problème: les législateurs n’hésitent pas
à renvoyer
les parlements pour imposer leurs normes tyranniques,
sachant que leur
pouvoir existe tant qu’ils obéissent à l’agenda
de la Grande Réinitialisation, approuvé par
les
institutions internationales telles que l’Union européenne
et l’ONU.
Face
à
un déploiement de forces aussi massif et coordonné, nous
restons
étonnés, déconcertés par l’impudence de ceux qui nous
disent, en
substance, que nous devons accepter silencieusement la
dictature d’un
groupe de pouvoir sans visage, car c’est ainsi que le groupe
a décidé.
Nous sommes déconcertés par
l’asservissement de la gauche mondiale – et des démocrates
aux
États-Unis – à cet agenda, qui ne connaît ni limites, ni
restrictions à
son exécution, au point d’organiser un coup d’État électoral
d’une
telle ampleur et gravité qu’il faut en être horrifié.
La fraude manuelle des
bulletins de vote en double, les votes des personnes
décédées, des
citoyens qui découvrent avoir voté mille fois et des
employés qui
falsifient les résultats en masquant les fenêtres des
bureaux de vote
avec des panneaux de carton, s’accompagne de l’utilisation
d’un
vote-appareil de comptage qui s’avère non seulement ouvert à
une
utilisation frauduleuse, mais même avoir été conçu au niveau
logiciel
pour permettre le transfert des votes d’un candidat à un
autre, sur la
base d’un algorithme complexe.
Nous
découvrons
que les personnes derrière cette fraude macroscopique sont
toujours les mêmes, toujours du même parti politique,
toujours soumises
à la même idéologie. Les gens se corrompent dans
l’intellect et la
volonté, parce qu’ils se sont fait les esclaves d’un tyran
impitoyable,
après avoir refusé d’obéir à un Seigneur bon, juste et
miséricordieux.
Ainsi,
comme
ceux-ci ont accepté l’esclavage du péché et la rébellion
contre
Dieu, ils voudraient aujourd’hui entraîner l’humanité tout
entière dans
un abîme de mort et de désespoir: c’est la misérable
vengeance de
Satan, qui, ne pouvant vaincre l’Unique qui l’a jeté en
enfer, essaie
de traîner avec lui autant d’âmes que possible, dans une
tentative de
frustrer l’œuvre de la Rédemption.
Nous,
croyants
en Christ Notre Seul Seigneur, n’avons aucune raison de
craindre, même contre toute raison humaine: nous savons
qu’en
renaissant dans le Baptême, nous ne sommes plus serviteurs
mais enfants
de Dieu, et qu’en préservant l’amitié de notre Seigneur avec
Grâce nous
pouvons avoir confiance en lui, en son aide prévoyante, en
sa puissante
protection.
En
fin
de compte, c’est la vraie liberté: la liberté des enfants de
Dieu,
qui obéissent à sa loi non par peur mais par amour, non par
contrainte
mais parce qu’en adhérant à la volonté divine, ils
trouveront leur
propre accomplissement parfait et leur complète la
concrétisation.
Car chaque âme est créée
pour
la plus grande gloire de Dieu, pour la béatitude éternelle
comme
récompense de fidélité au Sauveur.
Ne
laissez pas nos cœurs se troubler!
Les
manœuvres
de ceux qui travaillent dans les ténèbres se dévoilent, se
manifestant dans toute leur horreur et révélant leur matrice
perverse
et infernale.
Mensonges,
tromperies,
violence, mort: telle est la dure réalité du mal devant
laquelle les gens de bonne volonté ne peuvent qu’être
horrifiés.
Si
Notre
Seigneur daigne écouter les prières de ses enfants, ce
château de
mensonges et de fraudes s’effondrera misérablement, et ses
architectes
devront se cacher pour échapper aux rigueurs de la justice
et à
l’exécration des peuples.
Ce
sont
des heures décisives: nous continuons à prier, à réciter le
Saint
Rosaire, à nous nourrir de la Très Sainte Eucharistie, à
faire
pénitence.
La
chorale de qui monte jusqu’au trône de la majesté divine ne
restera pas inouï.
Ne
nous
décourageons pas, car c’est au moment de l’épreuve que le
Seigneur
nous donne l’occasion de montrer notre confiance en lui et
de voir la
grandeur de sa miséricorde.
«Tout
ce
que vous demanderez en mon nom, je le ferai, afin que le
Père soit
glorifié dans le Fils» (Jn 14, 13). Notre Seigneur nous
a dit
clairement: tout.
Nous
demandons
donc au Père, au nom du Fils notre Seigneur et Rédempteur,
par l’intercession de sa très sainte Mère notre puissante
médiatrice,
de montrer sa gloire, d’accorder l’exaltation de la sainte
Église, la
paix et la prospérité aux peuples chrétiens, la conversion
des
pécheurs, la défaite de ses ennemis.
« Dieu
se lève, et ses ennemis seront dispersés, et ceux qui le
haïssent fuiront devant lui » (Psaume 68: 1).
+
Carlo Maria Viganò, archevêque
25 novembre 2020
Sainte Catherine
d’Alexandrie, Vierge et Martyre » (lifesitenews.com).
01 décembre
On ne peut plus se fier aux
médias traditionnels et la vérité est gardée hors de portée
des « goïm ».
Cette
une période où le mensonge domine à outrance.
La
Seule Vérité maintenant est via les paroles que nous a
laissées NSJC.
Il
ne laissera pas tomber les fidèles à la Loi et aux Prophètes
qui se mettent en état de grâce par la prière.
L’Esprit-Saint
est à l’œuvre et il faut de la discipline pour être réceptif
en ces temps difficiles.
Une
entrevue de Pierre Hillard
sur l’accélération du plan judéo-maçonnique avec la Covid-19
et sur le
fait que les élites n’agissent plus dans l’ombre car ils
sont sûr de
leur victoire.
Le
plan de la « Grande Réinitialisation » est dans la bouche de
tous les dirigeants et nul ne peut l’ignorer.
Pour
ceux qui doutent encore, examiner bien le logo du Word Economic Forum.
Trois
6 dans l’arc qui croisent les lettres « O »
Aucun doute.
Bergoglio appuie lui aussi sur
l’accélérateur.
Il
s’est adressé aux américains juste avant l’Action de Grâce
dans le très « démocratique » New York Times du 26 novembre.
Aucune
mention du Christ en ce moment de rendre grâce.
Une
mention seulement de Dieu, et toute une!???
Dieu
nous aiderait en nous poussant vers un nouvel agenda…
Socialiste!
C’est
basé sur son dernier livre.
C’est
un coup de pouce volontaire pour Joe Biden et pour le
mondialisme.
C’est
une autre preuve que Bergoglio fait parti du plan.
Les
extraits importants qui sont en relation avec ses thèmes
favoris :
«
Opinion
Pape
François: Une crise révèle ce qui est dans nos cœurs.
Pour
sortir mieux de cette pandémie que nous n’y sommes allés,
nous devons nous laisser toucher par la douleur des autres.
Le pape François est le
chef de l’Église catholique et l’évêque de Rome.
•
26 novembre 2020
…
Ce sont des moments de la
vie
qui peuvent être mûrs pour le changement et la conversion…
Comme dans
le confinement de la Covid-19, ces moments génèrent une
tension, une
crise qui révèle ce qu’il y a dans nos cœurs.
Dans chaque «Covid»
personnel,
pour ainsi dire, dans chaque «arrêt», ce qui est révélé est
ce qui doit
changer: notre manque de liberté interne, les idoles que
nous servons,
les idéologies avec lesquelles nous avons essayé de vivre,
les
relations que nous avons négligé.
…
Regardez-nous
maintenant:
nous mettons des masques pour nous protéger et protéger les
autres contre un virus que nous ne pouvons pas
voir. Mais qu’en
est-il de tous ces autres virus invisibles dont nous devons
nous
protéger? Comment allons-nous gérer les pandémies
cachées de ce
monde, les pandémies de faim et de violence et les
changements
climatiques?
…
C’est
le
moment de rêver en grand, de repenser nos priorités – ce que
nous
valorisons, ce que nous voulons, ce que nous recherchons –
et de nous
engager à agir dans notre vie quotidienne sur ce dont nous
avons rêvé.
Dieu
nous
demande d’oser créer quelque chose de nouveau. Nous ne
pouvons pas revenir aux fausses sécurités des systèmes
politiques et
économiques que nous avions avant la crise.
...
Pour
mieux sortir de cette crise, nous devons retrouver la
connaissance qu’en tant que peuple, nous avons une destination
commune. La
pandémie nous a rappelé que personne n’est sauvé
seul. Ce qui nous
lie les uns aux autres, c’est ce que nous appelons
communément la
solidarité. La solidarité est plus que des actes de
générosité,
aussi importants soient-ils; c’est l’appel à embrasser
la réalité
que nous sommes liés par des liens de réciprocité. Sur
cette base solide, nous pouvons construire un avenir
humain meilleur et différent.
(NewYorkTimes). »
Voilà.
La
destination commune auquel il fait référence est l'enfer
mais il n'y a pas beaucoup de gens qui le voit ainsi.
C’est
aussi une répétition du message de Klaus Swab, un
message que la situation normale ne reviendra jamais.
C’est
la
confirmation de la « Grande Réinitialisation » de la bouche
même du
chef de l’église catholique, qui a renoncé à son titre de
Vicaire du
Christ.
La
nouvelle
religion universelle est en place depuis Vatican II et elle
vient d’atteindre sa maturité avec la publication de «
Fratelli Tutti »
en octobre.
La
pierre angulaire de l’église catholique conciliaire n’est
plus le Christ!
C’est
la dignité humaine!
Car
seule la
solidarité réglera tous les problèmes.
L'HEURE
EST TRÈS GRAVE.
L’église catholique a été
transformée à l’insu des tièdes.
Alors,
si
le Christ n’est cité quant référence comme le sont Gandhi,
ou le
grand Imam, ou les philosophes qui ont inspiré Bergoglio
pour son
encyclique, c’est qu’il adhère entièrement à cette nouvelle
religion.
Si
« L’Église
a un rôle public qui ne se borne pas à ses activités
d’assistance ou
d’éducation, mais qui favorise la promotion de l’homme et
de la
fraternité universelle. » (point 276 de
Fratelli Tutti), c’est que l’église catholique conciliaire
en fait complètement partie!
C’est
un fait
exprimé par le pape!
Confirmé
par son point 274 où « nous
savons, nous
croyants des religions, que rendre Dieu présent
est un bien pour nos sociétés ».
Il
n’y a donc pas qu’un seul Dieu trine.
Toutes
les religions peuvent rendre Dieu présent!
Bergoglio est donc contre Dieu
puisque Jésus nous a confirmé qu’il n’y a qu’un seul Dieu,
Père, Fils et Esprit.
Et
la pierre angulaire de L’Église, c'est le Christ!
«Qui n'est pas avec moi est
contre moi, et qui n'amasse pas avec moi disperse »
nous dit le Christ (Matthieu 12:30).
Bergoglio
disperse.
« Qui
est le menteur, sinon celui qui nie que Jésus est le
Christ ? Celui-là
est l'antéchrist, qui nie le Père et le Fils.
Quiconque nie le Fils, n'a pas non plus le Père ; celui
qui confesse le Fils, a aussi le Père.» (1 Jean
2:22)
Voilà.
C’est
confirmé.
Bergoglio
est l’antéchrist personnifié.
L’abomination
sur le trône de Saint-Pierre.
Devant
cette
accélération du religieux avec Bergoglio et du politique
avec la
« Grande Réinitialisation », et à l’approche des dates
merveilleuses du
8 décembre et du 12 décembre, fêtes de l’Immaculée
Conception et de
Notre-Dame de Guadelupe, le Soleil nous donne des signes
avant coureurs
d’activité juste avant le début de ce mois important.
Une tempête solaire majeure
contrerait bien ces plans machiavéliques basés sur la
dominance de
l’intelligence artificielle et l’électronique.
Six
taches
solaires sont présentes sur la surface visible (face tournée
vers la Terre) et une tache qui est sur le point de nous
faire face
dans les prochains 14 jours a expulsé une éjection solaire
de classe
moyenne assez puissante (M 4.4) dimanche.
Une
Éjection de Masse Coronaire (CME) l'a accompagné mais elle
n'était pas dirigée vers la Terre.
Un
peu plus fort (classe X) et dirigée vers la Terre, et c'est
le grillage des puces électroniques.
Ce
n'est qu'une question de temps...
Si
ce n'est pas pour les prochains 14 jours.
L'animation GIF de l'éjection de
dimanche (sud ouest du Soleil):
La puissance phénoménale de la CME, d'où
le soupçon d'une classe X:
Novembre 2020
29 novembre
«
Le Forum économique mondial (WEF) vient de
publier (octobre
2020) un soi-disant Livre blanc, intitulé
« Réinitialiser l'agenda
de l'avenir du travail - dans un monde post-Covid ».
Ce
document
de 31 pages se lit comme un plan sur la façon d '«exécuter»
-
parce qu'une exécution (ou implémentation) serait
- «
Covid-19 – La Grande Réinitialisation » (juillet
2020),
par Klaus Schwab , fondateur et PDG (depuis
le
fondation du WEF en 1974) et son associé Thierry
Malleret
(note : sa responsabilité et de concevoir et de mettre
en oeuvre
le programme de Davos ) .
Ils appellent
«Réinitialiser
l'avenir» un livre blanc, ce qui signifie que ce n'est pas
tout à fait
une version finale. C'est une sorte de projet, un
ballon d'essai,
pour mesurer les réactions des gens. Beaucoup de gens
peuvent ne pas le
lire - n'ont aucune conscience de son existence. S'ils
le
faisaient, ils prendraient les armes et combattraient ce
dernier plan
totalitaire, offert au monde par le WEF.
Il promet un
avenir horrible à environ 80% -plus de la population
(survivante).
«1984» de George Orwell se
lit comme un fantasme bénin, comparé à ce que le WEF a en
tête pour l'humanité.
Le délai est de dix ans -
d'ici 2030 – soit l’Agenda 2030 des Nations Unies 2021-2030
qui doit être mis en œuvre.
Mesures
commerciales prévues en réponse au COVID-19:
• Une accélération des processus de travail numérisés,
conduisant à 84%
de tous les processus de travail sous forme de conférences
numériques
ou virtuelles / vidéo
•
Quelque 83% des personnes sont prévues pour travailler à
distance -
c'est-à-dire plus d'interaction entre collègues -
distanciation sociale
absolue, séparation de l'humanité du contact humain.
•
Environ 50% de toutes les tâches devraient être automatisées
- en
d'autres termes, la contribution humaine sera
considérablement réduite,
même pendant le travail à distance.
•
Accélérer la numérisation de la mise à niveau /
requalification (par
exemple, les fournisseurs de technologies éducatives) - 42%
de la mise
à niveau des compétences ou de la formation à de nouvelles
compétences
seront numérisées, en d'autres termes, pas de contact humain
- le tout
sur ordinateur, intelligence artificielle (IA), algorithmes.
• Accélérer la mise en œuvre des programmes de mise à niveau
/
requalification - 35% des compétences devraient être
«ré-outillées» -
c'est-à-dire que les compétences existantes devraient être
abandonnées
- déclarées périmées.
•
Accélérer les transformations organisationnelles en cours
(par exemple,
restructuration) - 34% des structures organisationnelles
actuelles
devraient être «restructurées» - ou, en d'autres termes, les
structures
organisationnelles existantes seront déclarées obsolètes -
pour faire
de la place à de nouveaux ensembles de cadres
organisationnels,
numérique structures qui offrent un contrôle maximal sur
toutes les
activités.
•
Réaffecter temporairement les travailleurs à différentes
tâches - cela
devrait toucher 30% de la main-d'œuvre. Cela signifie
également
des échelles de salaire complètement différentes - très
probablement
des salaires invivables, ce qui ferait du «salaire de base
universel»
ou «revenu de base» également prévu - un salaire qui vous
permet à
peine de survivre, un besoin évident. - Mais cela vous
rendrait
totalement dépendant du système - un système numérique, sur
lequel vous
n'avez aucun contrôle.
•
Réduire temporairement la main-d'œuvre - cela devrait
toucher 28% de la
population. C'est un chiffre de chômage supplémentaire,
déguisé,
car le «temporaire» ne reviendra jamais à plein temps.
•
Réduire les effectifs de manière permanente - 13% de
effectifs réduits de manière permanente.
•
Augmenter temporairement la main-d'œuvre - 5% - il n'y a
aucune
référence à quel type de main-d'œuvre - probablement une
main-d'œuvre
non qualifiée qui sera également remplacée tôt ou tard par
l'automatisation, par l'IA et la robotisation du lieu de
travail.
•Aucune
mesure
spécifique mise en œuvre - 4% - cela signifie-t-il que seuls
4%
resteront intacts? De l'algorithme et des nouveaux
lieux de
travail dirigés par l'IA? - aussi petit et insignifiant
que soit
la figure, cela ressemble à un «vœu pieux», à ne jamais
accomplir.
•
Augmenter la main-d'œuvre de manière permanente - seulement
1% est
projeté comme «une main-d'œuvre en augmentation
permanente». Ce
n'est bien sûr même pas accessoire. C'est une blague.
C'est ce qui est proposé, à
savoir le processus concret de mise en œuvre de « La Grande
Réinitialisation ».
(lifesitenews.com
et orignal du WEF).
Les analyses des derniers
mois
ont démontré (avec références à l’appui) que la « Grande
Réinitialisation » post-Covid 19 n’est pas une fable.
Or, nous constatons que les
médias traditionnels (ex. lapresse.ca)
ridiculisent
le concept et le réduisent qu’à de simples mesures sociales
dont
personne ne pourrait être contre, étant donné que la
fraternité humaine
et toute la planète en ressortent gagnants au niveau
environnemental.
Çà, c’est pour les
aveugles. Ceux et celle qui ont oubliés leurs racines
religieuses.
Voilà un avantage que nous
avons pointé du confinement : l’occasion de se
dissocier
mentalement et spirituellement des deux Babylone.
Avec ce plan d’action du
WEF
nous pouvons confirmer par la même occasion que le cri de
victoire de
l’élite judéo-maçonnique est très proche… Et que leur plan
se
CONCRÉTISE.
Très rapidement.
Ce
qui est un signe d'espérance pour nous puisque cela nous
rapproche de la seconde venue de NSJC.
Imaginez qu’un autochtone
dans
la jungle amazonienne est plus avantagé qu’un citoyen d’une
grande
ville dans une telle situation… Car lui il est autonome.
Il est alors facile de
comprendre :
- la fin de la prophétie
concernant Benoît XVI où il est demandé à la Sainte-Vierge
de détruire
les deux Babylone, le ciment, qui représente la civilisation
moderne,
et d’établir le Royaume sur la terre de blé pour nourrir les
peuples,
ce qui est confirmé par la parole de Saint-Pierre (voir
analyse
précédente).
- Que la fin de cette
civilisation repose sur l’élimination de l’électronique par
un
quelconque cataclysme solaire ou autre étant donné la
dépendance à ce
système actuellement, mais encore plus avec ce qui nous
attend selon le
rapport de la WEF ci-haut.
Cette génération ne se
rendra
probablement pas totalement au bout de cette nouvelle tour
de Babel
comme nous le soulignions dans l’analyse précédente… car le
petit reste
se découragerait assez rapidement.
Même avec une grande
solidarité et charité, vivre dans un tel chaos ne serait
évidement pas possible.
C’est une des raisons sur
le
pourquoi du non retour de Trump à la maison blanche car «
America Great
Again », çà n’entre pas dans le programme de la WEF spécifié
ci-haut.
Il faut dire que le tout
était
prévu pour l’élection de 2016 avec Hillary Clinton au
pouvoir pour
établir la nouvelle monnaie digitale en 2018 comme cela
était prévu
dans « The Economist » de 1988 : le Phoenix.
Sur ce sujet, le Fonds
Monétaire International, a initié une conférence sur le
sujet le 4 décembre prochain.
Observez
bien le Phoenix sur la couverture de l’événement.
De
Pierre Hillard :
«
Observez l’oiseau…
-
Il sort d'un « œuf-Covid-19 ». Ce qui semble évoquer que la
crise
sanitaire n’est que l’outil pour parachever un idéal ancien
d’unité
planétaire doublée d’une spiritualité bien définie...
-
Il semble être une symbiose entre une créature biologique et
numérique
(il est constitué de 0 et de 1). Cela nous rappelle les
propos récents
de Klaus Schwab, patron du Forum économique de Davos, qui
n'hésite pas
à affirmer que la grande réinitialisation, qui est la 4è
révolution
industrielle, se prépare sur fond de transhumanisme : « une
fusion de
notre identité physique, numérique et biologique » »
Lien
et image sur www.imf.org.
Tiré du lien Youtube mis
par le FMI :
«
… Cette conférence examinera l'impact du changement
technologique et de
l'automatisation dans les pays industrialisés, qui a
provoqué une
énorme augmentation des inégalités entre le capital et le
travail et
entre les travailleurs à niveau d'éducation élevé et faible,
disparités
qui ont maintenant été encore aggravées par le COVID-19… »
C’est
bien en symbiose avec le programme du WEF exposé ci-dessus.
Maintenant
que Trump est écarté, ils peuvent procéder à vitesse
maximum :
« 25 novembre 2020
( LifeSiteNews ) - L'ancien secrétaire d'État
américain John
Kerry a assuré aux élites du Forum économique mondial (WEF)
qu'une
présidence de Joe Biden ferait rapidement progresser
l'agenda
mondialiste de la «grande réinitialisation» «avec plus de
rapidité et
d'intensité que beaucoup pourraient imaginer.
Kerry
a
fait ses remarques mardi la semaine dernière lors
d'une
table ronde virtuelle «Plateforme d'action COVID» organisée
par le
WEF. L'organisation mondialiste a saisi l'occasion de
la pandémie pour introduire des changements
radicaux dans
l'économie mondiale.
«La
notion
de réinitialisation est plus importante que jamais», a-t-il
déclaré. «Personnellement, je crois… nous sommes à
l'aube d'une
période extrêmement excitante.» »
La
conférence de Kerry sur www.weforum.org.
Et
avec
le retour d'un démocrate au pouvoir, c'est plutôt le retour
du CFR
au pouvoir, ce qui est la preuve que le programme de l'élite
avait été
retardé de 4 ans.
« Joe Biden a promis qu'il
formerait «le cabinet le plus diversifié» de l'histoire des
États-Unis.
Cela peut être vrai en termes de couleur de peau et de sexe,
mais
presque tous les futurs membres clés de son cabinet ont une
chose en
commun: ils sont, en effet, membres du US Council on Foreign
Relations... » (zerohedge.com).
Nous
avons donc eu 4 années de sursis.
C'est
terminé.
Plus
d’individualisme. Tous connectés, les pays inclus.
Dominance
complète par l’électronique.
Nous
y sommes.
Le
666 à son plein potentiel.
CHRISTE
ELEISON
28 novembre
RETOUR SUR LES GRANDS MARQUEURS DU TEMPS
Un
court résumé de l’analyse du 01 août dernier :
Nous
avions
vu que pour les mages ou l’élite occulte, la planète Jupiter
représente le créateur, celui qui sacre les rois, Saturne
étant celle
qui marque la fin et le début d’un cycle ou la grande
faucheuse.
C’est
le nom qui est donné à la grande conjonction Saturne-Jupiter
dont nous avions fait mention.
Il
faut
faire référence aux mages qui ont visité le Christ
s’incarnant sur
Terre, ainsi qu’à l’élite occulte qui utilise ces signes du
ciel pour
avancer dans son plan pour l’entrée en scène de leur messie,
car ils
cheminent ainsi vers la consécration du « peuple prêtre »
judéo-maçonnique.
Leur
Messie.
Nous
avions
mis l’accent sur le fait que cette grande conjonction
pourrait
être l’occasion du « sacre d’un roi », en référence à la
prophétie de
Jean XXIII sur le roi Frédéric.
Et
ce
roi jupitérien, on le sait avec une certaine probabilité,
est la
bête de la Terre, Emmanuel Macron, le protégé des
Rothschild, dont
l’anniversaire est le 21 décembre.
Nous
avions
été averti le 15 janvier 2014 par Christine Lagarde lors de
son
discours du FMI, qui nous révélait le mystère du fabuleux
chiffre 7…
Mystérieux
jusqu’à
la rencontre de Davos du 23 janvier 2014, où elle mettait de
l’avant pour la première fois la notion de «
réinitialisation » ou «
reset ». (lefigaro.fr).
Nous
comprenons parfaitement le plan aujourd’hui grâce aux
sorties de Klaus Swab et de son livre…
Et,
son
annonce de la grande messe occulte de Davos 2021 sur la «
Grande
Réinitialisation », soit 7 années après le discours de
Christine
Lagarde.
Une
opportunité incroyable (entérinée par plusieurs chefs de
pays), provoquée par…
La
pandémie.
LE
COMPTE
À REBOURS EST COMMENCÉ depuis le 19 novembre, jour où
Jupiter et
Saturne sont à moins de 5 degrés une de l’autre, débutant
ainsi la
grande conjonction de 2020.
La
triple
grande conjonction de l’an -6 à la naissance du Christ a
probablement guidé les mages astrologues vers Bethléem,
puisqu’ils
connaissaient le poème perse qui pointait la mort d’un roi
(Kai
Khusrau, personnage mythique) pour laisser place à la
naissance d’un
grand roi.
«
La tête des chefs était lourde à la nouvelle. Les
guerriers dormaient
dans la douleur, et quand le soleil se leva sur les
collines, le Shah
avait disparu… »
Et
voici, qu’Io, l'étoile qu'ils avaient vue en Orient, les
précéda,
jusqu'à ce qu'elle s'immobilise sur l'endroit où gisait le
jeune enfant.»
Io
est la principale lune de Jupiter.
Or,
cette grande conjonction a eu lieu dans la constellation des
poissons, signifiant la fin de l’ère du bélier.
Le
bélier, c’est le sacrifice de l’agneau au temple, l’ancien
testament.
L’ère
du Père.
Et
nous savons que le Christ a éliminé ce sacrifice sanglant
pour le remplacer par le sacrifice non sanglant du vin et du
pain.
C’est
l’ère
des poissons, de la pêche miraculeuse, de la
révélation de
la Vérité du Père et du Christ à toutes les nations.
L’ère
du Fils.
ICHTUS
«
est l'un des symboles majeurs qu'utilisaient les premiers
chrétiens
en signe de reconnaissance. Il représente le Sauveur durant
les débuts
de l’église primitive... Le poisson représente
l'eau du baptême. Par ailleurs, le mot forme,
en grec
ancien (langue véhiculaire davantage parlée dans
l'Empire
romain que le latin), un jeu de mots puisque
c'est aussi
l'acrostiche du nom attribué à Jésus sur
laquelle repose
la foi chrétienne...» (fr.wikipedia.org).
La grande conjonction de
2020 se fera en Verseau, signe de la fin de l’ère des
poissons.
Pour
la
kabbale judéo-maçonnique, c’est un grand moment très
attendu et
très publicisé : qui n’a pas entendu parler du
phénomène « nouvel
âge » relié au signe du verseau, l’ère du verseau, ou la
comédie
musicale hippie « Hair » avec le titre renommé qu’est «
Aquarius » ou «
Verseau », ode à la religion humaniste anti-christique qui
s’est
complètement dévoilée maintenant.
Pour
eux,
c’est la fin de l’ère de l’individualisme qui mène à l’ère
de la
conscience de la communauté, de la fraternité universelle,
tant dans la
société que dans les institutions culturelles et
spirituelles.
Ce
qui
est bon pour le peuple n’est pas nécessairement ce qui est
bon pour
l’élite qui se veut être la partie dominante de cette
réinitialisation,
le peuple prêtre, seul lien entre leur Dieu et les goïm.
Ils
cachent la vérité. Les aveugles conduisent les aveugles tels
qu'annoncé par NSJC.
On
l’a vu, cette date du 21 décembre représente la consécration
d’un nouveau roi jupitérien.
C’est
un passage, un rite, une Pâques kabbalistique.
Ils
l’ont préparé, avec l’aide de Bergoglio.
Voici
les deux dernières preuves que la bête Vatican agît main
dans la main avec la kabbale judéo-maçonnique :
Bergoglio
vient
de publier son nouveau livre sur ses réflexions «
covidiennes ».
Le titre en français est « Un Temps pour Changer »...
Mais en anglais le titre
est plus long, plus explicite: « Rêvons tous, le sentier
pour un futur meilleur » (vaticannews.va).
Il
s’agît bien d’un passage.
Comme
le passage de la Mer Rouge par Moïse.
Et
ce n’est pas ce seul chemin qui mène au Père, c’est à dire
NSJC.
Non.
C’est
encore sa fusion totale avec la « Grande Réinitialisation ».
Bergoglio
a la mission et l'intention de basculer l'église totalement
vers l'Agenda 2030.
Il
avait été clair sur ce sujet en présentant son « Laudato Si
» aux Nations-Unies le 25 septembre 2015.
Le
point de bascule, il est proche!
Et
comme on le sait, il n'y a absolument rien comme objectif
spirituel dans l'Agenda 2030.
Deuxièmement, juste au
moment
où Bergoglio sortait son nouveau bouquin, Mgr Gallagher,
secrétaire
pour la Relations avec les États (donc le lien du Vatican
pour la «
Grande Réinitialisation ») a prononcé un discours « dans une
Lectio
Magistralis délivrée à l'Académie nationale des Lyncéens,
(Accademia
Nazionale dei Lincei) sur le thème “Fraternité, écologie
intégrale et
Covid-19. La contribution de la diplomatie et de la
science”... »
ET
la conclusion est claire: « La relance post-pandémie devra
se fonder sur « une
nouvelle alliance entre la science et l'humanisme,
qui doivent être intégrés et non séparés, voire pire encore,
opposés »
ainsi que sur «une approche systémique basée sur une
solidarité
renouvelée, exercée également dans le respect du bien commun
et de
l'environnement » (vaticannews.va).
Ils
ne se cachent plus. Plus du tout. Tout cela passe par les
communications officielles du Vatican.
Il y avait l'Ancienne
Alliance sous l’ère du Bélier.
Il y a la Nouvelle Alliance
instauré par le Christ sous l’ère des Poissons.
Ils veulent que cette
dernière
soit du passé et que cette nouvelle alliance qu'ils sont sur
le point
de proclamer soit sans Dieu.
C’est
le
cri de victoire final de la caste des pharisiens
talmudiques, c’est
à dire le temps où il prendront possession de toutes les
richesses de
la Terre à l’aide d’une monnaie digitale qui asservira les «
goïm »,
les sans dents, le petit-peuple qui ne vaut pas plus que du
bétail.
Tout
est accompli... ou presque, selon la méthode Bergoglio.
Tous
les sujets ont été traités par ce dernier pour une adhésion
totale au système humaniste.
«
Écoutez
une comparaison prise du figuier. Dès que ses rameaux
deviennent
tendres, et qu'il pousse ses feuilles, vous savez que
l'été est proche. Ainsi,
lorsque vous verrez toutes ces choses, sachez que le
Fils de
l'homme est proche, qu'il est à la porte.
Je vous
le dis en vérité, cette génération ne passera point que
toutes ces choses n'arrivent.
Le
ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront
point. »
Les signes de la fin du monde, homélie
de l’abbé PP. Petrucci (Église de St-Nicolas du Chardonnet).
Nous sommes témoins.
Nous
savons que la deuxième venue en Esprit de NSJC est proche.
Cette
génération
de plus de 2000 ans est pratiquement terminée car pour les
fidèles à la Loi et aux Prophètes, l’ère du Verseau, c’est
l’ère de
l’Esprit-Saint, de la Jérusalem Céleste.
Pour
ce qui est de matériel et de temporel, Saint-Pierre est
clair : tout sera consumé.
«
Cependant
le jour du Seigneur viendra comme un voleur ; en ce
jour, les
cieux passeront avec fracas, les éléments embrasés se
dissoudront, et
la terre sera consumée avec les ouvrages qu'elle renferme
» (Pierre 2, 3.10).
Au
grand dam de la clique judéo-maçonnique qui pense se bâtir
une « maison commune verte » avec Satan comme Dieu.
Une
nouvelle tour de Babel.
N'oublions
pas que le Père n'est intervenu que juste avant l'achèvement
de la tour de Babel.
Au
cril de la victoire de la clique judéo-maçonnique, le
couperet tombera.
L’heure
de la délivrance est proche.
On
ne
connaît pas toute la Sagesse du Père et du Fils petits que
nous
sommes, mais force est de constater que la pandémie qui
isole tous et
chacun dans son domicile est un grand moment de grâce pour
celui et
celle qui ont la Foi, pour prier en silence en attendant LE
MOMENT, et
de ne pas se laisser corrompre par Babylone la Grande.
Car
Klaus Swab a été clair en juillet dernier :
« Beaucoup d’entre
nous
se demandent quand les choses reviendront à la normale. La
réponse est
courte : jamais. (…) Il y aura une ère avant le coronavirus
et après le
coronavirus ».
Gloire
à Toi Seigneur.
Kyrie
Eleison
19 novembre
L’ÉCONOMIE DE FRANÇOIS ET LA GRANDE RÉINITIALISATION
Dernier maillon du grand
plan
de Bergoglio pour une fusion avec le nouvel ordre mondial de
l’humanisme où l’homme se fait Dieu, la rencontre reportée
sur
l’économie de ce printemps aura lieu du 19 au 21 novembre,
avec comme
centre de diffusion, Assise, encore une fois sans surprise.
Elle
a un nom : l’Économie de François (EOF) et un symbole,
assez curieusement ressemblant au serpent qui se mort la
queue.
Dans
le
cadre de ce renouvellement planétaire qui par une chance «
extraordinaire » nous est donné (veut-on nous faire croire)
par la
pandémie, une occasion qui ne s’est pas présentée depuis la
grande
crise de 1929 nous dit-on, on vise les jeunes.
On
vise
les jeunes parce que ce seront eux qui feront le monde de
demain,
qui seront arrivés à une maturité telle que voulue par
l’élite… Prêts
pour l’Agenda 2030 des Nations-Unies.
Les
thèmes
développés par Bergoglio ces derniers sept ans ont tous en
commun de rejoindre les valeurs actuelles des jeunes :
fraternité
universelle (Fratelli Tutti), réchauffement climatique («
Laudato Si »,
intégrée dans « l’Agenda 2030 » le 25 septembre 2015 par
Bergoglio aux
Nations-Unies, suivi par une projection à saveur
écologique sur
les murs de la Basilique Saint Pierre : « Fiat
Lux » ou «
illuminer notre maison commune » le jour de l’Immaculée
Conception
du 8 décembre!), élimination du péché par le jubilé de la
miséricorde
infinie, nivelage horizontale de la religion catholique pour
en arriver
à un œcuménisme global (signature du pacte avec les
luthériens en Suède
pour la commémoration des 500 ans de l’acte de Luther),
etc..
«
"The Economy of Francesco" est un mouvement mondial de
jeunes qui
visent à changer les modèles économiques actuels, et à
construire un
avenir plus inclusif et plus juste. L'événement avait été
initié par le
Pape François en 2019, lorsqu'il a demandé aux économistes
et aux
jeunes de donner vie à l'idée d'un type d'économie
différent, plus
attentif aux membres les plus faibles de la société, et qui
ne soit pas
exclusivement axé sur le gain de richesses matérielles.
Un
long travail de préparation
…
Des centres "EoF" ont été
mis
en place dans plus de 25 pays. De mars 2020 à ce jour, près
de 1 000
jeunes ont travaillé dans 12 villages "EoF", chacun se
penchant sur un
thème différent: Gestion et don, Finances et humanité,
Travail et
soins, Agriculture et justice, Énergie et pauvreté,
Entreprises et
paix, Femmes pour l'économie, CO2 des inégalités, Vocation
et profit,
Entreprises en transition, Vie et mode de vie, Politiques et
bonheur. »
(vaticannews.va)
Bergoglio, main dans la
main avec la synagogue de Satan.
Sans
surprise, le même phénomène est employé par l’élite avec le
Forum économique de Davos.
Babylone
Vatican et Babylone Nations-Unies agissent bien de concert,
en parallèle.
La
prophétie concernant Benoît XVI en pleine progression et
aboutissement imminent.
À
cause de la pandémie, la réunion de Davos prévue le 25
janvier a été déplacée au mois de mai 2021 à Lucerne.
MAIS,
les
organisateurs du forum ont décidé de tenir tout de même une
réunion
virtuelle appelée «Dialogues de Davos» dans la semaine du 25
janvier à
la place de la réunion annuelle.
La
conférence virtuelle vise les jeunes.
Elle
se
connectera avec des jeunes (on les surnomme les 11000
nouveaux «
Global Shapers » ou« Façonneurs Mondiaux »), qui seront
supportés par
d’anciens membres du forum économique (dans plus de 420 hubs
informatiques / villes répartis sur la planète) reconnus
pour leur
contribution « hautement expérimentée » pour former «
l’avenir du monde
».
C’est
la « Communauté des Façonneurs Mondiaux ».
C’est
elle
qui, grâce aux nouvelles technologies déployées et
implantées sur
fond de pandémie, aura la tâche de former la nouvelle
économie du
nouveau système mondialiste.
Tout
cela avec l’approbation du pape actuel.
Le
grand gourou de la grande réinitialisation, Klaus Swab a été
clair au sujet de sa quatrième révolution
industrielle.
En
effet, nous sommes dans une nouvelle révolution.
Rien
de moins.
C’est
un
changement qui est majeur… au bénéfice de l’élite
judéo-maçonnique…
et qui implique une soumission totale à l’Antichrist et son
système.
«Ce
à
quoi la quatrième révolution industrielle mènera, c'est une
fusion de
notre identité physique, numérique et biologique», a déclaré
Schwab au
Chicago Council on Global Affairs.
Dans son livre sur la
Grande
Réinitialisaton, Schwab explique avec enthousiasme comment
cette
nouvelle technologie permettra aux autorités de «s'immiscer
dans
l'espace jusque-là privé de notre esprit, en lisant nos
pensées et en
influençant notre comportement».
« Les technologies de la
quatrième révolution industrielle ne s'arrêteront pas de
faire partie
du monde physique qui nous entoure - elles feront partie de
nous»,
écrit Schwab. « En effet, certains d'entre nous sentent déjà
que nos
smartphones sont devenus une extension de nous-mêmes. Les
appareils
externes actuels, des ordinateurs portables aux casques de
réalité
virtuelle, deviendront presque certainement implantables
dans notre
corps et notre cerveau. » Schwab approuve également
ouvertement quelque
chose que les médias prétendent toujours être uniquement un
domaine de
discussion pour les théoriciens du complot, à savoir «des
micropuces
implantables actives qui brisent la barrière cutanée de
notre corps». »
Pierre
Hillard à propos de la grande réinitialisation :
«
Je crois que la véritable bascule se fera dans
l’effondrement financier
et économique qui s’annonce. Tout s’écroulera et la famine
se fera
jour. Certains sauront lutter pour survivre tandis que
d’autres seront
incapables de le faire car tétanisés par l’horreur du
moment. La
guerre civile fera rage… Tout cela se terminera en guerre
totale… »
Cette
période est bien celle annoncée par NSCJ en Matthieu 24.
Peu
importe
les décisions ou gestes temporels qui seront pris, c’est la
défaite de Satan et de ses troupes qui pointent à l’horizon.
Les
factions judéo-maçonniques sont en lutte internes pour le
partage des
ressources, l’un contre l’autre.
C’est
une guerre spirituelle qui a ses répercussions dans notre
monde temporel.
Une
seule sortie pour les chrétiens fidèles : se réfugier
dans « les montagnes » de la prière.
Mgr
Vigano en
parlant de cette lutte aux États-Unis (car l’élite
mondialiste a décidé que ce pays doit rentrer dans le rang,
à n’importe
quel prix):
«
Nous avons très bien compris de quel côté sont les
gouvernements, les
médias, les groupes internationaux d’informations, la
finance mondiale,
les organisations humanitaires et même l’Église de
Bergoglio...
Les
catholiques
américains peuvent et doivent prier parce que, devant un
déploiement aussi massif de forces hostiles, seule
l’intervention de
Dieu peut faire la vérité. Cela n’exclut naturellement pas
de
renouveler le témoignage cohérent des catholiques dans le
domaine
social.
Cette action humaine, qui
doit
toujours être guidée par le bien commun ne doit pas perdre
des yeux la
dimension surnaturelle. Jésus-Christ est le Seigneur de
l’histoire et
le Roi des peuples : il n’abandonnera pas ses fils et
ses filles
au moment de l’épreuve, s’ils se tournent, avec confiance,
vers lui et
vers sa très sainte Mère. » (benoit-et-moi.fr)
La
seule et unique solution est spirituelle.
Le
petit reste est menacé.
Le
temps est proche.
08 novembre
LA DÉMOCRATIE EST
MORTE
«
Le
temps de « la sinistre ère de diabolisation »
est révolu… Je
me suis présenté à la présidence pour restaurer l’âme de
l’Amérique.
Pour rebâtir l’épine dorsale de la nation – la classe
moyenne. Pour que
l’Amérique soit à nouveau respectée à travers le monde, et
pour nous
unir ici à la maison » (Joe Biden).
Puisque
Satan est maître de l’inversion, que faut-il interpréter par
de telles paroles?
«
L’élection présidentielle américaine ratifie la fin de la
démocratie »
«
... C’est là toute l’ironie de l’histoire : le totalitarisme
communiste
qui s’est effondré avec l’Union soviétique et qui semblait
définitivement vaincu, reprend maintenant une nouvelle vie
sous des
formes modifiées dans le pays même qui avait vaincu l’Union
soviétique...
Une démocratie sans valeurs
se
transforme facilement en un totalitarisme ouvert ou
sournois, comme le
montre l’histoire. C’est ce qui se passe sous nos yeux dans
l’Occident
qui a renié Dieu, dans l’Occident de l’homme qui s’est fait
Dieu. Nous
vivons sous la chape totalitaire d’une série d’idéologies
regroupées
sous le parapluie du politiquement correct, et lorsque
quelqu’un oppose
une résistance, le Pouvoir se déchaîne avec toute la
violence possible,
évidemment au nom de la démocratie (mais les régimes
communistes ne se
sont-ils pas toujours appelés démocraties populaires?) Les
élections
présidentielles actuelles aux États-Unis le prouvent sans
équivoque.
(Riccardo Cascioli) » (benoit-et-moi.fr)
Comment ne pouvons nous pas reconnaître le subterfuge du
malin qui
officialise les paroles Notre-Dame du Rosaire à
Fatima : la Russie
répandra ses erreurs.
Tout
est sur le point d’aboutir.
La
Réserve
Fédérale Américaine ainsi que plusieurs banques centrales
ont
confirmé qu’ils procédaient maintenant à l’établissement
d’une monnaie
numérique pour libérer l’inflation, établir un revenu de
base universel
qui sera versé directement dans les comptes des
particuliers,
contournant ainsi le système bancaire que nous connaissons,
en plus de
planifier une remise de dettes.
C’est
là la grande réinitialisation.
Comme
nous
pouvons le constater, derrière cette annonce se profile un
contrôle particulier entre des mains privilégiées d’un plus
petit
groupe.
Nous
allons donc assister à la chute provoquée du système et de
la religion telle que nous la connaissons.
C’est
une guerre spirituelle et le religieux domine le politique.
C’est
intentionnel et provoqué par Satan.
« Lorsque
nous nous trouverons être un milliard et plus (de
catholiques
lucifériens) faisant enfin flotter haut nos
étendards, il faut que
nous soyons prêts à produire l’explosion qui fera sauter
le temple
d’Adonaï » (Albert Pike, grand maître
franc-maçon).
Car Pike et sa clique
dissociaient les catholiques lucifériens et ceux fidèles au
Christ.
La Rome conciliaire et la
nouvelle religion humaniste ont bien étendu leurs
étendards :
inversion des valeurs, miséricorde infinie, fraternité
humaine, prendre
soin de la maison commune, œcuménisme, etc...
Et Pike de continuer :
« La
même
impulsion qui anéantira le temple d’Adonaï découvrira, aux
yeux de
l’humanité dûment préparée, le temple jusque là caché de
notre divin
maître. Lucifer roi verra alors le
monde entier se consacrer à lui et l’adorer : sa religion
sera dès lors vraiment catholique. »
Ils ont donc bien prévu un
événement particulier qui anéantira le temple d’Adonaï,
c’est à dire la
basilique Saint-Pierre, et Rome en particulier.
D’où le fait que la
prophétie concernant François spécifie bien qu’il devra fuir
dans sa terre natale.
Fait significatif
aujourd’hui,
la lecture de la messe est la parabole des dix vierges
précédée de
l’avertissement de Saint-Paul sur le jugement dernier.
Souvenons-nous
que ce passage de Saint-Mathieu est précédé de
l’avertissement de NSJC sur la fin des temps…
«
Quand
donc vous verrez l'abomination de la désolation, annoncée
par le
prophète Daniel, établie en lieu saint, — que celui
qui lit,
entende ! —… »
Tout cela à la date de
l’officialisation du plongeon des États-Unis dans l’abîme.
Aucune
coïncidence ici pour ceux qui ne sont pas aveuglés par le
système.
Les
deux Babylone Vatican et Nation-Unies vont disparaître.
La
coupe est sur le point de déborder.
«
… Au signal donné par la voix de l’archange, et par la
trompette
divine, le Seigneur lui-même descendra du ciel, et ceux qui
sont morts
dans le Christ ressusciteront d’abord… » (Saint Paul Apôtre,
Thessaloniciens 1 (4,13-18).
«
… C’est donc dans un contexte largement apocalyptique qu’il
convient de
lire cette parabole des dix vierges. Face aux difficultés du
temps,
elle vise à notre mobilisation spirituelle avec toutes les
outrances,
les images étranges et les oppositions tranchées qui sont la
marque du
style apocalyptique. On peut la comprendre comme une
allégorie où
chaque terme renvoie à une réalité autre : les vierges sont
les âmes,
l’époux est le Christ et son arrivée tardive renvoie au
Jugement
dernier. Notre attitude doit être de vigilance. L’huile
signifie la foi
ou l’amour qui, l’un comme l’autre, ne se partagent pas. »
(la-croix.com).
C’est
la séparation du bon grain de l’ivraie.
Aucun
(e) autre ne peut faire le chemin à notre place.
Car
c’est cette foi, cette charité, et cette espérance qui nous
permettront de traverser ce chaos.
La
pure imitation de NSJC représente le Salut Éternel.
07 novembre
LE TEMPS EST
PROCHE
L’intéressante
issue de l’élection américaine n’est pas une surprise en
soi.
En
fait,
elle permet maintenant de mettre plusieurs pièces du
casse-tête
ensemble, du moins, si le président Trump était bien l’un
des deux
empereurs de la prophétie politique #32 « Le Temps est
Proche ».
«
Les propos « incendiaires » de Donald Trump, qui a
soutenu
jeudi soir qu’il gagnerait facilement l’élection si on
comptait les
« votes légaux », pourraient susciter beaucoup de
violence
dans les jours à venir, s’inquiètent des spécialistes de la
politique
américaine. Selon eux, il pourrait même s’agir d’un tournant
dans
l’histoire moderne des États-Unis, plus divisés que jamais.
»
(lapresse.ca).
Les
tambours
de guerre des « influenceurs » et des médias de fausses
nouvelles à la botte de l’élite judéo-maçonnique battent
leurs pleins,
et les États-Unis sont dans l’étau mondialiste.
Cette
élite
a besoin d’une guerre pour faire tomber Babylone la grande
et
cimenter son projet Agenda 2030 autour d’une nouvelle
religion
humaniste et d’un nouveau système financier.
La
Chine
est plus que jamais dans la mire. Il faut la faire entrer
dans le
rang, dans le nouveau système humaniste, la grande
réinitialisation,
l’Agenda 2030.
La
vente
d’armes à Taïwan depuis plusieurs semaines et le déploiement
de
navires de guerre ainsi que de bombardiers et chasseurs
militaires dans
la région sont un signe en soi.
Il
ne manque qu’une attaque fausse bannière, comme du début de
la guerre du Vietnam.
Trois
prophéties politiques et deux prophéties concernant l’Église
sont en mettre en relation.
Il
est temps de les réviser.
#32
Le Temps est Proche
«
C'est le temps des deux
empereurs »: Trump et le président chinois.
«
Et la Mère n'a pas de
père, parce que beaucoup veulent être son père. Et deux
seront soutenus par les adversaires »: schisme
au Vatican, deux papes, Benoît XVI et François.
«
Les cris et les barrières
de la contestation se lèvent, mais déjà la Bête sort de
l'eau »:
cris, contestation contre le système mondialiste d’un côté,
et contre
le réchauffement climatique de l’autre, pour l’environnement
(ce que
veulent les élites pour pousser le nouveau système sur des
bases «
vertes », pour leur survie). La Bête sort de l’eau ou des
foules. On
connaît son nom. C’est la grande réinitialisation ou au
niveau de la
religion catholique, Bergoglio.
« Et
la famine arrête les armées.
Les
hommes se comptent mourir.
Et
après la famine; la peste.
Dieu
a déchaîné la guerre de la nature pour empêcher la guerre
des hommes »: nous arrivons donc à ce segment.
Une guerre qui sera repoussée par une guerre de la nature.
Tout
cela
après le décès de Benoît XVI, la fin de sa prophétie où est
implorée la chute des deux Babylone, Vatican et
Nations-Unies.
No
9 Benoît XVI
«
Marie
Très Sainte, fille et mère de Dieu, maîtresse du temps
futur, bats le
rappel de tes fils dans les campagnes, pour qu'ils
abattent les deux
Babylone.
Et que
la Mère soit Une, comme toi tu es unique.
La
terre
détruira le ciment et de terre sera, Reine, ta nouvelle
Église.
Et sur la terre de blé, pour la faim de tes peuples, fleur
sur son
nouvel autel. Amen. »
Dans
la
prophétie #10 de l’église concernant François, il est alors
spécifié
que « Mikail et Jean descendront sur terre », dont
Saint-Michel
Archange et Jean l’apôtre, c’est à dire l’Apocalypse et le
7ème sceau
où le « grand frère d’Orient » fera trembler la Terre.
Cette
prophétie se termine d’ailleurs par « mais
auparavant
par ses paroles de vraie science le secret de l'arme qui
détruit les armes. Temps de paix, alors, et sur la haute
pierre sera le
nom d'Albert. »
Quelle
est
la « vraie science »? Une science humaniste évidement, basée
sur
une bombe atomique et où le nom d’Albert irait en référence
à Albert
Einstein?
C’est
en
lien direct avec la prophétie #22 « Grand Éclair à l’Orient
» où un
chef sera assassiné au sud de Luther, soit dans le sud des
États-Unis
ou au sud des États-Unis.
Il
faut
lire ici « temps de paix » humaniste, par la peur de la
destruction totale, car l’élite doit conserver les
ressources
terrestres qui resteront pour sa survie.
C’est
la grande réinitialisation suivi du coup fatal pour faire
entrer dans le troupeau les dissidents qui resteront.
Mais
Dieu avait d’autres plans.
Il
y
aura « une guerre de la nature », et probablement que c’est
en
référence à une tempête solaire de classe X pour commencer
si on se fie
au miracle de Fatima d’octobre 1917, qui grillerait tout
l’électronique
en ce qui a trait aux armes, et aux transports.
Curieusement,
en
début du cycle solaire 25 depuis quelques mois, une méga
tache
solaire est apparue mardi. Elle a plus que doublé en 2 jours
et sa
complexité laisse entrevoir une telle possibilité.
En
tout cas, le Soleil n'a jamais été aussi actif dans un début
de cycle.
Continuons
avec la prophétie #32 et les deux empereurs.
«
Le premier empereur meurt
de faim, enfermé dans la tour de son rêve »:
c’est bien se qui arrive au président Trump. Son rêve se
termine, ou un
événement d’importance aura lieu d’ici l’assermentation du
nouveau
président le 20 janvier prochain.
Le
temps est donc réellement très proche.
« Le
second empereur dans le désert, attaqué par les animaux de
la peste, inconnus »:
le président chinois pourrait donc voir une résurgence de la
pandémie en
Chine, une mutation fulgurante qui donnera l’idée que le
pays est
maintenant un désert.
«
La fille de Caïn est
montée au Nord, pour prêcher. Luxure dans la nouvelle
Babylone, pour sept ans »:
voir l’analyse des prophéties politiques. Les 7 ans se
termine en 2020
si c’est l’église de Bergoglio, en 2023, ou en 2025 si la
fille de Caïn
est Greta Thunberg.
Il est fort probable que
c’est en relation avec la papesse de l’écologie mondiale.
Tout
peut
aller très vite, mais il faut quand même avoir ce « temps de
paix
» humaniste entre la chute des deux Babylone, et le jugement
divin,
entre la prophétie concernant François et Pierre II le
romain, et la
dernière prophétie concernant l’église de Jean XXIII.
« La
septième
année tombe le septième voile de Salomé, mais il n'existe
pas
d'empereur, il n'existe pas qui saura lever l'épée et
couper le cou de
Jean.
Le
temps est proche. »
Si
nous
regardons la carte électorale de 2020 aux États-Unis, nous
voyons
facilement le clivage entre états démocrates et républicains
de chaque
côtés du Rio Grande.
#25 Les États-Unis Libérés
«
Du Sud contre Luther et
les héritiers de Nuremberg, ceux qui manquaient, ceux qui
s'asseyaient sur le siège des juges »:
les héritiers de Nuremberg représente le nord des États-Unis
et les
états à l’ouest du Rio Grande. Du Sud contre Luther laisse
entrevoir
les anciens états confédérés qui ont voté pour les
républicains,
anciens états où l’esclavage était de mise, dont le Texas
surtout.
« Celle
qui fut colonie esclave du cuivre et du sel impose son
commandement populaire »: c’est bien du Texas
que viendra le mouvement de contestation pour contester
l’élection 2020.
«
Luther
avait deux chefs ennemis et divisés. De l'autre côté du
petit fleuve,
le commandement du peuple et l'ordre de céder au peuple
qui aujourd'hui
a le pouvoir de la parole, aujourd'hui que les armes sont
mortes »: C'est bien la situation actuelle. Le
petit fleuve est le Rio Grande.
Et,
mention importante, cette guerre civile arrive lorsque les «
armes sont mortes ».
Ce
qui
veut dire que d'ici l'assermentation du nouveau président le
20
janvier 2021, nous devrions être témoins du « Grand Éclair à
l'Orient »
ou d'une tempête solaire de classe X.
Et,
un personnage important viendra mettre fin à cette guerre
civile.
«
Un saint » arrivera dans la cité blanche pour dire haut,
pour dire vrai. (est-ce Mgr Vigano?).
Le
reste de la prophétie est assez claire.
Sachant
qu’il
y aura maintenant une vice-présidente en poste, il est donc
assez
facile d’anticiper un décès du président démocrate élu, si
c’est le
cas, et que finalement cette prophétie se terminera par
l’assermentation de la vice-présidente.
«
Et le jour où une femme
jurera sur la Bible rénovée sera jour de paix. »
Les prophéties politiques
de Jean XXIII sont d’analyses plus difficiles.
C’est
pourquoi il faut garder l’attention plus spécifiquement sur
les prophéties de l’Église, sur le Vatican.
L’échéance
du temps est alors plus facile à suivre.
Car on le sait, le
katéchon retient le bras de NSJC.
À son décès, Babylone la
grande se désagrège et le retour en gloire du Christ sera plus
qu'imminent.
03 novembre
LE TEST DE LA FOI
« Dieu ne ferait pas
justice à ses élus qui crient à lui nuit et jour, et il
tarderait à leur égard ?
Je vous le dis, il leur
fera
bientôt justice. Seulement, quand le Fils de l'homme
viendra,
trouvera-t-il la foi sur terre ? » (Luc, 18,8).
Or,
celui qui doit conduire le troupeau, le pape, a-t-il la foi
au Dieu Unique?
Le
non respect du Saint-Sacrement est déjà un signe visible qui
démontre qu’il ne croit pas en la transsubstantiation.
La
Sainte
Messe, c’est à dire la répétition du sacrifice non sanglant,
est
le lègue ultime que nous a laissé NSJC et qui demande une
foi
inébranlable en la présence réelle du Christ dans l’hostie
et le vin
consacrés.
Or,
concernant
Bergoglio, les signes ne mentent pas (voir analyses
précédentes dont le miracle de l’hostie de 1996 à Buenos
Aires).
Il
refuse toujours de s’agenouiller devant le Saint-Sacrement.
C’est
donc qu’il se considère au-dessus de Dieu, et que son Dieu
est par inversion, le Dieu bon des franc-maçons, Satan.
D’où
le fait que Mgr Scheider a demandé de prier pour l’âme de
Bergoglio.
«
Que personne ne vous égare d'aucune manière ; car
auparavant
viendra l'apostasie, et se manifestera l'homme de péché, le
fils de la
perdition, l'adversaire qui s'élève contre tout ce qui est
appelé Dieu
ou honoré d'un culte, jusqu'à s'asseoir dans le sanctuaire
de Dieu, et
à se présenter comme s'il était Dieu » (Saint-Paul,
Thessaloniciens 2,
2,4).
Il
est
donc normal que Bergoglio n’incarne pas le rôle phare de
l’Église
dans ce tumulte engendré par l’élite judéo-maçonnique via la
pandémie.
Au
contraire,
nous voyons qu’il augmente au fur et à mesure la cadence
vers la religion socialiste humaniste de la grande
fraternité! (encensé
par le grand pontife maçonnique italien lui-même : «
Convergence
totale Maçonnerie-Bergoglio ») (benoit-et-moi.fr).
« Car le mystère d'iniquité
s'opère déjà, mais seulement jusqu'à ce que celui qui le
retient encore
paraisse au grand jour. » (Saint-Paul, Thessaloniciens 2 ,
2,7).
C’est
le katéchon (celui qui le retient), Benoît XVI.
Le
mystère d’iniquité (du grecque mystèrion
tès Anomias
ou mystère d’anomie), le mystère d’injustice ou d’absence de
loi,
représente l’inversion des valeurs de l’Église et de la
morale, où le
mensonge et la tromperie représentent la norme, où le péché
n’existe
plus en fonction de la miséricorde infinie, où le Christ
n’est plus le
Sauveur mais la toute puissante science.
L’histoire
a
vu défilé maintes fois ces inversions de valeurs, mais
jamais comme
en 2020, avec une apostasie presque généralisée, et en
présence du
katéchon.
Ce
dont nous somme témoins aujourd’hui.
Deux
papes, deux frères, deux églises parallèles, selon la
prophétie de l’église concernant Benoît XVI de Jean XXIII.
Ainsi,
ce
mystère d’iniquité, avec à sa tête Bergoglio, engendre
l’apostasie à
une vitesse vertigineuse, qui est de plus en plus constatée
chez les
catholiques conciliaires, alors que les autres sont toujours
aveuglés
et ne voient pas la grande fumisterie (même privés de
l’accès aux
églises par le confinement!), ou tout simplement, ne veulent
pas y
croire.
Croire
au fait que nous y sommes.
À
la fin des temps.
À
ce rythme, le « petit reste » ne fera pas long feu.
Car,
le mode de vie « normale » que nous avons connu est terminé.
Dans
un tel contexte, sans la prière, c'est la psychose sournoise
qui attend son tour.
«
Il y en aura beaucoup qui seront purifiés, blanchis et
éprouvés ;
et les méchants feront le mal, et aucun méchant ne
comprendra ;
mais les intelligents comprendront (Daniel, 10,12).
C’est
le test de la foi.
La
seule foi valable.
En
un seul Dieu trine.
Or,
Bergoglio l’a affirmé lors dans sa lettre à la Communauté
Européenne :
Il
veut une Europe « sainement laïque » avec beaucoup de
migrants, où
chacun peut vivre selon sa foi.
Cette
situation équivaut au culte du veau d’or.
Et
on sait où cela a mené Moïse et le peuple élu.
«
Pape François: «Je rêve d’une Europe amie de la personne et
des personnes»
«Europe,
retrouve-toi
toi-même !» lance le Pape dans une lettre écrite à
l’occasion – entre autres – du cinquantième anniversaire de
l’établissement des relations diplomatiques entre le
Saint-Siège et les
institutions européennes. François y partage sa vision de
l’Europe
qu’il souhaite plus solidaire et «sainement laïque»,
réaffirmant
également sa «certitude que l’Europe a encore beaucoup à
donner au
monde»…
Une
Europe ouverte à la transcendance
François
s’exprime
enfin brièvement sur la dimension religieuse, rêvant «d’une
Europe sainement laïque, où Dieu et César soient distincts
mais pas
opposés». «Une terre ouverte à la transcendance, où celui
qui est
croyant soit libre de professer publiquement sa foi et de
proposer son
point de vue dans la société». Aux yeux du Saint-Père, «une
culture ou
un système politique qui ne respecte pas l’ouverture à la
transcendance
ne respecte pas convenablement la personne humaine»… » (vaticannews.va).
Encore une fois, cette
laïcité
fait partie du plan pour détruire l’Église, éteindre la
vraie foi afin
que Jésus ne soit plus reconnu que comme un prophète au même
titre que
les autres.
D’où le fait que la
synagogue de Satan et l’Islam embarquent dans le grand
projet.
C’est là la grande
fumisterie du mystère d’iniquité.
« Dans son apparition cet
impie sera, par la puissance de Satan, accompagné de toutes
sortes de
miracles, de signes et de prodiges mensongers, avec toutes
les
séductions de l'iniquité, pour ceux qui se perdent, parce
qu'ils n'ont
pas ouvert leur cœur à l'amour de la vérité qui les eût
sauvés.
C'est
pourquoi Dieu leur envoie des illusions puissantes qui les
feront
croire au mensonge, en sorte qu'ils tombent sous son
jugement tous ceux
qui ont refusé leur foi à la vérité, et ont au contraire
pris plaisir à
l'injustice. (Saint-Paul, Thessaloniciens 2 , 2,9-12).
Quant aux miracles, aux
prodiges mensongers et aux illusions puissantes, pensons
juste à la
technologie existante et à toutes les fausses nouvelles qui
y circulent.
Cette technologie est
utilisée
par Bergoglio via les réseaux sociaux du Vatican par
l’entremise du
département de communication du Vatican.
Nous
vivons dans un monde d' « influenceurs ».
En voici une preuve :
« La politique du silence
imposée par Bergoglio:
« VATICAN CITY, 26 octobre
2020 ( LifeSiteNews ) – À la suite de la confusion entourant
les
récents commentaires du pape François sur les unions de même
sexe, le
département de la communication du Vatican a ordonné à ses
journalistes
de ne rien mentionner sur le documentaire.
Il Fatto Quotidiano a
rapporté
jeudi avoir reçu un e-mail des directeurs de la rédaction du
Dicastère
du Vatican pour la Communication, signé par Massimiliano
Menichetti,
directeur de Radio Vaticana – Vatican News.
L’e-mail se lit comme suit:
«Bonjour à tous, en référence au tollé suscité par le film ‘
Francesco’
du réalisateur russe Evgeny Afineevsky, pour l’instant nous
ne
diffusons AUCUNE actualité, ni à la radio ni sur le web.
Rien également
sur le film ou le prix décerné aujourd’hui au Vatican. Il y
a une
discussion active sur la façon d’aborder la crise médiatique
actuelle.
Une déclaration du service de presse n’est pas exclue.
Veuillez me
signaler si vous le pouvez, à la fois en milieu de journée
et à la fin
de la journée, les réactions des auditeurs et des abonnés.
Il n’est pas
nécessaire de m’envoyer les commentaires réels, il suffit de
m’envoyer
deux lignes pour les résumer. Merci, Massimiliano Meniche… »
Lors
des
8 dernières années, nous avons vu le mystère d’iniquité
lancé ses
idées « progressistes » sur le pavé, laissant les fidèles
dans la
confusion par un silence perpétuel faces aux interrogations
qui les
tourmentent, ou face aux demandes d’éclaircissement de la
part des
cardinaux fidèles à la loi et aux prophètes (pensons à la
saga des
dubia par exemple).
Mensonges, ambiguïtés
volontaires, déformations de la Vérité et de la vie des
Saints,
orgueil, colères non contrôlées, peurs de la pandémie (alors
qu’un pape
doit donner sa vie pour ses brebis. Nous devrions voir des
processions
du Saint-Sacrement partout. Mais non.), élimination du
péché… tout cela
sous les apparences du plus pauvre des pauvres,
Saint-François D’Assise.
Le loup déguisé en agneau
est dans la bergerie.
« Tactique du diable:
feuille de route pour détruire l’Église » (benoit-et-moi.fr).
Or, force est de constater
qu'en 2020 toutes
les étapes décrites dans la deuxième lettre de Saint-Paul
aux thessaloniciens ont été franchises :
Nous
avons
l’impie sur le trône, la grande apostasie, le mystère
d’iniquité,
le katéchon dont nous connaissons maintenant le visage…
Avons-nous
refusé la foi à la Vérité, et au contraire pris plaisir à
l'injustice?
Veillons donc, car nous ne
savons ni le jour, ni l'heure.
Mais
avec
ce que nous voyons au Vatican et dans le monde, nous savons
très
bien que l’heure du jugement dernier est bien plus proche
qu’éloignée.
C’est
le test de la foi.
La
séparation du bon grain de l’ivraie.
«
Cependant le jour du Seigneur viendra comme un voleur ;
en ce
jour, les cieux passeront avec fracas, les éléments embrasés
se
dissoudront, et la terre sera consumée avec les ouvrages
qu'elle
renferme » (Pierre 2, 3.10).
Octobre 2020
24
octobre
LA
LIGNE ROUGE
Elle
a été tracée.
Pour
ou contre le Christ.
Servir
Dieu ou Mammon.
Il
est temps de faire son choix.
"Dieu parle suffisamment pour
que les croyants comprennent, insuffisamment pour que les
incroyants ne comprennent pas" (Pascal).
Que
la
Sagesse et la Grâce de l’Esprit-Saint guident le petit reste
afin
qu’il ait la capacité de décrypter les paroles ambiguës de
l’Antéchrist
système et de son représentant au Vatican.
Cette
dernière
sortie de Bergoglio sur le mariage civil en personnes de
même
sexe hier a pour but de révéler le schisme de l’église au
grand jour.
Maître
de
l’inversion, Satan, et son fidèle bras droit, la bête de la
mer,
abattent leur dernière carte et feront des chrétiens fidèles
à la « loi
et aux prophètes », des infidèles, des exclus, des
hors-normes, des «
terroristes » qui menacent le nouveau système œcuménique et
mondial.
Ce
que confirme Mgr Vigano:
«
... l’expérience nous apprend que lorsque Bergoglio dit
une chose,
il le fait dans un but précis : faire en sorte que les
autres
interprètent ses paroles dans le sens le plus large
possible. Les
premières pages des journaux du monde entier annoncent :
« Le pape
approuve le mariage gay », même si ce n’est pas à
proprement
parler ce qu’il a dit. Mais c’est exactement ce que lui et
le lobby gay
du Vatican voulaient réaliser. Alors le service de presse
dira
peut-être que ce que Bergoglio a dit a été mal compris,
qu’il s’agit
d’une vieille interview et que l’Église réitère sa
condamnation de
l’homosexualité comme étant intrinsèquement désordonnée.
Mais le mal
est fait,..
Derrière chacune de ses
sorties, il y a une tentative de susciter la réaction de la
partie
saine de l’Église, en la provoquant avec des déclarations
hérétiques,
avec des gestes déconcertants, avec des documents qui
contredisent le
Magistère. Et en même temps de faire plaisir à ses
partisans, surtout
les non-catholiques ou catholiques seulement de nom.
À force de provocation, il
espère qu’il y aura un évêque qui se lassera d’entendre
frapper
quotidiennement la doctrine et la morale ; il espère qu’un
groupe de
cardinaux l’accusera formellement d’hérésie et demandera sa
déposition.
Et ce faisant, Bergoglio aurait le prétexte d’accuser ces
prélats
d’être des « ennemis du Pape », d’être en dehors
de l’Église,
de vouloir un schisme. Il est évident que ce ne sont pas
ceux qui
veulent rester fidèles au Magistère qui se séparent de
l’Église : ce
serait absurde…
Avec cette façon d’agir,
Bergoglio se pose en « pontife » d’une nouvelle
religion,
avec de nouveaux commandements, une nouvelle morale et de
nouvelles
liturgies. Il s’éloigne de la religion catholique et du
Christ, et par
conséquent de la hiérarchie et des fidèles, les désavouant
et les
laissant à la merci de la dictature mondialiste. Quiconque
ne respecte
pas ce nouveau code sera donc ostracisé par la société et
par cette
nouvelle « église » en tant que corps étranger…
Il y a trois jours, la
presse
a annoncé que le pape ne célébrerait pas la messe de minuit
à
Noël. Je me limite à une observation : il y a quelques
jours, en
état d’urgence Covid, il a été jugé possible de célébrer un
rite
œcuménique, en présence des fidèles et des autorités, tous
masqués. Au
contraire, dans les espaces beaucoup plus vastes de la
basilique du
Vatican, quelqu’un a jugé imprudent de célébrer la naissance
du Sauveur
lors de la Nuit Sainte.
Si
cette
décision est confirmée, nous saurons que Jorge Mario
Bergoglio
préfère s’adonner à la pensée unique et à l’idéologie
syncrétiste du
Nouvel Ordre Mondial plutôt que de s’agenouiller au pied de
la crèche
dans laquelle le Roi des Rois est couché. » (benoit-et-moi.fr).
Vous avez bien lu.
Bergoglio
a supprimé la messe de la nativité pour Noël 2020.
En
fait,
tous ses écrits (dont plus de 50% des citations viennent de
lui…
Si ce n’est pas de l’orgueil) favorisent via l’ambiguïté et
les
interprétations dans toutes leurs largesses, l’abolition de
la relation
verticale vers le Père au profit d’une relation horizontale
vers la
fraternité universelle.
Sans
le Christ.
C'est
là, la philosopie judéo-maçonnique.
C’est
encore plus vrai en ce mois d’octobre 2020.
Il
s’agît bien de la Pâques de l’Antéchrist.
Faire
mourir l’Église (il n’y arrivera pas) pour une «
résurrection » sous l’église universelle œcuménique.
Pour
les fidèles à la tradition, c’est le temps de l’épreuve.
Foi,
Espérance, Charité sont de mises comme jamais!
«
Le pape-antéchrist.
« Il était temps de
comprendre que notre foi », ajouta-t-il, « serait
sérieusement mise à l’épreuve. Une épreuve permise par Dieu
non pas
pour nous faire nous perdre, mais pour nous
renforcer ». ..
Ce sont les mots et les
comportements d’un « antéchrist » : tel est son
jugement drastique! ..
Personne ne peut juger la
conscience d’un autre, si ce n’est Dieu seul, mais on peut
simplement
faire remarquer que les « paroles prononcées »,
dans leur
contenu, sont des paroles « de l’Antéchrist ».
Dans ce
contexte, comme l’a justement souligné l’archevêque Carlo
Maria Viganò,
il ne serait pas logique de céder à la tentation de se
séparer de
l’Église de Rome, qui est et reste pourtant la seule à nous
garantir
sacramentellement et objectivement le lien avec le Christ
Sauveur.
Certainement un lien, dont nous avons absolument besoin pour
nous
soutenir dans cette vie et arriver à la béatitude éternelle.
» (benoit-et-moi.fr).
Ce concept d’élimination de
la
relation verticale avec Dieu prend aussi tout son sens
lorsqu’on
élimine à la fois la notion du Christ Sauveur, et de sa Mère
Marie,
Mère de Dieu.
«
Mère, voici ton Fils, Fils voici ta Mère » a prononcé le
Christ sur la
croix, s’adressant à la Vierge Marie et à Saint-Jean
l’apôtre.
Le
seul chemin au Père est via le Christ via la Vierge Marie.
Point.
Alors,
comment peut-on en être rendu à ce point?
C’est
là tout le sens du mystère d’iniquité.
Bergoglio
a banalisé le rôle de Marie hier pour en faire la Mère de
tous les humains de la maison commune.
Dans
son
langage qui laisse les portes ouvertes à toutes les
interprétations
(dont se raffoleront les musulmans pour l’œcuménisme,
puisque Marie y
occupe une certaine place), Bergoglio enlève la vérité sur
Marie, Mère
du monde dans le Christ.
«
Plus que jamais les études mariales sont essentielles. Le
Pape François
en est convaincu : «nous avons besoin de
redécouvrir la
Madone selon la perspective du Concile», car «les temps
que nous
vivons sont les temps de Marie» comme l'avait souligné
le Concile
Vatican II, premier à accorder autant de place à la
mariologie. Celle
qui est mère et femme «enseigne bien l'alphabet de la
vie humaine
et chrétienne».
En tant que mère, elle «a
fait
de Dieu notre frère» et «peut rendre plus
fraternels l'Église
et le monde» explique François. «L'Église a besoin
de
redécouvrir son cœur maternelle qui bat pour l'unité mais
notre Terre
en a besoin également pour redevenir la maison de tous ses
enfants» poursuit-il. «Nous avons besoin de
maternité, de qui
génère et régénère la vie avec tendresse parce que seul le
don, le soin
et le partage tiennent ensemble la famille humaine. Le
monde, sans les
mères, n'a pas d'avenir.» (vaticannews.va).
Le monde sans les mères n’a pas
d’avenir…
Alors
que le jour d’avant, nous apprenons qu’il approuve les
unions de même sexe.
Or, c'est là qu'est le
drame, car le 29 octobre 1963 ont été enlevé les titres de
médiatrice et de corédemptrice à Marie.
Le prisme de Vatican II concernant Marie invoqué par Bergoglio
n'est qu'une expulsion directe de l'église.
La boucle Vatican II est fermée, confirmée par Bergoglio,
via une mère
normale, mère de tous, une mère « protestantatisée » qui ne
devient
qu’une figure biblique historique, et non médiatrice et
corédemptrice.
Tout
a
commencé avec Paul VI « qui a tenu à vénérer la Vierge
Marie
sous le vocable de « Mère de l’Église » au cours
du concile
Vatican II, le 21 novembre 1964, dans son discours
d’approbation de la
Constitution dogmatique sur l’Église « Lumen
Gentium », tout
en ne faisant pas partie de celle-ci. » (sedifop.com).
« Lumen Gentium » ou
Lumière
des Nations. Cela a le mérite d'être clair. On le comprend
facilement
aujourd'hui. Ce n'est pas la lumière du ciel, mais celle
venant de
Lucifer ou Satan.
C’est
l’esprit des « lumières » si souvent invoqué par la bête de
la Terre.
« Lors de la seconde
session
du concile, il était prévu de faire de Marie un sujet à part
entière.
Mais il en fut autrement. Donner trop d’importance à la
Vierge Marie
mettait un frein au rapprochement avec les orthodoxes et les
protestants. N'oubliez-pas. L’œcuménisme était déjà à
l’œuvre avec
Paul VI, et à cause de cela, on lui enleva les titres de
médiatrice et
de corédemptrice qui étaient prévus à prime abord.
C'est confirmé par l’abbé
Berto, secrétaire de Mgr Lefebvre au concile Vatican
II :
«
LA DATE DE L’ECLIPSE DE L’ÉGLISE : 29 OCTOBRE 1963… Il n'y a
qu'une
explication. Le funeste vote de la veille, apostasiant
l'Évangile des
Noces de Cana, loin d'inviter la sainte Vierge, lui avait
signifié son
congé. Elle encombrait ! La Vierge Marie encombrait le
Concile, qui
l'invitait à sortir. Oh ! elle ne se l'est pas fait dire
deux fois ! La
terre n'a pas tremblé, la foudre n'est pas tombée sur
Saint-Pierre. La
Vierge Marie est sortie discrètement dans un profond silence
;
seulement, si discrètement, dans un silence si profond,
qu'elle n'a pas
dit Vinum non habent, et les destins de la deuxième session
ont été
scellés. Quand on est un Concile œcuménique et qu'on fait
sortir la
sainte Vierge, on devrait au moins se rappeler qu'elle ne
demande qu'à
s'effacer, c'est assez connu, et qu'elle pourrait bien
s'effacer trop.
» (a-c-r-f.com).
Les
prochaines semaines seront houleuses.
On entend les tambours de
l’hérésie au loin.
L’ «excommunion » des
fidèles
à la « loi et aux prophètes », des hors normes, les « sans
dents » de
la religion catholique, est proche.
C’est la mort des « deux
témoins » dans l’Apocalypse.
Et la fin de la prophétie
concernant Benoît XVI.
« Marie
Très
Sainte, fille et mère de Dieu, maîtresse du temps futur,
bats le
rappel de tes fils dans les campagnes, pour qu'ils
abattent les deux
Babylone.»
22 octobre
L’EXCLUSION « RELIGIEUSE »
« Le nouveau critère
sera
ainsi défini : Les vrais chrétiens seront ceux qui
partageront toutes les croyances religieuses du Nouvel Ordre
Mondial en tant que nécessité de base pour la survie de
l’humanité. » S. Monast, 1995.
« Alors on vous livrera aux
tortures et on vous fera mourir, et vous serez en haine à
toutes les nations, à cause de mon nom.
Alors aussi beaucoup
failliront ; ils se trahiront et se haïront les uns les
autres.
Et il s'élèvera plusieurs
faux prophètes qui en séduiront un grand nombre.
Et à cause des progrès
croissants de l'iniquité, la charité d'un grand nombre se
refroidira.
Mais celui qui persévérera
jusqu'à la fin sera sauvé...
Quand donc vous verrez
l'abomination de la désolation, annoncée par le prophète
Daniel,
établie en lieu saint, — que celui qui lit,
entende ! —
alors que ceux qui sont dans la Judée s'enfuient dans les
montagnes.. »
(Matthieu 24).
Voilà.
L’exclusion
« religieuse » prend présentement une dimension qui n’est
pas uniquement orientée contre la chrétienté.
Tous
ceux
qui ne partage pas les valeurs laïques, c’est à dire les
valeurs «
religieuses » du système humaniste, sont présentement en
phase
d’exclusion sociale.
Nous
n’avons
qu’à être témoin du degré d’intolérance face à la liberté de
penser qui s’est installée… volontairement… par le laisser
faire du
peuple… et de l’église.
Les
groupes
extrémistes MINORITAIRES sont utilisés par l’élite dominante
via les médias qu’ils possèdent pour stigmatiser ceux qui
sont dans la
« norme ».
Groupes
pro-avortement,
pro-LGBT, pro minorités raciales, mots ou images que
les professeurs ne peuvent plus montrer ou prononcer dans
les classes,
etc..
Tout
tend à une uniformisation vers la pensée unique.
Le
contre-nature devient la norme.
C’est
ce que François a confirmé hier en approuvant les mariages
civils de même sexe.
Alors,
quand
le Christ nous averti sur cette période de fin des temps, il
faut
évidement y inclure les tortures morales, mentales, etc. qui
font
mourir l’âme.
D’où
le
conseil précieux de fuir dans les montagnes, c’est à dire à
l’écart
des deux Babylone, dans sa « caverne » intérieure, dans la
prière et le
silence.
Avec
la
pandémie et les confinements, la propagande de la peur et de
la
désinformation, etc., la société ne peut qu’être témoin de
troubles
psychologiques, qui augmentent exponentiellement, ainsi que
de voir les
suicides augmenter.
Ce
que les dernières données démontrent.
Une
augmentation
de plus de 50% des cas en psychiatrie à certains endroits,
et des suicides de plus en plus chez des jeunes qui ne
voient plus
d’avenir.
Cette politique de peur
fait
craindre le pire avec les élections américaines : une
ruée
incroyable d’achat d’armes à feu aux États-Unis.
Les américains vont
probablement réaliser la prophétie politique de Jean XXIII
sur la
guerre civile américaine (Les États-Unis libérés).
Le despotisme est en place.
Le
FMI
a demandé cette semaine au monde financier et politique de
repartir
avec un nouveau pacte comme celui de Bretton Woods de 1944
(monnaie
basée sur l’étalon or, jusqu’en 1971) et qui serait aligné
sur l’«
économie verte ».
Il
n’est
donc pas étonnant de voir le pape et la fille de Caïn (Greta
Thunberg, voir analyses précédentes) rejoindre la
philosophie de
l’élite financière.
C’est
cette période exacte qui est décrite dans
l’Apocalypse :
«
C'est ici qu'il faut un esprit doué de
sagesse. —
Les sept têtes sont sept montagnes, sur lesquelles la femme
est assise.
Ce sont aussi sept rois :
Les
cinq premiers sont
tombés, l'un subsiste, l'autre n'est pas
encore venu, et quand il sera venu, il doit demeurer peu de
temps.
Et
la bête qui était et qui n'est plus, en est elle-même un
huitième et elle est des sept, et elle s'en va à la
perdition.
Et
les
dix cornes que tu as vues sont dix rois qui n'ont pas encore
reçu
la royauté, mais qui recevront un pouvoir de roi pour une
heure avec la
bête. »
Les
sept rois (papes) depuis le pacte du Latran sont passés… ou
presque.
Il
ne reste que Benoît XVI.
Les
dix rois qui vont donner la puissance au dragon (Satan) sont
en places.
C’est
le mouvement actuel de l’élite judéo-maçonnique, le dernier
acte avant la proclamation de victoire de l’Antéchrist.
Acte
dont
un sacrifice probable à Satan le jour (16 octobre) de la
décapitation de la reine Marie-Antoinette, le jour où
Netflix sort sa
série sur la récapitulation de la révolution de 1789.
La
bête de la Terre Macron glorifie l’esprit des « lumières » à
profusion depuis.
Aucune
surprise donc de ce côté.
En
contrepartie,
que fait le Vatican pour réconforter et orienter le
chrétien catholique vers le seul et unique but de la vie, le
Salut de
son Âme?
Rien,
ou presque.
Le
Vatican
via la bête de la mer (François, celle qui domine les foules
(la mer)) alimente le feu et oriente les âmes vers le
précipice.
«
Jésus ayant abordé de
l'autre côté du lac, dans le pays des Géraséniens, deux
démoniaques
sortirent des sépulcres et s'avancèrent vers lui ; ils
étaient si
furieux, que personne n'osait passer par ce chemin.
Et ils se mirent à
crier : " Qu'avons-nous à faire avec vous, Jésus,
Fils de
Dieu ? Êtes-vous venu ici pour nous tourmenter avant le
temps ? "
Or il y avait, à quelque
distance, un nombreux troupeau de porcs qui paissaient.
Et les démons firent à
Jésus
cette prière : " Si vous nous chassez d'ici,
envoyez-nous
dans ce troupeau de porcs. "
Il leur dit :
" Allez. " Ils sortirent du corps des
possédés, et
entrèrent dans les pourceaux. Au même instant, tout le
troupeau prenant
sa course se précipita par les pentes escarpées dans la mer,
et ils
périrent dans les eaux… » (Matthieu 8, 28-34).
« Grâce à la peur, le
citoyen (qui est devenu patient) peut seulement se laisser
guider. La
naissance, en pleine pandémie, d’une task
force gouvernementale contre les fake
news est
significative. Dans une démocratie libérale, ce sont
les citoyens
qui se font une idée du problème grâce à la libre
confrontation des
sources et des opinions. Dans ce cas, au contraire, le
gouvernement a
prétendu établir lui-même ce qui est la vérité et ce qui est
un
mensonge, ce qui est une information vraie et ce qui ne
l’est pas,
quelles nouvelles et interprétations méritent d’être
diffusées et ce
qu’il faut arrêter.
Biopolitique et
bioinformation vont de pair dans le domaine du despotisme
paternaliste.
Aldous Huxley, dans son
roman
dystopique Le Meilleur des Mondes, imaginait que le
conditionnement se faisait la nuit, pendant que les sujets
dormaient,
par l’administration d’un certain type de
messages. Aujourd’hui,
le conditionnement a lieu devant la télévision au moment des
informations.
Un récit approprié peut
pousser un peuple entier à se suicider par peur de mourir.
C’est ce que nous sommes en train de voir.
Ce n’est pas l’ampleur
réelle
du danger qui importe, mais l’ampleur perçue. Ce n’est pas
ce qui est,
mais ce que les gens pensent qui est, en fonction du récit
qui leur est
imposé…
Nous avons eu l’attaque
contre
l’Église. Avec la nouveauté que l’Église, au lieu de
résister, s’est
adaptée, se montrant encore plus royaliste que le roi.
Prévisible,
étant donné que l’Église ne met plus Dieu mais l’homme au
centre, non
pas le salut de l’âme mais la santé psychophysique…
Pour l’Église, c’était et
c’est encore une grande occasion manquée. L’Église aurait pu
enfin nous
parler de la mort, du péché originel, de la signification de
la
souffrance et du mal. Elle a choisi de devenir l’Église
d’État. Elle a
parlé comme le gouvernement. Elle s’est concentrée sur les
procédures
d’assainissement et non sur le chemin de la sainteté. Elle
était encore
plus terrifiée que le reste de l’opinion publique. Elle a
transformé
ses prêtres en masques grotesques et la célébration
eucharistique en
une parodie blasphématoire, avec du désinfectant au centre
de l’autel,
comme nouvel objet d’adoration. L’Église n’a pas résisté au
récit fondé
sur la terreur. Elle s’est adaptée et a collaboré. Elle n’a
pas dénoncé
l’atteinte à la liberté religieuse et à la liberté de culte
: elle
s’est montrée anxieuse de se faire limiter et contrôler.
L’épouse du
Christ a tourné le dos à son Seigneur et a rejoint le
scientisme, se
laissant obséder par le mythe de l’hygiénisation. Elle a
pris soin
d’expliquer ce que Dieu ne peut pas faire.
Elle s’est bien gardée
d’offrir au Seigneur l’occasion d’accomplir un miracle...»
… Curieux : au moment même
où
l’Église a déserté, voilà que nous sont imposés des modèles
religieux.
Nous avons une Trinité (Science, Santé, Sécurité), nous
avons le péché (ne pas
collaborer, ne pas montrer de responsabilité), nous avons la
punition
(être littéralement excommunié, mis hors de la communauté
comme
indigne, si nous n’acceptons pas le récit dominant), nous
avons les
écritures sacrées (les mass media alignés), Nous
avons la
demande urgente de conversion (à la technoscience), nous
avons
l’identification de la croyance avec le salut, nous avons
les nouveaux
bâtons qui jugent tout et tous et qui mettent hors de
l’assemblée
civile les quelques personnes qui ne veulent pas s’aligner,
considérées
comme mécréants. » (benoit-et-moi.fr).
Père
éternel et tout puissant,
Dans la communion de tous
les saints,
Avec tous les esprits
célestes et terrestres qui t'adorent, Au nom de ta
miséricorde,
Nous te supplions
humblement par les mérites infinis des très saints cœurs de
Jésus et de Marie,
De bien vouloir hâter le
retour glorieux de ton fils Jésus-Christ sur terre,
Afin que Ton nom soit
sanctifié,
Que Ton règne vienne
Et que Ta volonté soit
faite Sur la terre comme au Ciel.
Père bien aimé, sois
attentif aux louanges et
Aux satisfactions que
t'offrent les Très saints cœurs de Jésus et de Marie,
Au nom de tes pauvres
créatures et de ta création tout entière,
Spécialement au nom de Ton
Église et de tes élus,
Pour que l'heure du retour
glorieux du Christ sur la terre soit accomplie.
Que ton Évangile Seigneur
soit proclamé à toutes les nations;
Que le Christ revienne dans
sa gloire de ressuscité, de fils de Dieu,
Par le triomphe de son
sacré-cœur Et du cœur immaculé de Marie,
Pour détruire à jamais le
mal et la mort,
Et établir ton règne et ton
royaume d’amour,
Afin que soient
manifestées,
Seigneur Dieu tout puissant
et éternel,
Auprès de toutes tes
créatures
Et de toute ta création,
Dans tout l'univers visible
et invisible,
Ta puissance et ta gloire
éternelles qui ne passent pas,
La puissance et la gloire
éternelles
De l'agneau vainqueur à tes
côtés,
La puissance et la gloire
éternelles que Tu donnes à Marie sa très sainte Mère, Ta
bien aimée.
Car c'est à toi seul Père,
Fils et Saint-Esprit Un seul Dieu en trois personnes,
Qu'appartiennent Le règne
La puissance et La gloire Pour les siècles des siècles.
AMEN !!
(Natalie Saracco).
16
octobre
Quelques extraits de la
critique de Mgr Schneider sur l’encyclique « Fratelli tutti
» :
« L’évêque auxiliaire
d'Astana, au Kazakhstan, critique le document pour avoir
dénaturé saint
François, fait progresser le relativisme religieux et
interprété les
réalités spirituelles et théologiques d'une «manière
naturaliste et
rationaliste» qui exacerbe la «crise vieille de plusieurs
décennies
d'affaiblissement de la perspective surnaturelle dans la vie
de
l'Église».
« Le Pape François utilise
ici
l'expression «Fratelli tutti» (tous frères) d'une manière
qui est
clairement différente de celle de saint François. Pour
saint
François, «tous frères» sont ceux qui suivent et imitent le
Christ,
c'est-à-dire tous les chrétiens, et certainement pas
simplement tous
les hommes, et encore moins les adeptes de religions non
chrétiennes. »
« La foi chrétienne,
insiste
l'évêque auxiliaire, «ne peut pas être mise sans
discernement au même
niveau que les autres religions; ce serait une trahison
de
l'Évangile...
Mgr Schneider note
également
comment la vision de la fraternité de la nouvelle encyclique
- qui est
naturaliste plutôt que centrée sur le Christ - s'apparente à
la pensée
franc-maçonnique. Au prix d'une «aspiration universelle
à la
fraternité pour la paix dans le monde», observe-t-il, le
Christ en tant
que seul Sauveur et Roi de toute l'humanité est
«sacrifié»...
Mgr Schneider termine en
appelant, par l'intercession de saint François, que le pape
François se
détourne d'une telle «absorption excessive [dans] les
affaires
temporelles» et, citant saint Hilaire de Poitiers, avertit
que «ne pas
accepter le Christ est le plus grand danger pour la monde."
» (remnantnewspaper.com).
Et,
comme l’a déjà affirmé Benoît XVI :
« un Pape ne peut et ne
doit
pas utiliser la Chaire de Pierre pour affirmer ses idées et
opinions
personnelles, mais seulement et toujours l'enseignement de
l'Église ».
(Benoît XVI, Mai 2013,
Latran via Antonio Socci)
Tout est contraire à la
doctrine des pères de l’Église avec François.
Le mystère d’iniquité,
spécialiste de l’ambiguïté, a le don de rassembler des bouts
de paroles
de l’écriture et des Saints afin de mieux séduire, de faire
pencher la
balance vers la religion humaniste, et ainsi damner des
âmes.
Pour le 13 octobre, journée
si
importante reliée au miracle de Fatima, Bergoglio n’a fait
aucune
mention de Notre-Dame du Rosaire.
Rien.
Mais par contre, il a
souligné le 1er anniversaire de son synode de la Pachamama.
Comme il se doit.
Enfumer le peu de chrétiens
qui ont encore la foi est devenu son motus operandi.
Le Vatican a fait imprimé
une pièce de 10 euros
rendant hommage à la mère Terre, faisant le lien entre son
encyclique
(tous frères) et la maison commune (sur cette terre soulagée
des
serviteurs de la porte appartenant aux élites).
Par la présentation de
cette pièce d’argent, Bergoglio a évincé La Sainte Vierge.
La fausse religion
prophétisée par Anne Catherine Emmerich est bel et bien en
place.
Quant à l’encyclique, le
Vatican en fait une très forte promotion depuis sa parution,
par
exemple, sans surprise, en vantant les mérites de « Fratelli
tutti »
dans le monde musulman (vaticannews.va).
C’est
une
autre preuve que nous sommes entrés dans la dernière phase
du plan
judéo-maçonnique d'élimination et de soumission de l'Église.
D’ailleurs, le pacte
éducatif
proposé par Bergoglio hier, n’est nul autre qu’une poussée
rapide vers
le nouveau système humaniste en cours, avec le même refrain
entendu
partout : « à cause de la pandémie ».
De plus, Bergoglio utilise
déjà ses propres citations de l’encyclique en référence!
« Une crise globale, estime
le Pape, qu’il faudra accompagner par «un nouveau modèle
culturel». (François)
« La nécessité d’un
nouvel agenda, d’un nouvel engagement de toute la société
pour
l’éducation s'impose. » (la directrice générale de l'Unesco,
Audrey
Azoulay via Vaticannews.va)
Nations-Unies, Organisation
Mondiale de la Santé, UNESCO,…
Il y a toujours un lien
direct et fort entre François et les organismes mondialistes
dans les dossiers importants.
L’Agenda 2030 est d’abord
et avant-tout spirituel car le religieux est au-dessus du
politique.
D'où
la nécessité des publications socialistes de François.
La prophétie de Jean XXIII
concernant Benoît XVI est ainsi confirmée :
Il y a bel et bien deux
Babylone.
Le Vatican et les
Nations-Unies.
Nous sommes en plein dans
cette période citée par le regretté Serge Monast (1995; voir
analyses antérieures) :
« L’Église, sous
le
pouvoir de l’anti-pape, sera absolument identique à
L’Église de
Jérusalem au temps de Jésus-Christ. Elle partagera
l’idéologie des
Nations Unies de la même manière que les prêtres du
Temple
partageaient l’idéologie et le pouvoir avec les
Romains. Elle
conservera les croyances en Jésus-Christ comme
façade (…) et
établira de nouveaux concepts religieux, tous basés sur
la divinité de l’homme. »
« Le nouveau critère
sera
ainsi défini : Les vrais chrétiens seront ceux qui
partageront toutes les croyances religieuses du Nouvel Ordre
Mondial en tant que nécessité de base pour la survie de
l’humanité. »
Tout se précise.
En voici un
exemple dans cette vidéo :
« Un jeune prêtre suspendu pour avoir refusé de célébrer une
messe
oecuménique avec les protestants » (via Chrétiens Magazine
), suivi
d’un témoignage de Natalie Saracco qui sort l’artillerie
lourde «
catholique » concernant l’importance de la Vierge Marie, de
l’Eucharistie, et de la prière pour notre temps, pour la fin
des temps,
pour contrer le mal et hâter le retour en Gloire de NSJC.
13 octobre
En
août 2019, Mark Carney,
alors directeur de la Banque D’Angleterre, lors d’une
réunion des
banquiers à Jackson Hole aux États-Unis, mentionna que le
dollar
américain était trop fort, qu’il devait disparaître et être
remplacer
par une monnaie digitale.
Peu
de temps après apparaissait une pandémie mondiale.
Ordo
ab chao.
L’ordre
par le chaos.
C’était
le
coup d’envoi pour la grande réinitialisation annoncée pour
2021
(déjà révélée par le discours de janvier 2014 de Christine
Lagarde,
alors directrice du FMI), avec comme grand objectif l’ «
Agenda 2030 »
des Nations-Unies.
Il
n'y a pas longtemps, la Réserve Fédérale américaine
annonçait son intention de créer sa propre monnaie digitale.
Ce
fut au tour de l’Union Européenne la semaine dernière
(Digital Euro ou DE).
Et
ce fut le test du yuan digital chinois hier.
À
surveiller donc le lundi 19 octobre, date anniversaire du
krach
économique de 1987, puisque Satan et la clique
judéo-maçonnique
voudront peut-être célébrer les 33 années qui se sont
écoulées, en
affront à l’âge du Christ, ou en reconnaissance des 33
degrés
maçonniques.
Il
se
peut que cela soit le point de bascule financier avant la
renaissance du Phoenix (en référence à la revue The
Economist de 1988).
Pierre
Hillard, dans sa dernière entrevue explique cette transition
importante dont nous sommes partie prenante, et qui devrait
s’accélérer en 2021.
Il
mentionne le besoin d’éduquer les futures générations aux
principes de la nouvelle dictature.
Pas
étonnant
que jeudi prochain, Bergoglio livrera son discours
concernant
son pacte sur l’éducation où il espère voir plusieurs
nations y adhérer.
Nous
venons de franchir aujourd’hui au niveau spirituel l’étape
si importante des 103 ans du miracle du Soleil à Fatima.
Nous
étions averti et le monde ne s’est pas converti, loin de là.
Tout
devrait s'accélérer.
Notre-dame
du Rosaire, délivrez nous des griffes de Satan!
9
octobre
Benoît
XVI et la « fraternité »
Le
thème
de la « fraternité » développé par Bergoglio dans son
encyclique
est issu de l’idéologie des « lumières » de la révolution de
1789.
Cette
fabulation
judéo-maçonnique est fortement mis en pratique par
l’immigration de masse, concept qui force la dilution de la
chrétienté,
surtout en Europe.
C’est
le nivellement par le bas pour l’élite, afin de contrôler et
le peuple et les richesses terrestres.
Le
concept
de fraternité à la sauce franc-maçonne est inatteignable car
ce
sont les différences qui enrichissent les humains, et en
conséquence
l’âme peut faire des choix pour s’élever.
Pourtant
Bergoglio devrait avoir le discernement, vu la fonction
qu’il occupe, pour faire obstacle à ce plan satanique.
Mais
non.
Il
pousse
le concept à son extrême prouvant hors de tout doute que
l’idéologie des « lumières » a infecté l’église dans ses
moindres
recoins, jusqu’à la tête.
«
Rome perdra la Foi et deviendra le siège de
l'antéchrist » (Mélanie de La Salette).
Le
triomphe de ces derniers issus de l’église conciliaire est
imminent… Et leurs pertes aussi.
On
commence
à comprendre plus précisément la prophétie politique #26 «
Lumière de la Lumière » de Jean XXIII, basé sur la «
fraternité
universelle », qui renie la Mère, et le Fils.
Benoît
XVI,
avant le concile Vatican II, avait bien identifié l’arnaque,
le
poison issu des « lumières » (Aufklärung), ce concept de
fraternité qui
ne mène qu’au vide.
Le
prix à payer est énorme : c'est la perte de son âme.
Il
n’est
pas étonnant de voir que ce vide produit inévitablement
temporellement des hausses de troubles mentaux et de
suicides dans nos
sociétés...
«
le
problème posé par le sens élargi du mot "frère" est résolu
ici d’une
manière très radicale : la qualité de frère ne fonde plus
deux zones
distinctes de comportement moral, mais, en son nom
précisément, toutes
les barrières sont détruites et le comportement moral,
dont les
impératifs valent identiquement à l’égard de tous les
hommes, est
totalement unifié. Abolir ainsi résolument les barrières
représente
indubitablement quelque chose de très grand, mais le prix
en est élevé
: le sentiment fraternel démesurément étendu devient
irréel et vide de
sens. »
«
En
dépit de toute son ouverture et de tout son universalisme,
la notion de
fraternité, nous l'avons vu, ne s’étend pas sans aucune
limite à tous
les hommes. Tout homme peut devenir chrétien, mais
celui-là seul qui le
devient effectivement est frère. »
«
Si
l’on compare ces textes avec leurs correspondants chez
Épictète,
l’avantage de la fraternité restreinte, à l'encontre de
l’idée
d’humanité universelle, devient évident : la première crée
un lien
réel, là où la seconde reste un idéal vide. »
(Joseph RATZINGER, Frères dans
le Christ ; l’esprit de la fraternité chrétienne, Paris, Les
éditions du Cerf, 1962, 117 pages).
Il
n’y a pas de lien dans la fraternité universelle.
C’est
clair.
Le
seul lien valide, c’est le Christ.
Sans
ce lien, point de Salut.
Ce
lien ABSENT de l’encyclique de Bergoglio.
Sa
foi est dans l’humanisme et dans sa fraternité avec l’islam.
Conséquemment,
il prouve par ses paroles et ses écrits hors contexte de
Jésus, sa croyance en Jésus le « prophète ».
Ce
qui
ouvre la porte pour l’élite talmudiste, qui accepte bien ce
concept
de « prophète », rejetant unilatéralement le Christ comme
Messie et
vrai incarnation de Dieu.
La
table est mise.
De
grands malheurs se propagent à l’horizon pour Bergoglio.
Après
le triomphe éphémère… La chute.
On
ne
pensait sûrement pas à ce scénario prophétisé par Jean XXIII
lorsque
le cardinal Bergoglio a prononcé son « bonsoir » le 13 mars
2013, suivi
de son désir de ne pas suivre les protocoles et de
s’installer à
Sainte-Marthe.
Nous
pensions à se désir de retourner au message essentiel du
Christ, du pauvre pour les pauvres.
Mais
non pas à une promotion effrontée du marxisme socialisme.
Nous
pensions
à un règne bref mais grand par sa mission de rassembler tous
les fidèles autour du Christ pour le dernier droit de la fin
des temps.
Peine
perdue.
C’était
déjà un indice de la catastrophe annoncée.
Pourtant
Notre-Dame du Rosaire nous avait averti à Fatima : le
communisme a répandu son poison.
Nous
avons une église parallèle et une Église Sainte, Catholique,
et Apostolique toujours vivante.
Le
mystère d’iniquité bat son plein.
Cette
église parallèle a besoin de saints modernes pour faire
écran et pour
faire oublier les vrais Saints de l’Église qui ont été
martyrs par
amour du Christ, qui ont été fidèles à sa parole, et qui
sont sources
d’inspirations pour le petit reste d’aujourd’hui en ces
temps
difficiles.
Demain,
l’église béatifiera un jeune homme, le premier saint moderne
en devenir à être exposé en baskets et en jeans!
Notez
qu’à
la manière de Lénine, Jean XXIII, et plusieurs autres de la
«
fraternité », il a subi quelques manipulations pour faire
croire à
l’imputrescibilité de son corps charnel.
«
.. « Pour la première fois dans l’histoire, vous verrez un
homme béni
vêtu d’un jean, de baskets et d’un sweat-shirt », s’est
réjoui Mgr
Sorrentino, évêque d’Assise, lors de la messe consacrant
l’ouverture de
la tombe du futur bienheureux le 1er octobre…
Le
corps du jeune Italien n’a pas été retrouvé « intact » mais
« intègre
», c’est à dire muni de tous ses organes, a encore expliqué
l’évêque
d’Assise. S’il est passé par une phase normale de
décomposition, il a
été réassemblé avec « art et amour » pour être présenté aux
fidèles.
Carlo ayant subi une hémorragie du cerveau à la fin de sa
vie, une
reconstruction de son visage a en effet été nécessaire.
D’une certaine
manière, son visage « juvénile » est de nouveau visible, a
expliqué le
prélat. Quant à son cœur, que l’on peut désormais considérer
comme une
relique, il se trouve désormais dans la Basilique Saint
François
d’Assise, auprès du saint qu’il admirait…
Dans
moins
d’une dizaine de jour, le 10 octobre prochain, le geek de
Dieu,
dont la vie courte mais intense a bouleversé sa famille et
ses amis,
sera inscrit au registre des bienheureux… » (fr.aleteia.org).
« Le geek de Dieu ».
Comme
quoi cette église déchue a besoin d’une image moderne pour
aller chercher les jeunes et les enfumer.
Babylone
la grande, ton temps achève!
05 octobre
L’Église agonise.
C’est
ce que Bergoglio confirme avec une encyclique « fratelli
tutti » vide de sens (vatican.va).
Sauf
pour la judéo-maçonnerie.
C’est
un
ramassis de différents auteurs (il se cite lui-même ainsi
que la
plupart des papes conciliaires) qui sème la division au lieu
de
rassembler autour du Dieu unique, du Christ.
Mensonges,
déformation des paroles du Christ.
C’est
là le produit d’un pape de terrain socialiste dépourvu de
théologie.
Abandon
complet de la doctrine.
C’est
là le coup formidable et l’aveuglement voulu pour aboutir à
la nouvelle religion mondiale.
C’est
le tour de passe passe du mystère d’iniquité.
Il
rassemble
des bouts de phrases pris hors contexte pour en faire
volontairement un texte dilué impossible à synthétiser où
tous
trouveront leur compte pour la nouvelle religion mondiale.
«
Rêvons en tant qu’une seule et même humanité, comme des
voyageurs
partageant la même chair humaine, comme des enfants de cette
même terre
qui nous abrite tous, chacun avec la richesse de sa foi ou
de ses
convictions, chacun avec sa propre voix, tous frères.»
«
L’ouverture croissante de l’amour
§95 :
L’amour
nous met enfin en tension vers la communion universelle.
Personne ne mûrit ni n’atteint sa plénitude en s’isolant. De
par sa
propre dynamique, l’amour exige une ouverture croissante,
une plus
grande capacité à accueillir les autres, dans une aventure
sans fin qui
oriente toutes les périphéries vers un sens réel
d’appartenance
mutuelle. Jésus nous disait : « Tous vous êtes des frères »
(Mt 23, 8).»
Voilà
un exemple typique.
Nous
sommes tous frères et sœurs dans le Corps Mystique du
Christ, seul chemin menant au Père.
Ce
que ne mentionne pas Bergoglio.
C’est
la
religion catholique qui se plie aux demandes du reste du
monde alors
que cela devrait être le contraire, surtout en ces temps si
importants.
Mgr Vigano (benoit-et-moi.fr) a bien démystifié
l’écran de fumée :
« La dimension surnaturelle
est totalement absente, tout comme la référence à la
nécessité
d’appartenir au Corps Mystique du Christ qu’est la Sainte
Église pour
atteindre le salut éternel. Il y a même une très grave
erreur
d’interprétation du concept de « fraternité » :
pour le
catholique, elle n’est possible que dans le Christ si l’on a
Dieu comme
Père par le baptême (Jn 1, 12), alors que pour Bergoglio,
elle se
réaliserait par le simple fait d’appartenir à l’humanité…
L’aplatissement
(/alignement)
de l’encyclique sur la narration au sujet du Covid (§7 et
§32, ndt) laisse sans voix, confirmant l’asservissement à la
pensée
unique et à l’élite mondialiste ; on n’est pas non plus
surpris par
l’insistance obsessionnelle sur l’unité et la fraternité
universelle,
en même temps que la condamnation du droit légitime de
l’État à
protéger son identité non seulement de culture mais aussi et
surtout de
Foi…. »
La conclusion est la seule
indication importante.
Bergoglio
se commet.
L’encyclique
se
termine même avec deux prières : une prière de
fraternité pour
toutes les religions, et une autre œcuménique pour les
religions
chrétiennes.
Nous
nous savons que séparé de la vigne, le cep ne peut donner de
fruits.
Alors
qu’il faut crier en cette fin des temps que c’est par le
Christ et en Christ que l’humanité accédera à la Vie
Éternelle.
En
dehors de ce chemin, point de Salut.
Le
chas de l’aiguille est étroit.
Bergoglio
l’a oublié.
Il
est le destructeur.
Celui
qui a usurpé le trône de Saint-Pierre.
«
… il y a la volonté délibérée de démolir l’Église elle-même,
de la
discréditer devant le monde, de compromettre son autorité et
son
pouvoir devant les fidèles. L’opération à laquelle nous
assistons
depuis ces sept années funestes vise clairement à la
destruction de
l’institution catholique, par la perte de crédibilité, la
désaffection
et le dégoût pour les actions et les comportements indignes
de ses
membres; une opération qui a commencé avec les scandales
sexuels déjà
sous les précédents pontificats, mais qui cette fois-ci voit
le
protagoniste, l’acteur principal, celui-là même qui siège
sur la
Chaire, et qui avec ses propres mots et ses propres actes
est capable
de porter les coups les plus dévastateurs à la papauté et à
l’Église… »
(Mgr
Vigano commentant la dernière mis à pied du cardinal Becciu;
benoit-et-moi.fr)
Vivement le retour de NSJC.
Par
lui,
avec lui et en lui, à toi, Dieu le Père tout-puissant, dans
l’unité du Saint-Esprit, tout honneur et toute gloire, pour
les siècles
des siècles .
Amen.
01 octobre
Nous
y voilà.
Octobre,
le mois qui révélera le triomple éphémère de Babylone la
grande.
La
nouvelle religion luciférienne « catholique » est mûre,
après des années de destruction-contruction.
Car
les plans du clan judéo-maçonniste ont fonctionné à
merveille.
Plans
révélés dans « Le diable au XIXème siècle ».
C’est
le double jeu, l’inversion prônée par Satan qui règne.
Ces élites reprennent les
mêmes mots et utilisent le contre-nature contre l’ordre
naturel créé
par le Père Céleste (dégradation des valeurs
traditionnelles).
Le titre « catholique » est
réservé à nous seuls clament-ils, et de ce fait, ils
l’utilisent pour
mélanger les chrétiens catholiques conciliaires qui ne s’y
retrouvent
plus, surtout quand un pape nommé François utilise le même
stratagème.
Dans cette substitution de
civilisation, les élites œuvrent en parallèle pour la
destruction du
temple d’Adonaï (Notre Père Céleste et son Fils, donc le
Dieu mauvais
selon eux) pour l’édification du temple de Lucifer (le dieu
bon désigné
par eux).
Les rites sont ainsi
inversés subtilement jusqu’à l’aboutissement de ce dont nous
avons été témoins avec Bergoglio :
L’abandon des dogmes pour
les remplacer par des cultes idolâtres qui sont présentés
comme bénéfiques pour l’homme déifié.
Absence de Dieu. Cultes
païens, à même la basilique Saint-Pierre.
La religion laïque
humaniste
avec comme dogmes l’écologie, l’économie socialiste,
l’immigration n’a
qu’un seul but, auquel participe activement la bête de la
mer,
Bergoglio :
Niveler par le bas et
permettre à l’élite dominante de s’accaparer les ressources
planétaires, alors qu’on fait croire à l’égalité de tous.
Satan est le prince du
mensonge et beaucoup vont être déçus.
La dictature sanitaire
instaurée représente la dernière bataille pour gagner leur
guerre.
Au lieu de se lever et de
prêcher la parole du Christ en ces circonstances, Bergoglio
s’est
adressé aux Nation-Unies en s’aplatissant comme il l’avait
fait lors de
la présentation de son encyclique « Laudato Si » qui lui est
si cher,
le 25 septembre 2015.
Dans son message à propos
du Covid-19, il n’a fait
« … Aucune référence
à
d’éventuelles causes non naturelles, aucune mention des
multiples
intérêts qui poussent pour prolonger l’épidémie de manière
artificielle, pas un mot sur les mouvements de protestation
qui ne
peuvent pas tous être considérés comme négationnistes, ni
sur la
complicité de la presse dans le maintien en vie d’une peur
collective
habilement induite et sans vérification dans la réalité,
aucune
réflexion sur le manque de fiabilité de nombreuses données
fournies par
les autorités, aucune référence aux dangers d’une
« dictature
sanitaire » mondiale.
Covid, mondialisme et
souverainisme, vaccins, climat : dans son message aux
Nations
unies pour le 75e anniversaire de la fondation, le pape
François
affronte les thèmes d’actualité mais en s’adaptant au
sentiment
dominant, sans aucun relief original inspiré de la doctrine
sociale de
l’Église.(benoit-et-moi.fr) »
Voilà.
La
table est mise pour l'encyclique « fraternelle » de samedi.
Le mois du Rosaire n’aura
jamais été aussi important de toute l’époque chrétienne.
Septembre
2020
27 septembre
La révélation
La
sixième période de l’Apocalypse est sur le point de se
terminer avec la mort (apparente) de l’Église.
Clouée
sur
la croix comme NSJC, l’Église sème le doute chez les
chrétiens
comme les disciples l’ont été au pied de la croix il y a un
peu plus de
2000 ans.
Mais,
elle ne peut mourir.
L’abbé
Puga le confirme dans une homélie (vers une prochaine
suppression de la messe traditionnelle?) convaincante. (Eglise Saint-Nicolas-du-Chardonnet)
Parallèlement, la Pâques de
l’Antéchrist est sur le point d’arriver (voir analyses du
printemps 2020).
La
crise
du « Covid deuxième vague » entraînera la mort planifiée
de
« l’Antéchrist système » pour mieux ressusciter avec la «
grande
réinitialisation ».
Pierre
Hillard en est convaincu, comme plusieurs.
C’est
une question de semaines, ou de mois.
Entretien (longue mais tellement
révélatrice) avec Pierre Hillard du 17 septembre.
Pour entrer dans la
septième
période de l’Apocalypse, soit la retour en gloire du Christ,
il faut
assister à la mort des deux témoins.
Rappelons
que les deux témoins représentent les fidèles à la loi et
aux prophètes, les laïcs, et le clergé.
C’est
après
cette mort provoquée que l’Antichrist et Babylone la grande
sont
anéantis (échec donc de la « grande réinitialisation »).
Si
tout
semble au point mort quant à la visibilité apparente des
châtiments, beaucoup seront surpris quant à la vitesse à
laquelle
arrive et se déroule le 7ème sceau.
Car,
la mort des deux témoins ne dure que 3 jours et demi,
comparativement à 3 ans et demi de règne de « l’Antichrist
système ».
C'est
probablement un ordre de grandeur, de comparaison, ou
peut-être une durée exacte. On ne sait.
Mais,
pendant
ce court laps de temps, l’Apocalypse nous révèle que durant
ses
3 jours et demi que Babylone la grande sera en fête :
enfin
débarrassé de l’obstacle majeur, l’Église Catholique, Une,
Sainte et
Apostolique, Satan pourra grimper sur le trône et soumettre
Babylone à
ses pieds.
Le
décès du Katéchon, Benoît XVI, sera LE signe visible de la
chrétienté catholique concernant la mort des deux témoins.
C’est
ce
que confirme d’ailleurs la fin de la prophétie le concernant
avec
l’appel de Jean XXIII pour la chute des deux Babylone, le
Vatican et
les Nations-Unies, bref le système de l’homme déifié.
Le
nouvel
encyclique de Bergoglio dans moins d’une semaine nous
donnera
l’heure juste quant à son concept de fraternité qui devrait
contenir
quelques hérésies et peut-être même une direction donnée
pour un
changement majeur de la messe, la suppression du décret de
Benoît XVI
concernant la messe traditionnelle ou la suppression de la
Transsubstantiation dans un nouveau concept œcuménique.
Ainsi,
les
opposants à cet encyclique ou cette suppression n’auront
d’autre
choix que de quitter l’Église, le grand schisme annoncé par
Anne
Catherine Emmerich, ou bien demeurer dans une Église qui
aura
manifestement rejeté le Christ, confirmant la grande
apostasie annoncée.
Pour
les « deux témoins », cette situation équivaut à la mort.
Pour
3 jours et demi.
Tout
va s’accélérer.
16 septembre
Les signes de « feux du ciel ».
La grande purification par
le feu.
NSJC nous avait avertit
bien à l’avance quant aux derniers temps :
« Aussitôt après ces
jours d'affliction, le soleil s'obscurcira, la lune ne
donnera plus sa
lumière, les étoiles tomberont du ciel, et les puissances
des cieux
seront ébranlées. »
Cette
période est pour le retour dans la gloire de NSJC, après la
chute de Babylone, donc les 3 jours du Jugement dernier.
Et
comme
avertissements, nous avons à l’approche d’octobre les cieux
embrasés de la Californie, lieu excellence de perdition, et
spécialement San Francisco (Saint François) et Los Angeles
(Les
Anges... « déchus »?) Ciel de
San Francisco
Ce qui provoque évidement
aussi des lunes de sang, comme en témoigne ici cette image prise à Guadelupe (en
référence à Notre Dame de Guadelupe),
Californie (spaceweathergallery.com).
La fumée a déjà traversé
l'Amérique du Nord et commence à se répandre sur l'Europe.
C'est
le même scénario au Brésil.
Aussi, 2020 a été caractérisée
comme « l’année des planètes » par certains astronomes.
Juillet
a été témoin d’un marathon de planètes.
Autour
du 23 juillet, toutes les planètes du système solaire
ont été visibles simultanément peu avant la fin de la nuit.
Or,
aussi le 6 octobre, la planète Mars sera au plus près de la
Terre, du jamais vu depuis…
60000
ans!
Puis
le 13 octobre, jour symbolique relié à Fatima en 1917, Mars,
le Soleil et la Terre seront en opposition.
On
peut déjà voir la planète Mars se lever vers 21h00 à l’est.
Elle
est déjà aussi rouge que les feux cieux californiens.
C’est
époustouflant. Cela promet.
Mars,
c’est le dieu de la guerre.
Elle
représente le feu en franc maçonnerie.
Et
puisque la symbolique est suivie de près par la kabbale, ils
en profiteront matérialiser leurs plans en ce mois
d’octobre.
Mars
fait parti des quatre points cardinaux reliés aux 4
officiers qui orientent une loge maçonnique :
«
Le Feu à la Force...le Bélier à Mars...le Couvreur à la
Connaissance
L'Air à la Justice...la
Balance à Vénus...le Vénérable au Pouvoir
L'Eau à la Tempérance...le
Cancer à la Lune...le 1 er Surveillant au Devoir
La Terre à la Prudence...le
Capricorne à Saturne...le 2 nd Surveillant au Vouloir
Ces quatre Officiers
définissent l'espace sacré d'un Temple Maçonnique, sacré
parce qu'à son
intérieur se déroulent toutes les cérémonies initiatiques
maçonniques,
mais aussi parce qu'ils sont, tous les quatre ensemble,
responsables du
principe de « simultanéité » initiatique, celui
considérant
qu'aucune action, profane ou initiatique, ne peut pas se
matérialiser
correctement sans le respect simultané de quatre
absolus :
Pouvoir, Savoir, Vouloir et Devoir. » (ledifice.net).
Nous
savons
par les analyses passées que pour les mages ou l’élite
occulte,
la planète Jupiter est le créateur, celui qui sacre les
rois, Saturne
étant celle qui marque la fin et le début d’un cycle ou la
grande
faucheuse.
Or,
nous
le savons, les grands marqueurs que sont Saturne et Jupiter
seront
en conjonction le 21 décembre de cette année pour une copie
conforme de
l’étoile de la nativité.
Et,
en
ce 21 décembre, elles seront accompagnés de Mars, la lune,
et Vénus
(se levant le matin) : les 4 officiers prêts pour
l’initialisation, le jour de naissance symbolique du « roi
jupitérien ».
Quels
sont les événements d’importances prévus en ce mois
d’octobre 2020, mois de la Pâques de l’Antéchrist?
-
3 octobre : révélation de l’encyclique sur la
fraternité humaine
de Bergoglio qui sera signé directement sur la TOMBE DE
SAINT-FRANÇOIS,
à Assise.
- 6 octobre : Mars
près de la Terre. Signe visible par tous du début de la
purification.
- 15 octobre :
signature du pacte sur l’éducation de Bergoglio,
- Mi-octobre : réunion
du « roi jupitérien » sur la question du Liban en France.
- 19 octobre : 33 ans,
date anniversaire du krach économique de 1987.
N’oublions
pas que l’encyclique « Laudato Si » sur l’écologie humaniste
fait partie de l’équation.
Bergoglio
insiste sur son importance encore et il jubile de fêter ses
5 années d’existence.
Ce
qui fut souligné le 24 mai, le jour de « Notre-Dame
Auxiliatrice » en grandes pompes.
Ce
titre
fut donné à la Sainte Vierge Marie et officiellement
introduit
dans l’Église par Pie V, après la célèbre victoire de
Lépante en 1571,
lorsque qu'il ordonna d'inscrire dans la litanie Lorétienne
l'invocation "Maria Auxilium Christianorum, ora pro nobis".
Saint
Pie
V ne cacha point qu'il attribuait à l'intercession de
la
sainte Vierge le succès de Lépante. Il ajouta aux litanies
de Lorette,
c'est-à-dire de la sainte Vierge, l'invocation "Secours des
chrétiens,
priez pour nous", et fixa au 7 octobre une fête en l'honneur
de
Notre-Dame de la Victoire.
Elle
est fêtée de nos jours sous le nom de fête du Saint-Rosaire,
de nouveau le 7 octobre.
ET
voilà :
Le
lendemain de l’avertissement du feu via la planète Mars.
Or,
ce n’est pas tout.
Quand
est-ce que Mars sera-t-elle la plus brillante dans le
ciel?..
Surpassant
Jupiter comme la planète la plus brillante...
Lorsqu’elle
sera en opposition, c’est à dire en ligne directe avec le
Soleil, et ce…
Le
13 octobre!
Aux
103 ans du Miracle du Soleil de Fatima.
N’oublions
pas ce fait d’importance relié au soir du 16 octobre
1917, soir où la kabbale judéo-maçonnique jubilait :
«
Lorsque les francs-maçons commencèrent à se démener de plus
en plus
effrontément et qu’ils eurent dressé leur étendard sous les
fenêtres
mêmes du Vatican, cet étendard où, sur un fond noir, Lucifer
foulait
sous ses pieds l’archange Michel, lorsqu’ils se mirent à
distribuer des
tracts invectivant contre le saint Père, l’idée se fit jour
de fonder une association ayant pour but de combattre
les
francs-maçons et d’autres suppôts de Lucifer …
À l’occasion du deuxième
centenaire de la fondation de la maçonnerie moderne, en
cette année
1917, les francs-maçons se livraient à Rome-même à de
sacrilèges
parodies...En 1917, les francs-maçons qui s’exhibaient à
Rome avaient
aussi des banderoles proclamant : « Satan doit
régner au
Vatican. Le pape sera son esclave ! »
(leblogdumesnil.unblog.fr).
C’est
bien ce dont nous sommes témoins.
08 septembre
Telle
une spirale, la convergence des événements s’accélère et le
point culminant approche à grands pas.
Voici
la
dernière lettre, très longue, de Mgr Vigano à Lifesitenews
pour
remettre les pendules à l’heure. Il répond aux critiques
suite à son
entrevue avec Catholic Family News à propos de Vatican II.
Il
confirme
l’Église éclipsée de la vision d’Anne Catherine Emmerich, ce
qui a le mérite de confirmer à la face du monde ce que
Bergoglio ne
fait pas: nous sommes à la fin des temps.
Ils
nous appellent en tant que soldats du Christ.
«
Mgr Viganò: Nous resterons dans l’Église, lutterons contre
les modernistes qui minent la foi.
«Ce ne sont pas les fidèles
traditionnels – c’est-à-dire les vrais catholiques, selon
les mots de
saint Pie X – qui doivent abandonner l’Église dans laquelle
ils ont le
plein droit de rester et dont il serait malheureux de se
séparer; mais
plutôt les modernistes qui usurpent le nom catholique,
précisément
parce que ce n’est que l’élément bureaucratique qui leur
permet de ne
pas être considérés sur un pied d’égalité avec aucune secte
hérétique.
4
septembre 2020 ( LifeSiteNews ) –...
Cher
M. Kokx,
J’ai
lu
avec un vif intérêt votre article «Questions à Viganò: Son
Excellence a raison à propos de Vatican II, mais que
pense-t-il que les
catholiques devraient faire maintenant?» qui a été publié
par Catholic
Family News le 22 août ( ici ). Je suis heureux de répondre
à vos
questions, qui portent sur des sujets très importants pour
les fidèles.
Vous
demandez:
«À quoi ressemblerait la« séparation »de l’Église
conciliaire
selon l’archevêque Viganò?» Je vous réponds par une autre
question:
«Que signifie se séparer de l’Église catholique selon les
partisans du
Concile?» S’il est clair qu’aucun mélange n’est possible
avec ceux qui
proposent des doctrines adultérées du manifeste idéologique
conciliaire, il convient de noter que le simple fait d’être
baptisé et
d’être des membres vivants de l’Église du Christ n’implique
pas
l’adhésion à l’équipe conciliaire. ; cela est vrai surtout
pour les
simples fidèles et aussi pour les clercs séculiers et
réguliers qui,
pour diverses raisons, se considèrent sincèrement
catholiques et
reconnaissent la Hiérarchie.
Au contraire, ce qu’il faut
clarifier, c’est la position de ceux qui, se déclarant
catholiques,
embrassent les doctrines hétérodoxes qui se sont répandues
au cours de
ces décennies, avec la conscience que celles-ci représentent
une
rupture avec le Magistère précédent. Dans ce cas, il est
licite de
douter de leur adhésion réelle à l’Église catholique, dans
laquelle
cependant ils occupent des rôles officiels qui leur
confèrent une
autorité. C’est une autorité exercée illicitement, si son
but est de
contraindre les fidèles à accepter la révolution imposée
depuis le
Concile.
Une fois ce point clarifié,
il
est évident que ce ne sont pas les fidèles traditionnels –
c’est-à-dire
les vrais catholiques, selon les mots de saint Pie X – qui
doivent
abandonner l’Église dans laquelle ils ont le plein droit de
rester et
dont il serait malheureux de se séparer; mais plutôt les
modernistes
qui usurpent le nom catholique, précisément parce que ce
n’est que
l’élément bureaucratique qui leur permet de ne pas être
considérés à
égalité avec aucune secte hérétique. Leur revendication sert
en fait à
les empêcher de se retrouver parmi les centaines de
mouvements
hérétiques qui, au cours des siècles, ont cru pouvoir
réformer l’Église
à leur guise, plaçant leur fierté avant de garder humblement
l’enseignement de Notre Seigneur. Mais tout comme il n’est
pas possible
de revendiquer la citoyenneté dans une patrie où l’on ne
connaît pas sa
langue, sa loi,foi et tradition; il est donc impossible que
ceux qui ne
partagent pas la foi, la morale, la liturgie et la
discipline de
l’Église catholique puissent s’arroger le droit de rester en
elle et
même de gravir les échelons de la hiérarchie.
Ne
cédons
donc pas à la tentation d’abandonner – quoique avec une
indignation justifiée – l’Église catholique, sous prétexte
qu’elle a
été envahie par les hérétiques et les fornicateurs: ce sont
eux qui
doivent être expulsés de l’enceinte sacrée, dans une œuvre
de
purification et pénitence qui doivent commencer par chacun
de nous.
Il
est
également évident qu’il existe des cas très répandus dans
lesquels
les fidèles rencontrent de graves problèmes pour fréquenter
leur église
paroissiale, tout comme il y a de moins en moins d’églises
où la Sainte
Messe est célébrée dans le rite catholique. Les horreurs qui
sévissent
depuis des décennies dans nombre de nos paroisses et
sanctuaires
rendent impossible même d’assister à une «Eucharistie» sans
être
dérangé et mettre sa foi en péril, tout comme il est très
difficile
d’assurer une éducation catholique, les sacrements étant
dignement une
orientation spirituelle célébrée et solide pour soi-même et
ses
enfants. Dans ces cas, les fidèles laïcs ont le droit et le
devoir de
trouver des prêtres, des communautés et des instituts
fidèles au
Magistère éternel.Et puissent-ils savoir accompagner la
louable
célébration de la liturgie dans le Rite Ancien par
l’adhésion à la
saine doctrine et à la morale, sans aucun affaissement sur
le front du
Concile.
La
situation
est certainement plus complexe pour les clercs, qui
dépendent
hiérarchiquement de leur évêque ou supérieur religieux, mais
qui ont en
même temps le droit de rester catholiques et de pouvoir
célébrer selon
le rite catholique. D’une part, les laïcs ont plus de
liberté de
mouvement dans le choix de la communauté vers laquelle ils
se tournent
pour la messe, les sacrements et l’instruction religieuse,
mais moins
d’autonomie du fait qu’ils doivent encore dépendre d’un
prêtre; d’autre
part, les clercs ont moins de liberté de mouvement,
puisqu’ils sont
incardinés dans un diocèse ou un ordre et sont soumis à
l’autorité
ecclésiastique, mais ils ont plus d’autonomie en raison du
fait qu’ils
peuvent légitimement décider de célébrer la messe et
d’administrer les
sacrements. dans le rite tridentin et de prêcher
conformément à la
saine doctrine.Le Motu Proprio Summorum Pontificum a
réaffirmé que les
fidèles et les prêtres ont le droit inaliénable – qui ne
peut être nié
– de se prévaloir de la liturgie qui exprime plus
parfaitement leur foi
catholique. Mais ce droit doit être utilisé aujourd’hui non
seulement
et pas tant pour préserver la forme extraordinaire du rite,
mais pour
témoigner de l’adhésion au depositum fidei qui ne trouve une
correspondance parfaite que dans le Rite Ancien.
Je
reçois
quotidiennement des lettres sincères de prêtres et de
religieux
marginalisés ou transférés ou ostracisés en raison de leur
fidélité à
l’Église: la tentation de trouver un ubi consistam [un
endroit où se
tenir] loin de la clameur des innovateurs est forte, mais
nous devons
pour prendre un exemple des persécutions que de nombreux
saints ont
subies, y compris saint Athanase, qui nous offre un modèle
de
comportement face à l’hérésie généralisée et à la fureur
persécutante.
Comme mon vénérable frère Mgr Athanasius Schneider l’a
rappelé à
maintes reprises, l’arianisme qui affligeait l’Église à
l’époque du
saint docteur d’Alexandrie en Égypte était si répandu parmi
les évêques
qu’il laisse presque croire que l’orthodoxie catholique
avait
complètement disparu.Mais c’est grâce à la fidélité et au
témoignage
héroïque des quelques évêques restés fidèles que l’Église a
su se
relever. Sans ce témoignage, l’arianisme n’aurait pas été
vaincu; sans
notre témoignage aujourd’hui, le modernisme et l’apostasie
mondialiste
de ce pontificat ne seront pas vaincus.
Il
ne
s’agit donc pas de travailler de l’intérieur ou de
l’extérieur de
l’Église: les vignerons sont appelés à travailler dans la
Vigne du
Seigneur, et c’est là qu’ils doivent y rester même au prix
de leur vie;
les pasteurs sont appelés à garder le troupeau du Seigneur,
à tenir à
distance les loups voraces et à chasser les mercenaires qui
ne sont pas
concernés par le salut des brebis et des agneaux.
Cette
œuvre
cachée et souvent silencieuse a été réalisée par la
Fraternité
Saint Pie X, qui mérite d’être saluée pour ne pas avoir
laissé
s’éteindre la flamme de la Tradition à un moment où la
célébration de
la messe antique était considérée comme subversive et un
motif
d’excommunication. Ses prêtres ont été une saine épine dans
le flanc
d’une hiérarchie qui a vu en eux un point de comparaison
inacceptable
pour les fidèles, un reproche constant de la trahison
commise contre le
peuple de Dieu, une alternative inadmissible à la nouvelle
voie
conciliaire. Et si leur fidélité a rendu inévitable la
désobéissance au
pape avec les consécrations épiscopales, grâce à eux la
Société a pu se
protéger de l’attaque furieuse des Innovateurs et par son
existence
même elle a permis la possibilité de la libéralisation du
Rite
Ancien,qui jusque-là était interdit. Sa présence a également
permis aux
contradictions et aux erreurs de la secte conciliaire
d’émerger,
faisant toujours un clin d’œil aux hérétiques et aux
idolâtres mais
implacablement rigide et intolérante envers la vérité
catholique.
Je
considère
Mgr Lefebvre comme un confesseur exemplaire de la Foi, et je
pense qu’à présent il est évident que sa dénonciation du
Concile et de
l’apostasie moderniste est plus que jamais d’actualité. Il
ne faut pas
oublier que la persécution à laquelle Mgr Lefebvre a été
soumis par le
Saint-Siège et l’épiscopat mondial servait avant tout de
dissuasion aux
catholiques réfractaires à la révolution conciliaire.
Je suis également d’accord
avec l’observation de Son Excellence Mgr Bernard Tissier de
Mallerais
sur la coprésence de deux entités à Rome: l’Église du Christ
a été
occupée et éclipsée par la structure conciliaire moderniste,
qui s’est
établie dans la même hiérarchie et les mêmes usages
l’autorité de ses
ministres de prévaloir sur l’Époux du Christ et notre Mère.
L’Église
du
Christ – qui non seulement subsiste dans l’Église
catholique, mais
qui est exclusivement l’Église catholique – n’est obscurcie
et éclipsée
que par une étrange Église extravagante établie à Rome,
selon la vision
de la bienheureuse Anne Catherine Emmerich. Il coexiste,
comme le blé à
la tare, dans la curie romaine, dans les diocèses, dans les
paroisses.
Nous ne pouvons pas juger nos pasteurs pour leurs
intentions, ni
supposer qu’ils sont tous corrompus dans la foi et la
morale; au
contraire, nous pouvons espérer que beaucoup d’entre eux,
jusque-là
intimidés et silencieux, comprendront, alors que la
confusion et
l’apostasie continuent de se répandre, la tromperie à
laquelle ils ont
été soumis et finiront par se débarrasser de leur sommeil.
Il y a
beaucoup de laïcs qui élèvent la voix; d’autres suivront
nécessairement, ainsi que de bons prêtres, certainement
présents dans
chaque diocèse.Cet éveil de l’Église militante – j’oserais
l’appeler
presque une résurrection – est nécessaire, urgent et
inévitable: aucun
fils ne tolère que sa mère soit outrée par les serviteurs,
ou que son
père soit tyrannisé par les administrateurs de ses biens. Le
Seigneur
nous offre, dans ces situations douloureuses, la possibilité
d’être ses
alliés pour mener cette sainte bataille sous sa bannière: le
roi
vainqueur de l’erreur et de la mort nous permet de partager
l’honneur
de la victoire triomphale et la récompense éternelle qui en
découle
cela, après avoir enduré et souffert avec Lui.la possibilité
d’être ses
alliés pour mener cette sainte bataille sous sa bannière: le
roi
victorieux de l’erreur et de la mort nous permet de partager
l’honneur
de la victoire triomphale et la récompense éternelle qui en
découle,
après avoir enduré et souffert avec lui.la possibilité
d’être ses
alliés pour mener cette sainte bataille sous sa bannière: le
roi
victorieux de l’erreur et de la mort nous permet de partager
l’honneur
de la victoire triomphale et la récompense éternelle qui en
découle,
après avoir enduré et souffert avec lui.
Mais
pour
mériter la gloire immortelle du Ciel, nous sommes appelés à
redécouvrir – à une époque émasculée et dépourvue de valeurs
telles que
l’honneur, la fidélité à sa parole et l’héroïsme – un aspect
fondamental de la foi de tout baptisé: la vie chrétienne est
une
milice, et avec le sacrement de la confirmation nous sommes
appelés à
être des soldats du Christ, sous l’insigne duquel nous
devons
combattre. Bien sûr, dans la plupart des cas, il s’agit
essentiellement
d’une bataille spirituelle, mais au cours de l’histoire,
nous avons vu
combien de fois, face à la violation des droits souverains
de Dieu et
de la liberté de l’Église, il fallait aussi prendre les
armes. : nous
apprenons cela par la résistance acharnée pour repousser les
invasions
islamiques à Lépante et à la périphérie de Vienne, la
persécution des
Cristeros au Mexique, des catholiques en Espagne,et même
aujourd’hui
par la guerre cruelle contre les chrétiens du monde entier.
Jamais
comme aujourd’hui nous ne pouvons comprendre la haine
théologique
venant des ennemis de Dieu, inspirée par Satan. L’attaque
contre tout
ce qui rappelle la croix du Christ – sur la vertu, sur le
bien et le
beau, sur la pureté – doit nous inciter à nous lever, dans
un acte
d’orgueil, pour revendiquer notre droit non seulement de ne
pas être
persécuté par nos ennemis extérieurs mais aussi et surtout
d’avoir des
pasteurs forts et courageux, saints et craignant Dieu, qui
feront
exactement ce que leurs prédécesseurs ont fait depuis des
siècles:
prêcher l’Évangile du Christ, convertir les individus et les
nations,
et élargir le Royaume de la Dieu vivant et vrai dans le
monde
entier.L’attaque contre tout ce qui rappelle la croix du
Christ – sur
la vertu, sur le bien et le beau, sur la pureté – doit nous
inciter à
nous lever, dans un acte d’orgueil, pour revendiquer notre
droit non
seulement de ne pas être persécuté par nos ennemis
extérieurs mais
aussi et surtout d’avoir des pasteurs forts et courageux,
saints et
craignant Dieu, qui feront exactement ce que leurs
prédécesseurs ont
fait depuis des siècles: prêcher l’Évangile du Christ,
convertir les
individus et les nations, et élargir le Royaume de la Dieu
vivant et
vrai dans le monde entier.L’attaque contre tout ce qui
rappelle la
croix du Christ – sur la vertu, sur le bien et le beau, sur
la pureté –
doit nous inciter à nous lever, dans un acte d’orgueil, pour
revendiquer notre droit non seulement de ne pas être
persécuté par nos
ennemis extérieurs mais aussi et surtout d’avoir des
pasteurs forts et
courageux, saints et craignant Dieu, qui feront exactement
ce que leurs
prédécesseurs ont fait depuis des siècles: prêcher
l’Évangile du
Christ, convertir les individus et les nations, et élargir
le Royaume
de la Dieu vivant et vrai dans le monde entier.qui feront
exactement ce
que leurs prédécesseurs ont fait pendant des siècles:
prêcher
l’Évangile du Christ, convertir les individus et les
nations, et
étendre le Royaume du Dieu vivant et vrai à travers le
monde.qui feront
exactement ce que leurs prédécesseurs ont fait pendant des
siècles:
prêcher l’Évangile du Christ, convertir les individus et les
nations,
et étendre le Royaume du Dieu vivant et vrai à travers le
monde.
Nous
sommes
tous appelés à faire un acte de Fortitude – une vertu
cardinale
oubliée, qui non par hasard en grec rappelle la force
virile, ἀνδρεία –
en sachant résister aux modernistes: une résistance qui
s’enracine dans
la Charité et la Vérité, qui sont des attributs de Dieu.
Si vous ne célébrez que la
messe tridentine et que vous prêchez une saine doctrine sans
jamais
mentionner le Concile, que pourront-ils jamais vous faire?
Vous jeter
hors de vos églises, peut-être, et alors quoi? Personne ne
pourra
jamais vous empêcher de renouveler le Saint Sacrifice, même
s’il se
trouve sur un autel de fortune dans une cave ou un grenier,
comme l’ont
fait les prêtres réfractaires à la Révolution française, ou
comme cela
se passe encore aujourd’hui en Chine. Et s’ils essaient de
vous
distancer, résistez: le droit canonique sert à garantir le
gouvernement
de l’Église dans la poursuite de ses buts premiers, pas à le
démolir.
Arrêtons de craindre que la faute du schisme incombe à ceux
qui le
dénoncent, et non à ceux qui l’exécutent: ceux qui sont
schismatiques
et hérétiques sont ceux qui blessent et crucifient le Corps
mystique du
Christ, pas ceux qui défendez-le en dénonçant les bourreaux!
Les
laïcs
peuvent s’attendre à ce que leurs ministres se comportent
comme
tels, préférant ceux qui prouvent qu’ils ne sont pas
contaminés par les
erreurs présentes. Si une messe devient une occasion de
torture pour
les fidèles, s’ils sont contraints d’assister aux sacrilèges
ou de
soutenir des hérésies et des divagations indignes de la
Maison du
Seigneur, il est mille fois préférable de se rendre dans une
église où
le prêtre célèbre la Saint Sacrifice dignement, dans le rite
qui nous
est donné par la Tradition, avec une prédication conforme à
la saine
doctrine. Lorsque les curés et les évêques se rendront
compte que le
peuple chrétien réclame le Pain de la Foi, et non les
pierres et les
scorpions de la néo-église, ils abandonneront leurs craintes
et se
plieront aux demandes légitimes des fidèles. Les autres,
vrais
mercenaires,se montreront pour ce qu’ils sont et ne pourront
rassembler
autour d’eux que ceux qui partagent leurs erreurs et leurs
perversions.
Ils s’éteindront d’eux-mêmes: le Seigneur assèche le marais
et aride la
terre sur laquelle poussent les ronces; il éteint les
vocations dans
les séminaires corrompus et dans les couvents rebelles à la
Règle.
Les
fidèles
laïcs ont aujourd’hui une tâche sacrée: réconforter les bons
prêtres et les bons évêques, se rassemblant comme des brebis
autour de
leurs bergers. Donnez-leur l’hospitalité, aidez-les,
consolez-les dans
leurs épreuves. Créer une communauté dans laquelle le
murmure et la
division ne prédominent pas, mais plutôt la charité
fraternelle dans le
lien de la foi. Et puisque dans l’ordre établi par Dieu –
κόσμος – les
sujets doivent obéissance à l’autorité et ne peuvent faire
autrement
que de lui résister quand elle abuse de son pouvoir, aucune
faute ne
leur sera imputée pour l’infidélité de leurs dirigeants, sur
lesquels
repose la très grave responsabilité pour la manière dont ils
exercent
le pouvoir d’autrui qui leur a été donné. Nous ne devons pas
nous
rebeller, mais nous opposer; nous ne devons pas nous réjouir
des
erreurs de nos pasteurs, mais prier pour eux et les avertir
avec
respect;nous ne devons pas remettre en question leur
autorité mais la
manière dont ils l’utilisent.
Je suis certain, avec une
certitude qui me vient de la foi, que le Seigneur ne
manquera pas de
récompenser notre fidélité, après nous avoir punis pour les
fautes des
hommes de l’Église, nous accordant de saints prêtres, saints
évêques,
saints cardinaux, et surtout un saint Pape. Mais ces saints
naîtront de
nos familles, de nos communautés, de nos églises: familles,
communautés
et églises dans lesquelles la grâce de Dieu doit être
cultivée avec une
prière constante, avec la fréquentation de la sainte messe
et des
sacrements, avec l’offrande de sacrifices et pénitences que
la
Communion des Saints nous permet d’offrir à la Majesté
Divine pour
expier nos péchés et ceux de nos frères, y compris ceux qui
exercent
l’autorité. Les laïcs ont un rôle fondamental à jouer en
cela, en
gardant la foi au sein de leurs familles,de telle sorte que
nos jeunes
éduqués à l’amour et à la crainte de Dieu soient un jour des
pères et
des mères responsables, mais aussi de dignes ministres du
Seigneur, ses
hérauts dans les ordres religieux masculins et féminins, et
ses apôtres
en société civile.
Le
remède
à la rébellion est l’obéissance. Le remède à l’hérésie est
la
fidélité à l’enseignement de la Tradition. Le remède au
schisme est la
dévotion filiale pour les Sacrés Pasteurs. Le remède à
l’apostasie est
l’amour pour Dieu et sa Très Sainte Mère. Le remède au vice
est
l’humble pratique de la vertu. Le remède à la corruption des
mœurs est
de vivre constamment en présence de Dieu. Mais l’obéissance
ne peut
être pervertie en une solide servilité; le respect de
l’autorité ne
peut pas être perverti en obéissance du tribunal. Et
n’oublions pas que
s’il est du devoir des laïcs d’obéir à leurs pasteurs, c’est
un devoir
encore plus grave des pasteurs d’obéir à Dieu, usque ad
effusionem
sanguinis.
+
Carlo Maria Viganò, archevêque
1er
septembre 2020 »
Voilà, ce n’est plus une
rumeur.
Ce que nous suspections est
maintenant un fait:
«
« Tous frères »: le Pape François signera sa
nouvelle encyclique à Assise.
Le
directeur
de la Salle de Presse du Saint-Siège l’a annoncé ce samedi:
le 3 octobre prochain, le Pape se rendra à Assise, afin de
prier sur la
tombe de saint François, dont ce sera la fête le lendemain.
Il y
signera également sa nouvelle encyclique consacrée au thème
de la
fraternité…
Fratelli tutti, «Tous
frères»:
c’est le nom de cette nouvelle encyclique du Pape François,
la 3e de
son pontificat après Lumen Fidei en 2013 et Laudato Si’ en
2015. Le
Saint-Père choisit donc un lieu très solennel, très
significatif pour
parapher ce texte: Assise, la ville du Poverello dont il a
pris le nom
comme Pape, et qui prêchait cette fraternité «cosmique»,
universelle,
unissant toutes les créatures de Dieu, unique père de tous.
Le
thème de la fraternité, une ligne directrice du pontificat.
De
ce
texte, on connait uniquement le thème: la fraternité humaine
et
l’amitié sociale. Thème qui lui est cher, qu’il développe et
décline
sans cesse dans son magistère et qui est d’ailleurs au cœur
du Document
signé en 2019 à Abou Dhabi avec le Grand Imam d’Al-Azhar.
Un thème qu’il a abordé de
façon récurrente aussi lors des messes à Sainte Marthe ces
derniers
mois, en plein pic de la pandémie, appelant tous les hommes
de bonne
volonté, de toutes les traditions religieuses à prier
ensemble pour la
fin de la crise sanitaire : frères et sœurs en humanité,
unis aussi par
l’épreuve et par l’espérance… » (vaticannews.va).
Voilà qui résume bien
l’atmosphère créée par Bergoglio à Assise, où il aime bien
se complaire:
« Un air lourd à Assise.
…
Mais il n’est pas facile de
s’attarder sur ces réflexions. Les frères gardiens de la
Basilique sont
si diligents et zélés dans l’application des règles
anti-Covid. En
particulier, un frère, qui parcourt la nef en montrant son
propre
masque, pour reprendre, avec un regard menaçant, ceux qui ne
le portent
pas comme lui, jusque devant ses yeux, pour réprimander
celui qui le
porte en laissant les narines découvertes. Une exhibition
inqiétante,
que l’on ne s’attendrait pas à trouver dans une église, mais
dans un
état de régime militaire. Puis la distribution de la
communion, avec
toutes les précautions d’hygiène nécessaires, évidemment sur
les mains.
Je
ne
vois pas autant de prudence pour les âmes, misérablement
mises à nu
et perplexes face à l’attaque du mal. Si le même zèle était
appliqué,
de la part des religieux, au virus hyper-virulent du péché,
en
proposant et en offrant systématiquement tous les antidotes
que
l’Église de Jésus met à leur disposition, nous ne nous
trouverions pas
dans la situation désespérée d’aujourd’hui. C’est là, et
seulement là,
la tâche de la vraie Église, la prévention, la vigilance et
donc, le
salut des âmes !
On
respire
un air différent, depuis quelques années, à Assise. Un air
lourd qui n’a plus rien rien de l’air léger, fait seulement
d’Esprit, à
haute altitude, où la matière devient aussi impalpable que
la neige
fraîche.
On
respire
un air lourd, imprégné des pensées de l’homme arrogant et
autosuffisant de ce début de siècle. Un air dégoulinant de
buonisme, de
sentimentalisme, d’écologisme, d’environnementalisme, de
mondialisme,
d’œcuménisme, de panthéisme, de naturalisme,
d’anthropocentrisme, de
catho-communisme… de communisme. Un air lourd qui se répand
et fait
sombrer ces ordres religieux, destinés, si la tendance
actuelle
persiste, à disparaître, n’en déplaise à leur fondateur,
animé d’un
tout autre zèle.
Saint
François avait d’autres intentions pour Assise :
«
Bénie sois-tu du Seigneur, cité sainte à Dieu fidèle, car
par toi
beaucoup d’âmes se sauveront et en toi beaucoup de
serviteurs du
Très-Haut habiteront, et par toi beaucoup seront élus au
royaume
éternel ».
Saint François, lui, n’a
pas réprimandé le lépreux, qui ne portait pas le masque, il
l’a étreint et embrassé. » (benoit-et-moi.fr).
Voilà ce qu’a fait l’ «
exterminateur » prophétisé par Saint-François.
Pierre
II
le romain de St-Malachie, le cardinal Pietro Parolin,
prépare déjà
le terrain pour la grande réinitialisation et sa prison
socialiste
marxiste.
« La prise de conscience
d'une fragilité partagée
La
pandémie
«a révélé à la fois notre interdépendance et notre faiblesse
commune, une fragilité partagée», estime encore le
secrétaire d'État du
Saint-Siège. «Lorsque la logique de la dissuasion nucléaire
dominait - rappelle-t-il - Saint Jean XXIII,
dans Pacem in
Terris, a souligné l'interdépendance entre les communautés
politiques :
«Aucune communauté politique aujourd'hui n'est capable de
poursuivre
ses intérêts et de se développer en se refermant sur
elle-même». Et le
Pape François de souligner dans l'encyclique Laudato
Si :
«L'interdépendance nous oblige à penser à un seul monde, à
un projet
commun». D'autre part - a rappelé Jean-Paul II dans
l'encyclique Sollicitudo Rei Socialis- nous sommes
aujourd'hui confrontés à une interdépendance technologique,
sociale et
politique, qui exige d'urgence une éthique de la
solidarité».
«Cependant,
a-t-il
encore expliqué, «au lieu de favoriser la coopération pour
le
bien commun universel, nous voyons de plus en plus de murs
s'ériger
autour de nous, exaltant les frontières comme garantie de
sécurité et
pratiquant des violations systématiques du droit, maintenant
une
situation de conflit mondial permanent». Comme l'a rappelé
le Pape
François à Nagasaki, «les dépenses d'armement ont atteint
leur sommet
en 2019, et maintenant il y a un risque sérieux qu'après une
période de
diminution, également due aux restrictions liées à la
pandémie, elles
continuent à augmenter». «Ce moment même montre, au
contraire, que nous
devons semer l'amitié et la bonne volonté plutôt que la
haine et la
peur». De plus, «l'interdépendance planétaire exige des
réponses
globales aux problèmes locaux», a insisté le Pape François
lors de sa
rencontre avec les mouvements populaires en 2015, «car la
mondialisation de l'espérance [...] doit remplacer cette
mondialisation
de l'exclusion et de l'indifférence !»
Mettre
la solidarité et la fraternité au centre de l'économie
À
cet égard, le cardinal souligne que «le cadre de référence
conçu par le
Pape François pour l'économie se trouve avant tout dans
Laudato Si',
qui à son tour développe l'encylique Caritas in veritate de
Benoît
XVI» Ce sont «les deux grandes encycliques sociales
les plus
récentes». Benoît XVI a parlé d'une économie dans laquelle
la logique
du don, le principe de gratuité, qui exprime non seulement
la
solidarité, mais plus profondément encore la fraternité
humaine, doit
trouver sa place. François a relancé le thème du
développement humain
intégral dans le contexte d'une «écologie intégrale»,
environnementale,
économique, sociale, culturelle, spirituelle. L'enseignement
social de
l'Église, auquel beaucoup reconnaissent la solidité de son
fondement et
de son orientation, montre qu'elle sait se mettre à jour
continuellement pour répondre aux questions de l'humanité
avec
cohérence et une vision globale.
Aujourd'hui,
«la
pandémie apporte un choc formidable à tout le système
économique et
social et à ses certitudes présumées, à tous les niveaux»,
affirme
encore le cardinal Parolin. «Les problèmes de chômage -
dénonce-t-il - sont et seront dramatiques, les
problèmes de santé
publique nécessitent la révolution de systèmes de santé et
d'éducation
entiers, et le rôle des États et les relations entre les
nations
changent. L'Église se sent appelée à accompagner le chemin
compliqué
qui se présente à nous tous en tant que famille
humaine». Et «elle
doit le faire avec humilité et sagesse, mais aussi avec
créativité».
Pour le cardinal, en bref, «il existe des principes de
référence
solides, mais aujourd'hui, une créativité courageuse est
d'autant plus
urgente, afin que la crise dramatique de la pandémie ne se
résolve pas
en une terrible tragédie, mais qu'elle ouvre des espaces
pour la
conversion humaine et écologique dont l'humanité a besoin».
» (vaticannews.va)
04 septembre
La
Pâques de l’Antéchrist partie III
Suite
des analyses du 12 et 14 avril dernier.
Octobre
est
à nos portes et la rumeur veut que Bergoglio y présente son
encyclique sur la fraternité universelle le 4 octobre
prochain, fête de
Saint-François d’Assise, dernier jour du jubilé de la Terre.
Le
vrai visage de François, nous l’avons découvert petit à
petit au travers des sept dernières années.
Saint-François
d’Assise,
le nom de François usurpé par Bergoglio, l’économie
socialiste marxiste associé au Saint des pauvres,
l’environnement pour
la sauvegarde de la maison commune à la manière du Saint
d’Assise, le
pacte économique de novembre… À Assise.
Tout
se tient.
La
conclusion de ce pontificat arrive à sa fin.
Pour
parodié le Christ, il pourra dire : « tout est accompli
».
Avec
son encyclique « Pacem In Terris II », la boucle sera
bouclé.
C’est
L’Alpha et l’Oméga de Vatican II.
L’Église
a son Judas.
103
après
le miracle du Soleil soit 3 ans de grâce après les 100 ans
accordés à Satan pour détruire l’Église (vision de Léon
XIII).
C’est
la
mort possible des deux témoins de l’Apocalypse, ceux
demeurés
fidèles à la loi et au prophètes, le clergé et les fidèles.
Le
Katéchon, Benoît XVI, en est la tête personnifiée.
Son
décès serait le signal visible que nous y sommes.
«
Comment Benoît XVI se prépare à la mort » (benoit-et-moi.fr)
Ce serait le schisme
prophétisé par Anne Catherine Emmerich :
«
Je vis une forte opposition entre deux papes … et je vis
combien funestes seraient les conséquences de cette fausse
Église… »
« Quand le royaume de
l’Antéchrist sera proche, apparaîtra une fausse religion qui
ira contre
l’unité de Dieu et de son Église. Cela entraînera le plus
grand schisme
jamais vu dans le monde. »
La
mort
de témoins signifie la mort de l’Église où ceux fidèles à la
tradition n’auront plus voix. Ils seront réduits au silence.
Ils seront
une minorité car la majorité catholique silencieuse suivra
François
dans son projet de fraternité universelle.
D’ailleurs,
l’accord
historique entre Israël et les Émirats Arabes Unis nous
donne le signe qui établit le lien directement avec les
prophéties
politiques le « Livre Maudit » et « la Foudre en Plein Jour
».
Les
sunnites
sont de plus en plus unis et vendus au mondialisme
babylonien.
Les Émirats Arabes Unis ont reçu la permission de survoler
l’Arabie
Saoudite.
L’entente est surtout
militaire, mais on ne le criera pas sur tous les toits.
Israël a une entente pour
survoler ces territoires en cas d’attaque sur l’Iran à
présent.
Les chiites sont une épine
à enlever pour arriver à la grande fraternité universelle.
Est-ce un hasard que
l’entente survienne juste après l’attaque à Beyrouth?
Les trois bastions chiites
sont le Liban avec le Hezbollah et les gardes
révolutionnaires iraniens
(débordant sur la Syrie en guerre), une partie de l’Irak, et
l’Iran.
Est-ce un hasard de voir le
futur « roi jupitérien » Macron faire une deuxième visite au
Liban,
pour poursuivre ensuite sa route en Irak?
Est-ce un hasard que la
grande place de la fraternité universelle prend racine à
Abou Dahbi?
La « maison familiale
d’Abraham » sera prête pour 2022 (courrieinternational.com).
D’où la nécessité de
l’encyclique bergoglienne à venir.
Les trois axes pour la
survie
de l’élite seront contrôlés :
-
le politique et le matériel grâce à
la pandémie et à la finance (nouvelle monnaie électronique,
krach
provoqué (n’oublions par les 33 ans du krach du 19 octobre
1987),
etc...),
-
la maison commune, la Terre, par les mouvements représentés
par François et la fille de Caïn, Greta Thunberg, et
finalement,
-
le
spirituel par la nouvelle religion de l’humanisme,
gracieuseté de
François.
« Le pape François utilise
à nouveau l'épidémie de COVID pour promouvoir l'agenda
environnemental mondialiste .
VATICAN CITY, 2 septembre
2020 ( LifeSiteNews
) - Le pape François a déclaré mardi que l'épidémie de virus
de Wuhan
avait amené l'humanité «à un carrefour» et était un «appel
au réveil»
pour «redécouvrir des modes de vie plus simples et
durables».
La lettre du Pape s'ouvre
en
reconnaissant 2020 comme le cinquantième anniversaire du
Jour de la
Terre. Le Pape appelle l'homme à la «repentance» pour avoir
«rompu le
lien» de sa relation avec la création. Son message est un
avertissement
adressé aux pays industrialisés, les appelant à la
repentance pour
avoir été de pauvres gestionnaires des ressources naturelles
du monde
au milieu de ce qu'il a qualifié d '«urgence climatique».
«Notre
mode
de vie pousse la planète au-delà de ses limites. Notre
demande
constante de croissance et un cycle sans fin de production
et de
consommation épuisent le monde naturel », a déclaré Francis.
«La
création gémit!»
Il
a en outre averti: «Nous manquons de temps.»
Le
Pape
a déjà à quelques reprises ( ici , ici et ici ) lié
l'épidémie de
coronavirus à une réponse de la planète à la pollution de
l'environnement.
Dans
sa
lettre marquant la «Journée mondiale de prière pour le soin
de la
création», le pape François a appelé à l'adhésion à l'Accord
de Paris
sur le climat, a exhorté à soutenir les mesures de l'ONU
visant à
considérer 30% de la Terre comme des habitats protégés et a
vanté le
prochain sommet sur Biodiversité (COP 15) à Kunming, en
Chine, comme un
«tournant» dans la «restauration de la terre pour qu'elle
soit un foyer
de vie en abondance, comme l'a voulu le Créateur».
Il
a
également appelé à l'annulation de la dette des pays
vulnérables en
raison des crises médicales, sociales et économiques causées
par les
verrouillages.
«Aujourd'hui,
nous
entendons la voix de la création nous exhortant à retourner
à
notre juste place dans l'ordre naturel créé - à nous
rappeler que nous
faisons partie de ce réseau interconnecté de la vie, pas ses
maîtres»,
a déclaré Francois. «La désintégration de la biodiversité,
les
catastrophes climatiques en spirale et l'impact injuste de
la pandémie
actuelle sur les pauvres et les vulnérables: tout cela est
un signal
d'alarme face à notre cupidité et notre consommation
rampantes.»
Le
Pape
avait des mots durs pour les entreprises multinationales -
et plus
largement, les économies occidentales industrialisées - -
associant
deux fois les termes «superflus» et «destructeur» dans un
seul
paragraphe pour décrire leur impact sur les pays moins
développés.
«La
pandémie
nous a amenés à un carrefour», a affirmé le pape. «Nous
devons
profiter de ce moment décisif pour mettre fin à nos
objectifs et
activités superflus et destructeurs, et pour cultiver des
valeurs, des
liens et des activités qui donnent la vie. Nous devons
examiner nos
habitudes d'utilisation, de consommation, de transport et
d'alimentation d'énergie. Nous devons éliminer les aspects
superflus et
destructeurs de nos économies et développer des moyens
vitaux pour
échanger, produire et transporter des marchandises.
»
Une
« crise radicale » et un « changement d'époque »
«Le COVID-19 pousse
également
l'Église à affiner sa mission», a déclaré le père Augusto
Zampini,
secrétaire adjoint du Dicastère pour la promotion du
développement
humain intégral et membre de la commission COVID-19 du
Vatican lors
d'une table ronde lundi. «L'urgence du COVID-19 pousse le
monde vers un
scénario différent.»
«L'Église
doit
répondre à cette crise de manière radicale car c'est une
crise
radicale», a déclaré le prêtre argentin qui a déclaré que la
crise du
COVID-19 accélérerait certaines des réformes que le pape
François
propose pour le monde, selon un rapport d'Inés San Martín à
Crux.
La
commission
COVID-19 du Vatican a été lancée par le pape François parce
qu'il est convaincu que l'humanité vit actuellement à «une
époque de
changement d'époque».
50e
anniversaire du Jour de la Terre
La Journée mondiale de
prière
pour le soin de la création a été instituée par François à
la suite de
la publication de l'Encyclique Laudato Si ' en mai 2015. La
journée de
prière du 1er septembre est suivie chaque année par «la
saison de la
création», qui se termine sur le fête de Saint François
d'Assise le 4
octobre.
Le
Pape
s'est réjoui que le thème choisi pour la célébration de la
Saison
de la Création 2020 soit «Jubilé pour la Terre» puisque
cette année
«marque le cinquantième anniversaire du Jour de la Terre»,
coïncidant
avec le cinquième anniversaire de Laudato Si '.
«Un
jubilé
est le moment de revenir en arrière dans la repentance»,
a-t-il
expliqué. «Nous avons rompu les liens de notre relation avec
le
Créateur, avec nos semblables et avec le reste de la
création. Nous
devons guérir les relations endommagées qui sont
essentielles pour nous
soutenir et soutenir tout le tissu de la vie. »
«Nous
nous
réjouissons également de voir à quel point l'Année spéciale
anniversaire de Laudato Si 'inspire de nombreuses
initiatives aux
niveaux local et mondial pour le soin de notre maison
commune et des
pauvres. Cette année devrait déboucher sur des plans
d'action à long
terme pour pratiquer l'écologie intégrale dans nos familles,
nos
paroisses et diocèses, nos ordres religieux, nos écoles et
universités,
nos établissements de santé, commerciaux et agricoles, et
bien d'autres
encore », a déclaré Francis.
«Nous
nous
réjouissons également que les communautés confessionnelles
se
réunissent pour créer un monde plus juste, pacifique et
durable. Nous
sommes particulièrement heureux que la saison de la création
devienne
une véritable initiative œcuménique. Continuons à prendre
conscience
que nous vivons tous dans une maison commune en tant que
membres d'une
même famille », a-t-il ajouté. »
N’oublions pas ceci tiré de
l’analyse de Mai 2020, où le contre à rebours a
commencé :
« En cette journée de la
fête
de Notre-Dame Auxiliatrice, Secours des chrétiens, François
continue
dans son voyage œcuménique vers la nouvelle religion
mondiale et lance
l’ «année Laudato Si».
«
Le Pape François lance une année Laudato Si’
Du
24
mai 2020 au 24 mai 2021 aura lieu l’année Laudato Si’. Une
initiative annoncée par le Pape François après la prière du
Regina Cœli
du 24 mai, pour marquer les cinq ans de l’encyclique
(vaticannews.va).
Sa prière, une prière
œcuménique socialiste, adressé au créateur. »
L’encyclique sur la
fraternité
à venir est à mettre au même niveau que la trahison de
Judas, juste
avant la mort des deux témoins.
Dans l’Apocalypse, c’est
après cet événement que tout s’accélère, que Babylone la
Grande tombe et que les plaies commencent.
Pas avant.
Avant c’est comme NSJC l’a
indiqué par rapport au temps de Noé : tous se
mariaient,
mangeaient, etc. comme si de rien n’était.
Octobre et le mois de Notre
Dame du Rosaire, celui qui fait le lien avec le mois de
Marie, le mois
de Mai, la fête de Notre Dame Auxiliatrice du 24 mai.
Octobre : c’est
l’encyclique possible de François, le krach économique
possible, la
mort des deux témoins possible, le pacte sur l’éducation de
François
reporté pour cause de pandémie, suivi en novembre par son
pacte sur
l’économie socialiste.
Octobre : il s’agît de
la mort du système, du corps de l’Antéchrist, qui
ressuscitera à la manière du phœnix.
Tout
cela dans le contexte toujours vivant de la pandémie.
Il
n'y a aucun hasard.
Août 2020
31 août
Voilà qui est intéressant.
Une
sortie d’un encyclique de Bergoglio le 4 octobre? Fête de
Saint-François d’Assise.
A
la fin du « jubilé de la Terre » 2020 (egliseverte.org)?
Tout se tient.
Le
plan de l’Antéchrist système avec la bête de la mer à la
tête du Vatican avance.
« VATICAN CITY, 28 août
2020 ( LifeSiteNews
) – Un évêque italien a déclaré que la prochaine encyclique
du pape
François portera sur la «fraternité humaine», une vertu
laïque prônée
par la confrérie maçonnique.
Magazine en ligne
franciscain
italien Il Cattolico a rapporté que l’évêque Domenico
Pompili du
diocèse de Riete a déclaré que la prochaine encyclique du
pontife
paraîtrait bientôt.
«Bientôt, le Pape lui-même
publiera une encyclique sur le thème de la fraternité
humaine», a
déclaré Pompili lors d’ un discours enregistré mercredi.
L’évêque
a
fait cette remarque en signant la «charte d’intention» avec
laquelle
il a établi un comité pour la célébration du 800e
anniversaire à la
fois de la règle franciscaine et du premier «presepe» ou
crèche. Saint
François lui-même a créé la première scène de crèche dans le
village de
Greccio en 1223.
L’auteur
de
l’article, le P. Pietro Messa est certain que cette nouvelle
encyclique s’appuiera sur le document sur «la fraternité
humaine pour
la paix dans le monde» que le pape François a signé avec le
leader
islamique Ahmad Al-Tayyeb à Abu Dhabi le 4 février 2010.
Mess a également noté qu’il
s’agira de la troisième encyclique du pape François, après
«Lumen
Fidei» en 2013 et «Laudato si» en 2015.
Selon Cindy Wooden du
Catholic News Service, le Vatican n’a pas confirmé la
déclaration de Pompili.
«Le
Vatican
n’a pas confirmé qu’une encyclique est en préparation, mais
il
serait logique qu’une encyclique sociale sur une vision
post-COVID se
fonde sur l’affirmation que tous les êtres humains ont été
créés par
Dieu avec une dignité égale et que des solutions au les
problèmes les
plus urgents du monde doivent être trouvés ensemble et
doivent profiter
à tous », a-t- elle déclaré.
Le
document
d’Abu Dhabi du pape François sur la « fraternité humaine » a
été largement critiqué pour avoir déclaré, entre autres, que
«le
pluralisme et la diversité des religions» sont «voulus par
Dieu». Cette
déclaration est apparue dans le passage suivant:
La
liberté
est un droit de chaque personne: chaque individu jouit de la
liberté de croyance, de pensée, d’expression et d’action. Le
pluralisme
et la diversité des religions, de la couleur, du sexe, de la
race et de
la langue sont voulus par Dieu dans sa sagesse, à travers
laquelle il a
créé les êtres humains . Cette sagesse divine est à
l’origine du droit
à la liberté de croyance et de la liberté d’être différent.
Par
conséquent, le fait que les gens soient forcés d’adhérer à
une certaine
religion ou culture doit être rejeté, tout comme
l’imposition d’un mode
de vie culturel que d’autres n’acceptent pas.
Certains
s’opposent
à cette déclaration au motif qu’elle contredit le quatrième
concile du Latran et l’enseignement magistral du pape
Grégoire XVI au
pape Pie XI. L’évêque Athanasius Schneider a déclaré à
LifeSiteNews que
la phrase était «erronée et contredit la révélation divine,
puisque
Dieu nous a révélé qu’il ne veut pas de diverses religions,
mais
seulement une religion […]».
L’historien italien, le
professeur Roberto de Mattei, a noté que le mot «fraternité»
décrit une
vertu séculière prônée par la confrérie maçonnique.
«La
fraternité
est… un dogme de la franc-maçonnerie, qui dans son idéologie
et ses rituels offre une parodie de la doctrine et de la
liturgie
chrétiennes» , écrivait-il peu après la signature du
document d’Abu
Dhabi.
«Ce
n’est
pas un hasard si la Grande Loge d’Espagne, avec ce tweet , a
remercié le Pape François pour son Message du 25 décembre
2018,« Todos
los masones del mundo se unen a la petición del Papa por ‘la
fraternidad entre personas de diversas religions ‘[«Tous les
francs-maçons du monde se joignent à la demande du Pape de«
fraternité
entre les personnes de religions différentes ».»]
La
confrérie
historiquement anti-catholique est apparemment la
déclaration
du pontife comme approbation de leur secte. De Mattei a
rapporté que
les francs-maçons voyaient la référence du pape François à
la
«fraternité universelle» comme un rejet de l’ avertissement
de Léon
XIII contre eux. Ils ont écrit:
Dans
son
message de Noël de la loggia centrale de la Vatican, le pape
François a demandé le triomphe de la fraternité universelle
entre tous
les êtres humains. Fraternité entre les individus de chaque
nation et
culture. Fraternité entre des personnes aux idées
différentes, mais
capables de se respecter et de s’écouter. Fraternité entre
personnes de
religions différentes. (…) Les paroles du Pape démontrent le
départ
actuel de l’Église par rapport au contenu du genre Humanum
(1884), la
dernière grande condamnation catholique de la
franc-maçonnerie.
«En
réalité,
la franc-maçonnerie continue d’être condamnée par l’Église,
même si les hommes de l’Église, aux plus hauts niveaux,
semblent
embrasser ses idées», a répondu De Mattei.
«Mais
l’enseignement
du divin Maître continue de résonner dans les cœurs
fidèles: là, l’amour du prochain ne peut se fonder que sur
l’amour de
Dieu. Et sans référence au vrai Dieu, qui ne peut être aimé
que dans
l’Arche du Salut de l’Église, la fraternité n’est qu’une
parole vide
qui cache la haine de Dieu et du prochain.
Reconnaissant
la
controverse, le pape François a dit par la suite aux
pèlerins puis
aux évêques qu’ils pouvaient interpréter la déclaration pour
décrire la
«volonté permissive» de Dieu. »
Quant à la bête de la
Terre,
le président Macron, il continue de se mettre en évidence
avec le
dossier du Liban, laissant présager exactement le
couronnement du roi
jupitérien en décembre selon la prophétie du roi Frédéric de
Jean XXIII
(Grand Éclair à l’Orient).
D’ailleurs,
la
tension est à son comble comme jamais autour de Chypre et de
la
Crète avec la poussée de la Turquie pour les gisements
est-méditerranéens.
La
Grèce est concernée et l’Italie et surtout la France
augmentent la pression militaire de plusieurs crans.
Nous
sommes
près de la prophétie Prophétie #27 « La foudre en plein jour
»
(« de la petite île de la Méditerranée ... le premier jour
d’Europe).
Avec son nouvel encyclique,
Bergoglio est sur le point de franchir la ligne rouge :
Une
nouvelle messe œcuménique ou tout simplement le
pouvoir aux évêchés pour une messe selon les coutumes
locales.
C’est
l’ultime
aboutissement de la dilution à la Bergoglio, dilution
commencée par l’abolissement du péché avec le jubilé de la
miséricorde
en décembre 2015 (alors que Klaus Schwab du WEF mettait de
l’avant son
concept de « 4ème révolution », menant à ce qu’on sait
maintenant comme
la « grande réinitialisation ». Coïncidence? Sûrement pas
puisque ce
concept a ensuite été mis de l’avant à Davos en janvier
2016, où
l’envoyé de Bergoglio était présent.
Le
regretté Serge Monast a toujours affirmé que le religieux
domine et mène le politique.
La
grande réinitialisation a donc deux volets : le
religieux et le socio-économique.
S.
Monast affirmait que les chrétiens deviendraient des
terroristes à cette période.
Nous
y sommes presque.
C’est
ce
que le l’Apocalypse pointe par la mort des témoins (qui est
le
prélude à la chute de Babylone; les deux Babylone de Jean
XXIII).
Donc
Bergoglio
a continué la dilution de la doctrine chrétienne catholique
avec l’accord avec les luthériens en octobre 2016, l’accord
avec
l’Islam à Abu Dhabi en février 2019, le synode amazonien
introduisant
le paganisme au Vatican, etc.
Il
prépare
le coup de la conclusion de la lettre envoyée aux évêques
(dossier traité depuis le retour de ses lettres au 31
juillet dernier).
Il
fera ce qu’il a toujours annoncé.
Il
va donner le pouvoir aux évêchés. Ils feront la messe comme
le veut la coutume locale.
N’oublions
pas que Bergoglio s’est retiré comme vicaire du Christ.
La
tête n’est déjà plus.
Mais,
la
présence réelle demeurera toujours, chez les vrais prêtres
qui
croient à la consécration, tant catholiques qu’orthodoxes.
Les
prêtres sérieux et ayant la foi sont et seront capables du
miracle de la transsubstantiation.
La
deuxième
option pour faire taire les témoins ne serait pas
nécessairement une nouvelle messe œcuménique mais
l’interdiction à la
Sainte Communion aux fidèles, tel qu’on la vu lors de la
pandémie.
Ils
préparent donc probablement quelque chose de plus grand au
niveau confinement.
L’idée
de
Bergoglio est d’en arriver à une nouvelle religion mondiale
socialiste de paix centrée sur l’humain via entre autre le
réchauffement climatique comme élément moteur. Ce qu’il
partage
d’ailleurs avec Bartholomé 1er. Les deux ont donc le même
but.
«
Le respect et la protection de la création font partie
intégrante de la foi”, affirme le patriarche Bartholomée (lacroix.com) »
La nouvelle génération est
dopée à l’éco-anxiété. Elle est perdue.
L’élite
a
déjà agitée son épouvantail, la « fille de Caïn », Greta
Thunberg, en
Allemagne le jour de l’anniversaire du 18 août (jour de
grève des
étudiant commencé en 2018).
L’avertissement
est donné par Mgr Vigano qui voit l’urgence du moment :
«
Extraits d’une très longue « Lettre aux mères, « Sauvons nos
enfants de
la dictature sanitaire! Sauvons l’Italie de la tyrannie
mondialiste!
Mgr
Carlo
Maria Viganò a écrit cette lettre en réponse à une
association de
parents qui, le 5 septembre prochain, lancera à Rome une
initiative
pour protéger la santé physique, morale et spirituelle de
leurs enfants
« contre la dictature sanitaire, financière et judiciaire ».
…
Les parents sont responsables, comme droit primaire et
inaliénable, de
l’éducation de leur progéniture : l’État ne peut s’arroger
ce droit,
encore moins corrompre leurs enfants et les endoctriner aux
principes
pervers si répandus aujourd’hui. N’oubliez pas, chères
Mamans, que ceci
est la marque des régimes totalitaires, et non d’une nation
civile et
chrétienne. Il est de votre devoir d’élever la voix pour que
ces
tentatives de vous priver de l’éducation de vos enfants
soient
dénoncées et rejetées avec force, car vous ne pourrez pas
faire
grand-chose pour eux lorsque votre foi, vos idées et votre
culture
seront jugées incompatibles avec celles d’un État impie et
matérialiste. Et il ne s’agit pas seulement d’imposer un
vaccin à vos
enfants et à vos jeunes, mais de les corrompre dans l’âme
avec des
doctrines perverses, avec l’idéologie du genre, avec
l’acceptation du
vice et la pratique d’un comportement de péché. Aucune loi
ne peut
jamais légitimement faire de l’affirmation de la vérité un
crime, car
l’autorité ultime vient de Dieu, qui est la Vérité suprême
elle-même. A
l’oppression des tyrans a répondu le témoignage héroïque des
Martyrs et
des Saints : soyez aujourd’hui encore, avec courage, les
témoins du
Christ contre un monde qui voudrait nous soumettre aux
forces
déchaînées de l’enfer !…
Si
vous
pensez que durant le confinement, tous les traitements pour
les
malades ont été suspendus, mais que les avortements ont
continué à être
pratiqués, vous comprenez bien quelles sont les priorités de
ceux qui
nous gouvernent : la culture de mort ! Quel progrès peut-on
invoquer
lorsque la société tue ses propres enfants, lorsque la
maternité est
horriblement violée au nom d’un choix qui ne peut être
libre, puisqu’il
implique une vie innocente et viole un Commandement de Dieu
? Quelle
prospérité notre Patrie peut-elle espérer, quelles
bénédictions de
Dieu, si des sacrifices humains sont faits dans ses
cliniques comme aux
temps de la barbarie la plus sanglante ?…
Mais
il
y a aussi d’autres aspects inquiétants, aujourd’hui
proposés, qui
concernent non seulement les contenus de l’éducation, mais
aussi la
manière de participer aux leçons : la distanciation sociale,
l’utilisation de masques et d’autres formes de prévention
présumée de
l’infection dans les classes et les environnements scolaires
impliquent
de graves dommages à l’équilibre psychophysique des enfants
et des
jeunes, compromettant la capacité d’apprendre, les relations
interpersonnelles entre les élèves et les enseignants, et
les réduisant
à des automates à qui l’on ordonne non seulement quoi
penser, mais
aussi comment bouger et respirer. Il semble qu’on ait perdu
la notion
même de bon sens qui devrait encadrer des choix lourds de
conséquences
dans la vie sociale et paraissent être un prélude à un monde
inhumain
dans lequel les parents se voient retirer leurs enfants
lorsqu’ils sont
considérés comme positifs pour un virus de grippe, avec des
protocoles
de traitement sanitaire obligatoires appliqués dans les
dictatures les
plus féroces….
La
Santé
Mondiale, avec le rôle pilote de l’OMS, est devenue une
véritable
multinationale dont le but est le profit de ses actionnaires
(compagnies pharmaceutiques et fondations dites
philanthropiques) et un
moyen de poursuivre la transformation des citoyens en
malades
chroniques…
Mais
tout
comme dans la société civile nous avons assisté à une perte
progressive de responsabilité des individus et des
dirigeants dans les
différents domaines de la vie publique, y compris les soins
de santé,
de même dans l’ »église de la miséricorde » née en 2013
l’engagement
des Dicastères pontificaux et de l’Académie pour la vie a
été adapté à
une vision liquide, je dirais perverse car elle nie la
vérité, qui
épouse les instances de l’environnementalisme, avec de
lourdes
connotations de malthusianisme. La lutte contre
l’avortement, qui
s’oppose à la dénatalité poursuivie par le Nouvel Ordre
Mondial, n’est
plus une priorité pour de nombreux Pasteurs. Lors des
manifestations
pro-vie – comme celles qui ont eu lieu à Rome ces dernières
années – le
silence et l’absence du Saint-Siège et de la Hiérarchie ont
été honteux
!..
N’oubliez
pas,
chères Mamans, qu’il s’agit d‘un combat spirituel – voire
d’une
guerre – dans lequel des pouvoirs que personne n’a jamais
élus et qui
n’ont d’autre autorité que celle de la force et de
l’imposition
violente de leur propre volonté, tentent de démolir tout ce
qui évoque,
même de loin, la Paternité divine de Dieu sur ses enfants,
la Royauté
du Christ sur les sociétés et la Maternité virginale de
Marie Très
Sainte. C’est pourquoi ils détestent mentionner les mots
père et mère ;
c’est pourquoi ils veulent une société irréligieuse et
rebelle qui se
rebelle contre la Loi de Dieu ; c’est pourquoi ils
promeuvent le vice
et détestent la vertu. C’est pourquoi ils veulent corrompre
les enfants
et les jeunes, s’assurant des armées d’esclaves obéissants
pour un
avenir proche dans lequel le nom de Dieu est annulé et le
sacrifice
rédempteur de son Fils sur la Croix est blasphémé ; une
Croix qu’ils
veulent bannir, parce qu’elle rappelle à l’homme que le but
de sa vie
est la gloire de Dieu, l’obéissance à ses Commandements et
l’exercice
de la charité fraternelle : non pas le plaisir, non pas
l’exaltation de
soi, non pas la domination arrogante des faibles… » (benoit-et-moi.fr).
Ils l’annoncent. C’est
clair.
Le vaccin contre le Covid-19 est leur messie, pour le retour
à la «
normale » dans toutes les relations internationales alors
qu’en fait,
il s’agît de la victoire de la bête socialo-marxiste. Mais
les sans
dents seront heureux de retrouver leur semblant de paix dans
un nouveau
système matérialiste à souhaits, la quatrième révolution
industrielle.
Absent,
bien-sûr,
l’aspect spiritualité, puisqu’il s’agît de la religion de
l’homme, on y mentionne tout ce qui concerne les droits
humains… ou
presque.
À
noter aussi que le masque fait partie du plan dans le sens
que les sans
dents seront heureux de retrouver des relations humaines «
normales »
après cet épisode d’isolement forcé.
«
… L’un des thèmes principaux de l’article était la ` `
plateforme
d’intelligence stratégique » du WEF , que
l’organisation décrit
comme « un système dynamique d’intelligence
contextuelle qui
permet aux utilisateurs de retracer les relations et les
interdépendances entre les problèmes, soutenant une prise de
décision
plus éclairée »…
Lorsque
vous
examinez l’intelligence stratégique, un aspect qui devient
rapidement apparent est la façon dont chaque problème
mondial et chaque
industrie s’entremêlent. Par exemple, Covid-19 est un volet
de « The
Great Reset » et vice versa. Cela donne l’impression que
seule une
approche collectivisée intégrant toutes les « parties
prenantes » a la
capacité de faire face aux crises à l’échelle mondiale. Le
WEF est
fondé sur la conviction que les nations et les entreprises
doivent être
interdépendantes et chercher à remédier aux problèmes du
monde par le
biais des institutions mondiales.
Il
n’est
donc guère surprenant que le WEF ait conçu à travers sa
plate-forme d’intelligence stratégique « The Great Reset ».
Ce que cela
implique peut être divisé en deux parties. Premièrement, les
sept
principaux objectifs pour réaliser la réinitialisation. Dans
aucun
ordre particulier, ce sont:
Façonner
la reprise économique
Exploiter la quatrième
révolution industrielle
Renforcer le développement
régional
Revitaliser la coopération
mondiale
Développer des modèles
commerciaux durables
Restauration de la santé de
l’environnement
Reconcevoir les contrats
sociaux, les compétences et les emplois
Vient
ensuite
un mélange de problèmes mondiaux et d’industries intégrés
dans
le programme « The Great Reset ». Au dernier décompte, il y
avait plus
de cinquante zones qui composent la réinitialisation.
Ceux-ci inclus:
Blockchain;
Identité
numérique; Gouvernance Internet; Financement du
développement;
Le développement durable; Avenir de la santé et des soins de
santé;
Gouvernance mondiale; Systèmes financiers et monétaires;
Finances
publiques et protection sociale; Changement climatique; Les
drones; 5G;
L’océan; Banque et marchés des capitaux; Aviation, voyages
et tourisme;
Commerce international et investissement; Covid19;
Biodiversité; Villes
et urbanisation; Leadership dans le 4IR; Géo-économie; Santé
mondiale;
Sécurité internationale; Géopolitique; Avenir de
l’alimentation; La
pollution de l’air; impression en 3D; Batteries; Économie
circulaire;
Avenir de la mobilité; Droits humains; Parité entre les
sexes;
Imposition; Avenir des médias, du divertissement et de la
culture;
Économie numérique et création de nouvelle valeur; Quatrième
révolution
industrielle; L’avenir du progrès économique; Main-d’œuvre
et emploi;
Gouvernance agile; Risques mondiaux; Fabrication et
production
avancées; Environnement et sécurité des ressources
naturelles;
Plastiques et environnement; Gouvernance d’entreprise; Les
forêts;
Justice et droit; Participation civique; Inclusion LGBTI;
Conception
inclusive; L’avenir de l’informatique; Intelligence
artificielle et
robotique; Racisme systémique.
Comme
mentionné,
tous ces sujets se mélangent à travers l’intelligence
stratégique. La distinction vient du fait que le Forum
économique
mondial a identifié « La Grande Réinitialisation » comme la
seule
question qui peut lier tous ces autres domaines de
préoccupation pour
essayer de créer un « nouvel ordre mondial » économique et
sociétal . À
tel point qu’en annonçant l’initiative en juin, le WEF a
confirmé que
la réinitialisation serait le thème de sa réunion annuelle
de Davos en
Suisse en janvier 2021. Les années précédentes, le WEF
n’avait publié
les détails d’un thème à venir que quelques semaines avant
le réunion a
lieu. Cette fois, cependant, ils ont donné plus de six mois
de préavis,
ce qui suggère le niveau d’importance que le WEF a accordé à
« La
grande réinitialisation »….
Avec
des
systèmes inadaptés au 21e siècle, Schwab a évoqué l’urgence
de «
restaurer un système fonctionnel de coopération mondiale
intelligente
structuré pour relever les défis des 50 prochaines années ».
Pour y
parvenir, toutes les parties prenantes de la société
mondiale devront
être intégrées dans une « communauté d’intérêt, de but et
d’action
communs ». Personne, semble-t-il, ne peut être laissé pour
compte. Nous
allons ensemble, en tant que collectif, que cela plaise ou
non à un
individu. Chaque pays devra participer. Chaque industrie
doit être
transformée. Ceci, selon Schwab, signifiera une grande
réinitialisation
du capitalisme et une nouvelle ère de prospérité.
Mais que se passe-t-il si
toutes les parties prenantes ne se regroupent pas derrière
l’initiative? Selon Schwab, être dissocié « conduira à
davantage de
polarisation, de nationalisme, de racisme, de troubles
sociaux et de
conflits accrus ». En bref, un niveau plus élevé de chaos et
de
dégradation des systèmes, laissant le monde plus fragile et
moins
durable.
Schwab
a
insisté sur le fait que pour éviter ce scénario, des
changements
mineurs ne suffiraient pas. Au lieu de cela, « des
fondations
entièrement nouvelles pour nos systèmes économiques et
sociaux »
doivent être construites. Covid-19 est donc un « moment
historique pour
façonner le système pour une ère post Corona ». C’est une
opportunité
qui, selon Schwab, ne doit pas être manquée.
Schwab
est
allé plus loin quelques semaines après le lancement du Great
Reset.
Comme beaucoup le savent, utiliser la crise comme une
opportunité pour
provoquer des changements économiques et sociétaux majeurs
est une
stratégie notoire des planificateurs mondiaux. Et de temps
en temps,
certains de ces planificateurs le suggèrent. Selon Schwab,
«les crises
aiguës favorisent l’introspection et favorisent le potentiel
de
transformation ». Le prince de Galles, qui approuve
pleinement la
Grande réinitialisation, a déclaré quelque chose de
similaire en ce
sens que « les ondes de choc sans précédent de crise
peuvent
rendre les gens plus réceptifs à de plus grandes visions du
changement
»….
Dans
un
discours prononcé lors de la consultation nationale
italienne en
juin ( Italie, Europe et la reprise mondiale en 2021 ),
Georgieva
(note: directrice du FMI) a déclaré que Covid-19 «
pourrait avoir
accéléré la transformation numérique de deux ou trois ans
». La
peur non prouvée que l’argent liquide soit un transmetteur
du virus,
ainsi que les personnes dépendant des paiements sans contact
et des
transactions en ligne, ont sans aucun doute contribué à ses
perspectives.
Georgieva
met
l’accent sur « l’économie de demain », ce qui est une raison
suffisante pour elle que «l’ économie d’hier » soit reléguée
à
l’histoire. Des fondations entièrement nouvelles sont
nécessaires, pas
une refonte des anciens systèmes défaillants. S’il semble
que Georgieva
et Schwab lisent le même script, je dirais qu’ils le sont.
Georgieva
estime
que 2021 est une année décisive pour la grande
réinitialisation.
Soit le monde choisit plus de coopération, soit plus de
fragmentation.
Selon elle, « c’est le moment de décider que l’histoire se
rappellera
de cela comme de la grande réinitialisation, et non du grand
renversement ».
Comme
vous
l’avez peut-être deviné, « le point d’ancrage le plus
important du rétablissement » est une vaccination
contre le
Covid-19, qui, espère Georgieva, sera disponible à grande
échelle d’ici
2021.
L’implication
est
que sans vaccin, le monde sera incapable de revenir à un
quelconque
sens de normalité, en particulier en termes d’interaction
ouverte avec
votre prochain. Ce n’est qu’avec un vaccin et des
traitements
complémentaires qu’il peut y avoir un « rétablissement
complet ». » (zerohedge.com).
21 août
« Rome
perdra la foi et deviendra le siège de l’Antéchrist »
(LaSalette).
Pacte
avec
les luthériens en octobre 2016, pacte avec l’Islam à Abu
Dhabi en
février 2019, synode amazonien introduisant le paganisme à
la basilique
Saint-Pierre, questionnaire douteux envoyé aux évêques (fsspx.news) sur
l’utilisation ou non de la messe traditionnelle
(questionnaire retourné
le 31 juillet et dont la révélation aura lieu incessamment.
Mais la
réponse est simple puisque Bergoglio a toujours dit qu'il
permettra aux
évêques de célébrer la messe comme ils le veulent, selon la
coutume
locale)…
Tous
des
purs produits dilution sortie de l’imagination de Bergoglio
cherchant à réduire la célébration eucharistique à une
simple
commémoration, au nom de l’œcuménisme et de la nouvelle paix
mondiale.
Ce
sont toutes de preuves de la présence de la l’Antichrist sur
le trône. Aucun doute.
«
A quoi sert cet homme ? » clame Aldo Grandi (via benoit-et-moi.fr).
«
Un pape inutile. Alors que les églises brûlent ou deviennent
des mosquées...
Un
pape inutile. C’est ce que
pense désormais la grande majorité des catholiques et des
chrétiens,
qui ont conservé une once d’autonomie de pensée et
d’indépendance de
jugement. Un pape, Bergoglio, qui ne parvient pas à donner à
ses
fidèles ce sentiment de sécurité et de protection qu’au
contraire et
surtout, en ces temps, ils méritent et dont ils ont besoin.
A
l’inverse, non seulement le pape François ne défend pas la
religion
dont il est, jusqu’à preuve du contraire, le plus haut
représentant et
la plus haute expression, mais il tue, jour après jour, son
caractère
sacré par un comportement quotidien dévastateur…
Qu’attend
le pape Bergoglio,
ce berger d’âmes craintives et prêtes au martyre, pour se
rendre sur le
terrain avec son autorité et redonner dignité et force à un
message
chrétien désormais réduit à celui d’une ouverture sans
discernement et
d’un accueil à quiconque débarque sur nos rivages ?
Les églises en Occident
sont
outragées presque quotidiennement, mais depuis Rome tout est
silencieux, pas un mot n’est élevé contre cette barbarie et
les laïcs
progressistes d’une gauche malade et bâtarde font comme si
de rien
n’était et ferment les yeux en sonnant à tout bout de champ
l’alarme
fasciste comme si c’étaient des hommes blancs en chemise
noire qui
mettaient le feu aux maisons du Christ…
L’Église
et le pape François
ont perdu leur caractère sacré et se sont réduits à l’état
laïc à
l’instar d’une confrérie miséricordieuse.
Pas
un mot, de la part du
Saint-Père, sur la cathédrale de Nantes, comme s’il
s’agissait d’un
banal feu de broussailles alors qu’au contraire, des siècles
d’histoire
et d’art, de beauté et de christianisme ont été réduits en
cendres.
À
quoi sert, vous demandez-vous, un tel homme?
Nous,
la réponse, nous l’avons toujours eue.»
En
fait, la réponse est qu'il est très utile au plan
judéo-maçonnique puisqu’il en fait partie intégrante.
Le
mondialisme est une façade pour la société socialiste rêvée
par les générations de familles élitistes.
Tous
égaux.
Sauf
pour la clique qui domine.
Le
dauphin de Bergoglio, le cardinal Pietro Parolin, a été très
clair à ce sujet lors de sa présence à Lourdes.
Le
discours
est truffé d’allusions socialistes, demandant aux
traditionalistes conservateurs de renier le passé et de se
tourner vers
l’avenir.
Un
discours très en accord, sans surprise, avec la « grand
réinitialisation » annoncée par les élites de Davos.
Un
élément commun caractérise l’église conciliaire et le
pandémie : la peur.
La
peur
par la maladie (sauvée par un vaccin miracle qui fera plus
de
torts que de bien? Nous verrons), la peur par les
épouvantails du
banditisme par le chaos et du changement climatique, la peur
pour faire
accepter et mieux contrôler.
«
Présent à Lourdes pour présider les célébrations de la
solennité de
l’Assomption, le cardinal Pietro Parolin a rencontré ce
samedi les
Augustins de l’Assomption, qui sont à l’origine du
pèlerinage national
et qui fêtent cette année le 175e anniversaire de leur
fondation.
L’occasion
pour
le secrétaire d’État du Saint-Siège de développer une
réflexion
sur le «changement de mentalité pastorale» qui doit guider
désormais
l’évangélisation de nos sociétés.
Il
y
a 175 ans, le vénérable Emmanuel d’Alzon fondait la famille
des
Augustins de l’Assomption, lui assignant des «buts
apostoliques» à
travers l’éducation, la formation du clergé, l’organisation
des
pèlerinages de groupes, ou encore la création de journaux et
périodiques qui puissent participer à la formation d’une
opinion
publique catholique.
Le
cardinal
Parolin distingue «un lien», «un fil rouge» entre l’époque
de
cette fondation et «notre vie quotidienne contemporaine», à
savoir «la
fin du régime de chrétienté qui a caractérisé de diverses
façons
l’histoire à partir du IVe siècle». Le père d’Alzon, né
immédiatement
après la Révolution française, a vécu dans un monde en
mutation, note
le secrétaire d’État qui souligne que cette mutation n’est
pas
terminée. «Nous aussi nous faisons partie d’un monde où le
régime de
chrétienté de notre enfance, de notre adolescence et de
notre jeunesse
(…) a fait place à une véritable transformation
anthropologique dont
nous sommes bien loin de voir les ultimes résultats».
Un nouveau commencement.
Face
à
une telle situation, il existe deux types de comportements :
«soupirer après le « beau passé » qui n’est plus
là ; ou bien
se mettre en route pour semer les processus d’un nouveau
commencement».
La présence des Augustins de l’Assomption témoigne
aujourd’hui encore
du choix du père d’Alzon, qui ne s’est pas complu dans un
regret du
passé, mais s’est évertué à se mettre en mouvement, «pour
que la fin
puisse devenir un nouveau commencement». C’est précisément
ce
discernement, que prône à son tour le Pape François, qui
permet
aujourd’hui aux assomptionnistes de se retrouver «au cœur
même de
l’Église non pas comme un « groupe de
professionnels », mais
comme une « famille de frères » ; non pas comme
une ONG –
dirait encore le Pape François – mais comme une véritable
communauté de
foi, qui dans la foi attend et prépare patiemment son retour
glorieux»…
La
marginalisation
de Dieu nous permet enfin de méditer «sur la dernière
place qu’Il a choisi pour Lui et ses témoins» ; «c’est cela
la vraie
« réserve de grâce » qui empêche l’idolâtrie et
rend actifs
dans les domaines complexes du dialogue œcuménique et du
dialogue
interreligieux», observe encore le secrétaire d’État. De
même, «seul un
Dieu marginalisé, nié et ridiculisé est en mesure de nous
rendre
solidaires avec les pauvres et les exclus de ce monde ; et
avec la même
« maison commune » qui est notre planète, blessée
par des
systèmes économiques rapaces et par les organisations
criminelles».» (vaticannews.va).
Que les témoins se lèvent!
Les
chrétiens catholiques sont visés.
Soyons
forts dans la foi et dans l’espérance de voir NSJC confirmer
sa présence sur le trône suprême.
Car
c’est ce que l’ennemi tente de nous faire croire.
«
Mgr. Viganò: le Christ-Roi a été « détrôné » non
seulement « de la société mais aussi de l’Église
»
12 août 2020 ( LifeSiteNews
) – L’archevêque Carlo Maria Viganò, dans une méditation
prononcée lors
de la récente réunion annuelle du personnel de LifeSiteNews,
a décrit à
quel point la royauté du Christ est importante et comment
elle a été
minée dans la société, sous l’influence de forces
maçonniques. Mais
aussi dans l’Église, a-t-il ajouté, la monarchie papale et
avec elle la
royauté du Christ ont été sapées depuis le Concile Vatican
II.
«Et
quand
Paul VI déposa le triple diadème royal avec un geste
ostentatoire», expliqua le prélat italien dans sa méditation
(voir le
texte intégral ci-dessous), «comme s’il renonçait à la
monarchie sacrée
par procuration, il enleva aussi la couronne de
Notre-Seigneur,
confinant Sa Royauté à une sphère purement eschatologique.
Comme preuve
de cette diminution de la royauté sociale du Christ –
également au sein
de l’Église – Viganò indique que la liturgie de la fête du
Christ-Roi a
été déplacée à la fin de l’année liturgique, lui donnant
ainsi une
dimension plus eschatologique, y donnant moins de sens dans
notre vie
quotidienne.
Dans
la
première partie de sa réflexion, que Mgr Viganò a livrée par
téléphone à une quarantaine de membres de l’équipe
LifeSiteNews lors de
notre réunion annuelle du 6 août, il a évoqué la fête de la
Transfiguration de Notre-Seigneur de ce jour-là. Se référant
au passage
scripturaire parlant de cet événement, ainsi qu’à d’autres
passages
scripturaires, le prélat italien a alors établi la royauté
du Christ
sur l’humanité. Il a explicitement choisi ce sujet pour sa
méditation
pour LifeSite, «parce que je crois que d’une certaine
manière le point
focal de notre et de votre engagement en tant que
catholiques peut y
être résumé; non seulement dans la vie privée et familiale
mais aussi
et surtout dans la vie sociale et politique. »
Avec
lui,
le prélat nous a rappelé que toute l’humanité est appelée à
suivre
le Christ et ses commandements, ou, comme le dit la prière
du Notre
Père, «Que ta volonté soit faite, sur terre comme au ciel».
Viganò nous
a donc appelé à «raviver notre foi en la royauté universelle
de notre
divin Sauveur», et il a ajouté plus tard qu’il «n’est pas
possible de
remettre en question le caractère royal de l’œuvre de
Jésus-Christ. Il
est roi.
Après avoir établi et
rappelé
ces faits cruciaux, Mgr Viganò a ensuite décrit notre
situation
actuelle. «La fureur de l’ennemi, qui hait la race humaine»,
expliqua-t-il, «se déchaîne principalement contre la
doctrine de la
royauté du Christ, parce que cette royauté est unie dans la
personne de
notre Seigneur, vrai Dieu et vrai homme. La laïcité du XIXe
siècle,
alimentée par la franc-maçonnerie, a réussi à se réorganiser
en une
idéologie encore plus perverse, puisqu’elle a étendu le déni
des droits
royaux du Rédempteur non seulement à la société civile mais
aussi au
Corps de l’Église. »
C’est-à-dire
que
non seulement la royauté du Christ a été de plus en plus
niée dans
la société civile, mais aussi dans l’Église catholique. Ici,
Viganò a
souligné le Concile Vatican II qui a sapé, en affaiblissant
le principe
de la monarchie papale (c’est-à-dire en renforçant l’aspect
de la
collégialité), la Royauté du Christ, puisque le Pape est le
vicaire du
Christ sur terre.
A
déclaré le prélat:
Cette
attaque a été consommée
avec le renoncement par la papauté au concept même de cette
royauté par
procuration du pontife romain, apportant ainsi au cœur même
de l’Église
les exigences de démocratie et de parlementarisme qui
avaient déjà été
utilisées pour saper les nations et l’autorité de
dirigeants. Le
Concile Vatican II a considérablement affaibli la monarchie
papale à la
suite du déni implicite de la royauté divine du Souverain
Sacrificateur
éternel, et ce faisant, a infligé un coup de maître à
l’institution qui
jusqu’alors avait été un mur de défense contre la
sécularisation de la
société chrétienne.
En
affaiblissant
la «souveraineté du Vicaire», les «droits souverains du
Christ sur son corps mystique» ont été affaiblis. Ici, Mgr
Viganò
évoque un acte important et symbolique du Pape Paul VI le 13
novembre
1964, lorsque le Pape a enlevé sa couronne papale de sa tête
et l’a
placée sur l’autel, devant 2000 évêques. Comme le dit un
article d’
Aleteia : «Après une messe à laquelle assistaient 2 000
évêques, le
pape se leva de sa chaise et posa solennellement sa tiare
sur l’autel.
Selon les informations de l’époque, le Pape Paul VI aurait
été poussé à
faire le geste par des discussions sur la pauvreté dans le
monde lors
des réunions du Concile œcuménique Vatican II.
L’archevêque
Viganò,
dans ses méditations, a commenté cet événement comme suit:
«Et
quand Paul VI déposa le triple diadème royal d’un geste
ostentatoire,
comme s’il renonçait à la monarchie sacrée par procuration,
il enleva
également la Couronne de Notre-Seigneur, confinant SaRoyauté
à une
sphère purement eschatologique. La preuve en est les
changements
significatifs apportés à la liturgie de la fête du
Christ-Roi et son
transfert à la fin de l’année liturgique.
Le
prélat
a alors également réfléchi à la question de savoir si les
Pères
du Concile savaient qu ‘«ils ont en fait évincé Notre
Seigneur
Jésus-Christ, le dépouillant de la Couronne de sa Royauté
sociale? Cet
acte a cependant eu de graves conséquences. Aux yeux de
Viganò,
«l’autorité conférée par Notre Seigneur au prince des
apôtres a
pratiquement disparu». Au lieu de parler avec autorité et
infailliblement, les papes post-conciliaires ont plutôt
choisi de
parler «en faveur de la pastoralité qui a créé les
conditions de
formulations équivoques qui sont fortement soupçonnées
d’hérésie sinon
carrément hérétiques».
L’archevêque
italien
et ancien nonce papal de Washington, DC a conclu: «Nous ne
nous
trouvons donc pas seulement assiégés dans la sphère civile,
dans
laquelle pendant des siècles les forces obscures ont refusé
le doux
joug du Christ et imposé la tyrannie haineuse de l’apostasie
et du
péché sur la nations; mais aussi dans la sphère religieuse,
dans
laquelle l’Autorité se démolit et nie que le Roi Divin règne
aussi sur
l’Église, ses pasteurs et ses fidèles.
La
conséquence
de cet abandon de la Royauté sociale du Christ est, selon
Viganò, la tyrannie: «Dans ce cas également, le doux joug du
Christ est
remplacé par la tyrannie haineuse des Innovateurs, qui avec
un
autoritarisme pas différent de celui de leur les homologues
laïques
imposent une nouvelle doctrine, une nouvelle morale et une
nouvelle
liturgie dans laquelle la seule mention de la royauté de
Notre-Seigneur
est considérée comme un héritage maladroit d’une autre
religion, d’une
autre Église.
Cette nouvelle église peut
être caractérisée par «le clergé qui scandalise les fidèles
par leur
conduite morale répréhensible, répandant l’hérésie depuis
les chaires,
favorisant l’idolâtrie en célébrant la pachamama et le culte
de la
Terre Mère au nom d’un éccologisme d’une matrice clairement
maçonnique
, » il ajouta.
Mais
l’archevêque
Viganò ne nous laisse pas ces idées pénibles; au
contraire, a-t-il déclaré, «nous avons la joie et l’honneur
de
reconstruire». Il y a «une nouvelle génération de laïcs et
de prêtres»
qui «participe avec zèle à cette œuvre de reconstruction de
l’Église
pour le salut des âmes». Ils se permettent, faibles et
humbles qu’ils
soient, d’être «utilisés par Dieu comme des instruments
dociles entre
ses mains». Avec notre humilité et notre docilité, a
expliqué le
prélat, nous pouvons contrer ceux qui «se rebellent contre
le roi dans
une illusion de toute-puissance, prononçant leur propre non
serviam ».
Ici, Notre-Dame sera à nos côtés. Viganò a poursuivi en
disant qu ‘«il
ne peut y avoir de royauté du Christ sans la douce et
maternelle
royauté de Marie».» (lifesitenews.com – traduction).
07 août
Mélanie
de La Salette :
«
L’Église sera éclipsée, le monde sera dans la consternation.
Mais voilà
Enoch et Elie remplis de l'Esprit de Dieu ; ils prêcheront
avec la
force de Dieu, et les hommes de bonne volonté croiront en
Dieu, et
beaucoup d'âmes seront consolées ; ils feront de grands
progrès par la
vertu du Saint-Esprit et condamneront les erreurs
diaboliques de
l'antéchrist. »
Voilà
la
période que nous vivons. C’est encore plus vrai depuis le
confinement dû à la pandémie, l’interdiction du culte et la
vague de
destructions des symboles chrétiens un peu partout dans le
monde.
Le
mot important dans cette prophétie est « éclipsée ».
Car
une éclipse solaire, cela ne dure jamais longtemps.
C'est
la
preuve que NSJC ne nous laisse pas tomber. L’Église renaîtra
comme
indiqué par les prophéties de l'Église de Jean XXIII.
L’élite
verra son monde s’écrouler.
Le
Père les prendra aux mots avec leur « grande
réinitialisation ».
Ce
n’est pas la leur qui triomphera, c’est la « Jérusalem
Céleste » qui prendra place.
Le
père
Nectou affirmait qu’: « iI y aura alors un moment si affreux
qu’on
se croira à la fin du monde…, mais les méchants ne
prévaudront pas. Ils
auront bien l’intention de ruiner l’Église, mais ils n’en
auront pas le
temps, car cette crise épouvantable sera de courte durée, et
ce sera au
moment où l’on croira tout perdu que tout, sera sauvé. Quand
cette
crise arrivera, il n’y aura rien à faire, sinon de
persévérer dans la
prière…»
Après « ...tout rentrera
dans
l’ordre; justice sera faite à tout le monde et la
contre-révolution
sera accomplie, et alors le triomphe de l’Église sera tel
qu’il n’y en
aura jamais eu de semblable, parce que ce sera le dernier
triomphe de
L’Église sur la terre. »
Mais
auparavant,
il faudra faire face à la « grande réinitialisation »
judéo-maçonnique pour un cours laps de temps, le temps de
laisser
croire à Satan qu'il triomphe.
La « grande
réinitialisation »
c’est « le remplacement des idées, des institutions,
des processus
et des règles actuelles » selon le livre de Klaus Schwab
(grand patron
de la World Economic Fundation, ou Davos; voir analyses
précédentes).
Vous avez bien lu.
Dans le changement pour la
gouvernance mondiale au profit de l’élite, on ne change pas
seulement
les institutions et les règles, mais aussi LES IDÉES.
Les « idées », c’est quand
on
s’approprie le droit de penser à la place de l’autre, quand
on veut lui
imposer ce qui est « bon » pour lui.
Ce qui se fait par
l’établissement d’une nouvelle morale, à partir d’un climat
de peur, la
mise en place de la nouvelle religion humaniste.
Voici ce que le général
Michael Flynn, ancien Directeur à la Sécurité Nationale,
confirme à ce
sujet, et qui par le fait même entrevoie la prophétie
politique de Jean
XXIII les « États-Unis libérés » :
« Ceci est ma lettre à
l'Amérique.
Nous assistons à une
attaque
vicieuse par des ennemis de tout ce qui est bon, et notre
président
doit agir d'une manière sans précédent depuis des décennies,
voire des
siècles.
La
nature biblique du bien contre le mal ne peut être écartée
lorsque nous examinons ce qui se passe dans les rues
d'Amérique.
C'est
le
marxisme sous la forme d' antifa et le
mouvement Black Lives Matter contre nos professionnels
de
l'application de la loi très compétents et très
sous-estimés, dont la
grande majorité se bat pour nous fournir des maisons, des
rues et des
communautés sûres et sécurisées.
Lorsque
le destin des États-Unis est en jeu, et c'est le cas,
l'avenir même du monde entier est menacé.
En
tant
que chrétiens , ne devrions-nous pas agir? Nous
reconnaissons que la Providence divine est le juge ultime de
notre
destin.
Accomplissant
notre
destin en tant que nation épris de liberté, la Providence
nous
oblige à faire notre part dans nos communautés.
Il
nous
encourage dans cette bataille contre les forces du mal à
affronter
nos peurs de front. Aucun ennemi sur terre n'est plus fort
que les
forces unies d'un peuple craignant Dieu et épris de liberté.
Nous
ne
pouvons plus prétendre que ces forces obscures vont
disparaître par
la seule prière. Les prières comptent, mais une
action est
nécessaire.
Cette
action
est nécessaire aux niveaux local, étatique et fédéral. Une
action est également requise dans les domaines économique,
médiatique,
clérical et ecclésiastique.
Décidez
comment
vous pouvez agir selon vos capacités. Levez-vous et exprimez
vos croyances. Soyez fier de qui vous êtes et de ce que vous
représentez. Et affrontez de front ces «dirigeants» de la
communauté
qui sont prêts à permettre aux forces obscures d'aller
au-delà des
manifestations pacifiques et de détruire et de violer votre
sûreté et
votre sécurité.
Les
églises
et les lieux de culte doivent revenir à la normale. Nous
invitons toute personne de bonne volonté à ne pas se
soustraire à ses
responsabilités et à agir plutôt de manière fraternelle. Si
pour aucune
autre raison ou sans autre capacité, agissez dans un esprit
de charité.
Nous
ne pouvons pas manquer de respect ou ignorer la loi
naturelle ainsi que nos propres libertés et libertés
religieuses.
Je
vois
des personnes âgées perdre leur lien avec tout ce qui est
bon dans
leur vie: des liens avec leur foi, leurs familles et leurs
libertés
individuelles, en particulier le simple fait d' aller
à l'église
, ce qu'elles font depuis des décennies.
Ne
soyons pas intimidés et ne craignons pas ceux qui crient que
nous sommes en minorité; nous ne sommes pas.
Le
bien est toujours plus puissant et prévaudra sur le mal.
Cependant,
le
mal réussira à un moment où les bonnes personnes seront
séparées les
unes des autres et de leur vie personnelle - les enfants
éloignés de
leurs enseignants, les prédicateurs de leurs congrégations,
les clients
de leurs entreprises locales.
L'Amérique
ne cédera jamais au mal. Les Américains travaillent ensemble
pour résoudre les problèmes.
Nous ne permettons et ne
devons jamais permettre à l'anarchie et aux forces perverses
qui la
sous-tendent d'opérer dans aucune rue de notre nation.
Personne
ne
devrait avoir à craindre pour sa vie même parce qu'une force
sombre
et perturbée est mise au défi par l'essence même de ce que
représente
l'Amérique.
Nous
sommes
«une seule nation sous Dieu» et ce sont nos libertés
individuelles qui nous rendent forts, et non les
libertés
accordées à notre gouvernement. Notre gouvernement n'a
aucune liberté à
moins et jusqu'à ce que «nous le peuple» le disions.
Que Dieu bénisse l'Amérique et
soutenons tout ce qui était et est bon dans nos vies, dans
nos communautés et dans notre pays.
Sinon, l'Amérique en tant
que véritable étoile du nord de l'humanité cessera d'exister
telle que nous la connaissons. » (zerohedge.com)
Explosion à Beyrouth: Grand
Éclair à l'Orient?
Probablement que cela est juste
un avant-goût de cet événement.
Une chose est sûre par contre.
Le « roi jupitérien » s'est
positionné à l'avant plan avec sa visite rapide...
Et cela va dans le sens des
dernières analyses.
01 août
LES GRANDS MARQUEURS DU
TEMPS
C’est
le nom qui est donné à la grande conjonction Saturne-Jupiter
dont nous avons fait mention dans la dernière analyse.
Loin
l’idée
de faire ici de l’astrologie. Il s’agît plutôt de constats
ainsi
que de faire référence aux mages qui ont visité le Christ
s’incarnant
sur Terre, ainsi qu’à l’élite occulte qui utilise ces signes
du ciel
pour avancer dans son plan pour l’entrée en scène de leur
messie.
La
comparaison
est inévitable puisque Kepler a établi que le signe du ciel
ayant guidé les mages a probablement été la grande
conjonction en l’an
-6.
À
cause du phénomène de rétrogradation des planètes (elles ne
tournent
pas toutes à la même vitesse), il n’y a pas eu une mais
trois grandes
conjonctions en mai, octobre et décembre -6.
Le
Dieu
trinitaire s’incarnait (la conjonction eu lieu dans la
constellation des poissons) et cette particularité a
sûrement éveillée
les mages :
«
Les
Rois Mages auraient en effet pu se mettre en marche au
moment de la
première conjonction, s’arrêter à Jérusalem dans un
deuxième temps et
repartir pour Bethléem à la troisième conjonction
», analyse Philippe de la Cotardière… » (lacroix.com).
(Comparaisons des grandes conjonctions
de décembre -6 et décembre 2020)
Pour les mages, ou l’élite
occulte, la planète Jupiter c’est le créateur, celui qui
sacre les
rois. Saturne étant celle qui marque la fin et le début d’un
cycle ou
la grande faucheuse.
Une
grande conjonction est donc une événement important à leurs
yeux.
On
peut
faire les constats suivants de quelques unes: moins d’un
mois
avant le décès de Clovis en 511 ou quelque semaines après le
décès de
Napoléon 1er en 1821 par exemple.
La
grande
conjonction du 21 décembre 2020 verra les deux planètes
s’approcher à moins de 1/10 de degrés! Ce qui est
exceptionnel.
Du
jamais vu depuis 1623.
Fait
intéressant,
la grande conjonction du 13 juillet 1623 précédait de
trois jours le conclave convoqué après la mort du pape
Grégoire XV,
conclave particulier car la malaria (on pourrait comparer à
la Covid-19
si conclave il y avait en 2020, qui sait?) était présente de
sorte que
le futur pape Urbain VIII en a été gravement atteint et que
9 cardinaux
en sont décédés suite au conclave.
Ci-joint,
l’image
comparant la grande conjonction de 1623,
à celle de 2020. On peut constater que Jupiter et Saturne ne
font qu’un
pour l’observateur terrestre, bien meilleure qu’en 1623.
Pour l’élite occulte donc,
une grande conjonction peut-être l’occasion du « sacre d’un
roi ».
Et
ce roi jupitérien, on le sait avec une certaine probabilité,
est la bête de la Terre, Emmanuel Macron.
Si
c’est le cas, c’est donc dire que le « Grand Éclair à
L’Orient » est très très proche.
Jean
XXIII en fait l’avertissement par contre : « Ce
n'est
pas le temps d'un roi, ce ne l'a jamais été. Depuis la
mort de
Frédéric, chaque roi est usurpateur. Que le roi s'en
aille, reste le
peuple. L'Europe a soif, elle aura du sang dans les rues.
»
L’automne
sera chaud.
Car
c’est aussi la prophétie « Le Temps est Proche » où l’Église
n’a plus de père, et où deux empereurs décèdent.
C’est
bel et bien la possibilité très forte cachée derrière la «
grande réinitialisation ».
Juillet 2020
29
juillet
LES SIGNES DU CIEL… PRÉVISIBLES.
Si les comètes sont
imprévisibles, il en est autrement du mouvement des planètes
et des conjonctions de celles-ci.
Les planètes et les
chiffres occupent une grande importance pour l’élite
judéo-maçonnique.
On se souvient tous de
Christine Lagarde qui lors du 15 janvier 2014 a prononcé un
discours
truffé de mentions du chiffre 7 « magique », important dans
certaines
religions, etc.
Le 7, c’est le chiffre de
l’accomplissement.
Et le 23 janvier 2014, lors
de
la rencontre de Davos, elle mettait de l’avant pour la
première fois la
notion de « réinitialisation » ou « reset ». (lefigaro.fr).
C’est
une
preuve parmi tant d'autres que l’élite suit un plan
déterminé, et
dans ce plan, la chute de Babylone la Grande est prévue,
voulue, pour
renaître comme le phœnix, glorifiant Satan dans sa
résurrection du
système Antéchrist.
Cette chute, on la connaît
maintenant, est sur le point de se produire, car 2014 plus 7
années
nous mènent exactement à la grande messe de Davos de l’élite
du 26
janvier 2021.
En arrière plan, on ne
l’oublie pas, Satan qui mène le bal avec ses sbires de la
judéo-maçonnerie, de l’axe anglo-sioniste surtout.
Nous avions vu dans les
analyses de mai et juin dernier que la planète Vénus est
étroitement
reliée à la judéo-maçonnerie, à la kabbale talmudiste.
Vénus a un cycle de 8 ans
qui est extrêmement important à leurs yeux.
« ...
Dans son cycle de
8 ans Vénus est 4 fois Étoile du soir et 4 fois Étoile du
matin. Le matin
elle se lève toujours avant le Soleil en retrouvant
approximativement la même place.
Mais tous les 8 ans elle
retrouve sa place exacte. C’est la qu’elle est la plus basse
et la plus
brillante. Elle se lève 24 minutes avant le Soleil.
C’est sa
position qui est considéré comme la plus sacrée. C’est ce jour là, à
cette heure là qu’il faut naître où renaître. » (ledifice.net).
Pour un observateur
terrestre,
la position dans le ciel de Vénus au long de ces 8 années
forme un
pentagramme ou une étoile à cinq branches, ou le symbole de
Baphomet (wikimedia.org) (autre exemple: fr.wikipedia.org).
Nous
nous rappelons (analyses de mai-juin) que Vénus est passée
d’une étoile visible le soir à une étoile visible le matin.
C’est la marque du début
d’un nouveau cycle de 8 ans, parce qu’il y a eu conjonction
inférieure avec le Soleil.
Le 3 juin 2020 exactement.
Or, quand est-ce que
l’élite a annoncé le grande messe de Davos 2021, sous le
thème de « grande réinitialisation »?
Et oui. Le 3 juin.
C’est donc dire que le
dernier
cycle s’était amorcé le 5 juin 2012, avec un fait rarissime,
le passage
de la planète devant le disque solaire tout comme en 2004
(normalement,
la durée entre deux transitions devant le Soleil est de 105
à 121 ans
en moyenne!) (espacepourlavie.ca).
(Mai 2012, ce fut les
fuites
du Vatican qui ont mené à la démission de Benoît XVI puis de
l’élection
de Bergoglio en 2013. Le pion était en place au Vatican.
Finalement.)
C’est
donc dire que l’élite judéo-maçonnique a eu ses signes dans
le ciel pour passer à la grande finale du plan mondialiste.
La pandémie est évidemment
liée à la chute imminente de Babylone la grande.
Le grand manitou de la
World
Economic Forum chapeautant Davos 2021 a écrit un livre au
titre
explicite et, il n’y a pas de doutes: « COVID-19: The Great
Reset » (amazon.com).
Or,
tout juste avant la rencontre de janvier, soit le 21
décembre 2020, il y aura une grande conjonction
Jupiter-Saturne.
Une telle conjonction
arrive à tous les 20 ans.
Mais celle de cette année
est très spéciale.
Les deux planètes seront
tellement proches que la dernière fois où l’humain en a été
témoin est en 1623! (earthsky.org).
Jupiter
pour la maçonnerie, c’est le roi des planètes, le créateur,
celui qui apporte la vie.
Et Saturne pour la
maçonnerie, c’est la faux et le sablier, le temps et la
grande faucheuse.
Elle représente la fin et
un nouveau début.
« Saturne, ancien dieu
romain
de l'agriculture et du temps, armé d'une faux, prend d'un
côté (temps,
mort, épidémies...) et rend de l'autre (moisson, été,
abondance) sans
distinction également. La faux pourrait donc comprendre une
notion
d'égalité. » (fr.wikipedia.org).
D’égalité,
d’humanisme, nivellement par le bas, disparition de la
classe moyenne…
L’élite dominante, et les
goys.
Le peuple prêtre, et les
serviteurs de la porte.
Heureux hasard… La nouvelle
de la pandémie a frappé le monde occidental en début
décembre 2019.
Or, le 11 décembre 2019, il
y
avait une conjonction Saturne-Vénus, deux planètes
extrêmement
importantes pour la judéo-maçonnerie : Vénus qui
éclaire, et
Saturne la grande faucheuse.
Macron, le roi jupitérien,
est né le 21 décembre 1977 et il aura donc 43 ans le 21
décembre prochain.
Comme Christine Lagarde et
son
discours sur le 7 en 2014, le chiffre de l’accomplissement,
le 7 est
omniprésent en ce 21 décembre 2020.
Le fameux calendrier maya
avait fait craindre le pire pour certains. La fin du monde
en 2012.
Satan est le maître de
l’inversion et ce n’est pas 2012 qui était important.
L’élite le savait en
déclarant le compte à rebours en 2014.
C’était la « grande
réinitialisation ».
En
2021.
23 juillet
Retour sur la grande
« réinitialisation » prévue en janvier 2021 à Davos
par le Forum Économique Mondial…
Preuves que nous avons à
l’œuvre les deux Babylone citées par Jean XXIII, où il
appelle la
Sainte Vierge à abattre ces deux dernières (ce qui marque le
décès de
Benoît XVI car il s’agît de la prophétie le concernant).
La chute de Babylone la
Grande
est pour le catholique source d’espérance car dans
l’Apocalypse elle
tombe… AVANT le Jugement, avant le retour de NSJC.
Car, en chutant et en
essayant
de renaître, en imitant la Pâques de NSJC, la bête système,
l’Antéchrist système, veut proclamer son cris de victoire,
celui de
Satan!
Et c’est là qu’arrive sa
fin.
Voilà donc que nos élites
vont
faire chuter Babylone la Grande intentionnellement pour
pouvoir
reconstruire sur ses cendres: un pouvoir centralisé, une
crypto monnaie
unique (ce que la Banque d’Angleterre avance très prochaine
sans
cachette), et une religion unique.
Nous savons laquelle.
Comprenez-bien qu’ils ne
vont pas réussir; ou cela ne sera qu’un colosse aux pieds
d’argile, pas pour longtemps.
Là est leurs intentions
mais
cette échéance qu’ils proclament dans tous les médias
maintenant nous
permet de croire que NSCJ et la Sainte Vierge Marie
interviendront peu
après la chute de Babylone pour empêcher le petit reste de
périr.
La chute de Babylone la
Grande ne peut se faire que par la chute du système
financier.
« " Malheur !
Malheur ! O grande ville, Babylone, ô puissante cité,
en une heure
est venu ton jugement ! " Et les marchands de la
terre
pleurent et sont dans le deuil à son sujet, parce que
personne n'achète
plus leur cargaison » (Apocalypse).
Or, le lundi noir du 19
octobre 1987 représente pour l’élite une date importante.
Cela fera 33 ans.
Singeant le Christ, le
système est prêt pour sa mort et sa résurrection.
Nous avions analysé une
Pâques
possible de l’Antéchrist les 12 et 14 avril derniers
et titré d’
« acte final » l’analyse du 16 avril.
La ligne a été tirée, la
date
choisie par l’élite, et il semble donc logiquement que celui
qui leur
faisait obstacle depuis un bout est une affaire réglée selon
eux.
Cette date, le président
français la connaît.
Il
ne
s’en était pas caché en avril dans un discours où il
mentionnait
qu’il y aurait un avant et après 11 mai 2020, en faisant
référence au
nouveau système post-covid élaboré par l’élite.
Et
voilà
que nous apprenons que la franc-maçonnerie française élabore
un
document pour la grande réinitialisation pour le président
Macron.
«
La pandémie ayant montré les fragilités de «l'ordre
mondial», le Grand
Orient élabore des propositions à l'adresse du chef de
l’État dans des
domaines variés pour édifier une «utopie constructive»,
selon un
document consulté par Le Figaro. » (francais.rt.com)
Fouler aux pieds la Fille
Aînée de l’Église, et abattre le Vatican…
Ils
ne peuvent plus le cacher. C’est bien les seuls obstacles à
leurs idéaux.
Mais
voilà aussi que la Babylone Vatican rejoint la Babylone
Nations-Unies dans cette grande « réinitialisation »:
«
La Commission COVID-19 du Vatican fait écho aux
préoccupations environnementales mondialistes, en marge des
sacrements.
Un tel discours pacifiste
semble joli de l’extérieur, mais il rappelle le mouvement de
désarmement pendant la guerre froide.
17 juillet 2020 ( LifeSiteNews
) – Le Vatican ajoute sa voix à celle d’institutions
mondialistes
telles que les Nations Unies et le Forum économique mondial
en vue
d’une «action collective» pour la reconstruction de la
société – ou
plutôt, la construction d’une nouvelle société avec de
nombreuses
nuances utopiques. L’ONU et le WEF de Davos, en
collaboration avec le
prince Charles d’Angleterre, ont récemment annoncé des
réflexions
mondiales qui mèneront à une conférence «Réinitialisation
globale» au
début de l’année prochaine. La Commission COVID-19 du
Vatican promeut
le même type d’action: le désarmement mondial, une réponse
«verte» qui
impliquera un changement profond de l’économie dans le
sillage de
Laudato si ‘, soins de santé universels et autres
«solutions» mondiales
en harmonie avec les objectifs de développement durable de
l’ONU (les
ODD 2030).
Dans
une
interview publiée le 1er juillet par Our Sunday Visitor , le
P.
Augusto Zampini, secrétaire adjoint du Dicastère du Vatican
pour la
promotion du développement humain intégral et coordinateur
du groupe de
travail COVID-19, a utilisé exactement le même langage.
«Nous avons
besoin que les dirigeants des secteurs public, privé et
civil appuient
sur le bouton de réinitialisation – pour réaliser une fois
pour toutes
que la façon dont nous vivons nos vies jusqu’à présent n’est
pas
durable», a-t-il déclaré…
Mais
tout
l’intérêt de l’argument globaliste est que le «bien commun»
n’est
plus considéré comme le bien de la famille, ou de la famille
des
familles qu’est la nation, mais celui du soi-disant «foyer
commun» qui
comprend toute l’humanité et, en fait, toute la nature.
Le Vatican soutient
clairement
cette approche, utilisant la pandémie COVID-19 dans une
perspective
constructiviste de la politique, dans laquelle «l’écologie»
joue un
rôle majeur. «Il ne peut y avoir de guérison sans paix. Le
moment est
venu de construire un monde qui reflète mieux une approche
véritablement intégrale de la paix, du développement humain
et de
l’écologie », a déclaré le cardinal Turkson.
Comme Klaus Schwab du Forum
économique mondial, António Guterres, secrétaire général des
Nations
Unies (et ancien président de l’Internationale socialiste)
ou le prince
Charles et d’autres dirigeants mondiaux, le Vatican COVID-19
exprime
très clairement sa volonté de capitaliser sur les ravages
causés par la
réponse presque universelle au coronavirus chinois pour
mettre en œuvre
une nouvelle société révolutionnaire…
Fr.
Augustino
Zampini, a déclaré à Revista Ecclesia , le magazine
d’information de la Conférence épiscopale espagnole , que
nous vivons
«un moment unique pour opérer un changement profond, pour
construire un
monde et une planète plus sains et plus équitables avec des
personnes
et des institutions saines».
Le
groupe
de travail du Vatican, a-t-il dit, a pour objectif de
travailler
en tant que «catalyseur pour aider les réponses mondiales à
la crise à
être interconnectées, et que les réponses locales devraient
avoir une
marque mondiale». «On ne sort pas d’une pandémie sans lien
fort, sans
solidarité universelle.»…
L’approche
mondialiste
de la Commission est très claire dans les thèmes de travail
du quatrième de ses cinq groupes: «Soutenir la gouvernance
pour
promouvoir la solidarité mondiale»…
La
pandémie
est «un coup de semonce clair de la nature», a-t-il déclaré,
aggravant la peur des catastrophes annoncées liées au
changement
climatique avec la peur de la mort à cause du COVID-19 ou
même de virus
plus mortels plus tard…
Zampini
a
ajouté que «la guérison des sociétés et des politiques crée
une
solidarité universelle qui peut surmonter l’égoïsme
national, l’égoïsme
des entreprises et même l’égoïsme religieux. De cette façon,
nous
pouvons à notre tour guérir l’économie. »..
Comme il est pratique que
les
solutions de la Commission Vatican COVID-19 s’alignent si
parfaitement
avec celles des puissances mondialistes en place. »
«Sortez du milieu d'elle, ô mon peuple, afin de ne point
participer à
ses péchés, et de n'avoir point part à ses calamités ;
car ses
péchés se sont accumulés jusqu'au ciel, et Dieu s'est
souvenu de ses
iniquités. (Apocalypse). »
Ce qui rejoint bien
l’enseignement de NSJC en Matthieu 24 de ne pas faire partie
de
Babylone, en Esprit, de demeurer centré sur sa Foi, dans sa
demeure
mais aussi en déplacement pour subvenir à nos besoins
corporels, en
n’oubliant de faire preuve de charité.
En effet, il faut que
l’adhésion à la bête dans ce qui est décrit par Saint-Jean
dans l’Apocalypse soit volontaire.
Le port de la marque de la
bête volontairement signifie penser selon la bête (le
front), et agir
selon la volonté de la bête (la main droite).
Donc porter la
« marque » n’est pas applicable à une mesure
autoritaire et
obligatoire instiguée par l’élite judéo-maçonique et ses
moutons de bas
étages qui n’ont aucune idée de ce qu’ils font.
Demeurons centré dans la
prière mais flexible comme le roseau.
19
juillet
Voici des points de
tensions extrêmes en Orient présentement:
Azerbaijan-Arménie,
Iran-Israël, Chine-Taïwan (supporté par les États-Unis),
Inde-Pakistan
(Kashmir), Inde-Chine, Corée du Nord-Corée du Sud…
Tous ces points sont donc
sujets à la réalisation de la prophétie politique « le Grand
Éclair à l’Orient » de Jean XXIII.
Car l’humanité s’approche à
grands pas de cette échéance.
L’endroit privilégié est
toujours l’Iran car Israël pousse très fort de ce côté avec
des actes
de sabotages (pas moins d’une douzaine en moins d’un mois;
L’Iran est
en alerte anti-aérienne maximum) et tentent ainsi entraîner
les
États-Unis dans le feu de l’action.
(À noter qu’Israël a une
entente avec l’Arabie Saoudite pour le passage des aéronefs
ravitailleurs américains pour ses avions chasseurs F35.)
Les élections de novembre
aux États-Unis pèsent lourds dans la balance et le temps est
compté pour le président israélien.
La judéo-maçonnerie a,
particulièrement depuis la révolution française, planifié le
retour du
grand Israël du Nil à l’Euphrate, retour qui marquera le
triomphe du
peuple prêtre sur les goys, la rédemption achevée, le
nouveau
messianisme sioniste.
En singeant le Christ par
des
sacrifices de sang, ils forment peu à peu leur idéal,
exactement comme
l’a décrit le grand maître maçonnique Albert Pike par sa
description
des grandes guerres nécessaires à la cause.
La première a donné
naissance
à la déclaration Balfour de 1917 établissant un futur
territoire
sioniste en Palestine sous autorité britannique.
La seconde a mené quelques
années plus tard à la naissance de l’État souverain d’Israël
en 1948.
La troisième est cette
guerre
qui mènera les âmes à la perdition. Après la confrontation
entre les «
juifs goys » et les arabes, l’humanité au bord du gouffre,
en plein
athéisme, verrait la solution proposée par la
judéo-maçonnerie soit
l’adoration pure et simple de Lucifer, le « bon » Adonaï
selon eux.
La prophétie politique #32
«
Le Temps est proche » où «C'est le temps des deux
empereurs», les
présidents chinois et américain actuels, nous donne aussi
une idée de
l’échéance :
Car l'empereur narcissique
meurt dans sa tour de verre.
Il
y
aura donc un événement majeur avant les élections de
novembre aux
États-Unis, ou le président Trump sera tout simplement réélu
et
l'échance sera prolongée de 4 années.
Surtout, n’oublions pas que
les élites ont appelé le monde à la « grande
réinitialisation » pour
janvier 2021, et que le pape François tient toujours à son
pacte
mondial sur l’éducation qui est planifié pour octobre. Il
est sur le
trône tant que ses objectifs ne seront pas réalisés.
15
juillet
Le coronavirus est
l’étincelle que l’élite attendait pour saisir au bond
l’occasion
espérée au déroulement de l’acte finale du plan de la
synagogue
judéo-maçonnique.
Les pays se sont enfoncés
dans la dette encore plus, les « goys » aussi, et l’économie
est précaire, fragile, déstabilisée.
La mondialisation qui a
favorisé une chaîne de production dans un pays unique, la
Chine, a été
mise à l’arrêt, et a ainsi démontrée la fragilité d’un tel
système aux
goys.
L’élite a donc annoncé la
date de la « grand réinitialisation » pour janvier 2021.
Ils étaient prêts. Les goys
le demanderont, les supplieront.
Un système unique, avec une
monnaie unique, avec une religion unique.
Mais comme le disait le
regretté Serge Monast, c’est le religieux qui mènent le
politique.
La kabbale sioniste est
prête pour le messie « Israël ».
Les rabbins à leurs soldes
le proclament.
Le « peuple prêtre » est
impatient de se voir confié l’humanité pour les sauver.
L’expiation de leurs «
péchés
» achèvent. Car c’est ainsi qu’ils voient toutes leurs
souffrances
depuis la destruction du temple en 70.
À la manière du Christ
incarné qu’ils rejettent, ils singent la même voie, mais
dans des valeurs inversées.
C’est là le signe de Satan.
C’est leur Dieu.
Alors
que les chrétiens catholiques qui branchés savent que la
seule voie est le Christ via sa Mère la Vierge Marie.
Ce système de valeurs
inversées a envahi l’humanité.
Nous l’avons décrit dans la
dernière analyse par tous ces goys qui détruisent la
civilisation chrétienne, ou ce qu’il en reste.
Encore en fin de semaine
dernière, des statues et des églises ont été brûlées et
vandalisées aux États-Unis entres autres.
(lifesitenews.com).
Ce
système
de valeurs inversées est aussi visible avec la proclamation
du
port du masque obligatoire dans plusieurs pays : ceux
qui
réclament la liberté rabaissent ou agressent même ceux qui
veulent se
montrer prudent.
C’est le chaos qui sert
bien
l’élite, car les deux groupes sont comme les deux faces
d’une même
médaille : ils font tous les deux partis de la religion
humaniste
qui prend pieds.
Car c’est au nom de la
liberté de mourir ou non selon son choix, alors que seul
Dieu décide.
La jouissance des biens
matériels et du corps n’aura jamais été aussi forte.
Le but de la vie qu’est le
Royaume de Cieux a été oublié.
Alors?
Complot ou non?
C’est la question qui brûle
toute les lèvres car la notion de complot est le carburant
qui justifie
toute cette dévastation, ces déversements de haine et de
menaces via
l’outil par excellence de l’élite, les réseaux sociaux.
Complot il y a par
l’accomplissement du plan judéo-maçonnique façonné depuis
des
générations et qui a pris racine avec la révolution de 1789.
Pour le reste, l’élite veut
bien faire croire n’importe quoi avec ses penseurs via tous
les réseaux
de communications qu’elle possède.
Il est ironique de
constater
que le motif premier de la religion des droits de l’homme,
le droit à
la vérité, a été limité, sinon éliminé.
Les goys ont droit à une
gigantesque opération de falsification de la vérité…
Par le maître du mensonge,
Satan.
Alors que la seule vérité
est celle enseignée par le Christ.
C’est ainsi que sa parole
en Matthieu 24 est maintenant claire.
Lorsque vous verrez
l’abomination de la désolation établi en lieu saint, que
celui qui lit entende!
C’est le temps de fuir dans
les montagnes, en laissant tout derrière.
C’est à dire, de fuir en
soi-même par la prière, fuir Babylone la grande, en laissant
tout ce
qu’elle représente en termes de valeurs inversées à
l’extérieur de
soi-même.
Effectivement, c’est un
temps de grande détresse, qui n’a pas eu lieu depuis que le
monde est monde.
Et le Vatican dans tout
cela n’est plus d’aucune utilité.
Nous sommes donc dans cette
période difficile pour le chrétien, où les jours doivent
être abrégés
par le Père pour ne pas perdre le petit reste.
Foi,
espérance, charité doivent nous guider.
02
juillet
Sans surprise, la prophétie
politique « les États-Unis libérés » avance avec ce
bourgeonnement de
révolutions sur faux fonds de racisme.
Car, ce n’est pas ce qui
est visé par l’élite.
Ce qui est visé, c’est le
rejet de la civilisation, du passé sur lequel est bâti le
monde d’aujourd’hui.
Le but de ce mondialisme
est l’établissement du «messie» Israël comme seul peuple
prêtre entre Dieu et les goys.
Les factions
judéo-maçonniques sont divisés en deux camps selon les
derniers ouvrages de Pierre Hillard :
- Ceux qui attendent une
intervention divine pour proclamer le messie israélien.
- Ceux qui s’y opposent et
affirment que c’est la poussée de la volonté humaine qui le
réalisera.
Nous assistons à la
manœuvre du deuxième camps, celui anglo-saxon, qui a
l’ambition de créer le nouvel ordre par le chaos.
La seule opposition
religieuse à ces talmudistes, c’est le Christ, le Fils de
Dieu Incarné.
Il faut donc éliminer le
Vatican, ou le soumettre.
C’est donc la civilisation
chrétienne qui est présentement en jeu.
Ce ne sont pas que des
statues
des leaders confédérés qui sont décapitées ou déboulonnées
aux
États-Unis et un peu partout dans le monde.
Les statues chrétiennes de
saints en sont aussi la cible.
En fait tout ce qui
représente le «pouvoir blanc».
Quand des compagnies
retirent
les noms et les caractéristiques se référant au blanc dans
leurs
produits, c’est qu’il y a mouvement de masse venant de plus
haut.
« Quel rapport entre la
"valeur des vies noires" et le vandalisme des statues
chrétiennes ? » (gloria.tv)
Ces
élites
veulent remplacer cette civilisation par une autre aux
valeurs
morales humanistes digne de Babel qui formeront le nouvelle
religion
mondiale.
C’est le système des
valeurs
inversées, valeurs opposées au valeurs du Christ évidemment
puisque
c’est le nerf de la guerre mené par Satan, le maître de
l’inversion.
Ainsi, le délinquant qui
meurt
des suites d’une arrestation policière devient un martyr, et
provoque
cette flambée contre les statues représentant « l’ancien
pouvoir »… la
plupart ignorant leur histoire d’ailleurs.
Parce que ce « martyr »
sert leur idéologie.
Depuis Nuremberg, le
nationalisme est assimilé au nazisme ou à du racisme; tout
régime en
dehors de la « démoncratie » est assimilé à de la dictature…
sauf quand
ce système sert leur but ultime, comme le communisme qu’ils
ont
instauré, financé par les sionistes durant la révolution
bolchévique
d’ailleurs.
D’où cette poussée
d’immigration de masse approuvée par Bergoglio.
Éliminer l’identité propre
et le patriotisme est le but de cette vague que nous vivons
présentement.
« Trump vs Biden: un enjeu
majeur pour le monde…
Biden va consolider la
nouvelle structure morale basée sur les cinq points déjà
évoquées, dans
une Amérique distraite par le Covid et de plus en plus
relativiste…
1. Peins-toi en noir.
2. Change de sexe.
3. Va aux parades Lgbt et
montre-toi.
4. Accroche un portrait de
Greta Thunberg chez toi.
5. Parle toujours en bien
du pape Bergoglio (tu dois dire qu’il sauve l’Eglise)...
Le
climat
préélectoral de cette cinquante-neuvième élection
présidentielle
a une nouveauté, les discussions seront centrées sur
l’économie et
feront passer inaperçues les grandes nouveautés de
changement moral,
celles qui influenceront les choix électoraux.
Les
choix moraux lors des élections de 2020 seront décisifs.
Les
intérêts
économiques et financiers se cachent derrière des
revendications de caractère moral: égalité, inclusion,
redistribution,
environnement, progressisme théologique.
Qui seront utilisées pour
faire sauter l’autorité morale de l’Eglise, la transformant
en une église mondiale écologiste.
Mais la grande nouveauté
est
que la « morale » (de la réalité) contrôle
l’Autorité morale.
Qui en est par ailleurs parfaitement consciente…
C’est l’Occident dont le
pape
Ratzinger ne voulait pas et contre lequel il s’est battu.
C’est
l’Occident que son successeur est en train de réaliser… » (benoit-et-moi.fr).
Tout doit être prêt pour la
« grand réinitialisation ».
C’est annoncé. C’est clair.
L’élite ne cache plus son
plan.
« Regardez attentivement
cette
vidéo. C’est la dernière vidéo on ne peut plus officielle
qui vient
d’être publiée sur la chaîne Youtube du World Economic Forum
de Davos.
Vous savez, l’organisation qui gère le rendez-vous annuel
des tous les
plus puissants de la terre. Et leur dernier truc c’est le
grand reset...
Pour
nous, dans le véritable monde, l’hiver qui nous attend
s’appelle the great reset, la grande réinitialisation...
«
Our World has change ». Notre monde a changé.
« Our challenges are
greater ». Nos défis sont plus importants.
« Our fragilities exposed
». Nos fragilités sont exposées.
« Our systems need a reset
». Nos systèmes ont besoin d’une réinitialisation.
« Everyone has a role to
play ». Tout le monde a un rôle à jouer.
« The Great Reset ». La
grande réinitialisation.
« Join Us ».
Rejoignez-nous.
Je
suis un garçon du siècle dernier.
A
mi-chemin entre l’ancien monde et le nouveau comme tous ceux
qui ont 40
ans et plus. J’ai tout appris dans les livres et par les
récits des «
vieux » et découvert les premiers ordinateurs à 19 ans.
Lorsque
je vois cette vidéo ou plus précisément lorsque j’ai vu
cette vidéo, j’ai vu le fascisme.
J’ai
vu le visage de Joseph Goebbels.
J’ai
vu un nouveau « ministère de l’Éducation du peuple et de la
Propagande ».
J’ai
vu l’emploi des techniques modernes de manipulation des
masses et un modèle pour la propagande des États
totalitaires.
La
grande réinitialisation arrive.
L’hiver
du monde aussi. » (insolentiae.com).
La notion de « Nuremberg »
avancée par Jean XXIII dans les prophéties est donc
d’actualité.
Et ce n’est pas terminé.
Juin 2020
20 juin
Dernière
vidéo de Pierre Hillard qui explique
les origines de ce que nous vivons actuellement, surtout à
partir de 1h10, où il parle de la revue The Economist de
janvier 1988
avec la naissance du «Phoenix», la nouvelle monnaie mondiale
où tout le
système économique est rasé pour établir le nouveau système.
C'est exactement ce à quoi
nous avons assisté la semaine dernière avec la «grande
réinitialisation» avancée par le Word Economic Forum et
Davos 2021.
Or, janvier 2021 est à 33
années piles de la parution de ce plan «ordo ab chaos» dans
The Economist.
Le 19 octobre 1987, c’est
33 ans depuis le krach de 1987.
C’est donc le temps de la
mort et de la résurrection de l’Antichrist singeant NSJC.
Le pape Benoît XVI est au
chevet de son frère malade.
Il est très près de lui.
Comme
dans beaucoup de familles, il n’est pas rare que deux
personnes proches
quittent notre monde dans un court laps de temps.
À suivre donc.
Le 20 juillet prochain, ce
sera le 117ème anniversaire de la mort de Léon XIII, mort à
93 ans tout
comme l’âge actuel de Benoît XVI…
Comme si les deux étaient
liés, l’un commençant un cycle (celui qui a eu la vision des
100 ans)
et l’autre le terminant, de la «lumière dans le ciel» à la
«gloire de
l’olive».
Or, l’Évangile du 20
juillet 2020 sera le signe de Jonas en Matthieu 12!
14 juin
Malgré
le miracle de la transsubstantiation de 1996, Bergoglio
pense comme les protestants:
L’Eucharistie
n’est qu’un mémorial.
«
Sur l’autel, la mort et de la résurrection du Christ.
L’homélie
de
cette solennité du Corps et du Sang du Christ a permis au
Pape
François de revenir sur la signification de l’Eucharistie,
«mémorial»
laissé par Dieu pour venir au secours de notre «fragile»
mémoire. La
mémoire, a-t-il expliqué, est «la vie qui nous unit à Dieu
et aux
autres», mais elle peut défaillir. Or ce mémorial ne
consiste pas
seulement en des paroles ou des signes, pouvant eux aussi
être sujets à
l’oubli, mais en une «Nourriture» dont on perçoit la saveur,
«un Pain
dans lequel Il est là, vivant et vrai, avec toute la saveur
de son
amour».
«Faites cela en mémoire de
moi» (1 Co 11, 24), entend-on lors de chaque messe. «Faites:
l’Eucharistie n’est pas un simple souvenir, c’est un fait:
c’est la
Pâques du Seigneur qui revit pour nous», a souligné le
Saint-Père.
«Nous ne pouvons pas nous en passer, c’est le mémorial de
Dieu. Et il
guérit notre mémoire blessée». Que signifie une «mémoire
blessée» et
guérie? Le Pape l’a précisé en trois points…» (vaticannews.va).
Au lieu de nous rappeler
l’importance du Saint-Sacrement, le Christ, seul chemin qui
mène au Père par son sacrifice.
Au
lieu
de s’élever en exemple pour contrer l’humanisme, cette
nouvelle
religion qui est sur le point d’éclipsée l’Église du Christ.
Et
non.
Il
est de la suite logique des papes depuis Jean XXIII.
«
À la mort de Pie XII, le rêve de la maçonnerie se réalisa :
une «
révolution en tiare et en chape ». Angelo Roncalli (qui
s’était fait
initier dans une société secrète en Turquie en1935, puis
s’était
affilié à une loge maçonnique à Paris) prit le nom de « Jean
XXIII ».
Il convoqua Vatican II, qui bouleversa entièrement la
religion, par
exemple en proclamant la « liberté de pensée, qui, partie de
nos loges
maçonniques, s’est étendue magnifiquement au-dessus du dôme
de Saint
Pierre »
(Yves Marsaudon :
L‘œcuménisme vu par un franc-maçon de tradition, 1964, p.
121)
Pas
de génuflexion devant le Saint-Sacrement pour Bergoglio.
Mais
des génuflexions à répétitions pour les dirigeants mondiaux
suite à l’incident Floyd aux États-Unis.
«
Ce signe » de génuflexion est typiquement du rite
maçonnique.
C’est
l’adoration de Satan.
Son
heure de gloire arrive, ce qui nous indique que le retour du
Christ est très très proche.
« Poings fermés et
génuflexions: la naissance d’une nouvelle religion.
De
Marcello
Veneziani: des villes américaines livrées à l’émeute (en
France manifs « interdites mais tolérées » et police mise en
accusation), l’explosion de la folie antiraciste avec des
blancs qui
s’agenouillent devant des noirs en un simulacre de liturgie
préfigurant
ou confirmant, la naissance d’une nouvelle religion; tout
cela avec en
toile de fond le mantra qui va faire fureur durant tout
l’été: abattre
Trump…
Une
religion
qui va au-delà des intentions de ceux qui l’embrassent: pour
beaucoup de ceux qui s’agenouillaient devant la caméra et
simulaient un
rituel religieux, il y avait un objectif plus bas: écraser
sous un
genou, l’Ennemi, la Bête, Donald Trump. Toute une mise en
scène
mondiale car les élections approchent. On déverse sur Trump
l’assassinat brutal de quelqu’un qui n’y est pour rien, un
meurtre
comme tant d’autres commis par les policiers américains,
sous des
administrations démocrates et républicaines…
Mais
une
religion est en train de se former dans les sociétés
occidentales
autour du catéchisme politiquement correct. Cette religion
est le
support moral de quelque chose de colossal qui se passe de
nos jours,
au-dessus de nos têtes et sous nos yeux. Ce que l’on a
appelé pendant
des années « Pensée unique » est en train de devenir «
Pouvoir unique»…
Je
veux
parler de Giorgio Agamben qui dénonce l’union inquiétante
entre la
religion médicale et le capitalisme, à la base d’un nouveau
système
totalitaire, enclin à suspendre la liberté et la démocratie;
la
religion chrétienne et en particulier l’Église de François
succombe à
leurs diktats sanitaires et considère la santé comme une
priorité par
rapport au salut.
De
l’autre
côté, un philosophe, Michel Onfray, qui théorisa l’athéisme
et
critiqua la religion, dénonce aujourd’hui, dans le sillage
d’Orwell,
l’avènement d’une dictature mondiale fondée sur sept
commandements:
1.
détruire la liberté
2. réduire tous les
dissidents et les insoumis à des fascistes
3. appauvrir le langage
pour manipuler les esprits
4. abolir la vérité par la
«
Doublepensée » [ndt: Doublethink, terme inventé par George
Orwell dans
son roman 1984, « indiquant une capacité à accepter
simultanément deux
points de vue opposés et ainsi mettre en veilleuse tout
esprit critique
»]
5. supprimer l’histoire et
la réécrire pour les besoins du présent
6. nier la nature, à
commencer par la nature humaine
7. propager la haine et
fonder l’Empire, progressiste et nihiliste
…
L’ennemi
global
est Trump, l’ennemi complémentaire est Poutine, l’ennemi
idéologique est tout ce qu’on appelle souverainisme. Le plan
prévoit
trois substitutions:
-la
foi médico-progressiste au lieu de la foi en Dieu, sacré et
transcendant
-la population mobile des
migrants au lieu des peuples ou nations restants
-le posthumain selon la
science et la volonté au lieu de l’homme selon la nature et
la procréation.
Il
n’y
a pas de plan global prédéterminé et il n’y a pas de
planificateurs
; certains y contribuent consciemment, beaucoup
inconsciemment. » (benoit-et-moi.fr).
C’est le vent du changement
post covid-19. Le sentez-vous ?
Chamboulement
économique, social, et religieux.
Le
dernier coup de canon annoncé par Albert
Pike, le cinquième.
À
la 5ème concentration, succédera le règne du Saint-Empire,
c’est à dire de la Raison, de la Vérité, et de la Justice.
«« Le FMI vient d’annoncer
le grand Reset ! » L’édito de Charles SANNAT»
Sentez-vous
le vent du changement ?
Il
se lève déjà.
Certains
l’attendent. D’autres le trouvent mauvais.
Tous,
nous le subirons.
Ce
vent porte un nom. « The Great Reset », ou la grande
réinitialisation. La grande remise à zéro.
Du
FMI au Forum économique de Davos, le sujet est lancé,
officiellement.
De
quoi s’agit-il exactement ?
Personne
n’en sait rien en réalité, car c’est un sujet aussi secret…
que public !.. » (insolentiae.com).
«
Le temps de la Grande remise à zéro.
–
Un meilleur monde peut survenir de cette crise si nous
agissons rapidement et conjointement, écrit le professeur
Klaus Schwab.
– Les changements que nous
avons déjà observés face au COVID-19 prouvent qu’il est
possible de
repenser nos fondements économiques et sociaux.
– Ceci est notre meilleure
chance d’instaurer le capitalisme des parties prenantes –
voici comment nous pouvons y parvenir… » (fr.weforum.org).
L’image qui vaut 1000 mots:
«
Le problème mondial Covid-19» (intelligence.weforum.org)
12 juin
LES DEUX TÉMOINS
LE
PUISSANT TEXTE DE MGR VIGANO
Mgr
Vigano et Mgr Schneïder révèlent au grand jour l'église
parallèle, la fausse église.
«
9
juin 2020
Saint
Ephrem
J’ai
lu
avec grand intérêt l’essai de Son Excellence Athanasius
Schneider
publié sur LifeSiteNews le 1er juin, traduit ensuite en
italien par
Chiesa e post concilio , intitulé Il n’y a pas de volonté
positive
divine ni de droit naturel à la diversité des religions .
L’étude de
Son Excellence résume, avec la clarté qui distingue les
paroles de ceux
qui parlent selon le Christ, les objections contre la
légitimité
présumée de l’exercice de la liberté religieuse que le
Concile Vatican
II a théorisées, contredisant le témoignage de l’Écriture
Sainte et la
voix de la Tradition , ainsi que le Magistère catholique qui
est le
fidèle gardien des deux.
Le
mérite
de l’essai de Son Excellence réside tout d’abord dans sa
compréhension du lien de causalité entre les principes
énoncés ou
sous-entendus par Vatican II et leur conséquence logique
dans les
écarts doctrinaux, moraux, liturgiques et disciplinaires qui
se sont
produits et se sont progressivement développés pour
aujourd’hui. Le
monstrum généré dans les cercles modernistes aurait pu être
trompeur au
début, mais il s’est développé et renforcé, de sorte
qu’aujourd’hui il
se montre tel qu’il est réellement dans sa nature subversive
et
rebelle. La créature conçue à cette époque est toujours la
même, et il
serait naïf de penser que sa nature perverse pourrait
changer. Les
tentatives de correction des excès conciliaires – invoquant
l’herméneutique de la continuité – se sont révélées
infructueuses:
Naturam expellas furca, tamen usque recurret [Chassez la
nature avec
une fourche; elle reviendra immédiatement] (Horace, Epist.
I, 10,24).
La Déclaration d’Abu Dhabi – et, comme le fait remarquer à
juste titre
Mgr Schneider, ses premiers symptômes au panthéon d’Assise –
«a été
conçue dans l’esprit du Concile Vatican II», comme le
confirme
fièrement Bergoglio.
Cet
«
esprit du Conseil » est la licence de légitimité que les
innovateurs
opposent à leurs détracteurs, sans se rendre compte qu’il
confesse
précisément cet héritage qui confirme non seulement le
caractère erroné
des présentes déclarations mais aussi la matrice hérétique
qui
prétendument les justifie. En y regardant de plus près,
jamais dans
l’histoire de l’Église un Concile ne s’est présenté comme un
événement
historique tel qu’il était différent de tout autre concile:
il n’a
jamais été question d’un « esprit du Concile de Nicée » ou
de «l’
esprit du De Ferrare-Florence , « encore moins
le » esprit du
Concile de Trente « , tout comme nous n’avons jamais eu
d’
ère » post-conciliaire » après le Latran IV ou
Vatican I.
La
raison
est évidente: ces Conciles étaient tous, sans discernement,
l’expression à l’unisson de la voix de la Sainte Mère
Église, et pour
cette raison même la voix de Notre-Seigneur Jésus-Christ. De
manière
significative, ceux qui maintiennent la nouveauté de Vatican
II
adhèrent également à la doctrine hérétique qui place le Dieu
de
l’Ancien Testament en opposition avec le Dieu du Nouveau
Testament,
comme s’il pouvait y avoir contradiction entre les personnes
divines de
la Très Sainte Trinité. Évidemment cette opposition presque
gnostique
ou cabalistique est fonctionnelle à la légitimation d’un
nouveau sujet
volontairement différent et opposé à l’Église catholique.
Les erreurs
doctrinales trahissent presque toujours une sorte d’hérésie
trinitaire,
et c’est donc en revenant à la proclamation du dogme
trinitaire que les
doctrines qui s’y opposent peuvent être vaincues: ut in
confessione
veræ sempiternæque deitatis, et in Personis proprietas, et
in essentia
unitas, et in majestate adoretur æqualitas : Professant la
vraie et
éternelle Divinité, nous adorons ce qui est propre à chaque
personne,
leur unité de substance et leur égalité de majesté.
Mgr
Schneider
cite plusieurs canons des conciles œcuméniques qui
proposent,
selon lui, des doctrines aujourd’hui difficiles à accepter,
comme par
exemple l’obligation de distinguer les juifs par leurs
vêtements, ou
l’interdiction des chrétiens au service des maîtres
musulmans ou juifs.
Parmi ces exemples, il y a aussi l’exigence de la traditio
instrumentorum déclarée par le Concile de Florence, qui a
ensuite été
corrigée par la Constitution apostolique de Pie XII
Sacramentum Ordinis
. Mgr Athanase commente: « On peut à juste titre espérer et
croire
qu’un futur Pape ou Concile œcuménique corrigera la
déclaration erronée
faite» par Vatican II. Cela me semble être un argument qui,
bien que
fait avec les meilleures intentions, sape l’édifice
catholique depuis
sa fondation. Si, en fait, nous admettons qu’il peut y avoir
des actes
magistrats qui, en raison d’une sensibilité modifiée, sont
susceptibles
d’abrogation, de modification ou d’interprétation différente
avec le
temps, nous tombons inévitablement sous le coup de la
condamnation du
décret Lamentabili et nous nous retrouvons offrant une
justification à
ceux qui, récemment, précisément sur la base de cette
hypothèse
erronée, ont déclaré que la peine de mort » n’est pas
conforme à
l’Évangile « , et ainsi modifié la Catéchisme de
l’Église
catholique. Et, par le même principe, d’une certaine
manière, nous
pourrions soutenir que les paroles du Bienheureux Pie IX
Quanta Cura a
été en quelque sorte corrigée par Vatican II, tout comme Son
Excellence
pouvait espérer Dignitatis Humanae . Parmi les exemples
qu’il présente,
aucun n’est en soi gravement erroné ou hérétique: le fait
que le
concile de Florence a déclaré que la traditio instrumentorum
était
nécessaire car la validité des Ordres ne compromettait en
aucune façon
le ministère sacerdotal dans l’Église, la conduisant à
conférer des
Ordres de manière invalide. Il ne me semble pas non plus que
l’on
puisse affirmer que cet aspect, aussi important soit-il, a
conduit à
des erreurs doctrinales de la part des fidèles, ce qui n’est
au
contraire arrivé qu’au Conseil le plus récent. Et lorsque,
au cours de
l’histoire, diverses hérésies se sont propagées, l’Église
est toujours
intervenue rapidement pour les condamner, comme cela s’est
produit lors
du Synode de Pistoia en 1786, qui était en quelque sorte une
anticipation de Vatican II, en particulier là où elle a
aboli la
Communion en dehors de Messe, introduit la langue
vernaculaire et aboli
les prières du Canon dit submissa voce; mais encore plus
quand il a
théorisé sur la base de la collégialité épiscopale,
réduisant la
primauté du pape à une simple fonction ministérielle. La
relecture des
actes de ce Synode nous laisse stupéfaits par la formulation
littérale
des mêmes erreurs que nous retrouvons plus tard, sous une
forme accrue,
au Concile présidé par Jean XXIII et Paul VI. D’un autre
côté, tout
comme la Vérité vient de Dieu, ainsi l’erreur se nourrit et
se nourrit
de l’adversaire, qui hait l’Église du Christ et son cœur: la
Sainte
Messe et la Très Sainte Eucharistie.
Il
arrive
un moment dans notre vie où, par la disposition de la
Providence, nous sommes confrontés à un choix décisif pour
l’avenir de
l’Église et pour notre salut éternel. Je parle du choix
entre
comprendre l’erreur dans laquelle nous sommes presque tous
tombés,
presque toujours sans mauvaises intentions, et vouloir
continuer à
détourner le regard ou à nous justifier.
Nous
avons
également commis l’erreur, entre autres, de considérer nos
interlocuteurs comme des personnes qui, malgré la différence
de leurs
idées et de leur foi, étaient toujours motivées par de
bonnes
intentions et qui seraient disposées à corriger leurs
erreurs si elles
pouvaient s’ouvrir à notre Foi. Avec de nombreux Pères
conciliaires,
nous avons pensé l’œcuménisme comme un processus, une
invitation qui
appelle les dissidents à la seule Église du Christ, les
idolâtres et
les païens au seul vrai Dieu, et le peuple juif au Messie
promis. Mais
à partir du moment où il a été théorisé dans les commissions
conciliaires, l’œcuménisme a été configuré d’une manière qui
était en
opposition directe avec la doctrine précédemment exprimée
par le
Magistère.
Nous
avons
pensé que certains excès n’étaient qu’une exagération de
ceux qui
se laissaient emporter par l’enthousiasme de la nouveauté;
nous
croyions sincèrement qu’en voyant Jean-Paul II entouré de
charmeurs-guérisseurs , de moines bouddhistes, d’imams, de
rabbins, de
pasteurs protestants et d’autres hérétiques , cela prouvait
la capacité
de l’Église à convoquer des gens ensemble pour demander la
paix à Dieu,
tandis que l’exemple faisant autorité de cela l’action
initie une
succession déviante de panthéons plus ou moins officiels, au
point même
de voir des évêques porter l’idole impure du pachamama sur
leurs
épaules, sacrilège cachés sous prétexte d’être une
représentation de la
maternité sacrée.
Mais si l’image d’une
divinité
infernale a pu entrer dans Saint-Pierre, cela fait partie
d’un
cresecendo que l’autre côté prévoyait depuis le début. De
nombreux
catholiques pratiquants, et peut-être aussi une majorité du
clergé
catholique, sont aujourd’hui convaincus que la foi
catholique n’est
plus nécessaire au salut éternel; ils croient que le Dieu
unique et
trinitaire révélé à nos pères est le même que le dieu de
Mahomet. Il y
a déjà vingt ans, nous avons entendu cela se répéter des
chaires et des
cathédrales épiscopales , mais récemment, nous l’entendons
s’affirmer
avec emphase, même du plus haut trône.
Nous
savons
bien qu’en invoquant le dicton dans les Écritures Littera
enim
occidit, spiritus autem vivificat [ La lettre apporte la
mort, mais
l’esprit donne la vie (2 Co 3, 6)] , les progressistes et
les
modernistes savaient astucieusement comment cacher des
expressions
équivoques dans le des textes conciliaires, qui à l’époque
semblaient
inoffensifs pour la plupart mais qui se révèlent aujourd’hui
dans leur
valeur subversive. C’est la méthode employée dans
l’utilisation de
l’expression subsistit dans : dire une demi-vérité non pas
autant pour
ne pas offenser l’interlocuteur (en supposant qu’il est
licite de faire
taire la vérité de Dieu par respect pour sa créature), mais
avec
l’intention de pouvoir utiliser la demi-erreur cela serait
instantanément dissipé si toute la vérité était proclamée.
Ainsi,
«Ecclesia Christi subsistit in Ecclesia Catholica» ne
précise pas
l’identité des deux, mais la subsistance de l’une dans
l’autre et, par
cohérence, également dans d’autres églises: voici
l’ouverture aux
célébrations interconfessionnelles, aux prières œcuméniques
et à
l’inévitable la fin de tout besoin de l’Église dans l’ordre
du salut,
dans son unicité et dans sa nature missionnaire.
Certains
se
souviendront peut-être que les premiers rassemblements
œcuméniques
ont eu lieu avec les schismatiques de l’Orient et avec
beaucoup de
prudence avec d’autres sectes protestantes. Hormis
l’Allemagne, la
Hollande et la Suisse, au début, les pays de tradition
catholique
n’accueillaient pas ensemble des célébrations mixtes avec
des pasteurs
protestants et des prêtres catholiques. Je me souviens qu’à
l’époque,
il était question de supprimer l’avant-dernière doxologie du
Veni
Creator afin de ne pas offenser les orthodoxes, qui
n’acceptent pas le
Filioque . Aujourd’hui, nous entendons les sourates du Coran
récité
dans les chaires de nos églises, nous voyons une idole de
bois adorée
par les religieuses et les frères, nous entendons les
évêques désavouer
ce qui jusqu’à hier nous a semblé être les excuses les plus
plausibles
de tant d’extrémismes. Ce que le monde veut, à l’instigation
de la
maçonnerie et de ses tentacules infernaux, c’est créer une
religion
universelle humanitaire et œcuménique, à partir de laquelle
le Dieu
jaloux que nous adorons est banni. Et si c’est ce que le
monde veut,
tout pas dans la même direction de l’Église est un choix
malheureux qui
se retournera contre ceux qui croient pouvoir se moquer de
Dieu. Les
espoirs de la Tour de Babel ne peuvent pas être ramenés à la
vie par un
plan mondialiste qui a pour objectif l’annulation de
l’Église
catholique, afin de la remplacer par une confédération
d’idolâtres et
d’hérétiques unis par l’environnementalisme et la fraternité
universelle. Il ne peut y avoir de fraternité qu’en Christ,
et
seulement en Christ: qui non est mecum, contra me est .
Il
est
déconcertant que peu de gens soient conscients de cette
course vers
l’abîme, et que peu se rendent compte de la responsabilité
des plus
hauts niveaux de l’Église dans le soutien de ces idéologies
antichrétiennes, comme si les dirigeants de l’Église
voulaient garantir
qu’ils ont une place et un rôle dans le train de la pensée
alignée . Et
il est surprenant que les gens persistent à ne pas vouloir
enquêter sur
les causes profondes de la crise actuelle, se limitant à
déplorer les
excès actuels comme s’ils n’étaient pas la conséquence
logique et
inévitable d’un plan orchestré il y a des décennies. Si le
pachamama
pouvait être adoré dans une église, nous le devons à
Dignitatis
Humanae. Si nous avons une liturgie protestante et parfois
même
paganisée, nous le devons à l’action révolutionnaire de Mgr.
Annibale
Bugnini et aux réformes post-conciliaires. Si la Déclaration
d’Abu
Dhabi a été signée, nous le devons à Nostra Aetate . Si nous
sommes
arrivés au point de déléguer des décisions aux Conférences
épiscopales
– même en violation grave du Concordat, comme cela s’est
produit en
Italie – nous le devons à la collégialité et à sa version
actualisée,
la synodalité . Grâce à la synodalité , nous nous sommes
retrouvés avec
Amoris Laetitia à chercher un moyen d’empêcher l’apparition
de ce qui
était évident pour tout le monde: que ce document, préparé
par une
impressionnante machine organisationnelle, avait pour but de
légitimer
la communion pour les divorcés et les cohabitants, tout
comme La
Querida Amazonia sera utilisée pour légitimer les femmes
prêtres (comme
dans le cas récent d’une «vicaire épiscopale» à Fribourg) et
l’abolition du célibat sacré. Les prélats qui ont envoyé le
Dubia à
François, à mon avis, ont fait preuve de la même ingéniosité
pieuse:
pensant que Bergoglio, confronté à la contestation
raisonnablement
argumentée de l’erreur, comprendrait, corrigerait les points
hétérodoxes et demanderait pardon.
Le
Concile
a été utilisé pour légitimer les déviations doctrinales les
plus aberrantes, les innovations liturgiques les plus
audacieuses et
les abus les plus sans scrupules, tout en gardant le
silence. Ce
concile était si élevé qu’il était présenté comme la seule
référence
légitime pour les catholiques, le clergé et les évêques,
obscurcissant
et connotant avec un sentiment de mépris la doctrine que
l’Église avait
toujours enseignée avec autorité, et interdisant la liturgie
éternelle
qui pendant des millénaires avait nourri la foi d’une lignée
ininterrompue de fidèles, martyrs et saints. Entre autres
choses, ce
Concile s’est révélé être le seul à avoir causé tant de
problèmes
d’interprétation et tant de contradictions par rapport au
Magistère
précédent, alors qu’il n’y a pas un autre concile – du
concile de
Jérusalem à Vatican I – qui ne s’harmonise pas parfaitement
avec
l’ensemble du Magistère ou qui nécessite autant
d’interprétation.
Je
l’avoue
avec sérénité et sans controverse: j’étais l’une des
nombreuses
personnes qui, malgré de nombreuses perplexités et craintes
qui se sont
avérées aujourd’hui absolument légitimes, ont fait confiance
à
l’autorité de la Hiérarchie avec une obéissance
inconditionnelle. En
réalité, je pense que beaucoup de gens, y compris moi-même,
n’ont pas
envisagé au départ la possibilité d’un conflit entre
l’obéissance à un
ordre de la Hiérarchie et la fidélité à l’Église elle-même.
Ce qui a
rendu tangible cette séparation contre nature, je dirais
même perverse
, entre la
Hiérarchie et l’Église, entre l’obéissance et la fidélité,
c’est certainement ce pontificat le plus récent.
Dans
la
salle des larmes à côté de la chapelle Sixtine, tandis que
Mgr.
Guido Marini a préparé le rocchetto blanc, la mozzetta et a
volé pour
la première apparition du pape «nouvellement élu», Bergoglio
s’est
exclamé: « Sono finite le carnevalate! [Les carnavals sont
terminés!]
», Refusant avec mépris l’insigne que tous les papes
jusque-là avaient
humblement accepté comme le costume distinctif du Vicaire du
Christ.
Mais ces paroles contenaient de la vérité, même si elle
était prononcée
involontairement: le 13 mars 2013, le masque tomba des
conspirateurs,
qui étaient enfin libérés de la présence gênante de Benoît
XVI et
effrontément fiers d’avoir enfin réussi à promouvoir un
cardinal qui
s’incarna leurs idéaux, leur future façon de révolutionner
l’Église, de
rendre la doctrine malléable, la morale adaptable, la
liturgie
adultérante et la discipline jetable. Et tout cela a été
considéré, par
les protagonistes de la conspiration eux-mêmes, comme la
conséquence
logique et l’application évidente de Vatican II, qui selon
eux avait
été affaiblie par les critiques exprimées par Benoît XVI. Le
plus grand
affront de ce pontificat fut de permettre généreusement la
célébration
de la vénérée liturgie tridentine, dont la légitimité fut
finalement
reconnue, réfutant cinquante ans de son ostracisation
illégitime. Ce
n’est pas par hasard que les partisans de Bergoglio sont les
mêmes
personnes qui ont vu le Conseil comme le premier événement
d’un
nouvelle église, avant laquelle il y avait une vieille
religion avec
une vieille liturgie.
Ce n’est pas un hasard: ce
que
ces hommes affirment en toute impunité, scandaleux modérés,
c’est ce
que les catholiques croient aussi, à savoir: que malgré tous
les
efforts de l’herméneutique de la continuité qui a naufragé
lamentablement lors de la première confrontation avec la
réalité de la
crise actuelle, c’est indéniable qu’à partir de Vatican II,
une église
parallèle a été construite, superposée et diamétralement
opposée à la
véritable Église du Christ. Cette église parallèle a
progressivement
obscurci l’institution divine fondée par Notre-Seigneur afin
de la
remplacer par une entité fallacieuse, correspondant à la
religion
universelle souhaitée qui a d’abord été théorisée par la
maçonnerie.
Des expressions comme le nouvel humanisme, la fraternité
universelle,
la dignité de l’homme, sont les maîtres mots de
l’humanitarisme
philanthropique qui nie le vrai Dieu, de la solidarité
horizontale de
vague inspiration spirite et de l’irénisme œcuménique que
l’Église
condamne sans équivoque. «Nam et loquela tua manifestum te
facit [Même
votre discours vous trahit ] » (Mt 26, 73): ce recours très
fréquent,
voire obsessionnel, au même vocabulaire de l’ennemi trahit
l’adhésion à
l’idéologie qu’il inspire; tandis que d’autre part le
renoncement
systématique au langage clair, sans équivoque et cristallin
de l’Église
confirme le désir de se détacher non seulement de la forme
catholique
mais même de sa substance.
Ce
que
nous entendons depuis des années, énoncé, vaguement et sans
connotation claire, par le plus haut Trône, nous le trouvons
ensuite
élaboré dans un manifeste vrai et approprié chez les
partisans du
Pontificat actuel: la démocratisation de l’Église, non plus
par la
collégialité inventée par Vatican II mais par la voie
synodale
inaugurée par le Synode sur la famille; la démolition du
sacerdoce
ministériel par son affaiblissement avec des exceptions au
célibat
ecclésiastique et l’introduction de figures féminines aux
fonctions
quasi sacerdotales; le passage silencieux de l’œcuménisme
dirigé vers
des frères séparés à une forme de pan-œcuménisme qui réduit
la vérité
du Dieu trinitaire unique au niveau des idolâtries et des
superstitions
les plus infernales; l’acceptation d’un dialogue
interreligieux qui
présuppose le relativisme religieux et exclut la
proclamation
missionnaire; la démythologisation de la papauté, poursuivie
par
Bergoglio comme thème de son pontificat; la légitimation
progressive de
tout ce qui est politiquement correct: théorie du genre,
sodomie,
mariage homosexuel, doctrines malthusiennes, écologisme,
immigrationnisme … Si nous ne reconnaissons pas que les
racines de ces
écarts se trouvent dans les principes posés par le Concile,
il sera
impossible de trouver un remède: si le diagnostic persiste,
contre
toute évidence, en excluant la pathologie initiale, nous ne
pouvons pas
prescrire une thérapie adaptée.
Cette
opération
d’honnêteté intellectuelle requiert une grande humilité,
tout
d’abord en reconnaissant que depuis des décennies nous
sommes induits
en erreur, de bonne foi, par des personnes qui, établies en
autorité,
n’ont pas su surveiller et garder le troupeau du Christ :
certains pour
vivre tranquillement, certains parce qu’ils ont trop
d’engagements,
certains par manque de commodité, et enfin certains de
mauvaise foi ou
même d’intention malveillante. Ces derniers qui ont trahi
l’Église
doivent être identifiés, mis à l’écart, invités à se
modifier et, s’ils
ne se repentent pas, ils doivent être expulsés de l’enceinte
sacrée.
C’est ainsi qu’un vrai Berger agit, qui a à cœur le
bien-être des
brebis et qui donne sa vie pour elles; nous avons eu et nous
avons
encore beaucoup trop de mercenaires pour qui le consentement
des
ennemis du Christ est plus important que la fidélité à son
Époux.
Tout
comme
j’ai obéi honnêtement et sereinement à des ordres douteux il
y a
soixante ans, croyant qu’ils représentaient la voix aimante
de
l’Église, aujourd’hui, avec une sérénité et une honnêteté
égales, je
reconnais que j’ai été trompé. Être cohérent aujourd’hui en
persévérant
dans l’erreur représenterait un choix misérable et me
rendrait complice
de cette fraude. Revendiquer une clarté de jugement dès le
début ne
serait pas honnête: nous savions tous que le Conseil serait
plus ou
moins une révolution , mais nous ne pouvions pas imaginer
qu’il se
révélerait si dévastateur, même pour le travail de ceux qui
devraient
l’ont empêché. Et si jusqu’à Benoît XVI on pouvait encore
imaginer que
le coup d’État de Vatican II (que le cardinal Suenens
appelait «le 1789
de l’Église»)) avait connu un ralentissement, au cours de
ces dernières
années, même les plus ingénus d’entre nous ont compris que
le silence
de peur de provoquer un schisme, l’effort de réparer des
documents
papaux au sens catholique afin de remédier à l’ambiguïté
voulue, les
appels et la Dubia faits à François qui sont restés
éloquemment sans
réponse, sont tous une confirmation de la situation de
l’apostasie la
plus grave à laquelle les niveaux les plus élevés de la
Hiérarchie sont
exposés, tandis que le peuple chrétien et le clergé se
sentent
désespérément abandonnés et qu’ils sont considérés par les
évêques
presque avec agacement.
La Déclaration d’Abu Dhabi
est
le manifeste idéologique d’une idée de paix et de
coopération entre les
religions qui pourrait avoir une certaine possibilité d’être
tolérée si
elle venait de païens privés de la lumière de la foi et du
feu de la
charité. Mais quiconque a la grâce d’être un enfant de Dieu
en vertu du
Saint Baptême devrait être horrifié à l’idée de pouvoir
construire une
version moderne blasphématoire de la Tour de Babel,
cherchant à
rassembler la seule véritable Église du Christ, héritière de
les
promesses faites au peuple élu, à ceux qui nient le Messie
et à ceux
qui considèrent l’idée même d’un Dieu trinitaire comme
blasphématoire.
L’amour de Dieu ne connaît aucune mesure et ne tolère aucun
compromis,
sinon ce n’est tout simplement pas la Charité, sans laquelle
il n’est
pas possible de rester en Lui:qui manet in caritate, in Deo
manet, et
Deus in eo [celui qui reste amoureux reste en Dieu et Dieu
en lui] (1
Jn 4, 16). Peu importe qu’il s’agisse d’une déclaration ou
d’un
document magistral: nous savons bien que les hommes
subversifs des
innovateurs jouent à ces sortes de chicanes pour répandre
l’erreur. Et
nous savons bien que le but de ces initiatives œcuméniques
et
interreligieuses n’est pas de convertir ceux qui sont loin
de l’unique
Église au Christ, mais de détourner et de corrompre ceux qui
détiennent
encore la foi catholique, les amenant à croire qu’il est
souhaitable de
avoir une grande religion universelle qui rassemble les
trois grandes
religions abrahamiques « dans une seule maison»: C’est le
triomphe du
plan maçonnique en préparation du royaume de l’Antéchrist!
Que cela se
concrétise à travers un taureau dogmatique, une déclaration
ou une
interview avec Scalfari à La Repubblica importe peu, car les
partisans
de Bergoglio attendent ses paroles comme un signal auquel
ils répondent
par une série d’initiatives qui ont déjà été préparées et
organisées
depui un certain temps. Et si Bergoglio ne suit pas les
instructions
qu’il a reçues, les rangs des théologiens et du clergé sont
prêts à se
lamenter sur la « solitude du pape François».» Comme
prémisse de sa
démission (je pense par exemple à Massimo Faggioli dans un
de ses
récents essais). D’un autre côté, ce ne serait pas la
première fois
qu’ils utilisent le Pape quand il va de pair avec leurs
plans et se
débarrassent de lui ou l’attaquent dès qu’il ne le fait pas.
Dimanche dernier, l’Église
a
célébré la Très Sainte Trinité, et dans le bréviaire elle
nous offre la
récitation du Symbolum Athanasianum, désormais interdit par
la liturgie
conciliaire et déjà réduit à seulement deux reprises dans la
réforme
liturgique de 1962. Les premiers mots de ce Symbolum
aujourd’hui
disparu restent inscrit en lettres d’or: «Quicumque vult
salvus esse,
ante omnia opus est ut teneat Catholicam fidem; quam nisi
quisque
integram inviolatamque servaverit, absque dubio in aeternum
peribit –
«Quiconque veut être sauvé, doit avant tout avoir la foi
catholique;
Car, à moins qu’une personne n’ait gardé cette foi entière
et inviolée,
sans aucun doute, elle périra éternellement. » »
+
Carlo Maria Viganò »
Des vaticanistes dont Steve
Skojec du site OnePeterFive reconnaît que c’est un texte
historique.
«
… C’est, je crois, un texte historique. En le lisant, j’ai
eu
l’impression qu’il pouvait marquer un tournant – comme si un
voile
était levé. Nous savons tous – nous pouvons tous sentir –
que les
variantes pré et post-conciliaires du catholicisme ne sont
pas la même
religion. Viganò, au lieu de nous exhorter à tenter de
rationaliser et
de concilier ces différences, nous donne la permission
d’appeler un
chat un chat :
++ Ce n’est pas un hasard :
ce
que ces hommes affirment impunément, scandalisant les
modérés, c’est ce
que les catholiques croient aussi, à savoir que malgré tous
les efforts
de l’herméneutique de la continuité qui a fait misérablement
naufrage
lors de la première confrontation avec la réalité de la
crise actuelle,
il est indéniable qu’à partir de Vatican II, une église
parallèle a été
construite, superposée et diamétralement opposée à la
véritable Église
du Christ.++. » (benoit-et-moi.fr)
C'est bien là la
réalisation de la prophétie d’Anne Catherine Emmerich
concernant la fausse église.
Tout
est révélé.
Est-ce
que le Vatican et son roi garderont le silence encore une
fois?
11 juin
LA CRAINTE DES ÉJECTIONS DE
MASSE CORONALES (CME)
Suite à la tempête solaire
de 2012 (fr.wikipedia.com)
qui a fait craindre le pire (une semaine plus tard et tout
ce qui est
électronique était grillé), l’élite a décidé de s’offrir un
télescope
géant à seul but d’étudier les champs de polarité du Soleil
à des fins
de préventives.
Pour
contrôler les masses, la bête a besoin des « ses ordinateurs
».
Elle
doit les protéger coûte que coûte.
Le
télescope
Daniel K. Inouye situé à Hawaï et a été financé par la «
National Science Foundation (NSF) » répond à cette urgence.
La
NSF
est une agence fédérale indépendante américaine, qui
curieusement, sans
surprise, a publié un plan « vision 2030 » aux buts
mondialistes tout
comme l’ « Agenda 2030 » des Nations-Unies.
La construction a commencé
en 2013 et la première photo à partir du télescope a été
possible le 28 janvier dernier.
Quel
était le problème menant à l’édification de ce géant
consacré au Soleil ?
Les
astronomes
peuvent lancer un avertissement quant à l’éventualité d’une
CME dépendant de la complexité de la polarité d’une tache
solaire.
Mais
lorsqu’elle se produit, seuls les satellites LASCO C3 et
SOHO de la NASA peuvent prévenir l’humanité.
Et
ils se font vieux.
Or,
ces deux satellites à cause de leurs positions ne donnent
qu’un avertissement de…
45
minutes.
Avec
le
nouveau télescope, les experts espèrent trouver le mécanisme
de
polarité complexe afin d’anticiper la CME et donner un
avertissement de…
3
jours.
En
avril
2014, des scientifiques se sont réunis au Colorado pour un
atelier sur la météo spatiale afin de discuter des
probabilités des
futures CMEs du type Carrington et de leurs effets. (vidéo en anglais où on voit la CME et
où on explique la « dépendance » de cette génération à
l’électronique – courtoisie NASA) .
À
titre comparatif, il entre 1 305 620 planète Terre dans le
Soleil. (photo comparative astronoo.com)
Le
cycle solaire 24 ne donnait aucun indice de la tempête du 23
juillet 2012 car l’activité était moindre que le cycle 23.
Des scientifiques de la
NASA et d’universités ont publié un rapport de l’événement
en décembre 2013 :
…
« Les analystes pensent qu'un coup direct par un CME extrême
tel que
celui qui a manqué la Terre en juillet 2012 pourrait
provoquer des
pannes de courant généralisées,désactiver tout ce qui se
branche sur
une prise murale. La plupart des gens ne pourraient même pas
tirer la
chasse d'eau parce que l'approvisionnement en eau des villes
dépend en
grande partie de pompes électriques…
En février 2014, le
physicien
Pete Riley de Predictive Science Inc. a publié un article
dans Space
Weather intitulé "Sur la probabilité d'occurrence
d'événements
météorologiques spatiaux extrêmes". Dans ce document, il a
analysé les
enregistrements des tempêtes solaires remontant à plus de 50
ans. En
extrapolant à l'extrême la fréquence des tempêtes
ordinaires, il a
calculé les chances qu'une tempête de classe Carrington
frappe la Terre
au cours des dix prochaines années.
La réponse: 12%.
"Au départ, j'étais assez
surpris que les chances soient si élevées, mais les
statistiques
semblent être correctes", explique Riley. "C'est une figure
qui donne à
réfléchir."... » (science.nasa.gov).
Nous
sommes
entrés officiellement dans le cycle 25 avec une tache
solaire
cette semaine, mineure certes, mais qui est une indication
confirmée.
Les scientifiques prévoient
un
cycle 25 inférieur au niveau de l’intensité des taches
solaires au
cycle 24, mais comme nous venons de le voir ci-haut, ce
n’est pas une
indication fiable.
C’est la complexité des
polarités des taches solaires qui donnent l’indication que
nous devons
craindre un événement du type Carrington.
Et
comme la Sainte Vierge nous a donné cet indice le 13 octobre
1917 avec le miracle du Soleil, c’est un lien facile à
faire.
Et comme l’a spécifié NSJC,
nous n’aurons que le signe de Jonas, 3 jours de noirceur, à
la fin des temps.
L’élite a bien beau mettre
un
super télescope pour savoir comment la polarité solaire
fonctionne afin
de protéger ses « gadgets électroniques » en prévoyant une
CME,
toujours en est-il que le délai entre l’observation d’une
CME puissante
et son effet sur la Terre est toujours de 45 minutes!!!
Cela correspond avec
Matthieu 24 (outre l’aspect mystique).
Il y aura une grande
détresse
parce que le monde n’a jamais autant dépendant de
l’électronique,
physiquement, et aussi « mentalement ».
Et le tout sera aussi vite
que l’éclair:
« … car il y aura alors une
si
grande détresse, qu’il n’y en a point eu de semblable depuis
le
commencement du monde jusqu’ici, et qu’il n’y en aura
jamais…
Car, comme l’éclair part de
l’orient et brille jusqu’à l’occident, ainsi en sera-t-il de
l’avènement du Fils de l’homme… ».
Nous
nous rapprochons d’un tel événement puisque l’ennemi avance
très rapidement dans la phase finale de son plan :
-
Distribution de la Sainte Communion interdite aux
Indes (gloria.tv)
- Paganisme allemand :
Tout le monde apporte son pain et le mange en guise de
communion (gloria.tv)
-
Un prêtre refuse la communion à une dame à Fatima qui la
voulait agenouillé et sur la langue (lifesitenews.com).
-
La grande réinitialisation après Covid-19 par le FMI et
sujet de Davos 2021 (JT Charles Sannat, insolentiae.com).
- Des théologiens
protestants et catholiques demandent à François de lever
l'excommunication de Luther
Des
théologiens
protestants et catholiques ont demandé au pape François de
révoquer la bulle d'excommunication émise par le pape Léon X
contre
Martin Luther en 1521. Dans le même temps, la Fédération
luthérienne
mondiale devrait retirer le verdict de Luther contre le pape
en tant
qu'"Antéchrist".
(DomRadio/InfoCatólica)
Dimanche de la Pentecôte dernier, le groupe de discussion
œcuménique
d'Altenberg a publié le document "Réconciliation après 500
ans" dans
lequel il affirme que les deux condamnations restent "comme
des
tampons" sur la voie d'une reconnaissance mutuelle
officielle des
Églises protestante et catholique. Selon le pasteur de
Cologne
Hans-Georg Link, le 500e anniversaire de l'excommunication
de Martin
Luther, le 3 janvier 2021, serait un moment approprié pour
aborder la
question. » (infocatolica.com).
La puissante lettre de Mgr Vigano sur le
désastre Vatican II, sa reconnaissance, et la présence de
l'Antichrist. (benoit-et-moi.fr).
Comme
quoi que nous sommes dans cette période des deux témoins
citée dans l'Apocalypse.
5 juin
Aussitôt
après avoir été photographié avec la bible à la main devant
l’Église
St-Jean incendié le 2 juin, le président Trump s’est rendu
au
sanctuaire national Jean-Paul II (c’était planifié 2
semaines
auparavant) dans une mise en scène avant la promulgation de
son décret
sur les libertés religieuses.
« WASHINGTON — Le président
américain Donald Trump a signé un décret le 2 juin pour
donner la
priorité à la liberté religieuse dans la politique étrangère
et les
programmes d’assistance des États-Unis.
« La liberté religieuse
pour
tous les peuples du monde est une priorité de la politique
étrangère
des États-Unis, et les États-Unis respecteront et
promouvront
vigoureusement cette liberté », stipule le décret…
Cette loi habilite le
gouvernement américain à interdire les visas et à bloquer
les avoirs
des auteurs de violations des droits de l’homme et des
fonctionnaires
corrompus dans le monde entier.
85 % de la population
mondiale vit dans des pays où la liberté religieuse est
menacée ou interdite.
En septembre 2019, M. Trump
a
appelé les pays à mettre fin aux persécutions religieuses
dans le monde
lors de l’Assemblée générale des Nations unies (AGNU) à New
York. Il a
été le premier dirigeant à lancer une telle discussion lors
des
réunions de haut niveau de l’AGNU.» (fr.theepochtimes.com).
Le président montre ainsi
son
allégeance à la synagogue de Satan, à la religion mondiale
des droits
de l’homme et au concept maçonnique de la liberté
religieuse.
L’humanisme est à l’avant plan
dans toutes les nouvelles qui nous sont dirigées, fausses ou
vraies.
Cette visite du président
américain a attiré les critiques acerbes de l’archevêque de
Washington
(non fondées car basées sur des fausses nouvelles):
«
WASHINGTON, DC, 2 JUIN 2020 ( LifeSiteNews ) – L’archevêque
Wilton
Gregory de Washington, DC a lancé une réprimande cinglante
au
sanctuaire national Jean-Paul II pour avoir «autorisé» le
président
Trump et la première dame Melania Trump à se rendre
aujourd’hui.
Le
président et Mme Trump ont visité le sanctuaire pour
commémorer le 100e
anniversaire du pape Saint Jean-Paul II il y a deux semaines
et le 41e
anniversaire de la messe historique du saint moderne sur la
place de la
Victoire à Varsovie . Melania Trump est la première première
dame
catholique depuis Jacqueline Kennedy.
Après
sa visite au sanctuaire, créé et exploité par les Chevaliers
de Colomb,
le président Trump prévoyait de retourner à la Maison
Blanche pour
signer un décret exécutif sur la liberté religieuse… » (lifesitenews.com).
Et Mgr Vigano de qualifier
l’archevêque de Washington de «faux berger»:
«3
juin
2020 ( LifeSiteNews) – L’ancien archevêque nonce apostolique
américain Carlo Maria Viganò a vivement critiqué
l’archevêque de
Washington Wilton D. Gregory comme un «faux berger» pour
avoir
réprimandé hier les responsables du sanctuaire national
Jean-Paul II
d’avoir autorisé la visite du président Trump et la première
dame
Melania Trump.
« Malheureusement,
l’Église catholique est dirigée par de nombreux faux
pasteurs », a
déclaré Viganò dans une lettre aux prêtres et aux laïcs de
l’archidiocèse de Washington le 3 juin (lire la lettre
complète
ci-dessous)…
« Au cours des vingt
dernières
années, votre [archidiocèse] de Washington, en particulier
et
maintenant pour la troisième fois, a été et continue d’être
profondément affligé et blessé par de faux bergers dont le
mode de vie
est plein de mensonges, de tromperies, de luxure et de
corruption. . Où
qu’ils se trouvent, ils ont été une source de scandale grave
pour
diverses Églises locales, pour tout votre pays et pour toute
l’Église
», a-t-il poursuivi.
Les archevêques de
Washington
précédant immédiatement Gregory étaient le cardinal Donald
William
Wuerl (impliqué dans des dissimulations d’abus sexuels) et
l’ancien
cardinal Theodore Edgar McCarrick (accusé de manière
crédible d’avoir
abusé de séminaristes et accusé d’abus sexuels en série). On
soupçonne
Wuerl d’avoir contribué à la sécurisation de son successeur.
Gregory
est connu pour son soutien à l’homosexualité et à d’autres
positions
peu orthodoxes.
«Ne les suivez pas, car ils
vous conduisent à la perdition. Ce sont des mercenaires. Ils
enseignent
et pratiquent les mensonges et la corruption! » déclara
Viganò…» (lifesitenews.com).
Cette sortie et le décret
du
président américain du 2 juin, est évidement coordonné avec
le Vatican,
surtout que c'est basé sur le jubilé des 100 ans de
Jean-Paul II, et de
son encyclique « Ut unum sint » (25 ans le 25 mai 2020)
remise à
l'avant plan pour l'occasion.
L'ordre par le chaos pour
une
poussée d' « œcuménisme » en fonction de la nouvelle
religion mondiale,
est le véritable but pour l'adoration de Satan.
« Dialogue œcuménique:
renouveler le désir d’unité, définir une vision commune
Le Conseil pontifical pour
la promotion de l’unité des Chrétiens célèbre, ce 5 juin
2020, son 60ème anniversaire.
Parmi les «fruits
importants»,
le père Destivelle relève au niveau du dialogue avec le
luthériens la
déclaration sur la justification, signée en 1999. «Une étape
majeure
lorsque l’on pense qu’il s’agissait de la principale pierre
d’achoppement entre catholiques et luthériens». Par
ailleurs, «avec les
Églises orientales, des questions christologiques qui nous
divisaient
depuis le concile de Chalcédoine ont été résolues». «Il y a
eu des
progrès considérables qui ne sont pas toujours bien connus
mais qui
marquent des étapes déterminantes» souligne le père
Destivelle.
A l’occasion du 25ème
anniversaire de l’encyclique "Ut unum sint" de Saint
Jean-Paul II, sur
l’engagement œcuménique, le 25 mai dernier, le Pape François
avait
salué les progrès réalisés en faveur de l’unité de l’Église,
«grâce à
l’Esprit Saint» et évoqué les nombreux pas accomplis «pour
guérir les
blessures séculaires et millénaires». » (vaticannews.va).
La fondation du Secrétariat
pour la promotion de l'unité des chrétiens, le 5 juin 1960,
par saint
Jean XXIII pour devenir ensuite le Conseil pontifical en
1988, est
source de grande joie et d’un engagement constant sur un
«chemin
irréversible». C’est ce qu’affirme le cardinal Kurt Koch
dans une
interview accordée aux médias du Vatican (vaticannews.va).
Tout est relié au concile
Vatican II, dernière salve de Satan pour achever l'Église. Mais
cette dernière triomphera.
«
Mgr Carlo Maria Viganò : “La crise actuelle est la métastase
du cancer conciliaire” .
Les deux textes qui suivent ne vont pas laisser
indifférents. Le
premier est une lettre d'une religieuse cloîtrée à Mgr Carlo
Maria
Viganò, disant au prélat son inquiétude devant l'utilisation
de la
crise du COVID-19 à des fins anti-chrétiennes, comme «
préparation en
vue de la manifestation de l'Antéchrist ». Le second est la
réponse de
Mgr Viganò, qui dénonce clairement la tentative de mise en
place d'une
tyrannie mondiale et d'une religion mondiale « sans dogmes
ni morale »
promue par la franc-maçonnerie, à laquelle participent « des
cardinaux
et des évêques » et que « Bergoglio » aspire, dit-il, à
présider. » » (leblogde jeannesmits.blogspot.com).
Décidément, Mgr Viganô est une des manifestations des « deux
témoins » de l'Apocalypse.
« A l’occasion de la pandémie du coronavirus, Mgr Carlo
Maria Viganò,
ancien nonce apostolique aux Etats-Unis, a accordé plusieurs
entretiens
au cours desquels il n’hésite pas à remettre en cause les
erreurs
conciliaires, comme il le fait courageusement depuis
plusieurs mois
déjà. Loin de se contenter de constater des effets
dramatiques, le
prélat romain remonte aux causes et dénonce l’œcuménisme, la
nouvelle
liturgie, l’ouverture au monde et la collégialité
épiscopale. » (fsspx.news).
Mai 2020
29 mai
Voici
un événement que nous anticipions.
Le passage des comètes ont généré une série d’éjections de masses coronales (CME) de
classe B les 27 et 28 mai.
La
source est une tache probablement du cycle 25.
Cette tache sera visible d’ici 48 heures car il faut
attendre que le soleil se positionne face à la terre dans sa
rotation.
Une éjection de classe B est considéré comme mineur.
Seulement, au plus profond du minimum solaire, une telle
éjection
mérite l’attention des astronomes car le soleil a été sans
tache durant
les 27 derniers jours et pendant 120 jours en 2020.
La période du 24 mai au 31 mai est jusqu’à maintenant des
plus intéressantes au niveau des signes.
La prudence quant au signe dans le ciel. Voilà ce qui était
de mise depuis le 24 mai, car cette période n’est pas
terminée.
La Pentecôte était célébrée par un octave (et cette année
cette période
a commencé avec Notre-Dame Auxiliatrice, Secours des
chrétiens) dans le
rite traditionnel et il semble que le Ciel nous le rappelle
ainsi.
Nous avions avertit qu’une éjection de masse coronale
pouvait être pire
qu’une parhélie dans le ciel, si une de classe X se
présente.
Nous verrons, mais aujourd’hui 29 mai, c’est la frénésie
chez les astronomes.
Pour la première fois depuis 2017 (dernière M1 : 20 octobre
2017,
dernière X8.2 : 10 septembre 2017), le soleil a produit deux
éjections.
Les satellites observant le soleil ont détecté une CME de
classe M1 suivi d’une autre de classe C9.
Les deux venant de la même supposée tache qu’on ne voit pas
encore décrite ci-haut.
L’image de la NASA montre du matériel
éjecté avec puissance.
En
fait, ces deux éjections selon spaceweather.com pourraient
être plus
importantes qu’il semble parce que ces explosions ont été
éclipsées par
la limite supérieur nord-ouest du soleil, réduisant ainsi
leurs
apparentes intensités.
Ces deux éjections ne nous affecterons pas car le soleil ne
fait pas face à la Terre présentement.
Cependant, cela peut changer incessamment.
La rotation solaire amènera la tache en ligne plus directe
d’ici 48 heures, soit à la Pentecôte.
Les spécialistes attendent impatiemment de connaître la
géométrie et la polarité de la dite tache demain.
Ceci ne devait pas se produire...
28 mai
Nous
sommes dans un temps de pause, de renouveau et d’espoir
selon le monde judéo-maçonnique crée par l’élite.
Les idiots utiles appellent
cela « liberté » alors que ces aveugles ne voient pas l’étau
qui se
resserrent, en autant qu’ils retrouvent leurs vie de loisirs
et leur
gadgets électroniques.
« AM Valli énumère toutes
les
raisons qui font que nous sommes face à une authentique
révolution – à
entendre non pas dans le sens sociologique d’avancée, de
marche en
avant, d’agitation soudaine qu’on lui attribue souvent par
litote, mais
dans le sens de renversement brutal, violent, et même
sanglant, de
l’ordre établi, qui nous renvoie directement à 1793 et à la
révolution
bolchevique…
Je
ne
sais pas si et dans quelle mesure nous nous en rendons
compte, mais
avec cette histoire de coronavirus, nous sommes en pleine
révolution.
Nous
avons en effet tous les ingrédients d’une révolution, aucun
d’entre eux n’est exclu…
Toute révolution a besoin
d’un
récit, dont le but principal est d’exalter la valeur
suprême, de
légitimer le renoncement à la liberté, de dénigrer les
ennemis et
d’alimenter la terreur. C’est exactement ce que fait le
récit dominant
en ce moment, grâce au travail inlassable de la plupart des
médias.
Dans
notre
cas, avec les libertés et les droits, l’autre grande victime
de
cette révolution est l’État. En fait, l’État a longtemps été
un
mort-vivant, mais à ce stade, sa liquidation est complète.
S’il existe
encore formellement, c’est uniquement pour pouvoir être
l’exécutant
local de décisions prises ailleurs.
Et
nous
en arrivons à un autre ingrédient fondamental: les
révolutionnaires. Qui, dans notre cas, sont les grands
organismes
internationaux et supranationaux. Tout d’abord l’OMS, cette
Organisation mondiale de la santé qui ressemble de plus en
plus à un
gouvernement mondial, avec son organe de décision
(l’Assemblée mondiale
de la Santé) et ses directives capables d’étendre leur
influence
partout, passant par-dessus chaque pouvoir de décision
intermédiaire,
grâce à sa marque de fabrique, à savoir la Santé, qui est
devenue le
grand totem mondial, précisément l’idole suprême…
Inutile
de
dire que la révolution a besoin de ses chroniqueurs et de
ses
chantres, et nous les avons. Des pelotons de journalistes et
d’intellectuels travaillent depuis des semaines à dresser le
tableau de
la terreur, à renforcer le récit voulu par la révolution et
à présenter
les dissidents comme de dangereux ennemis qui, en tant que
tels, ne
peuvent que mériter le mépris et doivent être exclus de
l’assemblée
sociale…
La
nouveauté
réside dans le fait que l’Église elle-même (à de rares
exceptions près) a collaboré avec les révolutionnaires et a
même montré
qu’elle se voulait plus royaliste que le roi. Mais on aurait
pu s’y
attendre : puisqu’elle avait depuis quelque temps remplacé
Dieu par
l’homme, et la loi divine par la volonté humaine, il était
fatal que
l’Église s’incline devant les révolutionnaires de service…
Comme la révolution dévore
toujours ses enfants, on pourrait même terminer sur une note
d’espoir
et dire qu’après tout, il ne s’agit que d’attendre que les
Robespierre
de service finissent guillotinés. Mais, dans notre cas, ce
n’est pas si
simple. Nos Robespierre sont devenus intelligents et
travaillent dans
l’ombre. Et cette fois-ci, ils ont mis dans leur ligne de
mire non
seulement une nation et un peuple, mais le monde entier.» (benoit-et-moi.fr)
« Le Pape François priera
le chapelet samedi en mondovision.
Le
Pape
priera le Rosaire ce samedi 30 mai à 17h30 devant la Grotte
de
Lourdes dans les Jardins du Vatican, en lien avec de
nombreux
sanctuaires mariaux du monde…
Une
prière dédiée aux personnes marquées par la pandémie
L’initiative,
organisée
par le Conseil pontifical pour la Promotion de la Nouvelle
Évangélisation, impliquera des familles et des hommes et
femmes
représentant les secteurs les plus concernés et
particulièrement
touchés par la pandémie, à qui seront confiés les dizaines
de
chapelets. Seront ainsi présents des médecins et des
infirmières, des
patients guéris et des personnes endeuillées, un aumônier
d’hôpital et
une infirmière, un pharmacien et un journaliste, et enfin un
volontaire
de la Défense civile avec sa famille. Une famille qui a vu
naître un
enfant durant cette période difficile sera également
présente, pour
exprimer l’espérance qui ne doit jamais faillir et la
conviction que la
vie est plus forte que la mort.
«Aux
pieds
de Marie, à la fin du mois qui lui est consacré et certain
que la
Mère céleste ne manquera pas de l’aider, François placera
donc les
peines et les souffrances de l’humanité», explique le
Conseil
pontifical.
Les plus grands sanctuaires
des cinq continents, dont Lourdes (France), Fatima
(Portugal), Lujan
(Argentine), Guadalupe (Mexique), San Giovanni Rotondo et
Pompéi
(Italie), seront associésà cette retransmission… » (vaticannews.va).
Quel
affront.
D’un
côté,
François méprise la Sainte-Vierge en la traitant de «
métisse »
comme au 12 décembre dernier, en confirmant qu’Elle
n’est pas
co-rédemptrice, etc..
Et
de l’autre, il place les peines dues au coronavirus sur les
épaules de la Sainte-Vierge.
C’est
digne de ce personnage à la langue fourchue qui démontre
encore une fois l’utilisation du double langage.
Il
est surprenant que le rosaire le lui brûle pas les mains.
Il
confirme donc que lui et le Vatican sont parfaitement en
phase avec la dernière poussée du mondialisme
judéo-maçonnique.
Toute
les
initiatives sur le réchauffement climatique, sur les flux
migratoires pour remplacer les chrétiens européens, la
socialisation du
monde par le salaire universel, la nouvelle religion
œcuménique, et
lapandémie mondiale, sont érigés en dogmes et accrédités par
le chef de
l’église lui-même.
Il
n’y
a pas eu encore de signes visibles dans le ciel, ni de «
Grand
Éclair à l’Orient », mais il est sûr et certains que ces
signes
temporels qui ne font que confirmer la « grande prostituée »
de
l’Apocalypse, nous y mènent.
25 mai
Photo de
la ligne soleil-vénus-mercure-croissant de lune du 24 mai.
24 mai
En
cette journée de la fête de
Notre-Dame Auxiliatrice, Secours des chrétiens, François
continue dans
son voyage œcuménique vers la nouvelle religion mondiale et
lance l’
«année Laudato Si».
«
Le Pape François lance une année Laudato Si’
Du
24
mai 2020 au 24 mai 2021 aura lieu l’année Laudato Si’. Une
initiative annoncée par le Pape François après la prière du
Regina Cœli
du 24 mai, pour marquer les cinq ans de l’encyclique (vaticannews.va).
Sa prière, une prière
œcuménique socialiste, adressé au créateur.
Aucune
mention de la Vierge Marie aujourd’hui.
Il
a oublié que les prières de Caïn au Père sont toujours
demeurés vaines après son homicide.
Voici
sa « prière commune pour l’écologie intégrale » :
«
Dieu aimant, Créateur du ciel, de la terre et de tout ce
qu'ils contiennent.
Ouvre nos esprits et touche
nos cœurs, afin que nous puissions faire partie de la
création, ton don.
Sois présent pour les
nécessiteux en ces temps difficiles, en particulier les plus
pauvres et les plus vulnérables.
Aide-nous à faire preuve de
solidarité créative pour affronter les conséquences de cette
pandémie mondiale.
Rends-nous courageux en
acceptant les changements apportés à la recherche du bien
commun.
Maintenant plus que jamais,
que nous pouvons tous nous sentir interconnectés et
interdépendants.
Assure-toi que nous pouvons
écouter et répondre au cri de la terre et au cri des
pauvres.
Les souffrances actuelles
peuvent être les douleurs de l'accouchement d'un monde plus
fraternel et durable. »
Alors que:
«Consacrer
une
année entière à quelque chose suppose qu’il s’agit d’une
affaire
d’une importance et d’une gravité extraordinaires, et que
c’est
quasiment une question de vie ou de mort que tout le monde
prenne
conscience d’une réalité qu’il est désormais indispensable
de changer.
Mais c’est une autre chose que, comme Église, nous n’ayons
rien de plus
urgent que l’écologie intégrale…
Ce que je dis c’est qu’une
église installée dans le relativisme qui perd ainsi des
fidèles, dans
un monde qui subit chaque année des millions d’assassinats
d’enfants
dans le ventre de leurs mères et dans lequel la famille,
église
domestique, est soumise à une crise gravissime, consacrer
une année
d’une manière particulière à l’écologie me semble une façon
de nous
tromper. » (benoit-et-moi.fr).
Alors que:
Aujourd'hui,
24
mai 2020, jour de la fête de la Bienheureuse Vierge Marie
Auxiliatrice, c’est la prière écrite par Don Bosco dédiée à
la Vierge
qui est de mise.
Fin
des temps = urgence de sauver des âmes.
Sauver
les corps à la manière de François…
Il
n’y a plus de temps pour cela.
N’importe
quel
prêtre avec quelques connaissances théologiques est bel et
bien
capable d’identifier l’époque critique que nous vivons.
Pas
François.
Prière à Marie
Auxiliatrice, Secours des Chrétiens :
« O Marie Auxiliatrice,
bienheureuse Mère du Sauveur,
votre aide en faveur des
chrétiens est des plus valables.
Pour vous, les hérésies ont
été vaincues
et l'Église est sortie
victorieuse de tous les écueils.
Pour vous, familles et
individus ont été libérés
et préservés des malheurs
les plus graves.
Que ma confiance en vous
soit
toujours vivante, afin que, dans toutes les difficultés, je
puisse moi
aussi ressentir que vous êtes vraiment
l'aide des pauvres, la
défense des persécutés, la santé des malades, la consolation des affligés, le
refuge des pécheurs et la persévérance des justes. »
Saint Jean de Bosco
Les
signes dans le ciel:
Au coucher de soleil ce soir, vous pourrez observer une
ligne formée
par le soleil, la planète vénus, la planète mercure, et le
croissant de
lune.
Vénus pour les occultistes représente Lucifer, et le grand
maître de la loge bleu en franc-maçonnerie.
Les signes du ciel pour l'ennemi sont importants.
Quand vénus, le maître, se tient entre le soleil et la lune
L’Etoile du matin
où la Franc-Maçonnerie rite d’origine Vénusienne
20 mai
Le 18 mai dernier avait lieu la
célébration du 100ème anniversaire de Jean-Paul II.
Pourquoi?
François a célébré le fait
à la basilique Saint-Pierre devant la tombe de ce dernier.(vaticannews.va)
«
… devant la tombe du va-nu-pieds, éclatera le règne béni de
la Très
Sainte Vierge. Écoutez ses parole… » (prophétie de Jean
XXIII
concernant Benoît XVI).
Les deux comètes, la
situation
avec la pandémie, le climat de peur intentionnellement
généré par
l’élite judéo-maçonnique, l’hécatombe économique planifié
depuis
longtemps…
Et le grand titre du 18
mai : « Face à la COVID-19, le monde demande un vaccin
pour tous et une réforme de l’OMS. »
Nous sommes témoins du
dernier acte de l’ennemi. Il veut se faire Dieu.
Et son témoin a célébré le
centenaire de sa naissance devant son tombeau.
La question était déposée
depuis l’ouverture du site en 2011.
Pourquoi une caméra sur la
tombe de Jean-Paul II?
Nous devrions avoir la
réponse. Bientôt.
Autre coïncidence?
Le cycle 25 du soleil
serait commencé depuis le 16 mai, jour du centenaire de la
canonisation de Sainte Jeanne-D’Arc.
Une tache à la polarité
inversée correspondant au cycle 25 est en formation (photos
spaceweathergallery.com).
La
comète dans la comète : ainsi en est-t-il de la comète
ATLAS selon les dernières images publiées le 16 mai (spaceweathergallery.com).
Cette comète surprend les
experts par un comportement rarement vu dont nous pouvons
être témoins.
Il y avait eu la résurrection
de cette dernière après la fragmentation du 11 avril.
Cette dernière photo renvoie
l'image d'une Pentecôte, où l'Esprit accompagne et illumine
le noyau.
Demain, c’est l’Ascension
de NSJC.
Une autre coïncidence à
ajouter?
En référence à l’image de
la
femme de l’Apocalypse du 24 mai (image analyses précédentes)
où elle
écrase Vénus tout en ayant les deux pieds sur la lune,
voilant aussi le
soleil, avec les deux comètes en conjonction avec le soleil…
Demain donc, vous verrez
après le coucher du soleil, une conjonction entre la planète
Vénus et de la planète Mercure.
Pour ceux qui veulent aller
observer le ciel, voici où
regarder.
Le 24 mai, il y aura donc
une ligne formée par le soleil, le croissant de lune,
mercure, et vénus…
Et peut-être l’interaction
entre les deux comètes dans les mêmes parages.
15 mai
«La
comète que ne voulait pas mourir»
C'est
le
nouveau surnom de la comète ATLAS qui continue son voyage
malgré
tout ce qu'on a pu lire depuis le 11 avril, jour de sa
fragmentation,
Samedi Saint où le Christ au tombeau prépare sa résurrection
(photos
prises le 12 mai: spaceweathergallery.com).
En lien avec ce que nous
analysions il y a un mois, il y a bel et bien un signe de
résurrection indiqué dans le ciel.
Signe
d’Espoir? Signe de Foi?
Dans
un contexte assez particulier avec la «pandémie», faisons le
parallèle avec l’année 1920.
Celle-ci
pourrait nous donner quelques indications précieuses de la
période qui suivra le possible signe du 24 mai.
Nous
partons du principe de l’avertissement plus 3 années pour
voir se concrétiser cette dernière dans le monde temporel.
Nous
partons
aussi de l’hypothèse des 100 ans de règne de l’Antéchrist
commençant par l’avertissement de la Sainte Vierge à Fatima
commençant
le 13 mai 1917.
On
a
vu qu’en octobre 1917 avait lieu la révolution bolchévique
dont la
Sainte Vierge a avertie 3 mois à l’avance lors de son
apparition à
Fatima 13 juillet.
La consolidation du pouvoir
et du territoire russe est établit en 1920. Trois années
plus tard.
Quant
à la clique de la judéo-maçonnerie, ils jubilaient à Rome le
soir du 16 octobre 1917…
«
Lorsque les francs-maçons commencèrent à se démener de plus
en plus
effrontément et qu’ils eurent dressé leur étendard sous les
fenêtres
mêmes du Vatican, cet étendard où, sur un fond noir, Lucifer
foulait
sous ses pieds l’archange Michel, lorsqu’ils se mirent à
distribuer des
tracts invectivant contre le saint Père, l’idée se fit jour
de fonder une association ayant pour but de combattre
les
francs-maçons et d’autres suppôts de Lucifer …
À
l’occasion du deuxième centenaire de la fondation de la
maçonnerie
moderne, en cette année 1917, les francs-maçons se livraient
à
Rome-même à de sacrilèges parodies...
En
1917,
les francs-maçons qui s’exhibaient à Rome avaient aussi des
banderoles proclamant : « Satan doit régner au
Vatican. Le
pape sera son esclave ! » (leblogdumesnil.unblog.fr).
En pleine montée de
l’infiltration de la franc-maçonnerie au Vatican, Benoît XV
publie son encyclique Spiritus
Paraclitus le 15 septembre 1920, qui encourage les
fidèles à lire les Saintes Écritures.
Elle
soutient ainsi l'immunité parfaite des Écritures à l'égard
de toute erreur.
1920,
c’est aussi la fin officielle de la pandémie de la grippe
espagnole.
Pour
la
Fille Aînée de l’Église, la France, c’est la canonisation de
Sainte
Jeanne-D’Arc le 16 mai par Benoît XV, ce qui mène la Fille
Aînée de
l’Église à reprendre ses relations avec le Vatican en 1921.
2020
est donc une année de jubilé.
Un
cycle
de 100 ans donc qui commence avec Benoît XV sur le trône, et
se
terminera avec Benoît XVI sur ce dernier, en tant que
gardien spirituel
de la Sainte Église.
Ou,
selon les devises de la prophétie de St-Malachie, de la «
religion dépeuplée » à la « labeur du soleil ».
Ce
qui
correspond effectivement à un siècle du déclin de la foi
catholique, la grande apostasie, qui se terminera par un
Jugement par
le feu, par le soleil.
L’avertissement
d’un tel événement a été donné par le Ciel il y a 99 ans.
Du
13
mai (date importante de l’apparition à Fatima) au 16 mai
(date de la
canonisation de Sainte Jeanne-D’Arc), avait lieu une grande,
énorme
tempête géomagnétique déclenchée par une éjection de masse
coronaire
(CME) venant du soleil.
Aussi
fort que lors de l’événement de Carrington, la tempête
solaire de 1859.
C’est
un événement rare. Peu de gens connaisse l’histoire de la
tempête de 1921.
C’était
l’ère
du télégramme (on se rappelle que la comète ATLAS est un
fragment
de la grande comète de 1844, année de l’invention du
télégramme),
prouesse technologique aboutissant aujourd’hui au téléphone
dit
intelligent.
Le
triomphe de Satan par la technologie.
La
nouvelle religion humaniste prêche par ce système, par la
foi en la science.
Le
péché d’orgueil à son comble.
Cette
période
de 3 jours en 1921 fut ponctuée d’aurores boréales inédites,
visibles même dans des régions au sud qui ne voient que très
rarement
ce genre de manifestations dans le ciel.
La
tempête
solaire de 1921 fut tellement intense que l’induction
électrique dans les fils de télégraphie les firent
surchauffés.
Et
ils prirent feu… Et plusieurs bâtiments avec.
C’était
un événement mondial.
Les
services
de communication furent interrompus en Australie, au Brézil,
au Denmark, en France, au Japon, en Nouvelle Zélande, en
Norvège, en
Suède, au Royaume-Uni, aux États-Unis… Partout.
En
1921 c’était la fin du cycle solaire 15, cycle dont l’apogée
de l’activité solaire eu lieu…
Et
oui, en 1917.
Année
des apparitions de Fatima.
Cette
année fut déclarée comme étant le « début du maximum moderne
».
Le
soleil termine présentement le cycle 24…
24
comme…
24
mai et un soleil voilé par le signe de la Vierge?
Le
soleil
donne déjà des signes de début du cycle 25, ce qui devrait
être
officiel d’ici 5 mois, avec l’apparition de taches solaires
plus
importantes, et de façon plus régulière.
Inutile
de
s’imaginer les conséquences d’une tempête magnétique d’une
telle
ampleur pour une époque où l’ordinateur, qui fait la gloire
du système
666, est archi-dominant dans notre quotidien...
11 mai
«
Benoît XVI, interviewé par Peter Seewald, fait quelques
déclarations
qui mettent en lumière sa compréhension du renoncement à la
papauté
active. Dans le livre, il parle de la « dimension
spirituelle » de son état actuel et le définit comme
« mon
mandat ». Avec la renonciation, dit-il, il s’est
dépouillé de tout
« pouvoir juridique concret » et rôle de
gouvernement, mais a
conservé un « mandat spirituel ». » (benoit-et-moi.fr)
Voilà.
Benoît XVI confirme
lui-même qu’il est le Katéchon dont parle Saint-Paul.
Son rôle protecteur était
essentiel dans les 7 dernières années.
Le signe possible dans le
ciel du 24 mai serait le signal que cette période est
terminée.
L’extermination de l’impie,
celui qui le 5 mai dans son sermon affirme que tout va bien
quand le diable se démène, s’en vient.
« L'Église, a rappelé
François, «se situe entre les consolations de Dieu et les
persécutions
du monde». Et à une Église «qui n'a pas de difficulté il
manque quelque
chose» et «si le diable est calme, les choses ne vont pas
bien». » (vaticannews.va)
Il
n'y
a qu'une possibilité où « tout va bien », et selon les
commandements du Christ qu’il nous a légués, nous appelons
cela « Le
Royaume des Cieux ».
François confirme donc que
le diable lui-même est dans la demeure.
La comète ATLAS a repris de
la vigueur à la stupéfaction des astronomes.
Terry Lovejoy, chasseur de
comètes émérite (il en a 6 à son nom), a pris des photos
d’ATLAS du 5
au 9 mai où on peut voir la luminosité augmentée grandement.
(image- earthsky.org)
Le 24 mai c’est aussi la
144ème journée de cette année bissextile.
Cette période s’ouvre donc
avec la Solennité de la Vierge Marie le 1er janvier et se
termine par
la fête si importante de Notre-Dame Auxiliatrice, Secours
des chrétiens.
144.
Le
chiffre des justes.
NSJC a révélé qu’à la fin
des temps, que seul le signe de Jonas nous sera donné.
Ce peut être en relation
avec les derniers 3 jours de ténèbres, et cela peut-être
relié aux 3 dernières années.
Car depuis le 31 octobre
2016,
jour où François signe la déclaration avec les luthériens,
en passant
par le 14 novembre 2016 avec la publication des dubia et le
29 novembre
2016 par la clôture de la Porte Sainte de la Basilique
Saint-Pierre ,
on peut affirmer que le ciel s’est obscurci.
C’est la période « mon
Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné? », cette période
avant l’agonie de NSJC.
Cette période de 3,5 années
commençant en novembre 2016 nous pointe donc autour du 24
mai 2020.
Marie-Julie Jahenny avait
justement prophétisé en 1882 (en ce qui ressemble aussi
fortement à la crise du coronavirus)…
« Un
repos fort court suivra
cette grande entrée dans le mal qui sera complet, surtout
au Centre
(Paris) et dans les environs. Le 24 mai, il se passera entre les hommes
qui se disent vainqueurs et élevés en science, un éclat
qui ébranlera
cette Grande Ville où le sang a tant de fois
rougi le pavé et ce branle
ne s’apaisera pas. Tu sais que le nombre 14 a été choisi
par Moi. "
"
La seconde et
violente crise
commencera et ira jusqu’à 45 jours.
La France sera envahie jusqu’au
diocèse qui commence la Bretagne : la voix ajoute le
vôtre. La plus
forte armée va tomber sur Orléans et envahir des espaces
de terre que
je ne peux limiter, dit Saint Michel. D’un seul élan, ils
parviendront
jusqu’aux alentours de la Grande Ville (Paris). Ils n’y
pénétreront
qu’à la moitié de la crise, Amis de la Croix, lorsque
cette armée
pénétrera par la porte de la terre volée, elle aura un
renfort qui
secondera ce roi semblable à un tigre contre les Français.
Les éléments
les plus remarquables de son armée feront partie de
cette bande
qui vient de la porte d''Alsace. Ils fonceront sur le
centre, dans un
horrible ravage. Ils camperont en ce lieu, achevant la
ruine complète
de la pauvre France. »
07 mai
La renaissance de l’Église
après sa passion selon le catéchisme se termine par le
paragraphe 677 où
« L’Église n’entrera dans
la
gloire du Royaume qu’à travers cette ultime Pâque où elle
suivra son
Seigneur dans sa mort et sa Résurrection. Le Royaume ne
s’accomplira
donc pas par un triomphe historique de l’Église selon un
progrès
ascendant mais par une victoire de Dieu sur le déchaînement
ultime du
mal qui fera descendre du Ciel son Épouse. Le triomphe de
Dieu sur la
révolte du mal prendra la forme du Jugement dernier après
l’ultime
ébranlement cosmique de ce monde qui passe. »
Ce monde qui passe c’est
Babylone la grande, les deux Babylone identifiées par Jean
XXIII, les Nations-Unies et le Vatican.
Son
Épouse, l’Église descendra du Ciel.
C’est
la
femme enceinte de la nouvelle Église de l’Apocalypse avec
les pieds
sur la lune, voilant le soleil, représentée par Notre-Dame
de Guadalupe.
Le
Jugement dernier aura lieu APRÈS l’ultime ébranlement
cosmique!
Il
y aura donc un signe cosmique d’envergure.
Les
puissances des cieux seront ébranlés.
Le
mois
de mai, ce mois si important de Marie, a commencé avec ce
signe de
la comète SWAN le premier du mois, qui a expulsé un surplus
de gaz, ce
qui a fait craindre le pire aux astronomes, une
fragmentation, mais ce
n’est pas le cas (vidéo spaceweather.com).
En supplément des analyses
précédentes, peut-on donc logiquement associé la femme de
l’Apocalypse
au signe de la possible collision des deux comètes?
Nous
savons (voir analyses précédentes ) que la tilma (gloria.tv)
de Notre-Dame de Guadalupe regroupe les constellations
visibles dans le
ciel du Mexique lors de son apparition du 12 décembre 1531.
C’est normal puisque le
Mexique est situé près de l’équateur.
Mais puisqu’elle représente
Notre-Dame de l’Apocalypse, un signe de la fin des temps,
qu’a-T-elle
voulu nous indiquer par ces constellations? En cette fin des
temps?
Les rois mages, quand ils
ont
vu un signe inhabituel dans le ciel il y a plus de 2000 ans,
savaient
qu’il y avait un situation inédite qui se produisait, un
événement
qu’ils ne pouvaient connaître d’avance, mais ils ont eu foi
en leur
science du ciel et se sont mis en marche, pour découvrir le
Christ
naissant.
L’histoire est une question
de
cycles et nous assisterons à la renaissance de l’Église dans
les mêmes
conditions : par un signe dans le ciel.
Notre-Dame de Guadalupe
voile le soleil. C’est visible par les rayons qui dépassent
de chaque côtés de son manteau.
Elle a les pieds sur la
lune.
Donc la Sainte-Vierge nous
indique que nous devons avoir un soleil voilé, la lune en
position
précise sous ses pieds, et les constellations.
C'est
beaucoup!
Nous rappelons selon les
dernières analyses que le signe doit être aussi visible par
toute
l’humanité, ce qui n’est possible que si les signe suit la
course du
soleil.
Alors, où est la lune en ce
24 mai 2020?
Question cruciale puisque
la lune fait sa rotation autour de la terre en 28 jours.
La lune, si on se fit aux
aiguilles d’une horloge, se situe à 7 heures du soleil qui
est en Taureau.
Du point de vue d’un
observateur terrestre, il y aurait donc un croissant de lune
de cette forme au lever du soleil (exemple ici).
La
lune n’est pas visible au lever du soleil étant donné la
luminosité de ce dernier.. à moins d'avoir un soleil voilé!
Sur l’image du ciel du 24
mai,
on peut apercevoir les deux comètes dans leurs positions
approximatives
sans la collision anticipée, presque en conjonction avec le
soleil.
On peut voir la
constellation
du cocher qui sert de guide pour superposer l’image des
constellations
de Notre-Dame de l’Apocalypse (catholbel.be par exemple).
Et voilà, le mystère de la
femme avec les deux pieds sur la lune de l’Apocalypse se
révèle peut-être.
Est-ce une coïncidence ou
considérant les deux comètes présentes dans les mêmes
parages près du soleil, est-ce le signe du Ciel?
Car, tout concorde en cette
date unique, à ce temps de l'année seulement, avec les deux
comètes, et la lune en position exacte.
Nous saurons bientôt ce
qu’il en est.
Car
les
forces qui militent contre l’Église continuent la croisade
de la
fin des temps via le Haut-Comité pour la fraternité humaine.
Depuis la signature à Abu
Dhabi le 4 février 2019 du document sur la fraternité
humaine pour la
coexistence et la paix mondiale, signé par François et le
Grand Imam
d'Al-Azhar, ce comité met les bouchées doubles pour un
consensus sur
une nouvelle religion mondiale.
L’appel
a été approuvé le 3 mai par François et par le Secrétaire
général des Nations-Unies.
C’est
tout dire.
Cette
fois, il invite tous les croyants à une journée de prière et
de jeûne pour l'humanité le 14 mai contre le Covid-19.
Le
Comité invite les croyants à ne pas oublier de nous adresser
à Dieu lors de cette crise…
Pensez-vous
que Dieu aura une oreille sensible face à cette demande?
Aucune
mention du Christ ou une repentance de nos péchés dans cette
supplication.
Or,
un
pseudo pape qui prend les devants pour approuver cette
demande avec
les religions qui ne croient pas au Christ en tant que Dieu
incarné, à
quel Dieu s’adresse-t-il?
Nous
n’avons pas besoin de la réponse.
C’est
le même Dieu dont Jean XXIII nous décris les « fruits » via
la prophétie politique #30, le « livre maudit ».
Et,
le 14 mai, c’est la date favorite de la judéo-maçonnerie
(création d’Israël par exemple).
Tous
ces
chefs alors s’adressent à Lucifer, l’ange déchu, cet esprit
malin,
le loup qui s’est déguisé en mouton et qui conduit
l’humanité à
abattoir.
«
Dans le livre (note : la dernière biographie de Benoît
de Peter
Seewald), le pape émérite répond à quelques questions et
explique, par
exemple, cette phrase dramatique et énigmatique prononcée
dans
l’homélie du début de son pontificat : « Priez pour
moi, afin que
je ne fuie pas par peur devant les loups ». (Antonio
Socci, Benoît
XVI, le Katéchon. (benoit-et-moi.fr)).
« Chers amis croyants en
Dieu, le Créateur universel, nos frères et sœurs en humanité
partout… »
C’est
clair.
Personne
n'est exclu. Tout peut être cru.
Sataniste,
islamiste, bouddhiste, animiste à la sauce Pachamama, etc..
Cet
appel s'adresse à vous.
Par
contre…
«
Je crois en l’Église, une, sainte, catholique et
apostolique… » est
volontairement absent de l’esprit de François (crédo
catholique de
Nicée-Constantinople).
L’Antichrist
achève son œuvre. Il est au sommet de sa gloire.
Sa
chute est donc imminente…
En
synchronisation avec le signe du Ciel.
05 mai
LA
LABEUR DU SOLEIL
La
comète
ATLAS symbolise le dieu grecque qui supporte le monde (il
supporte la planète sur ses épaules), la maison commune,
l’humanisme.
Elle éclate en morceaux le 11 avril dernier, au Samedi
Saint.
La
comète SWAN apparaît le 11 avril et devient un signe de
perturbation, l’équilibre est rompu, le paradigme ne tient
plus.
Babylone
la grande ne sera jamais plus pareil.
Car
SWAN en français, c’est le « cygne », et le monde attendait
son « cygne noir », le coronavirus.
(fr.wikipedia.org – théorie du cygne noir).
Les deux sont dues pour une
rencontre le 24 mai.
À
part l’excès ou le manque de luminosité du soleil si le
signe a lieu,
quelle serait le phénomène qui apeurerait l’humanité, assez
pour amener
certains à la conversion?
Plus
qu’un signe visuel, la collision des deux comètes pourraient
produire un signe auditif.
Nostradamus
dans la centurie II-41 spécifie qu’il y aura un cri comme un
gros chien hurlant la nuit.
«
Le gros mastin toute nuict
hurlera ».
Une
explosion est toujours suivie d’une onde de choc sur une
masse d’air.
Or,
dans l’espace la matière est plus subtile.
C’est
une onde de plasma qui accompagne l’explosion.
Les
corps célestes émettent des sons, dont le soleil.
Un exemple frappant tout
récent peut nous être donné par la sonde spatiale parker
lancée en août 2018.
Et
en décembre 2019, la NASA a publié les différents sons des
vents solaires (parker probe NASA).
Celui
qui nous intéresse spécialement est le quatrième dans la
liste.
Le
« whistle mode wave one » qui sonne... comme un chien
hurlant.
Étant
donné
que le signe selon Nostradamus durerait 7 jours, serait-il
possible que ce hurlement ait effectivement la même durée?
Si
c’est
le cas, il devient assez évident que ceux qui n’ont pas la
capacité d’entrer en prière et en méditation seront atteints
de folie.
Cela
ressemble drôlement à des cris de démons.
Soyons
prêts et non surpris s'il y a lieu.
Aujourd’hui,
Peter Seewald publie sa biographie en allemand sur le pape
Benoît XVI.
Les
médias traditionnels fidèles à la nouvelle religion
humaniste n'ont pointé que les droits LGBT et l’avortement.
C'est
un lynchage médiatique.
Ce
qui est démontré dans l'article de Benoît et moi.
Or, ce que confirme Benoît XVI,
c'est que nous sommes en présence de l'Antichrist.
Il
n’y a pas de doute.
Il
identifie l’Antichrist au « système humaniste ».
Toute
personne
qui est contre les principes chers à François dont
l’immigration, le réchauffement climatique, les célébrations
païennes,
l’œcuménisme… est automatiquement « stigmatisée » et
identifiée comme
ennemi de la nouvelle religion.
C’est
exactement ce qu’affirmait le regretté Serge Monast dans ses
écrits.
La
seule différence c’est que tout s’est passé sous une forme
plus insinueuse, plus hypocrite.
«
La
société moderne est en train de formuler une foi
antichristique, à
laquelle on ne peut s’opposer sans être puni par
l’excommunication
sociale. Il est donc plus que naturel d’avoir peur de cette
force
spirituelle de l’Antéchrist, et il faut vraiment l’aide de
la prière
d’un diocèse entier, et de l’Église universelle pour y
opposer de la
résistance.» (Benoît XVI)
Lifesitenews révèle plus de
contenu de l'interview qui a servi à la biographie:
« Interrogé sur
l'affirmation
souvent répétée selon laquelle en tant que pape, il a
rencontré «de
nombreux blocages» pendant sa papauté de la part de la Curie
romaine,
le pape Benoît XVI a répondu: «Les blocages provenaient plus
de
l'extérieur que de la Curie. Je ne voulais pas simplement
promouvoir
avant tout la purification dans le petit monde de la Curie,
mais dans
l'Église dans son ensemble. » Expliquant plus en détail ses
pensées, il
a ajouté qu '«entre-temps, les événements ont montré que la crise de la foi a
conduit aussi spécialement à une crise de l'existence
chrétienne». C'est, a-t-il poursuivi, ce
que le «pape doit avoir devant ses yeux»...
Mais
la
véritable menace pour l'Église et avec elle pour le bureau
de
Petrine ne vient pas de telles choses, mais de la dictature
mondiale
d'idéologies apparemment humanistes. »
Contredire
cette dictature, a expliqué Benoît, cela «signifie
l'exclusion du consensus de base de la société».
C'est
dans ce contexte que Benoît a mentionné l'«Antichrist».
L'Église
catholique
enseigne qu'avant la glorieuse seconde venue du Christ,
l'Église passera par une «épreuve finale» qui «ébranlera la
foi de
nombreux croyants».
«La
persécution
qui accompagne son pèlerinage sur terre dévoilera le«
mystère de l'iniquité »sous la forme d'une tromperie
religieuse offrant
aux hommes une solution apparente à leurs problèmes au prix
de
l'apostasie de la vérité», déclare le Catéchisme de l'Église
catholique.
"La
tromperie
religieuse suprême est celle de l'Antéchrist, un
pseudo-messianisme par lequel l'homme se glorifie à la place
de Dieu et
de son Messie incarné", a-t-il ajouté.
Le
vénérable
archevêque Fulton J. Sheen dans un sermon radiophonique de
1947 a décrit l'Antéchrist comme un «grand humanitaire» qui
«parlera de
paix, de prospérité et d'abondance».
«L'antichrist
ne
sera pas ainsi appelé, sinon il n'aurait pas de disciples.
Il ne
portera pas de collant rouge, ne vomira pas de soufre, ne
portera pas
de lance ni n'agitera une queue fléchée comme Méphistophélès
à Faust »,
a déclaré Sheen.
«Notre
Seigneur
nous dit qu'il sera tellement semblable à lui-même qu'il
tromperait même les élus - et certainement aucun diable que
nous ayons
jamais vu dans les livres d'images ne pourrait tromper même
les élus.
Comment viendra-t-il dans cette nouvelle ère pour gagner des
adeptes de
sa religion? »...» (lifesitenews.com).
C'est très clair.
Benoît vient d’identifer
l'Antichrist et l'Antichrist personne sur le trône par le
fait même.
Il
vient de faire la séparation du bon grain de l'ivraie.
Il vient de définir la
ligne.
Pour
ou contre Mamon.
C'est
une étape extrêmement importante car il confirme la fin de
sa mission.
Sa
protection ne tient plus puisqu’il sait maintenant que cette
période du catéchisme a lieu maintenant.
Il
ne peut plus rien changer aux écritures.
Aujourd’hui,
en ce mois béni de Marie, Benoît XVI est apparu au grand
jour comme celui qui retenait le mystère d'iniquité.
Alors,
le katéchon n'a plus sa raison d'être car cette parole de
Saint-Paul s'applique maintenant:
«
Car le mystère d'iniquité s'opère déjà, mais seulement
jusqu'à ce que celui qui le retient encore paraisse au grand
jour.
Et alors se découvrira
l'impie, que le Seigneur (Jésus) exterminera par le souffle
de sa
bouche, et anéantira par l'éclat de son avènement. »
Benoît
XVI,
la « labeur du soleil » selon la prophétie des papes de
St-Malachie (voir analyse générale), est sur le point de
nous quitter,
avant le signe du soleil.
Le
sort réservé à la « gloire de l’olive », le prince de la
fausse paix, la bête de la mer, est l’extermination.
Les
deux prophéties concernant Benoît XVI et François vont
s’achever.
Et
François,
pour confirmer sans s'en rendre compte l'importance de ce
mois
de mai 2020, a célébrer la messe à Sainte-Marthe ce premier
mai en
présence de la statue de Saint-Joseph (pour lui patron des
ouviers, sa
manière à lui de célébrer sa foi socialiste; Notre-Dame à
Fatima nous
avait prévenu).
Pour
nous, la Sainte Famille est réunie.
Le
19, chiffre du Jugement (Saint-Joseph, Père adoptif de
l'Église, fêté le 19 mars) et uni au chiffre 5, le chiffre
de Marie.
Or,
rappelons nous..
Du
19 mars 2020 (intronisation de François) au 24 mai il y a
les 66 jours... Ce qui signifie la fin de la bête.
02 Mai
LE
SIGNE
La
comète ATLAS séparée en 4 noyaux étend ses fragments selon
la dernière mise à jour de la simulation des trajectoires
(NASA).
Le
noyau
principal demeure et passera à 376 km du soleil le 31 mai,
ce qui
est très peu face à la gravité du soleil. On peut donc
estimer que le
noyau principal se désintégrera ou plongera tout simplement
dans
l’astre du jour, s’il n’entre pas en collision avec la
comète SWAN.
Pour
les
noyaux maintenant qualifiés d’ATLAS B,C, et D par la NASA,
les
distances seront respectivement de 166052 km, 244861 km, et
404033 km.
C’est
donc
la preuve que le champs d’expansion d’ATLAS est vaste, et
qui d’un
côté augmente la probabilité d’une rencontre avec la comète
SWAN.
Il
faut
envisager la possibilité d’Éjections de Masse Coronaires
(CME)
venant du soleil en cette Pentecôte car même si les
spécialistes
confirment qu’il n’y a aucun lien entre la fin d’une comète
plongeant
dans le soleil et les CME, les dernières comètes à le faire
ont généré
de l’activité solaire de ce côté. Surtout que SWAN devrait
résister à
une collision partielle et qu’il y aura donc plusieurs
noyaux venant
des deux comètes autour du soleil.
Voici
la dernière photo de la comète SWAN (NASA).
Les astronomes sont déjà
étonnés par la longueur de la queue que vous pouvez observer
sur la
photo, ce qui est un signe que la comète SWAN est pleine de
gaz,
surtout de l’hydrogène.
Alors,
autre que la danse du soleil, que peut on anticiper comme
signe ?
Il
faut
se rappeler que la femme avec les deux pieds sur la lune
dans
l’Apocalypse entourée par le soleil (représentée par
Notre-Dame de
Guadelupe) voile effectivement le soleil.
Pour
avoir
une idée de l’ampleur que peut représenter la
collision de
deux corps célestes (juste le fait d’avoir deux comètes en
même temps
allant au soleil est déjà un signe exceptionnel), il faut se
rappeler
la rencontre de la comète Shoemaker-Levy 9 et de la planète
Jupiter.
C’était
le 16 juillet 1994 en la fête de Notre-Dame du Mont Carmel.
Selon
les déclarations glanées ici et là par les scientifiques de
la NASA ce fut « un appel au réveil pour l'humanité » (NASA : histoire complète avec
vidéos).
Pourquoi ?
Parce
qu’il
s’agissait de la « de la première collision de deux corps du
système solaire jamais observée, et les effets des impacts
de la comète
sur l'atmosphère de Jupiter ont été tout simplement
spectaculaires et
au-delà des attentes », a déclaré la NASA.
Ce
fut tellement fort que l’anneau rouge de Jupiter a fait une
rotation de 2 degrés après l’impact.
Si
la
comète avait frappé la Terre à la place, elle aurait pu
créer une
catastrophe atmosphérique mondiale, un peu comme l'événement
d'impact
qui a anéanti les dinosaures il y a 65 millions d'années.
C’était
un
grand réveil. Un avertissement aux humanistes de la maison
commune que la survie de la planète ne tenait qu’à un
fil.
«
La comète qui a battu Jupiter et secoué le Congrès...
Après que Shoemaker – Levy
9 a
fait des ravages sur la plus grande planète du système
solaire en 1994,
pendant un rare moment sur la Terre, la politique n'était
pas
paroissiale, mais astronomique. Son héritage politique et
scientifique
brille encore aujourd'hui… » (scientificamerican.com).
Cet impact a créé une tache
noire de plus de 12,000 km de diamètre, et il est
estimé que
l’énergie relâchée équivalait à environ
6,000,000 mégatonnes de
TNT (c’est 600 fois le montant de l’arsenal nucléaire
mondial).
À
comparer à la bombe H la plus puissante de
l’histoire de 50 MT, c’est immense.
La
peur est la mère de la prudence...
D’où
la
panique qui s’en ait suivi pour le lancement de plusieurs
programmes
d’observation d’objets célestes nuisibles par la suite.
Ce
qui n’existait pas auparavant.
Revenons
aux deux comètes qui nous intéressent.
Pour
avoir un signe vu de toute l’humanité, il faut une
collision.
Et
en
comparant les images de la référence de la NASA ci-haut, on
peut
voir que l’éclair de la comète frappant Jupiter est immense.
Assez
pour aveugler ou faire apparaître un deuxième soleil comme
dans la prophétie de Nostradamus.
Car
rappelons le, le signe doit être visible de jour.
Et
Jupiter n’est qu’une planète gazeuse.
Alors,
qu’elle serait la réaction entre les deux comètes?
Surtout
que c’est le premier voyage de SWAN vers le soleil selon les
experts Elle est donc pleine d’hydrogène.
C’est
ce que la Vierge Marie a prédit aux enfants de Garabandal en
1962.
«
On verra dans le ciel comme deux étoiles qui entreront en
collision
dans un vacarme épouvantable et beaucoup de lumière, mais
elles ne
tomberont pas. L’humanité sera effrayée. »
C’est
peut-être ce que Marie-Julie Jahenny a prédit ici :
« Mon
peuple, Mon peuple, Mon peuple, tes yeux vont voir le
commencement de
l’heure épouvantable, quand le froment en herbe ne sera
pas au
troisième nœud de sa croissance.
Au
moment
où Mon peuple n’aura plus qu’à s’armer de Foi et
l'espérance, encore en
la saison dure, pendant quatre heures - de midi à quatre
heures en
France - en des jours durs encore, le soleil aura comme un
voilement de
deuil ; Il sera obscurci, sans lumière.
Jamais
personne sur la terre ne pourrait croire aux noirceurs de
ces ténèbres.
La terre n’aura plus rien. L’œil sera voilé, sans qu’il
puisse voir le
moindre objet.
Mon
peuple,
ce sera le commencement des châtiments de Ma Justice.
C’est le
soleil qui annoncera ces douleurs : le ciel qui pleurera,
sans pouvoir
se consoler, parce que ce sera l’entrée du temps où les
âmes se
perdront, l’entrée, en un mot de l’épouvantable malheur.
Mon peuple,
cette obscurité couvrira la Bretagne l’espace de quatre
heures, mais il
n’y aura pas de mal... une petite frayeur simplement. Vous
n'aurez pas
peur ? » (5 octobre 1882).
Mais
cela ressemble plus aux trois jours des ténèbres qu’à un
avertissement.
C’est
l’après si on se fit aux phases du miracle du soleil à
Fatima décortiquées dans les analyses précédentes.
Avril 2020
29 Avril
AVANT LE SIGNE
L’image
de la comète ATLAS observée par le télescope Hubble le 23
avril dernier
a révélé qu’il n’y avait pas que quatre noyaux mais environ
30
morceaux éparpillés (NASA).
Qu’en penser?
Tout
dépend de la grosseur des fragments.
Les
chances
de voir une collision potentielle avec la comète SWAN sont
diminuées si ATLAS ne devient que poussières filants vers le
soleil.
Par
contre, 30 gros fragments viennent de multiplier par 30 la
possibilité d’un tel événement.
De
plus,
on peut voir sur l’image que des débris sont à la traîne, et
que
le champs de collision potentiel s’est considérablement
élargi.
La
comète ATLAS gardent tout de même 4 importants noyaux.
Mais
déjà, de voir ce phénomène juste avant la rencontre
potentiel avec la comète SWAN est en un sens… exceptionnel.
Les
voies du Seigneur sont impénétrables dit-on…
C’est
un événement tout de même très rare...
« ..."C'est vraiment
excitant
- à la fois parce que de tels événements sont super cool à
regarder et
parce qu'ils ne se produisent pas très souvent. La plupart
des comètes
qui se fragmentent sont trop faibles pour être vues. Les
événements à
une telle échelle ne se produisent qu'une ou deux fois par
décennie",..» (source NASA ci-haut)
Avec
la possibilité de ce signe extraordinaire dans le ciel le 24
mai donc,
nous pouvons avancer un scénario plausible par rapport aux
prophéties
de l’église de Jean XXIII.
Sans
en
connaître les dates exactes, nous pouvons anticiper les
échéances,
car pour avoir un signe le 24 mai, certaines conditions
doivent être
remplies :
Benoît XVI est le katéchon,
le protecteur qui retient le Ciel par sa prière.
Et
Saint-Paul (2 Thes. 2,8) annonce effectivement la fin du
mystère d’iniquité, c’est à dire François...
« … le
mystère
d'iniquité s'opère déjà, mais seulement jusqu'à ce que
celui
qui le retient encore paraisse au grand jour. Et alors se
découvrira
l'impie, que le Seigneur (Jésus) exterminera par le
souffle de sa
bouche, et anéantira par l'éclat de son avènement…
»
Un signe le 24 mai annonce
que la protection n’est plus, ou sur le point d’être
retirée.
Nous pouvons anticiper le
décès de Benoît XVI, et même peut-être avant le 13 mai, pour
les 103
ans de Fatima, car c’est la règle du + 3 années pour la
validation
(voir analyses précédentes).
Le tombeau de Benoît XVI
est déjà prêt depuis longtemps à la basilique Saint-Pierre.
Les funérailles auraient
lieu
sans foule étant donné le coronavirus, dans la basilique
comme lors du
Triduum Pascal, l’autel à l’entrée de la porte.
Or, la tombe de Jean-Paul
II est située à la droite de la porte, dans la chapelle de
Saint-Sébastien.
Ce sera le début du
triomphe
de Marie annoncé dans la prophétie de Jean XXIII, le signal,
l’appel à
la chute des deux Babylone, Vatican et Nations-Unies, de la
destruction
du ciment par la Terre.
Selon la prophétie
concernant
François, liée à la centurie des deux soleils de
Nostradamus, ce
dernier devra fuir (changer de terroir), ou cela veut tout
simplement
dire, décéder.
Ce serait cette période de
7 jours allant du 24 mai au 31 mai,
Il n’y aurait pas de
tombeau de libre pour lui à la basilique Saint-Pierre.
Il n’est plus pape, et cela
vient de lui, il a renoncé au titre de Vicaire du Christ.
Il ne serait pas surprenant
qu’il ait demandé à être enterré en Argentine. Pas de foule.
Pas de
funérailles étant donné le coronavirus.
« Ton
règne sera grand (dans le sens de la destruction
finale de l’Église) et
bref. Père, il sera bref mais il te mènera loin, dans la
lointaine
terre où tu es né et où tu seras enseveli.A Rome ils ne
voudront pas te
donner. »
Il peut s’agir aussi d’un
règne « bref » APRÈS le décès de Benoît XVI. Qui sait?
Nous serons au courant des
faits bientôt.
Pour François, Saint-Jean
avait déjà spécifié son destin (Apocalypse14 ) :
« Ecris
encore à l'ange de l’Église de Laodicée : Voici ce
que dit l'Amen,
le Témoin fidèle et véritable, le Principe de la création
de Dieu :
Je
connais tes œuvres : tu n'es ni froid ni chaud. Plût à
Dieu que tu fusses froid ou chaud ! Aussi, parce que tu es tiède
et que tu n'es ni froid ni chaud, je vais te vomir de ma
bouche. »
Selon la vision de Pie X,
François «fui» Rome sur les cadavres de ses prêtres :
c’est
l’apostasie générale (Jean dans l’Apocalypse à l’église de
Sardes
spécifie « Je connais tes
œuvres : tu as la réputation d'être vivant, mais tu
es mort. ». C’est
aussi la parabole du figuier stérile : les prêtres à la
moelle pourrie de l’intérieur.), et/ou
une
vision sans prêtre présent aux funérailles alors
qu’habituellement, c’est bondé sur la place Saint-Pierre
(voir par
rapport aux funérailles Jean-Paul II par exemple).
Il sera seul comme dans les
célébrations du Triduum Pascal où il était seul sur le
parvis de la basilique.
Étant donné le contexte du
coronavirus, il n’y aurait pas de conclave.
Le Vatican s’est soumis à
la république italienne.
Mais l’intérim doit être
assuré,
Ce qui reviendrait fort
probablement au dauphin de François, le cardinal Secrétaire
d’État,
Pietro Parolin, celui venant « des brumes » comme le
spécifie Jean
XXIII.
Après le signe de la
Vierge,
toujours dans ce contexte du coronavirus, il y aura cette
paix
prophétisée, le silence d’une demi-heure de l’Apocalypse à
l’ouverture
du 7ème sceau, après l'assassinat du père venant des brumes
(voir
prophétie concernant Jean XXIII).
Dans cette « longue paix
relative » depuis l’éclosion du coronavirus (elle pourrait
être aussi
courte que 14 jours par exemple), on oublie les guerres, on
oublie la
pandémie, car c'est le choc de la Pentecôte.
Mais la réalité des deux
Babylone rattrappe l'humanité avec sa pandémie au bout du
temps de paix.
Les
tensions avec l’Iran sont toujours présentes.
Il n’y a jamais eu autant
de
nations réunies autour de la Syrie en même temps :
Russie,
Turquie, Iran, États-Unis, Israël, France, Grande-Bretagne,
etc.
Tout
près de Meddigo, en Israël.
Parolin devra empêché une
guerre. Il ira rencontrer le « grand frère à la croix
renversée sans
les lis » et ne reviendra pas vivant.
Toujours pas de conclave dû
au
contexte du coronavirus. Plus de Père, les frères veulent
tous être
Père confirme Jean XXIII, donc signe de confusion.
La « longue paix relative »
en a effet fait oublié le grand frère crucifié renversé sans
les lis.
Et
tout bascule...
27 Avril
L'ARCHE MARIE
PARTIE V
LA
PENTECÔTE
En l’honneur de Notre Sainte
Mère, la Vierge Marie.
Que
ce 5ème mois qui lui est consacré soit celui où l’Esprit de
son Fils nous inonde de sa lumière.
Ouvre
les yeux. Réveille toi. C’est l'heure.
La
comète ATLAS est maintenant divisée en 4 noyaux (vue au télescope Hubble –
spaceweather.com), ce qui augmente la probabilité d’une
collision avec la comète SWAN.
Comme plusieurs
l’anticipent,
un signe d’une durée de 7 jours du 24 au 31 mai nous amène à
la
Pentecôte, soit le 50ème jour après la résurrection,
le chiffre
du jubilé, de la remise des dettes et des fautes selon la
tradition
dans l’ancien testament, le chiffre qui suit évidement la
limite du
diable, le 49.
Allons-nous
assister à la résurrection des deux témoins?
Car
il peut effectivement s’agir d’une période de réveil, du «
grand réveil ».
Si
le
signe dans le ciel peut-être expliqué par la science, et ce
serait
le cas n’en doutons pas, pour Malachi Martin il s’agit de la
preuve de
l’existence de Dieu.
Ce
constat ne peut venir que de deux faits :
Premièrement,
tout
comme le miracle du soleil en octobre 1917, les justes
verraient
dans le ciel la Sainte-Famille, suivit de Notre-Dame du
Rosaire,
Notre-Dame des Sept Douleurs, et de Notre-Dame du Carmel, et
seraient
donc confortés dans leur foi.
L’autre
possibilité
est l’expérience d’un mini jugement donné par le Père dans
toute sa miséricorde, comme temps de pénitence, pour changer
de voie et
sauver ainsi son âme.
Ce
serait la Pentecôte pour tous.
Ainsi
ceux
qui ont cultivé leur foi inébranlable seront encore plus
convaincus, les tièdes auront la chance de faire grandir
leur foi pour
le petit peu de temps qui leur reste, et les athées et les
apostats
retourneront à leur vie normale post-coronavirus sous la
tutelle des
deux Babylone.
Il
se
peut que cela soit la résurrection des deux témoins de
l’Apocalypse,
la résurrection de la loi et les prophètes, les deux
candélabres, les
deux oliviers, qui se mettront à prophétiser tout comme les
apôtres
l’ont fait il y a deux milles ans.
Ce
serait là le signe de la Vierge, comme l’a spécifié le père
Malachi Martin.
Celle
qui a fait descendre les langues de feu du Saint-Esprit sur
les apôtres à la Pentecôte.
Ce
que leur avait anoncé NSJC :
«
Un jour qu'il était à table avec eux, il leur recommanda de
ne pas
s'éloigner de Jérusalem, mais d'attendre ce que le Père
avait promis,
" ce que, leur dit-il, vous avez appris de ma
bouche ; car
Jean a baptisé dans l'eau, mais vous, sous peu de jours,
vous serez
baptisés dans l'Esprit-Saint. "
Eux donc, étant réunis, lui
demandèrent : " Seigneur, le temps est-il venu où
vous
rétablirez le royaume d'Israël ? "
Il leur répondit :
" Ce n'est pas à vous de connaître les temps ni les
moments que le
Père a fixés de sa propre autorité.
Mais lorsque le
Saint-Esprit
descendra sur vous, vous serez revêtus de force et vous me
rendrez
témoignage à Jérusalem, dans toute la Judée, dans la
Samarie, et
jusqu'aux extrémités de la terre. » (Actes des apôtres
1,8).
C’est
bien
ce qui est dans les prophéties politiques de Jean
XXIII :
contrairement à ce que nous pensions, fautes d’autres
indices, le «
Grand Éclair à l’Orient » n’est peut-être pas une
explosion
terrestre quelconque dû à une guerre.
Le
signe pourrait venir des deux comètes, ATLAS (divisée
maintenant en 4 noyaux) et SWAN (très compacte) qui se
rencontrent.
«
Vous n'entendrez pas le tonnerre, lui aussi sera imprévu. »
Qui
sait maintenant que deux comètes se dirigent l’une sur
l’autre?
À
moins d’une surprise, ce ne sera pas dans les médias, trop
occupé par la pandémie.
C’est
peut-être même voulu.
Donc,
aucun indice : « vous
n’entendrez pas le tonnerre. »
Or,
on sait que le tonnerre annonce l’éclair.
Et,
selon les dernières nouvelles, le dictateur Nord Coréen est
décédé.
Serait-ce
l’une des deux conditions reliées à la prophétie?
«
... Ceci arrivera quand en
Orient sera mort un chef... »
Cette
perspective est aussi reliée au signe de la Vierge… À une
nouvelle Pentecôte.
«
Mais aussi de grandes
processions et la Vierge Heureuse descendra sur terre.
Vous ne la verrez pas dans la grotte, mais dans
un cœur qui revivra. Depuis
les ténèbres, elle apportera la parole que tous
comprendront. » (fin de la prophétie «
Grand Éclair en Orient »).
Dans
la prophétie de l'Église finale, Jean XXIII spécifie bien
que « tous parleront la même langue ».
Or,
après la Pentecôte, tous les gens de toutes les régions
d'Israël comprenaient leur langue.
Le
signe de la Vierge, c’est aussi la prophétie politique la «
Foudre en Plein Jour ».
Ce
que
nous avons décrit dans la partie IV du signe de la Vierge
Marie est
un phénomène qui doit absolument avoir lieu le « jour » pour
être
visible par toute la terre, soit de suivre le soleil, qui se
lève à
l’Orient!
Lors
de
la Pentecôte, les apôtres, « après avoir entendu un bruit
étonnant,
virent apparaître des langues de feu qui se posèrent sur
chacun d'eux. »
Et
la Pentecôte, ce n’est pas uniquement un événement du passé.
Pierre, le premier a
prophétisé après cette extraordinaire illumination et
d'annoncer
l'éventuel 3 jours des ténèbres avant le retour glorieux de
NSJC :
«
Alors Pierre, se présentant avec les Onze, éleva la voix et
leur
dit : " Juifs (note : aujourd’hui :
chrétiens), et
vous tous qui séjournez à Jérusalem (aujourd’hui Rome, qui
domine
Babylone : la terre), sachez bien ceci, et prêtez
l'oreille à mes
paroles :
Ces
hommes
ne sont pas ivres, comme vous le supposez, car c'est la
troisième heure du jour (note : indice de la
résurrection des deux
témoins après trois jours).
Ce
que vous voyez, c'est ce qui a été annoncé par le prophète
Joël :
" Dans
les
derniers jours, dit le Seigneur, je répandrai de mon Esprit
sur
toute chair, et vos fils ainsi que vos filles
prophétiseront, et vos
jeunes gens auront des visions, et vos vieillards des
songes.
Oui,
dans ces jours-là, je répandrai de mon Esprit sur mes
serviteurs et sur mes servantes, et ils prophétiseront.
Et
je
ferai paraître des prodiges en haut dans le ciel, et des
miracles en
bas sur la terre : du sang, du feu, et des tourbillons
de
fumée ; le soleil se changera en ténèbres, et la lune
en sang,
avant que vienne le jour du Seigneur, le jour grand et
glorieux.
Alors
quiconque invoquera le nom du Seigneur sera sauvé. »
22 Avril
L’ARCHE MARIE Partie IV
LE SIGNE DE LA
VIERGE : LA CROIX ET L'ARC-EN-CIEL.
Le
pape
renouvelle ses vœux humanistes à la mère terre en ce jubilé
de la
50ème journée mondiale de la terre, dans la pure lignée de «
Laudato Si » :
«Nous
avons
péché contre la terre, contre notre prochain, et en
définitive
contre le Créateur, le Père bon qui fournit ce qu’il faut
pour chacun
et qui veut que nous vivions ensemble en communion et
prospérité».
«Dieu pardonne toujours, nous les hommes nous pardonnons
parfois, mais
la Terre ne pardonne jamais»...
«En
ce
temps pascal de renouveau, engageons-nous à aimer et
apprécier le
magnifique don de la terre, notre maison commune, et à
prendre soin de
tous les membres de la famille humaine. Comme frères et
sœurs que nous
sommes, supplions ensemble notre Père céleste :
“Envoie-sur nous
ton Esprit et renouvelle la face de la terre”» (vaticannews.va).
Le péché envers le Père
passe par le péché écologique qu’il veut instituer.
De
la pure doctrine luciférienne.
Le
péché est de ne pas reconnaître le Christ comme Notre
Sauveur, d’avoir sombré dans l’apostasie.
Le
seul chemin vers le Père, c'est le Christ.
Ses
prières sont vaines. Le Ciel est sourd à cause de nos péchés
répétés à ne pas agir selon les commandements du Christ.
Il
n'a
pas compris. Il continue d'envoûter. Il ne comprends pas que
c'est
le temps de la parabole du figuier aux rameaux tendres.
L'important
est de sauver des âmes. Demander pénitence.
Il
n'y plus de temps pour vivre en « communion et prospérité ».
Nous
avons eu 2000 ans, une génération pour le faire, et c'est
terminer.
Babylone
est vouée à la mort. La grande prostituée également.
Nous
ne pouvons remettre le soin de notre âme entres les mains de
cet imposteur, la bête de la mer.
Cette
imposture est tellement flagrante que l’humanité dopé à la
peur du coronavirus ni voie rien.
Cette
semaine,
la bête de la terre a convoqué par vidéoconférence les six
responsables
des religions en France ainsi que les responsables des
grandes loges
maçonniques.
Et
oui, les loges maçonniques sont parties intégrantes de la
religion à leurs yeux.
Nous
savons laquelle.
Puis
la bête de la terre et la bête de la mer ont discuté pour
démontrer leurs convergences.
C’est
normal puisque ils servent le même maître et qu'ils
atteignent le but final.
« Solliciter,
dès
lors, un entretien avec le pape, explique-t-on encore à
Paris,
était naturel puisqu’il s’agit de travailler à une
mobilisation
internationale où la «voix» de chaque «grande conscience»
planétaire
compte, en vue de «créer des convergences». (lefigaro.fr)
Tout
a été démontré.
Nous
n’avons plus besoin de preuves.
La
coupe déborde.
Le
Ciel est sur le point de nous rappeler à l’ordre.
Par
le Signe de la Vierge au mois de mai.
Si
nous
avions besoin d’une autre preuve que nous y sommes vraiment,
la
promesse de la Sainte Vierge faite aux enfants à Fatima en
1917 est
réalisée :
« Au Portugal se conservera
toujours le dogme de la Foi ».
Or, dans cette crise du
coronavirus qui est moindre au Portugal, les messes et les
sacrements pourront reprendre le 1 mai.
Retour au Signe de la
Vierge :
On l’a spécifié dans
l’analyse précédente.
Le signe de la Vierge doit
être vu par toute la Terre et de tous les peuples.
Or, la position des deux
comètes (ATLAS divisée et SWAN) à proximité du Soleil le 24
mai permet
à toutes les nations de voir ce signe, si c’est l’intention
de la
Sainte Vierge.
Ce
n’est pas qu’un signe céleste confiné qu’à l’hémisphère sud
ou nord.
Or,
l’humanité
est dans une situation idéale pour observer et voir un
signe car toute activité est arrêté à cause du confinement
dû au
coronavirus.
Et
le moment est aussi opportun face à l’affront de Satan, où
le sacrifice et l’oblation sont arrêtés.
Et
on le répète, une telle situation ne se représentera plus.
Pensez-vous
que la clique judéo-maçonnique va permettre le retour des
messes catholiques?
Si
c’est le cas, ce sera la messe œcuménique de commémoration à
la sauce François, qu’il devrait bientôt annoncer.
Le
signe est donc très significatif en cette période critique.
Les
deux comètes seront dans la constellation de Persée, un peu
à gauche et en haut du soleil, presque en conjonction.
Pour
que
le signe soit visible par tous, il n’y a qu’une condition
possible : il doit obligatoirement être associé au
soleil, visible
par tous, de jour, et le suivre.
Mais
des comètes visibles de jour, c’est pratiquement impossible.
Revenons
donc aux deux comètes présentes.
Personne
(ou on le nous cache) n’a vu jusqu’à maintenant que les
trajectoires d’ATLAS et de SWAN s’entrecroisent.
C’est
l’histoire
de l’idiot qui regarde le doigt au lieu de la lune lorsque
le sage la pointe parce que les astronomes ne regardent que
l’une ou
l’autre des comètes.
La
probabilité d’une telle rencontre est pratiquement nulle,
surtout que cela se passera à proximité du soleil.
Mais
quand « Dieu a d’autres plans » c’est possible.
Voici
les images superposées des deux comètes avec les
trajectoires anticipées par la NASA.
La
date : le 21 mai 2020, jour de l’Ascension de Notre
Seigneur.
ATLAS
vient
d’en haut et descend vers le soleil et SWAN passe à droite
de la
planète mars et se dirige vers le haut. Les deux points sont
très
proches.
Or, deux corps célestes qui
s’approchent un de l’autre sont influencés par la gravité.
Donc, un attire l’autre.
Et,
ATLAS étant divisée en trois parties depuis le 11 avril ne
fait qu’augmenter la probabilité d’une collision
potentielle.
Quelle
est
la conséquence d’une collision, même partielle entres deux
comètes
(phénomène jamais observé par l’astronomie moderne)?
Selon
les
physiciens, une collision frontale aurait comme conséquence
que «
les comètes se désintégreraient très probablement en
morceaux plus
petits. De plus, la grande quantité d'énergie thermique
produite par la
collision peut être capable de vaporiser la glace en eau
gazeuse, et
peut également produire des particules de verre à partir de
la fusion
des particules de roche.»
Mais même s’il n’y pas
collision, l’expansion des gaz et des particules de deux
comètes
s’approchant du soleil au même point peut produire un voile
spatial.
On
a tous déjà assisté ou presque au phénomène de parhélie par
une froide nuit d’hiver.
Le
soleil se réfracte au travers les nuages hauts nommés cirrus
et deux autres soleils apparaissent alors de chaque côté (image).
Or, un soleil au centre et
deux autres de chaque côtés donnent…
Une
croix.
On
connaît tous ce voile nuageux formé de cristaux de glace.
La
collision
des deux comètes auraient donc pour effet de solidifier des
particules de verre qui pourraient produire le même
phénomène de
réfraction de la lumière solaire, comme à travers un prisme.
Regardez
de
nouveau l’image ci-haut et vous verrez que la position de la
collision des deux comètes est en ligne directe
terre-soleil.
Un
voile aurait le même effet que la lumière à travers un
prisme: elle est déviée.
Un
phénomène de parhélie spatiale est donc du domaine du
possible.
Et
que se produit-il dans le ciel près un orage lorsque la
lumière solaire passe à travers les gouttes d’eau?
Un
arc-en-ciel.
Ce
qui
est du domaine des deux miracles de la danse du soleil
expliqués le
21 avril, celui de Fatima en 1917 et celui de Tre Fontana en
1980 (il y
a 40 ans cette année, ce qui représente les 40 jours au
désert).
On
se rappelle qu’à Fatima qu’il était permis de voir le
soleil sans avoir mal aux yeux.
C’était
un phénomène local.
Ici,
nous aurions droit à un phénomène mondial.
Il
y a eu trois phases dans le miracle du 13 octobre 1917 à
Fatima :
-
Apparition des couleurs lors de la « danse du soleil »
- Une pause où « le soleil
s’arrêta »
- Puis la chute du soleil à
la toute fin.
On
peut y associer facilement les phases suivantes par rapport
aux prophéties :
-
Avertissement ou action de grâces de la Sainte Vierge
- Pause de réflexion, de
conversion, temps de paix court ou long
- Suivi de la purification
par le feu.
Or,
le
nombre de jours entre le 10 avril (Vendredi Saint) et le 13
mai 2020
(103 ème anniversaire de Fatima, où la bête de la mer qui
singe le 5 de Marie par le 5ème anniversaire
de « Laudato Si »
sera contré en ce mois de Marie) est de 33 jours!
Le
chiffre parfait.
Le
chiffre du Christ.
Et,
le
nombre de jours entre les 7 ans complétés de la bête de la
mer, soit
le 19 mars 2020, jour de la fête de Saint-Joseph, et la fête
de
Notre-Dame Auxiliatrice le 24 mai, est de 66 jours!
Le
chiffre de l'homme.
Le
19 est le chiffre du jugement.
Et,
le
13 mars 2013 au soir, l'annonce de la traditionnelle fumée
blanche
est apparue à 19 h 6, confirmée peu après par la
sonnerie, à
toute volée, des six cloches de la basilique : encore
le 19,
chiffre du Jugement et le 6 de l'homme.
Ce signe de la Sainte
Vierge
si on se fit à la centurie (II-41) de Nostradamus, et
ce signe durerait 7
jours.
Centurie
II-41:
La
grand estoille par sept jours bruslera,
Nuée fera deux soleils
apparoir,
Le gros mastin toute nuict
hurlera,
Quand grand pontife
changera de terroir.
Et
ce phénomène marque la fuite de François.
La centurie II-15 précise
aussi le moment :
«Un peu devant
monarque trucidé ?
Castor Pollux
en nef, astre crinite :
L'erain public par
terre & mer vuidé,
Pise, Ast, Ferrare, Turin terre
interdicte.»
Un
peu
avant que le pape soit assassiné (Pietro Parolin), l'église
auras
deux frères (deux papes), alors on verra l'étoile chevelue
(la comète),
par terre et mer (les armées ennemies) pilleront l'argent
public, les
villes italiennes de Pise, Ast, Ferrare et Turin seront
terre interdite
(exactement ce qui arrive par le coronavirus en Italie et
par
l’hécatombe économique en train de se produire).
Confirmons
avec les dires de Malachi Martin (voir introduction de
l’analyse du 21 avril) :
- Ce sera un choc pour tout
le
monde : effectivement le monde n’en a que pour le
coronavirus en
ce moment. Ce sera toute une surprise.
-
Cela montrera que Dieu
existe: la probabilité qu’un tel événement arrive est
pratiquement
nulle. Seul l’intervention de la Main Divine le permet. Les
chrétiens
reconnaîtront le signe. Les tièdes hésiteront. Les athées et
les
apostats idolatront la science.
-
Lorsqu'un jour de printemps : en effet, c’est au
printemps.
-
Vous verrez dans le ciel un
signe, comme une aurore boréale : comme un voile de
différentes
couleurs, comme celles de l’arc-en-ciel… Ou une croix dans
le ciel.
-
Tout commencera…
Tout concorde.
Tout
pointe sur le 24 mai.
Un
signe
qui rappelle la parabole du figuier où Jésus nous affirme
que la
vision des rameaux tendres nous confirme que l’été est
proche.
Or,
du dimanche des rameaux 2020 au 24 mai il y a 49 jours.
Le
chiffre de la limite du diable.
Ce
qui
confirme que lorsque nous verrons ce signe dans le ciel nous
saurons que le Fils de l'homme est proche, qu'il est à la
porte.
21 Avril
L’ARCHE MARIE
Partie III
LE
SIGNE DE LA VIERGE
Malachi Martin qui avait lu
le troisième secret de Fatima déclara en 1997 que «
le grand facteur déclenchant aura lieu dans le ciel.
Observez toujours le ciel. Le
signe de la Vierge apparaîtra dans le ciel, et
c'est pour bientôt. D'ici les 10 ou 20 prochaines années.
Ce sera un choc
pour tout le monde. Cela montrera que Dieu
existe. Lorsqu'un jour
de printemps, vous verrez dans le ciel un signe,
comme une aurore
boréale, tout
commencera... »
Malachi Martin précisa
aussi à propos du 3ème secret : « Cela
concerne
la perte de la foi au sommet de L’Église, et que les
cardinaux
s’opposeront aux cardinaux, les évêques aux évêques ».
Le prêtre jésuite ajoutera : « Et
le dernier pape sera sous le contrôle de Satan. »
Quel était le signe de la
Vierge?
Il s’agit bien-sûr du
miracle du Soleil à Fatima!
Seul miracle où la date a
été donnée d’avance.
Soeur
Lucie :
« Ce
fut
alors que l'on put regarder parfaitement le soleil, rapporte
le
père de Jacinthe et de François, sans en être incommodé. On
aurait dit
qu'il s'éteignait et se rallumait, tantôt d'une manière,
tantôt d'une
autre. Il lançait des faisceaux de lumière, de-ci, de-là, et
peignait
tout de différentes
couleurs : les arbres, les gens, le sol, l'air.
Mais la grande preuve du miracle était que le
soleil ne faisait pas mal aux yeux. »
Donc, ce signe
qualifié de « choc pour tout le monde » doit être
obligatoirement :
- Un événement que nous
pouvons relier au miracle du Soleil du 13 octobre 1917.
- Vu partout sur la Terre.
- Reconnu par tous comme un
phénomène anormal et non pas seulement par les chrétiens
réveillés.
Il y a déjà eu une autre
occasion où ce phénomène s’est reproduit localement et qui a
son importance.
Ce
fut
le 12 avril 1980, en commémoration du 33e anniversaire de
l'apparition (le 12 avril 1947) de Tre Fontane qui ont mené
au dogme de
l’Assomption par Pie XII.
Plusieurs
milliers
de personnes réunies aux Tre Fontane assistèrent à un
"miracle
du soleil". L'astre se serait mis en mouvement et le ciel
serait devenu bleu, violet
puis rose.
Les deux phénomènes ont un
point en commun : des couleurs comme l’arc-en-ciel.
L’arc-en-ciel
c’est l’alliance entre Dieu et son peuple après le déluge.
L’arc-en-ciel,
c’est
le pont marial de 5 mois, le chiffre de la Sainte Vierge, de
Notre-Dame du Rosaire le 13 mai 1917 à Notre-Dame du Mont
Carmel le 13
octobre 1917.
Il
y
a 153 jours du 13 mai au 13 octobre et on le sait (voir
analyses
précédentes), c’est le chiffre des justes, du jubilés des
jubilés de
Saint-Augustin.
Or,
il
y a aussi 153 jours du 19 mars, Fête de Saint-Joseph, au 19
août,
date où la l’apparition a été décalée à Fatima parce qu’on
avait
enfermé les enfants le 13 août.
Et
il est clair qu’à la fin des temps, la Sainte Famille a
toute son importance car Joseph
est Père de l'Église.
C’est
ce qu’ont vu les enfants le 13 octobre 1917.
L’arc-en-ciel,
c’est le signe bafoué par Satan, maître de l'inversion.
Il
s’en
est approprié comme signe des droits LGBT et maintenant
comme
signe « humaniste » comme victoire future de la science face
au
coronavirus.
L’autre signe en relation
avec le soleil est tiré de l’Apocalypse : « puis
il
parut dans le ciel un grand signe : une femme revêtue
du
soleil, la lune sous ses pieds, et une couronne de douze
étoiles sur sa
tête. »
Et
on sait grâce à la Tilma que c’est la Vierge de Guadelupe
avec comme fond les constellations du Ciel.
C’est
le
signe qui marque le début de l’action de la Sainte Vierge
donné par
Jean XXIII dans la fin de la prophétie de l’église
concernant Benoît
XVI : « éclatera le
règne béni de la Très Sainte Vierge ».
Il y a deux parties au
miracle
d’octobre 1917, entrecoupées d'une pause du soleil : la
danse du soleil avec ses couleurs et le soleil
qui fonce sur la Terre, la Babylone, la purification par le
feu.
Pendant
que
la foule voyait le miracle, les trois voyants eux
assistaient aux
apparitions de la divine famille. Et la dame en blanc révéla
qu’elle
était Notre-Dame du Rosaire, puis est apparu comme
Notre-Dame des Sept
Douleurs et finalement comme Notre-Dame du Mont Carmel.
Remarquez
bien.
Ceux
en
état de grâce voient la Sainte Famille et les trois
Notre-Dame
source de Salut. Cela représente le petit reste
d’aujourd’hui, les
144000 élus de l’Apocalypse.
Le
reste
de la foule, signifiant aujourd'hui Babylone athée et
apostate,
ne voit que la danse du soleil avant la chute de ce dernier.
Signe
d’espoir pour les uns, signe de purification pour les
autres.
Aucun
doute,
c’est le signe de la Vierge et c’est elle qui nous donne les
armes pour lutter en cette fin des temps : le
rosaire (ND du
Rosaire) et le scapulaire (ND de Carmel), tout en confirmant
qu’elle
est « corédemptrice » (ND Sept Douleurs).
Or, le 13 octobre 2020
ce
sera le 103ème anniversaire du miracle du Soleil, et on le
sait (voir
analyses précédentes), c’est l’aboutissement par le chiffre
de la
trinité, le 3, additionné aux 100 ans donnés par le Christ
(vision de
Léon XIII) depuis 1917.
Or, curieusement, la 103ème
devise des prophéties des papes de Saint-Malachi est « Ignis
Ardens »,
ou Feu Ardent, est celle du pape Saint Pie X, gardien de la
tradition,
symbole des deux témoins que sont la loi et les prophètes
des derniers
temps.
Elle est précédée de la
102ème
devise « Lumen in Caelo » (Lumière dans le Ciel) attribuée
à…. Léon
XIII qui nous a laissé la prière de Saint-Michel Archange
pour cette
occasion spécifique.
Deux figures dominantes des
derniers temps : les deux témoins et la prière de
Saint-Michel
Archange, contre l’église conciliaire sous la domination de
Satan.
Et Lumière dans le Ciel,
c’est ce que nous risquons de voir en cette 102ème année de
Fatima qui se termine le 13 mai 2020.
Nous savons par les
analyses
précédentes que la comète ATLAS approche de sa
position la plus
près du Soleil en cette fin mai 2020 (voir analyses
précédentes).
Or, nous apprenions le 11
avril que le noyau s’est brisé en trois morceaux (spaceweather.com)
Ce qui anéantissait tout
signe de comète visible à l’œil nu, un signe de la Vierge
pour la fin mai.
Or,
est apparu encore une fois cette année, une comète
inattendue, la comète SWAN. (spaceweather.com), et ce...
Le
11 avril!
Le 11 avril c’était le
Samedi
Saint, la journée de Jésus au tombeau, signe d’espérance
pour les
chrétiens qui veillent et qui attendent sa résurrection.
Le
11 par contre, on le sait, c’est le chiffre par excellence
des franc-maçons.
Eux,
ils le croient mort (les messes sont arrêtées) tout comme
les grand prêtres du temps le croyaient.
Mais
c’est la journée où « Jésus est descendu aux
enfers » .
«
Il a rejoint les morts dans leur demeure, le Shéol,
comme dit la
Bible en hébreu, et qu’Il a ouvert les portes du ciel à ceux
qui
L’avaient précédé. » (fr.aleteia.org)
Les deux comètes nous
donnent
un premier signe, foi et espérance: pendant que l’une va à
perte,
l’autre est signe de résurrection.
Cette comète Swan est plus
petite, dans l’hémisphère sud pour l’instant, et ne sera
probablement pas visible à l’œil nu.
Mais
comme signe potentiel, il ne faut pas négliger le Ciel…
Et tout a commencé le
Samedi Saint.
20 Avril
L’ARCHE
MARIE partie II
AUXILIUM
CHRISTIANORUM
Alors
que
plusieurs trouvent incroyable la situation actuelle dû au
confinement mondial, les chrétiens ne peuvent trouver
meilleur exemple
de la justesse des paroles du Christ, « des aveugles qui
conduisent les
aveugles ».
La
science et l’humanisme via la miséricorde infinie sont rois.
C’est ce que confirme François.
Tout
comme il va à sa perte, ainsi vont les adorateurs de
l’humanisme et les apostats.
Mais
il y a toujours cette période de paix, qui donne la chance
d’ouvrir les yeux et de se convertir.
C’est
le temps de Marie, l’Immaculée, Reine du Monde.
Le
mois de mai, c’est le mois de Marie, le 5ème mois, le
chiffre de Marie.
Et
c’est le temps d’« Auxilium Christianorum » : la fête
oubliée… ou presque. (blog.catholicapedia.net et voir
analyses précédentes).
Le
culte de Notre-Dame Auxiliatrice!
C'est sur l'écriteau de la
colonne «Marie» du songe des trois blancheurs de Don Bosco,
songe de la
dernière bataille de la fin des temps.
Ce titre donné à la Sainte
Vierge Marie fut officiellement introduit dans l’Église par
Pie V,
après la célèbre victoire de Lépante en 1571, lorsque qu'il
ordonna
d'inscrire dans la litanie Lorétienne l'invocation "Maria
Auxilium Christianorum, ora pro nobis".
«Pie
VII
en institua la fête, le jour de sa rentrée à Rome, après les
années
de captivité à Savone puis à Fontainebleau. C'était le 24
mai 1814, la
fête fut donc fixée au 24 mai.»
Confirmé
par l’Esprit-Saint à Maria Valtorta : « "c’est maintenant
l’heure de Marie".
Elle est le prophète des derniers temps, l’arche mystique
posée entre
le Ciel et la terre qui, telle celle de Noé, rassemble et
abrite ceux
qui seront sauvés parce qu’ils l’auront voulu.
C’est l’ultime recours.
Ce temps de Marie est aussi
appelé la « Vierge des derniers temps. »
Or, le 24 mai, François
avait l’intention de souligner le 5ème anniversaire de « Laudato Si »,
son ode à l’humanisme écologique, la maison commune, tout en
se rendant
dans le diocèse d’Acerra, au centre de la « Terre des feux
et des
poisons ».
C’est
un intéressant jeu de mots dans le contexte où l’Antéchrist
est sur le trône de Saint-Pierre.
Le
5 appartient à Marie, et non à l’humanisme divinisé.
Elle
ne laissera pas faire.
« De
même
qu'il n'est permis à personne de négliger ses devoirs envers
Dieu,
et que le plus grand de tous les devoirs est d'embrasser
d'esprit et de
cœur la religion, non pas celle que chacun préfère, mais
celle que Dieu
a prescrite et que des preuves certaines et indubitables
établissent
comme la seule vraie entre toutes, ainsi les sociétés
politiques ne
peuvent sans crime se conduire comme si Dieu n'existait en
aucune
manière, ou se passer de la religion comme étrangère et
inutile, ou en
admettre une indifféremment selon leur bon plaisir »
(Léon XIII…
Un pilier encore valide en ces derniers temps!).
Le temps aidant, une partie
du
chapitre 17 de l’Apocalypse devient plus claire (voir
analyses
précédentes)… Il faut se rappeler que Saint-Jean a la vision
avec
Benoît XVI comme étant celui qui subsiste, François n’étant
pas
élu :
«
C'est ici qu'il faut un esprit doué de sagesse. — Les
sept têtes
sont sept montagnes, sur lesquelles la femme (l’église
prostituée) est
assise. Ce sont aussi sept rois (papes depuis le traité de
Latran où le
Vatican est devenu un royaume temporel) :
Les
cinq
premiers sont tombés, l'un subsiste (Benoît XVI), l'autre
n'est
pas encore venu (François), et quand il sera venu, il doit
demeurer peu
de temps (règne court confirmé par Jean XXIII).
Et
la
bête qui était et qui n'est plus, en est elle-même un
huitième et
elle est des sept, et elle s'en va à la perdition. (Ici,
dans le
contexte où François a laissé tombé le titre de Vicaire du
Christ,
qu’il se vante du titre d’évêque de Rome et qu’il prépare le
nouvel
œcuménisme, c’est bien le pape qui était mais n’est plus,
qui en
lui-même est un huitième dans la suite des papes, et il s’en
va à la
perdition).
Et les dix cornes que tu as
vues sont dix rois qui n'ont pas encore reçu la royauté,
mais qui
recevront un pouvoir de roi pour une heure avec la bête.
(donc les dix
rois (ici le G7 + la Russie et les deux européens. Voir, G7
sur
wikipedia) Ils ont le plein pouvoir avec François,
maintenant que tout
est paralysé à cause du coronavirus).
Ceux-ci ont un seul et même
dessein, et ils mettent au service de la bête leur puissance
et leur autorité.
Ils feront la guerre à
l'Agneau, mais l'Agneau les vaincra, parce qu'il est
Seigneur des
seigneurs et Roi des rois, et ceux qui l'accompagnent sont
les appelés,
les élus et les fidèles. " (Effectivement, les messes
ont été
interdites. Ils font la guerre à l’Agneau. C’est une guerre
des âmes).
Et il me dit :
" Les
eaux que tu as vues, au lieu où la prostituée est assise, ce
sont des
peuples, des foules, des nations et des langues.
Et
les
dix cornes que tu as vues sur la bête haïront elles mêmes la
prostituée ; elles la rendront désolée et nue ;
elles
mangeront ses chairs et la consumeront par le feu.(C’est
bien ce que la
clique judéo-maçonnique a fait. Il ne reste presque plus
rien de
l’Église pré-Vatican II… Au niveau temporel évidemment).
Car Dieu leur a mis au cœur
d'exécuter son dessein, et de donner leur royauté à la bête,
jusqu'à ce
que les paroles de Dieu soient accomplies.
Et la femme que tu as vue,
c'est la grande cité qui a la royauté sur les rois de la
terre. (Rome… Et elle sera détruite)" »
La
bête est l’humanisme religieux personnifié par
François.
Rappelons
le regretté Serge Monast : « le pouvoir religieux est
au-dessus du politique. »
Évidemment
puisqu’il s’agît ici de la survie des âmes.
Les 10 derniers rois, en
fait presque tous les dirigeants politiques sont allés voir
le pape pour se faire reconnaître.
La quatrième bête (voir
analyses précédentes), le 666, est la partie financière de
ce système
humaniste sur laquelle toute la religion matérialiste
repose.
Elle
a été blessée à mort en 2008. Mais elle fut ressuscitée par
les 10 rois avec la monnaie de singe.
Mais
la fin approche. Babylone la grande est sur le point de
tomber car l’économie post-coronavirus est morte.
Ce
que
confirme l’Apocalypse chapitre 18… « … Les rois de la terre
qui se
sont livrés avec elle à l'impudicité et au luxe, pleureront
et se
lamenteront sur son sort, quand ils verront la fumée de son
embrasement. Se tenant à distance, par crainte de ses
tourments, ils
diront : " Malheur ! Malheur ! O grande
ville,
Babylone, ô puissante cité, en une heure est venu ton
jugement ! " Et
les marchands de la terre pleurent et sont dans le deuil à
son sujet, parce que personne n'achète plus leur cargaison…
»
Babylone Nations-Unies et
Babylone Vatican sont mortes.
La
6ème période de la bête est sur le point de se terminer.
Le
7ème sceau est à nos portes.
Le
signe de Jean XXIII qui le confirmera est l’assassinat du
successeur par intérim de François (voir analyses
précédentes).
La
prophétie politique de Jean XXIII #26 « Lumière de
la Lumière », très difficile à décrypter, y fait
référence.
« Amie
rotonde défait tes cheveux (comète en vue
donc)...
La chevelure, ou coma (mot
latin de même sens), forme un halo à peu près sphérique
entourant le
noyau. Des gaz sont libérées, de l’eau qui forme ensuite des
cristaux
de glace, de l’hydrogène.
« Je
dis vos prénoms, parce que vous ne pourrez vous cacher
quand vous serez appelés.
Wang,
Levi, Rustov, Sherman, Tour.
Léonard
sera au-dessus de vous, maître et frère, maître et esclave.
Unis
donc avant le passage noir.
Gog et
Magog se disputent son nom, mais ils connaissent tous deux
le passage, aujourd'hui que le Calvaire est retourné.
Mais
la croix n'est pas prête… »
Ce sont les membres
permanents du comité de sécurité des Nations-Unies.
La Chine, la France, la
Russie, la Grande-Bretagne, les États-Unis…
Et
Léonard (leo, hard en anglais) est le lion rigide, au-dessus
d'eux.
Le
religieux est au-dessus du politque...
C'est
François.
Et
ces derniers tout comme François s’activent intensément
dernièrement.
Évidemment puisque la tension est à son comble en Mer de
Chine et en
Syrie.
«Lors d’un échange
téléphonique, le président russe et son homologue français
ont discuté
de « la possibilité de l’organisation d’une réunion de
travail, en
vidéoconférence, des dirigeants des pays membres permanents
du Conseil
de Sécurité de l’ONU », a indiqué le Kremlin dans un
communiqué,
sans donner plus de détails. » (lapresse.ca)
Toutes
ces
nations sont présentes en Syrie, prêtes pour l’acte final
(la Terre
frisera le massacre selon Jean XXIII), lorsque le calvaire
sera
retourné (c’est à dire lorsque le grand frère à la croix
renversée sans
les lis aura son heure; mais la croix n’est pas prête… À
cause du temps
de paix qui sera accordé).
« Quand
les mille ans seront accomplis, Satan sera relâché de sa
prison. Et il
sortira pour séduire les nations qui sont aux quatre coins
de la terre,
Gog et Magog, afin de les rassembler pour la guerre »
(Saint-jean, Apocalypse).
Le passage, il est
symbolisé par la Pâques de l’Antéchrist, et il approche.
C’est ce que nous avons
démontré dans les dernières analyses.
Rappelons la Pâques de
1949. Pour la première fois, un pape, Pie XII parle en
français à la télévision et déclare :
« On a dit au monde que la
religion était à son déclin, et à l’aide de cette nouvelle
merveille
(la télévision) le monde verra le grandiose triomphe de
l’Eucharistie
et de Marie.
On lui a dit que la papauté
était morte ou mourante, et il verra les foules déborder de
toutes
parts de l’immense Place Saint Pierre pour recevoir la
bénédiction du
pape et pour entendre sa parole.
On lui a dit que l’Église
ne comptait plus, et il la verra, persécutée ou glorieuse,
mais partout vivante !
On lui a dit qu’il ne
trouverait de secours, de bonté, de dévouement, que par une
philanthropie que ni la foi ou la charité divine n’inspirent
et
n’animent, et il verra les disciples du Christ vouer leurs
vies jusqu’à
la mort incluse au service des malades, des vieillards, des
prisonniers, des lépreux, sous tous les climats, partout où
le corps
souffre, où le cœur gémit, où l’âme est en détresse.
Alors le monde détrompé
lèvera
les yeux, contemplera dans le ravissement, la lumière toute
offrande
maternelle de l'Église brillante sur lui, rendant
gloire à Dieu! »
ET
la
prophétie politique #26 se termine par une prière à la
Vierge Marie,
une prière d’espoir pour le petit reste que Jean XXIII nomme
« les
vieux », c'est à dire ceux qui ont encore à coeur la
religion
catholique traditionnelle.
Marie c’est notre arche,
celle qui mène au Christ, seul voie pour le Royaume des
Cieux.
Et il est grand temps
d’entrer dans l’Arche Marie.
Noé a eu l’avertissement 7
jours avant la montée des eaux.
Le mois de mai, le mois de
Marie, est marqué par le 103ème anniversaire de Fatima le
13, et par la
fête de Notre-Dame Auxiliatrice, Secours des Chrétiens le
24.
Cela
fera 449 ans depuis la victoire de Lépante. Le 49, c'est la
limite du diable.
Après ces dates, nous
entrons en territoire inconnu.
Le délai pour la Salut des
âmes demandé par Marie à son Fils, Celle qui retient son
bras, expirera
lorsqu’Il jugera que la coupe remplie par la grande «
apostasie »
déborde.
Ainsi, le Jour du Jugement,
personne ne le connaît.
19 Avril
L’ARCHE MARIE
partie I
QUASIMODO
C’est
le dimanche de Quasimodo, cette partie de l’évangile où
Jésus donne la preuve de sa résurrection à Thomas.
Cette
journée
ouvre le temps où Marie, la femme de l’Apocalypse, donnera
la
preuve à François qu’elle est bien « corédemptrice » et
Reine du Monde.
Il
est fini le temps où ce dernier dénigrait la Sainte Vierge.
Car
il est là le mystère d’iniquité. C’est un séducteur à
l’image de son véritable maître.
La
Sainte Vierge à Fatima nous avait averti des erreurs
répandues par le communisme.
Aujourd’hui,
ce
n’est plus un pape que nous avons, mais un marxiste au
pouvoir, qui
mêle miséricorde infinie et socialisme intentionnellement
pour
encourager la perte des âmes.
«
La dérive marxisante du Pontificat » (benoit-et-moi.fr)
Son
homélie
en ce dimanche de Quasimodo en est une autre preuve. Il
réussit
le tour de force de dévier cet épisode de l’évangile vers la
miséricorde infinie, tout en utilisant un langage endort
l'âme au lieu de la réveiller!
(Rappelons
le.
C’est sa manière de dire que le péché n’existe plus. C’est
le
moitié possible de la semaine de Daniel au jubilé de 2016.
Ce fut
l’élimination de la nécessité du sacrifice du Christ sur la
croix). (vaticannews.va)
Tout prêtre qui sait
reconnaître les signes, encore plus « l’évêque de Rome »,
devrait dans
la situation actuelle demander pénitence et récitation du
rosaire comme
le demande Marie dans ses apparitions, comme le demandait
Pie XII
durant la guerre.
Il
est
plus que temps d’affirmer qu’il n’y a qu’une seule voie,
celle de
Christ, et de crier haut et fort comme Thomas :
« Mon
Seigneur, et mon Dieu ! »
Mais
non.
Avec
François, tout est en surface.
À
l’intérieur, c’est une autre vérité.
Nous
l’avons
vu aussi à maintes reprises avec le Saint-Sacrement. Il ne
s’agenouille pas devant lui mais il baise les pieds de
visiteurs au
Vatican.
Il
béni
avec le Saint-Sacrement le 27 mars sur le parvis de la
basilique
Saint-Pierre, mais au fond, il n’y croit pas. D’où le
miracle de Buenos
Aires qui lui a été démontré en 1996, où l’hostie s’est fait
chair.
C’est
le même constat avec notre Sainte Mère.
Elle
a droit a des qualificatifs mielleux et superficiels lors
des fêtes mariales, mais la vérité, c’est qu’il la dénigre.
En
décembre
dernier, il la traite de métisse lors de la fête de
Notre-Dame
de Guadelupe. Il refuse par la même occasion le titre de
«corédemptrice».
Roberto
Mattei (benoit-et-moi.fr) :
« Mais le pape François, au lieu d’alimenter la dévotion et
l’adoration
envers Marie, veut la dépouiller Elle aussi des titres qui
lui
appartiennent. Le 12 décembre 2019, le Pape avait liquidé la
possibilité de nouveaux dogmes mariaux, comme celui sur
Marie
corédemptrice, en déclarant : « quand on nous dit qu’il
faut
déclarer tel ou tel dogme, ou faire tel ou tel autre, ne
nous perdons
pas dans des bêtises ». Et le 3 avril 2020, il a répété
que la
Sainte Vierge « n’a pas demandé à être une
quasi-rédemptrice, ou
un corédemptrice. Non. Il n’y a qu’un seul rédempteur.
Seulement
disciple et mère »…
Saint
Alphonse
Marie de Liguori affirme: « Quand une opinion honore de
quelque manière la Sainte Vierge, elle a un certain
fondement et n’a
rien de contraire ni à la foi ni aux décrets de l’Église, ni
à la
vérité, ne pas l’accepter et la contredire parce que
l’opinion
contraire pourrait aussi être vraie dénote une faible
dévotion à la
Mère de Dieu. Je ne veux pas être compté parmi ces esprits
peu dévots,
et je ne voudrais pas non plus que mon lecteur le soit, mais
je
voudrais plutôt être compté parmi ceux qui croient
pleinement et
fermement tout ce que, sans erreur, on peut croire des
grandeurs de
Marie » »
Les Grandeurs de Marie
seront révélés. Notre-Dame de Guadelupe, c’est la femme de
l’Apocalypse avec les deux pieds sur la lune.
Son
heure approche. Son peuple est en marche.
Son
mois béni approche.
L’Arche
Marie n’a jamais été si importante vu la situation.
16 avril
L’ACTE
FINAL
« Oh
!
ne Nous demandez pas qui est « l'ennemi » ni sous quel
aspect il se
présente. Il se trouve partout et au milieu de tous : il
sait être
violent et rusé. Ces derniers siècles, il a tenté de
réaliser la
désagrégation intellectuelle, morale, sociale de l'unité
dans
l'organisme mystérieux du Christ. Il a voulu la nature sans
la grâce ;
la raison sans la foi ; la liberté sans l'autorité ; parfois
l'autorité
sans la liberté. C'est un « ennemi » devenu de plus en plus
concret,
avec une absence de scrupules qui surprend encore : le
Christ oui,
l'Eglise non ! Puis : Dieu oui, le Christ non ! Finalement
le cri impie
: Dieu est mort ; et même : Dieu n'a jamais existé. Et
voici,
maintenant, la tentative d'édifier la structure du monde sur
des bases
que Nous n'hésitons pas à indiquer comme principales
responsables de la
menace qui pèse sur l'humanité : une économie sans Dieu, un
droit sans
Dieu, une politique sans Dieu. L'« ennemi » s'est employé et
s'emploie
à ce que le Christ soit un étranger dans les universités,
dans l'école,
dans la famille, dans l'administration de la justice, dans
l'activité
législative, dans les assises des nations, là où se décide
la paix ou
la guerre».
(Pie XII dans son discours
aux hommes de l’Action catholique d’Italie le 12 octobre
1952. )
La fuite de François ou son
décès futur est accompagnée de « Mikail
et Jean descendront sur terre.»
selon Jean XXIII, ce qui confirme que c’est l’ouverture du
7ème sceau
par l’assassinat probable du cardinal Pietro Parolin
(ouverture
confirmée par Jean XXIII dans la prophétie le concernant).
C’est donc avec
empressement
que l’antéchrist système pousse son plan en avant dans le
contexte
actuel créé de toutes pièces pour faire accepter la marque
de la bête
via un vaccin couplé d’un marqueur électronique.
Bill Gates et sa femme
poussent la promotion d’un tel vaccin depuis le début de la
crise. «
«Vous verrez des corps dans les rues de l'Afrique», prévient
Melinda
Gates et affirme que le vaccin est la «solution ultime»
contre le
COVID-19 ».
Les géants que sont Google
et
Apple développent une application dudit téléphone
intelligent pour
suivre à la trace les « infectés ».
On rappelle que les deux
royaumes visés par la destruction par Satan est le Vatican,
personnifié
par la bête de la mer, et la fille aînée de l’Église, la
France,
personnifiée par la bête de la Terre.
Et la bête de la Terre a
parlé le 13 avril.
Emmanuel Macron, a confirmé
dans son discours le « plan de l’après 11 mai ».
Il y aura donc un « avant »
et un « après » à partir de la date butoir du 11 mai 2020.
Le 11, ce n’est pas un
hasard.
C’est le chiffre préféré
des kabbalistes (11 septembre 2001 par exemple).
Et la bête de la mer,
François, confirme aussi qu’il y aura un « après »...
« Cardinal Turkson: penser
aux conséquences du Covid-19 pour ne pas être pris au
dépourvu.
Le préfet du dicastère pour
Service du développement humain intégral souligne
l'engagement en
faveur des "Églises locales pour sauver des vies et aider
les plus
pauvres". Cinq groupes de travail sont créés pour faire face
à
l'urgence et réfléchir à l'avenir...
Quel est le mandat qui a
été donné à votre dicastère et quelle est votre mission?
Le Saint-Père nous a confié
deux missions principales. La première concerne l’instant
présent: la
nécessité d'offrir rapidement, avec sollicitude, avec
immédiateté le
signe concret du soutien du Saint-Père et de l'Église. Nous
devons
offrir notre contribution, en ce moment d'urgence. Il s'agit
de mettre
en place des actions de soutien aux Églises locales pour
sauver des
vies, pour aider les plus pauvres. La seconde concerne
l'après, le
futur, il s'agit du changement. Le Pape est convaincu que
nous sommes
dans une période de changement, et il réfléchit à ce qui se
passera
après l'urgence, aux conséquences économiques et sociales de
la
pandémie, ce à quoi nous devrons faire face, et surtout à la
manière
dont l'Eglise pourra se proposer comme référence sûre dans
un monde
perdu face à un événement inattendu. Contribuer à
l'élaboration d'une
réflexion sur ce sujet est notre deuxième mission. Le Pape
nous a
demandé du concret et de la créativité, une approche
scientifique et de
l'imagination, une pensée universelle et la capacité de
comprendre les
besoins locaux. » (vaticannews.va)
Et c’est quoi la mission du
dicastère pour Service du développement humain intégral
formé par François en août 2017?
« Foi et développement
intégral : L'Église entend proposer un humanisme à la
hauteur du
plan d'amour de Dieu dans l'histoire, un humanisme intégral
et
solidaire capable de créer un nouvel ordre social,
économique et
politique, fondé sur la dignité et la liberté de chaque
personne
humaine, à réaliser dans la paix, la justice et la
solidarité. »
Il n’y aura pas de retour à
la normale.
C’est clair.
La clique judéo-maçonnique
joue son tout pour le tout.
Mais Dieu avait d’autres
plans...
14 avril
La Pâques de l’Antéchrist partie II
LA CONFIRMATION PAR UN
JUBILÉ DES JUBILÉS
Le jubilé des jubilés est
de
153 ans nous confirme Saint-Augustin (voir analyses
précédentes, et ne
pas oublier la notion de l’addition du 3, comme ici 150+3).
Logiquement,
Satan devrait avoir lui aussi ses jubilés qui précèdent
puisqu’il singe.
Vérifions
si le jubilé des jubilés de 2020 est précédé par 3 jubilés
de 50 ans.
Retour en arrière:
A)
2020 - 53 années donnent 1967.
Deux
faits importants ont eu lieu en cette année (caractères gras
et surlignement de notre part):
1. Octobre
1967, c’est la contre offensive des cardinaux
conservateurs contre le nouvel Ordo Missae.
«
Le Bref examen critique du nouvel Ordo Missae constitue une
« lettre à Paul VI » émise par les cardinaux
Ottaviani et
Bacci au sujet du nouveau Missel, de la Messe
dite « Paul VI ».
Ce
texte intervient dans un contexte lié au Synode épiscopal
convoqué à Rome au mois d'octobre
1967 qui
a dû prononcer un jugement sur la célébration expérimentale
d'une messe
dite « messe normative ». Ils prennent alors la
tête d'un
courant opposé au sein du collège des cardinaux à une
réforme liturgique allant selon eux, trop loin.
Ceux-ci,
en prolégomènes considèrent qu'alors même que beaucoup de
nouveautés apparaissent dans le nouvel Ordo Missae, tant
de choses éternelles sont reléguées à une place
subsidiaire. Ils ajoutent que les modifications
liturgiques entraînent une confusion
telle, que des vérités toujours crues par les fidèles
pourraient
s'avérer remises en causes. Ils illustrent cette opinion par
l'altération voire l'abolition
des gestes sacrés par lesquels s'exprime
spontanément la foi en la
présence réelle.
A savoir : les génuflexions (dont le nombre est réduite
à trois
pour le prêtre et à une seule pour l'assemblée) ; la
purification
des doigts du prêtre au-dessus du calice et dans le
calice ; la
préservation de tout contact profane pour les doigts du
prêtre après la
consécration ; la consécration de l'autel mobile...etc.
Ils poursuivent leurs
interrogations quant à la place
de l'autel
au sein même de la messe et même des églises. En effet, la
comparaison
du numéro 262 et du numéro 276 exclut selon eux que le Saint
Sacrement
puisse être conservé sur l'autel majeur ce qui aura pour
conséquence de
créer une dichotomie
entre la Présence du Souverain Prêtre dans le prêtre
célébrant et cette même Présence réalisée sacramentellement.
Auparavant,
c'était une unique présence.
Désormais, il est
recommandé de conserver le Saint
Sacrement à part,
dans un "lieu favorable à la dévotion privée des fidèles",
comme s'il
s'agissait d'une relique. Ainsi, ce qui attirera
immédiatement le
regard quand on entrera dans une église ne sera plus le
Tabernacle mais "une
table dépouillée et nue". Ils considèrent alors,
que cela oppose piété liturgique et piété privée, "on dresse
autel contre autel".
Par ailleurs, ils
s'interrogent sur l'intérêt d'une telle modification de la
liturgie
alors même que la Constitution apostolique Missale romanum
affirme que
l'ancien Missel promulgué par Saint Pie V fut pendant quatre
siècles la
norme de la célébration du Sacrifice et à l'origine
d'"innombrables
saints" qui y trouvèrent une nourriture spirituelle
surabondante de
leur piété envers Dieu. » (fr.wikipedia.org)
La cible est donc
l'abolition du sacrifice. C'est évident.
D'où
la très sévère prophétie de Jean XXIII concernant Paul VI.
2.
En
1965, le pape Paul VI, lors du discours inaugural de la
dernière
session du concile Vatican II le 14 septembre, fait part de
son
intention d’établir le synode
des évêques.
Les synodes, c’est ce
qu’utilise François pour faire l’acte final de destruction.
Il a d’ailleurs changé les
règles le 15 septembre 2018 (jour anniversaire du motu
proprio) en
signant la constitution apostolique Episcopalis
communio réformant le Synode des évêques. Cette
constitution renforce les enquêtes préliminaires avant
le Synode et la rédaction du document final.
C’est ce qu’il a utilisé
comme
argument lors de la publication de l’exhortation post-synodale
en
février lorsque Benoît XVI et le cardinal Sarah lui ont coupé
les deux
jambes : François a confirmé que ce
qui était important était le document final et non
l’exhortation.
Or, la première Assemblée
Générale Ordinaire du synode des évêques a eu lieu…
Du 29 septembre au 29 octobre 1967.
Évidemment, les franc-maçons
notoires du Vatican étaient à l'honneur:
Le
président était S. Em. le Card. Jean Villot, Préfet de
la
Congrégation pour le Clergé (Vatican), un franc-maçon reconnu.
Un
des
secrétaires spéciaux était R. P. Annibale Bugnini, C.M.,
Sous-secrétaire de la Congrégation pour les Rites (Vatican),
autre
franc-maçon reconnu qui était le conseiller de Paul VI pour la
rédaction du nouveau Missel.
Or, la réunion préparatoire
au synode a eu lieu en avril 1967.
Il
y a donc 53 ans ce mois-ci.
Ce
qui
rejoint la partie I hier de l'analyse: nous entrons dans un
point
tournant à partir du 19 avril, et ce, jusqu'au 19 octobre.
«
On
pensait présenter au Synode les rites de la messe, de
l'office divin,
du baptême des enfants, du mariage, des ordres sacrés, les
lectures de
la messe, les préfaces et le calendrier. »
(référence : La réforme de la Liturgie, Annibale
Bugnini).
Donc,
tout était sur la table,
messe et sacrements compris.
1967 additionné de 3 donne
1970 où les décisions de 1967 devaient être implantées.
Ce qui fut.
Paul VI a achevé la révision
de la messe du rite romain en promulguant en 1969 et en
publiant en
1970 une nouvelle édition du Missale Romanum.
L’enjeu on le sait, c’est la
messe, l’élimination de la présence réelle, le dernier
obstacle.
Ce sont donc des jubilés de
destruction de l’Église pour Satan auxquels nous assistons.
Après
avoir
détruit ou réduit à presque rien l'église temporelle (ce qui
sera
achevé en 1929 par le traité de Latran), le spirituel devait
logiquement suivre.
Remontons donc plus loin.
B)
1967 - 50 ans donne 1917.
C'est l'année où les
dernières monarchies qui avaient un quelconque lien avec
l'Église sont éliminées suite à la grande guerre.
En
octobre 1917
a lieu la révolution bolchévique dont la Sainte Vierge a
averti 3 mois
à l’avance sans l’apparition à Fatima 13 juillet.
La consolidation du pouvoir
et du territoire russe est établit en 1920. Trois années plus
tard.
Le socialisme. C’est le
poison dont est enivré François.
Plus
besoin de preuves à ce sujet.
Remontons encore de 50 années.
C)
1917 - 50 ans donne 1867.
1867,
c’est Garibaldi qui commence l’attaque contre
le Vatican.
3 ans plus tard, 1870, c’est
la défaite.
D) De retour en 2020.
Logiquement selon notre
analyse, ce qui a été décidé en 2017 doit être implanté en
2020.
Que s'est-il passé en 2017?
C'est
l'année où François est déclaré hérétique par un groupe de
théologiens mais il passe outre et ne dit rien.
C’est
la
tourmente Amoris Laetitia. C’est une confirmation théologique
de
l’abomination sur le trône, mais vu le degré d’apostasie
atteint, cela
ne fait pas beaucoup de vagues.
Mais, une fois tombé dans une
erreur contraire à la foi, le pape cesse d’être le chef de
l’Église :
il s’exclut lui-même de la hiérarchie et de ce fait, tout
catholique
peut à la rigueur, l’accuser.
Octobre
2017, c’est aussi l’annonce de la dernière salve, le synode
amazonien.
C’est donc durant ce mois que
la bête de la mer ne s'est plus gênée pour agir en cachette,
où nous
avons commencer à voir le vrai visage de François.
Et, François célèbre un
jubilé relié aux désirs de Satan:
«
Le Pape aspire à une pleine communion avec les méthodistes. Le
Pape François a salué les progrès accomplis dans l’œcuménisme,
en
recevant ce matin une délégation du Conseil méthodiste
mondial. Le
Pape François a reçu ce jeudi matin, 19 octobre 2017, une
délégation du
Conseil méthodiste mondial, à l’occasion du 50e anniversaire
du début
du dialogue
théologique méthodiste-catholique…
«Nous avons appris à
nous reconnaître frères et sœurs en Christ ; maintenant,
il est temps de se préparer, avec une espérance
humble et un engagement concret, vers cette reconnaissance
pleine qui aura lieu, avec l’aide de Dieu, quand
nous pourrons finalement nous retrouver ensemble dans la
fraction du Pain». Le Pape a conclu en récitant le
Notre Père avec la délégation méthodiste.»
Dans
la fraction du pain : voilà le point important,
le but à atteindre.
L’enjeu, c’est la messe.
Le
pape
ne s'agenouille pas devant le Saint-Sacrement. Il ne croit pas
à
la Présence Réelle et le Seigneur le lui a rappelé par le
miracle de
1996.
C'est
d'ailleurs
à la Fête-Dieu suivant en juin 2018 qu'il célèbre la
solennité du Corps et du Sang du Christ, dérogeant ainsi,
comme Paul VI
l’avait fait il y a tout juste 50 ans, à la tradition qui veut
la
procession papale de la Fête-Dieu se déroule sur la via
Merulana, entre
les basiliques Saint-Jean du Latran et Sainte-Marie-Majeure.
Un
jubilé qui relie l'alpha et l'omega de Vatican II comme énoncé
hier (lien entre les anneaux du pêcheur).
Nous
somme donc bien à la fin d'un parcours. Vatican II... « Tout
est accompli » pour parodier le Christ.
2020, c’est l’arrêt de la
messe et des sacrements au Vatican, et dans le monde à cause
du coronavirus.
C'est
l'implantation dans le concret de son désir de 2017.
L’avenir nous dira si cette
interdiction perdure...
La fraction du pain à la
sauce protestante n'est qu'un repas commémoratif.
Elle
nie
la présence réelle et réduit le Christ à un simple prophète,
acceptable par la clique judéo-maçonnique, qui peut alors
introduire
son messie et devenir le seul peuple prêtre dans la nouvelle
religion
universelle.
12 avril
La Pâques de l’Antéchrist partie
I
LE CHIFFRE PARFAIT
Jésus
nous l’a désigné : 33 ans.
Âge
de la mort et de la résurrection du Christ.
Durée
de la papauté du dernier pape qui a essayé d’enrayer le plan
judéo-maçonnique, Jean-Paul I, 33 jours.
Nous
savons
que François a été obligé par la providence divine de
repousser
son pacte sur l’éducation du 14 mai à la période allant du
11 au 18
octobre 2020.
Nous
savons déjà qu’une équipe avait déjà rédigé le pacte à
l’insu de tous en février.
C’est
un
tournant majeur pour les deux Babylone, car ce pacte
représente la
clé pour former la jeune génération à la nouvelle religion
de Satan.
Or,
on
sait que pour Jésus, ce qu’il y a de plus précieux, ce sont
les
enfants (laissez venir à moi les petits enfants… etc.) car
leur âme n’a
pas été pervertie par la fange de Babylone.
Mais
Dieu avait d’autres plan.
Rappel
des derniers temps par Anne Catherine Emmerich :
« Je vis une forte opposition
entre deux papes … et je vis combien funestes seraient les
conséquences de cette fausse Église… »
« Quand
le
royaume de l’Antéchrist sera proche, apparaîtra une fausse
religion
qui ira contre l’unité de Dieu et de son Église. Cela
entraînera le
plus grand schisme jamais vu dans le monde. »
« Je
vis
qu’un certain nombre de pasteurs acceptaient des idées
dangereuses
pour l’Église. Ils construisaient une grande Église,
étrange et
extravagante. N’importe qui était accepté, afin de s’y
joindre et
d’avoir les mêmes droits: les évangélistes, les
catholiques, les sectes
de toutes croyances. Ce devait être la nouvelle église …
mais Dieu
avait d’autres projets … »
Mais Dieu avait d’autres
projets.
C’est bien ce qu’Il nous a
indiqué en repoussant tout ce que prévoyait François ce
printemps : pacte sur l’éducation et la rencontre
économique qui
elle, est reportée en novembre.
«
La rencontre prévue ce mois-ci à Assise sur « L’Économie de
(saint?)
François » a été reportée au mois de novembre pour cause de
coronavirus. Mais le péril pour l’Église reste bien présent,
… cette
rencontre d’Assise va enfin faire comprendre à certains que
plus que
d’Europe (où il y a maintenant une monnaie commune) nous
devrions
quitter l’Unesco-ONU avant qu’ils ne nous imposent une foi
commune » (benoit-et-moi.fr).
Et
l'économie
selon François, c'est le monde financier de l'après virus
que l'élite judéo-maçonnique prépare. Il en est une des
têtes. Il
conditionne l'humanité à la naissance du nouveau système,
par
l'éducation et par l'économie.
Voici
ce
qu'il avait à dire aujourd'hui. Ce ne peut pas être plus
humaniste
et socialiste comme discours. De la pure doctrine de
Lucifer:
«
Face à cette crise sanitaire planétaire, et alors que
plusieurs pays du
monde commencent à réfléchir à l’après-virus, le Pape parle du
modèle
économico-financier actuel qui n’est pas selon lui adéquat. Il
espère
ainsi que les gouvernements comprennent que «les paradigmes
technocratiques (que l’État ou les marchés financiers soient
au cœur du
système) ne sont pas suffisants pour faire face à cette crise
ou aux
autres grands problèmes de l'humanité». Pour le Pape,
«aujourd'hui plus
que jamais, les personnes, les communautés, les peuples
doivent être au
centre, unis pour guérir, pour soigner, pour partager»…
Le Pape conclut sa lettre
avec
cette piste de réflexion pour l’avenir : «Il est
peut-être temps
de réfléchir à un salaire universel qui reconnaisse et donne
de la
dignité aux tâches nobles et irremplaçables que vous
accomplissez». Un
salaire universel qui soit capable de garantir qu’aucun
travailleur ne
soit privé de droits, «une réalité si humaine et si
chrétienne». » (vaticannews.va)
Le pacte sur l’éducation
lui
est prévue pour la signature autour du 18 octobre prochain,
soit 103
ans après le miracle du Soleil à Fatima.
Mgr Williamson dans cet
article, nous révèle aussi un indice intéressant en pointant
le doigt
sur le krach de 1987, il y a presque 33 ans… (stmarcelinitiative.com).
Le
chiffre parfait.
Singé par Satan?
L'ampleur du krach du 19
octobre 1987 a été en partie imputée à la négociation
d'actions
programmée par ordinateur, qui était alors en pleine
émergence dans
le milieu boursier américain.
Date donc où la clique
judéo-maçonnique via les ordinateurs qui ont pris le dessus
par des
algorithmes boursiers pour la première fois, soumettant le
petit peuple
à l’esclavage en les ruinant encore plus à chaque manœuvres
suivantes
(2000, 2008,2020).
Et si nous en sommes là
aujourd’hui, à un peuple réduit à l’esclavage où personne ne
peut
acheter ni vendre sans la marque de la bête, c’est bien
grâce à
l’ordinateur, miniaturisé aujourd’hui dans le téléphone
intelligent.
Il
y
44 ans, ce mois-ci, la bête marquait sa progression avec la
vente du
premier ordinateur Apple (la pomme; jardin d’Éden). Le «
Apple 1 » a
été vendu 666,6 dollars.
C’est
tout dire.
Aujourd’hui,
Apple est le numéro 1 mondial du téléphone intelligent.
Et
avec le coronavirus, on veut marquer la population avec un
traceur dans le dit téléphone.
Donc, Satan nous pointe sur
le 19 octobre 2020.
Peut-on anticiper que
Babylone
Nations-Unies (système financier, etc.) s’autodétruira le 10
octobre
pour ressusciter le 12? . Un autre lundi noir?
Pourquoi
cette date?
Parce
que
la Pâques chrétienne qui a lieu le 12 avril cette année lui
sert à
marquer l’humiliation et non la victoire. Une Pâques
célébrée que par
le pape seul à la basilique Saint-Pierre, pointe aux
chrétiens du monde
le « vide », comme si Dieu les avaient abandonnés, comme
s’Il
n’existait pas.
Or,
le 12 avril additionné de 6 mois, le chiffre de la bête
donne le 12 octobre.
Octobre
c’est
le second mois de Marie et c’est l’affront qu’il fait en la
défiant durant le mois du Rosaire. Il sait pertinemment que
c’est Elle
qui lui écrasera la tête du talon.
«
La fête de Notre-Dame du Rosaire, célébrée le 7 octobre, a
été
instituée par le Pie V en 1573, pour remercier Marie de
cette victoire.
En 1883, le pape Léon XIII décrétait solennellement que le
mois
d'octobre de cette année-là serait entièrement consacré à
«la Saint
Reine du Rosaire». Depuis, le mois d'octobre, durant lequel
comme au
mois de mai, on prie particulièrement la Vierge, est appelé
le mois du
Rosaire. »
C’est
aussi juste avant le 13 octobre, la dernière apparition de
Fatima, et on le rappelle, il y a presque 103 ans.
Puisque l’antéchrist
système
(Babylone Nations-Unies, la bête de la Terre, une des deux
Babylone de
Jean XXIII) doit mourir, il doit la faire ressuscité, comme
le Christ.
C’est
ici
qu’entre probablement le nouveau système et la nouvelle
monnaie,
car les conséquences post-coronavirus ne laisseront pas le
choix aux
gouvernants.
Ce
sera l’apparition de la 4ème tête de l’Apocalypse et de
Daniel, avec les 10 rois régnants pour peu de temps.
Et
comme
preuve tangible de sa résurrection, il fera comme le Christ
a
fait pour Thomas en lui permettant de mettre son doigt dans
les trous
de ses mains.
Ce
dimanche est nommé « dimanche de Quasimodo » dans la
tradition chrétienne catholique.
Cette
année, c’est donc le 19 avril.
(C’est
aussi la date de l’élection de Benoît XVI en 2005 et on sait
qu’il aura 93 ans le 16 avril.)
Additionné de 6 mois, cela
donne le 19 octobre, exactement à la date du chiffre parfait
de 33 ans après le krach de 1987.
Ce qu’il fait pour Babylone
Nations-Unies, il doit absolument le faire pour Babylone
Vatican (la bête de la mer).
En
même temps.
Effectivement.
Le
6,
c’est un chiffre d’homme nous rappelle Saint-Jean. C’est le
chiffre
de la période de Satan, la grande apostasie, l’humanisme.
C’est
ce qui caractérise le Vatican en cette ère apocalyptique.
La
période
du passage (la Pâques) du 6 (qui appartient à Satan) au 7
(qui
appartient à Dieu) nous est indiquée par le prophète
Daniel :
durée de la bête de 1260 jours soit 42 mois.
42
c’est 6X7… Du 6 vers le 7.
(Note : Il y a 42
jours
entre le 9 mars et le 20 avril, depuis que le Vatican a
arrêté toute
cérémonie et tout sacrement en Italie.)
Et
la bête de la mer vient tout juste de nous indiquer qu’elle
veut devenir comme Dieu.
Le
pape
François s’est mis en priorité au-dessus des titres
historiques
dans l’annuaire du Vatican 2020 (voir analyses précédentes).
François
ne portait pas
l’anneau du pêcheur, symbole de la papauté, à son doigt lors
de la
messe du Vendredi Saint et pour le chemin de croix!
Rappelons
que
François porte le même modèle que celui que portait le pape
Paul
VI et qui représente ainsi Saint Pierre tenant les
clefs du
Royaume. Celui de Benoît XVI affichait quant à lui l’apôtre
et ses
filets lors de la pêche miraculeuse dans le lac de
Tibériade.
Temps de séparation du bon
grain de l’ivraie sous Benoît XVI, alpha et oméga de Vatican
II de Paul
VI à François. Les clefs de quel royaume vraiment?
Alors
que Benoît XVI, le katéchon en action, retient toujours le
bras de Jésus.
Sa
mission est de sauver le plus d’âmes possibles : son
anneau symbolise le jubilé des jubilés des 153 poissons.
Donc
François, la bête de la mer veut devenir un 7.
L’élection
de François a eu lieu le 13 mars 2013.
Il
fut intronisé le 19 mars 2013.
Cela
fait donc 7 ans.
Le
19 mars additionné de 7 mois donne le 19 octobre 2020.
La
singerie du triple 7 est sur le point de se terminer.
Ce
que nous rappelle Jean XXIII car la durée du pontificat
de François pourrait aussi être la nouvelle église de Caïn:
«
La fille de Caïn est
montée au Nord, pour prêcher. Luxure dans la nouvelle
Babylone, pour sept ans. La
septième année tombe le septième voile de Salomé, mais il
n'existe pas
d'empereur, il n'existe pas qui saura lever l'épée et
couper le cou de
Jean. Le temps est proche. »
Le 7ème voile de Salomé
terminera donc le compte à rebours : 7 ans, 7 voiles à
enlever.
Tout s’accomplit au 7ème
voile.
On a durant 7 ans découvert
le vrai visage de François, petit à petit, voile après
voile.
Nous sommes aussi mis sur
la
piste par la révélation des 7 sceaux, 7 trompettes, et 7
coupes de
l’Apocalypse : ce n’est qu’à la fin de la sixième
période (période
de l’Antéchrist), qui se termine par la résurrection des
deux témoins
au septième sceau qu’a lieu le Jugement.
C'est en lien avec
l’épisode de Jéricho avant l’entrée en Terre Promise.
Les
hébreux
ont fait le tour de la ville 6 jours de suite comme indiqué.
Au
septième et dernier jour, il ont fait dans le même jour sept
tours,
mais ce n’est qu’au septième tour que les murailles
s’effondrent :
7 tours, 7ème jour, 7ème tour de la septième journée :
777.
Les
chrétiens
doivent faire preuve de foi et d’espérance pour s'ancrer
dans l'Esprit durant les tribulations, jusqu’au dernier 7,
C’est
ce
que nous rappelle Daniel :« Heureux celui qui attendra
et
arrivera jusqu'à mille trois cent trente-cinq jours ! »
Parce
que Dieu ne laissera François pas aller jusqu’au bout.
Daniel
nous
rappelle (chap.3,47 relié à l’abomination de la désolation)
que
les flammes du brasier ne peuvent dépasser 49 coudées.
Quarante-neuf,
nous disent les Pères de l’Église, correspond à la limite du
diable car c’est 7X7.
Il
est donc clair qu’à partir de maintenant, et Benoît XVI et
François ne se rendront probablement pas jusqu’à
octobre.
Et
si
c’est comme l’épisode de Jéricho, c’est durant le 7ème mois
que cela
se passera, tout juste avant le 19 octobre, à la 7ème
trompette.
08 avril
Mercredi
Saint via Maria Valtorta... C’est l’avertissement en
Matthieu 24… Lorsque vous verrez l’abomination de la
désolation…
Et
Jésus confirme les 3 jours de ténèbres tels que prédits par
Padre Pio et Anne-Marie Taïgi entres autres.
Il
nous demande de demeurer éveiller, de sortir de l’esprit de
Babylone.
«
Il y en aura beaucoup qui seront purifiés, blanchis et
éprouvés ;
et les méchants feront le mal, et aucun méchant ne
comprendra ;
mais les intelligents comprendront. » (Daniel, 12,10)
«
Rappelez-vous également ceci : craignez plutôt les alliances
faciles et
les flatteries d'un étranger que ses légions. En effet, tant
que vous
serez fidèles aux lois de Dieu et de la Patrie, vous
vaincrez même si
vous êtes encerclés par des armées puissantes, mais quand
vous serez
corrompus par le poison subtil donné comme un miel enivrant
par
l'étranger qui a formé des desseins contre vous, Dieu vous
abandonnera
à cause de vos péchés, et vous serez vaincus et assujettis,
sans que
votre faux allié livre une bataille sanglante contre
vous. »
Il nous indique clairement
qu'il faut demeurer fidèle à la loi et les prophètes, et non
pas de
succomber au miel enivrant des deux Babylone Vatican et
Nations-Unies
(et ses dérivés, tel que l’Organisation Mondiale de la Santé
présentement).
« Veillez donc car vous ne
savez pas à quelle heure viendra votre Seigneur. Pensez de
nouveau à
ceci : si le chef de famille savait à quelle heure vient le
voleur, il
veillerait et ne laisserait pas dépouiller sa maison.
Veillez donc et
priez, en étant toujours préparés à sa venue, sans que vos
cœurs
tombent dans la torpeur par des abus et des excès de toutes
espèces et
que vos esprits ne soient pas éloignés et fermés aux choses
du Ciel par
le soin excessif aux choses de la Terre, et que le lacet de
la mort ne
vous prenne pas à l'improviste quand vous ne serez pas
préparés. Car,
rappelez-vous, tous vous devez mourir. Tous les hommes, dès
leur
naissance, sont destinés à la mort, et c'est une venue
particulière du
Christ cette mort et le jugement subséquent, qui devra se
répéter pour
tous les hommes à la venue solennelle du Fils de l'homme. »
« Elle ne passera pas cette
génération qui n'a pas voulu de Moi avant que tout cela se
produise. Ma
parole ne tombera pas. Ce que je dis sera. Le cœur et la
pensée des
hommes peuvent changer, mais ma parole ne change pas. Le
ciel et la
terre passeront mais mes paroles ne passeront pas. »
C’est bien ce que nous
constatons.
Le mercredi saint c’est la
trahison de Judas dans la tradition de l’Église.
C’est
le thème qu’a développé François dans sa messe quotidienne à
Sainte-Marthe.
À
caractère humaniste. Bien-sûr.
La
traite humaine et l’amour de l’argent.
Et
il nous démontre encore une fois son manque flagrant de
profondeur théologique.
Ce
pape est un imposteur.
Il faut savoir décoder,
avoir les oreilles pour entendre.
« … Le garçon Judas,
peut-être
bon, avec de bonnes intentions, finit par être un traître au
point
d'aller au marché pour vendre : "Il est allé voir les chefs
des prêtres
et leur a dit : "Combien voulez-vous me donner pour que je
vous le
donne, directement ?” À mon avis, cet homme était
complètement fou…
Comment
est le mystère de Judas ? Je ne sais pas…
«
Oui, cela me réconforte de contempler ce chapiteau de
Vézelay (un
sculpture représentant le corps de Judas porté par Jésus,
ndlr) :
Comment
Judas a-t-il fini ? Je ne sais pas…
Malheur
à
cet homme par lequel le Fils de l'homme est trahi : il
vaudrait mieux
pour cet homme qu'il ne soit jamais né ! Mais cela
signifie-t-il que
Judas est en enfer ? Je ne sais pas… » (vaticannews.va)
Et François fini son
interlocution en confirmant qu’il était possédé par le
diable.
«
le diable est entré dans Judas, c'est le diable qui l'a
conduit
jusqu'ici. Et comment l'histoire s'est-elle terminée ? Le
diable est un
mauvais payeur, il n'est pas un payeur fiable. Il vous
promet tout,
vous fait tout voir et, à la fin, il vous laisse seul dans
votre
désespoir de vous pendre. »
C’est encore le mystère
d’iniquité des derniers temps à l’œuvre : le sens de
l’ambiguïté pour égarer du droit chemin.
L’utilisation
des contradictions. Une arme redoutable.
«
Je ne sais pas… » répété à plusieurs reprises suivi du «
c’est le
diable » parce que cela s’applique à la nouvelle religion
humaniste,
socialiste, d’égalité et de liberté.
S’applique
dans
le sens que l’argent est sale et produit des inégalités,
donc
incarné par le diable, ennemi de l’idéologie de la théologie
de la
libération.
Il faut avoir la mémoire
vive...
François n’a-t-il pas
affirmé aussi dans le passé que l’enfer, donc le diable,
n’existe pas?
Tout
comme
le pape noir… « Le père Arturo Sosa, supérieur général des
jésuites, a estimé dans la presse italienne que Satan était
une
« réalité symbolique ». (la-croix.com)
Et juin 2016 où son
histoire avec le chapiteau de Vézelay a commencé?
« Il est extraordinaire -
pour
un pape - de confondre le diable (au double visage) avec
Jésus. C'est
arrivé jeudi quand Bergoglio a évoqué de façon erronée un
chapiteau de
la cathédrale du Vézelay: un "échange de personnes"
emblématiques de ce
pontificat...
En revanche, le fait de les
confondre (Jésus et le diable), et même d'envisager que
Judas soit
sauvé (sans s'en s'être repenti) donnant à comprendre que
même lui n'a
pas fini en enfer, est bel et bien de son cru. » (benoit-et-moi.fr)
Le chapiteau de Vézelay.
Cela réconforte François…
Or,
la référence à Jésus portant le corps de Judas sur ses
épaules est en lien direct avec l’évangile apocryphe de
Judas.
C’est de la gnose! Et la
gnose est une hérisie!
(voir lien benoit-et-moi.fr
pour l’explication et la photo du jeune homme imberbe qui
n’a rien du Christ!)
Mais
qui est le vrai traître? Qui est le Judas qui a trahi
l'Église?
Çà.
Nous le savons.
De plus, ce jeune homme
portant le corps de Judas ne se dirige pas vers le chœur,
vers la
miséricorde, mais il le transporte hors de la cathédrale,
vers les
ténèbres.
Mais les ténèbres, cela
n’existe pas, non?
Car
François a bel et bien aboli le péché durant le jubilé de la
miséricorde infini célébrant le jubilé (50 ans) de Vatican
II.
Ce jubilé s’est terminé le
20 novembre 2016 en la fête du Christ-Roi, terme qu’il n’ose
même pas prononcer.
Quel
affront.
À
l’audience générale aujourd'hui, le thème était la croix.
Dans
la croix, Dieu révèle son vrai visage.
Contemplons
la
croix du Seigneur, là où se révèle pleinement son amour et
son vrai
visage : c’est en substance le cœur de la catéchèse délivrée
par le
Pape François au cours de l’audience générale de ce Mercredi
Saint, qui
s’est tenue dans la bibliothèque du Palais apostolique… » (vaticannews.va)
Mais
qu’est-ce que la croix et qui est le diable pour François?
L’ambiguïté
et la contradiction encore à l’œuvre…
4 avril 2017, durant le
sermon à Sainte-Marthe…
« Bergoglio va jusqu'à
affirmer dans l'église que «Jésus s'est fait diable» et tout
le monde fait mine de rien :
«
Mais qu'est la croix pour nous? » est la question posée par
François.
«Oui, elle est le signe des chrétiens, elle est le symbole
des
chrétiens... «le souvenir de celui qui s'est fait péché, qui
s'est fait
diable, serpent, pour nous; qui s'est abaissé jusqu'à
s'anéantir
totalement».» (benoit-et-moi.fr)
Vraiment?
Le maître du mensonge est à
l'oeuvre.
Il
peut bien porter le titre d' « abomination de la désolation
».
Les
chrétiens catholiques ont raisons d'être déçus.
07 avril
Le Mardi Saint via Maria
Valtorta…
C’est l’explication du
figuier
stérile maudit par le Christ et qui s’est desséché... De ces
prêtres ou
des chrétiens vides de l’intérieur, qui n’ont plus la force
et
s’agenouillent devant les forces du mal et se conforment en
interdisant
les messes…
C’est
le même constat pour l’humanité avec la grande apostasie.
Signe de mort pour l’église
et pour Babylone la Terre.
«Elles n’ont plus de
moelle,
tu l’as dit. Or ce qui vaut d’un arbre peut s’appliquer à
une nation ou
à une religion : quand il ne reste que l’écorce dure et
le
feuillage inutile — c’est‑à‑dire la férocité et un aspect
extérieur
hypocrite —, c’est signe que la mort est là. La moelle,
blanche et
pleine de sève, correspond à la sainteté, à la spiritualité.
L’écorce
dure et le feuillage inutile à l’humanité dépourvue de vie
spirituelle
et de justice. Malheur aux religions qui deviennent humaines
parce que
leurs prêtres et leurs fidèles n’ont plus l’esprit vital.
Malheur aux
nations dont les chefs ne sont que férocité et verbosité
tapageuse
dépourvue d’idées fécondes ! Malheur aux hommes qui n’ont
plus de vie
spirituelle !
… Comment alors, en si peu
de
temps, peut arriver tout ce que Lui dit précéder son retour
? Guerres,
destructions, esclavage, persécutions, l'Évangile prêché
dans le monde
entier, désolation et abomination dans la maison de Dieu, et
puis des
tremblements de terre, des pestes, de faux prophètes, des
signes dans
le soleil et dans les étoiles... Eh ! il faut des siècles
pour faire
tout cela !.. »
Comme
spécifié
hier, le Père a accordé « deux éternités » pour que la
génération chrétienne accomplisse ce qu’Israël a refusé
d’accomplir.
Les
derniers 2000 ans ont été effectivement marqués parce que
vient d’affirmer le Christ.
L’Évangile,
grâce
aux technologies des communications a été prêché par toute
la
Terre. Nul ne peut ignorer que le Christ est venu sauf les
reclus.
L’abomination
est sur le trône.
Il ne manque que le signe dans le soleil et dans les
étoiles. Signe répété par le miracle du Soleil à Fatima le
13 octobre 1917.
103
ans en octobre 2020.
Il
faut toujours attendre le 3, le chiffre de la Trinité.
Nous
avons vu dans les analyses passées que la Sainte Vierge
utilise aussi le 3 pour avertir.
Ce
que Jésus confirme en ce mardi saint via Maria
Valtorta :
« Mon Père n'a pas fait de
Moi
son serviteur seulement pour faire revivre les tribus de
Jacob, pour
convertir ce qui reste d'Israël : les restes, mais Il m'a
donné comme
lumière des Nations afin que je sois le "Sauveur" pour toute
la Terre.
C'est pour cela qu'en ces trente-trois années d'exil du Ciel
et du sein
du Père, j'ai continué à croître en Grâce et en Sagesse près
de Dieu et
près des hommes, pour atteindre l'âge parfait, et en ces
trois
dernières années, après avoir brûlé mon âme et mon esprit au
feu de
l'amour et l'avoir trempée au froid de la pénitence, j'ai
fait "de ma
bouche une sorte d'épée tranchante »
Mgr
Vigano
confirme en ce mardi l’abomination de la désolation sur le
trône, surtout de l’annuaire du Vatican et sur la
bénédiction « Urbi et
Orbi » du 27 mars, ainsi que sur la Sainte Vierge Marie.
Ce qui confirme que de
rabaisser Jésus et Marie à de simples humains laisse la voie
libre à la nouvelle religion humaniste.
C’est exactement ce que
confirme Pierre Hillard dans son dernier volume.
La clique judéo-maçonnique
peut très bien accepter l’idée de Jésus comme étant un
prophète; Et non le Messie.
Ainsi, leur messie a
maintenant la place pour se manifester.
Notez que plusieurs rabbins
annoncent sa venue étant donné les circonstances du
coronavirus avant
la pâques juive, un signe selon eux.
La clique ultra-ordodoxe a
même demandé à faire le sacrifice de l’agneau pascal sur
l’esplanade du
temple; une première depuis 2000 ans si elle est accordée.
« Derrière tout cela, comme
on
peut le voir, il n’y a pas d’humilité, mais la poursuite
d’un but
narcissique et politique: il ne s’agit pas de donner un
exemple
édifiant, mais de plaire au monde.
Il
me
semble que le moment est venu de nous interroger
sérieusement sur
l’impasse canonique dans laquelle nous nous sommes laissés
conduire par
cette dissociation entre le munus et ceux qui le couvrent:
on ne peut
pas exiger l’obéissance au Pape si, en même temps, celui qui
est assis
sur le trône se comporte comme s’il ne l’était pas; parce
que, ce
faisant, on opère une authentique mystification, on joue
avec
l’obéissance et avec le sens hiérarchique des fidèles, mais
en même
temps on se considère comme des liberi battitori déliés de
tous les
devoirs et de toutes les limites que la Papauté impose…
… Bergoglio utilisent ses
excentricités comme un moyen de démythifier la papauté,
c’est-à-dire de
l’humilier, de l’abaisser à ce qui, par essence, ne peut et
ne doit pas
être. Ceux qui qui se délectent de l’abolition du titre de
Vicaire du
Christ ne se moquent bien de l’humilité du Pape ; tout ce
qui compte,
c’est la poursuite d’un dessein politique ciblé visant à
démolir
l’Église et ses institutions les plus vénérables, en
s’alignant sur la
pensée dominante…
… Les fidèles – et le
clergé
lui-même – sont scandalisés par la façon dont Bergoglio
parle de la
Vierge, par la facilité avec laquelle il se permet de
rabaisser et
d’humilier Sa très sainte personne, sans jamais utiliser les
titres qui
lui sont dus et en prenant soin de ne pas répéter
l’enseignement
constant de l’Église…
… la négation de dogmes et
de
vérités théologiques, même ceux qui ne sont pas définis
solennellement,
implique une conséquence extrêmement destructrice, car la
Vérité – qui
est Dieu lui-même – ne peut avoir de parties sacrifiables.
Si l’on
touche à un dogme apparemment marginal par rapport aux
dogmes
trinitaires ou christologiques, on touche à tout l’édifice
doctrinal.
Et permettez-moi de vous rappeler qu’en plus des horreurs du
métissage
marial, nous avons également entendu des idées fausses sur
la divinité
même du Christ, subrepticement insinuées par les interviews
données à
un journal notoirement anti-catholique.
Quant à la maudite
pachamama,
il est évident qu’une substitution progressive de la Mère de
Dieu par
la Mère Terre est en cours, par respect pour la religion
mondialiste et
écologique. Qu’ils fassent très attention lorsqu’ils se
moquent de la
Vierge: les offenses que Notre Seigneur pardonne
lorsqu’elles lui sont
adressées, il ne leur pardonne pas si elles ont pour objet
Sa Très
Sainte Mère…
Quant à s’asseoir devant le
Saint-Sacrement, c’est une habitude constante de François
dans toutes
les célébrations auxquelles il assiste, à commencer par le
Corpus
Christi, qu’il déserte lui-même avec ostentation et
intolérance. Il
n’est pas surprenant que cette insistance sur l’humilité du
pape
récurrent dans le récit des courtisans se dissolve
précisément à la
seule occasion où le pape et Bergoglio pouvaient vraiment
s’humilier,
c’est-à-dire en s’agenouillant devant le Saint-Sacrement…
Ce sont des jours
difficiles,
non seulement à cause de la pandémie, mais aussi à cause de
ce
sentiment d’incertitude et de la crainte d’une catastrophe
imminente.
Ne nous laissons pas séduire par ceux qui tentent de nous
priver de la
paix intérieure: nous sommes le temple de l’Esprit Saint, et
si nous
sommes dans la grâce de Dieu dans notre âme habite la Très
Sainte
Trinité. Essayons de rendre cette demeure moins indigne, par
une prière
plus sincère et confiante. Nous avons un Avocat invincible:
la Très
Sainte Vierge; nous lui demandons, à Elle, Consolatrice des
affligés,
d’intercéder pour nous auprès du Trône du Très-Haut, à Elle
qui a
participé à notre Rédemption en vertu de Son union très
spéciale avec
Son Divin Fils, et qui est notre Médiatrice auprès de Lui. »
(benoit-et-moi.fr).
06 avril
Le
lundi avant la Pâque via Maria Valtorta…
C’est
la
parabole du figuier stérile qui a mené à la destruction de
Jérusalem, et qui se répète aujourd’hui avec la destruction
de Babylone
puisque les « gentils » n’ont pas su prendre la relève
correctement
malgré les avertissements.
Le
soir
venu, Jésus passe la nuit au Gethsémani avec les apôtres et
demande à Pierre, Jacques et Jean de prier pour ne pas
tomber en
tentation mais à plusieurs reprises, ils tombent endormis.
Du
commentaire de Mgr Williamson :
«
Le chemin de l’Eglise suit la trace divine, et non la trace
humaine
menant à la ruine. Certes, il ne manque ni de foi, ni de
courage, ni de
dévotion envers son divin Maître, mais au lieu de prier dans
le Jardin
des Oliviers, il a dormi. Or, si au lieu de dormir, il avait
prié, ses
pensées auraient pu être divines au lieu de n’être
qu’humaines, bien
trop humaines. Il aurait alors pu comprendre que la démarche
de Jésus
était, sans commune mesure, bien plus élevée que la sienne,
aussi
courageux et dévoué que lui, Pierre, pût être. »
(stmarcelinitiative.com).
Voilà
le piège dans lequel il ne faut pas tomber.
De
Maria Valtorta :
« C'est seulement après que
cette Terre aura péché contre Moi, et rappelez-vous que ce
sont des
paroles du Seigneur à son prophète, après seulement que le
peuple et
non seulement celui-ci en particulier, mais le grand peuple
d'Adam
commencera à gémir : "Allons vers le Seigneur. Lui qui nous
a blessés
nous guérira". Et le monde des rachetés dira : "Après deux
jours,
c'est-à-dire deux temps de l'éternité, durant lesquels il
nous aura
laissés à la merci de l'Ennemi, qui avec toutes ses armes
nous aura
frappés et tués comme nous avons frappé et tué le Saint — et
nous le
frappons et le tuons parce que toujours il y aura la race
des Caïns qui
tueront par leurs blasphèmes et leurs œuvres mauvaises le
Fils de Dieu,
le Rédempteur, en décochant des flèches mortelles non sur
son éternelle
Personne glorifiée, mais sur leur âme rachetée par Lui, pour
la tuer,
et pour le tuer par conséquent dans leurs âmes.
C'est seulement après ces
deux
temps que viendra le troisième jour et que nous
ressusciterons en sa
présence dans le Royaume du Christ sur la Terre et que nous
vivrons en
sa présence dans le triomphe de l'esprit. Nous le
connaîtrons, nous
apprendrons à connaître le Seigneur pour être prêts à
soutenir, grâce à
cette vraie connaissance de Dieu, la dernière bataille que
Lucifer
livrera à l'homme avant la sonnerie de l'ange de la septième
trompette
qui ouvrira le chœur bienheureux des saints de Dieu, au
nombre parfait
pour l'éternité — et ni le plus petit enfant, ni le
vieillard le plus
âgé ne pourra jamais être ajouté au nombre — le chœur qui
chantera; "Il
est fini le pauvre royaume de la Terre. Le monde est passé
en revue
avec tous ses habitants devant le Juge victorieux. Et les
élus sont
maintenant entre les mains de notre Seigneur et de son
Christ, et Lui
est notre Roi pour toujours. Louange au Seigneur Dieu Tout
Puissant qui
est, qui était et qui sera, parce qu'il a pris son grand
pouvoir et
qu'il est entré en possession de son royaume".
Oh ! qui parmi vous saura
rappeler les paroles de cette prophétie qui résonne déjà
dans les
paroles de Daniel avec un son voilé, et qui maintenant
retentit par la
voix du Sage devant le monde étonné et devant vous, plus
étonnés que le
monde ? ! »
La référence à Daniel ici
est du chapitre 7, 21-22.
«
Je regardai, et cette corne faisait la guerre aux Saints et
l'emportait
sur eux, jusqu'à ce que le vieillard vint, que le jugement
fut donné
aux Saints du Très Haut, et que le temps arriva où les
Saints
possédèrent le royaume. » qui traite de l’apparition de la
quatrième
bête (remarquez que le chapitre 7 et l’Apocalypse chapitre
13 traitent
du même événement).
Or la quatrième bête sera
le
moment, très proche, où Satan (6), par son esprit (6) se
présentera
sous les traits d’un humain (6) et qui complétera
l’aboutissement de
l’humanisme dans le 666, un nombre d’homme comme dit
Saint-Jean, donc
sans Christ, dans l'apostasie.
Nous y sommes puisque la
prophétie de Jésus s’accomplie… « Après deux jours,
c'est-à-dire deux
temps de l'éternité, durant lesquels il nous aura laissés à
la merci de
l'Ennemi… », c’est à dire 2000 ans.
« C'est seulement après ces
deux temps que viendra le troisième jour… » donc la
résurrection après les trois jours de ténèbres.
Kyrie Eleison
Seigneur ! Aie pitié
de nous !
5 avril
Jésus via Maria Valtorta au
soir du dimanche des rameaux :
« En tout homme il y a un
autre homme qui se révèle aux heures les plus graves. Il y a
le héros
qui, aux heures du plus grand danger, bondit de l'homme doux
que le
monde a l'habitude de voir et juge insignifiant, le héros
qui dit à la
lutte : "Me voici", qui dit à l'ennemi, à l'arrogant :
"Mesure-toi avec
moi". Et il y a le saint qui, alors que tous s'enfuient
terrorisés
devant les tyrans qui veulent des victimes, dit :
"Prenez-moi en otage
et en sacrifice. Je paie pour tous". Et il y a le cynique
qui profite
personnellement des malheurs de tous et rit sur les corps
des victimes.
Il y a le traître qui a son courage particulier : celui du
mal. Le
traître qui est l'amalgame du cynique et du lâche, qui est
aussi une
catégorie qui se manifeste dans les heures graves. Car
cyniquement il
tire profit d'un malheur et lâchement il passe au parti le
plus fort,
osant, pour en tirer profit, affronter le mépris des ennemis
et les
malédictions de ceux qu'il abandonne. Il y a enfin le type
le plus
répandu, le lâche qui, aux heures graves, n'est capable que
de
regretter d'avoir fait connaître son appartenance à un parti
et à un
homme, maintenant frappé par l'anathème, et de s'enfuir...
Ce lâche
n'est pas aussi criminel que le cynique ni aussi dégoûtant
que le
traître. Mais il montre toujours l'imperfection de sa
structure
spirituelle. »
En
ces temps graves, soyons parfait comme le Père céleste est
parfait, dans notre structure spirituelle.
Prions
pour ne pas renier le Christ Roi et demeurer fort par Lui,
avec Lui et en Lui.
Aujourd’hui
François nous a parlé de trahison.
Ce
qui est lié directement avec l’analyse d’hier.
«
Jésus a été trahi par des «gens qui l’acclamaient et qui
ensuite ont
crié : "Qu’il soit crucifié !" (Mt 27, 22). Il a été trahi
par
l’institution religieuse qui l’a condamné injustement et par
l’institution politique qui s’est lavé les mains». Lorsque
chacun
découvre qu'il a été trahi, «naît au fond du cœur une
déception telle
que la vie semble ne plus avoir de sens. Cela arrive parce
que nous
sommes nés pour être aimés et pour aimer, et la chose la
plus
douloureuse c’est d’être trahi par celui qui a promis de
nous être
loyal et proche. Nous ne pouvons pas non plus imaginer comme
cela a été
douloureux pour Dieu, qui est amour»…
La chrétienté se sent trahi
parce que François a trahi l’Église.
Ce
règne
grand et bref décrit par Jean XXIII à propos de François est
malheureusement un règne pour faire adorer la bête décrite
dans
l’Apocalypse.
Les
espoirs contenus dans le cœur de tous les chrétiens lors du
13 mars 2013 ne sont plus pour ceux qui connaissent la
vérité
François:
«
''Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ?'' (Mt 27,
46).
C’est une phrase forte». Pour la première fois, Jésus qui
avait
souffert de l'abandon des siens, utilisait le nom de «Dieu»,
pour crier
un «pourquoi» déchirant, «Ce sont en réalité les paroles
d’un Psaume
(cf. 21, 2) : on y dit que Jésus a aussi porté en prière
l’extrême
désolation».
De
nouveau,
cette épreuve était faite pour nous servir, a continué le
Souverain Pontife, pour «que lorsque nous nous sentons le
dos au mur,
que nous nous rappelions que nous ne sommes pas seuls. Jésus
a éprouvé
l’abandon total, la situation qui lui est la plus étrangère,
afin de
nous être solidaire en tout. Il l’a fait pour moi, pour toi,
pour te
dire : “N’aie pas peur, tu n’es pas seul. J’ai éprouvé toute
ta
désolation pour être toujours à ton côté ”». Voilà ainsi
jusqu’où Jésus
nous a servi, «descendant dans l’abîme de nos souffrances
les plus
atroces, jusqu’à la trahison et à l’abandon». » (vaticannews.va)
Solidaire, pour toi, aimer,
être aimer…
Tous des termes qui
s’applique à la philosophie maçonnique socialiste :
égalité, fraternité, et liberté… Sans le Christ.
Incapable d’identifier ce
temps crucial que nous vivons.
Ou volontairement oublier.
Où sont les Hosannas pour
le Christ Roi dans ses discours?
Les rameaux sont à l’image
de
l’oasis dans le désert d’Israël, terre promise qui s’est
desséchée,
peuple élu qui n’a pas su cultiver cet oasis, l’Élu dans son
cœur.
« Trouverais-je la foi à
mon retour? »
Avons-nous su cultiver cet
oasis dans nos cœurs, en tant que fils et filles de Dieu, et
en tant
que peuple de Dieu, à qui la mission d’évangélisation à été
confiée à
la mort et résurrection de NSJC?..
Le temps d’une génération.
2000
ans.
« Mgr Pierbattista
Pizzaballa,
administrateur du patriarcat latin de Jérusalem, a présidé
pour le
dimanche des Rameaux une liturgie depuis le Dominus Flevit
sur le Mont
des Oliviers, avant de bénir la ville et le monde avec une
relique de
la Sainte Croix… »
Et il a su trouver les mots
nécessaires.
Car la perte de âmes est en
jeu.
« Nous n'avons pas
levé
nos palmes et nos rameaux d’oliviers pour crier “Hosanna» à
notre Roi,
Jésus-Christ. Les rues qui, en ce jour, seraient pleines de
monde et de
chants, d'hymnes et de cornemuses sont vides et
silencieuses». Une
expérience qui doit inviter au questionnement,«Que
pouvons-nous faire
dans ces moments dramatiques pour la vie du monde et pour la
nôtre ?» (vaticannews.va)
04 avril
À l’occasion de l’ouverture
de la semaine pascale avec le dimanche des rameaux demain,
le pape adresse son message humaniste (vaticannews.va)
Ce
n’est
plus le Christ qui sauve. Pour lui son sacrifice est vain
puisqu’il se
tait sur ce sujet, ce qui semble invraisemblable mais qui ne
surprend
pas en regard de ce que nous savons des événements.
Nous
vivons quand même un moment historique!
Les forces du mal ont interdit
la célébration de la Pâques à l'échelle planétaire.
Mais
non. Point de mot sur la passion et la résurrection du
Christ.
Les
deux Babylone agissent en synchronicité, main dans la main.
Vatican
et
Nations-Unies sont sur le sprint final pour atteindre leur
but de
nouvelle société mondiale d’égalité et de fraternité; Sans
le Christ.
Aucun
hasard.
Mgr
Vigano via Lifestenews.com
confirme l’identification du Judas de cette Passion de
l’Église face à
la suppression du titre de Vicaire du Christ par le pape.
Il
élève même François au titre de « tyran ».
Le
temps est crucial. Le choix des mots pour découvrir la
vérité a toute son importance.
Notez
aussi cette parution de l’annuaire a eu lieu le 25
mars, jour de l’Annonciation!
Le
bureau de presse du Vatican essaie de minimiser le fait,
mais le vrai François s’est fait jour :
«
Matteo Bruni, directeur du bureau de presse du Vatican, a
déclaré au
Catholic News Service qu ‘«il n’y a pas eu de suppression»
d’un titre.
« La définition d
‘ » historique « par rapport aux titres attribués
au pape sur
l’une des pages qui lui sont consacrées dans l’Annuario
Pontificio de
2020 me semble indiquer le lien avec l’histoire de la
papauté », a
déclaré Bruni, ajoutant que tous les autres titres «sont
censés être
liés historiquement au titre d’évêque de Rome car au moment
où il est
désigné par le conclave pour guider l’église de Rome, l’élu
acquiert
les titres liés à cette nomination»…. »
Mais
il est bien évident (photo de nouveau avec le lien) que
JORGE MARIO BERGOGLIO est en haut de page, bien en évidence.
Le
narcissisme et l’orgueil sont biens ancrés chez les fils de
Satan.
Laissons
la parole à Mgr Vigano:
«
… Ce changement dans la présentation et le contenu d’un
texte officiel
de l’Église catholique ne peut être ignoré, et il n’est pas
possible de
l’attribuer à un geste d’humilité de la part de François, ce
qui n’est
pas en accord avec le fait que son nom soit si en évidence.
Au lieu de
cela, il semble possible d’y voir l’admission – passée sous
silence –
d’une sorte d’usurpation, par laquelle ce n’est pas le
«Servus servorum
Dei» qui règne, mais la personne de Jorge Mario Bergoglio,
qui a
officiellement renié être le Vicaire du Christ, successeur
du Prince
des Apôtres et Souverain Pontife, comme s’ils étaient des
signes
dérangeants du passé: seulement de simples «titres
historiques».
Un geste presque
provocateur –
pourrait-on dire – dans lequel Francois transcende chaque
titre. Ou
pire: un acte pour modifier officiellement la papauté, par
lequel il ne
se reconnaît plus comme gardien , mais devient maître de
l’Église,
libre de la démolir de l’intérieur sans avoir à répondre à
personne.
Bref, un tyran.
Que
la
signification de cet acte des plus graves n’échappe pas aux
pasteurs
et aux fidèles, car par cela le doux Christ sur terre –
comme sainte
Catherine l’appelait le pape – se libère de son rôle de
Vicaire pour se
proclamer, dans un délire d’orgueil, absolu monarque même en
ce qui
concerne le Christ.
Nous
approchons
des jours sacrés de la Passion du Sauveur, qui commence dans
la chambre haute avec la trahison de l’un des Douze. Il
n’est pas
illégitime de se demander si les paroles compréhensives avec
lesquelles
Bergoglio a tenté de réhabiliter Judas le 16 juin 2016
n’étaient pas
une tentative maladroite de s’exonérer.
Cette
pensée
effrayante est encore confirmée par la terrible décision de
permettre une interdiction presque universelle de la
célébration
publique de Pâques, pour la première fois depuis la
résurrection de
Notre-Seigneur Jésus-Christ. »
Ce passage de l’Apocalypse
de Saint-Jean est maintenant très clair :
Saint-Jean
eu
la vision de la bête « monter de la terre […], qui
avait deux
cornes semblables à celles d’un agneau, et qui parlait comme
un dragon.
Elle exerçait toute la puissance de la première bête en sa
présence, et
elle amenait la terre et ses habitants à adorer la première
bête »
(Ap 13, 11).
Retrouvons
Jésus
au Dimanche des Rameaux via Maria Valtorta, puisque son
discours
s'applique à notre temps, à Babylone la Terre au lieu de
Jérusalem:
«
Et toi, cité qui veux ta ruine et sur qui je pleure, sache
que ton
Christ prie pour ta rédemption. Oh ! si au moins en cette
heure qui te
reste tu savais venir à Celui qui serait ta paix ! Si au
moins tu
comprenais à cette heure l'Amour qui passe au milieu de toi
et si tu te
dépouillais de la haine qui te rend aveugle et folle,
cruelle pour
toi-même et pour ton bien ! Mais un jour viendra où tu te
rappelleras
cette heure ! Trop tard alors pour pleurer et te repentir !
L'Amour
sera passé et sera disparu de tes routes et il restera la
Haine que tu
as préférée. Et la haine se tournera vers toi, vers tes
enfants. Car on
a ce qu'on a voulu, et la haine se paie par la haine.
Et ce ne sera pas alors la
haine des forts contre le désarmé. Mais ce sera haine contre
haine, et
donc guerre et mort. Entourée de tranchées et de gens armés,
tu
souffriras avant d'être détruite et tu verras tomber tes
fils tués par
les armes et par la faim, et les survivants être prisonniers
et
méprisés, et tu demanderas miséricorde, et tu ne la
trouveras plus
parce que tu n'as pas voulu connaître ton Salut.
Je pleure, amis, car j'ai
un
cœur d'homme et les ruines de la patrie m'arrachent des
larmes. Mais
que ce qui est juste s'accomplisse puisque dans ces murs la
corruption
dépasse toute limite et attire le châtiment de Dieu. Malheur
aux
citoyens qui sont la cause du mal de leur patrie ! Malheur
aux chefs
qui en sont la principale cause ! Malheur à ceux qui
devraient être
saints pour amener les autres à être honnêtes, et qui au
contraire
profanent la Maison de leur ministère et eux-mêmes ! Venez.
À rien ne
servira mon action. Mais faisons en sorte que la Lumière
brille encore
une fois au milieu des Ténèbres !"
Ce
sont
toujours les profanations du culte de Dieu, de la Loi de
Dieu, qui
provoquent les châtiments du Ciel. En faisant de la Maison
de Dieu une
caverne de voleurs, ces prêtres indignes et ces indignes
croyants (de
nom seulement] attiraient sur tout le peuple malédiction et
mort.
Inutile de donner tel ou tel nom au mal qui fait souffrir un
peuple.
Cherchez le nom exact en ceci : "Punition d'une vie de
brutes". Dieu se
retire et le Mal s'avance. Voilà le fruit d'une vie
nationale indigne
du nom de chrétienne. »
Mais,
L’Église
renaîtra autrement …
À
l’approche de l’anniversaire de l’incendie de Notre Dame de
Paris, retrouvons le père Henri Boulad dans son sermon d’il y a un an, car c’est
très d’actualité... Et inspirant pour ceux qui croient.
«
Il fallait que le Christ meurt pour entrer dans sa Gloire.
Il
faut que l’Église meurt pour renaître»
03 avril
Çà
va très vite. Comme prévu.
Pendant
que François nous montre le Saint-Sacrement à la pluie
battante, il confirme son statut de dévastateur en
coulisses.
Le
1er avril, il a approuvé les deux textes liturgiques de
lutte au coronavirus.
Une nouvelle messe en temps
de pandémie et une intention supplémentaire pour les
liturgies du Vendredi Saint qui approche.
Plusieurs commentent que
cette
nouvelle Eucharistie est dépouillée de toute référence
à la
repentance et à la colère de Dieu.
Il
préfère,
fidèle à son thème de miséricorde infinie, « regarder avec
compassion les affligés, d'accorder le repos éternel aux
morts, le
réconfort aux personnes en deuil, la guérison aux malades,
la paix aux
mourants, la force aux travailleurs de la santé, la sagesse
à nos
dirigeants, et le courage de tendre la main à tous dans
l'amour ».
Comme
nous l’avions analysé, la bénédiction « Urbi et Orbi »
n’était pas valide car non précédée du sacrement de la
pénitence.
Ce
ne sont que de vœux pieux à la sauce humaniste.
Que
les deux témoins se lèvent! Leur heure est venue!
La
nouvelle
liturgie ne reconnaît pas Dieu non plus comme ayant la seule
autorité et le seul pouvoir de mettre fin à la pandémie.
Alors
que
dans le recueil de l'ancienne « Messe pour la délivrance de
la mort
en temps de peste », le prêtre implore Dieu de « retirer le
fléau de ta
colère » et « accueille avec pardon le retour de ton peuple
vers toi
... tant qu'il est fidèle à ton service. »
Et
François confirme ce que nous savions tous en l’observant
depuis 7 ans.
Il
proclame
le triomphe de l’humanisme et en tant qu’abomination de la
désolation sur le trône de Saint-Pierre, il s’élève
au-dessus de Dieu.
IL
A ABANDONNÉ SON TITRE DE « VICAIRE DU CHRIST ».
C’est
majeur.
C’est un grand signe qui confirme le mystère d’iniquité, le
visage à deux face, le sens de l’ambiguïté, bref tout ce qui
appartient
au monde de Satan.
« Le pape François
abandonne le titre de «Vicaire du Christ» dans l’annuaire du
Vatican.
Le
titre
de «Vicaire de Jésus-Christ» provient de la Sainte Écriture
où
Jésus accorde à Saint-Pierre le pouvoir des clés dans
l’Église .
2 avril 2020 ( LifeSiteNews
) – Dans une décision surprise, le pape François a retiré le
titre
historique et essentiel «Vicaire du Christ» de l’Annuaire
pontifical
2020, l’annuaire annuel du Saint-Siège, reléguant le titre
en note de
bas de page, le qualifiant de « titre historique. »
Alors
que
les annuaires précédents mentionnaient le titre «Vicaire du
Christ»
et le nom du pape régnant sous ce titre, le répertoire
annuel de cette
année ne fait que mentionner le nom «Jorge Mario Bergoglio»,
le nom de
l’homme qui est devenu pape François en 2013.
Le
cardinal
Gerhard Müller, ancien préfet de la Congrégation pour la
doctrine de la foi, a qualifié le changement de «barbarie
théologique».
Comme
le
rapporte le correspondant allemand de Rome, Guido Horst,
pour le
journal Die Tagespost , cette nouvelle entrée a étonné des
experts du
Vatican bien informés. Il écrit que l’ Annuario Pontificio
de cette
année a «interdit» le titre du pape «Vicaire du Christ», ce
qui en fait
un «titre historique» qui appartient désormais à une note de
bas de
page...
Le titre de «Vicaire de
Jésus-Christ», cependant, «provient de la Sainte Écriture,
dans
laquelle Jésus a accordé à Saint-Pierre le pouvoir des clés
dans
l’Église», explique Horst.
Après
ces
titres supplémentaires, venait généralement le nom du
pontife
actuel, une courte biographie de lui, ainsi que les dates de
son
élection et de son investiture.
Cependant,
la
nouvelle entrée sur le Pape commence maintenant – au lieu du
titre
«Vicaire de Jésus-Christ» – avec le titre suivant: «Jorge
Mario
Bergoglio». Ce titre est suivi d’une courte biographie et
des dates de
son élection et de son investiture. Enfin – et ceci après
une ligne
indiquant que les «notes de bas de page» (selon les mots de
Guido
Horst) sont à venir – il y a, sous le sous-titre «titres
historiques»:
Vicaire de Jésus-Christ, Successeur du Prince des Apôtres,
Suprême
Pontife de l’Église universelle, primat d’Italie, archevêque
et
métropolite de la province romaine, souverain de l’État de
la Cité du
Vatican et serviteur des serviteurs de Dieu.
Selon
Horst,
un tel changement de la présentation du Pontife romain dans
l’
Annuario Pontificio « ne pouvait avoir lieu qu’à la
demande de
François lui-même. »
Dans
ses
commentaires au Tagespost , le Cardinal Gerhard Müller
souligne que
dans les nouvelles présentations des titres du Pape, il y a
des titres
mélangés avec une signification dogmatique avec ceux qui
n’ont pas un
tel poids et qui ont un fond historique (tels que
« Souverain de
l’État de la Cité du Vatican »).
Le
cardinal
allemand poursuit en parlant de «l’embarras» que l’Annuario
Pontificio a «rabaissé des éléments essentiels de
l’enseignement
catholique sur la primauté [du pape] comme simple annexe
historique».
Il a insisté sur le fait que «c’est une barbarie théologique
de
rabaisser comme fardeau historique les titres du pape«
successeur de
Pierre, représentant du Christ et chef visible de toute
l’Église ».» Il
a déclaré que les évêques, en tant que successeurs des
apôtres, «Avec
le ‘Successeur de Pierre, représentant du Christ et chef
visible de
toute l’Église, dirigez la maison du Dieu vivant». ( Lumen
gentium 18)
« Aucun
pape
ou concile œcuménique », a poursuivi le prélat
allemand,
« ne pourrait, par référence à sa plus haute autorité
sur
l’Église, supprimer la primauté, l’épiscopat ou les
sacrements, ou les
réinterpréter dans leur essence ».
Un
commentateur
cité par Guido Horst a noté que le changement dans
l’annuaire dénotait une «compréhension défectueuse du
bureau»,
soulignant que des titres importants tels que «Successeur du
prince des
apôtres» ont également été déclassés en tant que simples
titres
historiques.
Le
professeur
Armin Schwibach, correspondant à Rome pour le site
autrichien Kath.net, a commenté sur Twitter: « Il
semble qu’ils
continuent de tout démanteler. »»
La biographie de Jorge
Mario
Bergoglio est maintenant au-dessus de tout le reste et les
titres sont
en bas. (photo sur le lien lifesitenews.com ci-haut).
Les
titres sont introduits par « Titoli storici » ou
«titres historiques».
Ainsi
Bergoglio est plus élevé que tous ces titres. L'Histoire et
la Tradition sont du passé.
Regardez-moi.
JE
SUIS LA RÉFÉRENCE.
L’Église est trahie.
Elle
a son Judas comme le Christ l’a eu.
Un
peu à l’avance par rapport aux prévisions.
Il
n’y a que la protection de Benoît XVI maintenant. Pour
combien de temps?
Anna
Maria Taigi confirme qu’
«
Un jour viendra où le Pape enfermé au Vatican se
trouvera
comprimé comme dans un cercle de fer. Toute espérance
humaine sera
perdue et c’est alors que Dieu fera éclater, tout à coup, sa
miséricorde…
Les
cadavres
tués aux environs de Rome seront aussi nombreux que les
poissons charriés dans cette ville par un récent débordement
du Tibre…
La
religion
doit être persécutée et les prêtres massacrés. Les Églises
seront fermées, mais seulement pour un court laps de temps.
Le
Saint-Père sera obligé de quitter Rome. »
Voilà.
La
fuite de François approche.
01 avril
Il
existe deux échéances dans les prophéties de Jean XXIII.
La
première « Il y a vingt
siècles plus l'âge du Sauveur. Amen. » qui termine
les prophéties de l’Église.
Benoît
XVI a confirmé qu’il y a une marge d’erreur de six ou sept
ans quant à la naissance du Christ, ce qui donne 2026.
La
deuxième
est de 7 ans démarrant lors de l’identification de la «
fille
de Caïn » (qui devait normalement concorder avec la semaine
du prophète
Daniel si nous devons en tenir compte).
Selon
nos
deux hypothèses, nous aurions donc 2023 si la fille de Caïn
est la
nouvelle église oecuménique instaurée par la signature de
François avec les
luthériens en octobre 2016, ou nous aurions 2025 si Greta
Thunberg est
la fille de Caïn sortie de l’ombre en août 2018.
Puisque
le
sacrifice et l’oblation sont maintenant arrêtés à cause de
la crise
du coronavirus, il faudrait pencher pour la première
hypothèse car ce
fait arrive à la moitié de la semaine de Daniel comme
prophétisé.
Et
ce temps, on le sait de la bouche même de NSJC sera
raccourci.
Nous
ne
connaîtront ni le jour ni l’heure du Jugement, seulement les
signes
qui nous avertiront de l’arrivée imminente de la chute de
Babylone, des
deux Babylone identifiées par Jean XXIII.
Donc
en théorie il resterait entre 3 à 5 ans mais…
Nous
constatons
qu’il y a une accélération dans la suite des événements car
les puissances du mal sentent leurs fins et ils doivent agir
vite pour
séduire le plus d’âmes possibles.
La
clique judéo-maçonniste est passée en vitesse grand V.
Le
degré de déchaînement des fils et des filles de Satan est
donc en relation directe avec la patience de NSJC.
Sinon,
le petit reste y passerait.
C’est
donc dire qu’il faut être prêt.
Maintenant.
Il
n’y a plus de temps pour s’interroger à propos du signe de
la bête révélé dans l’Apocalypse.
Évidement,
nous
pourrions avoir un signe physique, matériel, mais quand on y
réfléchit ce signe est déjà de notre monde depuis longtemps.
Quiconque
n’a pas un compte de banque ne peut recevoir sa paye ou
faire des
transactions pour subvenir à ses besoins. La carte de
crédit, débit ou
le téléphone intelligent n’ont fait que rendre évident cette
vérité
avec le temps.
La
marque de la bête la plus dangereuse… Elle est du domaine
spirituel.
Le
monde
apostasié infiltré dans ses pensées par le mal représente la
marque sur le front, et la manière d’agir dans cette société
représente
la marque sur la main droite.
Le
triage du bon grain et de l’ivraie est donc relier à notre
façon de penser et d’agir en société.
Selon
les commandements du Christ, ou contre.
La
charité ne doit pas se refroidir. C’est le temps de
l’épreuve.
La
foi et l’espérance doivent primer.
Les
événements
et les nécessités pour prendre soins de notre corps, notre
temple physique, nous contraignent d’être dans le monde.
Mais,
par
la Grâce divine et par nos efforts conscients pour se
conformer à
Sa Volonté selon les principes enseignés par Jésus, nous
sommes en
mesure de vivre dans le monde sans être du monde.
Cette
distinction,
établie par le Christ lui-même nous permet d’agir en tant
que fils et filles de Dieu quels que soient les choix.
Il
s’agit,
ainsi, de fuir l’esprit du monde, de se réfugier dans sa
grotte
intérieure par la prière et la méditation, et ne pas se
laisser conduire vers la perte de l’âme.
Voilà
comment ne pas adhérer à la marque de la bête.
Mgr
Vigano dans une lettre aux italiens nous rappelle ce temps
si important :
« … Ce que nous assistons à
ces heures est dramatique - certainement dans toute
l'Italie, mais
d'une manière tragiquement exemplaire, à Rome, le cœur du
catholicisme.
Le
scénario
est d'autant plus déconcertant que ce qui est en jeu n'est
pas
seulement la santé publique mais le salut des âmes - et
depuis quelque
temps maintenant, en tant que pasteurs, nous avons cessé
d'enflammer le
cœur de nos fidèles avec le désir du salut éternel. Nous les
avons
ainsi privés de ces dons surnaturels qui nous rendent
capables de faire
face aux épreuves ici-bas, même aux assauts de la mort, avec
le pouvoir
de la foi et cette étincelle d'espérance inépuisable et
inébranlable
qui nous vient de notre aspiration au destin de la gloire.
pour
laquelle nous avons été créés... » Carlo Maria Viganò
(remnantnewspaper.com)
Mars 2020
30 mars
«
Ton
règne sera grand et bref. Père, il sera bref mais il te
mènera loin,
dans la lointaine terre où tu es né et où tu seras
enseveli. A
Rome ils ne voudront pas te donner. »
C’est
le début de la prophétie concernant François.
Vous
l’avez vu seul, ou presque, place Saint-Pierre pour la
bénédiction "Urbi et Orbi" exceptionnelle vendredi dernier.
Seul,
non pas à cause d’un schisme ou d’une guerre, mais par le
confinement dû au coronavirus.
«
À Rome ils ne voudront pas
te donner ».
Il
faut
avec cette image réaliser que si François décède
prochainement, on
ne pourra faire de funérailles papales à la régulière vu le
contexte
sanitaire.
On
ne pourrait dire adieu à l’évêque de « Rome », d’où
l’interprétation possible de la phrase.
Une
fenêtre temporelle est ouverte avec la pandémie.
Et
d’où la bénédiction exceptionnelle, hors contexte habituel
(lors de l’élection d’un pape, à Noël ou Pâques).
«
Supplication au Seigneur pour la guérison d'un monde blessé
et souffrant » mentionne la presse du Vatican (vaticannews.va).
La
supplication fait énormément penser à la miséricorde infini
accordé par
le pape lors du jubilé de 2016, à l’entrée dans la semaine
possible de
Daniel.
Elle
demande un remède divin au corps malade et un changement
dans les cœurs.
C’est
très « humaniste ». C’est comme demander un retour à la
normale, au monde apostasié, aux deux Babylone.
Et
l’indulgence qui a suivi relève de la miséricorde infini.
Encore
une fois, le pape laisse sous-entendre que le péché et le
jugement n’existent plus.
Or,
que demandaient les papes qui ont précédé en de telles
circonstances?
La
pénitence!
Il
faut changer sa manière de penser, d’agir, et retourner au
Père selon les principes enseignés par le Christ.
«
Signez-vous sept fois avec
une main fatiguée et attendez. » confirme Jean
XXIII dans la prophétie de l'Église #11, c'est à dire,
repentez-vous.
Une
indulgence qui n’est pas précéder du sacrement du pardon et
de la pénitence est non valide.
Ce
qui n’est pas le cas ici.
Il
nous rappelle que nous sommes dans la barque « humaniste »
avant toute chose.
«Dans
notre
monde, que tu aimes plus que nous, nous sommes allés de
l’avant à
toute vitesse, en nous sentant forts et capables dans tous
les
domaines. Avides de gains, nous nous sommes laissé
absorber par les
choses et étourdir par la hâte. Nous ne nous sommes pas
arrêtés face à
tes rappels, nous ne nous sommes pas réveillés face à des
guerres et à
des injustices planétaires, nous n’avons pas écouté le cri
des pauvres
et de notre planète gravement malade. Nous avons continué
notre route,
imperturbables, en pensant rester toujours sains dans un
monde malade.
Maintenant, alors que nous sommes dans une mer agitée,
nous
t’implorons : “Réveille-toi Seigneur !”»
Voici
son introduction tiré de cette épisode décrite par
Saint-Marc :
««Comme
les disciples de l’Évangile, nous avons été pris au
dépourvu par une
tempête inattendue et furieuse. Nous nous nous rendons
compte que nous
nous trouvons dans la même barque, tous fragiles et
désorientés, mais
en même temps tous importants et nécessaires, tous appelés
à ramer
ensemble, tous ayant besoin de nous réconforter
mutuellement».
Tout
comme les disciples, nous pouvons nous sentir «perdus»
et surpris par l’attitude de Jésus dans cette scène de
l’Évangile : «Malgré
tout
le bruit, il dort serein, confiant dans le Père – c’est la
seule
fois où, dans l’Évangile, nous voyons Jésus dormir –.
Puis, quand il
est réveillé, après avoir calmé le vent et les eaux, il
s’adresse aux
disciples sur un ton de reproche : “Pourquoi
êtes-vous
si craintifs ? N’avez-vous pas encore la
foi ?” (v. 40).»
Les disciples réagissent en
adressant aussi un reproche à Jésus : «“Maître,
nous
sommes perdus ; cela ne te fait rien ?” (v.
38). Ils pensent que Jésus se désintéresse d’eux,
qu’il ne se
soucie pas d’eux. Entre nous, dans nos familles, l’une des
choses qui
fait le plus mal, c’est quand nous nous entendons
dire : “Tu ne te
soucies pas de moi ?”. C’est une phrase qui blesse et
déclenche
des tempêtes dans le cœur. Cela aura aussi touché Jésus,
car lui, plus
que personne, tient à nous. En effet, une fois invoqué, il
sauve ses
disciples découragés.»»
N’y
a-t-il pas plus humaniste et égoïste d’affirmer : «
Tu ne te soucies pas de moi? ».
Qu’a
réellement dit Jésus et sur quoi François aurait dû mettre
l’accent?
N’avez-vous
pas encore la foi?!!!
Il
semble bien être le seul qui ne s’interroge pas sur la fin
des temps.
Il
me semble qu’une pandémie fait réfléchir à ce sujet.
Vais-je
trouver encore une seule personne qui a la foi à mon retour?
Voilà
le nœuds du sujet!
Voilà
ce qu’il aurait dû pointer.
«
Il leur adressa encore une parabole, pour montrer qu'il faut
prier toujours et sans se lasser. Il
dit : " Il y avait dans une ville un juge qui ne
craignait point Dieu, et ne se souciait pas des hommes. Il y avait aussi dans cette
ville une veuve qui venait à lui, disant : Fais-moi
justice de mon adversaire. Et
pendant
longtemps il ne le voulut point ; mais ensuite il dit
en
lui-même : Encore que je ne craigne pas Dieu et ne me
soucie pas
des hommes, cependant,
parce que cette veuve m'importune, je lui ferai justice,
afin qu'elle ne vienne pas sans cesse me tourmenter.
Entendez,
ajouta le Seigneur, ce que dit ce juge inique.
Et Dieu ne ferait pas
justice à ses élus qui crient à lui nuit et jour, et il
tarderait à leur égard ?
Je vous le dis, il leur
fera
bientôt justice. Seulement, quand le Fils de l'homme
viendra,
trouvera-t-il la foi sur terre ? " (Luc, 18) »
Le
billet de Roberto Mattei via benoit-et-moi.fr qui résume
bien le point:
«
L’événement le plus symbolique et le plus paradoxal est
peut-être la
fermeture du Sanctuaire de Lourdes, lieu par excellence de
la guérison
physique et spirituelle, qui barricade ses portes, de peur
que
quelqu’un ne tombe malade en allant prier Dieu pour sa
santé. Tout cela
n’est-il qu’une manœuvre? Sommes-nous face à un pouvoir
totalitaire qui
restreint les libertés des citoyens et persécute les
chrétiens ?..
Beaucoup invitent à prier,
mais qui rappelle la possibilité de se trouver au début d’un
grand
châtiment? Et pourtant, c’est la prédiction de Fatima, dont
le centième
anniversaire a été rappelé par beaucoup en 2017. Le 25 mars,
le
cardinal António Augusto dos Santos Marto, évêque de
Leiria-Fátima, a
renouvelé la cérémonie de consécration au Cœur Immaculé de
Marie pour
toute la péninsule ibérique. C’est certainement un acte
méritoire, mais
la Vierge a demandé quelque chose de plus: la consécration
spécifique
de la Russie, faite par le Pape, en union avec tous les
évêques du
monde. C’est l’acte, jamais fait auparavant, que tout le
monde attend
avant qu’il ne soit trop tard…
Le
châtiment
commence lorsque l’idée d’un Dieu juste et gratifiant est
perdue, pour s’appuyer sur la fausse image d’un Dieu qui,
comme l’a dit
le pape François, « ne permet pas les tragédies pour
punir la
culpabilité » (Angelus, 28 février 2016). ..
Pourtant, même le
« bon
Pape », Jean XXIII, a rappelé que « l’homme, qui
sème la
faute, récolte la punition. Le châtiment de Dieu est Sa
réponse aux
péchés des hommes » ; c’est pourquoi « Il (Jésus)
vous dit de
fuir le péché, la cause principale des grands
châtiments »
(Radiomessage du 28 décembre 1958)…
Refuser
de voir la main de Dieu derrière les grandes catastrophes de
l’histoire est un symptôme de ce manque de foi.
(benoit-et-moi.fr)
27 mars
S’il
y
avait encore des doutes quant à la montée soudaine en
puissance des deux Babylone Vatican et Nations-Unies avant
leurs chutes…
Ils
sont maintenant dissipés pour ceux qui sont éveillés.
En
pleine journée de l’Annonciation, nous apprenions la «
pensée du pape » face à la crise.
Et,
ce n’est pas un châtiment de Dieu pour nous repentir. Et
non.
À
la manière de « Laudato Si » et du synode amazonien, le pape
explique que
le châtiment vient de la « mère Terre » et il invoque le «
dieu
humaniste » pour nous sauver.
Jésus,
le Christ Notre Seigneur, n’a plus sa place avec lui.
«
24 mars 2020 ( LifeSiteNews )
– Le pape François a déclaré dimanche à un journaliste
espagnol qu’il
pensait que la pandémie de coronavirus venait de la nature
« en
crise » en réponse à la pollution de l’environnement.
Déclarant
que
« curieusement la planète n’a pas été très propre
depuis
longtemps », l’intervieweur a demandé: « Est-il
possible que
ce soit l’heure pour la nature de régler ses comptes avec
nous? »
Le
pape
François a répondu: « Il y a un dicton que vous savez
sûrement: Dieu pardonne toujours, nous pardonnons parfois,
[mais] la
nature ne pardonne jamais. »
«Incendies,
tremblements de terre. . . c’est-à-dire que la nature a une
crise, afin que nous prenions soin de la nature. » …
le pape François a fait peu
de
références à Dieu, sauf pour admettre qu’il a parfois douté
de
l’existence de Dieu dans le passé. (Cependant, la vidéo est
éditée et
certaines parties peuvent avoir été supprimées.)
« Pardonnez
la
question, mais dans une situation comme celle-ci, est-il
possible
d’avoir une crise de foi? » demanda Évole. « Un
pape peut-il
même douter de l’existence de Dieu? »
« De
toute évidence », a répondu Francis. « Personne
n’est exempté des tentations existentielles. » …
Lorsqu’on
lui
a demandé s’il était un «optimiste» concernant la situation,
Francis a répondu qu’il avait «de l’espoir» dans les gens.
«J’ai
de
l’espoir dans l’humanité, chez les hommes et les femmes,
j’ai de
l’espoir dans les nations. J’ai beaucoup d’espoir. Les
nations vont
apprendre par cette crise à repenser leur vie. Nous allons
mieux sortir
– moins, bien sûr. Beaucoup restent sur la route et c’est
difficile.
Mais j’ai confiance que nous allons mieux sortir. »….
En
novembre
dernier, le Pape a déclaré qu’il espérait ajouter le ««
péché
écologique « contre notre maison commune » au Catéchisme de
l’Église
catholique. «Nous devons introduire – nous y pensons – au
Catéchisme de
l’Église catholique le péché contre l’écologie, le« péché
écologique
»contre notre maison commune, car un devoir est en jeu», a
déclaré le
Pape.»
Et le 25 mars dernier,
Babylone Nations-Unies fait sa propre annonce,
court-circuitant la fête
de l’Annonce faites par l’Archange Gabriel à la Vierge
Marie, et
demande l’aide du dieu humaniste:
«
COVID-19: «l’humanité entière» menacée, l’ONU lance un plan
» voit-on
dans les médias aujourd’hui… Antonio Guterres, en lançant un
« Plan de réponse humanitaire mondial » s’étendant
jusqu’à
décembre…
« Face à cette menace,
« l’ensemble de l’humanité doit riposter. Une action et
une
solidarité mondiales sont cruciales », a-t-il ajouté,
lors de la
présentation via vidéo du plan de l’ONU. » (lapresse.ca)
La
fin est proche et le « dieu humaniste » n’y pourra rien.
Cinq
personnes
habitant ou travaillant à Sainte-Marthe ont contracté le
coronavirus forçant François à se retrancher dans ses
appartements.
« …Le pape a cessé de
déjeuner
dans la salle commune. Il passe la plupart de son temps
enfermé dans
son appartement du dernier étage. Son secrétaire particulier
lui
apporte le déjeuner et le dîner…» (benoit-et-moi.fr).
Le
pape préfère protéger sa personne au lieu de faire confiance
au Christ
et d'aller dans les rues faire des processions avec le
Saint-Sacrement.
Il
préfère les biens terresters au Salut Éternel!
C'est
un imposteur. L'abomination de la désolation sur le trône de
Saint-Pierre.
L’épilogue
de cette saga du
coronavirus approche, la clique judéo-maçonniste ressort ses
pantins
d’autrefois pour tester l’idée du gouvernement mondial
auprès du peuple
pour connaître l’état de soumission actuelle, et identifier
les
récalcitrants.
«
26 mars 2020 ( LifeSiteNews
) – Un ancien Premier ministre britannique a appelé à la
création d’un
gouvernement mondial pour faire face à la pandémie de
coronavirus.
Gordon
Brown,
qui était à la fois Premier ministre et chef du Parti
travailliste de gauche britannique de 2007 à 2010, a déclaré
aux médias
britanniques que le gouvernement mondial qu’il proposait
traiterait les
crises médicales et financières provoquées par COVID-19. Il
dirigerait
les efforts pour trouver un vaccin contre le virus,
organiserait sa
production et son achat et arrêterait les profiteurs. Cela
permettrait
également d’orienter la réponse des banques centrales, de
protéger les
marchés mondiaux émergents et de «convenir d’une approche
commune de
l’utilisation des dépenses publiques pour stimuler la
croissance»…»
La dictature sanitaire en
sera le moyen qu’ils ont trouvé pour faire avaler la pilule
à ceux qui hésitent.
Nous
arrivons au point de la marque de la bête de la
l’Apocalypse.
« Nous faisons l’expérience
dans notre chair qu’au nom de la santé, il est possible de
révoquer la
liberté, de suspendre les droits élémentaires et la
démocratie, et
d’imposer des règles restrictives sans si et sans mais,
jusqu’au
couvre-feu. Il est possible de mettre un pays en résidence
surveillée,
d’isoler des individus, d’empêcher tout rassemblement
éventuel de
personnes, de décomposer la société en molécules et de ne la
maintenir
qu’avec les instructions à distance du pouvoir sanitaire.
Mais si au total vous avez
votre maison et votre confort minimum, votre vie passable,
sinon
sereine, alors non, la préservation de la santé est un
impératif
absolu, et justifie tout renoncement. Et notre société est
une société
préoccupée par sa santé et finalement nantie, qui a un
impératif très
humain et unanime de vivre aussi longtemps et aussi bien que
possible.
Par conséquent, face à la terreur d’être contaminé et au
risque de
mourir, il n’y a pas de droit, pas de liberté, pas de vote,
pas
d’opinion qui tienne. Tout d’abord, la santé. Le désir de
sécurité,
jusqu’alors imposé, devient une priorité absolue. C’est de
la
biopolitique. » (benoit-et-moi.fr)
Ne laissons pas tomber les
bras.
Le
Seigneur demande fidélité et persévérance.
Il
est temps d’avoir son Rosaire proche et ses chandelles
bénies de la chandeleur.
Et
d'avoir
sous la main la prière de Léon XIII à Saint-Michel Archange,
instaurée après sa vision de l'enfer, lorsque les démons ont été
relâchés en 1884.
Elle
faisait partie de la Sainte Messe de 1886 jusqu'à Vatican II.
C'est
Paul
VI, et oui, qui la retira avant le dernier droit contre l'Église
(voir analyse Paul VI dans les prophéties de l'Église)
Saint
Michel Archange,
défendez-nous dans le combat
et soyez notre protecteur contre la méchanceté et les embûches
du démon.
Que Dieu lui commande, nous vous en supplions;
et vous, Prince de la Milice Céleste,
par le pouvoir divin qui vous a été confié,
précipitez au fond des enfers Satan
et les autres esprits mauvais qui
parcourent le monde pour la perte des âmes.
AMEN.
25 mars
En ce jour glorieux de
l’Annonciation, demandons la protection de la Sainte Vierge
et de son Fils, NSJC.
Car,
le « Pouvoir Religieux » de Babylone est sur le point de
submerger le monde.
Babylone
« Nations-Unies » a demandé le confinement, et par détour,
l’arrêt de tout culte sur la Terre.
Babylone
Vatican a suivi comme un mouton et a interdit la messe dans
les églises.
Cette
fenêtre qu’ils ont ouverte est un point de non retour.
«
COVID-19: «l’humanité entière» menacée, l’ONU lance un plan
» voit-on
dans les médias aujourd’hui… Antonio Guterres, en lançant un
« Plan de réponse humanitaire mondial » s’étendant
jusqu’à
décembre...
« Face à cette menace,
« l’ensemble de l’humanité doit riposter. Une action et
une
solidarité mondiales sont cruciales », a-t-il ajouté,
lors de la
présentation via vidéo du plan de l’ONU. » (source :
lapresse.ca)
Voilà.
Babylone
lance un appel au dieu humaniste au lieu de s’adresser à la
Sainte Vierge en ce jour béni.
Tout
ce qui n’a pas trait à la nouvelle religion universelle doit
être converti ou éliminé.
Il
en est ainsi dans la prophétie concernant Benoît XVI.
Ce
dernier
est sur le point de décéder tout comme le Dalaï Lama (le
saint
aux pieds nus de la prophétie – voir analyse Jean-Paul II).
Les
deux
Babylone seront volontairement abattues pour faire place au
nouvel
ordre mondial (10 nouvelles régions mondiales, avec une
monnaie
commune, soit les 10 rois de l’Apocalypse qui régneront avec
la bête
pour une heure).
Pour
les catholiques, c’est la Nouvelle Jérusalem en préparation,
en silence, en prières.
«
Que la Mère soit une
».
Jean
XXIII
annonce ensuite le programme : la destruction de tout
ce que
cette société prenait pour acquis, coulé dans le ciment,
immuable, par
le dévastateur annoncé par Daniel, le grand frère d’Orient à
la croix
renversée sans les lis.
«
La terre détruira le
ciment… »
Puisque
les
prophéties concernant Benoît XVI et François vont de pair,
il est
donc évident que François devra fuir Rome bientôt,
démissionner, ou
mourir.
La
vision de Pie X est à nos portes :
«
Ce que j’ai vu est horrible ! Sera-ce moi, sera-ce mon
successeur ? Je
l’ignore. Mais ce qui est certain, c’est que j’ai vu le pape
fuir du
Vatican en marchant sur les cadavres de ses prêtres ! Ne le
dites à
personne, tant que je vivrai !..
J’ai vu l’un de mes
successeurs du même nom qui s’enfuyait par-dessus les corps
de ses
frères. Il ira quelque part, et après un bref répit, il
mourra de mort
cruelle. « Je vois les Russes à Gênes. »».
Les
russes
sont entrés en Italie… Cette semaine… À Rome… À deux pas du
Vatican. Pour aider l’Italie avec le coronavirus en
établissant une
base militaire en Italie.
«
Vu de Russie. Envoi d’aide en Italie : le geste pas
complètement désintéressé du Kremlin » (courrierinternational.com)
La situation actuelle
pousse
aussi l’Iran dans ses tranchées. Le coronavirus est
dévastateur et les
religieux au pouvoir n’auront plus rien à perdre.
Nous
pouvons
estimer avec une grande probabilité maintenant que le grand
frère d’Orient à la croix renversée sans les lis est
l’Ayatollah
Khamenie comme nous l’anticipions.
La
situation
en Italie n’est guère mieux. C’est la fin de l’Italie, comme
prophétisé par Jean XXIII. La Chine et la Russie sont bel et
bien en
Italie… Par intérêt économique suivant la crise.
« Rebelle, ultime rebelle à
l'Europe, liée par Sévère aux drapeaux rouges. »
(prophétie Jean XXIII concernant la dernière Italie).
«
La terre détruira le
ciment » représente bien-sûr l’ouverture du 7ème
sceau, c’est à dire « Mikail
et Jean descendront sur terre. » de la prophétie
concernant François.
Ce
qui
est confirmé par l’assassinat presque immédiate de Pierre le
Romain
de la prophétie de Saint-Malachie, du successeur de
François, le
cardinal Pietro Parolin, élu par acclamation ou par
succession
immédiate vu son poste de Secrétaire d’État.
Ce
qui est confirmé dans la prophétie concernant Jean
XXIII :
«
Mais
le jour où le Père qui viendra après lui des brumes sera
frappé, même
sa voix sera entendue dans la tombe. Le Père mort ouvrira
le septième
sceau.»
Et :
« La terre frisera le
massacre. Un seul mourra pour tous et il était le
meilleur. »
Il
est fort probable que nous allons assister à une guerre
éclair dans ce contexte de coronavirus.
Les
États-Unis seront très affaiblis et ne voudront pas perdre
leur dominance mondiale.
L’Iran
en profitera pour menacer.
Tout
arrivera
et se terminera rapidement. Les trois prophéties « Le Temps
est Proche », la « Foudre en Plein Jour » et le « Grand
Éclair à
l’Orient » vont s’enclencher.
Puis
viendra la période de fausse paix où Satan régnera pour un
très court laps de temps comme indiqué par NSJC.
(Ce que nous indiquions
hier
via un écrit de Maria Valtorta : « Après la défaite de
l’Antéchrist viendra une période de paix pour donner aux
humains,
secoués par la stupeur des sept plaies et de la chute de
Babylone, le
temps de se rassembler sous mon signe. L’époque
antichrétienne
atteindra sa puissance maximale dans sa troisième
manifestation,
c’est-à-dire à la dernière venue de Satan. »).
C’est
la période prophétisée à La Salette :
«
"Avant que ceci arrive, il y aura une espèce de fausse paix
dans le
monde ; on ne pensera qu'à se divertir ; les méchants se
livreront à
toutes sortes de péchés. Mais les enfants de la Sainte
Église, les
enfants de la Foi, mes vrais imitateurs, croîtront dans
l'amour de Dieu
et dans les vertus qui me sont les plus chères. Heureuses
les âmes
humbles conduites par l’Esprit-Saint ! Je combattrai avec
elles jusqu'à
ce qu'elles arrivent à la plénitude de l'âge. »
C’est
la demi-heure de l’Apocalypse avant les 7 trompettes.
Le
chapitre 17,12 de l’Apocalypse indique que les dix
rois recevront le pouvoir de régner pendant une heure avec
la bête.
Or,
maintenant
que sacrifice et de l’oblation sont interdits, nous savons
que la domination du dévastateur sera de 3.5 années ou moins
(car la
période sera raccourcie).
Alors
la moitié, une demi-heure, est d’environ 1.5 années.
Puis
ce sera le Jugement.
Mais
d'abord, la chute des deux Babylone.
«
Où croyez-vous fuir,
maintenant que vous avez détruit les Églises et tué le
dernier Père ? »
«
Attendez
le signe de Jean. L'agneau est prêt. Signez-vous sept fois
avec une
main fatiguée et attendez. La lumière vient encore de
l'Occident. »
Voilà.
La
table est mise.
Nul
ne connaît le Jour ni l’Heure, mais nous pouvons voir les
signes comme indiqués par NSJC dans la parabole du figuier.
24 mars
«
La ''Prise du Pouvoir Politique et Militaire'' par
l'Antéchrist sous la
conduite des Nations-Unies (notons, ici, que le premier
Pouvoir étant
situé au-dessus du Politique et Militaire, est un
''Pouvoir Religieux''). » (Le regretté Serge
Monast, Le Complot des Nations-Unies contre la Chrétienté.)
Qui
est éveillé ne se laisse pas berner.
C’est
bel et bien une guerre de « Pouvoir Religieux » que nous
avons sous les yeux.
L’attention
est
tournée vers une solution humaniste pour un problème qui
dépasse
l’humain. Autrefois, il n’y a pas si longtemps, nous aurions
assisté à
des grandes processions du Saint-Sacrement dans les rues.
Mais
l’église s’est soumise au nouvel ordre mondial.
Et,
le sacrifice et l’oblation ont cessé. À la moitié de la
semaine probable prévue par Daniel.
C’était
le but ultime de Satan. Il pense qu’il a vaincu le dernier
obstacle. Ce qui est faux.
«
… et sur l'aile des abominations viendra un dévastateur, et
cela
jusqu'à ce que la destruction et ce qui a été décrété se
répandent sur
le dévasté. » (Daniel, chap.9)
Le
dévastateur… Le coronavirus?
Un
rappel des paroles du Christ via Maria Valtorta pour
identifier la période actuelle :
«
Nous sommes maintenant dans la période que j’appelle la
période des
précurseurs de l’Antéchrist. Puis viendra celle de
l’Antéchrist, qui
est le précurseur de Satan. Celui-ci sera aidé par les
manifestations
de Satan, les deux bêtes nommées dans l’Apocalypse.Cette
période sera
pire que la période actuelle. Le Mal s’accroît toujours
plus. Après la
défaite de l’Antéchrist viendra une période de paix pour
donner aux
humains, secoués par la stupeur des sept plaies et de la
chute de
Babylone, le temps de se rassembler sous mon signe. L’époque
antichrétienne atteindra sa puissance maximale dans sa
troisième
manifestation, c’est-à-dire à la dernière venue de Satan. »
Donc,
la
crise actuelle représente la fin, la défaite annoncée de
l’antéchrist, avant la période de paix, prévue par les
prophéties de
Jean XXIII aussi.
Les
3,5 années de la semaine Daniel atteintes indiquent qu’un
événement important est à nos portes.
Tout
va
aller très vite pour ce passage, cette Pâques, car celui qui
retient
le mystère d’iniquité indiqué par Saint-Paul, est sur le
point de
partir.
Il
s’agît ici de Benoît XVI.
Rappel
du Christ de sa lettre aux Thessaloniciens via Maria
Valtorta:
«
"Déjà le mystère d'iniquité est en action". Il reprenait en
disant :
"Cependant
il y a à présent celui qui le retient, et continuera à le
retenir jusqu'au jour où il sera enlevé".
Lorsque les neuf dixièmes
de
l'Humanité repoussent Celui qui retient l'évolution du
mystère
d'iniquité, au point que ce mystère se change en horrible
réalité, avec
le règne infâme de la Bête qui se proclamera Dieu en
prétendant aux
honneurs divins; lorsqu'on réserve à la Bête des honneurs
divins;
lorsque cette Bête est invoquée et évoquée avec des rites
obscènes
pratiqués en son honneur; Dieu peut-il continuer à faire
barrage au
Serpent qui s'avance de l'abîme? »
C’est bien ce dont nous
avons été témoins avec les rites païens observés à la
basilique Saint-Pierre durant le synode amazonien.
Méditons
ces paroles de NSJC via Maria Valtorta en ce temps si
important :
«
Lucifer ! Comme il doit rire de son rire horrible en ces
temps, en ces
heures de gloire qui lui appartiennent! Il se tient sur son
trône —
lui, le maudit, le foudroyé, le chassé par Dieu — il se
tient sur le
trône que les hommes lui élèvent, et l'Agneau est offert à
son infâme
dérision. On offre à son horrible raillerie Celui qu'il n'a
jamais pu
vaincre, Celui dans lequel il n'a jamais pu pénétrer, Celui
qui l'a
vaincu cent fois et mille fois, Celui qui l'oblige à
s'avouer vaincu
depuis vingt siècles, Celui qui le vaincra jusqu'à la fin,
en libérant
de son infâme puissance les esprits de bonne volonté.
Il sera vaincu. Mais en
attendant il fait figure de vainqueur. Et le Sacrement des
sacrements,
ce mystère d'amour auquel l'amour humain même le plus
séraphique ne
parvient pas à rendre digne honneur, ce mystère d'amour est
livré à
Satan par des hommes comme moyen pour son triomphe éphémère.
»
« Il suffit que Dieu vous
abandonne, et déjà vous vous donnez la mort, l'angoisse, le
désespoir
de vous-mêmes. La colère de Dieu, la vraie, la colère
immuable de Dieu,
plus que par des châtiments, elle se manifeste par le fait
de vous
abandonner à vous-mêmes. Ce que vous appelez colère de Dieu,
c'est-à-dire les guerres, les atroces moyens de destruction,
les
cataclysmes et les pestilences, ne sont pas vraiment colère
sans
retour, ou colère absolue. Ce sont des reproches, des
rappels de la
part d'un Père offensé, mais encore empressé à accorder le
pardon et le
secours à ses enfants coupables.
Mais
lorsque
"impiété et injustice" auront gagné 99% de l'humanité,
lorsque
l'impiété et l'injustice mentale ou matérielle auront envahi
chaque
classe sociale, au point de faire pénétrer l'abomination
dans la maison
de Dieu – l'abomination et la désolation dont vous parle le
prophète et
dont le Verbe vous donne confirmation, cette "désolation"
dont vous
n'avez pas encore saisi le sens exact, et dont il est dit
qu'elle sera
signe de la fin, et elle le sera – alors Dieu ne vous
reprendra plus
par des châtiments paternels (qui n'en sauvent plus
beaucoup, il faut
le dire, parce que le plus grand nombre d'entre vous est
déjà au
service de Satan), mais il vous laissera abandonnés à
vous-mêmes. Il se
retirera. Il cessera d'agir. Il cessera d'agir jusqu'au
moment où, dans
un éclair de son vouloir, il dira à ses anges d'ouvrir les
sept sceaux,
de sonner les quatre trompettes, de libérer l'aigle des
trois malheurs.
»
Il
est
toujours temps de choisir son camp afin de ne pas se
retrouver dans
le tiers de l’humanité, c’est à dire la 3è partie des
humains.
Don Jean de Monléon
(Commentaire sur l’Apocalypse) divise l’humanité en trois
catégories :
-
Ceux qui n’ont jamais commis de fautes graves et qui
cherchent en tout temps à accomplir la loi de Dieu ;
-
Ceux qui, après de sérieux désordres, se convertissent et
font pénitence ;
-
Ceux qui, au contraire, ne veulent point faire pénitence et
meurent dans leur péché.
Cette
dernière catégorie est celle de la mort de l’âme.
Les
deux prochaines semaines sont importantes, surtout à partir
du jeudi Saint.
Peut-être
verront nous le Judas des derniers temps.
Tout
cela sous le signe d’une comète qui approche.
Vive
le Christ Roi! Vive Marie Reine du Monde! Vive Sainte-Jeanne
D’Arc! Vive Saint-Jean Baptiste!
Qu’ils
nous protègent et nous gardent dignes du Royaume des Cieux.
22 mars
C’est la plus grande crise
depuis la deuxième guerre mondiale.
L’Italie
est sous le choc.
On
a vu la semaine passée que Bergame, patrie de Jean XXIII,
était devenue l’épicentre du coronavirus en Italie.
Cette
semaine,
c’est Brescia, patrie de Paul VI, où la croix de Jean-Paul
II
était tombée, tuant un jeune touriste en avril 2014, est
devenue le
nouvel épicentre du coronavirus.
C’est la condamnation de
Vatican II.
Les
signes pour ceux qui ont les yeux ouverts sont évidents.
Satan
a détruit la famille, tellement que l’humanité moderne ne
sait plus ce qu’est la famille.
En
congé forcé, dans leurs demeures, les parents sont forcés de
redécouvrir la cellule familiale.
Le
cycle
de la génération loisirs est terminé. Ceux qui n'ont pas
cultivé
leur spiritualité, leur être intérieur, vont crouler sous le
stress et
l'anxiété.
Peu
sont capables de vivrent reclus, avec soi-même, dans le
silence.
La
planète est paralysée.
La
politique de la peur par l’élite judéo-maçonnienne est
efficace.
Les
mesures de confinements deviennent soudainement « lois
martiales », « lois de mesures de guerre », etc.
Menaces
d’emprisonnement
jusqu’à 1 an en Jordanie, vérification des papiers par
la police en France, l’armée dans les rues en Italie,…
Nous
prépare-t-on un état policier mondial, avec une monnaie
mondiale, une religion mondiale, via un vaccin mondial?
«
Ceux
qui renoncerait à une liberté essentielle pour acquérir un
peu de
sécurité temporaire, ne méritent ni la liberté ni la
sécurité. »
Benjamin
Franklin
Cela
résume bien la pensée judéo-maçonnique.
Pour
ceux
qui ne le savent pas, Franklin, un des pères fondateurs des
États-Unis, fut un franc-maçon notable des loges américaines
et
françaises (il a initié Voltaire entre autre).
Cette
période
« des lumières » dont il fut participant, menant à la
révolution de 1789 et qui coupa la royauté de droit divin,
fut un coup
de barre monumental de Satan dont nous voyons
l’aboutissement
maintenant (voir les écrits de Pierre Hillard).
Il
y a guerre de pouvoirs. Le clan de Satan est divisé et
s’autodétruira.
Poutine
devient empereur avec la modification de la constitution.
Poutine
sème le chaos avec la guerre du pétrole contre l’Arabie
Saoudite.
Poutine
bloque
les résolutions aux Nations-Unies dont la dernière :
les
membres du conseil des Nations-Unies devant l’épidémie
monstre dans
l’État de New York ont demandé de suspendre les votes en
personne. La
Russie a mis son droit de veto.
La
tactique
de Poutine est de semer le chaos pour ensuite proposer les
solutions avancer par la Russie pour résoudre les problèmes
qu’il a lui
même engendrés.
Notre
Dame
à Fatima mentionnait de se méfier de la Russie, du
communisme, et
demandait sa consécration, ce qui ne fut fait correctement.
Le
résultat est là.
L’abbé
Souffrant avait prédit la chute de la République Française
l’année des deux printemps.
2020
est une année de deux printemps.
Sa
prophétie continuait par l’envahissement de la France par la
Russie via l’Italie.
Ce
chaos fait naître l’espoir pour les chrétiens allumés.
Le
Temps est Proche.
«
Ouvrez votre cœur au lis.
La voix sera puissante, annoncée par les trompettes.
» Prophétie concernant l'Église #12
19 mars
En cette fête de
Saint-Joseph,
7 ans depuis l’intronisation de l’antichrist François, qui
personnifie
la bête de la mer de l’Apocalypse, celui dont parle NSCJ en
référence
au prophète Daniel.
Nous
entrons dans la septième période de l’Apocalypse. Tout va
s’accélérer.
«
Mais le jour où le Père
qui
viendra après lui des brumes sera frappé, même sa voix
sera entendue
dans la tombe. Le Père mort ouvrira le septième sceau.»
spécifie Jean
XXIII dans la prophétie le concernant. Nous approchons.
Dans
son livre « le Prophète
Daniel », Dom Jean de Monléon, en référence à ce passage, «
sache
seulement que, depuis le moment où le sacrifice perpétuel
aura été
aboli, c’est-à-dire depuis le moment où l’Antéchrist, à
l’apogée de sa
puissance, aura réussi à empêcher sur la face entière de
l’univers,
tout acte de culte public envers Dieu et à établir à la
place,
l’abomination de la désolation, c’est-à-dire se faire adorer
lui-même,
il s’écoulera 1290 jours, soit trois ans et demi. (p.218). »
Tout acte de culte public
envers Dieu. C’était impensable… jusqu’à ce que le
coronavirus apparaisse.
Toutes les célébrations
sont interdites un peu partout sur la planète.
Nous vivons la mise à mort
des deux témoins de l’Apocalypse, ceux fidèles à la loi et
aux prophètes, ceux qui résistent.
Nous allons voir le signe
de la bête, le 666, à son apogée.
Satan, prince du mensonge,
est le maître incontesté de l’inversion. Il
se présente donc avec le masque du Bien, mais dirige le
monde dans l’abîme.
En
voulant sauver le monde du
coronavirus, il provoque une inversion inimaginable pour
l’aveugle
humaniste : il l’entraîne dans le chaos qui le mènera à
la perte
de son âme s’il ne se réveille pas.
Jean XXIII dans « Le temps
est
proche », durant le temps des deux empereurs, spécifiait que
« Les cris
et les barrières de la contestation se lèvent, mais déjà
la Bête sort
de l'eau. »
Déjà la bête sort de l’eau,
c’est à dire de la foule, et c’est la bête de la mer, donc
François.
Ce que Pier Carpi avait
interprété :
« « déjà la Bête sort de
l'eau
». Nous sommes dans l'Apocalypse de Jean, aux signes de la
fin des
temps, peut-être seulement de manière figurative, selon la
clef
symbolique qui sous-entend la fin d'un type de vie, pour
l'avènement
d'une civilisation humaine supérieure, fondée sur la foi, la
connaissance, la fraternité entre les hommes.
C'est en ce sens que j'ai
cru
pouvoir interpréter toute la clef des prophéties d'Angelo
Roncalli. Si,
en de nombreux endroits, cataclysmes, famines, guerres,
peurs menacent
l'humanité, ce sont les paroles de consolation, de
résurrection, de
progrès authentique des hommes qui prédominent. Tout le
texte, à mon
avis, est remarquablement riche d'espoir, je dirais de foi
dans
l'avenir de l'homme, lié à son essence indivisible de fils,
de créature
de Dieu. »
Il avait vu juste. À une
virgule près : c’est l’humanisme mais sans Dieu.
En 1988, la revue « The
Economist » (propriétaire des hautes sphères
judéo-maçonnistes soumises
à Satan) annonçait le nouvelle monnaie, le Phoenix pour
2018.
Avec cette crise du
coronavirus, on parle déjà d’abolir la monnaie sonnante, car
l’argent papier peut être porteur de virus.
L’économie est à l’arrêt.
Les célébrations eucharistiques sont à l’arrêt.
Le cri de célébration de
Satan est donc proche.
Cette
fenêtre d’opportunité
inespérée ou concoctée de toutes pièces ne se
représentera
probablement plus; à moins d’une guerre.
Les prochaines semaines
sont à
surveiller, et surtout la célébration de la semaine Sainte à
l’intérieur de la basilique Saint-Pierre, devant la « tombe
du
va-nu-pieds » en référence à la prophétie concernant Benoît
XVI.
D’autant plus que nous
aurons probablement le signe d’une comète commençant à être
visible durant la semaine Sainte.
Est-ce le coronavirus?
« La terre détruira le
ciment et de terre sera, Reine, ta nouvelle Église.»
Ou, est-ce la purification
par le feu?
NSJC a donné 100 ans au
démon pour mettre à bas son Église.
La Sainte Vierge a averti
en 1917 que le socialisme-communisme (nouvel ordre mondial)
est l’ennemi, l’antichrist système.
C’est à partir de ce moment
que le reste des monarchies ont été abolies, que la
révolution
bolchevique a eu lieu, que la franc-maçonnerie a accentuée
son emprise
au Vatican par infiltration.
Puis est venu l’accord du
Latran, établissant le royaume du Vatican. L’église est
ainsi devenue temporelle.
La Société des Nations
s’est transformée en Nations-Unies après la deuxième guerre
mondiale.
Puis est venu Vatican II et
Jean XXIII.
Et puis la technologie a
séduit les âmes.
La bête de la Terre et la
bête de la mer ont ainsi marché main dans la main pour
établir le pouvoir du dragon.
1917+100 ans nous donne
2017.
Le Christ a avertit via les
mystiques que Satan le singerait à la fin des temps.
Il aurait son heure de
gloire par une mort et une résurrection annoncée.
La civilisation que nous
connaissons va à la mort pour faire renaître le système
mondial
humaniste dans toute sa splendeur. Le 666 de l’Apocalypse.
Du côté spirituel, le
catholicisme est sur le point de s’éteindre pour être
remplacé par l’œcuménisme.
27 octobre 1986 : la
rencontre d’Assise de Jean-Paul II réunissant les têtes
dirigeantes des
diverses religions mondiales est le fruit de Vatican II.
Comme le Christ, elle
représente la naissance de la vie cachée de l’antichrist,
pour une durée totale de 30 ans.
Le 20 septembre 2016,
François
retourne à Assise pour célébrer ces 30 ans, ce qui est le
signal du
début de la vie publique de l’antichrist.
Qui commence avec cette
fraternisation avec les luthériens en octobre 2016.
L’antichrist ne se cache
plus, mais les aveugles ne peuvent le voir.
Les horreurs des synodes
ont
suivis et François annonça le 15 octobre 2017 que tous
verraient le
triomphe de l’antichrist par la tenue d’un synode amazonien
en octobre
2019.
Ce qui fut fait par des
célébrations païennes à l’intérieur des églises de Rome, le
culte à la terre mère, la pachamama.
Les auteur de la revue
judéo-maçonnique « The Economist », inspiré par Satan, avait
effectivement annoncé la venue de l’antichrist sur sa
couverture de
2017 (lien ici. Vous pouvez observer les détails
avec la loupe
virtuelle)
La carte de la tour
foudroyée
en deux produisant le V de la victoire: le schisme au
Vatican
(subtilement, c’est la tour de l’écusson papale de Jean
XXIII), mais
c’est aussi le système humaniste socialiste d’un côté et la
chrétienté
de l’autre, suivie de la carte du jugement via le pion
Trump.
La carte suivant représente
le
monde moderne, soumis, pris dans la toile d’araignée, qui a
beau
contesté (carte suivante) mais qui va à sa perte car le
ravin trop haut
pour s’en échappé, conduit par l’ermite-élitiste.
La mort est le résultat
(coronavirus?). Mort physique, mort spirituelle, et mort du
système
économique qui malgré le déversement gigantesque à l’infinie
de monnaie
fraîche dans le système depuis 2017 (carte du magicien avec
le symbole
de l’infini au-dessus de sa tête) est représentée par la
carte de la
roue de fortune.
Puis vient la carte de la
comète.
3 années de vie publique
donc d’octobre 2016 à octobre 2019.
3 mois de plus pour la
publication de l’exhortation amazonienne.
Ce qui colle à la semaine
probable du prophète Daniel.
L’antichrist en effet est
prêt pour sa crucifixion et sa résurrection.
Après seulement viendra la
période de paix prophétisée par plusieurs dont Jean XXIII,
la
demi-heure de silence de l’Apocalypse, avant le jugement
final.
La Pâques (le passage) de
l’antichrist semble sur le point de remplacer la Pâques
chrétienne en 2020.
Il ne faut pas se laisser
berner.
Le regretté Serge Monast
avait averti :
« ...L'Église, sous le
pouvoir
de l'Anti-Pape, sera absolument identique à l'Église de
Jérusalem au
temps de Jésus-Christ. Elle partagera l'idéologie des
Nations-Unies de
la même manière que les Prêtres du Temple partageaient
l'Idéologie et
le Pouvoir avec les Romains. Elle conservera les croyances
en
Jésus-Christ comme façade afin de dissimuler ses réels
intérêts qui
seront, en réalité, la richesse, le Pouvoir Politique et
Religieux, et
l'opportunisme sur tous les fronts tel que cela était le cas
de
l'Église de Jérusalem au temps de l'Empire Romain. Elle
établira de
nouveaux ''Concepts Religieux'', tous basés sur la divinité
de l'Homme
où celui-ci sera considéré comme étant le ''Centre''... ...
En accord
avec l'Agenda International à remplir, la première
initiative de
l'Anti-Pape en sera une de réconciliation truquée avec
l'ensemble des
Églises Chrétiennes du monde... L'élection d'un Anti-Pape
aura eu pour
effet de provoquer un ''Schisme'' majeur, supposé être le
dernier
devant survenir dans le Monde Chrétien…
Voici
donc le «Mensonge des
Mensonges»! Voici «l'Abomination des Abominations»! Les faux
chrétiens
étant à la tête de la nouvelle église mondiale; et
prétendant être les
seuls et uniques représentants de Jésus-Christ d'un côté; de
l'autre,
les vrais et réels disciples de Jésus-Christ sur la route du
Calvaire
considérés comme étant les ennemies de l'État Mondial tel
que cela
était le cas, il y a deux milles ans, en face des prêtres de
Jérusalem,
et en face de l'empereur romain à Rome.»
La
comète ATLAS continue de
surprendre. Elle s’active plus vite que prévue.
C’est stupéfiant cette
synchronisation avec le coronavirus, la semaine Sainte, et
le mois de Marie.
Une
photo prise hier.
Profitez-en pour observer les merveilles créées par le Père
car l’image
est en haute densité. Beaucoup de galaxies et d’étoiles.
C’est
magnifique.
18 mars
Ils
ont créés le chaos, et les Ministres du Soleil ont confié le
troupeau aux loups.
« Et le peuple suit :
soumis,
sonné, résigné, convaincu même…. o n’a jamais envoyé les
moutons à
l’abattoir avec autant d’assentiment de leur part, car les
animaux,
eux, le sentent quand on les mène à la mort, tandis que
nous….
Les
banques
centrales n’ont qu’une seule utilité, elles payent et
éviteront
la faillite de certains acteurs de la finance, mais… cela ne
changera
rien à l’histoire à savoir que l’on ne peut pas
« imprimer »
un vaccin, que l’on ne peut pas imprimer pour l’économie
réelle.
Retenez
bien ceci.
Les
impressions
de billets sont efficaces pour l’économie financière qui ne
vit que de fausse monnaie et de reconnaissances de dettes.
Les
impressions de billets sont inefficaces pour sauver
l’économie réelle. » (Charles Sannat – Insolentiae.com)
«
Le cardinal Stella invite à célébrer Pâques chez soi, en
communion avec le Pape.
La seule fois dans
l’histoire
récente où le Vatican à limiter les célébrations de Paques,
ce fut en
1941 en pleine Seconde Guerre mondiale. Pie XII avait
alors estimé
que «la tristesse des temps actuels pour l’humanité ne
s’harmonisait
pas avec la fête de joie qui constitue le caractère
principal de
Pâques, fête de résurrection». Il avait lu à la radio
son message
Urbi et Orbi «depuis la solitude de sa bibliothèque
privée»,
écrivait alors le quotidien français La Croix. »
(vaticannews.va)
Le
sacrifice
perpétuel est pratiquement à l'arrêt. C'est bien ce que
voulais les élites judéo-maçonniques. L'enjeu c'est la
messe.
L'oecuménisme globaliste va essayer de combler le vide. Le «
messie »
juif de l'élite est sur le point d'apparaître selon quelques
rabbins.
L’épicentre du coronavirus
en Italie est la patrie de Jean XXIII, comme un signe
condamnant Vatican II.
« Coronavirus: les prêtres de
Bergame paient un lourd tribut.
Le
diocèse
de Bergame est particulièrement exposé dans la lutte contre
l’épidémie de coronavirus et le soin pastoral aux malades.
Au moins six
prêtres de ce diocèse ont déjà perdu la vie après avoir
contracté cette
maladie...
Bergame, une localité de
120 000 habitants située au nord-est de la Lombardie,
vit les
heures les plus sombres de son histoire récente. Ce
territoire
habituellement tranquille et prospère, qui vit naître saint
Jean XXIII
en 1881 dans le village de Sotto il Monte, est devenu
l’épicentre de
l’épidémie de coronavirus qui a pris une ampleur extrêmement
violente
en Italie du Nord, le cœur industriel et économique du pays.
»
(vaticannews.va)
Et
dans
tout ce chaos (assez incroyable tout de même; la planète est
à
l’arrêt. L’auriez-vous cru? C’est tout un tour de force.),
le Danemark
adopte une loi autorisant les vaccinations forcées contre
les
coronavirus
En
Israël, Netanyahu se donne de larges pouvoirs d'écoute
téléphonique pour lutter contre le coronavirus «ennemi
invisible».
Poutine
change la constitution et devient lui aussi un candidat au
titre d’empereur.
Les
deux témoins (ceux fidèles à la loi et aux prophètes) sont
toujours à l'oeuvre:
«
Quand les Ministres du Soleil confient le troupeau aux
ténèbres.
Ce à quoi nous assistons en
ces heures est dramatique; dans toute l’Italie, certes, mais
de manière
tragiquement exemplaire à Rome, cœur de la catholicité. Un
scénario
d’autant plus déconcertant que l’enjeu n’est pas seulement
la santé
publique mais le salut des âmes, le salut éternel, dont nous
avons
depuis longtemps cessé d’enflammer nos fidèles en tant que
pasteurs.
Nous les avons ainsi privés de ces dons surnaturels qui nous
rendent
capables d’affronter les épreuves d’ici-bas, jusqu’aux
assauts de la
mort, avec la force de la foi et avec ce frisson d’espoir
inépuisable
et inébranlable qui nous vient de l’aspiration au destin de
gloire pour
lequel nous avons été créés.
Les
déclarations
de la CEI et celles du cardinal vicaire de Rome, ainsi que
les images surréalistes et spectrales qui nous parviennent
du Vatican,
sont autant d’expressions de l’obscurcissement de la foi qui
a frappé
les sommets de l’Église. Les Ministres du Soleil, comme
aimait les
appeler sainte Catherine de Sienne, en ont provoqué
l’éclipse, livrant
le troupeau aux caligines des ténèbres épaisses.
A
propos des mesures prises par la Conférence épiscopale:
alors que
celles émises par l’État étaient encore limitées aux seules
zones à
risque, à des exercices déterminés et à des tranches
horaires précises,
la Conférence épiscopale italienne avait déjà annulé la
totalité des
célébrations liturgiques publiques dans toutes les églises
du
territoire, contribuant ainsi à alimenter la peur et la
panique et
privant les fidèles du confort inaliénable des sacrements.
Il est
difficile de ne pas penser qu’une telle mesure n’a pas été
proposée au
président de la CEI par celui qui, protégé par les murs
léonins, rêve
depuis sept ans d’une église sortante, accidentée, hôpital
de campagne,
qui n’hésite pas à embrasser tout le monde et à se salir.
Le
cardinal
Bassetti, zélé au point d’apparaître plus royaliste que le
roi, semble avoir oublié une leçon très importante: c’est
que l’Église,
pour servir le bien commun et l’État, ne doit en aucun cas
renoncer à
elle-même, ni faillir à sa mission d’annoncer le Christ
notre seul
Seigneur et Sauveur, elle doit se garder d’obscurcir ses
divines
prérogatives de Sagesse et de Vérité et ne doit d’aucune
façon abdiquer
l’Autorité qui lui vient du Souverain des rois de la terre,
Notre
Seigneur Jésus-Christ.
Les
événements
ecclésiaux de ces heures ont mis en évidence, s’il en était
encore besoin, la tragique sujétion de l’Église à un État
qui s’efforce
et fait tout son possible pour détruire l’identité
chrétienne de notre
Italie, l’asservissant à un agenda idéologique, immoral,
ennemi de
l’homme et de la famille, mondialiste, malthusien, avorteur,
immigrationiste, qui veut la destruction de l’Église, et
certainement
pas le bien de notre pays.
Quelques
prêtres
et fidèles laïcs, faisant preuve de courage et de sagesse,
ont
pourvu à l’absence d’une voix faisant autorité et de gestes
d’encouragement de la part du Vicaire du Christ et des
pasteurs .
Ouvrez,
ou
plutôt ouvrez grand les portes au Christ! Ouvrez, ou plutôt,
ouvrez
grand les portes de nos églises afin que les fidèles
puissent y entrer,
se repentir de leurs péchés, participer au Saint Sacrifice
de la Messe
et puiser au trésor de grâces qui jaillissent du Cœur
transpercé du
Christ, notre seul Rédempteur qui peut nous sauver du péché
et de la
mort.
Carlo
Maria Viganò
13 mars
7
ans de pontificat pour François, fêtés en pleine crise du
coronavirus.
Place
Saint-Pierre et la basilique sont vides. (webcams Vaticanstate.va)
Seul témoin à l’intérieur
de
la basilique Saint-Pierre : la webcam du tombeau de
Jean-Paul II…
Et puisque nous approchons rapidement de la fin de la
prophétie
concernant Benoît XVI… Qui sait ce qu’elle nous réserve?..
«
devant la tombe du
va-nu-pieds, éclatera le règne béni de la Très Sainte
Vierge. Écoutez ses paroles. »
Qu’arriverait-il
si Benoît XVI décédait? Aucune cérémonie à la basilique
étant donné le coronavirus?
Il
faut
aussi toujours avoir en mémoire les 7 années de la semaine
de
Daniel entre les deux hypothèses plausibles : depuis
l’apparition
de la fille de Caïn (vois analyses précédentes) ou depuis la
célèbre
signature de François avec les luthériens en Suède en
octobre 2016…
Car
2016 + 3.5 années donnent avril 2020.
Arrêt du sacrifice et de
l’oblation en avril 2020… Et si la messe de Pâques était
annulée le 12 avril à cause du coronavirus?
Çà commence déjà à être le
cas aux États-Unis :
«
Un évêque américain annule la célébration publique de Pâques
à propos du coronavirus
L'évêque Anthony B. Taylor
de
Little Rock, Arkansas a également annulé les confirmations,
qualifiant
la Sainte-Cène de `` rassemblement non essentiel '', et
décourage
l'onction des malades pour les personnes souffrant de
coronavirus. »
(lifesitenews.com)
Antonio
Socci:
«Ce
pontificat
a commencé avec le slogan« église sortante » et maintenant
le pape et les cardinaux se sont littéralement barricadés au
Vatican
(même l'Angélus a été diffusé en direct) à cause du
coronavirus. [...]
Il n'y a plus de ponts, mais des murs, très hauts et
infranchissables,
derrière lesquels se cachent le pape, les cardinaux et les
monarques »,
écrit-il dans un article du 9 mars.
Socci a déclaré que le
virus a
révélé la "grande hypocrisie de" l'Église progressiste "" en
ce que,
tandis que le pape François a dit que "le berger doit
prendre l'odeur
des moutons", lui et d'autres bergers se sont enfermés et
ont décidé de
rester "Bien à l'écart des moutons et de leur souffle."
«L'autre
slogan
de Bergoglio était« l'église est un hôpital de campagne ».
Et
ici, dès que l'épidémie a éclaté, les traces de cet hôpital
de campagne
sont totalement perdues », écrit-il.
Socci
a
déclaré que la situation était "complètement déroutante pour
les
catholiques, qui ont l'impression d'avoir été abandonnés par
ceux qui
devraient être leurs pasteurs".
Socci a également déclaré dans un autre article que la
fermeture de
toutes les messes publiques «enseigne que dans le malheur,
il vaut
mieux laisser Dieu derrière lui, 'parce qu'il ne sert à
rien.' »
(lifesitenews.com)
L’Église est veuve comme
dans la prophétie concernant Benoît XVI.
Et la situation mondiale
ressemble de plus en plus à la prophétie « Le Temps est
Proche ».
Avec
tous
ces confinements au niveau mondial pendant un certain temps,
c’est
la mort de l’économie telle que nous la connaissons.
La
vigueur
d’une économie repose sur la rapidité des échanges. Or,
ceux-ci
étant arrêtés, il n’y a plus qu’à constater la mort ce cette
dernière.
Ce
que l’on voit sur les bourses internationales.
La
famine suivra dans certains endroits comme dans la
prophétie.
La
Chine
qui menaçait l’hégémonie du puissant dollar américain et qui
le
faisait tout autant avec ses nouvelles armes, a le genou à
terre.
Dieu
a déchaîné la guerre de la nature.
Les
exercices militaires de grandes envergures en Europe et en
Norvège qui devaient débuter cette semaine ont été annulés.
Mais
la situation est loin de se refroidir du côté de l’Iran.
La
temps de fausse paix, le silence d'une demi-heure décrit
dans l'Apocalypse approche.
Mais
auparavant, le « Grand Éclair à l'Orient ».
11 mars
Pendant que l’attention est
détourné par la crise du coronavirus, le Vatican annonce que
la
basilique et la place Saint-Pierre sont fermés jusqu’au 3
avril, tout
comme la suspension des messes jusqu’à cette date dans toute
l’Italie.
La
réponse du responsable de l’église polonaise, elle, est
centrée sur la foi, comme il devrait en être en Italie et
ailleurs:
«
Les évêques polonais appellent à davantage de messes en
réponse au coronavirus: «inimaginable» pour fermer les
églises
«Tout comme les hôpitaux
traitent les maladies du corps, l’Église sert, entre autres,
à traiter
les maladies de l’âme; c’est pourquoi il est inimaginable de
ne pas
prier dans nos églises », a déclaré l’archevêque Stanisław
Gądecki,
chef de la conférence épiscopale polonaise… »
…
L’historien italien Roberto de Mattei a décrit comment le
pape saint
Grégoire le Grand a réagi à un fléau mortel lors de son
pontificat.
Après son élection en 590, Grégoire a dirigé une procession
pénitentielle des fidèles à travers Rome.
«Alors que la multitude
traversait la ville, dans un silence sépulcral, la peste
atteignit un
tel point de fureur qu’en l’espace d’une heure,
quatre-vingts personnes
tombèrent mortes au sol. Cependant, Grégoire n’a pas cessé
une seconde
d’exhorter les gens à continuer de prier et a insisté pour
que l’image
de la Vierge peinte par saint Luc et conservée à Santa Maria
Maggiore
soit portée au devant de la procession », a raconté de
Mattei… » (lifesitenews.com).
Mais le pape a donné encore
une fois la preuve que sa foi est ailleurs…
Il
a célébré l’angélus de dimanche en vidéo conférence sur la
place Saint-Pierre avec une rapide visite au balcon pour
saluer.
« Ce pontificat a commencé
avec le slogan « l’église sortante » et
aujourd’hui le pape
et les cardinaux se sont littéralement barricadés au Vatican
(même
l’Angélus a été diffusé en streaming) à cause de la peur du
coronavirus…
La grande hypocrisie de l'
«église progressiste» se révèle aussi de cette façon.
Bergoglio disait
que les bergers doivent prendre l’odeur des brebis, mais lui
et les
bergers se sont enfuis et maintenant ils sont bien loin des
brebis et
de leur souffle (seuls quelques curés restent dans les
tranchées)…
L’église de Bergoglio a
décrété que pour les fidèles, la messe est finie et que pour
la
première fois en deux mille ans, le pays qui est le centre
du
christianisme restera totalement, et pendant des jours, sans
messe.
Un événement qui peut
laisser
les athées et les agnostiques indifférents, mais pour des
millions de
catholiques, c’est un véritable choc. Non seulement parce
qu’ils sont
privés du sacrifice eucharistique précisément dans une
situation
épidémique tragique, dans laquelle le besoin de prier se
fait le plus
sentir, mais aussi à cause de ce qu’est la Messe en soi.
Padre Pio de
Pietrelcina disait: « le monde pourrait être sans
soleil, mais il
ne pourrait pas être sans la Sainte Messe ».
Un
paradoxe
avec lequel le saint mystique entendait faire comprendre la
puissance infinie d’intercession et de protection qu’est –
pour
l’humanité toute entière – le renouvellement quotidien du
sacrifice du
Christ sur la croix: le grand exorcisme qui protège le monde
du mal et
de l’autodestruction.
On
a
évoqué la prophétie apocalyptique de Daniel qui vit un jour
« le
sacrifice quotidien aboli » et « l’abomination de
la
désolation érigée ». C’est évidemment un événement
traumatisant
pour l’Église…
Pour la première fois
depuis
des siècles, dans une calamité comme celle-ci, Dieu a été
totalement
effacé. Depuis vingt siècles, sur notre terre ,c’est le
contraire qui
s’est produit. Toutes nos villes ont des églises qui sont
des ex voto
pour la fin des fléaux, durant lesquels les villes se
mettaient sous la
protection de la Vierge. Aujourd’hui, Dieu est effacé.
C’est
une
situation sans précédent, qui désoriente complètement les
catholiques, qui se sentent abandonnés par ceux qui
devraient être les
bergers, mais qui se sentent aussi privés de la présence de
Dieu au
moment où le besoin de se confier et de prier est le plus
fort (benoit-et-moi.fr). »
Quelle que soit l’époque et
peu importe le fléau, L’Église catholique a toujours
considéré le recours à Dieu et exprimé sa foi.
La fin de la feuille de
route de François s’additionne d’un détail avec le synode
sur la synodalité convoqué en 2022.
Il
attend la fin du synode allemand qui dure 2 ans.
Il
mettra
fort probablement les conclusions dans son exhortation 2022.
Les
réformes allemandes serviront donc de finir le travail non
achevé de
l’exhortation amazonienne.
« « Le pape François
appelle à la prochaine réunion mondiale des évêques pour se
concentrer sur la «synodalité»
Le terme vague est
considéré par certains évêques comme un mot de code pour
changer la façon dont l'Église est structurée.
ROME, Italie, 9 mars 2020 (
LifeSiteNews ) - Le pape François a décidé que le prochain
synode
mondial des évêques en octobre 2022 se concentrera sur la
«synodalité».
La devise «Pour une église
synodale: communion, participation et mission» a été
annoncée samedi
par le cardinal Lorenzo Baldisseri, secrétaire général du
synode des
évêques.
Le cardinal Raymond Burke a
critiqué le concept de «synodalité» dans une interview de
2018.
"C'est devenu comme un
slogan,
destiné à suggérer une sorte de nouvelle église qui est
démocratique et
dans laquelle l'autorité du pontife romain est relativisée
et diminuée
- sinon détruite", a déclaré le cardinal Burke dans une
interview
exclusive avec LifeSiteNews à l'époque...
Selon le cardinal Burke, le
sens traditionnel du terme synode était «de trouver des
moyens
d'enseigner la foi catholique plus efficacement et de
promouvoir la
discipline appropriée dans l'Église. C'est essentiellement
ce qu'est un
synode d'évêques - c'est sa définition. »
«C'est une réunion des
évêques
pour aider le Pape à voir comment enseigner la foi plus
efficacement et
comment promouvoir une vie chrétienne plus fidèle
conformément à la
discipline de l'Église», a-t-il poursuivi. "Mais maintenant,
apparemment, le terme 'synodalité' est utilisé pour suggérer
que les
conférences des évêques auraient une autorité doctrinale."
Le cardinal Robert Sarah,
préfet de la Congrégation pour le culte divin et la
discipline des
sacrements, a également critiqué la synodalité telle qu'elle
a été
présentée lors du pontificat actuel.
«Les gens essaient de
détacher
les églises locales de Rome. Les gens veulent être autonomes
vis-à-vis
de Rome et du vicaire de Jésus-Christ, c'est-à-dire Pierre,
lui qui
donne des directives à l'église de Rome », a déclaré Sarah.
Mgr Athanasius Schneider a
également fait part de ses préoccupations concernant le
concept de
synodalité, affirmant dans une interview en 2018 que cette
expression
était utilisée par les principaux dirigeants de l'Église au
moment du
Synode des jeunes comme un moyen de «promouvoir leur propre
programme».
«Pousser à travers le thème
de
la« synodalité »dans le document final (du Synode des
jeunes), au
mépris des méthodes synodales authentiques… est la
démonstration d'un
cléricalisme exaspéré. Un tel cléricalisme «synodal» vise à
transformer
la vie de l'Église en un style de parlement mondain et
protestant avec
des discussions et des processus de vote continus sur des
questions qui
ne peuvent pas être mises aux voix », a-t-il dit...
Le Saint-Père a souligné
que
depuis le début de son ministère «en tant qu'évêque de Rome»
en 2013,
«j'ai cherché à renforcer le synode, qui est l'un des
héritages les
plus précieux du Concile Vatican II».
Il a fait référence au pape
Paul VI, qui a établi le synode des évêques comme
institution dans
l'Église en 1965, juste avant la fin de Vatican II. «Pour le
bienheureux Paul VI, le synode des évêques était censé
reproduire
l'image du Concile œcuménique et refléter son esprit et sa
méthode», a
déclaré le pape François...
Selon le pape François, la
hiérarchie dans l'Église est comme «une pyramide
inversée»...
Les évêques allemands ont
utilisé le concept de synodalité pour pousser leur propre
agenda dans
leur «voie synodale» de renversement de l'enseignement
sexuel
catholique...
Le pape François, dans son
discours de 2015, a souligné l'importance de la synodalité
pour les
relations entre l'Église catholique et les autres
communautés
chrétiennes.
«Je suis persuadé que dans
une
église synodale, une plus grande lumière peut être apportée
sur
l'exercice de la primauté pétrinienne. Le Pape n'est pas,
par lui-même,
au-dessus de l'Église; mais en son sein comme l'un des
baptisés, et au
sein du collège des évêques comme évêque parmi les évêques,
appelé en
même temps - en tant que successeur de Pierre - à diriger
l'église de
Rome qui préside en charité à toutes les églises », a
déclaré
François...
Aucune information allant
au-delà de la devise du prochain synode sur la synodalité
n'a été
divulguée. Cependant, Marc Frings, secrétaire général du
Comité central
des catholiques allemands et acteur clé du Chemin synodal, a
déjà
signalé l'influence allemande à laquelle on peut s'attendre.
«Pour l'instant, (le pape
François) ne rêve« que »d'une véritable synodalité. À
l'automne 2022,
(le chemin synodal) sera pour le moment terminé. Les
catholiques
allemands seront prêts à partager leurs expériences et leurs
résultats
concrets avec l'Église universelle », a-t-il tweeté .
»
Dans l’analyse du 8
décembre
2019, nous confirmions que selon plusieurs experts les
mois de
février et mars étaient la dernière fenêtre pour une chute
de
l’économie et la limite pour déclarer la guerre à l’Iran
(avant les
élections présidentielles américaines.)
Nous y sommes.
09 mars
Coronavirus :
C’est le chaos économique
et
probablement le dernier acte de la mondialisation par
l’élite, et c’est
la guerre de la nature prophétisée par Jean XXIII.
Charles Sannat discute de
l’anticipation et de la préparation à une telle crise (vidéo).
« Pourquoi la crise
économique sera bien pire que celle de 2008 »
On a vu dans la dernière
analyse que le pacte éducatif du pape sera signé le 14
octobre
prochain, après l’anniversaire de la 103ème année du miracle
du Soleil
à Fatima.
En
mars
2018 nous avions constaté dans nos analyses que la Sainte
Vierge
agissait avec un délai lié au nombre 3, le chiffre de la
Trinité
(avertissement 3 mois avant la révolution bolchévique,
etc...).
Le 100 + 3 du 13 octobre 2020 pourrait donc être important.
Il faut toujours avoir en
mémoire le chiffre 153, le nombre caractéristique de la
mission du
Christ dans le nouveau testament qui symbolise l’ensemble
des rachetés.
Il pointe la période du tri du
bon grain de l’ivraie cité par NSJC dans la bible.
L’église est veuve depuis
le 28 octobre 2018.
Jean XXIII relie ce
veuvage à la prophétie de Benoît XVI où «Deux frères et
personne
ne sera le vrai Père. La Mère sera veuve.», de même qu'il
confirme le
tout à la prophétie de l'Église #11 où «Où croyez-vous fuir,
maintenant
que vous avez détruit les Églises et tué le dernier Père ?».
Le 28 octobre 1958 Jean
XXIII,
est élu à la papauté grâce à la franc-maçonnerie selon
plusieurs
sources. C'est l'entrée officielle de l'ennemi au Vatican.
Or, Saint Paul
prescrit
qu'une femme ne peut être inscrite au groupe des veuves que
si elle est
âgée d'au moins 60 ans. (1 Ti 5,9)
On sait depuis août 2018
que
la fille de Caïn, Greta Thunberg, a commencé le compte à
rebours des 7
ans prophétisés par Jean XXIII.
En
septembre
2018, la bête de la Terre, Emmanuel Macron, apôtre évident
de
la nouvelle religion des changements climatiques, a été
désigné
«champion de la Terre» à New York le 26 septembre 2018, aux
Nations-Unies.
Nous
apprenions
le 26 septembre 2018 que la bête de la mer, le pape
François, avait signé l’accord Chine-Vatican sur la
nomination des
évêques, provoquant l’ire du cardinal Zen.
Nous
pouvons donc affirmer que la probabilité du début de la
semaine prophétisée par Daniel a débuté à l’automne 2018.
Or, ce que craignais le
cardinal Zen sera conclu en 2022. L’exemple de la Chine sera
appliqué à toutes les églises.
François convoque un autre
synode :
« Le Pape convoque un
synode sur l’Église et la synodalité en 2022
Dans deux ans, la prochaine
assemblée générale ordinaire du synode des évêques se
tiendra sur le thème de la synodalité…
«Pour une Église synodale :
communion, participation et mission» : c’est le thème de la
XVIe
assemblée générale ordinaire du synode des évêques convoquée
par le
Pape François…
Niveaux
de synodalité
Le
premier
niveau d’exercice de la synodalité a lieu dans les Églises
particulières. Le deuxième niveau est celui des provinces et
des
régions ecclésiastiques, des conseils particuliers et
surtout des
conférences épiscopales. Le dernier niveau est celui de
l’Église
universelle. «Ici, le synode des évêques, représentant
l’épiscopat
catholique – a rappelé le Pape – devient une expression de
la
collégialité épiscopale au sein d’une Église synodale». » (vaticannews.va).
C’est l’annonce de la fin
de
la feuille de route, car l’exhortation de ce synode
signifiera que la
pyramide sera inversée et que les décisions doctrinales et
pastorales
se prendront à la base. François aura réussi et l’Église
n’aura plus de
tête.
Rappelons
l’extrait de la dernière lettre de Zen:
«
D’ailleurs, quels seraient ces changements doctrinaux ? Le
cardinal Re
ne l’explique pas clairement, mais ils concernent
certainement au moins
les Églises nationales. Et ici, la différence radicale entre
ce
pontificat et celui de Benoît XVI apparaît encore plus
clairement. On
peut penser que la possible légitimation des « Églises
indépendantes »
est une évolution des pouvoirs attribués aux Conférences
épiscopales
nationales, que le Pape François voudrait accroître. Il l’a
dit
explicitement dans Evangelii Gaudium (2013) lorsqu’il a
souhaité « un
statut des conférences épiscopales qui les conçoive comme
des sujets
aux attribution concrètes, incluant également une
authentique autorité
doctrinale » (n° 32).
C’est une conception
opposée à celle de saint Jean Paul II et de Benoît XVI. » (benoit-et-moi.fr).
Or, selon la semaine de
Daniel, le sacrifice et l’oblation cessera à la moitié de la
semaine, ce qui donne en 2022.
Le
pape vient d’annoncer qu’il veut repenser l’Église.
Tout
se tient.
07 mars
Le coronavirus change la
donne au Vatican.
Au
lieu
d’être signé après la 103ème année des apparitions de
Fatima, et
bien le pacte éducatif si cher au pape sera signé après la
103ème année
du miracle du Soleil.
«
3 mars 2020 ( LifeSiteNews ) – Le Vatican a annoncé qu’il
reportait son
événement du Pacte mondial sur l’éducation , prévu en mai,
jusqu’en
octobre en raison «de l’incertitude liée à la propagation du
coronavirus».
Le pape François a lancé
l’initiative en septembre dernier, déclarant qu ‘«un pacte
éducatif
mondial est nécessaire pour nous éduquer à la solidarité
universelle et
à un nouvel humanisme.
Un
programme
d’une semaine d’événements liés au «pacte pour l’éducation»
devait se tenir à Rome du 10 au 17 mai. L’événement se
déroulera
désormais du 11 au 18 octobre, le pacte devant être signé le
14
octobre… » (lifesitenews.com)
Mais, tout n’est pas annulé
puisque certaines activités ne nécessitent pas
nécessairement la présence de François.
« Le Pape invite l’Église à
célébrer la Semaine Laudato Si’.
Dans
un
message vidéo, le Saint-Père exhorte à répondre à la crise
écologique. Cette Semaine, organisée à l’occasion des cinq
ans de la
publication de l’encyclique Laudato Si’, veut inciter les
paroisses et
les communautés à réfléchir et à approfondir leur engagement
en
s’inspirant des écrits du Pape.
La
Semaine Laudato Si’ sera célébrée du 16 au 24 mai prochain…
» (vaticannews.va)
Et
elle se termine en pleine apparition de la comète ATLAS au
plus près de la Terre le 24 mai.
Le
pape
a aussi reporté la rencontre sur l’économie prévue à Assise
au
mois de novembre, elle qui devait être une pierre angulaire
de son
œuvre humaniste.
Cette
rencontre économique d’Assise reportée semblait être la
consécration de la nouvelle religion.
«
La rencontre prévue ce mois-ci à Assise sur « L’Économie de
(saint?)
François » a été reportée au mois de novembre pour cause de
coronavirus. Mais le péril pour l’Église reste bien présent,
et ce
pourrait être la véritable conclusion du Synode pour
l’Amazonie (et pas
le célibat sacerdotal, comme on l’a cru). L’analyse
(experte) d’Ettore
Gotti-Tedeschi…
Une
métaphore
inspirée par le vieux proverbe chinois qui dit « Quand le
doigt pointe vers la lune, il y en a qui regardent le doigt
et non la
lune. »
J’ai
eu
l’impression, confirmée par la conclusion, que le thème du
célibat
sacerdotal était peut-être le « doigt » et non la lune. La
conclusion,
en effet était qu’il ne s’agissait pas d’un synode sur le
célibat. Je
crains que ce soit vrai.
La
lune,
c’est-à-dire le véritable objectif du synode, passé inaperçu
ou
sous-estimé, est probablement un nouveau paradigme
économique. Je
crains qu’on ne puisse le comprendre qu’après la conférence
d’Assise,
reportée à novembre, sur « L’Économie de François ».
La
lune,
qui pourrait bien être le véritable objectif du Synode,
était
d’utiliser l’économie pour « mortifier » la religion
catholique en la
réduisant à une religion qui ne sait pas protéger la
création, donc une
religion à réformer. Comme le souci de la création est la
véritable
priorité et qu’il est reconnu que les religions païennes la
protègent
mieux, elles ont été indiquées comme exemplaires…
Le
thème
principal que nous nous attendions à voir discuté à Assise
se
réfère au nouveau bien commun dans le monde global. Le
report de 9 mois
nous fait espérer qu’on pourra redimensionner la confusion
créée par le
« doigt » qui, en indiquant la « lune », aurait peut-être
utilisé les
suggestives, et vieilles mais toujours vivantes « illusions
utopistes »
référées au bien commun – telles que bonheur, inclusion,
responsabilité, paix, égalité, fraternité, solidarité, etc.
– .
Toutes
choses
bonnes seulement si elles sont centrées sur des références à
la
Vérité du Christ, et non sur un « nouvel humanisme », (sans
Dieu)
nécessaire pour dépasser le vieux capitalisme
autoréférentiel et
obsolète. Ce n’est pas un préjugé de notre part, les noms
des
participants prévus pour la Conférence ne laissent guère de
doutes
quant à cette légitime suspicion. Il ne faut pas que la lune
passe
inaperçue à Assise car c’est la morale catholique qui est en
péril.
Elle
peut
en effet être modifiée en proposant de nouvelles vertus
morales
adaptées à l’époque, grâce à un nouveau concept d’éducation
pour la
protection correcte et due de la Terre Mère, qui pourrait
être proposé
pour remplacer la religion obsolète et inadéquate (comme il
ressort des
conclusions du synode amazonien). La lune que nous risquons
de ne pas
voir pourrait être l’esprit du nouveau bien commun mondial
défini par
l’UNESCO, mais sans la doctrine sociale de l’Église.
Hier,
un
sage prêtre, faisant référence à la conférence d’Assise, m’a
fait le
commentaire suivant: « Mon cher ami, cette rencontre
d’Assise va enfin
faire comprendre à certains que plus que d’Europe (où il y a
maintenant
une monnaie commune) nous devrions quitter l’Unesco-ONU
avant qu’ils ne
nous imposent une foi commune. » (benoit-et-moi.fr)
03 mars
Groupe naval américain en
Méditéranée, navires russes en route pour contrer le désir de
guerre de la Turquie contre la Syrie…
Il va s’en dire que la région
chauffe et que la pression augmente.
Tout semble se mettre en
place. Guerre, coronavirus, les deux empereurs,… « Le Temps
est Proche ».
La guerre de la nature est
déclenchée et « l’empereur chinois » voit la Chine se
transformer en un
désert économique, avec en prime une invasion de sauterelles,
et la
chute des marchés fait s’effondrer la tour de rêve de «
l’empereur
américain » en pleine année électorale.
« N’aimez pas le monde,
ni rien de ce qui fait partie du monde. En celui qui aime le
monde,
l’amour du Père ne peut vivre, car dans le monde il y n’y a
que désir
de la chair, concupiscence des yeux, étalage de vanité »
(1 Jean
2:15).
Chaque chrétien qui résiste
au
monde babylonien a une très grande valeur pour le Père. C’est
le temps
des néo-martyrs car cette persécution qui relève de
l’apostasie est
cruelle: elle s’en prend à l’Esprit et à l’âme et non au
corps.
Donc sauver une âme dans ces
derniers temps est d’une importance primordiale, mais il faut
avant
tout sauver la sienne tout en ne laissant pas la charité se
refroidir.
La foi est la fondation et la charité est le toit. La charité
sans la
foi ne peut tenir.
Au Vatican :
Il semblait que le
coronavirus
avait attaqué la tête même de l'église, François, qui depuis
cinq jours
annule messes et rencontres depuis son malaise de la messe du
mercredi
des cendres où il a serré la main des italiens masqués lors de
l'audience.
Mais les médias rapportent
aujourd’hui qu’il a été testé négatif.
Il a quand même annuler sa
participation aux exercices du Carême. Qui dit vrai?
« Le Pape suivra les
exercices de Carême depuis le Vatican.
À l’issue de l’angélus, ce
dimanche, le Pape François a annoncé qu’il ne participerait
pas en
personne aux exercices spirituels de Carême avec la Curie
romaine à
Ariccia. Le Saint-Père doit rester au Vatican pour soigner un
rhume. » (vaticannews.va)
Retour sur l’exhortation
amazonienne :
Plus de 50% des références
dont fait mention le pape sont issus de ses propres idées ou
écrits.
Les autres sont issus des papes conciliaires.
Aucune référence ou presque
aux papes pré-Vatican II ou aux pères de l’Église.
C’est donc la preuve que
François développe une doctrine qui lui est propre et qui se
nourrit de
lui-même. C’est le signe de l’esprit du mal, de l’orgueil.
Ce
qui confirme bien que la boucle est bouclée. Vatican II clame
sa victoire.
L’intégration à la nouvelle
religion universelle peut se faire.
D’ailleurs, une guerre
ouverte
est déclarée entre le cardinal Zen et le Vatican sur la
question de la
Chine depuis quelques mois, mais elle s’est intensifiée dans
les
dernières semaines.
Voici un exemple avancée par
le cardinal Zen en réponse à une lettre du cardinal Re au nom
du pape
François qui démontre ce que nous avançons ci-haut sur le
développement
de sa propre doctrine, son nouvel humanisme.
Toute sa feuille de route
mène
à la séparation d'avec Dieu, le « nouvel humanisme » de
François où
l'humain se libère (voir analyses précédentes).
Ce nouvel humanisme sera
concrétisé le 14 mai avec la signature du pacte éducatif.
La fin de sa feuille de route
sera marquée par le transfert des points doctrinaux aux
Conférences
épiscopales nationales comme il l'a toujours indiqué, d'où la
guerre
entre le cardinal Zen et le Vatican sur la question de
l'entente avec
la Chine car c'est l'ouverture qui permettrait l'application
pratique
de l'exhortation amazonienne.
« D’ailleurs, quels seraient
ces changements doctrinaux ? Le cardinal Re ne l’explique pas
clairement, mais ils concernent certainement au moins les
Églises
nationales. Et ici, la différence radicale entre ce pontificat
et celui
de Benoît XVI apparaît encore plus clairement. On peut penser
que la
possible légitimation des « Églises indépendantes »
est une
évolution des pouvoirs attribués aux Conférences épiscopales
nationales, que le Pape François voudrait accroître. Il l’a
dit
explicitement dans Evangelii Gaudium (2013) lorsqu’il a
souhaité
« un statut des conférences épiscopales qui les conçoive
comme des
sujets aux attribution concrètes, incluant également une
authentique
autorité doctrinale » (n° 32).
C’est
une conception opposée à celle de saint Jean Paul II et de
Benoît XVI. » (benoit-et-moi.fr)
Zen implique aussi le cardinal Parolin encore une fois:
« Je ne comprends pas la dernière partie de votre lettre, pour
le moins
confuse. Les faits sont là. J’ai la preuve que Parolin
manipule le
Saint-Père, qui me montre toujours beaucoup d’affection, mais
ne répond
pas à mes questions. Face aux prises de positions du
Saint-Siège que je
ne parviens pas à comprendre, je dis à tous les frères désolés
qui
s’adressent à moi de ne pas critiquer ceux qui suivent ces
dispositions. Toutefois, comme les dispositions laissent
encore la
liberté à ceux qui ont une objection de conscience, je les
encourage à
se retirer dans les catacombes, sans s’opposer aux injustices,
sinon
ils finiraient par nous en remettre en plus. » (benoit-et-moi.fr)
Et l’archevêque Vitanò confirme les craintes du cardinal Zen.
« L'archevêque Viganò répond aux critiques du cardinal Zen: le
Vatican a livré l'Église chinoise à l'ennemi.
Très chère Éminence,
Il s'agit de l'archevêque Carlo Maria Viganò, ancien nonce
apostolique aux États-Unis d'Amérique.
J'ai suivi profondément - partageant dans la prière vos
souffrances -
vos nombreux appels sincères au pape Bergoglio concernant la
situation
tragique de l'Église martyre en Chine, qu'il a lui-même
aggravée de
façon coupable par l'accord secret perfide et méchant signé
par le
Saint-Siège avec le communiste chinois. Gouvernement.
Vos appels sincères, cher Frère en Christ, ont été
systématiquement
ignorés et même moqués d'une manière hypocrite et perverse.
Quant au
cardinal Parolin, il a agi comme un simple exécuteur téméraire
d'un
ordre diabolique d'en haut.
J'ai lu ce matin la lettre ignominieuse et honteuse que le
cardinal
Giovanni Battista Re a adressée à tous les cardinaux contre
vous. Je
suis profondément attristé et indigné, et je souhaite vous
exprimer
toute mon affection, ma prière et ma solidarité fraternelle
dans
l'épiscopat.
Vous êtes un courageux confesseur de la foi et vous avez toute
mon estime et ma vénération!
Malheureusement, au Vatican, le mensonge a été inscrit dans le
système,
la vérité a été totalement renversée et la tromperie la plus
perverse
est pratiquée sans vergogne même par les personnalités les
plus
insoupçonnées, qui se sont désormais livrées à la complicité
de
l'adversaire. Ils sont même allés jusqu'à dire que «le pape
Benoît XVI
avait approuvé le projet d'accord» signé en 2018, alors que
nous
connaissons tous sa résistance acharnée et sa désapprobation
répétée
des conditions imposées par un régime persécuteur et sanglant.
Le Vatican a tout fait et plus pour remettre l'Église martyre
chinoise
entre les mains de l'ennemi: il l'a fait en signant le Pacte
secret; il
l'a fait en légitimant des «évêques» excommuniés qui sont des
agents du
régime; il l'a fait par la déposition d'évêques légitimes; il
l'a fait
en forçant les prêtres fidèles à s'inscrire auprès d'une
église qui a
succombé à la dictature communiste; il le fait quotidiennement
en
gardant le silence sur la fureur persécutrice qui a acquis une
force
sans précédent, précisément depuis la signature de ce
malheureux
Accord. Il le fait maintenant avec cette lettre ignoble à tous
les
cardinaux, qui vise à vous accuser, à vous dénigrer et à vous
isoler.
Notre Seigneur nous assure que rien ni personne ne pourra
jamais lui
arracher ceux qui résistent à l'ennemi infernal et à ses
acolytes, les
conquérant «par le sang de l'agneau» et par le témoignage de
leur
martyre (cf. Rév. 12:11).
Votre exemple, cher Cardinal, et le prix très élevé que vous
payez pour
défendre la cause de Dieu et son église, nous donne une
secousse
salutaire, il nous arrache à l'inertie et à l'accoutumance
avec
lesquelles nous assistons passivement à la reddition de
l'Église
catholique. , à ses plus hauts niveaux et dans sa hiérarchie,
à
l'hérésie et à l'apostasie, en suivant le Prince de ce monde,
qui est
menteur et meurtrier depuis le début (cf. Jn 8, 44).
Parce que, Domine, parce populo tuo, quem redemisti, Christe,
sanguine tuo, ne in aeternum irascaris nobis .
+ Carlo Maria Viganò
Archevêque titulaire de Ulpiana Nonce apostolique »
Février 2020
7 février
La
première session du synode parallèle allemand à
l’exhortation apostolique amazonien est terminée.
Mgr
Schneider
monte au créneau en essayant d’écorcher le moins possible le
pape, en demeurant dans le respect afin qu’il comprenne.
Force
est de constater que «Le pape ne peut pas se taire en
regardant les loups dévorer le troupeau»…
Il
a
également insisté sur le fait que, en tant que «maître
suprême» et
«protecteur» de la foi catholique, le pape François «a le
grave devoir
de protéger les« petits », c'est-à-dire les simples fidèles
et les
prêtres et évêques en Allemagne qui ont été mis sur la
périphérie et
dont la voix a été étouffée »par des prélats mondains qui
sont plutôt
chargés de protéger le troupeau du Christ. «Le pape ne peut
pas rester
passif ou se taire en regardant les« loups »dévorer le
troupeau ou les«
pyromanes »incendier la maison», a-t-il dit. (lifesitenews.com - traduction)
Voici une très longue
lettre
d’une carmélite qui s’alarme de l’extinction des puissances
de prière
(traduction de l’article dans One Peter Five)
Ici les parties principales
qui reflète l’état de l’Église vu par les religieux
(ses) :
«
Arrêter le rythme cardiaque de l’Église. (Note de l’éditeur:
l’article
suivant provient de 1P5 d’une religieuse carmélite qui
craint pour sa
commande.)
Pendant
des siècles, les religieuses contemplatives ont été
reconnues comme étant le «rythme cardiaque de l’Église»...
Le
pape
François s’est prononcé fermement contre l’euthanasie, mais
en
même temps, il a approuvé la publication de documents
officiels du
Vatican qui, de toute évidence, œuvrent pour la disparition
précipitée
de la vie contemplative. Les règles et directives
énoncées dans
ces documents ont déjà provoqué la division, la fusion ou la
dissolution complète de nombreuses communautés religieuses
contre la
volonté de bon nombre des religieux concernés… Pourquoi
cela
arrive-t-il?..
Ceux
qui
contrôlent le Vatican voient ces religieux contemplatifs –
en
particulier ceux «conservateurs» attachés au charisme reçu
de leurs
fondateurs – comme un obstacle plutôt qu’une aide à leurs
projets pour
l’Église. Les mesures imposées à ces religieuses par
«Cor Orans»
et «Vultum Dei Quaerere», équivalent à dire: «Il est clair
qu’elles ont
dépassé leur date d’expiration, et il est donc grand temps
qu’elles
soient supprimées.»…
Malgré
les
nombreuses tentatives qui ont été faites au cours des
siècles pour
supprimer les monastères et les couvents (qui ont tous eu
lieu à
l’instigation de Satan, qui déteste de telles puissances de
la prière),
pas une fois ils n’ont été aussi proches du succès
qu’aujourd’hui.
Un coup d’œil à certains
des
faits historiques suggère que la raison d’un tel succès est
que cette
fois, l’attaque est venue non pas de l’extérieur, mais de
l’intérieur
de l’Église elle-même.
Avant
le
Concile Vatican II, la vie religieuse était florissante et
il y
avait une abondance d’âmes généreuses consacrant leur vie à
la prière
et au sacrifice – non seulement dans les ordres
contemplatifs, mais
dans toutes les formes de vie sacerdotale et religieuse...
Que reste-t-il de tout cela
aujourd’hui?..
Il
est
clair que si le rythme cardiaque de l’Église est arrêté, le
Corps
mystique du Christ sera inévitablement incapable de
survivre, tout
comme il est évident que si vous privez une personne de
nourriture et
d’eau, elle ne peut pas rester vivante longtemps.
Ceux qui travaillent à la
destruction de la vie religieuse contemplative ne peuvent
pas en même
temps travailler pour le bien du Corps mystique du
Christ. C’est
impossible...
Pauvres
individus
égarés, qui accordent plus d’importance à l’argent qu’à la
prière! Le temps viendra où ils se rendront compte
qu’en
poursuivant l’un au détriment de l’autre, ils ont tout
perdu, y compris
leur âme.
Chers lecteurs, ne soyez
pas
choqués ou scandalisés par ces mots. Jésus a dit: «Tout
arbre qui
ne produit pas de bons fruits sera coupé et jeté au
feu. C’est
pourquoi, par leurs fruits, vous les connaîtrez »(Matthieu
7: 19-20).
Les
fruits
de Vatican II et ses conséquences du modernisme sont de
mauvais
fruits. Et puisqu’un bon arbre ne peut pas produire de
mauvais
fruits, il est logique de conclure que les loups sont entrés
dans le
troupeau pour se disperser et détruire. Le chaos, la
confusion et
la destruction sont l’œuvre du diable. L’œuvre de Dieu
apporte la
paix et l’unité.
Jésus nous dit clairement:
«Aucun homme ne peut servir deux maîtres. Car soit il
haïra l’un
et aimera l’autre; soit il soutiendra l’un et méprisera
l’autre. Vous ne pouvez pas servir Dieu et Mammon
»(Matt. 6:24).
Malheureusement,
depuis
le Concile Vatican II, les dirigeants de l’Église n’ont pas
tenu
compte de cet avertissement. Ils ont ouvertement
cherché à unir
l’Église et le monde – non pas à la manière catholique, en
promouvant
et en adhérant aux enseignements de l’Évangile, mais en
adaptant
l’Église pour qu’elle s’intègre au monde.
Leur
objectif
aujourd’hui n’est donc plus d’obtenir la conversion de
l’humanité par la prédication et la prière; par
conséquent, ils
n’apprécient pas les religieux contemplatifs, dont le but
principal est
la prière. Ils ont abandonné la vision catholique pour
la vision
du monde, qui ne concerne que le bien-être temporel de
l’homme...
Le
seul
espoir pour la survie du «cœur priant» de l’Église est de
reconnaître que tant que le Vatican est rempli d’hommes
désireux de la
mort de l’Église, il est vain d’espérer qu’il sera bénéfique
de
chercher reconnaissance et approbation. Autrefois, nous
pouvions
être assurés que l’approbation de Rome signifiait
l’approbation de
Dieu. Maintenant, nous sommes obligés de choisir entre
les
deux. C’est une question de vie ou de mort. »
C’était
la fête au Vatican et un peu partout dans le monde pour la
fraternité en ce 4 février :
«
Un an du Document d’Abou Dhabi, le Pape espère en un futur
libéré de la haine (Vaticannews.va).
Un
an
après la signature par le Pape François et le Grand Imam
d’Al-Azhar
du Document sur la Fraternité humaine, les membres du Comité
supérieur
visant à l’aggiornamento du texte sont réunis à Abou Dhabi.
À cette
occasion, un «Prix international de la fraternité humaine» a
été
présenté, une initiative soutenue par le Pape. François qui
espère en
«un avenir meilleur pour l’humanité» dans un message vidéo.
Dans
un
message vidéo publié ce mardi 4 février, le Pape évoque la
signature, il y a un an à Abou Dhabi, du Document sur la
Fraternité
humaine avec «son frère» le Grand Imam d’Al-Azhar Ahmad
Al-Tayyib.
«Nous célébrons aujourd’hui le premier anniversaire de ce
grand
événement humanitaire, en espérant en un avenir meilleur
pour
l’humanité, un futur libéré de la haine, de la rancœur, de
l’extrémisme
et du terrorisme, dans lequel les valeurs de paix, d’amour
et de
fraternité prévalent», y affirme le Souverain pontife…
Le
Pape
dit apprécier le soutien des Emirats arabes unis qui
accueillent
la rencontre d’aujourd’hui. Il salue le travail réalisé par
les membres
du Comité supérieur visant à l’aggiornamento du texte, et
plus
largement «tous ceux qui, en humanité, aident leurs frères
et sœurs
pauvres, malades, persécutés et faibles, sans distinction de
religion,
de couleur ou de race».
La
«Abrahamic
House», un incubateur multiconfessionnel pour le changement
social, est également remerciée par le Pape pour son
initiative : un
prix international pour la fraternité humaine. François se
dit «heureux
de pouvoir participer à ce moment de présentation du Prix
international
de la fraternité humaine » qui vise à encourager «tous les
modèles
vertueux d’hommes et de femmes qui, dans le monde, incarnent
l’amour
par des actions et des sacrifices faits pour le bien
d’autrui, quelles
que soient leurs différences de religion ou d’appartenance
ethnique et
culturelle».
Enfin,
le
Pape demande à Dieu de «bénir tout effort qui profite au
bien de
l’humanité et nous aide à progresser dans la fraternité »
C’est
le pont tant promu par François vers la rencontre sur
l’éducation le 14 mai prochain.
C’est bien la feuille de
route du pape en action. Le document est signé un peu
partout dans le monde.
«… Le Document a d’ailleurs
été signé en Asie par des Européens et des Africains,
souligne-t-il.
Pour lui, ce texte est une méthodologie synthétique
permettant aux
habitants du monde de vivre ensemble et en paix. Au Caire,
son
université a déjà commencé à enseigner le Document pour la
Fraternité,
et des initiatives promouvant ses valeurs ont été mises en
place.
Il
faut
voir le Document comme un texte éthique fondamental de notre
temps, a observé Irina Bokova, l’ancienne directrice
générale de
l’Unesco et membre du Conseil souverain. Les jeunes peuvent
trouver des
réponses dans ce texte en harmonie avec les objectifs de
l’ONU en
matière d’éducation… » (vaticannews.va)
Il
y a eu un comité pour la fraternité humaine qui avait été
rassembler
après la signature du 4 février 2019, et un an après, il
dévoile sa
stratégie.
« Le Haut comité pour la
fraternité humaine dévoile sa stratégie.
Pour
aider
à la mise en œuvre du document sur la fraternité humaine
signée
il y a un an aux Émirats Arabes Unis, un Haut comité a été
créé en
septembre 2019 pour mettre en œuvre ces recommandations.
L’éducation et
les jeunes seront au cœur de sa stratégie.
Pour
célébrer
le premier anniversaire du document sur la fraternité
humaine
signé l‘année dernière aux Émirats Arabes Unis par le pape
François et
le grand imam d‘Al-Azhar, Ahmed Al Tayeb, le Haut comité
s’est réuni
hier, lundi 3 février 2020, sur la somptueuse île de
Saadiyat à Abu
Dhabi.
C‘est
sur
cette île des Émirats Arabes Unis, qui accueille aussi le
musée du
Louvre, que sera construite à l‘horizon 2022 la maison
familiale
abrahamique – un complexe réunissant une mosquée, une église
et une
synagogue. Le Haut comité a la responsabilité de mener à
terme ce
projet d‘envergure…
«
Tout l’enjeu, au-delà de la symbolique du projet, est
maintenant de
réfléchir à comment allons-nous remplir cet espace mais
aussi lui
donner vie, à l’aide des recommandations du document pour la
fraternité
humaine. Nous n‘avons pas simplement l‘ambition de faire un
projet
touristique. Ce monument s’adresse à tout le monde »,
poursuit celle
qui donne aussi un cours sur la diplomatie culturelle à
Sciences-Po.
Car le document est « inclusif. Il concerne l‘humanité
entière,
croyants ou non », argumente-t-elle.
L‘éducation
devrait
être centrale dans cette réflexion. « C’est en effet l‘une
des
priorités de notre comité. Nous réfléchissions à la manière
dont nous
allons intégrer ce document dans les différents systèmes
éducatifs du
monde entier », ajoute Irina Bokova.
Dans cet esprit, Mohamed
Hussein Mahrasawi, président de l‘Université d’Al Azhar et
membre du
comité, a annoncé que le document pour la fraternité humaine
sera à
présent enseigné aux étudiants de l‘institution islamique
sunnite basée
au Caire, en Égypte. Près de 400 000 étudiants y sont
inscrits…
«
nous allons certainement proposer aux Nations Unies que le 4
février
devienne la journée internationale de la tolérance. C‘est
important de
le faire. Mais ce sera à l‘Assemblée générale des Nations
Unies de le
décider », conclut Irina Bokova qui pourra aussi profiter de
son
expérience au sein du système des Nations unies… » (lacroix.com)
Humanisme, relativisme,
naturalisme, socialisme, démocratie, fraternité universelle
maçonnique, laïcité…
Voilà.
Le
Vatican et le pape s’associe de façon claire au programme
judéo-maçonnique de contrôle et de formation des esprits.
Incroyable.
Il
n’y a plus aucune différence entre le Vatican et les
Nations-Unies.
Les
deux Babylone de la prophétie de Jean XXIII concernant
Benoît XVI sont confirmées et en symbiose.
Cette
prophétie peut se donc être accomplie dans son entièreté
maintenant.
Et
c’est probablement dans le court terme.
Pour
faire suite le 5 février le pape défendait « une nouvelle
architecture financière mondiale » (vaticannews.va)
La partie la plus
importante du discours du pape :
« « Il y a plus de 70 ans,
la
Déclaration universelle des droits de l’homme des Nations
Unies
engageait tous les États Membres à prendre soin des pauvres
sur leur
terre et dans leur foyer et dans le monde entier, à savoir
le foyer
commun. Les gouvernements ont reconnu que la protection
sociale, le
revenu de base, les soins médicaux pour tous et l’éducation
universelle
étaient inhérents à la dignité humaine fondamentale et, par
conséquent,
aux droits humains fondamentaux. Ces droits économiques et
un
environnement sûr pour tous sont la mesure la plus
fondamentale de la
solidarité humaine. Et la bonne nouvelle est que, alors
qu’en 1948 ces
objectifs n’étaient pas à portée immédiate, aujourd’hui,
dans un monde
beaucoup plus développé et interconnecté, ils le sont. Vous
tous, qui
vous êtes si aimablement réunis ici, êtes les dirigeants
financiers et
les spécialistes économiques du monde. Avec vos collègues,
vous
contribuez à établir les règles fiscales mondiales, informer
le public
mondial sur notre situation économique et conseiller les
gouvernements
du monde sur les budgets. Vous savez de première main
quelles sont les
injustices de notre économie mondiale actuelle. Travaillons
ensemble
pour mettre fin à ces injustices. Lorsque les organismes de
crédit
multilatéraux conseillent les différentes nations, il est
important de
prendre en compte les nobles concepts de justice fiscale,
les budgets
publics responsables de leur endettement et, surtout, la
promotion
efficace et protagoniste des plus pauvres dans le cadre
social.
Rappelez-leur leur responsabilité d’offrir une assistance au
développement des nations pauvres et un allégement de la
dette des
nations les plus endettées. Rappelez-leur l’impératif
d’arrêter le
changement climatique provoqué par l’homme, comme toutes les
nations
l’ont promis, afin de ne pas détruire la base de notre
maison commune…
Le
temps
présent exige et appelle à franchir une étape qui passe de
la
logique insulaire et antagoniste, comme seul mécanisme
autorisé pour la
résolution des conflits, à une autre capable de promouvoir
l’interconnexion qui favorise une culture de la rencontre où
la base
solide d’une nouvelle l’architecture financière
internationale est
renouvelée… » (catholicculture.org - traduction)
Et aujourd’hui, François
trace encore le chemin vers la rencontre du 14 mai 2020.
« Le Pape invite à s’unir
pour proposer un nouveau pacte éducatif.
…
Ce vendredi 7 février à la mi-journée, le Pape s’est adressé
aux
participants d’un séminaire organisé par l’Académie
pontificale des
Sciences sociales sur l’«Éducation: un pacte mondial»…» (vaticannews.va)
C’est la feuille de route
en action cette semaine avec François… :
Il fête les 1 an du pacte «
fraternel », il proclame qu’il veut un nouveau pacte «
financier »
mondial, et il pousse son pacte « éducatif »…
L’aspect
spirituel
(fraternel) est couvert, l’aspect matériel (financier) est
couvert, et l’aspect moral (éducatif) sera couvert le 14
mai.
C’est bien là un programme
socialiste, marxiste, communiste, humaniste…
Peu
importe le nom, il s’agit bien d’un plan inspiré par Satan.
Et
tout sera bouclé le 12 février prochain avec la publication
de l’exhortation amazonienne.
« ROME, 7 février 2020 (LifeSiteNews)
– Le Vatican a annoncé aujourd’hui que le document de
synthèse très
attendu du pape François sur le Synode de l’Amazonie sera
publié le
mercredi 12 février.
Selon
une
déclaration publiée vendredi, «Querida Amazonia» [Chère
Amazonie],
l’exhortation post-apostolique du Pape à l’Assemblée
spéciale du Synode
des évêques sur la région panamazonienne, sera présentée
lors d’une
conférence de presse à 13 heures à la Sainte Voir Bureau de
presse….
»
La date n’est pas anodine.
Nous
savions qu’il fallait surveiller autour du 11 février avec
l’atteinte des 7 ans de l’annonce de démission de Benoît
XVI.
Nous
y sommes presque.
04 février
L’économie
chinoise est paralysée.
Les
rues des villes en quarantaine sont désertes.
Cela ressemble bien de plus
en plus au « second
empereur dans le désert, attaqué par les animaux de la
peste, inconnus. » de la prophétie à mesure que le
virus progresse.
Comme
à l’accoutumé, les responsables mentent sur toute la ligne.
Ils
sortent
les cadavres des hôpitaux en cachette pour les incinérer
immédiatement afin de ne pas créer de panique et truquer les
chiffres.
Il
semblerait
effectivement que l’épidémie ait commencé au tout début de
décembre et que le virus serait la conséquence de recherches
sur les
armes bactériologiques.
Une
scientifique
biologiste aurait volé le virus au centre de recherche de
Winnipeg au Canada. Les autorités canadiennes enquêtent sur
le sujet. (zerohedge.com)
Le
virus
aurait été ensuite apporté au centre de recherche en guerre
biologique de Wuhan. Ce centre cherchait effectivement un
scientifique
«qui utilisera les chauves-souris pour rechercher le
mécanisme
moléculaire qui permet aux coronavirus associés à Ebola et
au SRAS de
rester dormants pendant longtemps sans provoquer de
maladies. » (zerohedge.com)
Auto-immuniser des
militaires à un virus pour ensuite le disséminé contre
l’ennemi, tel semblait être le projet chinois...
Du
côté
du Vatican, il faut surveiller la volonté du pape derrière
l’invitation au nouveau pacte mondial de l’éducation qui
aura lieu à
Rome le 14 mai 2020.
Cette
date n’est pas anodine pour les judéo-maçonnistes.
En
effet,
3 jours après que François ait annoncé sa rencontre du 14
mai,
un groupe de leaders évangélistes se sont réunis à
Washington pour
décréter « 2020 Année mondiale de la Bible » pour tous les
évangélistes
du monde.
Ces
évangélistes prépareraient cette ultime fête 2020 depuis les
deux dernières décennies, surtout depuis quatre ans.
François appuie cette
initiative car elle fait partie de son plan d’œcuménisme
mondial.
La rencontre du 14 mai 2020
du
pape était programmée depuis longtemps dans sa feuille de
route puisque
le pacte d’Abu Dhabi fait partie de cette démarche.
Et
il y a un an aujourd’hui…
«
Conférence à Abou Dhabi un an après la Déclaration. En
vue du premier anniversaire de la signature du Document
d'Abou Dhabi,
le Cardinal Ayuso Guixot a rappelé l'importance de ce
Document: «Le texte de la Déclaration devient de plus
en plus
important, même au-delà des relations entre chrétiens et
musulmans».
Demain, mardi 4 février, en préparation de l'événement sur
le «Pacte mondial pour l'éducation», un congrès sur le
document
d'Abou Dhabi se tiendra aux Émirats arabes unis, comme une
nouvelle
occasion de poursuivre sur la voie tracée par le Pape
François et le
Grand Imam d'Al-Azhar. » (vaticannews.va)
Voilà. Le lien est évident.
Il y a 4 ans, l’événement «
Together 2016 » avait lieu à Washington.
Si vous vous rappelez
c’était
une réunion poussée par ces mêmes évangélistes pour réunir
les
chrétiens à Washington le 16 juillet 2016.
Le pape ne pouvant y être
présent s’était adressé à eux par vidéo et lançait l’invitation.
C’était scandaleux en 2016
et cela l’est encore plus aujourd’hui à mesure que l’on nous
dévoile « la feuille de route ».
Un
pape
ayant été élu pour faire contrepoids à la montée des
évangélistes
en Amérique du Sud exécute en fait le contraire: il
s’inspire des
évangélistes et détruit l’Église pour en arriver à l’idéal
de
l’œcuménisme.
Le
terrain
a été préparé avec la technologie. Les jeunes ne savent plus
qui ils sont et d’où ils viennent. Les journées mondiales de
la
jeunesse font partie de ce plan. Et en 2020, ils sont mûres
pour
s’identifier à la nouvelle religion, celle de Lucifer.
Les
paroles de François sont claires à ce sujet lors de son
appel à la conférence de mai 2020:
«
… Il est plus que jamais nécessaire d’unir nos efforts dans
une vaste
alliance éducative pour former des personnes mûres, capables
de
surmonter les morcellements et les oppositions, et recoudre
le tissu
des relations en vue d’une humanité plus fraternelle.
Notre monde contemporain
est
en constante transformation ; il est traversé par de
multiples crises.
Nous vivons un changement d’époque : une métamorphose non
seulement
culturelle mais aussi anthropologique qui engendre de
nouveaux langages
et rejette, sans discernement, les paradigmes qui nous sont
offerts par
l’histoire. L’éducation se heurte à ce que certains
appellent «
rapidación », qui emprisonne l’existence dans la spirale de
la vitesse
technologique et numérique, en changeant constamment les
points de
référence. Dans ce contexte, l’identité elle-même perd de la
consistance et la structure psychologique se désintègre face
à un
changement incessant qui « contraste avec la lenteur
naturelle de
l’évolution biologique » (Laudato si’, n. 18).
Or,
chaque
changement exige un parcours éducatif impliquant tout le
monde.
Pour cette raison, il est nécessaire de construire un «
village de
l’éducation » où on partage, dans la diversité, l’engagement
à créer un
réseau de relations humaines et ouvertes. Un proverbe
africain dit qu’«
il faut tout un village pour élever un enfant ». Ce village,
nous
devons le construire comme condition pour éduquer. Tout
d’abord, le
terrain est assaini des discriminations grâce à
l’introduction de la
fraternité, comme je l’ai indiqué dans le document que j’ai
signé avec
le Grand Imam d’Al-Azhar à Abou Dhabi, le 4 février dernier.
Dans
un
tel village, il devient plus facile de trouver une
convergence
mondiale en vue d’une éducation qui sache être porteuse
d’une alliance
entre toutes les composantes de la personne : entre l’étude
et la vie ;
entre les générations ; entre les enseignants, les
étudiants, les
familles et la société civile selon leurs expressions
intellectuelles,
scientifiques, artistiques, sportives, politiques,
entrepreneuriales et
solidaires. Une alliance entre les habitants de la Terre et
la « maison
commune » à laquelle nous devons sauvegarde et respect. Une
alliance
génératrice de paix, de justice et d’accueil entre tous les
peuples de
la famille humaine ainsi que de dialogue entre les
religions.
Pour atteindre ces
objectifs
mondiaux, le chemin commun du « village de l’éducation »
doit franchir
des étapes importantes. D’abord, avoir le courage de placer
la personne
au centre. À cette fin, il est nécessaire de signer un pacte
qui donne
une âme aux processus éducatifs formels et informels,
lesquels ne
peuvent ignorer le fait que tout, dans le monde, est
intimement lié et
qu’il est nécessaire de trouver, selon une saine
anthropologie,
d’autres façons de comprendre l’économie, la politique, la
croissance
et le progrès. Dans un parcours d’écologie intégrale, la
valeur
spécifique de chaque créature est mise au centre, en
relation avec les
personnes et avec la réalité qui l’entoure, et un mode de
vie qui
rejette la culture du déchet est proposé… » (vatican.va)
Le
vice-président américain a visité le pape le 24 janvier
dernier.
«
… Sa visite au Vatican intervient une semaine après que
l’ambassadeur
américain pour la liberté de religion, Sam Brownback, se
soit rendu à
Rome pour le lancement de l’initiative «Abrahamic Faiths» du
14 au 15
janvier, hébergée à la résidence de Callista Gingrich. Le
symposium a
réuni des dirigeants chrétiens, juifs et musulmans à Rome
«pour
accroître le soutien à la liberté religieuse dans le monde»,
a déclaré
Gingrich lors du lancement. Le
symposium
s’est inspiré du document de 2018 sur «La fraternité humaine
pour la paix dans le monde et vivre ensemble», une
déclaration commune
signée à Abu Dhabi en février dernier par le pape François
et le grand
imam d’Al-Azhar…
Pence, un catholique
baptisé
qui s’identifie maintenant comme évangélique, a parlé avec
tendresse de
son enfance catholique et a déclaré aux diplomates, aux
membres du
Congrès, aux prêtres et aux prélats catholiques lors de la
réunion
annuelle qu’être parmi eux ressemblait à «rentrer à la
maison».
Soulignant l’engagement du
président Trump en faveur de la liberté de religion au pays
et à
l’étranger, Pence leur a assuré que «la protection et la
promotion de
la liberté de religion sont une priorité de politique
étrangère pour
cette administration»… » (traduction google) (lifesitenews.com)
L'annonce
de la nouvelle religion universelle n'est plus très loin...
Janvier 2020
29
janvier
« Dieu
a déchaîné la guerre de la nature pour empêcher la guerre
des hommes. » (prophétie Le Temps est Proche).
Il semble que les
événements
mondiaux penchent vers ce constat à mesure que nous nous
rapprochons du
moment fatidique, la guerre des hommes, ou, le « Grand
Éclair à
l’Orient ».
L’épidémie du coronavirus
semble plus importante qu’anticiper et elle a déjà des
impacts au
niveau économique puisque les vacances chinoises pour le
nouvel an ont
été prolongées, ce qui a mis à l’arrêt plusieurs usines de
productions.
Un krach économique
augmenterait évidement les tensions géopolitiques puisque ce
serait la
première fois qu’on assisterait à ce phénomène dans un
contexte de
mondialisation, et d’injection massive de fonds par les
banques
centrales qui maintiennent à flots cette économie
artificielle depuis
des années.
C’est sans compter aussi
sur
l’invasion des sauterelles au sud de l'Asie en passant par
le
Moyen-Orient, et qui a maintenant atteint la côte est
africaine,
dévastant tout sur son passage. Si des mesures urgentes ne
sont pas
prise immédiatement selon certaines autorités, le phénomène
pourrait
être 500 fois plus étendue que présentement.
Il y a aussi une
augmentation
importante du nombre de volcans en éruption (les plus
violents entres
autres) et des tremblements de terre dans les derniers mois
qui
laissent à penser qu’effectivement Dieu utilise la nature
pour tempérer
la folie de l’humanisme où Il a été oublié.
Le plan de paix du
président
américain (concocté par son gendre juif orthodoxe) pour la
Palestine a
été présenté hier et la conclusion est simple: il est rejeté
immédiatement par les autorités palestiniennes.
Cette mascarade évidente de
l’axe judéo-maçonniste ne s’inscrit que dans un plan global
où Israël
doit dominer, être le seul peuple prêtre et établir le grand
Israël.
Ce
plan ne sert qu’à mettre le feu aux poudres. Le « Grand
Éclair à l’Orient » se rapproche.
La seule paix possible est
la
« Paix du Christ par le Règne du Christ » (Pie XI,
encyclique Ubi
Arcano Dei, 23 décembre 1922).
23
janvier
Le livre de Benoît XVI sur
le célibat sort avec deux signatures en Italie.
Comme on le confirmait, il
tient à ce que ce soit Benoît et non pape émérite.
« ... Il faut dire que la
fin
de cette histoire qui serait comique, hélas pour l’Eglise,
si elle
n’était pas tragique, double hélas pour l’Eglise, apparaît
presque
ridicule. Donc le livre a été écrit par Robert Sarah AVEC
Joseph
Ratzinger/Benoît XVI. Les fins diplomates de la
Secrétairerie d’État et
de la Cour n’ont peut-être pas réalisé que l’utilisation du
double nom
renforce, et non affaiblit, la présence du pape hélas
émérite.
Et, en substance, ceci
constitue une défaite retentissante. Oui, car il est vrai
que Benoît
XVI a écrit un long document contre l’hypothèse – imminente
dans
l’exhortation apostolique sur l’Amazonie – d’affaiblir le
célibat,
ouvrant la voie à l’Allemagne, à la Hollande, à la Belgique,
à la
France, etc. Il est vrai que Benoît XVI est toujours là,
lucide, vivant
même s’il est fragile, et capable, lorsqu’il juge que la
situation
devient dangereuse pour l’Église et la Foi, de dire une
parole lourde
et importante. Et que toute la mise en scène est imputable
au Convive
de Pierre (1)... » (benoit-et-moi.fr)
Cette
attaque contre Benoît XVI a fait bondir le cardinal Müller
(un des cinq des dubias) qui voit lui aussi l’Église
déraper...
« Ce qui est surprenant
ici,
c’est que ces ennemis de l’Église issus des rangs du
néo-atéisme
vétéro-libéral et marxiste fassent front commun avec le
sécularisme au
sein de l’Église, lequel est animé par le désir de
transformer l’Église
de Dieu en une organisation humanitaire active à l’échelle
mondiale…
Cette « Église de
l’indifférentisme dogmatique et du relativisme moral »,
qui
pourrait aussi inclure des athées et des non-croyants, a le
droit de
parler de climat, de surpopulation, de migrants; mais elle
doit garder
le silence sur l’avortement, l’auto-amputation au nom du
changement de
sexe, l’euthanasie et le caractère moralement répréhensible
d’une union
sexuelle hors mariage entre un homme et une femme. Elle
devrait
absolument accepter la révolution sexuelle comme acte de
libération du
rejet du corps de la morale sexuelle catholique…
Gerhard Ludwig Müller » (benoit-et-moi.fr)
Le
cardinal
Burke (un des cinq des dubias), juste avant la parution du
volume en français rappelait justement qu’il faut se coller
à la
doctrine de l’Église du Christ.
« … Les gens continuent de
parler du« magistère du pape François ». Récemment, j’ai
parlé à deux
jeunes prêtres qui ont raconté une conversation qu’ils ont
eue avec un
troisième jeune prêtre qui étudiait la théologie morale. Il
leur a dit:
«Nous avons le magistère du pape François qui est
complètement nouveau;
nous devons maintenant abandonner toutes les anciennes
catégories et
développer une nouvelle théologie pour correspondre à ce
magistère.
« C’est tout simplement absurde – ce n’est pas le
magistère! Les
prêtres et les fidèles laïcs doivent comprendre cela »,
a-t-il dit.
Face aux défis de la
doctrine de l’Église, Burke a déclaré que les prêtres
fidèles et les laïcs «doivent être préparés».
«La seule réponse dans la
situation dans laquelle nous nous trouvons actuellement est
de nous
rabattre sur l’enseignement constant de l’Église, contenu
dans le
Catéchisme de l’Église catholique et dans l’enseignement
magistral
officiel de l’Église. Cela doit être notre point de
référence, a-t-il
dit… » (lifesitenews.com – traduction).
21
janvier
Après le décès du général
iranien, un virus semblable au SRAS apparaît en Chine et se
propage
rapidement, ce qui est probablement une partie des
prophéties « Grand
Éclair à l’Orient / Le Temps est Proche » où on peut
percevoir la fin des deux empereurs.
« Le
premier empereur meurt de faim, enfermé dans la tour de
son rêve.» (Trump
en procédure de destitution assurément ; mourir de faim
ou de soif de pouvoir)
Et « Le
second empereur dans le désert, attaqué par les animaux de
la peste, inconnus. » (le président chinois ;
mourir dans le désert, c’est-à-dire une épidémie).
Au Vatican, les critiques
pleuvent sur Benoît XVI. On le traite d’antipape. On veut le
condamner au silence.
Mais toute cette mascarade
de
Satan cache la vérité, c’est-à-dire que Benoît XVI est
toujours pape,
et que le conclave qui a suivi était… Invalide.
«… comme on ne reçoit pas
de
consécration comme pape, quand un pape renonce au
pontificat, il ne
peut pas devenir pape émérite, parce qu’il n’est plus pape.
Il ne
redevient même pas cardinal, mais évêque, et c’est tout. Par
conséquent, Benoît XVI, avec la renonciation
au ministerium mais pas
au munus (c’est-à-dire à
l’exercice actif, mais pas au mandat) a fait quelque chose
qu’il ne
pouvait pas faire et donc sa renonciation n’est pas valable.
Mais si sa
renonciation est invalide, le conclave qui a suivi l’est
aussi, tout
comme le pape qui est sorti de ce conclave. » (benoit-et-moi.fr)
Donc tous ceux qui se
défoulent sur les réseaux sociaux et dans les médias contre
Benoît XVI
n’ont pas compris qu’il est toujours pape, en retrait et
priant
pour l’Église.
En fait, il semble que ce
n’est pas pour rien que François ne se déclare qu’évêque de
Rome. Cela
fait partie du plan pour éliminer la papauté afin que
l’Église se fonde
dans la nouvelle religion universelle. Depuis plus de six
ans,
l’appartement papal est vide et la fenêtre n’est ouverte que
pour
l’Angélus du dimanche.
Jean XXIII : « Deux frères et personne ne
sera le vrai Père. La Mère sera veuve. »
Le siège de Saint-Pierre
est effectivement vide.
« Je
vis une forte opposition entre deux papes … et je vis
combien funestes seraient les conséquences de cette fausse
Église… »
« Quand
le
royaume de l’Antéchrist sera proche, apparaîtra une fausse
religion
qui ira contre l’unité de Dieu et de son Église. Cela
entraînera le
plus grand schisme jamais vu dans le monde». »
« Je
vis
qu’un certain nombre de pasteurs acceptaient des idées
dangereuses
pour l’Église. Ils construisaient une grande Église,
étrange et
extravagante. N’importe qui était accepté, afin de s’y
joindre et
d’avoir les mêmes droits: les évangélistes, les
catholiques, les sectes
de toutes croyances. Ce devait être la nouvelle église …
mais Dieu
avait d’autres projets … » (Anne Catherine
Emmerich ; benoit-et-moi.fr)
La
vigne de Benoît XVI arrachée. (Lien benoit-et-moi.fr
ci-haut)
« Dans l'embarras total
du Vatican , les premières photos de
la destruction
inexplicable du vignoble par Benoît XVI, cadeau
symbolique
qui lui a été fait par Coldiretti lorsqu'il était au
pouvoir, ont
commencé à circuler sur les réseaux sociaux. Les images
d'aujourd'hui comparées à la situation précédente font en
réalité une
certaine impression car elles montrent l'éradication totale
des rangées
dans les jardins de la villa papale de Castel
Gandolfo. Ils ont
été placés juste en face de la statue de Jésus le Bon
Pasteur, pour se
souvenir du passage de l'Évangile mentionné par Ratzinger
lui-même au
moment de son élection. «Je suis un humble ouvrier dans
la vigne du Seigneur». » (ilmessaggero.it)
Benoît XVI se considérait
toujours associé à la vigne, au Christ, dont nous sommes les
sarments.
«
Rome, le 13 août 2007 - (E.S.M.) - «Je suis la vraie
vigne» , dit
le Seigneur. Cette vigne, fait observer Benoît XVI, ne
pourra plus
jamais être arrachée, elle ne pourra plus jamais être livrée
à
l'abandon ni au pillage. Elle appartient définitivement à
Dieu. Par le
Fils, Dieu lui-même vit en elle. La promesse est
irrévocable, l'unité
est devenue indestructible.»
Ce qui présage ce que nous
savons. La mort de l’Église avant la résurrection.
Mais le décès de Benoît XVI
doit survenir avant.
« Je
vis le Pape en prières ; il était entouré de faux amis qui
souvent faisaient le contraire de ce qu’il disait.
Je vis
le saint Père dans une grande tribulation et une grande
angoisse touchant l’Église. Je le vis entouré de traîtres.
Ils
veulent
enlever au pasteur le pâturage qui lui appartient ! Ils
veulent
en imposer un qui livre tout aux ennemis ! (alors saisie
de colère,
A.C. Emmerich leva le poing en disant) Coquins d’allemands
! Attendez !
Vous n’y réussirez pas ! Le pasteur est sur un rocher !
Vous prêtres,
vous ne bougez pas ! Vous dormez et la bergerie brûle par
tous les
bouts ! Vous ne faites rien ! Oh, comme vous pleurerez
cela un jour ! ». (Anne-Catherine Emmerich).
C’est
bien ce que nous vivons avec la saga du livre « Des
profondeurs de nos
cœurs ». Plusieurs vaticanistes évoquent la traîtrise du
secrétaire
particulier de Benoît XVI.
Et c’est bien ce qui se prépare
avec le synode allemand du 30 janvier.
20
janvier
L’auto-dissolution de
l’Église.
C’est ce à quoi nous
assistons.
Ce n’est pas une surprise
car le Seigneur avait bien spécifié que son Église subirait
sa passion avant de ressusciter.
Et elle passe par la
division.
« … J’ai la nette
impression
qu’une partie de l’Église, y compris au sommet, travaille
pour arriver
à la fin du christianisme, ou du moins arriver à un
christianisme
édulcoré, réduit à un simple sentimentalisme. Sous l’égide
du
« choix pastoral », la doctrine est détruite, et
il est clair
que sans doctrine il ne peut y avoir de pastorale. Nous
sommes
confrontés à des responsables de l’Église qui travaillent
pour que
l’Église soit liquidée et transformée en quelque chose de
différent,
peut-être en une béquille du mondialisme.
En
général, quel est la plus grande contestation à adresser à
Bergoglio ?
En deux mots, je crois que
François a introduit le relativisme dans le magistère, avec
la morale
du cas par cas, qui est l’ennemi mortel de la pensée
catholique, et
l’idée que toutes les croyances sont finalement
équivalentes. De
plus, il l’a fait en utilisant l’ambiguïté, ce qui rend
l’attaque
encore plus insidieuse .» (benoit-et-moi.fr)
«Si
le royaume de Satan était divisé, comment pourrait-il tenir
? » (Jésus).
Et pour cacher cette
vérité,
ce schisme, rien de mieux que de contacter son ami athéiste
Scalfari et
de lui glisser quelques mensonges à publier...
« Le pape François a
déclaré,
écrit Scalfari, que «Ratzinger a fait savoir qu’il n’était
pas du tout
du côté du cardinal Sarah ni qu’il avait jamais autorisé un
livre à
double signature avec lui. Benoît a ensuite fait parvenir
toute sa
solidarité à François...» (catt.ch)
« Nous citons l’une des
rares
citations dans lesquelles Scalfari attribue au pape François
ce qui
suit: «Je suis ému, comme vous le savez parce que nous avons
parlé
plusieurs fois, par le désir d’une survie active de notre
Église, de
mettre à jour notre esprit collectif à la société civile et
moderne,
les religions, et pas seulement le chrétien catholique, nous
devons
très bien nous connaître et, dans une profondeur culturelle
et
spirituelle, activer la société moderne ».
(infovaticana.com)
Voilà qui est confirmer.
Activer la société moderne,
l’humanisme, le royaume de Satan.
L’exhortation post-synodale
amazonienne confirmera dans son ambiguïté habituelle ce que
tous
redoutent (dont le mariage de prêtres) et ouvrira des portes
qui à la
manière de Luther donneront le ton à la destruction de la
doctrine via
les évêchés allemands.
« … Cette façon de faire
cause
de graves torts à l’Église. Le Pape devrait confirmer la
doctrine, et
il le fait aussi, mais ces confirmations ne nous rassurent
pas, car il
semble avoir une conception nouvelle et différente de la
relation entre
la doctrine et la pratique...» (benoit-et-moi.fr)
Un
petit rappel alors pour François… de la part de la Sainte
Vierge Marie via Sainte-Brigitte de Suède:
« La Très-Sainte Vierge lui
montra comment l'ineffable dignité du prêtre, appelé à
consacrer le
Corps sacré du Fils de Dieu, était incompatible avec une
union
charnelle; et elle termina par ces graves paroles .
«Apprends que si un
Pape se montrait disposé à autoriser le mariage des prêtres,
il
s'attirerait un jugement terrible; Dieu le frapperait de
cécité et
surdité spirituelles; il ne pourrait plus rien dire, ni rien
faire, ni
rien goûter dans l'ordre surnaturel; et, en outre, après sa
mort, son
âme serait précipitée au fond de l'enfer, pour y rester
éternellement
la proie des démons. Oui, lors même que le saint Pape
Grégoire eût
établi cette loi, il n'aurait jamais obtenu miséricorde
devant Dieu, à
moins qu'il ne l'eût rapportée humblement, avant de mourir.
»»
16 janvier
Des profondeurs de nos
cœurs…
Vous êtes tous témoins de
cette saga sur la publication du nouveau livre du cardinal
Sarah écrit
en collaboration avec Benoît XVI.
Oui. Benoît XVI.
Et non pape émérite… Ou Joseph
Ratzinger.
François et la bande de
St-Gaal ont exigé que le nom de Benoît XVI soit retirer de
la prochaine
édition… Mais le contenu demeure.
« Je peux confirmer que
ce matin, sur indication du pape émérite, j’ai demandé au
cardinal
Robert Sarah », principal auteur du livre, « de contacter
les éditeurs
du livre en les priant d’enlever le nom de Benoît XVI », a
déclaré Mgr
Georg Gaenswein, secrétaire particulier de longue date de
l’Allemand
Joseph Ratzinger.» (lapresse.ca)
(Mgr Vigano affirme que
Benoît XVI est dans une
prison doré avec comme gardien son secrétaire Gaenswein ( benoit-et-moi.fr )
Ce fut une surprise pour les
progressistes qui s’affairaient à préparer la parution de
l’exhortation
apostolique du synode amazonien à la fin janvier ou au début
février.
La position contraire contenue
dans le livre leur a coupé l’herbe sous le pied.
Comme le dit si bien Mgr
Schneider : « « On pourrait dire que
l’intervention du
cardinal Sarah a provoqué, pour ainsi dire, la colère de
l’enfer.
Le cardinal Sarah, dit-il,
a
«donné la parole» à de nombreux évêques, prêtres et laïcs,
qui ont été
«étouffés» par des «groupes influents» qui sont loués par le
monde mais
peuvent à juste titre être comptés parmi les «ennemis de la
foi
catholique». (lifesitenews.com)
Antonio Socci réagit en
affirmant que « … Sarah aborde également d’autres questions
brûlantes –
de l’ Eucharistie à la liturgie – qui sont également sous le
feu des
«révolutionnaires». En fait, le pouvoir clérical actuel
essaie d’être
homologué aux confessions protestantes de l’Europe du Nord ,
c’est
pourquoi la controverse porte sur les sacrements qui sont
les piliers
de l’Église catholique. Ce n’est pas un hasard si le
sacerdoce, le
célibat et l’Eucharistie ont marqué les grandes ruptures de
Luther.
Mais suivre ce chemin provoque le suicide de l’Église.
(antoniosocci.com)
On a vu la fureur de
François avec l’incident du 1 janvier au Vatican.
Nous
assistons maintenant à la fureur infernal de François
multiplier par
cent, homme de pouvoir qui n’accepte pas la qu’on le
contrarie.
C’est donc la guerre avec
Benoît XVI.
Nous le savions grâce à la
prophétie concernant Benoît XVI : Deux pères, aucun
n’est chef de
l’Église (en fait un pape « émérite » qui a
démissionné et un évêque de
Rome), et il y a un schisme profond entre le cardinaux.
Ce qui confirme l’analyse que
Pier Carpi en avait fait en 1976.
François a bien révélé son jeu
lors de la messe à Sainte-Marthe le 14 janvier dernier.
« L’autorité
n’est pas le commandement, mais la cohérence.
Combien de mal est fait par
des chrétiens «incohérents» et des pasteurs «schizophrènes»
qui ne
témoignent pas et qui s’éloignent ainsi du style du
Seigneur, de son
authentique «autorité», a affirmé le Pape François lors de
la messe à
Sainte-Marthe,
«Jésus a enseigné comme
quelqu’un qui a de l’autorité». L’Évangile de Marc (Mc
1,21b-28) nous
parle aujourd’hui de l’enseignement de Jésus dans le temple
et de la
réaction du peuple à sa façon d’agir avec «autorité», à la
différence
des scribes. C’est à partir de cette comparaison que le Pape
s’inspire
immédiatement pour expliquer la différence qui existe entre
«avoir
l’autorité» , «l’autorité intérieure» comme Jésus lui-même,
et «exercer
l’autorité sans l’avoir, comme les scribes», qui bien qu’ils
soient
spécialistes de l’enseignement de la loi et écoutés par le
peuple,
n’ont pas été crus… Au contraire, les scribes n’ont pas été
cohérents
et Jésus, souligne le Pape, d’une part, exhorte les gens à
«faire ce
qu’ils disent mais pas ce qu’ils font», d’autre part, ne
manque pas une
occasion de leur faire des reproches. Et le mot que Jésus
utilise pour
qualifier cette incohérence, cette schizophrénie, est
«hypocrisie».»(vaticannews.va)
Voilà. Benoît est en plein
dans le viseur de François, et selon ce dernier, il est
schizophrène.
Utiliser
ses sermons et l’Évangile pour salir Benoît XVI nous prouve
qu’il est
bien le dragon de l’Apocalypse qui parle comme un agneau.
Il n’y a plus de retour en
arrière possible.
Déjà la presse progressiste
bombarde Benoît XVI qui a rompu le « pacte de silence » et
on demande
une clarification sur sa présence au Vatican.
Ils vont le faire mourir.
Il
semble aussi que le sermon
ne s’adressait pas uniquement à Benoît XVI mais aux évêques
qui venait
de recevoir une lettre de « soutien » de la part du cardinal
Hummes,
demandé par François, sur la publication à venir de
l’exhortation sur
le synode amazonien.
« … Dans la lettre, Hummes,
expliquant que le projet d’exhortation est en cours de
révision,
fournit aux évêques une liste de textes utiles pour se
documenter, il
veut souligner que les « nouveaux chemins » ont été «
élaborés sous la
conduite de l’Esprit Saint » et souligne que le Pape
considère
important que les évêques reçoivent le document « avant que
la presse
ne commence à le commenter », afin qu’ils « puissent se
joindre à lui
dans la présentation ».
L’hypothèse que l’exhortation
peut aussi, en tout ou en partie, ne pas plaire ou ne pas
avoir
l’accord de tel ou tel évêque n’est pas prise en
considération. Au
contraire, dans un langage curieux, on dit que l’intention
des
suggestions faites est que vous la « souteniez discrètement,
comme
Ordinaire, en communion avec le Pape François ». En bref:
Monsieur
l’évêque, sachez que vous n’avez pas le choix, si
l’exhortation ne vous
plaît pas, cela signifie que vous n’êtes pas en communion
avec le pape…
» (benoit-et-moi.fr)
Hummes spécifie que
l’exhortation est présentement en revue pour correction et
traduction
et demande aux évêques de se faire accompagner dans les
conférences de
presse par un autochtone (indigène) si c’est relié à sa
région, un
expert en religion (prêtre ou religieux, laïc ou laïque), un
« expert » du climat ou de l’écologie, et un
« jeune » impliqué dans le ministère des pairs.
Est-ce que l’exhortation
amazonienne serait un amalgame des conclusions des autres
synode?
- Laudato Si (besoin de la
présence d’un expert écologique)
- Amoris Laetitia (besoin
d’un expert religieux pour la doctrine)
- Christus Vivit (besoin
d’un jeune impliqué)
- Et un autochtone
(exhortation amazonienne).
Le mystère d’iniquité est à
l’œuvre.
Deux églises parallèles depuis
Vatican II.
Les chrétiens n’y voient que du
feu.
Et le reste du monde se laisse
conduire tranquillement au précipice…
« Comment on manipule vos
pensées avec les mots… » L’édito de Charles Sannat. (insolentiae.com)
7
janvier
L’Iran
hisse le drapeau rouge sur la « mosquée messianique »,
déclarant pour
la première fois la « guerre de la fin des temps » (alterinfo.ch).
Voilà où nous en sommes en ce 7
janvier.
Les chiittes sont prêt pour la
venue du Mahdi, qui amènera le messie musulman.
Ils ont besoin d’une guerre
pour le voir arriver.
Netflix a justement sorti
sa
série « Le Messie » ou en anglais « MESSIAH » où le «A» dans
le titre
est bien-sûr remplacer par une pyramide illuminati. (trailer
pour vous
faire une idée de ce nouveau messie via le lien suivant:
(journaldugeek.com)
Tout cela par hasard le 1
janvier 2020.
« le Messie », suscite
grandement la polémique dans les médias.
Tout y est embrouillé et
personne ne sait s’il est juif, chrétien, ou musulman…
Mais ils oublient tous qu’il
est… Humaniste!
Car, la majorité des « goys
» ne savent pas que l’humanisme EST la nouvelle
religion.
L’élite judéo-maçonnique
nous y prépare à cette guerre et ce n’est pas une surprise
avec l’Iran…
Et c’est une diversion.
Les
talmudistes judéo-maçonniques savent que la fin des temps
aura lieu
quand une guerre entre Israël et l’Iran aura lieu (100000
milices
pro-iraniennes sont infiltrées dans les pays limitrophes à
Israël
présentement).
Deux peuples, deux messies
attendues… Qui ne servent que de paravent pour le but réel.
Mais,
le président du CFR (Counsil of Foreign Relations, organisme
d’influence de l’élite) a affirmé que le monde sera le champ
de
bataille après l’escalade iranienne.
Parce que nous le savons, la
cible c’est l’Incarnation, et par ricochet, le Vatican.
La chute des deux Babylone
approche.
03
janvier
Assassinat
du
général iranien en ce 3 janvier... Est-ce l'une des étapes
correspondant à la prophétie « Grand Éclair à l'Orient » ?
Il semble
que ce pourrait être le cas. À surveiller.
02
janvier
Le
retrait
imminent du katéchon ou le décès éminent de Benoît XVI nous
force encore une fois à reconsidérer l’hypothèse de la
semaine de
Daniel (voir analyses précédentes) nous indiquant que le
sacrifice et
l’oblation auraient pus être arrêté en octobre 2016 par la
fraternisation des disciples de Luther avec le pape (surtout
la statue
dans la salle Paul VI le jour de la fête de Fatima!), et le
jubilé de
la miséricorde, soit l’abolition du péché, ou de l’inutilité
de
l’Incarnation par ce geste.
La
revue
Chiesa Viva (lien du 17 décembre) est plus claire sur ce
sujet et
laisse donc la porte ouverte au fait que la fille de Caïn
puisse être
l’église Vatican II à son apogée avec l’élection de
François.
«
31 octobre 2016: Bergoglio se rend en Suède pour célébrer,
avec les
luthériens, le début du cinquième centenaire des hérésies de
Martin
Luther. Le Vatican a publié un document très grave:
“Commémoration
commune luthérienne-catholique romaine de la réforme
luthérienne”.
Notez
les points suivants:
–
154: le terme “transsubstantiation” est abandonné en tant
qu’explicatif
du changement substantiel qui se produit dans l’Eucharistie,
et il ne
dit rien contre les termes “impanation” ou
“consubstantiation” utilisés
par les luthériens. Selon ces termes, Jésus serait présent à
travers la
foi de la communauté et Jésus disparaîtrait une fois la
célébration
terminée.
–
158: l’Eucharistie n’est décrite que comme une mémoire
(anamnèse), telle que les luthériens l’ont toujours conçue.
–
159: on abandonne la doctrine qui affirme que dans chaque
messe, le
sacrifice du Christ se renouvelle de façon non sanglante,
comme l’a
toujours professé l’Église
catholique depuis deux mille ans. »
Ainsi,
la
volonté d’éliminer de la transsubstantiation de
l’Eucharistie est
confirmée et donc ancrée dans le concret, même si la
nouvelle messe
œcuménique n’est pas encore en vigueur.
Il
y a donc cette possibilité comme fille de Caïn tout comme
nous avons Greta Thunberg.
Nous
devrions avoir une confirmation d'ici Pâques.
Mais il faut laisser la
porte
ouverte au fait que la fille de Caïn ne pourrait n’être
autre chose que
la révélation à découvert de l’église conciliaire Vatican II
avec la
montée de l’abomination sur le trône de Saint-Pierre.
Nous
avons pu voir son vrai visage avec la vidéo du 1 janvier
2020, Place Saint-Pierre: (benoit-et-moi.fr).
Ce
ne
serait donc pas une coïncidence car à la fin des temps les
deux
Babylone représentant le système humaniste aux niveaux
temporel et
spirituel n’ont pu qu’être vues et comprises par tous par la
révélation
de l’Antéchrist-personne (le mystère d’iniquité de Saint
Paul).
La
fille de Caïn serait concomitante avec l’élection de
François.
Cet
indice était nécessaire pour voir au grand jour la vérité.
Elle
est bien montée au nord puisque le pape vient d’Argentine.
Et
tout juste 7 ans plus tard, nous pouvons affirmer qu’elle a
bien prêchée l’église humaniste.
Caïn
a
vu son sacrifice rejeté par Dieu parce que ce n’était que
les fruits
de la Terre dont il avait en abondance, alors qu’Abel a
sacrifié un
agneau qui mettait en péril son avenir, faisant confiance au
Père. Cet
événement préfigurait évidement le sacrifice de l’agneau sur
la croix.
Or,
avec
la nouvelle messe de 1969 (tiré de Chiesa Viva , lien 17
décembre)
on y a introduit le «Béni sois-tu, Seigneur, Dieu de
l’univers! De ta
bonté nous avons reçu ce pain, fruit
de la terre et du travail de l’homme; fruit
de la vigne et du travail de l’homme; … »
Donc,
comme Caïn, c’est bien le « du
travail des hommes » qui est présenté au Père sur
l’offertoire.
Qu’a
fait le pape François durant le synode sur l’Amazonie ?
Il
a
présenté les fruits de la Terre et la Pachamama. Le
paganisme en
pleine basilique Saint-Pierre. La célébration de la
victoire.
Le
trône de Saint-Pierre est donc bel et bien occupé par le
malin. C’est confirmer.
Que
reste-t-il de plus à prouver ?
D’où
le fait qu’il faut considérer cette hypothèse de la fille de
Caïn à nouveau.
Lors
de
la solennité de Marie le 1 janvier, le pape a adressé cette
prière à
la Vierge Marie: «Ô Mère, engendre en nous l’espérance,
apporte
nous l’unité. Femme du salut, nous te confions cette année,
conserve-la
dans ton cœur».
Unité
donc selon la philosophie judéo-maçonnique. L’œcuménisme si
cher au pape.
L’Église
est en déroute.
Mais,
il n’a pas si bien dit.
La
Sainte-Vierge
le prendra au mot car c’est bien d'unité dont il est
question à la fin de la prophétie concernant Benoît XVI...
Mais
sous une toute autre dimension.
01 janvier
2020 : la sortie du
retardateur (le katéchon).
Les signes se sont
multipliés depuis l’analyse du 8 décembre.
Outre les bouleversements
climatologiques, les points chauds au niveau géopolitique
ont pris de l’ampleur.
Mais c’est vers l’Église qu’il
faut se tourner, et de ce côté, le pape et ses sbires ont
célébré la victoire.
Petit retour en arrière.
Le
16 décembre 1913 décédait le maître des francs-maçons au
Vatican, le
cardinal Rampolla, élu pape en 1903, mais qui grâce à
l’intervention de
l’empereur François-Joseph qui usa de son droit de veto, fut
évincé.
Ce
qui n’empêcha pas les cardinaux de mettre son buste dans la
salle
papale en face de la liste des papes décédés avec
l’inscription
suivante :
« Marianus Rampolla del
Tindaro titulaire de Sainte-Cécile (tu Transtevere) étant
dévôt du
bienheureux Pierre et ayant comme archiprêtre de la
basilique offert à
cette dernière une splendeur insigne l’Ordre des Chanoines
plein de
reconnaissance envers ce grand homme perpétue sa mémoire
année 1914. »
100
ans plus tard, les années accordées au démons pour agir
(dans la vision
de Léon XIII, son prédécesseur) et détruire l’Église étaient
écoulées.
La
bête pouvait se glorifier de sa victoire et agir à découvert
en élisant le destructeur, débutant ainsi la semaine de
Daniel.
C’est
ainsi que François a célébré la victoire le 21 décembre
dernier en
s’adressant à la Curie. Comme d’habitude le sens de
l’ambiguïté prime,
et pour comprendre il faut inverser.
« Pape François: la Curie
change pour mieux servir
l’humanité..
» et qui demande d’utiliser l’arme du diable, les médias
électroniques
pour aller évangéliser les peuples qui ne connaissent pas…
Et non il me mentionne pas
Jésus encore une fois.
Il utilise « mieux annoncer
l’Évangile dans un monde
déchristianisé. ».
Comme il faut inverser, alors
il confirme la victoire de Satan : Le monde est
déchristianisé.
(Dans
le langage palladiste ou judéo-maçonnique, il faut prendre
le
contraire : Dieu est Lucifer, le bon Dieu, et Adonaï
est le Père,
le Dieu mauvais des catholiques.)
L’Évangile de qui donc?
Il confirme au moins ce que
nous savons, que « le présent «n’est pas simplement un temps
de
changement, mais un changement d’époque».
Mais, malheureusement,
d’ajouter que «l’attitude saine» est de «se laisser
interroger par les défis du temps présent».
Donc plus besoin du
Saint-Esprit semble-t-il. Et en ce temps présent,
l’humanisme triomphe.
Il
laisse ensuite le mot de la fin à son mentor jésuite, le
cardinal
Martini, maître d’œuvre de tous ces aberrants synodes
auxquels nous
assistons (et principal rival de Benoît XVI au conclave de
2005 avec
Bergoglio):
« Le dernier mot, le Pape
l’a laissé au cardinal Martini qui, sur le point de mourir,
avait dit : «L’Église a
deux cents ans de retard.
Pourquoi ne se bouge-t-elle pas ? On a peur ? peur au lieu
d’avoir du
courage ? Cependant, la foi est le fondement de l’Église. La
foi, la
confiance, le courage. […] Seul l’amour surmonte la
fatigue». »
Comme
dans son message lors de sa rencontre avec le secrétaire des
Nations-Unies, seul l’amour compte pour sauver l’Église,
Noël c’est
l’amour…
Nous sommes loin de « Je Suis
le Chemin, la Vérité, et la Vie ».(vaticannews.va)
Ensuite,
le
film de Netflix, « les deux papes », a fait sa sortie
mondiale le 20
décembre. Ce film d’inspiration francs-maçonnique montre la
victoire de
Bergoglio, le réformiste, sur Benoît XVI, le conservateur.
Le film confirme la citation de
son mentor Martini (ci-haut), et Bergoglio l’a
affirmé : le monde est déchristianisé.
Pourquoi cette date ?
Parce que le lendemain 21
décembre 2019 il s’agissait d’un date de victoire de la
bête.
Vous vous rappelez le 21
décembre 2012 ?
Date de fin du monde maya
poussée de l’avant pour effrayer la populace.
C’était bien le début de la fin
pour l’élite judéo-maçonnique, la fin
du monde chrétien.
C’est bien là que la bête a
commencé à agir à découvert, le 21 décembre 2012.
En
cette même date, Benoît XVI dans son discours à la curie
célébrait la
conclusion du synode d’influence « martinienne » sur la
nouvelle
évangélisation et prônait le nouvel œcuménisme que livrera
ensuite
François.
On connaît la suite… Démission
de Benoît XVI et élection de François le 13 mars 2013.
Le
21 décembre 2019, ce fut aussi le samedi des quatre saisons.
La dernière année où ce samedi
tomba un 21 décembre fut 2013 (année d’élection de
l’antéchrist personne).
Et
la lecture du jour en cette fête de Saint-Thomas était la
2ème lettre
de Saint-Paul aux Thessaloniciens, celle concernant le
katéchon !
C’est un autre signe qu’un
cycle se termine.
«… Que
personne ne vous égare d’aucune manière; car il faut que
vienne d’abord l’apostasie,
et que se
révèle l’homme de péché,
le fils de la perdition, l’adversaire qui s’élève contre
tout ce qui
est appelé Dieu ou honoré d’un culte, jusqu’à s’asseoir
dans le
sanctuaire de Dieu, et à se présenter comme s’il était
Dieu. Ne vous
souvenez-vous pas que je vous disais ces choses, lorsque
j’étais encore
chez vous? Et maintenant vous
savez ce qui le retient,
pour qu’il se
manifeste en son temps.»
Apostasie générale: nous
avons. Le fils de la perdition : nous avons depuis
2013.
Mais
il fallait qu’il se manifeste en son temps. Bergoglio était
le préféré
du groupe de Saint-Gall mené par Martini en 2005. Mais le
Ciel
veillait. Ce n’était pas encore le temps de Bergoglio.
« Car
le mystère d’iniquité est déjà à l’œuvre ; il suffit
que soit écarté celui qui le retient à présent. »
Le
mystère d’iniquité (l’antéchrist système humaniste à
l’intérieur de
l’Église) était à l’œuvre depuis Vatican II, agitant très
fort Benoît
XVI au passage. Il suffisait donc que Benoît XVI soit écarté
pour le
voir au grand jour. Le Ciel nous a laissé deux papes en
fonction, pour
nous faire voir qu’il y a un imposteur.(Ce que confirme la
prophétie de Jean XXIII concernant Benoît XVI.)
« Et
alors
se découvrira l’impie, que le Seigneur (Jésus) exterminera
par le
souffle de sa bouche, et anéantira par l’éclat de son
avènement.»
L’éclat de son avènement. Il
s’agit donc bien de période précédent le retour de NSJC.
« Dans
son
apparition cet impie sera, par la puissance de Satan,
accompagné de
toutes sortes de miracles, de signes et de prodiges
mensongers, avec
toutes les séductions de l’iniquité, pour ceux qui se
perdent, parce
qu’ils n’ont pas ouvert leur cœur à l’amour de la vérité
qui les eût
sauvés.»
Miracles,
signes et prodiges, représentent la technologie moderne. Et
nous avons
découvert qui était vraiment François durant ces 7 années.
Malgré tout, il séduit. Il est
populaire malgré toutes les énormités qu’il prononce.
« C’est
pourquoi Dieu leur envoie une
puissance d’égarement qui les fait croire au
mensonge ; ainsi seront jugés tous ceux qui
n’ont pas cru à la vérité, mais qui se sont complus dans
le mal. » (IIThessaloniciens2, 1:12)
Et la 7ème église de
l’Apocalypse est bien mentionné pour François :
«... Je
connais
tes œuvres : tu n'es ni froid ni chaud. Plût à Dieu que tu
fusses froid ou chaud ! Aussi, parce que tu es tiède
et que tu
n'es ni froid ni chaud, je vais te vomir de ma bouche...»
Ce cycle se termine en 2020. Le
retardateur, Benoît XVI, a fait son œuvre.
7 ans de prières pour réparer,
pour que l’Église retourne à sa vraie nature, telle que l’a
voulu le Christ.
Pour les aveugles, l’éclatement
du règne bénie de la Sainte-Vierge frappera comme l’éclair,
soudain, inattendu.
Les
prophéties de la semaine
sainte:
Ne
succombe
pas au sommeil, homme du futur, parce que les Signes de Dieu
ne sont donnés, ni au rêveur, ni à l'insensé. Il a été dit
que ton
Seigneur viendra comme un voleur, et le Temps où Il viendra
sur chacun
de vous d'une manière inattendue, sera une période de
l'Histoire
pendant laquelle la plupart des hommes seront endormis.
Surveillez pour
les Signes; comprenez le sens profond de Sa Passion parce
que celle-ci
renferme le Sceau Divin de votre Salut.
Ferme
tes
yeux sur le monde; place tes mains sur tes oreilles, et
arrête de
parler inutilement parce que ton Dieu a quelque chose à
confier à ton
âme angoissée et isolée.
Viendra
un
jour ou Jésus sera acclamé dans différentes contrées, et
même en
face de plusieurs Royaumes en même temps. Méfie-toi de ce
jour!
Crains justement ce jour si alors tu es en état de péché, et
que tu te
réjouisses d'être ainsi. Mais si par contre tu es un vrai
serviteur de
Dieu, alors réjouis-toi parce ce que le jour de ta
délivrance est
proche.
Lorsque
les
acclamations se seront estompées, alors viendra la ''Nuit
des
Nuits'', la ''Trahison des Trahisons'' contre la Chrétienté;
au moment
où se couchera le Dimanche des Rameaux. Dans ces jours les
plus tristes
qu'il sera donné à l'homme de vivre, Judas renaîtra des
profondeurs
pour un court temps. Quoi que des vrais Chrétiens pourront
alors
déployer contre le Blasphème, les plans pour vivre l'infamie
des âges
devront être bus jusqu'à la lie.
Puis
après
la ''NUIT DU JARDIN DES OLIVIERS'', immédiatement suivie par
l'arrestation, la Nuit couvrira alors toute l'humanité
pendant que
beaucoup de Dirigeants Chrétiens et leurs disciples
s'empresseront de
se cacher, et que d'autres trahiront leur propre sang aussi
bien que
leur propre chair. Mais cette Nuit verra aussi quelques
Chrétiens, plus
rares, mourir bravement ave leur Dirigeants comme martyrs.
Pour cela,
ils seront quelques-unes des pierres les plus brillantes de
la couronne
de leur Seigneur.
Encore
une
fois, Pierre reniera trois fois avoir été un vrai disciple
de Jésus
alors qu'une large partie de la Chrétienté quittera pour un
temps la
vraie Foi. Eux aussi renieront leur Foi en trois majeures
occasions.
Alors que la Nuit suivra son cours, les temps de l'esclavage
s'étendront partout.
Ne
sois
pas un insensé. Ne te laisse pas mener par ton orgueil en
croyant
que tu seras protégé de ces terribles événements parce que
tu as eu une
bonne vie chrétienne, ou encore que tu échapperas aux
sentiers de la
Croix parce que tu es rempli de toutes sortes de
considérations pour
toi-même, y compris de te voir comme un Saint. Ne te
rappelles-tu pas
ce que le Seigneur avait un jour demandé à celui qui se
croyait être un
vrai croyant en Dieu? Ne te souviens-tu pas ce qu'Il
répondit à ce
jeune homme fier et riche; qu'il donne tous ses biens aux
pauvres, et
le suivre? Et que dire des premiers siècles de l'Église
lorsque les
vrais Chrétiens mouraient de toutes les manières pour leur
Foi?
Étaient-ils tous fous, ou se trompaient-ils en choisissant
d'être
dévorés par des bêtes sauvages en face d'une foule qui les
insultait,
et se riait d'eux? Ne sois pas un insensé!
En
face
de Haut Prêtre de la fausse Jérusalem d'alors à Rome, les
Chrétiens de ces temps troublés devront répondre pour la Foi
de leurs
pères dans laquelle ils continuent de croire. Ils seront
traînés du
Grand Prêtre à Caïphe où ils seront insultés, ridiculisés,
couverts de
crachats, puis accusés de haute trahison parce qu'il leur
sera rappelé
leur vie passé de violence et de trahison contre l'humanité.
Ils seront
détenus, et accusés de sorcellerie parce que leurs pères
auront
accompli des miracles à travers l'histoire; accusés mille
fois de
meurtre parce que leurs pères auront exterminé des tribus au
nom de la
Croix à travers l'histoire; accusés d'avoir induit dans de
fausses
croyances parce que leurs pères auront enseigné aux
multitudes, que
Jésus était le seul et unique Dieu de l'univers; accusés
d'idolâtrie
parce qu'ils croiront Jésus être Dieu; et accusés de
perversion contre
leurs propres enfants parce qu'ils leur auront enseigné des
valeurs
chrétiennes du passé.
Pour
tout
cela, ils seront privés de leur liberté pendant que leurs
enfants
leur seront enlevés par les authorités pour être placés
comme apprentis
dans des familles riches partageant les croyances du nouveau
royaume.
Encore
une
fois, ne vois pas un insensé! Comme la Chrétienté a pris ses
ailes
à Rome, les persécutions partiront aussi de Rome parce qu'en
ces Temps,
l'Église sera alors inversée par rapport à elle-même. Comme
cela fut,
cela sera encore parce que les élus seront les premiers à
donner leur
sang pour leur Seigneur. Pierre et Paul mourront à Rome pour
le plaisir
de la foule pervertie.
Les
représentants
religieux des ténèbres seront tellement exaspérés par
l'humilité et la Foi inébranlables des disciples de Pierre
et Paul,
qu'ils en perdront tous leurs moyens. Ils les remettront
donc au Ponce
Pilate de leur royaume religieux. Ce sera alors dans son
palais que ces
premières vraies brebis seront jugées pour des crimes
qu'elle
n'ont
jamais commis.
Pour
affaiblir
leur Foi et leur courage; de même que pour plaire aux
Prêtres
du Temple de ces Temps, cet ambassadeur de l'Empereur les
soumettra à
tous genres de tortures, toutes aussi insidieuses les unes
que les
autres car elles auront été créées afin de briser la
volonté. Là ils
seront couronnés de la Couronne d'Épines des Temps alors
qu'ils auront
à souffrir, dans leur esprit, l'agonie de voir les
multitudes rejeter
Jésus comme étant leur seule voie possible de Salut.
Alourdis
par
le poids de la Croix, ils graviront le Calvaire où la foule
les
accablera de sa rage sans limites. Trois fois la Chrétienté
succombera
sur ses genoux, mais trois fois elle se relèvera dans une
acceptation
totale de sa destinée.
Arrivée
au
sommet du Calvaire, ses mains seront crucifiées parce que le
monde
sera alors privé de la Charité; ses pieds seront crucifiées
parce qu'il
lui aura été interdit d'apporter la Parole de Dieu aux
multitudes. Puis
le corps de cette Chrétienté sera étiré à l'extrême sur la
Croix parce
qu'il devra servir d'exemple aux foules perverties de nouvel
Empire.
Puis
viendra
un Temps de sécheresse alors que toute la Chrétienté sera
privée de la Présence et des Paroles de Dieu. Elle ne
recevra que des
paroles amères et un isolement absolu du reste du monde.
Comme
Jésus
a dit: ''Père pourquoi m'as-tu abandonné?'', la Chrétienté
vivra
l'abandon total à elle-même, sans aucune consolations.
Puis
la
lance transpercera son Côté duquel une goutte de sang, et
une goutte
d'eau s'échapperont parce qu'alors, il lui faudra, elle
aussi,
atteindre à la mort sans certitudes avant que Dieu le Père
ne se laisse
toucher, puis laisse tomber Son Bras sur l'Humanité.
Pendant
un
temps indéterminé, un silence lourd couvrira alors toute
l'étendue
de la terre. Du Vendredi Saint à la dernière heure du Samedi
Saint,
juste avant le Dimanche de Pâques, l'Humanité sera
recouverte d'épais
ténèbres pendant trois jours et trois nuits alors que Dieu
punira
Lui-même les hommes. L'Antéchrist sera jeté en Enfer alors
que partout
sur la terre, toute construction humaine portant sur un brin
d'orgueil,
sera anéantie. Les souffrances des hommes seront à la mesure
de leurs
maux intérieurs. Plus leur état sera de péché, d'éloignement
de Dieu,
plus leurs souffrances seront grandes. C'est alors que la
terre entière
ressemblera à un vaste cimetière, un désert sans horizons.
Uniquement
ceux qui auront héroïquement conservé au fond d'eux-mêmes la
vraie Foi
en Jésus-Christ, la Foi des premiers martyrs de l'Église, la
Foi des
Saints, survivront à la Sainte Colère de Dieu.
Malheur
à
toi homme de ces Temps qui se riera de ces Prophéties, car
ton
absence d'humilité te plongera davantage dans l'esclavage de
tes
fautes, sans espoirs éternels.
Dans
son
Amour incompréhensible pour Ses enfants, Dieu n'aura laissé
à
l'Antéchrist que cinq Pouvoirs sur les Hommes. Ceux-ci
n'auront de
force que sur les cinq sens de l'homme: ''Celui de la Vue,
de l'Odorat,
du Toucher, de l'Ouie et du Goût.'' Il ne pourra jamais
atteindre à
l'âme de l'homme car celle-ci ne lui appartient aucunement.
Mais sur
ces ''Cinq Sens'', il aura tout pouvoir.
Sois
donc
vigilant homme du futur parce qu'en ces derniers jours, tes
Sens
seront tes pires ennemis. Pour les atteindre, les corrompre,
et faire
de toi son esclave, l'Antéchrist développera de tels
machines
séductrices que sans l'aide de Dieu, même les Élus ne
pourraient se
sauver. Et si le Temps des Temps n'était alors écourté, tous
se
perdraient, même les Choisis. En ces jours sombres,
uniquement l'Humble
pourra résister aux lumières séduisantes de la fausse
liberté.
Encore
une
fois, ne sois pas un insensé. N'as-tu pas encore compris que
tu es
la seule créature de Dieu dans tout l'univers? Méfies-toi de
tes sens,
car ceux-ci t'enchaîneront pour l'éternité.
Grand Réveil Louis D'Alencourt
Louis a fait un travail extraordinaire, convertissant nombres de coeurs et réconfortant dans l'Espérance tant d'autres.
Paix à son âme. Nos prières l'accompagnent.
Louis avait compilé une liste d'adresses emails au cas où il y aurait
une rupture du site pour une quelconque raison, pour pouvoir continuer
à communiquer.
Ce qui est arrivé.
Avec son décès, la liste est perdue, et le site va probablement disparaître avec le temps.
Un ami du Grand Réveil a archivé la totalité des articles et des commentaires.
Vous pouvez télécharger les articles ici ou choisir vos articles en pdf sur le site de Louis D'Alencourt qui est toujours actif: https://legrandreveil.wordpress.com/
Acte de réparation à la Vierge Immaculée
A réciter le premier samedi du mois…
Très Sainte et Immaculée Vierge Marie, Mère de Dieu, qui êtes aussi
notre Mère : nous nous agenouillons respectueusement devant vous, afin
de réparer par ce témoignage d’honneur et d’amour toute la souffrance
que vous ont causée à vous et à votre Divin Fils, la négligence,
l’ingratitude, le reniement et les blasphèmes.
Ô Marie, chef-d’œuvre incomparable de la Très Sainte Trinité, objet des
complaisances éternelles de Dieu ! Le Fils Eternel de Dieu est votre
Fils selon la nature humaine, le sang de votre sang. Votre dignité
touche ainsi à l’infini ; vous êtes, ô Marie, l’Immaculée Conception,
pleine de grâces et de mérites, la Vierge-Mère, la Reine du Ciel et de
la Terre. Vous êtes notre Co-Rédemptrice, notre Médiatrice et notre
réconciliatrice. Vous êtes la Mère de la Sainte Eglise et
l’exterminatrice de toutes les hérésies, la Trésorière du Cœur de
Jésus, la Dispensatrice de toutes les faveurs célestes, la
Toute-Puissance suppliante, la Mère de miséricorde, notre Consolatrice
et notre Refuge.
Votre bonté et votre miséricorde égalent votre force et votre dignité.
Et cependant, il y a des malheureux qui, comme de vrais suppôts de
l’enfer, vous dédaignent et vous insultent, vous et votre Divin Fils.
Il en est qui méconnaissent votre dignité incomparable et vos bontés
maternelles. D’autres qui sapent l’œuvre de la Rédemption dans les âmes
rachetées par le sang de Jésus et qui cherchent à déchristianiser le
monde.
Et combien, même parmi les chrétiens, qui aiment trop peu leur Mère et
montrent par leur manière d’agir qu’ils n’ont pas assez de confiance en
Vous, Mère de miséricorde, consolatrice des affligés, et refuge des
pécheurs. Combien qui se flattent, ô Mère, de vous aimer de tout cœur
et continuent étourdiment de renouveler par le péché les souffrances de
Jésus et de transpercer votre Cœur maternel. Et moi-même que j’estime
peu ce que vous êtes pour nous ! Que de fois je me suis joint aux
bourreaux du Calvaire ! Et, au lieu d’être pour vous un fils aimant,
j’ai trop souvent attristé votre tendre cœur de Mère par ma négligence
et mon indifférence.
Ô Cœur maternel de Marie, ayez pitié de nous ! Miséricorde et
conversion pour ceux qui cherchent à déraciner dans les âmes des
pauvres et des enfants l’amour pour Jésus et pour vous. Miséricorde et
conversion pour tous les pécheurs ! Miséricorde et pardon pour moi
aussi, pour toutes mes fautes et mes négligences !
A titre de réparation, ô la meilleure des Mères, je vous offre la
louange et tout l’honneur qui vous ont jamais été rendus par le ciel et
la terre, en particulier par le Divin Cœur de Jésus. Je vous présente
tout l’hommage qu’on vous rend aujourd’hui sur toute la terre, en
public et au foyer. Je m’offre aussi moi-même avec mon amour d’enfant
et ma piété, avec toutes les adversités et les bonnes actions de ce
jour. Je vous promets d’être désormais tout vôtre, d’animer et de
répandre votre culte, tant que je le pourrai.
Ô bonne Mère, répandez en nous et sur le monde entier, le surplus de
votre miséricorde maternelle, en même temps qu’une vive piété pour
Jésus et votre Saint Cœur ! Exterminez les hérésies, et écrasez pour
toujours la tête du serpent infernal ! Obtenez la paix pour la terre,
et la victoire pour notre Mère la Sainte Eglise ! Régnez sur nous et
sur le monde entier, et que, par votre règne, nous arrive le règne du
Divin Cœur de Jésus ! Ô bon Jésus, je vous en conjure par l’amour que
vous portez à votre Mère : accordez-moi de l’aimer vraiment comme vous
l’aimez et comme vous désirez qu’elle soit aimée. Ainsi-soit-il !
Indulgence plénière pour tous ceux qui, le premier samedi du mois vont
à la communion et font acte de Réparation pour les blasphèmes contre la
Vierge Immaculée.
Prière de Notre-Dame du Saint Rosaire :
« Ô Bienheureuse Vierge Marie, Reine des Cieux et Mère de la
Miséricorde, nous nous tournons vers toi avec des cœurs humbles et
reconnaissants en ce moment sacré où nous invoquons les mystères de ton
Saint Rosaire. Toi qui es notre étoile du matin, guide-nous à travers
les méandres de nos vies, éclairant notre chemin de la lumière de ton
Fils bien-aimé, Jésus-Christ.
Au commencement de chaque Ave Maria, nous méditons sur l'Annonciation,
ce moment divin où l'Archange Gabriel t'a saluée comme pleine de grâce,
et où tu as, avec une humble soumission, accepté la volonté de Dieu en
devenant la Mère du Sauveur. Que cette méditation nous enseigne
l'obéissance confiante face aux desseins mystérieux de Dieu, et qu'elle
fortifie notre foi en sa providence divine.
Pendant chaque dizaine, nous contemplons les mystères joyeux, lumineux,
douloureux et glorieux de la vie de ton Fils, Jésus. Que ces moments de
prière approfondissent notre compréhension de l'amour infini de Dieu
manifesté en Jésus-Christ, et que nous soyons inspirés à suivre ses
enseignements et à imiter son exemple.
Au cours des mystères joyeux, nous réfléchissons à la naissance du
Christ, à son enfance à Nazareth et à la présentation au Temple. Sainte
Marie, Mère de Dieu, intercède pour nous, afin que, comme toi, nous
puissions accueillir Jésus dans nos vies avec une joie ineffable.
Dans les mystères lumineux, nous contemplons le baptême de Jésus, ses
miracles et l'institution de l'Eucharistie. Sainte Marie, Reine des
Apôtres, accorde-nous la grâce de vivre nos vies à la lumière de la
vérité éternelle de ton Fils.
Les mystères douloureux nous conduisent au jardin de Gethsémani, au
chemin de croix, à la crucifixion et à la mort de Jésus sur la croix.
Mère compatissante, sois notre réconfort dans les moments de
souffrance, et guide-nous à travers les épreuves de la vie avec la foi
inébranlable que tu as démontrée au pied de la croix.
Les mystères glorieux célèbrent la résurrection, l'Ascension, la
Pentecôte et ton couronnement comme Reine du Ciel. Sainte Marie, notre
Reine et notre Mère, aide-nous à aspirer à la gloire éternelle du
Royaume de Dieu et à cheminer avec espérance vers notre patrie céleste.
Pendant chaque Ave Maria, nous te prions pour notre église, pour tous
les fidèles, pour les âmes du purgatoire, et pour le monde entier. Ô
Notre-Dame du Saint Rosaire, prie pour nous, maintenant et à l'heure de
notre mort.
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