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LAS PROFECÍAS DEL PAPA JUAN XXIII/LE PROFEZIE DI PAPA GIOVANNI XXIII

Fin des temps


Cette section fait référence aux sections des prophéties sous l'onglet ''Analyse''.

Les prophéties de la semaine sainte

Le Grand Réveil Louis D'Alencourt

Prière du premier samedi du mois

Prière du Saint Rosaire

2024

Décembre 2024

23 décembre

LE SOLEIL OU « GRAND ÉCLAIR À L’ORIENT »?

Demain s’ouvre l’année du triomphe satanique, l’année du Jubilé 2025, l’année du testament de Bergoglio (voir analyse du 17 septembre, LE TESTAMENT DE BERGOGLIO).

Ceux qui visitent régulièrement la section analyse du site savent que nous portons une attention particulière à l’astre du jour parce que c’est le signe qui nous a été donné à Fatima le 13 octobre 1917.

Ce signe qui a effrayé la foule mais pour sœur Lucie qui était la vision de la Sainte Famille suivi des trois personnifications de la Sainte Vierge Marie, se terminant par Notre-Dame du Carmel.

Puisque le monde ne s’est pas converti, ils est alors évident que nous sommes dû pour cette « tempête solaire ».

L’année 2024 est sur le point de se terminer et dans moins d’un mois la fin des 3,5 années depuis Traditionis Custodes du 16 juillet 2021 interdisant la messe Tridentine approche.

« Grand Éclair à l’Orient » ou la « Foudre en Plein Jour » ou  « Le Temps est Proche » sont les trois prophéties que nous pouvons reliées à une intervention humaine comme une bombe puissante dans ce contexte de guerre, mais aussi, ce vers quoi nous penchons, soit une intervention divine, et ce venant du soleil car « Vous n'entendrez pas le tonnerre, lui aussi sera imprévu. » nous confirme la prophétie.

Puisque tout notre civilisation actuelle ne repose que sur la technologie et l’électricité, une tempête d’une rare intensité, inconnue depuis notre époque « moderniste » spirituelle où tout a été abandonné à Satan, représenterait bien « Dieu a déchaîné la guerre de la nature pour empêcher la guerre des hommes. » de la prophétie de Jean XXIII.

Alors, qu’en est-il du soleil ces dernières semaines alors que nous sommes en plein dans le maximum solaire en 2025?

L’activité solaire a été particulièrement tranquille en ce mois de décembre.

Rappelons pour ceux qui ont oublié, qu’on mesure l’activité solaire par le nombre de taches apparentes et par l’étendue qui est reliée à la complexité magnétique de ces dernières.

Nous pouvons surveiller l’activité solaire depuis le début des années 2000 grâce à des satellites d’observation solaire reliés aux ordinateurs sur terre.

Plus la complexité magnétique est élevée plus la chance de voir une éruption solaire de classe X, la plus grande sur l’échelle de mesure, est élevée.

Si l’éruption solaire est accompagnée d'une éjection de masse coronale (CME) (une bulle magnétique se déplaçant dans l’espace) se dirigeant vers la Terre, alors nous risquons de tout perdre : électricité, électronique, et tout ce qui s’en suit.

Par un « malheureux hasard », le 26 novembre dernier, un tuyau d'eau servant à refroidir la salle des serveurs du Centre commun des opérations scientifiques (JSOC) de l'Observatoire de la dynamique solaire (SDO) s'est cassé. Cela a causé d'importantes inondations dans le bâtiment et d'importants dégâts d'eau dans le laboratoire qui abrite les machines qui traitent et distribuent les données des instruments de l'imageur héliosismique et magnétique (HMI) et du réseau d'imagerie atmosphérique ( AIA) ainsi que du vaisseau spatial IRIS.

Indice? Signe?

Nous devons donc présentement avoir recours aux observations astronomiques des institutions et des particuliers pour suivre l’évolution du soleil.

Le satellite SOHO de la NASA nous permet toujours d’être témoin des éruptions solaires et des CME.

Donc, tout n’est pas perdu.

Autre fait intéressant par rapport au « Grand Éclair à l’Orient », une nouvelle étude scientifique publiée dans la revue Science conclue que nous devrions être à l’affût des « super-éruptions »  solaires.

L’étude conclue que les étoiles semblables à notre soleil dans notre Voie lactée produisent des super-éruptions environ tous les 100 ans.

Les super-éruptions sont des éruptions solaires environs 50 fois plus puissante que l’événement Carrington en 1859, événement qui à lui seul représenterait un réel danger pour notre monde gavé de technologie.

Les 10 astronomes de l’étude ont observé 56,450 étoiles comparables au soleil grâce au télescope Kepler entre 2009 et 2018.

Ils ont identifiés 2889 super-éruptions sur 2527 étoiles avec cette énergie 50 fois plus élevée que l’événement Carrington.

Selon leurs mesures, la Terre n’a pas été frappé par une super-éruption dans le dernier siècle.

En conclusion, nous sommes dû pour une super-éruption solaire, ou simplement, notre soleil est moins actif que les autres étoiles comparables au soleil dans notre Voie lactée.

Mais, nous, nous connaissons l’avertissement de Fatima.

Nous pouvons reliés les prophéties de Jean XXIII au soleil.

D’ailleurs, la prophétie de l’Église #11 du 7ème sceau se termine par : « Attendez le signe de Jean. L'agneau est prêt. Signez-vous sept fois avec une main fatiguée et attendez. La lumière vient encore de l'Occident. »

La lumière vient encore de l’Occident (donc de l’ouest) peut signifier deux choses :

- Il s’est passé physiquement un signe à l’est (Grand Éclair à l’Orient)

- ou, comme les égyptiens attendaient impatiemment de voir si le dieu solaire allait réapparaître le matin après son périple de la nuit, nous sommes en présence du signe de Jonas, les trois jours de noirceur, et nous attendons plein d’espoir, ce retour de la lumière.

La force d’une super-éruption aurait évidemment des impacts probables au niveau de la structure terrestre, qui est une immense boule magnétique.

Et la dernière prophétie #12 concernant l’église est « L’arrivée de la lumière ».

Et c’est relié à l’établissement du Royaume de Dieu sur terre.

« Avant l'ultime lumière, les pasteurs auront reconnu le signe. », soit le Grand Éclair à l’Orient.

« Le premier soleil illumine la balance de l'univers. »

Soit qu’il s’est passé de quoi avec le soleil, soit que c’est une représentation mystique du retour du Christ.

« Lumière de l'Occident, dernière lumière avant l'éternelle, inconnue. »

Le père Malachi Martin qui avait lu le 3ème secret de Fatima nous a bien averti de surveiller le ciel à l’est, à l’orient, pour LE SIGNE.

Il semble qu'il s’est juste tromper sur son estimé dans le temps.

Si 2024 est l’année où tout bascule, 2025 est l’année de la chute des deux Babylone si la prophétie de Don Bosco du retour du Lys de Paix avant mai 2026 est véridique.

Est-ce que Bergoglio se rendra à sa 13ème année de pontificat, chiffre appartenant à la Sainte Vierge?

Bergoglio, avec l'ajout des nouveaux cardinaux, a créé 111 des 140 électeurs admissibles pour le prochain conclave papal.

Les franc-maçons aiment bien le chiffre 11.

Pâques en 2025 sera le 20 avril.

Ainsi, le dimanche de Quasimodo où Thomas représentant les incrédules de notre temps, demandent à avoir les preuves de la résurrection, sera le 27 avril.

Le nombre d’années entre l’élection de Jean XXIII et le 27 avril 2025 sera de 66 ans et 6 mois, ce qui confirme le summum de la divinisation de l’humain dans toute sa trinité, le 666.

Aussi, la canonisation de Jean XXIII a eu lieu le 27 avril 2014.

Donc, 11 ans en 2025.

Le chiffre franc-maçonnique par excellence.

22 décembre

« Mgr Carlo Maria Viganò : « L'Église aujourd'hui est en plein délire »

Entretien d'Andrea Caldart avec l'Arzobispo Carlo Maria Viganò

Andrea Caldart : L'Église de Bergoglio semble en émoi : de nombreux fidèles continuent de voir ce pape excommunier des prêtres et d'autres, parce qu'ils présentent la preuve que le pape Benoît XVI n'a jamais vraiment renoncé au « munus » pétrinien. Monseigneur Viganò, dans quelle Église vivons-nous ?

Carlo Maria Viganò : « L'église » de Bergoglio n'est pas seulement en effervescence : elle est en plein délire. Si cela peut arriver, c'est précisément parce qu'il ne s'agit plus de l'Église catholique, mais de sa scandaleuse contrefaçon, et parce qu'à la place du pape sur le trône de Pierre siège un tyran hérétique et usurpateur . La décomposition entre munus et ministériel est un artifice produit par la pensée hégélienne de Joseph Ratzinger-Benoît XVI : je l’ai longuement expliqué dans mon discours sur le sujet, en parlant d’une « Papauté décomposée ». J'aimerais profiter de cette occasion pour réitérer ici un concept que je considère comme fondamental : toute attaque contre l'institution divine de la Papauté (et, avec elle, de l'Église) a pour objectif ultime la transformation du pouvoir sacré du Pontife Romain . C'est ce que souligne en revanche la doctrine hérétique de la synodalité : elle porte atteinte à la constitution divine et à la nature monarchique de l'Église, voulue par son divin Fondateur, Notre Seigneur Jésus-Christ, qui est Roi non seulement des sociétés temporelles, mais aussi - et surtout - de la société religieuse, c'est-à-dire de l'Église catholique, corps mystique dont il est la tête.

Si Bergoglio était pape, la promesse d'une assistance spéciale faite par le Seigneur au Prince des Apôtres et à ses successeurs serait infondée et fausse, ce qui est totalement inconcevable et contraire à la foi. Par conséquent, si Bergoglio peut exercer sa propre action dévastatrice sur l’Église et propager ses erreurs, c’est parce que son autorité a été usurpée avec préméditation et méchanceté et, en tant que telle, est nulle. Ceux qui pensent que la crise a commencé avec ce « pontificat » se trompent : la volonté de manipuler la papauté romaine remonte au Concile Vatican II, poursuivie avec l'encyclique Ut unum snot sint de  Jean-Paul II, confirmée par l'anomalie de la démission de Benoît XVI et que Bergoglio a fait sienne - en parfaite cohérence avec ses prédécesseurs - avec le document d'étude L'Évêque de Rome du Dicastère pour la Promotion de l'Unité des Chrétiens. Redéfinir la papauté « dans une clé œcuménique et synodale » est le modus operandi typique des hérétiques pour dissimuler derrière de vagues formules une action délibérément subversive, contraire à la foi et à la pratique constante de l’Église catholique romaine.

Il faut prendre acte du coup d'État fomenté par l' Église profonde et qui a porté au pouvoir, au sommet de la Hiérarchie catholique, les cinquièmes colonnes de l'ennemi, c'est-à-dire de l'anti-Église maçonnique, de la synagogue de Satan.

Andrea Caldart : Au fil des ans, vous avez émis plusieurs critiques sur la question de la transparence et de la gestion des problèmes internes de l'Église. Quelles étapes vous semblent essentielles pour restaurer la confiance des fidèles ?

Carlo Maria Viganò : Ce que vous appelez « transparence » dans le langage bureaucratique trouve sa contrepartie religieuse dans le fait de savoir que nous sommes toujours sous le regard de Dieu. Rien n'échappe à Notre-Seigneur : ni ce qu'on fait, ni ce qu'on va faire, ni les intentions qui nous animent. Si ceux qui soutiennent Bergoglio et ratifient sa fraude avaient agi avec cette conscience, ils ne l'auraient même pas admis au Conclave. Pour que le coup d'État réussisse, il fallait pouvoir compter sur une Hiérarchie corrompue et susceptible de chantage : la corruption de la volonté dans la violation des principes moraux s'accompagnait de la corruption de l'intellect dans la falsification progressive de l'esprit.

La Révolution, dans sa matrice ontologiquement antichrétienne et anti-Christ , a nié l'origine divine de l'autorité terrestre, déconnectant les dirigeants de leur obligation d'exercer le pouvoir dans les limites du Bien en tant qu'expression de la Seigneurie suprême du Christ. Cela a rendu l’autorité – civile et ecclésiastique – autoréférentielle et essentiellement tyrannique, pervertissant l’obéissance chrétienne en complicité servile. Citoyens et fidèles se sont retrouvés à obéir au pouvoir temporel et spirituel même lorsqu'il trahissait sa propre fin; et désobéir au véritable et unique détenteur de l'Autorité, Notre Seigneur, confiné par la laïcité libérale et conciliaire à la sphère privée des individus. Si le lien entre le Christ Roi et le Pontife et ses représentants sur terre n'avait pas été rompu, rien de ce que nous avons vu se produire n'aurait été possible.

À ceux qui soutiennent que l'action subversive de la Hiérarchie moderniste bénéficie du soutien et de la reconnaissance pacifique et universelle du peuple chrétien, il faut rappeler que soixante ans d'endoctrinement moderniste par le clergé conciliaire - et cinquante ans d'anarchie hérétique et sacrilège dans le domaine liturgique - les erreurs philosophiques, doctrinales et morales que la Sainte Église avait toujours condamnées et combattues ont été lentement normalisées. Les quelques personnes qui veulent rester fidèles à la Tradition doivent comprendre que nous sommes à une époque de persécution et d'apostasie et doivent s'organiser pour résister aux loups déguisés en brebis et aux faux bergers. Dans une magnifique parabole, le Seigneur nous parle des faux bergers et des mercenaires, qui ne se soucient pas des brebis, et nous rappelle que les brebis reconnaissent la voix du Berger (Jn 10) : c'est le sensus Ecclesiæ qui permet à l'Église de survivre.

Andrea Caldart : Comment évaluez-vous l'état actuel de l'Église catholique par rapport aux valeurs traditionnelles et à la modernité ?

Carlo Maria Viganò : L'Église catholique n'a rien à voir avec l'Église bergoglienne, qui est conciliaire, synodale et œcuménique, mais elle n'est certainement pas catholique. Il ne se pose comme tel que pour obtenir l'obéissance de ses fidèles, sachant très bien que c'est justement sur ce mensonge que sa hiérarchie peut exercer son pouvoir. D'un autre côté, la fiction d'une autorité subversive qui agit contre l'institution qu'elle préside est également reproduite par les dirigeants civils, qui sont à la fois des traîtres et des usurpateurs. Ce qui est déconcertant, c'est de voir le niveau d'obscurcissement des consciences que la société a atteint, pour ne pas savoir comment réagir à la violation des principes les plus sacrés et même pour coopérer passivement à sa propre extermination physique et morale.

Andrea Caldart : À quoi faut-il attribuer cette attitude de renoncement, d'aplatissement total des positions idéologiques du monde moderne, de la part de l'Église de Bergoglio ?

Carlo Maria Viganò : Le désir de plaire à la mentalité du monde a commencé au moment où la Hiérarchie, à ses sommets, a cessé d'être une pierre d'achoppement et est devenue complice et coresponsable de la diffusion des principes libéraux et laïques. Cela s'est produit dans l'Église catholique à travers la révolution permanente inaugurée par le Concile Vatican II, qui a complètement bouleversé toute la « hiérarchie des valeurs » en déplaçant arbitrairement et illégitimement le centre de gravité du corps ecclésial de Dieu vers le monde , du Christ. Cette révolution, en affirmant vouloir restaurer la centralité de l'homme, ses droits et sa « dignité infinie », nie par conséquent la centralité de Dieu et le confine à la sphère privée de la conscience de l'individu, déplaçant ainsi Notre-Seigneur de sa seigneurie universelle. Au moment où l'exercice de l'autorité du pape et des évêques trouve sa légitimité dans le consentement des fidèles, ils n'agissent plus comme vicaires du Christ (qui  d'en haut leur confère le pouvoir sacré de paître son troupeau), mais qui deviennent plutôt de simples représentants d'un mandat « collégial » ou « synodal » (qui vient donc d'en bas ). Il est évident qu'une telle autorité devient autoréférentielle et sans limites, par conséquent essentiellement tyrannique.

Prétendre que l'Église doit être démocratique et que les laïcs peuvent ou doivent participer à son gouvernement est évidemment un mensonge colossal : non seulement parce que cela contredit la structure monarchique que Notre Seigneur lui a donnée en la fondant sur Pierre, mais aussi parce que derrière l'aspect subversif l'action de ses promoteurs cache l'indicible détermination à le détruire, en le frappant en son cœur, c'est-à-dire en la Papauté.

Dans la folle illusion de pouvoir détruire l'Église catholique, ses ennemis savent bien que le moyen le plus efficace n'est pas de confier à une multitude ce qu'on sait faire de mieux, mais au contraire de pouvoir compter sur une autorité corrompue et pervertie.

Le premier pas vers cette autodestruction de l'Église a été accompli précisément en inculquant aux fidèles un sentiment d'infériorité à l'égard de ceux qui ne professent pas la Foi, et en les convainquant que la Foi est en opposition et en contradiction avec la Science, comme si le Seigneur n'était pas l'auteur des deux. Les fidèles seraient donc des crédules, des rêveurs, des trompés qui croient aux miracles, à la chute de la manne dans le désert, à la guérison des aveugles de naissance ou des infirmes, à la multiplication des pains et des poissons, dans la Résurrection du Christ et dans tous ces dogmes que l'Église catholique enseigne mais qu'un esprit moderne non obscurci par la « superstition papiste » sait bien qu'ils ne sont que des métaphores et des élaborations de la « communauté primitive ». Une communauté d'imposteurs, dans laquelle la nécessité de donner corps à une institution organisée capable de rivaliser avec les autres religions a inventé une série de mythes, en premier lieu celui de la divinité de Notre-Seigneur. C'est, en résumé, la pensée du modernisme apparue au XIXe siècle, condamnée au début du XXe siècle et qui a progressivement pénétré l'Église jusqu'à s'imposer avec le Concile Vatican II. La vision scientifique – et non scientifique – de la religion a convaincu le clergé et les fidèles qu’ils doivent se considérer inférieurs et méritant, tout au plus, une tolérance mal dissimulée, mais certainement pas autorisés à défendre une Vérité considérée comme relative et non universelle. Essentiellement, le diable a d’abord réussi à donner aux citoyens le droit à l’erreur, puis à nier ce droit à la Vérité, le réservant uniquement à l’erreur. L'alibi initial de la liberté pour toutes les religions a été démontré pour ce qu'il est : une guerre totale contre la Vérité unique de Dieu pour le triomphe des nombreux mensonges de Satan, prince du mensonge.

Jorge Bergoglio, dans la continuité de ses prédécesseurs immédiats - bien que certainement de manière plus décousue et plus agressive - a usurpé l'autorité papale pour l'utiliser à son encontre, car ce n'est qu'en se faisant passer pour Pape qu' il pouvait obtenir l'obéissance immédiate du clergé et des laïcs dans son pays. Et ce sont précisément ceux qui aujourd'hui reconnaissent Bergoglio comme pape légitime, mais se réservent le droit de lui résister et de lui désobéir dans ce qu'ils considèrent comme étant en contradiction avec la papauté et la doctrine catholique, qui rendent cette situation humainement irréversible, dans laquelle celui qui devrait être le Vicaire du Christ est le principal architecte de l’action dissolvante de la Papauté et de l’Église catholique. (Je pense à mes frères Burke, Sarah, Mueller, Schneider... qui rendent un terrible service à la Vérité).

Andrea Caldart : Une question se pose spontanément : où « subsiste » l’Église catholique aujourd’hui ? Comment l'Église catholique peut-elle exister sans tête visible ?

Carlo Maria Viganò : L'Église catholique ne subsiste certainement pas dans l'Église bergoglienne : certainement pas dans le conventicule des cardinaux et des évêques qui soutiennent et accompagnent le tyran par peur, timidité, intérêt, chantage ou acquiescement. Cela suffirait pour comprendre, dans la perspective eschatologique de la fin des temps et de la persécution finale annoncée par les Saintes Écritures, le caractère singulier et extraordinaire de tout ce qui se passe dans l’Église du Christ. C'est pour cette raison qu'il n'est pas possible d'évaluer cette crise à la lumière des catégories et des normes que l'Église s'est données pour des temps de relative normalité. En ce sens, si l’on ne peut pas physiquement séparer l’ivraie du bon blé, on peut au moins distinguer la mauvaise plante en attendant que les moissonneurs viennent la jeter au feu.

Andrea Caldart : De nombreuses personnes dans le monde ont déclaré avoir été sauvées des vaccinations forcées grâce à vos nombreuses interventions et dénonciations des choses mauvaises et mauvaises que les gouvernements ont faites et continuent de faire pour la mise en œuvre de la Grande Réinitialisation et du Nouvel Ordre.

Carlo Maria Viganò : La farce de la pandémie, dont les crimes et les horreurs apparaissent lentement même dans les grands médias, a ouvert les yeux de nombreuses personnes intellectuellement honnêtes, y compris des athées et des non-catholiques. Cet éveil des consciences constitue certainement une occasion de s'approcher du Seigneur, au moment où elles comprennent l'unité du plan satanique et anti-humain de la Grande Réinitialisation et y reconnaissent l'action d'un esprit diabolique qui cherche dans la destruction de l'homme pour annuler la Création de Dieu et la Rédemption opérée par Notre Seigneur.

Ce qu'on peut faire, c'est suivre l'exhortation de saint Pierre : Résistez fermement dans la foi, sachant que vos frères et sœurs du monde entier souffrent les mêmes choses que vous (1 Pierre 5, 9).

Nous ne devons pas perdre la paix du cœur ni l'amitié avec Dieu face aux événements dont nous sommes témoins. Plus l'ennemi semble puissant et proche du triomphe, plus sa défaite inexorable face à l'archange Michel se rapproche. On nous demande de rester fidèles, et de le faire avec les moyens matériels et spirituels que le Seigneur nous assure dans les moments d'épreuve. Organisons-nous en petites communautés, où la messe de tous les temps est le cœur battant de notre action personnelle, familiale et sociale. Préservons les enfants et les jeunes, en les éduquant avant tout dans l'amour de Dieu et de la Sainte Vierge. Encourageons ceux qui se sentent seuls et abandonnés, car la solitude est l'une des armes que l'adversaire utilise pour nous prosterner et nous faire tomber. Prions assidûment le Saint Rosaire. Vivons dans la charité fraternelle, sous le regard de Dieu.

Andrea Caldart : En regardant vers l'avenir, quelles sont les priorités de votre mission pastorale et quel message jugez-vous essentiel de transmettre aux fidèles en ce moment historique ?

Carlo Maria Viganò : La tâche d'un évêque, c'est-à-dire d'un successeur des apôtres, est résumée par saint Paul (2Tm 4, 1-5) : Je vous adjure devant Dieu et devant Jésus-Christ, qui jugera les vivants et les morts avec leur apparence et leur royaume : prêchez la Parole, insistez sur toutes les occasions favorables et défavorables, convainquez, réprimandez, exhortez avec toute sorte d'enseignement et de patience. Car le temps viendra où ils ne supporteront plus la saine doctrine, mais, désireux d'entendre, ils chercheront en grand nombre des docteurs selon leurs propres désirs, et ils détourneront leurs oreilles de la vérité et se tourneront vers les fables. Mais tu restes vigilant en toutes choses, endures les souffrances, accomplis la tâche d'évangéliste, accomplis fidèlement ton ministère. C'est ce que j'essaie de faire. C'est ce que je ferai jusqu'à mon dernier souffle. Et je prie ardemment pour que les autres évêques et prêtres fassent de même, devant Dieu et le Christ Jésus, qui doit juger les vivants et les morts, par son apparence et son royaume.

Dans ce combat spirituel, il est essentiel de penser aussi à l’avenir de notre société et de l’Église. Ainsi, tout comme dans les affaires mondiales, beaucoup s'organisent en communautés pour subvenir à leurs besoins matériels - par exemple, pour fournir une alimentation saine ou pour donner une éducation non idéologique à leurs enfants - de même, dans les choses spirituelles, il est nécessaire d'organiser une résistance qui assure de bons et saints prêtres qui continuent à célébrer la messe et les sacrements dans la fidélité à la Tradition.

La Fondation Exsurge Domine a précisément pour objectif principal de promouvoir et de soutenir la formation de nouvelles vocations sacerdotales, dans la fidélité à la Tradition et à la Liturgie de tous les temps, dans l'amour de l'Église catholique romaine et de la Papauté. » (aldomariavalli.com)

21 décembre

ORDO AB CHAO

« En temps de persécution religieuse, l’intervention divine attend ordinairement deux choses avant de se produire :

– D’abord que la purification des bons soit suffisamment accomplie ;

– Ensuite, que le triomphe des méchants soit sur le point de s’achever. » (abbé Augustin Lémann, 1886)

Ce temps des persécutions religieuses, est ce temps où Pierre le Romain dans la prophétie des papes de Saint-Malachie conduit son peuple parmi les tribulations, la dernière étape de la purification par Vatican II.

L’ère bergoglioènne.

L’ère du chaos.

Chaos utiliser par l’Antichrist pour la venue du « messie guerrier » judéo-maçonnique, pour établir l’ordre.

Le politique nous donne des signes évidents de chaos en cette fin d’année 2024, où tout bascule : instabilité politique au Canada, en France, en Grande-Bretagne, en Allemagne, aux États-Unis, …

Domenico Margiotta, franc-maçon du 33ème degré converti au catholicisme à la fin du XIXème siècle, et qui dénoncera dans ses livres les pratiques occultes de la franc-maçonnerie :

« Le nombre 77 est sacré parce qu’il est le produit de la multiplication de 7, nombre sacré, par 11, nombre sacré. Le nombre 7 est sacré parce qu’il est le total du nom ineffable du Grand Architecte de l’Univers, qui est en sept lettres (Lucifer, nom révélé seulement dans les triangles). Le nombre 11 est également nombre sacré luciférien, parce que cabalistiquement il représente l’En-Soph et les dix Séphiroth, dont les incarnations maçonniques sur terre sont le souverain pontife de la franc-maçonnerie universelle et les dix patriarches composant le sérénissime grand collège des maçons émérites. Enfin le nombre 77 est trois fois sacré, parce qu’il est le nombre de la hiérarchie céleste selon le Livre Apadno. C’est en l’honneur de ce nombre que la juridiction suprême de la haute-maçonnerie est divisée en 77 provinces triangulaires. »

Selon le « Projet 47 » de Louis d’Alencourt (voir analyses précédentes) le messie judéo-maçonnique se découvre à la vue de tous le 20 janvier prochain, c’est à dire 77 ans après la création d’Israël en 1948.

Le religieux domine le politique, quoiqu’on en dise.

Et le chaos est très présent au Vatican.

Dénoncé par quelques braves, toujours peu nombreux :

« … Les erreurs manifestées par François découlent de son aversion pour la Tradition, qui le mène à maltraiter les traditionalistes, à persécuter les évêques et les prêtres et à en annuler certains. Sa procédure habituelle consiste à intervenir indirectement dans les diocèses en nommant des « coadjuteurs » progressistes des évêques respectifs. Dans bien des cas, il critique les prêtres, qu'il semble mépriser, les qualifiant d'« arriérés » [« indiétistes »] parce qu'ils aiment et suivent la Tradition. Ce mépris contraste avec l’amour pour les prêtres manifesté par les papes ... Jean-Paul II et Benoît XVI.

La mariologie de François est déficiente : lorsqu'on lui a demandé de proclamer la Co-Rédemptrice, il a refusé, avec un mauvais argument affirmant qu'elle ne pouvait pas être appelée Co-Rédemptrice « parce qu'elle n'est pas divine ». Il est clair qu'il ne comprend pas le mystère de la participation de Marie à l'œuvre de rédemption. Le style de François est populiste, ce qui lui vient de sa sympathie politique pour le phénomène argentin du péronisme, mouvement auquel il adhère depuis sa jeunesse, au sein du groupe connu sous le nom de « Garde de fer ».

La question de l'infaillibilité ne se pose pas. En fait, il exerce son activité en utilisant l'autorité papale de manière très naturelle. Il est bien conscient d'être pape et est considéré comme tel par les fidèles, sauf que beaucoup n'approuvent pas ses choix politiques et reconnaissent clairement que cette dimension politique est étrangère à la fonction de Successeur de Pierre.

Le pontificat actuel est axé sur l’agenda mondialiste et le dialogue interreligieux ; il ne peut pas remplir son mandat de répandre la connaissance et l'amour de Jésus-Christ. Mais le mandat apostolique demeure : « Allez partout dans le monde et prêchez l'Évangile à toutes les nations ; Celui qui croira et sera baptisé sera sauvé, celui qui ne croira pas sera condamné » (Mc 16, 16). Cela vaut pour ce monde, qui attend le rétablissement du Successeur de Pierre.

+ Héctor Aguer

Archevêque émérite de La Plata ». (lifesitenews.com)

« CITÉ DU VATICAN ( LifeSiteNews ) — Un employé frustré du Vatican a affirmé que le pape François donnait la préférence au « lobby gai » lorsqu'il s'agissait de prendre des décisions.

Dans une entrevue anonyme accordée au média italien Panorama , un membre du syndicat du Vatican s'est plaint que non seulement ses collègues étaient mécontents de la prétendue gestion financière de François, mais qu'il accordait une forte préférence à ceux qui sont en faveur de l'agenda homosexuel.

« On ne peut progresser que si on est ami d'un des deux lobbys qui comptent : soit le « lobby gai », qui est vaste et très puissant, soit le « Club Santa Marta » autour du Pape », dit-il. qui portait les initiales «GF», a déclaré au média.

La personne a en outre fait remarquer que si « vous voulez adhérer, vous ne pouvez pas lire les journaux de centre-droit et vous devez parler espagnol ». Il faut être vert, pro-migrants et, surtout, pro-palestinien. Pour eux, Nicolas Maduro est un saint et Donald Trump est un diable.»

L'influence du lobby homosexuel dans l'Église n'est pas une simple spéculation. LifeSite présente depuis des années une documentation détaillée sur les efforts du groupe. Son pouvoir sur François est indiqué, entre autres, par ses nominations papales, le traitement réservé aux groupes homosexuels et d'autres signes de favoritisme évident.

Ce mois-ci, François a nommé 21 nouveaux cardinaux, dont le prêtre dominicain pro-LGBT, le père Timothy Radcliffe. François a également rehaussé le profil public du prêtre jésuite pro-LGBT James Martin en louant à plusieurs reprises son travail et son groupe hérétique Outreach. De plus, François a récemment accueilli au Vatican un ermite transgenre basé aux États-Unis et a souvent accueilli au Vatican d'autres groupes de personnes confuses en matière de genre… »

« Lors de son audience du 16 décembre 2024 avec une délégation du Conseil méthodiste mondial, François a faussement suggéré que les catholiques professent la même foi que les méthodistes :

« L'an prochain, les chrétiens du monde entier célébreront le 1700e anniversaire du premier concile œcuménique : Nicée. Cette occasion nous rappelle que nous professons la même foi et avons donc la même responsabilité d'offrir des signes d'espérance qui témoignent de la présence de Dieu dans le monde. »

Bien qu'il soit vrai que les méthodistes et les autres protestants acceptent le Symbole de Nicée, il est évidemment incorrect de suggérer que les catholiques et les méthodistes « professent la même foi ». Le pape Léon XIII a réfuté en profondeur la fausse affirmation de François dans son encyclique de 1896 sur l'unité des chrétiens, Satis Cognitum :

« Mais celui qui s'écarte ne serait-ce que sur un point de la vérité divinement révélée rejette absolument toute foi, puisqu'il refuse ainsi d'honorer Dieu comme la vérité suprême et le motif formel de la foi. « Dans bien des choses, ils sont avec moi, dans quelques affaires pas avec moi ; mais dans le peu de choses où ils ne sont pas avec moi, les nombreuses choses dans lesquelles ils sont ne leur serviront à rien » (S. Augustinus dans Psal. liv., n. 19). Et c'est à juste titre ; car eux, qui prennent de la doctrine chrétienne ce qu'ils veulent, s'appuient sur leurs propres jugements, pas sur la foi ; et n'amenant pas toute intelligence en captivité à l'obéissance du Christ (2 Cor. X., 5), ils s'obéissent plus vraiment à eux-mêmes qu'à Dieu. »

Ainsi, quiconque rejette ne serait-ce qu’un seul point de la vérité divinement révélée rejette la Foi dans son ensemble. Parce que les méthodistes (comme les autres protestants) rejettent de multiples points de vérité divinement révélés, ils rejettent la vraie foi, s'appuyant plutôt sur leurs propres jugements. En tant que tels, les méthodistes ne « professent évidemment pas la même foi » que les catholiques… » (theremnant.com)

La Tradition est l’ennemi de l’œcuménisme.

Voilà pourquoi Bergoglio s’acharne tant sur la Tradition, car elle empêche la conversion complète de l’église au protestantisme sous couverture d’œcuménisme.

« … Evelyn Waugh à l'archevêque John Heenan du 25 novembre 1962 (moins de deux mois après l'ouverture du Concile), la « protestantisation » était évidente dès le début pour ceux qui avaient des yeux pour voir :

« La vraie difficulté (je pense) est que les Continentaux se déforment pour nous faire ressembler le plus possible aux protestants. Comme j'aimerais qu'on puisse les persuader (une grande majorité, je le crains) qu'être à l'aise avec notre messe et nos cérémonies est bien plus important que d'avoir raison selon les livres des antiquités liturgiques.

Waugh avait tout à fait raison, et Michael Davies a confirmé l'existence de ce processus de « protestantisation » lors de son conseil du pape Jean :

« L'histoire du dialogue œcuménique initié par le Concile a été celle de concessions continuelles de la part de l'Église catholique au protestantisme – sans aucune réciprocité. . . . [L]'exemple le plus grave en a été la modification de la messe romaine pour la rendre aussi acceptable que possible à ceux qui rejettent l'enseignement catholique sur le sacrifice et la transsubstantiation. (p. 154)

Mais qu'est-ce qu'être « protestantisé » ? Il n’y a aucun sens réel dans lequel l’Église catholique actuelle pourrait être « protestantisée » parce qu’elle ne peut pas changer de cette façon. Tout ce qui ressemble à l’Église catholique et qui pourrait être « protestantisé » serait nécessairement une église contrefaite. L'Église synodale de François nous a aidés à mieux comprendre ce qui a été protestantisé. Comme de plus en plus de catholiques le réalisent, cette Église synodale est essentiellement une version plus avancée et officielle de la soi-disant « Église conciliaire », qui, à bien des égards, représentait une contrefaçon de l’Église catholique. Alors que les bons catholiques auraient pu être en désaccord sur le sens ou la légitimité du terme « Église conciliaire », François et ses collaborateurs soulignent régulièrement les réalités selon lesquelles leur Église (a) est maintenant appelée « Église synodale » et (b) a peu de chevauchement avec l'Église catholique sur le plan doctrinal.

Dans cette optique, François avait généralement raison de dire que son Église a la même foi que l'Église méthodiste. Cependant, lors de cette audience particulière avec les méthodistes, il a fait référence à tort à son église en l'appelant l'Église catholique plutôt que l'Église synodale. Que ce soit par ignorance ou par malveillance, c'est le genre d'erreur que les vrais catholiques devraient veiller à corriger. Si François n'a pas la compréhension ou la décence nécessaire pour identifier correctement son église contrefaite, nous avons une réelle obligation de le corriger afin de minimiser les chances que d'autres croient à tort qu'il parle de l'Église catholique dans de de tels cas.

Cette obligation de défendre la véritable Église catholique s'étend à la nécessité pour nous de coopérer avec la grâce de Dieu pour vaincre le faux œcuménisme qui tourmente le Corps mystique du Christ depuis des décennies. Même si le faux œcuménisme est étranger à l'Église parce qu'hérétique, cette notion erronée de l'unité des chrétiens nuit aux catholiques d'innombrables manières. Dieu a permis que ces préjudices deviennent de plus en plus clairs en 2024, avec le document de l'évêque de Rome et le Synode sur la synodalité . Pour ceux qui aiment l'Église catholique, cela nous appelle à faire plus que jamais en 2025 pour lutter charitablement contre le fléau du faux œcuménisme. Cœur Immaculé de Marie, priez pour nous ! » (theremnant.com ci-haut)

La fausse église prophétisée par Anne Catherine Emmerich.

« Parce qu'ils tiennent pour certain qu'il est très rare de trouver des hommes dépourvus de tout sens religieux, ils semblent avoir fondé sur cette croyance l'espoir que les nations, bien qu'elles diffèrent entre elles sur certaines questions religieuses , sauront sans trop de difficultés, parvenons à nous mettre d'accord en tant que frères sur la profession de certaines doctrines, qui forment pour ainsi dire une base commune de la vie spirituelle.

C'est pourquoi ces personnes organisent fréquemment des congrès, des réunions et des discours, auxquels assistent un grand nombre d'auditeurs et où tous, sans distinction, sont invités à se joindre à la discussion, aussi bien les infidèles de toute espèce que les chrétiens, même ceux qui se sont malheureusement éloignés du Christ ou qui, avec obstination et obstination, nient sa nature divine et sa mission. Certes, de telles tentatives ne peuvent en aucun cas être approuvées par les catholiques, fondées comme elles le sont sur cette fausse opinion qui considère toutes les religions comme plus ou moins bonnes et louables, puisqu'elles manifestent et signifient toutes de différentes manières ce sens qui est inné en nous tous, et par lequel nous sommes conduits à Dieu et à la reconnaissance obéissante de son règne.

Non seulement ceux qui soutiennent cette opinion se trompent et se trompent, mais encore, en déformant l'idée de la vraie religion, ils la rejettent et se détournent peu à peu vers le naturalisme et l'athéisme, comme on l'appelle ; d'où il s'ensuit clairement que celui qui soutient ceux qui soutiennent ces théories et tente de les réaliser abandonne complètement la religion divinement révélée. » (le Pape Pie XI, Mortalium Animos, encyclique de 1928 sur l'unité religieuse)

« ( LifeSiteNews ) — Le deuxième dimanche de l'Avent, les chaînes de télévision du monde entier ont diffusé deux services catholiques : la messe de réouverture de Notre-Dame de Paris et la messe papale de fin du consistoire.

Ce qui unissait les deux messes, cependant, n'était nullement l'unité de la célébration de la messe selon le nouveau missel de Paul VI ; au lieu de cela, il était visible que les deux messes s'écartaient des prescriptions de son missel d'une manière idiosyncrasique, démontrant ainsi au monde entier qu'il n'existe pas de « nouvelle messe ».

Ce qui est encore plus frappant, c'est que les deux messes se caractérisent par un rejet évident de la tradition : les vêtements, les gestes, les rites centraux et même certaines parties de la prière eucharistique ne donnent plus aucune indication sur la manière dont la messe a été célébrée pendant 1 600 ans. Au lieu de cela, le lien avec la tradition semblait avoir été coupé au couteau, et les deux messes semblaient flotter dans un espace liturgique vide.

Cependant, la tradition dans l'Église est une chose délicate. Quiconque y voit simplement une « coutume » qui peut être maintenue ou abolie ne comprend pas la signification de la tradition de l’Église. Pour l’Église, la tradition est toujours synonyme de légitimité, et personne  ne peut revendiquer une légitimité contraire à la tradition, ni pour lui-même ni pour ses actions. Cela s'applique bien sûr à la doctrine de la foi ainsi qu'à la célébration de la Sainte Messe, et cela lie le pape ainsi que tout évêque.

Dans ce contexte, ce qui suit me semble significatif : nous, catholiques, on nous prescrit une façon de penser autoritaire et orientée vers le pape. Cela a fonctionné aussi longtemps que les papes représentaient les enseignements de l’Église. Mais le pape actuel ne le fait pas, et ça vaut aussi pour la célébration de la messe traditionnelle. Ses actions ne sont pas légitimes parce qu'elles contredisent la tradition, mais lui et ses partisans s'en moquent.

Mais en même temps, il met dans un dilemme les catholiques qui s'accrochent à la messe traditionnelle. Ils sont contraints à « l’illégitimité » par le pape et croient devoir justifier leur légitimité. Mais ce n'est précisément pas le cas ! La messe traditionnelle fait pleinement partie de la tradition de l'Église et toute la tradition s'y reflète. Personne ne peut ébranler sa légitimité, pas même un pape ennemi de la tradition et de la messe traditionnelle.

À l'inverse, les tenants de la « nouvelle » messe doivent se demander quelle est leur légitimité liturgique. D'autant plus s'ils ne respectent pas les règles en vigueur et évitent délibérément tout lien avec la tradition. Ces messes reflètent-elles encore la foi catholique, ou ne sont-elles pas simplement le reflet d’un faux néo-catholicisme, moitié protestant et moitié ce qu’on appelle désormais « synodal » ?

J'aimerais encourager tous ceux qui sont attachés à la messe traditionnelle : ne vous laissez pas intimider et ne vous laissez pas prendre au jeu d'être poussés vers l'illégitimité, imposés par des interdictions ou autrement harcelés.

Rassurez-vous plutôt : seule la messe traditionnelle est dans la pleine tradition de l'Église, et pour cette seule raison tout prêtre a le droit de la célébrer, et tout croyant a le droit d'y assister. François ne peut pas changer ça et personne d'autre ne le peut ! Alors ayez confiance en vous et soyez catholique avec confiance !

Les néo-catholiques synodaux, en revanche, n’ont aucun lien avec la tradition, et même s’ils – comme les ariens d’autrefois – sont aujourd’hui majoritaires, ils ne sont pas catholiques, ou du moins pas vraiment catholiques.

La messe du pape et la messe à Notre-Dame l'ont démontré de manière éclatante. Et ils ont illustré la rupture dramatique dans l'Église survenue avec la « nouvelle messe », quelque chose que François a renforcé.

Tout cela ressemblait un peu à la Révolution française : à cette époque, un peuple de plébéiens avait dévasté Notre-Dame et y avait installé une nouvelle foi et une nouvelle « déesse ». Ils ont littéralement piétiné la foi traditionnelle, et quiconque suit la messe traditionnelle agit dans l’esprit révolutionnaire de ces gens. Avec l'orgueil des plébéiens, ils adoptèrent de nouveaux rites qui leur étaient propres et devinrent maîtres de la liturgie ; finalement un geste diabolique.

La célébration de la Sainte Messe, par contre, requiert autre chose : une humble entrée dans le courant de la tradition et une immersion dans la forme traditionnelle de la Messe. Merci de rester fidèle à la foi catholique et à la messe traditionnelle. (Le P. Heimerl)

Le mot d’Espérance de Mgr Strickland en cette fin d’année :

« ( LifeSiteNews ) — Chers frères et sœurs en Christ,

En cette période de l'année, alors que nous attendons Notre-Seigneur, je voudrais attirer un instant notre attention sur saint Joseph, un personnage plutôt silencieux mais très important dans l'Avènement de Notre-Seigneur. Nous connaissons Saint Joseph comme charpentier parce que Saint Matthieu et Saint Marc utilisaient le terme grec  tekton  pour décrire son travail, terme courant désignant un ouvrier du bois, un constructeur, un « menuisier » – dont les compétences en menuiserie incluent « assembler des morceaux de bois ensemble. Les pères latins interprétaient ce mot comme « charpentier ».

Le mot « menuisier » est un mot approprié pour saint Joseph car, à bien des égards, il a été appelé à être un constructeur d'escaliers qui fournissaient des marches permettant au ciel de « rejoindre » la terre et à la terre de « rejoindre » » le ciel. La Sainte Vierge Marie a été appelée à être la Mère de Dieu et saint Joseph a construit un escalier en lui offrant le mariage et une maison où l'Enfant Jésus pourrait vivre sur terre. Jésus-Christ a habité dans la maison fournie par saint Joseph, et bien qu'une maison et toutes les marches construites par saint Joseph auraient été faites de matériaux terrestres, le ciel a marché dessus, on pourrait donc dire qu'il a construit un escalier qui reliait le ciel à la terre.

Lorsque nous pensons aux escaliers et aux choses qui « joignent » le ciel et la terre, nous pensons naturellement à l'Église du Christ, car en tant que catholiques, nous nous tenons sur un escalier, ou un pont, construit par le Christ qui relie la Terre au ciel. Les marches de cet escalier sont les sacrements qui comblent l'abîme qui sépare le Créateur du créé, et le Dépôt de la Foi en est la charpente. Tant que nous nous tenons fermement sur cet escalier, nous pouvons, comme Marie tenant l’enfant Christ, regarder le visage de Dieu. Car dans son Église, le Christ nous rencontre véritablement sur terre, comme dans Son Église il est véritablement présent. Les sacrements sont des signes efficaces car ils apportent véritablement sur terre (et rejoignent) ce qu'ils symbolisent. Pour que cela se produise, comme nous le savons, il doit être correctement « symbolisé » (l’escalier doit être construit avec les bons matériaux) à la fois dans la « forme » et dans la « matière ». Si l'un ou l'autre est modifié, la forme (les paroles prononcées) ou la matière (la partie physique du sacrement), alors la validité est détruite. Chaque planche de cet escalier fait donc partie intégrante de l’ensemble.

Cet escalier, ou pont, qui relie la terre au ciel, a toujours tenu bon, malgré les attaques constantes de l'extérieur tout au long de l'histoire de l'Église. Cependant, nous voyons maintenant des attaques provenir de l'Église elle-même et de ceux qui prétendent avoir l'autorité pour mener cette guerre. Ce qui se passe maintenant est le point culminant de ce que les déchus ont systématiquement, avec une intention diabolique, planifié et de ce qui a été prophétisé par de nombreux saints tout au long de l’histoire de l’Église. Cependant, les planches de cet escalier ont été données par le Christ lui-même, et tout matériau de substitution mis à leur place ne supportera pas le poids de ce qui nous a été donné. C'est pourquoi il me tient à cœur, en tant qu'évêque, que les fidèles ne perdent pas de vue le véritable escalier et ne se retrouvent ensuite debout sur un escalier construit avec des matériaux de substitution, se demandant pourquoi leur église semble si vide. Le Christ sera toujours présent dans son Église, debout sur l'escalier qu'il a construit, mais nous devons être certains que c'est là qu'on est aussi, et qu'on n'a pas été attaqués par le « singe de l'Église » prophétisé par l'archevêque Fulton Sheen.

En tant qu'évêque, j'ai promis – quel qu'en soit le prix – de rester ferme sur le véritable escalier qui a été donné par le Christ et qui repose en Lui, et dont la charpente est le Dépôt de la Foi, et bien sûr de le protéger de tous ceux qui essaieraient de le faire. Je suis appelé à me rappeler que le précieux sang du Christ marque cet escalier, qu'il est aussi taché par le sang des martyrs, et que je dois aussi être prêt à verser mon sang pour le protéger. Pour que Christ meure pour nous, il a dû devenir homme et s'abandonner à l'atrocité de la mort tout en détenant la clé même de la vie. Cela a nécessité une volonté sans précédent – ​​il a fallu la Volonté de Dieu. Et c'est là qu'Il appelle chacun de nous : à marcher complètement dans la Volonté de Dieu.

Quand a commencé la tentative de destruction de cet escalier ? Plusieurs considèrent Vatican II comme le coupable. Je suis né en octobre 1958, la même année et le même mois où le pape Jean XXIII a été élu à la chaire de Saint-Pierre en tant que Pontifex Maximus (Pontife suprême), ce qui signifie grand bâtisseur de ponts. Je mentionne cela parce que très souvent cette année est soulignée comme le début de la tourmente dans l’Église que nous voyons actuellement déborder d’innombrables façons. Il est vrai que son pontificat et sa décision de convoquer le Concile Vatican II ont été un moment charnière dans l’histoire de l’Église. Le 11 octobre 1962, le pape Jean XXIII ouvrait le Concile Vatican II ; cependant, il est décédé en juin 1963 et Paul VI, son successeur, a pris sa place. La quatrième et dernière session du Conseil s'est terminée en décembre 1965.

Était-ce le début ? Il semble bien qu'il y ait eu une tentative systématique de démolition de ce qui était considéré comme « irréformable » avant Vatican II. Et pourtant, comment les responsables ont-ils essayé de détruire ce qui est éternel ? Ils y sont parvenus en essayant de limiter ce qui relevait du ciel à une définition terrestre, et cela s'est fait de manière plus efficace en tentant de substituer des matériaux fabriqués par l'homme à ce qui a été donné du ciel. Cependant, lorsqu'une extrémité repose sur la terre et qu'une autre extrémité repose au ciel, comme le fait l'Église, alors l'homme ne peut pas la détruire. Ce qu'il peut faire, cependant, c'est obscurcir la Vérité en proposant le « singe de l'Église » à sa place.

Il ne fait aucun doute que bien des choses ont changé après Vatican II. L'accent a été mis sur l'Église marchant avec le « monde », ce qui a définitivement ouvert la porte à des conceptions théologiques qui compromettaient l'identité unique de l'Église. Des idées comme l'œcuménisme ont porté un coup dur à l'escalier, car le Christ n'a jamais dit que son Église devait faire partie du monde ; en fait, il a dit le contraire.

Avec Vatican II, un mouvement ciblé a commencé à encourager l'Église à engager un « dialogue » avec d'autres confessions. Pourtant, je dois demander : « De quoi y avait-il lieu de dialoguer ? » Le Christ nous a donné son Église. Il est clair maintenant que c'est la progression logique de ce qui est issu de Vatican II que nous en sommes maintenant au point où le Saint-Père peut faire une déclaration comme : « Toutes les religions sont des chemins qui mènent à Dieu », et la majorité des évêques et des cardinaux se contentent de hocher la tête, sans jamais dire un mot.

Et pourtant, ils savent – ​​ils ne peuvent pas s'empêcher de le savoir – qu'ils abandonnent l'escalier qu'ils ont promis de protéger. Ce que le pape Boniface VIII enseignait infailliblement dans sa Bulle  Unam Sanctam  (1302) se trouve sur cet escalier : « Nous sommes contraints en vertu de notre foi de croire et de soutenir qu'il n'y a qu'une seule Église catholique, et qu'elle est apostolique. Nous le croyons fermement et le professons sans réserve. En dehors de cette Église, il n’y a ni salut ni rémission des péchés. Ainsi, l'époux proclame dans le Cantique : « Une est ma colombe : ma parfaite n'est qu'une. Elle est la seule de sa mère, l'élue de celle qui l'a enfantée » (Cant. 6 : 8). Or, cet élu représente le seul corps mystique dont la tête est le Christ, et la tête du Christ est Dieu. En elle il y a « un seul Seigneur, une seule foi, un seul baptême » (Eph. 4 : 5). Car au moment du déluge, il n’existait qu’une seule arche, figure d’une seule Église.

Il y a de nombreuses paroles divinement inspirées dans l’escalier qui nous amèneraient à conclure sans exception que « Non, toutes les religions ne sont PAS des chemins vers Dieu ». Car, comme l'a déclaré le pape Benoît XV dans son encyclique papale  Ad Beatissimi  (1914), paroles qui se trouvent également sur cet escalier : « Telle est la nature du catholicisme qu'il n'admet pas plus ou moins, mais doit être considéré comme un tout ou dans son ensemble rejeté : « C'est la foi catholique, selon laquelle, à moins qu'un homme ne croit fidèlement et fermement, il ne peut être sauvé » (Symbole d'Athanase). Il n'est pas nécessaire d'ajouter des termes qualificatifs à la profession de catholicisme : il suffit à chacun de proclamer : « Mon nom est chrétien et mon nom de famille est catholique », mais qu'il s'efforce d'être réellement ce qu'il appelle lui-même.

L'Église catholique a TOUJOURS condamné la fausse croyance selon laquelle toutes les religions sont bonnes et « de Dieu ». C'est la fausse doctrine de l'indifférentisme religieux, et c'est une planche qu'il ne faut jamais placer sur cet escalier sacré. Il y a eu beaucoup d'autres planches que les hommes ont essayé de placer depuis Vatican II et qui sont faites de matériaux fabriqués par l'homme. Ils ont essayé de remplacer les matériaux célestes par des matériaux fabriqués par l'homme parce qu'ils croyaient que les matériaux d'origine étaient « périmés ». Cependant, ce que le ciel a bâti ne devient jamais démodé.

Une grande partie de ce qui est ressorti du Deuxième Concile représentait un mouvement de l’Église catholique vers l’Église conciliaire. Ce qui est particulièrement tragique, c'est qu'il est probable qu'à ce stade, nous ayons perdu l'objectif d'amener le monde à Christ.

Cependant, rien n'a été aussi dommageable pour l'escalier que les changements survenus dans le Saint Sacrifice de la Messe. tombeau vide : « Où l'ont-ils déposé ? » Les changements dont l'Église a été témoin dans le Saint Sacrifice de la Messe depuis Vatican II ont laissé beaucoup de gens ignorants de l'endroit où Il se trouve et de Son sacrifice d'amour pour toute l'humanité, car la croyance en la présence réelle a considérablement chuté.

L'ancienne messe a été supprimée en 1970 et de nombreux catholiques ont quitté l'Église, le pape Paul VI accusant en fait tous ceux qui observaient l'ancienne messe de rebelles contre le concile. Alors que je réfléchis aux changements survenus dans la messe à la suite de Vatican II, l’archevêque Marcel Lefebvre me vient à l’esprit. Mgr Lefebvre, fondateur de la Fraternité Saint-Pie X (FSSPX), une société sacerdotale traditionaliste, a été qualifié de désobéissant, de rebelle et même de schismatique dans les années 1970 et 1980 pour avoir refusé de célébrer la nouvelle messe. estimait que l'Église était en proie à une profonde « crise de la foi » due à l'infiltration du modernisme et du libéralisme. Il sentait qu'il y avait une tentative active d'arracher les planches de l'escalier et de les remplacer par des planches du monde. Il a consacré quatre évêques « soucieux de la tradition » sans l'approbation papale (bien qu'il ait demandé à plusieurs reprises l'approbation pendant des années après avoir été informé que l'approbation serait accordée) parce qu'il estimait que sans des évêques qui soutenaient les enseignements traditionnels et la messe latine tridentine, la continuité de la Tradition de l'Église serait en danger. Et ainsi, il s'est assuré que l'escalier soit préservé intact.

En 1976, alors que Lefebvre était sur le point d'ordonner 13 prêtres dans la Fraternité, Mgr Giovanni Benelli, du Secrétariat d'État du Vatican, lui a écrit pour lui demander de rester fidèle à l'Église conciliaire, et Mgr Lefebvre a a répondu : « Quelle est cette église ? Je ne connais pas d'église conciliaire. Je suis catholique!

Moi-même, ayant été au séminaire à une époque où le latin n'était même pas enseigné, et ayant toujours célébré le Novus Ordo (nouvelle messe) en tant que prêtre et évêque, j'ai entrepris un voyage pour comprendre cette question. Je voudrais nous exhorter tous à reconnaître, comme je suis parvenu à le reconnaître, que les problèmes liés à la Sainte Messe ont commencé à cause d'une tentative de détourner l'attention de Jésus-Christ et de son sacrifice qui EST la Sainte Messe .

Je crois que nous devrions chacun nous efforcer d'être des chrétiens du premier siècle au XXIe siècle, et c'est particulièrement significatif dans le domaine de la Sainte Messe. Cène, rendant présent Le sacrifice une fois pour toutes du Christ. Des récits comme celui de saint Justin martyr nous offrent des descriptions très anciennes de ce qui s'est passé lors de la Sainte Messe, et la beauté de ces récits est qu'ils sont si proches dans le temps du sacrifice que la messe commémore. Nous devons garder notre concentration sur Jésus-Christ comme le faisaient les premiers chrétiens, de sorte que la distance temporelle par rapport à son sacrifice devienne insignifiante parce que nous sommes concentrés sur le même Seigneur crucifié et ressuscité comme les premiers chrétiens.

Il ne fait aucun doute qu'avec la nouvelle messe, l'attention portée à Jésus-Christ a diminué. Cela a souvent été observé de manière subtile, mais nous avons également été témoins d’une négligence drastique de la Présence réelle de Jésus-Christ, qui s’élève dans bien des cas au niveau du blasphème depuis Vatican II. Lorsque la liturgie s'est tournée vers le peuple et s'est éloignée de Jésus-Christ, elle a ouvert la porte à une négligence extrême de sa présence sacrée.

Il est intéressant de noter que même si le Novus Ordo est généralement célébré dans la langue vernaculaire, la langue commune du pays où il est célébré, tandis que la messe traditionnelle est célébrée en latin, la langue normative du Novus Ordo est également le latin. Bien que des dispositions aient été prises pour que la messe soit célébrée dans la langue vernaculaire locale pour des raisons pastorales, il a toujours été supposé que la messe continuerait à être célébrée en latin, et le pape Benoît XVI a exhorté à la réintroduction du latin dans le Novus Ordo.

Lors de l'introduction du Novus Ordo, de nombreuses rampes d'autel ont été supprimées. Cependant, la rampe d'autel nous a aidés à maintenir la distinction entre le sanctuaire (où se trouve l'autel et qui représente le ciel, où mène notre escalier) et le reste de l'Église (qui représente la terre et où commence notre escalier). Dans la messe latine traditionnelle, les communiants s'agenouillent devant la rampe de l'autel (la porte du ciel) et reçoivent l'Eucharistie sur la langue du prêtre.

Bien qu'il existe de nombreuses messes sacrées et belles du Novus Ordo célébrées de manière constante, il est un fait que la Nouvelle Messe a représenté une rupture dans des siècles de continuité liturgique. Et cela s'est accompagné d'un déclin massif de la fréquentation de la messe, des vocations et de la croyance dans les enseignements catholiques fondamentaux. Le pape Benoît XVI a répondu à ces préoccupations avec son motu proprio  Summorum Pontificum de 2007  dans lequel il a élargi l'accès à la messe latine traditionnelle  . l'accès à la messe latine traditionnelle. Mais lisons ces paroles du pape Pie V dans sa Constitution apostolique  Quo Primum  de 1570 à propos de la messe traditionnelle latine :

De plus, par les présentes [cette loi], en vertu de Notre autorité apostolique, Nous accordons et concédons à perpétuité que, pour le chant ou la lecture de la messe dans n'importe quelle église, ce Missel devra désormais être suivi absolument, sans aucun scrupule de conscience ou de crainte d’encourir une pénalité, un jugement ou une censure, et peuvent être utilisés librement et licitement. Les supérieurs, administrateurs, chanoines, aumôniers et autres prêtres séculiers ou religieux, quel que soit le titre désigné, ne sont pas non plus tenus de célébrer la messe autrement que comme nous l'avons enjoint. Nous déclarons et ordonnons également que personne, quel qu'il soit, ne soit contraint ou contraint de modifier ce Missel, et que ce présent document ne puisse être révoqué ou modifié, mais demeure toujours valable et conserve toute sa force malgré les constitutions et décrets antérieurs du Saint-Siège, comme ainsi que toutes constitutions générales ou spéciales ou édits des conseils provinciaux ou synodaux, et nonobstant la pratique et la coutume des églises susmentionnées, établies par une prescription longue et immémoriale…

Les paroles prononcées par Mgr Lefebvre lors de l'ordination de 13 prêtres en 1976 sont des paroles qui doivent nous tenir à cœur. Il a dit : « Car si la très sainte Église a voulu garder à travers les siècles ce précieux trésor qu'elle nous a donné du rite de la Sainte Messe canonisée par saint Pie V, cela n'a pas été sans but. C'est parce que cette messe contient toute notre Foi, toute la Foi catholique : Foi en la Très Sainte Trinité, Foi en la Divinité de Notre Seigneur Jésus-Christ, Foi en la Rédemption de Notre Seigneur Jésus-Christ, Foi au Sang de Notre Seigneur Jésus Christ. C'est ce que nous croyons. C'est ce que nous croyons en célébrant le Saint Sacrifice de la Messe de tous les temps. C'est une leçon de foi et en même temps une source de notre foi, indispensable pour nous en cette époque où notre foi est attaquée de toutes parts. Nous avons besoin de cette vraie messe, de cette messe de tous les temps, de ce sacrifice de Notre Seigneur Jésus-Christ pour remplir réellement nos âmes du Saint-Esprit et de la force de Notre Seigneur Jésus-Christ.

Le pape Benoît XVI a déclaré : « Ce que les générations précédentes considéraient comme sacré reste sacré et grand pour nous aussi, et cela ne peut pas être tout d’un coup totalement interdit ou même considéré comme nuisible. Il nous incombe à tous de préserver les richesses qui se sont développées dans la foi et la prière de l'Église.»

Je pense qu'il est également important de préciser ici que la FSSPX n'est pas en dehors de l'Église catholique et que, bien qu'elle soit canoniquement irrégulière, elle n'est pas schismatique. Mgr Athanasius Schneider a mené une étude approfondie sur la FSSPX et, par conséquent, a donné une défense claire et cohérente de la Fraternité. Il a dit que les catholiques peuvent assister aux messes de la FSSPX et recevoir les sacrements de son clergé sans souci. Bien qu'il reconnaisse la « situation canonique irrégulière » de la FSSPX, il déclare que cela n'équivaut pas à être en dehors de l'Église, et il a félicité la FSSPX pour avoir défendu la foi et la liturgie catholiques traditionnelles. Mgr Schneider a également appelé à leur pleine reconnaissance canonique par le Vatican, affirmant que la FSSPX adhère aux enseignements et aux sacrements catholiques traditionnels tels qu'ils étaient pratiqués pendant des siècles avant Vatican II.

En conclusion, j'aimerais citer une déclaration célèbre de Mgr Lefebvre en 1974. Il est clair que Mgr Lefebvre a suivi un chemin d'apôtre et a été amené à établir un lieu sûr, un refuge, où se tiendrait la messe des siècles en sa forme pure, un lieu où le dépôt de la foi serait protégé et l'escalier conservé intact, même pendant que le singe de l'Église arracherait les planches et jetterait tout ce qu'il y a de plus précieux. Voici la déclaration de Mgr Lefebvre :

Nous tenons fermement, de tout notre cœur et de toute notre âme, à la Rome catholique, Gardienne de la foi catholique et des traditions nécessaires à la préservation de cette foi, à la Rome éternelle, Maîtresse de la sagesse et de la vérité.

Nous refusons en revanche et avons toujours refusé de suivre la Rome des tendances néo-modernistes et néo-protestantes qui se sont clairement manifestées dans le Concile Vatican II et, après le Concile, dans toutes les réformes qui en ont découlé.

Toutes ces réformes, en effet, ont contribué et contribuent encore à la destruction de l'Église, à la ruine du sacerdoce, à l'abolition du sacrifice de la messe et des sacrements, à la disparition de la vie religieuse, à une politique naturaliste et l'enseignement teilhardien dans les universités, les séminaires et la catéchétique ; un enseignement dérivé du libéralisme et du protestantisme, maintes fois condamné par le Magistère solennel de l'Église.

Aucune autorité, pas même la plus haute de la hiérarchie, ne peut nous forcer à abandonner ou à diminuer notre foi catholique, si clairement exprimée et professée par le Magistère de l'Église depuis dix-neuf siècles.

« Mais si nous, dit saint Paul, ou un ange du ciel vous prêchons un évangile en plus de celui que nous vous avons prêché, qu'il soit anathème » (Galates 1 : 8).

N'est-ce pas ce que le Saint-Père nous répète aujourd'hui ? Et si l’on peut discerner une certaine contradiction dans ses paroles et dans ses actes, ainsi que dans ceux des dicastères, eh bien, nous choisissons ce qui a toujours été enseigné et nous faisons la sourde oreille aux nouveautés qui détruisent l’Église.

Il est impossible de modifier profondément la  lex orandi  sans modifier la  lex credendi . Au Novus Ordo  Missae  correspondent un nouveau catéchisme, un nouveau sacerdoce, de nouveaux séminaires, une Église pentecôtiste charismatique, tout ce qui s'oppose à l'orthodoxie et à l'enseignement éternel de l'Église.

Cette Réforme, née du libéralisme et du modernisme, est empoisonnée de part en part ; elle découle de l'hérésie et aboutit à l'hérésie, même si tous ses actes ne sont pas formellement hérétiques. Il est donc impossible à tout catholique consciencieux et fidèle d’épouser cette Réforme ou de s’y soumettre de quelque manière que ce soit.

La seule attitude de fidélité à l’Église et à la doctrine catholique, en vue de notre salut, est un refus catégorique d’accepter cette Réforme.

C'est pourquoi, sans aucun esprit de rébellion, d'amertume ou de ressentiment, nous poursuivons notre œuvre de formation des prêtres, avec pour guide l'intemporel Magistère. Nous sommes convaincus que nous ne pouvons pas rendre un plus grand service à la Sainte Église catholique, au Souverain Pontife et à la postérité.

C'est pourquoi nous nous attachons à tout ce qui a été cru et pratiqué dans la foi, la morale, la liturgie, l'enseignement du catéchisme, la formation du prêtre et l'institution de l'Église, par l'Église de tout le temps ; à toutes ces choses telles que codifiées dans ces livres qui ont vu le jour avant l'influence moderniste du Concile. Nous le ferons jusqu'à ce que la véritable lumière de la Tradition dissipe les ténèbres qui obscurcissent le ciel de la Rome éternelle.

En faisant cela, avec la grâce de Dieu et l'aide de la Bienheureuse Vierge Marie, ainsi que celle de saint Joseph et de saint Pie X, nous sommes assurés de rester fidèles à l'Église catholique romaine et à tous les successeurs de Pierre , et d'être les  fidèles dispensateurs mysteriorum Domini Nostri Jesu Christi in Spiritu Sancto.  Amen.

L'archevêque n'a pas écrit cela dans un esprit de rébellion, mais plutôt comme un cri de ralliement pour tous ceux qui veulent se battre pour le Christ Roi. J'offre cette même déclaration ainsi que mon cri de bataille pour combattre pour Lui.

En terminant cette lettre, je le fais en renouvelant notre concentration sur Jésus-Christ. L'Église est à Lui, la Messe est à Lui, Il s'est offert au Père une fois pour toutes pour le salut de nos âmes. Résistons à toute nouvelle tentative visant à diminuer notre concentration sur Lui et attirons plutôt toute l’Église – ordonnés, religieux et laïcs – à Le connaître plus profondément « dans la fraction du pain ». Et proclamez au monde que Jésus-Christ est le Sauveur et le Seigneur de tous.

Et à mes confrères évêques, je cite les paroles du pape Jean-Paul II : « Nous devons défendre la vérité à tout prix, même si nous sommes à nouveau réduits à douze ».

Que Dieu Tout-Puissant vous bénisse et que notre Sainte et Immaculée Mère vous protège et vous guide toujours vers son Divin Fils, Notre Seigneur Jésus-Christ.

Mgr Joseph E. Strickland

Évêque émérite »

17 décembre

LE CORPS MYSTIQUE DE L’ANTÉCHRIST

« Il est inspiré non par l’Esprit du Christ, mais par l’esprit du serpent. C’est le nouvel élu, le corps mystique de l’Antéchrist. » Mgr Fulton Sheen

Le corps mystique de l’Antéchrist, c’est le système Antéchrist avec ses valeurs inversées, basées sur le socialisme/communisme.

On explique depuis 2011 que Satan échouant dans ses tentatives d’éliminer l’Église, a choisi la voie de la conversion de l’Église en église conciliaire, pour en faire son corps mystique à l’image du corps mystique du Christ.

C’est Vatican II qui a accéléré le processus d’une telle « transfiguration ».

Et l’élément clé est le concept du « Peuple de Dieu ».

Ce concept est abondamment abordé dans plusieurs de nos analyses en ce qui a trait à la religion noachide que l’élite judéo-maçonnique veut imposer : seul peuple prêtre ayant accès à Dieu.

Dans le noachisme, la Sainte Trinité doit disparaître et Jésus doit être considéré comme un simple prophète.

Le Christ n’ayant pas été reconnu comme Messie par le judaïsme, les pharisiens ont écrit le Talmud pour contrer la chrétienté naissante, et la Kabbale, espérant donner au peuple juif éventuellement son « Messie guerrier ».

Ainsi, certains textes de l'Ancien Testament ont été modifiés pour favoriser la conquête du monde et conséquemment détruire le christianisme.

Le « messie guerrier » arrive. Nous l’avons expliqué avec le « projet 47 » de Louis d’Alencourt.

Trump, comparé à Cyrus le Grand (voir analyse du 28 octobre) par Netanyahu, semble bien celui qui donnera le coup de pouce en ce sens selon ses intentions annoncées depuis l’élection du 5 novembre.

Louis D’Alencourt :

La troisième guerre mondiale commencée démontrera « … une fois de plus l’animosité entre les trois grandes religions monothéistes (chrétiens, juifs et musulmans), les promoteurs du nouvel ordre mondial proposeront la religion mondiale du noachisme via le faux prophète.

La religion noachide sera présentée comme celle de la « nouvelle civilisation de l’amour », celle de l’Antéchrist et de son bras droit, le faux prophète.

« Le Dieu unique est actuellement adoré sous des formes multiples, au sein de cultes bien différents, mais à l’époque messianique, le monde spirituel verra se réaliser l’unité d’adoration » explique un promoteur de la religion noachide.

En somme, une religion universelle et cosmopolite, réunissant tous les hommes devenus enfin frères. Albert Pike est un peu plus clair : ce sera « la manifestation universelle de la pure doctrine de Lucifer, enfin révélée aux yeux de tous ». » (grandreveilwordpress.com)

Cette religion noachide est la révélation du messie guerrier via le corps mystique de l’Antéchrist, puisque Satan singe Dieu.

C’est pourquoi l’église conciliaire doit renoncer au Christ pour s’y conformer, pour abaisser Jésus à un simple prophète.

Le concept clé du corps mystique du Christ et de l’Antéchrist est le « peuple de Dieu ».

Louis D’Alencourt sur le Peuple de Dieu :

« tout membre du peuple de Dieu est appelé Fils de la promesse, et cette promesse divine c’est la domination du monde, et la possession de toutes ses richesses.

En théorie, ce peuple est supérieur à tous les autres parce qu’il a été choisi par Dieu, qu’il en possède l’exclusivité (par le sang et par la foi), exclusivité qui ne s’étend pas aux Gentils (les autres peuples non-juifs), et qu’à ce titre, il est le seul à rendre un culte à l’unique et vrai Dieu, culte qui lui a été donné et transmis par Dieu en personne.

Je rappelle que le premier des dix commandements est d’affirmer qu’il n’y a qu’un seul Dieu et qu’un seul culte à lui rendre ; or les juifs prétendent, encore aujourd’hui, en tant que Peuple élu, avoir l’exclusivité de cette foi et de ce culte, et donc d’être eux seuls les Fils de la promesse….

Voilà pourquoi le Messie révèle un nouveau statut du Peuple de Dieu qui ne pouvait pas être connu auparavant ; et voilà pourquoi, du coup, la possibilité d’être membre du peuple de Dieu s’élargit à tous les hommes, juifs de naissance comme Gentils.

Je rappelle que les descendants d’Abraham, Isaac et Jacob, avaient droit au titre de Fils de la Promesse, de Fils de Dieu. Or le Christ étend ce statut à tous ceux qui croient en lui, nous rappelle saint Jean dans le prologue de son évangile : « Mais à tous ceux qui l’ont reçu, il a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu, à ceux-là qui croient en Lui. » (Jean 1:12)

Et le nouveau peuple de Dieu, élargi de cette façon, puisque sa pierre d’achoppement c’est le Christ, porte désormais un nouveau nom, dérivé de son fondateur : le christianisme, les chrétiens.

Il faut donc bien comprendre cette distinction essentielle :

Le mot juif pris dans son sens spirituel c’est à dire désignant le peuple de Dieu, est remplacé par le mot chrétien à partir de Jésus-Christ, parce qu’il désigne les mêmes personnes.

Cela veut dire que lorsqu’on transpose un texte de l’Ancien Testament dans le monde après Jésus-Christ, les termes Israël, juif ou peuple de Dieu doivent être appliqués aux chrétiens et non pas aux juifs, puisque les juifs après Jésus ne désignent plus les enfants de Dieu.

Il est là le drame du sens spirituel du mot juif : il ne désigne plus depuis Jésus le Peuple de Dieu.

Et Jésus ne l’a pas caché : « C’est pourquoi je vous le dis : le royaume de Dieu vous sera ôté pour être donné à un peuple qui en produira les fruits. » (Matthieu 21:43).

C’est très clair : Jésus leur dit que le royaume spirituel n’est plus entre les mains des juifs mais d’un autre peuple, celui qui sera appelé les chrétiens, un mot au singulier (peuple) pour montrer que le principal c’est la foi qui les unit.

Voilà pourquoi en réaction, les juifs qui ne se convertirent pas vont créer le judaïsme, rabbinique au départ, talmudique par la suite, qui continue à se considérer comme le peuple élu.

C’est un mensonge, au même titre que la mystification ethnique dont on parlait plus haut : le judaïsme n’est pas la religion de Dieu.

La religion de Dieu c’est le christianisme, c’est à dire le mosaïsme initial corrigé, enrichi et sanctifié par le Messie.

Sans la mise à jour effectuée par le Messie, le judaïsme perd son statut de religion de Dieu, même s’il fait référence au mosaïsme de l’Ancien Testament et le perpétue en partie.

D’ailleurs les chrétiens se réfèrent tout autant à l’Ancien Testament que les juifs et sont les seuls à disputer aux juifs le statut de Peuple de Dieu. À raison. (grandreveilwordpress.com)

Benoît XVI, dans son dernier discours au clergé de Rome le 14 février 2013, a condamné le « Conseil des médias »pour la promotion des idées de ceux qui cherchaient à « décentraliser l'Église » :

« C’était une herméneutique politique : pour les médias, le Concile était une lutte politique, une lutte de pouvoir entre différentes tendances au sein de l’Église. Il était évident que les médias prendraient le parti de ceux qui leur semblaient plus proches de leur monde. Il y avait ceux qui recherchaient la décentralisation de l'Église, le pouvoir pour les évêques et ensuite, à travers l'expression « Peuple de Dieu », le pouvoir pour le peuple, les laïcs. Il y avait cette triple question : le pouvoir du Pape, qui était ensuite transféré au pouvoir des évêques et au pouvoir de tous – la souveraineté populaire.»

C’est bien là que Bergoglio a mené la barque de Saint-Pierre avec son synode des synodes selon les mots de Benoît XVI :
  
• Décentralisation de l'Église

• Pouvoir accru des évêques par rapport au pape

• Pouvoir pour les laïcs, à travers l’expression « Peuple de Dieu »

• Transférer le pouvoir du pape au peuple – souveraineté populaire

La vérité maintenant se discerne à travers le processus d'écoute du « Peuple de Dieu ». Le processus synodal est la décentralisation ultime possible de l’autorité.

Dans la note qui accompagne le Document final, signée le 24 novembre en la solennité du Christ Roi de l'Univers et publiée lundi 25 novembre, Bergoglio décrit à quoi ressemble ce processus de décentralisation dans la pratique :

« Le Document final contient également des indications qui, à la lumière de ses orientations fondamentales, peuvent déjà être mises en œuvre dans les Églises locales et les regroupements d'Églises, en tenant compte des différents contextes, de ce qui a déjà été fait et de ce qui reste à faire pour apprendre et développer toujours mieux le style propre à l'Église synodale missionnaire… »

Tout est maintenant entre les mains des laïcs, des prêtres et des évêques locaux.

La discussion de Bergoglio sur l'aspect « magistral » du Document final ajoute un autre élément au processus de décentralisation dans l'Église synodale :

« Le Document final fera partie du Magistère ordinaire du Successeur de Pierre (cf. CE 18 § 1 ; CCC 892), et à ce titre je demande qu'il soit accepté. Il s'agit d'une forme d'exercice de l'enseignement authentique de l'évêque de Rome, avec quelques caractéristiques inédites mais qui correspond en fait à ce que j'ai eu l'occasion de souligner le 17 octobre 2015, lorsque j'affirmais que la synodalité était le cadre interprétatif approprié pour comprendre le ministère hiérarchique. »

C'est la nouvelle norme de l'église synodale.

Ce n’est plus l’Église catholique.

Bergoglio offre ses opinions et ses idées et laisse le processus décisionnel lui-même se dérouler jusqu'au Peuple de Dieu.

Le concept du « Peuple de Dieu » est central à la construction de la nouvelle Église synodale, basé sur le processus synodale allemand, cette fausse église prophétisée par Anne Catherine Emmerich :

« Je vis tout ce qui tient au protestantisme prendre de plus en plus le dessus, et la religion tomber en décadence complète. II y avait à Rome, même parmi les prélats, bien des personnes de sentiments peu catholiques qui travaillaient au succès de cette affaire. Je vis aussi en Allemagne des ecclésiastiques mondains et des protestants éclairés manifester des désirs et former un plan pour la fusion des confessions religieuses et pour la suppression de l’autorité papale. Et ce plan avait, à Rome même, des fauteurs parmi les prélats.

Ils bâtissaient une grande église étrange et extravagante ; tout le monde devait y entrer pour s’y unir et y posséder les mêmes droits ; évangéliques, catholiques, sectes de toute espèce : ce devait être une vraie communion des profanes où il n’y aurait qu’un pasteur et un troupeau. Il devait aussi y avoir un Pape mais qui ne posséderait rien et serait salarié. Tout était préparé d’avance et bien des choses étaient déjà faites ; mais à l’endroit de l’autel, il n’y avait que désolation et abomination.»

En sommes-nous effectivement rendus là?

Évidemment.

Bergoglio dans son message à l’ouverture de Notre-Dame de Paris a bien salué que tous étaient bienvenus.

Ainsi, TOUS les baptisés sont membres du « Peuple de Dieu », qui est « l’Église synodale ».

Benoît XVI, dont la force était la doctrine et la théologie, dans son discours final au clergé de Rome, au courant des tendances progressistes au sein du Vatican, a rappelé le concept clé du « Peuple de Dieu » indispensable à l’Église catholique :

« Voilà, disons, les deux éléments de base – et entre-temps, dans la recherche d'une vision théologique complète de l'ecclésiologie, une certaine critique est apparue après les années 1940, dans les années 1950, à propos du concept de Corps du Christ : le mot « mystique » a été jugé trop spirituel, trop exclusif ; le concept de « Peuple de Dieu » a alors commencé à entrer en jeu .

Le Concile a accepté à juste titre cet élément qui, chez les Pères, est considéré comme une expression de la continuité entre l'Ancien et le Nouveau Testament.

Dans le texte du Nouveau Testament, l'expression Laos tou Theou , qui correspond aux textes de l'Ancien Testament, désigne – à deux exceptions près, je crois – l'ancien Peuple de Dieu, les Juifs, qui parmi les peuples du monde , goim, sont « le Peuple de Dieu. Les autres, nous, païens, ne sommes pas en soi le Peuple de Dieu : nous devenons fils d'Abraham et donc Peuple de Dieu en entrant en communion avec le Christ, l'unique semence d'Abraham.

En communiquant avec lui, en étant un avec lui, nous devenons nous aussi le Peuple de Dieu.

En un mot : le concept de « Peuple de Dieu » implique la continuité des Testaments, la continuité de l'histoire de Dieu avec le monde, avec l'humanité, mais il implique aussi l'élément christologique.

Ce n'est que par la christologie que nous devenons le Peuple de Dieu, et ainsi les deux concepts se combinent.

Le Concile a choisi d’élaborer une ecclésiologie trinitaire : Peuple de Dieu le Père, Corps du Christ, Temple du Saint-Esprit. »

En éliminant l’Église christocentrique par une église synodale dans sa note du 25 novembre 2024, Bergoglio a coupé le petit lien qui demeurait avec le corps mystique du Christ.

L’église conciliaire est morte puisque détachée de la vigne nourricière.

Elle fait partie maintenant du corps mystique de l’Antéchrist, qui selon l’Apocalypse, est condamné à mort.

La branche saine de la Tradition, les deux témoins, ressusciterons l’Église.

10 décembre

« Pape François: Mission accomplie

Le 9 mai 2019, j'ai soutenu que la meilleure façon de détruire l'Église catholique institutionnelle serait d'utiliser ses propres armes contre elle-même, en particulier le pouvoir et la primauté du pape.

L'Église catholique, bien sûr, est indéfectible ; mais je soutiens maintenant que François a accompli la mission de ruiner la manifestation temporelle de l'Église. Comme l'archevêque Fulton Sheen l'avait prévu, nous avons maintenant le « singe de l'Église… vidé de son contenu divin ».

«C'est un peu dramatique», pensez-vous. « François a-t-il interdit la messe traditionnelle latine alors qu'on ne regardait pas ? Ce à quoi je réponds qu’il a fait pire : il a interdit le motif de la messe traditionnelle latine, ou de toute autre messe d’ailleurs.

Il n’y a pas eu d’annonce majeure, pas même un autre motu proprio . Le coup final n'a pas eu lieu à Rome. Ça s'est passé à Singapour. Vous en avez entendu parler, mais vous n'y avez probablement pas beaucoup réfléchi.

Le 13 septembre 2024, dans des remarques apparemment spontanées devant un groupe diversifié de jeunes d'un collège catholique, François a déclaré : « Toutes les religions sont un chemin pour arriver à Dieu… Il n'y a qu'un seul Dieu et chacun de nous a un langage pour arriver à Dieu. Certains sont sikhs, musulmans, hindous, chrétiens et suivent des chemins différents.

Ces remarques ont été sévèrement critiquées par d'importants catholiques parce que François semblait dire qu'une religion en vaut une autre. Cela s'appuierait sur le Document sur la fraternité humaine, que le pape a signé à Abou Dhabi le 4 février 2019, déclarant que « le but premier et le plus important des religions est de croire en Dieu… ».

Nous avons ici le chef de 1,390 milliard de catholiques dans le monde, le pape infaillible, le successeur de saint Pierre, lançant dans une conversation informelle, devant le monde entier, l'idée que l'Église catholique n'est pas nécessaire « pour arriver à Dieu ».

Techniquement, c'est vrai. En fait, vous n'avez besoin d'aucune église pour « arriver à Dieu ». Saint Thomas d'Aquin a développé cinq arguments par lesquels la raison humaine seule pouvait « arriver à Dieu ».

Mais François s'adressait à un groupe interconfessionnel dans un établissement d'enseignement catholique. Il est donc peu probable que le terme ambigu « arriver à Dieu » (terme qui, je crois, a été soigneusement inventé) signifie simplement « arriver à l’existence de Dieu ». Parce qu’il a mentionné quatre religions spécifiques comme exemples de « chemins » pour « arriver à Dieu », François devait vouloir dire quelque chose de plus, comme « connaître Dieu » ou « croire en Dieu ». Cela serait conforme à la Déclaration d'Abu Dhabi concernant l'objectif le plus important de toutes les « religions ». (Notez le pluriel.)

Je soutiens que l'histoire ne réside pas dans ce que François a dit, mais dans ce qu'il n'a pas dit, alors qu'il avait le devoir de le dire, en tant qu'évêque consacré de l'Église catholique . La ruine finale de l'Église catholique institutionnelle a été accomplie lorsque François a dit à ces jeunes : « Il n'y a qu'un seul Dieu », sans donner de détails.

Quoi? Ça semble tellement familier. Donc catholique. Nous le disons à chaque messe : « Je crois en un seul Dieu, le Père tout-puissant… ».

Le monde ne connaît pas – ou ne s'en soucie pas beaucoup – les conditions nécessaires à des déclarations papales infaillibles. Le monde n'analyse pas les déclarations papales comme je le fais ici. Le monde a une impression de la gravité du pape et perçoit le message voulu par le pape , quelle que soit l'ambiguïté des mots utilisés et quel que soit le contexte théologique dans lequel le message est délivré.

Le message était le suivant : Dieu, le Père Tout-Puissant, est le même pour toutes les religions. Mais comme François n'a pas mentionné Jésus-Christ et le Saint-Esprit, les autres Personnes divines du Dieu trinitaire, comme le fait le Credo catholique, le message était également que Jésus-Christ et le Saint-Esprit ne sont pas pertinents dans une discussion sur « l'arrivée à Dieu ». .»

L’essentiel du message est que la divinité de Jésus-Christ n’a pas d’importance. Par conséquent, sa passion, sa mort et sa résurrection n’ont aucune importance. La Sainte Eucharistie n'a pas d'importance. Le sacerdoce (masculin ou féminin) n'a pas d'importance. Les sacrements n'ont pas d'importance. Aucune messe, traditionnelle latine ou autre, n’a d’importance. L'Église catholique institutionnelle n'a pas d'importance ; il a été vidé de son contenu divin.

En 2013, le cardinal Cormac Murphy-O'Connor a dit : « Quatre années de Bergoglio suffiraient pour changer les choses. » En 2017, l'ancien cardinal Theodore McCarrick a admis qu'il existait un plan pré-conclave pour élire Jorge Bergoglio comme celui qui pourrait « réformer l'Église… [et dans] cinq ans, il pourrait nous remettre sur la bonne voie » .

Le cardinal Donald Wuerl a expliqué qu'après le Concile Vatican II, les papes Jean-Paul II et Benoît XVI s'étaient égarés ; mais François avait remis l'Église sur le chemin tracé par le concile. L'évaluation de Wuerl était que « [la papauté] ne ressemblera plus jamais à ce qu'elle était il y a 25 ans ou plus ».

Cette évaluation était trop étroite. Comme Ross Douthat l'a montré dans son livre To Change the Church , François ne change pas seulement la papauté, mais aussi le catholicisme lui-même. Ça a pris plus de onze ans, mais finalement la pierre angulaire a aussi été rejetée. La mission de François est accomplie.

Épilogue
L'archevêque Sheen n'a pas tardé à souligner que nous étions à la fin de la chrétienté, mais pas à la fin du christianisme. De même, en 1958, le père Joseph Ratzinger observait que la taille de l'Église était devenue une sorte d'obstacle à son activité missionnaire. « Tôt ou tard, dit-il, avec ou contre la volonté de l’Église… elle deviendra extérieurement un petit troupeau ».

Notre tâche est donc de prier pour la restauration de l’Église institutionnelle, tout en demeurant une partie du petit troupeau, où seule compte la divinité de Jésus-Christ et tout ce qui en découle. » (onepeterfive.com)

08 décembre

NOTRE-DAME SE RELÈVE

Ou, l’imminence de la résurrection de l’Église.

C’est sous une météo exécrable (la tempête Darragh) que s’est déroulé la cérémonie de réouverture de Notre-Dame de Paris.

Le discours du président français, qui devait se faire sur le parvis de la cathédrale ( puisque les présidents ne sont pas autorisés à exprimer de discours politique au sein d'un lieu religieux ), a eu lieu dans l’antre de Notre-Dame, comme un signe donné par Dieu à toute la planète que l’humanisme a atteint son apogée, à l’intérieur même de l’Église.

Le président français a vanté les mérites des artisans pour avoir rebâti la cathédrale en 5 ans, comme promis, élevant devant les dirigeants mondiaux, les rois et les reines, le savoir faire humain dans toute sa splendeur.

L'orgueil.

Satan singe Dieu.

Selon la Kabbale, le chiffre 5 est le chiffre de l'humain parfait – débarrassé du côté animal. 

Le président français a vanté la fraternité universelle, si chère au franc-maçons, et à Bergoglio, évidemment.

« … Et pour rendre cela possible, une fraternité inédite.

Fraternité de ceux qui ont donné sur tous les continents, de toutes les religions, de toutes les fortunes.

Unis par l’espérance, et réunis dans ces murs.

Fraternité des compagnons, apprentis, et de tous les métiers, ici réunis…

Fraternité des échafaudeurs, des grutiers, ...

Cette cathédrale fut ainsi la métaphore heureuse de ce qu’est une Nation, et ce que devrait être le monde.

Fraternité d’un peuple déterminé à faire de grands choix ; fraternité universelle et entraide.
 » (président Macron)

Au sein de Notre-Dame de Paris, par la volonté de Dieu, nous avons vu la bête de la terre, réuni sous le même toit avec le représentant de la bête de la mer (puisque Bergoglio ne s’est pas présenté).

Les deux Babylone des prophéties de Jean XXIII réunis.

Emmanuel Macron à la première rangée au côté de Donald Trump, Brigitte Macron et Jill Biden.

Cela ne rappelle-t-il pas le lien avec le « projet 47 » du Grand Réveil?

« La France c’est avec les États-Unis, le pays emblématique de Babylone, la fameuse ville de l’Apocalypse, qui représente la société moderne, laïque et athée, fruit de l’œuvre de Satan. » (Louis D’Alencourt – grandreveilwordpress.com)

Merci à Mgr Ulrich qui a louangé Dieu...

Et à la manière bergoglienne, spécifié que tous sont bienvenus, catholiques comme visiteurs non croyants à l’intérieur de Notre-Dame de Paris.

Après avoir auparavant symboliquement fait ouvrir les portes sur lesquelles il a donné neuf coups de crosse, officialisant la renaissance de ce chef-d’œuvre gothique du XIIe siècle.

Est-ce une indication de la 9ème heure de la Passion de l’Église, comme la Passion du Christ?

Le grand orgue, restauré et nettoyé suite à l’incendie de 2019, a retenu son souffle pour cet instant,  avant d’être «réveillé» par l’archevêque.

Cela ne fait-il pas le lien avec les trompettes de Jéricho ou celles de l’Apocalypse?

Quant à Bergoglio, sa seule citation après avoir fait l’éloge de l’entrée gratuite à Notre-Dame :

« Puisse la renaissance de cette admirable église constituer un signe prophétique du renouveau de l’Église en France ».

C’est beaucoup plus que cela…

Car la réouverture de Notre-Dame, la dimension spirituelle, annonce la résurrection de l’Église de la Tradition.

Ce qui est la prophétie #9 de Jean XXIII non achevée concernant Benoît XVI:

« Marie Très Sainte, fille et mère de Dieu, maîtresse du temps futur, bats le rappel de tes fils dans les campagnes, pour qu'ils abattent les deux Babylone.

Et que la Mère soit Une, comme toi tu es unique.

La terre détruira le ciment et de terre sera, Reine, ta nouvelle Église.

Et sur la terre de blé, pour la faim de tes peuples, fleur sur son nouvel autel. Amen. »

En 2024, année où tout bascule, c’est la France qui est au centre du monde.

Pourquoi la France est-elle un signe plus grand et plus fort qu’ailleurs ?

« Parce que dans la symbolique divine, la France figure le peuple de Dieu.

Dans la mystique biblique, la cité sainte, Jérusalem puis Rome, villes aux sept collines, figure l’institution, l’Église, c’est à dire là où se trouve Dieu. La papauté peut s’installer provisoirement dans une autre ville, pour diverses raisons, à Viterbe ou Avignon par exemple, mais les textes saints continueront à dire « Rome » pour symboliser l’institution créée par le Dieu vivant pour le relier aux hommes.

Il en est de même pour le peuple ; depuis Jésus-Christ, le peuple de Dieu est constitué de tous ceux, peuples, nations et langues, qui croient en la divinité de Jésus-Christ, le baptême étant le signe visible de l’entrée de chacun au sein du peuple de Dieu.

Mais, de même qu’autrefois Israël désignait à la fois le pays et le peuple, une nation choisie par Dieu figure toujours ce peuple dans la mystique divine. Ce sera la France, d’où les deux privilèges qui lui sont exclusifs : celui de posséder un roi de « droit divin », le seul à être considéré comme « lieutenant du Christ » et celui d’être appelée « la fille aînée de l’Église ».

Ceci ne veut pas dire que les enfants de Dieu doivent forcément être français mais que cette nation figure le peuple de Dieu. C’est la raison pour laquelle les textes prophétiques indiquent que Dieu veut régner sur la France et par la France sur le monde.

Il ne s’agit pas là d’une domination temporelle sur les autres nations mais d’une référence au rôle mystique de la France, dans son sens religieux, car la chrétienté doit effectivement régner sur le monde.

Notons tout de même que la France est probablement le pays qui ait donné à la chrétienté le plus de saints et de missionnaires.
Par conséquent, on peut et on doit s’attendre à ce que la France et Rome soient liées dans les signes divins eschatologiques déterminants. Nous allons d’ailleurs le démontrer quelques lignes plus loin…  »(Louis D’Alencourt – grandreveilwordpress.com)

L’Église flambe.

Tel était le titre de l’analyse du regretté Louis D’Alencourt suite à l’incendie de Notre-Dame de Paris. (lien précédent)

« Or l’Église qui flambe, c’est la Rome conciliaire, c’est celle qui s’est muée en « grande prostituée » de l’Apocalypse, l’Église adultère qui trompe son divin maître en réclamant la liberté religieuse et en affirmant que nous partageons le même Dieu avec des religions qui ne reconnaissent pas la divinité du Christ. C’est l’Église tâchée du sang du Christ qu’elle crucifie quotidiennement par son encouragement au péché, son refus de la vertu, ses accointances avec le monde.

L’Église qui flambe n’est donc pas l’Église une, sainte et apostolique qui perdure dans la FSSPX car cette dernière, même si elle est indirectement associée aux turpitudes de Rome, n’en partage ni les péchés, ni les erreurs,  ni l’infamie.

L’Église qui flambe, c’est celle qui va recevoir le paiement de son salaire, le prix du sang, le salaire des traîtres et des apostats… et avec elle la chrétienté entière, ou du moins ce qu’il en reste puisque, en abandonnant les principes du règne social de Jésus-Christ, elle est devenue la grande Babylone, la cité de toutes les infamies, retournée au paganisme, elle aussi appelée à flamber telle Sodome dont elle reproduit les péchés à l’identique.

Babylone c’est donc le monde entier, et son destin est indissociable de celui de l’Église.

Quand Notre-Dame flambe, c’est le signe que l’Église ET le monde flambent et se consument déjà mystiquement (quoique… l’apostasie soit visible et flagrante), avant de basculer dans l’embrasement au sens propre et… visible.



Il reste un dernier point à aborder : définir où nous placer dans la chronologie de l’Apocalypse.

L’incendie de Notre-Dame de Paris est un signe universel : le monde entier en a pris connaissance, et tout le monde a compris que ce n’était pas un événement de plus, mais un signe majeur.

Peu importe ensuite les interprétations : nul ne peut nier qu’il fut un grand signe à la fois majeur, universel et visible. Or ceci est nécessaire au préalable pour susciter une prise de conscience des populations.
… »

Si l’incendie de Notre-Dame de Paris fut un signe universel parce que le monde entier a vu, tel était aussi le signe de la réouverture de la cathédrale avec la présence des « rois » du monde et la couverture mondiale en direct.

L’Église achève sa Passion et vivra sa résurrection.

Puisque la cathédrale avait brûlé au dimanche des rameaux, ainsi a-t-on substitué la lecture du jour lors de la cérémonie religieuse de réouverture par le rituel des Rameaux.

« Portes, levez vos frontons, levez-les, portes éternelles : qu’il entre, le roi de gloire ! Qui est ce roi de gloire ? C’est le Seigneur, Dieu de l’Univers ; c’est lui, le roi de gloire… »

L’entrée triomphale de l’Église à l’image du Christ à Jérusalem une semaine avant sa Passion.

« Qu’est ce que le dimanche des Rameaux ?

C’est l’entrée triomphale du Christ à Jérusalem une semaine avant sa Passion.

Tout Jérusalem et même beaucoup plus, car de nombreux juifs d’autres contrées étaient montés à Jérusalem pour la Pâque, accueille l’entrée du Christ dans la ville sainte comme un roi, comme le Messie.

Mais attention, à la fin de la semaine, donc très rapidement après, ce fut la Passion, la mort de Jésus et sa mise au tombeau.

...

Parce qu’il s’agit de la « passion » du monde satanique, concrétisée par la chute de Babylone, de la prostituée et des bêtes. » (Louis D’Alencourt – grandreveilwordpress.com)

Signe?

Si la réouverture de Notre-Dame le 7 décembre constitue le dimanche des rameaux, alors 5 jours plus tard, c’est le Vendredi Saint, la mort du Christ.

Dieu annonce-t-il la mort de l’Église pour le 12 décembre?

Jour de Notre-Dame de Guadelupe ou la dame de l’Apocalypse.

Alors que le 13 décembre consacrera le retour de la couronne d’épines qu’aurait porté le Christ lors de sa crucifixion.

« Souvenez-vous... quand ces moments viendront : les commandements de Dieu, les prières du matin et du soir, le Saint Rosaire, les sacrements, le catéchisme, les saints et faites tout dans la foi de nos pères, dans la foi de nos pères !.. . dans la foi de nos pères !!… et n'écoutez plus personne." (Padre Pio)

06 décembre

On ne peut passer sous silence le chaos qui s’installe en Syrie avec l’avancée rapide des troupes rebelles islamiques.

Ce chaos est voulu.

D’un côté, le président Assad (les forces armées arabes syriennes) avec ses alliées (l'armée de l'air russe, le Hezbollah, l'Iran et sa milice irakienne).

Et de l’autre, la Turquie (armée nationale syrienne, les États-Unis, et Israël) supportant « HTS » (Hay'at Tarir al-Sham) – les anciens « rebelles » d'Al-Qaïda, de l'EI et d'al-Nosra.

En bref, les États-Unis, la Turquie et Israël soutiennent les terroristes islamiques pour renverser Assad, tout comme ils ont armé et utilisé des terroristes comme Al-Qaïda et ISIS dans le passé pour faire avancer leurs programmes politiques.

Le président syrien aimerait bien que l’Iran vienne à son secours.

Mais, l’Iran sait bien qu’Israël garde l’œil sur eux.

Car, les derniers rapports de l’Agence internationale de l'énergie atomique indique que l’enrichissement de l’uranium iranien a augmenté considérablement.

Si l'Iran poursuit ses projets d'enrichissement d'uranium à ce rythme, il sera en mesure de produire 12 bombes nucléaires prochainement.

On voit que ce conflit oppose chiites (le gouvernement et ses alliés), et sunnites (les rebelles supportés par l’occident).

C’est bien selon la prophétie politique # No 27: La foudre en plein jour de Jean XXIII.

C’est bien ce qui se dessine à l’horizon pour l’ouverture du septième sceau dans cette région où « S'affronteront croissant de lune, étoile et croix. » selon la prophétie #11 de l’Église « le 7ème Sceau ».

« Mgr Strickland et le diacre Fournier : les chrétiens doivent rester forts dans l’Église alors que le monde s’effondre

LifeSiteNews ) — Dans le septième chapitre de l'Évangile de saint Matthieu, nous lisons ces paroles de Jésus à ses disciples concernant la manière dont ils devraient vivre leur vie :

« Quiconque écoute mes paroles et les met en pratique sera comme un homme sage qui a bâti sa maison sur le roc. La pluie tombait, les inondations arrivaient et les vents soufflaient et brassaient la maison. Mais il ne s'est pas écroulé ; il était solidement fixé sur le roc. Et quiconque écoute ces paroles mais ne les met pas en pratique sera comme un fou qui a bâti sa maison sur le sable. La pluie tombait, les inondations arrivaient et les vents soufflaient et brassaient la maison. Et il s'est écroulé et a été complètement détruit. (Matthieu 7)

Il est temps de faire une évaluation honnête. Nous devrions nous poser cette question : « Sur quelles fondations bâtissons-nous ? »

On vit une époque de plus en plus turbulente. Le tumulte de la violence dans nos rues semble se produire si souvent qu'on n'en est même plus surpris. Partout où l'on regarde, on constate un ébranlement des fondements moraux sur lesquels on s'appuyait autrefois. Il y a des fractures dans le tissu de notre ordre civil et des blessures profondes qui doivent être guéries.

Et oui, l'Église aussi est ébranlée. Toutefois, les chrétiens ne doivent pas avoir peur. Notre vie ensemble dans le Seigneur, notre connexion dans le Corps mystique du Christ, est toujours en mesure de fournir un lieu d'abri, non seulement pour nous, mais aussi pour d'autres qui recherchent la stabilité alors que les secousses continuent tout autour . Les fausses fondations, dont certaines ont endormi même certains croyants et les ont amenées à la complaisance, pourraient bientôt tomber sous la pression provoquée par les troubles et le déclin croissants. Mais comme l'apôtre Pierre l'a rappelé aux premiers chrétiens persécutés, « le jugement commence dans la maison de la foi ». (1 Pierre 4:17)

Tous ceux qui portent le nom de chrétien, même si nous sommes divisés, sont néanmoins appelés à cette Église fondée sur Jésus-Christ. C'est le seul endroit de véritable sécurité – l'endroit où nous pouvons rester forts et en sécurité, et d'où nous devons tendre la main à ceux qui succombent à la peur qui se déchaîne dans le cœur des hommes, des femmes et des nations. C'est parce que l'Église a un fondement inébranlable, Jésus-Christ, qui est le même « hier, aujourd'hui et éternellement ». (Hébreux 13 : 8) Et c'est en Lui.

C'est là qu'on doit se tenir - et rester ensemble - en Jésus-Christ. On ne peut pas s'éloigner des turbulences qui nous entourent. Mais, en nous basant sur la base solide à partir de laquelle nous pouvons apporter stabilité et liberté à ceux qui commencent à craindre ce qui nous attend, nous devons à partir de là mener « le bon combat de la foi ». (1 Tim. 6:12)

L'Église militante

De ce lieu de sécurité, on peut faire la guerre ensemble contre le monde, la chair et le diable. De là, nous pouvons atteindre tous les hommes et toutes les femmes avec l'amour de Dieu, pleinement manifesté en Jésus-Christ. Et à partir de là, on peut reconstruire les fondements d'une liberté authentique et guider les autres sur le chemin de la seule paix durable.

Le lundi 21 mai 2012, le pape Benoît XVI a organisé un déjeuner avec les membres du Collège des Cardinaux pour les remercier de leur gentillesse en lui souhaitant un joyeux 85e anniversaire le 16 avril 2012. Il a également tenu à remercier ses amis pour lui souhaitant un joyeux septième anniversaire de son élection à la Chaire de Pierre le 19 avril 2012. Des sources de Vatican News rapportent que Benoît XVI a rappelé aux frères sur lesquels il comptait pour ses conseils et conseils que « l'Église, le Corps mystique, existe sur cette terre ». , et est appelée l’Église militante, parce que ses membres luttent contre le monde, la chair et le diable.

Il a partagé plusieurs de ses moments de joie pendant son ministère apostolique en tant que successeur de Pierre, ainsi que ses aperçus des luttes, en disant aux cardinaux :

«(Je) remercie particulièrement le Seigneur pour les nombreuses années qu'il m'a données, des années avec de nombreux jours de joie, des moments merveilleux, mais aussi des nuits sombres. Mais rétrospectivement, on comprend que les nuits étaient nécessaires et bonnes. On voit que le mal veut gouverner le monde et qu'il faut se battre contre le mal. Nous (voyons) cela le fait de bien des manières, sanglantes, avec diverses formes de violence, mais aussi déguisées en bien et détruisant ainsi les fondements moraux de la société. Nous sommes dans ce combat et (dans) ce combat, c'est très important d'avoir des amis. Je suis entouré d'amis du Collège des Cardinaux : ce sont mes amis et je me sens chez moi, je me sens en sécurité en compagnie de grands amis qui sont avec moi, ensemble.

Nous croyons que les sentiments exprimés ce jour-là pointaient vers une action historique qu'il a entreprise le 28 février 2013. Avec l'humilité qui caractérisait son extraordinaire papauté, Benoît a démissionné de sa charge apostolique. L'annonce était simple et directe. Il a été présenté à un consistoire de ses frères dans l'épiscopat, cardinaux réunis à Rome où il a approuvé plus de 800 causes de canonisation. Il est devenu le premier pape depuis 1294 à démissionner de cette manière.

L'utilisation de l'expression « Église militante » pour décrire la mission de l'Église sur Terre était autrefois très courante. Cependant, pour de nombreuses raisons, y compris une possible mauvaise compréhension du terme à une époque de plus en plus violente, il est tombé en désuétude. Il faut le raviver et le replacer dans son propre contexte, un contexte spirituel. En 1953, le pape Pie XII, qui avait dirigé l'Église à travers deux décennies d'obscurité dans un monde assiégé par la guerre, déclarait sans équivoque : « Nous appartenons à l'Église militante ; et elle est militante parce que sur terre, les puissances des ténèbres sont toujours impatientes d’envisager sa destruction.

Alors que nous faisons face à une hostilité croissante simplement parce que nous professons notre foi chrétienne dans notre vie quotidienne, il est important d'entendre à nouveau les paroles que l'apôtre Paul a adressées aux chrétiens d'Éphèse : « Nous ne luttons pas contre la chair et le sang ; mais contre les principautés, contre les puissances, contre les princes des ténèbres de ce siècle, contre les armées spirituelles de méchanceté dans les lieux célestes. (Éph. 6:11,12)

La foi et l'avenir

En 1969, le cardinal Joseph Ratzinger, devenu plus tard le pape Benoît XVI, a écrit un petit livre intitulé La foi et l'avenir . Il y parlait de ce qui pourrait arriver à l’Église. Il ne se doutait pas alors qu'il occuperait la chaire de Pierre. Voici quelques extraits qui méritent une réflexion sérieuse :

« L'Église deviendra petite et devra recommencer plus ou moins depuis le début. Elle ne pourra plus habiter bon nombre des édifices qu’elle a construits dans la prospérité. À mesure que le nombre de ses adhérents diminue, elle perdra bon nombre de ses privilèges sociaux. En tant que petite société, [l'Église] exigera beaucoup plus de l'initiative de ses membres individuels.

« Ce sera une tâche difficile pour l'Église, car le processus de cristallisation et de clarification lui coûtera une énergie précieuse. Cela la rendra pauvre et la fera devenir l'Église des doux. Le processus sera long et fastidieux, comme l'était le chemin qui mène au faux progressisme à la veille de la Révolution française – lorsqu'un évêque pouvait passer pour intelligent s'il se moquait des dogmes et insinuait même que l'existence de Dieu n'était en aucun cas certaine. Mais lorsque l'épreuve de ce criblage sera passée, une grande puissance jaillira d'une Église plus spiritualisée et simplifiée.

« Dans un monde totalement planifié, les hommes se retrouveront indiciblement seuls. S'ils ont complètement perdu de vue Dieu, ils ressentiront toute l'horreur de leur pauvreté. Alors ils découvriront le petit troupeau de croyants comme quelque chose de complètement nouveau. Ils le découvriront comme un espoir qui leur est destiné, une réponse qu’ils ont toujours cherchée en secret.

« Il me semble donc certain que l’Église traverse des temps très difficiles. La vraie crise vient tout juste de commencer. Il faudra compter sur de formidables bouleversements. Mais je suis aussi sûr de ce qui restera à la fin : non pas l'Église du culte politique, déjà morte, mais l'Église de la foi. Il se pourrait bien qu'elle ne soit plus le pouvoir social dominant dans la mesure où elle l'était jusqu'à récemment ; mais elle connaîtra un nouvel épanouissement et sera considérée comme la maison de l'homme, où il trouvera la vie et l'espoir au-delà de la mort.

« Mais dans tous les changements que l'on pourrait deviner, l'Église retrouvera son essence à nouveau et avec une pleine conviction dans ce qui a toujours été au centre : la foi au Dieu trinitaire, en Jésus-Christ, le Fils de Dieu fait homme, la présence de l’Esprit jusqu’à la fin du monde.

Notre foi et notre vie ensemble

On a tous un besoin d'appartenance, précisément parce qu'on est pas solitaires par nature. Nous avons été façonnés et créés pour la relation. Le cœur de la Révélation chrétienne est que Dieu n'est pas non plus solitaire. Dieu est une Trinité de Personnes Divines, Père, Fils et Saint-Esprit, qui, dans l'amour parfait, sont parfaitement Un. Jésus a prié pour qu'on fasse l'expérience de ce genre d'unité, tout de suite - et qui se terminerait dans la vie à venir. Cette belle prière de Jésus est consignée dans son intégralité dans le chapitre 17 de l’Évangile de saint Jean. Voici un extrait :

« Je prie non seulement pour eux, mais aussi pour ceux qui croiront en moi par leur parole, afin qu'ils soient tous un, comme toi, Père, tu es en moi et moi en toi, afin qu'eux aussi soient en nous , afin que le monde croie que Tu m'as envoyé. Et je leur ai donné la gloire que tu m'as donnée, afin qu'ils soient un, comme nous sommes un, moi en eux et toi en moi, afin qu'ils soient amenés à la perfection comme un, afin que le monde sache que tu m'as envoyé. (Jean 17 : 20-23)

Par l'Incarnation salvatrice – la conception, la nativité, la vie, la mort, la Résurrection et l'Ascension de Jésus-Christ, la Deuxième Personne de la Trinité et le Verbe incarné – nous sommes rendus capables de participer à la communion trinitaire , par la grâce de Dieu.

Cette participation commence maintenant et s'ouvre sur l'éternité. Ce n'est pas un concept ésotérique ou mystique réservé à quelques-uns seulement - c'est une vie chrétienne normale. Nous sommes, selon les mots de l’apôtre Pierre, « participants de la nature divine ». (2 Pierre 1 : 4) Nous sommes appelés à avoir une relation en Lui et les uns avec les autres pour le bien du monde.

C'est dans le don de soi à Dieu, puis par la grâce les uns envers les autres, qu'on se retrouve vraiment et qu'on découvre notre véritable mission dans ce monde. L'affirmation chrétienne est que nous avons été faits pour Dieu, et comme le dit si bien saint Augustin, « nos cœurs sont agités jusqu'à ce qu'ils reposent en Toi ». C'est là qu'on trouve aussi notre vraie maison. Cette maison est dans l'Église, d'où nous nous tournons maintenant vers le monde. Dieu aime toujours tellement le monde qu'il envoie son Fils (Jean 3 : 16). Son Fils est toujours en vie. Il a été élevé. Il marche maintenant à travers son Corps, l'Église, dont nous sommes véritablement membres. (1 Cor. 12 : 12-26)

L'Église est fondamentalement une réalité relationnelle, une rencontre permanente avec Jésus Ressuscité, une participation à la communion trinitaire en et par Jésus-Christ. C'est la tête du corps. L'Église n'est pas quelque chose mais Quelqu'un . C'est une partie essentielle d'être chrétien. Il y a une barre verticale et une barre horizontale à cette croix sur la colline du Calvaire. L’une des paroles les plus souvent citées des premiers pères chrétiens est peut-être celle de saint Cyprien de Carthage, qui écrivait : « Celui qui n’a pas l’Église pour mère ne peut pas avoir Dieu pour père.

Ce genre de langage familial souligne le fait irréfutable que les premiers chrétiens croyaient qu’appartenir à Jésus, c’était appartenir à son Église. Ils croyaient que, tout comme nous sommes tous nés du sein de notre mère, de même nous sommes invités par Dieu, en et par Jésus-Christ, à « naître de nouveau » dans l'Église, la nouvelle humanité étant recréée en Lui.

Le processus de rédemption commence lorsque nous traversons les eaux sacramentelles des fonts du Saint Baptême. Cela continue à mesure que nous coopérons avec la grâce qui nous est donnée dans notre vie au sein de l’Église. Il ne sera pleinement achevé que lorsque le Seigneur reviendra et que nous serons ressuscités dans des corps ressuscités – et que nous vivrons dans un nouveau ciel et une nouvelle terre ! Cette compréhension de l’Église comme participation à Jésus-Christ et entrée dans la communion trinitaire se retrouve dans les écrits des premiers Pères de l’Église. Nous vous proposons quelques exemples dans ce qui suit.

Les premiers Pères de l'Église

Tout d'abord, quelques paroles d'Origène (185-254 de notre ère) : « Le Christ a inondé l'univers de vagues divines et sanctifiantes. Pour ceux qui ont soif, il fait jaillir une source d'eau vive de la blessure que la lance a ouverte de son côté. De la blessure du côté du Christ est sortie l'Église, et il en a fait son épouse. Ensuite, de l'évêque Irénée de Lyon (120-203 de notre ère), disciple de Polycarpe et lui-même disciple de l'apôtre Jean : « Nous avons besoin de nous réfugier auprès de l'Église, de boire du lait à son sein, d'être nourris des Écritures du Seigneur. Car l'Église a été implantée dans le monde comme un paradis.

On pourrait continuer, mais on l'a fait valoir. Les premiers chrétiens ne considéraient pas l’Église comme quelque chose , mais comme Quelqu’un . L'adhésion à l'Église n'était ni coûteuse ni facultative. Ils y voyaient une norme pour chaque chrétien – et une source de vie pour tous. Nous résumerons une partie de ce que vous trouverez dans leurs beaux écrits en quelques-unes de nos propres phrases en utilisant l'imagerie déployée dans les écrits des premiers pères chrétiens.

L'Église est une semence du Royaume à venir. L'Église est la vigne sur laquelle nous sommes greffés. L'Église est Jésus ressuscité, rendu véritablement présent dans le monde. L'Église est la nouvelle famille commencée sur la Croix. L'Église est l'endroit où nous apprenons à aimer en entrant dans la communion même de l'Amour de la Divinité révélé dans le don total du Fils de Dieu sur le deuxième arbre de la Croix. Née du côté blessé du Sauveur, qui est le « nouvel Adam », sur l'autel de la Croix, l'Église est son corps mystique poursuivant sa mission rédemptrice sur la terre.

Nous ne faisons pas l'Église à notre image, l'Église nous refait à l'image du Christ par la grâce. Concluons avec quelques paroles inspirantes de l'un de nos théologiens contemporains préférés, un laïc orthodoxe nommé Olivier Clément. Il écrit à propos de l'Église :

« Dans le Christ ressuscité, dans son corps glorifié, à l'ouverture même de ses plaies, ce n'est plus la mort qui règne mais l'Esprit, le Souffle de Vie. Et la croix de victoire et de lumière, qui est le modèle de notre baptême, peut désormais transformer la situation la plus désespérée en une mort et une résurrection, une « Pâque », un point de passage sur le chemin de l'éternité. Et voilà ce qu’est l’Église, cette institution profondément sainte : elle est le sein baptismal, le calice eucharistique, la brèche faite pour l’éternité par la Résurrection dans le couvercle infernal du monde déchu. »

Construisez sur le rocher, combattez

Choisissons de bâtir notre vie sur le Rocher du Seigneur Jésus-Christ et de son Église – et ouvrons grandes nos portes aux hommes et aux femmes de notre époque qui recherchent stabilité et refuge alors que le monde est ébranlé. Soyons forts et accueillons les autres dans le seul lieu de véritable sécurité, l’Église qui porte son nom. Elle est peut-être divisée, mais elle reste sa demeure et révèle son plan pour toute la race humaine. Alors que nous prions, marchons et travaillons ensemble, il guérira les blessures de nos divisions et rétablira notre pleine communion. En tant que chrétiens, nous sommes appelés à nous aimer les uns les autres, en Lui. (Jean 13:34, 35.) Nous avons aussi la grâce de faire exactement cela.

Il est temps de se préparer pour la bataille à venir et de devenir l’Église militante de ce moment de l’Histoire . Souvenez-vous des paroles de l'apôtre Paul :

« Soyez forts dans le Seigneur et dans la force de sa puissance. Revêtez toutes les armes de Dieu, afin de pouvoir résister aux ruses du diable. Car nous ne luttons pas contre la chair et le sang, mais contre les principautés, contre les puissances, contre les dirigeants du monde de ces ténèbres présentes, contre les armées spirituelles de la méchanceté dans les lieux célestes. Prenez donc toutes les armes de Dieu, afin que vous puissiez résister au mauvais jour et, après avoir tout surmonté, tenir debout.

« Tenez donc debout, après avoir ceint vos reins de la vérité, et ayant revêtu la cuirasse de la justice, et ayant chaussé vos pieds de l'équipement de l'évangile de paix ; prenez surtout le bouclier de la foi, avec lequel vous pourrez éteindre tous les traits enflammés du malin. Et prenez le casque du salut et l'épée de l'Esprit, qui est la parole de Dieu. Priez en tout temps dans l’Esprit, avec toutes sortes de prières et de supplications. (Éph 6 : 10-18) »

05 décembre

En voilà un qui confirme encore une fois que l'église, la grande prostituée de l'Apocalypse, est condamnée.

Il confirme que l'Antéchrist est au pouvoir, mais n'ose pas, comme les autres « Élie » potentiels, affirmer que nous sommes à la fin des temps.

C'est quand même incroyable puisqu'ils connaissent très bien les écritures, et surtout, le catéchisme, qui ne peut être plus limpide que cela:

Le Catéchisme de l’Église catholique nous enseigne qu’«avant l’avènement du Christ, l’Église doit passer par une épreuve finale qui ébranlera la foi de nombreux croyants. La persécution qui accompagne son pèlerinage sur la terre dévoilera le “mystère d’iniquité” sous la forme d’une imposture religieuse apportant aux hommes une solution apparente à leurs problèmes au prix de l’apostasie de la vérité. L’imposture religieuse suprême est celle de l’Anti-Christ, c’est-à-dire celle d’un pseudo-messianisme où l’homme se glorifie lui-même à la place de Dieu et de son Messie venu dans la chair. […] L’Église n’entrera dans la gloire du Royaume qu’à travers cette ultime Pâque où elle suivra son Seigneur dans sa mort et sa Résurrection» (§675).

L'Église n'entrera dans la gloire du Royaume qu'à travers cette ultime Pâque où elle suivra son Seigneur dans sa mort et sa Résurrection (cf. Ap 19, 1-9). Le Royaume ne s'accomplira donc pas par un triomphe historique de l'Église (cf. Ap 13, 8) selon un progrès ascendant mais par une victoire de Dieu sur le déchaînement ultime du mal (cf. Ap 20, 7-10) qui fera descendre du Ciel son Épouse (cf. Ap 21, 2-4). Le triomphe de Dieu sur la révolte du mal prendra la forme du Jugement dernier (cf. Ap 20, 12) après l'ultime ébranlement cosmique de ce monde qui passe (cf. 2 P 3, 12-13) (§677).

« Une année de « Fiducia supplicans » : le pape, l'apostasie « synodale » et « l'hérésie gaie ».

par P. Joachim Heimerl von Heimthal

 Il y a des hommes qui ressemblent à un cri solitaire dans le désert, et nous savons par la Bible que c'est généralement l'Esprit de Dieu qui repose sur de tels hommes.

Joseph Strickland, évêque de Tyler, au Texas, qui a été déposé à tort par François, est un tel homme.

Il partage le même sort que les prophètes de la Bible, à savoir que personne ne l'écoute.

Des millions de personnes écoutent maintenant Mgr Strickland, mais pas ses confrères évêques.

Lorsque Strickland leur a récemment demandé de prendre enfin position sur le fait que François n'enseigne plus la foi catholique, ses paroles sont tombées dans le silence. Personne n’a osé soutenir le Texan qui disait si hardiment la vérité, aucun évêque aux États-Unis et certainement personne ailleurs.

Néanmoins, ce que Strickland a dit reste vrai : François défend une nouvelle Église « synodale » et avec elle une nouvelle foi qui n’est plus catholique et qui doit être résolument rejetée ! Personne n’est obligé de croire en une Église « synodale ». Au contraire : la foi traditionnelle de l’Église l’interdit.

Alors que les évêques gardaient le silence sur tout cela, le supérieur du district allemand de la Fraternité Pie a clairement appelé un chat un chat. Il a qualifié « l’Église synodale » du pape de « diabolique », de « trahison de la mission du Christ » et d’« anti-évangile ».

Mais ça dérange personne non plus. Les rangs des évêques écoutent encore moins la voix de la Fraternité Pie que celle du Texas. Au lieu de cela, le silence des évêques orchestre une apostasie à plusieurs voix : celle du Pape et d'une grande partie du monde catholique, et il semble presque qu'il s'agisse d'une nouvelle « normalité ».

Mais d'où vient l'indifférence de ceux qui sont désignés gardiens de la vérité et qui, par leur silence, ne servent pas Dieu, mais plutôt Satan, le « père du mensonge » (cf. 1 Jean 3, 8) ?

Leur apostasie pourrait-elle surgir de rien ? - À peine. Au contraire, elle est probablement latente depuis longtemps, et il a suffi d’un pape comme François pour qu’elle devienne enfin visible.

Le document controversé « Fiducia supplicans », publié il y a un an, le montre peut-être le plus clairement : le pape lui-même a autorisé la « bénédiction » des couples irréguliers, c'est-à-dire la bénédiction des homosexuels et des adultères.

Aux yeux des Écritures, une telle « bénédiction » est une abomination et un blasphème. Néanmoins, le document est resté en vigueur jusqu'à ce jour, et la - légère - résistance des évêques a été étouffée dès le début.

La signification de « Fiducia supplicans » est donc double : le document est la Magna Carta, qui documente de la manière la plus évidente l’apostasie générale des évêques. Et cela rend visibles les forces qui ont travaillé en secret au sein de l’Église pendant trop longtemps, à savoir les nombreux homosexuels parmi les évêques et les cardinaux.

Ce n'est certainement pas un secret que le clergé est traditionnellement infiltré par des homosexuels, même si les gens n'aiment pas en parler ouvertement. Ça vaut aussi pour le haut clergé. Des estimations fiables (en l'absence de données fiables) évaluent ce chiffre à environ les deux tiers, et même s'il était inférieur (ce que je ne crois pas), l'Église détient un record sans précédent.

Il y a de nombreuses raisons à cela, notamment sociologiques, et parmi les membres du clergé les plus âgés, jusqu'à la génération du pape, un nombre supérieur à la moyenne a échappé aux représailles sociales en choisissant le célibat.

Aujourd'hui, les choses sont différentes, du moins dans les sociétés occidentales, et les homosexuels coincés dans le sacerdoce et surtout dans l'épiscopat font maintenant pression avec véhémence dans les coulisses du Vatican pour que l'Église s'ouvre à la nouvelle voie. Soyons clairs : l’Église est tombée aux mains d’hommes gais plus âgés.

Ce n'est que dans ce contexte qu'on peut comprendre que le pape a rendu le monstrueux possible avec la « Fiducia supplicans » et qu'en même temps il a rencontré si peu de vents contraires : très peu de gens se souciaient de la « bénédiction » du péché et de l'apostasie de Dieu ; La plupart des gens s'y sont manifestement identifiés depuis longtemps et ont spécifiquement élaboré ce document sous la direction du cardinal Fernandez.

Depuis lors, rien n'est plus pareil : ce qu'on appelle communément « l'hérésie gaie » a pris l'Église en otage avec l'approbation du Pape, et de plus en plus d'évêques et de cardinaux prétendent hypocritement qu'ils ont été impliqués dans un « processus synodal en écoutant » ont soudainement « compris ». Ils ont compris – miraculeusement – ​​que l’homosexualité était « voulue » par Dieu et n’était en aucun cas un péché, contrairement à la révélation et à l’enseignement vieux de 2 000 ans de l’Église.

Un changement étonnant, ne trouvez-vous pas ? Ou n'est-il pas plus probable que tous ces prélats aient simplement saisi l'occasion pour finalement justifier leur disposition et « l'approuver » avec l'aide du pape ? Qui d'autre pourrait promouvoir « l'hérésie gaie » si ce n'est ces messieurs les plus révérends qui sont eux-mêmes « gais » et qui sont uniquement motivés par elle et non par le « Saint-Esprit » ?

C'est aussi incroyable que vrai : l'Église est en captivité babylonienne d'un haut clergé homosexuel qui, en commençant par « l'hérésie gaie », installe progressivement une nouvelle pseudo-église, exactement celle devant laquelle Mgr Strickland nous met en garde.

Le navire de l'église vit ainsi quelque chose comme la mutinerie du Bounty, mais avec une différence cruciale : le capitaine lui-même est ici avec les mutins, et les hommes qui, comme Strickland, rejettent la mutinerie des « gais », sont presque le dos au mur.

Pendant ce temps, l'Antéchrist règne dans la maison du Seigneur, et le Pape lui-même lui a érigé un autel d'idoles appelé « Fiducia supplicans ». Ce ne sera pas la dernière si François reste longtemps au pouvoir.

J'aimerais contredire tous ceux qui objectent aujourd'hui que François n'est de toute façon pas le pape légitime et que c'est la seule raison pour laquelle ces circonstances effrayantes sont possibles. Il n’y a pas d’autre pape que François. Mais il a probablement fallu un pape comme lui pour dénoncer l’œuvre de Satan dans l’Église et la pousser à l’extrême. – Oui, François est le pape légitime, et il ne l’est pas à la gloire de Dieu, mais à la honte éternelle du Siège apostolique, qu’il a profané avec la « Fiducia supplicans ».

Et pourtant : Peut-être Dieu a-t-il seulement voulu rendre visible la défiguration de son Église par François pour la restaurer par un successeur plus digne de Pierre ? Qui sait ?

Entre-temps, il est important d’écouter la voix des hommes justes, c’est-à-dire ceux qui ne représentent pas « l’hérésie gaie » et donc leur propre tempérament, mais qui, comme Mgr Strickland, sont la voix de Dieu. – « Celui qui a des oreilles pour entendre, qu’il entende ! » (Mt 11, 14). » (marcotosatti.com)

Une année de « Fiducia supplicans »... Effectivement.

2024, l'année où tout bascule.

Qu' « Élie » de la fin des temps se lève!

À la Gloire de Dieu!

04 décembre

LE SIGNE DE JONAS III – LES 40 JOURS

Le signe de Jonas mentionné par le Christ en Matthieu 24, le seul signe que nous aurons, les trois jours au tombeau, les trois jours de noirceur.

Jonas, qui ne voulait pas délivrer le message de Dieu aux habitants de Ninive, a eu le « privilège » d’expérimenter les trois jours de noirceur dans le ventre du poisson.

Cela l’a définitivement convaincu et à sa sortie, il part à Ninive délivrer son message : « Encore 40 jours et Ninive sera détruite ».

Au compte long, nous avons vu dans les analyses précédentes que nous avons atteint les 100 ans de destruction de Satan ajoutés aux 40 ans d’attente dans le désert à l’image du Christ, notre carême, depuis la vision de Léon XIII du 13 octobre 1884.

Nous savons que le 40 est le nombre de l'attente:

- Jésus a vécu 40 jours au désert après son baptême;

- Le peuple juif a erré 40 ans dans le désert avant d'entrer en Terre sainte ;

- Moïse a jeûné 40 jours avant de recevoir les tables de la Loi;

- le Déluge a duré 40 jours, avant que Noé n'ouvre la fenêtre de l'Arche;

- les 40 jours d’errance du prophète Élie pour aller du mont Carmel à l’Horeb, la montagne de Dieu;

- Et c’est aussi le signe du carême, 40 jours avant Pâques.

Tel est le scénario des trois jours de ténèbres : après les 40 jours, Dieu nettoie et purifie la terre par le feu avant de se manifester aux élus.

Car le Seigneur ne se manifeste pas aux autres : tout le monde verra son signe mais seuls les élus jouiront de sa vision.

Comme sœur Lucie a vu la Sainte Famille le 13 octobre 1917 et les trois métamorphoses de la Sainte Vierge Marie, alors que les autres voyaient le miracle du soleil fonçant sur eux.

Les habitants de Ninive se sont convertis.

Mais contrairement à Ninive, l’Apocalypse nous indique qu’il n’y aura pas de conversion en cette fin des temps :

Il est expliqué que malgré les signes,  « les autres hommes, ne se repentirent ni de leurs meurtres, ni de leurs enchantements, ni de leur impudicité, ni de leurs vols.» (Apoc. 9, 21).

Une attitude confirmée dans le livre de Daniel : « il y en aura beaucoup qui seront purifiés, blanchis et éprouvés ; et les méchants feront le mal, et aucun méchant ne comprendra ; mais les intelligents comprendront. » (Daniel 12, 10)

Babylone n’a que 40 jours avant le début des châtiments et des deux derniers grands malheurs (6è et 7è trompettes) de l’Apocalypse.

Le signe de Jonas est relié à l’Apocalypse, la résurrection des deux témoins.

Nous avons vu dans la dernière analyse que les 40 jours précédant les 3 jours de noirceur sont reliés au témoignage d’Élie ou Jean, et que ces 40 jours (avant le 16 janvier, les 42 mois depuis Traditionis Custodes) commencerait selon notre hypothèse le 7 décembre.

La cathédrale Notre-Dame de Paris ré-ouvre le 7 décembre décembre.

Et la Fille Aînée de l'Église est aussi importante que Rome.

Est-ce qu’on occultera l’Immaculée Conception à Notre-Dame de Paris par une discours à caractère maçonnique?

En tout cas, les « rois » de la terre y seront réunis pour la réouverture et ce n’est probablement pas pour la Sainte Vierge.

« Le président américain élu Donald Trump a annoncé lundi qu’il se rendrait samedi en France afin d’assister à la réouverture de la cathédrale Notre-Dame de Paris, où une cinquantaine de chefs d’État et de gouvernement sont attendus. »

Bergoglio a refusé d'y assister, car il dit qu’il est trop occupé par la nomination de 21 nouveaux cardinaux (jeunes pour conserver les valeurs bergogliennes, progressistes, et sans culture théologique) lors du consistoire du 7 et 8 décembre.

« Il y a un manque de grandes figures, avec une lumière propre, des pasteurs, bien sûr, mais aussi des intellectuels puissants, avec un arrière-plan philosophique, théologique et canonique convaincant et reconnaissable.

À ce jour, la quasi-totalité des cardinaux créés par le pape François (163 au 8 décembre) sont des personnes qui se comportent comme des clones du pontife, ou plutôt, comme on l’a écrit ces derniers jours, « ce sont des cardinaux copié-collé ». » (benoit-et-moi.fr)

N’oublions pas que le 7 décembre est un premier samedi du mois, en relation avec la demande de la Sainte Vierge à Fatima. (Lien de la prière du premier samedi du mois ci-haut)

Voyant l’urgence de la situation, Lifesitenews.com démarre une neuvaine du 8 au 17 décembre, consacrée à la conversion du pape François et à la restauration de l'Église catholique.

Comme on le voit, les deux témoins sont constitués des laïques (Énoch) et des clercs (Élie) qui se lèvent vu la situation.

Nous savons que Satan singe Dieu.

Et, grâce à l’analyse « Projet 47 de Louis D’Alencourt » nous savons que l’élite judéo-maçonnique espère son messie pour le 20 janvier.

Or, le 12 décembre, c’est la fête de Notre-Dame de Guadelupe.

Mgr Burke termine sa neuvaine de 9 mois, et Notre-Dame de Guadelupe, c’est la femme de l’Apocalypse au septième sceau.

Si on additionne 40 jours on arrive au 21 janvier, le lendemain de l’assermentation du président américain.

C’est un sérieux avertissement du Ciel.

Louis D’Alencourt :

« Quelqu’un de bien plus savant et érudit que moi m’a révélé un jour qu’à la fin des temps, il ne fallait plus compter en années mais en jours.

Je crois que le Seigneur Dieu, dans sa très grande miséricorde, va effectivement accorder aux hommes une ultime chance avant le déchaînement de sa colère.

Sauf que le message cette fois-ci sera : dans 40 jours Babylone sera détruite.

Par conséquent, « Sortez de Babylone mon peuple, de peur que vous n’ayez part à ses péchés » et repentez-vous

« Elle est tombée, la grande Babylone, elle est tombée ! » (Apoc. 18, 2) et avec elle, la grande Prostituée tombe aussi.

Si vous lisez bien l’Apocalypse, à ce moment-là la bête n’est pas morte, d’une part, et cela se réalise devant les rois de la terre, qui se lamentent « hélas, hélas, Babylone, grande ville, ville si puissante, ta condamnation est venue en ce moment ».

Pourtant les rois de la terre ne sont pas mieux que Babylone, puisqu’ils font partie de l’équipe de la bête. » (note : ils seront à Notre-Dame de Paris le 8 décembre) (grandreveilwordpress.com)

Mais, nous devons aussi considérer qu’il y a eu un autre 40 jours, les 40 jours après la Résurrection du Christ!

« Les Actes des apôtres nous apprennent que durant les 40 jours entre la Résurrection et l’Ascension, le Christ leur parlait du Royaume de Dieu, sans plus de précisions.

Il y a deux notions importantes à retenir :

– Après la Résurrection, le Christ n’apparaît qu’à ses apôtres et disciples, c’est-à-dire que seuls des justes le voient, et non plus la multitude du peuple.

Un des volets de la prédication d’Élie sera d’annoncer le Royaume de Dieu ; mais ce discours ne sera compris et entendu que par les justes et la foule des rachetés ; les autres seront imperméables à de tels propos.

– L’Ascension symbolise à la fois le départ et le retour du Christ. Qu’il y ait 40 jours d’écart entre l’annonce du royaume et le retour effectif du Christ est là aussi significatif. Il renforce l’idée que le délai ultime est bien de 40 jours avant de voir la terre promise. » (Louis D’Alencourt – grandreveilwordpress.com)

Les écritures nous mentionnent qu’à la fin des temps, le tiers des humains seront éliminés.

La traduction exacte est plutôt : la troisième partie.

Il s’agît des incroyants, de ceux qu’on ne peut espérer la conversion avec les événements à venir.

Cela se passe à la sixième trompette (c’est tout le chapitre 10 et 11 de l’Apocalypse).

L’autre tiers, ce sont les justes, et l’autre, ce sont les « tièdes », ceux dont la chance de sauver leur âme est encore possible.

Les 40 jours avant « l’Ascension » pourrait bien servir cette cause.

Nous avons identifié dans notre hypothèse le 16 janvier 2025, soit la fin des 42 mois depuis l’interdiction de la messe Tridentine.

Si on y ajoute les trois jours de noirceur comme le Christ au tombeau, nous arrivons au 19 janvier 2025.

Si on y ajoute les 40 jours après la résurrection avant l’Ascension, nous arrivons au 28 février 2025.

C’est la date effective de la démission de Benoît XVI en 2013.

Donc 12 ans entres les deux dates, 12 comme les douze apôtres.

Quant à Bergoglio, NSJC lui laissera-t-il atteindre son 12 ans le 13 mars prochain?

Ce chiffre appartient à Marie (exemple les apparitions du 13 du mois en 1917), et non au faux prophète.

Nul ne connaît le jour ni l’heure mais plus nous avançons plus les pièces du casse-tête se mettent en place.

Nous pourrions avoir des signes « d’Élie » en fin de semaine.

2 décembre

LA MORT DES DEUX TÉMOINS

« … lorsque l’Apocalypse se révèle, elle doit être comprise par tous, c’est-à-dire qu’à partir de ce moment, le sens littéral l’emporte sur le sens mystique. » (Louis D’Alencourt -  grandreveilwordpress.com)

La mort des deux témoins est un événement important car il indique la fin de la sixième période, tout juste précédé par l’ouverture du sixième sceau : le grand tremblement de terre et ce qui s’en suit, et la sixième trompette, soit les 4 anges liés au grand fleuve de l’Euphrate : Armageddon.

(À ce titre, un avant goût du « tremblement » terrestre pourraient être le signe de la guerre, et comme signe de la sixième trompette à venir, nous avons assisté la semaine dernière à la prise de la ville d’Alep en Syrie, sur le bord de l’Euphrate, par l’armée islamique (les 4 anges étant relâchés).)

Alors quelle partie de l’évangile doivent prophétiser les deux témoins de l’Apocalypse?

Eh bien tout simplement celui qui a trait au retour du Christ, en commençant par le début, c’est à dire l’épisode de Jonas cité par Jésus lui-même, soit;

1) le retour du Christ est maintenant très proche.

2) le seul signe qui sera donné avant son retour sera celui de Jonas, et justement celui-ci venant d’avoir lieu, Babylone sera détruite dans 40 jours et cette destruction sera le début des châtiments et des deux derniers grands malheurs (6è et 7è trompettes).

 3) Par conséquent, « Sortez de Babylone mon peuple, de peur que vous n’ayez part à ses péchés » et repentez-vous.

Il est difficile d’imaginer la manière dont seront « exécutés » les « deux témoins » de l’Apocalypse.

Nous savons qu’ils sont la référence aux  laïcs et membres du clergé qui sont demeurés fidèles à la Loi et aux Prophètes.

On les nomme symboliquement Énoch et Élie.

« Énoch préfigure tous les autres qui, n’appartenant pas à la catégorie des « justes » n’en sont pas moins des « hommes de bonne volonté » et qui, quelle que soit leur religion et leurs sensibilités, comprendront eux aussi la teneur des événements et se lèveront pour le dire. » (Louis D’Alencourt, grandreveilwordpress.com)

« … on peut aussi faire un parallèle avec le livre d’Hénoch car celui-ci est en lien direct avec la fin des temps.

Voici ce qu’en dit l’abbé Arminjon dans son livre Fin du monde présent et mystères de la vie future :

« Le livre d’Hénoch, bien qu’apocryphe, semble contenir les principales croyances qui avaient cours en Judée au temps de Jésus-Christ. Quand les hommes, est-il dit, auront comblé la mesure de leurs iniquités envers Dieu et envers Israël, alors viendra le grand cataclysme dont le déluge n’a été que le prélude et comme l’avertissement. Cette fois-ci, la justice divine ira jusqu’au bout ; le mal sera vaincu à jamais ; la terre sera purifiée par le feu, non plus par l’eau. Sous des cieux nouveaux, une terre nouvelle, commencera le règne sans fin de l’Elu, règne de justice, de fidélité et de paix, véritable règne de Dieu, dans lequel Israël sera le peuple roi. »

Il est là le lien entre Hénoch et le premier témoin...

Le chapitre 11 de l’Apocalypse semble se référer plutôt à Élie, même s’il parle des deux témoins dans leur ensemble, car la caractéristique de « fermer le ciel et d’empêcher la pluie » se rapporte directement à la vie d’Élie, puisqu’il en a usé au début de sa vie publique face au roi Achab.» (Louis D'Alencourt, grandreveilwordpress.com)

« Mikail et Jean descendront sur terre. » nous confirme la prophétie de l’Église concernant François.

Juste après son décès.

Ce Jean, est probablement le précurseur : Élie.

Élie accomplie le rôle du second témoin de l’Apocalypse et celui de l’annonciateur du retour du Christ comme Jean-Baptiste.

Élie est le prêtre qui est monté sur le Carmel pour convertir les adorateurs de Baal.

Nous pouvons affirmer aujourd'hui que les adorateurs de Baal sont en grand nombre :

À toutes les religions qui ne sont pas de la tradition, on y ajoute le paganisme à manière du synode amazonien, le protestantisme, et tout ce qui relève des valeurs inversées qui sont sacrifiées sur l’autel de l’humanisme depuis que le faux prophète est sur le trône de Saint-Pierre.

Nous avons deux indices important pour mieux cerner le « quand » et « l’événement » symbolisant la mort des deux témoins :

- Ils prophétisent pendant 1260 jours ou 42 mois.

- Les habitants de la terre se réjouiront parce qu’ils ont fait le TOURMENT des habitants de la terre.

Par contre, identifier le moment du début de la prêche des deux témoins, et de la durée de la bête parallèlement pour 42 mois est difficile en soi.

Nous avons émis l’hypothèse du 16 juillet 2021, soi la date de Traditionis Custodes interdisant la messe Tridentine, et surtout, fête de Notre-Dame du Carmel, reliée donc à Élie (voir analyses précédentes).

Parce que c’est là que la multitude d’ « Élie » ont élevé la voix au Vatican.

Est-ce qu’un cardinal ou un évêque plus influent sortira du lot plus nous approchons de la fin de l’hypothèse des 42 mois (voir
20 novembre - L’ANGE EXTERMINATEUR) le 16 janvier prochain?

Cela reste à voir.

Car pour avoir un « Élie »à la manière de Jean-Baptiste, il faut que ce dernier proclame :

- La fin des temps

- Le repentir

Pour l’instant, seul le cardinal Burke a mentionné du bout des lèvres que nous sommes « peut-être » à la fin des temps.

Mgr Vigano attend toujours l’Antichrist alors qu’il est déjà là comme système.

Mgr Strickland affirme que nous sommes au bord du précipice.

C’est tout.

Il n’y a personne d’autre du clergé qui se démarque comme un « Élie ».

Mais, la mort des deux témoins est étroitement relié au signe de Jonas, les trois jours au tombeau qui suivent leurs morts.

Et, le signe de Jonas est indissociable des 40 jours donné à Ninive pour se convertir, pour éviter la destruction.

Si on recule de 40 jours à partir du 16 janvier, alors nous devrions avoir un « Élie » qui se manifeste le 7 décembre, juste avant la fête de l’Immaculée Conception, fête dont Bergoglio bafoue depuis son intronisation.

Bergoglio prépare-t-il une annonce qui provoquera définitivement le schisme ( la  guerre dans la mère de la prophétie du Jean XXIII du 7ème sceau)?

Pourquoi les habitants de la terre se réjouissent-ils à la mort des deux témoins?

À cause de la disparition de la messe Tridentine?

Pas vraiment.

Mais, cette étape est nécessaire au triomphe de Satan pour y substituer le messie judéo-maçonnique à venir.

En fait, les habitants de la terre se réjouissent de la conversion de l’église conciliaire à l’humanisme depuis la libération des mœurs en 1968, parce que cette dernière a imposé des valeurs morales strictes depuis l’Ascension de NSJC, ce code moral important pour passer le chas de l’aiguille qui mène à la vie éternelle puisque le peuple n’est pas assez mature pour aimer Dieu de toute ses forces et son prochain comme lui-même.

Et cette libération des mœurs, cette réjouissance, connaît son apogée avec le wokisme, qui a dominé la scène médiatique ces dernières années.

Ceux qui restent et espèrent à se réjouir sont du clergé.

Les autres se réjouissent déjà puisque c’est la grande apostasie et que Bergoglio a éliminé le péché.

C’est pourquoi nous voyons la montée en puissance de la reconnaissance de l’homosexualité au sein des prêtres de l’église conciliaire.

C’est pourquoi que le nouveau prédicateur de Sainte-Marthe aime bien trouvé des perles d’homosexualité dans la Bible pour ses sermons :

« Le nouveau prédicateur homophile du pape François

Le père Roberto Pasolini, nouveau prédicateur attitré du pape, invente une Bible homo

… La tendance, très marquée dans les milieux homosexuels, à découvrir toujours et partout l’homosexualité, même au prix de devoir réécrire toute l’histoire, est bien connue… » (benoit-et-moi.fr)

Que reste-t-il à faire pour que le document final du synode des synodes devienne la base de la « nouvelle église », où « tous seront inclus » pour citer Bergoglio, et qu’ainsi tous les « habitants de la terre » se réjouissent, prêtres inclus?

Pour l’instant, c’est un mystère, mais il est évident que l’humanité est de retour à Sodome et Gomorrhe, et au temps de Noé au déluge lorsque la méchanceté des hommes était grande sur la terre, et que toutes les pensées de leur cœur se portaient chaque jour uniquement vers le mal.

« Car, sachez-le bien, aucun impudique, aucun impur, aucun homme cupide (lequel est un idolâtre), n'a d'héritage dans le royaume du Christ et de Dieu. » (Eph. 5, 5)

« Dehors les chiens, les magiciens, les impudiques, les meurtriers, les idolâtres, et quiconque aime le mensonge et s'y adonne ! » (Apoc. 22, 15)

Novembre 2024

30 novembre

Voici un aperçu de la philosophie russe sur la guerre en cours, alors que 39% des russes dans un dernier sondage se disent favorables à l'utilisation de l'arme nucléaire.

N'oublions que le patriarche Cyrille et le président russe sont d'anciens membres du KGB.

« Malgré les discussions en cours du 25e Congrès du Conseil populaire mondial russe concernant la  doctrine du « monde russe » et ses implications, le 26e Conseil a encore renforcé les relations étroites entre le Patriarcat de Moscou et le Kremlin . La réunion a également souligné le soutien de l'Église aux aspirations des dirigeants politiques.

Le 28 novembre, le patriarche Cyrille de Moscou a présidé la réunion du 26e Conseil populaire mondial de Russie, intitulée « Le monde russe : défis externes et internes ».

Dans son discours , le patriarche Cyrille a souligné le « modèle unique d'interaction entre l'Église et l'État », soulignant son rôle central dans la préservation des valeurs culturelles et spirituelles.

« Lorsque nous parlons de l'Orthodoxie comme d'une foi traditionnelle, nous soulignons le rôle de l'Église en tant que gardienne vitale, transmettant ces valeurs de génération en génération à travers sa doctrine, ses prières et la formation des pensées et des croyances des gens. Cela fait de l’Église un porteur indispensable de ces valeurs », a-t-il déclaré.

« Aujourd’hui, notre pays bénéficie d’un modèle sans précédent d’interaction entre l’Église et l’État. Ce modèle garantit pleinement la capacité de l'Église à sauvegarder et à transmettre ses valeurs aux générations futures.

La forme actuelle de coopération est un rêve dont les générations précédentes ne pouvaient que rêver. L'Église vit librement, sans ingérence extérieure, tandis que l'État respecte sa mission.

Cette collaboration harmonieuse s'étend à l'éducation des enfants et des jeunes, ainsi qu'à la promotion du climat spirituel et culturel de la nation. Ensemble, nous visons à renforcer les valeurs essentielles à la préservation de l’identité et de l’authenticité de nos citoyens. Perdre ces valeurs signifierait perdre notre capacité à nous défendre et à défendre notre patrie », a ajouté le patriarche Cyrille.

Dans ses remarques précédentes , le patriarche Cyrille a mis en contraste sa focalisation antérieure sur les défis auxquels est confronté le « monde russe »avec l'accent qu'il met actuellement sur ses menaces les plus critiques.

« Parmi les menaces extérieures qui pèsent sur le monde russe, la plus urgente aujourd’hui est l’opération militaire en cours. L'escalade tragique du conflit fraternel entre la Russie et l'Ukraine est constamment alimentée par des forces extérieures bien connues, qui ont recours à la stratégie séculaire du diviser pour régner », a-t-il déclaré.

Kirill a notamment évité d'aborder le fait que le conflit a commencé avec l'intervention militaire russe en Ukraine en 2014 , en commençant par l' annexion de la Crimée .

Le patriarche Cyrille a attribué la guerre aux actions de « forces extérieures » et l'a présentée comme un affrontement culturel et spirituel plus large. « La Russie, l’Ukraine et la Biélorussie sont perçues comme une épine dans le pied du monde occidental en raison des valeurs que nous défendons, qui constituent le fondement de notre identité spirituelle et culturelle », a-t-il affirmé.

Kirill est allé -encore une fois- encore plus loin, en proposant une justification du conflit , le présentant comme une défense de ces valeurs. « Ces valeurs sont désormais héroïquement défendues par nos soldats combattant dans la zone d’opérations militaires spéciales », a-t-il déclaré, bénissant ainsi la guerre qui ravage la région depuis près de trois ans.

Le patriarche a également imputé la responsabilité du conflit au monde occidental, l'accusant de ne pas vouloir « reconnaître le droit des autres cultures à leur identité et à leur indépendance ». Il a ajouté : « C'est évident dans l'escalade incessante, qui menace d'évoluer vers une collision directe entre deux mondes. »

Le patriarche Cyrille s'est empressé d'exprimer sa gratitude à Dieu pour la réponse mesurée du président russe Vladimir Poutine aux provocations, louant son attitude calme. Dieu merci, le président Poutine, conscient de sa responsabilité, fait preuve de prudence et de sang-froid face aux provocations cyniques, tout en continuant à progresser vers les objectifs fixés : protéger les intérêts légitimes et justifiables de la Russie et du monde russe ", a-t-il déclaré. .

Abordant le sujet des menaces nucléaires – souvent évoqué par le président russe – Kirill a fait remarquer qu'alimenter la peur avec des scénarios apocalyptiques ou spéculer sur des questions nucléaires manque de mérite spirituel. Il a exhorté les chrétiens à ne pas craindre la soi-disant « fin du monde », mettant l'accent sur une vocation plus élevée : « Nous attendons le Seigneur Jésus, qui viendra dans une grande gloire pour détruire le mal et juger toutes les nations. Toutefois, ça veut pas dire qu'on doit laisser le mal triompher. Notre mission terrestre est d'être des guerriers du Seigneur, luttant contre les forces du mal. C'est l'objectif de la Russie.»

Le patriarche a également évoqué les défis sociétaux, notamment la question de l'alcoolisme , qu'il a qualifié de stéréotype néfaste . « Pendant des siècles, de faux récits sur la prétendue propension des Russes à boire ont été perpétués et ancrés dans la conscience publique. C'est faux ! Le peuple russe a toujours été travaillant et responsable. Sans ces qualités, il aurait été impossible de bâtir une nation comme la Russie », a-t-il déclaré.

Kirill a en outre exprimé sa gratitude au président Poutine pour avoir favorisé une relation de coopération entre l'État et l'Église . « Je tiens à exprimer mes sincères remerciements à notre président pour la direction prise par nos dirigeants politiques vers la collaboration avec l'Église orthodoxe russe, pour le développement d'un véritable dialogue et d'un partenariat significatif. Puisse ce parcours continuer à jeter les bases du progrès futur de notre pays et de relations encore plus dynamiques et fructueuses entre l'Église et l'État », a-t-il conclu. » (orthodoxtimes.com)

Le président russe a fait l'apologie de son dernier missile en spécifiant dernièrement qu'en groupant ces dits missiles dans une attaque, que cela aurait le même effet qu'une bombe nucléaire, avec des températures atteignant la température du soleil.

« La terre frisera le massacre » de la prophétie de Jean XXIII ne concerne plus uniquement l'arme nucléaire semble-t-il.

29 Novembre

L’ÉGLISE HUMANISTE

Bergoglio a affirmé (voir dernière analyse) que l'Église a été « éclairée par le Saint-Esprit » pendant le processus du synode des synodes et qu’il « souhaitait »  que le document final du Synode soit accepté comme faisant partie du Magistère de l'Église.

Mais le cardinal Müller ne l’entend pas ainsi :

« Les partisans de la soi-disant « Église synodale » sont coupables de « péchés contre le Saint-Esprit » en essayant de renverser l'enseignement catholique avec une « idéologie éveillée » et de « subordonner l'Église du Dieu Trinité » à des programmes mondialistes comme l'Agenda 2030, a dit le cardinal.

( LifeSiteNews ) — Le cardinal Gerhard Müller a déclaré que les partisans de la soi-disant « Église synodale » sont coupables de « péchés contre le Saint-Esprit ».

Dans un essai publié dans First Things , le cardinal Müller a critiqué le concept moderne de « synodalité » du pape François, énumérant sept façons dont « l'Église synodale » pèche contre le Saint-Esprit.

« Des factions ayant des arrière-pensées ont détourné le principe traditionnel de synodalité, c'est-à-dire la collaboration entre les évêques (collégialité) et entre tous les croyants et les bergers de l'Église (basée sur le sacerdoce commun de tous les baptisés dans la foi), pour faire avancer leur programme progressiste.

« En effectuant un virage à 180 degrés, la doctrine, la liturgie et la moralité de l’Église catholique doivent être rendues compatibles avec une idéologie néo-gnostique éveillée », a-t-il déclaré.

Dans une tentative de changer l'enseignement de l'Église sur le mariage ou l'ordination des femmes, les partisans du Synode invoquent une prétendue « communication directe entre le Saint-Esprit et les participants au Synode », a poursuivi le cardinal Müller.

« Mais quiconque, en faisant appel à l'inspiration personnelle et collective du Saint-Esprit, cherche à concilier l'enseignement de l'Église avec une idéologie hostile à la révélation et avec la tyrannie du relativisme se rend coupable à divers titres d' un « péché contre le Saint-Esprit ». " (Matt. 12 :31 ; Marc 3 :29 ; Luc 12 :10) », a ajouté le cardinal allemand.

« Le péché le plus courant » des sept péchés contre le Saint-Esprit « est celui où l'origine et le caractère surnaturels du christianisme sont niés afin de subordonner l'Église du Dieu Trinité aux buts et aux objectifs d'un projet de salut mondain, qu'il soit écologique.

Le cardinal Müller a averti que c'est un péché contre le Saint-Esprit de réinterpréter « l'histoire du dogme chrétien comme une évolution de la révélation, reflétée dans l'avancement des niveaux de conscience dans l'Église collective, au lieu de confesser la plénitude insurpassable de grâce et de vérité en Jésus-Christ.

Il a expliqué que le pape et sa fonction d'enseignant « ne sont pas au-dessus de la parole de Dieu, mais la servent, en enseignant uniquement ce qui a été transmis ( Dei Verbum , 10). »

Le pape ne peut donc pas changer le dépôt de la foi, tel qu'il a été pleinement révélé en Jésus-Christ.

De plus, le cardinal Müller a déclaré que c'est un péché contre l'Esprit Saint « lorsque l'unité de l'Église dans l'enseignement de la foi est livrée à l'arbitraire et à l'ignorance des conférences épiscopales locales (qui se développent doctrinalement à des rythmes différents) sous prétexte d’une soi-disant décentralisation.

Citent l'œuvre de saint Irénée de Lyon contre les Gnostiques, le cardinal écrit : « Bien que dispersée dans le monde entier, jusqu'aux extrémités de la terre… l'Église catholique possède une seule et même foi dans le monde entier (Irénée de Lyon, Contre Hérésies , livre I, 10, 1-3).

Les remarques du cardinal Müller font probablement référence à la conférence des évêques allemands, dont la majorité a approuvé des textes hérétiques pro-LGBT et d'autres textes lors de la « Voie synodale » des évêques allemands.

Dans une référence probable aux « annulations » injustes par le pape François, telles que la destitution de Mgr Joseph Strickland de son diocèse de Tyler, au Texas, et de Mgr Daniel Fernández Torres de son diocèse d'Arecibo, à Porto Rico, le cardinal Müller a dit :

C'est un péché contre le Saint-Esprit, qui, par le sacrement de l'Ordre, a nommé des évêques et des prêtres comme pasteurs de l'Église de Dieu (Actes 20 :28), de les déposer, ou même de les séculariser, à sa seule discrétion.

Le cardinal a aussi critiqué la politisation de l'Église selon la « philosophie révolutionnaire » et les idées de la Révolution française comme un péché contre le Saint-Esprit :

C'est un péché contre le Saint-Esprit lorsque la division politique et idéologique de la société depuis les Lumières européennes et la Révolution française est incorporée dans une philosophie réparatrice ou révolutionnaire de l'histoire et lorsque l'Église une, sainte, catholique et apostolique est ainsi paralysée par opposant en interne les factions « progressistes » aux factions « conservatrices ».

L'ancien chef du CDF a conclu son essai en rappelant aux fidèles de mettre leur confiance uniquement en Jésus-Christ et non dans les idéologies modernistes « éveillées ».

« Quiconque veut vraiment entendre ce que l'Esprit dit à l'Église ne s'appuiera pas sur des inspirations spiritualistes et des platitudes idéologiques éveillées, mais placera toute sa confiance, dans la vie et la mort, uniquement en Jésus, le Fils du Père et le Oint du Saint-Esprit », a déclaré le cardinal Müller.

Il a conclu en citant l'Évangile de saint Jean : « Ceux qui m'aiment garderont ma parole, et mon Père les aimera, et nous viendrons vers eux et ferons notre demeure avec eux… Mais l'Avocat, l'Esprit Saint, qui le Père enverra mon nom, vous enseignera tout et vous rappellera tout ce que je vous ai dit. (Jean 14 :23-26)
 »

Nous mettons l’article du blog d’Aldo Maria Valli, même si en italien, pour montrer la photo de la nouvelle église de Berlin (et l’autel païenne ) et traduisant les paroles de l’archevêque de Berlin lors de l’inauguration :

« Aucun dieu sombre n'est pas à l'œuvre ici et menaçant. L'esprit d'hospitalité règne ici. L'Église doit être un lieu d'ouverture pour les croyants, y compris ceux des autres religions, ainsi que pour les non-croyants. Et aussi pour tous ceux qui veulent juste relaxer ».

C’est bien l’église humaniste.

Où tous sont inclus selon Bergoglio.

Le péché n’existant plus, et où les valeurs inversées sont la norme.

Le Saint-Esprit est invoqué lorsqu’ils en ont besoin pour modifier la doctrine.

La Tradition devient hors norme.

Elle est la menace à la nouvelle église.

C’est l’église inversée.

27 novembre

La prophétie #11 de l’église, le septième sceau, confirme le début de la guerre : « S'affronteront croissant de lune, étoile et croix. »

Alors qu’il y a guerre aussi au sein de l’Église.

Pourquoi la guerre?

Parce que l’élite judéo-maçonnique a comme principe de faire naître l’ordre par le chaos, la peur, et aussi parce la guerre représente un sacrifice de masse.

« L'élite judéo-maçonnique ne peut attendre trop longtemps. Leur messie doit venir par un sacrifice sanglant, le sacrifice de l'humanité pour la survie de l'élite et sa progéniture. » écrivions nous le 6 novembre dernier.

« Le basculement d’un monde dans une étape supérieure passe par un sacrifice expiatoire égal à l’obtention d’un « bien » défini selon les critères des thuriféraires du système pharisaïque. S’agissant de l’établissement d’une gouvernance mondiale, ce « bien » ne peut être adoubé que d’une manière holocaustique. » (Pierre Hillard, Des origines du mondialisme à la grande réinitialisation, p.251)

Aujourd’hui, le monde retient son souffle avec la nouvelle du cessez-le-feu au Liban.

Or, Israël confirme que c’est pour mieux se concentrer sur la menace iranienne.

Du côté de l’Ukraine, l’État profond fait tout ce qui est en son pouvoir pour augmenter la tension avec la Russie, malgré l’avertissement donnée par cette dernière avec le lancement de missiles balistiques supersoniques (sans charge nucléaire) sur l’Ukraine, une première dans toute l’humanité.

« Pour la 1ère fois de l’histoire, la Russie tire un missile nucléaire ICBM sur l’Ukraine sans charge ! ». (insolentiae.com)

« Guerre. Point de situation. A 2 doigts de la catastrophe majeure ! ». (insolentiae.com)

Face à cette escalade, au lieu de prendre la voie diplomatique, la France décide d’envoyer des missiles SCALP à « longue portée » à l’Ukraine tout en précisant que l’envoi de troupes au sol n’est pas exclu.

« L'Europe a soif, elle aura du sang dans les rues .» (prophétie politique #22 « Grand Éclair à l’Orient »).

« Selon le  New York Times , les responsables américains et européens ont  discuté  d'une série d'options qui, selon eux, dissuaderaient la Russie de s'emparer davantage de territoire ukrainien, notamment en dotant Kiev d'armes nucléaires. »  (zerohedge.com)

Signes qu’on prépare le pire de la guerre, la Suède, la Finlande, et la Norvège ont envoyé un livret à leurs populations concernant la manière de survivre à la guerre.

L’Allemagne recense ses bunkers et demande à la population de préparer leurs propres abris à la maison.

« L’Allemagne recense ses bunkers… j’espère que vous avez une bonne cave ! » (insolentiae.com)

« Finlande et Suède encouragent la population à se préparer à la guerre !  » (insolentiae.com)

« L'OTAN relance les discussions sur l'envoi de troupes européennes en Ukraine et avertit les dirigeants du monde des affaires de se préparer à un « scénario de guerre » »
(zerohedge.com)

Et on avertit les entreprises européennes d’être prêtes à entrer dans une économie de guerre.

C’est le cas des gouvernements allemands et néerlandais.

«Chef de l’Otan ” les entreprises doivent être prêtes à la guerre”  » (insolentiae.com)

« L’armée allemande prépare les entreprises à la guerre ! » (insolentiae.com)

L’élite judéo-maçonnique veut son messie.

Avant l’entrée en scène de Trump.

«... si contre toute attente Trump est élu, la situation sera insupportable pour le comité des 300, tous leurs projets annoncés tombant à l’eau, donc ils sont capables de tout envoyer en l’air » (Louis D’Alencourt – grandreveilwordpress.com – projet 47)

C’est la raison de tous ces avertissements de la dernière semaine.

Tout s’accélère.

Même avec Bergoglio, qui veut le chaos le plus rapidement possible.

Les deux Babylone agissent bien de pair, comme dans les prophéties de Jean XXIII.

« ( LifeSiteNews ) – Le pape François souhaite que le document final du Synode soit accepté comme faisant partie du Magistère de l'Église.

Ce matin, le pape François a publié une « note » officielle pour accompagner son « Document final de la 16e Assemblée générale ordinaire du Synode des évêques », c'est-à-dire le document final du Synode sur la synodalité, qui comprenait un nombre important de non-évêques.

Dans sa « Note », le Pape a demandé que le contenu de ce « Document final » soit accepté comme faisant partie de son Magistère, c'est-à-dire de son enseignement faisant autorité en tant que Successeur de Pierre, chef terrestre de l'Église chrétienne – ou, en tant que pape François s'est décrit comme « l'évêque de Rome ».

Dans l' original italien , le pape François a salué les années de rencontres qui ont eu lieu avant le Synode, affirmant qu'elles comprenaient « l'écoute du peuple de Dieu et le discernement des pasteurs ». Il a aussi dit que l'Église a été « éclairée par le Saint-Esprit » pendant le processus.

Reconnaissant la valeur du chemin synodal accompli, je remets maintenant à toute l'Église les orientations contenues dans le  Document final , comme retour de ce qui a mûri au cours de ces années, à travers l'écoute et le discernement, et comme orientation faisant autorité pour sa vie et sa mission », a-t-il ajouté.

« Le  Document final  participe au Magistère ordinaire du Successeur de Pierre (cf. CE 18 § 1 ; CCC 892) et à ce titre je demande qu'il soit accepté. Il s'agit d'une forme d'exercice de l'enseignement authentique de l'évêque de Rome qui présente des caractéristiques nouvelles, mais qui correspond en fait à ce que j'ai eu l'occasion de souligner le 17 octobre 2015, lorsque j'affirmais que la synodalité est le cadre interprétatif approprié pour comprendre le ministère hiérarchique .»

Tout en affirmant que le document nécessiterait « plusieurs médiations », François a précisé que « [l]es Églises locales et les groupements d'Églises sont désormais appelés à mettre en œuvre, dans leurs différents contextes, les instructions faisant autorité contenues dans le  Document , à travers les processus de discernement et la prise de décision prévues par la loi et par le  document  lui-même.

Cette histoire se développe…. »

20 novembre

L’ANGE EXTERMINATEUR

« Il y en aura beaucoup qui seront purifiés, blanchis et éprouvés ; et les méchants feront le mal, et aucun méchant ne comprendra ; mais les intelligents comprendront. » (Daniel, 12,10)

La lettre de mgr Strickland dans la dernière analyse confirme que nous arrivons à la fin de la sixième période de l’Apocalypse.

« Vous êtes réunis ici aujourd'hui, apôtres d'aujourd'hui, alors que l'Église et, par conséquent, le monde sont perchés au bord d'une falaise. » (Mgr Strickland)

Rappelons à ce stade le calendrier de la fin des temps dans l’ordre chronologique dans l’Apocalypse:

1) Mort des témoins (3,5 jours)
2) Résurrection des témoins

Fin de la sixième période.

Entrée dans la 7ème période :

« Et quand l'Agneau eut ouvert le septième sceau, il se fit dans le ciel un silence d'environ une demi-heure. » (Apocalypse, 8-1)

3) Mort de l’Antéchrist
4) Chute de Babylone (3ème malheur, Ap. 11, 14)
5) Retour du Christ
6) Jugement dernier

La sixième période de l’Apocalypse, celle de l’Antéchrist, se termine donc par une résurrection, celle des témoins, avant l’enclenchement du 777 (7ème sceau, trompette et coupe) où le mystère divin s’accomplit : mort des bêtes et du dragon, chute de Babylone et Jugement dernier.

La fin de sixième période est caractérisée par la sixième trompette, qui à l’évidence, est la grande guerre au Moyen-Orient.

La confirmation de la mort de l’Église/deux témoins est donc imminente.

Les conséquences du synode amazonien permettant n’importe quoi à la messe est en marche en Amérique du Sud, et au Mexique.

« Le Vatican approuve le rite maya avec danse rituelle, encenseurs féminins et direction laïque des parties de messe. » (lifesitenews.com)

Et les États-Unis autorisent l’utilisation des missiles longues portées en Ukraine.

Poutine a toujours affirmé que cette autorisation constitue un acte de guerre directe de l’OTAN, puisque ces armes sophistiquées ne peuvent être manipulées que par les pays les fournissant.

L’Ukraine a utilisé ces armes pour la première fois hier, et Poutine a signé un décret qui modifie la doctrine militaire nucléaire, même si la Russie n’est pas attaqué par de telles armes.

Stratégiquement, drainer les ressources russes, et maintenant, nord coréennes en Ukraine, diminue la capacité d’une intervention russe autour d’Israël.

On se rapproche de la « terre frisera le massacre » de Jean XXIII, forçant la guerre de la nature par le Père.

On ne connaît ni le jour ni l’heure, mais on peut affirmer que plus nous avançons dans le calendrier de la fin des temps, plus les signes du figuier donné par NSJC sont évidents, rapprochant ainsi de plus en plus l’ouverture du 7ème sceau.

Ce n’est plus une question d’années, mais de mois (peut-être de jours puisque l’élite judéo-maçonnique veut en finir avant l’arrivée de Trump au pouvoir; c’est un sacrifice de masse), au plus, 15 mois avant le mois de mai des deux lunes de 2026 prophétisé par Don Bosco pour le retour du Lys de Paix (voir analyses précédentes).

La septième trompette, c’est la moisson finale, le châtiment et les trois jours de noirceur prophétisés.

De la mort et de la résurrection des deux témoins, passant par la chute de Babylone et la mort de l’Antéchrist, menant au Jugement suite au 7ème sceau, ce sera très court.

N’oublions pas que NSJC nous a spécifié que nous n’aurons comme signe que le signe de Jonas (voir analyses précédentes), c’est à dire trois jours dans le ventre du poisson (ou au tombeau concernant la Passion de l’Église à l’image de la Passion du Christ).

Pourquoi?

Parce que nous revivons l’époque moderne des pharisiens qui ne voulaient par accepter Jésus le Messie.

Nous ne le méritons pas.

Même le Vatican n’est même pas capable de reconnaître les signes des temps et guider efficacement les brebis.

Seuls quelques « deux témoins » du clergé traditionnel avertissent que c’est la fin des temps.

C’est la Pâque de l’humanité à l’image de la Pâques du Christ et du peuple hébreu en Égypte.

Louis D’Alencourt (grandreveil.wordpress.com) :

« Le Seigneur Dieu choisit de mourir au moment de la Pâque juive, très exactement la veille de la Pâque, c’est dans tous les évangiles. La date de la Rédemption du monde, par cette mort sur la croix aussi providentielle que mystérieuse, se situe au 14 Nizan. C’est un fait indéniable que personne ne nie ou remet en cause.

Rappelons que la Pâque juive est la commémoration de la sortie d’Égypte sous la direction de Moïse. Dans la nuit du 14 au 15 Nizan, la dixième plaie s’abat sur l’Égypte : le passage de l’ange exterminateur qui met à mort tous les premiers nés d’Égypte, des hommes au bétail. Ce sera la dernière plaie, qui décide le Pharaon à laisser partir les Hébreux la nuit même.

Voilà donc le secret de la Semaine Sainte, et dont nous devons tenir compte si nous effectuons un parallèle avec notre temps : entre la mort du Christ et sa Résurrection, il y a le passage de l’ange exterminateur, la dixième plaie d’Egypte – et c’est cet événement qui va provoquer la libération du peuple de Dieu.

Or, les théologiens nous expliquent que le jour de la Présentation au Temple..., « Siméon prophétise que le Seigneur sera, comme l’ange exterminateur, un signe de contradiction : délivrance pour ceux qui l’accueillent, châtiment pour les autres. »

Il se trouve que c’est exactement ce que nous dit aussi l’Apocalypse car en réalité, sortir de Babylone, cri de l’ange avant la chute de la ville, équivaut à sortir d’Égypte. C’est la même signification.

C’est à dire que les enfants de Dieu, après la mort de l’Église mais avant sa Résurrection, qui correspond en réalité à la Résurrection des témoins, seront invités à sortir de Babylone -appelée d’ailleurs Égypte et Sodome au chapitre 11- au moment du passage de l’ange exterminateur. »

Les trois jours de ténèbres sont à l’image de la 9ème plaie d’Égypte avant le passage de l’ange exterminateur.

L’ange exterminateur interviendra à l’ouverture du 7ème sceau, pour purifier la terre.

La rapidité des derniers événements du calendrier de la fin des temps est « le temps d’un éclair » : « Car, comme l'éclair part de l'orient et brille jusqu'à l'occident, ainsi en sera-t-il de l'avènement du Fils de l'homme. » (Matthieu 24, 27)

Parce que sinon les élus ne survivraient pas à la mort de l’âme (les morts envierons les vivants nous affirme-t-on).

Pour identifier le signe de Jonas à venir, selon NSJC, nous n’avons que le signe du figuier : l’abomination de la désolation sur le trône (c’est accompli), la guerre finale (elle est entamée), et la prêche des deux témoins au même titre que la durée de la bête : 42 mois (1260 jours).

Pouvons-nous relier la prêche et la mort des deux témoins à un événement récent?

Effectivement.

Traditionis Custodes (publié le 16 juillet 2021 en la fête de ND du Carmel, figure de la dernière apparition de Fatima) interdisant la messe tridentine.

C’est bien à ce moment précis que plusieurs (même s’ils sont peu nombreux) se sont élevés pour défendre la Tradition (dont Mgr Strickland qui a perdu la charge de son diocèse parce qu’il célébrait la messe traditionnelle).

Or, si on y ajoute 42 mois nous nous retrouvons au 16 janvier 2025 selon l’échéancier de l’Apocalypse.

Et, 4 jours plus tard, aura lieu l’assermentation du président américain.

Nous l’avons vu dans l’analyse «Projet 47 », le 20 janvier 2025, c’est l’échéance du plan judéo-maçonnique : la venue du messie juif.

« Parce que les élites juives, civiles et rabbiniques, ont demandé à l’ensemble des juifs du monde de réciter une prière mondiale pour demander le Messie le 21 février 2021 : ce jour-là, tous les juifs du monde devaient réciter la même prière à la même heure, 18h heure de Jérusalem.

Or le 21 février 2021 est distant de 47 mois, au jour près, du 20 janvier 2025. » (Louis D’Alencourt – Grand Réveil)

Le 47 est le chiffre du Saint Nom de Jésus.

Les deux témoins ont eu la chance de défendre la messe tridentine et l’Église catholique durant ces 42 mois.

Quels sont les quelques autres événements en 2021 pour démontrer que la bête est « sortie des eaux (Apocalypse) » et qu’elle règne à la vue de tous?

-Le drame du 6 janvier 2021 au Capitole.

-Le cardinal Sarah qui a été écarté comme préfet de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements en 2021.

Il était probablement un obstacle à la nouvelle messe en préparation.

Il fut punit pour la sortie de son livre dont la préface avait été signée par Benoît XVI tout juste avant le rapport amazonien qui voulait redéfinir le sacerdoce.

-Le signe visible de « La bête » est le « Gardien de la paix aux Nations-Unies » le 9 novembre 2021.

-Interdiction de la messe en latin dans la basilique Saint-Pierre :

« CITÉ DU VATICAN, 30 juin 2021 ( LifeSiteNews ) — Le Vatican a décidé d’interdire le latin, la langue traditionnelle de l’Église catholique, de la célébration de la plupart des messes dans la basilique Saint-Pierre. »

-L’ouverture du synode des synodes :

« Chers frères et sœurs, que ce Synode soit un véritable temps de l'Esprit ! . . . Le Père Congar, de mémoire bénie, a dit un jour : « Il n'est pas nécessaire de créer une autre Église, mais de créer une Église différente » ( Vraie et fausse réforme dans l'Église ). C'est le défi. » (François, 9 octobre 2021, Discours d'ouverture du Synode)

LES TROIS JOURS DE NOIRCEUR

Où trouve-t-on les signes de la chute de Babylone/ les trois jours de noirceur?

-Jean XXIII : « bats le rappel de tes fils dans les campagnes, pour qu'ils abattent les deux Babylone. Et que la Mère soit Une, comme toi tu es unique. La terre détruira le ciment et de terre sera, Reine, ta nouvelle Église. »

- La Salette : « Voici la bête avec ses sujets se disant le sauveur du monde. Il s’élèvera avec orgueil dans les airs pour aller jusqu’au Ciel ; il sera étouffé par le souffle de saint Michel archange. Il tombera, et la terre qui, depuis trois jours sera en de continuelles évolutions, ouvrira son sein plein de feu ; il sera plongé pour jamais avec tous les siens dans les gouffres éternels de l’enfer. »

- Jean-Paul II (AVANT la publication du faux troisième secret de Fatima en 2000) : Une interview de Jean-Paul II donnée en Allemagne en
novembre 1980, publiée dans la revue Stimme des Glaubins, dans laquelle on va retrouver des détails précis du texte de sœur Lucie :

Question : Et le troisième secret de Fatima, il aurait dû être révélé en 1960 ?

Jean-Paul II : Vu le sérieux de son contenu, mes prédécesseurs ont diplomatiquement choisi de reporter sa publication pour ne pas encourager les puissances communistes à faire certains mouvements. D'un autre côté, la suite devrait suffire à tous les chrétiens : s'il y a un message dans lequel il est écrit que les océans inonderont des zones entières de la terre, et qu'à un moment des millions de gens mourront, il va de soi que publier un tel texte n'est pas souhaitable.

- Padre Pio et tous les prophètes sur les trois jours de noirceur (voir le lien dans l’analyse du 14 novembre 2024)

- Notre Seigneur Jésus à Lucie (1917) (Du livret « Abba, Père » : extrait du message page 31) :

« Voici l’heure de l’agonie. Voici l’heure de l’abandon, du reniement…Voici l’heure des trois jours de ténèbres, des trois jours de la mise au tombeau. Vis ce temps de détresse dans l’attente de la résurrection ».

La Terre entrera en convulsions.

Le phénomène des trois jours de ténèbres est un renouveau terrestre pour la naissance de la Jérusalem Céleste, pour les âmes pures qui resteront.

Très rapide.

On l’a vu ci-haut.

L’ange exterminateur passe avant la résurrection, avant la fin des trois jours de noirceur, et le pharaon a libéré le peuple hébreu la nuit même du passage de l’ange exterminateur.

C’est donc dire qu’il y aurait juste AVANT la résurrection des deux témoins (qui confirme la fin de la sixième période du calendrier de la fin des temps) : l’entrée dans la 7ème période, la mort de l’Antéchrist et la chute de Babylone.

Tout cela en TROIS JOURS!

Nous avons eu comme avertissements des aurores boréales intenses le 13 mai et le 13 octobre 2024 reliées aux dates de début et fin des apparitions de la Vierge Marie à Fatima.

Réitérons qu’en 1917 où tous voyaient le miracle du soleil, sœur Lucie voyait la Sainte Famille et les trois figures de Marie : Notre-Dame du Rosaire qui s’éleva au firmament à côté du soleil, joints par Saint-Joseph et l’Enfant Jésus qui bénissaient le monde, puis Marie devint Notre-dame des Douleurs, joint par Jésus qui bénissait à son tour le monde, puis Marie devient Notre-Dame du Carmel.

C'est à l'image que les élus verront la délivrance dans les châtiments alors que les non croyants verront leurs fins atroces.

La dernière apparition se termine par ND du Carmel.

Or le Carmel, c’est aussi le 16 juillet 1878 pour la 18ème et dernière apparition à Lourdes.

Cela fera 147 ans en 2025.

Et 147 divisé par 3,5 donne 42 pile.

N’oublions pas que la fête du Carmel du 16 juillet est liée au prophète Élie (Élie, le précurseur, voir analyse du 8 avril 2022).

Dans le livre des rois, Élie a le pouvoir de faire pleuvoir, ou bien de retenir la pluie, tout comme les 2 témoins de l’Apocalypse, c’est à dire d’ouvrir le passage pour recevoir les grâces sanctifiantes en cette fin des temps.

Énoch et Élie représentent les deux témoins de l’Apocalypse, les deux colonnes dans le songe de Don Bosco sur la fin des temps.

Ce qui est confirmé à la Salette :

« L’Église sera éclipsée, le Monde sera dans la consternation. Mais voilà Énoch et Élie remplis de l’Esprit de Dieu ; ils prêcheront avec la force de Dieu et les hommes de bonne volonté croiront en Dieu et beaucoup d’âmes seront consolées ; ils feront de grands progrès par la vertu du Saint-Esprit et condamneront les erreurs diaboliques de l’Antéchrist. »

Le chiffre 16 est un chiffre important.

Il représente la Résurrection.

Nous avons vu ci-haut que Jésus est crucifié le jour de la préparation de la Pâque, c’est à dire, dans le calendrier mosaïque, le 14 Nizan, puisque la Pâque a lieu dans la nuit du 14 au 15 Nizan.

C’était un vendredi puisque le lendemain, jour de la Pâque, tombait cette année là sur un jour de sabbat, donc un samedi.

Nous savons, toujours par les évangiles, que Jésus meurt à la 9ème heure (15h) le 14 Nizan puis est mis au tombeau avant la nuit pour ressusciter le troisième jour, à savoir le 16 Nizan au petit matin.

La résurrection à l’aube du 16 nous donne la preuve de la divinité de NSJC.

Nous avons vu que le 16 juillet, c’est aussi la date de publication de Traditionis Custodes en 2021, tentative vaine pour essayer de faire taire ce qui reste des deux témoins.

Notre-Dame du Carmel est fêtée le 16 juillet.

Le prophète Élie est fêté le 20 juillet.

Il y a trois jours et demi entre les deux fêtes…

DEUX dates importantes donc.

Récapitulons :

Le signe du figuier en Matthieu 24 se précise.

Nous entrons dans un temps très critique.

Que nous indiquent les 16 juillet et 20 juillet 2021?

Le début possible de la prêche de 42 mois des deux témoins nous menant jusqu’à leur mort/mort de l’Église?

Ce qui serait le 16 janvier 2025.

Les deux témoins étant liés à Élie, ressusciteront-ils 3 jours après la mise au tombeau, comme le Christ?

Le 20 janvier 2025… ou juste avant la venue du messie judéo-maçonnique?

Nul ne le sait.

Mais…

« Par une froide nuit d’hiver » (Padre Pio, le début des trois jours de noirceur).

16 novembre

Lettre de Mgr Strickland aux évêques réunis à Baltimore dernièrement, confirmant les propos des dernières analyses et l’urgence de la situation :
La mort de l’Église à venir.

LifeSiteNews ) — Chers évêques,

Vous êtes réunis ici aujourd'hui, apôtres d'aujourd'hui, alors que l'Église et, par conséquent, le monde sont perchés au bord d'une falaise.

Et pourtant, vous qui êtes chargés de la garde des âmes, choisissez de ne pas dire un mot du danger spirituel qui abonde. Aujourd'hui, nous sommes à l'aube de tout ce qui a été prophétisé sur l'Église et les abominations qui surgiraient en ces temps, une époque où tout l'enfer attaquerait l'Église de Jésus-Christ, et une époque où les anges déchus de l'enfer ne cherchent pas à entrer dans ses salles sacrées, mais restez à l'intérieur, regardant par les fenêtres et déverrouillant les portes pour accueillir une destruction plus diabolique.

Je pense que saint Jude pensait à des hommes comme beaucoup d'entre vous lorsqu'il décrivait des hommes qui se régalaient « ensemble sans crainte, se nourrissant eux-mêmes, nuages ​​​​​​​sans eau, emportés par les vents, arbres d 'automne infructueux, deux fois morts, arrachés par les racines, vagues déchaînées de la mer, écumant leur propre confusion ; étoiles errantes… » (Jude 1 : 12-13).

Beaucoup de gens se demandent ce qu’il faudra pour que plusieurs évêques s’élèvent enfin contre les faux messages qui circulent constamment du Vatican sous la direction du pape François, et je me pose sans cesse la même question :

QU'EST-CE QU'IL FAUT FAIRE ?

Ne savez-vous pas que Notre-Seigneur enverra ses anges vengeurs pour accumuler des charbons ardents sur la tête de ceux qui ont été appelés à être ses apôtres et qui n'ont pas gardé ce qu'il leur a donné ?

Et pourtant, presque tous, mes frères, avez assisté silencieusement au déroulement du Synode sur la Synodalité, une abomination construite non pas pour garder le dépôt de la foi mais pour le démanteler, et pourtant peu de cris ont été entendus de votre part , hommes qui devraient être prêts à mourir pour le Christ et son Église.

Le document final du Synode a été publié, mais avec le tour de passe-passe si caractéristique du Vatican contrôlé par François. En attirant l'attention sur des questions qui préoccupaient beaucoup, ils ont glissé dans ce qui a toujours été leur véritable objectif, sans que personne ne s'en aperçoive. Ce qu'ils recherchaient en premier lieu, c'était le démantèlement de l'Église du Christ en remplaçant la structure de l'Église telle que Notre Seigneur l'a instituée par une nouvelle structure de « synodalité » d'inspiration diabolique qui est en réalité une nouvelle église qui n'est en aucun cas catholique.

Nous voyons maintenant se dérouler sous nos yeux les paroles prophétiques du vénérable archevêque Fulton Sheen : « Parce que sa religion sera la fraternité des hommes sans la paternité de Dieu, il établira une contre-Église qui sera le singe de l'Église, parce que lui, le Diable, est le singe de Dieu. Elle aura toutes les notes et caractéristiques de l’Église, mais à l’envers et vidée de son contenu divin, elle sera un corps mystique de l’Antéchrist qui ressemblera en tous points au corps mystique du Christ… » (Radiodiffusion ; 26 janvier , 1947).
Avec la pression en faveur de la « synodalité », nous voyons que les ennemis du Christ nous proposent, comme le dit l'archevêque Sheen : « une nouvelle religion sans croix, une liturgie sans monde à venir, une religion pour détruire une religion, ou une la politique qui est une religion – une religion qui rend à César même les choses qui appartiennent à Dieu.

QU'EST-CE QU'IL FAUT FAIRE ?

Une compréhension rudimentaire de la papauté nous laisse avec la réalité que le pape François a abdiqué sa responsabilité de servir de gardien principal du dépôt de la foi. Chaque évêque fait cette promesse solennelle de garder le dépôt de la foi, mais l'office pétrinien existe avant tout pour être le gardien des gardiens et le serviteur des serviteurs. Saint Pierre a reçu la charge qui porte son nom lorsque, après la Résurrection, le Christ lui a demandé trois fois : « M'aimes-tu ? et saint Pierre répondit : « Tu sais que je t'aime », guérissant ainsi sa trahison alors que le Christ endurait sa Passion. Et qui est ce Jésus que Pierre prétend aimer ? Il est bien sûr la Vérité Incarnée ; ainsi saint Pierre déclare qu'il aime la Vérité. Cela nous laisse avec cette question : « Le pape François aime-t-il la Vérité incarnée par Jésus-Christ ? Malheureusement, ses actions et sa politique qui promeuvent une version relativisée de la vérité qui n'est pas du tout la vérité nous amènent à une conclusion dévastatrice : l'homme qui occupe la Chaire de Saint-Pierre n'aime pas la vérité et cherche à la remodeler à l'image de la vérité.

Il ne peut y avoir aucun évêque qui ignore les déclarations du pape François qui constituent des dénégations sans ambiguïté de la foi catholique. Par exemple, François a déclaré publiquement que Dieu veut l'existence de toutes les religions et que toutes les religions sont un chemin vers Dieu. Dans cette déclaration, le pape François a nié faire partie intégrante de la foi catholique. Combien d'âmes seront perdues si elles acceptent sa déclaration erronée selon laquelle toutes les religions mèneront au salut ? Ce que je trouve si difficile à comprendre, c'est que les apôtres des temps modernes, des hommes ordonnés pour être les gardiens de la foi, refusent de reconnaître cela et ignorent ou même promeuvent ce mensonge mortel. Chaque évêque et cardinal devrait déclarer publiquement et sans équivoque que François n'enseigne plus la foi catholique. Des âmes sont en jeu !

Par conséquent, je demande encore :

QU'EST-CE QU'IL FAUT FAIRE ?

En tant que successeurs des Apôtres, cette situation doit obliger les évêques de l’Église du Christ à répondre nous-mêmes à la question centrale : « Aimons-nous vraiment Jésus-Christ, la Vérité incarnée ? Avec un pape qui s'oppose activement aux vérités divines de notre foi catholique, la responsabilité incombe aux évêques du monde de professer leur propre amour pour Notre Seigneur, de garder le dépôt sacré de la foi et de s'opposer à toute tentative de démanteler la Vérité.

Revenons à la conversation fatidique entre notre Seigneur ressuscité et saint Pierre. Lorsque Pierre répond : « Seigneur, tu sais que je t’aime », Jésus répond : « Pais mes agneaux » et encore « Pais mes brebis ». Comment Pierre doit-il nourrir les agneaux du Christ ? Avec la Vérité bien sûr – avec Jésus-Christ Lui-même qui EST la Vérité.

Et pourtant, où sont ces hommes que le Seigneur a appelés pour faire paître ses brebis ? Où sont les successeurs des Apôtres qui ont promis de défendre les brebis au prix de leur vie ? Ils sont assis à quelques mètres de là, se tapotant le dos, écoutant des paroles dont ils savent sans aucun doute qu'ils ne sont pas la Vérité, gambadant dans les ténèbres et blasphémant la Vérité même pour laquelle les premiers apôtres sont morts.

QU'EST-CE QU'IL FAUT FAIRE ?

Vous avez des paroles de ceux qui ont parlé dans la Sainte Écriture, de la sagesse de la Sainte Tradition de l'Église et des conseils d'anciens papes et d'une grande multitude de saints selon lesquels de faux enseignants viendraient et que la sainte la foi serait attaquée, et pourtant la plupart d'entre vous sont partis au combat sans armure, et ont ensuite réagi comme quelqu'un de perplexe que sa peau ait été transpercée par des flèches empoisonnées. Vous avez reçu tout ce qui était nécessaire pour vous assurer que vos têtes ne soient pas tournées par les mensonges de Satan. Pourquoi donc êtes-vous sortis sans l'armure de Dieu ? Il est de VOTRE responsabilité, lorsque vous voyez des flèches empoisonnées du mensonge tomber sur les hommes, de les appeler et de leur dire : « Revêtez l'armure de Notre Seigneur qui est la Vérité, et vous ne serez pas blessé. »

Et aux fidèles, je pose la même question :

QU'EST-CE QU'IL FAUT FAIRE ?

Et si vos bergers ne se mobilisent pas ? Et s'ils avaient tous accepté trente pièces d'argent, et qu'ils restaient silencieux face au mensonge qui transperce encore davantage les mains et les pieds de Notre-Seigneur ? Alors, qu'est-ce qu'il faudra pour que vous parliez ?
Beaucoup pourraient dire que ce n’est pas votre responsabilité ; vous pouvez vivre la Vérité tranquillement dans votre cœur. Cependant, dire la Vérité ne peut jamais relever simplement de la responsabilité de quelqu'un d'autre, car Dieu a gravé la Vérité dans le cœur de chaque personne. La Vérité est donc la propriété de chacun en tant que don sacré de Dieu. Et personne ne pourra jamais dire qu'il n'y a pas de Vérité en eux – et jamais un homme ne pourra prétendre à juste titre que pour trouver la Vérité, il a dû la recueillir du vent, ou qu'il ne pouvait la recueillir que des paroles d'un autre. L'âme reconnaît la Vérité et s'en nourrit, et ceux qui dépérissent par manque de Vérité ne dépérissent pas parce qu'aucune part de Vérité ne leur a été donnée dans leur propre âme.

En fait, la Vérité a été réprimée encore et encore par une telle personne – et on lui a si souvent dit de « se retirer » – jusqu’à ce qu’elle n’ose plus relever la tête. Et c'est pourquoi un homme se trouve dans un état si triste et pourquoi lorsqu'il s'écrie : « Ce n'est pas ma faute si je n'avais pas de Vérité ou si je ne la connaissais pas quand je l' j'ai rencontré », il parle dans l'erreur.

Notre Seigneur Jésus-Christ, accordant le libre arbitre à ceux qu'il aime, c'est-à-dire à chaque personne sans exception, a donné le don de la Vérité à chacun d'entre nous, de sorte que s'il il y a une prédisposition dans le cœur d'un homme, alors il est la propension de l'âme à vibrer vers Sa Vérité. Par conséquent, l'âme, lorsqu'elle est privée de la Vérité, reste en sommeil jusqu'à ce qu'elle se transforme en quelque chose de froid et de dur. N'avez-vous pas vu comment même les anges des ténèbres reconnaissent la Vérité et ne peuvent faire autre chose que ce que Notre Seigneur leur commande – et pourtant ils s'efforcent de cacher la Vérité à chaque homme, jusqu'à la damnation éternelle de chacun ?

Alors je demande encore : QU'EST-CE QU'IL FAUT FAIRE ? VOULEZ-VOUS MOURIR POUR LUI ?

Mgr Joseph E. Strickland

Évêque émérite
»

Le cardinal Zen confirme que la mascarade du synode n'avait comme but de détruire l'Église et que cette dernière est maintenant « synodale »:

« I. Le Synode qui vient de s’achever ne peut être appelé « Synode des évêques ».

Sous le nom de Synode des évêques, le pape François a institué une nouvelle assemblée hybride….

Si tous les problèmes particuliers ont été écartés de la discussion et ne sont pas résolus par le Synode, à quoi aboutira le Synode de 2024 ? La victoire de la synodalité ! L’Église synodale ! Une Église inconditionnellement inclusive ! C’est-à-dire une communauté démocratique de baptisés marchant ensemble….

L’Instrumentum Laboris de la session synodale de 2024 contient la proposition de codifier l’autonomie des conférences épiscopales nationales en matière de doctrine.( !)

Allons-nous devenir comme l’Église anglicane ? Nous ne serons plus l’Église « une, catholique et apostolique » ! Nous ne serons plus l’Église ‘sainte’, parce que sans principes moraux fiables pour discerner entre la sainteté et le péché. Si cette autonomie avait été approuvée, notre Église se serait effondrée. Le Seigneur ne l’a pas permis. De nombreux fidèles, avertis du danger, ont prié. Et ils ont été exaucés. Deo gratias.

... le Pape a déclaré qu’il reconnaissait en bloc le document de conclusion du Synode et qu’il n’écrirait pas d’exhortation post-synodale.

Non. Le Saint-Père croit aux « processus » (le temps est plus important que l’espace). Commencer un processus plutôt que d’obtenir immédiatement certains résultats.

Le Synode est terminé, mais le processus a commencé ! Avec ce document final, l’Église synodale commence ; en elle, nous devons vivre !
Prions l’Esprit Saint et confions-nous à la Sainte Vierge. » (benoit-et-moi.fr) »

Mgr Vigano sur l'attitude de Bergoglio:

« ( LifeSiteNews ) — Notre Seigneur s'est associé aux pécheurs pour les convertir : pensez à Madeleine, qui était adultère, ou à Zachée, qui était percepteur d'impôts pour le compte de l'Empire romain. L'effet seul de la présence du Seigneur convertit ces âmes, qui abandonnent le chemin du péché et se convertissent à Lui. « Va et ne pèche plus. »

Le Sauveur ne cache pas la culpabilité, mais au contraire la signale comme un obstacle au salut et à la sainteté et offre sa grâce pour changer sa vie et le suivre. Parce que c'est le salut de l'âme que veut le Seigneur, et non la normalisation du péché. La bataille contre le monde, la chair et le diable se mène et se gagne d'abord en reconnaissant l'ennemi et en s'armant pour pouvoir le renverser.

Les connaissances de Bergoglio sont tout le contraire. Il ne s'intéresse pas au salut des âmes, qu'il encourage en réalité au péché et au scandale public. Sa « sympathie » pour les ouvriers d’iniquité est affichée, tout comme son aversion pour ceux qui servent fidèlement Notre Seigneur.

Bergoglio s'approprie l'enseignement et l'exemple de Notre-Seigneur, s'attribuant l'autorité de déclarer ce qui est bien et ce qui est mal – prérogative exclusive de Dieu.

Il ne dit pas « Va et ne pèche plus », mais « Dieu t'aime tel que tu es ». Mais il ne dit pas ça à tout l'monde ! Il existe des catégories de « pécheurs » qui doivent changer : les rigides, les arriérés, les catholiques qui s’opposent à l’apostasie.

Pour Bergoglio, le péché n'est pas contre Dieu, mais contre l'anti-décalogue de « l'Église conciliaire et synodale » et contre l'agenda mondialiste. C'est donc impardonnable. Dieu peut être nié, offensé, blasphémé et contredit, mais pas Bergoglio. Ce mensonge, raconté par celui qui prétend être le Pape, trahit le mandat du Christ et la confiance des fidèles, montrant cet usurpateur tel qu'il est réellement.

C'est ce qui rend l'action de Bergoglio non seulement frauduleuse, mais fondamentalement « antichristique ». »

On ne peut nier à la lecture de ces derniers articles que le temps presse et qu'il y a un décompte sur le court terme pour l'ultime période de conversion.

La mort de l'Église nous sera donc confirmée très bientôt avec les décrets de Bergoglio liés à la synodalité installée et, on le répète, à «  la constitution apostolique Episcopalis communio du 18 septembre 2018, François a introduit la possibilité d’attribuer un caractère magistériel aux documents finaux du synode. (voir analyse du 31 octobre) ».

Quand on gouverne par décrets, c'est signe qu'on est dans une dictature.

14 novembre

LA FIN DE LA PAPAUTÉ

Le rapport final du synode des synodes ne peut être compris qu’en le comparant au plan judéo-maçonnique, puisque Bergoglio n’est qu’un valet mis en place pour le dernier acte, le quatrième coup de canon de Pike.

Le rapport confirme la fin de l’autorité de la papauté par le simple évêque de Rome, et l’annonce de la mort de l’église.

C’est le calendrier de l’ennemi qui dicte la fin des temps.

C’est de l’intérieur, par l’orgueil, l’égoïsme, et la haine que chutera Babylone.

NSJC attends le moment opportun afin de sauver le plus d’âmes possibles.

« P. Joachim Heimerl von Heimthal

Vous avez peut-être aussi été surpris lorsque le pape François a déclaré pour la première fois que la « synodalité » faisait partie de la nature de l’Église. Après tout, à ce jour, personne ne sait ce qu’il associe à ce terme, et il n’apparaît nulle part dans l’histoire de l’Église.

Lorsque François a ensuite convoqué le « Synode biennal sur la synodalité », vous avez été peut-être encore plus surpris, et probablement aussi par ses résultats, qui sont maintenant disponibles dans le document final.

Mais qu'est-ce qui se cache derrière tout ça ou qu'est-ce qui, selon Goethe, est « le nœud du problème » ?

En termes simples, ce que François appelle « synodalité » n'est qu'un système complexe de mensonges, et le « synode sur la synodalité » était lui-même un mensonge : ce n'était pas un « synode des évêques » car un le quart des participants n'étaient pas des évêques, mais des laïcs.

D'ailleurs, aucun « synode des évêques » n'a d'autorité, qu'on veuille l'attribuer au « Saint-Esprit » ou au « sens de la foi des fidèles ». C'est d'autant moins vrai que François a occupé stratégiquement le synode ; les résultats étaient clairs dès le départ.

Un tel « synode » n'est qu'une chose : c'est une étiquette frauduleuse de la part du pape, et il montre de manière choquante à quel point François utilise naturellement le mensonge.

En fin de compte, ce « synode des évêques » était en quelque sorte un super mensonge, c'est pourquoi, dans notre contexte, on l'appelle « mensonge papal numéro 1 ».

Le « mensonge papal numéro 2 », par contre, était que François avait toujours souligné que la « synodalité » n’était pas un processus politique mais véritablement « spirituel ».

Qu'un pape puisse prescrire des « épreuves spirituelles » est évidemment douteux, car même un concile ne se considérerait pas comme une « épreuve spirituelle ».

Cependant, son document final démontre que le « Synode mondial » n’est pas un processus « spirituel », mais purement politique : les résultats des votes individuels sont énumérés point par point et les décisions sont prises à la majorité.

Il va sans dire qu'il s'agit d'une méthode purement politique et non spirituelle, et cela s'applique également au fait qu'on ne peut pas voter sur l'Église et sur la foi. Ce n'est certainement pas le cas si l'on considère que dans l'histoire de l'Église, il n'était pas rare que des minorités s'accrochent à la foi révélée, par exemple à l'époque de l'arianisme .

Le « mensonge papal numéro 3 » est cependant plus difficile à comprendre car il concerne ce que François appelle habituellement le « discernement ».

Selon lui, cette « distinction » est constitutive des processus « synodaux ». Ce que le Pape entend par « distinction » n’est pas, comme toujours, clair. Ce qui est clair, cependant, c'est qu'à la fin du « Synode », il a lui-même renoncé à toute forme compréhensible de distinction et, en bref, a déclaré que les résultats majoritaires du Synode faisaient partie du magistère pontifical.

Mais ce faisant, il a donné au « Synode » une autorité qu’il n’a pas et qu’aucun pape ne pourra jamais lui attribuer. Car même s'il s'agissait d'un véritable « synode des évêques », il aurait eu au mieux un caractère consultatif (!), et même le pape lui-même n'aurait pas pu y changer. Il ne peut pas céder ou simplement partager avec des tiers l'autorité qu'il a reçue du Christ.

En d'autres mots : François a remplacé le magistère papal par un nouveau magistère qui n'existe pas vraiment et qui se reflète dans les résultats des votes d'un pseudo-synode des évêques. À cet égard, la conclusion du « Synode » a été une étape historique, et le « mensonge papal numéro 3 » s’est avéré être un acte d’arbitraire papal et une trahison de sa propre fonction.

Cependant, en raison du caractère systématique du mensonge, le pape s'est placé dans une situation précaire : de nombreuses déclarations contenues dans le document final du « Synode » sont incompatibles avec la foi catholique.

Ils témoignent de la rapidité avec laquelle le catholicisme s'est évaporé et du soutien que François y apporte. Pour le dire un peu plus grossièrement, on pourrait aussi parler d’un « synode » hérétique et d’un « pape hérétique », ce que font désormais ouvertement de plus en plus de catholiques.

Cette dimension hérétique devient plus claire là où le Synode parle de lui-même dans le document final et crée ainsi une compréhension de l'Église qui reste purement horizontale, intra-mondaine et communautaire.

Alors qu'en revanche, selon l'enseignement catholique, l'Église est le sacrement universel du salut, l'union « synodale » se rapproche ici du « sacramentel » et trouve un parallèle sérieux avec la « célébration de l'Eucharistie » ( voir No. .27). On avance même que l'Esprit de Dieu agit dans le « Synode » de la même manière que dans la Sainte Messe, qui, au contraire, s'adresse uniquement à une communauté protestante. Le péché et la grâce ne jouent plus aucun rôle ici, le sacrifice de la croix et la rédemption ne sont même pas évoqués.

Soyons clairs : il n'y a aucune trace de la foi catholique ici, et si la « synodalité » est quelque chose, alors c'est le triomphe ultime de Luther sur l'Église.

Seul François est responsable de tout cela en établissant un « magistère » de mensonges et d'hérésies, et ce n'est pas la première fois.

L'objectif de ce « magistère » est clair : François et ses disciples veulent fonder une nouvelle Église qui ne soit plus l'Église du Christ et qui ne soit plus dans la succession des apôtres.

Cela devient plus évident dans le problème de la soi-disant « consécration de la femme ».

Dans le document final, le « Synode » et François déclarent que l'ordination des « diacres » est une question « ouverte ».

Mais comme bien des choses, c'est aussi un mensonge, car les apôtres n'ont mis la main que sur les hommes, et l'Église s'est à juste titre vue engagée au fil des siècles dans cette tradition apostolique.

C'est pour cette raison qu'il n'y a jamais eu de « diaconesses » valablement ordonnées et il aurait été du devoir du Pape de clarifier définitivement ce point, au plus tard à la fin du synode.

Mais c'est exactement ce que François a choisi de ne pas faire et a plutôt approuvé le mensonge flagrant de son « Synode ».

La question apparemment « ouverte » devrait maintenant être clarifiée plus tard par les experts, mais cette démarche cache aussi un autre mensonge : la foi de l'Église n'est jamais ce que pensent les experts individuels, mais seulement ce que croit l'Église dans son ensemble, ce que croit l'Église dans son ensemble. Cela signifie que selon la pratique apostolique, seuls les hommes peuvent être ordonnés.

François et son « Synode » sont loin d'être des vérités de foi aussi claires. Le mensonge ne mène jamais à la vérité et jamais à Jésus-Christ, qui a dit clairement devant Pilate : « Quiconque est de la vérité entend ma voix » (Jean 18 :37). –

En revanche, on préfère ne pas écouter la voix de François et de son synode. Les mensonges synodaux nous éloignent du Christ et de son

Église. Rappelons-nous : peu avant le « Synode », François lui-même a nié le seul salut par le Christ, et avec cela TOUT a été dit sur lui et sur son « Synode ». (stilumcuriae.com)

« les résultats majoritaires du Synode faisaient partie du magistère pontifical … On avance même que l'Esprit de Dieu agit dans le « Synode » de la même manière que dans la Sainte Messe, qui, au contraire, s'adresse uniquement à une communauté protestante. Le péché et la grâce ne jouent plus aucun rôle ici, le sacrifice de la croix et la rédemption ne sont même pas évoqués.

Soyons clairs : il n'y a aucune trace de la foi catholique ici, et si la « synodalité » est quelque chose, alors c'est le triomphe ultime de Luther sur l'Église. »

Le processus synodal cache un coup d’État.

«  la constitution apostolique Episcopalis communio du 18 septembre 2018, François a introduit la possibilité d’attribuer un caractère magistériel aux documents finaux du synode. (voir analyse du 31 octobre) »

Ce n’est pas une possibilité.

Il l’a fait avec le rapport du synode des synodes.

Donc, tout confirme de plus en plus, dont le P. Joachim Heimerl von Heimthal ci-dessus, que l’église catholique en est à son dernier souffle puisque le rapport a un caractère magistériel.

Il s’applique.

Point.

Selon le regretté Louis D’Alencourt du Grand Réveil et les écrits d’Albert Pike, le grand pontife luciférien (voir l’article du Grand Réveil sur les coups de canons), « la lutte terrestre durera encore un an avant le quatrième coup de canon. »

Le quatrième coup de canon est l’abolition définitive de la papauté.

D’après le texte de Pike, le dernier pape « se convertira à la religion de Lucifer et fera cause commune avec l’Antéchrist. »

« Albert Pike et le livre Apadno nous donnent une clé :

« Jérusalem tressaillira de joie, car celui de ses fils qui pour commander aux adorateurs d’Adonaï avait fermé les yeux à la lumière, recouvrera la vue, déposera le triple diadème maudit et mettra son honneur à travailler à l’œuvre du rempart de Dieu, du Dieu le meilleur et le plus grand. »

Explication : Jérusalem, dans le langage biblique, c’est l’Église.
Adonaï c’est le nom que donnent les palladistes au Bon Dieu, et celui qu’ils appellent Dieu c’est Lucifer et la lumière c’est la sienne.

Toute la difficulté avec l’adversaire, c’est qu’il garde les mêmes termes, mais en leur donnant un sens inversé. On retrouve donc les mots de catholique, lumière, miséricorde, Dieu etc… mais ils n’ont pas le même sens dans leur bouche que dans la nôtre. C’est très subtil et très déstabilisant car ils usent des mêmes descriptions.

Diana Vaughan explique qu’il s’agit « du dernier pape des catholiques » et que « Par le rempart de Dieu, on désigne le frère [maçon] qui occupera le souverain pontificat luciférien, au temps de la mission publique de l’Antéchrist ».

Voilà.

Benoît XVI a eu à déposer la tiare de force pour faire monter le frère maçon sur le trône.

Bergoglio est le destructeur.

Plus besoin de preuves.

Il court à sa perte et décédera bientôt car nous sommes dans le temps de la moisson.

Car on sait avec les dernières analyses que, et la clique judéo-maçonnique, et les chiites provoquent la guerre pour faire venir leurs messies respectifs.

Or,  « la justice divine s’abattra sur le monde au moment où l’Antéchrist (le Messie des juifs) apparaîtra, selon la Salette :

« Voici la bête avec ses sujets se disant le sauveur du monde. Il s’élèvera avec orgueil dans les airs pour aller jusqu’au Ciel ; il sera étouffé par le souffle de saint Michel archange. Il tombera, et la terre qui, depuis trois jours sera en de continuelles évolutions, ouvrira son sein plein de feu ; il sera plongé pour jamais avec tous les siens dans les gouffres éternels de l’enfer. »

La bête qui se dit le sauveur du monde et qui s’élève avec orgueil dans le ciel : n’est-ce pas là l’exacte description de la synagogue de Satan obtenant le pouvoir spirituel des mains du pape lui-même, comme si elle accédait enfin à l’échelle de Jacob? »

Remarquez : la terre sera en de continuelles évolutions pour la purification par le feu.

Trois jours.

Comme prophétisé par le Padre Pio.

C'est donc dire que nous approchons rapidement da la mort de l'Église et des deux témoins de l'Apocalypse.

À la neuvième heure, comme le Christ au vendredi Saint, l'Église, avec toute l'humanité ira au tombeau pour trois jours.

On compte maintenant en termes de mois, semaines et puis jours.

Ce qui est confirmé dans les prophéties de Jean XXIII :

- la terre détruira le ciment (prophétie concernant Benoît XVI)
- L’Asie en flammes (prophétie La Foudre en Plein Jour)
- Dieu a déchaîné la guerre de la nature pour empêcher la guerre des hommes. (prophétie Grand Éclair à l’Orient)

Il est clair que la terre entrera en convulsions.

D’ailleurs, il y a 69 volcans actifs présentement, beaucoup plus que la moyenne de 45 des dernières années.

Louis D’Alencourt :

« Sur le calendrier de l’Antéchrist

Le livre Apadno continue :

« Mais il y aura encore des millions d’aveugles, le rameau d’olivier se changera en épée, et la lutte terrestre durera un an, jusqu’au quatrième coup de canon, qui sera tiré dans l’île de la vengeance. »

Là c’est intéressant car nous apprenons qu’il leur faudra encore un an avant de se déclarer vainqueurs.

Diana Vaughan explique :

– « Le quatrième coup de canon, c’est l’abolition définitive du pouvoir spirituel de la papauté chrétienne » ;

– « L’île de la vengeance, c’est l’île de Malte » . Pourquoi Malte ? Parce que les palladistes estiment que les chevaliers de l’ordre de Malte, rivaux des Templiers, ont obtenu après leur disgrâce la plus grande partie de leurs richesses. » (legrandreveil.com – le plan de satan)

Un an.

C’est le délai nécessaire pour faire accepter l’abolition de la papauté à la petite cuillère, sans provoquer trop de remous, par l’application des rapports des dix comités du synode à venir.

« Le rameau d’olivier se changera en épée » et il y aura lutte terrestre; pour faire adhérer les « millions d'aveugles ».

C’est bien une référence à la guerre.

Pour les prochains mois, semaines, sinon jours?

Netanyahou a avertit l’Iran qu’au prochain missile tiré vers Israël, ces derniers attaqueront les sites nucléaires et pétroliers iraniens.

Le futur président américain a donné son aval.

Les bombes nucléaires israéliennes sont dissimulées dans des sous-marins afin de les soustraire à l’intelligence militaire ennemie :

« Selon des sources étrangères, Israël possède entre 80 et 200 armes nucléaires, y compris la capacité de tirer depuis des sous-marins, ce qui rend presque impossible la destruction de toutes les armes nucléaires signalées par Israël lors d'une première frappe sur son territoire . (jesuralempost.com)

Quels sont les liens avec les prophéties de Jean XXIII?

Plusieurs.

N’oublions pas que les prophéties « Grand Éclair à l’Orient », « Le Temps est Proche « et la « Foudre en plein jour » sont toutes reliées à un éclair, de la foudre.

La foudre en plein jour, de l’Orient, lorsque l’Islam sera divisé, avec le premier jour de malheur d’Europe, lorsque l’ennemi partira de la « petite île de la Méditerranée ».

Le grand éclair à l’Orient où la terre frisera le massacre, où les véritables assassins sont en Europe et veulent la Méditerranée.

Le temps est proche ou la chute de Babylone où « Dieu a déchaîné la guerre de la nature pour empêcher la guerre des hommes.»

Les prophéties de l’Église :

Concernant François où « Le grand frère d'Orient fera trembler le monde par la croix renversée sans les lis. »,  donc la guerre et où la mère est devenu orpheline.

Concernant la prophétie #11 « Le 7ème sceau » : il y a guerre entre les peuples et dans l’église.

Le grand éclair à l’Orient représente probablement le signe des trois jours de noirceur : le signe de Jonas, le seul signe que nous aurons.

Ou selon Malachi Martin qui avait prédit un signe dans le ciel, à l’est, selon ce qu’il avait lu du troisième secret de Fatima.
Il affirmait que le signe dans le ciel nous montrerait que Dieu existe quant il déclara en 1997 que « le grand facteur déclenchant aura lieu dans le ciel. Observez toujours le ciel. Le signe de la Vierge apparaîtra dans le ciel, et c’est pour bientôt. D’ici les 10 ou 20 prochaines années. Ce sera un choc pour tout le monde. Cela montrera que Dieu existe. Lorsqu’un jour de printemps, vous verrez dans le ciel un signe, comme une aurore boréale, tout commencera… »

C’est un signe de la Vierge donc de la dame de l’Apocalypse avec les deux pieds sur la lune : « Puis il parut dans le ciel un grand signe : une femme revêtue du soleil, la lune sous ses pieds, et une couronne de douze étoiles sur sa tête ».

Jean XXIII utilise les termes suivant dans la prophétie du 7ème sceau : « Attendez le signe de Jean. L'agneau est prêt. Signez-vous sept fois avec une main fatiguée et attendez. La lumière vient encore de l'Occident. »

Le signe de Jean : la dame de l’Apocalypse ou l’image de Notre-Dame de Guadelupe.

La Vierge Marie voile le soleil de son manteau et la lune des ses pieds.

Padre Pio dans la prophétie des trois jours de noirceur confirme que le soleil sera voilé par un matin froid d’hiver.

Malachi Martin parle d’un jour de printemps.

Puisque cela confirmera l'existence de Dieu, ce ne peut qu'être qu'un phénomène divin.

Le Jubilé 2025 est la dernière chance de conversion.

Une grâce de Dieu quoiqu’en fasse les faux prophètes au Vatican.

« Car, comme l'éclair part de l'orient et brille jusqu'à l'occident, ainsi en sera-t-il de l'avènement du Fils de l'homme. » (Matthieu 24, 27)

11 novembre

« Je tiens à vous dire que le peuple juif a une longue mémoire ; nous nous souvenons donc de la proclamation du grand roi Cyrus le Grand, le roi perse, il y a 2 500 ans. Il a proclamé que les exilés juifs à Babylone pouvaient revenir et reconstruire notre Temple à Jérusalem.

Nous nous souvenons qu'il y a cent ans, Lord Balfour a publié la proclamation Balfour qui reconnaissait les droits du peuple juif sur sa terre ancestrale.

Nous nous souvenons qu'il y a soixante-dix ans, le président Harry S. Truman a été le premier dirigeant à reconnaître l'État juif.

Et nous nous souvenons qu'il y a quelques semaines, le président Donald J. Trump a reconnu Jérusalem comme capitale d'Israël. Monsieur le Président, notre peuple s'en souviendra à travers les âges. » (Benjamin Nétanyahou - voir analyse du 28 octobre)

Effectivement, le futur président Trump a déjà eu plusieurs conversations depuis son élection avec le premier ministre israélien concernant la Palestine et l’Iran.

Il a clairement confirmé qu’il ressaiera l’étau sur l’Iran par des mesures économiques encore plus drastiques, tout en affirmant qu’il est hors de question que l’Iran accède à la bombe nucléaire.

« Ces derniers jours, Nétanyahou a eu trois conversations téléphoniques avec Trump. De quoi ont-ils discuté? Entre autres d’attaques contre les installations nucléaires iraniennes.

«Nous sommes d’accord sur la menace iranienne dans tous ses aspects et sur le danger qu’elle pose», a déclaré hier le premier ministre israélien.

Nétanyahou vient aussi de nommer un nouveau ministre de la Défense, Israël Katz. Ce dernier a déclaré que la destruction des infrastructures nucléaires iraniennes était sa priorité… » (journaldemontreal.com)

Ainsi, « Les responsables de la Défense craignent que l'Iran n'agisse contre Israël avant le retour de Trump à la Maison Blanche

Les services de renseignement ont commencé à intensifier le partage de renseignements et les évaluations de la situation avec l’armée américaine pour éviter de négliger des développements critiques.

Des inquiétudes ont été exprimées au sein de l’establishment de la défense israélienne quant au fait que l’Iran pourrait tenter d’exploiter la période précédant le retour au pouvoir de l’ancien président américain Donald Trump pour agir contre Israël.

Les services de renseignement ont commencé à intensifier le partage de renseignements et les évaluations de la situation avec l’armée américaine pour éviter de négliger des développements critiques.

Les responsables soulignent que les dirigeants politiques israéliens doivent comprendre la politique iranienne proposée par Trump pour façonner leur propre stratégie militaire et diplomatique. Plusieurs membres de la communauté de la défense estiment que les efforts diplomatiques visant à freiner les ambitions nucléaires de l'Iran « ont atteint leur terme ».

Certains responsables de la défense rappellent la déclaration de Trump lors d'une récente convention : « L'Iran n'aura pas d'armes nucléaires », tout en ajoutant que s'il était élu, il viserait à mettre fin aux guerres plutôt qu'à à en déclencher de nouvelles. Des questions demeurent quant à ses méthodes envisagées.

Lors de discussions privées, des sources ont déclaré que Trump avait confié à ses associés que s'il avait eu quelques mois de plus au cours de son premier mandat, il aurait imposé des sanctions supplémentaires pour déstabiliser l'économie iranienne. Maintenant, la question pour Israël est de savoir si le gouvernement du premier ministre Netanyahu s'alignera sur Trump sur une nouvelle série de sanctions contre l'Iran ou s'il fera pression en faveur d'une initiative militaire plus large ciblant les installations nucléaires iraniennes.

Jusqu'à présent, Trump n'a pas fourni de politique détaillée sur le programme nucléaire iranien... » (jerusalempost.com)

Il ne reste pas beaucoup de temps pour se convertir au Christ.

Le 24 décembre prochain, s’ouvrira le Jubilé 2025.

Ce jubilé, c’est l’occasion de faire pénitence en se remémorant les 2025 années depuis la naissance du Christ.

Le symbole approprié d’un jubilé est l’ouverture des portes saintes, et non un logo aux origines douteuses, ni à une mascotte issue des pires valeurs inversées du système antichrist pour justement, séduire la jeunesse selon le Vatican.

La porte est l’image temporelle de l’ouverture de la porte spirituelle qu’est le Christ, qui mène au Salut.

Le pénitent durant le Jubilé confirme son baptême en reconnaissant la seule porte valable, le Christ.

En 2024, année où tout bascule, c’est une donc une porte spirituelle qui s’ouvre.

Une étape cruciale de la fin des temps menée par la Sainte Vierge pour le retour de son Fils.

Mais le Vatican ne l’entends pas ainsi.

Le Jubilé 2025 sera l’occasion de célébrer le synode des synodes, avec le dépôt des rapports des dix comités sur les questions brûlantes du synode pour la fin juin, en plus des surprises que nous réservent Bergoglio, tel l’interdiction de la messe tridentine et l’annonce d’une nouvelle messe œcuménique.

2025 est donc l’année du choix.

Pour ou contre le Christ.

Effectivement, on le répète, tout doit être conclu avant mai 2026 si la prophétie de Don Bosco est véridique, c’est à dire le retour du Lys de paix avant mai 2026.

Rappelons que pour le jubilé 2025, Bergoglio a créé une Commission pour les témoins de la foi qui fait référence au grand jubilé de Jean-Paul II de l’an 2000, où il a voulu mettre en lumière ces hommes et ces femmes qui, bien que non canonisés, ont manifesté avec force leur foi.

« Qui sont les témoins de la foi?

Permettez-moi de donner un exemple: celui qui me vient immédiatement à l’esprit est Dietrich Bonhoeffer (1906-1945), un théologien et pasteur d’église luthérien qui a été tué parce qu’il s’opposait au nazisme. L’Église ne le proclame pas martyr parce qu’il n’était pas catholique. »

«Dans un monde où il semble parfois que le mal l'emporte - conclut François - je suis certain que l'élaboration de ce catalogue, également dans le contexte du Jubilé imminent, aidera les croyants à lire notre époque à la lumière de Pâques, en puisant les raisons de vivre et de faire du bien dans le trésor de la fidélité généreuse au Christ». (vaticannews.va)

C'est encore l'utilisation du double sens, de l'ambiguïté bergoglienne.

Il utilise  « à la lumière de Pâques » et saisit l'occasion en 2025 pour inviter à progresser « vers l’unité visible », en s’accordant sur la date de Pâques, que catholiques et orthodoxes célébreront le 20 avril en 2025, pour promouvoir l'oecuménisme.

On célèbre donc tout autant le protestantisme lors du Jubilé, en fait, l’humanisme.

Car le thème principal du Jubilé 2025 « pélerins de l'espérance » est l'oecuménisme.

C’est ce qu’on constate en examinant le calendrier des célébrations du Jubilé (holyart.fr).

C'est ce qu'on constate avec l’itinéraire européen, un des trois itinéraires de pèlerinage proposés à Rome. qui aura un caractère œcuménique, le Jubilé coïncidant avec les 1700 ans du Concile de Nicée (325), premier concile christologique.

Les pères conciliaires de Nicée n'auraient sûrement pas été d’accord avec cette récupération œcuménique.

Ainsi les 28 églises et basiliques de cet itinéraire comptent des églises non-catholiques, comme l’église San Teodoro du patriarcat orthodoxe grec, ou encore l’église luthérienne allemande.

Ce n’est que la suite du synode de la miséricorde infinie de 2016 pour l'humanisme, où tous doivent être inclus, Bergoglio éliminant à cette occasion la notion de péché.

Le Jubilé 2025 n’est pas représentatif des Jubilés passés.

Il n’est pas représentatif de l’Église catholique.

Tout comme le synode des synodes.

Mgr Joseph Stickland :

« ( LifeSiteNews ) — L'évêque Joseph Strickland a adressé une réprimande cinglante au Synode sur la synodalité tout en appelant les catholiques à s'opposer à ceux qui suivent les traces de Judas Iscariote.

« Il y a des menaces à l’horizon. Ce Synode sur la Synodalité, je le rejette, parce qu'il n'est pas catholique. De nombreuses voix ont déjà dit que ce n'était pas l'Église catholique », a fait remarquer Son Excellence lors de la couverture de la soirée électorale de LifeSite, mardi soir. "Nous sommes à une époque où Judas Iscariote lève sa vilaine tête."

Tout en exhortant les catholiques à travers les États-Unis à « être forts et joyeux dans la vérité », Stickland a en outre déclaré à l'animateur John-Henry Westen qu'il s'agissait d'un « moment critique pour cette nation et… pour l'Église universelle » car il y a « des menaces pour cette universalité ». qui viennent malheureusement de Rome même, du Vatican.

« Nous sommes en territoire dangereux pour cette nation, mais plus important encore, et de manière plus critique, je crois, pour la foi catholique », a-t-il poursuivi. « La foi catholique, l'Église catholique, ne s'effondrera pas. Le Christ a promis qu'il prévaudrait contre les portes de l'enfer jusqu'à la fin des temps. Mais « s’il s’agit de nous opposer à un prêtre, à un évêque ou à quelqu’un du Vatican qui proclame un faux message, nous devons être des disciples suffisamment forts de Jésus-Christ pour dire : « Non. On vit la vérité qui est Christ. Il est la vérité incarnée.

Strickland a maintenu un profil public actif depuis qu'il a été démis sans cérémonie par le pape François de son poste d'évêque de Tyler, au Texas, pour son soutien à la messe latine, entre autres choses. Il a pris la parole au Forum sur la vie de Rome cette année et a continué à fournir des conseils pastoraux aux catholiques à la recherche de conseils fiables sur un large éventail de questions. En août, il a publié une déclaration énergique rappelant les prétendues paroles de Notre-Dame de Fatima selon lesquelles il y aurait « une apostasie qui commencerait au sommet » de l’Église.

Strickland a aussi dit à Westen que Judas Iscariot voulait « une fraternité mondiale des hommes », mais qu'un tel « royaume sur terre » était « contraire à ce que Jésus-Christ a proclamé ».

« Nous avons l’occasion de combattre les ténèbres, le mal et les faux messages qui affectent et infectent même l’Église », a-t-il expliqué.

« On doit devenir forts. On doit être clairs. Nous devons prendre la parole et ne permettre à personne en poste ou en chaire de dire quelque chose qui n'est pas fidèle au Christ et laisser tomber cela.

Strickland a en outre appelé les catholiques à prier devant le Christ dans le Saint-Sacrement et à « arrêter de faire des compromis » avec ceux qui sèment l’erreur et à « proclamer clairement quelle est cette vérité parce que trop de gens se trompent » .

6 novembre

L’EMPEREUR EST DE RETOUR

Difficile d’imaginer ce dénouement il y a quelques années lors de la défaite de 2020 qui changeait la donne quant à la prophétie politique « Le temps est proche » où deux empereurs qui occupent le pavé géopolitique vont à leurs déchéances en même temps...

Que la guerre interne au Vatican.

Cette victoire de Trump ramène donc l’empereur et signifie donc une chose : nous entrons dans une ère de chaos et de vengeance.

La dominance mondiale des États-Unis va s’effriter rapidement pour mener à la chute de Babylone.

Ce sera très rapide, comme l’affirmait le regretté Louis D’Alencourt du Grand Réveil dans ses analyses.

Pourquoi?

L'explication de Louis:

«  Que ce soit une sorte de sauveur remplaçant Biden au pied levé avant ou après son élection, je pense que cette nouvelle ère sera mort-née et que l’Amérique est déjà condamnée, car si contre toute attente Trump est élu, la situation sera insupportable pour le comité des 300, tous leurs projets annoncés tombant à l’eau, donc ils sont capables de tout envoyer en l’air, et si Trump n’est pas élu, le pays basculera dans la guerre civile, les Républicains refusant certainement la triche pour une seconde fois. » (grandreveilwordpress.com - Projet 47)

L'élite judéo-maçonnique ne peut attendre trop longtemps.

Leur messie doit venir par un sacrifice sanglant, le sacrifice de l'humanité pour la survie de l'élite et sa progéniture.

Les faucons israéliens montent déjà aux barricades et demandent l'attaque immédiate avant la date du 20 janvier 2025, date de passation des pouvoirs entre présidents. (clin d'oeil au Projet 47: Satan singe Dieu et il y 77 jours entre la date du 5 novembre et le 20 janvier 2025)

Ils veulent profiter du fait que Biden a les mains liées.

Comme signe potentiel allumant le chaos:  la prophétie « Grand Éclair à l’Orient » a comme particularité d’être précédée par l'assassinat d’un « chef » au sud ou dans le sud des États-Unis.

« Grand Éclair à l’Orient » ne signifie pas nécessairement que c’est l’issue d’une explosion créée par l’humain.

Dieu agit et dans un monde où le surnaturel a été chassé, quoi de mieux que d’avoir une intervention divine pour montrer qu'Il existe, et pour une purification par le feu comme c’est annoncé.

On penche depuis longtemps pour une tempête majeure du soleil dans nos analyses mais qui sait ce que notre système cosmique peut encore nous réserver?

D’ailleurs, en cette confirmation électorale américaine, la complexité des taches solaires faisant face à la Terre a tellement augmentée rapidement, que la NOAA a augmenté la probabilité d’une tempête majeure de classe X à 35%.

Du jamais vu depuis belle lurette.

Normalement, cela tourne autour de 10%.

Cette tache n'a pas mis de temps à produire.

Une éjection de classe X2 a eu lieu quelques heures après le lancement de l'alerte.

Tout cela juste après le synode des synodes qui comme on l’a laissé entendre signifierait la mort de l’Église, Une, Catholique et Apostolique.

Mgr Eleganti concernant le rapport du synode :

« ( LifeSiteNews ) — L'évêque suisse Marian Eleganti a averti que la décentralisation espérée du Synode du Vatican sur la synodalité de « l'enseignement et de la discipline » catholiques « serait la fin de la catholicité de l'Église ».

Dans un article récent publié sur le site Web d'Eleganti, il a souligné le fait que, comme le pape François et les principaux religieux du synode l'ont signalé à plusieurs reprises, l'un des résultats souhaités du synode est une « régionalisation culturelle de l'enseignement et de la discipline » de l'Église en contradiction avec sa pratique éternelle.

« Une condition préalable à cela est une amélioration de l'autorité doctrinale des conférences épiscopales (Dieu nous en préserve !) », a écrit Eleganti. "Ce serait alors la fin de la catholicité de l'Église si les choses étaient différentes en Pologne qu'en Allemagne ou en Afrique."

Le mot « catholique » signifie universel – ainsi, la « régionalisation de l’enseignement et de la discipline » porterait effectivement atteinte à la catholicité, ou à l’universalité, de l’Église… »

Et comme on le sait depuis longtemps, la messe est en jeu.

Le cardinal Gadecki confirme qu’on discute ardemment d’une nouvelle liturgie au Vatican, avec une « nouvelle vision » de l’Eucharistie. (vidéo sur ce sujet ici).

Une célébration plus synodale et moins centrée sur le prêtre.

Centrée sur l’humain avec une expérience plus participative.

C’est exactement la conclusion du synode amazonien, qui est entré dans une phase expérimentale de trois ans juste avant le synode 2024.

Et c’est exactement ce que permet le rapport du synode 2024 confirmant les soupçons que les évêques ont maintenant le pouvoir de faire la liturgie comme ils l’entendent, pour plaire à la base, au bon peuple.

L’église s’est convertie.

Protestantisée.

Humanisée.

« … il ne fait aucun doute que la transformation de l’Église catholique est presque achevée, et qu’elle doit finir soit par une réforme du sacerdoce, soit par une réforme de la messe supprimant la Présence Réelle, soit les deux.

Je soupçonne Rome de préparer ce projet de réforme de la messe en cachette afin de bénéficier de l’effet de surprise pour l’imposer d’un coup et autoritairement.

La mutation de l’Église catholique sera terminée, elle sera réellement morte, accomplissant doublement les prophéties, à savoir le lynchage de la grande Prostituée (l’Eglise conciliaire) et la mort des Témoins (la Tradition).

Ainsi l’Église aura achevé en totalité sa Passion, mort incluse.

Qu’on se rassure, la durée au tombeau est courte et on en connaît l’issue : la Résurrection.

Pour quand toutes ces choses-là ? Très vite après la mort de Benoît XVI, celui qui les retient. Celle-ci
ne saurait tarder.

Louis d’Alencourt, le 8 juillet 2022, en la fête de sainte Elisabeth du Portugal » ( La réforme de la messe, plan secret du Vatican
- grandreveilwordpress.com)

C’est cette période de chaos annoncée pour tenter de mettre en place le messie judéo-maçonnique.

Ainsi, Armageddon et la modification liturgique pour tenter d’éliminer la présence réelle vont de pair.

Aucune surprise ici.

Le temps est définitivement proche.

4 novembre

PROJET 47 : LE JOUR D’AVANT

Les juifs attendent toujours un messie temporel qui viendra les délivrer pour leur donner la terre promise, c’est à dire le pouvoir sur le monde, et les délivrer de la Rome moderne, alors que les chiites, Iran en tête, attendent le mahdi qui les délivrera d’Israël et du monde occidental, États-Unis en tête.

Le fonds de l’histoire est religieux.

La situation au Moyen-Orient est critique et chacun des deux belligérants pensent en sortir vainqueur parce que justement c’est une question de religion, quitte à tout détruire pour repartir à neuf.

C’est l’histoire du phœnix, la « grande réinitialisation », Tikoun Olam (voir analyses précédentes) qui guident la clique judéo-maçonnique, pour un monde unipolaire, ou multi polaire, selon les clans anglo-saxon ou russe respectivement.

Pour arriver à cette fin, il leur faut organiser un grand chaos mondial pour faire accepter le messie « humaniste » à tous, qui n’est pas un être physique en soi, mais un système car le peuple juif (lire ici la clique judéo-maçonnique) dans leur conception, est le messie, seul peuple prêtre entre les goys et Dieu.

Une journée avant les élections américaines et la finalité du projet 47 si cher au regretté Louis D’Alencourt du Grand Réveil, où en sommes nous?

L’Iran constatant que les dommages de la dernière attaque israélienne sont plus importants qu’estimés en partant, a décidé qu’elle lancera une nouvelle attaque, peut-être à partir de l’Irak.

« Le guide suprême iranien, l'ayatollah Ali Khamenei, a menacé Israël, promettant une « réponse écrasante » aux représailles d'octobre.

L'Iran prévoit une attaque complexe contre Israël, qui pourrait inclure des missiles dotés d'ogives de grande puissance, selon un article du Wall Street Journal publié lundi , citant des responsables arabes et iraniens.

Le rapport note que l’armée iranienne serait également impliquée dans cette série potentielle d’attaques.

« Nos militaires ont perdu des gens, ils doivent donc réagir », a affirmé un responsable iranien.

Il aurait ajouté que l'attaque, probablement axée sur des cibles militaires israéliennes, serait plus agressive.

Le responsable iranien a en outre ajouté que la réponse de la République islamique viendrait après les élections américaines, mais avant l'investiture en janvier d'un nouveau président. » (jerusalempost.com)

Et vendredi, les États-Unis ont annoncé de nouveaux déploiements d’avions de combats et de bombardiers, incluant des moyens de défense contre les missiles balistiques.

Tout en avertissant désormais Téhéran « qu’ils « ne seront pas en mesure de retenir Israël » si la République islamique riposte, ont déclaré samedi à Axios des responsables américains et israéliens.

« Nous avons dit aux Iraniens : nous ne pourrons pas retenir Israël, et nous ne pourrons pas garantir que la prochaine attaque sera calibrée et ciblée comme la précédente », a déclaré le responsable américain. » (zerohedge.com)

Il est donc clair que les américains avaient demandé à Israël d’y aller avec une riposte modérée le 26 octobre dernier.

Les indices sont donc évidents que la porte du chaos ouvrira pleinement suite à l’élection américaine demain.

Pour les prophéties de Jean XXIII, c’est le « Grand Éclair à l’Orient » où une frappe arrivera par surprise (Israël attaquera-t-elle avant, sachant que l’Iran a confirmé la semaine passée qu’il se lance dans l’armement nucléaire?) et que la terre frisera le massacre, tout en enflammant l’Europe au passage.

Lorsque L’Europe demande  à tous 72 heures de stocks d’autosuffisances, c’est qu’il y a anguille sous roche (insolentiae.com)

C’est la chute prévue de Babylone dans le calendrier de la fin des temps de l’Apocalypse, et des deux Babylone de Jean XXIII dans la prophétie de Benoît XVI : « La terre détruira le ciment »

Ce sera aussi la « guerre de la nature » de la prophétie politique #32 « Le temps est proche » où deux empereurs règnent, et qui vont à leurs déchéances.

Pour nous chrétiens catholiques qui font partis des « deux témoins » fidèles à la Loi et aux Prophètes, la chute de Babylone est le signe d’une grande épuration avant la seconde venue de NSJC.

C’est le châtiment des méchants, la délivrance de ce monde pourri.

C’est la séparation du bon grain de l’ivraie.

C’est l'important d'avoir conservé la Foi comme demandé dans la parabole des vierges folles.

Notre seule arme est le Rosaire.

La seule attitude à avoir est de se retirer de Babylone par la prière comme l’a indiqué le Christ en Matthieu 24.

Le signe de Jonas, le seul que nous aurons, approche.

Gardons la Foi et l’Espérance.

Nous rajoutons des liens de la prière du premier samedi du mois et du Saint Rosaire en début de page ci-haut.

2 novembre

Réaction du cardinal Burke sur le rapport final du synode des synodes :

« CITÉ DU VATICAN ( LifeSiteNews ) — Le cardinal Raymond Burke a déclaré que les propositions du Synode sur le document final de la synodalité sont « extrêmement gênantes et dangereuses »…

Le document, adopté par le pape François plutôt que d'être utilisé pour rédiger une exhortation apostolique, contient des plans pour une gouvernance laïque accrue, une liturgie synodale, et soutient que le diaconat féminin est une question qui « reste ouverte ».

Mais Burke a critiqué l'événement et le texte, réitérant son argument de longue date selon lequel le synode a un objectif indéfini : « Personne n'a été capable de définir ce qu'est la synodalité – c'est devenu une sorte de lieu réservé pour avancer.

François ayant adopté le document final du synode dans le magistère papal, cela signifie que l'organe consultatif – composé de clercs et de laïcs – est en fait devenu un organe d'enseignement. Burke a rejeté l'idée selon laquelle le synode est une « marque essentielle de l'Église », tout en admettant qu'il reste une place appropriée pour la consultation au sein de la sphère ecclésiale :..

Le document final du synode a lancé un appel fort à la mise en œuvre d'un rôle accru des laïcs à travers l'Église, notamment en ce qui concerne la gouvernance. Certaines limites supplémentaires seraient également imposées au pouvoir papal, le document affirmant qu'un pape ne peut pas « ignorer une direction qui émerge d'un discernement approprié au sein d'un processus consultatif, surtout si cela est fait par des organismes participatifs ».

Interrogé par Arroyo sur ces commentaires, Burke a déclaré que « les gens qui font ce genre de propositions devraient être capables d'exprimer de manière articulée, claire et compréhensible pour les fidèles catholiques ce que cela signifie, sinon c'est un discours très dangereux "… »
Bref, ce rapport confirme que c’est bien la mort de l’église, la structure de décision se laïcisant est un démantèlement annoncé, à la sauce du synode amazonien.

« Une liturgie synodale » confirme le cardinal Burke.

La liturgie est bien en jeu contrairement à ce qu’affirmait le cardinal Hollerich à la fin du synode: « Interrogé sur ce point lors du briefing synodal de samedi soir, Hollerich a déclaré qu’il n’y avait aucun projet de « révolution » liturgique. »

Pour ceux qui se demande ce qui est arrivé avec la comète de la fin du synode, et bien, à l’image de la fausse église qui disparaîtra avec la venue de la Lumière , elle s’est évaporée à l’approche du soleil.

01 novembre

Il semble finalement que l’Iran frapperait Israël prochainement, peut-être avant les élections américaines.

« Les renseignements israéliens suggèrent que l'Iran se prépare à attaquer Israël depuis le territoire irakien dans les prochains jours, peut-être avant l' élection présidentielle américaine du 5 novembre, a rapporté jeudi Axios, citant deux sources israéliennes non identifiées.

L'attaque devrait être menée depuis l'Irak en utilisant un grand nombre de drones et de missiles balistiques , ajoute le rapport Axios.
Le rapport indique que mener cette attaque par l'intermédiaire de milices pro-iraniennes en Irak pourrait être une tentative de Téhéran d'éviter une nouvelle attaque israélienne contre des cibles stratégiques en Iran.

Plus tard jeudi, un article du New York Times , citant trois sources iraniennes, a déclaré que l'ayatollah Ali Khamenei avait déjà ordonné lundi au Conseil suprême de sécurité nationale iranien de se préparer à frapper Israël… » (jerusalempost.com)

C’est donc dire qu’Israël répondrait par une attaque sur les sites les plus importants d’Iran, c’est à dire les industries pétrolières et nucléaires, comme l'avait annoncé le chef de l'IDF.

C’est bien le scénario du « Grand Éclair à l’Orient » de Jean XXIII qui se dessine à l’horizon.

Du côté de l’Église, les derniers articles sur le synode confirme que Jésus n’est plus au centre de l’Église.

L’Église semble morte.

C’est ce qu’atteste le document final du synode des synodes.

Puisque la conclusion du synode n’est que du vent, alors pourquoi avoir prolongé le synode jusqu’en 2024?

Pour célébrer via le Jubilé 2025.

Il n’y aura pas d’exhortation apostolique.

Pourquoi?

Cette manière de faire permet d’éliminer la dimension verticale des prises de décisions (via le pape, les cardinaux, les évêques,…) et laisse le libre choix aux paroisses de faire la liturgie et leur pastorale en pigeant dans les principes du rapport final pour s’adapter à la réalité de l’ « esprit missionnaire » woke qui fait l’affaire des fidèles.

Notez qu’il y a eu plus de 1200 amendements entre la première mouture du rapport et la version finale.

Ces amendements n’ont pas été inclus mais pourraient l’être selon le désir de Bergoglio et les conclusions des comités d’ici juin 2025.

Est-ce la 9ème heure qui vient de sonner?

L’Église est-elle au tombeau pour 3 jours?

Qu’est-ce que cela représente en terme de temps?

Voici d’autres réflexions sur la conclusion du synode, c’est à dire la mise en œuvre de l’agenda woke via la base :

« Père Gilles Routhier, quelle est la signification de cette annonce de François de ne pas faire suivre le synode d’une exhortation apostolique?

L'exhortation apostolique risquait de clore le synode, alors que le document final fait un pont entre ce que nous avons vécu pendant trois ans et la prochaine étape qui est l'étape de mise en œuvre. Il ne s'agit pas de clore. Il s'agit de dire, maintenant, que nous passons à une autre phase toute aussi importante. Sinon ça resterait une exhortation apostolique de plus. Ça aurait fait un beau livre sur les étagères d'une bibliothèque.

Quelle lecture faites-vous de cette décision du Pape François, de cet exercice de l'autorité, en décidant précisément de ne pas recourir à ce qui était l'habitude, après un synode, une exhortation post-synodale?

Le Pape souhaite donner aux Églises locales la responsabilité qui est la leur de mettre en œuvre les conclusions du synode. On demande, on suggère aux conférences épiscopales de faire quelque chose de ce document final, pour qu’il soit, en quelque sorte, une carte pour la route à suivre. On est toujours en route, on ne s'arrête pas.

Est-ce que cette décision du Pape François a une dimension œcuménique?

En un sens, oui. Et les observateurs ou les délégués fraternels ont aimé participer à cet exercice parce qu'ils voient eux aussi qu'il y a quelque chose qui est en train de bouger dans l'Église catholique. Je pense que ce qui est en train d'advenir est quelque chose d'irréversible. On ne pourra pas retourner en arrière. (vaticannews.va)

On croirait entendre Bergoglio : aucun retour en arrière.

Évidement puisqu'il y a contrainte de temps pour rencontrer les exigences de l’Agenda 2030.

Le religieux et le politique doivent fusionner.

«… Avec la dernière session du faux Synode des évêques sur la synodalité, l'évêque de Rome a franchi une nouvelle étape dans son objectif d'éradiquer de l'Église catholique son fondateur, chef suprême de l'institution qu'il a fondée sur la base de son sang et de celui dans lequel le jésuite argentin se croit le chef suprême, au-delà des paroles pieuses et des gestes « d'humilité » qu'il exerce publiquement, pour déguiser la poigne de fer avec des gants de velours qui accompagnent son gouvernement despotique, démasculinateur et pro-homosexuel.

Le spectacle du Synode sur la Synodalité 2024 est terminé, dont les conclusions ont été présentées dans un  Document final qui, pour la première fois dans l'histoire des synodes des évêques, a remplacé l'Exhortation apostolique publiée par les Pontifes régnants afin de   recueillir et tenir compte des conclusions de chaque Synode.

Mais dans ce cas, JMB a décidé que le Document remplace l'Exhortation qu'il devait rédiger, car il contient « des indications très concrètes qui peuvent guider la mission des Églises, dans les différents continents, dans les différents contextes », ce qui c'est pourquoi qui a décidé de « le rendre désormais accessible à tous », comme l'enseigne l'enseignement ecclésial.

Mais en agissant ainsi, de manière très sibylline, l’évêque de Rome a transformé l’un des trois axes de la Révélation, en introduisant comme magistère ecclésial les conclusions d’une assemblée « synodale », en elle-même hétérogène et insignifiante. C'est-à-dire qu'il a été constitué par le jésuite argentin dans « l'enseignement ecclésial », dans le cadre de la Révélation, ce qu'un petit groupe de personnes éclairées « par l'Esprit » a erré pendant près d'un mois comme expériences de vie, encouragées par un compagnon qui les faisait réfléchir, à la manière des  Exercices Spirituels  Ignatiens . À la différence que ces Exercices s'appliquent à l'origine à l'individu qui réfléchit et médite sur les Mystères divins, tandis que la méthodologie utilisée dans le Synode a été appliquée collectivement aux sentiments, pensées et croyances personnels, comme matière à écouter , à dialoguer.

Il faut tenir compte du fait que cet événement « synodal » :

1) constituait en réalité une parodie d'un synode des évêques, comme un faux synode, car en plus de celui-ci participaient des religieux et des religieuses, des laïcs, etc. ;

2°) au total, 368 personnes (272 évêques et 96 non-évêques) ont participé à cet événement « synodal », que le pape Bergoglio a manipulé comme une Assemblée générale ou un mini Conseil universel, avec la majorité de ses membres arbitrairement choisis par lui et en grande partie certains sont partisans du progressisme qui a caractérisé le pontificat actuel ;

3º) réitérant le contenu de la première session synodale tenue l'année dernière et à d'autres occasions antérieures,  le grand absent de cet événement n'a été nul autre que Jésus-Christ, ignoré et laissé de côté , pour lui donner  la primauté fondamentale du « dialogue dans l'Esprit », pas au Seigneur ressuscité .

Le salut final de JMB le montre très clairement : il n'y a pas une seule mention de Jésus-Christ ou du Christ, complètement absent, il y a seulement deux mentions en passant au Seigneur et au Seigneur ressuscité, mais pas aussi centrales dans le discours. Et il n’y a plus l’Église bimillénaire du Christ,  une, sainte, catholique et apostolique  (mention zéro), mais plutôt l’Église « synodale », horizontale, d’écoute et d’harmonie « dans l’Esprit » .

Et que cette absence du Seigneur ressuscité n'est pas accidentelle est démontrée par le  Document final lui-même , dans lequel bien que Jésus/Jésus-Christ soit mentionné 31 fois, le noyau central du texte est la synodalité  ,  mentionnée 77 fois comme axe au cœur des réflexions. En d’autres termes :  Jésus-Christ n’est pas le centre de l’Église « synodale », mais de la synodalité , comme « un chemin de renouveau spirituel et de réforme structurelle pour rendre l’Église plus participative et missionnaire, pour la rendre plus capable de marcher avec chaque homme. Cette « nouvelle » voie de l'Église synodale n'a plus pour but ni pour mission « d'établir toutes choses dans le Christ » (saint Pie X), ni d'annoncer « le nom, la doctrine, la vie, les promesses, le royaume, le mystère de Jésus de Nazareth, Fils de Dieu » (Paul VI), ni réaffirmer Jésus-Christ comme « centre du cosmos et de l'histoire » et « marcher en Lui » (Jean-Paul II), encore moins « offrir le monde à Jésus-Christ ». et son message de salut » (Benoît XVI). Rien de tout cela, pour l'« Église » synodale bergoglienne, la mission de l'Église est « de marcher avec chaque homme et chaque femme  en rayonnant la lumière du Christ ». Il ne s’agit plus de rendre Jésus-Christ présent dans le monde par la prédication et l’évangélisation des cultures, mais plutôt de  faire rayonner sa lumière , mais pas vers Lui.

Et si Jésus-Christ n'est plus le centre et le fondement, alors l'« Église » synodale le devient, qui cesse d'être le Corps du Christ institué et fortifié au cours de 2000 ans de mission évangélisatrice, pour devenir une assemblée constituée à travers « la conversion des sentiments, des images et des pensées qui vivent dans nos cœurs, ainsi que la conversion de l'action pastorale et missionnaire »[4]. C'est-à-dire que ce n'est plus le Christ et sa présence ecclésiale dans le monde qui sont le fondement de la vie et de la mission de l'Église, mais plutôt  les sentiments, les images et les pensées qui résident dans le cœur , pour faire naître le « l'échange de dons et l'entrelacement des liens qui  nous  unissent dans l'Église ».

Comme on peut le constater tout au long de la lecture du  Document , la Révélation dans son ensemble - Écriture Sainte, Tradition et Magistère - n'est plus le centre et le fondement de la réflexion synodale et de la pastorale, mais plutôt « l' écoute, le dialogue et la réconciliation ».

Et Jésus-Christ ? Eh bien, merci, qu'il reste calme au Ciel et ne dérange pas les synodaux démasculinisés et homosexualisés, afin qu'ils puissent faire entrer « tout le monde, tout le monde, tout le monde », même si le Seigneur lui-même a clairement dit que plusieurs sont appelés au salut et d'autres à la damnation, et que « celui qui me dit Seigneur, Seigneur n'entrera pas dans le Royaume des Cieux, sauf celui qui fait la volonté de mon Père céleste » (Mt 7, 21). Volonté du Père totalement absente des réflexions et des conclusions du faux Synode des évêques récemment conclu.

Le fait est que la synodalité bergoglienne  n'a qu'une signification ou une orientation horizontale - les membres actuels de l'Église -, mais  elle manque totalement d'orientation verticale et historique : il n'y a pas d'écoute ni de dialogue avec le Dieu vivant, Un et Trine, ni avec le sanctifiante - les saints qui vivent aujourd'hui au Ciel - ni avec la doctrine impérissable des Pères, Maîtres et Docteurs de l'Église ni avec le Magistère Pontifical presque bimillénaire. C'est la raison pour laquelle le  Document final  conclut en affirmant que l'Église bergoglienne est synodale, parce qu'elle est « un peuple de disciples missionnaires qui marchent ensemble », c'est-à-dire qu'elle n'est plus le peuple de Dieu, ni le Corps du Christ, ni le Temple du Saint-Esprit, simplement une « ville de marcheurs ». Et sibyllin et astucieux, le texte se tourne vers la Vierge dans son personnage d'  Hodiguitria , terme grec qui signifie « celle qui montre le chemin » [du grec οδός (chemin). Ηγήτρια (guide), c'est-à-dire la Femme qui, dans l'iconographie gréco-catholique orientale, désigne l'Enfant Jésus comme la voie à suivre, mais que le néo-magistère de Bergoglio fait référence au chemin synodal, sans aucune référence au Seigneur ressuscité.

En bref,  l'« Église » synodale conçue par Don Jorge Mario Bergoglio est l'Église du Christ, mais sans le Christ .

Une véritable schizophrénie diabolique. » (stilumcuriae.com)

Aujourd’hui premier novembre, la Toussaint.

Pensons à nos proches décédés demain pour qu’ils reçoivent les grâces de nos prières.

Octobre 2024

31 octobre

Décidément, il n’est vraiment rien sorti du synode des synodes.

Les vaticanistes le confirmant.

Ce que confirme benoit-et-moi.fr.

« Je m’attendais à avoir des choses à commenter et des articles à traduire, bref, un peu de travail à la conclusion (est-ce vraiment la conclusion?) de cet interminable synode. Et puis… rien. No comment. Les « synodaux » ont passé trois semaines à brasser du vent et ce qui est éventuellement sorti baigne dans la confusion. Je m’en suis finalement totalement désintéressée, et j’avoue que j’ai tout simplement cessé de suivre.

Juste après, on apprend la sortie d’un encyclique. Celle-là aussi, je doute qu’elle laisse un souvenir impérissable dans le magistère bergoglien… et dans la mémoire des catholiques.

Le problème de ce pape, c’est qu’à force de parler à tort et à travers dans des improvisations hasardeuses, plus personne ne le prend au sérieux, et à moins qu’il ne profère de vraies énormités, totalement contraires au depositum fidei (ce qu’il n’ose pas encore tout à fait faire), même les médias progressistes l’ignorent. L’inflation de la parole a tué la parole.

Voici un formidable résumé du sentiment des fidèles, publié sur le portail espagnol Info Vaticana. »

L’encyclique sur le sacré-cœur de Bergoglio est interprété comme un acte pour dirigé l’attention ailleurs que sur le rapport synodal (elle fut publiée en presque en même temps).

« Chaque fois que sa popularité auprès des catholiques les plus fidèles commence à s’effriter, François sort un atout de sa manche, quelque chose qui sent l’encens traditionnel.

Nous approchons de la fin du Synode de la synodalité, ce grand projet qui était censé révolutionner l’Église, mais qui, à ce stade, en a laissé plus d’un sans voix .

Que reste-t-il de tout ce fracas médiatique ? Beaucoup de bruit pour rien. Personne n’écoute, personne ne s’intéresse. Et il semble que, de plus en plus, les vrais catholiques – ceux qui vont à la messe et s’engagent réellement dans leur foi – se sentent étrangers à ce qui vient de Rome.

Alors, maintenant, quoi ?

Ah, mais François n’est pas un imbécile. Il sait que le noeud est serré et que la déconnexion avec une partie importante de son troupeau est évidente. Alors, quel meilleur moyen de regagner la faveur des fidèles que d’utiliser une vieille formule ? Rien de moins qu’une encyclique traditionnelle. Car bien sûr, quand les choses vont mal, il y a toujours la possibilité d’éblouir les catholiques qui respectent encore ce qui sonne pieux, ce qui a une saveur traditionnelle, ce qui leur rappelle que l’Église n’a pas commencé avec François.

La nouvelle encyclique, Dilexit Nos, ressemble à un mouvement stratégique pour redonner une lueur d’espoir aux méfiants, et quelle coïncidence qu’elle arrive juste après ce Synode désastreux ! Comme pour dire : « Allons, détendez-vous, regardez, je suis aussi un pape comme les anciens »… »

Or, ce n’est pas le cas.

Plusieurs papes pré-Vatican II ont sonné l’alarme contre de tels manœuvres :

« Certains critiques de François ont loué ce qui semble bon dans son encyclique Dilexit Nos. Mais l'Église ne nous oblige pas à passer au crible les œuvres de ses ennemis pour trouver ce qui pourrait être bon : en fait, plusieurs papes enseignent le contraire. » (lifesitesnews.com – long article en anglais malheureusement )

Ainsi, le maître de l’ambiguïté a encore frappé.

Le mystère d’iniquité n’est pas facile à comprendre.

C’est troublant.

Nous sommes dans cette période trouble de la Passion de l’Église comme à la Passion de NSJC.

« Depuis la sixième heure jusqu'à la neuvième, il y eut des ténèbres sur toute la terre. »

Autre article sur benoit-et-moi.fr qui confirme notre dernière analyse.

Le processus synodal cache un coup d’État.

« Passionnante analyse. Les conclusions posées par le pape ouvrent peut-être à des développements inattendus que Giuseppe Nardi n’hésite pas à assimiler à un coup d’état dans l’Église. Enfin, c’est une hypothèse, mais bien étayée. Pour comprendre la démarche un tantinet tordue du locataire de Sainte Marthe, il faut remonter à un document vieux de 6 ans, qui n’avait à l’époque guère retenu l’attention, hormis celle des spécialistes en droit canon: par la constitution apostolique Episcopalis communio du 18 septembre 2018, François a introduit la possibilité d’attribuer un caractère magistériel aux documents finaux du synode.

Le pape François tire-t-il finalement le frein à main ? Ou réalise-t-il un coup d’état ? Nous ne serions pas sous le pontificat de François s’il n’y avait pas d’ambiguïté à ce sujet.

Dans un premier temps, il a prolongé la durée du synode des évêques, qui en réalité n’est nullement un synode des évêques, jusqu’en juin 2025. Au terme de la deuxième session, François annonce maintenant qu’il renonce à la publication d’une exhortation post-synodale, comme c’était l’usage jusqu’à présent. Y a-t-il des objections juridiques ? Ou François veut-il tenter pour la première fois un putsch « synodal » en insérant ses interventions dans la constitution de l’Église de 2018 ?

Les particularités du synode sur la synodalité ont déjà été maintes fois soulignées. Le synode des évêques institutionnalisé était une invention de la phase finale du Concile Vatican II, introduite par le pape Paul VI. François a introduit le terme de « synodalité », qui n’a aucune signification canonique, c’est-à-dire en termes de droit canonique. On pourrait parler d’un mot-clé, voire d’un slogan à la mode. Le secteur des relations publiques invente de nouveaux termes pour des choses anciennes afin de relancer les affaires.

2024 François déclare à la clôture du synode que, pour la première fois, il ne publiera pas d’exhortation post-synodale, mais qu’il mettra à disposition le document final du synode comme « guide pour la mission des Églises sur les différents continents et dans les différents contextes (…) », reconnaissant ainsi « le chemin synodal » et « remettant » son document au peuple de Dieu.

2025 Reconnaissance du caractère magistériel du document final du synode (modifié ?)?

François n’a toutefois pas fait son annonce de samedi sans raison. En d’autres termes, il a une intention, mais comme toujours, il ne se laisse pas dévoiler.

Plusieurs scénarios s’offrent à lui.

Il pourrait faire réviser le document final du synode, ce pour quoi il dispose de suffisamment de temps jusqu’en juin 2025, et transmettre ce document révisé à l’Église avec un caractère non contraignant en tant que document du synode;
ou bien le faire entrer en vigueur avec un caractère contraignant à différents niveaux en tant que magistère du synode (pas le sien). »

Bergoglio a un plan caché.

Le Jubilé 2025 sera son moment de célébration.

Du jamais vu, ils ont décidé d’avoir une mascotte du Jubilé.

Quelle farce.

« Mgr Fisichella (préfet du Dicastère pour l’Évangélisation depuis 2010) a présenté hier en conférence de presse la « mascotte » du jubilé 2025 (jubilé qui est censé célébrer le 2025-ème anniversaire de la naissance de Jésus, nous rappelle Yves Daoudal). Pas vraiment catholique, avec la figure de Greta Thunberg comme emblème. Et on se demande bien pourquoi le jubilé a besoin d’une mascotte, comme n’importe quel évènement « festif » planétaire mondain (cela nous rappelle tristement Paris 2024).

Mais le scandale ne s’arrête pas là. Le designer chargé de la conception de l’objet s’est signalé par des créations… douteuses, comme des gadgets pour les gay-prides et des vibromasseurs.
Seule consolation: beaucoup de ces hideux objets finiront probablement très vite dans une poubelle (jaune, ou grise? that is the question…) » (benoit-et-moi.fr)

On ne parle plus du Christ dans ce Jubilé.

C’est la suite du Jubilé de la Miséricorde infinie.

Babylone est vraiment en train de chuter.

Ci-dessous suit une brève réflexion de Mgr Carlo Maria Viganò à la suite de la clôture du Synode pluriannuel du pape François sur la synodalité.

« Le « Synode sur la synodalité » qui vient de s’achever est une icône de la duplicité et de la nature frauduleuse de l’Église conciliaire et synodale.

La promotion de l’agenda mondialiste n’est que trop évidente.

La subversion hiérarchique de la parité de genre est à l’origine de la discussion surréaliste sur l’ordination des femmes, permettant d’entamer une expérience pastorale qui puisse dans un avenir proche servir d’alibi au changement officiel de doctrine sur le sacrement de l’ordre. Tout comme l’acceptation de l’idéologie LGBTQ+, servilement transposée au Synode selon les prémisses de Fiducia supplicans, est un objectif mondialiste.

La Deep Church agit en rupture totale avec le corps ecclésial, exactement comme le Deep State légifère à l’encontre des citoyens. Indépendamment des articles de foi spécifiques auxquels le Synode apporte des modifications par des moyens pastoraux, il est également évident que le but ultime de Bergoglio est de détruire l’Église catholique en déformant la nature de la papauté telle qu’elle a été instituée par Notre-Seigneur.

L’Église de Jorge Mario Bergoglio est une « Église synodale », c’est-à-dire qu’elle n’est ni monarchique ni divine, mais démocratique et humaine. Son autorité n’est pas vicaire du Pouvoir sacré du Christ, mais l’expression fausse et trompeuse d’une prétendue volonté populaire, ou pire encore, un signe de l’Esprit, derrière lequel se cache une organisation subversive. Les fidèles sont trompés par de faux pasteurs et par des mercenaires.

Tout dans les paroles et les actes de l’Église synodale est mensonge. Car son but est d’imposer d’autorité, sous couvert d’une demande populaire, ce qu’aucun fidèle catholique n’a jamais demandé parce que cela contredit l’enseignement de Notre Seigneur. Cette autorité, usurpée dans un but opposé à celui que Jésus-Christ lui a donné, est totalement illégitime et il devrait être du devoir de chaque Successeur des Apôtres de dénoncer cette farce synodale, ultime étape de la révolution conciliaire, par laquelle l’Épouse de l’Agneau est remplacée par la Prostituée de Babylone, asservie au Nouvel Ordre Mondial.

Certains pensent que les inquiétudes sur les intentions subversives de Bergoglio sont excessives et infondées, citant la dernière « encyclique » sur la dévotion au Très Sacré Cœur de Jésus comme un exemple de son orthodoxie en dents de scie. Ce document est une diversion pour tromper les fidèles, selon la stratégie de tromperie bien rodée propre au jésuite et péroniste Bergoglio, confirmant sa duplicité et sa malhonnêteté intellectuelle.

Le thème de Dilexit nos – traité dans une tonalité résolument antimoderne – constitue une tentative maladroite de réappropriation frauduleuse par la Compagnie de Jésus du culte du Sacré-Cœur, dont elle est la gardienne historique. Cette dévotion, née pour contrer l’hérésie janséniste, doit inévitablement être détournée pour donner l’apparence de la rigueur théologique à l’hérésie opposée, c’est-à-dire à une forme de laxisme doctrinal et moral qui admet tout comme déjà guéri et pardonné par l’infinie Miséricorde de Dieu.

Ce qui est parfaitement cohérent avec l’intention du Synode.

+ Carlo Maria Viganò, archevêque

Notre Seigneur Jésus Christ Roi

27 octobre 2024 » (benoit-et-moi.fr)

Une confirmation rassurante ici : le pape ne peut en rien modifier la messe en contradiction avec la loi divine, ce qui est la vérité postulée par NSJC où les portes de l’enfer ne prévaudront jamais sur l’Église.

« ( LifeSiteNews ) — Le célèbre exorciste et théologien Chad Ripperger a précisé que le pape ne peut pas modifier la messe en contradiction avec la loi divine positive, par exemple en modifiant la consécration d'une manière « qui l'invaliderait ».

Alors que l'on craignait que le Vatican puisse promulguer ou permettre de nouvelles modifications de la messe après le Synode sur la synodalité, Ripperger a récemment discuté de son livre The Limits of Papal Authority Over the Liturgy avec le Dr Robert Moynihan et Matt Gaspers de À l'intérieur du Vatican.

L'exorciste a d'abord fait la distinction importante entre le pouvoir et l'autorité, le pouvoir étant la « capacité d'effectuer un changement », tandis que l'autorité donne à une personne le droit de déterminer quelque chose ou d'adopter un changement . « Le seul qui a une autorité absolue, c'est Dieu », a-t-il souligné.

Dans son livre, Ripperger a partagé une citation du cardinal Joseph Ratzinger (pape Benoît XVI) qui exprime les limites de l'autorité du pape sur la liturgie, lue à haute voix par Gaspers lors de l'entrevue de septembre :

« Le pape n’est pas un monarque absolu dont la volonté fait loi ; il est plutôt le gardien de la Tradition authentique et, par le fait même, le premier garant de l'obéissance. Il ne peut pas faire ce qu'il veut… Sa règle n'est pas celle du pouvoir arbitraire, mais celle de l'obéissance dans la foi. C'est pourquoi, en ce qui concerne la liturgie, il a la tâche d'un jardinier et non celle d'un technicien qui construit de nouvelles machines et jette les anciennes aux ordures.

Le rôle du pape est limité plus spécifiquement par la loi divine positive – celle qui est expressément révélée par Dieu – et par la loi naturelle, a expliqué Ripperger.

Un exemple clé de la façon dont le pape ne peut pas changer la liturgie est de changer les « paroles de la consécration » d'une manière « qui l'invaliderait », a déclaré Ripperger, car cela violerait la loi divine positive ordonnée par Dieu lorsque le Christ a dit pendant la Dernière Cène : « Faites ceci en mémoire de moi ». 

Cela signifie également que la consécration – par laquelle le Corps, le Sang, l'Âme et la Divinité du Christ Jésus sont rendus présents dans l'Eucharistie – ne peut être omise, ce qui, selon les spéculations, pourrait se produire dans le cadre expérimental, appelé « rite amazonien » du Messe, selon Anthony Stine de Return to Tradition.

Le pape ne peut pas non plus « insérer quelque chose dans la liturgie… qui soit contraire à la loi naturelle », comme le « culte des idoles païennes », a ajouté l’exorciste.

« C'est précisément son obéissance à ces choses qui est précisément l'objectif de son bureau », a déclaré Ripperger à propos du pape.

Gaspers a souligné le point du prêtre théologien selon lequel, parce que la foi catholique est immuable et que la liturgie est basée sur la foi, des changements dans la messe concernant ses principes fondamentaux sont impensables.

« Étant donné que le dépôt de la foi ne change pas et constitue la loi ou la loi autour de laquelle s'articule le développement liturgique, seul un développement organique peut légitimement être envisagé », a cité Gaspers dans le livre de Ripperger.

L'exorciste a déclaré avoir souligné dans son livre que « ce n'est pas à nous de déterminer comment nous adorons Dieu », en citant l'Ancien Testament comme preuve de cela, puisque Dieu était « très exact » en dictant comment la liturgie est censée se dérouler.

« Même le Christ a dit : 'Faites ceci en mémoire de moi.' Il est donc très précis sur certaines choses qui doivent être faites » dans la liturgie, a déclaré Ripperger. "Et c'est à Dieu de prendre ces décisions."

 a noté que le pape a « un peu de latitude » concernant les parties « accidentelles » de la messe – c'est-à-dire ses aspects extérieurs, qui se sont en fait « développés au fil du temps » – mais que ceux-ci ne peuvent pas tenter de modifier les fondamentaux : la foi elle-même, la loi divine positive et la loi naturelle.

« En fin de compte », nous devons reconnaître que Dieu a déterminé la manière dont nous devons l'adorer, a déclaré Ripperger, c'est pourquoi « la tradition est si essentielle », et il approfondit l'importance de cela dans son livre .

« Parce que c'est précisément à travers la tradition que ce que Dieu nous a enseigné sur ces questions nous parvient », a déclaré l'exorciste, soulignant que l'Écriture est également considérée comme faisant partie de la tradition.

Le fait est que c'est précisément à travers ces choses qui nous ont été transmises depuis le tout début, depuis l'époque des apôtres jusqu'à aujourd'hui, que nous savons réellement que c'est ce que nous sommes censés faire , a-t-il poursuivi.

En d'autres termes, « plus quelque chose reste longtemps dans la liturgie, plus on sait que c'est la volonté de Dieu qu'il y soit utilisé », a déclaré Ripperger.

Son analyse semble suggérer des problèmes avec le Novus Ordo Missae, ainsi que mettre en garde contre des changements potentiels à venir dans cette messe, ou même contre une nouvelle messe (« Messe » ?). En effet, Ripperger, Gaspers et Moynihan ont fait allusion aux dommages que le Novus Ordo a infligés à la foi des gens en raison de l'apparition soudaine de nombreux changements radicaux dans la liturgie.

"Quand il y a autant de changements" dans la messe, "en fin de compte... ce qui se passe c'est... ça leur donne l'impression que la foi elle-même pourrait changer, ou que le contenu de la foi pourrait changer », a déclaré le Père. Ripperger, ajoutant qu'il n'est "pas la seule personne à avoir attiré l'attention sur ce problème particulier".

En fait, selon Ripperger, saint Thomas d’Aquin lui-même a déclaré que si la loi est modifiée trop fréquemment, sa force finit par s’éroder. »

Rappelons suite à notre dernière analyse que les élections américaines 2024 sont un pivot, un point de bascule.

D’ailleurs les prophéties de Jean XXIII font état d’une guerre civile aux États-Unis, mais les prophéties politiques sont plus difficiles à interpréter.

Tout comme la prophétie « Grand Éclair à l’Orient ».

Le Jerusalem Post a publié une analyse qui confirme qu'Israël a mis la pédale douce dans la dernière attaque contre l’Iran à la demande des États-Unis pour qu’il n’y ait pas d’influence sur le résultat des élections.

Le chef de la Force de Défence Israélienne a confirmé que si l’Iran réplique, les cibles seraient les points stratégiques majeurs.

Bref, ils ont testé la défense iranienne et ils savent à quoi s’en tenir.

Israël devrait frapper après les élections.

Préparez-vous car une attaque majeure contre l’Iran (ces derniers bloqueront le détroit d’Ormuz, voie navigable du pétrole) ou de la Chine contre Taïwan (ce qui se dessine à l’horizon après les élections; il y aura un blocus des pays occidentaux contre la Chine en représailles), vont avoir une incidence majeure sur le coût des biens et services.

Une inflation de guerre n’est jamais négligeable.

28 octobre

LE PROJET 47 : LA SUITE

À une semaine des élections américaines, effectuons un retour sur le dernier article du regretté Louis D’Alencourt du Grand Réveil qui anticipait avec impatience cette date du 5 novembre et sa vision du Projet 47 pour le venue du « messie » le 20 janvier 2025, jour d’assermentation du président, et date invoquée en 2021 :

« Parce que les élites juives, civiles et rabbiniques, ont demandé à l’ensemble des juifs du monde de réciter une prière mondiale pour demander le Messie le 21 février 2021 : ce jour-là, tous les juifs du monde devaient réciter la même prière à la même heure, 18h heure de Jérusalem.

Or le 21 février 2021 est distant de 47 mois, au jour près, du 20 janvier 2025. »

« Seuls les imbéciles, les naïfs et les ignorants, soit la majorité de nos concitoyens, ne savent pas que depuis deux mille ans la communauté juive caresse un projet messianique basé sur les promesses de Dieu faites à son peuple via les prophètes de l’Ancien Testament -à commencer par Isaïe-, à savoir la domination du monde, l’accaparement et la jouissance de ses richesses. »
(projet 47 - grandreveilwordpress.com)

Telle est la théorie développée dans l’article « Projet 47 » : la venue du messie judéo-maçonnique.

Cinq mois se dont écoulés depuis la publication de l’article.

Où en sommes-nous? Que s’est-il passé depuis le mois de mai?

Albert Pike (dernière analyse) :

« La Troisième Guerre mondiale doit être fomentée en utilisant les divergences que les agents des Illuminatis attiseront entre les Sionistes Politiques et les dirigeants du monde musulman. La guerre doit être menée de telle manière que l’Islam (le monde Arabe y compris la religion de Mahomet) et le Sionisme Politique (y compris l’État d’Israël) se détruisent mutuellement. Dans le même temps, les autres nations une fois de plus divisées entre elles à ce propos, seront forcées de se combattre jusqu’à un état d’épuisement complet, physique, moral, spirituel et économique. »

Tel est le plan pour en arriver au messie judéo-maçonnique.

Or, nous constatons en cette fin d’octobre 2024 que :

- La guerre entre l’Islam chiite et Israël s’est étendue et amplifiée.

- La guerre en Ukraine persiste et la Corée du Nord fournie de l’armement et des combattants (plus de 12000) en abondance à la Russie. Idem pour la Chine.

- L’Iran resserre ses liens avec ces derniers.

- La Chine menace Taïwan.

- Bref, il existe deux axes maintenant confirmés, que nous connaissons depuis longtemps pour les avoir analysés : l’axe anglo-saxon qui veut un messie avec domination unipolaire, et l’axe des Loubavitch, Russie en tête, qui veut un messie avec un monde multipolaire.

« M. Poutine présente l’invasion de l’Ukraine comme « le fer de lance de la destruction de l’ancien ordre mondial et de la construction d’un nouvel ordre », a déclaré Alexander Gabuev, directeur du Centre Carnegie Russie-Eurasie à Berlin. « Le BRICS est la structure la plus puissante et la plus représentative de ce nouvel ordre mondial. » (lapresse.ca)

Les pays associés aux BRICS (axe russo-chinois) ont décidé de faire tomber le dollar américain la semaine dernière et publié leur projet d’une nouvelle monnaie commune.

- Tous les pays dominants ont augmenté de façon drastique l’immigration avec comme conséquence des prix des loyers et des habitations augmentant en flèche. Le but : diluer le christianisme et l’identification culturelle pour pouvoir imposer la nouvelle religion humaniste.

- Tous les pays ont augmenté leurs dépenses fiscales conséquemment, plongeant ces derniers dans une dette qui ne sera pas remboursée. Les deux guerres ont parallèlement la même fonction : augmenter la dette tout en épuisant les ressources militaires des autres nations y participant : matérielles et humaines.
 
« Dans le même temps, les autres nations une fois de plus divisées entre elles à ce propos, seront forcées de se combattre jusqu’à un état d’épuisement complet, physique, moral, spirituel et économique. » (Albert Pike ci-haut)

Voilà l'état de notre monde à l'aube des élections américaines.

Les brebis sont menées à abattoir par l’anxiété et l’épuisement.

Le « Projet 47 » est étroitement lié aux élections américaines selon Louis D’Alencourt.

Pour la venue du messie judéo-maçonnique.

Depuis la parution de l’article, il s’est passé une série d’évènements proprement extraordinaires dans le contexte d’une campagne électorale.

Un débat où le président sortant, le plus vieux de l’histoire en exercice, a démontré que l’âge avait affecté ses facultés cognitives.

Ce qui a mené à son retrait de la course présidentielle un mois plus tard.

L’ex-président Trump a échappé à deux attentats contre sa personne.

Les deux camps sont au coude à coude et les mensonges pleuvent dans les médias pour influencer la masse quant au vote.

Louis D’Alencourt :

« Par conséquent la stratégie paraît claire : le candidat qui doit gagner le 5 novembre est très certainement le Démocrate, quitte à tricher encore une fois, comme ils l’ont fait en 2020 pour reprendre la main et évincer Trump. Ceci me paraît être leur projet avec certitude.
Ensuite, l’inconnue réside dans le fait qu’on ne sait pas encore si celui ou celle choisi pour être le 47è Président, qui doit être selon moi forcément juif, ce qui n’est pas le cas de Biden, sera révélé peu de temps avant l’élection, remplaçant le candidat Biden à la dernière minute, dans un contexte et une situation arrangés pour la circonstance (l’actualité internationale est suffisamment riche pour « organiser » de grands changements), ...

Conclusion

Le Projet 47, c’est l’entrée dans l’ère de l’hégémonie et de la domination des élites juives, du judaïsme et de l’esprit juif sur le monde (le tout formant leur « Messie »), et cette ère, nous disent-ils avec leurs signes ésotériques, commencerait à l’investiture du 47è Président américain, le 20 janvier 2025.

Mais puisque le 47 est aussi le chiffre du Christ en gloire, il n’est pas interdit de penser que l’inverse peut se passer et qu’en réalité, ce sera la victoire du Christ sur le monde, le démon et la synagogue. Et le signe de la conversion en masse des juifs à la fin du monde comme le pressent la tradition chrétienne. »

Nous savons tous (analyses précédentes) que l’Islam chiite, Iran en tête, espère voir son « mahdi » ou messie apparaître suite à une guerre avec Israel.

Ils ont donc intérêt à continuer l’escalade.

Du côté israélien :

« Netanyahou est sous l'influence de certains ministres messianiques et racistes qui le forcent à déclencher une escalade pour accélérer la venue du Messie et ce n'est pas une manière saine pour un État comme Israël dans un environnement hostile et complexe »  (Ehud Barak, ancien Premier ministre israélien)

Pour les israéliens au pouvoir, le comportement de Trump lors de la dernière élection n'a été que stratégie pré-électorale, voici un rappel des propos tenus par Netanyahu le 5 mars 2018 à Washington DC quant à celui qu'il compare au roi Cyrus.

« Je tiens à vous dire que le peuple juif a une longue mémoire ; nous nous souvenons donc de la proclamation du grand roi Cyrus le Grand, le roi perse, il y a 2 500 ans. Il a proclamé que les exilés juifs à Babylone pouvaient revenir et reconstruire notre Temple à Jérusalem.

Nous nous souvenons qu'il y a cent ans, Lord Balfour a publié la proclamation Balfour qui reconnaissait les droits du peuple juif sur sa terre ancestrale.

Nous nous souvenons qu'il y a soixante-dix ans, le président Harry S. Truman a été le premier dirigeant à reconnaître l'État juif.

Et nous nous souvenons qu'il y a quelques semaines, le président Donald J. Trump a reconnu Jérusalem comme capitale d'Israël. Monsieur le Président, notre peuple s'en souviendra à travers les âges. » (israelnationalnews.com)

Jésuralem, c’est la capitale qui doit être reconnue comme centre du système messianique judéo-maçonnique… à la place de Rome.

« L’idée principale véhiculée par ces pièces est que le président Trump initie un processus prophétique qui facilitera finalement, le moment venu, la reconstruction du Troisième Temple. » (pierre hillard)

Netanyahou, rappelons-le, est celui qui d'après le rabbin Schneerson, « remettra les clés d'Israël au Messie »

Voilà pourquoi on le maintient au pouvoir depuis des années.

« Netanyahou : détenir les clés du Messie

Une division au sein de la coalition dirigée par le premier ministre Benjamin Netanyahu pourrait mener à de nouvelles élections, ce qui susciterait l'inquiétude de certains, tandis que d'autres notent que cette évolution aurait pu être prédite à maintes reprises comme le précurseur d' une époque meilleure et beaucoup plus messianique.

...

Même si les élections pourraient mettre fin au long séjour de Netanyahu au poste de premier ministre, certains pensent qu’elles marqueront le début d’une ère entièrement nouvelle, beaucoup plus messianique.

Le lien le plus fort de Netanyahu avec le Messie était celui du rabbin Menachem Mendel Schneerson , le dirigeant de Loubavitch Habad décédé en 1994. Les deux hommes se sont rencontrés pour la première fois en 1984, lorsque Netanyahu était ambassadeur d'Israël auprès des Nations Unies.

Avant que Netanyahu ne retourne en Israël en 1988 pour rejoindre le Likoud, le Rabbi lui a donné des conseils qui se sont révélés au moins en partie prophétiques.
...

« Ça me fait vraiment mal, en tant qu'ami, en tant que frère, en tant qu'ami proche, de voir comment les gens versent constamment le sang de Netanyahu », a confié le rabbin Schneerson à Nachshon. »

Mais j'ai une surprise pour toi, il va s'en sortir et il va se tenir debout, du côté de Dieu. Il a une promesse du Rabbi, et il va tenir jusqu'au bout. Nous avons vu cela se produire jusqu'à présent, et c'est aussi comme ça que ça va se passer désormais. Il s'en sortira et il continuera, et j'espère qu'il pourra remettre ses clés au Machia'h (le Messie), et nous aurons la Rédemption complète et véritable.

Le rabbin Loubavitch n'était pas le seul tsadik (homme juste) éminent à avoir de grandes attentes à l'égard de Netanyahu. Le rabbin Yitzchak Kaduri, l'un des chefs spirituels sépharades les plus influents du siècle, décédé en 2006 à l'âge de 106 ans, a rencontré Netanyahu en 1997 lors de son premier mandat de premier ministre.

Le rabbin Kaduri a murmuré un long message à l'oreille des politiciens. Le rabbin Shmuel Shmueli, un disciple du rabbin Kaduri, a révélé que Kaduri avait toujours soutenu que Netanyahu servirait très longtemps et qu’après son mandat, le Messie arriverait. Avant sa mort, Kaduri avait dit qu'il attendait l'arrivée prochaine du Messie juif et qu'il l'avait rencontré un an plus tôt.   

En mai, Breaking Israel News a rapporté l'opinion du rabbin Levi Sudri, soulignant les nombreux parallèles entre l'actuel premier ministre et Jonathan, le fils du roi biblique Saül. Sudri a suggéré que Netanyahu remplit la fonction de Moshiach ben Yosef (Messie de la maison de Joseph) dans la première moitié du processus messianique en deux étapes.

Moshiach ben Yosef est un processus pratique et banal qui comprend le rassemblement des exilés et la construction de la Terre d'Israël. La deuxième étape, Moshiach Ben David (Messie de la maison de David) est un processus miraculeux qui comprend le rétablissement de la dynastie davidique et l'achèvement du Troisième Temple .

Le rabbin Sudri a expliqué qu’en tant que réincarnation de Jonathan et manifestation du Machia’h ben Yosef, Netanyahu ouvre la voie au Machia’h ben David, plus transcendant, qui suivra immédiatement.

« Il est très clair que nous voyons chez le premier ministre Benjamin Netanyahu qu’il accomplit son destin de Machia’h ben Yosef , c’est-à-dire la réincarnation de Jonathan », avait alors déclaré le rabbin Sudri à Breaking Israel News . « Le nom « Netanyahu » (נתניהו) est composé des mêmes lettres que le nom « Jonathan (יהונתן). »

Ce sentiment a été repris par le rabbin Moshe Ben Tov , connu pour sa capacité à percevoir le passé et le présent des gens en regardant la mezouza à leur porte. Après avoir accroché une mezouza dans le bureau du premier ministre, le rabbin Ben Tov a fait une déclaration remarquable au premier ministre.

« Il est très important que votre amour pour Israël continue jusqu’à l’arrivée du Machia’h parce que vous allez rester au pouvoir et allez le rencontrer », a déclaré le rabbin Ben Tov à Netanyahu. "Vous allez lui remettre les clés de ce bureau."… » (israel365news.com)

Pour la kabbale, c’est le temps du messie, et tout sera fait pour qu’il arrive, car cette guerre est spirituelle.

Le religieux domine toujours le politique, quoiqu’en pense la masse laïcisée.

27 octobre

LE RAPPORT

L’éléphant a-t-il accouché d’une souris?

Trois longues années de consultations et de tables rondes pour en arriver à un rapport… qui ne conclut sur rien.

Rien.

Que du vent, sauf comme conclusion que le processus synodal est là pour demeurer indéfiniment.

Le futur cardinal Radcliffe avait bien raison de dire dans sa méditation du 21 octobre (analyse précédente) qu’il y aurait beaucoup de déceptions.

Pour ceux qui ne le savent pas encore le rapport a été publié après approbation rapide de Bergoglio samedi le 26 octobre.

« Il n’y aura pas d’exhortation apostolique post-synodale, a annoncé le pape François, à la fin du synode de trois ans, mais il est ordonné que le processus se poursuive.

CITÉ DU VATICAN ( LifeSiteNews ) — Le texte officiel et le document final du Synode pluriannuel sur la synodalité ont été publiés : plus silencieux sur les questions dites « brûlantes » que l'année dernière, mais appelant plutôt à une réforme à l'échelle de l'Église conformément à « synodalité » – un mot décrit comme signifiant une concentration sur l'œcuménisme, l'écoute et le renouveau. »

Alors…

Au premier abord, ce n’est pas la conclusion à laquelle nous nous attendions.

Pas de grande déclaration. Pas d’interdiction de la messe tridentine. Pas de grande manœuvre d’œcuménisme via une nouvelle messe.

En fait, le synode, cela n’existe pas comme l’ont analysé les différents spécialistes théologiques dans les dernières analyses.

On en conclu donc que la base n’a réellement rien à dire dans la destinée de l’église comme l’ont spécifié les intervenants du Vatican depuis 2021.

Voici ce que déclarait Bergoglio à l’ouverture de ce dernier :

« Chers frères et sœurs, que ce Synode soit un véritable temps de l'Esprit ! . . . Le Père Congar, de mémoire bénie, a dit un jour : « Il n'est pas nécessaire de créer une autre Église, mais de créer une Église différente » ( Vraie et fausse réforme dans l'Église ). C'est le défi. » (François, 9 octobre 2021, Discours d'ouverture du Synode)

Voilà.

La fausse église prophétisée par Anne Catherine Emmerich et autres.

Le synode n’a été qu’une grande réinitialisation, et N’EST, qu’un paravent pour adapter l’église au renouveau mondial humaniste, à la nouvelle religion de l’Agenda 2030.

Si notre hiérarchie catholique avait été peuplée d’évêques saints et fidèles, ces paroles auraient suffi à forcer la fin du Synode sur la Synodalité avant qu’il ne commence.

« Enraciné dans la tradition de l'Église, tout le chemin synodal s'est déroulé à la lumière du magistère conciliaire. Le Concile Vatican II a été comme une graine jetée sur le terrain du monde et de l'Église . . . . Le chemin synodal met effectivement en pratique ce que le Concile a enseigné sur l'Église comme mystère et l'Église comme peuple de Dieu, appelé à la sainteté par une conversion continue qui naît de l'écoute de l'Évangile. En ce sens, le chemin synodal constitue un acte authentique supplémentaire de réception du Concile, approfondissant ainsi son inspiration et redynamisant sa force prophétique pour le monde d'aujourd'hui .» (Paragraphe 5 du rapport)

Cet exemple démontre qu’à l’image de Bergoglio, tout est ambiguïté, et continuera de l’être.

Et, ce paragraphe confirme la fin de Vatican II, dont le rejeton, le « processus synodal » est là pour rester, et damner les âmes.

On le répète, l’église synodale implique LE processus démocratique qu'on a vu à travers le Synode, au moins superficiellement. En réalité, cependant, ce sont les ennemis de l'Église (avec Satan à leur tête) qui prennent les décisions, tout en faisant semblant de permettre aux fidèles d'avoir leur mot à dire.

Alors que le Saint-Esprit est celui qui guide toutes les décisions critiques dans l' Église catholique.

Pas ici dans ce processus superficiel.

Alors, que pouvons nous en conclure.

Simplement que l’Église est morte ou le sera bientôt car le processus synodale est un acte d’euthanasie sur cette dernière.

Est-ce la mort des deux témoins?

Il ne semble pas que ce soit encore le cas.

Car, il faut avoir la mémoire longue, Bergoglio attends toujours les rapports de ses comités sur les questions non résolues pour le début 2025.

C’est là que tout se décide.

Dans la tête de Bergoglio.

Et personne d’autre.

Car, selon la Constitution apostolique de Bergoglio de 2018, Episcopalis communio , une fois que le document final d'un synode « est expressément approuvé par le Pontife romain, le document final participe au Magistère ordinaire du Successeur de Pierre ».

Donc, Bergoglio a le mot final sur tout.

Il y aura donc plusieurs surprises à l’horizon dont l’interdiction totale de la messe Tridentine.

Et, comme nous l’avons vu pendant le synode, la mise en pratique pour trois ans du rapport du synode amazonien.

Pas de modification de la Liturgie pour l’instant, mais si on le mentionne dans le rapport final, c’est qu’on y pense et qu’on attend le moment propice pour agir :

« « Approfondir le lien entre liturgie et synodalité aidera toutes les communautés chrétiennes, dans la diversité de leurs cultures et traditions, à adopter des styles de célébration qui rendent visible le visage d'une Église synodale », peut-on lire dans le texte. (26 : 312/43) Interrogé sur ce point lors du briefing synodal de samedi soir, Hollerich a déclaré qu’il n’y avait aucun projet de « révolution » liturgique.

« Il n’est pas prévu de remplacer les prêtres par des laïcs ou des laïcs, juste pour rendre le processus un peu plus participatif », a-t-il déclaré. » (lifesitenews.com ci-haut)

Nous en saurons plus avec les analyses des spécialistes qui sortiront cette semaine.

Pendant la publication du rapport, « Des catholiques du monde entier se rassemblent à Rome pour le pèlerinage international annuel de la messe latine Summorum Pontificum, au cours duquel le cardinal Gerhard Müller a conduit les fidèles en prière à l'intérieur de la basilique Saint-Pierre. » (lifesitesnews.com – en anglais- mais des photos donnent une idée).

Pour terminer, la comète de la fin du synode plonge présentement vers le soleil (image ici du satellite SOHO : la comète vient du sud-est, en bas en droite de l’écran) et nous verrons ce qu’il en advient.

Vive le Christ Roi!

25 octobre

Dernier droit pour le synode des synodes: les participants sont en train d'écrire le rapport final.

Le futur cardinal Radcliffe, toujours responsable des méditations synodales, a eu le privilège de guider les « brebis synodales » en ce 21 octobre, avant la phase de rédaction du document.

Cela se résume à « liberté de parler et d'accepter des décisions même décevantes ».

On prépare donc les esprits à accepter l'inacceptable: la mort de l'Église et des deux témoins.

« Le père Radcliffe a appelé les participants à mettre en pratique la mission de «prêcher et incarner» une double liberté, «la double hélice de l'ADN chrétien»: «la liberté de dire ce que nous croyons et d'écouter sans crainte ce que les autres disent»...

«nous avons la liberté de ceux qui croient que, comme l'écrivait saint Paul aux Romains (Rm 8.28), “Dieu fait tout pour le bien de ceux qui l'aiment”, et qu'en fin de compte “nous pouvons être en paix parce que ”rien ne peut nous séparer de l'amour de Dieu», pas même l'incompétence, pas même l'erreur ». Ce n'est qu'ainsi que nous pouvons passer de la première liberté, celle qui nous fait dire «je», à la liberté plus large qui nous fait «appartenir à l'Église et dire “nous”». » (vaticannews.va)

L'église du « nous », c'est l'église synodale. En permanence. Évoluant au gré des moeurs des fidèles.

Comme preuve, il clôture sa méditation en mettant l'accent sur la façon dont la « liberté » synodale se traduit par le besoin de se libérer avec audace des contraintes de l'orthodoxie.

Lire ici: se libérer de la Tradition, la véritable Église catholique fondée sur Pierre, la pierre angulaire de l'Église.

« Si nous avons seulement la liberté d'argumenter pour nos positions, nous serons tentés par l'arrogance de ceux qui, selon les mots de Lubac, se considèrent comme 'la norme incarnée de l'orthodoxie'. Nous finirons par battre le tambour de l'idéologie, qu'elle soit de gauche ou de droite.

Si nous n'avons que la liberté de ceux qui font confiance à la Providence de Dieu mais n'osent pas entrer dans le débat avec leurs propres convictions, nous serons irresponsables et ne grandirons jamais. » (vaticannews.va ci-haut)

C'est ce type de « liberté » qui permet à un prêtre catholique qui soutient haut et fort l'agenda LGBTQ d'être le guide spirituel du Synode.

Cependant, comme les catholiques le savent, cet état d'esprit exclut la véritable liberté que Dieu offre à ceux qui respectent sa vérité et conduit plutôt ses adhérents à être esclaves du péché, qui est une facette clé du processus synodal.

Ce n’est pas là le vrai sens de la liberté chrétienne.

Dieu nous a créé libre pour faire le choix entre être sauvé par le Christ, ou perdre son âme à jamais.

Ce n'est qu'en vivant selon ce que l'Église enseigne réellement qu'on peut avoir la liberté intérieure dont parle saint Paul.

Ces paroles confirment nombres de prophéties en passant par Anne Catherine Emmerich et l'archevêque Fulton Sheen :

« Il établira une contre-Église qui sera le singe de l'Église, car lui, le Diable, est le singe de Dieu. Elle aura toutes les notes et les caractéristiques de l'Église, mais à l'envers et vidée de son contenu divin. (Mgr Fulton Sheen, Le communisme et la conscience de l'Occident ).

Ainsi, nous aurons la conclusion de Vatican II avec le rapport final qui sera déposé par les participants en ce dimanche 27 octobre 2024.

Octobre 2024 est l'année où tout bascule (voir analyse du 18 septembre: À L'AUBE DU SALUT).

La fausse église montrera à tous les adeptes du mondialisme qu'elle s'est pleinement convertie aux valeurs humanistes de la « théologie de la libération » à la sauce bergoglienne.

Si ce n'est pas une coïncidence, Bergoglio a rendu un grand hommage au père de la théologie de la libération qui est décédé le 22 octobre dernier, alors que Jean-Paul II et Benoît XVI avaient pris les dispositions nécessaires pour s'éloigner de cette idéologie marxisante. (voir benoit-et-moi.fr)

Mais, l'Église ne périra point.

En ce 27 octobre, selon l'Église, c'est la fête de Notre Seigneur Jésus-Christ Roi.

Pas de hasard pour les véritables croyants qui ont la vue pour voir.

Le monde n'a jamais été sous une telle tension qu'en cette fin de mois où s'entrecroisent la fin du synode, Israël qui menace l'Iran d'une attaque foudroyante, ce qui va mettre le feu aux poudres pour l'élargissement du conflit au Moyen-Orient, la guerre ukrainienne, les menaces de la Chine envers Taïwan, et les élections américaines dans deux semaines.

Et le soleil...

Une série de taches solaires sont apparues hier qui élèvent drastiquement le niveau d'alerte des possibilités d'une tempête solaire majeure. (photo ici)

Ces taches au sud-ouest sur l'image se déplaceront vers le sud-est durant les prochains 14 jours.

Elles feront donc face à la terre lorsqu'elles seront en plein centre de l'astre du jour.

C'est à suivre...

22 octobre

LE FAUX PROPHÈTE, LE SYNODE, ET LA MESSE

L’ascension de Bergoglio au trône de Saint-Pierre est la conséquence d’un processus très long engendré par la franc-maçonnerie, directement lié au relâchement des démons pour la fin des temps évoqué par Léon XIII (voir analyses précédentes sur Léon XIII et l’importance du chiffre 13).

La franc-maçonnerie avait réussi à placer son premier pape sur le trône de Saint-Pierre suite au décès de Léon XIII en 1903.

Mais, le cardinal Rampolla nouvellement élu fut évincé grâce à l’intervention de l’empereur François-Joseph d’Autriche qui usa de son droit de veto (privilège réservé à l’Autriche, à la France et à l’Espagne. Évidemment, le droit de veto fut aboli peu de temps après).

Ce qui n’empêcha pas les cardinaux de mettre son buste dans la salle papale en face de la liste des papes décédés avec l’inscription suivante :

« Marianus Rampolla del Tindaro titulaire de Sainte-Cécile (tu Transtevere) étant dévôt du bienheureux Pierre et ayant comme archiprêtre de la basilique offert à cette dernière une splendeur insigne l’Ordre des Chanoines plein de reconnaissance envers ce grand homme perpétue sa mémoire année 1914. »

« Franc-maçon appartenant supérieurs lucifériens (OTO : Ordo Templi Orientis) au service du pape Léon XIII et qui faillit lui succéder en 1903. Par un coup de pouce de la Providence, c’est Saint Pie X qui arriva sur le trône de Saint-Pierre. Son action permit de retarder le développement du modernisme dans l’Église. Cette infiltration, sans oublier les relais au service de Rampolla, on perduré après sa mort… cela a donné Vatican II… » (Pierre Hillard, Archives du Mondialisme, p. 178)

Rampolla fut l’homme d’action dans le domaine spirituel pour détruire l’église et amener l’humanité au nouvel humanisme. Il a échoué à devenir pape pour accélérer le processus, mais son réseau a perduré après sa mort en 1913 pour en venir à l’assimilation de l’Église aux dogmes judéo-maçonniques.

Du côté politique, c’est Josef Hieronim Retinger qui a tenu le rôle pour la construction européenne (organisme maintenant supra-national qui dicte ses lois au pays en faisant partis), prélude nécessaire au nouvel ordre mondial.

Rampolla et Retinger se connaissaient, et s’estimaient.

La tentative Rampolla avait échoué.

Les franc-maçons essayèrent de nouveau en 1958 où le cardinal Siri fut élu pape mais on lui a fait rapidement savoir au conclave, sous menaces, qu’il devait laisser la place au cardinal Roncalli.

« Mes chers amis, le Siège de Pierre et les places d'autorité à Rome étant occupés par des antéchrists, la destruction du Royaume de Notre Seigneur s'effectue rapidement jusque dans Son Corps Mystique ici-bas, notamment par la corruption de la Sainte Messe. qui est à la fois l’expression splendide du triomphe de Notre-Seigneur sur la Croix – Regnavit a Ligno Deus – et la source de l’extension de son royaume sur les âmes et les sociétés. » (MgrLefebvre, un an avant la consécration de quatre évêques pour la Fraternité Saint-Pie X)

Ainsi, la porte était ouverte pour Vatican II et la venue du faux prophète : Bergoglio.

Le faux prophète n’est mentionné qu’à deux occasions dans l’Apocalypse : pour la toute fin des temps, pour la préparation de l’acte final, Armageddon.

« Et je vis sortir de la bouche du dragon, et de la bouche de la bête, et de la bouche du faux prophète, trois esprits impurs, semblables à des grenouilles. Car ce sont des esprits de démons qui font des prodiges, et ils vont vers les rois de toute la terre, afin de les rassembler pour le combat du grand jour du Dieu tout-puissant. Voici que je viens comme un voleur. Heureux celui qui veille et qui garde ses vêtements, pour ne pas aller nu et ne pas laisser voir sa honte !

Et ils les rassemblèrent dans le lieu appelé en hébreu Armaguédon. » (Apocalypse 16, 13-15)

Le dragon, Satan, est accompagné de la bête de la terre (le système antichrist; Nations-Unies, France, Fille Aînée de l'Église converti à la laïcité avec à sa tête Macron) et le faux prophète Bergoglio pour le Vatican, soient les deux Babylone de la prophétie de Jean XXIII.

« Quand les mille ans seront accomplis, Satan sera relâché de sa prison, et il en sortira pour séduire les nations qui sont aux quatre extrémités de la terre, Gog et Magog, afin de les rassembler pour le combat : leur nombre est comme le sable de la mer.

Elles montèrent sur la surface de la terre, et elles cernèrent le camp des saints et la ville bien-aimée ; mais Dieu fit tomber un feu du ciel qui les dévora. Et le diable, leur séducteur, fut jeté dans l'étang de feu et de soufre, où sont la bête et le faux prophète, et ils seront tourmentés jour et nuit aux siècles des siècles. »
(Apocalypse 20, 6-10)

Nous avons eu la preuve depuis 2013, que Bergoglio parle comme un esprit impur, ni oui, ni non, que de l’ambiguïté, ne se fiant aucunement aux dogmes, mais à l’« esprit humaniste », esprit habitant maintenant le synode des synodes, et non, l’Esprit-Saint.

Il est bien celui qui prône l’amalgame de toutes les religions et pour y parvenir prêche l’immigration de masse pour éliminer l’identification culturelle, et surtout l’identification au christianisme catholique.

Il prépare le nouvel ordre mondial avec l’élite judéo-maçonnique dominante, prônant les cessez le feu et la paix mondiale pour arriver à cette fin avec une seule religion humaniste.

«Le pape François a canonisé hier, le 20 octobre, les martyrs de Damas. Dans la nuit du 9 au 10 juillet 1860, dans le cadre de la persécution des chrétiens, des druzes ont pris d’assaut le couvent des franciscains dans la vieille ville de Damas. Ils y ont tué onze chrétiens dont ils se sont emparés : huit franciscains et trois laïcs arabes.

L’Osservatore Romano, le quotidien officiel du pape, a présenté les nouveaux saints sans mentionner pourquoi ils avaient souffert le martyre : Parce qu’ils avaient refusé d’embrasser l’islam. » (benoit-et-moi.fr)

Voilà. On ne froisse pas l'Islam parce qu'elle doit absolument entrer dans le rang (voir analyses précédentes et le pacte d'Abu Dhabi signé par Bergoglio).

Voici ce qu’avait affirmé Albert Pike, le grand prophète luciférien du XIXème siècle :

« La Troisième Guerre mondiale doit être fomentée en utilisant les divergences que les agents des Illuminatis attiseront entre les Sionistes Politiques et les dirigeants du monde musulman. La guerre doit être menée de telle manière que l’Islam (le monde Arabe y compris la religion de Mahomet) et le Sionisme Politique (y compris l’État d’Israël) se détruisent mutuellement. Dans le même temps, les autres nations une fois de plus divisées entre elles à ce propos, seront forcées de se combattre jusqu’à un état d’épuisement complet, physique, moral, spirituel et économique. » (grandreveilwordpress.com)

C’est exactement ce à quoi nous assistons au Moyen-Orient.

Le prince du mensonge étant orgueilleux, ainsi en est-il du fils spirituel, le faux prophète : Bergoglio sortira une troisième autobiographie en deux ans, confirmant sa volonté d’un testament perpétuel de son pontificat (voir analyses précédentes).

Et ce testament est marqué, comme ce fut prophétisé, par la grande apostasie.

« Mgr Viganò : le « faux prophète » Bergoglio est coupable d’« apostasie totale » (analyse 14 décembre 2023)

« Comme il l’a fait en Hongrie devant les jésuites (« le soutien incroyable au restaurationnisme » est une « maladie nostalgique ».), Bergoglio cite encore Saint Vincent de Lérins, et portant fièrement le chapeau de « faux prophète » de l’Apocalypse, il divise au lieu de rassembler, il égare au lieu de ramener la brebis à la bergerie, il manipule les mots avec sa langue fourchue pour empoisonner l’âme, provoquer le schisme en faisant croire qu’il est le chef de la nouvelle église moderniste, et que tous, doivent être inclus au banquet
comme l’a dit Jésus. » (analyse 28 août 2023)

Le faux prophète, c'est aussi celui qui cache la vérité pour atteindre l'objectif du dragon.

Pendant qu'on discute au synode des synodes, Bergoglio a créé dix comités qui ont pour mandat de conclure les dix questions non résolues d'octobre 2023. Le rapport lui sera remis en 2025, soit hors synode!

Et le 5ème comité... Obscur...

« Le champ d’action de ce groupe comprend « les questions théologiques et canoniques concernant les formes ministérielles spécifiques » et, en particulier, « la recherche théologique et pastorale sur l’accès des femmes au diaconat ».

Au cours de sa présentation, le cardinal a indiqué aux membres du synode que la possibilité de restaurer le diaconat féminin reste une question ouverte.

Le cardinal a toutefois mis en garde contre une décision « précipitée » qui court-circuiterait le discernement nécessaire sur cette question, ainsi que sur les questions plus générales concernant les ministères féminins dans l’Église catholique.

Dès le départ, cependant, le groupe d’étude n° 5 a été entouré de mystère.

Contrairement aux neuf autres groupes, sa composition n’a toujours pas été révélée. Lors de présentations vidéo spéciales le jour de l’ouverture du synode, des photos ont été montrées des membres de chaque groupe d’étude, à l’exception du groupe n°5.

Au cours des réunions spéciales du 18 octobre, qui avaient été ajoutées au calendrier du synode pour permettre aux délégués de dialoguer avec les responsables de chaque groupe d’étude, la session du groupe d’étude n°5 a été animée par deux jeunes fonctionnaires du Dicastère pour la Doctrine de la Foi du Vatican.

Selon de nombreux participants, ceux-ci ont distribué aux délégués synodaux des feuilles indiquant comment ils pouvaient soumettre leurs commentaires pour le groupe d’étude n°5.... » (benoit-et-moi.fr)

Louis D'Alencourt a toujours affirmé que la mort de l'Église ou des deux témoins arriveraient par l'abolition de la Présence Réelle ou la dilution du sacerdoce:

« les questions théologiques et canoniques concernant les formes ministérielles spécifiques » est exactement un mandat pour diluer le sacerdoce.

Le faux prophète est partie intégrante du 3ème secret de Fatima :

« Voici ce qu’on soupçonne d’être le 3ème secret, reconstitué par Frère Michel de la Trinité au terme d’une étude publiée il y a plus de trente ans (en 1985) !

Tandis qu’au Portugal se conservera toujours le dogme de la foi, dans bien des nations peut-être dans le monde presque entier, la foi se perdra. Les pasteurs de l’Église manqueront gravement aux devoirs de leurs charges. Par leur faute, les âmes consacrées et les fidèles en grand nombre se laisseront séduire par des erreurs pernicieuses partout répandues. Ce sera le temps du combat décisif entre la Vierge et le Démon.  Une vague de désorientation diabolique déferlera sur le monde. Satan s’introduira jusqu’au plus haut sommet de L’Église. Il aveuglera les esprits, il endurcira le cœur des pasteurs. Car Dieu les aura livrés à eux-mêmes en châtiment de leur refus d’obéir aux demandes du Cœur Immaculé de Marie. Ce sera la grande apostasie annoncée pour les derniers temps, le faux agneau, faux prophète trahissant l’Église au profit de la Bête, selon la prophétie de l’Apocalypse. »

Le regretté Louis D’Alencourt du Grand Réveil nous révélait que :

« Bergoglio (le pape François) est sans chiffre parce qu’il est unique, il est à la fois le dernier et le premier. Le dernier pape de l’ex-catholicisme et le premier chef de la nouvelle religion de l’humanité.

Il est chargé d’accomplir la dernière mutation de l’Église, on pourrait même dire sa mue ; il ne s’agit pas d’une disparition en tant que telle, mais d’une transformation. Elle n’aura même pas besoin de changer de nom, parce que sa requalification en religion de l’humanité constituera de facto la disparition de l’original.
Cependant il subsiste un problème de taille : la messe.

La messe fait tâche d’encre, elle ne colle pas avec ce discours ni son esprit, ni même l’ambiance. Car la messe, même sous sa forme ordinaire (la messe de Paul VI), même dénaturée, est peut-être le dernier lieu, le dernier office, à vénérer ostensiblement Jésus-Christ comme Dieu, malgré leurs efforts pour le diluer dans l’humanisme ambiant. En tous cas, la messe telle qu’elle existe encore -et je rappelle qu’elle constitue l’office principal des catholiques- n’est pas compatible avec cette nouvelle théologie, qui voit Dieu partout, dans toutes les religions, justement parce qu’elle ne lui donne pas son vrai nom : Jésus-Christ. Sauf à la messe.

C’est une incongruité. Une incompatibilité avec la nouvelle théologie du Vatican. En toute logique, elle aurait déjà dû être réformée, adaptée au goût du jour, assaisonnée d’œcuménisme comme tout le reste, pour qu’elle soit compatible avec leur nouveau Dieu, universel et non Trinitaire.

Mais ce n’est pas si simple.

Il faut rappeler que la messe catholique ou orthodoxe est le seul office religieux qui prétende faire venir Dieu en personne sur l’autel à chaque office. Aucune autre religion n’a une telle prétention, personne n’ose prétendre faire venir Dieu sur place et encore moins physiquement (car c’est bien l’objet du miracle de la Transsubstantiation : l’hostie et le vin dans le calice sont les signes visibles d’une Présence divine réelle, par définition invisible puisque Dieu est un pur esprit. D’où leur changement de substance : la Présence Réelle est physique !)

Personne ne le fait parce que cette idée ne peut pas et ne pouvait pas être humaine : seul Dieu pouvait en avoir l’idée et l’instaurer parmi les hommes. Parce que si Dieu ne se rendait pas présent à ce moment-là, la supercherie serait découverte et la religion en question ferait long feu.

Voilà pourquoi aucune religion, en dehors de nous, ne prend le risque de déclarer faire venir Dieu durant ses célébrations. Si c’était facile à faire, et s’il suffisait de l’affirmer sans preuve, tout le monde le ferait.

Or personne ne le fait. Même pas les Protestants, parce que le fondateur des protestants, Luther, savait très bien au fond de lui-même, qu’il était un hérétique coupé de la grâce et du soutien divin.

Pour tromper son monde, il a donc institué à la place de la messe une célébration commémorant la Sainte Cène mais sans Consécration ni miracle de la Transsubstantiation. La messe de Luther n’est qu’une cérémonie où l’on prie Dieu comme dans toutes les autres religions, sans le signe distinctif qui fait le privilège de la seule vraie religion, de la seule agréée par Dieu parce que fondée par Lui, un signe exceptionnel inégalable et inimitable : la Présence Réelle.

Et la garantie de la Présence Réelle est donnée d’une part par l’expérience unique de la vie divine en soi (la véritable spiritualité) et par les innombrables miracles accomplis chez les catholiques seuls.

Rappelons que le principe des Ex-voto et de la canonisation n’existe que dans le catholicisme et l’orthodoxie. Aucune religion ne nous imite sur ce plan et pour cause : parce qu’aucune ne peut prétendre aux miracles qui prouvent la présence de Dieu. Les plaques de remerciements (Ex-voto) témoignent de ces miracles au quotidien et n’existent que dans nos églises, de même pour les saints, une canonisation ne peut être prononcée qu’après constat avéré d’un ou plusieurs miracles liés au saint.

Voilà pourquoi les protestants ont abandonné le culte des saints : là aussi, Luther savait très bien que dans sa contrefaçon du christianisme il n’y aurait pas de miracles et donc pas de saints ; pour le masquer, l’astuce a consisté à supprimer le culte des saints.

D’autre part, l’Eucharistie catholique est le principal sacrement qui unit l’homme à Dieu, appliquant à l’homme le mystère de l’union hypostatique effectuée par le divin Maître. Par les sacrements, mais principalement par l’Eucharistie car celui-ci a l’éminente qualité d’être répétitif, Dieu insuffle à l’homme la grâce sanctifiante, et le divinise en s’unissant à la nature humaine, c’est à dire non par le corps mais par l’esprit (c’est le véritable sens du mot spirituel, la vie spirituelle ne peut s’appliquer en réalité qu’aux catholiques en état de grâce et sûrement pas à tout le monde).

C’est dans notre âme que Dieu habite, c’est notre âme que Dieu nourrit par ses sacrements, principalement l’Eucharistie, faisant de ses enfants des temples du Saint-Esprit selon l’expression de saint Paul.

Voilà pourquoi le Royaume de Dieu n’est pas de ce monde (matériel) mais d’ordre spirituel. C’est par l’âme que Dieu s’unit à l’homme.

Ainsi donc, modifier la messe n’a rien d’anodin. » (grandreveilwordpress.com)

Voilà pourquoi on s’attaque dans les derniers mois à ceux et celles qui pratique la Messe Tridentine.

Cet obstacle gênant doit être éliminer au plus vite, le temps presse.

Une autre victime?

« ( LifeSiteNews ) — La journaliste du Vatican Diane Montagna rapporte que l'archevêque émérite de Dublin d'Irlande, Diarmuid Martin, et l'archevêque émérite de Tours de France, Bernard-Nicolas Aubertin, ont été sollicités pour effectuer la visite apostolique récemment annoncée par le Vatican à la Fraternité sacerdotale de Saint-Pierre.
Fondée en 1988 pour les prêtres désireux d'offrir la messe latine avec l'accord du Vatican, la FSSP a annoncé cette visite fin septembre dans un communiqué. 

« Cette visite n'a pour origine aucun problème de la Fraternité, mais a pour but de permettre au dicastère de savoir qui nous sommes, comment nous allons et comment nous vivons, afin de nous apporter toute l'aide dont nous pourrions avoir besoin », a dit le groupe.
L'annonce a été considérée comme un signe inquiétant d'une possible répression de la FSSP par le pape François, alors que de précédentes visites apostoliques de communautés et de membres du clergé à l'esprit traditionnel , notamment Mgr Joseph Strickland, les frères franciscains de l'Immaculée et les Carmélites de Fairfield, l'ont fait …. »

La guerre mené par le faux prophète et ses maîtres judéo-maçonniques a pour but d’éliminer Dieu sur cette terre pour y faire régner Satan comme seul maître.

Louis D’Alencourt (lien ci-haut) :

« Cette guerre ayant démontré une fois de plus l’animosité entre les trois grandes religions monothéistes (chrétiens, juifs et musulmans), les promoteurs du nouvel ordre mondial proposeront la religion mondiale du noachisme via le faux prophète. La religion noachide sera présentée comme celle de la « nouvelle civilisation de l’amour », celle de l’Antéchrist et de son bras droit, le faux prophète. « Le Dieu unique est actuellement adoré sous des formes multiples, au sein de cultes bien différents, mais à l’époque messianique, le monde spirituel verra se réaliser l’unité d’adoration » explique un promoteur de la religion noachide. En somme, une religion universelle et cosmopolite, réunissant tous les hommes devenus enfin frères. Albert Pike est un peu plus clair : ce sera « la manifestation universelle de la pure doctrine de Lucifer, enfin révélée aux yeux de tous ». »

17 octobre

LA COMÈTE DE LA MORT?

En hommage aux écrits du regretté Louis D’Alencourt du Grand Réveil : son analyse des plus pertinentes à l’ouverture du synode en 2021.

Et, à dix jours de la conclusion le 27 octobre, il est temps d’ajouter à l’analyse de Louis, les quelques révélations qui ont transpiré des premières sessions, car il faut le mentionner, la loi du silence est imposée aux participants, et où, seuls quelques porte-paroles donnent des informations au compte goutte aseptisées par la bureau de presse du Vatican.

Le synode est même absent des principaux médias, comme s’il n’existait pas, ce qui est normal dans cette humanité apostasiée.

Ce qui est tout un contraste avec l’ouverture de Vatican II.

« LE SYNODE DE LA MORT » (grandreveilwordpress.com)

« Nous nous doutions que le synode sur la synodalité lancé par le « pape » François en octobre 2021 serait l’instrument pour achever l’Église et faire périr définitivement le peu de catholicisme authentique qui restait encore présent, nous en avons désormais la quasi certitude. »

 … Le 10 octobre 2021, lors de l’ouverture de ce synode, le Figaro titrait :

« François lance sa grande réforme de l’Église »

Donc personne ne se méprend sur le contenu réel et les objectifs de cette démarche, ni Rome qui ne se cache plus, ni les médias grand public.

C’est très simple : la méthode consiste à entreprendre des réformes de fond, décidées et prévues depuis longtemps, sous le couvert de la volonté populaire. On expliquera que les décisions prises ne proviendront pas de l’autorité ecclésiastique souveraine, mais des souhaits de la base, c’est à dire des croyants et des pratiquants du monde entier, après les avoir consultés.

(Note: Cela est confirmé aujourd’hui : Le synode deviendra LA manière de faire de l’église.

La base des chrétiens et ses prêtres « aux mœurs perverties » choisira la direction à prendre selon le calendrier humaniste :

« De toute évidence, le but de cette conférence était de renverser la classe hiérarchique de l’Église et de mettre en œuvre un système démocratique », a écrit le cardinal Joseph Zen à propos du Synode sur la synodalité…. Le cardinal Joseph Zen a lancé un avertissement sévère au sujet du Synode sur la synodalité et de la division persistante résultant des Fiducia Supplicans, affirmant que « l'avenir de l'Église » est « incertain » à moins que les problèmes ne soient résolus.

« Je suis très inquiet de la manière dont cette soi-disant « synodalité » du Synode des évêques pourra être conclue sans heurts », a commencé Zen , l'évêque émérite de Hong Kong.

Le dernier essai du cardinal, publié le 17 octobre, renouvelle ses préoccupations et ses critiques antérieures à l'égard du Synode sur la synodalité, mais fait également référence à la déclaration controversée Fiducia Supplicans de 2023 qui a approuvé les « bénédictions » homosexuelles.(lifesitenews.com)

«Il a averti que certains, « ne comprenant pas correctement la notion de synode, pourraient penser, par exemple, que l’Église catholique est désormais devenue une sorte d’organisme démocratique doté d’une sorte de nouvelle constitution ». (cardinal Tobin, analyse précédente))

Ceci est d’une totale hypocrisie, il s’agit en réalité d’un faux synode, d’une consultation pipée, dont les conclusions étaient déjà écrites avant même qu’il ne s’ouvre.

...

Petit aparté : il semblerait que les Églises locales n’aient pas toutes appliqué le principe aberrant d’étendre la consultation à tous, à commencer par ceux qui ne sont pas concernés par le catholicisme. Alors en janvier 2022, on a repoussé la première étape d’avril au 15 août 2022 pour forcer les diocèses catholiques à au moins y associer les protestants et les orthodoxes, sous prétexte de « dimension œcuménique » du processus synodal.

« Le Vatican a publié une lettre demandant aux évêques catholiques d’inviter les dirigeants orthodoxes et protestants locaux à participer à l’étape diocésaine du processus de deux ans menant au Synode de 2023 sur la synodalité. » ; lettre du 17 janvier cosignée par le cardinal Mario Grech, secrétaire général du Synode des évêques, et le cardinal Kurt Koch, président du Conseil pontifical pour la promotion de l’unité des chrétiens.

 « Le dialogue entre chrétiens de différentes confessions, unis par un seul baptême, occupe une place particulière dans le cheminement synodal », avancent-ils pour justifier cette démarche.

« En effet, la synodalité et l’œcuménisme sont des processus de « marcher ensemble ».

Là encore le ton est donné.

Mais si les catholiques demandent leur avis aux autres, en quoi resteront-ils catholiques ? Devons-nous nous fondre et nous confondre avec le monde ou bien au contraire défendre et renforcer ce qui fait notre spécificité et notre différence ? Ne sommes-nous pas capables par nous-mêmes d’analyser nos forces et nos faiblesses, et d’évaluer comment nous sommes perçus, et pourquoi ? »

(Note: Effectivement, le but ultime est la nouvelle religion humaniste « débarrassée » de ce gênant obstacle qu’est la présence réelle, le Christ. Nous savons tous maintenant que des groupes « wokes » ont leurs représentants au synode et font du lobbying ( François reçoit un groupe « trans » ), que les autres religions chrétiennes présentes (orthodoxes, mennonites, protestants, etc.) et Bergoglio savourent l’idée d’un œcuménisme avec comme célébration une forme commémorative à la sauce protestante sans le Christ.

« Synodalité et œcuménisme: un seul chemin

La conférence de presse de ce jeudi 10 octobre sur les travaux de l'assemblée sur la synodalité était centrée sur le thème de l'unité des chrétiens. Le cardinal Koch, le métropolite orthodoxe Job, l'évêque anglican Warner et la pasteure mennonite Graber étaient les invités de cette réunion. Demain, une veillée œcuménique avec la communauté de Taizé aura lieu au Vatican. » (vaticannews.va)

Ainsi, Bergoglio pourra se vanter d’avoir réussi l’impossible, le rêve de Paul VI, une religion qui se dit chrétienne, sans la Sainte Messe, humaniste.

Pour que son œuvre soit éternelle, Bergoglio, on l’a vu dernièrement, nommera encore plus de cardinaux le 8 décembre prochain, des cardinaux gagnés à la cause, et assez jeune pour pouvoir perpétuer l’église synodale.

Les cardinaux nommés par Bergoglio sont maintenant majoritaires, ET, SANS profondeur théologique.

« Il y a un manque de grandes figures, avec une lumière propre, des pasteurs, bien sûr, mais aussi des intellectuels puissants, avec un arrière-plan philosophique, théologique et canonique convaincant et reconnaissable.

À ce jour, la quasi-totalité des cardinaux créés par le pape François (163 au 8 décembre) sont des personnes qui se comportent comme des clones du pontife, ou plutôt, comme on l’a écrit ces derniers jours, « ce sont des cardinaux copié-collé ». (benoit-et-moi.fr)

Comment Bergoglio a-t-il réussi à faire avaler la pilule concernant l’œcuménisme humaniste?

Vous allez tous comprendre ici la manœuvre si importante de Bergoglio abandonnant le titre de pape pour n’être que le simple « évêque de Rome » il y a quelques années (confirmant la dernière citation de la prophétie des papes de Saint-Malachie : Pierre le Romain) :

« Qui dit œcuménisme dit primauté de l’évêque de Rome, une question latente depuis des siècles qui reste indirectement l'une des thématiques du synode en cours.

Une Église catholique plus synodale pourrait ouvrir la porte à une avancée significative en la matière. Depuis Ut Unum Sint de Jean Paul II en 1995, la primauté du Pape est ouvertement posée et des gestes concrets ont jalonné les dernières décennies: d’abord la demande de pardon de Paul VI et du Pape polonais, puis le 13 mars 2013, la manière dont François s’est présenté aux fidèles au soir de son élection: «la tâche du Conclave était de donner un Évêque à Rome. […] La communauté diocésaine de Rome a son Évêque». Jorge Mario Bergoglio ne s’est pas cité comme Pape.

Ce qui pourrait sembler un détail pour les uns, a été en réalité perçu comme le franchissement d’une nouvelle étape du dialogue œcuménique. Orthodoxes et protestants sont en effets ouverts à la question du rôle de l’évêque de Rome et l’exercice de la primauté. » (vaticannews.va) )

Continuons avec Louis D’Alencourt :

« Revenons à ce document de travail que doit préparer Rome pour la seconde phase du synode.

Sur quoi va-t-il se baser ? Sur une synthèse des consultations nationales.

Cette synthèse, nous pouvons la faire dès maintenant, car se dégagent des grandes lignes communes à presque tous les rapports, et qui sont sans surprise, comme si tout le monde suivait un mot d’ordre établi d’avance. Ce qui n’a rien d’étonnant, je le rappelle, les dés sont pipés. »

(Note: Le cardinal Tobin nous a confirmé dernièrement la « grande sagesse » de Bergoglio qui a déjà décidé du rapport final : ce sera un amalgame de ses propres encycliques et Exhortations Apostoliques humanistes.

D’ailleurs, un informateur a confirmé que tous les sujets qui avaient été écartés lors de la session de 2023 qui faisaient scandales, ont été ramenés sur le tapis en ce mois d’octobre 2024, parce qu’il est important que cela soit dans le rapport final.

« CITÉ DU VATICAN ( LifeSiteNews ) — À travers le processus et le style du Synode sur la synodalité, le pape François semble tenter subtilement mais fermement de mettre en œuvre de manière irréversible les points les plus controversés de son pontificat.

« Le synode sur l’Amazonie a ouvert la voie au synode sur la synodalité », a déclaré le cardinal Leonardo Steiner, archevêque de Manaus au Brésil, aux journalistes du Vatican le 15 octobre. C’est un « voyage construit jour après jour », a-t-il déclaré… « La synodalité », a-t-il soutenu, « nous explique que nous devons être de plus en plus ouverts à l’inculturalité et à l’interreligion. » Steiner a également salué le style synodal consistant à « être ouvert à l’écoute des religions et des cultures afin que l’Évangile soit de plus en plus inculturé. »)

...
 
(Louis D’Alencourt) Une religion peut-elle ou doit-elle se réformer ?

Il est essentiel de rappeler quelques données fondamentales avant d’entrer dans le détail de ces propositions : une religion n’est pas une institution comme les autres.

Une religion a pour but de relier l’homme à Dieu, et particulièrement la religion catholique, puisqu’elle revendique le privilège d’être la seule religion à relier l’homme au seul, vrai et unique Dieu : la Sainte Trinité : UN seul Dieu en trois Personnes (Père, Fils et Saint-Esprit).

D’autre part, le catholicisme fonde sa doctrine, ses dogmes et ses rites sur la Révélation, à savoir sur l’enseignement donné par Dieu en personne aux hommes, tout au long de l’Ancien Testament, et surtout par le Verbe, Jésus-Christ, Dieu fait homme, venu sur terre pour enseigner les hommes et créer son Église (celle qui est à Rome), qu’il a chargée de perpétuer son œuvre par l’enseignement de sa doctrine et l’administration des sacrements, afin de procurer aux hommes le salut de leurs âmes et la vie éternelle.

Par conséquent, il n’appartient pas à l’homme de modifier quoi que ce soit de cet enseignement, ou de le réinterpréter ou de l’adapter au gré de ses caprices et de ses envies.

...

Ainsi donc, il est totalement incongru, inadapté et même sacrilège de demander aux hommes leur avis sur une doctrine, des règles, des valeurs et un culte qui ont été définis par Dieu en personne et transmis, explicités et ordonnancés fidèlement par ceux qu’il en avait chargés : les apôtres et leurs successeurs (la fameuse succession apostolique que seule l’Église catholique peut revendiquer historiquement par ses papes).

Répétons-le, car c’est nécessaire, aucune autre religion, pourtant fausse, ne se permet de tels impairs, de telles violations de ses propres fondements.

Seuls quelques aspects concernant le rite et ses applications pratiques, ou la nécessité de préciser certains points de doctrine selon l’évolution des mœurs et l’apparition de nouvelles pratiques, ou idées, peuvent être envisagés dans la vie d’une religion. Mais c’est tout.

Il faut donc prendre conscience du niveau d’apostasie, de désorientation et d’ignorance abyssales des catholiques contemporains, à commencer par la haute hiérarchie, pour ne serait-ce qu’envisager de discuter ou de réformer des points de doctrine, de valeurs, ou d’application du culte (la liturgie) qui ne dépendent pas des hommes mais de Dieu.

Quel est l’enjeu à ce stade ?

Il faut déjà savoir que le concile Vatican II a radicalement modifié, déformé et perverti le visage de l’Église, ses bases, sa perception du monde, la définition de sa mission, sa place et son rôle dans la société, et surtout l’interprétation et l’enseignement de sa doctrine. Il a aussi dévoyé considérablement l’administration des sacrements, et par conséquent altéré la puissance et l’efficacité des grâces qui en découlent, par la désacralisation et la dénaturation de la liturgie.

C’était ses buts cachés, mais les élites qui ont convoqué ce concile savaient ce qu’ils faisaient, et ils sont parvenus à leur but.

Il en est résulté une apostasie générale, car :

– de l’Église du Christ, on est passé à l’Église de l’homme ;
– du christianisme, on a basculé dans l’humanisme ;
– de la recherche de la vie éternelle on est passé à la défense de la dignité de la personne humaine ;
– de la royauté sociale du Christ, on a opté pour la définition luciférienne et maçonnique des droits de l’homme ;
– du respect et de la défense de la loi naturelle, on a choisi la foi dans les progrès scientifiques, techniques et sociaux humains.

Apostasier c’est quoi ? C’est rejeter ou déformer la doctrine initiale pour lui substituer une autre foi, une autre doctrine au gré des circonstances. En ce qui nous concerne, la doctrine initiale étant issue de la Révélation, elle est d’essence divine et donc unique, seule vraie, inaltérable et immuable : l’apostasie dans ce cas n’est même pas envisageable et constitue alors une très grave violation de nos devoirs et de nos responsabilités.

Tandis que les valeurs morales, sociales, économiques et religieuses basculaient progressivement dans un satanisme au début équivoque et discret, aujourd’hui public et palpable, où le péché devient la norme par la valorisation et même l’institutionnalisation à grande échelle des 7 péchés capitaux et des trois concupiscences, l’Église catholique, au lieu d’allumer le contre-feu avec ses 7 vertus et ses 7 sacrements, a abandonné le combat, d’une part en accompagnant cette évolution plus qu’en s’y opposant, et d’autre part en cherchant à concilier la foi avec ce néo-paganisme issu du matérialisme. Autrement dit, l’Église s’est fourvoyée en faisant le choix de l’homme qui se fait dieu à la place du Dieu fait homme, qui évolue en faire-valoir de l’humanité déifiée.



Ainsi donc, vouloir concilier la foi en Dieu et la société matérialiste, c’est justement vouloir concilier Dieu et Mammon, la chair et l’Esprit ; et puisque, nous le savons, celui qui l’a emporté depuis 60 ans c’est Mammon, c’est la vie selon la chair, c’est l’humanisme, alors cela veut dire que l’Église catholique issue du concile mène les hommes, le plus souvent, à la damnation, c’est à dire exactement à l’inverse de son rôle et de sa mission.

...

La Sainte Écriture, et Jésus-Christ lui-même, appellent cela La loi et les prophètes : la Loi ce sont les règles données par Dieu, les prophètes ceux qui parlent au nom de Dieu. Par extension, les prophètes désignent ceux qui enseignent la Vérité Révélée et la doctrine qui en découle.
...
Mais cette fois-ci, on arrive à l’accomplissement final du concile et de ses objectifs occultes, après soixante ans de bons et loyaux services des papes conciliaires successifs (qui sont chaleureusement remerciés en étant tous canonisés), on arrive à ce qui n’avait encore jamais été fait : envisager de modifier la doctrine, c’est à dire les textes légaux, en matière de foi et de mœurs.
...

Voilà pourquoi je parle de mort de l’Église. Car si on modifie la doctrine elle-même en matière de foi et de mœurs, ainsi que les bases fondamentales de certains sacrements, au profit d’idéologies contraires au catholicisme initial, c’est à dire à la volonté et à l’enseignement de Dieu en personne, alors il s’agit d’un basculement inédit dans autre chose, une autre religion, mais ce ne sera plus la religion de Jésus-Christ ; enfin, du VRAI Jésus, pas du faux qu’on nous sert depuis cinquante ans, plus proche du prophète, aussi illustre soit-il, que du Dieu fait homme. »

( Note: Comme le confirmait Louis D’Alencourt, ce synode des synodes est la mort de l’Église annoncée.

Il n’y a que deux manières d’assassiner l’Église dans sa Passion, avant sa résurrection : éliminer la présence réelle par une nouvelle célébration commémorative ou changer les règles du sacerdoce afin d’enlever le pouvoir sacramentel du prêtre.

L’église conciliaire s’est protestantisée pour plaire à l’élite humaniste de ce monde, pour faire partie de ce monde, alors que le Christ a toujours avertit qu’on ne peut servir Dieu et Mammon à la fois. )

Louis D’Alencourt :

« Aujourd’hui, cette Passion est déjà très largement avancée, l’Église depuis le concile est devenue méconnaissable suite aux déformations liturgiques et doctrinales qui confirment et prouvent qu’elle a accomplit son apostasie et adopté des positions protestantisées, voire hérétiques.

Il ne reste plus qu’à donner le coup de lance final, celui qui assurera la mort certaine et définitive, c’est le synode sur la synodalité qui s’en chargera.

Mais alors, me dira-t-on, qu’en est-il de la promesse divine que les forces de l’enfer ne prévaudront pas contre son Église ? C’est oublier qu’il existe, au sein de celle-ci, une partie saine qui n’a pas déformé la doctrine ni dévoyé la liturgie : la Tradition, qui fait perdurer l’Église d’avant, celle sainte et sans tâche, une et apostolique, la véritable Église de Dieu, et dont les membres constituent les derniers Témoins de la foi.

L’épisode final de la mort de l’Église (conciliaire) aura pour conséquence, aussi, la probable mort, du moins en apparence, de la Tradition, événement que l’Apocalypse décrit dans l’épisode de la « mort des Témoins » … »

Ainsi en est-il.

Le synode de la mort mène à la mort de l'église et des deux témoins, deux éléments essentiels du calendrier de l'Apocalypse avant la chute de Babylone.

Les signes dans le ciel sont présents pour nous accompagner.

L’autre comète découverte juste avant le synode (voir analyse du 30 septembre; Lumière dans le Ciel) et se dirigeant vers le soleil pour la fin du synode, semble s’être fragmentée, ce qui réduira son intensité lumineuse, mais aucunement son importance.

Car, ce qui est plus intéressant, c’est le rôle qu’elle pourrait avoir en cette fin de synode si sa désintégration dans l’astre du jour provoque une tempête solaire vers la terre.

La comète du synode de la mort aurait alors une grande signification.

Pour suivre l’évolution de cette nouvelle comète en français ici.

Une tache solaire complexe fait face à la terre pour les dix prochains jours, et la NASA/NOAA confirme que le cycle solaire 25 a atteint son maximum, qui durera durant l'année 2025.

Pas de hasard.

Fin du synode de la mort, mort des deux témoins, tempête solaire?, chute de Babylone...

Tout a cela aurait un sens logique... juste avant les élections américaines et la fin de la neuvaine de Notre-Dame de Guadelupe du cardinal Burke le 12 décembre prochain.

14 octobre

LA COMÈTE DU SYNODE

Saint-Jean, dont l’évangile est spirituelle par rapport aux trois autres qui décrivent plus des faits historiques, est le seul qui décrit le transfert de la co-rédemption à la Sainte Vierge Marie au pied de la croix par : « Femme, voilà votre fils. Fils voilà votre mère. »

Car, c’est Marie qui conduit au Fils.

Saint-Jean représente toute l’humanité dont Marie est Mère.

Saint-Jean nous a donné l’Apocalypse, la Révélation, et l’image de la femme avec les deux pieds sur la lune, l’image révélée par Notre-Dame de Guadelupe, la Sainte Vierge Marie à la fin des temps.

En ce mois du Rosaire si crucial à cause du synode, une comète nous accompagne, comme signe de la fin des temps.

Hier, 13 octobre, il semble que nous n’ayons pas eu de signe majeur du côté géopolitique, mais la comète TSUCHINSHAN-ATLAS s’est révélée pour la première fois à l’œil nu à toute l’humanité.

(Images sur spaceweather.com)

Elle est facilement visible au sud-ouest, environ 40 minutes après le coucher du soleil.

Retournons au 13 octobre 2023 avant la première portion du synode des synodes : «  avant la congrégation générale, une messe a été célébrée par le cardinal Fridolin Ambongo, archevêque de Kinshasa en RD Congo et président du SCEAM, symposium des conférences des évêques d’Afrique et de Madagascar. Dans son homélie, il a considéré ce synode comme une nouvelle Pentecôte qui renouvellera certainement l'Église dans la communion de ses membres et dans la participation active de tous à la vie et à la mission de l'Église. » (vaticannews.va)

L’article publié par le Vatican est amputé intentionnellement pour démontrer que l’église synodale est la voie, voie dirigée par le Saint-Esprit, rien de moins qu’une « nouvelle Pentecôte » avec une petite mise en garde contre le malin à la toute fin, qui lutte pour empêcher la nouvelle église synodale.

Rien de moins.

Or, dans cet article du catholicworldreport.com nous découvrons qu’il a mentionné Satan à plusieurs reprises :

« Le diable lance des attaques pour diviser l'Église, et nous devons riposter avec l'arme du Saint-Esprit, a déclaré vendredi un cardinal de la République Démocratique du Congo lors de la Messe.
...

“Si nous avons le courage de regarder notre réalité actuelle en tant qu'Église, il ne sera pas difficile de voir comment le Malin est à l'œuvre, influençant notre façon d'être et d'agir. Le Malin veut nous voir divisés; il pourrait même utiliser certains d'entre nous pour sa cause,”, a déclaré l'archevêque de Kinshasa, encourageant les gens à se battre avec “les armes de la synodalité.”
...

La lecture “nous rappelle que le diable est toujours présent et actif dans notre monde,”, a déclaré le cardinal. “Sa force réside précisément dans la stratégie de se rendre invisible et d'apparaître sous les formes les plus séduisantes et les plus rassurantes. Connaissant bien sa proie, le diable lance ses attaques à partir des réalités les plus sensibles.

Il cite le pape Benoît XVI qui a dit“le Malin cherche toujours à gâcher le travail de Dieu, semant la division dans le cœur humain, entre le corps et l'âme, entre l'individu et Dieu, dans les relations interpersonnelles, sociales et internationales .. Le Malin sème la discorde.”

“C'est pourquoi nous devons combattre courageusement le Malin, en utilisant les armes de la synodalité,” a-t-il poursuivi, “qui exigent l'unité, la marche ensemble, le discernement priant, l'écoute mutuelle et ce que l'Esprit a à dire à l'Église.”

“Nous sommes appelés à combattre ce puissant adversaire avec une arme tout aussi puissante à notre disposition: l'Esprit Saint, protagoniste de cette nouvelle façon d'être Église — l'Église synodale.” »

Et dans ce monde aux valeurs inversées, le système antichristique, même au sommet du Vatican avec l’Antichrist personnifié sur le trône de Saint-Pierre, ils ne sont même pas capable de voir que cet esprit du synode des synodes, est le même Satan dont Paul VI en 1963 avait confirmé la présence au sein même du Vatican.

Satan est en train de convertir l’Église pour en faire sa propre église puisqu’il ne peut l’éliminer.

Et les aveugles n’y voient rien.

Un des « McCarrick boys » (voir article sur benoit-et-moi.fr sur ce sujet), le cardinal Tobin, affirme « que la synodalité met en œuvre le « programme » du pape François pour l'Église ».

Donc, la conclusion et le rapport final sont déjà décidés d’avance comme plusieurs le soupçonnent.

« Avec « Amoris Laetitia, Fratelli Tutti, Laudato Si », le pape François a « distillé la sagesse » des synodes précédents, a déclaré le cardinal Joseph Tobin lors d'un point de presse au Saint-Siège aujourd'hui. »

Ainsi, le rapport final sera un amalgame de toutes les encycliques de Bergoglio, soit une église transformée, uniquement basée sur l’humanisme, décentralisée du Christ.

« Selon Tobin aujourd'hui, les membres du concile ont fortement conseillé au pape que l'immigration ou la vie sacerdotale devraient être au centre des préoccupations, mais François a décidé de faire le synode sur la « synodalité », provoquant une forte confusion au sein du concile.

Tobin a salué la décision du pape François, tout en soulignant qu'il ne l'avait pas comprise à l'époque. « Mon péché a été de remettre en question la sagesse du Saint-Père », a-t-il déclaré. « Je l'ai absous en essayant de comprendre ce qu'il voulait dire et pourquoi il y accorde de la valeur. »

Le cardinal de 72 ans a suggéré que l'accent mis par François sur la synodalité reliait les thèmes et documents clés de son pontificat. »

Remettre en question la sagesse du Saint-Père?

On n’y voit vraiment plus clair chez les cardinaux.

On voit bien que Satan est à l’œuvre.

Ainsi, il confirme par ses paroles que ceux qui ne sont pas pour la synodalité (un concept qui n’existe pas), sont contre la sagesse de Bergoglio, et donc contre la nouvelle église.

Exactement ce qu’avait anticipé le regretté Serge Monast (voir analyse du 20 septembre dernier) où le chrétien vivant la Tradition est considéré comme une nuisance, un terroriste qui mérite l’exclusion ou le bâillon.

« En distillant la sagesse qui a été présentée lors des synodes suivants – Amoris Laetitia, Fratelli Tutti, Laudato Si' –, il m’est apparu clairement que le Saint-Père ne proposait pas simplement un programme, mais qu’il m’aidait, ainsi que d’autres, à comprendre que pour faire cela, pour répondre au Seigneur de cette manière, il faut penser différemment à la manière dont l’Église vit et agit. »

Maintenant, conclut Tobin, l’attention de François à la synodalité « est un grand moment de grâce pour l’Église et le monde ».

Le lien établi par Tobin entre trois documents clés écrits par François et le Synode est remarquable car il présente le Synode sur la synodalité comme un moyen de mettre pleinement en œuvre les propositions contenues dans les textes précédents…

Il a averti que certains, « ne comprenant pas correctement la notion de synode, pourraient penser, par exemple, que l’Église catholique est désormais devenue une sorte d’organisme démocratique doté d’une sorte de nouvelle constitution ». (lifesitenews.com)

Voilà.

La trahison suprême, le synode des synodes, le Judas des Judas qui fait passer l’église conciliaire dans la nouvelle ère en ce mois d’octobre 2024, en donnant le coup final pour faire mourir l’Église dans sa Passion à l’image du Christ, pour faire mourir les « deux témoins » de l’Apocalypse, comme prévu par Saint-Jean.

Et dans son orgueil, Bergoglio lègue ainsi son testament, sa manœuvre finale qu’il espère éternelle (voir analyse du 17 septembre, LE TESTAMENT DE BERGOGLIO), sans retour en arrière comme il l’a affirmé si souvent, la conclusion de Vatican II.

Nous vivons un temps critique, la fin des temps, et peu s’en aperçoivent.

Même le cardinal Burke y est allé du bout des lèvres en se demandant, devant les signes présents (voir 17 septembre), si nous n’étions pas à la fin des temps.

Pourtant le signe du figuier donné par le Christ en Matthieu 24 pour nous guider en cette occasion est bien facile à décrypter.

Et comme à la venue du Christ sur cette terre il y a plus de 2000 ans un signe dans le ciel annonçait sa venue, nous avons en ce mois d’octobre un signe dans le ciel annonçant sa seconde venue.

Même si les signes du zodiaque dans le ciel sont une œuvre païenne, il est quand même intriguant de constater que la comète  TSUCHINSHAN-ATLAS s’est révélée le 13 octobre aux pieds de la constellation de la Vierge, qui elle écrase la constellation du Serpent, comme en référence à la Genèse et à l’Apocalypse.

L’Alpha et l’Oméga, le début et la fin d’un cycle, la fin des temps.

12 octobre

La veillée de prière œcuménique célébrant l’entrée dans l’œcuménisme pour une seule religion humaniste, soit Vatican II, donne le ton à la conclusion du synode des synodes.

C’est le 11 octobre, date si chère au francs-maçons.

Et c’est le 11 octobre que nous avons eu cette tempête solaire avec aurores pour nous donner un signe.

«CITÉ DU VATICAN ( LifeSiteNews ) — Le pape François s'est joint aux délégués œcuméniques et aux participants du Synode sur la synodalité dans une veillée de prière œcuménique au Vatican ce soir, au cours de laquelle le lien entre œcuménisme et synodalité a été une fois de plus affirmé.

Pour clôturer la journée complète de réunions du Synode, vendredi 11 octobre, les participants ont pris part à une veillée de prière œcuménique très attendue sur la Place des Protomartyrs au Vatican, lieu traditionnel du martyre de saint Pierre.

Le pape et le synode étaient accompagnés d'un certain nombre de délégués œcuméniques, escortés du cardinal Kurt Koch, préfet du Dicastère pour la promotion de l'unité des chrétiens.

La date a été choisie délibérément, car elle marquait l'anniversaire de l'ouverture du Concile Vatican II, qui « a marqué l'entrée de l'Église catholique dans le mouvement œcuménique », a déclaré Koch aux journalistes jeudi.

Donnant un signe de fatigue, François n'a pas prononcé son homélie prévue lors de la veillée, bien que le bureau de presse du Saint-Siège l'ait ensuite publiée en ligne .

(note: voir ici pour le sermon)

(extrait : «En ce jour où nous nous souvenons de l’ouverture du Concile Vatican II, qui a marqué l’entrée officielle de l’Église catholique dans le mouvement œcuménique, nous sommes réunis avec les Délégués fraternels, nos frères et sœurs des autres Églises.

L’unité des chrétiens et la synodalité sont liées. En effet, si « le chemin de la synodalité est justement celui que Dieu attend de l’Eglise du troisième millénaire » (Discours 50e anniversaire de l’institution du Synodes des Évêques, 17 octobre 2015), il doit être parcouru par tous les chrétiens. « Le chemin de la synodalité […] est et doit être œcuménique, de même que le chemin œcuménique est synodal » (Discours à Sa Sainteté Mar Awa III, 19 novembre 2022). Dans les deux processus, il ne s’agit pas tant de construire quelque chose que d’accueillir et de faire fructifier le don que nous avons déjà reçu. Et comment se présente le don de l’unité ? L’expérience synodale nous aide à en découvrir certains aspects. )

Dans son texte préparé, François a réitéré ce qui a été un thème constant et important tout au long du synode de trois ans : « L’unité des chrétiens et la synodalité sont liées. »

« Le cheminement de la synodalité… est et doit être œcuménique, tout comme le cheminement œcuménique est synodal », a-t-il déclaré, poursuivant les points de discussion longuement exposés par le cardinal Koch lors d'un point de presse du 10 octobre .

Notant que le Saint-Esprit « nous guide vers une plus grande communion », François a fait valoir qu’il n’était pas clair à quoi ressemblerait une telle unité :

De même que nous ne savons pas à l’avance quel sera le résultat du Synode, nous ne savons pas non plus exactement à quoi ressemblera l’unité à laquelle nous sommes appelés… Comme le disait le Père Paul Couturier, l’unité des chrétiens doit être implorée « comme le Christ veut » et « par les moyens qu’il veut ».

François a également souligné l'aspect particulier du Synode en matière de relations œcuméniques, affirmant que l'événement « nous aide à redécouvrir la beauté de l'Église dans la variété de ses visages ».

Reprenant une phrase qu’il répétait souvent, François a déclaré que « l’unité n’est pas l’uniformité, ni le résultat d’un compromis ou d’un contrepoids ».

Il a plutôt déclaré que « l’unité des chrétiens est l’harmonie entre la diversité des charismes suscités par l’Esprit pour l’édification de tous les chrétiens ».

La date de la veillée était déterminante, tout comme le lieu. François et toute l’assemblée œcuménique étaient assis sur la place où la Tradition rapporte que saint Pierre fut martyrisé, crucifié la tête en bas. « En ce lieu, les protomartyrs romains nous rappellent qu’aujourd’hui encore, dans de nombreuses parties du monde, des chrétiens de différentes traditions donnent leur vie ensemble pour leur foi en Jésus-Christ, incarnant un œcuménisme de sang », a commenté François.

Il a également parlé de « honte » face au « scandale de la division parmi les chrétiens, le scandale de notre incapacité à porter un témoignage commun au Seigneur Jésus ».

François a présenté le synode comme une solution possible à ce problème, et comme « une opportunité de faire mieux, de surmonter les murs qui existent encore entre nous ».

Reprenant une fois de plus les thèmes du Synode, François a souligné « le terrain commun de notre baptême partagé, qui nous pousse à devenir des disciples missionnaires du Christ, avec une mission commune. Le monde a besoin de notre témoignage commun ; le monde a besoin que nous soyons fidèles à notre mission commune ».

Alors que le « terrain d’entente du baptême » a été évoqué ce soir dans le cadre d’un effort œcuménique, au sein du Synode, il est également utilisé pour appeler à un renforcement du ministère et de la gouvernance des laïcs dans l’Église catholique.

Œcuménisme catholique

Au cours des dernières années, depuis le Concile, l’engagement catholique dans l’œcuménisme a connu une croissance exponentielle, alors que, parallèlement, la promotion de la foi par l’Église a considérablement diminué.

Comme l’enseignent les catéchismes, l’œcuménisme catholique authentique implique la mise en pratique du commandement du Christ de prêcher l’Évangile et d’amener des âmes à l’Église. (Mt 28, 19)

Dans Libertas , le pape Léon XIII , se référant aux relations de l'Église avec les autres religions, écrit que l'Église catholique tolère « certaines libertés modernes, non parce qu'elle les préfère en elles-mêmes, mais parce qu'elle juge opportun de les permettre ; elle exercerait sa propre liberté dans des temps plus heureux ; et, par la persuasion, l'exhortation et la supplication, elle s'efforcerait, comme elle y est tenue, de remplir le devoir qui lui est assigné par Dieu de pourvoir au salut éternel de l'humanité. »

Le pape Pie XI, dans Mortalium Animos, a également mis en garde fermement contre « la fausse opinion qui considère toutes les religions comme plus ou moins bonnes et louables, car elles manifestent et signifient toutes de différentes manières ce sens qui est inné en nous tous et par lequel nous sommes conduits à Dieu et à la reconnaissance obéissante de sa règle. »

À la lumière du danger – déjà régulièrement évoqué – des conséquences d’un œcuménisme défaillant, un  décret  du Saint-Office du Vatican de 1949 demandait aux évêques chargés de promouvoir le véritable œcuménisme d’attirer les âmes vers l’Église et de toujours enseigner la plénitude de la priorité de l’Église. Le document disait :
Il n’est en aucun cas permis de passer sous silence ou de voiler sous des termes ambigus la vérité catholique sur la nature et la voie de la justification, la constitution de l’Église, la primauté de juridiction du Pontife romain et la seule véritable union par le retour des dissidents à la seule véritable Église du Christ.

La pratique actuelle du Vatican est beaucoup plus conciliante que celle des décennies précédentes, privilégiant l’unité œcuménique par rapport à la pratique antérieure de l’intégrité doctrinale. »

10 octobre

Sans surprise à l’approche du 13 octobre.

Une éjection de masse coronale se dirige vers la terre pour produire une tempête d’aurores aussi intense que le phénomène du 11-13 mai dernier.

Ici, la vidéo de l’éjection avec en bonus le passage de la comète du 13 octobre venant de la droite pour contourner le soleil.

Les taches solaires sont présentement très grosses, instables et dirigées face à la Terre.

Le 13 octobre, date du miracle du soleil en 1917, nous atteindrons 107 années révolues depuis l’apparition de Notre-Dame du Rosaire.

Le troisième secret de Fatima concerne la perte de la Foi au sommet de l’Église et la grande apostasie.

Regretté père Gabriel Amorth (était exorciste du Vatican) :

« « En effet, déclare Amorth, un jour Padre Pio m’a dit avec beaucoup de tristesse : « Tu sais, Gabriele ?  C’est Satan qui a été introduit dans le sein de l’Église et qui, dans très peu de temps, viendra diriger une fausse Église . »

« Oh mon Dieu ! Une sorte d’Antéchrist ! Quand vous a-t-il prophétisé cela ? » [demande Zavala].

« Cela devait être vers 1960, car j’étais déjà prêtre à cette époque. »

« Est-ce pour cela que Jean XXIII a eu une telle panique à l’idée de publier le Troisième Secret de Fatima, afin que les gens ne pensent pas qu’il était l’antipape ou quoi que ce soit d’autre… ? »

Un sourire léger mais entendu dessine sur les lèvres du père Amorth.

« Padre Pio vous a-t-il parlé d’autres catastrophes à venir : tremblements de terre, inondations, guerres, épidémies, famines… ?  A-t-il fait allusion aux mêmes fléaux prophétisés dans les Saintes Écritures ? » [demande M. Zavala]

« Rien de tout cela ne lui importait, si terrifiants qu’ils fussent, sauf la grande apostasie au sein de l’Église. C’était le problème qui le tourmentait vraiment et pour lequel il priait et offrait une grande partie de sa souffrance, crucifié par amour » [dit le père Amorth].

« Le troisième secret de Fatima ? »

" Exactement. " (lifesitenews.com)

Ce qui confirme que l’important, c’est la perte des âmes.

Le Ciel ne parle que des choses du Ciel.

Notre-Dame avait averti que si la Russie ne se convertissait pas que les erreurs du communisme se répandraient sur le monde.

N’est-ce pas ce que nous avons à la tête de l’église? Un pape adepte de la théologie de la libération et sa clique socialo-marxiste ne prônant que des messages humanistes et non du Christ?

Quant au temporel, c’est nous qui faisons l’histoire, et Dieu dirige la nature humaine et terrestre pour nous retourner sur le bon chemin, si nous en avons la volonté.

Ce 13 octobre prochain pourrait être la journée (un an après l’intervention d’Israël à Gaza) pour frapper l’Iran.

L’Iran menace les autres pays arabes si ils permettent l’utilisation de l’espace aérien pour une attaque israélienne :

« Téhéran a fait savoir aux États du Golfe qu’il serait « inacceptable » qu’ils permettent l’utilisation de leur espace aérien contre l’Iran et que toute action de ce type entraînerait une riposte, a déclaré mardi un haut responsable iranien, alors que le pays se prépare à une éventuelle riposte israélienne à l’attaque de missiles iraniens de la semaine dernière. » (timesisrael.com)

Le chef du parti conservateur canadien s’ajoute à la liste de ceux qui veulent une frappe contre les installations nucléaires iraniennes :

« Canada : Le chef de l’opposition soutient une frappe israélienne contre le programme nucléaire iranien... ce qui serait un cadeau juif pour l'humanité » (timesisreal.com)

Il est temps de ramener la prophétie de Bernadette Soubirou (on ne sait pas par contre si elle est véridique) :

«  "Bernadette a écrit en 1879 au Pape Léon XIII afin de lui soumettre des messages pour notre siècle. De ces cinq prophéties, quatre se sont déjà réalisées. Cette lettre, considérée comme perdue pendant 120 ans, aurait été retrouvée par le Père français Antoine Lagrande au Vatican alors qu'il cherchait des documents sur des miracles à Lourdes. Cette lettre au Pape, écrite juste avant sa mort par Bemadette, comprend cinq messages de la Sainte Vierge concernant les événements de notre siècle et l'avenir après l'an 2000. Le contenu de la lettre n'a jamais été publié et les personnes au Vatican avouent qu'elle avait été égarée. Le Père Lagrande a découvert cet écrit en décembre dernier [décembre 1997] dans une armoire métallique, dans la cave de la bibliothèque vaticane. Il s'agit de cinq pages séparées et sur chaque page se trouve une révélation.

...Au début du XXIe siècle, on assistera au choc des adeptes de Mahomet et des nations chrétiennes. Une terrible bataille aura lieu dans laquelle 5 650 451 soldats perdront la vie et une bombe très destructrice sera lancée sur une ville de la Perse. Mais à la fin c'est le signe de la croix qui vaincra et tous les musulmans se convertiront au christianisme. Suivra un siècle de paix et de bonheur car toutes les nations déposeront les armes. Une grande richesse s'ensuivra car le Seigneur va répandre sa bénédiction sur les croyants. Sur toute la terre, il ne restera pas une seule famille vivant dans la pauvreté et souffrant de la faim. A un homme sur dix Dieu donnera le pouvoir de guérir les maladies de ceux qui appellent à l'aide. Suite à ces miracles, on entendra les cris d'allégresse d'un grand nombre. Le 21e siècle sera nommé: «Deuxième Age d'Or de l'humanité». »

Revoici la LA PROPHÉTIE DE DON BOSCO concernant le venue de l’Iris de paix avant le mois de mai des deux lunes :

La copie de cette prophétie a été envoyée à Rome le 12 février 1870, comme en témoigne la Civiltá Cattolica , Vol. VI, Série 8, 1872, pp. 299 et 303, par le Père Joachim Berto (secrétaire particulier de Don Bosco).

Il a copié cette prophétie à la demande de Don Bosco quelques semaines après l'Épiphanie.

« … Il y aura toujours un violent ouragan. L'iniquité est consommée; le péché prendra fin et avant que deux pleines lunes du mois des fleurs ne passent, l'iris de la paix apparaîtra sur la terre.

Le Grand Ministre verra l'épouse de son roi habillée pour la fête.

Sur le monde entier, un soleil apparaîtra si brillant qu'il ne l'a jamais été depuis les flammes du Cénacle jusqu'à aujourd'hui, et il ne sera pas revu jusqu'au dernier jour. »

L’iris de paix est la fleur de lys, figure du Christ Roi, que nous retrouvons évidement dans les prophéties de l’Église de Jean XXIII.

« Ouvrez votre cœur au lis. La voix sera puissante, annoncée par les trompettes. (Retour du Christ, l’ultime soleil, le premier Soleil.)

Lumière de l'Occident, dernière lumière avant l'éternelle, inconnue. La vérité sera plus simple que tous l'ont dit, que tous l'ont écrit. »

(Prophétie de l’Église #12  « L’arrivée de la Lumière »)

La voix est annoncée par les 7 trompettes de l’Apocalypse.

Le P. Berto écrit dans son interprétation de la prophétie qu’en l’an 1874, le mois de mai a deux pleines lunes (Lune Bleue), l'une le 1er et l'autre le 31.

« Cependant, aucun événement extraordinaire profane ou surnaturel ne s'est produit ce mois-là. En effet suivant la séquence du texte, cet événement devrait suivre «l'ouragan» de «l'iniquité» et du «péché» qui suivrait lui-même le traité du Latran de 1929. En mars 1988 et 1999, il y a deux pleines lunes. Dans le premier, il n'y avait pas de cessation notable du péché dans le monde. Ce dernier n'est pas encore venu. » (franciscan-archive.org)

Observons le ciel et la guerre de la nature.

Ces signes sont des avertissements.

07 octobre

« Grand Éclair à l’Orient »?

Pas vraiment mais un séisme de 4.6 a été détecté en Iran et tout indique qu’il y a eu un essai nucléaire souterrain dans le désert iranien.

Alors qu’Israël prépare sa riposte à l’attaque de missiles de la semaine dernière, l'Iran tient à démontrer qu'elle possède la bombe atomique.

La comète du 13 octobre est sur le point de contourner le soleil et de devenir un objet céleste observable de soir autour du 9 octobre, et peut-être de jour.

Voici un photographie prise le matin avec la tour Eiffel (non visible à l’œil nu encore).

Retour sur l’importance du 7 octobre et du 13 octobre via le site du Grand Réveil du regretté Louis D’Alencourt.

« Les 7 octobre et 13 octobre

Le 7 octobre est la date d’une des plus grandes victoires militaires catholiques face aux musulmans : le 7 octobre 1571 la coalition formée par le pape bat la flotte ottomane lors de la bataille navale de Lépante. Cette victoire est due explicitement aux innombrables chapelets récités par toute la chrétienté dans ce but. C’est pourquoi, en action de grâce d’un succès qui protègera pour longtemps la chrétienté de la menace islamique, le pape instituera au 7 octobre la fête de Notre-Dame du Rosaire, afin de faire le lien avec la prière privilégiée qui nous a obtenu cette grâce du Ciel.

Le 13 octobre est la date du miracle du soleil à Fatima. Les célèbres apparitions de la Vierge Marie à Fatima au Portugal se sont déroulées du 13 mai au 13 octobre 1917, sur 6 apparitions, la dernière du 13 octobre constituant une preuve incontestable de leur origine divine puisque les 70 000 personnes présentes assistèrent en direct au « miracle du soleil ».

Le lien entre les deux dates a été effectué par la Vierge Marie en personne. En effet, au cours des apparitions de Fatima, la Vierge dit à plusieurs reprises aux voyants : « le dernier jour, je vous dirai qui je suis et ce que je veux. » Et le dernier jour, le 13 octobre, elle révèle effectivement son nom : « Je suis Notre-Dame du Rosaire ». Cette information de toute première importance, donnée par le Ciel faut-il le rappeler, relie le 7 octobre au 13 octobre, et Lépante à Fatima. Ca devra donc servir un jour. »

En résumé : La guerre est déclenchée par le Hamas le 7 octobre et l’ultimatum d’Israël le 13 octobre.

Rappelons l’analyse du 18 septembre sur ce sujet en relation avec le 24 mai :

« Auxilium Christianorum »  « Notre-Dame Auxiliatrice » est fêtée le 24 du mois de mai.

Ce titre fut donné à la Sainte Vierge Marie et officiellement introduit dans l’Église par Pie V, après la célèbre victoire de Lépante en 1571, lorsque qu'il ordonna d'inscrire dans la litanie Lorétienne l'invocation "Maria Auxilium Christianorum, ora pro nobis".

Saint Pie V ne cacha point qu'il attribuait à l'intercession  de la sainte Vierge le succès de Lépante. Il ajouta aux litanies de Lorette, c'est-à-dire de la sainte Vierge, l'invocation "Secours des chrétiens, priez pour nous", et fixa au 7 octobre une fête en l'honneur de Notre-Dame de la Victoire.

Il y a donc un lien direct entre les mois d’octobre et de mai.

Sachant que Don Bosco a prophétisé aussi la venue du Lys de Paix avant le mois des deux lunes, et que le seul possible maintenant est mai 2026, on ne peut qu’anticiper que le mois d’octobre 2024 est crucial.

L’Antichrist personnifié fera ses dernières nominations de cardinaux en décembre, et à la surprise de tous, Timothy Radcliffe (oui, oui, celui qui fait les méditations pré-synode et ses positions hétérodoxes, surtout pour son activisme en faveur de la reconnaissance de l’homosexualité dans l’Église, dont on a fait mention dernièrement), à 79 ans.

C’est une récompense pour son travail de sape de l’église puisqu’il ne sera pas éligible à voter à un conclave ( on ne peut voter à 80 ans et plus).

Les nominations selon la liste sont partisanes et surtout, des évêques très jeunes seront promus, afin de perpétuer la destruction de l’église pour encore de nombreux conclaves : le testament de Bergoglio (analyse du 17 septembre dernier).

Voir Effets collatéraux dans l’Église et autres articles sur benoit-et-moi.fr

Prions Notre-Dame du Rosaire en cette journée si cruciale.

Prière de Notre-Dame du Saint Rosaire :

« Ô Bienheureuse Vierge Marie, Reine des Cieux et Mère de la Miséricorde, nous nous tournons vers toi avec des cœurs humbles et reconnaissants en ce moment sacré où nous invoquons les mystères de ton Saint Rosaire. Toi qui es notre étoile du matin, guide-nous à travers les méandres de nos vies, éclairant notre chemin de la lumière de ton Fils bien-aimé, Jésus-Christ.

Au commencement de chaque Ave Maria, nous méditons sur l'Annonciation, ce moment divin où l'Archange Gabriel t'a saluée comme pleine de grâce, et où tu as, avec une humble soumission, accepté la volonté de Dieu en devenant la Mère du Sauveur. Que cette méditation nous enseigne l'obéissance confiante face aux desseins mystérieux de Dieu, et qu'elle fortifie notre foi en sa providence divine.

Pendant chaque dizaine, nous contemplons les mystères joyeux, lumineux, douloureux et glorieux de la vie de ton Fils, Jésus. Que ces moments de prière approfondissent notre compréhension de l'amour infini de Dieu manifesté en Jésus-Christ, et que nous soyons inspirés à suivre ses enseignements et à imiter son exemple.

Au cours des mystères joyeux, nous réfléchissons à la naissance du Christ, à son enfance à Nazareth et à la présentation au Temple. Sainte Marie, Mère de Dieu, intercède pour nous, afin que, comme toi, nous puissions accueillir Jésus dans nos vies avec une joie ineffable.

Dans les mystères lumineux, nous contemplons le baptême de Jésus, ses miracles et l'institution de l'Eucharistie. Sainte Marie, Reine des Apôtres, accorde-nous la grâce de vivre nos vies à la lumière de la vérité éternelle de ton Fils.

Les mystères douloureux nous conduisent au jardin de Gethsémani, au chemin de croix, à la crucifixion et à la mort de Jésus sur la croix.

Mère compatissante, sois notre réconfort dans les moments de souffrance, et guide-nous à travers les épreuves de la vie avec la foi inébranlable que tu as démontrée au pied de la croix.

Les mystères glorieux célèbrent la résurrection, l'Ascension, la Pentecôte et ton couronnement comme Reine du Ciel. Sainte Marie, notre Reine et notre Mère, aide-nous à aspirer à la gloire éternelle du Royaume de Dieu et à cheminer avec espérance vers notre patrie céleste.

Pendant chaque Ave Maria, nous te prions pour notre église, pour tous les fidèles, pour les âmes du purgatoire, et pour le monde entier. Ô Notre-Dame du Saint Rosaire, prie pour nous, maintenant et à l'heure de notre mort.

Amen. »

05 octobre

L'ancien Premier ministre Ehud Barak estime qu'Israël pourrait attaquer l'industrie pétrolière iranienne, tout comme le président Biden l’a confirmé cette semaine.

Plus nous approchons du 13 octobre plus la situation devient tendue.

Retour sur l’analyse du 153, le chiffre des rachetés :

1871 ajouté de 150 ans donne exactement le début du synode des synodes de Bergoglio en 2021.

Ajouté du chiffre de la Sainte Trinité, nous atteignons comme spécifié octobre 2024.

Signe des temps : Considérant que Bergoglio était supposé clore le synode en 2023, il n’y a pas de hasard quant au fait qu’il a du prolongé cette conclusion en 2024.

Dans l’analyse de la prophétie politique #32 « Le temps est proche » qui est liée au « Grand Éclair à l’Orient », nous avions potentiellement identifiée la fille de Caïn comme étant Greta Thunberg qui ouvrait ainsi la voie pour la nouvelle religion anxio-climatique, supporté par le Laudato Si de Bergoglio.

C’était en août 2018.

« La fille de Caïn est montée au Nord, pour prêcher. Luxure dans la nouvelle Babylone, pour sept ans.
La septième année tombe le septième voile de Salomé, mais il n'existe pas d'empereur, il n'existe pas qui saura lever l'épée et couper le cou de Jean.
Le temps est proche. »

La septième année est donc 2025, l’année du jubilé.

Le septième voile reliée à la danse de Salomé est donc le signe de l’ouverture du septième sceau, la prophétie de l’église #11 de Jean XXIII, et puisqu’il n’y a pas d’empereur, cela indique que le chaos mondial est à nos portes.

La prophétie concernant François spécifie bien que :

« Le grand frère d'Orient fera trembler le monde par la croix renversée sans les lis. »

C’est exactement ce que fait le chef chiite en Iran, à la botte de Satan, croyant faire venir son messie au dépend des juifs.

Sur une notre plus positive en ces temps si critiques, Camaron, sur le blog le Grand Réveil de Louis D’Alencourt avait l’habitude de rappeler l’importance de l’acte de réparation à la Vierge Immaculée demandée par cette dernière à  Fatima, à tous les premiers samedis du mois :

« Pour rappel important, comme tous les premiers samedi du mois, n’oublions pas de prier à l’attention de notre Mère du ciel ce magnifique acte de réparation à la Vierge Immaculée, pour tous les outrages dont elle fait l’objet en cette période des derniers temps.

Acte de réparation à la Vierge Immaculée

A réciter le premier samedi du mois…

Très Sainte et Immaculée Vierge Marie, Mère de Dieu, qui êtes aussi notre Mère : nous nous agenouillons respectueusement devant vous, afin de réparer par ce témoignage d’honneur et d’amour toute la souffrance que vous ont causée à vous et à votre Divin Fils, la négligence, l’ingratitude, le reniement et les blasphèmes.

Ô Marie, chef-d’œuvre incomparable de la Très Sainte Trinité, objet des complaisances éternelles de Dieu ! Le Fils Eternel de Dieu est votre Fils selon la nature humaine, le sang de votre sang. Votre dignité touche ainsi à l’infini ; vous êtes, ô Marie, l’Immaculée Conception, pleine de grâces et de mérites, la Vierge-Mère, la Reine du Ciel et de la Terre. Vous êtes notre Co-Rédemptrice, notre Médiatrice et notre réconciliatrice. Vous êtes la Mère de la Sainte Eglise et l’exterminatrice de toutes les hérésies, la Trésorière du Cœur de Jésus, la Dispensatrice de toutes les faveurs célestes, la Toute-Puissance suppliante, la Mère de miséricorde, notre Consolatrice et notre Refuge.
Votre bonté et votre miséricorde égalent votre force et votre dignité. Et cependant, il y a des malheureux qui, comme de vrais suppôts de l’enfer, vous dédaignent et vous insultent, vous et votre Divin Fils. Il en est qui méconnaissent votre dignité incomparable et vos bontés maternelles. D’autres qui sapent l’œuvre de la Rédemption dans les âmes rachetées par le sang de Jésus et qui cherchent à déchristianiser le monde.

Et combien, même parmi les chrétiens, qui aiment trop peu leur Mère et montrent par leur manière d’agir qu’ils n’ont pas assez de confiance en Vous, Mère de miséricorde, consolatrice des affligés, et refuge des pécheurs. Combien qui se flattent, ô Mère, de vous aimer de tout cœur et continuent étourdiment de renouveler par le péché les souffrances de Jésus et de transpercer votre Cœur maternel. Et moi-même que j’estime peu ce que vous êtes pour nous ! Que de fois je me suis joint aux bourreaux du Calvaire ! Et, au lieu d’être pour vous un fils aimant, j’ai trop souvent attristé votre tendre cœur de Mère par ma négligence et mon indifférence.
Ô Cœur maternel de Marie, ayez pitié de nous ! Miséricorde et conversion pour ceux qui cherchent à déraciner dans les âmes des pauvres et des enfants l’amour pour Jésus et pour vous. Miséricorde et conversion pour tous les pécheurs ! Miséricorde et pardon pour moi aussi, pour toutes mes fautes et mes négligences !

A titre de réparation, ô la meilleure des Mères, je vous offre la louange et tout l’honneur qui vous ont jamais été rendus par le ciel et la terre, en particulier par le Divin Cœur de Jésus. Je vous présente tout l’hommage qu’on vous rend aujourd’hui sur toute la terre, en public et au foyer. Je m’offre aussi moi-même avec mon amour d’enfant et ma piété, avec toutes les adversités et les bonnes actions de ce jour. Je vous promets d’être désormais tout vôtre, d’animer et de répandre votre culte, tant que je le pourrai.

Ô bonne Mère, répandez en nous et sur le monde entier, le surplus de votre miséricorde maternelle, en même temps qu’une vive piété pour Jésus et votre Saint Cœur ! Exterminez les hérésies, et écrasez pour toujours la tête du serpent infernal ! Obtenez la paix pour la terre, et la victoire pour notre Mère la Sainte Eglise ! Régnez sur nous et sur le monde entier, et que, par votre règne, nous arrive le règne du Divin Cœur de Jésus ! Ô bon Jésus, je vous en conjure par l’amour que vous portez à votre Mère : accordez-moi de l’aimer vraiment comme vous l’aimez et comme vous désirez qu’elle soit aimée. Ainsi-soit-il !
Indulgence plénière pour tous ceux qui, le premier samedi du mois vont à la communion et font acte de Réparation pour les blasphèmes contre la Vierge Immaculée.

04 octobre

Saint-Augustin, Léon XIII, Pie IX, et le 13

Nous ramenons sur la table l’analyse du 24 mars 2018 clarifiant les explications de Saint-Augustin sur la signification du chiffre 153, tout en liant ces dernières aux analyses récentes sur Léon XIII et le chiffre 13.

Pourquoi?

Parce que ce mardi 1er octobre, à l’occasion de la retraite du Synode, le père dominicain Timothy Radcliffe, ancien maître de l'Ordre des prêcheurs, a proposé dans sa troisième méditation une réflexion sur le thème de «La pêche miraculeuse», s’appuyant sur l’Évangile de saint Jean.

Il n’y a pas mais pas de hasard ici.

Pas du tout avec la signification hautement eschatologique de cette pêche miraculeuse en cette fin des temps.

Surtout dans le contexte actuel géopolitique et synodal.

On rappelle brièvement qui est Timothy Radcliffe, choisi en 2023 et 2024 pour guider les méditations à caractère humaniste du synode des synodes (via benoit-et-moi.fr).

« Le frère dominicain, qui fut supérieur de l’Ordre de 1992 à 2001, mais dont la réputation mondiale est surtout due à la quantité d’écrits, traduits dans de nombreuses langues, en claire opposition à la doctrine catholique (notamment sur le thème de l’homosexualité mais aussi sur d’autres sujets chauds, comme la communion aux divorcés remariés, le rôle des femmes, etc.), doit, à la demande du pape, diriger la retraite de prière en préparation à l’assemblée du Synode des évêques qui se tiendra au Vatican du 1er au 3 octobre 2023. »

Ce qu’il a dit :

« Nous voici arrivés à la grande énigme: 153 poissons gras. Je pourrais vous ennuyer pendant des heures avec toutes les explications merveilleuses et souvent absurdes de ce nombre.
Pourquoi 153? Certains disent qu’il devait y en avoir 153. Mais imaginez les compter en bondissant partout. D’autres font référence aux 153 églises qui existaient peut-être à l’époque. D’autres aux 153 nations qui étaient alors connues. Cela signifie clairement l’abondance. La providence abondante de Dieu est à l’œuvre. Saint John Henry Newman a décrit la providence comme «l’œuvre silencieuse de Dieu». L’Instrumentum Laboris s’ouvre par une citation d’Isaïe: «Sur cette montagne, le Seigneur de l’univers fera pour tous les peuples un festin de mets succulents, un festin de vins bien affinés, de mets succulents remplis de moelle, de vins bien affinés et filtrés» (25,6). » (vaticannews.va)

Cette intervention est à l’image de tout le pontificat de Bergoglio en quelques phrases : des paroles frivoles, aucune idée, aucune direction, de l’ambiguïté, aucune théologie.

C’est l’ignorance complète de la Tradition et des pères de l’Église, dont dans ce cas-ci, Saint-Augustin.

Pourtant, Saint-Augustin détient la clé de la signification du chiffre 153.

Pourquoi le 153?

Dans le Nouveau Testament, il y a deux pêches miraculeuses, une avant la résurrection du Christ, et la seconde, relatée par Saint-Jean, liée à une manifestation de Jésus ressuscité au même groupe de pêcheurs.

Retenez bien :

Jésus confirme alors aux apôtres l'aspect physique de sa résurrection ET le caractère universel de la mission qui leur est confiée (153 miraculeuse dans les filets).

Matthieu (13, 47-50) nous précise aussi que la pêche représente aussi le Jugement, le tri, la séparation du bon grain de l'ivraie.

«… le royaume des cieux est encore semblable à un filet qu'on a jeté dans la mer et qui ramasse des poissons de toutes sortes. Lorsqu'il est plein, les pêcheurs le retirent, et, s'asseyant sur le rivage, ils choisissent les bons pour les mettre dans des vases, et jettent les mauvais. Il en sera de même à la fin du monde : les anges viendront et sépareront les méchants d'avec les justes, et ils les jetteront dans la fournaise ardente : c'est là qu'il y aura des pleurs et des grincements de dents.»

Mais le sujet est complet avec le « Traité sur l'Évangile de Jean de Saint Augustin » sur les 153 poissons :

« Quant à la pêche qui suivit la résurrection, elle désigne l’Église du ciel; car les poissons viennent tous de la droite, comme les élus; comme les élus ils sont comptés, et s’ils sont au nombre précis de 153, c’est que ce nombre encore désigne les élus. »

« Ce nombre ne représente pas uniquement les élus qui ressusciteront pour la vie éternelle, et ne veut pas dire qu’ils seront seulement cent cinquante-trois : il représente aussi les milliers de saints qui vivent sous l’empire de la grâce de l’Esprit : cette grâce s’accorde avec la loi de Dieu comme avec un adversaire ; ainsi, l’Esprit vivifie et la lettre ne tue pas ; ce que la lettre commande s’accomplit avec le secours de l’Esprit, et si on ne l’observe point parfaitement, cette omission est pardonnée. Tous ceux qui se trouvent soumis à l’influence de cette grâce, ce nombre les figure donc, c’est-à-dire qu’il les représente figurativement il est composé de trois fois cinquante, plus trois, qui représentent le mystère de la Trinité : le nombre cinquante est formé par le résultat de sept multiplié par sept, auquel on ajoute un ; car sept fois sept font quarante-neuf. On y ajoute un, pour signifier que celui qui est symbolisé par sept à cause de ces sept opérations, est un : nous le savons, le Saint-Esprit a été envoyé le cinquantième jour après la résurrection du Sauveur, il avait été promis aux disciples, et ils avaient reçu l’ordre de l’attendre. » (fr.wikisource)

Un jubilé dans l’Ancien Testament est l’année suivant 7 cycles de 7 années où sont remis les dettes.

Pour être du nombre des élus, il faut avoir accompli la loi de Dieu, ou les 10 commandements, avec le secours des 7 dons de l’Esprit-Saint. Le nombre 17 est ainsi le chiffre des élus. Additionnez tous les nombres inférieurs jusqu’à celui-là, vous obtiendrez cent cinquante-trois.

« Jamais le Seigneur n’aurait donné cet ordre, s’il n’avait eu dessein de nous tracer un enseignement qui nous fût salutaire. Qu’importait à Jésus-Christ qu’on prît des poissons ou qu’on n’en prît pas ?

Rappelons-nous que les disciples firent deux pêches sur l’ordre de Notre-Seigneur Jésus-Christ, l’une avant sa passion, l’autre après sa résurrection.

Ces deux pêches figurent donc l’Église; l’Église telle qu’elle est aujourd’hui, et l’Église telle qu’elle sera à la résurrection des morts. Aujourd’hui, en effet, les bons et les méchants sont innombrables dans son sein, tandis qu’après la résurrection elle ne renfermera que les bons, dont le nombre sera fixé. »

« 153 représente Le nombre caractéristique de la mission du Christ dans le nouveau testament qui symbolise l’ensemble des rachetés. Les pères de l’Église s’accordent à voir dans le nombre 153 le symbole d’universalité de l’Église. Saint Augustin va dans le même sens en affirmant qu’il symbolise la totalité des élus.

Saint Augustin déclare : « Dans le nombre dix-sept comme dans ses multiples on trouve un sacrement admirable ».

Sont ainsi réunis dans le filet à la fois les Juifs (pour la loi) et les païens (pour l’Esprit Saint).

Saint Augustin explique encore que c’est 50, le nombre du Jubilé, doublement placé sous le nombre 3 le chiffre de la Divinité, il l’est par la multiplication (3 x 50 = 150) et par l’addition (150 + 3 = 153) ; ce Nombre 153 signifie en quelque sorte le Jubilé des jubilés ; il pourrait être le Nombre de l’Église de l’Agape, celle du grand Jubilé messianique...» (H. Kruse : vd 1960, p. 129-148, cité par : Bible chrétienne Évangiles, no 371.)

Du 13 mai 1917 au 13 octobre 1917, Marie est apparue aux 3 bergers sur une période de 153 jours.

153, c'est aussi le nombre du Rosaire, soit 3 chapelets d'Ave Maria.

L’apparition forcée du 19 août 1917 renvoie à Saint-Joseph dont on la fête est le 19 mars, date d’intronisation de Bergoglio.

Nombre de jours entre le 19 mars et le 19 août : 153.

Donc, 153 signifie le Jubilé des jubilés.

Le pape Léon XIII a eu sa vision du Christ et de Satan le 13 octobre 1884.

Nous avons analysé dernièrement que nous atteignons en 2024 les 100 ans de destruction de Satan ajoutés aux 40 ans d’attente dans le désert à l’image du Christ, notre carême, depuis la vision de Léon XIII du 13 octobre 1884.

Le 13 est le chiffre de la purification (facilement confirmé par la Vierge Marie à Fatima entres autres).

Le chiffre de Marie est le 13 : la lettre M demandée rue du Bac au dos de la médaille miraculeuse est la 13ème lettre de l’alphabet, et la série des apparitions tous les 13 du mois à Fatima vient confirmer ce choix (la Sainte Vierge étant aussi la 13ème après les 12 apôtres).

Alors, que nous indique cette méditation pré-synode du père Radcliffe avec sa pêche miraculeuse de 153 poissons?

Déduisons simplement 153 années de 2024 et nous avons 1871.

Or, 1871 est le début d’un cycle de destruction de l’Église, soit la perte des États pontificaux en 1870 qui fait surgir la « question romaine ».

La loi des Garanties, de son intitulé complet loi des Garanties sur les prérogatives du Souverain pontife et du Saint-Siège et sur les relations de l'État avec l'Église est une loi italienne promulguée le  cherchant à résoudre la « question romaine », née de la disparition des États pontificaux survenue un an auparavant..

Après la prise de Rome en 1870, pape Pie IX, dernier souverain des États pontificaux, se déclare alors « prisonnier du Vatican ».

La question romaine ne sera résolue qu’avec les accords du Latran en 1929.

Alors le Vatican devient royaume temporel où selon l’Apocalypse ne régneront que 8 rois avant la fin des temps (voir l’analyse du 13 septembre  2024 : « Le 8ème roi : l’oméga »), soit 8 papes depuis 1929.

C’est confirmé encore une fois dans l’ouvrage « Le diable au XIXè siècle » en 1894 : il s’agit d’une séance de questions à Lucifer lors d’une réunion privée de hauts responsables maçonniques.

À la question « combien de papes après Léon XIII » [le pape régnant de l’époque] le démon répond :

 « Neuf, et après eux je règnerai ». (grand reveil wordpress, Louis D’Alencourt)

Pie IX, est un grand pape qui a condamné toute forme de modernisme dans l’Église.

Il  proclama le dogme de l'Immaculée Conception.

Il convoqua le premier concile œcuménique du Vatican, qui définit notamment l'infaillibilité pontificale.

Le 8 décembre 1870, Pie IX déclare officiellement et « pour perpétuelle mémoire » saint Joseph « Patron de l’Église universelle ».

Le 7 juillet 1871, est reconnu à saint Joseph le droit à un culte supérieur à celui des autres saints; à saint Joseph furent accordées par Dieu des grâces spéciales.

Nous arrivons à la fin du cycle, la fin des temps, et Bergoglio commencera le jubilé de la victoire synodale (s’il se rend jusque là) le 8 décembre, jour évidemment important de l’Immaculée Conception.

Quatre jours plus tard, ce sera la fin de la neuvaine de Notre-Dame de Guadelupe, ou Notre-Dame de l’Apocalypse.

Tout est finalement relié.

Saint-Joseph, Marie, Fatima, le 13 et le 153.

1871 à 2024.

Le début de la destruction physique de l’Église, et son achèvement par le synode des synodes en 2024.

La résurrection suivra.

03 octobre

« La terre frisera le massacre. Un seul mourra pour tous et il était le meilleur.
Ce n'est pas le temps d'un roi, ce ne l'a jamais été. Depuis la mort de Frédéric, chaque roi est usurpateur. Que le roi s'en aille, reste le peuple. L'Europe a soif, elle aura du sang dans les rues.
Mais aussi de grandes processions et la Vierge Heureuse descendra sur terre. Vous ne la verrez pas dans la grotte, mais dans un cœur qui revivra. Depuis les ténèbres, elle apportera la parole que tous comprendront.
C'est le temps des lettres. »

Quelques pensées sur la fin de la prophétie « Grand Éclair à l’Orient » qui se dessine à l’horizon avec l’Iran et Israël.

La terre sera en péril: c'est bien ce qui se dessine.

Un seul mourra pour tous et il était le meilleur : On peut penser au successeur de Bergoglio (pas nécessairement pape, comme le cardinal secrétaire d’État Pietro Parolin par exemple; puisque on ne sait pas s’il y aura le temps d’un autre conclave) de la prophétie le concernant qui mourra assassiné.

Ce qui voudrait dire que le décès de Bergoglio est imminent.

C’est le temps des lettres : l’Alpha et l’Oméga, le début et la fin d’un cycle.

Le début du cycle : Vatican II.

La fin du cycle : le synode des synodes.

À l’image de Jean XXIII qui a ouvert Vatican II mais qui est décédé avant sa fin, en sera-t-il de même pour Bergoglio?

La Sainte Vierge descendra sur terre.

C’est l’image de la femme de l’Apocalypse, les deux pieds sur la lune et qui voile le soleil, l’image de Notre-Dame de la Guadelupe, où on voit les constellations sur sa tilma.

D’une manière ou d’une autre, on sait grâce à Fatima, que le soleil est concerné en cette fin des temps.

Et, Malachi Martin affirmait que le signe dans le ciel nous montrerait que Dieu existe.

Et, avec l’ajout d’une tache solaire gigantesque hier, on peut affirmer que la terre fait face à des possibilités de tempêtes solaires assez vigoureuses pour l’instant.

Tempête solaire de classe X9.1, la plus grosse du cycle 25 vient d'avoir lieu.

À suivre pour l'éjection de masse coronale s'il y a lieu.

Il y aura des aurores possibles à partir de cette nuit.

Revue des actualités d’hier :

- Ouverture du Synode: le Pape invite à prier et jeûner pour la paix le 7 octobre… (vaticannews.va)

Mais, ne fait aucune mention de la fête de Notre-Dame du Rosaire.

- Bennett : « Le moment est venu pour Israël de détruire le programme nucléaire iranien »
Selon l'ex-Premier ministre, "nous avons la justification. Nous avons les outils. Maintenant que le Hezbollah et le Hamas sont paralysés, l'Iran se tient à découvert" (timesofisrael)

- Israël, qui promet de répondre avec force à l’attaque de missiles lancée mardi contre son territoire par l’Iran, pourrait profiter de l’occasion pour viser les installations nucléaires du pays, préviennent des experts. (lapresse.ca)

« J’emprunte ce titre très réussi à Samuel Martin qui, sur Boulevard Voltaire a trempé sa plume dans le vitriol pour présenter la grotesque cérémonie pénitentielle qui a ouvert avant-hier la seconde partie du Synode.
(A propos, la parenthèse belge, qui a fait espérer, ou redouter à certains, que le pape soit devenu conservateur, s’est très vite refermée).
.
Luisella Scrosati reprend une récente interview du cardinal Müller, qui passe au crible les nouveaux péchés sans oublier d’envoyer quelques piques bien senties à ses adversaires (« certains anti-intellectuels de l’épiscopat, qui aiment se référer à leurs talents pastoraux en raison de leur manque de formation théologique« ) , qui laissent mal augurer de l’ambiance dans la salle du Synode auquel lui-même participe.

Parfois, il nous vient, peu charitablement, le regret que le ridicule ne tue pas – disons plus sobrement: ne fasse pas disparaître sous terre. Si les noms des cardinaux qui se sont prêtés toute honte bue à cette mascarade sont souvent inconnus (celui de Tucho ne pouvait manquer, et il ne surprendra personne) comment un intellectuel présumé comme le cardinal Schönborn, qui ose par surcroît se présenter comme un disciple de Benoît XVI a-t-il pu proférer ces idioties sans être paralysé par le fou-rire… ou par la honte? » (benoit-et-moi.fr)

02 octobre

Comme prévu, tout va très vite en ce mois d’octobre.

Sans surprise, l’Iran a lancé des missiles sur Israël plongeant ce monde dans l’inquiétude quant à la riposte que cette dernière emploiera.

Les experts en politique pensent qu’une attaque contre les installations nucléaires iraniennes est en préparation.

« Netanyahu : « l’Iran a commis une grave erreur ce soir et en paiera le prix » (timesofisrael)

« Washington renforce sa présence au Moyen-Orient avec « quelques milliers » d’effectifs supplémentaires (timesofisrael)

Et, « Khamenei menace Israël d’une attaque « plus forte et plus douloureuse »

Après avoir tiré 180 missiles balistiques sur Israël, le guide suprême iranien Ali Khamenei publie sur Twitter une illustration d’une vaste cache d’armes souterraine, avertissant que la victoire de Téhéran est proche. » (timesofisrael)

Remarquez l’image dans ce lien qui reflète facilement les intentions du chef religieux.

Digne de l’enfer.

Les suppôts de Satan sont libérés.

Une éjection solaire de classe X7.1 a eu lieu durant ces événements. C’est la deuxième plus grande tempête du cycle solaire 25.

Rien de grave à l’horizon car l’éjection de masse coronale associée n’est pas énorme.

Mais les taches solaires augmentent rapidement en ce début de mois, élevant le risque de tempêtes plus intenses.

01 octobre

Voilà.

C’est commencé.

Le synode des synodes ouvre sur la retraite des participants et aujourd’hui c’est le moment de la confession universelle sur les péchés qui n’existent pas.

« CITÉ DU VATICAN ( LifeSiteNews ) — L'évêque Athanasius Schneider a accusé un événement du Synode du Vatican sur la synodalité d'être « un outil pour promouvoir un nouvel agenda au sein du synode pour établir de nouvelles doctrines qui sont contraires à la révélation divine, ou qui sapent la révélation divine ».

….

Mais Schneider a rejeté l’idée, affirmant qu’en ce qui concerne les « péchés contre la synodalité », il n’y a « pas de tels péchés dans la révélation divine ».

La liste des péchés proposés inclut le « péché d’utiliser la doctrine comme des pierres à lancer ». Schneider a cependant soutenu que « ces nouvelles doctrines inventées dans cette soi-disant synodalité, ce sont les vraies pierres qu’elles jettent aux fidèles, parce qu’elles sont des distorsions et qu’elles nuisent aux fidèles et mettent en danger leur salut éternel ».

Il a déclaré que la charité authentique comprend l’itération de la doctrine catholique :

Une vraie doctrine n’est pas contre la charité : transmettre la doctrine est une des plus hautes expressions de la charité envers le prochain, l’amener au droit de la vérité et à la lumière de la vérité ne nous donne que le vrai bonheur.

Ces nouvelles doctrines et méthodes synodales confuses nous apportent ambiguïté, incertitude, et personne ne donnera sa vie pour quelque chose d'ambigu. Nous donnerons seulement notre vie pour ce qui est vrai, pour ce qui est solide comme un roc, c'est-à-dire le Christ – Il est le roc, Il est la vérité et seulement pour Lui. Avec la grâce de Dieu, chaque chrétien doit être prêt à donner sa vie.

Pendant cet acte d’hypocrisie humaniste qui attire l’attention de tous au Vatican, Bergoglio agît en cachette, encore une fois contre un organisme relié à la Tradition, car c’est contraire au synode en cours :

« ( LifeSiteNews ) — La Fraternité Sacerdotale Saint-Pierre (FSSP) a été informée qu'elle recevra une visite apostolique du Vatican.
La FSSP est une communauté internationale de prêtres sous l'autorité du Saint-Siège qui célèbre la messe traditionnelle latine dans les églises du monde entier. »

« CITÉ DU VATICAN ( LifeSiteNews ) — L’évêque Athanasius Schneider a déclaré que le pape François a contredit « l’Évangile tout entier » en affirmant que toutes les religions sont un chemin vers Dieu. »…

Une telle affirmation du pape François est clairement contraire à la révélation divine, elle contredit directement le premier commandement de Dieu qui soit toujours valable – « Tu n’auras pas d’autres dieux que moi » – c’est tellement clair, et une telle déclaration contredit l’Évangile tout entier.

Schneider a ensuite rappelé aux téléspectateurs que « Jésus-Christ a dit : « Nul ne vient au Père que par moi. » »

Suite à la conclusion de l’enquête du Vatican sur les apparitions de la Vierge Marie à Medjugore publié la semaine passée, il semble que l’on visait également sinon ultimement les apparitions et les miracles à Fatima en 1917…

Ce qui est très révélateur à l’approche de ce 13 octobre 2024.

« En marge de la note récemment émanée, dont on a pu croire qu’elle concernait essentiellement sinon uniquement Medjugorje (cf. Merjugorge: ce n’était pas assez clair), une interview du père Stefano Cecchin, président de l’Académie pontificale mariale, franciscain.. et néo-franciscain. Il semblerait que Medjugorje était, au moins en partie, un prétexte, et que ce sont d’autres apparitions qui inquiètent le Vatican…

Par ailleurs, c’est le père Cecchin qui, reprenant la ligne officielle de Sainte Marthe, a déclaré « absolument faux » tous les messages qui parlent de « châtiments ». Or, c’est exactement ce que fait le message de Fatima, et pas seulement lui. »

À lire sur benoit-et-moi.fr

La guerre au Moyen-Orient s’intensifie.

Israël a fait son entrée dans le sud du Liban juste après le discours du premier ministre aux Nations-Unies, où il « exhorte le monde à préférer la « bénédiction » de la paix à la « malédiction » de l’Iran » (timesofisrael)

...

« « J’ai un message pour les tyrans de Téhéran : si vous nous frappez, nous vous frapperons. Il n’y a pas d’endroit en Iran que le bras long d’Israël ne puisse atteindre, et c’est vrai pour tout le Moyen-Orient », a poursuivi le chef du gouvernement israélien.
« Nous gagnons, nous gagnons, nous gagnons, nous gagnons, nous gagnons, nous gagnons, nous gagnons, nous sommes en train de gagner », s’est exclamé Netanyahu. »

On sait bien de quelle paix l’élite judéo-maçonnique veut nous imposer.

Néanmoins, cela confirme nos analyses depuis le début, c’est l’Iran qui est concerné par la prophétie politique « Grand Éclair à l’Orient », du moins, elle en est la cause.

Et la Chine qui donne son soutien à l’Iran (timesofisrael).

Liban : la Turquie presse Israël de retirer ses soldats « au plus vite »

Preuve que les événements sont bien enclenchés pour la bataille finale de la fin des temps.

Les deux Babylone ont amorcé leurs chutes.

Septembre 2024

30 septembre

LUMIERE DANS LE CIEL

Nous avons analysé l’importance du pape Léon XIII dans les dernières analyses.

« Lumière dans le ciel » est la devise attribuée à Léon XIII dans la prophétie des papes de Saint-Malachie.

Et la « lumière dans le ciel » est bien présente en cette fin de cycle, en ce mois de la conclusion de Vatican II par le synode des synodes.

C’est la comète de l’espoir pour les chrétiens catholiques.

Nous y sommes.

C’est le début du synode dans deux jours.

Et, la comète qui l’accompagne, et que nous verrons à l’œil nu autour du 12 octobre prochain, si tout continue ainsi, a triplé sa luminosité en une seule journée, signe qu’elle sera probablement visible en plein jour à cette date.

Il est estimé que cette comète a déjà visité la terre il y a plus de 80000 ans.

La comète n’est visible qu’au lever du soleil à l’est près de l’horizon en cette fin de mois. Mais elle deviendra de plus en plus visible entre le 12 et le 20 octobre lorsqu’elle prendre de l’altitude tout en se distançant du soleil.

Lien de spaceweathergallery pour les images de la comète.

Ci-joint l’image simulée donnée par Stellarium le 12 octobre prochain.

Voici la vue de la comète depuis la station spatiale.

Mais, aujourd’hui, juste avant le début du synode, la découverte d’une autre comète excite la communauté astronomique :

Une nouvelle comète rasante du soleil.

« Elle est déjà de magnitude 11 avec une chevelure verte de 2 degrés et une courte queue. »

L'orbite de la nouvelle comète rappelle à de nombreux experts celle de la grande comète Ikeya-Seki (C/1965 S1). En 1965, Ikeya-Seki est devenue si brillante lorsqu'elle est passée près du Soleil qu'elle était visible en plein jour à une magnitude de -10. Les observateurs japonais l'ont vue en plein midi.

« A11bP7I est au moins 4 à 5 magnitudes plus faible qu'Ikeya-Seki à la même distance », note Qicheng Zhang de l'observatoire Lowell. « Néanmoins, elle pourrait encore produire un spectacle visuel important début novembre si elle survit à sa rencontre rapprochée avec le Soleil. »

Comme Ikeya-Seki, la nouvelle comète rasante du Soleil de Kruetz. Les comètes Kreutz rasantes sont des fragments issus de la désintégration d'une comète géante il y a environ 2000 ans. Chaque jour, plusieurs fragments passent près du soleil et se désintègrent ; en effet, les coronographes SOHO en ont découvert des milliers. En règle générale, ils sont très petits, mais A11bP7I pourrait être une exception : un gros fragment qui survit à la chaleur et devient visible à l'œil nu.

Karl Battams, expert en comètes rasantes au Naval Research Lab, aimerait voir une belle démonstration, mais il est également plein de prudence : « Les comètes Kreutz présentent souvent des comportements « explosifs ». Ainsi, même si j'espère de tout mon cœur une Ikeya-Seki 2.0, il semble qu'il pourrait également s'agir d'un fragment Kreutz beaucoup plus petit qui aurait simplement éclaté un peu plus tôt que prévu [nous faisant penser qu'il est plus gros et plus brillant qu'il ne l'est en réalité] ». » (spaceweather.com)

Et voilà.

Quelle coïncidence.

Une comète visible dans le ciel du jour en plein synode et pour la date historique du 13 octobre, et une autre pour clore le synode à la fin du mois d’octobre.

Cette dernière est une fragment d’une comète plus grande éclatée il y a environ 2000 ans.

L’étoile du berger?

Et cette comète se dirige droit dans le soleil (elle ne fera pas le tour; c’est une rasante du soleil).

Quelle sera l'impact possible?

Ce genre de comètes peuvent provoquer des éjections de masses coronales (tempêtes solaires) et donc perturber la Terre, si dirigées vers cette dernière.

On la compare à la grande comète de 1965, la dernière de ce type vue en plein jour.

« Les comètes peuvent défier de telles prédictions, mais Ikeya-Seki a agi comme prévu. Alors qu'elle s'approchait du périhélie, les observateurs ont signalé qu'elle était clairement visible dans le ciel diurne à côté du Soleil. Au Japon, où elle a atteint le périhélie à midi heure locale, elle a été vue briller à une magnitude de -10. Elle s'est avérée être l'une des comètes les plus brillantes observées au cours du dernier millénaire, et est parfois appelée la Grande Comète de 1965. » (Wikipedia)

Une magnitude de -10, c’est énorme.

La comète du 13 octobre atteindra peut-être une magnitude de -4 (plus le chiffre est négatif plus la magnitude (brillance) est grande; la Lune a une magnitude de - 2.5 à - 12.75 lorsqu'elle est pleine).

Le synode des synodes, on le sait, conclura avec l’intention d’une messe œcuménique et un dialogue interreligieux pour que l’église catholique soit complètement adaptée à la nouvelle religion humaniste pour la venue du messie judéo-maçonnique.

Or, en 1965, lors de la grande comète, pratiquement à la même date où elle était visible par la majorité des humains, Paul VI publiait Nostra Aetate, la déclaration du concile Vatican II sur les relations de l'Église catholique avec les religions non chrétiennes (judaïsme, islam, bouddhisme, hindouisme et autres religions).

Nostra aetate est un des fondements du dialogue interreligieux catholique contemporain, renouvelant les relations que l'Église établit avec les autres religions non chrétiennes.

ET, le concile Vatican II s’est conclu le 8 décembre 1965.

Bergoglio début son jubilé 2025 le  8 décembre prochain.

La boucle est bouclée.

Nous avons bien là des signes que Dieu veille.

À nous de veiller aussi.

À suivre... surtout qu'Israël entreprend son attaque au sol au Liban présentement et que l'Iran se demande encore comment réagir à l'assassinat du chef du Hezbollah.

Un chef est donc mort en Orient.

Est-ce celui de la prophétie « Grand Éclair à l'Orient » ?

Si c'est le cas, surveillons l'autre chef qui sera assassiné au dans le sud ou au sud de Luther, les États-Unis, selon la prophétie.

27 septembre

LE MESSIE

Le fond de l’histoire est religieux.

Au travers les âges, le Père a choisi un peuple, les juifs, pour devenir le peuple élu afin d’éliminer le paganisme petit à petit et de créer une seule religion monothéiste.

Le peuple hébreu a été forcé d’abandonner ses cultes (on pense au veau d’or par exemple) et sacrifices sanglants pour préparer le sacrifice non sanglant, celui de l’Agneau de  Dieu, qui est perpétué éternellement via la Sainte Messe.

Afin de mener l’humain vers le Royaume des Cieux qui n’est pas de ce monde, et donc d’avoir intérieurement le mode de pensée nécessaire, Dieu a pris ce dernier par la main en établissant des lois (les dix commandements) pour ensuite compléter la Loi avec les enseignements du Christ.

Il n’y a qu’un seul Dieu a été remplacé par « aimer Dieu de toutes tes forces et ton esprit » et le système de valeurs des dix commandements a été remplacé par « tu aimeras ton prochain comme toi même ».

Ce monde fait face à deux visions distantes de la notion de Messie.

La première est spirituelle. C’est celle que nous connaissons via l’Évangile.

C’est le Christ.

Et, son retour à la fin des temps est strictement spirituel.

C’est la récolte du bon grain et de l’ivraie.

C’est le Royaume spirituel du Christ qui descend sur terre, la nouvelle Jérusalem : « que ton règne vienne,
que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel. »

C’est la purification par le feu.

La deuxième vision du Messie n'est que matérielle, temporelle.

C’est celle des talmudistes judéo-maçonniques.

Ce Messie est le peuple juif sans son entier (l’élite de la kabbale).

Hélas, elle a toujours ses relents du paganisme, des sacrifices sanglants, de l’holocauste nécessaire pour l’expiation des péchés.

Ces élites attendent la réalisation de la promesse faite au peuple juif par Dieu, celui de la terre promise.

Or, pour eux, la terre promise, c’est le monde entier.

Ils croient qu’ils sont destinés à le dominer financièrement, matériellement, afin d’être le seul peuple prêtre entre Dieu et les esclaves que nous sommes à leurs yeux.

Que ce soit la vision du clan des Loubavitch appuyant les russes, ou le clan des Rothschild avec la vision anglo-saxonne de la venue du Messie par la force (d’où les guerres expiatoires), la finale planifiée est un système supra-national à la sauce 1984, l’un étant multipolaire (voulu par les russes), l’autre étant unipolaire (les anglo-saxons).

Israël veut entraîner l'axe anglo-saxon dans cette guerre autour de Meddigo.

Elle provoque l'Iran pour la forcer à s'impliquer.

Mais en finale, le plan va échouer.

Les divisions entre les clans conduira à la chute de Babylone.

Le sacrifice sanglant mener par Israël ne réussira pas.

Car le Christ est venu compléter la Loi et a promis que c’est son Église qui triomphera à la fin.

Dernièrement, tout s’accélère et les indices augmentent à chaque jour qui passe pour confirmer cette chute éminente des deux Babylone.

Trump vient d'affirmer que l’Iran veut l’éliminer et que s’il était en poste et qu’un pays essaie de s’en prendre à un candidat à l’élection américaine, alors il n’hésiterait pas à bombarder les villes importantes du dit pays.

« « Si j’étais président, j’informerais le pays proférant des menaces, en l’occurrence l’Iran, que si vous faites quoi que ce soit pour nuire à cette personne, nous ferons détruire vos plus grandes villes et le pays lui-même », a déclaré le candidat républicain lors d’un meeting de campagne. » (lapresse.ca)

Cela va dans le sens de la prophétie politique #22 « Grand Éclair à l’Orient » que nous analysons depuis le tout début de l’ouverture du site, en ciblant l’Iran.

Du côté russe, Poutine affirme qu’il abaisse la ligne rouge concernant la politique nucléaire du pays :

« Le président russe Vladimir Poutine a prévenu mercredi que son pays pourrait utiliser l’arme nucléaire en cas de « lancement massif » d’attaques aériennes et que tout assaut mené par un pays non nucléaire, mais soutenu par une puissance disposant de l’arme atomique pourrait être considéré comme une agression « conjointe ». » (lapresse.ca)

Israël, dans sa guerre contre l’islam chiite, a frappé le port de Tartous en Syrie. (timesofisrael.com)

Pour ceux qui ne le savent pas, le port de Tartous est le port d’attache au Moyen-Orient pour la marine russe.

Bref, tous les indices pointent vers un conflit majeur autour de la plaine de Meddigo, comme c’est annoncé dans l’Apocalypse.

Le fond de l’histoire est religieux : dans ce monde laïcisé ou paganisé, les aveugles ne voient plus que tout est orienté en fonction du Messie temporel.

Bergoglio en est un participant très actif, quoiqu’il en pense.

Mais Dieu a d’autres plans...

26 Septembre

TIKOUN OLAM

La rédemption par le péché ou le sacrifice de masse pour obtenir quelque chose de supérieure.

Plus la rédemption par le péché est élevée plus la récompense est grandiose.

C’est la philosophie du sacrifice qui caractérise les esprits tordus judéo-maçonniques et qui est très bien expliquée dans les écrits de Pierre Hillard.

« Le basculement d’un monde dans une étape supérieure passe par un sacrifice expiatoire égal à l’obtention d’un « bien » défini selon les critères des thuriféraires du système pharisaïque. S’agissant de l’établissement d’une gouvernance mondiale, ce « bien » ne peut être adoubé que d’une manière holocaustique. » (Pierre Hillard, Des origines du mondialisme à la grande réinitialisation, p.251)

Nous y avons fait référence dans l’analyse du 29 juillet 2021.

« … En référence à Pierre Hillard (vidéo du 18 juillet avec Civitas), la kabbale juive tient ses principes de la gnose.

Pour eux, Dieu n’a pas créé un monde parfait pour laisser le soin à ses créatures de le rendre parfait.

C’est… et oui, la « grande réinitialisation ».

Serge Monast l’a toujours affirmé, le religieux est au-dessus du politique, il faut penser comme l’ennemi pour comprendre le plan, et le plan de l’ennemi n’est que strictement religieux.

La « réparation » de la société ou « grande réinitialisation », c’est « Tikoun Olam ».

Et c’est ce que vous avez sous les yeux en 2021, ce spectacle grandiose de l’ennemi à la 7ème période de l’Apocalypse.

« Tikoun Olam : Dans la tradition toranique, cela signifie toute action qui vise à améliorer le monde, en le rapprochant de l’état de complétude conformément au but pour lequel il a été créé. Tikoun olam engage lʼhumanité entière à penser « la réparation » de la société. Bien que la nature du monde soit intrinsèquement bonne, elle est soumise à des lacunes métaphysiques; son Créateur a délibérément laissé une place aux créatures afin de compléter son œuvre… »

Pourquoi Tikoun Olam maintenant, en 2021?

Parce que le temps est venu: « … tikkoun olam déclencherait ou accomplirait les prophéties concernant la venue du Messie ou celles du monde à venir… » (wikipedia.org)

N’oublions pas que Christine Lagarde avait déjà bien avertit en janvier 2014… + 7 ans, donc 2021.

L’engrenage est engagé et ils ne peuvent plus reculer. Il ne peut plus y avoir d’extension imprévue parce qu’un Trump émerge par exemple. Il faut un contrôle total de la population, politiciens inclus, soit les 10 rois de l’Apocalypse.

C’est ce qu’affirme Bergoglio: aucune marche arrière. Donc, lui aussi n’a plus le choix.

Il doit aller de l’avant et vite. Il doit procéder à l’élimination de la présence réelle, CAR le Verbe Incarné est l’obstacle qui doit sauter pour avoir « Tikoun Olam », soit la venue de leur Messie. »

On peut affirmer que la pression exercée par les dirigeants obscurs a bien augmentée depuis 2021.

Cette grande réinitialisation a son objectif final : l’Agenda 2030 où « vous ne posséderez rien mais vous serez heureux » affirment-ils.

Le sacrifice de masse en cours a pour but le nouvel ordre mondial avec des organismes supranationaux, dont les acteurs majeurs sont non élus, et qui décideront des lois sans que les dirigeants des pays n’aient leurs mots à dire.

C’est le rêve de Davos avec la clique judéo-maçonnique qui contrôle tout : finance, lois, biens matériels, etc. via les 18 objectifs énoncés dans l’Agenda 2030.

Les indices en 2024 de cette réalisation :

- endettement à l’extrême des pays pour mener à un krach afin de pousser la monnaie numérique qui permettra le contrôle total.
- immigration de masse dans tous les pays afin de détruire l’identité nationale.
- destruction de l’église catholique qui fait toujours obstacle à leurs plans.
- mise en place de dirigeants politiques à titre de marionnettes qui exécutent le plan, presque tous issus des écoles « young leaders » de Davos.
- la jeunesse est soumise à l’abrutissement mental par l’électronique afin d’en faire des citoyens esclaves de l’Agenda 2030.

Le but est de « désincarner » le peuple de sa nationalité et du reste de spiritualité et de valeurs morales qui lui restent, pour le rendre esclave d’une poignée d’élites au service de Satan, avec une nouvelle religion humaniste.

D’ailleurs, en voici un qui voit clair et qui sonne l’alarme :

« Le président argentin dénonce avec virulence « l’agenda idéologique » de l’ONU

L’ONU, a déclaré Javier Milei dans son premier discours à l’Assemblée générale depuis son élection fin 2023, est devenue « un modèle de gouvernement supranational de bureaucrates internationaux qui prétendent imposer aux citoyens du monde un mode de vie déterminé », d’où sa « perte de crédibilité ».


Une organisation « née pour défendre les droits de la personne a été l’un des principaux promoteurs de violations systématiques des libertés, comme les quarantaines mondiales de 2020, qui devraient être considérées un crime contre l’Humanité », a asséné M. Milei, en référence aux confinements imposés lors de la pandémie de la COVID-19.

« Quoique bien intentionné », l’Agenda 2030 de l’ONU « n’est rien d’autre qu’un programme gouvernemental socialiste supranational visant à résoudre les problèmes de la modernité avec des solutions qui menacent la souveraineté des États-nations », a martelé le dirigeant qui se décrit comme « anarcho-capitaliste ».

Pour Javier Milei, « l’Agenda 2030 a échoué » et adhérer au « Pacte pour l’Avenir » serait « persister dans l’erreur en redoublant d’efforts sur un programme qui a échoué ».

« Fin de cycle »

« Nous sommes dans une fin de cycle », a-t-il lancé. « Le collectivisme et la posture morale woke se sont heurtés à la réalité, et n’ont plus de solutions crédibles ».

… » (lapresse.ca)

Alors que Macron soutient la cause:

« Le président français Emmanuel Macron a appelé à une réforme de l’ordre mondial « injuste » actuel afin que les humains puissent coexister plus pacifiquement dans le « Nouvel Ordre Mondial ».

Ce que le dirigeant n'a pas dit, c'est que les esclaves seraient toujours des esclaves et que les gouvernements continueraient à les gouverner, c'est seulement cette illusion qui va disparaître.

S'exprimant devant la communauté catholique de Sant'Egidio, Macron a déclaré : « Nous devons avoir suffisamment d'imagination pour penser à la paix de demain, une paix en Europe sous une  forme nouvelle. »

Si le continent européen veut devenir plus stable, chacun devrait reconnaître qu’il n’est  « ni tout à fait l’Union européenne, ni résolument l’OTAN », a-t-il affirmé.

« Nous devrons réfléchir à une nouvelle forme d'organisation de l'Europe et repenser notre relation avec la Russie » une fois le conflit ukrainien terminé, a ajouté le président.

Macron a également affirmé que le système mondial créé au lendemain de la Seconde Guerre mondiale était « incomplet et injuste », car de nombreuses nations modernes n’existaient même pas à cette époque et n’avaient pas « leur place à la table des négociations ».

Il a déclaré que les organismes internationaux, tels que les Nations Unies, la Banque mondiale et le Fonds monétaire international, devraient être réformés en conséquence.

… » (zerohedge.com)

Voilà qui confirme le plan.

Les guerres actuelles sont des guerres pour créer un monde nouveau, soit dominé par l’axe anglo-saxon ou soit multipolaire comme le veut Poutine et ses alliés.

Que ce soit un ou l’autre, c’est une dominance judéo-maçonnique qui mène le bal.

C’est pourquoi nous assistons à cette boucherie au Moyen-Orient, car le sacrifice expiatoire est obligatoire pour avoir un « monde meilleur, réparé.

Et cela se nomme pour la fin des temps : Armegedon.

Il y a guerre aussi dans l’église également comme le confirme la prophétie de l’église #11 de Jean XXIII.

L’utilisation du sacrifice planétaire pour Tikoun Olam est une nécessité pour faire renaître le phœnix des ses cendres via le chaos provoqué.

C’est le même constat dans l’église.

C’est la finale d’un plan satanique qui a cours depuis longtemps.

Dans son court ouvrage de 1974 sur la crise de l'Église Saint Athanase et de l'Église de notre temps, Mgr Rudolf Graber a cité les paroles prophétiques du chanoine Roca (1830-1893), un prêtre qui, il y a plus de cent ans, parlait des secrets des conspirations corporatives contre la papauté :

« Il y a un sacrifice en vue qui représente un acte solennel d'expiation… La papauté tombera ; il mourra sous le couteau consacré que forgeront les pères du dernier concile. Le César papal est une hostie couronnée pour le sacrifice » (p. 35).

23 septembre

Une comète visible de jour est un événement très rare.

La dernière fut la  la comète McNaught (image ici) le 13 janvier 2007.

Elle fut six fois plus brillante que Hale-Bopp en 1997, et 100 fois plus brillante que la comète de Halley lorsqu'elle est apparue en 1986.

C’est donc dire que la comète du 13 octobre prochain pourrait être prophétique, comme analysée précédemment.

Le 13 octobre, jour du miracle du soleil à Fatima, est intimement relié à la date du 7 octobre car, comme nous le savons maintenant, c’est « la date d’une des plus grandes victoires militaires catholiques face aux musulmans : le 7 octobre 1571 la coalition formée par le pape bat la flotte ottomane lors de la bataille navale de Lépante.

Cette victoire est due explicitement aux innombrables chapelets récités par toute la chrétienté dans ce but. C’est pourquoi, en action de grâce d’un succès qui protégera pour longtemps la chrétienté de la menace islamique, le pape instituera au 7 octobre la fête de Notre-Dame du Rosaire, afin de faire le lien avec la prière privilégiée qui nous a obtenu cette grâce du Ciel.

Le 13 octobre est la date du miracle du soleil à Fatima. Les célèbres apparitions de la Vierge Marie à Fatima au Portugal se sont déroulées du 13 mai au 13 octobre 1917, sur 6 apparitions, la dernière du 13 octobre constituant une preuve incontestable de leur origine divine puisque les 70 000 personnes présentes assistèrent en direct au « miracle du soleil ».

Le lien entre les deux dates a été effectué par la Vierge Marie en personne. En effet, au cours des apparitions de Fatima, la Vierge dit à plusieurs reprises aux voyants : « le dernier jour, je vous dirai qui je suis et ce que je veux. » Et le dernier jour, le 13 octobre, elle révèle effectivement son nom : « Je suis Notre-Dame du Rosaire ». Cette information de toute première importance, donnée par le Ciel faut-il le rappeler, relie le 7 octobre au 13 octobre, et Lépante à Fatima. Çà devra donc servir un jour. » (Louis D’Alencourt, grandreveil.wordpress.com)

Rappelons qu’il y a eu trois phases dans le miracle du soleil du 13 octobre 1917 :

– Apparition des couleurs lors de la « danse du soleil »
– Une pause où « le soleil s’arrêta »
– Puis la chute du soleil à la toute fin.

On peut y associer facilement les phases suivantes en relation avec la ligne rouge du synode des synodes d’octobre 2024 :

– Avertissement ou action de grâces de la Sainte Vierge (les aurores du 13 mai dernier par exemple)
– Pause de réflexion, temps de conversion (la demi-heure où tout s’arrête dans l’Apocalypse?)
– Suivi de la purification par le feu.

Car, « le retour du Christ nécessite préalablement une purification totale de la terre et l’éradication du mal et de tous ceux qui font le mal, événement décrit dans l’Apocalypse comme la chute de Babylone et par nos contemporains par l’expression fin du monde, et qui est précédé, selon les Saintes Écritures, d’un signe dans le ciel.

Or ce signe dans le Ciel est double : l’Apocalypse nous parle de la Femme dans le ciel et l’évangile du signe du Fils de l’homme dans le ciel (donc la croix – Matthieu 24:30). » (Louis D’Alencourt, grandreveil.wordpress.com, lien ci-haut)

Le 7 octobre étant la date du Saint-Rosaire, quoique de plus normal pour le diable d’attaquer à cette date précise, afin de matérialiser la bataille d’Armagedon tel que prophétisé dans l’Apocalypse.

Car c’est bien le 7 octobre 2023 que les démons ont poussé le Hamas vers Israël, afin de déclencher cette guerre ultime.

En date d’aujour’hui, il est clair que cette escalade qui dure depuis maintenant presque un an, terrorise le monde, et que le Moyen-Orient est sur le point de s’enflammer.

L’ultimatum d’Israël fut donné le 13 octobre 2023.

« Qu’est-ce que cela veut dire du point de vue eschatologique, c’est-à-dire du point de vue du Ciel ?

a) Que le Hamas et par extension le monde musulman sont condamnés ; le 7 octobre est la date d’une victoire majeure de la chrétienté sur les musulmans, et il en sera de même aujourd’hui.

b) L’ultimatum du 13 octobre est l’ultime manifestation de la miséricorde de Dieu : l’unique chance de salut offerte aux musulmans pour les sauver de la damnation éternelle, et probablement la dernière, est de se tourner vers la Vierge Marie afin de se convertir au Christ, seul vrai et unique Dieu dans le mystère de la Sainte Trinité. Voilà pourquoi le Ciel a choisi un prénom musulman (Fatima) comme lieu de son ultime message. Il faut que les musulmans sachent qu’un miracle est possible -leur conversion en masse- comme le fut le miracle du soleil du 13 octobre. » (Louis D’Alencourt, grandreveil.wordpress.com)

Mais, c’est voulu.

La kabbale juive se réjouit d’avance de la venue de son messie et de l’élimination de l’obstacle majeur « Jésus Christ » et de sa présence réelle grâce à la magie de Bergoglio.

Car n’oublions pas, encore une fois, que "Netanyahou est sous l'influence de certains ministres messianiques et racistes qui le forcent à déclencher une escalade pour accélérer la venue du Messie et ce n'est pas une manière saine pour un État comme Israël dans un environnement hostile et complexe"  (Ehud Barak, ancien Premier ministre israélien) (voir analyses précédentes).

L’autre fait inquiétant :

Les faucons israéliens demande une attaque immédiate contre l’Iran.

Car, ils estiment qu’Israël n’a pas la puissance et le personnel militaire pour riposter à une attaque venant de 5 fronts différents.

Pour eux, la survie du pays en dépend étant donné l’avancement rapide vers l’arme nucléaire en Iran. Le temps est compté.

Voir ici un article (en anglais) sur le Jerusalem Post comme exemple.

Israël a plus que besoin de l’axe anglo-sioniste pour triompher.

D’ailleurs, l’attaque d’hier dans le sud du Liban suggère selon les témoins de l’utilisation de bombes de plus en plus puissantes de la part d’Israël (voir ici).

Nous assistons rapidement à la réalisation de la prophétie politique #22 de Jean XXIII « Grand éclair à l’Orient ».

Car, le seul moyen qu’a Israël pour survivre, est de lancer une attaque nucléaire sur les deux villes importantes d’Iran, avant qu’il ne soit trop tard.

Le 7 octobre 2024 est donc à surveiller.

Selon Jean XXIII, Dieu déclenchera la guerre de la nature pour empêcher la destruction de la planète.

Nous n’en sommes pas loin.

Le soleil est au maximum du cycle 25.

La probabilité des tempêtes solaires atteignant la Terre augmentent considérablement à cette époque de l'année.

Pourquoi ?

Parce que pendant les semaines autour des équinoxes, le champ magnétique de la Terre est exceptionnellement bien connecté à celui du Soleil. C'est ce qu'on appelle « l' effet Russell-McPherron ».

20 septembre

Retour sur la dernière tempête solaire de cette semaine.

Après les rares aurores jaunes et oranges (voir analyse du 26 août), voici donc que nous avons été témoins de très rares aurores « bleues », signe que le cycle solaire s’intensifie :

« Les aurores boréales sont généralement vertes et rouges. Le bleu est très inhabituel. Il faut une forte tempête géomagnétique pour les produire, plus un ingrédient supplémentaire.

« La lumière du soleil à haute altitude frappait les rayons bleus », …

Ce processus est appelé « diffusion résonnante ». Au sommet de la zone d’aurore, les molécules d'azote ionisées (N2+) produisent naturellement de la lumière bleue. La lueur bleue est généralement trop faible pour être visible. Cependant, lorsque ces ions sont frappés par la lumière du soleil du matin, ils capturent et réémettent des photons du soleil, amplifiant la couleur bleue. » Alan Dyer (photo ici)

La comète d’octobre prochain  vient d’émerger de derrière le soleil, et la première photographie (ici)
démontre que sa structure est toujours forte et qu’elle pourra être observée à l’œil nu très bientôt, peut-être même durant le jour.

Comme par hasard…

Cette comète est visible dans la constellation de la Vierge.

Voici le premier volet d’un article qui confirme nos analyses des dernières années :

« Père Heimerl : Le pape François célèbre l'accomplissement de la prophétie de la bienheureuse Anne Catherine Emmerich sur « l'Église obscure »
Selon la mystique allemande Anne Catherine Emmerich, l'« après-Église » ne sera pas une contre-Église ou une Église schismatique, mais l'Église catholique elle-même, car elle s'éloigne de plus en plus du Christ.

( LifeSiteNews ) — Il y a deux cents ans, la mystique allemande Anne Catherine Emmerich mourait à Dülmen, en Westphalie. La religieuse stigmatisée a vu dans ses visions non seulement la vie de Jésus, mais aussi l’avenir de l’Église. Peu avant sa mort, elle a déclaré : « Il y aura une église après l’Église. »

A l'époque d'Emmerich, une telle chose était difficilement imaginable, et que serait une « église après » ? Je l'avoue : je me suis moi-même posé cette question, du moins jusqu'à l'apparition de l'« église synodale » avec le pape François et, avec elle, son déclin rapide.

Mais une chose à la fois : qu’ont à voir François, « l’Église synodale » et la bienheureuse Anne-Catherine ?

La clé réside dans un amendement apporté par Emmerich, dans lequel elle parle d’une « église obscure ». Elle entend par là une église dans laquelle la lumière du Christ est éteinte. Par conséquent, l’« après-église » ne sera pas une contre-église ou une église schismatique, ni une « église » protestante comme l’« église » des anglicans ou des luthériens. Au contraire, l’Église catholique elle-même sera cette « post-église » parce qu’elle s’éloigne de plus en plus du Christ.

C'est ici qu'entre en jeu François, qui a ouvertement contredit ses prédécesseurs et – au moins en partie – le Christ lui-même. Le cardinal George Pell a donc à juste titre qualifié le pontificat de François de « désastre », on pourrait aussi dire : un pontificat qui ne correspond pas à la volonté du Christ.

Ou bien pourrait-on imaginer que le Christ aurait « béni » les adultères et les couples homosexuels ? Qu’il aurait toléré les rites païens dans son Église et restreint le mandat missionnaire confié à ses disciples ? Et encore moins qu’il aurait soumis ses enseignements divins à la volonté de l’homme et même les aurait relativisés par rapport aux autres religions ? Certainement pas !

Mais dans l’Église que François a déclarée « synodale », tout cela et, malheureusement, bien plus encore se produit. Il est évident que cette Église ne se préoccupe plus de la volonté du Christ, mais de la volonté des hommes, à laquelle François se conforme volontiers ; tout ce qu’il appelle « humain » ou « pastoral » n’est en réalité que ce qui obscurcit la lumière du Christ.

L’Église obscure de ce pape semble être faite uniquement d’hommes. C’est pourquoi elle n’est plus orientée vers Dieu mais seulement vers les hommes dans une coopération « synodale ».

Celui qui suit les discours du pape, par exemple récemment en Asie, ne peut que s'étonner de voir à quel point il a peu à dire sur Dieu et sur la foi ; en fin de compte, sa prédication est un mélange de politique, d'écologie et d'action sociale agrémenté d'ingrédients religieux ; parfois même, ceux-ci sont désormais totalement absents.

Si Emmerich était encore en vie aujourd’hui, elle ne parlerait pas d’une « après-église » mais de « l’église synodale » de notre pape. Ici, « tout le monde, tout le monde » est invité, comme le dit constamment François, mais chacun se demande : « Invité à quoi ? »

Nous ne savons pas pourquoi Dieu permet que cette situation désastreuse se produise, et Emmerich n'a pas non plus répondu à cette question. Cependant, elle a explicitement souligné que l'« église post-confessionnelle » serait « conçue par des voyous allemands », et elle avait raison sur ce point également.

Ce qu’elle avait prophétisé il y a 200 ans s’est réalisé avec la « Voie synodale » allemande, et François lui-même a adopté officieusement leur programme hérétique dans l’actuel « Synode mondial ».

Non, le « Synode mondial » n’a pas pour but de mettre un terme à l’hérésie allemande, mais de l’aider à triompher. François s’en est déjà occupé. Ou alors pourquoi pensez-vous qu’il a rempli tous les postes clés avec des sympathisants des « canailles » allemandes, sans parler de la prépondérance des participants ?

C'est tellement évident qu'on peut le sentir avec les mains : ce pape veut une nouvelle Église, et c'est à cette « Église franciscaine » que pensait la visionnaire de Dülmen lorsqu'elle parlait de la sombre « après-Église ».

Mais elle a aussi dit à propos de l’introduction de cette « Église » : « Seul le Seigneur a voulu qu’il en soit autrement. » En fin de compte, l’Église du Christ n’est pas entre les mains des hérétiques allemands, ni entre les mains de François. C’est peut-être un signe d’espoir ! »

Tout est fait pour convertir l’église conciliaire à la nouvelle religion humaniste mondiale.

Ce n’est pas une surprise pour personne.

Nos analyses confirment cette situation depuis longtemps.

Et on sait qu’à la fin il ne restaura que l’autel selon Anne Catherine Emmerich : la Sainte Messe traditionnelle.

C’est exactement tel que l’avait prédit le regretté Serge Monast qui était bien informé, c’est à dire qu’il y a un plan en cours sur le long terme, et dont Bergoglio mettra la touche finale:

« …L’Église, sous le pouvoir de l’Anti-Pape, sera absolument identique à l’Église de Jérusalem au temps de Jésus-Christ. Elle partagera l’idéologie des Nations-Unies de la même manière que les Prêtres du Temple partageaient l’Idéologie et le Pouvoir avec les Romains. Elle conservera les croyances en Jésus-Christ comme façade afin de dissimuler ses réels intérêts qui seront, en réalité, la richesse, le Pouvoir Politique et Religieux, et l’opportunisme sur tous les fronts tel que cela était le cas de l’Église de Jérusalem au temps de l’Empire Romain. Elle établira de nouveaux  »Concepts Religieux », tous basés sur la divinité de l’Homme où celui-ci sera considéré comme étant le  »Centre »… … En accord avec l’Agenda International à remplir, la première initiative de l’Anti-Pape en sera une de réconciliation truquée avec l’ensemble des Églises Chrétiennes du monde… L’élection d’un Anti-Pape aura eu pour effet de provoquer un  »Schisme » majeur, supposé être le dernier devant survenir dans le Monde Chrétien…

Voici donc le «Mensonge des Mensonges»! Voici «l’Abomination des Abominations»! Les faux chrétiens étant à la tête de la nouvelle église mondiale; et prétendant être les seuls et uniques représentants de Jésus-Christ d’un côté; de l’autre, les vrais et réels disciples de Jésus-Christ sur la route du Calvaire considérés comme étant les ennemies de l’État Mondial tel que cela était le cas, il y a deux milles ans, en face des prêtres de Jérusalem, et en face de l’empereur romain à Rome. »

Mais si c’est aussi évident, pourquoi n’y a-t-il pas plus de cardinaux et d’évêques qui s’élèvent contre cette nouvelle église?

Tout simplement parce qu’ils sont corrompus comme les Pharisiens et les Scribes au temps du Christ : ils ne veulent pas perdre leurs privilèges, leurs conforts, et leur sentiment de supériorité face au petit peuple.

Les aveugles qui conduisent les aveugles.

Pourquoi le Père laisse-t-il faire?

Parce que c’est le temps de la séparation du bon grain de l’ivraie.

Il faut bien qu’il y ait une épreuve afin de pouvoir choisir.

Mais le Christ interviendra avec sa Mère pour sauver le petit reste fidèle, celui qui s’éloignera de Babylone en pensée et en action.

18 septembre

À L'AUBE DU SALUT

Rien ne s’améliore du côté des guerres en Europe et au Moyen-Orient, et, additionnées à la crise au sein même de l’église catholique, nous avons en mains toutes les indications que le mois d’octobre 2024 risque d’être le mois pivot où tout bascule.

À la lumière des dernières analyses, nous rappelons le calendrier de la fin des temps donné par l’Apocalypse :

La mort de l’Antichrist débute la dernière et 7ème période, soudaine et très rapide, à l’image de Sodome et Gomorrhe, et du temps de Noé.

Selon l’ordre chronologique donné dans l’Apocalypse, nous avons :

1) Mort des témoins (3,5 jours)
2) Résurrection des témoins

Fin de la sixième période.

Entrée dans la 7ème période :

« Et quand l'Agneau eut ouvert le septième sceau, il se fit dans le ciel un silence d'environ une demi-heure. » (Apocalypse, 8-1)

3) Mort de l’Antéchrist
4) Chute de Babylone (3ème malheur, Ap. 11, 14)
5) Retour du Christ
6) Jugement dernier
7) Règne définitif et sans partage du Christ (Ap. 21-22)

Notez qu’avant l’ouverture du 7ème sceau dans les prophéties de l’Église de Jean XXIII (prophétie #11 juste avant celle de François), que la situation est critique au niveau de la guerre, surtout au Moyen-Orient, et de l’église, alors que le pape actuel « est décédé » ET qu’il y a guerre dans l’église.

Ce temps critique à la fin de la sixième période nous est indiqué par NSJC en Matthieu 23-24, puisque c’est vers l’Église qu’il faut jeter notre regard, car tout est en fonction de la Rédemption via l’Église en ce bas monde, quoiqu’en pense Bergoglio.

Les cardinaux et les évêques d’aujourd’hui sont bien les Scribes et les Pharisiens qui sont assis dans la chaire de Moïse du temps de Jésus.

« Faites donc et observez tout ce qu'ils vous disent ; mais n'imitez pas leurs œuvres, car ils disent et ne font pas. »

« Et, lorsque en présence de l'abomination de la désolation, annoncée par le prophète Daniel, établie en lieu saint, — que celui qui lit, entende ! — alors que ceux qui sont dans la Judée s'enfuient dans les montagnes. »

Heureusement, NSJC nous a promis que ces jours seraient abrégés, à cause des élus, car nul n’y échapperait.

C’est ce que mgr Strickland nous explique quant à la prière:

(À propos de Jésus)

« … Il s’éloigne souvent pour prier. Certes, le Christ avait besoin de communier avec son Père en esprit, dans le grand mystère de la Trinité. Mais il enseigne aussi toujours. Il nous donne un exemple de ce que nous devons faire : nous éloigner et prier ».

…  Strickland a également noté que notre Seigneur allait souvent prier avant de faire des déclarations importantes, et nous voyons dans ce passage de l’Évangile qu’il a nommé ses apôtres, un moment important de son ministère public.

L’évêque a ensuite souligné que ce passage parle ensuite d’une « grande foule de ses disciples » – une distinction est ainsi faite entre les 12 apôtres et les autres disciples.

« Je pense que nous devons être très clairs sur cette distinction dans l’Église d’aujourd’hui. Nous savons que les évêques sont les successeurs des apôtres, les successeurs de ces 12 que le Christ a choisis. Bien sûr, malheureusement, Judas Iscariote, l’un d’eux, est un traître, une note et un rappel qui donne à réfléchir que cet élément de trahison demeure dans l’Église, cet élément d’infidélité au Christ. Mais heureusement, 11 des 12 étaient profondément engagés – pas parfaits, et ils ont parfois trébuché en cours de route avec des reniements et de la confusion, tout comme nous, mais ces 12 ont été choisis pour être apôtres. »
...
« Je pense qu’il est vraiment important de se concentrer sur la réalité : l’humanité est la même [aujourd’hui] qu’elle l’était alors. Beaucoup résistent, mais beaucoup veulent toucher Jésus-Christ. Et je pense que nous, en particulier dans notre foi catholique, devons nous rappeler qu’il ne s’agit pas seulement d’un souhait ou d’un espoir, mais qu’il est possible pour nous de toucher Jésus-Christ, sa présence eucharistique, d’être réellement nourris par son Corps et son Sang, son Âme et sa Divinité », a-t-il déclaré.
...
Strickland a ajouté que si de nombreux fidèles ont besoin d'entendre la voix de leurs bergers, même Notre Seigneur s'est retiré pour prier à de nombreuses reprises, comme dans cet Évangile de Luc et pendant sa grande agonie dans le jardin... Strickland … a souligné que nous devons prier pour notre pays, et en particulier pour le Saint Rosaire.

Rappelant aux auditeurs que l'histoire a été changée par la prière du Rosaire à Lépante , « croyons que ce même pouvoir est à notre disposition si seulement nous l'acceptons », a déclaré Son Excellence. » (lifesitenews.com)

On peut facilement faire le lien entre Judas et Bergoglio dans ses propos, ainsi qu’à la situation décrite quand aux Pharisiens et aux Scribes au temps de Jésus.

Et, il est plus que temps de se retirer et prier.

Se retirer veut dire aussi de se couper mentalement de la corruption de l’esprit initiée par Babylone et ses valeurs morales de plus en plus dégradantes.

Être dans un état de prière, de grâce constante, connecté par le Saint-Esprit dans ses tâches quotidiennes est une séparation de Babylone.

Et, l’arme ultime dans ce moment critique nous le connaissons, c’est le Rosaire.

À l’aube du synode, et donc de notre Salut qui suivra, car la chute de Babylone représente l’Espérance du Salut pour les fidèles au Christ et à Marie, il est important de se retirer avec le Rosaire, si puissant, qu’il a fait tomber les ottomans à Lépante, pour contrer les forces maléfiques qui agiront pendant ce mois du Rosaire.

Car octobre, et spécialement le 7 octobre, est dédié au Rosaire.

Mgr Strickland sur le Rosaire :

« Soulignant que le Rosaire est un voyage à travers la vie du Christ, Son Excellence a réfléchi sur le premier mystère du Rosaire, l’Annonciation, qui montre le début de la vie de Notre Seigneur. «

Lorsque l’ange Gabriel vient annoncer à la Sainte Vierge Marie qu’elle a été choisie par Dieu pour porter Jésus, le Fils de Dieu dans son sein, Marie dit « oui ». Et les Écritures nous disent, et nous chantons à Noël « Joie au monde », que le chant de Dieu est conçu dans le sein de Marie. » Mgr Strickland a ensuite noté que c’est ici que commence l’histoire de Jésus et que c’est également là que commence notre cheminement en priant le Rosaire.

L'évêque a ensuite souligné que les piliers de la foi catholique sont l'Eucharistie et le rosaire, faisant référence à une vision de saint Jean Bosco dans laquelle l'Église est un navire dans une terrible tempête, ancrée au pilier de Marie et de Notre Seigneur eucharistique. « Nous avons besoin de ces piliers en cette période de défi et de folie où trop de gens disent : "Nous n'avons pas besoin de Dieu ; nous pouvons réparer ce monde nous-mêmes". Nous faisons un excellent travail dans ce domaine, n'est-ce pas ? » (lifesitenews.com)

Les piliers de la fin des temps sont le Rosaire et l’Eucharistie.

C’est la raison des attaques contre l’Eucharistie depuis Vatican II, et cette attaque finale du synode 2024.

Les pharisiens modernes en profiterons en plus pour célébrer  Vatican II le 11 octobre prochain.

C’est pourquoi Anne Catherine Emmerich a vu qu’il ne resterait que l’autel à la fin des temps.

La vision de Saint Jean Bosco énoncé par mgr Strickland est bien connue, et présente dans plusieurs de nos analyses (voir 20 avril 2020).

Car, les deux colonnes, dont l’une supporte l’Hostie « Salus credentium » (« Salut des croyants ») et l’autre  surmontée de la statue de la Vierge Immaculée, aux pieds de laquelle on peut lire : « Auxilium Christianorum » (« Secours des chrétiens »), sont un signe de la fin des temps.

« Auxilium Christianorum »  « Notre-Dame Auxiliatrice » est fêtée le 24 du mois de mai.

Ce titre fut donné à la Sainte Vierge Marie et officiellement introduit dans l’Église par Pie V, après la célèbre victoire de Lépante en 1571, lorsque qu'il ordonna d'inscrire dans la litanie Lorétienne l'invocation "Maria Auxilium Christianorum, ora pro nobis".

Saint Pie V ne cacha point qu'il attribuait à l'intercession  de la sainte Vierge le succès de Lépante. Il ajouta aux litanies de Lorette, c'est-à-dire de la sainte Vierge, l'invocation "Secours des chrétiens, priez pour nous", et fixa au 7 octobre une fête en l'honneur de Notre-Dame de la Victoire.

Il y a donc un lien direct entre les mois d’octobre et de mai.

Sachant que Don Bosco a prophétisé aussi la venue du Lys de Paix avant le mois des deux lunes, et que le seul possible maintenant est mai 2026, on ne peut qu’anticiper que le mois d’octobre 2024 est crucial.

Spécialement parce qu’aussi le 13 octobre est lié à 1884 et la libération des démons pour détruire l’Église, ainsi qu’au miracle du soleil en 1917.

Cette date ne nous a pas été présentée par la Sainte-Vierge sans raison.

Nul ne connaît le jour ni l’heure sauf le Père mais les signes du figuier sont là afin de nous dire :

« Soyez prêt et retirez vous de Babylone. »

17 septembre

LE TESTAMENT DE BERGOGLIO

Alors que le cardinal Burke se demande si on est à la fin des temps, ceux qui observent attentivement et comprennent, savent que la fin du calendrier initié en 1962 par Jean XXIII arrive, et en conséquence, prouve que nous sommes bel et bien à la fin des temps depuis plusieurs décennies.

On n’attend pas l’Antichrist.

Nous sommes en présence de l’Antichrist système depuis très longtemps, et de l'Antéchrist personnifiée depuis le 13 mars 2013.

C’est ce que nous avons essayé de démontrer à l’aide des prophéties de Jean XXIII, surtout consacrées à l’Église puisque énumérées dans l’ordre des papes successifs, ainsi que les actualités, et ce depuis 2011.

C’est ce que nous avons identifié dans les dernières analyses de septembre.

Vatican II a été le dernier coup de canon de Satan pour saper l’Église, et les papes qui se sont succédés n’ont fait pencher l’Église qu’un peu plus vers l’œcuménisme, la fraternité, le dialogue interreligieux, ainsi que le démantèlement de la Sainte Messe en une parodie qui atteint son paroxysme avec les célébrations amazoniennes en cours d’essais.

La conclusion du synode des synodes d’octobre 2024 est le dernier acte de Bergoglio.

Son testament.

Pour les chrétiens  allumés, ce fut 3 années de ténèbres.

Comme le signe de Jonas.

Lorsque Jonas sort finalement du ventre du poisson, il part à Ninive délivrer son message : « Encore 40 jours et Ninive sera détruite ».

Nous avons analysé dernièrement que nous atteignons les 100 ans de destruction de Satan ajoutés aux 40 ans d’attente dans le désert à l’image du Christ, notre carême, depuis la vision de Léon XIII du 13 octobre 1884.

C’est la même date que le miracle du soleil de 1917.

C’est en plein au milieu du synode d’octobre 2024.

Bergoglio et ses sbires ont publié hier, lendemain de la fête de Notre-Dame des Douleurs, les dernières modalités sur le déroulement de ce dernier.

Voici l’essentiel du résumé publié par LifesiteNews.com, ajoutés de nos commentaires entre parenthèses :

« Voici ce qui se passera au Synode sur la synodalité en octobre

CITÉ DU VATICAN ( LifeSiteNews ) — Le bureau de presse du Vatican a publié les détails du prochain Synode sur la synodalité qui débutera plus tard ce mois-ci...

Cet événement marque le point culminant d’un processus pluriannuel entamé en 2021. Les rencontres devraient aboutir à un document final émanant du pape François ou approuvé par lui.
...

La retraite, qui se déroulera principalement en privé (seules certaines sections seront diffusées en direct par les portails d'information du Vatican), sera à nouveau principalement dirigée par le père Timothy Radcliffe, OP, un dominicain anglais de 79 ans, connu pour sa promotion de l'idéologie LGBT et sa contradiction avec l'enseignement de l'Église sur le sujet.

Comme l’année dernière, Radcliffe sera rejoint par l’abbesse bénédictine italienne Mère Maria Ignazia Angelini, et les deux continueront d’agir pendant tout le mois comme « assistantes spirituelles » du Synode.

Une nouveauté cette année est la veillée pénitentielle qui se tiendra le soir du 1er octobre dans la basilique Saint-Pierre. Sous la conduite du pape François, trois personnes « qui ont souffert du péché : le péché d’abus ; le péché de guerre ; le péché d’indifférence face au drame présent dans le phénomène croissant des migrations dans le monde entier » seront entendues.

Après cela, « aura lieu la confession d’un certain nombre de péchés », a annoncé le Vatican, sans donner de détails précis sur le déroulement de l’événement : pourrait-il donc s’agir d’une forme de confession générale ?

« Le but n’est pas de dénoncer le péché des autres, mais de se reconnaître comme l’un de ceux qui, par omission ou par action, deviennent cause de souffrance et responsables du mal infligé aux innocents et aux sans défense », écrit le Vatican.

« Celui qui exprime la demande de pardon le fera au nom de tous les baptisés. »

(Cela ressemble drôlement à une confession humaniste à la mode woke pour remettre les pendules à zéro. Du moins on ne spécifie pas ici si la demande de pardon sera faite au Père, ou à l’humanité entière; pour preuve la liste qui suit.)

Les péchés particulièrement « confessés » incluent :

    • Péché contre la paix
    • Péché contre la création, contre les populations autochtones, contre les migrants
    • Péché d'abus
    • Péché contre les femmes, la famille, la jeunesse
    • Le péché d'utiliser la doctrine comme des pierres à lancer
    • Péché contre la pauvreté
    • Péché contre la synodalité/manque d’écoute, de communion et de participation de tous

(Péché contre la création, contre les migrants : Bergoglio manipule comme les politiciens. Cela nous en avons la preuve depuis 2013. Voyez ici la contradiction : les pays qui ont reçus le tsunami en immigration se retrouvent avec une pénurie de logements, dont les prix augmentent à vue d’œil, et se trouvent dans l’obligation d’augmenter le rythme de création de nouveaux logements, détruisant ainsi la terre et la nature si chère à Bergoglio, tout en augmentant conséquemment les émissions polluantes.

Péché d’utiliser la doctrine : on veut éliminer la doctrine et empêcher les faiseurs de troubles tels que les cardinaux Burke, Sarah, et autres, ainsi que les évêques qui défendent la vraie Foi.

Bref, c’est le SIGNE DE LA MORT DES DEUX TÉMOINS à venir. Sur le court terme.

Péché contre la synodalité : Voilà. La ligne rouge est tracée. Pour ou contre la synodalité. Mêmes valeurs que le système woke. Ceux contre le principe de la synodalité seront ostracisés.

Rappelons ceci (voir 9 juillet) : « Le terme même de « synodalité » a été vivement critiqué par d’éminents prélats, tels que le cardinal Raymond Burke et le cardinal Joseph Zen, comme étant imprécis et sans fondement historique. Mais l'IL précise que depuis le début du synode en 2021, « les termes synodalité et synodal , dérivent de l'ancienne et constante pratique ecclésiale de rassemblement au synode ces dernières années ».

La mission synodale est effectivement un concept moderne inventé par Bergoglio et ses fidèles collaborateurs.

« Ce document sera différent de celui utilisé pour la première session. «Si, lors de la première session, il était important de mettre en évidence les thèmes à aborder de manière ample, le document de travail de la session d'octobre entend plutôt souligner certains nœuds à défaire pour répondre à la question Comment être une Église synodale en mission, en tenant compte du chemin parcouru jusqu'à présent et en proposant des arguments théologiquement fondés ainsi que des propositions concrètes pour aider au discernement confié aux membres de l'assemblée», a déclaré Mgr Riccardo Battocchio, secrétaire spécial de la XVIe Assemblée.  » (vaticannews.va))

Après la « confession », le pape François adressera une demande de pardon à « Dieu et aux sœurs et frères de toute l’humanité … au nom de tous les fidèles ».

(Voilà qui confirme le volet humaniste, puisque selon Bergoglio, tous les chemins mènent à Dieu.)
… )

Donc, Bergoglio veut léguer une église synodale en mission.

Mais, puisque tous les chemins mènent à Dieu selon lui, alors, comment peut-on parler de mission de l’Église?

La notion tombe d’elle même puisque l'église concilaire catholique n'a alors plus de mission.

C’est un paravent pour une « fraternité universelle », une église convertie à l’humanisme, la conclusion de Vatican II.

La preuve :

« Pape François: la synodalité crée la fraternité en dehors de l’Église » (vaticannews.va) (analyse du 27 juin dernier)

« ... Le «profond renouvellement» que le Pape appelle de ses vœux trouve sa source dans le Concile Vatican II.

Le Pape qui l’a initié, ... Jean XXIII parlait d’un «aggiornamento» («une mise à jour») quand celui qui l’a clos, ... Paul VI, évoquait un «renouveau florissant de l’Église». Toujours sur la nécessité de réforme, François a cité son prédécesseur, le Pape Benoit XVI, qui souhaitait une réforme afin de parvenir à une communauté dans laquelle le Divin peut opérer, «une communauté dans laquelle un 'je' n'est plus contre un autre 'je'»... »

Donc, Bergoglio indique bien qui va clore l'« aggiormamento » initié par Jean XXIII avec la fin du synode en octobre prochain.

Élimination de la messe traditionnelle suivi de la conversion TOTALE de l'église conciliaire à l'humanisme.

Les valeurs sont finalement inversées (on ne parle plus au futur): C'est l'église qui s'est convertie et non le monde qui s'est converti au Christ, comme le voulait NSJC en créant son épouse, l'Église, établie sur le roc qu'est Saint-Pierre.

Rappelons les 5 perspectives tirés de synod.va (le lien ne fonctionne plus, évidemment) dans l’analyse du 27 juin dernier :

«La perspective #4 doit retenir l’attention sur « La méthode synodale » pour 2024:

« Enfin, la liturgie étant à la fois miroir et nourriture de la vie de l’Église, le travail portera également sur la dimension liturgique : « Si l’Eucharistie façonne la synodalité, le premier pas est d’honorer sa grâce avec un style de célébration qui soit à la hauteur de ce don et avec une fraternité authentique » (RdS3k).

Le groupe de travail, qui assumera la perspective transversale de la méthode synodale, explorera
des points tels que :

a) la relation féconde entre l’enracinement liturgique et sacramentel de la vie synodale de
l’Église (écoute de la Parole et célébration de l’Eucharistie) et la pratique du discernement
ecclésial ;

b) une meilleure clarification de la configuration de la « conversation dans l’Esprit », en tenant
compte de la pluralité des déclinaisons qu’elle connaît grâce à l’expérience de multiples
spiritualités ecclésiales et de différents contextes culturels (cf. RdS 2i-j) ;



f) la promotion d’un style de célébration adapté à une Église synodale, qui permette de vivre et
de témoigner de la participation commune de tous, tout en respectant et en promouvant la
spécificité des rôles, des charismes et des ministères de chacun…. »

Et plus loin:

« Il faut privilégier ce qui est le plus efficace pour l’annonce de l’Évangile, en ayant le courage
d’abandonner ce qui s’avère moins utile ou même un obstacle. C’est cet élan vers la mission qui fait
que le processus synodal n’est pas un exercice où l’Église se regarde dans le miroir et se préoccupe de
ses propres équilibres, mais qu’elle est projetée vers le monde et l’humanité tout entière, en demandant
à chaque membre du Peuple de Dieu d’offrir sa contribution irremplaçable.

L’œcuménisme du sang (cf.RdS 7d) nous rappelle avec force que le témoignage de l’Évangile jusqu’au don de la vie concerne tous les baptisés, sans distinction d’appartenance confessionnelle : c’est donc la mission commune qui constitue le vecteur du chemin vers l’unité des chrétiens, à partir de formes concrètes de collaboration, qu’il faut continuer à promouvoir et à expérimenter. »

Bref, tout cela confirme que le processus synodale n'est qu'une illusion: seul la volonté de Bergoglio compte, et les décisions donneront l'apparence d'être prises par des comités.

Quant aux 5 perspectives: c'est exactement le synode amazonien qui revient sur la table.

La « célébration liturgique » (on ne dit pas la MESSE dans ce document) sera laissé à la discrétion des « locaux ».

C'est un démantèlement de la messe pour en effacer l'essentiel: la présence réelle du Christ. » écrivions nous.

Voilà.

Tout est dit.

Ou presque…

Veillée de prière œcuménique (tiré du lien LifesiteNews ci-haut, inclu dans le processus du synode) :

« Alors que le Synode de 2023 a commencé par un événement de prière œcuménique, cette année verra un rassemblement similaire le 11 octobre. La date est délibérée, étant le 62e anniversaire de l'ouverture du Concile Vatican II et près de 60 ans depuis la publication du Décret sur l'œcuménisme Unitatis Redintegratio .

La cérémonie se déroulera sur la Place des Protomartyrs, où, comme le précise le communiqué de presse du Vatican, saint Pierre a été martyrisé selon le témoignage de la tradition. »

(Rappelons que l'église est veuve après 60 ans.)

VOILÀ.

LE TESTAMENT DE BERGOGLIO.

On connaît tous la signification du 11 pour la kabbale (voir analyses précédentes), et en ce jour d’octobre, Bergoglio confirme qu’il sera celui qui CONCLUERA Vatican II.

Fusion totale dans un œcuménisme humaniste et fraternel prêt pour l’Agenda 2030.

Il veut être reconnu comme l’illustre pape qui a sauvé l’église alors qu’il sera vomit de la bouche de Dieu (Apocalypse 3, 16).

Le temps est proche.

16 septembre

Sans surprise, l’État profond fera tout pour que les démocrates remportent la présidence américaine.

Ils ne peuvent se permettre de perdre encore quatre années.

Une deuxième tentative d’attentat contre l’ex-président n’est pas anodin.

Leurs plans sont trop avancés, et surtout, la dette des États ne peut croître indéfiniment. Une crise est à l’horizon.

Comme les analyses le confirment depuis longtemps, la prophétie « Grand Éclair à l’Orient » est encore plus proche de semaines en semaines.

« et en Occident, sera tué un chef. Au sud de Luther »

Notez pour ceux que ne le savent pas que « Luther » dans les prophéties est le nom prophétique pour la terre des protestants, les États-Unis.

Cela confirme aussi en quelque sorte les écrits de Louis D’Alencourt (le projet 47; sont dernier article avant de nous quitter).

Commentaire de mgr Vigano sur les dernières paroles de Bergoglio avant son retour à Rome :

« Je suis le chemin, la vérité et la vie. Nul ne vient au Père que par moi. » (Jean 14:6)

Bergoglio, avec ses déclarations impies adressées aux jeunes de Singapour selon lesquelles « toutes les religions sont un chemin vers Dieu », offense la Majesté de Dieu, trahit la Révélation divine, piétine les principaux Mystères de notre Foi et annule le Sacrifice rédempteur du Fils de Dieu, Notre Seigneur Jésus-Christ.

Ses paroles mensongères sont particulièrement insidieuses parce qu’elles s’adressent aux nouvelles générations, que Bergoglio trompe en leur faisant croire qu’il est possible d’être sauvé sans reconnaître que Jésus-Christ est le Fils de Dieu, l’unique Sauveur, et que son Église est l’unique arche du salut. Je suis la porte (Jn 10, 9) a dit Notre Seigneur de lui-même.

Nier cette vérité, c’est apostasier la foi et fouler aux pieds la Croix.

Le faire du plus haut des Seuils est un scandale d’une gravité sans précédent, surpassé seulement par le silence craintif ou complice de la majorité de l’épiscopat.

La « passio Ecclesiæ » s’accomplit dans la trahison d’une autorité usurpée, d’un nouveau Sanhédrin également apostat. »

Finalement un cardinal, non le moindre, le cardinal Burke affirme que nous somme probablement à la fin des temps :

« ( LifeSiteNews ) — Le cardinal Raymond Burke estime que nous vivons peut-être les « derniers temps ».

« Est-ce que ce sont les derniers temps ? Je ne sais pas. Notre Seigneur lui-même a dit que c'est au Père de prendre ces décisions. Mais il semble bien que ce soit le cas, et nous avons donc besoin d'une intervention forte de Notre Seigneur », a écrit Burke dans un post publié sur X jeudi, alors qu'il appelait les gens à se joindre à sa neuvaine de Notre-Dame de Guadelupe.
Dans un autre article publié lundi sur X, Burke a appelé son auditoire à invoquer l’intercession de la Vierge Marie pour obtenir la grâce d’être « des compagnons de travail fidèles et courageux dans la vérité » avec le Christ. Il a raconté comment Notre Seigneur avait envoyé la Sainte Mère par des apparitions pour nous ramener à Dieu au cours des siècles, comme en 1531, lorsque le « sacrifice humain » ravageait le Mexique et que la révolte protestante attaquait l’Église catholique en Europe. Puis, Dieu a envoyé Notre-Dame de Guadalupe pour « amener d’innombrables cœurs à son Cœur Immaculé afin qu’ils puissent se reposer dans son Cœur glorieux et transpercé, y trouvant le bon ordre de la Loi et de l’Amour divins. »

...

Le 13 juillet, Burke a reconsacré l'Amérique au Cœur Immaculé de Marie lors d'un événement mensuel commémorant les anniversaires des apparitions de Fatima, rejoint par environ 3 000 fidèles catholiques.
Lors de son homélie, Burke a appelé les catholiques à se préparer à la possibilité du martyre pour être restés fidèles au Christ. 

« Nous devons nous tourner quotidiennement vers le Christ et embrasser le martyre blanc de l’indifférence, du ridicule et de la persécution », a-t-il déclaré, avertissant que « certains d’entre nous pourraient même être appelés à donner le témoignage ultime du martyre rouge, de la mort en restant fidèles au Christ et à son plan pour notre salut et le salut du monde. »

« Chacun de nous est appelé, avec Marie Immaculée, à faire sa part dans l'œuvre salvifique du Christ, selon sa vocation de vie et ses dons distincts », a-t-il expliqué.   

« Chacun de nous est appelé à prier et à faire pénitence pour la conversion de la Russie, à célébrer les premiers samedis de réparation et à prier le Rosaire, en gardant dans notre cœur, un avec le Cœur Immaculé de Marie, tout ce que Notre Seigneur a dit et fait pour notre salut éternel. »

« Puissions-nous, unis de cœur avec le Cœur Immaculé de Marie, garder toujours dans nos cœurs le Mystère de la Foi, afin qu'avec Marie, nous puissions apporter au monde le Christ et son œuvre salvifique », a prié le prélat.

15 septembre

En route vers le synode

La Sainte Vierge Marie est apparue aux enfants le 13 octobre 1917 en Notre-Dame du Rosaire, le rosaire, seule arme pour la fin des temps, en Notre-Dame des Douleurs, et en Notre-Dame du Carmel.

Nous fêtons aujourd’hui Notre-Dame des Douleurs.

Et des douleurs, nous lui en donnons par tous nos péchés.

Bergoglio en tête avec ce synode à l’odeur putride dont, nous nous en doutions depuis le début, est arrangé à la sauce Bergoglio comme tous ses autres synodes auparavant.

LifeSiteNews )Mar 20 août 2024  — L'évêque suisse Marian Eleganti a déclaré que le Synode du Vatican sur la synodalité était déterminé par des « agendas tout faits » et a critiqué le pape François pour son hypocrisie.

Dans une interview accordée au média suisse kath.ch, il a affirmé que « les agendas tout faits détermineront le processus synodal et le contrôleront dès le début ».

Il a déclaré que le processus synodal du pape François n'est pas réellement un processus « d'écoute » déterminé par les opinions des laïcs, comme le prétendent souvent les partisans de la « synodalité ».

« Je crois que dans de tels processus, les éditeurs qui formulent les documents finaux sont le facteur décisif – pas nécessairement le Saint-Esprit », a déclaré Eleganti. « On ne peut pas impliquer 1,2 milliard de catholiques dans un tel processus. »

« Cela est aussi immédiatement instrumentalisé pour la politique de l’Église », a-t-il ajouté.

«Aujourd'hui, la soi-disant 'réalité vécue' est utilisée comme une autre 'source de révélation'», a déclaré l'évêque suisse à propos des perspectives du synode.

Citant le philosophe colombien Nicolás Gómez Dávila, Eleganti a déclaré : « N’ayant pas réussi à amener les gens à mettre en pratique ce qu’elle enseigne, l’Église contemporaine a décidé d’enseigner ce qu’elle pratique. »

Le prélat a averti que le synode pourrait conduire au schisme « si la frustration d'avoir encore une fois échoué dans son propre programme devient suffisamment grande ».

Il a ensuite critiqué l'hypocrisie de François qui promeut la « synodalité » tout en agissant lui-même de manière autoritaire.

« Bien que le pape François ait écrit Synodalité sur sa bannière, il a un style de leadership très autoritaire », a déclaré Eleganti. "Il intervient dans le processus synodal et le dirige, par exemple en retirant les questions importantes de l'assemblée plénière et en les déléguant à des commissions qui travaillent de manière autonome."

«Il a également remis à l'ordre du jour du deuxième synode sur la famille un vote rejeté par la majorité de l'assemblée plénière. Le document final du Synode amazonien a déçu Mgr Kräutler pour des raisons similaires.»

"Je ne refuse pas au pape François l'autorité et l'autorisation de le faire", a précisé Eleganti. "Il est le Pape et doit agir selon sa conscience devant Dieu."

Cependant, « certains se demanderont ce que signifie exactement pour lui la synodalité ».

« Apparemment, la synodalité a des limites. Beaucoup voient une contradiction dans les actions du pape », a-t-il conclu.

« … L'autorité du Pontife romain est le dérivé de l'autorité du Christ et tire sa légitimité de sa conformité à cette réalité ontologique. En revanche, l'autorité de Bergoglio est ouvertement proclamée indépendante et autoréférentielle : il pense qu'il peut utiliser et abuser de son propre pouvoir et de l'autorité (et de la direction) de l'Église catholique simplement parce qu'il sait que le clergé et le peuple chrétiens ont habitué, dans le soixante dernières années, à accepter tout changement que l'Autorité leur imposait. Au nom d'une "démocratisation" de l'Église conciliaire - aujourd'hui rebaptisée "synodalité" - le lien entre l'autorité du Christ et celle de son vicaire sur terre a été rompu, créant ainsi les prémisses d'un exercice tyrannique du pouvoir. Bergoglio veut être reconnu comme pape légitime car ce n’est qu’à partir de cette position qu’il pourra exiger l’obéissance des catholiques et achever la transformation du catholicisme romain en religion maçonnique de l’humanité…

Cette servilité de l'Église envers le monde est souhaitée et préméditée : elle inclut le soutien à la fraude climatique et au culte idolâtre de la Terre Mère, après avoir été explicitée par la fraude criminelle psycho-pandémique et la « vaccination » massive avec des produits prouvés nocifs, voire mortels. , sérums et presque toujours stérilisants, produits avec des fœtus avortés avec le placet du Vatican . Il est donc évident que le rôle de Bergoglio dans la mise en œuvre de l'enfer mondialiste a été décisif et nous montre comment le jésuite argentin - comme les dirigeants des principaux pays occidentaux tels que Biden, Macron, Trudeau, Starmer et d'autres - a été placé sur le trône. de Pierre en tant qu'émissaire du Forum économique mondial.

Une telle trahison dans le gouvernement de l’Église catholique confirme un vice d’intention dans la prise en charge de la Papauté, tel qu’elle invalide la légitimité même de celui qui a usurpé le pouvoir et en abuse pour détruire l’institution qu’il préside. C’est là le nœud de la question : un Pape peut-il contredire la doctrine que Notre Seigneur lui a ordonné de défendre, de garder et de transmettre, allant jusqu’à prêcher l’hérésie ?

Un pape peut-il se considérer à ce point déconnecté du Christ Roi et Pontife, au point d’utiliser la papauté contre la volonté du Christ, transformant son Église en une organisation antichrétienne, au service de l’élite mondialiste ? De quelle « Église » Bergoglio est-il le « Pape » ? » (mgr vigano- 10 sept - aldomariavalli)

Et Bergoglio de conclure son voyage en Asie :

« Toutes les religions sont un chemin vers Dieu. Elles sont – je fais une comparaison – comme des langues différentes, des idiomes différents, pour y parvenir. Mais Dieu est Dieu pour tous. Et parce que Dieu est Dieu pour tous, nous sommes tous ses enfants.

« Mais mon Dieu est plus important que le tien ! Est-ce vrai ? »

Il n’y a qu’un seul Dieu et nous, nos religions sont des langues, des chemins vers Dieu. Certains sont sikhs, d’autres musulmans, d’autres hindous, d’autres chrétiens, mais ce sont des chemins différents. Compris? » (benoit-et-moi.fr)

Cette affirmation a causé un tollé général dans la communauté catholique.

Évidemment.

« Des mots qui sonneraient comme une platitude désarmante sur les lèvres de n’importe qui, mais qui laissent perplexe lorsqu’ils sont prononcés par le successeur de l’apôtre Pierre, dont le ministère consiste à confirmer ses frères dans la foi, et non à les désorienter.

François, en revanche, le réinterprète à sa manière, comme si saint Pierre avait entamé un dialogue avec les juifs et les païens, leur disant que la mort et la résurrection du Christ n’ont rien apporté de substantiellement décisif à l’histoire de l’humanité, si ce n’est une nouvelle voie alternative vers Dieu, mais toujours facultative et sans la prétention d’être la seule vraie. Comme la variante d’une autoroute.

Peut-être le Pape croit-il que l’affirmation qui est sortie de la bouche même de Jésus-Christ – « Je suis le chemin, la vérité et la vie » (Jn 14,6) – était une coquille de quelque copiste, ou une réinterprétation des disciples du Seigneur, qui n’avaient encore rien compris au dialogue interreligieux, ou même un délire de toute-puissance d’un certain Jésus-Christ, qui s’était monté la tête en se prenant pour Dieu.

« Personne ne vient au Père si ce n’est par moi. Si vous me connaissez, vous connaîtrez aussi le Père » (Jn 14,6-7) : une “perspective” résolument opposée à celle du Pape. » (lien benoit-et-moi.fr ci-haut)

« … La doctrine catholique sur le Christ unique sauveur est, comme on le voit, liquidée. Et de la manière la plus claire possible. Quel sens l’évangélisation a-t-elle à ce stade ? Et l'esprit missionnaire ? Pourquoi des légions de catholiques ont-elles tout sacrifié, même la vie elle-même, pour prêcher l’Évangile si chaque foi est la même que les autres et qu’elles mènent toutes également à Dieu ?

Bien sûr, ce n’est pas la première fois que Bergoglio s’exprime en ces termes, mais il ne l’a jamais fait avec autant de brutalité.

À ce stade, on se demande : qu’en est-il de la papauté elle-même ? À quoi ça sert ?.. » (aldomariavalli)

« Le seul chemin vers Dieu le Père est par son Fils Jésus-Christ. Le nier, c'est nier la foi catholique, c'est une hérésie », a écrit l'évêque Strickland en réponse au pape François. » (lifesitenews.com)

Voilà.

Cela nous donne une idée claire et finale du personnage actuellement sur le trône de Saint-Pierre.

Il n'y a plus aucun doute.

Si les tièdes n'ouvrent pas les yeux avec ses dernières paroles, alors ils ne les ouvriront jamais.

Bergoglio a renié la fonction du pape dès le premier jour en se déguisant en agneau, prêchant la pauvreté avec ses vieux souliers, refusant les appartements normalement occupés par le pape pour aller habiter à Sainte-Marthe, et continue depuis de s’affirmer comme le destructeur, comme simple évêque de Rome, et qui affirme maintenant que tous les chemins mènent au Père.

Il ne pouvait pas agir ainsi tant et aussi longtemps que le katéchon était vivant, car Benoît XVI était un expert en théologie.

Mais maintenant, il peut tout faire.

Mise à jour concernant les signes du Ciel :

La comète d’octobre continue sa progression. Elle n’est pas visible pour l’instant car elle est trop près du soleil.

Soleil, qui comme prévu, continue d'élever son activité et ses taches en plein maximum solaire, avec une éruption de classe X4.5 hier suivi d’une éjection de masse coronale qui est en partie dirigée vers la terre.

Conséquemment, il y aura des aurores assez spectaculaires dans la nuit du 16 au 17 septembre, car la force est de trois sur une échelle de cinq (la force de la tempête du 13 mai dernier était de cinq).

Les signes sont de plus en plus nombreux.

En route vers le synode.

13 septembre

Le 8ème roi : l’oméga


« Et la bête qui était et qui n'est plus, en est elle-même un huitième et elle est des sept, et elle s'en va à la perdition. » (Apocalypse 17, 9-11)

Évidemment, il s’agît de Bergoglio (voir analyses précédentes).

La damnation l’attend fort probablement, sa perdition, mais le physique est le reflet de l’âme, et il est en train d’accélérer sa mort terrestre par ses agissements tout en entraînant plusieurs âmes avec lui.

« Au cours de ces 11 années de « pontificat », les attaques contre la doctrine, la liturgie et la morale ont été systématiques et ont conduit à une perte généralisée de la foi que nous pouvons maintenant constater dans tous les domaines du tissu ecclésial : dans les diocèses, les paroisses et les communautés religieuses. » (benoit-et-moi.fr)

Le 13, rappelons le, est le chiffre symbolique qui indique un passage à venir, le début et la fin d’un cycle, l’alpha et l’oméga.

« Je suis venue vous demander de venir ici pendant six mois de suite, le 13, à cette même heure. Ensuite je vous dirai qui je suis et ce que je veux. Après, je reviendrai encore ici une septième fois. » déclare la Sainte Vierge lors de sa première apparition à Fatima.

Fatima et Bergoglio sont liés, car le troisième secret concerne l’apostasie générale, même au sommet de l’église, confirmant La Salette avec l’antichrist sur le trône.

Lors des apparitions à Fatima, le petit  François voit la Sainte Vierge mais ne l’entend pas, comparativement à sa sœur et sa cousine.

Nous pointant Bergoglio de la fin des temps.

L’actuel occupant du siège de Pierre est le premier pape à porter le nom de François.

La contre-église de Bergoglio est tellement éloignée de celle qui a grandi et perduré durant presque deux mille ans qu’on peut considérer qu’elle n’entend pas les messages de la Très Sainte Vierge.

Remarquez aussi la dernière phrase de Marie ci-haut: Elle confirme qu’elle reviendra une septième fois.

Pour la fin des temps.

Du 13 mai au 13 octobre il y a pile 5 mois, soit 153 jours. Cinq mois ce n’est pas six mois. Cependant la Sainte Vierge dit bien qu’elle viendra six mois de suite et que cela correspondra à six apparitions puisqu’elle en prévoit d’ores et déjà une septième.

Cela veut dire qu’elle compte le mois de mai, c’est à dire le mois en cours ainsi que la première apparition. De mai à octobre il y a 5 mois qui s’étalent sur 6 mois. Pour décompter, le Ciel dit : 6 mois, ce qui correspond au mode de calcul biblique qui raisonne en mois ou en années commencés.

Ainsi, selon le mode de calcul biblique, Bergoglio atteindra 13 ans de pontificat le 13 mars 2025.

Sa limite?

L’apparition d’août à Fatima en 1917 a été reportée du 13 au 19 car les autorités avaient empêché les enfants de se rendre au lieu des apparitions.

Le 19 renvoie à Saint-Joseph dont on la fête est le 19 mars, date d’intronisation de Bergoglio.

Nombre de jours entre le 19 mars et le 19 août : 153.

Le 153 est le chiffre relié au Christ, le chiffre de la pêche miraculeuse dans le Nouveau Testament qui symbolise l’ensemble des rachetés : la deuxième Pâques dans la Bible, la mort et la résurrection du Christ (voir analyses précédentes).

Lors du miracle du soleil le 13 octobre 1917, la Sainte Famille est apparue aux enfants, nous montrant l’importance de ce qui est Vérité, et ce qui est à venir, à la fin des temps.

Car les trois membres de la Sainte Famille sont liés à l’Église dans sa Passion.

Le 13 octobre 1917, pendant que les voyants voyaient la Sainte Famille, les autres qui s’étaient déplacés apercevaient le soleil dansant.

La première Pâques a d’ailleurs eu lieu suivant un 13 : dans la nuit du 14 au 15 Nisan nous indique la Bible.

Nous nous apprêtons donc à vivre la troisième Pâque et la seconde rédemption de l’humanité, la dernière, avant le Jugement dernier.

Or cette fois, ce sera vraiment la fin du grand cycle, la fin des temps, le Jugement suivi de la nouvelle Jérusalem.

Et Bergoglio en est le signe visible : l’antichrist personnifié qui s’en va à sa perte, et qui est lié comme nous l’avons vu dans les dernières analyses, au chiffre 13.

La vie temporelle et la vie spirituelle sont liés.

Le physique ne peut se passer du spirituel, et vice-versa.

Nous sommes corps et âme.

Quand l’Église va, le monde terrestre va, les structures et les institutions tiennent la route et recherchent le bien commun, à savoir le salut des âmes en Jésus-Christ, malgré les innombrables difficultés.

Quand l’Église flanche, la société civile se dégrade moralement, mais aussi culturellement et socialement, et s’enfonce dans la débauche, la cupidité, l’envie, la bêtise et la méchanceté.

C’est le cas depuis le concile Vatican II (1965) et Mai 68, dont les fruits pourris se sont étendus au monde entier.

D’ailleurs, le point Alpha ou point zéro de Léon XIII avec sa vision du diable, a son pendant « monde civil » car c’est le 13 octobre 1884 qu’était défini le méridien de Greenwich comme point zéro pour le monde entier.

Le départ d’un nouveau cycle.

Les comètes sont des signes particuliers du Ciel.

Pour nous avertir.

Comme le 13 octobre prochain.

Tout comme les aurores boréales.

Comme cette tempête céleste du 13 mai dernier.

Or, le synode des synodes est l’apothéose de la grande apostasie.

Le testament de Bergoglio.

La conclusion du synode est inévitable dans le calendrier eschatologique pour confirmer la mort des deux témoins de l’Apocalypse.

Suivi très très rapidement par la chute de Babylone liée à la chute du Vatican.

Dieu a un plan.

La 7è église de l’Apocalypse a commencé avec l’avènement de Bergoglio, l’Antéchrist-personne, le 13 mars 2013.

Vont s’enclencher à partir du 13 octobre prochain, ou pas très longtemps après, les trois autres 7 (d’où le 777), à savoir 7è sceau, 7è trompette et 7è coupe.

« Fidèle à cette tâche, Bergoglio s’apprête maintenant à porter un coup décisif qui dévastera profondément la nature même de l’Église catholique.

Il s’agit d’une opération d’une gravité sans précédent puisqu’il prétend précisément changer définitivement les connotations de l’Église, connotations voulues et établies par son divin Fondateur lui-même.

Quel est le projet de Bergoglio ? Et quelle nouvelle physionomie entend-il donner à la structure ecclésiale ?

Ceux qui connaissent l’histoire et la théologie de l’Église n’auront certainement pas besoin de faire de grands efforts spéculatifs : il s’agit simplement d’imposer à l’Église une version actualisée de la Réforme protestante.

Il est évident que la nouvelle approche sert le système car moins la structure ecclésiale est compacte, plus elle sera malléable aux influences du grand projet mondialiste (cf. Agenda 2030 – Forum économique mondial…)…

Aurait-il été excessif de rappeler à l’Argentin que la Cène protestante n’est pas le Sacrifice eucharistique et qu’il n’y a pas en elle de présence réelle capable de transformer la substance du pain et du vin en la réalité du Corps et du Sang du Christ ? La Cène ne peut être comprise que comme une présence de Grâce qui peut être reçue par ceux qui s’en approchent avec les dispositions appropriées…

Tiré du portail canadien francophone Radio-Canada.ca, l’évêque de Rouyn-Noranda « rapporte en ces termes la réponse que lui a faite le pape François à une préoccupation qu’il avait concernant le manque de prêtres dans les petites communautés :

“Écoutez, vous oubliez deux choses : l’avenir de l’Église se joue davantage autour de la parole de Dieu qu’autour de l’eucharistie” » (benoit-et-moi.fr)

Vous l’aurez compris depuis nombres d’analyses ici: Bergoglio, le 8ème roi de l’Apocalypse éliminera la présence réelle en protestantisant l’église.

Plus besoin d’Eucharistie.

L’Oméga, le point de non retour (c’est ce qu’affirme continuellement Bergoglio d’ailleurs : il n’y aura pas de retour en arrière), va être atteint à la fin octobre.

À partir de là, c’est l’inconnu.

C’est entre les mains du Père.

On peut fort parier que le Jubilé 2025 ne sera pas celui prévu dans les plans au Vatican, l’élite mondiale et Bergoglio.


« La souffrance de l’Église précède la parousie [Second avènement du Christ, ndt]

Cela semble en effet inéluctable. Si l’Église est le Corps mystique du Christ, et qu’elle ne peut avoir d’autre existence que la vie de son Époux mystique : de même que le Christ a été livré aux mains de ses ennemis, de même l’Église subira nécessairement le même sort.
Cependant, si nous partageons aujourd’hui les souffrances du Corps mystique, nous partagerons bientôt aussi le mystère de sa résurrection et de son exaltation.

La lutte a atteint son point culminant et, dans le champ de l’Église, le bon grain est sur le point d’être séparé de l’ivraie.
À l’horizon se profile déjà l’effondrement des potentats de ce monde qui se sont enrichis en spéculant sur la peau des peuples et qui ont profané les institutions du Siège apostolique.

Le Seigneur, juste juge, rendra bientôt à chacun ce qui lui appartient.

Mais qu’adviendra-t-il de celui pour qui le martyre de l’Épouse du Christ se consomme aujourd’hui ? Ne pourrions-nous pas partager les dures paroles de l’Évangile : « Il vaudrait mieux pour cet homme qu’il ne soit jamais né » (Mt 26, 24) ? » (benoit-et-moi.fr)

On confirme.

Même le pape Pie XII qui a suivi de près la question des apparitions de Fatima a affirmé avoir été le témoin, à trois reprises, à Rome, les 30 et 31 octobre et le 1er novembre 1950, jour de la proclamation du dogme de l'Assomption de la Vierge Marie, du même phénomène solaire qu'à Fatima.

On a vu dans une analyse précédente qu’entre le 13 octobre 1884 et le 13 octobre 1917, il y a exactement 33 ans, l’âge du Christ à sa mort.

Entre le 13 octobre 1917 et le 1 novembre 1950 : 33 ans et quelques jours.

La Sainte Vierge nous reviendra à la fin des temps, à l’Apocalypse, la Révélation, une 7ème fois comme affirmé en 1917, sous la forme d’une femme voilant le soleil.

Par trois fois Pie XII a vu le miracle du soleil à la fin octobre 1950.

Est-ce que cela annonce les trois jours de ténèbres de la fin des temps prophétisés par plusieurs?

Le signe de Jonas (voir analyses de juillet 2024)?

Le synode des synodes se termine le 29 octobre.

Pourrait-il y avoir un lien?

Car le soleil est bien entré dans le maximum solaire qui s’intensifie.

Ainsi que le risque de guerre Russie-OTAN aujourd'hui après l'approbation du Canada et de la Grande-Bretagne pour l'emploi de missiles longues portées par l'Ukraine.

12 septembre

Quand on affirme que le Vatican avec en tête Bergoglio entraînent la jeunesse vers l'Agenda 2030.

La « grande réinitialisation » religieuse est en court depuis longtemps.

La preuve.

Remarquez que Bergoglio est actif avec les jésuites depuis qu'il est évêque pour former les esprits à la nouvelle religion humaniste!

Remarquez aussi qu'à chaque voyage de Bergoglio, que plusieurs rencontres avec les satellites jésuites des pays concernés sont prévues à l'horaire, empiétant même sur le but dudit voyage.

« Ce fut le cas, en Indonésie, de la rencontre avec le mouvement « Scholas occurrentes », dans son nouveau siège au centre de Jakarta, le premier en Asie du Sud-Est.

Ce mouvement, fondé par Bergoglio en Argentine lorsqu’il était archevêque de Buenos Aires, est aujourd’hui un réseau d’un demi-million d’écoles sur les cinq continents, élevé en 2015 au rang de Fondation pieuse de droit pontifical ayant son siège dans la Cité du Vatican.

Toutefois, on n’y trouve pas grand-chose de « pieux », voire rien du tout.

Dans les nombreux discours de François aux « Scholas », le silence sur le Dieu chrétien, Jésus et l’Évangile est presque total.

La formule dominante est celle du « nouvel humanisme », avec son cortège de « maison commune », de « solidarité universelle », de « fraternité », de « convergence », d’« accueil ».

Les religions sont également mises dans le même sac et neutralisées dans un dialogue indistinct.

Les invités à ces événements sont des stars du show-business et du sport, de George Clooney à Lionel Messi.

Le nom donné par François à une nouvelle université qu’il a créée en 2023 et confiée à des « Scholas occurrentes » l’illustre bien : « Universidad del sentido », l’université du sens, où « ce qui est enseigné n’est pas une chose mais la vie elle-même ».

À Jakarta, pour symboliser ce sentiment de fraternité, les étudiants avaient mis en place un « polyèdre du cœur », avec l’assemblage de centaines d’objets personnels apportés par chacun, auxquels le pape lui aussi a ajouté le sien : une reproduction de l’héroïne de la bande dessinée argentine Mafalda.

Bien sûr, il n’est pas surprenant qu’un pape comme Jorge Mario Bergoglio se préoccupe autant des écoles et de la formation des nouvelles générations, lui qui fait partie de la Compagnie de Jésus, qui a été pendant des siècles le grand éducateur des classes dirigeantes.

Mais ce qui frappe, c’est l’absence de toute spécificité chrétienne dans son ambitieux projet éducatif. » (benoit-et-moi.fr)

L'escalade entre la Russie et l'OTAN se poursuit: possibilité par les britanniques et les américains d'autoriser les missiles à longue portée pour l'Ukraine si l'Iran fournit des missiles du même type à la Russie.

Poutine confirme que si c'est le cas, alors l'OTAN sera considéré en guerre contre la Russie.

« La terre frisera le massacre. Un seul mourra pour tous et il était le meilleur. » se rapproche. (prophétie « Grand Éclair à l'Orient »)

08 septembre

LA SEMAINE DE DANIEL

À la lumière de la dernière analyse sur l’importance du 13 et du 84, et sur la signification du chiffre 40 comme temps d’attente, de carême, avant la Pâques et la résurrection :

Jésus nous indique que le prophète Daniel a son importance à la fin des temps, en Matthieu 24, confirmé en décembre 2023 par mgr Vigano :

(LifeSiteNews) — L'archevêque Carlo Maria Viganò a répondu à la question « Le pape est-il catholique ? à la conférence du week-end dernier affirmant avec force que Jorge Maria Bergoglio est un « faux prophète » qui correspond à la description de celui dont parle le prophète Daniel au moment de la « persécution finale » de l'Église, à qui aucun catholique ne doit en « rien » obéissance ou collaboration mais plutôt résistance inébranlable.

« Nous sommes… bien au-delà de l'hérésie », a déclaré Son Excellence. "[St. Robert] Bellarmin n'aurait jamais pu imaginer qu'un émissaire de la franc-maçonnerie puisse aller jusqu'à être élu pape dans le but de démolir l'Église de l'intérieur, en usurpant et en abusant du pouvoir même de la papauté contre la papauté elle-même. Il n’aurait pas non plus pu imaginer qu’un hypothétique pape dépasserait la simple hérésie et embrasserait l’apostasie totale. »

Viganò a réitéré une fois de plus que "nous n'avons pas affaire à une situation dans laquelle un pape adhère à une hérésie spécifique (ce que Bergoglio a d'ailleurs fait à plusieurs reprises)". Au contraire, « aucun Docteur de l’Église n’a jamais envisagé la possibilité d’un pape apostat ou d’une élection falsifiée et manipulée par des puissances ouvertement hostiles au Christ, car une telle énormité ne pouvait se produire que dans un contexte unique et extraordinaire comme celui de la persécution finale annoncée par le prophète Daniel et décrite par saint Paul. L'avertissement de Notre Seigneur videritis abominationem desolationis – lorsque vous verrez l'abomination de la désolation (Mt 24, 15) – doit être compris comme tel précisément en raison de son un caractère unique absolu. »

Dernières preuves confirmant ces affirmations:

- Le voyage en Indonésie de Bergoglio :

« JAKARTA, Indonésie ( LifeSiteNews ) — En conclusion d'une rencontre avec des jeunes de différentes confessions à Jakarta, le pape François a donné une bénédiction sans invoquer la Trinité, ce qui, selon lui, est « valable pour toutes les religions ».

...

Après avoir échangé avec certains des jeunes concernés, le pape a annoncé qu'il donnerait une bénédiction finale. Le groupe étant composé de membres de différentes religions (Scholas n'est pas une organisation catholique), la bénédiction de François revêtait un caractère multiconfessionnel.

« Je voudrais donner une bénédiction. Une bénédiction signifie dire du bien, souhaiter du bien à quelque chose », a-t-il commencé. Poursuivant sa prière de bénédiction à la foule rassemblée, qui comprenait des catholiques et des musulmans, François a ajouté :

Ici, vous êtes de religions diverses, mais nous n'avons qu'un seul Dieu, il est unique.

Et en union, en silence, nous prierons le Seigneur et je donnerai une bénédiction pour tous, une bénédiction valable pour toutes les religions.

Que Dieu bénisse chacun d’entre vous.

Qu'il bénisse tous vos désirs.

Qu'il bénisse vos familles.

Qu'il vous bénisse présent (ici).

Qu'il bénisse votre avenir. Amen.

En conclusion, François n'a pas fait le signe de croix comme le fait habituellement un clerc catholique lorsqu'il donne une bénédiction, et n'a pas invoqué le nom de la Sainte Trinité. »

« Cette bénédiction sans la croix est une absurdité, mais c’est surtout une trahison et une apostasie. On pourrait déjà se demander si Bergoglio n'était que M. Bergoglio, mais comme il se présente et va visiter les pays comme Pape de l'Église catholique, et que la bénédiction catholique a lieu en invoquant le nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit et traçant un signe de croix, Bergoglio s'est comporté en infidèle et trompeur. Et dans ces quelques mots prononcés pour expliquer sa décision, il a parlé de véritables hérésies, car il n'est pas vrai que « nous n'avons qu'un seul Dieu », et le Vicaire du Christ, dont la tâche première est de confirmer ses frères dans la foi, ne peut pas le faire « une bénédiction valable pour toutes les religions »…

Maintenant la question se pose : pourquoi Bergoglio est-il allé là-bas, en Indonésie ? Ces voyages sont appelés voyages apostoliques, mais qu’y a-t-il d’apostolique dans une bénédiction absurde qui n’est pas une bénédiction ? Bergoglio le dit clairement, s'il en a le courage : le but de ces visites est toujours et uniquement le dialogue, véritable dogme de l'Église néo-moderniste. En effet, non seulement le dialogue, mais le syncrétisme, le mélange arbitraire d'éléments religieux incompatibles entre eux. Afin de proclamer une religion universelle unique… » (aldomariavalli.com).

Le but est toujours le même : la nouvelle religion humaniste œcuménique de l’Agenda 2030, qui n’en est pas une (puisque aucun objectif spirituel n’est mentionné dans l’Agenda 2030), mais un culte rendu à Satan.

- Sur la miséricorde universelle, thème cher à Bergoglio, qui élimine ainsi la notion de péché:

« Le salut universel ? En tant que professeur de mathématiques, je vous le dis : faites le calcul, ça ne peut pas être comme ça !
...

nous vivons à une époque où, même dans l'Église, la question de la destinée éternelle de l'âme semble totalement hors de propos, et le message est souvent transmis qu'après la mort, nous irons tous au ciel. Ces derniers jours, un prêtre qui prêche sur YouTube (j'évite de citer son nom) a répondu mot pour mot à une de mes questions que "les péchés vont en enfer parce que Dieu sauve les pécheurs". Ainsi, tout le monde est en sécurité. Mais cette idée d’un salut automatique, pour tous, est fausse et même hérétique car elle contredit l’enseignement de l’Église et les paroles mêmes de Jésus.

Affirmer que le paradis est réservé à tous les hommes après la mort équivaut à dire qu'aucune âme créée ne court le risque d'être damnée et donc que personne n'est jamais allé en enfer jusqu'à présent et que personne n'y ira dans le futur. Il n'y aurait que Satan avec les anges rebelles (à moins qu'il ne soit dit qu'à la fin il y aura aussi une amnistie pour eux : après tout, Dieu est miséricordieux, n'est-ce pas ?).

Or, Dieu est certes miséricordieux, mais il est aussi juste, et pour être acceptée, la miséricorde doit trouver une âme qui reconnaît qu'elle a péché et qui a besoin de pardon. La miséricorde de Dieu est reçue, par le sacrement de la confession, avec une repentance et une supplication sincères.

...

Partons donc des points fixes, certains et établis : l'Évangile, le catéchisme et la tradition.

Le Catéchisme de l'Église catholique (n. 1033) explique :

Mourir dans un péché mortel sans se repentir et sans accueillir l'amour miséricordieux de Dieu signifie rester séparé de Lui pour toujours par notre libre choix.

Sauf le cas de Judas Iscariote, car Jésus le dit très clairement, nous ne pourrons jamais savoir avec certitude si une âme est damnée ou non. En fait, nous ne savons pas si cette âme a fait, peut-être un instant avant sa mort, un acte de contrition sincère et a demandé pardon à Dieu comme le bon larron sur la croix. Cependant, il semble clair que cette terrible issue est possible pour tout être humain. Dieu nous laisse libre de l’accueillir comme Seigneur et Sauveur ou de le rejeter.

Dans l'Évangile, nous lisons :

Un homme lui demanda : « Seigneur, ceux qui sont sauvés sont-ils peu nombreux ? Il répondit : « Efforcez-vous d'entrer par la porte étroite, car beaucoup, je vous le dis, tenteront d'entrer et n'y parviendront pas » (Luc 13,23-24).

« Beaucoup » dit Jésus. Eh bien, à propos de ce passage, j'ai toujours entendu des commentaires dans lesquels il est dit que Jésus ne répond pas à la question, mais ce n'est pas vrai !

Examinons la réponse et connectons-la à d'autres passages qui parlent de la même question.

Nous voyons le passage similaire dans Matthieu 7 : 13-14.

Entrez par la porte étroite, car la porte est large et le chemin est large qui mène à la perdition, et nombreux sont ceux qui entrent par là ; combien étroite est au contraire la porte et le chemin qui mène à la vie, et combien rares sont ceux qui les trouvent ! (Matthieu 7;13-14).

Nous constatons que le pronom « beaucoup » contraste plus clairement avec « quelques-uns » qui sont sauvés.

Et encore :

Parce que beaucoup sont appelés mais peu sont élus (Matthieu 22,14).

Les paroles de Jésus semblent dramatiques lorsqu'il précise que même parmi ceux qui avaient une relation de prédilection avec le Seigneur, il y en aura qui iront dans le feu éternel :

Beaucoup me diront en ce jour-là : Seigneur, Seigneur, n'avons-nous pas prophétisé en ton nom, chassé les démons en ton nom et accompli de nombreux miracles en ton nom ? Mais je leur dirai : je ne vous ai jamais connu ; éloignez-vous de moi, ouvriers d'iniquité » (Matthieu 7, 22-23).

Encore ce pronom : « beaucoup ».

Mais dans les paroles de Notre Seigneur (jamais dites au hasard, car la plénitude de la lumière et de la vérité habite dans le Fils de Dieu) il y a aussi des valeurs numériques.

Dans la parabole des dix vierges, nous avons cinq folles et cinq sages. Jésus aurait pu dire, par exemple, que huit étaient sages et deux étaient insensés ou utiliser d'autres paires de nombres dont la somme fait dix, mais il dit que la moitié d'entre eux sont damnés.

Dans la parabole des serviteurs et des talents, cela se passe un peu mieux : une personne sur trois va en enfer, mais si telle était l'estimation des âmes perdues, ce serait encore un nombre élevé.

Nous ne pouvons rapporter ici tous les apports des mystiques, saints et bienheureux qui ont eu des visions d'un enfer décrit comme plein de damnés. Souvenons-nous seulement des apparitions de Fatima (reconnue par l'Église) et de ce que la Sainte Vierge disait sur la nécessité de prier pour les pauvres pécheurs puisque déjà à cette époque (année 1917, une époque où le sens religieux, la foi et les coutumes étaient certainement meilleurs que nos temps malheureux) tant d'âmes ont été perdues.

D’un autre côté, s’il n’y avait aucune possibilité de damnation, comme cela est souvent prêché ou sous-entendu aujourd’hui, pourquoi la Mère de Dieu aurait-elle enseigné la prière qui est encore récitée aujourd’hui dans le chapelet :

Mon Jésus, pardonne nos péchés, préserve-nous des feux de l'enfer et amène toutes les âmes au ciel, en particulier celles qui ont le plus besoin de ta miséricorde ?

Nous ne pouvons certainement pas établir avec une certitude mathématique le pourcentage d'âmes damnées par rapport à la totalité des âmes créées, ni dire combien ont été damnés en moyenne au cours des différents siècles de l'histoire chrétienne. Cependant, nous ne pouvons pas non plus falsifier l'Évangile et le clair paroles de Notre Seigneur Jésus-Christ qui a versé son sang précieux pour nous offrir le salut et détruire nos péchés.

Nous restons ancrés dans le magistère authentique de l’Église, certains que quiconque meurt dans la grâce de Dieu, en se repentant de ses péchés et en invoquant de tout cœur la miséricorde du Seigneur Jésus, ne sera pas damné.

Souvenons-nous de la grande et merveilleuse promesse faite par Jésus à l'humanité à travers sainte Marguerite-Marie Alacoque :

Je vous promets, dans l'excès de miséricorde de mon cœur, que mon amour tout-puissant accordera la grâce de la pénitence finale à tous ceux qui communieront le premier vendredi du mois, pendant neuf mois consécutifs. Ils ne mourront pas dans ma disgrâce, ni sans avoir reçu les saints sacrements, et dans ces derniers instants mon cœur leur donnera un asile sûr.

Fais, Seigneur, par l'intercession de la Vierge Marie et de Saint Michel, qu'en vainquant l'ennemi de notre salut, chacun de nous puisse accepter cette invitation du Cœur de Jésus et décider de vivre, au moins une fois dans sa vie, cette belle pratiquer avec amour, avec foi et profonde humilité, protégeant ainsi le salut de son âme.

Sacré-Cœur de Jésus, j'ai confiance et j'espère en Toi. » (aldomariavalli.com)

- Sur le prochain synode :

Comme nous l’affirmons depuis le longtemps, le synode des synodes est la dernière chance pour faire passer l’impensable, pour une conversion de l’église conciliaire à l’église universelle humaniste de l’Agenda 2030.

« Le cardinal Müller suggère que des « forces anti-catholiques » promeuvent l'Agenda 2030 en faveur de l'avortement au sein du Synode

CITÉ DU VATICAN ( LifeSitenews ) — Le cardinal Gerhard Müller a averti que le synode actuel sur la synodalité pourrait être utilisé par les « progressistes » et les « forces anticatholiques » pour mettre en œuvre l’Agenda 2030 dans l’Église.

« Il existe toujours le danger que des progressistes autoproclamés, en collusion avec les forces anticatholiques de la politique et des médias, introduisent dans l’Église un Agenda 2030 dont le cœur est une vision wokiste de l’humanité diamétralement opposée à la dignité divine de chaque personne humaine », a déclaré le cardinal allemand dans une interview à InfoVaticana.


Le cardinal a critiqué ouvertement le Synode, et son inclusion aux réunions du Vatican a été contestée par les progressistes : « Des groupes hérétiques déguisés en progressistes ont, pour leur part, critiqué cette décision [son inclusion] comme une simple manœuvre tactique du pape, qui voulait envoyer un signal aux catholiques orthodoxes, décriés comme conservateurs ou même traditionalistes, que les participants étaient équilibrés. »… »

« CITÉ DU VATICAN ( LifeSiteNews ) — Le rite de la messe amazonienne, très attendu et controversé, entrera dans une « phase expérimentale » de trois ans plus tard cette année, a attesté un théologien clé.
Dans un nouveau rapport numérique de Vida Nueva, des détails révolutionnaires ont été révélés sur le rite de messe proposé en Amazonie – fruit du synode amazonien de 2019 qui s'est tenu au Vatican.
Sans citer mot pour mot les propos de Vida Nueva, elle a déclaré que « le rite amazonien entrera dans la phase expérimentale – qui durera trois ans jusqu’en 2028 – à la fin de 2024. » »


« Le préfet de la CDF a té reçu deux fois dans un bref laps de temps par « El Papa », et ces audiences ont été (inhabituellement) rapportées par le bureau de presse, leur conférant un caractère officiel qui laisse présager qu’un document non négligeable (je n’ose dire « important ») est en cours d’élaboration. Occasion de se rappeler d’une curieuse note du même Tucho dans un « rescriptum ex audentia » du 23 octobre dernier. » (benoit-et-moi.fr)

Le prophète Daniel par l’indication de la « semaine » de la fin des temps, en un temps, deux temps et la moitié d’un temps, que plusieurs interprètent par une semaine de 3.5 années, ou remis au double, 7 années, est difficile à cerner dans la réalité, mais c’est un fait que nous devons considérer à titre d’analyses.

Mais Saint-Jean dans l’Apocalypse nous indique que la bête et les deux témoins ont la même durée de vie.

Normal, puisque les témoins font front contre la bête.

La durée de vie de la bête étant de 1260 jours ou 42 mois, plusieurs eschatologues en concluent qu’une division par 3.5 est de mise pour leurs recherches sur la chute de Babylone.

Nous venons de voir dans l’analyse précédente que les démons sont relâchés en 1884 et que la période accordée au démon pour la destruction de l’église est de 100 années, et nous avons suggéré un temps d’attente additionné de 40 années nous amenant en 2024.

Plus précisément le 13 octobre 2024.

En plein synode.

En pleine relation avec Fatima en 1917.

Avec comme signe une comète au plus près de la terre pour cette date exacte.

Le 13 octobre 2024 et le 13 octobre 1884 sont séparés de 140 années.

140 est divisible par 3.5 et nous donne 40.

Exactement le temps d’attente.

Et, le soleil est de la partie.

Voici ce que nous révèle spaceweather.com sur l’activité solaire du mois d’août dernier, et du progrès dans le cycle solaire 25, qui nous plonge peut-être dans une période mouvementée pour octobre 2024 si on suit la logique des dernières analyses (déjà, le début septembre a été très actif mais les trois éjections de masse coronales des derniers jour ont eu lieu sur la face cachée du soleil et donc dirigées hors de la trajectoire de la terre.) :

« L'activité solaire continue de s'intensifier. En août 2024, le nombre mensuel moyen de taches solaires a dépassé 200 pour la première fois en 23 ans, doublant presque les prévisions officielles :

On ne s'attendait pas à ce que le cycle solaire actuel (cycle solaire 25) soit aussi fort. Lorsqu'il a commencé en décembre 2019, les experts ont prédit qu'il serait faible comme son prédécesseur immédiat, le cycle solaire 24. Au lieu de cela, le cycle solaire 25 peut être sur le point de rivaliser avec certains des cycles les plus forts du 20ème siècle. Déjà en mai 2024, nous avons connu une tempête géomagnétique de classe centenaire avec des aurores boréales observées dans le Pacifique Sud, en Amérique centrale et en Afrique du Sud.

La dernière fois que le nombre de taches solaires était aussi élevé, c’était en septembre-décembre 2001. Le soleil se préparait à lancer les grandes tempêtes d'Halloween de 2003, qui comprenaient la plus forte éruption solaire de classe X jamais enregistrée (X45) et une CME si puissante qu'elle a été ressenti par la sonde Voyager qui quittait alors notre système solaire. Une répétition n'est pas garantie, mais le nombre actuel de taches solaires nous dit que c'est possible.

Dans quelques années, nous pourrions regarder en arrière et réaliser que 2024 était le maximum du cycle solaire 25. Ou pas ; les « prévisions officielles » initiales prévoyaient que le maximum solaire se produirait en juillet 2025. Quoi qu'il en soit, nous avons probablement au moins 2 ans de plus d'activité solaire élevée à venir. Demeurez à l'écoute. »

Voilà.

Le 13 octobre 2024 pourrait être très significatif.

04 septembre

LÉON XIII

Le 13.

Ce chiffre qui semble avoir toute son importance et qui nous a été pointé par Notre-Dame de Fatima en 1917 de mai à octobre avec le miracle du soleil.

Le chiffre 13, c’est le chiffre du passage, de la Pâques, qui est la porte de l’instabilité, vers le renouveau, la résurrection.

Léon treizième du nom, « (1878-1903) est le premier pape du XXe siècle. Passionné par son époque, il s'efforça de la comprendre et d'ouvrir l'Église à ses débats. Il avait à cœur la misère des nouvelles classes ouvrières et s'engagea sur les grandes questions sociales de son temps » (la-croix.com)

C’est donc lui qui condamne en premier les erreurs du modernisme commencé en 1858 : par Les origines des espèces de Darwin, La liberté de Mill, et Une contribution à La critique de l’économie politique de Karl Marx.

Dans ces trois ouvrages sont résumés les erreurs de l’âge moderne.

L’homme annonçait son INDÉPENDANCE vis-à-vis de Dieu.

C’était le début de la déification de l’homme aboutissant à cette fin des temps.

Léon XIII annonçait la période d’instabilité dominé par le diable vers le renouveau, la fin des temps.

C’est en effet le 20 avril 1884 que Léon XIII publie Humanum genus condamnant la franc-maçonnerie (quatre encycliques de ses 86 publiés condamnent la franc-maçonnerie).

Onze encycliques sur les 86 promeuvent le Rosaire.

Il identifie ainsi le racine du problème de ce monde et son remède.

Le 13 octobre suivant, même date que le miracle du soleil de 1917, mais en 1884, Léon XIII a sa vision de Satan qui demande 100 ans pour détruire l’Église à NSJC :

« Après la Messe, j’entendis deux voix, une douce et bonne, l’autre gutturale et dure ; il semblait qu’elles venaient d’à côté du tabernacle. Il s’agissait du démon qui s’adressait au Seigneur, comme dans un dialogue.

Voici ce que j’ai entendu :

– La voix gutturale, la voix de Satan dans son orgueil, criant au Seigneur : “Je peux détruire ton Église.”

– La voix douce du Seigneur : “Tu peux ? Alors, fais le donc.”

– Satan : “Pour cela, j’ai besoin de plus de temps et de pouvoir.”

– Notre Seigneur : “Combien de temps ? Combien de pouvoir ?”

– Satan : “75 à 100 ans et un plus grand pouvoir sur ceux qui se mettent à mon service.”

– Notre Seigneur : “Tu as le temps, tu auras le pouvoir. Fais avec cela ce que tu veux.”

Puis, j’ai eu une terrible vision de l’enfer : j’ai vu la terre comme enveloppée de ténèbres et, d’un abîme, j’ai vu sortir une légion de démons qui se répandaient sur le monde pour détruire les œuvres de l’Église et s’attaquer à l’Église elle-même que je vis réduite à l’extrémité. Alors, Saint Michel apparut et refoula les mauvais esprits dans l’abîme. Puis, j’ai vu Saint Michel Archange intervenir non à ce moment, mais bien plus tard, quand les personnes multiplieraient leurs prières ferventes envers l’Archange. »

Les démons sont donc relâchés en 1884, pour la naissance du système antichristique de la fin des temps :

« Comme nous l’avons écrit, même si le programme est largement décrit dans Utopia de Thomas More, il fut réadapté fin XIXe siècle dans le cadre du monde anglo-saxon par la Société fabienne (Fabian Society) en 1884. L’objectif déclaré de cet institut à l’origine de la création du parti travailliste anglais (le labour) et de la London School of Economics (LSE) est de favoriser une gouvernance mondiale reposant sur la fusion du capitalisme et du socialisme afin d’aboutir à un « socialisme de marché » dont le modèle rêvé est la Chine. Il est vrai que de nombreux agents anglo-saxons acquis à cette Société fabienne ont coopéré avec d’autres instituts mondialistes comme le Canadian International Council ou CIC (Walter Lockart Gordon, James Endicott, …), petit frère de la Chatham House (Royaume-Uni) et du Council on Foreign Relations (CFR, États-Unis). C’est ce fameux CIC qui a joué un rôle certain en favorisant la création d’un frère jumeau chinois en 1949, le Chinese People’s Institute of Foreign Affairs (CPIFA). » (Pierre Hillard, Mondialisme : "La Bête de l’événement est là et elle arrive")

Deux chiffres importants donc : le 13 et le 84.

Entre le 13 octobre 1884 et le 13 octobre 1917, il y a exactement 33 ans, l’âge du Christ à sa mort.

Ce n’est pas un hasard puisque la franc-maçonnerie est intensément active au Vatican avec le cardinal Rampolla en tête, élu pape en 1903 suite au décès de Léon XIII, mais qui grâce à l’intervention de l’empereur François-Joseph qui usa de son droit de veto, fut évincé.

1884 additionné de cent années nous donne 1984, la fameuse année identifiée par George Orwell dans son roman.

1984, l’année de la consécration de la Russie par Jean-Paul II qui fut non valable.

(Or, après la consécration du monde accomplie par le pape Jean-Paul II le 25 mars 1984, sœur Lucie (de Fatima) déclara nettement aux carmélites de Coïmbre, à ses parents et familiers, à des religieux, évêques et cardinaux : « Non, la consécration n’a pas été faite comme le veut Notre-Dame. »)

1984 additionné des 40 années du Christ dans le désert, et en ce qui nous concerne, la Passion de l’Église de la fin des temps, notre carême, nous donne 2024, année de séparation du bon grain de l’ivraie.

40 est le nombre de l'attente:

- Jésus a vécu 40 jours au désert après son baptême;

- le peuple juif a erré 40 ans dans le désert avant d'entrer en Terre sainte ;

- Moïse a jeûné 40 jours avant de recevoir les tables de la Loi;

- le Déluge a duré 40 jours, avant que Noé n'ouvre la fenêtre de l'Arche.

Après le carême, nous savons tous que c’est la Pâques, ou mort et résurrection du Christ, donc la mort de l’Église et sa résurrection pour la fin des temps, avec comme signe visible la mort et la résurrection des deux témoins de l’Apocalypse avant la chute de Babylone.

Pour 2024 fort probablement puisque le retour du Lys de paix, le Christ, selon la prophétie de Don Bosco est avant le mois des deux lunes, soit mai 2026.

Et puisque la durée de vie de la bête dans l’apocalypse est de 42 mois, 1984 additionné de 42 ans donne 2026.

1984 suivi du « 27 octobre 1986 : Jean-Paul II invite personnellement les représentants de toutes les religions les plus répandues du monde à une  réunion de prière œcuménique  à Assise, la ville de Saint François...

Arrêtons-nous un instant et réfléchissons : Notre Seigneur Jésus-Christ a placé son Vicaire et l'Église sur cette terre pour annoncer la vérité et dispenser la grâce et le salut à tous les hommes, quelle que soit leur religion, les appelant à la conversion, au prix du martyre : et ainsi ce que firent les apôtres, ainsi que tous les saints et martyrs pendant deux mille ans. Mais voici maintenant un Pape qui convoque les non-catholiques non pas pour les exhorter à la conversion ou même pour une simple discussion, mais plutôt pour les pousser à prier selon leurs fausses et vaines  croyances humaines  (quand pas  diaboliques ) afin d'obtenir une quelconque  monde de paix  . Quelle  paix ? Ce ne sera certainement pas la paix du Christ que l’on obtiendra en désobéissant à celui qui a ordonné à ses apôtres : « Allez dans le monde entier et prêchez l’Évangile à toute la création. Celui qui croira et sera baptisé sera sauvé, mais celui qui ne croira pas sera condamné » (Mc 16, 15)… » (aldomariavalli.com)

Bergoglio est en train d’achever le plan œcuménique.

Les chiffres 13 et 84 identifiés par Léon XIII nous donnent des références.

Le 84 dans la bible, c’est l’âge de la prophétesse Anne le jour de la purification de la Vierge Marie.

« Anne, elle aussi, est «prophète», porte-parole de Dieu. Elle est âgée de 84 ans, c'est dire qu'elle a 7 fois 12 ans. Dans la symbolique biblique des nombres, le chiffre 7 suggère la perfection et le 12 l'universalité. Le lecteur devine ainsi qu'Anne représente parfaitement les croyants de son peuple qui attendent «la délivrance de Jérusalem».» (croire.la-croix.com)

Or, 84 c’est aussi 2×42 : « il faudra rendre à Babylone au double de ses œuvres » (Apoc. 18, 6)

Le 11 février, date anniversaire de Notre-Dame de Lourdes, est aussi la date anniversaire des accords de Latran de 1929, où le « royaume Vatican » fut officialisé.

Ces accords furent la première étape d’une longue route du déclin de l’Église et de son basculement vers l’Antéchrist système et maintenant l’Antéchrist personnifié.

Entre 1929 et 2013, année de démission de Benoît XVI, il y a 84 ans.

Benoît XVI a démissionné exactement le 11 février, date anniversaire des apparitions de Notre-Dame de Lourdes en 1858, à l’âge de 84 ans.

Depuis, il n’y a plus de pape valide.

Le 11 février 2013 était donc le signal de la purification de ce monde (voir l’analyse de la prophétie concernant Benoît XVI).

Suivi par l’élection de Bergoglio le 13 mars 2013, l’abomination de la désolation sur le trône de Saint-Pierre.

Le plan maçonnique peut alors aller de l’avant et achever l’église.

Puisque, comme nous l’indiquions au début, le 13 est symbole de mort et de résurrection, 13 ans de règne de Bergoglio nous mènent en 2026, année du mois de mai des deux lunes prophétisée par Don Bosco pour le retour du Lys de paix.

Ainsi, la fin de 2024, avec surtout cette fin de synode d’octobre, s’annonce pleines de surprises, pour le bien des chrétiens, pour le malheur de ceux qui font partie de la synagogue de Satan.

Car, Bergoglio peut-il aller plus loin passé le synode et son année jubilaire de 2025?

Non.

Bergoglio est Pierre II le romain de la prophétie de Saint-Malachie.

Il a choisi le nom de François, non suivi d’un chiffre comme les autres papes, indiquant qu’il n’y aurait pas de suite.

Il a même abandonné le titre de pape pour être le simple évêque de Rome, dans la synodalité totale.

Son dernier acte, le synode des synodes se terminant en octobre 2024, sera suivi du jubilé 2025 pour célébrer le développement humain intégral, l’homme déifié dans toute sa splendeur :

« Dans la perspective du Jubilé 2025, nous nous dirigeons vers « une vie qui devient chant d'amour pour Dieu, pour l'humanité, avec et pour la création, et qui trouve sa plénitude dans la sainteté » (dicastère pour le service du développement humain intégral, Jubilé 2025) (vaticannews.va).

Chaque mot ici est choisi en fonction de la célébration de la nouvelle religion humaniste qui englobera l'église conciliaire suite à la conclusion du synode 2024.

Ce sont des mots génériques: qui est le Dieu de la déclaration? Que représente cette « sainteté »?

Alors que nous devrions y lire pour ce Jubilé 2025: « qui trouve sa plénitude dans le Christ ».

Notez bien que les principes de cette rencontre seront partis prenants du Jubilé 2025, célébrant à la fois la « fraternité maçonnique » et la victoire de la voie synodale sur toute l'église.

Le logo de ce jubilé est pro LGBT (vaticannews.va) pour inclure tout le monde dans ce jubilé, pour le cri de victoire de l’œcuménisme, pour la conclusion de Vatican II. On nous l’a annoncé avec l’année 2023 consacrée aux 60 ans de Vatican II.

Et à partir de 60 ans, l’Église est veuve.

Pour ceux qui n'ont pas encore vu le logo du jubilé 2025 , curieusement révélé plus de 2 ans à l'avance.
 
Il a été dévoilé en juin, mois de la fierté gay en opposition au Sacré-Coeur.

Sur la mer agitée en termes de corruption morale, d’un monde où l’identification au Christ est relégué au second plan au Vatican pour l’inclusion LGBT, suivez la tendance horizontale avec les couleurs des voiles LGBT, et là, vous avez un choix à faire, « Pèlerins de l’Espérance », vers le haut avec le Christ, ou vers les abîmes avec l’ancre.

2025 est l’année du choix.

Effectivement, on le répète, tout doit être conclu avant mai 2026 selon la prophétie de Don Bosco, c’est à dire le retour du Lys de paix avant mai 2026.

Or, pour le jubilé 2025, Bergoglio a créé une Commission pour les témoins de la foi qui fait référence au grand jubilé de Jean-Paul II de l’an 2000, où il a voulu mettre en lumière ces hommes et ces femmes qui, bien que non canonisés, ont manifesté avec force leur foi.

« Qui sont les témoins de la foi?

Permettez-moi de donner un exemple: celui qui me vient immédiatement à l’esprit est Dietrich Bonhoeffer (1906-1945), un théologien et pasteur d’église luthérien qui a été tué parce qu’il s’opposait au nazisme. L’Église ne le proclame pas martyr parce qu’il n’était pas catholique. »

«Dans un monde où il semble parfois que le mal l'emporte - conclut François - je suis certain que l'élaboration de ce catalogue, également dans le contexte du Jubilé imminent, aidera les croyants à lire notre époque à la lumière de Pâques, en puisant les raisons de vivre et de faire du bien dans le trésor de la fidélité généreuse au Christ». (vaticannews.va)

« À la lumière de Pâques ».

Effectivement, comme analysé ci-haut, après les 40 années de carême menant à 2024, suit la Pâques, la mort et la résurrection des deux témoins de l’Apocalypse, comme le laisse entendre Bergoglio avec son Jubilé 2025.

Or, curieusement, la 103ème devise des prophéties des papes de Saint-Malachie est « Ignis Ardens », ou Feu Ardent, est celle du pape Saint Pie X, gardien de la tradition, symbole des deux témoins que sont la loi et les prophètes des derniers temps.

Elle est précédée de la 102ème devise « Lumen in Caelo » (Lumière dans le Ciel) attribuée à…. Léon XIII qui nous a laissé la prière de Saint-Michel Archange pour cette occasion spécifique.

« La fête de Notre-Dame du Rosaire, célébrée le 7 octobre, a été instituée par le Pie V en 1573, pour remercier Marie de cette victoire. En 1883, le pape Léon XIII décrétait solennellement que le mois d'octobre de cette année-là serait entièrement consacré à «la Saint Reine du Rosaire». Depuis, le mois d'octobre, durant lequel comme au mois de mai, on prie particulièrement la Vierge, est appelé le mois du Rosaire. »

Et ce mois du Rosaire est bafoué depuis nombres d’années post-Vatican II avec des rencontres et synodes douteux pour détruire l’Église, spécialement ce dernier, le synode des synodes d’octobre 2024.

Léon XIII, « Lumière dans le Ciel » ne pouvait pas faire mieux que d’avertir l’Église avec « Humanum genus », publié le 13 octobre 1884.

Car, pour la fin du synode de cette année, il semble qu'il y aura une comète dans le ciel qui sera au plus près de la Terre le 12 octobre 2024.

Un signe pour le 13 octobre?

La prière de Léon XIII à Saint-Michel Archange, instaurée après sa vision de l'enfer, lorsque les démons ont été relâchés en 1884.

Elle faisait partie de la Sainte Messe de 1886 jusqu'à Vatican II.

C'est Paul VI, et oui, qui la retira avant le dernier droit contre l'Église (voir analyse Paul VI dans les prophéties de l'Église)

Saint Michel Archange,
défendez-nous dans le combat
et soyez notre protecteur contre la méchanceté et les embûches du démon.
Que Dieu lui commande, nous vous en supplions;
et vous, Prince de la Milice Céleste,
par le pouvoir divin qui vous a été confié,
précipitez au fond des enfers Satan
et les autres esprits mauvais qui
parcourent le monde pour la perte des âmes.
AMEN.

Août 2024

26 août

Le rouge et le vert habituels des aurores se sont mélangés le 11 août dernier, signe du Ciel à la clôture des JO de Paris et de sa prestation diabolique.

En conséquence, des aurores avec du jaune et du orange, comme pour signifier le Feu purificateur à venir, un événement rare, très rare.

Ici, un exemple spectaculaire du phénomène au-dessus des plaines canadiennes.

Les experts confirment que nous ne sommes que dans le début de la phase maximum solaire du cycle 25.

Le nombre de taches avec un potentiel de tempêtes dépassent le maximum atteint en 2001.

De plus, puisque la purification en sera une par le feu, il ne faut pas négliger l'activité volcanique.

La moyenne des volcans en activité mineure et plus, se situait autour de 45 depuis plusieurs années.

Or, le nombre de volcans en activité a augmenté considérablement avec l'approche du maximum solaire: il y en a 67 en activité ce matin dans le monde.

Déjà 2 de plus que vendredi dernier.

En ces temps si critiques, Mgr Strickland lance un cri de ralliement:

« ( LifeSiteNews ) — Ce qui suit est le texte intégral d'une nouvelle lettre de Mgr Joseph Strickland, évêque émérite de Tyler, Texas, mettant en garde les fidèles contre le « mal qui s'empare de notre monde et de l'Église » et les exhortant à « se préparer spirituellement ». quoi qu’il arrive », notamment par une fervente dévotion à Notre-Dame et à l’Eucharistie.

Mes chers frères et sœurs en Christ,

Je me sens une fois de plus obligé de vous écrire et de vous encourager à rechercher une vie plus profondément enracinée dans le Sacré-Cœur de Jésus-Christ.

Au moment où ceci sera publié, cela fera un an depuis que ma première lettre a été écrite, publiée le 22 août 2023, Reine de Marie. Je crois sincèrement que cette lettre a été guidée par la Providence divine, et le point central de cette lettre, un an plus tard, est d'exhorter, voire de supplier, que nous commencions tous à voir la main de Dieu dans tout ce qui se déroule dans l'Église et dans le monde.

La lettre d'il y a un an concernait le Synode sur la synodalité en cours, qui approchait en octobre 2023. Elle a été suivie de sept lettres amplifiant les préoccupations que j'avais soulevées dans cette lettre originale. Comme beaucoup d’entre vous le savent, j’ai continué à écrire ces lettres sous l’impulsion du Saint-Esprit. Laissez-moi être clair : je ne prétends pas avoir reçu une révélation particulière. J’ai simplement été poussé par une foi profonde et mon amour pour Jésus-Christ à ouvrir les yeux sur ce qui se passe autour de nous.

Cet appel à « ouvrir les yeux » est au cœur de la lettre que vous êtes en train de lire. J'ai fait de mon mieux pour exhorter tous ceux qui ont lu ces lettres à prendre conscience de la corruption et des puissantes forces du mal qui nous poussent lentement mais sûrement vers une calamité dévastatrice. Je n’ai aucun désir d’être un « prophète de malheur », mais je crois que je dois m’exprimer et pointer du doigt le mal qui s’empare de notre monde et de l’Église. À ce stade, je dois dire : nous DEVONS ouvrir les yeux avant qu’il ne soit trop tard !

Notre système politique national, le Vatican et de trop nombreuses organisations influentes à travers le monde sont engagés dans un programme qui n’est rien de moins qu’une trahison de Jésus-Christ et de son Église au XXIe siècle. Tout comme la trahison de Judas Iscariote il y a près de deux mille ans, cette trahison actuelle émane même de ceux qui se trouvent au cœur même de l’Église et de l’État. Nous devons ouvrir les yeux sur ces attaques contre le corps mystique du Christ afin de demeurer dans le Christ qui est la Vérité incarnée et d’embrasser le salut qu’il nous a gagné sur la croix. Nous devons également nous efforcer de conduire autant d’autres âmes que possible à la plénitude de la vérité trouvée uniquement en Notre Seigneur Jésus-Christ et sauvegardée par Son Épouse, l’Église catholique. Les tentatives visant à expliquer cette trahison moderne du Christ ont perdu tout semblant de crédibilité. Nous devons reconnaître qu’une seule main maléfique est à l’origine de toutes ces forces disparates – et qu’elle n’est rien de moins que la main de Satan, le prince des ténèbres.

Au moment où j'écris ces lignes, peu après le 15 août, solennité de l'Assomption de la Bienheureuse Vierge Marie, nous lisons des rapports faisant état du décès de sœur Agnès Sasagawa, la visionnaire des messages approuvés par l'Église de la Bienheureuse Vierge Marie à Akita, au Japon en 1973. J'insiste sur le fait que je ne revendique aucune connaissance particulière de ses messages, mais je ne crois pas qu'une révélation particulière soit nécessaire pour comprendre le contenu de ces messages. Si nous regardons simplement les messages d’Akita avec les yeux de la foi, nous devons conclure que ce que nous voyons dans le monde aujourd’hui correspond à ce qui a été prédit dans ces messages.

Les messages d’Akita nous donnent un terrible avertissement sur ce que nous voyons se dérouler sous nos yeux. Non seulement nous voyons cardinal contre cardinal et évêque contre évêque, mais nous voyons évêques contre prêtres et pape contre cardinaux. Nous voyons des blasphèmes contre Notre Seigneur et Notre Sainte Mère et des attaques contre la doctrine émanant des bureaux du Vatican, le pape François restant silencieux ou, par inaction, donnant une approbation tacite.

Les messages d'Akita nous rappellent également les messages de Notre-Dame à Fatima en 1917. Dans ces messages, Notre-Dame avertissait que les erreurs de la Russie, qui incluaient la franc-maçonnerie à partir de laquelle le communisme est né, se répandraient dans le monde entier à moins et jusqu'à ce que la Russie soit consacrée de la manière qu'elle a décrite – lors d'une cérémonie publique du Pape, en union avec tous les évêques du monde, à Son Cœur Immaculé. Cela n'a jamais été fait en totale conformité avec les instructions de Notre-Dame. De plus, Notre-Dame a spécifiquement demandé que le Troisième Secret de Fatima soit révélé en 1960, mais il a été supprimé, et il y a de nombreuses raisons de douter que l'intégralité du Troisième Secret ait jamais été révélée.

Le futur pape Pie XII, 31 ans avant le début du Concile Vatican II, prononçait ces paroles : « Je suis inquiet des messages de la Sainte Vierge à la petite Lucie de Fatima. Cette insistance de Marie sur les dangers qui menacent l'Église est un avertissement divin contre le suicide d'altérer la foi, dans sa liturgie, sa théologie et son âme… J'entends tout autour de moi des innovateurs qui souhaitent démanteler la Sainte Chapelle, détruire l'universel. flamme de l’Église, rejeter ses ornements et lui faire éprouver des remords pour son passé historique… Un jour viendra où le monde civilisé reniera son Dieu, où l’Église doutera comme Pierre a douté. Elle sera tentée de croire que l’homme est devenu Dieu. Dans nos églises, les chrétiens chercheront en vain la lampe rouge où Dieu les attend. Comme Marie-Madeleine, pleurant devant le tombeau vide, ils demanderont : « Où l'ont-ils emmené ? »

En effet, il s’agissait de paroles prophétiques puisque, depuis Vatican II, nous assistons à une tentative de « mettre à jour la foi » en éloignant l’Église du dépôt de la foi, qui ne peut être ni changé ni amendé. Il est facile de comprendre pourquoi la révélation du Troisième Secret de Fatima devait avoir lieu en 1960, et pourquoi elle a été supprimée par ceux qui avaient l’intention de changer ce qui ne pouvait l’être. Le cardinal Ratzinger, avant de devenir pape Benoît XVI, a déclaré que le Troisième Secret faisait référence aux « dangers qui menacent la foi », et il a fait un parallèle entre le message de Fatima et celui d'Akita. Le cardinal Mario Luigi Ciappi, qui avait lu le Troisième Secret, a déclaré que la Vierge avait dit que l'apostasie commencerait par le haut. Padre Pio a parlé d'une « fausse église » et d'une « grande apostasie » survenue après 1960 en ce qui concerne le Troisième Secret. Cependant, lorsque le prétendu Troisième Secret a été publié en 2000, il ne disait rien de ces choses.

En 2019, le pape François, lorsqu’on lui a demandé pourquoi Dieu « permet » tant de religions dans le monde, a répondu : « … il existe de nombreuses religions. Certains sont nés de la culture, mais ils regardent toujours vers le ciel ; ils se tournent vers Dieu. Il a dit que « ce que Dieu veut, c'est la fraternité entre nous », et il a ajouté que « nous ne devons pas avoir peur de la différence. Dieu a permis cela. Cependant, s’il n’y avait vraiment aucune différence entre les religions du monde, et si ce que Dieu voulait était simplement « la fraternité entre nous », alors on pourrait conclure que l’Église catholique n’est plus la seule vraie religion, et qu’elle n’est en effet pas la seule véritable religion. l'arche de notre salut. Cependant, nous savons que ce n’est pas la vérité. Il faut donc s'inquiéter des paroles rapportées de la Vierge concernant une apostasie qui commencerait par le haut.

En conclusion, je dois crier qu'ignorer les demandes et les remontrances de Notre Sainte Mère à Fatima et Akita a mis l'Église et le monde dans une condition extrêmement périlleuse. Je n'écris pas ces mots forts sur Fatima et Akita pour ébranler votre foi, mais plutôt avec le fervent espoir que vous prendrez conscience de la nécessité pour nous de nous repentir, de confesser nos péchés et de nous accrocher farouchement aux deux piliers de la foi que saint Paul a fondés. Jean Bosco a vu de manière si claire et prophétique dans un rêve en 1862 – les piliers de notre Seigneur eucharistique et de sa Mère – la Bienheureuse Vierge Marie. Je prie pour que notre réponse à toutes les perturbations et au mal d’aujourd’hui soit de trouver une foi et une espérance plus profondes en Notre Seigneur. Nous ne devons jamais quitter l'Épouse du Christ, mais nous ne pouvons pas non plus rester silencieux tandis que d'autres tentent de la changer ou d'en faire une caricature du vase de salut qu'elle est censée être.

Aucun d’entre nous n’a le pouvoir d’éviter une catastrophe, mais nous pouvons et devons être spirituellement préparés à toute éventualité. Il est impératif que nous veillions à rester toujours en état de grâce et que nous acceptions tous les actes de réparation possibles avant qu’il ne soit trop tard.

Inspirons-nous de Josué 24 :15 : « Quant à moi et à ma maison, nous servirons l’Éternel. »

Que Dieu Tout-Puissant vous bénisse et que notre Reine et Mère la Bienheureuse Vierge Marie intercède pour vous et vous conduise toujours vers son Fils.

Mgr Joseph E. Strickland

Évêque émérite, diocèse de Tyler »

14 août

LIBERTÉ, FRATERNITÉ, ÉGALITÉ : LA PSEUDO VICTOIRE DE L’HUMANISME

La boucle est bouclée.

12 ans après la cérémonie de clôture maçonnique des JO de Londres (voir analyses précédentes : symbolique du phœnix et du virus du Covid : Pierre Hillard), cette ouverture symbolique de la « grande réinitialisation » dont nous entendons parlé depuis plusieurs années, devrait atteindre son apogée tel qu’annoncé par la cérémonie de clôture des JO de Paris.

Le 12, chiffre significatif de la bible, est singé par la franc-maçonnerie, encore une fois.

Rappelons-nous le film catastrophique 2012 suite à la supposée fin du monde du 21 décembre 2012 reliée au calendrier maya.

« 21 décembre : fin du monde

QUI a eu les moyens, la constance et le culot de donner un écho mondial à ce qui fut considéré comme un des plus gros canulars du siècle ? Je veux parler de la fin du monde au 21 décembre 2012.

A partir d’un calendrier maya reconstitué pour l’occasion et complètement bidon -de toute façon invérifiable-, pendant plus de dix ans (!) l’information a tourné en boucle dans le monde entier, suscitant articles de presse, ouvrages en tous genres, émissions de télévision, mouvements survivalistes, et même un film à gros budget.
Franchement, seule cette oligarchie mondiale a les moyens et la possibilité de donner une telle publicité à ce qui apparaîtra comme un non-événement. Vraiment ? Quand on sait qu’un jeune obscur banquier, issu de chez Rothschild (tiens tiens) est bombardé la même année secrétaire général adjoint de l’Elysée et qu’il propulsé comme par miracle à la Présidence du pays cinq ans plus tard, et qu’il est né un 21 décembre, n’importe quel observateur avisé fera le lien entre d’une part cette ascension surprise et la date du 21/12, et d’autre part avec la fameuse oligarchie capable de financer autant le personnage que le joli mythe de la fin du monde. Mais on ne fait pas quelque chose pour rien : les investissements colossaux autour du 21 décembre (le concept comme le personnage) et les risques pris interdisent toute improvisation ni hasard.

C’est très curieux, tout le monde s’en fiche, mais pas les initiés, car ils savent eux, que tout ceci est volontaire.
Après avoir beaucoup travaillé sur le sujet, ce n’est qu’en 2015 que j’ai fini par comprendre le sens réel lié au 21 décembre : cela voulait dire « fin du monde chrétien » ; et donc le rôle joué par Macron, et l’ère inaugurée par le 21 déc 2012, avaient pour but de concrétiser cet objectif, d’où la nomination trois mois après au Vatican de l’homme chargé de réaliser cette destruction ultime de l’Eglise.

J’en ai eu la confirmation en 2023 dans le livre de mémoires de Mgr Georg Gänswein, le secrétaire particulier de Benoît XVI. Rien que le titre du livre annonce la couleur : « Rien d’autre que la vérité« , ce qui veut dire qu’en réalité il va passer son temps à cacher ou déguiser cette vérité. Et ça ne loupe pas, à aucun moment il n’explique ou n’insinue que la démission de Benoît XVI lui aurait été arrachée. Par contre, il nous livre une information incroyable en faisant semblant de la considérer presque comme banale. Voilà ce qu’il écrit page 208 de son livre : « L’idée originale de Benoît XVI était d’annoncer sa démission à la fin de l’audience à la Curie romaine à l’occasion des vœux de Noël, fixée cette année-là au 21 décembre, et de déclarer que le 25 janvier 2013 se conclurait son pontificat. »

Il explique ensuite que ses collaborateurs l’ont dissuadé de ce projet à cause de la proximité de Noël. Mais évidemment !! Ce 21 décembre, présenté comme un jour banal par Gänswein, c’était le fameux 21 décembre 2012 !! Vous imaginez ce qui se serait passé si le pape avait annoncé sa démission ce jour-là ? Tout le monde aurait compris le message subliminal qui se cachait derrière cette fameuse fin du monde : la fin de l’Eglise ! Ce qui prouve que Benoît XVI avait bien compris les projets de nos ennemis, et en choisissant le 21 décembre, il leur coupait l’herbe sous le pied, il révélait le complot, Bergoglio aurait été démasqué avant même d’être nommé.

Notons également que le démon, qui pilote tous ces hommes et ces événements, sait que ces mots cachent une terrible réalité : s’il y a fin de l’Eglise, et surtout fin de son pouvoir spirituel, alors c’est aussi la fin du monde car le règne du Christ ne peut avoir de fin. Oui c’est vrai : détruire l’Eglise c’est provoquer la fin du monde. Voilà pourquoi, je l’ai déjà expliqué, les derniers souverains personnifient les deux Bêtes de l’Apocalypse (qui sont aussi des systèmes) : Emmanuel Macron personnifie la Bête de la terre, le pouvoir politique et médiatique, et Bergoglio personnifie la Bête de la mer, le pouvoir spirituel, l’ensemble formant l’Antéchrist (système), la personnification de l’Antéchrist-personne revenant à la Bête de la mer, donc Bergoglio.

Ceci je l’explique depuis dix ans, mais je commence enfin à voir des auteurs traitant sérieusement Macron ou Bergoglio, ou les deux, d’Antéchrist. Ils auront mis le temps ! » (Louis D'Alencourt, grandreveil.wordpress.com)

Ces jeux olympiques donc, ont été marqués par de multiples références à la révolution française de 1789 qui a contribué à la naissance du monde actuel, apostasié, humaniste, où tous sont égaux dans la miséricorde infinie chère à Bergoglio, et à la gloire du monarque en vue, Macron.

Comme exemple, le parcours du marathon était exactement le chemin choisi par les femmes et hommes marchant vers Versailles en 1789.

L’homme masqué de la cérémonie d'ouverture, donc sans visage, égalitaire, avait fait place au cheval pâle mécanique de l’Apocalypse et à la tragédie de la dernière Cène.

Les nouvelles générations gavées aux jeux vidéos et les « wokes » n’y ont vu que du feu.

Tout comme à la cérémonie de clôture dont le symbole le plus éloquent fut le « golden voyager» ou le voyageur doré en français.

(voir aussi: « Clôture des JO: ce que les journalistes n'ont pas vu » (benoit-et-moi.fr)

Les faits marquants de cette cérémonie :

Alors que les continents stylisés sur le parterre du stade sont parcourus d’éclairs et de fumée symbolisant la terre en convulsion, prête à renaître, (quoique pour nous on y voit l’enfer), surgit du ciel le voyageur doré au travers de jets lumineux qui forment en partant un pentagramme de Baphomet.

Une fois au sol, il commence une danse macabre, rencontrant Nike, la déesse de la victoire, avant d’être rejoint par d’innombrables démons ou formes humaines boueuses, qui vont excaver l’anneau olympique manquant (il n’y a que quatre anneaux au toit du stade à ce moment là; il manque une pièce du casse-tête; les anneaux représentant le nouveau monde issue de la grande réinitialisation, le monde de « paix » humaniste) pour ensuite le hisser au toit du stade.

Alors le voyageur doré monte au sommet d’une pyramide constituée des démons et célèbre son triomphe au son d’une musique rock.

Cela rappelle drôlement la pyramide avec l'oeil qui voit tout à son sommet, la 33ème marche de l'initiation maçonnique.

Le voyageur doré « atterrit dans un monde désert et mystérieux, prêt à être exploré » confirme le Comité International Olympique (CIO).

Selon certaines sources, le personnage est un hommage à de nombreuses références du patrimoine historique français, dont l'Esprit de la Bastille, faisant encore une fois référence à la révolution de 1789.

Supposément, l'idée derrière la pièce dystopique est que les Jeux disparaissent avant de renaître.

Selon le concepteur artistique, le voyageur doré atterri sur une terre post-apocalyptique et cherche à reconstituer les vestiges de ce monde qui n'existe plus afin de comprendre qui habitait ce monde.

Quel est le nom du groupe rock français qui a performé à la cérémonie suite à l'élévation finale du voyageur doré?

Phoenix.

Voilà.

Le lien est clairement établi pour l'initié.

Dans un monde inondé de symboles maçonniques, le voyageur doré est inévitablement une référence au phœnix (voir les multiples références dans les analyses précédentes), renaissant des cendres des continents en convulsions.

Un nouveau monde à l’image des élites mondiales, de Satan.

Outre le lien de Pierre Hillard ci-dessus, rappelons le phœnix du Fonds Monétaire International pour refaire le monde post-covid :

Doré, comme le voyageur doré.

Puisque Satan singe et que nous savons que l’Antichrist est d’abord et avant tout le système mondial actuel sans Dieu, ce dernier indique la résurrection d’un nouveau système des cendres de l’ancien (le monde christocentrique européen).

Devant des milliards de téléspectateurs.

Voilà.

Mais Dieu a un tout autre plan.

Nous avons eu des aurores encore un fois en ces 11 et 12 août.

Nous avons eu les signes depuis la démission de Benoît XVI (dont la a basilique du Sacré-Cœur de Paris, qui est restée visible comme une cathédrale faite de lumière alors que tout la ville était noyé dans l’obscurité après la cérémonie d’ouverture de JO), comme l’éclair sur le dôme de la basilique Saint-Pierre.

Le dôme qui soudainement dernièrement, est devenu noir.

« Aucun d’entre nous n’oubliera jamais la photographie qui, le 12 février 2013, immédiatement après l’annonce de la démission du pape Benoît XVI, a capturé le moment où la foudre a frappé le sommet de la coupole de Saint-Pierre.

Cette image, devenue un symbole iconique de l’un des événements les plus dramatiques de l’histoire bimillénaire de l’Église, a fait et fait encore l’objet, de la part de nombreux croyants, de commentaires, de réflexions, de craintes et de considérations sur la signification réelle ou présumée de cet événement.
En revanche, du côté des athées-agnostiques, la question a alimenté les sarcasmes de ceux qui y voient le caractère superstitieux, rétrograde et fanatique de nombreux aspects de la foi et de la religion.

Il n’y a pas et il n’y aura jamais de moyen de réconcilier ces positions ; en fait, je dirais que ce serait un exercice stupide et futile que d’essayer de le faire.

Chacun peut voir dans ce tableau ce que son cœur (entendu comme un ensemble plus ou moins cohérent de foi, de scepticisme, de conscience et de convictions) lui suggère. Je pars de là pour donner un sens à ma contribution, pour proposer mon point de vue personnel sur la façon dont parfois des événements et des faits – qu’ils soient apparemment naturels et explicables ou le résultat d’actions humaines conscientes – peuvent représenter ensemble une image qu’un croyant devrait néanmoins ressentir le besoin d’analyser et sur laquelle il devrait réfléchir en profondeur.

Dans ce contexte, c’est précisément la coupole de Michel-Ange, avec la façade de Maderno [Carlo Maderno, 1556-1629, architecte italien; il a réalisé la façade de la Basilique] qui en dissimule partiellement la vue, qui représente une sorte de « théâtre » métaphysique. Un proscenium d’où, ces dernières années, ont pris forme, aux yeux des croyants qui veulent voir au-delà du simple sens concret, des messages inquiétants qui ne sont que trop cohérents avec les phénomènes climatiques que l’Église catholique temporelle est en train de traverser.

J’ai déjà parlé de l’éclair qui a suivi l’annonce de Ratzinger, et qui a précédé d’un mois l’élection de Jorge Mario Bergoglio au trône pontifical. Je voudrais maintenant m’arrêter sur deux autres événements qui, d’une manière différente, semblent confirmer à quel point cette basilique, la plus grande et la plus importante du monde catholique, est devenue une sorte de « centre de communication » dont la governance – et c’est un autre aspect inquiétant de la question – ne peut pas, à mon avis, être clairement identifiée. Mais procédons dans l’ordre.

L’événement dont je vais parler maintenant n’a rien de surnaturel ; il a malheureusement été accouché par un esprit humain, un pontife qui, deux ans et demi plus tôt, avait ravi le monde en se présentant avec ce « bonsoir frères et sœurs » digne du meilleur Mike Bongiorno [sobriquet d’un célèbre présentateur de télévision]. C’était le 8 décembre 2015, fête de l’Immaculée Conception. Je me trouvais ce soir-là sur la place Saint-Pierre. Je ne pouvais pas encore savoir qu’à partir de ce jour, je ne mettrais plus jamais les pieds sous la colonnade du Bernin.

Le Saint-Siège avait organisé une sorte de spectacle tout en lumières [cf. benoit-et-moi.fr/2015-II/actualite/fiat-lux], en couleurs et en images gigantesques et fantasmagoriques projetées sur la façade de la basilique. On aurait pu s’attendre à une sorte d’allégorie en l’honneur de Marie Immaculée, sur fond des plus importantes musiques composées en son honneur au cours des siècles.

A la place, il s’est passé quelque chose de monstrueux : des images de forêts, d’animaux (certains vraiment horribles), de paysages plus ou moins sauvages. Un sabbat entièrement dédié à la nature et à la faune de notre planète. C’était le nouveau fétiche écologiste auquel le néo-paganisme bergoglien avait consacré sa dernière œuvre littéraire, ce Laudato sì’ anticipant toutes les obscénités catholico-climatiques qu’il allait nous déverser dans les années à venir. Marie, Mère de l’Eglise et notre Avocate, s’est transformée en Mère Terre !

Cette kermesse, qui coïncidait sans vergogne avec la fête de l’Immaculée Conception, était aussi le salut de l’Église catholique à la Conférence mondiale sur le climat qui se tenait ces jours-là dans le « Parigi o cara » de mémoire de Verdi.

Il n’est pas inutile de rappeler qui étaient les concepteurs et les exécutants matériels de ce spectacle indigne (je ne sais pas s’ils ont été payés par le Saint-Siège et combien) : un partenariat entre Vulcan Inc., la LiKa Shing Foundation et Okeanos, en collaboration avec la Ocean Preservation Society et Obscura Digital. . Pour ceux qui ont le temps, il sera très instructif d’en savoir plus sur ces entreprises, organisations et personnalités dont les noms sonnent déjà comme un programme [un début de réponse ici, peut-être: benoit-et-moi.fr/2015-II/actualite/son-et-lumiere-sur-la-façade-de-saint-pierre].

Quelque trois ans après le message subliminal de l’éclair frappant le crucifix de la coupole, revoici la basilique, cette fois par la main de l’homme (mais guidé par qui ?), protagoniste d’un sombre spectacle de mort.

De nombreux croyants de l’époque ont exprimé bruyamment leur étonnement et leur protestation face à cette incroyable imposture. Aucun d’entre eux ne pouvait cependant se douter que ce qui était proposé n’était qu’une petite mise en bouche de ce qui allait arriver quelques années plus tard. En effet, en octobre 2019, le funeste synode d’Amazonie a officialisé l’entrée du paganisme dans l’Église catholique. L’image de la pachamama en procession d’adoration dans l’église Traspontina à Rome a été le symbole iconique de ces jours terribles [dossier ici: www.benoit-et-moi.fr/2020/tag/pachamama].

Et voici le troisième événement, celui qui depuis quelque temps suscite la curiosité (pour certains, l’angoisse) de nombreux Romains et de la multitude de touristes qui affluent chaque jour à Saint-Pierre. Cet événement est à nouveau attribuable, comme la foudre, à un phénomène physico-chimique pour lequel, cependant, personne n’a jusqu’à présent réussi à donner une explication plausible, semble-t-il : la coupole de Saint-Pierre est devenue noire !

Voici comment le corrierediroma.org décrit la situation :

À la fin des travaux [de restauration, Ndlr], le Dôme est apparu nettoyé, blanc (même si certaines parties avaient déjà noirci à cause de la pollution), mais il y a un phénomène qui a frappé (et qui frappe) les yeux des Romains et des autres : les dalles de plomb. La structure a pris une couleur tout à fait inhabituelle dans sa partie courbe. Les dalles sont devenues sombres, comme si elles s’étaient soudainement oxydées. Cette couleur gris clair, typique des coupoles de la Renaissance et du Baroque, qui accompagne le panorama de Rome depuis des siècles, a soudainement disparu de LA coupole par excellence, prenant une couleur, pour l’œil humain, presque noire. Que s’est-il passé ? Il serait intéressant de connaître, par le biais d’un communiqué des services techniques du Vatican, la raison d’un tel « phénomène » qui a radicalement changé la vision traditionnelle de « der Cuppolone« .

Un signe des temps qui changent ? Qui sait si quelqu’un peut répondre à cette question. Il semble que ce soit un processus d’oxydation qui ait affecté la structure, bien que personne, à l’heure actuelle, n’ait été en mesure d’expliquer la cause d’un tel phénomène et la raison pour laquelle il s’est manifesté de la manière et au moment que nous observons.

La dernière question posée par le journaliste est toutefois intéressante. On pourrait en ajouter d’autres : quels sont les temps qui changent ? Dans quelle direction ? Et pourquoi maintenant ? Une chose est sûre : aucun bureau technique, aucun ingénieur expert en structures anciennes ne pourra jamais répondre à ces questions. Pour moi, c’est un message supplémentaire (et inquiétant) que la grande scène
Michelangelesco-Bernin nous offre depuis une douzaine d’années.

Suis-je, moi aussi, un membre de cette armée dispersée, superstitieuse, fanatique et rétrograde qui se plaint de présences maléfiques et de messages lugubres venant de la Jérusalem souterraine à la Via della Conciliazione ?

Qui sait ?

Peut-être, face à tout cela, le Poète n’hésiterait-il pas à proclamer : Papa Satàn, Papa Satàn aleppe ! [Premier vers du Chant VII de l’Enfer de Dante]. (benoit-et-moi.fr)

Il ne restera que l'autel prophétisait Anne Catherine Emmerich.

Voilà le message du dôme noir qui confirme le tout.

Il ne restera que la présence réelle malgré la volonté de Bergoglio et son synode.

Cela, nul ne peut y toucher.

Demain, c'est la fête de l'Assomption de Marie.

Un signe puissant en cette fin des temps.

Une tache solaire gigantesque sur le soleil... Une éjection de masse coronale ce matin qui pourrait donner du fil à retordre.

À suivre...

10 août

Cérémonie de clôture en vue demain 11 août, une tache solaire gigantesque en position parfaite pour une éjection solaire majeure (le mois d'août est déjà le mois avec le plus de taches solaires du cycle 25, et il ne fait que commencer), et le silence du 8ème roi de l'Apocalypse toujours de mise.

Quelles abominations nous réservent-ils à Paris?

Quelles seraient les conséquences d'une tempête solaire majeure à ce stade-ci?

Une seule réponse aux multiples conséquences: la perte électrique et électronique.

Aucun véhicule ne fontionnant, aucune lumière possible, aucune nourriture distribuée, en fait tous les biens matériels nécessaires.

Noirceur donc et retour à l'âge de pierre, pour un certains temps, peut-être des mois.

Avec des satellites déviés de leurs trajectoires pour aller fondre dans l'atmosphère terrestre.

La guerre de la nature prophétisée par Jean XXIII, qui arrête ainsi la guerre en Ukraine et au Moyen-Orient.

Voilà pourquoi nous surveillons le soleil.

Ce qui correspond aussi à l'ouverture du septième sceau, la chute de Babylone, et la fin de la papauté telle qu'on la connaît.

Ce système antichristique achève car son coeur est pourri.

« C'est ici qu'il faut un esprit doué de sagesse. — Les sept têtes sont sept montagnes, sur lesquelles la femme est assise. Ce sont aussi sept rois :

Les cinq premiers sont tombés, l'un subsiste, l'autre n'est pas encore venu, et quand il sera venu, il doit demeurer peu de temps.

Et la bête qui était et qui n'est plus, en est elle-même un huitième et elle est des sept, et elle s'en va à la perdition. » (Apocalypse 17, 9-11) »

La clé pour démarrer le compte (guidé par « l’esprit de sagesse » et du fait qu’on ne peut reconnaître les faits qu’en y étant présent) est celui qui « subsiste », c’est à dire Benoît XVI. Cinq papes avant lui donc.

Et la bête qui était et qui n'est plus, en est elle-même un huitième et elle est des sept, et elle s'en va à la perdition.

Et Bergoglio, qui représente la bête marxiste socialiste judéo-maçonnique, est le septième pape, mais il a décidé d’abandonner son titre de vicaire du Christ, ET, d’abandonner son titre de pape en décidant qu’il n’était, dans son idée de collégialité, que l’évêque de Rome (en référence aux sept collines).

Il est devenu le huitième, la bête cachée derrière le titre de pape, et qui s’en va à la perdition.

Il est donc roi du Vatican, vassal de Satan, qui domine le Saint-Siège.

Il résume à lui seul tout Vatican II en ayant pour mission d'achever l'Église.

« En d’autres termes, on assiste à une symbiose quasi parfaite entre l’Antéchrist-personne et l’Antéchrist-système. Nous avons vu tout à l’heure que l’âme et le principal moteur de l’Antéchrist (système) c’était la judéo-maçonnerie. Si Bergoglio est l’Antéchrist-personne, nécessairement on doit trouver de fortes convergences. Eh bien ils ne s’en cachent même pas :

– Bergoglio reprend à son compte le même discours sur le grand remplacement effectué par la judéo-maçonnerie dans les pays chrétiens, par la promotion d’une immigration massive en provenance de pays tiers bien évidemment non-chrétiens. Rappelons que le Vatican fut signataire du pacte de Marrakech.

– Son encyclique sur le climat reprend elle aussi l’ensemble des thèses maçonniques, à savoir une dégradation des ressources naturelles et une évolution du climat du fait de l’activité humaine, et surtout le dogme maçonnique qui consiste à croire que l’homme peut, par sa propre action, modifier cette évolution du climat. Nous avons encore là toujours cette même déification de l’homme, censé aujourd’hui influer sur le climat comme s’il était Dieu. Pour un catholique défenseur de la Création de l’univers par Dieu, adopter cette position est une double preuve de son apostasie d’une part, et du partage sans réserve de la vision maçonnique d’autre part.

– Même chose avec son encyclique sur la Fraternité humaine ; là Bergoglio n’a pas cherché à se cacher puisqu’il a repris des thèmes chers à la franc-maçonnerie, jusqu’au titre même de l’encyclique, ainsi que la même idéologie. On ne pouvait pas être plus aligné. Ce qui compte c’est la dignité humaine et non la royauté sociale du Christ ; Bergoglio réussit l’incroyable prodige d’écrire la théologie de la religion maçonnique, et personne ne s’en aperçoit.

– Même alignement sur la maçonnerie dans la promotion de la religion universelle dont tout le monde parle au futur sans se rendre compte qu’elle existe déjà : la religion universelle c’est celle des droit de l’homme, et celle-ci est reconnue quand toutes les religions lui font allégeance. Or c’est bien le cas, tous les papes du concile se sont déplacés à l’ONU pour y déclarer leur soumission.

– Autre signe visible de l’apostasie enclenchée à Vatican II : ses rapprochements, bien plus précis que ceux de ses prédécesseurs, avec les protestants (luthériens notamment), les musulmans et les juifs, qui sont une négation de la doctrine catholique vis à vis des hérétiques, et, encore plus grave, une négation de la divinité du Christ, non plus implicite mais explicite. Manifestement Bergoglio ne sait pas qu’il n’y a qu’un seul Dieu, un seul baptême, une seule foi (Ephésiens 4:5), et un seul Sauveur, le Christ, en dehors duquel personne ne peut être sauvé.

– Durant la crise du Covid, Bergoglio s’est parfaitement aligné avec les recommandations des organisation internationales maçonniques, oubliant là encore la position traditionnelle de l’Eglise selon laquelle les épidémies sont des punitions de nos péchés, pour emboiter le pas au discours sanitaire manipulateur et mensonger des pouvoirs publics actuels. Là encore il a parfaitement montré dans quel camp il se trouvait et qui étaient ses amis et inspirateurs.

– Etc, etc… jusqu’à l’Ukraine où il s’aligne lui aussi sur la version occidento-américaine des faits...

Alors quel est le rôle de l’Antéchrist-personne, le 8è roi, de Bergoglio-François ?

De mettre à mort la prostituée, comme c’est écrit, c’est à dire de détruire ce qui reste de l’Église, celle qu’ils ont déformée et qui a apostasié, parce que l’autre, la vraie qui perdure dans la Tradition, est intouchable.

Parallèlement, ses amis maçons détruisent de leur côté tout ce qui reste de valable dans la société civile, parce que la destination de tous doit être la perdition, l’enfer pour tous. Le pire c’est que l’Eglise elle aussi nous y entraîne.

Et puis il reste à Bergoglio une dernière action capitale à faire : quand on constate le niveau réel et effrayant de l’apostasie dans l’Eglise conciliaire, on se rend compte qu’il n’y a plus qu’un seul endroit où elle considère encore le Christ comme Dieu, c’est la messe, y compris celle de Paul VI. Inacceptable pour ces gens-là.

On sait ce qu’il leur reste à faire. » (Louis D'Alencourt, legrandreveil.wordpress.com)

04 août

Le Saint Siège a finalement émis un communiqué à propos de la cérémonie d'ouverture des JO de Paris.

« Le Saint-Siège a été attristé par certaines scènes de la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris et ne peut que se joindre aux voix qui se sont élevées ces derniers jours pour déplorer l’offense faite à de nombreux chrétiens et croyants d’autres religions.

Dans un événement prestigieux où le monde entier se réunit autour de valeurs communes ne devraient pas se trouver des allusions ridiculisant les convictions religieuses de nombreuses personnes.

La liberté d’expression, qui, évidemment, n’est pas remise en cause, trouve sa limite dans le respect des autres. » (vatican.va)

Trop peu trop tard.

C'est un communiqué générique prouvant la mollesse du Vatican contrairement aux cardinaux qui ont condamné fortement le spectacle satanique par les mots appropriés dans une telle circonstance.

Concernant la situation au Moyen-Orient, les États-Unis ont envoyé un escadron d'avions de chasse supplémentaire en Israël, tout en augmentant le nombre de navires présents dans le Golf Persique et en Méditérannée à douze, dont un porte avions.

Les israéliens et les américains s'attendent à une attaque de l'Iran aussi tôt que lundi le 5 août.

Mais qu'est-ce que l'Iran a à gagner en supportant les groupes terroristes du Hamas et du Hezbollah?

La réponse se trouve dans la religion chiite: leur messie se révélerait lors d'une guerre mondiale les impliquant avec Israël. Ils ont donc intérêt à provoquer la guerre. Au dépend de leur population.

« nous sommes à la charnière entre la 6è et la 7è et dernière période de l’Apocalypse. Allons à l’essentiel :
La 6è période c’est celle de l’Antéchrist, qui règne déjà depuis bien longtemps (plusieurs décennies en tant que système, onze ans en tant que personne).

La 7è période c’est la chute de l’Antéchrist et de son monde (chute de Babylone, c’est-à-dire du monde moderne), le nettoyage de la planète de tous ses éléments hostiles à Dieu (ce que les profanes appellent la fin du monde, en la confondant avec la fin de la planète terre, ce qui n’est pas le cas), la victoire du Christ et son retour (Parousie) et son règne sans fin.

La 7ème période est morcelée en 4 sous-ensembles : 7è église, 7è sceau, 7è trompette, 7è coupe, mais il y a une subtilité : les 7 dernières coupes ont lieu une fois la 7è période enclenchée.

Les derniers événements de la 6è période se chevauchent avec les premiers de la 7è (les 6 premières coupes).

Et enfin il est vraisemblable de penser que l’ensemble de ces événements (les derniers de la 6è trompette et les 6 coupes) constituent une préparation de la grande confrontation finale de la 7è période.

Donc, enclencher une guerre de grande envergure en Palestine revient à nous confirmer que se mettent en place les derniers éléments de la 6è période, et que la grande bataille finale de la 7è est pour bientôt. »
(Louis d'Alencourt, legrandreveil.wordpress.com)

« ... ce sont des esprits de démons qui font des prodiges, et ils vont vers les rois de toute la terre, afin de les rassembler pour le combat du grand jour du Dieu tout-puissant. » (Apocalypse, 16-14)

C'est exactement ce qui est en train de se produire.

03 août

C’est quand même stupéfiant que tous les médias font écho à propos des attaques à la frontière d’Israël, une poudrière pouvant mener à une guerre mondiale, sans faire référence ou même penser que cet endroit est exactement en lien avec : «  Et ils les rassemblèrent dans le lieu appelé en hébreu Armaguédon.

Puis le septième répandit sa coupe dans l'air ; et il sortit du sanctuaire une grande voix venant du trône, qui disait : " C'en est fait ! " » (Apocalypse, 16-17)

Armaguédon ou Meddigo.

Remarquez selon l'Apocalypse que c'est à ce moment que ce situe la fin de la sixième période et le début du septième sceau avec sa coupe.

L’Iran jure de venger la mort du chef du Hamas sur son territoire, et selon les sources d’intelligence, ce serait le 12 août, journée de fête nationale en Israël, Tisha B’Av, qui commémore la perte du premier et du deuxième temples.

C’est très symbolique.

Rappelons nous la destruction du temple en 70, destruction annoncée par le Christ.

Destruction reliée à la future chute de Babylone?

Ou du « Grand Éclair à l’Orient » de la prophétie politique de Jean XXIII?

Car, un chef est mort en Orient. Il ne reste qu’un chef à tomber au sud des États-Unis.

La guerre contre l’Église et la célébration de cette victoire du 26 juillet, aura-t-elle ses échos à la cérémonie de clôture du 11 août, juste avant Tisha B’Av?

« Le show de Paris : un acte de guerre contre la civilisation chrétienne

« Quelle qu’en soit l’inspiration, l’initiative ne remonte pas à un directeur artistique déjanté, mais exprime un message commandé par les plus hautes autorités françaises, à commencer par le chef de l’État. »



« Macron lui-même, dont la récente débâcle électorale n’a pas égratigné l’arrogance, a voulu proposer au monde un nouveau message d’ « inclusivité » antichrétienne. »

Dionysos est le dieu « hybride » des orgies païennes, de la sensualité débridée et de l’aveuglement de la raison, et l’intention déclarée des organisateurs était de remplacer le mystère sublime du christianisme par la bacchanale dionysiaque.



La haine du christianisme a toujours eu besoin de représentations symboliques et la Révolution française s’est nourrie de mythologies païennes dès ses débuts. Il y a une continuité évidente entre la parodie blasphématoire de la Cène du 26 juillet et l’intronisation de la déesse Raison le 10 août 1793 à Paris sous les traits de la déesse égyptienne Isis.


« Macron et ses collaborateurs ont voulu donner raison à la Révolution française dans ce qu’elle a de plus abject : la mise à mort de la reine de France, victime innocente, comme le roi Louis XVI, de la haine révolutionnaire qui, dans les souverains français, voulait frapper le principe de la Royauté sociale du Christ. »

Cependant, ceux qui identifieraient la France au spectacle blasphématoire qui a ouvert les Jeux olympiques auraient tort. La France n’est pas la place de la Guillotine, mais Notre Dame et la Sainte Chapelle ; la France n’est pas Robespierre ou Macron, mais Saint Louis et Sainte Jeanne d’Arc. Il serait donc erroné d’identifier le spectacle de dégénérescence qu’offre Paris ces mois-ci avec la civilisation occidentale à laquelle la France a tant donné. L’Occident, c’est l’histoire d’une foi religieuse, d’un mode de vie, d’un art, d’une littérature, d’une musique, mais aussi de grandes batailles pour la défense de la civilisation ;

Les ennemis de l’Occident cherchent à se venger. Pour cela, pour gagner la guerre, ils savent que l’Occident doit cesser d’être chrétien, revenir aux idées et aux coutumes du paganisme, tomber comme une pomme mûre, comme ce fut le cas pour l’Empire romain. (benoit-et-moi.fr)

Tout cela arrive comme nous l’écrivions dans les analyses précédentes, au début du maximum solaire du cycle 25.

« On ne s'attendait pas à ce que le cycle solaire 25 soit aussi fort. Lorsqu'il a commencé en décembre 2019, les experts ont prédit qu'il s'agirait d'un cycle faible comme son prédécesseur immédiat, le cycle solaire 24. Si cette prévision s'était fiée, le cycle solaire 25 serait l'un des cycles solaires les plus faibles depuis un siècle.

Au lieu de cela, le cycle solaire 25 a dépassé le cycle solaire 24 et pourrait être sur le point de rivaliser avec certains des cycles les plus forts du 20ème siècle.

Déjà en mai 2024, nous avons connu une tempête géomagnétique de classe centenaire avec des aurores boréales observées dans le Pacifique Sud, en Amérique centrale et en Afrique du Sud.

La dernière fois que le nombre de taches solaires était aussi élevé, le soleil était sur le point de lancer les grandes tempêtes d'Halloween de 2003, qui comprenaient la plus forte éruption solaire à rayons X jamais enregistrée (X45) et un CME si puissant qu'il a finalement été détecté par le vaisseau spatial Voyager au bord du système solaire.

Sommes-nous au maximum solaire? Le consensus n'est pas encore là. Le nombre de taches solaires pourrait continuer à augmenter dans les mois à venir et, sur la base du comportement des cycles précédents, nous pouvons nous attendre en toute confiance à une activité solaire élevée pendant au moins 2 à 3 ans de plus. »
(spaceweather.com)

Deux taches solaires assez importantes font faces à la terre pour les 10 prochains jours, donc incluant le 11 août pour la fin des JO de Paris.

Une de ces deux taches a provoqué une éjection de classe X14 la semaine passée lorsqu’elle était située sur la face cachée du soleil.

Elle a ce potentiel d’en produire d’autres et de plus fortes intensités.

Tout s’accélère.

Mais, la masse humaine est ignorante de ce qui s’en vient.

Ce sera tout un choc.

01 août

Nous entrons dans la période du maximum solaire du cycle 25 (voir analyses précédentes sur les conséquences possibles).

Le soleil a augmenté considérablement ses taches solaires, et conséquemment ses éruptions solaires, spécialement depuis hier.

C'est à surveiller pour les prochaines semaines, sinon les prochains jours.

Surtout avec les derniers événements.

NSJC ne peut laisser faire.

L'élite maçonnique adore passer ses symboles durant les cérémonies de fermeture des jeux olympiques. Spécialement lorsque ces derniers ont lieu dans une ville conquise à la maçonnerie.

Nous avions été témoins à Londres en 2012 du stade avec ses arches en forme d'équerre et de compas, de l'apparition d'un virus géant (éventuellement le Covid) durant la cérémonie, et de la renaissance du phoenix (éventuellement « grande réinitialisation »).

La cérémonie de clôture à Paris aura lieu le 11 août.

Le 11 est le chiffre préféré de la franc maçonnerie, singeant le Dieu trinitaire pour donner le sommet de la pyramide maçonnique, le 33.

Pour le chrétien, c'est le 15 qui compte en août car c'est la fête de l'Assomption de Marie, symbolisée dans l'art avec les deux pieds sur la lune lors de son élévation, comme la femme dans l'Apocalypse.

Les deux prochaines semaines peuvent réserver des surprises pour le système antichrist.

« La décadence développe des goûts dépravés. Comment peut-on être surpris par un blasphème ?

par Cristina Vai

« Les idéologies du XXe siècle sont l'Antéchrist » (Carl Gustav Jung). Alors, pourquoi ne sommes-nous pas surpris si la société libérale-marxiste née de la franc-maçonnerie tolère tout sauf le christianisme ?

« Tout est toléré sauf les intolérants » disait Karl Popper. Une société fondée sur le marché, sans valeurs spirituelles, sans principes, ne peut que considérer comme intolérants ceux qui fondent leur vie sur le Christ, sur la Vérité. La foi est amour et l'amour est total ou il ne l'est pas. Celui qui aime un peu n'aime pas.

« La liberté mène au totalitarisme » (Del Noce). Aujourd’hui, la responsabilité personnelle n’existe plus. Ce n’est pas l’individu qui agit mal, c’est la société qui le pousse à le faire. Le criminel, la brute, le dépravé, le déviant est une victime. Au contraire, le Christ nous a enseigné que le mal n’est pas dans les choses, mais vient du cœur de l’homme. « L'impureté, le vol, le meurtre, l'avidité, la méchanceté, la tromperie, la débauche, l'envie, la calomnie, l'orgueil, la folie : toutes ces mauvaises choses viennent du dedans » (Matthieu 7 : 19).

Au centre de tout, pour le Christ, se trouve le cœur de l’homme. Quel dialogue, quel respect pourrait-il y avoir entre nous qui aimons le Christ par-dessus tout et ceux qui le haïssent et l'insultent ?

« La faute la plus grave de l'Église est d'accepter passivement sa propre liquidation par un pouvoir qui se moque de l'Évangile » (Pier Paolo Pasolini, athée et communiste). Pourquoi devrions-nous nous étonner de l'horreur, des blasphèmes, de la laideur, de l'obscénité, du conformisme de cet Occident moderne où triomphent les Rothschild, les Soros, les Schwab, les Bill Gates, la chose la plus dégoûtante de l'histoire du monde ? ? La Sainte Vierge de La Salette ne nous avait-elle pas prévenu ? "La France a corrompu l'Univers, un jour elle sera punie."

« La décadence développe des goûts dépravés, pousse les hommes à rechercher des jouissances nouvelles et étranges. On ressent un désir aigu de s’avilir, de se dégrader, de se moquer de tout ce qu’on croyait auparavant grand et beau » (Vilfredo Pareto). La haine des révolutionnaires pour la noblesse, pour la beauté est telle que personne, à l'époque, ne fut plus humiliée d'un sadisme infernal que Marie-Antoinette. Son fils est mort à l'âge de dix ans, dément, de faim et de misère. Prisonnière à la Conciergerie, Marie-Antoinette n'avait aucune intimité et devait subir la dérision et l'humiliation continuelles de ses geôliers. Elle avait développé des maladies de peau dues au manque d’hygiène, ses cheveux devenaient blancs du jour au lendemain. On ne lui avait laissé qu'un petit crucifix pour prier et elle se rendit seule à la potence parce qu'elle refusait d'être accompagnée par un prêtre qui avait juré par la constitution. Aujourd'hui encore, après deux siècles, on se souvient d'elle pour une phrase sur les brioches qu'elle n'a jamais prononcée et aux Jeux olympiques du Diable, le monde entier se moque de sa douleur. » (aldomariavalli-it)

Juillet 2024

13 juillet

La suite du signe de Jonas.


Le Catéchisme de l’Église catholique nous enseigne qu’«avant l’avènement du Christ, l’Église doit passer par une épreuve finale qui ébranlera la foi de nombreux croyants. La persécution qui accompagne son pèlerinage sur la terre dévoilera le “mystère d’iniquité” sous la forme d’une imposture religieuse apportant aux hommes une solution apparente à leurs problèmes au prix de l’apostasie de la vérité. L’imposture religieuse suprême est celle de l’Anti-Christ, c’est-à-dire celle d’un pseudo-messianisme où l’homme se glorifie lui-même à la place de Dieu et de son Messie venu dans la chair. […] L’Église n’entrera dans la gloire du Royaume qu’à travers cette ultime Pâque où elle suivra son Seigneur dans sa mort et sa Résurrection» (§675).

L'Église n'entrera dans la gloire du Royaume qu'à travers cette ultime Pâque où elle suivra son Seigneur dans sa mort et sa Résurrection (cf. Ap 19, 1-9). Le Royaume ne s'accomplira donc pas par un triomphe historique de l'Église (cf. Ap 13, 8) selon un progrès ascendant mais par une victoire de Dieu sur le déchaînement ultime du mal (cf. Ap 20, 7-10) qui fera descendre du Ciel son Épouse (cf. Ap 21, 2-4). Le triomphe de Dieu sur la révolte du mal prendra la forme du Jugement dernier (cf. Ap 20, 12) après l'ultime ébranlement cosmique de ce monde qui passe (cf. 2 P 3, 12-13) (§677).

La vie est SPIRITUELLE.

La guerre actuelle est une guerre de l’esprit.

Le corps non baptisé sans l’Esprit-Saint actif est voué à la mort éternelle.

C’est ce qui est en jeu.

L’Épouse du Christ descendra du Ciel pour la victoire finale.

C’est ce qui est confirmé dans les prophéties de l’Église de Jean XXIII également.

Et cette image de la fin des temps de la Vierge Marie triomphante est celle de la femme voilant le soleil avec les deux pieds sur la lune dans l’Apocalypse.

C’est le SIGNE de la Vierge.

C’est ce qu’elle a démontré par la figure de Notre-dame de Guadelupe.

Et elle est enceinte : de la nouvelle Église appelée à renaître.

C’est peint dans plusieurs tableaux également relatant L'Assomption de la Vierge Marie, solennité liturgique fêté le 15 août.

Que pouvons nous espérer suite à l’avertissement du signe de Jonas du 11 mai dernier?

Ce seul signe que le Christ nous accorde en cette fin des temps.

Est-il complet?

Nous nous devons de nous poser la question avec la suite des événements des dernier mois.

Rappelons que l’aurore de janvier 1938 a été suivie d’une autre série d’aurores en août 1939.

Nous pourrions avoir droit au même schéma après la tempête solaire du 11 au 13 mai dernier.

Car...

Le signe de Jonas est beaucoup plus intense selon les prophéties.

C’est physiquement une période de trois jours de noirceur.

Et nous verrions cet événement prochainement, dans un laps de temps plus court que les 20 mois entre 1938 et 1939, car eschatologiquement, nous sommes sur le temps court.

Le nombre 24 est associé à un sentiment de complétude. On pense qu'il représente l'ordre parfait de Dieu et l'achèvement des cycles.

2024 est donc l’annonce de la chute de Babylone, de la fin du cycle de cette génération pécheresse identifiée par le Christ.

24, c’est aussi la fête de Jean le Baptiste, le précurseur avant le 25, qui appartient au Christ, associé à Marie, via l’Annonciation du 25 mars.

2024 est donc le précurseur de 2025.

C’est en Matthieu 24 que NSJC décrit la fin des temps.

Le soleil s’obscurcira, la lune ne donnera plus sa lumière, et les étoiles tomberont du ciel (satellites? Un retour de la technologie, fruit de l’orgueil humaine?)

Ensuite, Jésus indique qu’ « apparaîtra dans le ciel le signe du Fils de l'homme ».

« Car, comme l'éclair part de l'orient et brille jusqu'à l'occident, ainsi en sera-t-il de l'avènement du Fils de l'homme. »

Qu’est-ce que le signe du Fils de l’homme?

Une croix dans le ciel?

Malachi Martin de son côté, qui avait lu le troisième secret de Fatima, nous désigne plutôt le signe de la Vierge.

Il déclara en 1997 que « le grand facteur déclenchant aura lieu dans le ciel. Observez toujours le ciel. Le signe de la Vierge apparaîtra dans le ciel, et c’est pour bientôt. D’ici les 10 ou 20 prochaines années. Ce sera un choc pour tout le monde. Cela montrera que Dieu existe. Lorsqu’un jour de printemps, vous verrez dans le ciel un signe, comme une aurore boréale, tout commencera… »

Tout commencera : donc l’annonce de trois jours de noirceur à venir.

La tempête du 13 mai a-t-elle été un choc pour l’humanité?

Non.

Est-elle précurseur étant donné la relation avec Fatima et la Vierge Marie quant aux dates?

Oui.

Le processus est donc commencé, mais pas terminer.

Alors, qu’est que le signe de la Vierge?

Le signe de la Vierge de l’Apocalypse, revêtue du soleil, la lune sous ses pieds, et une couronne de douze étoiles sur sa tête?

Ou, le miracle du Soleil à Fatima?

Les deux semblent désignés la même chose : un soleil voilé par la Vierge Marie.

« Ce fut alors que l'on put regarder parfaitement le soleil, rapporte le père de Jacinthe et de François, sans en être incommodé. On aurait dit qu'il s'éteignait et se rallumait, tantôt d'une manière, tantôt d'une autre. Il lançait des faisceaux de lumière, de-ci, de-là, et peignait tout de différentes couleurs : les arbres, les gens, le sol, l'air. Mais la grande preuve du miracle était que le soleil ne faisait pas mal aux yeux. »

Réitérons que pendant que tous voyaient le miracle du soleil, sœur Lucie voyait la Sainte Famille et les trois figures de Marie : Notre-Dame du Rosaire qui s’éleva au firmament à côté du soleil, joints par Saint-Joseph et l’Enfant Jésus qui bénissaient le monde, puis Marie devint Notre-dame des Douleurs, joint par Jésus qui bénissait à son tour le monde, puis Marie devient Notre-Dame du Carmel.

Trois dates à retenir donc: 16 juillet, 15 septembre, 7 octobre.

Le Carmel, c’est aussi les deux apparitions de la Sainte Vierge en Notre Dame du Carmel, soient le 13 octobre 1917 à Fatima, et le 16 juillet 1878 pour la 18ème et dernière apparition à Lourdes.

Et comme à Fatima, les choisis de Dieu pourrait avoir l’apparition de la Vierge, alors que les autres pourraient ne voir qu’un soleil voilé ou dansant.

Même le pape Pie XII qui a suivi de près la question des apparitions de Fatima a affirmé avoir été le témoin, à trois reprises, à Rome, les 30 et 31 octobre et le 1er novembre 1950, jour de la proclamation du dogme de l'Assomption de la Vierge Marie, du même phénomène solaire qu'à Fatima.

«C'était le 30 octobre 1950, écrit Pie XII au crayon de papier, parfois raturé mais de façon très lisible, sans aucun doute sur l'authenticité du document, l'avant-veille du jour de la définition solennelle de l'Assomption, je faisais ma promenade habituelle dans les jardins du Vatican en lisant et en étudiant (…) j'ai regardé le ciel et j'ai été touché par un phénomène que je n'avais jamais vu. Le soleil qui était encore assez haut, apparu comme un globe opaque jaunâtre, entouré par un cercle lumineux». Le pape dit alors qu'il pouvait le regarder «sans se faire aucunement mal aux yeux, un très léger nuage s'était formé devant». Puis il décrit: «le globe opaque a légèrement bougé vers l'extérieur, soit en tournant, soit en déplaçant de gauche à droite et vice et versa. Mais à l'intérieur du globe, on voyait avec une grande clarté et sans interruption de très forts mouvements» (Pie XII).

Et cela montrera que Dieu existe selon Malachi Martin.

Les chrétiens reconnaîtront le signe parce que cela sera probablement en forme de Croix, le Signe du Fils de l’homme, ou vraiment comme un miracle, le signe de la Vierge Marie comme à l’Assomption, voilant le soleil, qui ne fait pas mal aux yeux.

Les tièdes hésiteront. Les athées et les apostats idolâtreront la science par ses explications, car comme à Fatima, ils ne verront qu’un phénomène astronomique (rappelons que les voyants voyaient la Sainte Famille en octobre 1917).

Quiconque connaît l’Apocalypse et la femme avec les deux pieds sur la lune entourée d’une couronne de 12 étoiles, sait bien que ce signe serait un avertissement sérieux!

Une autre piste de réflexion vient de l’apparition aux 3 Fontaines.

Un phénomène dans le ciel, miraculeux, du même genre que celui de Fatima s’est reproduit localement, reliant les deux apparitions.

Ce fut le 12 avril 1980 en commémoration du 33ème anniversaire de l’apparition (le 12 avril 1947) aux 3 Fontaine, 33 étant le nombre du Christ.

Plusieurs milliers de personnes réunies aux Trois Fontaines assistèrent à un « miracle du soleil ». L’astre se serait mis en mouvement et le ciel serait devenu bleu, violet puis rose.

La Vierge de la Révélation, comme on l’appelle aux Trois Fontaines, apparut couronnée d’étoiles, comme au chapitre 12 de l’Apocalypse.

Comme Notre-Dame de Guadelupe dont nous pratiquons la neuvaine du cardinal Burke jusqu’au 12 décembre 2024.

Donc, ce soleil voilé ou miracle du soleil est accompagné de couleurs comme les aurores, comme spécifié par Malachi Martin.

Et, le 13 octobre 1917, le soleil s'obscurcissant 3 fois de suite à intervalles réguliers à Fatima désignant les 3 jours de ténèbres.

Le père Malachi Martin dans un interview en 1997 confirmait aussi que ce signe viendrait quand « le dernier pape sera sous le contrôle de Satan »

Citons aussi le secret de La Salette.

« Voici le roi des rois des ténèbres. Voici la bête avec ses sujets, se disant le sauveur du monde. Il s’élèvera avec orgueil dans les airs pour aller jusqu’au Ciel ; il sera étouffé par le souffle de Saint Michel Archange. Il tombera, et la terre qui, depuis trois jours, sera en de continuelles évolutions, ouvrira son sein plein de feu ; il sera plongé pour jamais avec tous les siens dans les gouffres éternels de l’enfer. »

Lorsque Satan se déclarera roi et sauveur du monde, ce qui est confirmé par l’époque actuelle, Saint-Michel Archange frappera, et ces tribulations dureront trois jours.

Le père Malachi Martin encore une fois : Il y aura bien trois jours de ténèbres au-dessus de notre terre, trois jours pendant lesquels il sera très dangereux de se trouver dehors. Même chez soi cela pourrait être dangereux.

« A.B. : Trois jours sans soleil ???

M.M.: Oui, sans la lumière à laquelle nous sommes habitués. Mais quand cela se passera, comme d’habitude, les scientifiques donneront des explications géophysiques et astronomiques pour rassurer. (...) Cela n’arrivera pas dans 200 ans... Ni dans 50 ans... Ni dans 30 ans. (...) Toute la terre sera concernée, sans exception, toutes les religions, toutes les races, toutes les régions. Ce sera terrifiant. »

Donc, cela concerne toute l'humanité, mais le point de référence est la religion catholique.

Les phénomènes seront géophysiques et astronomiques.

Le chiffre 13 appartient à Marie comme le prouve les apparitions du 13 du mois en 1917.

C’est le 13 juillet 1917 qu'elle demande la consécration de la Russie.

Le 14 est le chiffre de la prise de la Bastille, symbole de la franc-maçonnerie.

Le 14 juillet 2000, il y a donc 24 ans, une énorme tempête solaire eu lieu.

Mais, les effets (aurores boréales, et problèmes électroniques) se sont fait sentir le 16 juillet suivant, fête de Notre-Dame du Carmel, une des trois figures de l’apparition du 13 octobre 1917 à Fatima.

Remarquez dans la prophétie politique de Jean XXIII « Grand Éclair à l’Orient » que l’humanité n’a aucun préavis sur le phénomène à venir:

« Grand éclair à l'Orient. Vous n'entendrez pas le tonnerre, lui aussi sera imprévu.»

Pas de tonnerre avertissant du cataclysme cosmique.

Cette prophétie est, soit le signe de la Vierge, ou simplement une explosion atomique ou du genre, probablemetn en Iran.

Mais nous savons nous situer dans la fin des temps grâce à cette prophétie, parce:

- Qu’un roi tentera de prendre le contrôle de l’Europe; ce que nous avons expliqué dans une des dernières analyses.

- Que l’esprit trouble, fille de fugitifs de Nuremberg, est l’Ukraine (expliqué dans la section « analyse », « prophéties politiques »).

- Que c’est la guerre et que la terre frisera le massacre, ce qui est le cas avec l’Ukraine, Taïwan et Israël contre Hamas-Liban-Iran-Yémen.

- Que cela arrivera quand deux chefs importants mourront; nous sommes en attente sur ce sujet.

- Et que conséquemment, il y aura retour vers Marie dans les cœurs.

- Et que c’est le temps des lettres, l’alpha et l’oméga, le début et la FIN d’un cycle.

Comme nous l’expliquons depuis maintes analyses, une tempête solaire dans le maximum solaire de ce cycle 25 pourrait être la cause de la chute de Babylone car notre humanité dépend entièrement de la technologie et de l’électricité.

Mais, elle ne causerait probablement pas une noirceur durant trois jours.

Alors, une possibilité pour une tel événement serait une superéruption solaire.

On en entend rarement sur le sujet car cela ne se produit pas très souvent.

Les étoiles jeunes en produisent beaucoup, mais une étoile d’âge moyen comme notre soleil en produise très rarement.

C’est un événement solaire de 10 fois à 100 supérieur à l’événement de Carrington de 1859.

Des scientifiques ont prouvé en 2012 que c’est arrivé la dernière fois en 775 de notre ère (isotopes retrouvés dans les carottes de glace et dans les lignes de croissance des arbres).

« Les premiers signes d’une ampleur encore plus grande des tempêtes solaires sont apparus en 2012, avec la découverte d’une méga-tempête 10 à 100 fois plus puissante que l’événement de Carrington, survenu vers 775 après J.-C. « C’était vraiment stupéfiant », déclare Nicolas Brehm de l’ETH Zurich. « Nous ne pensions pas qu’une chose d’une telle ampleur pouvait se produire. » (scientificamerican.com)

Une telle tempête ferait inévitablement gonfler l’atmosphère terrestre sur son passage, amenant par le fait même les satellites dans l’atmosphère causant « une pluie d’étoiles », tout en produisant des aurores que nous ne pouvons imaginer (une tempête solaire fait gonfler l’atmosphère terrestre à la manière d’une guimauve sur le feu).

Voici une vidéo
de la NASA imaginant le phénomène (à 1m 35s) avec à gauche la terre et son éjection de classe X45 et ce qui a été enregistré sur une plus petite étoile par les scientifiques comme méga tempête solaire (nasa.gov).

Cela ressemble drôlement aux descriptions des différentes prophéties ou signes visibles discutés en début d’article.

Semblable à l’événement de Betelgeuse visible de la terre en 2019, où l’étoile a éjecté sa matière en direction de notre vue, bloquant son intensité lumineuse.

Lors des éjections solaires du 10 mai 2024, environ 5000 engins spatiaux ont dû manœuvrer pour maintenir leur altitude, résistant au gonflement de l’atmosphère terrestre qui les freinait et les attirait vers la terre.

L'atmosphère terrestre a déjà été chauffée à ce point, plus récemment lors des tempêtes d'Halloween de 2003.
À cette époque, cependant, le nombre de satellites était relativement faible (moins de 1000) et la technologie de migration satellitaire en plus haute altitude n’existait pratiquement pas.

Mais grâce principalement à l'avènement de Starlink en 2019, la terre compte désormais plus de 10 000 satellites actifs, soit dix fois plus qu'en 2003!

Depuis le début de l’année 2024, plus de 130 fusées ont été lancées vers l’espace!

Une superéruption solaire auraient des conséquences géophysiques et astronomiques pour un vrai signe de Jonas tel que décrit par Malachi Martin et la prophétie de La Salette.


09 juillet

Le document de travail pour le synode 2024 a été publié cette semaine.

« Publié le 9 juillet, le long Instrumentum laboris (IL) déclare qu'au centre du processus synodal pluriannuel « se trouve un appel à la joie et au renouveau du peuple de Dieu dans la suite du Seigneur et dans son engagement à servir sa mission. », ajoutant que les catholiques « renouvellent aujourd'hui notre engagement dans cette mission en pratiquant la synodalité, qui est une expression de la nature de l'Église » (lifesitenews.com)

« Une expression de la nature de l’Église »

La nature de l’Église n’a jamais été synodale puisque les bases de la doctrine ont été mises par le Christ lui-même, et par les apôtres et les pères de l’Église : c’est la Tradition.

Tradition contre qui l’église conciliaire s’acharne puisque c’est la Vérité.

Et Satan n’aime pas la Vérité.

« Le terme même de « synodalité » a été vivement critiqué par d’éminents prélats, tels que le cardinal Raymond Burke et le cardinal Joseph Zen, comme étant imprécis et sans fondement historique. Mais l'IL précise que depuis le début du synode en 2021, « les termes synodalité et synodal , dérivent de l'ancienne et constante pratique ecclésiale de rassemblement au synode ces dernières années ».

La mission synodale est effectivement un concept moderne inventé par Bergoglio et ses fidèles collaborateurs.

« Ce document sera différent de celui utilisé pour la première session. «Si, lors de la première session, il était important de mettre en évidence les thèmes à aborder de manière ample, le document de travail de la session d'octobre entend plutôt souligner certains nœuds à défaire pour répondre à la question Comment être une Église synodale en mission, en tenant compte du chemin parcouru jusqu'à présent et en proposant des arguments théologiquement fondés ainsi que des propositions concrètes pour aider au discernement confié aux membres de l'assemblée», a déclaré Mgr Riccardo Battocchio, secrétaire spécial de la XVIe Assemblée.  » (vaticannews.va)

« une Église synodale en mission ».

Ils en reviennent toujours à cette « mission », qu’ils essaient toujours de redéfinir hors de la Tradition, dans le seul but d’arriver à l’œcuménisme et ainsi mettre sur la table une messe sans présence réelle qui conviendrait à tous.

L’église conciliaire deviendrait alors totalement… protestante puisque les protestants considèrent la messe comme étant un rassemblement commémoratif.

N’oublions surtout pas que Bergoglio a toujours affirmé à maintes reprises qu’il n’y aura « jamais de retour en arrière ».

Donc pour eux, la Tradition est du passé, et le triomphe à venir de Vatican II est la voie, la « mission ».

Alors que le Christ a fondé l’Église pour être éternelle.

Examinons les trois éléments essentiels du document de travail pour octobre 2024 :

« Selon l'IL, le synode a mis en évidence la conscience de « la variété des charismes et des vocations que l'Esprit Saint éveille constamment dans le Peuple de Dieu ». Il existe ainsi, parmi les instances participantes au synode, une triple volonté « d'élargir les possibilités de participation et d'exercice de la coresponsabilité de tous les baptisés, hommes et femmes, dans la variété de leurs charismes, vocations et ministères ». .»

Les trois « directions » sont les suivantes :

    • Un « besoin de renouveler la proclamation et la transmission de la foi par des voies et moyens adaptés au contexte actuel ».

    • Le « renouveau de la vie liturgique et sacramentelle, à commencer par des célébrations liturgiques belles, dignes, accessibles, pleinement participatives, inculturées et capables de nourrir l’élan vers la mission ».

    • « Reconnaître et transformer la douleur suscitée par la non-participation de tant de membres du Peuple de Dieu à ce chemin de renouveau ecclésial et à la lutte de l'Église pour bien vivre les relations entre hommes et femmes, entre générations et entre personnes et groupes d’identités culturelles et de conditions sociales différentes, en particulier ceux qui sont pauvres et exclus. »

- Triple volonté : singerie copiée sur la Trinité pour faire aboutir la « mission ».

- Renouveler la foi par des voies et moyens adaptés au « contexte actuel ».

Comme nous l’affirmons depuis des années, c’est l’église catholique qui s’est adaptée au mondialisme et à l’humanisme, et on veut pousser le concept plus loin pour en faire la religion de Satan, dans l’esprit « woke » de la miséricorde universelle où tous et chacun ont leur place.

Tous.

Plus de péché, plus de jugement, plus de Tradition.

Et quel contexte actuel avons-nous sur cette planète?

Que des troubles et des problèmes, que du chaos. Belle perspective pour l’église.

C'est l'inversion des valeurs prophétisée pour la fin des temps.

L'église n'y échappe pas.

- « renouveau de la vie liturgique et sacramentelle »

C’est clair. Le rapport final fera en sorte de laisser libre cours à l’imagination quant à la célébration eucharistique : des cultes païens à la sauce Pachamama célébrés à maintes reprises par Bergoglio, alors qu’il n’a pas célébré la Sainte Messe depuis 2022.

- « Reconnaître et transformer la douleur suscitée par la non-participation de tant de membres du Peuple de Dieu à ce chemin de renouveau ecclésial »

Inclure tout le monde. S’adapter aux nouvelles tendances pour attirer les tièdes et les athées dans un monde qui favorisera la culture du péché, ces idées qui germent dans la tête des tarés pour entraîner la jeunesse catholique dans la voie de l’enfer.

Et quand cette jeunesse, lorsqu'elle trouve son salut dans la Tradition, tels les pèlerinages à Chartres, et à Oviedo en Espagne comme exemples, et bien on leur interdit de suivre la voie de la Tradition :

« OVIEDO, Espagne ( LifeSiteNews ) — Un pèlerinage traditionnel florissant en Espagne s'est vu interdire de célébrer sa messe traditionnelle de fin de pèlerinage dans le sanctuaire marial de Covadonga.

Dans une publication du 6 juillet sur les réseaux sociaux, les organisateurs ont annoncé que le Vatican était intervenu pour restreindre le pèlerinage à pied traditionnel de Notre-Dame de la Chrétienté, qui attire de nombreuses jeunes familles bien qu'il n'en soit qu'à sa quatrième année en Espagne.

Une lettre des organisateurs du pèlerinage indiquait que « l'archevêché d'Oviedo nous a informés qu'il avait reçu des instructions du Dicastère pour le culte divin indiquant que la messe traditionnelle latine ne doit pas être célébrée à Covadonga ». »

La table est mise.

Tout est clair: pour le Christ et la Tradition, ou pour l'église conciliaire qui s'excommunie elle-même en jugeant injustement ses propres prêtres droits: mgr Strickland, mgr Vigano, le cardinal Burke, etc...

Les prêtres qui prônent la Vérité sont excluent alors que ceux qui pratiquent le péché (tous les scandales que nous avons vu au Vatican ces dernières années) demeurent dans l'église, on les cache, et même ceux qui élèvent le péché pour justifier que tous doivent être « inclus » recoivent une tribune pour proclamer la parole « woke » tels que le père James Martin qui a pour mission de promouvoir l'homosexualité, et Tucho, écrivain érotique du Vatican, élevé au titre de cardinal et responsable du dicastère de la foi pour faire appliquer les désirs de Bergoglio, ou l'élévation des peintures érotiques du jésuite Rupnik (l'agresseur sexuel présumé sur plusieurs soeurs) un peu partout dans des lieux religieux dont une mosaïque à la basilique Notre-Dame du Rosaire à Lourdes, en France.

Les valeurs sont inversées. C'est un fait.

Il y a un schisme dans l'Église. C'est un fait.

Les chrétiens sont devant LE choix, le Christ ou mammon. C'est un fait.

Bref, les prophéties sont pratiquement accomplies.

On ne connaît ni le jour ni l'heure mais nous savons pertinemment que nous sommes dans ce temps si important où tout peut basculer en un instant, et qu'à l'exemple de la parabole des vierges folles, il est fortement conseillé d'avoir de l'huile en sa possession pour assister aux noces.

06 juillet

La nouvelle est finalement tombée: mgr Vigano a été officiellement excommunié par le Vatican:

« Un communiqué du Dicastère pour la doctrine de la foi a annoncé le vendredi 5 juillet 2024 l’excommunication latae sententiae de Mgr Carlo Maria Viganò, dans un procès extra-judiciaire auquel l’ancien nonce aux Etats-Unis ne s’était pas présenté. Il a donc été condamné par contumace.

Le site Vatican News expose que Mgr Viganò a été excommunié « pour avoir voulu rompre la communion avec l’évêque de Rome et l’Eglise catholique ».

C’est ce que détaille le communiqué : « Ses déclarations publiques manifestant son refus de reconnaître et de se soumettre au Souverain pontife, son rejet de la communion avec les membres de l’Eglise qui lui sont soumis ainsi que son rejet de la légitimité et de l’autorité magistérielle du concile Vatican II, sont bien connus. »

Le décret conclut : « Au terme de la procédure pénale, le très révérend Carlo Maria Viganò a été reconnu coupable du délit réservé de schisme. »

Le 24 juin 2024, sur le site de Religion News Service, l’évêque auxiliaire d’Astana au Kazakhstan, a conseillé la prudence. Tout en critiquant les positions sédévacantistes de Mgr Viganò, Mgr Athanasius Schneider considère que François « augmenterait les divisions » dans l’Eglise s’il excommuniait l’ancien nonce apostolique.

« Je pense que le Pape serait sage et prudent s’il n’excommuniait pas l’archevêque Viganò », avait-il déclaré. Et il précisait : « je pense qu’aujourd’hui l’Eglise a tellement de divisions internes qu’il serait imprudent, même s’il y a un motif canonique, de juger l’archevêque Viganò ». Car « même un aveugle perçoit que nous vivons une époque de grande confusion en ce qui concerne la clarté de la doctrine et de la morale ». (FSSPX news)

Voilà.

L'Église inversée à son meilleur qui accuse de schisme alors que c'est cette église concilaire qui se sépare de la Tradition.

La ligne est tracée et en tant que chrétiens c'est bien l'Heure du choix.

Juin 2024

28 Juin

LA FOLIE

La folie s’est emparée des hautes instances au Vatican, la clique bergoglienne ne pouvant plus supporté le fait que le mouvement traditionaliste en cours généré par leurs actions contraires à la Loi et aux Prophètes, au lieu de décapiter la Tradition, a au contraire, fait renaître l’Église pré-Vatican II.

Ainsi Satan, dans sa rage de voir qu’il n’aura pas la victoire, veut emporter avec lui le plus d’âmes possible dans sa grande finale, finale de la fin des temps, dont le calendrier est accéléré comme jamais auparavant.

Fille Aînée de l’Église, Rome, guerre en Ukraine, guerre par Israël qui croît faire venir son messie… bref rien n’est et ne sera épargné.

Satan va essayer de bloquer la transsubstantiation et Bergoglio est son atout, atout chancelant, ce qui nous faire dire de nouveau : nous sommes sur du temps eschatologique court.

Ici un extrait d’une réflexion sur la fin de la folie sur le blog aldomariavalli.it:

« Nous voilà donc au cœur du sujet.

Benoît XVI a fait grand bruit en 2007 ! Au lieu de faciliter la disparition du saint sacrifice de la messe, de l’Eucharistie, à des fins œcuménistes et aujourd’hui aussi mondialistes, elle a provoqué, consciemment ou non, l’effet inverse. Et cela explique aussi la haine dont il fut de plus en plus entouré, jusqu'à l'acte du Renoncement.

À ce stade, deux besoins deviennent nécessaires aux destructeurs – internes et externes – de la Foi et de l’Église catholique :

l'abolition, le plus rapidement possible, de la messe habituelle à messe du rite apostolique romain antique (RRaa), qui, en raison de sa fidélité absolue à la Vérité, en raison de son immuabilité substantielle objective, doit nécessairement être le premier pas vers l'élimination définitive de l'Eucharistie du monde ;

cela fait, changer définitivement le canon de la messe montinienne (toujours mutable en raison de son relativisme anthropocentrique intrinsèque), de manière, précisément, à éliminer la Transsubstantiation dans ce rite également.

Ayant atteint ces deux objectifs dans les plus brefs délais, le « christianisme » sera prêt à être prêt et adaptable aux deux grands objectifs de la Révolution :

l'union de toutes les confessions chrétiennes dans un « super-christianisme » avec une idée abstraite et gnostique de Dieu, sans sacrements et donc sans Eucharistie : l'Être suprême de la mémoire maçonnique et des Lumières, qui en soi nécessite aussi la disparition de la Trinité entité, tandis que la Mère de Dieu se transformera en déesse Gaia, comme Bergoglio nous l'a déjà fait comprendre avec le culte idolâtre de la pachamama ;

la « dissolution » (si l'on peut dire) ou la « conversion » de ce « super-christianisme » en la future religion mondiale mondialiste. Une religion païenne, anti-humaine, car trans-écologique, post- et trans-humaine, préparant à son tour l'avènement de l'Antéchrist dans le monde.

Et ici s'explique, pour ceux qui veulent comprendre avec honnêteté mentale et morale, la haine, autrement inexplicable, envers le RRaa et la guerre qui en découle, menée non pas par Néron, Elizabeth I d'Angleterre ou par Robespierre ou Staline, ni même par les mahométans, mais des hiérarchies de l’Église actuelle Vatican II, une Église qui, pour la plupart, n’est plus catholique, mais qui est certainement encline au mondialisme dominant de la Nouvelle Révolution Mondiale en cours. »

L’erreur fondamentale de plusieurs vaticanistes est de penser que la venue l’Antichrist est à mettre au futur, alors que nous l’avons maintes fois démontré:

C’est un système.

Le système dans lequel nous vivons présentement et qui a des visages personnifiés pour le faire vivre, tel que Bergoglio.

Le calendrier de la fin des temps (voir analyses précédentes) est clair :

La mort des deux témoins est un événement clé qui fait basculer le monde pour l’ouverture du 7ème sceau, donc la fin de Babylone avant le Jugement dernier.

Et nous vivons présentement cette mort des deux témoins, car nous sommes passés au crible par Dieu dans cette Passion de l'Église.

C’est la séparation du bon grain et de l’ivraie.

Le Jugement dernier n’est pas le châtiment des chrétiens, car ces derniers vivent présentement leur calvaire!

C'est celui des méchants!

Et si NSJC n’intervenait pas, le petit reste que nous sommes serait condamné à être séduit et damné par ce système Antichrist.

Ainsi notre Foi et notre Espérance nourris par la prière, nous permet de vaincre.

Les chrétiens reconnaîtront le signe de la résurrection des deux témoins et se réjouiront, car pour eux ce sera le moment de la récolte, alors que le monde impie sera consterné de voir le monde qu’il chérie retourner à la poussière…

Car la vie est spirituelle, de l’Esprit, et ceux qui décident de nier ce Royaume de Dieu qui n’est pas de ce monde, perdront le privilège d’y accéder

À jamais.

La fin de la folie est à nos portes.

Mgr Vigano passe à l’attaque contre le tribunal du Vatican et accuse (extrait d'un long texte):

Fait grave, à la veille des fêtes Saint-Pierre et Saint-Paul.

Le politique et le religieux sont sur le point de basculer dans le chaos.

« Mes accusations contre Jorge Mario Bergoglio (aldomariavalli.it)

Devant mes frères dans l'épiscopat et devant tout le corps ecclésial, j'accuse Jorge Mario Bergoglio d'hérésie et de schisme, et comme hérétique et schismatique, je demande qu'il soit jugé et démis du trône qu'il a indignement occupé pendant plus de onze ans. Cela ne contredit en rien l'adage Prima Sedes a nemine judicatur , car il est évident qu'un hérétique, parce qu'il est incapable d'assumer la papauté, n'est pas au-dessus des prélats qui le jugent.

J'accuse également Jorge Mario Bergoglio d'avoir provoqué - en raison du prestige et de l'autorité du Siège Apostolique qu'il usurpe - de graves effets indésirables, la stérilité et la mort chez les millions de fidèles qui ont suivi son appel insistant à se soumettre à l'inoculation d'un sérum génétique expérimental. produit auprès de fœtus avortés, conduisant à la publication d'une note indiquant son utilisation comme moralement admissible ( ici et ici ). Il devra répondre devant le Tribunal de Dieu de ce crime contre l'humanité.

Enfin, je dénonce l'accord secret entre le Saint-Siège et la dictature communiste chinoise, par lequel l'Église est humiliée et contrainte d'accepter la nomination gouvernementale des évêques, le contrôle des célébrations et les limitations de sa liberté de prédication, tandis que les fidèles catholiques le Siège Apostolique sont persécutés en toute impunité par le gouvernement de Pékin dans le silence complice du Sanhédrin romain.
Le rejet des erreurs de Vatican II

Je considère comme une question d'honneur d'être "accusé" de rejeter les erreurs et les déviations impliquées par le soi-disant Concile œcuménique Vatican II, que je considère comme totalement dépourvu d'autorité magistrale en raison de son hétérogénéité par rapport à tous les véritables Conciles. de l'Église, que je reconnais pleinement et que je salue, comme le font tous les actes magistraux des Pontifes romains.

Je rejette de manière convaincante les doctrines hétérodoxes contenues dans les documents de Vatican II et qui ont été condamnées par les Papes jusqu'à Pie XII, ou qui contredisent de quelque manière que ce soit le Magistère catholique (voir Annexe I). Je trouve pour le moins déconcertant que ceux qui me jugent pour schisme soient ceux qui adhèrent à la doctrine hétérodoxe selon laquelle il existe un lien d'union « avec ceux qui, étant baptisés, reçoivent le nom de chrétien, mais ne l'obtiennent pas pleinement ». professent la foi ou ne maintiennent pas « l'unité de communion sous le successeur de Pierre » (LG, 15). Je me demande avec quelle facilité on peut reprocher à un évêque le manque de communion qui existerait également avec les hérétiques et les schismatiques.

Je condamne, rejette et rejette également les doctrines hétérodoxes exprimées dans le soi-disant « magistère post-conciliaire » issu de Vatican II, ainsi que les récentes hérésies relatives à « l'Église synodale », la reformulation de la Papauté dans une clé œcuménique. , l'admission des concubinaires aux sacrements et la promotion de la sodomie et de l'idéologie du « genre ». Je condamne également l'adhésion de Bergoglio à la fraude climatique, une folle superstition néo-malthusienne née de ceux qui, haïssant le Créateur, ne peuvent s'empêcher de détester aussi la Création, et l'homme avec elle, créé à l'image et à la ressemblance de Dieu…

Donné à Viterbe, le 28 juin, année du Seigneur 2024, veille des saints Apôtres Pierre et Paul.

+ Carlo Maria Viganò, archevêque »

27 juin

Que dire de plus?

Tout confirme que la Fille Aînée de l'Église a été plongée dans le chaos intentionnellement par la franc-maçonnerie dans ce plan à long terme pour éliminer le centre de la chrétienté européenne en même temps que Rome.

Le président français, fils spirituel des Rothschild, attise le feu et affirme sans gêne que la « guerre civile » est aux portes de la France, et que même, dans le contexte actuel de la fin des temps, que ce sera une « guerre de religion » au même titre que la guerre entre les protestants et les catholiques du temps.

« Laïcité, guerres de Religion, islam : ce qu’Emmanuel Macron en dit dans un podcast » (la-croix.com)

Comme le spécifie Charles Sannat (insolentiae.com): « Quand le président parle de guerre civile, même si c’était évidemment un scénario étudié dans mon dossier, ne soyons pas naïfs, avant même que le président ne l’évoque, lui, en en parlant de la manière la plus officielle qui soit, il matérialise ce risque.

Il fait prendre corps à ce risque. Quand je l’évoque, on peut toujours dire que c’est une élucubration d’économiste de grenier normand pessimiste… pas quand c’est le président qui l’évoque.

En l’évoquant, il prend le risque d’auto-réaliser le risque.

Plus grave.

Il précise ce que serait cette guerre civile. Une guerre de religion.

Nous l’avons tous compris.

Macron est un pyromane, pyromane comme le dit Bauer... »

La bête de la terre marche réellement main dans la main avec la bête de la mer (d'ailleurs, les deux, Macron et Bergoglio, étaient assis côte à côte au sommet du G7 en Italier dernièrement).

« Dans la perspective du Jubilé 2025, nous nous dirigeons vers « une vie qui devient chant d'amour pour Dieu, pour l'humanité, avec et pour la création, et qui trouve sa plénitude dans la sainteté » (dicastère pour le service du développement humain intégral, Jubilé 2025) (vaticannews.va).

Chaque mot ici est choisi en fonction de la célébration de la nouvelle religion humaniste qui englobera l'église conciliaire suite à la conclusion du synode 2024.

Ce sont des mots génériques: qui est le Dieu de la déclaration? Que représente cette « sainteté »?

Nous devrions y lire pour ce Jubilé 2025: « qui trouve sa plénitude dans le Christ ».

Depuis 2013, la chrétienté est confronté à ce maître de l'ambiguïté qui fait tout pour plaire à tous, et, REJETER  tout ce qui est conforme à la Doctrine et à la Tradition.

« Pape François: la synodalité crée la fraternité en dehors de l’Église » (vaticannews.va)

« ... Le «profond renouvellement» que le Pape appelle de ses vœux trouve sa source dans le Concile Vatican II.

Le Pape qui l’a initié, ... Jean XXIII parlait d’un «aggiornamento» («une mise à jour») quand celui qui l’a clos, ... Paul VI, évoquait un «renouveau florissant de l’Église». Toujours sur la nécessité de réforme, François a cité son prédécesseur, le Pape Benoit XVI, qui souhaitait une réforme afin de parvenir à une communauté dans laquelle le Divin peut opérer, «une communauté dans laquelle un 'je' n'est plus contre un autre 'je'»... »

Donc, Bergoglio indique bien qui va clore l'« aggiormamento » initié par Jean XXIII avec la fin du synode en octobre prochain.

Élimination de la messe traditionnelle suivi de la conversion TOTALE de l'église conciliaire à l'hunanisme.

Les valeurs sont finalement inversées (on ne parle plus au futur à partir de 2024): C'est l'église qui s'est convertie et non le monde qui s'est converti au Christ, comme le voulait NSJC en créant son épouse, l'Église, établie sur le roc qu'est Saint-Pierre.

Justement, c'est sur un roc solide qu'elle est établie, et tout renaîtrà à partir de la Tradition, grâce au zèle de Mgr Lefebvre qui a conservé la petite flamme.

Le blog Caminante Wanderer argentin, qui n'est pas du tout pour Bergoglio, ne mâche pas ses mots, et énonce un fait établi: « Le schisme se situe entre catholiques et non-catholiques. »

Il y a schisme et le choix doit être fait: pour ou contre le Christ.

Il n'y a plus d'entres les deux. Les tièdes seront vômis confirme l'Apocalypse.

« Un long article de Diane Montagne paru mardi dernier laisse entendre que la rumeur lancée par Rorate Coeli sur l'apparition d'un nouveau document restreignant encore davantage la célébration de la messe traditionnelle est fondée. Montagne est une journaliste sérieux avec de très bonnes sources au Vatican.

Le document aurait été personnellement commandé par le pape François à Mgr Viola, du Dicastère du Culte, et aurait le soutien des cardinaux Parolin et Gurgerotti, et de Mgr Migliore, nonce à Paris. En substance, cela consisterait à restreindre la célébration de la messe traditionnelle exclusivement aux prêtres appartenant aux ex-instituts Ecclesia Dei , qui sont principalement au nombre de trois : Fraternidad San Pedro, Instituto Cristo Rey et Instituto del Buen Pastor. Aucun prêtre diocésain, aucun prêtre religieux et aucun évêque ne pouvait célébrer la Sainte Messe ou le reste des sacrements selon le rite traditionnel. L'article peut être lu en anglais et en italien .

Faisons quelques observations :

1. Un tel document laisserait l'Église dans une situation bien pire que celle qu'elle avait après Summorum pontificum , mais bien meilleure que celle qu'elle avait avec Jean-Paul II, même après Ecclesia Dei . En ces temps terribles, célébrer la messe traditionnelle était quelque chose de plus sérieux que d'assister à un rite satanique ou de participer aux orgies du cardinal Coccopalmiero. Et il était préférable de devenir mormon plutôt que de devenir « lefebvriste ».

2. Mais depuis lors, la situation a changé, et elle a beaucoup changé. Peut-être qu’en Amérique Latine nous ne réalisons pas pleinement le changement, car dans nos pays, malheureusement, le document ne changerait pratiquement rien. Mais en Europe ou aux États-Unis, c’est différent. Prêtres et fidèles se sont vite « habitués » à la messe traditionnelle, ce qui est logique, et il ne me semble pas qu'ils se résigneront facilement à monter dans les trains qui les mèneront au nouvel Auschwitz ou à Birkenau où les vieux progressistes du Vatican veulent leur appliquer la solution finale.

3. Dans le post précédent, un lecteur, pour une raison que je ne connais pas, m'a demandé avec colère pourquoi j'avais utilisé l'expression « solution finale ». Et j'ai répondu parce que c'était celui que Rorate Coeli avait utilisé, et pas seulement eux, pour faire référence à la situation. Si le nouveau document était finalement signé par le Pape, il s'agirait effectivement d'une « solution finale », cette fois préparée non pas par Reinhard Heydrich mais par Vittorio Viola. Et cela pour plusieurs raisons.

4. Les traditionalistes ne pourront plus circuler librement dans une réserve délimitée par les hauts grillages érigés par Traditiones custodes, non pas tant pour qu'ils ne puissent pas s'échapper mais pour que d'autres ne puissent pas entrer dans cet espace. Les progressistes constatent qu'il y a de plus en plus de monde à l'intérieur : 18 000 jeunes cette année au pèlerinage de Chartres, c'est un nombre non négligeable et très significatif pour ce qui se passe. Ils ont alors choisi d'enfermer les tradis infectés dans des cages : celles des anciens instituts Eclessia Dei et de la FSSPX qui, n'en déplaise aux intéressés, est, du point de vue pratique francisciste, l'égale des autres.

5. La « solution finale » de Viola consisterait donc à n'accorder la célébration de la messe traditionnelle qu'aux fidèles qui veulent ou peuvent se mettre en cage. Les autres sont soit aryens, soit se douchent dans les chambres à gaz. La solution est bien pensée – on dit que le chef du jésuite Ghirlanda est derrière elle – mais elle me semble être une solution de bureau. Malheureusement pour le pape François, il n’a ni les SS ni la Gestapo. Une bonne partie de l'Église s'est déjà rebellée contre lui avec les absurdités de Fiducia et, dans ce cas aussi, il pourrait y avoir une rébellion peut-être moins massive mais avec des effets beaucoup plus graves.

6. Fiducia supplicans était une fantaisie de Tucho Fernández qui a peu d'effet pratique, concret et immédiat pour les fervents fidèles catholiques. En revanche, une restriction de la liturgie traditionnelle comme celle qu’ils envisagent affectera de près la vie de dizaines de milliers d’entre eux. Il ne me semble pas que les 18 000 pèlerins acceptent tranquillement la nouvelle que la messe traditionnelle en la cathédrale de Chartres est définitivement terminée. Et il ne me semble pas non plus que les Américains, les Français ou les Allemands le fassent. Et encore moins les prêtres, surtout les plus jeunes, qui ont connu et apprécié la messe traditionnelle. Et encore moins me semble-t-il que tous les évêques sont aussi lâches que l'ont été les évêques argentins d'accepter passivement un ordre aussi pervers que celui qu'ils veulent leur imposer : que même eux, successeurs des apôtres, ne peuvent pas célébrer la messe traditionnelle. Où est donc l’autorité de l’évêque ? Bergoglio et Ghirlanda revendiqueront-ils l’obédience jésuite ? Par ailleurs, je crois que la situation risque de provoquer la colère de plusieurs d'entre eux. Je ne peux pas imaginer le cardinal Müller accepter humblement les ordres du Vatican.

7. Comme l'a récemment déclaré Aldo Maria Valli et comme beaucoup d'entre nous le constatent depuis des années, nous sommes confrontés à un schisme de fait qui, jusqu'à présent, ne s'est pas manifesté ouvertement. Et le schisme ne se situe pas entre traditionalistes et « catholiques obéissants ». Le schisme se situe entre catholiques et non-catholiques. Les auteurs du document doivent veiller à ce qu'il ne se transforme pas en un meurtre de l'archiduc François Ferdinand et ne génère pas une situation impossible à arrêter. Ils jouent avec le feu. Les catholiques de tous bords – ils portent des cravates, des mantilles, des soutanes noires, violettes ou rouges – en ont assez du pontificat de François, qui a laissé l'Église en ruines...

Conclusion : Les nouvelles concernant le document restrictif sont crédibles. Il faudra voir ce que François décidera finalement, qui peut tout décider comme nous l'avons vu tout au long de ces années. La vérité est que les hiérarques de l’Église, malgré les preuves ou à cause de celles-ci, sont déterminés à exterminer la liturgie traditionnelle, même si cela implique des dommages énormes et irréparables pour l’Église. Ils nous détestent ; nous sommes pourris. »


26 juin

EN ROUTE VERS LE 16 JUILLET

Il semble bien que le temps s'accélère, ce qui confirme nous sommes sur un temps eschatologiquement court.

Si l'abolissement de la messe traditionnelle est décrété par le Vatican le 16 juillet prochain comme la rumeur le veut, si cet événement représente bel et bien la mort des deux témoins annoncés dans l'Apocalypse, alors ce monde babylonien aura toute une surprise.

Car c'est de sa chute finale qu'il s'agît.

La fin de la 6ème période.

Et vous savez tous ce qui arrive à l'ouverture du 7ème sceau.

Notez que le cardinal Parolin soutient entièrement la position de Bergoglio contre la messe traditionnelle.

Nous proclamons qu'il pourrait être Pierre II le romain de la prophétie de Saint-Malachi, et que l'Église sous sa tutelle vivra ses dernières tribulations sur du court terme.

Car Bergoglio sait qu'il ne lui reste plus beaucoup de temps.

Et il a une mission à accomplir.

« CITÉ DU VATICAN, 25 juin 2024 — Après avoir effectué plusieurs recherches sur des rapports récents , j'ai été informé par des sources fiables qu'un nouveau document du Vatican plus restrictif que Traditionis Custodes existe bel et bien, qu'il est soutenu par le cardinal secrétaire d'État du Vatican, le cardinal Pietro Parolin, et qu'il a été présenté au pape François.

Des sources bien informées ont confirmé que le nouveau document, s'il était publié, interdirait à tous les prêtres autres que ceux appartenant à des instituts ex- Ecclesia Dei approuvés d'offrir le Saint Sacrifice de la Messe dans le Vetus Ordo, ou ancien rite comme on l'appelle communément.

Elle interdirait également aux évêques de célébrer eux-mêmes ou d'autoriser la célébration du Vetus Ordo dans leurs diocèses, et suspendrait les autorisations existantes accordées par le Dicastère pour le culte divin et la discipline des sacrements après Traditionis Custodes.

Des sources indiquent que les paroisses personnelles gérées par d'anciens instituts Ecclesia Dei (par exemple, la Fraternité sacerdotale Saint-Pierre ou l'Institut du Christ Roi Souverain Prêtre) seraient autorisées à continuer. Cependant, on ne sait pas si et dans quelle mesure les prêtres de ces instituts seraient autorisés à administrer des sacrements tels que le baptême, la confirmation et le mariage aux fidèles sous la forme traditionnelle.

Bien que cela semble « sauver et protéger » les anciens instituts d’Ecclesia Dei, il n’est pas clair non plus si les ordinations diaconales et sacerdotales dans le Vetus Ordo continueraient à être autorisées. 

Genèse du nouveau document

En février 2023, quelques semaines seulement après la mort de Benoît XVI, on a appris qu'un projet de document était en cours d'examen par le pape François, qui élargirait et renforcerait son motu proprio  Traditionis Custodes de 2021. Il affirmerait également que la seule liturgie officielle du rite latin est le Novus Ordo, et réglementerait strictement les anciennes communautés d'Ecclesia Dei.

Des sources vaticanes avaient alors indiqué que le document, une constitution apostolique, avait déjà été présenté au pape François fin janvier 2023 par les supérieurs du Dicastère pour le culte divin et la discipline des sacrements, dirigé par le cardinal Arthur Roche.

Le document aurait été rédigé principalement par le secrétaire du dicastère, l'archevêque Vittorio Francesco Viola, OFM.

Cependant, selon ce rapport, le cardinal italien Gianfranco Ghirlanda, SJ, largement considéré à Rome comme le canoniste préféré du pape, cherchait à persuader François de promulguer une constitution apostolique alternative qui, à première vue, pouvait sembler plus douce mais qui s'est finalement avérée pire en cherchant une fois pour toutes à enterrer la liturgie latine traditionnelle.

Roche et Ghirlanda se disputant l'imprimatur du pape, le document a été bloqué et, un an plus tard, il se trouvait toujours dans une impasse. Le pape François a donc confié cette année à l'archevêque Viola la supervision du document.

Si le document décrit ci-dessus devait être publié, il serait toujours conforme aux assurances données par le pape François aux anciens instituts d'Ecclesia Dei approuvés. Et même si l'on nous dit qu'aucune date de publication n'a été fixée, le risque d'un nouveau document, selon nos sources, est sérieux, réel et potentiellement imminent.

Soutien du cardinal Pietro Parolin

Selon certaines sources, l'archevêque Viola s'est mis à travailler discrètement sur un nouveau document, en consultant, entre autres, le cardinal Victor Fernández, préfet du Dicastère pour la doctrine de la foi.

Lors de la rédaction du document, l'archevêque Viola aurait également bénéficié du soutien et de l'approbation de trois personnalités clés de l'Église : le secrétaire d'État du Vatican et architecte de l'accord secret Vatican-Chine, le cardinal Pietro Parolin; le préfet du Dicastère pour les Églises orientales, le cardinal Claudio Gugerotti; et le nonce apostolique du pape à Paris, l'archevêque italien Celestino Migliore.

Les lecteurs se souviendront peut-être que le cardinal Parolin, consulteur du Dicastère pour le culte divin et du Dicastère pour la doctrine de la foi, aurait soutenu Traditionis Custodes. En fait, lors d’une réunion en janvier 2020 à l’époque de la Congrégation pour la doctrine de la foi, le cardinal Parolin a affirmé que les instituts sacerdotaux traditionnels refusent d’accepter le changement et ne sont pas disposés à concélébrer. Parolin a également déclaré qu’il partageait l’inquiétude des autres prélats réunis quant au fait que ces groupes soient populaires auprès des jeunes. (Plus tôt au cours de la réunion, le préfet de la Congrégation pour l’éducation catholique de l’époque, le cardinal Giuseppe Versaldi, avait insisté sur le fait qu’il fallait comprendre pourquoi la messe traditionnelle en latin attirait les jeunes, et avait affirmé que beaucoup des jeunes participant au pèlerinage Paris-Chartres souffraient de « toutes sortes de problèmes psychologiques et sociologiques ».) Le cardinal Parolin a donc recommandé à la CDF d’exiger des groupes sacerdotaux traditionnels qu’ils fournissent un signe concret de communion qui reconnaîtrait la validité du Novus Ordo et démontrerait clairement qu’ils sont « dans l’Église ».

Le cardinal Parolin, tout comme le cardinal Gugerotti, est également un protégé du défunt diplomate du Vatican, le cardinal Achille Silvestrini (1923-2019), membre éminent du groupe de Saint-Gall qui a fait campagne pour empêcher l'élection de Benoît XVI en 2005.

Les liens étroits entre Parolin et Silvestrini remontent à 1986, lorsqu'il a rejoint le corps diplomatique du Vatican à l'âge de 31 ans et que Silvestrini était secrétaire aux relations avec les États. De plus, un an seulement après la mort de Silvestrini, le cardinal Parolin a été nommé président de la Villa Nazareth, un centre éducatif qui, grâce aux efforts de Silvestrini , est devenu un centre du pouvoir ecclésiastique progressiste à Rome. La Villa Nazareth a également été considérée comme le siège italien du groupe de Saint-Gall et comme ayant des liens douteux avec la Chine .

Le cardinal Gugerotti, pour sa part, a été pendant cinq ans (1997-2001) sous-secrétaire de la Congrégation pour les Églises orientales pendant le mandat de neuf ans de Silvestrini comme préfet.

Mais malgré leur lien, les deux cardinaux seraient concurrents sur un autre point important : ils ont tous deux en vue la papauté.

Mgr Migliore, 71 ans, allié du cardinal Parolin et diplomate chevronné, a occupé plusieurs postes importants, notamment celui d'observateur permanent du Saint-Siège auprès des Nations unies et du Conseil de l'Europe, de sous-secrétaire aux relations avec les États et de nonce apostolique en Russie. Le pape François l'a nommé nonce apostolique à Paris en janvier 2020.

Plus tôt ce mois-ci, le site français Pax Liturgique rapportait que Mgr Migliore « fait tout son possible pour que  Traditionis custodes  soit pleinement appliqué » et « attise les flammes de la liturgie anti-traditionnelle des évêques français, insistant notamment sur le fait que la messe traditionnelle doit être tolérée le moins possible et que les autres sacrements, notamment les baptêmes, les mariages et les confirmations, ne doivent jamais être donnés sous la forme traditionnelle ».

Si le document décrit ci-dessus devait être publié, il serait toujours conforme aux assurances données par le pape François aux anciens instituts d'Ecclesia Dei approuvés . Et même si l'on nous dit qu'aucune date de publication n'a été fixée, le risque d'un nouveau document, selon nos sources, est sérieux, réel et potentiellement imminent. » (The Remnant)

« beaucoup des jeunes participant au pèlerinage Paris-Chartres souffraient de « toutes sortes de problèmes psychologiques et sociologiques ». »

C'est bien l'église inversée.

Les deux témoins, laïcs et le clergé fidèles à la Loi et aux Prophètes, à la Tradition, sont ceux qui ont des problèmes entre les deux oreilles.

C'est bien ce qu'affirmait le regretté Serge Monast dans ses écrits (voir analyses précédentes) où les chrétiens de la Tratidion deviennent les terroristes, les menaces au nouveau système humaniste.

Et maintenant préparons-nous pour la finale tant annoncé par les eschatologues qui suivent l'actualité vaticane : l’abolition de la transsubstantiation.

Ce sera introduit dans la nécessaire mise à jour de la liturgie du novus ordo, lorsque débarrassée du vetus ordo, la messe traditionnelle.

C'est l'acte le plus important depuis la venue du Christ.

Et NSJC ne laissera pas une telle manoeuvre sans conséquence, car il est avec nous jusqu'à la fin des temps, via la transsubstantiation.

Notez que Benoît XVI avait rétabli la légitimité de la messe tridentine, par une tour de passe passe, la qualifiant de « rite extraordinaire » via le motu proprio Summorum Pontificum de 2007. Il avait écrit que la messe tridentine n'avait jamais été abolie et que des fidèles, assemblés en groupe stable, pouvaient légitimement demander qu'elle soit dite dans leur diocèse.

Traditionis Custodes du 16 juillet 2021 a aboli ce motu proprio.

22 juin

LE POINT DE NON RETOUR

Le tremblement de terre causé par la convocation de Mgr Viganò au Vatican, démontre à la face du monde, ce qui était caché pour certains, qu’il y a guerre au sein de l’église.

Ce qui est conforme avec la prophétie de l’église #11 de Jean XXIII « le 7ème sceau », point important s’il n’en faut dans le calendrier de la fin des temps.

« Il y aura la guerre dans la Mère, et les troupeaux se disperseront. »

C’est l’aboutissement d’un projet de longue haleine comme on a pu le constater dans les multiples analyses des dernières années.

Une guerre accentuée par les faux prophètes du Vatican suite à Vatican II contre la Tradition, l'Écriture, le Magistère et maintenant plus ouvertement, contre la Doctrine.

Tenter de museler Mgr Viganò, est le signal envoyé par les apostats qui confirme la mort des deux témoins à venir, une dernière attaque  définitive systématique et généralisée contre l’Église, la vraie, celle qui ne s’est pas prostituée pour emprunter les termes apocalyptiques, l’Église traditionnelle catholique.

Il est donc vraiment raisonnable de croire que la date du 16 juillet pourrait être celle de l'annonce de la suppression définitive et sans exception du vetus ordo de la liturgie tridentine suite à l’accusation de Mgr Viganò.

C’est un point de non-retour pour ce monde, cette génération condamnée par le Christ dans l’Évangile.

Mgr  Viganò ne s’est par présenté pour son procès, considérant la malhonnêteté de la procédure tout en confirmant que l’acte d’accusation est déjà déclaré, amenant même la preuve que la clique bergoglienne avait laissé filtrer les accusations à la revue américaine jésuite « America », puisqu’un article sur le sujet semble avoir été écrit avant même que qu’il ne rende public le document du Vatican.
(sa réponse sur aldomaria valli.it, en italien)

Les jésuites d'Amérique ont déjà confirmé les conclusions sur le sort de son procès, l’excommunication, sort qui attend tous les chrétiens se considérant de la tradition, les deux témoins, les laïcs et le clergé fidèles à la Loi et aux prophètes.

L’église conciliaire en est finalement arrivé à la conclusion, confirmant bientôt la fin de la sixième période de l’Apocalypse.

L’Église est inversée, sa partie conciliaire accusant de schisme sa partie traditionnelle, alors que c’est cette partie conciliaire qui s’est séparée de l’Église.

Voilà.

Le mystère d’iniquité est de plus en plus clair et confirmé.

Le point de non-retour est atteint.

Le choc, le silence d’une demi-heure suite à la mort des deux témoins probablement décrété le 16 juillet prochain en la fête de Notre-Dame du Carmel, confirmera la fin de la 6ème période et l’ouverture par le fait même du 7ème sceau :

« Et quand l'Agneau eut ouvert le septième sceau, il se fit dans le ciel un silence d'environ une demi-heure. » (Apocalypse, 8-1)

21 juin

Nous nous en allons tranquillement vers la mort des deux témoins, comme prévu.

« Le Dicastère pour la Doctrine de la Foi m’a informé, par un simple mail, de l’ouverture d’un processus pénal extrajudiciaire à mon encontre, m’accusant d’avoir commis le crime de schisme et m’accusant d’avoir nié la légitimité du « Pape François », d’avoir rompu la communion « avec Lui » et d’avoir rejeté le Concile Vatican II. Je suis convoqué au Palais du Saint-Office le 20 juin, en personne ou représenté par un avocat. Je suppose que la condamnation est également prête, compte tenu de la procédure extrajudiciaire.

Je considère les accusations portées contre moi comme un honneur. Je pense que le libellé même des accusations confirme les thèses que j’ai défendues à maintes reprises dans mes discours. Ce n’est pas un hasard si l’accusation portée contre moi concerne la remise en cause de la légitimité de Jorge Mario Bergoglio et le rejet de Vatican II : le Concile représente le cancer idéologique, théologique, moral et liturgique dont l' »Église synodale » bergoglienne est une métastase nécessaire.

L’épiscopat, le clergé et le peuple de Dieu doivent sérieusement se demander s’il est conforme à la profession de foi catholique d’assister passivement à la destruction systématique de l’Église par ses dirigeants, tout comme d’autres dirigeants détruisent la société civile.

> Le mondialisme appelle au remplacement ethnique : Bergoglio encourage l’immigration incontrôlée et appelle à l’intégration des cultures et des religions.

> Le mondialisme soutient l’idéologie LGBTQ+ : Bergoglio autorise la bénédiction des couples de même sexe et impose l’acceptation de l’homosexualité aux fidèles, tout en couvrant les scandales de ses protégés et en les promouvant aux plus hauts postes de responsabilité.

> Le mondialisme impose l’agenda vert : Bergoglio vénère l’idole Pachamama, écrit des encycliques délirantes sur l’environnement, soutient l’Agenda 2030 et attaque ceux qui remettent en cause la théorie du réchauffement climatique anthropique.

Il sort de son rôle en matière strictement scientifique, mais toujours dans une seule direction, diamétralement opposée à ce que l’Église a toujours enseigné.

> Il a imposé l’utilisation de sérums géniques expérimentaux, qui ont causé de très graves dommages, la mort et la stérilité, en les qualifiant d’ « acte d’amour », en échange de financements des industries pharmaceutiques et des fondations philanthropiques.

Ce consensus total avec la religion de Davos est scandaleux.

> Partout où les gouvernements au service du Word Economic Forum ont introduit ou étendu l’avortement, promu le vice, légitimé les unions homosexuelles ou la transition de genre, encouragé l’euthanasie et toléré la persécution des catholiques, pas un mot n’a été consacré à la défense de la Foi ou de la Morale menacée, au soutien des batailles civiles de nombreux catholiques abandonnés par le Vatican et les évêques.

> Pas un mot pour les catholiques persécutés en Chine, avec la complicité du Saint-Siège qui considère les milliards de Pékin plus importants que la vie et la liberté de milliers de Chinois fidèles à l’Église romaine.

> Pas de schisme, dans l’ « Église synodale » présidée par Bergoglio, ni de la part de l’épiscopat allemand, ni de la part des évêques nommés par le gouvernement et consacrés en Chine sans mandat de Rome. Parce que leur action va dans le sens de la destruction de l’Église, elle doit être cachée, minimisée, tolérée et enfin encouragée.

Au cours de ces onze années de « pontificat », l’Église catholique a été humiliée et discréditée principalement à cause des scandales et de la corruption des échelons supérieurs de la hiérarchie, totalement ignorés alors que l’autoritarisme le plus impitoyable du Vatican faisait rage contre les prêtres et les religieux fidèles, les petites communautés de religieuses traditionnelles, les communautés liées à la messe en latin.

Ce zèle unilatéral rappelle le fanatisme de Cromwell, typique de ceux qui défient la Providence dans la présomption de se savoir enfin au sommet de la pyramide hiérarchique, libres de faire et défaire à leur guise sans que personne ne s’y oppose.

Et cette œuvre de destruction, cette volonté de renoncer au salut des âmes au nom d’une paix humaine qui nie Dieu, n’est pas une invention de Bergoglio, mais le but principal (et inavouable) de ceux qui ont utilisé un Concile pour contredire le Magistère catholique et commencer à démolir l’Église de l’intérieur, à petits pas, mais toujours dans une seule direction, toujours avec la tolérance indulgente ou l’inaction coupable, sinon l’approbation explicite des Autorités romaines. L’Église catholique a été occupée lentement mais sûrement, et Bergoglio a été chargé de la transformer en une agence philanthropique, l’ « Église de l’humanité, de l’inclusion, de l’environnement » au service du Nouvel Ordre Mondial. Mais ce n’est pas l’Église catholique, c’est sa contrefaçon.

La renonciation de Benoît XVI et la désignation par la mafia de Saint-Gall d’un successeur conforme aux diktats de l’Agenda 2030 devaient permettre – et ont permis – que le coup d’État mondial soit géré avec la complicité et l’autorité de l’Église de Rome.

Bergoglio est à l’Église ce que les autres dirigeants mondiaux sont à leurs nations : des traîtres, des destructeurs, des liquidateurs définitifs de la société traditionnelle avec une certitude d’impunité. Le vice de consentement (vitium consensus) de la part de Bergoglio, en acceptant l’élection, se fonde précisément sur l’éloignement évident de ses actions de gouvernement et de magistère par rapport à ce que tout catholique de tout temps attend du Vicaire du Christ et du Successeur du Prince des Apôtres. Tout ce que fait Bergoglio constitue une offense et une provocation à l’Église catholique tout entière, à ses saints de tous les temps, aux martyrs qui ont été tués dans l’odium Fidei, aux papes de tous les temps jusqu’au Concile Vatican II.

Il s’agit aussi et surtout d’une offense au divin Chef de l’Église, Notre Seigneur Jésus-Christ, dont Bergoglio exerce l’autorité sacrée au détriment du Corps mystique, avec une action trop systématique et cohérente pour apparaître comme le résultat d’une simple incompétence. Dans l’action de Bergoglio et de son entourage, se réalise l’avertissement du Seigneur : Méfiez-vous des faux prophètes, qui viennent à vous sous l’apparence d’agneaux, mais qui, au fond, sont des loups ravisseurs (Mt 7,15). Avec eux, je m’honore de n’avoir ni ne vouloir aucune communion ecclésiale : leur lobby est un lobby qui déguise sa complicité avec les maîtres du monde pour tromper tant d’âmes et empêcher toute résistance à l’établissement du Royaume de l’Antéchrist.

Face aux accusations du Dicastère, j’affirme, en tant que Successeur des Apôtres, être en pleine communion avec l’Église catholique apostolique romaine, avec le Magistère des Pontifes romains et avec la Tradition doctrinale, morale et liturgique ininterrompue qu’ils ont fidèlement conservée.

Je répudie les erreurs néo-modernistes inhérentes au Concile Vatican II et au soi-disant « Magistère post-conciliaire », en particulier en matière de collégialité, d’œcuménisme, de liberté religieuse, de laïcité de l’État et de liturgie.

Je répudie, rejette et condamne les scandales, les erreurs et les hérésies de Jorge Mario Bergoglio, qui manifeste une gestion absolument tyrannique du pouvoir, exercé à l’encontre de la finalité qui légitime l’Autorité dans l’Église : une autorité vicaire de celle du Christ et qui, en tant que telle, ne doit obéir qu’à Lui. Cette séparation de la papauté de son principe légitimant qu’est le Christ pontife transforme le ministerium en une tyrannie autoréférentielle.

Aucun catholique digne de ce nom ne peut être en communion avec cette « Église bergoglienne », car elle agit en discontinuité et en rupture flagrantes avec tous les papes de l’histoire et avec l’Église du Christ.

Il y a cinquante ans, dans ce même palais du Saint-Office, l’archevêque Marcel Lefebvre a été convoqué et accusé de schisme pour avoir rejeté Vatican II. Sa défense est la mienne, ses paroles sont les miennes, ses arguments sont les miens, avant lesquels les autorités romaines ne pouvaient pas le condamner pour hérésie, devant attendre qu’il consacre des évêques pour avoir le prétexte de le déclarer schismatique et de révoquer son excommunication alors qu’il était déjà mort. Le schéma se répète même après que dix lustres ont prouvé le choix prophétique de Mgr Lefebvre.

En ces temps d’apostasie, les catholiques trouveront dans les pasteurs fidèles au mandat reçu de Notre Seigneur un exemple et un encouragement à demeurer dans la vérité du Christ.

Depositum custodi, selon l’exhortation de l’Apôtre : à l’approche du moment où je devrai rendre compte au Fils de Dieu de toutes mes actions, j’entends persévérer dans le bonum certamen et ne pas manquer au témoignage de foi qui est exigé de celui qui, en tant qu’évêque, est doté de la plénitude du sacerdoce et a été constitué successeur des Apôtres.

J’invite tous les catholiques à prier pour que le Seigneur vienne au secours de son Église et donne du courage à ceux qui sont persécutés à cause de la foi.

+ Carlo Maria Viganò, archevêque

20 juin 2024 »

20 juin

On a vu dans les dernières analyses que le temporel rejoint le spirituel aux niveaux des bêtes de la terre et de la mer de l'Apocalypse, que la Fille Aînée de l'Église rejoint Rome à la fin des temps, donc que le chao part des deux entités.

Comme preuve supplémentaire, voici ce qui se passe en France conjointement avec le Vatican concernant la messe tridentine et Traditionis Custodes.

De plus, ceux qui lisent ces analyses depuis quelques années savent qu'il y a un flou à propos de la succession des papes selon le prophétie de St-Malachie, et que selon les prophéties concernant l'Église de Jean XXIII, il y a la possibilité d'un remplaçant du pape élevé par les circonstances extrêmes de la situation, c'est à dire du Secrétaire d'État Pietro Parolin en position sur le siège de Saint Pierre sans conclave (voir analyses précédentes sur le cardinal Pietro Parolin comme étant probablement Pierre II le romain de la prophétie de Saint-Malachie, celui qui serait assassiné selon la prophétie de Jean XXIII).

« ... Du point de vue français, nous pouvons confirmer qu'un haut fonctionnaire aussi représentatif que le Nonce Apostolique en France fait tout pour obtenir une application maximale de la Traditionis Custodes . Mgr Celestino Migliore attise toujours l'ardeur liturgique anti-traditionnelle des évêques de France, insistant pour que la messe traditionnelle soit tolérée le moins possible et que les autres sacrements, notamment les baptêmes, les mariages et les confirmations, ne soient jamais administrés de manière traditionnelle. .

Un nonce apostolique est par mission un organe de la Secrétairerie d'État. Cela confirmerait que le cardinal Pietro Parolin, fils spirituel du cardinal Silvestrini, leader de la Rome libérale pendant des décennies, est un pur « progressiste », admirateur de l'Ostpolitik du cardinal Casaroli, qu'il a imité et même dépassé dans ses accords avec la Chine, qui se cache sous la surface d'un homme sensé (il ne se souciait qu'à moitié d'approuver que Fiducia Supplicans permettait la bénédiction des couples homosexuels. Son nom apparaît constamment aujourd'hui parmi les papabilis, celui d'un homme de la lignée de Bergoglio, mais sérieux, réfléchi trempant dans les dossiers).

Sans avoir de cabinet fantôme, ce Secrétaire d'État/candidat au titre de Pape a des hommes sur lesquels il peut compter le moment venu... si le moment vient... Et l'un d'eux est le Nonce Migliore, de l'écurie du Cardinal Becciu et une des personnalités les plus importantes du corps diplomatique du Saint-Siège. Il a été envoyé en France en 2020 pour « bergogiser » l'épiscopat français. En ce sens, l'abandon de Michel Aupetit de l'archevêché de Paris, suivi de la nomination de Laurent Ulrich à ce siège, est l'une de ses plus brillantes réussites.

On raconte qu'une promesse tacite aurait été faite à l'efficace Celestino Migliore : il serait le secrétaire d'État du pape Parolin, mais à condition qu'il parvienne à éradiquer le traditionalisme en France. D'où ses efforts disproportionnés auprès de la Conférence épiscopale française et des évêques, qui éviteraient à un Parolin devenu pape d'avoir à gérer cet épineux dossier.

C'est ce zèle tout à fait carriériste qui suscite une grande consternation parmi les évêques de France, même parmi ceux convaincus du bien-fondé de la Traditionis Custodes mais qui se rendent compte qu'une telle entreprise est impossible en France à moins de se lancer dans une croisade bien étrangère à l'époque où nous vivons, et dont le succès serait très incertain en ces temps de dialogue et d'Église synodale.

Mais entre-temps, le nonce Migliore continue d'insister, même à huis clos, en affirmant qu'il ne faut pas prendre au sérieux les fidèles traditionnels. » (caminante-wanderer.blogspot.com)

Nous approchons du 40 jours après la date du signe de Jonas du 13 mai dernier.

Et la tache solaire qui a causé cette tempête est toujours active après un passage face à la terre en début juin, et qui est maintenant sur le point de réapparaître face à la terre autour de la Saint-Jean Baptiste.

Il est rare qu'une tache solaire conserve son énergie pour durer aussi longtemps.

Pour l'instant, c'est toujours le cas.

19 juin

Voilà que cela se confirme exactement comme prévu selon les dernières analyses:

« Des sources ont déclaré à Rorate Caeli que les responsables du Vatican souhaitent interdire la messe latine de la manière « aussi large, définitive et irréversible que possible », et une source a informé LifeSiteNews que cette interdiction sera probablement émise à l’occasion du troisième anniversaire de Traditionis Custodes.

( LifeSiteNews ) — Plusieurs sources « crédibles » ont informé un média catholique traditionnel que le Vatican prévoyait de publier un document « interdisant » la messe traditionnelle latine, et une source a informé LifeSiteNews que cela se produirait probablement le 16 juillet.

« On tente de mettre en œuvre, le plus vite possible, un document du Vatican contenant une solution stricte, radicale et définitive interdisant la messe traditionnelle en latin », a rapporté lundi Rorate Caeli , qui attribue la nouvelle aux « sources les plus crédibles, dans différents continents », y compris aux « cercles proches » du cardinal Arthur Roche, préfet du Dicastère pour le culte divin.

Ces sources seraient « les mêmes… qui ont été les premiers à révéler qu’un document comme Traditionis Custodes viendrait » et qui ont également « révélé à Rorate que le Vatican avait envoyé une enquête aux évêques » sur leur mise en œuvre du TLM à la suite du motu de 2007 du pape Benoît XVI. proprio Summorum Pontificum , qui a permis une large utilisation de la messe latine.

Selon Rorate , ceux qui planifient cette suppression « définitive » du TLM sont « frustrés » par les « résultats apparemment lents » du document du pape François restreignant la messe en latin, Traditionis Custodes , en particulier aux États-Unis et en France, et « veulent l’interdire et le fermer partout et immédiatement »… »

15 juin

LE QUATRIÈME COUP DE CANON

« … Les assassins sont en Europe. Ils veulent la Méditerranée…

Ce n'est pas le temps d'un roi, ce ne l'a jamais été. Depuis la mort de Frédéric, chaque roi est usurpateur. Que le roi s'en aille, reste le peuple. L'Europe a soif, elle aura du sang dans les rues. » (prophétie politique « Grand Éclair à l’Orient » de Jean XXIII)

Nous assistons au dernier acte avant la chute définitive de Babylone la grande : la guerre sur le territoire israélien pour l’embrasement autour de la Méditerranée.

La synagogue de Satan établie en Europe mène le bal.

Elle a sa marionnette, fils spirituel des Rothschild, Emmanuel Macron.

Suite à l’article du signe de Jonas, on se doutait que le chaos guettait la fille aînée de l’Église pour juillet 2024.

Force est de constater que tout semble se mettre en place avec les élections législatives du 30 juin : le lendemain de la fête des saints Pierre et Paul.

Le spirituel rejoint le temporel.

La bête de la mer rejoint la bête de la terre pour une grande finale.

Pour l’importance du Vatican et de la France en ce moment critique, voici un résumé du regretté Louis D’Alencourt du Grand Réveil: « 1958, le tournant : l’Église est veuve »

« Rome détient le pouvoir spirituel ; c'est la nouvelle Jérusalem et le Vatican le nouveau temple de Dieu.
L’Église est fondée à Rome, et c'est là qu'y meurent ses deux fondateurs : saints Pierre et Paul. Cette fondation sera prolongée jusqu'à aujourd'hui par la continuité apostolique des souverains pontifes.

La France détient le pouvoir temporel ; le peuple de Dieu est désigné dans l'Ancien Testament par un mot qui désigne à la fois une entité collective (le peuple) son fondateur (Jacob) et même son territoire. Ce mot c'est Israël.

Le Nouveau Testament a changé la donne : le peuple de Dieu n'est plus le peuple hébreu, il est constitué désormais de tous les hommes qui croient en la divinité de Jésus-Christ et qui affirment publiquement cette foi par le baptême, condition obligatoire pour devenir officiellement enfant de Dieu.

Le royaume de Dieu créé par Jésus lors du triduum pascal est donc constitué d'un nouveau peuple, rassemblé dans un nouveau temple (l’Église) et disposant d'un nouveau territoire : le monde entier.

Mais de même qu'il faut un siège pour la nouvelle église (ce sera Rome) il faut un pays et un peuple pour continuer à symboliser à la fois la terre promise et le peuple de Dieu…

C’est la France, terre choisie de toute éternité par la Sainte Vierge...

À la fin des temps, les deux endroits sur lesquels le monde aura les yeux fixés sont Rome et la France.

Emmanuel Macron est né un 21 décembre. A ce niveau-là, le hasard n'existe pas. Surtout quand on sait que le prénom Emmanuel veut dire "Dieu avec nous" en hébreu. On comprend mieux pourquoi la presse aux ordres le compare à Jupiter.

Personnellement, je pense que dans leur esprit Emmanuel Macron est une sorte de nouveau roi David ; il n'est pas le Messie, car le Messie est Dieu (les juifs sont les premiers à le savoir) mais il leur faut un grand roi (le plus grand puisque le Messie est appelé fils de David) qui saura épauler le Messie le moment venu… »

Nous ne sommes plus eschatologiquement sur du temps long, mais court.

Car Satan est sur le point de proclamer sa victoire.

L’Antichrist est présent.

C’est un système.

Le système politique et spirituel dans lequel nous vivons et qui est sur le point d’atteindre son apogée.

La prophétie de Jean XXIII au début de cet article est très claire.

Emmanuel Macron veut s’imposer comme roi.

Emmanuel Jean-Michel Frédéric Macron, de son nom complet, a mis la France dans le trouble financièrement, et provoque sans équivoque  la Russie en envoyant des troupes au sol en Ukraine, de même que des armes plus sophistiquées.

Du chaos à venir l’ordre doit surgir.

La bête de la mer (Vatican) rejoint la bête de la terre (politique, Macron en tête) en ce mois de juin.

Comme preuve ultime, nous avons Bergoglio qui participe à la réunion du G7 cette semaine, confirmant ainsi la fusion de l’église conciliaire à la religion humaniste franc-maçonnique.

« Ce sera pendant ce temps que naîtra l’antéchrist, d’une religieuse hébraïque, d’une fausse vierge qui aura communication avec le vieux serpent, le maître de l’impureté ; son père sera évêque » (La Salette)

La religion catholique conciliaire (fausse vierge) et son père évêque (c’est bien ce qu’affirme être Bergoglio) couche avec la synagogue de Satan (religieuse hébraïque).

Alors que le mois de juin est le mois consacré au Sacré-Cœur dans l’Église catholique, il est devenu le mois de la fierté gay, même pour Bergoglio.

Satan ayant donc transmuté tout ce qui était sacré dans la société chrétienne pour des considérations humanistes, s’apprête à donner le quatrième coup de canon.

Cette stratégie de Satan, expliquée dans l’article de Louis D’Alencourt dans la référence ci-dessus, est le long cheminement pris par les franc-maçons pour éliminer la présence du Christ sur cette terre.

Albert Pike, chef luciférien bien connu a en résumé le plan.

Les trois premiers ont été donné (extraits de l’article du Grand Réveil):

« 1) Premier coup de canon : l’œuvre et l’action de Luther
Date retenue par Pike :  10 décembre 1520 (Luther brûle la bulle papale et le droit canonique)

2) Deuxième coup de canon : destruction de la monarchie catholique par la décapitation d’un roi chrétien.
Date : 21 janvier 1793 (mort de Louis XVI)

3) Troisième coup de canon : abolition du pouvoir temporel des papes.
Date : 20 septembre 1870 (chute des États Pontificaux)

4) Quatrième coup de canon : abolition définitive de la papauté ; plus exactement « abolition du pouvoir spirituel de la papauté chrétienne, après l’abolition du pouvoir temporel.
Date : à déterminer ; fait ou à venir ?

Puisque le quatrième coup de canon semble similaire au troisième (la papauté est concernée dans les deux cas) et que les enjeux se suivent (perte du pouvoir temporel d’abord, du pouvoir spirituel ensuite), on peut tenter d’établir un parallèle entre les deux périodes historiques afin d’essayer de savoir quand réellement le quatrième coup de canon a été tiré.

C’est là que la France intervient, et effectivement les faits sont suffisamment troublants pour être signalés : à chaque fois, les événements de Rome sont précédés d’un changement majeur de régime en France. Comme s’il fallait d’abord neutraliser la France, protectrice de l’Église catholique, avant de pouvoir s’attaquer à la papauté... »

À CHAQUE FOIS, LES ÉVÉNEMENTS DE ROME SONT PRÉCÉDÉS D’UN CHANGEMENT MAJEUR DE RÉGIME EN FRANCE.

Et, en ce mois de juin, nous avons bien les signes de la parabole du figuier, autant politique que spirituel.

Surtout suite au possible signe de Jonas du 11 au 13 mai dernier.

Quels sont les signes de « feuilles tendres du figuier » auxquels nous avons droit?

Le premier, évidement, est la guerre qui s’intensifie, et la France qui en est le moteur principal de montée en tension.

De même, l’OTAN pousse la provocation encore plus loin en permettant que les armes américaines puissent être utilisées en territoire russe, tout en confirmant que les chasseurs F16s danois et hollandais sont sur le point d’être livrés à l’Ukraine.

La Russie répond que chaque pays accueillant les armes utilisées contre son territoire sera susceptible d’être une cible, tout en envoyant une flotte navale pour un «exercice» dans les eaux des caraïbes, accostant même à Cuba avec 4 navires et un sous-marin.

Çà commence drôlement à ressembler à la crise d’octobre 1962… et à la prophétie de Jean XXIII « Grand Éclair à l’Orient » où la terre frisera le massacre.

Jean XXIII avait cru bon justement de publier « Pacem in Terris » le 11 avril 1963 pour calmer le jeu.

Au niveau spirituel, Bergoglio est sur le point de fusionner l’église conciliaire définitivement avec la pensée maçonnique par son humanisme débridé, en interdisant simplement la tradition.

Nous savons de toute façon ce qui arrivera puisque l’Apocalypse nous avertit : il y aura mort des deux témoins.

Mais le signe le plus évident de la fin des temps est le décès éventuel de Bergoglio.

Car c’est Dieu et la chrétienté qui importent, et c’est là qu’il faut regarder.

Bergoglio vieillit. Il a de la difficulté à respirer, à marcher,… Bref sa santé décline à vue d’œil.

LE TEMPS PRESSE.

La fin de la papauté est l’objet de plusieurs prophéties qui concordent toutes sur ce point.

Toutes.

- Jean XXIII avec la prophétie de l’Église #11 « Le Septième Sceau ».

- La prophétie de Saint-Malachie sur les 111 papes successifs.

- La prédiction de Satan cité dans le « Diable au XIXème siècle », publié en (1893, le docteur Bataille explique comment des questions sont posées à Lucifer via Sophia Walder lors de séances occultes bien particulières :
« A la dernière de ces séances, du moins à la dernière à laquelle j’assistai en cette année-ci, la question posée à la pythonisse luciférienne fut :

– Combien de papes succéderont à Léon XIII ?
Et la réponse, en lettres rouges, qui parut sur la chair blanche, fut :

– Neuf, et après je règnerai. »

Il y a bien eu 9 papes après Léon XIII avant de voir le destructeur Bergoglio monter sur le trône de Saint-Pierre.

C’est avec lui qu’il règne.

Effectivement.

- La suite de Garabandal cité dans l’analyse générale : trois papes après Jean XXIII, dont un ne compte pas (Jean-Paul I), avant le destructeur.

- Diana Vaughan était une grande prêtresse luciférienne de la fin du XIXème siècle, miraculeusement convertie, et qui eut le temps de faire quelques révélations avant d’être enlevée par les francs-maçons. Dans un de ses livres, elle explique certains versets du livre Apadno (prophéties sataniques dictées par Lucifer à Albert Pike), et notamment les versets 18 et 19 :

« Le verset 18 explique que le dernier pape des catholiques sera un juif converti à la religion du Christ ; pendant son pontificat, il n’y aura plus un seul juif qui ne soit luciférien. Lui-même, lorsque l’Antichrist se sera révélé au monde, il abandonnera son catholicisme romain, non pas pour retourner au mosaïsme, mais pour adopter le culte de Lucifer ; il déposera la tiare et son zèle sera grand pour l’œuvre du palladisme triomphant. Dans l’Apadno, ce franc-maçon qui occupera le souverain pontificat luciférien, au temps de la mission publique de l’Antichrist, est aussi appelé le Rempart de Dieu.

- Dans l’Apocalypse :

« C'est ici qu'il faut un esprit doué de sagesse. — Les sept têtes sont sept montagnes, sur lesquelles la femme est assise. Ce sont aussi sept rois :

Les cinq premiers sont tombés, l'un subsiste, l'autre n'est pas encore venu, et quand il sera venu, il doit demeurer peu de temps.

Et la bête qui était et qui n'est plus, en est elle-même un huitième et elle est des sept, et elle s'en va à la perdition. » (Apocalypse 17, 9-11) »

La clé pour démarrer le compte (guidé par « l’esprit de sagesse » et du fait qu’on ne peut reconnaître les faits qu’en y étant présent) est celui qui « subsiste », c’est à dire Benoît XVI. Cinq papes avant lui donc.

Et la bête qui était et qui n'est plus, en est elle-même un huitième et elle est des sept, et elle s'en va à la perdition.

Et Bergoglio, qui représente la bête marxiste socialiste judéo-maçonnique, est le septième pape, mais il a décidé d’abandonner son titre de vicaire du Christ, ET, d’abandonner son titre de pape en décidant qu’il n’était, dans son idée de collégialité, que l’évêque de Rome (en référence aux sept collines).

Il est devenu le huitième, la bête cachée derrière le titre de pape, et qui s’en va à la perdition.

Il est donc roi du Vatican, vassal de Satan, qui domine le Saint-Siège.

C’est pourquoi il faut avoir à l’œil la date du 29 juin prochain quant aux intentions de Bergoglio concernant la messe traditionnelle.

Car Rome a perdu la foi et est devenu le siège de l’Antichrist conformément à l’annonce à la Salette.

Et, comme la Chrétienté a pris ses ailes à Rome, les persécutions partent aussi de Rome parce qu'aux derniers Temps, l'Église est inversée par rapport à elle-même.

Il en est de même pour le politique.

Les persécutions partiront du chaos dans la fille aînée de l’Église.

Conformément aux prédictions de la Salette, l’Église a été éclipsée, le Monde catholique est dans la consternation.

Les deux témoins, les fidèles à la Loi et aux prophètes du clergé et les laïcs, avec comme tête la tradition, prêchent avec la force de Dieu et condamnent les erreurs diaboliques de l’Antéchrist.

Le calendrier de l’Apocalypse s’accélère, car nous sommes maintenant sur du temps court.

Le temporel rejoint le spirituel.

Et juste quand nous écrivions cette analyse clé...

BERGOGLIO LANCE LE QUATRIÈME COUP DE CANON!

Le 13 juin dernier, un mois jour pour jour après le signe de Jonas.

107 années après l'apparition du 13 juin 1917 à Fatima où la Sainte Vierge demande la dévotion à son COEUR IMMACULÉ, qui est le refuge, NOTRE refuge pour la fin des temps.

ET, c'est le 13 juillet 1917 qu'elle demande la CONSÉCRATION DE LA RUSSIE.

Les 100 ans accordés à Satan pour détruire l'Église sont terminés (vision de  Léon XIII).

Nous avons eu 7 ans de grâce supplémentaire.

Bergoglio a publié le document qui fera basculé la papauté! (voir ici en français)

ET LA MESSE.

L’œcuménisme dans toute sa gloire.

Et signé (remarquez la page couverture) par…

L’évêque de Rome.

Évidement.

Ce qu’en dit Mgr Vigano :

« Le document d'étude du Dicastère pour la promotion de l'unité des chrétiens « L'évêque de Rome. Primauté et synodalité dans les dialogues œcuméniques et dans les réponses à l'encyclique Ut unum sint" est l'application cohérente des prémisses subversives posées par Vatican II et les "papes conciliaires" :

– La messe a été frelatée sur le modèle de la Cène protestante ;

– le prêtre est devenu le « président » d'une assemblée ;

– l'autorité a été retirée aux évêques par les conférences épiscopales et le synode, qui se l'ont appropriée au nom de la collégialité ;

– maintenant le Pape doit devenir le « primus inter pares » des sectes chrétiennes, il doit trahir le mandat confié par le Christ à Pierre et à ses successeurs et abdiquer le rôle de Vicaire du Christ.

La secte bergoglienne s'apprête à rejoindre les autres communautés schismatiques et hérétiques, après avoir embrassé leurs erreurs. Bref, le futur chef de la nouvelle Religion de l’Humanité souhaité par l’élite maçonnique du Nouvel Ordre Mondial se dessine déjà.

Ce plan a nécessité des décennies de préparation et a utilisé la démission de Benoît XVI comme un élément supplémentaire pour détruire la papauté, compte tenu de l'action destructrice du jésuite argentin.

La trahison commence au sommet de l'institution, et elle n'a pas commencé avec Bergoglio : ce document d'étude n'est rien d'autre que la reproposition de ce que Jean-Paul II espérait dans l'encyclique Ut unum sint, qui à son tour fait référence au Vatican. Concile II.

La trahison était déjà inhérente à l’œcuménisme, proposée à nouveau dans la période post-conciliaire dans les mêmes termes avec lesquels elle avait été condamnée auparavant.

L'usurpateur Bergoglio utilise le pouvoir de la Papauté pour la discréditer, l'humilier et déformer définitivement son essence immuable voulue par le Christ lui-même. Et sans changer officiellement (doctrinalement) l'institution monarchique de l'Église, en fait (pastoralement) Bergoglio la renverse, en faisant une institution synodale seulement apparemment démocratique dans laquelle l'Église profonde est une alliée de l'État profond dans l'établissement de l'anti- Dictature du Christ du Nouvel Ordre Mondial.

Bergoglio a usurpé la papauté avec l’intention perverse de détruire ce qui restait de l’Église catholique : muter génétiquement la papauté afin de la soumettre totalement à l’idéologie mondialiste.

Bergoglio abuse du pouvoir suprême dans l’Église pour démolir l’Église, exactement comme dans la sphère civile d’autres subversifs abusent de leur autorité pour effacer la souveraineté et l’identité même des peuples.

La révolution conciliaire suit le même schéma subversif que l’on a vu appliqué dans la sphère civile depuis la

Révolution française et qui nous est à nouveau proposé aujourd’hui avec le coup d’État de l’Agenda 2030.

Bergoglio est le syndic de faillite d'un plan diabolique planifié il y a plus de soixante ans. »

On l'avait annoncé et analysé abondamment.

Et toujours affirmé qu'il ne s'agissait que de l'annoncer car nous savons en tant que chrétiens éveillés que la présence réelle ne sera jamais écarter.

C'est la promesse de NSJC: « Je serai avec vous jusquà la fin du monde »

Cette génération est condamnée.

La messe oecuménique abolissant la présence réelle est à nos portes!

C'est confirmé par le Vatican.

La suite appartient au Christ.

Dieu vous bénisse.

01 juin

En hommage au regretté Louis D’Alencourt (grandreveil.wordpress.org), qui a inspiré en partie cette analyse.

La disparition de Louis pour ses lecteurs a été un choc monumental, puisque rien le laissait présager un tel dénouement.

Paix à son âme.

Sa mission est donc terminée dans ce monde temporel.

Il méritait grandement de partir sans être témoin du courroux qui s’en vient.

Le Père, en venant le chercher si tôt nous donnerait-il un signe?

Cela signifierait-il qu’il ne reste que peu de temps pour se convertir?

Car, à partir de la fin de la 6ème période de l'Apocalypse (c'est à dire maintenant), lorsque la chute de Babylone est enclenchée, il sera trop tard, car le 7ème sceau ouvre la porte du Jugement.

La parabole du figuier (Matthieu 24, 32-35) est très appropriée.

Maintenant!

« Écoutez une comparaison prise du figuier. Dès que ses rameaux deviennent tendres, et qu'il pousse ses feuilles, vous savez que l'été est proche. Ainsi, lorsque vous verrez toutes ces choses, sachez que le Fils de l'homme est proche, qu'il est à la porte. Je vous le dis en vérité, cette génération ne passera point que toutes ces choses n'arrivent.Le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront point. »

LE SIGNE DE JONAS? (partie II)

Avez-vous remarqué que Bergoglio n’a pas été le célébrant principal de la messe depuis le milieu de l’année 2022?

La messe tridentine est au cœur du sujet car elle fait obstacle à la futur cérémonie œcuménique poussée par Bergoglio dans les derniers mois.

D’où ses attaques :

- « CITÉ DU VATICAN, 30 juin 2021 ( LifeSiteNews ) — Le Vatican a décidé d’interdire le latin, la langue traditionnelle de l’Église catholique, de la célébration de la plupart des messes dans la basilique Saint-Pierre.

- Traditionis Custodes du 16 juillet 2021 interdisant la messe tridentine.

- Bergoglio renforce son Motu Proprio Traditionis Custodes lors de la fête des Saints Pierre et Paul en juin 2022, pour le dernier droit vers la messe œcuménique. (vaticannews.va)

- « C’est pourquoi j’ai écrit Traditionis custodes , afin que l’Église élève, dans la variété de tant de langues, une seule et même prière capable d’exprimer son unité.

« Comme je l’ai déjà écrit, j’entends que cette unité soit rétablie dans toute l’Église de rite romain », a déclaré François…

« Bergoglio a l’intention de mettre fin à la messe traditionnelle en latin en imposant le Novus Ordo à tout le rite romain sous prétexte d’unité », a averti le clerc, affirmant plus tard que l’exhortation du pape à « abandonner nos polémiques pour écouter ensemble ce que l’Esprit dit à l’Église » est une manière voilée de dire « nous devons abandonner la Tradition et nous soumettre à sa volonté [de François] ».

La journaliste vaticane Bree Dail a écrit que, « selon plusieurs sources, le pape François » ne croit plus au débat en cours « sur » l’herméneutique de la continuité « , mais « a clairement exprimé sa position personnelle, en rupture avec son prédécesseur, Benoît XVI »… » (lifesitenews.com)

- Dans son homélie pour la fête des saints Pierre et Paul, le pape a semblé comparer les catholiques « rigides » à la persécution de l’Église par saint Paul.

… Le pape François s’est alors lancé dans ce qui est devenu une attaque régulière contre les catholiques « rigides », semblant suggérer que les catholiques « rigides » sont comme saint Paul dans son zèle anti-catholique.

« Le pape appelle à la fin de la « défense intransigeante de la tradition »

Comme on le voit, les attaques ont lieu à la fête de Saint-Pierre et Saint-Paul, le 29 juin.

On se rappelle que c’est en cette journée aussi que…

« devant la situation de l’Église d’aujourd’hui, nous avons le sentiment que par quelque fissure la fumée de Satan est entrée dans le peuple de Dieu… » Paul VI, 29 juin 1972.

C’est le contexte actuel.

Le synode des synodes est supposé achever le plan dont la victoire sera ensuite célébrée par un temps de fraternité universelle, le Jubilé 2025.

Le temps presse.

Voyons nous un mouvement de masse de conversion à la vraie Foi?

La réponse est évidente.

Le signe de Jonas est proche…

Ou, a eu lieu!

En quoi consiste le signe de Jonas?

Rappelons en quelques mots l’histoire de Jonas : celui-ci est chargé par Dieu d’aller porter un message à la ville de Ninive, en Assyrie.

Jonas refuse sa mission et s’embarque sur un bateau vers une destination opposée. Dieu provoque une tempête qui aboutit à la conclusion que la présence de Jonas est la cause de cette tempête, et celui-ci est jeté à l’eau.

Il est avalé alors par un grand poisson dans le ventre duquel il reste 3 jours et 3 nuits.

Le poisson le rejette sur le bon rivage et Jonas part à Ninive délivrer son message : « Encore 40 jours et Ninive sera détruite ».

Les gens de Ninive crurent en Dieu, décrétèrent un jeûne et se couvrirent de sacs, du roi jusqu’aux bêtes, et se repentirent de leurs mauvaises actions.

Finalement, devant l’attitude de pénitence des ninivites, Dieu épargnera la ville.

Le signe de Jonas que Jésus indique, ce sont les 3 jours que passe ce dernier dans l’obscurité dans le ventre du poisson.

Ce signe est indissociable de la mission de Jonas qui consiste à annoncer que dans 40 jours Ninive sera détruite.

Alors, quelle est la nature de ces 3 jours?

Le livre de Jonas parle d’une grande tempête.

Après ses 3 jours et 3 nuits, Jonas prend immédiatement le chemin de Ninive car cette dernière n’a que 40 jours pour se convertir avant d’être détruite.

Le même sort nous attend.

Mais contrairement à Ninive, l’Apocalypse nous indique qu’il n’y aura pas de conversion en cette fin des temps :

Il est expliqué que malgré les signes,  « les autres hommes, ne se repentirent ni de leurs meurtres, ni de leurs enchantements, ni de leur impudicité, ni de leurs vols.» (Apoc. 9, 21).

Une attitude confirmée dans le livre de Daniel : « il y en aura beaucoup qui seront purifiés, blanchis et éprouvés ; et les méchants feront le mal, et aucun méchant ne comprendra ; mais les intelligents comprendront. » (Daniel 12, 10)

Le Christ nous l’a indiqué.

Le seul signe qui sera donné avant son retour sera celui de Jonas.

Et, Babylone n’aura que 40 jours avant le début des châtiments et des deux derniers grands malheurs (6è et 7è trompettes) de l’Apocalypse.

Que représente le chiffre 40?

« La durée de quarante jours, ... recouvre une valeur symbolique. Est-ce à dire qu’historiquement, quarante jours, soit quarante journées et quarante nuits, ont séparé la Résurrection du Christ de son Ascension ?

Pas nécessairement.

Ces quarante jours désignent en fait un temps d’attente et rappellent à la fois les quarante jours du Déluge qui s’abat sur la Terre, les quarante ans du peuple hébreu dans le désert, les quarante jours du jeûne de Moïse au Mont Sinaï avant de recevoir la loi, les quarante jours d’errance du prophète Élie et les quarante jours que le Christ passe au désert.

Tous traduisent une durée, une durée longue et mystérieuse.

Quarante, dans la tradition de l’Église, c’est aussi le nombre de jours du Carême : c’est le temps de l’attente, le temps du silence et de la prière, un temps nécessaire d’épreuve, de cheminement et de maturation pour se préparer à retrouver Dieu. Une période nécessaire, aussi, pour que les disciples s’approprient la vérité ahurissante de la résurrection, pour ensuite en témoigner à leur tour. Quarante jours pour se rappeler que la foi est un chemin, toujours un chemin, et que l’épreuve, l’ajustement et le doute précèdent l’heureuse union avec Celui qui nous aime tant.(fr.aleteia.org)

Notons également, que le nom de Jésus (Ieshoua) a pour valeur numérique 47 en hébreu.

Le nombre du Christ en gloire est donc le 47.

Le mois de mai est le mois de Marie ; rien ne nous interdit de penser qu’en l’honneur de la Vierge Marie, les armées célestes ont commencé la grande épuration.

Puisque les apparitions de Fatima ont commencé le 13 mai 1917.

Puisque Don Bosco avec sa prophétie sur le retour de l'Iris de Paix prévient que ce sera avant le mois des fleurs, de Marie, de mai, ayant deux pleines lunes (c'est à dire mai 2026).

L'entièreté du calendrier de la fin des temps (chute de Babylone, mort des témoins, résurrection des témoins, mort de l'Antichrist, etc..) doit avoir lieu avant cette limite si la vision de Don Bosco est véridique.

Le regretté Louis d’Alencourt (du Grand Réveil) indiquait qu’il y avait un compte long en eschatologie, et qu’au derniers temps, le compte serait court.

En jours.

Dans la nuit du 10 au 11 mai dernier, une série d’éjections de masse coronales du soleil a atteint notre planète provoquant la tempête magnétique la plus intense depuis des décennies.

Elle s’est terminée 3 jours et 3 nuits plus tard, dans la nuit du 13 mai, date anniversaire de Fatima.

Du vendredi après-midi au dimanche, comme la Passion du Christ.

Comme indiqué par le signe de Jonas.

De plus, la tempête a eu lieu le lendemain de la fête de l’Ascension, le jeudi 9 mai.

À L’Ascension, NSJC, qui était jusque là visible pour ses apôtres et disciples, rejoint le Père.

Deux anges s’adressent alors aux disciples qui regardent encore en l’air : «  Hommes de Galilée, pourquoi vous arrêtez-vous à regarder au ciel ? Ce Jésus qui, du milieu de vous, a été enlevé au ciel, en viendra de la même manière que vous l'avez vu monter. » (Actes 1, 11).

C’est donc à l’Ascension que ce qui était visible est redevenu invisible.

Conformément à la parole des anges, c’est à l’Ascension que ce qui était invisible redeviendra visible.

C’est peut-être ce qui est arrivé en début mai.

Si c’est le cas et si nous sommes sur un compte court, alors les 40 jours de conversion, selon le signe de Jonas, s’applique à partir du 13 mai.

Ce qui nous amène au 22 juin, juste avant la Saint-Jean Baptiste, le précurseur du Christ.

Le chiffre sacré du nom de Jésus étant 47, ceci nous amène au 29 juin, soit la solennité Saint Paul et Saint Pierre.

Et on sait que cette date est fatidique : fumée de Satan annoncée par Paul VI, attaques contre la Sainte Messe, etc.

Parce que aussi, cette fête est importante pour le mouvement œcuménique moderne!

Alors, est-ce que la tempête du 11 mai représente le signe de Jonas?

Elle a été vue par toute la planète, même dans des endroits où on n’est pas témoin d’aurores boréales ou australes normalement.

Est-ce que l’impact incite à la conversion?

Certainement pas parce que le monde a sacrifié le surnaturel pour la science, et que les cerveaux sont anesthésiés par l’apostasie, le matériel, la jouissance des biens de ce monde, le sens de l’invincibilité, en la croyance que l’humain peut contrôler tout… même le climat.

Et de toute façon, l’Apocalypse nous confirme qu’il n’y aura pas de conversion!

Alors, pourquoi un signe?

Parce que Dieu s’adresse à nous par le visible et que les sages de ce monde qui existent regardent encore le ciel, en attente d’un signe, car ils connaissent les écritures.

N’oublions pas : l’invisible redeviendra visible.

Logiquement, si signe il y a eu, l’étape des 40 jours devrait être critique, l’humanité devrait s’inquiéter.

Est-ce le cas?

Pas vraiment.

On a jouit du spectacle puis on est retourné à ses affaires habituelles.

Or, la tache solaire qui a provoqué la tempête du 11 mai vient de réapparaître (28 mai) de son périple de 12.5 jours derrière la face cachée du soleil.

Et, immédiatement, elle nous a donné trois éjections de classe X2.9, X1.1 hier, et X1.4 ce matin.

C'est la 49ème éjection de classe X du cycle 25 du soleil (des cycles de 11 ans).

On a déjà égalé le nombre du cycle précédent au total, le cycle 24.

Et nous ne sommes même pas au maximum solaire...

Quand on sait que la limite du diable est de 49 coudées...

Rien d’inquiétant pour l'instant (la tache ne faisant pas face directement à la terre encore), si ce n’est qu’une possibilité d’aurores mineures, mais les 10 prochains jours nous donnerons plus de détails lorsque la tache AR3697 nous fera face directement.

La probabilité d’une nouvelle tempête est passée de 1% à 30% en une seule journée le 31 mai.

La tempête du 11 mai a servi d’avertissement.

49 jours à partir du 11 mai nous amène en juillet, prêt pour l'entrée dans le maximum solaire.

Babylone la grande pourrait bien chuter en juillet 2024, mois important, puisque la fille aînée de l'Église s'élèvera par son égoïsme avec les jeux olympiques, sans oublier le 16 juillet, fête de ND du Carmel, une des trois figures de Marie lors du miracle d'octobre 1917, et date choisie par Bergoglio pour publier Traditionis Custodes il y a déjà trois ans.

Et dire que Satan singe Dieu, un chiffre singeant la Trinité tel que le trois est de mise pour une telle prédiction.

Étant donné l'importance du moment et avec ce que nous venons de démontrer dans les analyses, des mises à jour seront publiées aussitôt qu'une alerte d'éjection de masse coronale (CME) sera émise.

Pour ceux qui se demandent pourquoi et qui n'ont pas lu les analyses précédentes, une tempête majeure comme en 1859 et 1989 a le potentiel d'envoyer ce monde au moyen âge en courcircuitant tout ce qui est électronique, et puisque ce monde orgueilleux ne dépend que de l'électronique pour sa survie maintenant...

Ce serait alors un vrai signe de Jonas, quelques jours sinon des mois de noirceur.

Mai 2024

30 mai

LE SIGNE DE JONAS? (partie I)

LE signe.

Qui, actuellement, a la faculté de reconnaître le signe?

Nous savons que le Vatican élabore une nouvelle messe œcuménique qui aura pour conséquence de faire disparaître la présence réelle, du moins, c’est l’intention mais nous savons que c’est impossible.

Mais, dans notre monde déchristianisé, qui est-ce que cela intéresse?

Pourtant, la messe demeure au cœur du sujet au Vatican.

Pourquoi?

Parce c'est la dernière étape du plan de destruction établi par la synagogue de Satan depuis longtemps.

Pendant que le monde s’apostasie, la synagogue croit encore au spirituel, car il domine le politique.

Cette dernière a établi son emprise sur le temporel grâce à la finance, les magouilles, aux accords de Latran, et à Vatican II: en effet, la puissance de la synagogue de Satan s’étend sur tous les peuples, toutes les nations, tous les continents, et sur le Vatican avec Bergoglio qui met la touche finale!

Alors que c’est le Christ qui devrait être au centre de nos sociétés tel qu’il l’a demandé aux apôtres en leur disant d’aller baptiser et convertir les païens.

Quant au spirituel, la synagogue se considère comme le seul peuple prêtre valable entre les hommes et Dieu.

D’où les notions de rédemption et de paix: seul ce peuple peut sauver le monde et lui garantir la paix.

Mais pour avoir la paix, il faut avant avoir la guerre.

C’est le scénario auquel nous avons droit maintenant.

Et, ce pouvoir spirituel de la synagogue doit être reconnu par tous.

Tous.

Mais il reste un obstacle pour fouler Rome aux pieds définitivement : la messe et la présence réelle.

Voici le contexte dans lequel nous attendons, nous chrétiens éveillés, le signe qui nous sera donné.

Mais quel signe?

NSJC a été très clair.

Nous n’aurons que le signe de Jonas!

En rappel, voici ce que Luc (11, 29) a rapporté dans son Évangile :

« Le peuple s'amassant en foules, il se mit à dire : " Cette génération est une génération méchante ; elle demande un signe, et il ne lui en sera point donné d'autre que celui du prophète Jonas.

Car, de même que Jonas fut un signe pour les Ninivites, ainsi le Fils de l'homme sera un signe pour cette génération.

La reine du Midi se lèvera, au jour du jugement, avec les hommes de cette génération, et les condamnera, parce qu'elle est venue des extrémités de la terre entendre la sagesse de Salomon : et il y a ici plus que Salomon.

Les hommes de Ninive se lèveront, au jour du jugement, avec cette génération et la condamneront, parce qu'ils ont fait pénitence à la prédication de Jonas ; et il y a ici plus que Jonas. »

Si on recoupe avec l’Évangile de Matthieu, nous constatons qu’il y a deux parties à la prophétie de Jésus :

- Ses trois jours au tombeau avant sa résurrection.

- Le jugement pour cette « génération », c’est à dire, pour la génération chrétienne qui a eu pour mission d’évangéliser le monde lorsque le « peuple élu » a perdu ce droit en ne reconnaissant pas le Christ.

La reine de Saba, païenne égyptienne adorant multiples divinités, a été converti au seul Dieu par Salomon.

Les hommes de Ninive, se sont CONVERTIS à la suite de l’avertissement de Jonas.

Puisque aujourd’hui les valeurs sont inversées, avec la grande apostasie et le retour à tout ce qui se termine en «isme», les chrétiens actuels fidèles, les DEUX TÉMOINS de l’Apocalypse (ceux fidèles à la Loi et aux Prophètes, la tradition, le dogme) ont le droit de condamner  ce qui se trame contre la chrétienté, même au Vatican.

D’ailleurs, Saint-Jean dans l’Apocalypse donne le même commandement que le Christ : sortez de Babylone!

L’Église vit sa Passion comme le Christ l’a vécu.

C’est pourquoi le signe de Jonas s’adresse à nous en cette fin des temps, pour le Jugement final, comme il s’adressait aux pharisiens et aux scribes au temps de Jésus.

Et, nous avons peut-être eu ce signe dernièrement…

Du moins, il faut considérer le fait parce que des indices pointent en cette direction.

Comme introduction, la pensée du vaticaniste Roberto de Mattei relayé par (benoit-et-moi.fr) cette semaine :

« Dans l’Antiquité et au Moyen-Âge chrétien, on scrutait le ciel pour connaître le sens des événements extraordinaires, comme les mages lors de l’apparition de l’étoile comète annonçant la naissance du Sauveur. Et lorsque Jésus mourut sur le Calvaire, le ciel s’obscurcit et la terre trembla (Mt 27, 45-51). Il était en effet normal, commentent les Pères de l’Église, que les ténèbres tombent sur la terre au moment où était crucifié celui qui était venu apporter la lumière au monde.

À Fatima, en juillet 1917, la Vierge a révélé aux trois bergers que le châtiment qui frapperait l’humanité si elle ne répondait pas à ses demandes serait anticipé par un grand signe du ciel: « Lorsque vous verrez une nuit illuminée par une lumière inconnue, sachez que c’est le grand signe que Dieu vous donne qu’il se prépare à punir le monde pour ses crimes, au moyen de la guerre, de la famine et de la persécution de l’Église et du Saint-Père» .

La Seconde Guerre mondiale, qui éclate le 1er septembre 1939, est précédée de deux aurores boréales, les 25 et 26 janvier 1938 et le 23 août 1939. Sœur Lucie, dans l’institut de Santa Dorotea à Tuy, en Espagne, où elle séjournait alors, semblait identifier l’aurore boréale de 1938 au « grand signe » prophétisé par Notre-Dame. »

Retenez ceci : il y a eu deux séries d’aurores en janvier 1938 et août 1939.

Le regretté Louis D’Alencourt, du Grand Réveil, considérait que les aurores indiquaient le début de la guerre ouverte contre l’Église.

Donc, cette guerre a commencé réellement en 1939 sous le règne du pape Pie XII, le dernier pape prédestiné ne marchant pas main dans la main avec la franc-maçonnerie, consacré évêque le 13 mai 1917 par le pape Benoît XV, le jour du début des apparitions de Fatima!

Et, cet extrait de la prophétie de Jean XXIII de l’église No 4: Pie XII , nous confirme le tout :

« ... Sur des croix feintes et dans des prétendues Églises, beaucoup parleront au nom d'un pouvoir mesquin. Les chiens courront à Rome et la Mère sera liée aux branches de la croix. Celui qui ne prendra pas les armes devra se cacher. Et les soi-disant fils s'empareront du troupeau. »

C’est l’annonce de la prise du troupeau par les idées des lumières et de Vatican II.

Qui a initié Vatican II?

On pense aussitôt à Jean XXIII, mais c’est Pie XII sous la pression de certains cardinaux. Pie XII voyant le danger des tentacules maçonniques s’infiltrer au Vatican, a reculé et a mis le projet sur la glace.

Prophétie de l’église concernant Jean XXIII , son successeur :

« Et dans les papiers du Père mort il trouvera le projet pour rassembler les bergers et parler au troupeau. Il osera l'inosé. Il se trompera, mais ce sera un bien.

Il voudra connaître le monde et le faire connaître avec ses yeux aux simples. Le scandale arrivera mais tous comprendront. »

Voici deux références qui confirment que Pie XII avait eu l’idée du concile mais dans sa grande sagesse l’avait abandonné afin de ne pas créer de schisme.

« Tout de même honnête, Peter Hebbletwhaite rappelle que c’est Mgr Ruffini qui en a eu l’idée en 1939, avant même d’être cardinal, mais Pie XII ne s’y arrêta pas. Devenu archevêque de Palerme, il revint à la charge en 1948, avec le soutien du cardinal Ottaviani, dans le but d’obtenir la condamnation des erreurs modernes ; cette fois, le Pape en ordonna la préparation secrète. Mais Pie XII abandonna quelques mois plus tard, lorsque les réactions des prélats consultés laissèrent entrevoir de grandes divisions au sein de l’épiscopat. Finalement, au dernier conclave, les deux cardinaux s’adressèrent à celui vers qui le vote s’orientait.
Le 30 octobre 1958, donc deux jours après son élection, Jean XXIII en parla à son secrétaire et se fit apporter les archives de la préparation de 1948. Après en avoir pris connaissance, il résolut que son concile se ferait dans un tout autre esprit : son objectif principal serait pastoral et non pas doctrinal, il fallait répondre aux besoins nouveaux de l’Église et du monde. Sa décision est définitivement arrêtée le 28 novembre. » (crc-resurrection.org)

« Ce dernier chapitre traite du pape Pie XII en tant que précurseur du Concile Vatican II, et commence par aborder les relations préconciliaires entre Pacelli et les deux futurs papes du Concile, Jean XXIII et Paul VI, comme pour fixer une ligne de continuité. » (erudit.org)

Avec Vatican II à l’horizon, l’église commence le dernier droit vers la conversion à l’humanisme.

Pie XII sentant le danger à l’interne, répond avec l’encyclique « Humani Generis », la « Famille Humaine » qu’il voit en péril, se tournant vers Satan.

« Humani generis est l’encyclique pontificale de Pie XII promulguée le 12 août 1950. Elle concerne les « opinions et erreurs modernes menaçant de miner les fondements de la doctrine catholique. Elle s'oppose notamment à la Nouvelle Théologie. » (wikipedia)

Pie XII :

« Supposons que le communisme soit l’un des instruments de subversion les plus évidents utilisés contre l’Église et les Traditions de la Révélation Divine. Nous verrons alors la contamination de tout ce qui est spirituel : philosophie, science, droit, enseignement, arts, médias, littérature, théâtre et religion.

Je m’inquiète des confidences de la Vierge à la petite Lucie de Fatima. Cette insistance de la Bonne Dame sur les dangers qui menacent l’Église est une mise en garde divine contre le suicide qui représente une altération de la Foi dans sa liturgie, sa théologie et son âme.
Je sens autour de moi que les innovateurs veulent démanteler la Sainte Chapelle, détruire la flamme universelle de l’Église, rejeter ses ornements et la rendre coupable de son passé historique. Ici, je suis convaincu que l’Église de Pierre devra se réapproprier son passé, sinon son propre tombeau sera fouillé.

Je mènerai ce combat de toutes mes forces à l’intérieur de l’Église, comme à l’extérieur, même si les forces du mal peuvent un jour profiter de ma personne, de mes actes ou de mes écrits, comme on le sent aujourd’hui déformer l’histoire de l’église. Toutes les hérésies humaines qui altèrent la Parole de Dieu sont faites pour apparaître meilleures qu’elle.

Il viendra un jour où le monde civilisé reniera son Dieu, où l’Église doutera comme Pierre a douté. Il sera alors tenté de croire que l’homme est devenu Dieu, que son Fils n’est qu’un symbole, une philosophie comme tant d’autres. Dans les églises, les chrétiens chercheront en vain la lampe rouge où Jésus les attend ; comme le pécheur en larmes devant le tombeau vide, ils crieront : « Où l’ont-ils emmené ? ».

Ce sera alors que des prêtres d’Afrique, d’Asie, des Amériques – ceux formés dans les séminaires missionnaires – se lèveront et diront et proclameront que le « pain de vie » n’est pas un pain ordinaire, que la Mère de Dieu-homme n’est pas une mère comme beaucoup d’autres. Et ils seront déchirés pour avoir témoigné que le christianisme n’est pas une religion comme les autres, puisque son chef est le Fils de Dieu et que l’Église (catholique) est son Église ». » (itreamoribianchi-araldidelvangelo.com)

Pie XII ne pouvait pas si bien l’affirmer : apostasie, valeurs inversées, d’innombrables motu proprio de Bergoglio, dont Fiducia Supplicans qui a fait déborder le vase : toute l’Afrique s’est refusé à ce dernier acte.

L’église s’est bien sabordée de l’intérieur comme il était prévu.

Les aurores de 1938/1939 indiquaient le début du dernier droit de la guerre contre l’Église.

Les aurores de 2024 indiquent la fin du calvaire de l’Église.

À suivre...

26 mai

Mgr Ager, archevêque émérite de Buenos Aires (ancien fief de Bergoglio), donne son opinion sur ce qui s'est passé à la rencontre de la « fraternité maçonnique » du 11 mai dernier au Vatican:

« ( LifeSiteNews ) — « Le Pape convoque 30 lauréats du prix Nobel pour réfléchir à la fraternité », titre La Prensa dans un article du média EFE. Il fait référence à la récente « Rencontre mondiale sur la fraternité humaine », dont le thème était « Soyez humains ». L’objectif était « d’élaborer un nouveau Pacte mondial de Fraternité et un nouveau code de l’être humain, en plus d’annoncer un grand événement sur la fraternité au cours de l’Année Sainte [Jubilé] qui sera célébrée en 2025 ». La liste des invités comprenait la dirigeante indigène guatémaltèque Rigoberta Menchú, le directeur de la NASA Bill Nelson, le maire de New York Eric Adams et la militante des enfants mozambicains Graça Machel, qui est également la veuve de Nelson Mandela.

"On s'efforcera d'élaborer des propositions concrètes pour commencer à changer l'histoire, pour stimuler les réformes qui font défaut, pour comprendre où le principe de fraternité est déjà présent dans la vie sociale et pour discerner les paramètres nécessaires pour le mesurer", a expliqué le Le Saint-Siège, qui a ajouté que le 11 mai, lors du seul événement organisé dans le petit État, Bergoglio recevra les participants en audience privée.

Le Saint-Siège – à l’envie de la franc-maçonnerie universelle – a adopté l’idéologie de la Révolution française : « Liberté, égalité, fraternité ». Où a-t-il rangé le commandement de Jésus à Pierre et aux Onze de faire de tous les peuples ses disciples – c'est-à-dire des chrétiens ? Le successeur de Pierre est malheureusement celui qui conduit l’Église de Rome sur ce mauvais chemin que toute l’Église doit suivre. Il y a une manière de réagir selon la Tradition : l’apôtre Paul reprochait à Pierre son hypocrisie parce qu’il mangeait avec ceux qui venaient du paganisme mais commença à « judaïser » à l’arrivée de Jacques, cousin du Seigneur et chef de l’Église de Jérusalem. Dans la lettre aux Galates, Paul dit : « Je lui ai résisté en face » ( kata prosōpon autō antestēn ) et appelle ce comportement « hypokrisis ». (2:11-2:13)

La tradition a donné au Pontife romain la plus haute autorité, mais les cardinaux, avec tout le respect que je lui dois, peuvent lui faire prendre conscience du danger que Rome adopte le dogme de la Révolution – ce que les papes n'ont pas fait depuis Grégoire XVI, qui a condamné énergiquement la contagion. du libéralisme dans son encyclique Mirari Vos . Il faut se souvenir de Pie IX, de son encyclique Quanta Cura et du Syllabus des Erreurs . Le magistère de Pie XII et de ses successeurs se démarque également. L'Église a reformulé et mis à jour sa doctrine sans violer ses racines dans la Tradition. Jean-Paul II a largement exprimé le chemin de l'Église à l'occasion de son entrée dans le XXIe siècle...

"Il est nécessaire de se reconnaître à nouveau dans l'humanité commune et de mettre la fraternité au centre de la vie des peuples", a déclaré le Pape.

Le grand absent dans tout cela, c'est Jésus-Christ. Pour juger de ce que signifie cette absence, il suffit de rappeler l'œuvre de saint Paul, notamment ses lettres aux Éphésiens et aux Colossiens. Le Christ est tout pour l'Église. Je me souviens de deux expressions significatives de Paul VI : « Nous avions espéré un printemps florissant, mais un hiver rigoureux est arrivé » et « Il semble que, par quelque fissure, la fumée de Satan soit entrée dans l'Église de Dieu » – la Le Pontife exprime ainsi son désenchantement après le Concile Vatican II...

Le dogme de la Révolution française – « liberté, égalité, fraternité » – est un autre évangile qui propage l'incrédulité, l'oubli de Jésus-Christ, la Parole du Père. Le successeur de Pierre et toute l’Église ne peuvent pas l’adopter ni pactiser avec elle dans une fausse paix. La Parole qui court vite ne doit pas s’arrêter.

Dans la continuité de l'œuvre rédemptrice du Christ, la mission de l'Église est orientée vers la consécration du monde. Ce concept recouvre une double réalité : d'une part, le monde bon, œuvre de la création de Dieu ; et de l’autre, une sorte de « seconde nature », comme disait Blaise Pascal : le monde du péché, de la vanité et du mensonge, l’aliénation de l’homme, le domaine dans lequel se déroule l’action de l’ennemi. Ce monde doit être arraché au mal et conduit à Dieu par la Parole, qui est le Christ. C'est aussi la mission du successeur de Pierre et de toute la communauté des fidèles. Son prix est la Croix du Christ et la disponibilité des disciples au martyre.

Une question reste ouverte sur le destin d'Israël et de la prédication aux Juifs au milieu d'une mission qui visait dès l'origine à procurer la conversion des païens. Mais il faut tenir compte de la mystérieuse paganisation du monde chrétien. La position de l'Église vis-à-vis du dogme de la Révolution française doit être replacée dans ce contexte théologique.

+ Héctor Aguer
Archevêque émérite de La Plata

Buenos Aires, vendredi 24 mai 2024
Fête de Marie Auxiliatrice »

En cette journée du 11 mai, nous rappelons que le Ciel a envoyé un signe, des aurores comme en 1938, qui, je m'en remet à notre cher ami Louis d'Alencourt, ne présageaient par la deuxième guerre mondiale, mais la guerre à toute l'église, ce que nous subissons depuis.

Notez bien que les principes de cette rencontre seront partis prenants du Jubilé 2025, célébrant à la fois la « fraternité maçonnique » et la victoire de la voie synodale sur toute l'église.

On arrive vraiment au bout du calvaire.

24 mai

Quel choc.

Louis D'Alencourt, fondateur du blog « le grand réveil » (legrandreveil.wordpress.com) nous a quitté subitement pour rejoindre le Père.

Ce berger eschatologue des temps modernes a ramené beaucoup de gens à la Foi, tout en cultivant l'Espérance si nécessaire en ces derniers temps.

Peut-être un signe du Ciel.

Nos prières l'accompagnent ainsi qu'à sa famille.

19 mai

Une partie de la partie « Grand Éclair à l'Orient » est peut-être en train de se réaliser...

« Incertitude sur le sort du président après un accident d’hélicoptère » sur tous les médias.

« Ceci arrivera quand en Orient sera mort un chef et en Occident, sera tué un chef. Au sud de Luther. »

18 mai

Cette rencontre sur la fraternité maçonnique a été accompagné de l'une des 20 plus grandes tempêtes magnétiques depuis 500 ans.

Les aurores boréales et australes ont été des signes qui nous ont été donnés comme la Sainte Vierge l'a fait en 1938 pour annoncé la troisième guerre mondiale.

La tempête de mai 2024 a commencé le vendredi 11 mai pour se terminer à la fête de Fatima, le lundi 13 mai.

Avons-nous eu le signe de la Passion de l'Église qui s'achève?

La tache solaire AR3664 a émit au total 12 éjections de classe X!

Le summun a été atteint dans la nuit du 10 au 11 mai parce que 3 éjections de masses coronales (CME) de vitesses différentes se sont rejointes pour atteindre la terre au même moment.

Les aurores boréales et australes ont été vues dans tous les continents: Europe, Asie, Océanie, Amérique du Sud, Amérique du Nord, Afrique et dans les 50 États américains.

Les réseaux sociaux et les médias débordent d’images sublimes du phénomène.

Ce fut un signe mondial comme en 1938.

Ce qui s'en vient devrait nous tenir aux aguets puisque nous ne sommes pas encore dans le maximum solaire, mais la fréquence des éjections de classe X par une seule tache est impressionnante.

Imaginez si cela devait venir de plusieurs taches à la fois.

Il y a en moyenne 12 taches nous faisant face sur le disque solaire depuis quelques semaines.

Mais aucune n’a la complexité pour reproduire le phénomène de la fin de semaine dernière...

Pour l'instant.

Les astronomes surveille la tache AR3664 dans son périple autour du soleil, qui prend 12.5 jours du côté de la face cachée, afin de voir si elle survivra pour mieux nous revenir.

Rappelons que les scientifiques savent pertinemment que cette humanité est à risque de tout perdre ce qui est électronique par une éjection de classe X du soleil, suivi d'une éjection de masse coronale assez importante comme en 1859 et 1989.

Certains estiment que cela prendrait entre 4 et 10 ans pour s'en remettre...

Bref, l'Apocalypse pour cette humanité qui ne carbure qu'à l'électronique.

09 mai

Une fraternité maçonnique...

Le Vatican pousse loin.

« CITÉ DU VATICAN ( LifeSiteNews ) — Le Vatican s’associe à la Fondation Fratelli Tutti pour accueillir la deuxième « Rencontre mondiale sur la fraternité humaine », qui verra des dirigeants laïcs et des lauréats du prix Nobel tenter de « trouver des réponses » pour construire « l’avenir ».

Annoncés lors d’une conférence de presse le 7 mai, les détails de la « Rencontre mondiale sur la fraternité humaine » des 10 et 11 mai ont été révélés principalement par le cardinal archiprêtre de la basilique Saint-Pierre, Mauro Gambetti. Il a parlé de la nécessité « d’attirer l’attention du monde » sur la nécessité de « fraternité », exprimant son espoir que l’événement aidera les gens à « redécouvrir » des aspects tels que le « dialogue humain ».

« Cette expérience », a déclaré Gambetti, vise à « renouveller la charte de l’humanité ».

L’événement de cette semaine est intitulé « Soyez humain » et est organisé conjointement par la Fondation Fratelli Tutti – née de l’encyclique Fratelli Tutti de 2020 du pape François – et le Vatican.

Il attirera de nombreux lauréats du prix Nobel de la paix à des événements à Rome et au Vatican. Des hommes d’affaires, des militants politiques, l’économiste Jeffrey Sachs et l’épouse de Nelson Mandela, Graca Machel Mandela, seront également présents.<

Une série de « tables rondes » auront lieu à travers la ville et au Saint-Siège, avec les lauréats du prix Nobel et d’autres participants de premier plan répartis en conséquence entre les différents événements qui « feront une fois de plus des propositions pour une planète fraternelle ».

Les personnalités discuteront de « comment promouvoir la valeur de la fraternité entre les peuples à une époque où la guerre et la peur dominent nos jours ».

Comme le souligne la Fondation Fratelli Tutti , « des personnalités du monde entier, des lauréats du prix Nobel, des scientifiques, des artistes, des professeurs, des maires, des médecins, des managers, des travailleurs, des champions sportifs tenteront de trouver des réponses ».

De telles réponses « peuvent être différentes, elles peuvent ne pas être sans équivoque. Mais ils seront les éléments constitutifs de l’avenir », a déclaré la fondation.

Le pape François dirigera un événement avec les enfants dans la nouvelle salle du Synode du Vatican, cet événement étant spécialement organisé pour mettre l’accent sur la voix des enfants en tant que prochaine génération. François livrera « une réflexion sur le thème de la fraternité, qui lui est particulièrement cher », a indiqué la Fondation Fratelli Tutti .

Un concert de clôture aura lieu à 21h30 le 11 mai, sur les marches de la Basilique Saint-Pierre. Entre autres noms, il mettra en vedette le compositeur italien Giovanni Allevi, l’actrice et animatrice de télévision italienne Eleonora Daniele et le chanteur country américain pro-LGBT Garth Brooks.

Aucune mention n’a été faite de l’implication de la religion en général, ou de la foi catholique en particulier, dans les discussions.

La Fondation Fratelli Tutti a déclaré que cet événement de 2024 « fait suite au succès de l’année dernière », faisant référence à la première Journée mondiale de la fraternité humaine en 2023, organisée à la basilique Saint-Pierre, présentée comme un moyen  de démontrer que « la fraternité humaine est possible ». » … »

On vous entretient souvent de la possibilité d’une tempête solaire et des taches qui les produisent.

Cette semaine et pour les prochains jorus, nous avons l’exemple le plus intense du cycle 25 (cycles de 11 ans) commencé en 2020.

La tache 3664 a doublé de dimension en 24 heures et devient ainsi une menace très sérieuse puisque face à la terre, très grande, et de polarités instables.

Trois éjections de classe X depuis hier.

C’est intriguant, car lundi sera le 107ème anniversaire de Fatima.

Une éjection de classe X majeure comme en 1859 ou 1989 grillerait TOUT ce qui est électronique sur cette planète.

Bref, chute de Babylone et donc noirceur totale, chaos, et Apocalypse.

Or, ce matin, la tache 3664 a atteint la dimension de celle de l'événement Carrington de 1859.

Voir photo sur spaceweather.com.

Cette humanité n'a JAMAIS été aussi à risque que cette semaine.

Bénie soit Notre Dame de Fatima.

Car, si une éjection solaire majeure a lieu, cette humanité n'aura que 12 heures pour réagir.

Prières et chandelles de la chandeleur seront alors de mise pour les avertis.

06 mai

Comme prévu, çà bouge du côté du soleil avec deux taches solaires de complexité forte (donc ayant le potentiel de produire des tempêtes solaires) visible sur le disque solaire cette semaine.

La tache AR3663 n’est pas seulement active, elle est hyperactive. Rien que le 5 mai, elle a déclenché deux éjections de classe X (les plus fortes et donc les plus dangereuses) et huit éjections moyennes de classe M.

Une de ces éruptions solaires majeures atteignant X4,52 (panne radio R3) a été détectée autour de AR 3663 dans le quadrant nord-ouest à 06h35 UTC (6 mai). Il s’agit désormais de la troisième éruption solaire la plus forte en termes d’éjections de classe X maximal au cours du cycle solaire 25 actuel.

Une éjection de classe X ayant le potentiel de perturber le champ électromagnétique de la Terre avec pour conséquences de griller les systèmes électriques et surtout électroniques est à prévoir.

En termes de prophéties, on fait référence aux trois jours de noirceur de Padre Pio par exemple.

C’est ainsi que nous voguons tranquillement vers le maximum solaire prévu pour juillet/octobre 2024.

Comme au temps de Noé, tous se bidonnent et « vivent leurs vies ».

Pendant ce temps, nous continuons à assister à la Passion de l'église selon Bergoglio, et nous avons les indices qu'effectivement, la tendance est vers l'oecuménisme total, et donc vers une célébration commune à tous sans présence réelle.

« CITÉ DU VATICAN ( LifeSiteNews ) — Le pape François a reçu jeudi les dirigeants de la Communion anglicane au Vatican, et tout en parlant du rôle « controversé » de la papauté, le pontife a évoqué la possibilité d’une nouvelle « entente » qui pourrait résulter des relations œcuméniques et le Synode sur la Synodalité.

Le matin du 2 mai, les membres de la réunion des primats de la Communion anglicane ont rencontré le pape François au Vatican, dans ce que les anglicans ont décrit comme le « point culminant » de leur réunion de cinq jours à Rome.

Le discours du Pontife aux anglicans contenait une possibilité révolutionnaire : à savoir, une décision de François, prise par le Synode sur la synodalité, d’utiliser la papauté elle-même comme outil de négociation œcuménique, d’une manière qui pourrait – du moins sur le papier – paraître saper l’autorité exercée par le pape.

Primats anglicans à Rome

Le rassemblement des Primats a attiré pour la première fois à Rome des dirigeants anglicans du monde entier. Là, ils ont tenu une série de réunions, visité des sanctuaires catholiques à travers la ville et ont également rencontré le pape François et le cardinal Mario Grech, secrétaire général du Synode des évêques. Leur rassemblement de haut niveau était censé contribuer à « l’unité » entre les différents corps anglicans à travers le monde, bien que, comme indiqué ci-dessous, une telle « unité » soit un sérieux point de discorde étant donné la dissidence au sein du corps anglican sur les bénédictions pour les personnes de même sexe.

S’adressant aux primats assemblés, François a remercié l’archevêque anglican de Cantorbéry Justin Welby pour sa collaboration continue avec le pape et sa « coopération fraternelle au nom de l’Évangile ».

« Le Seigneur appelle chacun de nous à être un bâtisseur d’unité et, même si nous ne sommes pas encore un, notre communion imparfaite ne doit pas nous empêcher de marcher ensemble », a déclaré François, faisant écho aux thèmes qu’il a utilisés lors des fréquentes rencontres œcuméniques qu’il a organisées. assiste aux côtés de Welby.

François a également accordé une mention honorable à la Commission internationale anglicane-catholique (ARCIC), qui a – a-t-il déclaré – « fait de grands efforts pour surmonter les divers obstacles qui s’opposent à l’unité ».

La papauté : une « question controversée et source de division »

Le plus remarquable dans le discours du pape a été la description qu’il a donnée de sa propre fonction. Remerciant les primats anglicans de s’être réunis à Rome, François a déclaré : « Je me rends compte que le rôle de l’évêque de Rome est toujours une question controversée et qui divise parmi les chrétiens. »

Poursuivant, François semble suggérer qu’une nouvelle compréhension de la papauté pourrait être développée, qui s’avérerait plus acceptable pour les anglicans, étant donné l’opposition anglicane à la primauté papale.
Il a cité la description du pape Grégoire le Grand comme « serviteur des serviteurs de Dieu » et la propre déclaration de Jean-Paul II dans son encyclique œcuménique Ut Unum Sint , dans laquelle le pape polonais a déclaré : « sa désignation est la meilleure garantie possible » contre le risque de séparation du pouvoir (et notamment de la primauté) du ministère. Une telle séparation contredirait le sens même du pouvoir selon l’Évangile : « Je suis parmi vous comme celui qui sert ».

Faisant allusion à d’éventuels changements de compréhension de la papauté, François a déclaré que « pour cette raison, il est nécessaire d’engager ‘un dialogue patient et fraternel sur ce sujet, un dialogue dans lequel, laissant de côté les controverses inutiles’, il s’efforce de comprendre comment le ministère pétrinien peut se développer comme un service d’amour pour tous.

Il a salué le travail du groupe ARCIC, notant que « des résultats positifs ont été obtenus dans les différents dialogues œcuméniques sur la question de la primauté en tant que « cadeau à partager ».

Un synode sur la synodalité pour réécrire la papauté ?

Non content de s’engager dans un « dialogue » sur la papauté, François a déclaré qu’il espérait que le Synode pluriannuel sur la synodalité conduirait à « une meilleure compréhension du rôle de l’évêque de Rome ».

Le Synode devrait se conclure en octobre prochain, avec la deuxième réunion d’un mois d’évêques, de prêtres, de laïcs et de représentants œcuméniques participant tous à la réunion du Vatican. Même si les représentants œcuméniques n’ont pas de droit de vote, ils participent au reste des activités du mois.

Parmi les participants au Synode de 2023 se trouvait un prélat anglican, et François a exprimé sa joie d’anticiper « une nouvelle participation œcuménique à la session qui se tiendra cet automne ».

« Je prie pour qu’une meilleure compréhension du rôle de l’évêque de Rome soit l’un des fruits du Synode », a-t-il déclaré. « Le rapport de synthèse à la fin de la première session a appelé à une étude plus approfondie du lien entre synodalité et primauté à différents niveaux : local, régional et universel...» (lifesitenews.com)

Et, cette nouvelle est un indice de plus (voir analyses précédentes):

« Le cardinal secrétaire d’Etat Pietro Parolin est en campagne électorale pour le prochain conclave et le fait savoir plus clairement que jamais.

Après le pontificat du pape François, il n’y aura « pas de volte-face ». Ce sont les mots du cardinal Pietro Parolin, secrétaire d’Etat, mercredi soir lors de la présentation d’un livre à Rome.

Le plus proche collaborateur du pape a répondu à la question d’un journaliste sur ce qu’il adviendrait plus tard des réformes initiées par le pape. « Avec de la patience, de la prière et du discernement, les dirigeants de l’Eglise pourront compter sur l’assistance de l’Esprit Saint dans leurs décisions, y compris après le pontificat argentin. C’est précisément parce qu’il s’agit de l’action de l’Esprit qu’il ne peut y avoir de revirement », a affirmé Parolin.
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Ecclesia semper reformanda »

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Le chef de la diplomatie du Saint-Siège, originaire du nord de l’Italie, a fait sienne la formule ‘Ecclesia semper reformanda’, c’est-à-dire que l’Eglise doit toujours être réformée, ‘ramenée à sa juste forme’. « Les difficultés qui surgissent sur le chemin ne doivent pas ‘être lues seulement comme un danger, mais aussi comme une chance »; cela fait « partie de la sage pédagogie de Dieu, par laquelle il nous éduque, nous fait mûrir et progresser ». (benoit-et-moi.fr)

« Et il y aura un autre Père, avant que tu sois enseveli, pour prier loin pour toi, pour les blessures de la Mère.
Mikail et Jean descendront sur terre....

Le grand frère d'Orient fera trembler le monde par la croix renversée sans les lis.
Le nouveau Père ira vers lui mais laissera la Mère orpheline. »

« Où croyez-vous fuir, maintenant que vous avez détruit les Églises et tué le dernier Père ? » confirme la prophétie de l’Église le « 7ème Sceau » de Jean XXIII.

03 mai

Le mois de mai. Le mois de Marie. Le mois du début des apparitions de Fatima.

Le mois de la prophétie de Don Bosco (voir analyses précédentes).

« … Il y aura toujours un violent ouragan. L'iniquité est consommée; le péché prendra fin et avant que deux pleines lunes du mois des fleurs ne passent, l'iris de la paix apparaîtra sur la terre.

Le Grand Ministre verra l'épouse de son roi habillée pour la fête.

Sur le monde entier, un soleil apparaîtra si brillant qu'il ne l'a jamais été depuis les flammes du Cénacle jusqu'à aujourd'hui, et il ne sera pas revu jusqu'au dernier jour. »

L’iris de paix (traduit parfois de l’italien par arc-en-ciel) est la fleur de lys, figure du Christ Roi, que nous retrouvons évidement dans les prophéties de l’Église de Jean XXIII.

« Ouvrez votre cœur au lis. La voix sera puissante, annoncée par les trompettes. (Retour du Christ, l’ultime soleil, le premier Soleil.)

Lumière de l'Occident, dernière lumière avant l'éternelle, inconnue. La vérité sera plus simple que tous l'ont dit, que tous l'ont écrit. »

(Prophétie de l’Église #12  « L’arrivée de la Lumière »)

La voix est annoncée par les 7 trompettes de l’Apocalypse.

Le P. Berto écrit dans son interprétation de la prophétie qu’en l’an 1874, le mois de mai a deux pleines lunes (Lune Bleue), l'une le 1er et l'autre le 31.

« Cependant, aucun événement extraordinaire profane ou surnaturel ne s'est produit ce mois-là. En effet suivant la séquence du texte, cet événement devrait suivre «l'ouragan» de «l'iniquité» et du «péché» qui suivrait lui-même le traité du Latran de 1929. En mars 1988 et 1999, il y a deux pleines lunes. Dans le premier, il n'y avait pas de cessation notable du péché dans le monde. Ce dernier n'est pas encore venu. » (franciscan-archive.org)

Le prochain mois de mai avec deux lunes est en 2026, et le retour de l’iris de paix arrivera AVANT ce mois fatidique si la prophétie est véridique.

C’est donc dire que tout le calendrier de la fin des temps (voir analyses précédentes) doit avoir lieu avant cette limite.

On ne connaît ni le jour ni l’heure, mais avec la situation mondiale actuelle, nous pouvons en déduire qu’effectivement tout se déroulera très vite.

À commencer par la Fille Aînée de l’Église qui aura la démonstration qu’elle est sous l’emprise totale de Mammon, à la vue de toute la planète, lors des cérémonies d’ouverture des Jeux Olympiques le 26 juillet prochain.

Satan est orgueilleux et la bête de la terre, Macron, multiplie ses apparitions publiques dernièrement, comme s’il était le roi de l’Europe (référence la prophétie « Grand Éclair à l’Orient »), enivré de narcissisme, pour l’ultime victoire du 26 juillet.

Le temple, Notre-Dame, a été détruit, pour être re-consacré à Mammon avec ses fresques maçonniques de la kabbale.

N’oublions par les cérémonies de 2012 et de la suite avec le Covid, et le phœnix qui renaît de ses cendres.

De plus, si la bête de la mer agît en parallèle avec celle de la terre: cela fera trois ans le 16 juillet que Traditionis Custodes a été publié, et on sait pertinemment que Bergoglio veut fermer le robinet définitivement de ce côté.

Nous avons discuté longuement de l’importance de l’électricité pour ce monde.
2024, c’est la poussée exponentielle de l’IA et de la prolifération des robots dans le monde industriel.

Quand Amazon licencie, c’est parce que les robots font le travail maintenant.

Or, ce monde qui était dépendant à l’ordinateur et ses à côtés, devient maintenant hyper dépendant quant aux chaînes d’approvisionnement, parce que les robots ont besoin d’électricité.

Le soleil, sans faire la manchette populaire, continue son ascension vers le maximum solaire du cycle 25.

L’augmentation des taches solaires est exponentielle: de presque rien à 16 en moyenne dans les deux dernières semaines.

Chaque tache solaire a un potentiel de tempête solaire.

Mais ce qui retient l’attention, c’est le fait que plusieurs d’entres elles agissent en synchronicité au niveau des éjections solaires. Exemple: 5 taches éloignées l’une de l’autre ont produit le phénomène en même temps.

Et çà continue, çà « boullionne » (spaceweather.com) avec des éjections à répétitions, certes moyennes pour l’instant, mais c’est une progression vers le maximum solaire…

Prévu pour juillet 2024.

Si vous suivez l’actualité climatique, vous avez sans doute remarqué que des records de chaleurs sont établis en Amérique du Sud, Afrique, et Sud Asiatique…

Plus de 5 degrés au minimum au-dessus de la normale.

On est loin du dit « réchauffement climatique ».

Le soleil est plus fort.

Dieu est à l’œuvre et les aveugles ne voient pas. C'est la guerre de la nature pour empêcher la guerre des hommes.

L’été dans l’hémisphère nord s’annonce donc particulièrement plus violente qu’en 2026 au niveau des ouragans, tempêtes et feux de forêts.

Le soleil entre dans son maximum solaire donc (des cycles de 11 années) et, puisque nous sommes à la fin des temps, il est peu probable que cette humanité décadente devra attendre encore 11 ans pour le prochain maximum (2035) pour voir la chute de Babylone et son système Antichrist.

Mais puisque Dieu doit agir, et que le Jugement sera par le feu, on ne voie que les possibilités d’un astéroïde (aucun en vue pour l’instant) ou l’action du soleil, qui retournerait cette humanité orgueilleuse à l’âge de la pierre, car uniquement basée sur l’électricité.

C’est le même constat qu’Einstein qui craignait la bombe nucléaire:

« Je ne sais pas comment sera la troisième guerre mondiale, mais ce dont je suis sûr, c´est que la quatrième guerre mondiale se résoudra à coups de bâtons et de pierres. » Albert Einstein

L’élite sait pertinemment que le système est très fragile face à une éjection de masse coronale majeure à venir.
C’est documenté scientifiquement.

Et cette humanité, en 2024, balance complètement dans le gouffre de Satan avec l’intelligence artificielle, avec l’approbation de Bergoglio!

« Le Pape participera à la session du G7 sur l’intelligence artificielle

Le Souverain pontife s’exprimera lors de la session ouverte aux États non membres du sommet du G7, qui se tiendra mi-juin dans les Pouilles au sud de l’Italie. La Salle de presse du Saint-Siège confirme ce vendredi soir l’annonce de la présidente du Conseil. Giorgia Meloni remercie le Saint-Père d’avoir accepté l’invitation de son pays pour apporter «une contribution décisive à la régulation éthique et culturelle de l’intelligence artificielle»…

Remerciant le Saint-Père d’avoir accepté l’invitation de l’Italie, «sa présence apporte du prestige à notre nation et à tout le G7»,  Giorgia Meloni explique que le gouvernement italien entend valoriser la contribution du Saint-Siège sur la question de l’intelligence artificielle, en particulier après l' »Appel de Rome pour l’éthique de l’IA en 2020 » (Rome Call for AI Ethics), promu par le conseil pontifical pour la Vie, qui vise «à donner une application concrète au concept d’algoréthique, c’est-à-dire à donner de l’éthique aux algorithmes».

«Je suis convaincue, a-t-elle ajouté, que la présence du Pape apportera une contribution décisive à la définition d’un cadre réglementaire, éthique et culturel pour l’intelligence artificielle, car c’est sur ce terrain, sur le présent et l’avenir de cette technologie que se mesurera à nouveau notre capacité, la capacité de la communauté internationale, à faire ce qu’un autre Pape, — Jean-Paul II, a rappelé dans son célèbre discours aux Nations unies le 2 octobre 1979, à savoir que l’activité politique, nationale et internationale vient de l’homme, s’exerce par l’homme et est pour l’homme», a encore expliqué la présidente du Conseil italien.

Giorgia Meloni ajoute que l’intelligence artificielle «sera le plus grand défi anthropologique de cette époque», «une technologie qui peut générer de grandes opportunités mais qui comporte aussi d’énormes risques et qui affecte inévitablement les équilibres mondiaux». «Notre engagement, a conclu la dirigeante italienne, est de développer des mécanismes de gouvernance pour s’assurer que l’intelligence artificielle est centrée sur l’homme et contrôlée par l’homme, c’est-à-dire qu’elle maintient l’homme au centre et qu’elle a l’homme comme but ultime». » (vaticanews.va)

Tout est dit.

Avril 2024

22 avril

Nous avons été témoins de l’échange de coups entre Israël et l’Iran, chacun essayant de se sauver la face par rapport à sa population.

C’est la progression rapide vers la prophétie « Grand Éclair à l’Orient » et de tout ce qui s’en suit pour ce qui est de l’Église.

Car, comme disait le regretté Serge Monast, le religieux mène le politique, et c’est bien d’une question religieuse à laquelle nous assistons :

"Netanyahou est sous l'influence de certains ministres messianiques et racistes qui le forcent à déclencher une escalade pour accélérer la venue du Messie et ce n'est pas une manière saine pour un Etat comme Israël dans un environnement hostile et complexe"  (Ehud Barak, ancien Premier ministre israélien)

Rappelons les paroles d’un pape très au courant du danger du modernisme, et de la fin des temps, Pie X :

« En effet, contre leur Créateur, « les nations ont eu des frémissements de rébellion et les peuples ont conçu des idées insensées », et le cri des ennemis de Dieu est presque unanime : « Éloignez-vous de nous ». C’est pourquoi le respect envers le Dieu éternel a complètement disparu chez la plupart des gens, et dans la conduite de la vie, tant publique que privée, le principe de sa volonté suprême n’est plus pris en compte ; En effet, de toutes nos forces et de tous nos artifices, nous avons tendance à supprimer complètement même la mémoire et la notion de Dieu.

Quiconque considère cela doit aussi craindre que cette perversion des âmes ne soit une sorte d'avant-goût et presque un avant-goût des maux prévus pour la fin des temps ; et que « le fils de perdition », dont parle l'Apôtre, ne foule pas déjà ces terres. Avec une grande audace, avec une telle fureur, la piété religieuse est attaquée partout, les dogmes de la foi révélée sont contestés et des tentatives obstinées sont faites pour supprimer et effacer toute relation entre l'homme et Dieu ! Et en effet, avec une attitude qui, selon l'Apôtre lui-même, est typique de « l'Antéchrist », l'homme, avec une témérité sans précédent, a pris la place de Dieu, s'élevant « au-dessus de tout ce qui porte le nom de Dieu » ; au point que, bien qu'il ne puisse éteindre complètement en lui la notion de Dieu, il rejette néanmoins sa majesté, se consacre ce monde visible, comme un temple, et s'offre à l'adoration des autres. "Il est assis dans le temple de Dieu, se montrant comme s'il était Dieu." » (Pie X, 4 août 1903)

Imaginez ce qu’il dirait aujourd’hui…

Mgr Huonder, décédé le mois dernier, à Écône parce qu’il était retourné à l’Église Mère et voulait être enterré auprès de Mgr Lefebvre, déclarait en 2023 :

« Les contacts avec la Fraternité, l’étude de son histoire et l’approfondissement des questions théologiques m’ont permis de porter un regard nouveau. C’est un nouveau regard sur les soixante-dix, quatre-vingts dernières années de vie de l’Église. Nous pouvons parler d’une retractatio, d’une nouvelle évaluation de la situation de la foi au moment du Concile et après. Il m’est apparu plus clairement pourquoi l’Église en est arrivée là où elle en est aujourd’hui. L’Église se trouve aujourd’hui – en 2023 – dans l’une des plus grandes crises de son histoire. C’est une crise interne à l’Église. Elle a touché tous les domaines de la vie de l’Église : la prédication, la liturgie, la pastorale et le gouvernement. C’est une crise profonde de la foi. Quiconque se plonge dans le développement et la vie de la Fraternité se heurte malgré lui à la cause et aux origines de cette crise. Car la Fraternité est, en un certain sens, un enfant de cette crise. Elle l’est dans la mesure où son fondateur a voulu, en créant cette institution, remédier à la crise et venir en aide à l’Église. » (laportelatine.org)

Il confirme donc ce que tous les conservateurs au Vatican n’osent affirmer publiquement : l’Église est en crise.

Mais nous savons tous qu’elle doit subir sa Passion à l’image du Christ pour ressusciter.

C’est la mort des deux témoins et leurs résurrection dans l’Apocalypse.

C’est une partie importante du calendrier de la fin des temps.

Et c’est dans la prophétie du 7ème sceau de Jean XXIII : « Où croyez-vous fuir, maintenant que vous avez détruit les Églises et tué le dernier Père ? »

12 avril

Le premier mois de la neuvaine pour l’intervention de Notre-Dame de Guadelupe (la femme de l’Apocalypse avec les deux pieds sur la lune) initié par le cardinal Burke est complétée.

Cette neuvaine est d’une extrême importance.

Le monde n’a jamais, jamais, été aussi proche de la destruction par l’humain :

- du point de vue spirituel par la grande apostasie prophétisée.
- par la guerre imminente prophétisée par St-Jean et qui est mentionnée dans les prophéties de Jean XXIII.

Satan, le dragon, a le contrôle via la bête de la terre et la bête de la mer.

Dans cette poursuite vers la religion mondiale de l’humanisme, Bergoglio se proclame à nouveau patriarche de l'Occident (titre qu’avait éliminé Benoît XVI), afin de s'ériger en interlocuteur à égalité avec le patriarche d'Orient, alors que la religion catholique est une religion monarchique établie par le Christ.

La bête de la terre, a envoyé son vassal au Québec, qui a prononcé un discours complètement dédié à la victoire des lumières : « la liberté par la laïcité », gage de fraternité, etc. Bref un ode à la franc-maçonnerie.

C’est le triomphe de l’inversion des valeurs par les suppôts du diable.

Alors que l’on sait tous que la seule liberté passe par le Christ.

C’est une preuve de plus que l’heure du Jugement est proche.

Au niveau géopolitique, deux déclarations majeures par le président américain sont le signal que nous allons franchir la ligne rouge.

Les États-Unis attaqueront la Chine si cette dernière attaque directement un bateau philippin ou japonais, ainsi que l’Iran si cette dernière réplique à la destruction de son ambassade en Syrie par Israël la semaine dernière.

« Frappes imminentes de missiles sur Israël par l’Iran selon le renseignement américain ! ».
Voilà.

« Le grand frère d'Orient fera trembler le monde par la croix renversée sans les lis. » n’attend que le moment pour frapper.

N’oublions pas que la branche judéo-maçonnique ainsi que les chiites ont ce point en commun : il faut provoquer une guerre pour la venue du messie.
Alors, « S'affronteront croissant de lune, étoile et croix. Quelqu'un brandira la croix noire. Des vallées du Prince viendront les chevaliers aveugles.» et tout commencera avec le « Grand éclair à l'Orient. »

« La terre frisera le massacre.»

« Ce n'est pas le temps d'un roi, ce ne l'a jamais été. Depuis la mort de Frédéric, chaque roi est usurpateur. Que le roi s'en aille, reste le peuple. L'Europe a soif, elle aura du sang dans les rues. »

Ce roi, on le connaît, c’est la bête de la terre, et il cherche la guerre.

C’est le président français.

Mais, « Dieu a déchaîné la guerre de la nature pour empêcher la guerre des hommes. » (prophéties de l’Église #10 et #11, ainsi que politique #22 et #32)

Nous sommes ainsi, au niveau spirituel, très proche de la :

1) Mort des témoins (3,5 jours); et la
2) Résurrection des témoins

Ainsi, se termine la sixième période.

La 7ème période de l’Apocalypse décrite ci-haut suivra par la :

3) Mort de l’Antéchrist; et la

4) Chute de Babylone (3ème malheur, Ap. 11, 14) )

Mars 2024

27 mars

Bergoglio est le « pape » qui correspond à la description de la bête de la mer  de l’Apocalypse puisqu’il possède un pouvoir universel et mondial qui s’applique aux enfants de Dieu.

La bête de la mer s’est révélée avec Vatican II et son action est évidente pour ceux qui connaissent les écritures : il y a 666 mois pile entre l’élection de Jean XXIII et sa canonisation.

La bête de la mer représente le religieux.

La bête de la terre représente le politique.

Le président Macron est celui qui correspond à la description de la bête de la terre.

Car la France est toujours la fille aînée de l’Église et elle a un rôle indispensable : celui d’établir une société christocentrique mondiale.

Ce mandat est de plus en plus réduit (il ne sera toutefois pas effacé) depuis la révolution des lumières avec la prise du pouvoir par la franc-maçonnerie.

« Macron : « La Bête de l’événement est là » » (entrevue accordée au Financial Times le 16 avril 2020).

Emmanuel Macron, a confirmé dans son discours du 13 avril 2020 le « plan de l’après 11 mai ».

Et Macron le 24 août 2023 ( agence Reuters):

« Les Français doivent se préparer à d’avantage d’efforts et de sacrifices alors que le monde est confronté à une grande bascule ». à prévenu Macron mercredi en préambule au conseil des ministres Le ton grave, le chef de l’état à appelé à l’unité alors que nous sommes en train de vivre  » une grande bascule, un grand bouleversement, avec la fin de l’abondance, la fin d’une forme d’insouciance, et la fin des évidences »…

« Le moment que nous vivons peut sembler être structuré par une série de crises plus graves les unes que les autres ».

Guerre économique, guerre religieuse, guerre par les armes, ...

Que va faire Poutine maintenant qu’il a la raison parfaite pour élargir la guerre grâce à l’attentat du 24 mars?

Surtout qu’il a éliminé de son langage le terme « opération spéciale en Ukraine » dans son discours de ré-élection pour certifier que c’est bel et bien une guerre qui est engagée.

C’est dans l’habitude de l’élite remplie d’orgueil d’annoncer à l’avance leurs plans. Ils ne se cachent plus car ils sont sûrs de la victoire.

Et dernièrement, loi sur l’avortement insérée dans la constitution, loi sur l’euthanasie à venir, et volonté de mettre des troupes françaises en Ukraine dans la région d’Odessa tout en évoquant la Loi des réquisitions de guerre, tout en attirant les pays d’Europe à le faire.

Les articles des dernières semaines sur les sites vaticanistes font référence à la France qui veut attirer le monde dans la guerre nucléaire.

On approche bien du point culminant des prophéties de Jean XXIII où Dieu déclare la guerre de la nature pour empêcher la guerre des hommes.

Durant ce temps, la bête de la mer donne ses ordres pour le synode 2024 comme nous avons pu le voir dans le dernier article : élimination de la présence réelle par la permission de pratiquer les coutumes locales.

C’est une déformation totale de la messe pratiquée depuis 2000 ans.

Le dragon, Satan, coordonne les actions des deux bêtes exactement comme prévu par l’Apocalypse.

25 mars

« Le cardinal Parolin invite le monde à se convertir à la culture de l’écologie intégrale…

«Nourrissons-nous de beauté et d’amour, des énergies pour sauver le monde» est le thème choisi pour la troisième édition du festival Cinéma pour la création, promu par le Cercle Laudato si’ de San Giorgio in Bosco, dans la province de Padoue. Ce vendredi 22 mars, le secrétaire d’État du Saint-Siège, le cardinal Pietro Parolin, s’est adressé aux participants dans un message vidéo. L’événement, qui a débuté le 9 février dernier, est composé de lectures, de conférences et de projections de films et de documentaires, inspirés par les thèmes de l’écologie intégrale contenus dans l’encyclique Laudato si’ du Pape et l’exhortation apostolique Laudate Deum…. » (vaticannews.va)


Synode octobre 2024:

Bergoglio a changé le processus encore une fois.

Le dix sujets principaux relevés dans le rapport 2023 seront attribués à dix comités de la curie romaine qui auront pour mission de produire un rapport en juin 2025.

Bref, ils ont le mandat d’agir avec les « églises locales », mais on voit bien que le processus synodal vient de prendre le bord, car avec le climat de terreur régnant sous la dictature de Bergoglio, il est évident que ces groupes d’étude de la curie ne feront que rapporter la volonté de Bergoglio.

Il évite ainsi que les sujets sensibles de 2023 soient de retour en octobre 2024.

« … la Salle de Presse du Saint-Siège a tenu une conférence de presse pour illustrer deux nouveaux documents du Secrétariat général. Le premier document est intitulé « Comment être une Église synodale en mission ? Cinq perspectives pour approfondir théologiquement en vue de la Deuxième Session », tandis que le second est « Groupes d’études sur les questions soulevées lors de la Première Session de la 16ème Assemblée Générale Ordinaire  de le Synode des Évêques à approfondir en collaboration avec les Dicastères de la Curie romaine. »

Dans la lettre au cardinal Grech, le Pape a déclaré que le rapport de synthèse « énumère de nombreuses questions théologiques importantes, qui sont toutes liées à des degrés divers au renouveau synodal de l’Église et non sans répercussions juridiques et pastorales ».

« Ces questions, de par leur nature même », a-t-il observé, « exigent une étude approfondie » des groupes d’étude pour examiner les questions.

« Comme il ne sera pas possible de réaliser cette étude lors de la Deuxième Session », qui aura lieu du 2 au 27 octobre 2024, le Pape a déclaré : « Je suis en train de faire en sorte qu’ils soient affectés à des groupes d’études spécifiques, afin qu’ils puissent être correctement examinés…

Tout cela, a suggéré le Saint-Père, « permettra à l’Assemblée, dans sa deuxième session, de se concentrer plus facilement sur le thème général que je lui avais assigné à l’époque et qui peut maintenant être résumé dans la question : « Comment être une Église synodale en mission ?

Le Pape a déclaré que les groupes d’étude présenteront un premier rapport de leurs activités lors de la deuxième session et viseront, si possible, à conclure leur mandat d’ici juin 2025. » (vaticannews.va)


Le synode 2024 se résume donc à l’église qui part en mission avec ses cinq perspectives que voici: (synod.va)


La perspective #4 doit retenir l’attention sur « La méthode synodale » pour 2024:

« Enfin, la liturgie étant à la fois miroir et nourriture de la vie de l’Église, le travail portera également sur la
dimension liturgique : « Si l’Eucharistie façonne la synodalité, le premier pas est d’honorer sa grâce
avec un style de célébration qui soit à la hauteur de ce don et avec une fraternité authentique » (RdS
3k).

Le groupe de travail, qui assumera la perspective transversale de la méthode synodale, explorera
des points tels que :

a) la relation féconde entre l’enracinement liturgique et sacramentel de la vie synodale de
l’Église (écoute de la Parole et célébration de l’Eucharistie) et la pratique du discernement
ecclésial ;

b) une meilleure clarification de la configuration de la « conversation dans l’Esprit », en tenant
compte de la pluralité des déclinaisons qu’elle connaît grâce à l’expérience de multiples
spiritualités ecclésiales et de différents contextes culturels (cf. RdS 2i-j) ;



f) la promotion d’un style de célébration adapté à une Église synodale, qui permette de vivre et
de témoigner de la participation commune de tous, tout en respectant et en promouvant la
spécificité des rôles, des charismes et des ministères de chacun…. »

Et plus loin:

« Il faut privilégier ce qui est le plus efficace pour l’annonce de l’Évangile, en ayant le courage
d’abandonner ce qui s’avère moins utile ou même un obstacle. C’est cet élan vers la mission qui fait
que le processus synodal n’est pas un exercice où l’Église se regarde dans le miroir et se préoccupe de
ses propres équilibres, mais qu’elle est projetée vers le monde et l’humanité tout entière, en demandant
à chaque membre du Peuple de Dieu d’offrir sa contribution irremplaçable.

L’œcuménisme du sang (cf.RdS 7d) nous rappelle avec force que le témoignage de l’Évangile jusqu’au don de la vie concerne tous les baptisés, sans distinction d’appartenance confessionnelle : c’est donc la mission commune qui constitue le vecteur du chemin vers l’unité des chrétiens, à partir de formes concrètes de collaboration, qu’il faut continuer à promouvoir et à expérimenter. »

Bref, tout cela confirme que le processus synodale n'est qu'une illusion: seul la volonté de Bergoglio compte, et les décisions donneront l'apparence d'être prises par des comités.

Quant aux 5 perspectives: c'est exactement le synode amazonien qui revient sur la table.

La « célébration liturgique » (on ne dit pas la MESSE dans ce document) sera laissé à la discrétion des « locaux ».

C'est un démantèlement de la messe pour en effacer l'essentiel: la présence réelle du Christ.

21 mars

Bergoglio apparaît très enflé ces dernières semaines et n’est pratiquement plus capable de se déplacer seul.

Son décès imminent sera signe de chaos, pour l'église (selon la liste de la suite des papes de St-Malachie et les prophéties de l'Église de Jean XXIII), et pour le monde.

« La semaine dernière, je me trouvais au Vatican en tant que conférencier invité à l’Académie pontificale des sciences sociales, [Pontifical Academy of Social Sciences, PASS]…

Le Vatican, qui fait environ un huitième de la taille de Central Park à New York, possède une charmante maison d’hôtes appelée Domus [Sainte Marthe], où j’ai séjourné quatre jours. C’est aussi la résidence permanente du pape François…

Mes collègues de la PASS et moi-même – 25 personnes – étions en train de dîner dans la petite salle à manger de la Domus, lorsque le pape est entré et s’est assis à deux tables de nous.

… il était surréaliste de le voir entrer dans la salle à manger de la maison d’hôtes avec un déambulateur et un assistant à chaque bras. Ce fut bizarre quand il s’est assis dos à nous. Je voulais aller le voir et le saluer, mais les gardes suisses nous avaient interdit de l’approcher ou de l’appeler…

Le pape est en mauvaise santé, il peut à peine parler ou marcher ; et il exhale la tristesse. J’ai été heureux de résider chez lui pendant quatre jours, mais je ne pense pas qu’il y restera encore longtemps. (benoit-et-moi.fr)

Il y a 13 jours, impossible de monter dans la papamobile (vidéo).

La prophétie le concernant s'achève et la prophétie de l'Église #11 approche à grands pas avec les horreurs de la guerre dans l'église et dans le monde.

Nous l'anticipions, 2024 est l'année où tout bascule (voir analyse du 31 décembre 2023).

Fortifions nous dans la prière de la neuvaine de Notre-Dame de Guadelupe guidé par le cardinal Burke.

Seuls les armes du Ciel pourrons sauver les âmes.

7 mars

La grosse majorité des messages donnés par Dieu après Vatican II sont des illusions du diable.

Difficile pour le chrétien catholique de faire la part des choses.

Mais, un message relayé par un site catholique sérieux...

Il faut peut-être donner le crédit du doute à ceci, étant donné l'urgence de la situation, et que ce message fut reçu par la communauté religieuse catholique, La Mission de la Divine Miséricorde, près de San Antonio, au Texas, qui vivent leur vie pour le Christ et sa Sainte Mère (https://missionofdivinemercy.org/), et que l'évêque a essayé d'interdire la publication, mais que Dieu a exigé qu'il soit publié.

On fait référence à Tepeyac, la colline des apparitions de ND de Guadelupe, la dame de la fin des temps, justement après l'annonce de la neuvaine du cardinal Burke.

Curieusement, ils sont situés à la limite du corridor pour l'éclipse totale du soleil le 8 avril prochain.

Çà vaut ce que çà vaut, mais au moins, çà donne espoir.

Publié via Lifesitenews:

« Dieu le Père. Il est temps de rejoindre mon armée – Un appel aux prêtres et aux évêques.

22 février 2024

À Mes enfants dispersés à travers le monde –

Votre Dieu vous parle depuis la petite colline sainte, Notre nouveau Tepeyac.

Le moment est venu, Mes enfants, de vous appeler à vous joindre à Mon armée – l'armée que J'ai formée et forgée en silence, dans ce qui est caché, avec d'innombrables épreuves, sacrifices et souffrances.

Combien de petits bataillons ai-je formés à travers le monde, sur chaque continent. Comme des citernes d'eau pure pour donner vie à Mes enfants affamés et abandonnés. Affamés de Vérité, affamés de Moi – et abandonnés par ceux qui sont devenus une pierre d'achoppement pour Moi : Mes fils prêtres, à qui J'ai donné le mandat et la mission de prendre soin de Mes brebis, de les protéger et de les nourrir de Ma Nourriture Sacrée.

Mais ces bergers se sont endormis et vous ont abandonnés, Mes enfants, la grande majorité d'entre eux.

J'ai des Bergers fidèles – la joie de Mon Cœur – qui, unis à Mon Jésus, travaillent sans cesse pour guider Mes brebis dans Mon bercail. Et combien ils sont détestés et persécutés. Ils recevront la couronne du martyre pour ce témoignage et travailleront en mon honneur.

Ma Voix est sur le point de tonner pour réveiller Mes enfants endormis, ivres du monde et des mensonges de Satan.

Ils ne reconnaissent pas les temps, ils ne reconnaissent pas Ma Voix et ils Me sont INUTILES.

Mais Je les réveillerai avec le tonnerre de Ma Voix.

Mes enfants, vous qui souffrez en voyant la dévastation de Mon Église, en voyant le monde complètement dominé par Satan et ses cohortes – levez vos yeux et votre cœur vers Moi, les enfants.

Vous m'avez appelé et je viens.

Vous avez été fidèle, et maintenant je vous montre que JE SUIS votre DIEU FIDÈLE.

Fidèle à Ma Parole. Fidèle à Ma Vérité. Fidèle à Mon Amour pour vous.

Je viens, mes enfants, restaurer ce qui est à moi.

Je viens, mes enfants, prendre possession de ce que Satan, dans son orgueil infini, a voulu me prendre.

Je viens, les enfants, reconquérir vos cœurs et ceux de tous Mes enfants.

Levez les yeux, mes enfants, et attendez-Moi.

Élevez vos cœurs, Mes petits, et faites-Moi confiance.

Élevez vos cœurs et vous Me verrez.

N'ayez pas peur.

Votre Dieu se lève à votre place.

Reste en Moi et n'aie pas peur.
—–
Écrivez maintenant, ma fille, pour mes fils Prêtres.

Ceux qui, au lieu d'être mes plus proches collaborateurs, mes instruments les plus dociles et fidèles, mon repos, sont devenus un très grand obstacle ; âmes de voleurs, volant à Mes enfants ce qui leur appartient en tant qu'héritiers et par nécessité : Ma Grâce, Ma Guidance, Ma Lumière, Mon Pardon. Âmes rebelles à Ma Voix, âmes paresseuses.

Des âmes qui, m'ayant perdu, ne me cherchent pas. S'aventurant de plus en plus loin dans les ténèbres, ils tournent le dos à Ma Lumière.

Ils deviendront plus secs et plus flétris que le figuier que j'ai maudit avant d'entrer à Jérusalem.

Au fil des années, je les ai taillés et fertilisés, essayant de les faire revivre, mais ils refusent mon aide.

MON AIDE . L'aide que j'envoie comme et quand je veux, comme une rosée pour mes enfants. Malheur à ces bergers qui me gênent et me sont inutiles.

Je donne une opportunité de plus ; Je vous l'accorde – une dernière opportunité – obtenue pour vous par le sacrifice et la prière de ceux que vous avez méprisés et abandonnés,
Mes âmes victimes – en réponse à elles, Je vous donne une opportunité de plus. NE LE GASPILLE PAS.

Je t'attendrai encore une heure, mais si tu ne réponds pas, si tu ne M'écoutes pas, Je poursuivrai Mon Plan, en te mettant de côté pour que tu ne causes plus de dégâts par ton inaction.

J'ai besoin de votre aide, mes fils. Je t'ai appelé; Je t'ai créé pour cette Heure, afin que tu M'aides et que tu aides tes frères. Pour que vous M'emmenez vers les âmes qui en ont le plus besoin ; afin que vous protégiez Mes brebis, afin qu'avec Ma Puissance et Mon autorité vous les libériez des griffes de Satan. Pour que vous emmeniez Ma Paix et Mon Espoir dans les ténèbres du désespoir – pour que vous nourrissiez Mes brebis, pour que vous les guérissiez.

Mes fils, c'est un travail très ardu. Épuisant. Déposer votre vie à chaque minute, à chaque pas.

J'AI BESOIN DE TOI.

RÉVEILLEZ-VOUS, mes fils.

Voyez ce qui se passe EN VÉRITÉ autour de vous.

Sortez des miasmes de l'ennemi, de ses confusions et séductions.

Ma voix est claire, directe. Le oui c'est oui et le non c'est non.

La Vérité est LUMIÈRE.

Mes fils, vous êtes entourés de mensonges. ON VOUS A MENTI. Et vous avez absorbé ces mensonges qui sont si nuisibles parce qu’ils obscurcissent la VÉRITÉ, et en obscurcissant la Lumière de la Vérité, votre être tout entier est obscurci et vous êtes facilement distrait, et vous devenez complètement inoffensif pour Mon ennemi.

J'ai besoin de fils de guerriers. PRÊTRES ET SOLDATS.

Intrépide au combat.

Je t'ai donné une épée le jour où tu m'as été consacré, pour mon service dans Mon Temple.

Qu'en as-tu fait ?

Je t'ai offert une étole blanche et pure. Dans quel état est-il maintenant ?

Et vos mains consacrées et ointes, à quoi les avez-vous utilisées ?

OÙ EST VOTRE FOI, mes fils ?

Au lieu d’être la forte flamme invincible qui vous donne vie et chaleur et qui fait de vous de véritables collègues de travail, vous l’avez laissé s’éteindre. Je ne vois qu'une petite flamme ici et là – si pauvre et si faible.

FILS, C'EST POURQUOI LES TÉNÈBRES S'ONT PROPAGÉES. PARCE QUE IL N'Y A PAS DE FOI EN MES PRÊTRES .

LA FOI SIMPLE ET PURE DES ENFANTS.

LA FOI FORTE ET VAILLANTE DE MES ENFANTS.

LA FOI LOYALE JUSQU'À LA MORT.

LA FOI QUI EST LUMIÈRE ET VIE.

VOUS L'AVEZ LAISSÉ S'ÉTEINDRE. En vous et en Mes enfants.

VOUS ÊTES RESPONSABLES DE TANT D'OBSCURITÉS, FILS.

Et vous, appelés Évêques, qui devriez être des pères pour mes fils Prêtres, des exemples et des guides, vous êtes devenus bien pires que des démons, car au moins les démons Me reconnaissent comme Dieu, même s'ils Me haïssent.

Mais vous M'AVEZ REJETÉ et VOUS M'AVEZ UTILISÉ  À VOS PROPRES FINS.

Malheur à vous. Malheur à vous si vous ne reconnaissez pas cette dernière opportunité. Si vous ne vous tournez pas vers Moi, si vous ne reconnaissez pas votre culpabilité et votre responsabilité.

Oui, vous portez une terrible responsabilité. Gigantesque. Et je t'appellerai pour un compte.

PERSONNE NE SE MOQUE DE MOI.

PERSONNE NE PROFITE DE MOI.

Vous êtes tellement aveuglé que vous ne voyez pas comment vous êtes utilisé et manipulé.

Je vous parle, mes fils, qui étiez autrefois sincères en me suivant.

Je dois vous corriger – c'est de la miséricorde.

Je dois te réveiller – c'est la miséricorde.

Je dois vous secouer – c'est la justice.

Je suis ton père. Et j'ai Miséricorde. Mais je suis aussi votre Roi et j'exige votre loyauté et votre obéissance.

Et je suis ton DIEU. N'OUBLIE PAS CELA.

Et en tant que DIEU, j'ai droit à TOUT . Que tu me donnes TOUT .

Reconsidérer. Écoutez Ma Voix. Ces mots que je vous donne MAINTENANT pour vous montrer ce dont j'ai besoin de vous MAINTENANT .

Vous n’avez pas seulement laissé la fumée de Satan s’infiltrer dans Mon Sanctuaire ; mais vous avez laissé toute une armée de démons prendre votre place.

Et vous avez permis à l'usurpateur de s'asseoir sur la chaise de Mon Pierre – celui qui commet la Grande Trahison qui laissera Mon Église désolée.

ET VOUS L'AVEZ PERMIS.

Et vous portez avec vous la terrible responsabilité de cette horrible offense envers Moi, votre DIEU.

Vous m'avez abandonné et vous avez abandonné mes petits. Et vous avez abandonné Mon Jésus.

Malheur à vous.

Fils, écoutez- Moi MAINTENANT . Tournez-vous vers moi maintenant . Laissez vos critères derrière vous et recevez MA LUMIÈRE. Vous êtes dans l’obscurité et vous ne vous en rendez pas compte.

Mais moi, votre DIEU, j'ai Miséricorde.

Moi, votre bon Père, j'ai pitié de votre aveuglement, de votre famine et de votre nudité.

Et Je vous offre ces PAROLES afin qu'en elles vous M'entendiez ; c'est d'eux que vous vous habillez, et c'est par eux que vous vous nourrissez.

HÂTEZ-VOUS, mes fils. IL N'Y A PLUS DE TEMPS .

J'ai besoin que tu sois complètement à moi.

Ne résistez pas à Ma Voix, mes fils.

Je vous parle en tant que votre Père.

Mais bientôt je parlerai en tant que DIEU TOUT-PUISSANT ET UNIQUE. LE SEIGNEUR DIEU DES HÔTES.

CELUI QUI EST .

LE SEUL.

PERSONNE NE PEUT RÉSISTER À CETTE VOIX.

Devant ce Tonnerre Dévastateur, qui détruira, fera tomber toute présence de l'ennemi et tous ceux qui l'ont choisi à Moi ; Je vous donne cette dernière
opportunité.

Je vous rappelle le dicton bien connu : « Celui qui court avec les loups apprend à hurler ».

Vous n'avez pas reconnu les loups qui vous entourent. Vous les avez reçus comme de vrais bergers. Et au lieu de prononcer seulement Mes Paroles, Ma Vérité, vous les avez laissés hurler et vous avez commencé à les imiter également.

LEVEZ-VOUS, mes fils. SUR SES GARDES.

RÉVEILLEZ-VOUS.

LUTTE. DÉFENDEZ CE QUE JE VOUS AI CONFIÉ .

C'EST LE DERNIER APPEL. Je te veux dans mon armée.

MAINTENANT .

J'AI MON PROJET, NE ME Gênez PAS.

NE ME Gênez PAS.

N'oubliez pas que vous êtes des serviteurs. Que vous êtes des fils. Et à ce titre, vous Me devez obéissance et fidélité.

Une fois que vous vous êtes levé, élevez vos frères prêtres.

Rappelez-vous que JE SUIS votre Tête. JE SUIS Qui vous unit. JE SUIS votre chef et capitaine.

Votre Heure est passée.

Et le MIEN COMMENCE MAINTENANT. MON HEURE. L’HEURE À LAQUELLE MON PLAN EST RÉVÉLÉ POUR CE QU’IL EST – INFINI, PUISSANT, INÉBRASSABLE. RADIANT.

Pendant des années, vous êtes restés sourds à Ma Voix qui parle avec ces petites voix – dispersées à travers le monde et à chaque époque de l'Église, pour le bien de tous Mes enfants.

Vous les avez mis de côté, les considérant comme superflus, comme de simples imaginations d’esprits instables.

Mais maintenant, J'UNIS CES VOIX DANS MA VOIX DE TONNERRE.

MA VOIX TONNERA JUSQU'AUX FINS DE TOUT CE QUI EST CRÉÉ.

MA VOIX Atteindra les profondeurs les plus profondes.

TOUT CE QUI EXISTE SENTIRA LE TONNAGE DE MA VOIX.

JE SEULEMENT PEUT DIRE « ASSEZ ! »

LE ASSEZ GRAND qui défait les œuvres de Satan.

MOI, VOTRE DIEU LE DIT.

Et Je vous appelle à reprendre place dans Mon armée et à élever avec Moi votre voix dans ce grand cri.

Je vous attends, mes fils. UNE HEURE DE PLUS.

PAS PLUS.

Je t'attends depuis longtemps et il ne me reste plus de temps.

Mettez de l'ordre dans vos maisons, mes fils.

J'ARRIVE.

Et je rendrai visite à CHACUN DE VOUS .

Etes-vous prêt pour cette visite de MA PART ? NON.

C'est pourquoi je viens vous réveiller. Pour que vous vous prépariez.

Pour que vous vous souveniez de votre Abba et que vous vous souveniez de votre véritable vocation.

FILS, LEVEZ-VOUS.

MAINTENANT .

MON PLAN AVANCE INEXORABLEMENT. UN PLAN DE MISÉRICORDE ET DE JUSTICE.

UN PLAN DE BONTÉ ET DE PUISSANCE.

MON PLAN POUR RECONQUÉRIR MES ENFANTS, MON ÉGLISE ET TOUS

MA CRÉATION.

Écoutez-moi, mes fils.

SE LEVER.

Votre Abba, votre Père qui vous aime.

Votre Seigneur et Dieu.

Celui QUI EST, QUI ÉTAIT et QUI EST À VENIR.

AMEN.

J'ARRIVE.

NOTE : Comme cela arrive fréquemment, les lectures de la messe du jour suivant la transmission d'un de ces messages, semblent confirmer ce qui a été dicté. Parfois très clairement, parfois plus subtilement.

Les lectures du 27 février (mardi de la deuxième semaine du Carême) étaient :

Isaïe 1, 10, 16-20
« Écoutez la parole de l'Éternel, princes de Sodome ! Écoutez l'instruction de notre Dieu, peuple de Gomorrhe ! Lavez-vous proprement ! Éloignez vos méfaits de devant mes yeux ; cessez de faire le mal ; apprendre à faire le bien. Faites de la justice votre objectif : réparer les torts, entendre le plaidoyer de l'orphelin, défendre la veuve. Allons, remettons les choses en ordre, dit l'Éternel : Même si vos péchés sont comme l'écarlate, ils peuvent devenir blancs comme la neige ; Même s'ils sont rouge cramoisi, ils peuvent devenir blancs comme de la laine. Si vous le voulez bien et si vous obéissez, vous mangerez les bonnes choses du pays ; Mais si vous refusez et résistez, l’épée vous consumera ; car la bouche de l’Éternel a parlé !

Ps 50 :8-9, 16bc-17, 21 et 23
« Ce n'est pas à cause de vos sacrifices que je vous réprimande, car vos holocaustes sont toujours devant moi. Je ne prends de ta maison ni taureau ni chèvre de ton bercail. Pourquoi récitez-vous mes statuts et professez-vous mon alliance de votre bouche, alors que vous haïssez la discipline et rejetez mes paroles derrière vous ? Quand vous faites ces choses, serai-je sourd ? Ou pensez-vous que je suis comme vous ? Je vous corrigerai en les dessinant sous vos yeux. Celui qui offre des louanges en sacrifice me glorifie ; et à celui qui suit le bon chemin, je montrerai le salut de Dieu.

Ez 18:31
Rejetez loin de vous tous les crimes que vous avez commis, dit l'Éternel, et faites-vous un cœur nouveau et un esprit nouveau.

Mt 23, 1-12
Jésus parla aux foules et à ses disciples, disant : « Les scribes et les pharisiens se sont assis sur la chaire de Moïse. Faites donc et observez tout ce qu'ils vous disent, mais ne suivez pas leur exemple. Car ils prêchent mais ils ne pratiquent pas. Ils attachent de lourds fardeaux difficiles à porter et les déposent sur les épaules des gens, mais ils ne lèvent pas le petit doigt pour les déplacer. Toutes leurs œuvres sont jouées pour être vues. Ils élargissent leurs phylactères et allongent leurs glands. Ils aiment les places d'honneur lors des banquets, les places d'honneur dans les synagogues, les salutations sur les marchés et le salut « Rabbi ». Quant à vous, ne vous faites pas appeler « Rabbi ». Vous n'avez qu'un seul maître et vous êtes tous frères. N'appelez personne sur terre votre père ; vous n'avez qu'un seul Père aux cieux. Ne soyez pas appelé « Maître » ; vous n'avez qu'un seul maître, le Christ. Le plus grand d'entre vous doit être votre serviteur. Celui qui s’élève sera humilié ; mais celui qui s'humilie sera élevé. »

Curieusement, ces lectures du 27 février terminaient les 11 ans complétés depuis la démission officielle de Benoît XVI.

Février 2024

28 février

Nous y sommes : 11 ans révolus depuis l’envolée du pape émérite vers Castel Gandolfo.

Et juste avant cet anniversaire, la bête de la Terre fait le vœu de voir des troupes françaises en Ukraine.

Le 11 représente un passage, entre les deux colonnes.

Le même jour, le cardinal Burke, cardinal conservateur des dubias, prend le contrôle de la barque de Saint-Pierre et proclame une neuvaine de 9 mois commençant le 12 mars, pour contrer le 11 ans révolus de Bergoglio du 13 mars prochain.

Cette neuvaine prend fin donc le 12 décembre, et c’est voulu, pour la fête de Notre-Dame de Guadelupe.

ND de Guadelupe, c’est la femme de l’Apocalypse avec les deux pieds sur la lune qui voile… le soleil!

La tilma, le manteau de la Vierge, nous a été préservée par miracle depuis 1531, car c’est une signe qui appartient à la fin des temps, un rappel.

Cette neuvaine est pour contrer le synode des synodes et ses horreurs, qui sera célébré par le jubilé 2025, commençant probablement comme ceux qui ont précédés, le 8 décembre.

Nous avons ici un signe.

Une mort annoncée des témoins le 8 décembre et une résurrection des témoins le 12 décembre?

(Analyse du 02 décembre 2023 :

LA FIN DES TEMPS, VRAIMENT?

Plusieurs se demandent, sommes-nous réellement à la fin des temps?

Selon le calendrier de la fin des temps spécifié dans l’Apocalypse, nous avons pour étapes avant le retour de NSJC :

1) Mort des témoins (3,5 jours)
2) Résurrection des témoins

qui terminent la sixième période.

On peut affirmer que les attaques du Vatican contre ses prêtres qui favorisent la tradition OU qui ne sont pas dans la même ligne de la politique des affaires étrangères du Vatican prôné par Bergoglio, constituent la preuve irréfutable de cette fin de la sixième période. Le synode des synodes parachèvera le tout.
...

Le cardinal Burke serait sur le point de se faire retirer son salaire et son appartement car il parle trop.

L’entrée dans la 7ème période de l’Apocalypse est caractérisée par la :

3) Mort de l’Antéchrist

et la

4) Chute de Babylone (3ème malheur, Ap. 11, 14) )

Dans l’histoire chrétienne, dans les moments difficiles, Dieu intervient, MAIS seulement en faveur des justes et conditionné par leurs PRIÈRES, en reconnaissance de leur impuissance.

Exemples : Jonas à Ninive, la victoire de Lépante donnant lieu la vénération de Notre-Dame du Rosaire.

Cette neuvaine de 9 mois instaurée par le cardinal Burke est un baume pour ces moments difficiles (notre traduction) :


« Dans un monde aux prises avec une grande maladie, une guerre fait rage en Europe. Après des années de trêve, une nouvelle invasion de la Palestine menace de perturber le Moyen-Orient. Les débats théologiques sont politisés et conduisent des millions de croyants à abandonner la foi. Un évêque écrit : à moins que la main de Dieu n'intervienne directement, tout sera perdu. »

Notre Seigneur ne nous a pas dit d'avoir peur. Quelles que soient les ténèbres de notre époque, les hommes et les femmes de foi ne sont jamais privés de la vérité et de l’amour du Christ, ni des soins fidèles de sa Mère.
Lorsque Notre-Dame est apparue pour la première fois à San Juan Diego, il y a environ cinq cents ans, l’époque était très similaire à la nôtre. Même à cette époque, le monde était aux prises avec la famine et la maladie, et la guerre en Terre Sainte menaçait de réduire au chaos cette région magnifique et tourmentée.

Même alors, une confusion empoisonnée au sein de l’Église rongeait la foi des chrétiens du monde entier.
Puis nous avons vu les forces du péché se retirer devant la Madone. Grâce au partenariat humble et courageux de saint Juan Diego avec la grâce, Notre-Dame a revendiqué le Nouveau Monde pour le Christ, attirant près de neuf millions de nouvelles âmes dans l'Église au moment de la mort de saint Juan Diego en 1548. C'est cette même maternité de soin et de protection que nous recherchons aujourd'hui, un soin et une protection qu'Elle nous accordera, si nous le demandons sincèrement.

À cette fin, je demande à tous les catholiques, en particulier ceux des Amériques, de se joindre à moi pour prier une neuvaine de neuf mois pour implorer l'intercession de Notre-Dame, à partir du 12 mars.
Cet immense engagement spirituel culminera avec la consécration à Notre-Dame de Guadalupe le 12 décembre, jour de sa fête. Pour vous guider, ceux qui s'engagent dans cette grande cause spirituelle peuvent s'attendre à de courtes réflexions vidéo de ma part chaque mois, ainsi qu'à des réflexions et des prières écrites régulières.

La conversion de nos cœurs transforme infailliblement notre monde : nous ne perdons jamais la foi dans la sollicitude de Notre-Dame envers nous, et nous ne perdons jamais la foi dans la vérité et l'amour du Christ.
Les ténèbres du péché semblent si grandes. Mais Notre Seigneur ne nous a pas appelé à la peur ! Le mal ne peut pas miner la puissance de la grâce de Dieu, et le péché ne peut pas empêcher la miséricorde guérisseuse de Notre Seigneur d'atteindre ceux qui se repentent et la recherchent. Et rien ne peut diminuer le soin et la protection de Notre-Dame envers nous, qui restent aussi forts aujourd'hui qu'ils l'étaient il y a cinq cents ans.
Dans le Sacré-Cœur de Jésus et dans le Cœur Immaculé de Marie, et dans le Cœur très pur de Saint Joseph. »

Raymond Leo Cardinale Burke (novena.cardinalburke.com)

26 février

Deux années de guerre en Ukraine.

Dieu déchaîne la guerre de la nature pour arrêter la guerre des hommes… et la perte du petit reste, la tradition.

Le cycle solaire 25 qui a présentement donne des signes, comme un avertissement, certes invisibles pour la masse qui ne peuvent voir l’activité solaire à moins de s’y intéresser.

S’y intéresser parce que le dernier Jugement sera un Jugement par le feu contrairement à ce qui s’est passé du temps de Noé.

Or, notre soleil menace notre civilisation qui ne vit uniquement que par l’électronique.

Et les spécialistes sont unanimes : une tempête solaire majeure digne de l’événement Carrington de 1859, plongerait cette civilisation dans le moyen âge.

Or, depuis le 22 février, une tache solaire règne en maître, la plus grosse du cycle 25, à 60% de superficie que la tache solaire de 1859.

Cette nouvelle tache solaire a généré 3 éjections de classe X (les plus puissantes) dont une de classe X6,5, soit la plus puissante depuis la dernière tempête solaire en 2017.

De plus, janvier et février 2024 sont au-dessus de la normale en termes de températures, en la dépassant de plus de 1,5 degrés Celsius, soit la cible que l’élite se donne comme limite pour 2050!

Conséquences : des hivers anormaux dans le nord et des étés anormaux dans le sud de notre planète.

Le phénomène El Nino s’estompe dans l’océan pacifique pour laisser place à la Nina, un courant froid.

Conséquences : une absence de cisaillement de vents vers l’Atlantique qui contrecarre les montées d’air chaud des ouragans.

On prévoit donc plus d’ouragans et de tempêtes remontant le Gulf Stream vers l’Europe cet été.

La guerre de la nature décrétée par Dieu est évidente.

Côté spirituel, que s’est-il passé en février?

Réponse : un coup de barre important par l’étendue de l’intelligence artificielle (IA).
Après l’annonce d’Apple au début du mois (40 ans après l’événement 1984; voir analyses précédentes), ce fut au tour de Google de se lancer avec Gemini.

Ce monde, qui déjà ne sait plus quoi croire sur le net, sera complètement sous le joug de la machine, du démon, de ce qu’a prophétisé St-Jean en parlant des miracles modernes dans l’Apocalypse.

Et Apple en a rajouté un couche en introduisant Apple Vision Pro (Apple Vision. Voulez-vous de ce monde-là ? Regardez !) Insolentiae.com

Conséquences : Une fausse réalité que les nouvelles générations vont croire comme véridique : isolation dans un nouveau monde de l’esprit du démon, leur « spirituel », plus tangible que le monde de l’esprit offert par le Christ, qui lui n’est pas visible.

C’est l’aboutissement de la guerre à la famille, la dernière.

« La bataille finale entre Dieu et Satan portera sur le mariage et la famille »
« La bataille finale entre Dieu et le royaume de Satan portera sur le mariage et la famille » confiait il y a plusieurs années Sœur Lucia dos Santos, une des trois voyantes de Fatima, au cardinal Carlo Caffarra, alors qu’il travaillait à la fondation de l’Institut pontifical Jean Paul II d’études sur le mariage et la famille à Rome.

« Toutefois, Notre Dame lui a déjà écrasé la tête ».


N’est-ce pas ce à quoi nous assistons?

Après avoir introduit une brèche dans la famille avec la révolution féminine, envoyé les enfants à la garderie (crèche), les avoir isolés dans les jeux vidéos pour les rendre esclaves, nous en sommes à la finale « woke » et le mariage homosexuel au Vatican.

De plus, l’isolement prend sa forme la plus vicieuse dans la grande apostasie, où le chrétien devient l’exception et est traité comme un terroriste, un grain de sable qui empêche la religion humaniste, de l’égalité de tous et de la miséricorde infinie par sa doctrine vieillotte.

Nous assistons tous à une accélération fulgurante de l’immigration de masse (et encore le mot n’est pas assez fort) dans tous les pays chrétiens, en Europe, et au Canada.

Le but est de faire tomber les chrétiens pratiquants à une minorité pour établir la charte des droits et libertés des Nations-Unies : l’Agenda 2030.

Bonne nouvelle : quand l’ennemi sent la soupe chaude, il accélère le processus.

Et nous y sommes, dans cette accélération.

Les paroles du Christ qui nous demande de s’isoler dans les montagnes lorsque nous sommes témoins de l’abomination de la désolation installée sur le trône de Saint-Pierre, et qui est le principal défenseur des droits à l’immigration humaniste, prend tout son sens.

Prière, Foi, Espérance et Charité.

Ce sont les seules armes efficaces à notre portée.

4 février

2023 a été le témoin d’un phénomène météorologique exceptionnel : une séquence de plus de 300 jours où l'eau est anormalement chaude dans les océans du globe.

Et janvier 2024 n’a pas fait exception, dépassant même la température moyenne de janvier 2023.

La sécheresse continuera à certains endroits comme les pluies diluviennes ailleurs.

Les éco-anxieux vont blâmer le réchauffement climatique mais nous savons que :

« Dieu a déchaîné la guerre de la nature pour empêcher la guerre des hommes.(prophétie politique #32 : Le Temps est Proche)

Et effectivement, nous anticipions 2024 comme une année où tout bascule vu le contexte géopolitique mondial, et spirituel du côté du Vatican.

2024 semble donc l’année où nous allons vivre l'aboutissement de certaines prophéties politiques et de l’église de Jean XXIII.

Nous avions ciblé l’Iran depuis longtemps comme pays susceptible d’être témoins du « Grand Éclair à l’Orient ».

Les récents développements entre Israël et le Hamas vont dans ce sens.

Rappelons qu’une des deux factions sionistes, la branche anglo-saxonne qui a son siège à la City de Londres, croient que la venue du messie doit être forcé en multipliant les conditions nécessaires, au lieu d’attendre.

Ce messie n’est rien d’autre que la domination mondiale du peuple sioniste (celui qui vit du Talmud).

Nous avons été témoins de l’Iran qui garde un pied sur le frein tout en fournissant les armes nécessaires au Hamas et au Hezbollah au Liban, tout en s’associant à la Russie, à la Chine, et à la Corée du Nord.

Comme nous l’écrivions le 23 octobre dernier, les deux axes, Gog et Magog, sont en places.

Israël a tout l’occident derrière lui.

La séquence des derniers événements :

Le groupe armé État islamique (EI) a revendiqué l'attentat qui a fait 84 morts en Iran le 3 janvier dernier.

Nous apprenons ensuite que les deux états qui financent l’EI pour sa résurrection soudaine sont le Qatar et l’Arabie Saoudite.

Malgré les apparences, nous assistons donc à la fin de la prophétie politique #30 « Le livre maudit », soit la fin de la guerre islamique entre les sunnites et la branche chiite menée par l’Iran.

L’Iran via sa branche positionnée en Irak réplique en tuant 3 soldats américains et blessant plusieurs autres par une attaque d’une base américaine au nord de la Jordanie.

Les américains, en pleine campagne électorale, ne peuvent laissé passer.

Ils ont commencer des représailles contre des groupes pro-iraniens en Irak et en Syrie.

Nous sommes en pleine escalade du conflit mondial à venir.

L’Iran ne digère pas non plus, supporté par la Russie au Conseil de Sécurité des Nations-Unies, que l’axe anglo-saxon procède à plusieurs frappes au Yémen suite au blocage pétrolier par les Houthis.

Mais, « de l'Orient la foudre en plein jour, quand l'idole sera abattue et les mangeurs de cœurs se seront dispersés. » (prophétie politique # 27)

« Quand l'Islam sera divisé, et les fils de Mahomet lutteront contre les fils de Fatima »…

« Les fils de Mahomet vaincront, le nom de Fatima sera reconsacré … »

Pour intégré les musulmans dans le nouvel ordre mondial, il est nécessaire pour l’élite de ne garder que la branche fidèle au capitalisme : les sunnites.

Il font faire le sale boulot par l’EI qui s'occupe de faire monter la tension envers les chiites (voir Grand éclair à l'Orient), ces sunnites apostasiés.

C’est le même constat quant à la prophétie « Grand Éclair à l’Orient ».

En pleine année électorale aux États-Unis, dans un contexte on le sait, de tension extrême, lié à cette situation prête à exploser en Orient, bref, la table est mise pour l’aboutissement de cette prophétie.

« Ceci arrivera quand en Orient sera mort un chef (Iran?) et en Occident, sera tué un chef. Au sud de Luther (sud des États-Unis, ou un pays au sud des États-Unis) ».

« Les assassins sont en Europe. Ils veulent la Méditerranée ».

Ce que veut avant tout Israël, et l’axe anglo-saxon, dans cette guerre pour la bande de Gaza, c’est bien de s’approprier les réserves gazières au large de la Méditerranée.

La fille de Caïn, si c’est bien Greta Thunberg, est toujours active.

La luxure de L’Europe dure sept ans à partir de son apparition mémorable d'août 2018, ce qui donne comme limite août 2025.

À « la septième année tombe le septième voile de Salomé ».

2024 est donc cette année de transition, où le chaos règne.

Du côté spirituel, la publication Fiducia Supplicans cultive l’ambiguïté et le rejet chez les fidèles.

Jamais de toute l’histoire de l’église, une publication n’a été si ouvertement contestée à l’intérieur du Vatican.

La mort de l’église est imminente.

Et ainsi l’ouverture du septième sceau.

Annonçant le retour du Christ en Gloire.

Janvier 2024

23 janvier

L’identité numérique doit être appliquée en 2025 selon les plans de l'élite.

Davos 2024: la maladie X, un rappel du coronavirus 2020:

« … Alors que le monde est aux prises avec des défis sans précédent, les dirigeants, innovateurs et décideurs politiques du monde entier se réunissent pour aborder l’intersection des forces économiques, sanitaires et technologiques lors de la réunion 2024 du FEM à Davos. Au premier plan des discussions se trouve le paradigme émergent pour faire face à la menace énigmatique connue sous le nom de « Maladie X ».

La maladie X, un virus 20 fois plus mortel que le Covid-19, était le sujet de discussion lors de la réunion de mercredi. Bien que cela n’existe pas encore, les scientifiques rapportent qu’un agent pathogène mortel pourrait déjà circuler dans les espèces animales et être à l’origine de la maladie X.

La présence de l’OMS à Davos est cruciale alors que le monde est confronté à la menace imminente de la « maladie X ».

« Vous pouvez même appeler Covid la première maladie X et cela pourrait se reproduire » – Dr Tedros, chef de l’OMS.

L’ordre du jour du Dr Tedro comprenait des points clés sur le renforcement des systèmes de santé, la distribution équitable des vaccins et les efforts de collaboration pour prévenir, détecter et répondre aux menaces sanitaires émergentes.

Un point clé à retenir ; Le moment est désormais crucial pour collaborer à la construction d’une infrastructure sanitaire mondiale plus robuste et interconnectée, en reconnaissant le lien indissociable entre la santé publique et la stabilité des économies. » (forbes.com)

C’est une article de Forbes. Pas n’importe quelle publication pour passer le message.

l’OMS force pour avoir l’accord mondial pour une action concertée contre les pandémies, c’est à dire: lui passer le pouvoir seul au gré des nations, pour 2024.

« Les gouvernements poursuivent les discussions sur le texte de négociation de l’accord sur les pandémies.

… L’organe de négociation a recommandé que les sous-groupes poursuivent les discussions informelles avec les États Membres et proposent le texte des articles qui leur ont été soumis pour le 15 janvier 2024, afin qu’ils soient examinés lors de la huitième réunion de l’organe de négociation qui se tiendra du 19 février au 1er mars 2024. La neuvième aura lieu du 18 au 28 mars 2024… » (who.int)

Bref, çà va vite.

Et après la clôture de Davos 2024, O surprise, on annonce hier que les chinois ont continué leur expériences sur deux SRAS-CoV-2 prélevés chez le pangolin et que ce dernier est mortel dans 100% des cas étudiés.

« Le coronavirus pangolin GX_P2V(short_3UTR) lié au SRAS-CoV-2 peut provoquer une mortalité de 100 % chez les souris transgéniques ACE2 humaines, potentiellement attribuable à une infection cérébrale à un stade avancé. Ceci souligne un risque de propagation du GX_P2V chez l’homme et fournit un modèle unique pour comprendre les mécanismes pathogènes des virus liés au SRAS-CoV-2…» (biorxiv.org)

On prépare une diminution massive de la population ainsi qu’un contrôle numérique total.

22 janvier

11 février 2024 : grande messe du football américain, le SuperBowl, aura lieu dans la ville du péché par excellence, Las Vegas.

Le SuperBowl, c’est LA vitrine pour passer un message au niveau mondial via une publicité unique qui n’a pas de prix.

Contrairement à tout autre événement sportif qui célèbre une « coupe » quelconque, le SuperBowl procède par un compte croissant en chiffres romains.

2024 est donc l’année du SuperBowl LVIII ou 58.

Le spectacle de la mi-temps, toujours axé sur les extravagances démoniaques, aura pour thème : « Apple Music spectacle de demi-temps » … avec le logo de la pomme bien en vue.

Pourquoi ceci en 2024?

Nous connaissons tous le livre 1984.

Et, Apple produit le premier ordinateur accessible à tous le 11 avril 1976.

Le Apple I se vendait 666.66 dollars.

En 1984, le Apple Macintosh a été le premier ordinateur personnel de bureau tout-en-un grand public à succès doté d’une interface utilisateur graphique, d’un écran et d’une souris intégrés.

Apple présente en 1984 l’ordinateur personnel comme nouveau produit de consommation, pavant la voie au futur smartphone et l’Intelligence Artificielle.

Le 22 janvier, donc 40 ans aujourd’hui, c’est l’introduction pour sa seule fois, de la publicité télévisée historique, présentant la machine comme un outil de rébellion contre un système politique dystopique.

Apple profite d’une coupure dans le troisième quart pour annoncer le Macintosh avec « 1984 ». (vidéo)

Un temps, deux temps (3 quarts donc) … et la moitié d’un temps par la suite, car le temps sera raccourci et le 4ème temps n'arrivera pas à sa fin.

En fait, il semble que 1984 ne s’adressait pas à cette année, mais à 2024.

Pour preuve le narratif de la publicité 1984 :

« Mes amis, chacun de vous n’est qu’une petite cellule du grand corps de l’État. Et aujourd’hui, ce grand corps s’est débarrassé de ses parasites. Nous avons triomphé de la dissémination incontrôlée des faits. Les bandits et les destructeurs ont été éliminés. Les herbes empoisonnées de la désinformation ont été enfermés dans la poubelle de l’histoire. Que chacun, que chaque cellule se réjouisse ! Aujourd’hui, nous célébrons le premier anniversaire de la Directive sur la Purification de l’information. Nous avons créé, pour la première fois dans l’histoire, le jardin de l’idéologie pure où chacun pourra s’épanouir à l’abri de la peste des vérités contradictoires et confuses. Notre Unification de la pensée constitue une arme plus puissante que n’importe quelle flotte ou armée sur terre. Nous formons un peuple. Avec une volonté. Une détermination. Une cause. Nos ennemis pourront converser entre eux jusqu’à en mourir. Et nous les enterrerons avec leur propre confusion. »

Le premier Macintosh sera ensuite mis en vente le 24 janvier 1984, et la promotion sera faite à la télévision par Bill Gates, qui a créé Microsoft par la suite.

Pourquoi une analyse sur ce sujet aujourd’hui?

Parce ce qu’on annonce en grandes pompes aujourd’hui, quarante ans après avoir lancé la révolution des ordinateurs personnels, que le Mac gagne en popularité au-delà des adeptes d’Apple et pourrait connaître une nouvelle gloire grâce à l’intelligence artificielle (IA).

Quarante, c’est le temps de l’épreuve, le temps qu’il faut pour approcher Dieu, se convertir et faire appel à sa miséricorde. Cela fait référence aux 40 ans que le peuple hébreu a passé dans le désert mais aussi 40 jours que Jésus a passé dans ce même désert, avant de commencer sa vie publique, on nous annonce ici une vie publique encore plus visible pour le système Antéchrist ou l'Antichrist personnifié.

Ne sommes nous pas dans une ère de désinformation grandiose?

La présidente de la Communauté européenne n’a-t-elle pas demander le contrôle totale de l’information à Davos 2024 la semaine passée?

« C’est pourquoi, a-t-elle expliqué, la Commission européenne a élaboré la loi sur les services numériques, car la désinformation et la désinformation peuvent se transformer en discours de haine, la chose la plus dangereuse au monde. Il faut l’écraser ! Enfoncé dans la terre sous le talon d’une botte ! »

Le 19 janvier dernier, la rédacteur en chef du WSJ admet aux élites de Davos que « l’information ne nous appartient plus ».

Milei, le nouveau président argentin à Davos :

« Je suis ici aujourd’hui pour vous dire que l’occident est en danger. Il est en danger parce que ceux qui sont supposés défendre les valeurs de l’occident sont corrompus par une vision du monde qui conduit inéluctablement au socialisme et donc à la pauvreté ».

On donne l’impression qu’il les sermonne… Mais c’est le message qui compte : l’Occident est en danger.

Le fait n’est pas anodin : le 11 février 1858 commence les apparitions à Lourdes, 12 ans après l’apparition mariale de La Salette, avec l’annonce de l’Antéchrist sur le trône de Saint-Pierre.

Date de démission forcée de Benoît XVI : 11 février 2013, 84 ans jour pour jour après les accords de Latran!

Nous sommes dans la 11ème année du règne de l'Antéchrist Bergoglio.

Marie annonce à Bernadette Soubirous qu’Elle est l’Immaculée Conception.

Le 16 juillet 1858, date de la dernière apparition, Bernadette devient L’Élie des temps nouveaux. (laportelatine)

Le chiffre 16 est un chiffre important.

Il représente la Résurrection.

Et puisque Satan singe, que nous annonce-t-on pour le 16 juillet 2024?

Puisque nous somme à la 9ème heure, le 16 juillet 2024 risque d’être un jour eschatologique majeur et porteur d’un signe que peu pourront renier.

Rappelons que Notre-Dame du Mont Carmel, c’est le scapulaire qui protège à la fin des temps.

Le 16 juillet, c’est aussi la date de publication de Traditionis Custodes en 2021, tentative vaine, pour l’instant, pour essayer de faire taire ce qui reste des deux témoins.

L’identité numérique est prévue pour 2025 pour arriver à la finale du plan de l’Agenda 2030.

L’importance du chiffre 11 pour la kabbale:

Ce chiffre représente une porte qui s’ouvre, un passage, une Pâques, entre les deux colonnes.

C’est donc dire qu’il représente un nouveau départ, une grande réinitialisation ou des étapes menant à cette étape ultime, et un sacrifice ou suite à un sacrifice.

Satan singe et inverse, et évidement il n’offre pas une porte vers le Ciel avec son 11.

Exemples : armistice le 11 du 11ème mois, 11 septembre 2001, accident de la centrale Fukushima, 11 mars 2011, etc..

Jean XXIII publie son encyclique humanitaire PACEM IN TERRIS le 11 avril 1963.

Alors, pour l’année 2025 : Le Jubilé et les références au chiffre 11.

« la signification du jubilé dans la tradition juive : c’est l’accomplissement de l’œuvre, la réussite, le couronnement, l’année « divine » où l’on se repose de son travail. » à la 50ème année, après la limite du diable, le 49.

« Le 11 février 2022, jour de la mémoire de la bienheureuse Vierge Marie de Lourdes, le pape François a adressé une lettre à Mgr Rino Fisichella, président du Conseil pontifical pour la promotion de la nouvelle évangélisation, pour le Jubilé de 2025… le thème « Pèlerins d’espérance ».

La réussite de ce Jubilé, a-t-il affirmé, sera possible « si nous sommes capables de retrouver le sens de la fraternité universelle »… Le pape François a ajouté que les quatre constitutions du concile œcuménique Vatican II « unies au magistère des dernières décennies », continueront « à orienter et à guider le saint peuple de Dieu ». Après avoir déclaré que la Bulle d’indiction « sera émise en temps voulu », le pape François a stipulé l’année précédant l’événement jubilaire, 2024, « pourra être consacrée à une grande “symphonie” de prière ». »
(lacroix.com)

Le Jubilé pour la bête Vatican est l’occasion d’ouvrir une porte, les Portes Saintes pour l’Église et une singerie inversée pour l’église conciliaire sous l’attention de Satan.

Et pour ce passage prévue, il faut une préparation :

« Mgr Fisichella a en outre souligné l’indication du Pape François de consacrer les deux prochaines années précédant le Jubilé sur deux thèmes particuliers. L’année 2023 sera ainsi consacrée à revisiter les thèmes fondamentaux des quatre Constitutions du Concile Vatican II, dont on célébrera le 11 octobre prochain le 60e anniversaire de l’ouverture, «afin que l’Église puisse respirer à nouveau» cet «enseignement profond et actuel». Une série de supports utiles, «écrits dans un langage attrayant», sont en préparation.

L’année 2024 sera consacrée en revanche à la prière, pour «créer un cadre favorable au Jubilé et permettre que les pèlerins puissent se préparer à cet événement, qui est avant tout spirituel, de façon cohérente et efficace». » (osservatoreromano.va)

En 2023, on célèbrait le fameux 11 octobre 1962 et ses fruits pourris, alors que pour ceux qui ont les yeux ouverts, on célèbre en réalité le veuvage de l’Église (60 ans selon Saint-Paul).

Alors, qu’en 2024, on prépare mentalement les âmes pour accepter l’inévitable, la suppression de la présence réelle par l’institution d’une célébration œcuménique avec la fin du synode des synodes.

Les Jubilés sont liés à une date de début et de fin précises : le 8 décembre.

Et le 8 décembre c’est la date de célébration de l’Immaculée Conception : date qui a son importance considérant l’Apocalypse pour les références à Marie, celle qui écrasera la tête du serpent et mettra fin à Babylone.

Alors, que célébrera l’église conciliaire (rappelons que Bergoglio a lancé le thème du jubilé de 2025 un 11 février, à la fête de Lourdes)?

La renaissance, comme… la grande réinitialisation.

« … le prochain jubilé est l’occasion d’un réveil… une occasion de «contempler la beauté de la création et de prendre soin de notre maison commune». » (vaticannews.va)

L’église sera témoin d’un réveil, mais pas celui qu’elle espère…

Le logo de ce jubilé est pro LGBT (vaticannews.va) pour inclure tout le monde dans ce jubilé, pour le cri de victoire de l’œcuménisme, pour la conclusion de Vatican II. On nous l’a annoncé avec l’année 2023 consacrée aux 60 ans de Vatican II.

Or, pour le jubilé 2025, Bergoglio a créé une Commission pour les témoins de la foi qui fait référence au grand jubilé de Jean-Paul II de l’an 2000, où il a voulu mettre en lumière ces hommes et ces femmes qui, bien que non canonisés, ont manifesté avec force leur foi.

« Qui sont les témoins de la foi?

Permettez-moi de donner un exemple: celui qui me vient immédiatement à l’esprit est Dietrich Bonhoeffer (1906-1945), un théologien et pasteur d’église luthérien qui a été tué parce qu’il s’opposait au nazisme. L’Église ne le proclame pas martyr parce qu’il n’était pas catholique. »
(vaticannews.va)

Cela nous rappelle pas les « deux témoins » de l’Apocalypse.

Satan singe et inverse…

La grande réinitialisation actuelle n’est possible que par le code QR ou son successeur.

C’est ainsi que la bête de la terre (humaniste, Nations-Unies, franc maçonnerie judéo-maçonnique) a pris le contrôle total de nos vies pour nous rendre esclaves du système antichristique.

Tout se fait maintenant via le téléphone intelligent.

Un marché aujourd’hui dominé par la compagnie Apple.

Il faut remonter à la création de l’ordinateur accessible pour tous, ancêtre en sorte du smartphone actuel, pour voir la bête sortir de l’eau, en termes apocalyptiques.

C’est Apple qui produit le premier ordinateur accessible à tous le 11 avril 1976.

Le Apple I se vendait 666.66 dollars.

Don Jean de Monléon dans son livre Le prophète Daniel:

« Malgré les efforts des bourreaux, la flamme ne montait qu’à 49 coudées, elle n’arrivait pas à cinquante… Pourquoi cela ? Parce que 50 est le chiffre de la Pentecôte, le symbole de la transformation totale que, seule, la grâce du Saint-Esprit est capable d’opérer dans l’homme. »

Par conséquent, « le démon ne peut dépasser 49 coudées, parce qu’il est incapable d’agir efficacement sur le fond de l’âme, sur la volonté, si celle-ci est résolue à tenir bon. »

Sachant donc que la limite du diable est de 49, la limite de Babylone serait donc le 11 avril 2025 (1976+49 années).

Le Vatican doit obligatoirement suivre, car deux bêtes (terre et mer) agissent ensemble selon l’Apocalypse.

C’est à l’été 1976 que Paul VI suspend Mgr Lefebvre suite à la consécration de 13 prêtres et isole ainsi la tradition.

Le 11 septembre 1976, à Castel Gandolfo, une célèbre rencontre eu lieu entre Mgr Lefebvre et Paul VI où ce dernier dépose ses accusations.

Le nombre de jour entre le 11 avril 1976 et le 11 septembre 1976 liant les deux bêtes : 153.

Le chiffre des rachetés de la pêche miraculeuse (voir analyses précédentes) de la fin des temps.

La fin des temps se mesurant en deux temps, un temps et un demi temps (3 étapes).

Un temps : 21 ans

Deux temps : 42 ans

Un demi temps : la donnée inconnue : nul ne connaît le jour ni l’heure…

Un temps : 21 ans

De 1962 à 1983.

1983 : Jean Paul II modifie le droit canon le 25 janvier 1983 et celui-ci est effectif le 27 novembre suivant au premier dimanche de l’Avent, ce qui en soit est un signe d’une nouvelle étape.

Le code de droit canonique de 1917 a été promulgué le 27 mai 1917 (peu après la première apparition de Fatima donc).

Nombres d’années entre le 27 mai 1917 et le 27 novembre 1983 : 66 ans et 6 mois.

Les 21 années de Vatican II à 1983 ont donc servi de préparation pour éclipser l’Église selon les prophéties de La Salette.

Deux temps : 42 ans

De 1983 à 2025.

Le nouveau droit canon plonge l’Église dans la fosse humaniste officiellement.

Le 5 avril 1983, Mgr Lefebvre répond à une lettre envoyée par Jean-Paul II via le cardinal Ratzinger.

L’Église est en crise.

La messe traditionnelle est ciblée.

« Sans doute c’est en raison de cette oppression des consciences exercée d’une manière inconcevable à l’intérieur de l’Église que vous prévoyez de publier un décret concernant l’usage de l’ancien rite romain de la Messe. N’est-ce pas, en effet, une oppression inique d’enlever aux prêtres le rite de leur Messe d’ordination et de les contraindre sous peine de suspens d’adopter un nouveau rite à l’institution duquel ont participé six pasteurs protestants !

C’est au pied du crucifix que je vous réponds, Très Saint-Père, uni à tous les évêques, prêtres, religieux, religieuses, fidèles qui ont subi un véritable martyre moral par l’imposition forcée de cette Réforme liturgique. Que de larmes, que de douleurs, que de morts prématurées dont demeurent responsables ceux qui ont indûment imposé ces changements opérés au seul titre d’un œcuménisme aberrant.» (laportelatine.org)

L’humanisme œcuménique a été inscrit dans l’ADN de l’Église avec le nouveau code de droit canon.

Concrètement.

On trouve une autre confirmation par la deuxième apparition de la Vierge Marie à Sœur Catherine Labouré à la rue du Bac:

La libération des justes, les 153 de la seconde pêche miraculeuse commencent donc au début de la phase de 42 ans, la période de prêche des deux témoins pour sauver le plus d’âmes possibles.

Cette phase commence par la validité du nouveau code de droit canon le 27 novembre 1983.

Or, le 27 novembre est la date anniversaire de l’apparition de la rue du Bac en 1830 et conséquemment de l’existence de la médaille miraculeuse.

Il y a exactement 153 ans entre l’apparition et le 27 novembre 1983.

2025, c’est aussi 161 ans par rapport au syllabus de Pie IX (publié le 8 décembre 1864) condamnant le maçonnisme et ses erreurs.

C’est bien là le mal de notre époque (suite à l’avertissement de Fatima avec le communisme).

161, c’est le chiffre de l’humain déifié, le 6, entre les deux colonnes maçonnique (les colonnes Boaz et Jakin), représenté par le chiffre 11.

La porte que veulent ouvrir les kabbalistes (la grande réinitialisation de 2025) est indiquée par la date de l’avertissement de Pie IX et qui est reliée à Marie.

Mais, en 2025, cela fera aussi 171 ans que le dogme de l’Immaculée Conception a été proclamé par Pie IX, le 8 décembre 1854 exactement.

La Vierge Marie, c’est la clé de la victoire dans l’Apocalypse, celle qui écrasera la tête du serpent.

Si le 161 représente le chiffre de l’homme déifié entre les deux colonnes du 11, 2025 représente aussi le 6 transfiguré.

6X3,5 (en référence au 1 temps, 2 temps et un demi temps de la durée de vie de la bête dans l’Apocalypse) donne 21 et divisé par le chiffre de la Trinité, donne 7.

Le chiffre du Père, entre les deux colonnes.

Deux portes donc : une porte menant au Ciel et l’autre menant à l’enfer dépendant de l’application du trio « Foi, Espérance, Charité » pratiqué par chacun.

Les deux colonnes représenteraient les « deux témoins » ressuscités après les 3 jours et demi : les deux oliviers de l’Apocalypse.

Rappelons aussi qu’il y avait deux colonnes dans le songe de Don Bosco.

Ces deux témoins, on les nomment aussi Énoch et Élie.

Confirmés par La Salette :

« L’Église sera éclipsée, le Monde sera dans la consternation. Mais voilà Énoch et Élie remplis de l’Esprit de Dieu ; ils prêcheront avec la force de Dieu et les hommes de bonne volonté croiront en Dieu et beaucoup d’âmes seront consolées ; ils feront de grands progrès par la vertu du Saint-Esprit et condamneront les erreurs diaboliques de l’Antéchrist. »

La prêche des deux témoins aurait donc débuté officiellement en 1983 pour 42 ans.

Effectivement, tout doit être conclu avant mai 2026 selon la prophétie de Don Bosco, c’est à dire le retour du Lys avant mai 2026.

19 janvier

IL N’Y AURA AUCUN RETOUR EN ARRIÈRE

Tel est la devise de Bergoglio depuis 2013.

Après la publication de Fiducia Supplicans et la dernière déclaration selon laquelle l’enfer n’existe pas, nous pouvons effectivement comprendre entièrement le personnage.

Pour nous aider, faisons appel encore une fois à José Arturo Quarracino (voir 24 novembre 2023).

Bergoglio « ... devrait retirer le document et renvoyer « Tucho », mais il ne le fera pas pour deux raisons :

1) Il a un très gros ego, qui a été exacerbé par son exercice de la papauté
2) Parce qu’il est doté d’arrogance, car au fond de lui, il se croit supérieur.

Ses dernières déclarations, selon lesquelles ceux qui « critiquent la Déclaration n’ont pas compris ou sont fermés d’esprit » vont dans ce sens, comme s’il disait « Je suis la Vérité » ou la fameuse phrase de Louis XIV : « Je suis l’Etat [l’Eglise] ».

Il a cessé d’être un berger qui fait paître les brebis du Seigneur (commandement de Notre Seigneur Jésus-Christ à Pierre à la fin de l’Évangile de Jean) pour devenir un chef qui impose des nouveautés. Ce qu’il dit dans la lettre qu’il a adressée au cardinal Tucho Fernandez lorsqu’il l’a nommé préfet de la DDF le montre également, en ce sens que la mission de ce dernier est d’adapter tous les documents du Saint-Siège à l’ « humus » de la Tradition (et non à la Tradition) et au « magistère actuel » – celui de François. Et tout le magistère précédent ? Envoyé aux archives.

Je suis convaincu qu’il n’est pas anodin qu’il se soit dépouillé de tous les attributs pontificaux comme étant « historiques », c’est-à-dire du passé (ils ne sont plus valables) pour ne garder que celui d’évêque de Rome. Ce n’est pas non plus un fait anodin qu’il se soit allié à la Maison Rothschild et au Conseil pour un capitalisme inclusif*.

Si Dieu le veut, Bergoglio reviendra peut-être à la raison et au Seigneur, mais je le vois très compromis, comme on dit en espagnol. Il ne donne pas l’impression qu’il va abandonner son service d’aumônier d’une Église hybride au profit des puissances financières mondialistes, de son Nouvel Ordre Mondial génocidaire avec les illusions d’une Grande Réinitialisation et de la mise en œuvre du transhumanisme. L’espoir est la dernière chose à perdre, dit le proverbe, mais je crois que don Jorge Mario ne se corrigera pas. » (benoit-et-moi.fr)

Le personnage cultive le sens de l’ambiguïté, nous le savons.

« Il a dit qu'il aimait penser que l'enfer est vide. "C'est quelque chose de personnel, pas un dogme", a-t-il ajouté, comme pour rendre cette déclaration moins sérieuse. Mais il est le pape, le vicaire du Christ sur terre. Chacune de ses déclarations, même si elles sont exprimées à un niveau personnel, a un poids spécifique différent de celui des autres. Et il sait bien comment cela fonctionne : « Si le Pape le disait… ».

Pourquoi dis-je qu’avec ses paroles le Pape a mis l’Église en liquidation ? Simple. Si l'enfer est vide, cela signifie qu'il n'y a pas de jugement. Et s’il n’y a pas de jugement, cela signifie qu’il n’y a pas de péché. Et s’il n’y a pas de péché, cela signifie que notre Seigneur est venu dans le monde pour rien car un monde sans péché n’a pas besoin de rédemption. Et si notre Seigneur Jésus est venu pour rien, cela veut dire qu’il a fondé l’Église pour rien. Et s’il l’a fondé pour rien, c’est qu’il ne sert à rien. Et si ce n’est pas nécessaire, vous pouvez facilement l’abolir. Et si elle peut être abolie, que doit faire le Pape ?

Bergoglio, en liquidant l’Église, a également liquidé le Pape, et donc lui-même. Un suicide. Vous en rendez-vous compte ?

Pour paraphraser Francesco, j'aime penser qu'il ne s'en rend pas compte et que ses facultés mentales ne sont pas en ordre. Malheureusement, ce n'est pas le cas. Comme me le disent des amis argentins qui le connaissent, et comme le confirment certains des palais sacrés, il ne s'intéresse au pouvoir que pour le pouvoir. Et l'image de soi. Après moi le déluge. Il est donc heureux si les Fazios de service s'agenouillent devant lui. Arrêt. Le reste ne l'intéresse pas du tout. En effet, il se réjouit que l’Église soit en train d’être liquidée. Parce qu'en réalité, il la méprise. Au Vatican, on en parle à voix basse depuis un certain temps. Le Numéro Un, comme on l'appelle là-bas, méprise la hiérarchie, méprise les cardinaux, méprise les évêques, méprise tout le mécanisme curial et ecclésial, une machine qui n'a de sens pour lui que dans la mesure où elle lui permet d'exercer le pouvoir et de cultiver son image. » (aldomariavalli.it)

Orgueil. Culture du mépris. Sens de l’ambiguïté voulue.

Aucun retour en arrière.

C’est un fait.

Éliminer la Tradition considérée par lui-même comme à l'état d’humus pour pondre de nouveaux documents via le DDF pour le « magistère actuel ». Pour lui-même. Pour sa gloire. Pour celle de Satan.

Envoyer 2000 ans d’histoire, toutes les publications des apôtres et pères de l’Église aux oubliettes.

Ce qu’il y a à comprendre avec l'église conciliaire présente?

Des aveugles qui conduisent les aveugles et qui lèchent les bottes du puissant sur le trône à la manière des pharisiens il y a 2000 ans.

Tout cela est volontaire de la part de Bergoglio et témoigne ainsi de l’Antichrist sur le siège de Saint-Pierre.

Point.

Rappelons Saint-Paul: 

«...  Que personne ne vous égare d'aucune manière ; car auparavant viendra l'apostasie, et se manifestera l'homme de péché, le fils de la perdition, l'adversaire qui s'élève contre tout ce qui est appelé Dieu ou honoré d'un culte, jusqu'à s'asseoir dans le sanctuaire de Dieu, et à se présenter comme s'il était Dieu.

Ne vous souvenez-vous pas que je vous disais ces choses, lorsque j'étais encore chez vous ?

Et maintenant vous savez ce qui le retient, pour qu'il se manifeste en son temps.

Car le mystère d'iniquité s'opère déjà, mais seulement jusqu'à ce que celui qui le retient encore paraisse au grand jour.

Et alors se découvrira l'impie, que le Seigneur (Jésus) exterminera par le souffle de sa bouche, et anéantira par l'éclat de son avènement.

Dans son apparition cet impie sera, par la puissance de Satan, accompagné de toutes sortes de miracles, de signes et de prodiges mensongers, avec toutes les séductions de l'iniquité, pour ceux qui se perdent, parce qu'ils n'ont pas ouvert leur cœur à l'amour de la vérité qui les eût sauvés.

C'est pourquoi Dieu leur envoie des illusions puissantes qui les feront croire au mensonge, en sorte qu'ils tombent sous son jugement tous ceux qui ont refusé leur foi à la vérité, et ont au contraire pris plaisir à l'injustice. »

Le Katéchon n'est plus depuis le 31 décembre 2022.

Et depuis, les tièdes, nous l'espérons, ont découvert l'impie.

Cette pauvre âme a besoin d'aide et il a entièrement raison d'implorer la prière pour lui-même car dès l'apparition sur le balcon le 13 mars 2013, il savait qu'il allait détruire ce qui restait de l'Église.

C'est le Judas de la Passion de l'Église.

Aucun retour en arrière.

18 janvier

Il y a maintenant un mois, le Dicastère pour le Doctrine de la Foi faisait paraître Fiducia Supplicans, confirmant par le fait que l’église conciliaire niait sa doctrine et que cet organisme censé protéger le cœur de l’église, avait basculé dans l’apostasie grâce à la nomination de Bergoglio.

C’est le signe hors de tout doute que nous sommes bel et bien dans la phase de la mort de l’église, au Vendredi Saint de la Passion, et nous dirions même, à sa fin en 2024, à la 9ème heure.

Entre le 13 mars 2013, élection de Bergoglio, et le 31 décembre 2022, décès de Benoît XVI, soit la durée de la cohabitation des deux papes prophétisée par Anne Catherine Emmerich et Jean XXIII, il y a 3580 jours, et comme un jour est comme 1000 ans, par la division nous arrivons au 3.5 (les 1260 jours de l’Apocalypse : voir analyses précédentes).

Tout se tient.

Car 3580 jours représentent 9 ans, 9 mois et 18 jours.

Le 9 est le chiffre de l'aboutissement, la période de gestation chez l'humain, et la mort du Christ à la neuvième heure.

9 multiplié par n'importe quel autre chiffre (exemple 9x2=18) et additionnant le résultat donne toujours 9.

9 est aussi 3x3, un multiple de la Trinité.

Nous avons donc aussi, 9 ans, 9 mois, (1+8 jours) soit 9 et en additionnant le tout on arrive à 27, soit encore le 9 ( 2+7).

Nous n’essayons pas de démontrer quoi que ce soit ici en terme de numérologie ou autre.

Ce domaine appartient à d’autres.

Tout ce qu’on affirme, c’est que le Père nous laisse un indice que nous somme à la neuvième heure, que la fête est terminée pour Babylone.

C’est bien depuis le décès de Benoît XVI que Bergoglio, se sentant finalement libre, a commencé à déverser son fiel.

Le Katéchon n’était plus là pour faire obstacle.

En fait, Bergoglio est enragé depuis cette fin 2022, confirmant hors de tout doute la prophétie de la Salette : Rome apostate est devenue le siège de l’Antéchrist (« Ce n’est pas un dogme, juste mon opinion : j’aime penser que l’enfer est vide. J’espère qu’il l’est », a déclaré Bergoglio, interrogé par Fabio Fazio dans le cadre de l’émission populaire « Che tempo che fa » sur la chaîne de télévision italienne Nove.

C’est encore une opinion du pontife s’exprimant à titre personnel qui a donné lieu à une cascade de commentaires sur l’opinion particulière ou le délire du pape.

François contredit une fois de plus Benoît XVI qui, en 2008, lors d’une rencontre avec les curés romains au début du Carême, avait mis en garde les fidèles : le salut n’est pas immédiat et ne viendra pas à tout le monde, c’est pourquoi il voulait mettre en évidence la possibilité réelle d’aller en enfer. « L’enfer dont on parle peu à l’heure actuelle, existe et est éternel », avait-il affirmé, ajoutant qu’il n’est pas vide. (benoit-et-moi.fr))

Bergoglio a accumulé toute cette rage contre Benoît XVI en tant que cardinal Ratzinger au Dicastère de la Doctrine de la Foi pendant de nombreuses années, et comme pape, car Benoît XVI s'est toujours référé à la Doctrine pour faire obstacle aux progressistes.

Bergoglio y a gouté aussi avec Amoris Laetitia tronquée grâce à la parution du livre du cardinal Sarah avec la préface de Bergoglio.

Bergoglio essaie donc d'effacer toute trace de Benoît XVI dans sa rage, allant jusqu'à donner l'ordre d'effacer les armoiries de Benoît XVI sur ses chasubles à la Basilique Saint-Pierre, et en plaçant sur le trône du DDF son antithèse, Tucho Fernandez, pour la destruction finale de l'église comme prophétisée par Anne Catherine Emmerich, où il ne restera que l'autel (la Sainte Messe) et la partie nord de l'Église (la Tradition, les deux témoins).

Autre preuve :

« Le Vatican prêt à ouvrir la voie à la fin de la règle du célibat pour les prêtres ?

Une déclaration d’un haut responsable du Vatican remet sur la table une question évoquée en des termes parfois contradictoires par le pape.

Le Vatican permettra-t-il bientôt aux prêtres de se marier ? C'est en tout cas la volonté affichée par l'archevêque de Malte, dont les propos sont rapportés, ce 8 janvier par nos confrères du Guardian. Charles Scicluna, qui s'exprime également en tant que secrétaire adjoint du dicastère pour la Doctrine de la foi au sein du Vatican, estime que l'Église devrait repenser l'obligation de célibat pour les prêtres, tout en reconnaissant que certains considéreront cette décision comme « hérétique ».

Dans un entretien accordé au journal Times of Malta, il déclare : « Si cela ne tenait qu'à moi, je réviserais la règle qui requiert le célibat pour les prêtres. L'expérience m'a montré que c'est un sujet que nous devons aborder sérieusement. » Il ajoute que « l'Église a perdu de grands prêtres, car ils ont choisi le mariage » et que « certains doivent composer avec une relation sentimentale secrète ».

Une question déjà évoquée par le pape

« Il y a de la place pour le célibat dans l'Église, insiste-t-il, mais il faut prendre en considération le fait qu'il arrive parfois aux prêtres de tomber amoureux et d'être contraints de choisir entre ça et leur vocation. C'est probablement la première fois que je le déclare publiquement, et cela paraîtra hérétique aux yeux de certains… »

Et bien...

On semble donc indiquer que le DDF joue le rôle central pour tout changer rapidement, et ce sans consultation avec les évêques ou les cardinaux!!!

N’oublions pas la prophétie de Don Bosco sur la venue de l'iris de paix avant le mois de Marie des deux lunes, et c'est pourquoi il y a quelques années nous anticipions 2025 comme étant critique, à cause du jubilé aux couleurs déjà annoncées LGBT+ etc, et parce que mai 2026 est le prochain mois de Marie des deux lunes.

Or, depuis le départ du Katéchon, il y a 3.5 années entre décembre 2022 et mai 2026, moins le temps raccourci annoncée par NSJC, qui sera une grâce pour nous car déjà nous pouvons voir que la Tradition passera dans le tordeur en 2024.

On forcera la séparation via les horreurs répandues par Tucho. (une enquête est parue dans Le Temps.ch la semaine dernière attaquant la SSPX sur des allégations d’inconduites sexuelles).

Rappel des 42 mois (1260 jours) selon la description de l’Apocalypse 12, 6 : un temps, deux temps et un demi temps.

Rappel du décompte long selon l’hypothèse d’octobre 2022 (voir analyses précédentes) : un temps (1962-1983), deux temps (1983-2025), et un demi temps (ou nul ne connaît le jour ni l’heure), soit 1962 plus 21 ans, plus 42 ans pour 2025.

Nous savons grâce au miracle du soleil du 13 octobre 1917 que la purification se fera par le feu, et probablement que le soleil y occupera une grande place.

Le cycle solaire 25 devait atteindre son apogée fin 2024 selon les dernières données de l’évolution du cycle solaire.

L'enfer est vide déclare Bergoglio... Encore une fois.

À quoi sert donc l'église puisque le péché n'existe plus et qu'il n'y a plus de conséquences à nos actes?

Pourquoi donc NSJC est-il venu pour nous absoudre des péchés et fonder son Église?

Nous sommes dans un décompte court de 42 mois depuis le 31 décembre 2022.

Un temps est déjà passé...

Tout se tient.

7 janvier

« Mgr Carlo Maria Viganò

À propos du communiqué de presse sur la réception de

Fiducia Supplicans

5 janvier 2024

Le cardinal Fernández écrit qu'« il n'y a pas de place pour nous éloigner doctrinalement de cette Déclaration ou pour la considérer comme hérétique, contraire à la Tradition de l'Église ou blasphématoire ». Comment réagiriez-vous à une telle remarque ?

Il n'est pas surprenant que l'auteur d'un document en soi hérétique tente de le défendre, contre toute évidence. Au contraire, il s'étonne de l'impudence de ceux qui contredisent cette synodalité qui, selon les bergogliens, est censée laisser l'autonomie aux « églises particulières ». Mais c’est ce qui arrive lorsqu’un lobby qui prétend avoir une légitimité « démocratique » découvre que le peuple – qui n’est souverain qu’en paroles – ne soutient pas ses projets subversifs. Le consensus populaire se transforme alors en « dérive populiste » (comme lorsque les démocrates ne gagnent pas honnêtement une élection) et la même chose se produit dans l’Église bergoglienne.

Je voudrais cependant attirer l'attention sur un autre élément qu'il ne faut absolument pas sous-estimer : la provocation délibérée de la part de Bergoglio et de son acolyte. Si Tucho était réellement de bonne foi, il n'aurait jamais promulgué la Déclaration Fiducia Supplicans, car il était largement prévisible que ce coup d'État aurait suscité de vives réactions. de vives protestations. De la façon dont s'est déroulée cette affaire scandaleuse – au point même de ne pas convoquer la séance plénière du Dicastère pour discuter du contenu du document – ​​on peut comprendre ce que j'annonce déjà depuis un certain temps, à savoir que Bergoglio veut provoquer un schisme dans l'Église et poussent les pasteurs et les fidèles à partir, ou en tout cas à se retrouver dans une situation d'ostracisation volontaire ou imposée dans laquelle leur résistance est de fait annulée ou ignorée. C'est ce qui constitue la marque du « pontificat » du jésuite argentin, et il l'a lui-même déclaré en 2016 : « Je pourrais entrer dans l'histoire comme celui qui a divisé l'Église ». Cette action de division, typique du Malin, esprit de division et semeur de discorde, est incontestable et trouve une démonstration supplémentaire dans la provocation de Fiducia. Supplicans, que défend son auteur, dans un conflit d'intérêts grotesque, décidant même motu proprio qu'il ne peut pas être considéré comme hérétique ou blasphématoire, sans argumenter et en sachant très bien que le Magistère de l'Église a toujours condamné la sodomie et a donc considéré impensable de bénir ou même d'approuver indirectement ceux qui vivent en état de concubinage public ou comme sodomites.

Dans tous les cas, tout document portant la signature de Tucho peut être considéré comme dépourvu de toute valeur, en raison de l’hérésie manifeste de Tucho lui-même et de sa complicité avec Bergoglio dans le discrédit de la Sainte Église en usurpant son autorité pour la démolir de l’intérieur.

Le cardinal Fernández déclare également que l'opposition aux Fiducia Supplicans « ne peut pas être interprétée comme une opposition doctrinale, car le document est clair et définitif sur le mariage et sexualité." Pourtant, il semble que toute opposition au FS ne soit pas basée sur ses lignes selon lesquelles le mariage est un mariage entre homme et femme, mais plutôt sur le fait qu'il autorise les bénédictions pour les couples de même sexe.

Ce document est un monument de l’hypocrisie pharisienne. Tout d'abord, il feint d'ignorer que la distinction byzantine entre bénédictions liturgiques et extra-liturgiques est clairement contredite par la valeur que leur attribuent ceux qui les dispensent et ceux qui les demandent, ainsi que bien sûr ceux qui ont jugé il convient de commenter la question dès maintenant. Un bon curé sait très bien que pour le fidèle laïc moyen, le simple fait de bénir une union signifie l'approuver. En outre, bénir un couple pécheur public, même dans la sacristie, avec des parents et des amis est considéré comme une condition préalable nécessaire pour arriver, dans un délai relativement court, au mariage tout court. En revanche, on a fait à peu près la même chose lorsque, dans le domaine civil, les unions civiles ont été créées pour accompagner le mariage entre un homme et une femme, grâce au soutien des partis conservateurs à qui on avait fait croire que ces unions civiles les syndicats n’avaient pas l’intention de remettre en question le mariage traditionnel. Et en fait, il existe aujourd’hui des mariages civils entre personnes du même sexe, et personne ne se souvient même de ce qu’étaient les unions civiles.

Pour tromper, Tucho souhaite que l'attention soit portée sur un aspect non pertinent – ​​à savoir que la bénédiction ne remet pas en question le fait que le sacrement du mariage n'est possible qu'entre un homme et une femme – afin d'éviter de prendre en considération la sodomie, ce péché contre nature qui crie vengeance au Ciel, qui en fait Fiducia Supplicans déclassifie et légitime. De cette manière, les conséquences qu'aura réellement la Fiducia Supplicans – conséquences que nous pouvons déjà voir appliquées de manière cohérente par les prêtres et les évêques bergogliens – sont ignorées. Le premier d'entre eux consiste à induire parmi les fidèles l'idée qu'une union homosexuelle ou autrement illégitime peut avoir une sorte de légitimation de seconde zone, ouvrant ainsi cette fenêtre d'Overton ce qui conduira nécessairement à légitimer non seulement les mariages homosexuels, mais aussi ceux entre conjoints multiples (au nom de l'inclusion envers ceux qui pratiquent le polyamour) ou avec des mineurs (lorsque la pédophilie, selon les auspices de l'ONU, sera reconnue comme d'habitude) ou avec des animaux. Je me souviens, en passant, que parmi les préoccupations du Synode sur la Synodalité dirigé par Bergoglio, il y avait aussi une attention pastorale non seulement pour les couples illégitimes qui vivent dans un état de concubinage public ou sodomites, mais aussi pour les polygames. En relisant ces désirs, on comprend aujourd'hui quelle était la volonté de Bergoglio et de ses complices depuis le début.

D'autre part, depuis soixante ans, les exceptions aux normes ordinaires ont servi de prétexte pour introduire des innovations autrement inacceptables, depuis la pratique de l'administration de la communion dans la main jusqu'à l'institution des « ministres de l'Eucharistie » et des filles de chœur, de la introduction de langues vernaculaires à la place du latin jusqu'au remplacement du chant grégorien par des chants profanes.

J'ajoute également un autre élément : le fait que les « couples » qui demandent cette bénédiction sont déjà « mariés » civilement ou ont l'intention de le faire et ne considèrent pas leur union comme un péché. C’est cette union pécheresse à laquelle on demande d’être bénie ; ce sont les deux composantes de cette union pécheresse qui demandent à être bénies.

Tucho savait très bien qu'il ne pouvait pas émettre cette Déclaration avec l'approbation des membres du Dicastère et de l'Épiscopat, car elle était contraire à la foi et à la morale. C'est pour cette raison qu'il a dû recourir à un coup d'État, en gardant bien cachée la rédaction du document pour éviter qu'il ne soit bloqué avant même sa publication. Penser qu’il l’a fait sans considérer les réactions que cela susciterait est donc naïf, car le but de Tucho était précisément de créer la division dans l’Église. Sa réaction de colère confirme que la synodalité – comme toute fiction pastorale bergoglienne – n’est que l’écran hypocrite derrière lequel se cache l’autoritarisme tyrannique d’une secte d’hérétiques corrompus qui font siennes les exigences anti-humaines de l’élite mondialiste, piétinant l’enseignement du Christ.

Le Cardinal Fernández dit que les passages de FS sur les bénédictions sont une « doctrine éternelle », mais il admet également que la « véritable nouveauté » de FS est son enseignement sur les bénédictions, qui est « un réel développement par rapport à ce qui a été dit sur les bénédictions dans le Magistère et dans les textes officiels du Magistère. Église." Que devons-nous en penser ?

Si nous voulions donner un exemple de ce que l'on entend par « jésuitisme », je crois que ces mots de Tucho pourraient parfaitement résumer le concept. Au fond, ce que Tucho essaie de nous faire croire, c'est que oui, les bénédictions en tant que sacramentelles sont une doctrine pérenne, mais que pour bénir un couple irrégulier, il fallait introduire cette « vraie nouveauté » qui les déforme, en faisant cette application spécifique. Vous comprenez tous qu'il s'agit d'une pure folie, dictée par un esprit hérétique et motivée par une mauvaise volonté, diaconat-non-diaconat, d'un sacerdoce-non-sacerdoce étranger à la doctrine pérenne en raison du changement introduit. Cela s'est déjà produit dans le domaine doctrinal avec la condamnation arbitraire et absurde de la peine de mort, introduite par Bergoglio avec le même procédé rhétorique qui cache la tromperie : la peine de mort a été considérée comme légitime et c'est une doctrine pérenne ; cependant, aujourd’hui, nous introduisons la « vraie nouveauté » de sa nature anti-évangélique et c’est pourquoi nous la condamnons. Il est prévisible qu'avec la même hypocrisie pharisienne, Tucho et son maître inventeront une forme de « ministère non ordonné » pour les femmes, réitérant d'une part que le sacerdoce est réservé aux hommes uniquement, et qu'il s'agit d'une doctrine pérenne, mais ajoutant le « vraie nouveauté » d'un « ministère non ordonné », c'est-à-dire d'un ipso facto.

Il faut comprendre une fois pour toutes qu'ils usurpent l'autorité sacrée des Pasteurs de l'Église du Christ pour la détruire, damner les âmes, offenser la Divine Majesté et obéir à leurs maîtres ; exactement comme dans la sphère civile, les dirigeants des nations occidentales sont soumis – par intérêt ou par chantage – à l’élite mondialiste et antichristique. Tous deux utilisent leur pouvoir pour faire le mal, contrairement au but pour lequel ce pouvoir a été établi. Si nous continuons à obéir à une autorité corrompue, sans la rejeter et sans la juger comme elle le mérite, nous ne sortirons jamais de cette impasse. »

4 janvier

Jamais, jamais de toute l'histoire de la papauté, le Discastère pour la Propagation de la Foi n'avait eu à clarifier, ajuster, modifier, annuler, l'une de ses décisions car ses déclarations sont basées sur la doctrine.

Sauf le 18 décembre avec Fiducis supplicans qui était basée sur du vide, sur l'esprit tordu du cardinal Tucho et de son maître Bergoglio.

Ainsi, aujourd'hui, un besoin de clairifier la situation s'est fait sentir devant les protestations des prêtres et de plusieurs épiscopats dans le monde. (voir la déclaration complète vaticanews.va)

« Je cite le grand théologien du Concile, Jean Danielou, qui explique que le temps chrétien est par définition un temps apocalyptique. Avec la mort et la résurrection du Christ, tout est déjà accompli, rien de substantiellement nouveau ne peut arriver. Le temps est donné pour choisir : soit avec le Christ, soit contre. Ivan Illich confirme aussi qu’après l’ère chrétienne, il n’y a pas d’ère post-chrétienne, mais seulement un temps apocalyptique, celui de l’Antéchrist. Au contraire, au congrès de Florence en 2015, le Pape François a dit qu’ « aujourd’hui, nous ne vivons pas tant une époque de changement qu’un changement d’époque ». Comme si de nouvelles époques pouvaient exister et que l’Église devait s’y adapter. Mais l’Église ne doit pas s’adapter aux temps, elle doit sauver tous les temps ». (Antonio Socci, benoit-et-moi.fr 2019)

Il n'y aura et il n'y a pas d'autres époques.

C'est l'heure du choix qui s'achève: pour ou contre le Christ.

L'église n'existe pas depuis l'élection de Bergoglio en 2013.

Bergoglio veut faire oublier la doctrine, veut faire oublier les vestiges de la chrétienté, pour le bien de l'Antichrist système.

Le maître de l'ambiguïté est à découvert. Sa chute est commencée. Cette sortie médiatique est une autre preuve.

Seuls ceux fidèles à la Foi et aux Prophètes, les deux témoins, voient clair.

L'année 2024 commence effectivement sur la voie du chaos, comme nous l'anticipions.

Décembre 2023

31 décembre

2024 L’ANNÉE OÙ TOUT BASCULE

C’est probablement la dernière année de Bergoglio.

Intuitivement, il le sait, puisqu’il avance le calendrier.

Son but : provoquer le schisme. Intentionnellement.

2024 sera une année de chaos au niveau politique : des élections un peu partout dont les États-Unis, la Chine qui pourrait profiter de la confusion pour attaquer Taïwan (le président chinois dans son discours du nouvel an vient de déclarer « la Chine sera sûrement réunifiée » et cette dernière est sur le point de reprendre les essais nucléaires), les américains ré-ouvre la base de Tinian, lieu de décollage des bombardements nucléaires contre le Japon, tout en ajoutant un autre point de tension entre le Vénézuélia et le Guyana.

Selon la prophétie de Jean XXIII concernant Bergoglio, il meurt dans sa terre natale et à partir de ce fait, tout bascule, :
« Mikail et Jean descendront sur terre. » c’est-à-dire que le combat de l’Apocalypse descend sur terre pour la finale, le 7ème sceau, et « Le grand frère d'Orient fera trembler le monde par la croix renversée sans les lis. », c’est-à-dire que le conflit israélien devient mondial.

Aujourd’hui, en cet anniversaire du décès de Benoît XVI, aucune mention de la part de Bergoglio.

Mais ce dernier ordonne : « A bas toutes les armoiries de Benoît XVI ». La "damnatio memoriae" du pape Ratzinger continue.

Les énormes chagrins que le défunt pontife a dû endurer au cours des dix années de cohabitation n'ont pas suffi. Les funérailles célébrées avec l’incapacité de porter l’héritage du prédécesseur qui est un véritable père de l’Église n’ont pas suffi. Aujourd'hui, un an après la mort de Benoît XVI, l'ordre est venu de Santa Marta : « A bas les armoiries de Benoît XVI sur ses chasubles ! ».

C’est ce qu’ont entendu le maître des célébrations liturgiques pontificales et le personnel de la sacristie pontificale. C'est ainsi que les chasubles (des quatre couleurs liturgiques) ont été envoyées chez le tailleur pour remplacer les armoiries du pontife défunt par la tiare et les clés décussées. » (aldomariavalli.it)

Par tradition tous les autres vêtements aux armes de Paul VI,  Jean XXIII ou de Jean-Paul II se trouvent tous dans la sacristie pontificale et personne n'a jamais osé y toucher.

Voilà.

L’Antichrist personnifié de déchaîne.

Mais, il y a autre chose… Un signe… qui concerne Bergoglio, qui le relie à la prophétie le concernant.

Le 17 décembre dernier, date de l’anniversaire de Bergoglio, la foudre a frappé, comme lors de la démission de Benoît XVI, et juste avant la Déclaration Fiducia supplicans du préfet du Dicastère pour la Doctrine de la foi le 18 décembre.

C’est arrivé au Sanctuaire Notre-Dame-du-Rosaire de Saint-Nicolas en Argentine, en banlieue de Buenos Aires, ancien fief de Bergoglio avant d’être élu au Vatican. (article en italien et photos romait.it)

La statue de Saint-Pierre à l’entrée du sanctuaire a perdu son auréole, la clé papale et la main droite.

Ce signe nous indique de début de la fin pour Bergoglio, surtout dans le contexte de son futur voyage dans sa terre natale en 2024.

Rappelons que Bergoglio, ancien archevêque de Buenos Aires qui n'a pas cru au miracle de la transubstantiation de 1996, dans le sanctuaire qui curieusement a  une resssemblance avec Medjugorie.

Ce sanctuaire a été bâtit sur la base d'apparitions de la Sainte-Vierge et Jésus (photo du sanctuaire avec la statue de Saint-Pierre à droite de l'escalier: 

L'église a reconnu les apparitions qui sont probablement fausses car il n’y a pas de réelles apparitions depuis Fatima (les messages avec en bonus Bergoglio dans le sanctuaire: Donc, Saint-Pierre perd l'auréole, la clé (il y avait une seule clé et non les deux reliées par une corde sur la statue, c’est la symbolique au Vatican, une clé pour le temporel et une clé pour le spirituel, les deux reliées), ce qui signifie la mort de la prostituée de l'Apocalypse... durant le voyage de Bergoglio??

Donc, 2024 sera une année de bascule, peut-être plus vite que prévu étant donné la santé de Bergoglio déclinante qui voudra peut-être sortir les conclusions du synode une par une via le  Dicastère pour la Doctrine de la foi au lieu d’attendre la fin octobre 2024.

Ce qui sera éventuellement célébrer par une année de Jubilé 2025.

19 décembre

Bénédiction des couples irréguliers, une couverture pour cacher le problème des couples homosexuels, approuvée par le discastère pour la doctrine de la Foi, hors liturgie.

C'est le geste qui manquait.

L'église conciliaire bascule.

Genèse : « Dieu vit que cela était bon. Dieu les bénit ».

L'église trouve donc cela...

Bon.

L'église bénit donc le péché et ne demande plus la conversion.

Tous sont acceptés.

La miséricorde infinie a fait son oeuvre.

Le lègue de Bergoglio qui voit sa mort approcher et qui risque le tout pour le tout...

Même avant la conclusion du synode d'octobre 2024.

C'est donc dire que la situation est pressante puisqu'il ne peut plus attendre pour faire cette annonce, annonce qui, on le voyait venir, était prévue par la conclusiondu synode partie 2023.

« Hier, après avoir appris la nouvelle du dernier document pontifical sur la bénédiction des couples homosexuels, j’ai parlé à plusieurs personnes plus ou moins liées aux milieux ecclésiastiques et curiaux. La réaction de tous a été la même : incrédulité, étonnement, stupéfaction. Le sentiment est celui d’avoir sauté d’une falaise, cette même falaise sur laquelle le Pape François a été en équilibre pendant tout son pontificat.

Les dégâts, très importants, sont désormais irréparables et l’Église est en chute libre.

Les fonctionnaires de la Curie romaine ne sont pas exactement des traditionalistes, mais ils doivent eux aussi être effrayés et furieux. Il est facile de le déduire car il y a deux ans, le même dicastère de la Doctrine de la Foi avait publié un document qui disait exactement le contraire de celui publié hier, et les théologiens qui y travaillent sont toujours les mêmes. Se sont-ils contredits ? Je ne le crois pas. Il s’agit d’un artefact rédigé par Tucho, approuvé par Bergoglio et publié sans passer par la voie habituelle, au-delà des déclarations de discussion inaccoutumées par lesquelles s’ouvre le texte. Ne clarifiez pas parce que cela obscurcit, devrait-on dire au cardinal Fernández.

Un autre qui doit être furieux est le cardinal Parolin, qui a écrit il y a quelques semaines aux évêques allemands pour leur dire que la question de la bénédiction des pratiques homosexuelles n’était pas négociable. Il est devenu clair qu’il s’agissait d’une initiative personnelle, probablement pour se positionner face aux cardinaux pour le prochain conclave, comme nous l’avons déjà dit dans ce blog.

La première question qui se pose est de savoir pourquoi ils ont agi de la sorte.

Pour des raisons pastorales ? Il ne me semble pas que les couples de même sexe se pressent aux portes des églises en attendant d’être bénis. Et ceux qui voulaient cette bénédiction l’ont obtenue il y a longtemps. La pratique, du moins en Argentine, est habituelle depuis au moins vingt-cinq ans.

Les raisons sont diverses, et la principale, à mon avis, est de continuer à caractériser un pontificat qui n’est plus progressiste mais rupturiste. Bergoglio et Fernández – deux Argentins, la nation préférée de la Vierge selon certains… – veulent achever la construction d’une nouvelle église, complètement détachée de celle qui a été fondée par Notre Seigneur et qui est restée ferme dans sa doctrine pendant vingt siècles. Tous deux veulent avoir le privilège d’être les auteurs de l’achèvement de Vatican II. Et ils y sont parvenus.

Il y a probablement aussi des motifs personnels.

Bergoglio et Fernández possèdent des personnalités labyrinthiques – psychopathique pour l’un, féminoïde pour l’autre -, toutes deux chargées d’un profond ressentiment. Tucho, en particulier, ne s’est jamais remis de la rancœur et de l’humiliation qu’il a reçues pendant des années de la part de la Doctrine de la Foi lorsque ce dicastère, ainsi que celui de l’Éducation catholique, l’ont empêché d’accéder au poste de recteur de l’Université catholique d’Argentine, précisément en raison de la défense voilée qu’il avait faite des pratiques homosexuelles dans un article de journal. À cet égard, cette interview réalisée par l’un des pires médias d’Argentine a été très révélatrice. Maintenant, il se venge. Tout cela est très prévisible dans son schéma psychologique.

Au-delà des dégâts et de l’effet que peut avoir ce document, la question que beaucoup d’entre nous se posent est de savoir comment sortir de cette situation.

L’Église, si elle veut survivre, ne peut pas soutenir et valider la déclaration Fiducia supplicans. Sera-t-il possible de revenir en arrière ? Pendant ce pontificat, c’est certainement impossible. Nous savons déjà qui sont les deux détenteurs du pouvoir suprême. Mais je crois savoir qu’il y a au moins deux éléments qui pourraient être utiles au prochain pontife pour essayer de réparer certains des dommages infligés.

Premièrement, le nombre d’erreurs théologiques, liturgiques et pastorales contenues dans le document qui sont déjà mises en lumière par un certain nombre de théologiens sérieux, comme dans le cas présent.

Un pape peut avoir tous les pouvoirs qu’il veut, mais il y a des choses qu’il ne peut pas faire, par exemple supprimer un commandement.

Car, en effet, la déclaration supprime le sixième commandement [« Tu ne commettras pas d’adultère »] du Décalogue – et elle le fait précisément le 18 décembre, au moment où l’on chante l’antienne O Adonai si appropriée à ces temps. Il n’y a plus de péché à le commenter puisque toute pratique sexuelle mérite d’être bénie. Et rappelons que les évêques avaient déjà, au début de la pandémie, suspendu le troisième commandement, libérant les fidèles de l’obligation d’assister à la messe les dimanches et jours saints. En d’autres termes, le pontificat franciscain a transformé le décalogue en octologue.

Deuxièmement, je pense qu’il est impératif que les voix qui s’opposent à ce document, qui renverse vingt siècles de Tradition, s’expriment clairement, avec force et massivement.

Hier encore, l’évêque Joseph Strickland a appelé tous les évêques à dire NON à la bénédiction des couples de même sexe.

Je pense que le temps est venu pour les cardinaux, les évêques et les prêtres de s’exprimer, de dire clairement ce qu’ils pensent ; il n’est pas possible qu’ils se taisent comme des chiens muets. Deux coquins sont en train de détruire l’Église et il n’y a pas de réaction, comment est-ce possible ? Si l’opposition est forte aujourd’hui, il sera beaucoup plus facile pour le prochain pape de revenir en arrière et de déclarer Fiducia supplicans nulle et non avenue ? Je sais, c’est du pur fantasme. Peu après que la déclaration a été connue, un prêtre conservateur a écrit ce qui suit sur ses réseaux :

« Bénir n’est pas absoudre. Vous pouvez aussi bénir des chiots et des chatons. Même des tortues. Et ne pas valider ainsi qu’ils ont une âme, ou qu’ils sont donc des enfants de Dieu ».

Ce sont justement les conservateurs émasculés, qui préfèrent, comme l’autruche, se cacher la tête dans le sable, qui sont les pires.

Une dernière réflexion : la situation désespérée que nous vivons a été rendue possible par les caractéristiques tumorales acquises par la papauté romaine depuis Pie IX, encouragées par l’ultramontanisme.

Ce qui s’est passé fait froid dans le dos : un imbécile placé à la tête du plus important discastère de l’Église par pur favoritisme est capable de changer la doctrine en vigueur depuis plus de vingt siècles simplement parce qu’il obtient, on ne sait par quel moyen, la signature du pontife.

Autrefois, de tels rustres obtenaient tout au plus une luxueuse villa dans un coin des États pontificaux ou l’accès à un lupanar privilégié. Aujourd’hui, ils obtiennent l’abrogation des commandements de la loi de Dieu, et l’Église ne dispose d’aucun mécanisme adéquat et efficace pour l’empêcher.

Le pape de Rome s’est érigé en monarque absolu, a décapité les organes de contrôle et de contrepoids du pouvoir et, au fil des ans, le Frankenstein conçu par l’ultramontanisme a pris vie. Nous le subissons. » (caminante-wanderer.blogspot.com)


16 décembre

L’élection du président argentin en octobre dernier laissait à penser que Bergoglio n’irait pas en Argentine en 2024 comme il le souhaitait étant donner tout le fiel que ce candidat a déversé sur lui lors de la campagne électorale.

Tout ceci nous éloignait de la possibilité que Bergoglio y décède, ce qui serait en accord avec la prophétie de Jean XXIII le concernant.

O surprise, Bergoglio a révélé cette semaine :

« Dans un entretien accordé à une chaîne de télévision mexicaine, diffusé le 13 décembre, le pape François explique vouloir être enterré dans un autre lieu que Saint-Pierre de Rome, et avoir travaillé à une simplification du rituel des obsèques papales…

La chose est dite sur le ton de la confidence, mais elle n’avait jamais été révélée jusqu’alors. Le pape François a affirmé dans un entretien diffusé par la télévision mexicaine NMas, le 13 décembre, vouloir être enterré à la basilique romaine Sainte-Marie-Majeure, en raison de sa dévotion particulière à la Vierge Marie.

« L’endroit est prêt. Je veux être enterré à Santa Maria Maggiore », explique François….

Deux autres déplacements sont « en attente », révèle François : « L’un en Polynésie et l’autre en Argentine. »

Le pape confirme avoir été invité dans son pays d’origine par Javier Milei, le nouveau président en place depuis le 10 décembre, et semble ne pas tenir compte des insultes proférées à son encontre avant d’être élu.

Javier Milei avait notamment jugé que François était le « représentant du Malin sur terre », complice des « dictatures ». » (la-croix.com)

Bergoglio décide donc de profaner ce lieu saint qu’est Sainte-Marie Majeur…

Le catholique moyen peut bien être en désarroi.

Bergoglo traîne la Sainte-Vierge dans la boue depuis des années, ce qui fait l’affaire de plusieurs qui collent à la franc-maçonnerie vaticane, puis de l’autre, fait un geste en faveur de la Sainte Vierge Marie, ce qui fait dire aux catholiques tièdes: tu vois, il aime la Sainte Vierge.

L’ambiguïté, sa marque de commerce, le mensonge, en déformant la doctrine, et l’orgueil, en se citant toujours lui-même pour fabriquer ses histoires sans queue ni tête pour troubler la âmes, le caractérisent au plus haut point.

« Dans son apparition cet impie sera, par la puissance de Satan, accompagné de toutes sortes de miracles, de signes et de prodiges mensongers, avec toutes les séductions de l'iniquité, pour ceux qui se perdent, parce qu'ils n'ont pas ouvert leur cœur à l'amour de la vérité qui les eût sauvés.

C'est pourquoi Dieu leur envoie des illusions puissantes qui les feront croire au mensonge, en sorte qu'ils tombent sous son jugement tous ceux qui ont refusé leur foi à la vérité, et ont au contraire pris plaisir à l'injustice. »  (Saint-Paul, Th 2)

Mais Bergoglio garde la flamme allumée pour 2024, année où le monde et spirituel et politique pourrait basculer.

Nous savons tous que 2024 sera l’année cruciale dans cette fin des temps avec la conclusion du synode des synodes.

On ne pouvait pas anticiper que Bergoglio aurait l’intention de visiter l’Argentine en 2024 (car la Providence a éliminé l’intention première pour 2017).

On ne pouvait anticiper ainsi que le prophétie de Jean XXIII le concernant ne correspondait pas nécessairement à l’intention de Bergoglio d’être enseveli dans sa terre natale, mais peut-être au fait qu’il y trouvera la mort durant son voyage, d’où l’expression «à Rome ils ne voudront pas te donner ».

Jean XXIII (prophétie François) : « Ton règne sera grand et bref. Père, il sera bref mais il te mènera loin, dans la lointaine terre où tu es né et où tu seras enseveli.A Rome ils ne voudront pas te donner. »

« Et alors se découvrira l'impie, que le Seigneur (Jésus) exterminera par le souffle de sa bouche, et anéantira par l'éclat de son avènement. » (Saint-Paul, Th. 2, 8)

14 décembre

« Mgr Viganò : le « faux prophète » Bergoglio est coupable d’« apostasie totale »

"Nous avons toutes sortes de preuves sur les distinctions entre hérésie formelle et matérielle, mais aucune n'empêche l'action destructrice de Bergoglio",  a déclaré samedi l'archevêque Carlo Maria Viganò.

(LifeSiteNews) — L'archevêque Carlo Maria Viganò a répondu à la question « Le pape est-il catholique ? à la conférence du week-end dernier affirmant avec force que Jorge Maria Bergoglio est un « faux prophète » qui correspond à la description de celui dont parle le prophète Daniel au moment de la « persécution finale » de l'Église, à qui aucun catholique ne doit en « rien » obéissance ou collaboration mais plutôt résistance inébranlable.

« Nous sommes… bien au-delà de l'hérésie », a déclaré Son Excellence. "[St. Robert] Bellarmin n'aurait jamais pu imaginer qu'un émissaire de la franc-maçonnerie puisse aller jusqu'à être élu pape dans le but de démolir l'Église de l'intérieur, en usurpant et en abusant du pouvoir même de la papauté contre la papauté elle-même. Il n’aurait pas non plus pu imaginer qu’un hypothétique pape dépasserait la simple hérésie et embrasserait l’apostasie totale. » 

...

Le message de 50 minutes de l'archevêque Viganò (qui a été réduit, a déclaré Mazza à LifeSite, à 34 minutes pour le stream) est une évaluation puissante de l’état de l’Église aujourd’hui. Il a également évoqué les événements actuels à Gaza, dénonçant « l’hérésie » du sionisme tout en mentionnant l’île d’Epstein et le « chantage » que les services de renseignement israéliens exercent sur les politiciens pour les contrôler. Mais en fin de compte, son discours a servi de réponse aux critiques de ses déclarations sur la papauté ces derniers mois. 

"Nous avons toutes sortes de preuves sur les distinctions entre hérésie formelle et matérielle, mais aucune n'empêche l'action destructrice de Bergoglio", déclare Viganò, qui a récemment a ouvert une maison de formation en Italie pour les futurs prêtres. « Nous ne pouvons pas nous comporter comme si nous résolvions une question sur un point de droit canonique. Non. Le Seigneur est outragé, l’Église est humiliée et des âmes se perdent parce qu’un usurpateur reste sur le trône. »

En même temps, il a déclaré que « ce que nous ne pouvons pas faire, parce que nous n'en avons pas l'autorité, c'est déclarer officiellement que Jorge Mario Bergoglio n'est pas pape. La terrible impasse dans laquelle nous nous trouvons rend toute solution humaine impossible. » 

Son Excellence a fait des remarques similaires dans son « Consensus Vitium » message du 1er octobre. À l'époque, Viganò affirmait que les catholiques devraient considérer le possibilité que Jorge Bergoglio ait obtenu la charge de papauté avec une « intention criminelle » de « réaliser un coup d'État au sein de l'Église et d'amener le prophète de l'Antéchrist sur le trône de Pierre ». Il a doublé ces propos samedi en mentionnant qu'une « intelligence luciférienne » est à l'œuvre.

«Nous savons que John Podesta travaillait au nom d'Hillary Clinton et d'Obama – et de l'élite mondialiste en général – pour promouvoir une 'révolution colorée' au sein de l'Église, censée évincer Benoît XVI de la papauté et élire un pape ultra-progressiste, et modifier substantiellement le Magistère catholique en lui faisant accepter les exigences de l'Agenda 2030 : l'égalité des genres, l'introduction de l'idéologie de genre et de la doctrine LGBTQ+, la démocratisation de la gouvernance de l'Église, la collaboration au projet néo-malthusien du Grand Reset, la coopération sur l’immigrationnisme et annuler la culture », a-t-il déclaré.

« Il me semble clair que ce projet subversif a trouvé une réalisation parfaite dans la nomination de Bergoglio – et j'utilise délibérément le mot « nomination » – et qu'il est confirmé par son modèle cohérent d'actes de gouvernance et d'enseignement magistral, tant public que privé, au cours de cette décennie des plus  propices. 

...

"Son hétérogénéité par rapport à la papauté est désormais évidente et perçue aussi bien par les simples fidèles que par une grande partie du clergé, et même par certaines franges des médias", a rappelé samedi Viganò. « Le consensus et le soutien au jésuite argentin viennent en grande partie de l’aile ultra-progressiste et pro-hérétique qui a parrainé son élection : tous des membres notoires de l’Église profonde et étroitement liés au lobby homosexuel et pédophile de l’État profond. » 

« L’objection selon laquelle accuser le « Pontife régnant » d’hérésie ou d’apostasie pourrait provoquer des divisions et des scandales est démentie par l’évidence de la division et du scandale qui sont déjà largement présents dans le corps ecclésial précisément à cause de l’hérésie et de l’apostasie de Bergoglio », a-t-il poursuivi.

« L’intention de nuire à l’Église en agissant au nom d’une puissance ennemie n’est pas compatible avec l’acceptation de la papauté, et il y a donc un défaut de consentement donné par la volonté de l’élu – confirmée par ses paroles et ses actes au cours de la période des dix dernières années. »

...

Au cours de son discours de samedi, Mgr Viganò a fait allusion aux écrits de saint Robert Bellarmin. Bellarmin, jésuite, est né au XVIe siècle et est docteur de l'Église. Son Pontifice De Romano est souvent cité en référence pour ses théories sur la manière dont un pape pourrait perdre sa charge s'il enseigne l'hérésie. Son Excellence a déclaré que même si de nombreux catholiques constatent le chaos semé par le Vatican aujourd'hui, ils n'en tirent pas les conclusions nécessaires.

"Pour eux, il est permis de critiquer Bergoglio, mais à condition de ne jamais critiquer l'idole conciliaire [Vatican II], le fétiche intouchable des Montiniens." 

« L’hérésie et l’apostasie de Bergoglio » sont « la pointe de l’iceberg d’une crise bien pire et plus répandue de la Hiérarchie et du Clergé qui a commencé il y a soixante ans et qui a maintenant presque atteint son apogée », a également expliqué Viganò. Vatican II a été « défini à juste titre par ses propres architectes comme « le 1789 de l’Église ». Jean XXIII, Paul VI, Jean-Paul Ier, Jean-Paul II et Benoît XVI n’ont pas manqué de souligner à quel point les principes révolutionnaires et maçonniques – liberté, égalité , fraternité – pourrait en quelque sorte être partagée et s’approprier le catholicisme.

Viganò a réitéré une fois de plus que "nous n'avons pas affaire à une situation dans laquelle un pape adhère à une hérésie spécifique (ce que Bergoglio a d'ailleurs fait à plusieurs reprises)". Au contraire, « aucun Docteur de l’Église n’a jamais envisagé la possibilité d’un pape apostat ou d’une élection falsifiée et manipulée par des puissances ouvertement hostiles au Christ, car une telle énormité ne pouvait se produire que dans un contexte unique et extraordinaire comme celui de la persécution finale annoncée par le prophète Daniel et décrite par saint Paul. L'avertissement de Notre Seigneur videritis abominationem desolationis – lorsque vous verrez l'abomination de la désolation (Mt 24, 15) – doit être compris comme tel précisément en raison de son un caractère unique absolu. »

Son Excellence a également évoqué à deux reprises la Fraternité sacerdotale Saint-Pie X, fondée par l'archevêque français Marcel Lefebvre (1905-1991) en 1970. Dans le passé, Viganò a félicité Lefebvre pour avoir préservé la foi après le Concile Vatican II . Samedi, il a semblé adresser un avertissement au groupe.

« La vexata quæstio – « Bergoglio est-il catholique ? » – est abordée sous de nombreux angles différents selon différents critères issus de divers héritages culturels », a-t-il déclaré. « Le point de vue scolastique traditionnel ; le point de vue modéré et conciliaire, ou, pourrions-nous dire, montinien ; et celui qui oscille, pour ainsi dire, entre les deux rives, reconnaissant Bergoglio comme Pape bien qu’il soit de facto canoniquement indépendant de lui (je fais référence à la FSSPX). Mais nous devons reconnaître qu’aujourd’hui il est possible de partager, avec de nombreux prêtres et laïcs, un sentiment de grave malaise et de grave scandale dû à la présence encombrante du jésuite argentin.

"La Hiérarchie se limite à faire preuve soit de lâcheté, soit de complicité avec le tyran, et les quelques voix discordantes n'osent pas tirer les conclusions qui s'imposent face aux hérésies et aux absurdités du locataire de Santa Marta."

« Et nous arrivons ici au uccincum dolens », a-t-il poursuivi, « c'est-à-dire la grande contradiction qui unit les partisans du Vatican II avec ses opposants historiques – la Fraternité Saint-Pie X in primis – en voulant procéder à une évaluation de faits objectivement extraordinaires en utilisant des normes d'évaluation ordinaires . »

« Comme je l'ai souvent dit, il me semble que certains commentateurs se soucient plus de la doctrine de la papauté que du salut des âmes, de sorte qu'ils se retrouvent à préférer être gouvernés par un pape hérétique et apostat plutôt que de reconnaître qu'un hérétique ou un apostat ne peut être à la tête de l’Église à laquelle, comme tel, il n’appartient pas. » 

« Notre tâche ne doit pas être de nous lancer dans les spéculations abstraites des canonistes, mais de résister de toutes nos forces – et avec l'aide de la grâce de Dieu – à l'action explicitement destructrice du jésuite argentin, refusant avec courage et détermination toute collaboration, même indirecte, avec lui et ses complices.

Son Excellence a conclu son discours en déclarant que les catholiques peuvent être « moralement certains » que « le locataire de Santa Marta est un faux prophète ». En tant que tels, ils sont « autorisés en conscience à lui révoquer notre obéissance », car il se comporte comme un « sanglier biblique » qui « ne se soucie pas des brebis ». 

« Le « problème Bergoglio », a-t-il ajouté, « ne peut être résolu par des moyens ordinaires : aucune société ne peut survivre à la corruption totale de l’autorité qui la gouverne et de l’Église ».  

"Tant que la société et l'Église continueront d'être prises en otage par les ennemis du Christ Roi et de sa très auguste Mère, nous ne pourrons pas espérer la fin de cette épreuve des plus douloureuses, parce que nous n'aurons pas mis les efforts nécessaires afin de choisir notre camp que le Seigneur attend de nous pour nous faire participer à son triomphe total et définitif sur Satan. »

08 décembre

LE NOUVEL ÉDEN SELON L'ÉLITE

Fin 2020, Bergoglio avait associé le Vatican avec le capitalisme inclusif, un bébé de l’élite pour resserrer l’étau sur la population mondiale qu’ils veulent contrôler.

Rappelons que le plan de l’élite en est un de long terme, mais qui s’est accéléré après la première guerre mondiale qui a fait perdre le contrôle aux monarchies en Europe et permis la révolution bolchévique en 1917 pour créer deux pôles majeurs, est et ouest, afin de diriger la pensée du peuple vers un but précis, par la peur.

Le père engendre le fils, et le fils engendre le père. Ces élites vivent à travers le sang de leur progéniture et veulent devenir les maîtres du monde, ce monde aux ressources limités qu’il faut à tout prix conserver pour sa survie.

Satan, selon la vision du pape Léon XIII a eu ses 100 ans pour arriver à ses fins. Agissant via l’élite, il contrôle présentement le destin des âmes.

Le petit reste est vraiment… petit.

L’élite, confiante, ne se cache plus et déclare à qui veut bien l’entendre la finale de son plan.

Revenons à cet organisme, le « Conseil pour un Capitalisme Inclusif », dirigé par nut autre que Lyne Forester de Rothschild, épouse de feu Sir Evelyn de Rothschild de la branche anglaise :

« L’initiative mondialiste, appelée « Le Conseil pour le capitalisme inclusif avec le Vatican » (The Council for Inclusive Capitalism with the Vatican), se présente comme une organisation pro-capitaliste qui vise à créer « des économies et des sociétés plus fortes, plus justes et plus collaboratives ».

Le groupe d’élite, qui s’appelle pompeusement « Les Gardiens » (The Guardians), se qualifie lui-même de « collaboration historique de PDG et de dirigeants mondiaux travaillant avec la direction morale du pape François pour exploiter le pouvoir des affaires pour de bon », indique le site internet. » (https://www.inclusivecapitalism.com/).

« … Parmi les 27 gardiens figurent des PDG, des présidents et autres hauts fonctionnaires d’entreprises telles que Mastercard, DuPont, l’ONU, Johnson & Johnson, VISA, BP, Bank of America et la Fondation Rockefeller…

Les nombreux engagements du Conseil se répartissent en quatre catégories: «Les hommes, la planète, les principes de gouvernance, la prospérité». Dans le cadre de sa vision globale, le Conseil propose «l’égalité des chances pour tous de rechercher la prospérité et la qualité de vie, quels que soient les critères tels que le milieu socio-économique, le sexe, l’origine ethnique, la religion ou l’âge…

C’est l’Agenda 2030 des Nations-Unies, auquel adhère pleinement Bergoglio.

Ce dernier a précédemment exprimé son soutien aux objectifs de l’ONU , soit  «l’accès universel aux services de santé sexuelle et reproductive, y compris la planification familiale, l’information et l’éducation, et l’intégration de la santé reproductive dans les stratégies et programmes nationaux», ce qui comprend la contraception et l’avortement.

Fin 2020, s’’adressant au Conseil pour le capitalisme inclusif, le Pape François a déclaré : «Un système économique juste, digne de confiance et capable de relever les défis les plus profonds auxquels l’humanité et notre planète sont confrontés est urgent. Vous avez relevé le défi en cherchant des moyens de faire du capitalisme un instrument plus inclusif pour le bien-être humain intégral... »

C’est les système Antichristique, basé sur l’humanisme, la religion de l’humain qui se divinise, qui s’adore.

Fin novembre 2023,  Lyne Forester de Rothschild transmet la progression du concept de capitalisme inclusif pour notre monde (vidéo):

C’est l’intelligence artificielle (IA) qui gérera le tout (avez-vous remarqué ce blitz concernant l'IA dans les médias en 2023 afin de faire accepter le principe?)

Le but est de prendre les impôts des gens afin de gouverner à leur place, le gouvernement ne servant qu'à collecter ces mêmes impôts.

Les « gardiens » du Conseil pour le Capitalisme Inclusif, c’est à dire les PDG  de Goldman Sacks, Coca-Cola, IBM, etc...lié à l'IA auront le rôle de redistribuer cet argent à  la masse populaire.

C’est le système des crédits économiques, pour forcer les gens à consommer selon le désir des élites, dans un cadre défini, dans un laps de temps défini, sinon vous perdez le crédit accordé.

Lyne Forester de Rothschild, avec l’approbation de Bergoglio, veut donc imposer une sorte de dictature technologique et économique.

« Seule une IA en conjonction avec les multinationales peut redistribuer les richesses » affirme-t-elle.

Beau monde en perspective.

Avec la bénédiction de Bergoglio.

NSJC ne laissera pas faire car le petit reste doit survivre.

Autre preuve que nous sommes à la fin des temps.

Que Marie nous protège en cette fête de l'Immaculée Conception.

02 décembre

LA FIN DES TEMPS, VRAIMENT?

Plusieurs se demandent, sommes-nous réellement à la fin des temps?

Selon le calendrier de la fin des temps spécifié dans l’Apocalypse, nous avons pour étapes avant le retour de NSJC :

1) Mort des témoins (3,5 jours)
2) Résurrection des témoins

qui terminent la sixième période.

On peut affirmer que les attaques du Vatican contre ses prêtres qui favorisent la tradition OU qui ne sont pas dans la même ligne de la politique des affaires étrangères du Vatican prôné par Bergoglio, constituent la preuve irréfutable de cette fin de la sixième période. Le synode des synodes parachèvera le tout.

Mgr Strickland a été la dernière victime, et Mgr Baisi en Argentine subirait le même sort car il n’aurait pas assez favorisé la gauche chéri de Bergoglio lors des dernières élections.

Le cardinal Burke serait sur le point de se faire retirer son salaire et son appartement car il parle trop.

L’entrée dans la 7ème période de l’Apocalypse est caractérisée par la :

3) Mort de l’Antéchrist

et la

4) Chute de Babylone (3ème malheur, Ap. 11, 14)

Jean XXIII dans sa prophétie de l’Église concernant Benoît XVI spécifie :

« Alors le saint aux pieds nus descendra du mont et, devant la tombe du va-nu-pieds, éclatera le règne béni de la Très Sainte Vierge. Écoutez ses paroles. Marie Très Sainte, fille et mère de Dieu, maîtresse du temps futur, bats le rappel de tes fils dans les campagnes, pour qu'ils abattent les deux Babylone. »

Lorsque le Saint aux pieds nus, Benoît XVI, a remis sa démission le 11 février 2013, la foudre a frappé le dôme de la basilique Saint-Pierre à plusieurs reprises (voir analyse 01 janvier 2022).

Puis s’en est suivi l’élection de Bergoglio, l’Antéchrist personnifié.

La Passion annonçant la mort de l’église s’est accélérée à partir de ce 13 mars 2013.

Jean XXIII spécifie ici les « deux Babylone », c’est à dire Babylone Vatican, et Babylone Nations-Unies.

L’une représente le pouvoir spirituel et l’autre le pouvoir politique, chacune avec leur innombrables tentacules.

Mais elles ne font qu’un, la « Babylone la grande » spécifié dans l’Apocalypse, soit le système Antichrist actuel.

Plus les deux Babylone se confondent en une seule, plus le signe de la fin approche.

L’église conciliaire sous Bergoglio a pris la tangente de l’humanisme adopté par l’Agenda 2030 aux Nations-Unies.

Le fait que Bergoglio devait se rendre à la COP 28 à Dubaï cette semaine et qu’il en a été empêché par la grâce de Dieu, était une preuve ultime de cette unification car il se rendait à « l’église » œcuménique regroupant christianisme, islam et judaïsme, pour  cautionner ou bénir le plus vaste réseau de manipulation et de mensonge à l’heure actuelle dans le monde, son bébé chéri, le réchauffement climatique.

C’est la Babylone politique.

Babylone  spirituelle la rejoint ici dans l’œcuménisme, c’est-à-dire l’adaptation de l’église catholique à la perversion morale des dernières années, en plus de la réduction au silence des conservateurs qui ont encore le courage de se lever dans les circonstances.

Pas besoin de fournir d’exemples, nous en avons eu plein la vue juste dans les dernières années.
Le wokisme et ses rejetons pour les athées de la laïcité, la miséricorde infinie (sans la justice rattachée, faut-il le rappeler) d’où l’élimination du péché pour l’église conciliaire.

En fait, comment se fait-il que la majorité des chrétiens catholiques ne se posent même pas la question :

Pourquoi Jésus a-t-il donc été envoyé par le Père si le péché n’existe pas?

Anne Catherine Emmerich a vu qu’à la fin il ne resterait que le mur nord et l’autel après la destruction de l’Église, soient les témoins ressuscité (mur nord) et l’autel (la Sainte Messe), car les portes de l’enfer ne prévaudront point contre l’Église.

La chute de Babylone, du système Antichrist, est déjà amorcée par le signe des nombreuses guerres annoncées par NSJC en Matthieu 24.

Sa mort spirituelle est amorcée par la déchéance de son Antichrist personnifié sur le trône de Saint-Pierre :

« Le Pape attaqué par ses soutiens: le conflit israélo-palestinien a changé la donne

Giuseppe Nardi analyse minutieusement l’interview du très bergoglien historien de l’Eglise Massimo Faggioli par le site HuffPost (cf. Une interview critique d’un homme du premier cercle, Massimo Faggioli), et arrive comme moi à la conclusion que les soutiens du Pape le lâchent, et que la raison ne doit rien à un caprice ou à une quelconque versatilité due à l’usure du pouvoir. Pour le reste, il va sans dire que l’auteur est seul responsable de ses opinions (précaution nécessaire de ma part vu l’inflammabilité du sujet…)

Israël change tout

Le bergoglien devient critique du pape

Les attaques contre le pape François à propos du conflit au Proche-Orient se poursuivent. Elles ne sont pas de nature théologique, mais politique. Et d’un seul coup, la page se tourne dans le vent. François est-il lâché par des forces qui l’ont soutenu jusqu’à présent ? » (benoit-et-moi.fr)

En récapitulation :

- La bête c’est la religion de l’homme divinisé par la matière qui s’adore lui-même, le côté politique laïc athée ;

– La Grande prostituée c’est l’Église conciliaire, infidèle à sa mission de convertir et sauver les âmes, qui lui sert de support spirituel;

– Babylone, c’est la société civile (les deux Babylone, l’Antéchrist système) qui découle de ces nouvelles mentalités, et qui désigne le monde entier, soumis à la bête et à son esprit.

– Les deux témoins, c’est la Tradition, qui refuse cet esprit, le combat et le dénonce, à la fois de façon spirituelle (maintien de la doctrine et de la messe tridentine) et matérielle (esprit anticonformiste et résistant aux idées modernistes, dans la société civile).

Nous sommes bien à la fin des temps.

2024 sera une année de bascule.

Novembre 2023

26 novembre

« Une stratégie pour le moins déconcertante par sa malveillance évidente.
Bergoglio fomente d'abord les revendications de la Conférence épiscopale allemande sur des questions non débattues car déjà définies par le Magistère : divorce, polygamie, sodomie, sacerdoce féminin, célibat.
Puis, avec le Synode sur la synodalité, il alimente les impulsions autonomistes des Églises nationales en matière doctrinale et morale.
Et quand le lent engrenage subversif se met en marche, le jésuite argentin fait envoyer à son secrétaire d'État une lettre dans laquelle il rappelle hypocritement que l'enseignement catholique sur l'homosexualité et le sacerdoce n'est pas un sujet de discussion.
Sauf à organiser une série de réunions de l'épiscopat allemand au Vatican avec les principaux dicastères romains visant à vérifier ce qui est immuable et ce qui ne relève pas de cet enseignement qui vient d'être réitéré.
C'est le procédé typique du péronisme luciférien : inciter ses subordonnés à prendre des mesures - apparemment "spontanées" et "venant de la base", mais en réalité savamment planifiées d'en haut - pour introduire des déviations doctrinales, morales et liturgiques contraires à la foi catholique.
Dans le même temps, il leur envoie un signal de « feu vert », leur indiquant clairement que leurs demandes seront acceptées.
Ainsi, lorsque les évêques ultra-progressistes en demandent 100, Bergoglio a déjà décidé de se poser en médiateur et d'en accorder 50, ce qu'il voulait obtenir depuis le début.
Bergoglio est le point d’appui autour duquel tourne toute l’attaque contre l’Église du Christ. »

Mgr Vigano 25 novembre 2023

24 novembre 2023

BERGOGLIO : Le loup dans la bergerie.

À l’image de l’Antichrist, nous avons vu le vrai visage du pape de la « miséricorde infinie » agir avec hypocrisie en destituant Mgr Strickland.

Le pape de « l’ouverture » s’attaque à ses propres brebis.

On juge l’arbre à ses fruits, et présentement, ils sont pourris.

Confusion chez les fidèles, déception chez les catholiques qui espéraient beaucoup le 13 mars 2013, diminution des séminaristes contrairement à ce qui se passe chez la Tradition, diminution des fréquentations des messes conciliaires contrairement à la Tradition,…

Bref, Satan est à l’œuvre dans sa dernière salve pour triompher et effacer le nom de NSJC des cœurs fidèles.

Cette interview du neveu du cardinal archevêque de  Buenos Aires il y a quelques années, démontre comment Bergoglio est monté sur le trône en Argentine, en « serpentant » parmi les coulisses du pouvoir d’une manière très agile.

Intéressant puisqu’on peut faire aisément le parallèle avec son ascension au Vatican.

Le Bergoglio d’avant, et après avoir été élu pape.

Il a fait la même chose contre Benoît XVI.

« Qui est Bergoglio? l’itinéraire d’un arriviste manipulateur décrit par quelqu’un qui le connaît bien
9 Jan 2022 | Actualités

José Arturo Quarracino (né à Buenos Aires en 1953) est un universitaire argentin, et le neveu du cardinal Quarracino, primat d’Argentine jusqu’en 1998, et prédécesseur de Jorge Bergoglio dans ses fonctions. The Wanderer publie une partie de l’interview qu’il vient d’accorder à Gloria.tv. On y assiste, stupéfait, à la transformation d’un modeste prêtre effacé et pieux (c’est du moins ainsi que le voyait le naïf cardinal Quarracino) en un intrigant habile à naviguer dans toutes les eaux et sans pitié pour ses ennemis. Marco Tosatti en donne une version en italien, légèrement différente, avec des réponses pas dans le même ordre, et surtout plus complète. Il y a notamment une longue digression sur le péronisme, et ce que François doit à ce mouvement…

Qui est Bergoglio? Entretien avec José Quarracino (extraits)

Bergoglio était loin de Buenos Aires lorsque Quarracino l’a nommé évêque auxiliaire…

C’est exact. En 1992, Bergoglio avait été  » exilé  » par la Compagnie de Jésus dans la province de Cordoue, assigné là pour le tenir éloigné de Buenos Aires, où il avait servi Provincial de la Compagnie pendant plusieurs années. La fin de son mandat fut marquée par une grande division interne entre pro- et anti-Bergoglio.

Pourquoi votre oncle a-t-il choisi Bergoglio ?

Mon oncle l’avait rencontré en 1973 ou 1974 lorsqu’il était Provincial, mais la personne qui lui a parlé pour le « sauver de son exil » était l’un de ses professeurs dans la Société, le père Ismael Quiles SJ, un saint prêtre. A l’époque Bergoglio passait un très mauvais moment, tant sur le plan mental que psychologique. C’est pourquoi mon oncle a demandé au Saint-Siège de le nommer évêque auxiliaire – alors qu’il en avait déjà d’autres. Dans le livre d’Austen Ivereigh, The Great Reformer, on trouve un récit détaillé de comment mon oncle a dû se battre pour que le Saint-Siège fasse de Bergoglio un évêque.

Vous dites donc que Bergoglio a été nommé évêque « par compassion » ?

D’une part, mon oncle connaissait suffisamment bien le père Ismael Quiles et il l’appréciait beaucoup, car – comme je l’ai déjà dit – c’était un excellent prêtre et un jésuite exemplaire. Et au-delà du conflit interne avec la Compagnie de Jésus, Bergoglio présentait l’image d’un homme pieux, très ignatien, avec une vie très austère, développant beaucoup de sympathie avec ceux qui, comme on dit en espagnol, « lui plaisaient ». Cette nomination a également résolu le grand problème de Bergoglio, à savoir le terrible conflit interne qu’il vivait avec nombre de jésuites qui avaient été ses amis et avec lesquels il pris ses distances.

Savez-vous pourquoi Bergoglio a produit une telle scission en tant que provincial jésuite ?

Je ne connais pas les détails, mais vu de loin, je pense que c’est sa personnalité psychologique qui l’a mis en conflit avec ses frères, parce qu’il a toujours aspiré au pouvoir, et le moyen qu’il a trouvé pour réaliser ce désir était de s’appuyer fortement sur les prêtres plus jeunes et les novices, et pas tellement sur les prêtres adultes et plus âgés. Ce que l’on a appris, c’est que lorsqu’il a cessé d’être provincial pour des raisons statutaires, il est en fait resté actif comme s’il l’était encore, sapant l’autorité des nouvelles autorités, tant à la direction de la Compagnie qu’à la faculté de théologie où les jésuites étaient formés, dans la ville de San Miguel, siège historique de la Compagnie de Jésus.

Quel genre d’impression Bergoglio a-t-il laissé en tant qu’évêque auxiliaire ?

En tant qu’évêque auxiliaire, Bergoglio a su gagner l’affection et l’estime d’une grande partie du jeune clergé de l’archidiocèse, avec sa simplicité, sa piété, son accompagnement et sa gestion psychologique, qu’il a exercée comme peu d’autres, souvent pour le meilleur, et dans certains cas pour le pire. Avec ceux qui tombaient en disgrâce auprès de lui, il était souvent très dur, voire cruel. Et il mettait subtilement le clergé adulte « de côté » afin de promouvoir ses amis et ses jeunes protégés.

En tant qu’évêque auxiliaire, Bergoglio différait-il de Bergoglio en tant que provincial ?

En général, il ne gardait pas autant de visibilité et n’avait pas autant de responsabilités exécutives que lorsqu’il était provincial, mais il avait parfois des attitudes qui attiraient beaucoup l’attention, comme celle de couper tous les liens avec quelqu’un et pour toujours, sans que l’évêque disgracié ne sache souvent ce qu’il avait fait de mal.

Le cardinal Quarracino s’entendait-il bien avec son évêque auxiliaire ?

Je dirais très bien. Mon oncle l’aimait beaucoup et, dans sa position, Bergoglio lui a été d’une grande aide, surtout dans le travail pastoral, lorsqu’il a commencé à souffrir de maladies qui limitaient sa mobilité (pendant deux ans, il n’a pas pu marcher et a vécu dans un fauteuil roulant, et un jour – miraculeusement – il a retrouvé la mobilité de ses jambes).

N’y avait-il pas d’autres évêques auxiliaires ?

Si, au cours des dernières décennies, l’archidiocèse a toujours eu plusieurs évêques auxiliaires, car bien qu’il s’agisse d’un petit territoire, il compte environ trois millions de personnes, 251 paroisses, 54 congrégations masculines et 121 congrégations féminines, des zones résidentielles et d’autres à l’habitat précaire, etc. L’archidiocèse était alors divisé en quatre vicariats, avec leurs évêques auxiliaires respectifs. Il était impossible de ne pas avoir 4 ou 5 évêques auxiliaires pour s’occuper d’un archidiocèse de cette taille.
Dans ce contexte, Bergoglio a su se démarquer des autres évêques jusqu’à être nommé vicaire général de l’archidiocèse et, dans les dernières années de la vie de mon oncle, il est devenu évêque coadjuteur avec droit de succession (ce qui signifie qu’à la mort de mon oncle, il prenait immédiatement la relève comme nouvel archevêque).

Comment avez-vous perçu Bergoglio en tant qu’évêque auxiliaire ?

De 1995 à 2002, j’ai travaillé dans le cercle de Bergoglio, à la fois comme évêque auxiliaire et comme chancelier de l‘Universidad del Salvador, où je travaillais. À cette époque, il cultivait un profil très jésuite, très pieux, très pastoral. Mais il a maintenu une opposition très forte avec la Compagnie de Jésus, au point que lorsqu’il est devenu évêque, l’Ordre a dû nommer un prêtre colombien, le père Álvaro Restrepo, comme provincial, car aucun des jésuites argentins ne s’entendait bien avec Bergoglio. Ce fut une affrontement « à mort », comme on a l’habitude de dire en Argentine.

Était-il un « conservateur » ?

Sur le plan doctrinal, Bergoglio a cultivé un profil orthodoxe, avec de nombreuses touches jésuites. Sur le plan pastoral, il a eu tendance à mettre l’accent sur l’attention portée aux problèmes sociaux et à la prise en charge des enfants et des familles. Et le service des pauvres comme priorité, avec beaucoup de permissivité et de laxisme en matière liturgique et sacramentelle.

Lorsque Bergoglio a remplacé votre oncle comme archevêque de Buenos Aires, avez-vous ressenti un changement ? Quel souvenir gardez-vous de son séjour à Buenos Aires ?

Il y a eu un changement total dans sa façon de procéder. Il a d’abord pris soin de se débarrasser de ceux qui avaient été d’excellents collaborateurs de mon oncle, comme Mgr José Erro, recteur de la cathédrale de Buenos Aires et saint prêtre, à qui il a demandé par téléphone de démissionner de son poste et de prendre sa retraite. Sans aucune forme de considération ou de remerciement. Je pense qu’il a agi ainsi pour faire savoir au clergé de Buenos Aires que la direction de l’archevêché allait changer radicalement, balayant tout ce qui signifiait la continuité avec la période précédente, tout en prenant soin de maintenir quelque chose de l’héritage de mon oncle.

Ainsi, l’aimable évêque auxiliaire est soudainement devenu un archevêque revêche? Qu’est-ce que les gens ont dit à ce sujet ?

Ce qui a choqué et déstabilisé beaucoup de gens, c’est que dans presque toute son expérience d’archevêque titulaire, il a presque toujours présenté un visage renfrogné, amer, triste, une « face de vinaigre » comme il le disait parfois à certaines religieuses et à des chrétiens « traditionalistes » ou « orthodoxes ». Il était très impressionnant de voir ce visage si « distant » des autres dans les célébrations liturgiques ou sacramentelles, totalement dépourvu de joie lorsqu’il célébrait l’Eucharistie, comme cela s’est produit dans ses célébrations en tant que Pape. Personne ne pouvait expliquer la raison de cette façon d’agir et de se présenter, qui était très blessante pour certains.
En revanche, il est très frappant de constater qu’après avoir été élu pape, il a commencé à montrer le visage joyeux et jovial qu’il n’avait pratiquement jamais eu à Buenos Aires. Au point que certains se sont demandés si ce n’était pas son ambition inassouvie – devenir pape – qui le motivait au final.

Comment Bergoglio a-t-il gouverné à Buenos Aires?

Il a commencé à avoir une relation très distante en général avec tous ceux qu’il ne connaissait pas et qui ne faisaient pas partie de son cercle d’amis. Jusqu’à ce qu’il devienne pape, les commentaires des fidèles de l’archidiocèse sur le visage colérique qu’il montrait toujours dans chacune de ses activités publiques étaient monnaie courante. Un prêtre en qui il avait confiance, un curé de paroisse, lui a demandé – en plaisantant mais aussi sérieusement – de ne plus faire de visites pastorales s’il allait montrer ce que Bergoglio lui-même a appelé « une face de vinaigre ».

S’est-il lui-même qualifié de « face de vinaigre » ?

Il ne s’y référait presque jamais et n’en parlait pas. Il a commencé à utiliser cette expression en public lorsqu’il est devenu pape.

Y avait-il, à cette époque, des preuves que le Bergoglio orthodoxe était devenu hétérodoxe ?

Pas dans les premières années, mais au fil du temps, il a commencé à montrer des signes d’un certain « relâchement », pas tant dans ce qu’il disait que dans ce qu’il faisait, comme s’il s’agissait de dérapages ou d’attitudes voyantes.
Mais il a vraiment commencé à montrer son comportement hétérodoxe un an et demi après sa prise de fonction comme archevêque à part entière, après la mort de mon oncle (28 février 1998). C’était une semaine avant l’ouverture officielle de l’année jubilaire 2000, à Noël 1999. Ce jour-là, le 18 décembre 2000, Bergoglio a convoqué l’archidiocèse de Buenos Aires pour célébrer la « messe du millénaire » (et non du jubilé), qui n’avait bien sûr rien à voir avec la célébration de l’Église universelle, anticipant l’initiative papale.

Pourquoi cela ?

La seule explication que je puisse trouver aujourd’hui est qu’il l’a fait pour montrer au « monde du pouvoir » qui dirige réellement le monde – la ploutocratie mondialiste – qu’il était suffisamment indépendant pour agir indépendamment de l’Église universelle, mais en veillant aux formes. Ce n’est pas un hasard s’il a été le candidat du progressisme ecclésiastique pour succéder à Jean-Paul II en 2005, contre Ratzinger.

Quelle était la stratégie de Bergoglio en tant qu’archevêque ?

Pendant son mandat à Buenos Aires, il est devenu célèbre parce que personne ne savait ce qu’il pensait vraiment, puisqu’il disait toujours à chaque interlocuteur qui lui rendait visite ce qu’il voulait entendre. Et il était également connu parce qu’il commençait à mettre les prêtres plus âgés ou adultes au second plan ou à les ignorer directement, afin de mettre en avant les jeunes prêtres qui avaient une grande dévotion pour lui. Et de façon très voyante, il a imposé aux séminaristes de l’archidiocèse une loi leur interdisant de porter la soutane, tant à l’intérieur de la maison d’études que dans leur travail pastoral extérieur.

Sur le plan social ?

Sur le plan social, il a accordé une importance croissante au travail de proximité dans les bidonvilles urbains, comme ce qu’il a appelé plus tard « l’Église en marche », mais avec la recommandation – ou l’exigence – de ne pas insister sur la formation sacramentelle et la prédication.

Au niveau politique ?

Sur le plan politique, il a cultivé des relations avec pratiquement tout le spectre politique de l’archidiocèse, sans s’engager dans un secteur particulier. En ce sens, la confrontation qu’il a eue avec le président de l’époque, Néstor Kirchner, a été très marquante pour beaucoup, probablement parce qu’il s’agissait de personnalités presque identiques, qui prétendaient avoir tout le pouvoir entre les mains, ou presque.

Quelle était la stratégie derrière cela ?

Probablement d’accumuler le plus de pouvoir possible, afin de ne pas avoir à dépendre de quelqu’un ou d’une force ou d’un secteur particulier.

Comment a-t-il géré les finances ?

En ce qui concerne les finances, je n’ai presque rien à dire, car je n’ai pas eu accès à ce genre d’informations. Je peux juste vous dire qu’il a commencé à encercler et à coincer les ordres et les congrégations les plus orthodoxes, d’une part à cause de leur fermeté doctrinale (qui était pour lui une « dureté »), et d’autre part parce que ces ordres avaient souvent un patrimoine important.

Comment le séminaire de Buenos Aires s’est-il développé sous la direction de Bergoglio ?

D’après ce que je sais, grâce au témoignage de certains séminaristes qui ont été contraints d’aller dans un autre diocèse, le séminaire – à l’époque l’un des plus importants du pays en termes de formation académique – a commencé à baisser le niveau d’exigence de la formation doctrinale et théologique, pour mettre l’accent sur la formation à l’action pastorale, quoi que cela signifie, avec pour résultat que les nouveaux prêtres se caractérisent de plus en plus comme des agents d’assistance sociale, à quelques exceptions près, mais avec peu ou pas de formation doctrinale, théologique ou intellectuelle.
En ce sens, l’une des initiatives prises par Bergoglio en tant qu’archevêque à part entière a été, comme je l’ai mentionné précédemment, d’interdire aux séminaristes de l’archidiocèse de porter la soutane, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur du séminaire. Ce qu’il a également fait à Rome, en tant qu’évêque de Rome.

Certains disent que le cardinal Bergoglio est coupable de « couvrir des cas d’abus homosexuels ». C’est vrai ?

Malheureusement, oui, souvent parce qu’il s’agissait de personnes proches de lui. Le cas d’un prêtre de son entourage intime, connu pour avoir des penchants homosexuels, qu’il a « aidé » en l’envoyant à Rome quelques années avant qu’il ne devienne pape, a été très commenté, entre autres, parce qu’il lui a permis de connaître de nombreuses intimités du Saint-Siège, sentant – ou sachant – qu’il pouvait arriver là où il est arrivé [ndt: s’agit-il de Mgr Pedacchio, cf. http://benoit-et-moi.fr/2013-III/actualites/les-nominations-de-franois.html]. Il ne faut pas oublier que ces types de personnalités ont tendance à être très prédisposées à porter et à rapporter des informations de toutes sortes. Des informations que l’archevêque d’alors aimait avoir sous la main et connaître.

Avez-vous également des informations de première main sur ces affaires ?

Oui, et j’ai pu le vérifier personnellement. En avril 2001, quelques mois après sa création en tant que cardinal, une personne travaillant à l’Universidad del Salvador, dont il était non seulement le grand chancelier mais aussi le grand contrôleur, lui a apporté la preuve qu’une personne très proche du nouveau cardinal, qui non seulement travaillait à l’université mais était aussi un fonctionnaire de l’État, avait distribué des photos pornographiques à des membres de l’université pour s’amuser. En conséquence, le proche collaborateur de Bergoglio a continué à travailler sans problème pendant plusieurs années encore, et la personne qui l’a mêlé à cette « affaire » a été licenciée sans motif de l’université quelques mois plus tard.

On dit que le cardinal Bergoglio avait des secrétaires qui avaient l’habitude d’assister à la messe à la Fraternité Saint-Pie. Bergoglio a également semblé défendre Pie X. Comment cela s’inscrit-il dans l’image du François liberal ?

Il a toujours été caractérisé par le fait de jouer avec les contraires, passant d’un extrême à l’autre : un jour, il est orthodoxe – devant un groupe de médecins catholiques ou devant des micros, il condamne l’avortement de vive voix, le décrivant comme un acte exécuté par un tueur à gages – et le lendemain, il reçoit et fait l’éloge d’Emma Bonino, ou de la présidente argentine, avorteuse avouée, et l’autorise à participer à une messe célébrée sur l’autel à côté de l’urne contenant les restes de saint Pierre.

Qui peut comprendre cela ?

Cela a toujours été le jeu de Bergoglio, un jeu de ruse, pas de sagesse, parce que c’est un moyen qui lui permet de ne pas être catalogué et, en même temps, qui lui permet de garder l’initiative. Bien qu’il s’agisse finalement d’une ruse de vol court, comme celui des poulets.

En tant que pape, François s’est révélé être très pro-homosexuel. Cela était-il visible lorsqu’il était cardinal ?

Pour autant que je sache, l’attitude gay-friendly de Bergoglio n’a jamais été aussi évidente et visible, ni en tant que jésuite ni en tant qu’évêque. Elle n’était pas non plus trop évidente en tant que cardinal, car cela aurait éventuellement rendu impossible son élection comme pape au sein du collège des cardinaux. On connaît des cas de prêtres ayant de tels comportements qui ont toujours compté sur la protection discrète de Bergoglio. Il ne l’a fait ouvertement que lorsqu’il est devenu titulaire de la Chaire de Pierre, en donnant le spectacle aberrant de donner refuge et protection politique et cléricale à un criminel notoire tel que l’évêque Gustavo Zanchetta.

Beaucoup ont suggéré que François veut des collaborateurs qui peuvent être soumis au chantage et contrôlés. Avez-vous des éléments pour confirmer cela ?

Malheureusement, oui, et à tous les niveaux, en plus du fait qu’il s’est toujours entouré de personnalités médiocres, soumises et serviles. Parce que le leadership de Bergoglio, plutôt que d’être un dictateur comme Henry Sire l’a caractérisé, est typiquement despotique, il n’admet pas la dissidence ou l’indépendance de jugement.

Comme à l’époque où il était Provincial des Jésuites d’Argentine ?

On a beaucoup parlé de la confrontation de Bergoglio avec les Jésuites après la fin de son mandat de Provincial des Jésuites. Ce que peu ou très peu disent, peut-être pour des raisons de discrétion et de décorum, c’est que ceux qui l’ont le plus affronté étaient ceux qui avaient été ses collaborateurs ou ses compagnons dans sa direction de l’Ordre. Certains d’entre eux étaient des amis très proches de lui, qui le respectaient et l’aimaient beaucoup.

Pourquoi cette confrontation ultérieure ?

On ne l’a jamais su. On savait qu’il s’agissait de personnes sérieuses, avec leur propre personnalité, ni manipulables ni sujettes au chantage. »

(benoit-et-moi.fr)

12 novembre

La mort des deux témoins de l'Apocalypse, çà commence avec la destitution de ceux qui promouvoient la Tradition.

On a eu un autre exemple hier.

La destitution de Mgr Strickland, annoncé en ce jour du Souvenir, un 11 maçonnique, c’est gros, très gros. Çà fait de la vague.

C’est une décision clé qui va mettre le schisme au grand jour. La chute de Bergoglio Antéchrist vers sa onzième année commence…

Le Texas, c’est différent, très à part dans les États-Unis. C’est un pays dans un pays. Ils sont derrières leur évêque et on verra de quel bois ils se chauffent.

« Le « cas » Strickland illustre la « méthode Bergoglio », celle d’un Pape qui ne supporte pas la critique » (benoit-et-moi.fr)

« Le pape dictateur a « viré » Mgr Strickland. La honte » (benoit-et-moi.fr)

Mgr Schneider: « La destitution de l’évêque Joseph E. Strickland constitue un jour noir pour l’Église catholique de notre époque … « Le seul chef d’accusation qui est maintenant sûr d’obtenir une punition sévère est l’observation attentive des traditions des Pères. » Ces mots de Saint Basile (Ep. 243) illustrent parfaitement la déposition de l’évêque de Tyler, Texas, U.S.A., Son Excellence Joseph E. Strickland.

Nous sommes témoins d’une injustice flagrante à l’égard d’un évêque qui a fait son devoir en prêchant et en défendant avec parésie la foi et la morale catholiques immuables et en promouvant le caractère sacré de la liturgie, en particulier dans le rite traditionnel immémorial de la messe…. Dans le même temps, plusieurs évêques qui soutiennent publiquement l’hérésie, les abus liturgiques, l’idéologie du genre et invitent ouvertement leurs prêtres à « bénir » les couples de même sexe, ne sont nullement importunés ou sanctionnés par le Saint-Siège.

L’évêque Strickland entrera probablement dans l’histoire comme un « Athanase de l’Église des États-Unis » qui, contrairement à saint Athanase, n’est pas persécuté par le pouvoir séculier, mais incroyablement par le pape lui-même. Il semble qu’une sorte de « purge » des évêques fidèles à la foi catholique immuable et à la discipline apostolique, qui se déroule déjà depuis un certain temps, ait atteint une phase décisive.

Puisse le sacrifice que Notre Seigneur a demandé à l’évêque Strickland porter de nombreux fruits spirituels pour le temps et l’éternité. Mgr Strickland et d’autres évêques fidèles, qui ont déjà été invités à démissionner, qui sont actuellement marginalisés ou qui seront les prochains sur la liste, devraient dire en toute sincérité au pape François :

Saint-Père, pourquoi nous persécutez-vous et nous frappez-vous ? Nous avons essayé de faire ce que tous les saints papes nous ont demandé de faire ? Avec un amour fraternel, nous offrons le sacrifice de ce type de persécution et d’exil pour le salut de votre âme et pour le bon état de la Sainte Église romaine. En effet, nous sommes vos meilleurs amis, Très Saint Père !

Athanasius Schneider,
évêque auxiliaire de Sainte-Marie à Astana». (benoit-et-moi.fr)


Mgr Vigano: « La destitution de Son Excellence l’archevêque Joseph Strickland, surtout après l’échec de la tentative de lui tendre une embuscade avec la Visite apostolique, apparaît comme une forme lâche d’autoritarisme, qui ne cadre en rien avec les discours de Bergoglio sur « l’accueil » et « l’inclusivité ».

Voir le sacrilège et pervers Marco Rupnik incardiné dans le diocèse de Capodistria, ou Mgr Michael Olson toujours en fonction malgré la pétition des fidèles de Fort Worth suite à ses abus et comportement scandaleux avec les Sœurs Carmélites d’Arlington, alorue Mgr Strickland était l’un des rares évêques fidèles, est persécuté et expulsé sans raison, nous montre dans toute son arrogance la tyrannie du jésuite argentin.

Une tyrannie qui scandalise d’autant plus les fidèles que la majorité des Pasteurs se taisent par lâcheté ou complicité.

Cette affaire révélera qui se tient aux côtés de la véritable Église du Christ et qui choisit de se tenir aux côtés de ses ennemis déclarés. Garder le silence et subir cette énième violation des principes les plus élémentaires de justice et de vérité, c’est se rendre complice d’un subvertisseur. »(twitter.com/CarloMVigano)

« Le pape de la Miséricorde destitue l’évêque Strickland
Par : Michael J. Matt : The Remnant Newspaper

Le Bureau de presse du Saint-Siège a annoncé aujourd’hui que le pape François a destitué Mgr Strickland de son poste d’évêque de Tyler et l’a remplacé par intérim par Mgr Joe Vásquez d’Austin.

C’est la guerre totale. François représente un danger évident et présent, non seulement pour les catholiques du monde entier, mais aussi pour le monde entier lui-même. Il semble maintenant qu’il s’efforce activement d’enterrer sa fidélité à l’Église de Jésus-Christ. S’il en est ainsi, qu’il soit anathème.

Que Dieu vous bénisse, Votre Excellence. Nous sommes à vos côtés maintenant et, s’il vous plaît à Dieu, pour toute l’éternité.

Voici le dernier tweet de Mgr Strickland en tant qu’évêque de Tyler, écrit la veille de sa destitution :

« Réjouissez-vous toujours que… peu importe ce que le jour nous apporte, Jésus-Christ est le Chemin, la Vérité et la Vie, hier, aujourd’hui et pour toujours. Que les saints et la Bienheureuse Vierge Marie nous inspirent toujours à retourner au Christ, peu importe la façon dont nous errons. dans les ténèbres. Jésus est Lumière issue de la Lumière. » (remnantnewspaper.com)


10 novembre

Quelques extraits des deux derniers textes de Mgr Vigano sur la situation qui empire à chaque semaine, en plus des deux nouveautés en préparation :

- L’autorisation papale pour modifier les textes de la doctrine!

- Une modification du conclave pour y inclure 25% de laïcs, évêques, prêtres, etc. avec droit de vote… À l’image du synode! Avec le prétexte de la « démoncratie ».

Le synode des synodes et la guerre en Israël détournent assez l’attention que Bergoglio et la mafia vaticane en profitent pour détruire l’église petit à petit comme l’avait prophétisé Anne Catherine Emmerich.

Ils n’avaient pas avec Vatican II, osé changé les textes fondamentaux, il était trop tôt.

Ils avaient tranquillement modifié la façon de les interpréter et de les enseigner via la pastorale, en prenant pour exemples l’œcuménisme et la nouvelle messe de Paul VI.

Maintenant que les esprits sont mûrs (ils le disent précisément dans le texte suivant: « Après presque cinq décennies, le moment est venu de réviser ces normes »),  ils vont modifier les textes.

Cela, c’est modifier la doctrine.

Nous faisons face à une nouvelle église, une secte comme le spécifie Mrg Vigano plus loin.

Cela, c’est la mort de l’Église dans sa passion à l’image de la Passion de NSJC.

« VATICAN CIY ( LifeSiteNews ) –– Le pape François a publié de nouvelles priorités et de nouveaux statuts pour l’Académie pontificale de théologie du Vatican, déclarant qu’une théologie nouvellement centrée est nécessaire, basée sur un « bon sens » populaire qui « ne correspond souvent pas au visage chrétien ». de Dieu. »

Les commentaires du Pape sont intervenus dans un motu proprio du 1er novembre , par lequel il a publié de nouvelles orientations et de nouveaux statuts pour l’Académie pontificale de théologie (PATH).

François a écrit que le PATH a « constamment incarné la nécessité de placer la théologie au service de l’Église et du monde », mais que selon ses nouvelles directives, un changement serait introduit.

« Après presque cinq décennies, le moment est venu de réviser ces normes, pour les rendre plus adaptées à la mission que notre époque impose à la théologie », a écrit le Pape. « Une Église synodale, missionnaire et « sortante » ne peut avoir d’équivalent qu’une théologie « sortante ».»

Opérant sous les auspices du Dicastère de la Culture et de l’Éducation, PATH a été fondée en 1718 et était auparavant décrite comme ayant « la mission de promouvoir le dialogue entre la foi et la raison et d’approfondir la doctrine chrétienne selon les indications du Saint-Père ».

Les nouveaux statuts du pape François remplacent ceux les plus récemment transmis au PATH par le pape Jean-Paul II en 1999.
Pourtant, le document papal présente ce qui semble être un concept de théologie essentiellement anticatholique, chargeant les théologiens d’engager un dialogue avec diverses cultures et religions plutôt que de s’appuyer sur les vérités intemporelles et immuables de la foi catholique.

« La promotion de la théologie dans le futur ne peut se limiter à proposer à nouveau de manière abstraite des formules et des schémas du passé », a déclaré le pape François dans la première ligne de son texte italien intitulé  » Ad theologiam promovendam « .

« Appelée à interpréter prophétiquement le présent et à entrevoir de nouveaux itinéraires pour l’avenir à la lumière de la Révélation, la théologie devra faire face à de profondes transformations culturelles, consciente que : « Ce que nous vivons n’est pas simplement une ère de changement, mais un changement de époque’ », a déclaré Francis, citant un de ses discours antérieurs, dans un style autoréférentiel qui est devenu caractéristique de son écriture… » (lifesitenews.com)

« Selon ce que nous avons appris, un document du Vatican est en cours d’examen par le pape François qui réformerait le conclave, excluant de la phase préparatoire les cardinaux de plus de quatre-vingts ans. Le document réviserait radicalement la forme des congrégations générales et révolutionnerait les règles sur l’élection du pape, garantissant que les laïcs, les religieux et les religieuses disposent de vingt-cinq pour cent des voix.

Des sources vaticanes bien informées nous ont confirmé que depuis la fin du printemps des rencontres ont eu lieu à Santa Marta entre le pape François et le cardinal Gianfranco Ghirlanda, canoniste jésuite, avec un objectif précis : réformer l’Universi Dominici gregis, la constitution apostolique de Jean-Paul II de 1996, sur la vacance du Siège Apostolique et l’élection du Pontife Romain.

À partir de fin août, les réunions sont devenues plus fréquentes et ont eu lieu au moins une fois par semaine, jusqu’à ce que l’assemblée synodale commence début octobre.

Avec la prétention d’un « retour à l’Église primitive », l’idée serait de faire en sorte que les cardinaux électeurs, choisis pour la plupart par le pape François, disposent de soixante-quinze pour cent des voix, tandis que les vingt-cinq pour cent restants seraient attribués à des laïcs et religieux, nommés par le Pape François avant que le Siège Apostolique ne devienne vacant.

Le document en question exclurait des congrégations générales précédant le début de l’élection papale tous les cardinaux sans droit de vote, c’est-à-dire ceux qui ont atteint l’âge de quatre-vingts ans. Il faut garder à l’esprit que, de l’avis de beaucoup, le nouveau pape est choisi précisément dans les congrégations générales, car c’est dans cette phase préparatoire que sont discutés les problèmes de l’Église et les qualités qui doivent distinguer le candidat approprié. Compte tenu de la longue expérience des cardinaux de plus de quatre-vingts ans et du rôle central qu’ils jouent dans la formation des orientations des cardinaux électeurs, leur exclusion doit être considérée comme une blessure au Sacré Collège et au conclave lui-même. En outre, la modification réduirait la proportion de cardinaux non nommés par le pape François à une minorité encore plus petite au moment de la discussion.

Le document modifierait également radicalement les procédures et l’organisation des congrégations générales, en éliminant les séances plénières (au cours desquelles tous les cardinaux se réunissent) et en établissant de petits groupes de travail avec un responsable dirigeant les discussions, à l’instar de ce qui s’est produit lors de l’assemblée synodale d’octobre dernier.

On dit que le pape François, bien que déterminé à réformer le conclave papal dans un style plus « synodal », n’a pas encore prononcé un « oui » définitif au document qui, s’il est promulgué, rencontrera certainement une résistance considérable de la part des membres du Sacré Collège. (RemnantNewspaper.com) »

Depuis cette révélation, il y a beaucoup de discussions sur les réseaux vaticanistes de cette réforme du conclave.

Çà rejoint encore les révélations du regretté Serge Monast dans le « complot … contre la chrétienté »:

« … même si cette élection frauduleuse d’un Pape sera réalisée avec les apparences de la Tradition de l’Église, elle n’en sera pas moins inacceptable. Pourquoi? Parce qu’habituellement, un Pape est élu par les Cardinaux et non par les Évêques. De plus, cette élection se fera sur la base de (l’Élection Démocratique), et non sous l’inspiration de l’Esprit-Saint. Mais cette élection biaisée sera présentée aux différentes Églises Chrétiennes à travers le monde comme élection démocratique; quelque chose de nouvellement instauré comme processus légitime dans la nouvelle tradition de la Nouvelle Église du futur.) … »

C’est exactement ce que Bergoglio veut présenter avec un futur conclave basé sur le voie synodale.

Juste le fait d’annoncer cette révolution, qui est évidement frauduleuse, qui donnerait un pape non valide, confirme en fait que Benoît XVI était le dernier pape valide et que Bergoglio est Pierre II le romain.

Donc, cette préparation en cachette est un signe évident de la fin.

« … la  synagogue de Satan, l’ancienne église conciliaire et synodale, dont les ministres corrompus sont animés par l’intérêt personnel, par la soif de pouvoir et de plaisirs, aveuglés par l’orgueil qui les fait se mettre devant la Majesté de Dieu et le salut des âmes : une secte de traîtres et de renégats qui ne reconnaissent aucun principe immuable mais qui se nourrissent de provisoires, de contradictions, d’incompréhensions, de tromperies, de mensonges et de chantages ignobles. Cette anti-Église ne peut être qu’intrinsèquement révolutionnaire, parce que sa subversion de l’ordre divin n’accepte rien d’éternel a priori, et même l’abhorre précisément parce qu’elle est immuable, parce qu’elle ne peut y toucher, puisqu’il n’y a rien à ajouter à la perfection ou à l’amélioration. modifier.

La  révolution permanente, symbole de la structure ecclésiastique actuelle, a séduit de nombreux fidèles et clercs par l’attrait de la mentalité libérale et de la pensée hégélienne, faisant croire à de nombreux modérés que leur vie tranquille momentanée est suffisante pour garantir une impossible coexistence entre Tradition et Révolution, pour le seul fait qu’ils sont autorisés à célébrer l’ancienne messe en échange d’accepter le compromis et de ne pas remettre en question Vatican II, comme les Juifs avec les prêtres de Baal à l’époque du prophète Élie.

Carlo Maria Viganò, archevêque
4 novembre 2023
En la fête de saint Charles Borromée,
évêque de Milan et confesseur »

« Nous devons faire face à une réalité douloureuse et terrible : Bergoglio se présente comme hostile aux catholiques fidèles au Magistère – qu’il ridiculise, condamne et marginalise – et complice de ceux qui contredisent ouvertement ce que l’Église enseigne immuablement depuis deux mille ans. Non seulement cela : il veut amener les bons catholiques – et avec eux les quelques évêques et prêtres qui professent encore la foi dans son intégrité – à se séparer de la secte qui a infiltré et envahi l’Église, les provoquant avec une arrogance effrontée pour qu’ils se sentent scandalisé et offensé.

L’ inclusivité qui inspire Bergoglio dans son œuvre de démolition est exactement le contraire de ce que nous a enseigné Notre Seigneur, qui dans la parabole du banquet de noces (Mt 22, 1-14) ne laisse aucun doute sur la nécessité de porter la robe de la Grâce pour être admis. Dans ce passage évangélique, le seigneur qui trouve un invité sans vêtements le fait attacher par ses serviteurs et le jeter dans les ténèbres extérieures, où il y a des pleurs et des grincements de dents (ibid., 13).

Les paroles du Sauveur « Vous serez mes amis si vous faites ce que je vous commande » (Jn 15, 14) ou encore « Ce n’est pas celui qui dit « Seigneur, Seigneur », mais celui qui fait la volonté de mon Père qui entrera dans le Royaume des Cieux » (Mt 7, 21) ne donnent pas lieu à des malentendus, et le fait qu’un « pape » ose les contredire est d’une gravité sans précédent qui ne peut en aucun cas être tolérée, pour le bien des âmes et pour aujourd’hui, nous nous trouvons face au paradoxe d’un « maître » autoproclamé de l’Église – parce que Bergoglio agit comme tel – qui chasse du banquet ceux qui portent la robe de mariée et admet tous les autres sans discernement. Mais si « l’Église » de Bergoglio ne veut pas de catholiques, comment peut-elle se dire « catholique » ? Si ceux qui exercent leur autorité de « pape » le font contre l’autorité du Christ, comment peuvent-ils être considérés comme son vicaire ?

À la National Gallery de Londres se trouve un splendide tableau de Rembrandt, réalisé en 1636 : Le Festin de Belshazzar , qui reprend l’histoire du prophète Daniel (Dan 5). Le roi babylonien Belshazzar, en plein siège par le roi de Perse Cyrus le Grand, avait organisé un somptueux banquet à la cour, utilisant les vases sacrés du Temple volés comme butin par Nabuchodonosor pour des libations. A cette occasion, devant tous les invités et dignitaires, une main apparut et écrivit des mots incompréhensibles sur le mur de la salle royale, devant le chandelier (Dan 5, 5). C’est Daniel qui interpréta ces sombres paroles, Mane, Thecel, Phares (Dan 5, 25) :

Mane : Dieu a compté votre royaume et y a mis fin. Thecel : Vous avez été pesé dans la balance et trouvé léger. Phares : votre royaume est divisé et donné aux Mèdes et aux Perses (Dan 5, 26-28).

Face à la contemplation de la passio Ecclesiæ de la part de Bergoglio et de ses complices, nous pouvons espérer et prier pour que ceux qui n’ont pas cru face à l’action silencieuse du Bien puissent se convertir par l’évidence troublante de ce qui s’y oppose. Avant qu’il ne soit trop tard.

Carlo Maria Viganò, archevêque ou
9 Novembre 2023
Dans la dédicace de la basilique des Saints. Sauveur »

05 novembre

LE SYNODE PARTIE I

Nous avons eu droit à une conclusion ambiguë de cette partie du synode, comme son maître sait si bien le faire.

Aucune résolution.

Que des concepts qui doivent être retournés vers le peuple pour son consentement.

Il faut comprendre la méthode Bergoglio.

Son plan de diviser la dernière session pour une partie en 2023, et se donner 2024 pour faire progresser ses réformes chez les fidèles était prévisible.

Comme le confirme Michael Matt (The Remnant) dans la conférence de presse donnée aujourd’hui par le groupe qui s’est réuni à Rome pour contrer le synode (Jeanne Smitts, lifesitenews, The Remnant, et autres…):

«« Le plan est d’utiliser le processus synodal pour convertir le monde catholique au cours des 12 prochains mois afin qu’il accepte des changements massifs », a-t-il poursuivi.
« Pourquoi? Parce que vaincre 2000 ans de théologie morale catholique basée sur la Bible va prendre du temps.» (lifesitenews.com)

Caïphe Bergoglio, ne pouvant condamner l’Église dans sa Passion, la renvoie donc devant Pilate, qui demandera à la foule de choisir entre Jésus-L’Église-La Tradition et Barabas-L’église conciliaire.

On connaît tous la réponse.

Car les deux témoins de l’Apocalypse doivent mourir afin de ressusciter.

Pour contrer le modernisme, Mgr Schneider a publié un nouveau catéchisme la semaine dernière pour y inclure les erreurs du modernisme.

Donc, les évêques ont le pouvoir de le faire.

Nous comprenons maintenant pourquoi Bergoglio veut inverser la pyramide et donner le pouvoir aux évêques avec son synode.

La condamnation de l’Église passera donc sur le dos de la foule catholique pour que le clergé conciliaire puisse s’en laver les mains à la manière du sanhédrin au temps de Jésus, d’où la dernière phase de consultation du synode 2024.

Pas sûr qu’on se rende en octobre 2024 par contre, car si guerre il y a, il y aura un retour vers l’Église, par la peur, une résurrection des témoins pour la dernière chance de conversion.

C’est à voir.

Il n’y a pas beaucoup de temps… et les deux témoins, c’est à dire la Tradition, n’a pas encore été condamnée.

Fatima est accomplie avec l’apostasie générale et le clergé humaniste qui conduit les âmes vers la vision de l’enfer que les enfants ont eu.

La Salette est accomplie.

Le fils de la perdition s’est installé sur le trône de Saint-Pierre : « Rome perdra la foi et deviendra le siège de l’Antéchrist ».

« « C’est le synode des ténèbres. Que veut vraiment le pape ? Les déclarations de Mgr Mutsaerts…

Alors que le rapport de synthèse de la première session du synode sur la synodalité est présenté au Vatican, l’évêque néerlandais Rob Mutsaerts, qui avait décidé il y a un an de quitter l’assemblée en déclarant : « Dieu est hors de ce processus synodal ignoble », prend la parole…

Aujourd’hui, les anges pleurent en entendant le langage ecclésiastique utilisé par le synode : vide de sens, hypocrite, pseudo-sociologique, presque psychologique… » (benoit-et-moi.fr)

« Le Cardinal Müller affirme que le Synode sur la synodalité est utilisé par certains pour préparer l’Eglise à accepter de faux enseignements
Le préfet émérite de la Congrégation pour la doctrine de la foi évalue la première phase de la réunion synodale au Vatican. » (benoit-et-moi.fr)

« le cardinal Jean-Claude Hollerich, rapporteur général du synode, lors d’une conférence de presse le 28 octobre.

« Cette liberté et cette ouverture changeront l’Église, et je suis sûr que l’Église trouvera des réponses, peut-être pas la réponse exacte que tel ou tel groupe souhaite, mais des réponses qui permettront à la plupart des gens de se sentir bien et écoutés ».

« Le processus commence, commence vraiment, à la fin du synode. Ainsi, l’année prochaine, j’espère qu’il y aura un document qui sera un vrai document, où certaines questions théologiques de la synodalité, et ainsi de suite seront également prises en compte. Mais même le document final ne sera qu’une « étape » d’une « Église en mouvement ». Et je pense que c’est ce qui est important : nous sommes en mouvement. »

« il y a des sujets qui sont importants pour certaines personnes et qui devraient continuer à l’être, même s’ils n’ont pas été mentionnés dans le rapport de synthèse du 28 octobre. Et je pense qu’une Église synodale essaiera plus facilement de parler de ces sujets que l’Église telle qu’elle était structurée dans le passé (..) Cela ne veut pas dire qu’une Église synodale va tout accueillir ».

« Il était clair pour moi que certains sujets susciteraient des résistances. Je suis très étonné que tant de personnes aient voté en faveur du projet. Cela signifie que la résistance n’était pas aussi grande qu’on le pensait auparavant. Alors oui, je suis heureux de ce résultat. Des résultats similaires, lors d’un vote parlementaire, seraient considérés comme très positifs ».

« Je pense que les gens repartiront demain ou après-demain avec le cœur plein d’espoir, avec beaucoup d’idées, et je me réjouis de les revoir l’année prochaine ».

La Tradition veille pour encore un peu de temps, grâce à la FSSPX et des combattants des derniers temps tels Mgr Vigano et Scheider, les cardinaux Burke, Sarah et autres.

La FSSPX fut réellement créé le 13 octobre 1969 lorsque Mgr Lefebvre accepte d’enseigner une poignée de séminaristes pour continuer la Tradition.

Quand on sait que la fête des Saints, avant d’être transférée au 1er novembre, était située au 13 mai, voilà deux concordances reliées à Fatima, l’apparition emblématique de la fin des temps avec la vision de l’enfer, le troisième secret concernant la grande apostasie dans l’Église (donc le concile) et hors de l’Église.

L’Apocalypse et les dernières apparitions valides de la Sainte-Vierge se dévoilent ainsi.

Octobre 2023

21 octobre

Gog et Magog

Sans surprise la situation se corse, évidement.

Les américains quittent Israël et le gouvernement des États-Unis demande à ses citoyens de ne plus voyager hors du pays si possible.

De plus, l’embargo sur le pétrole vénézuélien de la part des américains a été levé pour les prochains six mois, en prévision d’un autre embargo, cette fois des pays arabes producteurs.

On ne peut se passer du pétrole pour faire la guerre.

Les deux axes, Gog et Magog, sont en places.

Israël a tout l’occident derrière lui.

L’Iran déclare qu’elle attaquera Israël si ce dernier y va de son attaque terrestre (attaque qui a reçu le feu vert de Biden cette semaine).

L’Iran avec la guerre en Ukraine est lié à la Russie, qui est lié à la Chine.

La Russie a appuyé le Hamas et Israël jure vengeance contre cette dernière, qui depuis des années est présente en Syrie.

C’est bien le rassemblement prophétisé pour Gog et Magog dans l’Apocalypse.

Malgré le fait que les arabes sunnites semblent appuyés les chiites présent en Palestine et au Liban, nous savons grâce à la prophétie politique du « Livre Maudit » de Jean XXIII que cette animosité entre les deux factions musulmanes achèvent et qu’il n’y aura qu’un vainqueur côté arabe.

« Entre les guerres, quelqu'un parlera d'amour. Mais même vaincu, faux, démasqué, le livre aura toujours quelques adeptes, jusqu'à la fin des temps. »

Entre les guerres Bergoglio parle d'amour, de paix, de fraternité avec l'Islam. Nous y sommes.

De plus, nous prévoyons depuis longtemps que la prophétie « Grand Éclair » à l’Orient se matérialiserait en Iran… et la Terre friserait le massacre, avant l’intervention du Père via la « guerre de la nature », le Jugement par le feu.

2024 est une année d’élections aux États-Unis.

Il y a sûrement une relation avec la prophétie.

Du côté du Vatican, le cardinal Parolin a de plus pris la parole au synode et a décidé de centrer sa vison de la synodalité sur la doctrine catholique.

C’est une direction inattendue pour les disciples de Bergoglio.

N’oublions pas que nous soupçonnons Parolin d’être le dernier acteur de la prophétie concernant François, celui qui serait assassiné, qui serait
Pierre II le romain de la prophétie des papes de Saint-Malachie, qui conduirait le troupeau durant les dernières tribulations.

Et, dans tout ce chaos...

Quel espoir pour les apostasiés qui ne veulent la paix que pour retourner dans leur matérialisme et humanisme débridé? Aucun, car c’est la fin des temps et ils l’ignorent.

L’Espérance n’est que pour le petit reste.

Car il voit clair.

Il connaît les écritures et donc le jeu de l’ennemi.

Et il sait que les temps que nous vivons mènent au Salut promis par NSJC.

Dieu utilise le mal pour en arriver au bien.

Les prochains mois vont être difficiles pour les non croyants.

15 octobre

FATIMA ET ND DU ROSAIRE   

Le 13 octobre 1917, pendant le spectacle du miracle du Soleil, un tableau en trois actes apparu aux enfants: ils ont vu Notre-Dame du Rosaire qui s’éleva au firmament à côté du soleil, joints par Saint-Joseph et l’Enfant Jésus qui bénissaient le monde, puis Marie devint Notre-dame des Douleurs, joint par Jésus qui bénissait à son tour le monde, puis Marie devient Notre-Dame du Carmel, et demande la consécration à son cœur immaculée.

Trois dates importantes pour cette fin des temps :  16 juillet, 15 septembre, 7 octobre.

Nous écrivions lors de cette consécration de Bergoglio que cette dernière était illusoire aussi parce que y sont absents les fondamentaux demandés expressément par Notre-Dame du Rosaire :

– la récitation quotidienne du chapelet, seule solution pour obtenir la paix ;

– la dévotion au Cœur Immaculé de Marie des premiers samedis du mois ;

– le combat contre les péchés et surtout les péchés les plus graves (cesser d’offenser davantage Dieu répète-elle).

Ainsi le 16 juillet 2021, en la fête de ND du Carmel, Bergoglio s’attaqua à la Tradition, aux deux témoins de l’Apocalypse, les laïcs et le clergé fidèles à la Loi et aux Prophètes en cette fin des temps, avec « Traditionis Custodes » contre la messe traditionnelle.

En cette fête de Notre Dame du Rosaire le 7 octobre 2023, s’ouvre le 7ème sceau, la prophétie #11 de Jean XXIII concernant l’Église, avec l’attaque suicidaire du Hamas contre Israël, le prélude à Armagueddon dans l’Apocalypse.

« La longue paix fera oublier les erreurs passées. Elle fera oublier le grand frère crucifié renversé. Il y aura la guerre dans la Mère, et les troupeaux se disperseront. Alors quelqu'un criera sang et sera écouté. Malheur à celui qui aura crié, le premier sang à couler sera le sien.
S'affronteront croissant de lune, étoile et croix. Quelqu'un brandira la croix noire. Des vallées du Prince viendront les chevaliers aveugles.
Derrière eux, les corbeaux de la faim, de la famine, de la peste.
Où croyez-vous fuir, maintenant que vous avez détruit les Églises et tué le dernier Père ?
Attendez le signe de Jean. L'agneau est prêt. Signez-vous sept fois avec une main fatiguée et attendez. La lumière vient encore de l'Occident.»

La longue paix a fait oublier les deux grandes guerres. Elle a fait oublier le grand frère crucifié renversé (c’est à dire Saint-Pierre et la suite des papes, soit la grande apostasie constatée aujourd’hui).

Il y a guerre dans la Mère, c’est à dire l’Église, avec le schisme entre l’Église traditionnelle et conciliaire, en plein synode des synodes, qui en est la révélation.

Le Hamas, dans un geste incompréhensible, a crié sang, vengeance, et le sang palestinien et le premier à couler.

Cet embryon de guerre va s’envenimer.

Deux portes avions américains dans la Méditéranée, et l’Iran qui affirme que si Israël y va d’une attaque terrestre, qu’il interviendra.

Alors s’affronteront effectivement les trois grandes religions.

Nous sommes dans une période déterminante.

Les prophéties politiques et de l’Église de Jean XXIII entrent dans une phase déterminante, critique pour les âmes.

Nous connaissons l’unique remède : le Rosaire et la dévotion au cœur immaculée de Marie.

Mais l’humanisme de Babylone Nations-Unies et Babylone Vatican aveuglent.

Seul le petit reste a la sagesse pour voir et agir dans son refuge personnel par la prière, la Foi, l’Espérance et la Charité.

Le Temps est proche.

3 octobre

L'AVANT SYNODE

Une bombe eschatologique avant le synode.

C'était à prévoir.

Les cardinaux conservateurs gardiens de la tradition ont demandé des éclaircissements sur les sujets à venir au synode et à l'action du Saint-Esprit version Bergoglio.

Deux clans sont formés.

Nous le savions.

Ils n'ont pas obtenus les réponses claires, tout en recevant un texte tronqué, malhonnête, indigne du Vatican.

Ils demandaient à la lumière de l'Évangile un oui ou un non, et ils ont obtenus l'ambiguïté comme Bergoglio sait le faire pour laisser les portes ouvertes à toutes les interprétations.

« L’eau a commencé à bouillir.

L’une des caractéristiques des temps post-chrétiens que nous vivons au sein de l’Église est l’inversion. Nous savons que le diable, dans son envie, cherche à imiter Dieu et le fait aux antipodes, c’est-à-dire en inversant ce qu’Il fait dans la sagesse (Proverbes, 3,19). Les exemples se multiplient chaque semaine. Voyons quelques cas des deux dernières semaines :

1- Dans une interview, la médiatique cloîtrée dominicaine Lucia Caram, amie du pape François, déclare ouvertement qu’il n’y a pas de péché dans les relations sexuelles avec des personnes du même sexe, tant qu’elles sont faites dans l’amour. Elle affirme également que le pape François vient de nommer un homosexuel au poste de préfet d’un dicastère très important du Vatican.

2- Le président de la Conférence épiscopale allemande, Mgr Bätzing, a demandé au Vatican de revoir la mesure qui empêche l’ordination de prêtres homosexuels qui pratiquent secrètement leur sexualité. En d’autres termes, il a demandé que les prêtres homosexuels puissent exercer librement leur sexualité.

Il y a quinze ans, personne n’aurait pensé que nous vivrions une époque aussi mouvementée. Ce n’est plus seulement le mariage des prêtres qui est réclamé, mais la libre sexualité des prêtres, et de tous, quoi qu’il arrive. La gravité des propos tenus par ces personnages louches, et pour lesquels ils devront tôt ou tard rendre des comptes, est difficilement mesurable. Par exemple, quel est le message adressé aux bons jeunes catholiques qui vivent dans la continence et la chasteté dans leurs fréquentations, comme le veut la doctrine de l’Église ? Que ce sont de sacrés imbéciles qui gaspillent le temps de la jeunesse fleurie dans des béatitudes complètement dépassées : s’abstenir de relations sexuelles hétérosexuelles avec le petit ami ou la petite amie que l’on aime ! Mais y a-t-il quelque chose de plus saint et de plus beau que cela ? Quels idiots !

Prenons un dernier exemple : le pape François a assisté à la chapelle funéraire où reposait la dépouille de Giorgio Napolitano, ancien président de l’Italie, communiste et franc-maçon. Il n’a pas donné l’absolution, ni béni le corps, ni fait aucun signe chrétien. Le chef de l’Église et gardien de la foi nie le témoignage public de la foi en la vie future et prive l’âme d’un malheureux de l’aide que, même après la mort, il pourrait lui apporter. François n’est qu’un personnage de plus dans le monde, qui a la particularité de porter du blanc, mais qui n’est pas très différent de n’importe quel autre dirigeant mondial.

Oui, ce sont des inversions qui crient haut et fort que l’eau a commencé à bouillir.

Mais il y a une inversion plus profonde et plus grave, une inversion qui échappe à la morale, une inversion théologique qui nous dessine une nouvelle Église. Une manière simple de l’expliquer est l’article que le père Antonio Spadaro, jésuite, a publié le 20 août dans un journal italien [ndt: nous en avons parlé à plusieurs reprises, voir en particulier: Le blasphème du père Spadaro]. Il y commente l’épisode évangélique de Matthieu 7, 24-30 :

Et voici qu’une femme cananéenne, venue de cette région, s’écria : Seigneur, Fils de David, aie pitié de moi, car ma fille est tourmentée par un démon. Mais Jésus ne lui répondit pas un mot. Ses disciples s’approchèrent et le supplièrent : Renvoie-la, car elle crie après nous. Mais il répondit : Je ne suis envoyé qu’aux brebis perdues de la maison d’Israël. Elle s’approcha et se prosterna devant lui, en disant : « Seigneur, aide-moi ! Il répondit : Il n’est pas bon de prendre le pain des enfants et de le jeter aux chiens. Elle dit : Oui, Seigneur ; mais les chiens aussi mangent les miettes qui tombent de la table de leurs maîtres. Jésus répondit : Femme, ta foi est grande ; qu’il te soit fait comme tu veux. Et sa fille fut guérie à l’heure même.

Le jésuite Spadaro écrit:

Jésus a été insensible. La dureté du Maître est inébranlable. […] La miséricorde n’est pas pour elle. Elle est exclue. On ne discute pas. [Jésus] répond à la pauvre femme de manière moqueuse et irrespectueuse. Il n’est pas bon de prendre le pain des enfants et de le jeter aux petits chiens. Jésus semble aveuglé par le nationalisme et le rigorisme théologique.

La femme rétorque alors que même les petits chiens mangent les miettes qui tombent de la table de leurs maîtres. Le commentateur Spadaro poursuit :

Quelques mots, mais bien dits, comme pour bousculer la rigidité de Jésus, le conformer, le « convertir » à soi. Et Jésus apparaît aussi guéri, et à la fin il se montre libéré de la rigidité des éléments théologiques, politiques et culturels dominants de son temps.

En somme, selon le Père Spadaro, Jésus a péché par rigidité, mais il s’est ensuite converti et a été guéri. Jésus était donc un pécheur comme tous les hommes. Une hérésie flagrante et impie.

Après cette publication, le pape François a récompensé son frère jésuite en le nommant sous-secrétaire du dicastère pour la culture et l’éducation.

Mais la gravité du fait, à mon sens et comme j’en ai discuté avec des amis plus savants que moi, ne réside pas tant dans l’hérésie déversée que dans le fait que Spadaro suppose que le Seigneur avait besoin d’un autre, en l’occurrence, « un autre » qui n’était même pas juif, pour le convertir. C’est-à-dire que la conversion lui est venue par le dialogue et l’écoute de l’ « autre », de tout « autre », même de l’ « autre » le plus éloigné de « ma vérité ». Jésus était malade de dureté et de rigidité, et c’est la parole d’une païenne qui l’a guéri. La maladie n’était donc pas dans la païenne, mais dans le Christ lui-même.

N’est-ce pas ce que nous avons vu tout au long du pontificat de François ? C’est l’Église qui est malade, ce sont les catholiques, chargés de rigidités théologiques et de visages vinaigrés ; « l’Église est pécheresse », a-t-il dit lors de son voyage de retour de Mongolie ; les prêtres sont cruels et méchants; les catholiques qui prient le rosaire sont des pélagiens, les jeunes qui assistent à la messe traditionnelle ont des problèmes psychologiques, les religieuses sont de vieilles filles et ils sont tous une bande de rigides.

Et le problème, c’est qu’ils ne dialoguent pas. Ils s’accrochent à une Église qui a accumulé au fil des siècles une série de mandats, de préceptes et d’assurances qui ne sont rien d’autre qu’une sédimentation dont il faut se débarrasser.

Et pour guérir de cette maladie, l’Église a besoin, comme Jésus, de dialoguer avec l’ « autre », et plus il est « autre », mieux c’est, car plus grand sera le remède qu’il pourra apporter.

D’où la nécessité du dialogue et de l’écoute, qui ne sont pas des activités anodines, mais des moyens indispensables à la guérison ou, en d’autres termes, à la conversion. Car la vérité, en réalité, ne réside pas dans les formules et les préceptes stagnants de l’Église catholique, mais dans la fraîcheur des vérités qui résident dans l’ « autre », qui devient la source de la révélation.

Par conséquent, l’ « autre » n’est plus l’ennemi de l’Église, ses ennemis, ce sont les autres.

Le document préparatoire au synode le dit au n. 21 :

21. Il existe aussi l’acteur “ de plus ”, l’antagoniste, qui apporte sur la scène la division diabolique entre les trois autres. Face à la perspective perturbatrice de la croix, certains disciples s’en vont et des foules changent d’humeur. Le piège qui divise – et qui entrave donc un cheminement commun – se manifeste aussi bien sous les formes du rigorisme religieuse, de l’injonction morale, qui se présente comme plus exigeante que celle de Jésus, ou sous celles de la séduction d’une sagesse politique mondaine qui se veut plus efficace qu’un discernement des esprits.

En d’autres termes, les « antagonistes », les « démons » de la nouvelle Église, c’est nous, les catholiques fidèles à la doctrine des Apôtres et enseignée par nos pères. C’est nous qui sommes venus diviser et entraver le dialogue entre l’Église et le monde. Nous sommes des démons, et en tant que tels, nous devons être persécutés.

On comprend alors l’obsession « franciscaine » pour le synode et la synodalité. C’est le moyen d’officialiser l’écoute de « l’autre », d’en faire une révélation et de changer ainsi définitivement la doctrine de l’Église.

Rappelons un fait oublié : le 15 septembre 2018, François a promulgué le motu proprio Episcopalis communio par lequel il établit que le pape ne peut plus écrire d’exhortation apostolique post-synodale, mais simplement confirmer les conclusions du synode, qui deviendront automatiquement magistère. Ce que les post-chrétiens écoutant le synode qui commence aujourd’hui à Rome (évêques, prêtres, religieuses, laïcs, catholiques, païens et athées) et sur lequel planera l’Esprit Saint, fera l’année prochaine partie du magistère de l’Église. Ainsi, l’Église sera guérie de ses rigidités comme l’a été son fondateur.

C’est la grande inversion. La vérité n’est plus dans l’Église du Christ, elle est en dehors d’elle. Elle ne doit plus être celle qui enseigne, mais celle qui se laisse enseigner. Elle n’est plus celle qui guérit, mais celle qui a besoin d’être guérie. L’eau est bel et bien en train de bouillir.

On connaît l’histoire d’une grenouille jetée dans une marmite remplie d’eau qui se réchauffe lentement. L’augmentation progressive de la température étant très lente, la grenouille n’a pas pu la percevoir pendant la majeure partie du processus. Lorsqu’elle a réalisé le danger et vu que l’eau était en train de bouillir, il était trop tard. Si la grenouille était entrée dans l’eau à des températures élevées, elle aurait sauté hors de l’eau lorsqu’elle aurait perçu le danger d’y rester et aurait échappé à la mort.

Dans le même ordre d’idées, le père Santiago Martín, dans son commentaire de la semaine dernière, parle du cancer qui s’est finalement révélé. Il explique qu’il a commencé à se développer avec le modernisme, qu’il s’est aggravé avec la théologie libérale et qu’il s’est répandu dans l’Église pendant le Concile. Les papes conservateurs, comme Jean-Paul II et Benoît XVI, ont vu le danger et l’ont combattu, mais, de manière incompréhensible, ils ont promu à de hautes fonctions des personnes qui défendaient de telles doctrines. Aujourd’hui, le désordre est devenu évident. Nous avons enfin compris que l’Église est gravement malade, probablement atteinte d’un cancer en phase terminale. Il ne reste plus qu’à attendre que les anticorps agissent, en espérant qu’ils existent, et que Dieu nous sauve.

(…)

Ce n’est plus seulement une question d’entêtement en latin, ce n’est plus une question de désobéissance. Il en va de la survie même de l’Église. » (benoit-et-moi.fr)


« C’est une véritable bombe qui vient d’être lancée à deux jours de l’ouverture des travaux, Riccardo Cascioli titre justement dans son éditorial « Une rafale de Dubia s’abat sur le Pape ». Sept ans après les fameux « Dubia des 4 cardinaux », formulés après la parution d’Amoris Laetitia et qui n’ont jamais reçu de réponse, cinq cardinaux (*), venant des cinq continents (il devait y en avoir six, mais le cardinal Pell, initiateur du projet, est mort subitement en janvier dernier) ont écrit au Pape le 10 juillet dernier, et lui ont posé des questions précises sur tous les sujets brûlants dont doit débattre le Synode imminent (synodalité, immuabilité de la doctrine, bénédictions des partenariats homo, ordination des femmes). Ils ont reçu une réponse dès le lendemain (on imagine la colère de François… mais la lettre, adressée aux seuls cardinaux Burke et Brandmüller, n’a pour le moments pas été publiée) aussi vague que dilatoire, qui en réalité ne répond à rien.

Selon Sandro Magister:

Dès le 11 juillet, le pape leur avait répondu par une lettre qui parvint aux destinataires le 13.

Seulement, cette réponse a semblé aux cinq cardinaux aussi redondante (sept feuillets dans l’original espagnol) que vague et évasive, loin de résoudre les cinq « dubia ».

Bien que signée par François, la lettre dénote le style d’écriture de son théologien de confiance, l’Argentin Victor Manuel Fernández, sur le point d’assumer le rôle de nouveau préfet du dicastère pour la doctrine de la foi.

Les cinq cardinaux ont donc envoyé une seconde lettre, très précise, demandant une réponse par oui ou par non, qui à ce jour, presque deux mois après, n’a pas reçu de réponse. »

https://www.benoit-et-moi.fr/2020/2023/10/02/synode-les-nouveaux-dubia/

« Pour parer le coup de la publication des Dubia des cinq cardinaux, le Préfet du Dicastère pour la Doctrine de la Foi et la Communication du Vatican ont monté une opération pour faire croire que le Pape a répondu et qu’il n’y a plus rien à dire.

Si vous n’avez pas de raisons, vous essayez la ruse et la tromperie. C’est la seule façon d’expliquer la démarche du nouveau Préfet du Dicastère pour la Doctrine de la Foi, le Cardinal Victor Manuel Fernández, qui a publié sur le site du Dicastère les premiers Dubia envoyés au Pape par les cinq cardinaux le 10 juillet dernier et la réponse signée par le Pape François.

Mais les questions et les réponses font partie d’un seul document qui porte la date du 25 septembre. En fait, cette date se réfère à la requête que Fernández lui-même a faite au Pape de publier les parties saillantes de sa réponse, qui date du 11 juillet.

Cela donne l’impression que le 25 septembre est bien la date de la réponse.

Un effet clairement voulu, à tel point que la date du 11 juillet n’apparaît pas au bas de la réponse du Pape. En outre, Fernandez ignore totalement la deuxième demande d’éclaircissement des cinq cardinaux, datée du 21 août, dans laquelle il est expressément indiqué que la lettre du pape du 11 juillet ne répond pas du tout à leurs questions. Et en effet, disent les cardinaux, « vos réponses n’ont pas résolu les doutes que nous avions soulevés, mais les ont plutôt approfondis ».

De plus, la lettre publiée par le Dicastère pour la Doctrine de la Foi n’est pas la lettre complète (voici le pdf de la lettre complète) [en espagnol, Jeanne Smits propose sa traduction en français sur son blog] reçue uniquement par les cardinaux Burke et Brandmüller, qui comporte également une introduction et une conclusion qui ne figurent pas dans le document proposé par le cardinal Fernandez.

Dans la partie manquante, outre l’agacement évident perçu à l’initiative des cinq cardinaux, le Pape les réprimande en affirmant qu’ « il n’est pas bon d’avoir peur » des « questions » et « interrogations » recueillies dans le processus de préparation du Synode. Comment elles ont été recueillies, nous le savons parfaitement!

En tout cas, ce qui est évident, c’est que pour parer le coup des Dubia rendus publics ce matin, un colossal travail de mystification a été mis en place au Vatican pour tromper l’opinion publique catholique et faire passer pour close une question qui est au contraire plus ouverte que jamais. Et toutes les structures vaticanes possibles ont été mobilisées à cette fin.

C’est ainsi que Vatican News titre immédiatement : » Le Pape répond aux Dubia de cinq cardinaux « , voulant donner l’impression que la réponse est celle d’aujourd’hui.

A tel point que ni dans le titre, ni dans le résumé, ni dans le corps de l’article, une seule date n’est mentionnée. Un véritable tour de passe-passe digne d’un professionnel, qui ne manque pas au sommet de la communication vaticane.

Et des sources bien informées nous disent aussi que la Secrétairerie d’État s’est arrangée pour obtenir de Canale 5 [chaîne italienne du groupe Mediaset, propriété de la famille Berlusconi, ndt] – pouvant compter sur un vaticaniste « ami » [il semblerait que ce soit un certain Fabio Marchese Ragon] – un reportage qui, dès ce soir, rendra compte de la réponse du Pape aux Dubia.

Voici donc le récit officiel que le Saint-Siège promeut : les Dubia ont déjà reçu une réponse, l’affaire est close, le Synode peut se dérouler tranquillement comme prévu.

Ce faisant, le pape François voudrait éviter définitivement de donner une réponse claire aux Dubia reformulés après sa lettre. Et ce n’est pas tout : la version du Vatican insiste seulement sur le fait qu’il y a eu une réponse, mais ce n’est pas vrai, même si l’on examine la lettre du pape, elle a un contenu problématique et inquiétant, comme l’ont souligné les cinq cardinaux.

Nous sommes donc confrontés à un nouveau mensonge colporté par les dirigeants du Saint-Siège qui, malgré leurs déclarations d’ouverture à l’Esprit Saint, semblent bien plus intéressés par la promotion de leur propre agenda. » (benoit-et-moi.fr)

Retenez cet extrait:
« Rappelons un fait oublié : le 15 septembre 2018, François a promulgué le motu proprio Episcopalis communio par lequel il établit que le pape ne peut plus écrire d’exhortation apostolique post-synodale, mais simplement confirmer les conclusions du synode, qui deviendront automatiquement magistère. »

Voilà.

Bergoglio n'a plus besoin de publier une exhortation apostolique post-synodale depuis cette date.

C'est donc dire que tout se qui sera dit dans ce synode des synodes deviendra magistère, donc en vigueur automatiquement.

Les dés sont pipés d'avance.

Septembre 2023

19 septembre

L’ESPRIT SAINT

Il a le dos large avec Bergoglio...

Comme nous pouvons le constater depuis le début du pontificat de Bergoglio, l’Esprit-Saint prend toute la place.

Il est à l’origine du synode des synodes, il conseille les fidèles qui à leur tour font part à la hiérarchie vaticanesque des « désirs » reçus.

L’Esprit-Saint est devenu synonyme de modernisme, de progression.

Alors que Jésus est devenu synonyme de dogme, de rigidité.

Un des proches de Bergoglio a exprimé dernièrement son désir de démantelé la Sainte-Trinité afin que le Christ ne prenne pas toute la place, et que l’Esprit-Saint en devienne le flambeau de la contre-église.

Il n’est donc pas surprenant que Bergoglio ne parle presque jamais du Christ et de la nécessité de convertir et de baptiser comme l’a ordonné NSJC à ses apôtres.

Il y a donc la doctrine de l’Église qui s’oppose à la doctrine de Bergoglio, inspiré du Saint-Esprit.

« Au tour du Wanderer de commenter le passage de l’interview de Tucho par Edward Pentin où il est question du charisme unique du successeur de Pierre, et de l’opposition entre la doctrine de toujours (statique, donc morte), et la « doctrine de François », dynamique donc vivante. Avec la conséquence que tout ce que prononce François est contraignant pour les catholiques, et que ne pas obéir est une attitude schismatique

Il s’avère donc désormais que nous, catholiques, sommes obligés de suivre non pas la doctrine de l’Église, mais la doctrine du pape. C’est un non-sens, une absurdité inconcevable dans la bouche de celui qui devrait être le chef théologique de l’Église. C’est une chose d’affirmer que le Magistère a son propre charisme dans la mission de garder infailliblement la foi donnée une fois pour toutes à l’Église, et c’en est une autre d’affirmer que le Pape a un charisme qui protège sa propre doctrine. » (benoit-et-moi.fr)

Ce « Saint-Esprit » de Bergoglio, vous l’aurez deviné, n’est pas le Saint-Esprit de la Trinité.

C’est l’esprit de l’imposteur, du maître de l’inversion.

Il n’est donc pas surprenant qu’on accorde toute l’attention à la base de la pyramide pour le synode.

Est-ce la tête, le berger, qui guide le troupeau, ou est-ce le troupeau qui décide où il veut aller et se perdre dans le précipice?

Le chrétien éveillé connaît la réponse… mais peu on l’esprit assez clair pour voir.

Ainsi à l’image de NSJC, l’Église va à sa mort parce qu’elle n’a plus de berger.

Nous nous retrouvons donc au synode le mois prochain.

À l’image de Jésus, l’Église sera jugée devant le « sanhédrin ».

« Le grand-prêtre interrogea l’Église de la Tradition sur ses disciples et sur sa doctrine.

L’Église lui répondit :  J’ai parlé ouvertement au monde ; j’ai toujours enseigné dans les églises et au Vatican, où tous les Chrétiens s’assemblent, et je n’ai rien dit en secret.

Pourquoi m’interroges-tu ? Demande à ceux qui m’ont entendu, ce que je leur ai dit; eux, ils savent ce que j’ai enseigné.  »

A ces mots, un des satellites qui se trouvait là, donna un soufflet à l’Église, en disant :  « Est-ce ainsi que tu réponds au grand-prêtre Bergoglio?  »
L’Église lui répondit :  « Si j’ai mal parlé, fais voir ce que j’ai dit de mal ; mais si j’ai bien parlé, pourquoi me frappes-tu ?  »

Alors Caïphe Bergoglio se leva, et venant au milieu, il interrogea l’Église, disant : « Ne réponds-tu rien à ce que ces hommes déposent contre toi ?  »

L’Église gardait le silence. Et Bergoglio lui dit :  « Je t’adjure par le Dieu vivant de nous dire si tu es l’Épouse du Christ, le Fils de Dieu ?  »

L’Église lui dit :  « Je le suis, et vous verrez l’Épouse du Fils de l’homme siéger à la droite du Tout-Puissant, et venir environné des nuées du ciel.  »

Alors Bergoglio déchira ses vêtements, en disant :  « Elle a blasphémé, qu’avons-nous encore besoin de témoins ? Vous venez d’entendre son blasphème : que vous en semble ?  » Ils répondirent :  » Elle mérite la mort. »

Ainsi, fin octobre 2024, ou même peut-être avant, nous ferons face à la mort des deux témoins de l’Apocalypse, l’Église Traditionnelle avec son clergé et ses fidèles, ainsi que la mort de l’église conciliaire, la contre-église, assimilée au mondialisme de l’Agenda 2030.

Il doit en être ainsi.

Mais l’Église ressuscitera au troisième jour, renouvelée, à temps pour le Jugement final.

Pour ceux qui trouvent que le temps est long, rappelons-nous que tout s’accélère à la mort des deux témoins : chute de Babylone, mort de la grande prostituée (église conciliaire), et mort de l’Antichrist.

Le chaos qui s’en suivra est inimaginable pour le commun des mortels.

Seuls ceux retirés dans les montagnes, à l’écart de Babylone par leur Foi et leurs prières intérieures auront la force requise pour voir l’Époux au mariage.

12 septembre

Jakin et Boaz sont les deux colonnes franc-maçonniques qui représentent la dualité, la terre et la lune, le masculin et le féminin,.. le bien et le mal.

Elles sont liées au chiffre 11, comme hier, 11 septembre, date anniversaire de l’écrasement des « deux » tours de New-York en 2001.

Le 11 est donc très important pour la kabbale, en tant que sacrifice, ou de triomphe.

Or, le 11 février 2013, Benoît XVI, qui se voit forcé de démissionner de sa charge pontificale, choisi intentionnellement cette date pour contrer ce mal forcé, car c’est la fête de Notre-Dame de Lourdes.

« Par conséquent, depuis le 11 Février 2013, le ministère papal n’est plus celui d’avant. Il est et reste le fondement de l’Église catholique; et pourtant, c’est un fondement que Benoît XVI a profondément et durablement transformé dans son pontificat d’exception (Ausnahmepontifikat), à propos duquel le sobre cardinal Sodano, réagissant avec simplicité et immédiateté après la surprenante déclaration de renoncement, profondément ému et presque saisi d’égarement, s’était exclamé que cette nouvelle avait résonné parmi les cardinaux réunis «comme un coup de tonnerre dans un ciel serein». C’était le matin de ce même jour où, dans la soirée, un éclair kilométrique avec un incroyable fracas frappa la pointe de la coupole de Saint-Pierre posée sur la tombe du Prince des Apôtres. Rarement le cosmos a accompagné de manière plus dramatique un tournant historique. Mais le matin de ce 11 Février, le doyen du Collège des cardinaux Angelo Sodano conclut sa réponse à la déclaration de Benoît XVI avec une première et tout aussi cosmique évaluation du pontificat, quand enfin il dit:
«Bien sûr, les étoiles dans le ciel continueront toujours à briller, tout comme brillera toujours au milieu de nous l’étoile de Votre pontificat». »
(Benoit-et-moi.fr)

Le chiffre de la Vierge Marie, le 13 (en référence aux apparitions de Fatima en 1917, à chaque 13 du mois pendant 6 mois), nous permet d’identifier un moment clé.

La montée sur le trône de Saint-Pierre de l’abomination de la désolation le 13 mars 2013.
Bergoglio entrera dans sa 11ème année de pontificat en 2024.

Le triomphe attendu de la mafia de St-Gaal qui l’a fait élire (raté en 2005, réussi en 2013) est la finale du synode des synodes en 2024.

À l’image de Jean XXIII qui n’a pas vu son triomphe Vatican II, il ne serait pas surprenant que le Ciel intervienne et que Bergoglio ne voit pas la fin de cette contre-église qui s’installe, de son « Vatican III ».

Avec le recul, il est temps de faire une mise au point des prophéties de l’Église concernant Benoît XVI et François.
Benoît XVI :

« Deux frères et personne ne sera le vrai Père. La Mère sera veuve.
Les frères d'Orient et d'Occident se tueront et dans l'assaut tueront leurs enfants.
Alors le saint aux pieds nus descendra du mont et, devant la tombe du va-nu-pieds, éclatera le règne béni de la Très Sainte Vierge.
Écoutez ses paroles.
Marie Très Sainte, fille et mère de Dieu, maîtresse du temps futur, bats le rappel de tes fils dans les campagnes, pour qu'ils abattent les deux Babylone.
Et que la Mère soit Une, comme toi tu es unique.
La terre détruira le ciment et de terre sera, Reine, ta nouvelle Église. Et sur la terre de blé, pour la faim de tes peuples, fleur sur son nouvel autel. Amen. »

Avec la démission de Benoît XVI, nous avons bien eu deux frères ou deux papes en même temps, un légitime, l’autre l’imposteur… pour ceux qui peuvent voir.

Mais la Mère, l’Église, s’est retrouvée veuve.

Nous avions là le début de l’ère du destructeur de l’Église prophétisé par Anne Catherine Emmerich.

Ce n’était pas évident, le soir du 13 mars 2013, lorsque tous les médias décrivait ce pape comme la copie moderne de Saint-François D’Assise, le défendeur des pauvres, qui comme eux refusera les appartements pontificaux et tout ce qui est lié au décorum de la fonction papale.

« Bonsoir » a été le premier mot prononcé, et « prier pour moi ».

Rien n’annonçait pour les simples et pauvres catholiques ce qui s’en venait pour les prochaines années.

Au décès de Benoît XVI le 31 décembre 2022, nous l’avons vu dans les analyses, les vannes ont été relâchées. Plus rien ne peut arrêter la mise en place de la contre-église.

On efface l’héritage de Benoît XVI, héritage d’ailleurs qui est complètement inversé avec les nouvelles nominations dans les postes clés de la protection de la Foi, et du culte divin.

Nous nous attendions à un geste éclatant de la Vierge Marie lors des funérailles de Benoît XVI en accord avec la prophétie.

Il n’y a rien eu.

Mais, en y regardant de plus près…

Et si cela avait eu lieu en ce 11 février 2013…

Ce coup de tonnerre chez les cardinaux énoncé par le Cardinal Sodano ci-haut, reflété par l’éclair sur le dôme du Vatican (voir photo officielle).

Noté qu’il y a qu’une photo de l’éclair qui est parue dans les médias, mais ce soir là, c’était un déchaînement de coups tonnerre et d’éclairs qui avait lieu sur le Vatican.

«… devant la tombe du va-nu-pieds, éclatera le règne béni de la Très Sainte Vierge.
Écoutez ses paroles. »

Le va-nu-pieds et le Saint aux pieds nus, Jean-Paul II et Benoît XVI liés (voir analyses précédentes et de l’Église) ce soir là débute le règne béni de la Très Sainte Vierge.

Notez dans le calendrier de la fin des temps (voir analyses précédentes) que ce règne débute tout d’abord par la chute de Babylone et la mort de l’Antéchrist.

Avec le recul, quand a-t-on eu le signe du début de la fin pour l’Église et pour cette société identifié au « wokisme »?

En mars 2013.

Et qu’est-ce que la prophétie nous annonce en mentionnant « écoutez ses paroles »?

La destruction du ciment, de tout ce qui est la vérité de ce bas monde, ancré solidement dans les esprits, pour être éventuellement remplacé par la simplicité de la terre, tel que créée par le Père.

C’est une phase, la dernière phase de la fin des temps.

Et cette phase est sur le point de se terminer.

La prophétie concernant François spécifie bien :

« Ton règne sera grand et bref. Père, il sera bref mais il te mènera loin, dans la lointaine terre où tu es né et où tu seras enseveli.
A Rome ils ne voudront pas te donner. »

On a toujours pensé dans les analyses que cela concernant le décès de Bergoglio (qui a exprimé le désir d’être inhumé à Rome et non dans sa terre natale en Argentine).

Alors…?

Or…

Règne grand : destruction de l’Église, instauration de la contre-église.

Règne bref : 11 ans, le triomphe de la mafia maçonnique.

2024 : voyage en Argentine possible pour Bergoglio, qui ne verrait probablement pas la fin de son synode, et décéderait lors de ce voyage en terre natale.

À Rome ils ne voudront pas te donner :

Évidement!

C’est le grand architecte désigné par la mafia de St-Gaal pour mener à terme le monstrueux synode des synodes en octobre 2024.

Notez selon la prophétie, qu’à sa mort « Mikail et Jean descendront sur terre. »

C’est le début officiel du 7ème sceau de l’Apocalypse (voir l’entrée dans la période du 7ème sceau, analyse du 12 juillet 2023).

5 septembre

JEAN XXIV

Dans l’avion au retour de Mongolie, Bergoglio est encore intervenu sur son souhait de voir Jean XXIV comme son successeur, afin de terminer le travail de Vatican II… Une petite blague?

Pas nécessairement puisqu’il l’avait fait en octobre 2021 (voir analyses précédentes: « La presse nous informe qu’il y a quelques jours, le pape François a répondu en ces termes à l’invitation de l’évêque de Raguse à visiter son diocèse en 2025 : « Le Saint-Père a souri, hoché la tête, et a dit en plaisantant qu’en 2025, ce sera Jean XXIV qui fera cette visite ». »
(benoit-et-moi.fr))

En prononçant volontairement le nom de Jean XXIV, Bergoglio confirme ainsi qu’un décompte a bel et bien commencé avec Jean XXIII et Vatican II, et qu’il s’achèvera avec lui et son infâme synode.

Et il a ajouté ce fait très important en précisant qu’il faut faire la différence entre idéologies et la doctrine.

C’est très malin. Surtout dans le contexte actuel avec la Tradition.

Il fait ainsi comprendre que la doctrine traditionnelle, le retour en arrière, ce qu’a défendu bec et ongles Benoît XVI, est de l’idéologie.

«Souvent, des idéologies sont introduites dans l’Église. Elles la coupent de la vie qui vient de la racine et qui monte vers le haut. Ces idéologies détachent l’Église de l’influence de l’Esprit Saint. »

… Dans l’Église aussi, nous devons faire la distinction entre doctrine et idéologie : la vraie doctrine n’est jamais idéologique, jamais ; elle est enracinée dans le peuple saint et fidèle de Dieu ; au contraire, l’idéologie est détachée de la réalité, détachée du peuple…»

Ainsi, ses idées à lui relèvent de la doctrine, et celles qu’il rejette, sont de l’idéologie.

C’est un beau tout de passe passe digne du maître de l’inversion.

Que ceux qui ont des oreilles pour entendre comprennent.

«Si vous allez à la racine de ces idées, vous trouverez des idéologies. Toujours, quand, dans l’Église, on veut se détacher du chemin de la communion, ce qui apparaît toujours, c’est l’idéologie. Et l’on accuse l’Église de ceci ou de cela… Mais on ne l’accuse jamais de ce qui est vrai : elle est pécheresse ! Jamais ces gens ne disent le péché… Ils défendent une ’doctrine’, qui est comme l’eau distillée, qui n’a de goût pour rien et qui n’est pas la vraie doctrine catholique qui se trouve dans le Credo.»

Donc l’Église, la Tradition, est pécheresse, et donc elle se trompe, transformant ainsi sa doctrine en idéologie.

ET il ose mentionner comme référence le Credo alors qu’il le brime à chaque jour.

Quant du synode des synodes, il précise que « dans le Synode, il n’y a pas de place pour l’idéologie, c’est une autre dynamique. Le Synode est un dialogue, entre les baptisés, entre les membres de l’Église, sur la vie de l’Église, sur le dialogue avec le monde, sur les problèmes qui affectent l’humanité aujourd’hui. Si l’on pense à prendre un chemin idéologique, le Synode s’arrête. Dans le Synode, il n’y a pas de place pour l’idéologie, il y a de la place pour le dialogue en se confrontant entre frères et sœurs, et en se confrontant la doctrine de l’Église.»

Et les débats seront secrets… pas pour le peuple… alors qu’il nous met devant le fait depuis des années que l’Esprit-Saint parle à partir du peuple, qu’il veut établir une pyramide inversée pour le futur de l’église.

« Et pour garantir la «religiosité et la liberté de parole» des personnes qui s’exprimeront lors du synode, François a annoncé que les débats seront «secrets» et que seul le ministère pour la communication sera habilité à écrire «des rapports sur les progrès du synode» sous forme de «communiqués de presse».

Bref, le peuple n’aura que les miettes qu’on veut bien leur jeter.

De plus, il confirme encore une fois qu’il procédera avec son encyclique Laudato Si II le 4 octobre, fête de Saint-François… pile pour l’ouverture du synode des synodes.

Bergoglio pense susciter de l’engouement pour son synode en ramenant Jean XXIV sur le tapis…

Mais il oublie que Dieu a bien souvent d’autres plans.

Jean XXIII avait ouvert Vatican II…

Et n’a pas vu la fin.

Tout comme Bergoglio pourrait ne pas voir la fin de son synode version octobre 2024 si la prophétie le concernant suggére qu’il mourrait lors de son voyage en terre natale, en Argentine, s’il confirme toujours ce voyage prochainement.

Août 2023

28 août

LE FAUX PROPHÈTE: FILS DU PRINCE DU MENSONGE

Un article intéressant de Lifesitenews.com qui nous démontre encore une fois la « langue fourchue » de Bergoglio, qui affirme une chose sans donner tous les détails afin de tromper la brebis perdue.

« RUPTURE : Le pape François semble rejeter l’idée selon laquelle les homosexuels sont appelés à la chasteté.

Les commentaires du pape aux jésuites portugais faisaient écho à de telles occasions antérieures, dans la mesure où il refusait de prononcer une doctrine catholique sur des questions claires et morales. »

Les discussions avec les jésuites à Lisbonne lors des journées mondiales de la jeunesse ont été publiées.

1er thème: l’homosexualité et la chasteté prônée par l’église:

« Le pontife argentin a critiqué ce qu’il a appelé l’examen des « péchés en dessous de la taille » ou des « péchés de la chair » avec une « loupe ».

Au lieu de cela, il a semblé minimiser l’appel universel à la chasteté, arguant que « l’attitude pastorale la plus appropriée pour chaque personne doit être appliquée ».

Nous ne devons pas être superficiels et naïfs, en forçant les gens à adopter des choses et des comportements pour lesquels ils ne sont pas encore mûrs ou dont ils ne sont pas capables. Il faut beaucoup de sensibilité et de créativité pour accompagner les gens spirituellement et pastoralement. Mais tout le monde, tout le monde, tout le monde est appelé à vivre dans l’Église : ne l’oubliez jamais. »…

Évidement, tout le monde est appelé à joindre l’Église.

Mais il ne mentionne jamais le besoin de conversion qui accompagne le péché car pour lui c’est la miséricorde infinie, sans justice.

2ème thème: Catholiques américains « réactionnaires » et « indietristes »

« Le pape François n’est pas étranger aux critiques hâtives des catholiques américains, et cela a été souligné par de nombreux commentateurs comme une particularité de son pontificat. S’adressant à ses confrères jésuites à Lisbonne, il a décrit et critiqué une « attitude réactionnaire très forte » aux États-Unis.

« Je voudrais rappeler à ces gens que l’indietrismo (être tourné vers le passé) est inutile », a déclaré François, « et nous devons comprendre qu’il y a une évolution appropriée dans la compréhension des questions de foi et de morale tant que nous suivons la trois critères qu’indiquait déjà Vincent de Lérins au Ve siècle : la doctrine évolue ut annis consolidetur, dilatetur tempore, sublimetur aetate [c’est-à-dire se consolidant avec les années, se développant avec le temps, s’approfondissant avec l’âge].

« La doctrine progresse, s’étend et se consolide avec le temps et devient plus ferme, mais elle progresse toujours », a soutenu le pontife. « Le changement se développe depuis la racine vers le haut, en se développant selon ces trois critères. »

Citant un exemple de sa perception d’une évolution de la « doctrine », François a soutenu que « la peine de mort est un péché. Vous ne pouvez pas l’utiliser, mais ce n’était pas le cas auparavant. Une telle affirmation est en contradiction avec des siècles d’enseignement catholique et avec les paroles de l’Écriture.

Dans son attaque voilée contre la messe traditionnelle et ses fidèles, François a expliqué que « les indiétristes… forment quelque chose de fermé, déconnecté des racines de l’Église et vous perdez la sève de la révélation ».

Il a soutenu que ces personnes promeuvent une Église alternative : « l’idéologie remplace la foi, l’appartenance à un secteur de l’Église remplace l’appartenance à l’Église ». »

Comme il l’a fait en Hongrie devant les jésuites (« le soutien incroyable au restaurationnisme » est une « maladie nostalgique ».), Bergoglio cite encore Saint Vincent de Lérins, et portant fièrement le chapeau de « faux prophète » de l’Apocalypse, il divise au lieu de rassembler, il égare au lieu de ramener la brebis à la bergerie, il manipule les mots avec sa langue fourchue pour empoisonner l’âme, provoquer le schisme en faisant croire qu’il est le chef de la nouvelle église moderniste, et que tous, doivent être inclus au banquet comme l’a dit Jésus.

Voici les paroles exactes de Saint Vincent de Lérins (extrait de Lifesitenews):

« Cependant, saint Vincent de Lérins n’a pas plaidé pour un rejet de l’enseignement de l’Église – malgré la manière dont ses paroles sont couramment utilisées aujourd’hui. Il a plutôt déclaré que, à mesure que le corps physique d’un individu grandit conformément au plan ordonné par Dieu, tout développement de la doctrine de l’Église doit suivre la même loi du progrès.

Le saint a écrit qu’un tel processus devrait « être consolidé par les années, élargi par le temps, affiné par l’âge, et pourtant, en même temps, continuer sans corruption et sans mélange, complet et parfait dans toutes les mesures de ses parties, et, pour ainsi dire, dans tous ses membres et sens propres, n’admettant aucun changement, aucun gaspillage de sa propriété distinctive, aucune variation dans ses limites.

Saint Vincent était en fait très clair dans son opposition à une doctrine nouvelle qui n’avait aucun fondement dans la Tradition de l’Église. Dans les cas où la confusion règne au sein de l’Église, du fait qu’une partie s’est « coupée de la communion de la foi universelle », saint Vincent présente un enseignement clair sur la réponse catholique :

Et si une nouvelle contagion cherchait à infecter non seulement une partie insignifiante de l’Église, mais l’ensemble ? Il lui appartiendra alors de s’attacher à l’Antiquité, qui, à l’heure actuelle, ne peut être séduite par aucune fraude de nouveauté. »

Voilà.

L’obession de Bergoglio pour la messe traditionnelle, pour son non retour en arrière, etc… est contredit par le Saint qu’il cite parce qu’il veut orienter selon son programme, sa marche vers le synode où tous seront inclus.

Quelqu’un qui cache volontairement des passages de la vérité est un menteur, un menteur qui mène les âmes au précipice.

Il est le chef de la contre-Église vouée à Satan, qui à l'image de la crise d'identité du genre qui inonde ce monde immonde, est son pendant spirituel.

Il y a bien deux Babylone comme prophétisé par Jean XXIII.

« Viganò fustige le Secrétariat des Communications du Vatican pour avoir présenté Jésus comme « un malade, un prisonnier de la rigidité »
Par : Carlo Maria Vigano

Les paroles de Spadaro [extraites de son article « Les graines de la révolution : Jésus loue la grande foi de la femme païenne », NOTE: voir post du 23 août sur le Grand Réveil sur la « rigidité » de Jésus ] sont comme une flaque d’eaux usées contenant l’écume du pire modernisme qui tourmente l’Église depuis plus d’un siècle.

C’est le modernisme qui n’a jamais été définitivement éradiqué des séminaires et des universités soi-disant catholiques, auquel une secte d’hérétiques et d’égarés a érigé le totem du Concile Vatican II à la place de deux mille ans de Tradition. Il y a quelque temps encore, cette « synthèse de toutes les hérésies » essayait de se rendre présentable en ne manifestant pas son caractère antichristique, qui lui était pourtant consubstantiel : il risquait encore qu’un prélat vaguement conservateur et pas encore pleinement engagé dans la cause ne se rende compte son danger intrinsèque.

Bien entendu, la divinité du Christ était considérée comme un simple vœu pieux découlant du besoin de sacré de la « communauté primitive ». Ses miracles étaient réduits à des exagérations, ses paroles à des métaphores ; en revanche, « il n’y avait pas d’enregistreurs », a déclaré Arturo Sosa, supérieur général de la Société de Satan. Aujourd’hui, protégés par un jésuite qui, en violation de la Règle de saint Ignace, occupe le Siège de Pierre, les pires adeptes de cette secte se sentent libres de laisser libre cours à leurs divagations et arrivent, dans un délire infernal, au point de blasphémer Jésus-Christ, qui a déjà fait l’objet d’épithètes inquiétantes de la part de Bergoglio. « Jésus est devenu un serpent, il est devenu un diable », a déclaré l’Argentin il y a quelque temps.

Il trouve son écho chez Spadaro, qui, avec l’arrogance de celui qui se croit impuni, ose définir Notre Seigneur comme « un malade, prisonnier de la rigidité et des éléments théologiques, politiques et culturels dominants de son temps » ; « indifférent à la souffrance, colérique et insensible ; incassablement dur; un théologien impitoyable ; moqueur et irrespectueux; aveuglé par le nationalisme et le rigorisme théologique. Il est inutile d’expliquer à ces esprits embrouillés ce que les Saints Pères ont enseigné à propos du passage évangélique de la femme cananéenne : ils ont intérêt à maintenir l’idole de Vatican II bien haut sur son piédestal ; et peu leur importe si, pour défendre leurs erreurs, ils doivent piétiner le Fils de Dieu, l’offenser et le blasphémer comme n’avaient pas osé le faire même les pires hérésiarques du passé.

L’article de Spadaro n’est pas une simple provocation – quelque chose d’inédit en soi – mais la manifestation, l’épiphanie, comme dirait un « théologien » de Santa Marta, d’une contre-Église avec ses faux dogmes, ses préceptes mensongers, sa prédication trompeuse, ses ministres corrompus et corrupteurs. Une contre-Église prosternée devant l’Antéchrist, devant tout ce qui représente le déni et le défi de la Seigneurie de Dieu sur l’homme. Fierté. Fierté luciférienne. Une fierté qui ne connaît ni limites ni freins. La secte qui éclipse l’Église du Christ ne se cache plus : elle se montre et prétend remplacer définitivement la véritable Église, elle montre ses idoles et exige qu’elles soient adorées, au prix de nier le Sauveur lui-même, de réfuter sa divinité, de juger son actions, contestant ses paroles.

Mais si les simples ont déjà compris que le prix de ce ὕβρις est νέμεσις, presque tous les pasteurs – cardinaux, évêques et prêtres – se retournent et détournent le regard. Ils savent bien que leur lâcheté, leur conformisme et leur désir de ne pas paraître rétrogrades les ont rendus co-responsables de cette révolution infernale, qu’ils auraient pu arrêter en son temps ; mais comme depuis soixante ans ils ont adhéré eux aussi au culte du Concile, ils préfèrent continuer sur le chemin entrepris vers la ruine de l’Église et des âmes, plutôt que de s’arrêter et de revenir au point où ils ont dévié le chemin. Ainsi, ils finissent par préférer le triomphe des méchants – et avec lui la diffamation blasphématoire de Jésus-Christ – à l’humble aveu de leurs torts. Ils préfèrent laisser dire que Notre Seigneur avait tort, « aveuglé par la rigueur théologique, » plutôt que de reconnaître qu’ils sont eux-mêmes emprisonnés dans les erreurs et les hérésies du modernisme. La mesure est pleine, et le moment est venu de choisir de quel côté nous nous trouvons. Soit avec Bergoglio et Spadaro, avec le Synode sur la Synodalité, avec une Église humaine et contrefaite asservie au Nouvel Ordre Mondial, soit avec Dieu, son Église et ses saints. Et à y regarder de plus près, il est déjà inouï d’émettre l’hypothèse que des catholiques – je ne parle pas des prêtres ou des prélats – puissent considérer qu’il est possible d’avoir le choix.

+ Carlo Maria Viganò, Archevêque
27 août 2023
Dimanche 13 après la Pentecôte »

25 août

LE DESTRUCTEUR DE L’ÉGLISE

« Il y aura très peu de chrétiens qui obéiront au véritable Souverain Pontife et à l’Église catholique romaine avec un cœur loyal et une parfaite charité. Au moment de cette tribulation, un homme, non élu canoniquement, sera élevé à la papauté, lequel, par ruse, s’efforcera d’entraîner beaucoup de monde dans l’erreur et dans la mort… en ces jours-là, Notre Seigneur Jésus-Christ leur enverra non pas un vrai Pasteur, mais un destructeur. » (Saint-François D’Assise)

« Où croyez-vous fuir, maintenant que vous avez détruit les Églises et tué le dernier Père ? » (prophétie #11 concernant l'Église de Jean XXIII)

« Et si ces jours n’étaient abrégés, nul n’échapperait ; mais, à cause des élus, ces jours seront abrégés. » (NSJC)

On ne peut se tromper.

C’est là la limite pour l’intervention de NSJC, afin de sauver le petit reste en cette fin des temps.

En plein processus du synode des synodes et sur ce qui se passe maintenant dans le monde catholique, on peut réellement se demander quelle atrocité ou geste de l’église conciliaire allumera l’étincelle?

Mais comme l’idiot qui regarde le doigt et non la lune que pointe le sage, ce n’est pas l’église conciliaire qu’il faut regarder, car comme l’affirme Mgr Vigano dans sa dernière intervention, c’est elle qui se sépare du cep et non le contraire.

Et de ce côté, Bergoglio a été très clair avec Traditionis Custodes, et sa haine dévoilée à ce moment là envers l’Église véritable… et bien-sûr avec lui, il n’y aura aucun retour en arrière.

Il semble donc que ce qui sortira du synode est inimaginable, bien au delà des anticipations.

La tradition doit recevoir toute notre attention car elle est les « deux témoins » de l’Apocalypse.

Et on sait que les « deux témoins » seront mis à mort.

On peut facilement anticiper que la mort des « deux témoins » sera beaucoup plus qu’un isolement quelconque des traditionalistes.

Le regretté S. Monast dans ses analyses avait laisser entendre que les traditionalistes grâce au subterfuge de l’inversion, seraient traités comme des terroristes et que les églises seraient fermées.

Pie X dans ses visions a vu les russes à Gênes et le pape marché sur les cadavres de ses prêtres.

Malachi Martin a affirmé que si l’église révélait le 3ème secret de Fatima que les églises seraient pleines à craquer… ce qui n’est pas le cas avec la pseudo révélation du secret par l’église en 2000.

La tradition est ce germe qui menace l’établissement de cette nouvelle église et le succès de Satan. Bergoglio le sait. Son comportement le prouve depuis plus de 10 ans.

L’ex-communion de la FSSPX en 1988 n’a pas empêché le petit reste de disparaître.

Donc, la suite du synode sera plus qu’une ex-communion des traditionalistes.

Présentement nous assistons à une renaissance de l’Église traditionnelle, qui attire beaucoup de jeunes, et cela, Satan ne peut laisser continuer.

Alors, il utilise son faux témoin pour séduire par l’ambiguïté et l’inversion, en destructeur :

Bergoglio leur donne une religion anti-chrétienne (derniers JMJ au début du mois à Lisbonne):

« Même s’il était vrai que la présence de tous ces jeunes a démontré qu’un nouveau monde est possible – comme l’a dit François -, nous ne savons pas pour quel nouveau monde ces jeunes s’engageront.

La probabilité qu’ils s’engagent dans un monde anti-chrétien, sans le savoir et en pensant faire le contraire, est très élevée. » (benoit-et-moi.fr)

Mais cela, c’est du moyen long terme, et nous savons selon les analyses et les événements que nous sommes sur un calendrier court : avant le mois des deux lunes de Marie, Mai 2026 pour le retour de l’Iris de Paix (prophétie de Don Bosco).

Ce n’est ni Traditionis Custodes ou son complément à venir (car Bergoglio prépare des compléments, le prochain à sortir: «J’écris une deuxième partie à l’encyclique Laudato si’» affirme le Pape François » (vaticannews.va) qui engendrera une séparation entre l’Église traditionnelle et l’église conciliaire suite au synode, ni une nouvelle messe oecuménique, ni une nouvelle religion humaniste car elle s’appliquerait à long terme.

Il semble que l’élément déclencheur sera la fermeture pure et simple des églises qui ne se conformeront pas à la nouvelle doctrine bergoglienne, et la persécution des prêtres et religieuses par la « gestapo du Vatican ».

En fait, le synode se présente déjà comme une ultime destruction du peu de catholicisme qui reste à Rome.

Même les non-catholiques perçoivent cette transmutation de l’église aux valeurs du mondialisme.

Ce qui va émerger du synode, ce n’est plus l’Église catholique, mais autre chose, une aberration nommée provisoirement  « Église synodale » avec de nouvelles bases dogmatiques, de doctrine, de liturgie.

ET AINSI DE DIEU!

Il va y avoir un énorme schisme avec un éclatement de l’église en plusieurs structures comme anticipé par le regretté S. Monast.
C’est en cela qu’on peut parler de « mort des témoins » car à cet instant précis (du grand schisme) personne ne pourra revendiquer être l’Église, personne n’en aura le droit ni la légitimité.

Et, on en a déjà un avant goût:

Le premier élément de l’équation: il est dit que Bergoglio veut être reconnu comme celui qui a fait cette « grande réinitialisation » synodienne.

Comme un roi. Il est donc pressé vu son âge et son état de santé.

Comme autre preuve, le consistoire de septembre. Normalement, des réunions précèdent un consistoire. Pas cette fois.
« Le consistoire d’un pape pressé » (benoit-et-moi.fr)

Mgr Vigano a fondé un site pour faire des dons pour les prêtres de la tradition qui ont été expulsés, qui se retrouvent sans ressources et sans logis, parce que Bergoglio et sa gestapo procèdent à une chasse aux sorcières.

Des ordres contemplatifs masculins et féminins sont dissous afin de priver le monde des prières qui maintiennent une certaine cohésion spirituelle sur cette planète.

Le but de Satan est donc de les faire disparaître car elles sont un obstacle majeur:

« Les abus de pouvoir répétés de ceux qui détiennent l’autorité ecclésiastique à l’égard des communautés religieuses – en particulier celles des femmes et des contemplatifs – font partie d’un plan subversif mené par des prélats corrompus et hérétiques, visant à priver l’Église des grâces que les âmes consacrées descendent dessus. Au-delà des excuses trompeuses qui caractérisent les cas individuels, le fil conducteur qui unit l’expulsion des bénédictins de leur monastère de Pienza aux dominicains de Fognano ou de Marradi et aux carmélites d’Arlington émerge avec toute évidence : d’un côté, la fureur idéologique du Département vatican des religieux, dirigé par un ultra-moderniste préfet et un secrétaire corrompu et impitoyable, tous deux protégés par Bergoglio; d’autre part, les intérêts immédiats -principalement de nature financière- du Saint-Siège lui-même et des Ordinaires locaux. » (Mgr Viganò en soutien aux carmélites d’Arlington)

Bergoglio persécute les évêques qui s’élèvent contre lui. Le dernier en liste Mgr Strickland au Texas ( qui a reçu l’heureuse visite surprise de la gestapo vaticane): « Les fidèles catholiques implorent le pape François de ne pas renvoyer l’évêque Strickland » (lifesitenews.com)

« Formidable analyse d’Andrea Gagliarducci, qui donne corps à ce nous avons évoqué précédemment sur L’Eglise à la veille. Nous voyons un peu mieux que nous sommes à la veille de quelque chose d’important, de grave, mais nous ne savons pas quoi. En tout cas, c’est la fin d’un monde. Ce que l’auteur résume parfaitement dans sa conclusion:

… peut-être que le mur de Berlin est tombé et que nous parlons tous de quelque chose qui n’existe plus. En réalité, à présent, les analyses du Vatican ne peuvent plus utiliser les anciennes catégories parce que le pape François ne les utilise pas. Le problème, cependant, c’est qu’il n’y a pas de nouvelles catégories. Tout est incertain. » (benoit-et-moi.fr)

Le regretté Serge Monast avait quand même vu juste dans ses écrits sur les étapes à venir:

«
– La fuite forcée de Jean-Paul II du Vatican (on sait que c’est Benoît XVI).
– La prise du pouvoir, au Vatican, par l’antipape.
– La naissance de la nouvelle église internationale avec la falsification de toutes les doctrines religieuses chrétiennes.
– L’instauration des persécutions internationales basées sur la nouvelle doctrine de la nouvelle église internationale.
– La soumission de toutes les églises à l’Antéchrist (notons que cette soumission surviendra uniquement après le travail accompli par le « faux témoin ». La prise du pouvoir politique et militaire par l’Antéchrist sous la conduite des Nations-Unies (notons, ici, que le premier pouvoir étant situé au-dessus du politique et du militaire, est un pouvoir religieux).
– Les cinq et uniques pouvoirs de l’Antéchrist sur l’humanité.
– La survivance de la chrétienté renouvelée sous le règne de l’Antéchrist.
– La chute de l’Antéchrist, et le démantèlement de son royaume. »

On peut faire le rapprochement entre le synode et la soumission de toutes les églises à l’Antéchrist.

Anne Catherine Emmerich dans sa prophétie concernant le destructeur de l’Église affirmait qu’il ne resterait que l’autel à la fin.

Peut-être est-ce l’autel de notre coeur suite à la résurrection des deux témoins?

La conclusion de ce synode sera effroyable pour l’Église.

C'est sa Passion, sa Mort et sa Résurrection.

Mais Marie protège l’Église traditionnelle.

« Marie se tenait debout sur l'Église du côté du Nord et étendait son manteau pour la protéger. C'était seulement le pavé (les fondations) et la partie postérieure de l'Église (le chœur et l'autel), tout le reste avait été démoli par la secte et par les serviteurs de l'Église eux-mêmes. »

« Quand même il ne resterait qu'un seul chrétien catholique, l'Église pourrait triompher de nouveau, car elle n'a pas son fondement dans l'intelligence et les conseils des hommes. » (Anne Catherine Emmerich)

La puissance du destructeur augmentera en ce 4 octobre 2023 avec l’ouverture de la première partie du synode des synodes.

Notre Foi doit être forte et immuable alors que tout s’écroule autour de soi, une nécessité selon les paroles de NSJC : les guerres doivent avoir lieu ainsi que la persécution afin de générer une soif intense pour la Vérité chez les tièdes. Ils demanderont la voie lorsque les écailles sur leur yeux tomberont. Ils ne seront pas beaucoup, mais ils auront besoins de ses fidèles laïcs et religieux, les « deux témoins » de l’Apocalypse qui seront ressuscités pour les guider et guérir leurs blessures.

Voici une autre preuve donner en ce dimanche 20 août par le destructeur Bergoglio lui-même.

Pour préparer les esprits à la nouvelle église, à la « conversion » TOTALE de l’église à un autre Dieu :

« Hier dimanche, lors de l’Angélus sur la place Saint-Pierre, le pape François a interprété l’évangile du jour, Mt 15,21-28 [1]. A cette occasion, le chef de l’Église est revenu sur un de ses thèmes favoris : la rigidité. Il lui a opposé le fait que Jésus avait « changé » et n’était pas resté figé sur ses positions…. « Le changement de Jésus. Il adressait sa prédication au peuple élu ; mais ensuite, l’Esprit Saint a poussé l’Église jusqu’au bout du monde. Mais ici s’accomplit, pourrait-on dire, une anticipation, de sorte que l’universalité de l’action de Dieu se manifeste déjà dans l’histoire de la femme cananéenne. Cette disposition de Jésus est intéressante : face à la demande de la femme, il « anticipe les plans », il devient encore plus indulgent et compatissant face à son cas concret. Dieu est ainsi : il est amour, et celui qui aime ne reste pas figé. Oui, il reste ferme, mais pas figé. Il ne reste pas figé sur ses propres positions, mais se laisse bouger et émouvoir ; il sait changer ses programmes.
L’amour est créatif, et nous, les chrétiens, sommes appelés à être prêts à changer si nous voulons imiter le Christ. Que de bien il fait dans nos relations, mais cela vaut aussi pour la vie de foi : être doux, écouter vraiment, être touché au nom de la compassion et du bien-être des autres, comme Jésus l’a fait avec la Cananéenne. La douceur pour changer. La douceur de cœur pour changer.

(…)

Par exemple, en partant du changement opéré par Jésus : suis-je capable de changer d’avis ? Est-ce que je peux être compréhensif et compatissant, ou est-ce que je reste rigide dans mes positions ? Y a-t-il de la rigidité dans mon cœur ? Ce qui n’est pas la fermeté : la rigidité est mauvaise, la fermeté est bonne ».(benoit-et-moi.fr)

Jamais, au grand jamais, l’Église n’a aussi été en péril depuis sa fondation par NSJC.

À cause de la grande apostasie, qui empêche l’Esprit-Saint d’atteindre les cœurs comme Il l’avait fait au temps des premiers chrétiens.

Ainsi, les messages essentiels du Nouveau Testament, Paroles de Dieu, peuvent être déformées afin de mener au précipice ceux, peu nombreux, qui cherchent encore la Vérité.

« … C’est ainsi que l’Évangile nous est expliqué dans la nouvelle version jésuite, corrigée: Jésus reste d’abord « indifférent » ; puis il répond de manière « irritée et insensible » ; « il répond de manière moqueuse et irrespectueuse » ; il prétend « être théologien » ; il refuse la miséricorde ; c’est une « chute de ton, de style d’humanité » ; Jésus apparaît comme « aveuglé par le rigorisme et le nationalisme théologique ». Mais les paroles de la femme « bouleversent la rigidité de Jésus », elles le convertissent. Jésus apparaît « guéri » : « libéré de la rigidité des éléments théologiques, politiques et culturels de son temps ».

Selon la version des Jésuites, Jésus serait donc un « indietriste« qui convertit et est miraculeusement guéri par la femme païenne. Une image plastique de ce que nous vivons aujourd’hui : des catholiques encore tenaillés par la doctrine et le catéchisme, nationalistes, théologiens, bigots et jugeurs, incapables de se mettre à jour, malades d’indietrisme et de rigorisme, qui ont besoin de se convertir et de se guérir en écoutant la païenne, en écoutant les athées, les distants, les anticléricaux qui font de belles batailles, en un mot, en écoutant et en suivant le monde. C’est – pour le jésuite – le début d’une révolution.

Dans ses sermons, saint Augustin affirme :

« Le Christ s’est montré indifférent à son égard, non pour lui refuser sa miséricorde, mais pour allumer son désir » .
Personnellement, je trouve que la première lecture de ce dimanche, tirée du prophète Isaïe, éclaire le passage de l’Évangile : Dieu offre la possibilité d’accéder aux promesses faites à Israël à tous ceux qui se convertissent à Lui. À ceux qui sont prêts à l’adorer, à changer de vie et à respecter ses commandements. La conversion est donc une condition sine qua non pour bénéficier pleinement de la miséricorde et des grâces réservées par Dieu aux hommes qui, dans leur liberté, peuvent rejeter la conversion et la grâce.

L’idée que c’est Jésus qui doit se convertir semble quelque peu exagérée et dictée – comme l’a dit un prêtre – par une forme de « miséricordieusement correct ». Un besoin d’utiliser l’Évangile pour pousser à une conversion au monde qui trahit une passion malsaine pour ce qui est loin de Dieu et de ses commandements. » (benoit-et-moi.fr)

Préparer les esprits, c’est à dire à séparer déjà les deux camps, la mort de l’église telle qu’on l’a connu.

Pourquoi Bergoglio avait-il besoin d’une deuxième séance du synode en 2024?

Les derniers cardinaux nécessaires à son projet seront en place en septembre prochain.

Ils seront alors 137 cardinaux électeurs, soient 17 de plus que les 120 autorisés, et parmi eux, encore des conservateurs « rigides ».

Or, plusieurs atteindront l’âge de 80 ans dans l’année 2024, ramenant le nombre à 120, et tous acquis à Bergoglio en …. octobre 2024.

« CITÉ DU VATICAN ( LifeSiteNews ) –– L’éminent prélat américain Raymond Cardinal Burke a averti que la « synodalité » et le « synodal » sont devenus des « slogans » utilisés comme façade pour « changer radicalement la compréhension que l’Église a d’elle-même, en accord avec une idéologie contemporaine qui nie une grande partie de ce que l’Église a toujours enseigné et pratiqué…
Le cardinal a pris pour cible les interventions régulières du pape François sur la manière dont l’Église doit devenir « synodale », en déclarant :
On nous dit que l’Église que nous professons, en communion avec nos ancêtres dans la foi du temps des Apôtres, comme étant Une, Sainte, Catholique et Apostolique, doit maintenant être définie par la synodalité, un terme qui n’a pas d’histoire dans la doctrine de l’Église et pour laquelle il n’existe pas de définition raisonnable.

Il a dénoncé la « synodalité » comme étant une façade pour une « révolution » qui travaille à modifier « radicalement » l’Église catholique conformément à une « idéologie contemporaine » qui rejette une grande partie de l’enseignement de l’Église :

La synodalité et son adjectif synodal sont devenus des slogans derrière lesquels une révolution est à l’œuvre pour changer radicalement la compréhension que l’Église a d’elle-même, en accord avec une idéologie contemporaine qui nie une grande partie de ce que l’Église a toujours enseigné et pratiqué. Il ne s’agit pas d’une question purement théorique, car l’idéologie est déjà mise en pratique depuis quelques années dans l’Église d’Allemagne, répandant largement la confusion et l’erreur et leurs fruits, la division – voire le schisme – au grand préjudice de nombreuses âmes.

Les méfaits de la Voie synodale allemande, écrit Burke, sont susceptibles d’être constatés dans le Synode sur la synodalité, car « la même confusion, la même erreur et la même division s’abattent sur l’Église universelle » et ont « déjà commencé »… »

«Seuls les distraits peuvent penser que le prochain synode sur la synodalité en octobre 2023 et octobre 2024 ne perturbera pas l’Église. En réalité, ce synode représentera un tournant décisif : il peut changer le visage de l’Église, nous en donner un autre d’une nature différente sans que nous nous en rendions compte.

Ce ne sera pas un passage indolore parce que cette fois le synode ne traitera pas de tel ou tel sujet pastoral, mais il traitera de la synodalité, et comme aujourd’hui on prétend que la synodalité est une caractéristique essentielle de l’Église, le synode traitera de toute l’Église, comme s’il s’agissait d’un concile.

Il nous dira comment sortir d’un passé caractérisé

    • par un retard de deux cents ans sur le monde [selon le défunt cardinal Martini, ndt],
    • par une structure descendante et pyramidale qu’il faut renverser,
    • par un doctrinarisme et un indietrisme incapables de faire résonner la voix de l’Évangile dans l’histoire d’aujourd’hui,
    • par un enfermement sur soi sans capacité d’inclusion envers ceux qui sont différents,
    • par un manque de démocratie, d’écoute mutuelle, de capacité de choisir ensemble,
    • par un identitarisme exagéré alors que Dieu veut que toutes les religions existent,
    • par un moralisme trop rigide qui accorde peu d’importance aux circonstances dans lesquelles la conscience décide d’agir,
    • par la volonté de ne pas se limiter à éduquer les consciences mais de se substituer à elles,
    • par un manque d’ouverture à la nouveauté,
    • par un manque de miséricorde
    • et, surtout, par une incapacité à écouter ce que l’Esprit Saint nous demande aujourd’hui, un Esprit qui s’exprime dans le dialogue entre tous, fidèles et infidèles, catholiques et athées, et dans les événements et les défis de l’histoire.

C’est de tout cela que parlera le synode

Comme seuls les distraits peuvent se permettre de ne pas s’en préoccuper, TFP a très bien fait de publier un petit livre efficace et facile d’accès intitulé Processo sinodale: un Vaso di Pandora [Processus synodal : une boîte de Pandore], de Julio Loredo et José Antonio Ureta, qui fournit toutes les informations possibles sur le prochain synode en termes clairs et concis [*]. Afin que nous n’arrivions pas naïfs ou mal informés, ce sur quoi comptent beaucoup de ceux qui se consacrent au changement, sans « si » ni « mais ». La formule choisie est excellente : 100 questions et 100 réponses. Le fascicule sera envoyé par ses promoteurs à tous les cardinaux et évêques ainsi qu’à des milliers de prêtres. Un travail stimulant, digne et opportun.

Si nous reconsidérons ne serait-ce qu’un instant les quelques points énumérés ci-dessus, nous nous rendons compte que les changements dans l’Église pourraient faire l’effet d’une bombe.
  
• Le concept de Tradition est en grand danger,
    • il n’y aura plus de distinction entre l’Église enseignante et l’Église apprenante,
    • les décisions non seulement pastorales mais aussi doctrinales seront prises dans l’Église après un débat au sein de l’assemblée,
    • des synodes mixtes (c’est-à-dire composés de clercs et de laïcs, comme c’est déjà le cas pour ce synode où siègeront également des laïcs avec droit de vote) pourraient être établis pour gouverner l’Église aux côtés de l’évêque ou même du pape,
    • la morale catholique serait révisée en continuité avec les nouveautés d’Amoris laetitiae, dans le sens de l’intégration dans la vie de l’Eglise de l’homosexualisme, du transgendérisme, de la cohabitation hors mariage, de l’adultère,
    • sans compter que l’enseignement sur la contraception, d’irréformable qu’il est, serait considéré comme devant être mis à jour,
    • un nouvel œcuménisme de type syncrétiste serait ouvert, mais sans évangélisation – assimilée à un prosélytisme à éviter -,
    • les critères de l’Eglise seraient adaptés à ceux du monde, et la pastorale aurait la victoire définitive sur la doctrine.

La vie de l’Église pourrait devenir une question d’histoire, de processus, de temps… et avec le temps émergerait le nouveau souffle de l’Esprit auquel il faut s’ouvrir et se risquer, en évitant de fixer des limites à Dieu.

Le fascicule aborde toutes ces questions une à une. Tous les documents préparatoires – depuis le discours de François en 2015 à l’occasion de l’anniversaire de l’institution du Synode des évêques par Paul VI jusqu’à l’Instrumentum laboris préparé par le Secrétariat du Synode comme guide pour les travaux du Synode – ont été examinés et sont cités ici.

Des informations sont données sur la « répétition générale » de ce synode constitué par le Sinodaler Weg allemand.
Sans oublier le fait que seuls des hommes d’une certaine orientation ont été placés dans le comité directeur du synode et que les autres nominations ont été pilotées, ce qui est contesté ici, c’est la méthode suivie consistant à confier au processus synodal lui-même la tâche de clarifier ce que l’on entend par synodalité – laissant ainsi de côté les critères doctrinaux qui sont anticipés, certains et orientés.

D’un tel synode, tout peut sortir, comme d’une boîte de Pandore, image qui donne son titre à l’ouvrage.
À partir du 4 octobre prochain, nous entrerons comme dans un tunnel. On espère en sortir pour « revoir les étoiles ». Mais les prémisses sont très inquiétantes, notamment parce que, comme cela s’est déjà produit lors de récents synodes, on a l’impression que les conclusions sont déjà établies à l’avance. » (benoit-et-moi.fr)

17 août

« En cette période de grande crise dans l’Église catholique, cette prière nouvellement composée par Mgr Athanasius Schneider qui nous réaffirme à tous la nécessité pour Jésus-Christ et sa Sainte Église catholique et apostolique de régner en maître. sur le monde entier.

Prière

Dieu tout-puissant et éternel, Père, Fils et Saint-Esprit, nous nous agenouillons devant Votre Majesté et Vous remercions du fond de notre âme pour le don inestimable de la Foi catholique, que Vous avez daigné nous révéler par Jésus-Christ, Vrai Dieu et vrai homme. Nous avons reçu cette lumière divine dans le saint baptême et vous avons promis de garder cette foi inviolée jusqu’à la mort.

Augmentez en nous Votre don de la Foi Catholique. Par Votre grâce, puisse-t-elle être fortifiée et rendue inébranlable. Augmentez quotidiennement en nous la compréhension de la beauté et de la profondeur de la foi catholique, afin que nous puissions vivre dans la joie profonde de votre vérité divine et être prêts à tout sacrifier plutôt que de compromettre ou de trahir cette foi. Accordez-nous la grâce d’être résolus à subir mille morts pour un seul article du Credo.

Recevez gracieusement notre acte d’humble réparation pour tous les péchés commis contre la foi catholique par les laïcs et le clergé, en particulier par les membres du clergé de haut rang qui, contrairement à la promesse solennelle qu’ils ont faite lors de leur ordination d’être des enseignants et des défenseurs de l’intégrité de la Foi Catholique, sont devenus les champions de l’hérésie, empoisonnant le troupeau qui leur est confié et offensant gravement la Divine Majesté de Jésus-Christ, la Vérité Incarnée.

Accordez-nous la grâce de voir tous les événements de notre vie, et les immenses épreuves que traverse actuellement notre Sainte Mère l’Église, à la lumière surnaturelle de la foi. Puissions-nous croire que Vous ferez surgir du vaste désert spirituel d’aujourd’hui une floraison renouvelée de foi qui ornera le jardin de l’Église de nouvelles œuvres de foi et donnera lieu à une nouvelle ère de foi.

Nous croyons fermement que la foi catholique est la seule vraie foi et religion, que vous invitez chacun à embrasser librement. Par l’intercession de la Bienheureuse Vierge Marie, destructrice de toutes les hérésies, et des grands Martyrs et Confesseurs de la foi, que la Foi Sainte, Catholique et Apostolique triomphe à nouveau dans l’Église et dans le monde, afin qu’aucune âme ne soit perdue sauf venez plutôt à la connaissance de Jésus-Christ, le seul Sauveur de l’humanité, et par une foi droite et une vie juste, atteignez la béatitude éternelle en vous, ô Très Sainte Trinité, Père, Fils et Saint-Esprit. A Vous soit rendu tout honneur et toute gloire, pour les siècles des siècles. Amen.

+ Athanasius Schneider, évêque auxiliaire de l’archidiocèse de Sainte Marie à Astana»

14 août

LE MYSTÈRE D’INIQUITÉ RÉVÉLÉ : LES DEUX BABYLONE

Le catéchisme stipule que le mystère d’iniquité nous sera finalement révélé lorsque l’imposture religieuse donnera aux humains la solution apparente à leurs problèmes au prix d’une apostasie généralisée.

« 675 Avant l’avènement du Christ, l’Église doit passer par une épreuve finale qui ébranlera la foi de nombreux croyants (cf. Lc 18, 8 ; Mt 24, 12). La persécution qui accompagne son pèlerinage sur la terre (cf. Lc 21, 12 ; Jn 15, 19-20) dévoilera le » mystère d’iniquité » sous la forme d’une imposture religieuse apportant aux hommes une solution apparente à leurs problèmes au prix de l’apostasie de la vérité. L’imposture religieuse suprême est celle de l’Anti-Christ, c’est-à-dire celle d’un pseudo-messianisme où l’homme se glorifie lui-même à la place de Dieu et de son Messie venu dans la chair (cf. 2 Th 2, 4-12 ; 1 Th 5, 2-3 ; 2 Jn 7 ; 1 Jn 2, 18. 22). »

Lorsque nous sommes témoins d’un tel événement, ainsi nous serons en présence de l’Antichrist.

Nous y sommes. Aucun doute.

Nul besoin d’expliquer encore en long et en large ce qui a été développé dans les analyses passées.

Le problème majeur pour plusieurs qui n’ont pas apostasié (ce qui est un petit nombre en réalité) est le fait que l’église conciliaire considère toujours cette partie du catéchisme comme étant au futur.

C’est l’aveugle qui conduit les aveugles au précipice.

Nous savons pertinemment que l’abomination de la désolation présentement sur le trône de Saint-Pierre, Bergoglio, utilise insidieusement un langage et une manière de faire qui favorise l’ambiguïté.

Mgr Vigano d’ailleurs affirme dans la dernière entrevue que rien ne vient de lui au point de vue de la doctrine et de la pastorale. Il ne fait que répondre à des questions. Constamment.

Bergoglio utilise la méthode avancée par les lucifériens eux-mêmes, en donnant des significations et des interprétations aux mots différentes.

C’est là la tromperie subtile de Satan : l’inversion.

Pour bien comprendre le danger de cette inversion, voici quelques extraits avancés par Albert Pike dans une recueil de textes publié à la fin du 19è siècle, ce qui en dit long sur le travail à long terme qui a été effectué pour saper l’autorité de l’église jusqu’à la conclusion dont nous sommes témoins présentement :

- « le titre de catholique est réservé à nous seuls »

-  nous mettrons d’avant la « double destruction du temple d’Adonaï et de l’édification du temple de Lucifer »
(Adonaï dans leurs langage est le « dieu mauvais », la Sainte Trinité, et Lucifer est le « dieu bon »)

- « L’œuvre principale est celle qui a pour but de transformer les catholiques romains en libre-penseurs déistes. »

- « lorsque nous nous trouverons être un milliard et plus (de catholiques lucifériens) faisant enfin flotter haut nos étendards, il faut que nous soyons prêts à produire l’explosion qui fera sauter le temple d’Adonaï ».

- « la même impulsion qui anéantira le temple d’Adonaï découvrira, aux yeux de l’humanité dûment préparée, le temple jusque là caché de notre divin maître. Lucifer roi verra alors le monde entier se consacrer à lui et l’adorer : sa religion sera dès lors vraiment catholique. »

- « le règne de l’athéisme sera devenu synonyme d’immortalité et d’amour passionné de l’humanité »
Ils prêchent un nouvelle doctrine, basée sur le « pur amour », une « révélation nouvelle qui doit nous unifier dans un immense amour sans préjugés »

C’est l’humanisme dans tout sa gloire avec l’humain déifié qui peut tout sans l’aide de Dieu, exactement comme il est décrit dans le catéchisme.

C’est donc la raison principale qui voile les yeux de plusieurs chrétiens catholiques car la tactique est de parler d’amour, de Jésus, des choses de l’église mais en donnant des sens différents aux mots prononcés par la bouche de ces imposteurs, de ces faux prophètes.

Le synode des synodes n’est-il pas le dernier instrument destiné à faire « exploser le temple d’Adonaï » ?

Ceci résume bien le mystère d’iniquité, mystère de l’inversion et de l’injustice.

La prophétie de Jean XXIII concernant Benoît XVI stipule que la Vierge Marie doit détruire les « deux » Babylone, les deux inversions majeures ou injustices qui concernent l’humanité, les deux « royaumes » qui constituent le système Antichrist : Le Vatican et les Nations-Unies.

Car cette injustice se manifeste présentement sur ces deux fronts.

Mgr Vigano l’a bien expliqué dans la dernière entrevue.

Ce n’est pas l’Église traditionnelle qui se sépare du cep, c’est l’église conciliaire qui par sa mutation face à l’humanisme s’éloigne de ses origines christiques, et fait passer les « deux témoins » fidèles à la Loi et aux Prophètes, la Tradition, comme des marginaux, des hérétiques qui ne veulent pas faire progresser l’église.

Bref, Notre Seigneur a raison.

Ce sont les chrétiens qui sont persécutés à la fin car ils sont les terroristes qui menacent le succès du nouveau système.

Ainsi en est-il du côté humaniste pour ceux qui ne croient pas dans le Christ sur cette terre, ou ceux qui ont apostasié.
Tout ceux qui ne pensent pas au système des nouvelles valeurs proposées par le nouveau système par l’inclusion de tous, grâce à la miséricorde infinie, qui culmine avec le grand spectacle mondial des mouvements « wokes », sont ostracisés.

« Le nouveau critère sera ainsi défini : Les vrais chrétiens seront ceux qui partageront toutes les croyances religieuses du Nouvel Ordre Mondial en tant que nécessité de base pour la survie de l’humanité. » S. Monast, 1995.

Il avait vu juste.

13 août

Excellent résumé de toutes les analyses des derniers mois grâce à Mgr Vigano, ardent défenseur de la Foi.

« Monseigneur Viganò : « Le plus grand dommage de ce pontificat ? Le discrédit jeté sur la papauté »

Entretien avec Matt Gaspers de  « Catholic Family News »

CFN : Votre Excellence, nous sommes maintenant dans la dixième année du pontificat de François. De son « Qui suis-je pour juger? » Chez Amoris Lætitia , de la Déclaration d’Abu Dhabi à l’incident de la Pachamama (et au Synode sur la synodalité en cours), nous avons été témoins de scandales papaux vraiment sans précédent au cours de la dernière décennie – des scandales qui touchent à la fois la foi et la morale. Selon vous, quel a été le problème le plus dommageable de ce pontificat et comment l’Église peut-elle s’en remettre ?

Carlo Maria Viganò : C’est difficile – et je pense que beaucoup seront d’accord avec moi – identifiez le problème qui a le plus négativement influencé les actions et les paroles de Bergoglio. Chacun de ses gestes est délibérément provocateur et histrionique, intentionnellement conçu pour laisser l’interlocuteur perplexe, ou pour l’offenser ou se moquer de lui. Quiconque pense que Bergoglio est naïf se trompe : chacun de ses mots est censé susciter le scandale, se démarquer de tous ses prédécesseurs, critiquer le passé de l’Église, le déformer avec des simplifications irritantes. Et surtout : il ne prétend jamais. Si vous l’avez remarqué, ses propos les plus controversés ne sont pas le résultat d’une déclaration autonome, mais la réponse à des questions posées par d’autres, selon les indications reçues, car il semble que le sujet ait été choisi par l’intervieweur ou l’interlocuteur. Si vous remarquez,– du « Qui suis-je pour juger » au dernier « Dieu t’aime tel que tu es » – sont des réponses à des questions. Bergoglio lui-même nous le confirme lors de la conférence de presse à son retour du Portugal : « Merci pour le courage de poser cette question. Merci » ( ici ).

En pratique, quel que soit le sujet abordé, tous les propos de Bergoglio reposent a priori sur une fiction, un mensonge. Dans certains cas, ces manipulations se font avec des systèmes plus élaborés, mais toujours malhonnêtes et déloyaux : pensons aux manœuvres pour imposer sa ligne lors des récents synodes, et au mépris absolu des règlements. Ajoutez à cela le mépris moqueur avec lequel il attribue aux autres circonstances et aux autres ce qu’il fait ostensiblement en premier.

Au-delà des scandales individuels, je crois que le plus grand dommage causé à l’Église par ce « pontificat » est le discrédit et le déshonneur jetés sur la papauté, l’Église, le clergé et les fidèles. Sa haine de la Tradition ne connaît pas de repos, et cela se répercute nécessairement sur ce qui est une expression naturelle de cette Tradition : doctrine, morale, liturgie, spiritualité. La démolition est systématique et part principalement de l’autorité, corrompue et asservie à l’ennemi, qui abuse de son pouvoir dans un but contraire à celui qui la légitime. La démocratisation de l’Église, la collégialité conciliaire, la synodalité de Bergoglio sont des mensonges colossaux, derrière lesquels se cache la tyrannie : le parallèle avec les gouvernements soumis à l’élite mondialiste est évident, et confirme une coordination unique des deux actions subversives. Et les deux institutions, comme nous pouvons le voir, sont discréditées et délégitimées précisément par ceux qui détiennent des rôles d’autorité. Comme ça, si quelque chose de cette crise devait prendre fin à l’avenir, restaurer la confiance dans l’Église et restaurer son autorité sera humainement presque impossible.

CFN : Dans une récente interview ( ici ), vous disiez que certains cardinaux « créés par Benoît XVI se sont révélés complètement inférieurs aux attentes des fidèles conservateurs » et que certains d’entre eux « ont été témoins lors du dernier Conclave de choses qu’ils n’ont pas dénoncer publiquement ». De quoi pensez-vous qu’ils ont été témoins et pourquoi ne les signalent-ils pas ?

Certains cardinaux entrés au Conclave en 2013 ne semblent pas comprendre la gravité de ce qui s’est passé et se passe, sous de fausses apparences de légalité formelle. Nous les avons entendus défendre la papauté à l’épée, déclarant que les erreurs promulguées par Bergoglio et ses provocations impromptues ne doivent pas être considérées comme le magistère papal ; nous les avons entendus demander à Bergoglio de dissoudre la Dubia sans même que celle-ci daigne répondre, et tout s’est arrêté là. Mais cette dénonciation des effets – c’est-à-dire le  » pontificat  » actuel – est tout à fait inutile lorsqu’il refuse, malgré tout, de reconnaître leurs causes dans la révolution conciliaire. Leur volonté tétragonale de « sauver » le pseudo-magistère de Vatican II, qui est la cause lointaine de la crise actuelle, rend toute action en faveur de l’Église complètement vaine.

Quant au silence sur les événements survenus pendant le Conclave, je vois la mentalité légaliste l’emporter sur l’urgente nécessité de mettre fin au coup subversif de l’église profonde. Leur principal souci n’est pas de porter atteinte à l’observance des normes valables en temps de relative normalité, car on ne peut pas dire qu’ils ont violé les préceptes humains, alors qu’avec leur respect des procédures, ils se retrouvent à cautionner la violation des préceptes divins par partie – pas moins – que les chefs de la hiérarchie catholique.

Je trouve incompréhensible qu’un membre du Collège des cardinaux puisse confier à des amis qu’il a été témoin de faits tels qui annuleraient l’élection de Jorge Mario, et en même temps qu’il ne veuille pas les dénoncer publiquement pour ne pas rompre le secret pontifical : ce secret qui a déjà été rompu en en parlant à quelqu’un qui n’y peut rien, oblige Son Éminence à se taire devant l’Église, dont les Pasteurs pourraient peut-être régler l’affaire. Mais ici nous ne parlons pas du Sceau de la Confession, mais de questions qui ont raison d’être réservées tant que cela ne se fait pas au détriment de l’institution qui les a mises en vigueur ; autrement nous nous retrouvons comme les pharisiens de l’Evangile, qui demandaient à Notre-Seigneur s’il était permis de sortir un âne du puits le jour du sabbat.

Les indiscrétions de ces Cardinaux portent sur la preuve de graves irrégularités, sans donner plus de détails. Je me souviens de ce qui s’est passé en 1958, avec la question de la fumée d’abord blanche puis noire : il semble que l’élu était le cardinal Giuseppe Siri, mais qu’en raison de l’opposition du régime communiste soviétique, il a forcé la main en forçant les Pères pour élire un autre pape, qui par coïncidence était le conciliateur Angelo Giuseppe Roncalli.

Si ces confidences étaient bien vraies, je n’ose pas penser à l’angoisse morale de quelqu’un qui s’apprête à emporter le secret dans sa tombe, alors qu’il aurait l’occasion de démasquer les manipulations de la mafia saint-galloise. S’ils n’étaient pas vrais, cela n’aurait aucun sens d’en parler même avec les personnes les plus fiables (qui, cependant, ont parlé à quelqu’un depuis que la nouvelle a été divulguée).

CFN : D’un point de vue humain, pensez-vous que le prochain Conclave ne répétera pas le résultat de 2013 ?

Sauf interventions extraordinaires de la Providence, le Collège des cardinaux est largement discrédité par Bergoglio : Caligula se borne à menacer de nommer son cheval Incitatus prêtre et consul ; cela crée plutôt des cardinaux qui, sous Pie IX, auraient été envoyés in partibus infidelium. L’issue du prochain Conclave paraît donc évidente, rebus sic stantibus . Mais si des preuves d’actes répréhensibles graves apparaissaient lors du Conclave de 2013, cela rendrait ipso facto l’élection qui a suivi, et par conséquent tous les actes de gouvernement et de magistère accomplis par l’élu, nuls et non avenus. Parmi ces actes, la création de Cardinaux, pour que tous les Consistoires de Bergoglio soient caducs : on se retrouverait comme par magie dans la situation de 2013 et cela perturberait les plans de Bergoglio, car les Électeurs du prochain Conclave seraient certainement moins enclins à répéter les erreurs déjà commises et, fort de l’expérience de cette décennie, pourrait élire la moins pire d’entre elles.

CFN : L’année prochaine, les Américains feront face à une autre élection présidentielle. En 2020, vous avez beaucoup soutenu les efforts de Donald Trump pour remporter un second mandat. À la lumière de sa promotion continue des vaccins COVID et de sa rhétorique en faveur de l’agenda LGBTQ, pensez-vous que les catholiques peuvent encore le soutenir dans une autre candidature à la présidence ? Le considérez-vous encore comme une sorte de « katéchon » ?

Le président des États-Unis d’Amérique peut être une sorte de katechon s’il comprend le coup d’État mondial perpétré par l’État profond . Je crois que Donald Trump a compris la tromperie à laquelle il a été soumis par Fauci et les autres vendeurs de BigPharma, et qu’il est également capable – comme Robert F. Kennery, Jr. est capable sur le front démocrate – de vérifier si le SRAS -Le virus CoV-2 fait partie d’un projet militaire, qui n’a fait appel à des sociétés pharmaceutiques que pour la production à grande échelle de sérums (d’ailleurs significativement démarré en 2019, avant la déclaration d’urgence pandémique).

En ce qui concerne les autres formes de soutien plus ou moins explicites à des mouvements ou idéologies contraires à la foi catholique, je voudrais suggérer au président de ne pas se laisser influencer par les rapports et les pourcentages des agences de communication électorale, et de réfléchir à la responsabilité devant Dieu des décisions que, en tant que président des États-Unis, il prend. La tâche du président des États-Unis est de gouverner son peuple pour le bien commun, selon la justice et dans le respect de la loi naturelle et divine. S’il remplit cette tâche, le Seigneur – qui est tout-puissant et qui décide du sort des nations et des individus – il le bénira et bénira le peuple américain; si vice versa il manque à ses devoirs et se laisse aller à la mentalité du monde et aux conseils de ses experts électoraux, il ne peut certainement pas s’attendre à ce que Dieu, offensé et désobéi, l’aide lui et la nation.

Il faut dire que Trump, lors de ses récents rassemblements, a vivement dénoncé les politiques éveillées et s’est engagé à lutter contre la transition de genre et les mutilations d’enfants, l’endoctrinement au genre dans les écoles, l’hypersexualisation de l’enfance et le trafic d’enfants. Il est significatif que, juste au moment où la perception populaire de la menace extrêmement grave du lobby pédophile augmente, le ministère américain de la Justice n’a rien de mieux à faire que de réduire le niveau d’alarme sociale : de toute évidence, le dôme de pervers qui manœuvre Biden sent la conscience du public respirer dans son cou.

En tout cas, je préfère mille atouts à un Biden, cela ne fait aucun doute. Aussi, parce que Trump s’est montré en fait beaucoup plus proche de l’image d’un politicien catholique que ne l’a fait le soi-disant catholique Biden.

CFN : Avez-vous des réflexions sur Robert F. Kennedy, Jr., et sa campagne pour remporter la nomination du Parti démocrate à la présidence ? Compte tenu de son soutien à l’avortement, un catholique pourrait-il voter pour Kennedy en toute bonne conscience ?

Robert Kennedy a certainement une vision claire de la pandémie et de la fraude aux vaccins et de l’assaut de l’État profond contre les droits fondamentaux des Américains. Les aspects positifs de son programme politique n’enlèvent rien au fait qu’il soutient l’avortement, ce qui signifie qu’on ne peut pas voter pour lui, d’autant plus que Kennedy se déclare catholique bien qu’il soit en grave contradiction avec l’enseignement de l’Église ainsi qu’avec la loi naturelle. Là aussi il faut un sursaut d’orgueil, qui laisse de côté les calculs électoraux et fait un choix radical. Le compromis n’est plus praticable aujourd’hui.

CFN : L’événement le plus important depuis que Joe Biden a pris ses fonctions a sans doute été le déclenchement de la guerre entre la Russie et l’Ukraine, qui semble avoir été provoquée au moins en partie par de mauvais acteurs. Que pensez-vous que l’État profond espère accomplir à travers ce conflit en cours ?

La crise ukrainienne a été préparée pendant des années, afin de détruire la Fédération de Russie par un processus de balkanisation, afin de garantir une hégémonie de l’anglosphère dans l’équilibre géopolitique international et de maintenir les nations européennes dans une position de subordination par rapport à l’anglo -puissance américaine.

Le conflit a entraîné un nouveau rapprochement de Poutine avec Xi Jinping, ce qui était largement prévisible et aurait pu être évité. Il est possible que pousser la Russie dans les bras de la Chine puisse constituer, dans l’esprit de la hiérarchie du Nouvel Ordre Mondial, le casus belli pour une déclaration de guerre à la Chine elle-même, ce qui est conforme à la demande de la Maison Blanche aux partenaires européens de mettre fin aux soi-disant accords commerciaux de la Route de la Soie. Cette demande aura non seulement de graves répercussions sur la réduction des exportations vers la Chine et sur les augmentations prévisibles des matières premières et des produits semi-finis en provenance de Chine qui ont été jusqu’à présent importantes ; elle constitue aussi le prémisse d’une instabilité et d’une crise économique qui sont généralement l’antichambre d’un conflit militaire, au profit des marchands d’armes et des profiteurs de la reconstruction (voir l’Irak, mais aussi la Grèce). Je doute cependant que l’élite ait le temps nécessaire pour atteindre ces objectifs : ses jours sont comptés, car le mensonge sur lequel repose son pouvoir est désormais exposé.

Au-delà des stratégies politiques d’une partie de l’establishment américain, on sait que la guerre en Ukraine a aussi servi à cacher les scandales de la famille Biden et à couvrir l’activité de biolaboratoires financés par le Pentagone et l’Amérique ou ses alliés : des virus artificiels génétiquement modifiés pour être efficaces sur certains groupes ethniques ont été découverts dans ces laboratoires, en violation des accords internationaux. L’échec partiel du projet de pandémie – qui prévoyait en 2015 de très fortes réductions de la population mondiale – est probablement dû au fait que Poutine a accéléré le début de son opération militaire et mis en prison les scientifiques de ces biolaboratoires.

N’oublions pas que l’Ukraine est le principal acteur du marché de la maternité de substitution, de la prédation d’organes et de la traite des êtres humains, qui alimente également le réseau pédophile. Les dénonciations des organisations humanitaires ne laissent aucun doute sur ces horreurs sans précédent : des enfants sont tués et démembrés pour envoyer leurs organes dans des cliniques en Occident ; des soldats ukrainiens blessés se font prélever leurs organes dans le même but ; la vie de créatures innocentes est vendue à de riches pervers pour satisfaire leurs abominables déviations. Et l’on sait à quel point l’État profond est composé de personnages susceptibles de faire l’objet d’un chantage précisément dans la poursuite de ces crimes exécrables, une dynamique mise en lumière par le récent film Sound of Freedom .

CFN : Si la paix en Ukraine était le véritable objectif, quelles mesures faudrait-il prendre pour l’obtenir ?

L’Ukraine agit comme un bélier dans la guerre par procuration de l’OTAN contre la Fédération de Russie, nous devrions donc d’abord cesser de considérer Zelensky comme un interlocuteur légitime dans tout accord de paix. S’il n’a compté pour rien dans la déclaration de guerre et dans la poursuite des actions militaires menées jusqu’ici, je ne vois pas quel devrait ou pourrait être son rôle à une table de négociations de paix.

Certes, la crise ukrainienne peut se terminer immédiatement, si Kiev redevient un tampon entre le bloc de l’OTAN – qui s’était auparavant engagé à ne pas s’étendre à l’Est – et garantit l’autonomie du Donbass et l’indépendance de Donetsk et de Lougansk. Le problème est que les dommages subis et la dette colossale contractée par l’Ukraine pour faire face à l’achat d’armes et à l’envoi de soldats au front rendent difficile la fin du conflit, notamment parce que la victoire contre la Russie est impossible sans l’accord officiel et l’implication d’autres nations. Tant qu’il y avait un plan pour envoyer simplement de vieux chars ou quelques volontaires, l’OTAN a convaincu ses pays membres de soutenir la guerre, mais je ne crois pas qu’ils veuillent vraiment déclencher une guerre mondiale, malgré les déclarations fulminantes de certains politiciens.

CFN : Dans des déclarations et interviews passées, vous avez exprimé un soutien notable à la Russie dans le contexte de la guerre. Alors que l’Ukraine a clairement le soutien des mondialistes occidentaux, n’êtes-vous pas d’accord pour dire que la forte alliance de la Russie avec la Chine communiste est tout aussi préoccupante, en particulier à la lumière des prophéties de Notre-Dame de Fatima concernant les « erreurs de la Russie » ?

Mon soutien n’est pas pour la Russie en soi, mais pour ceux qui s’opposent activement aux plans du Nouvel Ordre Mondial à ce stade. Il était bien connu qu’un conflit entre les États-Unis et la Fédération de Russie renforcerait inévitablement les liens de cette dernière avec la Chine : il reste à espérer que l’alliance entre Poutine et Xi Jinping ne soit pas seulement à l’avantage du régime communiste chinois, et que l’équilibre sera maintenu.

Je crois cependant que le moment est venu de sortir de la cage idéologique qui nous amène à considérer les Américains comme « bons » et les Russes comme « mauvais », sur la base d’un préjugé voulu et imposé par l’État profond. Comme l’a observé à juste titre Giulio Andreotti – avant d’être évincé de la politique internationale par l’intervention des services atlantiques avec la collaboration d’informateurs du crime organisé et de la mafia – « l’OTAN aurait dû être dissoute au profit d’un objectif social lorsque le mur de Berlin est tombé en 89 » ( Repubblica , 28 octobre 2004). Tant que nous ne réaliserons pas que les gouvernements occidentaux sont les otages d’un dôme d’élite de subversifs qui gèrent le pouvoir contre les peuples, nous ne pourrons pas vaincre ce cancer institutionnel qui altère l’équilibre international et se nourrit des guerres, de la famine et de la pauvreté.

Lorsque Notre-Dame parle des « erreurs de la Russie », nous devrions considérer que ces erreurs se sont maintenant répandues dans tout l’Occident, tandis qu’en Russie l’athéisme matérialiste et le communisme sont devenus une minorité. C’est en Occident — et même au sein de l’Église catholique — que les erreurs marxistes sont aujourd’hui publiquement professées par les gouvernements, dans une union infernale entre socialisme et libéralisme qui est l’expression des deux grands courants maçonniques, les courants socialiste et révolutionnaire de la franc-maçonnerie française. et les courants libéraux et institutionnels de la franc-maçonnerie anglo-américaine.

CFN : L’un des fléaux cachés de notre monde aujourd’hui est le trafic d’enfants. Le nouveau film Sound of Freedom avec Jim Caviezel, l’acteur qui a incarné Notre Seigneur dans La Passion du Christ de Mel Gibson , met en lumière ce fléau et appelle tout le monde à aider à l’éradiquer . Pendant ce temps, le ministère de la Justice de Joe Biden semble minimiser le problème ( ici ). Croyez-vous, comme le fait Caviezel, qu’il existe un lien entre les élites mondiales, les agences gouvernementales et la traite des enfants ?

Comme je l’ai dit plus tôt, l’Ukraine est au centre du trafic d’enfants et de la pédophilie, qui implique principalement les membres de l’élite satanique du Nouvel Ordre Mondial et les agences gouvernementales de nombreux États. Je ne suis pas surpris que cette élite cherche par tous les moyens à minimiser ou à cacher ces crimes odieux, en recourant également au pouvoir qu’elle possède à travers la politique, les médias et le monde du divertissement. Si nous pensons à la façon dont le fils de Joe Biden, qui a été photographié dans des poses avec des mineurs aussi obscènes qu’éloquentes, est toujours en liberté, nous devons nous demander quelles forces sont en jeu et quelle est la profondeur de la corruption de nos dirigeants. et toute la classe dirigeante qui gravite autour d’eux.

La dénonciation de Caviezel a le mérite de mettre au jour ce réseau de complicités et de crimes qui crient vengeance devant Dieu, et qui ne peuvent rester impunis. Je pense aussi que l’effondrement désormais imminent de l’ensemble de l’État profond sera davantage dû à l’indignation des citoyens ordinaires face aux horreurs qu’il a perpétrées contre les enfants qu’à la preuve de leur plan d’extermination de l’humanité au moyen de pandémies et de famines.

Quand j’entends Klaus Schwab déclarer : « Les confinements climatiques arrivent : plus de débat nécessaire », je me demande à quel point ces subversifs – Schwab, Gates, Soros, etc. – sont pressés de mener à bien leur projet infernal afin de cacher la réalité de ce qu’ils font. Leurs plans de contrôle total visent finalement à se garantir l’impunité en manipulant la Vérité et en imposant un mensonge.

CFN : À la lumière de la suppression croissante de la Vraie Messe par la hiérarchie, quels conseils donneriez-vous aux catholiques qui craignent d’assister à la Messe ou de recevoir des sacrements d’un prêtre dépourvu de facultés écrites ou en « statut canonique irrégulier » ?

Au cours des années 1970, alors que Mgr Marcel Lefebvre prend ses distances avec « l’église conciliaire » et continue d’ordonner des prêtres garants de la célébration de la messe catholique, les premières mesures prises contre la Fraternité sacerdotale Saint-Pie X sont d’ordre canonique : suspension un divinis pour avoir conféré les Ordres dans un institut devenu irrégulier du jour au lendemain. La même chose que Mgr Lefebvre avait faite jusqu’à la veille avec les encouragements du pape était devenue du jour au lendemain illicite. Ce n’est que quinze ans plus tard, en 1988, avec le sacre des évêques que l’excommunication est imposée à Lefebvre, puis révoquée par Benoît XVI. Mgr Lefebvre a eu la force de témoigner de sa fidélité au Christ même en désobéissant aux ordres de la Hiérarchie, et c’est grâce à cette sainte désobéissance que le clergé et les fidèles ont pu bénéficier d’abord du Motu Proprio Ecclesia Dei puis de Summorum Pontificum .

En fait, je dirais plus : beaucoup de ceux qui aujourd’hui se livrent à donner de petites leçons d’orthodoxie à d’autres, cherchant à démontrer l’acceptabilité de Vatican II, et qui assistent aux célébrations liturgiques de l’ancien rite avec l’accord tacite qu’ils ne rejeteront pas le Concile — ces individus ne peuvent le faire que grâce à « l’intransigeance », c’est-à-dire à la fermeté de principe, de Mgr Marcel Lefebvre, qui a dénoncé les erreurs de cette très malheureuse assemblée et la réforme liturgique qui l’a suivie. Sans son courage; sans le témoignage des prêtres qui ont continué à célébrer la messe de tous les âges et qui ont été arrachés des autels uniquement parce qu’ils étaient ordonnés par leurs évêques, le rite traditionnel aurait définitivement disparu de nos églises,

Et donc je me demande : est-il possible que l’autorité de l’Église puisse être utilisée pour empêcher la même chose que l’autorité de l’Église a bénie et louée avant le Concile ? Le pouvoir vicariant du pape et des évêques peut-il aller à l’encontre du but pour lequel Notre-Seigneur, détenteur de ce pouvoir, a établi l’Église ? Et encore : quelle crédibilité peut avoir l’autorité des Bergers lorsqu’elle établit d’abord une norme universelle, puis l’interdit, puis la restaure, puis enfin de facto supprime le même rite ? Il faut reconnaître que l’exercice de l’autorité ecclésiastique est indissolublement lié au but pour lequel le Christ a institué la Hiérarchie sacrée, et qu’aucun pouvoir subversif ne peut usurper cette autorité sans se mettre en opposition avec l’Église et avec le Christ lui-même. L’abolition de la messe apostolique par Paul VI pour la remplacer par une contrefaçon écrite par des hérétiques était un abus, et l’annulation de Summorum Pontificum par Bergoglio était aussi un abus. Ce n’est pas un hasard s’ils font tous deux partie d’une « Église conciliaire » détachée de l’Église catholique ; une « Église » autoréférentielle qui s’est séparée de la Tradition Sacrée, avec ses propres « saints », ses propres rites, sa propre doctrine et sa propre moralité, le tout en contraste frappant avec les Saints, les Rites, la Doctrine et la Morale de l’Église du Christ.

Quiconque entrave la célébration de la messe tridentine le fait indéfectiblement pour de mauvaises raisons. Mais dans toute l’histoire de l’Église, personne n’a jamais osé interdire la célébration du Saint Sacrifice sous une forme particulière au motif qu’elle n’exprime pas une « nouvelle ecclésiologie ». Car si quelqu’un avait jamais dit cela, il aurait implicitement reconnu par ces mêmes mots qu’il existe une nouvelle formulation doctrinale en contraste avec celle de la messe de tous les âges, ce qui, pour un catholique, est complètement inacceptable et inconcevable.

Si donc la messe de saint Pie V est hétérogène par rapport à la religion imposée par « l’Église conciliaire », alors c’est « l’Église conciliaire » qui se place hors de l’Église, et non ceux qui, ne changeant rien à ce qui a toujours été célébrée et crue, souhaite défendre un rite qui a façonné et façonne encore la sainteté des fidèles et des prêtres.

J’ai personnellement fondé l’ Association Exsurge Domine afin d’aider les prêtres et les religieux et religieuses qui sont persécutés par la junte bergoglienne. Nous construisons un village monastique dans la province de Viterbo en Italie, afin de donner un foyer aux moniales de Pienza qui ont été persécutées par le Saint-Siège et leur évêque. Nous aidons des prêtres laissés sans paroisse simplement parce qu’ils célèbrent la messe apostolique, des prêtres qui ont été retirés du ministère uniquement parce qu’ils n’acceptent pas l’apostasie actuelle. J’en appelle à tous les catholiques, leur demandant de contribuer à ce projet.

Les échecs de l’église profonde, comme ceux de l’état profond, peuvent être cachés et niés, mais ils sont apparents dans toutes leurs conséquences désastreuses. Pour extraire l’Église profonde du corps ecclésial — tout comme l’amputation d’un membre infecté — il faut avant tout dénoncer les faux bergers, résister fermement à leurs ordres illégitimes et coordonner la pastorale des petites communautés de ceux qui sont « réfractaires ”. Cela n’assurera probablement pas la victoire, mais notre engagement, notre désir sincère de servir le Seigneur et de sauver les âmes, notre témoignage de la cohérence de nos vies chrétiennes, pourront amener le Seigneur à ce « tout » que seul notre « néant  » peut bouger.

Et c’est, après tout, ce qui donne une raison d’espérer dans ces circonstances : pas le fatalisme (orthodoxe) de ceux qui attendent une intervention divine sans lever le petit doigt ; pas l’activisme (protestant) qui laisse de côté l’aide de Dieu et place tout son espoir en lui-même ; mais plutôt le pragmatisme sain (catholique et romain) qui combine la toute-puissance de Dieu pour décider du sort du monde avec la généreuse coopération de l’homme qu’il a créé et racheté. En un mot, c’est la multiplication des quelques pains et poissons.

10 août 2023
Saint Laurent Martyr »

6 août

« Après l'interview de François avec "Vida Nueva" / Monseigneur Viganò : "Préparons-nous pour un crescendo de provocations sans précédent"

Excellence, enfin motus velocior dit-on souvent de l'attitude de François visant à liquéfier le peu qui reste de la doctrine catholique et à épouser la pensée du monde. Les chroniques les plus récentes le confirment, dont l'énième entretien, cette fois. Quelle est votre évaluation ?

La Journée mondiale de la jeunesse, célébrée cette année à Lisbonne, a confirmé l'accélération du plan de Bergoglio pour provoquer un schisme. Ses dernières nominations, que définir comme provocatrices est un euphémisme ; les propos des futurs cardinaux, visant à entériner la « révolution bergolienne » ; la présence de James Martin pour promouvoir l'acceptation de l'idéologie LGBTQ chez les jeunes; la récente déclaration de Bergoglio à un transgenre : « Dieu nous aime tels que nous sommes, vas-y » [ ici ] : il ne manquait qu'une interview dans laquelle l'Argentin « avoua » à une rédaction de journalistes agenouillés et acclamés pour compléter le image [ ici ].

Le ton adorateur de l'interview est plus qu'embarrassant : ce qui, pour quelqu'un qui prétend détester l'hypocrisie et la servilité, semblerait tragique s'il n'était pas grotesque. La courtoisie mielleuse des journalistes va jusqu'à définir Bergoglio "comme un curé de village habitué à traiter tout le monde de la même manière, ou une femme qui se démène du matin au soir pour subvenir aux besoins de sa famille". Cependant, le lyrisme prégnant de Vida Nueva a l'inconvénient de souligner l'apparente spontanéité des propos de l'interviewé, largués comme des bombes à retardement attendant de les voir exploser.

De l'interview, il apparaît que Bergoglio s'attendait à moins que de devenir pape. Mais l'histoire dit quelque chose de très différent...

Je suis émerveillé par les dons littéraires de Bergoglio : l'évocation évocatrice de sa surprise lors de l'élection ne concilie pas avec ce que nous savons maintenant qu'il s'est passé au Conclave de 2013 et confié par un cardinal électeur mais incapable de le révéler publiquement. Et en se présentant comme un speculum totius humilitatis il parle de lui-même comme d'une « victime du Saint-Esprit et de la Providence », comme pour imputer le malheur de ce « pontificat » à Dieu lui-même, et non aux manipulations de l'Église profonde avec la Mafia de San Gallo, et de l' état profond avec les mails de John Podesta et Hillary Clinton.

Et nous arrivons aux bombes à retardement…

La première bombe à retardement : « Le Synode était le rêve de Paul VI. À la fin du Concile Vatican II, il s'est rendu compte que l'Église d'Occident avait perdu sa dimension synodale ». Une manière de confirmer le caractère subversif de la collégialité de Vatican II, en contrepoids à la primauté pétrinienne solennellement et infailliblement proclamée au Concile Vatican I par le bienheureux Pie IX. Ainsi apprend-on que la collégialité épiscopale théorisée par les innovateurs dans Lumen Gentiumelle devait se prévaloir du synode des évêques comme organe parlementaire sur le modèle des formes civiles de gouvernement. En substance, l'application dans la sphère ecclésiastique du principe maçonnique diffusé par la Révolution française pour renverser les monarchies catholiques. "Il s'agit d'avancer pour retrouver cette dimension synodale que l'Eglise d'Orient a et que nous avons perdue", affirme Bergoglio. Mais cette « dimension synodale » est un terme de novlangue moderniste pour ne pas admettre la subversion délibérée de la papauté comme forme d'autorité monarchique. C'est une attaque contre l'institution divine de l'Église, perpétrée par celui qui devrait plutôt la défendre contre les hérétiques. Nous assistons à la démolition de l'enseignement suprême et de l'autorité gouvernementale du Pontife romain, le lien de l'unité catholique, par celui qui est assis sur le Trône de Pierre et qui agit et est obéi en vertu de l'autorité reconnue par le Pontife Romain. C'est comme voir le chef des pompiers ordonner à ses subordonnés de verser de l'essence dans la brousse et d'y mettre le feu, après avoir fait vider les réservoirs et asséché les réserves d'eau.

On parle aussi du Synode de 2001…

Oui, dans l'inquiétante séquence des "remaniements de la réalité" de Bergoglio, il y a aussi un souvenir du Synode de 2001, quand Bergoglio évoque cet épisode : "Alors le cardinal chargé de la coordination est venu, a examiné les papiers et a commencé à dire : 'Ce n'est-ce pas que vous votez… même pas cela ». J'ai répondu: "Eminence, c'est hors des groupes..."". Et l'auditeur naïf pense: «Vous voyez comme Bergoglio est bon, qui veut que la base dise aux évêques quels sont les vrais problèmes des fidèles, etc. etc.", pour découvrir ensuite que ce qui était alors "sorti des groupes" était présenté comme tel, ni plus ni moins que ce qui s'est passé de façon farfelue au Synode de la Famille, dont les documents ont été préparés par l'entourage de Bergoglio et par lui préalablement approuvé ; et encore plus évidemment au Synode de Synodalité, pour laquelle le questionnaire envoyé aux diocèses, paroisses et groupes a été formulé de manière à exclure certaines questions et à orienter les réponses dans le sens souhaité. Quand Bergoglio rassure « Mais les choses ont été « épurées ». Nous avons fait des progrès et, aujourd'hui, tout est voté et écouté», il faut comprendre que les accrocs représentés auparavant par la CDF ou par d'autres Congrégations ont été éliminés soit avec la nomination d'hérétiques parfaitement alignés, soit avec l'exclusion des Romains Curie de tout rôle de coordination au profit des « Églises nationales » ou des Conférences épiscopales, toutes occupées par des hérétiques et des esclaves corrompus à Santa Marta.

« Nous avons aussi l'exemple du synode sur la famille. De l'extérieur, la Communion des divorcés s'est imposée à nous comme un thème majeur. Dans ce cas, il y avait celui de la psychologie ondulatoire, qui tentait de se développer. Mais, heureusement, le résultat est allé beaucoup plus loin… beaucoup plus loin». Au point - je dirais - de susciter la protestation formelle de quelques cardinaux et de nombreux prélats, prêtres, religieux et théologiens, face à l'écart de la doctrine traditionnelle sur l'adultère, le concubinage public et la famille. N'oublions pas l'opération frauduleuse avec laquelle certains hommes de main de Bergoglio sont allés voler dans les boîtes aux lettres des Pères synodaux le livre sur les erreurs d' Amoris lætitia dans lequel ils dénonçaient l'ingérence dans le déroulement du Synode par les progressistes.

Même dans les régions où la dissidence des fidèles et des pasteurs vis-à-vis du régime actuel du Vatican est la plus grande, comme l'Afrique par exemple, les rôles clés ont été confiés par l'autorité à des personnes qui bénéficient du soutien de Bergoglio, même s'ils sont tout à fait insuffisants pour occuper certains postes. d'une grande responsabilité.

Il semble donc que l'affirmation «Dans le Synode, le protagoniste est le Saint-Esprit» sert à donner une aura d'autorité aux décisions prises par Jorge Mario, qui n'ont absolument rien de divin, et se montrent en effet intrinsèquement opposées au Magistère catholique.

Au cours de l'entretien, un Concile Vatican III est évoqué…

Oui, ça arrive quand un journaliste de Vida nueva demande-t-il provocateur : « Ce synode sur la synodalité semble tout couvrir : des propositions de renouveau liturgique au besoin de communautés plus évangélisatrices, en passant par une vraie option préférentielle pour les pauvres, un vrai engagement en matière d'écologie intégrale, l'accueil des collectifs LGBTQ . A-t-on jamais pensé à lui donner la forme du Concile Vatican III?». Nous serions horrifiés même d'entendre l'hypothèse qu'un Synode pourrait traiter de sujets très délicats – la réforme liturgique et l'évangélisation des communautés – et d'autres totalement étrangers aux finalités de l'Église, comme « une véritable option préférentielle pour les pauvres, une véritable engagement en matière d'écologie intégrale, d'accueil des collectifs LGBTQ ». Et pourtant, ce sont les sujets abordés aux JMJ 2023, ces jours-ci. Et ce sont les thèmes - répétés de manière obsessionnelle par les médias, dans les écoles, sur le lieu de travail, en politique - de l'Agenda 2030 et de la Grande Réinitialisation, tous deux ontologiquement incompatibles avec la religion catholique parce qu'ils sont intrinsèquement anti-chrétiens et anti-chrétiens.

La réponse de Bergoglio est inquiétante : « Les choses ne sont pas mûres pour un Concile Vatican III. Et ce n'est même pas nécessaire en ce moment puisque Vatican II n'a même pas encore commencé. C'était très risqué et il fallait payer. Mais il y a toujours cette peur qui s'insinue parmi nous chez les "vieux catholiques" qui déjà à Vatican I se définissaient comme "dépositaires de la vraie foi"».

Quel est l'objectif final ?

Nous avons compris que le but principal de Bergoglio était de semer la division et de détruire. Son modus operandi est toujours la meme chose. Tout d'abord, elle provoque artificiellement un "débat" sur des questions qui ne peuvent pas faire l'objet de controverses dans l'Église, ayant déjà été définies par le Magistère : d'un côté les ultra-progressistes et de l'autre les conservateurs. Les catholiques traditionnels, comme je l'ai expliqué plus tôt, n'ont pas suivi ces illusions de Newchurch depuis longtemps, et ils s'en accommodent parfaitement. Puis il fait proposer ce qu'il veut obtenir – une modification doctrinale, morale, disciplinaire, liturgique – par un médiateur ostensiblement neutre qui tente de trouver un compromis tout en se pliant en réalité au côté progressiste. À ce stade, Bergoglio, d'en haut et comme s'il découvrait seulement alors qu'il y a une question à clarifier sur laquelle une déclaration faisant autorité est nécessaire, impose un changement qui semble moins grave que ce que les ultra-progressistes avaient demandé, mais qui reste inadmissible pour un catholique, alors contraint de désobéir. Et sa désobéissance devient instantanément hérésie ou schisme, simplement en rappelant les erreurs des anciens catholiques à Vatican I.

Mais c'est là que réside la tromperie la plus perfide : les déviations doctrinales des anciens catholiques sont rejetées de manière simpliste par Bergoglio comme une prétention à être "les dépositaires de la vraie foi" - quelque chose que chaque hérésiarque a toujours essayé de défendre - tandis que les anciens catholiques ont montré que ils partagent avec eux l'église bergoglienne qui a bien plus d'hérésies qu'elle n'a de vérités communes avec les traditionalistes, à commencer par le sacerdoce féminin. Et il est surprenant que Bergoglio ne se souvienne pas que les revendications doctrinales des anciens catholiques ont commencé bien avant le Concile Vatican I, pour des questions de nominations papales d'évêques aux Pays-Bas, mais ont rapidement montré leur assonance avec les modernistes,

Nous avons donc compris que l'identification d'un ennemi - en l'occurrence « les rigides », c'est-à-dire les catholiques fidèles au Magistère immuable - est le corollaire de la déification de la Révolution dans l'Église : le Synode est l'œuvre de l'Esprit Saint et Bergoglio est victime de la Providence. Alors soit on accepte l'apostasie comme voulue par Dieu – ce qui est absurde autant que blasphématoire – soit on se retrouve ipso facto dans le cercle des ennemis de Bergoglio, méritant ainsi la condamnation réservée aux hérétiques et aux schismatiques. Étrange façon de comprendre la parrêsia et l'inclusivité de l'église de la miséricorde.

L'interview reprend aussi le thème du "rigide" tant détesté par le pape...

"François n'ignore en rien la résistance à la réforme qu'il s'apprête à mener", commente un journaliste. Et il cite les paroles d'un prêtre "qui a un pied dans la Curie et l'autre dans son diocèse": "Je suis préoccupé par la rigidité des jeunes prêtres", dit Bergoglio. Et il vous a semblé!

Que le lecteur se rassure, étonné que Bergoglio ne se soit pas encore aventuré dans un de ses monologues contre les prêtres non pas traditionnels, mais même vaguement conservateurs. Les rigides, en fait, à l'égard desquels il a tissé une série inégalée d'insultes depuis les premiers jours de son « pontificat ». La provocation du prêtre "qui pue l'odeur du mouton" - j'imagine en jeans et baskets - est sautée par l'acteur, qui répond promptement : "Ils réagissent comme ça parce qu'ils ont peur d'un moment d'insécurité que nous vivons vivent et que la peur ne les laisse pas marcher. Nous devons éliminer cette peur et les aider." Une approche psychanalytique qui laisse bouche bée, en vérité, et qui trahit la volonté de reprogrammer le Clergé, justement préoccupé par un "moment d'insécurité" qui perdure depuis soixante ans, afin de l'inciter à céder aux innovations et aux déviations du Concile. Mais les paroles de l'entendement pharisien se transforment aussitôt en accusations et en insinuations : « Par contre, cette carapace cache beaucoup de pourriture. J'ai déjà eu à intervenir dans certains diocèses de différents pays avec des paramètres similaires. Derrière ce traditionalisme, nous avons découvert de graves problèmes moraux et des vices, des doubles vies. Nous connaissons tous des évêques qui, ayant besoin de prêtres, ont eu recours à des gens qu'ils avaient chassés d'autres séminaires parce qu'ils étaient immoraux ».

Il faut s'étonner de la détermination de Bergoglio à éradiquer l'indicible vice grec des séminaires conservateurs, mais de ne pas vouloir le voir même face aux plaintes des victimes du prédateur en série McCarrick, harceleur de séminaristes et de jeunes clercs, ainsi que la mafia lavande de ses sbires, crée des cardinaux et les promeut au sommet des dicastères romains. Et il ne semble pas que ce nouveau Pier Damiani de Santa Marta juge l'ancien jésuite Rupnik, dont il a révoqué l'excommunication pour les crimes très graves et les sacrilèges innommables qu'il a commis, digne de ses flèches. Si vous voulez voir Rupnik enchaîné dans une cellule de Castel Sant'Angelo, mettez le chapeau romain sur sa tête.

Cette indulgence de Bergoglio envers ses protégés – qui compte une longue liste de frères jésuites, unis par l'hérésie sur le plan doctrinal et la sodomie sur le plan moral – ne s'explique peut-être pas par le fait que lorsqu'il était maître des novices le Was Argentino se comportait en un parcours qui n'est pas sans rappeler celui de l'ex-archevêque de Washington ? Qui legit intelligat .

Oublions donc les paroles de Notre-Seigneur dans l'Évangile : "Viens, bon et fidèle serviteur, car tu as été fidèle en peu de temps" (Mt 25,21), et écoutons la "victime de l'Esprit Saint" : "Je n'aime pas la rigidité car c'est un mauvais symptôme de la vie intérieure. Le pasteur ne peut pas se permettre d'être rigide. [...] Quelqu'un m'a dit récemment que la rigidité des jeunes prêtres vient du fait qu'ils sont fatigués du relativisme actuel, mais ce n'est pas toujours le cas". Et l'on retrouve ici le cliché typique des anticléricaux du XIXe siècle : celui qui se montre vertueux est un pharisien qui cache des vices impurs, tandis que celui qui semble vicieux et immoral est en fait bon et n'a besoin que d'être accepté.

Voici donc les "bienheureuses Imeldas" - je suppose que vous faites référence à la bienheureuse Imelda Lambertini, une religieuse dominicaine décédée après avoir reçu miraculeusement la Sainte Eucharistie apportée en vol par les anges - c'est-à-dire les prêtres d'un monde irréel et irrévérencieux modèle de religiosité religieuse ostentatoire, qui fait « un visage de saint », à mettre devant « des séminaristes normaux, avec leurs problèmes, qui jouent au foot, qui ne vont pas dans les quartiers pour dogmatiser ». Mieux vaut un bon laïc qu'un mauvais prêtre, les mangeurs de prêtres du passé résumaient avec moins d'hypocrisie, sachant pertinemment que le paradoxe devait servir à stigmatiser la majorité des bons et non la minorité des mauvais.

Le commentaire de la rédaction de Vida Nueva est inquiétant : « Une fois ordonnés ces prêtres identifiés comme « rigides », comment sont-ils accompagnés pour entrer dans Vatican II ? Car, au fond, ils souffrent de ne pas pouvoir accueillir ce qui vient…».

En effet, il semble entendre parler un membre du Comité central du Parti communiste chinois : comment reprogrammer ces prêtres, les forcer à accepter les innovations du Concile ? Avec du chantage, de l'autoritarisme, de l'intimidation et surtout en leur montrant ce qui arrive à ceux qui ne cèdent pas. Les faire « adoucir » : « Il y a des gens qui vivent piégés dans un manuel de théologie, incapables d'avoir des ennuis et de faire avancer la théologie ». Pour "avoir des ennuis", comme l'affirme Bergoglio, il ne faut pas être hérétique ou corrompu, mais fidèle au Magistère, "pris au piège dans un manuel de théologie". Et il conclut par une de ses perles de sagesse : « La théologie stagnante me rappelle que l'eau stagnante est la première à se corrompre, et la théologie stagnante crée la corruption ».

La solution proposée par Bergoglio va dans le sens d'une sécularisation des instituts de formation cléricale : « Il faut mettre l'accent sur une formation humaniste. Ouvrons-nous à un horizon culturel universel qui les humanise. Les séminaires ne peuvent pas être des cuisines idéologiques. Les séminaires doivent former des pasteurs, pas des idéologues. Le problème des séminaires est sérieux».

Rappelons que les disciplines « humanistes » sont umanæ res et litteræ , et que « l'humanisation » d'une éducation laïque et universelle n'y est pour rien. Sans dire que si un séminaire ne dispense pas une formation intellectuelle et doctrinale - hâtivement définie comme "cuisine idéologique" - les nouveaux prêtres n'auront rien de nouveau à enseigner au monde, se rendant ainsi inutiles et superflus.

Bergoglio démontre une fois de plus qu'il dénonce le comportement des autres comme répréhensible, au moment même où lui-même l'adopte. En ce qui concerne la nécessité de privilégier la relation de l'évêque avec son troupeau, il ne se rend pas compte que ses propos sonnent moqueurs lorsqu'il déclare : « Vous voyez déjà que dans les nouvelles nominations d'évêques - non seulement en Espagne, mais dans le monde entier - je appliquer un critère général : une fois qu'un évêque est résidentiel et assigné, il est déjà marié à ce diocèse. Si vous en regardez un autre [si vous espérez un transfert], c'est "l'adultère épiscopal". Quiconque cherche une promotion commet un “adultère épiscopal”». Pourtant, des évêques aimés de leurs fidèles - comme Mgr Joseph Strickland au Texas - font l'objet d'intimidations et de visites apostoliques, dans le but de les destituer, les obligeant à démissionner.

L’entretien collectif aborde également le thème du tournant vert …

Oui, inévitable. «Pour novembre, avant la tenue du Sommet des Nations Unies sur le climat à Dubaï, nous organisons une réunion de paix avec les chefs religieux à Abu Dhabi. Le cardinal Pietro Parolin coordonne cette initiative, qui se déroulera en dehors du Vatican, dans un territoire neutre qui invite tout le monde à se rencontrer». Car – nous l'avons compris – l'important est de se rencontrer, de cheminer ensemble, « dans un lieu neutre » même si le chemin emprunté mène vers l'abîme. Et nous savons bien que "neutre" signifie ostensiblement non-catholique, dans lequel il n'y a pas de place pour Notre-Seigneur : l'empressement de Bergoglio à apparaître dans tous les événements ouvertement hostiles au Christ suffirait à comprendre à quel point il est complètement étranger, incompatible et hétérogène quant au rôle qu'il recouvre.

Que prévoyez-vous pour l'avenir immédiat?

Préparons-nous à un crescendo de provocations sans précédent : des bombes à retardement prêtes à exploser pour semer la désorientation, la confusion, la division. Mais préparons-nous aussi au réveil des consciences, d'abord des fidèles et du clergé, mais - Dieu nous en préserve - aussi de certains évêques, face à de telles énormités, pour la défense de l'Église du Christ. Très bientôt, nous aurons peut-être à nos côtés de braves gens honnêtes et bons qui ne peuvent plus se livrer aux divagations d'une secte d'hérétiques infidèles, sans espoir et sans charité. » (aldomariavalli.it)

3 août

Intervention de Mgr Vigano:

« Note de la rédaction : Le texte suivant est tiré du discours de Mgr Carlo Maria Viganò lors d’une conférence avec le mouvement politique Civitas à Pontmain, France, le 29 juillet 2023.

Ne croyez pas que je sois venu apporter la paix sur la terre ; Je ne suis pas venu apporter la paix, mais une épée. Je suis venu séparer le fils de son père, la fille de sa mère, la belle-fille de sa belle-mère : et on aura pour ennemis ceux de sa propre maison. – Mt 10 : 34‐36

( LifeSiteNews ) — Permettez-moi, chers amis, d’adresser mes salutations à tous les organisateurs de cette nouvelle édition de votre Université d’Été, en particulier au président de Civitas, Alain Escada ; aux intervenants, dont les interventions éclairent les différents aspects de la crise civile et ecclésiale actuelle ; et aux participants qui, par leur présence, confirment la détermination des bons catholiques à combattre le bonum certamen sous les bannières du Christ-Roi.

Ces rencontres de formation doctrinale, culturelle et sociale sont le signe d’un éveil des consciences et des cœurs : Quia hora est iam nos de somno surgere. Nunc enim propior est nostra salus, quam cum credidimus . C’est maintenant l’heure de se réveiller du sommeil, car notre salut est plus proche que lorsque nous avons accepté la foi pour la première fois (Rom 13:11).

La consistance du bien

Comme il y a une consistance du bien, il y a aussi une consistance du mal. Le bien, attribut substantiel de Dieu, a aussi sa propre consistance dans ce qui y participe : l’amour de la mère qui prépare le goûter de ses enfants ; la sollicitude du propriétaire de l’entreprise envers ses employés ; la préparation des cours par le professeur ; le dévouement du médecin aux patients; la disponibilité du prêtre dans le soin des âmes qui lui sont confiées – tout cela est conforme au bien.

Même repasser une chemise, entretenir le jardin, organiser une conférence, fêter un anniversaire avec ses proches devient cohérent avec ce que nous sommes, car nous nous comportons selon ce que nous sommes : Agere sequitur esse .

Ceux qui vivent dans le bien et donc dans le vrai ; ceux qui « respirent » le bien – des célébrations auxquelles ils assistent à l’église aux interactions avec leurs proches et à l’éducation dans la famille – n’ont pas besoin de vouloir faire le bien, car cela vient spontanément dans une bonne âme. Et c’est exactement ce que la grâce accomplit en nous, en transformant des actions qui sont en elles-mêmes moralement neutres – ou seulement humainement bonnes – en œuvres vertueuses, où l’habitude dans le bien devient vertu et tout imprègne notre vie ; et à ajouter aux actions bonnes dans l’ordre naturel ce quid qui les élève dans l’ordre surnaturel en les dirigeant vers une fin supérieure.

D’un autre côté, quand vous aimez le Seigneur, que pouvez-vous souhaiter de plus beau et de plus satisfaisant que de faire sa volonté ? Et quoi de plus motivant, dans nos relations avec nos prochains, que de leur faire connaître ce Vrai Saint qui est aussi suprêmement Bon et Juste ? Bonum diffusivum sui , selon l’adage scolastique : Le bien est en soi expansif, susceptible de se répandre. Cela nous est démontré par l’œuvre du Créateur, qui à partir de rien fait exister toutes les choses, visibles et invisibles. Cela nous est confirmé par l’œuvre du Rédempteur, qui tire l’homme rebelle en Adam de l’abîme de l’offense à la majesté divine par le sacrifice de l’Homme-Dieu.

La consistance du mal

Mais comme il y a une consistance dans le bien, il y a aussi une consistance dans le mal ; et ces actions que nous jugeons apparemment peu graves – si nous ne les contextualisons pas – s’avèrent être les rouages ​​d’un engrenage, peut-être marginal et petit, mais qui lui permettent de fonctionner, et sans lequel quelque chose se bloquerait.

C’est pourquoi le mal – qui est ontologiquement un non‐être, une absence de Bien – essaie de s’insinuer dans nos âmes à petits pas, obtenant des échecs progressifs, s’assurant qu’il ne suscite en nous aucune inquiétude ni aucun remords ; puis grandit et se développe comme un cancer. Et là où le bien apporte plus de bien, le mal appelle plus de mal, nous habituant à lui et à tout ce qu’il attire.

Les plans infernaux de l’élite mondialiste – dont nous avons vu qu’ils sont intrinsèquement mauvais – sont également cohérents les uns avec les autres, car ils sont motivés par la haine de l’adversaire envers le Christ. le projet de Bill Gates d’obscurcir le soleil et de vacciner la population mondiale ; le plan de Soros d’envahir les pays occidentaux par des hordes de musulmans et de saper la famille naturelle en finançant les mouvements éveillés et LGBT ; le plan de Klaus Schwab pour nous forcer à manger des insectes ou nous confiner dans des « villes intelligentes » de 15 minutes ; le projet de Harari d’effacer l’idée d’un Dieu transcendant et de composer une Bible « politiquement correcte » ; le plan de l’État profond pour centraliser le contrôle des citoyens au moyen de l’identification numérique, de la monnaie électronique et de la manipulation du vote ; Le plan de Bergoglio pour transformer l’Église en une agence de l’ONU.

Dans tout ce qui s’est passé ces dernières décennies sous une forme plus souterraine – et plus récemment de manière évidente – on peut voir un mensonge, une intelligence capable de s’organiser d’une manière qui apparaît à la fois infaillible et imparable. Car il faut bien l’admettre : celui qui a construit cette machine infernale, dont tous les engrenages semblent s’imbriquer parfaitement, fait preuve d’une intelligence supérieure, angélique, voire satanique.

La victoire apparente des méchants

Notre observation de l’efficacité organisationnelle des méchants ne doit pas nous effrayer, ni nous faire renoncer à lutter contre leurs plans. En effet, je crois que c’est précisément cette « perfection » dans le camp ennemi qui finira par constituer sa propre condamnation : Simul stabunt, simul cadent , dit l’adage latin – ils tiendront ou tomberont ensemble. Et il en sera bien ainsi, car le triomphe du mal est une fiction, une simulation, simplement la mise en scène d’une scène, une scène qui repose – comme tout ce qui vient de Satan – sur l’apparence et le mensonge.

Revenons un instant à Pâques de l’an 33 ap. J.-C. Plaçons-nous parmi ceux de Jérusalem qui ont été témoins de la crucifixion de Jésus, après l’avoir vu accomplir des miracles et des guérisons. Même sur le Golgotha, en l’absence des apôtres, la mise en scène de Lucifer aurait dû entériner la défaite du Messie, la dispersion de ses disciples, l’envoi de son enseignement aux oubliettes et le désaveu de sa divinité.

Mais précisément sur la Croix, instrument de mort et d’infamie, le sort de l’humanité a été renversé par celui qui par la mort du corps a rendu la vie à l’âme, et qui, se laissant clouer à ce bois, a cloué enfer à ça. O mors, ero mors tua . Notre nature, blessée par le péché originel, a du mal à comprendre que la victoire du Christ s’accomplit selon la logique de la charité plutôt que selon la logique de la haine, et que sa victoire est d’autant plus inexorable et définitive que nous ses enfants laisser plus de place à l’action de Dieu et moins de confiance dans les moyens humains.

Satan l’illusionniste

Ne jugeons donc pas l’apparente « vie heureuse de ceux qui sont mauvais » du Psaume 36 comme le signe d’une défaite inéluctable : cet impressionnant déploiement de forces, cette scénographie qui semble si réaliste, cette chorégraphie impressionnante, tout cela constitue la seule ressource dont le grand menteur peut puiser – l’illusion – et le seul moyen de nous faire croire qu’il est puissant et invincible. C’est un grand magicien, c’est certain : mais à ce titre il peut nous émerveiller en tant qu’illusionniste, nous tromper avec ses tours qui, une fois sortis de scène et vus au grand jour révèlent leur pathétique incohérence.

L’astuce de sortir un lapin d’un chapeau ou le spectacle d’une femme sciée en deux ne marchent que tant que le public reste à distance, se laisse tromper par la lumière tamisée et les gestes théâtraux du magicien – et c’est ainsi également avec les mantras du respect de l’environnement, de la santé des citoyens et de la fraternité universelle. En revanche, qui parmi les spectateurs d’un spectacle « magique » ou quelqu’un qui s’attarde dans le métro à regarder un artiste jouer au jeu des trois petites tasses penserait que les « trucs » sont réels ? Qui donnerait crédit à un docteur Dulcamara qui propose, comme dans l’œuvre de Donizetti, un médicament qui est « un remède contre les maux de dents, une liqueur admirable et un puissant destructeur de souris et de punaises de lit ? (Felice Romani, L’élisir d’amour, scène V, Dulcamara).

La fiction – ou, plus précisément, une vente frauduleuse, car c’est de cela qu’il s’agit – est la marque du commerce de Satan. Comprate il mio specifico, per poco ve lo do – Achetez mon article ; Je te le donne pour un peu d’argent . Ce marchand filou – et avec lui tous ses serviteurs, non moins occupés à vendre leurs breuvages – nous rappelle certains personnages qui, il y a encore quelque temps, sur les parkings des restaurants d’autoroute, offraient aux imprudents un magnétoscope pour quelques euros, qui se sont alors révélés être une enveloppe alourdie par une brique ; ou ceux qui, en échange d’une somme pour le traitement de la notarisation, promettent dans un e-mail de donner au lecteur l’héritage d’un millionnaire africain qui vient de décéder.

Mais si nous savons tous parfaitement que derrière ces promesses retentissantes il n’y a qu’une fraude contre nous, pourquoi y a-t-il encore ceux qui y croient ? L’efficacité de l’inoculation expérimentale de masse de sérum d’ARNm n’était-elle pas tout aussi manifestement fausse ? Le récit de la crise énergétique, obtenu en imposant des sanctions au plus grand exportateur européen de gaz naturel, n’est-il pas tout aussi ridicule ? La fraude environnementale n’est-elle pas grotesquement infondée ? Pourtant, en regardant autour d’eux, il semble que beaucoup, beaucoup de gens sont plus que disposés à croire les mensonges de ces Dulcamaras, ces colporteurs forains qui, du Forum économique mondial ou de la Fondation Bill & Melinda Gates, de l’Union européenne ou de l’Organisation mondiale de la santé, vantent les vertus de leurs filtres miraculeux : revenu universel, abolition de la pauvreté, défaite de la maladie et de la paix. Seulement pour découvrir que nous devons payer ce revenu universel en nous endettant et en abandonnant la propriété privée, que leur « abolition de la pauvreté » mène à la misère des individus et des nations, que Big Pharma veut que nous ayons un besoin chronique de soins médicaux, et que la paix du Nouvel Ordre Mondial signifie la guerre perpétuelle.

Comment était-ce possible ?

Beaucoup ces dernières années se sont demandé : comment était-il possible qu’une si grande partie de l’humanité ait pu consentir à tout cela ? Si l’on regarde en arrière – en remontant aux années 1980, par exemple, avant que la haute finance ne décide d’attaquer les nations européennes avec la privatisation des biens de l’État et avec la destruction définitive de la société et de la famille, qui avait déjà commencé bien avant -, cela semble presque impossible qu’en peu de temps l’ennemi aurait pu prendre des mesures aussi impressionnantes sans susciter de réactions et de résistance significatives. Et si nous écoutons les paroles de ceux que Roncalli appelait des prophètes de malheur, qui dès les premières séances de Vatican II ont annoncé l’apostasie à laquelle cela conduirait,

Et nous revenons ici à la fraude, à l’adultération de la foi, de la morale, de la liturgie, à la tromperie coupable de ceux qui, constitués en autorité, se révèlent ennemis de ceux qu’ils devraient au contraire protéger, et amis de ceux qu’ils devrait s’opposer ou se convertir. La chimère d’une fraternité dépourvue de la paternité commune de Dieu est démasquée comme fraude ; l’actuosa participatio qui a détruit le culte public en le protestantisant est une fraude ; le sacerdoce partagé des fidèles est une fraude, frauduleusement insinuée au concile pour affaiblir le sacerdoce hiérarchique ; la prétendue démocratisationde l’Église est fraude : Son Divin Fondateur l’a voulue monarchique, ce qu’aucune autorité humaine ne pourra jamais changer ; l’œcuménisme est aussi une fraude, par laquelle la majesté divine est humiliée au niveau de la prostitution, comme l’Écriture appelle avec éloquence les fausses religions. Tous les dieux des païens sont des démons (Ps 96:5), et les sacrifices des païens sont faits aux démons et non à Dieu (1 Co 10:20).

La bonne question

Essayons de reformuler plus clairement la question : « Comment a-t-il été possible que des peuples qui ont grandi dans l’héritage de la pensée grecque et romaine, à la lumière de la Révélation chrétienne et de la civilisation qu’elle a édifiée, aient décidé de croire à un faux mensonge flagrant, à savoir que la paix, la concorde, la prospérité et le bonheur loin de Dieu sont possibles ? En effet, se rangeant ouvertement du côté d’un ennemi que le Christ a déjà vaincu et vaincu ? »

En y regardant de plus près, nous aurions pu également poser cette question à Adam et Eve : « Vous étiez dans le paradis terrestre ; vous avez rencontré le Seigneur et lui avez parlé ; vous n’avez eu ni maladie ni mort; vous aviez une intelligence agile dans l’apprentissage et la compréhension ; tu n’étais pas sujet à la convoitise de la chair… tu avais tout, parce que tu avais Dieu : eh bien, comment as-tu pu croire le serpent, qui t’a promis qu’en désobéissant à l’ordre du Seigneur tu obtiendrais ce que tu avais déjà ? Quand il était évident qu’une créature rampante ne pourrait jamais rivaliser avec l’omnipotence du Créateur ?

On retrouve des promesses semblables dans les tentations auxquelles Notre-Seigneur a voulu se soumettre dans le désert : même dans ce cas, Satan offre au maître de toutes choses les domaines de la terre qui lui appartiennent déjà, osant lui demander en échange une acte d’adoration idolâtre aussi absurde qu’impossible. Tout cela sera à vous, si vous vous prosternez et m’adorez (Lc 4, 7). A ces absurdités dictées par un esprit pris au piège et obstiné dans la mauvaise volonté, le Seigneur répond en citant l’Ecriture, sans même daigner argumenter leur fausseté. Car avec le diable il ne peut y avoir de discussion : c’est une perte de temps. Satan doit être chassé et tenu à l’écart.

Le péché de l’homme moderne et contemporain

La fraude colossale qui a été ourdie contre l’homme moderne n’est en rien différente de celle qui a marqué la chute de nos premiers parents : croire le mensonge en tant que tel, renverser l’ordre divin. Nous n’avons pas été trompés par un nouveau mensonge, car la même tromperie est évidente depuis le début : devenir sicut dii en mangeant l’arbre de la connaissance du bien et du mal ou prétendre que les amputations chirurgicales peuvent transformer un homme en femme est sensiblement la même tromperie, comme offrir nos premiers-nés à Baal ou les tuer dans l’utérus pour ne pas augmenter l’empreinte carbone.

Ce que Satan nous demande, ce n’est pas tant d’accomplir une action répréhensible, mais de nous la faire faire en acceptant comme vraie qu’elle n’a pas de conséquences : jette-toi du haut de cette tour, et tes anges viendront te soutenir. Faites-vous vacciner avec ce sérum expérimental, et vous ferez un geste d’amour. Achetez un enfant avec une grossesse de substitution et vous serez un parent. Renoncez à votre liberté et vous serez libre. Achetez ce que vous ne pouvez pas vous permettre et vous endetterez pour toujours, et vous serez heureux. Enfermez votre mère âgée dans une maison de retraite et elle sera prise en charge par du personnel qui la fera se sentir bien. Laissez vos enfants changer de sexe et ils se sentiront comblés. Que l’État soit laïc et légifère sans condition de la part de l’Église, et la concorde régnera entre les fidèles de toutes les religions.

Aucune de ces promesses n’a même un semblant de vérité : ce sont toutes des mensonges, et à ce titre le Prince du Mensonge veut que nous les acceptions, car avec elles nous acceptons la subversion de l’ordre divin. C’est pourquoi ce n’est pas une erreur, mais un péché dont nous sommes moralement responsables.

Les conséquences d’accepter le mensonge

Le concept de tolérance du mal – qui, dans une société encore chrétienne, pourrait en quelque sorte admettre des exceptions limitées pour un plus grand bien – a été annulé par la société civile et l’Église lorsque, ayant perdu la référence transcendante du bien suprême et du saint vrai – le Seigneur Dieu – il n’y a plus de mal à tolérer, ni de propriété à protéger.

Car l’acceptation contemporaine à la fois de la vérité et de sa négation – le mensonge – est une contradiction logique, avant même d’être théologique. Et c’est le résultat d’un processus qui, je crois, mérite d’être analysé très attentivement.

Subversion par l’autorité

Le processus auquel je me réfère est cette séquence d’événements liés qui a conduit l’Église catholique – et avec elle les nations dans lesquelles les catholiques sont présents et socialement pertinents – à personnaliser la relation des fidèles avec Dieu là où elle avait été publique – par le culte, le; liturgie – et de collectiviser, pour ainsi dire, la relation des fidèles avec Dieu, quand elle avait été personnelle – conversion, prière, méditation, expérience ascétique et mystique.

Cette inversion – empruntée aux protestants – fait en sorte que l’action du culte public de l’Église devienne un moment d’auto‐célébration d’individus et de groupes, et non la voix chorale de l’Épouse ; et en même temps elle annule l’union intime de l’âme avec son Seigneur – qui ne peut être atteinte que dans le souvenir individuel – pour exalter une « communauté », lui donner la consistance et l’attrait d’une « marche ensemble », même si la marche n’a pas de but.

La normalité hiératique, qui se dresse au-dessus du temps et de l’espace, cède au caractère provisoire de l’expérience, au résultat inconnu, à la créativité pathétique ou à l’improvisation sacrilège. Et ce principe s’étend nécessairement à la vie civile, où le témoignage du catholique non seulement n’est pas nécessaire, mais est bien à déplorer ; et où les dirigeants, même s’ils sont théoriquement catholiques, peuvent légiférer contrairement à la loi de Dieu et à l’Église. Parce que chacun d’eux est persuadé qu’il peut penser d’une manière et agir dans l’autre sens, alors qu’en réalité ils finissent par penser en fonction de leur comportement.

Le rôle de l’Église profonde

Tant que la hiérarchie de l’Église était fidèle à son mandat, toute persécution des gouvernements anti‐catholiques et révolutionnaires était affrontée avec honneur et fermeté, souvent même avec l’héroïsme du martyre, comme en Vendée, en Espagne, au Mexique, en Union soviétique. , et la Chine. Mais dès que Vatican II a « réinitialisé » la hiérarchie dans un sens libéral et progressiste, la hiérarchie elle-même a commencé à promouvoir la sécularisation de la société et l’exclusion volontaire de l’Église et de la religion de toutes les sphères de la vie civile, allant jusqu’à appeler à la révision des Concordats.

En l’espace de quelques générations, la civilisation chrétienne qui s’est construite grâce à l’Église catholique a été niée et oubliée, au point de saper les fondements du contrat social. Il ne s’agit pas de statistiques ou de chiffres – qui peuvent aussi être documentés – mais d’un changement radical de la société, des principes qui animent ses citoyens, des espoirs que les grands-parents et les pères ont pour les générations futures. Je parle de la capacité de nos grands-parents et de nos parents à renoncer à tant de conforts pour garantir une éducation ou un foyer à leurs enfants ; Je parle du décrochage de la famille par le divorce, de la création délibérée d’une crise économique qui rend impossible d’être autonome, de pouvoir se marier et d’éduquer des enfants, de savoir que l’autorité civile et religieuse sont amies,

Cela a également conduit des générations à perdre progressivement mais inexorablement tout cet héritage de comportements quotidiens, d’idiomes et d’habitudes qui étaient la traduction pratique de la manière d’être d’un catholique ; un abandon encouragé par ceux qui ont inculqué aux citoyens et aux fidèles un sentiment de honte pour leur passé, pour leur histoire, leurs traditions et leur foi. Il est déconcertant que cette trahison se soit accomplie sans aucune résistance, après avoir été imposée d’en haut tant dans la sphère civile que même, de manière inédite, dans la sphère ecclésiale.

La laïcité de l’État, avec laquelle les nations se débarrassent de la seigneurie du Christ, constitue la base philosophique et théologique sur laquelle pourrait être théorisée la dissolution de la société chrétienne : sans elle, le divorce, l’avortement, l’euthanasie, la sodomie, la manipulation génétique et le transhumanisme pourraient n’ont jamais été introduits dans la législation nationale. Et cela s’est produit avec le soutien décisif de l’Église profonde depuis les années 1960, et plus récemment avec l’asservissement total de la hiérarchie catholique à l’Agenda 2030 : comme l’a reconnu Mgr. Hector Aguer, ancien archevêque de La Plata en Argentine.

L’éclatement de la famille

Tout cela a disparu : aucun jeune membre d’une famille moderne n’a jamais entendu parler de la vie d’autrefois. Ce qu’on croyait. Ce qu’on espérait. D’autre part, où sont les grands-parents, qui jadis s’occupaient de leurs petits-enfants et leur transmettaient les souvenirs de leurs ancêtres, leur sagesse, leur simple religiosité ? Ce sont les grands-parents qui amenaient leurs petits-enfants prier devant l’image de Notre-Dame, leur enseignaient les prières, comment faire un examen de conscience, comment réciter un Requiem – « Seigneur, accorde-leur le repos éternel » – en passant devant d’un cimetière, le sens de l’obéissance aux parents, de l’honnêteté, du respect de sa parole.

La franc-maçonnerie a éliminé les personnes âgées, les transformant en marchandises pour le commerce des établissements de soins ou les exterminant avec le sérum génétique ou la ventilation forcée. Leur absence, depuis des décennies, s’est accompagnée d’une attaque frontale contre la femme, dans son rôle d’épouse et de mère : un autre élément de cohésion de la famille démoli, un autre rempart abattu. L’atteinte à la figure paternelle – autrefois calquée sur l’autorité et la bonté de Dieu le Père – s’est faite par la corruption des mœurs, par la pornographie et la promiscuité, et enfin – après avoir coupé le cordon ombilical qui lie la sexualité à la relation conjugale relation à des fins de procréation – l’homme, le mari, le père, le citoyen a été davantage détruit en stigmatisant sa « masculinité toxique », en l’efféminant, le castrer à la fois dans sa volonté et dans son intellect ; d’abord en plaçant le moyen (le plaisir légitime de l’acte conjugal) avant la fin naturelle (la procréation), puis en substituant le moyen à la fin.

Et les enfants, séparés de leurs parents qui travaillent, trouvent à la télévision, sur internet, sur les réseaux sociaux, via des applications, à l’école – voire partout – un nouvel oracle, une entité qui les décharge de la responsabilité de choisir et leur dit quoi penser , quoi vouloir et contre qui diriger leurs frustrations. Et inimici domini domestici eius – et ses ennemis seront ceux de sa propre maison (Mt 10:36). Cette entité – à laquelle le pouvoir voudrait attribuer des caractéristiques quasi divines, simulant les facultés de l’intelligence humaine – propose un nouveau credo écologiste, exalte de nouvelles vertus « vertes » et « éveillées », désigne de nouveaux maîtres, et célèbre ses liturgies. Parce qu’elle se présente comme une religion et comme telle exige des fidèles leur assentiment et leur obéissance à ses ministres.

La religion d’État

Le système d’endoctrinement s’est avéré efficace et, au cours de l’histoire, il n’a changé que quelques détails en raison des temps nouveaux ou du progrès technologique, mais il a toujours conservé son schéma d’origine. Et c’est ce schéma qu’il faut faire connaître, si l’on veut s’y opposer sous toutes ses formes : sanitaire, énergétique, climatique, guerrière, financière, religieuse. Un schéma indéniablement inspiré non seulement par l’annulation de la seule vraie religion, mais aussi par son remplacement par la religion luciférienne du progrès, de l’humanité, de la fraternité et de la Terre Mère.

Ne nous étonnons donc pas si le prétexte initial avec lequel la franc-maçonnerie sapait l’autorité de l’Église catholique au nom de la liberté religieuse s’effondre, laissant la domination incontestée – également reconnue au niveau institutionnel – de la seule religion compatible avec l’idéologie du Nouvel Ordre Mondial : le culte de Satan. Qui, après s’être caché pendant deux siècles derrière Prométhée et la déesse Raison, sort aujourd’hui publiquement au grand jour et revendique pour lui-même cette exclusivité qu’il avait reprochée à la véritable Église et lui avait déniée, au point de devenir la « religion d’État ». », imposant ses dogmes absurdes et ses fausses croyances à la communauté internationale, endoctrinant les enfants et les jeunes dans les écoles et obligeant les citoyens à se conformer à ses préceptes.

Il semble que l’on assiste à un renouveau mondial du paganisme comme sous le règne de Julien l’Apostat : une sorte de revanche des cultes idolâtres sur la religion du Christ, une revanche des ténèbres sur la lumière. Mais cela, on le sait, est ontologiquement impossible.

Lève-toi, ô Seigneur

Face à l’abdication de l’autorité civile, de nombreux groupes dans le monde s’organisent pour s’opposer aux violations des libertés fondamentales, les dénoncer là où c’est possible et coordonner l’aide à ceux qui sont ostracisés en raison de leur résistance. Ce n’est pas une substitution d’autorité, ni une forme de sédition : c’est la réponse nécessaire – en attendant des temps meilleurs – de ceux qui voient leur avenir, leurs biens et leur vie même menacés.

J’ai considéré qu’il était de mon devoir de pasteur de prendre une initiative similaire dans le domaine ecclésial, en fondant l’association Exsurge Domine pour contrer la persécution inversée et inversée que subissent les prêtres et les religieux traditionnels de la secte Bergoglienne en raison de leur fidélité à l’Église du Christ. , qui est aujourd’hui infesté de traîtres, d’individus corrompus et de mercenaires.

Exsurge Domine, sous mon patronage personnel, veut venir en aide aux clercs, religieux, moines et moniales qui ont été privés de leurs moyens de subsistance, expulsés de leurs monastères, et fait l’objet de persécutions de la part de leurs supérieurs parce qu’ils sont liés à la liturgie apostolique ou parce qu’ils ne veulent pas renier le charisme de leur ordre. Des curés qui du jour au lendemain sont éloignés de leur paroisse, des religieuses à qui Rome impose une abbesse progressiste, des clercs réduits à l’état de laïcs sans procès et avec des accusations calomnieuses : toutes ces bonnes âmes, amoureuses du Seigneur et fidèles à l’Église, ont besoin d’aide matérielle, de soutien spirituel et d’assistance juridique et canonique.

Je vous demande à tous d’être les promoteurs de cette initiative, avec vos connaissances et amis, et de contribuer selon vos possibilités au financement de notre premier projet : la construction d’un village monastique dans la province de Viterbe pour accueillir la Bénédictine communauté de Pienza. Votre soutien, ainsi que vos prières, permettront à ces bons prêtres et religieux de ne pas succomber aux purges bergogliennes et de pouvoir exercer le ministère ou suivre le charisme qu’ils ont généreusement choisi selon la volonté de Dieu.

Conclusion

Je voudrais terminer mon propos en évoquant ce lieu même, Pontmain, où le 17 janvier 1871, la Vierge Marie est apparue sous le titre de Notre-Dame de France.

Peu de temps après, le 18 mars 1871, la guerre franco‐prussienne se terminera par la défaite de Napoléon III et les émeutes du mois de mars suivant donneront lieu à la Commune de Paris. En cette circonstance la franc-maçonnerie française (d’inspiration socialiste et liée aux centres du pouvoir culturel) organisa une révolution qui fut cependant noyée dans le sang au mois de mai suivant suite à l’intervention du gouvernement de Versailles sur les ordres de la franc-maçonnerie anglaise (qui était libérale et liée à pouvoir institutionnel).

Aujourd’hui, ce fossé entre les différentes franc-maçonneries a été surmonté par un pactum sceleris qui les unit – concilium fecerunt in unum (Ps 70, 10) – dans le but commun d’achever l’établissement du Nouvel Ordre Mondial, prémisse nécessaire au règne de l’Antéchrist. .

La Sainte Vierge, dans son apparition à Pontmain, n’a rien dit. À ses pieds se trouvait un rouleau ouvert avec des lettres d’or qui disaient : « Priez, mes enfants. Dieu vous répondra très bientôt. Mon Fils permet que Son Cœur soit touché. Eh bien, aujourd’hui encore, ces paroles de réconfort restent vraies et valables : le Seigneur répondra très bientôt, car il y a beaucoup de bonnes âmes qui, dans cette phase d’apostasie et de crise d’autorité, se réveillent de la torpeur dans laquelle elles sont restées pendant beaucoup trop long.

La supercherie infernale du mondialisme est vouée à l’échec total : sur ce point il ne peut y avoir le moindre doute. La Babel de l’Ordre Nouveau s’effondrera sous le poids de ses mensonges, marque indubitable de l’œuvre du diable. La tâche qui nous incombe est de proclamer la vérité, de rappeler au monde que le salut ne vient que du Christ, Prince de la Paix, dont la Seigneurie sur les nations et sur l’Église, usurpée par une autorité rebelle et corrompue, doit être restauré.

Que la Très Sainte Vierge, Reine des Victoires et Médiatrice de toutes les Grâces, hâte la fin de cette tribulation, afin que s’accomplissent ses paroles prononcées à Fatima en 1917 : « A la fin mon Cœur Immaculé triomphera ».

+ Carlo Maria Viganò, archevêque »


Juillet 2023

27 juillet

LE POINT DE NON RETOUR

Peu importe ce qui ressort du synode des synodes, nous comprenons aujourd'hui que le rubicon a été franchi.

« Le simple fait que l’Église permette et encourage une réunion avec la densité institutionnelle d’un synode pour discuter de questions qui visent à modifier directement la foi et la morale telles qu’elles nous ont été transmises par les apôtres et défendues par tous les pères et maîtres est un signe retentissant que quelque chose de très profond s’est brisé ; une bonne partie, une très bonne partie dirais-je, de la hiérarchie n’a plus la foi. Pour eux, l’Église n’est qu’une organisation parmi d’autres, et tout ce qu’ils ont pensé et enseigné sur elle-même n’est rien d’autre que des fables compréhensibles des temps passés, mais absolument insoutenables aujourd’hui. » (caminante-wanderer).

Bergoglio mettra la touche finale en septembre avec la nomination de nouveaux cardinaux assez jeunes qui ont 20 ans devant eux pour continuer la destruction de l'Église.

Mais nous savons qu'ils ne sont rendront pas à ce point final car l'Église qu'a fondée le Christ ne peut disparaître.

C'est l'annonce des intentions qui est le point déterminant et cette limite est octobre 2024 pour le rapport et 2025 pour l'application des mesures du synode.

Comme prophétisé par Anne Catherine Emmerich, nous aurons ainsi deux églises: la traditionnelle et l'église conciliaire qui se sera adaptée aux goûts du monde, une église humaniste, où la majorité des fidèles suivent le faux prophète à l'aveugle, sans avoir conscience que l'Église est en crise, ou tout simplement pour les semi-éveillés, pensant que nous avons affaire à une autre « crisounnette » au sein de l'église... et que cela passera.

« Les deux Églises (caminante-wanderer)

...

Mais quel mystère que des articles comme celui-ci soient encore écrits alors que 95 % des fidèles ne réfléchissent pas une seconde à ces problèmes, existentiels pour nous. Le matin, je travaille dans une institution catholique et le soir, je lis The Wanderer. Le court-circuit est absolu : lequel des deux mondes est le vrai ? Celui du matin est rose, plein d’espoir, étranger à tout conflit de foi ou de curialité. Il vit dans une église de joie, de bonne foi, où je travaille entouré de gens généreux et de religieuses très pieuses. On y respire la vertu et la paix. Quel mystère mon Dieu!!!!

La situation décrite est bien réelle. Ceux d’entre nous qui sont conscients de la dérive catastrophique que prend l’Église depuis quelques décennies, et qui s’est encore accentuée sous le pontificat de François, sont peu nombreux, très peu nombreux. Le commentateur nous attribue avec une générosité excessive 5% du nombre total de catholiques. Je crois que nous sommes beaucoup moins nombreux.

La grande majorité vit dans un monde rose où tout va plus que bien et où nos évêques et le pape de Rome savent ce qui est le mieux pour l’Église. Et, comme l’indique également le commentaire, la grande majorité de ces catholiques sont de bonnes personnes, pieuses à leur manière, croyant en Dieu, pratiquant les vertus et animées des meilleurs souhaits pour leurs frères et pour l’Église elle-même. On peut à juste titre soutenir que beaucoup de ces aspects positifs sont basés sur l’émotionnel ; le même émotionnel qui les a conduits à accepter sans discussion la communion des divorcés (« Les pauvres ! Ils ont le droit de reconstruire leur vie ») et qui les conduira à accepter la bénédiction des couples homosexuels (« Ils sont si bons et ils s’aiment tellement ! »).

Mais sont-ils à blâmer ? Ce serait à discuter. Comme le dit le proverbe, « ce n’est pas la faute du cochon, mais de celui qui le nourrit ». J’ai cependant de sérieux doutes quant à l’opinion positive du commentateur sur les « religieuses très pieuses ». Je ne sais pas si c’est dû à l’influence de Castellani [Leonardo Castellani (1899-1981), sj, souvent cité par the Wanderer, voir sa biographie sans le biais du mainstrean ICI], mais je pense que les religieuses sont une espèce du genre féminin extrêmement dangereuse pour les autres et pour elles-mêmes.

Mais c’est la question sous-jacente du commentaire qui mérite réflexion : « Lequel des deux mondes est le vrai ? Le rose ou le sombre? Les 95% ou les 5%? ». Heureusement, les lecteurs du blog ne sont pas enclins à croire aux fantasmes de la démocratie et à la raison automatique des majorités, et nous savons, parce qu’on nous l’a dit et enseigné, qu’à un moment donné de l’histoire, ceux qui garderont la foi seront très peu nombreux, presque insignifiants.

Le problème n’est pas le nombre. Le problème est de savoir pourquoi certains d’entre nous voient – et sont certains de ce qu’ils voient – ce que d’autres ne voient pas. En fait, la question devrait être posée dans l’autre sens, puisque nous avons la certitude qui découle de l’évidence écrasante. Pourquoi les autres ne voient-ils pas l’évidence ? Et c’est là le grand mystère, comme le souligne le commentateur. Car il ne s’agit pas de voir quelque chose de caché ou une vérité obtenue au terme d’un raisonnement théologique complexe. Non. Il s’agit simplement de voir l’évidence, ce qui est tautologique, car c’est justement parce que c’est évident (ex-videre), que cela saute aux yeux, qu’on ne peut pas le nier. On ne peut pas ne pas le voir.

Je crois qu’une grande partie du monde ne le voit pas simplement parce qu’elle ne veut pas le voir, c’est-à-dire par un acte de volonté positive. C’est le cas dans le monde conservateur et juanpabliste [de Jean-Paul II]. J’ai des contacts fréquents avec des amis appartenant à l’Opus Dei, dans toutes ses strates et dans tous ses âges, et il est impossible de leur parler de « crise de l’Église ». Ils ne parlent pas de ces questions, et quand on leur montre, presque à l’improviste, ce qui se passe, la réflexion la plus audacieuse que vous obtiendrez d’eux sera de dire : « Ce sont les misères de l’Église ». Cela règle tout, y compris leur conscience, et ils continuent à sourire dans ce monde de paraboles.

Et la situation est similaire dans le reste de l’univers conservateur : Légionnaires du Christ; Fasta [Fraternité des Groupes Saint Thomas d’Aquin], IVE [Institut du Verbe incarné] , Schönstatt, et probablement aussi kikos [de Kiko Argüello,  co-initiateur du chemin néocatéchuménal] et charismatiques, et tout le charivari qui ne manquera pas d’envahir Lisbonne [à l’occasion des JMJ] dans quelques semaines.

Mais un autre groupe, probablement la majorité, ne le voit pas parce qu’il ne peut pas le voir, parce qu’il n’en a pas la capacité. Ce sont ceux pour qui l’Église a été changée par inadvertance, et pour eux, être catholique, c’est vivre dans ce monde toujours rose où tout se résout par « prends ma main mon frère » et où il leur semble tout à fait normal que l’Église s’adapte continuellement aux modes et aux exigences ondoyantes du monde.

Ce sont ceux qui se sentent à l’aise dans des messes transformées en spectacles de guitares et de tambours, dans lesquelles l’Eucharistie n’est rien d’autre que le pain partagé de la communauté et dans des paroisses où la catéchèse a cessé d’enseigner les vérités de la foi pour former les enfants à être de bons frères et de bonnes sœurs pour tous les hommes. Bref, ce sont les « catholiques » qui vivent dans l’Eglise fondée lors du Concile Vatican II et qui, de même qu’un catholique né il y a un siècle ne reconnaîtrait pas comme catholique une messe d’aujourd’hui alors qu’il en reconnaîtrait une célébrée il y a un millénaire, ces nouveaux catholiques non seulement ne reconnaîtraient pas comme catholique une messe de 1960, ni un catéchisme ou un livre de dévotion de ces années-là, mais se réclameraient avec conviction d’une autre foi, désavouant celle enseignée par les apôtres.
Hésitant et inquiet au moment où j’écris ces lignes, la vérité est que le mystère signalé par le lecteur n’est pas si mystérieux que cela. En fait, la chose la plus logique est que « le court-circuit est absolu », car « lequel des deux mondes est le vrai? ».

Les deux le sont. Le problème vient de nous qui continuons à considérer que les deux mondes sont un seul et même monde et qu’ils devraient se ressembler. Deux Églises se présentent à nous, avec deux liturgies complètement différentes, deux théologies complètement différentes, deux symboles interprétés de manière complètement différente, deux morales complètement différentes, et nous pourrions continuer à souligner les distinctions. Le pontificat de Bergoglio n’a fait que décanter ce qui a commencé avec Vatican II et – soyons honnêtes – a été renforcé par le très long mandat de Jean-Paul II.

Il semblerait que les deux Églises soient désormais clairement délimitées, le même pape les confondant toutes deux : l’une, l’Église de la publicité et vendue au monde ; l’autre, avec à peine une poignée de fidèles, l’Église des promesses :


Il peut y avoir deux Églises, l’une, l’Église de la publicité, Église magnifiée par la propagande, avec des évêques, des prêtres et des théologiens médiatisés, et même avec un Pontife aux attitudes ambiguës ; et l’autre, l’Église du silence, avec un Pape fidèle à Jésus-Christ dans son enseignement et avec quelques prêtres, évêques et fidèles qui lui sont inféodés, dispersés comme des « pusillus grex » sur toute la terre. Cette seconde Église serait l’Église des promesses, et non la première, qui pourrait échouer. Un seul et même Pape présiderait les deux Églises, qui apparemment et extérieurement n’en seraient qu’une. Le Pape, par ses attitudes ambiguës, serait à l’origine de l’ambiguïté. En effet, d’une part, en professant une doctrine irréprochable, il serait le chef de l’Église des promesses. D’autre part, en produisant des actes équivoques, voire répréhensibles, il apparaîtrait comme encourageant la subversion et entretenant l’Église gnostique de la publicité.
*
Julio Meinvielle, De la cábala al progresismo, Salta : Editora Calchaquí, 1970. »

24 juillet

LE SCHISME

Mgr Vigano nous l’a indiqué dans sa dernière intervention.

La logique de Bergoglio est de « créer les prémisses d’un schisme, qu’il nie et déplore en paroles, mais qu’il prépare depuis longtemps. Bergoglio veut séparer, d’une manière ou d’une autre, la partie bonne des fidèles et des clercs de l’Église officielle ; et pour y parvenir, pour qu’ils se détournent du Sanhédrin moderniste, il a placé à des postes clés de la Curie romaine les personnes qui garantissent la pire gestion des dicastères qui leur sont confiés, avec le pire résultat possible et le plus grand dommage pour le corps ecclésial. »

Le katéchon décrit dans Saint-Paul avait la puissance de retenir l’homme de péché, le fils de la perdition, qui veut provoquer le schisme, afin d’isoler la Tradition, et ensuite l’excommunier.

C’est la mort des deux témoins de l’Apocalypse.

L’identification du katéchon nous permet de nous situer dans le calendrier de la fin des temps.

Benoît XVI était le katéchon, ce qui est abondamment documenté dans plusieurs de nos analyses.

Ce dernier le savait bien.

Il connaissait son rôle déterminant et sa démission ne fut pas un hasard.

A une « question pressante d’un journaliste allemand lui demandant pourquoi « il ne pouvait pas mourir », le Saint-Père ait répondu qu’il devait rester « comme un mémorial pour le message authentique de Jésus, comme une lumière sur la montagne » , avant de conclure « A la fin, le Christ vaincra » » (benoit-et-moi.fr)

L’apostasie est présente.

Le katéchon n’étant plus, le champs est maintenant libre pour le fils de la perdition qui s’est installé sur le trône de Saint-Pierre tel qu’annoncé aussi à La Salette.

C’est le destructeur de l’église tant de fois décrit dans les prophéties d’Anne Catherine Emmerich.

« La nomination du futur préfet de la foi exprime de manière significative ce que les gros titres cités au début veulent dire par la destruction de l’héritage de Benoît. Alors que François a écarté à la première occasion le cardinal Müller, appelé par Benoît, il hisse maintenant à ce poste, avec son acolyte argentin de longue date, quelqu’un qui a immédiatement annoncé une sorte d’autodémolition. Il veut modifier le catéchisme, relativiser les affirmations de la Bible, mettre le célibat en discussion. »

Nous découvrons aujourd’hui cet impie qui promulgue sa parole de vérité par ses « miracles de la technologie ».

« Le début a attiré l’attention. J’ai été impressionné par son engagement pour les pauvres, les réfugiés, pour la protection inviolable de la vie.

En même temps, le public étonné a observé que Bergoglio ne tenait pas beaucoup de ses promesses, qu’il se contredisait sans cesse et qu’il créait ainsi une confusion considérable. A cela s’ajoutent les nombreux cas où il a gouverné durement, destitué des personnes mal vues et fermé des institutions précieuses créées sous Jean-Paul II. »

Et nous savons que la fin n’est pas loin grâce au synode des synodes en cours.

C’est l’ultime épreuve de l’Église et au travers de ce calvaire nous découvrons finalement le vrai visage de Bergoglio.

« Bergoglio ne s’est pas rendu service avec cette affaire. Cela lui ôte toute crédibilité. On ne peut pas parler en permanence, Bible en main, d’amour fraternel, de respect mutuel et de miséricorde et en même temps piétiner ces vertus. »

« Dans son apparition cet impie sera, par la puissance de Satan, accompagné de toutes sortes de miracles, de signes et de prodiges mensongers, avec toutes les séductions de l'iniquité, pour ceux qui se perdent, parce qu'ils n'ont pas ouvert leur cœur à l'amour de la vérité qui les eût sauvés.

C'est pourquoi Dieu leur envoie des illusions puissantes qui les feront croire au mensonge, en sorte qu'ils tombent sous son jugement tous ceux qui ont refusé leur foi à la vérité, et ont au contraire pris plaisir à l'injustice. »  (Saint-Paul, Th 2)

Il est 15h pour l’Église. Elle se meurt. Les digues sont ouvertes avec les dernières nominations de Bergoglio aux postes clés pour avoir sa conclusion tant attendu.

Il a eu besoin de dix années pour imposer ses cardinaux à son éventuel successeur (alors qu’on sait qu’il est le dernier pape, par la prophétie de Jean XXIII et par la prophétie de Saint-Malachie sur la liste des papes) pour qu’il ait les mains liées avec son programme progressiste.

Aucun retour en arrière selon lui.

Et c’est bien ce que Satan veut, car ses paroles on le sait maintenant, s’adressent directement à la messe traditionnelle : aucun retour vers la messe traditionnelle possible.

Les extraits ci-haut sont du biographe de Benoît XVI, Peter Seewald qui était très proche qui ne cache plus les intentions de Bergoglio et qui confirme que les digues sont ouvertes. (vraiment percutant via benoit-et-moi.fr)

Seul l’intervention du Christ peut nous sauver.

Nous savons tous que 2024 sera l’année cruciale dans cette fin des temps avec la conclusion du synode des synodes.

Or, on ne pouvait anticiper que Bergoglio aurait l’intention de visiter l’Argentine en 2024 (car la Providence a éliminé l’intention première pour 2017).

On ne pouvait anticiper ainsi que le prophétie de Jean XXIII le concernant ne correspondait pas nécessairement à l’intention de Bergoglio d’être enseveli dans sa terre natale, mais peut-être au fait qu’il y trouvera la mort durant son voyage, d’où l’expression «à Rome ils ne voudront pas te donner ».

Jean XXIII (prophétie François) : « Ton règne sera grand et bref. Père, il sera bref mais il te mènera loin, dans la lointaine terre où tu es né et où tu seras enseveli.A Rome ils ne voudront pas te donner. »

« Et alors se découvrira l'impie, que le Seigneur (Jésus) exterminera par le souffle de sa bouche, et anéantira par l'éclat de son avènement. » (Saint-Paul, Th. 2, 8)

16 juillet

LA STRATÉGIE DE BERGOGLIO

Pour le dernier acte pour exécuter l'Église selon les écritures, il y avait deux possibilités telles que nous l'avions vu dans les analyses des dernières années: l'élimination pure et simple de la présence réelle (ou du moins son intention de la faire) par une nouvelle messe oecuménique, ou simplement en éliminant la branche saine de l'Église, la Tradition.

Or, Bergoglio semble choisir la deuxième voie, et sa stratégie de Bergoglio pour isoler et ensuite éliminer les traditionalistes est avancée par Mgr Vigano... exactement comme prédit par le regretté Serg Monast.

Tout est fait littéralement pousser les traditionalistes et les « deux témoins », c'est à dire ceux du clergé et des fidèles qui ont gardé la Foi dans la Loi et les Prophètes tel que nous l'a enseigné le Christ, vers la Fraternité Saint Pie X, car la clique vaticaniste sait bien qu'il n'y aura jamais de compromis de ces derniers qui sera accepté pour les réintégrer dans l'église conciliaire.

Et lorsque ce sera fait, Bergoglio excommuniera la Fraternité, et les « deux témoins » seront officiellement morts, pour trois jours, comme décrit dans l'Apocalypse.

Et Satan pense qu'il aura triomphé.

Erreur... car Dieu a un magnifique plan pour le berner à l'image de la résurrection de NSJC.

« Quelle est la logique suivie par Bergoglio dans ses nominations ?

La logique de Bergoglio est très évidente : il veut créer les prémisses d’un schisme, qu’il nie et déplore en paroles, mais qu’il prépare depuis longtemps. Bergoglio veut séparer, d’une manière ou d’une autre, la partie bonne des fidèles et des clercs de l’Église officielle ; et pour y parvenir, pour qu’ils se détournent du Sanhédrin moderniste, il a placé à des postes clés de la Curie romaine les personnes qui garantissent la pire gestion des dicastères qui leur sont confiés, avec le pire résultat possible et le plus grand dommage pour le corps ecclésial.

Les restrictions progressives à la célébration de l’ancienne Liturgie servent à enfermer les conservateurs dans des réserves de chasse, pour les canaliser ensuite vers la Fraternité Saint-Pie X, dès que le Synode aura porté à leurs tragiques conséquences les changements doctrinaux, moraux et disciplinaires qui se préparent et auront provoqué un exode des catholiques vers ce qui, après la suppression ou la normalisation des Instituts Ecclesia Dei, deviendra le « monopole » de la Tradition.

Mais à ce moment-là – c’est-à-dire quand les catholiques traditionnels auront migré dans la Fraternité et que ses dirigeants croiront avoir remporté une victoire sur la concurrence de Summorum Pontificum (supprimé) – une nouvelle provocation intolérable obligera au moins une partie de la Fraternité Saint-Pie X à prendre ses distances avec la Rome bergoglienne, validant ainsi l’ « excommunication » du traditionalisme, qui n’est plus représenté au sein de l’Église officielle, si tant est qu’il l’ait jamais été. C’est pourquoi, à mon avis, il est important de maintenir une certaine parcellisation, afin de rendre plus complexe la manœuvre malveillante d’éviction des catholiques traditionnels du corps ecclésial.

Diaconesses, abolition du célibat ecclésiastique, bénédiction des couples homosexuels, tolérance de la polygamie, théorie du gender, idéologie LGBTQ, panthéisme écologique à la Teilhard de Chardin : tels sont les points de discorde que Begoglio ouvre délibérément entre l’aile conservatrice (mais pas traditionnelle, déjà distante ou dépassée) et l’aile ultra-progressiste. Son but est de créer l’affrontement, de le laisser grandir, d’encourager par des nominations et des promotions les partisans des cas les plus extrêmes, puis d’assister à la réaction prévisible de condamnation des quelques bons évêques, prêtres et religieux restants, qui, face à l’écueil-Bergoglio, auront deux choix : retourner souffrir en silence ou se lever, dénoncer la trahison de la Vérité catholique et être contraints de quitter leur poste et d’exercer leur ministère dans la clandestinité ou au moins dans une apparente irrégularité canonique.

Une fois les pasteurs gênants ostracisés et les fidèles conservateurs écartés, la hiérarchie bergoglienne pourra exercer un contrôle total sur le clergé et le peuple, certaine de l’obéissance des laissés-pour-compte. Et cette secte, qui de catholique n’aura plus que le nom (et peut-être même plus), éclipsera totalement l’Épouse de l’Agneau, dans le paradoxe d’une Hiérarchie traîtresse et corrompue qui abuse de l’autorité du Christ pour détruire son Église.

C’est ce que souhaitent les commanditaires de Bergoglio et de ses minion [sic!] mais le sensus fidei du peuple saint de Dieu pourrait conduire beaucoup à rejeter cette fraude et à participer à une action de résistance ferme et de dénonciation résolue. Le Seigneur permettra que l’Église paraisse morte, que les forces de l’enfer croient l’avoir vaincue, parce qu’il veut que le Corps mystique suive le chemin de la Croix et de l’Enterrement, comme son divin Chef, s’il veut le rejoindre dans la gloire de la Résurrection.

On dit que le Collège des cardinaux, tel que voulu par François, représente l’Église universelle : vraiment ?

Si l’on soumettait un questionnaire anonyme aux éminents membres du Collège des cardinaux, dans lequel ils devraient répondre par « vrai » ou « faux » à une série de propositions sur lesquelles le Magistère s’est déjà infailliblement exprimé, on découvrirait avec horreur que la majorité absolue, voire la quasi-totalité des cardinaux ne sont pas « catholiques », tout court. Et dans le nombre de ceux-ci, je crois que nous trouverions aussi quelques conservateurs. L’hérésie notoire de nombreux prélats est confirmée par leurs propres déclarations, devant lesquelles Bergoglio s’est bien gardé d’ouvrir la bouche, comme il sait le faire sans trop de scrupules à l’égard des quelques prélats restés fidèles.

L’actuel Collège des cardinaux est la quintessence de l’Église bergoglienne : ses membres représentent la large diffusion du modernisme et du progressisme conciliaire dans le monde. Mais ils ne sont certainement pas l’expression de l’Église universelle : d’abord parce qu’ils n’en font pas partie, ne serait-ce qu’en apparence, étant hérétiques ; ensuite parce que, par la grâce de Dieu, les fidèles et le clergé apprennent – après soixante ans d’horreurs [post-conciliaires], depuis dix ans encore plus évidentes – à ne pas prendre pour argent comptant tout ce qui sort de la bouche du pape, de l’évêque ou du curé. Ceux-ci, après avoir prêché la désobéissance au vrai Magistère, se retrouvent donc à subir les conséquences d’une désobéissance qui, cette fois, est bonne et légitime, parce qu’elle obéit au Christ.

Nous assistons à l’effacement systématique de toute une partie de l’Église – identifiable géographiquement, mais aussi idéologiquement – qui reste catholique : quelques évêques américains, avec leurs diocèses ; de nombreux évêques africains, fidèles surtout sur le plan moral ; et un nombre croissant de curés, de prêtres, de religieux et de religieuses qui se rendent compte qu’ils sont les prochaines victimes des purges de Santa Marta (…)

Tucho Fernández sera cardinal. Jusqu’à récemment, cela semblait être une plaisanterie. Ce n’est pas le cas.

Cela reste une plaisanterie, car ce qui se passe depuis dix ans relève plus de la farce que de la tragédie. Tout ce que la secte de Santa Marta enfante est une supercherie : la prétendue « démocratisation » du synode sur la synodalité, où les questions soumises aux communautés locales sont formulées de manière à obtenir les réponses souhaitées, toujours selon un dessein subversif précis qui part de Bergoglio lui-même. L’implication des femmes dans le gouvernement de l’Église est un mensonge : c’est contraire à la volonté de Notre Seigneur et aucun pouvoir, aussi tyrannique et autoritaire soit-il, ne peut changer le sujet du sacrement de l’ordre. Les clins d’œil scandaleux des prélats et des clercs aux vices et aux modes de vie de la soi-disant « communauté LGBTQ » sont une tromperie : ils utilisent les faiblesses des laïcs égarés par l’idéologie woke pour légitimer leurs péchés personnels, qui émergent tôt ou tard dans leur prosaïsme embarrassant. Fernández lui-même, qui courtise Bergoglio depuis des années avec des déclarations publiques d’estime, de confiance en sa capacité réformatrice, de certitude de l’inexorabilité de son action « prophétique » (dans le néo-langage du Concile, synonyme d’ « hérétique ») en tant que Pasteur suprême de l’Église, est lui aussi un personnage construit.

Fernández est à Bergoglio ce que Zelenskyj est à Biden : des marionnettes dans les mains de marionnettes. Les ficelles sont toujours tirées par cette même élite subversive qui relie la Maison Blanche au Vatican, les courriels de Podesta à l’abdication de Ratzinger, l’État profond à l’Église profonde, Nancy Pelosi au « père » James Martin sj.

Il ne fait aucun doute que Fernández a été placé à la tête de l’ancien Saint-Office pour ne rien faire de ce que devrait faire le préfet de ce très important dicastère, aujourd’hui rétrogradé. Il fera exactement le contraire: il encouragera les hérésies et les déviations morales des théologiens en vogue aujourd’hui, des évêques impatients de déménager à l’hôtel Santa Marta, des partisans de la théorie du genre ; et en revanche, il agira avec une fermeté impitoyable pour le prêtre qui critique une déclaration hérétique de Bergoglio ou de l’un de ses protégés, pour l’évêque qui dénonce les déviations du Synode, pour le professeur de séminaire qui enseigne encore les actes magistériels antérieurs à Vatican II. Nous verrons jusqu’où ira le zèle de ce Fernández pour plaire à son commanditaire, et combien de temps ceux qui sont visés par les talibans de la Pachamama supporteront ces attaques sans y répondre, voire en les ignorant tout simplement....

La crise actuelle est le châtiment par lequel le Seigneur punit l’Église et le monde de l’infidélité de ses ministres et des gouvernants des nations. Nous considérons ce fléau comme le geste sévère d’un Père trop longtemps offensé, mais qui veut encore nous sauver. La conversion est la seule voie possible : revenons à Dieu, avant que la Miséricorde ne cède à la Justice. » (benoit-et-moi.fr)

12 juillet

UN TEMPS, DEUX TEMPS, ET UN DEMI TEMPS

« ... « Ouvrons ces deux foutoirs que sont le Droit canonique (celui de ’83) ou le Catéchisme (de ’94), pour en retirer beaucoup de choses inutilisables et faire de la place pour en mettre et en ajouter d’autres qui sont nécessaires pour assurer la continuité du cheminement synodal.

Le Nouveau Code de 83 et le Nouveau Catéchisme (de 94) sont souvent qualifiés de nouveaux “ratzingerianamente” [ndt – je comprends: nouveautés ratzingeriennes, de toute façon, l’allusion est claire] , mais ils ne sont pas si nouveaux, parce que sur de nombreux points ils ne sont pas en accord avec Lumen Gentium et Gaudium et Spes.

La révision de ces deux textes est un sujet incontournable pour la réalisation de la synodalité ecclésiale. Entre les deux synodes sur la famille qui ont précédé Amoris laetitia, le pape François a publié le Motu proprio « Mitis Iudex Dominus Iesus », par lequel il a anticipé le tournant pastoral du droit canonique, que ces synodes n’ont pas encore pu aborder, se limitant à sauver de justesse les décisions de discernement au for interne. » (benoit-et-moi.fr)

Nous avons vu dans les analyses précédentes que l’humanisme était intégré au code du droit canonique par Jean Paul II en 1983 et que la limite du diable était 2025.

Or, ce synode de 2023-24 s’attaque directement à ce droit canon ou plutôt tend vers la modification complète de ce dernier et ainsi transformer l’église conciliaire en église de Satan, d’où l’extraordinaire tour de passe passe inimaginable, qu’on qualifie de mystère de l’iniquité dans l’Apocalypse.

D'ailleurs, Bergoglio a annoncé un nouveau consistoire pour nommer 19 nouveaux cardinaux en septembre, juste avant le synode d'octobre, et plusieurs de ceux-ci y auront droit de vote, dont le fameux Mgr Fernandez.

Tous sont des progressistes, et Bergoglio n'a jamais ou presque nommé de cardinaux conservateurs depuis son intronisation, contrairement à ses prédécesseurs, pour avoir un équilibre au prochain conclave.

Il n'y aura pas de retour en arrière affirme-t-il et il prend les moyens pour que cela n'arrive pas.

Nous savons que les deux Babylone Nations-Unies et Vatican forment le système antichristique 666, la bête, avec à sa tête des personnifications humaines tel que Bergoglio.

Les derniers moments de la fin des temps sont caractérisés par un compte d’un temps, deux temps et un demi temps (voir analyse 24 octobre 2022).

Le demi temps est la période cruciale, ultime qui représente le temps de la purification dans l’Apocalypse (les 7 sceaux, 7 coupes, 7 trompettes) et dans les prophéties de Jean XXIII (sept fois, sept fois, sept fois).

Le chiffre 6, celui de l’homme déifié dans sa trinité (666=18), est purifié par 6X3,5 (ce qui donne 21 ou 777).

Rappel du décompte selon l’hypothèse d’octobre 2022 : un temps (1962-1983), deux temps (1983-2025), et un demi temps (ou nul ne connaît le jour ni l’heure), soit 1962 plus 21 ans, plus 42 ans pour 2025.

Nous savons grâce au miracle du soleil du 13 octobre 1917 que la purification se fera par le feu, et probablement que le soleil y occupera une grande place.

Le code de droit canonique de 1917 a été promulgué le 27 mai 1917 (peu après la première apparition de Fatima donc) et a donc été modifié en 1983.

Nombres d’années entre le 27 mai 1917 et le 27 novembre 1983 : 66 ans et 6 mois.

Le cycle solaire 25 devait atteindre son apogée en juillet 2025.

Or, tout s’accélère et les scientifiques prévoient donc le maximum solaire pour la fin 2023, début 2024.

En effet, 2023 est particulièrement actif du côté solaire...

« LE COMPTE DE TACHES SOLAIRES A ATTEINT UN SOMMET EN 21 ANS : Le soleil fait la fête comme en 2002. C'est la dernière fois que le nombre de taches solaires était aussi élevé qu'aujourd'hui. Le nombre moyen mensuel de taches solaires pour juin 2023 était de 163, selon le Centre d'analyse des données sur les influences solaires de l'Observatoire royal de Belgique. Cela éclipse chaque mois depuis septembre 2022 :
On ne s'attendait pas à ce que le cycle solaire 25 soit aussi fort. Lorsqu'il a commencé en décembre 2019, les prévisionnistes pensaient qu'il s'agirait d'un cycle faible semblable à son prédécesseur immédiat, le cycle solaire 24. Si cette prévision s'était avérée exacte, le cycle solaire 25 serait l'un des cycles solaires les plus faibles depuis un siècle. Au lieu de cela, le cycle solaire 25 a dépassé le cycle solaire 24 et pourrait être sur le point de rivaliser avec certains des cycles les plus forts du 20e siècle. La dernière fois que le nombre de taches solaires était aussi élevé, le soleil était sur le point de lancer les grandes tempêtes d'Halloween de 2003, qui comprenaient la plus forte éruption solaire à rayons X jamais enregistrée (X45), des aurores aussi loin au sud que le Texas et un CME si puissant, il a finalement été détecté par le vaisseau spatial Voyager aux confins du système solaire. » (spaceweather.com)
https://spaceweather.com/

« Les tempêtes solaires d'Halloween étaient une série de tempêtes solaires impliquant des éruptions solaires et des éjections de masse coronale qui se sont produites de la mi-octobre au début novembre 2003, culminant vers les 28 et 29 octobre. Cette série de tempêtes a généré la plus grande éruption solaire jamais enregistrée par le système GOES, modélisée aussi forte que X45 (initialement estimée à X28 en raison de la saturation des détecteurs de GOES)…

L'une des tempêtes solaires a été comparée par certains scientifiques dans son intensité à l'événement Carrington de 1859. Ces événements se sont produits pendant le cycle solaire 23, environ trois ans après son pic en 2000, qui a été marqué par une autre occurrence d'activité solaire connue sous le nom d'événement du 14 juillet. » (wikipedia.org)

« La tempête solaire du 14 juillet était une puissante tempête solaire du 14 au 16 juillet 2000 pendant le maximum solaire du cycle solaire 23. La tempête a commencé le jour de la fête nationale de la France, le 14 juillet. Il s'agissait d'une éruption solaire, d'un événement de particules solaires et d'une éjection de masse coronale qui a provoqué une violente tempête géomagnétique. » (wikipedia.org)

Il y a eu plus d’éjection de classe X, la dernière en date du 3 juillet, que dans les six premiers mois de 2023 que dans toute l’année 2022.

Le réchauffement climatique a le dos large…

Et si Dieu était en train d’agir?

Car il fut prouvé par la NASA que toutes les planètes de notre système solaire se réchauffent…

Présentement il y a des canicules sous-marines inhabituelles, dont une d’une ampleur jamais vue en Atlantique Nord

Des sécheresses un peu partout dans le monde (la moitié des récoltes de maïs perdues dans le mid-ouest américain cet été) qui côtoient des orages et des trombes d’eau ailleurs (il faut bien que cet eau évaporé aille quelque part).

Le phénomène El Nino est de retour… et il fait référence à l’enfant Jésus...

L’arctique canadien a des températures de 10 à 18 degrés au-dessus des normales.

Des feux de forêts sur des territoires immenses en mains endroits.

Et, on vient de le voir, octobre 2024, soit la fin du synode moins 2003 donne 21, le chiffre de la purification 777.

De plus, la tempête d’Halloween, fête satanique en soi, a eu lieu le 28 octobre, jour d’élection de Jean XXIII qui a parti le bal de Vatican II.

Or, entre le 28 octobre 1958 et 2024 il y a exactement 66 ans.

Notons aussi qu’entre ce 28 octobre 1958 et le 27 avril 2014, date de la canonisation de Jean XXIII, il y a exactement 666 mois.

Ce fut un signe donné pour nous indiquer que nous étions en présence du système antichristique 666 depuis Vatican II.

Et la tempête d’Halloween 2003 faisait partie du cycle solaire qui avait débuté par l’événement de la Bastille en 2000.

Or, on le sait, les deux derniers bastions catholiques à éliminer sont le Vatican et la Fille aînée de l’Église.

Du 28 octobre 1958 au 28 juillet 2023, il y aura exactement 777 mois depuis l’élection de Jean XXIII.

Nous sommes sur le point d’entrer dans le 7 ème sceau, la prophétie #11 de l’Église selon Jean XXIII.

6 juillet

Bergoglio a réalisé l’impensable en nommant un de ses proches au sommet du dicastère (notez la préparation qui avait eu lieu avant en changeant le nom de «congrégation» à «dicastère» pour couper le lien avec l’ère de Benoît XVI, basée entièrement sur la doctrine) pour la doctrine de la foi.

C’est le dernier mouvement avant le synode qui annoncent définitivement les intentions bergogliènnes : la destruction totale de l’église ou en fait, sa transformation subtile en église de Satan.

«  Je vis qu’un certain nombre de pasteurs acceptaient des idées dangereuses pour l’Église. Ils construisaient une grande Église, étrange et extravagante. N’importe qui était accepté, afin de s’y joindre et d’avoir les mêmes droits: les évangélistes, les catholiques, les sectes de toutes croyances. Ce devait être la nouvelle église … mais Dieu avait d’autres projets … » (Anne Catherine Emmerich)

Les analyses pleuvent sur les sites dédiés au Vatican.

En voici quelques unes :

« On peut se poser avec appréhension la question du devenir de ce dicastère central de la Curie romaine, sachant que si cette Congrégation change, c’est toute l’Église qui change« . En effet  » La CDF (ou ex-CDF] n’est pas un centre culturel, elle n’anime pas la recherche théologique, elle ne provoque pas de débats et n’initie pas de processus de confrontation. C’est plutôt le contraire qu’il faut dire. La Congrégation dit le dernier mot et clôt, sur ce point, la recherche, le débat et le processus« . C’est tout cela qui va être bouleversé avec l’arrivée du sicaire du Pape – une arrivée soigneusement programmée par l’intéressé lui-même. » (benoit-et-moi.fr)

« la personne de Fernández et la mission spécifique qui lui est confiée par la lettre de nomination sont taillées sur mesure pour l’assemblée plénière du Synode qui débutera à l’automne… Fernández est la bonne personne pour dédouaner enfin, en douceur, la ligne que Mgr Paglia a adoptée pour l’Académie pontificale pour la vie et l’Institut Jean-Paul II. C’est un fanatique du discernement supra todos, du cas par cas, de la non-existence d’actes intrinsèquement désordonnés. Bref, il est le clone non seulement de François, mais aussi de Paglia ». » (benoit-et-moi.fr)

« Mgr Fernandez, il y a 8 ans:

« « J’ai lu que certains disent que la Curie romaine est une partie essentielle de la mission de l’Eglise, ou qu’un préfet du Vatican est la boussole sûre qui empêche l’Église de tomber dans la pensée light; ou bien que le préfet assure l’unité de la foi et garantit au pape une théologie sérieuse. Mais les catholiques, en lisant l’Evangile, savent que le Christ a assuré un guide, et une lumière spéciale au Pape et à l’ensemble des évêques, mais pas à un préfet ou à une autre structure. Quand on entend dire des choses de ce genre, il semblerait presque que le Pape soit un de leurs représentants, ou quelqu’un qui est venu déranger et qui doit être contrôlé».

[François] a sans doute un objectif que nous ne comprenons pas encore. Il faut savoir qu‘il vise à des réformes irréversibles. Si un jour, il avait l’intuition qu’il lui reste peu de temps, et qu’il n’en a pas assez pour faire ce que l’Esprit lui demande, vous pouvez être sûr qu’il accélérera».

La chose qui me préoccupe le plus, c’est que les théologiens n’offrent pas de nouvelles analyses sur l’Église, sur le sens théologique de ses structures, sur le statut des Conférences épiscopales des pays et régions, et sur la vraie place de la Curie romaine en relation avec le Pape et avec le Collège des évêques

Non, on ne revient pas en arrière. Si François n’était plus pape et quand il ne le sera plus, son héritage reste fort. Par exemple, le pape est convaincu que ce qu’il a déjà écrit ou dit ne peut être puni comme une erreur. Donc, à l’avenir tout le monde pourra répéter ces choses sans la crainte de recevoir des sanctions. »  (benoit-et-moi.fr)

« Mgr Fernandez n’a pas de doctrine et sa foi catholique est plus que douteuse.

La première affirmation est prouvée si l’on s’approche de l’un des exemplaires de son abondante production bibliographique. Nous ne parlons pas ici de son ouvrage le plus connu, El arte de besar (L’art du baiser). Choisissez n’importe lequel de ses autres livres et vous verrez qu’ils sont toujours volumineux et adaptés à la lecture de religieuses âgées et désenchantées ; une sorte d’auto-assistance légère avec une coloration chrétienne. Quant à sa foi, si l’on écoute ce qu’il dit dans ses homélies ou ce qu’il écrit dans la presse, il n’est pas téméraire de douter du caractère catholique de ce qu’il croit. Le cardinal Müller lui-même, en 2016, en tant que préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi, l’a qualifié d’hérétique (sogar häretisch). En d’autres termes, c’est un hérétique – selon la qualification du cardinal – qui sera chargé de veiller à l’orthodoxie de la foi catholique. Personne n’aurait pu imaginer une situation plus absurde, ni Mgr Robert Benson, ni Hugo Wast [écrivain argentin, 1883-1962], ni Soloviev, ni Castellani [Leonardo Castellani, écrivain et poéte argentin, 1899-1981]. La réalité, une fois de plus, dépasse la fiction. » (benoit-et-moi.fr)


« ( LifeSiteNews ) -  L’archevêque argentin Hector Aguer a comparé le Synode et la Synodalité à «l’Agenda mondialiste 2030» de l’ONU et au schisme protestant.

Dans une lettre publiée par Rorate Caeli, Aguer a critiqué le nouveau document de travail , ou Instrumentum Laboris (IL), du Synode sur la synodalité, qui souligne la nécessité « d’ accueillir ceux qui se sentent exclus de l’Église en raison de leur statut ou de leur sexualité ».
Aguer a déclaré que « l’Église synodale formule une glose progressive sur l’Évangile ».

« L’ Instrumentum Laboris  définit comment assumer ecclésialement l’ Agenda 2030 mondialiste « , a-t-il déclaré. « Il est admirable de voir comment la monarchie pontificale fait dire à la ‘démocratie synodale’ exactement ce qu’elle veut que cette ‘démocratie’ dise. C’est quelque chose comme lancer une pierre et cacher la main.

Il a noté qu’à travers le Synode « l’Église catholique commence tardivement à suivre la voie ouverte par la Réforme protestante, à une époque où le protestantisme a depuis longtemps été englouti par le monde ».
« C’est le moment de citer ce qu’un luthérien danois qui fut un grand philosophe chrétien, Soren Kierkegaard, écrivait dans son Journal en 1848 : « En ce moment, alors qu’il est question de réorganiser l’Église, on voit combien il y a peu de christianisme dedans », a poursuivi l’archevêque.

Aguer a en outre critiqué la participation des laïcs au processus synodal, en particulier des laïques, et a estimé que « les vocations sacerdotales ne sont plus une priorité » dans « l’Église synodale ».

« L’itinéraire de la future Assemblée, déjà préparé depuis deux ans, fait parler et voter la ‘foule’ — surtout et de manière inédite la féminine », écrit-il. « C’est ce que j’ai sous-entendu avec l’exemple bien connu de la pierre. Lorsque la conception de cette autre Église sera achevée, le Souverain Pontife, face aux critiques qui ne manqueront pas, pourra dire : « Je ne l’ai pas fait » !
Aguer a déclaré que la nouvelle ecclésiologie appelée «synodalité» est ambiguë car elle n’indique pas clairement dans quelle direction l’Église est censée aller.

« Le but, alors, peut être la nouvelle Église progressiste, à contre-courant de la grande Tradition ecclésiale », a écrit l’archevêque.

« L’un des sujets à l’ordre du jour, qui attire rapidement l’attention, est » comment l’Église peut-elle être plus réceptive aux personnes LGBTQ + «  », a-t-il déclaré, notant que l’expression » personnes à tendances homosexuelles « qui a été utilisée dans le Catéchisme et d’autres documents de l’Église est remplacé par ce nouveau terme idéologique « personnes LGBTQ+ ».

Aguer a conclu que «la vérité objective et la reconnaissance des préceptes par lesquels la vertu et le péché sont jugés et reconnus ne comptent plus». Au contraire, « ce qui compte maintenant, c’est ce que ressentent ceux qui se considèrent comme exclus ; c’est leur sentiment qui compte, pas l’ état objectif dans lequel ils se trouvent.

« Le programme synodal, comme celui du Synode allemand, dessine une autre Église, hétérogène par rapport à la grande et unanime Tradition », a-t-il déclaré.

Aguer a mentionné qu’il connaissait personnellement le pape François depuis 45 ans. Il a comparé François et les auteurs des documents du Synode à des « causes secondes » par lesquelles Dieu permet que le mal se produise.

« Je reconnais et vénère François comme Successeur de Pierre, Vicaire du Christ », écrit-il. «Mais François est toujours Jorge Bergoglio. Maintenant, je connais Jorge Bergoglio depuis 45 ans. Il est une ’cause seconde’. »

On voit bien dans ce témoignage la prophétie d’Anne Catherine Emmerich qui s’exécute.

Juin 2023

25 juin

Le temps est proche.

Le calendrier de la fin des temps se précise.

Nous avons pu le constater avec ce brouhaha en Russie hier déclenché le jour de la Saint-Jean Baptiste, l’annonciateur du Christ.

Babylone Nations-Unies marche main dans la main avec Babylone Vatican et son synode.

Le document de travail du synode vient d’être publié, le 21 juin, soit 60 ans après l’élection de Paul VI en 1963, une autre preuve du veuvage de l’église.

« Attention, avis de tempête, révolution dans l’Église en vue

Depuis le début de ce pontificat, on se demandait quand cela allait arriver, et certains journalistes audacieux faisaient même des titres sur le pape « démolisseur », mais on ne voulait pas encore y croire, mettant cela sur le compte de la recherche d’un scoop, voire des délires complotistes de méchants conservateurs.

Là nous y sommes. Au moment où le physique du Pape le lâche et où la perspective du conclave semble une réalité chaque jour plus concrète, le synode qu’il a voulu risque de constituer l’estocade finale. L’Instrumentum Laboris du prochain « synode sur la synodalité » qui vient d’être publié envisage une série de bouleversements reposant (si l’on peut dire!) sur « l’inversion totale de la hiérarchie habituelle de la prise de décision ecclésiale au profit des laïcs » (Le Figaro). Cela inclut l’ordination d’hommes mariés, le diaconat féminin (en attendant plus), l’accueil de TOUS, y compris les LGBT, la mise sous tutelle des évêques par les laïcs. J’en passe.

Maintenant, savoir si ces mesures qu’il n’est pas excessif de qualifier de révolutionnaires vont être, ou pouvoir être, appliquées, c’est une autre histoire. Les prêtres et les évêques vont peut-être enfin réagir, peut-être même se révolter. Même dans ce cas, François sera malgré tout parvenu à ses fins, annoncées depuis le début: initier des processus irréversibles. Bref, « fare casino »

Reste l’autre question: le Pape sera-t-il à même de mener lui-même ce projet à son terme? » (benoit-et-moi.fr)

« Instrumentum Laboris du Synode: les séminaires dans la ligne de mire

Alors que les séminaires se vident faute de vocations, et que les rares jeunes attirés par le sacerdoce sont rebutés par la piètre qualité de la formation, le document préparatoire au Synode sur la synodalité en rajoute une dose et risque de leur porter le coup final. Le point de vue d’un initié, le blog (précieux) Silere non possum.

… bientôt, il faudra bien que quelqu’un retourne à la Maison du Père et là, il faudra démêler toute la confusion qui a été créée et qui a transformé l’Église en un lieu où tout le monde parle de synodes mais où plus personne ne prie. » (benoit-et-moi.fr)

« Hier a été présenté l’Instrumentum Laboris du Synode qui débutera le 4 octobre prochain, sous la bannière du « cheminement » mais sans but. La seule chose certaine est qu’il s’agit d’un « processus » ouvert à toutes les conclusions, même les plus révolutionnaires. La vérité est remplacée par la relation. » (benoit-et-moi.fr)

« Le cardinal Raymond Leo Burke, ancien chef de la signature apostolique, a critiqué le prochain synode des évêques sur la synodalité pour l’ordre du jour derrière l’ambiguïté des prélats chargés de le diriger.

Dans une longue interview avec EWTN qui couvrait le synode sur la synodalité, les abus cléricaux contre les homosexuels, la messe traditionnelle en latin et le refus de la sainte communion pour ceux qui persistent dans un péché grave manifeste, le cardinal a déclaré qu’en plus des tentatives claires de changement des enseignements sexuels et moraux de l’Église, un problème avec le synode sur la synodalité est que les principaux cardinaux ne peuvent même pas articuler clairement le sens de la synodalité.

« Le fait est qu’il n’y a pas d’idée claire de ce qu’est la synodalité », a-t-il déclaré. « Ce n’est certainement pas un signe de l’Église. Les signes de l’Église sont un, saints, catholiques et apostoliques. »

Notant que le manque de clarté sur ce qu’est la synodalité a permis aux évêques de faire avancer un programme hétérodoxe qui est loin d’être fidèle à l’enseignement et à la pratique constants de l’Église, en particulier en ce qui concerne la morale sexuelle, Burke a déclaré : « En Allemagne, c’était un slogan faire avancer… des enseignements et des pratiques qui sont clairement contraires à l’enseignement et à la pratique constants de l’Église, et cela a causé d’énormes dégâts en Allemagne. L’état de l’Église en Allemagne est franchement alarmant, et cela semble maintenant devenir un programme dans l’Église universelle à travers le synode ».

Burke a raconté que « le chef du Synode des évêques a récemment accordé une interview dans laquelle il semble indiquer qu’il n’a pas une idée claire de ce qui va se passer ni une idée claire de ce qu’est la synodalité. Pourtant, il continue à diriger ce processus. Et, bien sûr, le président de la session synodale sur la synodalité, [le cardinal luxembourgeois Jean-Claude] Hollerich, a publiquement épousé des enseignements et des pratiques qui sont clairement contraires à ce que l’Église a toujours enseigné dans la pratique.

«Ce sont donc des questions de la plus haute importance. Ma prière personnelle chaque jour à notre Seigneur est qu’il veille d’une manière ou d’une autre à ce que le synode n’ait pas lieu, car franchement, je n’en vois aucun bien. » » (marcotosatti.com)

Du côté de Babylone Nations-Unies, çà avance à grand pas.

Après l’annonce de l’intention de la création d’une monnaie unique mondiale par la Banque Mondiale pour septembre 2023, les Nations-Unies annonce l’identification numérique pour la lier aux comptes bancaires des particuliers.

L’Apocalypse de Saint-Jean se déroules sous nos yeux et peu le voit.

« Identification numérique de planification des Nations Unies liée aux comptes bancaires

L’Organisation des Nations Unies (ONU) prévoit d’introduire un système mondial d’identification numérique lié aux comptes bancaires des individus.

Le plan, qui est similaire au système développé par le Forum économique mondial (WEF), est décrit dans trois nouvelles notes d’orientation de l’ONU intitulées « Un pacte numérique mondial, des réformes de l’architecture financière internationale et l’avenir de l’espace extra-atmosphérique ». Gouvernance.

L’objectif de ces notes est de faire avancer la « vision pour l’avenir » du secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres.
Intitulée officiellement « Our Common Agenda », la « vision » de Guterres devrait recevoir le feu vert en septembre 2024 lors d’un événement baptisé « The Summit for the Future ».

Du rapport (https://www.un.org/sites/un2.un.org/files/our-common-agenda-policy-brief-gobal-digi-compact-en.pdf):

Les identifiants numériques liés aux comptes bancaires ou d’argent mobile peuvent améliorer la fourniture de la couverture de protection sociale et servir à mieux atteindre les bénéficiaires éligibles.

Les technologies numériques peuvent aider à réduire les fuites, les erreurs et les coûts dans la conception des programmes de protection sociale.

Tout comme leurs homologues non officiels du WEF, l’ONU parle également de réglementer fondamentalement l’avenir numérique mondial.

L’organisation non élue utilise des expressions telles que « coopération internationale » et « de nombreuses parties prenantes » qui « feront avancer les principes, les objectifs et les actions » pour décrire cet agenda mondialiste.

L’ONU décrit cet objectif comme « un avenir numérique ouvert, libre, sécurisé et centré sur l’humain ».

Cependant, l’avenir numérique tel qu’envisagé par ces groupes sera tout le contraire d’être ouvert, libre ou centré sur l’humain.

Quant à la « vision » de l’ONU pour un futur système financier mondial, elle est censée être harmonisée avec l’Agenda 2030 pour le développement durable.

Il serait régi par quelque chose appelé « l’organe suprême » qui n’a pas encore été mis en place.

Les acteurs clés ici seraient le chef de l’ONU, ainsi que le Groupe des 20, le Conseil économique et social et les « chefs des institutions financières internationales ».

Dans ce cadre, l’ONU voit des « visions » d’un « Pacte numérique mondial ».

Essentiellement, l’objectif est d’avoir des personnes, des appareils et des entités, tous liés dans un réseau connecté qui pourrait apparemment être administré de manière centralisée, apparemment par des bureaucrates non élus.

Lorsque ceux qui planifient ce futur programme s’inquiètent de tout impact négatif, ils ne le voient jamais comme affectant potentiellement tout le monde – mais seulement « la société civile (…) ou des groupes sélectionnés exclus des avantages sociaux ».

Pendant ce temps, le WEF vient de s’associer à une société de biométrie de premier plan pour faire avancer son propre programme de numérisation de l’humanité.

La société suédoise de biométrie Fingerprint Cards a fait un grand pas dans la communauté des nouveaux champions du WEF, une assemblée d’entreprises de taille moyenne.

Le WEF tient à promouvoir les formes biométriques d’identification numérique et affirme que la technologie servirait de gardien de «l’inclusion sociale».

Le programme de la communauté des nouveaux champions comprend une réunion à Tianjin, en Chine, du 27 au 29 juin, lors du rassemblement WEF Summer Davos.

Charles Burgeat, vice-président principal de la stratégie chez Fingerprint Cards, a partagé ce qu’il pensait être une pépite de sagesse :
« En tant que fier membre du programme WEF New Champions Community, nous voulons être reconnus comme une entreprise axée sur les objectifs qui contribue positivement aux changements nécessaires pour opérer dans le nouveau monde numérisé.

« En rejoignant cette communauté, nous sommes impatients de réfléchir et d’échanger des idées avec des pairs, et d’apporter notre expertise de l’industrie de la biométrie. »

Les cartes d’empreintes digitales ont fait face à des eaux agitées au premier trimestre de 2023, enregistrant une perte de 70 millions de couronnes suédoises (6,4 millions de dollars) sur un chiffre d’affaires de 117 millions de SEK (10,8 millions de dollars), a rapporté Biometric Update .

Cependant, l’entreprise a progressé, franchissant des étapes clés, notamment en intégrant sa biométrie d’empreintes digitales dans 700 smartphones Android et en expédiant 1 million de modules de capteurs biométriques pour les cartes de paiement.

Le Redmi K60 de Xiaomi a obtenu la distinction d’être le premier smartphone doté de la technologie de sous-affichage des cartes d’empreintes digitales.

Xiaomi est une entreprise technologique chinoise.

Le WEF, déjà bien familiarisé avec la tapisserie numérique de la biométrie, continue de défendre le secteur.

L’organisation avait précédemment intronisé Yoti dans une coalition associée. » (zerohedge.com)

Et ceci lié au fait que :

Les clés d’accès annoncent la mort du mot de passe (lapresse.ca)

« Entretien avec un politicien sorti de l’État profond.

Călin Georgescu a travaillé pour les Nations Unies en tant qu'expert en développement durable pendant 17 ans et pendant les mêmes années, il a été président du conseil d'administration du Centre européen de soutien au Club de Rome. Il a également occupé les postes de conseiller du ministre de l'Environnement, secrétaire général du ministère de l'Environnement, directeur du département des organisations économiques internationales au ministère roumain des Affaires étrangères. Il a vécu de nombreuses années en Suisse et en Autriche et a décidé de retourner dans son pays natal, en fondant le mouvement "Eau, Nutrition et Energie" et le projet "Terre de nos Ancêtres", qui rassemble depuis de nombreux membres et sympathisants.

Dans l'interview du 21 mai 2022, il évoque son travail et le processus au sein des Nations Unies et du Club de Rome, et comment ses nobles objectifs ont été bloqués au fil du temps et il s'est rendu compte, au fil de son travail, que tout tourne autour autour de l'argent et du pouvoir et que les personnes, l'environnement et la paix ne sont pas le véritable objectif de ces institutions. En 2021 il a quitté ces institutions et ne fait plus partie de ces ONG. Ce sont des choses que nous avons écrites et réécrites pendant des années, mais lorsqu'elles sont confirmées par une personne qui a fait partie de ce que nous appelons l' État profond , cela devrait inciter les mécréants à lever les antennes. Bien que, comme nous le savons, il n'y a pas plus sourd que celui qui ne veut pas entendre. Voici quelques extraits de l'interview que j'ai traduits de l'anglais.
"La raison de la création de la Société des Nations puis de l'Organisation des Nations Unies était pour qu'il n'y ait plus de guerres dans le monde, mais comme nous le savons tous, chaque année, nous avons eu au moins 20/30 conflits sur toute la planète.

[...] le Club de Rome est entré pour influencer les décisions. Les politiciens entrent en jeu et le Club de Rome commence à devenir "politiquement correct" et dès que vous commencez à être politiquement correct, vous perdez totalement votre liberté et vous avez en fait perdu votre objectif. En tant qu'être humain, la première chose est avant tout de vivre dignement, avec honneur et de ne pas opprimer la vie des autres pour plaire aux intérêts des politiciens.

[…] être politiquement correct signifie accepter un programme qui n'est pas celui de la dignité et du respect humains. Entre nous, d'abord le respect de soi et ensuite le respect des autres. Et aussi respecter la terre mère et cela s'est produit dans toutes les parties de la planète

[…] J'étais en Somalie, après quatre ou cinq ans, après la catastrophe de 1995. Ils ont tué près d'un million de personnes locales pour leurs propres intérêts et ce n'est pas facile à comprendre. Surtout quand on voit de ses propres yeux ce qu'il y a à l'intérieur : il y a deux ou trois ethnies qui s'affrontent. Il y en a beaucoup d'autres autour de nous, comme des étrangers qui n'investissent que pour les faire combattre. […] En ce moment, la situation est la même partout.

[…] aucun être humain ne veut la guerre, seul un esprit fou peut le croire aussi parce que nous croyons en Dieu et que nous sommes chrétiens. […] Ceux qui avaient un large public et qui parlaient de paix - Martin Luther King ou Gandhi ou n'importe qui d'autre, même Jésus, qui parlaient de paix - ils ont tous été tués ou ont essayé de les éliminer.

[...] nous avons besoin du langage de Jésus, nous ne pouvons pas utiliser le langage des politiciens. Si nous voulons survivre, nous devons être plus spirituels. […] Je dois dire qu'il y a une sorte de guerre entre l'humanité et le transhumanisme.

[…] il s'agit de contrôler les gens, et ils trouvent la solution. Ils construisent une école et par l'éducation ils contrôlent presque tout le monde, car les enfants y vont avec pureté, innocence et amour de la vie et quittent l'école comme des adultes standardisés.

[…] parce que les artistes pensent toujours que tu es libre, qu'il n'y a pas de limites pour toi, que tu peux tout essayer et que tu es toujours limité dans cette société. La société n'a pas besoin que vous soyez sage, car cela va à l'encontre de l'investissement de la société dans la nouveauté, donc ils n'ont pas besoin que vous soyez sage. Ils ont besoin que vous soyez obéissant pour respecter les règles, pour respecter l'ordre du jour, pour être politiquement correct, sinon si vous êtes libre vous êtes rebelle.

[…] Au fait, vous pouvez voir comment les médias coordonnent intelligemment tous ces processus. [...] de coordonner l'esprit, l'information est coordonnée et très souvent j'entends des gens proches de moi dire "à la télé ils ont dit ceci et cela", donc tout le monde est lié à la télé.

[…] Mon honneur d'être un être humain ne me permet pas d'accepter d'être guidé par les autres ou un autre agenda, sachant que l'agenda international est totalement différent de la façon dont les médias l'expliquent au peuple.

[…] L'agenda de l'État Profond , si je peux m'exprimer ainsi, est juste de contrôler les gens et de contrôler les gens comme ils le font depuis deux ans pour contrôler l'âme, contrôler l'humanité qu'aucun plus devrait exister. Nous pouvons voir que ce que nous risquons de perdre aujourd'hui, si nous ne nous tenons pas debout, nous risquons de perdre l'humanité de nous-mêmes. C'est bien leur but, car l'âme demeure pour toujours, et s'ils parviennent à la contrôler, ils contrôlent les gens. Tout est basé sur le pouvoir.

[...] ils se concentrent exactement sur l'émotion, ils vous contrôlent avec la peur qu'il y ait une guerre, la peur de ne pas avoir de salaire, la peur de ne pas avoir à manger, la peur de ne pas avoir d'eau, tout est contrôlé.

[…] La souveraineté, il faut promouvoir la souveraineté.

[…] tout ce qui s'est passé dans le monde aujourd'hui, c'est juste pour contrôler les gens, contrôler la propriété privée et tout concentrer dans une main pour faire de la centralisation, même si on parle de démocratie. Aussi si l'on parle de capitalisme ou de mondialisation, c'est uniquement pour tout concentrer dans une seule main.

[…] J'ai travaillé sur l'Agenda 2030 ou sur l'Agenda 21, appelez-le comme vous voulez, qui n'est qu'un chapitre de l'Agenda 21. L'Agenda 2030 est un problème, c'est une question d'autodétermination ou de détermination externe. Si vous lisez l'Agenda 2030 des Nations Unies, vous trouverez de belles choses comme avoir de l'air pur, de la bonne nourriture, la santé pour tous. Si vous le lisez, vous pensez que c'est le paradis sur terre.

[...] si aujourd'hui dans une communauté je cultive du maïs et dans une autre communauté je cultive des pommes, on leur donne la pomme et ils me donnent le maïs. Cela arrive partout, cela peut arriver parce que la philosophie de l'univers est l'amour entre nous. L'amour est la principale puissance qui peut exister sur cette planète. Et c'est la raison pour laquelle les politiciens et toutes les ONG ne parlent jamais d'amour ?

Je me souviens brièvement d'un autre entretien avec Georgescu.

Reiner Fuellmich, l'avocat allemand luttant contre la fraude dans le scandale du COVID-19, a interviewé Călin Georgescu le 24 janvier 2023, qui décrit le processus d'infiltration mondiale et de prise de contrôle des Nations Unies par des oligarques, en particulier par Klaus Schwab du Forum économique mondial (WEF)

Călin Georgescu révèle comment Trump avait fait dérailler les plans de l'État profond qui devaient avoir lieu en 2016 sous la présidence d'Hillary Clinton.

La pandémie devait avoir lieu en 2016. Il semble que les pénuries de nourriture et d'eau prévues pour 2020 aient été repoussées à 2025.
On parle de la façon dont la légalisation de la pédophilie est l'un des points d'arrivée des milliardaires qui contrôlent l'ONU, l'OMS et tous les acronymes internationaux.

Georgescu est convaincu que son système est sur le point de s'effondrer. Personnellement, je ne leur fais pas confiance tant que je n'ai pas vu leur tête rouler, évidemment dans un sens métaphorique. » (marcotosatti.com)

« Un haut responsable du Forum économique mondial (WEF) a appelé à la "réécriture" des écritures religieuses par l'intelligence artificielle (IA) pour créer une "nouvelle Bible" mondialisée.

Yuval Noah Harari, conseiller principal du WEF et de son président, Klaus Schwab, affirme que l'utilisation de l'IA pour remplacer les Écritures créera "des religions unifiées qui sont vraiment correctes".

Harari, auteur et professeur influent, a lancé cet appel lors d'un discours sur "l'avenir de l'humanité".
Selon Harari, le pouvoir de l'IA peut être exploité et utilisé pour remodeler la spiritualité conformément à la vision mondialiste d'« équité » et d'inclusivité du WEF.

S'adressant au journaliste Pedro Pinto à Lisbonne (Porugal), Harari a déclaré au public élitiste :
"C'est la première fois [dans l'histoire] que la technologie peut créer de nouvelles idées."
"Vous savez que la presse, la radio et la télévision diffusent les idées créées par le cerveau humain, par l'esprit humain", mais "elles ne peuvent pas créer une nouvelle idée".
"Vous savez que [Johannes] Gutenberg a imprimé la Bible au milieu du XVe siècle : l'imprimerie a imprimé tous les exemplaires de la Bible que Gutenberg avait commandés, mais n'a pas créé une seule nouvelle page." « Je n'avais aucune idée personnelle sur la Bible : est-elle bonne ? Il est mauvais? Comment interpréter cela ? Comment interpréter ça ?
 
Harari a révélé plus tard que lui et ses alliés du WEF avaient une solution aux prétendus problèmes qu'il venait de mettre en évidence.
"L'IA peut créer de nouvelles idées, voire écrire une nouvelle Bible ", a-t-il déclaré.
"Tout au long de l'histoire, les religions ont rêvé d'avoir un livre écrit par une intelligence surhumaine, par une entité non humaine", a-t-il ajouté.

"D'ici quelques années, il pourrait y avoir des religions qui sont réellement correctes (...) il suffit de penser à une religion dont le livre saint est écrit par une IA ."
"Cela pourrait être une réalité dans quelques années."
 
[Harari a souligné lors d'une autre réunion récente que les programmes informatiques comme ChatGPT dominent le langage humain et peuvent profiter de cette fonction pour influencer la culture, selon le Times of Israel .
Selon le journal, Harari a déclaré que "depuis des milliers d'années, les prophètes, les poètes et les politiciens ont utilisé le langage et la narration pour manipuler et contrôler les gens et remodeler la société". Et "maintenant, il est probable que l'IA puisse le faire. Et une fois que vous le pourrez... vous n'aurez plus besoin d'envoyer des robots tueurs pour nous tirer dessus." En fait, "cela peut inciter les humains à appuyer sur la gâchette".
 
Harari a également déclaré que "contrairement à ce que supposent certaines théories du complot, il n'est en fait pas nécessaire d'implanter des puces dans le cerveau des gens pour les contrôler ou les manipuler". Il a également averti que "nous devons agir rapidement avant que l'IA n'échappe à notre contrôle" et que "les gouvernements doivent immédiatement interdire la diffusion dans le domaine public d'outils d'IA plus révolutionnaires avant qu'ils ne soient sûrs", a ajouté le journal.

Harari promeut fréquemment des idées qui impliquent le remplacement de l'humanité par des machines.
Comme rapporté précédemment par Slay News, Harari a jubilé l'année dernière que « nous n'avons tout simplement pas besoin de la grande majorité de la population » dans le monde d'aujourd'hui.

Selon Harari, la majeure partie du grand public est devenue "superflue" et sera peu utile à l'élite mondiale à l'avenir. En ce sens, Harari soutient que les technologies modernes telles que l'intelligence artificielle "permettent de remplacer les gens".

Harari a déclaré que "si nous remontons au milieu du XXe siècle - et peu importe que ce soit aux États-Unis avec Roosevelt, ou en Allemagne avec Hitler, ou même en URSS avec Staline - et que nous pensons à construire l'avenir, alors les matériaux de construction sont ces millions de personnes qui travaillent dur dans les usines, dans les fermes, les soldats. "Nous avons besoin d'eux". Mais il ajoute que "maintenant, en ce début de XXIe siècle, nous n'avons plus besoin de la grande majorité de la population", car "l'avenir réside dans le développement de technologies de plus en plus sophistiquées, comme l'intelligence artificielle et la bio-ingénierie". La plupart des gens n'y apportent rien, sauf peut-être leurs données, et quoi que les gens continuent à faire d'utile, ces technologies vont le rendre de plus en plus superflu et permettre de remplacer les gens. » (marcotosatti.com)

L’intelligence artificielle est sur toutes les lèvres ces derniers mois et ce n’est par pour rien.

C’est la montée en puissance de Satan qui s’annonce comme le sauveur de cette « humanité » et de sa planète.

Une religion humaniste avec une écriture de sa « bible » par l'intelligence artificielle.

La fin est proche.

Car Dieu a d’autres projets…

08 juin

LE 8ÈME ROI

Le 8ème roi, c’est l’Antéchrist personnifié au faîte de l’église, comme prophétisé à La Salette.

Bergoglio.

« Dans son billet du 31 mai 2023, Sandro Magister, sous le titre « Le Pape François, monarque de droit divin », analyse la nouvelle « Loi Fondamentale de l’État de la Cité du Vatican » [c’est-à-dire, en termes profanes, la Constitution] , sortie le 14 mai dernier, presque en catimini car éclipsée par l’impact de la visite de Zelensky au Pape. Le sous-titre est plus explicite: « Ce qu’aucun pape n’avait osé faire avant lui ». Un comble, pour un pontife qui a fait de la collégialité et de la synodalité son cheval de bataille… » (benoit-et-moi.fr)

Ce qu’on peut comprendre de l’article et donc de la nouvelle constitution, c’est que la boucle commencée en 1929 avec l’Accord de Latran est bouclée.

Bergoglio et bel et bien devenu le 8ème roi en ce 14 mai 2023 (ce n’est pas une date anodine : Le 14 mai 1948 était proclamée la naissance de l’État d’Israël. 75Ème anniversaire cet année pour la gloire de la judéo-maçonnerie qui a réussi à mettre sur le trône de Saint-Pierre son pantin.)

Roi de « droit divin », et on sait de quel dieu…

L’État du Vatican était un outil guidé par le Saint Siège pour faire rayonner la foi chrétienne, avec le Christ Roi à sa tête.

Bergoglio vient de mettre officiellement dans la constitution l’État du Vatican en priorité sur le Saint Siège pour faire rayonner la foi humaniste, uniquement.

Il élimine par le fait même l’importance du rôle du Secrétaire d’État en prenant les rennes seul pour les relations et décisions diplomatiques (ligne directe avec les dirigeants de ce monde), en tant que 8ème roi, d’où la remarque de Sandro Magister sur la pseudo importance pour Bergoglio à propos de sa « synodalité ».

C’est l’inversion totale, en laissant croire que tout se décide dans la collégialité, alors qu’on sait à travers les branches que Bergoglio est un dictateur qui règne par la peur.

On a ainsi un bon indice encore une fois que le rapport sur le synode est déjà décidé par Bergoglio et qu’il essaiera d’amener les évêques et le 25% de laïcs à voter pour son programme, et non l’inverse.

Nous avons un échéancier devant nous pour octobre 2024 avec ce synode, et les décisions qui mènent à cette conclusion surgissent tranquillement.

Comme Bergoglio le dit à maintes reprises: « il n’y aura pas de retour en arrière ».

Ainsi que l’avait prédit le regretté Serge Monast:

« …L’Église, sous le pouvoir de l’Anti-Pape, sera absolument identique à l’Église de Jérusalem au temps de Jésus-Christ. Elle partagera l’idéologie des Nations-Unies de la même manière que les Prêtres du Temple partageaient l’Idéologie et le Pouvoir avec les Romains. Elle conservera les croyances en Jésus-Christ comme façade afin de dissimuler ses réels intérêts qui seront, en réalité, la richesse, le Pouvoir Politique et Religieux, et l’opportunisme sur tous les fronts tel que cela était le cas de l’Église de Jérusalem au temps de l’Empire Romain. Elle établira de nouveaux  »Concepts Religieux », tous basés sur la divinité de l’Homme où celui-ci sera considéré comme étant le  »Centre »… … En accord avec l’Agenda International à remplir, la première initiative de l’Anti-Pape en sera une de réconciliation truquée avec l’ensemble des Églises Chrétiennes du monde… L’élection d’un Anti-Pape aura eu pour effet de provoquer un  »Schisme » majeur, supposé être le dernier devant survenir dans le Monde Chrétien…

Voici donc le «Mensonge des Mensonges»! Voici «l’Abomination des Abominations»! Les faux chrétiens étant à la tête de la nouvelle église mondiale; et prétendant être les seuls et uniques représentants de Jésus-Christ d’un côté; de l’autre, les vrais et réels disciples de Jésus-Christ sur la route du Calvaire considérés comme étant les ennemies de l’État Mondial tel que cela était le cas, il y a deux milles ans, en face des prêtres de Jérusalem, et en face de l’empereur romain à Rome. »

C’est un signe évident de la fin des temps car il confirme que le 8ème roi est sur le trône, concrètement, inscrit dans une constitution.

« C'est ici qu'il faut un esprit doué de sagesse. — Les sept têtes sont sept montagnes, sur lesquelles la femme est assise. Ce sont aussi sept rois :
Les cinq premiers sont tombés, l'un subsiste, l'autre n'est pas encore venu, et quand il sera venu, il doit demeurer peu de temps.
Et la bête qui était et qui n'est plus, en est elle-même un huitième et elle est des sept, et elle s'en va à la perdition. » (Apocalypse 17, 9-11)

La clé pour démarrer le compte (guidé par « l’esprit de sagesse » et du fait qu’on ne peut reconnaître les faits qu’en y étant présent) est celui qui « subsiste », c’est à dire Benoît XVI. Cinq papes avant lui donc.

Et la bête qui était et qui n'est plus, en est elle-même un huitième et elle est des sept, et elle s'en va à la perdition.

Et Bergoglio, qui représente la bête marxiste socialiste judéo-maçonnique, est le septième pape, mais il a décidé d’abandonner son titre de vicaire du Christ, ET, d’abandonner son titre de pape en décidant qu’il n’était, dans son idée de collégialité, que l’évêque de Rome (en référence aux sept collines).

Il est devenu le huitième, la bête cachée derrière le titre de pape, et qui s’en va à la perdition.

Il est donc roi du Vatican, qui domine le Saint-Siège.

Le geste concret qu'il vient de poser est la preuve.

Un roi totalement temporel, qui a abandonné le titre de Vicaire du Christ, et qui vient de mettre à égalité l’État du Vatican avec les autres nations prônant le mêmes valeurs humanistes.

C’est l’abandon du Christ.

Heureusement que la Tradition veille.

Mai 2023

29 mai

« HOMÉLIE

en la solennité de la Pentecôte

Envoie ton Esprit et ils seront créés

et tu renouvelleras la face de la terre.

[Tu envoies ton souffle et ils sont créés,

Et tu renouvelles la face de la terre]

Salmo 103, 30

 

Quelle est la caractéristique de l'Amour ? C'est gratuit . Qui aime, aime sans rien attendre en retour. Celui qui aime se réjouit que le bien dont il jouit puisse être partagé par l'aimé. Ceux qui aiment n'ont pas de demi-mesure : ils aiment totalement, sans réserve. Celui qui aime veut le bien de l'aimé, sait dire non. Cela est vrai au plus haut degré lorsque l'Amour est divin, lorsque l'Amour du Père envers le Fils et du Fils envers le Père est si parfait et infini qu'il est la Troisième Personne de la Sainte Trinité, le Saint-Esprit Paraclet.

La magnificence est le signe distinctif des souverains et des princes, qui inspirent leur libéralité à la magnificence de Dieu, de la même manière qu'ils conforment leur gouvernement à la justice divine. Mais rien ne peut rivaliser avec la magnificence de l'œuvre de Dieu : une magnificence infinie tant dans l'ordre de la Création que -et de manière infiniment supérieure- dans l'ordre de la Rédemption. Une magnificence divine dans ses perfections, illimitée dans sa capacité de rayonner, semblable à la lumière bienfaisante du Soleil, comblant chacun et chacune de grâces et de faveurs imméritées et gratuites. Et c'est la gratuité absolue qui caractérise l'œuvre de Notre-Seigneur, établie de toute éternité des temps pour réparer le péché d'Adam par l'Incarnation, la Passion et la Mort de l'Homme-Dieu. Gratuits sont aussi les Cadeaux Esprit Saint; Gratuite est la Grâce, gratuite, accordée gratuitement. Libre est l'éternité bénie qui nous est préparée au Ciel ; Gratuite est la sanctification que l'Église opère à travers les Sacrements et le Saint Sacrifice de la Messe.

Mais si la gratia , la gratuité absolue du Bien qui nous vient de Dieu, est une note divine qui unit la toute-puissance et la miséricorde dans le lien admirable de la Charité ; au contraire, tout ce qui vient de Satan a un prix, pas du tout gratuit, car il n'a rien à donner et tout à voler avec tromperie et mensonges ; parce qu'elle vient de ceux qui veulent notre mal présent et éternel, enviant par-dessus tout la Rédemption du Christ et plus encore l'humilité de la Vierge Immaculée, que la Sainte Trinité a librement parée du privilège d'être conçue sans tache de péché, d'être une digne tabernacle du Très-Haut.

Satan, le marchand de mort. Satan, l'éternel trompeur, celui qui vend avec fraude ce qui ne lui appartient pas, et avec fraude achète notre âme immortelle, l'échangeant avec le néant de biens faux, éphémères et mensongers. Et c'est la tromperie, la simulation, le mensonge que l'on voit régner dans le champ adverse. Un mensonge que Satan veut faire reconnaître comme tel, mais qui n'en est pas moins approuvé et accepté. Car tandis que l'œuvre de Dieu est l'œuvre de la vérité - procédant de Celui qui est la Vérité absolue -, l'œuvre du diable est une fiction. Satan est le grand scénographe de la réalité virtuelle du monde d'aujourd'hui, de la société esclavagiste mondialiste de l'Ordre Nouveau, dans laquelle la simulation et la falsification sont la marque de l'action de l'Adversaire.

« Quelle belle fille : elle ressemble à une poupée ! » entend-on. "Quel beau paysage : on dirait une carte postale !" Dans ces expressions courantes, souvent utilisées avec naïveté, se manifeste la matrice frauduleuse de l'œuvre de l'Ennemi qui, en tant que créature, est incapable de créer à partir de rien, et doit donc recourir à l'imitation du Créateur pour nous tromper nous les hommes. Le Prince de ce monde nous propose des modèles artificiels et faux, qui prétendent être ce qu'ils ne sont pas et qui ne sont pas mus -comme les oeuvres de Dieu- par une Charité infinie, mais par une haine livide envers la Majesté divine et envers Ses créatures. La maternité de substitution, la manipulation génétique, la bio-ingénierie, le transhumanisme et les mutilations obscènes de la transition de genre, la parodie du mariage homosexuel,Simia Dei .

Ce qui se passe dans l'enceinte sacrée n'est pas différent, où les hérétiques et les apostats ont toujours essayé de remplacer les perfections de la Révélation divine par leurs propres falsifications ; se présentant, en effet, comme ce qu'ils ne sont pas, comme de faux bergers, comme de faux prophètes, comme des antéchrists. Le même Antéchrist, qui régnera dans les derniers temps avant d'être exterminé par le souffle du Christ, est un simulateur, un imitateur frauduleux du vrai Christ. Le prophète de l'Antéchrist est aussi un imposteur, qui est présenté dans l' Apocalypse comme son mainteneur, le chef de la Religion de l'Humanité, le prédicateur de l'écologie et de l'humanisme maçonnique.

Si nous observons la situation désastreuse dans laquelle se trouve l'Épouse du Christ, nous trouvons incrustés en elle comme des tumeurs malignes tous ces faux bergers et mercenaires qui font du mensonge et de la tromperie leur raison de vivre, et qui, comme leurs pairs dans la sphère civile, ils se présentent comme des promoteurs de la paix et de la fraternité, comme des défenseurs des faibles, des pauvres et des déshérités, alors qu'en réalité ils sont les serviteurs des puissants, complices des tyrans, promoteurs de division et impitoyables avec ses ennemis, c'est-à-dire les bons Les chrétiens. Mais surtout : contre Dieu, contre Jésus-Christ, contre la Bienheureuse Vierge Marie, contre la Sainte Église.

Dans ses actions tout est faux : le synode de synodalité est faux, ce qui sous l'apparence d'un vrai synode dénature la Foi ; les prétendues consultations avec le peuple de Dieu sont fausses, pilotées par tromperie ; ses revendications sur la dignité des femmes, utilisées pour saper le sacerdoce catholique, sont fausses ; Sa charité envers les pécheurs est fausse, qu'il ne réprimande pas mais confirme dans le péché, perdant leur âme. Aussi faux est « l'esprit » qui inspire ses illusions ; faux le « dieu des surprises » qui légitime ses erreurs ; fausse sa "pentecôte" qui contredit l'action du Paraclet et fausse son "église" qui éclipse la véritable Église du Christ. Faux, scandaleux et criminel est la parodie d'un sacrement auquel a été érigé un sérum expérimental qui modifie le génome humain grâce à la technologie de l'ARNm, mais que Bergoglio n'a pas hésité à définir sacrilège comme un "acte d'amour" et un "léger espoir pour tout le monde." Faux respect pour le Créé par "l'église amazonienne", qui rend un culte idolâtre à la Terre Mère et ratifie les manipulations de géo-ingénierie contre la nature que Dieu a créée.

Veni, Sancte Spiritus, reple tuorum corda fidelium : et tui amoris in eis ignem accende [Viens, Esprit Saint, remplis le cœur de tes fidèles et allume en eux le feu de ton amour]. En effet, la divine Liturgie du jour de la Pentecôte est un hymne à l'Esprit Saint : un chant d'amour de l'Église à l'Amour divin, qui procède du Père et du Fils. Dans le Graduel de la Messe , pour souligner la puissance de cette invocation, nous avons prononcé ces paroles à genoux : Viens, Esprit Saint, remplis le cœur de tes fidèles, et allume en eux le feu de ton amour . Un feu qui illumine nos esprits de Foi et réchauffe nos cœurs de Charité.

L'Esprit Saint -qui est l'Esprit de Vérité- agit en silence : le silence de nos cœurs qui se laissent conseiller et inspirer ; le silence du recueillement de cette église, où le sang-froid digne de la liturgie divine s'incline devant l'action du Paraclet invoqué par les ministres pour bénir et sanctifier les choses et les personnes ; le silence de tant d'âmes qui dans le monde semblent sans voix, dominées par la clameur infernale des armées de l'Ennemi, mais qui accomplissent la volonté de Dieu. Et en silence s'accomplissent les miracles les plus incroyables de l'Esprit Saint qui, avec une magnificence divine, nous prodigue ses dons gratuits, comme la grâce surnaturelle est gratuite.

Implorons le Consolateur – dulcis hospes animæ, doux hôte de l'âme – avec les paroles de la splendide Séquence de la Pentecôte, qu'Il soit pour nous repos dans la fatigue d'affronter nos devoirs quotidiens, rafraîchissement dans le désert torride de ce monde rebelle, consolation dans les larmes que nous avons versées en voyant sa femme tourmentée sur terre. Que le Paraclet purifie toute souillure de péché, baigne de Grâce l'aridité de tant d'âmes, guérisse les blessures de nos cœurs qui saignent pour cette passio Ecclesiæ qui semble sans fin. Pliez la dureté des pécheurs à la volonté de Dieu, alimentez l'apostolat des Pasteurs avec la flamme de la Charité, maintenez ferme la Foi de tant de personnes qui vacillent face au triomphe apparent du mal.

Viens, Esprit Saint, et renouvelle la face de la terre, que le Père a créée, que le Fils a rachetée, et que tu sanctifies par la sainte Église. Et ainsi soit-il.

 

+ Carlo Maria Vigano,  Arzobispo

28 mai 2023

Dimanche de Pentecôte »

28 mai

« HOMÉLIE

pour l'octroi de la Sainte Confirmation

à la veille de la Pentecôte

 

Celui qu'on appelle le Paraclet, le don du Dieu Très-Haut.

Hymne. Viens, Créateur

Aujourd'hui, nous célébrons la Vigile de la Pentecôte. L'ancienne liturgie baptismale de ce jour, abolie avec la réforme de 1955, a été récemment remise en usage par de nombreuses communautés qui suivent le rite tridentin, de plus avec l'autorisation de la Commission Ecclesia Dei . La raison de cette décision peut être attribuée au fait que les auteurs de l' Ordo Hebdomadæ Sanctæestablishus de Pie XII sont les mêmes que ceux du Rubricarum Instructum de Jean XXIII et du Novus Ordo Missæ de Paul VI. En vue de retrouver les trésors du Rite traditionnel, cette redécouverte s'explique donc non seulement de la Semaine Sainte d'avant 1955, mais aussi de la liturgie symbolique de la Pentecôte, dite Pâques des Rosesen mémoire de l'antique coutume de faire tomber une pluie de pétales de roses du haut de la voûte de nos églises, censées représenter les langues ardentes du Saint-Esprit. Cela se produit encore dans la Basilique de Santa Maria ad Martyres , le Panthéon romain.

Son caractère baptismal rappelle la Veillée pascale, de sorte que les catéchumènes qui n'avaient pas reçu le baptême le samedi saint - par exemple parce qu'ils n'étaient pas encore prêts ou malades - pouvaient être admis parmi les néophytes lors de la fonction solennelle d'aujourd'hui. Cet ancien rite contemple la bénédiction de la Fontaine Sacrée et l'octroi du lavage sacramentel, et nous rappelle la sollicitude de la Sainte Église, qui est Maîtresse en exigeant la préparation appropriée des candidats au Baptême, et Mère en leur accordant une autre occasion à la conclusion de la saison de Pâques. La lecture des prophéties constitue, selon Dom Guéranger, une référence évidente au samedi saint, avec le double symbolisme de la Pâque et de la Pentecôte juives qui s'accomplissent dans la Pâque et la Pentecôte chrétiennes.

Certes, le grand Pie XII, envers qui nous avons une profonde vénération, n'a pu percevoir dans ces premiers pas de la liturgie du renouveau , commencée dans les années 1920, la menace qui apparaîtra plus tard évidente avec la soi-disant « réforme conciliaire ». C'est pourquoi la récupération des rites antérieurs à 1955 ne remet nullement en cause son pontificat, ni son amour pour la liturgie romaine. Nous pouvons plutôt reconnaître la ruse diabolique avec laquelle ont agi les Innovateurs, qui ont miné à petits pas le trésor inestimable du culte catholique. Au lieu de divulguer ce patrimoine, fruit de siècles de développement harmonieux, ils ont jugé plus commode de le simplifier, démontrant en cela non seulement une mentalité totalement étrangère à une véritable compréhension de la liturgie divine, mais aussi un mépris substantiel pour le saint peuple de Dieu, considéré comme un tort incapable de se nourrir spirituellement en y puisant. Mais cela, rappelez-vous, n'était encore qu'un prétexte, une excuse - leactuosa participatio, la participation active des fidèles – derrière laquelle se cachait la volonté de saper la Foi, la lex credendi, par la falsification de son expression priante, la lex orandi .

En fin de compte, les Innovateurs révèlent leur manque de confiance dans l'action de la Grâce infuse par l'Esprit Saint – qui opère aussi à travers la Liturgie – et dans la capacité de l'homme à y correspondre. Dans leur mentalité, rien ne doit nous mettre à l'épreuve, rien ne doit représenter une opportunité d'amélioration : tout doit être à la portée de tous, aucun trésor ne doit être divulgué à ceux qu'ils jugent médiocres et ignorants ; ce qui trahit leur fière croyance qu'ils sont supérieurs à leur troupeau. Ce classisme présomptueux ne se limite pas à l'extérieur, mais s'étend aussi aux affaires intérieures, de sorte que pour eux l'ignorance de la Foi, l'accommodement indolent de la Morale, la paresse dans la Spiritualité et l'Ascétisme doivent être la règle pour une masse qu'ils n'ont aucune envie de guider, instruire, avertir. Trop d'efforts, pour ceux qui d'abord ne croient pas, n'aiment pas, n'espèrent pas. Trop d'efforts, pour ceux qui s'affairent à bâtir une église à leur image, considérant l'Église du Christ et sa Liturgie anciennes et impensables. Pour cela, ils dépersonnalisent les individus et les anéantissent en une assemblée sans visage et sans volonté à laquelle imposer une vision horizontale dépourvue d'aspiration surnaturelle, dans la certitude – que nous avons d'ailleurs sous les yeux – qu'un rite qui exprimeune autre vision ecclésiologique et doctrinale aurait fini par changer la Foi de ceux qui en auraient été témoins.

Inversement, les bons Pasteurs sont les premiers qui, dans le sillage de la Tradition et dans la pratique constante et humble de ce qu'ils prêchent, ont la tâche d'indiquer de grands objectifs aux âmes qui leur sont confiées. Soyez saint, comme votre Père est saint(Mt 5, 48), Notre-Seigneur nous exhorte. Et cette sainteté, faite d'héroïsme (même silencieux) et d'abandon généreux à la volonté de Dieu, est la réponse à la Grâce qui rend possible à Dieu ce que nous ne pourrions jamais accomplir par nous-mêmes. Et aujourd'hui, avec l'octroi de la Sainte Confirmation au jeune Gabriel, nous en avons la preuve : le Seigneur, qui nous appelle à être fils du Père Éternel et membres vivants de l'Église par le Baptême, fait de nous des soldats du Christ dans le Sacrement de la Confirmation, prêt à combattre le bon combat. Mais Il ne nous laisse pas seuls dans cette épreuve : Il nous fournit les armes spirituelles pour affronter l'Ennemi de notre âme. L'Esprit Saint nous donne ces armes très puissantes - gratuitement, comme tout ce qui vient de Dieu - précisément dans la Confirmation et dans tous les Sacrements : l'armure de Dieu, la ceinture de la vérité,

Ne soyons pas fiers de ce que le Seigneur nous permet d'être, ni des succès que nous obtenons grâce à Lui ; mais ne nous laissons décourager ni par nos échecs, ni par notre faiblesse, ni par l'inexpérience dans le maniement de ces armes, ni par le manque de dextérité dans leur maniement. Répétons plutôt avec saint Paul : Je puis tout en celui qui me fortifie (Phil 4, 13).

Dans cette Veillée solennelle qui nous prépare à la descente du Paraclet, invoquons l'Esprit Saint avec la confiance de celui qui connaît avec réalisme et humilité sa propre faiblesse, mais aussi la puissance infinie du Seigneur Dieu des armées déployées, et qui n'est pas moins formidable que la nôtre augusta Condottiere, Maria Santissima, terribilis ut castrorum acies ordinaria. La guerre spirituelle que nous menons contre le monde, la chair et le diable a été gagnée sur la Croix, où Notre Seigneur et Dieu a vaincu l'ennemi ; où la semence bénie de la Femme couronnée d'étoiles et revêtue de soleil écrasa la tête du Serpent antique. Elle connaîtra la victoire totale à la fin des temps, quand à nouveau la Femme annoncée dans la Genèse et le fruit de Ses entrailles extermineront l'Antéchrist et Satan. Nous nous trouvons au milieu de ce conflit d'époque, et si nous voulons triompher avec le Christ et avec Sa Très Sainte Mère, nous devons combattre avec enthousiasme sous les bannières glorieuses de notre Roi, protégés par l'armure que le Saint-Esprit - παράκλητος, c'est-à-dire défenseur, conseiller et avocat – nous rend disponibles, surtout avec la Grâce conférée dans la Confirmation.

Nous avons des idéaux élevés, de grands défis, des duels passionnants à affronter. Avec l'aide de Dieu, le jeune Gabriel en aura aussi, que l'Église enrôle dans ses rangs comme miles Christi, lui fournissant tout l'équipement spirituel dont il a besoin, lui fournissant les soins de la Confession, nourrissant sa force et sa vigueur de la Nourriture surnaturelle. de la Très Sainte Eucharistie. Gabriel : La force de Dieu . Le Saint-Esprit vous donnera aussi – comme il a donné et continue de donner à chacun de nous – ses dons, le septénaire sacré : sagesse, intelligence, conseil, courage, connaissance, piété, crainte de Dieu.

Ne nous laissons donc pas décourager par ceux qui veulent que nous soyons faibles et désarmés, résignés et ignorants, pour mieux pouvoir craquer et vaincre : plaçons plutôt toute notre espérance en Dieu, qui nous appelle à la l'héroïsme de la sainteté parce qu'il nous veut à sa droite au jour glorieux de la victoire, où il fera de ses ennemis son marchepied (Ps 109, 2). Et ainsi soit-il.

+ Carlo Maria Viganò, archevêque »

20 mai

« Étonnez-vous, réjouissez-vous : nous sommes devenus le Christ.

Saint Augustin, dans John. Évan. Tract , 21, 8

par Monseigneur Carlo Maria Viganò

La Divine Liturgie de cette Messe votive en l’honneur de la Très Sainte Vierge Marie, sous l’invocation de Regina Crucis, nous propose dans l’Épître la vision de l’Apocalypse de la Femme et du Dragon, qui offre à cette célébration solennelle de grands et importants points de réflexion.

La Femme représente la Très Sainte Vierge Marie et donc l’Église, dont elle est Reine et Mère, étant Mère de Notre Seigneur et Dieu, Chef du Corps Mystique et Mère spirituelle des chrétiens, qui en sont les membres vivants. Sous ses pieds virginaux, la Femme piétine la lune, symbolisant ainsi le mépris pour les choses transitoires et changeantes, qui s’oppose à l’éternité immuable de Dieu. Elle est revêtue du Soleil de Justice, c’est-à-dire placée sous la protection du Christ et porte une couronne de douze étoiles, les douze Apôtres qui constituent les joyaux de l’Église. Les cris pour les douleurs de l’accouchement font allusion au fait que la Sainte Église – et la Très Sainte Vierge Marie – engendrent les enfants de Dieu à la vie de la Grâce, unissant dans la Compassion et la Co-rédemption leurs peines à la Passion et à la Rédemption du Christ, et méritant ainsi à la Vierge le titre de Reine de la Croix. La Vierge Marie était avec le Christ tandis qu’Il se disait, du haut de la Croix, Souverain du monde ; et au pied de celle-ci, elle se revêtit du manteau royal d’une douleur parfaite, en s’en laissant transverbérer et couronner, tenant avec le divin Fils le sceptre de la souffrance.

L’Église – Marie qui en est la Mère – engendre aussi les plus chers de leurs enfants : les prêtres, ministres du Soleil et du Sang, comme les appelait sainte Catherine de Sienne. Leur naissance attire le Dragon, c’est-à-dire Satan, parce qu’il veut les déchiqueter pour les empêcher de renouveler mystiquement le Sacrifice de la Croix, par lequel le Seigneur a restauré dans l’ordre surnaturel ce que le péché d’Adam avait mérité de perdre. Et depuis l’expulsion de nos premiers parents, la promesse du Protévangile (Gn 3, 15) se réfère infailliblement à la vision de l’Apocalypse, dans laquelle la bataille entre le Christ et Satan est reproposée, entre le lignage du Christ qui est l’Église et le lignage de Satan qui est l’anti-église ou le Sanhédrin mondialiste maçonnique.

J’attire votre attention sur le triple assaut du Dragon : le premier est contre Jésus-Christ, le Fils nouveau-né de la Femme (Ap 12, 5), qui échappe à ses attaques et est enlevé au ciel ; le second est contre la Femme (Ap 12, 6), qui fuit dans le désert – allégorie d’un lieu protégé des assauts de Satan – pour une période de 1260 jours, c’est-à-dire 42 mois ou 3 ans et demi, c’est-à-dire le temps du règne de l’Antéchrist (Ap 12, 6 et 14) ; le troisième est contre les enfants de la Femme, c’est-à-dire les Chrétiens et l’Église, qui obtiennent cependant la victoire sur le Dragon grâce au Sang de l’Agneau (Ap 12, 11).

Je trouve cette triple distinction de l’assaut de Satan très édifiante et significative. Nous voyons que le diable attaque toujours le Christ, d’abord dans Sa Personne, puis dans Son Corps Mystique, et enfin dans Ses fidèles. Pourtant, la victoire que le Seigneur veut obtenir ne se réalise que dans le troisième assaut : Et le dragon fût rempli de fureur contre la Femme, et il alla faire la guerre au reste de ses enfants, à ceux qui observent les commandements de Dieu et qui gardent le témoignage de Jésus (Ap 12, 17). Qui sont-ils ? De qui parle saint Jean, quand il fait allusion à la descendance de la Femme, sinon de ceux qui sont restés fidèles et n’ont pas apostasié la Foi, et qui ne se sont pas laissés emporter par la queue du Dragon (Ap 12, 4) ? C’est une grande consolation de voir combien le Seigneur se complaît à appeler ses enfants à combattre dans la bataille contre Satan, afin que, grâce à leur généreux abandon à la volonté de Dieu, ils deviennent des instruments dociles du triomphe du Christ sur celui qui fut homicide dès le commencement (Jn 8, 44). Le Seigneur ne veut pas gagner seul : Il veut que Sa victoire soit aussi la nôtre, si nous descendons sur le champ de bataille sous les bannières du Christ Roi et de Marie Reine, qui nous ont rachetés – le Christ dans la Passion et la Rédemption et la Très Sainte Vierge Marie dans la Compassion et la Co-Rédemption – de notre état d’esclaves du diable. Et voici la Croix, sur laquelle le Roi est assis et aux pieds de laquelle se tient la Reine Mère ; Reine et Mère de tout baptisé, mais surtout de chaque prêtre, et que le Seigneur lui a confié comme ses vaillants sujets et ses enfants dévoués.

Ne nous laissons donc pas surprendre par la haine féroce du Dragon envers les enfants de l’Église, qui sont tous les enfants spirituels de la Très Sainte Vierge Marie : cette haine est le reflet de la haine envers l’Église elle-même, envers la Vierge Immaculée et envers le Fils de Dieu, Notre Seigneur Jésus-Christ. Soyons plutôt surpris si le Dragon n’essaie pas de nous dévorer, car cela signifierait qu’il ne voit pas le Christ en nous, et qu’il ne nous considère pas comme un obstacle dans la guerre qu’il mène contre Dieu. Soyons surpris si ses serviteurs nous traitent comme leurs amis, car alors nous devons comprendre que nous agissons et pensons selon l’esprit du monde, et non selon Dieu.

C’est pourquoi, dans cette société corrompue et rebelle, asservie au Mal par une élite de pervers dans l’esprit et dans la volonté, le Dragon de l’anti-église est si déchaîné contre les prêtres : il sait très bien combien ils sont redoutables, car entre leurs mains le Seigneur a placé le pouvoir divin de consacrer le Corps et le Sang du Christ, d’offrir la Victime immaculée au Père dans le Saint Sacrifice de la Messe, de perpétuer le fleuve de grâces et de bénédictions qui protège la Femme réfugiée dans le désert, image de l’Église. Tout tourne autour de la Croix, car c’est là que Satan a été vaincu par Notre Seigneur, c’est là que Sa Très Sainte Mère, unie à la Passion du Fils, a écrasé la tête du Serpent comme promis dans le Protévangile. C’est là que la Mère de l’Église se montre terribilis ut castrorum acies ordinata, contre le chaos des hordes infernales qui assiègent la Citadelle.

Sacerdoce, Messe, Eucharistie, Très Sainte Vierge Marie : ces fondements de notre Religion sont attaqués quotidiennement par le diable et ses serviteurs. Le Sacerdoce, parce qu’il continue dans l’Église l’action sanctifiante de sa Tête ; la Messe, qui est l’action principale du Sacerdoce ; la Très Saint Eucharistie, qui rend le Christ réellement présent sous les saintes espèces, qui devient nourriture spirituelle pour la patrie céleste ; la Vierge Marie, tabernacle vivant du Très-Haut et modèle de cette sainte humilité qui renverse l’orgueil de Lucifer.

Certes, nous devrions trembler pour le sort de ceux qui, aveuglés par le péché, s’en prennent à ce qui est le plus efficace pour mener cette bataille. Et nous devrions être horrifiés d’entendre celui qui s’est assis sur le Trône du Vicaire du Christ accuser comme arrièrisme la garde du dépôt de la Foi, comme rigidité la fidélité à l’enseignement de Notre-Seigneur, comme formalisme l’obéissance à ce qu’Il a enseigné aux Apôtres. Parce que ces paroles délirantes, ces déclarations aberrantes qui se multiplient depuis dix ans dans le silence narcotisé de la Hiérarchie, des clercs et des fidèles constituent la preuve la plus évidente et la plus déconcertante de l’étrangeté, de l’extranéité de Bergoglio au rôle qu’il occupe, voire de son aversion évidente pour tout ce qui est catholique, apostolique et romain ; à tout ce qui réalise le plus intimement la présence du Christ Roi et Pontife : le Sacerdoce, la Messe, l’Eucharistie. Et à Celle qui est Mère de l’Église et Reine de la Croix. Le sang se fige dans nos veines à entendre la doctrine de la Co-Rédemption et de la Médiation de la Très Sainte Vierge Marie qualifiée de « tonterias » – bêtises.

Non, chers frères : nous ne sommes pas « malades de la nostalgie », parce que nous ne sommes pas – et ne devons pas être – du monde, mais dans le monde. Parce que les paroles de Notre Seigneur ne sont pas soumises aux modes ou aux variations du temps : veritas Domini manet in æternum. Nous ne regrettons pas une époque lointaine, un âge d’or révolu, car nous savons bien que la bataille entre le Christ et Satan qui a commencé dans le Paradis terrestre est destinée à se poursuivre et à s’intensifier d’autant plus que le redde rationem des derniers temps se fait plus proche et inexorable, qui verra l’Archange Saint Michel repousser Satan et ses satellites, pour la deuxième fois et pour toujours, dans l’abîme. Le nôtre n’est pas un attachement au passé, mais à l’éternel. Ce n’est pas une façon d’échapper aux défis du présent en se réfugiant dans une oasis d’esthétisme, car s’il en était ainsi – et c’est malheureusement le cas pour certaines communautés dites conservatrices – nous serions coupables d’échanger la forme contre la substance, de transiger sur les principes pour en préserver les apparences extérieures.

Regardons ce qui se passe dans cette phase cruciale de l’histoire de l’humanité et de la vie de l’Église avec réalisme et sans nous laisser tromper : nous sommes très proches de la fin des temps, et peut-être que ces trois ans et demi pendant lesquels la Femme fuira dans le désert ne sont pas aussi éloignés que nous le souhaiterions. Trois ans et demi pendant lesquels l’Antichrist régnera en maître sur le monde, persécutant et martyrisant les fidèles dans l’indifférence du monde, dans le silence des médias, dans l’insouciance complice des faux pasteurs, avec leur complicité insensée et sordide, qui manifeste leurs véritables intentions et, ce qui est pire, leur trahison de Notre-Seigneur.

Si vous êtes le Fils de Dieu, descendez de la Croix : les hiérarques de la secte conciliaire le répètent, lorsqu’en abusant de leur pouvoir comme les Grands Prêtres du Sanhédrin, ils voudraient effacer le Sacerdoce institué par le Christ en transformant le prêtre en fonctionnaire, empêchant le Saint Sacrifice de la Messe, le corrompant en un banquet convivial, profanant la Très Sainte Eucharistie en admettant à la Communion ceux qui ne sont pas dignes de la recevoir. Descendez de la Croix, crient-ils, c’est-à-dire n’accomplissez pas la Rédemption que nous craignons tant. Descendez de l’autel, avertissent-ils aujourd’hui :  afin que la Rédemption ne soit pas perpétuée et prolongée dans le temps, afin que le Sacrifice d’il y a dix-neuf cent quatre-vingt-dix ans reste confiné au passé, soit rendu stérile et improductif comme le talent enterré dans le champ par le serviteur infidèle. Nous ne sommes pas les arriérés, les malades de nostalgie : ce sont plutôt eux qui regardent avec horreur la réalité de leur propre guerre déjà perdue et essaient par tous les moyens d’empêcher le triomphe du Christ – après avoir échoué dans l’assaut contre Lui et contre la Femme revêtue de soleil – frappant aujourd’hui les enfants de l’Église, les enfants de la Très Sainte Vierge Marie.

Comment pouvons-nous vaincre le Dragon ? Grâce au sang de l’Agneau et à la parole de leur témoignage (Ap 12, 11) : grâce à la Messe, que ce Sang très précieux verse encore abondamment aujourd’hui pour le salut des âmes ; grâce au Sacerdoce, qui rend la Messe possible et répand la parole de témoignage par la prédication ; grâce à la Très Sainte Eucharistie, Corps et Sang de l’Agneau. Et grâce à la Femme, image de la Très Sainte Vierge Marie et de l’Église, dans les entrailles de laquelle Notre-Seigneur a été formé et du sein de laquelle naissent spirituellement les enfants de Dieu.

Regardons les événements sub specie æternitatis : ce n’est qu’ainsi que nous comprenons la tromperie de celui qui agit selon la mentalité du monde – dont le Prince est Satan – et que nous pouvons le contrer. Et ne renonçons pas à être comme le Seigneur nous veut, et non comme ils nous voudraient, dans leur « vision pastorale », les mercenaires et les loups déguisés en agneaux. Aux énièmes déclarations déconcertantes et scandaleuses de Bergoglio répondent pour nous les paroles du Vénérable Pontife Pie XII : Derrière ceux qui accusent l’Église d’être rigide, il n’y a que la perversion du faux prophète qui attaque la vérité du Christ lui-même. Ainsi soit-il.

+ Carlo Maria Viganò, archevêque

20 mai 2023

Samedi sous l'Octave de l'Ascension »

Comme nous l'avons constaté au cours des analyses passées, les trois ans et demi du règne de la bête et en parallèle, des deux témoins de l'Apocalypse, sont un ordre de temps (2 temps, 1 temps et la moitié d'un temps) et ne sont donc pas à prendre au pied de la lettre pour 3,5 années de notre calendrier, car tout est allégorique dans l'Apocalypse.

Ainsi, nous sommes déjà sous le règne de la bête et nous achevons cette durée de temps.

Nous sommes déjà à la fin, et non en période d'attente du trois ans et demi.

18 mai

« Mgr Vigano. Homélie en la fête de l'Ascension du Seigneur

Pourquoi te poses-tu la question quand tu lèves les yeux vers le ciel ?

A 1, 11

 

Dans l'introït de la messe d'aujourd'hui, nous avons chanté : Viri Galilæi, quid admiramini aspicientes in cælum ? Hommes de Galilée, de quoi vous émerveillez-vous en levant les yeux vers le ciel ? Les deux Anges demandent aux Apôtres, absorbés de voir le Seigneur monter. La question des messagers célestes est rhétorique : le prodige qui déroge aux lois de la nature n'est rien comparé au miracle de la Résurrection dont ils seront témoins jusqu'à leur martyre.

 

Pourquoi êtes-vous surpris de voir le Seigneur monter au ciel ? Êtes-vous surpris de le voir miraculeusement monter pour disparaître dans les nuées, ou êtes-vous surpris qu'il vous laisse seul, maintenant qu'il est ressuscité et peut restaurer le royaume d'Israël (Actes 1:6) ? Mais ne vous a-t-il pas déjà dit : Je vais vous préparer la place. Et quand je serai parti et que je vous aurai préparé une place, reviendrai-je et vous prendrai-je avec moi, afin que là où je suis, vous soyez aussi (Jn 14:2-3) ?

Pourquoi le Seigneur n'est-il pas resté avec nous ? S'il n'était pas monté au ciel si tôt, en effet : s'il était encore ici sur terre, il aurait pu voyager et faire connaître son Évangile avec l'autorité d'un Dieu qui s'est fait homme, est mort et ressuscité. Le christianisme se serait répandu plus rapidement et avec plus de succès, épargnant également la vie de nombreux martyrs. Si le Seigneur était resté ici sur terre, il aurait pu vraiment restaurer le royaume d'Israël dans l'Église catholique, étant lui-même celui qui gouvernerait comme Pontife et comme Roi, il aurait traversé les siècles sans vieillir, ce qui aurait suffi pour lui convertir le monde. C'est pourquoi les Apôtres s'étonnent : parce qu'ils agissent et pensent encore selon la mentalité du monde.

Notre-Seigneur, après trente ans de vie retirée et trois de ministère, vainc en trois jours l'ancien Serpent par sa passion et sa mort, rachetant au prix de son sang le plus précieux toute âme enlevée au salut éternel par le péché d'Adam. Il nous a rachetés, il nous a achetés esclaves du diable pour nous rendre libres de ne plus être des serviteurs mais des amis (Jn 15:15). Dans les quarante jours qui suivirent la Résurrection, Il enseigna aux Apôtres les vérités de la Foi et de célébrer les Sacrements, et à la fin de ce "séminaire" accéléré tenu par nul autre que le Seigneur lui-même, le temps est venu de quitter le Haut Salle : Allez pour tout le monde, prêchez l'évangile à tous les hommes. Celui qui croira et sera baptisé sera sauvé ; celui qui ne croira pas sera condamné(Mc 16, 15-16). C'est Son dernier commandement, Son héritage avant de quitter cette terre.

Dix jours seulement s'écoulent entre l'Ascension du Seigneur et la descente du Saint-Esprit : vous recevrez la puissance du Saint-Esprit, qui viendra sur vous, et vous serez Mes témoins à Jérusalem, dans toute la Judée, en Samarie et en jusqu'aux extrémités de la terre (Actes 1:7). Les flammes du Paraclet qui s'arrêtent sur la tête des Apôtres et de la Sainte Vierge le jour de la Pentecôte donnent naissance à la Sainte Église, Corps Mystique du Christ, et à partir de ce moment les portes du Cénacle - jusqu'alors fermées par peur des Juifs ( Jn 20 , 19) - elles s'ouvrent largement et un nouveau peuple surgit, renaissant dans l'Esprit Saint, qui ne pense plus selon l'esprit du monde, mais selon Dieu. Nous le chanterons dans quelques jours :Il délivre Spiritum tuum, et creabuntur ; et renovabis faciem terræ . Dès qu'ils se sont laissés toucher par la grâce, ils ont changé leur façon de penser. Et c'est grâce à cela qu'ils comprennent la nécessité de l'Ascension. L'Église naît lorsque les Onze restés fidèles à leur Maître comprennent que ce vide laissé sur cette terre par le Seigneur, cet espace de temps qui va de Son Ascension au ciel à Son retour dans la gloire à la fin des temps, doit être servir à faire les trésors infinis des mérites de la Passion du Christ, avec la prédication de l'Evangile à toutes les nations, avec le témoignage de notre Foi, avec la conversion des âmes à l'unique Pasteur dans l'unique Berceau, dans l'unique Baptême, dans la seule profession fidèle.

La Sainte Église est la continuation de la présence de Son divin Chef jusqu'à la fin du monde. C'est dans son sein le plus pur - le Saint des Saints, l'Autel de Dieu - que dans le Saint Sacrifice de la Messe, sous les voiles eucharistiques, le Seigneur descend avec son Corps et son Sang glorieux, son Âme et sa Divinité. Et ce sont des hommes qui accomplissent ce miracle ineffable, grâce au Sacerdoce desquels Notre-Seigneur Jésus-Christ reste sur cette terre, présent aux yeux de la Foi, prisonnier du Tabernacle, afin qu'avec saint Thomas nous puissions Le reconnaître et L'adorer comme notre Seigneur et notre Dieu même sans mettre les doigts dans Ses saintes Plaies.

Le Saint-Sacrement de l'Autel, cœur battant de la Sainte Église, est le don divin du Seigneur qui monte au ciel à ses fidèles qu'il laisse dans cette terre d'exil, dans cette vallée de larmes, dans ce champ de bataille qui ne connaît jamais de répit. Et tandis que l'on se souvient du mystère de l'Ascension en éteignant symboliquement le cierge pascal en chantant l'Evangile, une autre flamme reste allumée : c'est celle de la lampe rouge qui brûle à côté du Tabernacle. Elle honore la Présence du Roi des rois, qui s'humilie dans son infinie magnificence en s'exposant à l'irrévérence, au sacrilège et à la profanation des méchants, afin d'avoir la consolation de nous voir prosternés devant Lui, pour Le prier, pour le remercier des faveurs accordées, pour l'implorer d'une faveur, pour lui demander pardon de nos manquements, pour le recevoir dans la Très Sainte Eucharistie et faire de nos âmes le temple de la Très Sainte Trinité. Mettre toute notre foi, toute notre espérance, tout notre amour en Lui :fais que je croie toujours plus en toi, espère en toi, t'aime .

Si Notre-Seigneur avait voulu son propre triomphe selon la mentalité du monde, Il nous aurait créés sans libre arbitre, nous programmant pour ne faire que Sa volonté, sans mérite et sans culpabilité. Il n'aurait même pas créé les anges pécheurs, évitant d'avoir contre les rangs des esprits rebelles. Il nous aurait rendus tous égaux, nous répartissant équitablement sur la planète, nous équipant du strict nécessaire et contrôlant chacune de nos actions. Bref, il aurait agi comme Klaus Schwab, qui voudrait nous asservir et effacer ce qui fait de nous des humains et de notre Créateur merveilleusement divin : notre unicité, notre liberté de L'aimer et de rendre la magnificence de Ses grâces à notre misère.

Le "succès" du Seigneur ne s'accomplit pas selon la mentalité du monde, car s'il en était ainsi ce ne serait qu'une illusion, un feu d'artifice éphémère, comme toutes les choses mondaines qui ne viennent pas de Dieu, délicatesse du père qui laisse le fils avec la satisfaction de lui démontrer ses propres capacités, fruit tiré de l'enseignement du père. Comme l'artisan qui, devant s'absenter, laisse l'atelier au plus expérimenté, pour lui donner l'occasion de confirmer la confiance bien placée. Et il sait qu'à son retour, il ne sera pas déçu.

Notre-Seigneur monte au ciel parce qu'à partir de ce moment chacun de nous, et en particulier les Successeurs des Apôtres, ont le mandat de proclamer le salut de Dieu dans un monde rebelle et apostat, d'apporter la lumière du Christ dans les ténèbres du péché et de la mort. Je vous envoie comme une brebis parmi les loups (Mt 10, 16), nous dit-il, prédisant qu'un disciple ne vaut pas plus que son maître, ni un serviteur ne vaut plus que son maître (Mt 10:25). C'est un moment d'épreuve, qui dure - avec des résultats mitigés - depuis deux mille ans : l'Église continue à rendre le Christ présent sur la terre, et à l'offrir mystiquement au Père. Mais combien de loups, déguisés non seulement en agneaux, mais même en bergers ! Combien de mercenaires corrompus, trompés qu'ils peuvent frauder le maître avant son retour ! Combien de traîtres qui cherchent à détruire l'Église précisément pour effacer la présence de Dieu et empêcher le salut des âmes !

Dans la question des deux anges aux disciples, il y a un avertissement : que Jésus, qui vous a été enlevé au ciel, reviendra comme vous l'avez vu monter au ciel (Actes 1, 11). Cela renvoie à la fin des temps, lorsque Notre-Seigneur triomphant de la mort et du péché reviendra juger les vivants et les morts, pour conclure par un procès universel cette victoire sur l'antique Serpent annoncée dans le Protoévangile (Gn 3, 15), inauguré avec l'Incarnation, accomplie avec la Passion et la Mort sur la Croix, mais encore incomplète car il manque la condamnation publique de Satan et de ses serviteurs. Une condamnation inexorable, déjà écrite, mais qui reste à prononcer. Liber scriptus proferetur, in quo totum continetur, unde mundus judicetur , nous chantons dans le Dies iræ. Le livre qui a été écrit, dans lequel tout est contenu, sera lu et le monde sera jugé.

Mais quand le Fils de l'homme viendra, trouvera-t-il la foi sur la terre ? (Lc 18, 8). Si nous regardons autour de nous, nous devrions dire oui, car les adversités que nous traversons permettent à de nombreuses âmes de se convertir et de revenir à Dieu, et cette célébration en est la preuve. Mais si l'on regarde le monde, il y a de quoi horrifier, à commencer par l'apostasie, la corruption et l'immoralité dans lesquelles se trouve la hiérarchie catholique. Beaucoup de mes confrères et beaucoup de prêtres pensent qu'il est plus facile de promouvoir une version soft du christianisme - humanitaire, écologiste et mondialiste - parce que son "édition complète" est considérée comme peu pratique pour la mentalité du monde. Avec une mentalité mercantile, ils croient pouvoir « rajeunir l'entrepôt » en proposant un nouveau « produit » qui répond aux goûts des clients. Des choses peu exigeantes, aussi génériques que rassurantes pour ceux qui ne veulent rien changer à leur vie : solidarité, acceptation, inclusion, synodalité, résilience, éco-durabilité. Et surtout : pas de référence au péché, donc pas de péché originel, pas de rédemption, mais seulement une « marche ensemble », vers l'abîme. La Passion et la Mort du Seigneur est une charge, elle divise, elle n'inclut pas. Il ne construit pas de ponts, il construit des murs.

Mais est-ce peut-être la Foi que le Seigneur a enseignée aux Apôtres pendant les trois années de ministère public et, après la Résurrection, jusqu'au moment de l'Ascension ? Est-ce pour cela qu'il a institué les Saints Ordres, et tous les sacrements ? Est-ce cela qu'il ordonna d'enseigner à toutes les nations ? Pour cette raison les Martyrs sont-ils morts dans d'atroces tourments ? Se faire dire que la mission divine de l'Église de convertir les peuples est « un non-sens solennel » ? Pour cette raison, les Saints Pères et Docteurs de l'Église ont-ils consacré leur vie à la prédication de la doctrine ? Écouter les discours délirants et incohérents contre ceux qui restent fidèles à la Sainte Tradition, marginalisés comme rétrogrades ou nostalgiques pathologiques? Des prêtres catholiques ont-ils été persécutés pour cela dans l'Angleterre d'Henri VIII ou dans la France de la Terreur ? Voir interdite cette messe haïe des hérétiques de tous les temps ?

Les deux anges avertissent non seulement les disciples avec leurs têtes hautes, mais aussi chacun de nous : que Jésus, qui vous a été enlevé au ciel, viendra, comme vous l'avez vu monter au ciel (Actes 1 :11). . Et à son retour, il demandera à ses administrateurs ce qu'ils ont fait des talents inestimables qu'il leur a laissés dans le coffre de la Sainte Église. Rendez compte de votre intendance (Lc 16, 2). Je tremble à l'idée du Jugement de Dieu, qui a établi le Pape et les Évêques en autorité pour être d'autres Christs et prêcher l'Évangile à tous les peuples, et aujourd'hui l'Église se trouve infestée par un Sanhédrin d'hypocrites, d'hérétiques et d'apostats déterminés à partager son vêtement inconsutil avec les puissants de la terre. Comment le patrimoine du Christ, composé des Sacrements et de la Sainte Messe, s'est-il fait fructifier ? En copiant la « Cène » aux Protestants et en interdisant le Rite Apostolique ? Comment se sont multipliés les talents de prédication et d'apostolat, les trésors de doctrine des saints théologiens ? En promouvant l'œcuménisme iréniste et en participant sacrilège au panthéon des « religions abrahamiques » d'Abu Dhabi ? en faisant adorer au Vatican l'idole infernale de la Pachamama ? encourager les vices et se moquer des vertus ? promouvoir des prélats indignes et persécuter de bons prêtres ? Ces bureaucrates corrompus se précipiteront pour déterrer le trésor,

L'Ascension du Seigneur nous montre que c'est Sa volonté que nous collaborions à l'œuvre du salut, car nous sommes des membres vivants de Son Corps qui est l'Église, et en tant que tels nous devons suivre docilement sa Tête divine. Il demande aux Pasteurs, auxquels il a ordonné de prêcher l'Evangile et de baptiser toutes les nations, sans laisser d'ambiguïté sur la condamnation qui attend ceux qui ne se convertissent pas et ceux qui n'annoncent pas l'Evangile. Parce que l'autorité des Pasteurs est vicariante , c'est-à-dire qu'elle existe précisément parce qu'elle s'exerce en l'absence physique de Notre-Seigneur, seul Chef de l'Église. Celui qui t'écoute m'écoute, et celui qui te méprise me méprise (Lc 10, 16): ce sont des paroles qui rassurent ceux qui sont méprisés du monde parce qu'ils prêchent le Christ, mais qui doivent terrifier ceux qui sont accueillis par le monde parce qu'ils prêchent un autre évangile au nom du Christ. Et malheur à ceux qui font mépriser le Christ parce qu'avec l'autorité du Christ ils répandent l'erreur, légitiment le péché et le vice, causent le scandale avec leur propre mode de vie.

Le Seigneur s'en va sans bruit, comme en silence. Il est ressuscité. Seul, Il se laisse voir par les Disciples, afin que l'évidence de Son Ascension au ciel soit suivie de la Foi en Sa présence sacramentelle dans la Très Sainte Eucharistie gardée par l'Église, l'Espérance de Le retrouver dans la gloire céleste et l'ardente Charité de l'aimer et de venir pour vous. C'est l'héritage que l'Église du Christ a transmis intact depuis deux mille ans, et que personne ne peut modifier ou falsifier, s'illusionnant qu'il peut s'en tirer : Deus non irridetur . Car lorsque le Seigneur reviendra, il voudra reprendre possession des biens spirituels inestimables qu'il a confiés à ses ministres pour administration, et dont ils devront rendre compte.

Chérissons donc tous - tous : des dirigeants de l'Église aux fidèles les plus humbles - le temps qui nous reste. De ce qu'il nous reste dans cette vie mortelle, avant de nous retrouver devant Dieu pour le Jugement particulier. De ce qui reste dans le monde et dans l'Église avant la fin des temps, avant le Jugement Dernier. Si même une seule âme a été gagnée au Christ par notre prédication, par notre exemple, par une de nos bonnes paroles, nous pourrons sereinement montrer au Seigneur que nous avons multiplié les talents reçus et entendre la réponse : Bravo, bon et fidèle serviteur... entre dans la joie de ton Seigneur (Mt 25, 23). Que cette espérance soit valable surtout pour ceux que le Seigneur a placés en autorité dans l'Église : telle est l'intention des prières que nous déposons aux pieds de la Reine des Apôtres et Mère de l'Église, Marie la Très Sainte. Et ainsi soit-il. »

15 mai

L’EXPÉRIENCE-SENTIMENT

Voilà exactement comment le grand architecte Bergolio modifie l’église.

La pyramide inversée.

Le peuple qui décide.

Mené par les émotions, le vécu, les faussetés suggérés par le malin, alors qu’il n’y a pas d’espoir sans le phare lumineux dans la nuit, le Christ.

Tu le dis, je suis roi. Je suis né et je suis venu dans le monde pour rendre témoignage à la vérité : quiconque est de la vérité écoute ma voix. " (Jean, 18-37)

NSJC indique bien qu’il n’y a qu’une seule voie à suivre, et une seule voix à écouter.

Et pourtant, le Vatican prend le chemin contraire avec le synode des synodes.

Le seul phare temporel qui demeure alors, est la tradition, les deux témoins de l’Apocalypse, ceux qui laïcs et clergé demeurent fidèles à la Loi et aux Prophètes.

C’est ce qu’accomplie la FSSPX en s’opposant à la bête, à ses principes et idées tordus tout en défendant l’intégralité de la Foi, de la doctrine via les sacrements et la liturgie tridentine de l’Église.

C’est ce que confirme Mgr Pagliarani dans un entretien récent. (fsspx.news)

« Tout d’abord, par rapport à l’autorité, on souhaite explicitement la reconnaissance d’une Eglise qui fonctionne à l’envers, et dans laquelle l’Eglise enseignante n’ait plus rien à enseigner…

on prône une Eglise sans doctrine, sans dogme, sans foi, dans laquelle on n’a dès lors plus besoin d’une autorité qui enseigne quoi que ce soit. Tout est dissout dans un esprit d’amour et de service, sans trop savoir à quoi cela correspond – si cela correspond à quelque chose – et où cela doit mener…

L’Église offre ainsi à l’humanité un enseignement qui ne correspond plus à la transmission d’une Révélation transcendante…

Je pense qu’il n’est pas nécessaire d’être un expert très averti pour saisir la volonté manifeste d’en finir avec la messe tridentine…

Pour le bien de l’Eglise, la Fraternité doit garder et garantir, à ses prêtres et à ses fidèles, la pleine liberté de la célébration de la liturgie traditionnelle. En même temps, la Fraternité doit continuer à assurer la conservation de la théologie traditionnelle qui accompagne et soutient cette même liturgie. Un catholique encore lucide ne saurait renoncer à cette doctrine : son changement au cours du Concile est bien ce qui – pour paraphraser le cardinal Roche – a inspiré la nouvelle messe. Nous avons le devoir de garder l’une et l’autre, avec la pleine liberté de nous opposer aux erreurs et à ceux qui les enseignent. En effet, si la liturgie est par définition publique, la profession de foi qui lui est associée l’est aussi… »

12 mai

CE MONDE EST PERDU

Sermon très révélateur (vidéo) de l’abbé Puga sur « ce monde ».

Très pertinent pour la fin des temps.

« Le monde dans lequel nous sommes n’est pas notre monde ; c’est pourquoi le Christ dit qu’il ne prie pas pour le monde. Ce monde disparaîtra, ou plus exactement il sera transformé à la fin des temps pour être rendu acceptable, et du moins vivable, pour des âmes qui ont été transformées en Notre-Seigneur Jésus-Christ. Et c’est pourquoi le monde d’aujourd’hui est un exil pour le chrétien. »

« Nous ne sommes pas dans l’admiration des merveilles de ce monde, surtout tel qu’il est aujourd’hui. »

« Mon royaume n’est pas de ce monde dit Jésus à Pilate ; oui le royaume du chrétien n’est pas de ce monde. »

« Le péché nous rend esclave du monde, nous sommes accrochés à ce monde par le péché, et celui qui est accroché à ce monde par le péché, périra avec ce monde qui sera détruit pour être transformé. »

Ce monde est celui de Satan, modifié à sa main depuis des décennies, et surtout pour l’église, depuis Vatican II.

C’est un monde malade.

Les fruits en sont le témoignage lorsqu’on regarde les dernières générations qui ont mis de côté le Christ.

Elles sont aveugles, sans phare, perdues et errantes sans savoir pourquoi.

Les délices de Capoues où « on a une vie » finalement sont un poison insidieux et ainsi,

« Au nom de la liberté on permet les pires crimes » (abbé Puga ci-haut) :

- avortement
- manipulation mentale des jeunes quant  au transgénérisme, propagande LGBT+, etc.
- destruction de la famille et du sacrement du mariage
- guerres
- esclavage mental de la société par la technologie, les médias, la publicité.
- le « wokisme », dernière trouvaille pour justifier l’humanisme sociétaire, cette nouvelle religion à IMPOSER et dont un des outils est l’immigration de masse pour éliminer toute traces chrétiennes des civilisations.

Et dans tout ceci, malheureusement, le Vatican s’est directement aligné sur cette religion humanisme avec en tête Bergoglio et sa propre définition de la miséricorde pour atteindre un humanisme athée : promulgation de l’immigration massive (pacte de Marrakech), répandre la thèse du réchauffement climatique (encyclique sur le climat Laudato Si), humanisme religieux (encyclique Fratelli Tutti), adhérence à l’Agenda 2030 maçonnique aux Nations-Unies (tous les papes depuis Vatican II), adhérence à la dictature mondiale du Covid, bref une dégradation fulgurante par rapport à la doctrine de l’Église, en un temps, disons, record.

Ce monde est un monde de culture de la mort.

« ( LifeSiteNews ) –  Un professeur catholique a fustigé le pape François, accusant le pontife de « détruire les fondements de la foi et de la morale ».

Josef Seifert, professeur de philosophie renommé et ami intime du pape Jean-Paul II, a publié une lettre ouverte adressée aux cardinaux de l’Église catholique, dans laquelle il appelait les évêques de l’Église à résister aux actions hétérodoxes du pape François, comme la signature de le document d’Abou Dhabi.

« Le pape François – je le dis avec un cœur saignant – n’est pas le » garant de la foi « , mais il détruit constamment de plus en plus les fondements de la foi et de la morale avec cela et bien d’autres déclarations et déclarations », a écrit Seifert.

Le professeur autrichien a spécifiquement critiqué le « Document sur la fraternité humaine pour la paix mondiale et le vivre ensemble », souvent appelé document d’Abu Dhabi, que François a signé avec le Grand Imam d’Al-Azhar. Le document stipule que « [l]e pluralisme et la diversité des religions, des couleurs, des sexes, des races et des langues sont voulus par Dieu dans sa sagesse, par laquelle il a créé les êtres humains ».

« Rappelons-nous la Déclaration sur la Fraternité de tous les Peuples signée par le Pape François avec le Grand Imam Ahmad Mohammad Al-Tayyeb », a déclaré Seifert.

« Ne serait-ce pas une hérésie et une terrible confusion de prétendre que Dieu — de même qu’il a voulu la différence des deux sexes — c’est-à-dire avec sa volonté positive — a aussi directement voulu la différence des religions et donc toute idolâtrie et hérésie ? Oui, la Déclaration d’Abu Dhabi n’est-elle pas bien pire que l’hérésie, à savoir l’apostasie ?

« Ne devriez-vous pas tous, cardinaux et évêques, prononcer votre ferme ‘non possumus’ [nous ne pouvons pas] lorsque François demande que ce ‘document’ soit la base de la formation des prêtres dans tous les séminaires et facultés de théologie ?

« Vrai comme il est en soi » que le pape est le pape et le garant de la foi « , cette déclaration ne peut pas être appliquée à un pape qui a signé la déclaration d’Abu Dhabi et l’a diffusée dans le monde entier, et qui a dit et fait beaucoup d’autres des choses contraires à l’enseignement constant de l’Église.

« Que dois-je répondre à un ami luthérien cher et profondément croyant, pour la conversion duquel je prie depuis des années, lorsqu’il m’écrit qu’avec cette déclaration d’Abu Dhabi, l’Église catholique a quitté le sol du christianisme ? Il a demandé.

« Ne faudrait-il pas que tous les cardinaux écrivent au pape comme un seul homme et lui demandent de retirer cette déclaration apostolique ?

Le professeur de philosophie a également dénoncé la promotion par François des «unions civiles» homosexuelles, ce qui contredit directement l’enseignement de l’Église et ses prédécesseurs.

« Sa déclaration selon laquelle il faut promouvoir les alliances civiles/unions civiles d’homosexuels contredit directement les déclarations claires du magistère de l’Église (cf. les considérations sur les projets de reconnaissance légale de la cohabitation entre personnes homosexuelles du 3 juin 2003, publiées sous le pontificat de saint Pape Jean-Paul II), mais surtout la Sainte Écriture et toute la tradition de l’Église ! Seifert a déclaré.

« Ne devriez-vous pas tous, cardinaux, comme l’a fait à merveille Mgr Athanasius Schneider, accomplir un véritable acte d’amour pour le pape et l’exprimer publiquement et aussi clairement que lui, avec toute la clarté requise ?
Seifert a rappelé aux cardinaux de l’Église catholique qu’ils devraient un jour répondre de leurs actions (ou de leur inaction) devant le siège du jugement de Dieu.

« Ne devez-vous pas, cardinaux, trembler avant le moment où le Christ vous demandera comment vous pourriez remplir le mandat missionnaire solennel de Jésus si vous ne protestiez pas contre la Déclaration d’Abu Dhabi, qui dit le contraire diamétralement des paroles de Jésus ? écrit le professeur.

De plus, Seifert a critiqué François pour avoir contredit l’enseignement de l’Église sur la peine de mort et changé le Catéchisme de l’Église catholique.

Il a également appelé le pape pour avoir dit que les âmes damnées sont détruites au lieu d’aller en enfer pour l’éternité. Le Pontife aurait fait ces remarques dans l’une de ses tristement célèbres interviews avec le journaliste athée Eugenio Scalfari .

« Tous les cardinaux ne devraient-ils pas protester dans de nombreux autres cas, par exemple lorsque le Pape introduit arbitrairement un changement théologiquement et ecclésiastiquement erroné dans le Catéchisme catholique, qui contredit les paroles claires de Dieu dans la Sainte Écriture (déjà dans le Livre de la Genèse) et de nombreuses déclarations doctrinales des papes sur la peine de mort formulées dans une tradition ininterrompue et aussi des faits historiques », a écrit Seifert.

« [O]r quand – contre de nombreuses paroles énergiques de Jésus et des dogmes de l’Église catholique – il parle d’un enfer vide ou même, comme les Témoins de Jéhovah, prétend que les âmes des pécheurs incurables ne vont pas en enfer mais sont détruites? »

Le professeur autrichien a ensuite reproché à François d’avoir nommé des membres qui contredisent ouvertement « le noyau de l’enseignement moral biblique et de l’Église et les encycliques Humanae Vitae, Evangelium Vitae et Veritatis Splendor à l’Académie pontificale pour la vie[.] »

« Comment pouvez-vous, cardinaux […], garder le silence sur cela et bien d’autres « désolations du sanctuaire » au lieu de faire beaucoup plus que les laïcs critiques et les théologiens pour faire tout leur possible pour proclamer ces nombreuses vérités de la foi que le Pape ouvertement ou tacitement contredit par des paroles et aussi des actes (comme la célébration de la Réforme, l’érection de la statue de Luther au Vatican, le timbre célébrant la Réforme, le culte Pacha Mama dans les jardins du Vatican et la basilique Saint-Pierre, etc.) [ …]”

Seifert est un professeur de philosophie catholique renommé qui a été renvoyé d’une université catholique en Espagne en 2017 pour avoir ouvertement critiqué le pape François. Il enseigne actuellement encore la philosophie à l’Université Ludwig-Maximilians de Munich. »

Cette dégradation des mœurs, morales et spirituelles, rapides, sont des preuves convaincantes que les limites sont atteintes.

La destination de la majorité des âmes est l’enfer pour tous.

Et le pire c’est que l’église elle-même nous y entraîne, réalisant la prophétie du Christ des aveugles conduisant les aveugles au gouffre.

Comme dernier geste, Bergoglio entraîne les jeunes pousses catholiques dans ce sillon avec la Journée mondiale de la jeunesse 2023 au

Portugal : « Notre mission est de construire les JMJ Lisbonne 2023 (JMJ Lisbonne 2023) sur la base des objectifs de durabilité adoptés au niveau mondial, des objectifs de Laudato si’ mis en avant par le Vatican, ainsi que de l’Agenda 2030 des Nations unies (SDG). »

« Les JMJ Lisbonne 2023 seront marquées par les encycliques Laudato si’ et Fratelli Tutti du pape François, ainsi que par l’exhortation apostolique Christus Vivit. Elles nous invitent à prendre grand soin de notre maison commune. Le Saint-Père affirme que « tout est lié ».

Le souci de l’environnement doit donc être associé à un amour sincère pour nos semblables et à un engagement sans faille pour résoudre les problèmes de la société ».  La JMJ Lisbonne 2023 portera en son cœur le concept d'écologie intégrale’. » ( www.lisboa2023.org/fr )

Remarquez que la rencontre préparatoire a eu lieu le 17 octobre 2022 à Fatima et annoncée le 13 octobre (journée du miracle du soleil en 1917).

Ce n'est pas un hasard.

Remarquez aussi qu'une nouvelle cathéchèse sera utilisée (RISE UP ou en français « debout, élevez vous »):

« Le Comité local d'organisation (COL) des Journées mondiales de la jeunesse (JMJ) Lisbonne 2023 inaugurera un nouveau modèle de catéchèse - les Rencontres Rise UP - impliquant une série de réunions préparatoires entre avril, mai et juin. Il propose que des jeunes du monde
entier soient les protagonistes de la réflexion sur les thèmes centraux pour le monde et la vie en société : l'écologie intégrale, l'amitié sociale et la miséricorde.
Avec le lancement de l'itinéraire catéchétique Rise UP, les JMJ de Lisbonne 2023 offriront à tous les jeunes une expérience en ligne avec le voyage synodal 2021-2024, actuellement en cours dans l'Église universelle sous le thème "Pour une Église synodale : communion,
participation et mission". »

Surpris?

L'objectif est clair pour 2024. Tout est planifié au moindre détail.

L'étau se resserre à l'insu de plusieurs.

Ainsi, le petit reste ne survivra plus très longtemps dans ce contexte.

Le synode des synodes est un décompte.

Pour la fin de Babylone Vatican.

Et pour la fin de Babylone Nations-Unies.

Les deux Babylone des prophéties de Jean XXIII.

Car, il ne reste plus qu’un seul endroit où le Christ est vivant si ce n’est pas dans les âmes, c’est la messe.

Et c’est inacceptable à leurs yeux.

Il y a longtemps que l’élite franc-maçonne attend ce moment.

On sait donc à l’avance la conclusion du synode.

1 mai 2023

Le synode des synodes au Vatican qui va à l’encontre de son propre droit canon.

C’est bien le signe que le chaos s’est installé.

Bergoglio change les règles du jeu pour que la conclusion soit finalement la sienne, ou du moins, selon le document final qui est probablement déjà décidé.

Alors…

Le synode ne sera plus composé seulement d’évêques… Qui verront leur pouvoir décisionnel réduit de 25%.

« Encore un document papal destructeur: des non-évêques et des femmes au Synode… des évêques.

Motus in fine velocior. La locution latine qui exprime que le mouvement s’accélère vers la fin n’a jamais été aussi vraie qu’aujourd’hui au moins dans l’Église (voir ci-dessous). Le Pape semble pris d’une véritable frénésie réformatrice, ou plutôt destructrice, comme s’il savait (lui ou ceux qui le « conseillent ») qu’il ne lui restait plus beaucoup de temps pour faire ce qu’il a été élu pour faire. Hier, on apprenait que « le 17 avril 2023, le Saint-Père a approuvé l’extension de la participation à l’Assemblée du Synode aux ‘non-évêques’ (prêtres, diacres, hommes et femmes consacrés, laïcs hommes et femmes) ».

Maintenant, au Synode des ÉVÊQUES, les laïcs (hommes et femmes nommés par lui) voteront aussi parce que beaucoup d’évêques ne voteront pas comme le veut le Pape.

Il était une fois… Au Synode des ÉVÊQUES, seuls votaient les évêques (cf. can. 342 et 343 Code de droit canonique).

En un coup de force inattendu, le Saint-Père François a modifié la Constitution apostolique Episcopalis Communio du 15 septembre 2018 et a inséré 70 laïcs choisis, de fait, par le Pape à partir d’une liste proposée.

Outre les nouveaux membres, il convient de mentionner qu’y compris parmi les membres de nomination pontificale, il sera possible d’avoir des membres non ÉVÊQUES.

Enfin, il est prévu que 50 % d’entre eux soient des femmes et que la présence de jeunes soit également valorisée.
...

Tout cela alors que le Synode est en cours (comme François a l’habitude de le faire, pour changer les règles d’un processus… en cours quand il voit que le processus ne se déroule pas comme il le voudrait).

Mais alors, quid de la synodalité que le Pape François appelle de ses vœux et qu’il proclame tellement? Compte-t-elle pour rien si elle ne décide pas comme LUI le souhaite ?

Du politiquement correct sur mesure, un précédent très dangereux pour la structure hiérarchique de l’Église et un nombre anormal de participants nommés par François lui-même (avec un document final qui pourrait être non seulement consultatif mais délibératif, le diable est dans les détails…) !

Définition de la ‘synodalité’ [selon François] : en cours de Synode, les membres du Synode sont changés jusqu’à ce qu’il n’y ait plus que ceux qui votent démocratiquement comme LUI le souhaite (sauf un ou deux, pour donner l’apparence d’une discussion).... » (benoit-et-moi.fr)

Saint-François d’Assise dans sa prophétie avait bien averti, comme s’il savait qu’on usurperait son nom… et son amour pour les pauvres et la nature :

« Il y aura très peu de chrétiens qui obéiront au véritable Souverain Pontife et à l’Église catholique romaine avec un cœur loyal et une parfaite charité. Au moment de cette tribulation, un homme, non élu canoniquement, sera élevé à la papauté, lequel, par ruse, s’efforcera d’entraîner beaucoup de monde dans l’erreur et dans la mort… en ces jours-là, Notre Seigneur Jésus-Christ leur enverra non pas un vrai Pasteur, mais un destructeur. »

« Il y avait à Rome, même parmi les prélats, bien des personnes de sentiments peu catholiques qui travaillaient au succès de cette affaire. Je vis aussi en Allemagne des ecclésiastiques mondains et des protestants éclairés manifester des désirs et former un plan pour la fusion des confessions religieuses et pour la suppression de l’autorité papale… » Anne Catherine Emmerich

Elle a vu juste avec le synode allemand qui entraînera le synode bergoglien.


« CITÉ DU VATICAN ( LifeSiteNews ) - Dans un geste signal, le pape François a approuvé la participation d'hommes et de femmes laïcs à participer au Synode sur la synodalité et à obtenir jusqu'à 25% des droits de vote de l'assemblée...

De plus, le Synode sur la Synodalité sera rejoint par d'autres "experts" qui n'auront pas le droit de vote, et ne recevront donc pas le titre de "Membre de l'Assemblée". Ces "experts" - peut-être tirés des " experts " qui ont rédigé le document de travail pour l'étape continentale - seront rejoints par d'autres "facilitateurs".

Le côté œcuménique du synode devient de plus en plus évident ces dernières semaines, avec l'annonce officielle que "des délégués fraternels, des membres d'autres Églises et Communautés ecclésiales participeront également"...

Avec l'approbation officielle maintenant donnée pour l'implication et le vote des laïcs dans le synode, les ressemblances avec la « voie synodale » hétérodoxe allemande, qui comprend également des membres laïcs et cléricaux, augmentent... » (lifesitenews.com)

Le synode est l'ultime finale de l'Antéchrist pour adapté l'église aux mondanités humanistes du système antichrist.

Nous avons donc l'avantage de connaître la date de la fin de la bête de l'Apocalypse: novembre 2024 au plus tard dépendant des nouvelles règles à venir s'il y a lieu.

Avril 2023

19 avril

« Prenez garde que nul ne vous séduise. »

Telles sont les paroles de NSJC en Matthieu 24 concernant la fin des temps.

Ces paroles s’adressent évidement aux chrétiens d’aujourd’hui, indiquant que des chrétiens catholiques tomberaient sous le joug de Satan (sans compté le protestantisme), donc qu’il y aurait « deux » types de catholiques.

Un passage de l'Apocalypse nous donne l'indice concernant ces deux groupes.

On discute souvent de la bête, des deux bêtes dans l’Apocalypse, mais rarement de la « femme ».

«Quand le dragon se vit précipité sur la terre, il poursuivit la femme qui avait mis au monde l’enfant mâle.
Et les deux ailes du grand aigle furent données à la femme pour s’envoler au désert, en sa retraite, où elle est nourrie un temps, des temps et la moitié d’un temps, hors de la présence du serpent…
Et le dragon fût rempli de fureur contre la femme, et il alla faire la guerre au reste de ses enfants, à ceux qui observent les commandements de Dieu et qui gardent le commandement de Jésus…» (Apocalypse. Chap. 12, 13-17)

Les Pères de l'Église ont expliqué ce passage de façon claire : la femme dans le ciel est à la fois une allégorie de la Vierge Marie et de l'Église.

L’Église doit s’enfuir au désert, se mettre à l’écart du monde et de ses tentations.

Comme le Christ nous demande de fuir dans les montagnes en Matthieu 24.

Mais en cette fin des temps, la femme, l’Église, à partir des persécutions de Vatican II en 1962, génère un « enfant mâle », une nouvelle génération de chrétiens refusant cette évolution : la tradition qui se regroupera derrière Mgr Lefebvre.

Cet « enfant mâle », va se mettre à l’écart de l'Église conciliaire, et de la Babylone pécheresse, donc aller au désert.

Ces chrétiens qui affichent préférence pour la tradition vont s’isoler durant 1260 jours, soit la même durée que les témoins, parce qu’ils sont les représentants des deux témoins (clergé et laïcs fidèles à la Loi et aux Prophètes), et parce qu’ils s’opposent à la Bête, qui a la même durée de vie selon l’Apocalypse.

Selon le calendrier de la fin des temps (voir analyses précédentes), la bête meurt après la résurrection des deux témoins.

C’est l’ouverture du 7ème sceau, et à ce point il n’y a plus de pape.

« Où croyez-vous fuir, maintenant que vous avez détruit les Églises et tué le dernier Père ? » confirme la prophétie de l’Église le « 7ème Sceau » de Jean XXIII.

Plus d’Église. Plus de phare dans la brume. C’est le temps du Jugement.

Ce dernier Père élu par un conclave, on le sait maintenant, était Benoît XVI.

Non pas Bergoglio. Non pas un autre pape (comme nous anticipions le cardinal Pietro Parolin).

Benoît XVI a été assassiné à petit feu.

C’est là le mystère d’iniquité qui se révèle petit à petit, une branche saine et l’autre pourrissant, une Église traditionnelle pré-Vatican II, et une église conciliaire menée au gouffre par Bergoglio.

Citons les paroles de Louise de Jésus concernant le 7ème sceau :

« au septième sceau, l’Archange saint Michel tuera de son souffle l’Antéchrist, qui tombera mort au milieu de ses partisans. Et alors les grands châtiments commenceront à pleuvoir sur la terre, la famine, la peste, une terrible guerre sur mer et sur terre, puis un embrasement qui sera l’œuvre de la secte impie et incendiaire. »

C’est exactement ce que confirme la prophétie de Jean XXIII :

« Quelqu'un brandira la croix noire. Des vallées du Prince viendront les chevaliers aveugles. Derrière eux, les corbeaux de la faim, de la famine, de la peste. Où croyez-vous fuir, maintenant que vous avez détruit les Églises et tué le dernier Père… »

Examinons les paroles de NSJC en Matthieu 24;

- « Car plusieurs viendront sous mon nom, disant : C'est moi qui suis le Christ, et ils en séduiront un grand nombre. »

Qui n’a pas été séduit par la technologie de pointe, par l’image de la bête via la télévision, les ordinateurs, les téléphones intelligents.

- « Cet évangile du royaume sera prêché dans le monde entier, pour être un témoignage à toutes les nations ; alors viendra la fin. »

Cet parole a été accomplie sous Pie XI!

- « Quand donc vous verrez l'abomination de la désolation, annoncée par le prophète Daniel, établie en lieu saint, — que celui qui lit, entende ! — alors que ceux qui sont dans la Judée s'enfuient dans les montagnes ; »

Nous savons tous qu’il est présentement sur le trône de Saint Pierre.

- « Car, comme l'éclair part de l'orient et brille jusqu'à l'occident, ainsi en sera-t-il de l'avènement du Fils de l'homme. »

L’effet de surprise : sous Noé, sous Sodome et Gomorrhe, et prochainement pour notre génération.
La stupeur en frappera plusieurs car ils ne connaissent pas les écritures et sont dans l’ignorance, alors que d’autres se sont laissés séduire et ont abandonné la barque.

Ainsi arrivera le Fils de l’Homme après les trois jours de ténèbres.

- « Aussitôt après ces jours d'affliction, le soleil s'obscurcira, la lune ne donnera plus sa lumière, les étoiles tomberont du ciel, et les puissances des cieux seront ébranlées. Alors apparaîtra dans le ciel le signe du Fils de l'homme, et toutes les tribus de la terre se frapperont la poitrine, et elles verront le Fils de l'homme venant sur les nuées du ciel avec une grande puissance et une grande majesté.

Tels furent les jours de Noé, tel sera l'avènement du Fils de l'homme.
Car dans les jours qui précédèrent le déluge, les hommes mangeaient et buvaient, se mariaient et mariaient leur filles, jusqu'au jour où Noé entra dans l'arche ; et ils ne surent rien, jusqu'à ce que le déluge survînt, qui les emporta tous : ainsi en sera-t-il à l'avènement du Fils de l'homme. »

Donc, TOUTES les conditions ont été remplies.

Tous ont eu la chance de connaître les paroles du Christ.

La grande apostasie s’est imposée malgré tout.

L’abomination de la désolation est en haut lieu à Rome.

La mort des deux témoins est proche, nous le savons grâce au synode des synodes, et à la rumeur d’une exhortation apostolique en préparation pour interdire la messe traditionnelle.

Alors viendra la fin de ce monde spécifie NSJC.

13 avril

L'échéancier avance plus vite qu'ils le pensent, semble-t-il...

« CITÉ DU VATICAN ( LifeSiteNews ) - Concernant son récent séjour à l'hôpital, le pape François aurait déclaré qu'il était arrivé inconscient, soulevant ainsi des questions sur la véracité d'un incident que le bureau de presse du Vatican a constamment tenté de blanchir.

Les commentaires du pape ont été révélés par les médias italiens le 11 avril et auraient été faits par lui à un confident personnel. Selon Michèle Ferri, qui s'est entretenue avec François au téléphone le dimanche de Pâques comme il le fait régulièrement, le pape a déclaré qu'il était arrivé inconscient à l'hôpital et que quelques heures auraient fait la différence entre la vie et la mort.

Le pape à l'hôpital : que s'est-il passé ?

François a été emmené à l'hôpital Gemelli de Rome le mercredi 29 mars, le bureau de presse du Saint-Siège déclarant le jour que le pape était là pour "des examens précédemment programmés". Mais les médias italiens ont rapidement démystifié le récit officiel, François devant annuler une interview prévue et ses rendez-vous après l'audience de mercredi et être transporté d'urgence à l'hôpital dans une ambulance. Selon les dépêches, qui citent des sources à l'hôpital, Francis souffrait de "problèmes cardiaques" ainsi que de problèmes respiratoires à son arrivée.

Un communiqué du Vatican du soir du même jour déclarait alors que le pape se plaignait depuis quelques jours de quelques difficultés respiratoires et que les médecins avaient découvert une « infection respiratoire (hors infection au Covid 19) qui nécessitera quelques jours de soins appropriés ». thérapie médicale hospitalière.

Un tel diagnostic était en contraste apparent avec la condition physique du pape quelques heures plus tôt lors de son audience hebdomadaire, où il était animé et ne présentait pas de signes d'une telle condition signalée.

Les déclarations officielles minimisant la gravité de l'état du pontife, François a ensuite avoir été libéré de l'hôpital le 1er avril. Lors de sa sortie, l'homme de 86 ans a plaisanté en disant qu'il était "toujours en vie".

Avant sa libération samedi, vendredi après-midi, François avait visité le service d'oncologie pour enfants, où il avait béni les patients et baptisé un bébé, ce qui ne correspondait pas à son diagnostic d'infection respiratoire.

Un appel téléphonique révèle la gravité de l'état

Les observateurs étant toujours confus quant à la véritable nature de l'état de santé du pape François, et les déclarations du bureau de presse du Saint-Siège semblant manifestement trompeuses, François a ensuite participé aux cérémonies de la semaine sainte et de Pâques, la plupart du temps comme prévu. Il s'est cependant retiré du chemin de croix du Vendredi saint au Colisée, invoquant le «froid intense» de ces derniers jours.

Cependant, le dimanche de Pâques, François a effectué une tâche régulière : appeler Michele Ferri, le frère d'Andrea Ferri, qui a été assassiné en juin 2013. Depuis, François s'est lié d'amitié et a appelé Michele 90 fois, y compris lors de fêtes comme Pâques.

S'adressant à Il Resto del Carlino, Michele a rapporté le contenu de son appel du dimanche de Pâques avec le pape. "Je suis toujours en vie, m'a-t-il dit", a déclaré Michele.

"C'est comme ça qu'il a commencé, et j'ai entendu une voix en forme, sonnante et sereine cette fois, mieux que la dernière fois, puis il avait semblé un peu fatigué", a ajouté Michele.

Michele a déclaré que François avait confié au téléphone qu'il était « arrivé inconscient » au Gemelli, après avoir souffert d'une maladie pendant douze jours. Le pape aurait dit : "Encore quelques heures et je ne sais pas si je racontais l'histoire."

François aurait ajouté que "je l'ai vraiment mal vu".

Alors qu'il était encore adolescent, François s'est fait enlever un poumon en raison d'une infection. Puis en 2021, le pontife a déjà subi une opération du côlon de six heures au Gemelli pour se faire enlever une partie de son côlon en raison d'une diverticulite. Il y a ensuite passé 10 jours en convalescence.

Au moment de l'opération, et après celle-ci, des rumeurs ont couru selon lesquelles il souffrait d'un cancer et approchait de la fin de son pontificat. Ces rumeurs ont été étayées par son utilisation de longue date d'un fauteuil roulant et l'augmentation des problèmes de genou. François a par la suite nié la suggestion qu'il avait un cancer.

Ce nouveau rapport éclaire maintenant davantage l'admission soudaine et toujours déroutante de François à l'hôpital il y a deux semaines. Le fait que la santé d'un pape soit entourée de secret, en particulier à mesure qu'un pontife avance en âge, n'a rien d'inhabituel.

Mais les déclarations du Vatican concernant la récente hospitalisation de François dénotent un contraste marqué avec la vérité et une détermination à continuer dans la promotion d'une réalité alternative.

Le pontificat du pape François a été marqué par des démonstrations de puissance, comme en témoigne le nombre remarquablement élevé de motu proprios qu'il a émis sur une variété de sujets : en seulement 10 ans, il a publié 61 de ces documents, bien plus que l'accord de Jean-Paul II 31 en 27 ans.

Pour un Pontife comme François, s'assurer que personne ne sache la vérité sur sa santé déclinante sera vital s'il veut conserver le pouvoir au sein du Vatican.

LifeSiteNews a contacté le bureau de presse du Saint-Siège pour commenter les commentaires papaux signalés, mais n'a pas reçu de réponse au moment de la publication. »

12 avril

Mise à jour concernant le cycle solaire.

L'activité assez intense du cycle 25 dans les derniers mois oblige les scientifiques à réviser leur prédiction du maximum solaire (soit le maximum de taches solaires et donc de possibilités de tempêtes solaires) entre la fin de 2023 et juillet 2024.

C'est tout un changement par rapport à la prédiction initiale pour juillet 2025 (ensuite révisée autour d'octobre 2024).

Image du graphique avec la nouvelle prédiction.

C'est donc dire que si le soleil a effectivement quelque chose à voir avec la fin des temps, et bien, c'est un indice que tout s'accélère, et que...., ce nouveau maximum arrive pile à point pour hypothétiquement empêcher Bergoglio de conclure son affreux synode, en plus de la chute de Babylone la grande, des deux Babylone dont parlent Jean XXIII.

Nous avons vu dernièrement que Bergoglio semble avoir des problèmes de santé et que son temps est compté.

À sa mort, plusieurs prophéties reconnues prendront fin.

Ce n’est pas rien.

Car il est l’Antichrist personnifié et que l’Apocalypse nous prédit la défaite de Satan et de son système à la fin des temps.

Vérifications avec :

- Les révélations de la Vierge à La Salette où « Rome perdra la foi et deviendra le siège de l’Antéchrist ».

Aucun doute ici.

Rome, la ville aux sept collines identifié dans l’Apocalypse, a sombré dans l’apostasie depuis Vatican II et a entraîné la majorité des brebis dans le gouffre,  grâce à l’adoption par L’église conciliaire de l’Antéchrist-système au sein de sa structure.

En effet, on y parle maintenant que des droits de l’homme, du réchauffement climatique, et de la pauvreté en termes matérialistes (ex : immigration nécessaire).

Son discours n'est plus christocentrique.

Et Bergoglio, le 8ème roi de l’Apocalypse, siège bien sur le trône de Saint Pierre.

- La prophétie des papes de Saint Malachie. Nous sommes en présence du dernier pape.

- La révélation de Satan ( dans « Le diable au XIXè siècle »,1894) : « combien de papes après Léon XIII »? « Neuf, et après eux je règnerai ».

En effet le 9ème et dernier pape est Benoît XVI.

Satan règne donc avec Bergoglio sur le trône.

Et Jean XXIII dans la prophétie de l’Église #11 « Le 7ème Sceau » spécifie « Où croyez-vous fuir, maintenant que vous avez détruit les Églises et tué le dernier Père ? »

Il semble bel et bien avec le temps qu'il s'agît de Benoît XVI, qu'ils ont forcé à démissionner, puis isoler, et fait mourir à petit feu.

La Résurrection dans l’Église catholique est appelée « le 8è jour ».

«  Après les sept jours douloureux de la Semaine sainte, voici le Huitième jour, le jour joyeux de Pâques. »

Le chiffre 8 est le chiffre de la plénitude, de l’infini, de la vie éternelle, de Dieu.

(le nom de Jésus en grec correspond au nombre 888)

Satan singeant Dieu concrétise sa plénitude avec son 8ème roi.

Après c’est la fin.

Tout se tient.

On rappelle le calendrier de la fin des temps.

La mort de l’Antichrist débute la dernière et 7ème période, soudaine et très rapide, à l’image de Sodome et Gomorrhe et du temps de Noé.

Selon l’ordre chronologique donné dans l’Apocalypse, nous avons :

1) Mort des témoins (3,5 jours)
2) Résurrection des témoins

Fin de la sixième période.

Entrée dans la 7ème période :

3) Mort de l’Antéchrist
4) Chute de Babylone (3ème malheur, Ap. 11, 14)
5) Retour du Christ
6) Jugement dernier
7) Règne définitif et sans partage du Christ (Ap. 21-22)

11 avril

LE MONDE DU MENSONGE

La poussée récente des agents conversationnels utilisant l'intelligence artificielle prôné dans les médias est en quelque sorte, la cerise sur les gâteau quant à l’ère des « fake news », l’apothéose du mensonge, par le prince du mensonge qui singe Dieu, Satan.

En effet, ces nouvelles technologies ont pour but de modifier l’opinion publique, de cacher la vérité puisqu’elles se servent de ce qui est publié sur le net pour faire leurs recherches.

Le gouvernement chinois a bien compris l’importance de cet outil : des agents à son service inondent présentement le web de fausses publications pour discréditer ce qui est contre leur idéologie, tout en mettant des publications favorables à la cause communiste chinoise.

Ainsi les agents conversationnels dit « intelligents » puisent dans des sources qui ne sont majoritairement que mensonges.

Ces outils liés aux téléphones intelligents ne font qu’abaisser le niveau intellectuel des jeunes générations, tout en provoquant des crises « conspirationnelles » chez les plus fragiles mentalement qui n’ont pas la foi chrétienne sur laquelle se reposer, pour amener au discernement et à la vérité, la seule Vérité qui vaut la peine de cultiver en soi.

Ce n'est pas un hasard car c’est la fin, le temps de la récolte par la séparation du bon grain de l’ivraie annoncé par NSJC.

Comprenez-vous bien maintenant les paroles de NSJC en Matthieu 24 qu'il faut s’isoler dans les montagnes, de se mettre à l’écart de cette influence néfaste.

Car ce qui nous attend en tant que société avec ces outils, c’est le chaos.

Physique, mental, et spirituel.

Mgr Vigano dans son sermon de Pâques :

« Le monde moderne est l'otage du mensonge. Tout ce qui est théorisé par l'élite, affirmé par les Institutions et propagé par les médias est un mensonge, une fausseté et une tromperie.
 
L'urgence psychopandémique est un mensonge, tout cela à cause d'un virus créé en laboratoire dans le but d'une vaccination de masse aussi inefficace que nocive pour la santé. La théorie du genre est un mensonge, qui nie la distinction des sexes voulue par le Créateur, et qui cherche à annuler l'image et la ressemblance de Dieu dans l'homme. Le changement climatique est un mensonge, basé sur la fausse prémisse d'une crise climatique provoquée par l'homme et sur la chimère encore plus fausse selon laquelle la réduction des émissions de dioxyde de carbone dans certains pays peut même modifier de manière minime la température de la Terre. La crise ukrainienne est un mensonge, qui a été provoqué afin de détruire le tissu social et économique des nations européennes par des sanctions déraisonnables contre la Fédération de Russie. L'Agenda 2030 est un mensonge imposé par une bande de subversifs dans le but d'asservir l'humanité.
 
Le plus déconcertant est que cette fraude contre les peuples - perpétrée par les autorités qui devraient plutôt les protéger et les défendre - a également infecté le corps ecclésial, où d'autres mensonges non moins graves corrompent la pureté de la Foi, offensant la Divinité Majesté et causant la damnation de nombreuses âmes, que le Seigneur a chèrement payées, les rachetant par son Très Précieux Sang.

L'œcuménisme est un mensonge qui abaisse le Dieu vivant et vrai au niveau des idoles des nations.

La Voie Synodale est un mensonge, qui subvertit la constitution divine de l'Église voulue par le Christ sous le faux prétexte d'écouter le Peuple de Dieu.

La réforme liturgique est un mensonge, introduit sous prétexte de rendre la messe compréhensible aux fidèles, dans le seul but d'honorer Dieu et de plaire aux hérétiques.

Le diaconat féminin est un mensonge qui, avec l'alibi de donner un rôle aux femmes, attaque la messe et les sacrements et trafique les ordres institués par Notre-Seigneur. La possibilité pour les couples divorcés et cohabitants de recevoir la Sainte Communion est un mensonge, la bénédiction des unions homosexuelles est un mensonge, l'entrée des transsexuels au Séminaire est un mensonge : la morale ne suit pas les modes du jour, quoi qu'en dise Bergoglio. L'acceptation de la sodomie est un mensonge, qui semble trop souvent vouloir légitimer la conduite de nombreux prélats et clercs plutôt que de sauver les âmes de pauvres pécheurs.
 
Ces mensonges ont l'effronterie de se manifester comme des mensonges évidents, dépourvus de tout argument rationnel ou crédible. Ce ne sont pas les mensonges avec lesquels on essaie maladroitement de cacher quelque chose : ce sont l'affirmation arrogante de la falsification, de la subversion de la logique, de la négation de la vérité.
 
Mais pourquoi tant de gens choisissent-ils volontairement de renoncer à leur propre jugement critique et d'accepter des mensonges flagrants comme rationnels et vrais ? Car l'adhésion à l'erreur est le prix que le monde demande à ses adorateurs, à ceux qui ne veulent pas être marginalisés, criminalisés et persécutés. Et qui est le prince du mensonge si ce n'est Satan, le père du mensonge, lui qui était un meurtrier dès le début ? Satan, qui tenta nos premiers parents par un mensonge non moins éhonté : Si vous mangez de ce fruit, vous serez comme des dieux. C'était un mensonge éhonté, et en le croyant, Adam et Eve ont choisi d'abdiquer la raison et de désobéir à Dieu afin de suivre une fausse promesse faite par une créature répugnante.
 
Ce que Satan promet à Notre-Seigneur quand il Le tente dans le désert était aussi un mensonge : Tout cela sera à toi . . . pour quelque chose dont le Christ n'était pas seulement déjà le maître mais aussi le Créateur.
 
Dans l'épître de la messe en ce jour très saint où nous célébrons la résurrection d'entre les morts de Notre-Seigneur Jésus-Christ, l'Apôtre nous exhorte à éliminer le vieux levain : expurgate vetus fermentum . Quiconque connaît les anciennes méthodes de fabrication du pain sait que la pâte mère est cette portion de farine et d'eau qui, lorsqu'elle est laissée à fermenter, devient la masse levante. Il peut être conservé pendant des décennies, périodiquement re-pétri avec de la nouvelle farine et de l'eau nouvelle, de sorte que le pain d'aujourd'hui est sensiblement lié à tous les pains précédents remontant dans le temps. Mais si le fermentum est vetus, si le levain est vieux, cela affecte la nouvelle pâte et le nouveau pain. Purger le vieux levain, c'est recommencer à zéro, accomplir une véritable « grande réinitialisation » de chaque âme individuelle et du corps social, annuler le ferment de la malice et de la perversité, et recommencer avec les pains sans levain, figure de l'Eucharistie et Saint-Sacrement de l'Alliance nouvelle et éternelle faite par le Christ avec son Église, renouvelée dans la grâce et non soumise aux changements de temps, de mode et de circonstances.
 
C'est pourquoi Saint Paul parle des azymes , des pains sans levain. Un pain d'austérité, le pain de ceux qui n'ont pas le temps de conserver vivante la pâte mère, le pain de ceux qui se préparent les reins ceints à manger l'Agneau sans tache et les herbes amères avant d'abandonner la terre d'Egypte et de traverser la Mer Rouge. La réinitialisation , la Nouvelle Création, la Nouvelle Pâque, s'accomplit en Christ, l'unique, indispensable, éternelle Vérité, la Parole Vivante et Vraie du Père Éternel. La vraie remise à zéro est le retour à la Vérité du Christ, de Celui qui a dit de Lui-même : Je suis le chemin, la vérité et la vie . Une Vérité qui est , alors que l'erreur au contraire n'existe pas. Une Vérité qui exigela sincérité de notre part - dans les pains sans levain de la sincérité - comme réponse nécessaire à la lumière de la Vérité - et la vérité .
 
Satan, le singe de Dieu, imite de façon grotesque la Création, se livrant à des monstruosités que toute personne sensée reconnaît comme telles. Il mime encore plus grotesquement la Rédemption, promettant aux hommes un bien qui lui est inconnu et qu'il ne possède pas lui-même d'abord, demandant en échange que les hommes le reconnaissent comme leur dieu. Nous devons reconnaître sa loi pour ce qu'elle est ; nous devons la rejeter et la combattre.
 
Si nous luttons pour la Vérité – pour n'importe quelle vérité, pas seulement la vérité théologique – nous nous alignons du côté du Christ ; du côté de Celui qui ne mentait pas lorsqu'il annonçait à Ses Apôtres Sa propre Mort et Résurrection.
 
Si au contraire nous choisissons de ne pas lutter pour la Vérité, voire de laisser proclamer ou répandre l'erreur nous-mêmes, nous nous alignons du côté de Satan, le prince du mensonge, du côté de celui qui promet et fait ne pas les garder, dans le seul but de nous entraîner dans cet abîme de damnation où il a choisi de sombrer quand, commettant le péché d'orgueil, il a cru pouvoir se mettre à la place de Dieu et décider de ce qui est et de ce qui n'est pas, c'est-à-dire ce qui est vrai et ce qui est faux, ce qui est bien et ce qui est mal, ce qui est beau et ce qui est laid. Et de fait, le monde infernal dans lequel nous nous précipitons aujourd'hui est composé de mensonges, de méchanceté et de laideur. Il ne pouvait en être autrement.
 
Ce n'est pas par hasard que Satan est appelé le prince de ce monde : il n'est pas roi ; son pouvoir est éphémère et permis par Dieu seulement jusqu'à ce que le moment vienne de mettre fin à la période d'épreuve et que le moment du Jugement vienne. Ce n'est pas différent pour les serviteurs de Satan. Même si leur puissance semble nous submerger, même si les moyens dont ils disposent semblent illimités et écrasants, leur fin approche inexorablement alors que le Christ reprend Son Royaume Universel. Oportet illum regnare , il faut que cela arrive, c'est dans l'ordre voulu par Dieu, et personne, pas même tout l'Enfer réuni, ne peut prolonger d'un seul instant le triomphe apparent du mal.
 
Il y a deux jours seulement, nous contemplions les Mystères de la Passion et de la Mort du Seigneur, après les manœuvres du Sanhédrin, le tumulte de la foule et les tortures des bourreaux. Avec Joseph d'Arimathie et les femmes pieuses, nous avons accompagné le corps sans vie de Jésus vers le sépulcre. Nous sommes restés en prière dans le silence nu de nos églises. Mais « Consummatum est » ne signifie pas « Tout est perdu », mais plutôt « Tout s'est accompli », c'est-à-dire « L'œuvre de la Rédemption est accomplie ».
 
Χριστὸς ἀνέστη est la salutation grecque de Pâques : le Christ est ressuscité. A quoi la réponse est donnée : Ἀληθῶς ἀνέστη – Vraiment Il est Ressuscité – Surrexit Dominus vere . Cet ἀληθῶς, ce vere , contient la réalité de la Résurrection du Sauveur, la vérité de cet événement historique dans lequel la Miséricorde de l'Homme-Dieu a réparé le péché d'Adam causé par le mensonge de Satan, qui a continué à mentir quand il accusé le Christ de faux témoins, et qui ment encore aujourd'hui, essayant de faire échouer les fruits de la Rédemption.
 
Aujourd'hui, après que les notes solennelles de l' Exsultet ont annoncé la gloire de la Résurrection, célébrons le triomphe du Christ sur la mort et le péché, sa victoire sur Satan. Célébrons également la victoire de l'Église et de la civilisation chrétienne sur les ennemis terrestres, car le sort du Corps mystique a été décrété au moment où sa tête divine a cloué l'ancien serpent sur la croix. Mors et vita duello conflixere mirando : Dux vitæ mortuus, regnat vivus.
 
 
    • Carlo Maria Viganò, archevêque
 
9 avril 2023
Dimanche de Pâques, à la Résurrection du Seigneur »

Le prince du mensonge est à son apogée.

Il a instauré un système, l’Antéchrist avec à sa tête des personnifications Antichrist tel que le « faux pape » Bergoglio (car si Benoît XVI fut forcé de démissionner comme on le croit, le conclave n’était donc pas valide).

La bête de la mer s’est révélée avec Vatican II et son action est évidente pour ceux qui connaissent les écritures : il y a 666 mois pile entre l’élection de Jean XXIII et sa canonisation.

C’est à partir du concile et tout ce qui s’ensuit que l’Église et la chrétienté basculent.

Idem pour ce monde sans base solide, évidement, que nous connaissons aujourd’hui.

La période qui a précédé a été témoin des signes avant-coureurs de l’Antéchrist, de ceux qui ont préparé le terrain.

Les prophéties de Jean XXIII soulignent que ce dernier a trouvé les racines du concile dans les papiers de Pie XII.

Aujourd’hui on sait que Pie XII voyant le danger a refusé de procéder (voir analyses précédentes).

C’est donc à partir de Jean XXIII que la bête immerge de l’eau (de la foule) : l’Antéchrist est là, et il règne.

Il y a eu 7 rois (papes) depuis Latran en 1929 où les papes sont devenus rois (voir analyses précédentes).

Le 8ème, Bergoglio, l’Antéchrist personnifié, récapitule tout ce que les 7 papes précédants ont initié et complété.

C'est la conclusion de Vatican II à laquelle nous assistons.

Bergoglio est le pape qui correspond à la description de la bête de la mer puisqu’il possède un pouvoir universel et mondial qui s’applique aux enfants de Dieu.

Rappelons-nous les paroles du regretté S. Monast (voir analyses précédentes) en cette fin des temps: le religieux domine le politique.

Dans cette ère du mensonge, l’Église catholique s’est muée en grande prostituée comme le spécifie l’Apocalypse, ce qui ne lui retire par le statut d’épouse pour autant car...

L’Église perdure par la Tradition et ses deux témoins.

La parabole de la samaritaine nous donne aussi un indice.

La Samaritaine d'aujourd'hui symbolise l’Église conciliaire: comme en Samarie on ne savait plus qui était du juif ou ou du paganisme, de même chez les conciliaires on ne sait plus ce qui relève du chrétien et du non-chrétien.

Car c'est le règne de l'ambuiguïté, où Bergoglio et ses serviteurs mélangent le tout et son contrraire.

Et NSJC a affirmé à la samaritaine :  tu as eu 5 maris et l’actuel n’est pas ton mari.

Combien de papes depuis le concile?

5 papes.

Bergoglio, on le sait ne peut pas être considéré comme pape.

Or, le pape est le vicaire du Christ.

Ce que refuse Bergoglio en spécifiant qu’il n’est que l’évêque de Rome, et qui a fait enlevé le titre de vicaire du Christ dans l’annuaire au Vatican.

Alors quel est le rôle de l’Antichrist-personnifié, le 8è roi?

C’est très clair dans l’Apocalypse, il est celui qui mettra à mort la prostituée.

« ...

Dans son apparition cet impie sera, par la puissance de Satan, accompagné de toutes sortes de miracles, de signes et de prodiges mensongers, avec toutes les séductions de l'iniquité, pour ceux qui se perdent, parce qu'ils n'ont pas ouvert leur cœur à l'amour de la vérité qui les eût sauvés. (note : pensons à toute cette technologie que l’on peut associer à ces miracles)

C'est pourquoi Dieu leur envoie des illusions puissantes qui les feront croire au mensonge, en sorte qu'ils tombent sous son jugement tous ceux qui ont refusé leur foi à la vérité, et ont au contraire pris plaisir à l'injustice. »
Saint-Paul (Th 2, 2)

Les miracles et les prodiges, nous les avons grâce à l’électronique et l’intelligence artificielle.

« En ce qui concerne l'avènement de notre Seigneur Jésus-Christ et notre réunion avec lui, nous vous prions, frères, de ne pas vous laisser ébranler facilement dans vos sentiments, ni alarmer, soit par quelque esprit, soit par quelque parole ou lettre supposées venir de nous, comme si le jour du Seigneur était imminent.

Que personne ne vous égare d'aucune manière ; car auparavant viendra l'apostasie, et se manifestera l'homme de péché, le fils de la perdition, l'adversaire qui s'élève contre tout ce qui est appelé Dieu ou honoré d'un culte, jusqu'à s'asseoir dans le sanctuaire de Dieu, et à se présenter comme s'il était Dieu. »
Saint-Paul (Th 2, 2)

La grande apostasie est là.

Le fils de la perdition est présent, assis dans le sanctuaire (physiquement à Rome, mais aussi spirituellement dans le cœur des humains).

Il est le 8ème roi, ou la bête à 7 têtes de l’Apocalypse qui est résumé par la 8ème tête.

Son dernier acte prévu : éliminer la présence réelle dans l’Eucharistie par l’imposition d’une célébration œcuménique commune suite au synode.

Je serai avec vous jusqu’à la fin des temps (via l’Eucharistie) avait spécifié NSJC.

Si nous en sommes rendus là, c’est précisément parce que …

Nous sommes rendus à la fin des temps.

02 avril

Avec l’hospitalisation de Bergoglio, les spéculations sont reparties en grande.

Pensons aussi que nous en sommes au dernier pape selon la prophétie des papes de Saint-Malachie.

« Le pape François est hospitalisé cet après-midi du 29 mars pour une infection respiratoire, et va rester à l’hôpital quelques jours.
Il aurait eu des problèmes de coeur et des difficultés respiratoires liées. (lifesitenews.com)

    « … « Le pape François est en train de mourir. C’est une question de jours ou de semaines, tout au plus de quelques mois ». Telle est l’information qui circule depuis un certain temps au sein de la Curie romaine. La gravité de sa maladie est un secret de polichinelle et a déjà été commentée en divers endroits. Comme le dit Specola, plus que jamais indispensable ces jours-ci, « les papes jouissent d’une bonne santé jusqu’à trois jours de leur mort ».

     
Ce qui aurait pu n’être considéré que comme une rumeur provenant des sombres centrales antibergogliennes, a pris de l’importance en raison de la soudaine dégradation subie hier, qui l’a contraint à être hospitalisé à l’hôpital Gemelli. En outre, les grandes lignes des célébrations de la Semaine Sainte sans sa présence sont déjà préparées : le cardinal Re présidera le dimanche des Rameaux et la veillée pascale ; le cardinal De Donatis présidera la messe chrismale et le cardinal Gambetti la célébration du Vendredi saint…. » (benoit-et-moi.fr)

     
Or, selon les dernières nouvelles, il est sorti de l’hôpital et finalement il va assister aux messes de la semaine pascale.

Ce qu’il faut aussi considérer : Bergoglio « s’était déjà rendu incognito « au moins deux fois à la clinique universitaire Agostino Gemelli pour des examens » au cours des trois semaines précédant son hospitalisation mercredi dernier…. » (benoit-et-moi.fr)

« ... Le malaise

Bergoglio a fait appel à l’humour pour commenter ce qui lui était arrivé et s’est exclamé « Je suis toujours vivant » face aux questions de ceux qui lui demandaient comment il se sentait. Malgré sa bonne volonté, le souverain pontife n’a pas répondu spécifiquement à la question la plus attendue, celle de la raison de son hospitalisation. Il a dit qu’il avait ressenti « un malaise, comme lorsqu’on a mal à l’estomac » et plus tard, au Vatican, il a dit qu’il ne savait pas ce qu’il avait, invitant les journalistes à poser la question aux médecins.

La référence à la mort que le pape a faite dans son message de salutations aux journalistes qui l’attendaient à l’hôpital Gemelli laisse penser qu’il ne s’agissait pas simplement d’un contrôle programmé. En effet, le souverain pontife a cité une personne plus âgée que lui qui lui a dit un jour : « Je n’ai pas vu la mort, mais je l’ai vue venir…. C’est moche, hein ».

Communication

En remerciant les journalistes, François a révélé qu’il avait lu les reportages le concernant ces derniers jours et a mentionné Il Messaggero en particulier, en disant que « c’est beau et clair, cela sert à éviter les fantasmes ». Des mots qui suggèrent que la reconstruction la plus fiable de sa situation clinique est celle présentée par la vaticaniste du quotidien romain, Franca Giansoldati. La journaliste écrit que « quand il s’est présenté dans le service, il était en grande détresse, son cœur fibrillait dangereusement et sa saturation en oxygène était préoccupante » et que les facteurs de risque au moment de son arrivée étaient élevés. Un tableau peu rassurant par rapport à celui fourni par les communications officielles... » (benoit-et-moi.fr)

Tout semble confirmer qu'il semble bel et bien d'un malaise cardiaque... Sinon pourquoi aller visiter des enfants malades « sans masque » alors que la version officielle est que c'est un problème respiratoire contagieux.

C’est à suivre… et on surveille les célébrations de la semaine sainte, surtout que l’intervention de la Sainte-Vierge (fin de la prophétie concernant Benoît XVI) n’a pas eu lieu comme prévue aux funérailles de Benoît XVI, effectivement… Mais «  devant la tombe du va-nu-pieds »…

Mars 2023

27 mars

LA PERSÉCUTION EST SPIRITUELLE

Plusieurs n’allument pas sur cette fin des temps, parce que constatent-ils, la persécution des chrétiens n’est pas généralisée à part quelques minorités ici et là.

L'un des malaises qui annoncent la parousie est la persécution.

À maintes reprises, l'évangile assure que les chrétiens de la fin des temps seront sévèrement persécutés.

De plus, cette persécution, contrairement au début de la chrétienté, n’est pas majoritairement physique, mais spirituelle.

Il a été impossible par le passé pour Satan de faire plier les chrétiens par la torture physique.

Au contraire, cela a produit des martyrs qui aujourd’hui renforcent la Foi via la prière par leurs intercessions.

Albert Frank-Duquesne, écrivain théologien belge converti au christianisme souligne  dans son ouvrage « Ce qui t'attend après ta mort  » :

« toutes les forces que le Démon peut mobiliser en ce monde, il les concentre et, par une persécution que les prédictions eschatologiques du Christ Lui-même nous présentent comme recourant plus à la séduction qu'à la violence, il les lance contre l’Église pour un définitif assaut. C'est alors que l'ivraie et le bon grain, le mal et le bien, si mystérieusement entremêlés ici-bas, vont tenter de se désécheveler, de se dégager l'un de l'autre, de se présenter dans leur nudité révélatrice, pour conquérir la terre. » (p. 94).

La fin est proche comme nous le constatons avec les signes que NSJC nous a donné en Matthieu 24.

L’une des caractéristiques de ce moment ultime est qu'il surprendra tout le monde comme au temps de Noé.

Tout furent emmenés presque sans s'en rendre compte et sans le savoir comme le spécifie les écritures.

Il convient néanmoins de veiller à cette indifférence néfaste et dangereuse de ce monde humaniste, ou l’aveugle guide l’aveugle.

Cette société et surtout le Vatican qui devrait guider les pauvres brebis égarées, n’est plus christocentrique.

En effet le Christ a été évincé, et surtout, c’est évident, depuis l’élection de Bergoglio, les valeurs humanistes ont remplacées les valeurs christiques.

NOUS SOMMES au milieu d'une très forte persécution et nous n'en sommes même pas conscients.

Et ceux qui le sont peuvent difficilement y résister, ou sinon céder au découragement, d’où le raccourcissement cette fin des temps annoncée dans l’Apocalypse afin que les quelques élus ne succombent eux aussi.

Cette dernière et grande persécution est dominée par les grands séducteurs qui occupent toute la place dans les médias (qu'ils ont achetés d'ailleurs).

C'est l'époque des grands miracles décris par Saint Jean grâce aux ondes et les téléphones dit intelligents. Suivra l'intelligence artificielle très bientôt.

Et la vérité est que les séductions que nous devons combattre sont de plus en plus intenses.

Nous sommes témoins que l’énorme majorité, non seulement d'humains sans foi, mais de chrétiens et de religieux, succombent en masse.

L'Église elle-même, dans sa structure visible, a été complètement emportée par cette séduction.

C’est ce qu’on appelle la mort des deux témoins dans l’Apocalypse (voir analyse précédentes et le calendrier de la fin des temps).

L’annonce de cette mort est évidente. Les dates sont inscrites dans l’histoire avec la fin du synode des synodes pour octobre 2024.

À moins que les délais ne soient raccourcis, par Dieu, ou par l’ennemi qui se sent pressé de triompher.

23 mars

Ce chaos tel que vu par Mgr Vigano:

« Votre Excellence, quelle est votre opinion sur la situation politique internationale ? Ne vous semble-t-il pas aussi que le discours sur l'Ukraine est en train de changer ?

Cette crise internationale a été provoquée par l' État profond américain dans le but de détruire le tissu social et économique des États européens. Cette destruction économique avait commencé avec la farce pandémique et les confinements , mais devait être rendue plus dévastatrice par les sanctions de l'Union européenne contre la Fédération de Russie, suite à la réaction de la Russie aux provocations de l'OTAN et à la persécution de la minorité russophone, depuis lors. depuis 2014 et en violation des Protocoles de Minsk, par le régime fantoche de Zelensky. Les choses se sont déroulées comme prévu, comme nous l'avons vu, et le récit dominant s'est immédiatement aligné....

Or le problème est que la marionnette de Biden et Soros - Zelensky - doit répondre à deux entités auxquelles il doit son ascension politique, ses gains et son avenir, à commencer par une banale survie. D'une part, l' état profond.

Les globalistes exigent que Zelensky se conforme non seulement à la provocation de la Russie et au rejet de tout accord de paix, mais aussi à l'introduction des mariages homosexuels, du genre, de la doctrine LGBTQ : ce qu'il fait presque en priorité par rapport au conflit avec la Fédération russe. D'un autre côté, le soutien interne à l'Ukraine provient de bataillons et de mouvements néonazis, mais ces fanatiques s'empressent d'écarter Zelensky lorsque sa politique n'est pas compatible avec la leur. Et Zelensky, comme toutes les mouches cocher, croit pouvoir jouer au leader en faisant monter les enchères, en menaçant de frapper la Fédération de Russie, en voulant conquérir la Crimée et anéantir définitivement l'empire de Moscou. Zelensky commence à agacer non seulement ses prétoriens, mais aussi les états profonds , car la menace d'une guerre mondiale les arrange tous , mais presque personne ne veut une vraie guerre mondiale....

En tant qu'ancien nonce apostolique aux États-Unis, comment jugez-vous le comportement de l'Amérique et en particulier de l'administration Biden ?

Joe Biden est une marionnette pathétique de l'État profond et de l'élite mondialiste. Son élection a été obtenue par fraude, et entretenue avec le drame du 6 janvier 2021 au Capitole, avec l'urgence psychopandémique et maintenant avec la crise ukrainienne. Son niveau de corruption le rend totalement vulnérable au chantage - comme c'est le cas pour presque tous les dirigeants internationaux - mais la dégénérescence cognitive dont il souffre le montre désormais totalement inadapté au rôle qu'il joue, car même Biden, comme Zelensky, pourrait dire ou faire quelque chose qu'il ne doit pas dire ou faire. Les vrais redoutables et dangereux sont les marionnettistes de Biden, les Dems avec leur idéologie éveillée , l' état profond avec son projet mondialiste, les théoconspiro-sionistes et fauteurs de guerre, le réseau criminel des pédophiles satanistes s'est infiltré dans les ganglions de l'État, du secteur privé, de l'information, d'Hollywood et de l'église bergoglienne.

Joe Biden est comme Jorge Mario Bergoglio : il est à la tête d'une institution qu'il a pour mission de détruire, non seulement par son action gouvernementale et le réseau de corruption qu'il utilise, mais aussi par le discrédit qu'il lui jette. Bergoglio fait de même dans l'Église, soutenu par l' église profonde reflétant l' état profond, et de ce fait élu pour empêcher la présence de Benoît XVI d'entraver le coup d'Etat mondialiste. Et tout comme Bergoglio se montre totalement étranger au rôle de pape, Biden est complètement étranger au rôle de président des États-Unis. Mais c'est exactement pourquoi je suis là. De plus, tous deux appartiennent à ce « catholicisme progressiste » qui depuis le Concile Vatican II s'est allié à l'élite maçonnique pour mener à bien le projet synarchique du Nouvel Ordre Mondial. Et tous deux – comme Obama et Nancy Pelosi – appartiennent à cette « soupe culturelle » qui s'est servie d'un personnage comme McCarrick, et qui se sert aujourd'hui de prélats non moins compromis, comme Cupich, Gregory, Tobin, Farrell, McElroy, à qui McCarrick doit sa carrière ecclésiastique...

Qui est derrière tout ça ? Pourquoi cette fureur contre la Tradition ?

La Tradition est le lien par lequel le Christ a voulu lier l'autorité de la Hiérarchie à l'enseignement immuable du Magistère. Ce qui était vrai à la naissance de l'Église, ce pour quoi les martyrs ont été tués et les chrétiens persécutés, est toujours vrai, est vrai aujourd'hui et le sera aussi demain, car il trouve son fondement en Notre-Seigneur, qui est l'Alpha et l'Oméga, principe et fin de tout, immuable dans Son essence divine qui est parfaite pour cela.

Depuis Vatican II, et surtout au cours de ces dix dernières années de " pontificat " - appelons-le ainsi - la Vérité révélée a été mise de côté, parce qu'elle est considérée comme gênante et " clivante ", au profit du dialogue œcuménique et du consensus des le monde. Mais ce n'est pas ce que le Christ a commandé à Saint Pierre et aux Apôtres : Il n'a pas commandé de dialoguer, de plaire au monde, de garder le silence sur l'Évangile et de propager l'agenda mondialiste. Notre-Seigneur a commandé aux Apôtres de prêcher l'Evangile à tous les peuples, les baptisant au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit, et disant clairement que celui qui croira sera sauvé, et que celui qui ne croira pas sera damné. .

La haine de la Tradition est la dernière étape avant la haine du Christ, dont les néomodernistes nient la divinité et qu'ils considèrent comme une sorte de « figure symbolique » créée par la « communauté primitive ». Nous ne pensons pas que les hérétiques et les corrompus qui sont au sommet de la Hiérarchie aujourd'hui ne soient que modérément progressistes : ceux qui les manœuvrent depuis soixante ans sont issus des mêmes covens de conspirateurs responsables du coup d'État mondialiste. Et il serait étrange que des gens dévoués au mal endurent ces forteresses de prière et de pénitence qui entravent leurs plans. Pour la même raison, ils ne peuvent tolérer la Messe traditionnelle : précisément parce qu'elle est traditionnelle , c'est-à-dire le fruit d'un développement harmonieux au cours des deux millénaires de la vie de l'Église, sous la conduite de l'Esprit Saint.

Il faut avoir un regard surnaturel, et comprendre que le combat actuel est essentiellement spirituel, dans lequel Dieu et Satan, les enfants de la Lumière et les enfants des ténèbres s'affrontent. Et que la victoire appartient à Dieu, et à ceux qui - ici et maintenant - prennent parti sous la bannière du Christ. Il va falloir se battre, c'est sûr ; mais la victoire finale est encore plus certaine : non prævalebunt .
...

Je vous bénis tous. » (aldomariavalli.it)

Le châtiment de Sodome : Abbé G. Puga, Église St-Nicolas-du-Chardonnet

21 mars

LA DESTRUCTION FINALE

Cette phase est belle et bien entamée.

Les deux bêtes montent en puissance pour le cri de la victoire finale.

La bête Nation-Unies représentant le politique, via la guerre comme diversion, met la touche finale sur le contrôle monétaire mondiale.

Vous avez sûrement remarqué la crise financière en cours avec les faillites bancaires, résultat de la montée des taux d’intérêts des grandes banques centrales contrôlant le système.

Que constate-t-on?

Que les petites et moyennes banques subissent un « bank run » et ne pourront survivre dans les prochaines semaines si cette situation persiste.

Ainsi, les banques en difficultés sont absorbées par les gros joueurs sous garanti des gouvernements, déjà surendettés, et les banques centrales.

En effet, centraliser les pouvoirs financiers permettra de passer à l’ère de la monnaie numérique plus facilement.

Quant à la bête Vatican, représentant le religieux, nous savons tous vers où elle nous dirige :

« Aldo Maria Valli sur les dix ans de Francisco

(I Cor. 7,23) Vous avez été achetés chèrement; ne vous faites point esclaves des hommes.

Pour commenter les dix années de pontificat de François, les mots écrits par Demos (alias feu le cardinal Pell) dans le mémorandum qu’il voulait distribuer à tous les cardinaux il y a un an suffiraient : « Un désastre à bien des égards, une catastrophe ».

Bergoglio a réussi l’exploit, uniquement possible pour certains individus particulièrement doués, de détruire sans reconstruire. Il a été choisi pour apporter de l’air frais. Après dix ans, l’air est irrespirable. Et la papolâtrie qui se déchaîne ces jours-ci, à l’occasion de l’anniversaire, le rend encore plus méphitique.

Au Vatican, on se croirait à Pyongyang, sous un régime despotique, capricieux et cruel. Dans une atmosphère de sous-empire, les espions et les informateurs dominent la scène. Mais plus que des complots, ce sont des tremblements. Chacun est terrifié à l’idée de tomber sous le regard du tyran. Qu’il s’agisse d’une conviction ou d’un coup de foudre, à peine lever la tête, c’est être écrasé dans une étreinte mortelle. C’est pourquoi beaucoup préfèrent faire le mort pour ne pas mourir.

Les journalistes soumis lui posent toujours les mêmes questions anodines et il donne toujours les mêmes réponses. Les interviews se multiplient, mais ce ne sont que des copier-coller au nom d’une piété mortifère.

Pendant ce temps, l’Église catholique est en plein désarroi (voir l’Allemagne) et Pierre, au lieu d’agir comme un roc, nourrit la confusion et l’ambiguïté.

Dans ce contexte, beaucoup se lamentent spontanément sur Benoît XVI, mais il faut le dire clairement : Ratzinger a eu beau se rendre compte du désastre, il n’a rien pu faire contre la dérive, parce qu’il faisait lui-même partie du projet de destruction. Un projet qui a un nom, le Concile Vatican II, et une racine précise : le modernisme.

Paradoxalement, nous devrions être reconnaissants à François. Avec son intempérance, il a rendu clair pour tout le monde (sauf, bien sûr, pour ceux qui ne veulent pas voir) ce que le modernisme voulait et a finalement réalisé : soumettre l’Église au monde. Si Benoît XVI, avec ses retraites, a réussi au moins en partie à dissimuler la catastrophe, avec François, tout est devenu clair : le catholicisme liquide prôné par les modernistes a pleinement conquis le trône de Pierre. En effet, les sermons qui en sortent ressemblent en tout point aux discours des mondialistes maçonniques. Il n’y a plus de distinction. La soudure a eu lieu.

S’en prendre à Bergoglio, c’est donc s’inquiéter du dernier rhume d’un organisme miné par des tumeurs foudroyantes et des métastases galopantes.

La preuve ? Demandez à un bon catholique de notre époque, qui va peut-être encore régulièrement à la messe, s’il croit à la royauté sociale de Jésus-Christ. S’il croit que Jésus-Christ est vraiment le Roi de toutes les nations et le Seigneur de l’univers. S’il croit que Celui qui est le Créateur et le Rédempteur de la nature humaine possède, en conséquence, un pouvoir souverain sur les hommes, en tant qu’individus et en tant que communautés sociales.

Le catholique en question vous regardera comme on regarde un Martien et, à supposer qu’il comprenne votre langue, commencera à argumenter qu’en réalité, il faut réconcilier la foi avec le monde, que rien ne peut être imposé, qu’il faut dialoguer, discerner et cheminer ensemble, que la liberté religieuse existe, que les droits de l’homme doivent être pris en compte, qu’il y a aussi de bonnes choses dans d’autres religions…. Cent ans, pas mille, ont passé depuis que les papes proclamaient encore la royauté sociale du Christ (l’encyclique Quas primas de Pie XI, qui a introduit la solennité du Christ-Roi, date de 1925), mais nous n’avons même pas un faible souvenir de cette Église et de cet enseignement. La Révolution a pénétré l’Église et l’a conquise de l’intérieur. Les saboteurs modernistes ont atteint le but pour lequel ils ont tant travaillé.

L’homme a été mis à la place de Dieu.

Compte tenu du travail accompli par le modernisme (multiples tunnels creusés dans l’organisme vivant de l’Église pour y implanter le virus de l’apostasie), le pontificat de François est une conséquence logique et nous devons le considérer comme tel.

Et alors ? Face à la Révolution, la seule solution est la Contre-Révolution. Mais il faut savoir qu’elle implique le martyre. A prendre ou à laisser. Si vous le prenez, ne vous faites pas d’illusions en pensant que vous éviterez les persécutions et les souffrances.

Aldo Maria Valli
16 mars 2023 »

L’encyclique Quas primas de Pie XI, qui a introduit la solennité du Christ-Roi, date du 11 décembre 1925.

Serait-ce la limite des 100 ans accordés à Satan dans le songe de Léon XIII?

Sachant que le 11 représente une porte, un passage...

« CITÉ DU VATICAN ( LifeSiteNews ) - Défendant les restrictions croissantes sur la messe traditionnelle en latin, le cardinal Arthur Roche - qui dirige la Congrégation du Vatican (aujourd'hui Dicastère) pour le culte divin et la discipline des sacrements - a déclaré que "la théologie de l'Église a changé".

S'exprimant sur BBC Radio 4 pour une émission diffusée le 19 mars, Roche a défendu les restrictions à la messe traditionnelle, que lui et le pape François ont mises en place depuis juillet 2021.

« La théologie de l'Église a changé », a soutenu Roche. "Alors qu'avant le prêtre représentait, à distance, tout le peuple - ils étaient canalisés par cette personne qui seule célébrait la messe."

Maintenant, cependant, Roche a déclaré que "ce n'est pas seulement le prêtre qui célèbre la liturgie mais aussi ceux qui sont baptisés avec lui, et c'est une déclaration énorme à faire".

Quelques instants auparavant, les commentaires de Roche avaient été devancés par le biographe papal Austen Ivereigh, qui affirmait que ceux qui se consacraient à la messe traditionnelle étaient « devenus un mouvement sapant le Concile Vatican II ». Par conséquent, a déclaré Ivereigh, les restrictions étaient nécessaires "pour mettre une limite, pour mettre des frontières, non pas pour la supprimer, mais pour la remettre entre les mains des évêques".

Non, la théologie de l'Église ne peut pas changer. Mais le fait que les pouvoirs actuels croient que cela peut changer est tout ce qu'il faut savoir sur la racine de notre crise actuelle. https://t.co/GUy9fUmwcE

– Père V (@father_rmv) 19 mars 2023

Le spécialiste de la liturgie Matthew Hazell a souligné les commentaires de Roche, notant que contrairement à l'affirmation du cardinal, l'enseignement de l'Église n'avait pas changé. Il a souligné l'enseignement du pape Pie XII dans son encyclique Mediator Dei de 1947 , dans laquelle le pontife a exposé l'enseignement catholique sur la congrégation s'unissant au prêtre dans le sacrifice de la messe.

Or il est clair que les fidèles offrent le sacrifice par les mains du prêtre du fait que le ministre à l'autel, en offrant un sacrifice au nom de tous Ses membres, représente le Christ, la Tête du Corps Mystique. C'est pourquoi on peut dire à juste titre que toute l'Église offre la victime par le Christ.

Alors que les arguments du « peuple sacerdotal » ont été beaucoup avancés depuis Vatican II, principalement par ceux qui cherchent à éradiquer une différence entre prêtres et laïcs, Pie XII a clairement noté la différence dans leurs actions respectives :

Cependant, le fait que les fidèles participent au sacrifice eucharistique ne signifie pas qu'ils soient également dotés du pouvoir sacerdotal. Il est très nécessaire que vous fassiez bien comprendre cela à vos troupeaux…

Or les fidèles participent à l'oblation, entendue dans ce sens restreint, à leur manière et d'une double manière, à savoir parce qu'ils offrent non seulement le sacrifice par les mains du prêtre, mais aussi, dans une certaine mesure, en union avec lui. C'est en raison de cette participation que l'offrande faite par le peuple est également incluse dans le culte liturgique….

Mais la conclusion que le peuple offre le sacrifice avec le prêtre lui-même n'est pas basée sur le fait que, étant membres de l'Église non moins que le prêtre lui-même, ils accomplissent un rite liturgique visible ; car ceci n'est le privilège que du ministre qui a été divinement nommé à cet office : il est plutôt basé sur le fait que les gens unissent leurs cœurs dans la louange, l'impétration, l'expiation et l'action de grâces avec les prières ou l'intention du prêtre, voire du Souverain Sacrificateur lui-même, afin que dans une seule et même offrande de la victime et selon un rite sacerdotal visible, elle soit présentée à Dieu le Père.

Il est évidemment nécessaire que le rite sacrificiel externe, de par sa nature même, signifie le culte interne du cœur.

Pie XII a également puisé dans le pape Innocent III pour désigner l'enseignement de l'Église dans l'offrande conjointe du sacrifice :

« Non seulement, dit Innocent III de mémoire immortelle, les prêtres offrent le sacrifice, mais aussi tous les fidèles : car ce que le prêtre fait personnellement en vertu de son ministère, les fidèles le font collectivement en vertu de leur intention.

Par conséquent, l'affirmation de Roche selon laquelle la théologie a changé ne semble pas être soutenue par l'enseignement de l'Église - à la fois celui des temps récents et celui des papes des époques anciennes. Son argument selon lequel le peuple se joint maintenant au prêtre pour offrir le sacrifice a toujours été enseigné, avec une différenciation soigneuse entre le prêtre et les différents rôles du peuple.

Pourtant, l'affirmation frappante du cardinal anglais selon laquelle « la théologie de l'Église a changé » n'est pas sans précédent.

L'année dernière, il s'est entretenu avec Vatican News, déclarant que les restrictions à la messe traditionnelle n'étaient qu'une "régulation de l'ancienne liturgie" qui était nécessaire parce que Vatican II a proposé "une nouvelle liturgie pour la vie vitale de l'Église".

Le cardinal a déclaré :

Tout ce qui se passe, c'est la réglementation de l'ancienne liturgie du Missel de 1962 en arrêtant la promotion de celui-ci, car il était clair que le Concile, les évêques du Concile, sous l'inspiration de l'Esprit Saint, proposaient une nouvelle liturgie pour la vie vitale de l'Église, pour sa vitalité.

Cette tâche est "vraiment très importante", a-t-il dit, avant d'ajouter "résister c'est-à-dire, c'est quelque chose qui est vraiment très sérieux aussi".

Quelques semaines plus tard, Roche alla jusqu'à suggérer que les catholiques attachés à la liturgie traditionnelle étaient « plus protestants » que catholiques. Il a cité une "réforme" nécessaire de la liturgie - une réforme qui, a-t-il dit, a abouti au Novus Ordo.

Mais les fidèles de la messe latine traditionnelle "traînaient les pieds" dans l'opposition, a affirmé Roche.

Cette réforme est en cours, mais c'est un processus lent parce qu'il y a ceux qui traînent les pieds à cet égard et non seulement traînent les pieds mais s'opposent obstinément à ce que l'Église a réellement décrété.

C'est une affaire très sérieuse. Au final, les gens doivent se demander : suis-je vraiment catholique, ou suis-je plutôt protestant ?

Il a décrit le Concile Vatican II comme "la législation la plus élevée qui existe dans l'Église", affirmant que "si vous ne tenez pas compte de cela, vous vous mettez de côté, aux confins de l'Église. Vous devenez plus protestant que catholique.

Mais contrairement à la déclaration de Roche selon laquelle Vatican II proposait une « nouvelle liturgie », dans son discours de 1988 attaquant l'archevêque Marcel Lefebvre, le cardinal Joseph Ratzinger a déclaré : « Ce Concile particulier n'a défini aucun dogme et a délibérément choisi de rester à un niveau modeste, comme un simple conseil pastoral; et pourtant beaucoup le traitent comme s'il s'était transformé en une sorte de superdogme qui enlève l'importance de tout le reste.

Pendant ce temps, la rumeur veut que Roche prépare encore plus de restrictions sur la liturgie traditionnelle, avec déjà trois documents de ce type émis contre elle depuis juillet 2021. Selon le journaliste respecté du Vatican, le Dr Robert Moynihan, un prochain décret de François contre la messe traditionnelle ne sera pas seulement une « nouvelle suppression du TLM », mais « porteront également le « poids » d'une Exhortation apostolique ». »

« ( LifeSiteNews ) — Le cardinal Gerhard Müller, ancien chef de la Congrégation pour la doctrine de la foi (CDF), a fustigé la voie synodale allemande hérétique, affirmant qu'elle est pire qu'un schisme et la qualifiant de variante de la « culture éveillée matérialiste et nihiliste » qui a abandonné "l'essence même du christianisme".

Dans une récente interview avec le magazine conservateur allemand Tichys Einblicke,  Müller a été interrogé sur son dernier livre "In Buona Fede", dans lequel il a déclaré que la situation de l'Église catholique en Allemagne est "pire qu'un schisme".

Müller a expliqué que tandis que les églises orthodoxes schismatiques restaient concentrées sur le Christ, la voie synodale en Allemagne a abandonné « l'essence même du christianisme […] au profit de sa transformation en une variante de la culture éveillée matérialiste et nihiliste de l'auto-rédemption de l'homme » et la création de soi.

"Au lieu de la parole de Dieu dans l'Écriture Sainte et la Tradition de l'Église, on se réfère aux 'autorités' comme Michel Foucault, Judith Butler, Helmut Kentler ou Yuval Harari", a poursuivi Müller.

"On ne peut pas chasser le diable avec Belzébuth, c'est-à-dire que dans la lutte contre la pédophilie, on ne peut priver la sexualité humaine des exigences des commandements de Dieu et du pouvoir transformateur de sa grâce et la réduire à un plaisir privé exempt de morale."

« L'Église catholique, depuis Irénée de Lyon, n'a jamais laissé les gnostiques de tous les temps s'en tirer avec la promiscuité sexuelle démoralisante, la polygamie et le brouillage de la distinction entre l'homme et la femme en disant que Dieu ne se soucie pas du monde matériel et de la corporéité de l'homme (Contre les hérésies I, 28, 2).

Le cardinal allemand a en outre déclaré que la "culture éveillée", qui est également représentée dans la Voie synodale, conduit l'humanité plus loin sur la voie de l'autodestruction. A la racine de ce problème, Müller identifie une « anthropologie erronée, qui fait du mariage de l'homme et de la femme une variante arbitraire de la libido égocentrique ».

Commentant l'appel à l'ordination des femmes, le prélat allemand a déclaré: «[c]e que les femmes ne peuvent pas recevoir le sacrement d'ordination aux niveaux d'évêque, de prêtre / presbytre et de diacre n'est pas historique-sociologique ("patriarcal") ou psychologique ( « anti-femmes », ce qui est une folie même en tant que terme), mais une question de la nature sacramentelle (et précisément non fonctionnelle) de ce sacrement lui-même en tant que représentation du Christ en tant qu'Époux de l'Église dans sa relation avec elle en tant qu'Épouse. ”

L'intervieweur a interrogé Müller sur le reproche des partisans de la Voie synodale selon lesquels les ennemis de la Voie synodale n'offriraient aucune bonne solution. "Nous n'avons pas besoin de penser à une solution du tout parce que nous vivons par la puissance de la rédemption de Dieu", a répondu l'ancien chef du CDF.

« Il suffit que nous témoignions par la parole et la vie de l'Evangile du Christ, dont la croix est plus intelligente que tous les intellectuels et plus forte que toute la puissance des puissants et des riches de ce monde. Alors nous pouvons répondre à tous ceux qui nous interrogent sur le sens et la raison de l'espérance qui nous soutient dans la vie et dans la mort (cf. 1 P 3, 15).

On a également demandé à Müller pourquoi il pensait que l'Allemagne était le centre de ce "Sonderweg" (chemin spécial) plutôt que l'Espagne, la France ou l'Italie.

"Malheureusement, il y a encore le Furor teutonicus, la tendance indomptable à toujours vouloir instruire et dominer le monde entier", a-t-il répondu. « Les catholiques allemands souffrent toujours d'être des citoyens de seconde classe (et des érudits en théologie et en sciences) depuis le Kulturkampf [guerre des cultures] dans l'Empire de Bismarck et les revendications de supériorité de la Leitkultur protestante prussienne [culture dominante]. C'est une ironie de l'histoire de l'Église que face au défi d'une déchristianisation agressive de l'Occident, les catholiques veulent surmonter leur complexe d'infériorité en se référant à leur commune médiocrité.

"Quel est votre conseil aux fidèles catholiques d'Allemagne qui n'aiment pas le chemin synodal mais qui ne trouvent plus la stabilité habituelle à Rome ?" l'intervieweur a demandé à Müller.

"Un regard sur l'histoire de l'Église nous aide à faire face plus facilement aux hauts et aux bas", a déclaré le cardinal allemand. «Après tout, nous, chrétiens, ne sommes pas promis à une réussite comme dans une entreprise humaine, mais à l'aide de l'Esprit Saint même en période de déclin ou même de persécution. En bourse, les prix montent et descendent. Nous vivons de la promesse de Jésus qu'il sera toujours avec nous jusqu'à la fin du monde.

« Le roc sur lequel Jésus bâtit son Église, même les portes de l'enfer ne peuvent vaincre. Mais celui qui est assis dans le fauteuil de Pierre, comme l'homonyme de ce bureau, peut personnellement échouer. C'est pourquoi le Christ prie pour Pierre afin que sa foi ne s'éteigne pas (cf. Lc 22, 32).

« Malgré toute notre fidélité au Pape, qui est naturelle pour un catholique, nous devons aussi toujours garder clairement à l'esprit que nous appartenons à l'Église du Christ et que le Pape, l'évêque et le prêtre ne sont que ses serviteurs — parfois infidèles — qui sont toujours besoin de repentance et de renouveau », a conclu Müller.

La Voie synodale est un projet de réforme hétérodoxe lancé par la Conférence épiscopale allemande et le Comité central des catholiques allemands en décembre 2019. Lors de sa dernière assemblée en mars, une écrasante majorité des membres de la Voie synodale, dont plus des deux tiers des évêques allemands, ont voté en faveur de documents hérétiques, réclamant des femmes diacres , des «bénédictions» des unions homosexuelles et même des prêtres «transgenres» dans un texte chargé d'idéologie de genre. »

12 mars

L’identité numérique est prévue pour 2025.

Ils ont maintenu les taux d’intérêts bas pour la masse et les gouvernements.

La guerre ukrainienne et la résultante inflation font monter les taux pour amener ces derniers à la faillite et donc à l’acceptation par le peuple de la monnaie digitale via l’identité numérique.

Tout se tient. Tout progresse… vers sa fin.

L’importance du chiffre 11 pour la kabbale:

Ce chiffre représente une porte qui s’ouvre, un passage, une Pâques, entre les deux colonnes.

C’est donc dire qu’il représente un nouveau départ, une grande réinitialisation ou des étapes menant à cette étape ultime, et un sacrifice ou suite à un sacrifice.

Satan singe et inverse, et évidement il n’offre pas une porte vers le Ciel avec le 11.

Exemples : armistice le 11 du 11ème mois, 11 septembre 2001, accident de la centrale Fukushima, 11 mars 2011, etc..

Jean XXIII publie son encyclique humanitaire PACEM IN TERRIS le 11 avril 1963.

Alors, pour l’année 2025 : Le Jubilé et les références au chiffre 11.

« la signification du jubilé dans la tradition juive : c’est l’accomplissement de l’œuvre, la réussite, le couronnement, l’année « divine » où l’on se repose de son travail. » à la 50ème année, après la limite du diable, le 49.

« Le 11 février 2022, jour de la mémoire de la bienheureuse Vierge Marie de Lourdes, le pape François a adressé une lettre à Mgr Rino Fisichella, président du Conseil pontifical pour la promotion de la nouvelle évangélisation, pour le Jubilé de 2025… le thème « Pèlerins d’espérance ».

La réussite de ce Jubilé, a-t-il affirmé, sera possible « si nous sommes capables de retrouver le sens de la fraternité universelle »… Le pape François a ajouté que les quatre constitutions du concile œcuménique Vatican II « unies au magistère des dernières décennies », continueront « à orienter et à guider le saint peuple de Dieu ». Après avoir déclaré que la Bulle d’indiction « sera émise en temps voulu », le pape François a stipulé l’année précédant l’événement jubilaire, 2024, « pourra être consacrée à une grande “symphonie” de prière ». »
(lacroix.com)

Le Jubilé pour la bête Vatican est l’occasion d’ouvrir une porte, les Portes Saintes pour l’Église et une singerie inversée pour l’église conciliaire sous l’attention de Satan.

Et pour ce passage prévue, il faut une préparation :

« Mgr Fisichella a en outre souligné l’indication du Pape François de consacrer les deux prochaines années précédant le Jubilé sur deux thèmes particuliers. L’année 2023 sera ainsi consacrée à revisiter les thèmes fondamentaux des quatre Constitutions du Concile Vatican II, dont on célébrera le 11 octobre prochain le 60e anniversaire de l’ouverture, «afin que l’Eglise puisse respirer à nouveau» cet «enseignement profond et actuel». Une série de supports utiles, «écrits dans un langage attrayant», sont en préparation.

L’année 2024 sera consacrée en revanche à la prière, pour «créer un cadre favorable au Jubilé et permettre que les pèlerins puissent se préparer à cet événement, qui est avant tout spirituel, de façon cohérente et efficace». » (osservatoreromano.va)

On y est.

En 2023, on célèbre le fameux 11 octobre 1962 et ses fruits pourris, alors que pour ceux qui ont les yeux ouverts, on célèbre en réalité le veuvage de l’Église (60 ans selon Saint-Paul).

Alors, qu’en 2024, on prépare mentalement les âmes pour accepter l’inévitable, la suppression de la présence réelle par l’institution d’une célébration œcuménique avec la fin du synode des synodes.

Cette fin du synode sera probablement célébrée dans la fin de semaine du 11 octobre 2024 (en référence au 11 octobre de Vatican II (François veut faire grandir l'Église du Concile Vatican II)

Rappelons que 2025, c’est en plein dans le maximum solaire du cycle 25 (prévu entre octobre 2024 et juillet 2025) augmentant la probabilité du forte tempête solaire qui annihilerait tout ce qui est d'électronique sur cette planète, et ainsi arrêter la guerre.

Les statistiques sur l’activité solaire du cycle 25 du mois de février sont encore une fois au-dessus de la prédiction des astronomes : cela fait 24 mois consécutifs que le nombre de taches solaires prévues sont au-delà des prédictions.

Toutes les taches solaires de février en une image (spaceweathergallery2.com):

Les Jubilés sont liés à une date de début et de fin précises : le 8 décembre.

Et le 8 décembre c’est la date de célébration de l’Immaculée Conception : date qui a son importance considérant l’Apocalypse pour les références à Marie, celle qui écrasera la tête du serpent et mettra fin à Babylone.

Alors, que célébrera l’église conciliaire (rappelons que Bergoglio a lancé le thème du jubilé de 2025 un 11 février, à la fête de Lourdes)?

La renaissance, comme…  la grande réinitialisation.

« … le prochain jubilé est l'occasion d'un réveil… une occasion de «contempler la beauté de la création et de prendre soin de notre maison commune». » (vaticannews.va)

L’église sera témoin d’un réveil, mais pas celui qu’elle espère…

Le logo de ce jubilé est pro LGBT (vaticannews.va) pour inclure tout le monde dans ce jubilé, pour le cri de victoire de l’œcuménisme, pour la conclusion de Vatican II. On nous l’a annoncé avec l’année 2023 consacrée aux 60 ans de Vatican II.

Or, pour le jubilé 2025, Bergoglio a créé une Commission pour les témoins de la foi qui fait référence au grand jubilé de Jean-Paul II de l’an 2000, où il a voulu mettre en lumière ces hommes et ces femmes qui, bien que non canonisés, ont manifesté avec force leur foi.

« Qui sont les témoins de la foi?

Permettez-moi de donner un exemple: celui qui me vient immédiatement à l'esprit est Dietrich Bonhoeffer (1906-1945), un théologien et pasteur d'église luthérien qui a été tué parce qu'il s'opposait au nazisme. L'Église ne le proclame pas martyr parce qu'il n'était pas catholique. »
(vaticannews.va)

Cela ne vous rappelle pas les « deux témoins » de l’Apocalypse?

Satan singe et inverse...

Nous avons bien spécifié les preuves du décompte menant à 2025 dans les analyses précédentes.

Un résumé :

La grande réinitialisation actuelle n’est possible que par le code QR ou son successeur.

C’est ainsi que la bête de la terre (humaniste, Nations-Unies, franc maçonnerie judéo-maçonnique) a pris le contrôle total de nos vies pour nous rendre esclaves du système antichristique.

Tout se fait maintenant via le téléphone intelligent.

Un marché aujourd’hui dominé par la compagnie Apple.

Il faut remonter à la création de l’ordinateur accessible pour tous, ancêtre en sorte du smartphone actuel, pour voir la bête sortir de l’eau, en termes apocalyptiques.

C’est Apple qui produit le premier ordinateur accessible à tous le 11 avril 1976.

Le Apple I se vendait 666.66 dollars.

Don Jean de Monléon dans son livre Le prophète Daniel:

« Malgré les efforts des bourreaux, la flamme ne montait qu’à 49 coudées, elle n’arrivait pas à cinquante… Pourquoi cela ? Parce que 50 est le chiffre de la Pentecôte, le symbole de la transformation totale que, seule, la grâce du Saint-Esprit est capable d’opérer dans l’homme. »

Par conséquent, « le démon ne peut dépasser 49 coudées, parce qu’il est incapable d’agir efficacement sur le fond de l’âme, sur la volonté, si celle-ci est résolue à tenir bon. »

Le diable n’a donc pas le droit d’aller jusqu’à 50, le chiffre en jours qui sépare la Résurrection de la Pentecôte, et qui est le chiffre d’un jubilé.

Sachant donc que la limite du diable est de 49, la limite de Babylone serait donc le 11 avril 2025 (1976+49 années).

Le Vatican doit obligatoirement suivre, car deux bêtes (terre et mer) agissent ensemble selon l’Apocalypse.

C’est à l’été 1976 que Paul VI suspend Mgr Lefebvre suite à la consécration de 13 prêtres et isole ainsi la tradition.

Le 11 septembre 1976, à Castel Gandolfo, une célèbre rencontre eu lieu entre Mgr Lefebvre et Paul VI où ce dernier dépose ses accusations.

Le nombre de jour entre le 11 avril 1976 et le 11 septembre 1976 liant les deux bêtes : 153.

Le chiffre des rachetés  de la pêche miraculeuse (voir analyses précédentes) de la fin des temps.

La fin des temps se mesurant en deux temps, un temps et un demi temps (3 étapes).

Un temps : 21 ans

Deux temps : 42 ans

Un demi temps : la donnée inconnue : nul ne connaît le jour ni l’heure…

Un temps : 21 ans

De 1962 à 1983.

1983 : Jean Paul II modifie le droit canon le 25 janvier 1983 et celui-ci est effectif le 27 novembre suivant au premier dimanche de l’Avent, ce qui en soit est un signe d’une nouvelle étape.

Le code de droit canonique de 1917 a été promulgué le 27 mai 1917 (peu après la première apparition de Fatima donc).

Nombres d’années entre le 27 mai 1917 et le 27 novembre 1983 : 66 ans et 6 mois.

Les 21 années de Vatican II à 1983 ont donc servi de préparation pour éclipser l’Église selon les prophéties de La Salette.

Deux temps : 42 ans

De 1983 à 2025.

Le nouveau droit canon plonge l'Église dans la fosse humaniste officiellement.

Le 5 avril 1983, Mgr Lefebvre répond à une lettre envoyée par Jean-Paul II via le cardinal Ratzinger.

L'Église est en crise.

La messe traditionnelle est ciblée.

« Sans doute c’est en raison de cette oppression des consciences exercée d’une manière inconcevable à l’intérieur de l’Église que vous prévoyez de publier un décret concernant l’usage de l’ancien rite romain de la Messe. N’est-ce pas, en effet, une oppression inique d’enlever aux prêtres le rite de leur Messe d’ordination et de les contraindre sous peine de suspens d’adopter un nouveau rite à l’institution duquel ont participé six pasteurs protestants !

C’est au pied du crucifix que je vous réponds, Très Saint-Père, uni à tous les évêques, prêtres, religieux, religieuses, fidèles qui ont subi un véritable martyre moral par l’imposition forcée de cette Réforme liturgique. Que de larmes, que de douleurs, que de morts prématurées dont demeurent responsables ceux qui ont indûment imposé ces changements opérés au seul titre d’un œcuménisme aberrant.» (laportelatine.org)

L’humanisme œcuménique a été inscrit dans l’ADN de l’Église avec le nouveau code de droit canon.

Concrètement.

On trouve une autre confirmation par la deuxième apparition de la Vierge Marie à Sœur Catherine Labouré à la rue du Bac:

La libération des justes, les 153 de la seconde pêche miraculeuse commencent donc au début de la phase de 42 ans, la période de prêche des deux témoins pour sauver le plus d’âmes possibles.

Nous venons de démontrer que cette phase commence par la validité du nouveau code de droit canon le 27 novembre 1983.

Or, le 27 novembre est la date anniversaire de l’apparition de la rue du Bac en 1830 et conséquemment de l’existence de la médaille miraculeuse.

Il y a exactement 153 ans entre l’apparition et le 27 novembre 1983.

2025, c’est aussi 161 ans par rapport au syllabus de Pie IX (publié le 8 décembre 1864) condamnant le maçonnisme et ses erreurs.

C’est bien là le mal de notre époque (suite à l’avertissement de Fatima avec le communisme).

161, c’est le chiffre de l’humain déifié, le 6, entre les deux colonnes maçonnique (les colonnes Boaz et Jakin), représenté par le chiffre 11.

La porte que veulent ouvrir les kabbalistes (la grande réinitialisation de 2025) est indiquée par la date de l’avertissement de Pie IX et qui est reliée à Marie.

Mais, en 2025, cela fera  aussi 171 ans que le dogme de l’Immaculée Conception a été proclamé par Pie IX, le 8 décembre 1854 exactement.

La Vierge Marie, c’est la clé de la victoire dans l’Apocalypse, celle qui écrasera la tête du serpent.

Si le 161 représente le chiffre de l’homme déifié entre les deux colonnes du 11, 2025 représente aussi le 6 transfiguré.

6X3,5 (en référence au 1 temps, 2 temps et un demi temps de la durée de vie de la bête dans l’Apocalypse) donne 21 et divisé par le chiffre de la Trinité, donne 7.

Le chiffre du Père, entre les deux colonnes.

Deux portes donc : une porte menant au Ciel et l’autre menant à l’enfer dépendant de l’application du trio « Foi, Espérance, Charité » pratiqué par chacun.

Les deux colonnes représenteraient les « deux témoins » ressuscités après les 3 jours et demi : les deux oliviers de l’Apocalypse.

Rappelons aussi qu’il y avait deux colonnes dans le songe de Don Bosco.

Ces deux témoins, on les nomment aussi Énoch et Élie.

Confirmés par La Salette :

« L’Église sera éclipsée, le Monde sera dans la consternation. Mais voilà Énoch et Élie remplis de l'Esprit de Dieu ; ils prêcheront avec la force de Dieu et les hommes de bonne volonté croiront en Dieu et beaucoup d'âmes seront consolées ; ils feront de grands progrès par la vertu du Saint-Esprit et condamneront les erreurs diaboliques de l'Antéchrist. »

La prêche des deux témoins aurait donc débuté officiellement en 1983 pour 42 ans.

Effectivement, tout doit être conclu avant mai 2026 selon la prophétie de Don Bosco, c’est à dire le retour du Lys avant mai 2026.

9 mars

« Nous devons être prudents dans nos prédictions. Ce que disait saint Augustin est toujours vrai : l’homme est un abîme ; personne ne peut prévoir ce qui émergera de ces profondeurs. Et celui qui croit que l’Église n’est pas seulement déterminée par l’abîme qu’est l’homme, mais qu’elle atteint l’abîme le plus grand, le plus infini, qui est Dieu, sera le premier à hésiter dans ses prédictions, car ce désir naïf de savoir avec certitude ne pourrait être que l’annonce de son inaptitude historique. (…)

L’avenir de l’Église peut résider et résidera dans ceux dont les racines sont profondes et qui vivent dans la pure plénitude de leur foi. Il ne résidera pas chez ceux qui ne font que s’adapter au moment présent, ni chez ceux qui se contentent de critiquer les autres en se prenant pour des juges infaillibles, ni chez ceux qui choisissent la facilité, qui éludent la passion de la foi en la déclarant fausse et obsolète, tyrannique et légaliste, tout ce qui exige quelque chose des hommes, les blesse et les oblige à se sacrifier.

Pour le dire plus positivement : l’avenir de l’Église, une fois de plus comme toujours, sera façonné par les saints, c’est-à-dire par des hommes dont l’esprit est plus profond que les slogans du jour, qui voient plus que ce que les autres voient, parce que leur vie embrasse une réalité plus large.

La générosité, qui rend les hommes libres, ne s’obtient que par la patience de petits actes quotidiens d’abnégation. Grâce à cette passion quotidienne, qui révèle à l’homme combien il est asservi par son ego, grâce à cette passion quotidienne et à elle seule, les yeux de l’homme s’ouvrent lentement.

L’homme ne voit que dans la mesure de ce qu’il a vécu et subi. Si aujourd’hui nous ne sommes plus très capables de prendre conscience de Dieu, c’est parce qu’il nous est très facile de nous échapper, de fuir les profondeurs de notre être à travers le sentiment narcotique de tel ou tel plaisir. De cette façon, nos profondeurs intérieures nous restent fermées. S’il est vrai qu’un homme ne peut voir qu’avec son cœur, alors combien nous sommes aveugles !


De quelle manière cela influe-t-il le problème que nous examinons ? Cela signifie que tout le discours de ceux qui prophétisent une Église sans Dieu et sans foi n’est que du bavardage inutile.


Nous n’avons pas besoin d’une Église qui célèbre le culte de l’action dans les prières politiques. Elle est entièrement superflue. Et donc elle va se détruire.

Ce qui restera sera l’Église de Jésus-Christ, l’Église qui croit au Dieu qui s’est fait homme et qui nous promet la vie après la mort. Le prêtre qui n’est qu’un travailleur social peut être remplacé par le psychothérapeute et d’autres spécialistes, mais le prêtre qui n’est pas un spécialiste, qui ne reste pas dans les tribunes à regarder le match, à donner des conseils officiels, mais qui se met au nom de Dieu à la disposition de l’homme, qui l’accompagne dans ses peines, dans ses joies, dans ses espoirs et dans ses craintes, un tel prêtre sera certainement nécessaire à l’avenir.

Faisons un pas de plus.

De la crise d’aujourd’hui émergera une Église qui aura beaucoup perdu. Elle deviendra petite et devra recommencer plus ou moins depuis le début. Elle ne pourra plus habiter nombre des bâtiments qu’elle avait construits dans la prospérité. Le nombre de ses fidèles diminuant, elle perdra également la plupart de ses privilèges sociaux. Contrairement à une période antérieure, elle sera davantage perçue comme une société volontaire, dans laquelle on n’entre que par libre décision. En tant que petite société, elle exigera beaucoup plus de l’initiative de ses membres individuels.

Elle découvrira sans doute de nouvelles formes de ministère et ordonnera au sacerdoce des chrétiens qui exercent une profession. Dans de nombreuses petites congrégations ou groupes sociaux autosuffisants, le service pastoral sera normalement assuré de cette manière.

Parallèlement, le ministère sacerdotal à plein temps sera indispensable, comme auparavant. Mais malgré tous ces changements que l’on peut supposer, l’Église retrouvera, avec toute son énergie, ce qui lui est essentiel, ce qui a toujours été son centre : la foi dans le Dieu trinitaire, en Jésus-Christ, le Fils de Dieu fait homme, dans l’assistance de l’Esprit, qui durera jusqu’à la fin. Elle repartira de petits groupes, de mouvements et d’une minorité qui remettra la foi et la prière au centre de l’expérience et qui revivra les sacrements comme un service divin et non comme un problème de structure liturgique.

Ce sera une Église plus spirituelle, qui ne s’arrogera pas un mandat politique en flirtant tantôt avec la gauche, tantôt avec la droite. Elle le fera avec difficulté. Le processus de cristallisation et de clarification la rendra pauvre, il en fera une Église des petites gens, le processus sera long et ardu, car il faudra éliminer l’étroitesse d’esprit sectaire et l’obstination pompeuse. On peut prédire que tout cela prendra du temps.

Le processus sera long et ardu, comme l’a été le chemin du faux progressisme à la veille de la Révolution française – où un évêque pouvait être considéré comme intelligent s’il se moquait du dogme et insinuait même que l’existence de Dieu n’était pas du tout certaine – jusqu’au renouveau du XIXe siècle.

Mais après l’épreuve de ces divisions, une grande force émergera d’une Église intériorisée et simplifiée.

Les hommes qui vivront dans un monde totalement programmé connaîtront une solitude indescriptible. S’ils auront complètement perdu le sens de Dieu, ils ressentiront toute l’horreur de leur pauvreté. Et ils découvriront alors la petite communauté des croyants comme quelque chose de totalement nouveau : ils la découvriront comme une espérance pour eux-mêmes, la réponse qu’ils avaient toujours cherchée en secret.


Il me semble certain que des temps très difficiles sont à venir pour l’Église. Sa véritable crise ne fait que commencer. Elle doit faire face à de grands bouleversements.

Mais je suis aussi très certain de ce qui restera à la fin : non pas l’Église du culte politique, qui est déjà morte, mais l’Église de la foi.

Il est certain qu’elle ne sera plus la force sociale dominante dans la mesure où elle l’était encore récemment. Mais l’Église connaîtra une nouvelle floraison et apparaîtra comme la maison de l’homme, où il peut trouver la vie et l’espérance au-delà de la mort ».


L’Église catholique survivra malgré les hommes et les femmes, pas nécessairement grâce à eux, et nous avons encore notre rôle à jouer. Nous devons prier et cultiver la générosité, l’abnégation, la fidélité, la dévotion sacramentelle et une vie centrée sur le Christ. »
(1969, père Joseph Ratzinger, radio allemande)

3 mars 2023

« L'évêque auxiliaire d'Astana, Athanasius Schneider, a accordé une interview à LifeSiteNews dans laquelle il a averti que les tendances actuelles dans l'Église catholique, en particulier le Synode sur la synodalité, sont "dangereuses" pour la foi catholique et sont des "poisons spirituels".

Comme le veut le prélat kazakh, il parlait avec force et sans détour. Schneider a toujours été particulièrement critique à l'égard de ce Synode et a averti que l'actuel Synode sur la synodalité est "un outil utilisé pour diluer de plus en plus la clarté de la foi catholique, comme nous l'observons, jetant de plus en plus de confusion et de confusion doctrinale dans la vie de la Église".

"C'est un abus flagrant de l'institution du synode, que l'Église a comprise depuis 2 000 ans", a-t-il déclaré.

Schneider a souligné qu'un synode bien ordonné a des prérogatives claires : « Le synode est un instrument du magistère, mais son premier objectif est de clarifier la doctrine sans équivoque, sans aucun doute ».

La deuxième tâche d'un synode devrait être de "repousser les erreurs de l'époque", mais Schneider a averti que les actions actuelles du synode permettent la propagation de "poisons, de poisons spirituels".

Un vrai synode devrait également traiter des questions "disciplinaires" pour fournir un "remède contre les abus", a-t-il déclaré.

Au lieu de cela, il a décrit le synode sur la synodalité comme semblable à un "parlement d'une manière mondaine", quelque chose qui "est contraire à toute l'histoire de l'Église et à toute la méthode de Dieu. C'est mondain, ce n'est même pas chrétien".

En outre, Mgr Schneider a souligné la particularité de l'attention de l'Église catholique à "l'écoute" plutôt qu'à l'enseignement. "Toute l'humanité doit écouter la voix du Christ, pas les autres", a-t-il déclaré. S'entendre plutôt que le Christ est "contre la révélation", a-t-il ajouté.
"C'est pourquoi le Christ n'a pas dit à tous les apôtres : 'Allez et écoutez toutes les nations', mais 'Allez, enseignez et instruisez ce que je vous ai enseigné'. C'est le message de l'Église : ne vous présentez pas, ne tenez pas de sessions parlementaires et n'écoutez pas les gens, mais proclamez la vérité, naturellement avec clarté et charité », a ajouté l'évêque auxiliaire d'Astana.

Tout en avertissant des dangers posés par de nombreux courants de pensée moderne dans l'Église catholique, Mgr Schneider a offert des encouragements aux catholiques sur la manière de préserver la foi. « Étudiez la foi catholique », a-t-il dit.
"Etudiez bien les anciens catéchismes où se trouve la foi immuable".

Il a mentionné certains textes post-conciliaires, tels que Humanae Vitae et Vertitatis Splendor, mais a surtout souligné que les catholiques doivent suivre les enseignements et les documents pré-conciliaires pour leur clarté.

L'évêque auxiliaire a également exhorté les catholiques à faire de la Sainte Eucharistie "le centre de leur vie". Il a encouragé à recevoir la Sainte Communion avec une grande révérence, à genoux et sur la langue "pour éviter tout danger de profanation ou de minimisation de la révérence".

En outre, Schneider, un fervent partisan de la liturgie traditionnelle de l'Église, a déclaré que rechercher la messe traditionnelle est un "geste d'amour" pour son prochain et un acte de "fidélité à la Sainte Mère l'Église".»

L’Église vit sa Passion.

Rappelons la dernière phrase de la prophétie des papes de St-Malachi :

« Dans la dernière persécution de la Sainte Église Romaine siégera Pierre le Romain qui fera paître ses brebis à travers de nombreuses tribulations; celles-ci terminées, la cité aux sept collines sera détruite ; et le Juge redoutable jugera son peuple. »

Plusieurs prophéties confirment que Rome sera détruit.

Et c’est peut-être là le mystère de la fin de la prophétie concernant Benoît XVI.

« devant la tombe du va-nu-pieds, éclatera le règne béni de la Très Sainte Vierge.
La terre détruira le ciment et de terre sera, Reine, ta nouvelle Église. Et sur la terre de blé, pour la faim de tes peuples, fleur sur son nouvel autel. »

Il est bien spécifié que c’est le point de départ du renouvellement pour la nouvelle terre.

Anne Catherine Emmerich spécifiait bien qu’il ne resterait pratiquement que l’Autel suite à la destruction.

Un peu comme cela nous a été annoncé par le feu à la cathédrale Notre-Dame de Paris où l’autel a été épargné.

Saint-Paul dans 2 Timothée 3 : 1-9 nous indique aussi la voie à suivre en cette fin des temps tout en affirmant que cette folie des apostats leur éclatera en plein visage.

« Sache que, dans les derniers jours, il viendra des temps difficiles. Car les hommes seront égoïstes, cupides, fanfarons, superbes, blasphémateurs, rebelles à leurs parents, ingrats, impies, sans affection, sans loyauté, calomniateurs, intempérants, cruels, ennemis des gens de bien, traîtres, insolents, enflés d'orgueil, amis des voluptés plus que de Dieu, ayant les dehors de la piété sans en avoir la réalité : éloigne-toi de cette sorte de gens.

Tels sont ceux qui s'insinuent dans les familles pour captiver des femmelettes chargées de péchés, travaillées de passions de toute espèce, qui toujours apprennent sans pouvoir jamais parvenir à la connaissance de la vérité.

Pareils à Jannès et à Jambrès qui s'opposèrent à Moïse, de même ces hommes, viciés d'esprit et pervertis dans la foi, s'opposent à la vérité.

Mais ils ne feront plus de progrès ; car leur folie éclatera aux yeux de tous, comme celle de ces deux hommes-là. »

C’est l’heure de la révélation et plusieurs seront très, très surpris.

Février 2023

25 février

« Traditionis Custodes: les évêques ont la terreur de parler


Alors que dans les paroisses, les fidèles simples et naïfs sont convaincus que François est le Pape de la miséricorde, ceux qui vivent chaque jour autour de Bergoglio ont un témoignage bien différent. C’est, une fois de plus, le grand pouvoir de la communication que le Pape a complètement asservi à lui-même.

En ce qui concerne le Motu Proprio « Traditionis Custodes » et le rescrit qui s’y rapporte aussi, il y a beaucoup à dire et le discours se fait très ample. Alors que François se dit miséricordieux et accueillant envers tous, il montre qu’il ne supporte absolument pas ceux qui célèbrent l’Eucharistie selon un rite qui lui est incompréhensible. De plus, le Pape ne s’est pas du tout demandé comment les fidèles vivent ce moment au sein de l’Eglise, où ils voient le Pape ne plus célébrer le Divin Sacrifice.

La perplexité est grande et les gens sont scandalisés. Ce n’est pas une question de « forme » mais de « fond ». Surtout ceux qui ont été habitués à voir Jean-Paul II, qui était vraiment malade et mourant, célébrer l’Eucharistie.

De nombreuses questions se posent donc lorsque le Pape choisit de se lever pour recevoir des personnes en audience ou pour échanger le signe de paix. Pendant l’épiclèse, il ne se lève pas, mais lorsqu’il doit donner la paix au célébrant, il le fait. S’il faut baiser les pieds du puissant du Sud Soudan, il se jette à terre, mais pendant la consécration il ne fait pas de génuflexion.

Oui, l’ambiguïté est la devise de ce pontificat. Nous l’avons vu à de nombreuses reprises. Ceux qui ont à cœur la figure du Pape continuent cependant à appeler les fidèles à l’obéissance et à la prière. En fait, il y a beaucoup de gens dans l’Église aujourd’hui qui font l’éloge du Pape et disent qu’ils sont obéissants parce qu’il est le Pape. Il suffirait cependant de faire un petit retour en arrière pour revenir en 2011, lorsque ces personnes insultaient le Pontife.

La question n’est pas du tout anodine, bien au contraire. Aimer Bergoglio est une chose, aimer le Pape en est une autre. Celui qui aime le Pape, l’aime quel qu’il soit. Celui qui aime Bergoglio en viendra bientôt à détester le Pape. Les journalistes, tous sans exception, sont des amoureux de Bergoglio et non du Pape.

Ceux qui aiment le successeur de Pierre, par contre, sont critiques précisément parce qu’ils se soucient du Pape et de l’Église. Cela, pourtant, ne plaît pas à François, car alors qu’il dit que les autres sont idéologiques, il montre qu’il est imprégné d’idéologie.
Nous l’avons vu lors de l’audience générale du mercredi 22 février 2023. François s’en est pris à ceux qui lui reprochent d’avoir choisi de signer le Rescriptum qui donne au Saint-Siège une compétence exclusive sur l’autorisation de célébrer selon le Vetus Ordo.

« Faites attention, a dit le pape a braccio, que l’Évangile n’est pas une idée, l’Évangile n’est pas une idéologie : l’Évangile est une proclamation qui touche votre cœur et vous fait changer de cœur, mais si vous vous réfugiez dans une idée, dans une idéologie qu’elle soit de droite ou de gauche ou du centre, vous faites de l’Évangile un parti politique, une idéologie, un club de personnes ».

Tous les collaborateurs de ce site participent à la célébration de l’Eucharistie selon le Missel de Saint Paul VI, et certains participent aussi aux célébrations Vetus Ordo. Personne n’a jamais songé à considérer un rite comme meilleur ou pire que l’autre. Diaboliser un rite ou, pire encore, les fidèles qui sont attachés à ce rite, n’est certainement pas une démonstration d’amour pour le peuple saint de Dieu.

François, lors de son voyage au Sud-Soudan, a dit aux évêques :

« J’ai dit ‘soyez miséricordieux’. La miséricorde. Pardonnez toujours. Quand un croyant vient se confesser, il vient demander le pardon, il vient demander la caresse du Père. Et nous, avec un doigt accusateur : ‘Combien de fois ? Et comment l’as-tu fait ?…’. Non, pas cela. Pardonnez. Toujours. ‘Mais je ne sais pas…, parce que le code [de droit canonique] me dit…’. Le code, nous devons le respecter, parce qu’il est important, mais le cœur du pasteur va plus loin ! Prends le risque. Pour le pardon, tu risques. Toujours. Pardonne toujours dans le sacrement de la réconciliation. Et ainsi tu sèmeras le pardon pour toute la société ».

Le Pape devrait nous expliquer pourquoi nous devons accueillir et pardonner une personne impénitente et qui n’a pas à cœur le salut de son âme, mais nous ne pouvons pas célébrer le Divin Sacrifice selon un rite qui appelle à la prière et au recueillement ?

À quoi servirait le sacrement de la réconciliation si nous absolvions tout le monde sans critères ? Ce serait une moquerie, pour nous et pour le pénitent lui-même. Le Pape dit : prenez des risques ! Je réponds: « Non, Votre Sainteté, je ne ‘risque’ pas mon âme et celle de mes pénitents, car il y va du salut ou de la damnation éternelle. Si je me tenais devant le Seigneur et que je disais que vous m’avez dit d’absoudre les impénitents, le Père éternel me demanderait un compte rendu de ce que j’ai médité dans l’Écriture ».

Il ne s’agit pas, comme François veut malheureusement nous le faire croire, d’être puritains. On ne refuse presque jamais l’absolution au confessionnal, mais quand c’est nécessaire, on doit le faire. Souvent, ce sont précisément les pénitents qui ont besoin de l’absolution.

Bien souvent, ce sont les pénitents eux-mêmes qui demandent à être accompagnés spirituellement. Bien sûr, il serait beaucoup plus simple d’absoudre, de quitter le confessionnal et de retourner à ses « affaires ». Mais ce n’est pas ce que l’on attend de nous. L’accompagnement spirituel est beaucoup plus « guérissant » que l’absolution donnée sans repentir. Notre tâche, en fait, est de sortir le fidèle de la situation de péché et non de l’y laisser.

Traditionis Custodes

Précisément parce que nous n’agissons pas par idéologie, il serait utile que le Pape commence à être transparent. On parle souvent de transparence, non ? Commençons maintenant.

François, dans sa Lettre aux évêques du monde pour présenter le Motu Proprio « Traditionis Custodes » sur l’usage de la liturgie romaine d’avant la Réforme de 1970 écrit :

« Les réponses reçues ont révélé une situation qui me chagrine et me préoccupe, confirmant la nécessité pour moi d’intervenir ».

Que ces réponses soient rendues publiques et puissent être consultées! Combien d’évêques ont signalé qu’il y avait des problèmes ? Quels étaient ces problèmes ? Qu’ont fait ces évêques pour corriger ces réalités qui niaient la validité du Concile?
Une confrontation avec plusieurs évêques montre que les lettres envoyées à Rome étaient tout à fait positives et non pas comme le prétend le Dicastère.

Il est clair que, si le travail est confié à Arthur Roche [le préfet du Culte divin] et Vittorio Viola [le secrétaire], la question n’est certainement pas traitée par des personnes « neutres » ou « libres » sur le sujet. Ce sont des personnes formées dans un athénée purement idéologique [l’Institut Saint-Anselme, très marqué à gauche]. Si vous ouvrez un dictionnaire et que vous cherchez « idéologie », vous trouverez une photo de Saint-Anselme.

L’intention de St Jean Paul II et de Benoît XVI était la communion. Avec Summorum Pontificum, Benoît XVI n’a pas agi avec l’intention de s’adresser à la Fraternité saint Pie X. Bien sûr, il l’a fait aussi pour cela, mais il a surtout été guidé par la volonté d’apporter la paix également au sein de l’Église catholique. Il existe de nombreux rites et personne n’a jamais offensé ou enlevé quelque chose à un autre. Où est le problème ? Le problème est uniquement idéologique. Le Pape qui dit accueillir tout le monde, devient ainsi une source de contradiction et chasse ceux qui célèbrent selon un rite qu’il ne conçoit pas.

Oui, parce que François ne comprend pas vraiment le vetus ordo. La messe [pour lui] doit être un moment de fête, où tous participent et l’aspect sacrificiel est supprimé. Lors de la célébration eucharistique du jeudi 23 février dans la basilique de Sainte-Sabine, le pape s’est déshabillé alors que le chant final n’était pas encore terminé. Il a retiré ses vêtements dans le presbytère, devant tous les fidèles. Il est monté dans son fauteuil roulant et a traversé toute la basilique.

Dans nos paroisses, nous passons beaucoup de temps à éduquer les fidèles au recueillement. Nous apprenons aux célébrants à rendre grâce et à ne pas enlever immédiatement leurs vêtements liturgiques. Et ensuite, ils allument la télévision et ils voient cela ? Quel exemple leur donnons-nous ? Croyons-nous en ce que nous professons ?

Tout cela est une source de scandale pour les fidèles. Le Christ n’est plus au centre, c’est le Pape qui l’est. Ce narratif est le moteur du pontificat de François depuis dix ans: « L’Église est laide et mauvaise, je l’ai améliorée », « les prêtres sont mauvais, les évêques désobéissants et moi pas ».

Les évêques sont terrifiés

Nous ne voulons certainement pas minimiser la question liturgique, mais l’attitude utilisée par François avec l’ancienne messe est utilisée avec d’autres questions de gouvernance. Il suffit de penser au Motu Proprio Mitis Iudex Dominus Iesus concernant les causes de nullité matrimoniale. Quand François a vu que sa réforme n’était pas mise en œuvre, il a immédiatement nommé ceux qui devaient superviser et intervenir pour s’assurer qu’elle se déroule selon sa volonté.

Quand Benoît XVI a publié le Motu Proprio Summorum Pontificum en 2007, l’épiscopat n’a eu aucun problème à intervenir pour dire au Pape qu’il n’était pas d’accord. Les positions étaient diverses et n’étaient en aucun cas voilées ou cachées. L’évêque de Sora-Aquino-Pontecorvo, heureusement devenu émérite, Luca Brandolini, a déclaré : « C’est un jour de deuil, non seulement pour moi, mais aussi pour tous ceux qui ont vécu et travaillé pour le Concile Vatican II ».

Benoît XVI n’avait en aucun cas éliminé le novus ordo, mais avait ouvert et donné plus de possibilités. Brandolini, qui ne jouit pas d’une grande intelligence, a oublié que Ratzinger a vécu lui-même le Concile œcuménique et l’intention des Pères du Concile.

Alessandro Plotti, le grand promoteur des pires épiscopats toscans à l’époque de Jean-Paul II, a même déclaré que, malgré le Motu Proprio, dans l’archidiocèse de Pise, les prêtres devaient encore demander la permission à l’évêque. Que reste-t-il de ces évêques ? Seulement leur idéologie et ses fruits, des diocèses qui ont des séminaires vides et qui se dirigent vers l’abîme.

L’évêque Sebastiano Dho parlait d’une Église parallèle. Et l’évêque de Côme, qui nous a montré aujourd’hui sa diligence dans les cas d’abus, a pris la peine de dire que nous devons être prudents. Pour la Messe ancienne prudence, pour lancer des enquêtes contre les abuseurs, non. Ce sont les mêmes évêques qui reçoivent les journalistes dans leur salon en survêtement.

A juste titre, certains fidèles disent : « Mais pourquoi les évêques ne disent-ils rien aujourd’hui ? ».

Nous aussi, nous nous posons cette question depuis un certain temps. Il faut beaucoup de courage, car Plotti, Coletti, Brandolini, Dho, etc. sont restés dans leurs diocèses et ont continué à vivre paisiblement. Benoît XVI n’a jamais mis personne à la porte, même lorsqu’ils le critiquaient de manière aussi mesquine. François, en revanche, a mis à la porte ses proches collaborateurs pour bien moins que cela. Les exemples sont nombreux. L’un d’eux est le bon archevêque Jorge Carlos Patrón Wong. Le prélat mexicain s’est toujours distingué par son humanité, même envers de nombreux séminaristes qui avaient des difficultés financières ou familiales. Bergoglio l’a convoqué en novembre 2021 et lui a dit : « Merci pour ton travail, très bien, mais maintenant j’ai besoin de toi à Jalapa ». L’évêque a pâli et a été surpris. « Très bien Votre Sainteté, le temps de terminer le semestre et je retourne au Mexique », lui a-t-il dit. Le pape a pris un air sombre et a dit : « Non, non. Maintenant ! À Noël, tu dois y aller ! » Le jour de la fête de l’Immaculée Conception, il lui a fait publier la nomination et l’a renvoyé au Mexique. Les raisons ? Aucune. Même ici, au Vatican, le prélat était très aimé et a laissé un très bon souvenir. Mais le système est celui du provincial jésuite : « Je commande, tu obéis ». Et, comme un bon provincial, François veut tout savoir sur tout le monde.

Si tel est le système, les évêques disent à juste titre : « Qui m’oblige à le faire? Le pape te dit de le corriger en face, mais ensuite il t’expédie au Kenya. Ou pas ». » (benoit-et-moi.fr)

22 février

La date du 3 avril risque de passer à l'histoire comme étant celle de la mort des deux témoins, car le Vatican s'apprêterait à éradiquer la messe traditionnelle et tout ce qui lui est reliée, comme les ordinations et les sacrements.

« Le pape révise une nouvelle Constitution apostolique pour renforcer Traditionis Custodes
(Diane Montagna par The Remnant)

Le Remnant  a appris qu'un document du Vatican est actuellement en cours d'examen par le pape François et élargirait et renforcerait son  Motu Proprio Traditionis Custodes  2021, et affirme que la seule liturgie officielle du rite latin est le Novus Ordo et réglementerait rigoureusement les anciennes communautés Ecclesia Dei.

Des sources vaticanes bien informées ont confirmé à  The Remnant, qui avait annoncé avec précision Traditionis Custodes avant sa publication en 2021, que le projet de document, sous la forme d'une constitution apostolique, a été présenté au pape François fin janvier par les supérieurs du Dicastère pour le culte divin et la discipline des sacrements, dirigés par le cardinal Arthur Roche.

Le document aurait été rédigé par des fonctionnaires du Dicastère, sous la direction de son secrétaire, Mgr Vittorio Francesco Viola, OFM, en collaboration avec au moins un consultant du Bureau des célébrations liturgiques du Vatican.

Alors que Traditionis Custodes  vise principalement à contrer la diffusion de la messe latine traditionnelle et des sacrements au sein du clergé diocésain, ce nouveau document porterait un coup particulièrement dur aux anciennes communautés Ecclesia Dei en interdisant les ordinations diaconales et sacerdotales dans le Vetus Ordo, interdisant l'administration d'autres sacrements aux fidèles et exigeant la concélébration de tous les prêtres, y compris les membres de ces instituts.

L'interdiction des messes dominicales dans le Vetus Ordo serait également en discussion .

The Remnant  a également appris qu'un cardinal italien nommé en 2022 tente de persuader le pape François de promulguer une constitution apostolique alternative, qui à première vue peut sembler moins dure mais qui est en réalité pire, cherchant à enterrer une fois pour toutes la liturgie latine traditionnelle.

Ce second brouillon ne mentionnerait jamais le Vetus Ordo, mais célébrerait plutôt le 54e anniversaire de la promulgation de la constitution apostolique de Paul VI dans le Nouveau Missel romain (3 avril 1969), donnant comme date probable de sa publication le lundi de la Semaine Sainte [ 3 avril  2023 ndt] .

Selon certaines sources, le document relate les "bénédictions" de la réforme liturgique de Paul VI et les "fruits abondants" qu'elle a produits dans l'Église, et cherche à "la couronner et la compléter" en déclarant que, désormais, le seul rite officiel de l'Église latine est le Missel romain de Paul VI, le  Novus Ordo .

Sans jamais dire un mot du Vetus Ordo, cette seconde option ferait avancer tout ce qui est contenu dans la première par les conséquences qu'elle implique.

Cela donnerait aux évêques qui sont hostiles à la liturgie traditionnelle - ou qui sont prêts à la sacrifier pour ce qu'ils considèrent comme le plus grand bien - la clé pour l'éradiquer de leurs diocèses. Et cela renforcerait les efforts du cardinal Arthur Roche pour forcer les évêques "inclusifs" à appliquer son interprétation de Traditionis Custodes, après des tentatives répétées de le faire d'une manière considérée par les canonistes comme contraire au droit de l'Église.

Mais à ce stade, il n'y a rien de définitif, nous dit-on, et il y a une résistance considérable de la part des membres de la Curie romaine, qui croient que la promulgation par le pape François de l'une des deux constitutions apostoliques enverrait l'Église dans des eaux inconnues, blessant davantage le Corps mystique du Christ et être considéré (par les catholiques et les non-catholiques) comme un acte cruel et diviseur.

Elle serait également interprétée par les cardinaux, les évêques, les prêtres, les religieux et les laïcs comme une répudiation totale de l'héritage du pape Benoît XVI quelques mois après sa mort. »

Cette date choisie juste après le dimanche des rameaux 2023 n'est pas une coïncidence (en plus de célébrer l'application du Novus Ordo de Paul VI de 1969).

Surtout par rapport à la mort et la résurrection des témoins de l'Apocalypse en référence à la Semaine Sainte.

Il y a un cri de triomphe à l'horizon pour l'ennemi.

Nous n'aurons pas beaucoup à attendre pour être nous-mêmes témoins de cette rumeur.

N'oublions pas que la dernière partie de la prophétie concernant Benoît XVI avec l'intervention de la Vierge Marie devant le tombeau du saint aux pieds nus (voir analyses précédentes) n'a pas encore eu lieu.

Et c'est bien l'héritage de Benoît XVI qu'on essait d'enterrer en annulant SUMMORUM PONTIFICUM de 2007.

21 février

Point de vue de Mgr Vigano sur le fait que le FBI fiche les chrétiens catholiques traditionnels.

« Le FBI dresse le profil des catholiques traditionalistes. Vigano : Et beaucoup dorment...

Le totem de la liberté de culte permet aux adorateurs de Satan d'ériger un monument blasphématoire à Baphomet devant le Capitole de l'État de l'Arkansas à Little Rock ou une statue de démon sur la façade du palais de justice de New York pour célébrer un juge avorteur de la Cour suprême ; tandis qu'au Nouveau- Mexique, le temple satanique inaugure une clinique qui pratique des avortements rituels et bénéficie de la reconnaissance de l'État. Pendant ce temps, les services secrets de l'administration Biden n'ont rien de mieux à faire que de dresser le profil des catholiques traditionnels et de surveiller les communautés dans lesquelles la liturgie est célébrée en latin, comme si elles représentaient une menace pour l'ordre établi et un danger potentiel pour le institutions de l'État.

Cette nouvelle doit être lue, à mon avis, comme une conséquence logique et nécessaire d'un autre événement analogue et similaire : le culte idolâtre rendu par les chefs de la hiérarchie catholique au démon de la Pachamama dans la Basilique Saint-Pierre et dans d'autres églises catholiques. , et la persécution simultanée des catholiques traditionnels par l'autorité ecclésiastique avec le Motu Proprio Traditionis Custodes et avec ses nouvelles restrictions, qui seraient imminentes.

Cette opération de criminalisation de la dissidence de la part du pouvoir temporel et spirituel n'est pas fortuite et devrait susciter une condamnation très ferme et une opposition décisive, tant de la part des citoyens et de leurs représentants dans les institutions civiles, que des fidèles et surtout de leurs pasteurs ; une condamnation qui ne peut se limiter à cet épisode récent, très grave en lui-même, mais qui doit aussi s'étendre à l'inquiétante conspiration de parties déviées de l'Etat collaborant avec des parties déviées de l'Eglise : d'une part l' état profond et de l'autre l' église profonde, tous deux corrompus et soumis à l'élite mondialiste, avec des objectifs subversifs dont les bases idéologiques sont unies par la haine du Christ, de l'Église et de la Sainte Messe.

Comme je l'ai expliqué dans mon allocution La religion d'État ( ici ), il est évident que la séparation de l'Église et de l'État et la prétendue "laïcité" du gouvernement temporel en ce qui concerne les questions religieuses constituent le prétexte trompeur et malveillant avec lequel exclure Dieu de la société pour laisser entrer Satan.

La Révolution a subverti l'ordre social en renversant ses principes et ses fins, mais elle a maintenu et exploité à son profit cette alliance du Trône et de l'Autel, c'est-à-dire du pouvoir temporel et du pouvoir spirituel, qui caractérisait la société chrétienne, et en particulier les monarchies catholiques. Ceux qui accusent l' ancien régime de la tyrannie n'ont jamais eu l'intention d'abolir, par exemple, la censure des médias au nom de la liberté d'opinion : ils ont simplement voulu se l'approprier dans un but opposé, afin de censurer la vérité et propager l'erreur. Ceux qui critiquaient le pouvoir temporel des Papes ne voulaient pas empêcher l'ingérence de l'Église dans les affaires publiques, mais se l'approprier – comme on le voit aujourd'hui – afin d'utiliser l'autorité et le pouvoir de la Papauté pour démolir l'Église et soutenir les exigences du Nouvel Ordre Mondial. Le « dogmatisme » qui s'opposait à Pie IX ou Pie XII parce qu'il s'opposait à la pensée moderne a évolué et s'est perverti dans le dogmatisme œcuménique et synodal de Vatican II et de Bergoglio, démontrant que la question était spécieuse, ne se concentrant pas sur les moyens mais à la fin.Ainsi, aujourd'hui, nous ne sommes pas surpris par l'autoritarisme avec lequel l'État impose des contrôles et des limitations aux libertés fondamentales - qui jusqu'à hier étaient exécrées comme une expression du totalitarisme nazi - ni par l'autoritarisme avec lequel la Hiérarchie soutient l'idéologie mondialiste et collabore avec des gouvernements inféodés. au Forum économique mondial et à l' Agenda 2030 .

Si nous continuons à croire qu'il est possible d'adopter une attitude de prétendue « neutralité » gouvernementale face à la question de la religion, nous condamnons notre civilisation à l'extinction, car nous nions cette lutte entre le Bien et le Mal qui fait partie de l'histoire de l'humanité et du destin éternel des individus. Nul ne peut servir deux maîtres , nous enseigne Notre-Seigneur dans l’Évangile (Mt 6,24) ; nous ne pouvons pas non plus décider de ne servir ni l'un ni l'autre lorsque nous sommes confrontés à un affrontement où notre neutralité est déjà en elle-même une aide à l'Ennemi. Et ici, il faut se demander quelle responsabilité assument les politiciens et les prélats qui restent inertes à veiller, se bornant à déplorer les excès du Mal et non ses causes. Insister pour sauver à tout prix la laïcité de l'État, alors qu'ils'est avéré être une chimère illusoire utilisée pour le détruire depuis ses fondements, ou s'acharner à défendre Vatican II alors que l'on constate son échec retentissant et les dommages incalculables causés à l'Église, est un pis-aller de ceux qui considèrent leur rôle de gouvernants et de pasteurs comme exclusivement celui de se contenter de protéger les institutions qu'ils représentent, refusant de saisir leurs graves infidélités et excluant ainsi la possibilité d'en faire profiter les citoyens et les fidèles. Un médecin est appelé à soigner le patient, à ne pas se limiter à diagnostiquer la maladie ou même à la dissimuler simplement parce qu'il ne veut pas admettre que les autorités sanitaires sont corrompues, ou parce qu'il n'ose pas désobéir à des ordres déraisonnables et faire face les conséquences.

Ce à quoi nous assistons à ce stade crucial, c'est à la disparition des prétextes qui servaient jusqu'ici à justifier les « acquis sociaux » - démocratie, liberté d'opinion et de culte, respect des minorités, etc. - et en même temps à la manifestation arrogante des véritables mobiles de l'élite criminelle qui usurpe l'autorité dans l'État et dans l'Église : l'inconciliabilité entre, d'une part, le modèle chrétien de société dans lequel Notre-Seigneur Jésus-Christ règne dans les sphères civile et religieuse pour nous conduire librement faire le Bien et ainsi nous faire participer à la béatitude éternelle, et d'autre part le modèle de société dystopique où la tyrannie de Satan impose le chaos et la rébellion pour nous contraindre, en violant notre liberté, à faire le mal et nous damner pour l'éternité.

Le profilage des catholiques traditionnels par les services de renseignement n'apparaît injustifié que si l'on suppose à tort que les dirigeants actuels poursuivent le bien commun et la sécurité de la nation ; mais elle est amplement justifiée lorsqu'elles ont pour but l'imposition d'un culte mondialiste, intrinsèquement antichristique et inconciliable avec la foi chrétienne. En même temps, la persécution des fidèles liés à la liturgie tridentine par la hiérarchie catholique n'est inouïe et impensable que si l'on s'obstine à présupposer chez les pasteurs le zèle pour la gloire de Dieu et pour le salut des âmes. Si on les voit pour ce qu'ils sont vraiment, à savoir des loups déguisés en brebis ou des mercenaires, leur aversion pour la messe apostolique est plus que compréhensible, et il serait d'ailleurs étonnant qu'ils ne le manifestent avec tant de fureur. En un sens, nous constituons à leurs yeux le « groupe témoin » des non-vaccinés aux côtés de la multitude de ceux qui ont été inoculés avec le sérum génique.

C'est vrai : nous, catholiques, sommes une menace pour ceux qui veulent un monde rebelle à Dieu et une « Église synodale » soumise à l'esprit de ce monde. Les Martyrs témoignent de l'héroïsme de la présence du prénom dans la société, un héroïsme face aux tourments et à la mort infligés à ceux qu'une autorité pervertie considère comme des ennemis parce qu'elle connaît et craint leur exemple, et surtout la puissance explosive de l'Évangile.

Si nous comprenons qu'il n'y a pas de troisième voie - aucune sorte de synthèse qui combine la thèse du Bien et l' antithèse du Mal - et que nous devons choisir de quel côté nous battre - comme l'ont fait les méchants - nous aurons une chance de résistance et victoire. Vous êtes le sel de la terre (Mt 5:13). Demander la tolérance dans un monde malade ne nous préserve pas de la contagion, mais ne sert qu'à retarder notre annulation, nous prive de saveur et nous destine à être piétinés par les hommes.

+ Carlo Maria Viganò, archevêque »

19 février

La nouvelle religion mondiale est pratiquement partout.

Seuls les chrétiens traditionnels catholiques et quelques autres éclairés par l'Esprit-Saint sont conscients de l'état actuel dans lequel nous nous trouvons sur cette terre.

Car la vie est spirituelle. La vie est Esprit.

Et l'illusion est de nous faire croire que l'humain se sauvera lui-même grâce à ses facultés.

Lire ici, l'élite se sauvera, le reste sera sacrifié.

D'où la nécessité de la guerre pour justifier le nouvel ordre à venir,

D'où la nécessité d'un synode pour aplanir les obstacles vers la nouvelle religion mondiale du côté du Vatican.

Nous approchons de la fin. Nous sommes très proches de la mort des deux témoins.

Le 7ème sceau n'est pas très loin.

« La société moderne est en train de formuler une foi antichristique, à laquelle on ne peut s’opposer sans être puni par l’excommunication sociale. Il est donc plus que naturel d’avoir peur de cette force spirituelle de l’Antéchrist, et il faut vraiment l’aide de la prière d’un diocèse entier, et de l’Église universelle pour y opposer de la résistance.» (Benoît XVI)

« Voici donc le «Mensonge des Mensonges»! Voici «l'Abomination des Abominations»! Les faux chrétiens étant à la tête de la nouvelle église mondiale; et prétendant être les seuls et uniques représentants de Jésus-Christ d'un côté; de l'autre, les vrais et réels disciples de Jésus-Christ sur la route du Calvaire considérés comme étant les ennemies de l'État Mondial tel que cela était le cas, il y a deux milles ans, en face des prêtres de Jérusalem, et en face de l'empereur romain à Rome...

Le nouveau critère sera ainsi défini : Les vrais chrétiens seront ceux qui partageront toutes les croyances religieuses du Nouvel Ordre Mondial en tant que nécessité de base pour la survie de l’humanité. » (Serge Monast, Le Complot des Nations-Unies contre la Chrétienté,1995; voir aussi 29 juillet 2021)

Dernière intervention de Mgr Vigano:

« Dans une intéressante interview sur Fox News intitulée The Church of Environmentalism ( ici ), le journaliste Tucker Carlson a mis en lumière une contradiction qui a peut-être échappé à beaucoup de gens mais que je considère extrêmement révélatrice.
Carlson rappelle que la Constitution américaine interdit toute religion d’État, mais depuis quelque temps le parti démocrate au pouvoir impose au peuple américain le culte mondialiste, avec son agenda vert, ses dogmes éveillés, ses condamnations et sa culture d’annulation, ses prêtres de la Santé mondiale Organisation, les prophètes du Forum économique mondial. Une religion à tous égards, englobant non seulement la vie des individus qui la pratiquent, mais aussi la vie de la nation qui la confesse publiquement, y adapte les lois et les peines et inspire l’éducation et toute action gouvernementale autour d’elle .

Au nom de la religion globaliste, ses adhérents exigent que tous les citoyens se comportent conformément à la morale du Nouvel Ordre Mondial, acceptant sans critique – et avec une attitude de soumission dévote à l’autorité religieuse – la doctrine définie ex cathedra par le Sanhédrin de Davos .

Les citoyens ne sont pas simplement tenus de partager les motivations qui justifient les politiques sanitaires, économiques ou sociales imposées par les gouvernements, mais de donner leur assentiment aveugle et irrationnel, qui va bien au-delà de la foi. Pour cette raison, il n’est pas permis de contester la psychopandémie, de critiquer la gestion de la campagne de vaccination, d’argumenter le non-fondé des alarmes climatiques, d’opposer les preuves de la provocation de l’OTAN à la Fédération de Russie avec la crise ukrainienne, de demander des enquêtes sur l’ordinateur portable de Hunter Biden ou la fraude électorale qui a empêché le président Trump de rester à la Maison Blanche, ou refuse de rester là alors que les enfants sont corrompus par des obscénités LGBTQ.

Après trois ans de folies incompréhensibles pour un esprit rationnel mais amplement justifiables dans une perspective de fidéisme aveugle, la proposition formulée par une clinique américaine de demander aux patients de renoncer à une partie de leur anesthésie afin de réduire leur trace de gaz carbonique et « sauver planète » ( ici) ne doit donc pas être lu comme un prétexte grotesque pour réduire les dépenses hospitalières au détriment des patients, mais comme un acte religieux, une pénitence à accepter de bon gré, un acte éthiquement méritoire. Le caractère pénitentiel est indispensable dans cette opération de conversion forcée des masses, car il contrebalance l’absurdité de l’action par la récompense d’un bien promis : portant le masque (qui ne sert à rien) le citoyen/religieux adhérent a fait son propre geste de soumission, s’est « offert » à la divinité (l’État ? la communauté ?). Une soumission confirmée avec l’acte tout aussi public de vaccination, qui représentait une sorte de « baptême » dans la foi mondialiste, l’initiation au culte.

Les grands prêtres de cette religion en sont même arrivés à théoriser le sacrifice humain par le biais de l’avortement et de l’euthanasie : un sacrifice exigé par le bien commun, pour ne pas surpeupler la planète, peser sur la santé publique ou sur la sécurité sociale. Même les mutilations subies par ceux qui professent la doctrine du genre et la privation des facultés reproductives induite par l’homosexualité ne sont rien d’autre que des formes de sacrifice et d’immolation de soi : de son corps, de sa santé, y compris de sa vie (recevoir, par exemple, un thérapie génique expérimentale manifestement dangereuse et souvent mortelle).

L’adhésion au mondialisme n’est pas facultative : c’est la religion d’État, et l’État « tolère » les non-pratiquants dans la mesure où leur présence n’empêche pas la société d’exercer ce culte. En effet, dans sa présomption d’être légitimé par des principes « éthiques » pour imposer aux citoyens ce qui représente un « bien » supérieur incontestable, l’État oblige aussi les dissidents à accomplir les actes élémentaires de la « morale mondialiste », les punissant s’ils ne se conforment pas aux ses préceptes.

Manger des insectes et non de la viande, s’injecter des drogues au lieu de mener une vie saine ; utiliser l’électricité au lieu de l’essence; renoncer à la propriété privée et à la liberté de mouvement ; contrôles et limitations durables des droits fondamentaux ; accepter les pires déviations morales et sexuelles au nom de la liberté ; renoncer à la famille pour vivre isolé, sans rien hériter du passé et sans rien transmettre à la postérité ; effacer son identité au nom du politiquement correct ; renier la foi chrétienne pour embrasser des superstitions; conditionner son travail et sa subsistance au respect de règles absurdes – autant d’éléments destinés à faire partie de la vie quotidienne de l’individu, une vie basée sur un modèle idéologique dont, à bien y regarder, personne ne veut et que personne n’a demandé, et qui ne justifie son existence qu’avec le croque-mitaine d’une apocalypse écologique non prouvée et indémontrable.

Cela viole non seulement la liberté de religion tant vantée sur laquelle cette société est fondée, mais veut nous conduire pas à pas, inexorablement, jusqu’à rendre ce culte exclusif, le seul autorisé.

L’« église de l’environnementalisme » se définit comme inclusive mais ne tolère pas la dissidence, et elle n’accepte pas de s’engager dialectiquement avec ceux qui remettent en question ses diktats. Ceux qui n’acceptent pas l’anti-Évangile de Davos sont ipso facto hérétiques et doivent donc être punis, excommuniés, séparés du corps social et considérés comme des ennemis publics ; il faut les rééduquer par la force, à la fois par un martèlement incessant des médias mais aussi par l’imposition d’une stigmatisation sociale et de formes de consentement véritablement extorsionnaires, à commencer par le consentement « éclairé » de se soumettre contre leur gré à l’obligation de vaccination et se poursuivant dans la folie de la soi-disant « cité des 15 minutes », qui est d’ailleurs anticipée en détail dans les points programmatiques de l’Agenda 2030 (qui sont finalement des canons dogmatiques contraires).

Le problème avec ce phénomène inquiétant de superstition de masse, c’est que cette religion d’État ne s’est pas imposée de facto uniquement aux États-Unis d’Amérique, mais qu’elle s’est également propagée à toutes les nations du monde occidental, dont les dirigeants se sont convertis au mondialisme ». Parole » par le grand apôtre de la Grande Réinitialisation, Klaus Schwab, son « pape » autoproclamé qui est donc investi d’une autorité infaillible et incontestable. Et comme dans l’ Annuario Pontificion peut lire la liste des cardinaux, évêques et prélats de la curie romaine et des diocèses répartis dans le monde, ainsi sur le site du Forum économique mondial on trouve la liste des «prélats» du mondialisme, de Justin Trudeau à Emmanuel Macron, en découvrant que non seulement les présidents et premiers ministres de nombreux États appartiennent à cette « église », mais aussi de nombreux responsables, chefs d’organismes internationaux et de grandes entreprises multinationales, et membres des médias. A ceux-ci, il faut aussi ajouter les « prédicateurs » et les « missionnaires » qui œuvrent pour la diffusion de la foi mondialiste : acteurs, chanteurs, influenceurs, sportifs, intellectuels, médecins, enseignants. Un réseau très puissant, très organisé, répandu non seulement au sommet des institutions, mais aussi dans les universités et les tribunaux, dans les entreprises et les hôpitaux.

Il est déconcertant – vous devez l’admettre – que dans le nombre de convertis à la religion universelle on puisse aussi compter des représentants des religions du monde, et parmi eux même Jorge Mario Bergoglio – que les catholiques considèrent aussi comme le chef de l’Église de Rome – avec toutes les lâchetés des ecclésiastiques qui lui sont fidèles. L’apostasie de la hiérarchie catholique a atteint le point d’adorer l’idole de la Pachamama, la « Terre mère », personnification démoniaque du mondialisme « amazonien » œcuménique, inclusif et durable. Mais n’est-ce pas Jean Podesta lui-même qui a prôné l’avènement d’un « printemps de l’Église » qui remplacerait sa doctrine par une vague sentimentalité écologiste, trouvant la prompte réalisation de ses espoirs dans l’action coordonnée qui a conduit à la démission de Benoît XVI et de la élection de Bergoglio?

Ce à quoi nous assistons n'est rien d'autre que l'application inverse du processus qui a conduit à la diffusion du christianisme dans l'Empire romain puis dans le monde, une sorte de revanche de la barbarie et du paganisme sur la Foi du Christ. Ce que Julien l'Apostat a tenté de faire au IVe siècle, c'est-à-dire restaurer le culte des dieux païens, est aujourd'hui poursuivi avec zèle par de nouveaux apostats, tous unis par une « fureur sacrée » qui les rend aussi dangereux que convaincus de l'être, capables de réussir dans leurs intentions grâce aux moyens infinis dont ils disposent.

En réalité, cette religion n’est rien d’autre qu’une incarnation moderne du culte de Lucifer : la récente performance satanique aux Grammy Awards parrainée par Pfizer n’est que la dernière confirmation d’une adhésion à un monde infernal jusqu’alors passé sous silence parce qu’il était encore considéré comme inavouable. Ce n’est pas un mystère que les idéologues de la pensée mondialiste soient tous indistinctement anti-chrétiens et anticléricaux, significativement hostiles à la morale chrétienne, ostensiblement opposés à la civilisation et à la culture que l’Évangile a façonnées en deux mille ans d’histoire. Non seulement cela: la haine inextinguible envers la vie et envers tout ce qui est l’œuvre du Créateur – de l’homme à la nature – révèle la tentative (presque réussie, bien que délirante) de trafiquer l’ordre de la Création, de modifier les plantes et les animaux, changer l’ADN humain même par des interventions de bio-ingénierie, priver l’homme de son individualité et de son libre arbitre, le rendant contrôlable et même maniable par le transhumanisme. Au fond de tout cela, il y a la haine de Dieu et l’envie du sort surnaturel qu’Il a réservé aux hommes en les rachetant du péché par le Sacrifice de la Croix de Son Fils.

Cette haine satanique s’exprime dans la volonté de rendre impossible aux chrétiens de pratiquer leur religion, de voir ses principes respectés, de pouvoir apporter leur contribution à la société et, en définitive, dans la volonté de les inciter à faire le mal, ou à moins pour s’assurer qu’ils ne peuvent pas faire le bien, encore moins le répandre ; et s’ils le font, de déformer leurs motivations originelles (amour de Dieu et du prochain) en les pervertissant à de pitoyables fins philanthropiques ou écologistes.

Tous les préceptes de la religion mondialiste sont une contrefaçon des Dix Commandements, leur inversion grotesque, un renversement obscène. En pratique, ils utilisent les mêmes moyens que l’Église a utilisés pour l’évangélisation, mais dans le but de damner les âmes et de les soumettre non pas à la Loi de Dieu, mais à la tyrannie du diable, sous le contrôle inquisiteur de l’anti-église de Satan. Dans cette perspective, les services secrets américains font également état de groupes de fidèles catholiques traditionnels, confirmant que l’inimitié entre la semence de la Femme et celle du serpent (Gn 3,15) est une réalité théologique à laquelle croient les ennemis de Dieu. surtout, et que l’un des signes de la fin des temps est précisément l’abolition du Saint Sacrifice et la présence de l’abomination de la désolation dans le temple (Dn 9, 27).

Église profonde et état profond, révélant la matrice essentiellement luciférienne des deux : parce que tous deux savent très bien quelles sont les grâces infinies qui se déversent sur l’Église et sur le monde à travers cette messe, et ils veulent empêcher que ces grâces soient données afin que ils n’entravent pas leurs plans. Ils nous le montrent eux-mêmes : notre combat n’est pas seulement contre des créatures de chair et de sang (Eph 6, 12).

L’observation de Tucker Carlson met en lumière la tromperie dont nous font quotidiennement l’objet nos gouvernants : l’imposition théorique de la laïcité de l’État a servi à éliminer la présence du vrai Dieu des institutions, tandis que l’imposition pratique de la religion mondialiste sert à introduire Satan dans les institutions, dans le but d’établir ce nouvel ordre mondial dystopique dans lequel l’Antéchrist prétendra être vénéré comme un dieu, dans son délire fou pour remplacer Notre-Seigneur.

Les avertissements du livre de l’Apocalypse prennent de plus en plus de concrétisation, plus le plan procède pour soumettre tous les hommes à un contrôle qui empêche toute possibilité de désobéissance et de résistance : ce n’est que maintenant que nous comprenons ce que signifie ne pas pouvoir acheter ou vendre sans le laissez-passer vert, qui n’est rien sinon la version technologique de la marque au chiffre de la Bête (Ap 13:17).

Mais si tout le monde n’est pas encore prêt à reconnaître l’erreur d’avoir abandonné le Christ au nom d’une liberté corrompue et trompeuse qui a caché des intentions indicibles, je crois qu’aujourd’hui beaucoup sont prêts – psychologiquement, avant même rationnellement – à prendre acte du coup d’état avec lequel un lobby de fanatiques dangereux parvient à prendre le pouvoir aux États-Unis et dans le monde, décidé à tout faire, même les plus téméraires, pour le maintenir.

Par un détour de la Providence, la laïcité de l’État – qui en soi offense Dieu parce qu’elle lui dénie le culte public dont il est souverain – pourrait être l’argument pour mettre un terme au projet subversif de la Grande Réinitialisation. Si les Américains – et avec eux les peuples du monde entier – peuvent se révolter contre cette conversion forcée, exigeant que les représentants des citoyens aux postes de gouvernement rendent des comptes aux détenteurs de la souveraineté nationale et non aux dirigeants du Sanhédrin mondialiste, il sera peut-être possible d’arrêter cette course vers l’abîme. Mais pour cela, il faut avoir conscience que ce ne sera qu’une première étape dans le processus de libération de ce lobby infernal.

Depuis trop longtemps citoyens et fidèles subissent passivement les décisions de leurs responsables politiques et religieux face à l’évidence de leur trahison. Le respect de l’autorité se fonde sur la reconnaissance d’un fait « théologique », c’est-à-dire de la Seigneurie de Jésus-Christ sur les individus, les nations et l’Église. Si les autorités de l’État et de l’Église agissent contre les citoyens et les fidèles, leur pouvoir est usurpé et leur autorité nulle et non avenue. N’oublions pas que les gouvernants ne sont pas les propriétaires de l’État et les maîtres des citoyens, de même que le Pape et les évêques ne sont pas les propriétaires de l’Église et les maîtres des fidèles. S’ils ne veulent pas être comme des pères pour nous; s’ils ne veulent pas notre bien et font tout pour nous corrompre de corps et d’esprit,

+ Carlo Maria Viganò, archevêque »

14 février

LE GERME DE LA RÉSURRECTION

Le germe de la résurrection de l’Église réside dans la tradition et Rome via Bergoglio fait tout pour « tuer » ce germe, dont une manœuvre majeure prévue le 3 avril sur la messe et les sacrements dans le rite traditionnel semble-t-il, soit au tout début de la semaine sainte 2023.

C’est la même date choisit par Paul VI pour imposer la nouvelle messe de 1969.

Pourquoi en est-il ainsi?

On s’en doute. Évidement parce que Satan agit via Bergoglio à la tête de l’église, mais un sondage américain vient de démontrer que ceux qui ne jurent que par la messe traditionnelle sont les mêmes qui sont contre le contre nature, l’inversion des valeurs de la nouvelle société humaniste.

Donc, la tradition risque de faire échouer leurs plans et on doit les coincer dans le coin.

Rappelons qu’en 2001 Bush avait fait inscrire sur la liste des terroristes possibles les chrétiens.

Rappelons aussi ce rapport des Nations Unies de 2020: « Les religions doivent se soumettre à l’ONU en matière de droits des femmes, droits LGBT… selon un rapport sur les droits de l’homme. » (leblogdejeannesmits.blogspot.com).

On sait aussi que Bergoglio marche main dans la main avec Bartholomé I (le patriarche vert orthodoxe), côté œcuménisme, humanisme et réchauffement climatique.

D’ailleurs, c’était la première fois depuis le schisme de 1054 qu’un patriarche orthodoxe assistait à la messe d’intronisation d’un pape, en 2013.
Bartholomé I a reconnu la séparation de l’église orthodoxe ukrainienne de l’église de Russie au début du conflite, et depuis ce temps sa tête est mise à prix.

Question : Et si l’église orthodoxe russe représente elle aussi un germe de renaissance puisque la tête de l’église orthodoxe est tout aussi prostituée que la Rome conciliaire?

Les deux seules religions qui se défendent présentement contre les valeurs inversées sont biens la tradition catholique et l’église orthodoxe russe.

L’occident dépravé essaie bel et bien de « tuer » ce qui reste des deux noyaux de la chrétienté.

Rappelons aussi les paroles du père Malachi Martin sur le 3ème secret de Fatima (malgré le fait que nous n’avons pas encore vu le signe du ciel qui devait avoir lieu une vingtaine d’années après l’interview (1997)):

« Le châtiment qui va venir sera le pire de vos cauchemars, à la puissance ‘exponentielle’ »

« L’Apostasie dans l’Église constitue la toile de fond ou le contexte du 3ème Secret. L’Apostasie [châtiment spirituel] a déjà commencé ! Mais les châtiments prédits dans le Secret sont bien réels, ce sont aussi des châtiments physiques et ils sont terribles ! »

«Vous savez, si le Vatican révélait le 3ème Secret ce serait un tel choc chez les gens, que les églises seraient immédiatement remplies de fidèles à genoux, les confessionnaux de toutes les églises, cathédrales et basiliques seraient pleins à craquer, même le samedi soir ! »

Quel est le rôle de la Russie dans le Secret de Fatima ?

« Très important ! Si on croit aux révélations de Notre Dame de Fatima, le salut du monde, la guérison de TOUS ses maux, commencera en Ukraine et en Russie.

C’est pour cela que la Vierge avait tant parlé de la Russie, qui, la première, devait être guérie de ses erreurs, car elle permettra ensuite au reste du monde d’aller mieux et de guérir de ses péchés.

C’est un Message très mystérieux puisqu’on aurait pu croire que selon nous, Occidentaux, le salut du monde viendrait de l’OUEST.

Mais non ! Selon Fatima, notre salut viendra de l’Est, et en particulier de la Russie et de l’Ukraine, ce qui est extraordinaire en soi. »

Le 3è secret de Fatima, pas besoin de le dévoiler, il fut donné dès le début. Rien n’a été caché en réalité.

Mais il fallait du recul pour le comprendre et le savoir.

Ce qu’on a aujourd’hui.

Qu’a dit soeur Lucie ?

Que le secret devait être dévoilé en 1960 « parce que ce sera plus clair ».

En 1960 le pape Jean XXIII ne le dévoile pas parce qu’il va l’accomplir lui-même en personne sous nos yeux par le concile Vatican II.

Ce concile est l’arme priviligiée pour détruire l’Église.

C’est ce que démontrent entres autres les prophéties d’Anne Catherine Emmerich (voir analyses précédentes).

Le résultat est la grande apostasie via la soumission de l’Église à la synagogue de Satan et au monde des valeurs inversées.

Jamais, jamais un pape n’a versé autant dans l’ambiguïté et la séduction pour faire pencher la balance vers les valeurs de la nouvelle société (tant condamnée par nombre de papes auparavant sous le nom de « modernisme»).

Un pape qui ne connaît pas la doctrine de l’Église en plus.

Du jamais vu.

Ainsi le 3è secret de Fatima se révèle tout seul à partir de 1960, parce qu’on le vit à partir de ce moment-là. Mais il faudra attendre les trente ou quarante années nécessaires pour voir clair, pour s’apercevoir ou du moins d’être capables de faire des liens.

La Russie joue un rôle central dans les apparitions de Fatima où il est mentionné qu’elle répandra ses erreurs, le communisme socialiste, mais qu’elle se convertira finalement à la fin.

Ce qui est très d’actualité d’ailleurs.

Dieu a été inscrit dans la constitution russe et des lois anti-inversion des valeurs ont été votées.

On construit des églises contrairement à l’occident où on désacralise et laïcise tout.

Donc, nous assistons à une guerre religieuse et effectivement, il semble y avoir deux germes qui permettraient de ressusciter l’Église originelle, deux germes comme les deux témoins de l’Apocalypse?

Peut-être, quoique la référence est plus du côté des chrétiens et le clergé fidèles à la Loi et aux Prophètes car les deux témoins prophétisent durant tout le règne de la bête, pas seulement à la fin du règne de celle-ci.

13 février

« Homélie de Monseigneur Carlo Maria Viganò du soixantième dimanche

Alors Yahweh vit que la méchanceté de l'homme sur la terre était grande,

et que toutes les pensées de ton coeur

étaient dirigés uniquement contre le mal, chaque jour

Gén. 6, 5

Le soixantième dimanche, nous approchons du temps de la pénitence et du jeûne en préparation de Pâques. Depuis une semaine l'Alleluia n'a pas été entendu dans la liturgie, remplacé dans la messe par le Tract. Et en ce dimanche presque pénitentiel, avec les lectures des matines, nous sommes accompagnés d'une méditation sur le péché qui a poussé Dieu à exterminer l'humanité rebelle avec le Déluge, ne sauvant que la famille de Noé.

Les Saintes Écritures parlent de la méchanceté des hommes : « toutes les pensées de son cœur étaient dirigés uniquement contre le mal, tous les jours. »

Il est difficile de croire que l'humanité ait pu commettre en d'autres temps ce que nous la voyons commettre aujourd'hui : dans aucune culture antique l'abîme du mal n'a été aussi profond qu'on le voit s'ouvrir dans le monde contemporain : massacres, violences, guerres, perversions, vols, meurtres, profanations et sacrilèges, commis non seulement par des personnes isolées, mais imposés par la loi par les dirigeants des nations, promus dans les médias, encouragés par les enseignants et les magistrats, et tolérés et même approuvés par les prêtres. On se demande si l'homme d'aujourd'hui méritera des châtiments plus terribles que le Déluge, vu le mal qui inspire toutes ses actions contre Dieu, contre ses semblables et contre la Création. Et en contemplant le triomphe apparent dumysterium iniquitatis,  voyant à quel point le mal est répandu et profondément enraciné dans ce monde corrompu et apostat, on se demande combien de temps la Divine Majesté tolérera les abominations des hommes. Nous avons du mal à croire la promesse du Seigneur : "Je ne maudirai plus jamais la terre à cause de l'homme, car les désirs du cœur humain ont été mauvais depuis son enfance, et je n'exterminerai plus jamais tous les êtres vivants, comme je l'ai fait" (Genèse 8, 21).

Ce qui nous étonne, ce n'est pas tant le silence avec lequel nous avons été laissés à notre propre sort et à nos tribulations, que le fait que l'impunité pour les crimes et péchés actuels peut constituer une peine encore plus terrible et plus grave que celle qui pourrait être infligée sur nous par le Père Éternel. La modernité païenne plongée dans la barbarie prépare de ses propres mains un fléau bien plus calamiteux que l'antique Déluge, une destruction bien plus large de l'espèce humaine, avec laquelle elle croit pouvoir éliminer de la Terre, non pas les méchants mais les bons : ceux qui restent fidèles au Seigneur et à sa sainte Loi.

Et tandis que des nuages ​​noirs et menaçants s'accumulent, gros de la pluie qui les noiera, nos contemporains se moquent de ceux qui préparent leur arche spirituelle pour se mettre en sécurité avec leurs les proches,

La Sainte Écriture et les Pères nous enseignent que l'Arche est une figure de la Sainte Église, grâce à laquelle les élus peuvent être sauvés du naufrage général. Hæc est arca  – chantons-nous dans la Préface de la Dédicace –  quæ nos a mundi ereptos diluvio, in portum salutis inducit . Et où pouvons-nous trouver l'Arche du salut ? Comment le distinguer des faux destinés à couler sous le poids de ceux qui s'y installent, dans une imitation faite pour mettre les méchants à l'abri tandis que le pilote empêche les gentils d'embarquer et expulse même ses enfants, les stigmatisant de passagers clandestins indigne de se sauver du déluge ?

Cette idée affligeante n'est pas si farfelue si l'on tient compte de qui occupe actuellement la Chaire de Saint-Pierre. De ce qu'on voit, l'Arche de l'Église veut accueillir tout le monde sauf ceux qui remplissent les conditions pour se sauver de la catastrophe. De plus, il semblerait que cela ne sert à rien, qu'il n'y aura pas de déluge auquel on puisse échapper. Pire encore : le gigantesque déluge provoqué, non par la juste colère de Dieu mais par le flot d'iniquité des hommes, est considéré comme une régénération, une opportunité de réduire la population mondiale sur la base des plans délirants du Grand Reset. Comme sur le Titanic, l'équipage et les passagers dansent ivres et insouciants alors que le navire avance à toute vapeur vers l'iceberg qui va le chavirer, tel un monument arrogant à l'orgueil qui se croit à l'abri de la justice divine.

Mais si d'une part ces considérations humaines peuvent nous gêner et nous faire craindre pour notre survie, d'autre part nous pouvons reconnaître la véritable Arche de salut, car nous la voyons prête à monter au Mont Calvaire où elle a été construite, et au calvaire mystique de l'autel où nous attendons chaque jour.

Peu importe si un autre nous est montré –même s'il est fait par des personnes en qui nous avons confiance et qui ne doivent pas nous tromper–, ou s'il y a ceux qui le considèrent inutile et pour cette raison se moquent de nous ou nous prennent pour des fous. Peu importe qu'il y ait ceux qui nient le déluge imminent, en étant eux-mêmes les architectes impies, dans leur sotte prétention de vouloir contrôler les phénomènes atmosphériques par la géo-ingénierie.

Nous savons que la véritable Arche, la seule Arche, est la Sainte Église. Et d'après les paroles de Notre-Seigneur, divin Pilote qui tient bien le gouvernail, nous savons que cette Arche sortira indemne du déluge et trouvera enfin la terre ferme où s'installer. Pour cette raison, nous sommes plus que déterminés à ne pas être trompés en croyant que nous pouvons nous sauver en dehors de l'Arche susmentionnée ou en en construisant une nous-mêmes.

Dans l'Épître de la Messe d'aujourd'hui, Saint Paul énumère toutes les épreuves que la semence de la Parole de Dieu devra affronter, en s'appuyant sur l'exemple de la Parabole du Semeur que l'Évangile nous présente : « Il m'a dit : ' Ma grâce suffit, car dans la faiblesse la force se perfectionne » » (2 Cor.12,9). Reconnaître notre faiblesse, être conscient de notre impuissance, que nous ne sommes rien, nous aide à percevoir la puissance de Dieu, d'autant plus intensément que notre humilité et notre confiance en Lui sont grandes .  Ma grâce te suffit. Parce que c'est la Grâce qui nous rend dignes de nous réfugier dans l'Arche ; celui qui nous permet d'y rester pendant le déluge ; et par grâce nous atteindrons le port céleste.

Ne perdons donc pas la Grâce de Dieu. Escaladons la montagne mystique au sommet de laquelle l'Arche nous attend. Arche dans laquelle nous trouverons aussi la nourriture de l'âme : le Pain des anges.

Ainsi soit-il.

12 février 2023

dimanche dans la soixantième »

4 février

Bergoglio a le champ libre.

Ainsi de plus en plus de croyants devront admettre que finalement l'Antéchrist est sur le trône.

Même les prêtres, qui pourtant étudient les écritures depuis longtemps refusent de le dire ouvertement.

Un exemple parmi tant d'autres:

«Lettre ouverte au Pape François

Elle est signée (avec nom, prénom, qualité et même numéro de téléphone et adresse mail pour joindre l’auteur) d’un » prêtre de montagne » comme il se qualifie lui-même. Bref, un curé de terrain, mal vu par sa hiérarchie – il explique pourquoi.

… 3) Si je le fais, c’est parce que j’ai observé dans ton magistère, tant oral qu’écrit, quelque chose d’anormal, presque schizophrénique, comme si tu avais une double personnalité ou, en tout cas, des troubles de la personnalité non résolus, qui sont déplaisants chez tout le monde, mais d’autant plus chez quelqu’un qui exerce, légitimement ou illégitimement, un office public, encore plus s’il s’agit d’un office pastoral ou de direction spirituelle.

Il y a des moments où tu parles très bien, avec une grande sensibilité humaine, de la douceur, une connaissance des problèmes, même avec des traits de poésie ; et il y a d’autres moments où tu parles de façon étrange, ambiguë, paradoxale. Oh, que tu es de peu de valeur en tant qu’enseignant de la Foi, c’est évident ! Parfois, tu ne sembles même pas avoir la Foi, et il semble que tu ne t’intéresses qu’à l’horizon terrestre, de sorte que – en te déguisant presque derrière le rôle que tu exerces – tu fais des citations du Christ, des saints, de l’Écriture Sainte, mais tu sembles te sentir étranger à tout cela ; il semble que, ce faisant, tu suives un modèle culturel auquel tu es lié, et non une conviction profonde. Tout cela est très déplaisant. Ta superficialité, ton apathie théologique, ton horizon culturel obstinément fixé sur certaines vérités, intouchables pour toi, nous mettent mal à l’aise. Il est désagréable de faire la comparaison, cela peut t’offenser, j’imagine ; mais comment ne pas voir le fossé qui te sépare, en tant que maître de Foi et de vie chrétienne, d’un Benoît XVI, d’un Jean-Paul II ? Sur certains points, ensuite, tu t’es certainement égaré ; en voici quelques-uns.

4) Ta vision de la fraternité universelle n’est pas la vision chrétienne, mais la vision maçonnique : tu devrais savoir bien mieux que moi que nous, chrétiens, nous nous appelons frères dans la mesure où nous sommes baptisés, et non dans la mesure où nous sommes membres de la soi-disant famille humaine ; l’Église nous a toujours enseigné, et tu devrais le faire aussi (et au contraire tu ne le fais pas), que nous sommes frères par grâce et non par nature. Serais-tu franc-maçon ? Serais-tu un sympathisant de la franc-maçonnerie ? Aurais-tu renié la véritable doctrine selon laquelle ceux qui adhèrent à la franc-maçonnerie commettent un grave péché ? Et, si ce n’est pas le cas, pourquoi répètes-tu constamment des pensées franc-maçonnes en les faisant passer pour des pensées chrétiennes ?

5) Ta vision œcuménique est erronée. A juste titre, de nombreux croyants scandalisés se demandent pourquoi tu continues à fréquenter des membres d’autres religions, avec un prurit et des déclarations qui les laissent pantois. Tu n’aurais pas dû affirmer, comme tu l’as fait, que toutes les religions sont une bénédiction de Dieu, tu n’aurais pas dû et tu ne dois pas te mettre côte à côte avec les membres d’autres religions ! Tu devrais et tu aurais dû réitérer, si tu es Pape, que « extra Ecclesiam nulla salus », mais tu ne l’as pas fait et tu t’obstines à ne pas vouloir le faire. Au contraire : alors que tu prônes le prétendu dialogue à tout prix, avec une attitude sévère et répréhensible, tu interdis aux fidèles qui aiment la liturgie tridentine de continuer à la célébrer : mais comment oses-tu être maître de la vie spirituelle des autres ? Donc : respect maximal, selon toi, pour les athées, les agnostiques, les bouddhistes, les mondialistes, les francs-maçons, les luthériens, les islamistes, et poing dur avec les catholiques traditionalistes ? Mais ne te rends-tu pas compte que tu as donné des signes ou, du moins, induit de forts doutes sur ton équilibre personnel, avant même ton équilibre sacerdotal ?

6) Enfin (mais je pourrais en dire beaucoup plus), y compris pendant les trois années de la pandémie fantôme, ton attitude a été un scandale suprême : de la soumission totale aux indications des représentants des grandes entreprises pharmaceutiques et des gouvernements collaborateurs du Nouvel Ordre Mondial, un ordre résolument maçonnique, élitiste, favorable au transhumanisme et d’inspiration satanique déclarée. Comment as-tu pu sombrer dans l’abîme en déclarant les prétendus vaccins moralement licites, voire moralement obligatoires ? Frère, tu as fait le grand écart, tu as enseigné le mal et induit le mal ! Pour ce seul péché contre l’humanité, pour lequel tu n’as jamais demandé pardon, tu devrais te retirer.

C’est la condition générale de l’Église qui me pousse à te parler ainsi. Elle souffre. L’Église : nous avons appris à l’aimer dès notre plus jeune âge et à la sentir, la respecter et l’honorer comme notre mère spirituelle ; et de notre propre mère terrestre, elle nous a été indiquée comme le trésor le plus précieux que nous aurions dans la vie, comme Tabernacle ouvert et unique et ne faisant qu’un avec le tabernacle fermé des églises ; comme le Christ sanglant, mort et ressuscité vivant dans le temps, son Corps mystique, la vie des âmes. Oh, l’Église, pour l’amour de laquelle nous avons désiré tout bien et au service de laquelle nous nous sommes mis ! Oh, l’Église, épiphanie dans le temps de la Jérusalem éternelle et nouvelle vers laquelle nos pas se hâtent joyeusement ! Pourtant, l’Église souffre. Te souviens-tu du jour où tu as dit oui à Dieu dans la prêtrise ? Et le jour où tu as répété et porté à la plénitude sacramentelle ce Oui à l’épiscopat ? Renouvelle donc ces Oui, soit en pleurant amèrement, comme Pierre, sur tes trahisons et en changeant de vie, soit en te retirant dans la vie privée et en convoquant un nouveau conclave.

Le présent et l’avenir de chacun de nous sont entre les mains de Dieu, qui est, comme le disait le saint Père Léopold Mandić, « médecin et médicament »; nous nous confions donc à Lui, dans un esprit filial, confiant, d’abandon total.

Je ne te demande pas de m’écouter, mais d’écouter ce que, dans ta conscience, ces paroles fraternelles, franches et sacerdotales de ma part peuvent te suggérer, si tu les lis.

Cordialement.

don Floriano Pellegrini
puntifermi.altervista.org » (benoit-et-moi.fr)

C'est exactement le résumé de toutes les analyses concernant Bergoglio depuis son élection.

Le maître de l'ambiguïté à l'oeuvre pour entraîner le plus de fidèles possibles dans l'abime.

Heureusement qu'il ne reste plus beaucoup de temps.

Janvier 2023

23 janvier

La terre frisera le massacre (prophétie politique «Grand Éclair à l’Orient»)

C’est désolant, mais nous nous rapprochons de plus en plus de ce fait.

Tout comme la guerre d’Armageddon prophétisée dans l’Apocalypse.

Remarquez que le fond de cette 3ème guerre mondiale (car c’est bien de cela qu’il s’agît en Ukraine) est religieuse.

Du moins c’est ce que laisse entendre les autorités russes.

Et l’Occident, l’Europe, renie sa fondation chrétienne dans tout cela.

Avec la venue de chars d’assauts lourds fournis par les membres de l’OTAN, le scénario catastrophique prend de l’ampleur.

Tout est fait pour alimenter le feu.

C’est bien ce qui est décrit dans la prophétie de Jean XXIII : « L'Europe a soif, elle aura du sang dans les rues. »

Le tableau actuel au niveau géopolitique est criant de vérité.

L’axe occidental contre l’axe Russie-Chine-Iran et quelques autres dont la Corée du Nord.

Or, les russes livreront des avions de chasses performants à l’Iran dans moins de deux mois.

Le nouveau gouvernement israélien de coalition dominé par l’extrême droite n’entend pas rire.

L’Iran fournit de plus des drones et des missiles à la Russie.

Pendant que toute l’attention est tournée vers l’Ukraine, qui sait ce qui arrivera en Iran?

C’est bien là l’avertissement : « Grand éclair à l'Orient. Vous n'entendrez pas le tonnerre, lui aussi sera imprévu. »

C’est bien l’ouverture du 7ème sceau de l’Apocalypse, la prophétie de l’Église #11 de Jean XXIII : « Alors quelqu'un criera sang et sera écouté. Malheur à celui qui aura crié, le premier sang à couler sera le sien. S'affronteront croissant de lune, étoile et croix. Quelqu'un brandira la croix noire. Des vallées du Prince viendront les chevaliers aveugles. Derrière eux, les corbeaux de la faim, de la famine, de la peste. »

C’est bien une guerre religieuse où s’affronteront l’Islam, Israël et la chrétienté.

2023 est l’année du passage, de la Pâques de la fin des temps.

De l'aboutissement probable de la fille de Caïn en octobre (voir analyses précédentes et surtout l'analyse des prophéties politiques « Grand Éclair à l'Orient » et « le Temps est Proche »).

Pas sûr que nous verrons la fin du synode des synodes de Bergoglio, car le temps presse.

L’Église agonise.

Mais le tout se terminera dans le retour de Notre Sainte Mère et de son Divin Fils.

C’est ainsi que se termine la prophétie « Grand Éclair à l’Orient » :

« Mais aussi de grandes processions et la Vierge Heureuse descendra sur terre. Vous ne la verrez pas dans la grotte, mais dans un coeur qui revivra. Depuis les ténèbres, elle apportera la parole que tous comprendront. C'est le temps des lettres. »

C'est le temps de l’Alpha et l’Oméga.

Le début et la fin d’un cycle.

La fin d’une génération annoncée par NSJC en Matthieu 24.

C’est ainsi que se termine la prophétie #11 « le 7ème sceau » :

« Où croyez-vous fuir, maintenant que vous avez détruit les Églises et tué le dernier Père ? Attendez le signe de Jean. L'agneau est prêt. Signez-vous sept fois avec une main fatiguée et attendez. La lumière vient encore de l'Occident. »

Et oui.

Malgré le reniement de son passé chrétien, l’Occident possède le germe de la résurrection dans la tradition conservée.

Bénit soit le Seigneur.

9 janvier

Il semble que Bergoglio est maintenant sur une poudrière depuis le décès de Benoît XVI.

Et surtout, il semble qu’il est prêt à aller jusqu’au bout avec ses réformes.

Il n’est pas du tout confirmé que nous devrons attendre la fin du synode pour voir le tout exploser, comme prévue donc en fait par la fin de la prophétie concernant Benoît XVI (voir analyses précédentes).

« Sarajevo 1914. L’Église après la mort de Benoît XVI

Depuis que le décès du pape Benoît XVI est connu, un conflit est devenu visible, celui qui s’est installé depuis 2013 au sein de l’église entre le secteur « conservateur » – j’entends par là ceux qui, dans la lignée de la tradition bimillénaire, soutiennent que l’Église est une institution fondée par Jésus-Christ avec une finalité transcendante et surnaturelle consistant dans le salut des âmes – et le secteur « progressiste », composé de ceux qui considèrent que l’Eglise est une institution humaine – peut-être la plus ancienne et la plus puissante – dont la finalité est immanente et consiste à promouvoir l’homme à tous les niveaux, y compris le religieux, mais en donnant à ce terme un sens diffus, éloigné de toute vérité dogmatique ou morale.

La semaine dernière, nous avons été témoins d’événements que nous aurions cru impossibles il y a encore quelques jours. L’archevêque Georg Gänswein, a rendu publiques des déclarations explosives concernant l’impact sur le Pape Benoît XVI de la promulgation de Traditionis custodes, et la manière dont il a été de facto écarté de sa position de Préfet de la Maison pontificale, avec les mots que le Pape émérite aurait prononcés à ce sujet: « Je crois que le Pape François ne me fait pas confiance et qu’il veut que vous soyez mon gardien ». Le livre de mémoires de Mgr Gänswein sera publié dans les prochains jours, et tout porte à croire qu’il révélera de nombreux autres détails significatifs.
Pour leur part, et comme nous l’avons détaillé la semaine dernière [Organisation des obsèques: tous les scandales], le Pape François et sa cour de Santa Marta n’ont pas hésité à infliger autant d’humiliations posthumes au Pape Benoît XVI qu’ils le pouvaient. Il semblerait qu’ils aient profité de ses funérailles pour donner libre cours à la rancœur qu’ils entretenaient depuis des années, montrant au monde entier la profondeur de leurs haines.

La question qui taraude l’esprit de tous les analystes est de savoir comment les deux acteurs ont pu mettre en lumière la gravité du conflit de cette manière.

Mgr Gänswein n’est pas quelqu’un qui agit sur un coup de tête et nous ne pouvons pas penser qu’il a agi de manière impulsive. Un conservateur comme lui ne commettrait jamais une telle erreur et, surtout, les entretiens – du moins certains d’entre eux – ont certainement été enregistrés avant d’être diffusés et ses mémoires étaient également prêts depuis longtemps ; un livre ne s’écrit pas, ne trouve pas d’éditeur et n’est pas publié en une semaine. En d’autres termes, chaque mesure prise jusqu’à présent par Mgr Gänswein a été soigneusement réfléchie et calculée.

Il me semble que ce n’est pas le cas du pape François, homme de gouvernement rusé. Même si sa rancœur à l’égard du pape défunt était profondément ancrée, il est difficile de trouver une explication à ces funérailles bâclées. Le président du Portugal a émis une critique formelle de la manière dont les choses ont été gérées et Václav Klaus, ancien président de la République tchèque, a publiquement mis en cause les raisons d’un si triste spectacle. La seule raison qui me vient à l’esprit est que Bergoglio a été aveuglé par sa colère – comme il l’a été en d’autres occasions – et qu’il ne s’est pas arrêté pour réfléchir à la brutalité et au caractère scandaleux de son comportement.
Le Tagepost, un grand journal allemand, a estimé qu’avec la mort de Benoît XVI, une nouvelle étape du pontificat de François, voire de l’église elle-même, commence. Et la raison en est que Ratzinger a agi comme une sorte de tampon qui a amorti la fureur des conservateurs contre les excès de Bergoglio. Ou, comme l’a dit le cardinal Müller, les conservateurs pouvaient aller se faire soigner au monastère Mater Ecclesiae. A présent, il n’y a plus de tampon et il n’y a pas non plus de maison de soin. L’affrontement est inévitable et nous le voyons, et nous le verrons dans les semaines à venir…

Ce qui est dangereux, extrêmement dangereux, c’est que François a sous la main un conflit potentiel capable de déclencher la guerre ; il y a un archiduc qui se promène à Sarajevo. Le bruit court dans les cercles du Vatican que la véritable intention de François est de nommer l’évêque allemand Heiner Wilme comme préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi. Et c’est un personnage décrit par tous comme ultra-progressiste, aligné sur les décisions les plus extrêmes du synode allemand.

Pour lui, par exemple, la Sainte Messe n’est pas un élément important de la vie chrétienne et il propose une révision complète de l’enseignement de de l’Eglise sur la sexualité. On dit qu’il n’a pas encore été nommé en raison de la forte opposition que François a rencontrée de la part de nombreux évêques et cardinaux comme le cardinal Müller. Mais s’il devait faire pression pour cette nomination, ce qui est tout à fait probable étant donné les circonstances, il ne fait aucun doute que l’Eglise entrera dans une lutte et une division très profondes dont personne ne sait comment elles se termineront.

Ce sera la fin et le fruit ultime du pontificat de François, le pire et le plus nuisible des papes de l’histoire de l’Église.» (benoit-et-moi.fr)

Et çà risque de brasser car Mgr Georg Gänswein sort un livre sur Benoît XVI:

« Aujourd’hui, après la disparition du Pape émérite, le moment est venu pour l’actuel Préfet de la Maison pontificale de dire la vérité sur les calomnies flagrantes et les manœuvres obscures qui ont tenté en vain de jeter de l’ombre sur le magistère et les actions du Pontife allemand, et donc de faire connaître enfin le vrai visage de l’un des plus grands acteurs de ces dernières décennies, trop souvent injustement dénigré par les critiques comme « Panzerkardinal » ou « Rottweiler de Dieu ».

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Un récit authentique et franc dans lequel, assisté de la plume experte du vaticaniste Saverio Gaeta, Mgr Gänswein offre une reconstruction autorisée d’une période très spéciale pour l’Église catholique, abordant également les questions sur des événements énigmatiques, tels que les dossiers Vatileaks et les mystères de l’affaire Orlandi, le scandale de la pédophilie et les relations entre le pape émérite et son successeur François.

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Le résultat est un témoignage intense de la grandeur d’un homme, d’un cardinal, d’un Pape qui a marqué l’histoire de notre temps et qui émerge ici comme un phare de compétence théologique, de clarté doctrinale et de sagesse prophétique. »(benoit-et-moi.fr)


Et pendant ce temps, des files d’attentes pour un dernier hommage à Benoît XVI dans la crypte vaticane (benoit-et-moi.fr)

Tout se confirme tranquillement…

«Mais aussi de grandes processions et la Vierge Heureuse descendra sur terre. Vous ne la verrez pas dans la grotte, mais dans un coeur qui revivra. Depuis les ténèbres, elle apportera la parole que tous comprendront.» (prophétie politique du Grand Éclair à l’Orient).

8 janvier

Benoît XVI… La suite

«Vous serez en haine à tous à cause de mon nom ; mais celui qui persévérera jusqu'à la fin, celui-là sera sauvé.» (Matthieu, 10-22)

Le dernier rite funéraire dans le tombeau du va-nu-pieds, dans la grotte vaticane, ce qui n’a pas été télévisé.

Les ennemis de Benoît XVI se font aller depuis son décès.

On voit bien que Satan est déchaîné, ce qui prouve le rôle incontestable du katéchon qui n’est plus pour faire obstacle.

Toujours, toujours, le pape nouvellement élu préside la cérémonie de la grotte vaticane.

Bergoglio n’y est même pas allé.

« Le pape François était déterminé à se retirer dans ses quartiers de Santa Marta dès la fin de la messe funéraire. Deux de ses plus proches collaborateurs ont dû insister fortement pour lui faire voir l’inopportunité du geste. Finalement, il a accepté de voir le cercueil du pape Benoît dans l’atrium de la basilique Saint-Pierre, dépouillé de ses vêtements pontificaux. Et il a refusé catégoriquement d’accompagner le cortège jusqu’à la crypte et d’y célébrer les derniers sacrements, qui ont été pris en charge par le cardinal Re, doyen du Sacré Collège… »
En fait, les agissements de Bergoglio pointent directement l’Antichrist sur le trône.

« Organisation des obsèques: tous les scandales. .. Le cœur mesquin du Pape François »

Un résumé via benoit-et-moi.fr

De plus, l’homélie de Bergoglio est qualifiée de misérable.

Une misérable homélie (benoit-et-moi.fr)

Ainsi donc, il semble bien que la dernière partie de la prophétie s’adresse à Bergoglio puisque nous n’avons pas eu «le» signe de la Sainte Vierge.

Le mystère persiste donc mais le délai est sur du très court terme car le saint aux pieds nus est descendu du mont.

En fait, il y a bien eu un signe mais que tous n’ont pas vu.

Les funérailles se sont déroulés dans la brume. Le dôme de la basilique qui avait été frappé par la foudre lors de la démission de Benoît XVI en 2013, était complètement englouti dans les ténèbres jusqu’à la lecture de l’évangile de Saint-Luc.

Comme pour nous montrer que la tête de l’église est dans les ténèbres.

Alors, une croix lumineuse apparue entre les nuages.

Une photo a été prise par ceux qui étaient dans les balcons surplombant la place Saint-Pierre.

En enlevant un peu de luminosité à l’image on peut voir plus clairement.

05 janvier

On ne comprend bien souvent que les prophéties que lorsqu’elles se sont réalisées d’où la difficulté d’anticiper.

Il n'y a pas eu d’action de la part de la Vierge Marie lors des funérailles de Benoît XVI.

C’est donc dire que la prophétie concernant ce dernier n’est pas tout à fait terminée.

La ligne a été franchie mais la Sainte Vierge attend son moment.

Nous avons qualifié Benoît XVI du bon larron des derniers temps (voir analyses précédentes).

Pour ceux qui ont bien suivi la cérémonie, on peut affirmer qu’on ne peut pas faire mieux pour confirmer ce fait.

Les desseins de Dieu sont magnifiques…

Car c’était l’évangile de Saint-Luc avait été choisi pour la célébration :

« 39 Or, l’un des malfaiteurs pendus à la croix l’injuriait, disant :  » Puisque tu es le Christ, sauve-toi toi-même et sauve-nous !  »
40 Mais l’autre le reprenait, en disant :  » Ne crains-tu donc pas Dieu, toi non plus, condamné que tu es au même supplice ?
41 Pour nous, c’est justice, car nous recevons ce qu’ont mérité nos crimes ; mais lui, il n’a rien fait de mal.  »
42 Et il dit à Jésus :  » Seigneur, souvenez-vous de moi, quand vous serez parvenu dans votre royaume.  »
43 Jésus lui répondit :  » Je te le dis en vérité, aujourd’hui tu seras avec moi dans le Paradis.  »
44 Il était environ la sixième heure, quand des ténèbres couvrirent toute la terre jusqu’à la neuvième heure.
45 Le soleil s’obscurcit, et le voile du temple se déchira par le milieu.
46 Et Jésus s’écria d’une voix forte :  » Père, je remets mon esprit entre vos mains.  » En disant ces mots, il expira. »

Cet extrait est un signe extraordinaire car il confirme la statut de bon larron de Benoît XVI, tout en se terminant par la mort du Christ…

Annonçant ainsi la mort de l’Église à l’image de la Passion du Christ.

À suivre...

02 janvier

«SEIGNEUR, JE T'AIME»

Telles furent les dernières paroles de Benoît XVI avant son dernier souffle.

Un simple ouvrier dans la vigne du Seigneur comme il aimait se décrire, qui ne vivait que pour l’Amour et la Vérité.

Comme il l’a souhaité, cette simplicité, ce dépouillement des choses temporelles, est reflété dans son testament spirituel et dans ses funérailles.

Les premières images de Mater Ecclesiae démontrent toute cette simplicité :
(benoît-et-moi.fr)

Le transfert vers la basilique Saint-Pierre s’est effectué aux petites heures ce matin (vaticannews.va)

«Coopérateur de la vérité», telle était sa devise épiscopal.

Il a témoigné de la Vérité en permettant au germe de l’Église traditionnelle de continuer.

Son Motu Proprio de 2007 rétablissant le statut de la messe tridentine et la levée de l’ex-communion de la FSSPX en 2009 qui permet une lignée de prêtres légitimes consacrés par Mgr Lefebvre afin que l’Église ressuscite, sont deux faits magistraux qui le prouvent.

Il était un élément clé de la fin des temps : le katéchon.

Ce n’est donc pas un hasard que le 31 décembre ait été choisi par Dieu pour nous confirmer ces signes.

Une date que tous vont se souvenir, mais surtout une date, le dernier jour de 2022, qui ferme cette année horrible marquée par la guerre qui n’est que le début des tribulations apocalyptiques, mais qui est suivie par le 1er janvier, jour de la solennité de la Vierge Marie, comme pour signifier que son règne est arrivé.

Revenons sur les quelques signes qui nous démontrent que la sixième période de l’Apocalypse achève (en référence au calendrier de la fin des temps; voir analyses précédentes) :

- les deux signes majeurs annoncés par les exégètes sont complétés, c’est à dire l’évangile annoncée par toute la terre, et la grande apostasie.

- On sait (voir analyse générale) que les tribulations apocalyptiques s'accélèrent au décès de Benoît XVI.

- Nous vivons la fin de la prophétie des papes selon Saint-Malachie.

- l’Église est confirmée veuve selon les paroles de Saint-Paul : en effet, au tout dernier jour de 2022, le Seigneur confirme les soixante années écoulées depuis Vatican II (1962), le poison infiltré qui a pourri l’Église, et surtout qui à partir de la nouvelle messe en 1969, a confirmé l’abomination de la désolation prophétisée par Notre-Seigneur lui-même.

- l’hypothèse que Benoît XVI est le saint aux pieds nus de la prophétie de Jean XXIII le concernant est plus que probable : il a accompagné Jean-Paul II comme gardien de la Foi et les deux étaient très liés.

D’ailleurs, c’est Benoît XVI qui a présidé les funérailles de Jean-Paul II.

Et Benoît XVI a exprimé le vœu d’être inhumé dans l’ancien tombeau de Jean-Paul II dans la crypte de la basilique.

Benoît XVI, aussi comme le saint aux pieds nus dans sa simplicité, dépouillé de tout, dans sa prison au monastère Mater Ecclesiæ sur le mont au Vatican.

Car Mater Ecclesiæ, qui tient son nom de l'expression latine Mater Ecclesiæ signifie « Mère de l'Église », est sur un mont au jardin du Vatican.

C’est en lien direct aussi avec le 1er janvier, solennité de Marie, et de la Passion de l'Église.

Benoît XVI est donc bel et bien descendu du mont selon la prophétie, et son décès est le signe visible de la mise à mort des deux témoins de l’Apocalypse à venir.

- sa prophétie se termine par l’appel à la Vierge Marie pour ouvrir la septième période et le fameux septième sceau.

Ce qui est intriguant avec la prophétie en relation au signe attendu devant la tombe du va-nu-pieds sont les mots : « Écoutez ses paroles ».

Ce signe, ce miracle, comporte donc un message, et un message est habituellement porté par la voix.

De plus, il doit être à la portée d’une multitude, à l’image du miracle du soleil du 13 octobre 1917.

C’est la tribune qui sera offerte par ces funérailles surveillées par tous via les médias.

Le tombeau de Jean-Paul II, à la chapelle Saint-Sébastien, est près de l’entrée à droite de l’allée menant à l’autel de Saint-Pierre.

Mais ce n’est pas nécessaire qu’un miracle se produise directement devant la chapelle Saint-Sébastien, car cette partie de la prophétie est réalisée dans le sens que le tombeau de Jean-Paul II était dans les grottes vaticanes jusqu’en 2011.

Donc en un sens, les funérailles de Benoît XVI auront lieu devant la chapelle Saint-Sébastien.

Décembre 2022

31décembre

Le pape Benoît XVI est décédé en ce 31 décembre 2022.

Paix à son âme.

Dieu fait bien les choses.

Il a fallu attendre le dernier jour de 2022, comme pour nous signifier que la récréation est terminée.

Le katéchon n’est plus.

Il n’y a donc plus de pape légitime.

La chrétienté est orpheline. L’Église est veuve. Nous sommes livrés à la Bête de l’Apocalypse.

2023 ne sera donc pas une année comme les autres : ce sera le temps des révélations et en parti, l’année des événements apocalyptiques.

La prophétie concernant Benoît XVI :

«Deux frères et personne ne sera le vrai Père. La Mère sera veuve.»

Exact.

«Les frères d'Orient et d'Occident se tueront et dans l'assaut tueront leurs enfants.»

Guerre en Ukraine sur fond de guerre religieuse, ou des deux factions judéo-maçonniques.

« Alors le saint aux pieds nus descendra du mont et… »

Benoît XVI, le saint aux pieds nus est décédé.

«... devant la tombe du va-nu-pieds, éclatera le règne béni de la Très Sainte Vierge

Éclatera…

Ce sera donc très visible, sans ambiguïté, un signe fort.

Devant la tombe du va-nu-pieds…

Deux interprétations possibles :

- lors des funérailles devant la tombe de Jean-Paul II, c’est à dire la chapelle Saint-Sébastien à l’entrée de la basilique Saint-Pierre,

ou

- à l’ancienne tombe de Jean-Paul II car il est prévu que Benoît XVI y sera inhumé.

Lorsque Benoît XVI a été élu, il est allé prier sur la tombe de Jean-Paul II selon la tradition.

Puisque nous avons une situation inusité avec Bergoglio, est-ce que ce dernier ira prier au tombeau après l’inhumation?

Toujours est-il, la Sainte-Vierge devrait signifier le début des dernières tribulation par un acte quelconque.

«Écoutez ses paroles.
Marie Très Sainte, fille et mère de Dieu, maîtresse du temps futur, bats le rappel de tes fils dans les campagnes, pour qu'ils abattent les deux Babylone.
Et que la Mère soit Une, comme toi tu es unique.
La terre détruira le ciment et de terre sera, Reine, ta nouvelle Église. Et sur la terre de blé, pour la faim de tes peuples, fleur sur son nouvel autel. Amen

C’est un appel évident aux événements apocalyptiques, un renouvellement complet de la terre, et on sait que cela sera par la puissance du feu.

N’oublions pas que la prophétie concernant François se déroule en parallèle et qu’il est signifié que « Mikail et Jean descendront sur terre.», donc l’Archange Michel et l’Apocalypse de Jean.

Il est bien spécifié que « Le grand frère d'Orient fera trembler le monde par la croix renversée sans les lis. »

Il semble ici que cela désigne le patriarche Kyrill, ou la Russie, et son rôle dans la guerre en Ukraine.

C’est à suivre.

Mais pour l’instant, il est intéressant de voir où exactement Benoît XVI sera inhumé.

Car si chaque pape peut spécifier ses propres arrangements funéraires, et bien que la famille de Benoît soit enterrée en Allemagne, son biographe Peter Seewald a déclaré qu'il voulait être enterré dans la tombe qui appartenait à son prédécesseur Jean-Paul II avant d'être canonisé et déplacé ailleurs au Vatican.

De plus, les funérailles auront lieu jeudi 5 janvier, juste avant l’Épiphanie, confirmation du Christ Roi par les mages qui apportent l’or pour le Roi, l’encens réservé à Dieu, et la myhrre pour atténuer les souffrances.

Le Ciel semble donc nous avertir que 2023 ne sera pas de tout repos.

30 décembre

LE MYSTÈRE D’INIQUITÉ

« Et maintenant vous savez ce qui le retient, pour qu'il se manifeste en son temps. Car le mystère d'iniquité s'opère déjà, mais seulement jusqu'à ce que celui qui le retient encore paraisse au grand jour. » (Thes. 2, 6-7)

Nous sommes en présence du katéchon (Benoît XVI) et du destructeur de l’église (Bergoglio).

Benoît XVI, le saint aux pieds nus qui descendra du mont (voir la prophétie le concernant) prochainement, ouvrira la porte sur 2023.

La fin de cette prophétie est l’appel de Marie pour la phase finale du calendrier de la fin des temps, car il est bien spécifié que la terre détruira le ciment, que tout ce qui est matériel, temporel, doit être renouvelé pour la Jérusalem Céleste.

2023 sera donc éprouvant, physiquement, et spirituellement.

Ainsi, on ne peut regarder 2023 sans garder notre attention sur ce mystère d’iniquité qui est à l’œuvre.

2024 sera l’année de la présentation du résultat du synode des synodes mais le travail de fond se fera en 2023, dans un contexte tout de même effrayant avec la l’escalade de la guerre en Ukraine :

« Les frères d'Orient et d'Occident se tueront et dans l'assaut tueront leurs enfants. » (prophétie concernant Benoît XVI)

On ne l’avait tout simplement pas vu venir : cette partie de la prophétie ne concernait pas l’islam, mais la guerre en Ukraine.

2023 verrait aussi l’effondrement du système en entier.

Tout est préparé d’avance pour installer la grande réinitialisation, la fausse résurrection.

En effet, si l’antichrist est d’abord et avant tout un système, c’est donc un système, une nouvelle civilisation avec pour dieu Satan qui doit ressusciter pour apporter le « bonheur » à la masse.

Rappelez-vous  l’Agenda 2030 du WEF : « En 2030, vous ne posséderez rien, et vous serez heureux ».

Mais revenons à ce mystère d’iniquité.

Le mystère d’iniquité est déroutant pour le chrétien fidèle à la Loi et aux Prophètes, les deux témoins de l’Apocalypse.

Depuis presque maintenant 10 années, nous avons vu le mystère d’iniquité lancé ses idées « progressistes » sur le pavé, laissant les fidèles dans la confusion par un silence perpétuel faces aux interrogations qui les tourmentent, ou face aux demandes d’éclaircissement de la part des cardinaux fidèles à la loi et aux prophètes (pensons à la saga des dubia par exemple).

Mensonges, ambiguïtés volontaires, déformations de la Vérité et de la vie des Saints, orgueil, colères non contrôlées, peurs de la pandémie (alors qu’un pape doit donner sa vie pour ses brebis. Nous devrions voir des processions du Saint-Sacrement partout. Mais non.), élimination du péché… tout cela sous les apparences du plus pauvre des pauvres, Saint-François D’Assise.

Nous pouvons en deviner quelques parties parce que nous sommes en plein dans l’action de son œuvre, mais il demeure avant tout un mystère jusqu’à ce que tout soit révéler avec le retour en Gloire de NSJC.
Quels indices avons-nous?

Saint-Paul (Th 2, 2):

« En ce qui concerne l'avènement de notre Seigneur Jésus-Christ et notre réunion avec lui, nous vous prions, frères, de ne pas vous laisser ébranler facilement dans vos sentiments, ni alarmer, soit par quelque esprit, soit par quelque parole ou lettre supposées venir de nous, comme si le jour du Seigneur était imminent.

Que personne ne vous égare d'aucune manière ; car auparavant viendra l'apostasie, et se manifestera l'homme de péché, le fils de la perdition, l'adversaire qui s'élève contre tout ce qui est appelé Dieu ou honoré d'un culte, jusqu'à s'asseoir dans le sanctuaire de Dieu, et à se présenter comme s'il était Dieu.

Ne vous souvenez-vous pas que je vous disais ces choses, lorsque j'étais encore chez vous ?

Et maintenant vous savez ce qui le retient, pour qu'il se manifeste en son temps.

Car le mystère d'iniquité s'opère déjà, mais seulement jusqu'à ce que celui qui le retient encore paraisse au grand jour.
Et alors se découvrira l'impie, que le Seigneur (Jésus) exterminera par le souffle de sa bouche, et anéantira par l'éclat de son avènement.

Dans son apparition cet impie sera, par la puissance de Satan, accompagné de toutes sortes de miracles, de signes et de prodiges mensongers, avec toutes les séductions de l'iniquité, pour ceux qui se perdent, parce qu'ils n'ont pas ouvert leur cœur à l'amour de la vérité qui les eût sauvés. (note : pensons à toute cette technologie que l’on peut associer à ces miracles)

C'est pourquoi Dieu leur envoie des illusions puissantes qui les feront croire au mensonge, en sorte qu'ils tombent sous son jugement tous ceux qui ont refusé leur foi à la vérité, et ont au contraire pris plaisir à l'injustice. »

Benoît XVI, sait que nous sommes en présence de l'Antichrist.

Il n’y a pas de doute.

Il identifie l’Antichrist au « système humaniste ».

Toute personne qui est contre les principes chers à François dont l’immigration, le réchauffement climatique, les célébrations païennes, l’œcuménisme… est automatiquement « stigmatisée » et identifiée comme ennemi de la nouvelle religion.

C’est exactement ce qu’affirmait le regretté Serge Monast dans ses écrits.

La seule différence c’est que tout s’est passé sous une forme plus insidieuse, plus hypocrite.

« La société moderne est en train de formuler une foi antichristique, à laquelle on ne peut s’opposer sans être puni par l’excommunication sociale. Il est donc plus que naturel d’avoir peur de cette force spirituelle de l’Antéchrist, et il faut vraiment l’aide de la prière d’un diocèse entier, et de l’Église universelle pour y opposer de la résistance.» (Benoît XVI)

Lifesitenews révèle plus de contenu de l'interview qui a servi à la biographie:

« Interrogé sur l'affirmation souvent répétée selon laquelle en tant que pape, il a rencontré «de nombreux blocages» pendant sa papauté de la part de la Curie romaine, le pape Benoît XVI a répondu: «Les blocages provenaient plus de l'extérieur que de la Curie. Je ne voulais pas simplement promouvoir avant tout la purification dans le petit monde de la Curie, mais dans l'Église dans son ensemble. » Expliquant plus en détail ses pensées, il a ajouté qu '«entre-temps, les événements ont montré que la crise de la foi a conduit aussi spécialement à une crise de l'existence chrétienne». C'est, a-t-il poursuivi, ce que le «pape doit avoir devant ses yeux»...

Mais la véritable menace pour l'Église et avec elle pour le bureau de Petrine ne vient pas de telles choses, mais de la dictature mondiale d'idéologies apparemment humanistes. »

Contredire cette dictature, a expliqué Benoît, cela «signifie l'exclusion du consensus de base de la société».

C'est dans ce contexte que Benoît a mentionné l'«Antichrist».

L'Église catholique enseigne qu'avant la glorieuse seconde venue du Christ, l'Église passera par une «épreuve finale» qui «ébranlera la foi de nombreux croyants».

«La persécution qui accompagne son pèlerinage sur terre dévoilera le« mystère de l'iniquité »sous la forme d'une tromperie religieuse offrant aux hommes une solution apparente à leurs problèmes au prix de l'apostasie de la vérité», déclare le Catéchisme de l'Église catholique.

"La tromperie religieuse suprême est celle de l'Antéchrist, un pseudo-messianisme par lequel l'homme se glorifie à la place de Dieu et de son Messie incarné", a-t-il ajouté.

Le vénérable archevêque Fulton J. Sheen dans un sermon radiophonique de 1947 a décrit l'Antéchrist comme un «grand humanitaire» qui «parlera de paix, de prospérité et d'abondance».

«L'antichrist ne sera pas ainsi appelé, sinon il n'aurait pas de disciples. Il ne portera pas de collant rouge, ne vomira pas de soufre, ne portera pas de lance ni n'agitera une queue fléchée comme Méphistophélès à Faust », a déclaré Sheen.

«Sa logique est simple : s’il n’y a pas de paradis, il n’y a pas d’enfer. S’il n’y a pas d’enfer, il n’y a pas de péché. S’il n’y a pas de péché, il n’y a pas de jugement, et s’il n’y a pas de jugement, alors, le mal est le bien, et le bien est le mal. Mais au-delà de toutes ces descriptions, Notre Seigneur nous enseigne que l’antéchrist Lui ressemblera tellement qu’il pourrait même tromper les élus –or, il est clair qu’aucun diable tel qu’on le connait dans les descriptions populaires, ne pourrait tromper les élus. Ainsi, par quel moyen viendra-t-il dans ce nouvel âge pour rallier des partisans de sa religion ?

Il utilisera le prétexte religieux pour détruire la Religion.
 
Il parlera même du Christ et affirmera qu’Il était le plus grand homme qui ait vécu. »

Rappel  des derniers temps par Anne Catherine Emmerich :

« Je vis une forte opposition entre deux papes … et je vis combien funestes seraient les conséquences de cette fausse Église… »

« Quand le royaume de l’Antéchrist sera proche, apparaîtra une fausse religion qui ira contre l’unité de Dieu et de son Église. Cela entraînera le plus grand schisme jamais vu dans le monde. »

«  Je vis qu’un certain nombre de pasteurs acceptaient des idées dangereuses pour l’Église. Ils construisaient une grande Église, étrange et extravagante. N’importe qui était accepté, afin de s’y joindre et d’avoir les mêmes droits: les évangélistes, les catholiques, les sectes de toutes croyances. Ce devait être la nouvelle église … mais Dieu avait d’autres projets … »

« Je vis le Pape en prières ; il était entouré de faux amis qui souvent faisaient le contraire de ce qu’il disait.
Je vis le saint Père dans une grande tribulation et une grande angoisse touchant l’Église. Je le vis entouré de traîtres.
Ils veulent enlever au pasteur le pâturage qui lui appartient ! Ils veulent en imposer un qui livre tout aux ennemis ! (alors saisie de colère, A.C. Emmerich leva le poing en disant) Coquins d’allemands ! Attendez ! Vous n’y réussirez pas ! Le pasteur est sur un rocher ! Vous prêtres, vous ne bougez pas ! Vous dormez et la bergerie brûle par tous les bouts ! Vous ne faites rien ! Oh, comme vous pleurerez cela un jour ! ».

« Je vois le Saint-Père dans une grande angoisse. Il habite dans un bâtiment autre que celui d’avant et il n’y admet qu’un nombre limité d’amis qui lui sont proches. Je crains que le Saint-Père ne souffrira beaucoup d’autres épreuves avant de mourir. Je vois que la fausse église des ténèbres fait des progrès, et je vois l’énorme influence qu’elle a sur les gens ».

Concernant l'Apocalypse et la dernière lignée de papes:

« C'est ici qu'il faut un esprit doué de sagesse. — Les sept têtes sont sept montagnes (Rome), sur lesquelles la femme (église) est assise. Ce sont aussi sept rois (papes depuis Latran en 1929):

Les cinq premiers sont tombés, l'un subsiste, l'autre n'est pas encore venu, et quand il sera venu, il doit demeurer peu de temps. (Donc la clé pour démarrer le compte est celui qui « subsiste », c’est à dire Benoît XVI. Cinq papes avant lui donc depuis l’État du Vatican (donc des rois temporels) en 1929. S’ensuit Bergoglio, qui doit demeurer peu de temps : C’est ce qui est confirmer dans la prophétie de Jean XXIII le concernant : « Ton règne sera grand et bref »)

Et la bête qui était et qui n'est plus, en est elle-même un huitième et elle est des sept, et elle s'en va à la perdition. (Ap. 17, 7-11) (Et Bergoglio, qui représente la bête marxiste socialiste, est le septième pape, mais il a décidé d’abandonner son titre de vicaire du Christ, ET, d’abandonner son titre de pape en décidant qu’il n’était, dans son idée de collégialité, que l’évêque de Rome (en référence aux sept collines). Il est devenu le huitième, la bête cachée derrière le titre de pape, et qui s’en va à la perdition) »

Or, Saint-François d’Assise dans sa prophétie avait bien averti, comme s'il savait qu'on usurperait son nom... et son amour pour les pauvres et la nature :

« Il y aura très peu de chrétiens qui obéiront au véritable Souverain Pontife et à l’Église catholique romaine avec un cœur loyal et une parfaite charité. Au moment de cette tribulation, un homme, non élu canoniquement, sera élevé à la papauté, lequel, par ruse, s’efforcera d’entraîner beaucoup de monde dans l’erreur et dans la mort… en ces jours-là, Notre Seigneur Jésus-Christ leur enverra non pas un vrai Pasteur, mais un destructeur. »

C’est simple : « Qui n’a pas le Fils, n’a pas le Père. Celui qui n’honore pas le Fils, n’honore pas le Père. » (Saint-Jean)

Cette fausse fraternité universelle sans le Christ Roi est une hérésie.

« Alors on vous livrera aux tortures et on vous fera mourir, et vous serez en haine à toutes les nations, à cause de mon nom.
Alors aussi beaucoup failliront ; ils se trahiront et se haïront les uns les autres.
Et il s'élèvera plusieurs faux prophètes qui en séduiront un grand nombre.
Et à cause des progrès croissants de l'iniquité, la charité d'un grand nombre se refroidira.
Mais celui qui persévérera jusqu'à la fin sera sauvé...

Quand donc vous verrez l'abomination de la désolation, annoncée par le prophète Daniel, établie en lieu saint, — que celui qui lit, entende ! — alors que ceux qui sont dans la Judée s'enfuient dans les montagnes.. » (Matthieu 24).

Benoît XVI est le dernier rempart.

Il est le bon larron de la fin des temps, car malgré ses erreurs, il a préservé le germe de l’Église par le motu proprio de 2007 et par la levée des excommunications sur la FSSPX en 2009.

La disparition du katéchon est le signe de la mort des deux témoins de l’Apocalypse, ce qui veut dire aussi en signe d’espoir que la résurrection de l’Église à partir du germe préservé est proche.

28 décembre

Bergoglio annonce que Benoît XVI est gravement malade.

Prions pour le katéchon.

La prophétie le concernant est sur le point de se terminer.

La mort des deux témoins de l'Apocalypse approche donc à grands pas.

19 décembre

POURQUOI M'AS TU ABANDONNÉ?

C'est ainsi que l'église crucifiée s'exclame aujourd'hui.

Pour preuve de la mort imminente de l'église à l'image de la Passion du Christ, nous cherchons les signes de Dieu pour nous conforter dans les épreuves, mais empêtrés que nous sommes dans les ténèbres, nous ne voyons rien.

Comme après la neuvième heure sur la croix, l'orage pointe à l'horizon.

Mais cet orage annonce le retour de la Lumière et est signe d'espoir, de résurrection.

Mgr Vigano dans un texte très long en préparation de Noël 2022, si important dans le contexte actuel, nous rappelle qu'une civilisation non basée sur le Christ Roi est voué à mourrir.

« Mgr Viganò : La royauté du Christ ne se limite pas à l’Église, mais s’étend à toutes les nations

De même, la négation de ce principe est l’apanage de la pensée hérétique et de l’idéologie maçonnique.

( LifeSiteNews ) — La doctrine de la royauté du Christ constitue une discrimination entre l’Église catholique et « l’Église conciliaire » ; en effet, c’est le point de séparation entre l’orthodoxie catholique et l’hétérodoxie néomoderniste, car les adeptes de la laïcité et de la laïcité libérale ne peuvent accepter que la Seigneurie de Notre-Seigneur s’étende à la sphère civile, la soustrayant ainsi à l’arbitraire des puissants ou des la volonté de la population manipulable.

Pourtant, l’idée même que l’autorité a son fondement dans un principe transcendant n’est pas née avec le christianisme, mais fait partie de notre héritage gréco-romain. Le même mot grec ἱεραρχία désigne d’une part « l’administration des choses sacrées », mais d’autre part il désigne aussi le « pouvoir sacré » de l’autorité, où les engagements qui s’y rattachent constituent de manière significative un λειτουργία , une fonction publique dont l’Etat s’en charge.

De même, la négation de ce principe est l’apanage de la pensée hérétique et de l’idéologie maçonnique. La laïcité de l’État constitue la principale revendication de la Révolution française, dont le protestantisme a fourni les fondements théologiques, qui s’est ensuite transformé en erreur philosophique avec l’avènement du libéralisme et du matérialisme athée.

Cette vision d’un tout entièrement cohérent et harmonieux qui traverse le cours du temps et franchit les frontières de l’espace, conduisant l’humanité à la plénitude de la Révélation du Christ, était propre à cette Civilisation dont l’effacement et l’annulation sont souhaités au nom d’une dystopie inhumaine parce qu’intrinsèquement impie, puisqu’elle est issue de la haine inextinguible de l’Adversaire, éternellement privé du Bien suprême par orgueil et rébellion contre la Volonté de Dieu.

Il n’est pas surprenant que nos contemporains ne comprennent pas les raisons de la crise actuelle : ils se sont laissés frustrer le patrimoine de sagesse et de mémoire construit au cours de l’histoire grâce à l’intervention pédagogique de la Providence, qui a inscrit dans cœur de chaque homme les principes éternels qui doivent guider tous les aspects de leur vie. Cette merveilleuse παιδεία a permis à des peuples éloignés de Dieu et plongés dans les ténèbres du paganisme de se prédisposer, par des moyens naturels, à l’éclatement de la dimension surnaturelle dans l’histoire, c’est-à-dire à l’avènement du Christ, en qui tout est récapitulé et se montre comme faisant partie du divin κόσμος .

Quand Auguste ordonna la publication de l’Enéide – dont Virgile avait ordonné dans son testament la destruction, la considérant incomplète – la Pax Romana venait de commencer dans tout l’Empire ; une paix accordée au monde pour accueillir l’Incarnation du Fils de Dieu et arracher l’humanité à l’esclavage de Satan. Les échos de cette paix solennelle et sacrée résonnent encore aujourd’hui dans les paroles grandioses du Martyrologe romain, que nous entendrons à nouveau le matin de la veille de Noël :

Fondée par la ville de Rome en l’an sept cent cinquante-deux, la quarante-deuxième année du règne d’Octave Auguste, le monde entier s’est composé en paix… est devenu un homme.

L’an sept cent cinquante-deuxième depuis la fondation de la ville de Rome, l’an quarante-deuxième du règne de l’empereur Octave Auguste, le monde entier étant en paix, . . . Jésus-Christ, Dieu éternel et Fils du Père éternel, désirant consacrer le monde par sa présence très aimante, a été conçu par le Saint-Esprit. . . et est né de la Vierge Marie à Bethléem de Juda, ayant été fait homme.

Quarante ans seulement avant la Naissance du Sauveur, Virgile eut l’occasion de fréquenter les fils d’Hérode venus étudier à Rome. C’est d’eux qu’il a appris les prophéties messianiques de l’Ancien Testament et l’annonce de la naissance imminente du Puer qui est chantée dans sa quatrième églogue :

La Vierge revient déjà, les royaumes de Saturne reviennent,

une nouvelle génération est déjà envoyée du haut des cieux.

Vous n’êtes qu’un enfant nouveau-né, avec qui le fer d’abord

cessera, et toute la nation dorée s’élèvera dans le monde,

chaste faveur Lucine : ton Apollon règne déjà.

Et que Dante montre Statius rappelant au Purgatoire (XXII, 70-72) :

Siècle et renouveler;

la justice revient et la première fois humaine,

et la progéniture est descendue du ciel.

L’âge se renouvelle;

La justice revient, et le temps primitif de l’homme,

et une nouvelle progéniture descend du ciel.

Dans cette attente anxieuse de l’avènement du Christ, Auguste sauve de la destruction le poème de Virgile, y voyant cette aspiration à un monde où règne la paix, après un siècle de guerres civiles. Il voyait en Enée le modèle de ceux qui se reconnaissent pius , en tant qu’ils sont respectueux de la volonté divine et des liens qui en découlent envers leur Patrie [ patrie ] et leur famille, insérés par la Providence dans les événements contingents de l’histoire, participant à la volonté de Dieu fixée dans l’éternité.

On comprend aisément que l’âme d’une personne droite et honnête, même privée de la Foi, puisse se sentir portée à une noble destinée, devant laquelle les dieux faux et menteurs se taisent, la Sibylle reste muette et l’Oracle des Aracœli se retire. On voit alors dans fatalité – fas en latin – la référence au verbe fari, qui signifie « parler » et renvoie à la Parole de Dieu, à la Parole éternelle prononcée par le Père. Le chrétien reste ravi de tant de bonté paternelle, de cette main providentielle qui accompagne l’humanité qui erre dans les ténèbres vers la Lumière du Christ, le Rédempteur du genre humain.

Il y a quelque chose d’ineffable dans cette vision de l’histoire et de l’intervention de Dieu en elle, quelque chose qui touche les âmes et les pousse vers le Bien, éveillant l’espérance d’actes héroïques, d’idéaux pour lesquels se battre et donner sa vie.

C’est sur cette composition parfaite du temporel et de l’éternel, de la nature et de la Grâce, que le monde a pu accueillir et reconnaître le Messie promis, le Prince de la Paix, le Rex pacificus vainqueur du péché et de la mort, le Desideratus cunctis gentibus .

Du Cénacle aux catacombes, des communautés des premiers chrétiens aux basiliques romaines converties au culte du vrai Dieu, s’élève la prière que le Seigneur a enseignée aux Apôtres : adveniat regnum tuum, fiat voluntas tua sicut in cœlo et in terra . Ainsi un empire païen devint le berceau du christianisme, et avec ses propres lois et sa propre influence civile et sociale rendit possible la diffusion de l’Evangile et la conversion des âmes au Christ. Les âmes simples, assurément ; mais aussi les âmes des érudits, des nobles romains, des fonctionnaires impériaux, des diplomates et des intellectuels, qui ont réussi à se voir – comme Pie Enée– engagé dans un dessein providentiel, appelé à donner sens à ces vertus civiques, à cette aspiration à la justice et à la paix qui sans la Rédemption seraient restées incomplètes et stériles.

Le rôle « providentiel » de l’État

L’économie du Salut, dans cette vision « médiévale » et chrétienne des événements, reconnaît aux individus le privilège de faire eux-mêmes partie de ce grand plan de la Providence divine : une actuosa participatio – pardonnez-moi d’emprunter une expression chère aux Innovateurs – de l’homme dans l’intervention de Dieu dans l’Histoire, où la liberté de chacun est confrontée à un choix moral donc décisif pour son destin éternel : un choix entre le Bien et le Mal, entre se conformer à la volonté de Dieu – fiat voluntas tua – et suivre sa propre volonté en lui désobéissant – non serviam .

Or, précisément dans l’adhésion des individus à l’action de la Providence, on comprend comment la société terrestre, qui est composée de ces individus, assume à son tour un rôle dans le dessein de Dieu, permettant aux actions de ses membres d’être dirigées plus efficacement par l’autorité des gouvernants vers le bonum commune qui les unit dans la poursuite d’un même but.

L’État, en tant que société parfaite, c’est-à-dire une société qui possède en elle-même tous les moyens nécessaires à la poursuite du quid unum perficiendum– a donc une fonction propre, principalement ordonnée au bien des citoyens, à la protection de leurs intérêts légitimes, à la protection de la Patrie contre les ennemis extérieurs et intérieurs, au maintien de l’ordre social. Il va sans dire qu’en éprouvant les tentatives et les échecs de ceux qui nous ont précédés – suivant la vision éminemment chrétienne de Giambattista Vico – les peuples civilisés ont su saisir l’importance de l’étude de l’histoire, permettant de réels progrès et reconnaissant la validité de La pensée aristotélicienne-thomiste précisément parce qu’elle s’est développée sur la base de la connaissance de la réalité et non sur la création de théories philosophiques abstraites.

On retrouve cette vision de la bonne gouvernance représentée symboliquement dans les fresques d’Ambrogio Lorenzetti au Palazzo Pubblico de Sienne, confirmant la profonde religiosité de la société médiévale ; une religiosité de l’institution, certes, mais qui était partagée et s’appropriait ceux qui, revêtus de fonctions publiques, considéraient leur rôle comme une expression conforme à l’ordre divin – le κόσμος , justement – imprimé par le Créateur sur le corps social .

De ce rôle historique de l’Empire romain, nous avons un exemple dans l’Enéide (VI, 850-853) :

Souviens-toi que tu gouvernes le peuple romain

ce seront vos compétences, et la manière d’imposer la paix

épargnez les sujets et battez les orgueilleux.

Mais Rome, c’est à toi seul, avec une influence terrible,

Pour gouverner l’humanité et faire obéir le monde,

Disposant de la paix et de la guerre par ta propre voie majestueuse ;

Pour apprivoiser l’orgueilleux, l’esclave enchaîné à la liberté :

Ce sont des arts impériaux, et dignes de toi.

C’est la conscience de cette mission providentielle qui a fait la grandeur de Rome ; c’est la trahison de cette tâche due à la corruption des mœurs qui a décrété sa chute.

Le concept de laïcité et la sécularisation du pouvoir

Il n’aurait pas pu en être autrement, puisque le concept de « laïcité de l’État » était complètement impensable pour les dirigeants et les sujets des nations occidentales de toute époque antérieure à la pseudo-réforme protestante. Ce n’est que depuis la fin de la Renaissance que la théorisation de l’athéisme a permis la formulation d’une pensée philosophique qui soustrait l’individu au devoir de reconnaître et de rendre un culte public à la divinité ; et, à partir des Lumières, les principes maçonniques se sont répandus à travers la sécularisation forcée de la société civile suite à la Révolution française, le renversement des monarchies de droit divin et la féroce persécution de l’Église catholique.

Aujourd’hui, le monde contemporain considère comme un mérite de revendiquer sa propre laïcité, alors que dans le monde gréco-romain la rébellion contre les dieux était considérée comme une marque d’impiété et un signe de révolte contre l’État, dont l’autorité était l’expression d’un pouvoir sanctionné et ratifié d’en haut. Discite justitiam moniti, et non temnere divos – Apprends la justice, et prends garde de mépriser les dieux – avertit Phlégyas, qui fut jeté dans le Tartare et condamné à crier cet avertissement sans répit ( Æn. , VI, 620). La culture classique dont nous avons hérité comme prémisse naturelle pour la diffusion du christianisme, et que le Moyen Âge a reconnue et valorisée, est donc fondée sur le devoir de ne pas mépriser les dieux , montrant comment l’absence de religion est la cause de la ruine de la Nation, de la trahison de la Patrie à l’instauration de la tyrannie, de la promulgation ou de l’abolition des lois au nom de l’intérêt économique à la violation des préceptes les plus sacrés de la vie civile.

Pour montrer à quel point ces peurs étaient fondées, nous osons contempler les ruines de notre société contemporaine, capable de légitimer des horreurs sans précédent telles que le meurtre d’innocents dans l’utérus, la corruption d’enfants par la théorie du genre et la sexualisation de l’enfance, et leur exploitation dans les rituels infernaux du lobby pédophile, dont les membres infâmes occupent des postes de pouvoir et que personne n’ose jusqu’ici tenter de condamner. Le monde contemporain est gouverné par une secte de serviteurs du diable voués au mal et à la mort. Ceux qui se taisent, fermant les yeux devant de telles monstruosités, sont les complices coupables de ces crimes horribles qui crient vengeance devant Dieu.

Le caractère sacré de l’autorité

Jusqu’à la Révolution française, les gouvernants trouvaient leur légitimité dans l’exercice de l’autorité au nom de Dieu, et en même temps les gouvernés voyaient leurs droits protégés contre les abus de pouvoir, puisque l’ensemble du corps social était hiérarchisé sous le pouvoir suprême, du Seigneur unique, qui a été reconnu comme Rex tremendæ majestatis précisément parce qu’il est le juge même des rois et des princes, des papes et des prélats. Couronnes, diadèmes et mitres parsèment les représentations de l’Enfer dans les scènes du Jugement dernier peintes dans nos églises.

Cette sacralité de l’autorité n’est pas un concept ajouté après coup à un pouvoir né neutre à l’origine. Au contraire, tout pouvoir a toujours trouvé son origine dans la référence à la divinité, tant en Israël que chez les nations païennes, qui ont ensuite acquis dans le monde occidental la plénitude de l’investiture surnaturelle avec l’avènement du christianisme et sa reconnaissance comme religion d’État par l’empereur Théodose. Ainsi l’empereur d’Orient était César dans une cour qui, à Byzance, parlait en latin ; le tsar des Russies et le tsar des Bulgares étaient également des Césars, et enfin il y avait le Saint Empire romain germanique, dont le dernier souverain, le bienheureux Karl von Habsburg, fut renversé par la franc-maçonnerie au moyen de la Première Guerre mondiale.

L’éducation des futurs souverains, de la noblesse et du clergé était tenue en haute estime et ne se limitait pas à dispenser un enseignement intellectuel et pratique, mais prévoyait nécessairement une formation morale et spirituelle spécifique assurant des principes solides, l’habitude de la discipline, la capacité de maîtriser ses passions et la pratique des vertus du gouvernement. Tout un système social a rendu ceux qui exerçaient l’autorité conscients de leur responsabilité devant le Christ-Roi, seul détenteur de la seigneurie temporelle et spirituelle que ses ministres sur la terre devaient exercer dans un cadre strictement indirect. Pour cette raison, comme cela s’est produit par exemple dans le cas de Frédéric II de Souabe, la supériorité de l’Autorité spirituelle de l’Église sur l’autorité temporelle des Souverains a permis au Pontife romain de libérer les sujets d’un Roi qui abusait de son pouvoir de leur lien d’obéissance.

La sécularisation étendue à toute autorité

La sécularisation de l’autorité civile a été suivie plus récemment par la sécularisation de l’autorité religieuse qui, avec le Concile Vatican II, a été significativement dépouillée – et pas seulement extérieurement – ​​de sa sacralité au profit d’une vision profane (et révolutionnaire) dans laquelle le pouvoir ecclésiastique vient d’en bas, en vertu du seul Baptême, et est déléguée par le « peuple sacerdotal » à ses représentants, auxquels sont conférées diverses tâches de « présidence », comme dans les sectes calvinistes.

Le paradoxe est ici d’autant plus évident qu’il introduit dans l’Église – déformant ainsi sa nature – la dynamique de tolérance au sein d’une société civile qui ne reconnaît pas les droits de la vraie religion, et finit par les légitimer en les faisant siens. Dans cette perspective, les très graves déviations propagées aujourd’hui par le Synode sur la synodalité dans un ton démocratique et parlementaire ne sont rien d’autre que la mise en pratique des principes théorisés par le Concile, pour lesquels la laïcité – c’est-à-dire la rupture du lien entre l’autorité terrestre et sa légitimation surnaturelle – aurait dû s’étendre à toute société humaine, et en même temps exclure toute tentation « théocratique » comme obsolète et inopportune.

Inévitablement, aucune autorité n’était hors de portée de ce processus, du pater familias à l’enseignant, du magistrat au fonctionnaire du gouvernement. Le devoir de ceux qui étaient soumis à l’autorité de lui obéir et de ceux qui exerçaient l’autorité de l’administrer avec sagesse et prudence rappelaient la paternité divine de Dieu. En tant que telle, elle devait être délégitimée, car la rébellion est avant tout contre l’autorité de Dieu le Père. La révolution des « Soixante-Huit » n’était qu’une émanation de la Révolution, dans laquelle tout ce que le libéralisme avait conservé à des fins d’utilitarisme ou de commodité pour se garantir un minimum d’ordre social a finalement été démoli, conduisant les nations occidentales à l’anarchie.

L’action subversive des sociétés secrètes

La secte infâme, consciente de la puissance de l’alliance entre Trône et Autel, complota dans l’ombre pour corrompre les souverains et attirer la noblesse dans ses rangs, à commencer par la dynastie capétienne. En réalité, déjà dans les Principautés allemandes avec l’hérésie protestante, puis dans l’Angleterre d’Henri VIII avec le schisme anglican, il y avait des conventicules actifs d’initiés de matrice gnostique qui s’opposaient à la papauté et aux souverains légitimes qui lui étaient fidèles.

Il est cependant certain et documenté que la Révolution a constitué le principal instrument par lequel les sociétés secrètes ont frappé les nations catholiques pour les arracher à la Foi et les asservir à leurs fins idéologiques et économiques, et partout où la Franc-Maçonnerie a réussi à agir, elle a toujours eu recours à les mêmes outils et la même propagande, afin d’obtenir la sécularisation des institutions publiques, l’annulation de la religion d’État, l’abolition des privilèges ecclésiastiques et de l’enseignement catholique, la légitimation du divorce, la dépénalisation de l’adultère et la propagation de la pornographie et d’autres formes de vice.

Parce que ce monde chrétien dans tous les aspects de la vie quotidienne devait être effacé et remplacé par une société impie et irréligieuse vouée à la satisfaction des plaisirs les plus bas, se moquant de la vertu, de l’honnêteté et de la rectitude : ce sont les « acquis » de l’idéologie libérale, qui l’anticléricalisme le plus abject appelle « progrès » et « liberté ».

Les innombrables condamnations par le Magistère des sectes secrètes étaient amplement justifiées par la menace à la paix des nations et au salut éternel des âmes. Tant que l’Église eut un allié valable dans l’autorité civile, l’action de la franc-maçonnerie progressa lentement et fut contrainte de dissimuler son intention criminelle.

Ce n’est qu’avec la corruption de l’autorité ecclésiastique, poursuivie par un patient travail d’infiltration et achevé à la fin du XIXe siècle grâce au modernisme, que la franc-maçonnerie put compter sur la complicité de clercs insoumis et fornicateurs, égarés dans l’intellect et volonté, et qui ont ainsi été facilement réduits en esclavage et soumis à un chantage. Leur ascension dans les rangs de l’Église, stoppée par la vigilance prévoyante de saint Pie X, reprend tranquillement dans les dernières années du pontificat d’un Pie XII affaibli, et connaît un essor sous Jean XXIII, lui-même probablement membre d’une loge ecclésiastique. Une fois de plus, nous voyons comment la corruption des individus contribue à la dissolution de l’institution à laquelle ils appartiennent.

La révolution civile, sociale et économique

La Révolution commencée en France en 1789 eut les mêmes modes de mise en œuvre : d’abord la corruption de l’aristocratie et du clergé ; puis l’action des sociétés secrètes qui s’infiltraient partout ; puis la propagande médiatique contre la Monarchie et l’Église, et en même temps l’organisation et le financement d’émeutes et de manifestations de rue pour inciter le peuple, qui était appauvri et accablé d’impôts en raison des spéculations de la haute finance internationale et de l’insuffisance de l’État aux mutations du système économique européen.

Dans ce cas également, le levier principal qui a permis à la théorie subversive de la franc-maçonnerie de se traduire en une véritable révolution était représenté par la classe qui avait le plus grand intérêt à s’approprier les biens des nobles et de l’Église, non seulement pour brader un bien inestimable patrimoine immobilier, meubles, objets d’art, mais aussi pour transformer radicalement le tissu socio-économique traditionnel, à commencer par l’exploitation des grands domaines, jusque-là pour la plupart laissés à produire leurs récoltes selon des rythmes naturels et des systèmes archaïques.

En fait, après la Révolution française, nous avons eu la Première Révolution industrielle qui, avec l’invention de la machine à vapeur et la mécanisation de la production, a imposé les migrations massives d’ouvriers et de paysans des champs vers la métropole afin de les convertir en main-d’œuvre bon marché, après les avoir privés de la possibilité d’avoir des moyens de subsistance autonomes et les avoir induits à la misère avec de nouveaux impôts et taxes.

La deuxième révolution industrielle a eu lieu entre le Congrès de Paris (1856) et le Congrès de Berlin (1878), impliquant principalement l’Europe, les États-Unis et le Japon dans de nouvelles avancées technologiques forcées telles que l’électricité et la production de masse.

La troisième révolution industrielle a commencé dans les années 1950 et s’est étendue à la Chine et à l’Inde, et a concerné principalement l’innovation technologique, informatique et télématique, puis s’est étendue à la nouvelle économie, l’économie verte, et le contrôle des informations.

Cela était censé créer un climat culturel de confiance néopositiviste dans les possibilités de la science et de la technologie pour assurer le bien-être matériel de l’humanité. L’action de manipuler les masses a donné une large place à l’imagination de ce que la société pourrait devenir, en la suggérant à travers le thème cinématographique de la science-fiction.

Depuis l’année 2011, la quatrième révolution industrielle a enfin commencé, qui consiste en l’interpénétration croissante entre le monde physique, numérique et biologique. Il s’agit d’une combinaison des avancées de l’intelligence artificielle (IA), de la robotique, de l’Internet des objets (IoT), de l’impression 3D, du génie génétique, des ordinateurs quantiques et d’autres technologies. Le théoricien de ce processus dystopique est le tristement célèbre Klaus Schwab, fondateur et directeur exécutif du Forum économique mondial.

La sécularisation de l’autorité comme prémisse du totalitarisme

Séparer artificiellement l’harmonie et la complémentarité hiérarchique entre l’autorité spirituelle et l’autorité temporelle était une opération malheureuse qui prévoyait, aussi souvent qu’elle était réalisée, soit la tyrannie, soit l’anarchie. La raison n’en est que trop évidente : le Christ est Roi à la fois de l’Église et des Nations, car toute autorité vient de Dieu (Rm 13, 1). Nier que les gouvernants aient le devoir de se soumettre à la Seigneurie du Christ est une très grave erreur, car en l’absence de la loi morale, l’État peut imposer sa propre volonté indépendamment de la volonté de Dieu, et donc subvertir le divin κόσμος de la Civitas Dei , en le remplaçant par l’arbitraire et le χάος infernal de la civitas diaboli .

Aujourd’hui, les nations occidentales sont prises en otage par des potentats qui ne répondent ni à Dieu ni au peuple de leurs décisions, car ils ne tirent leur légitimité ni d’en haut ni d’en bas.

Le coup d’État qui a été préparé et exécuté par le lobby subversif du Forum économique mondial a effectivement évincé les gouvernements de leur statut d’indépendance par le biais de pressions extérieures et a privé les États de leur souveraineté. Mais ce processus dissolutif a maintenant été exposé à cause de l’arrogance avec laquelle les satrapes du Nouvel Ordre Mondial – tout est nouveau quand cela les concerne, et tout est vieux quand il doit être renversé – ont révélé leurs plans, estimant qu’ils sont maintenant proches de la victoire finale.

Au point que même des intellectuels certainement pas accusés de conservatisme se mettent à dénoncer l’ingérence intolérable de Klaus Schwab et de ses sbires dans le gouvernement des nations. Il y a quelques jours le Pr Franco Cardini déclarait : « Les forces qui gèrent désormais l’économie et la finance choisissent, corrompent et déterminent la classe politique, qui devient ainsi un comité d’entreprise ».

Et l’on sait bien que derrière ce « comité d’affaires » se cachent des visées de profit aveugle, au détriment de l’économie des Etats, mais aussi des projets inquiétants de contrôle minutieux de la population, de dépopulation forcée, de chronicisation des maladies. face à la privatisation totale des services publics. La mentalité qui préside à cette Grande Réinitialisation est la même qui animait la bourgeoisie et les usuriers des siècles passés, soucieux d’exploiter les grands domaines que la noblesse et le clergé ne considéraient pas comme une source de profit.

Je le hais car il est chrétien,

Mais plus pour ça en basse simplicité

Il prête de l’argent gratuitement et fait tomber

Le taux d’utilisation ici avec nous à Venise.

Pour ces personnes, l’humanité est une entrave gênante qu’il faut rationaliser et instrumentaliser dans la poursuite de leurs objectifs criminels, et la morale chrétienne est un obstacle odieux à l’établissement d’un gouvernement aux mains de la finance. Si cela est possible aujourd’hui, c’est qu’il n’y a pas de référence morale transcendante qui arrête leurs délires, ni de pouvoir qui échappe à cet ignoble asservissement aux intérêts privés. Et ici, nous comprenons que la situation actuelle est essentiellement une crise d’autorité, au-delà de la compréhension des individus quant à la menace posée par le coup d’État mondial de l’élite usuraire.

La Nativité du Christ

La Naissance du Sauveur a représenté la percée de l’éternité dans le temps et l’Histoire, avec l’Incarnation de la Deuxième Personne de la Très Sainte Trinité dans le sein virginal de Marie Très Sainte. En la personne de Notre-Seigneur, vrai Dieu et vrai homme, l’autorité de Dieu s’ajoute à celle du descendant de la semence royale de David, et la Rédemption du genre humain par le Sacrifice de la Croix rétablit dans l’économie de la Grâce l’ordre divin brisé par le péché originel inspiré par le Serpent.

L’Enfant Roi, couché dans la crèche, se montre à l’adoration des bergers et des mages, enveloppé de langes, comme c’était l’apanage des souverains : et hoc vobis signum (Lc 2, 6). Il remue les étoiles et est honoré par les anges, mais il choisit la crèche pour son trône, la pauvre hutte de Bethléem pour son palais terrestre, tout comme au Golgotha ​​– et aussi dans la vision de l’Apocalypse – c’est la Croix qui est le trône de gloire.

Notre-Seigneur reçoit l’hommage des sages d’Orient en reconnaissance de ses titres de Roi, de Prêtre et de Prophète ; mais déjà il doit fuir celui qui voit en Lui une menace pour sa puissance. Hérode insensé et cruel, qui ne comprend pas quenon eripit mortalia, qui regna dat cœlestia – Il n’enlève pas les royaumes terrestres, qui accorde les royaumes célestes.

Insensés et cruels sont les puissants d’aujourd’hui, qui dans le massacre de millions d’innocents – un massacre perpétré contre leurs corps comme contre leurs âmes – veulent consolider leur tyrannie de la mort, et qui dans l’esclavage des peuples renouvellent leur rébellion contre le Roi des rois et le Seigneur des princes, qui a racheté ces âmes par Son propre Sang.

Mais c’est dans l’humble affirmation de sa Seigneurie que l’Enfant de Bethléem manifeste la divinité du Fils de Dieu dans l’union hypostatique de l’Homme-Dieu. Une divinité qui allie la toute-puissance du Pantocrator à la fragilité du bébé non sevré, le formidable jugement du Juge Suprême au cri du nouveau-né, l’immuable éternité de la Parole de Dieu au silence de l’enfant, la splendeur de la gloire de la Majesté divine avec la misère d’un abri pour animaux dans la nuit froide de la Palestine.

Dans cette contradiction apparente qui unit merveilleusement la divinité à l’humanité, le pouvoir à la faiblesse, et la richesse à la pauvreté, nous trouvons aussi la leçon que nous tous, et particulièrement ceux qui sont constitués en autorité, devons tirer pour notre vie spirituelle et pour notre survie même. .

Même le Souverain, le Prince, le Pontife, l’Évêque, le magistrat, l’enseignant, le médecin et le père jouissent d’un pouvoir qui puise dans la sphère de l’éternité, dans la Royauté divine du Fils de Dieu, car dans l’exercice de leur autorité ils agissent au nom de Celui qui la légitime tant qu’elle reste fidèle à ce pour quoi elle a été voulue.

Quiconque vous écoute, M’écoute. Et celui qui me méprise méprise celui qui m’a envoyé (Lc 10:16).

Pour cette raison, obéir à l’autorité civile et ecclésiastique signifie obéir à Dieu, dans l’ordre hiérarchique qu’Il a décrété. Pour cette raison, désobéir à ceux qui abusent de leur autorité est également nécessaire, afin de sauvegarder cet ordre qui a son centre en Dieu, et non dans le pouvoir terrestre qui en est le vicaire. Sinon, on finit par adorer celui qui détient le pouvoir, en lui rendant l’hommage auquel il n’a droit que dans la mesure où il est à son tour soumis à Dieu.

Aujourd’hui, cependant, l’hommage à ceux qui détiennent des positions de pouvoir non seulement n’a aucun lien de subordination due au Christ Roi et Pontife, mais est plutôt Son ennemi. Et aussi, où la prétendue souveraineté populaire propagée par la chimère de la démocratie s’est révélée être une tromperie colossale contre ce peuple qui n’a personne à qui faire appel pour voir ses droits protégés. D’autre part, quels « droits » pourraient revendiquer ceux qui ont toléré qu’ils usurpent Dieu ? Comment s’étonner que le pouvoir se transforme en tyrannie quand on accepte qu’il n’a plus aucun rapport avec le transcendant, seul garant de la justice pour le pauvre, l’exilé, l’orphelin et la veuve ?

Rétablir toutes choses en Christ

Le triomphe apparent des méchants – des criminels du Forum économique mondial aux hérétiques de la « voie synodale » – nous confronte à la dure réalité du Mal, voué à la défaite définitive, mais aussi permis par la Providence comme instrument de punition pour humanité capricieuse.

Parce que la pauvreté, les épidémies, la misère induite par les crises planifiées, les guerres impitoyables motivées par des intérêts économiques, la corruption des mœurs, le massacre des innocents reconnu comme un « droit de l’homme », la dissolution de la famille, la ruine de l’autorité, la dissolution de la civilisation, la barbarie de la culture et de l’art, l’anéantissement de tout élan vers la vertu et le Bien, tout cela n’est que la conséquence nécessaire d’une trahison opérée progressivement mais toujours dans le même sens, et ce n’est toujours qu’une introduction du pire c’est encore :non serviam contre la Majesté divine, qui devient d’autant plus impitoyable et furieuse que grandit la présomption satanique de pouvoir gagner une bataille dont Satan sortira éternellement vaincu.

Dors, ô enfant ; ne pleure pas;

Dors, ô enfant céleste :

Les tempêtes n’oseront pas

Faire rage contre ta tête,

Utilisé sur la terre d’autrefois

Comme des chevaux de bataille avant

Ton très face à face !

Récapituler toutes choses dans le Christ (Ep 1, 10), signifie recomposer l’ordre brisé par le péché, tant dans l’ordre naturel que dans l’ordre surnaturel, tant dans la sphère privée que dans la sphère publique, restituant la Couronne royale au Roi de rois, à qui dans un délire de ὕβρις la Révolution l’a enlevée; et, avant même, restituer la triple couronne au Souverain Pontife, arrachée par l’idéologie de Vatican II et par l’apostasie de ce « pontificat ».

Papes et Rois, prélats et chefs des nations, fidèles de l’Église et citoyens des États, tous doivent revenir, dans une palingénésie mûe par la Grâce, au Christ, au Christ Roi et Pontife, à l’unique Vengeur des vrais droits de Son peuple, à l’unique Protecteur des faibles et des opprimés, à l’unique Conquérant de la mort et du péché. Et dans ce chemin de retour vers le Christ, l’humilité nous guidera pour savoir retracer à rebours le chemin facile de perdition que nous avons entrepris en abandonnant le chemin du Calvaire tracé pour nous par le Seigneur. C’est un chemin qu’Il a parcouru le premier, et sur lequel Il nous accompagne par la Grâce des Sacrements, qui conduit à la Croix comme seule prémisse à la gloire de la Résurrection.

Celui qui croit qu’en continuant sur cette voie il est possible de changer les choses ; qu’une limite peut être placée sur l’idéologie de la mort et du péché du Nouvel Ordre Mondial ; que les méchants puissent être empêchés de propager les horreurs de la pédophilie, de la perversion, de l’annulation des sexes, du meurtre d’enfants, des faibles et de personnes âgées, est illusoire.

Si le monde est devenu un enfer grâce à la Révolution, il ne peut redevenir moins mauvais et moins meurtrier qu’avec une action contre-révolutionnaire. Si la Hiérarchie est devenue un réceptacle d’hérétiques, de corrompus et de fornicateurs grâce à Vatican II et à la liturgie réformée, elle ne peut redevenir l’image de la Jérusalem céleste qu’en revenant à ce que les Apôtres, Pères et Docteurs, Saints, Papes et Les évêques l’ont fait jusqu’avant le Concile.

Continuer sur le chemin de la perdition conduit, en effet, à la perdition.

Plus tôt chacun de nous sera capable de renforcer son appartenance au Christ, plus tôt la société commencera son retour vers son Seigneur. Et cette appartenance inconditionnelle à un Dieu qui s’est incarné pour nous racheter doit commencer par l’humble adoration de l’Enfant Roi, au pied de la crèche, avec les bergers et les mages.

Dors, ô enfant céleste :

Les nations ne savent pas

qui est né ;

Mais le jour viendra

Quand ils seront

Votre noble héritage;

Toi qui dors si humblement,

Toi qui es caché dans la poussière :

Ils vous connaîtront comme roi.

Puisse venir pour nous tous le moment béni où, touchés par la Grâce et émus par la vision salutaire de l’enfer sur terre qui se prépare si nous restons inertes pendant que s’installe la dystopie mondialiste, nous reconnaissons le Roi. Et dans lequel, en Le reconnaissant, nous pouvons combattre sous Ses saints insignes avec le redoutable Vainqueur de Satan – l’Immaculée – la bataille historique contre l’Ennemi de l’humanité. Ce sera une créature – une Femme, une Vierge, une Mère – qui écrasera la tête de l’ancien Serpent, et avec elle la tête de ses disciples maudits.

Et qu’il en soit ainsi.

+ Carlo Maria Viganò, archevêque

17 décembre 2022

Samedi de l’Avent des Quatre Saisons »

09 décembre

LA DYNAMIQUE DU SYSTÈME DE L'ANTICHRIST

Les aveugles conduisent des aveugles.

« Or, si un aveugle conduit un aveugle, ils tomberont tous deux dans la fosse. »

Le regretté Serge Monast avait vu juste : « Le nouveau critère sera ainsi défini : Les vrais chrétiens seront ceux qui partageront toutes les croyances religieuses du Nouvel Ordre Mondial en tant que nécessité de base pour la survie de l’humanité. » (Serge Monast, Le Complot des Nations-Unies contre la Chrétienté,1995; voir aussi 29 juillet 2021)

Ne croyez vous pas vivre cette période ultime?

Le système Antichrist tel un pieuvre géante emprisonne ses proies une à une.

Seuls lui échappent ceux qui vivent hors de Babylone, les chrétiens fidèles à la Loi et aux Prophètes, les deux témoins de l’Apocalypse.

Ce système est représenté par les bêtes à sept têtes et dix cornes de l’Apocalypse, en plus du faux témoin sur le trône de Saint-Pierre.

Depuis la pandémie, il est évident que ceux qui sont à la tête des pays ne sont que des clones, des « têtes » faisant parties d’une puissance temporelle  supérieure, qui a toujours aimé vivre dans l’ombre mais qui n’a plus peur de s’étaler au grand jour maintenant qu’elle pense gagner la guerre à l’Agneau… Car c’est cela qui est au cœur de cette guerre.

Les gouvernants appliquent les directives en restreignant les libertés d’être et de penser.

Ils appliquent des lois et des principes qui sont contre nature, légitimant ainsi le péché, tout comme le fait Bergoglio au Vatican.

Ainsi, ceux qui ne pensent pas comme le système sont carrément rejetés, mis de côté, et bientôt, on leur coupera les vivres grâces à la monnaie électronique.

Il n’est pas étonnant d’avoir le sentiment de vivre dans un monde de fous.

La rage de Satan est telle qu’il pousse même l’humanité à détruire la planète qui la fait vivre au nom de l'économie.

Ce n’est pas les cris désespérés de la jeunesse qui y changera grand-chose car elle est envoûtée dans la nouvelle religion humaniste basée sur les droits de l’homme et le « saint » réchauffement climatique.

On le sait. La puissance supérieure qui mène se réserve son paradis terrestre... après avoir réduit la population à un niveau acceptable.

 « ...L'Église, sous le pouvoir de l'Anti-Pape, sera absolument identique à l'Église de Jérusalem au temps de Jésus-Christ. Elle partagera l'idéologie des Nations-Unies de la même manière que les Prêtres du Temple partageaient l'Idéologie et le Pouvoir avec les Romains. Elle conservera les croyances en Jésus-Christ comme façade afin de dissimuler ses réels intérêts qui seront, en réalité, la richesse, le Pouvoir Politique et Religieux, et l'opportunisme sur tous les fronts tel que cela était le cas de l'Église de Jérusalem au temps de l'Empire Romain. Elle établira de nouveaux ''Concepts Religieux'', tous basés sur la divinité de l'Homme où celui-ci sera considéré comme étant le ''Centre''... ... En accord avec l'Agenda International à remplir, la première initiative de l'Anti-Pape en sera une de réconciliation truquée avec l'ensemble des Églises Chrétiennes du monde... L'élection d'un Anti-Pape aura eu pour effet de provoquer un ''Schisme'' majeur, supposé être le dernier devant survenir dans le Monde Chrétien…

Voici donc le «Mensonge des Mensonges»! Voici «l'Abomination des Abominations»! Les faux chrétiens étant à la tête de la nouvelle église mondiale; et prétendant être les seuls et uniques représentants de Jésus-Christ d'un côté; de l'autre, les vrais et réels disciples de Jésus-Christ sur la route du Calvaire considérés comme étant les ennemies de l'État Mondial tel que cela était le cas, il y a deux milles ans, en face des prêtres de Jérusalem, et en face de l'empereur romain à Rome.» (S.Monast, idem ci-haut)

« … En outre, la quantité de lois, de décrets et de règlements est telle que non seulement il devient nécessaire de faire appel à des experts pour savoir si une certaine action est permise ou interdite, mais que même les fonctionnaires chargés de faire appliquer les règles deviennent confus et contradictoires.

Dans une telle société, l’art de vivre ne peut que consister à minimiser l’obligatoire et l’interdit et, à l’inverse, à maximiser le permis, seul domaine dans lequel sinon le bonheur, du moins la joie devient possible. Mais c’est précisément ce que les misérables qui nous gouvernent font tout pour empêcher et rendre difficile, en multipliant les règles et les règlements, les contrôles et les vérifications. Jusqu’à ce que la morne machine qu’ils ont construite se ruine, bloquée par les règles et les dispositifs mêmes qui étaient censés lui permettre de fonctionner. » (benoit-et-moi.fr)

Alors...

« Qui commande dans le monde (occidental) aujourd’hui?

... Il n’y a plus que la réalité d’un modèle unique, macrolibéral, turbo-capitaliste, garni d’une idéologie unique, libérale, humanitaire et progressiste. Mais il n’y a plus de concurrence de modèles, ni même de référence visible à un État et à une souveraineté ; il n’y a que la domination réelle et globale d’un système de commandement, qui se présente comme unique, irréversible, indépassable. Il n’y a pas de droite ou de gauche, de conservateur ou de progressiste, par rapport à ce système impersonnel, acéphale et polycentrique… Dans ce contexte, tout leadership, à commencer par celui qui reçoit une investiture démocratique et populaire, disparaît. Les chefs d’État et de gouvernement ne sont que des hologrammes, des larves, des fantômes en transit qui donnent un visage délavé et provisoire au pouvoir qui les surplombe ; des figurations mimétiques d’un Système techno-financier inoxydable qui veille sur le sort de l’humanité et décide en dernier ressort de l’agenda des événements, fabrique les lignes directrices et façonne l’opinion publique, ou déstructure toute autre opinion qui n’est pas alignée ou favorable à son système.

Tel est l’Occident aujourd’hui. Non pas une civilisation, ou une représentation plurielle du monde libre et de la pensée indépendante, mais son contraire.

Pourtant, il se présente sous une forme qui préserve l’aspect rassurant d’un système évolué et global, fondé sur la liberté et la démocratie, voire articulé sur les droits de l’homme, la paix même au prix de la guerre, l’inclusion même au prix de lourdes exclusions, la liberté infinie des désirs même au prix de la suppression de tout ce qui ne se conforme pas à ce cadre. Il n’y a rien qui rappelle la civilisation, et donc les traditions, les identités, les différences ; il n’y a que la mégamachine totalitaire dans l’infini du présent global.

La contestation ne connaît aucun exutoire, toute tentative de déviation est durement punie et réprimée ; les Trump et les Johnson sont expulsés dès qu’ils présentent une quelconque difformité, il n’y a pas de place pour des leaderships qui ne soient pas totalement inféodés au Pouvoir dominant. Il est obligatoire de croire que nous vivons dans le Meilleur des Mondes possibles. » (benoit-et-moi.fr)

« La société moderne est en train de formuler une foi antichristique, à laquelle on ne peut s’opposer sans être puni par l’excommunication sociale. Il est donc plus que naturel d’avoir peur de cette force spirituelle de l’Antéchrist, et il faut vraiment l’aide de la prière d’un diocèse entier, et de l’Église universelle pour y opposer de la résistance. » (Benoît XVI)

Tel est la dynamique de l’Antichrist.

Un système où tous étouffent sans le savoir, où règne la peur et les fausses paix, où les âmes… meurent.

Hors de Babylone sont ceux qui sont dans la chair mais ne vivent pas selon la chair. Ils passent leur vie sur la terre tout en contemplant le  ciel car NSJC leur a promis. Ils obéissent aux lois établies, en rendant à César ce qui est à César, et leur manière de vivre surpasse toutes les lois.

Il n’y a pas de sortie possible sans un système basé sur le Christ Roi.

Novembre 2022

25 novembre

LA BÊTE EST SORTIE DE L’EAU

Comme les événements se précipitent…

Nous ne pouvons plus parler de la bête au futur.

Elle se montre et le peuple chloroformé par ses appétits matérialistes ne réagit même pas.

Effectivement, les politiciens issus de l’école du Forum Économique Mondial l’admirent, et les élites milliardaires montés sur l’autel suprême de leur montagne de profits se donnent le droit d’être les nouveaux gourous planétaires, les nouveaux messies qui prennent la place de Dieu et dictent leur monde idéal.

C’est la fusion entre le politique et le privé, le système Antichrist.

Rappelez-vous « la bête est là » d’Emmanuel Macron.

Rappelez-vous La bête « Gardien de la Paix et de la Sécurité » a été placée aux Nations-Unies le 21 décembre 2021.

Et cette semaine à l’APEC (Asia-Pacific Economic Cooperation) :

« Êtes-vous du côté américain ou chinois ? Parce que maintenant, progressivement, beaucoup de gens aimeraient voir qu'il y a deux ordres dans ce monde. C'est une énorme erreur, même pour les États-Unis et la Chine.

"Nous avons besoin d'un ordre mondial unique" (Emmanuel Macron). »

Tout juste après le G20 et le B20 (Le forum du B20 de représentants d'entreprises a une ligne de communication directe avec les dirigeants du Groupe de 20 (G20). Le secteur privé formule des recommandations de politique générale lors de la réunion annuelle du G20).

Et le président du Forum Économique Mondial, Klaus Schwab a eu droit son moment durant ce B20 :

« 1. … Nous pouvons parler d’une multi-crise, une crise économique, politique, sociale, écologique et institutionnelle, mais en fait ce à quoi nous devons faire face est une profonde restructuration systémique de notre monde, et cela prendra un certain temps, et le monde aura une apparence différente après que nous ayons terminé le processus de transition.

Politiquement les forces qui dirigent la transformation politique est une transition vers un monde multipolaire, qui a la tendance à rendre notre monde plus fragmenté.

Pour ces raisons, les événements comme le B20, le G20, et ainsi de suite, sont des connecteurs des plus importants pour éviter une plus grande segmentation.

Je dirais, « blocalisation » au lieu de « globalisation » de notre monde.

Si vous regardez les forces de transformations économiques, je voudrais juste en citer quatre :

a. la transition énergétique.

b. la transformation de nos chaînes d’approvisionnement.

c. l’intégration des coûts externes tel que la gestion des plastiques dans les océans.
C’est pourquoi en marge du B20 et du G20, je profite de l’occasion pour annoncer la création d’un O20 pour prendre soin de nos océans.

d. nous voyons les conséquences de la militarisation de nos économies. Maintenant, tout cela signifie, c’est qu’une transformation de nos économies vont amener des réductions de revenus et des coûts supplémentaires aux entreprises, ce qui peut conduire à de vastes tensions sociales que nous voyons se développer dans le monde maintenant.

Comment pouvons nous faire face à une telle transition qui peut durer plusieurs années?

N’appliquez pas seulement la gestion de crise, ni juste réagir, mais construisez le futur avec un but.

Nous devons utiliser ce temps de transition avec en vue un concept clair de ce que nous voulons accomplir, de réaliser comment nous voulons sortir de cette période de transition : nous voulons en sortir avec un monde plus durable, plus résilient et plus inclusif.

2. … révolution des forces industrielles… bref AI, technologie quantique, monde de Meta, etc.  La force de cette révolution est différente :

    • sa portée, non seulement une ou deux innovations mais l’ensemble de la technologie (donc un messie technologique est annoncé) qui va complètement changer la manière dont nous produisons, dont nous consommons, dont nous communiquons.

    • La vitesse : nous sommes à un point d’inflexion d’un développement technologique exponentiel. La technologie va changer COMPLÈTEMENT. CELA AURA UN IMPACT MÊME SUR QUI NOUS SOMMES (il mise sur le métaverse).

    • Les gagnants prennent tout car la nouvelle technologie sera très dure à copier. Si vous êtes premiers nés, vous êtes les gagnants, et cela déterminera la concurrence mondiale au niveau national, au niveau des entreprises en large mesure.

Depuis la crise de la Covid on a tendance à penser que les gouvernements ont pris le dessus. NON. Ce devrait être les gouvernements ET les entreprises, qui doivent coopérer pour devenir un POISSON RAPIDE, car dans notre monde d’aujourd’hui, ce n’est plus tellement qui est le gros poisson qui mange le petit poisson, mais c’est le poisson rapide qui mange le poisson lent. Bref intégration des entreprises et des gouvernements est nécessaire pour la gouvernance des nations. »

Ces élites pensent qu’ils ont beaucoup de temps pour compléter leur révolution.

La révolution technologique dont Schwab parle, si on se souvient bien de son livre, c’est la fusion, l’intégration de l’intelligence artificielle dans le corps humain, d’où son exemple chéri du métavers.

C'est le transhumanisme.

C’est inévitable pour eux étant donné qu’ils veulent contrôler tout.

Il faut donc introduire la technologie de contrôle dans le corps humain.

La vitesse d’exécution est rapide: il donne l’exemple lors de l’écriture de son livre il y a 5 ans où il nommait 23 nouvelles technologies dont 5 étaient déjà réalisées. En 2022 dit-il, toutes ces technologies sont réalisées et même dépassées.

Dans les deux prochaines années, nous verront la monnaie numérique de la part des banques centrales, et le contrôle individuel pratiqué avec le passeport Covid implanté, sous prétexte de protection de l’identité des donnés des individus.

Exemples:

– les banques américaines ont lancé leurs pilotes de monnaie numérique pour 2023.

– La banque russe a fait de même, ainsi que la Chine, l’Inde, etc.

– « L’usurpation d’identité touche des centaines de milliers de Canadiens par année, et le Québec est la province où le plus grand nombre de cas sont rapportés. Une des solutions au fléau : l’identité numérique, un projet qui pourrait voir le jour dès 2025 et qui soulève des questions inédites sur la propriété des renseignements personnels des Québécois. « 100 % des Canadiens vont être touchés » » (lapresse.ca)

Tout pointe vers une dictature mondiale, un seul ordre mondial, et une seule religion mondiale.

Les bêtes de la Terre et de la Mer agissent de pair.

Ils pensent qu’ils ont beaucoup de temps parce qu’ils se prennent pour des dieux.

Or, le plan divin suit la tendance de l’église, de son Église.

Et cette Église, elle subit sa passion à l’image du Christ.

Ce plan de Dieu se déroule sous nos yeux et presque personne ne le voit.

Le faux prophète de l’Apocalypse, le grand prêtre du sanhédrin (Vatican II) est sur le trône et il condamne l’Église.

Ce que Mgr Vigano confirme :

      « Viganò: La farce pandémique COVID a servi de ballon d’essai pour le Nouvel Ordre Mondial
  

   ( LifeSiteNews ) — …  Je suis heureux de pouvoir m’exprimer et partager avec vous mes réflexions sur la crise mondiale actuelle.
     

Une crise que l’on peut considérer comme ayant commencé avec l’urgence pandémique, mais dont on sait qu’elle est planifiée depuis des décennies avec des objectifs très précis par des personnalités bien connues.

S’arrêter à la seule pandémie serait en effet une grave erreur, car cela ne permettrait pas d’envisager les événements dans toute leur cohérence et leur interdépendance, nous empêchant ainsi de les comprendre et surtout d’identifier les intentions criminelles qui les sous-tendent.
     
Vous aussi – chacun avec votre propre expertise dans les domaines médicaux, scientifiques, juridiques ou autres – conviendrez avec moi que le fait de vous limiter à votre propre discipline, qui dans certains cas est extrêmement spécifique, n’explique pas complètement la justification de certains choix qui ont été fais par les gouvernements, organismes internationaux et agences pharmaceutiques.

     
Par exemple, trouver du matériel « ressemblant au graphène » dans le sang de personnes qui ont été inoculées avec des sérums expérimentaux n’a aucun sens pour un virologue, mais cela a du sens pour un expert en nanomatériaux et en nanotechnologie qui comprend à quoi peut servir le graphène.

     
Cela a également du sens pour un expert en brevets médicaux, qui identifie immédiatement le contenu de l’invention et le relie à d’autres brevets similaires. Cela a également du sens pour un expert en technologies de guerre qui connaît les études sur l’homme amélioré (un document du ministère de la Défense britannique l’appelle «homme augmenté» en termes transhumanistes) et est donc capable de reconnaître dans les nanostructures de graphène la technologie qui permet l’augmentation de la performance de guerre du personnel militaire.

    

     
Ces derniers jours, lors du sommet du B-20 à Bali, Klaus Schwab a donné des instructions aux chefs de gouvernement – ​​presque tous issus du programme Young Global Leaders for Tomorrow du Forum économique mondial – sur les prochaines étapes à suivre en vue d’établir un gouvernement mondial.

     
Le président d’une organisation privée très puissante avec d’énormes moyens économiques exerce un pouvoir indu sur les gouvernements mondiaux, obtenant leur obéissance de dirigeants politiques qui n’ont aucun mandat populaire pour soumettre leurs nations aux illusions de pouvoir de l’élite : ce fait est d’une gravité sans précédent.

     
Klaus Schwab a déclaré : « Dans la quatrième révolution industrielle, les gagnants prendront tout, donc si vous êtes un précurseur du Forum économique mondial, vous êtes les gagnants » (ici). Ces déclarations très sérieuses ont deux implications : la première est que « les gagnants prendront tout » et seront « gagnants » – il n’est pas clair à quel titre et avec la permission de qui. La seconde est que ceux qui ne s’adapteront pas à cette « quatrième révolution industrielle » se retrouveront évincés et perdront – ils perdront tout, y compris leur liberté. En bref, Klaus Schwab menace les chefs de gouvernement des vingt nations les plus industrialisées du monde de réaliser les points programmatiques de la Grande Réinitialisation dans leurs nations. Cela va bien au-delà de la pandémie : c’est un coup d’État mondial, contre lequel il est essentiel que les peuples se soulèvent et que les organes encore sains des États entament un processus juridique international. La menace est imminente et sérieuse,

     
À la lumière de ces déclarations – et de celles d’autres personnes non moins délirantes que Yuval Noah Harari, le conseiller de Schwab – nous comprenons comment la farce pandémique a servi de ballon d’essai pour imposer des contrôles, des mesures coercitives, restreindre les libertés individuelles et augmenter le chômage et la pauvreté. Les prochaines étapes devront être réalisées au moyen de crises économiques et énergétiques, qui sont essentielles à la mise en place d’un gouvernement synarchique aux mains de l’élite mondialiste.

     
Et ici, chers amis, permettez-moi de parler en tant qu’évêque. Car dans cette série d’événements auxquels nous assistons et que nous continuerons d’assister, votre engagement risque d’être contrecarré ou limité par le fait de ne pas voir sa nature essentiellement spirituelle. Je sais que deux siècles de pensée des Lumières, de révolutions, de matérialisme athée et de libéralisme anticlérical nous ont habitués à penser la Foi comme une affaire personnelle, ou qu’il n’y a pas de Vérité objective à laquelle nous devons tous nous conformer. Mais c’est le fruit d’un endoctrinement propédeutique, bien antérieur à ce qui se passe aujourd’hui, et il serait insensé de croire que l’idéologie anti-chrétienne qui animait les sectes secrètes et les groupes maçonniques du XVIIIe siècle n’avait rien à voir avec l’idéologie anti-chrétienne qui anime aujourd’hui des gens comme Klaus Schwab, George Soros et Bill Gates. Les principes moteurs sont les mêmes : rébellion contre Dieu, haine de l’Église et de l’humanité, fureur destructrice dirigée contre la Création et surtout contre l’homme parce qu’il est créé à l’image et à la ressemblance de Dieu.

     
Si vous partez de cette évidence, vous comprendrez qu’il n’est pas possible de prétendre que ce qui se passe sous nos yeux résulte uniquement de la recherche du profit ou de la volonté de pouvoir. Certes, la partie économique ne peut être ignorée, compte tenu du nombre de personnes qui ont collaboré avec le Forum économique mondial. Et pourtant, au-delà du profit, il y a des buts inavoués qui relèvent d’une vision « théologique » – c’est vrai, c’est inversé, mais toujours théologique – une vision qui voit deux faces opposées : la face du Christ et la face de l’Antéchrist.

     
Il ne peut y avoir de neutralité, car lorsqu’il y a un affrontement entre deux armées, ceux qui choisissent de ne pas combattre font aussi un choix qui affecte l’issue de la bataille. D’autre part, comment est-il possible de reconnaître dans vos nobles et hautes professions l’ordre admirable que le Créateur a placé dans la nature (des constellations d’étoiles aux particules de l’atome) et ensuite nier que l’homme fait aussi partie de cette ordre, avec son sens moral, ses lois, sa culture et ses découvertes ? Comment l’homme, qui est la créature de Dieu, peut-il prétendre ne pas être soumis à des lois éternelles et parfaites ?

     
Notre combat n’est pas contre des créatures faites de chair et de sang, mais contre les Principautés et les Puissances, contre les princes de ce monde de ténèbres, contre les esprits du mal qui habitent les lieux célestes (Eph 6:12).

     
D’un côté, il y a la Cité de Dieu – celle dont parle saint Augustin – et de l’autre, il y a la Cité du diable. On peut dire qu’à cette époque la cité du diable est clairement identifiable dans le mondialisme néo-malthusien, le Nouvel Ordre Mondial, les Nations Unies, le Forum Economique Mondial, l’Union Européenne, la Banque Mondiale, le Fonds Monétaire International, et dans toutes ces soi-disant «fondations philanthropiques» qui suivent une idéologie de la mort, de la maladie, de la destruction et de la tyrannie. Et aussi dans ces forces qui ont infiltré les institutions, que nous appelons l’État profond et l’Église profonde.

     
Par contre, il faut reconnaître que la Cité de Dieu est plus difficile à identifier. Même les autorités religieuses semblent avoir trahi leur rôle d’orientation des fidèles, préférant servir le pouvoir et propager leurs mensonges. Ceux-là mêmes qui devraient protéger et sanctifier les âmes les dispersent et les scandalisent, qualifiant les bons chrétiens de fondamentalistes rigides. Comme vous pouvez le voir, l’attaque est sur plusieurs fronts, et c’est donc une menace mortelle pour l’humanité, frappant à la fois le corps et l’âme.

     
Et pourtant, précisément à une époque où il est difficile de trouver des repères faisant autorité – aussi bien dans le domaine religieux que temporel – on voit de plus en plus de personnes qui comprennent, ouvrent les yeux et reconnaissent le esprit criminel derrière l’évolution des événements. Il est maintenant clair que tout est lié, sans avoir à écarter ceux qui le disent comme des « théoriciens du complot ». Le complot est déjà là : nous ne l’inventons pas, nous le dénonçons simplement, en espérant que les gens se réveilleront de cette narcose suicidaire et exigeront que quelqu’un mette fin au coup d’État mondial. Les opérations d’ingénierie sociale et de manipulation de masse ont démontré hors de tout doute que ce crime était prémédité, et combien il est cohérent avec une vision « spirituelle » du conflit qui se déroule actuellement :

     
J’espère que ce grand travail que vous entreprenez portera bientôt les fruits attendus, mettant fin à un temps d’épreuve dans lequel nous voyons comment le monde deviendra si nous ne nous tournons pas vers le Christ, si nous continuons à penser que nous pouvons coexister avec le mal, le mensonge et le culte de soi. Après tout, la Cité de Dieu est le modèle de ceux qui vivent dans l’amour, la maîtrise de soi et le mépris de Dieu pour le monde ; la cité du diable est le modèle de ceux qui vivent dans l’amour-propre, se conforment au monde et méprisent Dieu.

     
Je vous remercie et vous bénis tous.

     
+ Carlo Maria Viganò, archevêque »

L’Église par le processus synodal est soumise à la condmanation à venir de Pilate :

« Les contours du processus synodal deviennent de plus en plus clairs. Il fournit un porte-voix pour les points de vue non religieux… Ce que le document de travail semble suggérer, c’est de compiler une liste de griefs et d’en discuter ensuite. Mais la mission de l’Église en est une autre. Il ne s’agit pas d’examiner toutes les opinions et de parvenir ensuite à un accord. Jésus nous a commandé autre chose : proclamer la vérité… À ce jour, le processus synodal ressemble à une expérience sociologique qui n’a que peu à voir avec l’Esprit Saint qui devrait résonner en chacun. Tout cela pourrait presque être qualifié de blasphématoire ».

Ces évaluations proviennent d’un évêque, Monseigneur Robert Mutsaerts, auxiliaire du diocèse de ‘s-Hertogenbosch aux Pays-Bas, qui les a publiées sur son blog annonçant qu’il avait abandonné le synode avec une raison très claire : « Dieu est hors du cadre de cet ignoble procès synodal. Le Saint-Esprit n’a absolument rien à voir avec cela. Parmi les protagonistes de ce processus il y a pour moi un peu trop de défenseurs du mariage homosexuel, des gens qui ne pensent pas vraiment que l’avortement est un problème et ne se montrent jamais vraiment en défenseurs du riche credo de l’Église, car ils veulent avant tout être appréciés à leur environnement séculier. Tout cela n’est pas pastoral, ce n’est pas aimer. Les gens veulent des réponses honnêtes. Il ne veulent pas rentrer chez eux avec plus de questions. Vous éloignez les gens du salut. C’est pourquoi j’ai abandonné le procès synodal ».


La rhétorique de l’accueil et de l’inclusion selon Mgr Mutsaerts cache cependant des objectifs pervers.

« Le mantra du processus – écrit l’évêque néerlandais – est : écouter. Qui? Tous ». Ce qui se traduit en fait par offrir un mégaphone aux points de vue les plus éloignés de la doctrine de l’Église. Quand le document affirme que l’Église « apprend, par l’écoute, à renouveler sa mission évangélisatrice à la lumière des signes des temps, afin de continuer à offrir à l’humanité une manière d’être et de vivre dans laquelle chacun puisse se sentir inclus comme protagoniste » , c’est déclarer quelque chose qui n’a rien à voir avec la proclamation de la vérité.
Le paragraphe 39 est explicatif, où, à propos des « exclus », on lit : « Parmi ceux qui demandent un dialogue plus significatif et un espace plus accueillant, on trouve aussi ceux qui, pour diverses raisons, ressentent une tension entre l’appartenance à l’Église et leurs propres relations amoureuses, telles que : les divorcés remariés, les parents célibataires, les personnes vivant dans des mariages polygames, les personnes LGBTQ, etc. ».

Mais la mission de l’Église, commente l’évêque néerlandais, n’est pas d’écouter tous ceux qui vivent en dehors de ses enseignements. La mission de l’Église « n’est pas d’examiner toutes les opinions et de trouver ensuite un accord. Jésus nous a commandé autre chose : proclamer la vérité ; c’est la vérité qui vous rendra libre ».

Particulièrement curieux, note Mutsaerts, est le point où l’on dit que l’Église ne fait pas attention à la polygamie. Mais, d’ailleurs, le document ne fait même pas attention aux traditionalistes. Et eux aussi se sentent exclus. En effet, ils le sont littéralement du pape François ( Traditionis custodes ). Apparemment, il ne peut y avoir aucune empathie pour eux ».

D’où le jugement clair de l’évêque, qui parle du synode comme d’une « expérience sociologique » qui « n’a pas grand-chose à voir avec l’Esprit Saint », alors que « ce qui devient de plus en plus clair, c’est que le processus synodal sera utilisé pour changer certaines positions de l’Église, jetant l’Esprit Saint dans la mêlée comme un soutien ».

« Surtout, ce qui ressort des écoutes, c’est une foi évaporée, qui n’est plus pratiquée, qui n’accepte pas les positions de l’Église. Les gens se plaignent que l’Église n’accepte pas leurs positions. Mais ce n’est pas tout à fait vrai. Ce sont les évêques flamands et allemands qui prennent leurs distances avec le peuple, ce qui est en réalité bien plus tragique. Ils ne veulent plus appeler le péché par son nom et donc on ne parle plus de conversion et de repentance ».


« La phase finale du processus synodal ne peut s’avérer qu’une confusion dans la Tour de Babel. Comme on pouvait s’y attendre, quiconque n’a pas de place pour son opinion dira qu’il a été exclu. Et c’est une recette pour le désastre. Si chacun a le droit de faire ce qu’il veut – ce qui est en fait impossible – le désastre est complet. Alors l’Église se sera niée et gaspillée son identité ».
… (aldomariavalli.it)

La mort de l’Église est donc imminente.

Le temps est compté contrairement à ce que pensent les élites de ce monde.

Et entre la mort du Christ et la résurrection, entre la mort des deux témoins de l’Apocalypse et la résurrection de ces derniers, il n’y a que trois jours.

Benoît XVI est l’image vivante des deux témoins.

« … « Ratzinger souffre pour l’Église », nous dit Peter Seewald. Certes, et il y a de quoi. Par contre, il est douteux que ce soit la seule situation de « son Église » en Allemagne qui l’inquiète… C’est une interprétation « religieusement correcte » destinée à ne pas heurter la susceptibilité de François. Mais Benoît a certainement bien d’autres sujets d’affliction pour l’Eglise.

(…) Seewald a confié avoir été reçu en audience par le pape émérite ce mois-ci et avoir eu l’impression que le vieux théologien souffre beaucoup de « la situation actuelle de l’Église » au point de confesser que « peut-être Dieu le voulait encore ici pour témoigner au monde »… » (benoit-et-moi.fr)

Dieu veille.

7 novembre

LA BÊTE SORT DE L’EAU partie II (en référence à l’analyse du 2 juin 2022)

Déjà presque six mois depuis cette analyse et on peut affirmer avec le recul que l’élite judéo-maçonnique a accéléré sa transition vers la « grande réinitialisation ».

Elle se fait avec la guerre, les pénuries, l’inflation, essayant de démoraliser la population tout en initiant la peur pour finalement proposer le nouveau système, le messie tant attendu.

« C'est le temps des deux empereurs.
Et la Mère n'a pas de père, parce que beaucoup veulent être son père. Et deux seront soutenus par les adversaires.
Les cris et les barrières de la contestation se lèvent, mais déjà la Bête sort de l'eau. »
(Jean XXIII, Le Temps est Proche)

Les deux empereurs sont en place.

Ne vous méprenez pas, aucun des deux n’est un sauveur, ne représente une bonne cause, le bien contre le mal.

Les deux sont les reflets du clivage est-ouest de la bête système, de l’antichrist système.

Les deux ont en commun la nouvelle religion humaniste mais diffèrent sur la manière de gérer le monde : pour l’axe anglo-saxon, c’est un monde unipolaire à la morale dégénérée, pour l’axe avec en tête la Russie, c’est un monde multipolaire avec comme base une morale humaniste, la religion ayant sa place en tant que religion œcuménique basée sur l’humanisme.

Vous devinerez que l’église conciliaire adhère à ce dernier principe avec son faux prophète Bergoglio.

Cette église court une grand danger car l’axe anglo-saxon ne désire que faire la guerre à la grande prostituée, et l’éliminer, comme décrit dans l’Apocalypse.

C’est pourquoi l’église catholique est la seule qui « réfléchie » par un synode, qui n’est autre qu’une adaptation, un abaissement de ses dogmes pour adhérer à la religion humaniste.

Toutes les autres grandes religions mondiales demeurent dans leurs tranchées. Pas un ïota de leurs principes est en cause.

Il n'est pire aveugle que celui qui ne veut pas voir.

Nous avons vu dans les analyses précédentes les interventions de Pierre Hillard sur cette guerre entre les deux clans judéo-maçonniques, l’un proche de la City de Londres, et l’autre proche de la Russie, qui n’est qu’une guerre pour le partage du gâteau mondial.

Le clan anglo-saxon veut avoir toutes les richesses limitées du monde, alors que le clan mené par la Russie prône le partage des richesses (toujours dans le contexte que les richesses seront entre les mains d’une minorité; le petit reste, les goïm, ceux qui ne sont pas dignes de faire parti du peuple prêtre, seront réduit à l’esclavage).

Quelques preuves qui ne relèvent pas du complotisme et qui prouve que nous sommes dans la dernière ligne droite.

Elles viennent toutes de la Russie car l’occident cache bien son jeu.

Cet occident proclamant « paix et sécurité » à la manière indiqué par Saint-Paul, mais qui nous prépare un chaos total via le pion ukrainien.

La Russie affirme que la guerre ne se situe pas sur sa seule intervention en Ukraine, mais sur ces deux visions du monde antagonistes du nouvel ordre mondial qui ne peuvent plus cohabiter.

C’est l’heure du choix entre deux types de civilisations.

Là est le véritable affrontement.

Le ministre des affaires extérieures russe a prononcé le 24 octobre dernier aux Nations-Unies, un discours axé essentiellement sur ce point :

« Aujourd’hui la question de l’ordre mondial qui se dessine est claire pour tout observateur impartial : elle est de savoir si cet ordre mondial est un ordre nouveau, démocratique, juste, un monde sans chantage, sans que l’on ait besoin de faire peur à ceux qui ne sont pas d’accord avec nous, sans néocolonialisme ; ou le monde que nous avons aujourd’hui, l’ordre hégémonique, qui contraint tout un chacun à vivre selon certaines règles, même si l’on n’est pas d’accord avec ces règles. La Russie a choisi d’avoir, avec nos alliés et partenaires et les pays qui partagent nos idéaux, nous souhaitons voir ce monde advenir. Ce qui ne nous convient plus, c’est ce modèle unipolaire du développement mondial, qui ne sert que les intérêts de l’Occident. »

« La période historique de domination sans partage de l’Occident sur les affaires mondiales touche à sa fin, le monde unipolaire appartient au passé. Nous nous trouvons à un tournant historique. La décennie qui s’ouvre devant nous est peut-être la plus dangereuse, la plus imprévisible et la plus importante depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. L’Occident est incapable de diriger seul l’humanité, mais il tente désespérément de le faire, et la plupart des nations du monde ne sont plus disposées à le supporter. (…) Cet état de fait est lourd de conflits mondiaux ou d’une chaîne de conflits, ce qui constitue une menace pour l’humanité, y compris l’Occident lui-même. »

L’axe représenté par la Russie rêve d’une grande union économique eurasienne, autonome pour larguer le système occidental, de Lisbonne à Vladivostok comme l’a déjà affirmé le président russe.

L’Ukraine est la façade de ce conflit majeur.

Jean XXIII avait prévenu dans la prophétie « Grand Éclair à l’Orient » :

« Le temps a nourri un esprit trouble, à l'ombre de la croix rouge et noir, inconnue de tous, fille des fugitifs de Nuremberg.
Elle a ourdi le crime contre elle-même. Il y en a qui renoncent à la vie, par amour du mal.
La terre frisera le massacre. »

« Nous déchaînerons les nihilistes et les athées et provoquerons un formidable cataclysme social qui démontrera clairement aux nations, dans toute son horreur, l'effet de l'athéisme absolu, l'origine de la barbarie et de la subversion sanglante. Alors les citoyens de partout, contraints de se défendre contre une minorité mondiale de révolutionnaires, […] recevront la vraie lumière à travers la manifestation universelle de la pure doctrine de Lucifer, enfin révélée aux yeux du public ; une manifestation qui sera suivie de la destruction du christianisme et aussi de l'athéisme, qui seront conquis et écrasés à la fois ! (Albert Pike, grand pontife luciférien, cf. Lettre du 15 août 1871 à Giuseppe Mazzini, Bibliothèque du British Museum, Londres).

La seule société possible apportant la paix est une société qui met en son centre le Christ Roi.

Voilà pourquoi l’Église perdurera éternellement, car il faut une base sur laquelle reconstruire.

Ce système antichrist a pratiquement mis dehors le Christ.

Le cri de victoire de Satan approche.

Ainsi, les deux Babylone courent à leur perte.

Le temps est proche.

Très proche.

Octobre 2022

24 octobre

Pour ceux qui suivent l’actualité au Vatican, vous avez constaté que

« Le Pape annonce deux sessions du Synode sur la synodalité. Après la récitation de la prière de l’Angélus, le Pape a annoncé que les fruits du parcours synodal sont nombreux et qu’ils doivent mûrir. Pour cette raison, il a décidé de tenir non plus une mais deux sessions du Synode sur la synodalité en octobre 2023 et octobre 2024. » (vaticannews.va)

Le Vatican se dirige avec une synodalité permanente où le pape centralisateur choisira les idées contraires aux dogmes pour semer plus de confusion chez les fidèles, mais surtout détruire l’église de l’intérieur, exactement comme l’a prophétisé Anne Catherien Emmerich.

« ... le synode se coule dans l’assembléisme. Mais truqué. Car avec le synode 2014-2015 sur la famille, le pape a forcé la main par rapport aux positions des évêques et l’a en fait géré en le pilotant depuis le centre. Et c’est la même chose aujourd’hui. L’assembléisme qui se profile à l’horizon donnera donc la possibilité d’introduire des changements doctrinaux au nom de la décentralisation... » (benoit-et-moi.fr)

Les deux Babylone progressent donc vers leurs chutes finales.

L’Apocalypse nous révèle que les 10 rois du monde (en place présentement, c’est à dire tous interchangeables puisque issus des « youngs leaders » de Davos, suspendus aux mamelles du Forum Économique Mondial) détesteront la Prostituée, l’église conciliaire, et chercheront à la faire disparaître, ce qui est relié à la mort des deux témoins.

C’est le but du synode des synodes.

Sans surprise, la division du rapport final du synode pour la deuxième partie en octobre 2024 nous amène exactement à la « limite de Babylone » .

Voir l'anlyse du 29 novembre 2021 dont voici le résumé :

Le 13 mai 2026, nous atteindrons une période de 109 ans depuis les apparitions de la Vierge Marie à Fatima, soit les 100 ans donnés comme indication à Léon XIII + la 9ème heure où tout est accompli (c’est à dire la mort du Christ sur la croix, donc de l’Église pour nous).

Nous savons aussi que mai 2026 est la limite pour le retour du Lys selon la prophétie de Don Bosco.

2025, c’est en plein dans le maximum solaire du cycle 25 (prévu entre octobre 2024 et juillet 2025) augmentant la probabilité du forte tempête solaire qui anihilerait tout ce qui est d'électronique sur cette planète, et ainsi arrêter la guerre.

La période de prédiction des deux témoins est de 42 mois (période des châtiments, soit le 2ème malheur de l’Apocalypse).

C’est la même durée de vie que les deux bêtes.

« Puis il parut dans le ciel un grand signe : une femme revêtue du soleil, la lune sous ses pieds, et une couronne de douze étoiles sur sa tête... et la femme s'enfuit au désert, où Dieu lui avait préparé une retraite, afin qu'elle y fût nourrie pendant mille deux cent soixante jours… Et les deux ailes du grand aigle furent données à la femme pour s'envoler au désert, en sa retraite, où elle est nourrie un temps, des temps et la moitié d'un temps, hors de la présence du serpent. » (Ap. 11,1-14)

La clé eschatologique est un temps, des temps et la moitié d'un temps, soit une période divisible par 3,5, ce qui est reconnue par les pères de l’Église et les eschatologues.

Évidemment, le 42 pour les 42 mois, etc...

La limite de Babylone ou des deux Babylone spécifiées par Jean XXIII (le Vatican et les Nations-Unies, les deux bêtes de la terre et de la mer de l’Apocalypse), doit donc se mesurer en base 3,5.

Mais pourquoi cette suite?

Pourquoi pas deux temps, un temps et la moitié d’un temps?

Pourquoi pas 3 temps et la moitié d’un temps?

Il y a donc une indication ici par Saint Jean de trois étapes à franchir qu’il nous faut rechercher pour en arriver à la limite de Babylone.

Les deux témoins seront au tombeau pendant 3,5 jours (par rapport à 3,5 années de la vie des deux bêtes).

Selon les eschatologues, cela indique qu’après cet événement le décompte s’écoule en semaines, si ce n’est qu’en jours.

C’est rapide.

Et c’est ce qui est démontré dans l’Apocalypse.

La mort de l'Antéchrist système suit la résurrection des deux témoins, où :

« A cette même heure, il se fit un grand tremblement de terre... » (Ap. 11,13)

Rappelez vous les trois prophéties politiques de Jean XXIII: « Grand Éclair à l'Orient », « La Foudre en Plein Jour », et « Le Temps est Proche ».

Un temps de paix, très court, permettra de rassembler le plus d'âmes possible, car à la septième trompette qui suit, le troisième malheur arrive avec la mort de l'Antéchrist.

C'est là que se produisent tous les signes que plusieurs relient à la fin des temps (dont les trois jours de noirceur, le signe de Jonas donné par le Christ, et prophétisés par Padre Pio par exemple) arrivent.

Un autre chiffre important est le 49 (7X7), divisible en base 3,5 aussi et qui est la limite du diable,

Rappel avec Don Jean de Monléon, dans son livre Le prophète Daniel:

« Malgré les efforts des bourreaux, la flamme ne montait qu’à 49 coudées, elle n’arrivait pas à cinquante… Pourquoi cela ? Parce que 50 est le chiffre de la Pentecôte, le symbole de la transformation totale que, seule, la grâce du Saint-Esprit est capable d’opérer dans l’homme. »

Par conséquent, « le démon ne peut dépasser 49 coudées, parce qu’il est incapable d’agir efficacement sur le fond de l’âme, sur la volonté, si celle-ci est résolue à tenir bon. »

Le diable n’a donc pas le droit d’aller jusqu’à 50, le chiffre en jours qui sépare la Résurrection de la Pentecôte, et qui est le chiffre d’un jubilé.

Rappelons ici que 2025 est une année de jubilé.

C’est très important car 49 explique beaucoup de choses.

Il explique aussi l’importance de la Pentecôte incarnée dans la symbolique des deux témoins ressuscités comme spécifiée dans l’analyse du 22 novembre, c’est à dire une nouvelle église où Marie revivra dans les cœurs comme dans la prophétie concernant Benoît XVI.

N’oublions pas aussi que l’épisode de la chute des murs de Jéricho est reliée.

Ce n’est qu’au 7ème jour et septième tour que les murs s’écroulèrent.

7 tours pendant 7 jours : la limite du diable= 49.

Autre chiffre important, le 60, car il explique le veuvage selon Saint-Paul.

Nous avons vu que nous avons atteint cette soixantième année en 2022 suite à l’ouverture du concile Vatican II le 11 octobre 2022.

Or aussi, le veuvage de l’église conciliaire suite à Vatican II (dont Nostra Aetate voté à la dernière session le 28 octobre 1965 (Jean XXIII a été élu un 28 octobre)), sera en 2025.

« Où croyez-vous fuir, maintenant que vous avez détruit les Églises et tué le dernier Père ? » spécifie Jean XXIII dans la prophétie de l’Église #11 « Le Septième Sceau ».

L’Église est bien veuve lors de l’ouverture du septième sceau.

LES PREUVES DU DÉCOMPTE

Alors, par où commencer?

Le grande réinitialisation actuelle n’est possible que par le code QR ou son successeur.

C’est ainsi que la bête de la terre (humaniste, Nations-Unies, franc maçonnerie judéo-maçonnique) a pris le contrôle total de nos vies pour nous rendre esclaves du système antéchristique.

Tout se fait maintenant via le téléphone intelligent.

Un marché aujourd’hui dominé par la compagnie Apple.

Il faut remonter à la création de l’ordinateur accessible pour tous, ancêtre en sorte du smartphone actuel, pour voir la bête sortir de l’eau, en termes apocalyptiques.

C’est Apple évidement (nom qui ne relève pas du hasard car c'est une référence au Jardin d’Éden qu'on voyait dans les premières pubs) qui a produit le premier ordinateur publique, du nom de Apple I, et qui se vendait 666.66 dollars.

La date : le 11 avril 1976.

Sachant que la limite du diable est de 49, nous en déduisons donc que la limite de Babylone est le 11 avril 2025, ou du moins en 2025.

Ça, c’est pour la bête de la terre.

La bête de la mer, Vatican, doit obligatoirement suivre, car ils agissent ensemble selon l’Apocalypse.

Paul VI suspend Mgr Lefebvre le 22 juillet 1976 suite à la consécration de 13 prêtres.

Ce dernier, en réponse, convoque le 29 août 1976 les intégristes à Lille pour une messe célébrée selon le rite de saint Pie V.

Rappelons que le phare des « deux témoins » de l’Apocalypse, de la tradition, est la FSSPX fondée par Mgr Lefebvre.

Or, le 11 septembre 1976, à Castel Gandolfo, une célèbre rencontre eu lieu entre Paul VI et Mgr Lefebvre où la bête Vatican est identifiée.

Contre le Christ.

C’est bien ce que nous avons aussi dans la prophétie de Jean XXIII concernant Paul VI.

Nombre de jour entre le 11 avril 1976, et le 11 septembre 1976 liant les deux bêtes : 153.

Le chiffre des rachetés  de la pêche miraculeuse (voir analyses précédentes) de la fin des temps.

La limite du diable est donc bien 2025.

Rappelez-vous : la fin des temps se mesure ainsi : deux temps, un temps et un demi temps (3 étapes).

Un temps : 21 ans

Deux temps : 42 ans

Un demi temps : la donnée inconnue : nul ne connaît le jour ni l’heure...

Or, on sait grâce à la prophétie de Jean XXIII « Le Temps est Proche »  que la limite de la fille de Caïn est le 18 août 2025 ou octobre 2023 (voir analyses précédentes):

« Le premier empereur meurt de faim, enfermé dans la tour de son rêve.
Le second empereur dans le désert, attaqué par les animaux de la peste, inconnus.
La fille de Caïn est montée au Nord, pour prêcher. Luxure dans la nouvelle Babylone, pour sept ans.
La septième année tombe le septième voile de Salomé, mais il n'existe pas d'empereur, il n'existe pas qui saura lever l'épée et couper le cou de Jean. Le temps est proche.»

Il n’y a plus d’empereur à cette date (à la limite du 49 ans : comme pour la chute des murs de Jéricho, nous avons ici 7 voiles X 7 ans)

C’est donc dire que Babylone est tombée.

ET il est spécifié que lorsque le septième voile est tombé, qu’il n’y a personne pour couper le cou de Jean.

Jean-Baptiste, c’est l’avant Jésus.

Son rôle d’alors est typiquement apocalyptique : la fin est très proche et les châtiments vont suivre.

Les méchants vont être punis et les justes récompensés, d’où l’urgence de se convertir, car au jour du Jugement, il sera trop tard.

Car, ce qui suit est la date dont nous ne pouvons connaître le jour ni l’heure.

Fait important qui renforce cette hypothèse :

Jean XXIII publie son encyclique humanitaire PACEM IN TERRIS le 11 avril 1963.

Il y a donc 62 ans entre cette date et le 11 avril 2025, la limite du diable.

C’est 6 mois piles après le 11 octobre 1962 à l’ouverture du concile, et on en arrive ainsi à 62.5 années ou 42 + 20,5 ans.

Vérifions le décompte (les trois étapes) de la fin des temps afin de voir s’il y des corrélations, des événements marquants chacune des étapes.

Un temps : 21 ans

De 1962 à 1983.

1983 : Jean Paul II modifie le droit canon le 25 janvier 1983 et celui ci est effectif le 27 novembre suivant au premier dimanche de l’Avent, ce qui en soit est un signe d’une nouvelle étape.

Le code de droit canonique de 1917 a été promulgué le 27 mai 1917 (peu après la première apparition de Fatima donc).

Nombres d’années entre le 27 mai 1917 et le 27 novembre 1983 : 66 ans et 6 mois.

Les 21 années de Vatican II à 1983 ont donc servi de préparation pour éclipser l’Église selon les prophéties de La Salette.

Deux temps : 42 ans

De 1983 à 2025.

Le nouveau droit canon plonge l'Église dans la fosse humaniste officiellement.

Le 5 avril 1983, Mgr Lefebvre répond à une lettre envoyée par Jean-Paul II via le cardinal Ratzinger.

L'Église est en crise.

La messe traditionnelle est ciblée.

« Sans doute c’est en raison de cette oppression des consciences exercée d’une manière inconcevable à l’intérieur de l’Église que vous prévoyez de publier un décret concernant l’usage de l’ancien rite romain de la Messe. N’est-ce pas, en effet, une oppression inique d’enlever aux prêtres le rite de leur Messe d’ordination et de les contraindre sous peine de suspens d’adopter un nouveau rite à l’institution duquel ont participé six pasteurs protestants !

C’est au pied du crucifix que je vous réponds, Très Saint-Père, uni à tous les évêques, prêtres, religieux, religieuses, fidèles qui ont subi un véritable martyre moral par l’imposition forcée de cette Réforme liturgique. Que de larmes, que de douleurs, que de morts prématurées dont demeurent responsables ceux qui ont indûment imposé ces changements opérés au seul titre d’un œcuménisme aberrant.» (laportelatine.org)

L’humanisme œcuménique a été inscrit dans l’ADN de l’Église avec le nouveau code de droit canonoque.

Concrètement.

On trouve une autre confirmation par la deuxième apparition de la Vierge Marie à Soeur Catherine Labouré à la rue du Bac:

La libération des justes, les 153 de la seconde pêche miraculeuse (voir analyses précédentes l’interprétation de Saint-Augustin et la notion de jubilé des jubilés), commencent donc au début de la phase de 42 ans, la période de prêche des deux témoins pour sauver le plus d’âmes possibles.

Nous venons de démontrer que cette phase commence par la validité du nouveau code de droit canon le 27 novembre 1983.

Or, le 27 novembre est la date anniversaire de l’apparition de la rue du Bac en 1830 et conséquemment de l’existence de la médaille miraculeuse.

Il y a exactement 153 ans entre l’apparition et le 27 novembre 1983.

CONCLUSION

« Il y a vingt siècles plus l'âge du Sauveur. Amen  » affirme Jean XXIII.

Considérant un décalage de 7 ans pour la naissance du Christ selon Benoît XVI, nous arrivons à 2033 moins 7 ans : 2026.

Exactement avant la venue du Lys selon Don Bosco.

Avant les deux lunes de mai 2026.

Soit à l'automne 2025 pour la limite de Babylone.

Il se peut que le rapport de la première moitié de la session finale du synode en octobre 2023 soit celui qui signifiera la mort des deux témoins (car la première date pour la fille de Caïn est probablement en octobre 2016 lorsque Bergoglio a signé le pacte avec les luthériens).

Une année de plus donnera à Bergoglio le temps de voir les réactions et d'en mettre plus pour la finale prévue d'octobre 2024.

Prévue... Car c'est peut-être durant cette période que nous assisterons à la résurrection des deux témoins (voir le calendrier de la fin des temps dans les analyses précédentes).

Le décompte final est lancé.

14 octobre

La mort des deux témoins de l’Apocalypse est proche.

Le 11 octobre marquait les 60 ans de l’ouverture du Concile Vatican II : les soixante ans pour officiellement être veuve selon Saint-Paul.

L’Église est donc officiellement veuve, confirmée dans la prophétie de Jean XXIII concernant Benoît XVI.

On assiste donc à la conclusion des deux prophéties en parallèles, celle concernant François et Benoît XVI.

Mais le katéchon veille encore.

Il est la figure représentative du petit reste, des fidèles à la Loi et aux Prophètes, autant laïcs que du clergé, de la Tradition.

Le pape régnant est bel et bien Benoît XVI.

« … Tout part de la rencontre organisée par la Fondation Joseph Ratzinger/ Benoît XVI pour présenter un livre écrit prétendument à quatre mains (en fait, il n’en est rien!) par le pape « émérite » et le mathématicien athée Piergiorgio Oddifrddi …
Tout d’abord, l’archevêque Gänswein a commencé par une merveilleuse amphibologie [ndt: figure de style qui consiste en une ambiguïté grammaticale qui peut donner lieu à diverses interprétations d’une même phrase]: « Avant de venir ici, j’ai prié les vêpres, avec le pape Benoît, comme le fait tout prêtre catholique. Et cela dit tout » [“Prima di venire qui ho pregato con Papa Benedetto, come ogni sacerdote cattolico fa, i vespri. E questo dice tutto”].

En effet, tout est dit. La construction astucieuse de la phrase permet parfaitement de la comprendre comme suit : « Avant de venir ici, je priais les vêpres, comme le fait un vrai prêtre catholique, c’est-à-dire EN UNION AVEC LE PAPE BENOÎT ».
Mais entrons dans le vif du sujet et laissons Mgr Gänswein poursuivre, selon la vidéo:
Le pape Benoît m’a dit, tout d’abord: « Ne faites pas un salut institutionnel, faites un salut personnel de ma part et dites à tout le monde : ‘Je n’ai pas mérité cette illustre liste de présentateurs’. J’ai dit : « Saint Père, si je dis cela, ils ne me croient pas, mais j’obéis »; « Ou vous croyez ou vous ne croyez pas, si vous ne croyez pas, lisez, soit Jérémie, soit Isaïe. Je ne dis pas quel verset et quel chapitre, mais la réponse est là » ( «O credete o non credete, se non credete leggete, o Geremia o Isaia. Non dico quale versetto e quale capitolo, ma lì è la risposta» ).

Nous vous laissons imaginer le choc lorsque, au chapitre 36, verset 5, l’auteur de ces lignes a lu cette phrase :
« Jérémie ordonna donc à Baruch : « JE SUIS EMPÊCHÉ et je ne peux pas entrer dans le temple du Seigneur ».
Le Saint-Père, dont nous disons depuis deux ans qu’il est empêché, a choisi parmi 73 livres bibliques le seul dans lequel apparaît l’expression « je suis empêché» .
(…)

Mais passons maintenant au deuxième livre de l’Ancien Testament cité par le Pape, celui d’Isaïe, qui ne parle pas d’empêchement, mais mentionne le mot « prisonnier »/ »captifs » pas moins de 14 fois. Le thème de leur libération victorieuse revient sans cesse : les prisonniers qui doivent sortir des ténèbres : « Moi, le Seigneur, je t’ai appelé pour la justice et je t’ai pris par la main ; je t’ai formé pour que tu ouvres les yeux des aveugles et que tu fasses sortir de la prison les captifs, de l’enfermement ceux qui habitent dans les ténèbres » (42,6). Cela semble être une invitation très claire aux prêtres fidèles à Benoît XVI, mais qui vivent encore dans la clandestinité, à sortir de l’obscurité et à crier la vérité, à savoir que le pape est seulement Benoît XVI.

Encore une fois, les prisonniers, libérés, répudieront leurs geôliers : « …ils feront prisonniers ceux qui les avaient asservis et domineront leurs adversaires » (14,2).

Un point en particulier nous a frappé, au ch. 51, verset 14 :

Bientôt, le prostré sera libéré, il ne mourra pas dans un cachot, et le pain ne lui manquera pas !

En résumé : le pape s’est déclaré empêché, mais le prisonnier (lui-même) sera bientôt libéré (…) Les prisonniers, c’est-à-dire les vrais catholiques, seront libérés et le Seigneur rendra justice.

...

Pour finir, je cite Benoît XVI répondant à une question de Peter Seewald en 2016 dans son livre « Dernières conversations »
«Vous connaissez la prophétie de Malachie, qui au Moyen Age compila une liste des papes futurs, prévoyant également la fin du monde, ou tout au moins la fin de l’Église. Selon cette liste la papauté se terminerait avec votre pontificat. Et si vous étiez effectivement le dernier à représenter la figure du pape telle que nous la connaissons à ce jour?».
.
«Tout peut être» (« tout est possible »)
*
Benoît XVI, Dernières conversations, Fayard 206, page 263
Cité par Antonio Socci, benoit-et-moi.fr/2016/actualite/benoit-xvi-dernier-pape » (benoit-et-moi.fr)

Retour sur la prophétie « Grand Éclair à l’Orient ».

Nous avons tous été témoins du déferlement de missiles et d’attaques aux drones de la part de la Russie suite à l’attentat contre le pont en Crimée.

- Constatant qu’Israël considère la partie sud est ukrainienne comme une seconde Judée.
- Constatant que la Russie ayant grandement diminué son inventaire de drones et de missiles depuis le début de la guerre, achète et envoie des missiles et drones iraniens; ce dont nous avons été témoins cette semaine.
- Constatant que les agences d’espionnage fomentent une révolution en Iran depuis le décès de la jeune iranienne il y a quelques semaines.
- Constatant que les élections israéliennes ont lieu dans deux semaines, ainsi que les élections de mi-mandat aux États-Unis le 8 novembre.
- Constatant ceci :

«« Je ne serais pas surprise si un sénateur ou un élu se faisait tuer », déclarait la sénatrice républicaine Susan Collins en début octobre dans les colonnes du New York Times. 

« Ce qui n’était à l’origine que des appels téléphoniques agressifs se traduit désormais par des menaces et de la violence réelle », a assuré l’élue de 69 ans, après qu’un individu a brisé une vitre de son domicile, dans le Maine. »

Il n’est pas difficile de conclure qu’un décès d’un homme politique à l’Orient, et au sud des États-Unis pour activer la prophétie sont très proches.

En fait, il semble bel et bien, voyant la situation géopolitique, et le fait que l’Iran détient probablement des armes atomiques maintenant, qu’Israël ne se gênera pas, surtout sachant que la Russie est maintenant prise dans l’étau, c’est à dire qu’elle ne pourra pas intervenir dans ce nouveau conflit à l’horizon, à cause de la situation ukrainienne.

Rappelons le calendrier de la fin des temps :

Selon l’ordre chronologique donné dans l’Apocalypse, nous avons :

1) Mort des témoins (3,5 jours)
2) Résurrection des témoins

Fin de la sixième période.

Entrée dans la 7ème période :

3) Mort de l’Antéchrist
4) Chute de Babylone (3ème malheur, Ap. 11, 14)
5) Retour du Christ
6) Jugement dernier
7) Règne définitif et sans partage du Christ (Ap. 21-22)

N’oublions pas que la sixième période de l’Apocalypse (6è Église, sceau et trompette) se termine par une bataille générale, donc mondiale, où les forces de la bête coalisées semblent gagner contre l’Église (mort des témoins).

Mais il est clair dans la prophétie le « Temps est Proche » : La fille de Caïn est montée au Nord, pour prêcher. Luxure dans la nouvelle Babylone, pour sept ans. La septième année tombe le septième voile de Salomé, mais il n'existe pas d'empereur, il n'existe pas qui saura lever l'épée et couper le cou de Jean. ») qu’il n’y a personne pour couper la tête de la Tradition, du petit reste, du bourgeon destiné à renaître, des deux témoins ressuscités.

Tout comme les portes de l’enfer ne prévaudront pas contre son Église a affirmé le Christ.

Considérant octobre 2016 (voir analyses précédentes en référence au pacte en Suède avec les luthériens) comme point de départ potentiel du règne de la fille de Caïn, 7 années nous mènent à la conclusion du synode des synodes d’octobre 2023, c’est à dire de la destruction formelle de l’église et des sacrements confirmée dans un document.

05 octobre 2022

Nous entrons en territoire extrêmement dangereux avec le soleil cette semaine.

Une tache gigantesque (AR3112) et d’une extrême complexité (le plus haut sur l’échelle en fait) redevient visible après son séjour derrière la face cachée du soleil.

Spaceweather.com:

« UNE GRANDE TACHE SOLAIRE DANGEREUSE : L’une des plus grosses taches solaires depuis des années vient de tourner sur le limbe nord-est du soleil.

AR3112 a plus d’une douzaine de noyaux sombres dispersés sur 130 000 km de terrain solaire…

L’image ci-dessus (plus facile à suivre l’évolution ici: www.solarham.net) est une carte magnétique de la surface du soleil avec une photo en lumière blanche d’AR3112 en médaillon. Cela montre ce qui rend ce groupe de taches solaires si dangereux. Les polarités magnétiques positives et négatives se heurtent – un mélange explosif qui pourrait produire une éruption solaire de classe X.

L’émergence d’AR3112 déjà complètement formé et instable pourrait annoncer deux semaines d’activité solaire élevée alors que le groupe de taches solaires transite par le disque solaire, faisant face à la Terre tout le temps. »

Elle est du calibre de la tache qui a plongé le Québec dans la noirceur le 13 mars 1989, ainsi que le fameux événement Carrington du 01 septembre 1859.

Il y eu une éjection de classe X le 02 octobre mais non dirigée vers la terre.

C’est à surveiller de très très près.

Sans ordinateur, pas de guerre, pas de voiture, pas de tout ou presque en fait.

Et le 13 octobre 2022 nous serons à 105 ans du miracle du soleil de Fatima.

L'incendie de Notre Dame a eu lieu le 105è jour le 15 mars 2019.

L’incendie nous renvoie donc à 3 ans et demi après, et cela tombe deux jours après l’anniversaire du miracle du  soleil...

Soit les fameux 42 mois de l'Apocalypse (1260 jours) associés à la Bête et aux 2 Témoins.

Voici quelques extraits de l’interview de Mgr Vigano à la Conférence sur l’identité catholique prouvant encore une fois que nous sommes à la fin des temps.

« Monseigneur Viganò / Entretien avec Michael J. Matt pour la Catholic Identity Conference

De nombreux catholiques croient aujourd’hui que la Sainte Mère l’Église traverse la pire crise de l’histoire, qui dépasse même celle de l’hérésie arienne. Pensez-vous que c’est ainsi?

Je ne sais pas si cette crise est la pire que l’Église aura à affronter d’ici à la fin des temps; c’est certainement le pire à ce jour, tant pour la proportion dévastatrice de l’apostasie, que pour la narcotisation du bas Clergé et des fidèles envers la Hiérarchie. En d’autres occasions, la persécution fut plus féroce, mais elle trouva de la résistance chez les évêques et de l’opposition chez les catholiques, qui pouvaient considérer le siège de Pierre comme un phare de vérité et un obstacle à l’établissement du royaume de l’Antéchrist. Aujourd’hui le katèchon a cessé, au moins temporairement, et le Siège apostolique est occupé par un ennemi déclaré de l’Église du Christ.

Jamais dans l’histoire nous n’avons été témoins d’une trahison systématique de la Foi, de la Morale, de la Liturgie et de la discipline ecclésiastique, favorisées et même promues par l’Autorité suprême de l’Église elle-même, dans le silence complice de la Hiérarchie et dans l’acceptation sans réserve de nombreux clercs et les fidèles. La gravité de cette situation est exacerbée par le fait que le travail dissolutif de l’Église profonde avance en synchronisation avec l’action subversive de l’État profond dans les nations, faisant des fidèles catholiques l’objet d’une double attaque, aussi fidèle et aussi citoyens.

Ces deux réalités, désormais indiscutables, ont en commun la haine inextinguible de Satan envers le Christ, son Église, sa sainte Loi, la civilisation chrétienne. Cette tromperie est si évidente qu’elle ne peut plus être qualifiée de « théorie du complot ».

Si l’on y réfléchit, il est troublant que les protagonistes de ce plan criminel – tant dans les gouvernements que dans l’Église – soient issus de ce milieu chic radical dans lequel le progressisme « catholique » conciliaire, le pacifisme, l’écologisme sont nés et se sont développés depuis les années 1960, l’ homosexualité et tout le répertoire de la gauche éveillée. Comme je l’ai déjà dit, les évêques individuellement et toute la Hiérarchie des dernières décennies devront répondre devant Dieu et l’Histoire de leur complicité dans cette crise, voire d’avoir été en quelque sorte des inspirateurs et des partisans, abdiquant le rôle de l’Église de Domina Gentium…

François a déclaré que les traditionalistes « rejettent Vatican II ». Étant donné que le 14 février 2013, le pape Benoît XVI a déclaré que le Concile avait été détourné par les médias – causant ainsi des dommages incalculables à l’Église et « banalisant la liturgie » – tous les catholiques ne devraient pas « rejeter le Concile » tel qu’il a été présenté au monde. , selon Benoît, des médias ?

Tout d’abord, il faut préciser que l’apport médiatique au récit conciliaire n’est que partiel et marginal au regard de la valeur clairement subversive de Vatican II, voulue par ses rédacteurs. Il n’y a pas de « bon Concile » fantôme qui aurait été « trahi » par les modernistes : il a été conçu dans la forme pour l’empêcher d’être catholique dans le fond, dissimulant les écueils qu’il contenait (et qu’il révélera peu après) derrière une verbosité et des concepts équivoques. Si les médias avaient détourné le Concile contre l’intention des Pères et des Papes qui le voulaient, pourquoi, face aux déviations répétées véhiculées par la presse, aucun d’entre eux n’a réaffirmé la doctrine catholique ? Si la banalisation de la liturgie dans la période post-conciliaire n’était que la faute des médias, pourquoi aucun évêque n’a-t-il jamais proposé la célébration du Novus Ordo dans la continuité de Vetus , mais a-t-il plutôt mis à profit les innovations du rite montinien pour le promouvoir ? Si l’ancienne liturgie ne représentait pas une menace pour la nouvelle, pourquoi cette persécution sans merci de ceux qui voulaient continuer à célébrer sous la forme ancienne ?

En cela Bergoglio a parfaitement raison : les catholiques qui veulent rester fidèles à la Tradition rejettent Vatican II précisément parce qu’il est étranger et opposé à la Tradition, qui est la norme de la foi. Et cela confirme non seulement la catholicité de la liturgie traditionnelle, mais l’extranéité de la liturgie réformée au développement harmonieux que le culte a connu au cours des siècles, d’où sa substantielle non-catholicité.

Les catholiques ont donc non seulement le droit, mais aussi le devoir d’exiger que l’Église vénère la Sainte Trinité de la manière la plus parfaite, et non avec un rite fallacieux, né d’esprits doctrinalement et moralement déviants, destiné à plaire aux hérétiques et à rabaisser les Foi. Il ne s’agit pas « d’inventer » une liturgie plus catholique que celle du Novus Ordo , mais de réparer la très grave vulnus infligée à l’Église avec la suppression d’un rite bimillénaire pour lui substituer son déplorable contrefaçon. Restaurer la liturgie catholique et interdire la liturgie réformée sera une étape incontournable dans la restauration de l’Église.

Il semble au moins plausible que le Pape Bergoglio ait été installé sur la Chaire de Pierre pour saper la théologie de la Papauté. Lorsque nous critiquons François, ne contribuons-nous pas à ce même agenda concernant la papauté ?

Ceux qui ont réussi à faire élire Bergoglio au Conclave de 2013 savaient très bien que le principal résultat de son installation sur le trône de Pierre serait le discrédit de la papauté et l’humiliation de l’Église catholique, ainsi que la propagation d’hérésies, de morales des erreurs et des scandales très graves. En effet, c’est précisément dans son action constante, dans le ruissellement impitoyable de ces dix dernières années que la Papauté a connu l’assaut le plus grave et le plus puissant, mené par celui qui doit à la Papauté son autorité sur le corps ecclésial. Une action extérieure n’aurait pas produit les mêmes résultats. Il faut dire aussi que le renoncement de Benoît XVI et le monstrum catholique, ont donné naissance à la « papauté émérite » et ont porté un coup mortel à l’Église, permettant de mener à bien le plan contre elle qui prévoyait l’élection d’un pape qui suivrait l’agenda de l’élite.

Critiquer Bergoglio pour ce qu’il fait à l’Église ne fait pas le jeu de ses commettants, de la mafia de Saint-Gall ou de l’élite mondialiste maçonnique qui l’y voulait. L’indignité de l’Argentin au Soglio di Pietro est, en revanche, un signe évident de l’action préméditée et malveillante de ceux qui savent bien que le moyen le plus efficace de démolir une institution consiste dans le travail de discrédit effectué par ceux qui y détiennent la plus haute autorité. Ce n’est pas différent de ce qui se passe aujourd’hui dans la sphère civile, dans laquelle toute la classe politique et dirigeante est corrompue et soumise aux intérêts criminels de la même élite antéchristique, qui d’une part corrompt les âmes avec la propagande LGBTQ + et la théorie du genre ., d’autre part, il se sert d’évêques corrompus – comme cela se passe en Belgique avec les « bénédictions » des unions homosexuelles – pour pousser à l’extrême les propos de Bergoglio, à commencer par « Qui suis-je pour juger ».

J’aimerais voir une implication extrêmement grave (et inévitable) de cette légitimation progressive de la doctrine LGBTQ+ et de l’ idéologie du genre.dans la vie de l’Église. Nous savons que le magistère de l’Église condamne les actes contre nature comme « intrinsèquement pervers » : ils sont un mal ; quiconque les fait pèche gravement et s’il ne se repent pas, son âme est vouée à la damnation éternelle. Ecriture Sainte – Ancien et Nouveau Testament nous dit sans équivoque. Au contraire, les propos de Bergoglio et les actes de ses complices visent à lever toute condamnation morale sur la sodomie et la pratique du changement de sexe. Mais que se passera-t-il lorsque, dans quelques années, il y aura des « fidèles » transsexuels qui demanderont à être admis dans les Ordres ? Je n’ajouterai rien d’autre : je vous laisse comprendre l’abîme qui s’ouvre devant nous.

A ceux qui s’obstinent à distinguer ce qui du « magistère » bergoglien est contraignant et ce qui ne l’est pas, je pense qu’il est inutile de répéter que cette approche formelle peut peut-être sauver l’infaillibilité papale, mais certainement pas l’image de l’Église, et au elle démontre en même temps l’extranéité totale de Bergoglio à la papauté : elle est instinctivement perçue même par les simples fidèles comme le rejet d’un organe transplanté dans un organisme qui ne le reconnaît pas comme le sien . Le sensus fidei leur fait comprendre ce que l’analyse de ses déclarations hérétiques confirme au théologien ou au canoniste. La célèbre « Buonasera » du balcon de la Loggia di San Pietro le 13 mars 2013 représente la quintessence de cette irrémédiable aliénation… » (remnantnewspaper.com)

Septembre 2022

22 septembre

LA GRANDE PROSTITUÉE

Les Nations-Unies ont voté une résolution le 2 septembre dernier considérant l’avortement comme faisant parti des droits de l’homme.
Réplique du Vatican : rien.

Pourtant, il y a un délégué du Vatican attitré aux Nations-Unies.

Cette semaine, les évêques de la Flandre en Belgique ont publié un rite de « bénédiction » des unions homosexuelles.
Réaction du Vatican : nil.

« L’initiative des évêques de Flandre n’est pas un acte de rébellion ouverte, surtout pas contre le pape François. Depuis son élection, celui-ci mène l’Eglise avec détermination sur la voie d’une reconnaissance de l’homosexualité. Ce projet est un fil rouge de l’actuel pontificat et est considéré comme l’une de ses principales préoccupations….

Le 15 mars 2021, la Congrégation pour la doctrine de la foi, dans sa réponse (responsum) aux doutes (dubia) concernant une bénédiction de couples homosexuels, a répondu par un non clair et a déclaré que de telles bénédictions de couples homosexuels n’étaient « pas possibles » selon l’enseignement de l’Église. Le pape François a « réparé » la démarche de la Congrégation pour la doctrine de la foi en exprimant son étonnement face au texte et s’est vengé de la défense de la doctrine de la foi qu’il n’avait pas souhaitée en purgeant la Congrégation pour la doctrine de la foi des responsables du document. … » (benoit-et-moi.fr)

La bête avance, « sort de l’eau » comme l’affirme la prophétie de Jean XXIII.

En effet, nous voyons effectivement le vrai visage de l’église conciliaire post Vatican II, la grande prostituée de l’Apocalypse.

Elle est complice, sinon l’initiatrice des attaques de la morale contre la doctrine catholique.

Babylone Vatican agit en parallèle avec Babylone Nations-Unies (les deux Babylone de la prophétie de Jean XXIII) dans cette montée du phénomène social « woke » qui n’est qu’une perversion des mœurs.

Rome a choisi son camp.

Et c’est celui de Satan.

Il n’est pas surprenant que nombre de prophéties prévoient la destruction de Rome.

Voici la :

« Déclaration de Monseigneur Carlo Maria Viganò concernant les « bénédictions » des couples homosexuels célébrées en Belgique
de Carlo Maria Vigano

Avec un grand scandale pour le salut des âmes et pour l’honneur de l’Église du Christ, la Conférence épiscopale de Belgique a approuvé et publié un rite de « bénédiction » pour les unions homosexuelles, contrevenant effrontément à l’enseignement immuable du Magistère catholique, qui elle considère ces unions comme « intrinsèquement perverses » et qui, comme telles, non seulement ne peuvent les bénir, mais doivent plutôt les condamner comme contraires à la morale naturelle. Le fondement idéologique de ce rite sacrilège est indiqué dans les propos subtilement trompeurs d’ Amoris lætitia , selon lesquels « toute personne, quelle que soit son orientation sexuelle, doit être respectée dans sa dignité et reçue avec respect ».

Le processus de dissolution doctrinale et morale mené par la secte bergoglienne se poursuit sans arrêt, quels que soient la désorientation qu’il provoque chez les fidèles et les dommages incalculables qu’il cause aux âmes.
Il est maintenant évident, au-delà de tout doute, l’absolue inconciliabilité entre l’enseignement de l’Évangile et les déviations de ces hérétiques, qui abusent de leur pouvoir et de leur autorité en tant que pasteurs dans le but opposé à celui pour lequel le Christ a institué la Hiérarchie sacrée dans l’Église. Et c’est encore plus évident le jeu pervers des rôles qui assigne à ceux qui siègent à Rome la formulation de principes hétérodoxes en opposition avec la doctrine catholique et à leurs complices dans les diocèses leur application scandaleuse, dans la tentative infernale de saper la morale afin de obéir à l’esprit du monde.

Les excès honteux de certains représentants de la Hiérarchie trouvent leur origine dans un plan délibéré et voulu d’en haut, qui, grâce à la voie synodale, veut rendre l’épiscopat rebelle autonome dans la propagation des erreurs de foi et de morale, tandis qu’avec l’autoritarisme il empêche les fidèles de proclamer la Vérité du Christ.

21 septembre 2022

Matthieu l’apôtre et l’évangéliste

Mercredi, les Quatre Saisons de Septembre » 

15 septembre

En cette fête de Notre Dame des Douleurs. :

Je désire auprès de la croix
Me tenir, debout avec toi,
Dans ta plainte et ta souffrance.

Vierge des vierges, toute pure,
Ne sois pas envers moi trop dure,
Fais que je pleure avec toi.

Du Christ fais-moi porter la mort,
Revivre le douloureux sort
Et les plaies, au fond de moi.

Fais que Ses propres plaies me blessent,
Que la croix me donne l’ivresse
Du Sang versé par ton Fils.

Je crains les flammes éternelles ;
Ô Vierge, assure ma tutelle
À l’heure de la justice.

Ô Christ, à l’heure de partir,
Puisse ta Mère me conduire
À la palme des vainqueurs.

À l’heure où mon corps va mourir,
À mon âme, fais obtenir
La gloire du paradis.

L’heure est grave.

Les tambours de la guerre sonnent de plus en plus.

Le 16 octobre sonnera la fin des 42 mois révolus depuis l’incendie de Notre Dame de Paris, si cela était un signe important qui nous était révélé.

Le « grand éclair à l’Orient » n’aura jamais été aussi près.

La Russie a averti. Les frappes nucléaires sont à la porte de l’Europe si l’occident continue à maintenir l’Ukraine.

Israël est prêt à faire de même avec l’Iran.

C’est un monde sans paix. C’est la fausse paix des prophéties qui est terminée.

C’est le résultat de l’apostasie générale.

Saint Paul dans sa lettre aux romains a bien vu.

Le salaire de cette apostasie est la mort éternelle.

« Il faut le dire clairement : le monde est en train de se transformer en une Sodome et Gomorrhe universelle. Nous ne pourrons pas y échapper en déménageant ailleurs, car cette transformation est universelle. Il faut garder notre calme, mais s’y préparer dès maintenant, avec tous les moyens à notre disposition, pour ne pas être surpris au réveil.

La Sodome et Gomorrhe universelle

Il est toujours difficile de faire le prophète de malheur, mais parfois il n’est pas possible de s’y soustraire. Une culture diabolique s’installe chaque jour davantage dans le monde. Après avoir refusé Dieu par l’apostasie et l’athéisme, l’humanité contemporaine veut inévitablement se substituer à lui. Et les résultats sont sataniques. C’est l’homme qui prétend déterminer le bien et le mal. C’est lui qui prétend choisir de vivre ou de mourir, d’être tel ou telle, d’accorder la vie ou de la supprimer... Bref, de décider tout ce que Dieu était censé décider, et cela à une échelle universelle.

Mais le pire de tout cela, c’est la volonté manifeste d’initier les innocents à ces principes abominables. Il y a une attention toute particulière portée sur l’enfance et la jeunesse, dans le but de les introduire dès leur plus jeune âge dans cette nouvelle vision de la réalité, de les corrompre, et de leur apprendre ce que seuls les adultes sont censés connaître, et aussi ce que même les adultes ne devraient pas connaître dans une société encore humaine et saine. Moralement parlant, on constate une véritable volonté de détruire l’innocence là où elle est censée se trouver naturellement. Nous en sommes là. Le problème n’est pas seulement le péché qui envahit le monde et qui contamine tout sur son passage, mais le fait que tout cela soit approuvé et imposé. C’est le signe que Dieu, abandonné par l’homme, a à son tour abandonné l’homme à son sort.


La faiblesse des hommes d’Église

Devant cet état de fait, l’Église issue du Concile se trouve dans une impasse. Cela était inévitable depuis le jour où le dialogue a remplacé la prédication de la vérité. La volonté de se conformer au monde, de l’accepter tel qu’il est, sans plus le condamner dans ses égarements, sans plus l’affronter, cette volonté est en train de porter ses derniers fruits. Il y a déjà des portions considérables de l’Église qui prônent ouvertement l’acceptation des abominations évoquées plus haut. D’autres portions de l’Église semblent ne plus savoir au nom de quoi on pourrait s’y opposer. Bref, tout est prêt pour une nouvelle Sodome et Gomorrhe.


Menzingen, le 3 septembre 2022,
en la fête de de saint Pie X
Don Davide Pagliarani, Supérieur général »

(fsspx.news)

« « UN JOUR VIENDRA… » : LA PROPHÉTIE TROUVÉE DE PIE XII

En 1972, une biographie sur le Pape Pie XII intitulée Pie XII devant l’Histoire, écrite par Mgr. Georges Roche et Philippe Saint Germain, jamais traduits en italien. Les auteurs rapportent des confidences inédites que le Cardinal Eugenio Pacelli, alors « lointain », fit à deux amis, le Comte Enrico Pietro Galeazzi et Monseigneur Slozkaz, concernant les apparitions de Fatima et l’apostasie de l’Église catholique. Il est intéressant de noter que Sœur Lucia Dos Santos n’a écrit les visions et les secrets qu’en 1941 et 1944, donc ce que le cardinal Pacelli de l’époque a dit – qui se réalise tragiquement – suggère que tout ne nous a pas été révélé pendant le Jubilé de 2000. Nous vous avons traduit ces confidences, véritables prophéties du futur Pie XII : lisez et méditez.

« Supposons que le communisme soit l’un des instruments de subversion les plus évidents utilisés contre l’Église et les Traditions de la Révélation Divine. Nous verrons alors la contamination de tout ce qui est spirituel : philosophie, science, droit, enseignement, arts, médias, littérature, théâtre et religion.

Je m’inquiète des confidences de la Vierge à la petite Lucie de Fatima. Cette insistance de la Bonne Dame sur les dangers qui menacent l’Église est une mise en garde divine contre le suicide qui représente une altération de la Foi dans sa liturgie, sa théologie et son âme.
Je sens autour de moi que les innovateurs veulent démanteler la Sainte Chapelle, détruire la flamme universelle de l’Église, rejeter ses ornements et la rendre coupable de son passé historique. Ici, je suis convaincu que l’Église de Pierre devra se réapproprier son passé, sinon son propre tombeau sera fouillé.

Je mènerai ce combat de toutes mes forces à l’intérieur de l’Église, comme à l’extérieur, même si les forces du mal peuvent un jour profiter de ma personne, de mes actes ou de mes écrits, comme on le sent aujourd’hui déformer l’histoire de l’église. Toutes les hérésies humaines qui altèrent la Parole de Dieu sont faites pour apparaître meilleures qu’elle.

Il viendra un jour où le monde civilisé reniera son Dieu, où l’Église doutera comme Pierre a douté. Il sera alors tenté de croire que l’homme est devenu Dieu, que son Fils n’est qu’un symbole, une philosophie comme tant d’autres. Dans les églises, les chrétiens chercheront en vain la lampe rouge où Jésus les attend ; comme le pécheur en larmes devant le tombeau vide, ils crieront : « Où l’ont-ils emmené ? ».

Ce sera alors que des prêtres d’Afrique, d’Asie, des Amériques – ceux formés dans les séminaires missionnaires – se lèveront et diront et proclameront que le « pain de vie » n’est pas un pain ordinaire, que la Mère de Dieu-homme n’est pas une mère comme beaucoup d’autres. Et ils seront déchirés pour avoir témoigné que le christianisme n’est pas une religion comme les autres, puisque son chef est le Fils de Dieu et que l’Église (catholique) est son Église ». » (itreamoribianchi-araldidelvangelo.com)

Préparez-vous.

Le système économique va tomber.

Il tombe toujours quand le monde entre en guerre.

Les prophéties de l’Église vont se dérouler à grande vitesse aussitôt les deux signes importants accomplis :

Le décès de Benoît XVI, signifiant la mort éminente de Babylone Vatican, et le « grand éclair à l’Orient » pour la chute du système Babylone Nations-Unies.

Les funérailles d'Élisabeth II auront lieu le 19 septembre, soit le jour anniversaire de l’apparition de la Salette.

Un autre symbole fort représentant la chute imminente de Babylone.

8 septembre

Tout un symbole…

La reine Élisabeth II est décédée le jour de la nativité de la Sainte-Vierge Marie.

Une nouvelle étape s’enclenche pour la fin des temps si les prophéties de Marie-Julie Jahenny ( de 1881) s’adressent ce monarque :

« En Angleterre : A cette époque, l'Angleterre aura trahi son peuple sous l'empire d'une reine ; à sa descente du trône , les choses ne se passeront pas comme le Seigneur l'exige.

… Avant même, peut être que la première crise de la Fille ainée de l'Eglise ne soit commencée, il y aura des nouvelles douloureuses de ces peuples : Angleterre, Perse ( Iran, Iraq, Turquie) , Jérusalem. Tous auront subi de grands maux.

A la sortie de ce trouble, il y aura un nouveau règne pour la terre anglaise et un choix se fera , quand soudain, la mort viendra frapper ceux qui ont en main le gouvernail de ce royaume. Pour cette terre, il se fera bien du mal et elle sera divisée en quatre parties, car leurs volontés ne s'accorderont nullement. Le choix des catholiques sera rejeté.

L'Angleterre reviendra au catholicisme après les châtiments. La France, ne pourra s'empêcher, à cause de sa charité, d'envoyer ses enfants au secours de ce peuple en péril. »

Comme on le sait, l’Angleterre et toute l’Europe est en ébullition à cause des hausses des coûts de l’énergie (voulus) liés à la guerre en Ukraine.

Charles Sannat : « Danger. Vers des révoltes en Europe sur les prix de l’énergie ! »

Cette crise majeure mondiale est voulue parce que la mondialisation est dans un cul de sac.

L’inflation voulue (qui était supposée être temporaire soit dit en passant) mettre le peuple à genoux (taux d’intérêts relevés) afin de causer un chaos contrôlé pour permettre la grande réinitialisation.

L’Europe pousse ainsi ( en fait l’occident au complet) la guerre à tout prix, quitte à faire souffrir son peuple.

Ainsi la nouvelle première ministre britannique fraîchement confirmé cette semaine : « Quand « la » nouvelle Premier ministre britannique promet l’apocalypse » (benoit-et-moi.fr).

Rappelons aussi que l’entente proposée sur le développement d’armes nucléaires avec l’Iran est tombée à l’eau aujourd’hui.

Tous des signes que nous attendions avec impatience depuis longtemps.

Pourquoi?

C’est l’imminence de la prophétie du « Grand Éclair à l’Orient » qui malgré le chaos sème l’espoir marial.

N’oublions pas aussi que les élections de mi-mandat américaines arrivent à grands pas en novembre (en référence à l’assassinat au sud de Luther (voir analyses des prophéties politiques).

Le roi européen Macron est en poste.

L’esprit trouble, fille des fugitifs de Nuremberg (les nazis) domine l’actualité, c’est à dire l’Ukraine.

La terre est sur le bord du massacre.

L’Europe a soif, elle aura du sang dans les rues (effectivement, elle sacrifie son peuple à la guerre).

Les assassins sont en Europe spécifie la prophétie.

« Mais aussi de grandes processions et la Vierge Heureuse descendra sur terre. Vous ne la verrez pas dans la grotte, mais dans un cœur qui revivra. Depuis les ténèbres, elle apportera la parole que tous comprendront.
C'est le temps des lettres. »

Ce retour de la Sainte Vierge dans les cœurs est exactement la résurrection des deux témoins de l’Apocalypse.

Et ce réveil ne peut avoir lieu que si Benoît XVI décède (voir analyse précédente), donc dans les prochaines semaines???

Les prochains mois seront mouvementés et importants.

C’est le temps des lettres : l’Alpha et l’Oméga, le début et la fin, c’est à dire la Pâques, le passage, le nouveau cycle, soit la chute de Babylone avant le retour de NSJC (voir le calendrier de la fin des temps dans les analyses précédentes)

02 septembre

L’Église est éclipsée.

Mais Benoît XVI veille quoique qu’il est très diminué physiquement.

Dernière apparition de Benoît XVI pour la visite des nouveaux cardinaux issus du Consistoire.

Benoît XVI est le katechon, celui qui retient le bras de Jésus.

Sa disparition est le signal de la destruction des deux Babylone (voir la prophétie le concernant et les analyses précédentes), et cela se produira lors de la célébration de ses obsèques devant la tombe de Jean-Paul II à la basilique Saint-Pierre selon la prophétie.

Devra-t-on attendre la fin du synode 2023 ou le signe donné par Bergoglio sur son intention de supprimer la présence réelle par une nouvelle messe œcuménique?

Évidement, non.

Car Benoît XVI est l’image de la Tradition, de la branche conservatrice au Vatican, du dogme et de la Foi.

À sa mort, les progressistes « danseront » de joie.

C’est écrit. C’est la mort des deux témoins de l’Apocalypse : « Et les habitants de la terre se réjouiront à leur sujet ; ils se livreront à l'allégresse et s'enverront des présents les uns aux autres, parce que ces deux prophètes ont fait le tourment des habitants de la terre. » ( Apocalypse 11.10 )

Analyse du 28 décembre 2021 et du 1 janvier 2022 :

« … Benoît XVI: comme pape émérite ayant démissionné de sa charge administrative du Vatican, et non comme pape, qui reste saint, comme le saint aux pieds nus dans sa simplicité, dépouillé de tout, dans sa prison au monastère Mater Ecclesiæ sur le mont au Vatican.

En effet, le monastère Mater Ecclesiæ, qui tient son nom de l'expression latine Mater Ecclesiæ qui signifie « Mère de l'Église », est sur un mont au jardin du Vatican.

C’est très significatif en ce qui concerne la fin des temps.

« Alors le saint aux pieds nus descendra du mont et, devant la tombe du va-nu-pieds, éclatera le règne béni de la Très Sainte Vierge. » (fin de la prophétie concernant Benoît XVI)…

« Ton règne sera grand et bref. Père, il sera bref mais il te mènera loin, dans la lointaine terre où tu es né et où tu seras enseveli. » (prophétie concernant François)

Cette prophétie s’adresse évidement à Bergoglio.

Lors de son décès,  « A Rome ils ne voudront pas te donner. ».

Évidement, car il est la figure de proue de l’église conciliaire progressiste.

C’est Rome qui ne veut pas le donner, et non l’Église de la Tradition, qui au contraire, y verra une libération,  la résurrection de la foi via la résurrection des deux témoins!

« Et il y aura un autre Père, avant que tu sois enseveli, pour prier loin pour toi, pour les blessures de la Mère. »

« Avant que tu sois enseveli » ne veut pas nécessairement dire qu’il est mort.

C’est un ordre de temps : AVANT

La conclusion évidente est qu’un autre pape serait immédiatement élu après le décès de Bergoglio, anticipant même une consécration immédiate du cardinal Pietro Parolin, sans conclave, face à la situation exceptionnelle qui arrivera (i.e. la terre frisera le massacre ou simplement la dernière trouvaille de Bergoglio, soit nommé un pape successeur avant la mort du pape ne fonction). »

Anne Catherine Emmerich  avait reçu la grâce de voir cette période qui est la nôtre :

« J’ai vu également la relation entre les deux papes … J’ai vu combien seraient néfastes les conséquences de cette fausse église. Je l’ai vue augmenter de dimensions; des hérétiques de toutes sortes venaient dans la ville (de Rome). Le clergé local devenait tiède, et j’ai vu une grande obscurité ».

« Je vois le Saint-Père dans une grande angoisse. Il habite dans un bâtiment autre que celui d’avant et il n’y admet qu’un nombre limité d’amis qui lui sont proches. Je crains que le Saint-Père ne souffrira beaucoup d’autres épreuves avant de mourir. Je vois que la fausse église des ténèbres fait des progrès, et je vois l’énorme influence qu’elle a sur les gens ».

« Je vis l’Église des apostats prendre de grands accroissements. Je vis les ténèbres qui en partaient se répandre alentour et je vis beaucoup de gens délaisser l’Église légitime et se diriger vers l’autre, disant : «Là tout est plus beau plus naturel et mieux ordonné ».

« Je vis croître la tiédeur du clergé local, je vis un grand obscurcissement se faire. Alors la vision s’agrandit de tous côtés. Je vis partout les communautés catholiques opprimées, vexées, resserrées et privées de liberté. Je vis beaucoup d’églises fermées. Je vis de grandes misères se produire partout. Je vis des guerres et du sang versé. Je vis le peuple farouche, ignorant, intervenir avec violence ».

« Je vis le secours arriver au moment de la plus extrême détresse ».
«Tous devaient y être admis, pour être unis et avoir des droits égaux: évangéliques, catholiques et sectes de toutes dénominations. Telle devait être la nouvelle Église ... Mais Dieu avait d'autres projets»

Inutile de prouver que nous sommes bel et bien dans cette période.

Les extrêmes climatiques depuis quelques mois mettent bien des gens à l’épreuve.

Ce n’est que le début.

Car l’inflation et la récession liés à ces caprices météorologiques (la guerre de la nature selon les prophéties de Jean XXIII)  vont plonger le monde dans un chaos tel que l’humain n’a jamais été témoin.

D’où l’importance de la Foi et du Rosaire car psychologiquement, ce sera difficile.

Mais pour nous, c'est la résurrection des vivants et des morts qui pointe à l'horizon.

Août 2022

26 août

Deux grandes constatations surgissent des derniers mois.

La première, de causes naturelles (alors que nous savons que c’est la « guerre de la nature » des prophéties de Jean XXIII) est la sécheresse catastrophique dans toutes les parties du globe.

Le manque d’eau potable ainsi que des rendements insuffisants des récoltes feront de 2023 une année très difficile pour les populations à risque.

Ces manques d’eau, ont par ailleurs, une répercussion énorme sur la chaîne d’approvisionnement comme on a pu le constater avec la navigation restreinte sur le Rhin en Allemagne, ou par les coupures d’énergie dans les usines de la Chine.

La deuxième, pour ceux qui ont les yeux pour voir, est la provocation pure et simple, intentionnelle, de la chute de l’économie mondiale pour servir la cause de la grande réinitialisation.

Toutes les banques centrales des pays occidentaux, sans exception, augmentent les taux d’intérêts intentionnellement pour contrer la très redoutée poussée inflationniste causée par eux avec les confinements obligatoires pendant deux années.

En même temps, ces mêmes pays poussent l’économie vers des énergies plus vertes à des coûts exorbitants provenant à même les impôts de la classe moyenne, car dans cette grande réinitialisation, la survie de l’élite en dépend.

Les pays asiatiques, dépendant de la demande gargantuesque des occidentaux, luttent pour garder le rythme de production.

C’est une guerre économique contre la Chine, évidement, qui a déjà de la difficulté avec la sécheresse « exceptionnelle », qui se joue.

Tous doivent être « motivés », par la force s’il le faut, à joindre le mouvement mondialiste basé sur la religion humaniste avec comme langage commun le réchauffement climatique.

D’où la guerre en Ukraine pour affaiblir la Russie.

Relisez la prophétie politique #32 « Le Temps est Proche ».

Tout y est.

Et cela se produit juste avant la fin des 7 ans de règne de la fille de Caïn.

Et comme on soupçonne que la fille de Caïn est la nouvelle église œcuménique de Bergoglio qui s’est fait jour à la face du monde lors de la signature avec les luthériens en octobre 2016, les sept années se terminent en 2023.

Les dates sont quand mêmes assez révélatrices…

Après avoir reçu les luthériens au Vatican le 13 octobre 2016, Bergoglio se rend ensuite en Suède pour le pacte avec les luthériens.

La semaine de Daniel de 7 ans commencerait donc en octobre 2023.

Comme prophétisé par Daniel, le sacrifice et l’oblation ont été interrompu à la moitié de la semaine, avec la Pâques du 12 avril 2020.

Le monde a été témoin d’une Pâques sans fidèle au Vatican et les églises fermées un peu partout à travers le monde à cause des confinements n’ont pas célébrer la Pâques.

Au même moment, au niveau politique, la bête de la Terre :

« Macron : « La Bête de l’événement est là » » (entrevue accordée au Financial Times le 16 avril 2020).

Emmanuel Macron, a confirmé dans son discours du 13 avril 2020 le « plan de l’après 11 mai ».

Et Macron ce 24 août 2023 ( agence Reuters):

« Les Français doivent se préparer à d’avantage d’efforts et de sacrifices alors que le monde est confronté à une grande bascule ». à prévenu Macron mercredi en préambule au conseil des ministres Le ton grave, le chef de l’état à appelé à l’unité alors que nous sommes en train de vivre  » une grande bascule, un grand bouleversement, avec la fin de l’abondance, la fin d’une forme d’insouciance, et la fin des évidences »…
« Le moment que nous vivons peut sembler être structuré par une série de crises plus graves les unes que les autres ».

Guerre économique, guerre religieuse, guerre par les armes, guerre de la nature…

C’est dans l’habitude de l’élite remplie d’orgueil d’annoncer à l’avance leurs plans. Ils ne se cachent plus car ils sont sûrs de la victoire.

Mais Dieu avait d’autres plans…

2023 sera un signe de purification par le feu, par le feu du Saint-Esprit pour ceux qui sont en état de grâce, car la conclusion du synode d’octobre 2023 risque de faire des flammèches.

On surveille le Consistoire du 29 août de Bergoglio.

On le soupçonne de vouloir introduire un coadjuteur du pape, c’est-à-dire un cardinal élu pape qui n’entre en fonction que lorsque l’autre meurt, pour assurer la continuité de son travail de destruction progressiste de l’église.

Ce qui, confirmerait, sans surprise pour nous, une phrase clé de la prophétie de l’église #10 concernant François : « Et il y aura un autre Père, avant que tu sois enseveli, pour prier loin pour toi, pour les blessures de la Mère. »

Dans nos analyses, nous avons toujours soupçonné que le cardinal Pietro Parolin accéderait à la papauté intérimaire sans conclave, et devenir le « Pierre le Romain » de la prophétie de Saint-Malachie.

Voilà qui pourrait être la réponse.

11 août

Quelques articles sur l’état de l’église ainsi qu’une confirmation de la grande apostasie par le cardinal Burke qui nous laisse une note encourageante.

Nous sommes mis à l’épreuve et comme dans la parabole des 10 vierges, il nous faut garder de l’huile pour l’arrivée de l’époux, c’est à dire garder notre flamme de la Foi allumée.

« L’évêque de la « théologie pop » à la tête de l’Académie pontificale de théologie

Le pape François a nommé Mgr Antonio Staglianò, actuellement évêque de Noto, président de l’Académie pontificale de théologie.
La mission de l’académie, rappelle le Vatican, est de « promouvoir le dialogue entre la foi et la raison ainsi que l’approfondissement de la doctrine chrétienne, en suivant les indications du pape », et Staglianò était considéré comme l’homme juste au bon endroit.
L’annonce a été faite par l’évêque lui-même, qui s’est dit reconnaissant au pontife et heureux de la reconnaissance « pour la prédication de l’Évangile, pour l’œuvre de charité, et aussi pour la tentative faite dans notre Église locale d’inventer, en le sens de découvrir de nouvelles formes de communication « au service de l’Evangile ». « Nous – a poursuivi l’évêque de Noto – l’appelons théologie pop « .
En me nommant – a poursuivi l’évêque -, le pape signifie que « je peux, en travaillant dur, apporter l’académie, la science théologique au peuple de Dieu ». »

Ci-dessous, vous pouvez voir et écouter quelques leçons de théologie pop données par l’évêque : (vidéo en italien mais qui donne le ton de cette mimique charismatique aldomariavalli.it )

Ils essaient de changer la mentalité des nouvelles générations, autant au Vatican, que dans la population en général.

En plus de ceci qui confirme ce qui s’en vient à la conclusion du synode des synodes… les valeurs inversées, c’est à dire que le peuple veut et non ce que Dieu veut.

« CHICAGO ( LifeSiteNews ) – Le chef ouvertement pro-homosexuel de la commission épiscopale européenne a de nouveau mis en doute la doctrine catholique éternelle sur l’homosexualité et a semblé suggérer qu’il pense que l’Église catholique peut changer son enseignement à travers le « Synode sur la synodalité,  » et a affirmé qu’il savait qu’il était « en plein accord avec le pape François » sur la question.
Dans un échange de 90 secondes capturé sur vidéo dimanche à la paroisse Holy Child Jesus à Chicago, Illinois, le cardinal jésuite Jean-Claude Hollerich, qui joue un rôle important dans le synode du pape François sur la synodalité en tant que rapporteur général, a déclaré que « nous devons donner une interprétation à l’enseignement biblique » lorsqu’on lui a demandé ce qu’il pensait d’un éventuel changement dans la doctrine catholique sur l’éthique sexuelle.

Néanmoins, des documents synodaux de diocèses du monde entier ont déjà signalé des appels, apparemment de la part de paroissiens, à des changements dans les enseignements concernant les unions homosexuelles et le célibat sacerdotal.
Lors de la visite de Hollerich aux États-Unis, l’activiste catholique laïc Richard Smaglick a demandé si le cardinal de haut rang pensait que la sodomie ne pouvait plus être considérée comme un péché grave dans la doctrine catholique à la suite du processus synodal mondial.

« Je ne sais pas ce que le synode apportera », a répondu Hollerich, « nous écoutons maintenant les gens du monde, ce qu’ils expriment ».

« Je commence à recevoir des rapports. Comme vous le savez, je suis le rapporteur général du synode et donc, en lisant tout cela, en septembre, nous ferons une première ébauche pour les rencontres continentales qui auront lieu », a expliqué le cardinal, qui est également archevêque de Luxembourg. , ajoutant plus tard qu’il « ne considérerait jamais la sexualité séparée de l’amour »…

« La Bible dit que le soleil tourne autour de la terre », a poursuivi Hollerich. « Ainsi, la Bible est… [nous] devons donner une interprétation à la Bible… »

Suite à la visite de Bergoglio au Canada...

« Nécromancie papale en mondovision. Bergoglio participe à un rituel païen invoquant « le cercle sacré des esprits »….

Il fut un temps où, dans l’Église, cet « accès au cercle sacré des esprits » était désigné par un nom spécifique, la nécromancie. Et condamné et poursuivi par l’autorité catholique. Mais maintenant, dans la néo-église conciliaire, même cela devient permis – en fait, encouragé en personne, dans le monde entier, par le pontife romain lui-même…

Il faut comprendre comment ce rituel d’accès au monde des esprits est présent dans tout l’ésotérisme – c’est-à-dire à l’opposé de la religion catholique. On le retrouve même dans les rites d’initiation de la ‘Ndrangheta, où, peut-être en raison de l’influence de la secte maçonnique, des invocations sont faites à une « chaîne sainte » d’esprits du triumvirat du Risorgimento italien (c’est-à-dire maçonnique) : « Sous la lumière des étoiles et la splendeur de la lune, je forme la chaîne sainte, au nom de Garibaldi, de Mazzini et de La Marmora, dans les mots d’un homme d’humilité, je forme la société sainte ».

Revenant sur le scandale au Canada, après le rituel païen, François a prononcé un discours dans lequel il a condamné la « colonisation idéologique », déplorant une « mentalité colonialiste » passée qui, selon lui, « négligeait la vie concrète des gens et imposait certains modes culturels prédéterminés ».

Au contraire, Bergoglio semble soutenir avec véhémence les rites païens des peuples indigènes, affirmant que « le Saint-Siège et les communautés catholiques locales s’engagent concrètement à promouvoir les cultures indigènes par des formes spécifiques et appropriées d’accompagnement spirituel, qui incluent l’attention à leurs traditions culturelles, leurs coutumes, leurs langues et leurs processus éducatifs, dans l’esprit de la Déclaration des Nations unies sur les droits des peuples indigènes ».

Absolument : oui au paganisme, et sous les auspices de l’ONU – deux choses auxquelles le Vatican est soumis aujourd’hui.

Auparavant, lors de sa visite au Canada, le pape, portant la coiffe traditionnelle indigène, avait assisté à une « danse de guérison », pleine de tambours qui étaient apparemment censés imiter « le battement de cœur de la mère terre » – c’est-à-dire, en traduction amazonienne, de Pachamama, la mère terre, son idole de prédilection.

Le chef religieux indien a déclaré : « De l’ouest, nous avons le vent, l’oxygène que nous respirons, c’est le gouvernement de la terre mère. Et du côté nord, nous avons la terre mère, la terre mère est ce que nous sommes. La terre mère est toute la vie végétale, la terre mère, notre mère, est aussi la mère de toute la vie des insectes, la terre mère est aussi la mère de tous les animaux sur terre, dans l’eau, dans l’air ».

« La mère terre est bien sûr la mère de toute l’humanité », a ajouté le chef « spirituel ».

Le processus de paganisation dont le pape est un intermédiaire, sinon un organisateur, est désormais indéniable. Et embarrassant. Désespérant. » (benoit-et-moi.fr)

Le cardinal Burke, qui célèbre toujours la messe tridentine, :

« ... met en garde contre "l'avancement de l'apostasie" dans l'Église lors de l'homélie de la messe en latin

WAUSAU, Wisconsin ( LifeSiteNews ) – Le cardinal Raymond Burke a offert encouragement et espoir aux catholiques traditionnels dans une récente homélie, déplorant le « poison de la pensée mondaine » au sein de l'Église.

Au cours de son homélie du 7 août à l'Oratoire Sainte-Marie dirigé par l'Institut du Christ Roi Souverain Prêtre (IKCSP) à Wausau, Wisconsin, Burke s'est adressé aux fidèles catholiques, mettant en garde contre les attaques à l'intérieur et à l'extérieur de l'Église catholique.

« Des temps comme le présent ne sont pas différents de ceux du peuple élu avant la chute de Jérusalem », a-t-il déclaré. « La culture laïque est une rébellion ouverte et violente contre le bon ordre que Dieu a inscrit dans la nature et surtout dans le cœur humain.

"L'intégrité du mariage et de la famille, la dignité inviolable de la vie humaine et la liberté fondamentale de religion sont régulièrement violées au profit d'une culture fondée sur la volonté de cœurs humains corrompus", a poursuivi Burke.

"Le poison de la pensée mondaine affecte la vie de l'Église, éloignant les cœurs du Christ, du respect de la vérité de la doctrine chrétienne et de l'adoration de Dieu en esprit et en vérité", a averti Burke.

Son homélie intervient au milieu de restrictions croissantes sur la messe latine traditionnelle alors que le cardinal Cupich de Chicago a annulé les messes publiques et les confessions des prêtres de l'ICKSP dans son diocèse, laissant quelque 400 à 500 fidèles chaque dimanche privés de la messe et des sacrements traditionnels.

Cette décision est intervenue après que les prêtres de l'ICKSP ont refusé de signer une lettre présentée par Cupich, déclarant que la messe Novus Ordo est la seule véritable expression du rite romain, rejetant ainsi le rite romain traditionnel et son charisme.

"L'apostasie est douloureusement évidente dans la vie de ceux qui prétendent être de fervents catholiques tout en ignorant la tradition apostolique", a déclaré Burke.

"Dans de tels moments, les cœurs sincères luttent pour comprendre la volonté permissive de Dieu tandis que Satan les tente au doute et au découragement, et à l'abandon de la bataille quotidienne contre les forces du mal", a-t-il déclaré.

"Mais nous ne devons jamais céder au doute, au découragement et à l'abandon de la bataille quotidienne pour défendre notre Seigneur et sa sainte Église", a déclaré Burke, ajoutant, "même des ennemis de l'intérieur de l'Église".

Le cardinal Burke a toujours exprimé son soutien à la messe en latin, défendant la Tradition contre de nouveaux documents publiés par la Congrégation (aujourd'hui Dicastère) pour le culte divin et la discipline des sacrements (CDW). »

9 août

LA PERSÉCUTION DE L’ÉGLISE

« Voici donc que je te donnerai quelques-uns de la synagogue de Satan, qui se disent être juifs et ils ne le sont pas, mais ils mentent. » (Apoc. 3:9)

Dans l’Apocalypse, ces paroles sont données à l’église de Philadelphie, la dernière de la suite, la 7ème, pointant ainsi sur la fin des temps, sur la dernière persécution de l’Église.

Avec la venue du Christ, les « juifs » sont devenus les chrétiens, le peuple de Dieu.

Ainsi, ceux qui se disent du Christ mais ne le sont pas, mentent.

L’abbé Julio Meinvielle (théologien argentin), « Les juifs dans le mystère de l’histoire » (réédition février 2007):

« Saint Paul, dans son Epître aux Romains, où il révèle le mystère du peuple juif, fait voir comment Esaü, l’aîné selon la chair, c’est le peuple juif uni à Abraham par les simples liens du sang, et Jacob le frère cadet, c’est l’Église (formée de Juifs et de Gentils), qui, parce qu’elle est unie par la foi au Christ, est préférée à Esaü. »

« Face à l’Eglise, qui est Isaac, Jacob, Abel, que va faire la Synagogue ? Que va faire le juif ? Il remplira le rôle d’Ismaël, d’Esaü, de Caïn.
Que faisait Ismaël avec Isaac ? Il se moquait de lui et le persécutait. Que faisait Esaü contre Jacob ? La Genèse nous dit : (XXVII) « Donc Esaü hait toujours Jacob pour la bénédiction que son père lui avait donnée. Et il disait en son cœur : viendront les jours de deuil de mon père, et je tuerai mon frère Jacob. »

Voici le rôle qui incombe dès lors à la Synagogue, au juif qui reste juif et ne veut pas reconnaître le Christ : il s’emploiera à persécuter l’Église, comme le fait remarquer l’Apôtre.

Et il devra le faire parce que telle est sa mission, son rôle théologique. Alors le juif sera l’agent de l’iniquité. »

« Après le Christ, il n’y a, pour les descendants d’Abraham, que deux chemins : ou bien être chrétiens en adhérant au Christ, ou bien être juifs. Celui, qui sciemment, ne se convertit pas sincèrement au Christianisme, est juif, avec toutes les perversités sataniques de la race stigmatisée. »

« Dans le monde actuel, dans toutes les manifestations de la vie, il ne peut y avoir que deux modes véritablement fondamentaux, deux pôles d’attraction : le chrétien et le juif. Seulement deux religions : la chrétienne et la juive. Seulement deux internationalismes : le chrétien et le juif. Tout ce qui n’est pas du Christ et pour le Christ se fait en faveur du judaïsme. De là vient que la déchristianisation du monde va de pair avec sa judaïsation.

Pourquoi ne peut-il y avoir que ces deux modes ? Parce que ce sont les seuls voulus par Dieu. Ce sont les seuls théologiques. Dieu a réparti le monde entre Isaac et Ismaël, entre Jacob et Esaü, entre Caïn et Abel, entre le Christ et l’Anti-Christ. Toutes les forces humaines doivent se replier sur l’un ou l’autre front. »

« Mais plus est élevée la grandeur d’Israël, qui a été prédestiné dans le Christ, plus grande devra être sa fidélité au Christ. Malheur à ce peuple s’il en vient à répudier Celui qui est son salut ! Alors il continuera à être le premier, mais le premier dans l’iniquité. Et tout ce que le monde peut produire de plus inique et de plus pervers sortira aussi de ce peuple. »

C’est donc ce déchaînement satanique auquel nous assistons.

Tout ce qui n’est pas lié à la doctrine de l’Église fondée et voulue par le Christ, est contre le Christ.

Ainsi, la Tradition est le phare des deux témoins de l’Apocalypse.

C’est inscrit dans le catéchisme :

« L’Épreuve ultime de l’Église

675 Avant l’avènement du Christ, l’Église doit passer par une épreuve finale qui ébranlera la foi de nombreux croyants (cf. Lc 18, 8 ; Mt 24, 12). La persécution qui accompagne son pèlerinage sur la terre (cf. Lc 21, 12 ; Jn 15, 19-20) dévoilera le " mystère d’iniquité " sous la forme d’une imposture religieuse apportant aux hommes une solution apparente à leurs problèmes au prix de l’apostasie de la vérité. L’imposture religieuse suprême est celle de l’Anti-Christ, c’est-à-dire celle d’un pseudo-messianisme où l’homme se glorifie lui-même à la place de Dieu et de son Messie venu dans la chair (cf. 2 Th 2, 4-12 ; 1 Th 5, 2-3 ; 2 Jn 7 ; 1 Jn 2, 18. 22).

676 Cette imposture antichristique se dessine déjà dans le monde chaque fois que l’on prétend accomplir dans l’histoire l’espérance messianique qui ne peut s’achever qu’au-delà d’elle à travers le jugement eschatologique : même sous sa forme mitigée, l’Église a rejeté cette falsification du Royaume à venir sous le nom de millénarisme (cf. DS 3839), surtout sous la forme politique d’un messianisme sécularisé, " intrinsèquement perverse " (cf. Pie XI, enc. " Divini Redemptoris " condamnant le " faux mysticisme " de cette " contrefaçon de la rédemption des humbles " ; GS 20-21).

677 L’Église n’entrera dans la gloire du Royaume qu’à travers cette ultime Pâque où elle suivra son Seigneur dans sa mort et sa Résurrection (cf. Ap 19, 1-9). Le Royaume ne s’accomplira donc pas par un triomphe historique de l’Église (cf. Ap 13, 8) selon un progrès ascendant mais par une victoire de Dieu sur le déchaînement ultime du mal (cf. Ap 20, 7-10) qui fera descendre du Ciel son Épouse (cf. Ap 21, 2-4). Le triomphe de Dieu sur la révolte du mal prendra la forme du Jugement dernier (cf. Ap 20, 12) après l’ultime ébranlement cosmique de ce monde qui passe (cf. 2 P 3, 12-13).

680 Le Christ Seigneur règne déjà par l’Église, mais toutes choses de ce monde ne lui sont pas encore soumises. Le triomphe du Royaume du Christ ne se fera pas sans un dernier assaut des puissances du mal.

681 Au Jour du Jugement, lors de la fin du monde, le Christ viendra dans la gloire pour accomplir le triomphe définitif du bien sur le mal qui, comme le grain et l’ivraie, auront grandi ensemble au cours de l’histoire .

682 En venant à la fin des temps juger les vivants et les morts, le Christ glorieux révélera la disposition secrète des cœurs et rendra à chaque homme selon ses œuvres et selon son accueil ou son refus de la grâce. »

Le prince du mensonge est donc à l’œuvre pour envoûter le plus d’âmes possibles.

Bergoglio, tout en gardant les mêmes mots et les mêmes noms façonne le mensonge de la doctrine en en changeant le sens, ce qui cause la confusion au sein même de l’Église.

Un dernier exemple d’une de ses paroles de la semaine dernière :

« Je vous encourage à continuer à travailler sur la culture de la rencontre, qui raccourcit les distances et nous enrichit de nos différences, comme l’a fait Jésus, qui s’est fait proche de tous. »,

Ce Jésus est l’image du Jésus fabriqué à la sauce de la miséricorde infinie (« Qui suis-je pour juger? »).

Ce n’est pas celui des Évangiles.

Il applique ce même principe à Marie et à l’Église.

Les faits, les fruits de son pontificat, démontrent qu’il méprise Marie, et le Christ (voir analyses précédentes).

Il faut être vigilant.

La conclusion du synode des synodes d’octobre 2023 ne fera qu’accentuer cette persécution de l’Église et de ses fidèles de la tradition, les deux témoins, ceux fidèles à la Loi et aux Prophètes, laïcs et clergé.

Et dans toute cette confusion, un petit mais grand signe porteur d’espoir… qui prouve si ce n’est pas truqué, que la présence réelle toujours d’actualité (sachant que le but ultime de Bergoglio est sa messe œcuménique éliminant la présence réelle) :

« GUADALAJARA, Mexique ( LifeSiteNews ) – Un prétendu miracle eucharistique a été signalé la semaine dernière au Mexique.
Le 22 juillet 2022, une vidéo a été enregistrée à la paroisse Notre-Dame du Rosaire dans la ville de Zapotlanejo, près de Guadalajara, au Mexique. La vidéo montre une hostie consacrée dans un ostensoir qui semble battre au rythme d’un cœur humain. ..
Le prêtre argentin Père Carlos Spahn, fondateur et supérieur de la Famille Religieuse du Cœur Immaculé et de la Miséricorde Divine, prêchait à la paroisse et venait d’exposer le Saint-Sacrement à l’adoration des fidèles.

S’adressant à ACI Prensa, l’agence de presse sœur de langue espagnole de CNA, le P. Spahn a expliqué que l’événement a eu lieu pendant l’Adoration juste après qu’il ait offert la messe. « Nous avons exposé le Saint-Sacrement ; J’ai dit les prières pour l’exposition, et quand je me suis levé pour aller à la sacristie, cela a commencé à arriver.

« Certaines personnes l’ont vu », a-t-il poursuivi. Ils « ne pouvaient pas croire ce qu’ils voyaient, et nous avons au moins deux séquences », a-t-il déclaré. Ces vidéos ont été prises par « des gens qui ont rapidement sorti leur téléphone portable, l’ont filmé », qui ont immédiatement remis la séquence au prêtre « pour qu’ils ne la modifient pas ou quoi que ce soit ».

« J’atteste donc que c’est authentique, à partir du moment exact », a déclaré Spahn.

Offrant «une interprétation personnelle» de l’hôte palpitant, le P. Spahn a dit qu’il révèle « le cœur du Christ, qui bat d’amour pour les hommes », et qui, a-t-il déploré, « est si outragé, si abandonné, si méprisé… que parfois nous ne le traitons pas comme nous le devrions, avec plus de soin. , avec plus de foi, avec plus de dévouement.

Mettant en garde contre toute position officielle sur l’événement avant un jugement de l’Église, Spahn a précisé : « Je ne dis pas officiellement que c’est un miracle, car je n’ai pas l’autorisation de le faire ».

Après l’événement, le prêtre a dû se déplacer rapidement vers un autre diocèse où il devait également prêcher. L’affaire a donc été laissée au curé local pour qu’il la soumette au diocèse pour examen.

Spahn a expliqué juste après son départ : « [l]’archidiocèse n’a pas été consulté à ce sujet parce que nous n’étions que de passage ; maintenant je suis dans un autre diocèse en train de prêcher. Cependant, il a déclaré que le prêtre local serait en mesure de trouver « des personnes pour signer et témoigner de ce qu’elles ont vu, et cette documentation peut être envoyée à la personne appropriée ». »

La vidéo.


Juillet 2022

17 juillet

Tous les papes post Vatican II vont être canonisés pour prouver que cette église conciliaire est valide, même ceux à l'image de Jean XXIII qui n'ont pas eu les miracles nécessaires pour justifier la cause.

En vue de la béatification de Jean-Paul I le 4 septembre prochain, un retour sur son décès troublant.

« "Il criait au pape": un prêtre catholique affirme que le cardinal franc-maçon a tué Jean-Paul Ier

ROME (LifeSiteNews) — Le dernier homme à avoir parlé au pape Jean-Paul Ier, bientôt béatifié , était un cardinal de la curie romaine que le pape avait l'intention de destituer en raison de son appartenance à la franc-maçonnerie. Quelques heures seulement après une réunion houleuse avec le cardinal au Palais apostolique, le pape a été retrouvé mort.

Le 25 septembre 1978, à peine trois jours avant que le nouveau élu Jean-Paul Ier ne soit retrouvé mort, le Saint-Père rencontra Mgr Edouard Gagnon. Pr. Charles Murr, le secrétaire de Gagnon, a détaillé les circonstances de cette rencontre dans un livre récent intitulé Meurtre au 33e degré ...

Lors de cette réunion, Gagnon a présenté à Jean-Paul Ier les conclusions d'une enquête de trois ans sur l'ensemble de la curie romaine qu'il avait menée sur ordre du pape Paul VI. L'enquête visait spécifiquement à découvrir la présence de francs-maçons dans les bureaux du Vatican.

Deux hommes se sont distingués dans cette enquête par les postes qu'ils occupaient au sein de la Curie : l'archevêque Annibale Bugnini, l'architecte de la liturgie du Novus Ordo, et le cardinal Sebastian Baggio, le chef de la Congrégation pour les évêques, responsable de la nomination des évêques à travers le monde.  Sous le mandat de 12 ans de Baggio, un âge de retraite de 75 ans a été imposé à l'épiscopat, lui permettant de nommer des évêques de tendance libérale dans le monde entier. L'appartenance de Baggio et de Bugnini à la franc-maçonnerie a été confirmée par des documents vérifiés comme authentiques par des agents spéciaux d' INTERPOL, l'Organisation internationale de police criminelle, selon le témoignage de Murr.

En 1978, en raison de son implication dans la franc-maçonnerie, Bugnini avait été envoyé par Paul VI en Iran en tant que nonce apostolique, où, selon Murr, on pensait qu'il pouvait faire le moins de mal. Baggio, cependant, occupait toujours son poste au Vatican lorsque Jean-Paul Ier a été élu à la Chaire de Pierre. Sa destitution fut l'un des principaux sujets de la rencontre de Gagnon avec Jean-Paul Ier le 25 septembre 1978.

Au cours de cette réunion, Jean-Paul I a accepté de traiter avec le cardinal Baggio et son appartenance à la loge, selon le témoignage de Murr, qui a conduit Gagnon à la réunion et lui a parlé immédiatement après. Trois jours plus tard, le 28 septembre, le pape téléphone au cardinal pour venir le rencontrer ce jour-là. Après avoir répondu que son emploi du temps était chargé, Baggio a accepté de rencontrer le Saint-Père dans son bureau ce soir-là.

Le 28 septembre à 20 heures, le cardinal Baggio entra dans les appartements pontificaux. Personne d'autre ne devait être présent pendant que deux gardes suisses attendaient devant la porte. L'heure de la journée et l'absence des autres à la réunion étaient toutes deux inhabituelles. La rencontre a duré environ une heure. Le seul témoignage concernant cette réunion papale est venu quelques jours plus tard de l'un des gardes suisses en service: que la voix en colère de Baggio s'était élevée et pouvait être entendue à travers la porte, suggérant une confrontation houleuse avec le pontife.

« A 8 heures, Baggio monta à la résidence du Saint-Père dans le Palais apostolique, raconte Murr, et resta avec lui pendant environ une heure. Et il y avait des cris. Pas le pape. Le pape ne criait pas. Baggio criait au pape. Comment savons-nous cela? Il se trouve que je le connais. il se trouve que je sais. C'était par un garde suisse qui était à l'extérieur de la porte. Il y avait deux gardes suisses. Ils ont rapporté ces cris. Baggio est parti. Furieux. Après une heure."

Jean-Paul I a été retrouvé mort le lendemain matin à 4h45. Le rapport officiel du Vatican sur la cause de sa mort a changé plusieurs fois. Le dernier rapport était que le Pontife a subi une crise cardiaque dans la nuit vers 23 heures. Aucune autopsie ou test sanguin n'a jamais été effectué.

La dernière rencontre de Jean-Paul Ier avec le cardinal Baggio et l'appartenance de ce dernier à la franc-maçonnerie ont été tenues secrètes par le Vatican pendant des décennies. Un article du Time Magazine racontant l'histoire est la seule preuve de l'époque où le P. Charles Murr a pu récupérer comme preuve extérieure. « Le seul endroit », dit Murr, « où j'ai vu un rapport de la rencontre entre le Saint-Père, Jean-Paul Ier et le Cardinal Baggio, Sebastian Baggio, était dans Time Magazine . J'en ai une copie. Ça m'a coûté cher à trouver.

Murr allègue que la confrontation entre le pape et le cardinal de haut rang, membre à la fois de la curie romaine et de la loge maçonnique, a très bien pu être ce qui a causé à Jean-Paul Ier une crise cardiaque quelques heures plus tard. Mais étant donné la nature de la confrontation, Murr allègue également que les circonstances de la mort du Pontife la qualifieraient de meurtre maçonnique.

«Le pape, qui avait un cœur malade, prend des médicaments contre l'hypertension, je crois, à cause de cette rencontre, a subi une crise cardiaque deux ou trois heures plus tard et est décédé. Maintenant vous dites, eh bien, ce n'est pas vraiment un meurtre… J'ai demandé au cardinal Gagnon : Pensait-il que le pape avait été assassiné ? Et il a dit : 'Tu sais, Charles. Il y a bien des manières de tuer un homme. Je crois que c'est ce qui s'est passé. Je crois que c'est le meurtre. C'est le meurtre dont je parle.

Murr a appelé le Vatican à publier le rapport d'enquête Gagnon sur la présence de francs-maçons au sein de la Curie romaine, y compris la documentation sur Bugnini et Baggio. L'appel est particulièrement pertinent compte tenu de la béatification prochaine de Jean-Paul Ier le 4 septembre. Le rapport Gagnon pourrait faire la lumière non seulement sur la mort de Jean-Paul Ier, mais sur les événements qui ont plongé l'Église dans sa crise actuelle. »

« Dans Desiderio desideravi, Benoît XVI est totalement absent,..

depuis la promulgation de la lettre apostolique Traditionis custodes il y a un an, qu’entre celui qui exerce actuellement le ministère pétrinien et son prédécesseur immédiat (qui n’est plus pape, mais qui est toujours vivant), il n’existe pas seulement une différence d’accentuation, ni même une différence de position, mais une véritable discontinuité ; et pas sur une question secondaire, mais sur quelque chose qui est au cœur même de notre foi. Pour le dire en termes très simples et populaires, adaptés aux simples soldats que nous sommes : l’un des deux pense que la Messe vetus ordo est vivante, l’autre pense qu’elle est morte. Comme deux médecins qui, face à un corps humain, disent : « il est vivant, c’est une personne vivante » ; « non, c’est juste un cadavre » [allusion à une page du « Pinocchio » de Collodi]. Sauf que nous ne sommes pas dans une page de Pinocchio…

Si l’Église catholique change de doctrine, un problème se pose. Je dirais un gouffre. Si le pape dit : ‘la messe Vetus Ordo – que certains, même des jeunes, insistent pour demander, après cinquante ans ! (ce qui doit signifier quelque chose) – doit être déracinée parce qu’elle ne correspond pas à la foi de l’église’, de deux choses l’une : soit elle ne correspond plus à la foi de l’église parce que cette foi a changé ( !?!?!?!?!), soit elle était déjà mauvaise avant (!?!?!?!?!?!). Le seul tertium proposé, pour échapper à ces deux désastres, est de soutenir que la « vieille messe » correspond et exprime la foi de l’église (donc elle est bonne !), mais que, face à la demande de beaucoup de ses enfants qui demandent à être nourris d’une nourriture qu’ils reconnaissent en conscience comme la plus appropriée pour leur bien spirituel, la mère église refuse de la leur donner simplement parce qu’elle en a décidé ainsi. Mais quel genre de mère serait-ce ? Benoît XVI, qui tout au long de sa vie a placé la liturgie au centre de sa réflexion théologique et de sa pastorale (et qui aurait peut-être mérité qulque attention de la part des rédacteurs de Desiderio desideravi), en tant que pape a senti qu’il devait le leur donner, ce pain que les fidèles demandaient. François, au moins depuis un an, a décidé exactement le contraire : il leur en laisse un petit peu en attendant qu’ils meurent, et puis plus rien. Ils ne peuvent pas avoir raison tous les deux.

Si Benoît s’est trompé, François devrait le dire et éventuellement le prouver. Faire comme si ce n’était pas le cas est contraire à la vérité. Et s’il n’y a pas de vérité, il ne peut y avoir de beauté non plus.

C’est pourquoi le silence sur Benoît XVI dans cette lettre apostolique est à mon humble avis incompréhensible et inacceptable.

Leonardo Lugaresi
6 juillet 2022 » (benoit-et-moi.fr)

On voit depuis quelques jours un montée des prêtres qui disent finalement tout haut ce qui se passe à la tête du Vatican.

Le cardinal Sarah qui a été écarté comme préfet de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements en 2021 revient à la une.

Il était probablement un obstacle à la nouvelle messe en préparation.

(punit pour la sortie de son livre dont la préface avait été signée par Benoît XVI tout juste avant le rapport amazonien qui voulait redéfinir le sacerdoce: « Le pape émérite Benoît XVI et le cardinal Robert Sarah, préfet de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements, signent un livre intitulé « Des profondeurs de nos cœurs », dédié au sacerdoce, dévoile le Figaro le 12 janvier 2020. Ensemble ils y réaffirment comme principe fondamental le célibat sacerdotal. » https://fr.aleteia.org/2020/01/13/benoit-xvi-et-le-cardinal-sarah-reaffirment-dans-un-livre-limportance-du-celibat-sacerdotal/),

« Sarah en couverture. La rédaction de Paris Match se révolte …

L’éditorial, en revanche, s’inquiète du fait que « les positions les plus controversées du cardinal Sarah ont été étouffées ». Or, il ne semble pas que le préfet émérite de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements ait jamais eu d’autres positions que celles que l’on trouve depuis toujours dans la doctrine de l’Église catholique. » (benoit-et-moi.fr)

Récemment dans sa dernière entrevue sur la décennie de son pontificat, Bergoglio concluait: « Je n’ai pas inventé ce que j’ai fait. J’ai recueilli ce que les cardinaux avaient dit dans les réunions pré-conclave ».

Ici, il fait sûrement référence à la mafia St-Gall qui l’a élu.

Petit retour en arrière, car la messe œcuménique fait partie des ces réunions pré-conclave:

« Le biographe du pape : Le synode à venir transformera l’Église conformément à « Objectifs de la mafia de St-Gall »

( LifeSiteNews ) – L’homme qui a décrit avec enthousiasme le pape François comme un « grand réformateur » seulement un an et demi après le début de sa papauté prédit maintenant que le prochain synode des évêques sur la synodalité pourrait apporter une transformation révolutionnaire de l’Église catholique.

Austen Ivereigh a écrit jeudi sur les objectifs du synode « Pour une Église synodale », qui doit commencer en octobre, le qualifiant de « bouleversement historique » et de « potentiellement le moment le plus transformateur du catholicisme depuis le Concile Vatican II, qui cherche à s’ancrer de façon permanente dans la vie de l’Église.

« Le « synode de deux ans sur la synodalité », a écrit Ivereigh dans Commonweal , « est destiné à marquer le christianisme pour toujours. » Il a noté: «Pourtant, jusqu’à présent, le désengagement a été presque total. (Votre curé a-t-il mentionné quelque chose ? C’est ce que je pense.) »

L’aspect peut-être le plus « transformateur » du synode, a écrit Ivereigh, est que le « peuple de Dieu » ne sera plus composé de « spectateurs passifs », mais sérieusement consultés pour discerner la voix du Saint-Esprit. Les évêques restent les « juges en chef » et le Pape a la décision finale dans ce processus.

Ivereigh a écrit : « Ainsi, ‘le but de ce synode’ – et en effet, le but d’une Église synodale – ‘est d’écouter, en tant que peuple de Dieu tout entier, ce que le Saint-Esprit dit à l’Église.’ » Il a en outre noté que le document préparatoire du synode affirmait que c’était le rôle du diable (« les diabolos ») « d’essayer de séparer » le peuple de Dieu, le Saint-Esprit et les évêques dans un synode.

Le vademecum , ou manuel du synode, stipule expressément que le processus de discernement synodal de « l’écoute » doit inclure « les catholiques qui pratiquent rarement ou jamais leur foi, etc. de la foi, les personnes d’autres traditions religieuses, les personnes sans croyance religieuse, etc.

« Personne – quelle que soit son appartenance religieuse – ne devrait être exclu du partage de son point de vue et de ses expériences, dans la mesure où il souhaite aider l’Église dans son cheminement synodal à la recherche de ce qui est bon et vrai », lit-on dans le texte.

Selon Ivereigh, ce processus de consultation ne sera pas au service d’un « programme » idéologique particulier : « Un synode n’est pas appelé à défendre ou à changer quoi que ce soit ; elle est appelée à permettre une assemblée qui discerne ce que l’Esprit Saint demande à l’Église en ce moment par rapport à la mission pour laquelle elle existe : évangéliser.

En effet, les « noyaux thématiques » du document préparatoire à explorer lors du synode sont quelque peu vagues et davantage orientés vers le processus que vers les « problèmes ». Ces sujets incluent des variations du thème de la «synodalité», que le cardinal Mario Grech a expliqué «est la forme de communion de l’Église – Peuple de Dieu». En conséquence, les « noyaux thématiques » comprennent « les compagnons de route », « l’écoute », « la parole » et « le dialogue dans l’Église et la société », entre autres sujets.

Mais Ivereigh croit aussi que la synodalité aboutit à une sorte de synthèse, ou ce qu’il appelle « l’alchimie », de différents points de vue : « Entrer en synodalité, c’est embrasser une alchimie dans laquelle l’Esprit agit comme une complexio oppositorum , et tout ce qui est bon et valide, est préservé dans une nouvelle vision », écrit-il.

Les attentes d’Ivereigh concernant le prochain synode, telles que publiées dans Commonweal, font écho aux thèmes de sa biographie de 2014 du pape François, « Le grand réformateur : François et la création d’un pape radical ».

Comme l’a expliqué un critique de cette biographie, Ivereigh a déclaré qu’il existe trois « clés de la papauté de François ». L’une de ces clés est la détermination de François à « apprendre et entendre l’infaillibilité du saint peuple fidèle de Dieu ». Ivereigh l’a réitéré dans une interview avec Raymond Arroyo, affirmant que le pape François s’est « toujours enraciné dans ce qu’il appelle le saint peuple fidèle de Dieu ».

Une autre « clé » est la nécessité pour le Pape de « réunir de véritables synodes de gouvernance et de démanteler les structures » afin de réaliser une « réforme institutionnelle » de l’Église. Au cœur de tout cela se trouve ce que Ivereigh a soutenu être un objectif déterminé des partisans de Bergoglio depuis le début : la mise en œuvre de la collégialité par l’Église.

La biographie d’Ivereigh ne se limite pas à décrire le passé et l’idéologie du pape François, mais tient à prédire comment le «programme ambitieux» du pape François «se terminera probablement», car Ivereigh est parvenu à une connaissance intime du long et déterminé ordre du jour du groupe de cardinaux qui ont soutenu Bergoglio : la mafia St-Gall.

Bien qu’Ivereigh ne les qualifie pas de « mafia », le cardinal Godfried Daneels, l’un des proches du groupe, a révélé en 2015 que c’est ainsi que le groupe s’appelait lui-même.

Karim Schelkens, l’un des biographes de Daneels, a déclaré dans une interview en 2015 : « L’élection de Bergoglio a été préparée à Saint-Gall, sans aucun doute. Et les grandes lignes du programme que le Pape met en œuvre sont celles dont Danneels et Cie commençaient à discuter il y a plus de dix ans.

Ivereigh a écrit dans la biographie du pape François que le groupe de Saint-Gall a été formé à la fin des années 1990 en raison d’une « préoccupation croissante » concernant une « position » qui « ressemblait à certains critiques comme si elle remontait aux jours précédant le Concile Vatican II. » : la position selon laquelle il n’y a « qu’un seul « Magistère », ou autorité enseignante, dans l’Église, et que l’Église universelle est « ontologiquement antérieure » à l’Église locale.

Le groupe de Saint-Gall considérait cette position traditionnelle comme opposée à la véritable « collégialité », qu’Ivereigh décrit comme l’un de ses objectifs les plus ardemment souhaités pour l’Église. Selon Ivereigh, la collégialité est une sorte d’autorité conjointe dans laquelle les évêques aident à gouverner l’église cum et sub Petro – avec et sous le pape. Dans son idée de collégialité, « l’Église locale participe au gouvernement de l’Église universelle ».

« Le groupe de Saint-Gall croyait que ce qu’il fallait, c’était une réforme en profondeur de la gouvernance, un rétablissement de l’équilibre entre les Églises locales et universelles, vers une authentique collégialité », a écrit Ivereigh.

La « mafia » autoproclamée a déploré le manque de collégialité de l’Église comme un obstacle à l’évangélisation, ainsi qu’à « l’unité chrétienne ». Quelque chose d’aussi fondamental que « l’affirmation du pouvoir papal » après la Réforme, a écrit Ivereigh, a été « cité comme une pierre d’achoppement majeure » par les dirigeants des « traditions réformées ou orthodoxes ».

Cette vision radicale et hétérodoxe de la collégialité a été articulée par l’un des membres du groupe de Saint-Gall, l’actuel cardinal Walter Kasper, en opposition à un document de 1992 du cardinal Ratzinger.

Ivereigh a expliqué que Kasper a fait valoir « dans un article largement publié en décembre 2000 » que la position du cardinal Ratzinger « est devenue « vraiment problématique lorsque la seule Église universelle est identifiée à l’Église romaine, et de facto avec le Pape et la Curie romaine », la décrivant comme « une tentative de restaurer le centralisme romain ».

Ivereigh a déclaré que Kasper « a poursuivi en affirmant que la collégialité était vitale pour résoudre les questions pastorales telles que l’admission des personnes divorcées et remariées à la communion, ainsi que pour rendre crédible l’invitation catholique à l’unité avec les autres chrétiens. Le progrès de l’unité dépendait, soutenait-il, de cette reconnaissance de la valeur de l’Église locale. « Le but ultime n’est pas une Église unie uniforme, mais une Église dans la diversité réconciliée. L’expression « diversité réconciliée » a été adoptée par Bergoglio à Buenos Aires lorsqu’il a discuté des relations avec d’autres chrétiens et d’autres confessions. »

Ivereigh a expliqué que ces premières préoccupations du groupe de Saint-Gall ont été reprises dans les discussions lors du conclave suivant la démission du pape Benoît XVI. « On a beaucoup parlé de réforme de la gouvernance… et de contact fluide entre Rome et l’Église locale », a écrit Ivereigh. Il a cité le porte-parole du Vatican, le P. Federico Lombardi a déclaré aux journalistes le 9 mars, quelques jours avant le conclave papal, que « la collégialité avait été » un thème constant dans ces discussions « .

Ivereigh a également cité le cardinal Seán O’Malley de Boston comme se souvenant : « Nous étions tous à peu près certains qu’il y aurait des changements spectaculaires et une nouvelle façon de voir la Curie, avec plus de collégialité. »

« Le diagnostic du groupe de Saint-Gall au début des années 2000 était désormais le plat du jour », écrit Ivereigh.

Ivereigh lui-même est l’ancien assistant du cardinal Murphy-O’Connor, qu’Ivereigh a décrit dans « Le grand réformateur » comme faisant partie du « noyau » du groupe de Saint-Gall depuis ses débuts.

Dans un article de septembre 2017 pour The Tablet , Ivereigh a décrit Murphy-O’Connor comme un « faiseur de rois » lors du conclave qui a élu le pape François. Ivereigh a déclaré que le cardinal était « fier d’avoir ouvert ce canal pour que le Saint-Esprit se mette au travail ». »

« … Une autre humiliation s’est produite lorsque le pape a éliminé la plupart des membres existants de la Congrégation pour le culte divin et les a remplacés par des personnes plus hostiles à Sarah et à ses opinions liturgiques. Et il y a la question de la « messe œcuménique », une liturgie destinée à unir catholiques et protestants autour de la Sainte Table. Bien que jamais officiellement annoncé, un comité relevant directement du pape François travaille sur cette liturgie depuis un certain temps. Certes, ce sujet relève de la compétence de la Congrégation pour le Culte Divin, mais le Cardinal Sarah n’a pas été officiellement informé de l’existence du comité. Selon de bonnes sources, le secrétaire de Sarah, Arthur Roche – qui occupe des fonctions opposées à celles de Benoît XVI et de Sarah – est impliqué, tout comme Piero Marini, le bras droit de Monseigneur Bugnini, auteur notamment de L’église en Iran et Novus Ordo Missae.

A ces noms s’ajoutent le sous-secrétaire du Culte divin, Corrado Maggioni, et un laïc, le liturgiste extrêmement « progressiste » Andrea Grillo. Récemment, Grillo a durement attaqué Benoît XVI après que le pape émérite ait écrit dans la préface d’un des livres de Sarah qu’avec Sarah, « la liturgie est entre de bonnes mains ». Et Grillo a attaqué Sarah lui-même, l’appelant « incompétent et inadéquat ». Si Grillo se comporte aussi grossièrement, c’est qu’il est sûr d’être protégé par des amis haut placés. . . »
(Marco Tosatti, 23 octobre 2017)

ET qui est actuellement le préfet de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements?
Mgr Arthur Roche, qui sera élevé comme cardinal ce 27 août 2022.

Benoît XVI, comme plusieurs, trouve le temps long...

« Je n’aurais pas pensé que le dernier bout de chemin entre le monastère et les portes du ciel où se tient Pierre pouvait être aussi long », a dit le prélat allemand (Benoît XVI)… Puis les larmes le reprennent lorsqu’il évoque plus spécifiquement la santé faiblissante de Benoît XVI : « Entre temps, le pape émérite… [ l’archevêque tente tant bien que mal de retenir ses sanglots et laisse s’écouler quelques secondes de silence ] … est devenu un homme très âgé, physiquement fragile, mais dont l’esprit et le regard sont, Dieu merci, toujours aussi éveillés et brillants. Même si sa voix est de plus en plus faible et incompréhensible. Les dernières années ont eu raison de ses forces. Mais malgré ses forces déclinantes, il a conservé l’humble sérénité de son cœur. Comme elle se manifestait peut-être le plus clairement autrefois devant le monde entier dans les moments où il répondait aux questions des enfants, toujours de manière totalement libre et rafraîchissante. »… » (benoit-et-moi.fr)

Il faut être attentif pour voir les signes. Dieu est à l’oeuvre pour freiner cette guerre épouvantable mais nécessaire eschatologiquement parlant.

J’en ai fait la remarque dans quelques posts: ce n’est pas les incendies et la chaleur qu’il faut regarder, normale certes pour l’été (néanmoins des records sont battus partout) mais anormale lorsqu’elle est mondiale, et que la sécheresse est mondiale, ce qui veut dire famine et manque d’eau à l’horizon.

Exemples:

« Les quatre coins du monde menacés » : Ouest américain, Inde, France, Chili, Corne de l’Afrique, Maroc… (lapresse.ca)

Un milliard de chinois dans la « rôtissoire »  (zerohedge.com)

Et on pourrait ajouter une dizaine de liens sur le même sujet sur la situation à travers le monde.

Ils ont tous un point en commun: la perte des récoltes.

Après avoir perdu les récoltes du blé d’hiver, le mid-ouest américain a perdu sa récolte de maïs (plus de 80% de pertes) parce que la chaleur extrême a empêcher la floraison.

Même situation dans l’ouest canadien quant à la moutarde, le colza et le blé.

Ailleurs, comme au Pakistan, Bangladesh, Australie, etc… C’est la pluie en abondance, autre menace pour les récoltes.

2023 va être une épreuve hors de l’ordinaire pour les deux Babylone.

08 juillet

Plus de preuves que Bergoglio est le faux témoin, l’Antéchrist personne de la deuxième Babylone des prophéties de Jean XXIII.

«  ( LifeSiteNews ) – Nous sommes honorés de publier ci-joint une lettre ouverte au Père Jesusmary Missigbètò, écrite par Sa Grâce l'archevêque Carlo Maria Viganò, honorant ce prêtre africain pour sa défense loyale de la vérité de la foi catholique.

Le père Jésus-Marie – un pseudonyme de l'abbé Janvier Gbénou – avait commencé à dénoncer publiquement certaines des déclarations scandaleuses du pape François, après que le pape eut publiquement soutenu les unions civiles homosexuelles en octobre 2020. Le prêtre africain a été expulsé par l'Opus Dei et suspendu en tant que prêtre pour exactement cette critique charitable et bienveillante du pape, et en juin de cette année, le pape François lui-même a approuvé ces sanctions sévères.

Le Père Jésus-Marie n'est pas autorisé à exercer son ministère sacerdotal et ne peut célébrer la Sainte Messe en privé que s'il s'abstient de toute nouvelle critique publique du pape François.

À la lumière de cette punition pour un prêtre des plus humbles et des plus aimables, c'est une grande joie et un grand soulagement pour nous que l'archevêque Viganò vienne à sa défense. Le prélat italien souligne à juste titre que le Père Jésus-Marie a fait ce qu'il fallait et que cela doit être honoré pour son témoignage catholique.

En vérité, je vous le dis, ce sera plus tolérable pour le pays de Sodome et Gomorrhe au jour du jugement que pour cette ville.

Amen, je vous le dis : ce sera plus tolérable pour le pays de Sodome et Gomorrhe au jour du jugement que pour cette ville. Mt 10:15

Révérend Père Janvier, cher Père Jésus-Marie Missigbètò,

J'ai appris par la presse la nouvelle de votre suspension a divinis et de votre expulsion de l'Opus Dei, qui vous a été imposée par la Congrégation des Évêques comme sanction canonique pour avoir manqué de « respect et d'obéissance au Souverain Pontife. ”

Permettez-moi de vous exprimer ma proximité spirituelle à un moment de grande épreuve pour vous : en tant que catholique baptisé et en tant que ministre de Dieu, il doit être douloureux pour vous d'être accusé par la même personne qui, avec la miséricorde qui distingue son chaque acte, reçoit des avorteurs notoires, des cohabitants publics, des travestis, des sodomites, des ecclésiastiques rebelles, des hérétiques, des usuriers et ceux qui affament leur peuple.

J'imagine qu'il est très décourageant de se voir reprocher ce qui en d'autres temps aurait mérité des louanges – sinon même la gloire des autels – pour les saints qui n'ont pas hésité à gronder, même durement, la corruption de la Cour pontificale. Un saint Pierre Damien ou une sainte Catherine de Sienne seraient aujourd'hui scandalisés par la duplicité de celui qui ne manque jamais une occasion de dénigrer les bons catholiques et de plaire aux ennemis du Christ et de son Église.

Ce que vous affrontez pour votre fidélité au Magistère et pour votre véritable respect du Siège du Très Saint Pierre est une occasion d'expier les fautes et les scandales des ecclésiastiques, dans l'esprit d'expiation et de réparation qui nous unit en tant que membres du Corps Mystique pour Notre Seigneur qui en est le Chef, immolé sur la Croix en réparation des offenses commises par les hommes contre la Très Sainte Trinité.

Votre épreuve, cher et révérend Père Gbénou, vous unit à ces autres épreuves, souvent encore plus dures à supporter, auxquelles beaucoup de vos frères prêtres ont été soumis par leurs Supérieurs : prêtres chassés de leurs paroisses et contraints de vivre et de dormir dans leur voitures ou dans des logements de fortune ; les pasteurs retirés de leurs paroisses parce qu'ils ne veulent pas renoncer à la célébration du Saint Sacrifice dans le Rite Apostolique ; les religieux renvoyés de leurs monastères et couvents parce qu'ils ne veulent pas renoncer à leur fidélité au charisme de leur Ordre ; séminaristes qui se trouvent empêchés de se former au sacerdoce simplement parce qu'ils n'acceptent pas la dissipation et la mondanité qui leur sont imposées.

Si jamais vous avez des doutes sur les intentions de ceux qui, usurpant l'autorité contre le but pour lequel elle a été instituée par le Christ, se déchaînent contre ceux qui sont bons, je vous invite à considérer comment leur sévérité se dissout face aux insuffisances beaucoup plus graves du clergé fornicateur, des prélats corrompus et des cardinaux qui sont des agresseurs et des voleurs.

Votre crime, Révérend Père, c'est d'avoir créé avec eux un dangereux terme de comparaison, en découvrant le tombeau grouillant de vers qu'est l'église bergoglienne. Si vous aviez participé à la « Gay Pride » en publiant vos photos dans des poses indignes, je ne dirai pas d'un ecclésiastique, mais même d'un païen ; si vous aviez fait scandale en vous livrant à des relations honteuses avec un autre prêtre ; si vous aviez nié les vérités catholiques ou contesté la morale chrétienne, vous seriez désormais à la tête d'un dicastère romain, ou l'évêque d'un diocèse prestigieux, et vous vous trouveriez dans vos atours ecclésiastiques enfilés juste à côté de celui qui vous a privé de la faculté de célébrer la messe, d'entendre les confessions et de prêcher. Tout comme vous, de nombreux autres prêtres et pas mal d'évêques et même de cardinaux se voient plutôt tournés en dérision, offensés, trop catholique.

Je me demande si, face à la honte de la corruption du clergé corrompu qui plaît tant à Bergoglio au point de s'entourer d'eux dans les chambres de Santa Marta, vous devez considérer les sanctions qui vous ont été infligées comme un motif de fierté. L'esilio che m'è dato, onor mi tegno - L'exil qui m'a été donné, je le considère comme un honneur (Dante). Si la maison de Dieu est devenue un repaire de voleurs, celui qui veut rester près du Seigneur doit secouer la poussière de ses pieds (Mt 10,14), et ne daigne même pas saluer ceux qui renient le Christ et Le crucifient chaque jour en leur conduite.

Réjouissez-vous donc, cher et révérend Père, car si les ennemis de Dieu ne trouvaient en vous aucune raison de vous persécuter, cela signifierait que vous ne témoignez pas de votre fidélité au Seigneur. Si le monde vous hait, sachez qu'il m'a haï avant vous (Jn 15,18), a dit la Sagesse Incarnée. Les épreuves présentes sont donc une cause de consolation spirituelle, une occasion de sanctification et une occasion d'édification des simples. Le Seigneur vous rendra au centuple ce que vous endurez.

À toi, cher Père, et à tous ceux qui, comme toi, sont persécutés propter iustitiam (Mt 5, 10), je dédie mon souvenir chaque fois que je prie dans le Saint Sacrifice de la Messe.

+ Carlo Maria Viganò, archevêque

6 juillet 2022

«  Abidjan – 1er juillet 2022

Au Souverain Pontife le Pape François

Cher Père,

Je viens de recevoir le Décret de la Congrégation pour les Évêques, signé par vous et le Cardinal Marc Ouellet, dans lequel vous validez les sanctions qui m'ont été imposées par la Prélature de l'Opus Dei parce que, selon le Décret, j'ai manqué « de respect et d'obéissance au Souverain Pontife » (Code de Droit Canon 273). Bref, il m'est interdit de prêcher, de confesser et de célébrer la messe en public et en privé.

Je prends note de votre décision que je n'approuve pas car elle est injuste. De plus, je ne peux pas, en conscience, renoncer à ma critique publique du pape François car, depuis 2016, vous avez vous-même gravement manqué « de respect et d'obéissance à Dieu et au Peuple de Dieu ». En effet, avant d'être pape et évêque, vous êtes prêtre et, selon le Code de droit canonique, « dans la conduite de leur vie, les clercs sont tenus d'une manière particulière à poursuivre la sainteté puisque, ayant été consacrés à Dieu par un nouveau titre en la réception des ordres, ils sont dispensateurs des mystères de Dieu au service de son peuple » (276). De plus, en tant qu'évêque et pape, vous êtes concernés par les canons suivants : « un apostat de la foi, un hérétique ou un schismatique encourt une excommunication latae sententiae » (1364) ; « Une personne qui, dans un spectacle ou un discours public, dans un écrit publié ou dans d'autres utilisations des instruments de communication sociale, prononce un blasphème, porte gravement atteinte aux bonnes mœurs, exprime des insultes ou excite la haine ou le mépris contre la religion ou l'Église doit être punie. avec une peine juste » (1369).

Ô Père, laissez-moi vous dire que vous avez manqué à votre devoir de sainteté sacerdotale, épiscopale et papale ; et que vous avez propagé des hérésies et gravement porté atteinte aux bonnes mœurs. Et dans votre cas, plus que pour un simple prêtre ou évêque, c'est même très grave, car le bon exemple d'un pape peut faire beaucoup de bien, tandis que son mauvais exemple peut faire beaucoup de mal. Souvenez-vous des paroles suivantes de Jésus-Christ, Notre Seigneur et Maître, Vrai Juge de tous les hommes et même du Pape François : « On demandera beaucoup à celui qui a reçu beaucoup, et on demandera encore plus à celui qui a reçu plus » (Luc 12:48); "Celui qui fait tomber un de ces petits qui croient en moi, il vaudrait mieux pour lui qu'une grande meule soit attachée autour de son cou et qu'il soit jeté dans l'abîme de la mer... malheur à l'homme par qui le la chute vient ! » (Matthieu 18 :6-7). Mais vous avez plusieurs fois scandalisé le monde entier en contredisant la Tradition chrétienne. Permettez-moi maintenant de vous en donner la preuve...

1. Est-il moralement juste qu'un chrétien, un prêtre ou un évêque prenne l'initiative de demander des lois sur la coexistence homosexuelle ? Dieu et l'Église catholique ont toujours dit "non". Le pape saint Jean-Paul II et le pape émérite Benoît XVI nous ont rappelé que tout chrétien a le « devoir de témoigner de la vérité » et de montrer « une opposition personnelle absolue à de telles lois », faute de quoi il commet « un acte gravement immoral » (Document de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi, 3 juin 2003). Malheureusement, vous avez répondu "oui". En effet, le 21 octobre 2020 et le 15 septembre 2021, vous avez appelé publiquement à l'adoption de lois civiles de coexistence homosexuelle (cf. ma 1ère lettre ouverte) : « Ce qu'il nous reste à faire, c'est une loi civile de coexistence ; ils ont le droit d'être couverts légalement. J'ai défendu cela. Permettez-moi de vous indiquer, Père, où se situe votre erreur : vous confondez « lois de coexistence » et « lois de protection ». Les lois de coexistence sont liées à l'idéologie LGBTQ tandis que les lois de protection sont liées à la discrimination humaine. Il existe des lois de protection pour les enfants, les femmes enceintes, les personnes handicapées, les migrants, les prisonniers, etc. Toutes ces personnes ont droit à une considération et à un traitement humains, mais elles n'ont pas besoin de lois spéciales sur la coexistence homosexuelle.

2. Est-il moralement juste de donner le sacrement de l'Eucharistie à des politiciens publiquement favorables à l'avortement qui ne renoncent pas à l'avortement ? Dieu et l'Église catholique ont toujours répondu « non » (cf. Code de droit canonique 915-916). Malheureusement, vous avez répondu "oui". En effet, le 15 septembre 2021, vous avez publiquement donné votre accord, avec l'incroyable soutien des cardinaux Ladaria, Peter Turkson, Wilton Gregory, des archevêques Paglia et Michael Jackels, etc. (cf. ma 4e lettre ouverte). Le 29 juin 2022, certainement consciemment et avec préméditation, vous avez permis à Nancy Pelosi, publiquement connue pour son soutien à l'avortement, de recevoir la Sainte Eucharistie au Vatican, lors d'une messe célébrée par vous, et sachant très bien que cela était publiquement interdit à elle par son évêque-résident. Ainsi, vous conduisez l'Église catholique à manquer de respect à ses propres lois énoncées dans le Code de droit canonique et vous manquez de respect à Dieu et au peuple catholique.

3. Est-il moralement juste de pratiquer une hystérectomie (ablation de l'utérus) avec l'accord d'experts médicaux mais sans urgence médicale pour la santé de la mère ? Dieu et l'Église catholique ont toujours dit "non". Le pape saint Jean-Paul II et le pape émérite Benoît XVI ont clairement indiqué que si un groupe d'experts médicaux confirment à une femme que ses futures grossesses ne constitueront pas une menace pour sa santé ou sa vie, elle ne peut pas se faire enlever l'utérus sous prétexte que ses futures grossesses n'arriveront jamais à terme (cf. Document de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi ; 31 juillet 1993). Malheureusement, vous et la Congrégation pour la Doctrine de la Foi avez répondu « oui ». En effet, le 10 décembre 2018, avec le cardinal Luis Francisco Ladaria Ferrer, S.J., (préfet) et l'archevêque Giacomo Morandi (secrétaire), vous avez ouvert la porte à la stérilisation directe, la première mesure anti-nataliste de l'Église catholique et la première erreur de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi (cf. ma 3ème lettre ouverte).

[NB : Pour une analyse approfondie des erreurs dans cette décision du CDF, voir Joshua Schulz et William Hamant, "Non-sterilising Hysterectomies ? A Catholic Critique of the CDF," Linacre Quarterly 2020, vol. 87(2) 182-195, disponible ici ; ainsi qu'une analyse plus courte ici.--Ed.]

4. Est-il moralement juste de dire que « l'engagement de vivre dans la continence peut être proposé » aux chrétiens et est « une option » ? Dieu et l'Église catholique ont toujours répondu "non". Tous les catholiques ayant un minimum de formation chrétienne orthodoxe (et même les non-chrétiens qui s'efforcent de vivre la loi morale naturelle) savent que la chasteté n'est jamais une option mais un devoir moral sérieux pour tout être humain (cf. Catéchisme de l'Église catholique 2331- 2400). Malheureusement, vous avez répondu "oui". En effet, le 5 septembre 2016, vous et les évêques de la Région pastorale de Buenos Aires ont affirmé que « l'engagement à vivre dans la continence peut être proposé. Amoris laetitia n'ignore pas les difficultés de cette option... l'option mentionnée peut, en fait, ne pas être faisable". 108). En 2000 ans d'histoire catholique, c'est la première erreur doctrinale-morale papale ainsi enregistrée dans les Archives du Vatican (cf. ma 2ème lettre ouverte), avec le soutien étonnant de plusieurs cardinaux, évêques et prêtres : Parolin, Kasper, Schönborn, Coccopalmerio , Vallini, Cupich, Grech, Paglia, Forte, Scicluna, Fenoy, McElroy, Spadaro, Bordeyne, etc.

Ma sanction ce matin montre clairement que vous, et [Monseigneur] Fernando Ocáriz, et le cardinal Marc Ouellet, conservez toujours une capacité de jugement moral. Pourquoi alors vos silences coupables et scandaleux face à des cardinaux qui manquent gravement « de respect et d'obéissance à Dieu et au Peuple de Dieu » ? Cardinal Hollerich, S.J. (qui a déclaré publiquement que « l'enseignement de l'Église selon lequel l'homosexualité est un péché est faux »), le cardinal Marx (qui a déclaré publiquement que « l'homosexualité n'est pas un péché »), le cardinal Matteo Maria Zuppi (qui a permis au père Gabriele Davalli de bénir un homosexuel couple lors d'une messe le 11 juin 2022), le cardinal Blase Cupich (qui a permis au père Joe Roccasalva d'autoriser un couple homosexuel à prononcer l'homélie lors d'une messe le 19 juin 2022, fête des pères), etc.

Quelle sanction pour ces cardinaux infidèles à l'enseignement traditionnel de l'Église catholique ? Aucun. Au contraire, les postes de responsabilité et de louange publique du Pape François alors que les prêtres fidèles à la Tradition chrétienne sont sanctionnés. Ô Père, quelle est cette justice injuste du Pape François et du Vatican ? Êtes-vous sûr que Dieu peut accepter une telle injustice ? Pourquoi aujourd'hui ce vent de dictature dans l'Église catholique contre ceux qui préfèrent obéir à la loi divine absolue au lieu de suivre votre désobéissance flagrante à cette loi divine éternelle ? Avec tout cela, pensez-vous vraiment mériter le respect des chrétiens, quand vous les amenez à offenser Dieu et à mépriser sa loi éternelle ?

Enfin, la condamnation que j'ai reçue dans le décret de ce matin est injuste parce qu'elle ne tient pas compte des paroles suivantes de Jésus-Christ (dont, je le dis avec respect, il serait bon que vous et [Monseigneur] Ocáriz et le cardinal Ouellet méditiez calmement) : « Pourquoi remarques-tu l'écharde dans l'œil de ton frère, mais ne perçois-tu pas la poutre en bois dans ton propre œil ? Comment peux-tu dire à ton frère : ‘Laisse-moi enlever cette écharde de ton œil’, alors que la poutre est dans ton œil ? Hypocrite, ôte d'abord la poutre de ton œil ; alors tu verras clair pour enlever l,écharde de l'œil de ton frère. (Matthieu 7:3-5) Quelles sont mes erreurs (écharde) par rapport aux erreurs du pape François (poutre en bois) ?

J'espère que les intellectuels catholiques auront le courage de défendre cette vérité, par amour de Jésus et de son Église. Quel est le plus grand crime du prêtre africain aujourd'hui sanctionné ? Avoir eu l'audace de contredire en public le Pape François et sa Congrégation pour la Doctrine de la Foi. Cependant, Jésus (30 ans) n'a-t-il pas fait de même avec les chefs religieux de son temps (60, 70, 80 ans) parce que c'était lui qui était dans la vérité ? Malheureusement, ils l'ont livré pour être crucifié. Pourtant, c'est de ce sacrifice que Dieu a tiré sa victoire : la lumière de la Vérité a brillé sur les ténèbres de l'erreur et du mensonge. Père très cher, je me réfugie dans le flanc ouvert de Jésus Crucifié et dans les larmes de la Vierge Marie au pied de la Croix...

Votre fils en Jésus, Marie et Joseph,

Abbé Janvier Gbénou

(nom de plume : Père Jesusmary Missigbètò) »

Dernier commentaire de Mgr Vigano après la parution de la lettre apostolique sur la liturgie.

On passe tous les longues réflexions sur l’État profond (trop long). On sait tous ce qu’est le système Antichrist maintenant.

Ce qui concerne l’Église:

« … Mais si au cours des dernières décennies les adeptes du « progressisme catholique » – expression qui en elle-même est déjà un oxymore – se sont efforcés de saper la Tradition et de la remplacer par son antithèse, en ces dix années du « pontificat » bergoglien, la culture de l’annulation a pris le dessus les connotations d’une fureur idéologique, allant de l’éthique de situation d’ Amoris Laetitia à l’écologisme néo-malthusien de Laudato Si’ en passant par l’œcuménisme maçonnique de Fratelli Tutti , mais se manifestant aussi par la suppression effrontée des signes extérieurs, des vêtements liturgiques aux vêtements papaux insignes et titres, et même avec Traditionis Custodes et Desiderio Desidera viallant jusqu’à l’annulation substantielle de la Liturgie apostolique, à laquelle le Motu Proprio Summorum Pontificum avait donné une parenthèse de relative liberté après quarante ans d’ostracisme.

L’Église profonde et l’État profond évoluent en parallèle et en synchronisation, car ce qui les émeut tous les deux, c’est la haine de Jésus-Christ. La matrice antichristique réside dans la tromperie, qui est la marque du Menteur : une tromperie qui a commencé par faire croire à Adam et Ève que leur désobéissance les rendrait semblables à Dieu, alors qu’en réalité ils avaient été créés « à l’image et à la ressemblance de Dieu ». ” précisément en se conformant librement au cosmos divin impressionné par le Créateur dans les créatures et dans la création. On retrouve la même duperie à nous faire croire que l’homme peut renier Dieu et se rebeller contre sa Sainte Loi sans conséquences, alors que Satan d’abord, péchant par orgueil, s’est damné pour l’éternité. Le mythe de la liberté, dont la licence et le libertinage sont des contrefaçons, est un mensonge. L’État laïc, qui nie la seigneurie du Christ-Roi dans la société, est un mensonge. L’œcuménisme, qui place la Vérité de Dieu sur le même plan que l’erreur au nom d’une paix et d’une fraternité qui ne peuvent exister en dehors de l’unique Église du Christ, la Sainte Église catholique, est un mensonge. C’est un mensonge d’avoir érigé le progrès en bien absolu, car ce qu’il considère comme un bien est en réalité un mal qui affecte les individus et la société, tant la société laïque que la société spirituelle.

C’est pourquoi, face à toutes les absurdités bergogliennes, qui célèbrent sans conteste les succès de Vatican II et les conquêtes de l’Église post-conciliaire malgré la présence d’une crise énorme, tout commentaire est superflu. Ce qui nous est vendu comme la dernière découverte de la modernité – de l’idéologie du genre à l’idéologie néo-malthusienne de la santé – est de vieux rebuts idéologiques dont le seul but est d’éloigner les âmes de Dieu, de sorte que l’adage « la misère aime la compagnie » devient un résumé approprié de l’action maléfique du diable, qui est envieux que les créatures douées d’une âme et d’un corps aient été accordées par la Providence la Rédemption que les anges, en tant qu’esprits purs, n’ont pas été accordée. Une Rédemption accomplie au moyen de l’Incarnation de la Seconde Personne de la Très Sainte Trinité, perpétuée dans ses fruits par le Corps Mystique du Christ, la Sainte Église.

Bergoglio accuse les gens de gnosticisme et de pélagianisme s’ils ne peuvent accepter l’idée d’un pape gnostique et pélagien, pour qui le bien ne consiste pas à se conformer au modèle de perfection qui nous est destiné par Dieu le Créateur et Rédempteur, mais plutôt à faire n’importe quoi que chacun de nous croit bon. Mais ce n’est, après tout, rien d’autre que le péché de Lucifer, ériger son Non Serviam en règle morale.
L’archevêque Crepaldi a bien fait de souligner la matrice antichristique de la culture Cancel . Mais cette analyse, valable et vraie de ce qui se passe dans le monde civil, doit aussi être courageusement étendue au monde catholique, dans lequel la même matrice antichristique existe sans conteste depuis que le Concile Vatican II a fait du nouveau et éphémère, niant deux mille ans de Tradition fondée sur la Parole de Dieu et sur l’enseignement des Apôtres et des Pontifes romains. La fureur idéologique de Bergoglio n’est que la conséquence logique de ces prémisses, et le fait qu’un massothérapeute puisse concevoir le logo gay-friendly du Jubilé 2025 ( ici ) n’est que la dernière et lamentable confirmation d’une métastase en cours.

J’exhorte mes frères dans l’épiscopat, les prêtres et tous les fidèles à comprendre cet aspect fondamental de l’apostasie actuelle, car nous ne pourrons faire aucun bien pour convertir la société civile et rendre la couronne royale au Christ tant que cette couronne a été usurpée par ses ennemis dans le sein même de l’Église.

+ Carlo Maria Viganò, archevêque

2 juillet 2022 » (marcotasatti.com)

Pour ceux qui n'ont pas encore vu le logo du jubilé 2025 dont fait référence Mgr Vigano ci-dessus, curieusement révélé plus de 2 ans à l'avance, voir vaticannews.va.
 
Il a été dévoilé en juin, mois de la fierté gay en opposition au Sacré-Coeur.

Sur la mer agitée en termes de corruption morale, d’un monde où l’identification au Christ est relégué au second plan au Vatican pour l’inclusion LGBT, suivez la tendance horizontale avec les couleurs des voiles LGBT, et là, vous avez un choix à faire, « Pèlerins de l’Espérance », vers le haut avec le Christ, ou vers les abîmes avec l’ancre.

2025 est l’année du choix.

Effectivement, tout doit être conclu avant mai 2026 selon la prophétie de Don Bosco, c’est à dire le retour du Lys avant mai 2026.

06 juillet

LA TROISIÈME ROME

Alexandre Douguine est le conseiller de Poutine sur la question du mystique, du religieux.

Ses écrits nous indiquent une piste concernant l’état d’esprit en arrière plan de cette guerre (la guerre entre la faction judéo-maçonnique libérale, progressiste, et la faction judéo-maçonnique nationaliste, sur le terrain de l’Ukraine, mais surtout de la Syrie, car c'est dans cette direction qu'il faut regarder).

Il s’agit de la thèse de la Troisième Rome sur laquelle repose la vision eschatologique du peuple russe, qui se résume à ceci :

Pour eux Rome a perdu sa fonction de représentant du Christ sur terre lors du grand schisme entre l’Orient et l’Occident en 1054.

Byzance est alors devenu la deuxième Rome, représentant la fonction ecclésiale suprême sur cette terre (lire ici l’orthodoxie), au grand dam des catholiques.

Or, lors de la chute de Constantinople en 1453 aux mains des turcs, le patriarcat de Moscou s’est senti alors responsable de la tradition, comme seule dépositaire de la lignée depuis le Christ, prenant alors la fonction comme troisième Rome.

«« Moscou – Troisième Rome »... (références tirées d'un article paru sur mospat.ru)

La source du concept de « Troisième Rome », profondément mystique, est à chercher dans l’eschatologie biblique…

( Note : dans le dernier royaume prédit par le prophète Daniel, chapite 7, 23 : «  Il me parla ainsi : " La quatrième bête, c'est un quatrième royaume qui sera sur la terre, différent de tous les royaumes, et qui dévorera toute la terre, la foulera et la réduira en poudre. »)

La « formule de Philothée »

« Sache, ami du Christ et ami de Dieu, que tous les royaumes chrétiens sont arrivés à leur fin et se rassemblent dans l’unique royaume de notre souverain, c’est-à-dire le royaume romain, suivant les livres prophétiques. Deux Rome sont tombées, la troisième est debout, et il n’y aura pas de quatrième. L’apôtre Paul mentionne souvent Rome dans ses épîtres, et il est dit dans les commentaires : « Rome est le monde entier ». Vois, élu de Dieu : tous les royaumes chrétiens sont emplis d’infidèles ; seul tient le royaume de notre souverain, par la grâce du Christ. Il convient à celui qui règne de s’en tenir à cela avec grande crainte en invoquant Dieu, de ne pas espérer en l’or et en la richesse qui passent, mais en Dieu qui donne tout. »

Le sens véritable de la « formule de Philothée » est contenu dans ces derniers mots : une responsabilité morale écrasante – le poids de la « Troisième Rome », du dernier royaume terrestre – pèse sur le souverain russe. Responsable du monde entier, il doit régner « avec grande crainte », mettant son espoir non dans les biens terrestres, mais dans l’aide de Dieu...

Sous Pierre le Grand, l’idéologie changea radicalement. Pierre n’aimait pas Byzance qui, selon lui, avait péri à cause de la bigoterie de ses dirigeants et de son dédain de l’art militaire. Son idéal n’était pas la seconde Rome, mais la première, comme en témoigne l’adoption du titre d’empereur et l’institution du Sénat. Si l’Empire russe continuait à prétendre au rôle de leader dans le monde chrétien, cette prééminence avait perdu sa dimension mystique de « dernier royaume ». ..

Le starets Philothée, en proposant il y a 500 ans cette formule, ne faisait que constater une réalité historique de son époque : hormis la Russie moscovite, tous les États orthodoxes avaient été rayés de la carte et toutes les Églises autocéphales (y compris le Patriarcat œcuménique de Constantinople) étaient soumis à l’autorité de dirigeants hétérodoxes. Surtout, le concept même de Dernier Royaume, ni alors, ni par la suite, ne renvoyait à une prétention de la Russie à l’héritage politique byzantin ou, encore moins, à l’hégémonie.

Au contraire : la Troisième Rome était l’image mystique du « dernier royaume » de l’histoire universelle, une responsabilité morale exceptionnelle pesant sur ses dirigeants. Devant répondre du sort de l’humanité, il leur fallait mettre leur espoir non dans les richesses qui passent, ni en la force ou en la gloire de « ce siècle », mais uniquement en Dieu. »

Évidemment cette thèse est inacceptable pour les catholiques, et même pour les autres communautés orthodoxes non dépendantes du patriarcat de Moscou.

Renier l’héritage d’un millénaire d’expansion et de rayonnement mondial de la sainteté et l’universalité de L’Église catholique est un non lieu.

Mais cette thèse explique très bien le combat eschatologique qui a lieu présentement, duquel est imbibé le président Poutine qui y croit dur comme fer depuis le retour de l’influence de l’église orthodoxe russe dans la nouvelle constitution (auparavant précédé de nouvelles constructions d’église sous le règne de Poutine).

Poutine ne s’est-il pas identifier à Pierre Le Grand dernièrement, affirmant seulement comme lui vouloir reprendre les territoires qui lui appartiennent?

Selon Douguine : « La Troisième Rome-Moscou et le tsar orthodoxe sont dotés d’une fonction eschatologique pour rassembler sous leur ombre salvatrice tous les peuples du monde avant la fin du monde. »

« Après la chute de l’empire byzantin, la mission de la Sainte Russie était d’être la terre choisie, l’espace eschatologique du Nouvel Israël, prêt à servir de véhicule à la Seconde Venue, à l’apparition de la Nouvelle Jérusalem. »

C’est la fusion nécessaire, voulu, entre le pouvoir ecclésiastique et le pouvoir politique russe.

Cette guerre est d’abord et avant tout religieuse.

Elle est le prélude à la grande guerre annoncée dans les prophéties de Jean XXIII.

Douguine: « Le messianisme russe remonte au XVè siècle, c’est à dire à l’époque où seule la Sainte Russie demeurait la dernière grande puissance orthodoxe. Conformément à la doctrine orthodoxe de la symphonie, le peuple russe et le tsar russe ont repris à Byzance la vocation de servir de barrière contre l’arrivée du fils de perdition. La Russie sacrée est devenue sainte et le peuple russe s’est transformé en porteur de Dieu ; c’est un fait théologique absolument évident et strictement conforme à la foi orthodoxe. La formule du starets Philothée -Moscou, Troisième Rome- est la base de l’identité de l’Eglise russe. Depuis la chute de l’empire byzantin, être russe signifie être choisi pour une confrontation apocalyptique avec Satan libéré juste avant la fin du monde. »

Douguine attribue au dernier empire orthodoxe (la Russie) la fonction eschatologique du katechon, ce dernier rempart évoqué par saint Paul, et qui bloque l’arrivée de la bête, de l’Antéchrist.

Poutine considère que l’Occident avec son capitalisme, et sa foi dans un humanisme tous deux débridés, constituent l’Antéchrist.

C’est l’Antéchrist système que nous avons pu identifier via les analyses.

Sur ce point, ils ont raison.

Quelqu’un, quelque part, doit être le sonneur d’alarme en ces temps si importants.

Et c’est le rôle de la Russie, rôle identifié par le père Malachi Martin dans ses écrits.

Cette thèse explique le soutien du patriarche Kirill dans cette guerre.

La vision eschatologique est la même.

Parce qu’il y a toujours  « un lien étroit entre le facteur national et étatique avec la vérité eschatologique et métaphysique de la foi orthodoxe. » indique Douguine.

La troisième Rome a sonné l’alarme.

Le jour de la séparation du bon grain de l’ivraie est à nos portes.

Dieu utilise la Russie comme fléau du monde en ces derniers temps.

Combien de gens réalisent que c'est une guerre pour les âmes?

« Et Dieu ne ferait pas justice à ses élus qui crient à lui nuit et jour, et il tarderait à leur égard ?

 Je vous le dis, il leur fera bientôt justice. Seulement, quand le Fils de l'homme viendra, trouvera-t-il la foi sur terre ? » (Luc 18, 7-8)

01 juillet

LE SEPTIÈME VOILE

« Devant la situation de l’Église d’aujourd’hui, nous avons le sentiment que par quelque fissure la fumée de Satan est entrée dans le peuple de Dieu… » Paul VI, 29 juin 1972.

Pour remettre ce sermon de Paul VI dans son contexte, en rapport avec le sacerdoce et la liturgie, qui sont les deux seules possibilités pour tenter d’éliminer la présence réelle : une nouvelle liturgie, ou une formation du sacerdoce qui n’aura plus rien de sacré.

Bergoglio en profite donc pour renforcer son Motu Proprio Traditionis Custodes de Bergoglio en cette fête des Saints Pierre et Paul :

« Le Pape publie une Lettre apostolique sur la Liturgie

Le Pape François publie ce 29 juin «J’ai désiré d’un grand désir», une Lettre apostolique au peuple de Dieu offrant des pistes de réflexion sur la célébration de la liturgie. Un an après la publication du Motu proprio Traditionis Custodes, François invite les fidèles à redécouvrir la beauté de la liturgie, notamment à travers la formation…

Le texte, divisé en 65 paragraphes, revient sur les résultats de la plénière du Dicastère du Culte divin de février 2019. Il fait suite au Motu proprio Traditionis custodes, publié le 16 juillet 2021, qui a réaffirmé l’importance de la communion ecclésiale autour du rite issu de la réforme liturgique post-conciliaire.

Cette Lettre apostolique, indique François, n’est pas une nouvelle instruction ou un directoire avec des normes spécifiques. Elle souhaite davantage apporter des pistes de réflexion pour comprendre la beauté de la célébration liturgique et son rôle dans l’évangélisation. Elle se conclut par un appel du Pape François: «Abandonnons nos polémiques pour écouter ensemble ce que l’Esprit dit à l’Eglise. Sauvegardons notre communion. Continuons à nous émerveiller de la beauté de la liturgie».

“«Ce n’est pas un hasard si cet immense effort de réflexion du Conseil œcuménique – qui est la plus haute expression de la synodalité dans l’Église et dont je suis appelé, avec vous tous, à être le gardien de la richesse – a commencé par une réflexion sur la Liturgie.» – Pape François”

Or, en tant que catholique, on ne peut pas, précise-t-il, «reconnaître la validité du Concile et ne pas accueillir la réforme liturgique née du « Sacrosanctum Concilium »». C’est pourquoi le Saint-Père a estimé de son devoir d’affirmer que les livres liturgiques promulgués par Paul VI et Jean-Paul II, conformément aux décrets du Concile Vatican II, étaient l’unique expression du Rite romain…

Le Pape conclut la Lettre apostolique en demandant «à tous les évêques, aux prêtres et aux diacres, aux formateurs des séminaires, aux enseignants des facultés de théologie et des écoles de théologie, à tous les catéchistes et catéchistes, d’aider le peuple saint de Dieu à puiser à ce qui a toujours été la source première de la spiritualité chrétienne.» Il réaffirme ce qui a été établi dans Traditionis custodes, afin que «l’Église puisse élever, dans la variété des langues, une seule et même prière capable d’exprimer son unité». Cette unique prière est le Rite romain issu de la réforme conciliaire, et établi par les saints pontifes Paul VI et Jean-Paul II. » (vaticannews.va)

Bergoglio affirme bien qu’il offre des pistes de réflexion…

C’est ainsi affirmer qu’il prépare une réforme de la liturgie.

Ce n’est plus un secret.

Un peu plus de précisions sur Lifesitenews:

« … « La non-acceptation de la réforme liturgique, comme aussi une compréhension superficielle de celle-ci, nous détourne de l’obligation de trouver des réponses à la question que je reviens répéter : comment pouvons-nous grandir dans notre capacité à vivre pleinement l’action liturgique ? ? Comment continuer à se laisser émerveiller par ce qui se passe dans la fête sous nos yeux ?
En conséquence, le pape a déclaré qu’il est de son « devoir d’affirmer que « les livres liturgiques promulgués par saint Paul VI et saint Jean-Paul II, conformément aux décrets du Concile Vatican II, sont l’expression unique de la lex orandi de la Rite », réitérant son décret du document Traditionis custodes .

Plus loin dans le document, le pape appelle « tous les évêques, prêtres et diacres, les formateurs dans les séminaires, les instructeurs dans les facultés de théologie et les écoles de théologie, et tous les catéchistes » à tenir compte de son commandement de ne pas « revenir à cela », à la forme rituelle que les pères du Concile [Vatican II], cum Petro et sub Petro , ont ressenti le besoin de réformer, approuvant, sous la conduite de l’Esprit Saint et suivant leur conscience de pasteurs, les principes d’où est née la réforme.
François a souligné le travail des papes Paul VI et Jean-Paul II comme garantissant « la fidélité de la réforme du Concile ».

« C’est pourquoi j’ai écrit Traditionis custodes , afin que l’Église élève, dans la variété de tant de langues, une seule et même prière capable d’exprimer son unité.

« Comme je l’ai déjà écrit, j’entends que cette unité soit rétablie dans toute l’Église de rite romain », a déclaré François…

« Bergoglio a l’intention de mettre fin à la messe traditionnelle en latin en imposant le Novus Ordo à tout le rite romain sous prétexte d’unité », a averti le clerc, affirmant plus tard que l’exhortation du pape à « abandonner nos polémiques pour écouter ensemble ce que l’Esprit dit à l’Église » est une manière voilée de dire « nous devons abandonner la Tradition et nous soumettre à sa volonté [de François] ».

La journaliste vaticane Bree Dail a écrit que, « selon plusieurs sources, le pape François » ne croit plus au débat en cours « sur » l’herméneutique de la continuité « , mais « a clairement exprimé sa position personnelle, en rupture avec son prédécesseur, Benoît XVI »… »

Bergoglio se contredit intentionnellement:

« C’est pourquoi j’ai écrit Traditionis custodes , afin que l’Église élève, dans la variété de tant de langues, une seule et même prière capable d’exprimer son unité. »

On sait tous qu’il donne le pouvoir de célébrer l’Eucharistie aux évêques pour s’adapter aux coutumes locales, l’exemple amazonien en est un, et ainsi provoquer une multiplication de prières, et non une seule.

Il ment.

On juge l'arbre à ses fruits: Il désacralise la messe petit à petit.

C’est une opération de préparation psychologique pour la conclusion du synode des synodes en octobre 2023.

Rappelons que la limite de Babylone selon les précédentes analyses :

Entre la fin du synode 2023 et 2025.

La prophétie « Le Temps est Proche » nous donne l’échéance : les deux possibilités de l’identité de la fille de Caïn qui prophétise pour 7 ans étant Greta Thunberg ou la nouvelle église œcuménique de Bergoglio.

Or, plus on avance dans le temps plus il semble que cela a rapport avec le synode :

La fille de Caïn est la nouvelle église œcuménique de Bergoglio qui part de la signature avec les luthériens en octobre 2016, ce qui débute la semaine de Daniel, l'arrêt du sacrifice en mars 2020 à cause du coronavirus et les sept années se terminent en 2023.

« La fille de Caïn est montée au Nord, pour prêcher. Luxure dans la nouvelle Babylone, pour sept ans.

La septième année tombe le septième voile de Salomé, mais il n'existe pas d'empereur, il n'existe pas qui saura lever l'épée et couper le cou de Jean.

Le temps est proche. »

Qu’est-ce que la danse des 7 voiles et pourquoi fait-elle partie ce cette prophétie?

La danse des 7 voiles est parfois reliée à la danse exécutée par Salomé pour Hérodote Antipas afin d’obtenir la tête de Saint Jean-Baptiste.

Il s’agit en fait d’une modification judéo-chrétienne d’un mythe sumérien dont la protagoniste est la déesse , Ishtar, déesse des conflits et des inversions (ce qu’est exactement Bergoglio, le maître des conflits et de l’ambiguïté; il affirme d’ailleurs dans sa dernière interview sur son bilan de la décennie:  « Je n'ai pas inventé ce que j'ai fait. J'ai recueilli ce que les cardinaux avaient dit dans les réunions pré-conclave ") qui descend aux enfers.

Bref, Ishtar ou Vénus, l’étoile du matin, ou le pentagramme…

C’est en référence à Lucifer.

La fille de Caïn est montée au Nord pour prêcher (c’est à dire Bergoglio en Suède en octobre 2016 pour signer le pacte avec les luthériens; fille de Caïn qui tua Abel, donc l’église conciliaire, la prostituée de l’Apocalypse qui éclipse l’Église traditionnelle.)

Luxure dans la nouvelle Babylone, pour sept ans : ici donc luxure au Vatican.

À partir d’octobre 2016, Bergoglio au nom de l’église catholique conciliaire, enlève un voile à chaque année, voile enlevé qui petit à petit révèle le vrai visage de la prostituée, qu’on ne reconnaît plus, et qui aboutira à son apogée en octobre 2023 :

La septième année tombe le septième voile… et il n’y aura plus d’empereur pour couper la tête de Jean.

L’empereur ici est probablement Bergoglio car la prophétie spécifie bien que les deux autres empereurs politiques sont morts.

Est-ce que Bergoglio va décéder ou démissionner avant la fin du synode?

Donc, on se prépare à faire entrer dans le rang ces « traditionalistes » de la messe tridentine suite à ce deuxième avertissement de la lettre apostolique du 29 juin.

Jamais, au grand jamais, car ils sont les témoins qui feront renaître l’Église, les traditionalistes ne lâcheront le morceau.

Ils sont déjà marginalisés.

Bergoglio va donc les pousser au bord du précipice.

Quand l’église conciliaire enlèvera le 7ème voile, on verra son visage définitif suite à sa « transformation » annoncée à chaque étape depuis 2016 :

Nouveau sacerdoce (mariage des prêtres, ordination des femmes), nouvelles mœurs (accueil des LGBT et mariage religieux homosexuel), nouvelle organisation (prise du pouvoir des laïcs via la « démocratisation » diocésaine) et nouvelle messe œcuménique sans Présence Réelle.
Alors la Tradition au sens large ne pourra pas rester dans l’église de Rome.

Elle devra quitter.

Et la prostituée les accusera de tous les maux, eux qui n’ont rien compris à « l’évolution » de cette société qui veut le bien de tous, esclave de l’humanisme donc de Satan.

Ce sera la mort des deux témoins.

Rappel du calendrier de la fin des temps :

LE CALENDRIER DE LA FIN DES TEMPS

Selon l’ordre chronologique donné dans l’Apocalypse, nous avons :

1) Mort des témoins (3,5 jours)
2) Résurrection des témoins

Fin de la sixième période donc en octobre 2023.

Entrée dans la 7ème période qui se termine avant mai 2026:

3) Mort de l’Antéchrist
4) Chute de Babylone (3ème malheur, Ap. 11, 14)
5) Retour du Christ
6) Jugement dernier
7) Règne définitif et sans partage du Christ (Ap. 21-22)

Juin 2022

19 juin

ALERTE ROUGE

« Et la famine arrête les armées.
Les hommes se comptent mourir.
Et après la famine; la peste.
Dieu a déchaîné la guerre de la nature pour empêcher la guerre des hommes. » (Prophétie de Jean XXIII le « Temps est Proche »)

Nul doute que nous y sommes.

Les signes en cette saison 2022 sont inquiétants quant aux récoltes.

D’où l’importance d’avoir un plan de résilience pour soi et la famille.

Les conditions de sécheresse sont à leurs plus hauts niveaux, du jamais vu depuis des décennies, et le tout lié à une population mondiale à nourrir la plus importante ayant existé sur cette planète.

« Alerte à la sécheresse » (lapresse.ca, résumé incluant des photos)

C’est partout sur le globe.

Des températures au-delà de 50 degrés dans le sud ouest américain.

En Europe, en Amérique du Sud, dans sud-ouest canadien, en Inde…

Qui dit sécheresse extrême dit pluie extrême à certains endroits, comme au Bangladesh. Il faut bien que les nuages aillent quelque part.

Dans ce contexte de dé-mondialisation où chaque pays se referme sur lui-même pour assurer ses chaînes de production (ce qui prendra du temps, temps qu’ils n’auront pas), il se passe la même chose au niveau de l’industrie agro-alimentaire.

L’Inde a interdit l’exportation de blé et de riz pour assurer sa survie alimentaire.

Ce n’est pas le seul pays à le faire.

C’est donc dire que plusieurs chaînes alimentaires verront les produits de base se raréfier d’ici l’automne.

Il est temps d’aller vers les « montagnes » à la demande du Christ, c’est à dire de se préparer à cette chute de Babylone et de la Grande Prostituée de l’Apocalypse.

Ceux qui vivent de la Sagesse du Saint-Esprit voient les signes.

Et à l’image de la parabole des vierges folles, ils font réserves d’huile, au niveau temporel et surtout spirituel.

Les deux empereurs de la prophétie, les présidents chinois et russe, achèvent leur temps sur terre.

« Le premier empereur meurt de faim, enfermé dans la tour de son rêve.
Le second empereur dans le désert, attaqué par les animaux de la peste, inconnus. »

C’est le point positif avec l’arrêt de la guerre.

« La fille de Caïn est montée au Nord, pour prêcher. Luxure dans la nouvelle Babylone, pour sept ans.
La septième année tombe le septième voile de Salomé, mais il n'existe pas d'empereur, il n'existe pas qui saura lever l'épée et couper le cou de Jean.
Le temps est proche.»

18 juin

RÉSILIENCE

C’est l’heure de son plan de résilience personnel : temporel mais surtout spirituel.

C’est la fin du mondialisme. La chute sera brutale pour le commun des mortels.

Les conséquences de cette chute résumées par Pierre Hillard (vidéo).

Vivre en dehors de Babylone tout en étant de Babylone n’a jamais été aussi important.

Nous avons évidement l’aspect spirituel de la fuite dans les montagnes enseignée par le Christ en Matthieu 24, c’est à dire rechercher le confort dans la prière et conserver sa foi face à l’abomination de la bête-système et de sa représentation au Vatican en cette fin des temps.

Mais dans cette « Pâques » satanique, ce passage judéo-maçonnique initié volontairement, et qu’ils nomment « grande réinitialisation » ou Agenda 2030, se trouve obligatoirement une réalité temporelle qui sera dure à vivre sans la Foi.

La chute du système économique, volontaire, provoquée, est un sacrifice obligatoire à leurs yeux pour atteindre l’objectif.

Foi, Espérance, Charité n’ont jamais été aussi d’actualité pour le chrétien catholique.

On ne doit pas oublier la Charité.

Plusieurs en auront grandement besoin.

Les causes visibles de cette chute économique sont claires : pénuries par dysfonctionnement des chaînes de production et de distribution à cause des confinements covidiens, guerre en Ukraine, distribution de monnaie des gouvernements pour maintenir la demande durant les confinements qui s’est maintenant tarie.

70% de l’économie dans un pays est générée  par la demande des consommateurs.

La demande entraîne l’inflation.

Mais cette inflation est atypique et est maintenant majoritairement générée par les pénuries.

Le signe : la production pétrolière est au maximum, c’est à dire que physiquement on ne peut plus extraire plus de pétrole.

« À l’exception de deux à trois membres #OPEC, tous sont au maximum de la production pétrolière. Le monde doit accepter ces faits brutaux. C’est un défi mondial. – Barkindo, secrétaire général de l’OPEP »

Cette inflation galopante (voulue) durera jusqu’à ce que les banques centrales avec les hausses de taux d’intérêts réussissent à renverser la croissance mondiale, car augmenter la production demande des investissements et et du temps.

Mais tout ceci a un prix.

Ils préparent donc la seule solution valable, et qui sert leur cause, c’est à dire une récession semblable à la grande récession de 1929.

Et pour y arriver, la guerre doit être totale.

À l’image des prophéties apocalyptiques politiques de Jean XXIII.

Nous sommes sur le point d’entrer dans une économie de guerre.

« « Cela va tout changer. Macron annonce l’entrée dans une économie de guerre » L’édito de Charles SANNAT

… Vous devez retenir ceci.

« Une modification législative pour pouvoir réquisitionner, dans certaines circonstances, des entreprises civiles à des fins militaires »
Macron (qu’on l’aime ou pas n’étant pas le sujet) a dit deux choses importantes et qu’il ne faut pas ignorer.

1/ Nous rentrons dans une économie de guerre.

2/ Nous allons réquisitionner des entreprises civiles à des fins militaires.

Nous allons entrer dans une autre phase d’un autre monde et cela va secouer très fort…. »

Les deux Babylone de la prophétie concernant Benoît XVI seront éventuellement abattues.

Babylone Nations-Unies pour le côté géopolitique, temporel de cette terre, et Babylone Vatican II pour le côté spirituel qui a renié le Christ.

C’est le but du synode des synodes d’octobre 2023.

Un grand chamboulement s’y prépare, décidé d’avance :

« Mariage des prêtres, femmes diacres ou prêtres, transparence dans les décisions paroissiales, révision de la liturgie… Les propositions issues des diocèses de France pour «le synode sur la synodalité», voulu par le pape, pourraient bouleverser l’ordre établi dans le sacerdoce des prêtres. «Une réelle reconnaissance» envers eux est pourtant soulignée. Elles ont été étudiées, mercredi à Lyon, par les évêques, puis transmises à Rome, à la suite d’un vote sur le principe de les communiquer «en l’état» au Vatican et «sans retouche», accompagnées d’une lettre, également votée par les évêques, qui les met en perspective en soulignant certaines «aspirations» et certains «manques»… » (lefigaro.fr)

La plupart des suggestions des évêchés envoyées dans la phase 1 du synode se terminant en août gardent le flou concernant la modification de la liturgie.

Le sujet est en effet sensible mais on sait déjà que le but visé est en rapport avec le synode amazonien : paganisme et œcuménisme.

Reste donc à savoir quand ils feront leur annonce ou leurs intentions quant à la modification de la Sainte Messe pour une messe œcuménique diabolique qui annoncera la tentative de suppression de la présence réelle.

Après le décès de Benoît XVI car il est le katéchon qui les en empêche.

Nous le saurons bien vite.

À partir de ce moment, le calendrier de la fin des temps raccourcira à vitesse grand V pour le peuple aveuglé.

La résilience est de mise d’ici ce temps.

C’est un passage obligatoire.

02 juin

DÉJÀ LA BÊTE SORT DE L’EAU (Jean XXIII)

La grande messe élitiste de Davos est passée.

Ils passent à une vitesse supérieure pour la fusion entre l’humain et la technologie, c’est à dire à un contrôle à la chinoise grâce à l’intelligence artificielle.

Pour le chrétien allumé, la bête, il la voit depuis longtemps.

Pour le monde ordinaire, la bête est envoûtante, mais ils en voient les effets collatéraux : inflation, pénuries, crises financières, guerres, famines qui pointent…

C’est le chaos contrôlé, le sacrifice « bon » de l’élite judéo-maçonnique qui plaît à son dieu, qui provoque la transition, la déstabilisation, et qui amène le messie tant attendu.
Pierre Hillard : Le mondialisme est profondément satanique. (vidéo)

À cette étape, Mgr Vigano tente d’avertir les « endormis » à propos de ces esprits tordus de la bête :

« Votre Excellence, la crise du Covid-19 et la réglementation pandémique entre dans sa troisième année ; pendant ce temps, la guerre en Europe de l’Est, et surtout la guerre politique et médiatique massive, ont ajouté au mélange. Comment évaluez-vous cette évolution ?

Clarifions un point fondamental : la crise ukrainienne a été délibérément provoquée par l’ État profond pour forcer le monde à mener à bien les réformes de la Grande Réinitialisation, en particulier la soi-disant « transition technologique » et le « tournant vert ». C’est le deuxième niveau du coup d’État des technocrates mondialistes après la farce pandémique.

La psychopandémie a marqué le premier palier d’une véritable attaque lancée pour s’approprier le contrôle gouvernemental. En réalité, ils ne cherchent aujourd’hui qu’à contourner le pouvoir politique, qui jusqu’à présent n’était qu’un simple exécuteur d’ordres. Sous prétexte de pandémie, des systèmes de contrôle de la population à grande échelle ont été mis en place, y compris les systèmes de traçabilité des citoyens individuels, inoculés avec le sérum génétique expérimental.

Tout récemment, lors du Forum de Davos, le PDG de Pfizer, Albert Bourla, a déclaré : « Imaginez une puce biologique incluse dans une pilule qui, une fois avalée et pénétrant dans l’estomac, envoie un signal. […] Imaginez les applications, la possibilité de faire obéir les gens. […] Ce qui se passe dans ce domaine est fascinant » ( ici). Et il dit « ce qui se passe » parce qu’il s’agit de technologies existantes, pas de projets imaginatifs. La présence de graphène et de nanocircuits auto-assemblés est désormais aussi admise par ceux qui, il y a un an, pointaient du doigt comme des « théoriciens du complot » qui ont tiré la sonnette d’alarme. La population des nations adhérant à l’Agenda 2030 est en grande partie « vaccinée », c’est-à-dire qu’elle est génétiquement modifiée et que son système immunitaire est irréversiblement compromis. Et peut-être – comme le dénoncent certains juristes – on découvrira qu’avec le sérum génétique ils ont inoculé des puces qui peuvent aussi contrôler les réactions des gens, interférer avec leur comportement, les rendre dociles en cas d’émeutes ou violents s’il est nécessaire d’avoir prétexte à des interventions militaires. Nous sommes bien au-delà du coup global : c’est le plus grand, le plus sensationnel.

Vous pouvez bien imaginer le risque découlant de donner à l’OMS le contrôle souverain des États sur le système de santé en cas d’urgence pandémique, alors que qui doit décider des campagnes de vaccination et des thérapies, des mesures de confinement et de verrouillage, est financé par des sociétés pharmaceutiques et la Fondation Bill & Melinda Gates, qui théorise la pandémie perpétuelle et le rappel vaccinal perpétuel. La résolution qui devait être votée par l’OMS – et qui du moins pour l’instant a été évitée – allait également dans le sens d’un contrôle total par la synarchie mondialiste. Ne soyons donc pas surpris si, dans une pitoyable tentative de dissimulation des effets néfastes du sérum génique expérimental, l’OMS tire désormais la sonnette d’alarme sur le prétendu monkeypox, dont les symptômes sont curieusement similaires à certains des effets secondaires du « vaccin » à ARNm ( ici ). L’OMS et l’EMA (financées à 75% par BigPharma) se sont montrées en conflit d’intérêts clair et totalement dépendantes de l’industrie pharmaceutique.

Quant à la crise russo-ukrainienne, ce qui aurait pu être une opération de paix visant à mettre fin à la persécution ethnique de la minorité russophone en Ukraine par des extrémistes néo-nazis a été délibérément et coupablement transformé en guerre. Les appels répétés de Poutine à la communauté internationale pour que le protocole de Minsk soit respecté sont tombés dans l’oreille d’un sourd.
Pouquoi? Pour la simple raison que c’était une excellente opportunité.

Tout d’abord pour créer une crise énergétique mondiale à table, avec laquelle forcer la transition vers des sources d’énergie alternatives avec toutes les affaires que cela représente. Sans crise, comment la hausse du prix du gaz et du pétrole se justifie-t-elle comme un outil pour forcer les entreprises et les particuliers à faire la fameuse « transition écologique » pour laquelle personne n’a jamais voté et qui a été imposée par des bureaucrates asservis à l’élite ?

Deuxièmement, détruire de manière contrôlée et impitoyable toutes les entreprises considérées comme inutiles ou nuisibles à l’économie mondiale des multinationales. Des millions d’entreprises artisanales, de petites entreprises qui rendent les pays d’Europe et l’Italie en particulier uniques, sont contraintes de fermer car, après les catastrophes causées par les fermetureset par les règles de la psychopandémie, une augmentation des prix du gaz et du pétrole a été provoquée, avec une spéculation criminelle de la part du « marché » et sans que la Fédération de Russie ne prélève un centime de plus. Tous voulus par l’Union européenne sur ordre de l’OTAN, à travers des sanctions qui touchent ceux qui les ont imposées. L’annulation de l’économie traditionnelle n’est pas une conséquence malheureuse d’un conflit inattendu, mais l’action criminelle préméditée d’une mafia mondiale, par rapport à laquelle la mafia traditionnelle est un partenariat bénéfique. L’avantage de cette opération subversive revient aux multinationales qui peuvent acheter des entreprises et des biens immobiliers au prix de la faillite, et aux institutions financières qui profitent de prêts usuraires pour des millions de nouveaux pauvres. Ici aussi, les visées idéologiques – et infernales – des élites dirigeantes profitent de la complicité de potentats économiques qui n’ont que des visées lucratives. Avec la guerre, l’industrie de guerre et la non moins florissante des technologies de l’information et des mercenaires ont l’opportunité de conclure des affaires lucratives, avec lesquelles récompenser généreusement les politiciens qui ont voté pour l’envoi d’armes et de moyens à l’Ukraine.

Troisièmement, la guerre en Ukraine devait permettre la dissimulation du scandale Hunter Biden, impliqué avec la société Metabiota dans le financement des bio-laboratoires dans lesquels sont produites en masse des armes biologiques. Le siège de l’aciérie d’Azovstal a été motivé précisément par la nécessité de cacher à la fois les membres des forces étrangères de l’OTAN ainsi que les néonazis d’Azov et de Pravj Sektor, ainsi que les biolabs interdits par les conventions internationales et qui devaient mener à bien expériences sur la population locale.
Quatrièmement, parce que le récit psychopandémique, malgré la complicité du courant dominant, n’a pas empêché la vérité de fuir et de se répandre progressivement dans des secteurs toujours plus larges de l’opinion publique. La crise en Ukraine devait être une excellente opération de distraction de masse, pour éviter la visibilité aux nouvelles de plus en plus incontrôlables sur les effets létaux du sérum expérimental et les conséquences désastreuses des mesures prises par les États lors de l’urgence pandémique. La falsification des données est désormais manifeste ; la dissimulation délibérée des résultats de la première phase de l’essai est autorisée par les entreprises pharmaceutiques elles-mêmes ; la prise de conscience de l’inutilité du port du masque et du confinementest certifié par plusieurs études; l’atteinte à l’équilibre psychophysique de la population et en particulier des enfants et des personnes âgées est incalculable, tout comme elle l’est pour les élèves suivant l’enseignement à distance. Pour ne pas laisser les gens commencer à comprendre ce qu’on leur a fait, les occuper devant la télé ou sur les réseaux sociaux avec de la propagande anti-russe est la moindre des choses que peuvent faire ces criminels fous, responsables à la fois de la pandémie et la crise russo-ukrainienne.

Si l’on reprend le scénario de ce scénario voulu par l’élite mondialiste, on constate qu’au scénario de la pandémie s’ajoutent d’autres scénarios non moins inquiétants, que l’on a déjà vus anticipés par les médias depuis l’année dernière : la crise énergétique, non pas comme une conséquence malheureuse d’un conflit imprévisible en Ukraine, mais comme un moyen par lequel d’une part imposer l’ économie verte motivée par une urgence climatique inexistante, et d’autre part détruire les économies nationales, faisant échouer les entreprises pour au profit des multinationales, provoquant du chômage et créant ainsi une main-d’œuvre sous-payée, obligeant les États à s’endetter parce qu’ils sont privés de leur souveraineté monétaire ou en tout cas en déficit perpétuel pour cause de seigneuriage.

L’urgence alimentaire est aussi dans le scénario de Klaus Schwab : elle a commencé pour certains produits aux Etats-Unis et en Europe et plus généralement pour les grains et produits céréaliers dans de nombreux pays d’Afrique ou d’Asie. Ensuite, nous découvrons que Bill Gates est le plus grand propriétaire terrien des États-Unis au moment même où il y a une pénurie de céréales et de produits agricoles ; et que Bill Gates est aussi à la tête d’une start-up qui produit du « lait humain artificiel » alors qu’aux États-Unis il y a pénurie de lait en poudre pour les enfants. Et n’oublions pas que les multinationales agricoles parviennent à imposer l’usage de leurs semences stériles – qu’il faut racheter chaque année – et à interdire les semences traditionnelles, ce qui permettrait aux pays pauvres de ne pas en dépendre.

Celui qui a conçu la série de crises actuelles, dont les bases ont été posées au début des années 1990 avec la privatisation des entreprises publiques, a également veillé à placer les gouvernements, les institutions et les organismes internationaux en charge des banques centrales et des grands actifs stratégiques, dans les médias et dans les principales religions mondiales, des personnalités formées et entraînées par le Forum économique mondial à cet effet. Regardez les premiers ministres des grands pays européens, Canada, Australie, Nouvelle-Zélande : ils ont tous été recrutés par les Young Global Leaders for Tomorrow, et le fait qu’ils soient au sommet de ces nations, l’ONU et la Banque mondiale devraient être plus que suffisant pour les juger tous pour subversion et haute trahison.

Les accusations faciles de « complot » ne tiennent plus, tout comme l’accusation de « collaborationnisme » ne tient plus pour quiconque s’interroge sur la crise russo-ukrainienne et sa gestion au niveau international.

Ceux qui ne veulent pas comprendre l’intrigue parce qu’ils ont peur de ce qu’ils pourraient découvrir s’obstinent à nier qu’il y ait un scénario et un réalisateur, qu’il y ait des acteurs et des figurants, des décors et des costumes. Mais on peut vraiment croire que les personnes les plus riches et les plus puissantes du monde accepteraient de lancer une telle attaque contre l’humanité pour réaliser leur rêve mondialiste délirant, avec un énorme déploiement d’énergie et de ressources, sans avoir tout prévu dans le détail et en effet tout quitter au cas? Si ceux qui doivent planifier l’achat d’une maison ou le démarrage d’une entreprise agissent ainsi, pourquoi serait-ce une « complot » de reconnaître que pour obtenir des résultats indicibles et criminels, l’élite doit recourir au mensonge et à la tromperie ?

Si vous me permettez une analogie, je dirais que notre attitude face aux faits présents est similaire à celle de quelqu’un qui se retrouve à devoir reconstituer un puzzle de milliers de pièces, sans avoir l’image finale devant lui. Ceux qui ont construit le puzzle mondialiste l’ont fait précisément pour rendre méconnaissable ce qu’ils voulaient réaliser. Cependant, ceux qui voient l’image entière ou même une partie considérable de celle-ci reconnaissent comment les différentes pièces s’emboîtent. Et ceux qui ont vu l’image finale savent aussi interpréter les silences et la connivence des gouvernants et même des partis d’opposition, comment expliquer la complicité des médecins et des ambulanciers dans les crimes commis dans les hôpitaux contre toute preuve scientifique, ou celle des évêques et des curés qui sont arrivés pour priver les non-vaccinés des sacrements. Lorsque de grandes zones du puzzle sont clairement visibles – et c’est ce qui se passe – les tuiles restantes peuvent être placées plus facilement. Et à ce moment-là, Klaus Schwab, George Soros, Bill Gates, les autres conspirateurs et ceux qui les manœuvrent du haut du dôme, prendront la fuite, pour éviter d’être lynchés. » (aldomariavalli.it)

Cette comparaison du casse tête de Mgr Vigano est du domaine de la bête aux 7 têtes et 10 cornes de l’Apocalypse.

On en voie maintenant l’image.

Voici ce qui ressort de Davos 2022:

En un mot, technologie, ou contrôle par l’intelligence artificielle.

C’est l’agenda des 12 prochains mois.

Une nouvelle application qui sera testée par Alibaba mesurant l’empreinte carbone du sujet, aboutissant à un système de point, crédit social à la chinoise.

««Le panéliste du WEF se vante d’un « suivi de l’empreinte carbone individuelle »: le président du groupe Alibaba se vante du développement d’un « suivi de l’empreinte carbone individuelle » pour surveiller ce que vous achetez, ce que vous mangez et où... »

Évidemment, ils ont besoin de la reconnaissance faciale:

« Alors que nous nous précipitons « tête baissée vers un avenir où les nouvelles technologies convergeront pour aggraver ce risque », nous devons nous préparer à l’aube d’une « technologie de reconnaissance faciale presque parfaite et d’autres identifiants, de la démarche humaine à la respiration en passant par l’iris, » selon Salomon.

Selon le chercheur en technologie, les bases de données biométriques d’un avenir pas trop lointain seront de nature centralisée. Opaques à l’extrême, nos données seront récoltées par les personnes occupant les postes les plus élevés imaginables – vous savez, le genre de personnes qui se rendent à Davos pour des débats polis. De plus, a ajouté Solomon, jetez la géolocalisation des identifiants dans le mélange, et vous avez une recette pour le chaos absolu. Ces identifiants vous suivent, plus précisément le vous numérique, en temps réel. Vous pouvez courir autant que vous voulez, mais vous ne pouvez pas vous cacher… » (zerohedge.com)

Et un besoin essentiel d’une monnaie mondiale électronique, pour le particulier pour son crédit social, et pour les échanges entres nations afin de remplacer SWIFT:

Le président de Mastercard:

« Miebach, participant à un panel sur les monnaies numériques des banques centrales au WEF et organisé par le Global Blockchain Business Council, était l’un des rares participants à vouloir suggérer que le système SWIFT, longtemps dominé par les intérêts occidentaux, pourrait devenir obsolète le long avec la prolifération des monnaies numériques parmi les banques centrales. »(zerohedge.com)

Bref, sans électronique, pas de bête mondiale.

Le miracle du soleil du 13 octobre 1917 est une bonne indication où tout s’en va.

Parlant de soleil, le cycle 25 commencé à l'automne 2020 (cycle de 11 ans) s'avère bien plus actif que les prédictions.

(suivi du cycle solaire via le site de la NOAA)

Le maximum prévu est pour 2025, exactement avant le mois des deux lunes pour le retour du lys prophétisé par Don
Bosco (voir analyses précédentes).

Les tempêtes solaires sont l'ennemi de la technologie élitiste.

Le Seigneur veille, en cette dernière heure.

« N'aimez point le monde, ni ce qui est dans le monde.
Si quelqu'un aime le monde, l'amour du Père n'est pas en lui. Car tout ce qui est dans le monde, la concupiscence de la chair, la concupiscence des yeux, et l'orgueil de la vie, ne vient point du Père, mais du monde.
Le monde passe, et sa concupiscence aussi ; mais celui qui fait la volonté de Dieu demeure éternellement.
Mes petits enfants, c'est la dernière heure. Comme vous avez appris que l'antéchrist doit venir, aussi y a-t-il maintenant plusieurs antéchrists : par là nous connaissons que c'est la dernière heure.
Ils sont sortis du milieu de nous, mais ils n'étaient pas des nôtres ;
car s'ils eussent été des nôtres, ils seraient demeurés avec nous ; mais ils en sont sortis, afin qu'il soit manifeste que tous ne sont pas des nôtres... » (Jean, 1ère lettre, chapitre 2)

Mai 2022

23 mai 2022

Plus nous nous enfonçons dans le gouffre avec cette guerre, plus nous allons assister à toutes sortes de chaos un peu partout.

Le krach économique arrive avec sa récession brutale.

Voir Charles Sannat :
Pourquoi le krach vous menace?

Inflation = récession préparez vous !

En témoigne le Sri Lanka présentement.

Cela fait parti intégrante de la prophétie politique #32 « Le Temps est Proche » où « Les cris et les barrières de la contestation se lèvent, mais déjà la Bête sort de l'eau. »

La bête évoqué par Macron qui sort de l’eau, c’est à dire des foules, aux yeux de tous, est associé au fameux code QR (code QR : voir Pierre Hillard  « De la tirannie sanitaire au nouvel ordre mondial »)

Cette bête fait la guerre à la Mère.

C’est un combat spirituel qui a ses répercussions temporelles, et ce sera effroyable.

Les trois critères tirés de la vidéo de Pierre Hillard :

1. Rejet de la Sainte Trinité
2. Rejet du Christ comme Fils du Dieu Incarné
3. Rejet de la Sainte Vierge

(Allez à 33 minutes direct pour l’aspect religieux du combat actuel.)

Le programme résumé dans le noachisme, la religion pour les goïm, c’est à dire ceux qui ne font pas parti de la clilque judéo-maçonnique, diffusé uniquement en 1914, explique que :

« La Sainte Trinité doit disparaître, Jésus doit être considéré comme un simple prophète appelé à une auguste mission religieuse, et disparition du sacerdoce. »

La disparition du sacerdoce entraîne automatiquement la suppression évidente du sacrifice et l’oblation, de la présence vivante dans les Espèces, étant donné le niveau de désacralisation des prêtres formés sous l’ombre de Vatican II.

Revenons au code QR, le moyen de contrôle choisi par l’élite pour atteindre l’objectif de l’Agenda 2030.

Qui avait réellement entendu parlé du code QR avant la psycho pandémie de 2020?

Aujourd’hui, elle fait partie des mœurs même si les autorités ont abandonné le passeport sanitaire…

Pour l’instant…

Pour l’instant car avec cette nouvelle psycho pandémie de la variole simienne, les autorités amènent le peuple tranquillement vers des objectifs précis.

Tout juste avant le sommet de Davos (qui s’est ouvert aujourd’hui), on entend parlé de ce variole du singe.

Le premier cas a été rapporté en Grande-Bretagne le 7 mai.

On pensait que c’était bénin, localisé.

Soudainement, plus de 11 pays déclarent au moins un cas quelques deux semaines plus tard (tableau sur zerohedge.com).

On n’en meurt pas encore…

Pour l’instant.

Mais comme par hasard, une simulation en biosécurité tenue à Munich à l’automne 2021 avait comme agent virulent…

La variole simienne.

Dans le scénario, l’ « attaque » a lieu le 15 mai 2022 et au 10 janvier 2023, plus de 1.3 millions de morts, alors que…

Selon les scientifiques des articles ci-haut on ne meurt pas de ce virus.

Alors pourquoi autant de morts dans cette simulation?

Dans la simulation, le 10 mai 2023, le nombre de morts en comparaison de janvier passe à 27 millions et à 271 millions au premier décembre 2023.( simulation via zerohedge.com)

Et cette nouvelle psycho pandémie arrive juste à point…

Au moment où les états mondiaux s’apprêtent à donne plus de pouvoir à l’Organisaiton Mondiale de la Santé, en termes de confinements et de vaccination…

Le vote a lieu à la fin de la semaine de la rencontre annuelle de l’OMS.

D’où l’avertissement de Mgr Vigano:

« (LifeSitenews.com) – Dans les prochains jours, les nations qui adhèrent à l’Organisation mondiale de la santé (OMS) voteront des résolutions concernant la gestion des pandémies par l’OMS. Ces résolutions transféreront la souveraineté en matière de santé des citoyens à un organisme supranational largement financé par l’industrie pharmaceutique et la Fondation Bill & Melinda Gates. Si ces résolutions sont approuvées à la majorité, l’OMS aura l’autorité internationale exclusive en cas de pandémie pour imposer toutes les règles, y compris les quarantaines, les confinements, les vaccinations obligatoires et les passeports vaccinaux. Il convient également de garder à l’esprit que cette organisation jouit de l’immunité et que ses membres ne peuvent donc être ni jugés ni condamnés s’ils commettent des crimes.

Étant donné que la cession de souveraineté est considérée comme un crime de haute trahison par les lois de chaque nation, et que les parlements ne peuvent légiférer contre les intérêts de la Nation, encore moins violer les libertés naturelles et les droits fondamentaux des citoyens qu’ils représentent, je crois qu’il n’échappera à personne que cette tentative de l’OMS de s’approprier un pouvoir proprement national vise à empêcher toute forme d’opposition à « l’Agenda 2030 », qui dans le domaine de la santé vise aussi à accomplir le la réduction drastique des services médicaux et hospitaliers, la privatisation de l’industrie de la santé et la prévention des maladies grâce aux vaccins.


Le Saint-Siège doit réaffirmer les droits, protéger les personnes sans défense

Le Saint-Siège – qui est Observateur permanent auprès des Nations Unies et également de l’OMS depuis un an maintenant – a le devoir de réaffirmer le droit des individus d’accepter ou de refuser des traitements de santé, en particulier face au danger concret d’effets indésirables, encore en partie inconnues, de ce traitement génétique expérimental. Et si jusqu’à présent Bergoglio et sa cabale se sont livrés aux délires de Gates, Schwab et Soros, le moment est venu pour l’Église catholique de défendre les plus faibles, les enfants à naître, les enfants et les personnes âgées sans défense, ainsi que ceux qui ont fait l’objet d’un chantage par le cynisme d’hommes d’affaires et de conspirateurs afin de les forcer à être inoculés avec un sérum contaminé par des lignées cellulaires de fœtus avortés .

Le silence conspirateur actuel du Vatican, après les déclarations hâtives qu’il a faites au début de la pandémie et ses approbations honteuses de Big Pharma, sera imputé à la condamnation du Sanhédrin romain, qui s’est rendu complice d’un crime contre Dieu et l’homme. Jamais dans toute l’histoire la Hiérarchie ne s’est prostituée au pouvoir temporel d’une manière aussi servile et abjecte. Prions pour que certains évêques trouvent le courage de se distancer de la ligne collaborationniste de Bergoglio et trouvent les mots pour ouvrir les yeux de ces braves gens qui ont jusqu’ici été trompés par la propagande mondialiste. »

Préparez-vous, surtout spirituellement, car on approche de la limite de Babylone à grands pas.

Les avertissements sur la famine mondiale 2023 fusent de partout, et même de la publication économique officielle des Rothschild, The Economist.

L’image vaut milles mots.

13 mai

Le président français et la présidente de l’union européenne ont poussé encore plus loin le concept d’une Europe fédérée à la conférence sur l’avenir de l’Europe qui s’est achevée le 9 mai dernier.

Ils se disent prêt à revoir tous les traités afin d’y parvenir dans un court laps de temps, ce qui favoriserait l’entrée de l’Ukraine dans l’Union Européenne.

Nous assistons à vitesse grand V à la consolidation de grands blocs économiques comme l’a bien souvent « prophétisé » Pierre Hillard dans ses ouvrages.

« Son rêve c’est d’être empereur d’Europe » à propos d’Emmanuel Macron (Olivier Delamarche vidéo).

« Ce n'est pas le temps d'un roi, ce ne l'a jamais été. Depuis la mort de Frédéric, chaque roi est usurpateur. Que le roi s'en aille, reste le peuple.

L'Europe a soif, elle aura du sang dans les rues. » (prophétie Grand Éclair à l’Orient).

Nous y sommes donc.

C’est bien Emmanuel Macron qui est visé dans cette prophétie.

La révolte du peuple est proche.

Ils la veulent.

La guerre.

Du chaos naîtra la « grande réinitialisation ».

C’est leur concept du phœnix.

Mais pour nous, c’est la délivrance qui approche.

« Mais aussi de grandes processions et la Vierge Heureuse descendra sur terre. Vous ne la verrez pas dans la grotte, mais dans un cœur qui revivra. Depuis les ténèbres, elle apportera la parole que tous comprendront.»

C’est la seconde pentecôte.

La lueur d’espoir du Jugement pour les justes.

C’est la résurrection des « deux témoins » de l’Apocalypse, ce silence d’une demi-heure pour convaincre les tièdes.

Après la guerre?

Qu’est-ce qui arrêtera la guerre?

C’est limpide dans la prophétie « Le Temps est Proche » :

C’est la famine : « Et la famine arrête les armées. »

N’entendons nous pas les cris d’alerte sur la famine dans les médias ces jours-ci?

Dieu y ajoutera la sécheresse comme composante outre la guerre.

Il les prendra au mot.

Voici un résumé de l’activité solaire d’avril:

Niveau d’intensité très au-dessus de la normale par rapport aux derniers cycles solaires.

Début mai: plus de 20 éruptions de masses coronales (CME) en une semaine.

Quelques classe X de force 1.5 en moyenne, en majorité non dirigées vers la terre.

L’astre solaire est plus chaud, il n’y a pas que le réchauffement climatique généré par l’humain car la NASA mesure une augmentation des températures sur les autres planètes.

Dieu avait d’autres plans…

Sécheresse un peu partout ce printemps. Le Mid-Ouest américain n’a pas reçu de pluies depuis octobre. Les niveaux d’eau des barrages au Colorado sont à quelques centimètres de ne plus être capable de générer de l’électricité.

Plus de la moitié des États-Unis est en état de sécheresse.

Carte américaine des conditions de sécheresse

Vidéo qui dit tout (en anglais mais les images sont stupéfiantes).

« Une tempête de poussière déferle sur une ville du Dakota du Sud » (lapresse.ca)

L’effet de la Niña est présent pour une troisième année consécutive. (El Niña est le contraire de l’effet El Niño ou Enfant Jésus).

Fait très rare.

Tout cela en plus de la guerre en Ukraine laisse envisager des réserves alimentaires beaucoup moindre pour la masse.

Déjà les pays sud américains ont arrêté les exportations de céréales après leur saison d’été désastreuse.

ET la peste reviendra : « Et après la famine; la peste. »

Nouvelle mutation de la Covid?

« Et la Mère n'a pas de père, parce que beaucoup veulent être son père. Et deux seront soutenus par les adversaires. »

Donc, tout se passe lorsque les deux papes sont en fonction.

Car après la disparition de Benoît XVI, c’est le septième sceau qui sera ouvert.

Le septième sceau, c'est la mort du système Antéchrist et de ses deux bêtes, celle de la mer, et de la terre.

Encore une fois, le calendrier de la fin des temps (voir limite de Babylone 29 novembre 2021) :

Selon l’ordre chronologique donné dans l’Apocalypse, nous avons :

1) Mort des témoins (3,5 jours)
2) Résurrection des témoins

Fin de la sixième période.

Entrée dans la 7ème période :

3) Mort de l’Antéchrist
4) Chute de Babylone (3ème malheur, Ap. 11, 14)
5) Retour du Christ
6) Jugement dernier
7) Règne définitif et sans partage du Christ (Ap. 21-22)

N’oublions pas qu’au septième sceau, tout ira très vite.

La majorité des tribulations et châtiments ont lieu durant cette courte période.

Un petit reste doit y survivre afin que des âmes justes ne se perdent dans ce système.

08 mai

LES SIGNES

« Dieu a déchaîné la guerre de la nature pour empêcher la guerre des hommes. »

Outres les inondations dans l’hémisphère sud, ce sont les conditions de sécheresse qui inquiètent les autorités.

Aux États-Unis, des conditions apocalyptiques, les pires en 1200 ans selon les scientifiques (voir la carte ici ).

En Irak, 5 tempêtes de sable majeurs durant le mois d’avril.

Du jamais vu.

Première tempête de sable du mois de mai : La ville de Nassiriya recouverte de sable (lapresse.ca)

Ces conditions météorologiques liées à l’effondrement de l’exportation de céréales à cause de la guerre en Ukraine, créent une situation intenable pour certains pays, surtout en Afrique.

C’est la famine qui pointe à l’horizon :

« Une crise sans précédent pour le continent » africain, selon un représentant de l’ONU » (lapresse.ca)

La guerre de la nature prophétisée par Jean XXIII s’accroît en intensité avec la guerre des hommes.

« Grand éclair à l'Orient. Vous n'entendrez pas le tonnerre, lui aussi sera imprévu.
Ceci arrivera quand en Orient sera mort un chef et en Occident, sera tué un chef. Au sud de Luther. (…) »

Les rumeurs que le président russe souffrirait d’un cancer de la thyroïde s’intensifient.

Simples rumeurs? Ou serait-il ce chef en Orient qui décédera?

On peut facilement imaginé tout le chaos qui s’ensuivrait car Poutine gère seul et il n’y a pas de dauphin pour prendre le relais.

Or, n’est-il pas prophétisé que la « terre frisera le massacre »?

« Le premier empereur meurt de faim, enfermé dans la tour de son rêve.»

Effectivement, le président russe qui rêve du retour à la grande Russie est enfermé dans sa tour. Il s’isole de tous, par peur de la Covid-19 ou parce qu’il serait immunodéprimé par les traitements de son cancer.

En Chine, la stratégie nationale de « zéro COVID-19 » dans le pays est entrain de rendre la population folle… et affamée.

La plupart des 25 millions d’habitants de Shanghai sont confinés depuis début avril et sont surveillés par des mesures restrictives dignes du roman 1984.

« Le second empereur dans le désert, attaqué par les animaux de la peste, inconnus. »

Les villes chinoises sont désertes, rien ne bouge ou presque, comme dans le désert, et les « animaux » de la pandémie du Covid pullulent, et que la grogne monte chez le peuple.

« Le grand frère d'Orient fera trembler le monde par la croix renversée sans les lis. Le nouveau Père ira vers lui mais laissera la Mère orpheline. »

Et si le grand frère d’Orient était le patriarche orthodoxe russe?

Car présentement, il se colle plus à Satan, sans surprise, qu’à l’enseignement du Christ.

« Le pape François a averti le chef de l'Église orthodoxe russe, le patriarche Cyrille, de ne pas devenir "l'enfant de chœur de Poutine", a-t-il déclaré dans une interview cette semaine. Dans ses paroles les plus fortes à ce jour contre le patriarche pro-guerre, François a également critiqué Kirill pour avoir approuvé les raisons invoquées par la Russie pour envahir l'Ukraine. "Je lui ai parlé pendant 40 minutes via Zoom", ... "Les 20 premières minutes, il m'a lu, une carte à la main, toutes les justifications de la guerre." "Je l'ai écouté et je lui ai dit : je ne comprends rien à cela", a déclaré le pape. "Frère, nous ne sommes pas des clercs d'État, nous ne pouvons pas utiliser le langage de la politique mais celui de Jésus". "Le patriarche ne peut pas se transformer en enfant de chœur de Poutine", a déclaré le pape. »

01 mai

L’ALPHA ET L’OMÉGA

« Je suis l'alpha et l'oméga " [le commencement et la fin], dit le Seigneur Dieu, celui qui est, qui était et qui vient, le Tout-Puissant. » (Apocalypse 1, 8)

Nous arrivons à la fin du cycle.

Le temps du choix : la vie éternelle ou la seconde mort.

« Puis il me dit : " C'est fait ! Je suis l'alpha et l'oméga, le commencement et la fin. A celui qui a soif, je donnerai gratuitement de la source de l'eau de la vie. Celui qui vaincra possédera ces choses ; je serai son Dieu et il sera mon fils. Mais pour les lâches, les incrédules, les abominables, les meurtriers, les impudiques, les magiciens, les idolâtres et tous les menteurs, leur part est dans l'étang ardent de feu et de soufre : c'est la seconde mort. » (Apocalypse 21, 6-8)

La déchristianisation des nations chrétiennes a rendu le monde aveugle.

Qui est assez allumé de nos jours pour reconnaître la réalité spirituelle?

Cette fin de cycle n’est perçu que par le petit reste, et encore.

La majorité vit sur l’espérance du « retour à la normale », au dieu consommation matériel et aux délices de Capoue.

Tous les avertissements des Saints papes contre le modernisme, le socialisme, etc. ont été mis aux oubliettes.

L’Église, et par ricochet ce monde, sont dans une spirale descendante qui achève.

La fin est rapide, au grand étonnement de tous, folle, trop forte pour le mental sans le soutien de la prière, comme au temps de Noé.

Ce monde sera surpris… comme un voleur nous avait avertit le Christ.

La vision « holocaustique » de l’élite judéo-maçonnique pour un bien suprême, le messie tant attendu, le peuple prêtre finalement « élu » à la place du Verbe Incarné comme seul lien direct avec Dieu, se manifeste intensément avec cette dernière phase du sacrifice ultime, une guerre à grande échelle, un sacrifice de masse qui fait ressortir tout le mal qu’il y a dans l’humain.

Cette guerre spirituelle dépasse l’entendement humain à cause de l’apostasie généralisée.

Et ceux qui ont le pouvoir de faire éclater la Vérité sont jetés dans le même panier que les « complotistes », terme à la mode et outil très astucieux avancé par Satan et ses sbires.

C’est le dernier acte des aveugles qui conduisent les aveugles.

Du loup déguisé en agneau.

« Je vous le dis en vérité, cette génération ne passera point que toutes ces choses n'arrivent. Le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront point. » (Matthieu 24, 34-35)

C’est ainsi que NSJC nous a donné les signes cités en rapport avec la parabole du figuier au printemps.

L’abomination de la désolation est sur le trône et cette génération chrétienne a oublié ses paroles.

Comme le peuple juif a été jugé comme n’étant plus le peuple élu (avec transfert de la mission à l’Église catholique, gardienne des Lois et de la Foi; les « deux témoins »), avec la destruction du temple de Salomon en 70, elle aussi sera jugé.

L’illusion de la miséricorde infinie entretient l’indifférence quant à l’importance de la conversion véritable en marge du Jugement imminent.

Ce Jugement n’aboutira pas à un règne de 1000 ans de paix comme plusieurs le croient.

Cette période est du passé.

Les 1000 ans sont l’âge d’or des Pères de l’Église, un tournant majeur, commencé avec la conversion de l’empereur Constantin en 312.

L’Église débute alors une époque de forte croissance après l’époque des persécutions romaines.

C’est l’affirmation progressive de Jésus comme Dieu Un et Trin, qui marque ce temps fécond.

Cette période de 1000 ans est témoin de la naissance de la Fille Aînée de l’Église, la France, qui prend forme avec le baptême de Clovis par Saint Rémi, et qui produit une royauté de droit divin.

Cette royauté atteint son apogée sous Saint Louis en tant qu’unité spirituelle et politique catholique.

Cela devrait toujours être le cas dominant sur cette terre aujourd’hui, puisque la parole du Christ a été prêché presque partout.

Cette période de 1000 ans confronte le Verbe Incarné à la synagogue de Satan qui refuse ce Messie et qui déchaîne tout sa haine via le Talmud (création entre 500 et 600) .

Ce travail patient et sournois aboutit aux Lumières et à la révolution de 1789 mettant fin à cette royauté de droit divin.

Le point tournant fut le règne de Philippe IV le Bel qui rejeta l’autorité spirituel du Vicaire du Christ.

« … En 1296, le pape rappela au roi que “ le clergé ne pouvait être soumis à aucun impôt sans l’accord du Saint-Siège.” et plus tard, en 1302, le pontife romain insista sur “la supériorité du pouvoir spirituel sur le pouvoir temporel, et par ce biais la supériorité du pape sur les rois, ces derniers étant responsables devant le chef de l’Église.” La guerre entre les deux souverains était déclarée. Pour asseoir son autorité et pour emporter l’adhésion populaire à sa politique, le roi de France convoqua pour la première fois des États Généraux du royaume… » (catholiquedefrance.fr)

La suite est claire. En 1303, Phillippe IV le Bel décida de remplacer le pape via un concile œcuménique à Lyon pour le juger et le déposer. Le pape excommunia le roi et s’ensuivit des événements clés qui aboutirent à la mort du pape.

Le règne du roi Philippe le Bel durant le XIVème siècle marque la fin des Templiers. L’ordre est accusé d’hérésie. Le pape Clément V prononce la dissolution de l’ordre le 3 avril 1312.

Le règne de 1000 ans est terminé : 312 – 1312.

C’est alors le début d’une longue pente descendante pour l’Église (dont la réforme protestante; création de la franc-maçonnerie en 1717, etc.), et pour la Fille Aînée de l’Église,  avec une laïcisation progressive qui continua de croître sous le règne de Charles VII avec l'application de la « Pragmatique Sanction de Bourges», malgré la triple donation de  Sainte Jeanne d’Arc qui redonnait le Royaume du Christ à son lieutenant temporel.

« Les États Généraux furent un tournant dans l’histoire de France et dans celle de l’Église. Cet événement entraîna la dislocation progressive de l’Église et par conséquent du royaume de France. L’Église s’affaiblira par le grand schisme d’Occident au XIVe siècle, par la Réforme protestante puis par les Lumières. Le royaume de France, quant à lui, changera de dynastie rapidement après la mort de Philippe IV le Bel pour entrer dans celle de Valois et des Bourbons amenant doucement la Révolution française. Saint Rémi, lors du baptême de Clovis, avait prévenu :
Le roi sera victorieux et prospère tant qu’il sera fidèle à la foi romaine. Mais il sera châtié toutes les fois qu’il sera infidèle à sa vocation. Il soumettra tous les peuples à son sceptre. Il durera jusqu’à la fin des temps !  » (catholiquedefrance.fr ci-haut)

« Si un jour cette race royale que j'ai tant de fois consacrée au Seigneur, rendant le mal pour le bien, lui devenait hostile; envahissait ses Églises, les détruisait, les dévastait: (…) », alors les châtiments viendraient. (voir testament de Saint Rémi)

Les 1000 ans sont donc du passé.

Ce monde est séduit comme prévu dans l’Apocalypse.

C’est le temps de Gog et Magog pour le combat final autour de la Syrie (malgré le fait qu’on tourne notre regard vers l’Ukraine).

Le « Grand Éclair à l’Orient » nous surprendra affirme la prophétie de Jean XXIII.

Au Vatican, l’abomination de la désolation est sur le trône, c’est à dire le faux prophète.

La bête est là nous a affirmé E. Macron.

La bête « Gardien de la Paix et de la Sécurité » a été placée aux Nations-Unies le 21 décembre 2021 (et peu après la guerre éclata…)

Cette bête est semblable à la description dans l’Apocalypse… Et elle représente le retour aux sacrifices façon Inca, c’est à dire le « sacrifice humain ».

Les acteurs du dernier acte sont donc tous en place…

L’Apocalypse (21, 7-10) spécifie bien que c’est après les milles ans que Satan est relâché de prison pour détruire l’Église.

Ce qui a pris plusieurs siècles (et n’oublions pas les derniers 100 ans accordés selon la vision du pape Léon XIII).

Pierre Hillard refait le résumé dans son nouveau livre (vidéo).

« Quand les mille ans seront accomplis, Satan sera relâché de sa prison, et il en sortira pour séduire les nations qui sont aux quatre extrémités de la terre, Gog et Magog, afin de les rassembler pour le combat : leur nombre est comme le sable de la mer. Elles montèrent sur la surface de la terre, et elles cernèrent le camp des saints et la ville bien-aimée; mais Dieu fit tomber un feu du ciel qui les dévora. Et le diable, leur séducteur, fut jeté dans l'étang de feu et de soufre, où sont la bête et le faux prophète, et ils seront tourmentés jour et nuit aux siècles des siècles. »

Et c’est après que vient la conclusion du Jugement, avec un troisième affirmation de l’alpha et l’oméga, montrant au peuple ce qui l’attend s’il ne se convertit pas :

« Je suis l'alpha et l'oméga, le premier et le dernier, le commencement et la fin. Heureux ceux qui lavent leurs robes, afin d'avoir droit à l'arbre de la vie, et afin d'entrer dans la ville par les portes ! Dehors les chiens, les magiciens, les impudiques, les meurtriers, les idolâtres, et quiconque aime le mensonge et s'y adonne ! C'est moi, Jésus, qui ai envoyé mon ange vous attester ces choses, pour les Églises. C'est moi qui suis le rejeton et le fils de David, l'étoile brillante du matin. » (Apocalypse 22, 13-16)

L’Alpha de cette génération à partir du Verbe Incarné s’achève avec son retour glorieux (spirituel et non physique), l’Oméga.

Aujourd’hui, du strict point de vue humain, Satan semble avoir gagné la partie.

Mais c’est sans compter sur NSJC et de notre Sainte Mère Marie.

Quand tout semblera perdu, c’est là que nous serons témoins de cette intervention aussi vite que l’éclair, soudaine, qui fera que les portes de l’enfer ne prévaudront pas contre l’Église, et que le Cœur Immaculée de Marie triomphera tel que promit à Fatima.

C’est l’Alpha et L’ Oméga du temps long, de la Genèse jusqu’à la victoire du Christ Roi et la Sainte Vierge.

« je mettrai une inimitié entre toi et la femme, entre ta postérité et sa postérité ; celle-ci te meurtrira à la tête (Oméga), et tu la meurtriras au talon. » (Genèse 3, 15).

Tout a un sens.

Ce long cycle destiné à racheter les âmes depuis Adam et Éve qui ont chuté est sur le point de connaître son apogée.

Avril 2022

15 Avril

LE  SACRIFICE DE L’ÉGLISE

« Jésus leur répondit : " L'heure est venue où le Fils de l'homme doit être glorifié. En vérité, en vérité, je vous le dis, si le grain de blé tombé en terre ne meurt pas, il demeure seul ; mais s'il meurt, il porte beaucoup de fruit. Celui qui aime sa vie, la perdra ; et celui qui hait sa vie en ce monde, la conservera pour la vie éternelle. Si quelqu'un veut être mon serviteur, qu'il me suive, et là où je suis, là aussi sera mon serviteur. Si quelqu'un me sert, mon Père l'honorera. » (Jean 12, 23-26)

Hors de Babylone, des deux Babylone.

Fuite dans les montagnes, dans les grottes… de notre âme.

Nous sommes dans Babylone mais nous devons la fuir en s’isolant par la prière et par des gestes de charité qui prouvent que nous ne lui appartenons point.

Comme le Christ s’est sacrifié pour la rémission des péchés, l’Église, l’Épouse du Christ, doit se sacrifier pour le Salut du Monde.

L’enfer ne prévaudra pas sur son Église affirme le Christ. Elle doit ressusciter.

Mais ce passage, cette Pâques nécessaire pour mériter la vie éternelle, demandera beaucoup de courage, de volonté et de prières pour les chrétiens qui font partis de ce corps mystique.

Le Christ a instauré par son acte ultime la pérennité du sacrifice non sanglant par l’instauration de la Sainte Messe.

Les talmudistes ont une autre vision du sacrifice.

Pour ces derniers, par le refus de reconnaître le Messie, le sacrifice sanglant demeure.

Il est même nécessaire, car dans la pensée judéo-maçonnique c’est le moyen de faire venir leur messie.

Ce messie talmudiste, c’est l’ultime dominance du peuple juif (lire ici l’élite) sur le monde tel que promis par le Dieu de l’Ancien Testament.

Alors que le Messie est venu pour toutes les âmes.

Nous arrivons à cet aboutissement.

En langage d’aujourd’hui : le nouvel ordre mondial.

C’est le refus du Verbe Incarné, le Christ, le Messie, par le peuple juif qui nous mène à ce point crucial en 2022, la grande réinitialisation ou Tikoun Olam pour les kabbalistes (voir Pierre Hillard ou les analyses précédentes).

Ces sacrifices modernes, à l’image des sacrifices dans l’Ancien Testament, sont la Covid via la vaccination, la guerre en Ukraine qui a débuté le 24 février 2022, et tout se qui découlera de la chute du système provoquée: angoisses financières, famines, révolutions, soulèvement des peuples, ...

C’est pour eux la rédemption par le péché.

Plus on sacrifie, plus Dieu sera à l’écoute de son peuple.

Le talmud est en opposition au catholicisme et doit placer le peuple juif en tant que serviteurs souffrant de l’humanité, pour accélérer la venue messie.

Il y a donc une notion ici de « quantité quant aux sacrifices nécessaires ».

Voir  Mort au cléricalisme ou sacrifice humain. Mgr Gaume

C’est le combat final entre Dieu et Satan.

L’élite judéo-maçonnique pense faire renaître de ses cendres le système mondial après le chaos instauré.

Combien de fois avons nous vu le phœnix comme symbole de cette renaissance chez l’élite (voir analyses précédentes)?

Ils sont passé à une vitesse supérieure grâce à la Covid.

Contrôle de la population en vue à la manière chinoise, grâce à la technologie.

Une guerre nécessaire et voulue.

Par la création monétaire à l’infini depuis la crise de 2008 (le système financier est sous respirateur artificiel), les pays se sont endettés encore plus par les programmes de soutien durant la pandémie.

Pénuries, chaînes d’approvisionnement interrompues, injection de monnaie abondante, ont créé un inflation incontrôlable qui ne se résorbera pas.

L’élite via les banques et les réserves fédérales coupe les vivres aux récalcitrants (la Russie par exemple) et augmente les taux d’intérêts pour faire tomber le système et pousser les pays vers la faillite.

C’est l’heure du phœnix, qui doit renaître des cendres du sacrifice sanglant, avec une monnaie unique, un peuple prêtre maître du monde, l’homme déifié à son apothéose, le 666 dans toute sa trinité.

Mais Dieu avait d’autres projets pour citer Anne Catherine Emmerich.

Dieu interviendra avant par la guerre de la nature pour sauver le petit reste.

Et cette terre sera purifiée par le sacrifice ultime de l’Épouse du Christ, l’Église.

« La terre détruira le ciment et de terre sera, Reine, ta nouvelle Église. Et sur la terre de blé, pour la faim de tes peuples, fleur sur son nouvel autel. Amen. » (prophétie de Jean XXIII concernant Benoît XVI)

Deux signes majeurs du dernier acte avant le Jugement dont nous ne connaissons ni le jour ni l’heure :

- La chute de Babylone, du système actuel dont nous a prévenu NSJC en Matthieu 24, et qui précède le Jugement (voir calendrier de la fin des temps 29 novembre 2021).

- Le décès de Benoît XVI qui annonce la mort des deux témoins, donc de l’Église traditionnelle, puisque la prophétie de Jean XXIII ci-haut est bien un déclencheur des derniers événements.

Cette Pâques 2022 est importante.

Elle est liée à Benoît XVI, à son anniversaire, demain, samedi saint.

« Je suis né un samedi saint, le 16 avril 1927, à Marktl am Inn. Ma naissance, le dernier jour de la Semaine sainte et la veille de Pâques, n’est jamais passée inaperçue dans l’histoire familiale, d’autant plus que j’ai été baptisé dès le matin de ma naissance avec l’eau tout juste bénite la « nuit pascale », célébrée à l’époque le matin. Et être le premier baptisé avec l’eau nouvelle fut considéré comme un signe du Ciel. Le fait que ma vie ait été ainsi plongée dès le début dans le mystère pascal m’a toujours rempli de gratitude, car ce ne pouvait être qu’un signe de bénédiction. Bien sûr, ce n’était pas le dimanche de Pâques mais le samedi saint ; or plus j’y repense, plus cela me semble être en accord avec notre vie humaine toujours en attente de Pâques, qui n’est pas encore dans la pleine lumière, mais s’en approche dans la confiance. »

Ma vie, souvenirs, Joseph Ratzinger, (éd. Fayard, pages 8-9)

8 avril

ÉLIE, LE PRÉCURSEUR

Le 24 juin, nous fêtons la Saint-Jean Baptiste, au solstice d’été.

Jean-Baptiste on le sait, est le précurseur du Christ.

Il annonce cette lumière qui vient illuminer les ténèbres.

Sans cette lumière, nous étions voué à la mort de l’âme par nos péchés.

Jean-Baptiste fut comparé de nombreuses fois au prophète Élie dans le nouveau testament.

Élie occupe une place importante.

Il fut, bien des années auparavant, précurseur du Christ.

Le jour de la transfiguration, c’est Élie et Moïse qui sont au côté de Jésus.

Ils représentent les deux candélabres, les deux oliviers,… les deux témoins de l’Apocalypse.

Les "deux fils de l'huile", c'est-à-dire les deux oints de Dieu, sont le roi et le grand prêtre qui préfigurent le Christ.

C’est aussi ceux qui sont fidèles à la loi et aux prophètes.

Dans le livre des rois, Élie a le pouvoir de faire pleuvoir, ou bien de retenir la pluie, tout comme les 2 témoins de l’Apocalypse, c’est à dire d’ouvrir le passage pour recevoir les grâces sanctifiantes en cette fin des temps.

Élie, c’est le Carmel.

Que fait Élie au Mont Carmel ?

Élie a le rôle de ramener le roi Achad dans le droit chemin car ce dernier a abandonné Dieu pour sacrifier au dieu Baal.

C’est le retour au paganisme… comme aujourd’hui au Vatican.

Alors il convoque l’ensemble du peuple sur le mont Carmel ainsi que 450 prêtres de Baal pour les confondre.

Tel sera le rôle des deux témoins prochainement.

L’autre épisode reliant la Sainte Vierge Marie et Élie selon les pères de l’Église est celui-ci :

« Élie monta au sommet du Carmel et, se penchant vers la terre, il mit son visage entre ses genoux, et il dit à son serviteur : « Monte, regarde du côté de la mer. » Le serviteur monta et, ayant regardé, il dit : « Il n'y a rien. » Et Élie dit : « Retourne sept fois. » A la septième fois, il dit : « Voici un petit nuage, comme la paume de la main d'un homme, qui s'élève de la mer. » » (1 Rois, 18, 42-44)

(Notez encore l’importance du chiffre sept (voir analyses précédentes) tout comme dans l’épisode de Jéricho et les allusions nombreuses dans les prophéties de Jean XXIII.

En effet ce n’est qu’au septième tour au septième jour que les murs de Jéricho s’effondrent et qu’il y a libération.)

Le Carmel, c’est aussi les deux apparitions de la Sainte Vierge en Notre Dame du Carmel, soient le 13 octobre 1917 à Fatima, et le 16 juillet

1878 pour la 18ème et dernière apparition à Lourdes.

Elle montre la fin d’un cycle. L’Oméga dans l’« Alpha et L’Oméga ».

« Mais aussi de grandes processions et la Vierge Heureuse descendra sur terre. Vous ne la verrez pas dans la grotte, mais dans un cœur qui revivra. Depuis les ténèbres, elle apportera la parole que tous comprendront. C'est le temps des lettres. » (prophétie Grand Éclair à l’Orient)

« Quoi qu'il en soit, la signification profonde n'est pas douteuse. Après s'être révélée comme la Vierge du Rosaire, Notre-Dame se montre à nous le 16 juillet comme la Reine du Mont Carmel, et il semble que tous les détails de l'Apparition prennent leur pleine signification, quand on les met en parallèle avec la vision du prophète Élie, que la liturgie rap­pelait et fêtait ce jour-là.

Notre-Dame du Carmel était particulièrement ho­norée à Lourdes. Une confrérie y avait été érigée depuis des siècles. Les confrères étant contraints d’aller à Tarbes pour gagner l’indulgence, on avait obtenu du provincial des Carmes l’autorisation de la gagner dans l’église paroissiale, à condition qu’on bâtît une chapelle; pour l’édifier on avait démoli une partie du collège de la ville.

Toutes les familles chrétiennes de Lourdes portaient le scapulaire, y compris la famille Soubirous. Le matin même du 16 juillet, Bernadette, à une époque où la communion n’était pas fréquente, avait reçu l’Eucharistie…

Cette petite nuée, disent unanimement les saints Pères, était la figure de la Vierge qui allait naître au septième âge du monde petite par son humi­lité, nuée par sa fécondité ; s’élevant de la mer, parce que Marie s’est élevée de notre nature viciée sans participer à son amertume; toute brillante, parce que le soleil de justice l’a enveloppée de ses rayons ; marquée de l’empreinte du pied d’un homme pour rappeler au serpent maudit le talon qui doit l’écraser.

Le 16 juillet 1858, Bernadette sera l’Élie des temps nouveaux.

Or, de loin, la ligne qui cintrait la niche royale de Notre-Dame de Lourdes dessinait assez exactement la figure du nuage de la vision d’Élie. Et donc, se détachant sur le ciel déjà obscur, la lu­mière qui enveloppait la Vierge reproduisait au­-dessus du torrent – à cette époque fort large en cet endroit – la nuée lumineuse qui avait surgi du sein de la mer. Mais, pour Bernadette, la réalité remplaçait le symbole. La nuée du prophète livrait son mystère.

Et de même qu’Élie fut comblé de joie à ce spectacle, songeant à la pluie qui allait tomber sur les campagnes désolées de la Judée, de même, parce que le mystère de Lourdes se clôture sur cette vi­sion, une immense allégresse fait tressaillir notre espérance. La nuée mystique est apparue à Lourdes. La rosée fécondante ne peut tarder à se déverser sur la terre assoiffée… » (laportelatine.org)

Le chiffre 16 est un chiffre important.

Il représente la Résurrection.

Les évangiles nous apprennent que Jésus est crucifié le jour de la préparation de la Pâque, c’est à dire, dans le calendrier mosaïque, le 14 Nizan, puisque la Pâque a lieu dans la nuit du 14 au 15 Nizan.

C’était un vendredi puisque le lendemain, jour de la Pâque, tombait cette année là sur un jour de sabbat, donc un samedi.

Nous savons, toujours par les évangiles, que Jésus meurt à la 9ème heure (15h) le 14 Nizan puis est mis au tombeau avant la nuit pour ressusciter le troisième jour, à savoir le 16 Nizan au petit matin.

Donc deux moments critiques comme indices de la fin des temps.

La 9ème heure, reliée ici à Benoît XVI, car nous sommes dans la 9ème année depuis sa démission, démission donnée à la date anniversaire de la première apparition à Lourdes.

Et la résurrection à l’aube du 16 qui nous donne la preuve de la divinité de NSJC.

Puisque nous somme à la 9ème heure, le 16 juillet 2022 risque d’être un jour eschatologique majeur et porteur d’un signe que peu pourront renier.

Rappelons que Notre-Dame du Mont Carmel, c’est le scapulaire qui protège à la fin des temps.

Le 16 juillet, c’est aussi la date de publication de Traditionis Custodes en 2021, tentative vaine pour essayer de faire taire ce qui reste des deux témoins.

Le 16 avril est la date de naissance de Benoît XVI.

Notre-Dame du Carmel est fêtée le 16 juillet.

Or, le prophète Élie est fêté le 20 juillet.

Il y a trois jours et demi entre les deux fêtes…

Et comme les deux témoins de l’Apocalypse doivent ressusciter après trois jours, il y a cette possibilité donc :

Mort des témoins le 16 juillet et résurrection le 20 juillet.

À surveiller donc.

03 avril

DE LA SALETTE À FATIMA : LOURDES et Benoît XVI

Le secret donné à Mélanie à la Salette devait être rendu public à partir de 1858.

1858, c’est l’année du début des erreurs du modernisme (condamnés par Léon XIII) : Les origines des espèces de Darwin, La liberté de Mill, et Une contribution à La critique de l’économie politique de Karl Marx.

Dans ces trois ouvrages sont résumés les erreurs de l’âge moderne.

L’homme annonçait son INDÉPENDANCE vis-à-vis de Dieu.

C’était le début de la déification de l’homme aboutissant à ce que nous vivons maintenant.

1858, c’est l’année des apparitions de Lourdes, exactement  le 11 février 1858 à la grotte de Massabielle.

La Sainte Vierge s’identifie comme « Je suis l’Immaculée Conception ».

Le révérend Fulton Sheen souligne qu ' « au moment même où le monde a nié le péché originel, notre Mère a revendiqué sa prérogative uniquement comme la sienne ... elle seule a été conçue de manière immaculée - tous les autres sont nés dans le péché originel ».

Lors de l'apparition de la Sainte Mère à Lourdes, note Sheen, Dieu a répondu à la prétention arrogante de l'homme à l'indépendance et a fourni la preuve de ses erreurs en démontrant que le Ciel existe et qu’il veille.

La Salette renvoie sur Lourdes, qui elle-même renvoie sur Fatima, les deux apparitions qui annoncent le Fils, le retour de NSJC dans sa Gloire.

Un retour dans la Gloire mais sans autre signe que ce qu’il y a à partir du 7ème sceau de l’Apocalypse, inclus dans le secret de Mélanie (la Salette).

Ce sera un retour éclair, frappant, soudain : « je viendrai comme un voleur » , « personne ne se doutera de rien » dans les deux Babylone « Vatican » et « Nations-Unies ».

Sauf les 144 000 justes, c'est à dire ceux qui sont restés « éveillés ».

Le 11 février est aussi la date anniversaire des accords de Latran de 1929, où le « royaume Vatican » fut officialisé.

Ces accords furent la première étape d’une longue route du déclin de l’Église et de son basculement vers l’Antéchrist système et maintenant l’Antéchrist personnifié.

Entre 1929 et 2013 il y a 84 ans.

Nous connaissons l’importance du 84 (voir analyses précédentes): c’est l’âge de la prophétesse Anne le jour de la purification de la Vierge Marie.

Or, 84 c’est aussi 2×42 : « il faudra rendre à Babylone au double de ses œuvres » (Apoc. 18, 6)

Le 11 février 2013 était donc le début de la purification de ce monde.

Benoît XVI est né le 16 avril 1927, soit le jour de la mort de sainte Bernadette Soubirous, la voyante de Lourdes.

Les conditions de sa démission sont douteuses, puisqu’on lui a forcé la main par un chantage financier, à savoir la coupure du Vatican du système bancaire SWIFT en janvier 2013.

Benoît XVI annonçait ensuite sa démission le 11 février 2013.

Dieu nous conserve deux papes simultanément, nous montrant que le vrai pape subsiste parallèlement au faux prophète.

Son départ fut le signe de l’entrée de l’humanité dans l’ultime temps de pénitence des dernières tribulations (d’où l’importance de la date de départ).

Celui qui le suit est le dernier de la prophétie de saint Malachie.

Ainsi se déroule présentement la dernière persécution de la Sainte Église romaine, avant le Jugement dernier.

Ainsi le 13 février 2022, nous sommes entrés dans la 9ème heure, heure de la mort du Christ sur la croix (soit 9 ans depuis la démission de Benoît XVI).

11 jours après, la guerre en Ukraine était lancée.

Le 11, c’est le chiffre préféré des kabbalistes.

L’éventuel décès de Benoît XVI, on le sait, annoncera la mort des deux témoins de l’Apocalypse, et sonnera la fin de la sixième période, avant l’ouverture du 7ème sceau.

La prophétie politique « Grand Éclair à l’Orient » est de plus en plus claire :

« Ce n'est pas le temps d'un roi, ce ne l'a jamais été. Depuis la mort de Frédéric, chaque roi est usurpateur. Que le roi s'en aille, reste le peuple. L'Europe a soif, elle aura du sang dans les rues. » en référence  à Frédéric de Hohenstaufen (Frédéric II), qui connut des conflits permanents avec la papauté et se vit excommunié par deux fois. Le pape Grégoire IX l'appelait l'Antéchrist.

En 2022, ce personnage est probablement Emmanuel Macron, oint choisi pour la gouvernance mondiale en Europe, en sauveur, dans ce dernier droit avec la guerre en Ukraine.

« Mais aussi de grandes processions et la Vierge Heureuse descendra sur terre. Vous ne la verrez pas dans la grotte, mais dans un cœur qui revivra. Depuis les ténèbres, elle apportera la parole que tous comprendront. C'est le temps des lettres. »

Remarquez ici qu’on ne verra pas la Sainte Vierge dans la grotte, comme à Lourdes, mais dans un cœur qui revivra, alors que nous serons dans les ténèbres.

Elle apportera la PAROLE.

C’est le temps des lettres, de la fin du cycle, de l’Alpha et l’Oméga.

C’est la seconde Pentecôte.

C’est prophétisé par Mélanie de la Salette :

« … j’appelle les Apôtres des derniers temps, les fidèles disciples de Jésus-Christ qui ont vécu dans un mépris du monde et d’eux-mêmes, dans la pauvreté et dans l’humilité, dans le mépris et dans le silence, dans l’oraison et dans la mortification, dans la chasteté et dans l’union avec Dieu, dans la souffrance et inconnus du monde.

Il est temps qu’ils sortent et viennent éclairer la terre. Allez, et montrez-vous comme mes enfants chéris ; je suis avec vous et en vous, pourvu que votre foi soit la lumière qui vous éclaire dans ces jours de malheur. Que votre zèle vous rende comme des affamés pour la gloire et l’honneur de Jésus-Christ.

Combattez, enfants de lumière, vous, petit nombre qui y voyez, car voici le temps des temps, la fin des fins. »

Même si certains ont des doutes quant aux visions de Maria Valtorta, il est intéressant de voir que le rôle de Notre Sainte Mère est central, c'est par Elle que nous est donné le Fils et le Saint-Esprit :

« Et puis voilà la Lumière, le Feu, l’Esprit-Saint, qui entre avec un dernier bruit mélodieux sous la forme d’un globe très brillant et ardent dans la pièce close, sans remuer les portes et les fenêtres, et qui plane un instant au-dessus de la tête de Marie à environ trois palmes de sa tête qui est maintenant découverte, car Marie, voyant le Feu Paraclet, a levé les bras comme pour l’invoquer et a rejeté la tête en arrière avec un cri de joie, avec un sourire d’amour sans bornes. Et après cet instant où tout le Feu de l’Esprit-Saint, tout l’Amour est rassemblé au-dessus de son Épouse, le Globe très Saint se partage en treize flammes mélodieuses et très brillantes, d’une lumière qu’aucune comparaison terrestre ne peut décrire et descend pour baiser le front de chaque apôtre. » (maria-valtorta.org)

« Alors le saint aux pieds nus descendra du mont et, devant la tombe du va-nu-pieds, éclatera le règne béni de la Très Sainte Vierge.
Écoutez ses paroles. »

01 avril

« Les hommes se comptent mourir. Et après la famine; la peste. Dieu a déchaîné la guerre de la nature pour empêcher la guerre des hommes. » (Prophétie politique #32 Le Temps est Proche)

La guerre en Ukraine par les deux factions judéo-maçonniques fait partie du plan de la grande réinitialisation (lire aussi Agenda 2030) de Davos.

Une mise au point par Pierre Hillard sur le sujet (vidéo).

À venir donc pour accomplir l’Agenda 2030 : pseudo-pandémie (presque du passé) pour conserver la culture de la peur et du contrôle de la population, krach économique à venir pour établir les bases de la nouvelle monnaie électronique mondiale, famine mondiale pour réduire la population, et guerre pour semer le chaos car l’ordre vient du chaos selon eux.

« Aujourd'hui, on a parfois l'impression de parler du Nouvel Ordre Mondial, de la Grande Réinitialisation , de l'Agenda 2030, de Davos, etc. Ceux qui tentent de réfléchir à ces questions sont dépeints, selon les informations dominantes, comme des théoriciens du complot, des populistes, des extrémistes qui pourraient peut-être rejoindre les rangs du front no vax vitupéré.. Le but de cet article est d'essayer de clarifier, sur la base d'une analyse objective du texte, l'Agenda 2030 pour le développement durable, une résolution adoptée par l'Assemblée générale des Nations Unies le 25 septembre 2015. Avec cela, nous entendons initier une série de réflexions et d'arguments qui, au-delà du climat actuel d'opposition exaspérée, voudraient éclairer les esprits assombris par ce nouveau climat « idéologiquement correct » qui afflige le système politique, financier et médiatique.

Qu'est-ce que l'Agenda 2030 pour le développement durable

Pour pouvoir s'exprimer convenablement sur n'importe quel sujet, surtout en cette époque de confusion embarrassante et de superficialité, il est nécessaire de lire les textes, de s'en tenir aux sources officielles et d'éviter tout raccourci. Les 35 pages au format A4 qui contiennent les indications de l'Agenda 2030 explicitent la volonté de transformer le monde à travers 17 Objectifs, condensés dans une petite page, et déjà dès le Préambule ils transmettent un contenu et un langage sur lesquels il faut réfléchir. En premier lieu, l'adjectif « durable » apparaît plus de 200 fois, tout comme dans le texte on recourt massivement à des adjectifs tels que « inclusif », « résilient » ou à des expressions telles que « égalité des sexes », « droit à la santé reproductive ». » qui transmettent souvent des idéologies de genreou ils ont tendance à légitimer les pratiques d'avortement. Le contenu est enveloppé dans un langage liquide, dans lequel les termes sont placés de manière ambiguë et imprécise, mais qui révèle ce que le père Cornelio Fabro appelait le "principe d'immanence".

Tout est conçu et situé sur un plan horizontal, sans aucune dimension spirituelle ni tension éthique, où non seulement la présence de Dieu et de sa Grâce n'est jamais évoquée, mais où tout peut être résolu à partir de l'homme. Le point 53 de l' Agenda 2030 se lit comme suit : « L'avenir de l'humanité et de notre planète est entre nos mains », tout comme le point 59 nie la référence à toute vocation transcendante et énonce clairement : « …Nous réaffirmons que la planète Terre et ses écosystèmes sont notre maison et que l'expression «Terre Mère» est commune à de nombreux pays et régions”. Dans ce contexte horizontal, les trois dimensions du développement durable sont postulées : économique, sociale et environnementale ; les déterminations, les résolutions qui jalonnent l'Agenda s'affirment, avec ce langage liquide qui a été évoqué et qui est cité ici : « Nous sommes déterminés à mettre fin à la pauvreté et à la faim, sous toutes ses formes et dimensions… » ou : « Nous sommes déterminés à promouvoir des sociétés pacifiques, justes et inclusives, exemptes de peur et de violence ».

Déclaration d'intention et vision de l' Agenda 2030

Dans l' Introduction à la Déclaration d'intention , l'autorité avec laquelle sont fixés les objectifs de l' Agenda 2030 est célébrée avec autosatisfaction (les majuscules sont fidèlement reproduites dans le texte) : « Nous, les Chefs d'État et de Gouvernement et la Haute Représentants, réunis au siège des Nations Unies à New York du 25 au 27 septembre 2015 pour la célébration du 70e anniversaire de l'ONU, nous fixons aujourd'hui les nouveaux Objectifs mondiaux de développement durable ». Vient ensuite la vision , l'imagination, qui m'a rappelé ce que disait Klaus Schwab, PDG du WEF (World Economic Forum) de Davos, en juin 2020, lorsqu'il prônait un « reset » général ( Great Reset ).) en pleine urgence Covid : « La pandémie comme opportunité de ré-imaginer et de réajuster le monde ». Il était clair que la vision de Davos et du WEF était basée sur l'Agenda 2030 pour le développement durable : « Un monde juste, équitable et tolérant, ouvert et socialement inclusif qui répond également aux besoins des plus vulnérables… un monde dans lequel la consommation , les processus de production et l'utilisation des ressources naturelles sont durables ». Le monde imaginé et désiré reflétait une dimension anthropologique amputée de l'ascétisme spirituel, réduite à la corporéité terrestre, en opposition ouverte avec la vision classique et chrétienne de l'homme comme unité substantielle de l'âme et du corps. Pour soutenir celaVision et ces Déclarations d'intention, il fallait se référer à quelque chose d'antérieur et universellement reconnu, la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme de 1948 : « Le nouvel Agenda est basé sur la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme ».


L'Église catholique a aussi fait siennes les indications et a emprunté le langage « inclusif et durable » de l' Agenda 2030 , il suffit de penser aux formes exprimées dans les différents synodes diocésains. Le discours serait très long et impliquerait l'appareil médiatique, la finance et la philanthropie grossière des riches comme Jeff Bezos ou Bill Gates. Tout cela et tous ces personnages seraient volontiers supprimés : L' Agenda 2030 pour le développement durable n'est pas durable ! » (Marcotosatti.com)

On le sait, ce plan n’aboutira pas car Dieu va déchaîné la guerre de la nature pour empêcher la guerre des hommes.

D’où encore l’indication qu’il ne reste pas beaucoup de temps avant le retour  de NSJC puisque l’élite mondiale ne peut plus reculer.

Satan a lui-même fixé l’objectif, 2030, mais nous savons grâce à Don Bosco (voir analyses précédentes) que ce sera avant mai 2026.

La chute de Babylone arrivera bien avant selon le calendrier de la fin des temps (voir analyses précédentes).

D’ailleurs, cette guerre de la nature qui entraînera la chute de Babylone, qui est nulle autre que le septième sceau de l’Apocalypse, sera éprouvante :

« Derrière eux, les corbeaux de la faim, de la famine, de la peste. » (prophétie de l’Église #11 Le Septième Sceau)

Ceux qui pensent encore que nous avons bien du temps devant nous sont dans l'erreur car les indices pullulent sur ce qui nous attend probablement cet automne :

- « Biden: « il va y avoir un nouvel ordre mondial et nous devons le diriger ! » L’édito de Charles SANNAT »

- Tous nous préviennent d’une famine mondiale d’ici 8 mois. Le grand gourou de Davos inclus : « Klaus Schwab vous prévient. Famine et misère pour tous. » (insolentiae.com)

- Le midwest américain n’a presque pas reçu d’eau depuis octobre 2021. Le « Dust Bowl » ou « bol à poussière » des années 30s se répète.

- Les prix des fertilisants ont explosé à cause de la guerre en Ukraine et des prix élevés du pétrole. Plusieurs agriculteurs se tournent vers des cultures moins gourmandes de sorte que l’offre ce certains produits va diminuer grandement.

« Un homme averti en vaut deux ».

C’est pourquoi qu’aura lieu la résurrection des « deux témoins » (voir le calendrier de la fin des temps) avant le septième sceau, car comme aussi prophétisé à la Salette, le monde aura besoin de phares pour les conduire sous la gouverne du Saint-Esprit.

C’est Marie qui guidera ses enfants, la femme avec les pieds sur la lune et revêtue de soleil.

Quand?

Au décès ou peu après le décès de Benoit XVI :

« Alors le saint aux pieds nus descendra du mont et, devant la tombe du va-nu-pieds, éclatera le règne béni de la Très Sainte Vierge.
Écoutez ses paroles. Marie Très Sainte, fille et mère de Dieu, maîtresse du temps futur, bats le rappel de tes fils dans les campagnes, pour qu'ils abattent les deux Babylone. Et que la Mère soit Une, comme toi tu es unique. La terre détruira le ciment et de terre sera, Reine, ta nouvelle Église. Et sur la terre de blé, pour la faim de tes peuples, fleur sur son nouvel autel. Amen. » (prophétie concernant Benoît XVI)

« Mais aussi de grandes processions et la Vierge Heureuse descendra sur terre. Vous ne la verrez pas dans la grotte, mais dans un cœur qui revivra. Depuis les ténèbres, elle apportera la parole que tous comprendront. C'est le temps des lettres.» (prophétie Grand Éclair à l’Orient)

Plus nous approchons de l’ouverture du 7ème sceau, plus nous aurons des signes.

Encore faut-il les voir et savoir les interpréter.

La connaissance des écritures est essentielle.

Dans ce temps de grande apostasie, peu donc ont la capacité de voir les signes.

Comme au temps de Noé, et de Sodome.

Et lorsque nous serons pleinement avancés avec la septième coupe et la septième trompette, les signes s’intensifieront et le temps sera comme en accéléré.

Pour preuve, les prophéties de l’Église de Jean XXIII sur la succession des papes s’établissaient sur une longue période à cause des règnes qui étaient plus longs.

Mais présentement, nous avons deux prophéties en parallèles, si ce n’est trois, parce que le Père nous a donnés deux papes en même temps pour identifier l’imposteur faux prophète, tout en pointant où nous en sommes sur le calendrier.

« Écoutez une comparaison prise du figuier. Dès que ses rameaux deviennent tendres, et qu'il pousse ses feuilles, vous savez que l'été est proche. Ainsi, lorsque vous verrez toutes ces choses, sachez que le Fils de l'homme est proche, qu'il est à la porte. Je vous le dis en vérité, cette génération ne passera point que toutes ces choses n'arrivent. Le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront point. » (Matthieu 24, 33-35)

On peut voir que le décès de Benoît XVI déclenche la finale avec la venue de la Sainte-Vierge Marie dans les cœurs et que les trois dernières prophéties de l’Église se réaliseront dans un court, très court laps de temps.

En attendant la seconde Pentecôte…

Gardons la Foi et l’Espérance dans la prière pour recevoir les grâces nécessaires pour être forts dans les temps à venir.

On est au temps du figuier...

Mars 2022

30 mars

On le sait, la Sainte-Vierge a ordonné que tous les évêques participent à la consécration au Cœur Immaculé de Marie.

Alors que Bergoglio a lancé une invitation…

Digne de son concept de synodalité qui doit triompher sur tout afin d’aboutir à un œcuménisme global, la religion humaniste de Satan.

« CITÉ DU VATICAN ( LifeSiteNews ) – Le jour de la consécration de la Russie par le pape François, le chef de l’Académie pontificale mariale internationale a poursuivi la position passée du Vatican en essayant de séparer Notre-Dame de Fatima de la prière de consécration du 25 mars, soulevant des questions quant à pourquoi l’un des principaux mariologistes de l’Église minimise le rôle de Notre-Dame.


Bien que la traduction anglaise officielle ne mentionne pas Notre-Dame de Fatima, ni les erreurs de la Russie dont elle a mis en garde, le pape et les évêques qui l’ont rejoint ont prié la consécration devant une statue de Notre-Dame de Fatima et ont consacré la Russie et l’Ukraine au « Cœur Immaculé ». L’intention du jour est apparue clairement orientée vers Fatima, étant faite devant la statue de Notre-Dame de Fatima.
Pourtant, quelques heures seulement avant la consécration, Vatican News a publié une interview du P. Stefano Cecchin, OFM, président de l’ Académie mariale internationale pontificale de Rome, qui a fait de gros efforts pour dissocier complètement la consécration de la demande de
Notre-Dame de Fatima, et à la place mettre en évidence le rôle de la « synodalité ».

Expliquer les demandes de Fatima en tant que « synodalité »

Une partie des demandes de Notre-Dame de Fatima en 1917 et 1929 était que la Russie serait consacrée, et que le Pape « ordonnerait » aux évêques de se joindre à lui dans cette action capitale.

Cependant, le P. Cecchin a ignoré cet aspect crucial derrière les événements du 25 mars et a plutôt expliqué la demande du pape François pour que tous les évêques se joignent à lui pour consacrer la Russie et l’Ukraine comme faisant simplement partie du « concept de synodalité ».

Répondant pourquoi les évêques avaient été invités à rejoindre le Pape, le P. Cecchin a déclaré : « Il me semble que ce choix est lié au concept de synodalité que le pape François ne cesse de réitérer. Le Pape représente l’Église, le sens de l’unité, mais l’unité avec l’Église et dans l’Église, qui est – comme il l’appelle – notre maison commune.

Pr. Cecchin a même expliqué la demande de François d’être rejoint dans la prière comme étant liée à l’encyclique papale « blasphématoire » du Pape sur la fraternité humaine, Fratelli Tutti , en disant : « Nous ne sommes donc pas sauvés seuls, comme le pape François nous l’a rappelé dans Fratelli Tutti et toujours ensemble. Nous devons demander à Dieu le salut du monde.

« Là où deux ou trois sont réunis en mon nom, je serai au milieu d’eux », nous rappelle l’Évangile, et le pape François souligne que le voyage pour sauver le monde, nous devons le faire ensemble, pas seuls. C’est pourquoi, en ce moment, toute l’Église doit être unie, comme dans un grand Synode, un grand Concile, dans lequel Dieu est invité à intervenir… » (lifesitenews.com)

Cette consécration du 25 mars est donc illusoire.

Parce que celui qui l’a présidé est le faux prophète, alors que le pape régnant, Benoît XVI est le seul pape légitime habiliter à le faire…

Car ceux qui l’ont poussé à la démission en coupant le système bancaire du Vatican du système bancaire mondialiste SWIFT en janvier 2013, ont agi en fonction de mettre le faux prophète sur le trône (ce qui était prévu en 2005 pour Bergoglio).

Le Seigneur nous rend une grande grâce en gardant en vie deux « frères » selon les dires de Jean XXIII afin de pouvoir faire le pour et le contre, nous donner la possibilité de voir que les prophéties de la Salette et de Fatima sont accomplis, ou presque…

« Deux frères et personne ne sera le vrai Père. La Mère sera veuve. » (prophétie concernant Benoît XVI)

La consécration est illusoire aussi parce que y sont absents les fondamentaux demandés expressément par Notre-Dame du Rosaire :

– la récitation quotidienne du chapelet, seule solution pour obtenir la paix ;

– la dévotion au Cœur Immaculé de Marie des premiers samedis du mois ;

– le combat contre les péchés et surtout les péchés les plus graves (cesser d’offenser davantage Dieu répète-elle).

Cette illusion de l’Antéchrist est d’autant plus importante comme signification qu’elle a même séduit les élus : les chrétiens catholiques conciliaires, et même à un certain point les traditionalistes.

C’est ce qui était annoncé pour la fin des temps.

Alors nous y sommes.

Cet acte de prestidigitation est un piège : donner de faux espoirs à une humanité déboussolée et la tromper avec une conversion de la Russie pour mettre fin à la guerre, sans demander un virage à 180 degrés par rapport aux péchés consumés.

Il envoie le signal qu’on peut continuer comme avant sans se soucier des conséquences, grâce à la miséricorde infinie qui lui est chère.

Alors que la coupe est pleine.

Et que Dieu est d’abord et avant tout synonyme de Justice.

Celui sur le trône de Saint-Pierre est un hérétique: Pierre le romain de la prophétie de St-Malachie.

Il n’est même pas catholique admet Mgr Vigano.

La peur de reconnaître publiquement l’effroyable réalité de ce dernier pontificat et son œuvre de destruction de l’église à l’image des prophéties d’Anne Catherine Emmerich (voir analyses précédentes) par les traditionalistes et les quelques cardinaux allumés est un signe de la mort des « deux témoins » qui pointe à l’horizon.

En effet, il faut être dans la lie jusqu’au cou pour constater que seul Dieu peut nous sauver, et l’admettre humblement.

Ce sera la résurrection des témoins qui donnera la chance aux tièdes de faire leur choix avant le 7ème sceau.

27 mars

L’APOCALYPSE MARIALE

Deux apparitions majeures de Notre-Dame nous guident en cette fin des temps : Fatima et la Salette.

Fatima

Un unique secret est donné aux enfants à Fatima le 13 juillet 1917 comportant trois parties, qui forment un tout cohérent et qui sont étroitement interdépendants dans le temps.

La première partie concerne le salut des âmes (c’est une guerre pour les âmes que nous vivons).

La partie centrale concerne le salut des nations et de la chrétienté, de la paix du monde.

La dernière partie (le fameux 3ème secret) traite de la sauvegarde de la Foi et du Salut de l’Église.

La vision de l’enfer marque le 1er secret si les conditions de la Sainte Vierge ne sont pas respectées… Et en effet nous vivons présentement l’enfer sur terre.

Il n’est pas difficile de savoir où s’en vont la majorité des âmes avec cette grande apostasie.

Le 2ème secret concerne la guerre totale contre la chrétienté et l’Église due aux erreurs répandues par la Russie.

Nous vivons présentement ce moment, passant par les accords du Latran de 1929 où le Vatican devient un état, un « royaume » dans les termes de l'Apocalypse, et prenant de l’ampleur surtout depuis Vatican II, le tout passé à une vitesse supérieure depuis l’élection de Bergoglio.

Le mystère d’iniquité est la guerre que se livre l’église à elle-même par sa vision progressiste socialiste, de l’intérieur, et la guerre menée par l’élite mondiale par l’inversion des valeurs naturelles, la progression de la laïcité, et évidement, les persécutions physiques que subissent nombres de chrétiens dans le monde, en passant par le Moyen-Orient et la Chine.

Voici ce qu’on soupçonne d’être le 3ème secret, reconstitué par Frère Michel de la Trinité au terme d’une étude publiée il y a plus de trente ans (en 1985) !

« Tandis qu’au Portugal se conservera toujours le dogme de la foi, dans bien des nations peut-être dans le monde presque entier, la foi se perdra. Les pasteurs de l’Église manqueront gravement aux devoirs de leurs charges. Par leur faute, les âmes consacrées et les fidèles en grand nombre se laisseront séduire par des erreurs pernicieuses partout répandues. Ce sera le temps du combat décisif entre la Vierge et le Démon.  Une vague de désorientation diabolique déferlera sur le monde. Satan s’introduira jusqu’au plus haut sommet de L’Église. Il aveuglera les esprits, il endurcira le cœur des pasteurs. Car Dieu les aura livrés à eux-mêmes en châtiment de leur refus d’obéir aux demandes du Cœur Immaculé de Marie. Ce sera la grande apostasie annoncée pour les derniers temps, le faux agneau, faux prophète trahissant l’Église au profit de la Bête, selon la prophétie de l’Apocalypse. »

Il s’agît bien évidement de la grande apostasie dans l’Église et de la chute du pape, le faux témoin, l’antéchrist sur le trône.

Un article intéressant concerne une lettre de 26 lignes écrite par Soeur Lucie à Tuy en 1944 en référence au 3ème secret, et qu’aurait lu
Malachi Martin nous confirmantiencore une fois que l’Antéchrist est sur le trône de Saint-Pierre.

« … Personne, jusque-là, n’avait remarqué la confirmation exceptionnelle entre ce que dit le Père Malachie Martin : « une écriture sur 26 lignes », et la découverte fortuite de cet auteur espagnol désormais introuvable d’explication de la vision de Fatima, fournie par Sœur Lucie (et notons d’ailleurs ici que le texte en question a fait l’objet d’une expertise calligraphique très rigoureuse, par Begoña Slockcker de Arce, calligraphe experte de la prestigieuse Jefatura de Investigación e Criminalistica de la Guardia Civil, qui a certifié son origine, « établie en sa propre main », précisément dans Sœur Lucia dos Santos.).

Alors je suis allé « compter » les lignes qui composaient ce texte incroyable : juste… 26 lignes !

« JMJ

Tuy, le 1er avril 1944

Maintenant, je vais révéler le troisième fragment du secret ; cette partie est l’apostasie dans l’Église !

Notre-Dame nous a montré une vision d’un individu que je décris comme « le « Saint-Père », devant une multitude qui le louait.

Mais il y avait une différence avec un vrai Saint-Père, le regard du diable, celui-là avait les yeux du mal.

Puis, quelques instants plus tard, nous avons vu le pape lui-même entrer dans une église, mais cette église était l’église de l’enfer, il n’y a pas moyen de décrire la laideur de cet endroit, il ressemblait à une forteresse en béton gris, avec les murs cassés les coins et les fenêtres comme des yeux, avaient un pic sur le toit du bâtiment.

Nous avons immédiatement levé les yeux vers Notre-Dame qui nous a dit que vous avez vu l’apostasie dans l’Église , cette lettre peut être ouverte par le Saint-Père, mais elle doit être annoncée après Pie XII et avant 1960.

Sous le règne de Jean-Paul II, la pierre angulaire de la tombe de Pierre doit être enlevée et transportée à Fatima.

Puisque le dogme de la foi n’est pas gardé à Rome, son autorité sera retirée et remise à Fatima.

La cathédrale de Rome doit être détruite et une nouvelle construite à Fatima.

Si 69 semaines après l’annonce de cet ordre, Rome continue son abomination, la ville sera détruite.

Notre-Dame nous a dit qu’il est écrit, Daniel 9,24-25 et Matthieu 21, 42-44 »
...
Rosanna Maria Boccacci et Sergio Russo » (martotosatti.com)

Ce qu’on peut affirmé en 2022, c’est que les trois parties du grand secret de Fatima sont RÉALISÉES et que l’Antéchrist occupe toute la place au Vatican.

Il  ne reste pas beaucoup de temps pour sauver des âmes.

C’est la raison du chaos présent.

Des choix doivent être faits.

Dans l’Apocalypse, les noms d’endroits utilisés montrent ce qui est bien et ce qui est mal.

Par exemple, Égypte, Sodome,… désignent ce qui est mal.

Ainsi, dans le 3ème secret, le Portugal désigne le peuple saint, les deux témoins de l’Apocalypse, le petit reste qui demeurent uni au Christ et à la vraie Foi.

La conclusion du grand secret de Fatima:

À la fin mon Cœur Immaculé triomphera.

C’est bien un triomphe qui caractérise la fin de la prophétie de Benoît XVI de Jean XXIII :

« Écoutez ses paroles. Marie Très Sainte, fille et mère de Dieu, maîtresse du temps futur, bats le rappel de tes fils dans les campagnes, pour qu'ils abattent les deux Babylone.Et que la Mère soit Une, comme toi tu es unique. La terre détruira le ciment et de terre sera, Reine, ta nouvelle Église. Et sur la terre de blé, pour la faim de tes peuples, fleur sur son nouvel autel. Amen. »

Alors, qui a-t-il entre les deux, entre la fin du grand secret de Fatima et la triomphe de Marie?

C’est le 7ème sceau (la prophétie concernant l’Église #11 de Jean XXIII).

Et c’est ce qui est décrit dans la prophétie de la Salette.

La Salette

Le chanoine Millon, dans une étude datant de 1938, a très bien résumé le contenu du secret:

« On peut distinguer dans le secret trois thèmes principaux : le thème moral, le thème prophétique, le thème eschatologique.

Le thème moral comprend l’énumération des désordres attribués au clergé et aux ordres religieux, ainsi qu’aux dirigeants des peuples et aux peuples eux-mêmes.

Le thème prophétique annonce les fléaux et calamités qui seront la juste punition de ces désordres.

Le thème eschatologique prévoit les événements qui doivent précéder, accompagner ou suivre la venue de l’Antéchrist, précurseur de la fin des temps. »

Donc, on peut maintenant affirmer que le thème moral, comme dans le secret de Fatima, est accompli.

Le thème eschatologique précède la venue de l’Antéchrist et l’accompagne.

Nous avons vu dans le calendrier de la fin des temps (voir 29 novembre) que cette phase se termine à la mort et à la résurrection des deux témoins de l’Apocalypse.

C’est la sixième période : le 6ème sceau, 6ème coupe, 6ème trompette.

C’est la déification de l’humain, l’Antéchrist système et ses Antéchrists personnifiés à son apogée poussant les âmes à leurs pertes, le 666.

« Un avant-coureur de l’antéchrist, avec ses troupes de plusieurs nations combattra contre le vrai Christ, le seul Sauveur du monde ; il répandra beaucoup de sang et voudra anéantir le culte de Dieu pour se faire regarder comme un dieu. La terre sera frappée de toutes sortes de plaies (outre la peste et la famine qui seront générales) ; il y aura des guerres jusqu’à la dernière guerre qui sera alors faite par les dix rois de l’antéchrist, lesquels rois auront tous un même dessein et seront les seuls qui gouverneront le monde. Avant que ceci arrive, il y aura une espèce de fausse paix dans le monde ; on ne pensera qu’à se divertir ; les méchants se livreront à toutes sortes de péchés ; mais les enfants de la Sainte Église, les enfants de la foi, mes vrais imitateurs, croîtront dans l’amour de Dieu et dans les vertus qui me sont les plus chères. Heureuses les âmes humbles conduites par l’Esprit-Saint ! Je combattrai avec elles jusqu’à ce qu’elles arrivent à la plénitude de l’âge. »

L’avant-coureur de l’Antéchrist, c’est le communisme.

La fausse période de paix est passée (voir analyses de mars 2022).

La terre est frappée de plaies et a eu ses guerres jusqu’à la dernière qui vient de débuter.

Ensuite, la Sainte Vierge nous décrit la mise en place du mondialisme et de la grande finale avec les 10 rois de l’Apocalypse.

Ce royaume de l’Antéchrist est le résultat du mariage entre la franc-maçonnerie, la judéo-maçonnerie (la fausse vierge hébraïque), et le vieux serpent (la religion catholique conciliaire, Vatican II,  et l’évêque de Rome qui n’est plus Vicaire du Christ).

« Ce sera pendant ce temps que naîtra l’antéchrist, d’une religieuse hébraïque, d’une fausse vierge qui aura communication avec le vieux serpent, le maître de l’impureté ; son père sera Ev. [ce mystérieux Ev est généralement interprété par : évêque]...

Rome perdra la foi et deviendra le siège de l’antéchrist.

Les démons de l’air avec l’antéchrist feront de grands prodiges sur la terre et dans les airs, et les hommes se pervertiront de plus en plus.

Dieu aura soin de ses fidèles serviteurs et des hommes de bonne volonté. L’Évangile sera prêché partout, tous les peuples, toutes les nations auront connaissance de la vérité !

J’adresse un pressant appel à la terre : j’appelle les vrais disciples du Dieu vivant et régnant dans les cieux ; j’appelle les vrais imitateurs du Christ fait homme, le seul et vrai Sauveur des hommes ; j’appelle mes enfants, mes vrais dévots, ceux qui se sont donnés à moi pour que je les conduise à mon divin Fils, ceux que je porte, pour ainsi dire dans mes bras, ceux qui ont vécu de mon esprit ; enfin j’appelle les Apôtres des derniers temps, les fidèles disciples de Jésus-Christ qui ont vécu dans un mépris du monde et d’eux-mêmes, dans la pauvreté et dans l’humilité, dans le mépris et dans le silence, dans l’oraison et dans la mortification, dans la chasteté et dans l’union avec Dieu, dans la souffrance et inconnus du monde. Il est temps qu’ils sortent et viennent éclairer la terre. Allez, et montrez-vous comme mes enfants chéris ; je suis avec vous et en vous, pourvu que votre foi soit la lumière qui vous éclaire dans ces jours de malheur. Que votre zèle vous rende comme des affamés pour la gloire et l’honneur de Jésus-Christ.

Combattez, enfants de lumière, vous, petit nombre qui y voyez, car voici le temps des temps, la fin des fins. »

L'Évangile est prêché presque partout sur la terre, surtout depuis la venue d'internet.

Nous vivons l’époque des démons de l’air avec les médias d’informations électroniques (surtout le téléphone intelligent) qui s’opposent à la Vérité.

Cet appel de Notre-Dame est très semblable à la fin de la prophétie concernant Benoît XVI appelant la chute des deux Babylone.

L’Église traditionnelle est éclipsée par l’église conciliaire de Vatican II et le temps des deux témoins est venu.

L’Antéchrist n’est pas quelque chose ou quelqu’un qui doit venir.

Il est là, sur terre, présentement.

Faire croire qu’il reste du temps et que nous ne sommes pas à la fin des temps, comme certains l’affirment, ne sont que paroles et illusions de Satan pour perdre plus d’âmes.

À la fin, même l’Antéchrist sera adoré de l’église.

Avec la consécration du 25 mars 2022, Bergoglio est d’autant plus dangereux qu’il n’hésite pas à se couvrir d’une authenticité garantie par le Ciel, c’est l’imposture suprême, qui va lui donner une vraie légitimité…

Une couverture pour le faux pape prophète.

« L’Église sera éclipsée, le monde sera dans la consternation.

Mais voilà Enoch et Elie, remplis de l’Esprit de Dieu : ils prêcheront avec la force de Dieu, et les hommes de bonne volonté croiront en Dieu, et beaucoup d’âmes seront consolées ; ils feront de grands progrès par la vertu du Saint-Esprit, et condamneront les erreurs diaboliques de l’antéchrist. »

Le thème prophétique qui annonce les fléaux et calamités qui seront la juste punition de ces désordres est pour ce qui s’en vient à court terme.

« La nature demande vengeance pour les hommes et elle frémit d’épouvante dans l’attente de ce qui doit arriver à la terre souillée de crimes.

Tremblez, terre, et vous qui faites profession de servir Jésus-Christ et qui, au dedans vous adorez vous-mêmes, tremblez ; car Dieu va vous livrer à son ennemi, parce que les lieux saints sont dans la corruption ; beaucoup de couvents ne sont plus les maisons de Dieu, mais les pâturages d’Asmodée et des siens.

Les saisons seront changées, La terre ne produira que de mauvais fruits. Les astres perdront leurs mouvements réguliers, la lune ne reflétera qu’une faible lumière rougeâtre ; l’eau et le feu donneront au globe de la terre des mouvements convulsifs et d’horribles tremblements de terre, qui feront engloutir des montagnes, des villes (etc.) »

C'est la guerre de la nature énoncée dans les prophéties de Jean XXIII provoquée par le Père pour arrêter cette guerre destructrice.

Ce sont les trois jours de noirceurs, la période entre la fin du secret de Fatima et la conclusion, le miracle du soleil du 13 octobre 1917, soit le 7ème sceau avec ses 7 coupes et ses 7 trompettes, bref ce qui arrivera suite à la résurrection des deux témoins (voir calendrier de la fin des temps du 29 novembre) et à la chute des deux Babylone et la mort de l’Antéchrist.

Considérant le retour du Lys selon la prophétie de Don Bosco avant mai 2026 (voir analyses précédentes), on peut affirmer que le temps qui reste est effectivement très court.

TOUS les grands signes de l’Apocalypse se retrouvent au 7ème sceau.

D’où le fait que plusieurs interprètent que nous ne sommes pas à la fin des temps parce qu’il n’y a pas des signes donnés par le Ciel.

À tort.

Dieu est sur le point de démontrer sa présence à ceux qui le nient.

Les signes seront abondants et tellement forts que si les jours n’étaient abrégés, peu d’élus survivraient.

Alors…

Tout est sur le point d’être révélé (Apocalypse signifie révélation).

L’Apocalypse Mariale est sur le point d’être amorcée, à partir du décès de Benoît XVI… « « éclatera le règne béni de la Très Sainte Vierge.
Écoutez ses paroles.»

La parabole des 10 vierges est plus que jamais d’actualité.

Faisons provision d’huile céleste.

Foi, Espérance, Charité.

25 mars

Deux articles qui résument bien la situation actuelle:

« « LA CONSÉCRATION DE LA RUSSIE PAR LE SAINT-PÈRE… MAIS : QUELLE « CONSÉCRATION » ?

MAIS SURTOUT : QUEL " SAINT PÈRE " !

"Ainsi donc, si quelqu'un vous dit : "Voici, le Christ est ici, voici, il est là",

ne le croyez pas; parce que de faux Christs et de faux prophètes s'élèveront

et ils feront des signes et des présages pour tromper, si cela était possible, même les élus.

Mais tu fais attention ! J'ai tout prédit."

(Evangile de Saint Marc: 13,21-23)

Le communiqué de presse du Bureau de Presse du Vatican est frais et frais : "Vendredi 25 mars, lors de la Célébration de la Pénitence qu'il présidera à 17h00 dans la Basilique Saint-Pierre, le Pape François consacrera au Cœur Immaculé de Marie la Russie et Ukraine ... "

Et pourtant certaines questions se posent spontanément : comment un « évêque de Rome », qui jusqu'à hier (12 décembre 2019) définissait la grande Mère de Dieu comme ayant elle-même : «... voulait être métisse pour nous, elle métisse . .. Elle s'est mélangée pour être Mère de tous, elle s'est mélangée à l'humanité. Pouquoi? Parce qu'il a "mélangé" Dieu . Et c'est là le grand mystère : Marie la Mère Dieu « mixte » … » ose-t-elle se tourner aujourd'hui vers la sublime et la plus pure Immaculée Conception ?

Et comment cet « évêque vêtu de blanc », qui il y a exactement un an (24 mars 2021), a-t-il refusé à l'auguste Reine du Ciel et de la terre d'être sa « co-rédemptrice », puisque : «... Notre-Dame qui, comme Mère à qui Jésus nous a confiés, elle nous enveloppe tous ; mais en tant que Mère, non en tant que déesse, non en tant que co-rédemptrice : en tant que Mère... », contradictoirement demain, aurez-vous recours à votre puissante et divine intercession ?

Et étendons à nouveau un voile de silence pitoyable sur d'autres et multiples agréments, dits de la Sainte Vierge, que "l'évêque venu du bout du monde" a exprimé ces dernières années sans retenue...

Une autre question, cependant, dépasse toutes les autres : comment cette « Consécration » peut-elle être effectivement mise en œuvre, si le Saint-Père est actuellement en exil volontaire au monastère Mater Ecclesiae au Vatican ?

  "Qui est-il?", Dit une célèbre chanson de Renato Zero, très populaire vers la fin des années 70... Certes, qui est vraiment Bergoglio, la recherche bien documentée du journaliste Andrea Cionci , dans le journal Libero , ainsi que sur plusieurs autres sites ( https://www.byoblu.com/2021/12/06/papa-e-antipapa-lin Inquiry -il-card-montezemolo-svela-il-mistero-sullo-stemma-di- benedetto -xvi-part-43/ , etc.).

Sans oublier que nous-mêmes, déjà début 2018, avons consacré un livre entier à cette question : "Es-tu celui-là, ou faut-il en attendre un autre ?" ( https://www.amazon.it/Sei-quello-dobbiamo-aspettarne-altra/dp/1093750979 ).

Et enfin signalons comment dans un de nos articles (daté du 3 juillet 2021), sur ce même blog, nous avons souligné le fait que : « Tandis que Benoît - comme Moïse - montait seul sur la montagne, pour prier, là-bas dans le " plaine ", le plus haut prêtre Aaron conduit le peuple élu à l'apostasie, au moyen du veau d'or ... " ( https://www.marcotosatti.com/2021/07/03/russo-boccacci-i-vaccini -viens-nuovo-vitello -doro-qui-sera-jamais-aaron / ).

En conclusion : ce "pouvoir de tromperie" s'est-il vraiment répandu - métastase presque démoniaque - dans tout le corps ecclésial, au point de pouvoir "tromper beaucoup" ? » (marcotosatti.com)

« Depuis que le Pape François a annoncé qu'il consacrerait la Russie (et l'Ukraine) au Cœur Immaculé de Marie, avec tous les évêques du monde - auxquels il a adressé un appel spécifique en ce sens -, le monde catholique tout entier vit dans l'attente de cet événement historique.

Il y a ceux qui, animés d'un esprit pieux, voient dans le geste pontifical une solution définitive qui mettra fin à la guerre, conduira à la conversion de la Russie et au redressement moral du monde moderne. D'autres, en revanche, animés d'un esprit critique, pointent d'éventuelles omissions et contradictions. En tout cas, il faut noter que l'annonce du pape François - plaçant Fatima au centre des événements contemporains - a touché une fibre profonde dans l'opinion publique mondiale.

L'acte de François est lié à une demande spécifique faite par Notre-Dame à Fatima en 1917.

S'adressant aux petits bergers, Notre-Dame a voulu parler au monde entier, exhortant tous les hommes à la prière, à la pénitence, à l'amendement de la vie. D'une manière particulière, elle s'adressa au Pape et à la Sainte Hiérarchie, leur demandant la consécration de la Russie à son Cœur Immaculé.

Ces demandes, la Mère de Dieu les a faites face à la situation religieuse dans laquelle se trouvait le monde entier au moment des apparitions. Notre-Dame a indiqué cette situation comme extrêmement dangereuse. A un tel point l'impiété et l'impureté avaient pris possession de la terre que pour punir les hommes cet authentique massacre qu'était la Grande Guerre 1914-1918 aurait éclaté.

Cette conflagration prendrait fin rapidement, et les pécheurs auraient le temps de se corriger, selon l'appel fait à Fatima. Si cet appel avait été entendu, l'humanité aurait connu la paix. S'il n'avait pas été écouté, une autre guerre encore plus terrible éclaterait. Et, au cas où le monde serait resté sourd à la voix de sa Reine, une hécatombe suprême, d'origine idéologique et de portée universelle, entraînant de sévères persécutions religieuses, aurait affligé tous les hommes, entraînant de grandes épreuves pour les catholiques :  " La Russie répandra ses erreurs dans le monde entier, favorisant les guerres et les persécutions de l'Église (…) Les bons seront martyrisés. Le Saint-Père devra beaucoup souffrir » .

« Pour empêcher tout cela - continue Notre-Dame -  Je viendrai demander la consécration de la Russie à Mon Cœur Immaculé et la Communion réparatrice des premiers samedis. S'ils acceptent Mes requêtes, la Russie se convertira et ils auront la paix » . Après une période d'extrêmes tribulations et de terribles châtiments  « comme on n'en a jamais vus » (Sainte Jacinthe de Fatima), Notre-Dame promet le triomphe final :  « Enfin, Mon Cœur Immaculé triomphera. Le Saint-Père me consacrera la Russie, qui se convertira, et une période de paix sera accordée au monde » .

Aujourd'hui encore, les experts discutent de la validité ou non des différentes consécrations faites par Pie XII et Jean-Paul II. Notre-Dame avait posé trois conditions : que la consécration soit faite par le Souverain Pontife, qu'elle mentionne la Russie, et qu'elle soit faite en union avec tous les évêques du monde. D'une manière ou d'une autre, toutes les consécrations - 1942, 1952, 1982, 1984 - manquaient d'au moins une des conditions. Après avoir affirmé péremptoirement que la consécration de 1984, faite par Jean-Paul II, n'était pas valable, la voyante Sœur Lucie avait changé d'avis, attestant au contraire sa conformité à ce que Notre-Dame demandait. C'est la position la plus répandue dans l'Église et parmi les fidèles en général.

Nous ne voulons pas entrer dans une question aussi complexe. Cependant, nous signalons qu'à la Cova da Iria, Notre-Dame a indiqué deux conditions, toutes deux indispensables, pour conjurer les châtiments dont elle nous menaçait.

L'une de ces conditions était la consécration. Supposons que cela ait été fait de la manière demandée par la Sainte Vierge. La deuxième condition demeure : la divulgation de la pratique de la communion réparatrice les cinq premiers samedis du mois. Il nous semble clair que cette dévotion ne s'est pas encore répandue dans le monde catholique dans la mesure voulue par la Mère de Dieu.

Et il y a encore une autre condition, implicite dans le message mais aussi indispensable : c'est la victoire du monde sur les mille formes d'impiété et d'impureté qui aujourd'hui, bien plus qu'en 1917, le dominent. Tout indique que cette victoire n'a pas été obtenue, et, au contraire, qu'en la matière on se rapproche de plus en plus du paroxysme. Ainsi, un changement de direction de l'humanité devient de plus en plus improbable. Et, à mesure que nous avançons vers ce paroxysme, il devient plus probable que nous avancions vers la réalisation des châtiments.

A ce stade, il est nécessaire de faire une observation, à savoir que, si les choses n'étaient pas vues de cette manière, le message de Fatima serait absurde. En effet, si Notre-Dame affirmait en 1917 que les péchés du monde avaient atteint un niveau tel qu'ils nécessitaient le châtiment de Dieu, il ne semblerait pas logique que ces péchés aient continué d'augmenter pendant plus d'un demi-siècle, que le monde ait obstinément refusé et jusqu'à la fin de tenir compte de ce qu'il a été dit à Fatima, et que la punition ne vienne pas. Ce serait comme si Ninive n'avait pas fait pénitence et, malgré tout, les menaces du prophète ne s'étaient pas réalisées.

De plus, la même consécration demandée par Notre-Dame n'aurait pas pour effet de supprimer le châtiment si le genre humain devait rester de plus en plus attaché à l'impiété et au péché. En fait, tant que les choses resteront ainsi, la consécration aura quelque chose d'inachevé.

Bref, puisque l'énorme transformation spirituelle exigée de la Cova da Iria n'a pas eu lieu dans le monde, nous avançons de plus en plus vers l'abîme. Et, à mesure que nous avançons, cette transformation devient de plus en plus improbable.

Nous applaudissons l'acte du Pape François et nous y ajoutons  s'il suit les exigences fixées par Notre-Dame à Fatima. Cependant, tant que cet acte ne sera pas suivi d'une véritable croisade spirituelle contre l'immoralité galopante - avortement, homosexualité, LGBT, lubies indécentes, pornographie, genre et j'en passe - la simple consécration de la Russie - pourtant agréable à la Divine Providence - ne supprimera-t-il pas le Châtiment.

Permettez-moi de soulever une autre préoccupation, et non des moindres.

A Fatima, Notre-Dame a souligné, comme l'élément le plus dynamique du processus révolutionnaire qui a conduit l'humanité vers l'abîme, les "erreurs de la Russie", c'est-à-dire le communisme, qui a trouvé son siège et son feu dans l'expansion de l'Union soviétique. Il n'y aura pas de véritable conversion tant que cette idéologie ne sera pas rejetée dans toutes ses manifestations.

Or, précisément dans ce domaine, le pontificat du pape François s'est distingué par sa proximité avec l'extrême gauche : de la proximité avec la dictature cubaine, au soutien aux « mouvements populaires » latino-américains d'origine marxiste, sans oublier les contacts avec le patriarche Kiryll, qui était un fidèle serviteur et propagandiste de la dictature soviétique.

Là aussi, sauf bon sens, il nous semble que tant qu'une véritable croisade spirituelle contre le communisme et ses partisans ne suivra pas le vendredi à Saint-Pierre, la consécration de la Russie seule ne servira pas de panacée à sauver la civilisation d'une catastrophe. » (aldomariavalli.it)

Le 25 mars est le jour le plus important de l’histoire de l’humanité: le jour de l’Incarnation (« et incarnatus est »), c’est à dire le jour où Dieu descend sur terre (« et descendit de caelis ») en prenant la nature humaine (« et homo factus est »).

Rendons grâce à la Sainte Vierge Marie pour son fiat qui a permis au Christ Sauveur de racheter tous les péchés du monde.

24 mars

Fatima et la consécration de la Russie, abbé Puga, Église Saint-Nicolas-du-Chardonnet (vidéo).

Pierre Hillard sur l’Ukraine, sur l’histoire du conflit de 2022, du coup raté de 2004, réussi en 2014 (vidéo).

Des origines du mondialisme à la grande réinitialisation – Entretien avec Pierre Hillard. (lectures francaises.info)

« … Il faut donc un territoire bien délimité pour pouvoir constater l’efficacité de la consécration au Cœur Immaculé de Marie. Le monde est un ensemble trop vaste pour que nous puissions voir sa conversion et donc le triomphe du Cœur Immaculé de Marie. D’autre part, la Russie plus l’Ukraine est un territoire bien défini, tout autant que la Russie seule.

Cependant, la consécration proposée par le Saint-Siège ne concerne pas seulement la Russie et l’Ukraine, car tant dans la lettre d’accompagnement que dans la prière elle-même, il est parlé d’une consécration de nous-mêmes ainsi que de l’Église et de l’humanité, en particulier la Russie et Ukraine. L’ajout de nous-mêmes, de l’Église et de l’humanité signifie que la demande de Notre-Dame n’est pas satisfaite….

Enfin, et c’est là le point le plus grave, il n’est jamais question de communion réparatrice les premiers samedis du mois. Or cette demande est particulièrement importante et ne peut être omise pour les raisons suivantes :

La première raison : Le but principal des apparitions de Fatima est le salut des pécheurs à travers l’établissement dans le monde de la dévotion au Cœur Immaculé de Marie. C’est une volonté de Dieu lui-même que Notre-Dame a confiée aux petits voyants. Le 13 juin 1917, elle leur dit : « Jésus veut établir dans le monde la dévotion à mon Cœur Immaculé. A ceux qui embrassent cette dévotion, je promets le salut. Ces âmes seront chéries par Dieu comme des fleurs placées par moi pour orner son trône. La demande est répétée presque mot pour mot le 13 juillet 1917 : « Pour sauver les âmes, Dieu veut établir dans le monde la dévotion à mon Cœur Immaculé. Si nous faisons ce que je vais vous dire, beaucoup d’âmes seront sauvées et nous aurons la paix. Dans un acte qui doit nous procurer tant de grâces, il est donc indispensable de respecter l’esprit des apparitions de Fatima et de veiller à ce qu’il participe concrètement à l’établissement de la dévotion au Cœur Immaculé de Marie.

Deuxième raison : Notre-Dame dit le 13 juillet 1917 : « Je viendrai demander la consécration de la Russie à mon Cœur Immaculé ET la communion réparatrice des premiers samedis du mois. Si mes demandes sont écoutées, la Russie se convertira et il y aura la paix », et non « ma demande ». Cela signifie que si toutes ses demandes ne sont pas satisfaites, la Russie ne se convertira pas et il n’y aura pas de paix.

La troisième raison : Des deux demandes formulées le 13 juillet, la Sainte Vierge est venue la première pour demander la communion réparatrice des premiers samedis du mois. En fait, elle le demanda le 10 décembre 1925 à Pontevedra, demande répétée le 15 février 1926, trois ans avant de demander la consécration de la Russie. La première demande est forcément plus importante que la seconde…

Afin de répondre plus pleinement aux demandes de Notre-Dame, il est également souhaitable que la prière mentionne les buts de cette consécration, notamment l’obtention des fruits qui s’y rattachent, à savoir : – la conversion de la Russie et de l’Ukraine, c’est-à-dire le retour à la Église catholique, seule bergerie du Pasteur éternel, sous l’autorité du Vicaire du Christ sur terre, –  la paix pour le monde que, par la volonté divine, seule Notre-Dame peut obtenir, –  l’arrêt des fléaux, conséquences des erreurs de la Russie répandu dans le monde entier, – le triomphe du Cœur Immaculé… » (lifesitenews.com)

Reste à savoir si Bergoglio prononcera exactement la prière telle qu’écrite…

Jean-Paul II avait la « Russie » dans son texte en 1984 mais a décidé de ne pas prononcer ce mot lors de la consécration.

23 mars

Voilà.

Le texte est sorti.

Beaucoup d’allusions humanistes.

Bergoglio montre qu’il sauve  l’humanité et la maison commune…

Via Marie.

Et donc, une consécration globale avec petite mention pour la Russie et l’Ukraine.

Le texte au complet via le lien vaticannews.va

« … Mais nous avons perdu le chemin de la paix. Nous avons oublié la leçon des tragédies du siècle passé, le sacrifice de millions de morts des guerres mondiales. Nous avons enfreint les engagements pris en tant que Communauté des Nations et nous sommes en train de trahir les rêves de paix des peuples, et les espérances des jeunes. Nous sommes tombés malades d’avidité, nous nous sommes enfermés dans des intérêts nationalistes, nous nous sommes laissés dessécher par l’indifférence et paralyser par l’égoïsme. Nous avons préféré ignorer Dieu, vivre avec nos faussetés, nourrir l’agressivité, supprimer des vies et accumuler des armes, en oubliant que nous sommes les gardiens de notre prochain et de la maison commune. Nous avons mutilé par la guerre le jardin de la Terre, nous avons blessé par le péché le cœur de notre Père qui nous veut frères et sœurs. Nous sommes devenus indifférents à tous et à tout, sauf à nous-mêmes. Et avec honte nous disons : pardonne-nous, Seigneur !

Mère de Dieu et notre Mère, nous confions et consacrons solennellement à ton Cœur immaculé nous-mêmes, l’Église et l’humanité tout entière, en particulier la Russie et l’Ukraine. Accueille cet acte que nous accomplissons avec confiance et amour, fais que cesse la guerre, assure au monde la paix. Le “oui” qui a jailli de ton Cœur a ouvert les portes de l’histoire au Prince de la paix ; nous espérons que la paix viendra encore par ton Cœur. Nous te consacrons l’avenir de toute la famille humaine, les nécessités et les attentes des peuples, les angoisses et les espérances du monde…. »

Comme anticipé, ce n’est pas une consécration de la Russie pour arrêter les erreurs du communisme, mais une supplication à la va vite pour arrêter la guerre et ramener une paix humaniste.

Reste à savoir si la Sainte Vierge appréciera…

21 mars

LE MYSTÈRE DE LA CONSÉCRATION DE LA RUSSIE

« Le pape va-t-il vraiment consacrer la Russie? »

Diplomatie mondialiste?

Bergoglio a renoncé à son titre de Vicaire du Christ…

Ne l’oublions pas…

Il n’est que le simple évêque de Rome…

Alors, quelle crédibilité a-t-il par rapport à Benoît XVI?

Et, cette consécration du 25 mars 2022 :

Est-ce que le critère « avec tous les évêques » se réalise?

« Consécration de la Russie et de l'Ukraine: le Pape invite les évêques à s'unir à lui

La prière de la consécration au Cœur Immaculé de la Vierge sera prononcée par le Pape le vendredi 25 mars dans la basilique Saint-Pierre. L'acte sera réalisé en communion avec les Églises de tous les continents. » (vaticannews.va)

Alors que la Sainte-Vierge a ordonné à tous les évêques…

Ce n’est pas une invitation.

En fait, la consécration la plus complète de la Russie a été faite par le dernier pape légitime: Pie XII.

Après avoir consacré le monde le 31 octobre 1942 sans mentionner la Russie, Pie XII voyant les erreurs du communisme se répandre à grande vitesse après la 2ème guerre mondiale (en 1939 la Russie était encore la seule nation communiste sur terre, mais lors de la décennie qui suivit, l'Union soviétique prit l'Estonie, la Lettonie et la Lituanie (1940), la Bulgarie (1944), la Pologne (1945), la Roumanie (1945) et la Hongrie (1946)), fit la consécration de la Russie sur le tard le 7 juillet 1952 dans « Sacro Vergente Anno ».

« ... 9. Consécration des peuples de Russie au Cœur Immaculé de Marie

Nous, donc, pour que les Nôtres et vos prières soient exaucées plus facilement, et pour vous donner une attestation singulière de Notre bienveillance particulière, comme il y a quelques années nous avons consacré le monde entier au Cœur Immaculé de la vierge Mère de Dieu, ainsi maintenant , d'une manière très spéciale, nous consacrons tous les peuples de Russie au même Cœur Immaculé, dans la certitude qu'avec le patronage le plus puissant de la Vierge Marie, les vœux se réaliseront avec joie le plus tôt possible, que Nous, que vous, que toutes les bonnes personnes forment pour une vraie paix, pour une harmonie fraternelle et une liberté due à tous et en premier lieu à l'église; afin que, par la prière que Nous élevons avec vous et avec tous les chrétiens, le royaume salvifique du Christ, qui est « le royaume de vérité et de vie, le royaume de sainteté et de grâce, le royaume de justice, dans toutes les parties de la terre, il triomphe et est solidement établi.

Et avec une invocation suppliante nous prions la même Mère très clémente, afin qu'elle assiste chacun de vous dans les calamités présentes et obtienne pour votre divin Fils cette lumière qui vient du Ciel, et implore pour vos âmes cette vertu et cette force, par lequel, soutenus par la grâce divine, puissiez-vous vaincre victorieusement toute impiété et toute erreur.

Rome, près de Saint-Pierre, le 7 juillet 1952, en la fête des saints Cyrille et Méthode, an XIV de Notre Pontificat. » (vatican.va)

La consécration au monde a été entendue par le Ciel.

« Très vite, sœur Lucie fit savoir que ces victoires étaient le fruit de l’acte du Saint-Père. Le 28 février 1943, elle écrivit à l’évêque de Gurza : « Le Bon Dieu m’a déjà montré son contentement de l’acte bien qu’incomplet selon son désir, réalisé par le Saint-Père et par plusieurs évêques. Il promet, en retour, de mettre fin bientôt à la guerre. La conversion de la Russie n’est pas pour maintenant ».»

De même, le 4 mai 1943, elle écrivit au père Gonçalvès : « Il [Notre-Seigneur] promet la fin de la guerre pour bientôt, eu égard à l’acte qu’a daigné faire Sa Sainteté. Mais comme il fut incomplet, la conversion de la Russie sera pour plus tard ».

On peut donc affirmer que la consécration de 1952 est valide, quoique imparfaite.

Ainsi donc, les consécrations subséquentes n’avaient pas lieu d'être.

En 2022, c'est la fin des temps et les erreurs de la Russie se sont répandues.

C'est du passé.

La Sainte Vierge a demandé la consécration comme une pénitence universelle, un changement de cap dans les mœurs, et non pour se sauver d'une guerre à la va vite parce que le temps presse, et non pour retourner au monde dépravé d'avant.

C'est pourquoi nous avons bien hâte de voir le texte qui, on peut hautement l’anticiper, sera comme tout ce que Bergoglio a prononcé depuis son élection, une consécration au caractère humaniste demandant la paix universelle sur terre, et non une demande de pénitence, de conversion à la vraie Foi catholique.

La consécration de Pie XII a été imparfaite certes, mais un certain temps de paix a quand même été accordé, et non pas la paix universelle, prouvant que Notre-Dame avait entendu cette prière.

Or, c'est intéressant, cette consécration aura 70 ans le 7 juillet prochain.

Rappelons que le 16 juillet est la fête de Notre-Dame du Carmel, une des trois figures qu’a pris la Vierge Marie à Fatima.

C’est aussi la date du Motu Proprio « Traditionis Custodes » qui brime la Tradition.

C’est une déclaration de guerre spirituelle.

Et, 70 est divisible par 3,5 (voir analyses précédentes sur l’importance du « un temps, deux temps et un demi temps de l’Apocalypse) ce qui donne 20 ans.

- Un temps: 20 ans nous amènent en 1972, plus précisément le 29 juin: « La fumée de Satan est entrée dans le peuple de Dieu » (Paul VI).

- Deux temps plus tard, soit 40 ans, nous amènent en 2012 pour le fameux 31 décembre, la fin du monde des Mayas, grande mascarade annonçant la fin de « ce monde », pour faire place à la grande réinitialisation de 2020 (rappeler vous les olympiques de Londres truffés de signe maçonniques lors des cérémonies, dont le stade; voir Pierre Hillard ici  : Phoenix qui renaît de ses cendres, coronavirus à venir, etc...)

- Et un demi-temps, 10 années de plus, nous amène en 2022...

Or, si on prend la fin de la deuxième guerre mondiale en 1945 accordée par la consécration du monde par Pie XII, nous avons un chiffre très significatif aussi: 77 ans de paix, un certain temps de paix...

77 est un des chiffres qui symbolisent la dernière limite du diable selon Mgr Gaume.

Sachez aussi que Sœur Lucie ne dévoile l’existence des « secrets » et le contenu des deux premiers secrets que dans ses mémoires, publiées pour la première fois en portugais en 1942.

Seul Pie XI a eu connaissance de ceux-ci, vers 1930, après l’apparition à Sœur Lucie de NSJC à Tuy en 1929, lui affirmant que c’était le moment de dévoiler à ce dernier ses instructions.

Donc le grand public n’a pas pu faire le lien entre Russie, communisme et secrets de Fatima avant 1942, c’est à dire bien après les méfaits du communisme.

Donc, déjà en 1930, le  mal communiste depuis la révolution de 1917 avait beaucoup avancé.

Le pire est venu après, à savoir l’extension mondiale du communisme, soit par la terreur dans les pays de l’Est, soit par le socialisme occidental
dont nous sommes témoins aujourd’hui (tout ce qui est en «isme», contre nature).

Justement, il fallait que l’on comprenne, en l’ayant vécu, ce qu’était vraiment le communisme, pour avoir la volonté de le combattre, y compris dans sa version socialiste.

La confirmation de NSJC  Soeur Lucie en 1931 lui révèle que le triomphe de son Cœur Immaculé se fera avec du retard: « ... Comme le roi de France, ils s’en repentiront, et ils le feront, mais ce sera tard. La Russie aura déjà répandu ses erreurs dans le monde, provoquant des guerres et des persécutions contre l'Église. Le Saint-Père aura beaucoup à souffrir. »

Lire ici : Benoît XVI.

(Notre-Seigneur faisait ici une référence explicite aux demandes du Sacré-Cœur données par Sainte Marguerite Marie Alacoque le 17 juin 1689 au Roi de France. Suite au refus du roi Louis XIV – ainsi qu'à celui de son fils et de son petit-fils, le roi Louis XV et le roi Louis XVI – de consacrer publiquement la France au Sacré-Cœur de Jésus, comme le Ciel l'avait demandé par Saint français reconnu de l'époque, la Contre-Église protestante et maçonnique a mené à bien le grand bouleversement de la Révolution française de 1789.)

« A la fin, mon  Immaculé triomphera… » affirme la Sainte Vierge.

C’est bien ce qu’affirme les prophéties de l’Église de Jean XXIII.

17 mars

Le 25 mars de l’an 0, pour la première et la seule fois de l’histoire, Dieu s’est fait homme.

La Sainte Vierge Marie a accueilli par son fiat le germe qui nous sauve du péché et de l’enfer, le Christ Jésus.

En cette journée si importante qu’est l’Annonciation, où tout a débuté, l’Antéchrist tentera de se substituer en 2022 au Dieu vrai en se présentant comme le sauveur du monde moderne.

C’est un simulacre volontaire luciférien destiné à profaner ce jour saint. C’est un sacrilège.

C’est un « Acte sans valeur (donnant les apparences de répondre positivement aux demandes mariales de 1917) car fait par un homme ("le pape" François) adepte de la Révolution depuis Vatican II. L'ennemi est sublimement vicieux… » (Pierre Hillard)

Ayons l’esprit aiguisé.

Rappelons les conditions de Notre-Dame :

- consécration en union avec tous les évêques catholiques
- consécration de la Russie et non du monde
- communion réparatrice des premiers samedis

Telle était la demande du 13 juillet 1917 et du 13 juin 1929.

Présentement, quelques évêques paniquent et de leur plein gré se joignent à la consécration parce que Bergoglio ne les a pas encore appelé.

TOUS.

De plus, l’unité au sein des évêques n’existe pas.

Il n’y a qu’à regarder les fruits du synode allemand qui s’achèvent pour voir que la crédibilité de certains est douteuse.

Ce n’est sûrement pas le Saint-Esprit qui parle via ces voix allemandes, qui se rapprochent beaucoup plus du plan de Satan que de la Tradition des pères de l’Église.

De plus, le choix des mots sera d'une extrême importance en ce 25 mars 2022:

Que vaut une consécration sans une demande universelle, sans ambiguïté, de conversion totale à la vraie religion catholique, celle instaurée par le Christ à partir de Pierre, le roc solide de l’Église.

Sans pénitence, sans reconnaissance des péchés humanistes qui sont causes de cet instrument par lequel Dieu nous porte à réfléchir, la guerre, quel intérêt y-a-t-il à consacrer la Russie?

Si c’est pour accomplir la paix mondiale universelle sur les bases humanistes des valeurs  judéo-maçonniques, ou pour retourner au « monde d’avant », alors c’est un coup d’épée dans l’eau.

La pénitence est OBLIGATOIRE :

« (…) Mais à Fatima, la Vierge avait clairement demandé, en même temps que la consécration, la communion de réparation les cinq premiers samedis et la pénitence. En particulier, dans le troisième secret, nous voyons l’ange appeler à trois reprises le monde à la pénitence. Cela signifie tout d’abord reconnaître que la guerre et les calamités sont des moyens que Dieu permet pour châtier le monde, et leur force est le péché des hommes. La Vierge utilise précisément le terme « châtiment », même s’il nous déplaît. La véritable cause du mal qui nous afflige, ce sont nos péchés, notre désobéissance continuelle à Dieu, foulant aux pieds ses commandements, notre manque total de respect et de dévotion envers Lui, le Bien suprême.

Ainsi, tandis que nous espérons la paix, nous devons aussi faire très attention à ne pas considérer la consécration à la Vierge comme un acte magique, par lequel nous obtenons ce qui nous arrange. Ce serait défier Dieu que de demander la paix et la prospérité, sans vouloir mettre fin au péché, sans vouloir abandonner un mode de vie, en privé et en public, qui offense Dieu. La pénitence est absolument nécessaire, tout comme la réparation. » (benoit-et-moi.fr)

Cette journée importante sera peut être une indication précieuse quant au calendrier de la fin des temps.

La Sainte Vierge pourrait prendre Bergoglio à son propre jeu.

Ayons en tête : « Alors le saint aux pieds nus descendra du mont et, devant la tombe du va-nu-pieds, éclatera le règne béni de la Très Sainte Vierge. Écoutez ses paroles. » (prophétie concernant Benoît XVI)

Car cette si cette consécration a lieu sur le parvis de la basilique Saint-Pierre, elle le sera donc devant le tombeau de Jean-Paul II (le va-nu-pieds) qui repose dans la chapelle de Saint-Sébastien.

Si le saint aux pieds nus est bien Benoît XVI, son décès pourrait avoir lieu d’ici le 25 mars.

Et la prophétie spécifie bien : « Écoutez ses paroles »…

Ces paroles que tous entendront contrairement aux apparitions de 1917, sonnent le début de la chute de Babylone.

Le temps presse.

L’heure de révéler le vrai 3ème secret de Fatima est arrivée.

15 mars

Et bien, il va le faire…

« Le Pape consacrera la Russie et l'Ukraine au Cœur Immaculé de Marie

La consécration aura lieu le vendredi 25 mars pendant la célébration de la pénitence que le Pape François présidera à 17 heures dans la basilique Saint-Pierre… » (vaticannews.va)

38 ans jour pour jour après celle de Jean-Paul II en 1984.

Bon.

1984 a été imparfaite parce que Jean-Paul II n’a pas spécifié la Russie.

« Il s’est abstenu de mentionner explicitement la Russie parce que les diplomates du Vatican avaient insisté pour qu’il ne mentionne pas ce pays, sinon des conflits politiques pourraient survenir […]. Peu de temps après, il m’a invité à déjeuner. Dans notre cercle restreint, il a évoqué le désir qu’il ressentait en lui de mentionner la Russie lors de cette consécration plutôt que de céder à ses conseillers. Puis il nous a dit, le visage rayonnant, que ce qu’il avait renoncé à faire par lui-même avait néanmoins été accompli. Par l’intermédiaire de ses amis, il avait appris quelque chose d’important et de réconfortant pour lui : que certains évêques orthodoxes russes avaient utilisé leur propre consécration du monde à la Mère de Dieu comme une occasion de consacrer la Russie d’une manière très spéciale à Marie.

Une fois de plus, cependant, la demande de Marie n’avait pas été accordée : la Vierge avait demandé la consécration par le pape en communion avec tous les évêques catholiques du monde, et non par les évêques orthodoxes. » (benoit-et-moi.fr)

Dans le lien ci-dessus vous avez les explications du père Amorth à propos du mensonge de la supposée lettre de sœur Lucie écrite au cardinal Bertone confirmant la consécration de 1984.

Donc, Bergoglio consacrera la Russie au Cœur Immaculé de Marie.

Remarquez qu’il le fera seul.

Non en communion avec tous les évêques catholiques du monde.

Du moins, c’est ce que nous savons pour l’instant.

C’est une exigence formulée par Notre-Dame à Fatima,.

Posons nous la question?

Si Bertone n’a pas menti, si la consécration de Jean-Paul II est valide comme on l’affirme depuis des années au Vatican, alors…

Pourquoi en faire une autre?

Soit celle de 1984 est valide et on confirme que cela suffit, ou, on  nous confirme par cette nouvelle consécration qu’on nous a menti depuis 1984.

La raison?

La bête imitera le Christ jusqu’au bout, elle le singera, ce qui est normal puisqu’elle trône à sa place dans le Temple de Dieu.

L’Antéchrist se présente comme le sauveur du monde.

Est-ce qu’une consécration par celui qui ne s’agenouille pas devant le Saint-Sacrement et qui a ridiculisé la Sainte Vierge Marie depuis des années est valide?

Cela ressemble beaucoup plus à une illusion de l’Antéchrist.

14 mars

« Que se cache-t-il derrière ce conflit? »

Enfin, une publication (Marianne) qui met le doigt sur la vraie raison de cette guerre.

Charles Sannat fait le point sur le « partage du gâteau » dans cette dernière phase pour le nouvel ordre mondial, la grande réinitialisation. (insolentiae.com)

FATIMA, LA VIERGE MARIE, ET JEAN XXIII

Le décès de Benoît XVI permettra d’enclencher la dernière phase de cette guerre interne dans l’église contre la Tradition, dont l’issue sera la mort des « deux témoins » spécifiée dans l’Apocalypse.

Donc, un coup de grâce sera donné par Bergoglio en voyant que le dernier obstacle non progressiste est éliminé.

Parions que le synode en cours y jouera pour beaucoup, quoiqu’il nous a montré qu’il gouverne par Motu Proprio, par décrets.

À l’image de plusieurs gouvernants sur cette planète, Bergoglio se comporte comme un dictateur.

Il maintient son image via le processus des synodes, mais il ne prends jamais en compte l’avis de ses pairs. Les rapports sont déjà écris et les décisions prises à l’avance.

La guerre risque d’accélérer ses plans.

Remarquez qu’au déclenchement de cette guerre, il n’a pas encore demandé de processions avec le Saint-Sacrement, il n’a pas demandé au monde de se convertir à la Vraie Foi, qu’il n’a pas offert au monde la Seule Voie possible pour sauver le monde : un retour vers le Christ.

Non.

Ses seules paroles sont encore une fois basées sur le nouvelle religion humaniste.

La paix est une question de bon vouloir humanitaire : « … ceux qui soutiennent la violence en la justifiant par des motifs religieux, «profanent le nom» de Dieu qui est «le seul Dieu de la paix»

Le Pape est une voix qui crie dans le désert...» (vaticannews.va)

Évidement puisqu’il ne se base que sur des moyens humanistes.

Alors que le monde est en péril.

Conséquemment face à un tel danger reconnu, ceux qui ont la connaissance s’interrogent sur la validité de la consécration de la Russie au Cœur Immaculé de Marie tel que demandée à Fatima.

« La conversion de la Russie et la pertinence du Message de Fatima

La guerre en Ukraine a catapulté le Message de Fatima au centre des discussions.

Les références mystérieuses de la Mère de Dieu de 1917 à la Russie et ses erreurs sont à l'origine du budget de la mort et de la destruction en Ukraine : « Si mes demandes sont entendues, la Russie se convertira et il y aura la paix ; sinon, il répandra ses erreurs dans le monde entier, favorisant les guerres et les persécutions de l'Église ; les bons seront martyrisés, le Saint-Père devra beaucoup souffrir, diverses nations seront anéanties ».

Notre-Dame a également parlé de la conversion finale de la Russie après la consécration de la nation à son Cœur Immaculé. Beaucoup ont affirmé à juste titre que les erreurs de la Russie étaient celles du communisme. La Russie les a en fait répandus dans le monde entier à partir de 1917.

Une reconversion controversée

Depuis l'effondrement de l'Union soviétique en 1991, cependant, une opinion erronée a commencé à circuler parmi les catholiques occidentaux, selon laquelle il s'agissait de la conversion de la Russie prévue par Notre-Dame. Le récit de la conversion s'est renforcé sous Vladimir Poutine.

Le récit de la conversion fait référence à la chute du communisme et aux tentatives ultérieures de rétablir un semblant d'ordre dans le pays ravagé par sept décennies de régime athée. Certains voient la montée de la profession religieuse (mais pas de la pratique) après la guerre froide comme une sorte de conversion continue.

Certains catholiques n'intègrent que trop rapidement ces développements dans le message de Fatima. Aussi petit soit-il, un geste est immédiatement interprété comme faisant partie d'un processus de conversion. De plus, ils sont heureux de voir l'orthodoxie russe, et non l'Église catholique, comme l'instrument de Dieu dans cette conversion. Comme si cela ne faisait aucune différence.

Tous ces points font l'objet de discussions parmi ceux qui, en Occident, soutiennent ce qu'on pourrait appeler le récit de la conversion de la Russie à la lumière de Fatima. La discussion comprend souvent un contre-récit, qui affirme que les nations occidentales décadentes et moralement corrompues doivent également se convertir, peut-être plus que la Russie.



Une conversion indésirable

Cependant, le fait qui va le plus à l'encontre du récit de la conversion est que la plupart des Russes s'identifient à l'Église orthodoxe russe, et non à l'Église catholique romaine. Par conséquent, ils rejettent le récit de Fatima car il est catholique. L'histoire de la conversion russe tombe sur le fait que les Russes ne veulent pas être convertis de Fatima.

Cela ne veut pas dire que les Russes ne souhaitaient pas se libérer du joug soviétique. Cela signifie simplement que les Russes ne voient pas cette libération venir de Notre-Dame de Fatima. Malheureusement, ils n'encadrent pas les changements qui se produisent en Russie dans le cadre d'un triomphe universel du Cœur Immaculé de Marie.

Le récit de la conversion de la Russie rencontre d'autres difficultés. Les hiérarques orthodoxes russes ont tendance à voir les apparitions de Fatima comme un canular catholique visant à envahir ce qu'ils prétendent être un "territoire canonique" et une zone d'influence exclusivement orthodoxes. Vu à la lumière du Grand Schisme de 1054, lorsque l'Église d'Orient a quitté Rome, le message de Fatima est rejeté. Les orthodoxes ont longtemps persécuté les catholiques en Russie et inhibé la pratique de la vraie foi.

Au lieu d'embrasser le Message de Fatima comme une aide divine pour encourager les Russes en cette période de grand besoin spirituel, l'Église orthodoxe russe le regarde avec ressentiment. Il soutient que la Russie n'a pas besoin de conversion, puisqu'elle est chrétienne depuis plus de mille ans. Il n'y a pas besoin de consécration car le peuple russe a déjà reconnu Notre-Dame comme la Mère de Dieu, la Theotokos.

En bref, l'Église orthodoxe russe s'exclut du Message de Fatima parce que ses hiérarques ne croient pas qu'il vient du ciel.

Ainsi le plus grand soutien est rejeté

Il y a donc un grand et sombre silence autour de Fatima dans les vastes étendues de la Russie. L'Église russe et les responsables civils ne font pas appel à cet allié surnaturel le plus puissant qui leur a promis la libération des maux modernes. En conséquence, la Russie ne s'est pas convertie et languit dans la corruption morale et le péché qui dominent le monde.

Même l'Occident ne s'est pas converti, bien sûr. Il n'a même pas écouté le Message de Fatima alors qu'il pouvait en tirer tant d'avantages. Si le Message de Fatima n'avait pas été rejeté, l'appel universel de Notre-Dame à la prière, à la pénitence et à l'amendement de la vie aurait produit de telles merveilles qui auraient transformé le monde.

Un récit qui n'est pas fini

Le Message de Fatima est toujours d'actualité aujourd'hui. Cependant, pour que cela ait un sens, une position vraiment équilibrée doit être prise, en supposant que l'Est et l'Ouest n'ont pas écouté le Message de Fatima. Le monde entier a besoin de conversion car l'erreur domine encore partout. L'Orient et l'Occident ont adopté une position différente de celle demandée par la Mère de Dieu à Fatima et, par conséquent, embrassent un monde pécheur et moderne. Puisque le message de Notre-Dame n'a pas été entendu, l'Orient et l'Occident se dirigent vers un châtiment sans précédent dans l'histoire du monde.

Ce n'est pas le moment de se pointer du doigt, mais de se frapper la poitrine en signe de repentir. Aujourd'hui plus que jamais, le monde a besoin de Fatima. Il a besoin de repentance. Son seul espoir de survie est la Madone. » (aldomariavalli.it)

« Son seul espoir de survie… »

Notez que cette vision de la possibilité d’une sorte de résurrection de l’Église et de la chrétienté est partagée par bon nombre de théologiens qui face à l’évidence, refusent d’admettre que nous avons atteint le point de non retour.

C’est la fin des temps.

Or, les textes majeurs dans les évangiles et l’Apocalypse nous préviennent d’avance qu’à la fin tout disparaît afin que le Christ revienne sur une terre purifiée.

Pour le dernier Jugement.

C’est ce qu’on nomme la Jérusalem Céleste, soit de nouveaux cieux et une nouvelle terre, tous les deux occupés seulement par les justes.

La résurrection de l’Église, c’est le monde d’après.

Ce n’est pas dans ce monde comme ils sont nombreux à l’envisager.

Car présentement, il y a guerre dans l’Église et elle intensifiera (« Il y aura la guerre dans la Mère, et les troupeaux se disperseront.» (prophétie de l’Église #11, le 7ème sceau))

Le patriarche Kirill de l’église orthodoxe russe s’est collé au président russe pour justifier la guerre dans un sermon très critiqué (egaliteetreconciliation.fr) car une lutte contre le péché ne justifie pas la guerre!

Cette position a généré des fruits de discorde où plusieurs églises orthodoxes se séparent immédiatement du patriarcat de Moscou. (exemples ici et ici).


L'Église catholique est l'instrument de conversion de Dieu.

Lire ici la Tradition.

Qui aura beaucoup à faire lorsque tout s'écroulera.

C'est la résurrection des témoins.

Vous tous qui gardez la Foi auront quelques jours pour convertir les tièdes qui retourneront au Christ.

L’église orthodoxe dans son orgueil ne retournera pas dans son berceau catholique.

L’espoir humaniste d’une église réunie demeure dans l’œcuménisme bergoglien, et encore pire, pour une fraternité universelle avec les dieux des autres.

Ce n’est pas ce qu’a voulu le Christ en instaurant son Église sur le socle de Pierre.

D’où le conflit interne de Bergoglio comme nous l’avons vu avec l’interview de don Nicolas Bux (analyse précédente).

La consécration de la Russie au Cœur Immaculé de Marie était LA CONDITION pour éviter les erreurs du communisme.

Maintenant il est trop tard.

Cette même Russie, dans son orgueil comme se disant seule porteuse du message du Christ, justifie cette guerre contre les erreurs occidentales qu’elle a elle même répandues.

L’Occident dépravé, c’est justement la conséquence du socialisme et de ses fruits immoraux en vertu de la liberté, de l’égalité et de la fraternité.

« La Russie et le message de Fatima (suite): le point

... père Amorth ...
« Je n’ai aucun doute sur le fait que la consécration n’a pas été réalisée dans les termes requis par la Vierge Marie. Mais nous ne devons pas perdre de vue ce qu’Elle-même a voulu nous dire par l’intermédiaire de Sœur Lucie:  « A la fin, mon Cœur Immaculé triomphera. Le Saint-Père me consacrera la Russie et un temps de paix sera accordé au monde ». » (benoit-et-moi.fr)

Ce temps de paix est chose du passé.

Après la consécration imparfaite de Jean-Paul II en 1984, il y a bien eu 25 années de temps de paix entre l’invasion de la Crimée par la Russie en 2014 et la chute du mur de Berlin en 1989 qui a conduit à la chute de l’URSS en 1991.

Nous attendons maintenant le triomphe du Cœur Immaculé de Marie.

Les signes en ce sens abondent dans les prophéties concernant l’Église de Jean XXIII.

« ... éclatera le règne béni de la Très Sainte Vierge.Marie Très Sainte, fille et mère de Dieu, maîtresse du temps futur, bats le rappel de tes fils dans les campagnes, pour qu'ils abattent les deux Babylone. Et que la Mère soit Une, comme toi tu es unique. La terre détruira le ciment et de terre sera, Reine, ta nouvelle Église. Et sur la terre de blé, pour la faim de tes peuples, fleur sur son nouvel autel. Amen. » (prophétie concernant Benoît XVI).

Marie est Reine du Monde et sera reconnue comme telle.

« L'Europe a soif, elle aura du sang dans les rues.
Mais aussi de grandes processions et la Vierge Heureuse descendra sur terre. Vous ne la verrez pas dans la grotte, mais dans un cœur qui revivra. Depuis les ténèbres, elle apportera la parole que tous comprendront. C'est le temps des lettres. » (prophétie politique Grand Éclair à l’Orient).

Donc, consécration ou non, aussi imparfaite soit-elle, les questionnements quant à cette consécration qui aurait évité ce à quoi nous assistons, sont révolus.

Et ce n’est pas Bergoglio qui la fera cette consécration.

Et selon Jean XXIII, il n’y aura plus de père (de pape).

Le processus final est donc bien engagé.

La chute de Babylone viendra après la mort des deux témoins.

Ensuite viendra le Jugement.

11 mars 2022

« Deux frères et personne ne sera le vrai Père. La Mère sera veuve.
Les frères d'Orient et d'Occident se tueront et dans l'assaut tueront leurs enfants. »

« Occident et orient: Notons par ailleurs que les noms occident (ouest) et orient (est) s'écrivent avec une minuscule initiale lorsqu'ils font référence aux directions, aux points cardinaux, mais qu'ils commencent par une majuscule quand ils désignent une partie du monde, un ensemble de pays et leurs nations. »

La prophétie concernant Benoît XVI (ci-dessus) étant en même temps que la prophétie « Grand Éclair à l’Orient », pouvons nous toujours affirmer qu’Orient et Occident désignent ici les deux factions islamiques comme anticipées depuis des années?

Ou alors…

Se pourrait-il que ces deux termes de la prophétie de Jean XXIII désignent l’Ukraine et la Russie, frères parce que de mêmes origines : Rus (Kiev).

Est-ce que la prophétie du « Grand Éclair à l’Orient, » pointe donc la Russie contrairement à ce que Pier Carpi affirme dans le livre?

Évidement, si c’est le cas, il n’est pas difficile de voir que la « terre frisera le massacre ».

Mais puisque qu’Occident et Orient sont utilisés ici dans une prophétie concernant l’Église, il se peut que cela indique au niveau spirituel la lutte acharnée entre le Vatican et le monde catholique dépravé par les valeurs occidentales, contre les valeurs chrétiennes de l’église orthodoxe russe intégrées dans le statut d’État qu’est la Russie…

Une guerre des âmes, qui tue des âmes, qui tue même les enfants qui n’ont pas accès au message du Sauveur étant donné l’apostasie générale de leurs parents…

Car c’est la fin des temps.

Et le délai qui reste est court pour rallier ces âmes qui n’ont jamais entendu parler du Christ ou qui le renient tout simplement.

« Entre l’Ukraine et la Russie, il y a aussi une guerre de religion….

(La Verità, 7 mars 2022) Il y a les bombes, qui déchirent les villes et brisent des vies. Il y a les tables de négociation, qui éloignent les parties au lieu de les rapprocher, rendant plus concrète la perspective que le « pire » est encore à venir. Et puis il y a l’autre guerre, la guerre de religion, qui déchire les églises de Russie et d’Ukraine. « Ce conflit embarrasse aussi beaucoup le Vatican », déclare à La Vérità don Nicola Bux, théologien et expert des églises et liturgies orientales. « S’il bouge en faveur de Moscou, il s’expose aux accusations de l’Occident ; s’il bouge contre, il risque de compromettre la parade programmée avec le patriarche russe Kirill ».

- Don Bux, le monde arabe est divisé par un conflit religieux qui dure depuis des siècles. Vous attendiez-vous aussi à une nouvelle guerre, entre chrétiens, menée sur le continent européen ?

Je me souviens de l’interview que l’idéologue russe Alexandre Douguine a accordée au quotidien Il Foglio il y a quelques années : « De patrie du logos, l’Europe est devenue une caricature d’elle-même, toute tournée vers le genre et les idéologies libérales ». Face à la trahison des racines chrétiennes, je pense que Vladimir Poutine s’est senti investi d’une mission, une sorte de retour au passé. Avec le soutien de l’Église orthodoxe de Moscou.

- Outre la présence de missiles de l’OTAN à la frontière, y a-t-il autre chose, à votre avis ?

Avant les missiles, il y a une question culturelle : la Russie a retrouvé les racines chrétiennes que l’Europe a perdues.

- Qu’est-ce que la guerre a à voir avec tout cela ?

La guerre est aussi le résultat de tout cela : le conflit repose sur la vision, absurde pour nous, que pour freiner la dérive anthropologique de l’Europe, on peut même recourir aux armes.
Pour nous, c’est absurde.
Le problème est que l’Occident, en particulier les États-Unis, a fait la même chose : nous avons vu ce que l’idée d’exporter la démocratie dans les régimes du Moyen-Orient a entraîné.

- Ne pensez-vous pas que nous sommes confrontés à deux conceptions diamétralement opposées de la démocratie ?

Poutine a une idée corrompue de la démocratie : au vu des fruits produits par un immigrationnisme insensé et des théories du genre avancées par l’Occident, pour lui, cette démocratie a échoué.
A cela s’ajoutent les intérêts de l’Église orthodoxe russe: le schisme entre le patriarcat de Moscou et celui de Kiev a été un coup dur pour le patriarche Kirill. La reconnaissance de l’Église ukrainienne indépendante par le patriarcat de Constantinople a affaibli sa position. Joue-t-il un jeu parallèle ?
C’est ici qu’intervient la fameuse » symphonie « , qui pour nous était l’alliance entre le Trône et l’Autel.

- C’est-à-dire ?

Pour les orthodoxes, il doit y avoir une symphonie entre l’Église et l’État. Ils doivent marcher en harmonie s’ils veulent parvenir au salut de l’humanité. Si l’on connaît la « symphonie », on peut comprendre comment Moscou veut protéger la partie de la nation russe présente en Ukraine avec sa propre Église, même si cela contraste avec la vision de la culture et de la politique de l’Église orthodoxe ukrainienne, sur laquelle Bartholomée de Constantinople a étendu son manteau, du moins en ce qui concerne la politique ecclésiastique.

C’est Bartholomée lui-même qui a reconnu l’indépendance de l’Église ukrainienne, est c’est pour cela qu’il s’est retrouvé dans le collimateur de Moscou.

Il est soutenu par les Américains. Le patriarcat de Constantinople à Istanbul est là, toléré par les Turcs, parce que l’Amérique est derrière lui. Le Vatican, avec le nonce apostolique à Ankara, protège également le patriarcat, sinon il l’aurait déjà jeté par-dessus bord : les Turcs et les Grecs sont comme chiens et chats ».

- Après les 236 prêtres et diacres de l’Eglise orthodoxe russe, le chef de l’Eglise ukrainienne soumise au Patriarcat de Moscou a également demandé à Poutine de mettre fin à la guerre. Le seul qui n’a pas exprimé de mots clairs de condamnation est Kirill lui-même : y a-t-il de l’embarras dans l’Église de Moscou ?

Je ne suis pas convaincu, je ne pense pas qu’il y ait d’embarras dans le Patriarcat de Moscou. Même les Russes qui sont opposés à la guerre contre Kiev, qui est le berceau de la chrétienté slave, ne sont en grande partie pas favorables aux « droits » proposés par l’Union européenne, qui sont partagés par la partie europhile de l’Ukraine.

- En Russie, ceux qui manifestent pour la paix finissent en prison, y compris les enfants et les personnes âgées. Comment le patriarche peut-il rester indifférent à tout cela ?

Le cadre de référence est différent du nôtre : les Russes ont l’idée de la nation, à laquelle tout doit être soumis. Après tout, lors du massacre des Romanov, les bolcheviks n’ont pas hésité à tuer les enfants de Nicolas II. Kirill vient du monde du KGB : le patriarche ne parle pas parce que le bras séculier de la Russie le couvre et le bénit.

- Quel rôle le Saint-Siège pourrait-il jouer dans cette guerre ?

Aplati comme il l’est sur la vision démocratique américaine et sur la vision latino-américaine mouvementiste populaire, je crains que le Saint-Siège n’ait pas de rôle, du moins pas de rôle majeur.

- La perspective que le pape François agisse comme médiateur dans cette crise ne vous convainc pas ?

J’ai du mal à l’imaginer dans un rôle de médiateur : lui qui n’a jamais caché ses tendances progressistes ? Le pape tente par tous les moyens de transférer à l’Église catholique l’idée orthodoxe de la synodalité, ce qui est dangereux et voué à l’échec. Il s’est aplati sur les positions du patriarche de Constantinople et sur ses batailles « vertes », et je crois que c’est embarrassant aussi pour Moscou : comment pourraient-ils l’accepter après avoir écouté les propositions qu’il a faites ces dernières années ?

- Lesquelles?

Sans aucun doute, le soutien à l’immigrationnisme indiscriminé, principalement d’origine musulmane. Pour les Russes, l’Islam est un peuple à évangéliser et ils ne peuvent tolérer que l’Europe chrétienne se laisse envahir de manière passive. Je me souviens de la lectio magistralis du métropolite Hilarion Alfeev, haut représentant du Patriarcat de Moscou, qui depuis la Faculté de théologie de Bari, a lancé une attaque sévère contre le christianisme européen asservi à un agenda qui brade le continent et dénature l’anthropologie.

- Que pensez-vous de la visite du pape François à l’ambassade de Russie auprès du Saint-Siège ? La version « de passage par hasard » du Saint-Père a suscité un certain mécontentement dans la diplomatie vaticane.

Je voudrais citer les mots utilisés par un cardinal pour le commenter : « On fait tout ce qu’on peut pour être admiré par les hommes ».

- Que veut-il dire ?

François se lance dans ces actes spectaculaires parce qu’il veut être remarqué, qu’on le voie sortir du moule. Il ne se rend pas compte qu’il est en train de démolir le caractère sacré de la figure du pape.

Par ailleurs, certaines personnes n’ont pas apprécié sa présence dans un talk-show il y a quelque temps.

Pour le courant du monde catholique qui déteste le sacré, tout cela n’est pas un problème. Ceux qui considèrent le pape comme le vicaire du Christ et non comme un fonctionnaire, au contraire, ne l’acceptent pas. Le successeur de Pierre ne va pas chez Fabio Fazio. Paul VI a dit : « Montini n’est plus, il n’y a que Paul VI ». Aujourd’hui, cette phrase doit être lue à l’envers : le pape est Bergoglio, pas François. Il veut que la personne émerge, et non la fonction dont elle a été investie.

Selon le chef de l’Église ukrainienne gréco-catholique, Sviatoslav Shevchuk, si François s’était rendu en Ukraine, la guerre aurait pris fin avant même de commencer.

Je ne pense pas que François écoute les catholiques grecs. Il n’a jamais aimé les uniates, il a toujours préféré les orthodoxes aux catholiques comme lui. Contrairement à saint Jean-Paul II, qui connaissait bien la dynamique interne du monde slave, il a une vision progressiste, imprégnée de la conviction que les gréco-catholiques doivent être tenus à distance parce qu’ils empêchent l’œcuménisme avec les orthodoxes.

Alors que les tapis rouges sont déroulés pour les orthodoxes au Vatican, les catholiques grecs doivent passer par la porte de derrière, comme s’ils étaient des croyants de seconde zone. Un document commandé par le cardinal Silvestrini , en 1998, répudie comme méthode d’unité du passé l’union d’une Église orthodoxe avec Rome. Soit les 14 églises orthodoxes le font, soit aucune ne peut le faire seule : en bref, une utopie.

Tandis que les églises orthodoxes s’excommunient entre elles, l’œcuménisme catholique a échoué.

- En quoi a-t-il échoué, à votre avis ?

L’œcuménisme repose sur le principe que nous sommes tous des chrétiens baptisés : ceux qui passent d’une Église à l’autre, par exemple, n’ont pas à être rebaptisés. Au contraire, les orthodoxes russes et grecs le font. Face à l’inimaginable déchristianisation de l’Europe, nous devons reprendre le chemin de l’évangélisation : c’est seulement ainsi que la division entre les chrétiens prendra fin. » (benoit-et-moi.fr)


« Alors le saint aux pieds nus descendra du mont et, devant la tombe du va-nu-pieds, éclatera le règne béni de la Très Sainte Vierge.
Écoutez ses paroles.»

Nous avons identifié Benoît XVI comme étant le possible « saint aux pieds nus » dans l’analyse du 28 décembre 2021.

Voici les dernières photos de Benoît XVI ce lundi 7 mars:
Extrêmement amaigrit et fatigué. Aucune expression réelle sur son visage. (benoit-et-moi.fr)

Remarquez que Benoît XVI est né le 16 avril 1927 et c'était le samedi saint cette année là, tout comme le 16 avril sera le samedi saint en 2022.

Paix à son âme qui doit être déchirée en ce moment face à la guerre réelle et celle qui a lieu à l’intérieur de l’église.

Comme nous avons pu le remarquer jusqu’à maintenant, Bergoglio a les mains liés dans le conflit car il tient à son œcuménisme à tout prix et une intervention vis à vis des orthodoxes russes mettrait en péril son plan de « paix » avec l’islam.

Alors que sa place… est à Kiev.

Rappelons que la limite de Babylone semble se situer entre la fin du synode 2023 et 2025 (voir analyse du 29 novembre 2021).

Le 13 mai 2026, nous atteindrons une période de 109 ans depuis les apparitions de la Vierge Marie à Fatima, soit les 100 ans donnés comme indication à Léon XIII + la 9ème heure où tout est accompli (c’est à dire la mort du Christ sur la croix, donc de l’Église pour nous).

Nous savons aussi que mai 2026 est la limite pour le retour du Lys selon la prophétie de Don Bosco.

Il est alors bon de se rappeler les deux possibilités de l’identité de la fille de Caïn qui prophétise pour 7 ans :

Greta ou la nouvelle église œcuménique de Bergoglio.

« La fille de Caïn est la nouvelle église œcuménique de François qui part de la signature avec les luthériens en octobre 2016, ce qui débute la semaine de Daniel, l'arrêt du sacrifice en mars 2020 à cause du coronavirus et les sept années se terminent en 2023. » écrivions nous le 14 avril 2020.

Avec la guerre en Ukraine, nous devons considérer cette possibilité plus sérieusement, quoique c’est tôt par rapport au mois des deux lunes de mai 2026 prophétisé par Don Bosco pour le retour en Gloire du Lys (voir analyses « la limite de Babylone »).
Toutefois, nous avons l’information, confirmée ou non, que la « Russie recrute des Syriens pour combattre en Ukraine, confirme le Pentagone. »

Ce qui veut dire que le conflit pourrait éventuellement reprendre en Syrie où la Russie y joue un rôle important.

La plaine de Mediggo (Armageddon) ne se situe pas très loin de ce pays.

La boîte de Pandore est ouverte.

Mais il semble (en référence aux paroles du Christ face au royaume de Satan divisé; voir 5 mars 2022) que comparé aux paroles de Jean dans l’Apocalypse, que nous ne sommes qu’à la période où se mettent en place les conditions pour que combattent les dix cornes (les dix rois issuent du WEF) avec la grande prostituée (c’est à dire le sionisme libéral, donc l’Occident, qui est à l’origine de la mutation de la chrétienté via l’église conciliaire).

07 mars

LA GRANDE ILLUSION

Avec cette guerre, ayons toujours à l’esprit :

« Refusez les assassins qui se présenteront, refusez ceux qui seront présentés. Les assassins sont en Europe. Ils veulent la Méditerranée. » (Prophétie Grand Éclair à L’Orient)

Ces assassins sont ces factions judéo-maçonniques qui contrôlent la finance et l’économie.

Ils ont soumis tous les gouvernements à des organismes supra-nationaux qui prennent maintenant les décisions : Nations-Unies, OTAN, Commission Européenne…

Si ces gouvernements ne vont pas de le sens voulu, c’est la coupure financière, qui passe maintenant presque exclusivement par l’électronique, donc facile à contrôler.

Un signe qui ne trompe pas : la Suisse, traditionnellement neutre quelles que soient les circonstances, y compris lors des deux premiers conflits mondiaux, vient cette fois-ci de rejoindre l’Occident dans son hystérie anti-russe, ce qui prouve que les directives partent de très haut.

Les pays ont tous été plongés dans des dettes colossales grâce à la première manœuvre, la pandémie, qui avait été planifiée à partir de l’exercice pré-pandémie « événement 201 ».

Ayez à l’esprit la devise du Forum Économique Mondial (World Economic Forum ou WEF) : « Vous ne posséderez rien, et vous serez heureux. »

C’est ainsi qu’ils expriment le futur de la planète en vue de l’Agenda 2030 (voir analyse du 9 janvier 2021, Babel II, en ayant en tête toute l’évolution qui a eu cours juste en une année).

Le temps de la grande illusion était venue : provoquer un conflit comme une arme de distraction massive qui légitime de nouvelles restrictions aux libertés dans les Nations occidentales qui furent implantées grâce à l’alerte pandémique, selon les plans de la Grande Réinitialisation du Forum Économique Mondial et de l' Agenda 2030 des Nations Unies .

Comme nous l’avons vu dans une analyse précédente, le président russe était pris dans un coin avec le choix du mondialisme unipolaire anglo-saxon, ou la guerre.

Il est tombé dans le piège, ils ont trouvé un méchant, et nous avons cette crise planifiée qui doit maintenant s’étendre afin de :

- restreindre encore plus les libertés individuelles.
- plonger les pays encore plus dans la dette par une augmentation des crédits accordés aux forces armées.
- faire croître l’inflation et les pénuries
- faire chuter les systèmes financiers
- couper les moyens de communications libres (internet et téléphones intelligents) (car la plupart des médias ont été achetés par les élites) par une cyberattaque majeure (ce que le WEF a simulée à deux reprises en juillet 2020 et 2021)
- rebâtir sur les cendres avec la grande réinitialisation (dont le symbole qu’ils ont choisi est le Phoenix, expliqué à plusieurs reprises dans les analyses) avec leurs valeurs et leurs conditions.

Il n’est donc pas surprenant de voir depuis plusieurs jours le président ukrainien réclamer de l’OTAN une zone d’exclusion aérienne malgré les
refus répétés… jusqu’ici.

Pourquoi?

Pour avoir une guerre totale.

De qui est le porte parole le président ukrainien? Comment a-t-il été mis en poste?

Il est issu de l’école des jeunes leaders (WEF Young Globard Leaders) du Forum Économique Mondial.

Tout comme le premier ministre canadien, la vice première ministre canadienne, le président français, la première ministre de la Nouvelle-Zélande,…

Là est la grande illusion.

Manipuler l’opinion du peuple afin que celui-ci finisse lui-même par demander l’intervention militaire de l’OTAN.

On l’a vu dans plusieurs manifestations pro-ukrainiennes en fin de semaine : « no fly zone, no fly zone, no fly zone »

Oui, Babylone s’en va à sa perte.

Il n’y aura point de paix à l’horizon sans le Christ, sans du moins, une Église avec un Pape digne de ce nom à la manière de Pie XII qui clamera tout haut : Assez!

Mais il n’y en aura pas.

« Où croyez-vous fuir, maintenant que vous avez détruit les Églises et tué le dernier Père ? » (prophétie de l’église #11)

C’est la fin des temps, la fin de la grande illusion…

Heureusement.

« ... Et Dieu avait d’autres projets. » (Anne Catherine Emmerich).

05 mars

Note 1 : en relation avec les dernières analyses, le premier ministre israélien a rencontré le président russe aujourd’hui à Moscou.

Note 2 : le porte avions USS Harry S. Truman est en Mer d’Égée… au cas où…

Un porte avions, c’est une île flottante faite de mains d’hommes :

« De la petite île de la Méditerranée partira le cri du nouveau chevalier. Et les bateaux aux fausses bannières seront coulés. Le premier jour d'Europe. » (prophétie politique #27 la « Foudre en Plein Jour »).

LE TEMPS DES LETTRES

« C'est le temps des lettres. » confirme la prophétie « Grand Éclair à l’Orient ».

C’est l’Alpha et l’Oméga, le début et la fin, le changement de cycle.

Pour eux, la grande réinitialisation, pour nous, la fin des temps et le retour du Christ en Gloire.

Nous savons déjà comment cela va se terminer.

Par une intervention divine, le Jugement.

La prophétie le « Temps est Proche » se déroule sous nos yeux.

« C'est le temps des deux empereurs.
Et la Mère n'a pas de père, parce que beaucoup veulent être son père. Et deux seront soutenus par les adversaires.
Les cris et les barrières de la contestation se lèvent, mais déjà la Bête sort de l'eau.
Et la famine arrête les armées.
Les hommes se comptent mourir.
Et après la famine; la peste. »

Deux empereurs, deux papes et la confusion dans l’église, et … La Bête.

« Macron : "La Bête de l’événement est là" » (entrevue accordée au Financial Times le 16 avril 2020)

Ce que nous vivons est l’aboutissement (l’Oméga) de ce qui a commencé au 16ème siècle avec les talmudistes (l’Alpha) pour éliminer la présence réelle, le Verbe Incarné, afin de voir leur messie enfin arriver.

« Comme nous l’avons écrit, même si le programme est largement décrit dans Utopia de Thomas More, il fut réadapté fin XIXe siècle dans le cadre du monde anglo-saxon par la Société fabienne (Fabian Society) en 1884. L’objectif déclaré de cet institut à l’origine de la création du parti travailliste anglais (le labour) et de la London School of Economics (LSE) est de favoriser une gouvernance mondiale reposant sur la fusion du capitalisme et du socialisme afin d’aboutir à un « socialisme de marché » dont le modèle rêvé est la Chine. Il est vrai que de nombreux agents anglo-saxons acquis à cette Société fabienne ont coopéré avec d’autres instituts mondialistes comme le Canadian International Council ou CIC (Walter Lockart Gordon, James Endicott, …), petit frère de la Chatham House (Royaume-Uni) et du Council on Foreign Relations (CFR, États-Unis). C’est ce fameux CIC qui a joué un rôle certain en favorisant la création d’un frère jumeau chinois en 1949, le Chinese People’s Institute of Foreign Affairs (CPIFA). » (Pierre Hillard, Mondialisme : "La Bête de l’événement est là et elle arrive"
, Egalitéetreconciliation.fr)

N’oublions pas la vision de Léon XIII, (lui qui condamna la synagogue de Satan en avril 1884 ) du 13 octobre 1884 pour les 100 ans accordés à Satan.

Nous assistons présentement à une guerre interne entre les deux factions judéo-maçonniques dominantes.

Les 10 rois de l’Apocalypse sont bien en selle.

Poutine est le châtiment de l’Occident dépravé et pervers.

Mais aucun des deux clans ne sera victorieux, car ce sont deux clans qui ne vivent que par le mensonge.

C’est écrit dans l’Apocalypse : Babylone va tomber.

Ce que confirme aussi Jean XXIII.

La confirmation nous est donné par le Christ lui-même :

« " Comment Satan peut-il chasser Satan ?

Si un royaume est divisé contre lui-même, ce royaume ne saurait subsister ; et si une maison est divisée contre elle-même, cette maison ne saurait subsister.

Si donc Satan s'élève contre lui-même, il est divisé, il ne pourra subsister, et sa puissance touche à sa fin. » (Marc 3,23-26)

Sa puissance touche à sa fin...

Les appels à la paix sont bien intentionnés mais ils prônent tous un retour à la normale, une paix sans Dieu, une paix relevant de l’homme déifié et des ses droits humanistes représentés par Babylone Nations-Unies et Babylone Vatican.

Il n’y aura pas de paix autre que celle accordé par le Christ.

Le retour à la normale pré-Covid, ou pré-Invasion de l’Ukraine, c’est terminé.

C’est la synagogue de Satan qui l’affirme avec sa grande réinitialisation et son Agenda 2030.

Et Dieu les prends aux mots.

Mais comme Lui l’entends.

Réjouissez-vous dans le Seigneur car vous êtes dans Babylone sans être de Babylone, parce que vous avez la Foi et la connaissance requise pour faire face à cette épreuve.

« Marie Très Sainte, fille et mère de Dieu, maîtresse du temps futur, bats le rappel de tes fils dans les campagnes, pour qu'ils abattent les deux Babylone.

Et que la Mère soit Une, comme toi tu es unique. »

04 mars

C’est l’heure de la conversion des tièdes.

Le système de valeurs si cher au mondialisme est allé trop loin.

L’Europe, pilier central mondial du christianisme a abandonné ses valeurs chrétiennes.

D’où l’intervention divine via la Russie tel que spécifié dans les secrets de Fatima.

« ... la Russie sera l’instrument choisi par le Ciel pour punir le monde entier... »

C'est bien le début de la chute de Babylone... (référez vous au calendrier de la fin des temps (analyse du 29 novembre).

Il est fort probable que cela ne s'arrêtera pas après l'Ukraine…

La prophétie de Jean XXIII (Grand Éclair à l’Orient) est claire : « L'Europe a soif, elle aura du sang dans les rues et la terre frisera le massacre. »

« Les « valeurs de l’Occident »: mais c’est quoi, au juste?..

Il fut un temps où il s’agissait de valeurs chrétiennes, mais aujourd’hui elles ont été totalement mises de côté et sont combattues sans rémission.

Alors, que sont-elles ? Je vais essayer d’en faire une liste, pas par ordre de priorité, avec une brève glose ensuite.

Donc, en vrac : la célébration de la mémoire de la Shoah, la gay pride pour affirmer socialement la théorie du genre, le scientisme, le positivisme juridique, le syncrétisme religieux, l’écologisme, l’immigrationnisme pour nourrir le multiculturalisme, le libertinage (c’est-à-dire la pornographie, la prostitution, l’avortement, l’euthanasie, les joints et les drogues), l’étatisme élevé à la dimension continentale, la cancel culture liée au progressisme idéologique.

Je suis dans le monde, mais en tant que chrétien, je ne suis pas du monde, et si c’est ce que l’Occident est devenu, renonçant au christianisme et surtout au Christ, je reste fidèle au Verbe fait chair dans la Vierge Marie. Quoi qu’il en soit, car c’est seulement de Lui que viennent les paroles de vérité. Et tant pis pour l’OTAN, ceux qui la commandent et ceux qui servent l’Ennemi.»
(benoit-et-moi.fr)

Alexandre Douguine nous donne le point de vue de la Russie, mais  ayant un parti-pris pour la civilisation orthodoxe orientale, orienté et exagéré, mais cela nous renseigne sur la véritable cause de cette guerre.

« « Ce n’est pas une guerre contre l’Ukraine. C’est une confrontation contre le globalisme en tant que phénomène planétaire intégral.

C’est une confrontation à tous les niveaux – géopolitique et idéologique.

La Russie rejette tout dans le mondialisme : l’uni-polarisme, l’atlantisme, d’une part, et le libéralisme, l’anti-tradition, la technocratie, en un mot, le Great Reset, d’autre part.

Il est clair que tous les dirigeants européens font partie de l’élite libérale atlantiste.

La Russie est désormais exclue des réseaux mondialistes. Elle n’a plus le choix : soit construire son monde, soit disparaître.

La Russie a tracé une voie pour construire son monde, sa civilisation. Et nous sommes en guerre contre cela. D’où leur réaction légitime.

Et maintenant, la première étape a été franchie. Mais le souverain face au mondialisme ne peut être qu’un grand espace, un État-continent, un État-civilisation. Aucun pays ne peut résister longtemps à une déconnexion complète.

La Russie est en train de créer un champ de résistance mondial.

Sa victoire serait une victoire pour toutes les forces alternatives, de droite comme de gauche, et pour tous les peuples. Nous entamons, comme toujours, les processus les plus difficiles et les plus dangereux.

Mais quand on gagne, tout le monde en profite. Ça devrait être comme cela. Nous créons les conditions d’une véritable multipolarité. Et ceux qui sont prêts à nous tuer maintenant seront les premiers à profiter de notre entreprise demain.

Qu’est-ce que cela signifie pour la Russie de rompre avec l’Occident ? C’est le salut.

L’Occident moderne, où triomphent les Rothschild, Soros, Schwab, Bill Gates et Zuckerberg, est la chose la plus dégoûtante de l’histoire du monde.

Ce n’est plus l’Occident de la culture méditerranéenne gréco-romaine, ni le Moyen Âge chrétien, ni le XXe siècle violent et contradictoire.

C’est un cimetière des déchets toxiques de la civilisation, c’est l’anti-civilisation.

Et plus tôt et plus complètement la Russie s’en détache, plus tôt elle revient à ses racines. A quoi ? Aux racines chrétiennes, gréco-romaines, méditerranéennes, européennes… C’est-à-dire aux racines communes au véritable Occident.

Ces racines – les leurs ! – l’Occident moderne les a supprimés. Et elles sont restés en Russie.

La Russie n’est pas l’Europe occidentale. La Russie a suivi les Grecs, Byzance et le christianisme oriental. Et elle suit toujours cette voie. Oui, avec des zigzags et des détours. Parfois dans des impasses. Mais ça bouge.

La Russie est née pour défendre les valeurs de la Tradition contre le monde moderne. C’est précisément cette « révolte contre le monde moderne ». Vous comprenez ?

L’Europe doit rompre avec l’Occident, et les États-Unis doivent aussi suivre ceux qui rejettent le mondialisme. Et alors tout le monde comprendra la signification de la guerre moderne en Ukraine.

Beaucoup de gens en Ukraine l’ont compris. Mais la terrible propagande colérique libérale-nazie n’a rien laissé de côté dans l’esprit des Ukrainiens.

Ils reviendront à la raison et se battront avec nous pour le royaume de la lumière, pour la tradition et une véritable identité chrétienne européenne. Les Ukrainiens sont nos frères. Ils l’étaient, ils le sont et ils le seront.

La rupture avec l’Occident n’est pas une rupture avec l’Europe. C’est une rupture avec la mort, la dégénérescence et le suicide. »

Alexandre Douguine. » (profidecatholica.com)

Bref, les valeurs du nouveau monde ne reflètent que les conséquences du péché, étant donné l’apostasie générale… ou presque.

La coupe déborde.

Le dernier défenseur de ces valeurs, Benoît XVI va bientôt décéder car il représente les deux témoins qui seront mis à mort avant la chute finale de Babylone.

On se dirige droit vers Armageddon, la bataille finale où « Mikail et Jean descendront sur terre » affirme Jean XXIII dans la prophétie concernant François, c’est à dire le combat de l’Archange Michel durant la révélation (apocalypse).

On se prépare à la grande lutte de l'esprit contre celui qui le nie confirme la prophétie « le Concile d’Alexandrie » (Saint Petersbourg serait le théâtre d’un homme important qui parlera au monde dans ce contexte, puis mourra près de la Neva).

Et une autre information appuyant la possible intervention d’Israël selon les prophéties de Jean XXIII (Le Concile d’Alexandrie) :

L’Ukraine, proie de différentes factions oligarchiques

« ...il faut rappeler une réalité historique et spirituelle se surajoutant aux aspects politiques, stratégiques et énergétiques.

En effet, la partie orientale de l’Ukraine faisait partie de l’Empire Khazar dont la population s’est convertie progressivement à partir du VIIIe siècle au judaïsme.

En 2022, certaines factions juives considèrent ces territoires comme une seconde Judée. Nous avons les Juifs « traditionalistes » (oligarques) soutenant Poutine (les Loubavitch autour du rabbin Berel Lazar) qui s’opposent aux factions juives ukrainiennes, oligarques liés à l’Occident.

L’actuel président ukrainien cité au début de cet article, Volodymyr Zelensky, est de confession juive. Nous avons en réalité un véritable enchevêtrement d’intérêts et d’oppositions multiples, tant financiers que spirituels, déchirant ce milieu, l’ensemble se répercutant sur les relations entre la Russie et l’Occident. Ce phénomène avait été souligné dès 2014 par Times of Israel dont le titre était annonciateur des rivalités profondes au sein de ce milieu : « Les Juifs de Russie et d’Ukraine sont en guerre ». (Pierre Hillard) »  (lectures-francaises.info)

Les points suivant du calendrier de la fin des temps se succéderont très rapidement maintenant.

1) Mort des témoins (3,5 jours)
2) Résurrection des témoins
Fin de la sixième période.
Entrée dans la 7ème période :
3) Mort de l’Antéchrist
4) Chute de Babylone (3ème malheur, Ap. 11, 14)

01 mars

« Refusez les assassins qui se présenteront, refusez ceux qui seront présentés. Les assassins sont en Europe. Ils veulent la Méditerranée. » (Prophétie Grand Éclair à L’Orient)

Quelques indices liés à la prophétie (Pier Carpi dans son analyse de 1976 écarte d’emblée la Chine et la Russie comme cible du Grand Éclair.

Mais si ce n’était pas le cas?

Et si c’était par rapport à l’Ukraine? (N’oublions pas qu’Israël possède l’arme nucléaire.)

Comme indiqué dans la dernière analyse, Israël semble beaucoup plus proche de l’Ukraine qu’on le pense.

« La délégation russe se trouve dans la ville biélorusse de Gomel et est prête à négocier avec les représentants de Kiev ; ceux-ci, faisant preuve d’incohérence, n’ont pas saisi cette opportunité jusqu’à présent », a déclaré M. Poutine lors d’un appel téléphonique avec le premier ministre israélien Naftali Bennett, selon un communiqué du Kremlin.

Selon le Kremlin, Naftali Bennett « a proposé une médiation israélienne afin de suspendre les hostilités ». (lapresse.ca)

L’attaque aujourd’hui sur l’antenne de télévision de Kiev situé près du site de Babi Yar est un sacrilège et soulève l’indignation chez les juifs.

« Ce n'est pas le temps d'un roi, ce ne l'a jamais été. Depuis la mort de Frédéric, chaque roi est usurpateur. Que le roi s'en aille, reste le peuple. L'Europe a soif, elle aura du sang dans les rues. » (Prophétie Grand Éclair à L’Orient)

« Macron Roi, les élections reportées? »

« Le 26 décembre 1957, le Père Agustin Fuentes, qui s’apprêtait à devenir postulateur des causes de béatification de Francisco et Jacinta Marto, rencontra Sœur Lucie dans son couvent de Coimbra, au Portugal. Ici, il a pu s’entretenir longuement avec la visionnaire de Fatima. À son retour au Mexique, il organisa une conférence de presse concernant sa rencontre, dans laquelle il rapporta les paroles de Sœur Lucie. Le Père Alonso, l’archiviste officiel de Fatima pendant plus de 16 ans, a déclaré que le compte rendu de cette conférence a été publié « avec toutes les garanties d’authenticité et avec l’approbation épiscopale requise, y compris celle de l’évêque de Fatima ».

Le père Fuentes a déclaré que le message venait « de la bouche même du voyant principal ».

LE RAPPORT DU PERE FUENTES

Je voudrais vous parler de la dernière conversation que j’ai eue avec Sœur Lucie le 26 décembre (l’année dernière). Je l’ai rencontrée dans son couvent. Elle avait l’air très triste, très pâle et émaciée. Il m’a dit, »

… La Russie, le fléau de Dieu

« Dis-leur, Père, que bien des fois la Sainte Vierge a dit, à mes cousins ​​François et Jacinthe et à moi, que de nombreuses nations disparaîtront de la face de la terre. Elle a dit que la Russie sera l’instrument choisi par le Ciel pour punir le monde entier, si nous n’obtenons pas d’abord la conversion de cette pauvre nation. »» (marcotossatti.com).

Nous assistons à la poussée finale du mondialisme après la « pandémie », avant la chute de Babylone.

Pierre Hillard a toujours affirmé que c’est le partage du gâteau.

Or, il y a le clan pour un contrôle unipolaire anglo-saxon, et l’autre dont fait parti Poutine pour un partage des pouvoirs et régions.

Poutine ne veut pas entrer dans le rang, et il se sent tout puissant.

Cette guerre n’est rien de plus que le chef-d’œuvre des élites judéo-maçonniques.

Ils ont acculé Poutine pour ne lui donner que deux issues : se rendre au mondialisme unipolaire ou c’est la guerre.

Le territoire sacrifié choisi est donc l’Ukraine, qui a une connotation émotive avec le berceau russe: Kiev.

Et pour le « timing », c’est maintenant ou jamais.

L’effet pandémie se terminant, les élites ayant démontré qu’on peut contrôler la masse avec un passeport sanitaire, ils passent à l’autre étape de la « grande réinitialisation »: une guerre pour effacer toutes les dettes, faire chuter le système financier, et repartir sur des bases neuves.

Pour ce faire, il faut garder la masse dans la peur et l’incertitude.

Ils ne peuvent plus reculer depuis que la fenêtre s’est ouverte avec la « pandémie ».

Prions NSJC afin de demeurer fort dans l’épreuve.

Février 2022

25 février

LA LIMITE DE BABYLONE PARTIE VI

Voilà.

La chute de Babylone est commencée avec cette invasion gratuite de l’Ukraine.

« Au XVII siècle, la Vierge apparut en bas du village de Hrushiv (Ukraine). Le peuple planta un saule pour commémorer l’événement.
Un siècle plus tard, une source jaillit au pied du saule. Les gens venaient pour puiser cette eau claire. Il en résulta des guérisons qui firent la réputation du sanctuaire...
Le 12 Mai 1914, la Vierge se manifeste à nouveau pour avertir le pays des malheurs qui allaient fondre sur lui. (Note: une journée avant l'apparition de Fatima).
Ce fut d’abord une lumière qui fut aperçue près de la chapelle de la Sainte Trinité.
La lumière fut visible durant toute la journée.
Puis, 22 personnes, des paysans, virent la Vierge, une seule fois.
Elle leur annonça que les croyants allaient souffrir pendant « 80 » ou « 90 ans », que la Russie allait devenir impie, que les ukrainiens allaient connaître des persécutions, que certains vivraient assez longtemps pour « voir trois guerres, mais l’Ukraine sera libre ensuite »…. » (touteslespropheties.wordpress.com)

À remarquer que les 25 années de « fausse paix », de « récoltes abondantes » prophétisées à La Salette, se sont bien terminées en 2014 à l’invasion de la Crimée par la Russie (25 ans depuis la chute du mur de Berlin, qui a conduit à la chute de l’URSS en 1991).

Cette invasion russe cette semaine n'en est que la suite planifiée depuis longtemps.

La Sainte Vierge nous avait pourtant bien averti à Fatima à propos du péril russe, du communisme.

Les joueurs des prophéties politiques le « Grand Éclair à l’Orient » et le « Temps est Proche » sont maintenant plus facilement identifiables.

« C'est le temps des deux empereurs. »

Poutine a son rêve du retour de l’Empire russe, et Xinping voit la Chine comme remplaçante des États-Unis sur l’échiquier mondial.

Poutine mourra dans la tour de son rêve, le président chinois dans le désert par la peste (c’est bien de là qu’est arrivé le virus Covid-19).

C’est l’intervention divine, la guerre de la nature, qui empêchera le massacre de la terre. Famines à prévoir donc dans ces pays qui seront de plus en plus isolés.

Nous avions grandement soupçonné l’Ukraine comme étant « l’esprit trouble » de la prophétie « Grand Éclair à l’Orient » à plusieurs reprises :

Soit le 12 décembre 2020

« Le temps a nourri un esprit trouble, à l'ombre de la croix rouge et noire, inconnue de tous, fille des fugitifs de Nuremberg » (expression utilisée par Jean XXIII pour les financiers derrières les guerres; les banksters.  Mais, il y a aussi l'Ukraine, qui en 2014 est infiltrée par le nazisme, ces descendants des nazis dont Hitler avait peur durant la deuxième guerre mondiale).

« Elle a ourdi le crime contre elle-même Il y en a qui renoncent à la vie, par amour du mal. »

« Ce qui se passe maintenant est le résultat de la politique de huit ans de l'Occident, dans le but de créer un régime russophobe agressif sur le territoire de l'Ukraine avec la légalisation des formations néo-nazies.
"Nous travaillerons pour la démilitarisation et la dénazification de l'Ukraine" » (Poutine 23 février 2022).

Soit le 12 janvier 2020

« Nous le savons, l'Ukraine semble avoir un rôle déterminant dans les événements à venir. Pour Jean XXIII, Nuremberg n'est pas terminé. Signe que nous sommes bien à la fin des temps, l'Ukraine assiste présentement à la montée en puissance du ''fuhrer blanc'', au bataillon Azov. » (en anglais: sott.net)

Soit le 18 décembre 2021

« L’année 2021 se termine dans un atmosphère de tensions constantes au niveau géopolitique : guerres Russie/États-Unis et alliés en Ukraine, Israël/Iran, Chine/Taïwan et alliés, la question de la Biélorussie, …

Ce sont les rumeurs de guerres de la fin des temps. »

Rappelons nous les paroles du père Malachi Martin :

« Quel est le rôle de la Russie dans la Vision de Fatima ?

« Très important. Si on croit à la Vision de Fatima, le salut du monde, la guérison de tous ses maux, commencera en Ukraine et en Russie. C’est pourquoi la Vierge avait autant parlé de la Russie, qui, la première, devait être guérie de ses erreurs, car elle permettra ensuite au reste du monde d’aller mieux et de guérir de ses péchés. C’est un message très bizarre puisqu’on aurait pu croire que selon nous, occidentaux, le salut du monde viendrait de l’Ouest.
Mais non.
Selon Fatima, notre salut viendra de l’Est, et en particulier de l’Ukraine et de l’État russe, ce qui est extraordinaire en soi. »

Puisque le « Grand Éclair » est à l’Orient, notre attention doit donc se tourner vers le soleil, qui se lève à l’est, par une intervention divine (tempête solaire), ou par le fait que l’enjeu principal, maintenant, c’est la Syrie ou l’Iran, ce qu’on appelle en jargon biblique, Armageddon.

Les tensions sont toujours aussi vives dans les négociations sur le nucléaire iranien, et la patience d’Israël est à sa limite. Pendant que la Russie s’occupe de l’Ukraine, Israël pourrait en profiter ou même les alliés avec le port de Tartous en Syrie (lieu où sont basés les russes).

Point intéressant et surtout surprenant, la prophétie politique #23 de Jean XXIII « le Concile d'Alexandrie » nous cet indice pertinant ou non, nous le saurons éventuellement:

« Israël qui trouve en ces jours une nouvelle terre autour de la cité aux toits d'or. Il est temps de laver le sang de tes enfants. Israël accourt dans la cité et la sauve. Finalement, l'étoile a six pointes. »

Kiev est une cité au toits d'or, tout comme Prague.

Le président et le premier ministre ukrainiens ont des origines juives.

À suivre de ce côté...

Pour l'instant, les deux clans majeurs judéo-maçonniques s’affrontent pour l’établissement du « messie peuple élu ».

C’est bien la fin des temps.

À surveiller donc selon la prophétie de Jean XXIII : la mort d’un chef d’État en Orient, et l’assassinat d’un chef d’État au sud des États-Unis…

Avant le « Grand Éclair ».

Pour les chrétiens, ces signes sont nécessaires et à la demande de Jésus, il faut garder la tête froide, dans la prière avec le Rosaire, seul arme valide.

C’est cette Espérance du retour du Christ qui s’accélère.

La chute de Babylone est nécessaire, comme indiquée dans l’Apocalypse.

22 février

Bergoglio met de l’avant la synodalité comme la voie de l’avenir pour l’église, mais agit au contraire en dictateur en proclamant Motu Proprio sur Motu Proprio.

Quarante neuf pour être exact. C’est le pape qui en a utilisé le plus, et de loin, pour façonner l’église à sa main, ou la main de son maître…

C’est une autre preuve concernant le faux prophète ou l’antéchrist personnifié des derniers temps.

« Andrea Gagliarducci s’interroge à son tour sur la prédilection du Pape pour les « motu proprio » (*) et les rescrits, contredisant son désir affiché de synodalité et de décentralisation… Le nombre anormal de MP, en l’absence de Concile, dénote le manque total d’implication de la Curie romaine dans le processus décisionnel (il est souvent arrivé que les préfets de la Curie aient eu connaissance de la mesure par le Bureau de presse) et une tendance dictatoriale marquée, contraire à la « collégialité » tant vantée… Le troisième indice est que le Pape n’a aucun scrupule à changer le droit canon quand il en a besoin. Comme il le dit, il le fait pour promouvoir une « saine décentralisation », mais, en prenant lui-même les décisions, il concentre le pouvoir entre ses mains. Le pape François est-il conscient de la contradiction qu’il crée par ses actions ? Ou pense-t-il que ce n’est que de cette manière que les anciens mécanismes peuvent être remis en question ? » (benoit-et-moi.fr)

Le Nouveau Motu Proprio qui modifie la structure de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi (CDF), et qui oriente ses intérêts vers le « progrès des sciences et le développement de la société ».

Autant dire l’humanisme bergoglien.

« … La Section doctrinale, par l’intermédiaire du Bureau doctrinal, s’occupe des questions relatives à la promotion et à la protection de la doctrine de la foi et des mœurs. Elle encourage également des études visant à accroître la compréhension et la transmission de la foi au service de l’évangélisation, afin que sa lumière soit un critère pour comprendre le sens de l’existence, notamment face aux questions posées par le progrès des sciences et le développement de la société.

La « nouvelle » CDF est donc responsable d’une activité qui est en quelque sorte promotionnelle (« encourager les études »), en particulier dans le sens spécifié par le Motu Proprio : la Lettre Apostolique semble indiquer aux théologiens dans quelles directions orienter la réflexion scientifique, en indiquant également quelles sont les questions qui sont considérées comme dignes d’une étude particulière, au service de l’évangélisation. À cet égard, ce qui est particulièrement frappant, c’est la volonté d’accroître la compréhension et la transmission de la foi afin de comprendre le sens de l’existence (sic) surtout (notez le surtout) face aux questions posées par les progrès de la science et l’évolution de la société… » (benoit-et-moi.fr)

« CITÉ DU VATICAN ( LifeSiteNews ) – Le pape François a annoncé aujourd’hui une réorganisation de la Congrégation pour la doctrine de la foi (CDF), divisant les éléments doctrinaux et disciplinaires en deux parties distinctes au milieu des rumeurs selon lesquelles il modifierait la Congrégation pour devenir plus favorable aux LGBT ... » (lifesitenews.com)

Le 11 février, Bergoglio a lancé le thème du jubilé de 2025:

La renaissance… comme la grande réinitialisation.

Et, « … une occasion de «contempler la beauté de la création et de prendre soin de notre maison commune». » (vaticannews.va)

Où est Jésus?

ET voilà!

Ce que nous anticipions depuis des années est arrivé. Les évêques ont les pleines compétences avec un nouveau Motu Proprio.

« Le Pape transfère aux évêques des compétences réservées au Saint-Siège

Avec la publication d’un Motu proprio ce mardi 15 février, le Pape François établit que les ordinaires des Églises locales pourront intervenir dans la gestion des séminaires, la formation des prêtres, la rédaction des catéchismes et dans d’autres domaines sans avoir besoin de l’approbation du Vatican, mais d’une confirmation plus simple…. » (vaticannews.va)

La porte est donc grande ouverte pour la conclusion du grand synode bergoglien: la messe pourra être adaptée aux saveurs locales comme pour les autochtones amazoniens.

C’est la destruction voulue du corps mystique du Christ par l’élimination d’une « prière commune » vers le Père.

Un chaos spirituel orchestré.

Retour à la case départ avec chacun son dieu à son image.

C’est une autre manière d’enlever la présence réelle en désacralisant la messe.

Heureusement qu’il y a la Tradition.

10 février

Paix et Sécurité

« Quand les hommes diront : " Paix et sûreté ! " c'est alors qu'une ruine soudaine fondra sur eux comme la douleur sur la femme qui doit enfanter, et ils n'y échapperont point. » (Saint-Paul, Th.1, 5-3)

Sécurité, paix, facilité augmentée dans la vie quotidienne,…

Voici ce que nous réserve les bonzes de la grande réinitialisation, copié sur le modèle chinois, dont le passeport sanitaire n’est que la pointe de l’iceberg.

« Ma femme a du crédit » (vidéo).

Benoît XVI, en réponse aux dernières critiques (vatican.va) fait référence à son départ, à son jugement, qu’il compare subtilement au Jugement Dernier, donc du retour du Christ, sachant pertinemment ce qu’il fait, le rôle qu’il occupe.

« Bientôt, je serai face au juge ultime de ma vie. Bien que, regardant en arrière ma longue vie, je puisse avoir beaucoup de motifs de frayeur et de peur, mon cœur reste joyeux parce que j’ai confiance que le Seigneur n’est pas seulement le juge juste mais, en même temps, l’ami et le frère qui a déjà souffert lui-même mes manquements et qui, en tant que juge, est en même temps mon avocat (Paraclet). À l’approche de l’heure du jugement, la grâce d’être chrétien me devient toujours plus claire. Être chrétien me donne la connaissance, bien plus, l’amitié avec le juge de ma vie et me permet de traverser avec confiance la porte obscure de la mort. À ce propos, me revient sans cesse à l’esprit ce que Jean rapporte au début de l’Apocalypse : il voit le Fils de l’homme dans toute sa grandeur et tombe à ses pieds comme mort. Mais Lui, posant sur lui sa main droite, lui dit : « Ne crains pas ! C’est moi…. » (cf. Ap 1, 12-17)… »

Mais, le bout important est ceci, juste avant ce paragraphe, celui qui donne l’indice qu’il est fort bien au courant de ce qui se passe dans l’Église:

« Je comprends de plus en plus la répugnance et la peur que le Christ a ressenti sur le Mont des Oliviers quand il a vu tout ce qu’il allait devoir vaincre intérieurement. Que les disciples dorment à ce moment-là, représente malheureusement la situation qui, aujourd’hui encore, se reproduit, et par laquelle je me sens aussi interpellé. Ainsi, je ne peux que prier le Seigneur, les anges et tous les saints et vous aussi, chers frères et sœurs, de prier pour moi le Seigneur notre Dieu. »

La dernière photo de Benoît XVI juste avant la publication de sa lettre (benoit-et-moi.fr) est avec le chasuble rouge pour la première fois, symbole des martyrs!

À l’aube du début de la 9ème année de la démission (demain), il fait référence à la 9ème heure, au Mont des Oliviers, pour la « Gloire de l’olive », du fait qu’il ne lui reste pas beaucoup de temps.

7 février

Partout dans le monde, la crise du Covid-19 provoque une scission qui n’est que l’ultime révélation de ce monde aux valeurs inversées, voulues par Satan, voulue par la judéo-maçonnerie…

Ces deux pôles, pour ou contre la vaccination, sont le reflet du travail dans l’ombre qui n’a émergé que récemment...

Afin de mieux contrôler la masse, en créant l’ordre à partir du chaos.

C’est là que le « wokisme » a été mis à l'avant plan.

On le propose que comme seule voie du salut, à la place du Verbe Incarnée.

Signe donc des derniers instants avant la chute de Babylone.

Tout comme toutes ces attaques contre Benoît XVI dans les dernières semaines.

Satan procède toujours ainsi. Il séduit… Il ment… puis il sacrifie ses propres troupes pour les envoyer à la mort suprême.

« Mais pourquoi l’idéologie woke, notre nouveau maître, s’empare-t-elle du cœur et de l’esprit de tant de personnes, en particulier des jeunes ?

Une raison simple : parce qu’elle s’est imposée comme une “religion” de substitution au christianisme et qu’elle apporte aux gens des réponses aux questions de sens. Mering déclare :

“Bien que ses racines et son histoire soient athées, l’idéologie woke prend la manière et les caractéristiques d’une religion fondamentaliste. Il a des dogmes et des dénonciations. Il remplace la lutte contre le péché par des séances de lutte. Sa vision est messianique, ses dogmes indiscutables. Mais plutôt qu’une fin éternelle, elle trouve et administre le salut et la damnation dans ce monde.”.. » (lesalonbeige.fr)

Le « wokisme » est un fourre tout qui permet un « œcuménisme » d’apostats de la bête de la terre.

Du côté de la bête de la mer, c’est l’œcuménisme religieux qui est avancé.

Le premier est poussé par les politiciens, le second par Bergoglio et ses sbires.

Les deux ont une visé commune: ceux qui ne font pas parti de ce nouvel ordre, sont maintenant les « terroristes » du nouveau système, système évidement aux valeurs inversées.

La tradition est donc hors norme, de même que les gens dits « normaux » (les croyants, les couples hommes-femmes, etc…)

« Tenir fermement aux fausses interprétations des croyances du passé, c’est en même temps se battre contre le progrès de l’Humanité. » S. Monast

D'où le fait que Bergoglio terrorise les traditionnalistes et ceux qui tiennent à la doctrine de l'Église Sainte et Apostolique.

« Le nouveau critère sera ainsi défini : Les vrais chrétiens seront ceux qui partageront toutes les croyances religieuses du Nouvel Ordre Mondial en tant que nécessité de base pour la survie de l’humanité. » (Serge Monast, Le Complot des Nations-Unies contre la Chrétienté,1995)

Nous vivons les derniers moments de cette illusion gigantesque dont Saint-Paul nous avait averti :

« C'est pourquoi Dieu leur envoie des illusions puissantes qui les feront croire au mensonge, en sorte qu'ils tombent sous son jugement tous ceux qui ont refusé leur foi à la vérité, et ont au contraire pris plaisir à l'injustice. »

Foi, Espérance et Charité demeurent toujours les piliers sur lesquels les vrais chrétiens doivent s’appuyer.

Et la clé, c'est la Vierge Marie.

Prière à Notre-Dame du Perpétuel Secours

«O sainte Vierge Marie, qui, pour nous inspirer une confiance sans bornes, avez voulu prendre le nom si doux de Mère du Perpétuel Secours, je vous supplie de me secourir en tout temps et en tout lieu, dans mes tentations, après mes chutes, dans mes difficultés, dans toutes les misères de la vie, et surtout au moment de ma mort.

Donnez-moi, ô charitable Mère, la pensée et l’habitude de recourir toujours à vous, car je suis sûr que si je vous invoque fidèlement, vous serez fidèle à me secourir. Procurez-moi donc cette grâce des grâces, la grâce de vous prier sans cesse et avec la confiance d’un enfant, afin que, par la vertu de cette prière fidèle, j’obtienne votre Perpétuel Secours et la persévérance finale.

Bénissez-moi, ô tendre et secourable Mère, et priez pour moi, maintenant et à l’heure de ma mort. Ainsi soit-il. »

Janvier 2022

17 janvier

Complément aux analyses du 8 et 18 décembre 2021

« La terre frisera le massacre. Un seul mourra pour tous et il était le meilleur. » (prophétie politique Grand Éclair à l’Orient).
 
Guerre en Ukraine? Grand éclair à l’Orient? Corée du Nord? Iran?..

Le choix ne manque pas présentement.

« Un seul mourra pour tous »

TOUS.

Qui est le seul personnage qui peut se vanter de représenter toute la population de la terre?

Le vicaire du Christ établi par la succession des apôtres.

Ici, Benoît XVI.

« Il était le meilleur »

Pour être classifié de « meilleur », il faut évidement qu’il y ait au moins deux personnes à comparer.

C’est une allusion évidente au fait qu'il a été mis de côté, qu’il y a un « faux vicaire du Christ » sur le trône.

Bergoglio a laissé tomber son titre de vicaire du Christ.

Comme prophétisé dans l’Apocalypse.

« Et l'ange me dit : " Pourquoi t'étonner ? Moi je vais te dire le mystère de la femme (l’église, le Vatican) et de la bête qui la porte (la franc-maçonnerie via l’outil communisme/socialisme), et qui a les sept têtes et les dix cornes.

La bête que tu as vue était et n'est plus (le communisme, soit la menace donnée par la Sainte Vierge à Fatima, en référence à la chute du régime soviétique, à la fin de la guerre froide, installant la fausse paix prophétisée); elle doit remonter de l'abîme, puis s'en aller à la perdition. Et les habitants de la terre, dont le nom n'est pas écrit dès la fondation du monde dans le livre de la vie, seront étonnés en voyant la bête, parce qu'elle était, qu'elle n'est plus, et qu'elle reparaîtra. (ce que nous voyons maintenant avec la montée en puissance du mondialisme, en fait tout ce qui est en « isme » : modernisme, communisme, wokisme, capitalisme, matérialisme athée, multiculturalisme, totalitarisme, etc. Menaces grandement combattues par les papes pré-Vatican II)

C'est ici qu'il faut un esprit doué de sagesse. — Les sept têtes sont sept montagnes (Rome), sur lesquelles la femme (église) est assise. Ce sont aussi sept rois (papes depuis Latran en 1929):

Les cinq premiers sont tombés, l'un subsiste, l'autre n'est pas encore venu, et quand il sera venu, il doit demeurer peu de temps. (Donc la clé pour démarrer le compte est celui qui « subsiste », c’est à dire Benoît XVI. Cinq papes avant lui donc depuis l’État du Vatican (donc des rois temporels) en 1929. S’ensuit Bergoglio, qui doit demeurer peu de temps : C’est ce qui est confirmer dans la prophétie de Jean XXIII le concernant : « Ton règne sera grand et bref »)

Et la bête qui était et qui n'est plus, en est elle-même un huitième et elle est des sept, et elle s'en va à la perdition. (Ap. 17, 7-11) (Et Bergoglio, qui représente la bête marxiste socialiste, est le septième pape, mais il a décidé d’abandonner son titre de vicaire du Christ, ET, d’abandonner son titre de pape en décidant qu’il n’était, dans son idée de collégialité, que l’évêque de Rome (en référence aux sept collines). Il est devenu le huitième, la bête cachée derrière le titre de pape, et qui s’en va à la perdition)

Revenons à Benoît XVI qui « mourra pour tous » dans ce temps si critique.

Sa seule action possible vu sa situation et son âge est la prière, car toute la question actuelle n’est qu’une guerre pour les âmes menée par Satan.

C’est ce qui est en jeu : l’âme.

Et la seule arme on le sait, est la prière, particulièrement le Rosaire.

On sait aussi que Benoît XVI est le probable Saint va nu pieds des prophéties de l’Église.

Donc, le décès imminent de Benoît XVI est en lien direct avec la prophétie « Grand Éclair à l’Orient », où de surcroît, un roi essaie de s’établir sur le trône de l’Europe (fort probablement Emmanuel Macron).

Les prochains mois seront donc riches en révélations concernant ces deux prophéties.

Le calendrier de la fin des temps (voir 29 novembre 2021) nous confirme que l’année 2022 est probablement la fin de la sixième période de l’Apocalypse.

C’est un passage, un rite, avant la mort de l’Antéchrist et la chute des deux Babylone.

Ce rite dans le temporel est représenté par la haine que Bergoglio (donc Satan) porte envers la Tradition.

Des rumeurs proclament que d’autres restrictions à son Motu Proprio Traditionis Custodes s’ajouteront en février.

Les progressistes du Vatican forcent donc la main, dans une dernière tentative, pour la messe de Paul VI, le « nouveau rite » de Vatican II, mais associé au paganisme dont on veut le retour en force.

Et, c’est sans considérer la perte du « sacré » du sacerdoce qui s’annonce :

« Une théologie et une pratique de la mort du sacerdoce

Par L’ABBÉ CLAUDE BARTHE

« L’Église est à bout de souffle » : c’est le message, pour une part correspondant à la réalité, pour une part fabriqué, que veut donner, en France, en Allemagne, ailleurs, le battage médiatique intense autour des scandales des abus sexuels. Et le message se poursuit : elle doit donc se réformer structurellement en se purifiant de tout cléricalisme dans un mode de fonctionnement plus démocratique, plus synodal.
Il ne s’agit pas de nier que le cléricalisme soit néfaste, si on l’entend de l’arrogance de certains clercs oubliant que leur « part d’héritage », kleros en grec, est d’abord le ministère et le service. Mais le terme, utilisé comme un slogan et de manière dépréciative, fait en réalité écho aux principes idéologiques de la société moderne, toujours plus sécularisée. Et comme à l’époque de Gambetta et de son cri : « Le cléricalisme, voilà l’ennemi », c’est le sacerdoce catholique qui est visé.

Une théologie de l’effacement du sacerdoce

Comme on a connu des théologies de la mort de Dieu, qui avalisent « religieusement » l’athéisme ou l’agnosticisme contemporain[1], on pourrait parler d’une théologie de la mort du sacerdoce donnant une caution « catholique » à l’effacement du sacerdoce dans la société. Les théologiens qui s’y emploient explorent deux types de réflexion, qui ne s’excluent pas mais se complètent.

– La perspective synodale consiste à faire que presbytérat et épiscopat soient pour le peuple de l’Église locale concrète et émanant de lui. Le P. Hervé Legrand, op, est un bon représentant de cette visée[2]. Il convient de sortir de la figure administrative qu’a revêtue, selon lui, un clergé fonctionnarisé et de retrouver sa conception traditionnelle, ce qu’on lui accordera volontiers, sauf à discuter sur la manière de revenir à la tradition. Il voudrait pour sa part retrouver le modèle de l’organisation ecclésiastique du début du IIIe siècle, qu’on peut deviner à travers la Tradition apostolique d’Hippolyte de Rome. L’Église locale, explique-t-il, était une communauté présidée par un évêque, seul véritable prêtre, entouré de quelques presbytres, qui n’étaient pas encore des sacerdotes. Cette communauté choisissait son pasteur, duquel il n’était pas exigé d’état de vie spécial (célibat). Selon Hervé Legrand, on pourrait revenir à cette organisation en s’inspirant de la manière dont on choisit les diacres permanents : l’Église locale se demanderait de quel type de pasteurs elle a besoin, les appellerait et leur ferait donner une formation locale en phase avec la culture et les nécessités concrètes, sans les obliger nécessairement au célibat. Les pasteurs, dans cette perspective synodale, naîtraient en quelque sorte du Peuple de Dieu pour l’accompagner dans sa mission, et le sacerdoce ministériel apparaîtrait comme une émanation et un service du sacerdoce des fidèles.

– La perspective de « pluriministérialité » (Henri-Jérôme Gagey, Céline Baraud) cherche à intégrer, pour ne pas dire à noyer, le sacerdoce dans un foisonnement de ministères laïcs issus des charismes du Peuple de Dieu[3]. A l’origine a été un article du P. Joseph Moingt, sj : « L’avenir des ministères dans l’Église catholique »[4], qui parlait de la possibilité de « distribuer à d’autres ministres, et notamment à des laïcs, tout ou partie des fonctions jusqu’ici exercées par des prêtres ».

Le P. Christoph Theobald, sj, qui joue actuellement un rôle très actif dans les commissions préparant l’assemblée du Synode sur la synodalité, avec des théologiens comme Arnaud Join-Lambert (Suisse), Alphonse Borras (Belgique), Gilles Routhier (Québec), imagine l’avenir comme ceci[5] : en Europe de l’Ouest, les prêtres fort rares de demain devront être des « prêtres-passeurs », la plupart du temps itinérants, qui éduqueront les chrétiens à la foi, feront mûrir leur sens des responsabilités, puis s’effaceront ; des ministres laïcs stables prendront le relais sur le terrain, et assureront une « présence d’Église », dans la gouvernance des communautés, dans le service de la Parole (prédication, catéchèse, animation de la liturgie, écoute qui pourrait entre autres doubler ou suppléer le sacrement de pénitence), dans l’hospitalité (accueil, rencontres). Les « prêtres-passeurs » pourront d’ailleurs être repérés et choisis par les communautés parmi ceux qui assureront ces ministères pluriels. Et plutôt qu’une formation spécialisée dans des séminaires, l’ensemble de ces acteurs et même l’ensemble de la communauté pourra bénéficiera d’une formation permanente.

Une laïcisation du personnel ecclésiastique… » (resnovae.fr)

L’autre intérêt qui laisse croire à ce futur pas très lointain est le symposium sur le sacerdoce 2022:

« Accroître les vocations au sacerdoce, améliorer la façon dont les laïcs et les prêtres travaillent ensemble et faire en sorte que le service, et non le pouvoir, motive la demande d’ordination sont autant de résultats possibles d’un grand symposium prévu par le Vatican en février 2022.

«Un symposium théologique ne prétend pas offrir des solutions pratiques à tous les problèmes pastoraux et missionnaires de l’Église, mais il peut nous aider à approfondir les fondements de la mission de l’Église», a déclaré le cardinal québécois Marc Ouellet, préfet de la Congrégation pour les évêques et principal organisateur du symposium prévu du 17 au 19 février 2022.

Le symposium, intitulé Vers une théologie fondamentale du sacerdoce, vise à encourager une compréhension du sacerdoce ministériel enracinée dans le sacerdoce de tous les croyants conféré par le baptême, en s’éloignant de l’idée que le ministère ordonné appartient au «pouvoir ecclésiastique», a déclaré le cardinal lors d’une conférence de presse le 12 avril… »

Mais le véritable rite avant le dévoilement du 7ème sceau, c’est la Pâques.

À l’image de la Pâques juive, le Christ a subi sa Pâques, tout comme l’Église doit la subir comme il a été prophétisé.

À l’image du Christ méconnaissable après les tortures qu’on lui a infligés, parce que ses marques représentaient tout le mal et les péchés qu’il y avait dans ses bourreaux, l’Église actuelle est revêtue de tous les péchés de cette pauvre humanité, et est donc méconnaissable également.

C’est la coquille de la Rome conciliaire comme Jésus dans son humanité visible.

Mais, l’Église par la Tradition, reste pure dans son âme, comme l’âme de Jésus a toujours été pure et connectée au Père, même en subissant les supplices.

Et c’est justement cette âme qui a permis au corps du Christ de ressusciter.

Ainsi il en sera de même pour l’Église.

C’est là le mystère d’Iniquité à l’œuvre.

C’est la prophétie concernant Benoît XVI.

Février risque d’apporter quelques nouvelles clés.

01 janvier

2022 : LE SAINT AUX PIEDS NUS DESCEND DU MONT?

Le seul obstacle qui retient Bergoglio quant à sa tentative de l’élimination de la présence réelle dans une nouvelle messe œcuménique est Benoît XVI.

Cette élimination correspond à l’arrêt du sacrifice et l’oblation du prophète Daniel, à la moitié de la semaine de 7 ans.

Prenant l’hypothèse que cette semaine correspond au 7 années de la fille de Caïn  débutant le 20 août 2018 (voir analyse des prophéties politiques à propos de Greta Thunberg), et se terminant en 2025 juste avant la prophétie du retour du Lys de Don Bosco en 2026.

Le 20 août est la date précédant la fête de Saint-Pie X, qui a un rôle hyper important dans cette fin des temps, en référence à la tradition, les deux témoins, la FSSPX…

Surtout depuis la parution du Motu Proprio Traditionis Custodes, qui continue de faire des vagues (certaines rumeurs affirment que de nouvelles restrictions auront lieu en février).

La moitié de la semaine de Daniel donc serait autour de février 2022.

Est-ce que Benoît XVI est l’image de l’Église vivant sa neuvième heure à l’image du Christ sur la croix?

Car le 11 février 2022 débute la neuvième année depuis la démission de Benoît XVI, le protecteur de la présence réelle.

La journée même de cette démission, rappelons nous, la foudre frappa le dôme de la basilique Saint-Pierre (vidéo).

En 2005, à son élection, nous devions considérer la lutte interne révélée peu après, entre Benoît XVI et son secrétaire d’État, le cardinal Bertone, qui rêvait de lui succéder.

« Deux frères et personne ne sera le vrai Père. La Mère sera veuve. » (prophétie concernant Benoît XVI).

Mais beaucoup plus tard, nous avons la preuve que nous étions en présence de deux prétendant au trône de Saint-Pierre :

François : simple évêque de Rome comme il l’affirme.

« Il n’en demeure pas moins que Bergoglio a toujours manifesté une certaine allergie envers les appareils extérieurs catholiques : il ne s’agenouille jamais devant le Saint-Sacrement, il ne porte pas les armoiries pontificales à la ceinture, il a renoncé au titre de Vicaire du Christ, il refuse le baiser de l’anneau, il ne vit pas au Palais apostolique et ne va pas à Castel Gandolfo l’été: comme s’il voulait nous dire lui-même qu’il n’est pas le pape. »


Et Benoît XVI: comme pape émérite ayant démissionné de sa charge administrative du Vatican, et non comme pape, qui reste saint, comme le saint aux pieds nus dans sa simplicité, dépouillé de tout, dans sa prison au monastère Mater Ecclesiæ sur le mont au Vatican.

En effet, le monastère Mater Ecclesiæ, qui tient son nom de l'expression latine Mater Ecclesiæ qui signifie « Mère de l'Église », est sur un mont au jardin du Vatican.

C’est très significatif en ce qui concerne la fin des temps.

« Alors le saint aux pieds nus descendra du mont et, devant la tombe du va-nu-pieds, éclatera le règne béni de la Très Sainte Vierge. » (fin de la prophétie concernant Benoît XVI)

Au décès de Benoît XVI, devant la tombe de Jean-Paul II, c’est à dire lors des funérailles (4 jours après le décès), nous assisterions à la « résurrection des deux témoins », l’appel à Marie qui renaîtra dans les cœurs.

Le mot utilisé est « éclatera ».

C’est vite. C’est gros.

Quel sera l’acte significatif? Une apparition de la Sainte-Vierge? Le décès foudroyant de Bergoglio célébrant la messe funéraire?

La prophétie suivante, celle concernant Bergoglio, a été influencée dans son analyse par ce qu’en déduisait l’auteur du livre, Pier Carpi (voir son analyse).

Mais une toute autre interprétation est possible, en tenant compte du fait que Benoît XVI est toujours vivant, maintenant, pendant le règne de François.

Avec cette perspective en tête, on réalise que les trois prophéties de Jean XXIII concernant Jean-Paul II, Benoît XVI, et François sont interreliées, et non des événements se produisant à la suite de l’autre comme la suite des papes précédents du livre de Pier Carpi.

« Ton règne sera grand et bref. Père, il sera bref mais il te mènera loin, dans la lointaine terre où tu es né et où tu seras enseveli. » (prophétie concernant François)

Cette prophétie s’adresse évidement à Bergoglio.

Lors de son décès,  « A Rome ils ne voudront pas te donner. ».

Évidement, car il est la figure de proue de l’église conciliaire progressiste.

C’est Rome qui ne veut pas le donner, et non l’Église de la Tradition, qui au contraire, y verra une libération,  la résurrection de la foi via la résurrection des deux témoins!

« Et il y aura un autre Père, avant que tu sois enseveli, pour prier loin pour toi, pour les blessures de la Mère. »

« Avant que tu sois enseveli » ne veut pas nécessairement dire qu’il est mort.

C’est un ordre de temps : AVANT

La conclusion évidente est qu’un autre pape serait immédiatement élu après le décès de Bergoglio, anticipant même une consécration immédiate du cardinal Pietro Parolin, sans conclave, face à la situation exceptionnelle qui arrivera (i.e. la terre frisera le massacre).

Mais Parolin ne serait pas Père. Il dirigerait l’église, en tant que secrétaire d’État (pas de conclave suite au décès inattendu de Bergoglio dans un situation critique: Pandémie? Confinements? Guerre? Invasion russe de Rome?) dans sa dernière tribulation qui mène à la destruction physique de Rome, comme Jérusalem a été détruite en 70.

C’est le Petrus Romanus de la fin de la prophétie de St-Malachie.

MAIS, cela pourrait aussi être Benoît XVI qui vit au monastère Mater Ecclesiæ, qui effectivement, connaissant la situation critique dont nous avons discuté plus haut, ne fait que prier et être le chien de garde de l’Église, le katéchon.

Alors « Mikail et Jean descendront sur terre. »

C’est la fin du sixième sceau et de la sixième trompette.

C’est le prologue à la prochaine prophétie, le septième sceau.

« Le grand frère d'Orient fera trembler le monde par la croix renversée sans les lis. »

On pense toujours à un membre du clergé (les cardinaux sont frères dans les prophéties concernant l’Église), ou d’un dirigeant religieux musulman.

Mais, « frère d’Orient » et « judéo-maçonnerie » sont des termes très liés, et surtout à la solde de Satan, à la croix renversée sans les lis.

Dans cette fin des temps, c’est bien la franc-maçonnerie qui jubile en faisant trembler le monde par sa grande réinitialisation, les rumeurs de guerres, et surtout la pandémie!

La croix renversée avec les lis, c’est Saint-Pierre.

Sans les lis, c’est Lucifer devenu Satan.

Lucifer, c’est selon plusieurs interprétations occultes, celui qui préside à l’Orient, associé à la planète vénus, au pentagramme.

Alors que le vrai Fils d’Orient est le Christ.

Veni, veni, o Oriens
Viens, viens ô Orient
Réconforte nous par ton avènement ;
Repousse les brouillards de la nuit
Et les ténèbres sinistres de la mort. (Veni, veni Emmanuel – hymne de l’Avent.)

« Le nouveau Père ira vers lui mais laissera la Mère orpheline. »

Non pas le nouveau père qui prie pour les blessures de la Mère, blessée à mort par le progressisme œcuménique post Vatican II, mais le nouveau père élu, qui a fait mourir les espoirs placés en lui le soir du 13 mars 2013, en plongeant finalement l’église dans le marxisme socialiste, l’outil cher à la judéo-maçonnerie.

Bergoglio a bel et bien laissé la mère, l’Église de la Tradition, isolée, orpheline.

Rome est très fière de sa nouvelle approche synodiale, pour et par le peuple, pour « vivre » la nouvelle église des pauvres, église politisée, église socialiste marxiste, vendue à la judéo-maçonnerie par son Judas.

Trop tard nous avons été témoins de ses actions, et sa renonciation au titre de vicaire du Christ a confirmé le tout : Rome est devenu le siège de l’Antéchrist!

Lorsque le 7ème sceau est ouvert à la prophétie suivante, c’est la précipitation dans le feu purificateur.

« La longue paix fera oublier les erreurs passées. Elle fera oublier le grand frère crucifié renversé… »

La longue paix après 1945 et surtout la période post-Vatican II en ce qui concerne l’Église, a fait oublié le grand frère crucifié renversé, c’est à dire Saint-Pierre.

C’est le signe de l’apostasie généralisée.

« Où croyez-vous fuir, maintenant que vous avez détruit les Églises et tué le dernier Père ? » confirme la prophétie.

Non pas Bergoglio. Non pas un autre pape (comme nous anticipions le cardinal Pietro Parolin).

Mais Benoît XVI. Qui est assassiné à petit feu.

C’est là le mystère d’iniquité qui se révèle petit à petit, une branche saine et l’autre pourrissant, avec chacun son représentant à sa tête.

Louise de Jésus : « au septième sceau, l’Archange saint Michel tuera de son souffle l’Antéchrist, « qui tombera mort au milieu de ses partisans. Et alors les grands châtiments commenceront à pleuvoir sur la terre, la famine, la peste, une terrible guerre sur mer et sur terre, puis un embrasement qui sera l’œuvre de la secte impie et incendiaire. »

Au septième sceau, c'est la mort du système Antéchrist et de ses deux bêtes, celle de la mer, et de la terre.

Il est intéressant de constater (voir analyse générale; Jean-Paul I ne comptant pas) maintenant qu’il y a bien eu trois pape depuis la mort de Jean XXIII, le dernier, Bergoglio, ayant renoncé à tout ce qui le qualifiait de pape, et qu’il est le faux prophète, l'antéchrist personnifié des tribulations.

Constatons aussi que (selon les devises de la prophétie de St-Malachie) nous sommes en présence des deux papes la « labeur du soleil » et la « gloire de l’olive ».

Nous savons donc que le soleil aura une part importante à jouer dans la chute technologique de Babylone (le miracle du soleil à Fatima en 1917) et que les « deux témoins » sont les « deux oliviers » qui ressusciteront.

La clé, le moment critique où tout bascule, est le décès de Benoît XVI.

Un événement spectaculaire aurait lieu à ses funérailles, devant la tombe de Jean-Paul II, située à la chapelle Saint-Sébastien, à l’entrée de la basilique Saint-Pierre.

Ce n’est donc qu’une question de temps, d’un très court temps...

Décembre 2021

28 décembre

LE SAINT AUX PIEDS NUS

« Alors le saint aux pieds nus descendra du mont et, devant la tombe du va-nu-pieds, éclatera le règne béni de la Très Sainte Vierge.
Écoutez ses paroles. »

Dans l’analyse de la prophétie de Jean XXIII concernant Jean-Paul II, nous avions identifié le personnage du dalaï lama comme le probable « saint aux pieds nus » de la prophétie.

Les années de pontificat Benoît XVI/François, nous donnent matière à réfléchir quant à l’identification du « saint ».

Bergoglio est l’Antéchrist sur le trône prophétisé à La Salette, celui qui correspond au fils de la perdition de Saint-Paul :

« Que personne ne vous égare d'aucune manière ; car auparavant viendra l'apostasie, et se manifestera l'homme de péché, le fils de la perdition,l'adversaire qui s'élève contre tout ce qui est appelé Dieu ou honoré d'un culte, jusqu'à s'asseoir dans le sanctuaire de Dieu, et à se présenter comme s'il était Dieu. » (Thes. 2, 3-4)

Bergoglio est celui qui s’élève contre la tradition, nous en avons eu les preuves évidentes et certaines en 2021.

Il s’est déifié au point de se prendre pour Dieu afin de résoudre tous les problèmes de la planète: problèmes économiques, migration, pauvreté, réchauffement climatique, etc.

Benoît XVI, c’est celui-ci :

« Et maintenant vous savez ce qui le retient, pour qu'il se manifeste en son temps. Car le mystère d'iniquité s'opère déjà, mais seulement jusqu'à ce que celui qui le retient encore paraisse au grand jour. » (Thes. 2, 6-7)

Les actes posés par chacun de ces derniers nous confirment que nous sommes en présence du katéchon (Benoît XVI) et du destructeur de l’église (Bergoglio).

La prophétie de mai 2026 de Don Bosco pour le retour du Lys comme échéance nous confirme aussi qu’il reste peu de temps avant le Jugement.

Pieds nus, va-nu-pieds… Deux termes qui portent à confusion et qui suggèrent le voyage, les pèlerinages, etc.

Alors que, cela signifie aussi simplicité, oubli de soi pour l’amour des autres, sacrifice, celui qui n’a rien...

Comme Saint-Benoît qui a renoncé à tout.

La sainteté dans l’église catholique exprime l'état de communion avec Dieu, dans l'Église, par le baptême.

Alors, le dalaï lama peut-il être saint?

Évidement que non selon cette définition.

Il ne répond pas à cette condition car le seul chemin menant au Père, c’est le Christ.

De manière concise, la « sainteté » s'exprime comme le désir et la vocation de tout homme à rejoindre le Christ dans un état de  communion. Il s'agit, selon l'Évangile, d'une action impossible à l'être humain mais pas à Dieu et qui se fait par la collaboration de l'être humain à l'action divine dans le monde. Le « saint » est donc toute personne qui parvient à cette proximité.

Les saints au sens strict sont ceux qui, comme « le bon larron » à qui le Christ dit : « Aujourd'hui, tu seras avec moi au Paradis », ont atteint la béatitude éternelle, contemplent Dieu au Ciel et intercèdent pour les êtres humains ici-bas.

Benoît XVI est le bon larron.

Après avoir suivi Jean-Paul II dans le mensonge avec la révélation du troisième secret de Fatima en 2000, et lorgné du côté de la mondialisation au tout début de son mandat, il a vite réalisé la corruption intérieure de l’Église et a préféré démissionné de sa charge administrataive pour la protéger.

Il est devenu le bon larron, le katéchon.

Il est fort probablement le saint aux pieds nus.

Un petit rappel qui révèle la sainteté, et sa condition de « pieds nus ».

Le Cardinal Joseph Ratzinger est né à Marktl am Inn, dans le diocèse de Passau (Allemagne), le 16 avril 1927, soit un samedi saint.

Le 25 novembre 1981, quatre ans et demi après leur première rencontre, Jean-Paul II nomme le cardinal Ratzinger préfet de la congrégation pour la doctrine de la foi.

Il devient le conseiller et ami fidèle de Jean-Paul II qui le veut à ses côtés jusqu’à la fin. Un simple et humble ouvrier dans la vigne du Seigneur.

« Donner un nom sacré aux choses sacrées, donner un nom profane aux choses profanes. Dans ta maison tu recevras un saint aux pieds nus » (prophétie concernant Jean-Paul II).

Benoît en latin, Benedictus , veut dire béni de Dieu.

Saint-Benoît est le « Patron de l’Europe ».

Sa parole de Vie : « Ne rien préférer à l’amour du Christ ».

Le cardinal Ratzinger avait l’habitude de dire qu’en tant que préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi, sa tâche était de défendre la foi des simples contre les doctrines ambiguës et erronées de ceux que l’on appelle les sages de ce monde.

Il a toujours insisté pour avoir le droit de publier ses livres malgré que plusieurs voulaient et veulent le faire taire.

Et on pourrait ajouter aujourd’hui, qu’il nous défend contre les errances de Bergoglio, ce qu’il fait à merveille via les préfaces qu’ils signent dans les nombreux livres à des moments opportuns (rappelez vous le livre du cardinal Sarah après le synode amazonien, qui a forcé Bergoglio à reculer).

Le cardinal Ratzinger EST le gardien de la foi encore aujourd’hui.

Ce qui est impossible pour le préfet actuel sous la garde de Bergoglio, qui a les mains liées.

«Coopérateur de la vérité», comme le spécifiait sa devise épiscopale.

« Il y a ensuite une autre clef qui permet une lecture complémentaire de la personnalité du Saint-Père et qui ne peut être négligée: le nom qu’il s’est choisi, Benoît. Qui, en effet, plus que saint Benoît de Norcia incarne cette synthèse entre contemplation et action, laquelle a donné une juste réponse à la grande crise du passage entre l’Empire romain et ce qui allait devenir l’Europe?

Aujourd’hui, nous sommes dans une autre longue période de transition historique. Celle-ci a culminé de façon tragique en Europe, au XXe siècle, et se dirige vers une fin encore mal définie, qui ne sera certainement pas eurocentrique mais bien plutôt globale. » cardinal Tarcisio Bertone (benoit-et-moi.fr)

« En la personne de Benoît XVI c’est un chef d’Église aux principes clairs et à la volonté forte qui est monté sur la scène de la politique mondiale. Le nom de pape qu’il s’était choisi, Benoît, indique qu’il portait sur son temps un diagnostic pessimiste, comparant la situation actuelle et la décadence qui caractérisait la romanité tardive à l’époque de saint Benoît. Déjà, dans l’homélie qu’il avait prononcée à la veille de son élection, le 18 avril 2005, il avait pris clairement position à ce sujet. » (chiesa.espresso.republica.it)

Cette partie du sermon avant le conclave de 2005 :

« Combien de vents de la doctrine avons-nous connus au cours des dernières décennies, combien de courants idéologiques, combien de modes de la pensée... La petite barque de la pensée de nombreux chrétiens a été souvent ballottée par ces vagues - jetée  d'un  extrême  à  l'autre:  du marxisme au libéralisme, jusqu'au libertinisme; du collectivisme à l'individualisme radical; de l’athéisme à un vague mysticisme religieux; de l'agnosticisme au syncrétisme et ainsi de suite. Chaque jour naissent de nouvelles sectes et se réalise ce que dit saint Paul à propos de l'imposture des hommes, de l'astuce qui tend à les induire en erreur (cf. Ep 4, 14). Posséder une foi claire, selon le Credo de l’Église, est souvent défini comme du fondamentalisme. Tandis que le relativisme, c'est-à-dire se laisser entraîner "à tout vent de la doctrine", apparaît comme l'unique attitude à la hauteur de l'époque actuelle. L'on est en train de mettre sur pied une dictature du relativisme qui ne reconnaît rien comme définitif et qui donne comme mesure ultime uniquement son propre ego et ses désirs.

Nous possédons, en revanche, une autre mesure:  le Fils de Dieu, l'homme véritable. C'est lui la mesure du véritable humanisme. Une foi "adulte" ne suit pas les courants de la mode et des dernières nouveautés; une foi adulte et mûre est une foi profondément enracinée dans l'amitié avec le Christ. C'est cette amitié qui nous ouvre à tout ce qui est bon et qui nous donne le critère permettant de discerner entre le vrai et le faux, entre imposture et vérité. Cette foi adulte doit mûrir en nous, c'est vers cette foi que nous devons guider le troupeau du Christ. Et c'est cette foi, - cette foi seule - qui crée l'unité et qui se réalise dans la charité. Saint Paul nous offre à ce propos - en contraste avec les tribulations incessantes de ceux qui sont comme des enfants ballottés par les flots - une belle parole:  faire la vérité dans la charité, comme formule fondamentale de l'existence chrétienne. Dans le Christ, vérité et charité se retrouvent. Dans la mesure où nous nous rapprochons du Christ, la vérité et la charité se confondent aussi dans notre vie. La charité sans vérité serait aveugle; la vérité sans charité serait comme "cymbale qui retentit" (1 Co 13, 1). » (vatican.va)

Benoît XVI, plus que quiconque au Vatican, comprenait l’enjeu pour l’Église, à la fin des temps.

« Le saint parlera aussi pour toi dans chaque contrée et du monde des blanches fleurs t'envelopperont.»

Le cardinal Ratzinger a parlé en tant que préfet, et par ses livres en tant que cardinal.

Il a donc marché main dans la main pendant presque tout le pontificat de Jean-Paul II.

« Et tu te feras va-nu-pieds, et tu marcheras avec le saint va-nu-pieds.» (prophétie concernant Jean-Paul II)

Durant 23 ans, il rencontra Jean-Paul II chaque vendredi soir pour faire le point sur le travail de la congrégation pour la doctrine de la foi.

Ils se voyaient aussi au déjeuner du mardi, et parfois avant, pour discuter, souvent avec d'autres, des questions théologiques relatives aux documents et interventions que prépare le pape (encycliques, audience du mercredi, discours…).

L'encyclique Veritatis Splendor, que Joseph Ratzinger considère comme le texte théologiquement le plus élaboré du pontificat de Jean Paul II, doit beaucoup à leur collaboration.

À suivre...

21 décembre

Il y a guerre dans l'Église.

C'est le temps des décisions.

Satan séduit par mensonge, et le faux prophète, Antéchrist sur le trône, n'en manque pas une pour leurrer les âmes comme nous l'avons vu dans le dernier article.

Mais...

« on ne doit pas obéir à un ordre injuste et mauvais car l’obéissance cesserait d’être une vertu pour se transformer en servilité. »

« Avec la grâce de Dieu et l’aide puissante de la prière, cette loi injuste doit être combattue. C’est ce qu’affirme l’ abbé Claude Barthe après la réponse de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements concernant les dubia sur certaines dispositions de la lettre apostolique Traditionis custodes .


Selon l’abbé Barthe, liturgiste, professeur à l’ Institut du Christ-Roi Souverain Prêtre, la résistance doit être mise en œuvre partout, « tant dans les séminaires que dans le champ de l’apostolat ».

« Je reste convaincu – poursuit-il – qu’avec Traditionis custodes, les Romains intransigeants ont déclenché une guerre qu’ils ne peuvent que perdre. Mais une guerre qui peut causer de gros dégâts, il ne faut pas le cacher. Nous devons donc prier intensément pour soutenir ceux qui auront à prendre des décisions ».

L’abbé Barthe, qui est aussi aumônier du pèlerinage Summorum pontificum , ne cache pas les risques pour tous ceux qui décident de résister : évêques, supérieurs, prêtres, séminaristes. Suspension a divinis possible, et suppression pour les communautés. « En tout cas, le rapport de force est aujourd’hui bien plus favorable au monde traditionnel qu’il n’y paraît ».

« Les abus spirituels continuent » titre Crisismagazine.com en précisant, dans une note d’Eric Sammons, que « le pape François poursuit sa guerre contre la célébration traditionnelle des sacrements ».

Concernant les dispositions établies par les dirigeants du Vatican, Sammons est explicite : « Il n’y a qu’une seule façon de le dire : ce sont de mauvais ordres. Il peut être diplomatique d’essayer d’adoucir le commentaire, mais en temps de guerre, la diplomatie est mise à l’écart. Et ne vous méprenez pas : c’est une guerre car le pape lui-même l’a déclarée à tout catholique fidèle aux formes antiques de la liturgie romaine ». De plus, « ce sont des ordres méchants et vindicatifs. Elles ressemblent à une purge soviétique des dissidents menée en 1988. Les murs s’effondrent autour de l’Église, mais, au lieu d’essayer de les réparer, le pape et le Vatican abattent le seul mur solide « et » le fait que ces directives soient promulguée une semaine avant Noël ne fait qu’amplifier leur méchanceté ».

« Il y a quelques années – écrit Sammons – un ami a dit qu’il croyait que le pape François était un père spirituellement violent. Je frissonnai instinctivement. Pour mon sens catholique inné, un tel langage était inapproprié pour le Saint-Père. Mais maintenant, je ne vois pas comment les actions du pape concernant l’ancien rite peuvent être considérées comme autre chose que des abus. »

« Un père violent est un maître de la manipulation. Fait croire que le problème, ce sont les enfants. Cela déforme la réalité afin qu’ils pensent qu’ils méritent l’abus et, s’ils osent le défier, les présente comme des membres de la famille sans amour et qui divisent. Ses enfants vivent dans un état constant d’insécurité et de confusion, et c’est ainsi que le pape actuel traite ses enfants fidèles au rite antique. S’ils trouvent que leur vie spirituelle s’enrichit en assistant à la Messa vetus ordo , il suggère qu’ils ont des tendances schismatiques. Si pour eux la messe paroissiale novus ordoce n’est pas satisfaisant, il les accuse de rejeter Vatican II. Et quand ils se plaignent de son traitement injuste à leur égard, il dit que tout montre qu’ils ont besoin de nouvelles corrections. C’est un abus spirituel, pur et simple ».

« J’espère et prie – conclut Sammons – que les évêques du monde entier ignoreront tout simplement ces dernières directives. Ce ne serait pas la première fois que les commandements du Vatican seraient ignorés. Le canon 87 précise que « l’évêque diocésain, chaque fois qu’il juge contribuer à leur bien spirituel, peut dispenser les fidèles des lois disciplinaires universelles et particulières édictées pour son territoire ou pour ses sujets par l’autorité suprême de l’Église ». De toute évidence, se dispenser de ces directives est pour le bien spirituel de beaucoup. Si un évêque diocésain veut éviter d’être lui-même un père abusif, il doit ignorer ces commandements et s’occuper des besoins spirituels de ses enfants ».

« Il suffit de connaître ne serait-ce que l’ABC de la théologie morale – dit Don Andrea Mancinella, un ermite du diocèse d’Albano – pour savoir qu’un ordre injuste et mauvais ne doit pas être obéi, car l’obéissance cesserait immédiatement d’être une vertu pour se transformer en servilité, qui est au contraire un péché ».

« Alors ne paniquez pas, vous devez simplement suivre la doctrine catholique. Pour le reste, Dieu lui-même pourvoira : nous chassent-ils des paroisses et des églises ? Et puis on va faire la fête dans les maisons des bons fidèles catholiques, ou dans les garages, ou à l’extérieur. Point ». » (aldomariavalli.it - traduction)

« L’étrange synodalité de Bergoglio, qui n’écoute que le fidèle « vetus ordo »

L’Église synodale, qui a fait exploser la révolution de la tendresse, a donné un autre exemple clair de la direction que prennent sa synodalité et sa tendresse, avec la réponse à certaines dubia envoyées par les évêques à la Congrégation pour le culte divin sur l’application des Traditiones Custodes . Bien sûr, les réponses de ces dubia (à laquelle il a été répondu rapidement, pas comme d’autres qui attendent toujours), visent toutes à étouffer davantage la liturgie traditionnelle dans l’Église catholique.

La synodalité, nous explique le Pape François, exige que l’Église écoute tout le monde, et insiste sur « tout le monde », sans aucune exception. Mais les faits, plus éloquents que les mots, nous disent qu’il existe un groupe qu’il ne faut jamais écouter et qu’il faut plutôt massacrer : celui des catholiques traditionalistes, obstacle qu’il faut éliminer au plus vite.

Il y a des détails dans le document qui suscitent l’incrédulité. Il est écrit, par exemple : « De plus, cette célébration [nous nous référons à la messe traditionnelle] n’est pas appropriée pour être incluse dans l’horaire des messes paroissiales, car elle n’est fréquentée que par les fidèles adhérant au groupe. Enfin, il faut éviter qu’il y ait concomitance avec les activités pastorales de la communauté paroissiale ». Une discrimination documentée, de peur que les fidèles « normaux » ne soient infectés par le virus traditionaliste. Les fidèles du groupe traditionaliste doivent rester isolés et protégés, évitant tout contact avec des personnes normales. Et il ne faut pas oublier qu’il y a cinq jours, le Vatican s’est excusé pour avoir fait du mal à la communauté LGBT en supprimant de sa page officielle un lien vers un site d’un groupe qui défend les droits des homosexuels, car les pauvres s’étaient sentis discriminés. Je me demande si les cardinaux de la Curie ou le pape François sont capables de percevoir la douleur qu’ils causent aux fidèles catholiques qui préfèrent la liturgie traditionnelle et qui se sentent aussi discriminés par des dispositions comme celles-ci. Nous ne nous attendons pas à des excuses publiques comme cela s’est produit pour la communauté LGBT ; on s’attend encore moins à ce que la référence aux liens de sites traditionalistes soit incluse dans le site officiel du Vatican. Nous nous contentons de ne pas être persécutés et de pouvoir exister.

...

Comme l’a souligné le Père Claude Barthe, le problème le plus grave et le plus complexe se posera dans les séminaires des communautés religieuses Ecclesia Dei, puisque le document interdit explicitement l’utilisation du Pontificale Romanum avant la réforme liturgique. En d’autres termes, il interdit l’attribution des sacrements de confirmation et d’ordination sacerdotale selon le rite traditionnel. Et les nombreux séminaristes qui peuplent ces séminaires sont là précisément parce qu’ils veulent être ordonnés avec ce rite, et plus tard veulent pouvoir le célébrer. Interdire le traditionnel Pontificale Romanum c’est un coup porté au cœur de ces communautés (on dit que d’autres coups viendront en février). Face à cela, le Père Barthe insiste sur le fait que le devoir est de résister à une loi injuste. Et je suis d’accord. Ce seront les dirigeants de ces instituts, conseillés par des experts, qui initieront la résistance de la manière qu’ils jugeront la plus efficace.

Enfin, quelques réflexions.

...

Le mouvement traditionaliste est trop grand pour être dispersé à force de documents et les évêques ont eu de nombreuses années à leur disposition pour voir les fruits de la liturgie traditionnelle dans leurs fidèles.

Ce document ne fait qu’attiser le feu. La pax liturgica que le pape Benoît avait obtenue a été brisée, et ce sera la guerre. Mais comme la guerre cause des dégâts, dans bien des cas graves, aucun évêque catholique ne voudra de guerres sanglantes dans son diocèse. Nous devrons endurer l’averse et espérer que Bergoglio mourra le plus tôt possible. J’espère que son successeur, quel qu’il soit, reviendra à la pax benedictina , sinon par conviction, du moins pour ne pas voir son pontificat ensanglanté.

Il y a quelques jours, l’annonce sensationnelle du cardinal Burke de son retour à la vie publique avec une série de cérémonies pontificales et traditionnelles a attiré mon attention. Ce n’était pas le bon moment, pourtant il a eu le courage de parler et d’agir selon sa conscience. Ce n’est plus le même homme qui a vu la mort en face et était sur le point de traverser Léthé (je suppose que je n’ai pas eu une telle expérience ; bien que j’en connaisse plusieurs qui l’ont vécu mais qui sont restés aussi mauvais et pécheurs que avant de). Mais peut-être que le cardinal aura le courage de résister et, par exemple, pourrait célébrer une ordination sacerdotale à la suite du pontifical traditionnel. Qu’est-ce qui pourrait arriver? Il pourrait être suspendu a divinis, mais Bergoglio, le roi de la miséricorde, oserait-il le faire ? Le même pape qui a accordé aux prêtres de la FSSPX de célébrer les sacrements de mariage et de pénitence selon le rite traditionnel suspendrait-il un cardinal de la Sainte Église romaine pour un acte similaire ? Que se passerait-il si une telle chose arrivait ? Il créerait un nouveau Lefebvre, et cela ne convient à personne, encore moins à lui. » (caminante-wanderer.blogspot.com)


19 décembre

Ce qui était une rumeur la semaine dernière ne l’est plus.

Voilà. C’est fait.

Bergoglio interdit les sacrements et l’ordination dans les paroisses établies par l’évêque avec le rite traditionnel comme prévu.

C'est un préambule faisant parti de sa feuille de route pour éliminer la présence réelle.

Sa destruction de l'Église continue.

« Le Saint-Siège répond aux questions des évêques sur la célébration de la messe en latin…

Les sacrements dans le rite ancien

Le deuxième «dubium» concerne la possibilité de célébrer non seulement l’Eucharistie (avec le Missale Romanum de 1962, objet de la concession) mais aussi les autres sacrements prévus par le Rituale Romanum (la dernière editio typica date de 1952) et le Pontificale Romanum précédents à la réforme liturgique. Rappelons tout d’abord que le Rituale Romanum couvre les sacrements du baptême, de la pénitence, du mariage, de l’onction des malades et des sacramentaux tels que les rites funéraires. Le Pontificale Romanum, quant à lui, concerne les sacrements présidés par l’évêque, c’est-à-dire la confirmation et les ordinations. La réponse est négative : l’autorité du Saint-Siège estime en effet que pour progresser dans la direction indiquée par François, la possibilité d’utiliser des livres liturgiques abrogés ne peut être accordée, mais qu’il faut accompagner les fidèles «vers une pleine compréhension de la valeur de la forme rituelle» issue de la réforme liturgique. Toutefois, il existe des distinctions importantes. Le «responsum» précise qu’il ne sera possible d’utiliser l’ancien rite que dans les «paroisses personnelles érigées canoniquement», c’est-à-dire exclusivement dans les paroisses déjà établies par l’évêque et dédiées aux fidèles liés à l’ancien rite. Toutefois, dans ces mêmes paroisses, il ne sera pas permis d’utiliser le Pontificale pour les confirmations et les ordinations. La raison de cette interdiction, en ce qui concerne la confirmation, s’explique par le fait que la formule même du sacrement de la confirmation a été modifiée par saint Paul VI et qu’il n’est donc pas jugé opportun d’utiliser une formule abolie, étant donné les changements substantiels apportés… » (vaticannews.va)

C’est une déclaration de guerre à ses fidèles.

Nous arrivons tranquillement à l’ouverture du 7ème sceau.

« Il y aura la guerre dans la Mère, et les troupeaux se disperseront. »

Tel est la constatation de Jean XXIII dans la prophétie de l’Église #11.

« Les cris et les barrières de la contestation se lèvent, mais déjà la Bête sort de l'eau.» (prophétie politique #32 « Le Temps est Proche »)

« Avec la grâce de Dieu et l'aide puissante de la prière, cette loi injuste doit être combattue. C'est ce qu'affirme l' abbé Claude Barthe après la réponse de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements concernant les dubia sur certaines dispositions de la lettre apostolique Traditionis custodes .

Selon l'abbé Barthe, liturgiste, professeur à l' Institut du Christ-Roi Souverain Prêtre, la résistance doit être mise en œuvre partout, « tant dans les séminaires que dans le champ de l'apostolat ».

« Je reste convaincu - poursuit-il - qu'avec Traditionis custodes, les Romains intransigeants ont déclenché une guerre qu'ils ne peuvent que perdre. Mais une guerre qui peut causer de gros dégâts, il ne faut pas le cacher. Nous devons donc prier intensément pour soutenir ceux qui auront à prendre des décisions ».

L'abbé Barthe, qui est aussi aumônier du pèlerinage Summorum pontificum , ne cache pas les risques pour tous ceux qui décident de résister : évêques, supérieurs, prêtres, séminaristes. Suspension a divinis possible, et suppression pour les communautés. "En tout cas, le rapport de force est aujourd'hui bien plus favorable au monde traditionnel qu'il n'y paraît".

"Les abus spirituels continuent" titre Crisismagazine.com en  précisant, dans une note d'Eric Sammons, que "le pape François poursuit sa guerre contre la célébration traditionnelle des sacrements".

Concernant les dispositions établies par les dirigeants du Vatican, Sammons est explicite : « Il n'y a qu'une seule façon de le dire : ce sont de mauvais ordres. Il peut être diplomatique d'essayer d'adoucir le commentaire, mais en temps de guerre, la diplomatie est mise à l'écart. Et ne vous méprenez pas : c'est une guerre car le pape lui-même l'a déclarée à tout catholique fidèle aux formes antiques de la liturgie romaine ». De plus, « ce sont des ordres méchants et vindicatifs. Elles ressemblent à une purge soviétique des dissidents menée en 1988. Les murs s'effondrent autour de l'Église, mais, au lieu d'essayer de les réparer, le pape et le Vatican abattent le seul mur solide « et » le fait que ces directives soient promulguée une semaine avant Noël ne fait qu'amplifier leur méchanceté ».

« Il y a quelques années - écrit Sammons - un ami a dit qu'il croyait que le pape François était un père spirituellement violent. Je frissonnai instinctivement. Pour mon sens catholique inné, un tel langage était inapproprié pour le Saint-Père. Mais maintenant, je ne vois pas comment les actions du pape concernant l'ancien rite peuvent être considérées comme autre chose que des abus. »

« Un père violent est un maître de la manipulation. Fait croire que le problème, ce sont les enfants. Cela déforme la réalité afin qu'ils pensent qu'ils méritent l'abus et, s'ils osent le défier, les présente comme des membres de la famille sans amour et qui divisent. Ses enfants vivent dans un état constant d'insécurité et de confusion, et c'est ainsi que le pape actuel traite ses enfants fidèles au rite antique. S'ils trouvent que leur vie spirituelle s'enrichit en assistant à la Messa vetus ordo , il suggère qu'ils ont des tendances schismatiques. Si pour eux la messe paroissiale novus ordoce n'est pas satisfaisant, il les accuse de rejeter Vatican II. Et quand ils se plaignent de son traitement injuste à leur égard, il dit que tout montre qu'ils ont besoin de nouvelles corrections. C'est un abus spirituel, pur et simple".

« J'espère et prie - conclut Sammons - que les évêques du monde entier ignoreront tout simplement ces dernières directives. Ce ne serait pas la première fois que les commandements du Vatican seraient ignorés. Le canon 87 précise que « l'évêque diocésain, chaque fois qu'il juge contribuer à leur bien spirituel, peut dispenser les fidèles des lois disciplinaires universelles et particulières édictées pour son territoire ou pour ses sujets par l'autorité suprême de l'Église ». De toute évidence, se dispenser de ces directives est pour le bien spirituel de beaucoup. Si un évêque diocésain veut éviter d'être lui-même un père abusif, il doit ignorer ces commandements et s'occuper des besoins spirituels de ses enfants ».

"Il suffit de connaître ne serait-ce que l'ABC de la théologie morale - dit Don Andrea Mancinella, un ermite du diocèse d'Albano - pour savoir qu'un ordre injuste et mauvais ne doit pas être obéi, car l'obéissance cesserait immédiatement d'être une vertu pour se transformer en servilité, qui est au contraire un péché".

« Alors ne paniquez pas, vous devez simplement suivre la doctrine catholique. Pour le reste, Dieu lui-même pourvoira : nous chassent-ils des paroisses et des églises ? Et puis on va faire la fête dans les maisons des bons fidèles catholiques, ou dans les garages, ou à l'extérieur. Point". » (adomariavalli.it)

Mgr Vigano dans son message de Noël après avoir encore une fois cette semaine, avec l’aide du cardinal Müller cette fois, mis en garde contre le nouveau système satanique :

« Viens, Emmanuel, lâche Israël captif. Viens, Emmanuel : libère ton peuple captif. Libère-le aussi aujourd'hui, comme tu l'as libéré avec ta très sainte naissance et avec ta passion et ta mort. Libérez la Sainte Église en révélant les faux bergers et mercenaires, comme vous avez révélé l'envie des Grands Prêtres et leurs silences sur les Prophéties messianiques, cachées aux simples. Libère les nations des mauvais dirigeants, de la corruption, de l'esclavage du pouvoir et de l'argent, de l'esclavage du Prince de ce monde, du mensonge de la fausse liberté, de la tromperie du faux progrès, de la rébellion à Ta sainte Loi. Libère chacun de nous de ses misères, du péché, de l'orgueil, de la présomption de pouvoir se sauver sans Toi. Délivre-nous de la maladie qui afflige notre âme, de la peste des vices qui infectent notre vie, de l'illusion de pouvoir vaincre la mort, qui est la récompense de notre rébellion. Parce que Toi seul, ô Seigneur, es le vrai Libérateur ; ce n'est qu'en Toi qui es la Vérité que nous serons libres, nous verrons tomber les chaînes qui nous lient au monde, à la chair et au diable.

Veni, ou Oriens. Viens, Orient : chasse les ombres de la nuit et dissipe les ténèbres de la nuit. Allez, Clavis Davidica . Viens, clef de David, ouvre tout grand la patrie céleste ; faire le chemin vers le ciel en toute sécurité et fermer la porte de l'enfer. Viens, Adonaï . Viens, ô Puissance, tu as donné la loi d'en haut à ton peuple sur le Sinaï, dans la majesté de la gloire. Viens, Rex gentium. Viens, Roi des peuples, régner sur nous, Prince de la Paix, Ange du Grand Conseil. Venez descendre dans le temps et dans l'histoire, secouez cette tour infernale de Babel que nous avons bâtie en Vous défiant en Votre Majesté.

Viens, Seigneur. Car dans ces deux années de folie pandémique nous avons compris que l'Enfer ne consiste pas tant dans la souffrance du corps, mais dans le désespoir de Te connaître au loin, dans Ton silence, à nous laisser sombrer dans l'horreur sourde de Ton absence .
Et bénie soit votre Très Sainte Mère et notre Mère, que vous nous avez laissée à côté de nous en ces jours terribles comme notre Avocate, car dans la vision de cet enfer sur terre, nous pouvons trouver la médecine spirituelle à travers laquelle vous accueillir dans notre âme, dans nos familles, dans nos nations, te rendant cette couronne que nous t'avons usurpée.

Bénis, ô Enfant Roi, ceux qui se laisseront conquérir par Ton amour, pour lequel tu n'as pas hésité à t'incarner et à mourir pour nous. Que l'émerveillement reconnaissant de ceux qui sont morts en Adam, le nouvel Adam renaît en Toi, réponde à cet Amour divin; de ceux qui, étant tombés avec Eve, en Maria la nouvelle Eve peut ressusciter.

Et qu'il en soit ainsi.

+ Carlo Maria Viganò, archevêque

Samedi des Quatre Saisons de l'Avent

18 décembre 2021 »

VENI, VENI EMMANUEL (chant et musique)

18 décembre

L’année 2021 se termine dans un atmosphère de tensions constantes au niveau géopolitique : guerres Russie/États-Unis et alliés en Ukraine, Israël/Iran, Chine/Taïwan et alliés, la question de la Biélorussie, …

Ce sont les rumeurs de guerres de la fin des temps.

Rumeurs de guerres qui confirment que la prophétie politique #22 « Grand Éclair à l’Orient » est plus que jamais à nos portes.

La France, le pays, est peut-être l’esprit trouble, inconnue de tous, qui a ourdi le crime contre elle-même.

En effet, dans cette ultime étape de la grande réinitialisation que nous allons franchir en 2022, l’élite (refusez les assassins que présenteront) grâce à ses pions politiques en place (refusez ceux qui seront présentés) imposera sa volonté aux peuples.

En Europe, le fils spirituel des Rothschild, le président Macron, sera élevé mystiquement au rang de roi (la France prend les rennes de l’Union Ruropéenne le 1 janvier 2022), et aura pour mandat d’entamer la dernière ligne droite afin de soumettre la Fille Aînée de l’Église, et allumer le feu géopolitique.

« S’il fallait résumer en une phrase l’objectif de cette présidence, je dirais que nous devons passer d’une Europe de coopération à l’intérieur de nos frontières à une Europe puissante dans le monde, pleinement souveraine, libre de ses choix et maître de son destin » (Emmanuel Macron, 9 décembre 2021)

Le roi jupitérien sera probablement assermenté suivant l’élection du 24 avril prochain, le 1er mai, lors de la grande fusion de vénus et de jupiter, vénus représentant Lucifer, et jupiter, celui qui sacre les rois selon les traditions occultes.

Un affront à Marie encore une fois (mai est le mois de Marie).

« Ce n'est pas le temps d'un roi, ce ne l'a jamais été. Depuis la mort de Frédéric, chaque roi est usurpateur. Que le roi s'en aille, reste le peuple. L'Europe a soif, elle aura du sang dans les rues. »

Les conséquences sont assez claires.

« La terre frisera le massacre » et un seul mourra pour tous. Il était le meilleur.

Ici nous avons affaire au prochain pape suivant Bergoglio, celui qui est assassiné, ou tout simplement, et c’est hautement plus probable devant l'échéance qui reste, le décès du katéchon, Benoît XVI, car c’est lui qui ouvre la porte de la chute des deux Babylone (voir la prophétie le concernant).

La phrase « il était le meilleur » donne l'indice qu’il y a eu une erreur de parcours, qu’on ne l’a pas reconnu à sa juste valeur… dans ces temps troubles.

D’ailleurs c’est après sa mort que Jean XXIII prophétise le retour de la Sainte Vierge, ce qui est confirmé par la fin de la prophétie « Grand Éclair à l’Orient »:

« Mais aussi de grandes processions et la Vierge Heureuse descendra sur terre. Vous ne la verrez pas dans la grotte, mais dans un cœur qui revivra. Depuis les ténèbres, elle apportera la parole que tous comprendront.
C'est le temps des lettres. »

La dénomination des variants du Covid-19? Les lettres de l'alphabet grecque? Ou l'Alpha et l'Oméga.

Considérant la semaine de Daniel (7ans) et la durée de la fille de Caïn (7ans) débutant le 20 août 2018 (voir analyse « le Temps est Proche »), la moitié de la semaine où le sacrifice et l’oblation seront abolis est en 2022.

Bergoglio vient d’émettre ses directives face aux questions du Motu Proprio Traditionis Custodes : tous les sacrements selon le rite ancien sont interdits, de même que les ordinations de prêtres selon le rite ancien dans les paroisses Ecclesia Die. (vaticannews.va)

Il ne reste que deux obstacles dans son plan : que fera-t-il face à la FSSPX et face à la célébration de la Sainte Messe en latin, qui n’est pas encore interdite complètement avec les dernières directives?

Confirmant la destruction de l’église par l’abomination de la désolation, Bergoglio a fondé le 8 décembre dernier (encore un coup bas le jour de l’Immaculée Conception) sa fondation de la fraternité universelle Fratelli Tutti.

« Une « Fondation Fratelli tutti » rattachée à la basilique Saint-Pierre de Rome a été lancée mercredi par le pape François qui a signé un décret portant création officielle de la nouvelle entité. Il vise à encourager « la fraternité et le dialogue » entre les pèlerins et les touristes visitant le Vatican.

Les références à Dieu, à la Sainte Trinité, à Notre-Seigneur Jésus-Christ et à sa Mère bien-aimée sont totalement absentes de ce catalogue des « valeurs » politiquement correctes de la nouvelle fondation, parmi lesquelles les préoccupations écologistes et « la fraternité entre croyants et non-croyants sont bien sûr, primordiales.

L'exemple de ce qui se passe à Notre-Dame de Paris vient immédiatement à l'esprit : ... les projets de relooking de l'intérieur du joyau gothique incluent la création d'un « sentier de découverte » pour les personnes de toutes religions, menant à travers des chapelles dédiées aux cinq continents et messages de l'Ancien et du Nouveau Testament et culminant avec Laudato si' . La rénovation de Notre-Dame devrait inclure des bancs avec des systèmes d'éclairage modernes, des éléments d'"art contemporain" et des projections de musique et de lumière dans les chapelles latérales, "créant les conditions d'une expérience" qui plairait aux nombreux non-catholiques de la cathédrale.

La refonte de Notre-Dame veut une rupture nette avec la liturgie traditionnelle, comme l'a clairement indiqué le concepteur de la refonte, le père Gilles Drouin, fervent promoteur de Traditionis custodes ... » (lifesitenews.com)

Il n’y aura pas de retour à la normale.

La guerre des âmes est une guerre à finir et Satan est déchaîné.

Nous voyons les signes, et ces signes sont ceux de l’Espérance pour nous.

8 décembre

L'ÉTAT DE L’ÉGLISE

Le bon grain et l’ivraie dans le même champ. L’arbre avec une branche pourrissant et l’autre saine.

C’est cohérent avec la Prostituée de l’Apocalypse d’un côté, et la Femme protégée au désert de l’autre, deux images qui présentent une même épouse aux deux visages.

Cela accomplit ainsi la promesse de NSJC que les forces de l’enfer ne prévaudront pas contre elle, ce qui est le cas grâce à la Tradition.

Voilà les derniers moments de l’Église.

La branche saine pourra évidement ressusciter les « deux témoins » de l’Apocalypse!

« Est-il possible qu’il n’y ait personne, avec l’autorité nécessaire, capable de signaler le processus de destruction vers lequel le Pape François conduit l’Église ? Certes, quelqu’un s’en rend compte, mais qui devrait parler se tait.

Je rappelle quelques épisodes déconcertants de ces derniers jours. Un livre intitulé Love Tenderly est paru . Histoires sacrées de religieuses lesbiennes et queer dans lesquelles vingt-trois nonnes lesbiennes et queer (que sera une nonne queer ?) racontent leurs histoires d' »amour sacré ». La congrégation des Sœurs de la Miséricorde a exprimé l’espoir que ce livre « éclairera les esprits sur le caractère sacré et l’infinie diversité de Dieu ». Eh bien, jusqu’à présent, la Congrégation pour les Religieux du Vatican n’a rien dit et les religieuses lesbiennes, auteures du livre, continueront à se prélasser joyeusement dans leurs amours impurs.

Dans le même temps, le Saint-Père a accepté la démission de l’archevêque de Paris, Mgr Aupetit, qui lui avait mis le poste à sa disposition après qu’un hebdomadaire l’ait accusé d’avoir une relation amoureuse avec une femme. A cette accusation, l’archevêque a répondu qu’il s’agissait d’une situation ambiguë qui s’était produite en 2012, que ses supérieurs avaient toujours été au courant de la situation et que cette relation, bien que inconfortable, n’avait en aucun cas eu une dimension sexuelle. . Malgré tout cela, l’évêque fut expulsé de son siège. Monseigneur Aupetit était un évêque modéré ou conservateur, notamment sur certaines questions comme la bioéthique et l’homosexualité, sur lesquelles il s’était exprimé avec toute la clarté de la doctrine de l’Église catholique.

Il s’avère alors que le Vatican – c’est-à-dire le gouvernement de l’Église catholique – se tait face à un scandale tel que la publication des amours lesbiennes de certaines religieuses et agit avec la plus grande sévérité face à une affaire obscure. , et certainement alimentée par ses ennemis, dont elle fait intervenir un évêque respectueux de la doctrine de la foi. Et tout à la fois. N’est-ce pas fou?

Et encore plus fou, c’est que Bergoglio, lors de la conférence de presse de retour de son voyage en Grèce, a détaillé les péchés contre le sixième commandement commis par Aupetit. Peut-on être si dérangé ou si méchant ?

Le 2 décembre, rencontrant les catholiques présents à Chypre, le pape François a déclaré : « Il y a et il n’y a pas de murs dans l’Église catholique, s’il vous plaît ! C’est une maison commune, c’est le lieu des relations, c’est la coexistence des diversités : ce rite, cet autre rite… … La diversité de tous et, dans cette diversité, la richesse de l’unité « . Maintenant, quelqu’un peut-il nier l’impudence de Bergoglio ? Il faut rappeler à cet homme qu’il y a quelques mois, il a lui-même construit un immense mur, avec des barbelés et des éclats de bouteilles dessus, pour éloigner de l’Église catholique – la même qu’il prétend n’avoir pas de murs – les fidèles qui préfèrent le rite traditionnel, à travers le motu proprio Traditionis Custodes appelé.

Je ne joue à rien ; Je rapporte simplement les faits. Il s’avère qu’en quelques jours on nous dit que nous sommes dans l’Église de la diversité, où même les religieuses lesbiennes sont considérées comme la preuve de la richesse de la création divine, mais l’existence de quelques « différents » (les rigides qui selon l’évêque Roche s’accroche à un rite abrogé) est farouchement interdit. Évidemment, tous les bons et tous les mauvais ne sont pas identiques. Nous devons abattre les murs qui nous séparent des musulmans, des protestants, des homosexuels et de toute autre minorité, mais nous devons construire des murs, avec des clôtures et des fossés où nagent les crocodiles et les requins, pour éloigner la minorité indésirable des catholiques traditionnels.

Samedi, le pape François a rencontré les plus hautes autorités de Grèce, pays où il était en visite apostolique. Et là, très fier, il a fait une défense acharnée de la démocratie, et s’est dit inquiet car « il y a un recul de la démocratie. Elle requiert la participation et l’implication de tous et demande donc des efforts et de la patience. C’est complexe, alors que l’autoritarisme est précipité… ». Je ne sais pas quelle sera la réaction des dirigeants mondiaux face à ce personnage culotté. J’espère que le discrédit de Bergoglio dans les échelons supérieurs du pouvoir sera énorme. Tout d’abord, je me demande avec quel courage un monarque absolu parle de démocratie, et fulmine contre l’autoritarisme. Cela ressemble à une blague. L’un des papes les plus autoritaires de ces derniers temps, il exige le consensus et les démocraties.

Que dira le cardinal Angelo Becciu, qui a été exproprié non seulement de toutes ses charges mais aussi de ses privilèges cardinaux, sans trop de compliments, lors d’un entretien avec le Souverain Pontife ? Becciu n’est pas un saint de ma dévotion, mais tout homme a droit à un procès équitable. Et il ne l’avait pas. Le monarque absolu, dans les dix minutes, a décidé de sa culpabilité et a appliqué la peine dans son bureau. Le « procès » se déroule ces jours-ci à huis clos, mais pas de manière très serrée, puisque les vidéos publiées par le Corriere della sera filtrent quotidiennement . Et, d’après ce qui a été divulgué jusqu’à présent, il semble que c’est François qui a autorisé chacune des transactions immobilières opaques et millionnaires qui se sont soldées par un désastre et pour lesquelles il a par la suite blâmé Becciu.

Mais, plus important encore, je me demande comment il est possible pour un pape de pontifier sur la démocratie, ses faiblesses et ses dangers. Eh bien, il semble à l’Église que les principes de la Révolution sont corrects et que la démocratie libérale qui prévaut dans le monde d’aujourd’hui est le gouvernement idéal pour toutes les nations. Ce qui est exactement le contraire de ce que l’Église a unanimement enseigné au cours des deux derniers siècles. Alors, qui devons-nous écouter ? Au pape François ou aux papes précédents ?

Nous savons déjà que le chœur des évêques, des prêtres et des fidèles se lèvera en hurlant pour nous dire que nous devons être en parfait accord avec le Pape François. Attention. Comme nous l’avaient prévenu Carlos Esteban et Fernando Beltrán la semaine dernière , l’Église catholique est en train de devenir rapidement une secte. Et quand tout cela sera fini, et dans peu de temps, ce ne sera plus l’Église du Christ, et les portes de l’enfer auront le pouvoir de prévaloir sur elle.

Poursuite de la réflexion : il est surprenant qu’une institution millénaire comme l’Église latine n’ait pas prévu de mécanismes juridiques pour agir dans des cas comme celui de l’actuel pontife. Il est vrai qu’il y a des siècles on utilisait sans trop de chichi un thé bien parfumé ou une fenêtre ouverte sur les hauteurs de Castel Sant’Angelo. Mais, à mon avis, il aurait fallu envisager quelque ressource canonique qui permettrait au moins de bâillonner un pape déséquilibré. » (caminante-wanderer.blogspot.com)

La nature humaine de l’Église s’est dévoyée dans la Rome issue du concile.

Ce n’est pas pour rien aussi que Jean XXIII utilise aussi le terme « Rome » concernant la prophétie de François : « à Rome ils ne voudront pas te donner ».

Bergoglio ne s'identifie-t-il pas seulement au titre « d'évêque de Rome »?

Ayant renoncé à la charge de vicaire du Christ!

La nature divine de l'Église est demeurée pure et sainte dans la Tradition pour éviter les morsures de la bête.

D’où le terme dans la prophétie de La Salette : « Rome perdra la foi »… « et deviendra le siège de l’Antéchrist ».

Ce n’est donc pas la véritable Église qui perd la foi mais Rome qui l’éclipse selon la prophétie.

Rome est très fière de sa nouvelle approche synodiale, pour et par le peuple, pour « vivre » la nouvelle église des pauvres, église politisée, église socialiste marxiste, vendue à la judéo-maçonnerie par son Judas.

Que notre Sainte-Mère, Pure et Immaculée, vienne à notre secours en ce jour béni!

Priez pour nous aujourd'hui, et lors de notre mort.

Amen.

6 décembre

Deux interventions visionnaires de deux personnages clés pour cette époque:

« Mais ce qui légitime aussi notre frayeur, c’est de penser que par cette dégradation de l’Église, cette dégradation des idées même dans l’Église, des idées, parce que ce sont les idées libérales qui pénètrent à l’intérieur de l’Église, les idées en définitive, maçonniques qui pénètrent à l’intérieur de l’Église, qui était encore le bastion qui résistait.

Maintenant que l’ennemi a pénétré jusque dans les plus hauts sommets de l’Église, comme le disait Notre-Dame de Fatima, comme le prédisaient Notre-Dame de Fatima et Notre-Dame de la Salette, c’est en même temps tout l’édifice social qui est en train de s’en aller, parce que l’Église, par ses principes, soutenait encore, je dirais, la vraie liberté,. La liberté d’accomplir notre devoir.

C’est ça. Pourquoi avons-nous la liberté ? Pour accomplir notre devoir.

Parce que nous avons le devoir d’aimer Dieu et d’aimer notre prochain
et d’accomplir par conséquent notre devoir, notre devoir vis-à-vis de Dieu dans la religion et notre devoir vis-à-vis de notre prochain par les fonctions que nous avons ; fonctions sociales quelles qu’elles soient. Nous avons à accomplir notre devoir d’état.

Or, de moins en moins nous sommes capables d’accomplir notre devoir d’état, aussi bien religieux que social, parce que tout devient dirigé et orienté par un État socialiste.

Le socialisme fait des progrès considérables ; mais cela avec toute la puissance de la maçonnerie actuelle qui est partout, partout, partout ; qui est à Rome, qui est partout.

La maçonnerie est partout et dirige tout. Bientôt nous serons fichés avec des ordinateurs, nous aurons tous notre numéro et nous ne pourrons plus rien faire sans que tout soit indiqué sur la fiche que nous aurons, et tout ça par ordinateur.

Nous serons dans une situation pire que dans un pays soviétique. On dira que ce sont des pays libres, mais ce ne sont pas des pays libres : on ne sera plus libre de faire quoi que ce soit. On imagine, c’est absolument inouï.

La constitution aussi du gouvernement européen est très grave et très dangereuse, parce que c’est un gouvernement qui est rempli de maçons et par conséquent, ils vont appliquer maintenant à l’Europe, d’une façon globale, tous les principes maçonniques. On allait jusqu’à dire ceci, pour le gouvernement européen, que, évidemment, on proclame les droits de l’homme, on proclame les droits de la femme. Si la femme a les droits égaux à ceux de l’homme, eh bien, on n’a pas le droit de ne pas donner à la femme l’autorisation d’être prêtre. Alors, on va poursuivre les évêques qui ne veulent pas ordonner des femmes, parce que les femmes ont les mêmes droits que les hommes. C’est possible, ça été mis dans les journaux, qu’on allait arriver à des choses comme celles-là, sous prétexte de droits, d’égalité des droits.

C’est épouvantable, on ne s’imagine pas vers quoi on va actuellement, vers une socialisation qui apparemment pour nous, ne parait pas aussi dure que celle du communisme mais qui, en définitive, va être tout simplement une image du communisme, mais réalisée par des moyens scientifiques au lieu d’être réalisée par la force, comme l’ont fait les communistes, ce sera la même chose.


Alors on éliminera de la société tous ceux qui ne veulent pas se soumettre à cet ordre. A cet ordre socialiste. On les éliminera. Il y aura toujours moyen de les éliminer. Maintenant on élimine les enfants qui gênent, on éliminera bientôt les vieillards. Bientôt les vieillards vont y passer aussi ; et après, ce n’est pas difficile de faire une piqûre ou de faire quelque chose à quelqu’un qui est malade, qui est gênant ; on le fait disparaître. On le fera disparaître de la société sous prétexte que ces gens-là sont gênants. Ils n’arrivent pas à se faire encadrer dans les normes qui sont prévues. Nous allons vraiment vers une société affreuse, qui se dit libre et qui n’aura plus aucune liberté, mais aucune liberté... »

Mgr Lefebvre, 22 août 1979, à Shawinigan au Québec.

Audio (à partir de 47.00)

« Allons encore un peu plus loin. De la crise actuelle émergera l’Église de demain – une Église qui aura beaucoup perdu. Elle sera de taille réduite et devra quasiment repartir de zéro. Elle ne sera plus à même de remplir tous les édifices construits pendant sa période prospère. Le nombre de fidèles se réduisant, elle perdra nombre de ses privilèges. Contrairement à une période antérieure, l’Église sera véritablement perçue comme une société de personnes volontaires, que l’on intègre librement et par choix. En tant que petite société, elle sera amenée à faire beaucoup plus souvent appel à l’initiative de ses membres.

Elle va sans aucun doute découvrir des nouvelles formes de ministère, et ordonnera à la prêtrise des chrétiens aptes, et pouvant exercer une profession. Dans de nombreuses petites congrégations ou des groupes indépendants, la pastorale sera gérée de cette manière. Parallèlement, le ministère du prêtre à plein temps restera indispensable, comme avant. Mais dans tous ces changements que l’on devine, l’essence de l’Église sera à la fois renouvelée et confirmée dans ce qui a toujours été son point d’ancrage : la foi en un Dieu trinitaire, en Jésus Christ, le Fils de Dieu fait Homme, en l’Esprit-Saint présent jusqu’à la fin du monde. Dans la foi et la prière, elle considérera à nouveau les sacrements comme étant une louange à Dieu et non un thème d’ergotages liturgiques.

L’Église sera une Église plus spirituelle, ne gageant pas sur des mandats politiques, ne courtisant ni la droite ni la gauche. Cela sera difficile pour elle, car cette période d’ajustements et de clarification va lui coûter beaucoup d’énergie. Cela va la rendre pauvre et fera d’elle l’Église des doux. Le processus sera d’autant plus ardu qu’il faudra se débarrasser d’une étroitesse d’esprit sectaire et d’une affirmation de soi trop pompeuse. On peut raisonnablement penser que tout cela va prendre du temps. Le processus va être long et fastidieux, comme l’a été la voie menant du faux progressisme à l’aube de la Révolution française – quand un évêque pouvait être bien vu quand il se moquait des dogmes et même quand il insinuait que l’existence de Dieu n’était absolument pas certaine – au renouveau du XIXe siècle. Mais quand les épreuves de cette période d’assainissement auront été surmontées, cette Église simplifiée et plus riche spirituellement en ressortira grandie et affermie. Les hommes évoluant dans un monde complètement planifié vont se retrouver extrêmement seuls. S’ils perdent totalement de vue Dieu, ils vont réellement ressentir l’horreur de leur pauvreté. Alors, ils verront le petit troupeau des croyants avec un regard nouveau. Ils le verront comme un espoir de quelque chose qui leur est aussi destiné, une réponse qu’ils avaient toujours secrètement cherchée. Pour moi, il est certain que l’Église va devoir affronter des périodes très difficiles. La véritable crise vient à peine de commencer. Il faudra s’attendre à de grands bouleversements. Mais je suis tout aussi certain de ce qu’il va rester à la fin : une Église, non du culte politique car celle-ci est déjà morte, mais une Église de la foi. Il est fort possible qu’elle n’ait plus le pouvoir dominant qu’elle avait jusqu’à maintenant, mais elle va vivre un renouveau et redevenir la maison des hommes, où ils trouveront la vie et l’espoir en la vie éternelle. »

1969, père Joseph Ratzinger, radio allemande.

Novembre 2021

29 novembre

(l'apparition de la rue du Bac ajoutée à l'analyse du 28 novembre)

LA LIMITE DE  BABYLONE PARTIE V
(suite du 26 octobre 2021)

Pourquoi se réfère-t-on aux nombres bibliques?

Plusieurs chiffres sont l’ADN originel de la  « nombration » de l'écriture codée hébraïque.

Le peuple hébreu, originairement le peuple de Dieu, a une langue où la valeur numérique de son alphabet a une origine sacrée.

Ce qui s’est perpétué avec la religion catholique et le nouveau Testament.

INTRODUCTION

La limite de Babylone semble se situer entre la fin du synode 2023 et 2025 (probablement plus vers la fin de la période de la « fille de Caïn » indiquée par Jean XXIII, soit le 18 août 2025; voir analyses précédentes).

Le 13 mai 2026, nous atteindrons une période de 109 ans depuis les apparitions de la Vierge Marie à Fatima, soit les 100 ans donnés comme indication à Léon XIII + la 9ème heure où tout est accompli (c’est à dire la mort du Christ sur la croix, donc de l’Église pour nous).

Nous savons aussi que mai 2026 est la limite pour le retour du Lys selon la prophétie de Don Bosco.

2025, c’est en plein dans le maximum solaire du cycle 25 (prévu entre octobre 2024 et juillet 2025).

2025, c’est 161 ans par rapport au syllabus de Pie IX condamnant le maçonnisme et ses erreurs.

C’est bien là le mal de notre époque (suite à l’avertissement de Fatima avec le communisme) sur le point d’aboutir.

161, c’est le chiffre de l’humain, le 6, entre les deux colonnes maçonnique (les colonnes Boaz et Jakin), représenté par le chiffre 11, chiffre hautement préféré par la judéo-maçonnerie.

Mais, nous venons de le voir dans l’analyse du 22 novembre, la chute de Babylone doit être précédée par la mort des deux témoins.

Donc, pour connaître la limite de Babylone, il faut la mettre en perspective dans le calendrier de la fin des temps.

LE CALENDRIER DE LA FIN DES TEMPS

Selon l’ordre chronologique donné dans l’Apocalypse, nous avons :

1) Mort des témoins (3,5 jours)
2) Résurrection des témoins

Fin de la sixième période.

Entrée dans la 7ème période :

3) Mort de l’Antéchrist
4) Chute de Babylone (3ème malheur, Ap. 11, 14)
5) Retour du Christ
6) Jugement dernier
7) Règne définitif et sans partage du Christ (Ap. 21-22)

La période de prédiction des deux témoins est de 42 mois (période des châtiments, soit le 2ème malheur de l’Apocalypse).

C’est la même durée de vie que les deux bêtes.

C’est pendant cette période que « doit se montrer la patience des saints, qui gardent les commandements de Dieu et la foi en Jésus. » (Ap. 14, 12).

Ce sont les deux témoins fidèles à la Loi et aux Prophètes.

« Puis on me donna un roseau semblable à un bâton, en disant : " Lève-toi et mesure le temple de Dieu, l'autel et ceux qui y adorent.  Mais le parvis extérieur du temple, laisse-le en dehors et ne le mesure pas, car il a été abandonné aux Nations, et elles fouleront aux pieds la ville sainte pendant quarante deux mois. Et je donnerai à mes deux témoins de prophétiser, revêtus de sacs, pendant mille deux cent soixante jours. (Ap. 11,1-3)

« Puis il parut dans le ciel un grand signe : une femme revêtue du soleil, la lune sous ses pieds, et une couronne de douze étoiles sur sa tête... et la femme s'enfuit au désert, où Dieu lui avait préparé une retraite, afin qu'elle y fût nourrie pendant mille deux cent soixante jours… Et les deux ailes du grand aigle furent données à la femme pour s'envoler au désert, en sa retraite, où elle est nourrie un temps, des temps et la moitié d'un temps, hors de la présence du serpent. » (Ap. 11,1-14)

La clé eschatologique est un temps, des temps et la moitié d'un temps, soit une période divisible par 3,5, ce qui est reconnue par les pères de l’Église et les eschatologues.

LES NOMBRES CLÉS

Évidemment, le 42 pour les 42 mois, etc...

Divisé par 3,5, cela donne 12, c’est à dire le nombre des 12 tribus juives, des 12 apôtres, les douze étoiles autour de la tête de la femme revêtue de soleil ci-haut, des 144 000 élus (12 tribus multipliés par 12000 élus, etc.)

Reprenons le 161 en début d’analyse :

161 divisé par 3,5 donne 46.

46 est le chiffre par excellence d’un commencement, de la vie (en référence aux 46 chromosomes par exemple).

Le chiffre de la vie terrestre est le 46.

Le chiffre de la vie céleste est le 47.

Or le nom de Jésus (Ieshoua) a pour valeur numérique 47 en hébreu.

Dans l’évangile, les juifs rétorquent à Jésus qu’il leur a fallu 46 ans pour construire le Temple de Jérusalem.

Le 46 est donc associée à une construction terrestre, le Temple symbolisant la vie terrestre.

Seulement celui-ci ne peut sanctifier les humains qu’une fois habité par le 47, c’est à dire par Dieu lui-même, présent dans le Saint des Saints, donc avec Jésus, le seul chemin qui mène au Père.

2025 est donc une année de libération, de commencement, suite à la chute de Babylone et de la mort de l’Antéchrist.

La limite de Babylone ou des deux Babylone spécifiées par Jean XXIII (le Vatican et les Nations-Unies, les deux bêtes de la terre et de la mer de l’Apocalypse), doit donc se mesurer en base 3,5.

Mais pourquoi cette suite?

Pourquoi pas deux temps, un temps et la moitié d’un temps?

Pourquoi pas 3 temps et la moitié d’un temps?

Il y a donc une indication ici par Saint Jean de trois étapes à franchir qu’il nous faut rechercher pour en arriver à la limite de Babylone.

Jésus nous y a introduit par le signe du figuier en Matthieu 24 concernant la fin des temps.

Cette grâce nous a été donné par NSJC afin d’avoir du temps pour se convertir.

Car au jour du Jugement, il sera trop tard.

C’est cette dernière date dont nous ne pouvons connaître ni le jour ni l’heure, soient les points 5,6, et 7 du calendrier de la fin des temps.

La limite de Babylone est donc extrêmement liée à la mort des deux témoins:

« Et quand ils auront achevé leur témoignage, la bête qui monte de l'abîme leur fera la guerre, les vaincra et les tuera; et leurs cadavres resteront gisants sur la place de la grande ville, qui est appelée en langage figuré Sodome et Égypte, là même où leur Seigneur a été crucifié. » (Ap.11,7)

Sodome et Égypte, c'est Jérusalem, remplacée par Rome comme centre de la chrétienté pour notre époque.

Sodome est le type de l'abomination. Son nom veut dire « la muette ou l'aveugle ».

Égypte, est la terre de l'idôlatrie. Son nom veut dire en hébreu « ténèbres ». (réf: Dom Jean Monléon, Le Sens Mystique de l'Apocalypse).

Aveuglément, apostasie, décadence morale, etc... caractérisant les 42 années nécessitant la prêche des deux témoins... principalement via internet depuis la Covid-19.

Et Rome, le Vatican, l’Église traditionnelle, est abandonnée aux Nations pour être foulée aux pieds pendant quarante deux mois donc.

Les deux témoins seront au tombeau pendant 3,5 jours (par rapport à 3,5 années de la vie des deux bêtes).

Selon les eschatologues, cela indique qu’après cet événement le décompte s’écoule en semaines, si ce n’est qu’en jours.

C’est rapide.

Et c’est ce qui est démontré dans l’Apocalypse.

La mort de l'Antéchrist système suit la résurrection des deux témoins, où :

« A cette même heure, il se fit un grand tremblement de terre... » (Ap. 11,13)

Rappelez vous les trois prophéties politiques de Jean XXIII: « Grand Éclair à l'Orient », « La Foudre en Plein Jour », et « Le Temps est Proche ».

Un temps de paix, très court, permettra de rassembler le plus d'âmes possible, car à la septième trompette qui suit, le troisième malheur arrive avec la mort de l'Antéchrist.

C'est là que se produisent tous les signes que plusieurs relient à la fin des temps (dont les trois jours de noirceur, le signe de Jonas donné par le Christ, et prophétisés par Padre Pio par exemple) arrivent.

Nous savons aussi que le chiffre de l’humain est le 6, et donc le 666 représente l’humain déifié dans sa trinité.

Le chiffre du Père dans la Trinité est le 777 (divisible par 3,5).

Le 6 est transfiguré au 7 par le 3,5.

En effet, 3,5 multiplié par 6 donne 21, et 21 c’est 3X7, chiffre de perfection divine.

D’où le 666 au sommet de sa gloire aujourd’hui, et qui est donc le chiffre de la bête par lequel nous ne pourrons plus vendre ou acheter nous dit Saint Jean.

Avec le passeport sanitaire, on peut dire que nous y sommes presque.

Ils sont en train de forcer la marque à ceux qui ne veulent pas adhérer au chiffre de la bête en pensées (marqué au front) et par action (marqué à la main droite), soit le système antichristique.

C’est aussi le symbole CUP, série de 3 fois six chiffre de toute transaction monétaire.

Un autre chiffre important est le 49 (7X7), divisible en base 3,5 aussi et qui est la limite du diable,

Rappel avec Don Jean de Monléon, dans son livre Le prophète Daniel:

« Malgré les efforts des bourreaux, la flamme ne montait qu’à 49 coudées, elle n’arrivait pas à cinquante… Pourquoi cela ? Parce que 50 est le chiffre de la Pentecôte, le symbole de la transformation totale que, seule, la grâce du Saint-Esprit est capable d’opérer dans l’homme. »

Par conséquent, « le démon ne peut dépasser 49 coudées, parce qu’il est incapable d’agir efficacement sur le fond de l’âme, sur la volonté, si celle-ci est résolue à tenir bon. »

Le diable n’a donc pas le droit d’aller jusqu’à 50, le chiffre en jours qui sépare la Résurrection de la Pentecôte, et qui est le chiffre d’un jubilé.

Rappelons ici que 2025 est une année de jubilé (voir analyse du 4 juin 2021; jubilé appelé par Bergoglio dans son message publié mardi le 3 février 2021 pour le 150ème anniversaire de la proclamation de Rome après la perte de États pontificaux!)

C’est très important car 49 explique beaucoup de choses.

Il explique aussi l’importance de la Pentecôte incarnée dans la symbolique des deux témoins ressuscités comme spécifiée dans l’analyse du 22 novembre, c’est à dire une nouvelle église où Marie revivra dans les cœurs comme dans la prophétie concernant Benoît XVI.

N’oublions pas aussi que l’épisode de la chute des murs de Jéricho est reliée.

Ce n’est qu’au 7ème jour et septième tour que les murs s’écroulèrent.

7 tours pendant 7 jours : la limite du diable= 49.

Autre chiffre important, le 60, car il explique le veuvage selon Saint-Paul.

Or, le veuvage (60 ans) de l’église conciliaire suite à Vatican II (dont Nostra Aetate voté à la dernière session le 28 octobre 1965 (Jean XXIII a été élu un 28 octobre)), sera en 2025.

« Où croyez-vous fuir, maintenant que vous avez détruit les Églises et tué le dernier Père ? » spécifie Jean XXIII dans la prophétie de l’Église #11 « Le Septième Sceau ».

L’Église est bien veuve lors de l’ouverture du septième sceau.

Un autre chiffre à avoir à l’esprit est le 63, car 3,5 X (6+6+6) donne 63, le chiffre de la transfiguration.

LES PREUVES DU DÉCOMPTE

Alors, par où commencer?

Le grande réinitialisation actuelle n’est possible que par le code QR ou son successeur.

Sans surprise, le code QR ressemble à la disposition d’un temple maçonnique et à la base de la pyramide du Louvre (voir ici).

C’est ainsi que la bête de la terre (humaniste, Nations-Unies, franc maçonnerie judéo-maçonnique) a pris le contrôle total de nos vies pour nous rendre esclaves du système antéchristique.

Tout se fait maintenant via le téléphone intelligent.

Un marché aujourd’hui dominé par la compagnie Apple.

Il faut remonter à la création de l’ordinateur accessible pour tous, ancêtre en sorte du smartphone actuel, pour voir la bête sortir de l’eau, en termes apocalyptiques.

C’est Apple évidement (nom qui ne relève pas du hasard car c'est une référence au Jardin d’Éden qu'on voyait dans les premières pubs) qui a produit le premier ordinateur publique, du nom de Apple I, et qui se vendait 666.66 dollars.

La date : le 11 avril 1976.

Sachant que la limite du diable est de 49, nous en déduisons donc que la limite de Babylone est le 11 avril 2025, ou du moins en 2025.

Ça, c’est pour la bête de la terre.

La bête de la mer, Vatican, doit obligatoirement suivre, car ils agissent ensemble selon l’Apocalypse.

Paul VI suspend Mgr Lefebvre le 22 juillet 1976 suite à la consécration de 13 prêtres.

Ce dernier, en réponse, convoque le 29 août 1976 les intégristes à Lille pour une messe célébrée selon le rite de saint Pie V.

Rappelons que le phare des « deux témoins » de l’Apocalypse, de la tradition, est la FSSPX fondée par Mgr Lefebvre.

Or, le 11 septembre 1976, à Castel Gandolfo, une célèbre rencontre eu lieu entre Paul VI et Mgr Lefebvre. (sspx.ca)

« Le début de la rencontre, rapporté par les deux sources, fut un véritable réquisitoire contre le fondateur de la Fraternité : « une tempête », dira plus tard l'archevêque à ses séminaristes, résumant les reproches du Pape : « Vous me condamnez ; Je suis moderniste, protestant. C'est intolérable ! Vous faites un travail méchant.

Le compte rendu textuel du cardinal Benelli révèle à quel point ces accusations étaient fortes : « J'espérais trouver avant moi un frère, un fils, un ami », a déclaré Paul VI. "Malheureusement", a-t-il poursuivi, "la position que vous avez adoptée est celle d'un antipape... Elle dépasse toute mesure dans ses paroles, ses actions et son attitude générale." Ce qui est en jeu ici, a poursuivi le Saint-Père :
... n'est pas la personne, c'est le Pape, et vous avez jugé le Pape infidèle à la Foi dont il est le garant suprême. C'est peut-être la première fois dans l'histoire que cela se produit. Vous avez dit au monde entier que le Pape n'a pas la Foi, qu'il ne croit pas, qu'il est moderniste, et ainsi de suite ! Bien sûr, je dois moi-même rester humble. Mais vous, vous vous êtes mis dans une situation terrible. Vous avez accompli des actions extrêmement graves devant les yeux du monde. »

La bête Vatican est identifiée. Nul doute ici.

Sortie de l’eau.

Le 11 septembre 1976.

Contre le Christ.

C’est bien ce que nous avons aussi dans la prophétie de Jean XXIII concernant Paul VI.

Nombre de jour entre le 11 avril 1976, et le 11 septembre 1976 liant les deux bêtes : 153.

Le chiffre des rachetés de la pêche miraculeuse (voir analyses précédentes) de la fin des temps.

La limite du diable est donc bien 2025.

Mais, on le sait, c’est grâce à Jean XXIII que le schisme s’est accéléré.

Il fut élu le 28 octobre 1958.

Or, du 28 octobre 1958 au 28 avril 2025, il y a 66.5 années.

On s’approche ainsi du chiffre 66.6, et 66.5 divisé par 3,5 donne 19.

C’est donc bien en base 3,5.

Mais le plus important est que Jean XXIII ait convoqué le concile Vatican II.

C’est là qu’a débuté la Passion de l’Église.

Exactement le 11 octobre 1962.

La période s’étalant du jeudi 11 octobre 1962 au vendredi 11 avril 2025 est de 749,99 mois!

Ou 62,5 années.

Ou 63 années si on continue jusqu’au 11 octobre 2025, soit le chiffre de la transfiguration du 666 (voir début de l’analyse).

3,5x (6+6+6)= 63

63 est aussi : 21 + 42.

Rappelez-vous : la fin des temps se mesure ainsi : deux temps, un temps et un demi temps (3 étapes).

Un temps : 21 ans

Deux temps : 42 ans

Un demi temps : la donnée inconnue : nul ne connaît le jour ni l’heure...

Or, on sait grâce à la prophétie de Jean XXIII « Le Temps est Proche »  que la limite de la fille de Caïn est le 18 août 2025 (voir analyses précédentes):

« Le premier empereur meurt de faim, enfermé dans la tour de son rêve.
Le second empereur dans le désert, attaqué par les animaux de la peste, inconnus.
La fille de Caïn est montée au Nord, pour prêcher. Luxure dans la nouvelle Babylone, pour sept ans.
La septième année tombe le septième voile de Salomé, mais il n'existe pas d'empereur, il n'existe pas qui saura lever l'épée et couper le cou de Jean. Le temps est proche.»

Il n’y a plus d’empereur à cette date (à la limite du 49 ans : comme pour la chute des murs de Jéricho, nous avons ici 7 voiles X 7 ans)

C’est donc dire que Babylone est tombée.

ET il est spécifié que lorsque le septième voile est tombé, qu’il n’y a personne pour couper le cou de Jean.

Jean-Baptiste, c’est l’avant Jésus.

Son rôle d’alors est typiquement apocalyptique : la fin est très proche et les châtiments vont suivre.

Les méchants vont être punis et les justes récompensés, d’où l’urgence de se convertir, car au jour du Jugement, il sera trop tard.

Ce qui veut dire qu’au 18 août 2025, on a toujours le temps de se convertir car contrairement à l’époque du Christ, Jean est toujours là pour nous, mais comme la fin de la prophétie l’affirme, le temps est proche!

Car, ce qui suit est la date dont nous ne pouvons connaître le jour ni l’heure.

Fait important qui renforce cette hypothèse :

Jean XXIII publie son encyclique humanitaire PACEM IN TERRIS le 11 avril 1963.

Il y a donc 62 ans entre cette date et le 11 avril 2025, la limite du diable.

C’est 6 mois piles après le 11 octobre 1962 à l’ouverture du concile, et on en arrive ainsi à 62.5 années ou 42 + 20,5 ans.

Vérifions le décompte (les trois étapes) de la fin des temps afin de voir s’il y des corrélations, des événements marquants chacune des étapes.

Un temps : 21 ans

De 1962 à 1983.

1983 : Jean Paul II modifie le droit canon le 25 janvier 1983 et celui ci est effectif le 27 novembre suivant au premier dimanche de l’Avent, ce qui en soit est un signe d’une nouvelle étape.

Qu’a-t-il de particulier?

Il remplace le Code de droit canonique de 1917 et tient compte des changements apportés par le concile Vatican II. (Rappelons nous les 100 ans accordés à Satan selon la vision de Léon XIII, et surtout Fatima en 1917).

Cette idée a germé dès 1959 dans l'esprit de Jean XXIII. Elle a été ensuite reprise par Paul VI, qui établit les schémas directeurs du nouveau code.

Le code de 1983 met moins l'accent sur le caractère hiérarchique et ordonné de l'Église. Il veut au contraire promouvoir l'image d'une Église-peuple de Dieu (référence explicite à la constitution de 1964 Lumen Gentium) et d'une hiérarchie au service des autres (can. 204).
Le code développe notamment les possibilités d'adaptations pour tenir compte des impératifs pastoraux et instaure un régime plus souple pour les dispenses.

Donc on peut bien affirmer que ce but est en train d’être achevé par nul autre que Bergoglio!

«  Les fidèles du Christ sont ceux qui, en tant qu'incorporés au Christ par le baptême, sont constitués en peuple de Dieu et qui, pour cette raison, faits participants à leur manière à la fonction sacerdotale, prophétique et royale du Christ, sont appelés à exercer, chacun selon sa condition propre, la mission que Dieu a confiée à l'Église pour qu'elle l'accomplisse dans le monde.  » (Jean Paul II)

C’est donc ici que la bête de la terre et la bête de la mer font fusion : la nouvelle religion humaniste basée sur la déification de l’homme fait partie officiellement de l’ADN de l’église conciliaire, inscrit dans un code.

Le code de droit canonique de 1917 a été promulgué le 27 mai 1917 (peu après la première apparition de Fatima donc).

Nombres d’années entre le 27 mai 1917 et le 27 novembre 1983 : 66 ans et 6 mois.

Les 21 années de Vatican II à 1983 ont donc servi de préparation pour éclipser l’Église selon les prophéties de La Salette.

Deux temps : 42 ans

De 1983 à 2025.

On vient de voir que le nouveau droit canon plonge l'Église dans la fosse humaniste officiellement.

Le 5 avril 1983, Mgr Lefebvre répond à une lettre envoyée par Jean-Paul II via le cardinal Ratzinger.

L'Église est en crise.

La messe traditionnelle est ciblée.

« Sans doute c’est en raison de cette oppression des consciences exercée d’une manière inconcevable à l’intérieur de l’Église que vous prévoyez de publier un décret concernant l’usage de l’ancien rite romain de la Messe. N’est-ce pas, en effet, une oppression inique d’enlever aux prêtres le rite de leur Messe d’ordination et de les contraindre sous peine de suspens d’adopter un nouveau rite à l’institution duquel ont participé six pasteurs protestants !
C’est au pied du crucifix que je vous réponds, Très Saint-Père, uni à tous les évêques, prêtres, religieux, religieuses, fidèles qui ont subi un véritable martyre moral par l’imposition forcée de cette Réforme liturgique. Que de larmes, que de douleurs, que de morts prématurées dont demeurent responsables ceux qui ont indûment imposé ces changements opérés au seul titre d’un œcuménisme aberrant.» (laportelatine.org)

Commentaires de Mgr Lefebvre sur le nouveau droit canon en 1983:

« ... C’est explicite dans la présentation du Droit Canon : le nouveau code est fait dans le but de faire passer dans un langage canonique l’ecclésiologie conciliaire. Qu’est-ce que ça veut dire, cela ? Le nouveau code est fait pour faire passer en langage légal, canonique l’ecclésiologie conciliaire… Et donc le but du nouveau Droit Canon, c’est de faire passer les principes, l’esprit – ils parlent même de l’esprit du Concile Vatican II. »

« Ensuite, le nouveau Droit Canon professe surtout la collégialité... Collégialité dans les rapports entre les églises, les églises locales et les églises universelles, et entre les autorités, entre les évêques et le pape. Et bien, dans le nouveau Droit, il y a deux pouvoirs suprêmes de l’Église. Il y a le pouvoir du pape qui a le pouvoir suprême, et ensuite le pape avec les évêques. »

« L’obéissance aveugle est un contresens et nul n’est exempt de responsabilité pour avoir obéi aux hommes plutôt qu’à Dieu. C’est trop facile de dire : - Moi, j’obéis. S’il se trompe, et bien je me trompe avec lui… Mais comme disait Mgr - Je préfère me tromper avec le pape, que d’être dans la vérité contre le pape !… Alors, il faut traduire ça : - Je préfère être contre Notre-Seigneur Jésus-Christ avec le pape, plutôt que d’être avec Notre-Seigneur Jésus-Christ contre le pape !… C’est idiot !… On est pour Notre-Seigneur Jésus-Christ et, par conséquent, dans la mesure où le pape est vraiment le vicaire du Christ et agit en tant que vicaire du Christ, et nous donne la lumière du Christ, nous sommes bien sûr prêts à fermer les yeux et à le suivre partout. Mais, dès lors que cette lumière n’est plus celle de Notre-Seigneur Jésus-Christ, qu’on nous emmène vers des horizons nouveaux - qui sont dits explicitement nouveaux, on ne s’en cache pas. Tout est nouveau, nouveau code de Droit canonique, nouveau missel… tout est nouveau, nouvelle ecclésiologie - ça ne va plus, ça…
Cette résistance doit être publique si le mal est public et est un objet de scandale, c’est ce que dit Saint Thomas. »

« C’est marqué dans le discours du pape, dans la constitution qui présente le nouveau code de droit canonique, C’est lui-même qui dit ces choses-là. Peuple de Dieu, Communion, Service, Collégialité, Œcuménisme. Voilà les caractéristiques de la nouvelle ecclésiologie de Vatican II. C’est clair. C’est clair que c’est la continuation du travail qui a été fait par Vatican II dans la liturgie, dans les catéchismes et dans la Bible, bible œcuménique, la fameuse TOB, traduction œcuménique de la bible.

Alors, qu’est ce que nous devons penser de cela ? Eh bien, c’est que ce droit canon est inacceptable. Il n’y a pas de nouvelle Ecclésiologie dans l’Église. On ne va pas donner une nouvelle définition à l’Église, si … Alors on s’est trompé pendant 2000 ans. L’Église ne savait pas ce qu’elle était pendant 2000 ans. Tout à coup, la voilà devenue œcuménisme, collégiale, communion. Communion de quoi, de qui, avec qui, avec quoi ? »

« Autre chose qui touche la foi dans le nouveau droit canon, c’est de pouvoir donner cette hospitalité eucharistique comme ils l’ont appelée d’une manière invraisemblable, on peut appeler çà un sacrilège en définitive, hospitalité eucharistique : Un protestant pourvu qu’il croit à la présence réelle selon la foi catholique peut recevoir la sainte communion. »

C’est bien ce que nous affirmions ci-haut.

L’humanisme œcuménique a été inscrit dans l’ADN de l’Église.

Concrètement.

On trouve une autre confirmation par la deuxième apparition de la Vierge Marie à Soeur Catherine Labouré à la rue du Bac:

La libération des justes, les 153 de la seconde pêche miraculeuse (voir analyses précédentes l’interprétation de Saint-Augustin et la notion de jubilé des jubilés), commencent donc au début de la phase de 42 ans, la période de prêche des deux témoins pour sauver le plus d’âmes possibles.

Nous venons de démontrer que cette phase commence par la validité du nouveau code de droit canon le 27 novembre 1983.

Or, le 27 novembre est la date anniversaire de l’apparition de la rue du Bac en 1830 et conséquemment de l’existence de la médaille miraculeuse.

Il y a exactement 153 ans entre l’apparition et le 27 novembre 1983.

Cette description de la seconde apparition est en lien direct avec la période de la fin des temps (voir fr.aleteia.org).

La Sainte Vierge apparaît sous le tableau de Saint-Joseph.

Saint Joseph représente l’Église pure dont il est le gardien et le patron.

Saint Joseph, est l’époux putatif de la Sainte Vierge. Le pape, est donc l’époux putatif de l’Église.

Mais présentement, le pape renie ce rôle.

Et l'Église est ainsi présentement éclipsée.

La Sainte Vierge se tient debout sur le demi-globe terrestre, ses pieds écrasant le serpent. Les rayons dorés sont les grâces pour ceux fidèles à la Loi et aux Prophètes, les rayons sombres, pour les grâces que personne ne demande en référence à la grande apostasie.

C’est bien le tableau de l’Apocalypse. La phase des deux témoins de 42 années.

Un ovale est apparu autour de la Sainte Vierge.

C’est la protection de la Vierge des derniers temps pour l’Église et ses fidèles, comme lorsque le Christ demande de fuir vers les montagnes, dans une grotte, c’est à dire s’isoler de Babylone par la prière.

« Ô Marie conçue sans péché, priez pour nous qui avons recours à vous. »

L’envers de la médaille à l’intérieur de l’ovale, dans la bulle de protection:

- Deux cœurs. Celui du Christ couronné d’épines, celui de la Vierge Marie transpercée d’un glaive : C’est la passion de l’Église à l'image du Christ. Rappelons nous la prophétie de Saint-Siméon à la consécration de Jésus au temple: un glaive te transpercera le coeur...

- La croix du Christ et le « M » de Marie entrelacés: Jésus et Marie comme co-rédempteurs de la fin des temps.

- Et l’indice de la durée puisqu’il y a 12 étoiles en référence à la femme avec les deux pieds sur la lune portant une couronne de 12 étoiles, aux 42 années.

Rappeler vous le calcul en base 3,5 (3,5 X 12 = 42) en référence au 42 années de prêche des deux témoins.

Ainsi commençait la mission des deux témoins de l’Apocalypse le 27 novembre 1983 :

« le temple de Dieu, l'autel et ceux qui y adorent… a été abandonné aux Nations, et elles fouleront aux pieds la ville sainte pendant quarante deux mois.Et je donnerai à mes deux témoins de prophétiser, revêtus de sacs, pendant mille deux cent soixante jours. (Ap. 11,1-3) »

Mission qui s’achève maintenant.

Les deux témoins vont être mis à mort.

Comme le Christ.

Après leurs résurrection, il ne restera qu’un demi temps...

Et ce temps se mesure en mois, sinon en semaines, sinon en jours...

Nul le connaît ni le jour ni l’heure… Sinon le Père.

Voilà.

Au jour du Jugement, il sera trop tard pour se convertir.

Comme avec la parabole des 10 vierges qui suit Matthieu 24.

Une fois la porte fermée, plus personne n’entre.

Je ne les connais même pas affirme le Christ.

De par les textes de l’Apocalypse et des prophéties de l’Église de Jean XXIII, nous savons que le rôle essentiel avant le retour du Christ est celui de la Vierge Marie, la pure, sans tache originelle.

Or, en 2025, cela fera 171 ans que le dogme de l’Immaculée Conception a été proclamé par Pie IX, le 8 décembre 1854 exactement.

Si le 161 analysé au début du texte représente le chiffre de l’homme déifié entre les deux colonnes du 11, nous avons donc ici le 6 transfiguré, le 7, le chiffre du Père, entre les deux colonnes.

Grâce à la Vierge Marie qui nous mène au Fils, seul chemin qui mène au Père.

Les deux colonnes ici représentent les « deux témoins » ressuscités après les 3 jours et demi : les deux oliviers.

Ces deux témoins, on les nomment aussi Énoch et Élie.

La Salette pour les 42 années de témoignage des deux témoins :

« L’Église sera éclipsée, le Monde sera dans la consternation. Mais voilà Énoch et Élie remplis de l'Esprit de Dieu ; ils prêcheront avec la force de Dieu et les hommes de bonne volonté croiront en Dieu et beaucoup d'âmes seront consolées ; ils feront de grands progrès par la vertu du Saint-Esprit et condamneront les erreurs diaboliques de l'Antéchrist. »

Ce qui est la sixième période des châtiments de l’Apocalypse.

« Malheur aux habitants de la Terre ! Il y aura des guerres sanglantes et des famines, des pestes et des maladies contagieuses ; il y aura des pluies d'une grêle effroyable d'animaux ; des tonnerres qui ébranleront des villes ; des tremblements de terre qui engloutiront des pays ; on entendra des voix dans les airs ; les hommes se battront la tête contre les murailles ; ils appelleront la mort, et, d'un autre côté, la mort sera leur supplice : le sang coulera de tous côtés ».

Les deux témoins dans l’Ancien Testament :

« Je repris la parole et je lui dis : " Que sont ces deux oliviers à la droite du candélabre et à sa gauche ? "

Je repris une seconde fois la parole et lui dis : " Que sont ces deux grappes d'olivier qui se trouvent auprès des deux entonnoirs d'or d'où l'or découle ? "

Il me parla en ces termes : " Ne sais-tu pas ce que c'est ? " Je répondis : " Non, mon seigneur. "

Et il me dit : " Ce sont les deux fils de l'onction qui se tiennent près du Seigneur de toute la terre. " (Zacharie, 4, 11-14)

Les deux témoins dans le Nouveau Testament :

« Ceux-ci sont les deux oliviers et les deux candélabres qui sont dressés en présence du Seigneur de la terre. » (Ap. 11,4)

CONCLUSION

« Il y a vingt siècles plus l'âge du Sauveur. Amen  » affirme Jean XXIII.

Considérant un décalage de 7 ans pour la naissance du Christ selon Benoît XVI, nous arrivons à 2033 moins 7 ans : 2026.

Exactement avant la venue du Lys selon Don Bosco.

Avant les deux lunes de mai 2026.

Soit à l'automne 2025 pour la limite de Babylone.

27 novembre

Cet article est trop important pour ne pas le traduire en français et le rendre disponible pour les intéressés.

La fusion entre le biologique et le techonologique, la 4ème révolution de Swab et de l'élite a été officiellement annoncée il y a quelques semaines.

Il s'agît du métavers.

C'est tout un affront.

Car c'est la singerie de Satan du Royaume de Dieu finalement établit sur la terre.

C'est l'annonce que la présence de Dieu sur cette planète sera éliminée à très court terme.

Évidemment.

C'est un ultimatum.

Une ligne rouge franchie qui aura des conséquences.

« La fausse liberté du métavers, où l'illusion triomphe (lifesitenews.com)

Un monde isolé et déconnecté de la réalité et de la nature des choses peut nourrir des passions débridées, opposées à toute règle morale.


La prochaine étape de la révolution de l'information est le soi-disant  métaverse * , une plate-forme puissante qui va au-delà de tout ce qui a été vu jusqu'à présent. Il sera commercialisé comme la prochaine génération d'Internet, facilitant des expériences intenses et ouvrant de nouveaux marchés.

Certains craignent que ce  métavers  n'aggrave les dépendances actuelles aux médias sociaux, et d'autres y voient une distraction bien plus dommageable, en particulier pour les jeunes. Cependant, personne ne semble considérer les implications morales du projet. Le  métavers  nuira aux âmes. Malheureusement, personne ne voit de raison d'impliquer Dieu et la moralité dans une invention technologique apparemment en dehors du domaine privé de la religion. Pire encore, le clergé ne montre aucun signe de reconnaissance du problème. Il n'est même pas dans son radar.

Mais le problème existe. Le  métavers  est une attaque métaphysique contre la vision du monde de l'Église. Elle efface la nature d'un univers créé par Dieu et rend possibles des actes immoraux qui L'offensent gravement.

Un processus d'imagination et de destruction

Le  métavers  doit être compris dans le contexte d'un processus d'effort continu de la modernité pour mettre l'humanité, et non Dieu, au centre de toutes choses.

En effet, la modernité est obsédée par l'imagination de nouveaux mondes sans Dieu. Les Lumières ont introduit des moyens d'étendre la réalité à ses limites en développant de nouvelles technologies, philosophies et modes de vie.

Les temps modernes ont inauguré la glorification de l'homme. La société est devenue une collection de personnes, ce « tas de sable fait par des individus » de Hobbes, chacun guidé par son intérêt personnel et maintenu en ordre par une forte règle de droit comme on le trouve dans son Léviathan.

Ainsi, l'individualisme moderne vise à détruire les structures extérieures - tradition, coutumes ou corps intermédiaires - qui entravent l'intérêt personnel, détruisant de nombreux mécanismes moraux qui facilitent la pratique de la vertu en commun. De plus, elle a créé un ordre frénétique dans lequel, en plaçant l'homme au centre de tout, la religion est reléguée au rang d'affaire privée.

La postmodernité a brisé la société

L'ordre de la modernité a été bouleversé par la postmodernité inaugurée dans les années 1960, qui proposait de libérer l'imaginaire et de lever toutes les contraintes morales. La postmodernité a poussé l'individualisme à l'extrême grâce à l'utilisation de nouvelles technologies, philosophies et modes de vie. La société a été bouleversée par les drogues psychédéliques, la musique rock et la révolution sexuelle.

Avec la même logique avec laquelle la modernité idolâtrait l'intérêt personnel, l'individualiste postmoderne fait du « droit » à l'autosatisfaction le seul droit absolu - même lorsqu'un tel comportement est autodestructeur. L'individualiste postmoderne cherche à détruire ces structures internes - logique, identité ou unité - qui empêchent la gratification instantanée. Les récits « déconstruits » de la postmodernité ont isolé encore plus les individus et les ont poussés à créer leurs réalités en dehors de Dieu et de sa morale.

Cependant, la modernité et la postmodernité étaient encore en quelque sorte ancrées dans une réalité extérieure à laquelle les gens ne pouvaient pas complètement échapper. Il y avait des limitations physiques et ontologiques qui contrôlaient l'imagination. Un homme pouvait s'identifier comme quelque chose qu'il n'était pas, mais le désir n'altère pas la réalité. De plus, son imagination n'était pas évidente pour tout le monde autour de lui.

Une nouvelle phase de perception de la réalité

L'introduction du  métavers  surmonte cet obstacle pour modifier la réalité. Cela fait partie de ce que de nombreux futurologues appellent une  quatrième révolution industrielle . Suivant les traces de la modernité et de la postmodernité, la prochaine étape du processus est l'auto-imagination en dehors de la réalité. Les obstacles qui se dressent sur le chemin sont la façon actuelle de percevoir la nature, l'existence et l'être.

Cette prochaine vague d'innovation technologique permettra aux individus de s'immerger dans un monde créé par eux. Les gens deviendront des avatars, c'est-à-dire des cyber-représentations d'hommes, de femmes, d'animaux ou de choses qui « vivent » dans la  cybersphère . Ils pourront être où bon leur semble, que ce soit sur la lune, au sommet d'immeubles ou "dans une campagne peuplée de licornes". Cette plate-forme peut être habitée par des extraterrestres, des anges, des démons ou tout ce qui suit les fantasmes impliqués.

Les gens feront des choses surhumaines dans lesquelles les actes sembleront n'avoir aucune conséquence. Même si vous ne changez pas ce qui existe, vous pouvez puissamment nourrir le mensonge selon lequel votre imagination est plus réelle que la réalité.

Cette immense plate-forme virtuelle est plus qu'une simple extension d'Internet, qui permet aux gens de parcourir le World Wide Web. Cette nouvelle étape « incarne Internet en plaçant l'humain au centre de celui-ci ». Dans ce nouveau royaume, l'imagination règne.

Ce n'est pas de la science-fiction

Ce projet n'est plus de la science-fiction. On en parle dans les médias institutionnels comme le  Wall Street Journal . Toutes les sociétés de médias sociaux y mettent des éléments. Mark Zuckerberg vient de rebaptiser Facebook, l'appelant Meta. Elle investira 10 milliards de dollars et embauchera 10 000 nouveaux employés pour construire ce nouveau monde.

« Le  métaverse  sera la plus grande révolution des plates-formes informatiques que le monde ait jamais connue, plus grande que la révolution mobile, plus grande que la révolution Web », déclare Marc Whitten de Unity Software dans un article du  Wall Street Journal .

Le métaverse propose un univers parallèle en trois dimensions de réalité virtuelle et augmentée où les avatars numériques se rencontreront en nombre illimité. Les gens seront équipés de lunettes spécialisées et même d'équipements tactiles de pointe, qui leur permettront de sentir et de toucher des choses éloignées en temps réel, pouvant mélanger le monde réel avec l'imaginaire.

Daren Tsui, PDG de Together Labs Inc. déclare : « L'expérience de l'avatar sera si réelle qu'il est difficile de faire la différence entre une rencontre virtuelle et une rencontre physique. Et l'expérience virtuelle n'en sera que meilleure ».

Création consécutive d'un monde illusoire

Il y a trois problèmes principaux avec le  métaverse . Le premier est qu'il encourage les gens à se détacher de la réalité en créant un monde illusoire sans conséquence ni sens. Les gens sont libres de défier la nature en faisant des choses impossibles, comme marcher sur la lune ou regarder un match de baseball depuis l'assiette du lanceur. Les choses les plus absurdes deviennent possibles dans un monde imaginaire déconnecté de la réalité.

Les gens ne sont plus liés au temps et peuvent voyager dans ce qu'ils imaginent être le passé ou le futur. Même la mort peut être « vaincue » avec des avatars et des algorithmes qui ramènent ce qui semble être des parents décédés ou des personnages historiques avec lesquels on peut converser et interagir. Vous êtes libre de faire des choses aux autres (qui peuvent exister ou non) ou même de vous couper les bras sans conséquences. Tout fantasme, même le plus macabre, peut devenir réalité dans le  métavers . De cette façon, des espaces sombres et sinistres peuvent être ouverts qui faciliteront les actes pécheurs ou leurs simulations.

Un monde si isolé et déconnecté de la réalité et de la nature des choses peut nourrir les passions débridées qui rejettent toute retenue morale. Un espace comme celui-ci peut rapidement passer d'  Alice au pays des merveilles  à une maison de fous. L'intempérance frénétique d'Internet et des médias sociaux actuels cause déjà des problèmes psychologiques et sociaux. Dans quelle mesure la capacité du métavers  à engloutir les gens dans leurs frénésies et leurs dépressions sera-t-elle encore plus exponentielle  ?

Destruction de l'identité

La deuxième raison de s'inquiéter du  métaverse  est qu'il assimile l'identité au choix. Le paradigme postmoderne permet déjà à une personne de s'identifier comme autre chose. Cependant, cette identification n'existe que dans l'esprit de la personne trompée. Généralement, le monde extérieur peut percevoir l'illusion.

Néanmoins, le  métaverse  change cette perception. La personne devient le modèle parfait de ce qu'elle désire et ne peut pas être. Il n'est pas nécessaire que ce soit une personne, mais cela peut être un animal, une plante ou une chose. Il ne doit pas s'agir d'un seul être, mais d'une cacophonie d'êtres sans unité dans ce monde fantastique.

Le mensonge de s'identifier à la liberté est rendu possible avec le  métavers . Le philosophe existentialiste Jean-Paul Sartre a écrit que « l'homme est la liberté », ce qui rendrait les gens essentiellement illimités. Dans son livre L'  être et le néant , Sartre disait que « la liberté n'est rien d'autre qu'un choix qui se crée ses propres possibilités ».

Le  métavers  est la réalisation de cette idée déformée de la liberté qui se rebelle contre les limitations contingentes de la nature humaine, pouvant transformer les individus en dieux de leurs fantasmes.

Démolition de la métaphysique

Cependant, l'aspect le plus dangereux du  métavers  est la démolition de la vision métaphysique de la vie qui conduit l'âme au Créateur.

Tout le monde, même les enfants, se consacre à la métaphysique. La nature humaine et en particulier l'âme nécessitent une compréhension rationnelle de soi et de l'univers. Par conséquent, une définition classique de la métaphysique est qu'il s'agit d'une enquête philosophique sur les principes et les causes ultimes. En s'engageant dans la métaphysique, les individus recherchent la nature des choses qui existent et les intègrent dans une vision cohérente.

Une vue vraie des choses rend douloureusement claire la nature finie et contingente de chaque être humain. Pourtant, en comprenant les conceptions de la Création, les gens voient que le but de l'existence transcende les limitations physiques et sociales, poursuivant un chemin vers le Créateur en tant que reflet de la nature. Ce processus donne un sens et un but à la vie alors que les âmes s'efforcent d'atteindre leur but ultime en Dieu.

La révolution du transhumanisme

Les philosophies derrière le  métavers  sont contraires à cette vision métaphysique classique. Il n'y a aucune tentative pour comprendre la nature des choses, seulement pour avoir l'expérience illimitée d'événements aléatoires. Cette notion « transhumaine » du monde comprend l'humanité comme un processus en constante évolution. L'ingénieur de la « Grande réinitialisation » Klaus Schwab décrit cette prochaine phase comme la « fusion imminente des mondes numérique, biologique et physique ».

L'idée du  métavers  est cohérente avec la vision de l'auteur à succès du  New York Times  Yuval Noah Harari, qui écrit fréquemment sur ces sujets en imaginant explicitement un avenir sans âme ni libre arbitre, sans moi unifié et sans Dieu. un monde algorithmique d'expériences aléatoires où l'on est ce que l'on devient. Il soutient qu'il n'y a pas de religions mais seulement de puissantes fictions, tout comme le  métavers , dans lequel les gens « créeront des mondes virtuels entiers avec des enfers et des paradis ».

L'auteur n'est pas le seul à croire en cet avenir glacial. Parlez au nom d'une classe progressiste de scientifiques, d'hommes d'affaires et d'universitaires du Big Data et de la Silicon Valley, qui se sont tous donné pour tâche de changer la nature et la réalité humaines à travers des artifices tels que le  métavers  et qui ne cachent pas leur refus de la création divine et de ses ordre moral.

Le refus s'impose

Ce sont des préoccupations urgentes face au  métaverse  entrant. Bien sûr, toutes ses applications ne contiendront pas la pleine dose de ces plans destructeurs pour l'humanité. Cependant, la direction générale mène à un nouveau monde arrogant sans Dieu. De telles conclusions ne viennent pas des théories du complot, mais sont ouvertement révélées par les promoteurs du  métavers .

Par conséquent, le  métavers  doit être rejeté parce que sa vision du monde est contraire à celle de l'Église. Il est navrant que quelque chose d'aussi grand puisse apparaître à l'horizon et que les bergers des âmes aient si peu à en dire. Dans la société sans Dieu d'aujourd'hui, l'apostasie de la pratique de la Foi est causée bien plus par des inventions technologiques comme celles-ci que par des disputes théologiques abstraites.

Craignez également que vous ne vouliez pas voir où cela mènera. L'histoire montre que lorsqu'on laisse libre cours aux passions, on finit par aboutir au désespoir nihiliste. L'expérience excessivement intempérante du plaisir causé par le  métavers  peut éventuellement nécessiter les sentiments les plus intenses de douleur existentielle. Ainsi, le processus de décomposition de la modernité suivra son cours complet : de l'intérêt égocentrique à l'autosatisfaction, à l'auto-imagination, à l'auto-annihilation.

En fait, ce sera un monde dominé par les illusions, les absurdités et le déni de l'être, où le sens et le but sont annulés et les règles bizarres de l'imagination reçoivent un nom tout aussi bizarre. De cette façon, les visionnaires sécularisés du  métavers  planifient un enfer virtuel sur terre.

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* Metaverse (en anglais  Metaverse ) est (…) une sorte de  réalité virtuelle  partagée via  internet , où l'on est représenté en trois dimensions à travers son  avatar . (...) Sur cette plateforme chacun peut créer en  3D  ce qu'il veut,  commerces ,  bureaux ,  discothèques  et plus, le tout potentiellement ouvert aux utilisateurs »

23 novembre

Comme spécifié dans l'analyse d'hier, plus on s'approche de la mort et la résurrection des deux témoins, et de la mort de l'Antéchrist système, plus le temps accélère.

Ce fait nous est confirmé par les paroles même du démon lors d'un exorciste.

« ( LifeSiteNews ) – Un célèbre exorciste américain a déclaré que Satan lui avait dit lors d’une séance d’exorcisme que Dieu « est sur le point de me retirer mon pouvoir ».

Lors d’un podcast la semaine dernière, le P. Chad Ripperger a déclaré qu’il « commandait » à l’esprit d’expliquer les motifs de son comportement. Ripperger a déclaré que le diable – qu’il a identifié comme étant Belzébuth – a commencé à pleurer, admettant que Dieu est sur le point de mettre fin à son influence sur les affaires de l’Église.
Le prêtre a déclaré qu’il ne pouvait pas donner de détails intimes sur les raisons entourant la possession parce qu’il n’avait pas la « permission de son évêque de parler » sur les rouages ​​de l’affaire. Il a déclaré que le contexte de l’attaque démoniaque était « certains problèmes au sein de l’Église ».

Ripperger croit que l’admission diabolique de Dieu restreignant le niveau d’influence que les anges déchus ont sur les affaires de l’Église aura des applications sur une plus large « situation géopolitique par application ».

L’influence des diaboliques sur la sphère politique a été discutée sur le podcast US Grace Force, animé par Doug Barry et Fr. Richard Heilman. Le trio a discuté de la crise de l’Église catholique – que Ripperger a appelée « cette obscurité que nous vivons » – et de la présence de la philosophie marxiste dans la gouvernance du monde entier.

L’exorciste a soutenu que le communisme s’est propagé dans le monde entier, ce qui, selon lui, est attesté par le fait que « l’État profond du monde entier a pu fermer l’économie mondiale en moins de deux semaines ».

L’avènement des blocages mondiaux au début de la pandémie déclarée était la preuve pour Ripperger qu’une influence marxiste a conduit à un « contrôle du récit » qui a arbitré les messages entourant COVID-19.

En dehors de son expertise en matière spirituelle et religieuse, Ripperger a publié de nombreux articles dans le domaine de la psychologie humaine . Il a déclaré dans l’interview que son travail avec les personnes possédées l’avait amené à étudier la psychologie comme moyen d’aider plus efficacement ceux qui venaient à lui. En conséquence, il a publié une série de conférences « sur la façon dont la psychologie diabolique et la psychologie communiste sont fondamentalement… les mêmes ».

Il lui est apparu récemment, a déclaré Ripperger, que la « structure » de la façon dont les gouvernements et les démons actuels traitent les gens n’est pas sans rappeler une « relation abusive ». Il a fait référence à des manuels de psychologie « où ils parlent de la structure des cas de violence domestique », arguant que « l’éclairage au gaz » est une composante du comportement abusif.

L’éclairage au gaz est défini comme la manipulation de quelqu’un par des moyens psychologiques pour qu’il remette en question sa propre santé mentale. Selon Ripperger, les démons et les gouvernements le font – comme un conjoint violent – en faisant des réclamations aux maltraités qui ne sont pas vraies, puis en dénonçant la personne pour ne pas croire au mensonge avec un comportement abusif.

Ripperger pense qu’un exemple de cet éclairage au gaz est que le terme « suprémaciste blanc » est utilisé comme péjoratif pour décrire une personne qui n’a pas d’antécédents de comportement raciste. La personne est alors « éclairée » lorsqu’elle est tenue de se défendre contre des accusations non prouvées de racisme.

L’exorciste a estimé que le comportement des gouvernements est une preuve de « panique » car « ils font tout ce qu’ils peuvent … aussi vite qu’ils le peuvent sans réfléchir ». Il a relié la panique qu’il a vue dans les affaires du gouvernement à la panique qu’il a vue dans le démon qu’il exorcise. Ripperger pense qu’au sein du gouvernement et de l’Église, les fonctionnaires « ont tendance à se dépasser » parce qu’« ils se précipitent… ils se rendent compte que leur temps presse et qu’ils doivent donc « faire quelque chose ».

« Cette panique que nous voyons… ils se bousculent littéralement [dans] la situation géopolitique… et même dans une certaine mesure au sein de l’Église », a-t-il ajouté.

« Les démons savent que leur temps est limité, alors ils essaient de réprimer n’importe quoi … alors nous allons commencer à voir les gouvernements devenir de plus en plus tyranniques … c’est une indication qu’ils surjouent leur main … parce que ils bluffent tellement… ils mentent parce que leur temps est très court.

Ripperger n’a pas suggéré que la société et l’Église connaîtraient la paix ou l’ordre immédiat même avec la dissipation de toute tyrannie spirituelle. Il a dit que « le mal ne s’en va pas tranquillement, il piétine comme un bébé… vous savez [un] enfant violent.

Lorsqu’on lui a demandé comment les laïcs pouvaient se préparer « à vraiment s’accroupir et à s’engager dans cette bataille », Ripperger a répondu que les catholiques devraient se garder « sous le manteau de Notre-Dame, avoir une forte dévotion envers elle, lui demander sa protection ». »

22 novembre

LA MORT DES DEUX TÉMOINS

Le calendrier de la fin des temps décrit dans l’Apocalypse entre vraiment dans la 7ème période ( où il y a la 7ème église, le 7ème sceau, et la 7ème trompette, soit le 777) après la mort des témoins et leur résurrection.

Cet événement n’est pas très loin.

Nous savons que le synode en cours devrait mené à une nouvelle église humaniste avec une célébration œcuménique adaptée au us et coutumes paroissiales, bref un retour au panthéisme qui a commencé avec le synode amazonien et la pachamama à la basilique Saint-Pierre en 2019.

Donc l’Église traditionnelle avec le clergé et les chrétiens fidèles à Loi et aux Prophètes représentent les « deux témoins » aujourd’hui.

Première possibilité  de la mort des témoins : comme avec le dernier Motu Proprio Traditionis Custodes forçant la messe conciliaire, une nouvelle directive de Bergoglio concernant la messe œcuménique en préparation, forcée pour tous, déclencherait le schisme tant prophétisé.

Ainsi, ceux qui voudront demeuré au sein de l’église catholique, les conservateurs, devront de plier à cette directive, et ceux qui ne voudront pas simplement y adhérer seront excommuniés.

Dans un cas, comme dans l’autre, ils seront morts dans le sens donné par l’Apocalypse.

Deuxième possibilité : Klaus Swab avec sa grande réinitialisation nous a préparé une cyber pandémie depuis deux ans. Et, en effet, pour contrôler la masse qui est hyper dépendante des ordinateurs et qui ne peut se passer de son téléphone intelligent, il faut qu’ils contrôlent absolument internet.

Il y aura donc une panne internet mondiale. Ils l’ont annoncé.

Mais comme Klaus Swab l’affirme, le retour à la normale n’aura pas lieu. Bergoglio utilise le même langage quant à l’église où il n’y aura pas de retour en arrière, c’est à dire, l’avant Vatican II.

Ils ont facilement démontré avec la pandémie Covid-19 qu’ils pouvaient fermer et interdire les lieux de cultes, les églises.

Ils savent donc qu’ils peuvent répéter l’exercice de ce côté, mais de façon permanente.

Pour l’instant, il faut même le passeport sanitaire pour assister à la messe dans certains endroits.

Nous avons été témoins que le seul moyen dans le plus fort des confinements pour assister à la messe ou tout simplement demeurer connecté avec le religieux était internet.

Quoi de plus facile alors, après une cyber pandémie, de revenir avec un internet renouvelé, où toute indication religieuse ne concordant pas avec le système humaniste de fraternité universelle, serait tout simplement censurée, incluant les blogs et les courriels.

Ainsi, cette mort des « deux témoins » impliquerait inévitablement que la tradition ne vivrait que grâce au Saint-Esprit, à une nouvelle Pentecôte.

Les deux témoins auront eu le temps de prophétiser pendant 42 mois.

C’est le même délai que la durée de vie des deux bêtes de l’Apocalypse.

Vatican II est le point de départ de cette guerre contre les âmes, de la montée de la bête de la mer qui a contrôle sur tous les royaumes, c’est à dire le Vatican (car en termes d’ouverture pour le Royaume des Cieux, il y a seulement la religion catholique comme voie possible).

C’est pourquoi que dans le chapitre 11 de l’Apocalypse, Saint Jean affirme qu’ils ont le pouvoir de fermer le ciel.

À noter que la mort des deux témoins ne dure que 3,5 jours, comparer à la durée de vie des deux bêtes, soit 42 mois ou 3,5 années,.

C’est donc un indice qu’après leur mort, tout s’accélère, puisque ce qui suit c’est la mort de l’Antéchrist et la chute de Babylone la grande, soit ce qui précède le retour de NSJC et le Jugement dernier.

Le concile EST le châtiment des chrétiens catholiques, des justes, du peuple fidèle à la Loi et aux Prophètes!

C’est bien cette torture psychologique qui est présentement appliquée au peuple de Dieu.

Les châtiments tant attendu par plusieurs ne sont pas devant mais derrière nous.

Ce qui se profile à l’horizon, c'est le châtiment de ceux qui ne sont pas avec le Christ, les autres.

C’est bien là que la synode 2023 veut mener le monde.

Pour ou contre le Christ.

La mort des deux témoins symbolisée par le décès éventuel de Benoît XVI, un témoin visible et important.

C’est confirmé par la prophétie de Jean XXIII le concernant.

« devant la tombe du va-nu-pieds, éclatera le règne béni de la Très Sainte Vierge. »

Soit, à la célébration des obsèques de Benoît XVI, devant la tombe de Jean-Paul II, située directement à l’entrée de la basilique Saint-Pierre.

« Écoutez ses paroles.
Marie Très Sainte, fille et mère de Dieu, maîtresse du temps futur, bats le rappel de tes fils dans les campagnes, pour qu'ils abattent les deux Babylone. »

C’est l’appel de la chute des deux Babylone, soit juste après la mort des deux témoins.

« La terre détruira le ciment et de terre sera, Reine, ta nouvelle Église. »

Confirmant ainsi que la nouvelle Église (en fait la Tradition qui aura su ressusciter l’Église) n’en saura pas une politisée comme la conciliaire, mais vivante dans les cœurs.

Pier Carpi dans son analyse utilisent les termes : « construite par des hommes nouveaux, qui ont gardé les traditions antiques de type campagnard, des traditions simples en tout cas. »

Jean XXIII dans la « prophétie politique #22: Grand Éclair à l'Orient » confirme le tout par « ce n'est pas le temps d'un roi, ce ne l'a jamais été. Depuis la mort de Frédéric, chaque roi est usurpateur. Que le roi s'en aille, reste le peuple. L'Europe a soif, elle aura du sang dans les rues.
Mais aussi de grandes processions et la Vierge Heureuse descendra sur terre. Vous ne la verrez pas dans la grotte, mais dans un cœur qui revivra. Depuis les ténèbres, elle apportera la parole que tous comprendront. »

Il s’agit bien d’une nouvelle Pentecôte après la mort des deux témoins.

Ce n’est pas dans une grotte donc dans ce qui a été, une église physique temporelle, mais dans le cœur que cela se vivra.

Et, ici est indiqué que ce n’est pas le temps d’un roi, d’un leader mondial mis sur le trône après la grande réinitialisation.

Tout concorde.

14 novembre

LES GRANDES COMÈTES DES DERNIERS TEMPS

Les 3 comètes analysées ici sont les dernières grandes comètes de longues périodes visibles à l’œil nu, c’est à dire imprévues ou simplement parce qu’elles viennent de très loin, et qu’on ne reverra plus jamais, donc de comètes qui apparaissent à des moments clés.

Ces 3 comètes ont été ou sera visibles au nord et au sud à la fois, pour que cela soit significatif, c’est à dire vu par tous, et non comme la comète Hale-Bopp en 1997 qui n’a été vu que dans l’hémisphère nord.

La comète Leonard, si elle atteint une magnitude tout près de zéro ou moins, pourrait donner tout un spectacle lorsqu’elle « rasera » vénus le 17 décembre.

Notons que c'est la date anniversaire de Bergoglio, et que vénus est la planète maître de la franc-maçonnerie, représenant Lucifer via le pentagramme symbolique.

Alors, un signe comme à la naissance du Christ?

C'est à suivre.

Notions de magnitude : plus le chiffre est petit, plus c’est brillant.

Le chiffre 7 et ses multiples très présents (7 fois, 7 fois, 7 fois, etc... dans les prophéties de Jean XXIII par exemple).

Il y a donc beaucoup de relations au chiffre 7, et surtout, l’importance du 14 au 15, et conséquemment, du 21 (notions du 777, chiffre par excellence singé par Satan et ses sbires de la kabbale).

Commençons par la comète MacNaught  avec son jour le plus brillant, soit le 14 janvier 2007.

Elle fut la comète la plus brillante en plus de 40 ans et fut facilement visible pour les observateurs de l’hémisphère sud en janvier et en février 2007.

Elle a atteint la magnitude de -2.

La comète vue d’Allemagne

Benoît XVI, le bon larron de notre fin des temps, rétablit l’ordre par rapport à la messe tridentine avec Summon Pontificum 7 mois plus tard, soit le 7 juillet 2007.

7 ans plus tard, c’est la comète ISON qui était cataloguée comme la possible comète du siècle.

Ce fut un flop monumental (à l’image de Babylone prochainement) puisqu’elle s’est désintégrée lors de son passage autour du soleil.

Mais, Babylone jubile en 2014 et çà commence le 15 janvier 2014 (exactement 7 ans après le passage de MacNaught autour du soleil) avec le discours de Christine Lagarde et l'importance du chiffre 7.

Et ensuite le 23 janvier 2014 (Davos), elle lance qu’il est temps de faire un « reset », une réinitialisation.
(voir analyses précédentes)

Concept dont nous sommes habitués d’entendre maintenant.

2014, c’est aussi Brescia, patrie de Paul VI, où la croix de Jean-Paul II est tombée, tuant un jeune touriste.

Le 27 avril 2014, ce sont les canonisations de Jean XXIII et Jean-Paul II, qui ont contribué grandement à cette phase de l'humanisme créée par Paul VI à la dernière séance de Vatican II.

Le 8 juin 2014 : c’est la prière pour la paix de Bergoglio avec Shimon Peres, et Mahmoud Abbas, thème donc si cher pour développer la « fraternité universelle », la nouvelle religion.

Donc, la comète MacNaught est la plus brillante des comètes de longues périodes depuis plus de 40 ans.

Selon les astronomes, c’est donc à la comète de 1965 Ikeya–Seki que l’on fait référence.

Elle fut découverte le 18 septembre 1965, étant au plus près du soleil le 21 octobre 1965, et elle a atteint une magnitude de -10!!!

Elle est considérée comme la plus grande comète du 20ième siècle.

Et ce n’est pas pour rien :

1965, c’est la fin de Vatican II, avec le nouveau missel.

C’est la quatrième session, du 14 septembre au 8 décembre 1965.

On s’intéresse alors au schéma 13, qui traite de la place de l’Église dans le monde moderne.

Ce schéma est le cœur du présent synode sur l’avenir de l’église!!!

(Est-ce le début des 42 mois de la bête avec la comète Leonard le 17 décembre, car 2021 + 3.5 années donnent exactement au maximum de l’activité solaire du cycle 25 prévu? Et puisque le signe qui a été donné à Fatima en octobre 1917 concerne la soleil, alors il faut s'y interesser.)

Le 15 septembre 1965, Paul VI, dans le Motu Proprio Apostolica Sollicitudo, établit le Synode des évêques (ce qui est le mal qui gangrène l’église et qui est la voie ultime prise par Bergoglio aujourd'hui).

Le 4 octobre 1965, Paul VI se rend à New York pour prononcer un discours devant l’Assemblée générale des Nations-Unies et, à son retour à Rome, il adresse la parole au Concile. La religion humaniste prend son envol.

« Reconnaissez-lui au moins ce mérite, vous, humanistes modernes, qui renoncez à la transcendance des choses suprêmes, et sachez reconnaître notre nouvel humanisme : nous aussi, nous plus que quiconque, nous avons le culte de l’homme.» Paul VI

Retour à notre comète de 2021, Leonard.

Au plus près de la terre le 12 décembre, fête de ND de Guadeloupe, soit ND de l’Apocalypse.

En passant tout près de vénus dans la nuit du 17 au 18 décembre, elle arrivera au plus près du soleil le 3 janvier 2022, fête du Saint Nom de Jésus, soit la journée où elle sera la plus brillante!

Nouvelle photo (11 novembre) : Cette photo démontre que Leonard est passée d’une magnitude 11 à 9 depuis une autre photo prise le 9 novembre. C’est rapide!

Les astronomes calculent présentement une magnitude de +1 au 3 janvier 2022.

La comète est positionnée comme la comète MacNaught en 2014, près de l’équateur, donc visible dans les hémisphères nord et sud.

Il y a 14 ans, 11 mois et 20 jours (ce qui devient ici intéressant), entre MacNaught et Leonard.

Or, en 2021 nous avons eu le 16 juillet : Traditionis Custodes de Bergoglio qui annihile le Motu Proprio de Benoît XVI de 2007.

Ainsi, la comète Leonard  semble être la comète du passage de la 14 ème année de Summon Pontificum (2021) vers la 15 ème année (qui serait atteint ainsi le 7 juillet 2022), mais qui n’aura pas lieu parce que annulé par Bergoglio.

Or, c'est dans la nuit du 14 au 15 Nizan (en mars ou avril), qu'a lieu la première Pâques en Égypte (à la 10ème plaie), Pâques signifiant passage, donc la libération du peuple juif des griffes du pharaon.

La nuit de la libération des hébreux est donc à rapprocher de la nuit de libération des justes.

Mais la libération se déroule en deux temps : une fois le choc amorti, pharaon poursuit les hébreux dans l’intention de les exterminer.

Ce n'est qu'au passage de la mer Rouge que tout se termine avec la fin que l'on connaît.

Nous verrons si la comète Leonard est un signe envoyé commençant la libération des élus des derniers temps.

Plus que quelques semaines à attendre.

Conséquemment, puisque les actions de Benoît XVI ont été effacés avec le Motu Proprio du 16 juillet dernier, date non anodine, on peu donc affirmer que son travail sur cette terre semble accompli.

Cela fait parti aussi de l'équation...

Pour enclencher la dernière partie de la prophétie le concernant.

Octobre 2021

29 octobre

L’AVERTISSEMENT DU CIEL

Une étrange tache solaire qui nous mettait déjà la puce à l’oreille en début de semaine a produit la première de classe X1 (la plus basse sur une échelle de 10 logarithmique) du cycle 25.
Photo de l’éjection du 28 octobre

Cet événement est en lien avec notre société humaniste qui ne repose que sur sa technologie et sa science, et avec Jean XXIII et Vatican II.

Jean XXIII a été élu le 28 octobre 1958.

– la foule a su qu’un pape avait été élu en 1958 à 17h08 (fumée blanche).

– L’heure de la présentation de Jean XXIII au balcon devait être autour de 17h30 logiquement.

Or, en temps universel, 17h30 heure de Rome, est 15h30 UTC.

Or, l’heure de l’éjection de classe X1 sur la photo ci-haut est à 15h35 UTC

Donc, cela fait 63 ans pile.

Retour sur l’élection du pape Jean XXIII.
 
On anticipe donc un impact d’une éjection de masse coronale (CME) en halo forte sur la terre pour le 30 octobre à 20h, heure de Paris, ou 14h, heure de Montréal.

Sans surprise, la CME devrait frapper la terre la journée où les bêtes se rassemblent à Rome pour la réunion du G20: Macron, Biden et Bergoglio.

Le but est évidemment la grande réinitialisation verte (et son passeport sanitaire qui deviendra écologique) qui sera lancée à la COP 26 à partir de dimanche.

Et les bêtes ont donné les signes!

Les deux Babylone des prophéties de Jean XXIII (Vatican et les Nations-Unies)

« COP26: à la BBC, le Pape évoque le climat comme défi de civilisation.

«Le changement climatique et la pandémie de Covid-19 mettent en évidence la vulnérabilité radicale de tous et de tout, et soulèvent de nombreux doutes et questions sur nos systèmes économiques et l’organisation de nos sociétés», a affirmé le Souverain pontife, constatant que «nos sécurités se sont effondrées, notre appétit de pouvoir et notre soif de contrôle s’effritent».
Nous nous sommes découverts faibles et craintifs, a estimé le Pape, car plongés dans une série de «crises»: sanitaire, environnementale, alimentaire, économique, sociale, humanitaire et éthique.

Des crises transversales, «fortement interconnectées et annonciatrices d’une ‘’tempête parfaite’’, capable de briser les ‘’liens’’ qui unissent notre société au sein du précieux cadeau de la Création», a-t-il souligné, insistant sur «l’exigence d’une vision», des «compétences en matière de planification et une rapidité d’exécution, afin de repenser l’avenir de notre maison commune et de notre projet commun».
Conscient que ces crises mettent face à des choix radicaux difficiles, le Pape a rappelé que chaque moment de difficulté contient également des opportunités, «qui ne peuvent être gaspillées».


Répétant «qu’on ne peut sortir seul d’une crise», le Souverain pontife argentin a rappelé l’appel commun signé le 4 octobre avec des chefs religieux et des scientifiques. «À cette occasion, j’ai été frappé par le témoignage d’un des scientifiques qui a déclaré: ‘’Ma petite-fille, qui vient de naître, devra vivre dans un monde inhabitable d’ici 50 ans, si les choses continuent ainsi’’. Nous ne pouvons pas permettre cela!», a raconté François… » (vaticannews.va)

En parallèle avec la bête de la terre ou Babylone Nations-Unies qui nous lance ceci (regardez bien la vidéo. Elle indique vers où ils nous dirigent)

« Ne choisissez pas l’extinction.

Le monde dépense annuellement la somme colossale de 423 milliards de dollars pour subventionner la consommation de combustibles fossiles – pétrole, électricité produite par la combustion d’autres combustibles fossiles, gaz et charbon. Selon une nouvelle étude du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) publiée aujourd’hui, ce montant est quatre fois supérieur à celui qui est demandé pour aider les pays pauvres à lutter contre la crise climatique, l’un des points de friction de la conférence mondiale sur le climat COP26 qui s’ouvre la semaine prochaine… »

La tempête solaire est donc bel et bien un avertissement.

Nous verrons demain pendant que le « gratin » de ce monde abuseront de la bonne chair et du vin en abondance à leur G20.

Et la référence de Jean XXIII pour Vatican II en ce 28 octobre n’est pas un hasard.

Élu il y a 63 ans.

Or, selon la formule de l’Apocalypse de la durée de la bête, 1 temps, 2 temps et la moitié d’un temps, soit 3,5 années ou 42 mois, les eschatologues privilégient donc une division en base 3,5.

Donc 63 années divisées par 3,5 donnent 18, et 18 est donc 6+6+6, se référant donc à la bête tout comme il y a 666 mois entre l’élection de Jean XXIII et sa canonisation!

Voici une référence qui confirme que Pie XII avait eu l’idée du concile mais dans sa grande sagesse l’avait abandonné afin de ne pas créer de schisme.

Mais Jean XXIII a décidé d'ouvrir la boîte de pandore... pour une société humaniste.

« Tout de même honnête, Peter Hebbletwhaite rappelle que c’est Mgr Ruffini qui en a eu l’idée en 1939, avant même d’être cardinal, mais Pie XII ne s’y arrêta pas. Devenu archevêque de Palerme, il revint à la charge en 1948, avec le soutien du cardinal Ottaviani, dans le but d’obtenir la condamnation des erreurs modernes ; cette fois, le Pape en ordonna la préparation secrète. Mais Pie XII abandonna quelques mois plus tard, lorsque les réactions des prélats consultés laissèrent entrevoir de grandes divisions au sein de l’épiscopat. Finalement, au dernier conclave, les deux cardinaux s’adressèrent à celui vers qui le vote s’orientait.

Le 30 octobre 1958, donc deux jours après son élection, Jean XXIII en parla à son secrétaire et se fit apporter les archives de la préparation de 1948. Après en avoir pris connaissance, il résolut que son concile se ferait dans un tout autre esprit : son objectif principal serait pastoral et non pas doctrinal, il fallait répondre aux besoins nouveaux de l’Église et du monde. Sa décision est définitivement arrêtée le 28 novembre. »

Est-ce que la tempête solaire qui frappera causera des dégâts par rapport à l’électronique (en référence aux passeports planifiés entres autres), pour contrer les deux Babylone?

N’oublions pas ceci :

« Marie Très Sainte, fille et mère de Dieu, maîtresse du temps futur, bats le rappel de tes fils dans les campagnes, pour qu'ils abattent les deux Babylone. » (fin de la prophétie concernant Benoît XVI)

À surveiller donc demain, tout comme Benoît XVI.

26 octobre

LA LIMITE DE  BABYLONE PARTIE IV
(suite de mai et juin 2021)

La période d'octobre 2021 à 2025 semble être celle où tout balance écrivions nous.

En ce mois d’octobre, nous avons plus de précisions suite à l’ouverture du synode 2021-2023 concernant l’avenir de l’église telle qu’on la connaît.

Nous avons vu que la semaine de Daniel (1 jour = 1 an) pourrait être la période s’étendant d’octobre 2019 à octobre 2026, avec l’arrêt possible du sacrifice et de l’oblation prophétisé pour mai 2023.

Les deux mois clés de la Sainte Vierge Marie dans le calendrier sont mai et octobre.

Le 13 mai 2026, cela fera donc 109 ans depuis les apparitions, soit les 100 ans + la 9ème heure, où tout est accompli (c’est à dire la mort du Christ sur la croix, donc de l’Église pour nous).

Mai 2026, c'est le retour du Lys prophétisé par Don Bosco.

Nous savons grâce à la vision du pape Léon XIII que Satan a eu 100 ans pour conquérir le monde.

Ces 100 ans commencent fort probablement en 1914 avec la première guerre mondiale où depuis, nous avons vu une croissance exponentielle dans la technologie, la médecine, les transports, etc., pour mener à la mondialisation, et bientôt à la dictature technofasciste.

« Depuis la sixième heure jusqu'à la neuvième, il y eut des ténèbres sur toute la terre. Vers la neuvième heure, Jésus cria d'une voix forte : " Eli, Eli, lamma sabacthani, c'est-à-dire, mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'avez-vous abandonné ? " »

C’est maintenant au tour de l’église d’abandonner ses fidèles.

« L’Église catholique ne s’est pas placée du côté de la vérité mais du côté du pouvoir, elle est devenue « constitutionnelle », acceptant tous les slogans de la propagande du système et les gonflant même de significations morales et religieuses de solidarité, alors qu’il s’agissait en fait d’abus, de tromperie et de chantage. Dans de nombreux cas, les dispositions ecclésiastiques sont devenues encore plus strictes que celles du gouvernement, et les fidèles ont été contraints de ne pas penser par eux-mêmes : la libre pensée et l’esprit de clocher sont répandus et encouragés dans l’Église d’aujourd’hui sur tous les sujets du Credo, mais pas sur le Green pass : là, le pape est Draghi. » (benoit-et-moi.fr)

Autre fait qui pourrait avoir son importance, le volcan à La Palma entrait en éruption le 19 septembre dernier.

Le nombre de jours entre cette date et le 12 décembre, fête de Notre-Dame de Guadeloupe, qui est en fait La Dame de l’Apocalypse, est de 84.

Ce chiffre représente l’âge de la prophétesse Anne.

« Anne, elle aussi, est «prophète», porte-parole de Dieu. Elle est âgée de 84 ans, c'est dire qu'elle a 7 fois 12 ans. Dans la symbolique biblique des nombres, le chiffre 7 suggère la perfection et le 12 l'universalité. Le lecteur devine ainsi qu'Anne représente parfaitement les croyants de son peuple qui attendent «la délivrance de Jérusalem».» (croire.la-croix.com)

En rappel, le 84 est ciblé dans l’Apocalypse par le fait que les châtiments doivent être remis au double à Babylone la grande, soit 2 X 42 mois, 42 représentant la durée de la bête ou la moitié de la semaine de Daniel (3,5 années).

Entrevoir donc le volcan La Palma comme un signe est du domaine du possible à cause de ceci:

« Et le deuxième ange sonna de la trompette, et une sorte de grande montagne tout en feu fût jetée dans la mer ; et le tiers de la mer devint du sang… » (Apocalypse 8,8)

Est-ce que la Sainte Vierge nous donne un signe à La Palma?  (voir la photo)

Le 84 menant au 12 décembre, pointe sur la comète Leonard qui sera au plus près de la terre, et probablement visible à l’œil nu au sud au coucher du soleil.

Rappelons que cette comète a été découverte le 3 janvier 2021 (fête du Saint Nom de Jésus) et qu’elle passera au plus près du soleil à la même date en 2022!

Leonard, c’est un lien direct avec le thème choisi par la revue The Economist en décembre 2018 quant à ses prédictions pour l’année 2019 avec comme thème principal le 500ème anniversaire du décès de Léonardo De Vinci (The World in 2019 de The Economist)

C’était la 33ème édition et on sait tous ce que représente le 33.

Rappelons que « The Economist n'est pas n'importe quelle publication – il est directement lié à l'élite mondiale. Il appartient en partie à la famille bancaire Rothschild d'Angleterre et son rédacteur en chef, John Micklethwait, a assisté à plusieurs reprises à la conférence Bilderberg.

En bref, la direction de The Economist a une connaissance intime du programme de l'élite et fait de son mieux pour le promouvoir.
L'esquisse de Da Vinci était basée sur les travaux de Vitruve, un architecte romain qui était considéré comme le « premier grand maître » de la franc-maçonnerie. Assez convenablement, l'homme de Vitruve représente visuellement le but ultime de la franc-maçonnerie : la quadrature du cercle.

Dans la symbolique maçonnique, le carré représente le corps physique et le cercle représente l'âme. À plus grande échelle, le carré représente le monde matériel, tandis que le cercle représente le domaine spirituel. L'un des buts de la franc-maçonnerie est d'harmoniser ces deux mondes opposés (physique et spirituel) pour créer « l'homme parfait ». Ce concept est pleinement représenté dans le logo de la Franc-Maçonnerie.
Le logo de la franc-maçonnerie combine une équerre et une boussole – deux outils utilisés en architecture. L'équerre est utilisée pour dessiner des carrés tandis que la boussole est utilisée pour dessiner des cercles. En "quadrant le cercle", on dit que le franc-maçon atteint la divinité. » (vigilantcitizen.com)

C’est bien le triomphe de l’humanisme, sans Dieu, sans le Christ, qui est donc annoncé en 2019.

À l’image de la codification de De Vinci, les écritures sont à l’envers et donc la couverture doit être regardée dans un miroir pour pouvoir les lire.

C’est là le message que les valeurs sont inversées, de la difficulté de séparer la vérité du mensonge qui caractérise notre période, bref c’est l’inversion satanique.

Le mensonge est aussi représenté par la figure du président chinois sous la forme de Pinocchio, le menteur.

Revenons sur l’homme de Vitriuve : L’original de De Vinci est un homme, avec tout son appareil.

Les rédacteurs de The Economist ont coupé l’image au bas, et tatoué Mee Too (mouvement contre les abus sexuels) sur la poitrine de l’homme, confirmant l’avancement des notions de transgenre, LGBTQ, BLM, WOKE, etc. pour affaiblir le système.

Avec l’effet miroir, les bras gauches de l’homme de Vitriuve deviennent les droits et inversement.

Ainsi, un des bras gauches a le code ADN : nous savons maintenant qu’il s’agît des vaccins ADN/ARN qui ont été injectés aux populations.

Le bras gauche est normalement le bras qu’on choisi pour l’injection lorsqu’on est droitier.

Un des deux bras droits tient un smartphone avec le code QR : on sait maintenant que cela représente l’obligation de le passeport sanitaire qui deviendra le passeport écologique après la COP 26 et qui annonce la dictature mondiale, où règnent les 10 rois de l’Apocalypse.

L’autre bras droit tient une balance avec des humains dans chaque plateau. C’est le nouvel apartheid, celui où les non vaccinés sont mis à l’écart de la société et ne peuvent plus travailler sans le passeport sanitaire. Les mis à part de la société, dont font partie les chrétiens, sont les nouveaux terroristes associés au nouveau système des valeurs comme identifié dans les écrits du regretté Serge Monast.

Le pangolin représente évidement le début de la pandémie de covid-19, animal qu’on soupçonnait d’être à l’origine de l’infection (le monde a connu la virus à la fin de l’automne 2019, alors que la revue est sortie en décembre 2018!). Quelqu’un savait.

Face au au pangolin, le visage d’Artemisia Gentileschi, peintre italienne. Pourquoi?

En référence à l’artémisia, plante bien connue pour soigner le paludisme tout comme la chloroquine qui avait été identifié au début pour soigner efficacement la covid-19.

La grande réinitialisation verte obligatoire en 2019 est représentée par la voiture électrique. Nous sommes en plein dedans avec la fin de l’énergie fossile abondante à prix raisonnable.

Les 4 cavaliers de l’Apocalypse sont sur la couverture.

La cigogne a le code CUP sur son baluchon. C’est la venue de la monnaie digitale électronique.

Un autre signe qui nous attend: la reconnaissance faciale.

« Moscou est la première ville d’Europe à avoir massivement mis en place le paiement par reconnaissance faciale. La capitale russe le rend possible dès ce 15 octobre dans plus de 240 stations de son métro… » (sputniknews.com)

Ce qui nous attend. Exemple chinois (facebook- vanessa inzaghi)

Les deux signes maintenant fortement associés aux bêtes de la terre et de la mer, surtout en regard de l’église.

Le signe fort du dernier mois, tout en haut de la page couverture, un volcan en attente qui ressemble étrangement au volcan La Palma qui est entré en éruption le 19 septembre dernier.

Ce n’est pas nécessairement qu’ils savaient, mais que Dieu les poussent dans leur orgueil en réalisant leurs désirs… pour leurs pertes.

Le signe de Mona Angelica représentant Angélina Joli en madone, dans la posture de la Joconde. Elle personnifie celle qui supporte toutes les ONGs à caractères humanistes, pour les immigrants réfugiés entres autres.

C’est la nouvelle religion.

Elle est utilisée pour promouvoir le nouveau « Pacte sur les migrations » des Nations-Unies.

Or, on sait qu’au synode 2019 sur l’Amazonie, Bergoglio a introduit la pachamama à la basilique Saint-Pierre.

On peut donc associer la figure de la pachamama à cette madone sur la couverture du magazine 2019.

La Palma, le volcan, la couverture, la photo de la Sainte Vierge à La Palma, la comète Leonard…

Dieu avait d’autres projets...

Le lien avec la limite de Babylone, des deux Babylone prophétisé par Jean XXIII se précise donc.

Cela confirme que tout a débuté effectivement en 2019 et que le compte à rebours suit effectivement son cours.

Le synode bergoglien de 2023 est évidemment d’inspiration satanique, et non du Saint-Esprit comme ils aiment si bien l’affirmer.
Il est en lien direct avec le synode amazonien et le retour au paganisme, aux idoles, qui sera accordé à chaque église locale.

« Le pape François crée un organe ecclésial pour mettre en œuvre le controversé Synode amazonien…

Le paragraphe 115 du document final du Synode amazonien appelait à une « structure synodale » pour l'Amazonie, qui lui permettrait de développer sa propre forme régionale de catholicisme et d'intégrer ses traditions indigènes dans ses pratiques religieuses… » (lifesitenews.com)

C’était le 20 octobre dernier.

Or, Vatican I s’est terminé abruptement un certain 20 octobre...

Le premier concile œcuménique du Vatican, ou simplement appelé Vatican I, est le concile œcuménique de l'Église catholique. Il se tient du 8 décembre 1869 au 20 octobre 1870. Convoqué par Pie IX, il définit notamment l'infaillibilité pontificale. Il est interrompu quand les troupes italiennes envahissent Rome. Suspendu sine die, il n'est jamais repris.

Le conseil a été convoqué pour traiter des problèmes contemporains de l'influence croissante du rationalisme , de l' anarchisme , du communisme , du socialisme , du libéralisme et du matérialisme . Son but était, en outre, de définir la doctrine catholique concernant l'Église du Christ.

C’est bien le problème qui caractérise cette période intense depuis 2019 : le socialisme bergoglien.

Le premier sujet mis en débat fut l'ébauche dogmatique de la doctrine catholique contre les multiples erreurs dues au rationalisme. Le Concile a condamné le rationalisme, la laïcité, le libéralisme, le naturalisme, le modernisme, le matérialisme et le panthéisme. L'Église catholique était sur la défensive contre l'idéologie principale du XIXe siècle.

Nous avons donc un Alpha : Vatican I

Nous allons vivre un Oméga : la fin de Vatican II selon Bergoglio.

Nous avons expliqué dans de multiples analyses la signification du triple jubilé ajouté de 3 années en référence à Saint-Augustin, le 153.

Nous avons vu que la semaine de Daniel commencée avec la pachamama à la basilique Saint-Pierre en octobre 2019 était probablement l’aspect visible, la confirmation à toute la planète de l’abomination de la désolation dans le lieu saint.

Et que la moitié de la semaine, où exactement serait signé l’arrêt du sacrifice perpétuel, pointe donc sur mai 2023.
2023-153 ans donne 1870.

On l’a vu ci-haut, l’image de l’arrêt du concile Vatican I est une invasion de Rome.

C’est le signe, l’Alpha de la destruction de Rome.

L’Oméga se réalise donc au printemps 2023 écrivions-nous, confirmé par les prophéties de Jean XXIII :

Cette destruction de Rome est confirmée par la prophétie No 11 de l’Église de Jean XXIII: Le 7ème Sceau :

«  Où croyez-vous fuir, maintenant que vous avez détruit les Églises et tué le dernier Père ? »

Juste après « Mikail et Jean descendront sur terre » de la fin de la prophétie concernant François.

Si on se réfère à la semaine de Daniel, l’Église à l’image de la Passion du Christ irait au tombeau le 5ème jour (2019+5=2024), soit la fin de l’automne 2024, demeurait au tombeau en 2025, le sixième jour, et ressusciterait en Mai 2026 selon la prophétie de Don Bosco.

N’oublions pas que l’arrêt du sacrifice perpétuel n’aura pas lieu, donc cette église transformée que veut Bergoglio grâce au synode ne connaîtra pas son aboutissement.

C’est la chute des deux Babylone, avant, confirmée dans la prophétie concernant Benoît XVI.

En examinant le calendrier du synode 2021-2023, nous sommes en mesure d’entrevoir que le rapport préliminaire (déjà décidé d’avance; le synode n’est que de la poudre aux yeux comme les précédents), sortira en mars 2023.

On ne serait pas surpris que la date du rapport soit le 19 mars 2023, fête de Saint-Joseph, père putatif de l’Église, qui a pour mission de conserver sa pureté, et aussi parce que Bergoglio y fêtera ses 10 années de pontificat.

Rappelons que le synode 2021-2023 est la conclusion de Vatican II.

En voici une preuve :

« Le Père Karl Rahner, SJ, était le chef du groupe révolutionnaire au Concile Vatican II.  Il était le parrain du cardinal Carlo Maria Martini, SJ, chef de la mafia de Saint-Gall qui a poussé à la démission de Benoît XVI et l’élection de Bergoglio.
La mafia de Saint-Gall voulait mener à terme les propositions de Rahner. Ce dernier est cité comme disant en 1962 : « Des Églises majeures avec leur propre discipline, leur propre liturgie et leur propre héritage spirituel et théologique pourraient également être formées à l'avenir, par la « providence divine » [sic], disons en Afrique, en Asie, ou en Amérique du Sud. » (réf :  Pour une réforme missionnaire de l'Église, édité par le père Antonio Spadaro, SJ et le professeur Carlos Maria Galli (tous deux proches collaborateurs de Bergoglio).)

Martini avait élaboré, en 1999, un « plan pour une succession de synodes, sur des sujets allant de la communion pour les divorcés et remariés civilement à l'ordination des hommes mariés ». Basil Hume, un autre membre du Groupe de Saint-Gall, a inspiré la pensée de Martini, qui parlait déjà en 1981 d'une Église «synodale» «où le pouvoir était transféré du centre papal vers l'organe consultatif connu sous le nom de synode des évêques. " Quiconque suit les développements actuels dans l'Église voit clairement comment l'agenda du Groupe de Saint-Gall est mis en œuvre sous le pape François, « leur » candidat. » (lifesitenews.com)

C’est bien là le plan de la nouvelle église amazonienne, et on pourrait même dire : la conclusion du synode 2021-2023.
D’ailleurs, le Vatican caractérise le synode de « révolution », rien de moins!!!

« … L’assemblée des évêques du monde reportée en octobre 2023 ; un parcours de deux ans lancé par le pape François et par chaque diocèse en octobre prochain, avec une phase diocésaine, une phase continentale et une phase universelle : ce sont les principales nouveautés qui se dessinent dans le schéma annoncé ce 21 mai 2021 par le Secrétariat général du synode. Une révolution pour cet événement institué par le Concile Vatican II… » (fr.zenit.org)

L’Oméga, à l’image de l’Alpha de 1870, est la destruction de Rome.

Et maintenant, on peut avancer que ce serait entre mars 2023 et octobre 2023.

La chute de Babylone suivra immédiatement ce triomphe éphémère des 10 rois de l’Apocalypse sur l’église.

Le protecteur, le kataéchon, Benoît XVI, devrait donc nous quitter durant cette période car c'est la chute des deux Babylone qui termine la prophétie de Jean XXIII le concernant.

17 octobre

Le procès de béatification de Jean-Paul 1er est ouvert après confirmation d'un miracle.

Cette volonté de déclarer saints les papes post Vatican II est digne du nouveau système qui a besoin des « ses saints », même sans miracle comme dans le cas de Jean XXIII... Alors qu'on refuse la digne ascension à Pie XII.

C’est donc le 28 octobre 1958 avec l'élection de Jean XXIII qu'a commencé cette nouvelle génération de papes pour la nouvelle église.

Rappelons-nous que Jean XXIII a été canonisé 666 mois pile après son élection, ce qui en soit est un signe volontaire de l'Antéchrist-système. 

D'ailleurs, Bergoglio, pour confirmer par une autre manière, qu'il vient d'entrer dans la phase finale pour clore Vatican II avec le synode, a « blagué » il y a quelques jours en affirmant que son successeur sera « Jean XXIV ».

L'alpha, Jean XXIII.

L'oméga, Jean XXIV.

C'est un signe qu'il envoie et qui n'est pas le fruit du hasard.

« La presse nous informe qu’il y a quelques jours, le pape François a répondu en ces termes à l’invitation de l’évêque de Raguse à visiter son diocèse en 2025 : « Le Saint-Père a souri, hoché la tête, et a dit en plaisantant qu’en 2025, ce sera Jean XXIV qui fera cette visite ».

Depuis ce jour, les gros titres et les analystes spéculent sur le successeur que François a en tête, ou du moins sur ses caractéristiques. Et s’il s’attend à ce qu’il prenne le nom de Jean XXIV, c’est parce qu’il le croit très lié au plus que raté Concile Vatican II.

Cependant, nous, Argentins, ne pouvons pas ignorer certains faits. Il ne fait aucun doute que l’évêque de Raguse a été encouragé à révéler à la presse son dialogue privé avec Bergoglio, car il le lui a lui-même demandé. C’est ainsi qu’il s’est toujours comporté tout au long de son pontificat à Buenos Aires et à Rome. Alors, que voulait-il dire ? Juste une blague sur son successeur qui a déjà choisi un nom ?

Il pourrait y avoir autre chose. Le père Leonardo Castellani, jésuite argentin expulsé de la Compagnie, bon théologien et excellent écrivain que Bergoglio connaît très bien, a écrit en 1964 un roman intitulé Juan XXIII, Juan XXIV. Una fantasía. L’histoire raconte qu’à la mort de Jean XXIII en 1963, le conclave a élu un pape argentin, un jésuite qui exerçait son ministère dans le quartier de San Telmo (l’un des quartiers les plus anciens et les plus traditionnels de Buenos Aires, témoin de la plupart des événements les plus importants de l’histoire de la ville), un théologien exceptionnel, qui s’appelait Ducadelia. Eh bien, Pío Ducadelia a été élu pape et a pris le nom de Jean XXIV...

Juan XXIII, Juan XXIV. Una fantasía explique dans ses 342 pages comment la bureaucratie du Vatican rend la vie impossible au pape et sabote ses réformes. Le livre raconte les vicissitudes de ce pape pour survivre à Rome : trouver le maté, faire comprendre ses « argentinismes », adapter ses ruses et quelques tics typiquement porteños que les Romains ne comprennent pas. Au-delà de ces tribulations quotidiennes, Leonardo Castellani soulève la nécessité d’une modernisation et d’une humanisation de l’Eglise. Parce que Ducadelia veut réformer l’institution en partant du sens originel du mot Église, qui signifie assemblée, c’est-à-dire rassemblement des fidèles. Il veut vendre les trésors du Vatican, il veut que les pasteurs soient austères, il veut éliminer le faste, les privilèges, la rigidité dogmatique, il veut réévaluer le travail des laïcs, il dénonce le péché ecclésial, il sort la nuit pour se promener dans Rome et partager la vie des pauvres. Pour toutes ces raisons, ils lui ont mis des bâtons dans les roues.» (benoit-et-moi.fr)

Si vous avez bien lu, vous aurez compris que Bergoglio est un imposteur sous le nom de François!

Il est Jean XXIV!

( « François ou Jean XXIV - François ou Jean XXIV ? ». Une manière subtile de dire, d'une part, que le pape François n'est pas éternel, de l'autre, que les engagements qu'il prend aujourd'hui seront tenus par ... (la-croix.com) » )

Il sait qu'il est le dernier pape, parce qu'il connaît très bien les prophéties de St-Malachie, ou tout simplement parce qu'il ne peut se permettre d'avoir un successeur qui gâchera tout le travail qu'il accomplit pour détruire l'église.

D'où l'agenda accéléré pour octobre 2023 avec le synode.

D'où aussi l'agenda accéléré de la bête de la terre en parallèle avec la passeport sanitaire vers un contrôle total de la société.

L'économie ne peut résister jusqu'en 2030, l'objectif auparavant révélé par l'élite.

L'envoyée du président américain la semaine dernière au Vatican n'y était pas pour une simple visite de courtoisie.

Il s'agissait de se coordonner pour la grande messe COP 26 dans deux semaines, la rencontre de la dernière chance comme plusieurs l'affirment.

À noter que cette dernière a lieu en Écosse (en référence ici au rite écossais: Deus Meumque Jus ou Dieu et Mon Droit).

Elle est présidée conjointement par la Grande Bretagne et l'Italie.

La franc-maçonnerie et Rome main dans la main.

Les deux Babylone des prophéties de Jean XXIII à l'oeuvre encore une fois.

« La présidente de la Chambre, Nancy Pelosi, s'est rendue à Rome la semaine dernière pour participer à une réunion de législateurs internationaux préparant la Conférence des Nations Unies sur les changements climatiques en Écosse le mois prochain. Au cours de la réunion de Rome, elle a profité de l'occasion pour rencontrer en privé au Vatican le pape François, qui devait s'adresser à la réunion le lendemain.

Des vidéos publiées après la réunion montrent Pelosi alors qu'elle entrait dans la pièce et saluait le pape, lui tenant la main pendant que les caméras tournaient (NDT: il semble selon certains que la poignée de mains était du type de la franc-maçonnerie).

Pelosi a ensuite publié une déclaration sur son site officiel qui disait en partie : « Le leadership de Sa Sainteté est une source de joie et d'espoir pour les catholiques et pour tous les peuples, mettant chacun de nous au défi d'être de bons intendants de la création de Dieu, d'agir sur le climat, embrasser le réfugié, l'immigrant et le pauvre et reconnaître la dignité et la divinité en chacun.

"Ce serait un manquement au devoir pour nous de ne pas entrer dans l'avenir d'une manière verte et (une) qui réponde à l'urgence de la crise climatique", a-t-elle écrit. "Nous leur laisserons un monde où ils pourront être en bonne santé, où ils pourront s'épanouir et atteindre leur épanouissement." (NDT: à relier évidement avec la déclaration de Klaus Swab ci-bas).

« Tout tourne autour des enfants », a ajouté Mme Pelosi – mais quels enfants ? Voulait-elle dire l'enfant à naître ? Non… mais peut-être que le pape François l'a fait. Nous ne le saurons jamais avec certitude, car le Vatican, suivant ses protocoles habituels, n'a publié aucune déclaration après la réunion.

Dans son discours à l'assemblée le lendemain, le pape François a réaffirmé l'appel de Pelosi au « changement » dans les politiques concernant l'environnement. "Ce changement de direction exigeant exigera une grande sagesse, une grande clairvoyance et un souci du bien commun : en un mot, les vertus fondamentales d'une bonne politique", a-t-il déclaré.

« En tant que dirigeants politiques et législateurs, vous avez la responsabilité d'influencer les actions des personnes par les moyens prévus par la loi, qui établit des règles de conduite admissibles à la lumière du bien commun et dans le respect d'autres principes fondamentaux tels que la dignité de la personne personne humaine, solidarité et subsidiarité.

Le pape François sait que la foule climatique de l'ONU est fortement pro-avortement. Sa comparution devant l'assemblée lui a offert une occasion unique de défendre le droit à la vie, mais il n'en a pas profité... » (source: https://thewandererpress.com/)

La chute de Babylone approche très vite.

Ils vont la provoquer: pénuries partout, fin de l'énergie fossile abondante et à bon marché, virage vert obligé qui a un coût énorme, tant financier qu'environnemental, krach financier, cyber attaque majeure...

Un chaos pour un contrôle total. Une nouvelle monnaie numérique.

L'Agenda 2030 est devenu l'Agenda 2025.

C'est clair.

En plein pour le maximum solaire maintenant avancé pour octobre 2024.

Une sortie de Klaus Schwab qui donne l’idée juste du but de la grande réinitialisation: une gouvernance par l’AI, le 666 qui aboutit.

« Klaus Schwab: «Les jeunes détiennent les clés pour bâtir un meilleur avenir». (letemps.ch)

Article seulement pour abonnés mais un blog du même journal donne plus de détails:

« Il est temps de sonner la diane!

13 octobre 2021 Suzette Sandoz

Il est temps de sonner la diane !

« Les jeunes en ont assez de la corruption et de la stagnation des dirigeants politiques » ; « les jeunes en ont assez de la menace envers leur sécurité physique causée par la surveillance et la militarisation de la police à l’encontre des militants et des personnes de couleur » ; « les jeunes s’avèrent plus nombreux à faire confiance à une gouvernance basée sur une intelligence artificielle qu’à celle d’un être humain ».

Ces quelques phrases extraites de l’article de M. Klaus Schwab dans le Temps du 12 octobre (p.12), article intitulé « Les jeunes détiennent les clés pour bâtir un meilleur avenir », sont inquiétantes.

Elles semblent légitimer la division de la société en « jeunes, présumés sains, généreux, altruistes, purs, et « vieux » (tout le reste ?), présumés favorables à la corruption, à la stagnation, à la surveillance par la police des manifestants et des personnes de couleur, donc totalitaires et racistes.

Elles semblent exprimer une haine et une méfiance à l’égard des « autres » que soi.

Elles paraissent refléter – c’est là le plus inquiétant – une inconscience crasse du danger que représenterait une « gouvernance basée sur une intelligence artificielle » donc une soumission totale à la puissance de la machine, une déshumanisation programmée de la société.

De tout temps, les « jeunes » ont été choqués, voire révoltés par les « défauts » imputés aux moins jeunes (immobilisme, hypocrisie, goût du pouvoir et de l’argent), de tout temps, ils ont eu le sentiment d’être brimés dans leur liberté (souvenons-nous d’ailleurs de nos vingt ans !). C’est heureux car si on n’a pas ce réflexe et ce goût de la pureté et de l’absolu à vingt ans, alors on sent le rance.

Mais c’est la première fois que je lis que « les jeunes s’avèrent plus nombreux à faire confiance à une gouvernance basée sur une intelligence artificielle qu’à celle d’un être humain », et là, je sens naître et grandir une terrible inquiétude. Que s’est-il passé pour qu’on en vienne à préférer la machine à l’humain ? Comment peut-on souhaiter être gouverné par des algorithmes ? Comment peut-on imaginer que ces résultats froids d’équations et de formules mathématiques seront plus capables d’humanité que des êtres de chair et de sang ? Comment peut-on oublier aussi que cette IA est créée par des êtres humains pas toujours scrupuleux quand ils arrivent, grâce à cette IA adulée, à prendre le contrôle de la volonté des esclaves humains dont ils ont endormi l’esprit critique grâce à des ondes chatouillant leur paresse, leur égo et leur égoïsme ?

Et ces « jeunes-là » détiendraient « les clés pour un meilleur avenir » ? Pauvre monde ! Il est temps de sonner la diane! » (letemps.ch)


11 octobre

ÉTRANGER À SON ÉGLISE, MAIS PAS SEUL

« Étranger aux discours sur le devoir de construire des ponts et non des murs. Étranger à tout l’attirail du jésuitisme progressiste, répété comme un perroquet par les collaborateurs du prince. Étranger à cette Église qui parle comme l’ONU et la franc-maçonnerie et qui, sans surprise, reçoit les applaudissements des milieux mondialistes.

Il n’est pas facile de vivre dans l’extranéité. On se sent seul et on court le risque de devenir exagérément méfiant. Moi, par nature, je suis enclin à faire confiance et à voir le côté positif. Mais les hérétiques et les apostats qui ont gravi le temple et s’y sont installés nous obligent, nous que Prezzolini appelait les apoti [les « résistants », ceux qui ne tombent pas dans le panneau, ndt], ceux qui n’y croient pas, à cultiver une méfiance systématique. Comme une défense légitime de nous-mêmes mais, avant tout, de la vérité.
Vivre comme un étranger, c’est devenir un peu un passager clandestin, comme un passager non autorisé, obligé de regarder autour de lui avec circonspection, car les contrôleurs peuvent surgir à tout moment. Et ils savent comment vous normaliser… » (benoit-et-moi.fr)

Dans ce monde bouleversé par Satan et ses sbires, l’espoir est en NSJC et sa Sainte Mère.

Le Dieu Un et Trin veille sur nous.

Les portes de l’enfer ne prévaudront pas.

Jamais!

Dieu seul suffit

La pandémie de l'Esprit, de l'âme...

« Don Camillo, les eaux et la pandémie la plus grave

"Frères", dit Don Camillo. « Les eaux sortent du lit de la rivière en tumulte et submergent tout : mais un jour elles reviendront apaisées, dans leur lit et le soleil reviendra briller. Et si, à la fin, vous aurez tout perdu, vous serez encore riche si vous n'avez pas perdu la foi en Dieu. Mais celui qui doute de la bonté et de la justice de Dieu sera pauvre et misérable même s'il a sauvé toutes ses choses ».

Don Camillo a dit cela lorsque le Pô a brisé ses rives et a inondé toute la ville et la campagne environnante. Lui seul était resté à sa place et avait amené Dieu aux déplacés par le son des cloches : le passage des heures et surtout la Sainte Messe.

Nous avons dans nos yeux les images du film en noir et blanc, images que l'on compare à celles d'aujourd'hui : non seulement les inondations et les calamités (qu'il y a) mais surtout la désolation d'un monde où règnent la peur, le mensonge et l'incapacité. faire la distinction entre le bien et le mal.

C'est la pandémie la plus grave : celle de l'esprit et de l'âme. Depuis près de deux ans, il semble que les gens ont cessé de vivre, mais le temps presse et il n'y a pas de réduction.

Il y a ceux qui naissent, peu nombreux en effet, et ceux qui meurent. Quelqu'un qui se présente devant Dieu pourrait-il raisonnablement affirmer qu'il a négligé de rendre l'adoration due à Dieu et le soin de son âme, à cause de Covid ? Pourquoi sommes-nous sur cette terre ?

Le catéchisme de saint Pie X déclare : « Dieu nous a créés pour le connaître, l'aimer et le servir dans cette vie, puis pour en profiter dans la prochaine au paradis ».

Don Camillo le dit d'une manière plus simple, mais c'est la même chose. Le temps qui nous est donné sur cette terre est de connaître, d'aimer et de servir Dieu. Ce n'est pas une chose de plus : c'est la chose fondamentale. Nous nous souvenons de l'homme de la parabole qui avait eu une bonne récolte et avait fait des plans pour construire une nouvelle grange. Comment Dieu l'appelle-t-il ? Tromper!

Tout ce qui va au-delà de cela, ou qui l'empêche et lui est contraire, doit être éliminé de notre vie et de notre journée. En ce sens, Jésus a dit : « Si ton œil t'offense, arrache-le : il vaut mieux pour toi entrer dans le royaume de Dieu d'un œil que d'être jeté dans la Géhenne avec deux yeux » (Mc 9, 47).

Nous avons perdu ce sens complet, vrai et large de la vie et nous nous sommes attachés aux idoles, qui ont des yeux et ne voient pas, ont des oreilles et n'entendent pas. Ceux-ci incluent la santé du corps. Ce n'est pas une valeur absolue.

Le corps du baptisé est un temple du Saint-Esprit et comme tel doit être traité, mais, après le péché originel, il est destiné à la terre. Il ressuscitera le dernier jour et aura la récompense ou la punition éternelle. C'est tout. Lazare a été ressuscité par Notre Seigneur, il a traversé la

Méditerranée jusqu'en France où il était évêque, mais à la fin il est mort aussi.

Béni soit l'homme qui a été trouvé sans défaut, et qui n'a pas recherché l'or, ni mis sa confiance dans l'argent et les trésors...

Comme le dit Don Camillo, nous avons peut-être tout sauvé, mais si nous avons douté de la bonté et de la justice de Dieu, nous serons pauvres et misérables.

Cela signifie qu'au milieu de la folie de ce moment historique et spirituel, nous devons demander la foi et la défendre de toute attaque, d'où qu'elle vienne. Nous savons que nous l'aurons, que la Sainte Vierge, qui a donné la victoire à Lépante, ne nous laissera pas manquer les moyens de la victoire.

"Ayez pitié de vous, ô bonne Mère, ayez pitié de nous, de nos âmes, de nos familles, de nos proches, de nos amis, de nos frères disparus, et surtout de nos ennemis, et de tant de gens qui se disent Chrétiens, et pourtant ils déchirent le Cœur aimable de votre Fils. Ayez pitié, euh ! miséricorde aujourd'hui nous implorons pour les nations égarées, pour toute l'Europe, pour le monde entier, que vous reveniez repentis dans vos cœurs. Miséricorde pour tous, ou Mère de la Miséricorde » (Supplication du Bienheureux Bartolo Longo à la Vierge de Pompéi, texte original).

Et puis nous nous agenouillerons nous aussi sur le talus, comme les paroissiens de Don Camillo, quand les cloches annonceront l'Élévation : nous déplacés par le ruissellement des eaux, régénérés par l'Eau vive et le Sang de notre Rédempteur. » (aldomariavalli.it)

Maintenant que la pandémie suscite un peu moins de peur dans la population, l’élite décide de mettre à nouveau la fille de Caïn à l'avant plan (voir analyses précédentes), qui est, rappelons-le, une référence à la prophétie de Jean XXIII (et qui sert de compte à rebours, depuis août 2018.)
Pour 7 ans, donc pour 2025, tout comme la prophétie de Don Bosco (voir analyses précédentes) où le retour du Christ en Gloire est prévu avant mai 2026, avant les deux lunes du mois des fleurs, du mois de Marie.

Marie, notre phare dans la brume, notre étoile, avec le Christ.

« L’autre jour, cela faisait impression de voir le ministre de la Transition écologique Stefano Cingolani presque à genoux devant la madonina de la planète, Greta Thunberg, qui le regardait de son regard sinistre et punitif et, en signe d’hostilité, les pieds tournés vers l’intérieur, sur la défensive. Cela était déjà arrivé à d’autres grands de ce monde. Un ministre technophile s’est tenu à ses pieds, suppliant et prosterné, pour être absous de ses péchés écologiques par la marraine de la Terre, représentant l’esprit du monde et le tribunal planétaire du futur.

Oui, le futur. Depuis longtemps déjà, nous ne parlons du futur qu’en référence à la planète en danger, de la terre en tant qu’environnement. Depuis qu’il existe une lueur de conscience dans l’humanité, l’attente de l’avenir a toujours été liée à l’espoir d’un changement historique, social, politique et économique ; d’un progrès ou d’une amélioration des conditions de vie personnelles ou collectives ; ou d’un changement spirituel, ce que l’on appelle dans le langage religieux la métanoïa, la palingénésie, la perspective eschatologique, l’espoir du salut. Aujourd’hui, en revanche, la seule façon de penser le futur est de défendre l’environnement, la planète, le climat, l’air et l’eau ; on ne remet pas en cause les structures sociales, culturelles, économiques et politiques. Mais des émissions nocives. Même Bergoglio approuve ce réductionnisme climatique du futur.

Il n’y a donc pas d’attente de changement positif mais seulement une peur, l’angoisse du changement, la menace globale, le danger mortel. L’idée de l’avenir est associée à la dégradation, donc le seul projet concernant l’avenir est de sauver le climat de l’insouciance du présent. Nous sommes ainsi passés d’une idée innovante et évolutive de l’avenir, au nom du progrès ou de la révolution, à une idée réactionnaire et régressive de l’avenir, au nom de la conservation.

L’avenir est compris comme la menace de perdre une condition de vie. Ce changement coïncide également avec le changement de la composition sociale du monde progressiste : la classe de référence n’est plus celle des classes prolétaires, des pauvres qui rêvaient de changer le présent pour avoir un avenir meilleur, mais c’est celle de la nouvelle bourgeoisie qui craint de perdre son statut actuel et veut arrêter le monde, le protéger du futur. Ils veulent se protéger de la menace de l’avenir. Essayez de demander autour de vous quelles sont les attentes à l’égard de l’avenir, en dehors des attentes personnelles et privées : il n’y a aucune trace d’une alternative, même le leitmotiv pétulant de rêver d’un monde meilleur s’est tari. La meilleure arme pour l’avenir est le frein à main, ou tout au plus, comme le dit Latouche [Serge Latouche, ndt], la « décroissance heureuse », ou la moins malheureuse possible.

Le renoncement à l’avenir devient également une abdication en faveur des migrants : les seuls détenteurs vivants du droit à un avenir meilleur sont reconnus dans ceux qui quittent leurs terres, leurs familles, leur monde dans l’attente d’un avenir meilleur. Notre avenir est le leur, ou plutôt ils sont notre avenir, nous ne sommes que des vestiges du passé s’attardant sur la défensive avant d’être remplacés par eux ou anéantis par un effondrement planétaire, pour des raisons de pollution et d’aridité, de dénaturation ou de surpopulation. Nous sommes handicapés par le futur et notre tâche est de permettre que la planète leur soit livrée.

Pour porter le message à son accomplissement, ils sont en train de construire et de lancer en orbite terrestre, à côté du drone Greta, un drone coloré, qui peut intégrer le thème de l’écologie avec celui du racisme : nous avons vu à ses côtés une jeune ougandaise, Vanessa Nakate, nouveau témoignage de la lutte pour l’environnement et en même temps de la lutte antiraciste.

La fabrique d’idoles donne naissance à un nouveau produit pour une campagne en apparence spontanée, qui est en réalité complètement préfabriquée, planifiée et gonflée par les médias.

Entre-temps, la dénonciation environnementale déclenche une compétition internationale d’hypocrisie : il n’y a pas de multinationale, de chaîne d’hypermarchés, d’entreprise alimentaire, de société de sécurité ou d’assurance qui ne fasse pas de la publicité pour son produit non pas pour ses qualités mais parce qu’il est écologiquement durable, parce qu’il respecte les protocoles de la rhétorique environnementale, participe aux campagnes contre le plastique, à la collecte volontaire des déchets, au recyclage et au catéchisme hydrogéologique et atmosphérique des jeunes marmottes.

Tout cela n’est que du vent, ou au mieux un geste symbolique, pour inciter les utilisateurs à consommer en ayant la fausse conscience de servir la noble cause du sauvetage de la planète. L’avenir durable est vendu dans un paquet unique par les émissaires du pouvoir idéologique, commercial et des marchandises. Entre un avenir comme menace globale pour effrayer les citoyens et un environnementalisme écolo-furieux pour capter leur bonne foi, l’attente la plus authentique de l’avenir a disparu. Cela ne concerne pas seulement le climat, mais aussi l’humanité, les systèmes politiques, économiques et sociaux, ainsi que les conditions spirituelles et morales, la justice.

Qui nous prive de l’avenir ? L’Engrenage nous empêchent de penser le futur comme différent du présent. Ceux qui dominent le présent s’opposent à l’avenir : appelez-les establishment, mainstream, système, ordre en vigueur. Il nous est interdit de penser l’avenir autrement que comme la perpétuation du présent ; il est impossible et même impensable d’échapper à son modèle, à son idéologie et à ses canons. Le diagnostic est radical, mais l’objectif de renverser la domination semble irréaliste. Mais en attendant, réalisons dans quel monde nous nous trouvons, qui sont les maîtres du temps qui nous volent l’avenir et nous disent que ce n’est qu’une question de temps. Autrefois, on chantait : demain nous appartient… Et au lieu de cela, comme le disait Paul Valéry :  » Il n’y a plus l’avenir qu’il y avait autrefois ». Le post-humain n’aura pas à penser mais seulement à fonctionner.

Marcello Veneziani, La Verità, 1er octobre 2021 » (benoit-et-moi.fr)

Ne craignons pas.

Nous ne sommes pas seul.

Ne crains pas

09 octobre

Le synode est en cours.

On juge l'arbre à ses fruits... Voici un autre exemple des fruits bergogliens... Et du futur de ce synode.

« Hérésie à profusion. Ainsi la "synodalité" est utilisée pour subvertir l'Église

Un «synode international» tenu en Angleterre a insisté sur le «droit fondamental» de «tous les catholiques adultes» de «voter dans toutes les décisions sur les questions de doctrine, de valeur, d'action et toute autre question concernant le bien commun de leurs communautés».

Le  Synode Racine et Branche , composé de clergé et de laïcs pro-avortement et pro-LGBTQ, a prétendu mettre en œuvre le programme de réforme du pape François et a invité des représentants d'autres religions et confessions, dont un « évêque » anglican.

La conférence, tenue en ligne et en direct à Bristol du 5 au 12 septembre, a été approuvée par l'évêque de Clifton, Declan Lang, le premier évêque anglais à interdire la messe traditionnelle en latin et a pris des dispositions spéciales pour les messes LGBTQ dans son diocèse.

Monseigneur Lang a lui-même participé au synode, organisé en partie par le père Richard McKay, curé de  San Nicola da Tolentino  à Bristol, où se tiennent des messes LGBTQ.

"Lorsque les femmes ont été ordonnées prêtres pour la première fois dans l'Église d'Angleterre en 1994, Richard a parlé fermement et publiquement pour que la même chose se produise dans l'Église catholique et a continué à le faire", lit-on dans la biographie de McKay publiée par le synode.

Des orateurs de la gauche radicale, dont l'ancienne présidente d'Irlande et militante pro-avortement Mary McAleese, ont pris la parole lors du synode appelant à une révision radicale de l'enseignement de l'Église, notamment sur l'idéologie du genre, la sexualité et l'ordination des femmes.

La réunion a également été suivie par Claire Jenkins, un homme biologique qui est devenu une femme après avoir eu quatre enfants et membre d'un groupe de travail qui conseille les évêques catholiques d'Angleterre et du Pays de Galles sur les questions « trans ».

Le texte de Bristol  publié par le synode cherche à influencer les décisions des évêques au niveau local en Angleterre et au Pays de Galles, ainsi qu'au niveau mondial « dans le cadre de la préparation commune de Rome en 2023 ».

L'écrivain et diacre britannique Nick Donnelly a déclaré à Church Militant que les conférenciers synodaux "ont des précédents en préconisant des changements hérétiques à la foi apostolique".

Il est significatif que les organisateurs revendiquent la crédibilité de leur "synode" en faisant appel au processus synodal de François. Le Synode Racine et Branche, avec la participation d'« experts » anti-catholiques et non-catholiques et le rejet du vrai catholicisme, nous donne un avant-goût de l'emprise qui est sur le point de resserrer son emprise sur l'Église.

Le document du Vatican sur la synodalité publié début septembre appelle à une inclusion radicale des participants au processus synodal, y compris « des catholiques qui pratiquent rarement ou jamais leur foi ».

« Personne, quelle que soit son appartenance religieuse, ne devrait être exclu du partage de sa propre perspective et de son expérience », souligne le vademecum du Vatican intitulé  Pour une Église synodale : communion, participation et mission. Vademecum pour le Synode sur la Synodalité  .

En conséquence, le synode de Bristol a coopté le médecin musulman nigérian Zainab Mai-Bornu ; Christina Rees, militante de l'ordination des femmes anglicanes ; des « prêtres » anglicans comme Eve Rose-Keenan, Catherine Okoronkwo et Victoria Chester ; et l'« évêque » anglican de Bristol Vivienne Faull.

Dans son deuxième mandat au Comité anglican catholique romain pour les réunions œcuméniques, Faull est une   ardente défenseure du « mariage » gay. Lorsqu'il était doyen de York Minster, Faull a autorisé la "bénédiction" de la marche annuelle des fiertés LGBTQ dans la ville.

En plus de soutenir le mariage homosexuel, le texte de Bristol appelle également à l'abolition du rôle sacramentel du prêtre comme seul moyen de célébrer la Sainte Eucharistie.

« Jésus a facilité la célébration de sa présence avec nous, car le rite de simplement manger et boire ensemble est inscrit en nous en tant qu'êtres humains. Il n'exige pas un sacerdoce séparé », affirme le Texte de Bristol, concluant que « tous les baptisés sont aptes à répondre à l'appel de Dieu dans chaque ministère ».

Affirmant que « la hiérarchie dénature la beauté de la diversité », le manifeste « appelle à une réinterprétation radicale de la manière d'être Église, puisqu'elle est devenue majoritairement une institution hiérarchique structurée sur un leadership entièrement masculin ».

« Tout catholique adulte - lit-on également - a le droit de voter et d'être éligible comme candidat à n'importe quel ministère de l'Église. Tous les catholiques ont également le droit de rendre des comptes à leurs dirigeants ».

Le synode remet également en cause le concept de la « famille » traditionnelle, en demandant « une réponse pastorale aux différentes formes familiales », et rejette l'enseignement de l'Église sur le sexe et le genre comme « confus et contradictoire ».

Un discours du père Thomas O'Loughlin au synode a provoqué l'indignation sur Facebook après que le prêtre catholique du diocèse d'Arundel et de Brighton a  déclaré  que « Jésus n'a pas fondé l'Église, ni, en effet, n'a pu fonder l'Église [parce qu'] il appartenait à l'église d'Israël ».

Le prêtre, le père Thomas Crean, lui a répondu sur les réseaux sociaux en notant qu'"il avait rarement entendu un modernisme aussi flagrant de la part d'un prêtre catholique en Angleterre".

"En temps normal - a-t-il ajouté - une lettre à l'évêque d'Arundel lui demandant d'enquêter sur le prêtre pour hérésie serait la bonne chose à faire, mais étant donné l'effondrement de l'État de droit, on se demande si cela en vaut la peine".

Source : churchmilitant.com  »

Et les fruits du synode allemand s'annoncent aussi toxiques...

« Dans les semaines à venir, le document final issu du synode allemand sera publié et il promet d’être catastrophique. L’évêque de Ratisbonne l’a qualifié d’hérétique et le cardinal Kasper l’a qualifié de « non-catholique ». Cet événement, que nous observons de loin pour l’instant, est révélateur de la situation réelle dans laquelle se trouve l’Église catholique aujourd’hui : une Église sans importance, avec une forte tendance à la disparition. Une étude récente menée en Allemagne a conclu que seuls 12 % de la population, y compris les catholiques, pensent que la religion a une quelconque importance dans la société. C’est-à-dire que 88% ne se soucient pas de savoir si l’Église existe ou non. Et si les scandales de ces dernières années se poursuivent, il ne sera pas étrange qu’ils préfèrent directement qu’elle n’existe pas. Certes, les pourcentages seront différents dans le sud de l’Europe, aux États-Unis et en Amérique latine – la réserve imaginaire de l’Église -, mais de combien ? 20% ? 25% ? La réponse est oui, au mieux.

J’ai tiré ces données d’une vidéo du père Santiago Martín, que je recommande vivement de regarder. Et ce prêtre, qui n’est pas un traditionaliste, conclut : « La nouvelle Église a échoué ». En effet, si après le Concile Vatican II, l’Église, déjà en recul, a adopté la stratégie de s’adapter au monde pour rester au centre de l’attention et ne pas perdre les fidèles, cette stratégie s’est révélée être une erreur effrayante qui nous a conduits à la situation actuelle d’extinction... » (benoit-et-moi.fr)

Les fruits du socialisme marxisme sont le résultat de l'enseignement de Bergoglio pour la bête de la mer.

« COP26: le Pape prône une alliance entre l’homme et l’environnement

Le Pape François s’est adressé dans une vidéo à un groupe de jeunes à l’occasion d’un séminaire sur l’éducation durable à Milan, dans le cadre de la présidence britannique de la COP26- Conférence des parties, en partenariat avec l’Italie.
Se soucier des relations humaines autant que de la protection de l'environnement. Le Pape a tenu à remercier les jeunes participants pour cette vision «capable d'interpeller le monde des adultes», car elle révèle le fait «que vous n'êtes pas seulement prêts à agir, mais que vous êtes également disponibles pour une écoute patiente, un dialogue constructif et une compréhension mutuelle», a affirmé l’évêque de Rome dans cette vidéo.

Surmonter la fragmentation

«Je vous encourage donc à unir vos efforts à travers une large alliance éducative pour former des générations inébranlables dans le bien, matures, capables de surmonter la fragmentation et de reconstruire le tissu des relations afin de parvenir à une humanité plus fraternelle», leur a assuré le Pape, ajoutant que les jeunes représentaient non seulement le futur, mais aussi le présent: «Vous êtes ceux qui construisent aujourd'hui, dans le présent, le futur».
Selon le Saint-Père, le Pacte mondial pour l'éducation -lancé en 2019- va dans ce sens et cherche à apporter des réponses partagées au changement historique que l'humanité connaît et que la pandémie a rendu encore plus évident.

«Harmonie cosmique»

«Les solutions techniques et politiques ne suffisent pas si elles ne sont pas soutenues par la responsabilité de chaque membre et par un processus éducatif qui favorise un modèle culturel de développement et de durabilité centré sur la fraternité et sur l'alliance entre les êtres humains et l'environnement», soutient le Pape, plaidant pour une harmonie entre les personnes, hommes et femmes, et l'environnement. «Nous ne sommes pas ennemis, nous ne sommes pas indifférents. Nous faisons partie de cette harmonie cosmique», poursuit-il.

Le Pape encourage une économie circulaire

Grâce à des idées et à des projets communs, il est possible de trouver des solutions pour vaincre la pauvreté énergétique et placer le soin des biens communs au cœur des politiques nationales et internationales, en favorisant la production durable, l'économie circulaire et la mise en commun des technologies appropriées, estime donc le Souverain pontife, jugeant «qu’il est le moment de prendre des décisions judicieuses pour savoir comment tirer le meilleur parti des nombreuses expériences acquises ces dernières années, afin de rendre possible une culture du soin, une culture du partage responsable». (vaticannews.va)

Alors que symboliquement...

« La Porte de l’enfer à Rome

Pourquoi cette fascination pour le mal? s’interroge Americo Mascarucci sur le blog de Marco Tosatti, à propos de l’arrivée à Rome de la célèbre sculpture de Rodin prêtée par la France pour marquer le 700ème anniversaire de la mort du grand poète italien Dante Alighieri. Pourquoi célébrer l’enfer, et pas le Paradis ou le Purgatoire, pourtant eux aussi décrits par Dante? Cette fascination morbide illustre la dérive d’un monde sans Dieu, confirmant l’analyse de Mgr Vigano, qui affirme que « Satan est partout, y compris dans l’Eglise, et personne ne s’oppose à sa domination »… même pas le pape.

Ces derniers jours, on a beaucoup parlé de l’arrivée à Rome de la célèbre Porte de l’Enfer qui fera partie intégrante d’une exposition consacrée à l’Enfer, prévue aux Ecuries du Quirinal du 15 octobre 2021 au 9 janvier 2022. Cette initiative est un hommage au grand poète Dante Alighieri, 700 ans après sa mort, dans le but de reproduire, à travers l’art, les suggestions et la chorégraphie, les cercles de l’enfer décrits dans la Divine Comédie et que de nombreux artistes ont représentés dans leurs œuvres au cours des siècles. Très bien, mais pourquoi seulement l’enfer ? Pourquoi pas aussi le Purgatoire et le Paradis ?..

Et paradoxalement, alors que le diable est même célébré par des expositions et des festivals, il y en a qui, dans l’Église, nient son existence, comme l’a fait récemment le prévôt de la Compagnie de Jésus, Arturo Sosa Abascal, le réduisant à un symbolisme pur et simple. C’est vrai, les Jésuites, qui se sont retrouvés au centre d’enquêtes embarrassantes pour les riches donations reçues par l’Open Society de George Soros, sont les premiers à favoriser le récit contraire au danger de la damnation éternelle, n’exaltant pas ouvertement Satan (ce serait trop) mais se limitant à réduire son danger, encourageant les gens à ne pas avoir peur de quelque chose qui n’existe pas dans la réalité. Et si l’on n’a pas peur du diable et de l’enfer, il n’y a plus de règles comportementales et morales, tous les comportements sont permis, de l’avortement (instrument destiné par le nouvel ordre mondial à contrôler les naissances) à l’homosexualité, en passant par l’euthanasie (l’élimination physique des malades inutiles et improductifs qui risquent de peser sur le budget de l’État). Et peu importe que le pape François s’exprime de temps en temps contre l’avortement et l’euthanasie juste pour apaiser les catholiques traditionalistes, alors que son agenda est parfaitement superposable à celui des seigneurs du mondialisme (immigration, écologie intégrale, multiculturalisme, santé, vaccins).
Ce n’est peut-être qu’une coïncidence, mais comment ne pas entendre l’alarme de Mgr Viganò au moment même où le monde est désormais l’otage de politiques sataniques de plus en plus dirigées contre la personne humaine et la famille naturelle, et vers l’instauration complète d’un nouvel ordre mondial maçonnique qui vise à la domination absolue de la finance et du gouvernement universel par les grands lobbies mondialistes ? Et si ce dessein était auparavant caché, il se manifeste aujourd’hui clairement à travers l’ostentation d’un symbolisme satanique, visant à mettre en évidence qui est le véritable metteur en scène de tout cela et le sublime inspirateur des politiques mondialistes. » (benoit-et-moi.fr)

Le synode est un compte à rebours en soi vers la grande célébration oecuménique tant voulue pour une seule religion mondiale sous la gouverne de la judéo-maçonnerie, le Christ en moins.

C'est donc une période critique, et finale, qui vient de s'amorcer.

L'élite ne peut attendre l'Agenda 2030.

Dieu veille sur ses enfants.

Septembre 2021

26 septembre

Nous sommes tous au courant de l’initiative l’Agenda 2030 mise en action par l’élite sous le couvert des Nations-Unies, avec l’accord de Bergoglio et des autres organismes voués au gouvernement mondial avec une seule religion.

En observant la vitesse à laquelle les acteurs de ce scénario diabolique agissent (suite à la pandémie), il devient de plus en plus évident que l’échéance a été devancée.

Nous allons donc voir l’étau se resserrer un peu plus face aux mesures sanitaires pour faire fonctionner l’économie.

Car le problème est là : l’élite est à bout de ressources pour faire continuer dans un système financier que nous avons tous connus.

La croissance a ses limites et les actions qu’ils ont prises (du jamais vu! De la croissance économique qui ne repose en plus que sur la croissance de la dette) mènent le monde directement dans le mur.

L’inflation et les pénuries sont des faits actuels, et avant que la révolution ne l’emporte (d’où l’impossibilité d’attendre 2030), ils devront faire imploser le système financier pour partir sur de nouvelles bases.

C’est là la véritable grande réinitialisation tant annoncée.

Le tout est une guerre sur fond de religion promulguée par la kabbale judéo-maçonnique et le fruit est mur pour l’église.

La grande apostasie comme prophétisée, est en place.

« Viganò : L'apostasie dans l'Église est désormais visible même pour les plus modérés

Chers frères dans la prêtrise,

Chers frères et sœurs,

Je ne vous dis rien que vous ne sachiez déjà en vous disant que l'Église du Christ traverse une crise très grave, et que la Hiérarchie catholique a failli aux graves obligations de sa mission apostolique et est en partie corrompue. Les origines de cette crise et de cette apostasie sont désormais évidentes même pour les plus modérés et résident dans le fait d'avoir voulu aligner l'Église sur la mentalité du monde, dont le prince, ne l'oublions pas, est Satan : princeps mundi hujus (Jn 12 : 31 ).

En tant que catholiques, nous savons et croyons que la Sainte Église est infaillible, c'est-à-dire qu'elle ne peut être dépassée par les portes de l'Enfer, par la promesse de Notre-Seigneur : portae inferi non praevalebunt (Mt 16, 18). Mais ce que nous voyons se produire nous montre la réalité d'une situation terrible, dans laquelle une partie déviée de la Hiérarchie - ce que j'appelle en abrégé l'église profonde - s'est totalement abandonnée à l' état profond. Une trahison qui place les pasteurs et les responsables de l'Église devant une responsabilité morale très grave et qui impose aux prêtres et aux laïcs des choix courageux qui, à d'autres moments, seraient difficiles à adopter et justifiables. Nous sommes confrontés à une guerre, un affrontement d'époque, dans lequel nos généraux non seulement ne conduisent pas l'armée à affronter l'ennemi, mais lui ordonnent plutôt de déposer les armes et de se rendre sans conditions, ils chassent les soldats les plus courageux et punissent les officiers les plus fidèles. L'ensemble du personnel de l'Église catholique s'est révélé être un allié de l'ennemi et un ennemi de ceux qu'il devrait plutôt défendre. Ennemi du Christ et de ceux qui se targuent de service militaire sous sa bannière.

Comment comprendre, à la lumière de l'Apocalypse, cette situation terrible et unique dans l'histoire de l'Église ? Il nous faut d'abord un regard surnaturel pour comprendre que les événements présents sont permis par Dieu et qu'en aucun cas ils ne pourront jamais submerger l'Église. La grande apostasie est annoncée dans les Saintes Écritures et ne doit pas nous prendre au dépourvu. Éclairés par les paroles de l'Apocalypse de saint Jean et les révélations approuvées, nous pouvons comprendre que les derniers temps sont nécessaires pour séparer enfin le bon grain de l'ivraie, nous permettant de reconnaître qui est avec le Christ et qui est contre Lui.  Nous devons également comprendre que les tribulations que nous subissons sont aussi la juste punition des décennies - oserais-je dire des siècles - d'infidélité des catholiques et d'une partie de la Hiérarchie : infidélités privées et publiques, enracinées de respects humains, de timidité, de déviations morales et doctrinales, de compromis avec la mentalité sécularisée et avec les ennemis de Notre-Seigneur. Si l'on pense que la Révolution française a été la punition de Dieu pour le non-respect de Louis XIV de lui consacrer les insignes du Royaume, on comprend bien les conséquences de la désobéissance du roi de France sur l'avenir de l'Europe :

Nous rappelons le message que Notre-Seigneur confia à Sainte Margherita Maria Alacoque en 1689, avec la mission de le transmettre au Roi de France Louis XIV :

« Faites savoir au fils aîné de mon Sacré-Cœur que, de même que sa naissance temporelle a été obtenue grâce à la dévotion aux mérites de Ma Sainte Enfance, de même sa naissance à la grâce et à la gloire éternelle sera obtenue par la consécration qu'il faire de lui-même à mon Cœur Adorable, qui veut triompher de son cœur, et par là, des cœurs des grands de la terre.

Le Sacré-Cœur veut régner dans son palais, être représenté sur ses étendards et gravé sur ses armes, afin de le rendre vainqueur de tous ses ennemis, mettant à ses pieds ses ennemis fiers et hautains, afin de le faire triompher tous les ennemis de l'Église.

Le Sacré-Cœur veut entrer avec faste et magnificence dans les palais des princes et des rois, afin d'être honoré aujourd'hui autant qu'il a été outragé, humilié et méprisé pendant sa Passion. Il souhaite voir les grands de la terre rabaissés et humiliés à ses pieds, comme il fut alors anéanti. »

Mais s'il y a deux siècles la désobéissance des dirigeants des affaires publiques méritait le châtiment sévère du Roi des rois, imaginons quels désastres la désobéissance de ceux qui gouvernent l'Église a pu causer. Ainsi, si avec la Révolution française la société civile a évincé le Roi universel de sa divine seigneurie pour l'usurper et répandre les erreurs du libéralisme et du socialisme, avec la révolution conciliaire les papes et les évêques ont enlevé la triple couronne de la tête du corps mystique et de Son Vicaire, faisant de l'Église du Christ une sorte de république parlementaire au nom de la collégialité et de la synodalité. Notons : Notre Seigneur Jésus-Christ non seulement n'est plus reconnu comme Souverain des nations, mais même pas dans son Église, dans lequel le but de la gloire de Dieu et du salut des âmes a été remplacé par la gloire de l'homme et la damnation des âmes qui en résulte. Ce qui était vice hier est vertu aujourd'hui ; ce qui était vertu, aujourd'hui est vice : toute l'action moderniste de la secte moderniste qui infeste le Vatican, les diocèses et les ordres religieux se caractérise par le bouleversement de ce qui nous a été enseigné et transmis.

Dans ce contexte de rébellion et d'infidélité, ceux qui restent fidèles et s'efforcent de continuer à faire ce qu'ils ont toujours fait sont soumis à une véritable persécution. Cela a commencé par le ridicule des traditionalistes, les désignant comme lefebvriens ou comme préconciliaires . Ensuite, selon la pratique que nous avons vue utilisée dans les régimes totalitaires, les bons catholiques ont été définis comme fous ou malades : c'est ce que les sociologues appellent la pathologisation de la dissidence. Ne croyez pas que j'emploie des expressions exagérées : il y a quelques jours à peine, un prêtre du Costa Rica a été suspendu de son ministère et contraint à un traitement psychiatrique pour n'avoir célébré autre que la messe de Paul VI en latin, malgré l'interdiction de la Evêque, Mgr. Bartolomé Buigues ( ici ). Aujourd'hui on est dans la criminalisation des dissidents, et si on ne voit pas encore leur élimination physique, on sait combien d'entre eux sont suspendus a divinis, privé des mêmes moyens de subsistance et banni de la vie ecclésiale. Et cela se produit alors que les personnages scandaleux et les fornicateurs de toutes sortes ne sont pas seulement punis et expulsés du ministère, mais ils sont plutôt promus et immortalisés sur les photos aux côtés de Bergoglio, qui les tient fermement sachant qu'il peut les utiliser à volonté. On comprend alors pourquoi la corruption des prélats est instrumentale au plan de la secte conciliaire : leurs fautes sont un excellent moyen d'obtenir leur obéissance et leur complicité dans l'accomplissement des pires atrocités contre l'Église et contre les fidèles.

La Coalition pour les prêtres annulés ( https://www.facebook.com/canceledpriests/) est une initiative et certainement une réponse à ce qui se passe, car ce projet entend venir en aide aux prêtres victimes de persécutions et d'abus canoniques de la part d'évêques infidèles et renégats. Leur autorité, usurpée pour faire le mal plutôt que de gouverner le troupeau qui leur est confié avec sagesse et charité, s'évanouit au moment même où ils l'utilisent contre le but pour lequel elle a été établie. Il est vrai qu'ils détiennent le pouvoir : mais ce pouvoir est un abus tyrannique dont on ne peut ni ne doit se taire. Il est de notre devoir d'élever la voix pour condamner fermement les actes illégitimes des Bergers qui se sont révélés être des mercenaires, voire des loups voraces. Et c'est aussi notre droit non seulement de désobéir aux ordres qui sont illégitimes, invalides et nuls,

Permettez-moi aussi de suggérer, à côté de cette initiative louable, la création d'une Fondation internationale qui puisse recueillir les offrandes et les dons des fidèles, les détournant des paroisses et des diocèses complices du régime bergoglien actuel. Lorsque les évêques verront qu'ils prennent un coup dans leurs comptes bancaires, ils seront probablement persuadés de tempérer leur approche d'ostracisme des bons prêtres. Lorsque les tribunaux – civils ou ecclésiastiques – se rangeront du côté de ceux qui sont persécutés, leurs persécuteurs seront probablement plus prudents quant à l'abus de leur pouvoir. En attendant, des initiatives comme la Coalition For Cancelled Priests et d'autres projets similaires offriront l'occasion de pratiquer les œuvres de miséricorde et d'acquérir du mérite devant Dieu. Chacun de nous, selon ses moyens, peut apporter une contribution concrète – pas nécessairement seulement financière – même en allouant simplement ses offrandes à ceux qui les méritent et non à ceux qui s'en servent pour opprimer le bon clergé.

N'oublions cependant pas qu'en plus de l'assistance matérielle, nous sommes tous appelés à redécouvrir le sens de la communauté, dont la Hiérarchie conciliaire aime parler sans jamais la mettre en pratique au sens catholique. Si nous sommes vraiment frères dans le Christ, alors en tant que frères, nous devons aussi nous entraider en accueillant nos prêtres, en leur offrant un lieu de séjour, en préparant un autel familial autour duquel nous pouvons rassembler nos amis. Nous devons mettre nos compétences à leur service – même les plus humbles, comme savoir cuisiner, construire un mur ou réparer un toit – pour ceux qui aujourd'hui sont expulsés de leurs presbytères et se retrouvent à la rue. Il faut penser aux jeunes gens qui ont généreusement répondu à une vocation sacerdotale ou religieuse au cœur de la Tradition et qui voient aujourd'hui leur Ordination ou Profession religieuse mise en danger s'ils n'acceptent pas les déviations doctrinales et morales qui s'imposent désormais par la secte conciliaire. Nous devons faire comprendre aux quelques évêques et cardinaux qui restent fidèles au Magistère qu'il ne peut y avoir aucune possibilité de dialogue avec ceux qui ont amplement démontré qu'ils sont alignés avec l'ennemi. Et nous devons prier la Divine Majesté, par l'intercession de la Reine du Ciel et de la Mère du Sacerdoce, en lui demandant qu'elle daigne accepter nos souffrances et les souffrances de ces bons prêtres pour la conversion de la Hiérarchie qui a été corrompue aujourd'hui de haut en bas.

Aux nombreux, trop nombreux, prêtres, religieux et clercs – parmi lesquels n'oublions pas qu'il y a aussi beaucoup de religieuses, de religieuses et de sœurs – j'adresse mon affectueux souvenir, partageant leurs souffrances, les exhortant tous à s'offrir comme victimes dans l'expiation des péchés des ministres de l'Église. Unissez-vous dans le Saint Sacrifice de la Messe à l'offrande de la Victime divine, pure, sainte et immaculée : que votre vie soit un sacrifice agréable à Dieu, dans un véritable esprit sacerdotal. Et puissiez-vous tous répéter, avant la fin de vos jours, les paroles du Cantique de Siméon : quia viderunt oculi mei salutare tuum (Lc 2,30).

J'ai rappelé ci-dessus la cause des maux actuels : la rébellion contre la Royauté Universelle de Notre Seigneur Jésus-Christ. La consécration de chacun de nous, des familles, des communautés, des nations et de la Sainte Église au Très Sacré-Cœur de Jésus et au Cœur Immaculé de Marie est en mesure d'émouvoir la Très Sainte Trinité à la compassion et de mettre fin à ce terrible fléau, ou du moins l'abréger et hâter le triomphe du Roi des rois sur l'ennemi du genre humain. C'est mon souhait le plus sincère; c'est la noble intention qui doit animer chacune de nos actions ; c'est le fondement de la fin terrible et inexorable des plans de Satan. Christus vincit, Christus regnat, Christus imperat !

+ Carlo Maria Viganò, archevêque» (aldomariavalli.it)

Le plan pour éliminer la présence réelle à la messe va son train et c’est le synode qui s’amorcera bientôt qui confirmera cet état de fait.

Voici la traduction de la dernière intervention d'un biographe de Bergoglio.

Selon lui, le synode à venir confirmerait l'aboutissement des objectifs de la mafia St-Gall, ce que nous savons depuis longtemps.

« Biographe du pape : Le prochain synode transformera l'Église conformément aux buts de la mafia St-Gall.

La description d'Ivereigh des objectifs du synode ressemble à ce que la mafia St-Gaal a longtemps envisagé : un 'équilibre' d'autorité entre 'l'église locale' et 'l'église universelle.'

( LifeSiteNews ) – L'homme qui a décrit avec enthousiasme le pape François comme un « grand réformateur » seulement un an et demi après le début de sa papauté prédit maintenant que le prochain synode des évêques sur la synodalité pourrait apporter une transformation révolutionnaire de l'Église catholique.

Austen Ivereigh a écrit jeudi sur les objectifs du synode « Pour une Église synodale », qui doit commencer en octobre, le qualifiant de « bouleversement historique » et de « potentiellement le moment le plus transformateur du catholicisme depuis le Concile Vatican II, qui cherche à s'ancrer de façon permanente dans la vie de l'Église.

« Le « synode de deux ans sur la synodalité », a écrit Ivereigh dans Commonweal , « est destiné à marquer le christianisme pour toujours. » Il a noté: «Pourtant, jusqu'à présent, le désengagement a été presque total. (Votre curé a-t-il mentionné quelque chose ? C'est ce que je pense.) »

L'aspect peut-être le plus « transformateur » du synode, a écrit Ivereigh, est que le « peuple de Dieu » ne sera plus composé de « spectateurs passifs », mais sérieusement consultés pour discerner la voix du Saint-Esprit. Les évêques restent les « juges en chef » et le Pape a la décision finale dans ce processus.

Ivereigh a écrit : « Ainsi, 'le but de ce synode' - et en effet, le but d'une Église synodale - 'est d'écouter, en tant que peuple de Dieu tout entier, ce que le Saint-Esprit dit à l'Église.' » Il a en outre noté que le document préparatoire du synode affirmait que c'était le rôle du diable (« les diabolos ») « d'essayer de séparer » le peuple de Dieu, le Saint-Esprit et les évêques dans un synode.

Le vademecum , ou manuel du synode, stipule expressément que le processus de discernement synodal de « l'écoute » doit inclure « les catholiques qui pratiquent rarement ou jamais leur foi, etc. de la foi, les personnes d'autres traditions religieuses, les personnes sans croyance religieuse, etc.

"Personne - quelle que soit son appartenance religieuse - ne devrait être exclu du partage de son point de vue et de ses expériences, dans la mesure où il souhaite aider l'Église dans son cheminement synodal à la recherche de ce qui est bon et vrai", lit-on dans le texte.

Selon Ivereigh, ce processus de consultation ne sera pas au service d'un « programme » idéologique particulier : « Un synode n'est pas appelé à défendre ou à changer quoi que ce soit ; elle est appelée à permettre une assemblée qui discerne ce que l'Esprit Saint demande à l'Église en ce moment par rapport à la mission pour laquelle elle existe : évangéliser.

En effet, les « noyaux thématiques » du document préparatoire à explorer lors du synode sont quelque peu vagues et davantage orientés vers le processus que vers les « problèmes ». Ces sujets incluent des variations du thème de la «synodalité», que le cardinal Mario Grech a expliqué «est la forme de communion de l'Église - Peuple de Dieu». En conséquence, les « noyaux thématiques » comprennent « les compagnons de route », « l'écoute », « la parole » et « le dialogue dans l'Église et la société », entre autres sujets.

Mais Ivereigh croit aussi que la synodalité aboutit à une sorte de synthèse, ou ce qu'il appelle « l'alchimie », de différents points de vue : « Entrer en synodalité, c'est embrasser une alchimie dans laquelle l'Esprit agit comme une complexio oppositorum , et tout ce qui est bon et valide, est préservé dans une nouvelle vision », écrit-il.

Les attentes d'Ivereigh concernant le prochain synode, telles que publiées dans Commonweal, font écho aux thèmes de sa biographie de 2014 du pape François, « Le grand réformateur : François et la création d'un pape radical ».

Comme l'a expliqué un critique de cette biographie, Ivereigh a déclaré qu'il existe trois « clés de la papauté de François ». L'une de ces clés est la détermination de François à « apprendre et entendre l'infaillibilité du saint peuple fidèle de Dieu ». Ivereigh l'a réitéré dans une interview avec Raymond Arroyo, affirmant que le pape François s'est "toujours enraciné dans ce qu'il appelle le saint peuple fidèle de Dieu".

Une autre « clé » est la nécessité pour le Pape de « réunir de véritables synodes de gouvernance et de démanteler les structures » afin de réaliser une « réforme institutionnelle » de l'Église. Au cœur de tout cela se trouve ce que Ivereigh a soutenu être un objectif déterminé des partisans de Bergoglio depuis le début : la mise en œuvre de la collégialité par l'Église.

La biographie d'Ivereigh ne se limite pas à décrire le passé et l'idéologie du pape François, mais tient à prédire comment le «programme ambitieux» du pape François «se terminera probablement», car Ivereigh est parvenu à une connaissance intime du long et déterminé ordre du jour du groupe de cardinaux qui ont soutenu Bergoglio : la mafia St-Gall.

Bien qu'Ivereigh ne les qualifie pas de « mafia », le cardinal Godfried Daneels, l'un des proches du groupe, a révélé en 2015 que c'est ainsi que le groupe s'appelait lui-même.

Karim Schelkens, l'un des biographes de Daneels, a déclaré dans une interview en 2015 : « L'élection de Bergoglio a été préparée à Saint-Gall, sans aucun doute. Et les grandes lignes du programme que le Pape met en œuvre sont celles dont Danneels et Cie commençaient à discuter il y a plus de dix ans.

Ivereigh a écrit dans la biographie du pape François que le groupe de Saint-Gall a été formé à la fin des années 1990 en raison d'une « préoccupation croissante » concernant une « position » qui « ressemblait à certains critiques comme si elle remontait aux jours précédant le Concile Vatican II. » : la position selon laquelle il n'y a « qu'un seul « Magistère », ou autorité enseignante, dans l'Église, et que l'Église universelle est « ontologiquement antérieure » à l'Église locale.

Le groupe de Saint-Gall considérait cette position traditionnelle comme opposée à la véritable « collégialité », qu'Ivereigh décrit comme l'un de ses objectifs les plus ardemment souhaités pour l'Église. Selon Ivereigh, la collégialité est une sorte d'autorité conjointe dans laquelle les évêques aident à gouverner l'église cum et sub Petro - avec et sous le pape. Dans son idée de collégialité, « l'Église locale participe au gouvernement de l'Église universelle ».

« Le groupe de Saint-Gall croyait que ce qu'il fallait, c'était une réforme en profondeur de la gouvernance, un rétablissement de l'équilibre entre les Églises locales et universelles, vers une authentique collégialité », a écrit Ivereigh.

La « mafia » autoproclamée a déploré le manque de collégialité de l'Église comme un obstacle à l'évangélisation, ainsi qu'à « l'unité chrétienne ». Quelque chose d'aussi fondamental que « l'affirmation du pouvoir papal » après la Réforme, a écrit Ivereigh, a été « cité comme une pierre d'achoppement majeure » par les dirigeants des « traditions réformées ou orthodoxes ».

Cette vision radicale et hétérodoxe de la collégialité a été articulée par l'un des membres du groupe de Saint-Gall, l'actuel cardinal Walter Kasper, en opposition à un document de 1992 du cardinal Ratzinger.

Ivereigh a expliqué que Kasper a fait valoir « dans un article largement publié en décembre 2000 » que la position du cardinal Ratzinger « est devenue « vraiment problématique lorsque la seule Église universelle est identifiée à l'Église romaine, et de facto avec le Pape et la Curie romaine », la décrivant comme « une tentative de restaurer le centralisme romain ».

Ivereigh a déclaré que Kasper « a poursuivi en affirmant que la collégialité était vitale pour résoudre les questions pastorales telles que l'admission des personnes divorcées et remariées à la communion, ainsi que pour rendre crédible l'invitation catholique à l'unité avec les autres chrétiens. Le progrès de l'unité dépendait, soutenait-il, de cette reconnaissance de la valeur de l'Église locale. « Le but ultime n'est pas une Église unie uniforme, mais une Église dans la diversité réconciliée. L'expression « diversité réconciliée » a été adoptée par Bergoglio à Buenos Aires lorsqu'il a discuté des relations avec d'autres chrétiens et d'autres confessions. »

Ivereigh a expliqué que ces premières préoccupations du groupe de Saint-Gall ont été reprises dans les discussions lors du conclave suivant la démission du pape Benoît XVI. « On a beaucoup parlé de réforme de la gouvernance… et de contact fluide entre Rome et l'Église locale », a écrit Ivereigh. Il a cité le porte-parole du Vatican, le P. Federico Lombardi a déclaré aux journalistes le 9 mars, quelques jours avant le conclave papal, que "la collégialité avait été" un thème constant dans ces discussions ".

Ivereigh a également cité le cardinal Seán O'Malley de Boston comme se souvenant : « Nous étions tous à peu près certains qu'il y aurait des changements spectaculaires et une nouvelle façon de voir la Curie, avec plus de collégialité. »

« Le diagnostic du groupe de Saint-Gall au début des années 2000 était désormais le plat du jour », écrit Ivereigh.

Ivereigh lui-même est l'ancien assistant du cardinal Murphy-O'Connor, qu'Ivereigh a décrit dans « Le grand réformateur » comme faisant partie du « noyau » du groupe de Saint-Gall depuis ses débuts.

Dans un article de septembre 2017 pour The Tablet , Ivereigh a décrit Murphy-O'Connor comme un « faiseur de rois » lors du conclave qui a élu le pape François. Ivereigh a déclaré que le cardinal était "fier d'avoir ouvert ce canal pour que le Saint-Esprit se mette au travail". » (lifesitenews.com)

Il semble donc de plus en plus évident que tout se jouera avant 2025, avant le mois de mai 2026 prophétisé par Don Bosco (voir articles précédents).

17 septembre

L’ÉGLISE EST MORTE

À part les deux témoins de l’Apocalypse, représentés maintenant par la tradition, qui a été écarté ou presque avec le dernier Motu Proprio, nous pouvons affirmer que l’église conciliaire de Vatican II est morte.

Et la bête de la mer s’acharne sur son cadavre.

Exactement comme NSJC l’avait prophétisé dans le si important chapitre en Matthieu 24, celui qui concerne la fin des temps.

« … Partout où sera le cadavre, là s’assembleront les aigles. (Matthieu 24,28) »

« … Comment est-il possible qu’un pape se mette à traiter un cardinal de « négationniste » – et nous savons tous très bien de qui il s’agit – en se moquant du fait que le destin l’a conduit à l’hôpital avec le Covid ? Montrant ainsi que les prêches sur la miséricorde, le pardon et la tendresse laissent très vite place à la vindicte.

Comment est-il possible qu’un pape puisse ridiculiser les objections et les réserves concernant la vaccination contre le Covid-19, en prononçant des phrases confuses, incompréhensibles, banales, en s’étonnant de la bizarrerie de personnes qui, tellement habituées à vivre avec les vaccins, ont maintenant – allez savoir pourquoi – des difficultés à se faire injecter ces nouvelles préparations miraculeuses ?
Laissant pieusement de côté la boutade sur le Jésus juif, comment est-il possible qu’un pape, lorsqu’on lui demande s’il a déjà refusé l’Eucharistie à des personnes en état de péché public manifeste, en l’espace de quelques minutes, puisse d’abord se vanter de n’avoir jamais refusé la Communion à personne, puis affirmer qu’il faut appartenir à une communauté – mal définie – pour la recevoir ? Et comment est-il possible pour un pape de contredire ouvertement sur les unions civiles ce que le Magistère a déjà établi sur la question, en laissant prévaloir ses opinions personnelles ?

Ce n’est certainement pas le cardinal Burke, ou quiconque d’autre dans le collimateur, qui est humilié par une telle interview. Plus de huit ans après l’élection du pape François, c’est avant tout la papauté qui est humiliée.
En dehors de cette interview, la démolition systématique des pontificats de Jean-Paul II et de Benoît XVI a désormais rendu possible l’idée que le pape n’est plus le gardien de la foi, ni celui qui confirme ses frères, mais celui qui agit selon ses propres désirs et sa propre sensibilité et exige d’être obéi, sans se soucier de montrer sa continuité avec ses prédécesseurs. Au contraire. Il n’est plus lien d’unité, mais principe de division, qui, par ses paroles, crée continuellement des étiquettes clivantes pour marquer les frères qu’il est censé conduire à l’unité et blesser les brebis qu’il est censé soigner et surveiller.

Humiliation aussi pour l’Église, réduite à un parti politique médiocre, à la recherche du consensus médiatique et non plus celui du Christ. Les paroles de son pasteur suprême ont désormais la même valeur que les propos tenus dans les bars et l’Épouse du Christ est par conséquent considérée comme l’une des nombreuses agences philanthropiques. Et même pas la plus efficace.

Bien sûr, couvrir la nudité du père (cf. Gn 9, 20-23) est une bonne chose; mais nous devons nous demander si nous sommes face à une ivresse accidentelle, non fautive, comme celle de Noé, ou à l’humiliation systématique et délibérée de tout ce qui est sacré, vrai et juste. Le Souverain Pontife est le premier à devoir renoncer à lui-même, pour avoir la pensée du Christ. Comme tout chrétien, plus que tout chrétien, le Pape ne s’appartient plus. Et à chaque fois qu’il veut mettre sa propre opinion au-dessus de celle du Christ, il trahit la volonté du Seigneur, sa mission, et l’Église toute entière… » (benoit-et-moi.fr)

Cet article fait suite aux autres analyses du voyage de Bergoglio en Slovaquie, surtout aux questions des journalistes dans l’avion au retour.

« Slovaquie: Le Pape en mode « gay-friendly ».

Dans la série « je dis une chose, et j’en fais une autre », voici la dernière perle du Pape-qui-fait-le-ménage-dans-l’Eglise, et qui dénonce les lobbies, y compris gays! (*). Lors de sa visite en Slovaquie, il a témoigné ostensiblement son amitié à un évêque ouvertement homosexuel – d’ailleurs sanctionné par Benoît XVI – au point d’avoir créé au sein le l’Eglise en Slovaquie un authentique « réseau gay ». On objectera que l’Eglise condamne le péché – pas le pécheur. Certes. Mais ici, le pécheur n’a apparemment manifesté aucun repentir (au contraire!), ni même d’intention de s’amender. Décidément, la miséricorde du Pape du « qui suis-je pour juger? » est à géométrie variable, et le désir de flatter le monde l’emporte chez lui sur le devoir d’édifier le peuple chrétien.

La visite du pape François en Slovaquie s’est achevée avec la réhabilitation devant l’opinion publique de l’ancien évêque de Trnava, Robert Bezák, destitué par Benoît XVI en 2012 et accusé d’avoir même créé un réseau de prêtres homosexuels. L’embarras de la Conférence des évêques… » (benoit-et-moi.fr)

Bien belle miséricorde et empathie de Bergoglio, se moquant du cardinal Burke qui a eu une sévère Covid-19:

« « Dans le collège cardinalice, il y a quelques négationnistes. L’un d’eux, le pauvre, a attrapé le virus. Ironie de la vie », a déclaré le souverain pontife dans l’avion qui le ramenait d’un voyage apostolique en Slovaquie. Ce petit pays d’Europe centrale de 5,4 millions d’habitants compte seulement la moitié de la population adulte vaccinée.

Sans le nommer, François faisait allusion au cardinal américain ultraconservateur Raymond Burke, l’un de ses plus farouches adversaires au sein de l’Église catholique. Ce dernier avait contracté la COVID-19 au mois d’août et avait dû un temps être placé en soins intensifs dans un hôpital… » (lapresse.ca)

C’est exactement des méthodes utilisées par le prince du mensonge.

Aucune transparence.

Un masque pour tromper et corrompre les âmes dans des directions sans issues, si ce n’est que le gouffre.

L’église conciliaire est devenue une ONG qui se fond dans la masse du nouvel ordre mondial voulu par Satan et ses sbires.

On ne mentionne pour Jésus, le Christ, mais seulement Dieu, et on ne sait pas lequel avec Bergoglio.

On ne ressuscite pas le Christ dans la nouvelle église car cela pourrait générer de nouvelles conversions dans ces temps si difficiles moralement.

Et c’est la dernière chose que ce système a besoin puisqu’ils sont si près du but.

Benoît XVI y va d’une ultime tentative, pour remettre les pendules à l’heure, et publie que ce plusieurs estiment être son testament spirituel.

Un dernier livre adressé à l’Europe, cœur du christianisme perdu. (benoit-et-moi.fr)

07 septembre

Comme anticipé, le synode 2021-2023 s’ouvrant en octobre dirige l’Église  vers le gouffre de l’œcuménisme...

« Le Document préparatoire du Synode des évêques de 2023 a été publié.

Le Secrétariat Général du Synode des évêques a rendu public ce mardi 7 septembre le Document préparatoire et le Vademecum qui accompagneront le prochain Synode sur la synodalité. Celui-ci sera ouvert les 9-10 octobre à Rome et le 17 octobre dans les Églises particulières, et se conclura par l'assemblée générale au Vatican en 2023.

Écouter, «sans préjugés». Prendre la parole, «avec courage et parresia». Dialoguer avec l'Église, la société et les autres confessions chrétiennes. Le Secrétariat général du Synode a publié le Document préparatoire et le Vademecum, textes essentiels indiquant les lignes directrices du prochain chemin synodal.

...

«Comment se réalise aujourd'hui, à différents niveaux (du local à l'universel), ce "marcher ensemble" qui permet à l'Église d'annoncer l'Évangile, conformément à la mission qui lui a été confiée, et quels pas l'Esprit nous invite-t-il à faire pour grandir en tant qu'Église synodale ?»...

Inclure tous les baptisés

Pour répondre à cette question, le Secrétariat du Synode souligne la nécessité de «vivre un processus ecclésial participatif et inclusif» qui offre à chaque personne, en particulier à celles qui sont en marge, la possibilité de s'exprimer et d'être entendues; puis de reconnaître et d'apprécier la variété des charismes et d'examiner «comment la responsabilité et le pouvoir sont vécus dans l'Église». Il s’agit aussi d'«accréditer la communauté chrétienne en tant que sujet crédible et partenaire fiable» sur les voies du dialogue, de la réconciliation, de l'inclusion et de la participation. Et aussi de «régénérer les relations» avec les représentants d'autres confessions, les organisations de la société civile et les mouvements populaires...

La place des laïcs

Le Document préparatoire consacre également une large place aux laïcs. Il réaffirme que tous les baptisés sont des «sujets actifs de l'évangélisation» et qu'il est fondamental que les pasteurs «n'aient pas peur d'écouter le troupeau». Dans une Église synodale, en effet, chacun «a quelque chose à apprendre» de l'autre.

Le texte préparatoire propose ensuite des questions pour guider la consultation du peuple de Dieu, en commençant par une question: Comment le «marcher ensemble» est-il réalisé aujourd'hui dans son Église particulière? Il est donc vivement conseillé de relire les expériences de son propre diocèse à cet égard, en tenant compte des relations internes au diocèse entre les fidèles, le clergé, les paroisses, mais aussi entre les évêques, avec les différentes formes de vie religieuse et consacrée, avec les associations, les mouvements et les institutions telles que les écoles, les hôpitaux, les universités, les organisations caritatives. Il convient également d'envisager des relations et des initiatives communes avec d'autres religions et avec le monde de la politique, de la culture, des finances, du travail, des syndicats et des minorités... » (vaticannews.va)

La dilution de la religion catholique pour s'adapter à la nouvelle religion mondiale arrive donc à son terme.

Finalement…

Pour les justes qui n’en peuvent plus d’attendre face à ce monde désarticulé, cart ils savent que le Jour approche face à ces événements prophétisés par le Christ.

La conclusion est évidente: le synode mène à la nouvelle messe œcuménique.

Il fallait bien avoir une démarche pour justifier le tout.

Voilà.

C'est fait.

Nous venons d'entrer dans la dernière ligne droite.

La venue de l’Époux est à nos portes.

Car, aussi, Bergoglio est plus malade qu'il ne l'affirme selon AM Valli:

« Quelle est l’atmosphère réelle au Vatican ces jours-ci ?

« Le sentiment de provisoire et d’insécurité est palpable. Cela s’accompagne d’un climat de tension et de suspicion, dans la crainte d’être victime de purges et de représailles.

Des représailles ? Vraiment ?

« Dans le cas récent du motu proprio abolissant Summorum Pontificum, on a dit clairement aux évêques que s’ils ne se conformaient pas, ils seraient démis sans trop de manières ».

Nous allons y venir. En attendant, y a-t-il des informations sur l’état de santé réel du pape ?

« Dans les palais sacrés, on parle de deux tumeurs qui auraient touché Bergoglio, et de la difficulté des médecins et du personnel médical de l’hôpital à gérer l’auguste patient, qui s’est révélé nerveux et intolérant au traitement ».

Mince. Prions pour lui.

« Il y en a certainement qui veulent laisser penser que François a encore la santé et la force physique, pour ne pas donner l’idée d’une perte de pouvoir. En réalité, Bergoglio a subi une intervention chirurgicale d’urgence pour une maladie grave et, compte tenu de son âge, sa situation n’est pas facile. »...

Entre-temps, comme vous l’avez mentionné, le Pontife a pris des mesures pour préparer le terrain à la suppression de la messe en latin. Pourquoi déclencher cette guerre ?

« Parce que c’est précisément en déclenchant une guerre et en provoquant des dissensions et des protestations que Bergoglio peut démontrer que la messe tridentine est ‘source de division’ « .

N’est-ce pas le cas?

« Grâce à une application sage et généreuse du précédent motu proprio Summorum pontificum de Benoît XVI, les communautés liées à l’ancien rite ne se sont jamais retrouvées en conflit avec les autres fidèles et les prêtres. »

François veut-il alimenter un conflit qui n’existait pas ?

« Il provoque d’abord la réaction exaspérée de ceux qu’il veut frapper, puis face à leur protestation, il se montre autoritaire et despotique et les accuse de désobéissance ».

N’est-il pas paradoxal que la lettre apostolique, avec laquelle on a tenté d’éliminer pratiquement le rite ancien, s’appelle Traditionis custodes ?

« François, citant le Concile, appelle les évêques ‘gardiens de la Tradition’ au moment même où il les oblige à en abolir la principale expression, qui est la liturgie. Ceux qui y voient une sorte de moquerie n’ont pas tort ».

En effet.

« Il est douloureux que celui qui est appelé ‘Saint Père’ se montre si cruel avec ses enfants, et si tolérant avec ceux qui sont déclarés ennemis du Christ, de l’Église et du Pape. »

...

Récemment, François a fait la promotion du vaccin anti-Covid comme un « acte d’amour ». Tout cela, peu après les perplexités exprimées par les traditionalistes américains au sujet des vaccins. Le cardinal Leo Burke, qui n’a pas été vacciné, s’est même retrouvé en soins intensifs. En bref, la déclaration de François, plutôt que d’être adressée à l’Italie, semble s’inscrire dans le cadre du conflit entre le Pontife et les conservateurs américains. Est-ce exact?

« Le soutien de Bergoglio au vaccin est la preuve de l’alignement du Vatican sur les positions du courant dominant. Une démonstration publique de loyauté envers l’élite qui détient le pouvoir.

Cette sortie était-elle appropriée dans un contexte où une rhétorique dogmatique, presque mystique, s’est construite autour du vaccin ?

« Si le Saint-Siège – et Bergoglio en personne – n’avait pas soutenu le récit médiatique, la rhétorique pandémique aurait eu beaucoup plus de mal à s’imposer ».

Que voulez-vous-dire?

« Les experts se sont autoproclamés prêtres du Covid, donnant au vaccin des connotations mystiques, tandis que le Vicaire du Christ est devenu un testimonial des compagnies pharmaceutiques, démontrant ainsi qu’il considère la santé du corps supérieure au salut de l’âme. Rien n’est plus éloigné de l’enseignement de l’Évangile et, si je puis dire, rien n’est plus imprudent.

Dans quel sens ?

« Eh bien, que dira Bergoglio à ceux qui ont été convaincus de se faire vacciner ‘parce que le pape l’a dit’, et qui tomberont malades ou mourront des effets secondaires ? ».
... » (benoit-et-moi.fr)

Ce qui est confirmé dans le cas de Bergoglio et sa maladie en analysant son interview à Radio Cope:

« ... L’idée de s’emparer du récit est immédiatement perçue par les réponses aux questions sur sa santé. Le pape François révèle qu’il est entré à Gemelli dès 13 heures, que 33 centimètres d’intestin ont été retirés et qu’une infirmière lui a sauvé la vie. Et il rassure tout le monde en disant qu’il va bien, qu’il mène une vie normale, que c’est seulement son cerveau qui doit traiter le fait qu’il manque 33 centimètres d’intestin.

Par cette réponse, le pape François s’approprie le récit de sa maladie. Les rumeurs sur la maladie du pape François ont été diffusées dans certains médias, et l’hypothèse de la démission du pape a été construite sur cette idée. Cependant, c’est une réponse qui laisse des points obscurs : si le pape a été hospitalisé à Gemelli si soudainement, l’opération était-elle prévue à ce moment-là ou la décision d’opérer a-t-elle été prise plus tard ? Et pourquoi dit-il qu’une infirmière lui a sauvé la vie ? Cela signifie-t-il qu’il est confronté à quelque chose de plus grave ? Ce sont des questions qui restent ouvertes mais qui, cependant, disparaissent lorsque le Pape, reprenant le récit, ferme toute possibilité de déni.

C’est la réponse du Pape à ce qui est apparu comme une crise de pouvoir. De son propre aveu, le pape François confirme que la réforme de la Curie s’est ralentie en raison de sa maladie. Dans la même interview, le pape François déclare que le voyage prévu à Glasgow pour la COP26 (pas encore officialisé) dépendra largement de son état de santé. Il y a donc une incertitude, que le pape François a toutefois tendance à minimiser. Et il la minimise parce que – toujours d’après l’interview – dès que le Pape tombe malade, il sent un vent de Conclave. En réalité, la réflexion sur son successeur, qui a commencé dans les couloirs du Vatican à la nouvelle de l’hospitalisation, n’a pas échappé au Pape... » (benoit-et-moi.fr)

01 septembre

Mgr Vigano confirme que nous arrivons à la fin de la lutte entre Satan et Dieu.


L'article est long. Ici, ce qui ne concerne que l'Église (ce qui est déjà beaucoup car il fait tout un résumé):

« ... Cependant, pour comprendre cette alliance entre pouvoir civil et pouvoir religieux, il est nécessaire de reconnaître la dimension spirituelle et eschatologique du conflit actuel, en le replaçant dans le contexte de la guerre que Lucifer, depuis sa chute, mène contre Dieu. Cette guerre, dont l'issue a été décidée ab æternoavec la défaite inexorable de Satan et de l'Antéchrist et la victoire écrasante de la Femme entourée d'étoiles, touche maintenant à sa conclusion. C'est pourquoi les forces des ténèbres sont si sauvages à présent, si impatientes d'effacer le nom de Notre-Seigneur de la terre, pour non seulement détruire sa présence tangible dans nos villes en démolissant des églises, en démolissant des croix et en supprimant les fêtes chrétiennes ; mais aussi en éliminant la mémoire, en annulant la civilisation chrétienne, en falsifiant son enseignement et en avilissant son culte. Et pour ce faire, la présence d'une Hiérarchie fidèle et courageuse, prête à souffrir le martyre pour défendre la foi chrétienne et l'enseignement moral, est certainement un obstacle. C'est pourquoi, dès la phase initiale du plan mondialiste, il était essentiel de corrompre la Hiérarchie en morale et en doctrine,les cellules dormantes , pour la priver de toute aspiration surnaturelle, et la rendre vulnérable au chantage grâce aux scandales financiers et sexuels ; le tout dans le but de l'exclure et de l'éliminer une fois son but atteint, selon la pratique établie.

Cette opération d'infiltration a commencé à la fin des années 50, alors que le projet du Nouvel Ordre Mondial prenait forme. Il entame son propre travail de subversion quelques années plus tard, avec le Concile œcuménique Vatican II, en vue duquel l'élection de Roncalli et l'expulsion du cardinal Siri, le « dauphin de Pacelli» ou successeur probable comme pape, représentait un motif d'enthousiasme à la fois pour l'élément progressiste et moderniste au sein de l'Église, ainsi que pour l'élément communiste, libéral et maçonnique du monde civil. Vatican II a représenté au sein du corps ecclésial ce que le serment du court de tennis [de la Révolution française] était pour la société civile : le début de la Révolution. Et si à maintes reprises j'ai attiré l'attention sur le caractère subversif du Concile, je crois aujourd'hui qu'une analyse historique mérite l'attention dans laquelle des faits apparemment déconnectés acquièrent une signification inquiétante, expliquant beaucoup de choses.

Liaisons dangereuses

Comme Michael J. Matt l'a rapporté dans une vidéo récente à The Remnant ( ici), nous commençons aujourd'hui à assembler toutes les pièces de la mosaïque, et nous découvrons – de l'aveu même d'un des protagonistes – que Mgr. Hélder Câmara, archevêque d'Olinda et de Recife au Brésil, a rencontré ces années-là le jeune Klaus Schwab, fondateur du Forum économique mondial et théoricien de la Grande Réinitialisation. Une fois que Schwab a reconnu Câmara pour son opposition à l'Église traditionnelle et ses théories révolutionnaires et paupéristes, il l'a invité au Forum de Davos, considérant sa participation à cet événement comme extrêmement importante au regard du projet de l'Ordre Nouveau. On sait qu'Hélder Câmara fut parmi les organisateurs du « Pacte des Catacombes », signé par une quarantaine d'évêques ultra-progressistes le 16 novembre 1965, quelques jours avant la clôture du Concile.un autre, nouvel ordre social » ( ici , n. 9) fondé sur la justice et l'égalité. Et nous ne sommes pas surpris d'apprendre que parmi les signataires il y avait aussi Mgr. Enrique Angelelli, évêque auxiliaire de Cordoba en Argentine, « [un] point de référence pour le père Jorge Mario Bergoglio de l'époque » ( ici ). Bergoglio lui-même a déclaré dès le début de son pontificat qu'il était d'accord avec les exigences du Pacte des Catacombes. Le 20 octobre 2019, lors du Synode sur l'Amazonie, la célébration du pacte entre les conjurés s'est répétée dans les Catacombes de Santa Domitilla ( ici), confirmant que le plan commencé au Concile avait trouvé sa réalisation précisément en Jorge Mario Bergoglio. Loin de prendre ses distances avec les ultra-progressistes qui le soutiennent et qui ont déterminé son élection au dernier Conclave, Bergoglio ne manque jamais une occasion de faire la preuve de sa parfaite cohérence avec le projet du Nouvel Ordre Mondial, à commencer par la collaboration des commissions vaticanes. et dicastères écologistes d'une matrice malthusienne et leur participation au Conseil pour le capitalisme inclusif, une alliance mondiale avec les Rothschild, la Fondation Rockefeller et de grandes banques. Donc, d'un côté, nous avons David Rockefeller avec la Commission trilatérale, et de l'autre nous avons Klaus Schwab, qui est lié par alliance avec les Rothschild (ici), avec le Forum économique mondial, et les deux sont bras dessus-dessous. bras avec le chef de l'Église catholique pour établir l'Ordre Nouveau au moyen de la Grande Réinitialisation, comme cela a été planifié depuis les années 1950.

Le plan mondial de dépeuplement

Parmi les associés de ce pactum sceleris, il faut également compter quelques membres de l'Académie pontificale pour la vie, dont la structure organisationnelle a récemment été renversée par Bergoglio lui-même lorsqu'il a supprimé les membres les plus fidèles au Magistère, les remplaçant par des partisans de la dépopulation, la contraception et l'avortement. Il ne faut pas s'étonner du soutien du Saint-Siège aux vaccins : en juin 2011, le Sovereign Independent a titré en première page : « La dépopulation par la vaccination forcée : la solution zéro carbone ! ( ici ). A côté du titre, une photographie de Bill Gates était accompagnée d'une citation de lui : «Le monde compte aujourd'hui 6,8 milliards d'habitants. Cela s'élève à environ 9 milliards. Maintenant, si nous faisons un très bon travail sur les nouveaux vaccins, les soins de santé, les services de reproduction [avortement et contraception] , nous réduisons cela peut-être de 10 ou 15 pour cent . »...

Interférence de l'état profond

Il y a eu de nombreux exemples d'ingérence de l'État profond dans la vie de l'Église. Nous ne pouvons pas oublier les courriels de John Podesta et Hillary Clinton, qui montrent l'intention d'évincer Benoît XVI de la papauté et ainsi d'initier un nouveau « printemps de l'Église» qui serait progressiste et mondialiste, ce qui s'est produit plus tard avec la démission de Benoît et l'élection de l'Argentin. On ne peut pas non plus négliger l'ingérence d'entités et d'institutions tout sauf proches de la religion, comme le B'nai B'rith, pour dicter la direction du « renouveau » de l'Église après Vatican II et surtout sous ce Pontificat. . Enfin, il faut rappeler d'une part les refus dédaigneux d'accorder des audiences à des personnalités politiques et institutionnelles conservatrices, et d'autre part les rencontres passionnées et souriantes avec les dirigeants de la gauche et du progressisme, accompagnées d'expressions de satisfaction enthousiaste à l'occasion de leur élection où le réseau des relations sociales et politiques constitue une sorte de franc-maçonnerie progressiste et assure des carrières fulgurantes aux soi-disant «catholiques adultes», ceux qui utilisent le nom de «chrétien» sans se comporter de manière cohérente avec la foi et la morale chrétiennes dans leur service des affaires publiques : Joe Biden et Nancy Pelosi; Romano Prodi, Mario Monti, Giuseppe Conte et Mario Draghi ; pour n'en citer que quelques-uns. Comme on peut le voir, la coopération entre l' État profond et l'Église profonde est de longue date et a maintenant produit les résultats espérés par ses partisans, avec de très graves dommages tant à l'État qu'à la religion.

La fermeture des églises début 2020, avant même que les autorités civiles n'imposent les confinements ; l'interdiction de la célébration des messes et de l'administration des sacrements pendant l'urgence pandémique ; la cérémonie grotesque réalisée le 27 mars 2020 sur la place Saint-Pierre ( ici ) ; l'insistance sur les vaccins et leur promotion comme moralement légitimes malgré le fait qu'ils aient été produits avec des lignées cellulaires provenant de fœtus avortés ; les déclarations de Bergoglio selon lesquelles le sérum génétique représente un « devoir moral » pour tout chrétien ; la mise en place du « Pass Vert» passeport sanitaire au Vatican et plus récemment dans les écoles catholiques et dans certains séminaires ; le Saint-Siège interdisant aux évêques d'annoncer qu'ils sont contre l'obligation de vaccination, rapidement entérinée par certaines conférences épiscopales - ce sont tous des éléments qui démontrent la subordination de l' église profonde aux ordres de l' état profond , et la manière dont le l'église bergoglienne fait partie intégrante du plan mondialiste. Si l'on combine tout cela avec le culte idolâtre de la pachamama juste sous les arcades de la basilique Saint-Pierre ; l'insistance sur l'œcuménisme iréniciste, le pacifisme et le paupérisme ; l'endossement de l'éthique de situation et la légitimation substantielle de l'adultère et du concubinage chez Amoris Laetitia; la déclaration que la peine de mort est moralement illicite ; l'approbation des politiciens de gauche, des dirigeants révolutionnaires et des militants de l'avortement ; les mots de compréhension pour les questions LGBT, les homosexuels et les transsexuels ; le silence sur la légitimation des unions homosexuelles et le silence encore plus déconcertant sur la bénédiction des couples sodomiques par les évêques et prêtres allemands ; et l'interdiction de la messe tridentine avec l'abolition du Motu Proprio Summorum Pontificum de Benoît XVI, on se rend compte que Jorge Mario Bergoglio s'acquitte de la tâche qui lui a été confiée par l'élite mondialiste, qui veut qu'il soit le liquidateur de l'Église catholique et le fondateur d'une secte philanthropique et œcuménique d'inspiration maçonnique censée constituer l'Église universelle. La religion à l'appui de l'Ordre Nouveau. Que cette action soit menée en pleine conscience, par peur ou sous le chantage, rien n'enlève à la gravité de ce qui se passe, ni à la responsabilité morale de ceux qui en font la promotion.

La matrice luciférienne du Nouvel Ordre Mondial

À ce stade, il est nécessaire de clarifier ce que l'on entend par « Nouvel Ordre Mondial », ou plutôt ce que veulent dire ses créateurs, indépendamment de ce qu'ils disent publiquement. Car d'une part, il est vrai qu'il y a un projet, que certaines personnes l'ont conçu et sont chargées de le réaliser ; mais d'un autre côté il est également vrai que les principes inspirants du projet ne sont pas toujours dévoilés, ou du moins ils ne peuvent pas être ouvertement admis comme étroitement liés à ce qui se passe aujourd'hui, car un tel aveu susciterait l'opposition même de ceux qui sont les plus pacifiques et modérés. C'est une chose d'imposer le « Green Pass » sous prétexte de pandémie ; mais c'en est une autre de reconnaître que le but du passeport est de nous habituer à être traqués ; et encore un autre de dire que ce contrôle total est le "marque de la Bête » dont parle le Livre de l'Apocalypse (Ap 13,16-18). Le lecteur me pardonnera si, pour démontrer mon argument, je dois recourir à des citations d'une gravité et d'une méchanceté telles qu'elles suscitent la stupéfaction et l'horreur - mais cela est nécessaire si nous voulons comprendre quelles sont les véritables intentions des architectes de cette l'intrigue sont vraiment, et la vraie nature de la bataille d'époque qu'ils mènent contre Christ et son Église.

Afin de comprendre les racines ésotériques de la pensée qui est à la base des Nations Unies, jadis convoitée par [l'activiste politique italien du XIXe siècle] Giuseppe Mazzini, nous ne pouvons manquer de considérer des personnages tels qu'Albert Pike, Eliphas Levi, Helena Blavatsky, Alice Ann Bailey, ou d'autres disciples des sectes lucifériennes. Leurs écrits, publiés depuis la fin du XIXe siècle, sont assez révélateurs.

Albert Pike, ami de Mazzini et confrère franc-maçon, prononça en 1889 en France un discours aux plus hauts niveaux de la franc-maçonnerie, qui fut ensuite réimprimé le 19 janvier 1935 par la revue anglaise The Freemason . Pike a déclaré :

Ce qu'il faut dire à la foule, c'est qu'on adore un dieu, mais c'est le dieu qu'on adore sans superstition […]. La religion maçonnique doit être maintenue dans la pureté de la doctrine luciférienne par nous tous qui sommes des initiés des plus hauts degrés. Si Lucifer n'était pas Dieu, Adonaï [sic] [le Dieu des chrétiens] dont les actes prouvent sa cruauté, sa perfidie et sa haine de l'homme, la barbarie et la répulsion de la science, Adonaï et son prêtre le calomnieraient-ils ?

"Oui, Lucifer est Dieu, et malheureusement Adonaï est aussi Dieu. Car la loi éternelle est qu'il n'y a pas de lumière sans ombre, pas de beauté sans laideur, pas de blanc sans noir, car l'absolu ne peut exister que comme deux dieux : l'obscurité étant nécessaire à la lumière pour lui servir de repoussoir comme le piédestal est nécessaire à la statue, et le frein à la locomotive… la doctrine du satanisme est une hérésie ; et la vraie et pure religion philosophique est la croyance en Lucifer, l'égal d'Adonaï ; mais Lucifer, Dieu de la Lumière et Dieu du Bien, lutte pour l'humanité contre Adonaï, le Dieu des Ténèbres et du Mal.

Cette profession de foi en la divinité de Satan n'est pas seulement un aveu de qui est le véritable Grand Architecte que la Franc-Maçonnerie adore, mais aussi un projet politique blasphématoire qui traverse l'œcuménisme de Vatican II, dont le premier théoricien fut la Franc-Maçonnerie :

Le chrétien, le juif, le musulman, le bouddhiste, le disciple de Confucius et de Zoroastre peuvent s'unir en frères et s'unir dans la prière au seul dieu qui est au-dessus de tous les autres dieux (cf. Albert Pike, Morals and Dogma, éd. Bastogi, Foggia 1984, tome VI, p. 153).

Et l'identité du « dieu unique qui est au-dessus de tous les autres dieux » a été bien expliquée dans la citation précédente.

Dans une autre lettre, Pike écrit à Mazzini :

Nous déchaînerons les nihilistes et les athées et provoquerons un formidable cataclysme social qui démontrera clairement aux nations, dans toute son horreur, l'effet de l'athéisme absolu, l'origine de la barbarie et de la subversion sanglante. Alors les citoyens de partout, contraints de se défendre contre une minorité mondiale de révolutionnaires, […] recevront la vraie lumière à travers la manifestation universelle de la pure doctrine de Lucifer, enfin révélée aux yeux du public ; une manifestation qui sera suivie de la destruction du christianisme et aussi de l'athéisme, qui seront conquis et écrasés à la fois ! (cf. Lettre du 15 août 1871 à Giuseppe Mazzini, Bibliothèque du British Museum, Londres).

On ne manquera pas de remarquer que la « grande hérésie de la séparativité » sonne curieusement en accord avec l'œcuménisme condamné par Pie XI dans son Encyclique Mortalium Animos , un œcuménisme qui a été adopté par la Déclaration Dignitatis Humanae et récemment fusionné dans la doctrine de « l' inclusivité » formulées par ceux qui ont permis que le culte idolâtre de la pachamama soit offert dans la basilique Saint-Pierre. Il est clair que le terme « séparativité » entend désigner en clé négative la nécessaire séparation du bien du mal, du vrai du faux, du bien du mal qui constitue le critère de jugement moral du comportement humain. “ Inclusivité» s'oppose à cette distinction, se laissant volontairement contaminer par le mal pour adultérer le bien, assimilant le vrai et le faux afin de corrompre le premier et donner une légitimité au second.

Les racines idéologiques communes de l'œcuménisme

Si l'on ne comprend pas que les racines idéologiques de l'œcuménisme sont intrinsèquement liées à l'ésotérisme maçonnique luciférien, on ne peut saisir le lien qui lie les déviations doctrinales de Vatican II au projet du Nouvel Ordre Mondial. La révolution de 1968 est un triste exemple de ces ambitions pacifistes et œcuménistes, où l'« Âge du Verseau » est célébré par la comédie musicale Hair (1969) puis par John Lennon avec Imagine (1971) :

Imagine qu'il n'y ait pas de paradis. C'est facile si vous essayez.
Pas d'enfer en dessous de nous. Au-dessus de nous, seul le ciel.
Imaginez tous les gens, vivant pour aujourd'hui.
Imagine qu'il n'y ait pas de pays. Ce n'est pas difficile à faire.
Rien pour tuer ou mourir, et pas de religion non plus.
Imaginez tout le monde, vivant en paix.
Tu peux dire que je suis un rêveur mais je ne suis pas le seul.
J'espère qu'un jour vous nous rejoindrez et que le monde ne fera qu'un.
Imaginez pas de possessions. Je me demande si tu peux.
Pas besoin d'avidité ou de faim, une fraternité d'homme.
Imaginez tous les gens, partageant tout le monde.

Ce manifeste du nihilisme maçonnique peut être considéré comme l'hymne du mondialisme et de la nouvelle religion universelle : ce n'est pas un hasard s'il a servi de chanson thème aux Jeux Olympiques de 2012 à Londres, et plus récemment à ceux de Tokyo. Une âme qui ne s'égare pas ne peut qu'éprouver de l'horreur à ces paroles blasphématoires. Il en va de même pour les paroles de la chanson non moins blasphématoire de Lennon, God (1970) :

Dieu est un concept par lequel nous mesurons notre douleur. […]
Je crois juste en moi.

Je comprends que pour beaucoup, il est désolant d'accepter que la Hiérarchie se soit laissée tromper par ses ennemis, faisant siennes leurs demandes dans des questions qui touchent l'âme même de l'Église. Il est certain qu'il y a eu des prélats maçonniques qui ont réussi à introduire leurs idées dans le Concile en les déguisant, mais en pleine conscience qu'elles conduiraient inexorablement à la réalisation de cette démolition de la Religion qui est la prémisse de l'établissement de l'Ere Nouvelle – l'ère du Verseau – dans laquelle Notre Seigneur est banni de la société pour accueillir l'Antéchrist. On comprend alors l'indulgence clinquante accordée à la franc-maçonnerie par de nombreuses personnalités catholiques – je pense aux cardinaux Martini et Ravasi, parmi tant d'autres – et leur opposition aux excommunications que les papes ont renouvelées contre la secte kathèkon [“celui qui retient” (cfr. 2 Thess 6:7)] à éliminer.

Il faut aussi rappeler, avec une certaine gêne, que certaines déclarations de Ratzinger suggèrent une tentative de « christianiser » le projet mondialiste, sans le condamner comme antichrist et antichrétien :

Laissez l'Enfant de Bethléem vous prendre par la main ! N'ai pas peur; faites lui confiance ! Le pouvoir vivifiant de sa lumière est une incitation à la construction d'un nouvel ordre mondial ( ici ).

Ces paroles confirment malheureusement le sophisme de la pensée hégélienne, qui a influencé le professeur de Tübingen jusqu'au Trône. Certes, l'incapacité du Pontife à prendre position lui a permis d'être considéré en quelque sorte comme un allié du projet mondialiste, si le président italien Giorgio Napolitano a pu affirmer dans son discours de fin d'année 2006 au peuple italien : « Il y a harmonie entre Le Pape Benoît et moi pour soutenir un Nouvel Ordre Mondial » (31 décembre 2006). D'autre part, le processus hégélien de thèse-antithèse-synthèse fait écho à la devise de l'alchimie, Solve et Coagula, qui a été adopté par la franc-maçonnerie et par l'ésotérisme luciférien. C'est la devise qui figure sur les armes de Baphomet, l'idole infernale adorée par les plus hauts niveaux de la secte maçonnique, comme l'admettent ses membres les plus autoritaires. Dans son essai Lucifer Rising , Philip Jones précise que la dialectique hégélienne « combine une forme de christianisme comme thèse avec un spiritualisme païen comme antithèse, avec comme résultat une synthèse très proche des religions à mystère babyloniennes ».

Le panthéisme mondialiste de Theilard de Chardin

L'œcuménisme est l'un des thèmes clés de la pensée mondialiste. Ceci est confirmé par Robert Muller, qui était le secrétaire général adjoint des Nations Unies : « Nous devons avancer le plus rapidement possible vers un gouvernement mondial, une religion mondiale et un leader mondial unique . Avant lui, l'un des défenseurs de la Société des Nations, Arthur Balfour, a créé la " Société synthétique ", qui avait pour but la création de la " religion mondiale unique ". Pierre Theilard de Chardin lui-même, jésuite hérétique condamné par le Saint-Office et aujourd'hui célèbre théologien du progressisme, considérait les Nations Unies comme « l'incarnation institutionnelle progressiste de sa philosophie », exprimant son espoir que «une convergence générale des religions sur un Christ universel qui les accomplit toutes….me semble être la seule conversion possible du monde, et la seule forme sous laquelle une religion du futur puisse être conçue « afin de « réduire l'écart ». entre le panthéisme et le christianisme en dessinant ce qu'on pourrait appeler l'âme chrétienne du panthéisme ou l'aspect panthéiste du christianisme . On ne manquera pas de remarquer que la pachamama et l'attribution de connotations mariales à la Terre Mère font de ces concepts de Theilard de Chardin une réalité inquiétante. Et ce n'est pas tout : Robert Muller, le théoricien du gouvernement mondial qui est aussi disciple de la théosophe Alice A. Bailey, déclare : « Teilhard de Chardin a influencé son compagnon[le père jésuite Emmanuel Saguez de Breuvery, qui a occupé des postes importants à l'ONU], qui à son tour a inspiré ses collègues, et ils ont à leur tour initié un riche processus de réflexion globale et à long terme au sein des Nations Unies, qui a touché de nombreuses nations et des gens partout dans le monde. J'ai été profondément influencé par Teilhard . Dans son livre L'Avenir de l'Homme , Theilard écrit : « Même si sa forme n'est pas encore visible, demain l'humanité se réveillera dans un monde pan-organisé . Muller a été le fondateur du World Core Curriculum, qui visait « à orienter nos enfants vers la citoyenneté mondiale, les croyances centrées sur la terre, les valeurs socialistes et l'état d'esprit collectif, qui deviennent une exigence pour la main-d'œuvre du 21e siècle » (Nouvel Homme Magazine ). Et s'il revendique fièrement Alice A. Bailey parmi ses inspiratrices, on découvre qu'elle était une disciple du Mouvement Théosophique fondé par Helena Blavatsky, une luciférienne déclarée. Afin de bien comprendre le personnage de Blavatsky, voici quelques citations de ses écrits :

Lucifer représente la Vie, la Pensée, le Progrès, la Civilisation, la Liberté, l'Indépendance… Lucifer est le Logos, le Serpent, le Sauveur.

Et, anticipant presque la pachamama :

La Vierge Céleste devient ainsi, en même temps, la Mère des Dieux et des Démons, car elle est la Divinité bienfaisante toujours aimante… Mais dans l'antiquité et en réalité le nom [de ce dieu] est Lucifer. Lucifer est la Lumière divine et terrestre, à la fois le Saint-Esprit et Satan. »

Et pour couronner le tout:

C'est Satan qui est le dieu de notre planète et le seul dieu.

C'est Alice A. Bailey qui a fondé la Lucifer Publishing Company , qui est maintenant connue sous le nom de Lucis Publishing Company , étroitement liée au Lucis Trust, anciennement Lucifer Trust , reconnu comme une ONG par les Nations Unies. Si l'on ajoute à cet amoncellement de divagations infernales les propos de David Spangler, le directeur du Planetary Initiative Project des Nations Unies, on se rendra compte à quel point la menace qui pèse sur nous tous est terrible :

Personne ne fera partie du Nouvel Ordre Mondial à moins d'accomplir un acte d'adoration envers Lucifer. Personne n'entrera dans le Nouvel Âge s'il ne reçoit pas une initiation luciférienne (Réflexions sur le Christ, Findhorn, 1978).

Alice A. Bailey écrit sur le New Age :

Les réalisations de la science, les conquêtes des nations et les conquêtes de territoires sont toutes révélatrices de la méthode de l'âge des Poissons [l'âge du Christ], avec son idéalisme, son militantisme et sa séparativité dans tous les domaines - religieux, politique, et économique. Mais l'ère de la synthèse, de l'inclusivité et de la compréhension est à nos portes, et la nouvelle éducation de l'ère du Verseau [l'ère de l'Antéchrist] doit commencer très délicatement à pénétrer l'aura humaine.

Aujourd'hui, nous voyons comment les méthodes d'enseignement théorisées par Muller dans le World Core Curriculum ont été adoptées par presque toutes les nations, y compris l'idéologie LGBT, la théorie du genre et toutes les autres formes d'endoctrinement. C'est ce que confirme l'ancien directeur de l'OMS, le Dr Brock Chisolm, expliquant ce que la politique éducative de l'ONU souhaite atteindre :

Pour parvenir à un gouvernement mondial, il est nécessaire d'éloigner de l'esprit des hommes leur individualisme, la fidélité aux traditions familiales, le patriotisme national et les dogmes religieux (cf. Christian World Report, Marzo 1991, Vol. 3).

Revoilà le fil rouge qui relie non seulement Klaus Schwab à Hélder Câmara, mais aussi Robert Muller et Alice A. Bailey à Pierre Theilard de Chardin et Emmanuel Saguez de Breuvery, toujours dans une tonalité mondialiste et sous l'inspiration funeste de la pensée luciférienne. Une analyse approfondie de ces aspects inquiétants permettra de faire la lumière sur la vérité et de révéler la complicité et les trahisons de nombreux ecclésiastiques asservis à l'ennemi.

Notre réponse à la crise de l'autorité

La corruption de l'autorité est telle qu'il est très difficile – du moins en termes humains – d'émettre l'hypothèse d'une issue pacifique. Au cours de l'histoire, des régimes totalitaires ont été renversés par la force. Il est difficile de penser que la dictature sanitaire qui s'est installée ces derniers mois puisse être combattue différemment, puisque tous les pouvoirs de l'État, tous les moyens d'information, toutes les institutions internationales publiques et privées, tous les acteurs économiques et financiers les potentats sont complices de ce crime.

Face à ce sombre scénario de corruption et de conflit d'intérêts, il est indispensable que tous ceux qui ne sont pas soumis au plan mondialiste s'unissent en un front compact et cohérent, afin de défendre leurs droits naturels et religieux, leur propre santé et celle de leurs proches, leur liberté et leurs biens. Là où l'autorité manque à ses devoirs et trahit en effet le but pour lequel elle a été établie, la désobéissance est non seulement légale mais obligatoire : désobéissance non violente, au moins pour l'instant, mais déterminée et courageuse. Désobéissance aux diktats illégitimes et tyranniques de l'autorité ecclésiastique, partout où elle se montre complice du plan infernal du Nouvel Ordre Mondial.

Conclusion

Permettez-moi de conclure cette réflexion par une brève réflexion spirituelle. Tout ce que nous savons, découvrons et comprenons sur la conspiration mondiale qui se déroule actuellement nous montre une formidable réalité qui est aussi à la fois nette et clairement définie : il y a deux côtés, le côté de Dieu et le côté de Satan, le côté des enfants de la Lumière et du côté des enfants des ténèbres. Il n'est pas possible de se réconcilier avec l'Ennemi, ni de servir deux maîtres (Mt 6,24). Les paroles de Notre-Seigneur doivent être gravées dans nos esprits : « Celui qui n'est pas avec moi est contre moi, et celui qui ne s'assemble pas avec moi disperse» (Mt 12:30). Espérer construire un gouvernement mondial dans lequel la royauté divine de Jésus-Christ est interdite est insensé et blasphématoire, et personne qui a un tel plan ne réussira jamais. Là où règne le Christ, règnent la paix, l'harmonie et la justice ; là où Christ ne règne pas, Satan est un tyran. Considérons-le bien, chaque fois que nous devons choisir de conclure des accords avec l'adversaire au nom d'une fausse coexistence pacifique ! Et que ces prélats et chefs civils qui pensent que leur complicité n'affecte que les questions économiques ou de santé, feignant de ne pas savoir ce qui se cache derrière tout cela, considèrent également cela bien.

Tournons-nous vers le Christ, le Christ qui est le Roi des cœurs, des familles, des sociétés et des nations. Proclamons-le comme Notre Roi et Marie Très Sainte comme Notre Reine. Ce n'est qu'ainsi que le projet méchant du Nouvel Ordre Mondial pourra être vaincu. Ce n'est qu'ainsi que la Sainte Église pourra être purifiée des traîtres et des renégats. Et que Dieu écoute notre prière.

+ Carlo Maria Viganò, archevêque

28 août 2021
Saint Augustin, évêque et confesseur et docteur de l'Église » (lifesitenews.com)

Août 2021

29 août

A Rome ils ne voudront pas te donner.

« Ton règne sera grand et bref. Père, il sera bref mais il te mènera loin, dans la lointaine terre où tu es né et où tu seras enseveli.
A Rome ils ne voudront pas te donner.

Et il y aura un autre Père, avant que tu sois enseveli, pour prier loin pour toi, pour les blessures de la Mère.
Mikail et Jean descendront sur terre. » (1ère partie de la prophétie de Jean XXIII concernant François)

Pour ceux qui suivent l’actualité au Vatican, vous êtes au courant que l’on évoque depuis une semaine la démission de Bergoglio pour raisons de santé suite à sa chirurgie du mois de juillet.

C’est Antonio Socci qui a parti le bal sur son blog.

Il ajoute que la maladie de Bergoglio est grave et dégénérative, que ce qui le bloque dans sa décision est que Benoît XVI est toujours en vie car avoir deux papes émérites ne semble pas dans les plans.

Mais selon une source de Socci, Bergoglio aurait dit « qu’au printemps prochain il pourrait y avoir un nouveau pape ».

Et le Vatican laisse aller ces rumeurs.

C’est donc qu’il y a un certain fondement.

Les troupes se préparent déjà à ce qu’on dit, troupes qui ont à majorité maintenant, promus par Bergoglio.

De sorte que le cardinal Pietro Parolin (qu’on anticipe comme futur pape depuis des années) semble vouloir prendre la relève et pousser encore plus loin « l’humanisation » de l’Église.

D’une manière ou d’une autre, ces rumeurs indiquent que quelque chose se prépare, surtout face au synode à venir, puisqu’il s’étale sur 3 ans (2,5 ans en fait puisque le rapport final sera proposé en mars 2023).

Un peu à la manière de Vatican II (inauguré par Jean XXIII, mais clôturé par Paul VI).

De plus, Bergoglio serait en train de produire un nouveau Motu Proprio pour obliger la retraite à 85 ans pour  un pape.

Ce qui serait qu’un autre geste de dénaturation de la fonction.

Le pape n’est pas un président d’entreprise.

Il est le représentant du Christ sur terre!

« Un nouveau Motu Proprio pour réglementer la « papauté émérite », un problème canonique effectivement laissé ouvert par Benoît XVI, est maintenant imminent. Mais ce qui, dans l’esprit de son prédécesseur, devait rester une exception, deviendra pour François une institution, avec tous les problèmes que cela comporte: parce que, par nature, une seule personne peut assumer le titre de pape. Et l’hypothèse annoncée d’une retraite à 85 ans serait un coup dur pour le cœur de la fonction pétrinienne… » (benoit-et-moi.fr)
     
Une semaine après la nouvelle de Socci, c’est un sujet qui se discute de plus en plus à propos de la démission.

Et deux protagonistes seraient sur la liste des papabiles.

Parolin (sans surprise) et Zuppi.

« ... Désormais, le site de Dagospia, presque certain d'une sortie rapide de la scène du pape François en raison de problèmes de santé et du renoncement au pontificat comme prophétisé par Antonio Socci, a signalé que les jeux seraient déjà ouverts en vue du prochain conclave, avec un jeu à deux entre l'actuel secrétaire d'Etat Pietro Parolin, soutenu par le bloc des cardinaux occidentaux et par une partie des latino-américains, et l'archevêque de Bologne Matteo Zuppi soutenu par les cardinaux du tiers-monde... » (marcotosatti.com)

Mais il y a toujours l’histoire du Katéchon : Benoît XVI.

N’oublions pas la prophétie le concernant et celle de François : « Deux frères et personne ne sera le vrai Père. La Mère sera veuve.»

Face à Benoît XVI, on se demande si nous avons affaire à un antipape.

La réponse est pourtant plus évidente : nous avons affaire au faux témoin, à l’Antéchrist personne du système humaniste, de la grande fraternité universelle, de la grande réinitialisation (avec un nouveau pape?), la bête de la mer de l’Apocalypse.

« La reddition de Benoît et la question du « siège bloqué ».

Sous la couverture du silence des médias généralistes, une véritable "guerre anti-papale" se déroule, menée par des canonistes, des théologiens et des juristes de divers pays, fidèles uniquement à Benoît XVI.

« Le pape n'est qu'un » répète Ratzinger depuis huit ans, sans jamais expliquer lequel des deux, comme Mgr Gaenswein l'a récemment confirmé (involontairement). La thèse de l'avocat Acosta, publiée en mars dans le tome « ​​Benoît XVI : Pape émérite ? », n'a pas été démentie : le canon 332.2 exige la renonciation au munus (titre divin) pour l'abdication du pape, tandis que Ratzinger, en dans sa déclaration du 11 février 2013, il déclara ne renoncer qu'au ministerium , l'exercice actif.

« Benoît XVI - affirment Acosta et le juriste Sànchez (Univ. Séville) - n'a jamais abdiqué, il est resté le seul pape. François est un antipape, les cardinaux nommés par lui, qui ne sont pas valides, éliront un autre antipape ».

Mais maintenant, la bataille finale est entre les latinistes, sur un seul verbe : « videt ». Le Vatican, qui déjà dans les traductions de la Declaratio avait éliminé la dichotomie munus / ministerium, ne les rapportant qu'avec "ministère", a traduit " vacet " par " siège vacant ". Légitime, mais le latiniste Gianluca Arca explique que, au sens littéral, cela signifie "le siège reste libre". Confirmer par deux latinistes ("neutres") de La Sapienza, prof. Ursini et Piras, à tel point que Cicéron écrit : « « Ego filosophiae semper  vaco » -  « J'ai toujours du temps  libre  pour la philosophie ».

Ainsi, trois concepts clés de la Declaratio de Benoît subsistent :
1) N'ayant plus la force d'exercer le pouvoir pratique ( Ministerium ), je déclare y renoncer,
2) afin que le siège de saint Pierre reste  LIBRE  (pas " vacant" au sens juridique) à partir de 20h00 le 28 février.
3) Et je déclare que le prochain nouveau Pontife devra être élu par un conclave convoqué  « par ceux à qui il appartient ».

Ainsi lue, la Declaratio , d'une « renonciation » canoniquement problématique, se transforme en une déclaration - non juridique - mais cohérente de « Sede impedita », selon le canon 412, lorsque « Le siège épiscopal est dit empêché quand, par suite de captivité, de relégation, d’exil ou d’incapacité, l’Évêque diocésain est dans l’impossibilité totale d’exercer sa fonction pastorale dans le diocèse de sorte qu’il ne peut pas communiquer même par lettre avec ses diocésains. ».

Plausible? Vatileaks et le limogeage de Gotti Tedeschi racontent comment, à la fin du pontificat, Benoît a eu de gros problèmes pour se faire obéir et ne pouvait pas communiquer par lettre, étant donné qu'ils volaient et divulguaient son courrier privé.

En effet, le 28 février 2013, il a pris l'hélicoptère, quitté physiquement le siège de San Pietro pour Castel Gandolfo libre, vide. De là, il salua le monde à 17h30, mais sur le coup de  20h00, il ne signa aucune renonciation au  ministerium , comme l'explique le théologien Pace : peut-être parce que cela aurait été un acte juridique invalide ? A partir de ce moment, le siège entravé partirait et  les ennemis de Ratzinger pouvaient faire ce qu'ils voulaient avec le siège de Saint-Pierre.

« C'est ainsi - Arca et Sànchez s'accordent à dire - cette étrange phrase 'le conclave doit être convoqué par ceux à qui il appartient'. Pourquoi n'a-t-il pas simplement dit « aux cardinaux » ? Conscient du fait que le siège serait usurpé, Ratzinger précise que, dans tous les cas, le prochain vrai pape ne doit être élu que par de vrais cardinaux, c'est-à-dire ceux nommés par de vrais papes, lui et Jean-Paul II, et non par aucun usurpateurs ».

Toujours pas de réponse du Vatican qui, depuis deux ans, a choisi de ne pas commenter la question, se limitant à excommunier des prêtres fidèles à Benoît sans procédure canonique.

Cependant, le « voir entravé » explique un certain nombre de bizarreries, comme lorsque Ratzinger a écrit les « Dernières conversations » : « Aucun pape n'a démissionné pendant mille ans et même au premier millénaire il était une exception ». Étant donné que six papes ont abdiqué au premier millénaire et quatre au second, il est assimilé, comme le confirme l'historien Mores (univ. Milan), à « l'exception » du  pape médiéval Benoît VIII qui, au premier millénaire, fut envoyé en exil par un antipape et qui eut donc - par coïncidence - le siège empêché. Il est également significatif que l'institution du pape émérite soit désormais considérée comme inexistante, à tel point que - rapporte IlGiornale.it - ​​​​le Vatican travaille (maintenant) à lui trouver une jurisprudence.

Alors, qu'était Ratzinger pendant huit ans ? Cela expliquerait sa robe blanche, les autres prérogatives papales dont il continue de jouir et cette étrange ambiguïté qui persiste dans ses déclarations et entretiens, qui suggère une impossibilité de communiquer clairement, en raison précisément du siège entravé.

Le soupçon - très sérieux - est qu'en fait le pape Ratzinger communique subtilement à travers des livres et des interviews depuis huit ans, sans que personne ne recueille ses messages logiques cachés sous d'apparentes incohérences. Est-il possible que le théologien adamantin et hautement cultivé, après 2013, oublie le latin, le droit canon, l'histoire de l'Église, tout en continuant à écrire des livres et à donner des entretiens approfondis ? Et que toutes ces distractions conduisent toujours au même scénario de salle entravée ?

La dernière découverte a été faite par un journaliste de RomaIT, Mirko Ciminiello. Toujours dans "Dernières conversations", Ratzinger admet qu'il pourrait bien être lui-même le dernier pape sur la liste des papes de Saint-Malachie : il ne considère pratiquement pas François comme son successeur légitime.

Si Benoît n'a pas abdiqué, en fait, les lignes de succession sont séparées à jamais : un papal et un anti-papal et si les cardinaux ne règlent pas la question canonique sur sa Declaratio, la véritable Église continuera sous terre, avec un futur chef spirituel qui est le véritable successeur de Benoît XVI, alors que le siège officiel sera perdu, laissé entre les mains d'une nouvelle église éco-maçonnique-mondialiste qui n'aura rien à voir avec le catholicisme romain. Au contraire.

Andrea Cionci »  (marcotosatti.com)

Stefano Fontana résume, et nous donne la preuve, que la bête de la mer et la bête de la terre ne font qu’un maintenant, grâce à Bergoglio.

« Stefano Fontana

La NBQ

27 août 2021

François démissionnera, non pas pour des raisons de santé ou autres, mais pour achever le processus de sécularisation de la papauté qu’il a entrepris avec détermination. Du « bonsoir » initial aux encycliques horizontales, il ne reste plus que l’acte final de démission comme étape décisive pour achever le processus de sécularisation de l’Église.

On parle beaucoup de la démission du pape. À mon avis, François démissionnera, non pas pour des raisons de santé ou autre, mais pour achever le processus de sécularisation de la papauté qu’il a entrepris avec détermination, une étape décisive pour achever le processus de sécularisation de l’Église.

Le principal engagement de son pontificat, François l’a précisément mis en œuvre à cette fin, accélérant un processus déjà engagé depuis le discours de Jean XXIII sur la lune ou l’entrée des caméras dans l’appartement papal, mais qui semble désormais avoir contourné les légitimes intentions pastorales pour devenir un projet théologico-idéologique acharné et intransigeant.

Une première manière a été confiée aux gestes. Du « bonsoir » du premier moment au port ostentatoire de son sac noir à bord de l’avion, de l’appel direct à X ou Y au téléphone à la visite de la Via dei Coronari pour acheter des lunettes, de la réponse à un appel téléphonique pendant l’audience générale à l’aveu qu’il voyait un analyste depuis un an, du port de toutes sortes de couvre-chefs offerts par les visiteurs à l’agneau autour du cou lors d’une visite dans une paroisse romaine. Le pape est l’un des nôtres. Le pape nous aime bien.

Une autre manière a été de s’exprimer « du tac au tac » sur chaque sujet, en répondant à chaque question d’une manière approximative, problématique, incertaine, souvent dangereuse sur le plan doctrinal. Beaucoup d’exégèses de l’Écriture dans les homélies de Santa Marta sont forcées et peu fiables, beaucoup de réponses aux journalistes dans l’avion ont été délibérément irréfléchies, beaucoup d’interventions sur les affaires courantes – pensons récemment aux positions prises sur le Covid et la vaccination – sont fausses et inappropriées. Beaucoup de ses enseignements concernent des observations banales de l’existence quotidienne : même si le pape n’invite pas les gens à éteindre leur téléphone portable à table, cela revient au même. Le niveau général a beaucoup baissé. Un pape bavard, comme nous le sommes aussi.

Une troisième manière vient de l’idée que le pape devrait renoncer à être le dernier recours pour définir la vérité de la foi et de la moralité. À plusieurs reprises, François a omis de donner des réponses à des questions d’une grande importance pour la vie de l’Église. Le cas le plus connu concerne l’absence de réponse aux dubia des quatre cardinaux après la publication de l’exhortation Amoris laetitia. Mais cela concerne aussi, par exemple, la demande de certains évêques allemands d’une parole claire sur la communion aux protestants, ou la demande du président des évêques américains sur la possibilité de donner la communion aux politiciens pro-avortement. Dans les deux cas, non seulement le pape n’a pas répondu, mais il a demandé aux évêques de discuter et de trouver une solution entre eux. François a souvent été le premier à enfreindre les règles, par exemple en donnant la communion aux protestants, il a exprimé un fort dédain pour la doctrine et une appréciation tout aussi forte pour les positions limites ou hors normes. Et il n’a pas exclu qu’il puisse être le premier pape à provoquer un schisme. Le pape ne se tient plus devant, mais se tient maintenant devant, derrière et entre les deux.

Une autre manière a été de manifester une praxis de tonalité politique et personnaliste. Les deux conférences sur la famille en 2014 et 2015 ont été une machination tactiquement parfaite. De même pour le synode d’Amazonie. Les résultats finaux avaient déjà été préparés dès le début, un scénario avait été fourni auquel tout le monde devait se conformer. Le synode allemand a été promu par lui, mais avec une théâtralité destinée à créer la confusion. Un pape metteur en scène politique, tantôt impitoyable avec les cardinaux et les prélats de la Curie, tantôt capable de contourner les obstacles par des manœuvres internes, tantôt affaiblissant les responsables institutionnels des dicastères pontificaux et permettant à des personnalités officieuses qui lui sont liées de faire la pluie et le beau temps, jetés par la porte et laissés par lui rentrer par la fenêtre. Le traitement réservé aux cardinaux Müller et Sarah a fait date, tout comme la violence exercée sur l’Institut Jean-Paul II et l’obstination à s’entourer de personnages douteux. Ce sont des attitudes très terrestres, d’un leader politique qui promeut « les siens » en termes de confiance personnelle.

Une autre manière encore a été de rabaisser la position de l’Église dans l’évaluation de plusieurs phénomènes du monde d’aujourd’hui au niveau d’autres acteurs sociaux et politiques internationaux. Les encycliques Laudato si’ et Fratelli tutti disent en substance les mêmes choses que les documents des agences des Nations Unies, la vision catholique du problème environnemental coïncide avec celle de la Cop25 et bientôt de la Cop26, même la question démographique est désormais abordée en accord avec les partisans du planning familial, et le même vocabulaire des Académies des sciences sociales et de la vie (toujours dirigées, en dépit de tout, par Sorondo et Paglia) est devenu résolument horizontal.

A une papauté affaiblie correspond un pape protagoniste incontesté. La contradiction n’est qu’apparente. En effet, pour affaiblir la signification transcendante et religieuse de la papauté et la transformer en une papauté horizontale et politique, il fallait faire preuve de beaucoup de décision, d’énergie et de persévérance. Il ne reste plus que l’acte final de la démission. La papauté comme la présidence d’une association ou d’une société. » (benoit-et-moi.fr)

Nous entrons dans une période trouble.

Démission… ou décès prochain?

Décès du protecteur, du Katéchon, Benoît XVI?

Afin que la prophétie prenne son envol…

Afin que Parolin prenne le flambeau pour devenir Petrus Romanus de la prophétie de St-Malachie.

« Marie Très Sainte, fille et mère de Dieu, maîtresse du temps futur, bats le rappel de tes fils dans les campagnes, pour qu'ils abattent les deux Babylone.
Et que la Mère soit Une, comme toi tu es unique.
La terre détruira le ciment et de terre sera, Reine, ta nouvelle Église. Et sur la terre de blé, pour la faim de tes peuples, fleur sur son nouvel autel. Amen. »

« Mikail et Jean descendront sur terre

16 août

Sermon opportun de l’abbé PP. Petrucci de l’église de Saint-Nicolas du Chardonnet hier en cette fête de l’Assomption de la Vierge Marie.

Abbé PP. Petrucci, «Associée au combat et à la gloire »

« … Et donc, par là le pape (Pie XII), nous montre, vraiment, le rôle du magistère… le Saint-Esprit a été aux successeurs de Pierre, non pas pour changer le dépôt révélé, mais pour le transmettre intacte.

Donc, le Saint-Esprit n’a pas été donné, ne peut pas être donné pour que toutes les religions viennent de Dieu, ou alors, pour prôner, hélas, la dévotion à la Pachamama, comme nous avons vu dans l’église aujourd’hui, ou alors, pour dire que les divorcés remariés qui vivent en concubinage peuvent recevoir la Sainte Communion, en contredisant l’indissolubilité du mariage.

Cette vérité de morale est le sixième commandement.

L’Esprit-Saint n’est pas donné pour combattre la vraie messe catholique et pour prôner une nouvelle liturgie œcuménique, à saveur protestante.

Non.

L’Esprit-Saint n’est pas donné pour cela.

Il ne peut pas y avoir d’infaillibilité par rapport à cela.

Et nous devons nous le rappeler, bien-sûr.

Et, mais aussi, faire attention à un piège qui peut nous menacer, face à cette crise dans l’Église.

Et le piège, c’est se dire, puisqu’il y a des erreurs qui sont diffusées par la plus haute autorité, depuis le concile Vatican II, donc il n’y a plus de pape.

Erreur très grave, qui va contre, contre la structure même de l’Église, comme Jésus l’a fondée sur des structures visibles, fondée sur Pierre.

Nous pouvons avoir un bon pape, un saint pape, beaucoup de papes sont morts martyrs.

Nous pouvons avoir un pape médiocre ou hélas un pape qui peut être infidèle  à sa mission.

Mais, ce n’est pas possible que l’Église puissent exister 50 ans, plus de 50 ans sans pape.

Du point de vue théologique doctrinal, c’est impossible.

Donc, attention à ces pièges.

Nous vivons aujourd’hui une crise terrible dans l’Église, mais l’Église est toujours fondée sur Pierre, et Jésus soutient la structure de l’Église fondée sur Pierre, quelques fois, malgré, malgré le pape lui-même.

Nous avons des exemples dans l’écriture sainte…

Il faut garder la foi dans l’Église, et prier pour elle, prier surtout la Sainte-Vierge…

Nous devons vivre avec un regard dans le Ciel, comme nous le dit l’oraison de cette messe, nous détacher des biens de la terre, vivre de la foi et agir d’une façon conséquente à la foi, et c’est toujours la prière qui nous donne cette force, la prière et la dévotion à la Vierge Marie, et surtout le chapelet… »

Le Rosaire est le dernier rempart contre tous les événements que nous vivons aujourd’hui dans cette crise de l’Église.

13 août

LES TROIS PÉRIODES ANTI-CHRISTIQUES DE SAINT PAUL
(Thessaloniciens 2, 3-4) (Suite du 14 juin)

« Que personne ne vous égare d'aucune manière ; car auparavant viendra l'apostasie, et se manifestera l'homme de péché, le fils de la perdition, l'adversaire qui s'élève contre tout ce qui est appelé Dieu ou honoré d'un culte, jusqu'à s'asseoir dans le sanctuaire de Dieu, et à se présenter comme s'il était Dieu. »

Voici ce qui disait le vénérable Holzhauser de cette bête annonçant le fils de la perdition :

« Cette bête qui s’élèvera de terre est un faux prophète qui annoncera le fils de perdition comme étant le Christ, et il en sera le bras duquel l’Antéchrist opérera des choses surprenantes tant par des signes que par la puissance de ses armes. (…) Il est dit que cette bête aura deux cornes semblables à celles de l’Agneau, parce qu’elle sera un chrétien apostat et qu’elle s’élèvera secrètement et frauduleusement. Elle (…) occupera le siège pontifical, tuera le dernier pape successeur légitime de saint Pierre (…). Alors L’Église sera dispersée dans les solitudes et les lieux déserts, (…) parce que le pasteur aura été frappé, et que les brebis seront dispersées. Car il en sera de même qu’au temps de la Passion de Notre Seigneur. L’Église latine sera déchirée, et à l’exception des élus, il y aura défection totale de la foi. (…) »

C’est exactement la suite des dernières prophéties de l’Église de Jean XXIII.

C’est exactement la mort à petit feu pour Benoît XVI, qui comme le bon larron, a reconnu le signe afin de publier le Motu Proprio  Summorum Pontificum en 2007, avant de se faire tasser par le mafia Saint-Gaal pour l’élection de Bergoglio.

Qu’est-ce que la bête?

La bête est décrite principalement aux chapitres 13 et 17 de l’Apocalypse.

Sur quoi saint Jean insiste-il quand il la décrit ?

Sur son anti-christianisme profond.

Blasphème, blasphème, blasphème, blasphème,…

Par quatre fois ce mot est répété par Saint-Jean.

Et sur les 7 têtes « il y a des noms de blasphème ».

La bête s’en prend donc à Dieu directement, tout en faisant la guerre aux saints de l’Église.

Et comme signe visible pour la fin des temps, la bête fait la guerre aux « deux témoins ».

Voilà qui est dit.

Mais…

La bête ne fait pas la guerre aux autres, soient ceux qui ne révère pas NSJC.

Parce qu'elle en est adorée!

Il y a donc un clivage entre les chrétiens (ceux qui adorent le Dieu unique et trin) et les enfants de la bête.

On est donc pour le Christ ou contre le Christ.

C’est la séparation du bon grain de l’ivraie.

Le faux témoin Bergoglio parle du Christ mais agit contre le Christ et son évangile, contre son Église. C’est le mystère d’iniquité.

Donc, on doit nécessairement retrouver cette opposition entre ceux qui sont du Christ et ceux qui sont contre le Christ DANS la marque de la bête.

Le vaccin et/ou le passeport sanitaire ne sont pas la marque de la bête car la bête ne s’attaquent qu’aux chrétiens!

Encore une fois, l’Apocalypse nous révèlent que la bête ne fait pas la guerre à ses enfants.

Ses enfants partagent les valeurs de la bête et s’épanouissent dans le nationalisme, le libéralisme, le maçonnisme, le modernisme et le socialisme, concrètement visibles par les têtes de la bête que sont le matérialisme, les droits LGBT, la libéralisation des mœurs, la croyance en la suprématie de la science et surtout la médecine, les techno-zombies, la laïcité, la fraternité universelle, les droits de l’homme, le mensonge universel, etc...

Le vaccin est pour tous et cible tout le monde.

Le passeport sanitaire s’adresse à tous et donc ne cible pas uniquement les chrétiens.

La marque de la bête EST spirituelle. Elle tue l’âme, L’Esprit.

C’est sur ce point qu’il faut se méfier et non sur ce qui tue le corps.

La manière de penser (marque au front) et la manière d’agir (marque à la main droite) sont les deux composantes de la marque de la bête.

Et ce dirigées contre le Christ.

C’est le contraire de l’Amour enseigné par le Christ, le manque de Charité présent en cette fin des temps.

Bref vivre hors de Babylone pour s’éloigner dans sa « grotte spirituelle ».

Car, nous sommes entrés dans le temps du marquage des 144000 élus du chapitre 7 de l’Apocalypse.

L’Église est dans son agonie avant d’être mise au tombeau.

C’est la mort des deux témoins de l’Apocalypse.

Prions pour l’Église qui à l’image du Christ subit sa passion.

Prions pour Benoît XVI qui bientôt laissera le champs libre pour l’accomplissement des prophéties de Jean XXIII.

Les trois périodes anti-christiques de Saint-Paul sont réalisées.

C’est le temps de la chute de Babylone la grande.

Car les têtes de la bête s’agitent dans tous les sens et leurrent les pauvres âmes.

« Ne craignez pas ceux qui tuent le corps et qui ne peuvent tuer l’âme ; craignez plutôt celui qui peut faire périr l’âme et le corps dans la géhenne. » (Matthieu 10:28)

« le temps de la Purification serait abrégé lorsque les cinq arbres d’hérésie qui infestent la forêt seraient déracinés. Ces cinq arbres sont : le nationalisme, le libéralisme, le maçonnisme, le modernisme et le socialisme » (cité par le P. Bessières S. J. dans
sa biographie d’Anna-Maria Taïgi — D D B 1936 — page 188)

04 août

Le message est clair.

La prière de Bergoglio pour août est « l’église en chemin », pour une église en transformation.

Une ligne a belle et bien été tracée avec le dernier Motu Proprio, puisque Bergoglio signifie ici qu’on oublie le passé, qu’on laisse « tout » se transformer, non pas à lumière du Saint-Esprit, mais à la lumière de Vatican II.

C’est le même langage que la réinitialisation: transformer, réformer, etc…

Il affirme donc cette dernière poussée en parallèle avec la bête de la terre.

Les prochains mois réserveront la surprise de ce que nous, nous attendons. La messe œcuménique n’est pas très loin.

« La vocation propre de l’Église est d’évangéliser, ce qui ne signifie pas dire faire du prosélytisme. La vocation de l’Église, plus encore son identité, c’est d’évangéliser.

Nous ne pourrons réformer l’Église qu’à partir d’un discernement de la volonté de Dieu dans notre vie quotidienne. Qu’à partir d’une transformation, guidés par l’Esprit Saint. Cette transformation passe par une réforme personnelle. Laissons l’Esprit Saint, don de Dieu dans nos cœurs, nous rappeler l’enseignement de Jésus pour le mettre en pratique.

La réforme de l’Église commence par nous-mêmes. Sans idées préconçues, sans préjugés idéologiques, sans raideur, mais en avançant à partir d’une expérience spirituelle, une expérience de prière, de charité, de service.

J’imagine un choix encore plus missionnaire, capable d’aller à la rencontre de l’autre sans prosélytisme et de transformer toute sa structure pour l’évangélisation du monde actuel.

Rappelons-nous que l’Église a toujours eu des difficultés, des crises, justement parce qu’elle est vivante. Les êtres vivants passent par des crises. Seuls les morts n’ont pas de crise.

Prions pour l’Église, afin qu’elle reçoive du Saint-Esprit la grâce et la force de se réformer à la lumière de l’Évangile. » (vaticannews.va)

La langue mielleuse d'un côté, des actions contraires de l'autre. C'est la méthode bergoglienne.

Évidement, aussitôt Summorum Pontificum de Benoît XVI sur le rite ancien neutralisé ou presque, Bergoglio passe à la vitesse grand V sur le projet de messe œcuménique, donc de l’élimination de la présence réelle.

Le premier indice n’a pas tardé à sortir, même si ce n'est qu'à l'état de rumeur.

Ce qu'il faut retenir, c'est que le calendrier est serré, autant pour la bête de la mer que pour la bête de la terre.

« Marco Tosatti

Chers amis et ennemis de Stilum Curiae, un ami d'outre-Murs nous dit - et bien sûr la nouvelle est à vérifier, mais il semble tout de même juste et intéressant de l'offrir - que le Pontife régnant veut recommencer à traiter avec L'intercommunion, c'est-à-dire la possibilité pour les fidèles de confessions chrétiennes autres que catholiques de participer à l'Eucharistie.

Pour ce faire, il aurait chargé le nouveau Secrétaire du Culte divin, l'archevêque franciscain Vittorio Francesco Viola , ancien prélat de Tortone et professeur à l'Institut liturgique de Sant'Anselmo à Rome, d'organiser une commission réservée en septembre, et dans les deux mois de rapporter les résultats des travaux directement au Pontife.

La méthodologie - contourner les organes, les Congrégations et les Conseils désignés pour traiter des questions spécifiques - est très attrayante pour le Pape Bergoglio. Si la nouvelle se confirmait, il faudrait se demander la raison de ces temps si serrés.

Une des causes possibles pourrait être le Synode allemand, où le thème de l'Intercommunion avec les protestants a été mis à l'ordre du jour. En Allemagne, il y a déjà eu des fuites en avant par certains évêques dans ce domaine. Le pape Bergoglio ne s'est pas exprimé clairement sur la question, invitant, lors d'une réunion en 2018, à trouver un résultat éventuellement unanime...

Cependant, il est frappant - toujours si ces rumeurs ont un fondement réel - qu'immédiatement après avoir tenté d'abroger le Motu Proprio de Benoît XVI Summorum Pontificum, le Souverain Pontife veuille affronter, et peut-être résoudre à sa manière, un nœud aussi épineux et, selon pour certains, ne peut être résolu que par la conversion à l'Église catholique.» (marcotosatti.com)

02 août

L’objectif est l’Agenda 2030, mais l’ennemi semble viser encore plus à très long terme, comme s’il était dans une « immortalité transhumanisme » en se déifiant… alors que l’on sait bien que le temps est compté.

La bête agit depuis bien longtemps. On ne voit maintenant que le vaccin et la « passe verte » parce que la bête y va de son coup final: Tikoun Olam, la grande réinitialisation, le messie-peuple judéo-maçonnique.

Ici est la plus grande illusion: aveugler les tièdes sur le long terme afin qu’ils ne reconnaissent pas les signes mis de l’avant par NSJC, susciter l’espérance « corporelle », étouffer l’âme, l’étincelle si ce n’est, qui est encore dans leurs cœurs.

Voici un exemple frappant : le 29 juillet, en pleine fête de Sainte-Marthe (celle qui terrasse le dragon « tarasque », le Vatican a décidé de changer le nom de son mouvement écologique pour « Le Mouvement Laudato Si ».

Un mouvement donc pour le long terme.

Que des indices de « grande réinitialisation » dans la déclaration du Vatican.

Tout s’accélère depuis juillet ( 7ans et 7 mois depuis la confirmation de Christine Lagarde; ils avaient mis l’accent sur 2012, mais il semble bien qu’il fallait inverser, comme le maître de l’inversion, pour 2021 où le 21 est 3X7, et qui est la représentation chiffrée de Dieu et du Temple, et à ce titre il est considéré par les textes ésotériques comme un nombre divin ou sacré.), une ligne a été franchie, même pour Bergoglio avec le Motu Proprio, pas de retour en arrière, pour le « Temps de la Création 2021 ».

Du site Vatican News:

«Il y a tant à faire, surtout aujourd’hui : en cette année particulière, nous devons nous concentrer sur les prochains grands sommets des Nations unies», déclare Tomàs Insua en faisant référence à la Conférence des Nations unies sur la biodiversité, Cop15, prévue du 11 au 24 octobre en Chine, et à la Conférence des Nations unies sur le changement climatique, Cop26, à Glasgow du 31 octobre au 12 novembre, en vue de laquelle la réunion « Foi et science : vers la Cop26 » se tiendra également le 4 octobre au Vatican et à Rome.

Les grands sommets de l’ONU, résume le directeur exécutif du Mouvement Laudato si’, «ont pour but de rassembler la famille humaine pour agir de manière urgente face à ces grandes crises : les scientifiques nous disent qu’elles sont encore plus urgentes année après année. Les signes sont nombreux : les incendies en Sardaigne, la chaleur et les incendies records au Canada, la sécheresse à Madagascar, le cri de la terre et des pauvres qui est encore plus fort. Il est donc nécessaire d’agir».

«Nous, au sein du Mouvement, a-t-il annoncé, nous contribuons à l’animation d’une initiative particulière : « Planète saine, population saine ». Il s’agit d’une pétition avec plus de 200 organisations catholiques pour lancer un appel aux participants aux sommets de l’ONU : ce sera l’une de nos priorités dans les mois à venir et surtout pendant le « Temps de la Création », initiative qui commence le 1er septembre. Nous demandons une augmentation du niveau d’ambition lors des deux réunions», en particulier lors de la Cop26, rapporte Tomàs Insua, «Il est question d’atteindre zéro émission de gaz à effet de serre au niveau mondial d’ici 2050. Mais nous savons que les pays les plus riches, qui ont une responsabilité historique pour des siècles d’émissions, ont plus de chances de réussir la transition d’ici 2035-2040»… »

Le signe « très fort » pour eux avancé par Bergoglio a été donné aux Vêpres de la Pentecôte.

C’est là un signe que tout est brouillé au Vatican. Le souffre de Satan y fait son oeuvre.

« … le Mouvement tire un encouragement constant à poursuivre son engagement. «Nous avons écrit une lettre au Pape, l’informant de la démarche, lui demandant son avis et sa bénédiction avant de déménager et de changer de nom». François, détaille Tomás Insua, a écrit une courte lettre de réponse, qui est arrivée pour les Vêpres de la Pentecôte, le 22 mai, «c’était un signe très fort. Étant donné que ce processus a été caractérisé par un climat de prière synodale, demandant la lumière de l’Esprit Saint, le fait que la lettre du Souverain Pontife soit arrivée le jour de la Pentecôte est un signe qui nous motive davantage : il l’a adressée au Mouvement Laudato si’, nous remerciant  » pour la mission de promotion de l’écologie intégrale et pour l’aide  » offerte  » à l’Église dans le monde « , ajoutant un souhait pour la Semaine Laudato si’ qui était en cours à ce moment-là « ». Une nouvelle impulsion, conclu Tomàs Insua, pour «vivre Laudato si’, qui ne doit pas rester un document écrit, un document de bibliothèque, mais un document vivant».»

Le long terme. L’ennemi ne voit que le long terme… et il court à sa perte.

Voici la dernière slave de Mgr Vigano.

C’est long, mais c’est nécessaire dans le contexte actuel.

Car, c’est un temps critique.

Il le confirme, les deux bêtes agissent en parallèles (voir analyses précédentes)

«   "Je vous dis que si ceux-ci se taisaient, les pierres crieront."
   

« Je vous dis que si ces (personnes) se taisent, les pierres elles-mêmes crieront. » — Jésus, parlant dans l'évangile de Luc 19:40
  

Traditionis custodes : c'est l' incipit [« début » ou « premiers mots »] du document par lequel François annule impérieusement le précédent Motu Proprio Summorum Pontificum de Benoît XVI.

Le ton presque moqueur de la citation ampoulée de Lumen Gentium n'aura pas échappé : au moment où Bergoglio reconnaît les Évêques comme gardiens de la Tradition, il leur demande de faire obstacle à son expression la plus haute et la plus sacrée de la prière.

Quiconque essaie de trouver dans les plis du texte quelque escamotage [« tour de passe-passe » ou « astuce »] pour contourner le texte doit savoir que le projet envoyé à la Congrégation pour la Doctrine de la Foi pour révision était extrêmement plus drastique que le texte final : une confirmation, s'il en était besoin, qu'aucune pression particulière n'était nécessaire de la part des ennemis historiques de la liturgie tridentine - à commencer par les savants de Sant'Anselmo - pour convaincre Sa Sainteté de s'essayer à ce qu'il fait le mieux : démolir. Ubi solitudinem faciunt, pacem appelant.

[ NDLR : Les mots latins signifient : « Ils (les Romains) font un désert (ou une friche) et l'appellent la paix. Les paroles sont tirées d'un discours d'un certain Calgacus , rapporté par l'historien romain Tacite dans son ouvrage Agricola , chapitre 30.]

Le Modus Operandi de François

François a une nouvelle fois désavoué la pieuse illusion de l' herméneutique de la continuité , affirmant que la coexistence du Vetus et du Novus Ordo est impossible car ils sont l'expression de deux approches doctrinales et ecclésiologiques inconciliables.

D'un côté, la messe apostolique, la voix de l'Église du Christ ; de l'autre, la « célébration eucharistique » montinienne, la voix de l'Église conciliaire.

Et ce n'est pas une accusation, pourtant légitime, portée par ceux qui expriment des réserves sur le rite réformé et Vatican II.
C'est plutôt un aveu, voire une fière affirmation d'adhésion idéologique de la part de François lui-même, chef de la faction la plus extrémiste du progressisme.

Son double rôle de pape et liquidateur de l'Église catholique lui permet d'une part de la démolir par des décrets et des actes de gouvernement, et d'autre part d'utiliser le prestige que comporte sa fonction pour établir et répandre la nouvelle religion sur les décombres. de l'ancien.
Peu importe que ses manières d'agir contre Dieu, contre l'Église et contre le troupeau du Seigneur soient en contradiction flagrante avec ses appels à la parrhesia , au dialogue, à la construction de ponts et non à l'érection de murs : l' église de la miséricorde et l' hôpital de campagne. s'avèrent être des artifices rhétoriques vides, puisque ce devraient être les catholiques qui en bénéficient et non les hérétiques ou les fornicateurs.

En réalité, chacun de nous est bien conscient que l' indulgence d' Amoris Laetitia envers le concubinage public et les adultères serait difficilement imaginable envers ces « rigides » contre lesquels Bergoglio lance ses fléchettes dès qu'il en a l'occasion.
Après des années de ce pontificat, nous avons tous compris que les raisons invoquées par Bergoglio pour refuser une rencontre avec un prélat, un homme politique ou un intellectuel conservateur ne s'appliquent pas au cardinal agresseur, à l'évêque hérétique, au politique avorteur ou à l'intellectuel mondialiste. .

Bref, il y a une différence flagrante de comportement, à partir de laquelle on peut saisir la partialité et la partisanerie de François en faveur de toute idéologie, pensée, projet, expression scientifique, artistique ou littéraire qui n'est pas catholique.
Tout ce qui n'évoque même que vaguement quelque chose de catholique semble susciter chez le locataire de Santa Marta une aversion pour le moins déconcertante, ne serait-ce qu'en vertu du Trône sur lequel il est assis.

Beaucoup ont noté cette dissociation, cette sorte de bipolarité d'un pape qui ne se comporte pas comme un pape et ne parle pas comme un pape.

Le problème est que nous ne sommes pas confrontés à une sorte d' inaction de la papauté, comme cela pourrait arriver avec un Pontife malade ou très vieux ; mais plutôt avec une action constante qui est organisée et planifiée dans un sens diamétralement opposé à l'essence même de la papauté.

Non seulement Bergoglio ne condamne pas les erreurs du temps présent en réaffirmant avec force la vérité de la foi catholique – il ne l'a jamais fait ! – mais il cherche activement à diffuser ces erreurs, à les promouvoir, à encourager leurs partisans, à les diffuser le plus possible et à accueillir des événements les promouvant au Vatican, faisant taire du même coup ceux qui dénoncent ces mêmes erreurs.

Non seulement il ne punit pas les prélats qui forniquent, mais il les promeut et les défend même en mentant, alors qu'il écarte les évêques conservateurs et ne cache pas son agacement face aux appels sincères des cardinaux non alignés sur le nouveau cours.

Non seulement il ne condamne pas les politiciens avorteurs qui se proclament catholiques, mais il intervient pour empêcher la Conférence épiscopale de se prononcer sur cette question, contredisant cette voie synodale qui lui permet à l'inverse d'utiliser une minorité d'ultra-progressistes pour imposer sa volonté à la majorité des Pères synodaux.

La seule constante de cette attitude, notée sous sa forme la plus effrontée et arrogante dans Traditionis Custodes , est la duplicité et le mensonge. Une duplicité qui est bien sûr une façade quotidiennement désavouée par des positions tout sauf prudentes en faveur d'un groupe bien précis, que l'on peut identifier par souci de brièveté à la gauche idéologique, voire à son évolution la plus récente dans une logique mondialiste. , écologiste, transhumaine et clé LGBTQ.

Nous en sommes arrivés au point que même des gens simples ayant peu de connaissances sur les questions doctrinales comprennent que nous avons un pape non catholique, du moins au sens strict du terme.

Cela pose des problèmes de nature canonique qui ne sont pas négligeables, qu'il ne nous appartient pas de résoudre mais qu'il faudra tôt ou tard régler.

Extrémisme idéologique

Un autre élément significatif de ce pontificat, poussé à ses conséquences extrêmes avec Traditionis Custodes , est l'extrémisme idéologique de Bergoglio : un extrémisme que l'on déplore en paroles lorsqu'il s'agit d'autrui, mais qui se manifeste dans son expression la plus violente et la plus impitoyable lorsque c'est lui-même qui le met en pratique contre le clergé et les laïcs liés au rite antique et fidèles à la Tradition Sacrée.
Envers la Fraternité Saint-Pie X, il se montre prêt à faire des concessions et à établir une relation de « bons voisins », mais envers les prêtres et les fidèles pauvres qui doivent endurer mille humiliations et chantages pour mendier une messe en latin, il ne montre aucune compréhension, aucune humanité.

Ce comportement n'est pas accidentel : le mouvement de Mgr Lefebvre jouit de sa propre autonomie et indépendance économique, et pour cette raison il n'a aucune raison de craindre des représailles ou des commissaires du Saint-Siège. Mais les évêques, prêtres et clercs incardinés dans des diocèses ou des ordres religieux savent qu'au-dessus d'eux pèse l'épée de Damoclès de la destitution, de la destitution de l'état ecclésiastique et de la privation de leurs moyens mêmes de subsistance.

L'expérience de la messe tridentine dans la vie sacerdotale

Ceux qui ont eu l'occasion de suivre mes discours et déclarations savent bien quelle est ma position sur le Conseil et sur le Novus Ordo ; mais ils connaissent aussi mon parcours, mon cursus au service du Saint-Siège et ma prise de conscience relativement récente de l'apostasie et de la crise dans laquelle nous nous trouvons.

Pour cette raison, je voudrais réitérer ma compréhension pour le chemin spirituel de ceux qui, précisément à cause de cette situation, ne peuvent pas ou ne sont pas encore capables de faire un choix radical, comme célébrer ou assister exclusivement à la messe de saint Pie V .
De nombreux prêtres ne découvrent les trésors de la vénérable liturgie tridentine que lorsqu'ils la célèbrent et se laissent imprégner d'elle, et il n'est pas rare qu'une première curiosité envers la « forme extraordinaire » – fascinante certainement en raison de la solennité du rite – changer rapidement dans la conscience de la profondeur des mots, de la clarté de la doctrine, de l'incomparable spiritualité qu'elle fait naître et nourrit dans nos âmes.

Il y a une parfaite harmonie que les mots ne peuvent exprimer, et que les fidèles ne peuvent comprendre qu'en partie, mais qui touche le cœur du sacerdoce comme seul Dieu peut le faire.

Cela peut être confirmé par mes confrères qui se sont rapprochés de l' usus antiquior après des décennies de célébration obéissante du Novus Ordo : un monde s'ouvre, un cosmos qui comprend la prière du Bréviaire avec les leçons des Matines et les commentaires des Pères, le des renvois aux textes de la messe, du martyrologie à l'heure du prime… Ce sont des mots sacrés – non pas parce qu'ils sont exprimés en latin – mais plutôt ils sont exprimés en latin parce que la langue vulgaire les rabaisserait, les profanerait, comme l'a sagement observé Dom Guéranger.
Ce sont les paroles de l'Épouse au divin Époux, paroles de l'âme qui vit en union intime avec Dieu, de l'âme qui se laisse habiter par la Très Sainte Trinité.

Paroles essentiellement sacerdotales, au sens le plus profond du terme, qui implique dans le Sacerdoce non seulement le pouvoir d'offrir des sacrifices, mais de s'unir dans l'offrande de soi à la Victime pure, sainte et immaculée.

Cela n'a rien à voir avec les divagations du rite réformé, trop soucieux de plaire à la mentalité sécularisée pour se tourner vers la Majesté de Dieu et la Cour céleste ; tellement soucieux de se faire comprendre qu'il faut renoncer à communiquer autre chose qu'une banale évidence ; si attentif à ne pas blesser les sentiments des hérétiques qu'à se permettre de garder le silence sur la Vérité juste au moment où le Seigneur Dieu se fait présent sur l'autel ; peur de demander aux fidèles le moindre engagement au point de banaliser le chant sacré et toute expression artistique liée au culte.

Le simple fait que pasteurs luthériens, modernistes et francs-maçons de renom aient collaboré à la rédaction de ce rite doit faire comprendre, sinon la mauvaise foi et l'inconduite volontaire, du moins la mentalité horizontale, dénuée de tout élan surnaturel, qui a motivé les auteurs. de la soi-disant « réforme liturgique » – qui, à notre connaissance, n'a certainement pas brillé de la sainteté avec laquelle brillent les auteurs sacrés des textes de l'ancien Missale Romanum et de tout le corpus liturgique .

Combien d'entre vous prêtres - et certainement aussi de nombreux laïcs - en récitant les merveilleux versets de la séquence de la Pentecôte ont été émus aux larmes, comprenant que votre prédilection initiale pour la liturgie traditionnelle n'avait rien à voir avec une satisfaction esthétique stérile, mais avait évolué en une réelle nécessité spirituelle, aussi indispensable que respirer ?

Comment pouvez-vous et comment expliquer à ceux qui aujourd'hui voudraient vous priver de ce bien inestimable, que ce rite béni vous a fait découvrir la vraie nature de votre Sacerdoce, et que d'elle et d'elle seulement vous pouvez puiser force et nourriture pour faire face aux engagements de votre ministère ?

Comment faire comprendre que le retour obligatoire au rite montinien représente pour vous un sacrifice impossible, car dans le combat quotidien contre le monde, la chair et le diable il vous laisse désarmé, prostré et sans force ?

Il est évident que seuls ceux qui n'ont pas célébré la messe de saint Pie V peuvent la considérer comme un clinquant gênant du passé, dont on peut se passer.

Même de nombreux jeunes prêtres, habitués au Novus Ordo depuis leur adolescence, ont compris que les deux formes du rite n'ont rien de commun, et que l'une est tellement supérieure à l'autre qu'elle en révèle toutes les limites et les critiques, au point de ce qui rend presque pénible la célébration.

Il ne s'agit pas de nostalgie, d'un culte du passé : il s'agit ici de la vie de l'âme, de sa croissance spirituelle, de l'ascèse et du mysticisme.
Des concepts que ceux qui voient leur sacerdoce comme une profession ne peuvent même pas comprendre, tout comme ils ne peuvent pas comprendre l'agonie qu'une âme sacerdotale ressent en voyant l'Espèce eucharistique profanée lors des rites grotesques de la communion à l'ère de la farce pandémique.

La vision réductrice de la libéralisation de la messe

C'est pourquoi je trouve extrêmement désagréable de devoir lire dans Traditionis Custodes que la raison pour laquelle François croit que le Motu Proprio Summorum Pontificum a été promulgué il y a 14 ans réside uniquement dans le désir de guérir le soi-disant schisme de Mgr Lefebvre.

Certes, le calcul « politique » a pu avoir son poids, surtout à l'époque de Jean-Paul II , même si à cette époque les fidèles de la Fraternité Saint-Pie X étaient peu nombreux.

Mais la demande de pouvoir redonner sa citoyenneté à la messe qui pendant deux millénaires a nourri la sainteté des fidèles et donné la sève de la vie à la civilisation chrétienne ne peut se réduire à un fait contingent.
Avec son Motu Proprio, Benoît XVI a rétabli la Messe apostolique romaine à l'Église, déclarant qu'elle n'avait jamais été abolie.
Indirectement, il admet qu'il y a eu abus de la part de Paul VI , lorsque pour donner autorité à son rite il interdit impitoyablement la célébration de la liturgie traditionnelle.

Et même si dans ce document il peut y avoir des éléments incongrus, comme la coexistence des deux formes d'un même rite, on peut croire que ceux-ci ont servi à permettre la diffusion de la forme extraordinaire, sans affecter la forme ordinaire.
En d'autres temps, il aurait semblé incompréhensible de laisser célébrer une messe chargée d'incompréhensions et d'omissions, alors que l'autorité du Pontife aurait pu simplement restaurer l'ancien rite.

Mais aujourd'hui, avec le lourd fardeau de Vatican II et avec la mentalité sécularisée désormais largement répandue, même la simple licéité de célébrer la messe tridentine sans autorisation peut être considérée comme un bien indéniable - un bien qui est visible par tous en raison des fruits abondants qu'elle apporte aux communautés où elle est célébrée.

Et l'on peut croire aussi qu'elle aurait porté encore plus de fruits si seulement Summorum Pontificum avait été appliqué dans tous ses points et avec un esprit de vraie communion ecclésiale.

La prétendue « utilisation instrumentale » du missel romain

François sait bien que l'enquête menée auprès des évêques du monde entier n'a pas donné de résultats négatifs, bien que la formulation des questions ait clairement indiqué les réponses qu'il souhaitait recevoir.
Cette consultation était un prétexte, pour faire croire que la décision qu'il avait prise était inévitable et le fruit d'une demande chorale de l'épiscopat.

Nous savons tous que si Bergoglio veut obtenir un résultat, il n'hésite pas à recourir à la force, au mensonge et au tour de passe-passe : les événements des derniers synodes l'ont démontré au-delà de tout doute raisonnable, l'Exhortation post-synodale rédigée même avant le vote sur l' Instrumentum Laboris .

Dans ce cas également, donc, le but préétabli était l'abolition de la messe tridentine et la prophasis , c'est-à-dire l'excuse apparente, devait être la supposée « utilisation instrumentale du Missel romain de 1962, souvent caractérisée par un rejet non seulement de la réforme liturgique, mais du Concile Vatican II lui-même » ( ici ).

En toute honnêteté, on peut peut-être accuser la Fraternité Saint Pie X de cet usage instrumental, qui a le droit d'affirmer ce que chacun de nous sait bien, que la Messe de Saint Pie V est incompatible avec l'ecclésiologie et la doctrine post-conciliaires.

Mais la Fraternité n'est pas concernée par le Motu Proprio, et a toujours célébré en utilisant le Missel de 1962 précisément en vertu de ce droit inaliénable reconnu par Benoît XVI, qui n'a pas été créé ex nihilo en 2007.

Le prêtre diocésain qui célèbre la messe dans l'église qui lui est assignée par l'évêque, et qui chaque semaine doit subir le troisième degré par les accusations de catholiques progressistes zélés uniquement parce qu'il a osé réciter le Confiteor [« Je confesse »] avant d'administrer Communion aux fidèles, sait très bien qu'il ne peut pas dire du mal du Novus Ordo ou de Vatican II, car à la première syllabe il serait déjà convoqué à la Curie et envoyé dans une église paroissiale perdue dans les montagnes.

Ce silence, toujours douloureux et presque toujours perçu par tous comme plus éloquent que bien des mots, est le prix à payer pour avoir la possibilité de célébrer la Sainte Messe de tous les temps, afin de ne pas priver les fidèles des Grâces qu'elle se déverse sur l'Église et le monde.
Et ce qui est encore plus absurde, c'est qu'alors qu'on entend dire impunément que la messe tridentine doit être abolie parce qu'incompatible avec l'ecclésiologie de Vatican II, dès qu'on dit la même chose, c'est-à-dire que la messe montinienne [ Note : Giovanni Montini était le nom du Pape Paul VI ; Viganò signifie la messe de Paul VI de 1969 ] est incompatible avec l'ecclésiologie catholique – nous sommes immédiatement l'objet de condamnation, et notre affirmation sert de preuve contre nous devant le tribunal révolutionnaire de Santa Marta.

Je me demande quelle sorte de maladie spirituelle a pu frapper les Bergers au cours des dernières décennies, afin de les amener à devenir, non pas des pères aimants mais des censeurs impitoyables de leurs prêtres, des fonctionnaires en veille permanente et prêts à révoquer tous droits en vertu d'un chantage qu'ils n'essaient même pas de cacher.

Ce climat de méfiance ne contribue en rien à la sérénité de bien des bons prêtres, alors que le bien qu'ils font est toujours placé sous le prisme de fonctionnaires qui considèrent les fidèles liés à la Tradition comme un danger, comme une présence agaçante à tolérer. tant qu'il ressort trop.
Mais comment concevoir même une Église dans laquelle le bien est systématiquement entravé et quiconque le fait est regardé avec méfiance et tenu sous contrôle ?

Je comprends donc le scandale de beaucoup de catholiques, de fidèles, et de pas mal de prêtres face à ce « berger qui au lieu de flairer ses brebis, les bat avec colère avec un bâton » ( ici ).
***

L'incompréhension de pouvoir jouir d'un droit comme s'il s'agissait d'une concession gracieuse se retrouve aussi dans les affaires publiques, où l'État se permet d'autoriser les déplacements, les cours, l'ouverture d'activités et l'exécution de travaux, pour autant qu'un subit une inoculation avec le sérum génétique expérimental.

Ainsi, de même que la « forme extraordinaire » est accordée à condition d'accepter le Concile et la messe réformée, de même dans la sphère civile les droits des citoyens sont accordés à condition d'accepter le récit pandémique, la vaccination et les systèmes de traçage. . Il n'est pas surprenant que dans de nombreux cas ce soient précisément les prêtres et les évêques – et Bergoglio lui-même – qui demandent que les gens soient vaccinés pour accéder aux sacrements – la parfaite synchronie d'action des deux côtés est pour le moins inquiétante.

Mais où est donc cette utilisation instrumentale du Missale Romanum ?

Ne faut-il pas plutôt parler de l'usage instrumental du Missel de Paul VI, qui – pour paraphraser les paroles de Bergoglio – se caractérise de plus en plus par un rejet croissant non seulement de la tradition liturgique préconciliaire mais de tous les Conciles œcuméniques antérieurs à Vatican II ?

D'autre part, n'est-ce pas précisément François qui considère comme une menace pour le Concile le simple fait qu'une messe puisse être célébrée qui répudie et condamne toutes les déviations doctrinales de Vatican II ?

Autres incongruités

Jamais dans l'histoire de l'Église un Concile ou une réforme liturgique n'ont constitué un point de rupture entre ce qui a précédé et ce qui a suivi !
Jamais au cours de ces deux millénaires les Pontifes Romains n'ont délibérément tracé une frontière idéologique entre l'Église qui les a précédés et celle qu'ils devaient gouverner, annulant et contredisant le Magistère de leurs Prédécesseurs !

L' avant et l' après , au contraire, sont devenus une obsession, aussi bien de ceux qui insinuaient prudemment des erreurs doctrinales derrière des expressions équivoques, que de ceux qui - avec l'audace de ceux qui croient avoir gagné, ont propagé Vatican II comme " le 1789 de l'Église », comme un événement « prophétique » et « révolutionnaire ».

Avant le 7 juillet 2007, en réponse à la diffusion du rite traditionnel,  un célèbre maître de cérémonie pontifical répondait avec dépit : « Il n'y a pas de retour en arrière !

Et pourtant, apparemment avec François on peut revenir sur la promulgation de Summorum Pontificum – et comment ! – s'il sert à conserver le pouvoir et à empêcher le Bien de se répandre. C'est un slogan qui fait sinistrement écho au cri de « Rien ne sera comme avant » de la farce pandémique.
L'aveu de François d'une prétendue division entre les fidèles liés à la liturgie tridentine et ceux qui se sont largement adaptés par habitude ou résignation à la liturgie réformée est révélateur : il ne cherche pas à guérir cette division en reconnaissant de plein droit un rite qui est objectivement mieux par rapport au rite montinien, mais précisément pour éviter que la supériorité ontologique de la messe de saint Pie V ne devienne évidente, et pour empêcher que n'émergent les critiques du rite réformé et de la doctrine qu'elle exprime, il l'interdit, il la qualifie de clivante, il la cantonne aux réserves indiennes, essayant de limiter au maximum sa diffusion, afin qu'elle disparaisse complètement au nom de la culture de l'annulation dont la révolution conciliaire a été la malheureuse précurseur.

Ne pouvant tolérer que le Novus Ordo et Vatican II sortent inexorablement vaincus de leur confrontation avec le Vetus Ordo et l'éternel Magistère catholique, la seule solution qui puisse être adoptée est d'effacer toute trace de la Tradition, la reléguant au refuge nostalgique de un octogénaire irréductible ou une clique d'excentriques, ou le présentant – comme prétexte – comme le manifeste idéologique d'une minorité d'intégristes.

D'autre part, la construction d'une version médiatique cohérente avec le système, à répéter ad nauseam pour endoctriner les masses, est l'élément récurrent non seulement dans la sphère ecclésiastique mais aussi dans la sphère politique et civile, de sorte qu'elle apparaît avec une preuve déconcertante que l'église profonde et l'état profond ne sont rien d'autre que deux voies parallèles qui vont dans le même sens et ont pour destination finale le Nouvel Ordre Mondial, avec sa religion et son prophète.

La division est là, évidemment, mais elle ne vient pas des bons catholiques et du clergé qui restent fidèles à la doctrine de toujours, mais plutôt de ceux qui ont remplacé l'orthodoxie par l'hérésie et le Saint Sacrifice par une agape fraternelle.

Cette division n'est pas nouvelle aujourd'hui, mais remonte aux années 60, lorsque « l'esprit du Concile », l'ouverture sur le monde et le dialogue interreligieux ont fait de la paille deux mille ans de catholicité et ont révolutionné tout le corps ecclésial, persécutant et ostracisant le réfractaire.

Pourtant cette division, accomplie en portant la confusion doctrinale et liturgique au sein de l'Église, ne paraissait pas si déplorable alors ; alors qu'aujourd'hui, en pleine apostasie, ils sont paradoxalement considérés comme diviseurs qui demandent, non pas la condamnation explicite de Vatican II et du Novus Ordo , mais simplement la tolérance de la messe « sous la forme extraordinaire » au nom de la tant vantée aux multiples facettes pluralisme.

De manière significative, même dans le monde civilisé, la protection des minorités n'est valable que lorsqu'elles servent à démolir la société traditionnelle, alors qu'une telle protection est ignorée lorsqu'elle garantirait les droits légitimes d'honnêtes citoyens.
Et il est devenu clair que sous prétexte de protection des minorités la seule intention était d'affaiblir la majorité des bons, alors que maintenant que la majorité est composée de ceux qui sont corrompus, la minorité des bons peut être écrasée sans pitié. : l'histoire récente ne manque pas de précédents éclairants à cet égard.

La nature tyrannique des gardiens de la Tradition

À mon avis, ce n'est pas tant tel ou tel point du Motu Proprio qui déconcerte, mais plutôt son caractère globalement tyrannique accompagné d'une fausseté substantielle des arguments avancés pour justifier les décisions imposées.

Le scandale est également donné par l'abus de pouvoir par une autorité qui a sa propre raison d'être non pas en empêchant ou en limitant les grâces qui sont accordées à ses adhérents à travers l'Église, mais plutôt en promouvant ces grâces ; non pas en ôtant la Gloire à la Divine Majesté avec un rite qui fait un clin d'œil aux Protestants mais plutôt en rendant parfaitement cette Gloire ; non pas en semant des erreurs doctrinales et morales, mais plutôt en les condamnant et en les éradiquant.

Ici aussi, le parallèle avec ce qui se passe dans le monde civil n'est que trop évident : nos gouvernants abusent de leur pouvoir comme le font nos prélats, imposant des normes et des limitations en violation des principes les plus élémentaires du droit.

De plus, ce sont précisément ceux qui sont constitués en autorité, sur les deux fronts, qui se prévalent souvent d'une simple reconnaissance de fait par la base – citoyens et fidèles – même lorsque les modalités par lesquelles ils ont pris le pouvoir violent, sinon la lettre, puis du moins l'esprit de la loi.

Le cas de l'Italie – où un gouvernement non élu légifère sur l'obligation de se faire vacciner et sur le laissez-passer vert, violant la Constitution italienne et les droits naturels du peuple italien – ne semble pas très éloigné de la situation dans laquelle l'Église se retrouve, avec un Pontife résigné remplacé par Jorge Mario Bergoglio [ NDLR : le nom du Pape François avant qu'il ne devienne Pape ] choisi - ou du moins apprécié et soutenu - par la mafia de Saint-Gall et l'épiscopat ultra-progressiste. Il reste évident qu'il existe une crise profonde de l'autorité, tant civile que religieuse, dans laquelle ceux qui exercent le pouvoir le font à l'encontre de ceux qu'ils sont censés protéger, et surtout à l'encontre du but pour lequel cette autorité a été établie.

Analogies entre l'église profonde et l'état profond

Je pense qu'on a compris que la société civile et l'Église souffrent du même cancer qui a frappé la première avec la Révolution française et la seconde avec le Concile Vatican II : dans les deux cas, la pensée maçonnique est à la base de la démolition systématique de l'institution et son remplacement par un simulacre qui conserve ses apparences extérieures, sa structure hiérarchique et sa force coercitive, mais avec des finalités diamétralement opposées à celles qu'elle devrait avoir.

À ce stade, les citoyens d'une part et les fidèles d'autre part se trouvent dans la condition de devoir désobéir à l'autorité terrestre pour obéir à l'autorité divine, qui gouverne les Nations et l'Église.

De toute évidence, les « réactionnaires » – c'est-à-dire ceux qui n'acceptent pas la perversion de l'autorité et veulent rester fidèles à l'Église du Christ et à leur patrie – constituent un élément de dissidence qui ne peut être toléré d'aucune façon, et donc ils doivent être discrédités, délégitimés, menacés et privés de leurs droits au nom d'un « bien public » qui n'est plus le bonum commune mais son contraire.

Qu'ils soient accusés de théories du complot, de traditionalisme ou d'intégrisme, ces quelques survivants d'un monde qu'ils veulent faire disparaître constituent une menace pour l'accomplissement du plan global, juste au moment le plus crucial de sa réalisation.

C'est pourquoi le pouvoir réagit d'une manière si ouverte, effrontée et violente : l'évidence de la fraude risque d'être comprise par un plus grand nombre de personnes, de les rassembler dans une résistance organisée, de briser le mur du silence et de la férocité la censure imposée par les médias grand public.

Nous pouvons donc comprendre la violence des réactions de l'autorité et nous préparer à une opposition forte et déterminée, en continuant à nous prévaloir de ces droits qui nous ont été abusivement et illicitement déniés.

Bien sûr, nous pouvons nous retrouver à devoir exercer ces droits de manière incomplète lorsque nous nous voyons refuser la possibilité de voyager si nous n'avons pas notre laissez-passer vert ou si l'évêque nous interdit de célébrer la messe de tous les temps dans une église de son Diocèse, mais notre résistance aux abus d'autorité pourra encore compter sur les Grâces que le Seigneur ne cessera de nous accorder – notamment la vertu de Force si indispensable en temps de tyrannie.

La normalité qui fait peur

Si d'une part nous pouvons voir comment la persécution des dissidents est bien organisée et planifiée, d'autre part, nous ne pouvons pas ne pas reconnaître la fragmentation de l'opposition. Bergoglio sait bien que tout mouvement de dissidence doit être réduit au silence, surtout en créant des divisions internes et en isolant les prêtres et les fidèles.

Une collaboration fructueuse et fraternelle entre le clergé diocésain, les religieux et les instituts Ecclesia Dei est quelque chose qu'il doit éviter, car elle permettrait la diffusion d'une connaissance du rite antique, ainsi qu'une aide précieuse dans le ministère.

Mais cela reviendrait à faire de la messe tridentine une « normalité » dans la vie quotidienne des fidèles, ce qui n'est pas tolérable pour François.

Pour cette raison, le clergé diocésain est laissé à la merci de ses Ordinaires, tandis que les Instituts Ecclesia Dei sont placés sous l'autorité de la Congrégation des Religieux, triste prélude à un destin déjà scellé.

N'oublions pas le sort qui est arrivé aux Ordres religieux florissants, coupables d'avoir été bénis par de nombreuses vocations nées et nourries précisément grâce à la Liturgie traditionnelle détestée et à la fidèle observance de la Règle.

C'est pourquoi certaines formes d'insistance sur l'aspect cérémoniel des célébrations risquent de légitimer les dispositions du commissaire et de jouer le jeu de Bergoglio.

Même dans le monde civil, c'est justement en encourageant certaines dérives des dissidents que le pouvoir les marginalise et légitime les mesures répressives à leur égard : il suffit de penser au cas des mouvements no-vax et à la facilité de discréditer les protestations légitimes. des citoyens en soulignant les excentricités et les incohérences de quelques-uns.

Et il est trop facile de condamner quelques personnes agitées qui, par exaspération, ont mis le feu à un centre de vaccination, éclipsant des millions d'honnêtes gens qui descendent dans la rue pour ne pas être marqués du passeport sanitaire ou licenciés s'ils ne le permettent pas. se faire vacciner.

Ne restez pas isolé et désorganisé

Un autre élément important pour nous tous est la nécessité de donner de la visibilité à notre protestation composée et d'assurer une forme de coordination de l'action publique.

Avec l'abolition de Summorum Pontificum, nous nous retrouvons vingt ans en arrière.

Cette décision malheureuse de Bergoglio d'annuler le Motu Proprio du Pape Benoît est vouée à un échec inexorable, car elle touche l'âme même de l'Église, dont le Seigneur Lui-même est Pontife et Grand Prêtre.

Et il n'est pas acquis que tout l'épiscopat – comme on le voit ces derniers jours avec soulagement – ​​veuille se soumettre passivement à des formes d'autoritarisme qui ne contribuent certainement pas à apporter la paix dans les âmes.

Le Code de droit canonique garantit aux évêques la possibilité de dispenser leurs fidèles des lois particulières ou universelles, sous certaines conditions.

Deuxièmement, le peuple de Dieu a bien compris la nature subversive de Traditionis Custodes et est instinctivement amené à vouloir connaître quelque chose qui suscite une telle désapprobation chez les progressistes.

Ne nous étonnons donc pas si nous commençons bientôt à voir les fidèles issus de la vie paroissiale ordinaire et même ceux éloignés de l'Église se diriger vers les églises où est célébrée la messe traditionnelle.

Il sera de notre devoir, que ce soit en tant que Ministres de Dieu ou en tant que simples fidèles, de faire preuve de fermeté et de résistance sereine à de tels abus, marchant sur le chemin de notre propre petit Calvaire avec un esprit surnaturel, tandis que les nouveaux grands prêtres et scribes du peuple se moquer de nous et nous étiqueter comme des fanatiques.

Ce sera notre humilité, l'offrande silencieuse des injustices envers nous, et l'exemple d'une vie conforme au Credo que nous professons qui méritera le triomphe de la messe catholique et la conversion de beaucoup d'âmes.

Et rappelons-nous que, puisque nous avons beaucoup reçu, beaucoup nous sera demandé.

Réintégration totale

Quel père parmi vous, si son fils lui demande du pain, lui donnera une pierre ? Ou s'il demande un poisson, lui donnera-t-il un serpent à la place ? (Lc 11, 11-12). Maintenant nous pouvons comprendre le sens de ces paroles, considérant avec douleur et tourment de cœur le cynisme d'un père qui nous donne les pierres d'une liturgie sans âme, les serpents d'une doctrine corrompue, et les scorpions d'une morale frelatée. Et qui arrive à diviser le troupeau du Seigneur entre ceux qui acceptent le Novus Ordo et ceux qui veulent rester fidèles à la messe de nos pères, exactement comme les dirigeants civils dressent les vaccinés et les non vaccinés les uns contre les autres.

Lorsque Notre-Seigneur entra à Jérusalem assis sur un ânon, tandis que la foule étendait des manteaux à son passage, les pharisiens lui demandèrent : « Maître, réprimande tes disciples .

Le Seigneur leur répondit : « Je vous dis que s'ils se taisent, les pierres elles-mêmes crieront » (Luc 19 :28-40).

Depuis soixante ans crient les pierres de nos églises, d'où le Saint Sacrifice a été deux fois proscrit.

Le marbre des autels, les colonnes des basiliques et les voûtes élancées des cathédrales crient aussi, parce que ces pierres, consacrées au culte du vrai Dieu, sont aujourd'hui abandonnées et désertes, ou profanées par des rites odieux, ou transformés en parkings et en supermarchés, précisément à cause de ce Conseil que nous tenons à défendre.

Crions aussi : nous qui sommes les pierres vivantes du temple de Dieu.

Crier avec foi vers le Seigneur, afin qu'il donne la parole à ses disciples aujourd'hui muets, et que soit réparé le vol intolérable dont sont responsables les administrateurs de la Vigne du Seigneur.

Mais pour que ce vol soit réparé, il faut que nous nous montrions dignes des trésors qui nous ont été volés.

Essayons de le faire par notre sainteté de vie, en donnant l'exemple des vertus, par la prière et la réception fréquente des sacrements.

Et n'oublions pas qu'il y a des centaines de bons prêtres qui connaissent encore le sens de l'Onction Sacrée par laquelle ils ont été ordonnés Ministres du Christ et dispensateurs du Mystère de Dieu.

Le Seigneur daigne descendre sur nos autels même lorsqu'ils sont érigés dans des caves ou des greniers. Contrariis quibuslibet minime obstantibus [« Toute chose contraire nonobstant »] .
  

 + Carlo Maria Viganò, archevêque
     28 juillet 2021
    Sts. Et Thaddée martyrs
    Victor : 1 et un pape martyr
    1 Innocent, Pape et Confesseur » (marcotosatti.com)

Juillet 2021

29 juillet

Rappel des étapes décrites par le regretté Serge Monast dans « Le complot des Nations-Unies contre la Chrétienté » à titre de référence :

La fuite forcée de Jean-Paul II du Vatican

La prise du pouvoir, au Vatican, par l’antipape.

La naissance de la nouvelle église internationale avec la falsification de toutes les doctrines religieuses chrétiennes.

L’instauration des persécutions internationales basées sur la nouvelle doctrine de la nouvelle église internationale.

La soumission de toutes les églises à l’Antéchrist (notons que cette soumission surviendra uniquement après le travail accompli par le « faux témoin ».

La prise du pouvoir politique et militaire par l’Antéchrist sous la conduite des Nations-Unies (notons, ici, que le premier pouvoir étant situé au-dessus du politique et du militaire, est un pouvoir religieux).

Les cinq et uniques pouvoirs de l’Antéchrist sur l’humanité.

La survivance de la chrétienté renouvelée sous le règne de l’Antéchrist.

La chute de l’Antéchrist, et le démantèlement de son royaume.

Le vrai Règne de Jésus-Christ sur une humanité chrétiennement renouvelée.

En référence à Pierre Hillard (vidéo du 18 juillet avec Civitas), la kabbale juive tient ses principes de la gnose.

Pour eux, Dieu n’a pas créé un monde parfait pour laisser le soin à ses créatures de le rendre parfait.

C’est… et oui, la « grande réinitialisation ».

Serge Monast l’a toujours affirmé, le religieux est au-dessus du politique, il faut penser comme l’ennemi pour comprendre le plan, et le plan de l’ennemi n’est que strictement religieux.

La « réparation » de la société ou « grande réinitialisation », c’est « Tikoun Olam ».

Et c’est ce que vous avez sous les yeux en 2021, ce spectacle grandiose de l’ennemi à la 7ème période de l’Apocalypse.

« Tikoun Olam : Dans la tradition toranique, cela signifie toute action qui vise à améliorer le monde, en le rapprochant de l’état de complétude conformément au but pour lequel il a été créé. Tikoun olam engage lʼhumanité entière à penser « la réparation » de la société. Bien que la nature du monde soit intrinsèquement bonne, elle est soumise à des lacunes métaphysiques; son Créateur a délibérément laissé une place aux créatures afin de compléter son œuvre… »

Pourquoi Tikoun Olam maintenant, en 2021?

Parce que le temps est venu: « … tikkoun olam déclencherait ou accomplirait les prophéties concernant la venue du Messie ou celles du monde à venir… » (wikipedia.org)

N’oublions pas que Christine Lagarde avait déjà bien avertit en janvier 2014… + 7 ans, donc 2021.

L’engrenage est engagé et ils ne peuvent plus reculer. Il ne peut plus y avoir d’extension imprévue parce qu’un Trump émerge par exemple. Il faut un contrôle total de la population, politiciens inclus, soit les 10 rois de l’Apocalypse.

C’est ce qu’affirme Bergoglio: aucune marche arrière. Donc, lui aussi n’a plus le choix.

Il doit aller de l’avant et vite. Il doit procéder à l’élimination de la présence réelle, CAR le Verbe Incarné est l’obstacle qui doit sauter pour avoir « Tikoun Olam », soit la venue de leur Messie.

C’est donc dire qu’il ne reste plus beaucoup de temps.

Et si Bergoglio ne procède pas avec sa messe œcuménique, l’autre moyen est d’éliminer tout simplement physiquement l’église de Rome,
Bergoglio inclu, par une révolution du type 1789 avec Louis XVI guillotiné.

Pie X avait bien vu un pape fuir sur les cadavres de ses prêtres, quoique cela pourrait être mystiquement Benoît XVI sur les « cadavres » de ses prêtres apostasiés.

 Ce qui, si c’est le cas, raccourcirait les délais quant aux prophéties de l’Église de Jean XXIII.

Aux maximum 2025 selon la prophétie de Don Bosco, et la fin de la période de la fille de Caïn citée par Jean XXIII.

La résurrection des « deux témoins » approche.

Elle n’est pas que concentrée dans la tradition.

Voici :

« Cher Dr. Tosatti,

la publication du Motu proprio Traditionis Custodes a généré une avalanche de réactions et de déclarations, certaines très autoritaires : parmi toutes celles de carte. Burke et celui de Mgr Schneider.

Ces déclarations publiques sont flanquées des réactions des fidèles et des prêtres qui ont dû reconnaître, pour la énième fois, l'hostilité que Bergoglio a à leur égard, la méchanceté et la violence du Pape de la Miséricorde.

C'est maintenant clair, seul un aveugle peut ne pas la voir, la haine de Bergoglio pour la Tradition, pour le catholicisme tel qu'il nous a été donné par deux mille ans d'histoire. Je serais tenté de dire : la haine de Bergoglio pour le Dieu catholique et le culte qui lui est dû. Et ce dévoilement, même douloureux, est peut-être une bonne chose, il est providentiel : il n'y a plus de place pour les compromis, les troisièmes voies, les médiations ou les excuses. Fini le temps des illusions avec Traditionis Custodes : que vous soyez catholique ou que vous soyez bergoglien, il est tout simplement impossible d'être les deux !

Cette mine se veut une présentation franche de la réalité factuelle, à d'autres plus qualifiés que moi pour trouver des solutions théologiques aux problèmes que les faits se chargent de montrer, sachant très bien que contra factum non valet argumentum .

Traditionis Custodes a révélé, au-delà de tout doute raisonnable, la nature du Bergoglio et du bergoglisme (le bergoglisme qui est, pour paraphraser Lénine, la phase suprême du modernisme) et a placé ceux qui entendent continuer à être catholiques dans le besoin de radicalisation.

L'effet véritable et durable de Traditionis Custodes est et sera la radicalisation du catholicisme et la distinction toujours plus nette entre catholicisme classique et néo-catholicisme destiné à se dissoudre, selon le vœu bergoglien, dans l'indistinct immanentiste de la religion réduite à « l'animation » de la Fraternité Universelle. Une division toujours plus nette qui traverse le Peuple de Dieu et détermine la formation d'un clergé catholique réfractaire face à un clergé néo-catholique assermenté.

Que Bergoglio ne soit pas catholique est également évident pour les pierres, il est probablement athée (comme le disait Vittorio Sgarbi à l'époque avec une ironie sans précédent) car il faut aussi probablement supposer qu'il est marqué par des troubles psychiatriques de la personnalité, et plus et les plus fidèles et les prêtres en sont conscients.

Il y a ceux qui considèrent encore Benoît XVI comme le Pape, il y a ceux qui considèrent le Siège vacant, ceux qui le considèrent occupé seulement matériellement, ceux qui considèrent Bergoglio comme un hérétique materialiter mais pas formaliter, ceux qui le considèrent comme un apostat et d'autres comme un schismatique . Dans l'ensemble, cependant, ceux qui prennent une position sédévacantiste, privationniste, bénédictiste (Benoît XVI est toujours le Pape) sont une très petite minorité.

L'écrasante majorité des catholiques, laïcs et cléricaux, qui veulent rester catholiques n'ont pas les outils et même l'intérêt de régler de telles questions, ils se limitent à 2 certains faits : 1) Je veux absolument rester catholique ; 2) ce que Bergoglio écrit dans Evangelii gaudium, Amoris laetitia, Laudato sii, Brothers all, Tratitionis Custodes, etc. Ce n'est PAS catholique.

Des dizaines de millions de fidèles et plusieurs milliers de prêtres dans le monde ont la certitude absolue de ces deux points et sur ces deux certitudes ils fondent leurs actions. Que font-ils? Ils ignorent simplement systématiquement Bergoglio, désobéissent à Bergoglio par obéissance à Dieu, continuent à penser, vivre, prier comme si EG, AL, LS, FT, TC, etc. n'avaient jamais été écrits.

Cette ignorance systématique de Bergoglio n'est évidemment pas une position théologique mais une attitude pratique et opérative. Il continue d'agir catholique malgré les documents non catholiques de Bergoglio. Concrètement, c'est ne pas se laisser changer par l'action de dissolution en cours. Rester ce que nous sommes malgré Bergoglio, voire en résistant à Bergoglio.

La grande majorité des prêtres catholiques (vrais catholiques et non néo-catholiques) ont déjà adopté cette attitude depuis des années, peut-être sans même s'en rendre compte. En fait, nous tous prêtres qui avons continué à prêcher et à confesser selon la doctrine morale et sacramentelle de tous les temps sans nous adapter à AL, qui nous sommes soigneusement gardés de répandre le gretinisme de l'ambon, dont nous persistons à croire que le baptême fait de nous des enfants de Dieu et frères parmi nous en Christ, qui professons toujours le christianisme catholique apostolique comme la seule vraie religion et le Christ unique Sauveur, considérant ainsi les autres religions comme fausses, que nous continuons à réciter la Gloire et le Notre Père à l'ancienne, ce qui nous n'avons pas interrompu les messes et les sacrements pendant le confinement.

Maintenant, nous allons simplement ignorer TC et continuer à célébrer les Saintes Messes selon le rite habituel. Qui pourra le faire à l'église, qui ne pourra pas le faire dans des chapelles et des maisons privées. Après TC, les messes « tridentines » ne diminueront pas, au contraire elles se multiplieront et seront totalement affranchies de toute censure vaticane et diocésaine.

Chaque groupe, club, association s'organisera pour célébrer des messes « clandestines », il y a des milliers de groupes traditionalistes prêts pour la « clandestinité liturgique ». Rien qu'en Italie, il y a des centaines de prêtres prêts à célébrer les messes « tridentines » dans la clandestinité. Des milliers de prêtres dans le monde sont prêts pour cette Résistance.

Véritable boomerang pour Bergoglio, TC réalise déjà : 1) la radicalisation du catholicisme dans un sens traditionaliste et en opposition de plus en plus consciente au bergoglisme ; 2) l'explosion partout dans le monde du phénomène des messes « clandestines » ; 3) le renforcement de la FSSPX avec une croissance constante de catholiques qui y adhèrent ; 4) l'augmentation numérique des messes "tridentines" (là où auparavant 1 "officiel" était célébré, maintenant 3, 4, 5... "clandestins" seront célébrés); 5) l'augmentation numérique des fidèles qui participent (grâce aux moyens de communication modernes une messe "clandestine" peut facilement avoir plus de participation qu'un "officiel" dans la paroisse, d'autant plus que la "clandestinité" fascine et attire).

Aux théologiens de fournir le cadre théorique, les faits sont ceux-ci.

Dans les années à venir il y aura un essaim de plus en plus explosif de Messes « clandestines », de groupes de laïcs militants qui remettront en cause les hiérarchies modernistes, d'organisations (culturelles, éducatives, éditoriales, socio-politiques) qui feront la promotion du « traditionalisme catholique ». Bergoglio avec TC avait l'intention de tuer le "monde de la Tradition" et a plutôt cédé la place à la Résistance catholique.

Que chacun fasse sa part : Les prêtres sont toujours généreusement disponibles pour célébrer des messes "clandestines" selon le rite antique et prêchent toujours la Doctrine sans variations, les fidèles laïcs s'organisent pour promouvoir les messes "clandestines", pour soutenir les prêtres et promouvoir la culture , éducatives (écoles parentales), éditoriales et politiques qui sont une expression de la Tradition catholique.

Des années de grandes batailles nous attendent !

Un prêtre réfractaire » (marcotosatti.com)

25 juillet

« Il viendra un jour où le monde civilisé reniera son Dieu, quand l'Église doute comme Pierre a douté.
Elle sera alors tentée de croire que l'homme est devenu dieu...
Dans nos églises, les chrétiens chercheront en vain la lampe rouge où Dieu les attend.
Comme Marie-Madeleine, en larmes devant le tombeau vide, ils demanderont : « Où l'ont-ils emmené ? (Pie XII) »

Pourquoi trop se préoccuper du temporel, des vaccins, du Pass Vert, alors que nous savons pertinemment que le temps est compté?

Pauvreté, chômage, inflation...

Le chaos est évidement aux portes et sonne la charge de la chute de Babylone.

L'exemple le plus frappant cette semaine est l'Afrique du Sud.

Ils n'ont plus rien à perdre. Tout pour le corps. Au diable la charité.

La ligne rouge a été franchie par Bergoglio et son Motu Proprio.

Tout s’accélère.

Le signe de la bête, le 666, l’homme déifié, est bien présent depuis longtemps.

Nul doute.

Nous sommes bien en présence de l'Antichrist système et ses nombreuses têtes.

Le feu est dans la maison: sauver son âme est ce qu’il y a de plus important.

Le dernier Motu Proprio va avoir un effet boomerang.

L’intérêt augmentera pour la vraie tradition catholique, celle léguée par le Christ et les pères de l’Église.

L’ennemi va maintenant mettre à mort les deux témoins, mais le cep vivant va se régénérer à la stupéfaction de tous!

La résurrection des « deux témoins » suivra rapidement.

Il semble que nous venons de vivre le moment « église de Philadelphie », la porte ouverte Summorum Pontificum de Benoît XVI qui ne peut être fermée par Bergoglio:

« ... Je connais tes œuvres. Voici que j'ai mis devant toi une porte ouverte, que personne ne peut fermer, parce que tu as peu de puissance, que tu as gardé ma parole et que tu n'as point renié mon nom.
Voici que je te donne quelques-uns de la synagogue de Satan, qui se disent Juifs, et ne le sont point, mais ils mentent ; voici, je les ferai venir se prosterner à tes pieds, et ils connaîtront que je t'ai aimé.
Parce que tu as gardé ma parole sur la patience, moi aussi je te garderai de l'heure de l'épreuve qui va venir sur le monde entier, pour éprouver les habitants de la terre.
Voici que je viens bientôt : tiens ferme ce que tu as, afin que personne ne ravisse ta couronne.

Celui qui vaincra, j'en ferai une colonne dans le temple de mon Dieu, et il n'en sortira plus ; et j'écrirai sur lui le nom de mon Dieu, et le nom de la ville de mon Dieu, de la nouvelle Jérusalem, qui descend du ciel d'auprès de mon Dieu, et mon nom nouveau.
Que celui qui a des oreilles entende ce que l'Esprit dit aux Églises ! »

Si c'est le cas, alors il est bien clair ici que le décès de Benoît XVI enclenche l'épreuve finale.

C’est le prochain grand signe qui enclenche les prophéties de l’Église de Jean XXIII, où la Terre détruira le ciment.

23 juillet

« il s’agit maintenant pour elles de choisir – avec les éléments de discernement qui sont à leur disposition – ce qui s’impose à toute conscience catholique bien éclairée. Beaucoup d’âmes vont se trouver devant un choix important touchant la foi, car ­– répétons-le – la Messe est l’expression suprême d’un univers doctrinal et moral. Il s’agit donc de choisir la foi catholique dans son intégralité et par elle Notre Seigneur Jésus-Christ, sa croix, son sacrifice, sa royauté. Il s’agit de choisir son Sang, d’imiter le Crucifié et de le suivre jusqu’au bout par une fidélité entière, radicale, conséquente. » (Abbé Pagliarari, supérieur FSSPX)

Tout est résumé dans réponse du supérieur Pagliarani au Motu Proprio Traditionis Custodes de Bergoglio. (fsspx.news)

Tout.

Tout le cheminement au travers des analyses des dix dernières années.

L’heure du choix, c’est maintenant.

Les étapes révélées par le regretté Serge Monast dans « Le complot des Nations-Unies contre la Chrétienté » ont été franchies.

- « Fuite » de Benoît XVI hors du Vatican (alors qu’il avait prévu Jean-Paul II).

- Élection frauduleuse de l’antipape Bergoglio.

- Nouvelle église humaniste basée avec falsification des doctrines religieuses catholiques (ce que Bergoglio fait à merveille avec sa fraternité universelle entres autres, et son mépris pour la doctrine).

- Soumission de toutes les églises à l’Antéchrist (qui est un Antéchrist système, rappelons le).

« En accord avec l’agenda international à remplir, le première initiative de l’antipape en sera une de réconciliation truquée avec l’ensemble des églises chrétiennes du monde… antipape aura eu pour effet de provoquer un « schisme majeur », supposé être le dernier devant survenir dans le monde chrétien...ce schisme sera perçu comme étant le moment attendu de la chute de l’Église de Rome; ce qui aura pour effet de plonger la majorité de leurs disciples dans un état de confusion, surtout lorsqu’ils découvriront qu’il en est tout autrement…

Le premier rôle de l’antipape… en sera un de « Juge Divin » sur toute la chrétienté… »

Comme spécifié, Bergoglio avec le dernier Motu Proprio a tracé la ligne rouge, plongeant les catholiques qui étaient encore aveugles dans la confusion la plus totale.

La parabole du figuier enseigné dans le très important verset de la fin des temps en Matthieu 24 se révèle finalement à nos yeux.

« Écoutez une comparaison prise du figuier. Dès que ses rameaux deviennent tendres, et qu’il pousse ses feuilles, vous savez que l’été est proche. Ainsi, lorsque vous verrez toutes ces choses, sachez que le Fils de l’homme est proche, qu’il est à la porte. »

Nous avons maintenant la preuve que l’église conciliaire craint le nouvel élan face à la tradition, tradition qui comme le figuier donne des rameaux tendres et verts (plus de jeunes à la messe traditionnelle et plus de jeunes prêtres voulant célébrer le rite tridentin).

Tous ces  signes des dernières semaines nous révèlent réellement que le temps est compté, car Bergoglio force le choix, le choix entre le Christ ou Mammon.

C’est le même argument du côté politique puisque la bête de la Terre et la bête de la Mer doivent marcher main dans la main : le choix entre la passe sanitaire ou non.

Dieu nous a accordé une grande Grâce en nous laissant les « deux témoins » gardiens de la tradition.

(N’oublions pas qu’il y aura mise à mort les « deux témoins » à l’image de NSJC, mais qu’ils ressusciteront après trois jours, probablement l’épreuve des trois jours de noirceur prophétisés par Padre Pio et autres.)

Qui porte des fruits faces aux témoignages de ces nombreux jeunes, et jeunes séminaristes, qui à cause de la pandémie ont découvert la messe tridentine via internet?

C’est l’heure de la parabole du vrai cep.

« Je suis la vraie vigne, et mon Père est le vigneron. Tout sarment qui en moi ne porte pas de fruit, il le retranche ; et tout sarment qui porte du fruit, il l'émonde, afin qu'il en porte davantage. Déjà vous êtes purs, à cause de la parole que je vous ai annoncée. Demeurez en moi, et moi en vous. Comme le sarment ne peut de lui-même porter du fruit, s'il ne demeure uni à la vigne, ainsi vous ne le pouvez non plus, si vous ne demeurez en moi.

Je suis la vigne, vous êtes les sarments. Celui qui demeure en moi, et en qui je demeure, porte beaucoup de fruits : car, séparés de moi, vous ne pouvez rien faire. Si quelqu'un ne demeure pas en moi, il est jeté dehors, comme le sarment, et il sèche ; puis on ramasse ces sarments, on les jette au feu, et ils brûlent. Si vous demeurez en moi, et que mes paroles demeurent en vous, vous demanderez ce que vous voudrez, et cela vous sera accordé. C'est la gloire de mon Père que vous portiez beaucoup de fruits, et que vous soyez mes disciples. » (Jean 15, 1-8)

La fin de l’église conciliaire qui ne porte plus de fruits est amorcée.

Comme prévue dans les prophéties, dont Jean XXIII : « Où croyez-vous fuir, maintenant que vous avez détruit les Églises et tué le dernier Père ? »

Bergoglio embrasse toutes les diversités humanistes et religieuses mais ne sait faire de place pour la petite « diversité traditionaliste » de son église.

Qui est capable d’une telle chose, sinon celui qui est aveuglé par Satan.

« A propos de l’islam vous avez d’ailleurs professé à Abu-Dhabi l’étonnant propos selon lequel la diversité des religions est le fait de la volonté divine.

Et voilà donc qu’aujourd’hui vous avez manifesté qu’il ne saurait y avoir de diversité pour vous au sein de l’Église catholique s’il s’agit d’y maintenir cette séculaire liturgie !   » (benoit-et-moi.fr)


«

« On vous jettera hors des synagogues » (Jn 16, 2)

L'herméneutique de l'envie de Caïn contre Abel.

Il y a eu de nombreux commentaires, les uns après les autres, en ces jours qui ont suivi la déclaration officielle de guerre - faite par François lui-même - de la hiérarchie ecclésiastique contre la Sainte Messe de tous les temps. Et plus d'un commentaire a révélé le mépris pas du tout caché et la clarté absolue simultanée du contenu et de la forme qui caractérise le Motu Proprio Traditionis Custodes , écrit dans un style et une formalité plus politiques que théologiques ou spirituels. C'est en fait une déclaration de guerre...

Mais François ne s'est pas limité à « tirer » sur la victime immortelle. Il a voulu franchir une étape supplémentaire, celle d'un rapide et furieux – pour ne rien dire de monstrueux – « enterrer vivant » du rite antique, affirmant que le nouveau rite est la Lex Orandi de l'Église catholique. D'où il faut déduire que la Messe de tous les temps n'est plus la Lex Orandi .

Il est bien connu que Notre Ami [Bergoglio] n'a aucune idée de la théologie (ce qui revient un peu à dire qu'un médecin n'a aucune idée de la médecine, ou qu'un forgeron ne sait pas utiliser le feu et fer à repasser). La Lex Orandi de l'Église, en effet, n'est pas un « précepte » de droit positif voté par un parlement ou prescrit par un souverain, qui peut toujours être rétracté, modifié, remplacé, amélioré ou aggravé. La Lex Orandide l'Église, en outre, n'est pas une « chose » spécifique et déterminée dans le temps et dans l'espace, autant qu'elle est l'ensemble collectif des normes théologiques et spirituelles et des pratiques liturgiques et pastorales de toute l'histoire de l'Église, depuis les temps évangéliques - et spécifiquement de la Pentecôte – jusqu'à aujourd'hui. S'il vit évidemment dans le présent, il est pourtant enraciné dans tout le passé de l'Église. Il ne s'agit donc pas ici de quelque chose d'humain – exclusivement humain – que le dernier patron peut changer à son gré. La Lex Orandi comprend les vingt siècles de l'histoire de l'Église, et il n'y a aucun homme ou groupe d'hommes au monde qui puisse changer ce dépôt vieux de vingt siècles. Il n'y a pas de pape, de concile ou d'épiscopat qui puisse changer l'Évangile, le Depositum Fidei, ou le Magistère universel de l'Église. La liturgie de tous les temps ne peut pas non plus être changée… » (aldomariavalli.it)

Bref, Bergoglio n’a pas l’autorité pour poser un tel geste.

Il s’est comporté en dictateur.

Comme le « Juge Divin » décrit par Serge Monast.

Son royaume va s’écrouler.

La chute des deux Babylones indiquera la chute de l’Antéchrist système et de son royaume.

20 juillet

L’HEURE DU CHOIX

Le dictateur, Bergoglio, demande clairement aux fidèles de faire un choix.

ll sait qu'il va mettre au jour le schisme existant formellement.

Il planifie de rouler la grande prostituée dans la boue en mars-octobre 2023.

Les tièdes n'auront plus le choix.

C'est un point tournant, beaucoup plus grave que 1969 car l'Antéchrist s'est révélé au grand jour et agit ainsi sans gêne parce qu'il croit sa victoire si proche.

L’Église sera toujours présente et vivante.

Grâce à Mgr Lefebvre.

La tradition avec ses fidèles et le clergé l’accompagnant est belle et bien l’image des « deux témoins de l’Apocalypse ».

N’oublions pas qu’à l’image de la Passion du Christ, ils devront être mis à mort et au tombeau pour 3 jours avant de ressusciter…

Et la religion humaniste s’en délectera.

« Et les habitants de la terre se réjouiront à leur sujet ; ils se livreront à l'allégresse et s'enverront des présents les uns aux autres, parce que ces deux prophètes ont fait le tourment des habitants de la terre. » (Apocalypse 11, 10)

Depuis vendredi, c’est le début de cette descente.

« Que son sang tombe sur nous et sur nos enfants »

Telles étaient les paroles des juifs à la condamnation du Christ.

Telles sont les paroles de Bergoglio à la condamnation de l’Église.

Le dimanche des rameaux est bien derrière nous.

« On vivait avec ce rite, cette situation un peu bancale, jusqu’à avant hier soir, ou avant hier midi, où le pape, donc François a fait ce Motu Proprio… C’est une décision du pape lui-même, voilà, qu’il impose, et elle réduit a minima, sur un ton dur, sévère, extrêmement rigide, on pourrait même dire dictatorial, réduit à une infinie possibilité… la possibilité de célébrer la messe de Saint Pie V… » ( réaction de l’abbé Puga de l’Église de Saint-Nicolas-du-Chardonnet sur Traditionis Custodes, rappelant que tout se joue sur les « aspects essentiels du Saint-Sacrifice ». )

Autres nouvelles réactions au Motu Proprio

« Il me semble qu'une clé de tout le corps (document et lettre) est celle du singe. Laisse-moi expliquer. François indique à plusieurs reprises sa motivation pour ce qu'il va légiférer, c'est-à-dire la continuité avec ce qu'ont fait ses prédécesseurs : saint Pie V, qui a abrogé tous les rites antérieurs pour uniformiser l'usage du même Missel dans toute l'Église, et Benoît XVI, qui s'occupait pastoralement de ceux qui étaient liés au rite antique. Or, en se référant à ceux qui l'ont précédé, et caché derrière ces mêmes motivations, Bergoglio fait exactement le contraire.

Contrairement à saint Pie V, qui avait abrogé tous les rites qui ne pouvaient se vanter d'une tradition centenaire, il annule tout ce qui est tradition apostolique pour imposer une messe née il y a cinquante ans ; et contrairement à Benoît XVI, jette le désarroi dans les âmes liées à l'ancienne messe. Une illusion de toute-puissance se dégage, dont ce pape et ceux qui l'assistent ont déjà amplement donné la preuve. Comme si, ce faisant, ils voulaient démontrer à eux-mêmes et aux autres qu'ils sont eux-mêmes l'Église, une monarchie absolue. Après tout, Benoît XVI se considère naïf, car en accordant un usage généreux de la messe en latin il aurait fait confiance à des fous (les fidèles et les prêtres liés au rite antique), des fous qui alors, comme il fallait s'y attendre, l'ont trahi , utilisant la messe pour combattre leSacré Conseil et de diviser l'Eglise. Ici, à mon avis, c'est la chose la plus sérieuse de toute l'opération Traditionis custodes : utiliser la vérité (pastorale, unité ecclésiale, etc.) pour se mettre au service du mensonge et utiliser le mensonge (en faisant valoir que les destinataires de de Benoît XVI ne se comportait pas bien) pour prétendre servir la vérité.

Le vrai problème n'est pas Traditionis custodes , mais Summorum pontificum . Benoît XVI au lieu d'expliquer que personne ne peut réglementer l'usage de la messe catholique de tous les temps, car c'est la messe que nous avons reçue des apôtres et que saint Pie V a rendue obligatoire en l'imposant à toute l'Église contre les diverses innovations qui ont surgi ici et là, il a fait quelques concessions et a qualifié cette messe de "forme extraordinaire". Maintenant, dire que quelque chose est extraordinaire implique que tôt ou tard quelqu'un dise que maintenant nous devons revenir à la normale. Dire, par exemple, que le confinement est une situation de vie extraordinaire, signifie qu'on ne peut pas toujours vivre dans cette condition. En bref, dans Summorum Pontificum il y avait déjà le germe deTraditionis custodes . De plus, Benoît XVI a dit que les deux formes, ordinaire et extraordinaire, auraient pu s'enrichir mutuellement. Mais comment soutenir sérieusement que le novus ordo , une messe inventée à table, est capable d'enrichir ce que nous avons reçu de la tradition apostolique ?

Dans Traditionis custodes, il est frappant de constater le mensonge flagrant soutenu où il est dit que les fidèles qui participent à la messe tridentine ont été une source de division dans l'Église. La réalité - et on peut bien le vérifier en regardant l'Italie - est exactement le contraire : les évêques ont supprimé, persécuté, ghettoïsé, menacé les prêtres qui voulaient célébrer selon le vetus ordo , et les demandes des laïcs sont souvent restées lettre morte. . Personne ces dernières années n'a pu expérimenter la normalité du cheminement ecclésial en utilisant la forme dite extraordinaire. Alors, comment pouvons-nous maintenant nous attendre à tirer des conclusions par rapport à quelque chose qui n'a pas réellement été vécu ?

Ce que François dit vers la fin de la lettre aux évêques frémit lorsqu'il dit : tandis que dans l'exercice de mon ministère je prends la décision de suspendre la faculté accordée par mes prédécesseurs, je vous demande de partager ce fardeau avec moi. Une phrase qui fait impression et qui n'est pas sans rappeler celle concernant les Juifs : son sang tombe sur nous et sur nos enfants. On dirait les mots de quelqu'un qui ressent la gravité de ce qu'il s'apprête à accomplir, il pourrait encore s'arrêter et à la place il dit : une punition va tomber sur moi et je demande aux évêques de la partager avec moi. Conscient de sa responsabilité, le pape dit qu'il faudra payer un prix et décide d'aller de l'avant.

Le document est caractérisé par la colère, par le ressentiment. Et même cette circonstance nous fait réfléchir. La colère peut parfois s'exprimer à travers certains comportements, en paroles ou en gestes, envers un frère, une sœur ou un groupe. Mais lorsqu'un document officiel est rédigé, il est médité, révisé, retravaillé. Vous le lisez et le faites lire. Or, si après tous ces passages il entretient le stigmate de la colère, le constat ne peut être qu'un : nous sommes face à un mauvais signe de vulgarité et de décadence. Cette vulgarité et cette décadence qui ont marqué le pontificat de Bergoglio et qui constituent un grave vulnus pour l'autorité papale.

Traditionis custodes contient une vérité , et c'est là que le pape dit celle des deux : soit on suit le Concile Vatican II, soit on suit l'ancienne messe. Les deux choses sont incompatibles car elles marquent l'appartenance à deux confessions différentes et à deux églises différentes. Quiconque reconnaît le Concile reconnaît l'Église qui est née à ce moment-là et qui est distincte de la précédente, à tel point qu'il n'y a plus de place pour la première. Autrement dit, c'est la pierre tombale sur l'herméneutique de la continuité, un compromis qui ne pouvait tenir. » (aldomariavalli.it)


« (Lifesitenews.com)

J’ai été ému quand j’ai lu vos réflexions sur l’état de l’Église et sur la « migration » des catholiques d’une réalité mourante vers une nouvelle dimension, plus combative et guérilla, comme vous l’avez écrit, à partir d’une image tirée d’une radio bien connue. méditation donnée par le jeune Joseph Ratzinger.

Cette « migration » n’est pas une migration hors du Corps mystique vers une réalité humaine et utopique créée dans l’esprit de ceux qui déplorent la perte du passé et sont dégoûtés du présent. Car si telle était notre tentation, nous commettrions une trahison de l’Église elle-même, nous séparant d’elle et excluant ainsi notre salut, qu’Elle seule assure à ses membres. Réfléchissez à ce paradoxe, cher Aldo Maria : précisément ceux qui se proclament fièrement fidèles à l’immuable Magistère catholique seraient ainsi en train de construire une [fausse] oasis, sans rappeler que nous sommes tous des exsules filii Evae , et que nous cheminons à travers ce vallée des larmes gementes et flentes.

L’Église n’est pas finie et ne finira pas. Nous savons que cette crise terrible, dans laquelle nous assistons à la démolition obstinée du peu qui survit encore de catholique par ceux que le Seigneur a établis comme pasteurs de son troupeau, marque la douloureuse Passion et la descente au tombeau du corps mystique, que la Providence a ordonné d’imiter en tout son Chef divin.

C’est ce qui s’est passé aussi sous le ciel sombre de Jérusalem, sur le Golgotha, quand, voyant le Fils de Dieu élevé sur la Croix, certains ont cru que la brève parenthèse du Nazaréen était terminée. Mais à côté de ceux qui – par pessimisme, peur, opportunisme ou hostilité ouverte – observent cyniquement le râle de l’Église, il y a aussi ceux qui gémissent et ont le cœur ouvert devant cette agonie, alors même qu’ils savent que c’est la prémisse nécessaire et indispensable de la résurrection qui l’attend, elle et tous ses membres. Le râle est terrible, tout comme le cri du Seigneur qui a percé le silence incrédule de Parasceve, et avec lui la domination de Satan sur le monde. Eli, Eli, lamà sabactani ! Nous entendons le Christ crier, tandis que l’Église gémit. On voit les lances, les massues, le roseau avec l’éponge imbibée de vinaigre ; on entend les injures vulgaires de la foule, les provocations du Sanhédrin, les ordres donnés aux gardes, les sanglots des femmes pieuses.

Voici, cher Dr Valli, aujourd’hui, nous devons nous tenir au pied de la Croix alors que nous assistons à la Passion de l’Église. Se tenir debout signifie rester debout, immobile et fidèle. Avec Marie Très Sainte, la Mère Douloureuse – stabat Mater dolorosa – que le Seigneur nous a donné comme Mère au pied de la Croix en la personne de saint Jean, faisant ainsi de nous, avec le même Disciple bien-aimé, les enfants de sa Mère. Même dans l’agonie de voir les douleurs de la Passion renouvelées dans le Corps mystique du Christ, nous savons qu’avec cette dernière cérémonie solennelle du temps, la Rédemption est portée à son terme : accomplie par le Fils de Dieu incarné, elle doit trouver sa mystique correspondance dans les Rachetés. Et de même que le Père s’est plu à accepter le Sacrifice de son Fils unique pour nous racheter, misérables pécheurs, de même il daigne voir les souffrances de la Passion se refléter dans l’Église et dans les croyants individuels. Ce n’est qu’ainsi que l’œuvre de la Rédemption, accomplie par Jésus-Christ, vrai Dieu et vrai homme, au nom de l’humanité, peut faire de nous des coopérateurs et des participants. Nous ne sommes pas les sujets passifs d’un plan que nous ignorons, mais nous sommes plutôt les protagonistes actifs de notre salut et du salut de nos frères, à l’exemple de notre Divin Chef. C’est en cela que l’on peut dire que nous sommes effectivement un peuple sacerdotal .

Face à la désolation de ces temps terribles, face à l’apostasie de la Hiérarchie et à l’agonie du corps ecclésial, nous ne pouvons être vraiment pessimistes ou céder au désespoir ou à la résignation.

Nous sommes avec saint Jean et la Vierge Douloureuse au pied d’une Croix sur laquelle crachent les nouveaux Grands Prêtres, contre laquelle un nouveau Sanhédrin maudit et jure. D’autre part, nous rappelons que les chefs de la classe sacerdotale ont été les premiers à vouloir mettre à mort Notre-Seigneur, et il n’est donc pas surprenant qu’au moment de la Passion de l’Église ce soient eux précisément qui se moquent de ce que l’aveuglement de leur âme ne comprend plus.

Nous laisse prier. Prions avec humilité, en demandant à l’Esprit Saint de nous donner de la force au moment de l’épreuve. Multiplions nos prières, nos pénitences et nos jeûnes pour ceux qui sont aujourd’hui parmi ceux qui brandissent le fouet, pressent la couronne d’épines sur la tête, enfoncent les clous et blessent le côté de l’Église, comme ils l’ont fait autrefois avec Christ. Prions aussi pour ceux qui regardent impassiblement ou détournent le regard.

Prions pour ceux qui pleurent, pour ceux qui tendent un mouchoir pour essuyer le visage défiguré, pour ceux qui portent la Croix un temps, pour ceux qui préparent un tombeau, des enveloppes pour le corps et un baume précieux. Exspectantes beatam spem, et adventum gloriae magni Dei, et Salvatoris nostri Jesu Christi – En attendant la bienheureuse espérance, la venue de la gloire du grand Dieu et de Notre Sauveur Jésus-Christ (Tite 2 :13).

+ Carlo Maria Viganò, archevêque

14 juillet 2021 »

18 juillet

Voilà. C'est fait.
Bergoglio a sorti son Motu Proprio « Traditiones Custodes » éliminant Summorum Pontificum de Benoît XVI concernant le rite « extraordinaire » (voir analyses précédentes).

« François ajoute enfin une dernière raison à sa décision de modifier les concessions du passé : «il est de plus en plus évident, dans les paroles et les attitudes de nombreuses personnes, qu'il existe un rapport étroit entre le choix des célébrations selon les livres liturgiques antérieurs au Concile Vatican II et le rejet de l'Église et de ses institutions au nom de ce qu'ils jugent être la ‘vraie Église’. Il s'agit d'un comportement qui contredit la communion, qui alimente cette tendance à la division […] contre laquelle l'Apôtre Paul a fermement réagi. C'est pour défendre l'unité du Corps du Christ que je me vois contraint de révoquer la faculté accordée par mes prédécesseurs». » (vaticannews.va)

Pour conclure dans la directive finale du texte qui passe quasiment inaperçu:

« Les normes, instructions, autorisations et coutumes antérieures qui ne sont pas conformes aux dispositions du présent Motu Proprio sont abrogées. ». (lifesitenews.com)

Bergoglio proclame donc qu'il n'y a qu'une seule messe valide:

« la liturgie de Paul VI, ou le Novus Ordo , est « l'expression unique de la lex orandi du rite romain... François déclare maintenant que si Benoît avait décrit une forme "ordinaire" et une forme "extraordinaire" du rite romain, il n'y en a plus qu'une seule - le Novus Ordo... Les livres liturgiques promulgués par saint Paul VI et saint Jean-Paul II, conformément aux décrets du Concile Vatican II, sont l'unique expression de la lex orandi du rite romain. » (référence lifesitenews ci-haut)

Et évidemment, à référence à l'incident « Dijon » (voir analyses précédentes) et à ce que Bergoglio affirme depuis le début de son pontificat: la responsabilité quant au rite extraordinaire est délégué aux évêques.

Ce n'est donc qu'une décision préparatoire, un indice de ce qui s'en vient.

Puisque tout ce qui est antérieur à ce Motu Proprio est abrogé, alors une ligne est tracée, un nouveau départ conforme à tout ce que nous avons vu depuis un peu plus de 8 ans maintenant.

Le pouvoir de la messe étant maintenant entre les mains des évêques, ceux-ci se donneront donc la capacité avec le synode à venir, de modifier la Sainte Messe (ce qui en reste au niveau conciliaire) pour l'adapter aux us et coutumes régionales à l’image du rapport final du synode amazonien.

On peut affirmer vraiment qu'actuellement il n'y a qu'un petit reste, que peu d'élus sur cette planète.

Bref, on connaît maintenant le calendrier: octobre 2023 au plus tard (probablement mars 2023 avec le pré-rapport du synode), la messe passera au niveau de la pachamama, du paganisme... officiellement.

Il n'y aura plus d'unité du corps mystique du Christ alors que Bergoglio pose ce geste parce qu'il craint justement à ce sujet... alors que c'est lui qui le démembre!

L’abomination de la désolation sur le trône a vraiment le sens de l’ambiguïté, de la contradiction à la « Peron », la langue fourchue du mystère d'iniquité.

De plus, le Motu Proprio est promulgué le 16 juillet, en la fête de Notre-Dame du Carmel.

C’est la preuve de la guerre ouverte de la fin des temps entre Satan et la Vierge Marie, car en même temps la bête de la terre (Macron) faisait une visite à Lourdes (alors que le 16 juillet est la journée de la 18ème et dernière apparition).

Les réactions au Motu Proprio :

« 16 juillet 2021 ( LifeSiteNews ) — Alors que la nouvelle que le motu proprio Traditionis custodes du pape François annule le Summorum Pontificum de Benoît XVI secoue l’Église catholique, LifeSiteNews a contacté aujourd’hui l’une des autorités américaines les plus connues sur la forme extraordinaire de la messe (également appelée la « Messe latine », la « Forme extraordinaire du rite romain », la « Messe ancienne »), l’auteur prolifique Dr Peter Kwasniewski .

LifeSiteNews : Pour les lecteurs qui se limitent à la forme ordinaire de la messe et non à la forme extraordinaire, pourquoi ce motu proprio est-il si important ?

Peter Kwasniewski : Ce motu proprio est important parce que François annule 50 ans d’interventions du Vatican en faveur des catholiques qui aiment la tradition liturgique de l’Église et qui veulent rester connectés à cette tradition. Le pape Paul VI a déjà commencé à accorder ce qu’il pensait être des autorisations nécessaires, puis Jean-Paul II encore plus dans les années 1980. Et puis, bien sûr, le pape Benoît a dit que le rite traditionnel n’avait jamais été abrogé, n’avait jamais été aboli. [Mais] François, même au milieu d’une situation où tant de gens quittent l’Église, [mais] tant de vocations et de familles vont à la messe traditionnelle, il intervient et dit essentiellement qu’il veut abolir tout cela – en quelques années, on dirait. Il veut l’éliminer complètement.
Il est difficile de décrire l’ampleur de cela, mais c’est un peu comme dire à des millions de catholiques de sauter d’un pont ou de se pendre. Le ton des documents traite beaucoup les catholiques amoureux de la tradition comme s’ils étaient des lépreux qui doivent être mis en quarantaine ou isolés.

LifeSiteNews : Mais cela ne ressemble pas au Francis qui aime la diversité. Il a embrassé les personnes transgenres: « h e qui était elle , mais est – il , » par exemple. Pourquoi le pape François est-il si dur avec une section jeune et croissante de l’Église ?

Kwasniewski : Il y a une réponse en un mot à cette question, et c’est « idéologie ». Pour le vrai progressiste ou libéral, ce que François est sans aucun doute – cela peut être vu de tant de façons, « diversité » signifie « diversité selon nos propres termes libéraux et progressistes ». Il y a une petite partie du spectre où la diversité est autorisée, et c’est une diversité insignifiante à cela. S’il y a une profonde diversité, c’est beaucoup plus troublant pour ces personnes.
Et c’est parce qu’il a une certaine vision de l’Église de Vatican II et de la rénovation complète de la théologie et de la liturgie. C’est ce qu’il pense. Il pense – il l’a dit explicitement – ​​que c’est ce que veut le Saint-Esprit. De son point de vue, s’il est vraiment sincère, il pourrait simplement se voir comme le gardien de ce que le Saint-Esprit a voulu à et après Vatican II.

LifeSiteNews : Dans le motu proprio , François dit essentiellement que le Saint-Esprit a parlé à travers Vatican II et aller contre Vatican II c’est aller contre le Saint-Esprit, mais ce que Vatican II a demandé dans la liturgie n’a pas été fait.

Kwasniewski : C’est vrai. Il y a là deux problèmes. La première est qu’aucun théologien compétent n’a jamais simplement assimilé ce qu’un Pape ou un Concile a dit ou fait avec le Saint-Esprit. Oui, ces choses sont faites au nom du Saint-Esprit, mais toutes n’ont pas réussi. Beaucoup de choses ont été révisées ou changées au cours des siècles, et le Saint-Esprit Lui-même ne change pas.
Mais plus précisément, la réforme liturgique était quelque chose d’indépendant du Concile, et elle était en conflit avec les paroles exprimées par le Concile. Cela a toujours été un sujet controversé. Le Pape ne semble pas reconnaître le fait qu’il y a eu de nombreux critiques de haut niveau de la réforme liturgique, y compris son prédécesseur, Benoît XVI. Si le pape François avait raison, alors son propre prédécesseur serait coupable de certaines des fautes qu’il attribue aux personnes dans ces documents.

LifeSiteNews : C’est les gardes de la Tradition ou le mouvement anti-Benoît ?

Kwasniewski : C’est sûr. Le motu proprio lui-même est l’exacte antithèse de Summorum pontificum et la lettre qui l’accompagne est l’exacte antithèse de la lettre qui accompagnait Summorum pontificum . Dans toute l’histoire de l’Église, il n’y a jamais eu de rejet aussi dramatique d’un prédécesseur du Pape. Jamais. C’est sans précédent, et je peux le dire en toute confiance.

LifeSiteNews : Il est peut-être trop tôt pour le dire, mais quelles en seront les retombées ?

Kwasniewski : Confusion. Chagrin. Maux de tête, cauchemars bureaucratiques. Les évêques n’ont pas besoin de tout le travail supplémentaire et de tous les ennuis supplémentaires que le Pape vient de leur jeter. Cela augmentera la division partout, et je veux dire par là pas seulement la division entre, disons, les catholiques qui vont à la paroisse Fraternité Saint-Pierre [FSSP] et les catholiques qui vont à la paroisse Fraternité Saint-Pie X [FSSPX]. Je veux dire la division entre les évêques, les diocèses, les séminaires et les communautés religieuses ; Je veux dire, juste à travers le conseil d’administration. Ce Pape est délirant s’il pense qu’avec un trait de plume, il peut simplement effacer l’amour que les gens ont pour la liturgie catholique traditionnelle.

LifeSiteNews : Il a été rapporté une fois que le pape François a dit « Je pourrais entrer dans l’histoire en tant que celui qui a divisé l’Église catholique ». Vraisemblablement, cela signifie un schisme. Est-ce que cela va arriver?

Kwasniewski : Cela dépend de la façon dont vous définissez le schisme. Je suis d’accord avec ceux qui disent qu’il y a déjà un schisme de fait au sein de l’Église entre ceux qui ont la foi catholique et ceux qui ne l’ont pas. Les critiques de la messe latine traditionnelle sont très souvent alignées sur les hérésies et la dissidence des enseignements moraux, il y a donc déjà un schisme virtuel dans l’Église, et le pape François, malheureusement, dirige cela.

LifeSiteNews : Alors qui dirige le camp traditionnel ?

Kwasniewski : Là je dirais le Saint-Esprit ! Car l’Esprit Saint est, en effet, Celui qui guide l’Église à travers tous les siècles de son culte, de sa théologie, de sa doctrine et de sa morale. Nous pouvons dire avec assurance, en regardant plus de deux mille ans d’histoire de l’Église, que c’est le Saint-Esprit guidant l’Église comme le Christ l’a promis.
Les catholiques traditionnels se fondent sur des précédents. Nous ne sommes pas des papolateurs qui ont besoin que le Pape nous dise que nous avons le droit de lacer nos chaussures et de rentrer nos chemises. Le Pape est là pour régler les vrais problèmes quand ils surviennent, et sinon on n’a pas vraiment besoin de trop s’inquiéter pour lui. C’est l’attitude normale des catholiques à travers l’histoire.

LifeSiteNews : Une dernière question alors : la FSSPX devrait-elle acheter ou construire de plus grandes églises ?

Kwasniewski : Je ne vais pas dire qu’ils devraient le faire, mais je suis sûr qu’ils le feront. Il ne fait aucun doute que c’est ce qui va se passer. » (lifesitenews.com)

16 juillet 2021 ( LifeSiteNews ) — Les catholiques de rite romain qui aiment les pratiques liturgiques traditionnelles de l’Église catholique sont en deuil aujourd’hui.

Ce matin, le pape François a publié un motu proprio appelé Traditionis custodes , qui fixe des limites strictes à l’utilisation de la messe traditionnelle latine, un rite que le pape Benoît a appelé « la forme extraordinaire de la messe » dans son propre motu proprio Summorum pontificum de juillet 2007 . Critique des « réformes » liturgiques qui ont suivi et contredit Vatican II, Benoît XVI a donné aux prêtres catholiques le feu vert pour célébrer la « Messe de Jean XXIII » de 1962 sans demander la permission à leurs évêques. Dans une lettre qui accompagnait son motu proprio officiel , le pape François a indiqué qu’il pense que les catholiques ont abusé des dispositions de Benoît et que ceux qui aiment la messe traditionnelle rejettent Vatican II.

« Le pape François semble punir tous les prêtres qui célèbrent la messe traditionnelle et tous les laïcs qui y assistent pour les péchés présumés de quelques-uns : qui « rejettent Vatican II », quoi que cela signifie exactement », Dr. Joseph Shaw , président de la Latin Mass Society of England and Wales , a déclaré à LifeSiteNews aujourd’hui via les réseaux sociaux.

« L’effet pratique de ce document, cependant, dans la mesure où il est mis en œuvre, sera de marginaliser et donc de radicaliser les catholiques attachés à l’ancien Missel », a-t-il poursuivi.

« Il est extraordinaire que des milliers de fidèles catholiques qui ont répondu à l’attitude favorable du Pape Jean-Paul II et du Pape Benoît XVI à l’ancienne messe, pour la célébrer ou l’assister en parfaite unité avec leurs évêques et avec le Saint-Père, aient été soudainement exclus. . Si l’on doit en effet s’attendre à ce que les évêques gouvernent et guident l’utilisation du Missel de 1962 dans leurs diocèses, interdire sa célébration dans les églises paroissiales entravera gravement leurs efforts pour le faire et semble totalement impraticable. »

Dans une interview plus longue avec LifeSiteNews, le spécialiste de la liturgie, le Dr Peter Kwasniewski, a déclaré que le renversement par le pape François de Summorum pontificum était « sans précédent ».

« Le motu proprio lui-même est l’antithèse exacte de Summorum pontificum et la lettre qui l’accompagne est l’antithèse exacte de la lettre qui accompagnait Summorum pontificum », a déclaré Kwasniewski.

« Dans toute l’histoire de l’Église, il n’y a jamais eu de rejet aussi dramatique d’un prédécesseur du Pape. Jamais. C’est sans précédent, et je peux le dire en toute confiance. »

Gregory Di Pippo , rédacteur en chef du Nouveau mouvement liturgique en ligne , a déclaré à LifeSiteNews que l’accusation du pape François selon laquelle les catholiques qui aiment la messe en latin ont rejeté Vatican II est fausse.

« C’est un mensonge, et vous pouvez me citer en disant cela », a déclaré Di Pippo.

Michael Matt de The Remnant a accusé le pape François d’être  » un outil mondialiste  » qui est  » obsédé par l’écrasement du petit reste de croyants dans un monde d’apostasie universelle « . Matt a écrit que le pontife « a verrouillé Summorum Pontificum parce que, comme un crucifix pour un vampire, la vieille liturgie catholique menace le diabolique Nouvel Ordre Mondial auquel François a signé ».

« Tout d’abord, la célébration de la liturgie traditionnelle, dans les termes définis par Summorum pontificum , entraîne une acceptation implicite du Concile Vatican II et une acceptation implicite de la validité de la réforme liturgique qui a été adoptée après le Concile – non dans l’accomplissement du Concile, car ce n’était pas l’accomplissement du Concile », a-t-il poursuivi.

« Cependant, personne dans l’Église aujourd’hui, encore moins la papauté, n’accepte la validité de Vatican II dans le sens où une grande majorité des réformes adoptées dans le sillage de Vatican II ont été faites au mépris de la lettre de Vatican II. [Ainsi,] la papauté n’a pas le droit de dire à qui que ce soit : « Vous n’acceptez pas Vatican II ».


Un évêque américain, l’archevêque Salvatore Cordileone de San Francisco, a promis aux fidèles qu’ils pourraient toujours accéder à l’ancienne messe dans sa juridiction. « La messe est un miracle sous toutes ses formes : le Christ vient à nous dans la chair sous l’apparence du pain et du vin », a-t-il déclaré à l’ AIIC aujourd’hui. « L’unité sous Christ est ce qui compte. Par conséquent, la messe traditionnelle en latin continuera d’être disponible ici dans l’archidiocèse de San Francisco et fournie en réponse aux besoins et aux désirs légitimes des fidèles. »

Le pape est «obsédé par l’écrasement du petit reste de croyants laissé dans un monde d’apostasie universelle»

Michael Matt , rédacteur en chef du journal The Remnant , a écrit aujourd’hui que les catholiques ne devraient pas se décourager.

« Dieu est responsable de tout, et cela ne se produirait pas s’il ne le permettait pas », a-t-il déclaré.

« Tout cela est déjà arrivé. Je sais, je me souviens, j’ai vécu ça », a-t-il poursuivi.

« C’est un châtiment, oui, mais cela ne change rien à ce que nous sommes appelés à faire : nous devons connaître, aimer et servir Dieu, et résister à ceux qui ne le font pas. François n’a pas le pouvoir de changer cela.

Matt a eu des mots tranchants pour le pape François, accusant le pontife d’être « un outil mondialiste » qui est « obsédé par l’écrasement du petit reste de croyants laissé dans un monde d’apostasie universelle ».

« Il a enfermé Summorum Pontificum parce que, comme un crucifix pour un vampire, la vieille liturgie catholique menace le diabolique Nouvel Ordre Mondial auquel François a signé », a-t-il écrit.


« La vulgarité de ce document n’a d’égale que sa cruauté »

Le spécialiste catholique, le Dr Taylor Marshall, n’a pas mâché ses mots sur son podcast aujourd’hui.

« Le pape François a largué la bombe sur les catholiques traditionnels, sur la messe traditionnelle en latin, et c’est la chose la plus radicale que le pape François ait faite au cours de ses huit années à Rome », a déclaré Marshall.


Le prêtre-blogueur américain, le père John Zuhlsdorf, a noté qu’aujourd’hui est la Journée mondiale du serpent , mais n’a pas précisé. Dans un article séparé sur son blog bien connu, « Father Z » a écrit que le motu proprio était une insulte.

« Traditionis custodes… insulte effectivement tout le pontificat de Benoît XVI et les dispositions pastorales de Jean-Paul II et de toutes les personnes qu’ils ont affectées », a-t- il écrit.

Notant que les arrêtés entrent en vigueur immédiatement, le P. Z a dit que le premier fruit du document « cruel » était le « chaos ».
« Maintenant, les gens m’écrivent pour me demander ce qu’ils sont censés faire dimanche. Les prêtres demandent s’ils remplissent l’obligation de dire l’Office avec le Breviarium Romanum . Les questions se multiplient au fur et à mesure que j’écris. Le premier fruit de Traditionis est le chaos », écrit-il.

« Par conséquent, je suis obligé de remarquer que la vulgarité de ce document n’a d’égale que sa cruauté », a-t- il conclu.

« Même ceux qui ont été des critiques invétérés des dispositions de Benoît, qui peuvent même aller jusqu’à haïr non seulement les formes traditionnelles de culte, mais les personnes qui les veulent, devraient être horrifiés par la brutalité de son document. » »
(lifesitenews.com)

« Cher Aldo Maria, à la fin, voilà Traditiones custodes. Aujourd’hui, 16 juillet 2021, le pape François, par un motu proprio, sanctionne de facto la fin de la liturgie selon le Missel de 1962.

Il s’agit d’une intervention dure et maximaliste qui ne laisse aucune place à la liberté, ni pour les prêtres ni pour les fidèles. Personne ne s’y attendait en ces termes.

Pour François, la liturgie préconciliaire libéralisée par son prédécesseur a servi à diviser, à priver Vatican II de son autorité, à ne pas reconnaître le Magistère postconciliaire, ce qui revient à dire qu’il est d’accord avec la Fraternité Saint Pie X pour dire qu’il y a une incompatibilité absolue entre l’Eglise préconciliaire et postconciliaire.

L’intention du document est claire : abolir le Divin Sacrifice tel qu’il était célébré jusqu’en 1970, au nom du Concile Vatican II, qui représenterait la véritable Tradition de l’Église.

Que va-t-il se passer maintenant dans les diocèses ?

Le pape a décidé de jouer une guerre sale, en jetant la bombe sur les fidèles attachés à ce qui avait été appelé la « forme extraordinaire ». Toutefois, contrairement à Nagasaki et Hiroshima, elle ne scellera pas nécessairement la victoire décisive de la guerre contre la résistance traditionnelle. Au final, il pourrait s’agir d’une victoire à la Pyrrhus retentissante.

Il y a beaucoup de prêtres et de fidèles qui, en ce moment, se sentent humiliés par leur pasteur et personne ne peut en connaître les conséquences. Que vont-ils faire ? L’accepteront-ils simplement ? Feront-ils une action démonstrative sur la place Saint-Pierre pour demander à leur mère Église pourquoi il y a de la place pour le père James Martin et pas pour eux ? Pourquoi y a-t-il de la place pour la voie hérétique allemande et pas pour eux ? Pourquoi y a-t-il de la place pour tout le monde mais pas pour eux ? Et encore : vont-ils agir individuellement ou quelqu’un va-t-il prendre la tête de la rébellion ?

Le pape prétend avoir agi pour restaurer et renforcer la communion et l’unité de l’Église ; cependant, on voit s’avancer, menaçante, l’ombre qui pourrait faire se réaliser ses propres paroles quand, en décembre 2016, il s’est laissé aller à cette expression : « Il n’est pas exclu que je rentre dans l’histoire comme celui qui a divisé l’Église catholique « .

il Giovane Prete
16 juillet »

(benoit-et-moi.fr)

Curieusement, la tache solaire dont est sortie la première éjection de classe X du cycle 25 il y a deux semaines a un étrange comportement depuis le 12 juillet.

Située maintenant sur la face cachée par rapport à la Terre (pour ceux qui ne le savent pas le Soleil a une rotation de 28 jours environ), elle devrait réapparaître en début de semaine.

Donc, cette tache a émis au moins 3 éjections de masse coronale (CME) en halo (c'est à dire sur 360 degrés), toutes en éloignement par rapport à la Terre.

Celle du 16 juillet est spectaculaire (ici: https://ibb.co/QrFXbxC)

Phénomène qui s'est répété hier.

Cette tache devrait commencer à faire face à la Terre cette semaine.

C'est à lier, en cette année de Saint-Joseph, à octobre 1917 à Fatima.

Pendant le spectacle du miracle du Soleil, un tableau en trois actes apparu aux enfants: ils ont vu Notre-Dame du Rosaire qui s’éleva au firmament à côté du SOLEIL, joints par Saint-Joseph et l’Enfant Jésus qui bénissaient le monde, puis Marie devint Notre-dame des Douleurs, joint par Jésus qui bénissait à son tour le monde, puis Marie devient Notre-Dame du Carmel.

Trois dates à retenir donc:  16 juillet, 15 septembre, 7 octobre.

13 juillet

LES MARTYRS DE 2021

Devant cet étau qui se resserre face aux gestes posés face à la pandémie qui deviennent lois, le petit reste isolé devient inévitablement qu’un martyr des derniers temps, psychologiquement pour l’instant, du moins pour la majorité, puisque l’heure des choix est arrivée :

La clique judéo-maçonnique va de l’avant avec une dernière salve en 2021, elle n’a plus le choix, avec son système de contrôle total pour sa propre survie temporelle, et pour son pseudo dieu.

Les vaccins et le passeport vaccinal ne sont  qu’une étape nécessaire, appliquée au compte-goutte (un conditionnement) pour en venir à une dictature plus serrée à la chinoise (les rapports d’une élite judéo-maçonnique idolâtrant le modèle chinois le confirment de plus en plus).
Petit rappel: « Ce qu’il nous attend si on ne se bouge pas »

Mais, il ne peut y avoir de dictature mondiale sans l’électronique et sans une seule monnaie mondiale, électronique, sinon le troc et la micro-économie permettraient d’éviter le système.

Cet électronique, ce n’est pas dans les téléphones intelligents que nous la trouverons, car ce n’est pas tout le monde qui en possèdent.

D’où le concept de transhumanisme à la Klaus Swab ou Bill Gates.

L’invention par le MIT, présenté le 18 décembre 2019 à Washington, d’une technologie de vaccination sous-cutanée encapsulée dans des nanoparticules et des nanocristaux qui deviennent fluorescents à l’approche d’une lumière proche de l’infrarouge, donne le signal à l’élite que c’est possible (voir patriote.info par exemple).

Facile alors de « tatouer » un futur code QR individuel de ce type sur la peau.

La monnaie unique électronique, déjà annoncé comme étant le GOV (The Economist, le Phoenix renaissant de ses cendres: grande réinitialisation, voir analyses précédentes).

La révision des DTS (droits de tirage spéciaux) du FMI est prévue pour le 30 septembre 2021: occasion d’officialiser le GOV?

Un article de M.Lucien Cerise résume bien l’étape présente.

« … (le) projet est la société « sans contact », c’est-à-dire sans contacts humains, programme soutenu entre autres par le gouvernement sud-coréen, où les interactions sociales directes disparaîtront et seront encadrées, médiatisées et si possible remplacées par la techno-science, l’informatique et les écrans. Pour y parvenir par étapes, le pouvoir accumule les mesures de contrôle social sans qu’aucune n’annule les autres et en espérant les rendre irréversibles. Le confinement et le couvre-feu doivent devenir perpétuels, le port du masque doit être permanent, la distanciation physique aussi, il faudra nous revacciner tous les six mois pour mettre à jour notre « passe sanitaire », nouvelle mouture du passeport intérieur des régimes totalitaires, etc…

La frontière entre maladie et santé s’efface : nous sommes tous potentiellement malades, comme chez le Docteur Knock, et nous devons donc tous accepter d’être tous traités comme des malades. Cette « nouvelle réalité » de la maladie permanente et omniprésente doit permettre de remettre votre santé entre les mains du biopouvoir cybernétique. Comment ? En implantant dans les esprits un parallèle entre les risques encourus par nos ordinateurs et par nos corps. La cybernétique ne distingue pas le vivant et la machine. Ainsi, le biopouvoir pose plusieurs équations : homme = ordinateur ; virus biologique = virus informatique ; anti-virus biologique = anti-virus informatique. Bill Gates est l’homme qui incarne cette fusion de l’informatique et de la santé publique. D’où vient l’intérêt du fondateur de Microsoft pour les virus biologiques et les vaccins, au travers notamment de sa fondation GAVI – Global Alliance for Vaccines and Immunization ? Cela pose question. Lui et d’autres transhumanistes essayent de nous transformer en névrosés hypocondriaques volontairement intégrés dans un système fusionnant le corps humain et les machines par la transposition dans le biologique de ce qui existe en informatique : la peur permanente des virus – phénomène purement psychologique car, en réalité, il y a très peu de virus dangereux – et l’obligation de vivre avec un antivirus fabriqué, un pare-feu dans le langage informatique, équivalent du masque et du vaccin…

L’occultisme est un rapport proactif et interventionniste à la perception de la réalité pour modifier la réalité. On ne touche pas directement la réalité matérielle, on touche sa perception, et surtout sa perception narrée, inscrite dans un récit. On peut donc transformer indirectement la réalité en agissant sur l’esprit des gens qui la perçoivent. Et agir sur l’esprit signifie agir sur la narration qui raconte la réalité, principe du Storytelling. Il n’y a pas d’esprit en dehors d’une narration, d’un langage, d’un code. L’esprit humain est langagier, structuré par une grammaire et une syntaxe – les phénomènes psychiques n’arrivent pas au hasard – et constitué physiquement de signes linguistiques, qui sont les « unités discrètes », les briques élémentaires, les atomes de l’esprit. Pour agir sur l’esprit d’autrui comme un occultiste, il faut donc agir sur la narration qui structure son esprit, devenir un maître linguiste, un maître du langage – plus simplement, un bon écrivain, un bon scénariste – ce qui explique le rôle des « formules magiques », ce que l’on appelle aujourd’hui des slogans, et qui sont omniprésents dans l’espace médiatique et publicitaire…

Les médias de masse procèdent à une séance d’hypnose collective en continu, 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, que l’on peut décrire à la suite de Tchakhotine comme un « viol des foules », mais un viol consenti, une pénétration furtive de l’intériorité d’autrui, pour téléguider autrui, agir sur lui depuis son extériorité sans qu’il en soit pleinement conscient. Tout ceci évoque le concept d’Inception, comme dans le film de Christopher Nolan, consistant à pénétrer dans l’inconscient d’autrui pour y déposer une idée, un mot-clé, un signifiant déclencheur (trigger) qui sera activé à un moment donné, pas toujours immédiatement, comme une bombe à retardement. Tel est le rôle du symbole de l’arc-en-ciel et de tous les signes de ralliement, hashtags, graffitis, slogans, et de la pratique d’ingénierie sociale d’hameçonnage (phishing), fondée sur le double sens, l’ambivalence sémantique, qui fait passer une signification sous couvert d’une autre signification, avec un sens caché dans un autre sens, principe de la stéganographie…

L’esprit jacobin de la révolution française, c’est l’esprit du progressisme maçonnique, c’est-à-dire l’esprit scientiste, mathématique, géométrique. Bien sûr, cette approche entièrement quantitative du monde, qui réduit tout aux nombres, est assez répandue au-delà de la pensée maçonnique et se rencontre à diverses époques et en divers lieux…
Le cube est la projection tridimensionnelle du carré, c’est-à-dire de l’angle droit, qui n’existe pas dans la nature. Trouver une forme à angles droits dans la nature signifie qu’une intelligence est forcément passée par là pour la fabriquer.

Remplacer veut dire tuer. La culture doit tuer la nature, l’esprit doit tuer le corps, tel est le cœur conceptuel de la pensée gnostique, progressiste, utopiste, prométhéenne, transhumaniste et maçonnique. Ce qui était impossible naturellement deviendra possible culturellement, par la techno-science, et rendra la nature obsolète. L’esprit vaincra la matière. L’âme vaincra le corps. L’utopie vaincra le réel.
 » (noach.es pour le long article)

La campagne de peur présente pour pousser le conditionnement de la masse (la vaccination n’en est que l’outil) est la courroie de transmission pour arriver à leurs fins, sachant par exemple que le variant Epsilon présent en Californie révèle que « … Trois mutations dans la protéine de pointe du coronavirus Epsilon atténuent le pouvoir neutralisant des anticorps induits par les vaccins actuels ou les infections COVID passées.
Les mutations donnent à cette variante préoccupante du coronavirus un moyen d’échapper totalement aux anticorps monoclonaux spécifiques utilisés dans les cliniques et réduisent l’efficacité des anticorps du plasma des personnes vaccinées… » (newsroom.uw.edu)

Autrement dit, les anticorps créés par les vaccins ne reconnaissent plus la protéine Spike qui a subit trois mutations internes pour changer son « apparence ».

En relation avec les propos de Lucien Cerise ci-haut, ils ne peuvent lâcher le morceau dans cette ultime étape (grande réinitialisation): « Pour y parvenir par étapes, le pouvoir accumule les mesures de contrôle social sans qu’aucune n’annule les autres et en espérant les rendre irréversibles. »

Ce qui veut-dire : vaccination à perpétuité pour conditionner entièrement la masse…

C’est ce qu’a demandé Pfizer/BioNTech la semaine passée : l’autorisation pour une troisième dose de son vaccin, sachant déjà que le variant Epsilon échappe à la vaccination.

Logiquement, toute vaccination devrait être arrêtée immédiatement. Mais non.

C’est le royaume du mensonge. Les étapes s’accumulent. Ils n’ont plus le choix d’aller droit devant, droit dans le mur.

Bergoglio l’a toujours affirmé : il n’y aura pas de retour en arrière, même pour la religion catholique, d’où l’ultime attaque en préparation contre la messe tridentine.

Voici un article intéressant afin de se faire un idée de la situation en cours:

« 9 juillet 2021 ( LifeSiteNews) – Le Dr Vladimir Zelenko, le médecin new-yorkais qui a été le pionnier de l'utilisation de l'hydroxychloroquine (HCQ) et du zinc comme traitement du COVID-19, a accordé une longue interview à LifeSiteNews pour expliquer pourquoi ce protocole a connu un tel succès. S'adressant à Claire Chrétien de LifeSite, Zelenko a discuté des vaccins contre les coronavirus et du «groupe de sociopathes» qui veut administrer ces injections au monde entier, ainsi que de la censure généralisée des informations sur le traitement du virus.

Zelenko est médecin de famille depuis deux décennies dans le nord de l'État de New York. COVID-19 a balayé cette région à l'avènement de l'épidémie de coronavirus en mars 2020. Parmi les cas les plus graves de coronavirus de Wuhan à cette époque, la plupart des patients ont été mis sous respirateur, mais « 80 à 90 pour cent des personnes sous respirateur étaient mourir, ce n'était donc pas un très bon modèle de traitement », a noté Zelenko.

Sur 3 000 patients positifs au COVID dont il s'occupe, Zelenko en a identifié 1 000 comme « à haut risque » avec lesquels son intervention médicale à base de HCQ et de zinc « a réduit le taux de mortalité de 7,5% à moins d'un demi pour cent ».

« Cela représente une réduction de 84 % des hospitalisations et des décès. »

"Sur les 600 000 morts américains que nous avons, nous aurions pu empêcher 510 000 d'aller à l'hôpital et de mourir."

Pourtant, ce protocole n'a pas été largement adopté par la communauté médicale. De nombreux Américains qui ont attrapé le coronavirus ont découvert que leurs médecins ne prescriraient pas d'hydroxychloroquine, ou que les pharmaciens ne rempliraient pas les ordonnances pour cela.

"Il a été adopté par des médecins de renommée mondiale qui sont honnêtes et capables de raisonnement déductif et ne sont pas endoctrinés", a déclaré Zelenko à LifeSite, mais "malheureusement, 90% des médecins de ce pays sont incapables de penser de manière indépendante".

« Le résultat net est qu'ils suivent aveuglément les recommandations de leurs employeurs ou des agences gouvernementales sans faire preuve de bon sens. Ils ne font que suivre les ordres, comme le faisaient les nazis...

"Il existe des dizaines d'études qui corroborent" son approche du traitement du virus, a ajouté Zelenko, avant d'ajouter que son protocole n'est pas le seul remède efficace : l'ivermectine est l'une des mesures préventives les plus puissantes contre la maladie due au virus.

Malgré les restrictions gouvernementales sur la distribution de HCQ, un élément nécessaire du protocole, Zelenko a trouvé une alternative en vente libre qui fonctionne de la même manière pour aider le zinc à pénétrer dans les cellules et à inhiber la réplication virale.

"C'est le remède contre la tyrannie", a-t-il déclaré, ajoutant que les principales raisons pour lesquelles un patient mourra d'une infection au COVID-19 sont centrées sur "le gouvernement sous lequel vous vivez et le médecin que vous choisissez", plutôt que sur le virus lui-même.

Expliquant, Zelenko a déclaré: «Si je peux vous dire « Allez à la pharmacie et procurez-vous de la quercitine, de la vitamine C, de la vitamine D et du zinc » qui sont partout en vente libre, et si vous les utilisez à la bonne dose, vous vous sentirez mieux, et resterez en bonne santé, tout d'un coup, j'ai donné à l'individu le pouvoir de ne pas être subjugué ou brutalisé par une terrible gouvernance. les méfaits et les fautes professionnelles des médecins.

"Il n'y a aucune nécessité médicale pour ce liquide expérimental"

Compte tenu du succès de son régime de traitement, Zelenko a déclaré qu'"il n'y avait aucune nécessité médicale pour ce liquide expérimental", en référence aux vaccins de thérapie génique à ARNm administrés dans le monde. Selon les Centers for Disease Control and Prevention (CDC), les personnes de moins de 18 ans ont une « récupération de 99,998% de COVID sans traitement », a noté Zelenko.

Cela contraste avec les quelque 7 000 décès et les centaines de milliers d'événements indésirables signalés après l'injection d'un vaccin à ARNm, a déclaré le médecin, ajoutant que le risque de préjudice pour les enfants lié aux vaccins pourrait atteindre 50 à un.

"Ce n'est pas un risque, c'est un meurtre", a-t-il déclaré.

Parmi les 18 à 45 ans, Zelenko a expliqué que le taux de récupération chute légèrement à 99,95 %. De même, les risques d'innocuité liés à la prise d'une substance expérimentale l'emportent sur tous les avantages potentiels, dont Zelenko admet que l'efficacité est «discutable», même parmi les personnes appartenant aux catégories à haut risque pour lesquelles son protocole médical a eu un avantage démontrable.

'Complot pour commettre un génocide par un groupe de sociopathes qui pensent qu'ils sont Dieu'

Qualifiant la crise des coronavirus de "la plus grande guerre psychologique de l'histoire de l'humanité", Zelenko a poursuivi en expliquant que le monde entier était rempli "de peur pathologique".

« Cette peur est ensuite utilisée pour manipuler le comportement humain », a-t-il déclaré, rappelant comment certains des hommes les plus puissants du monde, comme le fondateur et milliardaire de Microsoft Bill Gates, qu'il a qualifié de « sociopathe », ont utilisé la peur pour faire avancer un programme. "que la population mondiale doit être réduite."

Concernant la prise de contrôle actuelle de la santé publique, « en 2020, Gates a déclaré que sept milliards de personnes devront être vaccinées », avec une solution qui reste dangereuse et non testée.

Reconnaissant la tâche gigantesque de convaincre sept milliards de personnes de prendre un vaccin, Zelenko a suggéré que cette fin ne peut être atteinte qu'en «générant une telle peur pathologique, puis en proposant une solution artificielle. Vous devenez leur sauveur.

« Il y a toujours eu des tyrans et des despotes qui ont l'illusion qu'ils sont une divinité, ou divins, et estiment qu'ils ont le droit de tracer le cours de l'histoire humaine. »

La base de la nature humaine, a déclaré Zelenko, peut être considérée de deux manières principales.

Premièrement, « vous pouvez considérer un être humain comme étant fait à l'image et à la ressemblance de Dieu… cela signifie que nos vies sont saintes… cela signifie que nos vies ont des droits humains ».

« Si tel est le cas, ce n'est pas dans le domaine de l'être humain de décider combien de personnes devraient être dans le monde et combien de temps nous devrions vivre. »

En opposition, a déclaré Zelenko, se trouve "l'approche darwiniste … eugéniste qui veut que la hiérarchie de dominance de l'humanité dépend d'une constitution génétique supérieure".

"L'idéologie nazie était exactement cela", a-t-il déclaré. Les nazis se sentaient en droit d'éradiquer « ceux qu'ils considéraient comme des sous-humains », y compris ceux qui n'étaient pas d'accord avec eux politiquement, a-t-il ajouté. « La même chose se produit maintenant, sauf que ce n'est pas antisémite. »

Selon Zelenko, Gates et Klaus Schwab du Forum économique mondial, dont ce dernier a écrit le livre The Great Reset , font partie d'un « groupe de sociopathes ».

Ce groupe pense avoir « évolué vers un être supérieur », un type de « surhumain ».

« Ils font avancer ce programme transhumaniste », a averti Zelenko, tout en encourageant l'éradication de la propriété privée et des combustibles fossiles, et en essayant de vacciner chaque personne sur terre.

« C'est un complot – mais pas une théorie – et c'est un complot pour commettre un génocide par un groupe de sociopathes qui pensent qu'ils sont Dieu… C'est une guerre contre Dieu.

« Nous vivons dans la Troisième Guerre mondiale… le problème est que l'arme qui est utilisée [la peur] est un tueur silencieux », a-t-il déclaré.

Le médecin a exhorté les gens : « Ne cédez pas à la peur. »

« Vous êtes mis à l'épreuve par Dieu. À qui vas-tu te prosterner ?

Zelenko lui-même a été persécuté pour son refus de garder le silence sur ses recherches. Indépendamment de l' efficacité de son protocole pour sauver la vie des patients, il a été banni de Twitter, Facebook et YouTube, tout cela en raison de son approche réussie et contre-narrative de COVID-19.

En termes non équivoques, Zelenko a décrit la suppression de ses informations sur les traitements salvateurs et les informations salvatrices fournies par d'autres, dans le cadre d'un « complot en vue de commettre un meurtre ».

« Je pense que toutes les morts que nous avons subies dans le monde ont été intentionnelles, volontaires, malveillantes et dues à une gouvernance néfaste », a-t-il décrié. « C’est un crime d’envergure historique et biblique. »... » (lifesitenews.com)

La vaccination n’est pas la marque de la bête en tant que telle.

Parce que la marque de la bête mène en enfer et ce n’est pas parce que nous sommes vaccinés que nous sommes damnés.

La marque de la bête c’est l’adhésion au système 666 soit par la pensée (le front) et par ses actions (la main droite).

Volontairement.

Cet épisode vaccinale nous confirme par contre que l’Antéchrist système est bien présent, et visible!

Comme nous l’affirmons ci-haut, la vaccination est un prétexte pour quelque chose de bien plus gros que la clique judéo-maçonnique réserve à l’humanité, un conditionnement psychologique de la masse.

Et n’oublions pas cette phrase du regretté S. Monast: « le religieux domine le politique ».

C’est là qu’est leur objectif : faire monter Satan sur le trône, le nouveau messie, le peuple prêtre prêt pour en être la portion visible.

Relisons attentivement l’analyse de L. Cerise ci-haut, ce qui lié au texte du Dr. Zelenko, confirme cette « 3ème guerre mondiale »…. contre l’humanité, et l’âme.

D’où l’importance de la prière, car ils veulent bien couper ce lien de l’Esprit par leur conditionnement psychique.

Ce canal, le Rosaire, est le seul et unique outil pour s’en sortir spirituellement : nous avions été avertis.

Il faut bien comprendre conséquemment pourquoi ils nous semblent qu’il n’y a plus de signe du Ciel, que Dieu s’est retiré.

Pourtant la Source est toujours là.

Mais ils veulent couper le lien de « transmission ».

Ce qui est pratiquement accompli par la Grande Apostasie.

La mutation de la civilisation est pratiquement complète pour eux.

Ce n’est pas un effondrement de civilisation auquel nous avons assisté.

Tout est subtil, calculé.

Elle a été remplacée par une « malsociété ».

Nous n’avons pas eu le sentiment de confrontation entre les deux civilisations parce que l’ex-civilisation s’est auto-suicidée en acquiesçant à son remplacement par Vatican II  en faisant croire qu’il s’agissait pour elle d’une évolution!

C’est pourquoi que cette civilisation de remplacement est maintenant tout à fait visible pour les catholiques ayant encore la Foi : elle n’a plus à se cacher car la victoire est proche, elle est sûre pour eux!

Mais Dieu avait d’autres plans...

« Il y a une question fondamentale à poser à ceux qui désignent le Mal Suprême et Absolu qui menace le monde sous le nom de Fascisme, Racisme, Souveraineté, Homotransphobie: de quels maux souffre réellement notre société, aussi bien la société italienne que la société occidentale et mondiale?…

Les véritables maux et dangers d’aujourd’hui découlent de situations réelles, des contradictions inévitables du monde actuel, des modèles d’État et de développement qui ont prévalu, ou remontent aux responsabilités des classes dirigeantes, des gouvernements et des pouvoirs de 1945 à aujourd’hui, qui étaient et sont aux antipodes des maux idéologiques désignés comme les dangers pour l’avenir. Ils ne sont certes pas issus de ces cultures d’opposition.

La « malsociété » dans laquelle nous vivons est gouvernée, depuis presque quatre-vingts ans, par une classe de pouvoir, un establishment qui s’est toujours opposé aux nazi-racismes et aux phobies énumérés plus haut, qui au contraire s’est légitimé précisément parce qu’il s’opposait à ces maux idéologiques et historiques, étant par définition antifasciste. Par conséquent, croire que les vrais maux de notre présent sont ceux que pointent obsessionnellement les pouvoirs en place, les médias, le cinéma, les intellectuels alignés, c’est de la pure mystification idéologique, c’est nier la réalité et ses vrais désastres, c’est faire diversion pour ne pas voir les choses telles qu’elles sont vraiment, c’est nous faire vivre dans une bulle fausse et virtuelle, à l’intérieur d’une hallucination collective. Pointer du doigt ces prétendus maux au lieu des vrais, c’est ne pas affronter les problèmes les plus graves que la réalité de tous les jours, d’aujourd’hui et de toujours, place devant nous, sur nous, sous nous, en nous et au-dessus de nous. Chasser les fantômes des maux ou leurs substituts, en oubliant les vrais….

… les maux de notre époque s’accompagnent de l’effondrement de la civilisation et de ses points de référence ; nous sommes dans un désert spirituel et moral, un désert de sens et de destin, de principes et d’idéaux, avant d’être un désert de valeurs. Et le désert produit des monstres, des hallucinations, la mort.

Les montants et les charnières qui sont les fondements des civilisations sont criminalisées et détruites parce qu’elles sont considérées comme porteuses de racisme et de suprémacisme, de nationalisme et de xénophobie, de nazisme, de fascisme et de diverses autres phobies. Et pourtant, elles constituent le patrimoine de notre civilisation sur le plan culturel, civique et religieux, ce qu’on appelle les traditions. Qui sont alors les moins égoïstes, particulières, brutales et négatives qui puissent exister, car elles ne concernent pas seulement un peuple, une nation, un monde, et donc sa primauté exclusive uber alles, mais touchent l’humanité entière, tous les peuples, toutes les sociétés et toutes les religions, la condition humaine. Et elles incitent un individu à se sentir membre d’une communauté. Alors, bien sûr, on peut aussi les utiliser de manière agressive et discriminatoire ; mais l’abus d’un principe n’invalide pas sa signification et sa valeur originale et universelle. Car si des viols, des meurtres et des violences sont commis au nom de l’amour, cela ne condamne pas l’amour, mais ceux qui en abusent, le déforment et le brutalisent. Il en va de même pour l’amour de la patrie, l’amour de Dieu ou l’amour du père et de la mère, de l’enfant et du frère.

En résumé, nous sommes entrés dans la guerre civile mondiale entre la réalité et sa mystification.

Nous sommes et serons du côté de la réalité autant que possible, aussi longtemps que cela sera possible. » (benoit-et-moi.fr)

En fait, cette 3ème guerre mondiale achève.

Et les prophéties de Jean XXIII le confirme par la prophétie de l'Église #11 ; « Le 7ème Sceau ».

02 juillet

Comme on le sait si bien: L’enjeu, c’est la Messe!

Suite de la saga sur « La Fraternité Saint-Pierre expulsée du diocèse de Dijon » (voir analyse du 14 juin).

« « Vous allez avoir un nouveau Motu proprio dans les prochains jours ou semaines », a dit le 26 juin Mgr Minnerath, archevêque de Dijon aux fidèles de la messe traditionnelle venus manifester devant l’évêché leur mécontentement. » Mais avant même la parution de ce texte, si tant est qu’il soit bien publié, les témoignages sur les intentions des ennemis du précédent motu proprio, celui de Benoît XVI se multiplient :

. Ainsi, le Cardinal Parolin, Secrétaire d’État, a affirmé devant un groupe de cardinaux : « Nous devons mettre fin à cette messe pour toujours !»

. Et Mgr Roche, nouveau Préfet de la Congrégation du Culte divin, a expliqué en riant à des responsables de séminaires de Rome et des membres de la Curie, tous anglophones : « Summorum Pontificum est pratiquement mort ! On va redonner le pouvoir aux évêques sur ce point, mais surtout pas aux évêques conservateurs »… » (fr.paix-liturgique.org)

Une transcription de ce qui s’est passé:

« DIJON, France, 30 juin 2020 (LifeSiteNews) — Dans un nouveau développement concernant l’expulsion de la Fraternité Sacerdotale Saint-Pierre (FSSP) de son apostolat à Dijon, dans l’est de la France, Mgr Roland Minnerath a accepté de s’exprimer en personne à plusieurs centaines de fidèles qui avaient organisé samedi matin une manifestation pacifique devant son palais archiépiscopal…

Minnerath a passé environ une demi-heure à expliquer les raisons de son déménagement et à répondre aux questions – une minorité d’entre elles agressives – de la foule. Le thème principal de son discours était la « concélébration »…

L’archevêque Minnerath a clairement déclaré que la décision de supprimer la FSSP était liée à la révision par le pape François du Motu proprio Summorum Pontificum qui sera rendu public « dans quelques jours ou semaines ». « Le Pape parlera. Je sais ce qu’il va dire », a-t-il déclaré à l’assemblée choquée.

Roland Minnerath … a ajouté du poids aux craintes des catholiques à l’esprit traditionnel en faisant si ouvertement de la concélébration dans le nouveau rite une condition préalable absolue pour obtenir un apostolat dans son archidiocèse.

Face à une foule composée majoritairement de jeunes, de familles avec enfants et seulement d’une poignée de fidèles âgés, Minnerath a insisté sur le fait qu’il n’emmenait pas les prêtres de la basilique Saint-Bernard, où la FSSP est présente depuis 23 ans. : « Je leur demande seulement de montrer leur communion avec nous », a-t-il déclaré.

Pour lui; la « concélébration » est une manifestation nécessaire d’une telle communion.

« Je ne l’ai demandé qu’en signe de communion des prêtres avec d’autres prêtres et avec leur évêque. Ce sont des choses qui ne peuvent pas être discutées, c’est la nature de l’Église », a-t-il déclaré.

Ce n’est évidemment pas vrai, puisque la concélébration fréquente, même pour la messe chrismale du jeudi saint, est une innovation post-Vatican II ; avant cela, dans les nombreux siècles où la concélébration était une rare exception, la « communion » existait tout de même. Aussi, les Églises orientales en communion avec Rome n’ont pas recours à la concélébration avec des prêtres de rite latin pour prouver leur union avec le Saint-Siège.

En entendant des remarques de cette nature de la foule, ainsi que des remarques sur le droit canon, Minnerath a demandé : « Avez-vous étudié la théologie de quelque sorte que ce soit ? En savez-vous plus que moi à ce sujet ? Alors s’il vous plaît, arrêtez… Le droit canon, je sais ce que c’est. Si tu veux user d’arguments mesquins, si tu veux continuer à être mené par le discours de la fraternité qui a un problème… »

« Mais nous voulons le bon Dieu ! a lancé un manifestant.

Minnerath a répondu : « Je ne vois aucun problème dans leur attitude envers nous s’ils viennent concélébrer de temps en temps et montrer leur unité avec l’Église catholique. Vous dites qu’il y a deux rites, mais il y a l’unité : l’unité est dans la personne du prêtre, mais il ne peut exclure un autre prêtre. Écoute, je ne sais pas comment tu as été endoctriné… »

Au mot « endoctrinés », la foule a sifflé avec colère, et un « paroissien » a crié : « Vous ne pouvez pas exclure vos propres moutons !
Une fois de plus, Minnerath rejette l’objection : « Je vous dis que les choses sont devenues plus claires : j’ai fait une dernière proposition à la FSSP. Soit ils concélèbrent pour ( inaudible ) et ils restent, soit d’autres prêtres, soit ils refusent et partent. Est-ce assez simple ? »

Un autre manifestant a déclaré : « Quand la moitié des églises du diocèse sont vides, c’est un scandale de licencier deux prêtres !

Minnerath a répondu : « Cela n’a rien à voir avec ça. Que vous importe que ces prêtres montrent leur unité avec nous ? Quelle différence cela fait? Pas du tout! Écoutez, mes amis, je suis le garant de l’Église catholique et de l’unité dans ce diocèse. Et donc, je fais mon travail. Je n’ai aucun intérêt à cultiver l’opposition.

À ce stade, le principal porte-parole de la manifestation a demandé à l’archevêque de considérer le droit canon, qui stipule : « À moins que le bienfait des fidèles du Christ n’exige ou ne suggère le contraire, les prêtres peuvent concélébrer l’Eucharistie ; ils ont cependant pleinement le droit de célébrer l’Eucharistie individuellement, mais pas pendant qu’une célébration a lieu dans la même église ou oratoire.

Le porte-parole a rappelé que peut 902 affirme la liberté de ne pas concélébrer. « Demandez-leur d’autres signes d’union ! Sinon, c’est un prétexte pour nous expulser et nous ramener à une sorte de statut de Dhimmi des années 1970 », a-t-il déclaré. «

Écoutez, Monseigneur, les années 1970 sont finies, les gens qui sont ici viennent de tous les horizons. Nous sommes restés volontairement dans l’Église, et depuis lors, nous sommes considérés comme des chrétiens quelque peu séparés… Dans notre diocèse, nous sommes tolérés. Cette situation est intolérable. La nôtre est une communauté vivante, elle a des catéchumènes, il y a 40 enfants, il y a des prêtres pour vous servir… Vous voulez leur imposer ça, vous voulez les coincer avec ça, mais vous ne vous rendez pas compte que vous ramenez un guerre. Ce que vous faites est détestable. Demandez-leur autre chose.
Minnerath n’a pas répondu aux arguments mais a dit : « Vous avez tort de faire un grand discours théologique et canonique. Connaissez-vous l’intégralité du statut de la FSSP ? … Personne n’est obligé de concélébrer. Mais ce n’est interdit à personne. Si l’on utilise les différences de rite pour faire une communauté à part qui ne se reconnaît pas… »

Ici, l’évêque a été interrompu par des protestations et des huées, et il a proclamé : « Je suis l’unité ! »

C’est lorsqu’un homme plus âgé a grossièrement dit à l’évêque qu’il serait bientôt « dans une boîte en pin » et qu’il devrait « répondre de ses actes », a révélé Minnerath, « ce n’est pas moi qui le demande. Vous aurez un nouveau Motu Proprio du Pape dans quelques jours ou semaines, ce qui mettra les choses en ordre. Je ne suis pas quelqu’un qui demande des choses extraordinaires. Vous auriez mieux fait de manifester devant vos prêtres et de leur demander : pourquoi êtes-vous bloqué sur une si petite chose ?

« Chantage, Monseigneur », crie un manifestant.

« Pensez-y… La concélébration est le signe du reste, vous comprenez ? » répondit l’évêque.

D’autres manifestants ont demandé à Minnerath de célébrer le rite traditionnel en signe d’unité. « Je l’ai fait de temps en temps », a-t-il répondu. « Je n’ai rien contre l’Ancien Rite. Je fête aussi dans l’autre. Vous voyez : les prêtres ne doivent pas exclure l’autre rite. Vous comprenez qu’il s’agit d’un problème qui concerne la structure de l’Église ? Et je suis ici pour vous le rappeler », a-t-il déclaré, avant d’ajouter, « le Pape parlera… je sais ce qu’il dira ».

Le dialogue s’est poursuivi dans la même veine jusqu’à ce qu’un fidèle rappelle que lors du confinement de l’an dernier, c’est grâce aux instituts traditionnels et aux associations de laïcs, dont la FSSP, qui ont poursuivi l’État français pour l’interdiction des messes publiques, que le l’évêque a pu « célébrer la messe chrismale cette année ».

« Quel signe plus fort d’union sacramentelle y a-t-il que cela ? » demanda le profane.

Il n’y avait pas de réponse.

Un autre a fait remarquer : « Les groupes catéchétiques sont vides dans la plupart des paroisses de Dijon !

« Avez-vous une autre méthode pour attirer les jeunes ? demanda Minnerath.

« La Fraternité Saint-Pierre ! cria la foule.

Après plusieurs autres échanges, l’organisateur de la manifestation a déclaré à l’évêque : « Vous laissez à votre successeur un abcès, une division dans votre diocèse. Nous avons une spécificité rituelle et une spécificité liturgique et maintenant nous avons une spécificité dans l’Église. Vous recevez les Orientaux… qui ne concélébrent pas. Laissez votre successeur décider… Vous partez, mais nous restons.

Bien que tous sachent que Mgr Minnerath a déjà préparé sa retraite qui aura lieu dans quelques mois, il a répondu : « C’est très maladroit de votre part de me jeter dehors. Je ne suis pas encore parti. Les chrétiens d’Orient, ils ont un autre rite, il n’y a pas de concélébration. Mais il existe deux formes du rite latin unique, le rite romain. Nous sommes dans le même rite.

C’est bien le choix fait par Benoît XVI, qui présentait la TLM et le Novus Ordo comme deux « formes » d’un même rite, malgré les énormes différences entre la Messe tridentine et les interprétations multiples et variées de la Messe de Paul VI comme il est effectivement célébré.
Mgr Minnerath a conclu : « J’ai fait l’effort de venir seul devant 300 personnes (applaudissements) alors prends-moi au sérieux comme je te prends au sérieux, d’accord ? »

Assurément, comme nous approchons du début du synode 2021/2023, l’offensive s’accélère:

« CITÉ DU VATICAN, 30 juin 2021 ( LifeSiteNews ) — Le Vatican a décidé d’interdire le latin, la langue traditionnelle de l’Église catholique, de la célébration de la plupart des messes dans la basilique Saint-Pierre.

Le blog traditionnel MessainLatino.it a annoncé la nouvelle et a publié une photo d’une note envoyée par Mgr. Franco Camaldo, qui a écrit au nom du cardinal archiprêtre du Vatican, le cardinal Mauro Gambetti, OFM, qui a été nommé par le pape François plus tôt cette année.
Camaldo a écrit que les nouvelles règles entrant en vigueur sont le résultat de la réunion du Chapitre du Vatican du 9 juin et étaient basées sur ce qui avait été « proposé » lors de la réunion, combiné à une « réflexion mûre ».

À partir du 29 juin, écrivait Camaldo, les célébrations eucharistiques suivraient la procédure déjà en usage dans les « célébrations papales ». C’est-à-dire que la messe ne serait célébrée qu’en « italien », avec les lectures et les prières des fidèles autorisées à être dites dans « diverses langues modernes ».

Le latin ne serait autorisé que dans les « parties fixes » de la messe, les « Kyrie, Gloria, Sanctus, Pater et Agnus ».

Les nouvelles règles s’appliqueront également à la récitation de la liturgie des heures, car la note indique qu’une telle récitation « peut également être célébrée en italien », tout en conservant la mélodie grégorienne. Un peu de latin sera retenu, mais seulement pour « l’Hymne, l’Antienne, le Benedictus, le Magnificat et le Pater »…. »

Pendant qu’aux États-Unis, on sonne le réveil:

« 29 juin 2021 ( LifeSiteNews ) — Les trois quarts des évêques américains ont voté en faveur d’un réveil eucharistique national de trois ans commençant l’année prochaine, avec l’objectif déclaré de renouveler l’Église en éveillant une relation vivante avec le Seigneur Jésus-Christ dans l’Eucharistie , répandant un feu de dévotion pour le Saint-Sacrement à travers le pays… »

Voici une autre preuve qu’une offensive majeure est en cours, en relation avec les commentaires sur la messe tridentine ci-haut:

« Le pape appelle à la fin de la « défense intransigeante de la tradition »

Dans son homélie pour la fête des saints Pierre et Paul, le pape a semblé comparer les catholiques « rigides » à la persécution de l’Église par saint Paul

… Le pape François s’est alors lancé dans ce qui est devenu une attaque régulière contre les catholiques « rigides », semblant suggérer que les catholiques « rigides » sont comme saint Paul dans son zèle anti-catholique.

« Comme Paul, nous sommes appelés à être libérés de l’apparence hypocrite, libérés de la tentation de nous présenter avec la puissance mondaine plutôt qu’avec la faiblesse qui fait place à Dieu, libérés d’une religiosité qui nous rend rigides et inflexibles ; libre d’associations douteuses avec le pouvoir et de la peur d’être incompris et attaqué.

Le magazine America, dirigé par des jésuites dissidents, a souligné cet aspect de l’homélie du pape, rapportant qu’il avait lancé un appel pour que l’Église soit libérée de la « défense intransigeante de la tradition ».

Néanmoins, c’est saint Paul lui-même qui a écrit : « C’est pourquoi, frères, tenez bon ; et gardez les traditions que vous avez apprises, soit par la parole, soit par notre épître. (2 Thessaloniciens 2:14)

Puis, dans sa lettre à Tite, saint Paul stipulait que les évêques doivent adhérer fidèlement à la doctrine de l’Église : « Embrassant cette parole fidèle qui est selon la doctrine, afin qu’il puisse exhorter selon la saine doctrine et convaincre les contrevenants.

Commentant l’interprétation du pape de la théologie de saint Paul, l’auteur populaire Deacon Nick Donnelly a écrit : « Le pape Bergoglio interprète chaque page de la Bible à travers le prisme de lui-même. Ce n’est pas un saint Paul que je reconnais, c’est Bergoglio Paul.

L’inquiétude de Donnelly a été reprise par Eric Sammons, rédacteur en chef de Crisis Magazine, qui a contesté la connaissance biblique du pape : « Cela ressemble à l’interprétation protestante la plus fondamentaliste de la vie de saint Paul qu’on puisse imaginer. Je retire cela : même les protestants fondamentalistes grinceraient des dents devant cette interprétation. »

Attaques récentes contre des catholiques « rigides »

Les attaques du pape François contre ceux qu’il décrit comme « rigides » ont augmenté en régularité ces derniers temps, aujourd’hui étant la troisième attaque de ce type en autant de semaines.

Lors de son audience générale la semaine dernière, le pape a dénigré les prédicateurs en ligne qu’il a qualifiés de « rigides » et qui cherchent « des solutions aux crises d’aujourd’hui ».

« C’est justement la voie du malin, de ces gens qui divisent, qui ne savent pas construire », a-t-il dit.

« Aujourd’hui aussi, les prédicateurs ne manquent pas qui, notamment à travers les nouveaux moyens de communication, peuvent perturber les communautés », a poursuivi le pape François. « Ils ne se présentent pas d’abord pour annoncer l’Evangile de Dieu qui aime l’homme en Jésus crucifié et ressuscité, mais pour insister, en véritables « gardiens de la vérité » — ainsi ils se disent — sur la meilleure façon d’être chrétiens. »

Ce qui est confirmé par la FSSPX : « Le pape s’attaque encore à la rigidité »

Et pendant ce temps…

Le « Directeur de l’Académie pontificale pour la vie : le Vatican « n’aurait pas dû » protester contre le projet de loi italien sur « l’homophobie »
L’archevêque Paglia, souvent provocateur, a également semblé « soutenir le changement de catéchisme sur l’homosexualité… » (lifesitenews.com)

Il semble évident avec les dernières nouvelles du Vatican, et ce via les derniers pions mis en poste au Vatican par Bergoglio, qu’ils sont en train de changer le catéchisme et l’enseignement de l’Église, et qu’ils tentent d’avaler tel un ogre les traditionalistes et la messe en latin. Si on ne peut les éliminer, aussi bien les assimiler.

L’offensive majeure est en cours.

Çà, se sont des signes tangibles.

Pendant que l’église conciliaire diminue, l’Église grandit, comme un réveil des « deux témoins », à la manière de Jean Baptiste qui affirmait: « Il faut qu’il croisse et que je diminue. »

Juin 2021

30 juin

Dans la même ligne de pensée que les articles de l’analyse du 29 juin...

Alors, que plusieurs s’interrogent sur la méthode qu’utilisera l’élite ludéo-maçonnique pour intégrer la Chine à la grande réinitialisation…

C’est plutôt le contraire qui se produit…

C’est l’occident qui est amené vers le système chinois.

C’est très bien expliqué par le cardinal Müller.

« 29 juin 2021 ( LifeSiteNews ) — Le cardinal Gerhard Müller a accordé une interview à Lothar Rilinger, un avocat et auteur de livres allemand. LifeSite est honoré de publier un extrait pertinent ici (voir le texte intégral ci-dessous). L’interview plus large traite des aspects et des fondements de la liberté d’expression, et dans la sélection publiée ici, le cardinal Müller critique fortement les tendances totalitaires de notre temps, y compris la grande réinitialisation, le mouvement Black Lives Matter, les « fanatiques » LGBT ainsi que « Les communistes annulent la culture ».

En défense d’une discussion académique libre, le prélat allemand rejette l’idée que la police ou les institutions publiques contrôlent une telle discussion, commentant : « C’est juste de la décadence, quand les professeurs sont invités ou expulsés par la mesure intellectuelle des activistes du genre, les fanatiques de Black Lives Matter et les fanatiques LGBT. L’ancien chef de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi poursuit en disant qu’il y a une tentative « à grande échelle » de codifier dans la loi ce qui est politiquement correct.

Ici, le cardinal Müller voit que les milliardaires américains et l’industrie pharmaceutique accompagnent les communistes chinois dans la mise en œuvre d’une soi-disant grande réinitialisation : « Les super milliardaires américains, les grands géants de la technologie et l’industrie pharmaceutique essaient d’imposer leur mauvaise vision de l’humanité et leur vision du monde économiquement limitée en combinaison avec le modèle chinois du PC [Parti communiste] sur le monde entier via leurs fondements et les opportunités de la grande réinitialisation après la crise du Corona.

Avec des mots sans ambiguïté, le prélat allemand condamne les tentatives de dicter aux gens quoi penser et comment parler. Cela inclut la soi-disant culture d’annulation, qui rejette des parties du patrimoine d’une nation, ainsi que l’imposition d’une « langue de genre », une façon d’écrire et de dire des mots allemands en utilisant un astérisque qui inclut les hommes et les femmes, ainsi que tout autre identité de genre possible.

Le cardinal Müller qualifie de telles tentatives de « simplement barbarie, vandalisme intellectuel », ainsi qu’une « imitation des régimes totalitaires du XXe siècle à la manière des cauchemars d’Orwell ». Il propose de décrire cette culture d’annulation avec des mots tels que « annulez le vautour, la culture des vautours, ou du manque de respect politique ».

« Annuler la culture », poursuit le cardinal allemand, « n’est qu’un autre mot pour désigner le lavage de cerveau que les communistes en Chine et en Union soviétique ont développé à la plus haute perfection. »

Plus précisément en ce qui concerne le « langage de genre », Müller l’appelle un « instrument de domination » utilisé par les personnes ayant une « mentalité de gardien de bloc ».

« La grande majorité des Allemands », conclut-il, « rejettent catégoriquement l’utilisation abusive de leur langue pour terroriser mentalement les gens ».

Ce n’est pas la première fois que le cardinal Müller critique vivement l’évolution politique internationale actuelle qui est favorisée par une étroite collaboration entre la haute finance américaine et les grandes technologies, ainsi que les communistes chinois. Dans une interview de mai 2021 avec M. Rilinger, il a décrit cette nouvelle collaboration – qu’il appelle le socialisme néo-marxiste du capital – avec les mots suivants.

En Chine, nous avons un mélange de capitalisme dans l’économie et de communisme dans l’idéologie, de telle sorte que les deux systèmes deviennent des moyens de domination absolue. En Occident, pendant la crise du coronavirus, les dix hommes les plus riches du monde ont pu augmenter la valeur de leur fortune de 550 milliards de dollars, tandis que des millions de personnes ont perdu leur travail ou sont passées sous le seuil de pauvreté. Dans le même temps, les grandes entreprises médiatiques sont entre leurs mains. Ainsi, ils détiennent le monopole de l’interprétation des événements mondiaux, et les gens du commun sont considérés comme un nouveau-né dont il faut prendre soin. C’est une nouvelle forme de mélange du capitalisme avec le contrôle marxiste et la domination des masses. Pourquoi pensez-vous que les milieux intéressés en Occident admirent le système chinois de surveillance et de contrôle ?

« La pensée alignée qui prévaut aujourd’hui », a également expliqué Müller, « est hostile à l’esprit. Du point de vue de la foi, nous ne pouvons pas négocier avec les idéologies totalitaires, mais nous devons retirer le masque de leurs visages. » »

La grande réinitialisation est un mélange de capitalisme avec un contrôle marxiste pour  la domination des masses.

Le but est un longue vie de richesses et de santé pour l’élite via l’économie « électronique » contrôlée et le transhumanisme pour le corps.

La 4ème révolution.

Les masses n’auront droit qu’aux miettes.

Une fois les gros joueurs sous contrôle d’un commun accord, les petits pays restants n’auront d’autre choix que de suivre.

Tout système doit s’accompagner d’une religion pour bien tenir en laisse la masse.

C’est la fraternité universelle, les droits de l’homme, l’homme déifié.

À ce titre, citons le pontife tant décrié dans les prophéties de Jean XXIII:

« Nous aussi, nous plus que quiconque nous avons le culte de l’homme. » (Paul VI, 7 décembre 1965, discours de clôture du Concile Vatican II)

Évidemment, le but caché est religieux, profondément religieux.

C’est l’élimination de la notion du Verbe Incarné, la haine talmudiste, pour mettre en place le seul messie valable à leurs yeux, le peuple prêtre privilégié, ayant seul le droit de faire connaître la volonté divine aux goïms.

C’est le retour au sommet des pharisiens, comme au temps du Christ.

Le regretté Serge Monast l’avait bien anticipé :

 « ...L'Église, sous le pouvoir de l'Anti-Pape, sera absolument identique à l'Église de Jérusalem au temps de Jésus-Christ. Elle partagera l'idéologie des Nations-Unies de la même manière que les Prêtres du Temple partageaient l'Idéologie et le Pouvoir avec les Romains. Elle conservera les croyances en Jésus-Christ comme façade afin de dissimuler ses réels intérêts qui seront, en réalité, la richesse, le Pouvoir Politique et Religieux, et l'opportunisme sur tous les fronts tel que cela était le cas de l'Église de Jérusalem au temps de l'Empire Romain. Elle établira de nouveaux ''Concepts Religieux'', tous basés sur la divinité de l'Homme où celui-ci sera considéré comme étant le ''Centre''... ... En accord avec l'Agenda International à remplir, la première initiative de l'Anti-Pape en sera une de réconciliation truquée avec l'ensemble des Églises Chrétiennes du monde... L'élection d'un Anti-Pape aura eu pour effet de provoquer un ''Schisme'' majeur, supposé être le dernier devant survenir dans le Monde Chrétien…

Voici donc le «Mensonge des Mensonges»! Voici «l'Abomination des Abominations»! Les faux chrétiens étant à la tête de la nouvelle église mondiale; et prétendant être les seuls et uniques représentants de Jésus-Christ d'un côté; de l'autre, les vrais et réels disciples de Jésus-Christ sur la route du Calvaire considérés comme étant les ennemies de l'État Mondial tel que cela était le cas, il y a deux milles ans, en face des prêtres de Jérusalem, et en face de l'empereur romain à Rome.»

« Le nouveau critère sera ainsi défini : Les vrais chrétiens seront ceux qui partageront toutes les croyances religieuses du Nouvel Ordre Mondial en tant que nécessité de base pour la survie de l’humanité. » (Serge Monast, Le Complot des Nations-Unies contre la Chrétienté,1995)

« La société moderne est en train de formuler une foi antichristique, à laquelle on ne peut s’opposer sans être puni par l’excommunication sociale. Il est donc plus que naturel d’avoir peur de cette force spirituelle de l’Antéchrist, et il faut vraiment l’aide de la prière d’un diocèse entier, et de l’Église universelle pour y opposer de la résistance. » (Benoît XVI)

Ce qui est loin d’être le cas.

Le point de non retour a été depuis longtemps dépassé.

Nous sommes témoins du dernier acte pour l’émergence du nouveau peuple messie.

Nous avons le katéchon qui veille, mais jusqu’à quand?

C’est même confirmé par Bergoglio... sous des termes mêmes utilisés dans les prophéties de Jean XXIII (Deux frères et personne ne sera le vrai Père. La Mère sera veuve....)

« … Après la prière de l’angélus, place Saint-Pierre, le Pape François a salué le pape émérite à l’occasion du 70e anniversaire de son ordination sacerdotale. Il a remercié Benoît XVI pour son témoignage.

«Aujourd’hui, c’est un anniversaire qui touche le cœur de nous tous» : le Pape François, après avoir évoqué la réunion de jeudi 1er juillet au Vatican sur le Liban, évoque son prédécesseur et le 70e anniversaire de son ordination sacerdotale. Le Saint-Père s’adresse au pape émérite directement : «Benoît, cher père et frère, c’est à toi que va notre affection, notre gratitude et notre proximité».

Puis s’adressant aux fidèles réunis place Saint-Pierre, il poursuit : «Lui, il vit dans le monastère, un lieu voulu pour accueillir les communautés contemplatives ici, au Vatican, pour qu’elles prient pour l’Église».

Et de poursuivre : «actuellement, c’est lui le contemplatif du Vatican, qui passe sa vie à prier pour l’Église et pour le diocèse de Rome dont il est l’évêque émérite».

«Merci, Benoît, cher père et frère» s’exclame François.

«Merci pour ton témoignage crédible. Merci pour ton regard continuellement tourné vers l’horizon de Dieu : merci !», conclut-il sous les applaudissements des fidèles….» (vaticannews.va)

Magnifique leçon d'hypocrisie de l'abomination de la désolation.

Benoît XVI est celui qui courcircuite ses plans depuis sa démission (rappelons-nous le livre du cardinal Sarah; voir analyses précédentes).

Benoît XVI est le dernier verrou.

C’est confirmé dans la prophétie le concernant.

29 juin

Que de tristesse en cette solennité des fêtes de Saint-Pierre et Saint-Paul, où règnent la contradiction et la l’ambiguïté au Vatican.

Ce n’est pas nouveau.

C’est là l’œuvre du malin, par l’abomination de la désolation sur le trône de Saint-Pierre, qui on le rappelle, ne dit plus la messe sur la chair de Saint-Pierre depuis un bon bout de temps à la basilique portant son nom.

« L’introduction de la contradiction comme praxis de l’Église est l’une des principales nouveautés perturbantes de ce pontificat… Les contradictions de ce genre sont devenues habituelles dans ce pontificat et le caractérisent de manière très évidente. Si l’idéologie du genre est une « erreur de l’esprit humain », pourquoi inviter le père Martin à continuer à travailler pour les droits des LGBT ? Si la Congrégation pour la doctrine de la foi a placé des jalons précis dans le synode allemand sur la bénédiction des couples homosexuels, pourquoi le pape François invite-t-il le président des évêques d’Allemagne à poursuivre sur la voie synodale ? Autre contradiction : les conférences épiscopales ont-elles ou non une compétence doctrinale ? Et pourquoi, lorsque certaines contradictions sont posées à Sainte Marthe ou au Saint-Office pour être résolues définitivement, la réponse est de les discuter ?..

Si l’on part de la version traditionnelle de la doctrine et de la pastorale, la lettre du pape au père Martin est presque incompréhensible et contradictoire. Pour en comprendre le sens, il faut la voir du point de vue d’un nouveau paradigme, qui semble être celui du pape François. Le point de vue traditionnel, fondé sur un ordre naturel finaliste qui reçoit la lumière de l’ordre surnaturel, soutenait qu’au niveau objectif, il existait des comportements qui, par leur essence, détruisaient cet ordre naturel, puisqu’ils ne pouvaient être ordonnés d’aucune manière au but ultime de Dieu. Un tel comportement devait être rejeté par la morale personnelle et publique et ne pouvait être validé légalement par l’autorité politique. Cela ne signifie pas condamner l’individu, envers lequel la société et l’Église doivent au contraire exercer leur proximité sans dissimuler la vérité et le bien. La conséquence de cette vision était qu’à propos de ces comportements, il était impossible de tomber dans la contradiction, parce que dire le contraire revenait à accepter le mal et l’injustice.». (benoit-et-moi.fr)

Pendant que nous sommes inondés de nouvelles mensongères sur la pandémie, des origines du Covid-19, d’une vaccination ou non, de possibles puces électroniques, etc...

L’attention est détournée intentionnellement pour le tour de prestidigitation en préparation : la proclamation de la victoire du malin avec sa nouvelle religion universelle.

Mais nous, nous le savons grâce aux enseignements du Christ que nous mettons en pratique: l'important c'est l'âme.

Le corps physique est à révérer et à protéger à tout prix par la machine et ses substituts: vaccins, médicaments miracles, transhumanisme, exosquelette pour l'handicapé et même pour le soldat du futur, etc.

Ce sont tous des instruments voués à la destruction.

« Puis, ayant appelé le peuple avec ses disciples, il leur dit : " Si quelqu'un veut marcher à ma suite, qu'il se renonce lui même, qu'il prenne sa croix et me suive. Car celui qui veut sauver sa vie, la perdra, et celui qui perdra sa vie à cause de moi et de l’Évangile, la sauvera. Que servira-t-il à l'homme de gagner le monde entier, s'il perd son âme ? » (Marc, 8,35)

L'élite judéo-maçonnique est en train de nous virer un contre l'autre. Ne tombons pas dans le panneau.

Nous devons être hors de Babylone tout en étant de Babylone. Nous n'avons pas le choix.

Lisez ceci via benoît-et-moi.fr

« l’usine d’élevage de crétins fonctionne à plein régime. »

Le temps est à la dernière manœuvre de l'ennemi, le dernier coup de canon, c’est à dire assembler laïquement la masse non chrétienne dans le même moule pendant que Bergoglio et la clique religieuse préparent les temples abrahamiques pour les chrétiens consentants.

Tous dans la même fraternité universelle.

Les valeurs SONT (et non seront) complètement inversées.

C'est fait.

Nous sommes exclus.

Alors, regardons vers le haut, élevons notre âme, ne nous attachons plus au physique, le temps qui restant s’écoule rapidement.
Cultivons l’Espérance en notre cœur, nous avons tous les outils à porter de main.

Messes, prières, méditations, Foi, Espérance, Charité...

Utilisons les.

La porte est ouverte. Personne le peut la fermer. Il s’agît d’y entrer.

« Je connais tes œuvres. Voici que j’ai mis devant toi une porte ouverte, que personne ne peut fermer, parce que tu as peu de puissance, que tu as gardé ma parole et que tu n’as point renié mon nom.

Voici que je te donne quelques-uns de la synagogue de Satan, qui se disent Juifs, et ne le sont point, mais ils mentent ; voici, je les ferai venir se prosterner à tes pieds, et ils connaîtront que je t’ai aimé.

Parce que tu as gardé ma parole sur la patience, moi aussi je te garderai de l’heure de l’épreuve qui va venir sur le monde entier, pour éprouver les habitants de la terre.
Voici que je viens bientôt : tiens ferme ce que tu as, afin que personne ne ravisse ta couronne. » (Apocalypse 3,8)

« Les ennemis de notre âme sont toujours les mêmes, et les embuscades qu’ils nous tendent sont toujours les mêmes. Le monde, avec ses séductions ; la chair, corrompue par le péché originel et encline au mal ; le Diable, éternel ennemi de notre salut et qui se sert de la chair pour nous assiéger. Deux ennemis extérieurs et un intérieur, toujours prêts à nous faire tomber dans le moment de distraction, de faiblesse. Ces ennemis spirituels accompagnent chacun de nous de l’enfance à la vieillesse, et l’humanité à travers les générations et les siècles.

Les alliés sur lesquels nous pouvons compter pour vaincre le monde, la chair et le diable sont la Grâce de Dieu, l’assiduité aux Sacrements, l’exercice des Vertus, la prière, la pénitence, la considération des Novissimi, la méditation sur la Passion du Seigneur et vivre en sa présence.
En cette ère rebelle et déchristianisée, où non seulement la société n’aide pas à la poursuite de notre but ultime mais fait tout pour nous en éloigner, l’autorité civile nous oblige à suivre le monde, à assouvir les désirs de la chair et de servir l’ennemi de l’humanité. Une autorité perverse et pervertie, qui a manqué à son devoir de gouverner et de gouverner le corps social pour conduire les individus au salut éternel ; au contraire : qui nie le salut éternel, rejette son divin Auteur et adore son Adversaire.

Il n’est donc pas étonnant que cette modernité apostate, dans laquelle l’arbitraire est la norme et le vice modèle à suivre, veuille effacer toute trace de Dieu et du Bien dans la société et dans les individus, faisant un pacte infernal avec le monde, la chair et le le diable. C’est ce que nous voyons se produire dans la promotion effrontée de la sodomie, de la perversion et du vice sous toutes ses formes les plus abjectes ; et dans la dérision, dans la délégitimation et dans la condamnation de la pureté, de la droiture et de la vertu.

Mais si notre lutte quotidienne contre nos ennemis aujourd’hui doit inclure un effort titanesque pour lutter contre l’État également, que nous devrions considérer comme notre ami et qui travaille plutôt à nous corrompre dès notre plus jeune âge, il est douloureux et tragique de voir d’autres traîtres et les mercenaires s’unissent à ce siège : de mauvais Bergers qui abusent de leur autorité sacrée reçue de Notre Seigneur pour nous pousser vers la damnation, nous convaincre que ce qui jusqu’à hier était considéré comme péché et indigne de ceux qui ont été rachetés par le Sang du Christ est devenu bien.

L’esprit mondain, l’asservissement à la concupiscence et – ce qui est plus grave – le renoncement à lutter contre le Malin ont infecté une grande partie de la Hiérarchie de l’Église catholique, dès son sommet, en faisant l’ennemi de Dieu, sa Loi et la nôtre âme. Comme cela s’est produit pour l’autorité civile, l’autorité religieuse a également abdiqué son propre rôle, niant le but pour lequel elle était désirée par la Providence divine.

La nouveauté de cette perversion de l’autorité, qui est un prélude au choc d’époque des Derniers Temps, réside précisément dans la corruption des Pasteurs et dans le fait que les fidèles individuels, comme un troupeau sans guide, se retrouvent à devoir héroïquement résister à un assaut sur plusieurs fronts contre la Citadelle, dans lequel ils sont laissés seuls par leurs chefs, qui ouvrent les portes et laissent entrer les hordes ennemies pour nous faire exterminer.

La discussion sur le Zan DDL, l’imposition de l’idéologie LGBTQ + et l’endoctrinement de la théorie du genre en Italie suivent un plan ciblé organisé à l’échelle mondiale, qui dans de nombreux pays a déjà été achevé. Les pays où, après deux siècles de révolutions, l’empreinte du catholicisme avait survécu dans le tissu social, sont aujourd’hui complètement paganisés. Les drapeaux arc-en-ciel flottent non seulement sur les bâtiments des institutions publiques, mais aussi sur les façades des cathédrales, sur les balcons des évêques et même à l’intérieur des églises.
Ces derniers temps – même il y a seulement trente ans – on aurait pu dire que pour soutenir une minorité de personnes induites en erreur par le vice et les défendre contre les discriminations, l’État devait intervenir avec des formes de protection et avec des garanties de leurs libertés. Une affirmation déraisonnable et illogique, à y regarder de plus près, car la liberté de la personne humaine consiste dans l’adhésion de la volonté au bien auquel sa nature est ordonnée, et dans la poursuite de sa fin matérielle et surnaturelle. Mais dans la grande déception que le diable a toujours tendu à l’homme, ce prétexte apparent en avait séduit beaucoup. Il semblait qu’il fallait du courage pour revendiquer le droit au vice et au péché, contre la dureté impitoyable d’une « majorité respectable » encore attachée aux préceptes de la religion. La fierté a été réclamée pour être différent dans un monde d’égaux, avoir droit à un espace de vice dans un « monde vertueux ».

Dans ces années, l’Église éleva encore, peut-être avec moins de conviction mais toujours fidèle à son mandat divin, la voix du Magistère immuable pour condamner la légitimité d’un comportement intrinsèquement désordonné. Attentive au salut éternel des âmes, elle a vu quels désastres allaient s’abattre sur la société avec l’approbation de modes de vie totalement antithétiques à la Loi Naturelle, aux Commandements et à l’Évangile. Les Bergers savaient être de courageux défenseurs du Bien et les Papes ne craignaient pas de se faire l’objet d’attaques indécentes de la part de ceux qui voyaient en eux le kathekon qui empêchait la corruption définitive du monde et l’établissement du Royaume de l’Antéchrist .

Aujourd’hui, cette bataille héroïque – et dont nous avons appris qu’elle est déjà affaiblie par une vaste corruption interne des évêques et des prêtres – ne semble plus avoir de sens, tout comme l’enseignement de l’Écriture Sainte, des Saints Pères et des Pontifes romains ne semble plus de donner un sens. Ceux qui siègent à Rome se sont entourés de gens immoraux, qui font des clins d’œil aux mouvements LGBTQ+ et qui simulent hypocritement un accueil et une inclusivité qui trahissent leur choix de domaine et leurs tendances pécheresses. Il n’y a plus de courage, il n’y a plus de fidélité au Christ, et on va jusqu’à insinuer que, si Bergoglio pouvait modifier la doctrine sur la peine capitale – chose inouïe et absolument impossible – il pourrait certainement rendre la sodomie légale aussi , au nom d’une charité qui n’a rien de catholique et qui répugne à la Révélation divine.

Les processions blasphématoires qui défilent dans les rues des capitales du monde et qui viennent blasphémer et railler méchamment le Sacrifice de Notre Seigneur dans la Ville Sainte, consacré par le sang de six Saints Apôtres Pierre et Paul, sont accueillies par les mercenaires de la secte conciliaire, qui se taisait devant les bénédictions sacrilèges des couples homosexuels mais condamne comme « rigides » ceux qui veulent rester fidèles à l’enseignement du Sauveur. Et tandis que les bons évêques et prêtres sont confrontés quotidiennement à la démolition qui vient d’en haut, nous voyons publiés les paroles enchanteresses et séduisantes de Bergoglio à James Martin sj, à l’appui d’une idéologie perverse et perverse qui offense la Majesté de Dieu et humilie la mission de l’Église et l’autorité sacrée du Vicaire du Christ.

En tant que Successeur des Apôtres et Docteur de la Foi, dans un esprit de véritable communion avec le Siège du Très Saint Pierre et avec la Sainte Église de Dieu, je leur adresse un sévère avertissement, rappelant que leur autorité vient de Jésus-Christ, et qu’il n’a de force et de valeur que s’il reste orienté vers la fin pour laquelle il l’a constitué. Que ces Pasteurs considèrent les scandales qu’ils causent aux fidèles et aux simples, et les blessures qu’ils infligent au corps ecclésial torturé ; scandales et blessures dont ils auront à répondre devant la Justice divine au jour du Jugement particulier et devant toute l’humanité au jour du Jugement dernier.

J’exhorte les nombreux fidèles scandalisés et désorientés face à l’apostasie des Pasteurs à multiplier leurs prières et pénitences avec un esprit surnaturel, implorant le Seigneur de daigner convertir les mercenaires, les ramenant à Lui et à la fidélité à Sa divine enseignement. Prions la très pure Mère, la Vierge des vierges, d’inspirer des sentiments de repentance aux Ministres corrompus par le péché et l’impureté, afin qu’ils songent à l’horreur de leurs péchés et aux terribles douleurs qui les attendent : qu’ils se réfugient dans les Très Saintes Plaies du Christ, et soyez purifiés par le lavage du Sang de l’Agneau.

A nos frères séduits par le monde, la chair et le Diable, j’adresse un appel du fond du cœur, afin qu’ils comprennent qu’il n’y a pas d’orgueil à offenser Dieu, à contribuer consciemment aux tourments de sa Passion, à pervertir sa nature et à malheureusement refusant le salut qu’il a conquis du Père par sa mort sur le bois de la croix. Faites de vos faiblesses une occasion de sainteté, un motif de conversion, une occasion de faire briller la grandeur de Dieu dans votre vie. Ne vous laissez pas tromper par un Ennemi qui semble aujourd’hui vous livrer à vos vices, dans le seul but de voler votre âme et damne-toi pour l’éternité. Soyez fiers – voire : fiers – non pas de l’asservissement au péché et à la perversion, mais d’avoir pu résister aux séductions de la chair pour l’amour de Jésus-Christ. Pensez à votre âme immortelle, pour laquelle le Seigneur n’a pas hésité à souffrir et à mourir. Prier! Priez la Très Sainte Marie, afin qu’elle intercède auprès de son divin Fils, en vous donnant la Grâce de résister, de combattre, de vaincre. Offrez au Seigneur vos souffrances, vos sacrifices et vos jeûnes pour obtenir cette libération du Mal que le Séducteur veut vous ravir par la tromperie. Ce sera le vôtre, notre vraie fierté.

+ Carlo Maria Viganò, archevêque

29 juin 2021

SS. Pierre et Paul » (aldomariavalli.it)


En relation avec ce sujet, juste pour les photos à lever le cœur, prouvant à quel point cette société apostate s'est abaissée...

« Gay Pride, Zan et Melliflue Letters. Je me souviens quand il y avait un pape à Rome. » (marcotosatti.com)

27 juin

LÉONARD… MAÎTRE ET FRÈRE, MAÎTRE ET ESCLAVE.

La prophétie politique la plus mystérieuse de Jean XXIII #26 « Lumière de la Lumière » :

« Amie rotonde défait tes cheveux »

La chevelure, ou coma (mot latin de même sens), forme un halo à peu près sphérique entourant le noyau d’une comète, une coupole, une rotonde.

« … Je dis vos prénoms, parce que vous ne pourrez vous cacher quand vous serez appelés.

Wang, Levi, Rustov, Sherman, Tour.

Léonard sera au-dessus de vous, maître et frère, maître et esclave.

Unis donc avant le passage noir.

Gog et Magog se disputent son nom, mais ils connaissent tous deux le passage, aujourd'hui que le Calvaire est retourné.

Mais la croix n'est pas prête… »

Le passage, c’est l’image de Pâques qui revient en mémoire, du passage de la Mer Rouge par Moïse, du passage du Christ pour le Royaume des Cieux.

Cette génération est sur le point de subir le passage noir, la fin des deux Babylone Vatican et Nations-Unies, main dans la main.

Ces noms semblent représenter les membres permanents du comité de sécurité des Nations-Unies ou les 5 pays négociant l’accord nucléaire avec l’Iran, quoiqu’il y a un intrus, Lévi, qui représente sans équivoque Israël, mais surtout le peuple prêtre, les lévites.

Inutile d’expliquer ici en détails le rôle du peuple messie voulu (seul peuple prêtre, noachisme : voir multiples analyses précédentes) par l’élite judéo-maçonnique, les goïm que nous sommes devenant les servants.

Et Léonard est au-dessus d’eux.

« maître et frère, maître et esclave.»

N’est-ce pas ce que nous vivons dans les temps présents?

Ce monde est soumis et esclave via l’ordinateur par l’image, l’image animée des grands prodiges prédis dans l’Apocalypse.

Cette lente désintégration de l’être humain pour l’empêcher de penser s’est établie sur plusieurs décennies, mais elle s’est extrêmement accélérée durant les cent dernières années, durant le temps alloué à Satan par le Christ (voir la vision du pape Léon XIII; analyses précédentes) pour séduire les âmes.

L’esclavage technofasciste a ses tentacules dans tous les domaines : l’administration, les arts, la littérature, et surtout, dans les relations sociales.

Un exemple parfait est la gestion de la pandémie où la Sainte Vérité a été remplacée par le mensonge et l’ambiguïté.

La science et la machine (ordinateurs et téléphones intelligents) règnent.

L’humanité terrorisée par sa vie matérielle accepte tout pour avoir un retour à la « normale ».

Les citoyens techniques d’aujourd’hui sont prolétaires de cette société organisée selon les besoins uniques et la culture de l’élite dominante.

Les caractères distincts qui font que chacun a le potentiel d'être unique sont effacés.

« Je connais tes œuvres : tu as la réputation d'être vivant, mais tu es mort. » (Apocalypse 3,1)

Tous, ou presque, par les décisions de l’élite et les volontés de Bergoglio et des Nations-Unies (nouvelle religion universelle et Agenda 2030), devenons des citoyens égaux, uniformes, traités selon les même lois du mondialisme qui devraient prendre racines définitivement avec la grande réinitialisation.

Une survie nécessaire pour l’élite dominante.

La soumission à la bête pour les autres.

La plus belle preuve vient de nous être donnée à la dernière rencontre du G7.

Les marionnettes de l’élite ont décidé (soit 7 pays, une minorité qui ne représente pas la population mondiale) un impôt de 15% sur les sociétés internationales ainsi que de vacciner 60 % de la population d’ici le premier semestre 2022.

L’humain vivant de la Grâce Divine disparaît petit à petit, se sacrifiant à la science, au plan.

Le fait de soumettre l’humain aux lois et aux critères techniques comme les machines équivaut à un assassinat.

C’est le sacrifice humain voulu par la judéo-maçonnerie.

C’est la mort de l’âme.

Des morts sans cadavres, des martyrs sans nom et sans visage.

Un sacrifice sans effusion de sang singé à l’image du sacrifice instauré par le Christ avec la sanctification du pain et du vin.

« il y aura le meurtre sans assassin. » (le meurtre par la machine, la matrice, le système technofasciste). (prophétie politique No 22: Grand Éclair à l'Orient)

L’humain, le chrétien, qui a reçu la grâce du baptême a le pouvoir de faire croître son âme par l’interaction du Saint-Esprit et ainsi atteindre une dimension autre, spirituelle, pour mériter le Royaume des Cieux qui n’est pas de ce monde.

Il devient alors un être unique avec ses spécificités, pleinement aimé du Père.

Il développe ses talents « spirituels » selon la parabole du Christ.

Il reçoit la grâce de la Foi parce qu’il fait les démarches pour mieux connaître et aimer le Père.

Au contraire, l’humain qui adhère à la machine sociale, s’abaisse au niveau strictement matériel, sur une vie qui n’est que temporelle avec les peurs qui l’accompagnent.

Il se fond alors dans la masse et perd ce qui le fait vivre : son âme.

Ainsi, le chrétien vivant sa foi aujourd’hui est de plus en plus exclu de la société dominante.

Parce que le chrétien se sent incapable de construire un tel monde.

Il doit fuir dans sa « grotte intérieure » comme le Christ l’a enseigné, parce qu’il voit aujourd’hui l’abomination de la désolation sur le trône.

Il se doit donc de demeurer spectateur, à l’écart de Babylone tout en étant de Babylone.

Il devient le Témoin, les « deux témoins » de l’Apocalypse, fidèle à la Loi et aux Prophètes (les laïcs et le clergé qui gardent la Foi et l’Espérance).

Mais cela ne signifie aucunement vivre.

Mais il continue de pratiquer la charité à titre d'exemple, pour être un phare qui luit dans la nuit, car les esclaves de la machine devront faire face à l’inévitable…

Et quelques uns, des tièdes, chercheront la voie pour sauver leurs âmes.

Mgr Gaume (1871) :

« Quand le plateau d’une balance descend, l’autre monte. Le signe qui précède appelle nécessairement celui qui suit. Tout ce que perd la vie de l’esprit bénéficie à la vie de la chair. Le monde surnaturel n’étant plus rien pour l’homme, le monde naturel est tout. Cette prépondérance, ou mieux ce débordement de la vie matérielle est un autre signe de la fin du monde. (…)

La réponse que nous cherchons est dans les paroles mêmes du souverain Juge. Il viendra, nous dit-il lui-même [Matthieu 24, 36-30 : « comme il était aux jours de Noé, il en sera à l’avènement du Fils de l’homme… »] lorsque la généralité des hommes ne vivront plus que pour le corps ; lorsque boire, manger, vendre, acheter, bâtir, se livrer avec passion aux affaires et aux plaisirs, sera leur occupation dominante et presque exclusive, le soin qui absorbera tous les autres soins.

Lorsqu’enfoncés dans la matière et esclaves de leurs sens, le monde spirituel, Dieu, Jésus-Christ, l’Église, l’âme, l’éternité, les promesses et les menaces divines, ne seront pour les uns que des chimères, et pour les autres que des vérités plus ou moins abstraites et presque sans influence sérieuse sur l’ensemble de leur conduite ; lorsqu’ils ne connaîtront plus, qu’ils n’aimeront plus, qu’ils ne rechercheront plus que les réalités palpables, l’or, l’argent, le bien-être du corps ; qu’ils se moqueront des Noé, dont la voix amie leur annoncera la proximité du déluge : alors l’homme sera devenu chair. Quand il sera devenu chair, l’esprit de Dieu se retirera, l’homme aura perdu sa raison d’être ; puis viendra la fin. »

Léonard est peut être ce signe de la fin.

Car, 2021 sera témoin de la comète C/2021 A1 (Leonard).

Elle a été découverte le 3 janvier 2021.

Fait étonnant, elle sera au plus proche du Soleil exactement un an après sa découverte soit le 3 janvier 2022. (blogs.futura-sciences.com)

Le 3 janvier est important.

C’est le chiffre de la Trinité.

Mais, qui plus est, c’est la fête du Saint Nom de Jésus.

Son passage au plus près de la Terre sera le 12 décembre 2021, soit le jour de la fête de Notre Dame de Guadelupe, la femme de l’Apocalypse avec les deux pieds sur la lune.

Or, ce sera le 490ème anniversaire de l’apparition.

Nous savons tous l’importance du chiffre 49 (la limite du diable; analyse du 26 mai), et ce multiplié par 10, le chiffre de l’ordre parfait (10 commandements, 10 plaies d’Égypte).

Les comètes sont toujours imprévisibles mais les experts estiment qu’elle atteindra au moins une magnitude 4, et ils évoquent aussi peut-être une magnitude de 1.5 (plus le chiffre est petit, plus c’est lumineux), ce qui serait extraordinaire, du style de la grande comète Hale-Bopp en 1997 pour ceux qui s’en souviennent.

« Je dis vos prénoms, parce que vous ne pourrez vous cacher quand vous serez appelés. Léonard sera au-dessus de vous, maître et frère, maître et esclave.»

Léonard sera donc bien au-dessus, dans le ciel, en cette fin d’année 2021, pour le  passage noir s'il s'agît bien d'une comète dans la prophétie de Jean XXIII.

19 juin

Deux article assez révélateurs.

Un d'Antonio Socci qui confirmerait ce que nous anticipons grâce aux prophéties de Jean XXIII, et l'autre, la dernière interview de Mgr Vigano.

« Le crépuscule d’un pontificat.

Passant en revue une succession d’évènements récents et s’appuyant sur un article paru dans la Repubblica ... Antonio Socci constate que même ses soutiens son en train de lâcher François. Au fait, huit ans après, que reste-t-il de « l’effet Bergoglio »?

... isolement croissant (de Bergoglio) apparaît désormais clairement : il suffit de considérer les cas énumérés par Melloni (le cardinal Marx et les évêques allemands, les mouvements ecclésiaux, Enzo Bianchi, le cardinal Stella et le cardinal Becciu, le vicariat) pour se rendre compte qu’il s’agit de personnalités et de mondes qui étaient ses partisans.

Le pape argentin est une personnalité complexe, parfois difficile à déchiffrer. Certains de ses accents initiaux sur Jésus ont touché des cordes profondes, comme le besoin de miséricorde de l’homme moderne que nous sommes, mais l’Évangile dit que le Bon Pasteur est aussi la Vérité faite chair et demande la conversion.

Dans sa solitude actuelle, le Pape se voit contraint de reconnaître amèrement que son pontificat, depuis un certain temps déjà, se précipite vers un échec douloureux...

Si l’on pense à l’emphase avec laquelle Bergoglio a été acclamé, au début, dans le monde ecclésiastique (on rêvait d’un « effet Bergoglio » triomphant), on peut comprendre combien la déception est amère aujourd’hui.

L’Église – après ces huit années – n’a pas prospéré, mais semble anéantie. La vie religieuse est dans un état comateux. Son gouvernorat central, au Vatican, est en proie à un chaos permanent. La confusion, y compris doctrinale, règne en maître dans la communauté ecclésiale. Catastrophique, le bilan de la pratique liturgique dominicale et des vocations, désormais en chute libre (entre autres avec l’effondrement des mariages sacramentels). Le clergé et les évêques semblent être en plein désarroi...

Aujourd’hui, la voix de l’Église ne se distingue plus de celle de l’ONU.

La voix de Pierre ne s’oppose pas aux idéologies dominantes, sécularistes et de gauche; au contraire, elle est souvent en accord avec elles et suscite – avec une telle politisation – la consternation des fidèles et l’enthousiasme des ennemis de toujours de l’Église.

En dehors des rares interventions de Benoît XVI, il n’y a plus de voix catholique pour guider les croyants et les peuples dans la continuité du Magistère constant de l’Église. Jamais l’Église n’avait été aussi conformiste et aussi peu significative dans le monde sur des questions d’une énorme importance pour l’humanité actuelle.

Ils ont fait le désert et l’ont appelé révolution. Mais chaque révolution dévore sa progéniture et c’est ainsi que nous voyons maintenant la rupture entre Bergoglio et ses partisans…

Ratzinger a énuméré les dogmes de ces idéologies, soulignant qu’ « aujourd’hui, ceux qui s’y opposent sont excommuniés socialement »… La société moderne, a-t-il ajouté, entend formuler un credo anti-chrétien : ceux qui le contestent sont punis par l’excommunication sociale ». Il n’est que trop naturel d’avoir peur de cette puissance spirituelle de l’Antéchrist.

Mais François (en plus de Dieu) aurait à ses côtés Benoît XVI et tous les fidèles catholiques (restants) du monde, qui sont si nombreux.

L’Église pourrait donc vraiment aider à la liberté des peuples.

Antonio Socci » (benoit-et-moi.fr)

Interview de Mgr Vigano:

« La réforme liturgique commencée en 1964 et qui aboutit à un nouveau missel en 1969 peut sembler plus radicale que son programme, la constitution  Sacrosanctum Concilium. Pensez-vous que le Consilium de Monseigneur Bugnini a trahi le Concile, comme le disent certains, ou qu'il s'est borné à le développer, comme d'autres le prétendent ?
 
Mgr Vigano :  Monseigneur Annibale Bugnini a été parmi ceux qui ont collaboré à l'élaboration de l' Ordo Hebdomadae Sanctae instauratus qui a été promulgué pendant le pontificat de Pie XII. Les formations graves du nouveau missel se retrouvent en germe dans le rite de la Semaine Sainte, ce qui montre que le plan de destruction avait déjà été entrepris. Il n'y eut pas la moindre trahison au Concile ; la preuve en est qu'aucun de ses architectes n'a jamais pensé que la réforme liturgique était incompatible avec l'esprit de Sacrosanctum Concilium.  Si la genèse de l' Ordo Hebdomadae Sanctae instauratus  est soigneusement étudiée, on verra que les demandes des novices n'ont été que partiellement satisfaites mais ont été à nouveau proposées dans le Novus Ordo de Paul VI.

(Note: prophétie concernant Jean XXIII: « Et dans les papiers du Père mort il trouvera le projet pour rassembler les bergers et parler au troupeau. Il osera l'inosé. Il se trompera, mais ce sera un bien.»)

Il faut souligner que, contrairement à tous les autres conciles œcuméniques, ce dernier a usé de son autorité pour autoriser une trahison systématique de la foi et des mœurs à travers les voies pastorales, disciplinaires et liturgiques. Les missels de transition entre les rubriques de 1962 et l' Editio typica  de 1970 et celle qui suit immédiatement - l' Editio typica altera de 1975 - révèlent que le clergé et les fidèles se sont progressivement habitués au caractère provisoire du rite, à l'innovation continue et perte d'éléments qui rapprochaient au départ le Novus Ordo du dernier Missel romain de Jean XXIII. Je pense, entre autres, à la tranquille récitation du Canon en latin avec son propitiatoire d'offrande et leVeni, Sanctificator,  qui à travers les adaptations a conduit à la récitation à haute voix, l'offertoire talmudique et la suppression de l'invocation au Saint-Esprit.

(Note: prophétie concernant Paul VI: « Babylone a trop de langues. Tu as brisé la chaîne, tu le sais, tu le sauras jusqu'à la mort. Langues diverses pour le sacrement, langues diverses pour les mots. Aujourd'hui elle a disparu. »)

Quelle serait, selon Votre Excellence, la critique la plus importante du Novus Ordo Missae ?

Mgr Vigano : La critique la plus fondée est qu'ils ont essayé de créer une liturgie à leur guise en abandonnant le rite bimillénaire qui est né avec les Apôtres et s'est développé harmonieusement au cours des siècles. La liturgie réformée, comme tout spécialiste en la matière le sait, est le fruit d'un accord idéologique entre la lex orandi  catholique et les exigences hérétiques des luthériens et autres protestants. Et puisque la Foi de l'Église s'exprime dans le culte public, il était essentiel que la liturgie s'adapte à la nouvelle façon de croire en affaiblissant ou en niant des vérités jugées inconfortables pour le dialogue œcuménique». » (marcotosatti.com)

14 juin

LES TROIS PÉRIODES ANTI-CHRISTIQUES DE SAINT PAUL
(Thessaloniciens 2, 3-4)

« Que personne ne vous égare d'aucune manière ; car auparavant viendra l'apostasie, et se manifestera l'homme de péché, le fils de la perdition, l'adversaire qui s'élève contre tout ce qui est appelé Dieu ou honoré d'un culte, jusqu'à s'asseoir dans le sanctuaire de Dieu, et à se présenter comme s'il était Dieu. »

Tout est résumé dans une phrase.

Saint-Paul avait vu juste.

Les trois périodes anti-christiques sont réalisées, et conséquemment, ouvrent le chapitre de la chute de Babylone la grande.

En effet, nous sommes témoins de :

1. L’Apostasie des Nations dans les pays dits développé avec la montée en puissance du paganisme promu par Bergoglio.

2. La manifestation de l’homme de péché centré sur lui-même, déifié, qui ne vit que par la miséricorde infinie instaurée par Bergoglio mais qui oublie la justice de Dieu, qui frappe à coup sur, toujours méritée, lorsque l’homme s’éloigne du droit chemin.
L’homme de péché sur le plan national est incarné par l’avènement d’États sans religion. C’est la concrétisation d’États laïcs.

3. Et finalement, la manifestation de l’homme de péché au niveau mondial par la domination de Babylone Nations-Unies et Vatican, main dans la main, pour une société anti-chrétienne dominé par l’Antéchrist et basée sur les droits de l’homme des Nations-Unies, dont les représentations visibles sont  la bête de la terre et la bête de la mer de l’Apocalypse.

C’est Satan dans le cœur, le sanctuaire de Dieu, qui occupe toute la place.

Et Saint-Paul de continuer, « ne vous souvenez-vous pas que je vous disais ces choses, lorsque j'étais encore chez vous ? Et maintenant vous savez ce qui le retient, pour qu'il se manifeste en son temps. Car le mystère d'iniquité s'opère déjà, mais seulement jusqu'à ce que celui qui le retient encore paraisse au grand jour. Et alors se découvrira l'impie, que le Seigneur (Jésus) exterminera par le souffle de sa bouche, et anéantira par l'éclat de son avènement. Dans son apparition cet impie sera, par la puissance de Satan, accompagné de toutes sortes de miracles, de signes et de prodiges mensongers, avec toutes les séductions de l'iniquité, pour ceux qui se perdent, parce qu'ils n'ont pas ouvert leur cœur à l'amour de la vérité qui les eût sauvés. C'est pourquoi Dieu leur envoie des illusions puissantes qui les feront croire au mensonge, en sorte qu'ils tombent sous son jugement tous ceux qui ont refusé leur foi à la vérité, et ont au contraire pris plaisir à l'injustice.»

Le mystère d’iniquité est bien cette présence de l’ambiguïté cultivée par l’impie sur le trône de Saint-Pierre.

Tout est clair.

Car le katéchon, celui qui le retient, Benoît XVI, est encore vivant.

Les miracles, les prodiges, les illusions puissantes, sont bien cette dominance de la technologie pour aboutir au transhumanisme, le 4ème révolution prônée par le gourou de Davos, la grande réinitialisation. Toutes les techniques pour y arriver sont bonnes : fausses nouvelles, attaques sous fausses bannières, guerres, pandémies, culture de la peur, terrorisme, …

Cette montée en puissance a eu une croissance exponentielle depuis l’attaque de septembre 2001.

Et elle achève.

Car ceux qui refusent la foi à la vérité et qui prennent plaisir à l’injustice, la majorité des humains, devront faire face à la justice divine.

Seuls les « Noé » de notre monde sont capables d’appréhender ce moment critique pour le retour du Christ en Gloire ; la majorité ayant perdu la foi.

Les « Noé » ne sont pas nombreux. C’est le petit reste.

C’est bien Benoît XVI avec l’aide des cardinaux ayant encore les yeux pour voir, qui jusqu’ici a empêché Bergoglio de mettre la touche finale si désirée par la judéo-maçonnerie depuis des siècles, la suppression de la présence réelle dans l’Eucharistie, par l’élimination de la messe traditionnelle pour abattre le Messie de Dieu, pour devenir le seul peuple prêtre avec Satan.

Nous avons été témoins par les confinements à répétition de ces attaques contre les églises et les lieux de cultes, surtout durant des périodes si chères comme Noël et la Pâques.

« La Fraternité Saint-Pierre expulsée du diocèse de Dijon » (riposte-catholique.fr)

Le dernier rempart, le Motu Proprio  Summorum Pontificum (2007) de Benoît XVI est attaqué de toutes parts ces dernières semaines.
Bergoglio a mis ses pions en place pour la dernière phase.

L’annonce de l’interdiction de célébrer la messe tridentine est imminente.

Selon les rumeurs, seuls les « vieux prêtres » garderont l’autorisation de la célébrer, le temps qu'ils disparaissent et ce sera la victoire espérée.

« Le Remnant a eu des confirmations indépendantes qu’un document du Vatican limitant la lettre apostolique du pape Benoît Summorum Pontificum est soutenu par au moins deux cardinaux du Vatican, en est à sa troisième ébauche et menace d’entraver la croissance de la messe latine traditionnelle et d’autres sacrements en particulier parmi les clergé diocésain.

Deux membres supérieurs de la hiérarchie ont confirmé le 31 mai que le document, signalé pour la première fois par Messainlatino.it le 25 mai, est actuellement en cours d’examen à la Congrégation pour la doctrine de la foi (CDF).

Plusieurs sources ont également déclaré à The Remnant que le pape François souhaitait publier le document bientôt et qu’il est supposé qu’il reçoit le soutien, à des degrés divers, de deux cardinaux consultants de la Congrégation pour la doctrine de la foi : le cardinal Pietro Parolin, Secrétaire d’État du Vatican, et le Cardinal Marc Ouellet, Préfet de la Congrégation pour les Évêques.

Les sources ont également déclaré que ces mesures restrictives seront très probablement mises en œuvre par la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements et son sous-secrétaire nouvellement nommé, Mgr. Aurelio García Marcías, que le pape François aurait élevé à l’épiscopat précisément pour réaliser ces plans.

Plusieurs sources vaticanes de haut niveau ont également confirmé que la première version du document avait été précédée d’une lettre d’introduction du pape François qui serait très dure et acrimonieuse envers la messe tridentine.
Le document en est maintenant à sa troisième version, les deux premières ayant été jugées trop sévères. Si elle est finalement publiée, la libéralisation de la forme extraordinaire de la messe introduite par la lettre apostolique du pape Benoît XVI en 2007, Summorum Pontificum, risque d’être réduite.

Ce document autorisait tout groupe stable de fidèles attachés à la « tradition liturgique antérieure » à demander la messe à leur prêtre local, qui « consentirait volontiers à leurs demandes ». Le décret stipulait que la forme la plus ancienne de la messe n’avait « jamais été abrogée » et que les formes extraordinaire et ordinaire étaient « deux expressions » d' »un seul rite romain ».

Le Remnant a appris que le premier projet imposait de sévères restrictions sur l’âge des célébrants et est décrit comme quelque peu similaire à l’indult de Paul VI, qui permettait aux prêtres seniors de continuer à offrir la messe tridentine après la promulgation du Novus Ordo Missae par Paul VI. Il a également discuté de l’opportunité d’autoriser ou d’interdire l’administration des autres sacrements dans la forme extraordinaire du rite romain... » (marcotosatti.com)

Ce qui est confirmé par un cardinal haut placé à Rome.

« Grand cardinal à Rome : le pape craint des « positions traditionalistes » dans la formation sacerdotale.

10 juin 2021 ( LifeSiteNews ) – Le chef de la Congrégation vaticane pour les instituts de vie consacrée a récemment déclaré que le pape François était préoccupé par les idées «traditionalistes» qui s’insinuaient dans la «formation sacerdotale».
Le pape François a exprimé la crainte d' »une certaine tendance à s’éloigner un peu du Concile Vatican II, en prenant des positions traditionalistes » dans la « formation sacerdotale », selon le cardinal João Braz de Aviz, préfet de la Congrégation pour les instituts de vie consacrée et les sociétés de Vie Apostolique, tel que rapporté par Vida Nueva Espagne ...

Le diacre Nick Donnelly, auteur et ancien rédacteur en chef d’EWTN Grande-Bretagne, a envoyé à LifeSiteNews un commentaire sur la prétendue déclaration du pape François :

Dei Verbum, la Constitution dogmatique sur la révélation divine, l’un des documents clés de Vatican II, exhorte les fidèles à recevoir « l’enseignement, la vie et le culte que l’Église perpétue et transmet à toutes les générations ». (DV 8). Il est donc ironique que le pape François adopte une position hostile envers les séminaristes traditionalistes alors qu’une telle «rigidité» est préconisée comme essentielle par Dei Verbum. En omettant de souligner l’importance pour les fidèles de « s’accrocher aux traditions » et de se battre pour « la défense de la foi transmise une fois pour toutes », c’est le pape François qui affiche une « certaine tendance à s’éloigner un peu du Concile Vatican II, pas les séminaristes et les prêtres qui soutiennent la Tradition…

«Après une fois de plus mis en garde contre l’acceptation de jeunes hommes « rigides » (c’est-à-dire fidèles à la doctrine) au séminaire, François a déclaré aux évêques qu’il était parvenu à la troisième ébauche d’un texte contenant des mesures restreignant la célébration par le prêtre catholique la forme extraordinaire rendue accessible par Benoît XVI », a rapporté Messa in Latina…

Braz de Aviz partage l’antipathie du pape François pour les positions catholiques traditionnelles, au point d’avoir qualifié les traditionalistes de « se suicider ». Lors d’un discours prononcé en 2015 lors d’un « premier congrès du genre de nombreux directeurs de formation religieuse du monde » à Rome, Braz de Aviz les a avertis : « Ne vous éloignez pas des grandes lignes du Concile Vatican II ».

« En fait, ceux qui s’éloignent du conseil pour faire un autre chemin se tuent – tôt ou tard, ils mourront », a déclaré Braz de Aviz. « Ils n’auront pas de sens. Ils seront à l’extérieur de l’église. Nous devons construire, en utilisant l’Évangile et le concile comme point de départ. » (lifesitenews.com)

En effet, la continuité avec la messe désacralisée de Paul VI centrée sur l’homme est vitale pour le projet grandiose d’œcuménisme en préparation.

Les centres de culte abrahamique (dont celui d’Abu Dhabi) où on fera du Christ qu’un simple prophète (ce qui est la limite acceptable pour la judéo-maçonnerie) prennent de l’ampleur.

Le prochain est à Berlin.

Plusieurs vaticanistes se demandent pourquoi Bergoglio reste muet quant au schisme allemand…

La réponse est tout simplement parce qu’il est le destructeur de l’Église et que cela fait son affaire…

Tout doit être orienté vers la grande fraternité universelle…

La maison commune des trois religions, est en cours de construction depuis le 27 mai, bâti sur les ruines de l'église catholique Saint-Pierre du XIIe siècle.

Quel symbole!

Prête pour le jubilé de 2025.

« La Maison interconfessionnelle a en fait été saluée par le Vatican comme une « maison de prière réunissant les trois religions du monde sous un même toit », mais elle a été qualifiée de « gnostique » et de « syncrétiste » par les catholiques traditionnels. La House of One suivra la création d'un complexe interreligieux similaire par le soi-disant « Comité supérieur de la fraternité humaine » connu sous le nom de The Abrahamic Family House, qui devrait être achevé à Abu Dhabi d'ici 2022, qui réunira également une église, synagogue et une mosquée
"L'idée est plus grande que le bâtiment", a déclaré le directeur du projet Roland Stolte lors de la cérémonie marquant le début des travaux de construction de la soi-disant "House of One". Conçu il y a dix ans, ce projet ambitieux devrait ouvrir ses portes d'ici 2025 sur l'île aux musées dans le centre de Berlin, conformément au reste de la planification de One World Religion. » (house-of-one.org)

L'illusion d'une seule religion mondiale consacrée à Satan est éphémère.

Le temps est proche.

« C'est pourquoi Dieu leur envoie des illusions puissantes qui les feront croire au mensonge, en sorte qu'ils tombent sous son jugement tous ceux qui ont refusé leur foi à la vérité, et ont au contraire pris plaisir à l'injustice. »

13 juin

Que le Christ nou inonde de sa grande miséricorde en cette fête du Sacré-Coeur.

Nous nous devons de faire une mise à jour sur le maximum solaire du cycle 25 qui devrait avoir lieu autour de l’été 2025… Et puisque que la purification en sera une de « feu ».

Une sécheresse extrême caractérise les Amériques, surtout concentrée dans l’ouest américain et au Brésil (pire sécheresse en 100 ans).

Les conséquences sont désastreuses: saison des feux de forêts en avance de deux mois en Californie, interdiction pour les agriculteurs d’irriguer leurs champs dans certains États pour favoriser la distribution d’eau potable vers les demeures. Ces derniers abandonnent les cultures et vendent le bétail faute de trouver du fourrage (zerohedge.com).

Les réservoirs d’eau sont si bas dans ces deux régions que les barrages électriques ne pourront plus produire, dont la célèbre dam de Hoover.

Du jamais vu.

Remarquez ici qu’au grand dam de Bergoglio et des partisans du réchauffement climatique que la NASA a démontré que ce sont toutes les planètes qui subissent un réchauffement.

Une étude et nouvelle théorie assez intéressante sur le point de se vérifier vient de sortir quant aux cycles solaires: L’événement « terminal ».

« 11 JUIN 2021/ DR TONY PHILLIPS

10 juin 2021 : Quelque chose d’important est peut-être sur le point de se produire au soleil. « Nous l’appelons l’événement de fin (terminal) », déclare Scott McIntosh, physicien solaire au National Center for Atmospheric Research (NCAR), « et c’est très, très proche de se produire. »

Si vous n’avez jamais entendu parler de l’événement de résiliation, vous n’êtes pas seul. De nombreux chercheurs n’en ont jamais entendu parler non plus. C’est une idée relativement nouvelle en physique solaire défendue par McIntosh et son collègue Bob Leamon de l’Université du Maryland – Comté de Baltimore. Selon les deux scientifiques, de vastes bandes de magnétisme dérivent à la surface du soleil. Lorsque des bandes de charges opposées entrent en collision à l’équateur, elles s’annihilent (ou « terminent »). Il n’y a pas d’explosion ; c’est du magnétisme, pas de l’antimatière. Néanmoins, l’événement de résiliation est un gros problème. Il peut lancer le prochain cycle solaire à une vitesse supérieure…

« Si l’événement Terminator se produit bientôt, comme nous le prévoyons, le nouveau cycle solaire 25 pourrait avoir une ampleur qui rivalise avec les quelques premiers depuis le début de la tenue des dossiers », a déclaré McIntosh.
C’est pour le moins controversé. La plupart des physiciens solaires pensent que le cycle solaire 25 sera faible, semblable au cycle solaire anémique 24 qui a à peine culminé en 2012-2013. Les modèles orthodoxes de la dynamo magnétique interne du soleil favorisent un cycle faible et n’incluent même pas le concept de «terminateurs».

« Que puis-je dire ? » rit McIntosh. « Nous sommes des hérétiques ! »

Les chercheurs ont décrit leur raisonnement dans un article de décembre 2020 dans la revue de recherche Solar Physics . En examinant plus de 270 ans de données sur les taches solaires, ils ont découvert que les événements Terminator divisent un cycle solaire du suivant, se produisant environ tous les 11 ans. Insistez sur environ . L’intervalle entre les terminateurs varie de 10 à 15 ans, ce qui est essentiel pour prédire le cycle solaire.

« Nous avons constaté que plus le temps entre les terminaisons est long, plus le cycle suivant serait faible », explique Leamon. « Inversement, plus le temps entre les terminateurs est court, plus le prochain cycle solaire sera fort. »
Le cycle solaire 25 s’annonce comme le contraire. Au lieu d’un long intervalle, il semble venir sur les talons d’un très court, seulement 10 ans depuis l’événement Terminator qui a commencé le cycle solaire 24. Les cycles solaires précédents avec des intervalles aussi courts ont été parmi les plus forts de l’histoire enregistrée.

Ces idées peuvent être controversées, mais elles ont une vertu que tous les scientifiques peuvent apprécier : elles sont testables. Si l’événement de résiliation se produit bientôt et que le cycle solaire 25 monte en flèche, les «hérétiques» peuvent être sur quelque chose. Restez à l’écoute pour les mises à jour. » (spaceweather.com)

Il semble de plus en plus évident que les étés sont de plus en plus secs un peu partout.

Si l’événement terminal est « court » et que le maximum solaire de juillet 2025 nous donne des tempêtes de classe X, tout concorderait avec les dernières analyses de la « limite de Babylone ».

Les astrophysiciens s'inquiètent car notre société n'a jamais été aussi vulnérable puisque reposant maintenant sur l'ordinateur et la technologie.

Pour mieux comprendre les tempêtes solaires, le dernier documentaire: « Tempêtes solaires : Une mystérieuse menace | ARTE »

04 Juin

LA LIMITE DE BABYLONE PARTIE III

LA PREUVE DES RELIQUES DE SAINT-PIERRE ?

Paul VI s’est empressé de confirmer au monde en 1968 que les reliques trouvées dans les cryptes du Vatican étaient belles et bien celles de Saint-Pierre.

Il devait agir vite car 1967 était l’année de la mise en œuvre concrète de « Nostra Ætate » qui ouvre le dialogue avec les juifs et évidemment sur l’œcuménisme.

Pour les juifs, avec Nostra Aetate, L’Église triomphante du Christ sort alors de son péché d’orgueil originel pour s’engager dans le dialogue interreligieux.

Les infiltrés aux séances de Vatican II s’en frottaient alors les mains.

Remarquez que c’est toujours l’église conciliaire qui s’abaisse pour s’adapter aux normes de la religion de la fraternité universelle, le culte de l’humain alors qu’Elle devrait proclamer la seule primauté du Christ, en Christ et par le Christ pour accéder au Père.

Cette génération est donc témoin des fruits de Nostra Aetate aujourd’hui: l’Église  est éclipsée comme prédit à La Salette.

« Babylone a trop de langues. Tu as brisé la chaîne, tu le sais, tu le sauras jusqu'à la mort. Langues diverses pour le sacrement, langues diverses pour les mots. Aujourd'hui elle a disparu. Tu as enlevé l'exorcisme au sacrement et de Satan tu as vu le visage. »

(Prophétie de Jean XXIII concernant Paul VI)

Toute l’attention devait donc être consacrée à Nostra Aetate à la fin des années 60s, au détriment de l’apôtre.

Classer le dossier « Saint-Pierre » une fois pour toute permettait de mettre l’Église catholique sur un pied d’égalité avec les religions mondiales, et ouvrir la porte à Assise 1986.

Quant aux reliques, tout avait commencé à l’élection de Pie XII en 1939. Il a lui-même lancé les fouilles car Pie XI avait exprimé le désir d’être inhumé à côté de Saint-Pierre.

C’est l'épigraphiste  Margherita Guarducci  (qui n’a pas participé aux fouilles) qui pensa avoir retrouvé les os de Pierre dans les ruines déterrées par les fouilles, et ce dans les années 60s.

La modalité de la découverte a cependant soulevé de nombreux doutes parmi les experts, doute qui subsiste toujours.

Le Père Ferrua a été témoin des fouilles dans son entier.

Dans des débats houleux avec Guarducci, il s'est toujours opposé aux conclusions.

La preuve de Guarducci relevait d’un petit fragment de plâtre rouge, trouvés à droite d'une niche creusée dans le soi-disant « mur rouge », avec quelques lettres gravées. Elle a vu l'expression grecque "Petr [bone] ome", c'est-à-dire "Pierre est ici", une sorte de preuve indirecte de son enterrement.

Margherita Guarducci a commenté des années plus tard ce combat interne qui a sévit durant cette période, et la raison du pourquoi Paul VI a clos le débat en 1968 pour son œcuménisme si cher à la judéo maçonnerie :

« J’ai dit que ce faux œcuménisme, sous lequel se cachent des idées malsaines et des intérêts obscurs et hostiles à l’Église, a joué un rôle fondamental dans la volonté de minimiser et d’annuler la présence tangible de Pierre, dans l’Église de Rome. Au début, je n’arrivais pas à comprendre la raison de ces étranges événements et la tendance constante à cacher les découvertes. Certains milieux du Vatican y étaient pour beaucoup. Mais cette obstination à occulter, à nier contre toute démonstration scientifique les preuves que les reliques du Prince des Apôtres existent vraiment sous la Basilique de Rome, d’où venait-elle, sinon d’intérêts obscurs ? Si l’on n’exalte pas Pierre, on place automatiquement l’Église catholique sur un pied d’égalité avec toutes les religions. » (30 JOURS, fév. 1990, p. 54-55)

L’importance des reliques de Saint-Pierre a refait surface en mars 2021 grâce à des recherches de trois scientifiques sur l’hypothèse du lieu d’inhumation du premier apôtre du Christ.

Antonio Socci a publié un papier sur le sujet :

« C'est peut-être la découverte archéologique du millénaire et la plus importante de toute l'histoire de l'Église. Si tel est le cas, l'Année Sainte 2025 serait un événement unique, car le Jubilé deviendrait un véritable pèlerinage «ad limina Petri».

De quoi parle-t-on? L'identification du lieu probable à Rome de l'enterrement de Saint Pierre (et peut-être même de sa dépouille mortelle).

Trois universitaires italiens, Liberato De Caro , chercheur du Conseil national de la recherche [italien],  Fernando La Greca , professeur à l'Université de Salerne, et  Emilio Matricciani , professeur à l'Institut polytechnique de Milan, ont rédigé une étude précise sur la revue scientifique internationale Heritage intitulée  «La recherche de la mémoire de saint Pierre 'ad catacumbas' dans la zone du cimetière 'ad Duos Lauros' à Rome.»

Le lieu de sépulture de l'Apôtre - selon cette étude - pourrait être dans les grandes catacombes (qui sont partiellement inexplorées) «ad Duos Lauros» dans le quartier de Topignattara [au sud-est de la gare Termini de Rome].

« En fait, dans le chronographe (c'est-à-dire le calendrier romain) de l'année 354, dans lequel nous trouvons le Depositio Martyrum de 336, St.

La commémoration de Pierre était « ad catacumbas »,  et non pas sur la colline du Vatican. »...

Le quartier est dominé par l'immense mausolée de Sainte-Hélène dont le plafond est fait d'amphores en terre cuite, appelées «pignatte» dans le jargon populaire, d'où le toponyme «Torre delle pignatte»  puis Torpignattara. On sait peu de choses sur les vastes catacombes qui se trouvent en dessous.

Pourquoi le tombeau de la mère Constantin, celle qui a christianisé l'Empire romain et changé à jamais l'histoire, se trouve-t-il ici?
En réalité, dans cette zone, qui appartenait aux « équites singulares » de Maxence, Constantin fit construire une grande basilique (qui n'existe plus aujourd'hui) sur les catacombes chrétiennes et aussi le mausolée pour lui-même ainsi que pour sa mère (bien que plus tard il mourut à Constantinople et y fut donc enterré).

Mais pourquoi l'empereur a-t-il construit cette basilique et a-t-il voulu y être enterré avec sa mère? Il y a un secret qui y est caché depuis près de deux millénaires: la présence du corps du prince des apôtres dans ces catacombes.

LES FOUILLES

Nos trois savants, avant d'arriver à leurs conclusions, rappellent les scavi ou les fouilles effectuées entre 1940 et 1949 sous l'autel de la basilique Saint-Pierre au Vatican, où l'on croyait traditionnellement que se trouvait le tombeau de l'Apôtre.
A cette époque, un petit monument du IIe siècle a été mis au jour, qui marquait le lieu du martyr de Pierre, là-bas dans le cirque du Vatican. Ce petit monument est le « trophacoeum » mentionné dans une lettre du prêtre romain Gaius écrite à l'époque du pape Zéphyrinus (199-217). Les archéologues de Pie XII, en 1949, soutenaient ainsi qu'ils avaient trouvé la tombe, ou du moins la première tombe, de Pierre - mais pas ses os.

Dans les années suivantes, l'épigraphiste  Margherita Guarducci  pensa avoir retrouvé les os de Peter dans les ruines déterrées dans le scavi. Mais le Père Ferrua, SJ qui était présent tout au long du travail, s'est toujours opposé à cette identification.
Guarducci a soutenu qu'elle avait trouvé la preuve de sa découverte dans un minuscule morceau de graffiti, avec des fragments de quelques petites lettres, où elle prétendait lire une référence au nom de Pierre. Les arguments, y compris les arguments sur ce fragment de plâtre (qui aujourd'hui est daté de la première moitié du troisième siècle) étaient sans fin et n'ont jamais abouti à une conclusion certaine.

PAS SEULEMENT UN THRILLER ARCHÉOLOGIQUE

L'Église n'a jamais fait de déclaration officielle sur cette recherche archéologique. Mais l'argument est toujours brûlant, et pas seulement pour les archéologues.
En effet, la primauté de l'évêque de Rome sur l'Église universelle (c'est-à-dire la papauté elle-même) repose sur le fait que les papes succèdent, dans l'épiscopat romain, à l'homme à qui Jésus a conféré la primauté:
«Et je vous dis: Vous êtes Pierre, et sur ce rocher je bâtirai mon Église, et les portes de l'enfer ne prévaudront pas contre elle. Je vous donnerai les clés du royaume des cieux, et tout ce que vous lierez sur la terre sera lié dans les cieux, et tout ce que vous perdrez sur la terre sera délié dans les cieux » (Mt 16, 18-19).
Ce sujet est devenu explosif avec Martin Luther au 16 e siècle. Les protestants, pour contester la papauté, ont commencé à remettre en question le fait historique de la présence de Pierre à Rome et donc de son épiscopat et de son martyr dans la Cité.
Mais, à vrai dire, aucune localité - à l'exception de Rome - n'a jamais revendiqué l'événement du martyr de Pierre et des témoins historiques de la présence (et du martyr) de l'Apôtre dans la capitale de l'Empire, à la tête de la communauté chrétienne là-bas, sont innombrables.

En dehors de la première lettre de Pierre lui-même dans le Nouveau Testament (contestée parce que, comme d'autres auteurs chrétiens, elle appelle Rome «Babylone»), il y a une attestation unanime que Pierre est évêque de Rome par les écrits du pape Clément (96 après JC), puis Ignace d'Antioche (107 après JC), puis Irénée de Lyon (vers 180 après JC), Denys l'évêque de Corinthe (vers 170 après JC), Tertullien (vers 200 après JC), Clément d'Alexandrie (vers 200 après JC) jusqu'à Saint Jérôme et Eusèbe de Césarée (au 4 e siècle). Il existe donc une tradition historique unanime et incontestable.

Néanmoins, au cours des siècles, la «reine des preuves» a également été recherchée, c'est-à-dire le lieu de sépulture de l'apôtre à Rome. Tel était l'objectif des fouilles ou scavi effectués sous la direction de Pie XII au siècle dernier.
Aujourd'hui, les experts, même en admettant que dans l'Antiquité la niche vaticane pouvait contenir le corps de Saint Pierre, estiment que ses restes ont ensuite été déplacés « ad catacumbas » (d'abord à cause des persécutions, puis à cause des raids barbares sur la Cité).
En fait, dans le Chronographe de l'an 354 (c'est-à-dire le calendrier romain), nous trouvons que «la commémoration de saint Pierre était ad catacumbas , pas sur la colline du Vatican», comme nos trois savants le rappellent dans Heritage .

NOUVELLES DÉCOUVERTES

De Caro, La Greca et Matricciani ont analysé le document du 6 e siècle « Liber Pontificalis », où toutes les biographies des papes ont été réunis ainsi que des documents d' archives des siècles précédents, et ils découvrent que, parmi toutes les anciennes basiliques romaines dont les constructions sont attribuées à Constantin, (par exemple Saint Pierre, Saint Jean du Latran, Santa Croce in Gerusalemme), la seule qui a été définitivement construite par lui est précisément celle de Tor Pignattara (qui n'existe plus aujourd'hui) où il a également construit un mausolée pour sa mère.
Les catacombes sur lesquelles cette basilique a été construite sont appelées Saints Marcellin et Pierre, deux martyrs mineurs du 4 e siècle. De Caro, La Greca et Matricciani démontrent qu'en réalité dans l'Antiquité l'ordre des noms était inversé et que «Pierre» était en fait le Prince des Apôtres, en l'honneur duquel les catacombes étaient nommées et - selon la copie la plus ancienne du Liber Pontificalis - aussi la Basilique « ad duos lauros » (qui est donc la véritable Basilique Constantinienne de Saint Pierre).
Cela signifierait que cette basilique était en fait l'emplacement du tombeau de l'apôtre Pierre, et c'est à côté de Pierre que Constantin voulait être enterré, avec sa mère.
Les trois savants documentent également une quantité importante d'épigraphies sépulcrales sur Pierre dans ces catacombes, datant du milieu du IVe siècle, et une fresque représentant Saint Pierre tenant un rouleau.
Sur la base de calculs compliqués sur la disposition de la basilique, les trois auteurs soutiennent enfin qu'ils ont identifié la crypte, encore inexplorée, où la tombe de l'apôtre pourrait être localisée. Pourront-ils maintenant faire des fouilles?..

RÉVÉLATION MYSTIQUE

Un dernier détail (qui dépasse le cadre de cette étude). Pendant les années où les fouilles se faisaient sous Saint-Pierre, Pie XII demanda à Maria Valtorta, une mystique qu'il estimait, où se trouve le tombeau de l'Apôtre, et elle répondit que c'était dans les catacombes « ad duos lauros » à Torpignattara et qu'elle avait vu ses restes momifiés dans une vision, avec ses mains tenant un ancien parchemin. Valtorta a également décrit la crypte.
La découverte du tombeau de Pierre serait un événement extraordinaire. Paul VI a dit que les os de Pierre, pour l'Église, sont comme de l'or. C'est en effet sa chair même qui a touché et embrassé le Sauveur du monde.

Antonio Socci » (marcotosatti.com)

Voici quelques extraits clés de l’étude des trois savants :

« Cependant, la preuve épigraphique de Guarducci était très faible de sorte qu'elle était très contestée bientôt par Ferrua.

En fait, il aurait été étrange qu'au IVe siècle, pour soutenir la présence du Chef des Apôtres, il n'y avait qu'un pauvre graffiti sur une petite zone de plâtre, et non une épigraphe plus importante, sur marbre, commandée par Constantin lui-même...

En effet, même admettant que les restes de Pierre sont ceux trouvés à la basilique Saint-Pierre, ils n'ont pas été toujours là.

Aujourd'hui, l'opinion la plus acceptée est que les restes de Pierre ont été déplacés dans l'une catacombes romaines, car il existe un autre souvenir ancien d’une célébration de Saint Pierre ad catacumbas (les catacombes), daté de la fin de l'époque de l'empereur Constantin (306-337)...

Parmi les nombreuses cellules rapportées à la figure 6, la plus importante semble être la cellule no. 58 - la zone rouge de la figure 6, située juste un peu au nord de la région où l'épigraphe était a été trouvé. Dans cette cabine, il y a une fresque représentant Saint-Pierre tenant un parchemin. »

Le lien de l’étude des trois savants (en anglais, mais vous pouvez défiler les images des preuves avancées : la plaque de marbre avec l’épigraphe retrouvé (Petri facilement lisible), la fresque de la cellule représentant Saint-Pierre tenant un parchemin, la basilique ad duos lauros de Constantin telle qu’elle était, et les innombrables calculs mathématiques précis pointant sur la cellule 58).

L’empereur Constantin aurait donc délibérément caché le tombeau pour prévenir le vandalisme (persécutions sépultures chrétiennes et invasions barbares), et aurait laissé cette mathématique architecturale codée pour retrouver les reliques de Saint-Pierre dans les générations futures.

Les clés :

- Le narthex (avant-nef) joignant le mausolée de Sainte-Hélène (de forme circulaire), mère de l’empereur Constantin, est décalé d’un angle de 4 degrés par rapport à la basilique, ce qui est très anormal pour des maîtres en architecture qu’étaient les romains (pour la construction d’aqueducs, ils étaient capable d’avoir une pente de 8 cm de précision sur 1 km, soit une inclinaison moyen de 0.0046 degré).

- Une erreur de 4% pour le narthex est donc délibérée.

- Les tangentes des cercles internes/externes du mausolée passant par les côtés du narthex se croisent à la cellule 58.

Nous y reviendrons.

LE DERNIER JUBILÉ?

Nous avons vu dans les dernières analyses que le compte à rebours est lancé et que la limite de Babylone est probablement avant le mois des deux lunes de mai 2026.

Bergoglio a annoncé le 3 février 2020 la venue imminente du prochain jubilé, le jour de la célébration du 150ème de la proclamation de Rome comme capitale de l’Italie  : le jubilé de 2025 « n’est plus très loin ». » (la-croix.com)

Ce qui peut-être mis en contexte avec la prophétie de Don Bosco citée dans la dernière analyse : tout aura lieu avant le mois de mai des deux lunes de 2026.

L’annonce de Bergoglio sur le jubilé a eu lieu une journée avant la  « Journée internationale de la Fraternité humaine » si cher à ce dernier, un 4 février.

Un jubilé, c’est 50 ans, mais tout a été ramené aux 25 ans par le Vatican car l’espérance de vie à une certaine époque ne permettait normalement pas d’être témoin d’un jubilé, à moins d’un jubilé extraordinaire (jubilé de la miséricorde infinie de Bergoglio en 2015/2016 par exemple).

Nous avons vu dans les analyses que la vraie raison derrière les jubilés provenaient du Lévitique 25,10, où « Et vous sanctifierez la cinquantième année, et vous publierez la liberté dans le pays pour tous ses habitants. Ce sera pour vous un jubilé, et chacun de vous retournera dans sa propriété et chacun de vous retournera dans sa famille. »

Donc, Bergoglio annonce le prochain jubilé lors du triple jubilé (150 ans) de la ville de Rome!

Rome comme capitale de l’Italie unifiée proclamée le 30 juin 1871, le lendemain des fêtes de Saint-Pierre et Saint-Paul.

Mais pour l’Église, c’est la perte de Rome comme capitale des États pontificaux en 1870 qui est important!

Le pape Pie IX a du se réfugié au palais du Vatican étant prisonnier de fait, débutant la controverse de la « question romaine », controverse se soldant par les Accords du Latran en 1929.

Voilà ce qui doit être rappeler!

11 février 1929 (fête de Lourdes, date habillement choisie par Benoît XVI pour sa démission) - 1870=59 : l’Église était sur le point de devenir veuve (60 ans) peu après la création du royaume temporel de l’État du Vatican (rappel : Saint Paul prescrit qu'une femme ne peut être inscrite au groupe des veuves que si elle est âgée d'au moins 60 ans. (1 Ti 5,9)).

C’est bien là que la suite des rois (papes) de l’Apocalypse démarre : « « Les cinq premiers sont tombés (5 papes depuis Latran en 1929), l'un subsiste (Benoît XVI), (voir analyses précédentes )… )

Rappelons aussi que le jubilé extraordinaire de 2015/2016 sur la miséricorde infini avait été délibérément créé pour le faire coïncider avec le 50e anniversaire de la conclusion du Concile Vatican II en 1965!

Le veuvage (60 ans) de l’église conciliaire suite à Vatican II (dont Nostra Aetate voté à la dernière session le 28 octobre 1965 (Jean XXIII a été élu un 28 octobre)), sera en 2025!

Revenons à Saint-Pierre.

Le chef des apôtres fut crucifié le 13 octobre 64.

Comme signe de la fin des temps, nous savons que le 13 octobre c’est évidement une date appartenant à Notre-Dame du Rosaire avec le miracle du Soleil de 1917.

Or, 2026-64 donne 1962.

Exactement l’année d’ouverture du concile Vatican II!

C’est le début de l’éclipse sur l’Église initiée par le Christ via Saint-Pierre.

C’est l’alpha et l’Oméga.

Retrouver les reliques du chef des apôtres marquerait la fin de l’éclipse sur l’Église car cette grâce de Dieu confirmerait une fois pour toute la primauté de L’Église catholique, la seule et unique voie fondée par le Christ : «  moi je te dis que tu es Pierre, et sur cette pierre je bâtirai mon Église, et les portes de l'enfer ne prévaudront point contre elle. » (Matthieu 16,8)

Or, rappelons-nous, Pier Carpi dans les prophétie de l’Église de Jean XXIII concernant François qui avançait l’hypothèse que les « pas du premier homme » étaient probablement ceux de Saint-Pierre.

Tout se passe avant le 7ème sceau , « Mikail et Jean descendront sur terre ».

ET

« Les urnes ouvertes dans les lieux secrets sous le trésor et seront découverts les pas du premier homme. »

Que nous révèle l’étude des trois savants ci-haut?

Que les reliques de Saint-Pierre seraient dans la cellule no 58, lieu secret jusqu’ici, et que la fresque présente représente le chef des apôtres tenant à la main un parchemin.

« seront découverts les pas du premier homme »…

Un parchemin, un message de Saint-Pierre, attenant aux reliques, serait garder secret pour notre époque, à la fin des temps.

C’est bien ce qu’a confirmé Maria-Valtorta lorsque consultée par Pie XII :

« elle avait vu ses restes momifiés dans une vision, avec ses mains tenant un ancien parchemin.  »

Encore une fois, 2025 semble bel et bien la limite de Babylone : « C'est peut-être la découverte archéologique du millénaire et la plus importante de toute l'histoire de l'Église. Si tel est le cas, l'Année Sainte 2025 serait un événement unique, car le Jubilé deviendrait un véritable pèlerinage «ad limina Petri» nous révèle Antonio Socci dans son introduction.

Le triomphe de l’Église renaissante, la résurrection des deux témoins de l’Apocalypse, programmés pour le jubilé de 2025 grâce aux bourgeons gardés vivants par ces « deux témoins », est à nos portes, au grand dam de Bergoglio et de son église fraternelle universelle, mais ce dernier n’y sera pas nous confirme la prophétie.

La découverte des reliques de Saint-Pierre confirme en même temps la prophétie concernant François.

Son dénouement est donc proche.

Mai 2021

26 mai

LA LIMITE DE BABYLONE PARTIE II

Nous avons vu que la semaine de Daniel pourrait être la période s’étendant d’octobre 2019 à octobre 2026, avec l’arrêt possible du sacrifice et de l’oblation prophétisé pour mai 2023.

Les deux mois clés dans le calendrier sont mai et octobre.

Deux mois séparer par le chiffres des rachetés, 153 jours, appartenant à Marie comme elle nous l’a indiqué via les apparitions de Fatima en 1917.

Le 13 mai 2026, cela fera donc 109 ans depuis les apparitions, soit les 100 ans + la 9ème heure, où tout est accompli (c’est à dire la mort du Christ sur la croix, donc de l’Église pour nous).

Nous savons grâce à la vision du pape Léon XIII que Satan a eu 100 ans pour conquérir le monde.

Ces 100 ans commencent fort probablement en 1914 avec la première guerre mondiale où depuis, nous avons vu une croissance exponentielle dans la technologie, la médecine, les transports, etc., pour mener à la mondialisation, et bientôt à la dictature technofasciste.

Et qui a donné à l’humain son « sens de l’éternité » temporel illusoire.

Il croit maintenant qu’il peut se passer de Dieu.

Tout comme Bergoglio avec son encyclique « Laudato Si » pour sauver la planète.

Or, 2026-1914 donne 112 ans.

La 112ème devise de la prophétie de Saint-Malachie sur la succession des papes :

112. In psecutione extrema S.R.E. sedebit. Ou  « Dans la dernière persécution de la sainte Église romaine siégera. » ou « La sainte Église romaine se trouvera dans une extrême [dernière] persécution. »

On l’a vu, la figure emblématique des deux témoins de l’Apocalypse est Saint Pie X.

Or, Pie X décède le 20 août 1914 quelques jours après le début de la première guerre mondiale.

Le cycle commence donc avec l’élection de Benoît XV et a le potentiel de se terminer au décès du katéchon, Benoît XVI.

Le 12, c’est le chiffre de l’ensemble des disciples.

Il faut probablement attendre 12 ans après l’écoulement des 100 ans pour justement rassembler les justes, les 144000 (12X12X1000) qui seront sauvés.

Après le 12, suit le 13.

Le 13 symbolise la mort à la matière ou à soi-même, vers la naissance à l'esprit.

C’est un passage d’une Pâques annoncée.

L’Antéchrist et la Bête, c’est au chapitre 13 de l’Apocalypse qu’on les trouvent.

Et, comme signe qui nous est donné, Bergoglio est élu le 13 mars 2013.

Le 13 mars 2013 additionné de 13 années (le chiffre de Marie) donne 2026.

La 113ème et dernière devise de la prophétie de Saint-Malachie est « Petrus Romanus, qui pascet oues in multis tribulationibus : quibus transactis ciuitas septicollis diruetur, & Iudex tremendus iudicabit populum suum. Finis. » ou « Pierre le Romain, qui fera paître ses brebis à travers de nombreuses tribulations. Celles-ci terminées, la cité aux sept collines sera détruite, et le juge redoutable jugera son peuple. Fin. »

C’est la destruction de Rome avant le jugement final (jugement dont on ne peut prédire la date et l'heure).

Donc, à partir du 14 mars 2026, Bergoglio entre dans le 14, et le quatorze représente la fin d’un cycle, où tout est s’accomplit, c’est à dire la fin de Babylone.

L’Ascension en 2026 sera le jeudi 14 mai : la fin du cycle?

Cette destruction de Rome est confirmée par la prophétie No 11 de l’Église de Jean XXIII: Le 7ème Sceau :

«  Où croyez-vous fuir, maintenant que vous avez détruit les Églises et tué le dernier Père ? »

Juste après « Mikail et Jean descendront sur terre » de la fin de la prophétie concernant François.

La limite de Babylone semble donc bien pointer pour mai 2026.

LA PROPHÉTIE DE DON BOSCO

La copie de cette prophétie a été envoyée à Rome le 12 février 1870, comme en témoigne la Civiltá Cattolica , Vol. VI, Série 8, 1872, pp. 299 et 303, par le Père Joachim Berto (secrétaire particulier de Don Bosco).

Il a copié cette prophétie à la demande de Don Bosco quelques semaines après l'Épiphanie.

« … Il y aura toujours un violent ouragan. L'iniquité est consommée; le péché prendra fin et avant que deux pleines lunes du mois des fleurs ne passent, l'iris de la paix apparaîtra sur la terre.

Le Grand Ministre verra l'épouse de son roi habillée pour la fête.

Sur le monde entier, un soleil apparaîtra si brillant qu'il ne l'a jamais été depuis les flammes du Cénacle jusqu'à aujourd'hui, et il ne sera pas revu jusqu'au dernier jour. »

L’iris de paix (traduit parfois de l’italien par arc-en-ciel) est la fleur de lys, figure du Christ Roi, que nous retrouvons évidement dans les prophéties de l’Église de Jean XXIII.

« Ouvrez votre cœur au lis. La voix sera puissante, annoncée par les trompettes. (Retour du Christ, l’ultime soleil, le premier Soleil.)

Lumière de l'Occident, dernière lumière avant l'éternelle, inconnue. La vérité sera plus simple que tous l'ont dit, que tous l'ont écrit. »

(Prophétie de l’Église #12  « L’arrivée de la Lumière »)

La voix est annoncée par les 7 trompettes de l’Apocalypse.

Le P. Berto écrit dans son interprétation de la prophétie qu’en l’an 1874, le mois de mai a deux pleines lunes (Lune Bleue), l'une le 1er et l'autre le 31.

« Cependant, aucun événement extraordinaire profane ou surnaturel ne s'est produit ce mois-là. En effet suivant la séquence du texte, cet événement devrait suivre «l'ouragan» de «l'iniquité» et du «péché» qui suivrait lui-même le traité du Latran de 1929. En mars 1988 et 1999, il y a deux pleines lunes. Dans le premier, il n'y avait pas de cessation notable du péché dans le monde. Ce dernier n'est pas encore venu. » (franciscan-archive.org)

Maintenant, nous le savons car nous le vivons!

Nous sommes pleinement  témoins du « violent ouragan » perpétuel du péché et de l’iniquité puisque le mystère d’iniquité est sur le trône.

Bergoglio a aboli le péché par le jubilé de la miséricorde universelle en 2015-2016.

Tous, nous sommes sauvés selon sa doctrine.

C’est la grande apostasie.

Or, la prochaine Lune Bleue au mois des fleurs sera le premier mai 2026 (un vendredi) et le dimanche 31 mai.

Le P. Berto pensait que la première occasion de la Lune Bleue, mai 1874, était la période de la prophétie.

Puisque le péché n’a pas encore été éliminé de la surface de la Terre, nous nous retrouvons donc avec la Lune Bleue de 2026.

De 1874 à 2026 nous avons 152 ans.

C’est donc dire qu’en juin 2026 nous entrons dans la 153ème année de la prophétie entre deux Lunes Bleues, le chiffre des justes, des rachetés, expliqué maintes fois dans les analyses précédentes.

Fait intéressant, nous avons eu une Lune Bleue en mai 1969, tout juste après la réforme du missel romain opérée par Paul VI en avril 1969 (car les phases de la lune se répète à tous les 57 ans).

Dès le mois de mai 1969 face à cette action de Paul VI, le protestant Max Thurian de la communauté de Taizé affirmait placidement : « Avec la nouvelle liturgie, des communautés non-catholiques pourront célébrer la Sainte Cène avec les mêmes prières que l’Église catholique. Théologiquement c’est possible » (La Croix, 30 mai 1969, p. 10).

Mais le péché était toujours présent, et même amplifié, après cette Lune Bleue de 1969 (qui se souvient du mouvement initiateur de mai 1968?)

Retours à l’automne 2019, au temps de la Pachamamma à la basilique Saint-Pierre :

C’est le début du cycle solaire 25 (un cycle solaire dure 11 ans).

L’apogée, le maximum solaire pour avoir des tempêtes solaires majeures, est prévu pour juillet 2025, à la moitié du cycle, plus ou moins 8 mois, selon les astronomes.

Donc, si c’est le cas, juillet 2025 plus 8 mois nous renvoie au printemps 2026…

Mai 2026?

Si on se réfère à la semaine de Daniel, l’Église à l’image de la Passion du Christ irait au tombeau le 5ème jour (2019+5=2024), soit la fin de l’automne 2024, demeurait au tombeau en 2025, le sixième jour, et ressusciterait en Mai 2026 selon la prophétie de Don Bosco.

La prophétie #11 de Jean XXIII concernant l’Église, le 7ème sceau, spécifie :

« Il y aura la guerre dans la Mère, et les troupeaux se disperseront… Où croyez-vous fuir, maintenant que vous avez détruit les Églises et tué le dernier Père ?

Attendez le signe de Jean. L'agneau est prêt. Signez-vous sept fois avec une main fatiguée et attendez. La lumière vient encore de l'Occident. »

Tout pointe vers l’attente du 7, du 7ème jour, celui où le Père contemple son œuvre, car c’est au sixième jour, le jour où l’humain fut créée, que l’humain déifié (666) verrait sa perte, soit 2025.

Ce qui correspond effectivement à la fin de la prêche de la fille de Caïn de la prophétie le « Temps est Proche » : 2025 où il n’y a plus d’empereur ni de pape.

Jésus nous as donné des repères pour reconnaître la période que nous vivons afin de persévérer devant le mystère de l’iniquité :

1. Comme Noé et le déluge : « Dans les jours qui précédèrent le déluge, les hommes mangeaient, buvaient, se mariaient ; et ils ne se doutèrent de rien jusqu’à ce que le déluge survint et les emportât tous. »

2. Comme Loth et la destruction de Sodome : « Pareillement comme il en arriva aux jours de Lot : on mangeait, on buvait, on achetait, on vendait, on bâtissait ; mais le jour où Lot sortit de Sodome, Dieu fit pleuvoir du ciel feu et souffre et les fit périr tous. »

« De même en sera-t-il au jour où le Fils de l’homme se révélera ».

Avec cette grande apostasie, et surtout en temps de pandémie, tous rêvent d’un retour à la « normale », d’une vie de loisirs et de jouissance matérielle sans Dieu.

Seuls les justes, symbolisés par les familles de Noé et de Loth dans l’ancien testament, se prépare spirituellement pour être sauvés.

Et Jésus ajoute : « souvenez-vous de la femme de Loth ».

Donc une fois que les derniers châtiments ont commencé, il sera trop tard pour faire pénitence.

Une autre indice d’échéance nous vient encore du prophète Daniel (3, 47).

Don Jean de Monléon, dans son livre « Le prophète Daniel », nous donne l’explication de la signification du chiffre 49:

« Malgré les efforts des bourreaux, la flamme ne montait qu’à 49 coudées, elle n’arrivait pas à cinquante… Pourquoi cela ? Parce que 50 est le chiffre de la Pentecôte, le symbole de la transformation totale que, seule, la grâce du Saint-Esprit est capable d’opérer dans l’homme. »

Par conséquent, « le démon ne peut dépasser 49 coudées, parce qu’il est incapable d’agir efficacement sur le fond de l’âme, sur la volonté, si celle-ci est résolue à tenir bon. »

Le diable est donc limité à 49.

2027-49 = 1978.

Août 1978 : Paul VI décède, celui qui a vu et confirmé la fumée de Satan au Vatican, le grand architecte de Vatican II, celui qui annonce la chute de la grande prostituée.

« Tu as brisé la chaîne, tu le sais, tu le sauras jusqu'à la mort… de Satan tu as vu le visage… Tu n'as pas su avertir, oser, choisir, prier… Les meilleurs fils s'en vont, ils vont servir le mal qu'ils appellent bien… »

(Prophétie de Jean XXIII concernant Paul VI)

L’autre chiffre intéressant significatif dans les écritures est le 40.

Très important en tant que représentant une génération, mais surtout comme symbole de la purification (40 jours au désert, 40 ans dans le désert, 40 jours pour la présentation au temple, etc.)

Or, 2026-40=1986.

C’est l’année de la rencontre d’Assise à l’invitation de Jean-Paul II.

C’est le début réel, la mise en œuvre concrète de l’œcuménisme à la sauce Vatican II.

En août 1986, Mgr Marcel Lefebvre, dans une lettre envoyée à huit cardinaux, fustige la rencontre d'Assise et leur demande une protestation publique.

Il évoque un « scandale incalculable dans les âmes des catholiques », qui « ébranle l'Église dans ses fondements » et accuse Jean-Paul II de « ruiner la foi catholique, publiquement », par cet « abominable Congrès des Religions ».

Le chiffre 40 est relié au signe de Jonas, le seul que nous aurons pour cette fin des temps a confirmé NSJC.

Alors que Jonas est chargé par Dieu d’aller porter un message à la ville de Ninive, à l’époque la plus grande ville du globe (elle avait supplanté à ce moment-là Babylone), Jonas refuse sa mission et s’embarque sur un bateau vers une destination opposée.

Dieu provoque une tempête et Jonas est avalé alors par un énorme poisson duquel il reste 3 jours et 3 nuits.

Le poisson le rejette sur le bon rivage et Jonas part à Ninive délivrer Son message :

« Encore 40 jours et Ninive sera détruite ».

Les gens de Ninive crurent en Dieu, décrétèrent un jeûne et se couvrirent de sacs, du roi jusqu’aux bêtes, et se repentirent de leurs mauvaises actions. Finalement, devant l’attitude de pénitence des ninivites, Dieu épargna la ville.

Ainsi les 40 jours ou 40 ans, représentent la limite pour se repentir, se purifier, sinon c’est les trois jours de ténèbres tant prophétisés qui nous attendent.

La purification on le sait en sera une par le feu cette fois.

Un événement important a eu lieu du 13 au 15 Mai 1921, la plus grande tempête solaire du 20ème siècle, durant le cycle solaire 15.

Cette tempête a fait des dégâts majeurs aux lignes électriques et télégraphiques à cette époque.

Comme un avertissement pour notre temps.

Sachant que le 13 représente le processus de mort à soi-même, de changement, le 14 la fin d’un cycle, le 15 symbolise la victoire de Marie.

Les spécialistes de la météorologie spatiale appellent régulièrement l'événement de mai 1921 «tempête de 100 ans».

Cependant, des recherches récentes (à la fois historiques et statistiques) suggèrent que de telles tempêtes surviennent plus souvent - tous les 40 à 60 ans. Quoi qu'il en soit, nous sommes en retard.

Or, 2026-1921=105

Le chiffre 105, nous l’avons vu dans une analyse précédente, est le triangulaire de 14: la fin d’un cycle.

Le 105 représente la délivrance de l’âme au prise à de terribles tourments et souffrances.

Aussi, 2026-1929 (le royaume temporel du Vatican avec les Accords du Latran) = 97.

Or, le 97 symbolise l'Église du Christ et aussi le royaume du Ciel.

Le 25ème cycle solaire qui a commencé à l’automne dernier nous donne un alpha et oméga: du 15ème cycle de 1921 au 25ème cycle.

Or le 25, est le chiffre de la naissance du Christ, de l’Annonciation, liant NSJC et Marie en cette fin des temps.

Et le 25 mai 2026, c'est la Pentecôte!

Un autre fait intéressant et tout aussi important est la consécration du monde de Jean-Paul II en 1984 conformément à la prophétie de Jean XXIII le concernant :

« Quand tu divulgueras la parole de Marie la Très Sainte, ton unique blessure se fermera. La Mère de l'Église sera Mère du monde. Ange tu seras dit, béni. »

Or, après la consécration du monde accomplie par le pape Jean-Paul II le 25 mars 1984, sœur Lucie (de Fatima) déclara nettement aux carmélites de Coïmbre, à ses parents et familiers, à des religieux, évêques et cardinaux : « Non, la consécration n’a pas été faite comme le veut Notre-Dame. »

Mgr Vigano : «L'échec de la consécration de la Russie au Cœur Immaculé de Marie, a conduit à la diffusion du communisme dans le monde; aujourd'hui, nous voyons le communisme allié à l'autre ennemi juré du christianisme, le libéralisme. »

C'est bien cet aspect du communisme qu'on veut nous faire avaler avec la pandémie et la grand réinitialisation.

Or, 2026-1984 = 42

Ce 42 symbolise peut-être les 42 semaines (1260 jours), 42 mois etc, qui sont présents dans les prophéties de Daniel et dans l’Apocalypse.

En résumé, le péché sera éliminé et la paix christique arrivera avant la Lune Bleue de mai 2026 si la prophétie de Don Bosco se réalise.

Ainsi, nous ne connaîtrons ni le jour ni l'heure mais nous avons les indices comme la parabole du figuier laissée intentionnellement par le Christ.

La limite de Babylone imposée arrive donc évidement avant les deux pleines lunes de mai 2026, soit 2025.

Nous savons par l'analyse du 14 mai qu'octobre 2021 sera un mois important, si ce n'est que par le début du nouveau synode en grandes pompes, mais aussi parce que la bête de la Terre, Emmanuel Macron, termine son quinquennat le 14 mai 2022 et qu'il a affirmé ceci:

Devant la rédactrice en chef du Financial Times le 14 avril 2020 : « La Bête de l’événement est là et elle arrive. »

Suivi le 4 décembre 2020 par:

« Peut-être que je ne pourrai pas être candidat. Peut-être que je devrais faire des choses dans la dernière année, dans les derniers mois, dures parce que les circonstances l’exigeront et qui rendront impossibles le fait que je sois candidat. »

La grande réinitialisation doit avoir lieu coûte que coûte. Ils ne peuvent plus reculer.

La période d'octobre 2021 à 2025 semble être celle où tout balance.

Nous ne pouvons savoir ni le jour ni l’heure de la délivrance des justes mais nous avons les indices qui incitent à la conversion, au repentir, et qui nourrissent l’espérance du monde de justice et de paix promis et que tant de chrétiens attendent.

Le compte à rebours des 40 jours de Ninive et bel et bien enclenché pour Babylone.

23 mai

LA LIMITE DE BABYLONE partie I

Selon la suite logique de la fin des temps dans l’Apocalypse, puisque nous avons dépassé les 100 ans accordés par Jésus à Satan selon la vision de Léon XIII, il nous reste à vivre la mort des témoins suivie de leur résurrection.

Ce n’est qu’ensuite que se fait l’entrée dans la 7è période dans l’Apocalypse, soit la 7è église, le 7è sceau, et la 7è trompette.

Cette entrée est marquée par : la mort de l’Antéchrist.

Tous les grands signes que l’on s’attend de voir arrivent à ce moment de la révélation.

Considérant que Bergoglio, ou son successeur (Pierre le Romain de la prophétie de Saint-Malachie si ce n’est pas Bergoglio), est probablement l’Antéchrist personnifié de cette période, cela correspond parfaitement à la prophétie de l’Église de Jean XXIII concernant François.

Suivra le 3ème malheur, c’est à dire la chute tant attendue de Babylone la grande ou les deux Babylone nommées dans la prophétie de Jean XXIII concernant Benoît XVI.

C’est la consommation des siècles et la purification du monde, soit la venue imminente des nouveaux cieux et de la nouvelle Terre, la Jérusalem céleste, prête pour le retour en Gloire de NSJC.

C’est le jugement dernier avant le règne définitif et sans partage du Christ, l’Oint de Dieu.

La fin du monde post-pandémique dit « normal » de fausse liberté (Babylone) et de ceux qui le dirigent (les deux bêtes de l’Apocalypse) est donc annonciatrice du retour du Christ, celui-ci ne pouvant revenir que sur une terre purifiée.

La limite qui nous intéresse, c’est la chute de Babylone, car après nul ne connaît ni le jour ni l’heure.

Cela nous est interdit.

C’est pourquoi le Christ nous a donné des signes pour nous préparer, pour se convertir entièrement : la parabole des dix vierges et la parabole du figuier entres autres, et surtout Matthieu 24 grâce auquel nous savons que cela se passera comme au temps de Noé.

Or Noé, qui représente les justes, est averti 7 jours avant de l’imminence du déluge. Le déluge qui aujourd’hui est l’équivalent de la chute de Babylone.

Il y a donc un avertissement identifiable pour ceux qui sont animés par la grâce du Saint-Esprit.

Le 7ème sceau, c’est la prophétie entière #11 concernant l’Église de Jean XXIII.

Ce sont les derniers 42 mois (1260 jours), la durée de la bête de l’Apocalypse, le triomphe illusoire de Satan, soit les 3,5 dernières années de la semaine du prophète Daniel.

Cette période (7ème église, 7ème sceau, 7ème trompette) est à lier à la prophétie politique le « Temps est Proche » de Jean XXIII avec le décompte de la durée de la fille de Caïn :

« La fille de Caïn est montée au Nord, pour prêcher. Luxure dans la nouvelle Babylone, pour sept ans. »

Il s’agît bien d’une nouvelle religion : elle est montée au Nord pour « prêcher ».

Comme spécifié dans plusieurs analyses, il y a la possibilité se terminant en 2023 avec la signature de Bergoglio avec les luthériens en 2016 (voir la prophétie #32: Le temps est proche), ou, se terminant en 2025 avec Greta Thunberg comme fille de Caïn.

Cette nouvelle religion a pour « agent motivant » le « réchauffement climatique » et est alimentée par Bergoglio avec son enclyclique « Laudato Si ».

Cette nouvelle religion de l’humain déifié, seul apte à se sauver, est beaucoup plus universelle qu’une alliance œcuménique avec les luthériens.

Donc, selon la prophétie, « la septième année (2025) tombe le septième voile de Salomé, mais il n'existe pas d'empereur, il n'existe pas qui saura lever l'épée et couper le cou de Jean. Le temps est proche. »

S’il n’y a pas d’empereur, c’est qu’il n’y a plus de pape et que Babylone tombe.

Or, nous savons par diverses prophéties que cela implique la destruction physique de Rome... et la fuite ou la mort du pape.

L’ouverture de cette période est spécifiée par la prophétie de l’Église No 10 « Pape François: La Gloire de l'Olive et Pierre II »:
« Le nouveau Père ira vers lui mais laissera la Mère orpheline. »

Et elle est confirmée par la prophétie No 11: Le 7ème Sceau :

«  Où croyez-vous fuir, maintenant que vous avez détruit les Églises et tué le dernier Père ? »

Nous avons les preuves maintenant que l’Église est éclipsée et entrée dans la phase finale de purification.

Le jugement de la grande prostituée de l’Apocalypse, l’église conciliaire, aura lieu en concomitance avec la chute de Babylone, avec ses « sept rois :

« Les cinq premiers sont tombés (5 papes depuis Latran en 1929), l'un subsiste (Benoît XVI), l'autre n'est pas encore venu (François lors de la vision de l’Apôtre Jean, où il voyait Benoît XVI), et quand il sera venu, il doit demeurer peu de temps. Et la bête qui était et qui n'est plus (la bête de la mer, Bergoglio; voir analyses précédentes), en est elle-même un huitième et elle est des sept, et elle s'en va à la perdition (dans le contexte où Bergoglio a laissé tombé le titre de Vicaire du Christ, qu’il se vante du titre d’évêque de Rome et qu’il prépare le nouvel œcuménisme, c’est bien un pape que nous pensions avoir en 2013, qui était mais n’est plus, puisqu’il s’identifie de plus en plus au mystère d’iniquité).

Nous savons déjà que Jean XXIII dans la dernière prophétie concernant l’Église a spécifié qu’ « Il y a vingt siècles plus l'âge du Sauveur. Amen. ».

Benoît XVI a confirmé dans ses recherches qu’il y a une marge d’erreur de six ou sept ans quant à la naissance du Christ, ce qui donne autour de 2026, puisque personne ne connaît exactement le jour ni l’heure, et que l’on sait que le temps sera raccourci pour éviter la chute du petit reste.

Donc 2026 est le point de départ pour identifier la limite de Babylone.

Ce qui correspondrait à la fin de la semaine de Daniel.

Si on prend l’hypothèse que la fille de Caïn voit son règne se terminer en 2025 et que « Le Temps est Proche » (2026), c’est donc dire que nous aurions l’arrêt du sacrifice et de l’oblation à la moitié de la semaine de Daniel, soit 2022 (2026 – 3,5 ans donne juin 2022).

Ainsi le début de cette fameuse semaine serait en 2019 (1 jour =1an).

Qu’en est-il?

Quel événement nous permettrait d’identifier ce moment?

Tout semble se préciser.

Greta Thunberg s’est fait connaître à la face du monde le 20 août 2018.

Le 21 août est la fête de Saint Pie X et ce dernier est la figure emblématique des deux témoins de l’Apocalypse.

C’est un signe évident de la mort et de la résurrection à venir des deux témoins.

L’autre signe est donné par Jésus :

« Quand donc vous verrez l'abomination de la désolation, annoncée par le prophète Daniel, établie en lieu saint… » (Matthieu 24,15)

Octobre 2019 : Bergoglio donne la preuve de l’abomination de la désolation sur le trône.

La Pachamama du synode amazonien est au cœur d’une célébration païenne à la basilique Saint-Pierre.

Pachamama = Terre Mère = Gaïa du nouvel âge = « Laudato Si » de Bergoglio.

S’ensuit comme par hasard l’apparition du virus Covid-19 peu après.

Ainsi la moitié semaine de Daniel, l’abolition du sacrifice perpétuel, aurait donc lieu trois ans et demi plus tard, soit autour de mai 2023, et non juin 2022.

Or, que prévoit-on aussi en octobre 2022, six mois avant?

L’inauguration du temple abrahamique aux Émirats Arabes Unis, dédié à … St-François d’Assise, le Poverello.

«  Abrahamic Family House  est donc le nom de cette structure qui abritera une synagogue, une mosquée et une église, naturellement dédiée au Poverello. Le projet de Sir David prévoit que les trois lieux de culte soient unis par des fondations uniques et placés à l’intérieur d’un jardin, évoquant un nouvel Eden, une réédition gnostique et maçonnique du paradis de la Création.

«  Ainsi que l’a expliqué le pape, cette “structure… servira comme lieu de culte individuel, mais aussi pour le dialogue et l’échange interreligieux”. En effet, un quatrième bâtiment est également prévu, siège du Centre d’études et de recherches sur la Fraternité humaine, dont l’objectif – tiré du document d’Abou Dabi – sera de “faire connaître les trois religions”.

… les racines profondes de la crise actuelle  : «  Il ne faut pas penser que la citadelle interreligieuse est une idée originale et avant-gardiste du pontificat du pape François. Elle vient de l’“esprit d’Assise” – qui n’était pas, n’est pas et ne pourra jamais être l’esprit de saint François d’Assise – en 1986, lorsque Jean-Paul II avait réuni tous les représentants les plus importants des religions du monde pour prier, dans la fraternité humaine, pour la paix dans le monde. Mais cet «  esprit d’Assise  » trouve ses racines dans le concile Vatican II, comme en témoigne le document Nostra Ætate (28 octobre 1965), qui a ouvert le dialogue interreligieux, annulant la mission pédagogique de l’Église de condamner les erreurs religieuses : “L’Église catholique ne rejette rien de ce qui est vrai et saint dans ces religions.  » (fsspx.news)

Or, Saint-François d’Assise dans sa prophétie avait bien averti, comme s'il savait qu'on usurperait son nom... et son amour pour les pauvres et la nature :

« Il y aura très peu de chrétiens qui obéiront au véritable Souverain Pontife et à l’Église catholique romaine avec un cœur loyal et une parfaite charité. Au moment de cette tribulation, un homme, non élu canoniquement, sera élevé à la papauté, lequel, par ruse, s’efforcera d’entraîner beaucoup de monde dans l’erreur et dans la mort… en ces jours-là, Notre Seigneur Jésus-Christ leur enverra non pas un vrai Pasteur, mais un destructeur. »

C’est simple : « Qui n’a pas le Fils, n’a pas le Père. Celui qui n’honore pas le Fils, n’honore pas le Père. » (Saint-Jean)

Cette fausse fraternité universelle sans le Christ Roi est une hérésie.

Suivra octobre 2023.

Ce sera la synode des évêques convoqué par Bergoglio dont le sujet sera « Pour une Église synodale: communion, participation et mission ».

On entend déjà les échos de l’œcuménisme au loin…

Concrétisés dans le futur temple œcuménique abrahamique.

La voie synodale de Bergoglio est le chemin déguisé vers l’œcuménisme, la destruction des fondations de l’Église vers la fraternité universelle.

Remarquez bien aussi: « Il pourrait être significatif que l’assemblée synodale annoncée coïncide avec le 60e anniversaire de l’ouverture du Concile Vatican II (1962-1965). Celui-ci avait renforcé le rôle des évêques et compris l’ensemble de L’Église essentiellement comme le peuple pèlerin de Dieu. Paul VI a créé l’institution du Synode des évêques en 1965 comme une conséquence du du Concile Vatican II. » (cath.ch)

Or, rappelons nous cette parole de Saint Paul où il prescrit qu'une femme ne peut être inscrite au groupe des veuves que si elle est âgée d'au moins 60 ans. (1 Ti 5,9)

Cela rejoint bien la prophétie de Jean XXIII concernant Benoît XVI où l’Église est veuve.

« «Décentralisation salutaire»

François a parlé à plusieurs reprises de «décentralisation salutaire», d’écoute mutuelle et d’apprentissage à tous les niveaux. » (cath.ch ci-haut)

Il s’agît donc bien d’un Salut qui vient de l’humain déifié, et non du Christ.

Or, on nous annonce le 21 mai dernier  « Une nouveauté pour le synode : tout partira des Églises locales ».

« Les 9 et 10 octobre, une cérémonie solennelle en présence du Pape donnera le coup d’envoi d’un itinéraire de trois ans, divisé en trois phases (diocésaine, continentale, universelle), fait de consultations et de discernement, qui culminera avec l'assemblée initialement prévue en 2022, qui sera finalement organisée en octobre 2023 à Rome.

«Chacun à l’écoute des autres ; et tous à l’écoute de l'Esprit-Saint». Pour rendre concrète et visible cette synodalité souhaitée par François depuis le début de son pontificat, le prochain synode des évêques, prévu pour octobre 2023, ne sera pas célébré uniquement au Vatican mais dans chaque Église particulière des cinq continents, suivant un itinéraire de trois ans, divisé en trois phases : diocésaine, continentale, universelle.

Pour la première fois, un synode décentralisé

C'est la première fois dans l'histoire de cette institution créée par Paul VI pour poursuivre l'expérience collégiale du Concile Vatican II qu'un synode «décentralisé» est célébré. Précisément lors de la cérémonie de commémoration du 50e anniversaire de l'institution du synode, en octobre 2015, le Pape François avait exprimé son désir d'un parcours commun «laïcs, pasteurs, évêque de Rome». » (vaticannews.va)

Durée du concile Vatican II : 3 ans.

Durée du synode bergoglien : 3 ans.

Durée du Christ au tombeau : 3 jours, du vendredi après-midi, pour ressusciter le dimanche matin (dans la pensée juive du Ier Siècle, une partie d’un jour était considérée comme un jour entier).

Bergoglio prépare aussi une nouvelle lignée de prêtres « non sacrés » avec le Symposium théologique sur les vocations sacerdotales de février 2022  où déjà on annonce que « les vocations sacerdotales naissent dans les communautés ».

Si on ne peut arrêter le sacrifice perpétuel, alors éliminera-t-on le pouvoir qui appartient au prêtre de procéder au sacrifice perpétuel?

À quand la première rencontre ou célébration œcuménique au temple abrahamique où le Christ sera absent?

À une moitié de la semaine de Daniel en mai 2023?

« Michael Haynes note :

Tenace a mentionné l’image du prêtre comme le ministre ordonné qui dirige la paroisse et administre les sacrements, comme relevant d’« une vision très limitative », suggérant qu’« il y a urgence » pour le symposium à corriger cette vision, « parce que la communauté entière doit être considérée ».

L’insistance de Tenace sur une nouvelle compréhension du sacerdoce en référence à la communauté, semble s’aligner étroitement sur une erreur condamnée par le pape Pie XII dans son encyclique Mediator Dei (1947), qui mettait en garde contre la fausseté de la position suivante : « Ils affirment que le peuple possède un véritable pouvoir sacerdotal, tandis que le prêtre n’agit qu’en vertu d’une fonction qui lui est confiée par la communauté. »

Dans son ouvrage La Messe et les Sacrements, le théologien du XXe siècle, le père John Laux, a mis en garde contre les dangers inhérents à la promotion répandue et non clarifiée du sacerdoce des fidèles, puisque c’est sur cette base que Martin Luther s’est rebellé contre les autorités ecclésiales.

Laux a également noté que s’il existe un sacerdoce universel des fidèles, ce n’est pas la seule forme de sacerdoce puisqu’il existe la plus grande forme de sacrifice et de sacerdoce instituée par le Christ, la messe et les descendants ordonnés des apôtres :
« Tous les fidèles sont bien “une race élue, un sacerdoce royal”, mais ils ne sont pas les représentants du Christ à l’autel, ils ne changent pas, à la messe, le pain et le vin en Corps et Sang du Christ, ils ne sont pas les “dispensateurs des mystères de Dieu”, ce n’est pas à eux que le Christ a dit : “Faites ceci en mémoire de moi”. »… » (leblogdejeannsmits.blogspot.com)

Le synode bergoglien de 2023 est d’inspiration satanique, et non du Saint-Esprit comme ils aiment si bien l’affirmer.

Il est en lien direct avec le synode amazonien et le retour au paganisme, aux idoles, qui sera accordé à chaque église locale.

C’est une tentative (car ils ne réussiront pas) de démantèlement du corps mystique du Christ par la dilution de la possibilité qui est accordé de changer le pain en la présence réelle du Christ.

Bergoglio a toujours affirmé qu'il suivait une feuille de route et qu'il n'y aura pas de retour en arrière.

Ce synode sera la concrétisation de cette feuille de route.

Son testament.

La limite de Babylone n'est plus très loin.

À suivre...

14 mai

Hier, 13 mai, fête de Fatima, commençait le 105ème année depuis l’apparition de 1917.

Mais, il faut attendre 153 jours, c’est à dire le 13 octobre, avant d’entrer définitivement dans la 105è année.

Les Pères de l’Église, saint Augustin en tête, nous enseignent que le 17 et le 153 désignent le Christ, car le 153 est un nombre triangulaire basé sur le 17 (la somme des chiffres de 1 à 17 donne 153).

On sait l’importance du 153; c’est le chiffre des justes, du jubilés des jubilés de Saint-Augustin, le nombre caractéristique de la mission du Christ dans le nouveau testament qui symbolise l’ensemble des rachetés. (voir analyses précédentes).

Le chiffre de Marie est le 13 : la lettre M demandée rue du Bac au dos de la médaille miraculeuse est la 13ème lettre de l’alphabet, et la série des apparitions tous les 13 du mois à Fatima vient confirmer ce choix (la Sainte Vierge étant aussi la 13ème après les 12 apôtres).

13, est le chiffre de la purification.

Treize, c'est l'élément de trop, celui qui fait passer d'un cycle à un autre.

En effet, Bergoglio a été élu le 13 mars 2013.

14, c’est l’accomplissement, la fin du cycle.

Déjà, dans l’analyse du  26 avril « LA PURIFICATION DE L’ÉGLISE » nous y entrevoyons la fin d’une purification, c’est à dire l’Ascension de l’Église (40 ans après la tentative d’assassinat de JP II; le bâtisseur qui a accéléré le plan Vatican II, et celui qui a poussé l’œcuménisme définitivement vers l’avant avec la rencontre d’Assise de 1986).

Bergoglio a souligné évidement ce 40ème anniversaire hier:

« Il y a des dates, en raison de l’événement auquel elles sont liées, qui appartiennent non seulement aux livres d’histoire, mais qui sont aussi inscrites dans les pages de l’histoire de nos vies. L’empreinte laissée par ces événements est si forte que, même des années plus tard, nous nous souvenons parfaitement de l’endroit où nous étions et de ce que nous faisions lorsque la nouvelle nous est parvenue. Le 13 mai 1981 est sans doute l’une de ces dates.» (vaticannews.va)

Une génération biblique dure aussi 40 ans.

Le 25 mars 2000, nous sommes entrés dans la 51ème génération après le Christ.

Le jubilé de l’an 2000 (50 générations) décrété par Jean-Paul II, représenté par le chiffre 50 (voir analyses précédentes) est terminé.

C’est la Pâques de l’Église, la transition apostate avec cette génération.

2000 + 40 ans donne donc 2040.

Nous connaissons tous l’importance du passage en Matthieu 24 pour la fin des temps.

« Écoutez une comparaison prise du figuier. Dès que ses rameaux deviennent tendres, et qu'il pousse ses feuilles, vous savez que l'été est proche. Ainsi, lorsque vous verrez toutes ces choses, sachez que le Fils de l'homme est proche, qu'il est à la porte.

Je vous le dis en vérité, cette génération ne passera point que toutes ces choses n'arrivent.

Le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront point. » (Matthieu, 24, 32).

Le Christ nous a donc donné l’indice que la dernière génération ne passera point avant que nous voyons la fin des temps, dans un contexte apostat presque total (mes parole ne passeront point) à part les deux témoins fidèles à la Loi et aux Prophètes (ceux qui conservent et vivent l’Évangile dans leur cœur).

Ce qui est ramené à 2000 ans plus l'âge du Christ par Jean XXIII à la toute fin des prophéties de l’Église (voir analyses précédentes)…

Moins le temps écourté promis par le Christ car le petit reste y passerait.

Mais revenons au chiffre 105 qui est le triangulaire de 14: la fin d’un cycle, et aux 153 jours d’ici le 13 octobre.

Le 105 représente la délivrance de l’âme au prise à de terribles tourments et souffrances.

C’est la gloire de la résurrection après l’épreuve du Calvaire.

Notez aussi qu’il y a aussi 153 jours entre le 19 mars, Fête de Saint-Joseph et le 19 août, date où la l’apparition a été décalée à Fatima parce que la franc-maçonnerie avait enfermé les enfants le 13 août pour leur soutiré les fameux 3 secrets (Satan s’inquiétait à propos de celle qui lui écrasera la tête de son talon!).

Lors de la vision du 19 août 1917, les 3 enfants se firent confirmer le miracle du 13 octobre tout en confirmant que le père putatif de l’Église, Saint-Joseph, et l’Enfant Jésus seront là pour apporter la paix dans le monde.

Ce qui fut.

Et il est clair qu’à la fin des temps, la Sainte Famille a toute son importance car Joseph est Père de l'Église.

Or, nous sommes bien dans l’année de Saint-Joseph proclamée par le Vatican, par un triple jubilé (150 ans).

Aussi, nous devons avoir à la mémoire la 105ème devise de la prophétie de Saint-Malachie, « la foi intrépide ».

Nous avons souligné dernièrement que le confesseur de Soeur Lucie, Mgr da Silva, écrivit en mars 1937 au pape Pie XI « pour lui exposer les deux grandes demandes de Notre-Dame, à savoir la consécration collégiale de la Russie et l’approbation de la dévotion réparatrice des premiers samedis.

Par un heureux concours de circonstances, la requête de Mgr da Silva parvenait au Pape deux semaines après la publication de son encyclique Divini Redemptoris, condamnant le communisme comme « un fléau satanique » et appelant à lui résister en face, sans chercher de compromis.

Pie XI a publié Divini Redemptoris le 19 mars 1937, à la fête de Saint-Joseph, soit il y a 84 ans, l’âge d’Anne la prophétesse.

84 est le double des 42 ans de l'Apocalypse (1260 jours), donc 2X42 puisque Babylone se verra remettre au double.

Apocalypse 18, 6 : « Payez-la comme elle-même a payé, et rendez-lui au double selon ses œuvres ; dans la coupe où elle a versé à boire, versez-lui le double. »

Il faut souligner aussi en cette année 2021 le fait que Notre Dame de Guadelupe est apparu le 12 décembre 1531.

Le 153 lié au 1(153+le 1), à l’unité, le 12 du 12ème mois, soit le chiffre des justes, 12X12 ou les 144000 justes de l’Apocalypse.

Or, cela fera 490 ans, soit le 7X7 multiplié par le chiffre du Père, le 10.

Le 49 annonce la fin d’un jubilé, tout en représentant la perfection associé au 10.

Il semble que toute la Sainte Famille est donc réuni pour la chute de Babylone en 2021.

Et comme Notre-Dame du Rosaire et Notre-Dame des Douleurs sont apparus aux enfants le 13 octobre 1917 en plus de Saint-Joseph et l’Enfant Jésus, il semble que nous avons l’alpha et l’oméga avec le 105: 1917-2021.

En ce 14 mai, où le décompte des 153 jours commence, le signal de la fin d’un cycle babylonien, signal concocté cette fois par…
Bergoglio et le Vatican, est donné.

« Dreaming of a better restart » ou « Rêvons d’une meilleure réinitialisation » sur la base de « Fratelli Tutti » (Tous Frères) est une conférence des Académies pontificales des sciences et des sciences sociales.

Ils ont choisi comme couverture le « panthéon de Rome », le temple des dieux, pour marquer le retour au paganisme, voulant ainsi éclipser la basilique Sainte Vierge de tous les Martyrs. (segib.org)

Une seule journée. Aujourd’hui. Le 14.

Au lendemain de la fête de Notre Dame à Fatima.

Du gros calibre babylonien.

« Conférence sur la grande réinitialisation / Le Vatican accueille à nouveau l’élite (pro avortement) de l’écologie

La secrétaire américaine au Trésor Janet Yellen, l’envoyée du président Biden John Kerry pour le climat et les chefs du FMI, de la Banque mondiale et de l’Union africaine assistent aujourd’hui à une conférence de haut niveau au Vatican sur le rêve d’un meilleur redémarrage…

Kerry, organisateur principal du Sommet de la Terre, est l’un des deux orateurs principaux à la réunion d’aujourd’hui. L’autre est la directrice générale du Fonds monétaire international Kristalina Georgieva. Les deux orateurs principaux sont au Vatican en personne.

Raj Shah, président de la Fondation Rockefeller, qui, avec ses projets humanitaires, finance des programmes mondiaux de contraception et d’avortement depuis des années participe également à la réunion…

Parmi les autres collaborateurs, deux conférenciers réguliers aux académies pontificales: les économistes Jeffrey Sachs et Joseph Stiglitz, tous deux alignés sur la gauche politique. Sachs, un défenseur du contrôle de la population, connu pour son soutien non critique à la Chine et sa collaboration étroite avec le sénateur Bernie Sanders, a profité de sa dernière participation à une réunion de l’académie pontificale pour lancer une attaque vicieuse contre l’administration Trump des mois plus tôt des élections présidentielles…

Le programme de la conférence note que le Pape François, « comme beaucoup d’autres dirigeants, a souligné que cette situation nécessite un nouveau départ de solidarité et de fraternité dans la configuration économique et politique mondiale du point de vue du développement humain »…

Les Académies sont également devenues étroitement liées à l’Organisation des Nations Unies pour objectifs de développement durable (ODD), de qui sont eux – mêmes au centre de la discussion d’aujourd’hui… » (ncregister.com)

À noter que la publicité du programme mentionne un passage de Fratelli Tutti au tout début, ce qui veut tout dire.

L’Évangile devient sous la transformation de Bergoglio, la base de la religion humaine socialiste.

Ce passage souligne l’importance de la «musique de l’Évangile» qui imprègne tous les aspects de la vie et est «la source de la dignité et de la fraternité humaines».

10 mai

En relation avec le texte du 666 dans la dernière analyse, la dernière conférence internationale du Vatican sur la santé :

«  Esprit, corps et âme au cœur de la 5e conférence internationale sur la santé »

« Du 6 au 8 mai, le Conseil pontifical de la culture et la Fondation Cura organisent un webinaire spécial pour explorer les points communs entre la religion et la spiritualité en matière de santé et de bien-être, tout en examinant la relation entre l'esprit, le corps et l'âme. Un message du Pape est attendu au terme de ce colloque virtuel de trois jours... » (vaticannews.va)

En date d’aujourd’hui, rien ne transpire sur le  net à propos de cette conférence. Pas encore de message de Bergoglio, à part qu'à l'ouverture.

Maître de l'ambiguïté pour ne pas se mouiller complètement et laisser les portes ouvertes, Bergoglio y est allé de ceci:

« Il a salué l’évolution des techniques médicales, qui «ont ouvert devant nous un horizon de connaissances et d'interactions qui, il y a quelques siècles, n'étaient même pas concevables». Ce «progrès des connaissances» se traduit «par des recherches plus sophistiquées et des soins toujours plus adéquats et précis», notamment dans le «vaste champ de recherche dans le domaine de la génétique, visant à vaincre diverses maladies».

Mais précisément, cette recherche, a observé le Pape, «pose aussi des questions anthropologiques et éthiques fondamentales, comme, par exemple, la question de la manipulation du génome humain pour contrôler ou même surmonter le processus de vieillissement, ou pour obtenir une amélioration de l'être humain»... » (vaticannews.va)

Oui pour la manipulation génétique, où l'humain devient comme Dieu, mais... mais...

Il faut faire attention au niveau de l’éthique selon lui, qui est une belle valeur de cette nouvelle religion humaniste.

Pourtant le message de Bergoglio d’aller se faire vacciner au plus vite avec des vaccins « éthiquement contestables », tous issus de fœtus avortés ou de manipulations génétiques, contrevient à l’éthique de l’Église.

C’est une collusion directe de Satan contre le Père.

Or, Bergoglio ne s'est jamais mouillé sur ce sujet alors que beaucoup de cardinaux et d'évêques demandent de mettre le pied à terre, comme l'Église doit le faire!

Le mystère d’iniquité à l’oeuvre.

Le cardinal Parolin, futur Pierre II le romain de la prophétie de St-Malachie (voir analyses précédentes) y est allé aussi de son grain de sel à l'ouverture de cette conférence:

« Le cardinal Parolin alerte contre le risque d’effondrement systémique

Dans un message vidéo pour l'ouverture de la 5e Conférence internationale "Mind, Body and Soul", promue par le Conseil pontifical de la culture et la "Cura Foundation", le Secrétaire d'État du Saint-Siège a alerté sur la souffrance et la désolation engendrées par les conduites égoïstes d’une partie de l’humanité, prédatrice vis-à-vis de l’environnement... » (vaticannews.va)

Ahhhh! Laudati Si.

On ne manque aucune occasion au Vatican pour nous le rappeler.

Parlant justement d’anthropologie et de pandémie…

Où la grande apostasie règne, et où l’humain athée aveuglé se divinise, grâce en partie à Bergoglio qui ne sait pas diriger le troupeau.

« … En réalité, la plus grande (et la plus grave) conséquence des politiques menées pour – prétendument – lutter contre la pandémie est de nature anthropologique, et ce qui en émergera, c’est « un homme-masse désincarné et à désincarner ». Là est le vrai Great Reset…

Le covid change l’anthropologie. Quel genre d’homme veut-on voir émerger des ruines de la politique anti-Covid? Un individu dépourvu de relations: le médecin généraliste n’est pas consultable, les membres de la famille sont des ennemis potentiels. De plus, les enfermements s’appliquent à tous, que l’on vive dans une ville ou dans un village. C’est un homme-masse désincarné auquel il faut changer sa façon de travailler et d’apprendre, de pleurer les morts, de prier. Un homme hétérodirigé, dépendant de la machine sanitaire et politique, sans conscience, parce que dangereuse, qui fera coïncider la vérité avec les données institutionnelles, attentif à ce qu’il dira et à qui…

Enfin, la question la plus importante. L’anthropologie de ceux qui gèrent les politiques anti-covid est celle d’un homme athée : un individu solitaire, malléable et hétérodirigé précisément parce qu’il est athée. Surtout, il est craintif et effrayé parce qu’il est athée. Avec Lourdes et les sanctuaires dédiés à Notre-Dame du Salut fermés, les prêtres célébrant avec des masques et des désinfectants pour les mains, les volontaires des carabiniers dans les allées, peu d’espaces ont été réservés à l’esprit et les rites religieux ont été remplacés par des rites sanitaires. » (benoit-et-moi.fr)

Cette grande apostasie en est une de manipulation mentale du mystère d’iniquité, nourrit par le culte covidien :

« Encore un article hors des clous par rapport à l’idéologie dominante, dont le ton semble toutefois suffisamment pondéré et les arguments rationnels pour mériter l’attention (même si, à l’instar de Marcello Veneziani, « je sais que je ne sais pas »… et donc je doute). L’auteur est un dramaturge et romancier américain qui vit à Berlin, CJ Hopkins. A travers son exemple personnel, il analyse les processus de manipulation mentale, fortement inspirés aux mouvements sectaires mais mis en œuvre à l’échelle planétaire pour imposer un culte nouveau et fabriquer ce qu’il nomme une « Nouvelle normalité ». (benoit-et-moi.fr)

Voilà où nous en sommes aujourd’hui.

Le peuple réclame une « nouvelle normalité » avec une fausse liberté.

La bête salive. Elle a faim et soif d'âmes.

Plus elle avance plus elle en demande.

Elle réclame l'église, l'arrêt du Saint Sacrifice.

Car présentement, l'églies, d’une vision théocentrique et christocentrique par l’Incarnation du Fils, est passée à une vision anthropocentrique où l’humain est devenu un dieu.

On l’a vu dans l’analyse précédente, l’Apocalypse désigne l’Antéchrist par le chiffre 666.

Le fait de tripler un chiffre consiste à le diviniser corps, âme et Esprit (le trois étant le chiffre de la Sainte Trinité).

Par conséquent, le 6 étant le chiffre de l’humain (créé le 6ème jour), Saint-Jean nous a donné le message que l’humain se sera divinisé par le 666 à notre époque.

Et toute cette manipulation pandémique est un processus, on le sait maintenant, de la grande réinitialisation, ce qui est impossible sans la monnaie digitale…

Or, « The Economist » du 8 mai le confirme… Soyez prêt pour le Fedcoin, l’Eurocoin, etc...

Avec le temple à gauche, la pyramide avec l’œil qui voit tout à droite, et « In Tech We Trust », en plus du G maçonnique au centre.

Ils ne se cachent plus.

Mais peu de gens ont les capacités de voir dans ce monde de mensonges entretenus délibérement.

Remarquez que cela survient pile dans la 33ème année après la parution de « The Economist » 1988 où ils planifiaient le phœnix (la nouvelle monnaie digitale ) pour 2018.

Le triomphe de Satan passe par l’imitation de la passion du Christ, mort et résurrection donc à 33 ans selon les pères de l’église.

Voici un message de Mgr Vigano quant à la grande réinitialisation qui doit avoir lieu, un message d'espérance.

« Carlo Maria Viganò: « La seule vraie grande réinitialisation est le retour à Dieu »

Je suis très reconnaissant au Dr Patrick Coffin de l’opportunité qui m’a été offerte de participer au Sommet mondial Truth Over Fear: The Vaccine and the Great Reset (7-9 mai 2021) (traduction: La Vérité par dessus la Peur: Le Vaccin et la Grande Réinitialisation)…

… Si seulement nous avions le bon sens de penser indépendamment, d’utiliser la rationalité dont le Père éternel nous a doté, nous comprendrions immédiatement que cette horreur n’est rien d’autre que le «monde à l’envers» voulu par l’éternel Ennemi de l’humanité, l’enfer sur la terre attendue par les serviteurs de Satan, le Nouvel Ordre Infernal qui est un prélude à l’avènement de l’Antéchrist et à la fin des temps. Ce n’est qu’ainsi que nous pourrions comprendre l’apostasie des dirigeants de l’Église, tous pris pour donner la preuve de l’obéissance à l’idéologie mondialiste au point de nier le Christ sur la croix et de préférer, au doux joug du Christ, les lourdes chaînes de Lucifer.

S’il y a une «Grande Restauration» dont l’humanité a vraiment besoin, cela ne peut se produire que dans le retour à Dieu, dans une véritable conversion des individus et des sociétés au Christ-Roi, que nous renversons depuis trop longtemps au nom d’un pervers. liberté qui accorde tout et tout légitime sauf le Bien. Cette « Grande Réinitialisation » a eu lieu sur le Golgotha, quand Satan a cru qu’il mettait le Fils de Dieu à mort et empêchait la Rédemption, alors qu’en réalité il signait sa propre défaite définitive. Ce à quoi nous assistons aujourd’hui n’est que les conséquences douloureuses de la bataille entre le Christ et Satan, entre la lignée de la Femme vêtue de lumière mentionnée dans l’Apocalypse et la lignée maudite de l’ancien Serpent. Ainsi, alors que nous approchons de la persécution des derniers temps, nous avons la certitude surnaturelle que même cette pandémie grotesque, misérable prétexte pour l’établissement d’une synarchie anti-humaine et anti-Christ, est vouée à la défaite, car le Christ a déjà vaincu la défaite éternelle, avec une victoire écrasante et inexorable. Forts de cette victoire d’époque, dont nous verrons peut-être très bientôt le triomphe, nous devons combattre sous la bannière du Christ Roi et sous la protection de la Reine des Victoires, à qui le Seigneur a donné le pouvoir d’écraser la tête du Mal. Une.

Si nous retournons au Christ, en commençant par nous-mêmes et avec notre famille, nous pourrons non seulement ouvrir les yeux pour comprendre l’absurdité de ce qui se passe autour de nous, mais nous pourrons également lutter efficacement avec les armes invincibles du Foi. « Omne, quod est ex Deo, vincit mundum: et haec est victoria, quae vincit mundum, fides nostra. Car tout ce qui est né de Dieu conquiert le monde; et c’est la victoire qui a vaincu le monde: notre foi »(1 Jn 5, 4). Puis la nouvelle tour de Babel, le château de cartes Covid, la farce des vaccins, la fraude de la Grande Réinitialisation s’effondreront inexorablement, manifestant dans son caractère diabolique le plan meurtrier de l’Adversaire et de ses serviteurs.

Regardons la Nouvelle Jérusalem qui descend du ciel, la Sainte Eglise, qui dans la vision de saint Jean apparaît «comme une épouse ornée pour son mari» (Ap 21, 2). Écoutons la voix forte qui annonce: « Et Dieu essuiera toute larme de leurs yeux, et il n’y aura plus de mort, plus de chagrin, pas de cri, pas de fatigue, parce que les choses anciennes sont passées » (Ap 21: 4). Notre « Grande Réinitialisation » s’accomplit en Notre Seigneur: « Voici, je fais toutes choses nouvelles » (Ap 21, 5), « Je suis Alpha et Oméga, le commencement et la fin » (Ap 21, 6). Puisse toute la Cour céleste nous assister et nous protéger dans cette bataille historique, dans laquelle nous sommes fiers de servir sous la bannière du Christ-Roi et de Marie Reine.

+ Carlo Maria Viganò, comme évêque

ancien nonce apostolique aux États-Unis d’Amérique » (aldomariavalli.it)

Il n'y a qu'un chemin menant au Père.

Nous savons lequel.

06 mai

LA DIVISION DE BABYLONE, DE BABYLONE VATICAN À BABYLONE NATIONS-UNIES

Le dernier Motu Proprio de Bergoglio sur la réforme de la transparence des finances au Vatican renferme un tour de passe passe : les crimes des cardinaux seront dorénavant jugés par des laïques qui recevront les formations nécessaires (droit canon, etc…) sous l’autorité directe de Bergoglio.

Avec ce Motu Proprio le sacrement de la confession, pour les cardinaux est terminé.

Mgr Vigano:

« Conformément à la énième disposition promulguée par celui qui, collégialement et synodalement, gouverne despotiquement par motu proprios, les cardinaux de la Sainte Église romaine peuvent être poursuivis et jugés par des laïcs. Il est impossible de trouver des explications raisonnables aux décisions improvisées de Bergoglio, qui s’est infiltré non seulement dans les dicastères romains et le synode des évêques, ou du moins religieux désordonnés, au nom de la synodalité, de la démocratisation et de la parité des sexes.Il n’est pas non plus inutile d’invoquer le Code de droit canonique, que le Pontife romain peut abroger à volonté. Il est inutile de déplorer la subversion hiérarchique qui permet à un membre de l’Église apprenante de juger un membre de l’Église enseignante. Quiconque croit que les normes et les réformes bergogliennes sont motivées par des buts justes et visent le bien du corps ecclésial est aux anges. Si vous avez l’honnêteté intellectuelle de reconnaître que le but de ces innovations est la démolition de l’Église catholique et la concentration tyrannique du pouvoir, vous comprendrez leur pleine cohérence et efficacité. Soumettre les prélats à un tribunal composé de laïcs nommés par le principal locataire de Santa Marta signifie soustraire la compétence des pasteurs pour la concentrer sur un individu sous couvert de démocratie, collégialité et participation des laïcs au gouvernement de l’Église. Nous avons ici un paradoxe rusé: Bergoglio impose des réformes apparemment démocratiques contraires à la constitution monarchique de l’Église du Christ dans le seul but de diviser et de prendre tout le pouvoir qu’il prétend lui-même vouloir combattre. Par ce geste, il monopolise le pouvoir de punir ou d’absoudre qui il veut, garantissant ainsi l’assujettissement des courtisans et promouvant une curie de flatteurs et de pots-de-vin corrompus.

Un royaume divisé contre lui-même est détruit, et toute ville ou maison divisée contre elle-même ne peut subsister (Mt 12, 25).

+ Carlo Maria Viganò »

L’histoire se répète.

Un royaume divisé annonce imminemment sa chute.

C’est ce que vit Saint-Siméon en reconnaissant le Messie : devant la lumière venant en ce monde il voit la division d’Israël, qui mènera à sa perte, à sa dispersion de par le monde.

« Mais la tâche de Siméon ne s’arrête pas là. Après la louange vient la prophétie : le don visionnaire de Syméon – sa lucidité - lui fait entrevoir le drame qui s’annonce : le peuple d’Israël n’acceptera pas la bonne nouvelle. Et ceci est un déchirement, tant pour Syméon que pour Marie. Cette division du peuple d’Israël va courir comme un fil rouge tout au long de l’œuvre de Luc. » (croire.la-croix.com)

La prophétie de Saint-Malachie sur la succession des papes se termine par la division, les tribulations :

« Dans la dernière persécution de la sainte Église romaine siégera Pierre le Romain, qui fera paître ses brebis à travers de nombreuses tribulations. Celles-ci terminées [les tribulations], la cité aux sept collines sera détruite, et le juge redoutable jugera son peuple. »

Pour l’Église, la division a vu le jour avec Vatican II plus particulièrement.

Et, c’est exactement ce qu’a prophétisé Jean XXIII (à propos de sa propre prophétie) au début de cette époque troublante :

« Puis arrivera Père l'inattendu, fils des champs et des eaux. Je ne le vois pas. Je crains pour lui. Pour son époque. Pour la Mère. Il marchera au milieu de gens divisés, prêts à mettre et à arracher la tunique du Rédempteur… »

La division est le signe précurseur de la chute.

Et Jean XXIII l’a utilisé à plusieurs reprises dans les prophéties politiques :

- Toi Marcus tu ne pourras rien de loin et tu ne sauras pas diviser, ton couteau est léger mais trop effilé. La lumière de la rencontre de paix se réfléchit, le reconnaît, le met en pièces.»

- Luther avait deux chefs ennemis et divisés.

- Quand l'Islam sera divisé, et les fils de Mahomet lutteront contre les fils de Fatima,

- Voici le livre qui invoque la haine, qui divise les hommes. Combien de mal il fera, combien de douleurs il fera naître, combien de guerres.

Division dans l’Église, aux États-Unis, dans l’islam…

En les mettant bout à bout nous avons bien l’image de notre époque.

Une époque sur le point de se terminer.

Car nous constatons que Babylone est divisée :

- divisions entre les deux factions judéo-maçonnique voulant s’accaparer la planète

- divisions instaurées par le mouvement « woke »

- divisions générées par la pandémie, la campagne de vaccination, les fausses nouvelles, etc.

« Sur quoi les Italiens, les Européens, les Occidentaux sont-ils vraiment divisés aujourd’hui, quelles sont les questions sensibles les plus significatives?

En premier lieu, les thèmes de la biopolitique, c’est-à-dire les domaines qui concernent la vie et la mort, la naissance et les sexes, le taux de natalité, les adoptions et les mères porteuses, les unions et les familles homosexuelles, le droit à la vie ou à l’avortement, les changements d’identité et le transhumanisme, les droits des animaux, les mœurs, les drogues.

En second lieu, elles affectent directement les catégories « protégées » car considérées comme insuffisamment protégées par les lois et coutumes en vigueur: autrement dit les femmes, les migrants, les noirs, les homosexuels, les trans, les Roms, les minorités religieuses.

En troisième lieu, elles concernent la mémoire historique collective, les identités, le patrimoine religieux des peuples, les traditions, les coutumes et leur rejet, les classiques et leur effacement, les arts et la censure, la toponymie, les monuments, les fêtes et les journées mondiales, le passé et sa négation. Ce sont les questions qui divisent le plus au niveau politique, civil ou idéal, au-delà des questions contingentes, sanitaires ou économiques. L’enjeu est la civilisation, menacée de l’intérieur et de l’extérieur. Toutes les questions qualifiées de « clivantes » pour le gouvernement actuel (la loi Zan [*], la question des migrants, le ius soli) remontent à ce dualisme…

Classons les deux lignes opposées de manière à ce qu’elles se respectent mutuellement: d’un côté, c’est le souci des droits de l’homme qui prévaut; de l’autre, c’est la défense de la civilisation en péril.

C’est-à-dire que, d’un côté, ce sont les pierres angulaires de la civilisation – la famille, le sens religieux, les liens communautaires, la tradition, les symboles, le patriotisme – qui sont en jeu; de l’autre côté, c’est l’acquisition de nouveaux droits civils, globaux, de genre, des minorités qui est en jeu. Y compris le droit de changer de visage, de sexe et de citoyenneté.

Les conflits les plus âpres portent en fait sur le racisme, le sexisme, le colonialisme, le suprémacisme, l’islamophobie, la xénophobie, l’homophobie, le négationnisme, mais ce sont des variations sur le même thème: la civilisation ou les droits humains globaux. » (benoit-et-moi.fr).

« La force d'un pays repose sur son unité culturelle. Quand ce n'est pas le cas, il est condamné à disparaître. »  (Pierre Hillard).

La division le résultat du 666, le chiffre de la bête.

« le « 7 » est le chiffre de la perfection, mariage du 4 (chiffre du monde créé) avec le 3 (chiffre divin par excellence, puisque chiffre de la Trinité). Le « 7 » est également le chiffre de la Création puisque le Multivers fut créé en sept jours. Et si le 8 est le chiffre du monde transfiguré, accompli, le 6 est celui du manque, de l’inachevé.

Le septième jour, Dieu se repose, c’est-à-dire qu’Il contemple Sa Création, qu’Il s’installe dans une relation libre avec elle. Relation d’altérité mais aussi d’Éternité….

Or le 6 refuse d’entrer dans cette dynamique de vie éternelle et béatifique. Le 6 rejette l’accomplissement, il ferme les portes, il s’enferme dans une vision finie de la réalité. Le 6, se coupe de la transcendance et se faisant, il se renferme sur lui-même. Au lieu de se laisser déifier par l’amour de Dieu, au lieu de se laisser porter sur le pont arc-en-ciel qui mène au Royaume, là où la Terre et le Ciel s’épousent, le 6 s’arrête au pied du pont et se déclare autosuffisant.  

Se gargarisant de sa suffisance, il oublie qu’il doit tout au Créateur et que Celui-ci l’inonde à tout moment de son amour. Celui qui s’arrête au 6 est le contraire du Christ donnant sa vie pour l’Humanité qu’il aime plus que tout, il est l’Antichrist qui est uniquement tourné vers lui-même aux dépens du reste du monde. Contrairement au règne de Vie et de liberté initié par le Christ qui vainc la mort et ouvre sur l’Éternité, l’Antichrist ne propose que l’esclavage de l’absurde et la mort.  

Pourquoi le 6 est-il répété 3 fois pour donner le 666 ?

Sans doute doit-on y voir le principe du chiffre appliqué à tous les niveaux de l’être : corps — âme — esprit. La dictature de la finitude et du non-sens établie, l’Antichrist peut étendre sa tyrannie totale.

La tyrannie sur le corps

Car en ne s’ouvrant pas à l’Éternité, en la refusant librement, l’angoisse de la mort aura tôt fait de submerger l’être humain trop conscient de sa fragilité physique.


La tyrannie sur les corps

L’avilissement de l’homme par l’homme dont se repaît l’Ennemi du genre humain. L’Antichrist est incarné par tous les esclavagistes modernes, dans tous les signes qui réduisent le corps à un objet (prostitution, pornographie…) ou au contraire dans ceux qui nient son existence (burqa, niqab…). La tyrannie du corps, le premier 6, détruit toute forme d’amour, de charité ou même d’empathie vis-à-vis de l’autre. Elle réduit le prochain à une donnée exploitable, un objet, une chose dont on peut user et abuser.

La tyrannie sur l’âme

À chaque période d’obscurantisme : iconoclastes byzantins, protestants, extrémistes ou talibans détruisant l’expression artistique, reflet de la Lumière de Dieu. Car les racines qui plongent dans la Source Trine produisent des arbres portant les fruits de l’art, de la joie, de la sérénité, de la profondeur de pensée, de la beauté, toutes choses que l’Ennemi abhorre, car elles font reculer son royaume. Lui qui met en place deux tactiques d’asservissement de l’âme : l’obscurantisme superstitieux et l’avènement de l’idiocratie. Le premier est porté par le dévoiement de l’esprit religieux qui s’oppose à l’intelligence, à la raison, à l’imaginaire (toutes des vertus qui viennent de Dieu) et la seconde est l’abrutissement de masse induite par la dose massive de platitudes et de vulgarités crachées par les télévisions du monde et certains sites Internet. Véritable poison de l’âme, il existe une contre-culture nocive qui se distingue, non par un message contestataire construit, non par une vision du monde singulière, mais bien par une action involutive détruisant toute culture et donc toute civilisation.

La tyrannie de l’âme

Le deuxième 6, détruit toute forme d’émerveillement et d’intelligence. Que ce soit en la censurant ou en la poussant dans les extrêmes de la déliquescence, la tyrannie exercée sur l’âme permet d’assécher les cœurs, de couper l’élan de désir vers Dieu ou d’installer une société de consommation qui va entretenir et amplifier la tyrannie du corps, chacun des trois éléments du 666 étant soutenu et amplifiés par les deux autres.

La tyrannie sur l’esprit

C’est la vision tronquée de Dieu, de Sa volonté et de Sa nature : répressions, tortures, châtiments, dolorisme, discriminations, machisme… La liste est malheureusement interminable et douloureuse. Douloureuse, car de la pulsion de l’homme pour Dieu devrait résulter des civilisations immortelles puisant leurs forces à la Source Immortelle. Dans un retour de balancier, l’homme a le réflexe de rejeter les images idolâtriques du Dieu terrible mais sombre alors dans un athéisme non moins catastrophique sur le plan de son évolution personnelle et collective. Il passe de la dictature de l’idole au refus conscient de son origine et de sa destination divine.  

La tyrannie de l’esprit

Le troisième 6 est peut-être le pire de tous, car il bâtit des murs entre le Créateur et sa créature aimée. De Père-Mère aimant et personnel qu’Il est réellement, Dieu devient, dans l’esprit perverti, un surveillant d’école, un gendarme, un maton ou à l’inverse une énergie mécanique floue ou un grand néant.

Une trinité blasphématoire et inversée

Le triple 6 est une trinité blasphématoire et inversée. Plus qu’un symbole, il est une émanation vomie par l’abîme, centre spirituel de haine et d’involution. Force impie, énergie triple d’entropie bien présente dans notre univers, elle s’infiltre partout comme une tache d’huile, de sorte que nous pouvons considérer que nous sommes réellement en terre occupée par l’Ennemi. Nulle institution, nulle conscience, nulle époque, nulle civilisation n’est à l’abri, notre seule espoir est d’ouvrir les bras à la Grâce qui pourra nous faire passer de l’incomplétude du 6 à la perfection du 7 pour finir au 8 transfiguré ! » (aleteia.org)

Deux choix donc s'offre à l'humain: une fusion avec Dieu par le 777 menant au 8, ou, une division par le 666 menant à l’apostasie, la mort de l’âme.

Voilà pourquoi Jésus déclarait qu’on ne peut servir Dieu ou Mammon à la fois… Et qu’il n’y a qu’un seul chemin menant au Père.

La division de Babylone est le témoin actif du système anti-christique 666 au niveau temporel.

Pour les « normaux » de notre société, c’est la chute et le brutal réveil qui les attend.

Pour ceux qui savent pertinemment que cette division visible n’est que le pâle reflet de cette guerre spirituelle qui est menée, c’est la Pâques de l’Église à l’image du Christ qui les attend.

Cette division devient alors un signe d’espérance.

Cette Pâques de l’Église est représentée le 5ème psaume des Vêpres, ces prières qui marquent le début et la fin d’une journée.

C'est l’alpha et l’oméga d’une période, d’un cycle.

Le 5ème psaume commenté par Dom Guéranger dans « L’année liturgique ».

« Quant au dernier et cinquième:

Le cinquième psaume rappelle la première Pâque, la sortie d’Égypte, et les merveilles qui l’accompagnèrent et la suivirent ; la mer Rouge, figure du Baptême ; l’eau qui jaillit du rocher dans le désert ; le culte des idoles aboli. La Pâque et la Pentecôte chrétiennes accomplissent tous ces symboles ; et par elles, la bénédiction se répand sur quiconque, juif ou gentil, veut craindre ou aimer le Christ. Pour prix de nos péchés, nous étions condamnés à descendre au tombeau ; nous aurions éternellement ignoré les cantiques de joie de la céleste Jérusalem ; la Résurrection du Christ nous a fait naître à la vie ; et nous chantons aujourd’hui, à sa louange et à celle de son Père céleste, le joyeux Alléluia. »

Le 5ème psaume (Psaume 114-115 (Vulg. CXIII)) commence au passage de la mer Rouge et témoigne de l’abolition du culte des idoles.

C’est le symbole de la chute de Babylone, de la mort des bêtes de l’Apocalypse.

Ce psaume fait aussi la distinction entre la maison d’Israël et la maison d’Aaron, soit l’image symbolique du peuple, et du clergé.

Ce sont les deux témoins de l’Apocalypse, les chrétiens et le clergé fidèles à la Loi et aux Prophètes.

C’est la libération des justes, bénis par le Seigneur, ceux qui sont vivants à l’intérieur.

C’est la Jérusalem céleste.

L’Église sera finalement purifiée.

Avril 2021

26 avril

LA PURIFICATION DE L’ÉGLISE

40 jours après la naissance de Jésus, le jour de la chandeleur, Marie alla au temple pour se purifier, selon la coutume, et présenter Jésus.

« C’est à l’occasion de la purification de Marie et de la consécration de Jésus à Dieu qu’a lieu la première révélation de Jésus comme Messie. Le prophète Syméon qui attendait la libération d’Israël, est le protagoniste privilégié de cet événement. Devant la lumière qui vient en ce monde il s’efface, comblé de gratitude. Cette scène heureuse et lumineuse est néanmoins troublée par l’annonce de la division d’Israël. La lucidité et la clairvoyance ne peuvent laisser dans l’ombre la part sombre de notre humanité. Ni empiéter sur notre liberté.
...

Il faut être un peu mathématicien et bien informé de l’attente des temps messianiques pour comprendre la portée de la toute première phrase de ce court passage : le « jour fixé par la loi de Moïse » désigne le jour fixé pour la purification de Marie qui a lieu quarante jours après l’accouchement.  Mais si l’on additionne les unes aux autres les différentes périodes qui ont eu lieu depuis la première annonce de Gabriel à Zacharie, au tout début de l’Évangile de Luc, on arrive à un total de 70 semaines. Ce chiffre n’est pas neutre. Il en est fait mention dans le livre de Jérémie (Jr 25, 11-14) et de Daniel (Dn, 9, 2 ; 21-24). Daniel pleure sur la ruine de Jérusalem et lit Jérémie.

L’Ange Gabriel vient expliquer que cette période de temps est nécessaire « pour que la justice de Dieu apparaisse ».

Le lecteur de Luc, à l’époque, ne s’y trompe pas. A travers ces quelques mots, c’est toute l’attente messianique d’un peuple qui est condensée. Attente d’un Messie, d’un roi qui délivrera Israël, le peuple de la promesse, du joug sous lequel il est maintenu. Les temps sont accomplis. Le jour fixé est arrivé.

...

Syméon, dont le nom signifie : « Dieu a entendu », attend lui aussi la Consolation d’Israël, c’est-à-dire sa libération, décrite au chapitre 40 d’Isaïe qui annonce l’ouverture du salut à toutes les nations. Poussé par l’Esprit, il se rend au Temple, l’unique demeure de Dieu sur terre.

La force de la vision

C’est alors que se produit la rencontre tant attendue de la promesse et de l’accomplissement. Syméon, affectueusement, prend l’enfant dans ses bras et il sait que c’est la lumière du monde qu’il porte et désigne à tous. Oui, il sait et il transmet. Son regard usé à force d’avoir scruté, observé, attendu, voit dans ce nouveau-né la lumière du monde. La tâche de veilleur de Syméon se termine. Son bonheur est si grand qu’il peut désormais s’en aller, s’effacer.

Qui d’entre nous peut se vanter d’avoir une telle constance, une telle vigilance, un tel sens du discernement et, surtout, de la transmission ? Car Syméon est non seulement un visionnaire mais c’est aussi un « communicant ». La force de la vision qu’il reçoit lui donne les mots pour dire le salut qui vient. Voilà une belle leçon pour nous qui avons à « lire les signes des temps ». Puissions-nous, comme lui, nous tenir dans cette attente active, sensible à l’Esprit.
… » (croire.la-croix.com)

40 jours.

40 jours dans le désert pour le Christ, le peuple et Moïse 40 ans dans le désert, le déluge a duré 40 jours, 40 jours de repentir pour le peuple de Ninive, 40 jours séparent l'Ascension de Jésus de sa Résurrection.

40 est le chiffre de la purification et représente donc le basculement d’une période vers une autre.

Considérant cette logique, puisque nous sommes à l’époque de la Passion de l’Église, à quoi correspondrait cette période de purification?

Si on remonte 40 ans en arrière, nous nous retrouvons en 1981.

C’est une année où le signe visible d’une attaque directe contre l’église est évident : la tentative d’assassinat de Jean-Paul II le 13 mai 1981.

Cet événement est important car le bâtisseur qui a accéléré le plan Vatican II est bel et bien Jean-Paul II.

C’est lui qui pousse l’œcuménisme définitivement vers l’avant avec la rencontre d’Assise en 1986.

Or, en 2021, le jour de l’Ascension tombe sur le 13 mai.

Serait-ce le terme de la purification de l’Église?

Serait-elle dû pour son Ascension?… Du moins par un marqueur de la fin de son Calvert?

Or, on le sait par les diverses prophéties souvent mentionnés dans les analyses, dont Jean XXIII : le pape actuel devra fuir.

Ce 13 mai 2021 pourrait bien être le jour où tout bascule.

C’est aussi la date de la première apparition de Fatima en 1917.

La fin de Bergoglio ou le décès de Benoît XVI pour entamer la fin de la prophétie le concernant, qui annonce la chute des deux Babylone.

Jean-Paul II s’était approprié le terme de « l’évêque vêtu de blanc » du 3ème secret (est-il authentique?) de Fatima révélé en 2000 pour clore le sujet quant à la tentative d’assassinat sur un pape.

Or, si le secret est vrai, avec ce que nous sommes témoins aujourd’hui nous savons tous que c’est Bergoglio, celui qui a renoncé au titre de vicaire du Christ, simple évêque de Rome, vêtu uniquement de blanc, sans le pourpre papal.

Citons de nouveau Anna Maria Taigi :

«  Un jour viendra où le Pape enfermé au Vatican se trouvera comprimé comme dans un cercle de fer. Toute espérance humaine sera perdue et c’est alors que Dieu fera éclater, tout à coup, sa miséricorde…

Les cadavres tués aux environs de Rome seront aussi nombreux que les poissons charriés dans cette ville par un récent débordement du Tibre…

La religion doit être persécutée et les prêtres massacrés. Les Églises seront fermées, mais seulement pour un court laps de temps. Le Saint-Père sera obligé de quitter Rome. »

La prophétie du Pape Saint Pie X: « Ce que je vois est effrayant ! Sera-ce moi ? Sera-ce mon successeur ? Ce qui est sûr, c’est que le Pape quittera Rome, et pour sortir du Vatican, il lui faudra passer sur les cadavres de ses prêtres ».

Or, il n’y avait pas que Syméon au temple pour être témoin de la venue du Messie.

« Il y a aussi dans le Temple une prophétesse, Anne, fille de Phanuel. Elle louait Dieu et parlait de l’Enfant à ceux qui attendaient le rachat de Jérusalem. La première Alliance est parvenue au terme de sa course, elle reconnaît en Jésus le Messie tant attendu. La prophétesse Anne annonce ainsi à tous ceux qui veulent l’entendre qui est véritablement cet enfant.» (fr.aleteia.org)

« Anne, elle aussi, est «prophète», porte-parole de Dieu. Elle est âgée de 84 ans, c'est dire qu'elle a 7 fois 12 ans. Dans la symbolique biblique des nombres, le chiffre 7 suggère la perfection et le 12 l'universalité. Le lecteur devine ainsi qu'Anne représente parfaitement les croyants de son peuple qui attendent «la délivrance de Jérusalem».» (croire.la-croix.com)

Est-ce que comme Saint-Syméon est relié à la prophétesse Anne de Phanuel, nous pouvons lier les 40 et 84 ans, en cette période où nous aussi nous attendons la délivrance des tentacules de Babylone pour la Jérusalem Céleste?

Le confesseur de Soeur Lucie, Mgr da Silva, écrivit en mars 1937au pape Pie XI « pour lui exposer les deux grandes demandes de Notre-Dame, à savoir la consécration collégiale de la Russie et l'approbation de la dévotion réparatrice des premiers samedis. Par un heureux concours de circonstances, la requête de Mgr da Silva parvenait au Pape deux semaines après la publication de son encyclique Divini Redemptoris, condamnant le communisme comme « un fléau satanique » et appelant à lui résister en face, sans chercher de compromis. Dans cette conjoncture providentielle, l'on devine avec quelle ardeur sœur Lucie priait et se sacrifiait pour que le Saint-Père prenne la décision salvatrice de consacrer la Russie au Cœur Immaculé de Marie.

Les semaines et les mois passèrent... Pie XI ne faisait point cas des demandes de la Reine du Ciel. » (crc-resurrection.org)

Voici des extraits de la lettre encyclique de Pie XI «DIVINI REDEMPTORIS», qui est un avertissement sévère sur le communisme athée et ses ravages, qui malheureusement s’est réalisé aujourd’hui avec la mondialisation et le socialisme si cher à Bergoglio... et le silence de l’église en ce temps de pandémie où Satan y va du dernier acte pour soumettre la chrétienté.

« LE COMMUNISME ATHÉE

1. La promesse d'un Rédempteur illumine la première page de l'histoire humaine; aussi, la ferme espérance de jours meilleurs adoucit le regret du paradis perdu et soutint le genre humain cheminant au milieu des tribulations; mais, quand fut venue la plénitude des temps, le Sauveur du monde, par son apparition sur terre, combla l'attente et inaugura, dans tout l'univers, une nouvelle civilisation, la civilisation chrétienne, autrement plus parfaite que tous les progrès réalisés jusque-là, au prix de tant d'efforts, chez certains peuples privilégiés.»

...

4. En face d'un pareil danger, l’Église Catholique ne pouvait se taire et, en fait, elle n'a pas gardé le silence. Le Siège Apostolique, qui a pour mission spéciale la défense de la vérité, de la justice, de tous les biens éternels niés et combattus, par le communisme, le Siège Apostolique. tout particulièrement, n'a pas manqué d'élever la voix. Depuis l'époque où des groupes intellectuels prétendirent libérer la civilisation humaine des liens de la morale et de la religion, Nos prédécesseurs attirèrent l'attention du monde, d'une façon claire et explicite, sur les conséquences de la déchristianisation de la société humaine.

...

8. Le communisme d'aujourd'hui, d'une manière plus accusée que d'autres mouvements semblables du passé, renferme une idée de fausse rédemption. Un pseudo-idéal de justice, d'égalité et de fraternité dans le travail, imprègne toute sa doctrine et toute son activité d'un certain faux mysticisme qui communique aux foules, séduites par de fallacieuses promesses, un élan et un enthousiasme contagieux, spécialement en un temps comme le nôtre, où par suite d'une mauvaise répartition des biens de ce monde règne une misère anormale. On vante même ce pseudo-idéal, comme s'il avait été le principe d'un certain progrès économique: quand il est réel, ce progrès s'explique par bien d'autres causes, comme l'intensification de la production industrielle dans des pays qui en étaient presque privés, la mise en valeur d'énormes richesses naturelles, l'emploi de méthodes brutales pour faire d'immenses travaux à peu de frais…

Ce que deviendrait la société.

12. Que deviendrait donc la société humaine fondée sur de tels principes matérialistes ? Elle serait une collectivité sans autre hiérarchie que celle du système économique. Elle aurait pour unique mission la production des biens par le travail collectif et pour unique fin la jouissance des biens terrestres dans un paradis où chacun " donnerait selon ses forces et recevrait selon ses besoins ". C'est à la collectivité que le communisme reconnaît le droit ou plutôt le pouvoir discrétionnaire d'assujettir les individus au joug du travail collectif, sans égard à leur bien-être personnel, même contre leur propre volonté, et quand il le faut, par la violence. L'ordre moral aussi bien que l'ordre juridique ne serait plus, dès lors, qu'une émanation du système économique en vigueur; il ne serait fondé que sur des valeurs terrestres, changeantes et caduques.

Bref, on prétend ouvrir une ère nouvelle, inaugurer une nouvelle civilisation résultant d'une évolution aveugle : " une humanité sans Dieu !.." »

Notez que l’encyclique de Pie XI a été publié intentionnellement et consacré (dans la conclusion) à Saint-Joseph le 19 mars 1937, soit à la même date que l’intronisation de Bergoglio.

Aussi pour fermer la boucle, donc 84 après l’encyclique, 2021 est une année consacrée à Saint-Joseph.

Saint Joseph représente l’Église pure dont il est le gardien et le patron.

L’Église éclipsée, celle qui règne dans les cœurs des deux témoins, qui perdure dans la tradition, la loi et les prophètes.

Saint Joseph, est l’époux putatif de la Sainte Vierge. Le pape, est donc l’époux putatif de l’Église.

Le 19 mars 2013, nous pensions que nous avions un pape proche des pauvres, simple, puisqu’il faisait un virage à 180 degré vis à vis de la tradition.

Maintenant, 8 ans ont passé.

Nous savons pertinement que François a refusé de prendre l’Église pour épouse.

Le siège est vide. Pas de pape. Qu’un évêque de Rome et un pape émérite, le katéchon.

« Deux frères et personne ne sera le vrai Père. La Mère sera veuve. » (Jean XXIII, prophétie concernant Benoît XVI).

Le temps de la purification achève.

22 avril

L’ÉGLISE ÉCLIPSÉE

Comme témoins d’une éclipse, tous nous sommes sous l’ombre…

Même ceux qui distinguent l’ombre de la lumière.

Mais ces derniers, sont au courant que l’ombre n’est que passagère, car ils connaissent les écritures.

Mgr Vigano nous renseigne sur l’Église éclipsée et nourrit notre foi face à cette période « passagère ».

« 20 avril 2021 ( LifeSiteNews ) –

Du 6 au 8 mai 2021, aura lieu la cinquième Conférence internationale du Vatican, intitulée Explorer l’esprit, le corps et l’âme. Unissez-vous pour prévenir et unissez-vous pour guérir. Une initiative mondiale de soins de santé: comment l’innovation et les nouveaux systèmes de prestation améliorent la santé humaine . L’événement est organisé par le Conseil Pontifical pour la Culture, la Fondation Cura, la Fondation Science et Foi et Stem for Life.

Michael Haynes de LifeSiteNews a rendu compte des sujets à traiter et des participants, dont le tristement célèbre Anthony Fauci, dont les conflits d’intérêts scandaleux ne l’ont pas empêché de prendre en charge la gestion de la pandémie aux États-Unis; Chelsea Clinton, adepte de l’Église de Satan et fervente défenseur de l’avortement; le gourou du Nouvel Âge Deepak Chopra; Dame Jane Goodall, environnementaliste et experte en chimpanzés; les PDG de Pfizer et Moderna; des représentants de Big Tech; et toute une série d’avorteurs, de malthusiens et de mondialistes connus du grand public. La conférence a recruté cinq journalistes éminents comme modérateurs, qui proviennent exclusivement de médias de gauche tels que CNN, MSNBC, CBS et Forbes.

Cette conférence – avec le Conseil pour le capitalisme inclusif de Lynn Forester de Rothschild, le Pacte mondial sur l’éducation et le Panthéon interreligieux qui se tiendra en juin à Astana, au Kazakhstan – est la énième confirmation scandaleuse d’un départ inquiétant de l’actuel Hiérarchie, et en particulier ses plus hauts membres romains, issus de l’orthodoxie catholique. Le Saint-Siège a délibérément renoncé à la mission surnaturelle de l’Église, se faisant le serviteur du Nouvel Ordre Mondial et du globalisme maçonnique dans un contre-magistère antichristique. Les mêmes Dicastères romains, occupés par des gens idéologiquement alignés avec Jorge Mario Bergoglio et protégés et promus par lui, continuent maintenant sans retenue dans leur travail implacable de démolition de la foi, de la morale, de la discipline ecclésiastique et de la vie monastique et religieuse, dans un effort aussi vain que sans précédent pour transformer l’Épouse du Christ en une association philanthropique asservie aux puissances fortes. Le résultat est la superposition sur la véritable Église d’une secte de modernistes hérétiques et dépravés qui ont l’intention de légitimer l’adultère, la sodomie, l’avortement, l’euthanasie, l’idolâtrie et toute perversion de l’intellect et de la volonté. La véritable Église est maintenant éclipsée, niée et discréditée par ses propres pasteurs, trahie même par celui qui occupe le plus haut trône.

Le fait que l’Église profonde ait réussi à élire son propre membre pour mener à bien ce plan infernal en accord avec l’État profond n’est plus un simple soupçon, mais un phénomène sur lequel il est désormais essentiel de s’interroger et d’éclairer. La soumission de la Cathedra veritatis aux intérêts de l’élite maçonnique se manifeste dans toutes ses preuves, dans le silence assourdissant des Sacrés Pasteurs et dans la stupéfaction du Peuple de Dieu, abandonné à lui-même.

Démonstration supplémentaire de cette libido serviendi dégénérée du Vatican vers l’idéologie mondialiste est le choix des orateurs pour donner des témoignages et des conférences: partisans de l’avortement, de l’utilisation du matériel fœtal dans la recherche, du déclin démographique, de l’agenda LGBT pan-sexuel, et enfin et surtout, de le récit de Covid et des soi-disant vaccins. Le cardinal Ravasi, président du Conseil pontifical pour la culture, est certainement l’un des principaux représentants de l’Église profonde et du progressisme moderniste, ainsi qu’un partisan du dialogue avec la tristement célèbre secte maçonnique et un promoteur de la célèbre Cour des Gentils. Il n’est donc pas surprenant que parmi les organisateurs de l’événement figure la Fondation Stem for Life, qui se définit fièrement comme «une non sectaire, non partisane,
En y regardant de plus près, le sectarisme et la partisanerie de la Conférence du Vatican sont mis en évidence par le sujet qu’elle aborde, les conclusions qu’elle cherche à tirer, ses participants et ses sponsors. Même l’image choisie pour promouvoir la Conférence est extrêmement éloquente: un gros plan de la fresque de Michel-Ange de la Création au plafond de la Chapelle Sixtine, dans laquelle la main de Dieu le Père tend la main vers la main d’Adam, mais les deux mains couvertes de jetable, des gants chirurgicaux, rappelant les règles de la nouvelle «liturgie de la santé» et laissant entendre que même le Seigneur lui-même pourrait propager le virus.

(NDT : lien vaticanconference2021 du Vatican, remarquez le symbole de la conférence, le serpent qui se mord la queue (orouboros) encore une fois, et aux couleurs LGBT. Remarquez aussi que cette image représente une « nouvelle genèse » à partir de la pandémie : la grande réinitialisation et le nouveau monde technofasciste).

Dans cette représentation sacrilège, l’ordre de la Création est subverti en anti-création thérapeutique, dans laquelle l’homme se sauve et devient l’auteur fou de sa propre «rédemption» de santé. Au lieu de la cuve purificatrice du Baptême, la religion Covid propose le vaccin, porteur de handicap et de mort, comme seul moyen de salut. Au lieu de la foi en la révélation de Dieu, nous trouvons la superstition et l’assentiment irrationnel à des préceptes qui n’ont rien de scientifique à leur sujet, avec des rites et des liturgies qui imitent la vraie religion dans une parodie sacrilège.

Ce choix d’images a une sonnerie aberrante et blasphématoire, car il utilise une image bien connue et évocatrice pour insinuer et promouvoir un récit faux et tendancieux qui dit qu’en présence d’une grippe saisonnière, dont le virus n’a toujours pas été isolé selon les postulats de Koch et qui peuvent être efficacement guéris à l’aide des traitements existants. Il est nécessaire d’administrer des vaccins qui sont reconnus inefficaces et qui sont encore en phase d’expérimentation, avec des effets secondaires inconnus, et dont les producteurs ont obtenu un bouclier criminel d’immunité pour leur Distribution. Les victimes immolées sur l’autel de la santé Moloch, des enfants démembrés au troisième mois de grossesse afin de produire le sérum génique aux milliers de personnes qui ont été tuées ou mutilées, n’arrêtent pas la machine infernale de Big Pharma, et il est à craindre une résurgence du phénomène au cours des prochains mois.

On se demande si le zèle de Bergoglio pour la diffusion du sérum génique n’est pas également motivé par des raisons économiques de base, en compensation des pertes subies par le Vatican et les diocèses suite au verrouillage et à l’effondrement de la fréquentation des fidèles à la messe et aux sacrements. En revanche, si le silence de Rome sur la violation des droits humains et religieux en Chine a été payé par la dictature de Pékin avec des prébendes substantiels, rien n’empêche la réplication de ce schéma à grande échelle en échange de la promotion des vaccins par le Vatican.

La Conférence prendra bien évidemment soin de ne pas mentionner, même indirectement, l’enseignement perpétuel du Magistère sur des questions morales et doctrinales de la plus haute importance. À l’inverse, l’éloge sycophantique de la mentalité mondaine et de l’idéologie dominante sera la seule voix, avec le répertoire œcuménique amorphe inspiré par le Nouvel Âge.

Je note qu’en 2003 le même Conseil Pontifical pour la Culture a condamné la méditation du yoga et, plus généralement, la pensée New Age comme étant incompatible avec la foi catholique. Selon le document du Vatican , la pensée New Age « partage avec un certain nombre de groupes internationaux influents l’objectif de remplacer ou de transcender des religions particulières afin de créer un espace pour une religion universelle qui pourrait unir l’humanité. Étroitement lié à cela, il y a un effort très concerté de la part de nombreuses institutions pour inventer une éthique mondiale , un cadre éthique qui refléterait la nature globale de la culture, de l’économie et de la politique contemporaines. De plus, la politisation des questions écologiques colore certainement toute la question de l’hypothèse Gaia ou du culte de la Terre-Mère.»(2.5). Il va sans dire que les cérémonies païennes par lesquelles la basilique Saint-Pierre a été profanée en l’honneur de l’idole de pachamama s’inscrivent parfaitement dans cette « politisation des questions écologiques » dénoncée par le document du Vatican de 2003, et qui est aujourd’hui au contraire promue sine glossa par la so- appelé magistère bergoglien, à commencer par Laudato Sì et Fratelli Tutti .

A La Salette, Notre-Dame nous a prévenus: «Rome perdra la foi et deviendra le siège de l’Antéchrist.» Ce ne sera pas la Sainte Église, indéfectible par les promesses du Christ, qui perdra la Foi: ce sera la secte qui occupe le Siège du Très Bienheureux Pierre et que nous voyons aujourd’hui propager l’anti-évangile du Nouvel Ordre Mondial. Il n’est plus possible de se taire, car aujourd’hui notre silence ferait de nous des complices des ennemis de Dieu et du genre humain. Des millions de fidèles sont dégoûtés par les scandales innombrables des pasteurs, par la trahison de leur mission, par la désertion de ceux qui, par ordre sacré, sont appelés à témoigner du Saint Évangile et non à soutenir l’établissement du royaume de l’Antéchrist .

Je prie mes frères dans l’épiscopat, les prêtres, les religieux, et en particulier les fidèles laïcs qui se voient trahis par la Hiérarchie, d’élever la voix pour exprimer avec un esprit de véritable obéissance à Notre Seigneur, Chef du Corps mystique, une dénonciation ferme et courageuse de cette apostasie et de ses auteurs. J’invite chacun à prier pour que la Divine Majesté soit émue de compassion et intervienne à notre aide. Que la Très Sainte Vierge, terribilis ut castrorum acies ordinata , intercède devant le Trône de Dieu, compensant par ses mérites l’indignité de ses enfants qui l’invoquent avec le titre glorieux d’Auxilium Christianorum .

+ Carlo Maria Viganò, archevêque
20 avril 2021
La troisième semaine en dessous de 2
après l’octave de Pâques »

Mgr Williamson constate évidement cette église éclipsée par un article sur  « La Désintégration Du Pape – I » publié le 17 avril, 2021.

« Des Grecs, de leurs cadeaux, il fallait avoir peur  ? Mais pour Rome, les Grecs ne sont qu’enfants de chœurs !

Dans une interview publiée au début du mois dernier, le Père Davide Pagliarani, Supérieur Général de la Fraternité Saint Pie X, a abordé un sujet qui, selon ses propres termes, revêt une importance capitale pour l’Église et pour le monde d’aujourd’hui. De quoi s’agit-il  ? Ce thème n’est pas souvent traité, tant la chose paraît inconcevable, à savoir  : la décomposition de la pensée elle-même. En effet, analysant la pensée du Pape François, le Père Pagliarani conclut que le Saint Père, dans son désir d’atteindre l’homme moderne là où il est, abandonne tout système de pensée, toute philosophie, toute théologie catholique du passé, au sens classique de ces deux termes. Cela signifie que, pour atteindre l’homme moderne, le pape François renonce à la doctrine catholique.

Voici l’argumentation du Supérieur Général :

Le pape François évolue « au-dessus » de tous les systèmes de pensée. Alors que, pour Jean-Paul II, certaines doctrines restaient intouchables  ; alors que Benoît XVI se souciait de toujours paraître fidèle à la Tradition, le Pape François, prenant le contre-pied, démolit tous les bastions catholiques du passé. Toutefois, pouvait-il en être autrement  ? De même que Vatican II (1962–1965), avec sa liberté religieuse et son œcuménisme, sapait le dogme de l’Église, de même, au fil des décennies, l’enseignement moral conciliaire, déconnecté du dogme, ne pouvait qu’être emporté. C’est ainsi que, dans l’encyclique Amoris Laetitia de 2016, le pape François expose une approche entièrement nouvelle de la moralité comme s’il s’agissait d’une doctrine solennelle de l’Église, à savoir que Notre Mère l’Église, confrontée aux faits marquants de la vie moderne, doit devenir une toute autre mère . . . . Elle ne peut plus s’imposer ni imposer ses lois comme elle le faisait jadis  ; elle doit maintenant, écouter, comprendre et accompagner ses enfants  ; elle doit coller à leur comportement. De telle sorte que les principes moraux doivent suivre l’évolution de la pratique des hommes, selon les circonstances changeantes commandées par l’histoire.

Ce faisant, François se méprend sur l’amour. Aucune mère n’estimera qu’elle doit sauter dans l’eau d’une rivière dangereuse parce que son enfant y est sauté au péril de sa vie. Il se méprend également sur la miséricorde  : ce n’est pas faire preuve de miséricorde envers un homme que de le laisser dans un état de péché déplaisant pour Dieu. Une telle dénaturation de l’amour et de la miséricorde véritables de Dieu aboutirait, pour l’Église, à renoncer non seulement à tout l’ordre surnaturel, mais aussi à tout laisser faire « librement  » dans l’ordre naturel. Cette dénaturation fait qu’aucune barrière ne subsiste, car Notre Mère Église se trouve adaptée même aux péchés du monde en ne réclamant plus rien de ses enfants. Dans un premier temps, avec Vatican II, l’Église s’est adaptée au monde  ; maintenant, avec le Pape François, elle va encore plus loin en s’adaptant aux péchés du monde, délaissant ses enfants, profondément blessés par le péché originel, sans la Grâce surnaturelle qui pourrait les guérir.

Que propose donc le Pape François de mettre en place  ? Quel dessein ou quels objectifs assigne-t-il pour l’Église et le monde ? Premièrement, l’imposition dans tout l’univers d’une écologie intégrale utopique, afin que le monde entier s’occupe de la Terre Mère (Pachamama) dans tous les aspects matériels (Laudato sí, 2015)  ; deuxièmement, une fraternité universelle quasi-maçonnique devant s’occuper de ses semblables (Fratelli tutti, 2019).  Ainsi, Notre Mère l’Église en est réduite à n’exercer qu’un sacerdoce purement naturel, dépouillé de tout pouvoir surnaturel, entièrement soumise à l’humanitarisme d’un État séculier supposément supérieur.

Le Supérieur Général conclut que la véritable réponse à tous les problèmes modernes est que notre Mère l’Église prêche à nouveau la doctrine infaillible. A savoir  : la dimension surnaturelle et le destin de l’homme ordonné au Ciel éternel; la Chute temporelle de l’homme avec sa conséquence durable du Péché originel; le besoin absolu de la Grâce du Christ pour vaincre le péché. A elle seule, la doctrine du Christ Roi incarne l’Éternité du Ciel, la victoire du Rédempteur sur le péché, et l’aide indispensable de la Grâce surnaturelle, par Lui apportée, en tant que Rédempteur, pour permettre aux hommes de parvenir au Ciel. Et la Vierge Marie, Sa Mère, jouera un rôle tout particulier dans la victoire finale de l’Église, en triomphant des erreurs si subtiles et si pernicieuses, mais passagères.

L’analyse du Supérieur Général de la pensée et de l’action du Pape présente une cohérence et une logique dont nous devrions tous être reconnaissants. Une lumière brille encore certainement au sommet de la Fraternité Saint Pie X. Nous en remercions Dieu infiniment. Pour autant, cela signifie-t-il que la Fraternité soit hors de danger ? A voir. Un Docteur qui enseigne n’a pas toujours, en tant que tel, les vertus du martyr. Seigneur, ayez pitié de nous  !

Kyrie eleison »

Tous les eschatologues sérieux savent bien que la prophétie de la Salette est confirmée, que l’Église est éclipsée.

Les Mgr Vigano, Williamson, Scheider ainsi les cardinaux conservateurs dont Burke élèvent la voix, mais elles sont ridiculisées par Babylone Vatican, la grande prostituée.

Évidement, une échéance étant arrivée à terme signifie deux choses :

- la chute imminente de Babylone la Grande et,

- le retour Glorieux de NSJC.

Ce qui amène une mise à jour de l’analyse du 01 avril 2020, en pleine tourmente du début des méga-confinements à l’échelle de la planète où nous expliquions qu’il existe deux échéances s’y référant dans les prophéties de Jean XXIII.

La première « Il y a vingt siècles plus l'âge du Sauveur. Amen. » qui termine les prophéties de l’Église.

Benoît XVI a confirmé qu’il y a une marge d’erreur de six ou sept ans quant à la naissance du Christ, ce qui donne 2026.

La deuxième est de 7 ans démarrant lors de l’identification de la « fille de Caïn » (qui devait normalement concorder avec la semaine du prophète Daniel si nous devons en tenir compte).

Selon nos deux hypothèses, nous aurions donc 2023 si la fille de Caïn est la nouvelle église œcuménique instaurée par la signature de François avec les luthériens en octobre 2016, ou nous aurions 2025 si Greta Thunberg est la fille de Caïn sortie de l’ombre en août 2018.

Puisque le sacrifice et l’oblation sont pratiquement maintenant arrêtés à cause de la crise du coronavirus depuis le printemps 2020, il faudrait pencher pour la première hypothèse car ce fait arrive à la moitié de la semaine de Daniel comme prophétisé.

Et ce temps, comme on le sait, sera raccourci.
Nous ne connaîtront ni le jour ni l’heure du Jugement, seulement les signes qui nous avertiront de l’arrivée imminente de la chute de Babylone, des deux Babylone identifiées par Jean XXIII.

Donc en théorie il resterait entre 2 à 4 ans mais…

Nous constatons qu’il y a une accélération dans la suite des événements car les puissances du mal sentent leurs fins et ils doivent agir vite pour séduire le plus d’âmes possibles.

La clique judéo-maçonniste est passée en vitesse grand V avec la grande réinitialisation.

Comme le disait si bien Bergoglio à plusieurs reprises : il n’y aura pas de retour en arrière.

L’occasion d’une telle pandémie ne se représentera plus. Tout simplement.

C’est encore plus vrai avec la campagne de vaccination propulsée par l’élite, Bill Gates en tête avec le GAVI.

Rappelons les paroles de J. Attali (en 1981!), conseiller judéo-maçonnique pour plusieurs présidents français :

« On ne pourra pas non plus faire passer des tests d’intelligence à des millions et des millions de gens, vous pensez bien ! Nous trouverons quelque chose ou le provoquerons, une pandémie qui cible certaines personnes, une crise économique réelle ou pas, un virus qui touchera les vieux ou les gros, peu importe, les faibles y succomberont, les peureux, les stupides y croiront et demanderont à être traités. Nous aurons pris soin d’avoir prévu le traitement, un traitement qui sera la solution. La sélection des idiots se fera ainsi toute seule : ils iront d’eux-mêmes à l’abattoir. » (L’Avenir de la vie – Jacques Attali, 1981) – Entretiens avec Michel Salomon, collection Les visages de l’avenir, éditions Seghers.

Rappelons que les « vaccins » à ARNm existent depuis 1960 mais n’avaient jamais été utilisés parce que les résultantes sont, toujours à ce jour, inconnues.

Pierre Hillard a toujours affirmé que nous sommes dans une période d’une guerre entre les factions judéo-maçonnique, pour le partage du gâteau!

C’est ce que nous voyons entre les grands « dieux » de la vaccination, soumis à l’élite de la kabbale.

« L’Agence italienne des médicaments (Aifa): les vaccins Pfizer et Moderna ont causé plus de décès qu’AstraZeneca. Pourtant, ce sont eux qui sont destinés à rester seuls sur le marché. Effet d’une guerre commerciale sans merci. Et Bill Gates, qui a des intérêts dans Pfizer, a financé une étude, publiée dans le New England Journal of Medicine, qui démolit l’efficacité d’AstraZeneca… Mais – se demande-t-on aujourd’hui, après les données communiquées par l’Aifa – AstraZeneca est-il vraiment le « mauvais vaccin », qui va devenir une sorte de bouc émissaire?

Face à la réalité désormais indiscutable des effets indésirables après une vaccination, quelqu’un doit payer, afin de garantir que d’autres vaccins continuent d’être utilisés.

D’une certaine manière, c’est admettre ce que certaines voix tentent depuis un certain temps avec beaucoup de difficultés – étouffées par le bruit médiatique – d’expliquer: cette campagne de vaccination est une grande expérience. Ce fait étant finalement admis, le récit officiel pourrait commencer à dire: c’est vrai, il peut y avoir des vaccins qui provoquent des effets secondaires, des vaccins « mauvais », mais heureusement il y a des vaccins « bons »…

Si au départ on a proclamé l’avènement du dieu vaccin, au lieu de Celui Un et Trin, aujourd’hui on constate que dans l’Olympe des vaccins il y a des affrontements très lourds…

Certains commencent à se demander s’il existe une stratégie de communication concernant les informations sur les événements indésirables. En effet, on constate que lorsqu’un décès ou un effet indésirable grave est survenu après l’intervention d’AstraZeneca, le vaccin en question est invariablement cité. En revanche, lorsque le médicament Pfizer est administré, il est dit que la personne est décédée « après la vaccination », sans nommer le sérum responsable. …

La Fondation Bill Gates a financé une étude visant à évaluer la sécurité et l’efficacité d’AstraZeneca par rapport au variant sud-africaine.
L’étude a été récemment publiée dans le prestigieux New England Journal of Medicine, et les résultats parlent d’une faible efficacité. Un autre coup dur pour le fabricant, en provenance du magnat américain, qui depuis 2002 est un financier de Pfizer, et qui a financé le développement du vaccin Moderna à travers sa créature, la Coalition For Epidemic Prepared Innovations (CEPI)…

Qu’est-ce qui différencie les « bons vaccins » des autres ? Que ce sont ceux à ARNm.

Au-delà de la possible guerre commerciale entre les entreprises, il y a aussi cet aspect qui inquiète: il semble que l’on veuille penser que les meilleurs produits, le vrai dieu-vaccin, sont ceux qui utilisent cette technique très récente et expérimentale. Cela pourrait même être le prélude à une révolution dans le domaine de la vaccination…
 

Dr Paolo Gulisano » (benoit-et-moi.fr).

Ce qui appelle la célèbre phrase du Christ sous Matthieu (24,28) :

« Partout où sera le cadavre, là s'assembleront les aigles ».

Cette citation est juste avant la mention du seul signe visible que nous aurons avant le Jugement, le signe de Jonas, soit les trois jours de noirceur (voir analyses précédentes).

Et le Christ a été assez clair avec la parabole du figuier aux jeunes rameaux tendres qui suivait :

« Ainsi, lorsque vous verrez toutes ces choses, sachez que le Fils de l'homme est proche, qu'il est à la porte. » (Matthieu, 24,33)

Bruits de guerres, pandémie, famines, bouleversements climatiques, etc.

Nous sommes témoins de « toutes ces choses ».

Présentement.

Il y a une corrélation directe entre la poussée pour la pseudo-victoire des sbires de Satan, et l’action qui sera prise par NSJC pour son retour en Gloire.

Sinon, le petit reste y passerait.

C’est donc dire qu’il faut être prêt.

Maintenant.

Il n’y a plus de temps pour s’interroger à propos du signe de la bête révélé dans l’Apocalypse, tel que le passeport vaccinale qui est fortement suggéré par divers gouvernements (on tâte le pouls de la population, avant, pour voir si elle se révolte à une telle idée; et non, ils en veulent!).

La marque de la bête la plus dangereuse… Elle est du domaine spirituel.

Le monde apostasié infiltré dans ses pensées par le mal représente la marque sur le front, et la manière d’agir dans cette société représente la marque sur la main droite.

Le triage du bon grain et de l’ivraie est donc relier à notre façon de penser et d’agir en société : c’est notre degré de charité, d’amour profond qui nous habite qui est déterminant.

Selon les commandements du Christ, ou contre.

C’est le temps de l’épreuve.

La foi et l’espérance doivent primer.

Les événements et les nécessités pour prendre soins de notre corps, notre temple physique, nous contraignent d’être dans le monde.

Mais, par la Grâce divine et par nos efforts conscients pour se conformer à Sa Volonté selon les principes enseignés par Jésus, nous sommes en mesure de vivre dans le monde sans être du monde.

Cette distinction, établie par le Christ lui-même nous permet d’agir en tant que fils et filles de Dieu par notre baptême quels que soient les choix.

Il faut éviter la perte de l’âme.

Voilà comment ne pas adhérer à la marque de la bête.

Mgr Vigano dans une lettre aux italiens nous rappellait ce temps si important :

« … Ce que nous assistons à ces heures est dramatique - certainement dans toute l'Italie, mais d'une manière tragiquement exemplaire, à Rome, le cœur du catholicisme.

Le scénario est d'autant plus déconcertant que ce qui est en jeu n'est pas seulement la santé publique mais le salut des âmes - et depuis quelque temps maintenant, en tant que pasteurs, nous avons cessé d'enflammer le cœur de nos fidèles avec le désir du salut éternel. Nous les avons ainsi privés de ces dons surnaturels qui nous rendent capables de faire face aux épreuves ici-bas, même aux assauts de la mort, avec le pouvoir de la foi et cette étincelle d'espérance inépuisable et inébranlable qui nous vient de notre aspiration au destin de la gloire pour laquelle nous avons été créés... » Carlo Maria Viganò (remnantnewspaper.com)

« Tout homme veut laisser une trace qui demeure. Mais que reste-t-il? L’argent, non. Les bâtiments ne restent pas non plus, les livres non plus. Après un certain temps, plus ou moins long, toutes ces choses disparaissent. La seule chose qui reste dans l’éternité est l’âme humaine, l’homme créé par Dieu pour l’éternité. Le fruit qui reste est donc ce que nous avons semé dans les âmes humaines : l’amour, la connaissance, le geste capable de toucher le cœur ; la parole qui ouvre l’âme à la joie du Seigneur. » (Benoît XVI)

17 avril

LE PLUS GRAND SACRIFICE DE MASSE QUE CETTE TERRE AIE CONNUE?

La campagne de vaccination mondiale que nous vivons est identifiée par certains comme le sacrifice judéo-maçonnique du dernier droit.

« Dans l'esprit du mondialisme, c'est même nécessaire afin d'offrir en holocauste, au sens biblique du terme, une part importante de l'humanité en sacrifice. Dans leur état d'esprit d'inspiration sabbatéo-frankiste, ce sacrifice permet de passer à une étape supérieure afin d'obtenir en échange un « bien » , cette fameuse gouvernance mondiale d'inspiration satanique.

Plus ce sacrifice humain est important, plus la « récompense» est forte.» (Pierre Hillard, Chroniques du Mondialisme 2010-2020, note 477).

(entrevue de Pierre Hillard, les relations avec le présent sont surtout à partir de 2h29; ce qui précède est encore sur l’historique juive talmudique par rapport au mondialisme comme à l’accoutumé).

Mgr Gaume, dans « MORT AU CLERICALISME OU RÉSURRECTION DU SACRIFICE HUMAIN
» publié en 1877 ne s’attendait pas sûrement à ce que la situation s’envenime du poison satanique à ce point dans le siècle suivant.

Faut-il remarquer que Mgr Gaume n’avait pas vu encore les 1ère et la 2ème guerre mondiales… Et… Vatican II… lorsqu’il rédigea ce bouquin pour nous avertir…

Mais ses paroles sont d’or pour l’an 2021, année de la grande réinitialisation, 7 ans après le discours maçonnique de Christine Lagarde sur le chiffre 7 (voir analyses précédentes).

L’ordre par le chaos contrôlé…

C’est ce que l’élite désire et jusqu’ici, et bien il semble que tout va pour le mieux pour leur plan technofasciste... jusqu'a ce que NSJC n'y mette fin!

Mgr Gaume :

« CHAPITRE IX – POSSIBILITÉ DU RETOUR AU SACRIFICE HUMAIN.

1. Le sacrifice est tellement dans les lois de l’ordre éternel, qu’il a toujours et partout existé. Le vrai Dieu l’a exigé, et Il l’a eu. Singe de Dieu. Satan l’a exigé, et il l’a eu. Toujours le vrai Dieu s’est contenté du sacrifice des animaux.

Devenu le roi et le dieu de ce monde, princeps hujus seculi, deus hujus mundi, Satan ne s’est pas contenté du sacrifice des animaux. Ennemi implacable de l’homme, il a voulu avoir l’homme pour victime : et il l’a eu.

2. Il a fallu le sacrifice d’une victime divine, pour abolir le sacrifice des victimes humaines. Partout où la victime divine n’a pas été immolée, a régné et règne encore l’immolation des victimes humaines : que le sacrifice divin vienne à cesser, le sacrifice humain recommence.


12. Je viens de dire que la fin des temps est peut-être moins éloignée qu’on ne pense. Pour rendre non pas certaine, mais soutenable cette opinion, partagée par des hommes éminents, je n’aurai recours ni aux prophéties modernes, ni aux calculs chronologiques, ni aux commentaires de l’Apocalypse. Il me suffit de signaler un fait palpable, visible à tous les yeux. Le voici :

13. Il est divinement certain que vers la fin des temps, il y aura un règne antichrétien. Ce règne sera la plus formidable puissance qui se sera jamais élevée contre l’Église de Dieu. Les dangers qu’il fera courir même aux élus, seront tels que si les jours de ce règne diabolique n’étaient abrégés, personne ne serait sauvé : non salva fieret omnis cero.

Il est humainement certain que ce règne, si redoutable par son étendue, par sa puissance, par ses moyens de séduction, ne naîtra pas du jour au lendemain, comme le champignon sous le chêne. Il aura des préparations en rapport avec son infernale et sa gigantesque mission.

14. Je demande maintenant à quiconque jette un regard attentif sur la face de la terre : «Si, ce qu’à Dieu ne plaise, vous étiez chargé de préparer le règne antichrétien, vous y prendriez-vous bien autrement qu’on ne fait aujourd’hui, d’un bout à l’autre de l’ancien et du nouveau monde ?

Vous prêcheriez la négation radicale de tous les dogmes chrétiens ; vous émanciperiez les sens en poussant puissamment au matérialisme, au luxe, au sensualisme, et en oblitérant autant que possible le sens moral.

15. Afin d’ôter aux nations chrétiennes leur raison d’être, vous les rendriez apostates comme nations.

Vous anéantiriez l’autorité sociale de l’Église ; vous concentreriez tous les pouvoirs entre les mains d’un homme, déclarant la politique indépendante de la religion. Vous attireriez sur les catholiques et sur le clergé toutes les dérisions, tous les mépris et toutes les haines, en attendant que vous puissiez les séduire ou les exterminer. Votre cri de guerre serait le mot qui retentit dans Jérusalem quelques heures avant le supplice du Rédempteur et peu d’années avant la ruine de la cité déicide, image de la fin du monde : «Nous ne voulons plus que le Christ règne sur nous :

Nolumus hunc regnare super nos» (Luc, XIX , 14). Telle est, sauf erreur, la conduite que vous tiendriez et vous seriez logique.


17. Ainsi tout fait prévoir dans un avenir plus ou moins prochain des guerres immenses et conséquemment des hécatombes de victimes humaines. Cependant l’homme du monde attend la paix, le catholique le triomphe de I’Église.

La paix ! La paix au milieu du renversement de toutes les lois divines ! La paix lorsque toutes les tempêtes humaines sont déchaînées ! Non, le monde n’aura pas la paix ; il aura ce qu’il a voulu en se révoltant contre Dieu : la guerre avec toutes ses horreurs.


CHAPITRE XXXII – JUSTIFICATION DE CET OUVRAGE

1. Lucifer est l’ennemi personnel et implacable du Verbe incarné. Sa haine n’a qu’un but : rendre impossible la croyance au dogme de l’Incarnation. De là, les trois grandes erreurs qui résument toutes les autres et qui ont dominé le monde ancien, comme elles tendent à dominer le monde moderne.

Le Panthéisme ; si tout est dieu, pas d’Incarnation ;

Le Matérialisme ; si tout est matière, pas d’Incarnation ;

Le Rationalisme ; si toute vérité est renfermée dans les limites de la raison, point de mystère, partant point d’Incarnation.

2. Examinées avec soin, toutes les erreurs modernes, filles des précédentes, n’ont qu’un objet : la négation de la divinité de Notre-Seigneur. Ce seul dogme admis, elles s’évanouissent, comme la nuit devant le jour ; ce seul dogme rejeté, toutes les vérités sans base et sans cohésion tombent les unes après les autres, et l’humanité rentre dans le chaos.

Or, ce qui ne s’était jamais vu, la grande négation est aujourd’hui écrite, prêchée, accueillie avec une ardeur dont le spectacle fait monter la rougeur au front et remplit l’âme d’épouvante pour le présent, et plus encore pour l’avenir : c’est un signe des temps.
En effet, si Notre-Seigneur Jésus-Christ, auteur de la grande révolution qui a changé le monde, n’est pas Dieu, il faut répudier l’Évangile avec toutes ses conséquences, revenir au paganisme et se refaire des dieux au gré des passions. Déjà le monde n’est-il pas rempli de ces nouvelles ou mieux de ces anciennes idoles de luxure et de cruauté ?

3. Sans l’élément catholique qui lutte encore pour maintenir, sur son piédestal divin, la personne du Verbe incarné, le monde moderne retomberait dans les conditions du monde ancien. Plus cet élément s’affaiblit, ainsi que nous le voyons de nos jours, plus s’aplanit la voie au retour du démon sur ses antiques autels. La raison le dit et l’histoire le confirme. A l’homme d’aujourd’hui aussi bien qu’à l’homme d’autrefois, il faut un Dieu.

Renverser le trône de Jésus-Christ, c’est élever le trône de Bélial.


5. Pour paganiser une époque, une société, un monde, il n’est pas besoin d’idoles matérielles. Le monde antérieur à l’Incarnation était païen, avant que la main de l’ouvrier offrit à ses adorations des statues de marbre ou de pierre. Le paganisme, c’est la négation théorique et pratique du Verbe incarné ; la négation du vrai Dieu, et, comme conséquence inévitable, l’adoration de ce qui n’est pas le Vrai Dieu. Or, adorer ce qui n’est pas le vrai Dieu, c’est adorer un faux dieu, c’est adorer Satan, c’est être païen, c’est retomber dans la gentilité, dont tous les dieux étaient des démons : omnes dii gentium dæmonia. Ps., XCVI, V .

6. Toutefois, comme l’âme appelle le corps, le culte intérieur appelle le culte extérieur. Dans l’antiquité, Satan jouissait de l’un et de l’autre : il avait ses statues, ses temples, ses autels, ses prêtres. Tout cela, il le possède encore chez les nations idolâtres d’aujourd’hui. Or, Satan ne change ni ne vieillit. Ce qu’il fut, il veut l’être ; ce qu’il eut, il veut l’avoir. Il le veut d’autant plus que les oracles, les évocations, les apparitions, les prestiges étaient les principaux instruments de son règne, dont le sacrifice humain fut, et continue d’être l’inévitable couronnement.

Il paraît donc logiquement infaillible que tôt ou tard, si Dieu ne l’arrête, par le plus grand des miracles, Satan reviendra avec tout son cortège de pratiques victorieuses, toujours anciennes et toujours nouvelles, mais habilement modifiées suivant les temps et les personnes… »

Donc, le contexte est bien celui de la fin des temps.

La paix selon l'idéal de Bergoglio n'aura jamais lieu. C'est un leurre car cette paix n'est pas d'essence divine comme le souligne Mgr Gaume.

Aucun doute.

« Quand les hommes diront : " Paix et sûreté ! " c'est alors qu'une ruine soudaine fondra sur eux comme la douleur sur la femme qui doit enfanter, et ils n'y échapperont point. » (Saint-Paul, Thessaloniciens 1, 5-3)

L’opportunité présentée par la pandémie est le point de bascule vers ce nouveau monde satanique.

Le cri de victoire de Satan est proche… avant le couperet, le signal qui sera donné par le Père et par NSJC pour la chute des deux Babylone.

La campagne de vaccination maintient les peuples en esclavage dans la peur et, le mensonge règne.

Les autorités officielles nous incitent au « vaccin », à la « vaccination », à longueur de journée via les médias.

Or, il n’y a pas de vaccin.

Un vaccin arrête immédiatement la maladie, ce qui n’est pas le cas avec le Covid-19.

Les injections des différentes compagnies pharmaceutiques ne font que diminuer la gravité de la maladie en cas d’atteinte, et par le fait, le risque de mourir.

Étant donné que l'humain déifié n'en a que pour son corps physique et ses « joies terrestres », il n'est pas surprenant de voir un tel engoument pour un retour à la normalité.

Le mal à l'âme est dur à supporter mais cette épreuve en feront retourner plusieurs à la bergerie.

C'est un temps de grâce.

Ainsi, on ne connaîtra jamais toute la vérité sur la pandémie et la campagne de vaccination, mais ces signaux d’alarmes valent quand même la peine qu’on s’y attarde :

A) Les vaccins n'ont pas encore passé le stade d'essai de phase III.

La phase III vise à préciser l’efficacité et les risques sur un groupe représentatif de la population cible dure de trois à cinq ans. Les essais portent sur des milliers, de personnes pour évaluer le rapport bénéfices/risques du vaccin à court et moyen terme. Ces études permettent de préciser les conditions et les précautions d’emploi du vaccin et constituent le document (sous le terme d’étude pivot) le plus attendu du dossier de la demande d’Autorisation de Mise sur le Marché soumis à l’Agence du Médicament.

La phase IV est la commercialisation.

Du site des essais cliniques du gouvernement américain :

La phase III se terminera le 31 janvier 2023 pour le Pfizer et le 14 février 2023 pour l'Astrazeneca (clinicaltrials.gov).

La situation est donc la suivante :

1. Les vaccins ne sont pas encore approuvé par la FDA américaine.

2. Cela signifie que ceux qui acceptent le vaccin ne sont que des cobayes pour les essais cliniques dont on ne connaît pas les conséquences à moyen-long terme.

Les audiences de Nuremberg suite à la deuxième guerre mondiale ont révélé que les médecins nazis avaient forcé ou contraint des prisonniers de guerre et d'autres à des expériences humaines abusives et même mortelles.

Le tribunal a aidé à créer le Code de Nuremberg de 1947 qui établissait largement les normes internationales reconnues pour l'expérimentation éthique sur des sujets humains.

Le premier et le plus vaste principe du Code fournit les conditions strictes pour établir le consentement volontaire de ceux qui se soumettent à l'expérimentation humaine, y compris que l'individu ne peut être exposé à «aucun élément de force, fraude, tromperie, contrainte, excès ou autre forme ultérieure de contrainte ou coercition. »

Or, présentement il semble bien y avoir de la tromperie et de l’excès car le code spécifie aussi que «le degré de risque à prendre ne doit jamais dépasser celui déterminé par l’importance humanitaire du problème à résoudre par l’expérience.»

Inutile de rappeler que le taux de mortalité du au Covid-19 publiés un peu partout sont sous la barre des 1% de la population.

Jean XXIII avait bien raison.

Nuremberg n'est pas terminé.

B) « 7 avril 2021 (LifeSiteNews) – Dr Michael Yeadon, ancien vice-président et scientifique en chef de Pfizer pour les allergies et les voies respiratoires, qui a passé 32 ans dans l’industrie à diriger la recherche sur les nouveaux médicaments et a pris sa retraite du géant pharmaceutique avec «le poste de chercheur le plus expérimenté avec le plus d’ancienneté » dans son domaine, s’est entretenu avec LifeSiteNews.

Il a abordé la propagande «manifestement fausse» des gouvernements en réponse au COVID-19, y compris le «mensonge» de variantes dangereuses, le potentiel totalitaire de «passeports vaccinaux» et la forte possibilité que nous ayons affaire à une «conspiration» qui pourrait conduire à quelque chose de bien au-delà du carnage vécu dans les guerres et les massacres du 20e siècle.

Ses principaux points incluaient:

1. Il n’y a «aucune possibilité» que les variantes actuelles du COVID-19 échappent à l’immunité. C’est «juste un mensonge».

2. Pourtant, les gouvernements du monde entier répètent ce mensonge, indiquant que nous assistons non seulement à un «opportunisme convergent», mais à une «conspiration». Pendant ce temps, les médias et les plateformes Big Tech sont engagés dans la même propagande et la même censure de la vérité.

3. Les sociétés pharmaceutiques ont déjà commencé à développer des vaccins de «complément» («de rappel») inutiles pour les «variants». Les entreprises prévoient de fabriquer des milliards de flacons, en plus de la campagne expérimentale actuelle de « vaccin » COVID-19 .

4. Les agences de régulation telles que la Food and Drug Administration des États-Unis et l’Agence européenne des médicaments ont annoncé que, puisque ces vaccins «d’appoint» seront si similaires aux injections précédentes qui ont été approuvées pour une autorisation d’utilisation d’urgence, les sociétés pharmaceutiques ne seront pas tenues d’effectuer des études de sécurité clinique.

5. Ainsi, cela signifie pratiquement que la conception et la mise en œuvre de vaccins à ARNm répétés et forcés passent de l’écran d’ordinateur d’une société pharmaceutique dans les bras de centaines de millions de personnes, [injectant] une séquence génétique superflue pour laquelle il n’y a absolument pas de besoin ou de justification.

6. Pourquoi font-ils cela? Puisqu’aucune raison bénigne n’est apparente, l’utilisation de passeports vaccinaux avec une «réinitialisation bancaire» pourrait aboutir à un totalitarisme comme le monde n’en a jamais vu. Rappelant le mal de Staline, Mao et Hitler, le «dépeuplement massif» reste une issue logique.

7. Juste le fait que cela puisse au moins être vrai signifie que tout le monde doit «se battre comme un fou pour s’assurer que ce système ne prenne forme. Jamais.

«Et comme je ne peux penser à une explication bénigne pour aucune des étapes: variants, vaccins d’appoint, pas d’études réglementaires … ce n’est pas seulement que je ne peux pas penser à une explication bénigne, aux étapes décrites et au scénario décrit, et le type de résolution nécessaire à ce faux problème va permettre ce que je viens de décrire: des séquences de gènes inconnues et inutiles injectées dans les bras de milliards de personnes potentielles sans raison.

« Je suis très inquiet … cette voie sera utilisée pour le dépeuplement massif, car je ne peux penser à aucune explication bénigne.»…»

Note: Aujourd’hui, 17 avril, Pfizer s’avance déjà sur la nécessité d’une troisième dose.

C) Pour faire suite au commentaires du Dr Yeadon, le témoignage d’une médecin britannique:

« … nous attirons votre attention sur une lettre parue dans le British Medicine Journal. Il est signé par Katya Polyakova, médecin et directrice médicale expérimentée d’un hôpital du Kent (Angleterre) avec un solide programme concernant, en particulier, les soins psychiatriques des adolescents et des familles et de nombreux autres domaines. Bref, une personne interne au système de santé britannique. Bonne lecture. »

« Cher directeur,

J’ai eu plus de vaccinations dans ma vie que la plupart des gens et je viens d’un lieu d’expérience personnelle et professionnelle significative par rapport à cette pandémie, ayant dirigé un service pendant les 2 premières vagues et affronté toutes les imprévus qui les accompagnaient.

Malgré cela, ce vers quoi je lutte actuellement, c’est le signalement inexistant de la réalité de la morbidité causée par notre programme de vaccination actuel au sein du service de santé et de la population du personnel. Les niveaux de maladie après la vaccination sont sans précédents et le personnel devient très malade et certains présentent des symptômes neurologiques, ce qui a un impact majeur sur le fonctionnement du service de santé.

Même les jeunes en bonne santé ont froid pendant des jours, certains pendant des semaines et certains nécessitent un traitement médical. Des équipes entières sont éliminées parce qu’elles sont allées se faire vacciner ensemble.

Dans ce cas, la vaccination obligatoire est stupide, immorale et irresponsable lorsqu’il s’agit de protéger notre personnel et la santé publique. Nous sommes dans la phase volontaire de vaccination, et nous encourageons le personnel à prendre un produit non autorisé qui a un impact sur leur santé immédiate, et j’ai l’expérience directe que le personnel a contracté la Covid APRÈS la vaccination et l’a probablement transmis. En fait, il est clairement indiqué que ces produits vaccinaux n’offrent pas d’immunité et n’empêchent pas la transmission. Dans ce cas, pourquoi les appliquons-nous?

Les données de sécurité longitudinales ne sont pas disponibles (au plus quelques mois de données d’essai) et ces produits sont uniquement sous licence d’urgence. Qu’est-ce que cela signifie qu’il n’y a pas d’effets indésirables longitudinaux auxquels nous pouvons remédier et qui pourraient mettre en danger l’ensemble du secteur de la santé?

La grippe est un grand tueur annuel, elle inonde le système de santé, elle tue les jeunes, les personnes âgées et les comorbides, et pourtant les gens peuvent choisir de se faire vacciner ou non (qui était déjà en circulation depuis longtemps). Et vous pouvez énumérer une foule d’autres exemples de vaccins qui ne sont pas obligatoires, mais qui protègent contre des maladies importantes.

La coercition et l’imposition de traitements médicaux à notre personnel, aux membres du public, surtout lorsque les traitements sont encore expérimentaux, sont fermement dans le domaine d’une dystopie totalitaire nazie et se précipitent bien au-delà de nos valeurs éthiques en tant que gardiens de la santé.

Toute ma famille et moi avons eu la COVID. C’est comme la plupart de mes amis, ma famille et mes collègues. J’ai récemment perdu un parent relativement jeune avec une comorbidité due à une insuffisance cardiaque, due à une pneumonie causée par la COVID. Malgré cela, je ne baisse jamais les bras et je ne suis pas d’accord pour dire que nous devrions abandonner nos principes libéraux et notre position internationale sur la souveraineté corporelle, le libre choix éclairé et les droits de l’homme, et maintenir une coercition sans précédent sur les professionnels, les patients et les individus pour qu’ils subissent des traitements expérimentaux avec données de sécurité limitées. Ceci et les politiques qui l’accompagnent représentent un danger pour notre société plus que tout ce à quoi nous avons été confrontés l’année dernière..

Qu’est-il arrivé à « mon corps, ma décision »? Qu’est-il arrivé au débat scientifique et ouvert? Si je ne prescris pas d’antibiotique à un patient qui n’en a pas besoin parce qu’il est en bonne santé, suis-je un anti-antibiotique? Ou un denier d’antibiotiques? Il est peut-être temps que les gens réfléchissent vraiment à ce que nous allons faire et où tout cela nous mène ? » (marcotosatti.com).

D) « Alors, les vaccinés contre le COVID risquent-ils davantage de mourir ? Oui, selon deux documents officiels.»

« Les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès en cas d’inefficacité initiale du vaccin ou de réinfection post-vaccinale ou de la virulence d’un variant. »

« La recrudescence des hospitalisations et des décès est dominée par les personnes qui ont reçu deux doses du vaccin, soit environ 60 % et 70 % de la vague respectivement. Cela peut être attribué aux niveaux élevés de prise du vaccin dans les groupes d’âge les plus à risque. »
(leblogdejeannesmits).

E) « Le vaccin anti-Covid n'est pas un vaccin. Fraude mondiale et nationale.

1) Fraude au vaccin Covid-19

Le week-end dernier, à la veille de Pâques, par la bouche du président argentin lui-même, le pays et le monde ont appris  qu'Alberto Fernández avait contracté le célèbre Covid-19 , alors  qu'il avait reçu deux doses du vaccin russe Spoutnik-V . En d'autres termes, bien qu'il ait été vacciné, Don Alberto n'avait pas d'anticorps. Le premier président au monde à être infecté par le fameux virus d'origine chinoise malgré l'injection du vaccin «salvateur», tel qu'il est habituellement présenté.

Déjà il y a quelques semaines, les autorités sanitaires et les professionnels de la santé dans le pays ont commencé à se répandre la version qu’en réalité , les « vaccins » contre la Covid-19  ne sont pas une immunisation. Ils n’empêchent pas la contagion, mais plutôt  ils atténuent les effets graves et empêchent qu’une personne infectée et vaccinée décède .  Même les autorités du laboratoire russe qui fabrique le Spoutnik-V, dans le cas du président argentin, ont officiellement soutenu la même chose: le vaccin [anti-Covid19] "garantit une guérison rapide sans symptômes graves" [1], c'est-à-dire il  n'immunise pas mais protège plutôt contre les symptômes graves causés par  le virus.

Mais l'essence du vaccin en tant que tel, quel qu'il soit, est qu'il produit une immunisation. C'est ainsi que l'Organisation mondiale de la santé le définit: «On entend par vaccin  toute préparation destinée à générer une immunité contre une maladie en stimulant la production d'anticorps. Il peut s'agir, par exemple, d'une suspension de micro-organismes morts ou atténués, ou de produits ou dérivés de micro-organismes "[2] -. Et aussi l'agence de santé officielle américaine Center for Disease Control and Prevention [CDC] -" Produit qui stimule le système immunitaire système d'une personne pour produire une immunité contre une maladie spécifique, la protégeant de cette maladie ", définissant l'immunité comme" Protection contre une maladie infectieuse. Si vous êtes immunisé contre une maladie, vous pouvez y être exposé sans être infecté »[3].

Suivant ces définitions, le CDC soutient que la  vaccination  «est l'acte d'introduire un vaccin dans le corps  pour produire une immunité  contre une maladie spécifique» et que la  vaccination  est «un processus par lequel une personne est  protégée contre une maladie  par la vaccination» [4] , c'est pourquoi ce terme est «interchangeable avec le terme vaccination ou inoculation».

En bref:  le vaccin en tant que tel immunise  et empêche une personne d'être infectée par une maladie spécifique,  sinon ce n'est pas un vaccin .

Suivant ces critères internationaux officiels, cela signifie alors que  le vaccin Covid19 n'est pas un vaccin , puisqu'il n'immunise pas.

Cela n'empêche pas les membres de la "communauté scientifique" - qui agissent en tant que porte-parole officieux du gouvernement - de déclarer que " les vaccinés doivent continuer à prendre soin d'eux-mêmes . Il est essentiel que la personne vaccinée, qui a produit des anticorps et qui est protégée ne se comporte pas comme l'égoïste .  Parce que? "Parce que  la personne vaccinée ne tombe pas malade du coronavirus , mais  peut avoir une infection asymptomatique  (????) et  peut en infecter d'autres (????) "[5]. En d'autres termes, si vous êtes vacciné vous ne contractez pas de coronavirus, mais vous pouvez avoir une infection "sans symptômes" - être vacciné? - et vous pouvez en infecter d'autres - même si vous n'êtes pas infecté? Si c'est scientifique ...

Mais en réalité, la même Organisation Mondiale de la Santé , à travers les Nations Unies, est celle qui approuve officiellement ce non-sens scientifique (???) , reconnaissant également que ces "vaccins" NE VACCINENT PAS ,  mais plutôt les essais cliniques "ont montré seulement que les vaccins protègent les gens contre le développement de la maladie  COVID-19 , qui peut être légère, modérée ou sévère », mais  IGNORANT « si les vaccins protègent également les gens contre la  simple infection  par le virus SRAS-CoV-2 et  s'ils protègent ou non contre la transmission à une autre personne »[6]. En outre, selon les experts de l'OMS, les personnes vaccinées devraient continuer à porter des masques, car "nous ne savons toujours pas dans quelle mesure les vaccins protègent non seulement contre la maladie mais aussi contre l'infection et la transmission " [7]. Parole de l'Organisation mondiale de la santé, qui reconnaît ainsi que les «vaccins» contre Covid19 en danse  ne sont pas des vaccins .
 
2) Traitement expérimental de thérapie génique

S'ils ne sont pas des vaccins, alors que sont-ils? Quel scénario artificiel ont-ils mis en place et quelle histoire sinistre et diabolique tentent-ils de nous faire croire? Dans quel but?

Le 26 février 2021, le médecin américain Steven Hotze [8], qui vit et travaille au Texas, a présenté un rapport - par écrit et par vidéo - intitulé
« Le soi-disant  « vaccin » de le COVID-19 est vraiment une thérapie de gène expérimental dangereuse »[Le soi-disant« vaccin »Covid-19 est en fait une thérapie génique expérimentale dangereuse] [9].

Selon le spécialiste, suivant les paramètres de l'OMS elle-même, «ce soi-disant« vaccin »contre le COVID-19 ne confère pas aux personnes qui le reçoivent une immunité contre le COVID-19, ni n'empêche la transmission de cette maladie. Il ne répond pas à la propre définition du CDC d'un vaccin », car« un vaccin est un produit qui stimule le système immunitaire d'une personne à produire une immunité contre une maladie spécifique. L'immunité est une protection contre une maladie infectieuse. Si vous êtes immunisé contre une maladie, vous pouvez vous y exposer sans être infecté ».

En réalité, ces «vaccins» anti-Covid19 constituent en fait «une thérapie génique expérimentale non prouvée, qui présente un danger beaucoup plus grand pour votre santé que le COVID-19 lui-même», car «il s'agit d'une thérapie génique expérimentale avec un messager synthétique d'acide ribonucléique (ARNm ), qui fonctionne très différemment.

La théorie sous-jacente est que lorsque cet ARNm synthétique est injecté dans votre corps, il s'insère dans vos cellules et commence à produire les protéines de pointe du coronavirus . À son tour,  on s'attend à ce que votre système immunitaire produise des anticorps contre la protéine coronavirus fabriquée par vos propres cellules . "

Le problème est que ce «vaccin» à ARNm COVID-19  n'a été testé chez l'homme que pendant quelques mois », ce qui signifie qu'en plus de ne pas être réellement un vaccin, il  s'agit d'un traitement expérimental dont les fabricants NE SONT PAS RESPONSABLES . Ne serait-il pas sage de mener des études à long terme chez l'homme avant de recommander une vaccination de masse?

La même chose est soutenue par le Dr David Martin [10] et le Dr Judy Mikovits [11]: «Ce n'est pas un vaccin… Il s'agit d'un ARNm emballé dans une enveloppe adipeuse qui est délivré à une cellule. Il s'agit d'un dispositif médical conçu pour stimuler la cellule humaine à devenir un créateur d'agents pathogènes. Ce n'est pas un vaccin », car si c'était le cas, il assurerait l'immunité et réduirait la transmission du virus. Mais selon les responsables de l'OMS le reconnaissent, le «vaccin» anti-Covid19 ne fait pas une chose ou une autre, car «la chaîne d'ARNm qui entre dans la cellule n'a pas pour but d'arrêter la transmission. C'est  un traitement », puisqu'il consiste en fait en « un dispositif mécanique , sous la forme d'un très petit ensemble de technologies, qui entre dans le système humain pour activer la cellule et en faire un lieu de fabrication d'agents pathogènes », ce qui rend le receveur malade. Pour cette raison, ce dernier n'est pas immunisé et peut en transmettre et infecter d'autres, et même vacciné il peut être infecté [12].

Et le 15 mars de cette année, en Espagne, un groupe de professionnels de la biologie et des sciences de l'environnement, regroupés dans la plateforme «Biologistes pour la vérité», a publié le  rapport de revue scientifique Covid-19 de 57 pages, dans lequel ils déterminent, parmi d'autres choses, que  le virus SARS CoV 2 est un virus chimère artificiel , fabriqué en laboratoire, et qu'en réalité « l'isolement présumé du virus SARS CoV 2 est une fraude scientifique  […] car aucune culture virale n'a été obtenue, ni des particules virales viables de celui-ci ». Et que «les récepteurs ACE2 [une enzyme présente dans le tissu testiculaire, pas dans le tissu pulmonaire ou les voies respiratoires ] acceptés pour le virus SRAS CoV 2 », comme cela a été officiellement imposé, « ils ne se retrouvent ni dans les poumons ni dans les voies respiratoires, il n'y a donc aucune preuve qu'il s'agit d'un virus respiratoire […] »[13].
 
3) L'anticovid «Vaccin» est un logiciel 

Comme on le sait, la société pharmaceutique américaine Moderna Inc. est l'un des principaux fabricants du vaccin supposé salvateur. Ce qu'ils essaient de cacher, c'est que cette société - comme toutes celles impliquées dans la fabrication - est contrôlée par les plus importants fonds d'investissement au monde:  Fidelity Management and Research, Vanguard Group, BlackRock, Morgan Stanley Investment Management, etc.,  c'est-à-dire, les propriétaires de la finance mondiale spéculative et prédatrice [14].

Cette même société reconnaît sur son site Internet que le vaccin en question - le sien, mais aussi celui fabriqué par d'autres sociétés est " une plateforme technologique d'ARNm qui fonctionne un peu comme un système d'exploitation sur un ordinateur" , conçue "pour que vous puissiez vous connecter et jouer de manière interchangeable avec différents programmes. Dans notre cas, le «programme» ou «application» est l'ARNm de notre médicament, la séquence unique d'ARNm qui code une protéine »[15]. En ce sens, le «vaccin»  injecte un véritable code génétique qui ordonne aux ribosomes de fabriquer des protéines , c'est-à-dire qu'il  introduit l'ARNm dans le tissu et les cellules cibles  du corps, mais en même temps, il  doit contourner le système immunitaire, car si elle est activée, "la réponse qui en résulte  peut limiter  la production de protéines et, par conséquent, le bénéfice thérapeutique des ARNm" [16].

En d'autres termes, le «vaccin» anticovid19 est un  traitement expérimental, sous réserve d'éventualités , qui  n'est pas scientifique.

Parce que, comme l'a déclaré  le Dr Steven Hotze susmentionné , «les effets indésirables retardés et à long terme sont encore plus inquiétants. La thérapie génique expérimentale avec de l'ARNm synthétique  active la production de protéines COVID-19, mais  n'a pas d'interrupteur d'arrêt.

Il continue de se répliquer et le système immunitaire continue de donner une réponse immunitaire. Par conséquent, certains chercheurs craignent que cela ne provoque des réactions auto-immunes, vous préparant à une vie de maladies inflammatoires graves »[17].

Mais il y a d'autres complications pires, car il existe «des preuves convaincantes que cette thérapie génique expérimentale peut déclencher une réaction de rappel dépendante des anticorps et augmenter la capacité du virus à infecter vos cellules . En d'autres termes, si vous contractez une infection à coronavirus après avoir reçu la thérapie génique expérimentale, il peut y avoir un cas bien pire que si vous n'aviez jamais subi cette thérapie. De nombreux experts prévoient une augmentation des infections mortelles, des troubles inflammatoires et des décès dans les mois à venir pour ceux qui ont reçu ce traitement »[18].

Le Dr Hotze conclut ce rapport en déclarant qu '«il existe encore de nombreuses inconnues à propos de cette thérapie génique expérimentale. Il n'y a aucune preuve que cela sauve des vies ou empêche la propagation de l'infection à d'autres  [comme le reconnaissent les responsables de l'OMS eux-mêmes], de sorte que les bureaucrates de la santé continuent de recommander le masquage et la distanciation sociale. Personne n'a la moindre idée des effets indésirables à long terme de cette thérapie génique expérimentale , mais ils envisagent d'injecter cette thérapie génique expérimentale dans toute la population.

Cette thérapie génique expérimentale n'éradiquera pas le coronavirus responsable du COVID-19, tout comme le vaccin antigrippal n'a pas éliminé la grippe . Le COVID-19 est là pour rester. Même sans ce soi-disant «vaccin», les infections diminueront à mesure que de plus en plus de personnes développeront l'immunité naturelle du troupeau »[19].

...

Bref, plutôt que de s'intéresser à la fabrication de vaccins pour lutter contre la "pandémie", ce qui se fait jour "indique que la pandémie a été fabriquée pour vacciner le monde entier, comme le prétend l'inventeur déséquilibré de Windows.

Bref,  les «vaccins» contre le Covid-19 ont tout l'apparence d'une véritable fraude médicale et sanitaire .
 
José Arturo Quarracino » (marcotosatti.com).

F) Alexandra Henrion-Caude (généticienne française renommée):

« On vous fait faire des anticorps par les vaccins qui au lieu de neutraliser votre virus, vont l’aider à renter dans les cellules, parfois même de se répliquer… » (vidéo: planete360.fr).

G) Entrevue du Dr. Sherri Tenpenny aux États-Unis du 9 mars 2021 (traduite via Odysse.com) : Des personnes vaccinées commenceront à décéder d’ici 1 à 2 années (avertissement : le titre de la vidéo n’est pas traduite correctement et suggère que « toute personne » vaccinée décédera; ce qui est faux).

Le Dr. Tenpenny a le mérite de très bien expliquer le fonctionnement des pseudo-vaccins à l’ARNm.

12 avril

LE TECHNOFASCISME DE LA JUDÉO-MAÇONNERIE.

Tout est prévu, semble-t-il, comme la pandémie.

Nous avons vu il n’y a pas si longtemps que le World Economic Forum (livre sur la grande réinitialisation) ne pouvait qu’installer son système via une cyber attaque, un prétexte.

Ils l’ont baptisé Cyber Polygon.

Ils ont sorti une nouvelle vidéo ce mois-ci (en anglais) démontrant ce à quoi il prépare le monde post-pandémique.

Bref pour résumer, ils comparent la cyberattaque à la pandémie:

Klaus Swab et la kabbale ont soigneusement préparé ce plan pour l’horizon 2022.

La simulation cyber polygon 2021 aura lieu cet été (comme a eu lieu la simulation Event 201 avant la pandémie):

« De «Event 201» à «Cyber ​​Polygon»: la simulation par le WEF d’une «cyber pandémie» à venir.

L’année dernière, le Forum économique mondial s’est associé au gouvernement russe et aux banques mondiales pour lancer une simulation de cyberattaque très médiatisée qui ciblait le secteur financier, un événement réel qui ouvrirait la voie à une «réinitialisation» de l’économie mondiale. La simulation, nommée Cyber ​​Polygon, a peut-être été plus qu’un exercice de planification typique et présente des similitudes avec l’événement de simulation de pandémie 201 parrainé par le WEF qui a brièvement précédé la crise du COVID-19.

Mercredi, le Forum économique mondial (WEF), ainsi que la Sberbank russe et sa filiale de cybersécurité BI.ZONE ont annoncé qu’une nouvelle simulation de cyberattaque mondiale aurait lieu en juillet prochain pour instruire les participants à « développer des écosystèmes sécurisés » en simulant une chaîne d’approvisionnement cyberattaque similaire au récent piratage de SolarWinds qui «évaluerait la cyber-résilience» des participants à l’exercice. Sur le site Web de l’événement récemment mis à jour, la simulation, appelée Cyber ​​Polygon 2021, avertit de manière inquiétante que, compte tenu des tendances de numérisation largement stimulées par la crise du COVID-19, «un seul lien vulnérable suffit à faire tomber l’ensemble du système, tout comme l’effet domino», ajoutant que « une approche sécurisée du développement numérique aujourd’hui déterminera l’avenir de l’humanité pour les décennies à venir… » (unlimitedhangout.com)

Jeremy Jurgens, directeur général du WEF a déclaré dans une vidéo: « Je crois qu’il y aura une autre crise. Ce sera plus significatif. Ce sera plus rapide que ce que nous avons vu avec COVID. L’impact sera plus important et, par conséquent, les implications économiques et sociales seront encore plus importantes. »

Quant à Klaus Schwab : : «Nous connaissons tous, mais prêtons encore une attention insuffisante, au scénario effrayant d’une cyberattaque globale qui pourrait mettre un terme complet à l’alimentation électrique, les transports, les services hospitaliers, notre société dans son ensemble.

La crise du COVID-19 serait considérée à cet égard comme une petite perturbation par rapport à une cyberattaque majeure. Utiliser la crise du COVID19 comme une opportunité pour réfléchir aux leçons que la communauté de la cybersécurité peut tirer et d’améliorer notre manque de préparation à une potentielle cyber-pandémie. »

En rappel, voici de nouveau le lien de la lecture de décembre 2020 du Fonds Monétaire International « Refaire le monde post-COVID » où on voit le phœnix digital sortir de l’œuf du virus de la Covid.

Klaus Schwab n’hésite pas à affirmer que la grande réinitialisation, qui est la 4è révolution industrielle, se prépare sur fond de transhumanisme : « une fusion de notre identité physique, numérique et biologique ».

Ce système rêvé, le système 666 à la manière chinoise, verra justement la Chine être le premier pays à sortir sa monnaie digitale selon ce qui a été annoncé cette semaine.

Le 17 novembre passé, l’ancien secrétaire d’État américain John Kerry a assuré aux élites du Forum économique mondial (WEF) qu’une présidence de Joe Biden ferait rapidement progresser l’agenda mondialiste de la «grande réinitialisation» «avec plus de rapidité et d’intensité que beaucoup pourraient imaginer.

Kerry a fait ses remarques lors d’une table ronde virtuelle «Plateforme d’action COVID» organisée par le WEF. L’organisation mondialiste a saisi l’occasion de la pandémie pour introduire des changements radicaux dans l’économie mondiale.

«La notion de réinitialisation est plus importante que jamais», a-t-il déclaré. «Personnellement, je crois… nous sommes à l’aube d’une période extrêmement excitante.» (weforum.org)

Voilà.

Tout va très vite car ils n’ont pas le choix. Le système financier actuel n’est plus soutenable et vouer à sa perte.

C’est pourquoi que nous voyons Bergoglio s’activer  aussi fort de son côté…

Car il s’agit plus qu’un nouveau système financier.

On le sait.

’est la domination de la bête, du dragon, que l’on prépare.

« Le pape François a adressé le 4 avril dernier une lettre aux participants à la Réunion de printemps de la Banque mondiale et du Fonds monétaire international qui se tient actuellement en ligne du 5 au 11 avril dans le contexte de la « relance » à la suite de la crise créée autour du COVID-19. Le pape y souhaite la mise en place de « solutions nouvelles », « inclusives et durables », par le biais notamment de la création ou de la « régénération » d’institutions de « gouvernance globale ». » (reseauinternational.net)

« En novembre 2020, la Fondation Canergie en collaboration avec le Forum économique de Davos (Klaus Schwab) a pondu un rapport évoquant une cyberattaque conduisant à l'effondrement du système financier mondial. Dans l'esprit de ces personnes, il s'agit de profiter de ce "malencontreux" événement pour passer à la vitesse supérieure, c'est-à-dire fusionner les banques d'affaires, les autorités financières, les entreprises technologiques et l'Etat de sécurité nationale. Ces ambitions ont pour but d'aboutir à la concentration des moyens via la centralisation de l'autorité. Ainsi, la gouvernance mondiale, la monnaie numérique globale doublée d'un contrôle systématique des activités humaines (n'oublions pas le passeport vaccinal) aboutiront à un parfait technofascisme. » (Pierre Hillard)

La chute de Babylone la grande n’est plus très loin.

LA RELIGION PARTAGÉE

Saint-Paul (Th 2, 2):

« En ce qui concerne l'avènement de notre Seigneur Jésus-Christ et notre réunion avec lui, nous vous prions, frères, de ne pas vous laisser ébranler facilement dans vos sentiments, ni alarmer, soit par quelque esprit, soit par quelque parole ou lettre supposées venir de nous, comme si le jour du Seigneur était imminent.

Que personne ne vous égare d'aucune manière ; car auparavant viendra l'apostasie, et se manifestera l'homme de péché, le fils de la perdition, l'adversaire qui s'élève contre tout ce qui est appelé Dieu ou honoré d'un culte, jusqu'à s'asseoir dans le sanctuaire de Dieu, et à se présenter comme s'il était Dieu.

Ne vous souvenez-vous pas que je vous disais ces choses, lorsque j'étais encore chez vous ?

Et maintenant vous savez ce qui le retient, pour qu'il se manifeste en son temps.

Car le mystère d'iniquité s'opère déjà, mais seulement jusqu'à ce que celui qui le retient encore paraisse au grand jour.
Et alors se découvrira l'impie, que le Seigneur (Jésus) exterminera par le souffle de sa bouche, et anéantira par l'éclat de son avènement.

Dans son apparition cet impie sera, par la puissance de Satan, accompagné de toutes sortes de miracles, de signes et de prodiges mensongers, avec toutes les séductions de l'iniquité, pour ceux qui se perdent, parce qu'ils n'ont pas ouvert leur cœur à l'amour de la vérité qui les eût sauvés.

C'est pourquoi Dieu leur envoie des illusions puissantes qui les feront croire au mensonge, en sorte qu'ils tombent sous son jugement tous ceux qui ont refusé leur foi à la vérité, et ont au contraire pris plaisir à l'injustice. »

« Le sceau papal sur la nouvelle religion partagée
     
Un lecteur m’écrit:

« Allez dans le monde entier et vaccinez tous les gens. Ceux qui sont vaccinés seront sauvés, ceux qui ne le sont pas seront condamnés ».

Je cite l’Évangile selon Bergoglio. Le message de Pâques, traduit urbi et orbi par les médias, est que, aux jours du Salut, le chef de l’Église voit dans la préparation injectable le seul remède pour l’humanité angoissée et perdue. On dira: « Non, il ne voulait pas dire exactement cela »;

« Oui, mais il a aussi dit autre chose »; « Possible, mais il ne pouvait pas ne pas le dire ». Mais un homme d’expérience comme lui aurait dû prévoir que cette déclaration, prononcée dans ce contexte, allait avoir une telle diffusion: l’aveu que, désormais, nous ne pouvons faire confiance qu’à la Science.

Le lecteur a raison. Je pense cependant que le résultat obtenu, sur le plan communicationnel, n’est pas un effet involontaire. En fait, c’est exactement ce que le Pape avait entrepris de faire: proclamer le nouvel évangile du salut par la science.

Incroyable, déconcertant, inquiétant. Sur ce sujet, nous avons désormais utilisé tous les adjectifs possibles. Nous pouvons en ajouter deux autres: triste et déprimant. Parce que le pape, lorsqu’il parle (dans le message urbi et orbi de Pâques!) des vaccins comme d’un « outil essentiel » contre la pandémie et va jusqu’à appeler à « un internationalisme des vaccins », fait son ouverture de crédit de manière totalement superficielle et acritique.

Nous sommes ici en plein scientisme ou, si vous préférez, en fidéisme scientiste. Et qu’une telle attitude soit le fait du pasteur suprême de l’Église catholique ne peut que provoquer le découragement.

Surtout à une époque où les questions se multiplient sur l’origine des vaccins et les doutes sur leur efficacité et leurs effets secondaires, la simple application de la vertu de prudence recommanderait la réserve. Si l’on considère ensuite la situation dans laquelle se trouvent des catégories professionnelles entières (2) soumises de fait à un chantage, parce que ceux qui, en conscience, ne veulent pas se faire vacciner, autrement dit ne veulent pas être des cobayes pour des médicaments expérimentaux insuffisamment testés, risquent sérieusement de perdre leur emploi, le discernement (expression si chère à Bergoglio) est encore plus nécessaire.

Et en revanche, que voyons-nous? Que le Pape, avec des paroles prononcées rien moins que le jour de la Résurrection de Notre Seigneur, avec son adhésion au conformisme scientifique se pose non seulement comme un interprète mais comme le premier représentant de ce que j’appelle la Nouvelle Religion Partagée, une pseudo-religion grotesque et ultra-dogmatique (aucune objection contre elle n’est permise) qui non seulement exalte le fidéisme scientifique mais, pour s’imposer, utilise les catégories de la vraie religion et les pervertit à ses propres fins.

Dans cette nouvelle pseudo-religion (comme je l’ai écrit dans Virus e Leviatano) nous avons en fait une trinité (Science, Santé, Sécurité), nous avons le péché mortel (ne pas adhérer à la vision scientiste, ne pas collaborer à sa diffusion), nous avons la punition pour le non-croyant (être littéralement excommunié, mis hors de la communauté, comme indigne), nous avons les écritures sacrées (celles propagées par les médias de masse asservis au discours conformiste dominant), nous avons la demande impérieuse de conversion (à la technoscience comprise non plus comme un instrument mais comme une divinité), nous avons l’identification de la croyance au salut (vous êtes sauvé seulement si vous croyez à cette pseudo-religion et si vous vous faites son interprète), nous avons les nouveaux bigots (qui s’érigent en juges et vous mettent hors du consensus humain si vous n’êtes pas aligné) et nous avons une inquisition qui, au moment où elle vous excommunie, vous fait tout perdre.

Il semble que non pas trente-trois ans, mais trois siècles se soient écoulés depuis les mots que Jean-Paul II a écrits en 1988 au père George Coyne, alors directeur de l’Observatoire du Vatican. Dans ce texte, le pape expliquait que, tout comme elle ne propose pas que la religion devienne la science, l’Église ne propose certes pas non plus que la science devienne la religion. Malheureusement, nous devons mettre le verbe au passé: elle ne proposait pas. Avec la circonstance aggravante – il faut le répéter – qu’on ne parle même plus de science, mais de fidéisme scientiste. » (benoit-et-moi.fr)


Mensonges, mensonges, mensonges…

Notre monde n’est pratiquement plus qu’habité par le mensonge grâce aux « illusions puissantes » envoyées par Dieu (internet, smartphones, tous les médias) afin que tous ceux qui suivent l’impie sur le trône tombent sous son jugement.

Jamais dans l’histoire ces paroles de Saint-Paul aux Thessaloniciens n’auront été si fortes, dans un dernier acte, sous fonds de pandémie dans un contexte d’apostasie généralisée.

Et il le confirme : c’est le jugement,  et cela « concerne l'avènement de notre Seigneur Jésus-Christ et notre réunion avec lui ».

Il n'y a qu'une seule vérité et nous nous devons d'y être fidèle.

08 avril

Deux textes significatifs pour faire suite à l'analyse d'hier...

Et en fait qui résument toutes les analyses de l'ère bergoglienne...

Et qui confirment certaines prophéties politiques de Jean XXIII: Nuremberg n'est pas terminé.

« CONSIDÉRATIONS PROPHÉTIQUES DE DEUX GRANDS AUTEURS: HIER ÉNIGMATIQUE, COMPRIS AUJOURD'HUI!
(pour comprendre encore mieux la situation inédite de l '«Église des deux papes», dans laquelle pourtant un seul est vraiment!)

De manière totalement inattendue nous avons trouvé sur internet un sermon du futur bienheureux Fulton John Sheen, qui correspond parfaitement à la situation actuelle et donc nous le proposons dans sa version complète:

« Pourquoi est-ce que si peu de gens sont conscients de la gravité de la crise actuelle?

En partie parce que les hommes ne veulent pas croire que leur temps est mauvais, en partie parce que cela nécessite un aveu excessif de culpabilité, et principalement parce qu'ils n'ont pas de termes de comparaison pour évaluer la fin des temps en dehors d'eux-mêmes. Seuls ceux qui vivent dans la foi savent vraiment ce qui se passe dans le monde.

Notre Sauveur pourrait bien nous dire ce qu'il a dit aux sadducéens et aux pharisiens de son temps: «Quand ce sera le soir, dites: ce sera beau, parce que le ciel est rouge. Et le matin: demain sera orageux, car le ciel est rouge et bas. Alors savez-vous comment interpréter l'apparence du ciel: et êtes-vous incapable de reconnaître les signes des temps? "

Reconnaissons-nous les signes de notre temps?

Ils pointent deux vérités inexorables, dont la première est que nous sommes arrivés à la fin du chapitre de l'histoire post-Renaissance, qui a fait de l'homme la mesure de toutes choses. Les trois dogmes fondamentaux du monde moderne se dissolvent sous nos yeux.

En premier lieu, on assiste à la liquidation de l' homo oeconomicus, ou à l'hypothèse que l'homme, qui est un animal très évolué, n'a d'autre fonction dans la vie que de produire et d'acquérir de la richesse et donc, comme le bétail au pâturage, de vivre ses années et mourir.

Deuxièmement, nous assistons à l'abandon de l'idée de bonté naturelle de l'homme, qui n'a pas besoin d'un dieu pour lui accorder des droits, ou d'un rédempteur pour le sauver de la culpabilité, car le progrès est automatique, grâce à la science. L'éducation et l'évolution, qui fera un jour de l'homme une sorte de dieu lui-même. Il est certainement possible que le libéralisme historique ne soit qu'une phase de transition, d'une civilisation autrefois chrétienne à une civilisation résolument anti-chrétienne.

La deuxième grande vérité, annoncée par les signes des temps, est que nous sommes sans aucun doute à la fin d'une ère de civilisation non religieuse: j'entends par là celle qui a considéré la religion comme un appendice de la vie, un pieux surplus, un outil pour construire une morale individuelle, mais sans pertinence sociale; et à Dieu en tant que partenaire silencieux, dont le nom était utilisé par l'entreprise pour se donner un vernis de respectabilité, mais qui n'avait rien à dire sur la manière de faire des affaires.

Dans la nouvelle ère dans laquelle nous entrons, il y a à nouveau ce que l'on pourrait appeler une phase religieuse de l'histoire humaine. Ne vous méprenez pas ... par "religieux" je ne veux pas dire que l'homme se tournera vers Dieu, mais plutôt que l'indifférence envers l'absolu, qui caractérisait l'ère libérale de la civilisation, sera suivie de la passion, pour un absolu.

Désormais, la lutte ne sera pas pour les colonies et les droits des nations, mais pour l'âme des hommes. Les contours de la bataille se dessinent clairement et les principaux enjeux ne font plus de doute.

Désormais, les hommes seront partagés entre deux religions, compris à nouveau comme un abandon à un absolu. Le conflit du futur est entre un absolu qui est l'homme-Dieu et un absolu qui est l'homme-dieu; entre le Dieu qui s'est fait homme et l'homme qui s'est fait dieu; entre "frères en Christ" et "compagnons dans l'antéchrist".

Cependant, l'antéchrist ne s'appellera pas ainsi, sinon il n'aurait pas de disciples. Et il ne portera pas de collants rouges, ni ne vomira du soufre, ni ne portera une fourche, ni agitera une queue pointue, comme Méphistophélès dans Faust. En fait, dans aucun passage des Saintes Écritures, nous ne trouvons une justification au mythe populaire du diable comme un imbécile qui se déguise en premier «rouge» de l'histoire. Il est plutôt décrit comme un ange déchu, comme le prince de ce monde, dont le souci est de nous dire que: il n'y a pas d'autre monde! Sa logique est simple: s'il n'y a pas de paradis, il n'y a pas d'enfer; s'il n'y a pas d'enfer, il n'y a pas de péché; s'il n'y a pas de péché, il n'y a pas de juge, et s'il n'y a pas de jugement, alors le mal est bien et le bien est le mal. Mais, au-delà de toutes ces définitions, Notre Seigneur nous dit qu'il sera si semblable à lui-même qu'il séduira même les élus , et certainement aucun démon que nous avons vu dans les livres illustrés ne pourra tromper les élus!

Comment viendra-t-il dans cette nouvelle ère pour gagner des adeptes de sa religion?

Il sera déguisé en Grand Humanitaire: il parlera de paix, de prospérité et d'abondance, non pas comme des moyens de nous conduire à Dieu, mais comme des fins en soi. Il écrira des livres sur la nouvelle idée de Dieu, pour l'adapter à la façon dont les gens vivent; il nourrira la foi en l'astrologie, de manière à rendre non pas la volonté mais les astres responsables de nos péchés; cela expliquera psychologiquement la culpabilité comme une sexualité refoulée; les hommes rougiront de honte si leurs semblables leur disent qu'ils ne sont pas ouverts et libéraux; il identifiera la tolérance avec l'indifférence, pour ce qui est bien ou mal; il sollicitera encore plus de divorces, sous prétexte qu'un autre partenaire est «vital»; cela augmentera l'amour de l'amour et réduira l'amour pour la personne; il invoquera la religion, pour détruire la religion; il parlera même du Christ et dira qu'il était le plus grand homme qui ait jamais vécu; sa mission, dira-t-il, sera de libérer les hommes de l'esclavage de la superstition et du fascisme, qu'il ne définira en aucun cas. Mais au cœur de son amour apparent pour l'humanité et de son discours irrégulier sur la liberté et l'égalité, il gardera un seul et grand secret, qu'il ne confiera à personne: il ne croira pas en Dieu.

Puisque sa religion sera la fraternité, sans la paternité de Dieu, il trompera même les élus.[1]

Il établira une contre-église, qui sera le singe de l'Église, parce qu'il est le diable, le singe de Dieu: il sera le corps mystique de l'antéchrist, qui ressemblera malheureusement, extérieurement, à la vraie Église, au corps mystique du Christ.

Il amènera l'homme moderne, qui a désespérément besoin de Dieu, dans sa solitude et sa frustration, à désirer de plus en plus appartenir à sa propre communauté, ce qui lui fournira un élargissement de son but, sans aucun besoin de correction personnelle et sans besoin admettre sa culpabilité individuelle.

Ce sont les jours où le diable avait une liberté d'action particulière. Car nous ne devons jamais oublier que Notre Seigneur a dit à Judas et à ses acolytes: "C'est votre heure".

Mais Dieu a son jour, et le mal a son heure, quand le berger est frappé et les brebis dispersées.

Et peut-être l'Église a-t-elle déjà fait ses préparatifs, précisément pour un jour aussi malheureux, dans ce décret du Saint-Père, qui énonce les conditions dans lesquelles une élection papale peut maintenant avoir lieu en dehors de la ville de Rome ...

Les hommes qui connaissent l'histoire ont vu venir ces jours sombres.

En 1842, il y a cent cinq ans, le poète allemand Heine écrivait: «Le communisme, bien que peu en parle maintenant, et se débattant sur de misérables matelas de paille dans des greniers sordides, est le héros noir destiné à un grand rôle, quoique temporaire, dans la tragédie moderne ...

Des temps sombres et sauvages rugissent à notre adresse, et le prophète qui a l'intention d'écrire une nouvelle apocalypse devrait inventer des bêtes entièrement nouvelles: des bêtes si terribles, que les vieux animaux de Saint-Jean seraient de gentilles colombes et des cupidons en comparaison. Les dieux se voilent le visage, par pitié pour les enfants des hommes et leurs fautes de longue date. L'avenir sent le cuir tanné, le sang, l'athéisme et de nombreux cils. Et je dois conseiller à nos petits-enfants de naître avec une peau de dos très épaisse. "

C'était en 1842. On aurait vraiment pu être prévenus ...

Pour la première fois dans l'histoire, notre époque a été témoin à la fois de la persécution de l'Ancien Testament par les nazis et de la persécution du Nouveau Testament par les communistes: quiconque a quelque chose à voir avec Dieu est haï aujourd'hui, sa vocation est d'annoncer son fils divin, Jésus-Christ, comme l'ont fait les Juifs, ou pour le suivre, comme le font les chrétiens.

Comme les signes des temps indiquent qu'une lutte entre absolus est en cours, et nous pouvons nous attendre à ce que l'avenir soit une période de tests, pour deux raisons.

Le premier: la nécessité d'arrêter la désintégration.

L'athéisme avancerait de plus en plus, s'il n'y avait pas de catastrophes. Ce qu'est la mort pour un individu, la catastrophe représente pour une civilisation maléfique: l'interruption de la vie, et pour la civilisation, l'interruption de son athéisme. Et pourquoi diable Dieu a-t-il mis un ange avec une épée flamboyante dans le paradis terrestre, après la chute, sinon pour empêcher nos ancêtres de revenir et de se nourrir de l'arbre de vie avec lequel, s'ils en avaient mangé, ils auraient rendu leur culpabilité immortelle?

Et donc Dieu ne permettra pas que l'iniquité devienne éternelle! Cependant, il permet à la révolution, à la désintégration, au chaos de venir nous rappeler que notre pensée a été erronée, nos rêves ont été méchants. La vérité morale est confirmée par la ruine qui s'ensuit, quand il est répudié. Le chaos de notre temps est l'argument négatif le plus fort qui puisse être avancé en faveur du christianisme. La catastrophe révèle que le mal s'annihile et que nous ne pouvons pas tourner le dos à Dieu, comme nous l'avons fait, sans nous faire du mal.

La deuxième raison pour laquelle une crise doit survenir est d'empêcher une fausse identification entre l'Église et le monde. Notre Seigneur voulait que ceux qui étaient ses disciples aient un esprit différent de ceux qui ne l'étaient pas. Cependant, cette ligne de démarcation a été floue. Au lieu du noir et blanc, il n'y a que confusion. La médiocrité et le compromis caractérisent la vie de nombreux chrétiens.

Ils lisent les mêmes romans que les païens modernes; ils éduquent leurs enfants également athées; ils écoutent les commentateurs eux-mêmes, qui n'ont d'autre critère d'évaluation que de juger aujourd'hui d'hier et de demain à partir d'aujourd'hui; ils permettent aux pratiques païennes, comme le divorce et le remariage, de s'insinuer dans la vie de famille; il y a des dirigeants catholiques autoproclamés qui ne demandent jamais rien, mais qui soutiennent au contraire, candidats communistes au Congrès; ou des écrivains catholiques qui acceptent des présidences dans les principales organisations communistes, pour insinuer des idées totalitaires dans les films.

Il n'y a plus de conflit et d'opposition qui devraient nous caractériser. Nous influençons le monde, moins que le monde ne nous affecte! Il n'y a plus de séparation. Nous, qui avons été envoyés pour créer un centre de santé, avons attrapé la maladie et avons donc perdu le pouvoir de guérir.

Et, puisque l'or s'est mélangé à un alliage, le tout devra maintenant être jeté dans un four pour que les déchets puissent être éliminés par le feu.

La valeur du test consistera à nous séparer.

La catastrophe du mal doit venir nous rejeter, nous mépriser, nous haïr, nous persécuter et puis ... alors nous marquerons notre fidélité, nous affirmerons notre fidélité, nous déclarerons de quel côté nous sommes. Notre nombre, en vérité, diminuera, mais notre qualité augmentera ...

Ce n'est pas pour l'Église que nous craignons, mais pour le monde. Nous ne tremblons pas à l'idée que Dieu puisse être détrôné, mais que la barbarie puisse régner.

Enfin, trois suggestions pratiques pour notre époque, où les chrétiens se rendront compte que: un moment de crise n'est pas un temps plein de désespoir, mais d'opportunités.

Nous sommes nés dans une crise, dans une défaite: la Crucifixion.

Et, une fois que nous reconnaissons que nous sommes soumis à la colère divine, nous devenons des objets possibles de la miséricorde divine. La discipline imposée par Dieu engendre l'espérance en elle-même. Le voleur de droite est venu à Dieu par la crucifixion.

Deuxièmement, les catholiques devraient raviver leur foi, accrocher un crucifix chez eux, se souvenir qu'ils ont une croix à porter: rassembler la famille tous les soirs pour prier le chapelet; aller à la messe tous les jours; pratiquez l'heure sainte quotidiennement, en présence de Notre Seigneur dans l’Eucharistie et en particulier dans les paroisses, où les pasteurs sont conscients des besoins du monde et dirigent donc les services de réparation.

Enfin: juifs, protestants, catholiques, américains, nous tous, ce n'est pas une unité de religion que nous implorons, car cela est impossible quand elle est réalisée en sacrifiant l'unicité de la Vérité, mais une unité de religieux, dans laquelle chacun marche séparément, à la lumière de sa propre conscience, mais combat à l'unisson, pour l'amélioration morale du monde.

Les forces du mal sont unies; les forces du bien sont divisées. Nous ne pourrons peut-être pas nous rencontrer dans la même stalle - si Dieu le veut - mais nous pouvons nous rencontrer à genoux. Vous pouvez être sûr qu'aucun compromis sordide, ni la propension à garder le pied dans deux chaussures, ne vous touchera. Ceux qui ont la foi, feraient mieux de rester dans l'état de grâce, et ceux qui n'ont ni l'un ni l'autre, feraient mieux de savoir ce qu'ils ont l'intention de faire, car dans l'âge à venir, il n'y aura qu'un seul moyen d'arrêter nos genoux tremblants, à savoir: s'agenouiller et priez!

Priez Saint Michel, Michel le Prince du matin, qui a vaincu Lucifer qui s'est fait dieu. Quand le monde fut une fois déchiré par un sourire rebelle dans le ciel, il se leva et fit descendre des sept sphères l'orgueil qui aurait méprisé le Très-Haut.

Et priez aussi, priez Notre-Dame et dites-lui: «On vous a donné le pouvoir d'écraser la tête du serpent, qui a menti aux hommes et leur a dit qu'ils seraient comme des dieux. Et que vous, qui avez trouvé le Christ alors qu'il était perdu pendant trois jours, vous le retrouvez, car notre monde l'a perdu. Donnez, à l'incontinence sénile de notre verbiage, la Parole. Et, comme vous avez formé la Parole dans votre ventre, formez-la dans nos cœurs. Céleste Dame des cieux, en ces jours sombres, allumez nos lampes: rendez-nous la Lumière du Monde, afin qu’une lumière puisse briller, même en ces jours de ténèbres . "[2]

Enfin, nous concluons par une réflexion théologique d'un grand théologien argentin (bien qu'il soit quelque peu inconnu du grand public), Julio Meinvielle , présent dans le dernier ouvrage qu'il a écrit: " De la Cabala al Progresismo "[3] , dans laquelle il semble faire une incroyable prophétie, et précisément sur l'Église contemporaine:

«… Il n'y a aucune difficulté à admettre que l' Église de la publicité [ou même l' Église de la propagande… et en tout cas: l' Église contemporaine actuelle] peut être conquise par l'ennemi et convertie [de l'Église catholique ] en Église gnostique.

Il peut [ainsi] y avoir deux Églises: la première, celle de la «publicité», une Église magnifiée par la propagande, avec des évêques, des prêtres et des théologiens «médiatisés», avec un Pontife aux attitudes ambiguës [attention ici, car nous ne sommes qu’en 1970!]; la seconde, l'Église du silence, avec un [autre] Pape (!) fidèle à Jésus-Christ dans son enseignement, et avec quelques prêtres, évêques et fidèles qui lui sont dévoués, dispersés comme pusillus grex [le Petit Troupeau!] par toute la terre. Cette dernière serait l' Église des promesses , et non la première, qui peut manquer [de telles promesses].
  
Un seul «Pape» présiderait les deux Églises, qui apparemment et extérieurement sembleraient n'en être qu'une. Ce «Pape», avec ses attitudes ambiguës, favoriserait [ainsi] le maintien du malentendu. Car d'une part, professant une doctrine irréprochable [et en fait, de temps en temps, Bergoglio «joue aussi le Pape»], il serait à la tête de l'Église des promesses. D'autre part, en produisant des faits équivoques et même répréhensibles [son action «pastorale»], il semblerait encourager la subversion et le maintien de l'Église gnostique [en cela] de la «publicité».
L'ecclésiologie n'a pas suffisamment étudié la possibilité d'une hypothèse telle que celle que nous proposons ici. Mais à la réflexion, la promesse d'assistance à la [vraie] Église prend la forme d'une assistance qui empêche l'erreur d'entrer dans la chaire romaine et dans l'Église elle-même; de plus, que l'Église [elle-même] ne disparaît ni n'est détruite par ses ennemis. »

Et, comme notre évêque américain l'a encore dit: ««… Ce sera une sorte de« corps mystique »de l'Antéchrist, malheureusement similaire au corps mystique, trompant beaucoup! »[4]

Et nous trouvons le même avertissement aussi dans notre Seigneur: « Prenez garde que personne ne vous trompe ... Beaucoup de faux prophètes se lèveront et beaucoup vous tromperont ... Quand vous verrez l'abomination de la désolation, dont le prophète Daniel a parlé, installé dans le lieu saint (le lecteur comprend) ... De faux Christs et de faux prophètes se lèveront et accompliront de grands présages et des miracles, de manière à induire en erreur, si possible, même les élus ... »[5]
 
Sergio Russo et Rosanna Boccacci

(extrait du livre " Cœurs fermés, esprits fermés, églises fermées ... Ciel ouvert !", publié sur la plateforme Amazon) via marcotosatti.com. »

C'est bien ce qui arrive.

L'Église de la tradition empêche l'Église de mourrir... à jamais.

L'Antéchrist fournit aux apôtres de la « vie normale » post-pandémique le miel dont ils ont besoin, en les gardant dans un état d'esprit naïf, sans aucun repère, dans une grande apostasie, baignant dans leurs valeurs d'éco-terrorisme et de droits humanitaires.

Ce que fait Bergoglio.

Cette naïvité de l'esprit est évidement entretenue par cette ère de fausses nouvelles déferlant via les médias.

Elle mène l'humain à sa perte, non pas physique, car qu'est-ce que la Vie Éternelle par rapport à ce petit bout de temps sur notre planète.

C'est la perte de l'âme qui est à craindre.

D'où le dilemne introduit par la vaccination.

Le vaccin mène-t-il à la perte de l'âme?

Bien-sûr que non.

Mais il introduit l'élément salvateur face à la peur pandémique alimentée.

C'est possiblement le « nouveau messie » pour les goïm.

C'est l'état d'esprit dans lequel nous acceptons le vaccin qui cause la perte de l'âme (tel qu'expliqué dans la précédente analyse).

Le vaccin mène-t-il à la mort physique?

Peut-être... puisque c'est une question de moyen-long terme.

C'est de cet aspect physique que nous entretien le Dr Yeadon.

« 7 avril 2021 (LifeSiteNews) – Dr Michael Yeadon, ancien vice-président et scientifique en chef de Pfizer pour les allergies et les voies respiratoires, qui a passé 32 ans dans l’industrie à diriger la recherche sur les nouveaux médicaments et a pris sa retraite du géant pharmaceutique avec «le poste de chercheur le plus expérimenté avec le plus d’ancienneté » dans son domaine, s’est entretenu avec LifeSiteNews.

Il a abordé la propagande «manifestement fausse» des gouvernements en réponse au COVID-19, y compris le «mensonge» de variantes dangereuses, le potentiel totalitaire de «passeports vaccinaux» et la forte possibilité que nous ayons affaire à une «conspiration» qui pourrait conduire à quelque chose de bien au-delà du carnage vécu dans les guerres et les massacres du 20e siècle.

Ses principaux points incluaient:

1. Il n’y a «aucune possibilité» que les variantes actuelles du COVID-19 échappent à l’immunité. C’est «juste un mensonge».

2. Pourtant, les gouvernements du monde entier répètent ce mensonge, indiquant que nous assistons non seulement à un «opportunisme convergent», mais à une «conspiration». Pendant ce temps, les médias et les plateformes Big Tech sont engagés dans la même propagande et la même censure de la vérité.

3. Les sociétés pharmaceutiques ont déjà commencé à développer des vaccins de «complément» («de rappel») inutiles pour les «variants». Les entreprises prévoient de fabriquer des milliards de flacons, en plus de la campagne expérimentale actuelle de « vaccin » COVID-19 .

4. Les agences de régulation telles que la Food and Drug Administration des États-Unis et l’Agence européenne des médicaments ont annoncé que, puisque ces vaccins «d’appoint» seront si similaires aux injections précédentes qui ont été approuvées pour une autorisation d’utilisation d’urgence, les sociétés pharmaceutiques ne seront pas tenues d’effectuer des études de sécurité clinique.

5. Ainsi, cela signifie pratiquement que la conception et la mise en œuvre de vaccins à ARNm répétés et forcés passent de l’écran d’ordinateur d’une société pharmaceutique dans les bras de centaines de millions de personnes, [injectant] une séquence génétique superflue pour laquelle il n’y a absolument pas de besoin ou de justification.

6. Pourquoi font-ils cela? Puisqu’aucune raison bénigne n’est apparente, l’utilisation de passeports vaccinaux avec une «réinitialisation bancaire» pourrait aboutir à un totalitarisme comme le monde n’en a jamais vu. Rappelant le mal de Staline, Mao et Hitler, le «dépeuplement massif» reste une issue logique.

7. Juste le fait que cela puisse au moins être vrai signifie que tout le monde doit «se battre comme un fou pour s’assurer que ce système ne prenne forme. Jamais.

Le Dr Yeadon a commencé à s’identifier comme étant simplement un «gars ennuyeux» qui est allé «travailler pour une grande société pharmaceutique…

Poursuivant, il a déclaré: «Mais l’année dernière, j’ai réalisé que mon gouvernement et ses conseillers mentaient au peuple britannique sur tout ce qui avait trait au coronavirus.

Absolument tout: C’est une erreur cette idée de transmission asymptomatique et que vous n’avez pas de symptômes, mais que vous êtes une source de virus. Que les verrouillages fonctionnent, que les masques ont une valeur protectrice évidemment pour vous ou pour quelqu’un d’autre, et que les variantes sont des choses effrayantes et nous devons même fermer les frontières internationales au cas où certaines de ces variantes étrangères désagréables entreraient. »

«Ou, en passant, en plus de la liste actuelle des vaccins génétiques que nous avons miraculeusement fabriqués, il y aura des vaccins « complémentaires »pour faire face aux variantes de fuite immunitaire. »

«Tout ce que je vous ai dit, chacune de ces choses, est manifestement fausse. Mais toute notre politique nationale est basée sur le fait que tous ces éléments sont globalement justes, mais ils sont tous faux. »

« Mais ce que j’aimerais faire, c’est de parler d’évasion immunitaire parce que je pense que ce sera probablement la fin de cet événement, ce qui, je pense, est probablement une conspiration. L’année dernière, je pensais que c’était ce que j’appelais de «l’opportunisme convergent», c’est-à-dire que différents groupes de parties prenantes ont réussi à bondir sur un monde en plein chaos pour nous pousser dans une direction particulière. Donc, il semblait que c’était un peu lié, mais j’étais prêt à dire que c’était juste une convergence. »

«Je [maintenant] pense que c’est naïf. Il ne fait aucun doute dans mon esprit que des décideurs très importants dans le monde ont soit prévu de profiter de la pandémie, soit de créer la pandémie. L’une de ces deux choses est vraie parce que la raison pour laquelle cela doit être vrai est que des dizaines et des dizaines de gouvernements disent tous les mêmes mensonges et font les mêmes choses inefficaces qui coûtent manifestement des vies.

« Et ils parlent du même script futur qui est, ‘Nous ne voulons pas que vous vous déplaciez à cause de ces vermines embêtantes, ces« variants »» … mais ils disent tous cela et ils disent tous «ne vous inquiétez pas, il y aura des vaccins « d’appoint » qui permettront de faire face aux « évadés potentiels ». Ils disent tous cela alors que c’est manifestement absurde…

« Mais je vais vous guider, Patrick, car je suis qualifié pour commenter. Je ne sais pas de quoi parle Vanden Bossche . Il n’y avait aucune possibilité du tout, sur la base de tous les variants qui sont dans le domaine public, environ 4000 d’entre eux, aucun d’entre eux n’échappera à l’immunité [c’est-à-dire deviendra plus dangereus]. »

«Néanmoins, les politiciens et les conseillers en santé (dans de nombreux gouvernements) disent qu’ils le sont. Ils mentent. Eh bien, pourquoi feriez-vous ça? »

« Voici l’autre chose, en parallèle, qu’affirme les sociétés pharmaceutiques, plusieurs d’entre elles, il sera assez facile pour nous d’ajuster nos vaccins génétiques, et nous pouvons les accélérer à travers le développement, et nous pouvons vous aider.

« Et voici la partie vraiment effrayante, les régulateurs mondiaux des médicaments comme [la Food and Drug Administration] FDA, l’agence japonaise des médicaments, l’Agence européenne des médicaments, se sont réunis et ont annoncé … puisque les vaccins complémentaires seront considérés comme si similaires à ceux que nous avons déjà approuvés pour une autorisation d’utilisation d’urgence, nous n’allons pas obliger les sociétés pharmaceutiques à réaliser des études d’innocuité clinique.

« Et si vous vouliez introduire une caractéristique qui pourrait être nocive et pourrait même être mortelle, et vous pouvez même l’ajuster pour dire ‘mettons-la dans un gène qui causera des lésions hépatiques sur une période de neuf mois,’ ou, vos reins échouent, mais pas tant que vous n’avez pas rencontré ce type d’organisme [ce serait tout à fait possible]. La biotechnologie vous offre franchement des moyens illimités de blesser ou de tuer des milliards de personnes.

«Et comme je ne peux penser à une explication bénigne pour aucune des étapes: variants, vaccins d’appoint, pas d’études réglementaires … ce n’est pas seulement que je ne peux pas penser à une explication bénigne, aux étapes décrites et au scénario décrit, et le type de résolution nécessaire à ce faux problème va permettre ce que je viens de décrire: des séquences de gènes inconnues et inutiles injectées dans les bras de milliards de personnes potentielles sans raison.

«Je suis très inquiet … cette voie sera utilisée pour le dépeuplement massif, car je ne peux penser à aucune explication bénigne.»…»

C'est le combat final qui est en cours.

Tout bon chrétien qui connaît les écritures quant à la fin des temps sait bien que physiquement une masse de gens périront.

Mais, le Christ a donné sa vie pour nous sauver.

Il faut absolument garder son état de grâce malgré les pressions externes.

Vivre hors Babylone tout en étant physiquement dans Babylone.

Il faut être prêt lorsque l'époux se présentera.

07 avril

LA PERSÉCUTION

Mgr Vigano a été très explicite dans sa méditation de Pâques à propos des « apôtres et martyrs d’aujourd’hui… », sujets à une persécution beaucoup plus psychologique que physique, sauf pour certains endroits comme au Moyen-Orient.

Rappelons la prophétie du Pape Pie XII sur les terrorismes actuels, psychologiques, pour décourager, réduire au silence, et tuer les âmes:

« Les terrorismes intellectuels, d’où qu’ils viennent, sont aussi mortels que les terrorismes physiques ; ils ne servent, les uns comme les autres, que de sordides intérêts particuliers, jamais l’intérêt général. Viendra le temps des crimes légitimés, des crimes sans assassin, des effets sans cause. »

Voilà notre époque.

Ces outils ne servent que l’intérêt de l’élite judéo-maçonnique pour établir le règne de leur « messie » en lieu et place du Verbe Incarné.

Le reste n’est que poudre aux yeux afin de séduire le plus d’âmes via la technologie et la vie de loisirs qui fait oublier le mal à l’âme.

Nous savons tous que ce sera un échec car le Christ a vaincu la mort et le mal, et IL RÉGNERA JUSQU’À LA FIN DES TEMPS.

C’est une promesse donnée par le Fils de Dieu lui-même.

Cette apostasie prophétisée de la fin des temps dans laquelle nous baignons aveugle évidemment ceux qui cherchent la lumière en dehors du Corps Mystique du Christ.

Ils ne savent plus où regarder.

Cette apostasie, contrairement aux martyrs des temps passés qui ont eu à faire un choix : tu apostasies ou tu meurs, n’est plus extérieure, n’est plus une question de dilemme, puisque le Vatican via Bergoglio a proclamé : tu apostasies, tu suis notre fausse doctrine, ou tu n’es plus catholique!

C’est la persécution la plus diabolique qui ait jamais existé puisqu’elle est interne à l’église!

La perte d’une âme est un meurtre sans cadavre, des martyrs sans bourreaux, des persécuteurs qui sont nos proches pour certains, et même la hiérarchie ecclésiastique catholique!

Le sang des martyrs passés était d’une fécondation impressionnante, générant plus de convertis via l’Église naissante combattante, remplie de Foi dans sa mission ultime, que d’abandons de fidèles voyant leurs proches se faire massacrer du temps des romains.

Nous assistons de manière subtile au remplacement d’une civilisation par une autre au niveau temporel, et sa religion grâce à Vatican II, est le nouvel œcuménisme prêché par Bergoglio.

Cette fausse église, tel que le mentionnait Anne Catherine Emmerich, nous fait croire qu’elle est compatible avec la foi de l’Église telle que  voulue par le Christ.

D’où la difficulté de choisir son camp car ce qui est en jeu n’est plus aussi clair que ça l’était pour les martyrs du début.

« C’est une chose d’être dans le monde et une autre de devenir comme le monde. En parlant comme le monde parle, et en raisonnant comme le monde raisonne, Bergoglio a fait s’évaporer Pierre et s’est placé lui-même au premier plan...

« Mais aujourd’hui, Pierre ne paît pas ses brebis et ne les confirme pas dans la foi. Pourquoi ? […] Bergoglio parle de Dieu, mais de toute sa prédication sort un Dieu qui n’est pas le Dieu de la Bible, mais un Dieu adultéré, un Dieu, je dirais, dépourvu de pouvoir ou, mieux encore, adapté. A quoi ? A l’homme et à sa prétention d’être justifié en vivant comme si le péché n’existait pas ». (AM Valli, Rome sans Pape, voir 24 février 2021 pour lien).

« La Mère sera veuve » confirme Jean XXIII dans la prophétie concernant Benoît XVI.

Cette nouvelle civilisation est bien évidement le système 666 de l’Apocalypse.

Et il semble bien que la clique judéo-maçonnique y va de son « passeport sanitaire » pour faire adhérer les nouveaux « martyrs » modernes, car les convertis à la grande réinitialisation le demandent ce passeport, afin de retrouver leurs « vies normales »!

Sous l’emprise de Mammon. À leur insu.

C’est là la subtilité…

« 31 mars 2021 ( LifeSiteNews ) –– Une multitude de dirigeants mondiaux ont lancé un appel en faveur d’un traité sur une pandémie mondiale, prétendument afin de prévenir de futures pandémies, de distribuer des vaccins et de mettre en œuvre une approche unilatérale de la gouvernance mondiale.

Le Premier ministre britannique Boris Johnson, le président français Emmanuel Macron, la chancelière allemande Angela Merkel, la chef de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), ainsi que 20 autres dirigeants mondiaux, ont uni leurs forces pour rédiger une lettre commune avec l’intention apparente de gagner le soutien populaire pour le plan mondialiste.

Dans le journal britannique The Telegraph , ainsi que dans d’autres publications telles que Le Monde en France, les dirigeants ont déclaré leur intention de «construire une architecture de santé internationale plus robuste qui protégera les générations futures».
Qualifiant le COVID-19 de «plus grand défi pour la communauté mondiale depuis les années 1940», les 24 dirigeants ont prédit qu’il «y aura d’autres pandémies et d’autres urgences sanitaires majeures».

«Aucun gouvernement ou agence multilatérale ne peut à lui seul faire face à cette menace», ont-ils déclaré. «La question n’est pas de savoir si, mais quand. Ensemble, nous devons être mieux préparés pour prévoir, prévenir, détecter, évaluer et réagir efficacement aux pandémies de manière hautement coordonnée. La pandémie de Covid-19 a été un rappel brutal et douloureux que personne n’est en sécurité tant que tout le monde n’est pas en sécurité. »

Cette dernière phrase pourrait indiquer l’influence du fondateur et mondialiste engagé du Forum économique mondial (WEF) Klaus Schwab sur les 24 dirigeants. Il y a quelques semaines, Schwab a déclaré : « Tant que pas tout le monde est vacciné, personne ne sera en sécurité » , une déclaration qui en soi pose une question intéressante à propos de la confiance que ces dirigeants accordent à leur bien loué, mais dangereux, des injections expérimentales.

Les dirigeants ont réaffirmé leur objectif commun de vaccination mondiale, la décrivant comme un «bien public mondial».
Afin d’atteindre ce «bien public» et d’assurer un déploiement rapide des vaccins à travers le monde, les 24 mondialistes ont lancé leur nouveau traité international: «[Nous] croyons que les nations devraient travailler ensemble à un nouveau traité international contre la pandémie. Un tel engagement collectif renouvelé constituerait un jalon dans le renforcement de la préparation à une pandémie au plus haut niveau politique.


Déclarant que le coronavirus, originaire de Wuhan, en Chine, avait «exploité nos faiblesses et nos divisions», les dirigeants ont déclaré qu’il était de leur «responsabilité» de «veiller à ce que le monde tire les leçons de la pandémie de Covid-19», et de «Saisissez cette opportunité et réunissez-vous en tant que communauté mondiale pour une coopération pacifique qui va au-delà de cette crise.»
La proposition devrait être discutée plus avant entre les dirigeants nationaux lors du sommet du G7 de juin à Cornwall au Royaume-Uni, où Boris Johnson rejoindra ses homologues du Canada, de France, d’Allemagne, d’Italie, du Japon, des États-Unis et de l’UE. les signataires ont averti que leur nouveau plan «prendra du temps et nécessitera un engagement politique, financier et sociétal soutenu pendant de nombreuses années».
… »


Dans la réalité, le vaccin demeure un vaccin. Comme pour celui de la grippe annuelle.

Expérimental certes, mais la raison pour le prendre ou non se résume à un risque, risque à moyen ou long terme, l’avenir le dira... si on s’y rend.

Mais, celui ou celle qui ADHÈRE au vaccin en âme et conscience pour « SON PASSEPORT », pour sa liberté qui se voudra une prison (exemple de la Chine), afin de retrouver la « normalité » SANS DIEU NI FOI, alors celui-là adhère volontairement au système 666 par la marque sur le front et la main, PAR SA MANIÈRE DE PENSER ET D’AGIR en harmonie avec le système 666.

Or, le chrétien qui continue de PENSER ET D’AGIR selon la volonté divine, selon les enseignements du Christ, tout en étant alerte pour protéger son âme, même vacciné ne succombe pas au système 666.

Aucunement.

C’est là l’explication de la fuite dans les montagnes expliquée par le Christ en Matthieu 24 pour cette fin des temps.

S’isoler dans son âme et conscience hors de Babylone tout en faisant partie physiquement de Babylone puisque nous n’avons pas le choix.

Tout est une question d’état d’Esprit, de fusion avec le Christ et le Père.

Et, l’avantage pour les chrétiens forts dans la foi qui ne reconnaissent plus ce monde est que tout va présentement très vite.

Plus nous nous approchons de la chute des deux Babylone, plus nous nous approchons du retour du Christ en Gloire, car selon l’Apocalypse, la chute du système en est le prélude imminent.

« … Car, comme l'éclair part de l'orient et brille jusqu'à l'occident, ainsi en sera-t-il de l'avènement du Fils de l'homme. » (Matthieu 24, 27).

La VRAIE libération est à nos portes.

Soyons persévérants dans la Foi.

03 avril

Heureuse Pâques à tous.

Que l'Esprit-Saint nous éclaire afin de faire le choix qui s'impose en ces temps exigeants mais si cruciaux pour l'élévation de l'âme, ou de sa mort.

Méditation de Mgr Vigano pour cette occasion:

 «« Les apôtres et martyrs d’hier revivent dans les apôtres et martyrs d’aujourd’hui »

Passio Ecclesiae. Méditation dans les domaines de la passion et de la mort
par Carlo Maria Viganò, archevêque

C’est votre heure, c’est l’empire des ténèbres (Lc 22, 53).

Les textes de la liturgie du Sacré Triduum nous frappent, comme un coup de fouet, pour la brutalité grossière des tourments auxquels le Sauveur a été soumis par la volonté du Sanhédrin, sur ordre du Procureur romain. La messe, initiée par les grands prêtres, invoque le sang innocent du Fils de Dieu sur eux-mêmes et sur leurs enfants, niant en l’espace de quelques jours le triomphe qui leur a été accordé en entrant à Jérusalem. Les acclamations et les hosannas se transforment en crucifix et les branches de palmier deviennent des fouets et des bâtons. Comment peuvent-ils décevoir, les foules: capables de payer les honneurs avec la même conviction avec laquelle, peu de temps après, ils décrètent la peine de mort.

Quels sont les protagonistes et les responsables de cette condamnation? Judas, Apôtre parmi les Douze, voleur et traître, qui pour trente pièces d’argent remet le Maître à l’autorité ecclésiastique pour le faire arrêter. Le Sanhédrin, c’est-à-dire l’autorité religieuse de l’Ancienne Loi, toujours en vigueur au moment de la Passion. De faux témoins, payés ou en quête de notoriété, qui accusent Notre Seigneur en se contredisant. Le peuple, ou plutôt la masse prête pour des manifestations de rue qui se laissent guider par quelques manipulateurs habiles. Le procureur Ponce Pilate, représentant de l’empereur en Palestine, qui prononce une sentence injuste, mais avec autorité officielle. Et tout ces congeries de subordonnés sans nom qui font rage avec une cruauté sans précédent sur un innocent, pour le seul fait que cela est attendu d’eux: les gardes du temple.

Notre Seigneur est condamné à mort alors que son innocence a été reconnue par le magistrat légitime: Accipite eum vos et crucifigite; ego enim non invenio in eo causam . Pilate ne veut pas contrarier les grands prêtres, ni avoir contre la foule qu’ils peuvent manipuler en faisant appel à la haine des Romains, qui occupent militairement la Palestine. Il sait quel mépris les Lévites et les anciens du peuple ont à son égard, le considérant comme un païen qui doit se tenir éloigné, au point de ne pas vouloir se contaminer en entrant dans le prétoire: ils restent à l’extérieur, pour vérifier que le le pouvoir temporel qui les opprime est de les rendre complices de la condamnation de leur Messie pour blasphème, c’est-à-dire pour crime de nature religieuse. Au contraire: envoyer un innocent à mort sans condamnation Innocens ego sum a sanguine justi hujus , dit Pilate. Ainsi l’autorité civile, par crainte face à l’arrogance et au chantage d’une émeute, renonce à exercer la justice; ainsi l’autorité spirituelle, afin de ne pas perdre le pouvoir qu’elle avait monopolisé, cache les prophéties, insiste pour ne pas reconnaître le Messie promis malgré les confirmations continues de sa divinité, et conspire à tuer Jésus-Christ car, en disant la vérité, il a proclamé Dieu. Les princes des prêtres menacent Pilate: Si hunc dimittis, non es amicus Cæsaris , et ils viennent se soumettre au pouvoir impérial pour mettre à mort leur roi: Non habemus regem, nisi Cæsarem. Mais n’était-ce pas Hérode, le roi de Judée?

Jusqu’à la croix – où le Seigneur entonne l’antienne de son propre sacrifice avec les paroles du psalmiste: Deus meus, Deus meus: ut quid me dereliquisti? – ceux qui connaissaient les Saintes Écritures par cœur prétendent ne pas reconnaître dans ce cri solennel le dernier avertissement à la synagogue, présageant l’abolition du sacerdoce lévitique et la destruction imminente du temple, quarante ans plus tard, par la main de Titus. Dans le Psaume 21, David prédit ce que les Juifs avaient sous les yeux et qu’ils ne pouvaient plus comprendre à cause de leur aveuglement, et nous entendons cet avertissement répété aujourd’hui dans les Impropérations de la liturgie de Parasceve, incrédule de l’infidélité du peuple élu et déchirée par la répétition non moins déchirante de l’infidélité du nouvel Israël, de ses papes, de ses ministres.

Il n’y a pas un seul mot dans la liturgie du Triduum pascal qui ne sonne comme une accusation douloureuse et souffrante; l’accusation du Seigneur qui voit l’acte par lequel le pouvoir religieux et civil s’allie contre le Seigneur et son Christ dans la trahison de Judas et de son peuple: Astiterunt reges terrae, et principes convenerunt in unum, adversus Dominum, et adversus Christum ejus.

Notre Seigneur dit: Si le monde vous hait, sachez qu’avant vous, il m’a haï. Si vous étiez du monde, le monde aimerait ce qui lui appartient; parce que vous n’êtes pas du monde, mais que je vous ai choisi dans le monde, c’est pourquoi le monde vous déteste. Souvenez-vous de la parole que je vous ai dite: Un serviteur n’est pas plus grand que son maître. S’ils m’ont persécuté, ils vous persécuteront aussi . Avec cet avertissement, le Sauveur nous rappelle que sa très sainte Passion doit aussi s’accomplir dans le corps mystique – s’ils m’ont persécuté, ils vous persécuteront aussi – à la fois chez les individus au cours des siècles et dans l’Église en tant qu’institution à la fin de temps. Et la correspondance entre la Passion du Christ et la Passion de l’Église est significative.

Cette correspondance me semble être encore plus évidente en cette heure d’obscurité, où le pouvoir du nouveau Sanhédrin infidèle et corrompu s’allie au pouvoir temporel de persécuter Notre Seigneur et ceux qui lui sont fidèles. Aujourd’hui encore, les princes des prêtres, assoiffés de pouvoir et désireux de plaire à l’empire qui les soumet, ont recours à Pilate pour faire condamner les catholiques, les accusant de blasphème de ne pas vouloir accepter la trahison de leurs chefs. Les apôtres et les martyrs d’hier revivent parmi les apôtres et les martyrs d’aujourd’hui, qui pour l’instant se voient refuser le privilège du martyre sanglant, mais pas la persécution, l’ostracisme, la dérision. Nous trouvons Judas, qui vend de bons bergers au Sanhédrin; on trouve les faux témoins, les scélérats, les fauteurs de troubles de la masse, les gardiens du temple et les soldats du prétoire; nous trouvons Caïphe déchirant ses vêtements, Pierre reniant le Seigneur et les apôtres fuyant et se cachant; nous trouvons ceux qui couronnent l’Église d’épines, ceux qui la giflent et se moquent d’elle, ceux qui la flagellent et l’exposent à la moquerie; qui jette sur elle la croix des scandales de ses ministres, des péchés de ses fidèles; encore aujourd’hui, il y a ceux qui trempent l’éponge dans du vinaigre et ceux qui transpercent le côté de l’église avec une lance; même aujourd’hui, il y a un rôle discret et qui joue par tirage au sort. Mais comme hier, aujourd’hui encore la Mère de l’Église et un Apôtre resteront au pied de la croix, témoins de lapassio Ecclesiæ comme ils ont été témoins de la passio Christi, témoins qui jettent sur la croix les scandales de ses ministres, des péchés de ses fidèles; encore aujourd’hui, il y a ceux qui trempent l’éponge dans du vinaigre et ceux qui transpercent le côté de l’église avec une lance; même aujourd’hui, il y a un rôle discret et qui joue par tirage au sort.

Chacun de nous, dans ces heures de silence et de méditation, s’examine. Demandons-nous si nous voulons être, dans l’action liturgique des temps récents, parmi ceux qui, ne fût-ce que par conformisme, ont regardé ailleurs, secoué la tête, craché sur le Seigneur en passant vers le Calvaire. Demandons-nous si dans cette représentation sacrée nous aurons le courage d’essuyer le visage sanglant du Christ à l’image dévastée de l’Église, si nous saurons comment la Cyrénienne aidera l’Église à porter sa croix, si comme Joseph d’Arimathie nous lui offrirons un endroit digne où la coucher jusqu’à ce qu’elle soit ressuscitée. Demandons-nous combien de fois avons-nous giflé le Christ, en prenant le parti du Sanhédrin et des grands prêtres, combien de fois avons-nous mis les respects humains avant notre foi,

Lorsque l’Église crie son Consummatum sous un ciel noir, tandis que la terre tremblera et que le voile du temple se déchirera de haut en bas, ce qui manque aux souffrances du Christ (Col 1:24) s’accomplira dans le Corps mystique. Nous attendrons la déposition de la croix, la composition dans le sépulcre, le silence absorbé et muet de la nature, la descente aux enfers. Dans ce cas également, il y aura les gardes du temple pour s’assurer que le pusillus grex ne se relèvera pas, et il y aura ceux qui diront que ses adeptes sont venus le voler.

Il viendra également à la Sainte Eglise le Samedi Saint; l’ Exultet viendra et l’ Alléluia viendra , après la douleur, la mort et les ténèbres du tombeau. Scimus Christum surrexisse a mortuis vere : nous savons que son corps mystique ressuscitera aussi avec lui, juste au moment où ses ministres penseront que tout est perdu. Et ils reconnaîtront l’Église, comme Notre Seigneur l’a reconnu, in fractione panis .

Tel est mon souhait, du fond du cœur, pour cette Sainte Pâques et pour les temps qui nous attendent.

+ Carlo Maria Viganò, archevêque

2 avril 2021 »

(aldomariavallil.it)

Mars 2021

31 mars

LE CHAOS ARRIVE

« Le système a admirablement corrompu nos sociétés, ce qui fait que beaucoup d’hommes et de femmes sont irrécupérables, irrécupérables… Et là dans les événements brutaux et sanglants que l’on va connaître, une sorte de sélection.

Les êtres qui ont été, …, baisés par le système, certains ne se relèveront jamais, ils dégageront. Il y aura une forme de sélection, et dans cette lutte de survie, ce sont ceux qui seront mentalement les plus solides, les plus volontaires, qui tiendront le coup.

… le système est arrivé à un tel point.

Il a réussi à dégrader l’âme humaine. »

Ce sont là des propos de Pierre Hillard dans sa dernière sortie via « l’écho des canuts » en vidéo (à partir particulièrement de 1h29 minutes, pour la longue conclusion).

Voilà qui résume bien où nous en sommes dans cette débandade « apostasique » engendrée par le fils du Mal, en affront au Verbe Incarné, Vrai Dieu et Vrai Homme.

LE SYSTÈME mis en place via la pandémie par l’élite et ses sbires est tout simplement le système 666 temporel annoncé dans l’Apocalypse de Saint-Jean, soit un contrôle total via la technologie.

Le pouvoir est en train de se concentrer aux mains d’un petit groupe qui fera basculé la balance par la création d’une monnaie numérique mondiale contrôlée non plus par les pays ou les régions, mais par les réserves bancaires privées qui auront alors tout le loisir de couper les vivres.

Cet élite rêve du modèle chinois…

« Passeport sanitaire, à la mode chinoise (afp.com) »

Qui est confirmé dans cette vidéo, « ce qui nous attend ».

Tout avait été annoncé via la revue de « The Economist, le monde en 2019 », juste avant la pandémie (revue appartenant aux Rothschild, à la City de Londres) (révélé par Pierre Hillard dans la vidéo ci-dessus).

Le but est de réduire la population mondiale via la vaccination et de contrôler ce qui en reste, car les ressources terrestres se font plus rares.

Le signal d’alarme est même lancé par l’ex-vice-président et directeur scientifique de Pfizer, rien de moins…

« 29 mars 2021 ( Médecins de première ligne américains ) – Le Dr Michael Yeadon , ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer, s’est adressé de toute urgence aux médecins de première ligne américains (AFLDS) à la fin de la semaine dernière, avertissant que la volonté d’injecter la plus grande partie possible de la population avec les vaccins expérimentaux du Covid-19 est de « la folie », qui génère du « mal » et constituent en fait des « crimes contre l’ humanité » qui peuvent avoir l’intention d’un « dépeuplement à une échelle massive. »
Ayant soutenu qu’il n’y a « pas de besoins de vaccins » pour le COVID-19, Yeadon souligne ci-dessous: «VEUILLEZ avertir chaque personne de ne pas s’approcher de la recharge des vaccins. Il n’y a absolument aucun besoin d’eux… » (lifesitenews.com).

Et devant la polémique créée par les caillots sanguins et les mortalités engendrées par le vaccin Astrazeneca, l’élite ne recule devant rien et en bons fils du prince du mensonge, change le nom et l’emballage du vaccin! (lepoint.fr).

Mgr Vigano avertit… encore une fois.

Mais les gens endoctrinés par le système ne comprennent pas, et ne comprendront pas.

Ils veulent le retour à leurs normalités.

Sans éducation religieuse catholique avec des bases solides, devant une telle apostasie, qui peut réellement s’en sortir comme le confirme Pierre Hillard?

Mgr Vigano :

« COVID-19, LE VACCIN, ET LA GRANDE RÉINITIALISATION »

Ce que nous avons appris jusqu’à présent sur la pseudo-pandémie nous donne l’image d’une réalité inquiétante et d’une conspiration criminelle encore plus inquiétante éclos par des esprits égarés. Cette réalité n’est cependant pas prise en considération par ceux qui, hypnotisés par l’endoctrinement médiatique, persistent à considérer une grippe saisonnière grave comme un fléau pandémique, les traitements connus comme inefficaces, et les soi-disant vaccins qui sont certes inutiles et nocifs comme rien. à court de miraculeux...

Un projet planifié depuis des années

Nous savons que pour mener cette opération criminelle – puisqu’il faut parler d’un crime contre Dieu et contre l’humanité, et non d’un simple sort malheureux – il a fallu des années de planification...

Les promoteurs de la pandémie

On sait qui sont les théoriciens de la pandémie comme instrumentum regni , de
Bill Gates à George Soros, dans un réseau de complicité d’intérêts si vaste et organisé que toute mesure d’opposition est pratiquement impossible. Avec eux, nous trouvons le répertoire le plus inquiétant des organisations dites philanthropiques et des lobbies du pouvoir, comme le Forum économique mondial avec Klaus Schwab, l’OMS et toutes ses branches nationales, la Commission trilatérale, le groupe Bildeberg, le Conseil pour Capitalisme inclusif dirigé par Lady Lynn Forester de Rothschild sous la direction spirituelle de Bergoglio et, plus généralement, de la phalange des multinationales, des banques et des groupes de pouvoir qui appartiennent à ce dôme de conspirateurs. Ne soyez pas surpris si, en parfaite cohérence avec leurs plans, les sectes et les mouvements satanistes mondiaux se mobilisent également,

La soumission de la hiérarchie catholique

Enfin, nous savons – et c’est certainement l’aspect le plus choquant – qu’une partie de la hiérarchie catholique est également présente dans ce plan, qui trouve en Jorge Mario Bergoglio un prédicateur obéissant du récit de la pandémie et le principal sponsor des vaccins, qui a n’hésite pas à les définir comme «un devoir moral», malgré les très graves préoccupations éthiques et religieuses qu’elles soulèvent. Bergoglio est même allé au point de se faire interviewer par le Vaticaniste Domenico Agasso, dans une conversation contenue dans un livre intitulé Dio e il mondo che verrà, to recommend to the masses the administration of the gene serum and to furnish an authoritative and unfortunate endorsement of the ideology of globalism. And since March 2020, the Holy See has shown itself to be perfectly aligned with the globalist plan by ordering the closure of churches and the suspension of the celebration and administration of the Sacraments. If this had not really happened, and instead a strong condemnation of this antihuman and antichristic project had occurred, the highest levels of the Church would have had a difficult time accepting subjecting the multitudes to absurd limitations on their natural freedoms, in the name of not only an ideological enslavement but obviously also economic and social.

N’oublions pas qu’en contrepartie de la perte des fidèles dans les églises et de la réduction drastique des offrandes pour les Conférences épiscopales qui en résulte, il doit nécessairement y avoir une forme alternative de financement qu’il ne nous faudra pas longtemps pour découvrir. Je pense que ni la Chine communiste, ni de Rothschild, ni Bill et Melinda Gates (qui, comme je l’ai appris d’une source faisant autorité, ont ouvert un compte à l’IOR, la Banque du Vatican), ni le réseau des partis démocratiques autoproclamés – le La gauche internationale – obéissant à l’idéologie mondialiste, est étrangère à cette opération. D’autre part, la Grande Réinitialisation envisage l’établissement d’une Religion Universelle œcuménique, écologique et malthusienne, qui voit en Bergoglio son leader naturel, comme l’a récemment reconnu la Maçonnerie. L’adoration de lapachamama au Vatican, l’accord d’Abu Dhabi, l’encyclique Fratelli tutti et le prochain sabbat d’Astana vont tous dans cette direction, complétant l’inexorable processus dissolutif de l’Église qui a commencé avec le Concile Vatican II.

Deux mondes opposés

Cette crise sert à créer les conditions nécessaires pour rendre inévitable la Grande Réinitialisation, c’est-à-dire la transition d’un monde basé sur la civilisation gréco-romaine et le christianisme à un monde sans âme, sans racines, sans idéaux. En pratique, c’est le passage du Royaume du Christ au Royaume de l’Antéchrist, d’une société vertueuse qui punit les méchants à la société impie et méchante qui punit le bien. Cette idée détestable d ‘«égalité» qui nous a été inculquée auparavant par les libres penseurs a maintenant été utilisée pour assimiler le bien et le mal, le bien et le mal, le beau et le laid, sous prétexte de reconnaître la liberté d’expression; aujourd’hui, il sert à promouvoir le mal, l’injustice et ce qui ne va pas, et même à les rendre obligatoires, afin de délégitimer et d’interdire la bonté, la justice et la beauté. Conformément à cette vision, L’œcuménisme aussi – qui a été initialement introduit dans l’enceinte sacrée par le Concile sous prétexte de ramener hérétiques et schismatiques – montre aujourd’hui sa charge antichristique, incorporant toutes les fausses religions dans un panthéon mais proscrivant la religion catholique apostolique, car elle est la seul vrai et en tant que tel est inconciliable avec l’erreur doctrinale et la déviation morale. Nous devons donc comprendre que si nous assistons passivement aux changements en cours et que nous permettons à l’idéologie mondialiste de s’imposer sous toutes ses formes les plus abjectes, nous serons bientôt considérés comme des criminels, incorporant toutes les fausses religions dans un panthéon mais proscrivant la religion catholique apostolique, car c’est la seule vraie religion et en tant que telle est inconciliable avec l’erreur doctrinale et la déviation morale. Nous devons donc comprendre que si nous assistons passivement aux changements en cours et que nous permettons à l’idéologie mondialiste de s’imposer sous toutes ses formes les plus abjectes, nous serons bientôt considérés comme des criminels, incorporant toutes les fausses religions dans un panthéon mais proscrivant la religion catholique apostolique, car c’est la seule vraie religion et en tant que telle est inconciliable avec l’erreur doctrinale et la déviation morale. Nous devons donc comprendre que si nous assistons passivement aux changements en cours et que nous permettons à l’idéologie mondialiste de s’imposer sous toutes ses formes les plus abjectes, nous serons bientôt considérés comme des criminels,hostes publici parce que nous sommes fidèles à un Dieu jaloux qui ne tolère pas le mélange avec les idoles et la prostitution. La tromperie de liberté, d’égalité et de fraternité propagée par la maçonnerie consiste précisément à usurper la primauté de Dieu pour la donner à Satan, avec le prétexte apparent – qui est en tout cas erroné et immoral – de placer Dieu et Satan sur le même plan. de manière à permettre une prétendue liberté de choix qui n’existe pas moralement. Mais le but final, le vrai et incontestable, est fondamentalement théologique, parce que l’auteur de la rébellion est toujours le même, l’éternellement vaincu.

Un avertissement salutaire

D’un autre côté, il y a la puissance de Dieu. Certains d’entre nous, au début, croyaient que la pandémie était réelle et, avec un esprit surnaturel, pensaient que c’était en quelque sorte un châtiment divin pour les graves péchés des individus et des nations: ils appelaient à des actes de réparation et à des prières pour demandez à Dieu la fin de la peste. Face à la preuve qu’il n’y a pas de pandémie et que les décès ont été délibérément amenés à exagérer les effets sur la population, nous devons considérer Covid comme un fléau, non pas en soi, mais pour tout ce qu’il a révélé: le plan de Satan pour l’établissement du Nouvel Ordre Mondial, qui est censé conduire au règne de l’Antéchrist. Le Seigneur nous montre, avec la sévérité d’un Père, qu’il veut toujours avertir ses enfants et induire l’humanité en erreur sur les conséquences du péché.

La réponse des catholiques

Mais pour que les nations retournent à Dieu, leurs membres doivent déjà lui appartenir. Pour que le Christ soit Roi des nations, il doit d’abord régner dans nos âmes, nos familles et nos communautés, et il doit régner avant tout dans la sainte Église, sur ses ministres, sur le pape et sur les évêques. Tant que le Dieu vivant et vrai est indigné en étant placé aux côtés des idoles et des démons, nous ne pouvons pas espérer que la Miséricorde Divine mettra fin à ce fléau et vaincra l’ennemi.

Que cette période de préparation pour la Sainte Pâques soit pour nous tous un temps de sainteté: dans la pénitence, le jeûne et le sacrifice, nous devons venir au pied de la Croix et contempler dans la Passion de Notre Sauveur son acte de victoire sur le Mal. Une. En faisant crucifier le Rédempteur sur le bois de la Croix, Satan a marqué sa propre défaite, qui doit encore être rendue définitive à la fin des temps mais qui est la plus certaine et inexorable.

Revenons à Dieu! Revenons à la Foi, pure et entière, sans compromis avec la mentalité du monde. Revenons à la morale chrétienne, à la sainteté de vie, à la pureté des coutumes.Le nombre des justes retiendra la main droite du Tout-Puissant et permettra à l’Église d’affronter le Calvaire de sa persécution finale avec la même dignité avec laquelle Sa Tête l’a précédé. elle, parce que la croix est le chemin royal qui mène à la gloire de la résurrection. La voie large et confortable est celle que nous voyons aujourd’hui et, malheureusement, nous savons très bien où elle mène. Que la puissante protection de la Très Sainte Vierge, Notre-Dame et Reine, nous assiste dans ces moments historiques: qu’elle soit Notre Générale dans ce combat spirituel, aux côtés de Saint Michel Archange et de toute la Cour céleste.

+ Carlo Maria Viganò, archevêque

25 mars 2021

Annonciation de la Vierge Marie » (marcotosatti.com)


Satan décharge son fiel comme jamais. La récolte des âmes, soutirées au Rédempteur, atteint son sommet.

L’instrument, l’abomination de la désolation sur le trône de Saint-Pierre, n’y manque pas.

Juste avant la Pâques.

Une autre attaque contre la Sainte Mère.

« VATICAN CITY, 25 mars 2021 ( LifeSiteNews ) - Le pape François a lancé une nouvelle attaque contre Notre-Dame, alors qu'il utilisait son audience générale hebdomadaire pour saper l'enseignement catholique sur sa Divine Maternité, ainsi que la compréhension de son rôle de co-rédemptrice , suggérant qu'un tel titre était le fruit d'exagérations.

Mercredi matin , alors que le Pape s'adressait à la poignée de membres du clergé assis autour de lui, ainsi qu'à ceux qui regardaient via un lien vidéo, il a prononcé un discours contenant un mélange d'enseignement catholique et non catholique.
François s'est empressé de dénoncer l'enseignement de Marie comme co-rédemptrice, en soulignant correctement que le Christ est le médiateur entre Dieu et l'homme, mais en rejetant la possibilité d'un co-rédempteur: «Le Christ est le médiateur. Le Christ est le pont que nous traversons pour nous tourner vers le Père. Il est le seul rédempteur; il n'y a pas de co-rédempteurs avec le Christ, il est le seul. Il est le médiateur par excellence.

La compréhension de l'Église de la co-rédemption mariale a été cohérente depuis l'époque des premiers Pères - jusqu'à ces derniers temps, quand elle est devenue un sujet controversé après le Concile Vatican II, en raison des préoccupations du clergé de gauche quant à son effet sur l'œcuménisme.

«Marie désigne le médiateur», a poursuivi François, «Marie est complètement dirigée vers lui, elle est plus son disciple que sa mère, pourrions-nous dire.

Ce point pourrait être lu en contradiction avec l'enseignement de l'Église, qui a traditionnellement soutenu que tous les titres et honneurs propres à Marie découlent de son rôle de Mère de Dieu, tel qu'enseigné au Concile d'Éphèse en 431 .

Semblant commenter hors du scénario, le pape a précisé son attaque, affirmant que le Christ n'avait pas l'intention que Marie soit co-rédemptrice. «La mère qui couvre tout le monde sous son manteau de mère, Jésus nous a confiés à elle en tant que mère, non en tant que déesse, pas en tant que co-rédemptrice, en tant que mère.

Le Pape est allé jusqu'à suggérer qu'un tel titre, par lequel de nombreux saints et papes se sont adressés à Marie, est né d'une exagération amoureuse, mais n'était pas vrai en fait. «C'est vrai, la piété chrétienne aime lui donner de beaux titres, mais c'est surtout une mère, quel merveilleux titre. Mais rappelez-vous, tous les merveilleux titres que l'Église donne à Marie, ils n'enlèvent rien au rôle de médiation unique de Jésus. Parfois, quand nous aimons quelqu'un, cela nous fait exagérer. »

Alors que François rejetait négligemment la dévotion à Marie comme co-rédemptrice comme une exagération, il semblait rejeter l'enseignement perpétuel de l'Église sur ce sujet - bien que ce ne soit pas un dogme déclaré ex cathedra . En effet, le commentateur catholique britannique, le diacre Nick Donnelly, a noté que le pape François «menait une campagne contre la doctrine mariale catholique».

Dans ses commentaires à LifeSiteNews, le diacre Donnelly a souligné une ignorance délibérée des Écritures de la part du Pape: «En restreignant les titres de la Bienheureuse Vierge Marie à seulement« Mère »et« disciple », le Pape François ignore la prophétie du Protoevangelium et de Siméon selon laquelle elle jouerait un rôle essentiel dans la rédemption de l'humanité. Le titre Co-Rédemptrice sauvegarde la révélation divine sur le rôle de Marie.

Qu'est-ce que la co-rédemption?

Le mot Co-Rédemptrice lui-même est composé des deux mots latins cum et redimere . Cum se traduit par «avec» en anglais, désignant une personne agissant aux côtés d'une autre, mais ne signifie jamais «égal» ou «interchangeable» à la manière de «copilote», par exemple. Redimere est le verbe qui signifie «racheter, libérer par paiement». Lorsqu'il est combiné avec la terminaison féminine du verbe, on obtient le sens «celle qui rachète avec».

S'inspirant fortement des Écritures, des personnages tels que les saints Irénée, Éphraïm, Jérôme et Augustin ont jeté les bases de la compréhension du terme dans les premiers siècles de l'Église, avant des théologiens plus tardifs tels que les saints Bernard , Bonaventure, Thomas d'Aquin , Louis de Montfort. et Alphonsus Liguori a pleinement exposé les mystères contenus dans le titre.
En plus de nombreux autres érudits non canonisés, le Saint-Office a également pesé sur la question, écrivant en 1908 en réponse à une question sur la fête des Sept Douleurs de Marie que «la dévotion de la Mère Triste peut augmenter et la piété des fidèles et leur gratitude envers la co-rédemptrice miséricordieuse du genre humain peuvent s'intensifier.

Cinq ans plus tard, le Saint-Office a accordé une indulgence partielle à une prière adressée à Marie comme «Co-Rédemptrice du genre humain».

Le pape Pie XI a également utilisé le terme co-rédemptrice dans le cadre de ses discours publics, en 1933, 1934 et 1935, en s'appuyant sur le soutien papal précédent à l'enseignement exprimé par les papes Pie IX, Léon XIII, Pie X et Benoît XV.

Le pape Jean-Paul II a également utilisé le terme au moins sept fois au cours de son pontificat, à la fois dans ses écrits et discours, ainsi que dans l'enseignement de la signification du titre dans son encyclique Redemptoris Mater et dans son audience générale entre 1995 et 1997.
L'enseignement de l'Église sur ce sujet est si approfondi et constant qu'en 2017, l'Association mariale internationale a publié une déclaration dans le cadre d'un appel plus long au pape François, disant: «Non seulement le terme co-rédemptrice est théologiquement acceptable en articulant l'intimité et la complémentarité entre le divin Rédempteur et sa mère humaine immaculée, mais le titre est en fait nécessaire pour désigner et signifier correctement en un seul terme l'unité providentiellement conçue entre Jésus et Marie, Dieu-homme et femme humaine, Nouvel Adam et Nouvelle Eve, Rédempteur et Co-rédemptrice, dans l'œuvre historique de la Rédemption.

Cependant, la dernière audience générale n'est en aucun cas la première fois que l'actuel pape attaque la co-rédemption mariale. Le 12 décembre 2019, François a proclamé que les démarches visant à déclarer officiellement Marie Co-Rédemptrice étaient de la «folie».

En réponse, Mgr Carlo Maria Viganò a sévèrement réprimandé François, disant que «le Pape Bergoglio a une fois de plus laissé libre cours à son évidente intolérance mariale, rappelant celle du Serpent dans le récit de la Chute, dans ce Proto-Évangile qui prophétise l'inimitié radicale placée par Dieu entre la Femme et le Serpent, et l'hostilité déclarée de ce dernier, qui jusqu'à la consommation du temps cherchera à saper le talon de la Femme et à triompher d'elle et de sa postérité (lifesitenews.com). »

En ce Mercredi Saint, alors que Judas conspire pour faire arrêter le Christ, c’est un espoir de Salut qui se lève pour ceux et celles inspirés par la vraie foi et la prière, qui ont les yeux pour voir, et les oreilles pour entendre.

Le père de Mentière nourrit cet espoir dans ses deux dernières conférences de Carême 2021 :

Qu’est que le Salut?

Et, l’homme jugé, qui est sauvé?

16 mars

Il semble qu’on y arrive, à la modification de la Sainte Messe pour abolir la Présence Réelle…

Un document de la Secrétairerie d'État, donc du cardinal Pietro Parolin en tête (voir analyse précédentes quant à son rôle anticipé dans la prophétie concernant François), critiqué immédiatement par le cardinal Burke, limite la célébration du rite extraordinaire, donc de la messe traditionnelle, à la Basilique Saint-Pierre.

Notez que cet ordre ne vient pas de la Congrégation pour le culte divin et des sacrements, parce que...

Coïncidence, une enquête apostolique est ordonnée contre la Congrégation pour le culte divin, trois semaines après le renvoie déguisé du cardinal Sarah, d’où le fait qu’il n’aurait pas encore été remplacé.

« Déclaration sur l’offrande de la Sainte Messe dans la Basilique Papale Saint-Pierre

Le 12 mars 2021, la Première Section (Affaires Générales) de la Secrétairerie d’État du Pape François a publié un document contenant certaines dispositions concernant l’offrande de la Sainte Messe dans la Basilique Papale Saint-Pierre au Vatican. Le document est adressé au Commissaire Extraordinaire de la Fabrique de Saint-Pierre ( Commissario Straordinario della Fabbrica di San Pietro ), l’institut canonique chargé de l’entretien de la Basilique Papale, aux chanoines du Chapitre du Vatican ( Canonici del Capitolo Vaticano ), et au Service des célébrations liturgiques de la Basilique ( Servizio Celebrazioni liturgiche della Basilica). Tant la forme que le contenu du document soutiennent à juste titre les préoccupations les plus profondes des fidèles et, surtout, des prêtres. Les préoccupations ne concernent pas seulement la basilique papale de Saint-Pierre, mais aussi l’Église universelle, dans la mesure où la basilique papale de Saint-Pierre est, d’une manière particulière, le foyer spirituel de tous les catholiques et, en tant que telle, devrait être un modèle de la discipline liturgique pour les Églises particulières.

En ce qui concerne la forme du document, il y a plusieurs préoccupations.

1. Il s’agit d’un document non signé de la Première Section de la Secrétairerie d’État, sans numéro de protocole, légiférant sur l’aspect le plus sacré de la vie de l’Église, l’offrande de la Sainte Messe. Il porte le sceau de la Première Section avec des initiales . Bien que le document semble être authentique, c’est-à-dire non falsifié, il ne peut pas être conservé comme un document contenant une législation valide pour la liturgie sacrée.

2. La Secrétairerie d’État n’est pas compétente pour la discipline liturgique de l’Église et, en particulier, pour la discipline liturgique à la Basilique Saint-Pierre au Vatican. A juste titre, on se demande par quelle autorité la Secrétairerie d’État a-t-elle émis des directives contraires à la discipline de l’Église universelle. Une autre question concerne le processus suivi pour parvenir à la publication d’un tel document anormal.

3. Compte tenu de l’incompétence de la Secrétairerie d’État en la matière, les fidèles ont le droit de savoir quelle autorité compétente a donné mandat à la Secrétairerie d’État de légiférer sur la Sainte Liturgie, c’est-à-dire d’émettre des directives concernant l’offrande de la Messe dans la Basilique Papale de Saint Pierre.

4. La basilique papale Saint-Pierre au Vatican a maintenant un cardinal archiprêtre, mais le document en question ne lui est pas officiellement communiqué. Il n’est pas non plus fait référence à sa responsabilité de la discipline liturgique de la Basilique confiée à ses soins.

Le contenu du document est également une source de préoccupations les plus profondes.

1. Le document suppose que les saintes messes dans la basilique Saint-Pierre sont actuellement offertes dans un climat dépourvu, dans une certaine mesure, de souvenir et de décorum liturgique (« di raccoglimento e di decoro »). Ce n’est certainement pas mon expérience. Je connais de nombreux prêtres, résidant à Rome et visiteurs de Rome, qui ont célébré ou célébré régulièrement la messe à la basilique Saint-Pierre. S’ils m’ont exprimé leur profonde gratitude pour l’opportunité de célébrer la Sainte Messe dans la Basilique, ils n’ont pas indiqué que le climat dans lequel ils ont célébré la Sainte Messe dans la Basilique manquait de quelque manière que ce soit de respect, de recueillement et dignité qui sied au sacrement des sacrements.

2. Le document impose la concélébration aux prêtres qui souhaitent offrir la Sainte Messe dans la Basilique Saint-Pierre, ce qui est contraire à la loi universelle de l’Église et qui conditionne injustement le devoir premier du prêtre individuel d’offrir la Sainte Messe quotidiennement pour le salut du monde. (can. 902). Dans quelle église plus que dans la basilique Saint-Pierre un prêtre désirerait-il offrir la Sainte Messe, qui est la manière la plus parfaite et la plus complète dont il accomplit sa mission sacerdotale. Si un prêtre individuel souhaite offrir la Sainte Messe dans la Basilique, une fois que les directives en question seront en vigueur, il sera contraint de concélébrer, en violation de sa liberté d’offrir la Sainte Messe individuellement.

3. Concernant l’offrande individuelle de la Sainte Messe, il faut remarquer qu’il ne s’agit pas seulement d’un droit du prêtre mais aussi d’un grand fruit spirituel pour toute l’Église, puisque les mérites infinis du Saint Sacrifice de la Messe sont plus largement et largement appliqués d’une manière qui sied à notre nature finie et temporelle. Il est utile de réfléchir à l’enseignement du Concile de Trente, concernant la situation d’un prêtre qui offre la Sainte Messe sans qu’aucun membre des fidèles ne reçoive la Sainte Communion. Concernant la participation des fidèles à la sainte messe, le concile enseigne: «Le saint concile voudrait certainement que les fidèles présents à chaque messe y communiquent non seulement par la dévotion spirituelle mais aussi par la réception sacramentelle de l’Eucharistie, afin que les fruits de ce très saint sacrifice soient les leurs. Il poursuit en déclarant: «Mais, si cela ne se produit pas toujours, le conseil ne condamne pas pour cette raison en tant que messes privées et illicites [peut. 8 ] dans lequel seul le prêtre communique. Au contraire, il les approuve et les félicite, car elles aussi devraient être considérées comme des messes vraiment communautaires, en partie parce que les gens communiquent spirituellement en elles et en partie parce qu’elles sont célébrées par un ministre public de l’Église, non pas pour son propre bien, mais pour tous les fidèles qui appartiennent au corps du Christ »(Session XXII, chapitre 6). Il faut en outre remarquer qu’un prêtre n’offre jamais la Sainte Messe seul, même s’il n’y a personne d’autre physiquement présent, car les anges et les saints assistent à chaque offrande de la Sainte Messe (can. 903).

4. En ce qui concerne la Forme Extraordinaire du Rite Romain, que le document appelle à tort le Rite Extraordinaire, le document fait référence aux «prêtres autorisés», mais aucun prêtre en règle n’a besoin d’une autorisation pour offrir la Sainte Messe selon la Forme Extraordinaire de le rite romain (Motu Proprio Summorum Pontificum , art. 2). De plus, le document limite l’offrande de la Sainte Messe selon la Forme Extraordinaire ou Usus Antiquior du Rite Romain dans la Basilique Papale Saint-Pierre à la Chapelle Clémentine, à quatre heures fixes. Est-il supposé, par conséquent, que, chaque jour, seuls quatre prêtres seront autorisés à offrir la Sainte Messe selon l’ Usus Antiquiordans la basilique papale de Saint-Pierre? Étant donné que la loi universelle de l’Église permet au prêtre individuel, dans de telles circonstances, d’offrir la Sainte Messe, selon la forme ordinaire ( Usus Recentior ) ou la forme extraordinaire ( Usus Antiquior ), la directive en question est en violation directe du droit de l’Église universelle. .

5. Le document légifère également que les messes concélébrées soient animées liturgiquement ( siano animate liturgicamente ) par le service des lecteurs et des chanteurs. Si la discipline liturgique de l’Église prévoit le service des lecteurs et des chanteurs, il ne leur est pas question d’animer la sainte liturgie. Seul le Christ, en la personne de qui agit le prêtre, anime la sainte liturgie. Par conséquent, il ne faut pas penser que l’offrande individuelle de la Sainte Messe est en quelque sorte moins animée, au vrai sens spirituel, que la messe concélébrée.

6. Pour le bien de la foi catholique et pour le bon ordre de la Sainte Liturgie, expression la plus haute et la plus parfaite de la vie de l’Église dans le Christ, le document en question doit être abrogé immédiatement, c’est-à-dire avant sa date supposée effective de 22 mars e prochaine. De plus, la pensée qui sous-tend un tel document doit être corrigée, tandis que la discipline de l’Église universelle et la doctrine liturgique qui la sous-tend sont exposées pour les fidèles.

En conclusion, la discipline de l’Église reconnaît le droit, et même le devoir, des fidèles chrétiens de faire connaître à leurs pasteurs leurs préoccupations concernant les questions qui ont trait au bien de l’Église et, de même, de faire connaître ces préoccupations à tous les fidèles chrétiens. (can. 212 §3). Compte tenu de la gravité de la situation représentée par le document en question, j’espère que beaucoup de fidèles chrétiens pour qui la basilique Saint-Pierre est, en un sens particulier, leur église mère, et, surtout, de nombreux prêtres de partout le monde fera connaître au Pape François et à sa Secrétairerie d’État leur forte objection au document en question.

Raymond Leo Cardinal BURKE

Rome, le 13 mars 2021 »

« Est-ce le cardinal Sarah qui est visé? Et si oui, est-ce une vengeance du Pape, ou une façon de le mettre définitivement hors-jeu en vue du prochain conclave? (en tout cas, les bergogliens insinuent qu’il est bien la cible, et s’en réjouissent) Ou bien cela a-t-il un rapport avec les récentes dispositions relatives aux messes dans la basilique Saint-Pierre, qui pénalisent la forme extraordinaire du rite romain?.. »
(www.benoit-et-moi.fr).

Extraits du livre sorti aujourd’hui des entretiens de Bergoglio avec le vaticaniste Dominico Agasso.

Le langage utilisé est le même que Swab pour sa grande réinitialisation.

La pierre angulaire de la reconstruction n’est pas le Christ. Sans surprise.

Il lie l’aspect théologique du Salut à la promotion d’un nouvel ordre mondial conforme aux politiques mondialistes, suggérant que le salut dépendait de leur succès.

Il fait la promotion du virage vert. Évidement.

Tout ça en même temps que l’essai d’empêcher la messe traditionnelle à la basilique Saint-Pierre (en vigueur lundi 22 mars) afin de remettre en cause le Motu Proprio de Benoît XVI, et juste après le début, hier, de l’enquête sur la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements:

« Votre Sainteté, comment interprétez-vous le « tremblement de terre » qui a frappé le monde en 2020 sous la forme du coronavirus ?

« Dans la vie, il y a des moments d’obscurité. Trop souvent, nous pensons qu’ils ne peuvent pas nous arriver à nous, mais seulement à quelqu’un d’autre, dans un autre pays, peut-être sur un continent lointain. Au lieu de cela, nous avons tous fini dans le tunnel de la pandémie. La douleur et les ombres ont franchi les portes de nos maisons, envahi nos pensées, attaqué nos rêves et nos projets. Et donc, aujourd’hui, personne ne peut se permettre d’être calme. Le monde ne sera plus jamais le même. Mais c’est précisément au sein de cette calamité que nous devons saisir les signes qui peuvent s’avérer être les pierres angulaires de la reconstruction. Les interventions ne suffisent pas à résoudre les situations d’urgence. La pandémie est un signal d’alarme sur lequel l’homme est obligé de réfléchir. Ce temps d’épreuve peut ainsi devenir un temps de choix sages et clairvoyants pour le bien de l’humanité. De toute l’humanité. »

Quelles sont les urgences que vous entrevoyez?

« Nous ne pouvons plus accepter les inégalités et les perturbations de l’environnement en restant inertes. La voie du salut de l’humanité passe par la reconsidération d’un nouveau modèle de développement, qui place comme incontestable la coexistence entre les peuples en harmonie avec la Création. Conscient que chaque action individuelle ne reste pas isolée, en bien ou en mal, mais a des conséquences sur les autres, car tout est lié. Tout! En changeant les modes de vie qui contraignent des millions de personnes, surtout des enfants, à l’emprise de la faim, nous pourrons mener une existence plus austère qui rendra possible une répartition équitable des ressources. Il ne s’agit pas de diminuer les droits de certains pour une péréquation vers le bas, mais de donner des droits plus nombreux et plus larges à ceux à qui ils ne sont pas reconnus et protégés. »


De quel principe pouvons-nous nous inspirer?

« Ce qui se passe peut réveiller tout le monde. Il est temps d’éliminer l’injustice sociale et la marginalisation. Si nous saisissons l’épreuve comme une opportunité, nous pourrons préparer demain sous la bannière de la fraternité humaine, à laquelle il n’y a pas d’alternative, car sans vision globale, il n’y aura d’avenir pour personne. En mettant à profit cette leçon, les dirigeants des nations, ainsi que ceux qui ont des responsabilités sociales, peuvent guider les peuples de la Terre vers un avenir plus prospère et plus fraternel. Les chefs d’État pourraient se parler, se confronter davantage et se mettre d’accord sur des stratégies. Gardons tous à l’esprit qu’il y a quelque chose de pire que cette crise: le drame de son gaspillage. On ne sort pas d’une crise de la même manière: soit on en sort mieux, soit on en sort moins bien. »

Avec quelle attitude la gaspillerions-nous?

« En nous refermant sur nous-mêmes. Au contraire, en construisant un nouvel ordre mondial basé sur la solidarité, en étudiant des méthodes innovantes pour éradiquer l’arrogance, la pauvreté et la corruption, tous ensemble, chacun pour sa part, sans se déléguer et se déresponsabiliser, nous pouvons guérir l’injustice. Travailler pour fournir des soins de santé à tous. De cette façon, en pratiquant et en démontrant la cohésion, nous pouvons nous relever. »… »
(www.vaticannews.va).

La prophétie #32 « Le Temps est Proche » est lié aux deux empereurs du moment.

« Le premier empereur meurt de faim, enfermé dans la tour de son rêve.
Le second empereur dans le désert, attaqué par les animaux de la peste, inconnus.»

Trump a été écarté pour le moment, et donc enfermé dans la tour de son rêve. On lui a coupé les vivres dans sa faim de pouvoir qui ne cadrait pas avec le plan judéo-maçonnique de la branche de la City de Londres (les Rothschild), soit un monde dominé par les anglo-saxons où les États-Unis doivent se fondre, et non dominer.

Quant à l’empereur chinois, il est bien attaqué par cette crise du coronavirus, la peste, qui n’est pas terminée.

Justement, la Chine est envahi par une tempête de sable gigantesque depuis hier. Du jamais vu. Les causes : la pollution et les vents du désert de Gobi. (photos zerohedge.com).

13 mars 2021

En ce 8ème anniversaire de l’élection de Bergoglio.

Le 8 signifie l'éternité immuable ou l'autodestruction tout en représentant le point d'arrêt de la manifestation.

Nous savons tous dans quelle direction Bergoglio se dirige.

Ce qui est confirmé par le supérieur général de la Fraternité Saint-Pie X résumant la pensée et le pontificat de Bergoglio :

« Non pas capituler devant ce monde, mais tout récapituler dans le Christ »

Il établit pour la première fois, à notre connaissance, une distinction entre Bergoglio et ses prédécesseurs.

Benoît XVI a essayé de rassembler la tradition au modernisme de Vatican II, peine perdue, alors que Bergoglio a complètement largué la tradition pour adopter l’humanisme et damner les âmes.

Il n'est pas loin le moment où Bergoglio sera ouvertement proclamé par les fidèles à la Loi et aux Prophètes comme l'Antéchrist.

À la manière que le Christ l’a proclamé aux scribes et pharisiens de son temps, ces « pharisiens modernes » sous la tutelle de Bergoglio méritent le même discours.

C’est le temps de rentrer au bercail ou de suivre l’aveugle qui conduit les aveugles.

Pour les 8 ans de Bergoglio, les 8 malédictions du Christ (Matthieu 23, 13-31) qui confirment qu’il n’y a qu’un seul Père, qu’un seul Maître, le Dieu Trine, et non pas le dieu d’Abraham réunissant les chrétiens, les musulmans et les juifs à la sauce Bergoglienne.

«… Et ne donnez à personne sur la terre le nom de Père ; car vous n’avez qu’un seul Père, celui qui est dans les cieux.

Qu’on ne vous appelle pas non plus Maître ; car vous n’avez qu’un Maître, le Christ.

Le plus grand parmi vous sera votre serviteur.

Mais quiconque s’élèvera sera abaissé, et quiconque s’abaissera sera élevé.

« Malheur à vous, Scribes et Pharisiens hypocrites, parce que vous fermez aux hommes le royaume des cieux ! Vous n’y entrez pas vous-mêmes, et vous n’y laissez pas entrer ceux qui y viennent.

« Malheur à vous, Scribes et Pharisiens hypocrites, parce que, sous le semblant de vos longues prières, vous dévorez les maisons des veuves ! C’est pourquoi vous subirez une plus forte condamnation.

« Malheur à vous, Scribes et Pharisiens hypocrites, parce que vous courez les mers et la terre pour faire un prosélyte, et, quand il l’est devenu, vous faites de lui un fils de la géhenne, deux fois plus que vous !

« Malheur à vous, guides aveugles, qui dites : Si un homme jure par le temple, ce n’est rien ; mais s’il jure par l’or du temple, il est lié.
Insensés et aveugles ! lequel est le plus grand, l’or, ou le temple qui sanctifie l’or ?
Et encore : Si un homme jure par l’autel, ce n’est rien ; mais s’il jure par l’offrande qui est déposée sur l’autel, il est lié.
Aveugles ! lequel est le plus grand, l’offrande, ou l’autel qui sanctifie l’offrande ?
Celui donc qui jure par l’autel, jure par l’autel et par tout ce qui est dessus ; et celui qui jure par le temple, jure par le temple et par celui qui y habite ; et celui qui jure par le ciel, jure par le trône de Dieu et par celui qui y est assis.

« Malheur à vous, Scribes et Pharisiens hypocrites, qui payez la dîme de la menthe, de l’aneth et du cumin, et qui négligez les points les plus graves de la Loi, la justice, la miséricorde et la bonne foi ! Ce sont ces choses qu’il fallait pratiquer, sans omettre les autres.
Guides aveugles, qui filtrez le moucheron, et avalez le chameau !

« Malheur à vous, Scribes et Pharisiens hypocrites, parce que vous nettoyez le dehors de la coupe et du plat, tandis que le dedans est rempli de rapine et d’intempérance.
Pharisien aveugle, nettoie d’abord le dedans de la coupe et du plat, afin que le dehors aussi soit pur.

« Malheur à vous, Scribes et Pharisiens hypocrites, parce que vous ressemblez à des sépulcres blanchis, qui au dehors paraissent beaux, mais au dedans sont pleins d’ossements de morts et de toute sorte de pourriture.
Ainsi vous, au dehors, vous paraissez justes aux hommes, mais au dedans vous êtes pleins d’hypocrisie et d’iniquité.

« Malheur à vous, Scribes et Pharisiens hypocrites, qui bâtissez les tombeaux des prophètes et ornez les monuments des justes,
et qui dites : Si nous avions vécu aux jours de nos pères, nous n’aurions pas été leurs complices pour verser le sang des prophètes.
Ainsi vous rendez contre vous-mêmes ce témoignage, que vous êtes les fils de ceux qui ont tué les prophètes.
Comblez donc la mesure de vos pères !
Serpents, race de vipères, comment éviterez-vous d’être condamnés à la géhenne ?.. »

Selon Saint-Clément d'Alexandrie, le Christ place sous le signe du 8 celui qu'il fait renaître.

Entrerions-nous dans la période de la résurrection des deux témoins de l’Apocalypse qui par le fait même provoque la chute de la grande prostituée, l’église conciliaire de Vatican II, et des deux Babylone?

11 mars

Paradis terrestre ou béatitude Céleste?

C’est l’heure DU choix.

Avec Dieu et son Fils, ou avec Mammon.

Ce rêve dérisoire de retour à la « normale pré-pandémique » démontre tout l’attachement aux biens terrestres de cette humanité, ayant pour prix la mort de l’âme.

C’est l’avertissement de l’église de Sardes de l’Apocalypse :

« … Je connais tes œuvres : tu as la réputation d'être vivant, mais tu es mort. Sois vigilant, et affermis le reste qui allait mourir ; car je n'ai pas trouvé tes œuvres parfaites devant mon Dieu. Souviens-toi donc de l'enseignement que tu as reçu et entendu ; garde-le et repens-toi. Si donc tu ne veilles pas, je viendrai à toi comme un voleur, sans que tu aies su à quelle heure je viendrai à toi… »

Ce peuple centré sur l’humain déifié qui se croit vivant mais qui est mort est « l’ivraie » de la parabole de la séparation d’avec le bon grain enseignée par le Christ.

Le bon grain est rare.

Il faut vraiment ouvrir son cœur pour recevoir la grâce et y voir clair en ces temps présents.

Mais tout l’espoir est là, comme dans le grain de sénevé.

Saint Jean, dans sa première lettre (2, 14-17) y fait aussi allusion, à ce choix de la fin des temps :

« … N'aimez point le monde, ni ce qui est dans le monde. Si quelqu'un aime le monde, l'amour du Père n'est pas en lui. Car tout ce qui est dans le monde, la concupiscence de la chair, la concupiscence des yeux, et l'orgueil de la vie, ne vient point du Père, mais du monde.

Le monde passe, et sa concupiscence aussi ; mais celui qui fait la volonté de Dieu demeure éternellement.

Mes petits enfants, c'est la dernière heure. Comme vous avez appris que l'antéchrist doit venir, aussi y a-t-il maintenant plusieurs antéchrists : par là nous connaissons que c'est la dernière heure.

Ils sont sortis du milieu de nous, mais ils n'étaient pas des nôtres ; car s'ils eussent été des nôtres, ils seraient demeurés avec nous ; mais ils en sont sortis, afin qu'il soit manifeste que tous ne sont pas des nôtres...

Qui est le menteur, sinon celui qui nie que Jésus est le Christ ?

Celui-là est l'antéchrist, qui nie le Père et le Fils.

Quiconque nie le Fils, n'a pas non plus le Père ; celui qui confesse le Fils, a aussi le Père.
...
Et la promesse que lui-même nous a faite, c'est la vie éternelle.
...

Et maintenant, mes petits enfants, demeurez en lui, afin que, lorsqu'il paraîtra, nous ayons de l'assurance, et que nous ne soyons pas, à son avènement, rejetés loin de lui avec confusion.»

Le père de Mentière explique bien cette situation décrite par Saint-Jean dans sa troisième conférence de carême de Notre-Dame de Paris, et nous éclaire sur ce choix que nous avons à faire dans ce monde gâté par le mensonge et le péché : Paradis terrestre ou béatitude céleste?

« Cette génération ne passera point que toutes ces choses n'arrivent »… nous a indiqué Jésus.

Et il ajoute que tout arrivera aussi vite que la vitesse de l’éclair qui fend le ciel.

Le décès de Benoît XVI est la limite selon la prophétie de Jean XXIII le concernant…

Après, « La terre détruira le ciment et de terre sera, Reine, ta nouvelle Église. »

Tout est aussi confirmé par la prophétie concernant François : « Mikail et Jean descendront sur terre

L’Apocalypse, la révélation, et la bataille finale menée par Saint-Michel Archange.

Tout arrivera vite, malgré les apparences, comme au temps de Noé.

Les ténèbres ont envahi notre monde, elles font de l’ombre à l'Église, le Corps Mystique du Christ.

Ce temps de miséricorde pour que les tièdes puissent faire un choix achève.

L’équation du nénuphar (Albert Jacquart) est riche en enseignement en pareilles circonstances :

Un nénuphar a la capacité de se reproduire. Il est seul dans un lac.

Au bout de 30 jours, le lac entier sera couvert, et évidement, les nénuphars privés de nourriture et d’espace meurent étouffés, ainsi que la vie qui habite le lac.

Au bout de combien de jours le lac sera-t-il à moitié couvert?

15 jours?

Et bien non.

Puisque le double est obtenu à chaque jour, au 29 ème jour, encore 50% de la surface est disponible.

Ce n’est qu’au 30ème et dernier jour que l’événement catastrophique arrive.

Mais comme l’a si bien dit Saint-Pierre : « Mais il est une chose, bien-aimés, que vous ne devez pas ignorer, c’est que, pour le Seigneur, un jour est comme mille ans,  et mille ans sont comme un jour ».

Malgré ce que nous vivons dans l’attente du retour de NSJC qui semble, interminable à nos yeux, ce monde, comme les nénuphars, croit dans l’apostasie.

Irrémédiablement.

Cette amplification dévastatrice des ténèbres se conclura par l’étouffement, la chute des deux Babylone de Jean XXIII ou de Babylone la Grande de l’Apocalypse.

Mort soudaine et inévitable de cette Terre... et de l’âme pour certains.

Au 30ème et dernier jour. À la vitesse de l’éclair.

« Je choisis l’Éternité plutôt que la perpétuité » (Père de Menthière (vidéo ci-haut)).

Février 2021

24 février

LA RÉFORME DE LA RÉFORME en péril.

La « Réforme de la Réforme », c’est la mission que s’était donné le cardinal Sarah, ex-préfet de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements.

Son désir ardent de retourner à la messe traditionnelle est annihilé… ou presque.

Bergoglio a accepté la « démission » du cardinal Sarah au début de la semaine, alors même qu’il avait prolongé la charge de ce dernier même s’il avait atteint l’âge limite de 75 ans le printemps dernier.

Mais le démettre juste après la parution du livre du cardinal Sarah à cette période, co-signé avec Benoît XVI, ce livre qui mettait des bâtons dans les roues des projets post-synode amazonien, aurait fait mal paraître Bergoglio.

Alors, est-ce le mouvement tant attendu par les progressistes du Vatican vers la concrétisation de la nouvelle messe œcuménique ou l’abolition de la présence réelle?

Alors que nous savons que c’est la dernière étape qu’il reste à franchir avant la chute des deux Babylone (cela n’arrivera pas, juste l’annonce par Bergoglio d’une nouvelle forme de la messe suffit).

En tout cas, la rumeur voulant que le remplaçant du cardinal Sarah soit mgr Francesco Viola, si elle se concrétise, augure dans ce sens.

Ce « bugnignien » convaincu (au point qu’il porte l’anneau épiscopal d’Annibale Bugnini) suit le chemin du destructeur de la messe sous Paul VI.

« Babylone a trop de langues. Tu as brisé la chaîne, tu le sais, tu le sauras jusqu'à la mort. Langues diverses pour le sacrement, langues diverses pour les mots. Aujourd'hui elle a disparu. » (prophétie de l’Église de Jean XXIII concernant Paul VI).

Un petit rappel de rôle de Bugnini via les écrits du Marquis de la Franquerie :

« Dès la première session du Concile, la grande attaque des démolisseurs eut lieu contre la liturgie traditionnelle. C’est à cette occasion que le Cardinal Ottaviani qui défendait la Messe traditionnelle irrévocablement fixée par Saint Pie V, dut se rasseoir — lui, pratiquement aveugle — sous les sarcasmes et la risée des pères conciliaires. C’est ce qu’on appelle sans doute la charité chrétienne mise en pratique par les libéraux et modernistes ! ... Il leur fallait, pour démolir le dogme, bouleverser la liturgie ...

Le vieux Cardinal Gaétano Cicognani — frère du secrétaire d’État — président de la Commission préconciliaire de la liturgie, se refusait à signer le projet de schéma la concernant. Jean XXIII — qui n’avait jamais su prévoir grand-chose, donna ordre au Secrétaire d’État d’obtenir cette signature. Prévoyant les désastres qui résulteraient de ce schéma, bouleversé et très agité, il disait : «On veut me faire signer ça ! Ah ! ce Bugnini, ce Bugnini, c’est lui qui fait tout cela. Il entre quand il veut chez le Pape. Il a une influence sur lui incompréhensible. Il en obtient tout ce qu’il veut !» Devant l’ordre du Pape, il s’inclina, mais tellement bouleversé que quatre jours après il était mort !…» (Lucifer et le Pouvoir Occulte, Marquis de la Franquerie).

« Les Cardinaux Ottaviani et Bacci, et de nombreux théologiens à leur suite, ont montré le PÉRIL POUR LA FOI que représente la nouvelle messe. Leur «Bref examen critique» conclue qu’elle s’éloigne de façon impressionnante... de la Théologie Catholique de la Sainte Messe «et porte des atteintes manifestes à la pureté de la Foi» et donc «qu’elle apparaît, pour parler en termes modérés, comme une INCALCULABLE ERREUR». Cette messe avait été rejetée par le Synode de 1967.
Rien de surprenant puisque six pasteurs protestants y ont collaboré et ont obtenu que l’ambiguïté des termes permette de la célébrer aussi bien par ceux qui croient à la Présence réelle (les catholiques) que par ceux qui n’y croient pas (les Protestants pour qui elle n’est qu’un simple mémorial et non un sacrifice)... Mais celui qui a présidé à son élaboration Monseigneur Bugnini, n’avait-il pas été écarté par Jean XXIII pour ses erreurs.» (L’INFAILLIBILITÉ PONTIFICALE, LE SYLLABUS, LA CONDAMNATION DU MODERNISME ET LA CRISE ACTUELLE DE L’ÉGLISE, Marquis de la Franquerie).

Seul le faux prophète (qui proclame à tous les vertus de la religion humaniste), qui renonce à son âme, qui n’est plus connecteur à la vigne, peut concrétiser cette dernière étape, car il doit être à la solde de Satan.

« Or, on le sait, « Bergoglio, qui n’aime pas se présenter comme le successeur du prince des apôtres et qui, dans l’Annuaire pontifical, a fait passer au second plan l’appellation de Vicaire du Christ, se sépare implicitement de l’autorité que Notre Seigneur a conférée à Pierre et à ses successeurs. Et ce n’est pas une simple question canonique. C’est une réalité dont les conséquences sont les plus graves pour la papauté ». AM Valli (benoit-et-moi.fr).

La Réforme de la Réforme est en péril parce que Satan est sur le trône de Saint-Pierre.

« Les prophéties du Livre de l’Apocalypse montrent que Satan cherchera à imiter l’Église du Christ afin de tromper l’humanité. Il érigera une église de Satan en opposition à l’Église du Christ. L’Antéchrist s’y présentera dans le rôle du messie, le faux prophète se présentera sous l’apparence d’un pape et l’on verra alors apparaître des imitations des Sacrements de l’Église. On verra aussi des prodiges trompeurs, en imitation des véritables miracles de l’Église. » (R.P. Sylvester Berry, The Church of Christ : An Apologetic and Dogmatic Treatise, 1927, p.119).

Ce qui est confirmé par plusieurs, dont l’Abbé Arminjon, c’est à dire la présence de l’abomination de la désolation sur le trône de Saint-Pierre, est lié à la fin de ce monde et à la chute de Babylone la Grande, ce qui est imminent.

Malgré les apparences d’un retour à la « normale » en cette période de pandémie qui semble soulever l’enthousiasme des marchés économiques derrières lesquelles magouillent l’élite judéo-maçonique, ce monde n’est qu’un colosse aux pieds d’argile.

NSJC va frapper vite comme l’éclair alors que personne ou presque ne s’y attend… alors que les chrétiens qui représentent les « deux témoins » n’auront que le signe de Jonas pour se guider.

« Mais si Jésus-Christ a voulu nous laisser ignorer le temps précis de la fin du monde, il a jugé utile de nous renseigner en détail sur le mode et sur les circonstances de ce grand événement. Quant au monde, dit-il, la chute du monde aura lieu instantanément et à l’improviste : « Veniet dies Domini sicut fur. »

– Ce sera à une époque où le genre humain, plongé dans le sommeil de la plus profonde incurie, sera à mille lieues de songer au châtiment et à la justice. La divine miséricorde aura épuisé toutes ses ressources et tous ses moyens d’action. L’Antéchrist aura paru. Les hommes répandus sur tous les espaces auront été appelés à la connaissance de la vérité. L’Église catholique une dernière fois se sera épanouie dans la plénitude de sa vie et de sa fécondité. Mais toutes ces faveurs signalées et surabondantes, tous ces prodiges seront de nouveau effacés du cœur et de la mémoire des hommes. L’humanité, par un abus criminel des grâces, sera revenue à son vomissement. Tournant ses attachements et toutes ses aspirations vers les biens et les grossiers plaisirs de cette terre, elle se sera, comme parlent les Livres saints, détournée de Dieu au point de ne plus voir le Ciel et de ne plus se souvenir de ses justes jugements. Toute foi sera éteinte dans les cœurs. Toute chair aura corrompu ses voies. La divine Providence jugera qu’il n’y a plus de remède.

Ce sera, dit Jésus-Christ, comme aux temps de Noé. Les hommes alors vivaient insouciants, ils faisaient des plantations, ils construisaient des maisons somptueuses, ils se raillaient agréablement du bonhomme Noé, se vouant au métier de charpentier et travaillant nuit et jour à construire son arche ; ils disaient : Quel fou, quel visionnaire ! Cela dura jusqu’au jour où le déluge survint et engloutit toute la terre : Venit diluvium et perdidit omnes.

Ainsi la catastrophe finale se produira lorsque le monde sera le plus en sécurité ; la civilisation sera à son apogée, l’argent abondera sur les marchés, jamais les fonds publics n’auront été plus à la hausse. Il y aura des fêtes nationales, de grandes expositions, l’humanité, regorgeant d’une prospérité matérielle inouïe, n’aura plus d’espérance au Ciel ; attachée bassement aux plus basses jouissances de la vie, elle dira comme l’avare de l’Évangile : « Mon âme, tu as des biens pour de longues années, bois, mange, amuse-toi… » Mais, tout à coup, au milieu de la nuit, in media nocte, – car ce sera dans les ténèbres, et à cette heure fatidique de minuit où le Seigneur apparut une première fois dans ses abaissements, qu’il reparaîtra dans sa gloire ; – les hommes, réveillés en sursaut, entendront un grand fracas et une grande clameur, et une voix se fera entendre qui dira : « Dieu est là, il faut aller à sa rencontre : Ecce sponsus venit, exile obviam ei. »
(Fin du Monde présent et Mystère de la Vie future,Abbé Arminjon).

Soyons forts dans la persévérance comme nous l’affirme Saint-Paul dans sa lettre aux Éphésiens :

« Au reste, frères, fortifiez-vous dans le Seigneur et dans sa vertu toute-puissante. Revêtez-vous de l'armure de Dieu, afin de pouvoir résister aux embûches du diable. Car nous n'avons pas à lutter contre la chair et le sang, mais contre les princes, contre les puissances, contre les dominateurs de ce monde de ténèbres, contre les esprits mauvais répandus dans l'air. » (6, 10-12).

07 février

DU BON LARRON AU KATECHON

Nous le savons. La fin de la prophétie de l’Église concernant Benoît XVI est caractérisée par la chute des deux Babylone commençant aux funérailles de ce dernier « devant la tombe du va-nu-pieds ».

C’est la fin de notre monde, le colosse aux pieds d’argile, le monde de Satan et de ses sbires.

C’était l’avertissement donné par le prophète Daniel à Nabuchodonosor II…

Mais il s’adresse encore plus à ce monde apostasié, un monde d’humains déifiés sans Dieu.

« Mais comme les orteils des pieds étaient en partie de fer et en partie d'argile, ce royaume sera en partie fort, et il sera en partie fragile. Si tu as vu le fer mêlé à l'argile, c'est qu'ils seront mêlés de semence d'homme ; mais ils ne tiendront pas l'un à l'autre, de même que le fer ne peut s'allier avec l'argile. Dans le temps de ces rois, le Dieu du ciel suscitera un royaume qui ne sera jamais détruit, et dont la domination ne sera point abandonnée à un autre peuple ; il brisera et anéantira tous ces royaumes-là, et lui-même subsistera à jamais… » (Daniel 2, 42-44).

Mais, c’est encore plus cette église conciliaire, bâtit grâce à Vatican II, signe d’espérance d’un renouveau pour ces jeunes prêtres des années soixante, qui est appelée à disparaître... ou à retourner à ses sources.

Parmi ces participants, un jeune prêtre âgé de 35 ans, Joseph Ratzinger. Déjà connu comme un brillant théologien, il a assisté aux quatre sessions en tant qu’expert (peritus) auprès du cardinal Joseph Frings, archevêque de Cologne.

«... « J’étais certainement progressiste. À cette époque, le progressisme ne signifiait pas rompre avec la foi, mais apprendre à mieux la comprendre et à la vivre de manière plus juste, en repartant de ses origines » . En effet, dans le même temps, « il était convaincu que la simple intention de s’adapter au monde, sans trouver un juste équilibre avec la tradition, conduirait l’Église non pas à gagner de nouveaux fidèles, mais à se perdre elle-même »  (benoit-et-moi.fr).

L’Église s’est adaptée au monde, elle est devenue éclipsée, conciliaire.

Mais la tradition veille toujours, ainsi que Benoît XVI.

En tant que Préfet de la congrégation pour la doctrine de la foi nommé par le pape Jean-Paul II, le cardinal Ratzinger d’alors reçu la  tâche de promouvoir et de protéger la doctrine et les mœurs conformes à la foi dans tout le monde catholique (constitution apostolique Pastor Bonus).

Comme on l’a vu ci-haut le cardinal Ratzinger cherchait l’équilibre avec la tradition via le prisme de Vatican II.

Il faisait parti de ces libéraux voulant faire évoluer L’Église sans qu’elle perde son âme.

Il ne cherchait pas une rupture mais une évolution.

Il a tout de même conservé les liens avec la Tradition comme interlocuteur des traditionalistes.

Pour lui les deux rites pouvaient cohabiter.

En partie aveugle devant les conséquences du concile, et par l’élan que lui a donné Jean-Paul II, il a contribué à la construction de la nouvelle église prophétisée par Anne Catherine Emmerich.

« Deux frères et personne ne sera le vrai Père. La Mère sera veuve. » selon le début de la prophétie de Jean XXIII le concernant.

Malgré son côté conservateur, il est quand même choisit comme successeur de Jean-Paul II.

Il avait amplement prouvé sa soumission, dont le rôle qu'il a joué dans la fausse divulgation du 3ème secret de Fatima en 2000.

Il était des leurs.

Mais c’était sans compter sur le Saint-Esprit qui veille sur son Église.

Son élévation sur le trône de Saint-Pierre lui a permis ainsi de constater dans les coulisses du pouvoir que l’Église perdait effectivement son âme.

Ce côté conservateur a pris le dessus face à cette libéralisation accélérée de l’Église.

Comme saint Dismas, le bon Larron sur la croix fut éclairé par la Grâce et se convertit en voyant le Christ ainsi torturé être toujours capable de pardonner : « Père, pardonnez leur car ils ne savent pas ce qu'ils font », Benoît XVI repris son titre de gardien de la foi, lumière que nous avons eu dans ce marasme théologique.

Il remet sur la table la messe traditionnelle qu’on avait réussi à faire oublier depuis Paul VI.

ET on sait que la touche finale voulue par Satan et la judéo-maçonnerie est la disparition du sacrifice perpétuel.

En remettant à l’honneur la messe tridentine par son Motu proprio du 7 juillet 2007, il s’exposait inévitablement à l’hostilité des cardinaux vendus à la judéo-maçonnerie agissant en coulisses.

En tant qu’admirable théologien, il n’a pas remis en cause la nouvelle messe, mais il l’a qualifiée de rite « ordinaire » tout en qualifiant la messe tridentine de rite « extraordinaire ».

L’ancien rite était réhabilité tout en donnant le choix aux prêtres de célébrer l’un des deux rites.

Ainsi, les traditionalistes avaient le champs libre.

Un peu plus d’un an après le Motu proprio, Benoît XVI lèvera les excommunications pesant sur la Fraternité saint Pie X.

Il a mis fin à toute notion de schisme entre cette dernière et le Vatican.

La messe tridentine, ainsi que la tradition en générale, sont ainsi devenues les « deux témoins » de l’Apocalypse : les membres du clergé et les fidèles à la Loi et aux Prophètes.

C’est là le bourgeon toujours vivant qui fleurira lorsque le moment sera venu.

Le Ciel et la Terre demeurent liés par ce geste providentiel qui réhabilite dans l’Église le mystère de la Rédemption.

Pour protéger l’Église et veiller sur elle, Benoît XVI comme on le sait, démissionne de sa charge politique en 2013, et non du ministère pétrinien.

Il est ainsi devenu le pape émérite, le Katéchon.

« Qu’est-ce qui a vraiment été vaincu avec la défaite de Benoît XVI?

La tentative de Ratzinger (désespérée, on peut maintenant le dire) de sauver le catholicisme post-conciliaire de son destin suicidaire en « guérissant » l’Église de son mal intérieur et en redonnant ainsi une âme à l’Occident.

Ce projet héroïque, à l’instar des héros d’un certain romantisme tragique, mené avec ténacité par Benoît XVI sur le plan théologique (herméneutique de la continuité), liturgique (Motu proprio « Summorum Pontificum »), civilisateur (Discours de Ratisbonne) et politico-juridique (doctrine des principes non négociables, paradigme du droit naturel comme fondement de l’État libéral) s’est achevé et a échoué avec la démission de Benoît XVI (benoit-et-moi.fr).

Benoît XVI veille sur son Église et sur ses brebis.

Il bloque à sa manière les projets diaboliques de la judéo-maçonnerie.

Nous l’avons vu avec le livre cosigné avec le cardinal Sarah sur le célibat des prêtres il y a un peu plus d’un an, sorti juste avant la publication de l’exhortation apostolique du synode amazonien, ce qui a amené Bergoglio à réviser sa position.

Benoît XVI et Bergoglio, malgré les apparences que veulent bien nous laisser croire le bureau de presse du Vatican, sont à l’opposé.

L’un veille, l’autre détruit.

Et la panique est installée dans l’église conciliaire, ce qui est un excellent signe.

Bergoglio a lancé cet avertissement aux fidèles, cet incroyable mensonge : hors de l’église conciliaire, point de salut.

« … Le pape François lui-même semble en être conscient, et dans son discours d’hier dans la salle Clémentine, il a eu recours à des remontrances à saveur montinienne. Il l’a fait, et ce n’est pas un hasard, en défendant le Concile Vatican II en des termes jamais aussi clairs et en citant à plusieurs reprises son prédécesseur lombard qu’il a lui-même canonisé : « Le Concile est le magistère de l’Église », a déclaré Bergoglio. « Soit vous êtes avec l’Église et donc vous suivez le Concile, et si vous ne suivez pas le Concile ou si vous l’interprétez à votre manière, comme vous le souhaitez, vous n’êtes pas avec l’Église ». François a déclaré que sur ce point, il faut être « exigeant, sévère », reprochant à ceux qui voudraient négocier l’héritage du Concile « d’en vouloir plus ». « Non, le Concile, c’est ça. Et ce problème que nous connaissons, de sélectivité à l’égard du Concile, s’est répété tout au long de l’histoire avec d’autres Conciles »… » (benoit-et-moi.fr).

 « … A l’évidence, l’ignorance de ceux qui répètent le refrain de Vatican II est instrumentum regni depuis que le clergé a été contraint de mettre de côté la doctrine catholique pour privilégier l’approche créative du nouveau cours. Bien sûr, utiliser le mot « annonce » au lieu de kerygma banaliserait les discours des initiés, tout en révélant l’intolérance méprisante de la caste envers la masse, obstinément accrochée au notionnisme (savoir superficiel) postridentin interdit.

Ce n’est pas un hasard si les novateurs détestent de toutes leurs forces le Catéchisme de Saint Pie X qui, par la brièveté et la clarté des questions et des réponses, ne laisse aucune place à l’inventivité du catéchiste. Le catéchiste doit être – et il ne l’est plus depuis soixante ans – celui qui transmet ce qu’il a reçu, et non un « mémorialiste » imaginaire de l’histoire du salut qui choisit à tour de rôle les vérités à transmettre et celles à laisser de côté pour ne pas contrarier ses interlocuteurs.

Dans la miséricordieuse église bergoglienne, héritière de l’église post-conciliaire (toutes deux déclinaisons d’un esprit qui n’a plus rien de catholique), il est licite de discuter, de contester, de rejeter chaque dogme, chaque vérité de la Foi, chaque document magistériel et chaque déclaration papale antérieurs à 1958. Car, selon les mots de François, on peut être « frères et sœurs de tous, indépendamment de la foi »… » (Mgr Vigano) (benoit-et-moi.fr).

Nous vivons un temps de Grâce.

Les jours sont comptés, pour nous, et pour Benoît XVI.

À la manière du songe de Don Bosco, nous entrevoyons à l’horizon les deux colonnes de l’Immaculée et du Saint-Sacrement.

La délivrance est proche.

Janvier 2021

25 janvier

C’est l’ouverture du 51ème World Economic Forum  (lire Davos 2021) virtuel en ce 25 janvier où les « grands » de ce monde sont invités pour démarrer cette « grande réinitialisation ».

La revue « The Economist » a préparé la table en prédisant que « le monde pourrait marquer un tournant » cette année.

La BBC a évoqué la même possibilité en affirmant « pourquoi 2021 pourrait être un tournant pour lutter contre le changement climatique » car la « Covid change tout. La pandémie de coronavirus a ébranlé notre sentiment d’invulnérabilité et nous a rappelé qu’il est possible que notre monde soit bouleversé d’une manière que nous ne pouvons pas contrôler.

Elle a également provoqué le choc économique le plus important depuis la Grande Dépression.

En réponse, les gouvernements vont de l’avant avec des plans de relance conçus pour redémarrer leurs économies… »(bbc.com)

Pour ceux qui sont ignorants de ce qui se passe réellement sur cette planète quant à la guerre spirituelle qui est livrée, parce que justement on ne voit pas ce qui est esprit, et qui pensent que tout redeviendra à la normale, alors que c'est la soumission des âmes qu’on prépare, voici ce que le créateur du forum de Davos, Klaus Swab, avait à dire quant à l’ultime but à atteindre, le transhumanisme pour la gloire de l’homme déifié, livré à Satan (voir la vidéo):

« Klaus Schwab, fondateur du Forum de Davos et promoteur de la grande Réinitialisation, nous explique le projet d’implantation de puces électroniques chez l’Homme  » (Wikistrike.com).

Satan ne peut plus attendre. Il sent la victoire mais elle n’arrivera point.

Dans ce contexte, les juifs de part et d’autre de toute la planète appelleront leur « Messie » le 21 février prochain, via les smartphones si cher à Satan pour contrôler la masse (vidéo).

Cela rappelle l’épisode des trompettes de Jéricho avant que les murailles ne s’effondrent.

Ils annoncent eux aussi la chute de Babylone la grande à la manière du singe de Dieu, c’est à dire en inversant.

La venue de leur « Messie » représente pour eux la fin, l’élimination de la civilisation chrétienne, avec la notion du Verbe Incarné, Vrai Dieu.

Alors que nous, ce que nous attendons, c’est la fin de ce monde païen pour la Gloire et le Règne définitif du Christ sur Terre.

Pour l’instant, c’est la tentative de l’asphyxie de l’âme par Satan et ses sbires.

Dû à la grande apostasie, le Ciel nous est fermé.

Nous pouvons lié cette épisode de la passion de l’Église et de son corps mystique, à cette prière et méditation de Jésus sur le rocher avant l’arrestation (Mt 26,30-56), avec les apôtres Pierre, Jacques et Jean qui par trois fois se dont endormis au lieu de prier et de soutenir le Christ qui voyait arriver son heure.

À la manière du Christ en cet instant fatidique, nous nous sentons spirituellement asphyxiés, ensevelis vivants dans cette prison qu'est le monde de Babylone, distinguant difficilement le lien entre nous et le Père, si ce n’est que par la prière, tout comme Jésus.

Les chrétiens d’aujourd’hui, si ce n’est physiquement, sont psychologiquement enchaînés, bâillonnés, empêchés de culte par soumission humaniste.

Être « orphelins de Dieu » rend fou et cause toutes sortes de problèmes psychologiques qui ne cessent d’être en croissance.

D’où la Voix de Jésus qui résonne en nous : cette fois, demeurez éveillés et en constante prière, sous l’Arche Marie pour qu’elle vous enveloppe de son manteau protecteur.

Peter Kwasniewski s’est posé la question, pour l’Église,

« Y a-t-il eu des crises pires que celle-ci?

Peter Kwasniewski 13 janvier 2021

Ne détestez-vous pas quand des confrères catholiques vous disent: «L’Église a fait face à des crises pires que celle-ci auparavant»?
Vous détestez ça parce que vous savez que c’est faux. De plusieurs papes qui ont flirté avec l’hérésie, seuls deux semblent avoir franchi une ligne: Honorius et Jean XXII . Honorius a commis une erreur en ce qui concerne la christologie; il l’a fait dans une lettre à un évêque. Et pour cela, il a été anathématisé à titre posthume et excommunié comme hérétique par un concile œcuménique et par plusieurs de ses successeurs dans la papauté. Jean XXII a prêché une fausse position sur la vision béatifique dans une série de sermons – une erreur qui a été immédiatement attaquée par les théologiens de son temps. Il l’a rétracté sur son lit de mort. Quelqu’un de sensé pourrait-il rêver de comparer le désastre polyvalent de la papauté de François à Honorius ou à Jean XXII? C’est comme comparer Staline à des scouts espiègles.
Si vous insistez, ils pourraient revenir un peu en arrière: «Au moins, il y a eu d’autres crises comparables à celle-ci.»

Sans aucun doute, la crise arienne a été extrêmement grave: pendant une certaine période, seule une poignée des centaines d’évêques de la chrétienté était orthodoxe, sur le point même qui définit le christianisme. Pourtant, aujourd’hui, la grande majorité des milliers d’évêques du monde refusent de maintenir des éléments majeurs de la tradition catholique; ne pas prêcher les dix commandements, et même les contredire (pensez à Amoris Laetitia); abandonner la défense de cohérence entre le Magistère ordinaire universel et le Magistère papal (pensez à la question de la peine de mort); renoncer à l’annonce du Christ comme Fils de Dieu et seul Sauveur de l’humanité (pensez à la direction que l’œcuménisme et le dialogue interreligieux ont pris). C’est une folie collective, une méchanceté en haut lieu jamais vue à une telle échelle. Ce n’est pas seulement l’empereur qui n’a pas de vêtements; c’est toute la cour – tous ses fonctionnaires aussi, dans une sorte de gouvernement de gymnosophes.

La situation actuelle combine toutes les hérésies antérieures. L’arianisme de différentes nuances est de retour dans les affaires; nous voyons revenir le paganisme, le polythéisme et le panthéisme. Paul VI avait déjà permis au protestantisme, avec le rationalisme des Lumières et le sentimentalisme romantique, d’envahir le sanctuaire; depuis lors, ces tendances se sont infiltrées dans tous les autres domaines de l’Église. L’érastianisme ou la subordination de l’Église à l’État séculier est désormais assumé comme une norme incontournable et incontestable . Ce que nous avons, en fait, c’est «la synthèse de toutes les hérésies» – le modernisme – en plein écran . Nous vivons en effet la pire crise, de loin la pire, que l’Église ait jamais connue, en vingt siècles d’histoire.

Permettez-moi de résumer les trois principes du catholicisme moderne:
# 1. Faites toujours confiance aux experts.
# 2. Faites toujours confiance à la hiérarchie.
# 3. Faites toujours confiance au Zeitgeist.
...

La situation est horrible, oui. Mais nous devions atteindre ce nadir si jamais l’Église devait être débarrassée du mal persistant du modernisme et qu’un reste de fidèles devait jamais trouver sa sortie. Nous devons remercier Dieu d’avoir dénoncé les ténèbres, la perversité, le chaos et la cruauté de l’agenda moderniste qui, comme Satan lui-même, se déguise en ange de lumière afin de tromper, si possible, même les élus (cf. 2 Co 11 : 14; Mt 24:24). Notre situation est apocalyptique parce qu’elle est révélatrice ; ce qui était caché a été, est en train d’être dévoilé. Les fidèles du Christ qui ont été placés sur terre à ce moment précis de l’histoire sont les plus aimés de leur Seigneur, qui les appelle à rester fidèles précisément au moment où c’est le plus difficile et le plus contre-culturel, voire contre-institutionnel.
L’Église a été autorisée par Dieu à dériver dans un papocentrisme que nous pouvons voir, avec le recul historique, extrêmement dangereux et dommageable. Les catholiques en sont venus à considérer le pape comme un dieu sur terre, un oracle divin qui ne pouvait jamais se tromper.

Quand Jésus dit au premier pape: «Tu es Pierre; et sur ce rocher je bâtirai mon église, et les portes de l’enfer ne prévaudront pas contre elle »(Mt 16, 18), il ne dit pas:« Ne t’inquiète pas, le diable rebondira chaque fois qu’il essaiera de frapper, et tout ira bien. Nous devrions plutôt Le croire au mot: d’une part, l’Église se révélera plus forte que l’enfer à la fin, peu importe à quel point le diable fait fureur et ravage; d’un autre côté, tout et n’importe quoi, sauf une défaite et une dissolution totales, est un jeu équitable. C’est lorsque tout semble perdu que l’Église ressuscitera. La clarté de cette «logique», qui reflète celle de la vie du Christ, devient de plus en plus vive à mesure que l’histoire avance irrésistiblement vers l’avènement de «l’anarchie», l’Antéchrist, et du Seigneur qui le tuera du souffle de sa bouche (cf. 2 Th 2, 8).

Les disciples sur le chemin d’Emmaüs pensaient voir une défaite totale: «Mais nous avions espéré que c’était lui qui rachèterait Israël» (Lc 24, 21). Tout semblait perdu. Cela doit donc avoir semblé pendant un certain temps à Lépante. Et quand Notre-Dame dit: « À la fin, mon Cœur Immaculé triomphera», quelle force mettons-nous sur la phrase « à la fin »? La fin quand il semble être amer la fin de nos espoirs, la fin des promesses divines, la fin de la fidélité de Rome: «Quand le Fils de l’homme viendra, trouvera-t-il la foi sur la terre?» (Lc 18, 8). «Car il s’élèvera de faux Christs et de faux prophètes, et il fera de grands signes et prodiges, au point de tromper, si possible, même les élus» (Mt 24, 24). «Bien-aimés, ne soyez pas surpris de l’épreuve ardente qui vous attend pour vous mettre à l’épreuve, comme si quelque chose d’étrange vous arrivait» (1 Pierre 4:12).

En bref, un effondrement complet de l’Église sur terre – qui a toujours été une possibilité compte tenu de la logique de la foi et du témoignage des Écritures – se déroule sous nos yeux, une défaite apparente et une dissolution sous l’assaut global de le Malin, exactement comme nous devrions nous attendre à ce qu’il se produise à un moment donné de l’histoire de l’Église. Si nous sommes déjà dans les premières phases de la fin au-delà de laquelle il n’y a plus de temps est impossible à dire. Si nous ne sommes pas à la fin des temps mais plutôt en passant par un écho avancé, nous pouvons néanmoins dire avec confiance qu’il faudra un «purgatoire» de catastrophes jusqu’alors inconcevables pour restaurer l’Église catholique sur terre à un semblant de raison, que les excès inaugurés par les deux derniers conseils seront purgés de la circulation sanguine du corps, et une Ecclesia plus saine, plus humble, plus orthodoxe en émergera – comme l’or et l’argent sept fois raffinés. » »(onepeterfive.com).

Magnifique sermon réconfortant de circonstance de l'Abbé B. Martin de Clausonne (Église Saint-Nicolas-du-Chardonnet) en cette désolation des temps présents: « À moi la vengeance ».

20 janvier

LE SIGNE DE JEAN

Ne scelle point les paroles de la prophétie de ce livre ; car le moment est proche. Que celui qui est injuste fasse encore le mal ; que l'impur se souille encore ; que le juste pratique encore la justice, et que le saint se sanctifie encore. Et voici que je viens bientôt, et ma rétribution est avec moi, pour rendre à chacun selon son œuvre. C'est moi, Jésus, qui ai envoyé mon ange vous attester ces choses, pour les Églises. C'est moi qui suis le rejeton et le fils de David, l'étoile brillante du matin. " (Apocalypse 21, 10).

« Attendez le signe de Jean. L'agneau est prêt. Signez-vous sept fois avec une main fatiguée et attendez. La lumière vient encore de l'Occident. »

Quel est le signe de Jean?

Jean XXIII affirme dans la prophétie: L’agneau est prêt.

Donc qu’une limite a été atteinte.

Ce qui est confirmé dans l’Apocalypse par le silence d’une demi-heure : « Et quand l'Agneau eut ouvert le septième sceau, il se fit dans le ciel un silence d'environ une demi-heure » (Apocalypse 8,1)

Tout comme cet extrait de l’Apocalypse, Jean XXIII fait aussi référence au « sept ».

Comme dans la prophétie politique #26 « Lumière de la lumière » où « sept fois sept fois sept fois » est mentionné , prophétie mystérieuse mais qui sans équivoque fait référence à Gog et Magog.

« Quand les mille ans seront accomplis, Satan sera relâché de sa prison, et il en sortira pour séduire les nations qui sont aux quatre extrémités de la terre, Gog et Magog, afin de les rassembler pour le combat : leur nombre est comme le sable de la mer. » (Apocalypse 20, 7).

C’est pour le septième sceau, les sept coupes, et les sept trompettes du septième sceau.

Ce qui est confirmé aussi dans la prophétie politique « Le Temps est Proche » :

« La septième année tombe le septième voile de Salomé, mais il n'existe pas d'empereur, il n'existe pas qui saura lever l'épée et couper le cou de Jean. Le temps est proche. »

On rappelle (voir analyse du 12 avril) aussi que c’est en lien avec l’épisode de Jéricho avant l’entrée en Terre Promise : tour de la ville 6 jours de suite et au septième et dernier jour, il ont fait sept tours, mais ce n’est qu’au septième tour que les murailles s’effondrent : 7 tours, 7ème jour, 7ème tour de la septième journée : 777.

Et ce septième voile de Salomé tombe à la septième année de…

La prêche kabbaliste de la fille de Caïn.

« La fille de Caïn est montée au Nord, pour prêcher. Luxure dans la nouvelle Babylone, pour sept ans. »

Ce qui suggère une autre hypothèse quant à l’identité de la fille de Caïn, si la chute de Babylone est devancée, étant donné que la pandémie semble avoir été programmée pour l’exécution du plan final, la « grande réinitialisation ».

Et si la fille de Caïn était Christine Lagarde, ex-directrice du Fonds Monétaire Internationale?

Et si nous étions réellement à la fin de la 7ème année?

Rappelons nous ce discours du 15 janvier 2014 truffé de numérologie kabbaliste sur le chiffre 7, dans la capitale du franc-maçonnisme par excellence, Washington DC.

Et ensuite le 23 janvier 2014 où elle lance qu’il est temps de faire un « reset », une réinitialisation.

Fille de Caïn parce que venant de la France, fille aînée de l’Église qui est en sorte « assassinée » par la judéo-maçonnerie.

Mais revenons à cette chute des deux Babylone de Jean XXIII et à l’Apocalypse.

Alors, quelle est ce signe de Jean?

Cette purification annoncée en sera une par le feu.

Et ce signe de Jean est précédé par la chute de « Babylone la Grande » provoquée par le feu du Ciel, possiblement par un astéroïde.

« Et le troisième ange sonna de la trompette ; et il tomba du ciel une grande étoile, ardente comme une torche, et elle tomba sur le tiers des fleuves et sur les sources des eaux. Le nom de cette étoile est Absinthe ; et le tiers des eaux fût changé en absinthe, et beaucoup d'hommes moururent de ces eaux, parce qu'elles étaient devenues amères. » (Apocalypse 8, 10).

« Alors un ange puissant prit une pierre semblable à une grande meule, et la lança dans la mer, en disant : " Ainsi sera soudain précipitée Babylone, la grande ville, et on ne la retrouvera plus. » (Apocalypse 18, 21).

« Elle est tombée, elle est tombée, Babylone la grande, qui a abreuvé toutes les nations du vin de la fureur de son impudicité ! »(Apocalypse 14,8).

 « Malheur ! Malheur ! O grande ville, Babylone, ô puissante cité, en une heure est venu ton jugement ! » (Apocalypse 18,10).

À notez ici cette unique « heure » qui est liée aux « dix rois qui n’ont pas encore reçu la royauté, mais qui recevront un pouvoir de roi pour une heure avec la bête. »

Et c’est cette heure qui fait déborder la coupe.

Qui provoque la chute de Babylone la Grande.

Cette chute, c’est le châtiment des méchants pour les uns, et la délivrance des justes pour les autres, car là où certains vivront la fin de leur monde, les justes y verront l’intervention du Père en réponse à leurs prières.

Et, lorsque nous assisteront à ce signe très imminent, et nous y assisterons, c’est le moment important pour fuir dans les montagnes pour ceux qui ne l’auront pas encore fait, c’est à dire de se détacher de Mammon et de ses œuvres, et demander pardon à la manière du bon larron sur la croix.

C’est l’heure du choix. Pas de place pour les tièdes. C’est la vie éternelle ou la mort de l’âme.

« C'est fait ! Je suis l'alpha et l'oméga, le commencement et la fin. A celui qui a soif, je donnerai gratuitement de la source de l'eau de la vie.
Celui qui vaincra possédera ces choses ; je serai son Dieu et il sera mon fils. Mais pour les lâches, les incrédules, les abominables, les meurtriers, les impudiques, les magiciens, les idolâtres et tous les menteurs, leur part est dans l'étang ardent de feu et de soufre : c'est la seconde mort. » (Apocalypse 21, 6)

Pour ceux qui sont déjà dans la prière et la contemplation, qui sont dans Babylone sans être de Babylone, c’est à dire qui n’agissent ni en pensée ni en action avec Babylone (les signes sur la main et le front dans l’Apocalypse), la délivrance est proche.

« Et j'entendis du ciel une autre voix qui disait : " Sortez du milieu d'elle, ô mon peuple, afin de ne point participer à ses péchés, et de n'avoir point part à ses calamités ; car ses péchés se sont accumulés jusqu'au ciel, et Dieu s'est souvenu de ses iniquités. » (Apocalypse 18, 4)

La lumière pointe déjà à l’Occident.

« Attendez le signe de Jean. L'agneau est prêt. Signez-vous sept fois avec une main fatiguée et attendez. La lumière vient encore de l'Occident. »

Le signe de Jean est « la lumière vient encore de l’Occident. »

L’Occident pour les initiés représente la noirceur, les ténèbres après le coucher du soleil à l’ouest.

De cette noirceur naît la création comme le Père a séparé la lumière des ténèbres.

De la noirceur est né la lumière.

C’est de cette « lumière de l’Occident » que renaîtra la vraie lumière, le retour du Christ en Gloire.

C’est le signe mystique de la noirceur où le Ciel ne communique plus à ses Saints sur Terre pour guider le peuple, à cause des innombrables péchés accumulés, et de la grande apostasie.

C’est l’éclipse qui voile l’Église Sainte, Catholique et Apostolique.

Au niveau temporel, le signe de Jean est donc cette période de noirceur où personne ne verra le soleil se lever tellement les ténèbres seront épaisses.

Ce sont les trois jours prophétisés par Padre Pio où il ne faudra pas regarder dehors car les démons feront loi.

 « Des ouragans de feu tomberont des nuages et s’étendront à la terre entière. Des orages, des tempêtes, du tonnerre et des pluies ininterrompues, des tremblements de terre couvriront la terre entière pendant 3 jours et 3 nuits. »

Ce sont les trois jours de noirceurs prophétisés par Anne-Marie Taigi :

« Il y aura sur toute la terre d’épaisses ténèbres qui dureront trois jours et trois nuits. »

Ce sont les deux jours de ténèbres précédant les trois jours du châtiment prophétisés par Marie Julie Jahenny :

« Deux jours de ténèbres en dehors des trois jours du châtiment. Seuls les cierges de cire bénits donneront de la lumière.
La flamme dit que dans les desseins du Seigneur, il y aura deux jours d’affreuses ténèbres, séparées des trois jours que beaucoup d’âmes ont annoncés. » 20 septembre 1880

C’est le signe de Jonas pour cette génération :

« Il leur répondit : " Cette race méchante et adultère demande un signe, et il ne lui sera pas donné d'autre signe que celui du prophète Jonas : de même que Jonas fut trois jours et trois nuits dans le ventre du poisson, ainsi le Fils de l'homme sera dans le sein de la terre trois jours et trois nuits. Les hommes de Ninive se dresseront, au jour du jugement, avec cette génération et la condamneront, parce qu'ils ont fait pénitence à la voix de Jonas, et il y a ici plus que Jonas. » (Matthieu 12, 39).

Comme à Ninive, ces trois jours de noirceur sont donc l’ultime épreuve de conversion pour les tièdes.

C’est une période de miséricorde avant l’ultime lumière.

La prophétie #12 de l’Église commence d’ailleurs ainsi :

« Avant l'ultime lumière, les pasteurs auront reconnu le signe… »

Et

« Le premier soleil illumine la balance de l'univers. Ouvrez votre cœur au lis. La voix sera puissante, annoncée par les trompettes.
Lumière de l'Occident, dernière lumière avant l'éternelle, inconnue. La vérité sera plus simple que tous l'ont dit, que tous l'ont écrit.
Ce sera un bon jugement. »

Cette noirceur qui éclipse l’Église est sur le point de s’effacer, car comme le Christ en croix, Elle est toujours vivante en Esprit malgré les apparences.

« Parce qu'elle dit en son cœur : Je trône en reine ; je ne suis point veuve et ne connaîtrai point le deuil ! » (Apocalyse 18, 7).

« Et moi je te dis que tu es Pierre, et sur cette pierre je bâtirai mon Église, et les portes de l'enfer ne prévaudront point contre elle. » (Matthieu 16, 18).

14 janvier

LE SEPTIÈME SCEAU : LA CHUTE DE BABYLONE LA GRANDE

Cette nouvelle tour de Babel édifiée par l’élite judéo-maçonnique est l’œuvre ultime qui causera la chute de « Babylone la Grande » ou tout simplement, la purification de la Terre avec ses innombrables âmes vendues à Satan.

Cette Babel II est ce royaume temporel sur lequel trône Bergoglio, celui qui fait partie de la lignée des papes « rois » depuis l’Accord du Latran de 1929, mais qui n’est pas pape car il est « la bête qui était et qui n'est plus, en est elle-même un huitième et elle est des sept, et elle s'en va à la perdition. » (Apocalypse 17,11).

Avec les dix rois temporels dominants la planète, qui n’auront qu’un court temps, très court temps de dominance mondiale avec leur « grande réinitialisation », Bergoglio fait la guerre à l’Église jusqu’à pratiquement la détruire… jusqu’à ce que les paroles du Père soient accomplies… et puis Rome sera détruite, comme tout le reste par la suite.

« … les dix cornes que tu as vues sont dix rois qui n'ont pas encore reçu la royauté, mais qui recevront un pouvoir de roi pour une heure avec la bête. Ceux-ci ont un seul et même dessein, et ils mettent au service de la bête leur puissance et leur autorité. Ils feront la guerre à l'Agneau, mais l'Agneau les vaincra, parce qu'il est Seigneur des seigneurs et Roi des rois, et ceux qui l'accompagnent sont les appelés, les élus et les fidèles…

Car Dieu leur a mis au cœur d'exécuter son dessein, et de donner leur royauté à la bête, jusqu'à ce que les paroles de Dieu soient accomplies. Et la femme que tu as vue, c'est la grande cité qui a la royauté sur les rois de la terre. " (Apocalypse 17,11).

Le pouvoir pour « une heure » pour les eschatologues, c'est environ 1 mois.

Notre période actuelle en ce début 2021 est le passage de la 5ème à la 6ème coupe décrit dans l’Apocalypse.

Nous en sommes effectivement au rassemblement des troupes sous l’ordre de Satan pour la bataille finale d’Armageddon.

Les bêtes de la mer (Bergoglio et l’église conciliaire) et de la terre (Macron qui usurpe la fille aînée de l’Église, royauté de droit divin), et le dragon (la synagogue de Satan sous l’égide américaine) sont tous alignés pour la manœuvre finale, l’obstacle à la maison blanche qui trônait depuis quatre années ayant été éliminé.

« Je vous le dis en vérité, cette génération ne passera point que toutes ces choses n'arrivent. Le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront point. » (Matthieu 24,35).

La fin du sixième sceau de l’Apocalypse, sceau caractérisé par une persécution sans précédent contre les chrétiens, est imminente.

Ce qui mène à la septième coupe et à l’ouverture du septième sceau, la chute de Babylone, qui se termine par le Jugement dernier.

Ce sont les trois jours de noirceur prophétisés par Padre Pio (où il est fortement recommandé d’avoir en sa possession des chandelles bénies à la Chandeleur, seule lumière qui sera permise sur cette misérable Terre).

Le signe que nous approchons de cette coupe est la nature même du sixième sceau, caractérisé par un « grand tremblement de terre » qui voile le soleil et la lune.

C’est le signal, le signe du figuier au printemps donné par Jésus, pour la fuite vers les montagnes, vers son sanctuaire, avec le rosaire et ses cierges bénies (n’est-ce pas encore plus significatif en ce temps de pandémie où tout ou presque est à l’arrêt?).

Mystiquement, c’est l’aveuglement, la grande apostasie, la chute des étoiles… c’est à dire que nous ne pouvons plus voir aucun signe du Ciel, comme si nous étions abandonnés, sans pasteur au Vatican pour guider et rassurer, avec la chute des prêtres.

C’est l’aberration Vatican II.

Dans les prophéties de Jean XXIII concernant l’Église, cette fin du sixième sceau est la fin de la prophétie de Benoît XVI, le décès du Katechon, celui qui par sa prière et son sacrifice nous gratifie d’un temps de miséricorde... et qui empêche Bergoglio de s’aligner complètement avec les autres bêtes.

C’est le temps de Marie, la Dame de l’Apocalypse, notre co-rédemptrice, lié à la résurrection des « deux témoins » de l’Apocalypse.

« … devant la tombe du va-nu-pieds, éclatera le règne béni de la Très Sainte Vierge.

Écoutez ses paroles.

Marie Très Sainte, fille et mère de Dieu, maîtresse du temps futur, bats le rappel de tes fils dans les campagnes, pour qu'ils abattent les deux Babylone.

Et que la Mère soit Une, comme toi tu es unique.
La terre détruira le ciment et de terre sera, Reine, ta nouvelle Église. Et sur la terre de blé, pour la faim de tes peuples, fleur sur son nouvel autel. Amen. »

Devant la tombe du va-nu-pieds…

Soit le tombeau de Jean-Paul II à l’entrée de la basilique Saint-Pierre où auront lieu les funérailles de Benoît XVI, temps de pandémie oblige, est annoncé la chute des deux Babylone qui forment Babylone la Grande, soit le Vatican et les Nations-Unies, ceux qui ont le pouvoir sur tout via la nouvelle religion de l’humain déifié.

L’intégration totale de l’église dans l’Agenda 2030  et le travail nécessaire pour la « fausse paix » basée sur l’humanisme furent encore une fois confirmé cette semaine.

« Mgr Caccia: à l’ONU, l’intérêt commun prévaut face à la pandémie.

Le représentant du Saint-Siège auprès des Nations-Unies revient sur le rôle de cette institution face à la crise actuelle. Il constate que chacun essaie de dépasser les intérêts nationaux pour œuvrer au bien-être de toute l’humanité.
Le travail, la santé, la protection de l’environnement: trois domaines mis à rude épreuve depuis le début de la pandémie de Covid-19, et entrent souvent «en compétition» malgré une étroite interdépendance. Aux yeux de Mgr Gabriele Giordano Caccia, observateur permanent du Saint-Siège auprès de l’Organisation des Nations Unies à New York depuis novembre 2019, l’ONU doit «penser différemment le futur pour garder en harmonie ces dimensions essentielles».

La paix demande «travail et engagement», rappelle le Saint-Siège.
Les campagnes de vaccination lancées dans différents pays apportent une note d’espoir, mais aussi le risque d’un accès inégal aux vaccins. La compétition entre laboratoires, sur fond d’intérêts nationaux et financiers, a par ailleurs été rude. «Il faut toujours trouver la solution du bien commun, qui est la solution de longue durée», prône Mgr Caccia. Le nonce tient à souligner que les acteurs de l’ONU ont à cet égard conscience de travailler non pas seulement pour leur propre pays, mais «pour toute l’humanité».

Il évoque en illustration les progrès, déjà faits ou à venir, afin de «limiter l’utilisation de certains armements»: «de petits pas qui vont dans la direction juste».

Comme le souligne le Pape François dans son encyclique Fratelli Tutti, «il faut passer du “moi” au “nous”», rappelle Mgr Caccia – qui a d’ailleurs rencontré le Saint-Père au Vatican ce 11 janvier. «Les vrais solutions sont celles qui regardent l’ensemble de la communauté», et «l’ONU cherche à travailler pour garder cet esprit», assure-t-il. » (vaticannews.va).

La fin de la prophétie concernant Benoît XVI, est donc l’annonce du Jugement dernier, du septième sceau, par la destruction de tout ce qui est « ciment » pour un retour à la nature puisqu'actuellement le contre-nature domine, autant matériellement, que moralement, qu’éthiquement, que spirituellement...

« Cependant le jour du Seigneur viendra comme un voleur ; en ce jour, les cieux passeront avec fracas, les éléments embrasés se dissoudront, et la terre sera consumée avec les ouvrages qu'elle renferme. » (Pierre 2, 3.10).

D’ailleurs les dernières nouvelles concernant le pape Benoît XVI confirme évidement son état de faiblesse avancée, vu son âge:

« Mgr Gänswein a célébré Noël et le Nouvel An avec le pape Benoît émérite dans le bâtiment du monastère Mater Ecclesiae dans les jardins du Vatican, où ils résident avec quatre religieuses italiennes.

« Je prie quotidiennement la Liturgie des Heures avec le Pape émérite Benoît et aussi le Rosaire. Une part considérable de mon temps est réservée à la prière. Chaque prêtre, chaque évêque, le Pape aussi, prie non seulement pour lui-même mais aussi pour les personnes qui leur sont confiées. Aussi et surtout pour ceux qui ne veulent ou ne peuvent pas prier », a dit Mgr Gänswein au magazine.
Il a également déclaré que Benoît XVI restait très alerte mentalement. « Physiquement, cependant, il est devenu assez faible », a-t-il dit. « A 93 ans, il est à un âge vénérable ». » (benoit-et-moi.fr).

 «Du point de vue physique, il est très fragile et ne peut marcher qu'un peu avec un déambulateur. Sa voix est également faible. Les temps consacrés au repos ont augmenté, mais nous continuons à sortir chaque après-midi, malgré le froid, dans les jardins du Vatican. Chaque jour, je célèbre la messe et il concélèbre assis. Pour la prière quotidienne, nous lui avons préparé des textes agrandis afin qu'il puisse mieux suivre la Liturgie des Heures, et nous continuons à prendre les repas tous ensemble comme nous l'avons toujours fait. » (vaticannews.va).

Et, va-t-il survivre à cet âge au vaccin anti-covid qu’on lui administré ce matin?

Rappelons aussi que les deux prophéties concernant Benoît XVI et François se déroulent en parallèle :

« Deux frères et personne ne sera le vrai Père. La Mère sera veuve. »

Le veuvage de l’église signifie bien l’agonie de cette dernière avant sa résurrection à l’image de la Passion de NSJC.

L’imminence de l’ouverture du septième sceau est caractérisée par la « Mikail et Jean descendront sur terre » de la prophétie concernant François, soit immédiatement avant « le grand frère d'Orient fera trembler le monde par la croix renversée sans les lis. »

C’est la transition.

À ce moment, la Mère n’est plus veuve mais « orpheline ».

C’est la période du « Grand Éclair à l’Orient » de la prophétie politique de Jean XXIII, qui semble approcher à grands pas, car les tensions avec l’Iran ont atteint un autre niveau la semaine dernière, un niveau certainement insoutenable par Israël.

« Le Parlement iranien donne l’ordre au gouvernement de détruire Israël » (lesobservateurs.ch).

« Les responsables israéliens menacent à nouveau de lancer des frappes préventives sur les installations de développement nucléaire de l'Iran au milieu de nouveaux rapports selon lesquels la République islamique intensifie ses efforts pour fabriquer les matériaux nécessaires à la production d'ogives nucléaires.

"Dans l'une des déclarations les plus énergiques d'un responsable israélien, le Likoud Tzachi Hanegbi, considéré comme un allié du Premier ministre Benjamin Netanyahu, a menacé qu'Israël pourrait attaquer le programme nucléaire iranien si les États-Unis rejoignaient l'accord nucléaire , en tant que président élu américain. Joe Biden a indiqué qu'il prévoyait de le faire, " rapporte le Times of Israel .

Et surtout, un nouveau rapport confidentiel de l'Agence internationale de l'énergie atomique des Nations Unies (AIEA) allègue que l'Iran a engagé une étape finale majeure dans le processus nécessaire pour fabriquer des armes nucléaires . » (zerohedge.com).

Quant à la fin de la prophétie concernant François, c’est la fuite de ce dernier ou son décès, ayant pour cause la destruction physique de Rome.

Cette prophétie se termine par « mais auparavant par ses paroles de vraie science le secret de l'arme qui détruit les armes. Temps de paix, alors, et sur la haute pierre sera le nom d'Albert. »

Pier Carpi dans son analyse originale a lié le « grand frère d’Orient » de la prophétie # 10 concernant François, au « grand frère crucifié
renversé » de la prophétie #11 concernant l’Église en parlant de cette période de paix.

Mais force est d’admettre qu’avec la fin des prophéties prévue pour « 2000 ans plus l’âge du Christ », soit autour de 2026, il n’y a plus de temps réservé pour avoir « une longue paix », puisque le temps sera raccourcie sinon même les élus seraient emportés. (Matthieu 24).

Il semble donc n’y avoir aucun lien.

Rappelons que le mot « frère » utilisé dans les prophéties concerne généralement un cardinal ou un religieux.

Un grand frère est le frère au-dessus de tous dans sa religion respective.

« Deux frères et personne ne sera le vrai Père. La Mère sera veuve. » c’est à dire deux cardinaux et personne comme pape.

Le « grand frère d’Orient » ou un ayatollah iranien par exemple.

Ainsi, la prophétie de François se termine par la période de paix, et la prophétie #11 commence par la « longue paix fera oublier les erreurs passées. Elle fera oublier le grand frère crucifié renversé. ».

Cette période de paix fait pratiquement parti du passé car la prophétie #11 concerne la guerre, dans l’église et physiquement sur terre, guerre qui sera arrêtée par « Dieu a déchaîné la guerre de la nature pour empêcher la guerre des hommes. » (prophétie politique #32 « Le Temps est Proche »), soit par les plaies du 7ème sceau de l’Apocalypse.

La longue période de paix (prophétisée aussi par Mélanie à La Salette) est cette période de paix sans guerre mondiale commencée en 1945 après la bombe atomique, la « vraie science » qui détruit les armes.

Albert dans la prophétie, c’est pour Albert Einstein :

« Einstein est-il le père de la bombe atomique ?

Le physicien était un pacifiste convaincu. Alors pourquoi a-t-il pressé les États-Unis de financer la fabrication d'une arme si dévastatrice ? » (nationalgeographic.fr)

D’où dans la prophétie des noms de Jean XXIII :

« ALBERT - Chaque étoile vit de sa propre lumière, et le son de la voix ne suffit pas dans le noir, quand tout autour on meurt. De toi, on dira paix, mais tu sais que tu n'aurais jamais de paix à l'intérieur. Tard seulement, le monde connaîtra la douleur que tu as semée, par ton égoïsme. »

Le septième sceau, la prophétie #11, est bel et bien confirmé par la mort apparente physique de l’Église, à la manière du Christ sur le croix, ce qui est affirmé par « où croyez-vous fuir, maintenant que vous avez détruit les Églises et tué le dernier Père ? ».

Donc, cette « longue paix » qui « fera oublier les erreurs passées » des deux grandes guerres, ainsi que la période Vatican II, est celle qui fait aussi « oublier le grand frère crucifié renversé », c’est à dire Saint-Pierre (donc l’Église), et non le grand frère d’Orient.

C’est là le signe que l’Église traditionnelle est éclipsée, donc de l’apostasie totale.

Et Jean XXIII avertit : « Attendez le signe de Jean. L'agneau est prêt. Signez-vous sept fois avec une main fatiguée et attendez. La lumière vient encore de l'Occident. »

À suivre...

09 janvier

BABEL II

« Dans l’histoire, à côté de la main de Dieu, il faut aussi voir celle du diable, qui s’oppose toujours aux plans divins pour tenter de réaliser ses plans déformés. Le royaume de Dieu est celui de l’ordre, de la paix, de l’harmonie ; celui du diable est le royaume du chaos, du conflit, de la révolution perpétuelle. » (benoit-et-moi.fr – lien ci-bas).

L’histoire se répète nous dit-on.

Et, effectivement, nous en sommes témoins par cette dernière poussée de la kabbale pour la gloire de Satan, pour l’humain défié en route vers le transhumanisme.

Les derniers événements au Capitole ont envoyé de par le monde un signal clair de la prise du pouvoir de la branche mondialiste qui désire voir ce pays se fondre avec les idéaux de la City de Londres, contrairement à la branche patriotique qui désire voir ce pays être le pilier dans ce nouveau monde de la « Grande Réinitialisation ».

Pour les chrétiens fidèles à la Loi et aux Prophètes, ce ne sont que deux clans qui de toute évidence s’en vont à la déchéance.

La table est donc mise pour les prophéties politiques de Jean XXIII « Les États-Unis libérés » (la femme qui jurera sur la bible sera probablement la future vice-présidente; si on se rend jusque là) et « Le Temps est Proche ».

À suivre donc pour « Le premier empereur meurt de faim, enfermé dans la tour de son rêve.», s’il s’agissait bien du Président Trump.

La lutte contre les goïm est belle et bien engagée et l’élite salive avec l’aboutissement de leur projet bien en vue.

Il n’y aura plus de retour en arrière, à la « normale » pour le goy.

La pandémie représente le prétexte idéal pour achever cette tour de Babel II.

« Babel au temps du Covid.
… Roberto de Mattei qui voit dans la pandémie « une nouvelle phase dans la lutte cosmique entre les forces célestes et celles infernales » et pense que sa conséquence la plus grave est l’anarchie, le chaos mental et social qu’elle a engendré: « Personne ne sait quoi penser et souvent des pensées opposées se succèdent comme dans les cas de dissonance cognitive ». « Le Covid est un virus traître, menteur et protéiforme qui terrorise les uns, paralysant leurs forces et détruit l’équilibre des autres, leur faisant croire qu’il n’existe pas ». » (benoit-et-moi.fr).

Sans tomber dans le « complotisme », nul besoin de se questionner quant à la campagne de vaccination visant justement à réduire la population mondiale, car...

« Prof. Perrone: pour le vaccin, on confond vitesse et précipitation.

Le pire est que les premiers « vaccins » qu’on nous propose ne sont pas des vaccins, mais des produits de thérapie génique. On va injecter des acides nucléiques qui provoqueront la fabrication d’éléments du virus par nos propres cellules. On ne connaît absolument pas les conséquences de cette injection, car c’est une première chez l’homme. Et si les cellules de certains « vaccinés » fabriquaient trop d’éléments viraux, entraînant des réactions incontrôlables dans notre corps ?

… Je suis d’autant plus horrifié que j’ai toujours été en faveur des vaccins et que j’ai présidé pendant des années des instances élaborant la politique vaccinale. » (benoit-et-moi.fr).

Ce nouvel ordre grâce au chaos (Ordo Ab Chaos) a un but bien précis :

Un paradis terrestre pour l’élite et un peuple esclave, réduit par rapport à la population actuelle.

Le transhumanisme pour des capacités et une vie prolongée pour l’élite, et un transhumanisme pour les sans dents qui permet de tracer leurs faits et gestes.

Cette cité paradisiaque a déjà un nom : NEOM.

Planifiée à la limite de l’Arabie Saoudite et d’Israël.

La nouvelle « Jérusalem céleste » temporelle.

Un site musulman francophone donne ici une information pertinente quant au projet (remarquer bien l’image du site, elle dit tout : du jardin d’Éden en passant par Moïse et le veau d’or au transhumanisme : nouveau réseau de communication 5G, Intelligence Artificielle, manipulation de l’ADN, énergie de l’atome.

Tout au service de l’humain divinisé… bâti sur la terre du Mont Sinaï ou du supposé Jardin d’Éden.

Satan est bel et bien le maître de l’inversion.

Tout est prêt pour la bête, le dragon apocalyptique… À l’horizon 2030.

La bête de la Terre, Macron, ne nous avait-il pas averti le 14 avril 2020.

« La rédactrice en chef du FT (Financial Times)pose une question concernant le coronavirus :

« Est-ce que vous avez jamais imaginé que vous seriez dans une situation (confinement Covid-19), que vous devriez gérer une crise pareille ? Et qu’est-ce qu’elle change en vous mais aussi dans la façon d’être président ? »

Emmanuel Macron:

« Écoutez, d’abord je ne m’étais rien imaginé parce que je m’en suis toujours remis au destin. Et au fond c’est la chose la plus simple à faire. Et ensuite il faut être disponible pour le destin. Moi je suis dans un état de disponibilité pour agir. (….) Je crois que notre génération doit savoir que la bête de l’évènement est là et elle arrive, qu’il s’agisse du terrorisme, de cette grande pandémie ou d’autres chocs. Il faut la combattre quand elle arrive avec ce qu’elle a de profondément inattendu, implacable. Il faut le faire en restant conforme à ces principes et ne rien céder mais en étant, disponible à l’événement et pour qu’advienne quelque chose de nouveau, c’est aussi ça. »

« Je pense que ces moments-là sont ceux qui nous permettent aussi d’inventer, peut-être, quelque chose de nouveau pour notre humanité. (….) Je suis dans cet état d’esprit-là. Prêt à me battre et à essayer à la fois de porter ce en quoi je crois et d’avoir cette part de disponibilité pour essayer de comprendre ce qui paraissait impensable. Et il faut avoir cette part de disponibilité, y compris intellectuelle, je dirai personnelle aussi — sensible pour accepter l’événement tel qu’il arrive et ne pas le mettre dans une catégorie tout de suite parce que je pense que nos peuples le vivent aussi très profondément et nous sommes tous en train de le vivre comme ça donc il faut accepter que ça nous change. Sans pouvoir tout dire sur ce que ça change en nous. »

Le projet de la bête, c’est la grande réinitialisation, le 666, le chiffre de la bête…

Annoncé avant la conférence de presse officielle du 3 juin 2020 avec Klaus Swab et le Prince Charles, et annoncé même bien avant.

« Les cris et les barrières de la contestation se lèvent, mais déjà la Bête sort de l'eau. » confirme la prophétie de Jean XXIII.

Comme résumé de la grande réinitialisation, rien de mieux que la dernière vidéo d’égalité et réconciliation (preuves à l’appui;  ils auraient pu ajouter « Great Reset et Vatican » et tout aurait été complet).

Aussi, la dernière entrevue radiophonique de Pierre Hillard sur la grande réinitialisation : le fonds est religieux! (egaliteetreconciliation.fr).

Les élites déifiés au sommet de la pyramide (et les goïm tous heureux de voir leurs dettes effacées ainsi que de se voir verser un revenu universel) peuvent voguer très longtemps avec un tel système si tous se contentent ainsi.

Mais ils oublient que c'est une lutte spirituelle et non temporelle qui se jouent présentement.

Dieu, la Sainte Vierge et NSJC arrêteront cette folie, surtout devant la menace de l’arrêt du sacrifice perpétuel qui est prévue par la messe universelle œcuménique.

C'est la limite du « temps de la miséricorde » accordé par NSJC.

Car le but ultime de se défaire à tout prix de la notion du Verbe incarné, du Christ Sauveur, Dieu fait Homme, n’arrivera point.

Car dans ce système « Agenda 2030 » prévu, car c'est bien l'objectif visé, rappelons qu’il n'y a aucun élément de spiritualité évoqué dans ce plan des Nations-Unies.

Tout est d’ordre moral, basé sur la fraternité et sur les droits de l’homme.

Et comme M. Soral l'explique dans la vidéo ci-haut, il faut leur bien une morale au-dessus de l'économie mondiale, et nous, nous le savons, c'est le culte de Satan.

Cet « Agenda 2030 » a ses ramifications partout, et ses adeptes ne se cachent pas.

Des exemples précis :

- l’Agenda 2030 adopté à l’automne 2020 par le Gouvernement du Canada :

- l’Agenda 2030 en France

- L’Agenda 2030 adopté par le Vatican

Cela inclut également des organismes de philanthropie :

« Consortium Accélérer 2030 pour le Québec…

La crise représente un moment unique pour redéfinir notre modèle.

Le Consortium Accélérer 2030 pour le Québec propose une approche collective d’actions coordonnées, laquelle est basée sur l’innovation et le partage des bénéfices. Son objectif: accélérer l’adoption du cadre de mesure des ODD afin de procurer une vue d’ensemble des besoins et des solutions dans la transition durable du Québec… » (pfr.ca).

Le directeur nationale de la santé publique au Québec porte religieusement sur son veston l’épinglette de l’Agenda 2030 lors des conférences de presse quotidienne sur la mise au point de la pandémie (lapresse.ca).

L’Agenda 2030, pour lequel la communauté internationale s’est réunie « affirmant sa volonté d’éradiquer la pauvreté sous toutes ses formes et dans toutes ses dimensions et de faire en sorte que tous les enfants, femmes et hommes du monde entier disposent des conditions nécessaires pour vivre dans une liberté et une dignité véritables », repose sur cette approche intégrale.

Le bien de la personne humaine est lié au respect des droits de l’homme universels et de la dignité humaine. On ne saurait donc surestimer l’importance de la promotion et de la protection des droits fondamentaux de l’homme dans la lutte pour l’éradication de la pauvreté et la promotion d’un développement humain intégral. Cependant, il est inutile pour l’Assemblée générale que des sujets fassent double emploi dans différentes commissions ou que des questions controversées qui empêchent les progrès d’une commission soient introduites dans d’autres commissions ou forums, avec le même résultat prévisible. Par conséquent, les considérations spécifiques sur les droits de l’homme et les libertés fondamentales, y compris la signification du terme « droits », font partie des discussions de la Troisième Commission. » (fr.zenith.org).

L’aumônier des Nations-Unies, on le sait, est l’acteur principal de ce mouvement maçonnique : immigration, fraternité universelle, lutte contre la pauvreté (alors que l’élite s’est enrichi de plus de 20% avec la pandémie), élimination du péché, nivellement horizontal de la doctrine de l’Église, etc.

« SUPER EX S'INTERROGE: LA FRATERNITÉ INDIQUÉE PAR BERGOGLIO, EST-CE LA FRATERNITÉ CHRÉTIENNE, OU LA MAÇONNIQUE?

... Parce que le chaos s’est installé au Vatican avec l’abomination sur le trône qui mise sur la théorie de la libération (i.e. communisme) pour faire aboutir son plan, une Babel soumise à son Dieu unique, Satan.

« ...Ayant mis de côté les valeurs fondatrices, la Foi, l’Église, le pays... Bergoglio, propose une fraternité de type communiste, maçonnique, qui n'est rien d'autre que le royaume du chaos et de la division: une Babel de religions, églises, langues, coutumes, non pas différentes, mais conflictuelles !.. » (benoit-et-moi.fr).

Paix à son âme.

Ce Vicaire du Christ qui ne l’est plus par renonciation du titre, a bel et bien indiqué de quel côté de la clôture il se situe.

Pour le chrétien fidèle à la Loi et aux Prophète, c’est l’heure du choix!

« … Dans la pratique, l’Église dirigée par le pape François, suivi par la majorité des évêques, a adopté le programme des Nations-Unies, par exemple en encourageant l’immigration et la censure subséquente des pays et des gouvernements qui cherchent à la réguler ou à l’empêcher. Elle insiste ensuite sur le changement climatique, qui nécessiterait un soin extraordinaire pour la planète, appelée dans les cercles papaux « mère terre ». De même, la « fraternité universelle », objectif recherché depuis des siècles par des sociétés agnostiques et particulièrement anti-catholiques comme la franc-maçonnerie, est aujourd’hui ouvertement proclamée par le Vicaire du Christ lui-même, par exemple dans la Déclaration d’Abou Dhabi de 2019 ou dans sa vidéo de janvier 2021…

Ces exemples suffisent à montrer qu’il n’est pas exagéré ou fantaisiste de considérer que le pape François occupe une sorte d’aumônerie de l’ONU en tant que chef religieux de haut rang qui bénit et légitime les initiatives mondialistes de cet organisme...» (benoit-et-moi.fr).

« La première [interprétation] soutient qu’une laïcité qui n’est pas laïcisme n’est pas possible. Le compromis libéral, étant un compromis, est non seulement destiné à échouer mais aussi à se radicaliser dans un sens anti-chrétien. Une fois établi le principe selon lequel la société a un besoin indirect de religion (« l’État a besoin de présupposés qu’il ne peut se donner à lui-même », disait Bökenförde), elle finit par ne plus en avoir besoin du tout. En ce sens, le pontificat du pape François dissipe un malentendu et, de ce point de vue, la remarque de Galli della Loggia en défense de ce compromis semble naïvement nostalgique.

Passons donc à la deuxième version : le compromis entre religion et politique doit être surmonté dans l’indifférence des rapports entre les deux. L’Église collabore avec tous, même avec l’ONU, qui veut l’avortement universel dans ses objectifs pour 2030. Cela semble être la position de François, qui n’est compréhensible qu’avec l’accentuation du christianisme en tant que praxis de miséricorde (générique) au détriment de son évaluation en termes de doctrine. En effet, la doctrine n’est pas seulement remise entre les mains des conférences épiscopales, mais aussi entre celles des différents dicastères du Vatican, la Congrégation pour la Doctrine de la Foi disant une chose et l’Académie Pontificale pour la Vie une autre. » (benoit-et-moi.fr).

Rappelons encore une fois cette association avec cet organisme mené par Lyne Forester de Rothschild :

« L’initiative mondialiste, appelée « Le Conseil pour le capitalisme inclusif avec le Vatican » (The Council for Inclusive Capitalism with the Vatican), se présente comme une organisation pro-capitaliste qui vise à créer « des économies et des sociétés plus fortes, plus justes et plus collaboratives ». Le groupe d’élite, qui s’appelle pompeusement « Les Gardiens » (The Guardians), se qualifie lui-même de « collaboration historique de PDG et de dirigeants mondiaux travaillant avec la direction morale du pape François pour exploiter le pouvoir des affaires pour de bon », indique le site internet. » (inclusivecapitalism.com).

Cette élite judéo-maçonnique ose avancer qu’ils sont nos « gardiens », ce qui sans équivoque prouve un clivage entre deux castes, une dominante, l’autre esclave.

« Pensez à la façon dont les étoiles se sont alignées pour le sommet Davos-Assise, à l’Alliance mondiale du « Conseil pour un capitalisme inclusif », à l’alliance avec l’UNESCO pour le Pacte mondial sur l’éducation. Cette surprenante et fantastique stratégie de dialogue et de réconciliation est à la fois fascinante et curieuse. »

Pas pour ceux qui savent que Satan existe bel et bien et qu’il manigance pour arriver à être adoré à la place du Christ Roi.

Babel II n’attend que sa chute et sa destruction.

Le Temps est Proche.

01 janvier 2021

Les deux volets de L’Apocalypse

Les persécutions contre les chrétiens représentent le premier volet de l’Apocalypse.

Elles sont présentes au niveau psychologique pour certains alors que pour d’autres elles sont vraiment de l’ordre physique.

C’est un combat ultime mené par Satan, depuis les 100 ans accordés par NSJC selon le témoignage du pape Léon XIII (1917 + 100 ans), avec l’infiltration de la franc-maçonnerie jusqu’à la victoire ultime ou presque via le concile Vatican II, pendant plus de 60 ans maintenant.

« J’appris que Lucifer doit être déchaîné pour un temps, cinquante ou soixante ans avant l’an 2000 du Christ, si je ne me trompe. » Anne Catherine Emmerich

Or, si on calcule que le malin s’est infiltré dans l’Église depuis l’élection de Jean XXIII en 1958, nous arrivons autour de 2018, ce qui confirme la période des persécutions comme étant presque à sa fin pour les fidèles à la Foi et aux Prophètes.

Jean XXIII confirme dans la prophétie politique du « Livre Maudit » le même laps de temps quant aux persécutions physiques infligées aux chrétiens d’Orient surtout, et un peu partout dans le monde avec le terrorisme.

Un temps qui achève donc.

C’est ainsi.

Dieu utilise le démon pour séparer le bon grain de l’ivraie, pour le test ultime afin de se convertir et sauver son âme.

Le deuxième volet de l’Apocalypse est la chute de Babylone la grande, ou selon Jean XXIII, les deux Babylone (Vatican et Nations-Unies), c’est à dire l’éradication des méchants sur Terre.

Cette situation arrive lorsque le peuple fidèle de Dieu sera dans un péril extrême et que sans cette intervention de Notre Divine Mère et de Notre Seigneur, même les élus seraient emportés en enfer.

Car il s’agit bien de la mort des âmes ici.

L’Apocalypse les représentent par le chiffre 144000, chiffre symbolique évidement.

Par le système antichristique existant (dont l’ultime aboutissement est la grande réinitialisation), lié à la pandémie par l’interdiction ou presque du sacrifice perpétuel, nous pouvons affirmer que l’heure est proche.

Juste par l’âge de Benoît XVI, le katéchon, nous pouvons affirmer que le jour de cette chute est plus proche qu’éloignée, ce que confirme la prophétie de Jean XXIII le concernant.

Donc, ce qui approche avec cette chute de Babylone, ce sont les persécutions contre la religion humaniste (hors de l’Église, point de Salut) et non une persécution ultime contre les fidèles à la Loi et aux Prophètes, car à la manière de Noé, ils seront protégés par l’Arche Marie, par le Rosaire (toujours en termes de protection de l’âme, ce n’est pas la mort physique qu’il faut craindre).

C’est donc l’annonce définitive de la libération du peuple élu sous le règne définitif et sans partage de NSJC dans toute sa Gloire qui se profile à l’horizon, un règne qui arrivera aussi vite que l’éclair.

« Car, comme l'éclair part de l'orient et brille jusqu'à l'occident, ainsi en sera-t-il de l'avènement du Fils de l'homme. » Matthieu 24

« Attendez le signe de Jean. L'agneau est prêt. Signez-vous sept fois avec une main fatiguée et attendez. La lumière vient encore de l'Occident. » (prophétie de l’église #11 de Jean XXIII, le 7ème sceau).

C’est donc pour les chrétiens fidèles à la Loi et aux Prophètes la réalisation d’une promesse qu’ils ont gardée soigneusement dans leur cœur.

C’est un événement heureux, indescriptible, qui n’est perçu qu’à travers les yeux de la Foi, surtout en ces temps brumeux et difficiles.

Évidement, la justice de Dieu, qui existe encore malgré ce que veut nous faire croire Bergoglio avec son rappel incessant de la miséricorde infinie à nos oreilles, va châtier les nations impies, idolâtres et apostates pour certaines.

Ce grand triomphe vu par Anne Catherine Emmerich comme « une grande fête dans l’Église qui, après la victoire remportée, rayonnait comme un soleil.

Je vis un nouveau Pape très austère et très énergique.

Je vis avant le commencement de la fête, beaucoup d'évêques et de pasteurs chassés par lui parce qu'ils étaient mauvais.

Je vis alors tout près d'être exaucée, la prière «QUE TON REGNE VIENNE».

(note : ce qui confirme la dernière prophétie de l’Église de Jean XXIII).


«Il me fut dit que cela se rapportait à l'Apocalypse de saint Jean, sur laquelle diverses personnes dans l’Église doivent recevoir des lumières et cette lumière tombera tout entière sur l’Église.

Pendant que le combat s'achevait sur la terre, l'église et l'ange, qui disparut bientôt, étaient devenus blancs et lumineux. La croix aussi s'évanouit et à sa place se tenait debout sur l'église une grande femme brillante de lumière qui étendait au loin au-dessus d'elle son manteau d'or rayonnant» . (Note : l’Arche de notre protection, Marie).


« Pourtant l’Église traditionnelle (toute imparfaite et obscurcie qu’elle soit, pour ne point savoir la lumière qui l’attend) était comme un arbre plein de sève en comparaison de l’autre qui ressemblait à un coffre plein d’objets inanimés. Je vis que beaucoup des instruments qui étaient dans la nouvelle église, comme par exemple des flèches et des dards, n’étaient rassemblés que pour être employés contre l’église vivante. »

Voilà.

L’Église traditionnelle est le bourgeon de cette église qui renaîtra de ses cendres.

C’est l’église de Philadelphie (Apocalypse, 3).

« Ecris encore à l'ange de l'Eglise de Philadelphie : Voici ce que dit le saint, le Véritable, Celui qui a la clef de David, Celui qui ouvre et personne ne ferme, qui ferme et personne n'ouvre :

Je connais tes œuvres. Voici que j'ai mis devant toi une porte ouverte, que personne ne peut fermer, parce que tu as peu de puissance, que tu as gardé ma parole et que tu n'as point renié mon nom. »

Cette porte ouverte qu’on le peut plus fermer est l’église de la tradition, depuis le motu proprio de 2007 de Benoît XVI levant l’ex-communion de la FSSPX, tout en réintégrant le rite tridentin pouvant être célébrer un peu plus tard.

« Voici que je te donne quelques-uns de la synagogue de Satan, qui se disent Juifs, et ne le sont point, mais ils mentent ; voici, je les ferai venir se prosterner à tes pieds, et ils connaîtront que je t'ai aimé. »

C’est ici l’église conciliaire, qui se dit catholique mais qu’il ne l’est plus.

« Parce que tu as gardé ma parole sur la patience, moi aussi je te garderai de l'heure de l'épreuve qui va venir sur le monde entier, pour éprouver les habitants de la terre.

Voici que je viens bientôt : tiens ferme ce que tu as, afin que personne ne ravisse ta couronne. »

Ce qui confirme que ceux fidèles à la Loi et aux Prophètes sont sous la protection de l’Arche Marie.

Il en est ainsi.

Que cette année 2021 soit une Sainte Année pour tous ceux qui veulent entrer au Royaume des Cieux.

Il ne reste plus beaucoup de temps de conversion.

L’Heure est proche.

La Passion de l’Église achève.

Les justes seront appelés pour aider à la moisson.

Décembre 2020

28 décembre

Le faux prophète et le mystère d’iniquité.

Mgr Vigano, qui n’est pas dupe face au mystère d’iniquité qui se manifeste durant le pontificat de Bergoglio, choisit quand même d’être subtil au lieu de faire surgir la vérité pour de bon, mais il confirme tout de même que nous sommes en présence de Bergoglio l’imposteur et que ce dernier n’a aucune autorité.

Ce qui confirme que selon les prophéties de l’église de Jean XXIII, l’Église est veuve parce qu’elle n’a plus de père.

Par contre il met au futur la « prédication du Faux Prophète », alors que nous savons bien que la bête de la mer, le faux prophète, l’Antéchrist personnifié du système antichristique actuel, est bel et bien Bergoglio.

Ce qu’il se refuse donc de pointer directement.

Mais il confirme bien que nous sommes dans la période tout près du « Précurseur » qui fera la dernière persécution contre la Sainte Église, ce que Jean XXIII a défini comme « Le grand frère d'Orient fera trembler le monde par la croix renversée sans les lis. »

« Mgr. Viganò: Nous assistons à une «  répétition générale pour l’établissement du royaume de l’Antéchrist  »
23 décembre 2020 ( LifeSiteNews ) – L’archevêque Carlo Maria Viganò, dans une nouvelle interview avec LifeSite, commente le rapport de LifeSite selon lequel depuis le premier verrouillage du coronavirus en mars, le pape François n’utilise plus l’autel papal de la basilique Saint-Pierre pour son public Messes, un autel qui est situé au sommet du tombeau de Saint-Pierre. Au lieu de cela, le pape utilise un autre autel à la basilique. Pour Viganò, cet acte papal est symbolique à la lumière du fait que le pape François lui-même a ordonné lors de la messe de clôture du synode amazonien d’octobre 2019 qu’un bol de plantes dédié à la fausse déesse Pachamama soit placé sur cet autel très papal à Saint-Pierre. . Peu de temps après cet acte, le Pape a également décidé qu’il n’utiliserait plus le titre de «Vicaire du Christ» dans l’Annuaire du Vatican 2020.

Le prélat italien trouve ici des mots forts sur les récents développements à Saint-Pierre et au Vatican.

«À mon avis», écrit Viganò, «ce dont nous sommes témoins représente la répétition générale pour l’établissement du royaume de l’Antéchrist, qui sera précédée par la prédication du Faux Prophète, le Précurseur de celui qui exécutera la persécution finale contre l’Église avant la victoire définitive et écrasante de Notre-Seigneur.»

Le prélat italien compare la mise en place d’un bol de Pachamama sur l’autel avec l’intronisation de la «Déesse Raison» à la cathédrale Notre-Dame de Paris pendant la Terreur de la Révolution française en 1793. Cependant, il explique, cette fois, la profanation d’un l’autel venait de l’intérieur, commis par les plus hauts niveaux de la hiérarchie. «L’Église bergoglienne se donne une image de plus en plus déconcertante, dans laquelle la négation des vérités catholiques s’accompagne de l’affirmation explicite d’une idéologie intrinsèquement anti-catholique et antichristique, dans laquelle le culte idolâtre des divinités païennes – c’est-à-dire des démons – n’est plus caché, qui apaise la colère des dieux par des actes sacrilèges et des profanations de choses saintes.

Il poursuit en disant que cette « présence d’une idole de la« terre mère » est une offense directe contre Dieu et la Très Sainte Vierge» et «un signe tangible qui explique en un certain sens les nombreuses déclarations irrévérencieuses de Bergoglio à l’égard de la Sainte Mère. »
Ici, l’archevêque italien voit un lien avec les avertissements de Notre-Dame de Salette du XIXe siècle. Pour lui, il n’est pas étonnant que «ceux qui veulent démolir l’Église du Christ et la papauté romaine le fassent du plus haut trône, selon la prophétie de Notre-Dame à La Salette:« Rome perdra la foi et deviendra le siège de l’Antéchrist. »

Conformément à cette augmentation des actes sacrilèges – Viganò mentionne ici aussi la crèche laide et occultiste de la place Saint-Pierre – le pape François ne souhaite plus porter le nom de «Vicaire du Christ», et il n’a pas non plus, depuis des mois, procéder avec une messe publique télévisée de sa chapelle privée à sa résidence de Sainte Marthe.

Commentant le fait que le pape François a retiré de son entrée dans l’Annuaire du Vatican 2020 le titre de «Vicaire du Christ» – il l’a simplement placé à la fin de son entrée, sous «titres historiques» – Viganò déclare que «quiconque refuse d’être appelé Vicaire du Christ a apparemment l’impression que ce titre ne lui convient pas, ou même regarde avec mépris la possibilité d’être le Vicaire de Celui, qui, par ses paroles et ses actes, Bergoglio démontre qu’il ne veut pas reconnaître et adorer comme Dieu. »

Tous ces actes papaux pris ensemble sont considérés par l’archevêque Viganò comme un développement vers l’apostasie et le sacrilège, c’est-à-dire le culte des démons. Et pour lui, ce développement a son début au Concile Vatican II. «Je crois», explique-t-il, «que les prémisses qui ont été posées jusqu’à présent – qui remontent en grande partie à Vatican II, mais aussi à des événements ultérieurs tels que la Réunion de prière interreligieuse à Assise – conduiront inexorablement à une voie toujours plus explicite vers une «profession d’apostasie» par les dirigeants de l’Église bergoglienne.

Mais Mgr Viganò nous donne aussi encouragement et force. Il rappelle que «l’Église n’appartient pas au Pape, et encore moins appartient-elle à une clique d’hérétiques et de fornicateurs qui ont réussi à arriver au pouvoir par tromperie et fraude». Il continue, en disant:
Par conséquent, nous devons unir notre foi surnaturelle à l’action constante de Dieu au milieu de son peuple avec une œuvre de résistance, comme le conseillent les Pères de l’Église: les catholiques ont le devoir de s’opposer à l’infidélité de leurs bergers, car le l’obéissance qu’ils leur doivent vise la gloire de Dieu et le salut des âmes. Nous dénonçons donc tout ce qui représente une trahison de la mission des bergers, implorant le Seigneur de raccourcir ces temps d’épreuve. Et si un jour Bergoglio nous dit que, pour rester en communion avec lui, nous devons accomplir un acte qui offense Dieu, nous aurons une nouvelle confirmation qu’il est un imposteur, et qu’en tant que tel il n’a aucune autorité.
L’archevêque espère que cette crise de l’Église ouvrira les yeux de beaucoup de catholiques tièdes. Il espère que cela «nous permettra de voir que là où le Christ-Roi ne règne pas, la tyrannie de Satan est inévitablement établie; là où la grâce ne règne pas, le péché et le vice se répandent; là où la vérité n’est pas aimée, les gens finissent par embrasser l’erreur et l’hérésie. Peut-être, espère-t-il, que cette crise fera réaliser à de nombreuses personnes qui ont du mal à adorer Dieu «peut-être qu’elles peuvent maintenant comprendre que sans Dieu, notre vie devient un enfer.

L’archevêque Viganò conclut cet entretien par ces paroles pleines d’espoir: «Et prions pour que nous voyions le jour où un Pape reviendra célébrer le Saint Sacrifice sur l’autel de la Confession de Saint Pierre, dans le rite que Notre-Seigneur a enseigné à la Apôtres et qu’ils ont transmis intacts à travers les siècles. Ce sera également un symbole de la restauration de la papauté et de l’Église du Christ. »

Comme mentionné dans les dernières analyses, le mystère d’iniquité se révèle tranquillement dans la présence d’un pape faux prophète qui mêlant cachotterie, hypocrisie et mensonge, finit par croire lui-même que c’est sa propre vérité et qu’il l’enseigne ainsi aux fidèles.

Nous avons les exemples de ses théories sur le réchauffement climatique, sur l’immigration, sur l’économie, la miséricorde infinie éliminant ainsi le péché, etc. qui trouvent racines dans la théologie de la libération importée d’Amérique du Sud.

Or, dans son pays d’origine, l’Argentine, on connaît bien ce double visage, d’où le fait que Bergoglio évite d’y voyager et même d’intervenir dans des débats qui nécessiteraient l’appui tangible du Vatican.

« Avortement, le double jeu de François : le cas de l’Argentine.

Selon Quarracino, même si le Pape François prononce des mots durs contre l’avortement, il le fait de telle manière que ceux-ci ne trouvent pas d’écho dans les grands médias, il ne subit donc pas une forme de censure mais c’est plutôt lui qui s’adapte volontairement à ce silence.

Car si le Pape voulait vraiment donner un plus grand impact à ses déclarations publiques sur l’avortement, pourquoi ne les prononce-t-il pas lors d’un Angélus dominical, ou au cours d’une grande audience publique, comme il le fait pour ses plaidoyers vibrants en défense de l’environnement ou des migrants, et pourquoi préfère-t-il les glisser dans des lettres privées dont même l’Osservatore Romano ne signale pas l’existence?.. » (benoit-et-moi.fr).

« … le Père José de Paola fait savoir ce que Bergoglio lui a écrit sous forme privée: il affirme que ce que le souverain pontife lui dit n’est pas la même chose que ce qu’il exprime sous forme publique et officielle…

Quant aux relations avec Madame Cristina Kirchner, il est peut-être vrai qu’il n’a jamais eu de relation avec elle depuis qu’elle n’est plus présidente, mais ce que ne dit pas Bergoglio c’est que c’est lui qui a organisé personnellement en 2014 la rencontre et le lien avec le sinistre George Soros, qui est le principal opérateur politique et financier ces dernières années en Argentine de l’offensive pro-avortement. C’est depuis cette époque que son exhortation adressée aux Argentins qui lui rendaient visite, de « prendre soin de Cristina » est devenue célèbre.

Prendre soin de Cristina Kirchner (note : ex-prédidente) pour qu’elle soit maintenant la principale instigatrice, au Sénat argentin, de l’approbation de la loi génocidaire. C’est à elle qu’il doit écrire officiellement et publiquement les concepts exprimés sous forme privée. S’il ne le fait pas, alors nous serons en présence d’un montage pour couvrir une complicité de fait, même si elle ressemble – c’est tout ce qu’il y a pour le moment -, à une opposition complète. Jusqu’à présent, c’est une opposition apparente, dissimulée sous des formules théoriques.

Faire des affaires avec les maîtres du Pouvoir Mondial, – les Rothschild, les Rockefeller, la Fondation Ford, etc., ce n’est pas gratis. Ils vous réclament le sang de ceux qui peuvent mettre en péril leur « règne » mondialiste, tout comme Hérode. » (benoit-et-moi.fr).

« Le Pape dédoublé.

Le mystère du pape Bergoglio et de son dédoublement. Il y a le Bergoglio quotidien qui, comme l’écrit le théologien dem Vito Mancuso, « tape quotidiennement sur la structure traditionnelle de l’Église, tape sur les piliers de la tradition », et qui est donc la coqueluche de tous les gauchistes, athées, radicaux, verts, bobos, populistes et communistes de la planète. C’est le Bergoglio qui parle toujours d’accueillir les migrants, fait un clin d’œil aux musulmans, oublie les chrétiens persécutés et assassinés, soutient les progressistes et les révolutionnaires, même radicaux et laïques, s’oppose à ceux qui n’entrent pas dans son horizon syndycalo-ong-écologiste, fait de l’œil aux unions gays, au féminisme, au politiquement correct.

Mais de temps en temps, de la porte latérale et arrière du Saint-Siège sort un Bergoglio mineur, clandestin, méconnaissable par rapport au précédent. Presque tout le monde fait semblant de ne pas le voir, de ne pas l’entendre, y compris les traditionalistes, et lui, il dit les choses plus comme pape que comme Bergoglio. Des salles secrètes du Vatican sort le pape qui condamne sévèrement l’avortement et compare même les médecins qui pratiquent l’avortement à des assassins, réaffirmant que l’avortement équivaut à un meurtre. Les médias mettent en sourdine ce Bergoglio, font semblant de ne pas l’avoir entendu, le citent en passant et reprennent immédiatement le Bergoglio quotidien.

Mais le Pape caché insiste, montre à nouveau le bout de son nez et défend, peut-être un peu à voix basse, la vie, la naissance et la famille, celle naturelle et traditionnelle ; il sympathise avec les mères argentines qui manifestent dans les rues pour le droit à la vie. Mais dans les médias et la communication, seul apparaît le Bergoglio favorable aux unions homosexuelles, aligné sur l’esprit du temps, sur les batailles des droits civils, sur les questions environnementales.

Et encore. De la petite porte de la sacristie, à pas furtifs, émerge le Pape, défendant le sens et la valeur de la crèche, utilisant à son sujet des mots appropriés et désormais désuets, se référant aux traditions chrétiennes, familiales et franciscaines les plus anciennes et les plus vraies. Mais la lettre apostolique consacrée à l’Admirabile signum, personne ne la cite, personne n’y prête attention ; de nombreux prêtres de base continuent à demander de ne pas faire de crèche pour ne pas heurter la sensibilité des enfants athées ou des enfants d’autres religions ou de familles d’autres sortes. Et le récit officiel de Bergoglio au Vatican nous montre la crèche des aliens installée place Saint-Pierre, dans la série « Chrétiens sur Mars » ; un outrage à la création et à la tradition franciscaine. « Horribilis comme l’année 2020″…. » (benoit-et-moi.fr).

C’est la même méthode qui est appliquée par Bergoglio et le Vatican au niveau l’acceptation morale de certains vaccins anti-covid développés à base de fœtus humains :

« Au Vatican aussi, on a distribué un vaccin dont les essais ont nécessité l’utilisation de lignes cellulaires issues de fœtus avortés. Hier encore, le président de l’Académie pontificale pour la vie, Mgr Vincenzo Paglia (note : voir analyse du 8 décembre sur son interprétation de Noël 2020 et de sa fresque homo-érotique), trinquait au Vaccination Day, parlant d' »une lumière qui s’allume dans un tunnel qui était jusqu’à présent très sombre ». C’est une campagne vacciniste dans laquelle il faut encadrer la décision de ne pas vouloir démentir l’interprétation que tous les médias ont donnée du document de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi, c’est-à-dire le revirement de l’Église qui accepte les vaccins fabriqués à partir de cellules de fœtus avortés. Un choix très grave, qui aura des répercussions dramatiques sur la défense de la vie…

Mais la chose est encore plus grave si l’on tient compte du fait que plusieurs médicaments utilisant des lignées cellulaires provenant d’autres fœtus avortés sont à l’étude pour la recherche, et qu’il existe une forte pression pour libéraliser la recherche sur les embryons (ce qui se produit déjà en partie). Le message qui a émergé – en dehors de ce qui est réellement écrit dans la Note – constitue donc le renversement de ce que l’Église a toujours soutenu et un véritable désastre en ce qui concerne la défense de la vie…

Hier, Vaccination Day pour toute l’Union européenne, un triomphant Mgr Vincenzo Paglia, président de l’Académie pontificale pour la vie, a parlé d' »une lumière qui s’allume dans un tunnel jusqu’ici très sombre » et d' »un jour historique qui met en évidence la responsabilité de la science, de la politique, de la morale et de la justice »… » (benoit-et-moi.fr).

Il y a aussi cette dégradation de Sainte Famille exercée constamment et qui prend de l’ampleur: Jésus n’est qu’un homme qui a prêché la fraternité et l’amour universelle, la Sainte Vierge est une métisse, elle reçoit un témoignage du bout des lèvres, en une visite éclaire à la sauvette à la lueur du jour Place D’Espagne le 8 décembre pour l’Immaculée Conception, crèches hideuses se succédant d’année en année qui n’inspirent pas du tout mais abaissent avec des thèmes propres aux enseignements de Bergoglio dont l’édition de 2017 en lien avec les militants LGBT en Italie, etc.

« 22 décembre 2020 ( LifeSiteNews ) – L’ archevêque Carlo Maria Viganò a écrit la réflexion suivante sur la crèche de cette année sur la place Saint-Pierre...

Il convient de rappeler que la crèche blasphématoire de cette année a été précédée de celle tout aussi sacrilège de 2017, offerte au Vatican par le sanctuaire de Montevergine, lieu de pèlerinage de la communauté homosexuelle et transgenre italienne. Cette scène anti-nativité , «soigneusement planifiée et préméditée selon les diktats et la doctrine du pape François», était censée dépeindre de prétendues œuvres de miséricorde: un homme nu allongé sur le sol, un cadavre au bras suspendu, la tête d’un prisonnier, un archange avec une guirlande de fleurs arc-en-ciel, et la coupole de Saint-Pierre en ruines.

Des tentatives similaires, dans lesquelles la Nativité est prise comme prétexte pour légitimer des expériences très malheureuses, ont été le tourment de nombreux fidèles, contraints de supporter les extravagances du clergé et leur soif d’innovation à tout prix, la volonté délibérée de profaner – au sens étymologique de rendre profane – précisément ce qui est sacré, séparé du monde, mis à part pour le culte et la vénération: crèches «œcuméniques» contenant d’improbables mosquées, crèches «immigrantes» représentant la Sainte Famille sur un radeau, et même des crèches faites de pommes de terre ou de ferraille.

… Il s’agit plutôt de l’imposition arrogante du blasphème et du sacrilège comme anti-théophanie de la laideur, l’attribut nécessaire du Malin.

...

Et tout comme la beauté de la liturgie catholique a été remplacée par un rite qui n’excelle que dans la misère; de même que la sublime harmonie du chant grégorien et de la musique sacrée a été bannie de nos églises pour faire résonner en elles des rythmes tribaux et des musiques profanes; de même que la perfection universelle de la langue sacrée a été balayée par le Babel des langues vernaculaires; ainsi l’impulsion de vénération populaire et ancienne imaginée par saint François a été frustrée, afin de la défigurer dans sa simplicité et de dépouiller son âme.
La répulsion instinctive que suscite cette crèche et la veine sacrilège qu’elle révèle en fait un parfait symbole de l’Église bergoglienne, et peut-être précisément dans cette ostentation d’irrévérence effrontée envers une tradition séculaire si chère aux fidèles et aux petits , il est possible de comprendre l’état des âmes qui l’ont voulu là, sous l’obélisque, comme un acte de défi à la fois contre le Ciel et contre le peuple de Dieu: des âmes sans Grâce, sans Foi et sans Charité.
...

Disons-le simplement clairement: cette chose n’est pas une crèche, car si c’était le cas, elle représenterait le sublime Mystère de l’Incarnation et de la Naissance du Fils de Dieu secundum carnem, l’admiration adorante des bergers et des mages, l’amour infini de la Très Sainte Marie pour le Divin Infant, et l’étonnement de la création et des anges. En bref, il représenterait l’état de notre âme alors qu’il contemple l’accomplissement des prophéties, notre enchantement de voir le Fils de Dieu dans la crèche, notre indignité pour la Miséricorde rédemptrice. Au lieu de cela, on prend conscience, de manière significative, du mépris de la piété populaire, du rejet d’un modèle éternel qui rappelle l’immuabilité éternelle de la vérité divine, et de l’insensibilité des âmes arides et mortes devant la majesté du roi infantile et le genou plié du Magi. On prend conscience de la grisaille sombre de la mort, de la sombre asepticité de la machine, des ténèbres de la damnation et de la haine jalouse d’Hérode qui voit son propre pouvoir menacé par la Lumière salvifique du Roi Infant.

Encore une fois, nous devons être reconnaissants au Seigneur même dans cette épreuve, une épreuve qui semble avoir un impact moindre mais qui est toujours compatible avec les plus grandes tribulations que nous traversons, car elle aide à enlever les yeux bandés de nos yeux. Cette monstruosité irrévérencieuse est la marque de la religion universelle du transhumanisme espérée par le Nouvel Ordre Mondial; c’est l’expression de l’apostasie, de l’immoralité et du vice – de la laideur érigée en modèle. Et tout comme tout ce qui est construit par les mains de l’homme sans la bénédiction de Dieu, en effet contre Lui, il est destiné à périr, à disparaître et à s’effondrer. Et cela ne se produira pas parce que quelqu’un d’autre arrivera au pouvoir qui a simplement des goûts et des sensibilités différents, mais parce que la Beauté est la servante nécessaire de la Vérité et de la Bonté, tout comme la laideur est le compagnon du mensonge et de la méchanceté.

+ Carlo Maria Viganò, archevêque

23 décembre 2020 »

Et continuant du même élan, Bergoglio aux deux visages, spécialiste de l’ambiguïté, convoque hier une année “Famille Amoris Laetitia” démarrant le 19 mars prochain, fête de Saint-Joseph.

Il démontre ainsi une volonté de rendre hommage à la Sainte Famille, à Saint-Joseph, mais de l’autre main, il détruit et rabaisse en liant cette « fête » à son exhortation controversée « Amoris Laetitia ».

N’oublions pas que quatre cardinaux (dont deux sont décédés depuis) ont mit au défi le pape avec les « dubia de novembre 2016 » concernant les ambiguités d’« Amoris Laetitia ».

Ils n’ont toujours pas obtenu de réponse…

Et que confirme Bergoglio en déclarant cette « année familiale »?

« … Aussi, cette année sera-t-elle l’occasion «d’approfondir le contenu de ce document», a annoncé le Saint-Père au cours de l’Angélus… » (vaticannews.va).

Voilà.

Il frappe de nouveau à l’occasion du 5ème anniversaire de son exhortation pour confirmer que cette « année familiale » en sera une de destruction de la famille pour la mouler au bon vouloir de la « grandr réinitialisation » et de l’Agenda 2030 : une famille fraternelle, incluant le contre-nature.

26 décembre

La bête Vatican marche main dans la main avec la bête Nations-Unies dans la préparation de la grande réinitialisation: après le pacte mondial sur l’éducation de Bergoglio du 15 octobre dernier, sa concrétisation :

« L’ex-secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon, l’économiste Jeffrey Sachs et le directeur général de l’UNESCO figurent parmi les orateurs du lancement, peu médiatisé, d’une collaboration entre le Vatican et les Nations unies visant à éduquer le monde à des modes de vie durables, à l’égalité de genre et à une culture de paix et de non-violence…

Le symposium Vatican des jeunes, des 16 et 17 décembre, organisé par l’Académie pontificale des sciences, sert de lancement à une collaboration entre l’initiative du pape François Global Compact on Education, qui appelle à un nouvel humanisme basé sur un changement de pensée mondial, et Mission 4.7, un groupe consultatif de leaders civils et politiques soutenu par les Nations unies qui vise à atteindre l’objectif éducatif (numéro 4.7) des Objectifs de développement durable ( Sustainable Development Goals , SDG) des Nations unies » (benoit-et-moi.fr).

C’est en plein dans la lignée des architectes du nouvel ordre mondial qui ont par la suite été suivis par cette élite qui concrétise en 2020 cette utopie, sans Dieu.

Citons HG Wells, bien connu pour son roman de science fiction « la guerre des mondes », mais bien moins connu pour « La conspiration au grand jour : un schéma pour une Révolution Mondiale (Open Conspiracy : Blueprint for a World Revolution) (1928).

Ce plan directeur pour le prochain siècle ( en référence ici à l’Agenda 2030 des Nations-Unies) expliquait la grande stratégie quant à l’implantation de la nouvelle religion mondiale et du nouvel ordre social.

Vous reconnaîtrez ici facilement les prémices de la « Grande Réinitialisation » d’aujourd’hui ou la 4ème révolution industrielle poussée par les Klaus Swabs, Bill Gates, Henry Kissinger, George Soros, etc., ainsi que la direction que l’église conciliaire a prise en accéléré sous le pontificat de François.

Wells souligne dans son bouquin la nécessité d'un nouvel évangile scientifique, d’une nouvelle foi qui doit incarner des formules et des organisations reliées aux affaires humaines dans leur ensemble, afin de remplacer les religions judéo-chrétiennes du monde occidental.

Car nous le savons, l’ennemi à abattre, c’est la chrétienté.

Le nouvel évangile pour la « nouvelle religion synthétique cohérente » de Wells ( composé d’une série de 3 livres : « L'Esquisse de l' histoire » (nouveau livre de la Genèse), la « Science de la Vie » (co-écrit avec Julian Huxley, petit-fils de l’eugéniste Thomas Huxley, et dont le frère, Aldous, est connu pour son livre « Le Meilleur des Mondes »), et « Le Travail, La Richesse et Le Bonheur de l’Humanité », impliquait un reconditionnement du darwinisme en pleine perte de vitesse, lié à la doctrine du prêtre jésuite bien connu, Pierre Teilhard de Chardin sur « l’Homme Oméga ».

C’est le monde de cette élite eugéniste moderne de 2020 en notre présence (Jean XXIII spécifie bien dans ses prophéties politiques que « Nuremberg » n’est pas terminé), de la sélection génétique et de l’élimination des individus qui ne cadre pas dans le plan pré-défini.

C’est le plan de réduction de la population (par manque de ressources terrestres avec comme explication le réchauffement planétaire) avec la grande prophétesse ou la « fille de Caïn » des prophéties de Jean XXIII, Greta Thunberg.

On en voit les fruits aujourd’hui avec la nouvelle religion de la fraternité universelle, sans Dieu, via le paganisme pour brouiller les cartes, c’est à dire le culte le l’humain déifié.

En 1940, dans le « Nouvel Ordre Mondial », Wells insiste sur le fait que le «nouvel âge de la fraternité» qui doit guider la nouvelle Organisation des Nations Unies ne doit pas tolérer les États-nations souverains (ce qui fut inscrit dans la Charte des Nations Unies ) mais doit plutôt être guidé par sa caste d'ingénieurs sociaux (les élites judéo-maçoniques ) qui tirent les leviers de production et de consommation dans un système de «collectivisation» de masse, par la fraternisation de l’humain à travers un contrôle commun.

C’est ce que Bergoglio prône effectivement.

« Mais de ce Dieu qui est né à Bethléem, il ne reste qu’une trace ténue dans la dernière encyclique de François « Fratelli tutti », au point que Salvatore Natoli, un philosophe réputé, y a plutôt discerné l’image d’un Jésus qui n’est « rien d’autre qu’un homme », et dont la noble mission a simplement été de montrer aux hommes que « dans leur don réciproque, ils ont la possibilité des ‘dieux’ à la manière de Spinoza : ‘homo homini deus’ ».

Le silence total sur Dieu est tout aussi impressionnant dans le message vidéo avec lequel François a lancé le « Global Compact on Education », un plan ambitieux – et qu’il a ensuite mis en œuvre en partenariat avec l’ONU – qu’il a lui-même offert à « toutes les personnalités publiques » engagées au niveau mondial dans le domaine de l’éducation, quelle que soit la religion à laquelle ils appartiennent.

Dans ce plan, les mots d’ordre sont tous exclusivement séculiers. La formule dominante est « nouvel humanisme », avec son cortège de « maison commune », de « solidarité universelle », de « fraternité », de « convergence », d’ « accueil »… » (benoit-et-moi.fr)

Le mystère d’iniquité est déroutant pour le chrétien fidèle à la Loi et aux Prophètes.

« Ces «éclairés» je les vois toujours dans un certain rapport avec la venue de l’Antéchrist, car eux aussi, par leurs menées, coopèrent l’accomplissement du mystère d’iniquité. » Anne Catherine Emmerich

Encore plus pour les tièdes qui commencent à ouvrir les yeux, car comment concilier ces concepts avec l’image de François qui célèbre la nativité du Christ en ce Noël 2020?

Comme si ce dernier avait deux visages pour mieux séduire.

Les apparences sont trompeuses.

« Tout y est (dans cette fausse église) foncièrement mauvais ; c’est la communion des profanes. Je ne puis dire combien tout ce qu’ils font est abominable, pernicieux et vain.

Ils veulent être un seul corps en quelque autre chose que le Seigneur.

Il s’est formé un corps, une communauté en dehors du corps de Jésus qui est l’Église : une fausse église sans rédempteur, dont le mystère est de n’avoir pas de mystère.

J’eus une vision où je vis les autres dans la fausse église, édifice carré, sans clocher, noir et sale, avec un comble élevé. Ils étaient en grande intimité avec l’esprit qui y règne. Cette église est pleine d’immondices, de vanités, de sottise et d’obscurité. Presque aucun d’eux ne connaît les ténèbres au milieu desquelles il travaille. Tout y est pur en apparence : ce n’est que du vide.

Elle est pleine d’orgueil et de présomption, et avec cela destructrice et conduisant au mal avec toute espèce de beaux dehors. Son danger est dans son innocence apparente ». Anne Catherine Emmerich

Notez encore une fois (avec en lien la dernière analyse) que la célébration de Noël 2020 n’a pas eu lieu sur l’autel de Saint-Pierre, tout comme la traditionnelle Urbi et Orbi, qui a eu lieu depuis la Salle des Bénédictions (à cause des restrictions sanitaires!)

« Il me fut aussi montré qu'il n'y a presque plus de chrétiens dans l'ancien sens du mot, de même que tous les juifs qui existent encore aujourd'hui sont de purs pharisiens. » Anne Catherine Emmerich

Elle confirme ici en ces derniers temps que les fidèles à la Loi et aux Prophètes ne sont représentés que par la Tradition, et que la clique judéo-maçonnique domine (les pharisiens talmudistes).

ET elle nous confirme que Marie protège l’Église traditionnelle.

« Marie se tenait debout sur l'Église du côté du Nord et étendait son manteau pour la protéger. C'était seulement le pavé (les fondations) et la partie postérieure de l'Église (le chœur et l'autel), tout le reste avait été démoli par la secte et par les serviteurs de l'Église eux-mêmes. »

« Quand même il ne resterait qu'un seul chrétien catholique, l'Église pourrait triompher de nouveau, car elle n'a pas son fondement dans l'intelligence et les conseils des hommes. » Anne Catherine Emmerich

20 décembre

2020 fut une année où tout s’est accéléré, autant du côté de Babylone Vatican, que de Babylone Nations-Unies.

Elle se termine sur une note intrigante : des chefs d’États qui se mettent en quarantaine alors que la nouvelle d’une mutation du virus qui se répand à une vitesse fulgurante en Grande-Bretagne fait le tour du monde.

Toute cette confusion engendrée intentionnellement par le système a pour but de faire oublier que le Salut vient de Dieu et de son Divin Fils, pour céder à la tentation de trouver les solutions dans le culte de l’humain déifié.

Comme on peut le constater, le fameux « vaccin » par exemple, prend de plus en plus l’allure d’un « messie » humaniste tant attendu.

Ces nouveaux repères sur « les « avancées sociales et sociétales, et les attaques à la foi chrétienne qui se succèdent à un rythme de plus en plus rapide, dans l’indifférence, quand ce n’est pas avec la complicité de L’Église » efface tranquillement la mémoire chrétienne, la religion, « religare » ce qui nous relit à notre Dieu, oubliant nos origines.

Ce qui n’est pas un problème pour une bonne partie de l’humanité non croyante.

Mais pour la chrétienté catholique, c’est l’apostasie généralisée qui est pratiquement atteinte, tel que prophétisé par les prophètes.

« La fenêtre d’Overton et l’Église.

… la fenêtre d’Overton est un modèle sociologique, élaboré par un sociologue américain qui lui a même donné son nom, pour lequel un comportement, qui à un certain moment de l’histoire est considéré comme impossible par la majorité des citoyens ou des peuples, peut être transformé en un comportement légal et normalisé, transformant en même temps cette majorité d’opposants en une minorité d’abord raillée, puis réduite au silence, puis censurée et enfin persécutée.

Le résultat est obtenu en plusieurs étapes : impossible, possible, acceptable, raisonnable, populaire et enfin légal.

Le jeu a parfaitement réussi avec le divorce, l’avortement, les unions homosexuelles. Et en ce qui concerne le genre, nous y sommes presque : il est actuellement dans la phase populaire, en attente d’être légalisé.

Normalement, il faut environ dix ans pour arriver au résultat, mais si les fenêtres sont reliées entre elles, comme celles évoquées plus haut, les temps ont tendance à se réduire. Il ne nous échappe pas que dans notre cas, l’enchaînement des fenêtres a pour but de déformer, voire d’éliminer, le concept même de famille…

Le pontificat actuel, au lieu de donner des signaux clairs, est extrêmement déroutant. Si quelqu’un comme moi, un quidam de populo, une personne ordinaire, a compris ce qui se passe, je me demande pourquoi mon Pasteur et ses hommes du sommet font comme si de rien n’était.

Au contraire. Voilà même la réforme du missel [qui fait beaucoup discuter en ce moment en Italie, ndt], dans laquelle l’Esprit Saint devient « rosée » et le Père ne nous induit pas mais nous abandonne à la tentation, et où nous sommes appelés à préciser qu’en plus d’être frères, nous sommes aussi sœurs. A quand les hybrides ?

Il semble que ce pape ait un taux d’approbation très élevé, mais quelqu’un devrait m’expliquer pourquoi cette popularité est inversement proportionnelle au nombre de personnes qui assistent à la messe et s’approchent des sacrements.

Au début, j’ai dit que la majorité, devenue minorité, est d’abord tournée en dérision, puis réduite au silence, puis censurée et enfin persécutée, et c’est exactement ce qui se passe. Pour l’instant, nous sommes encore dans la phase de censure, mais nous approchons rapidement de la persécution. » (benoit-et-moi.fr)

Cette phase de persécution, très bien détaillée d’ailleurs par le regretté Serge Monast dans ses écrits (voir analyses précédentes), a commencé.

Le fait de ne plus avoir accès aux églises et aux sacrements relèvent déjà de ce constat.

Mais la grande réinitialisation prévue apporterait son lot de problèmes pour le chrétien fidèle à la tradition, qui deviendra alors l’égal d’un « terroriste » empêchant le système d’arriver à ses fins.

D’ailleurs sur ce sujet,

« Michelle Bachelet, ex-présidente du Chili, actuelle Haut Commissaire des Nations Unies aux droits de l’homme (une sinécure très lucrative accordée comme récompense pour sa fidélité à ses amitiés maçonniques) s’exprimait devant la Grande Loge Chilienne. Elle a déclaré sans ambages que la pandémie doit constituer un grand « reset » , à partir duquel repartir de zéro sur la bases des « valeurs » maçonniques.

Dans son discours à la Grande Loge maçonnique du Chili, Michelle Bachelet, Haut Commissaire des Nations Unies aux droits de l’homme, a déclaré que la pandémie doit ouvrir « une nouvelle ère basée sur un nouveau contrat social ». Elle doit constituer un « reset », comme la Seconde Guerre mondiale, à partir duquel reconstruire à partir de zéro. Et sur la base des valeurs maçonniques de « fraternité universelle ». L’Église est-elle d’accord?..

Le fait est qu’aujourd’hui, il semble que l’Église catholique se soucie peu de cette séparation, car elle aime utiliser le langage même de cette « culture et de ces valeurs » qui ont formé l’ex-présidente du Chili. Une Église qui insiste pour parler de « fraternité universelle », de « solidarité », de « changement climatique », de « migration », de « nouvelle économie » et de « great reset » est une Église qui n’a pas besoin de se séparer de l’État. Ni de la Grande Loge maçonnique. Les problèmes ne peuvent surgir que lorsque l’Église catholique remet le Christ au centre de son action pastorale et pour proclamer la Vérité de l’Évangile, en expliquant que la « fraternité universelle », la « solidarité », le « changement climatique », les « migrations » et la « nouvelle économie » ne pourront jamais sauver les âmes. » (benoit-et-moi.fr).

En effet, l’église conciliaire a été sacrifiée sur l’autel de la franc-maçonnerie, d’où le terme « éclipsée » utilisé par la Vierge à La Salette, sans pour autant avoir un cœur bien vivant grâce à la tradition, aux deux témoins fidèles à la Loi et aux Prophètes.

« Pourtant l’Église traditionnelle (toute imparfaite et obscurcie qu’elle soit, pour ne point savoir la lumière qui l’attend) était comme un arbre plein de sève en comparaison de l’autre qui ressemblait à un coffre plein d’objets inanimés. Je vis que beaucoup des instruments qui étaient dans la nouvelle église, comme par exemple des flèches et des dards, n’étaient rassemblés que pour être employés contre l’église vivante. » (Anne Catherine Emmerich).

Les flèches et les dards sont bien ce que nous avons vu lors du synode amazonien d'octobre 2019.

Dernière preuve de ce constat de la fumée de Satan à l’intérieur de la basilique Saint-Pierre tel qu’indiqué par Paul VI il y a déjà maintenant bien longtemps, Bergoglio ignore l’autel papal depuis le rite païen de la Pachamama lors du synode amazonien.

 « Le 12 décembre, fête de Notre-Dame de Guadalupe, le pape François a célébré la messe sur l’autre autel, derrière le maître-autel, et lorsqu’il est passé devant l’autel papal, il ne s’est pas incliné. Idem pour la messe au consistoire pour les nouveaux cardinaux le 28 novembre.

Apostasie, suite: l’autel papal inutilisé depuis des mois…

 Le maître-autel de la basilique Saint-Pierre, l’autel utilisé pour les cérémonies présidées par le pape et qui se trouve juste au-dessus du tombeau de Pierre, est inutilisé depuis de nombreux mois. »

« … S’agit-il de coïncidences ? À mon avis, non. A Saint-Pierre, on respire le grand vide. Le tombeau de Saint-Pierre abandonné…

La coupe avec la terre et les plantes, donnée au pape lors de l’offertoire puis placée au-dessus du maître-autel lors de la messe de clôture du synode amazonien le 27 octobre 2019, avait auparavant été donnée au pape par une « prêtresse » amazonienne dans les jardins du Vatican lors d’une cérémonie païenne le 4 octobre 2019, au début du synode.

Peu de temps après cet événement, le pape François a décidé qu’il ne serait plus appelé, dans l’Annuaire pontifical 2020, par l’appellation de Vicaire du Christ, attribuant à cette expression le caractère d’un simple « titre historique ».

À l’époque, le professeur Schwibach avait écrit sur Twitter : « Il semble qu’ils continuent à tout démanteler » (benoit-et-moi.fr).

« … Comme l'explique le journaliste allemand, le Pape a également abandonné ses messes télévisées à sa résidence de Sainte Marthe, et ce depuis le 18 mai. Schwibach, qui faisait des reportages de ses homélies régulières (trois à quatre fois par semaine) à Sainte Marthe, a ajouté qu’aucune explication n’a été fournie sur cet abandon complet des messes publiques, sauf pour de rares occasions, comme Noël, ou, récemment, le consistoire du 28 novembre où il avait formé de nouveaux cardinaux. Ces messes, comme indiqué ci-dessus, ont lieu à l'autel de la Chaire de Pierre, derrière l'autel papal… » (lifesitenews.com).

Il sera intéressant de voir quel sera l’autel choisi par Bergoglio pour la célébration de la messe traditionnelle de Noël.

Rappelons aussi que lors de la bénédiction urbi et orbi du 27 mars 2020 pour contrer la pandémie, Bergoglio a célébré à l’entrée de la basilique.

Avec ce que nous savons maintenant, il est fort probable qu’une future célébration lors du décès de Benoît XVI se tienne au même endroit.

Rappelez-vous bien ce fait lors du décès de Benoît XVI, le katéchon.

Car, à l’entrée de la basilique Saint-Pierre, sur la droite, c’est la chapelle de Saint-Sébastien, le tombeau de Jean-Paul II.

… «  devant la tombe du va-nu-pieds, éclatera le règne béni de la Très Sainte Vierge. Écoutez ses paroles. Marie Très Sainte, fille et mère de Dieu, maîtresse du temps futur, bats le rappel de tes fils dans les campagnes, pour qu'ils abattent les deux Babylone.Et que la Mère soit Une, comme toi tu es unique. La terre détruira le ciment et de terre sera, Reine, ta nouvelle Église. Et sur la terre de blé, pour la faim de tes peuples, fleur sur son nouvel autel. Amen. » (prophétie de Jean XXIII concernant Benoît XVI).

Que l’Esprit-Saint nous éclaire et que la Grâce de Dieu nous accompagne car nous en aurons grandement besoin.

Nous ne sommes pas seul et c’est là le message que Mrg Vigano nous laisse en cette fin d’année, où il fait le point sur 2020.

Cette Pâques (passage) « 2020 » fait bien partie de la Passion de l’Église.

Catéchisme, paragraphe 677 :

« L’Église n’entrera dans la gloire du Royaume qu’à travers cette ultime Pâque où elle suivra son Seigneur dans sa mort et sa Résurrection. Le Royaume ne s’accomplira donc pas par un triomphe historique de l’Église selon un progrès ascendant mais par une victoire de Dieu sur le déchaînement ultime du mal qui fera descendre du Ciel son Épouse. Le triomphe de Dieu sur la révolte du mal prendra la forme du Jugement dernier après l’ultime ébranlement cosmique de ce monde qui passe. »

Sa mort est toute proche, et par le fait même, sa résurrection!

« « Nous ne sommes pas seuls »: un récapitulatif 2020 de l’archevêque Viganò.

Les mois que nous laissons derrière représentent l’un des moments les plus sombres de l’histoire de l’humanité: pour la première fois, depuis la naissance du Sauveur, les Saintes Clés ont été utilisées pour fermer les églises et restreindre la célébration de la messe et des sacrements, presque en prévision de l’abolition du Sacrifice quotidien prophétisé par Daniel, qui aura lieu sous le règne de l’Antéchrist.

Pour la toute première fois, lors de la célébration de Pâques de la résurrection du Seigneur, beaucoup d’entre nous ont été forcés d’assister à la messe et aux offices de la semaine sainte par Internet, nous privant de la Sainte Communion. Pour la première fois, nous avons pris conscience, avec douleur et consternation, d’être abandonnés par nos évêques et curés, barricadés dans leurs palais et presbytères par crainte d’une grippe saisonnière qui faisait à peu près le même nombre de victimes que dans les autres. ans.

Nous avons vu – pour ainsi dire – les généraux et les officiers abandonner leur armée, et dans certains cas ils ont même rejoint les rangs ennemis, imposant à l’Église une reddition inconditionnelle aux raisons absurdes de la pseudo-pandémie. Jamais, au cours des siècles, tant de timidité, tant de lâcheté, tant de désir de se plier à nos persécuteurs n’ont trouvé un terrain aussi fertile chez ceux qui devraient être nos guides et nos dirigeants. Et ce qui a le plus scandalisé beaucoup d’entre nous, c’est la prise de conscience que cette trahison impliquait les plus hauts niveaux de la Hiérarchie de l’Église bien plus que les prêtres et les simples fidèles. Précisément du plus haut trône, duquel nous aurions dû nous attendre à une intervention ferme et autoritaire pour la défense des droits de Dieu, de la liberté de l’Église et du salut des âmes, nous avons plutôt reçu des invitations à obéir à des lois injustes, à des normes illégitimes et à des ordres irrationnels. Et dans les mots que les médias se sont rapidement répandus depuis Santa Marta, nous avons reconnu beaucoup, trop de clins d’œil au langage d’initié de l’élite mondialiste -fraternité, revenu universel, nouvel ordre mondial, reconstruire en mieux, grande remise à zéro, rien ne sera plus jamais pareil, résilience – tous les mots de la nouvelle langue, qui témoignent de l’ idem sentire de ceux qui les parlent et de ceux qui écoutent leur.

C’était un véritable acte d’intimidation, une menace à peine voilée, avec laquelle nos pasteurs ont ratifié l’alarme pandémique, semé la terreur parmi les simples et abandonné les mourants et les nécessiteux. Au plus fort d’un légalisme cynique, il a même atteint le point d’interdire aux prêtres d’entendre les confessions et d’administrer les derniers sacrements à ceux qui étaient abandonnés en soins intensifs, privant nos morts bien-aimés de l’enterrement religieux et refusant le Saint Sacrement à de nombreuses âmes.

Et si du côté religieux des choses nous nous voyions traités comme des étrangers et interdits d’accès à nos églises comme les Sarrasins d’autrefois – alors même que l’invasion implacable d’immigrants clandestins continuait de reconstituer les coffres des associations humanitaires autoproclamées – sur le plan civil et côté politique, nous avons découvert que nos dirigeants avaient une vocation à la tyrannie: utilisant une rhétorique désormais réfutée par la réalité, ils voulaient nous faire penser à eux comme des représentants du peuple souverain. Par les chefs d’État et les premiers ministres, par les gouverneurs régionaux et les maires locaux, les plus grandes rigueurs de la loi nous ont été imposées comme si nous étions des sujets rebelles, des suspects d’être placés sous surveillance même dans l’intimité de nos propres maisons, des criminels à être chassé même dans la solitude des bois ou au bord de la mer.

Avec stupéfaction, nous avons entendu des dizaines d’experts autoproclamés – dont la plupart sont dépourvus de toute autorité scientifique et largement en grave conflit d’intérêts en raison de leurs liens avec des sociétés pharmaceutiques et des organisations supranationales – pontifier sur des programmes de télévision et sur les pages. des journaux sur les infections, les vaccins, l’immunité, les tests positifs, l’obligation de porter des masques, les risques pour les personnes âgées, la contagiosité de l’asymptomatique et le danger de voir sa famille. Ils nous ont tonné, utilisant des mots obscurs comme «distanciation sociale» et «rassemblements», dans une série interminable de contradictions grotesques, d’alarmes absurdes, de menaces apocalyptiques, de préceptes sociaux et de cérémonies de santé qui ont remplacé les rites religieux.

Contraints de se déguiser en personnes anonymes sans visage, ils nous ont imposé une muselière absolument inutile pour éviter la contagion et réellement néfaste pour notre santé, mais indispensable à leurs fins de nous faire sentir subjugués et obligés de nous conformer. Ils nous ont empêché de guérir avec des traitements existants et efficaces, en promouvant plutôt un vaccin qu’ils veulent désormais rendre obligatoire avant même de savoir s’il est efficace, après des tests incomplets. Et pour ne pas mettre en péril les énormes profits des laboratoires pharmaceutiques, ils ont accordé une immunité pour les dommages que leurs vaccins peuvent causer à la population. Le vaccin est gratuit, nous disent-ils, mais il sera effectivement payé avec l’argent des contribuables, même si ses producteurs ne garantissent pas qu’il protégera de la contagion.

Dans ce scénario qui ressemble aux effets désastreux d’une guerre, l’économie de nos pays est prostrée, tandis que les sociétés de commerce en ligne, les sociétés de livraison à domicile et les producteurs de pornographie sont en plein essor. Les magasins locaux ferment mais les grands centres commerciaux et supermarchés restent ouverts: des monuments au consumérisme dans lesquels tout le monde, même ceux qui ont Covid, continue de remplir ses paniers de produits étrangers, de fromages allemands, d’oranges marocaines, de farine canadienne, de téléphones portables et de télévisions fabriqué en Chine.

«Le monde se prépare à la grande réinitialisation», nous disent-ils avec obsession. « Rien ne sera plus jamais pareil. » Il va falloir s’habituer à «vivre avec le virus», soumis à une pandémie perpétuelle qui nourrit le pharmaceutique Moloch et légitime des limitations toujours plus haineuses de nos libertés fondamentales. Ceux qui depuis l’enfance nous ont catéchisés pour adorer la liberté, la démocratie et la souveraineté populaire nous gouvernent aujourd’hui en nous privant de liberté au nom de la santé, en nous imposant la dictature, en s’arrogant un pouvoir que personne ne leur a jamais conféré, ni d’en haut. ni d’en bas. Et le pouvoir temporel auquel la franc-maçonnerie et les libéraux s’opposaient férocement chez les pontifes romains est aujourd’hui revendiqué par eux à l’envers,

De tout ce scénario humainement décourageant, un fait inévitable émerge: il y a un gouffre entre ceux qui détiennent l’autorité et ceux qui y sont soumis, entre les dirigeants et les citoyens, entre la Hiérarchie et les fidèles. C’est un monstrum institutionnel dans lequel le pouvoir civil et religieux est presque entièrement entre les mains de personnes sans scrupules qui ont été nommées en raison de leur ineptie absolue et de leur grande vulnérabilité au chantage. Leur rôle n’est pas d’administrer l’institution mais de la démolir, non de respecter ses lois mais de les violer, non pas de protéger ses membres mais de les disperser et de les éloigner. Bref, nous nous trouvons face à la perversion de l’autorité, non par hasard ou inexpérience mais poursuivie avec détermination et suivant un plan préétabli: un scénario unique sous une seule direction.

Nous avons donc des dirigeants qui persécutent leurs citoyens et les traitent comme des ennemis, tout en accueillant et en finançant l’invasion de criminels et d’immigrants illégaux; les agents des forces de l’ordre et les juges qui arrêtent et infligent une amende à ceux qui violent les règles de distanciation sociale, alors même qu’ils ignorent ostensiblement les criminels, les violeurs, les assassins et les politiciens perfides; des enseignants qui ne transmettent pas la culture ou l’amour du savoir, mais endoctrinent les élèves dans l’idéologie du genre et mondialiste; les médecins qui refusent de traiter les malades mais imposent un vaccin génétiquement modifié dont l’efficacité et les effets secondaires potentiels sont inconnus; des évêques et des prêtres qui refusent les sacrements aux fidèles mais qui ne manquent jamais une occasion de propager leur propre adhésion inconditionnelle à l’agenda mondialiste au nom de la Fraternité maçonnique.

Ceux qui s’opposent à ce renversement de tout principe de la vie civile se retrouvent abandonnés, seuls et sans chef qui les unirait. La solitude, en effet, permet à nos ennemis communs – comme ils l’ont amplement démontré – d’insuffler la peur, le désespoir et le sentiment de ne pas pouvoir se tenir ensemble pour résister aux assauts auxquels nous avons été soumis. Les citoyens sont seuls face à l’abus du pouvoir civil, les fidèles sont seuls face à l’arrogance des prélats hérétiques livrés au vice, et ceux qui veulent dissiper, élever la voix ou protester au sein des institutions sont également seuls.

La solitude et la peur augmentent lorsque nous leur donnons du terrain pour se tenir debout, mais elles disparaissent si nous pensons à la façon dont chacun de nous a mérité que la deuxième personne de la Très Sainte Trinité s’incarne dans le sein le plus pur de la Vierge Marie: qui propter nos homines et propter nostram salutem descendit de caelis. Et nous arrivons ici aux Mystères que nous nous préparons à contempler dans ces prochains jours: l’Immaculée Conception et la Sainte Nativité du Seigneur. De ces mystères, chers amis, nous pouvons puiser une espérance renouvelée pour affronter les événements qui nous attendent.

Surtout, nous devons nous rappeler qu’aucun de nous n’est jamais vraiment seul: nous avons le Seigneur à nos côtés. Il veut toujours notre bien, et donc il ne manque jamais de nous envoyer son aide et sa grâce, si seulement nous le demandons avec foi. Nous avons la Très Sainte Vierge à nos côtés, notre Mère aimante et notre refuge sûr. Nous avons près de nous les armées des anges et la multitude des saints qui, de la gloire du ciel, intercèdent pour nous devant le trône de la majesté divine.

La contemplation de cette communauté sublime qu’est la Sainte Église, la Jérusalem mystique dont nous sommes citoyens et membres vivants, doit nous persuader que la dernière chose que nous devons craindre est d’être seul, et qu’il n’y a aucune raison d’avoir peur, même si le diable fait rage pour nous faire croire qu’il y en a. La vraie solitude est en enfer, où les âmes damnées n’ont aucun espoir: c’est la solitude que nous devrions vraiment craindre, et avant elle nous devons implorer la grâce de la persévérance finale, c’est-à-dire pouvoir mériter la grâce d’un la mort sainte de la miséricorde de Dieu. Une mort à laquelle nous devons toujours être préparés en nous gardant en état de grâce, en amitié avec le Seigneur.

Bien sûr, les épreuves auxquelles nous sommes confrontés en ce moment sont énormes, car elles nous donnent le sentiment que le mal triomphe, que chacun de nous est abandonné à soi-même, que les méchants ont réussi à vaincre le pusillus grex [petit flock] et de toute l’humanité. Mais notre Seigneur n’était-il pas peut-être seul à Gethsémani, seul sur le bois de la Croix, seul dans le tombeau? Et revenons au mystère de Noël qui approche à grands pas: la Sainte Mère et Saint Joseph n’étaient-ils pas seuls peut-être lorsqu’ils se sont trouvés forcés de se réfugier dans une étable car non erat locus illis in diversorio[il n’y avait pas de place pour eux dans l’auberge]? Imaginez ce que le père putatif de Jésus a dû ressentir en voyant son Très Saint Époux prêt à accoucher dans le froid de la nuit de Palestine; Pensez à leurs inquiétudes pendant la fuite en Égypte, sachant que le roi Hérode avait déchaîné ses soldats pour tuer l’Enfant Jésus. Même dans ces terribles situations, la solitude de la Sainte Famille n’était qu’apparente, tandis que Dieu arrangeait tout selon ses plans. Il a envoyé un ange pour annoncer la naissance du Sauveur aux bergers.

Il n’a déplacé pas moins qu’une étoile pour appeler les mages d’Orient à adorer le Messie. Il a envoyé des chœurs de ses anges pour chanter dans la grotte de Bethléem. Il a averti Saint Joseph de fuir pour échapper au massacre d’Hérode.

A nous aussi, dans la solitude de l’enfermement que beaucoup d’entre nous sont obligés d’endurer, dans l’abandon de l’hôpital, dans le silence des rues désertes et des églises fermées au culte, le Seigneur vient apporter sa compagnie. A nous aussi, il envoie son ange pour nous inspirer des desseins sacrés, sa très sainte Mère pour nous consoler, le paraclet pour nous réconforter, dulcis hospes animae .

Nous ne sommes pas seuls: nous ne sommes jamais seuls. Et c’est finalement cela que les auteurs du Great Reset craignent le plus: que nous prenions conscience de cette réalité surnaturelle – mais non moins vraie – qui fait s’effondrer le château de cartes de leurs infernales déceptions.

Si nous pensons à la façon dont nous avons à nos côtés Elle qui écrase la tête du Serpent, ou l’Archange qui a tiré son épée pour conduire Lucifer dans l’abîme; si nous nous rappelons que notre Ange Gardien, notre Saint Patron et nos êtres chers au Ciel et au Purgatoire sont avec nous: de quoi pouvons-nous jamais avoir peur? Voulons-nous croire que le Dieu des armées dressées pour la bataille hésite à vaincre un serviteur de l’éternel vaincu?

Elle qui en l’an 630 sauva Constantinople du siège, terrorisant les Avars et les Perses en paraissant formidable dans les cieux; qui en 1091 à Scicli en Sicile fut invoquée comme Notre-Dame de la Milice et apparut sur un nuage brillant chassant les Sarrasins; qui en 1571 à Lépante et de nouveau en 1683 à Vienne a été invoquée comme reine des victoires et a accordé la victoire à l’armée chrétienne contre les Turcs; qui pendant la persécution anticatholique du Mexique a protégé les Cristeros et a repoussé l’armée du maçon Elias Calles – Elle ne nous refusera pas sa sainte assistance; Elle ne nous laissera pas seuls dans la bataille; Elle n’abandonnera pas ceux qui ont recours à Elle avec une prière confiante au moment où le conflit est décisif et la confrontation touche à sa fin.

Nous avons eu la grâce de comprendre ce que ce monde peut devenir si nous renions la Seigneurie de Dieu et la remplaçons par la tyrannie de Satan. C’est le monde qui se rebelle contre le Christ Roi et Marie la Reine, dans lequel chaque jour des milliers de vies innocentes dans le ventre de leurs mères sont sacrifiées à Satan; c’est le monde dans lequel le vice et le péché veulent effacer toute trace de bien et de vertu, tout souvenir de la religion chrétienne, toute loi et tout vestige de notre civilisation, toute trace de l’ordre que le Créateur a donné à la nature. Un monde dans lequel les églises brûlent, les croix sont renversées, les statues de la Vierge sont décapitées: cette haine, cette fureur satanique contre le Christ et la Mère de Dieu est la marque du Malin et de ses serviteurs. Face à cette révolution totale,La paix du Christ dans le Royaume du Christ .

Le Seigneur ne nous donnera la victoire que lorsque nous nous prosternons devant lui en tant que roi. Et si nous ne pouvons pas encore le proclamer Roi de nos Nations à cause de l’impiété de ceux qui nous gouvernent, nous pouvons néanmoins nous consacrer nous-mêmes, nos familles et nos communautés à Lui. Et à ceux qui osent défier le Ciel au nom de « Rien ne sera plus pareil », nous répondons en invoquant Dieu avec une ferveur renouvelée: « Tel qu’il était au commencement, est maintenant et sera toujours, monde sans fin. »

Prions la Vierge Immaculée, Tabernacle du Très-Haut, en demandant que dans notre méditation sur la Sainte Nativité de son Divin Fils qui s’approche maintenant, Elle puisse dissiper notre peur et notre solitude, nous rassemblant en adoration autour de la crèche. Dans la pauvreté de la crèche, dans le silence de la grotte de Bethléem, le chant des anges retentit; la seule vraie lumière du monde brille, adorée par les bergers et les mages, et la création elle-même s’incline, ornant la voûte céleste d’une étoile brillante. Veni, Emmanuel: captivum résoudre Israël. Viens, ô Emmanuel, libère ton peuple emprisonné.

+ Carlo Maria Viganò, archevêque

13 décembre 2020

(Lifesitenews.com)

18 décembre

Bergoglio a eu 84 ans hier.

C'est deux fois le chiffre 42 comme les 42 mois (1260 jours) de l'Apocalypse remit au double.

Cela renvoie à la prophétesse Anne (84 ans, Luc 2, 36-38, qui vécut 7 ans avec son mari avant son veuvage et sa vie au Temple).

C'est le chiffre de la durée de la purification.

C'est 84 ans jour pour jour entre le 11 février 1929 (date historique des Accords de Latran où le Vatican devient un royaume temporel) et le 11 février 2013 (Fête de Notre Dame de Lourdes, soit la démission de Benoît XVI qui veille toujours comme Katéchon).

C'était la fête de Saint Lazare, signe évident de résurrection:  « ôtez la pierre » !

La Sainte Église est prête. Sa passion achève.

Les nouvelles se succèdent à un rythme si important qu’il s’avère difficile de suivre…

Élections américaines, dirigeants de confinant en synchronisation juste avant les fêtes pour cause de tests de covid positifs, et bien-sûr, Bergoglio qui ne manque pas une occasion pour nous annoncer des alliances avec le dragon mondialiste (après le pacte avec l’organisation de Lyne Forester Rothschild (voir analyse précédente)).

L’apostasie verte à la cote et Bergoglio en fin connaisseur qu’il se croit y plonge l’église entière… et surtout les jeunes pour les former à la nouvelle église de la Pachamama… tout en se collant à son encyclique « Fratelli Tutti » qui est devenu son testament, aussi importante que la Sainte Bible tellement il y fait référence.

« Le pape François promet zéro CO2 d’ici 2050 lors de la conférence de l’ONU sur le climat en faveur de l’avortement.

Le pape s’est joint aux dirigeants mondiaux favorables au contrôle de la population, dont le secrétaire général de l’ONU António Guterres et le Premier ministre indien Narendra Modi, lors d’une vidéoconférence commémorant l’Accord de Paris sur le climat.

VATICAN CITY, 14 décembre 2020 ( LifeSiteNews ) – «Le moment est venu pour un changement de direction», le Pape François a exhorté le monde dans une vidéo au sommet virtuel de l’ONU sur l’ambition climatique samedi, avant de supplier les téléspectateurs de ne pas «voler le nouveau générations de leur espoir dans un avenir meilleur. Le sommet, auquel ont participé de nombreux dirigeants d’État, a eu lieu pour marquer les cinq années écoulées depuis la création de l’Accord de Paris sur le climat...
En outre, il a promis que «le Saint-Siège s’est engagé à promouvoir l’éducation à l’écologie intégrale», expliquant que cela signifie que «les mesures politiques et techniques doivent être associées à un processus éducatif qui favorise un modèle culturel de développement et de durabilité.»

François a négligé de mentionner Jésus-Christ, ou quoi que ce soit de religieux à distance, lors de son apparition au sommet, fondant plutôt ses déclarations sur «la fraternité et l’alliance entre l’être humain et l’environnement»…
L’Accord de Paris sur le climat fait avancer de nombreux maux moraux , notamment l’avortement et la contraception. Dans le cadre des objectifs de développement durable de l’accord, un objectif de 2030 est d’avoir atteint «l’accès universel à la santé sexuelle et reproductive et aux droits reproductifs», un euphémisme bien connu pour l’avortement, la contraception et la stérilisation… » (lifesitenews.com).

L’apostasie verte ou « … Apostasia verde , l’essai dans lequel Matteo D’Amico(*), partant justement de Laudato sì’ et du synode sur l’Amazonie, examine l’écologisme du pape François, en arrivant à la conclusion qu’il configure en fait une nouvelle chrétienté et un nouvel évangile, mais nouveaux est une façon de parler, parce qu’en réalité ce sont ceux des technocrates (et des francs-maçons) que nous connaissons bien : « Une religion syncrétiste, panthéiste, totalement enfermée dans l’immanence du temps historique, pendant idéologique parfait du gouvernement mondial dont l’Église se fait coryphée et joyeuse annonciatrice, complètement vidée de toute référence même vague à une fin sotériologique ».

D’Amico ne mâche pas ses mots quand il rappelle que le Nouvel Ordre Mondial, pour se répandre et s’imposer, a besoin de l’Eglise. Mais pas la traditionnelle, pas l’Épouse du Christ. Il a besoin d’une Église défigurée et méconnaissable, qui ne sait que faire écho au récit oppressant imposé par des pouvoirs qui ont toujours été anti-chrétiens. Et Laudato sì‘, comme Querida Amazonia sont les « petits livres verts » de cette Église qui n’a plus besoin de l’Incarnation, qui ne prêche plus la conversion des âmes à notre Seigneur, qui ne parle plus de rédemption et de jugement de Dieu. Parce que tout ce qui compte, c’est l’ « ici-et-maintenant », la seule conversion nécessaire est celle à l’idéologie écologique dominante et la seule rédemption, toute humaine, est de suivre les nouveaux commandements du « respect de l’environnement », dont celui, néo-malthusien, qui prône la réduction drastique du nombre d’humains sur la planète.

On a dit plus haut que le bon croyant catholique, peut-être désorienté mais pas encore complètement dévié, ressent dans sa chair une odeur de brûlé sans équivoque lorsqu’on lui propose certaines images et qu’on l’incite à certaines conversions. Néanmoins, approfondir cette nouvelle religion organique au Nouvel Ordre Mondial est nécessaire, car l’opération doit être démasquée.

Ce que D’Amico appelle « les pleurnicheries écologiques du pape » néglige de se distancier des prétendues preuves scientifiques sur le changement climatique. Il les fait simplement siennes, et part de là pour esquisser une théologie sous la bannière de la primauté de la nature sur l‘homo faber et la civilisation. Le panthéisme suit de près, tout comme l’ouverture de crédit au gouvernement mondial unifié.

Et si Laudato sì’ prépare le terrain, dans Querida Amazonia, la semence écologique est semée à pleines mains. Ainsi, voilà la terre comme « lieu théologique », comme si un territoire donné pouvait devenir une source d’inspiration pour la doctrine. Et voici la culpabilisation du méchant Occident et l’exaltation des bons sauvages, avec des affirmations au parfum primitiviste qui auraient peut-être pu être prises au sérieux par les hippies des années soixante mais qui aujourd’hui semblent ridicules avant de paraître inquiétantes.

Il est évident que, sur cette base, l’Église n’est plus appelée à enseigner quoi que ce soit mais seulement à dialoguer, elle ne doit plus être maîtresse mais, au contraire disciple, car elle a besoin d’apprendre les nouveaux éléments de la révélation que Dieu fournit à travers certains territoires (les « périphéries ») et certaines catégories humaines (les « rejetés »).

Parmi les diverses manipulations effectuées par la théologie verte, il convient de signaler celle liée au terme inculturation : une véritable inversion, par laquelle l’Église n’est plus appelée à prêcher l’Évangile en utilisant des instruments adaptés à la culture à laquelle elle s’adresse, mais doit assumer les contenus de cette culture. Le tout exprimé de la manière ambiguë typique de Bergoglio, à base de « dépassement des positions rigides », d’ « ouverture des processus », d’être « Église sortante ».

Il est difficile de ne pas être d’accord avec l’analyse du professeur D’Amico lorsqu’il dit que l’instrumentum laboris du synode amazonien apparaît marqué par « une véritable fureur destructrice où la haine de l’Église est à peine dissimulée ». On le voit bien, par exemple, dans les points où le document demande que les sacrements soient rendus accessibles à tous en dépassant « la rigidité d’une discipline qui exclut et aliène », ainsi que lorsqu’il suggère de repenser la figure du prêtre, tant en ce qui concerne le célibat que le rôle des femmes.

Ce n’est pas un hasard si, dans le document préparatoire du synode, les références doctrinales et scripturales sont minimes, alors qu’il y a une profusion de références aux textes de Bergoglio, « dont on utilise sans pudeur le jargon, répétant comme un perroquet ses expressions typiques ».

« En conclusion », écrit D’Amico, « on ne peut s’empêcher de constater que l’ensemble du document Querida Amazonia, ainsi que les autres qui l’ont précédé lors du synode pour l’Amazonie, manifeste un abandon impressionnant de tout sentiment authentiquement catholique. Le naturalisme sévit sans retenue, aggravé par une adhésion acritique aux dogmes de l’idéologie écologiste. A la lumière de tout cela, « la catastrophe doctrinale, morale et liturgique actuelle, humainement parlant, ne peut qu’apparaître irréparable. Mais, grâce à Dieu, l’Église, le corps mystique du Christ, est entre les mains de Dieu, « qui déterminera le moment où son visage défiguré reviendra briller dans toute sa beauté surnaturelle ».

En attendant, ajoutons-nous, le fait que le sensus fidei des bons catholiques, malgré les efforts des clercs alignés, a déjà laissé tomber dans l’oubli la plupart des textes du « tournant vert » nous donne de l’espoir, confirmant que l’Esprit Saint ne nous abandonne pas. » (benoit-et-moi.fr).

Bergoglio est donc en chute libre… sauf chez « amis pharisiens» mondialistes.

D’où la nécessité pour arriver à la pleine réalisation de l’église humaniste de refaire l’image de Bergoglio afin qu’il regagne en popularité chez les conciliaires qui commencent à ouvrir les yeux et découvrent la vérité.

D’où le rapprochement (par des photographies lors de la nomination des nouveaux cardinaux visitant Benoît XVI où le bureau de presse du Vatican affirme qu’ils s’entendent comme larrons en foire, ou par des textes publiés qui prêtent des fausse intentions à Benoît XVI par exemple).

« POUR FRANÇOIS, BENOIT EST-IL TOUJOURS PAPE ?

François sait qu’un nombre grandissant de catholiques s’oppose à son pontificat, avec des critiques qui vont jusqu’au rejet (…)
La thèse que François transmet au monde par l’intermédiaire de Scalfari — un pontificat Bergoglio-Ratzinger — semble avoir pour but de soustraire à ce mouvement d’opposition hétérogène son point central de convergence : Benoît XVI…
Benoît XVI en quarantaine ?

Il semble y avoir à cela tout d’abord une explication plausible : François sait qu’un nombre grandissant de catholiques s’oppose à son pontificat, avec des critiques qui vont jusqu’au rejet. Pratiquement, une fraction non négligeable de l’Eglise ne le reconnaît plus réellement comme pape, mais continue de voir en Benoît XVI le pape légitime. Dans la plupart des cas, il s’agit là d’une décision prise par chaque individu séparément, mais il y a aussi des prises de position de groupes organisés.

Sainte-Marthe n’a pas pu ignorer que le mince filet d’eau de 2013 est devenu, en 2020, un fleuve respectable, même si, pour des raisons évidentes, peu en transparaît clairement à l’extérieur…

Les « faiseurs de papes » veulent-ils faire tomber François ?

Les amis sûrs sont-ils en train de quitter François ? Les forces progressistes qui le portaient aux nues et le couvraient d’éloges ont, à un certain moment, commencé à s’irriter et à se détourner de lui parce qu’il n’a pas pu, ou pas voulu, combler leur soif de changements radicaux, qu’il attisait pourtant sans cesse lui-même. C’est un processus aux contours mal définis ; aussi est-il difficile de mentionner un fait précis. A la lumière des événements, on peut seulement identifier des étapes et, à ce niveau, l’Eglise allemande joue un rôle central… » (benoit-et-moi.fr).

« Bergoglio a de fait épuisé son pontificat, désormais noyé et dramatiquement clivant au sein même de l’Église. Est-il plausible qu’il s’illusionne de le relégitimer dans les prochains mois avec l’autorité de Benoît XVI ? Ou bien dans les cercles bergogliens, redoute-t-on le grand charisme de Benoît que de plus en plus de croyants considèrent comme le « vrai pape » et le véritable phare? (Antonio Socci) » (benoit-et-moi.fr).

Ainsi, pour les 51 ans du sacerdoce de Bergoglio, la presse du Vatican dresse un portrait à l’opposé de ce que nous avons vu jusqu’ici (on juge l’arbre à ses fruits, et après presque 8 années de pontificat, on peut affirmer qu’ils ne sont pas bons).

« Pape François: 51 ans de sacerdoce au service de Dieu et de son peuple.

Jorge Mario Bergoglio a été ordonné prêtre dans la Compagnie de Jésus le 13 décembre 1969, par l’archevêque argentin Ramón José Castellano. Une vocation née de l’expérience du pardon de Dieu qui s’est transformée en une vie donnée avec joie et simplicité. Le prêtre, souligne souvent le Pape, vit parmi son peuple avec le cœur miséricordieux de Jésus. Retour sur les traits marquants évoqués et vécus par le Saint-Père à propos du sacerdoce.

51 années sont passées. C’était le 13 décembre 1969: Jorge Mario Bergoglio, quatre jours seulement avant son 33e anniversaire, était ordonné prêtre… » (vaticannews.va).

Pas étonnant que mêmes les blogueurs vaticanistes commencent à comprendre le mystère de l’iniquité, qui montre une facette de son visage aux catholiques conciliaires, et l’autre aux pharisiens mondialistes judéo-maçonniques.

« L’histoire du pape François qui m’a (presque) brisé.

… Le problème de lire des nouvelles sans fin sans rien faire en réponse, nous enseigne l’impuissance. Lire des nouvelles uniquement pour se divertir, c’est comme manger un gâteau sucré pour se nourrir: c’est tentant mais une mauvaise idée. Le but de LifeSiteNews est de défier le fil d’actualité de la Culture de la Mort et de répandre l’Évangile de la Vie. Il vise à faire des lecteurs non des consommateurs mais des collègues.
Cependant, affronter les armées de la mort jour après jour est difficile, difficile, difficile, surtout lorsque ceux sur lesquels nous nous appuyions comme nos compagnons de vie – en fait, même en tant que nos chefs – semblent être passés de l’autre côté…

Mais je vous dirai quand l’incertitude m’est vraiment venue: c’était l’histoire du pape François qui a signé avec les Woke Capitalists. Je suis habitué aux histoires selon lesquelles le pape François n’aime pas les Américains, et qu’il ne se soucie pas des gens riches, et qu’il a préféré prendre le métro, yadda yadda, donc la révélation avec laquelle le pape François avait fait cause commune un Rothschild américain et les sociétés de cartes de crédit m’ont époustouflé. Le nom complet du Conseil pour le capitalisme inclusif est « Conseil pour le capitalisme inclusif avec le Vatican », qui cherche tout le monde comme le Vatican est juste une autre marque. Le pape François est l’aumônier d’un groupe de capitalistes non catholiques réveillés. S’agit-il de réjouissance – les milliardaires veulent servir les autres, guidés par le pontife – ou d’angoisse?..

En tant que catholique, je ne devrais pas avoir à douter de l’orthodoxie et de la loyauté de mon pape… » (lifesitenews.com).

Loyauté du pape? Envers qui?

Alors que le monde catholique est en plein désarroi  et où nous pourrions trouver inspiration dans une crèche très symbolique inspirant tout l’amour de la Très Sainte Vierge Marie, de son Époux Saint-Joseph et de Notre Sauveur venu nous libérer du joug du péché, nous sommes plutôt mis devant une crèche d’une laideur qui nous rappelle cette fin des temps, de la domination de l’abomination sur le trône de Saint-Pierre.

Une tounée en vidéo de la crèche (Agence Reuters).

« La hideuse crèche extra-terrestre du Vatican » (benoit-et-moi.fr), inaugurée le 11 décembre, juste avant la fête de Notre-Dame de Guadelupe, Dame de l'Apocalypse (alors qu'on sait ce que représente le chiffre 11, les deux colonnes maçonniques, pour l'ennemi).

L’église conciliaire est vraiment passée à l’étape finale, affichant sa haine de la Sainte Église Catholique, Une et Apostolique, car elle moque l’incarnation du verbe (voir aussi profession-gendarme.com).

Cela ne restera pas sans réponse.

Ce sont des signes irréfutables de la fin…

Et de la venue de la Jérusalem Céleste.

Christus Vincit!

12 décembre

Notre-Dame de Guadelupe, priez pour nous.

L’incertitude des événements quant à l’élection présidentielle américaine démontre encore une fois que nous sommes au cœur de la prophétie politique « Le Temps est Proche ».

« Le premier empereur meurt de faim, enfermé dans la tour de son rêve. » reflète bien la situation présente.

Idem au Vatican :

« Et la Mère n'a pas de père, parce que beaucoup veulent être son père.

Et deux seront soutenus par les adversaires. »

Et on peut mettre un nom sur « les cris et les barrières de la contestation se lèvent, mais déjà la Bête sort de l'eau », c’est à dire la « Grande Réinitialisation ».

La Cour Suprême des États-Unis a refusé d’entendre la cause du Texas quant la l’inconstitutionnalité des 4 États ayant permis le vote par correspondance.

Comme les analyses de la prophétie faisait référence au Rio Grande et au Texas, et se confirment ainsi, nous voyons évidemment des mouvements de sécession pointent à l’horizon.

« Le président du Parti républicain du Texas, Allen West: « Cette décision aura des ramifications de grande portée pour l’avenir de notre république constitutionnelle. Peut-être que les États respectueux des lois devraient se lier et former une Union d’États qui respecteront la constitution. »

Dans une autre déclaration, West a réitéré sa suggestion en écrivant: « Si nous vivons au Texas, et que nous étions rejoints, vous savez, une vingtaine d’autres États, les 1065 membres différents du Congrès qui disent: ‘nous ne veulent rester les bras croisés et permettre à quatre États d’avoir des pratiques inconstitutionnelles, «  et quand nous voyons des États comme nous suivre la loi, mais que la Cour suprême dit que c’est parfaitement bien, alors peut-être devrions-nous avoir une union d’États qui croient en la Constitution et se conformera à cette règle de droit, et laissera ces autres États sortir de leur propre chemin et les laisser, ne pas être soutenus par ces autres États comme nous. » (zerohedge.com).

Du côté du Vatican, nous voyons aussi très bien cette « bête qui sort de l’eau » liée à la « Grande Réinitialisation », car elle ne se cache plus.

Ils sont si confiants qu’ils laissent tomber la garde…

Mais la Vierge de l’Apocalypse, Notre-Dame de Guadelupe, veille au grain.

Bergoglio a adhéré à un projet, qui de plus a été médiatisé le jour de l’Immaculée Conception le 8 décembre!

Un autre affront à la Sainte Vierge de Bergoglio qui n’a pu s’empêcher de faire une visite en catimini à la Place D’Espagne pour faire taire les critiques car on lui reprochait son explication de la crainte de la Covid alors qu’il avait été à cette réunion avec tous les représentants religieux quelques semaines auparavant, sans mentionner sa crainte de la Covid, pendant qu’il magouillait avec les Rothschild.

« … Parmi les 27 gardiens figurent des PDG, des présidents, des présidents et d’autres hauts fonctionnaires d’entreprises telles que Mastercard, DuPont, l’ONU, Johnson & Johnson, VISA, BP, Bank of America et la Fondation Rockefeller…

Les nombreux engagements du Conseil se répartissent en quatre catégories: «Les hommes, la planète, les principes de gouvernance, la prospérité». Dans le cadre de sa vision globale, le Conseil propose «l’égalité des chances pour tous de rechercher la prospérité et la qualité de vie, quels que soient les critères tels que le milieu socio-économique, le sexe, l’origine ethnique, la religion ou l’âge…

Le pape François a précédemment exprimé son soutien aux objectifs de l’ONU , malgré l’appel de l’ONU à «l’accès universel aux services de santé sexuelle et reproductive, y compris la planification familiale, l’information et l’éducation, et l’intégration de la santé reproductive dans les stratégies et programmes nationaux», ce qui comprend la contraception et l’avortement.

S’adressant au Conseil pour le capitalisme inclusif, le Pape François a déclaré : «Un système économique juste, digne de confiance et capable de relever les défis les plus profonds auxquels l’humanité et notre planète sont confrontés est urgent. Vous avez relevé le défi en cherchant des moyens de faire du capitalisme un instrument plus inclusif pour le bien-être humain intégral... » (lifesitenews.com).

Le projet a été crée par Lyne de Rothschild.

« Le Temps est Proche » effectivement et essayer de mettre le cadenas définitif sur la Sainte Messe sonnera le glas de la chute de Babylone la grande!

« 10 décembre 2020 ( LifeSiteNews ) – Dans une interview avec LifeSiteNews qui sera diffusée vendredi, le cardinal Gerhard Müller, ancien chef de la puissante Congrégation pour la Doctrine de la Foi du Vatican, a déclaré: «les politiciens n’ont pas le droit d’interdire le Saint Messe et célébration des sacrements. »

Alors que le cardinal a déclaré que l’Église acceptait volontiers certaines mesures de sécurité pour se prémunir contre le coronavirus, il a noté que certains gouvernements et politiciens en profitent comme une «opportunité de supprimer l’Église catholique».

Le cardinal a critiqué l’approche de divers gouvernements comme étant «incohérente» car tout en permettant des rassemblements de masse et des transports en commun très serrés, ils interdisent les messes dans les grandes églises…

Et en réponse aux politiciens qui conseilleraient aux catholiques de simplement «prier à la maison», l’ancien préfet de la Congrégation de la Doctrine de la Foi a dit que le Christ lui-même a appelé l’Église à se rassembler en mémoire de lui.

«Nous ne sommes pas une religion spiritualiste», a-t-il dit. «La Parole est devenue Chair, et nous sommes des êtres de chair, de sang et d’âme. Nous vivons dans la réalité du monde matériel – également créé par Dieu – et nous avons donc besoin de cette médiation corporelle visible par les sacrements au sein de la communauté des croyants… » (lifesitenews.com).

Anne Catherine, Emmerich, Mélanie de la Salette, Padre Pio… ont tous en commun d’avoir été informé par la Sainte Vierge sur la fausse église et sur l’Antéchrist montant sur le trône.

Ce que nous sommes témoins aujourd'hui.

Mais à la fin, le Cœur Immaculé de Marie triomphera!

L’enfer ne prévaudra point contre la Sainte Église!

Le regretté exorciste en chef du Vatican, le père Amorth avait déclaré en juillet 2017 que le troisième secret de Fatima concernait une «fausse église» à la fin des temps.

Cela lui avait été confirmé par Padre Pio lui-même.

« Dans un article récent sur le «Secret de Fatima», Steve Skojec, le fondateur et rédacteur en chef de OnePeterFive , a publié pour la première fois en anglais des mots de l’exorciste en chef de Rome, le père Gabriele Amorth (décédé en 2016), à propos de Padre Pio et sa connaissance du Troisième Secret de Fatima. Ils proviennent d’un livre récemment publié écrit par José María Zavala, intitulé Le secret le mieux gardé de Fatima ( El Sécreto Mejor Guardado de Fátima ). Zavala a interviewé le père Amorth en 2011 et a reçu pour instruction de garder l’interview secrète jusqu’à la mort de l’exorciste.

Fr. Amorth a personnellement connu Saint (Padre) Pio pendant 26 ans, et c’est de cette figure imposante de la sainteté catholique du XXe siècle qu’il prétend avoir appris le contenu du troisième secret de Fatima. Selon le P. Amorth, Padre Pio a dit que le Troisième Secret concernait l’infiltration du Vatican par Satan et la montée d’une «fausse église» – des détails qui ne se trouvent pas dans la publication officielle du Vatican du Troisième Secret en 2000. Ci-dessous, nous publions des détails sur l’entretien avec le P. Amorth:

Dans l’interview, le P. Amorth rapporte – comme il l’a fait ailleurs – qu’il ne croit pas que la consécration du monde par le Pape Jean-Paul II en 1984 était suffisante pour satisfaire les exigences énoncées par Notre-Dame.

«Il n’y avait pas une telle consécration à l’époque», dit-il [le père Amorth]. «J’ai été témoin de l’acte. J’étais sur la place Saint-Pierre ce dimanche après-midi, tout près du pape; si près que je pourrais presque le toucher.

Pressé par Zavala de savoir pourquoi il croit si fermement que la consécration n’a pas été faite, le P. Amorth a répondu: « Très simple: Jean-Paul II voulait mentionner expressément la Russie, mais finalement il ne l’a pas fait. »

Fr. Amorth a ajouté: «Je n’ai aucun doute que la consécration n’a pas eu lieu dans les conditions exigées par la Vierge. Mais il ne faut pas perdre de vue ce qu’elle a elle-même voulu nous dire à travers Lucie: ‘A la fin, Mon Cœur Immaculé triomphera.

Zavala s’est alors interrogé sur le troisième secret: «Pardonnez-moi d’avoir insisté sur le troisième secret de Fatima: Padre Pio l’a-t-il alors lié à la perte de foi au sein de l’Église?»

Fr. Gabriele fronce les sourcils et sort le menton. Il semble très affecté.

«En effet, dit-il, un jour, Padre Pio me dit très tristement:« Tu sais, Gabriele? C’est Satan qui a été introduit dans le sein de l’Église et dans un temps très court viendra gouverner une fausse Église. » (veritas-vincit-international.org).

Une nouvelle étude des scientifiques du National Center for Atmospheric Research (NCAR) contredit les prévisions de la NOAA et de la NASA quant au cycle solaire 25.

Ils confirment que:

- le cycle 24 est bel et bien terminé depuis le premier semestre 2020.
- que le cycle 25 est bel et bien commencé.
- que le cycle 25 pourrait être l'un des cycles de taches solaires les plus forts jamais observés.

« Le nouvel article du NCAR publié dans Solar Physics et intitulé  "Overlapping Magnetic Activity Cycles and the Sunspot Number: Forecasting Sunspot Cycle 25 Amplitude",  prédit que le Sunspot Cycle 25 pourrait culminer avec un nombre maximal de taches solaires entre 210 et 260. Cela contredit les prévisions officielles du National L'Administration de l'Espace et de l'Aéronautique et la National Oceanic and Atmospheric Administration, qui s'attendent toutes deux à ce que le cycle 25 des taches solaires soit aussi faible que le cycle 24, soit autour de 116 taches solaires... » (zerohedge.com).

Cette étude confirme donc bel et bien ce que nous observons depuis le début novembre surtout.

Une augmentation grandissante de l'activité avec déjà quelques éjections moyennes.

Il y a donc raison de s’inquiéter en ce temps de quasi dépendance à la technologie électronique.

Une éjection de masse coronale majeure retournerait l’humanité à l’âge de pierre…

Et confirmerait par le fait même les prophéties de Jean XXIII concernant la neutralisation des armes.

9 décembre

Une éruption solaire mineure accompagnée d’une éjection de masse coronale (CME) dirigée entièrement vers la Terre a eu lieu lundi.
Les astronomes anticipent que des impacts mineurs sur l’électronique et les satellites.

Par contre, un avertissement de tempête magnétique et donc d’aurores boréales intenses autour de la nuit de mercredi (solarham.net).

L’État du Texas poursuit la Géorgie, le Michigan, la Pennsylvanie et le Wisconsin devant la Cour suprême des États-Unis pour l’élection » (zerohedge.com).

Comme quoi nous entrons pleinement dans ce clivage annoncé (voir la prophétie politique de Jean XXIII « Les États-Unis Libérés » et les analyses précédentes concernant le Texas) en terre d’Amérique.

Les premiers vaccins en Occident contre la Covid-19 ont été injectés hier.

C’est là le signal du début d’un contrôle sévère de la population planétaire à vaste échelle et de la création d’un passeport électronique (via les nanoparticules qui contiennent de la luciférase, enzyme bioluminescente servant à la détection via un smartphone).

Finalement, François a décidé de se déplacer pour une visite en solitaire à la Place D’Espagne au petit matin  du 8 décembre pour déposer une couronne de roses blanches au pied de la Madone pour confier Rome et le monde à Marie (vaticannews.va).

Il a par le fait même décrété une année spéciale consacré à Saint-Joseph pour le triple jubilé du Saint Patron de l’Église, pour nous, avec un grand « E », ne nous y trompons point, car Saint Joseph représente l’Église éclipsée, dans toute sa pureté à l’image de Marie Co-Rédemptrice, et non la conciliaire, la Grande Prostituée.

« Avec la Lettre Apostolique Patris corde (avec un cœur de père), François rappelle le 150e anniversaire de la proclamation de saint Joseph comme Patron de l’Église universelle. À cette occasion, une «année spéciale saint Joseph» se tiendra du 8 décembre 2020 au 8 décembre 2021… » (vaticannews.va).

Saint Joseph figure pour nous l’Église restée fidèle, à savoir tous ceux qui restent attachés à une foi pure, à la Sainte doctrine enseignée par NSCJ et à une liturgie non altérée par Vatican II.

Le mystère d’iniquité, quoique de plus en plus clair à nos yeux, mais toujours difficile à comprendre parfaitement, nous force à nous soumettre entièrement à la Volonté de Dieu.

Nous serons éclairer en temps opportun par l’Esprit-Saint.

Et dans ce temps de tribulations et de tiédeur des pasteurs, comme Saint-Joseph, reconnaissons « le secret du Grand Roi qui lui a été découvert » en songe, et que comme Marie est la Mère de Son Seigneur et de son Dieu, l’Église est l’Épouse de Notre Seigneur et de Notre Dieu.

Cette Sainte Église, Une, Sainte et Apostolique, née du Saint-Esprit, avec le Christ comme pierre angulaire, d’où sortira de nouveau en Gloire le Christ Roi!

Elle n’est pour l’instant qu’éclipsée, comme il a été révélé, et elle vit intensément dans le cœur des justes fidèles à la Loi et aux Prophètes.

C’est cette véritable Église qui va se faire jour au moment où l’autre s’effondrera…

Très bientôt.

Les visions d’Anne Catherine Emmerich que nous pouvons rapprocher maintenant à ce temps de popularité éphémère des progressistes au Vatican, en cette période actuelle de la pandémie :

« J’ai vu également la relation entre les deux papes … J’ai vu combien seraient néfastes les conséquences de cette fausse église. Je l’ai vue augmenter de dimensions; des hérétiques de toutes sortes venaient dans la ville (de Rome). Le clergé local devenait tiède, et j’ai vu une grande obscurité ».

« Je vois le Saint-Père dans une grande angoisse. Il habite dans un bâtiment autre que celui d’avant et il n’y admet qu’un nombre limité d’amis qui lui sont proches. Je crains que le Saint-Père ne souffrira beaucoup d’autres épreuves avant de mourir. Je vois que la fausse église des ténèbres fait des progrès, et je vois l’énorme influence qu’elle a sur les gens ».

« Je vis l’Église des apostats prendre de grands accroissements. Je vis les ténèbres qui en partaient se répandre alentour et je vis beaucoup de gens délaisser l’Église légitime et se diriger vers l’autre, disant : «Là tout est plus beau plus naturel et mieux ordonné ».

« Je vis croître la tiédeur du clergé local, je vis un grand obscurcissement se faire. Alors la vision s’agrandit de tous côtés. Je vis partout les communautés catholiques opprimées, vexées, resserrées et privées de liberté. Je vis beaucoup d’églises fermées. Je vis de grandes misères se produire partout. Je vis des guerres et du sang versé. Je vis le peuple farouche, ignorant, intervenir avec violence ».

« Je vis le secours arriver au moment de la plus extrême détresse ».

En effet, Dieu dans sa grande miséricorde n’intervient que lorsque tout est sur le point de s’effondrer afin de sauver le plus d’âmes possibles et de tester la foi des fidèles à la Loi et aux Prophètes: arrivée tardive de l’époux dans la parabole des dix vierges, les sept tours de Jéricho où Dieu intervient à la septième trompette du 7ème tour, intervention de Dieu juste avant l'achèvement de la tour de Babel, etc.

En cette période extraordinaire, pour ne plus se sentir seul, un cri du coeur unis aux voix angéliques dans toute la splendeur de la nature créée par le Père (musique Illumination de Dan Gibson).

« Seigneur, ayez pitié de nous : Kyrie Eleison

Christ, ayez pitié de nous : Christe Eleison

Seigneur, ayez pitié de nous : Kyrie Eleison »

8 décembre

L’IMMACULÉE CONCEPTION

Il est aberrant de constater cette majorité de prêtres qui sont tout simplement hypnotisés, captivés, envoûtés par la bête de la mer Bergoglio...

« Hier encore, nous avons pu y lire les paroles en toute liberté de l’habituel Mgr Vincenzo Paglia, président de l’Académie pontificale pour la vie, toujours à propos des messes de Noël. Évidemment, le bon Paglia vient nous expliquer que cette année, nous avons l’occasion de redécouvrir le vrai Noël, ce qui, d’après ce qu’il dit, semble impossible quand l’accès aux messes est libre. En fait, cette année, nous avons l’occasion, unique en deux mille ans d’histoire, de vivre Noël comme il était à l’origine. « Comment était Noël il y a deux mille ans ? Pour cet enfant, il y a eu un lockdown total, il a tout trouvé fermé, et il n’est pas pour autant retourné au Ciel parce qu’on ne pouvait pas célébrer Noël: il est allé dans une étable pour montrer combien il nous aimait. Et il n’y avait que quelques bergers dans les environs ».

Là, il ne manquait plus que Jésus confiné [/victime du lockdown].

Que dire ? Avec de tels évêques, il n’est même pas nécessaire que la Commission européenne intervienne pour liquider l’Église. » (benoit-et-moi.fr).

Ce n’est pas surprenant venant de cet évêque qui s’est abaissé au niveau de Satan.

C’est le même qui avait fait faire une fresque "homo-érotique" dans laquelle lui-même est représenté dans une attitude au minimum déplacée parmi les homosexuels, les prostituées et d’autres personnages lascifs, qui sont élevés au Ciel par le Christ. (benoit-et-moi.fr et lifesitenews.com).

Ce sont ces personnages qui entourent Bergoglio et qui veulent par leur mouvement « progressiste » transformer l’église… pour que l’humanisme, en fait , le transhumanisme, soit triomphant.

Mgr Vigano frappe fort encore une fois à l’occasion de la célébration de la fête de l’Immaculée Conception.

Bergoglio, pour respecter les mesures sanitaires et éviter les rassemblements nous dit-on, ne se présentera pas Place D’Espagne selon la coutume, pour rendre grâce.

« VIRGO POTENS

« En préparation pour la fête de l'Immaculée Conception.

Le riche qui s'est régalé de la parabole évangélique (Lc 16, 19-31), après avoir été condamné aux enfers pour n'avoir pas aidé le pauvre Lazare, demande à Abraham d'avertir ses cinq frères des tourments auxquels il a été soumis, afin pour les empêcher de tomber dans le même péché. Abraham lui répond: «S'ils n'écoutent pas Moïse et les prophètes, ils ne seront pas non plus persuadés que quelqu'un ressuscite d'entre les morts» (Lc 16, 31).

Au cours de l'histoire, Notre-Dame est intervenue en tant que Mère aimante pour nous avertir des châtiments qui pèsent sur le monde à cause de ses péchés, pour inviter l'humanité à la conversion et à la pénitence, et pour remplir ses enfants d'innombrables grâces. Partout où la Parole de Dieu semble oubliée, là se fait entendre la voix de la Très Sainte Marie, maintenant pour annoncer une dévotion particulière, maintenant pour demander des sacrifices et des prières pour échapper aux pestes et aux fléaux. A Quito, La Salette, Lourdes, Fatima, Rome, Akita, Civitavecchia, et dans mille autres lieux, la Médiatrice de toutes les Grâces nous a avertis, rappelant l'humanité, induite en rébellion contre la Loi Divine, à la vraie repentance et à la récitation de le Saint Rosaire. Bien que les divers moments et circonstances de ses apparitions changent, Celle qui daigne se montrer à nous pauvres mortels est toujours la même, toujours Miséricordieuse, toujours notre Avocate.

A Fatima, la Dame qui est apparue aux enfants bergers a demandé au Pape, en union avec tous les évêques, de consacrer la Russie à son Cœur Immaculé: cet appel reste sans réponse à ce jour, malgré les désastres auxquels le monde devrait faire face parce qu’il n’a pas tenu compte des demandes de la Très Sainte Vierge. L'athéisme militant du communisme s'est répandu partout, et l'Église est persécutée par des ennemis impitoyables et cruels, alors qu'elle est également infestée de clercs corrompus livrés au vice. Et pourtant, malgré la reconnaissance de l'origine surnaturelle des apparitions et l'évidence des calamités qui affligent l'humanité, la Hiérarchie refuse d'obéir à la Sainte Mère. «S'ils n'écoutent pas Moïse et les prophètes, ils ne seront pas non plus persuadés si quelqu'un doit ressusciter d'entre les morts», dit Abraham au riche dans la parabole. Est-il possible qu'ils ne sachent même pas comment écouter la voix de la Mère de Dieu, qui est aussi Notre Mère? Qu'est-ce qui opprime leur cœur, qu'est-ce qui obscurcit leur esprit à tel point qu'ils sont sourds et aveugles, alors que le monde s'enfonce dans l'abîme et que tant d'âmes sont damnées?

En obéissance à la Seigneurie universelle du Christ-Roi, nous acceptons également de vénérer Marie Très Sainte comme notre Reine. Et quand nous nous adressons à notre Père avec les mots: «Que ta volonté soit faite», nous savons que cela coïncide parfaitement avec la volonté de notre Mère, le modèle d'obéissance et d'humilité qui méritait d'être choisi dès le début des temps pour générer le Roi des rois dans son sein virginal. Chaque désir de la Mère de Dieu est un ordre pour nous: il n'a même pas besoin d'être pensé comme un commandement, car notre réponse et notre désir est - et doit être - de lui plaire et de lui donner la preuve de notre fidélité. Et cela est éminemment vrai pour les Ministres Sacrés, qui dans le Sacrement de l'Ordre portent sur eux l'onction sacerdotale du Prêtre Suprême Jésus-Christ: en chaque prêtre, Marie Très Sainte voit son Fils, qui renouvelle mystiquement son propre sacrifice sur l'autel par leurs mains.

Cela cause donc une douleur - une douleur creuse et déchirante - de voir l'indifférence de tant d'âmes consacrées et de tant d'évêques - trop nombreux - envers la Bienheureuse Vierge Marie. Cela fait mal et déchire le cœur d'entendre Bergoglio lui-même parler avec un tel manque de respect total pour Notre-Dame, et d'apprendre qu'après avoir réduit drastiquement les célébrations papales liturgiques pour la dernière Pâques, il a maintenant cherché à profiter de la Covid pour annuler une partie des célébrations liturgiques de la Fête Sainte de Noël et d'annuler la tradition selon laquelle chaque année, le 8 décembre, le Pape se rend sur la Piazza di Spagna à Rome pour vénérer le monument de la Vierge Immaculée qui y fut érigé en 1857. Ainsi, un autre morceau de Rome est jeté un moyen, une autre livre de chair que le marchand cynique réclame de la vie du peuple romain comme preuve de sa fidélité à la dictature sanitaire.

L'Église des catholiques, l'Église qui aime ceux qui s'honorent du nom de chrétien, est l'Église qui ne se retire pas devant l'autorité civile, se faisant ainsi complice et courtisane, mais plutôt l'Église qui endure la persécution avec courage et un regard surnaturel, sachant qu'il vaut mieux mourir au milieu des tourments les plus atroces que d'offenser la Très Sainte Vierge et son Divin Fils. Elle est l'Église qui ne se tait pas quand le tyran défie la Majesté de Dieu, afflige ses sujets et trahit la justice et l'autorité qui la légitiment. Elle est l'Église qui ne cède pas face au chantage ni ne se laisse séduire par le pouvoir ou l'argent. Elle est l'Église qui monte au Calvaire, en tant que Corps mystique du Christ, afin d'achever en ses propres membres les souffrances du Rédempteur et de ressusciter triomphalement avec Lui. Elle est l'Église qui assiste les faibles et les opprimés avec miséricorde et charité, tandis qu'elle se tient sans peur et terrible face aux arrogants et aux orgueilleux. Lorsque le Pape de cette Église parlait, le troupeau du Christ entendait la voix consolante du berger, dans une longue série de papes unanimes et d'accord dans la profession de la foi unique.

À l'inverse, la soi-disant «église» de Bergoglio n'hésite pas à fermer les églises, s’arrogeant le droit pervers de refuser le culte public à Dieu et de priver les fidèles de la grâce des sacrements par une misérable connivence avec le pouvoir civil. Cette «église» humilie la Très Sainte Trinité, la rabaissant au niveau des idoles et des démons avec des rituels sacrilèges d'une religion néo-païenne. Il arrache la couronne et le sceptre au Christ-Roi au nom du globalisme maçonnique; il offense la Co-Rédemptrice et la Médiatrice pour ne pas agacer les hérétiques, Ses ennemis. Il trahit le devoir de prêcher l'Évangile au nom du dialogue et de la tolérance. Il fait taire et adultère les Saintes Écritures et les Commandements de Dieu afin de plaire à l'esprit du monde. Il altère les paroles sublimes et inviolables de la prière que le Seigneur lui-même nous a enseignées. Il profane la sainteté de la prêtrise, annulant l'esprit de pénitence et de mortification du clergé et des religieux et les abandonnant aux séductions du diable. Il nie deux mille ans d'histoire, méprisant les gloires du christianisme et la sage intervention de la Divine Providence dans les affaires terrestres. Il suit avec zèle les modes et les idéologies plutôt que de modeler les âmes pour suivre le Christ. Il se fait esclave du Prince de ce monde afin de préserver son prestige et sa puissance. Il prêche le culte blasphématoire de l'homme et refuse les droits souverains de Dieu. Et quand Bergoglio parle, les fidèles sont presque toujours scandalisés et désorientés, parce que ses paroles sont exactement le contraire de ce qu'ils attendent d'entendre du Vicaire du Christ. Il demande l'obéissance à sa propre autorité alors même qu'il l'utilise pour détruire la papauté et l'Église, contredisant tous ses prédécesseurs, aucun exclu.

Nous avons la promesse de la Très Sainte Marie: «À la fin, mon Cœur Immaculé triomphera.» Inclinons-nous devant ce cœur qui bat avec la plus pure Charité, afin que la flamme de ce saint amour se reflète sur chacun de nous, afin que la flamme qui y brûle illumine nos esprits et les rend capables de saisir le signes des temps. Et si nos bergers se taisent par peur ou par complicité, la multitude de laïcs et de bonnes âmes ont l'opportunité de compenser leur trahison et d'expier leurs péchés, invoquant la miséricorde de Dieu qui «est venue au secours de son serviteur, Israël , se souvenant de sa miséricorde »(Luc 1, 54).

Aujourd'hui, les grands prêtres de ce Sanhédrin moderne scandalisent Notre Seigneur et Sa Très Sainte Mère, serviteurs complaisants de l'élite mondialiste qui veulent établir le royaume de Satan; demain, ils se retireront devant la victoire de  Virgo Potens , qui restaurera la Sainte Église et donnera la paix et l'harmonie à la société, grâce aux prières et aux sacrifices de tant de ses enfants humbles et inconnus.

Que ce soit notre vœu pour la prochaine Fête de l'Immaculée Conception, avec laquelle honorer Notre-Dame et Reine.

+ Carlo Maria Viganò, archevêque

1 décembre 2020 »
(lifesitenews.com)

04 décembre

« Puis il leur dit : " Allez par tout le monde, et prêchez l’Évangile à toute créature. Celui qui croira et sera baptisé, sera sauvé ; celui qui ne croira pas, sera condamné » (Marc, 15,16)

Le schisme, ce dilemme auquel font faces les hommes d’églises, ainsi que toute l'humanité, est bien spécifié dans les prophéties de Jean XXIII concernant l’église.

D’un côté, ceux non fidèles à la Loi et aux Prophètes, adhérant ainsi volontairement ou non aux légions de Satan, et les chrétiens qui collent dans toute leur Foi à la tradition enseignée par le Christ et les Pères de l’Église, légions du Christ.

Une seule voie pour la Victoire, le Royaume des Cieux, la Vie Éternelle : être baptisé dans le Christ et avoir la Foi.

Cette tribune écrite par Mgr Thomas Halik dans la-croix.com résume bien ce dilemme.

Les aveugles qui conduisent les aveugles...

Incapables d'interpréter les signes des temps comme beaucoup d'autres parce que non éclairé par l’Esprit-Saint, ou plutôt envoûté par le phénomène « François », ces prêtres sont comme des poules sans tête et ne sont plus aptes d’exercer leurs fonctions de pasteurs pour rassurer les brebis en ces temps difficiles.

Incapables de voir que l'Antichrist personne incarnant l’Antichrist système est sur le trône…

Semant à tout vent cette diatribe sur la fraternité humaine depuis des mois maintenant, pour la nouvelle religion mondialiste.

Prions pour eux afin qu'ils retrouvent le vrai chemin.

 « La révolution de la miséricorde et un nouvel œcuménisme.

Professeur de philosophie et de sociologie de la religion à l’Université Charles de Prague, Mgr Tomas Halik s’inquiète du fossé qui grandit au sein de l’Église catholique entre partisans d’une religion légaliste, tournés vers le passé, et défenseurs d’une révolution de la miséricorde, attentifs aux signes des temps.

...

Les opposants du Pape

Ce que ces opposants exigent du Pape, c’est une application stricte de la lettre de la Loi. C’est exactement ce à quoi Jésus s’est opposé toute sa vie lors de ses rencontres avec certaines élites religieuses de son temps, engageant ses disciples à se méfier du « levain des pharisiens ».

Quel est le style de réforme de l’Église de François ? Le Pape n’est pas un révolutionnaire qui veut changer la doctrine de l’Église. Ceux qui le connaissent bien depuis des décennies disent qu’il n’est pas un théologien progressiste, mais plutôt qu’il est miséricordieux. La miséricorde est la clé pour comprendre sa personnalité et sa réforme.

Ce Pape ne change pas les normes écrites, il ne détruit pas non plus les structures extérieures, mais il transforme la praxis et la vie. Il ne change pas l’Église de l’extérieur. Au contraire, il la transforme beaucoup plus profondément, spirituellement, de l’intérieur. Il la transforme par l’esprit de l’Évangile ; c’est une révolution de la miséricorde. Dans son cas, ces mots ne sont pas de simples phrases pieuses et creuses. Sa réforme a le moyen de changer l’Église et de la ramener au cœur du message de Jésus plus profondément que bien des réformes passées...

Un catholicisme sans christianisme

Ainsi, le christianisme ne préconise pas un renversement révolutionnaire violent du système de l’esclavage à la façon de la rébellion de Spartacus. Il appelle plutôt à la création d’un climat moral de fraternité humaine et de respect mutuel de la valeur de chaque être humain, dans lequel le système esclavagiste doit à terme rendre son dernier souffle.

Aujourd’hui, la mentalité d’une certaine forme de «catholicisme sans christianisme» (qui considère Donald Trump comme son chéri) nous rappelle les scribes et les pharisiens de l’époque de Jésus. Comment vivre avec ce poids de l’histoire de l’Église, garder le respect de l’Église, sentire cum ecclesia, et la fidélité à l’Évangile et puiser la force dans la promesse de Dieu de nous donner un « avenir plein d’espérance » ?

Le Pape François ne change pas les dogmes et ne remet pas non plus en cause les sections des documents de l’Église qui représentent des « produits » ayant expiré il y a longtemps et qui sont maintenant toxiques et nocifs. De même, le Concile Vatican II n’a pas officiellement annulé, par exemple, les indéfendables imprécations de Pie IX concernant la liberté de conscience, de la presse et de la religion (le tristement célèbre Syllabus des erreurs). Vatican II a plutôt publié un document contraignant (la constitution « Joie et espoir » - « Gaudium et Spes ») qui a fait de ces valeurs, jusqu’alors rejetées par l’Église, une partie intégrante de son enseignement.

Le courage chrétien du Pape François

Par son exemple personnel de courage chrétien, le Pape François nous inspire à ne pas être ni intimidés ni découragés par certains événements dans l’Église. Il nous appelle à agir comme de libres enfants de Dieu, en exerçant de façon responsable la liberté que le Christ nous a offerte et en ne nous soumettant pas à nouveau au joug de l’esclavage de la religion légaliste, comme l’apôtre Paul nous y invite avec force dans l’Épître aux Galates.

Au début de l'"Année de la Miséricorde«, certains d’entre nous avaient quelques doutes théologiques pour savoir si la notion de miséricorde n’interprétait pas l’amour de Dieu un peu trop » d’en haut". Mais c’est à travers la miséricorde que nous invitons Dieu dans des relations humaines difficiles et douloureuses, non pas comme garant de principes immuables, mais plutôt comme un pouvoir bon, généreux, compréhensif, indulgent et réparateur, capable de transformer l’homme, l’Église et la société.

La ligne horizontale de la «fraternité humaine» dont le Pape a parlé dans la récente encyclique Fratelli tutti a besoin de sa ligne verticale d’amour en tant que miséricorde infinie qui dépasse toutes les frontières humainement concevables ; c’est l’amour sans frontières vers lequel nous ne pouvons nous diriger qu’en tant que but qui ne sera pleinement atteint que lorsque nous serons étreints par les bras de Dieu. Comme la plupart des sublimes paroles de Jésus, cet idéal ne doit pas devenir une «loi». Il doit plutôt rester une impulsion constamment provocante et prophétique.

Or en ces temps où le coronavirus sévit, je ne peux m’empêcher de m’inquiéter d’une autre pandémie, celle du fondamentalisme et du sectarisme. En regardant les partisans catholiques de Donald Trump, je lutte contre la grande tentation du scepticisme : «Le dialogue œcuménique au sein de l’Église catholique» est-il même possible ? Je trouve le dialogue interreligieux, et surtout le dialogue avec des personnes cultivées et sérieuses en dehors de l’Église, tellement plus facile que toute discussion avec les gens qui combinent la religion avec des démarches populistes et nationalistes.

Un grand rêve s’achève en fumée

Pendant un demi-siècle, j’ai vécu un grand rêve : réunir tous ceux qui croient en Christ. Aujourd’hui, pour moi, ce rêve s’achève en fumée. Il y a des différences que je considère comme insurmontables, et ces différences ne sont pas entre les Églises mais plutôt à travers elles. Je ne peux vraiment pas défiler sous la même bannière que les gens qui prétendent avec véhémence que Dieu a créé le monde en six jours, que Moïse est l’auteur des cinq livres de Moïse (y compris les passages concernant sa propre mort), ni avec les gens qui s’opposent à quelque ordination des femmes.

Pour un grand nombre de chrétiens d’aujourd’hui, le contenu positif de la foi s’est vidé. Ils doivent donc trouver leur «identité chrétienne» dans des «guerres culturelles» contre les préservatifs, l’avortement, le mariage homosexuel, etc. Le Pape François a eu le courage de qualifier ce catholicisme réducteur et défini en négatif d' « obsession névrotique ».

Il est certain que je ne vais pas quitter l’Église où je continuerai à rencontrer des personnes avec de telles opinions et convictions morales à la même table eucharistique. Je suis bien conscient que je suis moi aussi un être humain faillible et sujet à l’erreur. Néanmoins, je suis aux prises avec un doute de taille : n’est-il pas temps d’abandonner les poursuites de l’œcuménisme de « tous les chrétiens » et de se concentrer plutôt sur l’approfondissement d’un œcuménisme fécond (partage, synergie et enrichissement mutuel) entre personnes avisées, aussi bien croyantes que non croyantes ? Certes, nous récitons le même Notre Père et le même Credo. Cependant, je crains que nous vivions dans des univers parallèles inconciliables. La différence se trouve dans le «cœur» des gens.

J’ai la sensation d’être du même bord que les personnes qui suivent les connaissances scientifiques dans tous les domaines où la science est présente, tout en posant de profondes questions éthiques et spirituelles. Le chemin entre le fondamentalisme religieux d’un nombre considérable de chrétiens et le fondamentalisme scientifique tout aussi arrogant des athées militants est souvent étroit et difficile. Je suis néanmoins convaincu que c’est la voie à prendre pour suivre le Christ aujourd’hui.

Éviter un schisme

Nous pourrions peut-être encore éviter un schisme en instituant une sorte de « Concile Apostolique de Jérusalem », dont il est question dans les Actes des Apôtres, et en répartissant les tâches : les uns s’occuperaient des besoins des croyants qui aspirent aux certitudes du passé, tandis que les autres seraient à l’écoute des appels de Dieu dans les « signes des temps » à venir. Je me demande souvent si nous ne nous trouvons pas aujourd’hui dans une situation similaire à celle de l’apôtre Paul, qui a laissé Jacques, Pierre et les autres vénérables apôtres poursuivre leur ministère parmi les Juifs chrétiens, et a conduit la jeune et courageuse chrétienté de l’espace limité du judaïsme à l’oikoumene d’alors, dans un contexte culturel complètement différent. La mission de Paul a donné naissance au phénomène que nous appelons aujourd’hui le christianisme ; un phénomène qui annonce très probablement une sorte de détermination similaire pour franchir les frontières actuelles.

Aujourd’hui, le Pape François nous montre peut-être une telle compréhension de l’Évangile et une telle attitude envers la création et les personnes, surtout celles qui sont en marge, montrant de façon prophétique ce que nous appellerons demain le christianisme. L’identité chrétienne n’est pas enracinée dans l’immobilité mais dans le mouvement de l’Esprit qui agit dans l’histoire pour conduire les disciples de Jésus toujours plus profondément dans la plénitude de la vérité. »

Tout est dit.

Tout est inversé à la manière habituelle du singe de Dieu, Satan.

Comment ne pas le voir…

À moins que cela ne soit intentionnel.

Pourtant les maîtres de l'inversion sont ces pharisiens talmudistes, cette clique judéo-maçonnique.

Engendrer une accusation de pharisaïsme envers ceux qui veulent garder la Loi de Dieu comme il a été enseigné est bien une de leur tactiques.

Pourtant, les mots « révolution » et « miséricorde » infinies leurs brûlent les lèvres et laissent un goût amer à ceux qui ont les yeux pour voir et les oreilles pour entendre : une révolution majeure, nommée « Grand Réinitialisation » via l’élimination du péché va emporter une grande partie des brebis égarées.

Le schisme?

Il est là depuis longtemps mais on nous le cache.

Les églises se vident et il n'y a plus de vocations ou presque.

La prophétie de Jean XXIII concernant Paul VI est claire sur cette question :

« Les meilleurs fils s'en vont, ils vont servir le mal qu'ils appellent bien. Et ceux qui se pressent autour de toi sont oubliés.»

On juge l’arbre à ses fruits et on peut maintenant affirmer que les fruits de Vatican II sont très mauvais.

Rassembler autour du Christ et non diviser est le mot d’ordre en cette fin des temps!

«  Et que la Mère soit Une, comme toi tu es unique. » (prophétie de Jean XXIII concernant Benoît XVI) n’est pas un cri de ralliement concernant l’œcuménisme mais un cri du cœur pour la Victoire de la seule Église, Une, Sainte et Apostolique, celle dont la pierre angulaire est le Christ…

Ce qui ne saurait tarder.

Mgr Vigano nous avertit encore une fois sur les dangers de cette « Grande Réinitialisation » et nous guide par l’Espérance.

Pour l’âme…

Afin qu’elle ne soit pas vendu à Satan.

« «  Vendu à Satan  »:

Viganò se décharge sur le «  régime de pseudo-santé  » du coronavirus.

L’archevêque exilé avait des mots durs pour la «grande réinitialisation» et ceux qui cherchaient à la mettre en œuvre.
3 décembre 2020 (à l’ intérieur du Vatican ) – «Ô Dieu, tu es génial depuis ton sanctuaire; le Dieu d’Israël donne force et puissance à son peuple.  – Psaume 68:35

Le 19 novembre 2020, le fondateur du Forum économique mondial, Klaus Schwab, a déclaré que «Covid est une opportunité pour une réinitialisation mondiale  ».

En réalité, Schwab répétait servilement ce que disait Jacques Attali dans l’hebdomadaire français  L’Express  du 3 mai 2009 [donc, il y a 11 ans]: «L’histoire nous apprend que l’humanité n’évolue significativement que lorsqu’elle a vraiment peur: puis elle se développe d’abord mécanismes de défense; parfois intolérables (boucs émissaires et totalitarismes); parfois inutile (distractions); parfois efficaces (thérapies qui, si nécessaire, peuvent s’écarter de tous les principes moraux antérieurs). Puis, une fois la crise passée, la peur transforme ces mécanismes pour les rendre compatibles avec la liberté individuelle et les inscrire comme politiques d’une démocratie saine.

À l’époque, c’était la grippe porcine qui, selon les médias, devait causer des millions de morts et pour laquelle les nations achetaient des millions de doses de vaccins jamais utilisés, car ils se sont avérés inutiles, à «Big Pharma». Inutile pour tous – sauf pour ceux qui les ont vendus, faisant d’énormes profits.

On peut se demander pourquoi un virus grippal qui selon de récentes données de l’OMS a une mortalité (0,13%) légèrement supérieure à celle d’un syndrome grippal saisonnier normal (0,10%) aurait pu conduire à la déclaration de la pandémie et à une série de contre-mesures dans presque toutes les nations européennes et sur le continent américain.

On peut également se demander pourquoi les traitements Covid-19 sont généralement discrédités, minimisés ou interdits, alors que le vaccin est considéré comme la solution la plus efficace.

Et il faut expliquer comment il est possible de créer un vaccin, puisque – selon les déclarations des US CDC (United States Centers for Disease Control and Prevention) – le virus n’a pas encore été isolé.

Quel antigène peut être utilisé si le virus SARS-CoV-2 ne peut être isolé et répliqué?

Et quelle fiabilité peuvent avoir les tests de virus, puisque les tests sont calibrés pour ne détecter que sur le «Coronavirus» générique en général?

Et si le 19 octobre, l’hôpital Spallanzani de Rome annonçait le développement d’un test qui distingue la grippe normale du Covid-19, pouvons-nous savoir pour quelle raison les patients qui subissent le nouveau test se sont-ils révélés positifs?

Ce manque de clarté explique peut-être pourquoi certains membres des conseils d’administration de Moderna et Pfizer ont vendu une partie des actions de leur société.

Revenons donc aux questions que beaucoup se sont posées il y a des mois, et au contenu jamais contredit de mes deux lettres ouvertes au président Trump: un plan mondial apparaît dans sa déconcertante réalité. Les architectes du plan, créant une alarme sociale injustifiée à propos d’une prétendue pandémie – que nous voyons aujourd’hui n’est pas plus grave qu’une grippe normale, comme le confirment les données officielles du monde entier – a été utilisé pour créer une formidable crise sociale et économique mondiale et ainsi légitimer la réduction drastique des droits fondamentaux de la population.

C’est ce que ses auteurs appellent eux-mêmes la  Grande Réinitialisation:  la réinitialisation globale de l’économie, de la société et de masses de gens.

Dans ce projet, le virus Covid joue un rôle fondamental, en tant qu’alibi qui justifie – face au «totem» d’une science qui s’est prostituée aux intérêts d’une élite après avoir abdiqué sa mission de sauver des vies humaines –  la privation de liberté, l’ingérence des gouvernements dans la vie privée de ses citoyens, la mise en place d’un régime de pseudo-santé  dans lequel, contre toute preuve scientifique objective, le nombre de convives, la distance entre les personnes, la possibilité d’acheter, de vendre, respirer et même prier, se décide d’en haut.

Quelqu’un, dans le silence assourdissant de la Hiérarchie catholique, a imposé la fermeture des églises ou la limitation des célébrations religieuses, considérant la Maison de Dieu comme un cinéma ou un musée, mais en même temps déclarant les cliniques d’avortement «services essentiels».

Ce sont les paradoxes d’un pouvoir malavisé, géré par des gens corrompus dans l’âme et vendus à Satan, un pouvoir qui, après avoir répété de manière obsessionnelle les mantras de la «démocratie» et du «pouvoir appartient au peuple», est désormais contraint d’imposer une dictature sur le peuple lui-même, au nom de la réalisation d’objectifs visant à protéger les intérêts politiques et financiers de l’élite.

Les riches deviennent de plus en plus riches, tandis que les classes moyennes qui constituent le tissu social et l’âme même des nations sont abattues.

La Révolution française a anéanti l’aristocratie occidentale.

La révolution industrielle a effacé les paysans et répandu la prolétarisation qui a conduit au désastre du socialisme et du communisme.

La Révolution de 68 a démoli la famille et l’école.

Cette  grande réinitialisation, souhaitée par l’élite mondialiste, représente la  révolution finale  avec laquelle ils créent une masse informe et anonyme d’esclaves connectés à Internet, confinés à la maison, menacés par une série interminable de pandémies conçues par ceux qui ont déjà le miraculeux vaccin prêt.

Précisément ces jours-ci, avec l’harmonie d’un plan qui semble orchestré dans les moindres détails sous une direction unique, l’imposition d’un vaccin est théorisée par de nombreuses parties, avant même que l’efficacité réelle du vaccin ne soit pleinement connue, et même avant que le vaccin ne soit possible. les effets secondaires peuvent être pleinement déterminés.

Cette obligation de recevoir un vaccin est soupçonnée par beaucoup pour être liée parallèlement à la délivrance d’un «passeport sanitaire», de sorte que ceux qui ont un tel passeport puissent se déplacer sans limitation, tandis que ceux qui refusent un vaccin ne pourraient pas utiliser les moyens de transport, fréquenter les restaurants et visiter les lieux publics, les écoles et les bureaux.

Que cela représente une violation intolérable des libertés de l’individu ne semble pas être un problème: les législateurs n’hésitent pas à renvoyer les parlements pour imposer leurs normes tyranniques, sachant que leur pouvoir existe tant qu’ils obéissent à l’agenda de la  Grande Réinitialisation, approuvé par les institutions internationales telles que l’Union européenne et l’ONU.

Face à un déploiement de forces aussi massif et coordonné, nous restons étonnés, déconcertés par l’impudence de ceux qui nous disent, en substance, que nous devons accepter silencieusement la dictature d’un groupe de pouvoir sans visage, car c’est ainsi que le groupe a décidé.
Nous sommes déconcertés par l’asservissement de la gauche mondiale – et des démocrates aux États-Unis – à cet agenda, qui ne connaît ni limites, ni restrictions à son exécution, au point d’organiser un coup d’État électoral d’une telle ampleur et gravité qu’il faut en être horrifié.
La fraude manuelle des bulletins de vote en double, les votes des personnes décédées, des citoyens qui découvrent avoir voté mille fois et des employés qui falsifient les résultats en masquant les fenêtres des bureaux de vote avec des panneaux de carton, s’accompagne de l’utilisation d’un vote-appareil de comptage qui s’avère non seulement ouvert à une utilisation frauduleuse, mais même avoir été conçu au niveau logiciel pour permettre le transfert des votes d’un candidat à un autre, sur la base d’un algorithme complexe.

Nous découvrons que les personnes derrière cette fraude macroscopique sont toujours les mêmes, toujours du même parti politique, toujours soumises à la même idéologie. Les gens se corrompent dans l’intellect et la volonté, parce qu’ils se sont fait les esclaves d’un tyran impitoyable, après avoir refusé d’obéir à un Seigneur bon, juste et miséricordieux.

Ainsi, comme ceux-ci ont accepté l’esclavage du péché et la rébellion contre Dieu, ils voudraient aujourd’hui entraîner l’humanité tout entière dans un abîme de mort et de désespoir: c’est la misérable vengeance de Satan, qui, ne pouvant vaincre l’Unique qui l’a jeté en enfer, essaie de traîner avec lui autant d’âmes que possible, dans une tentative de frustrer l’œuvre de la Rédemption.

Nous, croyants en Christ Notre Seul Seigneur, n’avons aucune raison de craindre, même contre toute raison humaine: nous savons qu’en renaissant dans le Baptême, nous ne sommes plus serviteurs mais enfants de Dieu, et qu’en préservant l’amitié de notre Seigneur avec Grâce nous pouvons avoir confiance en lui, en son aide prévoyante, en sa puissante protection.

En fin de compte, c’est la vraie liberté: la liberté des enfants de Dieu, qui obéissent à sa loi non par peur mais par amour, non par contrainte mais parce qu’en adhérant à la volonté divine, ils trouveront leur propre accomplissement parfait et leur complète la concrétisation.
Car chaque âme est créée pour la plus grande gloire de Dieu, pour la béatitude éternelle comme récompense de fidélité au Sauveur.

Ne laissez pas nos cœurs se troubler!

Les manœuvres de ceux qui travaillent dans les ténèbres se dévoilent, se manifestant dans toute leur horreur et révélant leur matrice perverse et infernale.

Mensonges, tromperies, violence, mort: telle est la dure réalité du mal devant laquelle les gens de bonne volonté ne peuvent qu’être horrifiés.

Si Notre Seigneur daigne écouter les prières de ses enfants, ce château de mensonges et de fraudes s’effondrera misérablement, et ses architectes devront se cacher pour échapper aux rigueurs de la justice et à l’exécration des peuples.

Ce sont des heures décisives: nous continuons à prier, à réciter le Saint Rosaire, à nous nourrir de la Très Sainte Eucharistie, à faire pénitence.

La chorale de qui monte jusqu’au trône de la majesté divine ne restera pas inouï.

Ne nous décourageons pas, car c’est au moment de l’épreuve que le Seigneur nous donne l’occasion de montrer notre confiance en lui et de voir la grandeur de sa miséricorde.

«Tout ce que vous demanderez en mon nom, je le ferai, afin que le Père soit glorifié dans le Fils» (Jn 14, 13). Notre Seigneur nous a dit clairement: tout.

Nous demandons donc au Père, au nom du Fils notre Seigneur et Rédempteur, par l’intercession de sa très sainte Mère notre puissante médiatrice, de montrer sa gloire, d’accorder l’exaltation de la sainte Église, la paix et la prospérité aux peuples chrétiens, la conversion des pécheurs, la défaite de ses ennemis.

« Dieu se lève, et ses ennemis seront dispersés, et ceux qui le haïssent fuiront devant lui » (Psaume 68: 1).

+ Carlo Maria Viganò, archevêque
25 novembre 2020
Sainte Catherine d’Alexandrie, Vierge et Martyre » (lifesitenews.com).

01 décembre

On ne peut plus se fier aux médias traditionnels et la vérité est gardée hors de portée des « goïm ».

Cette une période où le mensonge domine à outrance.

La Seule Vérité maintenant est via les paroles que nous a laissées NSJC.

Il ne laissera pas tomber les fidèles à la Loi et aux Prophètes qui se mettent en état de grâce par la prière.

L’Esprit-Saint est à l’œuvre et il faut de la discipline pour être réceptif en ces temps difficiles.

Une entrevue de Pierre Hillard sur l’accélération du plan judéo-maçonnique avec la Covid-19 et sur le fait que les élites n’agissent plus dans l’ombre car ils sont sûr de leur victoire.

Le plan de la « Grande Réinitialisation » est dans la bouche de tous les dirigeants et nul ne peut l’ignorer.

Pour ceux qui doutent encore, examiner bien le logo du Word Economic Forum.

Trois 6 dans l’arc qui croisent les lettres « O »

Aucun doute.

Bergoglio appuie lui aussi sur l’accélérateur.

Il s’est adressé aux américains juste avant l’Action de Grâce dans le très « démocratique » New York Times du 26 novembre.

Aucune mention du Christ en ce moment de rendre grâce.

Une mention seulement de Dieu, et toute une!???

Dieu nous aiderait en nous poussant vers un nouvel agenda…

Socialiste!

C’est basé sur son dernier livre.

C’est un coup de pouce volontaire pour Joe Biden et pour le mondialisme.

C’est une autre preuve que Bergoglio fait parti du plan.

Les extraits importants qui sont en relation avec ses thèmes favoris :

« Opinion

Pape François: Une crise révèle ce qui est dans nos cœurs.

Pour sortir mieux de cette pandémie que nous n’y sommes allés, nous devons nous laisser toucher par la douleur des autres.

Le pape François est le chef de l’Église catholique et l’évêque de Rome.

• 26 novembre 2020

Ce sont des moments de la vie qui peuvent être mûrs pour le changement et la conversion… Comme dans le confinement de la Covid-19, ces moments génèrent une tension, une crise qui révèle ce qu’il y a dans nos cœurs.
Dans chaque «Covid» personnel, pour ainsi dire, dans chaque «arrêt», ce qui est révélé est ce qui doit changer: notre manque de liberté interne, les idoles que nous servons, les idéologies avec lesquelles nous avons essayé de vivre, les relations que nous avons négligé.

Regardez-nous maintenant: nous mettons des masques pour nous protéger et protéger les autres contre un virus que nous ne pouvons pas voir. Mais qu’en est-il de tous ces autres virus invisibles dont nous devons nous protéger? Comment allons-nous gérer les pandémies cachées de ce monde, les pandémies de faim et de violence et les changements climatiques?

C’est le moment de rêver en grand, de repenser nos priorités – ce que nous valorisons, ce que nous voulons, ce que nous recherchons – et de nous engager à agir dans notre vie quotidienne sur ce dont nous avons rêvé.
Dieu nous demande d’oser créer quelque chose de nouveau. Nous ne pouvons pas revenir aux fausses sécurités des systèmes politiques et économiques que nous avions avant la crise.
...

Pour mieux sortir de cette crise, nous devons retrouver la connaissance qu’en tant que peuple, nous avons une destination commune. La pandémie nous a rappelé que personne n’est sauvé seul. Ce qui nous lie les uns aux autres, c’est ce que nous appelons communément la solidarité. La solidarité est plus que des actes de générosité, aussi importants soient-ils; c’est l’appel à embrasser la réalité que nous sommes liés par des liens de réciprocité. Sur cette base solide, nous pouvons construire un avenir humain meilleur et différent.
(NewYorkTimes). »

Voilà.

La destination commune auquel il fait référence est l'enfer mais il n'y a pas beaucoup de gens qui le voit ainsi.

C’est aussi une répétition du message de Klaus Swab,  un message que la situation normale ne reviendra jamais.

C’est la confirmation de la « Grande Réinitialisation » de la bouche même du chef de l’église catholique, qui a renoncé à son titre de Vicaire du Christ.

La nouvelle religion universelle est en place depuis Vatican II et elle vient d’atteindre sa maturité avec la publication de « Fratelli Tutti » en octobre.

La pierre angulaire de l’église catholique conciliaire n’est plus le Christ!

C’est la dignité humaine!

Car seule la solidarité réglera tous les problèmes.

L'HEURE EST TRÈS GRAVE.

L’église catholique a été transformée à l’insu des tièdes.

Alors, si le Christ n’est cité quant référence comme le sont Gandhi, ou le grand Imam, ou les philosophes qui ont inspiré Bergoglio pour son encyclique, c’est qu’il adhère entièrement à cette nouvelle religion.

Si « L’Église a un rôle public qui ne se borne pas à ses activités d’assistance ou d’éducation, mais qui favorise la promotion de l’homme et de la fraternité universelle. » (point 276 de Fratelli Tutti), c’est que l’église catholique conciliaire en fait complètement partie!

C’est un fait exprimé par le pape!

Confirmé par son point 274 où « nous savons, nous croyants des religions, que rendre Dieu présent est un bien pour nos sociétés ».

Il n’y a donc pas qu’un seul Dieu trine.

Toutes les religions peuvent rendre Dieu présent!

Bergoglio est donc contre Dieu puisque Jésus nous a confirmé qu’il n’y a qu’un seul Dieu, Père, Fils et Esprit.

Et la pierre angulaire de L’Église, c'est le Christ!

«Qui n'est pas avec moi est contre moi, et qui n'amasse pas avec moi disperse » nous dit le Christ (Matthieu 12:30).

Bergoglio disperse.

« Qui est le menteur, sinon celui qui nie que Jésus est le Christ ? Celui-là est l'antéchrist, qui nie le Père et le Fils. Quiconque nie le Fils, n'a pas non plus le Père ; celui qui confesse le Fils, a aussi le Père.» (1 Jean 2:22)

Voilà.

C’est confirmé.

Bergoglio est l’antéchrist personnifié.

L’abomination sur le trône de Saint-Pierre.

Devant cette accélération du religieux avec Bergoglio et du politique avec la « Grande Réinitialisation », et à l’approche des dates merveilleuses du 8 décembre et du 12 décembre, fêtes de l’Immaculée Conception et de Notre-Dame de Guadelupe, le Soleil nous donne des signes avant coureurs d’activité juste avant le début de ce mois important.

Une tempête solaire majeure contrerait bien ces plans machiavéliques basés sur la dominance de l’intelligence artificielle et l’électronique.

Six taches solaires sont présentes sur la surface visible (face tournée vers la Terre) et une tache qui est sur le point de nous faire face dans les prochains 14 jours a expulsé une éjection solaire de classe moyenne assez puissante (M 4.4) dimanche.

Une Éjection de Masse Coronaire (CME) l'a accompagné mais elle n'était pas dirigée vers la Terre.

Un peu plus fort (classe X) et dirigée vers la Terre, et c'est le grillage des puces électroniques.

Ce n'est qu'une question de temps...

Si ce n'est pas pour les prochains 14 jours.

L'animation GIF de l'éjection de dimanche (sud ouest du Soleil):

La puissance phénoménale de la CME, d'où le soupçon d'une classe X:

Novembre 2020

29 novembre

« Le Forum économique mondial (WEF)  vient de publier (octobre 2020) un soi-disant Livre blanc, intitulé « Réinitialiser l'agenda de l'avenir du travail - dans un monde post-Covid ».

Ce document de 31 pages se lit comme un plan sur la façon d '«exécuter» - parce qu'une exécution (ou implémentation) serait -  « Covid-19 – La Grande Réinitialisation »  (juillet 2020), par  Klaus Schwab , fondateur et PDG (depuis le fondation du WEF en 1974) et son associé  Thierry Malleret (note : sa responsabilité et de concevoir et de mettre en oeuvre le programme de Davos ) .

Ils appellent «Réinitialiser l'avenir» un livre blanc, ce qui signifie que ce n'est pas tout à fait une version finale. C'est une sorte de projet, un ballon d'essai, pour mesurer les réactions des gens. Beaucoup de gens peuvent ne pas le lire - n'ont aucune conscience de son existence. S'ils le faisaient, ils prendraient les armes et combattraient ce dernier plan totalitaire, offert au monde par le WEF.

Il  promet un avenir horrible à environ 80% -plus de la population (survivante).
«1984» de George Orwell se lit comme un fantasme bénin, comparé à ce que le WEF a en tête pour l'humanité.

Le délai est de dix ans - d'ici 2030 – soit l’Agenda 2030 des Nations Unies 2021-2030 qui doit être mis en œuvre.

Mesures commerciales prévues en réponse au COVID-19:

• Une accélération des processus de travail numérisés, conduisant à 84% de tous les processus de travail sous forme de conférences numériques ou virtuelles / vidéo

• Quelque 83% des personnes sont prévues pour travailler à distance - c'est-à-dire plus d'interaction entre collègues - distanciation sociale absolue, séparation de l'humanité du contact humain.

• Environ 50% de toutes les tâches devraient être automatisées - en d'autres termes, la contribution humaine sera considérablement réduite, même pendant le travail à distance.
   

• Accélérer la numérisation de la mise à niveau / requalification (par exemple, les fournisseurs de technologies éducatives) - 42% de la mise à niveau des compétences ou de la formation à de nouvelles compétences seront numérisées, en d'autres termes, pas de contact humain - le tout sur ordinateur, intelligence artificielle (IA), algorithmes.
  

• Accélérer la mise en œuvre des programmes de mise à niveau / requalification - 35% des compétences devraient être «ré-outillées» - c'est-à-dire que les compétences existantes devraient être abandonnées - déclarées périmées.
   

• Accélérer les transformations organisationnelles en cours (par exemple, restructuration) - 34% des structures organisationnelles actuelles devraient être «restructurées» - ou, en d'autres termes, les structures organisationnelles existantes seront déclarées obsolètes - pour faire de la place à de nouveaux ensembles de cadres organisationnels, numérique structures qui offrent un contrôle maximal sur toutes les activités.
   

• Réaffecter temporairement les travailleurs à différentes tâches - cela devrait toucher 30% de la main-d'œuvre. Cela signifie également des échelles de salaire complètement différentes - très probablement des salaires invivables, ce qui ferait du «salaire de base universel» ou «revenu de base» également prévu - un salaire qui vous permet à peine de survivre, un besoin évident. - Mais cela vous rendrait totalement dépendant du système - un système numérique, sur lequel vous n'avez aucun contrôle.
   

• Réduire temporairement la main-d'œuvre - cela devrait toucher 28% de la population. C'est un chiffre de chômage supplémentaire, déguisé, car le «temporaire» ne reviendra jamais à plein temps.
   

• Réduire les effectifs de manière permanente - 13% de effectifs réduits de manière permanente.
   

• Augmenter temporairement la main-d'œuvre - 5% - il n'y a aucune référence à quel type de main-d'œuvre - probablement une main-d'œuvre non qualifiée qui sera également remplacée tôt ou tard par l'automatisation, par l'IA et la robotisation du lieu de travail.
   

•Aucune mesure spécifique mise en œuvre - 4% - cela signifie-t-il que seuls 4% resteront intacts? De l'algorithme et des nouveaux lieux de travail dirigés par l'IA? - aussi petit et insignifiant que soit la figure, cela ressemble à un «vœu pieux», à ne jamais accomplir.
   

• Augmenter la main-d'œuvre de manière permanente - seulement 1% est projeté comme «une main-d'œuvre en augmentation permanente». Ce n'est bien sûr même pas accessoire. C'est une blague.

C'est ce qui est proposé, à savoir le processus concret de mise en œuvre de « La Grande Réinitialisation ».

(lifesitenews.com et orignal du WEF).

Les analyses des derniers mois ont démontré (avec références à l’appui) que la « Grande Réinitialisation » post-Covid 19 n’est pas une fable.

Or, nous constatons que les médias traditionnels (ex. lapresse.ca) ridiculisent le concept et le réduisent qu’à de simples mesures sociales dont personne ne pourrait être contre, étant donné que la fraternité humaine et toute la planète en ressortent gagnants au niveau environnemental.

Çà, c’est pour les aveugles. Ceux et celle qui ont oubliés leurs racines religieuses.

Voilà un avantage que nous avons pointé du confinement : l’occasion de se dissocier mentalement et spirituellement des deux Babylone.

Avec ce plan d’action du WEF nous pouvons confirmer par la même occasion que le cri de victoire de l’élite judéo-maçonnique est très proche… Et que leur plan se CONCRÉTISE.

Très rapidement.

Ce qui est un signe d'espérance pour nous puisque cela nous rapproche de la seconde venue de NSJC.

Imaginez qu’un autochtone dans la jungle amazonienne est plus avantagé qu’un citoyen d’une grande ville dans une telle situation… Car lui il est autonome.

Il est alors facile de comprendre :

- la fin de la prophétie concernant Benoît XVI où il est demandé à la Sainte-Vierge de détruire les deux Babylone, le ciment, qui représente la civilisation moderne, et d’établir le Royaume sur la terre de blé pour nourrir les peuples, ce qui est confirmé par la parole de Saint-Pierre (voir analyse précédente).

- Que la fin de cette civilisation repose sur l’élimination de l’électronique par un quelconque cataclysme solaire ou autre étant donné la dépendance à ce système actuellement, mais encore plus avec ce qui nous attend selon le rapport de la WEF ci-haut.

Cette génération ne se rendra probablement pas totalement au bout de cette nouvelle tour de Babel comme nous le soulignions dans l’analyse précédente… car le petit reste se découragerait assez rapidement.

Même avec une grande solidarité et charité, vivre dans un tel chaos ne serait évidement pas possible.

C’est une des raisons sur le pourquoi du non retour de Trump à la maison blanche car « America Great Again », çà n’entre pas dans le programme de la WEF spécifié ci-haut.

Il faut dire que le tout était prévu pour l’élection de 2016 avec Hillary Clinton au pouvoir pour établir la nouvelle monnaie digitale en 2018 comme cela était prévu dans « The Economist » de 1988 : le Phoenix.

Sur ce sujet, le Fonds Monétaire International, a initié une conférence sur le sujet le 4 décembre prochain.

Observez bien le Phoenix sur la couverture de l’événement.

De Pierre Hillard :

« Observez l’oiseau…

- Il sort d'un « œuf-Covid-19 ». Ce qui semble évoquer que la crise sanitaire n’est que l’outil pour parachever un idéal ancien d’unité planétaire doublée d’une spiritualité bien définie...

- Il semble être une symbiose entre une créature biologique et numérique (il est constitué de 0 et de 1). Cela nous rappelle les propos récents de Klaus Schwab, patron du Forum économique de Davos, qui n'hésite pas à affirmer que la grande réinitialisation, qui est la 4è révolution industrielle, se prépare sur fond de transhumanisme : « une fusion de notre identité physique, numérique et biologique » »

Lien et image sur www.imf.org.

Tiré du lien Youtube mis par le FMI :

« … Cette conférence examinera l'impact du changement technologique et de l'automatisation dans les pays industrialisés, qui a provoqué une énorme augmentation des inégalités entre le capital et le travail et entre les travailleurs à niveau d'éducation élevé et faible, disparités qui ont maintenant été encore aggravées par le COVID-19… »

C’est bien en symbiose avec le programme du WEF exposé ci-dessus.

Maintenant que Trump est écarté, ils peuvent procéder à vitesse maximum :

« 25 novembre 2020 ( LifeSiteNews ) - L'ancien secrétaire d'État américain John Kerry a assuré aux élites du Forum économique mondial (WEF) qu'une présidence de Joe Biden ferait rapidement progresser l'agenda mondialiste de la «grande réinitialisation» «avec plus de rapidité et d'intensité que beaucoup pourraient imaginer.

Kerry a fait ses remarques mardi la semaine dernière lors d'une table ronde virtuelle «Plateforme d'action COVID» organisée par le WEF. L'organisation mondialiste a saisi l'occasion de la pandémie pour introduire des changements radicaux dans l'économie mondiale.

«La notion de réinitialisation est plus importante que jamais», a-t-il déclaré. «Personnellement, je crois… nous sommes à l'aube d'une période extrêmement excitante.» »

La conférence de Kerry sur www.weforum.org.

Et avec le retour d'un démocrate au pouvoir, c'est plutôt le retour du CFR au pouvoir, ce qui est la preuve que le programme de l'élite avait été retardé de 4 ans.

« Joe Biden a promis qu'il formerait «le cabinet le plus diversifié» de l'histoire des États-Unis. Cela peut être vrai en termes de couleur de peau et de sexe, mais presque tous les futurs membres clés de son cabinet ont une chose en commun: ils sont, en effet, membres du US Council on Foreign Relations... » (zerohedge.com).

Nous avons donc eu 4 années de sursis.

C'est terminé.

Plus d’individualisme. Tous connectés, les pays inclus.

Dominance complète par l’électronique.

Nous y sommes.

Le 666 à son plein potentiel.

CHRISTE ELEISON

28 novembre

RETOUR SUR LES GRANDS MARQUEURS DU TEMPS

Un court résumé de l’analyse du 01 août dernier :

Nous avions vu que pour les mages ou l’élite occulte, la planète Jupiter représente le créateur, celui qui sacre les rois, Saturne étant celle qui marque la fin et le début d’un cycle ou la grande faucheuse.

C’est le nom qui est donné à la grande conjonction Saturne-Jupiter dont nous avions fait mention.

Il faut faire référence aux mages qui ont visité le Christ s’incarnant sur Terre, ainsi qu’à l’élite occulte qui utilise ces signes du ciel pour avancer dans son plan pour l’entrée en scène de leur messie, car ils cheminent ainsi vers la consécration du « peuple prêtre » judéo-maçonnique.

Leur Messie.

Nous avions mis l’accent sur le fait que cette grande conjonction pourrait être l’occasion du « sacre d’un roi », en référence à la prophétie de Jean XXIII sur le roi Frédéric.

Et ce roi jupitérien, on le sait avec une certaine probabilité, est la bête de la Terre, Emmanuel Macron, le protégé des Rothschild, dont l’anniversaire est le 21 décembre.

Nous avions été averti le 15 janvier 2014 par Christine Lagarde lors de son discours du FMI, qui nous révélait le mystère du fabuleux chiffre 7…

Mystérieux jusqu’à la rencontre de Davos du 23 janvier 2014, où elle mettait de l’avant pour la première fois la notion de « réinitialisation » ou « reset ». (lefigaro.fr).

Nous comprenons parfaitement le plan aujourd’hui grâce aux sorties de Klaus Swab et de son livre…

Et, son annonce de la grande messe occulte de Davos 2021 sur la « Grande Réinitialisation », soit 7 années après le discours de Christine Lagarde.

Une opportunité incroyable (entérinée par plusieurs chefs de pays), provoquée par…

La pandémie.

LE COMPTE À REBOURS EST COMMENCÉ depuis le 19 novembre, jour où Jupiter et Saturne sont à moins de 5 degrés une de l’autre, débutant ainsi la grande conjonction de 2020.

La triple grande conjonction de l’an -6 à la naissance du Christ a probablement guidé les mages astrologues vers Bethléem, puisqu’ils connaissaient le poème perse qui pointait la mort d’un roi (Kai Khusrau, personnage mythique) pour laisser place à la naissance d’un grand roi.

« La tête des chefs était lourde à la nouvelle. Les guerriers dormaient dans la douleur, et quand le soleil se leva sur les collines, le Shah avait disparu… »

Et voici, qu’Io, l'étoile qu'ils avaient vue en Orient, les précéda, jusqu'à ce qu'elle s'immobilise sur l'endroit où gisait le jeune enfant.»

Io est la principale lune de Jupiter.

Or, cette grande conjonction a eu lieu dans la constellation des poissons, signifiant la fin de l’ère du bélier.

Le bélier, c’est le sacrifice de l’agneau au temple, l’ancien testament.

L’ère du Père.

Et nous savons que le Christ a éliminé ce sacrifice sanglant pour le remplacer par le sacrifice non sanglant du vin et du pain.

C’est l’ère des poissons, de la pêche miraculeuse, de la  révélation de la Vérité du Père et du Christ à toutes les nations.

L’ère du Fils.

ICHTUS  « est l'un des symboles majeurs qu'utilisaient les premiers chrétiens en signe de reconnaissance. Il représente le Sauveur durant les débuts de l’église primitive... Le poisson représente l'eau du baptême. Par ailleurs, le mot forme, en grec ancien (langue véhiculaire davantage parlée dans l'Empire romain que le latin), un jeu de mots puisque c'est aussi l'acrostiche du nom attribué à Jésus sur laquelle repose la foi chrétienne...» (fr.wikipedia.org).

La grande conjonction de 2020 se fera en Verseau, signe de la fin de l’ère des poissons.

Pour la kabbale judéo-maçonnique, c’est un grand moment très attendu et très publicisé : qui n’a pas entendu parler du phénomène « nouvel âge » relié au signe du verseau, l’ère du verseau, ou la comédie musicale hippie « Hair » avec le titre renommé qu’est « Aquarius » ou « Verseau », ode à la religion humaniste anti-christique qui s’est complètement dévoilée maintenant.

Pour eux, c’est la fin de l’ère de l’individualisme qui mène à l’ère de la conscience de la communauté, de la fraternité universelle, tant dans la société que dans les institutions culturelles et spirituelles.

Ce qui est bon pour le peuple n’est pas nécessairement ce qui est bon pour l’élite qui se veut être la partie dominante de cette réinitialisation, le peuple prêtre, seul lien entre leur Dieu et les goïm.

Ils cachent la vérité. Les aveugles conduisent les aveugles tels qu'annoncé par NSJC.

On l’a vu, cette date du 21 décembre représente la consécration d’un nouveau roi jupitérien.

C’est un passage, un rite, une Pâques kabbalistique.

Ils l’ont préparé, avec l’aide de Bergoglio.

Voici les deux dernières preuves que la bête Vatican agît main dans la main avec la kabbale judéo-maçonnique :

Bergoglio vient de publier son nouveau livre sur ses réflexions « covidiennes ». Le titre en français est « Un Temps pour Changer »...
Mais en anglais le titre est plus long, plus explicite: « Rêvons tous, le sentier pour un futur meilleur » (vaticannews.va).

Il s’agît bien d’un passage.

Comme le passage de la Mer Rouge par Moïse.

Et ce n’est pas ce seul chemin qui mène au Père, c’est à dire NSJC.

Non.

C’est encore sa fusion totale avec la « Grande Réinitialisation ».

Bergoglio a la mission et l'intention de basculer l'église totalement vers l'Agenda 2030.

Il avait été clair sur ce sujet en présentant son « Laudato Si » aux Nations-Unies le 25 septembre 2015.

Le point de bascule, il est proche!

Et comme on le sait, il n'y a absolument rien comme objectif spirituel dans l'Agenda 2030.

Deuxièmement, juste au moment où Bergoglio sortait son nouveau bouquin, Mgr Gallagher, secrétaire pour la Relations avec les États (donc le lien du Vatican pour la « Grande Réinitialisation ») a prononcé un discours « dans une Lectio Magistralis délivrée à l'Académie nationale des Lyncéens, (Accademia Nazionale dei Lincei) sur le thème “Fraternité, écologie intégrale et Covid-19. La contribution de la diplomatie et de la science”... »

ET la conclusion est claire: « La relance post-pandémie devra se fonder sur « une nouvelle alliance entre la science et l'humanisme, qui doivent être intégrés et non séparés, voire pire encore, opposés » ainsi que sur «une approche systémique basée sur une solidarité renouvelée, exercée également dans le respect du bien commun et de l'environnement » (vaticannews.va).

Ils ne se cachent plus. Plus du tout. Tout cela passe par les communications officielles du Vatican.

Il y avait l'Ancienne Alliance sous l’ère du Bélier.

Il y a la Nouvelle Alliance instauré par le Christ sous l’ère des Poissons.

Ils veulent que cette dernière soit du passé et que cette nouvelle alliance qu'ils sont sur le point de proclamer soit sans Dieu.

C’est le cri de victoire final de la caste des pharisiens talmudiques, c’est à dire le temps où il prendront possession de toutes les richesses de la Terre à l’aide d’une monnaie digitale qui asservira les « goïm », les sans dents, le petit-peuple qui ne vaut pas plus que du bétail.

Tout est accompli... ou presque, selon la méthode Bergoglio.

Tous les sujets ont été traités par ce dernier pour une adhésion totale au système humaniste.

« Écoutez une comparaison prise du figuier. Dès que ses rameaux deviennent tendres, et qu'il pousse ses feuilles, vous savez que l'été est proche. Ainsi, lorsque vous verrez toutes ces choses, sachez que le Fils de l'homme est proche, qu'il est à la porte.
Je vous le dis en vérité, cette génération ne passera point que toutes ces choses n'arrivent.
Le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront point. »


Les signes de la fin du monde, homélie de l’abbé PP. Petrucci (Église de St-Nicolas du Chardonnet).

Nous sommes témoins.

Nous savons que la deuxième venue en Esprit de NSJC est proche.

Cette génération de plus de 2000 ans est pratiquement terminée car pour les fidèles à la Loi et aux Prophètes, l’ère du Verseau, c’est l’ère de l’Esprit-Saint, de la Jérusalem Céleste.

Pour ce qui est de matériel et de temporel, Saint-Pierre est clair : tout sera consumé.

« Cependant le jour du Seigneur viendra comme un voleur ; en ce jour, les cieux passeront avec fracas, les éléments embrasés se dissoudront, et la terre sera consumée avec les ouvrages qu'elle renferme » (Pierre 2, 3.10).

Au grand dam de la clique judéo-maçonnique qui pense se bâtir une « maison commune verte » avec Satan comme Dieu.

Une nouvelle tour de Babel.

N'oublions pas que le Père n'est intervenu que juste avant l'achèvement de la tour de Babel.

Au cril de la victoire de la clique judéo-maçonnique, le couperet tombera.

L’heure de la délivrance est proche.

On ne connaît pas toute la Sagesse du Père et du Fils petits que nous sommes, mais force est de constater que la pandémie qui isole tous et chacun dans son domicile est un grand moment de grâce pour celui et celle qui ont la Foi, pour prier en silence en attendant LE MOMENT, et de ne pas se laisser corrompre par Babylone la Grande.

Car Klaus Swab a été clair en juillet dernier :

« Beaucoup d’entre nous se demandent quand les choses reviendront à la normale. La réponse est courte : jamais. (…) Il y aura une ère avant le coronavirus et après le coronavirus ».

Gloire à Toi Seigneur.

Kyrie Eleison

19 novembre

L’ÉCONOMIE DE FRANÇOIS ET LA GRANDE RÉINITIALISATION

Dernier maillon du grand plan de Bergoglio pour une fusion avec le nouvel ordre mondial de l’humanisme où l’homme se fait Dieu, la rencontre reportée sur l’économie de ce printemps aura lieu du 19 au 21 novembre, avec comme centre de diffusion, Assise, encore une fois sans surprise.

Elle a un nom : l’Économie de François (EOF) et un symbole, assez curieusement ressemblant au serpent qui se mort la queue.

Dans le cadre de ce renouvellement planétaire qui par une chance « extraordinaire » nous est donné (veut-on nous faire croire) par la pandémie, une occasion qui ne s’est pas présentée depuis la grande crise de 1929 nous dit-on, on vise les jeunes.

On vise les jeunes parce que ce seront eux qui feront le monde de demain, qui seront arrivés à une maturité telle que voulue par l’élite… Prêts pour l’Agenda 2030 des Nations-Unies.

Les thèmes développés par Bergoglio ces derniers sept ans ont tous en commun de rejoindre les valeurs actuelles des jeunes : fraternité universelle (Fratelli Tutti), réchauffement climatique (« Laudato Si », intégrée dans « l’Agenda 2030 » le 25 septembre 2015 par Bergoglio aux Nations-Unies, suivi  par une projection à saveur écologique sur les murs de la Basilique Saint Pierre : « Fiat Lux » ou « illuminer notre maison commune » le jour de l’Immaculée Conception du 8 décembre!), élimination du péché par le jubilé de la miséricorde infinie, nivelage horizontale de la religion catholique pour en arriver à un œcuménisme global (signature du pacte avec les luthériens en Suède pour la commémoration des 500 ans de l’acte de Luther), etc..

« "The Economy of Francesco" est un mouvement mondial de jeunes qui visent à changer les modèles économiques actuels, et à construire un avenir plus inclusif et plus juste. L'événement avait été initié par le Pape François en 2019, lorsqu'il a demandé aux économistes et aux jeunes de donner vie à l'idée d'un type d'économie différent, plus attentif aux membres les plus faibles de la société, et qui ne soit pas exclusivement axé sur le gain de richesses matérielles.

Un long travail de préparation

Des centres "EoF" ont été mis en place dans plus de 25 pays. De mars 2020 à ce jour, près de 1 000 jeunes ont travaillé dans 12 villages "EoF", chacun se penchant sur un thème différent: Gestion et don, Finances et humanité, Travail et soins, Agriculture et justice, Énergie et pauvreté, Entreprises et paix, Femmes pour l'économie, CO2 des inégalités, Vocation et profit, Entreprises en transition, Vie et mode de vie, Politiques et bonheur. » (vaticannews.va)

Bergoglio, main dans la main avec la synagogue de Satan.

Sans surprise, le même phénomène est employé par l’élite avec le Forum économique de Davos.

Babylone Vatican et Babylone Nations-Unies agissent bien de concert, en parallèle.

La prophétie concernant Benoît XVI en pleine progression et aboutissement imminent.

À cause de la pandémie, la réunion de Davos prévue le 25 janvier a été déplacée au mois de mai 2021 à Lucerne.

MAIS, les organisateurs du forum ont décidé de tenir tout de même une réunion virtuelle appelée «Dialogues de Davos» dans la semaine du 25 janvier à la place de la réunion annuelle.

La conférence virtuelle vise les jeunes.

Elle se connectera avec des jeunes (on les surnomme les 11000 nouveaux « Global Shapers » ou« Façonneurs Mondiaux »), qui seront supportés par d’anciens membres du forum économique (dans plus de 420 hubs informatiques / villes répartis sur la planète) reconnus pour leur contribution « hautement expérimentée » pour former « l’avenir du monde ».

C’est la « Communauté des Façonneurs Mondiaux ».

C’est elle qui, grâce aux nouvelles technologies déployées et implantées sur fond de pandémie, aura la tâche de former la nouvelle économie du nouveau système mondialiste.

Tout cela avec l’approbation du pape actuel.

Le grand gourou de la grande réinitialisation, Klaus Swab a été clair au sujet  de sa quatrième révolution industrielle.

En effet, nous sommes dans une nouvelle révolution.

Rien de moins.

C’est un changement qui est majeur… au bénéfice de l’élite judéo-maçonnique… et qui implique une soumission totale à l’Antichrist et son système.

«Ce à quoi la quatrième révolution industrielle mènera, c'est une fusion de notre identité physique, numérique et biologique», a déclaré Schwab au Chicago Council on Global Affairs.

Dans son livre sur la Grande Réinitialisaton, Schwab explique avec enthousiasme comment cette nouvelle technologie permettra aux autorités de «s'immiscer dans l'espace jusque-là privé de notre esprit, en lisant nos pensées et en influençant notre comportement».

« Les technologies de la quatrième révolution industrielle ne s'arrêteront pas de faire partie du monde physique qui nous entoure - elles feront partie de nous», écrit Schwab. « En effet, certains d'entre nous sentent déjà que nos smartphones sont devenus une extension de nous-mêmes. Les appareils externes actuels, des ordinateurs portables aux casques de réalité virtuelle, deviendront presque certainement implantables dans notre corps et notre cerveau. » Schwab approuve également ouvertement quelque chose que les médias prétendent toujours être uniquement un domaine de discussion pour les théoriciens du complot, à savoir «des micropuces implantables actives qui brisent la barrière cutanée de notre corps». »

Pierre Hillard à propos de la grande réinitialisation :

« Je crois que la véritable bascule se fera dans l’effondrement financier et économique qui s’annonce. Tout s’écroulera et la famine se fera jour. Certains sauront lutter pour survivre tandis que d’autres seront incapables de le faire car tétanisés par l’horreur du moment. La guerre civile fera rage… Tout cela se terminera en guerre totale… »

Cette période est bien celle annoncée par NSCJ en Matthieu 24.

Peu importe les décisions ou gestes temporels qui seront pris, c’est la défaite de Satan et de ses troupes qui pointent à l’horizon. Les factions judéo-maçonniques sont en lutte internes pour le partage des ressources, l’un contre l’autre.

C’est une guerre spirituelle qui a ses répercussions dans notre monde temporel.

Une seule sortie pour les chrétiens fidèles : se réfugier dans « les montagnes » de la prière.

Mgr Vigano en parlant de cette lutte aux États-Unis (car l’élite mondialiste a décidé que ce pays doit rentrer dans le rang, à n’importe quel prix):

« Nous avons très bien compris de quel côté sont les gouvernements, les médias, les groupes internationaux d’informations, la finance mondiale, les organisations humanitaires et même l’Église de Bergoglio...

Les catholiques américains peuvent et doivent prier parce que, devant un déploiement aussi massif de forces hostiles, seule l’intervention de Dieu peut faire la vérité. Cela n’exclut naturellement pas de renouveler le témoignage cohérent des catholiques dans le domaine social.
Cette action humaine, qui doit toujours être guidée par le bien commun ne doit pas perdre des yeux la dimension surnaturelle. Jésus-Christ est le Seigneur de l’histoire et le Roi des peuples : il n’abandonnera pas ses fils et ses filles au moment de l’épreuve, s’ils se tournent, avec confiance, vers lui et vers sa très sainte Mère. » (benoit-et-moi.fr)

La seule et unique solution est spirituelle.

Le petit reste est menacé.

Le temps est proche.

08 novembre

LA DÉMOCRATIE EST MORTE

« Le temps de « la sinistre ère de diabolisation » est révolu… Je me suis présenté à la présidence pour restaurer l’âme de l’Amérique. Pour rebâtir l’épine dorsale de la nation – la classe moyenne. Pour que l’Amérique soit à nouveau respectée à travers le monde, et pour nous unir ici à la maison » (Joe Biden).

Puisque Satan est maître de l’inversion, que faut-il interpréter par de telles paroles?

« L’élection présidentielle américaine ratifie la fin de la démocratie »

« ... C’est là toute l’ironie de l’histoire : le totalitarisme communiste qui s’est effondré avec l’Union soviétique et qui semblait définitivement vaincu, reprend maintenant une nouvelle vie sous des formes modifiées dans le pays même qui avait vaincu l’Union soviétique...
Une démocratie sans valeurs se transforme facilement en un totalitarisme ouvert ou sournois, comme le montre l’histoire. C’est ce qui se passe sous nos yeux dans l’Occident qui a renié Dieu, dans l’Occident de l’homme qui s’est fait Dieu. Nous vivons sous la chape totalitaire d’une série d’idéologies regroupées sous le parapluie du politiquement correct, et lorsque quelqu’un oppose une résistance, le Pouvoir se déchaîne avec toute la violence possible, évidemment au nom de la démocratie (mais les régimes communistes ne se sont-ils pas toujours appelés démocraties populaires?) Les élections présidentielles actuelles aux États-Unis le prouvent sans équivoque. (Riccardo Cascioli) » (benoit-et-moi.fr)

Comment ne pouvons nous pas reconnaître le subterfuge du malin qui officialise les paroles Notre-Dame du Rosaire à Fatima : la Russie répandra ses erreurs.

Tout est sur le point d’aboutir.

La Réserve Fédérale Américaine ainsi que plusieurs banques centrales ont confirmé qu’ils procédaient maintenant à l’établissement d’une monnaie numérique pour libérer l’inflation, établir un revenu de base universel qui sera versé directement dans les comptes des particuliers, contournant ainsi le système bancaire que nous connaissons, en plus de planifier une remise de dettes.

C’est là la grande réinitialisation.

Comme nous pouvons le constater, derrière cette annonce se profile un contrôle particulier entre des mains privilégiées d’un plus petit groupe.

Nous allons donc assister à la chute provoquée du système et de la religion telle que nous la connaissons.

C’est une guerre spirituelle et le religieux domine le politique.

C’est intentionnel et provoqué par Satan.

« Lorsque nous nous trouverons être un milliard et plus (de catholiques lucifériens) faisant enfin flotter haut nos étendards, il faut que nous soyons prêts à produire l’explosion qui fera sauter le temple d’Adonaï » (Albert Pike, grand maître franc-maçon).

Car Pike et sa clique dissociaient les catholiques lucifériens et ceux fidèles au Christ.

La Rome conciliaire et la nouvelle religion humaniste ont bien étendu leurs étendards : inversion des valeurs, miséricorde infinie, fraternité humaine, prendre soin de la maison commune, œcuménisme, etc...

Et Pike de continuer :

« La même impulsion qui anéantira le temple d’Adonaï découvrira, aux yeux de l’humanité dûment préparée, le temple jusque là caché de notre divin maître. Lucifer roi verra alors le monde entier se consacrer à lui et l’adorer : sa religion sera dès lors vraiment catholique. »

Ils ont donc bien prévu un événement particulier qui anéantira le temple d’Adonaï, c’est à dire la basilique Saint-Pierre, et Rome en particulier.

D’où le fait que la prophétie concernant François spécifie bien qu’il devra fuir dans sa terre natale.

Fait significatif aujourd’hui, la lecture de la messe est la parabole des dix vierges précédée de l’avertissement de Saint-Paul sur le jugement dernier.

Souvenons-nous que ce passage de Saint-Mathieu est précédé de l’avertissement de NSJC sur la fin des temps…

«  Quand donc vous verrez l'abomination de la désolation, annoncée par le prophète Daniel, établie en lieu saint, — que celui qui lit, entende ! —… »

Tout cela à la date de l’officialisation du plongeon des États-Unis dans l’abîme.

Aucune coïncidence ici pour ceux qui ne sont pas aveuglés par le système.

Les deux Babylone Vatican et Nation-Unies vont disparaître.

La coupe est sur le point de déborder.

« … Au signal donné par la voix de l’archange, et par la trompette divine, le Seigneur lui-même descendra du ciel, et ceux qui sont morts dans le Christ ressusciteront d’abord… » (Saint Paul Apôtre, Thessaloniciens 1 (4,13-18).

« … C’est donc dans un contexte largement apocalyptique qu’il convient de lire cette parabole des dix vierges. Face aux difficultés du temps, elle vise à notre mobilisation spirituelle avec toutes les outrances, les images étranges et les oppositions tranchées qui sont la marque du style apocalyptique. On peut la comprendre comme une allégorie où chaque terme renvoie à une réalité autre : les vierges sont les âmes, l’époux est le Christ et son arrivée tardive renvoie au Jugement dernier. Notre attitude doit être de vigilance. L’huile signifie la foi ou l’amour qui, l’un comme l’autre, ne se partagent pas. » (la-croix.com).

C’est la séparation du bon grain de l’ivraie.

Aucun (e)  autre ne peut faire le chemin à notre place.

Car c’est cette foi, cette charité, et cette espérance qui nous permettront de traverser ce chaos.

La pure imitation de NSJC représente le Salut Éternel.

07 novembre

LE TEMPS EST PROCHE

L’intéressante issue de l’élection américaine n’est pas une surprise en soi.

En fait, elle permet maintenant de mettre plusieurs pièces du casse-tête ensemble, du moins, si le président Trump était bien l’un des deux empereurs de la prophétie politique #32 « Le Temps est Proche ».

« Les propos « incendiaires » de Donald Trump, qui a soutenu jeudi soir qu’il gagnerait facilement l’élection si on comptait les « votes légaux », pourraient susciter beaucoup de violence dans les jours à venir, s’inquiètent des spécialistes de la politique américaine. Selon eux, il pourrait même s’agir d’un tournant dans l’histoire moderne des États-Unis, plus divisés que jamais. » (lapresse.ca).

Les tambours de guerre des « influenceurs » et des médias de fausses nouvelles à la botte de l’élite judéo-maçonnique battent leurs pleins, et les États-Unis sont dans l’étau mondialiste.

Cette élite a besoin d’une guerre pour faire tomber Babylone la grande et cimenter son projet Agenda 2030 autour d’une nouvelle religion humaniste et d’un nouveau système financier.

La Chine est plus que jamais dans la mire. Il faut la faire entrer dans le rang, dans le nouveau système humaniste, la grande réinitialisation, l’Agenda 2030.

La vente d’armes à Taïwan depuis plusieurs semaines et le déploiement de navires de guerre ainsi que de bombardiers et chasseurs militaires dans la région sont un signe en soi.

Il ne manque qu’une attaque fausse bannière, comme du début de la guerre du Vietnam.

Trois prophéties politiques et deux prophéties concernant l’Église sont en mettre en relation.

Il est temps de les réviser.

#32 Le Temps est Proche

« C'est le temps des deux empereurs »: Trump et le président chinois.

« Et la Mère n'a pas de père, parce que beaucoup veulent être son père. Et deux seront soutenus par les adversaires »: schisme au Vatican, deux papes, Benoît XVI et François.

« Les cris et les barrières de la contestation se lèvent, mais déjà la Bête sort de l'eau »: cris, contestation contre le système mondialiste d’un côté, et contre le réchauffement climatique de l’autre, pour l’environnement (ce que veulent les élites pour pousser le nouveau système sur des bases « vertes », pour leur survie). La Bête sort de l’eau ou des foules. On connaît son nom. C’est la grande réinitialisation ou au niveau de la religion catholique, Bergoglio.

« Et la famine arrête les armées.
Les hommes se comptent mourir.
Et après la famine; la peste.
Dieu a déchaîné la guerre de la nature pour empêcher la guerre des hommes »: nous arrivons donc à ce segment. Une guerre qui sera repoussée par une guerre de la nature.

Tout cela après le décès de Benoît XVI, la fin de sa prophétie où est implorée la chute des deux Babylone, Vatican et Nations-Unies.

No 9 Benoît XVI

« Marie Très Sainte, fille et mère de Dieu, maîtresse du temps futur, bats le rappel de tes fils dans les campagnes, pour qu'ils abattent les deux Babylone.
Et que la Mère soit Une, comme toi tu es unique.
La terre détruira le ciment et de terre sera, Reine, ta nouvelle Église. Et sur la terre de blé, pour la faim de tes peuples, fleur sur son nouvel autel. Amen. »

Dans la prophétie #10 de l’église concernant François, il est alors spécifié que « Mikail et Jean descendront sur terre », dont Saint-Michel Archange et Jean l’apôtre, c’est à dire l’Apocalypse et le 7ème sceau où le « grand frère d’Orient » fera trembler la Terre.

Cette prophétie se termine d’ailleurs par « mais auparavant par ses paroles de vraie science le secret de l'arme qui détruit les armes. Temps de paix, alors, et sur la haute pierre sera le nom d'Albert. »

Quelle est la « vraie science »? Une science humaniste évidement, basée sur une bombe atomique et où le nom d’Albert irait en référence à Albert Einstein?

C’est en lien direct avec la prophétie #22 « Grand Éclair à l’Orient » où un chef sera assassiné au sud de Luther, soit dans le sud des États-Unis ou au sud des États-Unis.

Il faut lire ici « temps de paix » humaniste, par la peur de la destruction totale, car l’élite doit conserver les ressources terrestres qui resteront pour sa survie.

C’est la grande réinitialisation suivi du coup fatal pour faire entrer dans le troupeau les dissidents qui resteront.

Mais Dieu avait d’autres plans.

Il y aura « une guerre de la nature », et probablement que c’est en référence à une tempête solaire de classe X pour commencer si on se fie au miracle de Fatima d’octobre 1917, qui grillerait tout l’électronique en ce qui a trait aux armes, et aux transports.

Curieusement, en début du cycle solaire 25 depuis quelques mois, une méga tache solaire est apparue mardi. Elle a plus que doublé en 2 jours et sa complexité laisse entrevoir une telle possibilité.

En tout cas, le Soleil n'a jamais été aussi actif dans un début de cycle.

Continuons avec la prophétie #32 et les deux empereurs.

« Le premier empereur meurt de faim, enfermé dans la tour de son rêve »: c’est bien se qui arrive au président Trump. Son rêve se termine, ou un événement d’importance aura lieu d’ici l’assermentation du nouveau président le 20 janvier prochain.

Le temps est donc réellement très proche.

« Le second empereur dans le désert, attaqué par les animaux de la peste, inconnus »: le président chinois pourrait donc voir une résurgence de la pandémie en Chine, une mutation fulgurante qui donnera l’idée que le pays est maintenant un désert.

« La fille de Caïn est montée au Nord, pour prêcher. Luxure dans la nouvelle Babylone, pour sept ans »: voir l’analyse des prophéties politiques. Les 7 ans se termine en 2020 si c’est l’église de Bergoglio, en 2023, ou en 2025 si la fille de Caïn est Greta Thunberg.
Il est fort probable que c’est en relation avec la papesse de l’écologie mondiale.

Tout peut aller très vite, mais il faut quand même avoir ce « temps de paix » humaniste entre la chute des deux Babylone, et le jugement divin, entre la prophétie concernant François et Pierre II le romain, et la dernière prophétie concernant l’église de Jean XXIII.

« La septième année tombe le septième voile de Salomé, mais il n'existe pas d'empereur, il n'existe pas qui saura lever l'épée et couper le cou de Jean.
Le temps est proche. »

Si nous regardons la carte électorale de 2020 aux États-Unis, nous voyons facilement le clivage entre états démocrates et républicains de chaque côtés du Rio Grande.

#25 Les États-Unis Libérés

« Du Sud contre Luther et les héritiers de Nuremberg, ceux qui manquaient, ceux qui s'asseyaient sur le siège des juges »: les héritiers de Nuremberg représente le nord des États-Unis et les états à l’ouest du Rio Grande. Du Sud contre Luther laisse entrevoir les anciens états confédérés qui ont voté pour les républicains, anciens états où l’esclavage était de mise, dont le Texas surtout.

« Celle qui fut colonie esclave du cuivre et du sel impose son commandement populaire »: c’est bien du Texas que viendra le mouvement de contestation pour contester l’élection 2020.

« Luther avait deux chefs ennemis et divisés. De l'autre côté du petit fleuve, le commandement du peuple et l'ordre de céder au peuple qui aujourd'hui a le pouvoir de la parole, aujourd'hui que les armes sont mortes »: C'est bien la situation actuelle. Le petit fleuve est le Rio Grande.

Et, mention importante, cette guerre civile arrive lorsque les « armes sont mortes ».

Ce qui veut dire que d'ici l'assermentation du nouveau président le 20 janvier 2021, nous devrions être témoins du « Grand Éclair à l'Orient » ou d'une tempête solaire de classe X.

Et, un personnage important viendra mettre fin à cette guerre civile.

« Un saint » arrivera dans la cité blanche pour dire haut, pour dire vrai. (est-ce Mgr Vigano?).

Le reste de la prophétie est assez claire.

Sachant qu’il y aura maintenant une vice-présidente en poste, il est donc assez facile d’anticiper un décès du président démocrate élu, si c’est le cas, et que finalement cette prophétie se terminera par l’assermentation de la vice-présidente.

« Et le jour où une femme jurera sur la Bible rénovée sera jour de paix. »

Les prophéties politiques de Jean XXIII sont d’analyses plus difficiles.

C’est pourquoi il faut garder l’attention plus spécifiquement sur les prophéties de l’Église, sur le Vatican.

L’échéance du temps est alors plus facile à suivre.

Car on le sait, le katéchon retient le bras de NSJC.

À son décès, Babylone la grande se désagrège et le retour en gloire du Christ sera plus qu'imminent.

03 novembre

LE TEST DE LA FOI

« Dieu ne ferait pas justice à ses élus qui crient à lui nuit et jour, et il tarderait à leur égard ?

Je vous le dis, il leur fera bientôt justice. Seulement, quand le Fils de l'homme viendra, trouvera-t-il la foi sur terre ? » (Luc, 18,8).

Or, celui qui doit conduire le troupeau, le pape, a-t-il la foi au Dieu Unique?

Le non respect du Saint-Sacrement est déjà un signe visible qui démontre qu’il ne croit pas en la transsubstantiation.

La Sainte Messe, c’est à dire la répétition du sacrifice non sanglant, est le lègue ultime que nous a laissé NSJC et qui demande une foi inébranlable en la présence réelle du Christ dans l’hostie et le vin consacrés.

Or, concernant Bergoglio, les signes ne mentent pas (voir analyses précédentes dont le miracle de l’hostie de 1996 à Buenos Aires).

Il refuse toujours de s’agenouiller devant le Saint-Sacrement.

C’est donc qu’il se considère au-dessus de Dieu, et que son Dieu est par inversion, le Dieu bon des franc-maçons, Satan.

D’où le fait que Mgr Scheider a demandé de prier pour l’âme de Bergoglio.

« Que personne ne vous égare d'aucune manière ; car auparavant viendra l'apostasie, et se manifestera l'homme de péché, le fils de la perdition, l'adversaire qui s'élève contre tout ce qui est appelé Dieu ou honoré d'un culte, jusqu'à s'asseoir dans le sanctuaire de Dieu, et à se présenter comme s'il était Dieu » (Saint-Paul, Thessaloniciens 2, 2,4).

Il est donc normal que Bergoglio n’incarne pas le rôle phare de l’Église dans ce tumulte engendré par l’élite judéo-maçonnique via la pandémie.

Au contraire, nous voyons qu’il augmente au fur et à mesure la cadence vers la religion socialiste humaniste de la grande fraternité! (encensé par le grand pontife maçonnique italien lui-même : « Convergence totale Maçonnerie-Bergoglio ») (benoit-et-moi.fr).

« Car le mystère d'iniquité s'opère déjà, mais seulement jusqu'à ce que celui qui le retient encore paraisse au grand jour. » (Saint-Paul, Thessaloniciens 2 , 2,7).

C’est le katéchon (celui qui le retient), Benoît XVI.

Le mystère d’iniquité (du grecque mystèrion tès Anomias ou mystère d’anomie), le mystère d’injustice ou d’absence de loi, représente l’inversion des valeurs de l’Église et de la morale, où le mensonge et la tromperie représentent la norme, où le péché n’existe plus en fonction de la miséricorde infinie, où le Christ n’est plus le Sauveur mais la toute puissante science.

L’histoire a vu défilé maintes fois ces inversions de valeurs, mais jamais comme en 2020, avec une apostasie presque généralisée, et en présence du katéchon.

Ce dont nous somme témoins aujourd’hui.

Deux papes, deux frères, deux églises parallèles, selon la prophétie de l’église concernant Benoît XVI de Jean XXIII.

Ainsi, ce mystère d’iniquité, avec à sa tête Bergoglio, engendre l’apostasie à une vitesse vertigineuse, qui est de plus en plus constatée chez les catholiques conciliaires, alors que les autres sont toujours aveuglés et ne voient pas la grande fumisterie (même privés de l’accès aux églises par le confinement!), ou tout simplement, ne veulent pas y croire.

Croire au fait que nous y sommes.

À la fin des temps.

À ce rythme, le « petit reste » ne fera pas long feu.

Car, le mode de vie « normale » que nous avons connu est terminé.

Dans un tel contexte, sans la prière, c'est la psychose sournoise qui attend son tour.

« Il y en aura beaucoup qui seront purifiés, blanchis et éprouvés ; et les méchants feront le mal, et aucun méchant ne comprendra ; mais les intelligents comprendront (Daniel, 10,12).

C’est le test de la foi.

La seule foi valable.

En un seul Dieu trine.

Or, Bergoglio l’a affirmé lors dans sa lettre à la Communauté Européenne :

Il veut une Europe « sainement laïque » avec beaucoup de migrants, où chacun peut vivre selon sa foi.

Cette situation équivaut au culte du veau d’or.

Et on sait où cela a mené Moïse et le peuple élu.

« Pape François: «Je rêve d’une Europe amie de la personne et des personnes»

«Europe, retrouve-toi toi-même !» lance le Pape dans une lettre écrite à l’occasion – entre autres – du cinquantième anniversaire de l’établissement des relations diplomatiques entre le Saint-Siège et les institutions européennes. François y partage sa vision de l’Europe qu’il souhaite plus solidaire et «sainement laïque», réaffirmant également sa «certitude que l’Europe a encore beaucoup à donner au monde»…

Une Europe ouverte à la transcendance

François s’exprime enfin brièvement sur la dimension religieuse, rêvant «d’une Europe sainement laïque, où Dieu et César soient distincts mais pas opposés». «Une terre ouverte à la transcendance, où celui qui est croyant soit libre de professer publiquement sa foi et de proposer son point de vue dans la société». Aux yeux du Saint-Père, «une culture ou un système politique qui ne respecte pas l’ouverture à la transcendance ne respecte pas convenablement la personne humaine»… » (vaticannews.va).

Encore une fois, cette laïcité fait partie du plan pour détruire l’Église, éteindre la vraie foi afin que Jésus ne soit plus reconnu que comme un prophète au même titre que les autres.

D’où le fait que la synagogue de Satan et l’Islam embarquent dans le grand projet.

C’est là la grande fumisterie du mystère d’iniquité.

« Dans son apparition cet impie sera, par la puissance de Satan, accompagné de toutes sortes de miracles, de signes et de prodiges mensongers, avec toutes les séductions de l'iniquité, pour ceux qui se perdent, parce qu'ils n'ont pas ouvert leur cœur à l'amour de la vérité qui les eût sauvés.

C'est pourquoi Dieu leur envoie des illusions puissantes qui les feront croire au mensonge, en sorte qu'ils tombent sous son jugement tous ceux qui ont refusé leur foi à la vérité, et ont au contraire pris plaisir à l'injustice. (Saint-Paul, Thessaloniciens 2 , 2,9-12).

Quant aux miracles, aux prodiges mensongers et aux illusions puissantes, pensons juste à la technologie existante et à toutes les fausses nouvelles qui y circulent.

Cette technologie est utilisée par Bergoglio via les réseaux sociaux du Vatican par l’entremise du département de communication du Vatican.

Nous vivons dans un monde d' « influenceurs ».

En voici une preuve :

« La politique du silence imposée par Bergoglio:

« VATICAN CITY, 26 octobre 2020 ( LifeSiteNews ) – À la suite de la confusion entourant les récents commentaires du pape François sur les unions de même sexe, le département de la communication du Vatican a ordonné à ses journalistes de ne rien mentionner sur le documentaire.
Il Fatto Quotidiano a rapporté jeudi avoir reçu un e-mail des directeurs de la rédaction du Dicastère du Vatican pour la Communication, signé par Massimiliano Menichetti, directeur de Radio Vaticana – Vatican News.
L’e-mail se lit comme suit: «Bonjour à tous, en référence au tollé suscité par le film ‘ Francesco’ du réalisateur russe Evgeny Afineevsky, pour l’instant nous ne diffusons AUCUNE actualité, ni à la radio ni sur le web. Rien également sur le film ou le prix décerné aujourd’hui au Vatican. Il y a une discussion active sur la façon d’aborder la crise médiatique actuelle. Une déclaration du service de presse n’est pas exclue. Veuillez me signaler si vous le pouvez, à la fois en milieu de journée et à la fin de la journée, les réactions des auditeurs et des abonnés. Il n’est pas nécessaire de m’envoyer les commentaires réels, il suffit de m’envoyer deux lignes pour les résumer. Merci, Massimiliano Meniche… »

Lors des 8 dernières années, nous avons vu le mystère d’iniquité lancé ses idées « progressistes » sur le pavé, laissant les fidèles dans la confusion par un silence perpétuel faces aux interrogations qui les tourmentent, ou face aux demandes d’éclaircissement de la part des cardinaux fidèles à la loi et aux prophètes (pensons à la saga des dubia par exemple).

Mensonges, ambiguïtés volontaires, déformations de la Vérité et de la vie des Saints, orgueil, colères non contrôlées, peurs de la pandémie (alors qu’un pape doit donner sa vie pour ses brebis. Nous devrions voir des processions du Saint-Sacrement partout. Mais non.), élimination du péché… tout cela sous les apparences du plus pauvre des pauvres, Saint-François D’Assise.

Le loup déguisé en agneau est dans la bergerie.

« Tactique du diable: feuille de route pour détruire l’Église » (benoit-et-moi.fr).

Or, force est de constater qu'en 2020 toutes les étapes décrites dans la deuxième lettre de Saint-Paul aux thessaloniciens ont été franchises :

Nous avons l’impie sur le trône, la grande apostasie, le mystère d’iniquité, le katéchon dont nous connaissons maintenant le visage…

Avons-nous refusé la foi à la Vérité, et au contraire pris plaisir à l'injustice?

Veillons donc, car nous ne savons ni le jour, ni l'heure.

Mais avec ce que nous voyons au Vatican et dans le monde, nous savons très bien que l’heure du jugement dernier est bien plus proche qu’éloignée.

C’est le test de la foi.

La séparation du bon grain de l’ivraie.

« Cependant le jour du Seigneur viendra comme un voleur ; en ce jour, les cieux passeront avec fracas, les éléments embrasés se dissoudront, et la terre sera consumée avec les ouvrages qu'elle renferme » (Pierre 2, 3.10).

Octobre 2020

24 octobre

LA LIGNE ROUGE

Elle a été tracée.

Pour ou contre le Christ.

Servir Dieu ou Mammon.

Il est temps de faire son choix.

"Dieu parle suffisamment pour que les croyants comprennent, insuffisamment pour que les incroyants ne comprennent pas" (Pascal).

Que la Sagesse et la Grâce de l’Esprit-Saint guident le petit reste afin qu’il ait la capacité de décrypter les paroles ambiguës de l’Antéchrist système et de son représentant au Vatican.

Cette dernière sortie de Bergoglio sur le mariage civil en personnes de même sexe hier a pour but de révéler le schisme de l’église au grand jour.

Maître de l’inversion, Satan, et son fidèle bras droit, la bête de la mer, abattent leur dernière carte et feront des chrétiens fidèles à la « loi et aux prophètes », des infidèles, des exclus, des hors-normes, des « terroristes » qui menacent le nouveau système œcuménique et mondial.

Ce que confirme Mgr Vigano:

« ... l’expérience nous apprend que lorsque Bergoglio dit une chose, il le fait dans un but précis : faire en sorte que les autres interprètent ses paroles dans le sens le plus large possible. Les premières pages des journaux du monde entier annoncent : « Le pape approuve le mariage gay », même si ce n’est pas à proprement parler ce qu’il a dit. Mais c’est exactement ce que lui et le lobby gay du Vatican voulaient réaliser. Alors le service de presse dira peut-être que ce que Bergoglio a dit a été mal compris, qu’il s’agit d’une vieille interview et que l’Église réitère sa condamnation de l’homosexualité comme étant intrinsèquement désordonnée. Mais le mal est fait,..

Derrière chacune de ses sorties, il y a une tentative de susciter la réaction de la partie saine de l’Église, en la provoquant avec des déclarations hérétiques, avec des gestes déconcertants, avec des documents qui contredisent le Magistère. Et en même temps de faire plaisir à ses partisans, surtout les non-catholiques ou catholiques seulement de nom.

À force de provocation, il espère qu’il y aura un évêque qui se lassera d’entendre frapper quotidiennement la doctrine et la morale ; il espère qu’un groupe de cardinaux l’accusera formellement d’hérésie et demandera sa déposition. Et ce faisant, Bergoglio aurait le prétexte d’accuser ces prélats d’être des « ennemis du Pape », d’être en dehors de l’Église, de vouloir un schisme. Il est évident que ce ne sont pas ceux qui veulent rester fidèles au Magistère qui se séparent de l’Église : ce serait absurde…

Avec cette façon d’agir, Bergoglio se pose en « pontife » d’une nouvelle religion, avec de nouveaux commandements, une nouvelle morale et de nouvelles liturgies. Il s’éloigne de la religion catholique et du Christ, et par conséquent de la hiérarchie et des fidèles, les désavouant et les laissant à la merci de la dictature mondialiste. Quiconque ne respecte pas ce nouveau code sera donc ostracisé par la société et par cette nouvelle « église » en tant que corps étranger…

Il y a trois jours, la presse a annoncé que le pape ne célébrerait pas la messe de minuit à Noël. Je me limite à une observation : il y a quelques jours, en état d’urgence Covid, il a été jugé possible de célébrer un rite œcuménique, en présence des fidèles et des autorités, tous masqués. Au contraire, dans les espaces beaucoup plus vastes de la basilique du Vatican, quelqu’un a jugé imprudent de célébrer la naissance du Sauveur lors de la Nuit Sainte.

Si cette décision est confirmée, nous saurons que Jorge Mario Bergoglio préfère s’adonner à la pensée unique et à l’idéologie syncrétiste du Nouvel Ordre Mondial plutôt que de s’agenouiller au pied de la crèche dans laquelle le Roi des Rois est couché. » (benoit-et-moi.fr).

Vous avez bien lu.

Bergoglio a supprimé la messe de la nativité pour Noël 2020.

En fait, tous ses écrits (dont plus de 50% des citations viennent de lui… Si ce n’est pas de l’orgueil) favorisent via l’ambiguïté et les interprétations dans toutes leurs largesses, l’abolition de la relation verticale vers le Père au profit d’une relation horizontale vers la fraternité universelle.

Sans le Christ.

C'est là, la philosopie judéo-maçonnique.

C’est encore plus vrai en ce mois d’octobre 2020.

Il s’agît bien de la Pâques de l’Antéchrist.

Faire mourir l’Église (il n’y arrivera pas) pour une « résurrection » sous l’église universelle œcuménique.

Pour les fidèles à la tradition, c’est le temps de l’épreuve.

Foi, Espérance, Charité sont de mises comme jamais!

« Le pape-antéchrist.

« Il était temps de comprendre que notre foi », ajouta-t-il, « serait sérieusement mise à l’épreuve. Une épreuve permise par Dieu non pas pour nous faire nous perdre, mais pour nous renforcer ». ..

Ce sont les mots et les comportements d’un « antéchrist » : tel est son jugement drastique! ..

Personne ne peut juger la conscience d’un autre, si ce n’est Dieu seul, mais on peut simplement faire remarquer que les « paroles prononcées », dans leur contenu, sont des paroles « de l’Antéchrist ». Dans ce contexte, comme l’a justement souligné l’archevêque Carlo Maria Viganò, il ne serait pas logique de céder à la tentation de se séparer de l’Église de Rome, qui est et reste pourtant la seule à nous garantir sacramentellement et objectivement le lien avec le Christ Sauveur. Certainement un lien, dont nous avons absolument besoin pour nous soutenir dans cette vie et arriver à la béatitude éternelle. » (benoit-et-moi.fr).

Ce concept d’élimination de la relation verticale avec Dieu prend aussi tout son sens lorsqu’on élimine à la fois la notion du Christ Sauveur, et de sa Mère Marie, Mère de Dieu.

« Mère, voici ton Fils, Fils voici ta Mère » a prononcé le Christ sur la croix, s’adressant à la Vierge Marie et à Saint-Jean l’apôtre.

Le seul chemin au Père est via le Christ via la Vierge Marie.

Point.

Alors, comment peut-on en être rendu à ce point?

C’est là tout le sens du mystère d’iniquité.

Bergoglio a banalisé le rôle de Marie hier pour en faire la Mère de tous les humains de la maison commune.

Dans son langage qui laisse les portes ouvertes à toutes les interprétations (dont se raffoleront les musulmans pour l’œcuménisme, puisque Marie y occupe une certaine place), Bergoglio enlève la vérité sur Marie, Mère du monde dans le Christ.

« Plus que jamais les études mariales sont essentielles. Le Pape François en est convaincu : «nous avons besoin de redécouvrir la Madone selon la perspective du Concile», car «les temps que nous vivons sont les temps de Marie» comme l'avait souligné le Concile Vatican II, premier à accorder autant de place à la mariologie. Celle qui est mère et femme «enseigne bien l'alphabet de la vie humaine et chrétienne».
En tant que mère, elle «a fait de Dieu notre frère» et «peut rendre plus fraternels l'Église et le monde» explique François. «L'Église a besoin de redécouvrir son cœur maternelle qui bat pour l'unité mais notre Terre en a besoin également pour redevenir la maison de tous ses enfants» poursuit-il. «Nous avons besoin de maternité, de qui génère et régénère la vie avec tendresse parce que seul le don, le soin et le partage tiennent ensemble la famille humaine. Le monde, sans les mères, n'a pas d'avenir.» (vaticannews.va).

Le monde sans les mères n’a pas d’avenir…

Alors que le jour d’avant, nous apprenons qu’il approuve les unions de même sexe.

Or, c'est là qu'est le drame, car le 29 octobre 1963 ont été enlevé les titres de médiatrice et de corédemptrice à Marie.

Le prisme de Vatican II concernant Marie invoqué par Bergoglio n'est qu'une expulsion directe de l'église.

La boucle Vatican II est fermée, confirmée par Bergoglio, via une mère normale, mère de tous, une mère « protestantatisée » qui ne devient qu’une figure biblique historique, et non médiatrice et corédemptrice.

Tout a commencé avec Paul VI « qui a tenu à vénérer la Vierge Marie sous le vocable de « Mère de l’Église » au cours du concile Vatican II, le 21 novembre 1964, dans son discours d’approbation de la Constitution dogmatique sur l’Église « Lumen Gentium », tout en ne faisant pas partie de celle-ci. » (sedifop.com).

« Lumen Gentium » ou Lumière des Nations. Cela a le mérite d'être clair. On le comprend facilement aujourd'hui. Ce n'est pas la lumière du ciel, mais celle venant de Lucifer ou Satan.

C’est l’esprit des « lumières » si souvent invoqué par la bête de la Terre.

« Lors de la seconde session du concile, il était prévu de faire de Marie un sujet à part entière. Mais il en fut autrement. Donner trop d’importance à la Vierge Marie mettait un frein au rapprochement avec les orthodoxes et les protestants. N'oubliez-pas. L’œcuménisme était déjà à l’œuvre avec Paul VI, et à cause de cela, on lui enleva les titres de médiatrice et de corédemptrice qui étaient prévus à prime abord.
C'est confirmé par l’abbé Berto, secrétaire de Mgr Lefebvre au concile Vatican II :

« LA DATE DE L’ECLIPSE DE L’ÉGLISE : 29 OCTOBRE 1963… Il n'y a qu'une explication. Le funeste vote de la veille, apostasiant l'Évangile des Noces de Cana, loin d'inviter la sainte Vierge, lui avait signifié son congé. Elle encombrait ! La Vierge Marie encombrait le Concile, qui l'invitait à sortir. Oh ! elle ne se l'est pas fait dire deux fois ! La terre n'a pas tremblé, la foudre n'est pas tombée sur Saint-Pierre. La Vierge Marie est sortie discrètement dans un profond silence ; seulement, si discrètement, dans un silence si profond, qu'elle n'a pas dit Vinum non habent, et les destins de la deuxième session ont été scellés. Quand on est un Concile œcuménique et qu'on fait sortir la sainte Vierge, on devrait au moins se rappeler qu'elle ne demande qu'à s'effacer, c'est assez connu, et qu'elle pourrait bien s'effacer trop. » (a-c-r-f.com).

Les prochaines semaines seront houleuses.

On entend les tambours de l’hérésie au loin.

L’ «excommunion » des fidèles à la « loi et aux prophètes », des hors normes, les « sans dents » de la religion catholique, est proche.

C’est la mort des « deux témoins » dans l’Apocalypse.

Et la fin de la prophétie concernant Benoît XVI.

« Marie Très Sainte, fille et mère de Dieu, maîtresse du temps futur, bats le rappel de tes fils dans les campagnes, pour qu'ils abattent les deux Babylone.»

22 octobre

L’EXCLUSION « RELIGIEUSE »


« Le nouveau critère sera ainsi défini : Les vrais chrétiens seront ceux qui partageront toutes les croyances religieuses du Nouvel Ordre Mondial en tant que nécessité de base pour la survie de l’humanité. » S. Monast, 1995.

« Alors on vous livrera aux tortures et on vous fera mourir, et vous serez en haine à toutes les nations, à cause de mon nom.
Alors aussi beaucoup failliront ; ils se trahiront et se haïront les uns les autres.
Et il s'élèvera plusieurs faux prophètes qui en séduiront un grand nombre.
Et à cause des progrès croissants de l'iniquité, la charité d'un grand nombre se refroidira.
Mais celui qui persévérera jusqu'à la fin sera sauvé...

Quand donc vous verrez l'abomination de la désolation, annoncée par le prophète Daniel, établie en lieu saint, — que celui qui lit, entende ! — alors que ceux qui sont dans la Judée s'enfuient dans les montagnes.. » (Matthieu 24).

Voilà.

L’exclusion « religieuse » prend présentement une dimension qui n’est pas uniquement orientée contre la chrétienté.

Tous ceux qui ne partage pas les valeurs laïques, c’est à dire les valeurs « religieuses » du système humaniste, sont présentement en phase d’exclusion sociale.

Nous n’avons qu’à être témoin du degré d’intolérance face à la liberté de penser qui s’est installée… volontairement… par le laisser faire du peuple… et de l’église.

Les groupes extrémistes MINORITAIRES sont utilisés par l’élite dominante via les médias qu’ils possèdent pour stigmatiser ceux qui sont dans la « norme ».

Groupes pro-avortement, pro-LGBT, pro minorités raciales, mots ou images que les professeurs ne peuvent plus montrer ou prononcer dans les classes, etc..

Tout tend à une uniformisation vers la pensée unique.

Le contre-nature devient la norme.

C’est ce que François a confirmé hier en approuvant les mariages civils de même sexe.

Alors, quand le Christ nous averti sur cette période de fin des temps, il faut évidement y inclure les tortures morales, mentales, etc. qui font mourir l’âme.

D’où le conseil précieux de fuir dans les montagnes, c’est à dire à l’écart des deux Babylone, dans sa « caverne » intérieure, dans la prière et le silence.

Avec la pandémie et les confinements, la propagande de la peur et de la désinformation, etc., la société ne peut qu’être témoin de troubles psychologiques, qui augmentent exponentiellement, ainsi que de voir les suicides augmenter.

Ce que les dernières données démontrent.

Une augmentation de plus de 50% des cas en psychiatrie à certains endroits, et des suicides de plus en plus chez des jeunes qui ne voient plus d’avenir.

Cette politique de peur fait craindre le pire avec les élections américaines : une ruée incroyable d’achat d’armes à feu aux États-Unis.

Les américains vont probablement réaliser la prophétie politique de Jean XXIII sur la guerre civile américaine (Les États-Unis libérés).

Le despotisme est en place.

Le FMI a demandé cette semaine au monde financier et politique de repartir avec un nouveau pacte comme celui de Bretton Woods de 1944 (monnaie basée sur l’étalon or, jusqu’en 1971) et qui serait aligné sur l’« économie verte ».

Il n’est donc pas étonnant de voir le pape et la fille de Caïn (Greta Thunberg, voir analyses précédentes) rejoindre la philosophie de l’élite financière.

C’est cette période exacte qui est décrite dans l’Apocalypse :

«  C'est ici qu'il faut un esprit doué de sagesse. — Les sept têtes sont sept montagnes, sur lesquelles la femme est assise. Ce sont aussi sept rois :

Les cinq premiers sont tombés, l'un subsiste, l'autre n'est pas encore venu, et quand il sera venu, il doit demeurer peu de temps.

Et la bête qui était et qui n'est plus, en est elle-même un huitième et elle est des sept, et elle s'en va à la perdition.

Et les dix cornes que tu as vues sont dix rois qui n'ont pas encore reçu la royauté, mais qui recevront un pouvoir de roi pour une heure avec la bête. »

Les sept rois (papes) depuis le pacte du Latran sont passés… ou presque.

Il ne reste que Benoît XVI.

Les dix rois qui vont donner la puissance au dragon (Satan) sont en places.

C’est le mouvement actuel de l’élite judéo-maçonnique, le dernier acte avant la proclamation de victoire de l’Antéchrist.

Acte dont un sacrifice probable à Satan le jour (16 octobre) de la décapitation de la reine Marie-Antoinette, le jour où Netflix sort sa série sur la récapitulation de la révolution de 1789.

La bête de la Terre Macron glorifie l’esprit des « lumières » à profusion depuis.

Aucune surprise donc de ce côté.

En contrepartie, que fait le Vatican pour réconforter et orienter le chrétien catholique vers le seul et unique but de la vie, le Salut de son Âme?

Rien, ou presque.

Le Vatican via la bête de la mer (François, celle qui domine les foules (la mer)) alimente le feu et oriente les âmes vers le précipice.

« Jésus ayant abordé de l'autre côté du lac, dans le pays des Géraséniens, deux démoniaques sortirent des sépulcres et s'avancèrent vers lui ; ils étaient si furieux, que personne n'osait passer par ce chemin.

Et ils se mirent à crier : " Qu'avons-nous à faire avec vous, Jésus, Fils de Dieu ? Êtes-vous venu ici pour nous tourmenter avant le temps ? "

Or il y avait, à quelque distance, un nombreux troupeau de porcs qui paissaient.

Et les démons firent à Jésus cette prière : " Si vous nous chassez d'ici, envoyez-nous dans ce troupeau de porcs. "

Il leur dit : " Allez. " Ils sortirent du corps des possédés, et entrèrent dans les pourceaux. Au même instant, tout le troupeau prenant sa course se précipita par les pentes escarpées dans la mer, et ils périrent dans les eaux… » (Matthieu 8, 28-34).

«  Grâce à la peur, le citoyen (qui est devenu patient) peut seulement se laisser guider. La naissance, en pleine pandémie, d’une task force gouvernementale contre les fake news est significative. Dans une démocratie libérale, ce sont les citoyens qui se font une idée du problème grâce à la libre confrontation des sources et des opinions. Dans ce cas, au contraire, le gouvernement a prétendu établir lui-même ce qui est la vérité et ce qui est un mensonge, ce qui est une information vraie et ce qui ne l’est pas, quelles nouvelles et interprétations méritent d’être diffusées et ce qu’il faut arrêter.

Biopolitique et bioinformation vont de pair dans le domaine du despotisme paternaliste.

Aldous Huxley, dans son roman dystopique Le Meilleur des Mondes, imaginait que le conditionnement se faisait la nuit, pendant que les sujets dormaient, par l’administration d’un certain type de messages. Aujourd’hui, le conditionnement a lieu devant la télévision au moment des informations.

Un récit approprié peut pousser un peuple entier à se suicider par peur de mourir. C’est ce que nous sommes en train de voir.

Ce n’est pas l’ampleur réelle du danger qui importe, mais l’ampleur perçue. Ce n’est pas ce qui est, mais ce que les gens pensent qui est, en fonction du récit qui leur est imposé…

Nous avons eu l’attaque contre l’Église. Avec la nouveauté que l’Église, au lieu de résister, s’est adaptée, se montrant encore plus royaliste que le roi. Prévisible, étant donné que l’Église ne met plus Dieu mais l’homme au centre, non pas le salut de l’âme mais la santé psychophysique…

Pour l’Église, c’était et c’est encore une grande occasion manquée. L’Église aurait pu enfin nous parler de la mort, du péché originel, de la signification de la souffrance et du mal. Elle a choisi de devenir l’Église d’État. Elle a parlé comme le gouvernement. Elle s’est concentrée sur les procédures d’assainissement et non sur le chemin de la sainteté. Elle était encore plus terrifiée que le reste de l’opinion publique. Elle a transformé ses prêtres en masques grotesques et la célébration eucharistique en une parodie blasphématoire, avec du désinfectant au centre de l’autel, comme nouvel objet d’adoration. L’Église n’a pas résisté au récit fondé sur la terreur. Elle s’est adaptée et a collaboré. Elle n’a pas dénoncé l’atteinte à la liberté religieuse et à la liberté de culte : elle s’est montrée anxieuse de se faire limiter et contrôler. L’épouse du Christ a tourné le dos à son Seigneur et a rejoint le scientisme, se laissant obséder par le mythe de l’hygiénisation. Elle a pris soin d’expliquer ce que Dieu ne peut pas faire.

Elle s’est bien gardée d’offrir au Seigneur l’occasion d’accomplir un miracle...»

… Curieux : au moment même où l’Église a déserté, voilà que nous sont imposés des modèles religieux. Nous avons une Trinité (Science, Santé, Sécurité), nous
avons le péché (ne pas collaborer, ne pas montrer de responsabilité), nous avons la punition (être littéralement excommunié, mis hors de la communauté comme indigne, si nous n’acceptons pas le récit dominant), nous avons les écritures sacrées (les mass media alignés), Nous avons la demande urgente de conversion (à la technoscience), nous avons l’identification de la croyance avec le salut, nous avons les nouveaux bâtons qui jugent tout et tous et qui mettent hors de l’assemblée civile les quelques personnes qui ne veulent pas s’aligner, considérées comme mécréants. » (benoit-et-moi.fr).

Père éternel et tout puissant,
Dans la communion de tous les saints,
Avec tous les esprits célestes et terrestres qui t'adorent, Au nom de ta miséricorde,
Nous te supplions humblement par les mérites infinis des très saints cœurs de Jésus et de Marie,
De bien vouloir hâter le retour glorieux de ton fils Jésus-Christ sur terre,

Afin que Ton nom soit sanctifié,
Que Ton règne vienne
Et que Ta volonté soit faite Sur la terre comme au Ciel.

Père bien aimé, sois attentif aux louanges et
Aux satisfactions que t'offrent les Très saints cœurs de Jésus et de Marie,
Au nom de tes pauvres créatures et de ta création tout entière,
Spécialement au nom de Ton Église et de tes élus,
Pour que l'heure du retour glorieux du Christ sur la terre soit accomplie.

Que ton Évangile Seigneur soit proclamé à toutes les nations;
Que le Christ revienne dans sa gloire de ressuscité, de fils de Dieu,
Par le triomphe de son sacré-cœur Et du cœur immaculé de Marie,
Pour détruire à jamais le mal et la mort,
Et établir ton règne et ton royaume d’amour,
Afin que soient manifestées,
Seigneur Dieu tout puissant et éternel,
Auprès de toutes tes créatures
Et de toute ta création,
Dans tout l'univers visible et invisible,
Ta puissance et ta gloire éternelles qui ne passent pas,
La puissance et la gloire éternelles
De l'agneau vainqueur à tes côtés,
La puissance et la gloire éternelles que Tu donnes à Marie sa très sainte Mère, Ta bien aimée.

Car c'est à toi seul Père, Fils et Saint-Esprit Un seul Dieu en trois personnes,

Qu'appartiennent Le règne La puissance et La gloire Pour les siècles des siècles.

AMEN !!

(Natalie Saracco).

16 octobre

Quelques extraits de la critique de Mgr Schneider sur l’encyclique « Fratelli tutti » :

« L’évêque auxiliaire d'Astana, au Kazakhstan, critique le document pour avoir dénaturé saint François, fait progresser le relativisme religieux et interprété les réalités spirituelles et théologiques d'une «manière naturaliste et rationaliste» qui exacerbe la «crise vieille de plusieurs décennies d'affaiblissement de la perspective surnaturelle dans la vie de l'Église».

« Le Pape François utilise ici l'expression «Fratelli tutti» (tous frères) d'une manière qui est clairement différente de celle de saint François. Pour saint François, «tous frères» sont ceux qui suivent et imitent le Christ, c'est-à-dire tous les chrétiens, et certainement pas simplement tous les hommes, et encore moins les adeptes de religions non chrétiennes. »

« La foi chrétienne, insiste l'évêque auxiliaire, «ne peut pas être mise sans discernement au même niveau que les autres religions; ce serait une trahison de l'Évangile...

Mgr Schneider note également comment la vision de la fraternité de la nouvelle encyclique - qui est naturaliste plutôt que centrée sur le Christ - s'apparente à la pensée franc-maçonnique. Au prix d'une «aspiration universelle à la fraternité pour la paix dans le monde», observe-t-il, le Christ en tant que seul Sauveur et Roi de toute l'humanité est «sacrifié»...

Mgr Schneider termine en appelant, par l'intercession de saint François, que le pape François se détourne d'une telle «absorption excessive [dans] les affaires temporelles» et, citant saint Hilaire de Poitiers, avertit que «ne pas accepter le Christ est le plus grand danger pour la monde." » (remnantnewspaper.com).

Et, comme l’a déjà affirmé Benoît XVI :

« un Pape ne peut et ne doit pas utiliser la Chaire de Pierre pour affirmer ses idées et opinions personnelles, mais seulement et toujours l'enseignement de l'Église ».

(Benoît XVI, Mai 2013, Latran via Antonio Socci)

Tout est contraire à la doctrine des pères de l’Église avec François.

Le mystère d’iniquité, spécialiste de l’ambiguïté, a le don de rassembler des bouts de paroles de l’écriture et des Saints afin de mieux séduire, de faire pencher la balance vers la religion humaniste, et ainsi damner des âmes.

Pour le 13 octobre, journée si importante reliée au miracle de Fatima, Bergoglio n’a fait aucune mention de Notre-Dame du Rosaire.

Rien.

Mais par contre, il a souligné le 1er anniversaire de son synode de la Pachamama.

Comme il se doit.

Enfumer le peu de chrétiens qui ont encore la foi est devenu son motus operandi.

Le Vatican a fait imprimé une pièce de 10 euros rendant hommage à la mère Terre, faisant le lien entre son encyclique (tous frères) et la maison commune (sur cette terre soulagée des serviteurs de la porte appartenant aux élites).

Par la présentation de cette pièce d’argent, Bergoglio a évincé La Sainte Vierge.

La fausse religion prophétisée par Anne Catherine Emmerich est bel et bien en place.

Quant à l’encyclique, le Vatican en fait une très forte promotion depuis sa parution, par exemple, sans surprise, en vantant les mérites de « Fratelli tutti » dans le monde musulman (vaticannews.va).

C’est une autre preuve que nous sommes entrés dans la dernière phase du plan judéo-maçonnique d'élimination et de soumission de l'Église.

D’ailleurs, le pacte éducatif proposé par Bergoglio hier, n’est nul autre qu’une poussée rapide vers le nouveau système humaniste en cours, avec le même refrain entendu partout : « à cause de la pandémie ».

De plus, Bergoglio utilise déjà ses propres citations de l’encyclique en référence!

« Une crise globale, estime le Pape, qu’il faudra accompagner par «un nouveau modèle culturel». (François)

« La nécessité d’un nouvel agenda, d’un nouvel engagement de toute la société pour l’éducation s'impose. » (la directrice générale de l'Unesco, Audrey Azoulay via Vaticannews.va)

Nations-Unies, Organisation Mondiale de la Santé, UNESCO,…

Il y a toujours un lien direct et fort entre François et les organismes mondialistes dans les dossiers importants.

L’Agenda 2030 est d’abord et avant-tout spirituel car le religieux est au-dessus du politique.

D'où la nécessité des publications socialistes de François.

La prophétie de Jean XXIII concernant Benoît XVI est ainsi confirmée :

Il y a bel et bien deux Babylone.

Le Vatican et les Nations-Unies.

Nous sommes en plein dans cette période citée par le regretté Serge Monast (1995; voir analyses antérieures) :

 « L’Église, sous le pouvoir de l’anti-pape, sera absolument identique à L’Église de Jérusalem au temps de Jésus-Christ. Elle partagera l’idéologie des Nations Unies de la même manière que les prêtres du Temple partageaient l’idéologie et le pouvoir avec les Romains. Elle conservera les croyances en Jésus-Christ comme façade (…) et établira de nouveaux concepts religieux, tous basés sur la divinité de l’homme. »

« Le nouveau critère sera ainsi défini : Les vrais chrétiens seront ceux qui partageront toutes les croyances religieuses du Nouvel Ordre Mondial en tant que nécessité de base pour la survie de l’humanité. »

Tout se précise.

En voici un exemple dans cette vidéo : « Un jeune prêtre suspendu pour avoir refusé de célébrer une messe oecuménique avec les protestants » (via Chrétiens Magazine ), suivi d’un témoignage de Natalie Saracco qui sort l’artillerie lourde « catholique » concernant l’importance de la Vierge Marie, de l’Eucharistie, et de la prière pour notre temps, pour la fin des temps, pour contrer le mal et hâter le retour en Gloire de NSJC.

13 octobre

En août 2019, Mark Carney, alors directeur de la Banque D’Angleterre, lors d’une réunion des banquiers à Jackson Hole aux États-Unis, mentionna que le dollar américain était trop fort, qu’il devait disparaître et être remplacer par une monnaie digitale.

Peu de temps après apparaissait une pandémie mondiale.

Ordo ab chao.

L’ordre par le chaos.

C’était le coup d’envoi pour la grande réinitialisation annoncée pour 2021 (déjà révélée par le discours de janvier 2014 de Christine Lagarde, alors directrice du FMI), avec comme grand objectif l’ « Agenda 2030 » des Nations-Unies.

Il n'y a pas longtemps, la Réserve Fédérale américaine annonçait son intention de créer sa propre monnaie digitale.

Ce fut au tour de l’Union Européenne la semaine dernière (Digital Euro ou DE).

Et ce fut le test du yuan digital chinois hier.

À surveiller donc le lundi 19 octobre, date anniversaire du krach économique de 1987, puisque Satan et la clique judéo-maçonnique voudront peut-être célébrer les 33 années qui se sont écoulées, en affront à l’âge du Christ, ou en reconnaissance des 33 degrés maçonniques.

Il se peut que cela soit le point de bascule financier avant la renaissance du Phoenix (en référence à la revue The Economist de 1988).

Pierre Hillard, dans sa dernière entrevue  explique cette transition importante dont nous sommes partie prenante, et qui devrait s’accélérer en 2021.

Il mentionne le besoin d’éduquer les futures générations aux principes de la nouvelle dictature.

Pas étonnant que jeudi prochain, Bergoglio livrera son discours concernant son pacte sur l’éducation où il espère voir plusieurs nations y adhérer.

Nous venons de franchir aujourd’hui au niveau spirituel l’étape si importante des 103 ans du miracle du Soleil à Fatima.

Nous étions averti et le monde ne s’est pas converti, loin de là.

Tout devrait s'accélérer.

Notre-dame du Rosaire, délivrez nous des griffes de Satan!

9 octobre

Benoît XVI et la « fraternité »

Le thème de la « fraternité » développé par Bergoglio dans son encyclique est issu de l’idéologie des « lumières » de la révolution de 1789.

Cette fabulation judéo-maçonnique est fortement mis en pratique par l’immigration de masse, concept qui force la dilution de la chrétienté, surtout en Europe.

C’est le nivellement par le bas pour l’élite, afin de contrôler et le peuple et les richesses terrestres.

Le concept de fraternité à la sauce franc-maçonne est inatteignable car ce sont les différences qui enrichissent les humains, et en conséquence l’âme peut faire des choix pour s’élever.

Pourtant Bergoglio devrait avoir le discernement, vu la fonction qu’il occupe, pour faire obstacle à ce plan satanique.

Mais non.

Il pousse le concept à son extrême prouvant hors de tout doute que l’idéologie des « lumières » a infecté l’église dans ses moindres recoins, jusqu’à la tête.

« Rome perdra la Foi et deviendra le siège de l'antéchrist » (Mélanie de La Salette).

Le triomphe de ces derniers issus de l’église conciliaire est imminent… Et leurs pertes aussi.

On commence à comprendre plus précisément la prophétie politique #26 « Lumière de la Lumière » de Jean XXIII, basé sur la « fraternité universelle », qui renie la Mère, et le Fils.

Benoît XVI, avant le concile Vatican II, avait bien identifié l’arnaque, le poison issu des « lumières » (Aufklärung), ce concept de fraternité qui ne mène qu’au vide.

Le prix à payer est énorme : c'est la perte de son âme.

Il n’est pas étonnant de voir que ce vide produit inévitablement temporellement des hausses de troubles mentaux et de suicides dans nos sociétés...

« le problème posé par le sens élargi du mot "frère" est résolu ici d’une manière très radicale : la qualité de frère ne fonde plus deux zones distinctes de comportement moral, mais, en son nom précisément, toutes les barrières sont détruites et le comportement moral, dont les impératifs valent identiquement à l’égard de tous les hommes, est totalement unifié. Abolir ainsi résolument les barrières représente indubitablement quelque chose de très grand, mais le prix en est élevé : le sentiment fraternel démesurément étendu devient irréel et vide de sens. »

« En dépit de toute son ouverture et de tout son universalisme, la notion de fraternité, nous l'avons vu, ne s’étend pas sans aucune limite à tous les hommes. Tout homme peut devenir chrétien, mais celui-là seul qui le devient effectivement est frère. »

« Si l’on compare ces textes avec leurs correspondants chez Épictète, l’avantage de la fraternité restreinte, à l'encontre de l’idée d’humanité universelle, devient évident : la première crée un lien réel, là où la seconde reste un idéal vide. »

(Joseph RATZINGER, Frères dans le Christ ; l’esprit de la fraternité chrétienne, Paris, Les éditions du Cerf, 1962, 117 pages).

Il n’y a pas de lien dans la fraternité universelle.

C’est clair.

Le seul lien valide, c’est le Christ.

Sans ce lien, point de Salut.

Ce lien ABSENT de  l’encyclique de Bergoglio.

Sa foi est dans l’humanisme et dans sa fraternité avec l’islam.

Conséquemment, il prouve par ses paroles et ses écrits hors contexte de Jésus, sa croyance en Jésus le « prophète ».

Ce qui ouvre la porte pour l’élite talmudiste, qui accepte bien ce concept de « prophète », rejetant unilatéralement le Christ comme Messie et vrai incarnation de Dieu.

La table est mise.

De grands malheurs se propagent à l’horizon pour Bergoglio.

Après le triomphe éphémère… La chute.

On ne pensait sûrement pas à ce scénario prophétisé par Jean XXIII lorsque le cardinal Bergoglio a prononcé son « bonsoir » le 13 mars 2013, suivi de son désir de ne pas suivre les protocoles et de s’installer à Sainte-Marthe.

Nous pensions à se désir de retourner au message essentiel du Christ, du pauvre pour les pauvres.

Mais non pas à une promotion effrontée du marxisme socialisme.

Nous pensions à un règne bref mais grand par sa mission de rassembler tous les fidèles autour du Christ pour le dernier droit de la fin des temps.

Peine perdue.

C’était déjà un indice de la catastrophe annoncée.

Pourtant Notre-Dame du Rosaire nous avait averti à Fatima : le communisme a répandu son poison.

Nous avons une église parallèle et une Église Sainte, Catholique, et Apostolique toujours vivante.

Le mystère d’iniquité bat son plein.

Cette église parallèle a besoin de saints modernes pour faire écran et pour faire oublier les vrais Saints de l’Église qui ont été martyrs par amour du Christ, qui ont été fidèles à sa parole, et qui sont sources d’inspirations pour le petit reste d’aujourd’hui en ces temps difficiles.

Demain, l’église béatifiera un jeune homme, le premier saint moderne en devenir à être exposé en baskets et en jeans!

Notez qu’à la manière de Lénine, Jean XXIII, et plusieurs autres de la « fraternité », il a subi quelques manipulations pour faire croire à l’imputrescibilité de son corps charnel.

« .. « Pour la première fois dans l’histoire, vous verrez un homme béni vêtu d’un jean, de baskets et d’un sweat-shirt », s’est réjoui Mgr Sorrentino, évêque d’Assise, lors de la messe consacrant l’ouverture de la tombe du futur bienheureux le 1er octobre…

Le corps du jeune Italien n’a pas été retrouvé « intact » mais « intègre », c’est à dire muni de tous ses organes, a encore expliqué l’évêque d’Assise. S’il est passé par une phase normale de décomposition, il a été réassemblé avec « art et amour » pour être présenté aux fidèles. Carlo ayant subi une hémorragie du cerveau à la fin de sa vie, une reconstruction de son visage a en effet été nécessaire. D’une certaine manière, son visage « juvénile » est de nouveau visible, a expliqué le prélat. Quant à son cœur, que l’on peut désormais considérer comme une relique, il se trouve désormais dans la Basilique Saint François d’Assise, auprès du saint qu’il admirait…

Dans moins d’une dizaine de jour, le 10 octobre prochain, le geek de Dieu, dont la vie courte mais intense a bouleversé sa famille et ses amis, sera inscrit au registre des bienheureux… » (fr.aleteia.org).

« Le geek de Dieu ».

Comme quoi cette église déchue a besoin d’une image moderne pour aller chercher les jeunes et les enfumer.

Babylone la grande, ton temps achève!

05 octobre

L’Église agonise.

C’est ce que Bergoglio confirme avec une encyclique « fratelli tutti » vide de sens (vatican.va).

Sauf pour la judéo-maçonnerie.

C’est un ramassis de différents auteurs (il se cite lui-même ainsi que la plupart des papes conciliaires) qui sème la division au lieu de rassembler autour du Dieu unique, du Christ.

Mensonges, déformation des paroles du Christ.

C’est là le produit d’un pape de terrain socialiste dépourvu de théologie.

Abandon complet de la doctrine.

C’est là le coup formidable et l’aveuglement voulu pour aboutir à la nouvelle religion mondiale.

C’est le tour de passe passe du mystère d’iniquité.

Il rassemble des bouts de phrases pris hors contexte pour en faire volontairement un texte dilué impossible à synthétiser où tous trouveront leur compte pour la nouvelle religion mondiale.

« Rêvons en tant qu’une seule et même humanité, comme des voyageurs partageant la même chair humaine, comme des enfants de cette même terre qui nous abrite tous, chacun avec la richesse de sa foi ou de ses convictions, chacun avec sa propre voix, tous frères.»

« L’ouverture croissante de l’amour

§95 :  L’amour nous met enfin en tension vers la communion universelle. Personne ne mûrit ni n’atteint sa plénitude en s’isolant. De par sa propre dynamique, l’amour exige une ouverture croissante, une plus grande capacité à accueillir les autres, dans une aventure sans fin qui oriente toutes les périphéries vers un sens réel d’appartenance mutuelle. Jésus nous disait : « Tous vous êtes des frères » (Mt 23, 8).»

Voilà un exemple typique.

Nous sommes tous frères et sœurs dans le Corps Mystique du Christ, seul chemin menant au Père.

Ce que ne mentionne pas Bergoglio.

C’est la religion catholique qui se plie aux demandes du reste du monde alors que cela devrait être le contraire, surtout en ces temps si importants.

Mgr Vigano (benoit-et-moi.fr) a bien démystifié l’écran de fumée :

« La dimension surnaturelle est totalement absente, tout comme la référence à la nécessité d’appartenir au Corps Mystique du Christ qu’est la Sainte Église pour atteindre le salut éternel. Il y a même une très grave erreur d’interprétation du concept de « fraternité » : pour le catholique, elle n’est possible que dans le Christ si l’on a Dieu comme Père par le baptême (Jn 1, 12), alors que pour Bergoglio, elle se réaliserait par le simple fait d’appartenir à l’humanité…

L’aplatissement (/alignement) de l’encyclique sur la narration au sujet du Covid (§7 et §32, ndt) laisse sans voix, confirmant l’asservissement à la pensée unique et à l’élite mondialiste ; on n’est pas non plus surpris par l’insistance obsessionnelle sur l’unité et la fraternité universelle, en même temps que la condamnation du droit légitime de l’État à protéger son identité non seulement de culture mais aussi et surtout de Foi…. »

La conclusion est la seule indication importante.

Bergoglio se commet.

L’encyclique se termine même avec deux prières : une prière de fraternité pour toutes les religions, et une autre œcuménique pour les religions chrétiennes.

Nous nous savons que séparé de la vigne, le cep ne peut donner de fruits.

Alors qu’il faut crier en cette fin des temps que c’est par le Christ et en Christ que l’humanité accédera à la Vie Éternelle.

En dehors de ce chemin, point de Salut.

Le chas de l’aiguille est étroit.

Bergoglio l’a oublié.

Il est le destructeur.

Celui qui a usurpé le trône de Saint-Pierre.

« … il y a la volonté délibérée de démolir l’Église elle-même, de la discréditer devant le monde, de compromettre son autorité et son pouvoir devant les fidèles. L’opération à laquelle nous assistons depuis ces sept années funestes vise clairement à la destruction de l’institution catholique, par la perte de crédibilité, la désaffection et le dégoût pour les actions et les comportements indignes de ses membres; une opération qui a commencé avec les scandales sexuels déjà sous les précédents pontificats, mais qui cette fois-ci voit le protagoniste, l’acteur principal, celui-là même qui siège sur la Chaire, et qui avec ses propres mots et ses propres actes est capable de porter les coups les plus dévastateurs à la papauté et à l’Église… »

(Mgr Vigano commentant la dernière mis à pied du cardinal Becciu; benoit-et-moi.fr)

Vivement le retour de NSJC.

Par lui, avec lui et en lui, à toi, Dieu le Père tout-puissant, dans l’unité du Saint-Esprit, tout honneur et toute gloire, pour les siècles des siè­cles .

Amen.

01 octobre

Nous y voilà.

Octobre, le mois qui révélera le triomple éphémère de Babylone la grande.

La nouvelle religion luciférienne « catholique » est mûre, après des années de destruction-contruction.

Car les plans du clan judéo-maçonniste ont fonctionné à merveille.

Plans révélés dans « Le diable au XIXème siècle ».

C’est le double jeu, l’inversion prônée par Satan qui règne.

Ces élites reprennent les mêmes mots et utilisent le contre-nature contre l’ordre naturel créé par le Père Céleste (dégradation des valeurs traditionnelles).

Le titre « catholique » est réservé à nous seuls clament-ils, et de ce fait, ils l’utilisent pour mélanger les chrétiens catholiques conciliaires qui ne s’y retrouvent plus, surtout quand un pape nommé François utilise le même stratagème.

Dans cette substitution de civilisation, les élites œuvrent en parallèle pour la destruction du temple d’Adonaï (Notre Père Céleste et son Fils, donc le Dieu mauvais selon eux) pour l’édification du temple de Lucifer (le dieu bon désigné par eux).

Les rites sont ainsi inversés subtilement jusqu’à l’aboutissement de ce dont nous avons été témoins avec Bergoglio :

L’abandon des dogmes pour les remplacer par des cultes idolâtres qui sont présentés comme bénéfiques pour l’homme déifié.

Absence de Dieu. Cultes païens, à même la basilique Saint-Pierre.

La religion laïque humaniste avec comme dogmes l’écologie, l’économie socialiste, l’immigration n’a qu’un seul but, auquel participe activement la bête de la mer, Bergoglio :

Niveler par le bas et permettre à l’élite dominante de s’accaparer les ressources planétaires, alors qu’on fait croire à l’égalité de tous.

Satan est le prince du mensonge et beaucoup vont être déçus.

La dictature sanitaire instaurée représente la dernière bataille pour gagner leur guerre.

Au lieu de se lever et de prêcher la parole du Christ en ces circonstances, Bergoglio s’est adressé aux Nation-Unies en s’aplatissant comme il l’avait fait lors de la présentation de son encyclique « Laudato Si » qui lui est si cher, le 25 septembre 2015.

Dans son message à propos du Covid-19, il n’a fait

« …  Aucune référence à d’éventuelles causes non naturelles, aucune mention des multiples intérêts qui poussent pour prolonger l’épidémie de manière artificielle, pas un mot sur les mouvements de protestation qui ne peuvent pas tous être considérés comme négationnistes, ni sur la complicité de la presse dans le maintien en vie d’une peur collective habilement induite et sans vérification dans la réalité, aucune réflexion sur le manque de fiabilité de nombreuses données fournies par les autorités, aucune référence aux dangers d’une « dictature sanitaire » mondiale.

Covid, mondialisme et souverainisme, vaccins, climat : dans son message aux Nations unies pour le 75e anniversaire de la fondation, le pape François affronte les thèmes d’actualité mais en s’adaptant au sentiment dominant, sans aucun relief original inspiré de la doctrine sociale de l’Église.(benoit-et-moi.fr) »

Voilà.

La table est mise pour l'encyclique « fraternelle » de samedi.

Le mois du Rosaire n’aura jamais été aussi important de toute l’époque chrétienne.

Septembre 2020

27 septembre

La révélation

La sixième période de l’Apocalypse est sur le point de se terminer avec la mort (apparente) de l’Église.

Clouée sur la croix comme NSJC, l’Église sème le doute chez les chrétiens comme les disciples l’ont été au pied de la croix il y a un peu plus de 2000 ans.

Mais, elle ne peut mourir.

L’abbé Puga le confirme dans une homélie (vers une prochaine suppression de la messe traditionnelle?) convaincante. (Eglise Saint-Nicolas-du-Chardonnet)

Parallèlement, la Pâques de l’Antéchrist est sur le point d’arriver (voir analyses du printemps 2020).

La crise du « Covid deuxième vague » entraînera la mort planifiée de  « l’Antéchrist système » pour mieux ressusciter avec la « grande réinitialisation ».

Pierre Hillard en est convaincu, comme plusieurs.

C’est une question de semaines, ou de mois.

Entretien (longue mais tellement révélatrice) avec Pierre Hillard du 17 septembre.

Pour entrer dans la septième période de l’Apocalypse, soit la retour en gloire du Christ, il faut assister à la mort des deux témoins.

Rappelons que les deux témoins représentent les fidèles à la loi et aux prophètes, les laïcs, et le clergé.

C’est après cette mort provoquée que l’Antichrist et Babylone la grande sont anéantis (échec donc de la « grande réinitialisation »).

Si tout semble au point mort quant à la visibilité apparente des châtiments, beaucoup seront surpris quant à la vitesse à laquelle arrive et se déroule le 7ème sceau.

Car, la mort des deux témoins ne dure que 3 jours et demi, comparativement à 3 ans et demi de règne de « l’Antichrist système ».

C'est probablement un ordre de grandeur, de comparaison, ou peut-être une durée exacte. On ne sait.

Mais, pendant ce court laps de temps, l’Apocalypse nous révèle que durant ses 3 jours et demi que Babylone la grande sera en fête : enfin débarrassé de l’obstacle majeur, l’Église Catholique, Une, Sainte et Apostolique, Satan pourra grimper sur le trône et soumettre Babylone à ses pieds.

Le décès du Katéchon, Benoît XVI, sera LE signe visible de la chrétienté catholique concernant la mort des deux témoins.

C’est ce que confirme d’ailleurs la fin de la prophétie le concernant avec l’appel de Jean XXIII pour la chute des deux Babylone, le Vatican et les Nations-Unies, bref le système de l’homme déifié.

Le nouvel encyclique de Bergoglio dans moins d’une semaine nous donnera l’heure juste quant à son concept de fraternité qui devrait contenir quelques hérésies et peut-être même une direction donnée pour un changement majeur de la messe, la suppression du décret de Benoît XVI concernant la messe traditionnelle ou la suppression de la Transsubstantiation dans un nouveau concept œcuménique.

Ainsi, les opposants à cet encyclique ou cette suppression n’auront d’autre choix que de quitter l’Église, le grand schisme annoncé par Anne Catherine Emmerich, ou bien demeurer dans une Église qui aura manifestement rejeté le Christ, confirmant la grande apostasie annoncée.

Pour les « deux témoins », cette situation équivaut à la mort.

Pour 3 jours et demi.

Tout va s’accélérer.

16 septembre

Les signes de « feux du ciel ».

La grande purification par le feu.

NSJC nous avait avertit bien à l’avance quant aux derniers temps :

« Aussitôt après ces jours d'affliction, le soleil s'obscurcira, la lune ne donnera plus sa lumière, les étoiles tomberont du ciel, et les puissances des cieux seront ébranlées. »

Cette période est pour le retour dans la gloire de NSJC, après la chute de Babylone, donc les 3 jours du Jugement dernier.

Et comme avertissements, nous avons à l’approche d’octobre les cieux embrasés de la Californie, lieu excellence de perdition, et spécialement San Francisco (Saint François) et Los Angeles (Les Anges... « déchus »?) Ciel de San Francisco

Ce qui provoque évidement aussi des lunes de sang, comme en témoigne ici cette image prise à Guadelupe (en référence à Notre Dame de Guadelupe), Californie (spaceweathergallery.com).

La fumée a déjà traversé l'Amérique du Nord et commence à se répandre sur l'Europe.

C'est le même scénario au Brésil.

Aussi, 2020 a été caractérisée comme « l’année des planètes » par certains astronomes.

Juillet a été témoin d’un marathon de planètes.

Autour du 23 juillet, toutes les planètes du système solaire  ont été visibles simultanément peu avant la fin de la nuit.

Or, aussi le 6 octobre, la planète Mars sera au plus près de la Terre, du jamais vu depuis…

60000 ans!

Puis le 13 octobre, jour symbolique relié à Fatima en 1917, Mars, le Soleil et la Terre seront en opposition.

On peut déjà voir la planète Mars se lever vers 21h00 à l’est.

Elle est déjà aussi rouge que les feux cieux californiens.

C’est époustouflant. Cela promet.

Mars, c’est le dieu de la guerre.

Elle représente le feu en franc maçonnerie.

Et puisque la symbolique est suivie de près par la kabbale, ils en profiteront matérialiser leurs plans en ce mois d’octobre.

Mars fait parti des quatre points cardinaux reliés aux 4 officiers qui orientent une loge maçonnique :

« Le Feu à la Force...le Bélier à Mars...le Couvreur à la Connaissance
L'Air à la Justice...la Balance à Vénus...le Vénérable au Pouvoir
L'Eau à la Tempérance...le Cancer à la Lune...le 1 er Surveillant au Devoir
La Terre à la Prudence...le Capricorne à Saturne...le 2 nd Surveillant au Vouloir

Ces quatre Officiers définissent l'espace sacré d'un Temple Maçonnique, sacré parce qu'à son intérieur se déroulent toutes les cérémonies initiatiques maçonniques, mais aussi parce qu'ils sont, tous les quatre ensemble, responsables du principe de « simultanéité » initiatique, celui considérant qu'aucune action, profane ou initiatique, ne peut pas se matérialiser correctement sans le respect simultané de quatre absolus : Pouvoir, Savoir, Vouloir et Devoir. » (ledifice.net).

Nous savons par les analyses passées que pour les mages ou l’élite occulte, la planète Jupiter est le créateur, celui qui sacre les rois, Saturne étant celle qui marque la fin et le début d’un cycle ou la grande faucheuse.

Or, nous le savons, les grands marqueurs que sont Saturne et Jupiter seront en conjonction le 21 décembre de cette année pour une copie conforme de l’étoile de la nativité.

Et, en ce 21 décembre, elles seront accompagnés de Mars, la lune, et Vénus (se levant le matin) : les 4 officiers prêts pour l’initialisation, le jour de naissance symbolique du « roi jupitérien ».

Quels sont les événements d’importances prévus en ce mois d’octobre 2020, mois de la Pâques de l’Antéchrist?

- 3 octobre : révélation de l’encyclique sur la fraternité humaine de Bergoglio qui sera signé directement sur la TOMBE DE SAINT-FRANÇOIS, à Assise.
- 6 octobre : Mars près de la Terre. Signe visible par tous du début de la purification.
- 15 octobre : signature du pacte sur l’éducation de Bergoglio,
- Mi-octobre : réunion du « roi jupitérien » sur la question du Liban en France.
- 19 octobre : 33 ans, date anniversaire du krach économique de 1987.

N’oublions pas que l’encyclique « Laudato Si » sur l’écologie humaniste fait partie de l’équation.

Bergoglio insiste sur son importance encore et il jubile de fêter ses 5 années d’existence.

Ce qui fut souligné le 24 mai, le jour de « Notre-Dame Auxiliatrice » en grandes pompes.

Ce titre fut donné à la Sainte Vierge Marie et officiellement introduit dans l’Église par Pie V, après la célèbre victoire de Lépante en 1571, lorsque qu'il ordonna d'inscrire dans la litanie Lorétienne l'invocation "Maria Auxilium Christianorum, ora pro nobis".

Saint Pie V ne cacha point qu'il attribuait à l'intercession  de la sainte Vierge le succès de Lépante. Il ajouta aux litanies de Lorette, c'est-à-dire de la sainte Vierge, l'invocation "Secours des chrétiens, priez pour nous", et fixa au 7 octobre une fête en l'honneur de Notre-Dame de la Victoire.

Elle est fêtée de nos jours sous le nom de fête du Saint-Rosaire, de nouveau le 7 octobre.

ET voilà :

Le lendemain de l’avertissement du feu via la planète Mars.

Or, ce n’est pas tout.

Quand est-ce que Mars sera-t-elle la plus brillante dans le ciel?..

Surpassant Jupiter comme la planète la plus brillante...

Lorsqu’elle sera en opposition, c’est à dire en ligne directe avec le Soleil, et ce…

Le 13 octobre!

Aux 103 ans du Miracle du Soleil de Fatima.

N’oublions pas ce fait d’importance relié au soir du 16 octobre 1917, soir où la kabbale judéo-maçonnique jubilait :

« Lorsque les francs-maçons commencèrent à se démener de plus en plus effrontément et qu’ils eurent dressé leur étendard sous les fenêtres mêmes du Vatican, cet étendard où, sur un fond noir, Lucifer foulait sous ses pieds l’archange Michel, lorsqu’ils se mirent à distribuer des tracts invectivant contre le saint Père, l’idée se fit jour de fonder une association ayant pour but de combattre les francs-maçons et d’autres suppôts de Lucifer …
À l’occasion du deuxième centenaire de la fondation de la maçonnerie moderne, en cette année 1917, les francs-maçons se livraient à Rome-même à de sacrilèges parodies...En 1917, les francs-maçons qui s’exhibaient à Rome avaient aussi des banderoles proclamant : « Satan doit régner au Vatican. Le pape sera son esclave ! »
 (leblogdumesnil.unblog.fr).

C’est bien ce dont nous sommes témoins.

08 septembre

Telle une spirale, la convergence des événements s’accélère et le point culminant approche à grands pas.

Voici la dernière lettre, très longue, de Mgr Vigano à Lifesitenews pour remettre les pendules à l’heure. Il répond aux critiques suite à son entrevue avec Catholic Family News à propos de Vatican II.

Il confirme l’Église éclipsée de la vision d’Anne Catherine Emmerich, ce qui a le mérite de confirmer à la face du monde ce que Bergoglio ne fait pas: nous sommes à la fin des temps.

Ils nous appellent en tant que soldats du Christ.

« Mgr Viganò: Nous resterons dans l’Église, lutterons contre les modernistes qui minent la foi.
«Ce ne sont pas les fidèles traditionnels – c’est-à-dire les vrais catholiques, selon les mots de saint Pie X – qui doivent abandonner l’Église dans laquelle ils ont le plein droit de rester et dont il serait malheureux de se séparer; mais plutôt les modernistes qui usurpent le nom catholique, précisément parce que ce n’est que l’élément bureaucratique qui leur permet de ne pas être considérés sur un pied d’égalité avec aucune secte hérétique.

4 septembre 2020 ( LifeSiteNews ) –...

Cher M. Kokx,

J’ai lu avec un vif intérêt votre article «Questions à Viganò: Son Excellence a raison à propos de Vatican II, mais que pense-t-il que les catholiques devraient faire maintenant?» qui a été publié par Catholic Family News le 22 août ( ici ). Je suis heureux de répondre à vos questions, qui portent sur des sujets très importants pour les fidèles.

Vous demandez: «À quoi ressemblerait la« séparation »de l’Église conciliaire selon l’archevêque Viganò?» Je vous réponds par une autre question: «Que signifie se séparer de l’Église catholique selon les partisans du Concile?» S’il est clair qu’aucun mélange n’est possible avec ceux qui proposent des doctrines adultérées du manifeste idéologique conciliaire, il convient de noter que le simple fait d’être baptisé et d’être des membres vivants de l’Église du Christ n’implique pas l’adhésion à l’équipe conciliaire. ; cela est vrai surtout pour les simples fidèles et aussi pour les clercs séculiers et réguliers qui, pour diverses raisons, se considèrent sincèrement catholiques et reconnaissent la Hiérarchie.
Au contraire, ce qu’il faut clarifier, c’est la position de ceux qui, se déclarant catholiques, embrassent les doctrines hétérodoxes qui se sont répandues au cours de ces décennies, avec la conscience que celles-ci représentent une rupture avec le Magistère précédent. Dans ce cas, il est licite de douter de leur adhésion réelle à l’Église catholique, dans laquelle cependant ils occupent des rôles officiels qui leur confèrent une autorité. C’est une autorité exercée illicitement, si son but est de contraindre les fidèles à accepter la révolution imposée depuis le Concile.
Une fois ce point clarifié, il est évident que ce ne sont pas les fidèles traditionnels – c’est-à-dire les vrais catholiques, selon les mots de saint Pie X – qui doivent abandonner l’Église dans laquelle ils ont le plein droit de rester et dont il serait malheureux de se séparer; mais plutôt les modernistes qui usurpent le nom catholique, précisément parce que ce n’est que l’élément bureaucratique qui leur permet de ne pas être considérés à égalité avec aucune secte hérétique. Leur revendication sert en fait à les empêcher de se retrouver parmi les centaines de mouvements hérétiques qui, au cours des siècles, ont cru pouvoir réformer l’Église à leur guise, plaçant leur fierté avant de garder humblement l’enseignement de Notre Seigneur. Mais tout comme il n’est pas possible de revendiquer la citoyenneté dans une patrie où l’on ne connaît pas sa langue, sa loi,foi et tradition; il est donc impossible que ceux qui ne partagent pas la foi, la morale, la liturgie et la discipline de l’Église catholique puissent s’arroger le droit de rester en elle et même de gravir les échelons de la hiérarchie.

Ne cédons donc pas à la tentation d’abandonner – quoique avec une indignation justifiée – l’Église catholique, sous prétexte qu’elle a été envahie par les hérétiques et les fornicateurs: ce sont eux qui doivent être expulsés de l’enceinte sacrée, dans une œuvre de purification et pénitence qui doivent commencer par chacun de nous.

Il est également évident qu’il existe des cas très répandus dans lesquels les fidèles rencontrent de graves problèmes pour fréquenter leur église paroissiale, tout comme il y a de moins en moins d’églises où la Sainte Messe est célébrée dans le rite catholique. Les horreurs qui sévissent depuis des décennies dans nombre de nos paroisses et sanctuaires rendent impossible même d’assister à une «Eucharistie» sans être dérangé et mettre sa foi en péril, tout comme il est très difficile d’assurer une éducation catholique, les sacrements étant dignement une orientation spirituelle célébrée et solide pour soi-même et ses enfants. Dans ces cas, les fidèles laïcs ont le droit et le devoir de trouver des prêtres, des communautés et des instituts fidèles au Magistère éternel.Et puissent-ils savoir accompagner la louable célébration de la liturgie dans le Rite Ancien par l’adhésion à la saine doctrine et à la morale, sans aucun affaissement sur le front du Concile.

La situation est certainement plus complexe pour les clercs, qui dépendent hiérarchiquement de leur évêque ou supérieur religieux, mais qui ont en même temps le droit de rester catholiques et de pouvoir célébrer selon le rite catholique. D’une part, les laïcs ont plus de liberté de mouvement dans le choix de la communauté vers laquelle ils se tournent pour la messe, les sacrements et l’instruction religieuse, mais moins d’autonomie du fait qu’ils doivent encore dépendre d’un prêtre; d’autre part, les clercs ont moins de liberté de mouvement, puisqu’ils sont incardinés dans un diocèse ou un ordre et sont soumis à l’autorité ecclésiastique, mais ils ont plus d’autonomie en raison du fait qu’ils peuvent légitimement décider de célébrer la messe et d’administrer les sacrements. dans le rite tridentin et de prêcher conformément à la saine doctrine.Le Motu Proprio Summorum Pontificum a réaffirmé que les fidèles et les prêtres ont le droit inaliénable – qui ne peut être nié – de se prévaloir de la liturgie qui exprime plus parfaitement leur foi catholique. Mais ce droit doit être utilisé aujourd’hui non seulement et pas tant pour préserver la forme extraordinaire du rite, mais pour témoigner de l’adhésion au depositum fidei qui ne trouve une correspondance parfaite que dans le Rite Ancien.

Je reçois quotidiennement des lettres sincères de prêtres et de religieux marginalisés ou transférés ou ostracisés en raison de leur fidélité à l’Église: la tentation de trouver un ubi consistam [un endroit où se tenir] loin de la clameur des innovateurs est forte, mais nous devons pour prendre un exemple des persécutions que de nombreux saints ont subies, y compris saint Athanase, qui nous offre un modèle de comportement face à l’hérésie généralisée et à la fureur persécutante. Comme mon vénérable frère Mgr Athanasius Schneider l’a rappelé à maintes reprises, l’arianisme qui affligeait l’Église à l’époque du saint docteur d’Alexandrie en Égypte était si répandu parmi les évêques qu’il laisse presque croire que l’orthodoxie catholique avait complètement disparu.Mais c’est grâce à la fidélité et au témoignage héroïque des quelques évêques restés fidèles que l’Église a su se relever. Sans ce témoignage, l’arianisme n’aurait pas été vaincu; sans notre témoignage aujourd’hui, le modernisme et l’apostasie mondialiste de ce pontificat ne seront pas vaincus.

Il ne s’agit donc pas de travailler de l’intérieur ou de l’extérieur de l’Église: les vignerons sont appelés à travailler dans la Vigne du Seigneur, et c’est là qu’ils doivent y rester même au prix de leur vie; les pasteurs sont appelés à garder le troupeau du Seigneur, à tenir à distance les loups voraces et à chasser les mercenaires qui ne sont pas concernés par le salut des brebis et des agneaux.

Cette œuvre cachée et souvent silencieuse a été réalisée par la Fraternité Saint Pie X, qui mérite d’être saluée pour ne pas avoir laissé s’éteindre la flamme de la Tradition à un moment où la célébration de la messe antique était considérée comme subversive et un motif d’excommunication. Ses prêtres ont été une saine épine dans le flanc d’une hiérarchie qui a vu en eux un point de comparaison inacceptable pour les fidèles, un reproche constant de la trahison commise contre le peuple de Dieu, une alternative inadmissible à la nouvelle voie conciliaire. Et si leur fidélité a rendu inévitable la désobéissance au pape avec les consécrations épiscopales, grâce à eux la Société a pu se protéger de l’attaque furieuse des Innovateurs et par son existence même elle a permis la possibilité de la libéralisation du Rite Ancien,qui jusque-là était interdit. Sa présence a également permis aux contradictions et aux erreurs de la secte conciliaire d’émerger, faisant toujours un clin d’œil aux hérétiques et aux idolâtres mais implacablement rigide et intolérante envers la vérité catholique.

Je considère Mgr Lefebvre comme un confesseur exemplaire de la Foi, et je pense qu’à présent il est évident que sa dénonciation du Concile et de l’apostasie moderniste est plus que jamais d’actualité. Il ne faut pas oublier que la persécution à laquelle Mgr Lefebvre a été soumis par le Saint-Siège et l’épiscopat mondial servait avant tout de dissuasion aux catholiques réfractaires à la révolution conciliaire.
Je suis également d’accord avec l’observation de Son Excellence Mgr Bernard Tissier de Mallerais sur la coprésence de deux entités à Rome: l’Église du Christ a été occupée et éclipsée par la structure conciliaire moderniste, qui s’est établie dans la même hiérarchie et les mêmes usages l’autorité de ses ministres de prévaloir sur l’Époux du Christ et notre Mère.

L’Église du Christ – qui non seulement subsiste dans l’Église catholique, mais qui est exclusivement l’Église catholique – n’est obscurcie et éclipsée que par une étrange Église extravagante établie à Rome, selon la vision de la bienheureuse Anne Catherine Emmerich. Il coexiste, comme le blé à la tare, dans la curie romaine, dans les diocèses, dans les paroisses. Nous ne pouvons pas juger nos pasteurs pour leurs intentions, ni supposer qu’ils sont tous corrompus dans la foi et la morale; au contraire, nous pouvons espérer que beaucoup d’entre eux, jusque-là intimidés et silencieux, comprendront, alors que la confusion et l’apostasie continuent de se répandre, la tromperie à laquelle ils ont été soumis et finiront par se débarrasser de leur sommeil. Il y a beaucoup de laïcs qui élèvent la voix; d’autres suivront nécessairement, ainsi que de bons prêtres, certainement présents dans chaque diocèse.Cet éveil de l’Église militante – j’oserais l’appeler presque une résurrection – est nécessaire, urgent et inévitable: aucun fils ne tolère que sa mère soit outrée par les serviteurs, ou que son père soit tyrannisé par les administrateurs de ses biens. Le Seigneur nous offre, dans ces situations douloureuses, la possibilité d’être ses alliés pour mener cette sainte bataille sous sa bannière: le roi vainqueur de l’erreur et de la mort nous permet de partager l’honneur de la victoire triomphale et la récompense éternelle qui en découle cela, après avoir enduré et souffert avec Lui.la possibilité d’être ses alliés pour mener cette sainte bataille sous sa bannière: le roi victorieux de l’erreur et de la mort nous permet de partager l’honneur de la victoire triomphale et la récompense éternelle qui en découle, après avoir enduré et souffert avec lui.la possibilité d’être ses alliés pour mener cette sainte bataille sous sa bannière: le roi victorieux de l’erreur et de la mort nous permet de partager l’honneur de la victoire triomphale et la récompense éternelle qui en découle, après avoir enduré et souffert avec lui.

Mais pour mériter la gloire immortelle du Ciel, nous sommes appelés à redécouvrir – à une époque émasculée et dépourvue de valeurs telles que l’honneur, la fidélité à sa parole et l’héroïsme – un aspect fondamental de la foi de tout baptisé: la vie chrétienne est une milice, et avec le sacrement de la confirmation nous sommes appelés à être des soldats du Christ, sous l’insigne duquel nous devons combattre. Bien sûr, dans la plupart des cas, il s’agit essentiellement d’une bataille spirituelle, mais au cours de l’histoire, nous avons vu combien de fois, face à la violation des droits souverains de Dieu et de la liberté de l’Église, il fallait aussi prendre les armes. : nous apprenons cela par la résistance acharnée pour repousser les invasions islamiques à Lépante et à la périphérie de Vienne, la persécution des Cristeros au Mexique, des catholiques en Espagne,et même aujourd’hui par la guerre cruelle contre les chrétiens du monde entier. Jamais comme aujourd’hui nous ne pouvons comprendre la haine théologique venant des ennemis de Dieu, inspirée par Satan. L’attaque contre tout ce qui rappelle la croix du Christ – sur la vertu, sur le bien et le beau, sur la pureté – doit nous inciter à nous lever, dans un acte d’orgueil, pour revendiquer notre droit non seulement de ne pas être persécuté par nos ennemis extérieurs mais aussi et surtout d’avoir des pasteurs forts et courageux, saints et craignant Dieu, qui feront exactement ce que leurs prédécesseurs ont fait depuis des siècles: prêcher l’Évangile du Christ, convertir les individus et les nations, et élargir le Royaume de la Dieu vivant et vrai dans le monde entier.L’attaque contre tout ce qui rappelle la croix du Christ – sur la vertu, sur le bien et le beau, sur la pureté – doit nous inciter à nous lever, dans un acte d’orgueil, pour revendiquer notre droit non seulement de ne pas être persécuté par nos ennemis extérieurs mais aussi et surtout d’avoir des pasteurs forts et courageux, saints et craignant Dieu, qui feront exactement ce que leurs prédécesseurs ont fait depuis des siècles: prêcher l’Évangile du Christ, convertir les individus et les nations, et élargir le Royaume de la Dieu vivant et vrai dans le monde entier.L’attaque contre tout ce qui rappelle la croix du Christ – sur la vertu, sur le bien et le beau, sur la pureté – doit nous inciter à nous lever, dans un acte d’orgueil, pour revendiquer notre droit non seulement de ne pas être persécuté par nos ennemis extérieurs mais aussi et surtout d’avoir des pasteurs forts et courageux, saints et craignant Dieu, qui feront exactement ce que leurs prédécesseurs ont fait depuis des siècles: prêcher l’Évangile du Christ, convertir les individus et les nations, et élargir le Royaume de la Dieu vivant et vrai dans le monde entier.qui feront exactement ce que leurs prédécesseurs ont fait pendant des siècles: prêcher l’Évangile du Christ, convertir les individus et les nations, et étendre le Royaume du Dieu vivant et vrai à travers le monde.qui feront exactement ce que leurs prédécesseurs ont fait pendant des siècles: prêcher l’Évangile du Christ, convertir les individus et les nations, et étendre le Royaume du Dieu vivant et vrai à travers le monde.

Nous sommes tous appelés à faire un acte de Fortitude – une vertu cardinale oubliée, qui non par hasard en grec rappelle la force virile, ἀνδρεία – en sachant résister aux modernistes: une résistance qui s’enracine dans la Charité et la Vérité, qui sont des attributs de Dieu.
Si vous ne célébrez que la messe tridentine et que vous prêchez une saine doctrine sans jamais mentionner le Concile, que pourront-ils jamais vous faire? Vous jeter hors de vos églises, peut-être, et alors quoi? Personne ne pourra jamais vous empêcher de renouveler le Saint Sacrifice, même s’il se trouve sur un autel de fortune dans une cave ou un grenier, comme l’ont fait les prêtres réfractaires à la Révolution française, ou comme cela se passe encore aujourd’hui en Chine. Et s’ils essaient de vous distancer, résistez: le droit canonique sert à garantir le gouvernement de l’Église dans la poursuite de ses buts premiers, pas à le démolir. Arrêtons de craindre que la faute du schisme incombe à ceux qui le dénoncent, et non à ceux qui l’exécutent: ceux qui sont schismatiques et hérétiques sont ceux qui blessent et crucifient le Corps mystique du Christ, pas ceux qui défendez-le en dénonçant les bourreaux!

Les laïcs peuvent s’attendre à ce que leurs ministres se comportent comme tels, préférant ceux qui prouvent qu’ils ne sont pas contaminés par les erreurs présentes. Si une messe devient une occasion de torture pour les fidèles, s’ils sont contraints d’assister aux sacrilèges ou de soutenir des hérésies et des divagations indignes de la Maison du Seigneur, il est mille fois préférable de se rendre dans une église où le prêtre célèbre la Saint Sacrifice dignement, dans le rite qui nous est donné par la Tradition, avec une prédication conforme à la saine doctrine. Lorsque les curés et les évêques se rendront compte que le peuple chrétien réclame le Pain de la Foi, et non les pierres et les scorpions de la néo-église, ils abandonneront leurs craintes et se plieront aux demandes légitimes des fidèles. Les autres, vrais mercenaires,se montreront pour ce qu’ils sont et ne pourront rassembler autour d’eux que ceux qui partagent leurs erreurs et leurs perversions. Ils s’éteindront d’eux-mêmes: le Seigneur assèche le marais et aride la terre sur laquelle poussent les ronces; il éteint les vocations dans les séminaires corrompus et dans les couvents rebelles à la Règle.

Les fidèles laïcs ont aujourd’hui une tâche sacrée: réconforter les bons prêtres et les bons évêques, se rassemblant comme des brebis autour de leurs bergers. Donnez-leur l’hospitalité, aidez-les, consolez-les dans leurs épreuves. Créer une communauté dans laquelle le murmure et la division ne prédominent pas, mais plutôt la charité fraternelle dans le lien de la foi. Et puisque dans l’ordre établi par Dieu – κόσμος – les sujets doivent obéissance à l’autorité et ne peuvent faire autrement que de lui résister quand elle abuse de son pouvoir, aucune faute ne leur sera imputée pour l’infidélité de leurs dirigeants, sur lesquels repose la très grave responsabilité pour la manière dont ils exercent le pouvoir d’autrui qui leur a été donné. Nous ne devons pas nous rebeller, mais nous opposer; nous ne devons pas nous réjouir des erreurs de nos pasteurs, mais prier pour eux et les avertir avec respect;nous ne devons pas remettre en question leur autorité mais la manière dont ils l’utilisent.
Je suis certain, avec une certitude qui me vient de la foi, que le Seigneur ne manquera pas de récompenser notre fidélité, après nous avoir punis pour les fautes des hommes de l’Église, nous accordant de saints prêtres, saints évêques, saints cardinaux, et surtout un saint Pape. Mais ces saints naîtront de nos familles, de nos communautés, de nos églises: familles, communautés et églises dans lesquelles la grâce de Dieu doit être cultivée avec une prière constante, avec la fréquentation de la sainte messe et des sacrements, avec l’offrande de sacrifices et pénitences que la Communion des Saints nous permet d’offrir à la Majesté Divine pour expier nos péchés et ceux de nos frères, y compris ceux qui exercent l’autorité. Les laïcs ont un rôle fondamental à jouer en cela, en gardant la foi au sein de leurs familles,de telle sorte que nos jeunes éduqués à l’amour et à la crainte de Dieu soient un jour des pères et des mères responsables, mais aussi de dignes ministres du Seigneur, ses hérauts dans les ordres religieux masculins et féminins, et ses apôtres en société civile.

Le remède à la rébellion est l’obéissance. Le remède à l’hérésie est la fidélité à l’enseignement de la Tradition. Le remède au schisme est la dévotion filiale pour les Sacrés Pasteurs. Le remède à l’apostasie est l’amour pour Dieu et sa Très Sainte Mère. Le remède au vice est l’humble pratique de la vertu. Le remède à la corruption des mœurs est de vivre constamment en présence de Dieu. Mais l’obéissance ne peut être pervertie en une solide servilité; le respect de l’autorité ne peut pas être perverti en obéissance du tribunal. Et n’oublions pas que s’il est du devoir des laïcs d’obéir à leurs pasteurs, c’est un devoir encore plus grave des pasteurs d’obéir à Dieu, usque ad effusionem sanguinis.

+ Carlo Maria Viganò, archevêque

1er septembre 2020 »



Voilà, ce n’est plus une rumeur.

Ce que nous suspections est maintenant un fait:

« « Tous frères »: le Pape François signera sa nouvelle encyclique à Assise.

Le directeur de la Salle de Presse du Saint-Siège l’a annoncé ce samedi: le 3 octobre prochain, le Pape se rendra à Assise, afin de prier sur la tombe de saint François, dont ce sera la fête le lendemain. Il y signera également sa nouvelle encyclique consacrée au thème de la fraternité…
Fratelli tutti, «Tous frères»: c’est le nom de cette nouvelle encyclique du Pape François, la 3e de son pontificat après Lumen Fidei en 2013 et Laudato Si’ en 2015. Le Saint-Père choisit donc un lieu très solennel, très significatif pour parapher ce texte: Assise, la ville du Poverello dont il a pris le nom comme Pape, et qui prêchait cette fraternité «cosmique», universelle, unissant toutes les créatures de Dieu, unique père de tous.

Le thème de la fraternité, une ligne directrice du pontificat.

De ce texte, on connait uniquement le thème: la fraternité humaine et l’amitié sociale. Thème qui lui est cher, qu’il développe et décline sans cesse dans son magistère et qui est d’ailleurs au cœur du Document signé en 2019 à Abou Dhabi avec le Grand Imam d’Al-Azhar.
Un thème qu’il a abordé de façon récurrente aussi lors des messes à Sainte Marthe ces derniers mois, en plein pic de la pandémie, appelant tous les hommes de bonne volonté, de toutes les traditions religieuses à prier ensemble pour la fin de la crise sanitaire : frères et sœurs en humanité, unis aussi par l’épreuve et par l’espérance… » (vaticannews.va).

Voilà qui résume bien l’atmosphère créée par Bergoglio à Assise, où il aime bien se complaire:

« Un air lourd à Assise.

Mais il n’est pas facile de s’attarder sur ces réflexions. Les frères gardiens de la Basilique sont si diligents et zélés dans l’application des règles anti-Covid. En particulier, un frère, qui parcourt la nef en montrant son propre masque, pour reprendre, avec un regard menaçant, ceux qui ne le portent pas comme lui, jusque devant ses yeux, pour réprimander celui qui le porte en laissant les narines découvertes. Une exhibition inqiétante, que l’on ne s’attendrait pas à trouver dans une église, mais dans un état de régime militaire. Puis la distribution de la communion, avec toutes les précautions d’hygiène nécessaires, évidemment sur les mains.

Je ne vois pas autant de prudence pour les âmes, misérablement mises à nu et perplexes face à l’attaque du mal. Si le même zèle était appliqué, de la part des religieux, au virus hyper-virulent du péché, en proposant et en offrant systématiquement tous les antidotes que l’Église de Jésus met à leur disposition, nous ne nous trouverions pas dans la situation désespérée d’aujourd’hui. C’est là, et seulement là, la tâche de la vraie Église, la prévention, la vigilance et donc, le salut des âmes !

On respire un air différent, depuis quelques années, à Assise. Un air lourd qui n’a plus rien rien de l’air léger, fait seulement d’Esprit, à haute altitude, où la matière devient aussi impalpable que la neige fraîche.

On respire un air lourd, imprégné des pensées de l’homme arrogant et autosuffisant de ce début de siècle. Un air dégoulinant de buonisme, de sentimentalisme, d’écologisme, d’environnementalisme, de mondialisme, d’œcuménisme, de panthéisme, de naturalisme, d’anthropocentrisme, de catho-communisme… de communisme. Un air lourd qui se répand et fait sombrer ces ordres religieux, destinés, si la tendance actuelle persiste, à disparaître, n’en déplaise à leur fondateur, animé d’un tout autre zèle.

Saint François avait d’autres intentions pour Assise :

« Bénie sois-tu du Seigneur, cité sainte à Dieu fidèle, car par toi beaucoup d’âmes se sauveront et en toi beaucoup de serviteurs du Très-Haut habiteront, et par toi beaucoup seront élus au royaume éternel ».
Saint François, lui, n’a pas réprimandé le lépreux, qui ne portait pas le masque, il l’a étreint et embrassé. » (benoit-et-moi.fr).

Voilà ce qu’a fait l’ « exterminateur » prophétisé par Saint-François.

Pierre II le romain de St-Malachie, le cardinal Pietro Parolin, prépare déjà le terrain pour la grande réinitialisation et sa prison socialiste marxiste.

« La prise de conscience d'une fragilité partagée

La pandémie «a révélé à la fois notre interdépendance et notre faiblesse commune, une fragilité partagée», estime encore le secrétaire d'État du Saint-Siège. «Lorsque la logique de la dissuasion nucléaire dominait - rappelle-t-il - Saint Jean XXIII, dans Pacem in Terris, a souligné l'interdépendance entre les communautés politiques : «Aucune communauté politique aujourd'hui n'est capable de poursuivre ses intérêts et de se développer en se refermant sur elle-même». Et le Pape François de souligner dans l'encyclique Laudato Si : «L'interdépendance nous oblige à penser à un seul monde, à un projet commun». D'autre part - a rappelé Jean-Paul II dans l'encyclique Sollicitudo Rei Socialis- nous sommes aujourd'hui confrontés à une interdépendance technologique, sociale et politique, qui exige d'urgence une éthique de la solidarité».

«Cependant, a-t-il encore expliqué, «au lieu de favoriser la coopération pour le bien commun universel, nous voyons de plus en plus de murs s'ériger autour de nous, exaltant les frontières comme garantie de sécurité et pratiquant des violations systématiques du droit, maintenant une situation de conflit mondial permanent». Comme l'a rappelé le Pape François à Nagasaki, «les dépenses d'armement ont atteint leur sommet en 2019, et maintenant il y a un risque sérieux qu'après une période de diminution, également due aux restrictions liées à la pandémie, elles continuent à augmenter». «Ce moment même montre, au contraire, que nous devons semer l'amitié et la bonne volonté plutôt que la haine et la peur». De plus, «l'interdépendance planétaire exige des réponses globales aux problèmes locaux», a insisté le Pape François lors de sa rencontre avec les mouvements populaires en 2015, «car la mondialisation de l'espérance [...] doit remplacer cette mondialisation de l'exclusion et de l'indifférence !»

Mettre la solidarité et la fraternité au centre de l'économie

À cet égard, le cardinal souligne que «le cadre de référence conçu par le Pape François pour l'économie se trouve avant tout dans Laudato Si', qui à son tour développe l'encylique Caritas in veritate de Benoît XVI»  Ce sont «les deux grandes encycliques sociales les plus récentes». Benoît XVI a parlé d'une économie dans laquelle la logique du don, le principe de gratuité, qui exprime non seulement la solidarité, mais plus profondément encore la fraternité humaine, doit trouver sa place. François a relancé le thème du développement humain intégral dans le contexte d'une «écologie intégrale», environnementale, économique, sociale, culturelle, spirituelle. L'enseignement social de l'Église, auquel beaucoup reconnaissent la solidité de son fondement et de son orientation, montre qu'elle sait se mettre à jour continuellement pour répondre aux questions de l'humanité avec cohérence et une vision globale.

Aujourd'hui, «la pandémie apporte un choc formidable à tout le système économique et social et à ses certitudes présumées, à tous les niveaux», affirme encore le cardinal Parolin. «Les problèmes de chômage - dénonce-t-il - sont et seront dramatiques, les problèmes de santé publique nécessitent la révolution de systèmes de santé et d'éducation entiers, et le rôle des États et les relations entre les nations changent. L'Église se sent appelée à accompagner le chemin compliqué qui se présente à nous tous en tant que famille humaine». Et «elle doit le faire avec humilité et sagesse, mais aussi avec créativité». Pour le cardinal, en bref, «il existe des principes de référence solides, mais aujourd'hui, une créativité courageuse est d'autant plus urgente, afin que la crise dramatique de la pandémie ne se résolve pas en une terrible tragédie, mais qu'elle ouvre des espaces pour la conversion humaine et écologique dont l'humanité a besoin». » (vaticannews.va)


04 septembre

La Pâques de l’Antéchrist partie III

Suite des analyses du 12 et 14 avril dernier.

Octobre est à nos portes et la rumeur veut que Bergoglio y présente son encyclique sur la fraternité universelle le 4 octobre prochain, fête de Saint-François d’Assise, dernier jour du jubilé de la Terre.

Le vrai visage de François, nous l’avons découvert petit à petit au travers des sept dernières années.

Saint-François d’Assise, le nom de François usurpé par Bergoglio, l’économie socialiste marxiste associé au Saint des pauvres, l’environnement pour la sauvegarde de la maison commune à la manière du Saint d’Assise, le pacte économique de novembre… À Assise.

Tout se tient.

La conclusion de ce pontificat arrive à sa fin.

Pour parodié le Christ, il pourra dire : « tout est accompli ».

Avec son encyclique « Pacem In Terris II », la boucle sera bouclé.

C’est L’Alpha et l’Oméga de Vatican II.

L’Église a son Judas.

103 après le miracle du Soleil soit 3 ans de grâce après les 100 ans accordés à Satan pour détruire l’Église (vision de Léon XIII).

C’est la mort possible des deux témoins de l’Apocalypse, ceux demeurés fidèles à la loi et au prophètes, le clergé et les fidèles.

Le Katéchon, Benoît XVI, en est la tête personnifiée.

Son décès serait le signal visible que nous y sommes.

«  Comment Benoît XVI se prépare à la mort » (benoit-et-moi.fr)

Ce serait le schisme prophétisé par Anne Catherine Emmerich :

« Je vis une forte opposition entre deux papes … et je vis combien funestes seraient les conséquences de cette fausse Église… »

« Quand le royaume de l’Antéchrist sera proche, apparaîtra une fausse religion qui ira contre l’unité de Dieu et de son Église. Cela entraînera le plus grand schisme jamais vu dans le monde. »

La mort de témoins signifie la mort de l’Église où ceux fidèles à la tradition n’auront plus voix. Ils seront réduits au silence. Ils seront une minorité car la majorité catholique silencieuse suivra François dans son projet de fraternité universelle.

D’ailleurs, l’accord historique entre Israël et les Émirats Arabes Unis nous donne le signe qui établit le lien directement avec les prophéties politiques le « Livre Maudit » et « la Foudre en Plein Jour ».

Les sunnites sont de plus en plus unis et vendus au mondialisme babylonien. Les Émirats Arabes Unis ont reçu la permission de survoler l’Arabie Saoudite.

L’entente est surtout militaire, mais on ne le criera pas sur tous les toits.

Israël a une entente pour survoler ces territoires en cas d’attaque sur l’Iran à présent.

Les chiites sont une épine à enlever pour arriver à la grande fraternité universelle.

Est-ce un hasard que l’entente survienne juste après l’attaque à Beyrouth?

Les trois bastions chiites sont le Liban avec le Hezbollah et les gardes révolutionnaires iraniens (débordant sur la Syrie en guerre), une partie de l’Irak, et l’Iran.

Est-ce un hasard de voir le futur « roi jupitérien » Macron faire une deuxième visite au Liban, pour poursuivre ensuite sa route en Irak?

Est-ce un hasard que la grande place de la fraternité universelle prend racine à Abou Dahbi?

La « maison familiale d’Abraham » sera prête pour 2022 (courrieinternational.com).

D’où la nécessité de l’encyclique bergoglienne à venir.

Les trois axes pour la survie de l’élite seront contrôlés :

- le politique et le matériel grâce à la pandémie et à la finance (nouvelle monnaie électronique, krach provoqué (n’oublions par les 33 ans du krach du 19 octobre 1987), etc...),

- la maison commune, la Terre, par les mouvements représentés par François et la fille de Caïn, Greta Thunberg, et finalement,

- le spirituel par la nouvelle religion de l’humanisme, gracieuseté de François.

« Le pape François utilise à nouveau l'épidémie de COVID pour promouvoir l'agenda environnemental mondialiste .

VATICAN CITY, 2 septembre 2020 ( LifeSiteNews ) - Le pape François a déclaré mardi que l'épidémie de virus de Wuhan avait amené l'humanité «à un carrefour» et était un «appel au réveil» pour «redécouvrir des modes de vie plus simples et durables».
La lettre du Pape s'ouvre en reconnaissant 2020 comme le cinquantième anniversaire du Jour de la Terre. Le Pape appelle l'homme à la «repentance» pour avoir «rompu le lien» de sa relation avec la création. Son message est un avertissement adressé aux pays industrialisés, les appelant à la repentance pour avoir été de pauvres gestionnaires des ressources naturelles du monde au milieu de ce qu'il a qualifié d '«urgence climatique».

«Notre mode de vie pousse la planète au-delà de ses limites. Notre demande constante de croissance et un cycle sans fin de production et de consommation épuisent le monde naturel », a déclaré Francis. «La création gémit!» 

Il a en outre averti: «Nous manquons de temps.»

Le Pape a déjà à quelques reprises ( ici , ici et ici ) lié l'épidémie de coronavirus à une réponse de la planète à la pollution de l'environnement.

Dans sa lettre marquant la «Journée mondiale de prière pour le soin de la création», le pape François a appelé à l'adhésion à l'Accord de Paris sur le climat, a exhorté à soutenir les mesures de l'ONU visant à considérer 30% de la Terre comme des habitats protégés et a vanté le prochain sommet sur Biodiversité (COP 15) à Kunming, en Chine, comme un «tournant» dans la «restauration de la terre pour qu'elle soit un foyer de vie en abondance, comme l'a voulu le Créateur».

Il a également appelé à l'annulation de la dette des pays vulnérables en raison des crises médicales, sociales et économiques causées par les verrouillages.

«Aujourd'hui, nous entendons la voix de la création nous exhortant à retourner à notre juste place dans l'ordre naturel créé - à nous rappeler que nous faisons partie de ce réseau interconnecté de la vie, pas ses maîtres», a déclaré Francois. «La désintégration de la biodiversité, les catastrophes climatiques en spirale et l'impact injuste de la pandémie actuelle sur les pauvres et les vulnérables: tout cela est un signal d'alarme face à notre cupidité et notre consommation rampantes.»

Le Pape avait des mots durs pour les entreprises multinationales - et plus largement, les économies occidentales industrialisées - - associant deux fois les termes «superflus» et «destructeur» dans un seul paragraphe pour décrire leur impact sur les pays moins développés.

«La pandémie nous a amenés à un carrefour», a affirmé le pape. «Nous devons profiter de ce moment décisif pour mettre fin à nos objectifs et activités superflus et destructeurs, et pour cultiver des valeurs, des liens et des activités qui donnent la vie. Nous devons examiner nos habitudes d'utilisation, de consommation, de transport et d'alimentation d'énergie. Nous devons éliminer les aspects superflus et destructeurs de nos économies et développer des moyens vitaux pour échanger, produire et transporter des marchandises. »  

Une « crise radicale » et un « changement d'époque »

«Le COVID-19 pousse également l'Église à affiner sa mission», a déclaré le père Augusto Zampini, secrétaire adjoint du Dicastère pour la promotion du développement humain intégral et membre de la commission COVID-19 du Vatican lors d'une table ronde lundi. «L'urgence du COVID-19 pousse le monde vers un scénario différent.»

«L'Église doit répondre à cette crise de manière radicale car c'est une crise radicale», a déclaré le prêtre argentin qui a déclaré que la crise du COVID-19 accélérerait certaines des réformes que le pape François propose pour le monde, selon un rapport d'Inés San Martín à Crux.

La commission COVID-19 du Vatican a été lancée par le pape François parce qu'il est convaincu que l'humanité vit actuellement à «une époque de changement d'époque».

50e anniversaire du Jour de la Terre

La Journée mondiale de prière pour le soin de la création a été instituée par François à la suite de la publication de l'Encyclique Laudato Si ' en mai 2015. La journée de prière du 1er septembre est suivie chaque année par «la saison de la création», qui se termine sur le fête de Saint François d'Assise le 4 octobre.

Le Pape s'est réjoui que le thème choisi pour la célébration de la Saison de la Création 2020 soit «Jubilé pour la Terre» puisque cette année «marque le cinquantième anniversaire du Jour de la Terre», coïncidant avec le cinquième anniversaire de Laudato Si '.

«Un jubilé est le moment de revenir en arrière dans la repentance», a-t-il expliqué. «Nous avons rompu les liens de notre relation avec le Créateur, avec nos semblables et avec le reste de la création. Nous devons guérir les relations endommagées qui sont essentielles pour nous soutenir et soutenir tout le tissu de la vie. »

«Nous nous réjouissons également de voir à quel point l'Année spéciale anniversaire de Laudato Si 'inspire de nombreuses initiatives aux niveaux local et mondial pour le soin de notre maison commune et des pauvres. Cette année devrait déboucher sur des plans d'action à long terme pour pratiquer l'écologie intégrale dans nos familles, nos paroisses et diocèses, nos ordres religieux, nos écoles et universités, nos établissements de santé, commerciaux et agricoles, et bien d'autres encore », a déclaré Francis. 

«Nous nous réjouissons également que les communautés confessionnelles se réunissent pour créer un monde plus juste, pacifique et durable. Nous sommes particulièrement heureux que la saison de la création devienne une véritable initiative œcuménique. Continuons à prendre conscience que nous vivons tous dans une maison commune en tant que membres d'une même famille », a-t-il ajouté. »

N’oublions pas ceci tiré de l’analyse de Mai 2020, où le contre à rebours a commencé :

« En cette journée de la fête de Notre-Dame Auxiliatrice, Secours des chrétiens, François continue dans son voyage œcuménique vers la nouvelle religion mondiale et lance l’ «année Laudato Si».

« Le Pape François lance une année Laudato Si’

Du 24 mai 2020 au 24 mai 2021 aura lieu l’année Laudato Si’. Une initiative annoncée par le Pape François après la prière du Regina Cœli du 24 mai, pour marquer les cinq ans de l’encyclique (vaticannews.va).

Sa prière, une prière œcuménique socialiste, adressé au créateur. »

L’encyclique sur la fraternité à venir est à mettre au même niveau que la trahison de Judas, juste avant la mort des deux témoins.

Dans l’Apocalypse, c’est après cet événement que tout s’accélère, que Babylone la Grande tombe et que les plaies commencent.

Pas avant.

Avant c’est comme NSJC l’a indiqué par rapport au temps de Noé : tous se mariaient, mangeaient, etc. comme si de rien n’était.

Octobre et le mois de Notre Dame du Rosaire, celui qui fait le lien avec le mois de Marie, le mois de Mai, la fête de Notre Dame Auxiliatrice du 24 mai.

Octobre : c’est l’encyclique possible de François, le krach économique possible, la mort des deux témoins possible, le pacte sur l’éducation de François reporté pour cause de pandémie, suivi en novembre par son pacte sur l’économie socialiste.

Octobre : il s’agît de la mort du système, du corps de l’Antéchrist, qui ressuscitera à la manière du phœnix.

Tout cela dans le contexte toujours vivant de la pandémie.

Il n'y a aucun hasard.

Août 2020

31 août

Voilà qui est intéressant.

Une sortie d’un encyclique de Bergoglio le 4 octobre? Fête de Saint-François d’Assise.

A la fin du « jubilé de la Terre » 2020 (egliseverte.org)?

Tout se tient.

Le plan de l’Antéchrist système avec la bête de la mer à la tête du Vatican avance.

« VATICAN CITY, 28 août 2020 ( LifeSiteNews ) – Un évêque italien a déclaré que la prochaine encyclique du pape François portera sur la «fraternité humaine», une vertu laïque prônée par la confrérie maçonnique.
Magazine en ligne franciscain italien Il Cattolico a rapporté que l’évêque Domenico Pompili du diocèse de Riete a déclaré que la prochaine encyclique du pontife paraîtrait bientôt.
«Bientôt, le Pape lui-même publiera une encyclique sur le thème de la fraternité humaine», a déclaré Pompili lors d’ un discours enregistré mercredi.

L’évêque a fait cette remarque en signant la «charte d’intention» avec laquelle il a établi un comité pour la célébration du 800e anniversaire à la fois de la règle franciscaine et du premier «presepe» ou crèche. Saint François lui-même a créé la première scène de crèche dans le village de Greccio en 1223.

L’auteur de l’article, le P. Pietro Messa est certain que cette nouvelle encyclique s’appuiera sur le document sur «la fraternité humaine pour la paix dans le monde» que le pape François a signé avec le leader islamique Ahmad Al-Tayyeb à Abu Dhabi le 4 février 2010.
Mess a également noté qu’il s’agira de la troisième encyclique du pape François, après «Lumen Fidei» en 2013 et «Laudato si» en 2015.
Selon Cindy Wooden du Catholic News Service, le Vatican n’a pas confirmé la déclaration de Pompili.

«Le Vatican n’a pas confirmé qu’une encyclique est en préparation, mais il serait logique qu’une encyclique sociale sur une vision post-COVID se fonde sur l’affirmation que tous les êtres humains ont été créés par Dieu avec une dignité égale et que des solutions au les problèmes les plus urgents du monde doivent être trouvés ensemble et doivent profiter à tous », a-t- elle déclaré.

Le document d’Abu Dhabi du pape François sur la « fraternité humaine » a été largement critiqué pour avoir déclaré, entre autres, que «le pluralisme et la diversité des religions» sont «voulus par Dieu». Cette déclaration est apparue dans le passage suivant:

La liberté est un droit de chaque personne: chaque individu jouit de la liberté de croyance, de pensée, d’expression et d’action. Le pluralisme et la diversité des religions, de la couleur, du sexe, de la race et de la langue sont voulus par Dieu dans sa sagesse, à travers laquelle il a créé les êtres humains . Cette sagesse divine est à l’origine du droit à la liberté de croyance et de la liberté d’être différent. Par conséquent, le fait que les gens soient forcés d’adhérer à une certaine religion ou culture doit être rejeté, tout comme l’imposition d’un mode de vie culturel que d’autres n’acceptent pas.

Certains s’opposent à cette déclaration au motif qu’elle contredit le quatrième concile du Latran et l’enseignement magistral du pape Grégoire XVI au pape Pie XI. L’évêque Athanasius Schneider a déclaré à LifeSiteNews que la phrase était «erronée et contredit la révélation divine, puisque Dieu nous a révélé qu’il ne veut pas de diverses religions, mais seulement une religion […]».
L’historien italien, le professeur Roberto de Mattei, a noté que le mot «fraternité» décrit une vertu séculière prônée par la confrérie maçonnique.

«La fraternité est… un dogme de la franc-maçonnerie, qui dans son idéologie et ses rituels offre une parodie de la doctrine et de la liturgie chrétiennes» , écrivait-il peu après la signature du document d’Abu Dhabi.

«Ce n’est pas un hasard si la Grande Loge d’Espagne, avec ce tweet , a remercié le Pape François pour son Message du 25 décembre 2018,« Todos los masones del mundo se unen a la petición del Papa por ‘la fraternidad entre personas de diversas religions ‘[«Tous les francs-maçons du monde se joignent à la demande du Pape de« fraternité entre les personnes de religions différentes ».»]

La confrérie historiquement anti-catholique est apparemment la déclaration du pontife comme approbation de leur secte. De Mattei a rapporté que les francs-maçons voyaient la référence du pape François à la «fraternité universelle» comme un rejet de l’ avertissement de Léon XIII contre eux. Ils ont écrit:

Dans son message de Noël de la loggia centrale de la Vatican, le pape François a demandé le triomphe de la fraternité universelle entre tous les êtres humains. Fraternité entre les individus de chaque nation et culture. Fraternité entre des personnes aux idées différentes, mais capables de se respecter et de s’écouter. Fraternité entre personnes de religions différentes. (…) Les paroles du Pape démontrent le départ actuel de l’Église par rapport au contenu du genre Humanum (1884), la dernière grande condamnation catholique de la franc-maçonnerie.

«En réalité, la franc-maçonnerie continue d’être condamnée par l’Église, même si les hommes de l’Église, aux plus hauts niveaux, semblent embrasser ses idées», a répondu De Mattei.

«Mais l’enseignement du divin Maître continue de résonner dans les cœurs fidèles: là, l’amour du prochain ne peut se fonder que sur l’amour de Dieu. Et sans référence au vrai Dieu, qui ne peut être aimé que dans l’Arche du Salut de l’Église, la fraternité n’est qu’une parole vide qui cache la haine de Dieu et du prochain.

Reconnaissant la controverse, le pape François a dit par la suite aux pèlerins puis aux évêques qu’ils pouvaient interpréter la déclaration pour décrire la «volonté permissive» de Dieu. »

Quant à la bête de la Terre, le président Macron, il continue de se mettre en évidence avec le dossier du Liban, laissant présager exactement le couronnement du roi jupitérien en décembre selon la prophétie du roi Frédéric de Jean XXIII (Grand Éclair à l’Orient).

D’ailleurs, la tension est à son comble comme jamais autour de Chypre et de la Crète avec la poussée de la Turquie pour les gisements est-méditerranéens.

La Grèce est concernée et l’Italie et surtout la France augmentent la pression militaire de plusieurs crans.

Nous sommes près de la prophétie Prophétie #27 « La foudre en plein jour » (« de la petite île de la Méditerranée ... le premier jour d’Europe).

Avec son nouvel encyclique, Bergoglio est sur le point de franchir la ligne rouge :

Une nouvelle messe œcuménique ou  tout simplement le pouvoir aux évêchés pour une messe selon les coutumes locales.

C’est l’ultime aboutissement de la dilution à la Bergoglio, dilution commencée par l’abolissement du péché avec le jubilé de la miséricorde en décembre 2015 (alors que Klaus Schwab du WEF mettait de l’avant son concept de « 4ème révolution », menant à ce qu’on sait maintenant comme la « grande réinitialisation ». Coïncidence? Sûrement pas puisque ce concept a ensuite été mis de l’avant à Davos en janvier 2016, où l’envoyé de Bergoglio était présent.

Le regretté Serge Monast a toujours affirmé que le religieux domine et mène le politique.

La grande réinitialisation a donc deux volets : le religieux et le socio-économique.

S. Monast affirmait que les chrétiens deviendraient des terroristes à cette période.

Nous y sommes presque.

C’est ce que le l’Apocalypse pointe par la mort des témoins (qui est le prélude à la chute de Babylone; les deux Babylone de Jean XXIII).

Donc Bergoglio a continué la dilution de la doctrine chrétienne catholique avec l’accord avec les luthériens en octobre 2016, l’accord avec l’Islam à Abu Dhabi en février 2019, le synode amazonien introduisant le paganisme au Vatican, etc.

Il prépare le coup de la conclusion de la lettre envoyée aux évêques (dossier traité depuis le retour de ses lettres au 31 juillet dernier).

Il fera ce qu’il a toujours annoncé.

Il va donner le pouvoir aux évêchés. Ils feront la messe comme le veut la coutume locale.

N’oublions pas que Bergoglio s’est retiré comme vicaire du Christ.

La tête n’est déjà plus.

Mais, la présence réelle demeurera toujours, chez les vrais prêtres qui croient à la consécration, tant catholiques qu’orthodoxes.

Les prêtres sérieux et ayant la foi sont et seront capables du miracle de la transsubstantiation.

La deuxième option pour faire taire les témoins ne serait pas nécessairement une nouvelle messe œcuménique mais l’interdiction à la Sainte Communion aux fidèles, tel qu’on la vu lors de la pandémie.

Ils préparent donc probablement quelque chose de plus grand au niveau confinement.

L’idée de Bergoglio est d’en arriver à une nouvelle religion mondiale socialiste de paix centrée sur l’humain via entre autre le réchauffement climatique comme élément moteur. Ce qu’il partage d’ailleurs avec Bartholomé 1er. Les deux ont donc le même but.

« Le respect et la protection de la création font partie intégrante de la foi”, affirme le patriarche Bartholomée (lacroix.com) »

La nouvelle génération est dopée à l’éco-anxiété. Elle est perdue.

L’élite a déjà agitée son épouvantail, la « fille de Caïn », Greta Thunberg, en Allemagne le jour de l’anniversaire du 18 août (jour de grève des étudiant commencé en 2018).

L’avertissement est donné par Mgr Vigano qui voit l’urgence du moment :

« Extraits d’une très longue « Lettre aux mères, « Sauvons nos enfants de la dictature sanitaire! Sauvons l’Italie de la tyrannie mondialiste!

Mgr Carlo Maria Viganò a écrit cette lettre en réponse à une association de parents qui, le 5 septembre prochain, lancera à Rome une initiative pour protéger la santé physique, morale et spirituelle de leurs enfants « contre la dictature sanitaire, financière et judiciaire ».

… Les parents sont responsables, comme droit primaire et inaliénable, de l’éducation de leur progéniture : l’État ne peut s’arroger ce droit, encore moins corrompre leurs enfants et les endoctriner aux principes pervers si répandus aujourd’hui. N’oubliez pas, chères Mamans, que ceci est la marque des régimes totalitaires, et non d’une nation civile et chrétienne. Il est de votre devoir d’élever la voix pour que ces tentatives de vous priver de l’éducation de vos enfants soient dénoncées et rejetées avec force, car vous ne pourrez pas faire grand-chose pour eux lorsque votre foi, vos idées et votre culture seront jugées incompatibles avec celles d’un État impie et matérialiste. Et il ne s’agit pas seulement d’imposer un vaccin à vos enfants et à vos jeunes, mais de les corrompre dans l’âme avec des doctrines perverses, avec l’idéologie du genre, avec l’acceptation du vice et la pratique d’un comportement de péché. Aucune loi ne peut jamais légitimement faire de l’affirmation de la vérité un crime, car l’autorité ultime vient de Dieu, qui est la Vérité suprême elle-même. A l’oppression des tyrans a répondu le témoignage héroïque des Martyrs et des Saints : soyez aujourd’hui encore, avec courage, les témoins du Christ contre un monde qui voudrait nous soumettre aux forces déchaînées de l’enfer !…

Si vous pensez que durant le confinement, tous les traitements pour les malades ont été suspendus, mais que les avortements ont continué à être pratiqués, vous comprenez bien quelles sont les priorités de ceux qui nous gouvernent : la culture de mort ! Quel progrès peut-on invoquer lorsque la société tue ses propres enfants, lorsque la maternité est horriblement violée au nom d’un choix qui ne peut être libre, puisqu’il implique une vie innocente et viole un Commandement de Dieu ? Quelle prospérité notre Patrie peut-elle espérer, quelles bénédictions de Dieu, si des sacrifices humains sont faits dans ses cliniques comme aux temps de la barbarie la plus sanglante ?…

Mais il y a aussi d’autres aspects inquiétants, aujourd’hui proposés, qui concernent non seulement les contenus de l’éducation, mais aussi la manière de participer aux leçons : la distanciation sociale, l’utilisation de masques et d’autres formes de prévention présumée de l’infection dans les classes et les environnements scolaires impliquent de graves dommages à l’équilibre psychophysique des enfants et des jeunes, compromettant la capacité d’apprendre, les relations interpersonnelles entre les élèves et les enseignants, et les réduisant à des automates à qui l’on ordonne non seulement quoi penser, mais aussi comment bouger et respirer. Il semble qu’on ait perdu la notion même de bon sens qui devrait encadrer des choix lourds de conséquences dans la vie sociale et paraissent être un prélude à un monde inhumain dans lequel les parents se voient retirer leurs enfants lorsqu’ils sont considérés comme positifs pour un virus de grippe, avec des protocoles de traitement sanitaire obligatoires appliqués dans les dictatures les plus féroces….

La Santé Mondiale, avec le rôle pilote de l’OMS, est devenue une véritable multinationale dont le but est le profit de ses actionnaires (compagnies pharmaceutiques et fondations dites philanthropiques) et un moyen de poursuivre la transformation des citoyens en malades chroniques…

Mais tout comme dans la société civile nous avons assisté à une perte progressive de responsabilité des individus et des dirigeants dans les différents domaines de la vie publique, y compris les soins de santé, de même dans l’ »église de la miséricorde » née en 2013 l’engagement des Dicastères pontificaux et de l’Académie pour la vie a été adapté à une vision liquide, je dirais perverse car elle nie la vérité, qui épouse les instances de l’environnementalisme, avec de lourdes connotations de malthusianisme. La lutte contre l’avortement, qui s’oppose à la dénatalité poursuivie par le Nouvel Ordre Mondial, n’est plus une priorité pour de nombreux Pasteurs. Lors des manifestations pro-vie – comme celles qui ont eu lieu à Rome ces dernières années – le silence et l’absence du Saint-Siège et de la Hiérarchie ont été honteux !..

N’oubliez pas, chères Mamans, qu’il s’agit d‘un combat spirituel – voire d’une guerre – dans lequel des pouvoirs que personne n’a jamais élus et qui n’ont d’autre autorité que celle de la force et de l’imposition violente de leur propre volonté, tentent de démolir tout ce qui évoque, même de loin, la Paternité divine de Dieu sur ses enfants, la Royauté du Christ sur les sociétés et la Maternité virginale de Marie Très Sainte. C’est pourquoi ils détestent mentionner les mots père et mère ; c’est pourquoi ils veulent une société irréligieuse et rebelle qui se rebelle contre la Loi de Dieu ; c’est pourquoi ils promeuvent le vice et détestent la vertu. C’est pourquoi ils veulent corrompre les enfants et les jeunes, s’assurant des armées d’esclaves obéissants pour un avenir proche dans lequel le nom de Dieu est annulé et le sacrifice rédempteur de son Fils sur la Croix est blasphémé ; une Croix qu’ils veulent bannir, parce qu’elle rappelle à l’homme que le but de sa vie est la gloire de Dieu, l’obéissance à ses Commandements et l’exercice de la charité fraternelle : non pas le plaisir, non pas l’exaltation de soi, non pas la domination arrogante des faibles… » (benoit-et-moi.fr).

Ils l’annoncent. C’est clair. Le vaccin contre le Covid-19 est leur messie, pour le retour à la « normale » dans toutes les relations internationales alors qu’en fait, il s’agît de la victoire de la bête socialo-marxiste. Mais les sans dents seront heureux de retrouver leur semblant de paix dans un nouveau système matérialiste à souhaits, la quatrième révolution industrielle.

Absent, bien-sûr, l’aspect spiritualité, puisqu’il s’agît de la religion de l’homme, on y mentionne tout ce qui concerne les droits humains… ou presque.

À noter aussi que le masque fait partie du plan dans le sens que les sans dents seront heureux de retrouver des relations humaines « normales » après cet épisode d’isolement forcé.

« … L’un des thèmes principaux de l’article était la ` ` plateforme d’intelligence stratégique  » du WEF , que l’organisation décrit comme «  un système dynamique d’intelligence contextuelle qui permet aux utilisateurs de retracer les relations et les interdépendances entre les problèmes, soutenant une prise de décision plus éclairée  »…

Lorsque vous examinez l’intelligence stratégique, un aspect qui devient rapidement apparent est la façon dont chaque problème mondial et chaque industrie s’entremêlent. Par exemple, Covid-19 est un volet de « The Great Reset » et vice versa. Cela donne l’impression que seule une approche collectivisée intégrant toutes les « parties prenantes » a la capacité de faire face aux crises à l’échelle mondiale. Le WEF est fondé sur la conviction que les nations et les entreprises doivent être interdépendantes et chercher à remédier aux problèmes du monde par le biais des institutions mondiales.

Il n’est donc guère surprenant que le WEF ait conçu à travers sa plate-forme d’intelligence stratégique « The Great Reset ». Ce que cela implique peut être divisé en deux parties. Premièrement, les sept principaux objectifs pour réaliser la réinitialisation. Dans aucun ordre particulier, ce sont:

Façonner la reprise économique
Exploiter la quatrième révolution industrielle
Renforcer le développement régional
Revitaliser la coopération mondiale
Développer des modèles commerciaux durables
Restauration de la santé de l’environnement
Reconcevoir les contrats sociaux, les compétences et les emplois

Vient ensuite un mélange de problèmes mondiaux et d’industries intégrés dans le programme « The Great Reset ». Au dernier décompte, il y avait plus de cinquante zones qui composent la réinitialisation.

Ceux-ci inclus:

Blockchain; Identité numérique; Gouvernance Internet; Financement du développement; Le développement durable; Avenir de la santé et des soins de santé; Gouvernance mondiale; Systèmes financiers et monétaires; Finances publiques et protection sociale; Changement climatique; Les drones; 5G; L’océan; Banque et marchés des capitaux; Aviation, voyages et tourisme; Commerce international et investissement; Covid19; Biodiversité; Villes et urbanisation; Leadership dans le 4IR; Géo-économie; Santé mondiale; Sécurité internationale; Géopolitique; Avenir de l’alimentation; La pollution de l’air; impression en 3D; Batteries; Économie circulaire; Avenir de la mobilité; Droits humains; Parité entre les sexes; Imposition; Avenir des médias, du divertissement et de la culture; Économie numérique et création de nouvelle valeur; Quatrième révolution industrielle; L’avenir du progrès économique; Main-d’œuvre et emploi; Gouvernance agile; Risques mondiaux; Fabrication et production avancées; Environnement et sécurité des ressources naturelles; Plastiques et environnement; Gouvernance d’entreprise; Les forêts; Justice et droit; Participation civique; Inclusion LGBTI; Conception inclusive; L’avenir de l’informatique; Intelligence artificielle et robotique; Racisme systémique.

Comme mentionné, tous ces sujets se mélangent à travers l’intelligence stratégique. La distinction vient du fait que le Forum économique mondial a identifié « La Grande Réinitialisation » comme la seule question qui peut lier tous ces autres domaines de préoccupation pour essayer de créer un « nouvel ordre mondial » économique et sociétal . À tel point qu’en annonçant l’initiative en juin, le WEF a confirmé que la réinitialisation serait le thème de sa réunion annuelle de Davos en Suisse en janvier 2021. Les années précédentes, le WEF n’avait publié les détails d’un thème à venir que quelques semaines avant le réunion a lieu. Cette fois, cependant, ils ont donné plus de six mois de préavis, ce qui suggère le niveau d’importance que le WEF a accordé à « La grande réinitialisation »….

Avec des systèmes inadaptés au 21e siècle, Schwab a évoqué l’urgence de « restaurer un système fonctionnel de coopération mondiale intelligente structuré pour relever les défis des 50 prochaines années ». Pour y parvenir, toutes les parties prenantes de la société mondiale devront être intégrées dans une « communauté d’intérêt, de but et d’action communs ». Personne, semble-t-il, ne peut être laissé pour compte. Nous allons ensemble, en tant que collectif, que cela plaise ou non à un individu. Chaque pays devra participer. Chaque industrie doit être transformée. Ceci, selon Schwab, signifiera une grande réinitialisation du capitalisme et une nouvelle ère de prospérité.
Mais que se passe-t-il si toutes les parties prenantes ne se regroupent pas derrière l’initiative? Selon Schwab, être dissocié « conduira à davantage de polarisation, de nationalisme, de racisme, de troubles sociaux et de conflits accrus ». En bref, un niveau plus élevé de chaos et de dégradation des systèmes, laissant le monde plus fragile et moins durable.

Schwab a insisté sur le fait que pour éviter ce scénario, des changements mineurs ne suffiraient pas. Au lieu de cela, « des fondations entièrement nouvelles pour nos systèmes économiques et sociaux » doivent être construites. Covid-19 est donc un « moment historique pour façonner le système pour une ère post Corona ». C’est une opportunité qui, selon Schwab, ne doit pas être manquée.

Schwab est allé plus loin quelques semaines après le lancement du Great Reset. Comme beaucoup le savent, utiliser la crise comme une opportunité pour provoquer des changements économiques et sociétaux majeurs est une stratégie notoire des planificateurs mondiaux. Et de temps en temps, certains de ces planificateurs le suggèrent. Selon Schwab, «les crises aiguës favorisent l’introspection et favorisent le potentiel de transformation ». Le prince de Galles, qui approuve pleinement la Grande réinitialisation, a déclaré quelque chose de similaire en ce sens que «  les ondes de choc sans précédent de crise peuvent rendre les gens plus réceptifs à de plus grandes visions du changement  »….

Dans un discours prononcé lors de la consultation nationale italienne en juin ( Italie, Europe et la reprise mondiale en 2021 ), Georgieva (note: directrice du FMI) a déclaré que Covid-19 «  pourrait avoir accéléré la transformation numérique de deux ou trois ans  ». La peur non prouvée que l’argent liquide soit un transmetteur du virus, ainsi que les personnes dépendant des paiements sans contact et des transactions en ligne, ont sans aucun doute contribué à ses perspectives.

Georgieva met l’accent sur « l’économie de demain », ce qui est une raison suffisante pour elle que «l’ économie d’hier » soit reléguée à l’histoire. Des fondations entièrement nouvelles sont nécessaires, pas une refonte des anciens systèmes défaillants. S’il semble que Georgieva et Schwab lisent le même script, je dirais qu’ils le sont.

Georgieva estime que 2021 est une année décisive pour la grande réinitialisation. Soit le monde choisit plus de coopération, soit plus de fragmentation. Selon elle, « c’est le moment de décider que l’histoire se rappellera de cela comme de la grande réinitialisation, et non du grand renversement ».

Comme vous l’avez peut-être deviné, «  le point d’ancrage le plus important du rétablissement  » est une vaccination contre le Covid-19, qui, espère Georgieva, sera disponible à grande échelle d’ici 2021.

L’implication est que sans vaccin, le monde sera incapable de revenir à un quelconque sens de normalité, en particulier en termes d’interaction ouverte avec votre prochain. Ce n’est qu’avec un vaccin et des traitements complémentaires qu’il peut y avoir un « rétablissement complet ». » (zerohedge.com).

21 août

« Rome perdra la foi et deviendra le siège de l’Antéchrist » (LaSalette).

Pacte avec les luthériens en octobre 2016, pacte avec l’Islam à Abu Dhabi en février 2019, synode amazonien introduisant le paganisme à la basilique Saint-Pierre, questionnaire douteux envoyé aux évêques (fsspx.news) sur l’utilisation ou non de la messe traditionnelle (questionnaire retourné le 31 juillet et dont la révélation aura lieu incessamment. Mais la réponse est simple puisque Bergoglio a toujours dit qu'il permettra aux évêques de célébrer la messe comme ils le veulent, selon la coutume locale)…

Tous des purs produits dilution sortie de l’imagination de Bergoglio cherchant à réduire la célébration eucharistique à une simple commémoration, au nom de l’œcuménisme et de la nouvelle paix mondiale.

Ce sont toutes de preuves de la présence de la l’Antichrist sur le trône. Aucun doute.

« A quoi sert cet homme ? » clame Aldo Grandi (via benoit-et-moi.fr).

« Un pape inutile. Alors que les églises brûlent ou deviennent des mosquées...

Un pape inutile. C’est ce que pense désormais la grande majorité des catholiques et des chrétiens, qui ont conservé une once d’autonomie de pensée et d’indépendance de jugement. Un pape, Bergoglio, qui ne parvient pas à donner à ses fidèles ce sentiment de sécurité et de protection qu’au contraire et surtout, en ces temps, ils méritent et dont ils ont besoin. A l’inverse, non seulement le pape François ne défend pas la religion dont il est, jusqu’à preuve du contraire, le plus haut représentant et la plus haute expression, mais il tue, jour après jour, son caractère sacré par un comportement quotidien dévastateur…

Qu’attend le pape Bergoglio, ce berger d’âmes craintives et prêtes au martyre, pour se rendre sur le terrain avec son autorité et redonner dignité et force à un message chrétien désormais réduit à celui d’une ouverture sans discernement et d’un accueil à quiconque débarque sur nos rivages ?
Les églises en Occident sont outragées presque quotidiennement, mais depuis Rome tout est silencieux, pas un mot n’est élevé contre cette barbarie et les laïcs progressistes d’une gauche malade et bâtarde font comme si de rien n’était et ferment les yeux en sonnant à tout bout de champ l’alarme fasciste comme si c’étaient des hommes blancs en chemise noire qui mettaient le feu aux maisons du Christ…

L’Église et le pape François ont perdu leur caractère sacré et se sont réduits à l’état laïc à l’instar d’une confrérie miséricordieuse.

Pas un mot, de la part du Saint-Père, sur la cathédrale de Nantes, comme s’il s’agissait d’un banal feu de broussailles alors qu’au contraire, des siècles d’histoire et d’art, de beauté et de christianisme ont été réduits en cendres.

À quoi sert, vous demandez-vous, un tel homme?

Nous, la réponse, nous l’avons toujours eue.»

En fait, la réponse est qu'il est très utile au plan judéo-maçonnique puisqu’il en fait partie intégrante.

Le mondialisme est une façade pour la société socialiste rêvée par les générations de familles élitistes.

Tous égaux.

Sauf pour la clique qui domine.

Le dauphin de Bergoglio, le cardinal Pietro Parolin, a été très clair à ce sujet lors de sa présence à Lourdes.

Le discours est truffé d’allusions socialistes, demandant aux traditionalistes conservateurs de renier le passé et de se tourner vers l’avenir.

Un discours très en accord, sans surprise, avec la « grand réinitialisation » annoncée par les élites de Davos.

Un élément commun caractérise l’église conciliaire et le pandémie : la peur.

La peur par la maladie (sauvée par un vaccin miracle qui fera plus de torts que de bien? Nous verrons), la peur par les épouvantails du banditisme par le chaos et du changement climatique, la peur pour faire accepter et mieux contrôler.

« Présent à Lourdes pour présider les célébrations de la solennité de l’Assomption, le cardinal Pietro Parolin a rencontré ce samedi les Augustins de l’Assomption, qui sont à l’origine du pèlerinage national et qui fêtent cette année le 175e anniversaire de leur fondation.

L’occasion pour le secrétaire d’État du Saint-Siège de développer une réflexion sur le «changement de mentalité pastorale» qui doit guider désormais l’évangélisation de nos sociétés.

Il y a 175 ans, le vénérable Emmanuel d’Alzon fondait la famille des Augustins de l’Assomption, lui assignant des «buts apostoliques» à travers l’éducation, la formation du clergé, l’organisation des pèlerinages de groupes, ou encore la création de journaux et périodiques qui puissent participer à la formation d’une opinion publique catholique.

Le cardinal Parolin distingue «un lien», «un fil rouge» entre l’époque de cette fondation et «notre vie quotidienne contemporaine», à savoir «la fin du régime de chrétienté qui a caractérisé de diverses façons l’histoire à partir du IVe siècle». Le père d’Alzon, né immédiatement après la Révolution française, a vécu dans un monde en mutation, note le secrétaire d’État qui souligne que cette mutation n’est pas terminée. «Nous aussi nous faisons partie d’un monde où le régime de chrétienté de notre enfance, de notre adolescence et de notre jeunesse (…) a fait place à une véritable transformation anthropologique dont nous sommes bien loin de voir les ultimes résultats».

Un nouveau commencement.

Face à une telle situation, il existe deux types de comportements : «soupirer après le « beau passé » qui n’est plus là ; ou bien se mettre en route pour semer les processus d’un nouveau commencement». La présence des Augustins de l’Assomption témoigne aujourd’hui encore du choix du père d’Alzon, qui ne s’est pas complu dans un regret du passé, mais s’est évertué à se mettre en mouvement, «pour que la fin puisse devenir un nouveau commencement». C’est précisément ce discernement, que prône à son tour le Pape François, qui permet aujourd’hui aux assomptionnistes de se retrouver «au cœur même de l’Église non pas comme un « groupe de professionnels », mais comme une « famille de frères » ; non pas comme une ONG – dirait encore le Pape François – mais comme une véritable communauté de foi, qui dans la foi attend et prépare patiemment son retour glorieux»…

La marginalisation de Dieu nous permet enfin de méditer «sur la dernière place qu’Il a choisi pour Lui et ses témoins» ; «c’est cela la vraie « réserve de grâce » qui empêche l’idolâtrie et rend actifs dans les domaines complexes du dialogue œcuménique et du dialogue interreligieux», observe encore le secrétaire d’État. De même, «seul un Dieu marginalisé, nié et ridiculisé est en mesure de nous rendre solidaires avec les pauvres et les exclus de ce monde ; et avec la même « maison commune » qui est notre planète, blessée par des systèmes économiques rapaces et par les organisations criminelles».» (vaticannews.va).

Que les témoins se lèvent!

Les chrétiens catholiques sont visés.

Soyons forts dans la foi et dans l’espérance de voir NSJC confirmer sa présence sur le trône suprême.

Car c’est ce que l’ennemi tente de nous faire croire.

« Mgr. Viganò: le Christ-Roi a été «  détrôné  » non seulement «  de la société mais aussi de l’Église  »
12 août 2020 ( LifeSiteNews ) – L’archevêque Carlo Maria Viganò, dans une méditation prononcée lors de la récente réunion annuelle du personnel de LifeSiteNews, a décrit à quel point la royauté du Christ est importante et comment elle a été minée dans la société, sous l’influence de forces maçonniques. Mais aussi dans l’Église, a-t-il ajouté, la monarchie papale et avec elle la royauté du Christ ont été sapées depuis le Concile Vatican II.

«Et quand Paul VI déposa le triple diadème royal avec un geste ostentatoire», expliqua le prélat italien dans sa méditation (voir le texte intégral ci-dessous), «comme s’il renonçait à la monarchie sacrée par procuration, il enleva aussi la couronne de Notre-Seigneur, confinant Sa Royauté à une sphère purement eschatologique. Comme preuve de cette diminution de la royauté sociale du Christ – également au sein de l’Église – Viganò indique que la liturgie de la fête du Christ-Roi a été déplacée à la fin de l’année liturgique, lui donnant ainsi une dimension plus eschatologique, y donnant moins de sens dans notre vie quotidienne.

Dans la première partie de sa réflexion, que Mgr Viganò a livrée par téléphone à une quarantaine de membres de l’équipe LifeSiteNews lors de notre réunion annuelle du 6 août, il a évoqué la fête de la Transfiguration de Notre-Seigneur de ce jour-là. Se référant au passage scripturaire parlant de cet événement, ainsi qu’à d’autres passages scripturaires, le prélat italien a alors établi la royauté du Christ sur l’humanité. Il a explicitement choisi ce sujet pour sa méditation pour LifeSite, «parce que je crois que d’une certaine manière le point focal de notre et de votre engagement en tant que catholiques peut y être résumé; non seulement dans la vie privée et familiale mais aussi et surtout dans la vie sociale et politique. »

Avec lui, le prélat nous a rappelé que toute l’humanité est appelée à suivre le Christ et ses commandements, ou, comme le dit la prière du Notre Père, «Que ta volonté soit faite, sur terre comme au ciel». Viganò nous a donc appelé à «raviver notre foi en la royauté universelle de notre divin Sauveur», et il a ajouté plus tard qu’il «n’est pas possible de remettre en question le caractère royal de l’œuvre de Jésus-Christ. Il est roi.
Après avoir établi et rappelé ces faits cruciaux, Mgr Viganò a ensuite décrit notre situation actuelle. «La fureur de l’ennemi, qui hait la race humaine», expliqua-t-il, «se déchaîne principalement contre la doctrine de la royauté du Christ, parce que cette royauté est unie dans la personne de notre Seigneur, vrai Dieu et vrai homme. La laïcité du XIXe siècle, alimentée par la franc-maçonnerie, a réussi à se réorganiser en une idéologie encore plus perverse, puisqu’elle a étendu le déni des droits royaux du Rédempteur non seulement à la société civile mais aussi au Corps de l’Église.  »

C’est-à-dire que non seulement la royauté du Christ a été de plus en plus niée dans la société civile, mais aussi dans l’Église catholique. Ici, Viganò a souligné le Concile Vatican II qui a sapé, en affaiblissant le principe de la monarchie papale (c’est-à-dire en renforçant l’aspect de la collégialité), la Royauté du Christ, puisque le Pape est le vicaire du Christ sur terre.

A déclaré le prélat:

Cette attaque a été consommée avec le renoncement par la papauté au concept même de cette royauté par procuration du pontife romain, apportant ainsi au cœur même de l’Église les exigences de démocratie et de parlementarisme qui avaient déjà été utilisées pour saper les nations et l’autorité de dirigeants. Le Concile Vatican II a considérablement affaibli la monarchie papale à la suite du déni implicite de la royauté divine du Souverain Sacrificateur éternel, et ce faisant, a infligé un coup de maître à l’institution qui jusqu’alors avait été un mur de défense contre la sécularisation de la société chrétienne.

En affaiblissant la «souveraineté du Vicaire», les «droits souverains du Christ sur son corps mystique» ont été affaiblis. Ici, Mgr Viganò évoque un acte important et symbolique du Pape Paul VI le 13 novembre 1964, lorsque le Pape a enlevé sa couronne papale de sa tête et l’a placée sur l’autel, devant 2000 évêques. Comme le dit un article d’ Aleteia : «Après une messe à laquelle assistaient 2 000 évêques, le pape se leva de sa chaise et posa solennellement sa tiare sur l’autel. Selon les informations de l’époque, le Pape Paul VI aurait été poussé à faire le geste par des discussions sur la pauvreté dans le monde lors des réunions du Concile œcuménique Vatican II.

L’archevêque Viganò, dans ses méditations, a commenté cet événement comme suit: «Et quand Paul VI déposa le triple diadème royal d’un geste ostentatoire, comme s’il renonçait à la monarchie sacrée par procuration, il enleva également la Couronne de Notre-Seigneur, confinant SaRoyauté à une sphère purement eschatologique. La preuve en est les changements significatifs apportés à la liturgie de la fête du Christ-Roi et son transfert à la fin de l’année liturgique.

Le prélat a alors également réfléchi à la question de savoir si les Pères du Concile savaient qu ‘«ils ont en fait évincé Notre Seigneur Jésus-Christ, le dépouillant de la Couronne de sa Royauté sociale? Cet acte a cependant eu de graves conséquences. Aux yeux de Viganò, «l’autorité conférée par Notre Seigneur au prince des apôtres a pratiquement disparu». Au lieu de parler avec autorité et infailliblement, les papes post-conciliaires ont plutôt choisi de parler «en faveur de la pastoralité qui a créé les conditions de formulations équivoques qui sont fortement soupçonnées d’hérésie sinon carrément hérétiques».

L’archevêque italien et ancien nonce papal de Washington, DC a conclu: «Nous ne nous trouvons donc pas seulement assiégés dans la sphère civile, dans laquelle pendant des siècles les forces obscures ont refusé le doux joug du Christ et imposé la tyrannie haineuse de l’apostasie et du péché sur la nations; mais aussi dans la sphère religieuse, dans laquelle l’Autorité se démolit et nie que le Roi Divin règne aussi sur l’Église, ses pasteurs et ses fidèles.

La conséquence de cet abandon de la Royauté sociale du Christ est, selon Viganò, la tyrannie: «Dans ce cas également, le doux joug du Christ est remplacé par la tyrannie haineuse des Innovateurs, qui avec un autoritarisme pas différent de celui de leur les homologues laïques imposent une nouvelle doctrine, une nouvelle morale et une nouvelle liturgie dans laquelle la seule mention de la royauté de Notre-Seigneur est considérée comme un héritage maladroit d’une autre religion, d’une autre Église.
Cette nouvelle église peut être caractérisée par «le clergé qui scandalise les fidèles par leur conduite morale répréhensible, répandant l’hérésie depuis les chaires, favorisant l’idolâtrie en célébrant la pachamama et le culte de la Terre Mère au nom d’un éccologisme d’une matrice clairement maçonnique , » il ajouta.

Mais l’archevêque Viganò ne nous laisse pas ces idées pénibles; au contraire, a-t-il déclaré, «nous avons la joie et l’honneur de reconstruire». Il y a «une nouvelle génération de laïcs et de prêtres» qui «participe avec zèle à cette œuvre de reconstruction de l’Église pour le salut des âmes». Ils se permettent, faibles et humbles qu’ils soient, d’être «utilisés par Dieu comme des instruments dociles entre ses mains». Avec notre humilité et notre docilité, a expliqué le prélat, nous pouvons contrer ceux qui «se rebellent contre le roi dans une illusion de toute-puissance, prononçant leur propre non serviam ». Ici, Notre-Dame sera à nos côtés. Viganò a poursuivi en disant qu ‘«il ne peut y avoir de royauté du Christ sans la douce et maternelle royauté de Marie».» (lifesitenews.com – traduction).

07 août

Mélanie de La Salette :

« L’Église sera éclipsée, le monde sera dans la consternation. Mais voilà Enoch et Elie remplis de l'Esprit de Dieu ; ils prêcheront avec la force de Dieu, et les hommes de bonne volonté croiront en Dieu, et beaucoup d'âmes seront consolées ; ils feront de grands progrès par la vertu du Saint-Esprit et condamneront les erreurs diaboliques de l'antéchrist. »

Voilà la période que nous vivons. C’est encore plus vrai depuis le confinement dû à la pandémie, l’interdiction du culte et la vague de destructions des symboles chrétiens un peu partout dans le monde.

Le mot important dans cette prophétie est « éclipsée ».

Car une éclipse solaire, cela ne dure jamais longtemps.

C'est la preuve que NSJC ne nous laisse pas tomber. L’Église renaîtra comme indiqué par les prophéties de l'Église de Jean XXIII.

L’élite verra son monde s’écrouler.

Le Père les prendra aux mots avec leur « grande réinitialisation ».

Ce n’est pas la leur qui triomphera, c’est la « Jérusalem Céleste » qui prendra place.

Le père Nectou affirmait qu’: « iI y aura alors un moment si affreux qu’on se croira à la fin du monde…, mais les méchants ne prévaudront pas. Ils auront bien l’intention de ruiner l’Église, mais ils n’en auront pas le temps, car cette crise épouvantable sera de courte durée, et ce sera au moment où l’on croira tout perdu que tout, sera sauvé. Quand cette crise arrivera, il n’y aura rien à faire, sinon de persévérer dans la prière…»
Après « ...tout rentrera dans l’ordre; justice sera faite à tout le monde et la contre-révolution sera accomplie, et alors le triomphe de l’Église sera tel qu’il n’y en aura jamais eu de semblable, parce que ce sera le dernier triomphe de L’Église sur la terre. »

Mais auparavant, il faudra faire face à la « grande réinitialisation » judéo-maçonnique pour un cours laps de temps, le temps de laisser croire à Satan qu'il triomphe.

La « grande réinitialisation » c’est « le remplacement des idées, des institutions, des processus et des règles actuelles » selon le livre de Klaus Schwab (grand patron de la World Economic Fundation, ou Davos; voir analyses précédentes).

Vous avez bien lu.

Dans le changement pour la gouvernance mondiale au profit de l’élite, on ne change pas seulement les institutions et les règles, mais aussi LES IDÉES.

Les « idées », c’est quand on s’approprie le droit de penser à la place de l’autre, quand on veut lui imposer ce qui est « bon » pour lui.

Ce qui se fait par l’établissement d’une nouvelle morale, à partir d’un climat de peur, la mise en place de la nouvelle religion humaniste.

Voici ce que le général Michael Flynn, ancien Directeur à la Sécurité Nationale, confirme à ce sujet, et qui par le fait même entrevoie la prophétie politique de Jean XXIII les « États-Unis libérés » :

« Ceci est ma lettre à l'Amérique.

Nous assistons à une attaque vicieuse par des ennemis de tout ce qui est bon, et notre président doit agir d'une manière sans précédent depuis des décennies, voire des siècles.

La nature biblique du bien contre le mal ne peut être écartée lorsque nous examinons ce qui se passe dans les rues d'Amérique.

C'est le marxisme sous la forme d'  antifa  et le   mouvement Black Lives Matter contre nos professionnels de l'application de la loi très compétents et très sous-estimés, dont la grande majorité se bat pour nous fournir des maisons, des rues et des communautés sûres et sécurisées.

Lorsque le destin des États-Unis est en jeu, et c'est le cas, l'avenir même du monde entier est menacé.

En tant que  chrétiens , ne devrions-nous pas agir? Nous reconnaissons que la Providence divine est le juge ultime de notre destin.

Accomplissant notre destin en tant que nation épris de liberté, la Providence nous oblige à faire notre part dans nos communautés.

Il nous encourage dans cette bataille contre les forces du mal à affronter nos peurs de front. Aucun ennemi sur terre n'est plus fort que les forces unies d'un peuple craignant Dieu et épris de liberté.

Nous ne pouvons plus prétendre que ces forces obscures vont disparaître par la seule prière. Les prières  comptent, mais une action est nécessaire.

Cette action est nécessaire aux niveaux local, étatique et fédéral. Une action est également requise dans les domaines économique, médiatique, clérical et ecclésiastique.

Décidez comment vous pouvez agir selon vos capacités. Levez-vous et exprimez vos croyances. Soyez fier de qui vous êtes et de ce que vous représentez. Et affrontez de front ces «dirigeants» de la communauté qui sont prêts à permettre aux forces obscures d'aller au-delà des manifestations pacifiques et de détruire et de violer votre sûreté et votre sécurité.

Les églises et les lieux de culte doivent revenir à la normale. Nous invitons toute personne de bonne volonté à ne pas se soustraire à ses responsabilités et à agir plutôt de manière fraternelle. Si pour aucune autre raison ou sans autre capacité, agissez dans un esprit de charité.

Nous ne pouvons pas manquer de respect ou ignorer la loi naturelle ainsi que nos propres libertés et libertés religieuses.

Je vois des personnes âgées perdre leur lien avec tout ce qui est bon dans leur vie: des liens avec leur foi, leurs familles et leurs libertés individuelles, en particulier le simple fait d'  aller à l'église , ce qu'elles font depuis des décennies.

Ne soyons pas intimidés et ne craignons pas ceux qui crient que nous sommes en minorité; nous ne sommes pas.

Le bien est toujours plus puissant et prévaudra sur le mal.

Cependant, le mal réussira à un moment où les bonnes personnes seront séparées les unes des autres et de leur vie personnelle - les enfants éloignés de leurs enseignants, les prédicateurs de leurs congrégations, les clients de leurs entreprises locales.

L'Amérique ne cédera jamais au mal. Les Américains travaillent ensemble pour résoudre les problèmes.
Nous ne permettons et ne devons jamais permettre à l'anarchie et aux forces perverses qui la sous-tendent d'opérer dans aucune rue de notre nation.

Personne ne devrait avoir à craindre pour sa vie même parce qu'une force sombre et perturbée est mise au défi par l'essence même de ce que représente l'Amérique.

Nous sommes «une seule nation sous Dieu» et ce sont nos  libertés individuelles  qui nous rendent forts, et non les libertés accordées à notre gouvernement. Notre gouvernement n'a aucune liberté à moins et jusqu'à ce que «nous le peuple» le disions.

Que Dieu bénisse l'Amérique et soutenons tout ce qui était et est bon dans nos vies, dans nos communautés et dans notre pays.
Sinon, l'Amérique en tant que véritable étoile du nord de l'humanité cessera d'exister telle que nous la connaissons. » (zerohedge.com)

Explosion à Beyrouth: Grand Éclair à l'Orient?

Probablement que cela est juste un avant-goût de cet événement.

Une chose est sûre par contre.

Le « roi jupitérien » s'est positionné à l'avant plan avec sa visite rapide...

Et cela va dans le sens des dernières analyses.

01 août

LES GRANDS MARQUEURS DU TEMPS

C’est le nom qui est donné à la grande conjonction Saturne-Jupiter dont nous avons fait mention dans la dernière analyse.

Loin l’idée de faire ici de l’astrologie. Il s’agît plutôt de constats ainsi que de faire référence aux mages qui ont visité le Christ s’incarnant sur Terre, ainsi qu’à l’élite occulte qui utilise ces signes du ciel pour avancer dans son plan pour l’entrée en scène de leur messie.

La comparaison est inévitable puisque Kepler a établi que le signe du ciel ayant guidé les mages a probablement été la grande conjonction en l’an -6.

À cause du phénomène de rétrogradation des planètes (elles ne tournent pas toutes à la même vitesse), il n’y a pas eu une mais trois grandes conjonctions en mai, octobre et décembre -6.

Le Dieu trinitaire s’incarnait (la conjonction eu lieu dans la constellation des poissons) et cette particularité a sûrement éveillée les mages :

« Les Rois Mages auraient en effet pu se mettre en marche au moment de la première conjonction, s’arrêter à Jérusalem dans un deuxième temps et repartir pour Bethléem à la troisième conjonction », analyse Philippe de la Cotardière… » (lacroix.com).

(Comparaisons des grandes conjonctions de décembre -6 et décembre 2020)


Pour les mages, ou l’élite occulte, la planète Jupiter c’est le créateur, celui qui sacre les rois. Saturne étant celle qui marque la fin et le début d’un cycle ou la grande faucheuse.

Une grande conjonction est donc une événement important à leurs yeux.

On peut faire les constats suivants de quelques unes: moins d’un mois avant le décès de Clovis en 511 ou quelque semaines après le décès de Napoléon 1er en 1821 par exemple.

La grande conjonction du 21 décembre 2020 verra les deux planètes s’approcher à moins de 1/10 de degrés! Ce qui est exceptionnel.

Du jamais vu depuis 1623.

Fait intéressant, la grande conjonction du 13 juillet 1623 précédait de trois jours le conclave convoqué après la mort du pape Grégoire XV, conclave particulier car la malaria (on pourrait comparer à la Covid-19 si conclave il y avait en 2020, qui sait?) était présente de sorte que le futur pape Urbain VIII en a été gravement atteint et que 9 cardinaux en sont décédés suite au conclave.

Ci-joint, l’image comparant la grande conjonction de 1623, à celle de 2020. On peut constater que Jupiter et Saturne ne font qu’un pour l’observateur terrestre, bien meilleure qu’en 1623.

Pour l’élite occulte donc, une grande conjonction peut-être l’occasion du « sacre d’un roi ».

Et ce roi jupitérien, on le sait avec une certaine probabilité, est la bête de la Terre, Emmanuel Macron.

Si c’est le cas, c’est donc dire que le « Grand Éclair à L’Orient » est très très proche.

Jean XXIII en fait l’avertissement par contre : « Ce n'est pas le temps d'un roi, ce ne l'a jamais été. Depuis la mort de Frédéric, chaque roi est usurpateur. Que le roi s'en aille, reste le peuple. L'Europe a soif, elle aura du sang dans les rues. »

L’automne sera chaud.

Car c’est aussi la prophétie « Le Temps est Proche » où l’Église n’a plus de père, et où deux empereurs décèdent.

C’est bel et bien la possibilité très forte cachée derrière la « grande réinitialisation ».

Juillet 2020

29 juillet

LES SIGNES DU CIEL… PRÉVISIBLES.

Si les comètes sont imprévisibles, il en est autrement du mouvement des planètes et des conjonctions de celles-ci.

Les planètes et les chiffres occupent une grande importance pour l’élite judéo-maçonnique.

On se souvient tous de Christine Lagarde qui lors du 15 janvier 2014 a prononcé un discours truffé de mentions du chiffre 7 « magique », important dans certaines religions, etc.

Le 7, c’est le chiffre de l’accomplissement.

Et le 23 janvier 2014, lors de la rencontre de Davos, elle mettait de l’avant pour la première fois la notion de « réinitialisation » ou « reset ». (lefigaro.fr).

C’est une preuve parmi tant d'autres que l’élite suit un plan déterminé, et dans ce plan, la chute de Babylone la Grande est prévue, voulue, pour renaître comme le phœnix, glorifiant Satan dans sa résurrection du système Antéchrist.

Cette chute, on la connaît maintenant, est sur le point de se produire, car 2014 plus 7 années nous mènent exactement à la grande messe de Davos de l’élite du 26 janvier 2021.

En arrière plan, on ne l’oublie pas, Satan qui mène le bal avec ses sbires de la judéo-maçonnerie, de l’axe anglo-sioniste surtout.

Nous avions vu dans les analyses de mai et juin dernier que la planète Vénus est étroitement reliée à la judéo-maçonnerie, à la kabbale talmudiste.

Vénus a un cycle de 8 ans qui est extrêmement important à leurs yeux.

« ... Dans son cycle de 8 ans Vénus est 4 fois Étoile du soir et 4 fois Étoile du matin. Le matin elle se lève toujours avant le Soleil en retrouvant approximativement la même place.

Mais tous les 8 ans elle retrouve sa place exacte. C’est la qu’elle est la plus basse et la plus brillante. Elle se lève 24 minutes avant le Soleil.  C’est sa position qui est considéré comme la plus sacrée.  C’est ce jour là, à cette heure là qu’il faut naître où renaître. » (ledifice.net).

Pour un observateur terrestre, la position dans le ciel de Vénus au long de ces 8 années forme un pentagramme ou une étoile à cinq branches, ou le symbole de Baphomet (wikimedia.org) (autre exemple: fr.wikipedia.org).

Nous nous rappelons (analyses de mai-juin) que Vénus est passée d’une étoile visible le soir à une étoile visible le matin.

C’est la marque du début d’un nouveau cycle de 8 ans, parce qu’il y a eu conjonction inférieure avec le Soleil.

Le 3 juin 2020 exactement.

Or, quand est-ce que l’élite a annoncé le grande messe de Davos 2021, sous le thème de « grande réinitialisation »?

Et oui. Le 3 juin.

C’est donc dire que le dernier cycle s’était amorcé le 5 juin 2012, avec un fait rarissime, le passage de la planète devant le disque solaire tout comme en 2004 (normalement, la durée entre deux transitions devant le Soleil est de 105 à 121 ans en moyenne!) (espacepourlavie.ca).

(Mai 2012, ce fut les fuites du Vatican qui ont mené à la démission de Benoît XVI puis de l’élection de Bergoglio en 2013. Le pion était en place au Vatican. Finalement.)

C’est donc dire que l’élite judéo-maçonnique a eu ses signes dans le ciel pour passer à la grande finale du plan mondialiste.

La pandémie est évidemment liée à la chute imminente de Babylone la grande.

Le grand manitou de la World Economic Forum chapeautant Davos 2021 a écrit un livre au titre explicite et, il n’y a pas de doutes: « COVID-19: The Great Reset » (amazon.com).

Or, tout juste avant la rencontre de janvier, soit le 21 décembre 2020, il y aura une grande conjonction Jupiter-Saturne.

Une telle conjonction arrive à tous les 20 ans.

Mais celle de cette année est très spéciale.

Les deux planètes seront tellement proches que la dernière fois où l’humain en a été témoin est en 1623! (earthsky.org).

Jupiter pour la maçonnerie, c’est le roi des planètes, le créateur, celui qui apporte la vie.

Et Saturne pour la maçonnerie, c’est la faux et le sablier, le temps et la grande faucheuse.

Elle représente la fin et un nouveau début.

« Saturne, ancien dieu romain de l'agriculture et du temps, armé d'une faux, prend d'un côté (temps, mort, épidémies...) et rend de l'autre (moisson, été, abondance) sans distinction également. La faux pourrait donc comprendre une notion d'égalité. » (fr.wikipedia.org).

D’égalité, d’humanisme, nivellement par le bas, disparition de la classe moyenne…

L’élite dominante, et les goys.

Le peuple prêtre, et les serviteurs de la porte.

Heureux hasard… La nouvelle de la pandémie a frappé le monde occidental en début décembre 2019.

Or, le 11 décembre 2019, il y avait une conjonction Saturne-Vénus, deux planètes extrêmement importantes pour la judéo-maçonnerie : Vénus qui éclaire, et Saturne la grande faucheuse.

Macron, le roi jupitérien, est né le 21 décembre 1977 et il aura donc 43 ans le 21 décembre prochain.

Comme Christine Lagarde et son discours sur le 7 en 2014, le chiffre de l’accomplissement, le 7 est omniprésent en ce 21 décembre 2020.

Le fameux calendrier maya avait fait craindre le pire pour certains. La fin du monde en 2012.

Satan est le maître de l’inversion et ce n’est pas 2012 qui était important.

L’élite le savait en déclarant le compte à rebours en 2014.

C’était la « grande réinitialisation ».

En 2021.

23 juillet

Retour sur la grande « réinitialisation » prévue en janvier 2021 à Davos  par le Forum Économique Mondial…

Preuves que nous avons à l’œuvre les deux Babylone citées par Jean XXIII, où il appelle la Sainte Vierge à abattre ces deux dernières (ce qui marque le décès de Benoît XVI car il s’agît de la prophétie le concernant).

La chute de Babylone la Grande est pour le catholique source d’espérance car dans l’Apocalypse elle tombe… AVANT le Jugement, avant le retour de NSJC.

Car, en chutant et en essayant de renaître, en imitant la Pâques de NSJC, la bête système, l’Antéchrist système, veut proclamer son cris de victoire, celui de Satan!

Et c’est là qu’arrive sa fin.

Voilà donc que nos élites vont faire chuter Babylone la Grande intentionnellement pour pouvoir reconstruire sur ses cendres: un pouvoir centralisé, une crypto monnaie unique (ce que la Banque d’Angleterre avance très prochaine sans cachette), et une religion unique.

Nous savons laquelle.

Comprenez-bien qu’ils ne vont pas réussir; ou cela ne sera qu’un colosse aux pieds d’argile, pas pour longtemps.

Là est leurs intentions mais cette échéance qu’ils proclament dans tous les médias maintenant nous permet de croire que NSCJ et la Sainte Vierge Marie interviendront peu après la chute de Babylone pour empêcher le petit reste de périr.

La chute de Babylone la Grande ne peut se faire que par la chute du système financier.

« " Malheur ! Malheur ! O grande ville, Babylone, ô puissante cité, en une heure est venu ton jugement ! " Et les marchands de la terre pleurent et sont dans le deuil à son sujet, parce que personne n'achète plus leur cargaison » (Apocalypse).

Or, le lundi noir du 19 octobre 1987 représente pour l’élite une date importante. Cela fera 33 ans.

Singeant le Christ, le système est prêt pour sa mort et sa résurrection.

Nous avions analysé une Pâques possible de l’Antéchrist les 12 et 14 avril  derniers et titré d’ « acte final » l’analyse du 16 avril.

La ligne a été tirée, la date choisie par l’élite, et il semble donc logiquement que celui qui leur faisait obstacle depuis un bout est une affaire réglée selon eux.

Cette date, le président français la connaît.

Il ne s’en était pas caché en avril dans un discours où il mentionnait qu’il y aurait un avant et après 11 mai 2020, en faisant référence au nouveau système post-covid élaboré par l’élite.

Et voilà que nous apprenons que la franc-maçonnerie française élabore un document pour la grande réinitialisation pour le président Macron.

« La pandémie ayant montré les fragilités de «l'ordre mondial», le Grand Orient élabore des propositions à l'adresse du chef de l’État dans des domaines variés pour édifier une «utopie constructive», selon un document consulté par Le Figaro. » (francais.rt.com)

Fouler aux pieds la Fille Aînée de l’Église, et abattre le Vatican…

Ils ne peuvent plus le cacher. C’est bien les seuls obstacles à leurs idéaux.

Mais voilà aussi que la Babylone Vatican rejoint la Babylone Nations-Unies dans cette grande « réinitialisation »:

« La Commission COVID-19 du Vatican fait écho aux préoccupations environnementales mondialistes, en marge des sacrements.

Un tel discours pacifiste semble joli de l’extérieur, mais il rappelle le mouvement de désarmement pendant la guerre froide.

17 juillet 2020 ( LifeSiteNews ) – Le Vatican ajoute sa voix à celle d’institutions mondialistes telles que les Nations Unies et le Forum économique mondial en vue d’une «action collective» pour la reconstruction de la société – ou plutôt, la construction d’une nouvelle société avec de nombreuses nuances utopiques. L’ONU et le WEF de Davos, en collaboration avec le prince Charles d’Angleterre, ont récemment annoncé des réflexions mondiales qui mèneront à une conférence «Réinitialisation globale» au début de l’année prochaine. La Commission COVID-19 du Vatican promeut le même type d’action: le désarmement mondial, une réponse «verte» qui impliquera un changement profond de l’économie dans le sillage de Laudato si ‘, soins de santé universels et autres «solutions» mondiales en harmonie avec les objectifs de développement durable de l’ONU (les ODD 2030).

Dans une interview publiée le 1er juillet par Our Sunday Visitor , le P. Augusto Zampini, secrétaire adjoint du Dicastère du Vatican pour la promotion du développement humain intégral et coordinateur du groupe de travail COVID-19, a utilisé exactement le même langage. «Nous avons besoin que les dirigeants des secteurs public, privé et civil appuient sur le bouton de réinitialisation – pour réaliser une fois pour toutes que la façon dont nous vivons nos vies jusqu’à présent n’est pas durable», a-t-il déclaré…

Mais tout l’intérêt de l’argument globaliste est que le «bien commun» n’est plus considéré comme le bien de la famille, ou de la famille des familles qu’est la nation, mais celui du soi-disant «foyer commun» qui comprend toute l’humanité et, en fait, toute la nature.
Le Vatican soutient clairement cette approche, utilisant la pandémie COVID-19 dans une perspective constructiviste de la politique, dans laquelle «l’écologie» joue un rôle majeur. «Il ne peut y avoir de guérison sans paix. Le moment est venu de construire un monde qui reflète mieux une approche véritablement intégrale de la paix, du développement humain et de l’écologie », a déclaré le cardinal Turkson.
Comme Klaus Schwab du Forum économique mondial, António Guterres, secrétaire général des Nations Unies (et ancien président de l’Internationale socialiste) ou le prince Charles et d’autres dirigeants mondiaux, le Vatican COVID-19 exprime très clairement sa volonté de capitaliser sur les ravages causés par la réponse presque universelle au coronavirus chinois pour mettre en œuvre une nouvelle société révolutionnaire…

Fr. Augustino Zampini, a déclaré à Revista Ecclesia , le magazine d’information de la Conférence épiscopale espagnole , que nous vivons «un moment unique pour opérer un changement profond, pour construire un monde et une planète plus sains et plus équitables avec des personnes et des institutions saines».

Le groupe de travail du Vatican, a-t-il dit, a pour objectif de travailler en tant que «catalyseur pour aider les réponses mondiales à la crise à être interconnectées, et que les réponses locales devraient avoir une marque mondiale». «On ne sort pas d’une pandémie sans lien fort, sans solidarité universelle.»…

L’approche mondialiste de la Commission est très claire dans les thèmes de travail du quatrième de ses cinq groupes: «Soutenir la gouvernance pour promouvoir la solidarité mondiale»…

La pandémie est «un coup de semonce clair de la nature», a-t-il déclaré, aggravant la peur des catastrophes annoncées liées au changement climatique avec la peur de la mort à cause du COVID-19 ou même de virus plus mortels plus tard…

Zampini a ajouté que «la guérison des sociétés et des politiques crée une solidarité universelle qui peut surmonter l’égoïsme national, l’égoïsme des entreprises et même l’égoïsme religieux. De cette façon, nous pouvons à notre tour guérir l’économie. »..
Comme il est pratique que les solutions de la Commission Vatican COVID-19 s’alignent si parfaitement avec celles des puissances mondialistes en place. »

«Sortez du milieu d'elle, ô mon peuple, afin de ne point participer à ses péchés, et de n'avoir point part à ses calamités ; car ses péchés se sont accumulés jusqu'au ciel, et Dieu s'est souvenu de ses iniquités. (Apocalypse). »


Ce qui rejoint bien l’enseignement de NSJC en Matthieu 24 de ne pas faire partie de Babylone, en Esprit, de demeurer centré sur sa Foi, dans sa demeure mais aussi en déplacement pour subvenir à nos besoins corporels, en n’oubliant de faire preuve de charité.

En effet, il faut que l’adhésion à la bête dans ce qui est décrit par Saint-Jean dans l’Apocalypse soit volontaire.

Le port de la marque de la bête volontairement signifie penser selon la bête (le front), et agir selon la volonté de la bête (la main droite).

Donc porter la « marque » n’est pas applicable à une mesure autoritaire et obligatoire instiguée par l’élite judéo-maçonique et ses moutons de bas étages qui n’ont aucune idée de ce qu’ils font.

Demeurons centré dans la prière mais flexible comme le roseau.

19 juillet

Voici des points de tensions extrêmes en Orient présentement:

Azerbaijan-Arménie, Iran-Israël, Chine-Taïwan (supporté par les États-Unis), Inde-Pakistan (Kashmir), Inde-Chine, Corée du Nord-Corée du Sud…

Tous ces points sont donc sujets à la réalisation de la prophétie politique « le Grand Éclair à l’Orient » de Jean XXIII.

Car l’humanité s’approche à grands pas de cette échéance.

L’endroit privilégié est toujours l’Iran car Israël pousse très fort de ce côté avec des actes de sabotages (pas moins d’une douzaine en moins d’un mois; L’Iran est en alerte anti-aérienne maximum) et tentent ainsi entraîner les États-Unis dans le feu de l’action.

(À noter qu’Israël a une entente avec l’Arabie Saoudite pour le passage des aéronefs ravitailleurs américains pour ses avions chasseurs F35.)

Les élections de novembre aux États-Unis pèsent lourds dans la balance et le temps est compté pour le président israélien.

La judéo-maçonnerie a, particulièrement depuis la révolution française, planifié le retour du grand Israël du Nil à l’Euphrate, retour qui marquera le triomphe du peuple prêtre sur les goys, la rédemption achevée, le nouveau messianisme sioniste.

En singeant le Christ par des sacrifices de sang, ils forment peu à peu leur idéal, exactement comme l’a décrit le grand maître maçonnique Albert Pike par sa description des grandes guerres nécessaires à la cause.

La première a donné naissance à la déclaration Balfour de 1917 établissant un futur territoire sioniste en Palestine sous autorité britannique.

La seconde a mené quelques années plus tard à la naissance de l’État souverain d’Israël en 1948.

La troisième est cette guerre qui mènera les âmes à la perdition. Après la confrontation entre les « juifs goys » et les arabes, l’humanité au bord du gouffre, en plein athéisme, verrait la solution proposée par la judéo-maçonnerie soit l’adoration pure et simple de Lucifer, le « bon » Adonaï selon eux.

La prophétie politique #32 « Le Temps est proche » où «C'est le temps des deux empereurs», les présidents chinois et américain actuels, nous donne aussi une idée de l’échéance :

Car l'empereur narcissique meurt dans sa tour de verre.

Il y aura donc un événement majeur avant les élections de novembre aux États-Unis, ou le président Trump sera tout simplement réélu et l'échance sera prolongée de 4 années.

Surtout, n’oublions pas que les élites ont appelé le monde à la « grande réinitialisation » pour janvier 2021, et que le pape François tient toujours à son pacte mondial sur l’éducation qui est planifié pour octobre. Il est sur le trône tant que ses objectifs ne seront pas réalisés.

15 juillet

Le coronavirus est l’étincelle que l’élite attendait pour saisir au bond l’occasion espérée au déroulement de l’acte finale du plan de la synagogue judéo-maçonnique.

Les pays se sont enfoncés dans la dette encore plus, les « goys » aussi, et l’économie est précaire, fragile, déstabilisée.

La mondialisation qui a favorisé une chaîne de production dans un pays unique, la Chine, a été mise à l’arrêt, et a ainsi démontrée la fragilité d’un tel système aux goys.

L’élite a donc annoncé la date de la « grand réinitialisation » pour janvier 2021.

Ils étaient prêts. Les goys le demanderont, les supplieront.

Un système unique, avec une monnaie unique, avec une religion unique.

Mais comme le disait le regretté Serge Monast, c’est le religieux qui mènent le politique.

La kabbale sioniste est prête pour le messie « Israël ».

Les rabbins à leurs soldes le proclament.

Le « peuple prêtre » est impatient de se voir confié l’humanité pour les sauver.

L’expiation de leurs « péchés » achèvent. Car c’est ainsi qu’ils voient toutes leurs souffrances depuis la destruction du temple en 70.

À la manière du Christ incarné qu’ils rejettent, ils singent la même voie, mais dans des valeurs inversées.

C’est là le signe de Satan. C’est leur Dieu.

Alors que les chrétiens catholiques qui branchés savent que la seule voie est le Christ via sa Mère la Vierge Marie.

Ce système de valeurs inversées a envahi l’humanité.

Nous l’avons décrit dans la dernière analyse par tous ces goys qui détruisent la civilisation chrétienne, ou ce qu’il en reste.

Encore en fin de semaine dernière, des statues et des églises ont été brûlées et vandalisées aux États-Unis entres autres.
(lifesitenews.com).

Ce système de valeurs inversées est aussi visible avec la proclamation du port du masque obligatoire dans plusieurs pays : ceux qui réclament la liberté rabaissent ou agressent même ceux qui veulent se montrer prudent.

C’est le chaos qui sert bien l’élite, car les deux groupes sont comme les deux faces d’une même médaille : ils font tous les deux partis de la religion humaniste qui prend pieds.

Car c’est au nom de la liberté de mourir ou non selon son choix, alors que seul Dieu décide.

La jouissance des biens matériels et du corps n’aura jamais été aussi forte.

Le but de la vie qu’est le Royaume de Cieux a été oublié.

Alors?

Complot ou non?

C’est la question qui brûle toute les lèvres car la notion de complot est le carburant qui justifie toute cette dévastation, ces déversements de haine et de menaces via l’outil par excellence de l’élite, les réseaux sociaux.

Complot il y a par l’accomplissement du plan judéo-maçonnique façonné depuis des générations et qui a pris racine avec la révolution de 1789.

Pour le reste, l’élite veut bien faire croire n’importe quoi avec ses penseurs via tous les réseaux de communications qu’elle possède.

Il est ironique de constater que le motif premier de la religion des droits de l’homme, le droit à la vérité, a été limité, sinon éliminé.

Les goys ont droit à une  gigantesque opération de falsification de la vérité…

Par le maître du mensonge, Satan.

Alors que la seule vérité est celle enseignée par le Christ.

C’est ainsi que sa parole en Matthieu 24 est maintenant claire.

Lorsque vous verrez l’abomination de la désolation établi en lieu saint, que celui qui lit entende!

C’est le temps de fuir dans les montagnes, en laissant tout derrière.

C’est à dire, de fuir en soi-même par la prière, fuir Babylone la grande, en laissant tout ce qu’elle représente en termes de valeurs inversées à l’extérieur de soi-même.

Effectivement, c’est un temps de grande détresse, qui n’a pas eu lieu depuis que le monde est monde.

Et le Vatican dans tout cela n’est plus d’aucune utilité.

Nous sommes donc dans cette période difficile pour le chrétien, où les jours doivent être abrégés par le Père pour ne pas perdre le petit reste.

Foi, espérance, charité doivent nous guider.

02 juillet

Sans surprise, la prophétie politique « les États-Unis libérés » avance avec ce bourgeonnement de révolutions sur faux fonds de racisme.

Car, ce n’est pas ce qui est visé par l’élite.

Ce qui est visé, c’est le rejet de la civilisation, du passé sur lequel est bâti le monde d’aujourd’hui.

Le but de ce mondialisme est l’établissement du «messie» Israël comme seul peuple prêtre entre Dieu et les goys.

Les factions judéo-maçonniques sont divisés en deux camps selon les derniers ouvrages de Pierre Hillard :

- Ceux qui attendent une intervention divine pour proclamer le messie israélien.
- Ceux qui s’y opposent et affirment que c’est la poussée de la volonté humaine qui le réalisera.

Nous assistons à la manœuvre du deuxième camps, celui anglo-saxon, qui a l’ambition de créer le nouvel ordre par le chaos.

La seule opposition religieuse à ces talmudistes, c’est le Christ, le Fils de Dieu Incarné.

Il faut donc éliminer le Vatican, ou le soumettre.

C’est donc la civilisation chrétienne qui est présentement en jeu.

Ce ne sont pas que des statues des leaders confédérés qui sont décapitées ou déboulonnées aux États-Unis et un peu partout dans le monde.

Les statues chrétiennes de saints en sont aussi la cible.

En fait tout ce qui représente le «pouvoir blanc».

Quand des compagnies retirent les noms et les caractéristiques se référant au blanc dans leurs produits, c’est qu’il y a mouvement de masse venant de plus haut.

« Quel rapport entre la "valeur des vies noires" et le vandalisme des statues chrétiennes ? » (gloria.tv)

Ces élites veulent remplacer cette civilisation par une autre aux valeurs morales humanistes digne de Babel qui formeront le nouvelle religion mondiale.

C’est le système des valeurs inversées, valeurs opposées au valeurs du Christ évidemment puisque c’est le nerf de la guerre mené par Satan, le maître de l’inversion.

Ainsi, le délinquant qui meurt des suites d’une arrestation policière devient un martyr, et provoque cette flambée contre les statues représentant « l’ancien pouvoir »… la plupart ignorant leur histoire d’ailleurs.

Parce que ce « martyr » sert leur idéologie.

Depuis Nuremberg, le nationalisme est assimilé au nazisme ou à du racisme; tout régime en dehors de la « démoncratie » est assimilé à de la dictature… sauf quand ce système sert leur but ultime, comme le communisme qu’ils ont instauré, financé par les sionistes durant la révolution bolchévique d’ailleurs.

D’où cette poussée d’immigration de masse approuvée par Bergoglio.

Éliminer l’identité propre et le patriotisme est le but de cette vague que nous vivons présentement.

« Trump vs Biden: un enjeu majeur pour le monde…

Biden va consolider la nouvelle structure morale basée sur les cinq points déjà évoquées, dans une Amérique distraite par le Covid et de plus en plus relativiste…

1. Peins-toi en noir.
2. Change de sexe.
3. Va aux parades Lgbt et montre-toi.
4. Accroche un portrait de Greta Thunberg chez toi.
5. Parle toujours en bien du pape Bergoglio (tu dois dire qu’il sauve l’Eglise)...

Le climat préélectoral de cette cinquante-neuvième élection présidentielle a une nouveauté, les discussions seront centrées sur l’économie et feront passer inaperçues les grandes nouveautés de changement moral, celles qui influenceront les choix électoraux.

Les choix moraux lors des élections de 2020 seront décisifs.

Les intérêts économiques et financiers se cachent derrière des revendications de caractère moral: égalité, inclusion, redistribution, environnement, progressisme théologique.

Qui seront utilisées pour faire sauter l’autorité morale de l’Eglise, la transformant en une église mondiale écologiste.

Mais la grande nouveauté est que la « morale » (de la réalité) contrôle l’Autorité morale. Qui en est par ailleurs parfaitement consciente…

C’est l’Occident dont le pape Ratzinger ne voulait pas et contre lequel il s’est battu. C’est l’Occident que son successeur est en train de réaliser… » (benoit-et-moi.fr).

Tout doit être prêt pour la « grand réinitialisation ».

C’est annoncé. C’est clair.

L’élite ne cache plus son plan.

« Regardez attentivement cette vidéo. C’est la dernière vidéo on ne peut plus officielle qui vient d’être publiée sur la chaîne Youtube du World Economic Forum de Davos. Vous savez, l’organisation qui gère le rendez-vous annuel des tous les plus puissants de la terre. Et leur dernier truc c’est le grand reset...

Pour nous, dans le véritable monde, l’hiver qui nous attend s’appelle the great reset, la grande réinitialisation...

« Our World has change ». Notre monde a changé.
« Our challenges are greater ». Nos défis sont plus importants.
« Our fragilities exposed ». Nos fragilités sont exposées.
« Our systems need a reset ». Nos systèmes ont besoin d’une réinitialisation.
« Everyone has a role to play ». Tout le monde a un rôle à jouer.
« The Great Reset ». La grande réinitialisation.
« Join Us ». Rejoignez-nous.

Je suis un garçon du siècle dernier.

A mi-chemin entre l’ancien monde et le nouveau comme tous ceux qui ont 40 ans et plus. J’ai tout appris dans les livres et par les récits des « vieux » et découvert les premiers ordinateurs à 19 ans.

Lorsque je vois cette vidéo ou plus précisément lorsque j’ai vu cette vidéo, j’ai vu le fascisme.

J’ai vu le visage de Joseph Goebbels.

J’ai vu un nouveau « ministère de l’Éducation du peuple et de la Propagande ».

J’ai vu l’emploi des techniques modernes de manipulation des masses et un modèle pour la propagande des États totalitaires.

La grande réinitialisation arrive.

L’hiver du monde aussi. » (insolentiae.com).

La notion de « Nuremberg » avancée par Jean XXIII dans les prophéties est donc d’actualité.

Et ce n’est pas terminé.

Juin 2020

20 juin

Dernière vidéo de Pierre Hillard qui explique les origines de ce que nous vivons actuellement, surtout à partir de 1h10, où il parle de la revue The Economist de janvier 1988 avec la naissance du «Phoenix», la nouvelle monnaie mondiale où tout le système économique est rasé pour établir le nouveau système.

C'est exactement ce à quoi nous avons assisté la semaine dernière avec la «grande réinitialisation» avancée par le Word Economic Forum et Davos 2021.

Or, janvier 2021 est à 33 années piles de la parution de ce plan «ordo ab chaos» dans The Economist.

Le 19 octobre 1987, c’est 33 ans depuis le krach de 1987.

C’est donc le temps de la mort et de la résurrection de l’Antichrist singeant NSJC.

Le pape Benoît XVI est au chevet de son frère malade.

Il est très près de lui. Comme dans beaucoup de familles, il n’est pas rare que deux personnes proches quittent notre monde dans un court laps de temps.

À suivre donc.

Le 20 juillet prochain, ce sera le 117ème anniversaire de la mort de Léon XIII, mort à 93 ans tout comme l’âge actuel de Benoît XVI…

Comme si les deux étaient liés, l’un commençant un cycle (celui qui a eu la vision des 100 ans) et l’autre le terminant, de la «lumière dans le ciel» à la «gloire de l’olive».

Or, l’Évangile du 20 juillet 2020 sera le signe de Jonas en Matthieu 12!

14 juin

Malgré le miracle de la transsubstantiation de 1996, Bergoglio pense comme les protestants:

L’Eucharistie n’est qu’un mémorial.

« Sur l’autel, la mort et de la résurrection du Christ.

L’homélie de cette solennité du Corps et du Sang du Christ a permis au Pape François de revenir sur la signification de l’Eucharistie, «mémorial» laissé par Dieu pour venir au secours de notre «fragile» mémoire. La mémoire, a-t-il expliqué, est «la vie qui nous unit à Dieu et aux autres», mais elle peut défaillir. Or ce mémorial ne consiste pas seulement en des paroles ou des signes, pouvant eux aussi être sujets à l’oubli, mais en une «Nourriture» dont on perçoit la saveur, «un Pain dans lequel Il est là, vivant et vrai, avec toute la saveur de son amour».
«Faites cela en mémoire de moi» (1 Co 11, 24), entend-on lors de chaque messe. «Faites: l’Eucharistie n’est pas un simple souvenir, c’est un fait: c’est la Pâques du Seigneur qui revit pour nous», a souligné le Saint-Père. «Nous ne pouvons pas nous en passer, c’est le mémorial de Dieu. Et il guérit notre mémoire blessée». Que signifie une «mémoire blessée» et guérie? Le Pape l’a précisé en trois points…» (vaticannews.va).

Au lieu de nous rappeler l’importance du Saint-Sacrement, le Christ, seul chemin qui mène au Père par son sacrifice.

Au lieu de s’élever en exemple pour contrer l’humanisme, cette nouvelle religion qui est sur le point d’éclipsée l’Église du Christ.

Et non.

Il est de la suite logique des papes depuis Jean XXIII.

« À la mort de Pie XII, le rêve de la maçonnerie se réalisa : une « révolution en tiare et en chape ». Angelo Roncalli (qui s’était fait initier dans une société secrète en Turquie en1935, puis s’était affilié à une loge maçonnique à Paris) prit le nom de « Jean XXIII ». Il convoqua Vatican II, qui bouleversa entièrement la religion, par exemple en proclamant la « liberté de pensée, qui, partie de nos loges maçonniques, s’est étendue magnifiquement au-dessus du dôme de Saint Pierre »
(Yves Marsaudon : L‘œcuménisme vu par un franc-maçon de tradition, 1964, p. 121)

Pas de génuflexion devant le Saint-Sacrement pour Bergoglio.

Mais des génuflexions à répétitions pour les dirigeants mondiaux suite à l’incident Floyd aux États-Unis.

« Ce signe » de génuflexion est typiquement du rite maçonnique.

C’est l’adoration de Satan.

Son heure de gloire arrive, ce qui nous indique que le retour du Christ est très très proche.

« Poings fermés et génuflexions: la naissance d’une nouvelle religion.

De Marcello Veneziani: des villes américaines livrées à l’émeute (en France manifs « interdites mais tolérées » et police mise en accusation), l’explosion de la folie antiraciste avec des blancs qui s’agenouillent devant des noirs en un simulacre de liturgie préfigurant ou confirmant, la naissance d’une nouvelle religion; tout cela avec en toile de fond le mantra qui va faire fureur durant tout l’été: abattre Trump…

Une religion qui va au-delà des intentions de ceux qui l’embrassent: pour beaucoup de ceux qui s’agenouillaient devant la caméra et simulaient un rituel religieux, il y avait un objectif plus bas: écraser sous un genou, l’Ennemi, la Bête, Donald Trump. Toute une mise en scène mondiale car les élections approchent. On déverse sur Trump l’assassinat brutal de quelqu’un qui n’y est pour rien, un meurtre comme tant d’autres commis par les policiers américains, sous des administrations démocrates et républicaines…

Mais une religion est en train de se former dans les sociétés occidentales autour du catéchisme politiquement correct. Cette religion est le support moral de quelque chose de colossal qui se passe de nos jours, au-dessus de nos têtes et sous nos yeux. Ce que l’on a appelé pendant des années « Pensée unique » est en train de devenir « Pouvoir unique»…

Je veux parler de Giorgio Agamben qui dénonce l’union inquiétante entre la religion médicale et le capitalisme, à la base d’un nouveau système totalitaire, enclin à suspendre la liberté et la démocratie; la religion chrétienne et en particulier l’Église de François succombe à leurs diktats sanitaires et considère la santé comme une priorité par rapport au salut.

De l’autre côté, un philosophe, Michel Onfray, qui théorisa l’athéisme et critiqua la religion, dénonce aujourd’hui, dans le sillage d’Orwell, l’avènement d’une dictature mondiale fondée sur sept commandements:

1. détruire la liberté
2. réduire tous les dissidents et les insoumis à des fascistes
3. appauvrir le langage pour manipuler les esprits
4. abolir la vérité par la « Doublepensée » [ndt: Doublethink, terme inventé par George Orwell dans son roman 1984, « indiquant une capacité à accepter simultanément deux points de vue opposés et ainsi mettre en veilleuse tout esprit critique »]
5. supprimer l’histoire et la réécrire pour les besoins du présent
6. nier la nature, à commencer par la nature humaine
7. propager la haine et fonder l’Empire, progressiste et nihiliste

L’ennemi global est Trump, l’ennemi complémentaire est Poutine, l’ennemi idéologique est tout ce qu’on appelle souverainisme. Le plan prévoit trois substitutions:

-la foi médico-progressiste au lieu de la foi en Dieu, sacré et transcendant
-la population mobile des migrants au lieu des peuples ou nations restants
-le posthumain selon la science et la volonté au lieu de l’homme selon la nature et la procréation.

Il n’y a pas de plan global prédéterminé et il n’y a pas de planificateurs ; certains y contribuent consciemment, beaucoup inconsciemment. » (benoit-et-moi.fr).

C’est le vent du changement post covid-19. Le sentez-vous ?

Chamboulement économique, social, et religieux.

Le dernier coup de canon annoncé par Albert Pike, le cinquième.

À la 5ème concentration, succédera le règne du Saint-Empire, c’est à dire de la Raison, de la Vérité, et de la Justice.

«« Le FMI vient d’annoncer le grand Reset ! » L’édito de Charles SANNAT»

Sentez-vous le vent du changement ?

Il se lève déjà.

Certains l’attendent. D’autres le trouvent mauvais.

Tous, nous le subirons.

Ce vent porte un nom. « The Great Reset », ou la grande réinitialisation. La grande remise à zéro.

Du FMI au Forum économique de Davos, le sujet est lancé, officiellement.

De quoi s’agit-il exactement ?

Personne n’en sait rien en réalité, car c’est un sujet aussi secret… que public !.. » (insolentiae.com).

« Le temps de la Grande remise à zéro.

– Un meilleur monde peut survenir de cette crise si nous agissons rapidement et conjointement, écrit le professeur Klaus Schwab.
– Les changements que nous avons déjà observés face au COVID-19 prouvent qu’il est possible de repenser nos fondements économiques et sociaux.
– Ceci est notre meilleure chance d’instaurer le capitalisme des parties prenantes – voici comment nous pouvons y parvenir… » (fr.weforum.org).

L’image qui vaut 1000 mots:

« Le problème mondial Covid-19» (intelligence.weforum.org)

12 juin

LES DEUX TÉMOINS

LE PUISSANT TEXTE DE MGR VIGANO

Mgr Vigano et Mgr Schneïder révèlent au grand jour l'église parallèle, la fausse église.

«

9 juin 2020

Saint Ephrem

J’ai lu avec grand intérêt l’essai de Son Excellence Athanasius Schneider publié sur LifeSiteNews le 1er juin, traduit ensuite en italien par Chiesa e post concilio , intitulé Il n’y a pas de volonté positive divine ni de droit naturel à la diversité des religions . L’étude de Son Excellence résume, avec la clarté qui distingue les paroles de ceux qui parlent selon le Christ, les objections contre la légitimité présumée de l’exercice de la liberté religieuse que le Concile Vatican II a théorisées, contredisant le témoignage de l’Écriture Sainte et la voix de la Tradition , ainsi que le Magistère catholique qui est le fidèle gardien des deux.

Le mérite de l’essai de Son Excellence réside tout d’abord dans sa compréhension du lien de causalité entre les principes énoncés ou sous-entendus par Vatican II et leur conséquence logique dans les écarts doctrinaux, moraux, liturgiques et disciplinaires qui se sont produits et se sont progressivement développés pour aujourd’hui. Le monstrum généré dans les cercles modernistes aurait pu être trompeur au début, mais il s’est développé et renforcé, de sorte qu’aujourd’hui il se montre tel qu’il est réellement dans sa nature subversive et rebelle. La créature conçue à cette époque est toujours la même, et il serait naïf de penser que sa nature perverse pourrait changer. Les tentatives de correction des excès conciliaires – invoquant l’herméneutique de la continuité – se sont révélées infructueuses: Naturam expellas furca, tamen usque recurret [Chassez la nature avec une fourche; elle reviendra immédiatement] (Horace, Epist. I, 10,24). La Déclaration d’Abu Dhabi – et, comme le fait remarquer à juste titre Mgr Schneider, ses premiers symptômes au panthéon d’Assise – «a été conçue dans l’esprit du Concile Vatican II», comme le confirme fièrement Bergoglio.

Cet « esprit du Conseil » est la licence de légitimité que les innovateurs opposent à leurs détracteurs, sans se rendre compte qu’il confesse précisément cet héritage qui confirme non seulement le caractère erroné des présentes déclarations mais aussi la matrice hérétique qui prétendument les justifie. En y regardant de plus près, jamais dans l’histoire de l’Église un Concile ne s’est présenté comme un événement historique tel qu’il était différent de tout autre concile: il n’a jamais été question d’un « esprit du Concile de Nicée » ou de «l’ esprit du De Ferrare-Florence , « encore moins le » esprit du Concile de Trente « , tout comme nous n’avons jamais eu d’ ère » post-conciliaire  » après le Latran IV ou Vatican I.

La raison est évidente: ces Conciles étaient tous, sans discernement, l’expression à l’unisson de la voix de la Sainte Mère Église, et pour cette raison même la voix de Notre-Seigneur Jésus-Christ. De manière significative, ceux qui maintiennent la nouveauté de Vatican II adhèrent également à la doctrine hérétique qui place le Dieu de l’Ancien Testament en opposition avec le Dieu du Nouveau Testament, comme s’il pouvait y avoir contradiction entre les personnes divines de la Très Sainte Trinité. Évidemment cette opposition presque gnostique ou cabalistique est fonctionnelle à la légitimation d’un nouveau sujet volontairement différent et opposé à l’Église catholique. Les erreurs doctrinales trahissent presque toujours une sorte d’hérésie trinitaire, et c’est donc en revenant à la proclamation du dogme trinitaire que les doctrines qui s’y opposent peuvent être vaincues: ut in confessione veræ sempiternæque deitatis, et in Personis proprietas, et in essentia unitas, et in majestate adoretur æqualitas : Professant la vraie et éternelle Divinité, nous adorons ce qui est propre à chaque personne, leur unité de substance et leur égalité de majesté.

Mgr Schneider cite plusieurs canons des conciles œcuméniques qui proposent, selon lui, des doctrines aujourd’hui difficiles à accepter, comme par exemple l’obligation de distinguer les juifs par leurs vêtements, ou l’interdiction des chrétiens au service des maîtres musulmans ou juifs. Parmi ces exemples, il y a aussi l’exigence de la traditio instrumentorum déclarée par le Concile de Florence, qui a ensuite été corrigée par la Constitution apostolique de Pie XII Sacramentum Ordinis . Mgr Athanase commente: « On peut à juste titre espérer et croire qu’un futur Pape ou Concile œcuménique corrigera la déclaration erronée faite» par Vatican II. Cela me semble être un argument qui, bien que fait avec les meilleures intentions, sape l’édifice catholique depuis sa fondation. Si, en fait, nous admettons qu’il peut y avoir des actes magistrats qui, en raison d’une sensibilité modifiée, sont susceptibles d’abrogation, de modification ou d’interprétation différente avec le temps, nous tombons inévitablement sous le coup de la condamnation du décret Lamentabili et nous nous retrouvons offrant une justification à ceux qui, récemment, précisément sur la base de cette hypothèse erronée, ont déclaré que la peine de mort  » n’est pas conforme à l’Évangile « , et ainsi modifié la Catéchisme de l’Église catholique. Et, par le même principe, d’une certaine manière, nous pourrions soutenir que les paroles du Bienheureux Pie IX Quanta Cura a été en quelque sorte corrigée par Vatican II, tout comme Son Excellence pouvait espérer Dignitatis Humanae . Parmi les exemples qu’il présente, aucun n’est en soi gravement erroné ou hérétique: le fait que le concile de Florence a déclaré que la traditio instrumentorum était nécessaire car la validité des Ordres ne compromettait en aucune façon le ministère sacerdotal dans l’Église, la conduisant à conférer des Ordres de manière invalide. Il ne me semble pas non plus que l’on puisse affirmer que cet aspect, aussi important soit-il, a conduit à des erreurs doctrinales de la part des fidèles, ce qui n’est au contraire arrivé qu’au Conseil le plus récent. Et lorsque, au cours de l’histoire, diverses hérésies se sont propagées, l’Église est toujours intervenue rapidement pour les condamner, comme cela s’est produit lors du Synode de Pistoia en 1786, qui était en quelque sorte une anticipation de Vatican II, en particulier là où elle a aboli la Communion en dehors de Messe, introduit la langue vernaculaire et aboli les prières du Canon dit submissa voce; mais encore plus quand il a théorisé sur la base de la collégialité épiscopale, réduisant la primauté du pape à une simple fonction ministérielle. La relecture des actes de ce Synode nous laisse stupéfaits par la formulation littérale des mêmes erreurs que nous retrouvons plus tard, sous une forme accrue, au Concile présidé par Jean XXIII et Paul VI. D’un autre côté, tout comme la Vérité vient de Dieu, ainsi l’erreur se nourrit et se nourrit de l’adversaire, qui hait l’Église du Christ et son cœur: la Sainte Messe et la Très Sainte Eucharistie.

Il arrive un moment dans notre vie où, par la disposition de la Providence, nous sommes confrontés à un choix décisif pour l’avenir de l’Église et pour notre salut éternel. Je parle du choix entre comprendre l’erreur dans laquelle nous sommes presque tous tombés, presque toujours sans mauvaises intentions, et vouloir continuer à détourner le regard ou à nous justifier.

Nous avons également commis l’erreur, entre autres, de considérer nos interlocuteurs comme des personnes qui, malgré la différence de leurs idées et de leur foi, étaient toujours motivées par de bonnes intentions et qui seraient disposées à corriger leurs erreurs si elles pouvaient s’ouvrir à notre Foi. Avec de nombreux Pères conciliaires, nous avons pensé l’œcuménisme comme un processus, une invitation qui appelle les dissidents à la seule Église du Christ, les idolâtres et les païens au seul vrai Dieu, et le peuple juif au Messie promis. Mais à partir du moment où il a été théorisé dans les commissions conciliaires, l’œcuménisme a été configuré d’une manière qui était en opposition directe avec la doctrine précédemment exprimée par le Magistère.

Nous avons pensé que certains excès n’étaient qu’une exagération de ceux qui se laissaient emporter par l’enthousiasme de la nouveauté; nous croyions sincèrement qu’en voyant Jean-Paul II entouré de charmeurs-guérisseurs , de moines bouddhistes, d’imams, de rabbins, de pasteurs protestants et d’autres hérétiques , cela prouvait la capacité de l’Église à convoquer des gens ensemble pour demander la paix à Dieu, tandis que l’exemple faisant autorité de cela l’action initie une succession déviante de panthéons plus ou moins officiels, au point même de voir des évêques porter l’idole impure du pachamama sur leurs épaules, sacrilège cachés sous prétexte d’être une représentation de la maternité sacrée.
Mais si l’image d’une divinité infernale a pu entrer dans Saint-Pierre, cela fait partie d’un cresecendo que l’autre côté prévoyait depuis le début. De nombreux catholiques pratiquants, et peut-être aussi une majorité du clergé catholique, sont aujourd’hui convaincus que la foi catholique n’est plus nécessaire au salut éternel; ils croient que le Dieu unique et trinitaire révélé à nos pères est le même que le dieu de Mahomet. Il y a déjà vingt ans, nous avons entendu cela se répéter des chaires et des cathédrales épiscopales , mais récemment, nous l’entendons s’affirmer avec emphase, même du plus haut trône.

Nous savons bien qu’en invoquant le dicton dans les Écritures Littera enim occidit, spiritus autem vivificat [ La lettre apporte la mort, mais l’esprit donne la vie (2 Co 3, 6)] , les progressistes et les modernistes savaient astucieusement comment cacher des expressions équivoques dans le des textes conciliaires, qui à l’époque semblaient inoffensifs pour la plupart mais qui se révèlent aujourd’hui dans leur valeur subversive. C’est la méthode employée dans l’utilisation de l’expression subsistit dans : dire une demi-vérité non pas autant pour ne pas offenser l’interlocuteur (en supposant qu’il est licite de faire taire la vérité de Dieu par respect pour sa créature), mais avec l’intention de pouvoir utiliser la demi-erreur cela serait instantanément dissipé si toute la vérité était proclamée. Ainsi, «Ecclesia Christi subsistit in Ecclesia Catholica» ne précise pas l’identité des deux, mais la subsistance de l’une dans l’autre et, par cohérence, également dans d’autres églises: voici l’ouverture aux célébrations interconfessionnelles, aux prières œcuméniques et à l’inévitable la fin de tout besoin de l’Église dans l’ordre du salut, dans son unicité et dans sa nature missionnaire.

Certains se souviendront peut-être que les premiers rassemblements œcuméniques ont eu lieu avec les schismatiques de l’Orient et avec beaucoup de prudence avec d’autres sectes protestantes. Hormis l’Allemagne, la Hollande et la Suisse, au début, les pays de tradition catholique n’accueillaient pas ensemble des célébrations mixtes avec des pasteurs protestants et des prêtres catholiques. Je me souviens qu’à l’époque, il était question de supprimer l’avant-dernière doxologie du Veni Creator afin de ne pas offenser les orthodoxes, qui n’acceptent pas le Filioque . Aujourd’hui, nous entendons les sourates du Coran récité dans les chaires de nos églises, nous voyons une idole de bois adorée par les religieuses et les frères, nous entendons les évêques désavouer ce qui jusqu’à hier nous a semblé être les excuses les plus plausibles de tant d’extrémismes. Ce que le monde veut, à l’instigation de la maçonnerie et de ses tentacules infernaux, c’est créer une religion universelle humanitaire et œcuménique, à partir de laquelle le Dieu jaloux que nous adorons est banni. Et si c’est ce que le monde veut, tout pas dans la même direction de l’Église est un choix malheureux qui se retournera contre ceux qui croient pouvoir se moquer de Dieu. Les espoirs de la Tour de Babel ne peuvent pas être ramenés à la vie par un plan mondialiste qui a pour objectif l’annulation de l’Église catholique, afin de la remplacer par une confédération d’idolâtres et d’hérétiques unis par l’environnementalisme et la fraternité universelle. Il ne peut y avoir de fraternité qu’en Christ, et seulement en Christ: qui non est mecum, contra me est .

Il est déconcertant que peu de gens soient conscients de cette course vers l’abîme, et que peu se rendent compte de la responsabilité des plus hauts niveaux de l’Église dans le soutien de ces idéologies antichrétiennes, comme si les dirigeants de l’Église voulaient garantir qu’ils ont une place et un rôle dans le train de la pensée alignée . Et il est surprenant que les gens persistent à ne pas vouloir enquêter sur les causes profondes de la crise actuelle, se limitant à déplorer les excès actuels comme s’ils n’étaient pas la conséquence logique et inévitable d’un plan orchestré il y a des décennies. Si le pachamama pouvait être adoré dans une église, nous le devons à Dignitatis Humanae. Si nous avons une liturgie protestante et parfois même paganisée, nous le devons à l’action révolutionnaire de Mgr. Annibale Bugnini et aux réformes post-conciliaires. Si la Déclaration d’Abu Dhabi a été signée, nous le devons à Nostra Aetate . Si nous sommes arrivés au point de déléguer des décisions aux Conférences épiscopales – même en violation grave du Concordat, comme cela s’est produit en Italie – nous le devons à la collégialité et à sa version actualisée, la synodalité . Grâce à la synodalité , nous nous sommes retrouvés avec Amoris Laetitia à chercher un moyen d’empêcher l’apparition de ce qui était évident pour tout le monde: que ce document, préparé par une impressionnante machine organisationnelle, avait pour but de légitimer la communion pour les divorcés et les cohabitants, tout comme La Querida Amazonia sera utilisée pour légitimer les femmes prêtres (comme dans le cas récent d’une «vicaire épiscopale» à Fribourg) et l’abolition du célibat sacré. Les prélats qui ont envoyé le Dubia à François, à mon avis, ont fait preuve de la même ingéniosité pieuse: pensant que Bergoglio, confronté à la contestation raisonnablement argumentée de l’erreur, comprendrait, corrigerait les points hétérodoxes et demanderait pardon.

Le Concile a été utilisé pour légitimer les déviations doctrinales les plus aberrantes, les innovations liturgiques les plus audacieuses et les abus les plus sans scrupules, tout en gardant le silence. Ce concile était si élevé qu’il était présenté comme la seule référence légitime pour les catholiques, le clergé et les évêques, obscurcissant et connotant avec un sentiment de mépris la doctrine que l’Église avait toujours enseignée avec autorité, et interdisant la liturgie éternelle qui pendant des millénaires avait nourri la foi d’une lignée ininterrompue de fidèles, martyrs et saints. Entre autres choses, ce Concile s’est révélé être le seul à avoir causé tant de problèmes d’interprétation et tant de contradictions par rapport au Magistère précédent, alors qu’il n’y a pas un autre concile – du concile de Jérusalem à Vatican I – qui ne s’harmonise pas parfaitement avec l’ensemble du Magistère ou qui nécessite autant d’interprétation.

Je l’avoue avec sérénité et sans controverse: j’étais l’une des nombreuses personnes qui, malgré de nombreuses perplexités et craintes qui se sont avérées aujourd’hui absolument légitimes, ont fait confiance à l’autorité de la Hiérarchie avec une obéissance inconditionnelle. En réalité, je pense que beaucoup de gens, y compris moi-même, n’ont pas envisagé au départ la possibilité d’un conflit entre l’obéissance à un ordre de la Hiérarchie et la fidélité à l’Église elle-même. Ce qui a rendu tangible cette séparation contre nature, je dirais même perverse , entre la
Hiérarchie et l’Église, entre l’obéissance et la fidélité, c’est certainement ce pontificat le plus récent.

Dans la salle des larmes à côté de la chapelle Sixtine, tandis que Mgr. Guido Marini a préparé le rocchetto blanc, la mozzetta et a volé pour la première apparition du pape «nouvellement élu», Bergoglio s’est exclamé: « Sono finite le carnevalate! [Les carnavals sont terminés!] », Refusant avec mépris l’insigne que tous les papes jusque-là avaient humblement accepté comme le costume distinctif du Vicaire du Christ. Mais ces paroles contenaient de la vérité, même si elle était prononcée involontairement: le 13 mars 2013, le masque tomba des conspirateurs, qui étaient enfin libérés de la présence gênante de Benoît XVI et effrontément fiers d’avoir enfin réussi à promouvoir un cardinal qui s’incarna leurs idéaux, leur future façon de révolutionner l’Église, de rendre la doctrine malléable, la morale adaptable, la liturgie adultérante et la discipline jetable. Et tout cela a été considéré, par les protagonistes de la conspiration eux-mêmes, comme la conséquence logique et l’application évidente de Vatican II, qui selon eux avait été affaiblie par les critiques exprimées par Benoît XVI. Le plus grand affront de ce pontificat fut de permettre généreusement la célébration de la vénérée liturgie tridentine, dont la légitimité fut finalement reconnue, réfutant cinquante ans de son ostracisation illégitime. Ce n’est pas par hasard que les partisans de Bergoglio sont les mêmes personnes qui ont vu le Conseil comme le premier événement d’un nouvelle église, avant laquelle il y avait une vieille religion avec une vieille liturgie.
Ce n’est pas un hasard: ce que ces hommes affirment en toute impunité, scandaleux modérés, c’est ce que les catholiques croient aussi, à savoir: que malgré tous les efforts de l’herméneutique de la continuité qui a naufragé lamentablement lors de la première confrontation avec la réalité de la crise actuelle, c’est indéniable qu’à partir de Vatican II, une église parallèle a été construite, superposée et diamétralement opposée à la véritable Église du Christ. Cette église parallèle a progressivement obscurci l’institution divine fondée par Notre-Seigneur afin de la remplacer par une entité fallacieuse, correspondant à la religion universelle souhaitée qui a d’abord été théorisée par la maçonnerie. Des expressions comme le nouvel humanisme, la fraternité universelle, la dignité de l’homme, sont les maîtres mots de l’humanitarisme philanthropique qui nie le vrai Dieu, de la solidarité horizontale de vague inspiration spirite et de l’irénisme œcuménique que l’Église condamne sans équivoque. «Nam et loquela tua manifestum te facit [Même votre discours vous trahit ] » (Mt 26, 73): ce recours très fréquent, voire obsessionnel, au même vocabulaire de l’ennemi trahit l’adhésion à l’idéologie qu’il inspire; tandis que d’autre part le renoncement systématique au langage clair, sans équivoque et cristallin de l’Église confirme le désir de se détacher non seulement de la forme catholique mais même de sa substance.

Ce que nous entendons depuis des années, énoncé, vaguement et sans connotation claire, par le plus haut Trône, nous le trouvons ensuite élaboré dans un manifeste vrai et approprié chez les partisans du Pontificat actuel: la démocratisation de l’Église, non plus par la collégialité inventée par Vatican II mais par la voie synodale inaugurée par le Synode sur la famille; la démolition du sacerdoce ministériel par son affaiblissement avec des exceptions au célibat ecclésiastique et l’introduction de figures féminines aux fonctions quasi sacerdotales; le passage silencieux de l’œcuménisme dirigé vers des frères séparés à une forme de pan-œcuménisme qui réduit la vérité du Dieu trinitaire unique au niveau des idolâtries et des superstitions les plus infernales; l’acceptation d’un dialogue interreligieux qui présuppose le relativisme religieux et exclut la proclamation missionnaire; la démythologisation de la papauté, poursuivie par Bergoglio comme thème de son pontificat; la légitimation progressive de tout ce qui est politiquement correct: théorie du genre, sodomie, mariage homosexuel, doctrines malthusiennes, écologisme, immigrationnisme … Si nous ne reconnaissons pas que les racines de ces écarts se trouvent dans les principes posés par le Concile, il sera impossible de trouver un remède: si le diagnostic persiste, contre toute évidence, en excluant la pathologie initiale, nous ne pouvons pas prescrire une thérapie adaptée.

Cette opération d’honnêteté intellectuelle requiert une grande humilité, tout d’abord en reconnaissant que depuis des décennies nous sommes induits en erreur, de bonne foi, par des personnes qui, établies en autorité, n’ont pas su surveiller et garder le troupeau du Christ : certains pour vivre tranquillement, certains parce qu’ils ont trop d’engagements, certains par manque de commodité, et enfin certains de mauvaise foi ou même d’intention malveillante. Ces derniers qui ont trahi l’Église doivent être identifiés, mis à l’écart, invités à se modifier et, s’ils ne se repentent pas, ils doivent être expulsés de l’enceinte sacrée. C’est ainsi qu’un vrai Berger agit, qui a à cœur le bien-être des brebis et qui donne sa vie pour elles; nous avons eu et nous avons encore beaucoup trop de mercenaires pour qui le consentement des ennemis du Christ est plus important que la fidélité à son Époux.

Tout comme j’ai obéi honnêtement et sereinement à des ordres douteux il y a soixante ans, croyant qu’ils représentaient la voix aimante de l’Église, aujourd’hui, avec une sérénité et une honnêteté égales, je reconnais que j’ai été trompé. Être cohérent aujourd’hui en persévérant dans l’erreur représenterait un choix misérable et me rendrait complice de cette fraude. Revendiquer une clarté de jugement dès le début ne serait pas honnête: nous savions tous que le Conseil serait plus ou moins une révolution , mais nous ne pouvions pas imaginer qu’il se révélerait si dévastateur, même pour le travail de ceux qui devraient l’ont empêché. Et si jusqu’à Benoît XVI on pouvait encore imaginer que le coup d’État de Vatican II (que le cardinal Suenens appelait «le 1789 de l’Église»)) avait connu un ralentissement, au cours de ces dernières années, même les plus ingénus d’entre nous ont compris que le silence de peur de provoquer un schisme, l’effort de réparer des documents papaux au sens catholique afin de remédier à l’ambiguïté voulue, les appels et la Dubia faits à François qui sont restés éloquemment sans réponse, sont tous une confirmation de la situation de l’apostasie la plus grave à laquelle les niveaux les plus élevés de la Hiérarchie sont exposés, tandis que le peuple chrétien et le clergé se sentent désespérément abandonnés et qu’ils sont considérés par les évêques presque avec agacement.
La Déclaration d’Abu Dhabi est le manifeste idéologique d’une idée de paix et de coopération entre les religions qui pourrait avoir une certaine possibilité d’être tolérée si elle venait de païens privés de la lumière de la foi et du feu de la charité. Mais quiconque a la grâce d’être un enfant de Dieu en vertu du Saint Baptême devrait être horrifié à l’idée de pouvoir construire une version moderne blasphématoire de la Tour de Babel, cherchant à rassembler la seule véritable Église du Christ, héritière de les promesses faites au peuple élu, à ceux qui nient le Messie et à ceux qui considèrent l’idée même d’un Dieu trinitaire comme blasphématoire. L’amour de Dieu ne connaît aucune mesure et ne tolère aucun compromis, sinon ce n’est tout simplement pas la Charité, sans laquelle il n’est pas possible de rester en Lui:qui manet in caritate, in Deo manet, et Deus in eo [celui qui reste amoureux reste en Dieu et Dieu en lui] (1 Jn 4, 16). Peu importe qu’il s’agisse d’une déclaration ou d’un document magistral: nous savons bien que les hommes subversifs des innovateurs jouent à ces sortes de chicanes pour répandre l’erreur. Et nous savons bien que le but de ces initiatives œcuméniques et interreligieuses n’est pas de convertir ceux qui sont loin de l’unique Église au Christ, mais de détourner et de corrompre ceux qui détiennent encore la foi catholique, les amenant à croire qu’il est souhaitable de avoir une grande religion universelle qui rassemble les trois grandes religions abrahamiques « dans une seule maison»: C’est le triomphe du plan maçonnique en préparation du royaume de l’Antéchrist! Que cela se concrétise à travers un taureau dogmatique, une déclaration ou une interview avec Scalfari à La Repubblica importe peu, car les partisans de Bergoglio attendent ses paroles comme un signal auquel ils répondent par une série d’initiatives qui ont déjà été préparées et organisées depui un certain temps. Et si Bergoglio ne suit pas les instructions qu’il a reçues, les rangs des théologiens et du clergé sont prêts à se lamenter sur la « solitude du pape François».» Comme prémisse de sa démission (je pense par exemple à Massimo Faggioli dans un de ses récents essais). D’un autre côté, ce ne serait pas la première fois qu’ils utilisent le Pape quand il va de pair avec leurs plans et se débarrassent de lui ou l’attaquent dès qu’il ne le fait pas.
Dimanche dernier, l’Église a célébré la Très Sainte Trinité, et dans le bréviaire elle nous offre la récitation du Symbolum Athanasianum, désormais interdit par la liturgie conciliaire et déjà réduit à seulement deux reprises dans la réforme liturgique de 1962. Les premiers mots de ce Symbolum aujourd’hui disparu restent inscrit en lettres d’or: «Quicumque vult salvus esse, ante omnia opus est ut teneat Catholicam fidem; quam nisi quisque integram inviolatamque servaverit, absque dubio in aeternum peribit – «Quiconque veut être sauvé, doit avant tout avoir la foi catholique; Car, à moins qu’une personne n’ait gardé cette foi entière et inviolée, sans aucun doute, elle périra éternellement. » »

+ Carlo Maria Viganò »

Des vaticanistes dont Steve Skojec du site OnePeterFive reconnaît que c’est un texte historique.

« … C’est, je crois, un texte historique. En le lisant, j’ai eu l’impression qu’il pouvait marquer un tournant – comme si un voile était levé. Nous savons tous – nous pouvons tous sentir – que les variantes pré et post-conciliaires du catholicisme ne sont pas la même religion. Viganò, au lieu de nous exhorter à tenter de rationaliser et de concilier ces différences, nous donne la permission d’appeler un chat un chat :
++ Ce n’est pas un hasard : ce que ces hommes affirment impunément, scandalisant les modérés, c’est ce que les catholiques croient aussi, à savoir que malgré tous les efforts de l’herméneutique de la continuité qui a fait misérablement naufrage lors de la première confrontation avec la réalité de la crise actuelle, il est indéniable qu’à partir de Vatican II, une église parallèle a été construite, superposée et diamétralement opposée à la véritable Église du Christ.++. » (benoit-et-moi.fr)


C'est bien là la réalisation de la prophétie d’Anne Catherine Emmerich concernant la fausse église.

Tout est révélé.

Est-ce que le Vatican et son roi garderont le silence encore une fois?

11 juin

LA CRAINTE DES ÉJECTIONS DE MASSE CORONALES (CME)

Suite à la tempête solaire de 2012 (fr.wikipedia.com) qui a fait craindre le pire (une semaine plus tard et tout ce qui est électronique était grillé), l’élite a décidé de s’offrir un télescope géant à seul but d’étudier les champs de polarité du Soleil à des fins de préventives.

Pour contrôler les masses, la bête a besoin des « ses ordinateurs ».

Elle doit les protéger coûte que coûte.

Le télescope Daniel K. Inouye situé à Hawaï et a été financé par la « National Science Foundation (NSF) » répond à cette urgence.

La NSF est une agence fédérale indépendante américaine, qui curieusement, sans surprise, a publié un plan « vision 2030 » aux buts mondialistes tout comme l’ « Agenda 2030 » des Nations-Unies.

La construction a commencé en 2013 et la première photo à partir du télescope a été possible le 28 janvier dernier.

Quel était le problème menant à l’édification de ce géant consacré au Soleil ?

Les astronomes peuvent lancer un avertissement quant à l’éventualité d’une CME dépendant de la complexité de la polarité d’une tache solaire.

Mais lorsqu’elle se produit, seuls les satellites LASCO C3 et SOHO de la NASA peuvent prévenir l’humanité.

Et ils se font vieux.

Or, ces deux satellites à cause de leurs positions ne donnent qu’un avertissement de…

45 minutes.

Avec le nouveau télescope, les experts espèrent trouver le mécanisme de polarité complexe afin d’anticiper la CME et donner un avertissement de…

3 jours.

En avril 2014, des scientifiques se sont réunis au Colorado pour un atelier sur la météo spatiale afin de discuter des probabilités des futures CMEs du type Carrington et de leurs effets. (vidéo en anglais où on voit la CME et où on explique la « dépendance » de cette génération à l’électronique – courtoisie NASA) .

À titre comparatif, il entre 1 305 620 planète Terre dans le Soleil. (photo comparative astronoo.com)

Le cycle solaire 24 ne donnait aucun indice de la tempête du 23 juillet 2012 car l’activité était moindre que le cycle 23.

Des scientifiques de la NASA et d’universités ont publié un rapport de l’événement en décembre 2013 :

… « Les analystes pensent qu'un coup direct par un CME extrême tel que celui qui a manqué la Terre en juillet 2012 pourrait provoquer des pannes de courant généralisées,désactiver tout ce qui se branche sur une prise murale. La plupart des gens ne pourraient même pas tirer la chasse d'eau parce que l'approvisionnement en eau des villes dépend en grande partie de pompes électriques…

En février 2014, le physicien Pete Riley de Predictive Science Inc. a publié un article dans Space Weather intitulé "Sur la probabilité d'occurrence d'événements météorologiques spatiaux extrêmes". Dans ce document, il a analysé les enregistrements des tempêtes solaires remontant à plus de 50 ans. En extrapolant à l'extrême la fréquence des tempêtes ordinaires, il a calculé les chances qu'une tempête de classe Carrington frappe la Terre au cours des dix prochaines années.

La réponse: 12%.

"Au départ, j'étais assez surpris que les chances soient si élevées, mais les statistiques semblent être correctes", explique Riley. "C'est une figure qui donne à réfléchir."... » (science.nasa.gov).

Nous sommes entrés officiellement dans le cycle 25 avec une tache solaire cette semaine, mineure certes, mais qui est une indication confirmée.

Les scientifiques prévoient un cycle 25 inférieur au niveau de l’intensité des taches solaires au cycle 24, mais comme nous venons de le voir ci-haut, ce n’est pas une indication fiable.

C’est la complexité des polarités des taches solaires qui donnent l’indication que nous devons craindre un événement du type Carrington.

Et comme la Sainte Vierge nous a donné cet indice le 13 octobre 1917 avec le miracle du Soleil, c’est un lien facile à faire.

Et comme l’a spécifié NSJC, nous n’aurons que le signe de Jonas, 3 jours de noirceur, à la fin des temps.

L’élite a bien beau mettre un super télescope pour savoir comment la polarité solaire fonctionne afin de protéger ses « gadgets électroniques » en prévoyant une CME, toujours en est-il que le délai entre l’observation d’une CME puissante et son effet sur la Terre est toujours de 45 minutes!!!

Cela correspond avec Matthieu 24 (outre l’aspect mystique).

Il y aura une grande détresse parce que le monde n’a jamais autant dépendant de l’électronique, physiquement, et aussi « mentalement ».

Et le tout sera aussi vite que l’éclair:

« … car il y aura alors une si grande détresse, qu’il n’y en a point eu de semblable depuis le commencement du monde jusqu’ici, et qu’il n’y en aura jamais…
Car, comme l’éclair part de l’orient et brille jusqu’à l’occident, ainsi en sera-t-il de l’avènement du Fils de l’homme… ».

Nous nous rapprochons d’un tel événement puisque l’ennemi avance très rapidement dans la phase finale de son plan :

- Distribution de la Sainte Communion interdite aux Indes (gloria.tv)
 
- Paganisme allemand : Tout le monde apporte son pain et le mange en guise de communion (gloria.tv)

- Un prêtre refuse la communion à une dame à Fatima qui la voulait agenouillé et sur la langue (lifesitenews.com).

- La grande réinitialisation après Covid-19 par le FMI et sujet de Davos 2021 (JT Charles Sannat, insolentiae.com).

- Des théologiens protestants et catholiques demandent à François de lever l'excommunication de Luther

Des théologiens protestants et catholiques ont demandé au pape François de révoquer la bulle d'excommunication émise par le pape Léon X contre Martin Luther en 1521. Dans le même temps, la Fédération luthérienne mondiale devrait retirer le verdict de Luther contre le pape en tant qu'"Antéchrist".

(DomRadio/InfoCatólica) Dimanche de la Pentecôte dernier, le groupe de discussion œcuménique d'Altenberg a publié le document "Réconciliation après 500 ans" dans lequel il affirme que les deux condamnations restent "comme des tampons" sur la voie d'une reconnaissance mutuelle officielle des Églises protestante et catholique. Selon le pasteur de Cologne Hans-Georg Link, le 500e anniversaire de l'excommunication de Martin Luther, le 3 janvier 2021, serait un moment approprié pour aborder la question. » (infocatolica.com).

La puissante lettre de Mgr Vigano sur le désastre Vatican II, sa reconnaissance, et la présence de l'Antichrist. (benoit-et-moi.fr).

Comme quoi que nous sommes dans cette période des deux témoins citée dans l'Apocalypse.

5 juin

Aussitôt après avoir été photographié avec la bible à la main devant l’Église St-Jean incendié le 2 juin, le président Trump s’est rendu au sanctuaire national Jean-Paul II (c’était planifié 2 semaines auparavant) dans une mise en scène avant la promulgation de son décret sur les libertés religieuses.


« WASHINGTON — Le président américain Donald Trump a signé un décret le 2 juin pour donner la priorité à la liberté religieuse dans la politique étrangère et les programmes d’assistance des États-Unis.
« La liberté religieuse pour tous les peuples du monde est une priorité de la politique étrangère des États-Unis, et les États-Unis respecteront et promouvront vigoureusement cette liberté », stipule le décret…
Cette loi habilite le gouvernement américain à interdire les visas et à bloquer les avoirs des auteurs de violations des droits de l’homme et des fonctionnaires corrompus dans le monde entier.
85 % de la population mondiale vit dans des pays où la liberté religieuse est menacée ou interdite.
En septembre 2019, M. Trump a appelé les pays à mettre fin aux persécutions religieuses dans le monde lors de l’Assemblée générale des Nations unies (AGNU) à New York. Il a été le premier dirigeant à lancer une telle discussion lors des réunions de haut niveau de l’AGNU.» (fr.theepochtimes.com).

Le président montre ainsi son allégeance à la synagogue de Satan, à la religion mondiale des droits de l’homme et au concept maçonnique de la liberté religieuse.

L’humanisme est à l’avant plan dans toutes les nouvelles qui nous sont dirigées, fausses ou vraies.
Cette visite du président américain a attiré les critiques acerbes de l’archevêque de Washington (non fondées car basées sur des fausses nouvelles):

« WASHINGTON, DC, 2 JUIN 2020 ( LifeSiteNews ) – L’archevêque Wilton Gregory de Washington, DC a lancé une réprimande cinglante au sanctuaire national Jean-Paul II pour avoir «autorisé» le président Trump et la première dame Melania Trump à se rendre aujourd’hui.

Le président et Mme Trump ont visité le sanctuaire pour commémorer le 100e anniversaire du pape Saint Jean-Paul II il y a deux semaines et le 41e anniversaire de la messe historique du saint moderne sur la place de la Victoire à Varsovie . Melania Trump est la première première dame catholique depuis Jacqueline Kennedy.

Après sa visite au sanctuaire, créé et exploité par les Chevaliers de Colomb, le président Trump prévoyait de retourner à la Maison Blanche pour signer un décret exécutif sur la liberté religieuse… » (lifesitenews.com).

Et Mgr Vigano de qualifier l’archevêque de Washington de «faux berger»:

«3 juin 2020 ( LifeSiteNews) – L’ancien archevêque nonce apostolique américain Carlo Maria Viganò a vivement critiqué l’archevêque de Washington Wilton D. Gregory comme un «faux berger» pour avoir réprimandé hier les responsables du sanctuaire national Jean-Paul II d’avoir autorisé la visite du président Trump et la première dame Melania Trump.
« Malheureusement, l’Église catholique est dirigée par de nombreux faux pasteurs », a déclaré Viganò dans une lettre aux prêtres et aux laïcs de l’archidiocèse de Washington le 3 juin (lire la lettre complète ci-dessous)…
« Au cours des vingt dernières années, votre [archidiocèse] de Washington, en particulier et maintenant pour la troisième fois, a été et continue d’être profondément affligé et blessé par de faux bergers dont le mode de vie est plein de mensonges, de tromperies, de luxure et de corruption. . Où qu’ils se trouvent, ils ont été une source de scandale grave pour diverses Églises locales, pour tout votre pays et pour toute l’Église », a-t-il poursuivi.
Les archevêques de Washington précédant immédiatement Gregory étaient le cardinal Donald William Wuerl (impliqué dans des dissimulations d’abus sexuels) et l’ancien cardinal Theodore Edgar McCarrick (accusé de manière crédible d’avoir abusé de séminaristes et accusé d’abus sexuels en série). On soupçonne Wuerl d’avoir contribué à la sécurisation de son successeur. Gregory est connu pour son soutien à l’homosexualité et à d’autres positions peu orthodoxes.
«Ne les suivez pas, car ils vous conduisent à la perdition. Ce sont des mercenaires. Ils enseignent et pratiquent les mensonges et la corruption! » déclara Viganò…» (lifesitenews.com).

Cette sortie et le décret du président américain du 2 juin, est évidement coordonné avec le Vatican, surtout que c'est basé sur le jubilé des 100 ans de Jean-Paul II, et de son encyclique « Ut unum sint » (25 ans le 25 mai 2020) remise à l'avant plan pour l'occasion.

L'ordre par le chaos pour une poussée d' « œcuménisme » en fonction de la nouvelle religion mondiale, est le véritable but pour l'adoration de Satan.

« Dialogue œcuménique: renouveler le désir d’unité, définir une vision commune
Le Conseil pontifical pour la promotion de l’unité des Chrétiens célèbre, ce 5 juin 2020, son 60ème anniversaire.

Parmi les «fruits importants», le père Destivelle relève au niveau du dialogue avec le luthériens la déclaration sur la justification, signée en 1999. «Une étape majeure lorsque l’on pense qu’il s’agissait de la principale pierre d’achoppement entre catholiques et luthériens». Par ailleurs, «avec les Églises orientales, des questions christologiques qui nous divisaient depuis le concile de Chalcédoine ont été résolues». «Il y a eu des progrès considérables qui ne sont pas toujours bien connus mais qui marquent des étapes déterminantes» souligne le père Destivelle.

A l’occasion du 25ème anniversaire de l’encyclique "Ut unum sint" de Saint Jean-Paul II, sur l’engagement œcuménique, le 25 mai dernier, le Pape François avait salué les progrès réalisés en faveur de l’unité de l’Église, «grâce à l’Esprit Saint» et évoqué les nombreux pas accomplis «pour guérir les blessures séculaires et millénaires». » (vaticannews.va).

La fondation du Secrétariat pour la promotion de l'unité des chrétiens, le 5 juin 1960, par saint Jean XXIII pour devenir ensuite le Conseil pontifical en 1988, est source de grande joie et d’un engagement constant sur un «chemin irréversible». C’est ce qu’affirme le cardinal Kurt Koch dans une interview accordée aux médias du Vatican (vaticannews.va).

Tout est relié au concile Vatican II, dernière salve de Satan pour achever l'Église. Mais cette dernière triomphera.

« Mgr Carlo Maria Viganò : “La crise actuelle est la métastase du cancer conciliaire” .

Les deux textes qui suivent ne vont pas laisser indifférents. Le premier est une lettre d'une religieuse cloîtrée à Mgr Carlo Maria Viganò, disant au prélat son inquiétude devant l'utilisation de la crise du COVID-19 à des fins anti-chrétiennes, comme « préparation en vue de la manifestation de l'Antéchrist ». Le second est la réponse de Mgr Viganò, qui dénonce clairement la tentative de mise en place d'une tyrannie mondiale et d'une religion mondiale « sans dogmes ni morale » promue par la franc-maçonnerie, à laquelle participent « des cardinaux et des évêques » et que « Bergoglio » aspire, dit-il, à présider. » » (leblogde jeannesmits.blogspot.com).

Décidément, Mgr Viganô est une des manifestations des « deux témoins » de l'Apocalypse.

« A l’occasion de la pandémie du coronavirus, Mgr Carlo Maria Viganò, ancien nonce apostolique aux Etats-Unis, a accordé plusieurs entretiens au cours desquels il n’hésite pas à remettre en cause les erreurs conciliaires, comme il le fait courageusement depuis plusieurs mois déjà. Loin de se contenter de constater des effets dramatiques, le prélat romain remonte aux causes et dénonce l’œcuménisme, la nouvelle liturgie, l’ouverture au monde et la collégialité épiscopale. » (fsspx.news).


Mai 2020

29 mai

Voici un événement que nous anticipions.

Le passage des comètes ont généré une série d’éjections de masses coronales (CME) de classe B les 27 et 28 mai.

La source est une tache probablement du cycle 25.

Cette tache sera visible d’ici 48 heures car il faut attendre que le soleil se positionne face à la terre dans sa rotation.

Une éjection de classe B est considéré comme mineur.

Seulement, au plus profond du minimum solaire, une telle éjection mérite l’attention des astronomes car le soleil a été sans tache durant les 27 derniers jours et pendant 120 jours en 2020.

La période du 24 mai au 31 mai est jusqu’à maintenant des plus intéressantes au niveau des signes.

La prudence quant au signe dans le ciel. Voilà ce qui était de mise depuis le 24 mai, car cette période n’est pas terminée.

La Pentecôte était célébrée par un octave (et cette année cette période a commencé avec Notre-Dame Auxiliatrice, Secours des chrétiens) dans le rite traditionnel et il semble que le Ciel nous le rappelle ainsi.

Nous avions avertit qu’une éjection de masse coronale pouvait être pire qu’une parhélie dans le ciel, si une de classe X se présente.

Nous verrons, mais aujourd’hui 29 mai, c’est la frénésie chez les astronomes.

Pour la première fois depuis 2017 (dernière M1 : 20 octobre 2017, dernière X8.2 : 10 septembre 2017), le soleil a produit deux éjections.

Les satellites observant le soleil ont détecté une CME de classe M1 suivi d’une autre de classe C9.

Les deux venant de la même supposée tache qu’on ne voit pas encore décrite ci-haut.

L’image de la NASA montre du matériel éjecté avec puissance.

En fait, ces deux éjections selon spaceweather.com pourraient être plus importantes qu’il semble parce que ces explosions ont été éclipsées par la limite supérieur nord-ouest du soleil, réduisant ainsi leurs apparentes intensités.

Ces deux éjections ne nous affecterons pas car le soleil ne fait pas face à la Terre présentement.

Cependant, cela peut changer incessamment.

La rotation solaire amènera la tache en ligne plus directe d’ici 48 heures, soit à la Pentecôte.

Les spécialistes attendent impatiemment de connaître la géométrie et la polarité de la dite tache demain.

Ceci ne devait pas se produire...

28 mai

Nous sommes dans un temps de pause, de renouveau et d’espoir selon le monde judéo-maçonnique crée par l’élite.
Les idiots utiles appellent cela « liberté » alors que ces aveugles ne voient pas l’étau qui se resserrent, en autant qu’ils retrouvent leurs vie de loisirs et leur gadgets électroniques.

« AM Valli énumère toutes les raisons qui font que nous sommes face à une authentique révolution – à entendre non pas dans le sens sociologique d’avancée, de marche en avant, d’agitation soudaine qu’on lui attribue souvent par litote, mais dans le sens de renversement brutal, violent, et même sanglant, de l’ordre établi, qui nous renvoie directement à 1793 et à la révolution bolchevique…

Je ne sais pas si et dans quelle mesure nous nous en rendons compte, mais avec cette histoire de coronavirus, nous sommes en pleine révolution.

Nous avons en effet tous les ingrédients d’une révolution, aucun d’entre eux n’est exclu…
Toute révolution a besoin d’un récit, dont le but principal est d’exalter la valeur suprême, de légitimer le renoncement à la liberté, de dénigrer les ennemis et d’alimenter la terreur. C’est exactement ce que fait le récit dominant en ce moment, grâce au travail inlassable de la plupart des médias.

Dans notre cas, avec les libertés et les droits, l’autre grande victime de cette révolution est l’État. En fait, l’État a longtemps été un mort-vivant, mais à ce stade, sa liquidation est complète. S’il existe encore formellement, c’est uniquement pour pouvoir être l’exécutant local de décisions prises ailleurs.

Et nous en arrivons à un autre ingrédient fondamental: les révolutionnaires. Qui, dans notre cas, sont les grands organismes internationaux et supranationaux. Tout d’abord l’OMS, cette Organisation mondiale de la santé qui ressemble de plus en plus à un gouvernement mondial, avec son organe de décision (l’Assemblée mondiale de la Santé) et ses directives capables d’étendre leur influence partout, passant par-dessus chaque pouvoir de décision intermédiaire, grâce à sa marque de fabrique, à savoir la Santé, qui est devenue le grand totem mondial, précisément l’idole suprême…

Inutile de dire que la révolution a besoin de ses chroniqueurs et de ses chantres, et nous les avons. Des pelotons de journalistes et d’intellectuels travaillent depuis des semaines à dresser le tableau de la terreur, à renforcer le récit voulu par la révolution et à présenter les dissidents comme de dangereux ennemis qui, en tant que tels, ne peuvent que mériter le mépris et doivent être exclus de l’assemblée sociale…

La nouveauté réside dans le fait que l’Église elle-même (à de rares exceptions près) a collaboré avec les révolutionnaires et a même montré qu’elle se voulait plus royaliste que le roi. Mais on aurait pu s’y attendre : puisqu’elle avait depuis quelque temps remplacé Dieu par l’homme, et la loi divine par la volonté humaine, il était fatal que l’Église s’incline devant les révolutionnaires de service…
Comme la révolution dévore toujours ses enfants, on pourrait même terminer sur une note d’espoir et dire qu’après tout, il ne s’agit que d’attendre que les Robespierre de service finissent guillotinés. Mais, dans notre cas, ce n’est pas si simple. Nos Robespierre sont devenus intelligents et travaillent dans l’ombre. Et cette fois-ci, ils ont mis dans leur ligne de mire non seulement une nation et un peuple, mais le monde entier.» (benoit-et-moi.fr)

« Le Pape François priera le chapelet samedi en mondovision.

Le Pape priera le Rosaire ce samedi 30 mai à 17h30 devant la Grotte de Lourdes dans les Jardins du Vatican, en lien avec de nombreux sanctuaires mariaux du monde…

Une prière dédiée aux personnes marquées par la pandémie

L’initiative, organisée par le Conseil pontifical pour la Promotion de la Nouvelle Évangélisation, impliquera des familles et des hommes et femmes représentant les secteurs les plus concernés et particulièrement touchés par la pandémie, à qui seront confiés les dizaines de chapelets. Seront ainsi présents des médecins et des infirmières, des patients guéris et des personnes endeuillées, un aumônier d’hôpital et une infirmière, un pharmacien et un journaliste, et enfin un volontaire de la Défense civile avec sa famille. Une famille qui a vu naître un enfant durant cette période difficile sera également présente, pour exprimer l’espérance qui ne doit jamais faillir et la conviction que la vie est plus forte que la mort.

«Aux pieds de Marie, à la fin du mois qui lui est consacré et certain que la Mère céleste ne manquera pas de l’aider, François placera donc les peines et les souffrances de l’humanité», explique le Conseil pontifical.
Les plus grands sanctuaires des cinq continents, dont Lourdes (France), Fatima (Portugal), Lujan (Argentine), Guadalupe (Mexique), San Giovanni Rotondo et Pompéi (Italie), seront associésà cette retransmission… » (vaticannews.va).

Quel affront.

D’un côté, François méprise la Sainte-Vierge en la traitant de « métisse » comme au 12 décembre dernier,  en confirmant qu’Elle n’est pas co-rédemptrice, etc..

Et de l’autre, il place les peines dues au coronavirus sur les épaules de la Sainte-Vierge.

C’est digne de ce personnage à la langue fourchue qui démontre encore une fois l’utilisation du double langage.

Il est surprenant que le rosaire le lui brûle pas les mains.

Il confirme donc que lui et le Vatican sont parfaitement en phase avec la dernière poussée du mondialisme judéo-maçonnique.

Toute les initiatives sur le réchauffement climatique, sur les flux migratoires pour remplacer les chrétiens européens, la socialisation du monde par le salaire universel, la nouvelle religion œcuménique, et lapandémie mondiale, sont érigés en dogmes et accrédités par le chef de l’église lui-même.

Il n’y a pas eu encore de signes visibles dans le ciel, ni de « Grand Éclair à l’Orient », mais il est sûr et certains que ces signes temporels qui ne font que confirmer la « grande prostituée » de l’Apocalypse, nous y mènent.

25 mai

Photo de la ligne soleil-vénus-mercure-croissant de lune du 24 mai.

24 mai

En cette journée de la fête de Notre-Dame Auxiliatrice, Secours des chrétiens, François continue dans son voyage œcuménique vers la nouvelle religion mondiale et lance l’ «année Laudato Si».

« Le Pape François lance une année Laudato Si’

Du 24 mai 2020 au 24 mai 2021 aura lieu l’année Laudato Si’. Une initiative annoncée par le Pape François après la prière du Regina Cœli du 24 mai, pour marquer les cinq ans de l’encyclique (vaticannews.va).

Sa prière, une prière œcuménique socialiste, adressé au créateur.

Aucune mention de la Vierge Marie aujourd’hui.

Il a oublié que les prières de Caïn au Père sont toujours demeurés vaines après son homicide.

Voici sa « prière commune pour l’écologie intégrale » :

« Dieu aimant, Créateur du ciel, de la terre et de tout ce qu'ils contiennent.
Ouvre nos esprits et touche nos cœurs, afin que nous puissions faire partie de la création, ton don.
Sois présent pour les nécessiteux en ces temps difficiles, en particulier les plus pauvres et les plus vulnérables.
Aide-nous à faire preuve de solidarité créative pour affronter les conséquences de cette pandémie mondiale.
Rends-nous courageux en acceptant les changements apportés à la recherche du bien commun.
Maintenant plus que jamais, que nous pouvons tous nous sentir interconnectés et interdépendants.
Assure-toi que nous pouvons écouter et répondre au cri de la terre et au cri des pauvres.
Les souffrances actuelles peuvent être les douleurs de l'accouchement d'un monde plus fraternel et durable. »

Alors que:

«Consacrer une année entière à quelque chose suppose qu’il s’agit d’une affaire d’une importance et d’une gravité extraordinaires, et que c’est quasiment une question de vie ou de mort que tout le monde prenne conscience d’une réalité qu’il est désormais indispensable de changer. Mais c’est une autre chose que, comme Église, nous n’ayons rien de plus urgent que l’écologie intégrale…
Ce que je dis c’est qu’une église installée dans le relativisme qui perd ainsi des fidèles, dans un monde qui subit chaque année des millions d’assassinats d’enfants dans le ventre de leurs mères et dans lequel la famille, église domestique, est soumise à une crise gravissime, consacrer une année d’une manière particulière à l’écologie me semble une façon de nous tromper. » (benoit-et-moi.fr).

Alors que:

Aujourd'hui, 24 mai 2020, jour de la fête de la Bienheureuse Vierge Marie Auxiliatrice, c’est la prière écrite par Don Bosco dédiée à la Vierge qui est de mise.

Fin des temps = urgence de sauver des âmes.

Sauver les corps à la manière de François…

Il n’y a plus de temps pour cela.

N’importe quel prêtre avec quelques connaissances théologiques est bel et bien capable d’identifier l’époque critique que nous vivons.

Pas François.

Prière à Marie Auxiliatrice, Secours des Chrétiens :

« O Marie Auxiliatrice, bienheureuse Mère du Sauveur,
votre aide en faveur des chrétiens est des plus valables.
Pour vous, les hérésies ont été vaincues
et l'Église est sortie victorieuse de tous les écueils.
Pour vous, familles et individus ont été libérés
et préservés des malheurs les plus graves.
Que ma confiance en vous soit toujours vivante, afin que, dans toutes les difficultés, je puisse moi aussi ressentir que vous êtes vraiment
l'aide des pauvres, la défense des persécutés, la santé des malades, la consolation des affligés, le refuge des pécheurs et la persévérance des justes. »
 
Saint Jean de Bosco

Les signes dans le ciel:

Au coucher de soleil ce soir, vous pourrez observer une ligne formée par le soleil, la planète vénus, la planète mercure, et le croissant de lune.

Vénus pour les occultistes représente Lucifer, et le grand maître de la loge bleu en franc-maçonnerie.

Les signes du ciel pour l'ennemi sont importants.

Quand vénus, le maître, se tient entre le soleil et la lune

L’Etoile du matin
où la Franc-Maçonnerie rite d’origine Vénusienne

20 mai

Le 18 mai dernier avait lieu la célébration du 100ème anniversaire de Jean-Paul II.

Pourquoi?

François a célébré le fait à la basilique Saint-Pierre devant la tombe de ce dernier.(vaticannews.va)

« … devant la tombe du va-nu-pieds, éclatera le règne béni de la Très Sainte Vierge. Écoutez ses parole… » (prophétie de Jean XXIII concernant Benoît XVI).

Les deux comètes, la situation avec la pandémie, le climat de peur intentionnellement généré par l’élite judéo-maçonnique, l’hécatombe économique planifié depuis longtemps…

Et le grand titre du 18 mai : « Face à la COVID-19, le monde demande un vaccin pour tous et une réforme de l’OMS. »

Nous sommes témoins du dernier acte de l’ennemi. Il veut se faire Dieu.

Et son témoin a célébré le centenaire de sa naissance devant son tombeau.

La question était déposée depuis l’ouverture du site en 2011.

Pourquoi une caméra sur la tombe de Jean-Paul II?

Nous devrions avoir la réponse. Bientôt.

Autre coïncidence?

Le cycle 25 du soleil serait commencé depuis le 16 mai, jour du centenaire de la canonisation de Sainte Jeanne-D’Arc.

Une tache à la polarité inversée correspondant au cycle 25 est en formation (photos spaceweathergallery.com).

La comète dans la comète : ainsi en est-t-il de la comète ATLAS selon les dernières images publiées le 16 mai (spaceweathergallery.com).


Cette comète surprend les experts par un comportement rarement vu dont nous pouvons être témoins.

Il y avait eu la résurrection de cette dernière après la fragmentation du 11 avril.

Cette dernière photo renvoie l'image d'une Pentecôte, où l'Esprit accompagne et illumine le noyau.

Demain, c’est l’Ascension de NSJC.

Une autre coïncidence à ajouter?

En référence à l’image de la femme de l’Apocalypse du 24 mai (image analyses précédentes) où elle écrase Vénus tout en ayant les deux pieds sur la lune, voilant aussi le soleil, avec les deux comètes en conjonction avec le soleil…

Demain donc, vous verrez après le coucher du soleil, une conjonction entre la planète Vénus et de la planète Mercure.

Pour ceux qui veulent aller observer le ciel, voici où regarder.

Le 24 mai, il y aura donc une ligne formée par le soleil, le croissant de lune, mercure, et vénus…

Et peut-être l’interaction entre les deux comètes dans les mêmes parages.

15 mai

«La comète que ne voulait pas mourir»

C'est le nouveau surnom de la comète ATLAS qui continue son voyage malgré tout ce qu'on a pu lire depuis le 11 avril, jour de sa fragmentation, Samedi Saint où le Christ au tombeau prépare sa résurrection (photos prises le 12 mai: spaceweathergallery.com).

En lien avec ce que nous analysions il y a un mois, il y a bel et bien un signe de résurrection indiqué dans le ciel.

Signe d’Espoir? Signe de Foi?

Dans un contexte assez particulier avec la «pandémie», faisons le parallèle avec l’année 1920.

Celle-ci pourrait nous donner quelques indications précieuses de la période qui suivra le possible signe du 24 mai.

Nous partons du principe de l’avertissement plus 3 années pour voir se concrétiser cette dernière dans le monde temporel.

Nous partons aussi de l’hypothèse des 100 ans de règne de l’Antéchrist commençant par l’avertissement de la Sainte Vierge à Fatima commençant le 13 mai 1917.

On a vu qu’en octobre 1917 avait lieu la révolution bolchévique dont la Sainte Vierge a avertie 3 mois à l’avance lors de son apparition à Fatima 13 juillet.

La consolidation du pouvoir et du territoire russe est établit en 1920. Trois années plus tard.

Quant à la clique de la judéo-maçonnerie, ils jubilaient à Rome le soir du 16 octobre 1917…

« Lorsque les francs-maçons commencèrent à se démener de plus en plus effrontément et qu’ils eurent dressé leur étendard sous les fenêtres mêmes du Vatican, cet étendard où, sur un fond noir, Lucifer foulait sous ses pieds l’archange Michel, lorsqu’ils se mirent à distribuer des tracts invectivant contre le saint Père, l’idée se fit jour de fonder une association ayant pour but de combattre les francs-maçons et d’autres suppôts de Lucifer …

À l’occasion du deuxième centenaire de la fondation de la maçonnerie moderne, en cette année 1917, les francs-maçons se livraient à Rome-même à de sacrilèges parodies...

En 1917, les francs-maçons qui s’exhibaient à Rome avaient aussi des banderoles proclamant : « Satan doit régner au Vatican. Le pape sera son esclave ! » (leblogdumesnil.unblog.fr).

En pleine montée de l’infiltration de la franc-maçonnerie au Vatican, Benoît XV publie son encyclique Spiritus Paraclitus le 15 septembre 1920, qui encourage les fidèles à lire les Saintes Écritures.

Elle soutient ainsi l'immunité parfaite des Écritures à l'égard de toute erreur.

1920, c’est aussi la fin officielle de la pandémie de la grippe espagnole.

Pour la Fille Aînée de l’Église, la France, c’est la canonisation de Sainte Jeanne-D’Arc le 16 mai par Benoît XV, ce qui mène la Fille Aînée de l’Église à reprendre ses relations avec le Vatican en 1921.

2020 est donc une année de jubilé.

Un cycle de 100 ans donc qui commence avec Benoît XV sur le trône, et se terminera avec Benoît XVI sur ce dernier, en tant que gardien spirituel de la Sainte Église.

Ou, selon les devises de la prophétie de St-Malachie, de la « religion dépeuplée » à la « labeur du soleil ».

Ce qui correspond effectivement à un siècle du déclin de la foi catholique, la grande apostasie, qui se terminera par un Jugement par le feu, par le soleil.

L’avertissement d’un tel événement a été donné par le Ciel il y a 99 ans.

Du 13 mai (date importante de l’apparition à Fatima) au 16 mai (date de la canonisation de Sainte Jeanne-D’Arc), avait lieu une grande, énorme tempête géomagnétique déclenchée par une éjection de masse coronaire (CME) venant du soleil.

Aussi fort que lors de l’événement de Carrington, la tempête solaire de 1859.

C’est un événement rare. Peu de gens connaisse l’histoire de la tempête de 1921.

C’était l’ère du télégramme (on se rappelle que la comète ATLAS est un fragment de la grande comète de 1844, année de l’invention du télégramme), prouesse technologique aboutissant aujourd’hui au téléphone dit intelligent.

Le triomphe de Satan par la technologie.

La nouvelle religion humaniste prêche par ce système, par la foi en la science.

Le péché d’orgueil à son comble.

Cette période de 3 jours en 1921 fut ponctuée d’aurores boréales inédites, visibles même dans des régions au sud qui ne voient que très rarement ce genre de manifestations dans le ciel.

La tempête solaire de 1921 fut tellement intense que l’induction électrique dans les fils de télégraphie les firent surchauffés.

Et ils prirent feu… Et plusieurs bâtiments avec.

C’était un événement mondial.

Les services de communication furent interrompus en Australie, au Brézil, au Denmark, en France, au Japon, en Nouvelle Zélande, en Norvège, en Suède, au Royaume-Uni, aux États-Unis… Partout.

En 1921 c’était la fin du cycle solaire 15, cycle dont l’apogée de l’activité solaire eu lieu…

Et oui, en 1917.

Année des apparitions de Fatima.

Cette année fut déclarée comme étant le « début du maximum moderne ».

Le soleil termine présentement le cycle 24…

24 comme…

24 mai et un soleil voilé par le signe de la Vierge?

Le soleil donne déjà des signes de début du cycle 25, ce qui devrait être officiel d’ici 5 mois, avec l’apparition de taches solaires plus importantes, et de façon plus régulière.

Inutile de s’imaginer les conséquences d’une tempête magnétique d’une telle ampleur pour une époque où l’ordinateur, qui fait la gloire du système 666, est archi-dominant dans notre quotidien...

11 mai

« Benoît XVI, interviewé par Peter Seewald, fait quelques déclarations qui mettent en lumière sa compréhension du renoncement à la papauté active. Dans le livre, il parle de la « dimension spirituelle » de son état actuel et le définit comme « mon mandat ». Avec la renonciation, dit-il, il s’est dépouillé de tout « pouvoir juridique concret » et rôle de gouvernement, mais a conservé un « mandat spirituel ». » (benoit-et-moi.fr)

Voilà.

Benoît XVI confirme lui-même qu’il est le Katéchon dont parle Saint-Paul.

Son rôle protecteur était essentiel dans les 7 dernières années.

Le signe possible dans le ciel du 24 mai serait le signal que cette période est terminée.

L’extermination de l’impie, celui qui le 5 mai dans son sermon affirme que tout va bien quand le diable se démène, s’en vient.

« L'Église, a rappelé François, «se situe entre les consolations de Dieu et les persécutions du monde». Et à une Église «qui n'a pas de difficulté il manque quelque chose» et «si le diable est calme, les choses ne vont pas bien». » (vaticannews.va)

Il n'y a qu'une possibilité où « tout va bien », et selon les commandements du Christ qu’il nous a légués, nous appelons cela « Le Royaume des Cieux ».

François confirme donc que le diable lui-même est dans la demeure.

La comète ATLAS a repris de la vigueur à la stupéfaction des astronomes.

Terry Lovejoy, chasseur de comètes émérite (il en a 6 à son nom), a pris des photos d’ATLAS du 5 au 9 mai où on peut voir la luminosité augmentée grandement. (image- earthsky.org)

Le 24 mai c’est aussi la 144ème journée de cette année bissextile.

Cette période s’ouvre donc avec la Solennité de la Vierge Marie le 1er janvier et se termine par la fête si importante de Notre-Dame Auxiliatrice, Secours des chrétiens.

144.

Le chiffre des justes.

NSJC a révélé qu’à la fin des temps, que seul le signe de Jonas nous sera donné.

Ce peut être en relation avec les derniers 3 jours de ténèbres, et cela peut-être relié aux 3 dernières années.

Car depuis le 31 octobre 2016, jour où François signe la déclaration avec les luthériens, en passant par le 14 novembre 2016 avec la publication des dubia et le 29 novembre 2016 par la clôture de la Porte Sainte de la Basilique Saint-Pierre , on peut affirmer que le ciel s’est obscurci.

C’est la période « mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné? », cette période avant l’agonie de NSJC.

Cette période de 3,5 années commençant en novembre 2016 nous pointe donc autour du 24 mai 2020.

Marie-Julie Jahenny avait justement prophétisé en 1882 (en ce qui ressemble aussi fortement à la crise du coronavirus)…

« Un repos fort court suivra cette grande entrée dans le mal qui sera complet, surtout au Centre (Paris) et dans les environs. Le 24 mai, il se passera entre les hommes qui se disent vainqueurs et élevés en science, un éclat qui ébranlera cette Grande Ville où le sang a tant de fois rougi le pavé et ce branle ne s’apaisera pas. Tu sais que le nombre 14 a été choisi par Moi. "

" La seconde et violente crise commencera et ira jusqu’à 45 jours. La France sera envahie jusqu’au diocèse qui commence la Bretagne : la voix ajoute le vôtre. La plus forte armée va tomber sur Orléans et envahir des espaces de terre que je ne peux limiter, dit Saint Michel. D’un seul élan, ils parviendront jusqu’aux alentours de la Grande Ville (Paris). Ils n’y pénétreront qu’à la moitié de la crise, Amis de la Croix, lorsque cette armée pénétrera par la porte de la terre volée, elle aura un renfort qui secondera ce roi semblable à un tigre contre les Français. Les éléments les  plus remarquables de son armée feront partie de cette bande qui vient de la porte d''Alsace. Ils fonceront sur le centre, dans un horrible ravage. Ils camperont en ce lieu, achevant la ruine complète de la pauvre France. »

07 mai

La renaissance de l’Église après sa passion selon le catéchisme se termine par le paragraphe 677 où

« L’Église n’entrera dans la gloire du Royaume qu’à travers cette ultime Pâque où elle suivra son Seigneur dans sa mort et sa Résurrection. Le Royaume ne s’accomplira donc pas par un triomphe historique de l’Église selon un progrès ascendant mais par une victoire de Dieu sur le déchaînement ultime du mal qui fera descendre du Ciel son Épouse. Le triomphe de Dieu sur la révolte du mal prendra la forme du Jugement dernier après l’ultime ébranlement cosmique de ce monde qui passe. »

Ce monde qui passe c’est Babylone la grande, les deux Babylone identifiées par Jean XXIII, les Nations-Unies et le Vatican.

Son Épouse, l’Église descendra du Ciel.

C’est la femme enceinte de la nouvelle Église de l’Apocalypse avec les pieds sur la lune, voilant le soleil, représentée par Notre-Dame de Guadalupe.

Le Jugement dernier aura lieu APRÈS l’ultime ébranlement cosmique!

Il y aura donc un signe cosmique d’envergure.

Les puissances des cieux seront ébranlés.

Le mois de mai, ce mois si important de Marie, a commencé avec ce signe de la comète SWAN le premier du mois, qui a expulsé un surplus de gaz, ce qui a fait craindre le pire aux astronomes, une fragmentation, mais ce n’est pas le cas (vidéo spaceweather.com).

En supplément des analyses précédentes, peut-on donc logiquement associé la femme de l’Apocalypse au signe de la possible collision des deux comètes?

Nous savons (voir analyses précédentes ) que la tilma (gloria.tv) de Notre-Dame de Guadalupe regroupe les constellations visibles dans le ciel du Mexique lors de son apparition du 12 décembre 1531.

C’est normal puisque le Mexique est situé près de l’équateur.

Mais puisqu’elle représente Notre-Dame de l’Apocalypse, un signe de la fin des temps, qu’a-T-elle voulu nous indiquer par ces constellations? En cette fin des temps?

Les rois mages, quand ils ont vu un signe inhabituel dans le ciel il y a plus de 2000 ans, savaient qu’il y avait un situation inédite qui se produisait, un événement qu’ils ne pouvaient connaître d’avance, mais ils ont eu foi en leur science du ciel et se sont mis en marche, pour découvrir le Christ naissant.

L’histoire est une question de cycles et nous assisterons à la renaissance de l’Église dans les mêmes conditions : par un signe dans le ciel.

Notre-Dame de Guadalupe voile le soleil. C’est visible par les rayons qui dépassent de chaque côtés de son manteau.

Elle a les pieds sur la lune.

Donc la Sainte-Vierge nous indique que nous devons avoir un soleil voilé, la lune en position précise sous ses pieds, et les constellations.

C'est beaucoup!

Nous rappelons selon les dernières analyses que le signe doit être aussi visible par toute l’humanité, ce qui n’est possible que si les signe suit la course du soleil.

Alors, où est la lune en ce 24 mai 2020?

Question cruciale puisque la lune fait sa rotation autour de la terre en 28 jours.

La lune, si on se fit aux aiguilles d’une horloge, se situe à 7 heures du soleil qui est en Taureau.

Du point de vue d’un observateur terrestre, il y aurait donc un croissant de lune de cette forme au lever du soleil (exemple ici).

La lune n’est pas visible au lever du soleil étant donné la luminosité de ce dernier.. à moins d'avoir un soleil voilé!

Sur l’image du ciel du 24 mai, on peut apercevoir les deux comètes dans leurs positions approximatives sans la collision anticipée, presque en conjonction avec le soleil.



On peut voir la constellation du cocher qui sert de guide pour superposer l’image des constellations de Notre-Dame de l’Apocalypse (catholbel.be par exemple).



Et voilà, le mystère de la femme avec les deux pieds sur la lune de l’Apocalypse se révèle peut-être.

Est-ce une coïncidence ou considérant les deux comètes présentes dans les mêmes parages près du soleil, est-ce le signe du Ciel?

Car, tout concorde en cette date unique, à ce temps de l'année seulement, avec les deux comètes, et la lune en position exacte.

Nous saurons bientôt ce qu’il en est.

Car les forces qui militent contre l’Église continuent la croisade de la fin des temps via le Haut-Comité pour la fraternité humaine.

Depuis la signature à Abu Dhabi le 4 février 2019 du document sur la fraternité humaine pour la coexistence et la paix mondiale, signé par François et le Grand Imam d'Al-Azhar, ce comité met les bouchées doubles pour un consensus sur une nouvelle religion mondiale.

L’appel a été approuvé le 3 mai par François et par le Secrétaire général des Nations-Unies.

C’est tout dire.

Cette fois, il invite tous les croyants à une journée de prière et de jeûne pour l'humanité le 14 mai contre le Covid-19.

Le Comité invite les croyants à ne pas oublier de nous adresser à Dieu lors de cette crise…

Pensez-vous que Dieu aura une oreille sensible face à cette demande?

Aucune mention du Christ ou une repentance de nos péchés dans cette supplication.

Or, un pseudo pape qui prend les devants pour approuver cette demande avec les religions qui ne croient pas au Christ en tant que Dieu incarné, à quel Dieu s’adresse-t-il?

Nous n’avons pas besoin de la réponse.

C’est le même Dieu dont Jean XXIII nous décris les « fruits » via la prophétie politique #30, le « livre maudit ».

Et, le 14 mai, c’est la date favorite de la judéo-maçonnerie (création d’Israël par exemple).

Tous ces chefs alors s’adressent à Lucifer, l’ange déchu, cet esprit malin, le loup qui s’est déguisé en mouton et qui conduit l’humanité à abattoir.

« Dans le livre (note : la dernière biographie de Benoît de Peter Seewald), le pape émérite répond à quelques questions et explique, par exemple, cette phrase dramatique et énigmatique prononcée dans l’homélie du début de son pontificat : « Priez pour moi, afin que je ne fuie pas par peur devant les loups ». (Antonio Socci, Benoît XVI, le Katéchon. (benoit-et-moi.fr)).

« Chers amis croyants en Dieu, le Créateur universel, nos frères et sœurs en humanité partout… »

C’est clair.

Personne n'est exclu. Tout peut être cru.

Sataniste, islamiste, bouddhiste, animiste à la sauce Pachamama, etc..

Cet appel s'adresse à vous.

Par contre…

« Je crois en l’Église, une, sainte, catholique et apostolique… » est volontairement absent de l’esprit de François (crédo catholique de Nicée-Constantinople).

L’Antichrist achève son œuvre. Il est au sommet de sa gloire.

Sa chute est donc imminente…

En synchronisation avec le signe du Ciel.

05 mai

LA LABEUR DU SOLEIL

La comète ATLAS symbolise le dieu grecque qui supporte le monde (il supporte la planète sur ses épaules), la maison commune, l’humanisme. Elle éclate en morceaux le 11 avril dernier, au Samedi Saint.

La comète SWAN apparaît le 11 avril et devient un signe de perturbation, l’équilibre est rompu, le paradigme ne tient plus.

Babylone la grande ne sera jamais plus pareil.

Car SWAN en français, c’est le « cygne », et le monde attendait son « cygne noir », le coronavirus.
(fr.wikipedia.org – théorie du cygne noir).

Les deux sont dues pour une rencontre le 24 mai.

À part l’excès ou le manque de luminosité du soleil si le signe a lieu, quelle serait le phénomène qui apeurerait l’humanité, assez pour amener certains à la conversion?

Plus qu’un signe visuel, la collision des deux comètes pourraient produire un signe auditif.

Nostradamus dans la centurie II-41 spécifie qu’il y aura un cri comme un gros chien hurlant la nuit.

« Le gros mastin toute nuict hurlera ».

Une explosion est toujours suivie d’une onde de choc sur une masse d’air.

Or, dans l’espace la matière est plus subtile.

C’est une onde de plasma qui accompagne l’explosion.

Les corps célestes émettent des sons, dont le soleil.

Un exemple frappant tout récent peut nous être donné par la sonde spatiale parker lancée en août 2018.

Et en décembre 2019, la NASA a publié les différents sons des vents solaires (parker probe NASA).

Celui qui nous intéresse spécialement est le quatrième dans la liste.

Le « whistle mode wave one » qui sonne... comme un chien hurlant.

Étant donné que le signe selon Nostradamus durerait 7 jours, serait-il possible que ce hurlement ait effectivement la même durée?

Si c’est le cas, il devient assez évident que ceux qui n’ont pas la capacité d’entrer en prière et en méditation seront atteints de folie.

Cela ressemble drôlement à des cris de démons.

Soyons prêts et non surpris s'il y a lieu.

Aujourd’hui, Peter Seewald publie sa biographie en allemand sur le pape Benoît XVI.

Les médias traditionnels fidèles à la nouvelle religion humaniste n'ont pointé que les droits LGBT et l’avortement.

C'est un lynchage médiatique.

Ce qui est démontré dans l'article de Benoît et moi.

Or, ce que confirme Benoît XVI, c'est que nous sommes en présence de l'Antichrist.

Il n’y a pas de doute.

Il identifie l’Antichrist au « système humaniste ».

Toute personne qui est contre les principes chers à François dont l’immigration, le réchauffement climatique, les célébrations païennes, l’œcuménisme… est automatiquement « stigmatisée » et identifiée comme ennemi de la nouvelle religion.

C’est exactement ce qu’affirmait le regretté Serge Monast dans ses écrits.

La seule différence c’est que tout s’est passé sous une forme plus insinueuse, plus hypocrite.

« La société moderne est en train de formuler une foi antichristique, à laquelle on ne peut s’opposer sans être puni par l’excommunication sociale. Il est donc plus que naturel d’avoir peur de cette force spirituelle de l’Antéchrist, et il faut vraiment l’aide de la prière d’un diocèse entier, et de l’Église universelle pour y opposer de la résistance.» (Benoît XVI)


Lifesitenews révèle plus de contenu de l'interview qui a servi à la biographie:

« Interrogé sur l'affirmation souvent répétée selon laquelle en tant que pape, il a rencontré «de nombreux blocages» pendant sa papauté de la part de la Curie romaine, le pape Benoît XVI a répondu: «Les blocages provenaient plus de l'extérieur que de la Curie. Je ne voulais pas simplement promouvoir avant tout la purification dans le petit monde de la Curie, mais dans l'Église dans son ensemble. » Expliquant plus en détail ses pensées, il a ajouté qu '«entre-temps, les événements ont montré que la crise de la foi a conduit aussi spécialement à une crise de l'existence chrétienne». C'est, a-t-il poursuivi, ce que le «pape doit avoir devant ses yeux»...

Mais la véritable menace pour l'Église et avec elle pour le bureau de Petrine ne vient pas de telles choses, mais de la dictature mondiale d'idéologies apparemment humanistes. »

Contredire cette dictature, a expliqué Benoît, cela «signifie l'exclusion du consensus de base de la société».

C'est dans ce contexte que Benoît a mentionné l'«Antichrist».

L'Église catholique enseigne qu'avant la glorieuse seconde venue du Christ, l'Église passera par une «épreuve finale» qui «ébranlera la foi de nombreux croyants».

«La persécution qui accompagne son pèlerinage sur terre dévoilera le« mystère de l'iniquité »sous la forme d'une tromperie religieuse offrant aux hommes une solution apparente à leurs problèmes au prix de l'apostasie de la vérité», déclare le Catéchisme de l'Église catholique.

"La tromperie religieuse suprême est celle de l'Antéchrist, un pseudo-messianisme par lequel l'homme se glorifie à la place de Dieu et de son Messie incarné", a-t-il ajouté.

Le vénérable archevêque Fulton J. Sheen dans un sermon radiophonique de 1947 a décrit l'Antéchrist comme un «grand humanitaire» qui «parlera de paix, de prospérité et d'abondance».

«L'antichrist ne sera pas ainsi appelé, sinon il n'aurait pas de disciples. Il ne portera pas de collant rouge, ne vomira pas de soufre, ne portera pas de lance ni n'agitera une queue fléchée comme Méphistophélès à Faust », a déclaré Sheen.

«Notre Seigneur nous dit qu'il sera tellement semblable à lui-même qu'il tromperait même les élus - et certainement aucun diable que nous ayons jamais vu dans les livres d'images ne pourrait tromper même les élus. Comment viendra-t-il dans cette nouvelle ère pour gagner des adeptes de sa religion? »...» (lifesitenews.com).

C'est très clair.


Benoît vient d’identifer l'Antichrist et l'Antichrist personne sur le trône par le fait même.

Il vient de faire la séparation du bon grain de l'ivraie.

Il vient de définir la ligne.

Pour ou contre Mamon.

C'est une étape extrêmement importante car il confirme la fin de sa mission.

Sa protection ne tient plus puisqu’il sait maintenant que cette période du catéchisme a lieu maintenant.

Il ne peut plus rien changer aux écritures.

Aujourd’hui, en ce mois béni de Marie, Benoît XVI est apparu au grand jour comme celui qui retenait le mystère d'iniquité.

Alors, le katéchon n'a plus sa raison d'être car cette parole de Saint-Paul s'applique maintenant:

« Car le mystère d'iniquité s'opère déjà, mais seulement jusqu'à ce que celui qui le retient encore paraisse au grand jour.
Et alors se découvrira l'impie, que le Seigneur (Jésus) exterminera par le souffle de sa bouche, et anéantira par l'éclat de son avènement. »

Benoît XVI, la « labeur du soleil » selon la prophétie des papes de St-Malachie (voir analyse générale), est sur le point de nous quitter, avant le signe du soleil.

Le sort réservé à la « gloire de l’olive », le prince de la fausse paix, la bête de la mer, est l’extermination.

Les deux prophéties concernant Benoît XVI et François vont s’achever.

Et François, pour confirmer sans s'en rendre compte l'importance de ce mois de mai 2020, a célébrer la messe à Sainte-Marthe ce premier mai en présence de la statue de Saint-Joseph (pour lui patron des ouviers, sa manière à lui de célébrer sa foi socialiste; Notre-Dame à Fatima nous avait prévenu).

Pour nous, la Sainte Famille est réunie.

Le 19, chiffre du Jugement (Saint-Joseph, Père adoptif de l'Église, fêté le 19 mars) et uni au chiffre 5, le chiffre de Marie.

Or, rappelons nous..

Du 19 mars 2020 (intronisation de François) au 24 mai il y a les 66 jours... Ce qui signifie la fin de la bête.

02 Mai

LE SIGNE

La comète ATLAS séparée en 4 noyaux étend ses fragments selon la dernière mise à jour de la simulation des trajectoires (NASA).

Le noyau principal demeure et passera à 376 km du soleil le 31 mai, ce qui est très peu face à la gravité du soleil. On peut donc estimer que le noyau principal se désintégrera ou plongera tout simplement dans l’astre du jour, s’il n’entre pas en collision avec la comète SWAN.

Pour les noyaux maintenant qualifiés d’ATLAS B,C, et D par la NASA, les distances seront respectivement de 166052 km, 244861 km, et 404033 km.

C’est donc la preuve que le champs d’expansion d’ATLAS est vaste, et qui d’un côté augmente la probabilité d’une rencontre avec la comète SWAN.

Il faut envisager la possibilité d’Éjections de Masse Coronaires (CME) venant du soleil en cette Pentecôte car même si les spécialistes confirment qu’il n’y a aucun lien entre la fin d’une comète plongeant dans le soleil et les CME, les dernières comètes à le faire ont généré de l’activité solaire de ce côté. Surtout que SWAN devrait résister à une collision partielle et qu’il y aura donc plusieurs noyaux venant des deux comètes autour du soleil.

Voici la dernière photo de la comète SWAN (NASA).

Les astronomes sont déjà étonnés par la longueur de la queue que vous pouvez observer sur la photo, ce qui est un signe que la comète SWAN est pleine de gaz, surtout de l’hydrogène.

Alors, autre que la danse du soleil, que peut on anticiper comme signe ?

Il faut se rappeler que la femme avec les deux pieds sur la lune dans l’Apocalypse entourée par le soleil (représentée par Notre-Dame de Guadelupe) voile effectivement le soleil.

Pour avoir une idée de l’ampleur  que peut représenter la collision de deux corps célestes (juste le fait d’avoir deux comètes en même temps allant au soleil est déjà un signe exceptionnel), il faut se rappeler la rencontre de la comète Shoemaker-Levy 9 et de la planète Jupiter.

C’était  le 16 juillet 1994 en la fête de Notre-Dame du Mont Carmel.

Selon les déclarations glanées ici et là par les scientifiques de la NASA ce fut « un appel au réveil pour l'humanité » (NASA : histoire complète avec vidéos).

Pourquoi ?

Parce qu’il s’agissait de la « de la première collision de deux corps du système solaire jamais observée, et les effets des impacts de la comète sur l'atmosphère de Jupiter ont été tout simplement spectaculaires et au-delà des attentes », a déclaré la NASA.

Ce fut tellement fort que l’anneau rouge de Jupiter a fait une rotation de 2 degrés après l’impact.

Si la comète avait frappé la Terre à la place, elle aurait pu créer une catastrophe atmosphérique mondiale, un peu comme l'événement d'impact qui a anéanti les dinosaures il y a 65 millions d'années.

C’était un grand réveil. Un avertissement aux humanistes de la maison commune  que la survie de la planète ne tenait qu’à un fil.

« La comète qui a battu Jupiter et secoué le Congrès...
Après que Shoemaker – Levy 9 a fait des ravages sur la plus grande planète du système solaire en 1994, pendant un rare moment sur la Terre, la politique n'était pas paroissiale, mais astronomique. Son héritage politique et scientifique brille encore aujourd'hui… » (scientificamerican.com).

Cet impact a créé une tache noire de plus de 12,000 km de diamètre, et il est estimé que l’énergie relâchée équivalait à environ 6,000,000 mégatonnes de TNT (c’est 600 fois le montant de l’arsenal nucléaire mondial).

À comparer à la bombe H la plus puissante de l’histoire de 50 MT, c’est immense.

La peur est la mère de la prudence...

D’où la panique qui s’en ait suivi pour le lancement de plusieurs programmes d’observation d’objets célestes nuisibles par la suite.

Ce qui n’existait pas auparavant.

Revenons aux deux comètes qui nous intéressent.

Pour avoir un signe vu de toute l’humanité, il faut une collision.

Et en comparant les images de la référence de la NASA ci-haut, on peut voir que l’éclair de la comète frappant Jupiter est immense.

Assez pour aveugler ou faire apparaître un deuxième soleil comme dans la prophétie de Nostradamus.

Car rappelons le, le signe doit être visible de jour.

Et Jupiter n’est qu’une planète gazeuse.

Alors, qu’elle serait la réaction entre les deux comètes?

Surtout que c’est le premier voyage de SWAN vers le soleil selon les experts Elle est donc pleine d’hydrogène.

C’est ce que la Vierge Marie a prédit aux enfants de Garabandal en 1962.

« On verra dans le ciel comme deux étoiles qui entreront en collision dans un vacarme épouvantable et beaucoup de lumière, mais elles ne tomberont pas. L’humanité sera effrayée. »

C’est peut-être ce que Marie-Julie Jahenny a prédit ici :

« Mon peuple, Mon peuple, Mon peuple, tes yeux vont voir le commencement de l’heure épouvantable, quand le froment en herbe ne sera pas au troisième nœud de sa croissance.
Au moment où Mon peuple n’aura plus qu’à s’armer de Foi et l'espérance, encore en la saison dure, pendant quatre heures - de midi à quatre heures en France - en des jours durs encore, le soleil aura comme un voilement de deuil ; Il sera obscurci, sans lumière.
Jamais personne sur la terre ne pourrait croire aux noirceurs de ces ténèbres. La terre n’aura plus rien. L’œil sera voilé, sans qu’il puisse voir le moindre objet.
Mon peuple, ce sera le commencement des châtiments de Ma Justice. C’est le soleil qui annoncera ces douleurs : le ciel qui pleurera, sans pouvoir se consoler, parce que ce sera l’entrée du temps où les âmes se perdront, l’entrée, en un mot de l’épouvantable malheur. Mon peuple, cette obscurité couvrira la Bretagne l’espace de quatre heures, mais il n’y aura pas de mal... une petite frayeur simplement. Vous n'aurez pas peur ? » (5 octobre 1882).

Mais cela ressemble plus aux trois jours des ténèbres qu’à un avertissement.

C’est l’après si on se fit aux phases du miracle du soleil à Fatima décortiquées dans les analyses précédentes.

Avril 2020

29 Avril

AVANT LE SIGNE

L’image de la comète ATLAS observée par le télescope Hubble le 23 avril dernier a révélé qu’il n’y avait pas que quatre noyaux mais environ 30 morceaux éparpillés (NASA).

Qu’en penser?

Tout dépend de la grosseur des fragments.

Les chances de voir une collision potentielle avec la comète SWAN sont diminuées si ATLAS ne devient que poussières filants vers le soleil.

Par contre, 30 gros fragments viennent de multiplier par 30 la possibilité d’un tel événement.

De plus, on peut voir sur l’image que des débris sont à la traîne, et que le champs de collision potentiel s’est considérablement élargi.

La comète ATLAS gardent tout de même 4 importants noyaux.

Mais déjà, de voir ce phénomène juste avant la rencontre potentiel avec la comète SWAN est en un sens… exceptionnel.

Les voies du Seigneur sont impénétrables dit-on…

C’est un événement tout de même très rare...

« ..."C'est vraiment excitant - à la fois parce que de tels événements sont super cool à regarder et parce qu'ils ne se produisent pas très souvent. La plupart des comètes qui se fragmentent sont trop faibles pour être vues. Les événements à une telle échelle ne se produisent qu'une ou deux fois par décennie",..» (source NASA ci-haut)

Avec la possibilité de ce signe extraordinaire dans le ciel le 24 mai donc, nous pouvons avancer un scénario plausible par rapport aux prophéties de l’église de Jean XXIII.

Sans en connaître les dates exactes, nous pouvons anticiper les échéances, car pour avoir un signe le 24 mai, certaines conditions doivent être remplies :

Benoît XVI est le katéchon, le protecteur qui retient le Ciel par sa prière.

Et Saint-Paul (2 Thes. 2,8) annonce effectivement la fin du mystère d’iniquité, c’est à dire François...

« … le mystère d'iniquité s'opère déjà, mais seulement jusqu'à ce que celui qui le retient encore paraisse au grand jour. Et alors se découvrira l'impie, que le Seigneur (Jésus) exterminera par le souffle de sa bouche, et anéantira par l'éclat de son avènement… »

Un signe le 24 mai annonce que la protection n’est plus, ou sur le point d’être retirée.

Nous pouvons anticiper le décès de Benoît XVI, et même peut-être avant le 13 mai, pour les 103 ans de Fatima, car c’est la règle du + 3 années pour la validation (voir analyses précédentes).

Le tombeau de Benoît XVI est déjà prêt depuis longtemps à la basilique Saint-Pierre.

Les funérailles auraient lieu sans foule étant donné le coronavirus, dans la basilique comme lors du Triduum Pascal, l’autel à l’entrée de la porte.

Or, la tombe de Jean-Paul II est située à la droite de la porte, dans la chapelle de Saint-Sébastien.

Ce sera le début du triomphe de Marie annoncé dans la prophétie de Jean XXIII, le signal, l’appel à la chute des deux Babylone, Vatican et Nations-Unies, de la destruction du ciment par la Terre.

Selon la prophétie concernant François, liée à la centurie des deux soleils de Nostradamus, ce dernier devra fuir (changer de terroir), ou cela veut tout simplement dire, décéder.

Ce serait cette période de 7 jours allant du 24 mai au 31 mai,

Il n’y aurait pas de tombeau de libre pour lui à la basilique Saint-Pierre.

Il n’est plus pape, et cela vient de lui, il a renoncé au titre de Vicaire du Christ.

Il ne serait pas surprenant qu’il ait demandé à être enterré en Argentine. Pas de foule. Pas de funérailles étant donné le coronavirus.

« Ton règne sera grand (dans le sens de la destruction finale de l’Église) et bref. Père, il sera bref mais il te mènera loin, dans la lointaine terre où tu es né et où tu seras enseveli.A Rome ils ne voudront pas te donner. »

Il peut s’agir aussi d’un règne « bref » APRÈS le décès de Benoît XVI. Qui sait?

Nous serons au courant des faits bientôt.

Pour François, Saint-Jean avait déjà spécifié son destin (Apocalypse14 ) :

« Ecris encore à l'ange de l’Église de Laodicée : Voici ce que dit l'Amen, le Témoin fidèle et véritable, le Principe de la création de Dieu :
Je connais tes œuvres : tu n'es ni froid ni chaud. Plût à Dieu que tu fusses froid ou chaud ! Aussi, parce que tu es tiède et que tu n'es ni froid ni chaud, je vais te vomir de ma bouche. »

Selon la vision de Pie X, François «fui» Rome sur les cadavres de ses prêtres : c’est l’apostasie générale (Jean dans l’Apocalypse à l’église de Sardes spécifie « Je connais tes œuvres : tu as la réputation d'être vivant, mais tu es mort. ». C’est aussi la parabole du figuier stérile : les prêtres à la moelle pourrie de l’intérieur.), et/ou une vision sans  prêtre présent aux funérailles alors qu’habituellement, c’est bondé sur la place Saint-Pierre (voir par rapport aux funérailles Jean-Paul II par exemple).

Il sera seul comme dans les célébrations du Triduum Pascal où il était seul sur le parvis de la basilique.

Étant donné le contexte du coronavirus, il n’y aurait pas de conclave.

Le Vatican s’est soumis à la république italienne.

Mais l’intérim doit être assuré,

Ce qui reviendrait fort probablement au dauphin de François, le cardinal Secrétaire d’État, Pietro Parolin, celui venant « des brumes » comme le spécifie Jean XXIII.

Après le signe de la Vierge, toujours dans ce contexte du coronavirus, il y aura cette paix prophétisée, le silence d’une demi-heure de l’Apocalypse à l’ouverture du 7ème sceau, après l'assassinat du père venant des brumes (voir prophétie concernant Jean XXIII).

Dans cette « longue paix relative » depuis l’éclosion du coronavirus (elle pourrait être aussi courte que 14 jours par exemple), on oublie les guerres, on oublie la pandémie, car c'est le choc de la Pentecôte.

Mais la réalité des deux Babylone rattrappe l'humanité avec sa pandémie au bout du temps de paix.

Les tensions avec l’Iran sont toujours présentes.

Il n’y a jamais eu autant de nations réunies autour de la Syrie en même temps : Russie, Turquie, Iran, États-Unis, Israël, France, Grande-Bretagne, etc.

Tout près de Meddigo, en Israël.

Parolin devra empêché une guerre. Il ira rencontrer le « grand frère à la croix renversée sans les lis » et ne reviendra pas vivant.

Toujours pas de conclave dû au contexte du coronavirus. Plus de Père, les frères veulent tous être Père confirme Jean XXIII, donc signe de confusion.

La « longue paix relative » en a effet fait oublié le grand frère crucifié renversé sans les lis.

Et tout bascule...

27 Avril

L'ARCHE MARIE PARTIE V

LA PENTECÔTE

En l’honneur de Notre Sainte Mère, la Vierge Marie.

Que ce 5ème mois qui lui est consacré soit celui où l’Esprit de son Fils nous inonde de sa lumière.

Ouvre les yeux. Réveille toi. C’est l'heure.

La comète ATLAS est maintenant divisée en 4 noyaux (vue au télescope Hubble – spaceweather.com), ce qui augmente la probabilité d’une collision avec la comète SWAN.

Comme plusieurs l’anticipent, un signe d’une durée de 7 jours du 24 au 31 mai nous amène à la Pentecôte, soit le  50ème jour après la résurrection, le chiffre du jubilé, de la remise des dettes et des fautes selon la tradition dans l’ancien testament, le chiffre qui suit évidement la limite du diable, le 49.

Allons-nous assister à la résurrection des deux témoins?

Car il peut effectivement s’agir d’une période de réveil, du « grand réveil ».

Si le signe dans le ciel peut-être expliqué par la science, et ce serait le cas n’en doutons pas, pour Malachi Martin il s’agit de la preuve de l’existence de Dieu.

Ce constat ne peut venir que de deux faits :

Premièrement, tout comme le miracle du soleil en octobre 1917, les justes verraient dans le ciel la Sainte-Famille, suivit de Notre-Dame du Rosaire, Notre-Dame des Sept Douleurs, et de Notre-Dame du Carmel, et seraient donc confortés dans leur foi.

L’autre possibilité est l’expérience d’un mini jugement donné par le Père dans toute sa miséricorde, comme temps de pénitence, pour changer de voie et sauver ainsi son âme.

Ce serait la Pentecôte pour tous.

Ainsi ceux qui ont cultivé leur foi inébranlable seront encore plus convaincus, les tièdes auront la chance de faire grandir leur foi pour le petit peu de temps qui leur reste, et les athées et les apostats retourneront à leur vie normale post-coronavirus sous la tutelle des deux Babylone.

Il se peut que cela soit la résurrection des deux témoins de l’Apocalypse, la résurrection de la loi et les prophètes, les deux candélabres, les deux oliviers, qui se mettront à prophétiser tout comme les apôtres l’ont fait il y a deux milles ans.

Ce serait là le signe de la Vierge, comme l’a spécifié le père Malachi Martin.

Celle qui a fait descendre les langues de feu du Saint-Esprit sur les apôtres à la Pentecôte.

Ce que leur avait anoncé NSJC :

« Un jour qu'il était à table avec eux, il leur recommanda de ne pas s'éloigner de Jérusalem, mais d'attendre ce que le Père avait promis, " ce que, leur dit-il, vous avez appris de ma bouche ; car Jean a baptisé dans l'eau, mais vous, sous peu de jours, vous serez baptisés dans l'Esprit-Saint. "
Eux donc, étant réunis, lui demandèrent : " Seigneur, le temps est-il venu où vous rétablirez le royaume d'Israël ? "
Il leur répondit : " Ce n'est pas à vous de connaître les temps ni les moments que le Père a fixés de sa propre autorité.
Mais lorsque le Saint-Esprit descendra sur vous, vous serez revêtus de force et vous me rendrez témoignage à Jérusalem, dans toute la Judée, dans la Samarie, et jusqu'aux extrémités de la terre. » (Actes des apôtres 1,8).

C’est bien ce qui est dans les prophéties politiques de Jean XXIII : contrairement à ce que nous pensions, fautes d’autres indices, le « Grand Éclair à l’Orient » n’est peut-être pas une  explosion terrestre quelconque dû à une guerre.

Le signe pourrait venir des deux comètes, ATLAS (divisée maintenant en 4 noyaux) et SWAN (très compacte) qui se rencontrent.

« Vous n'entendrez pas le tonnerre, lui aussi sera imprévu. »

Qui sait maintenant que deux comètes se dirigent l’une sur l’autre?

À moins d’une surprise, ce ne sera pas dans les médias, trop occupé par la pandémie.

C’est peut-être même voulu.

Donc, aucun indice : « vous n’entendrez pas le tonnerre. »

Or, on sait que le tonnerre annonce l’éclair.

Et, selon les dernières nouvelles, le dictateur Nord Coréen est décédé.

Serait-ce l’une des deux conditions reliées à la prophétie?

« ... Ceci arrivera quand en Orient sera mort un chef... »

Cette perspective est aussi reliée au signe de la Vierge… À une nouvelle Pentecôte.

« Mais aussi de grandes processions et la Vierge Heureuse descendra sur terre. Vous ne la verrez pas dans la grotte, mais dans un cœur qui revivra. Depuis les ténèbres, elle apportera la parole que tous comprendront. » (fin de la prophétie « Grand Éclair en Orient »).

Dans la prophétie de l'Église finale, Jean XXIII spécifie bien que « tous parleront la même langue ».

Or, après la Pentecôte, tous les gens de toutes les régions d'Israël comprenaient leur langue.

Le signe de la Vierge, c’est aussi la prophétie politique la « Foudre en Plein Jour ».

Ce que nous avons décrit dans la partie IV du signe de la Vierge Marie est un phénomène qui doit absolument avoir lieu le « jour » pour être visible par toute la terre, soit de suivre le soleil, qui se lève à l’Orient!

Lors de la Pentecôte, les apôtres, « après avoir entendu un bruit étonnant, virent apparaître des langues de feu qui se posèrent sur chacun d'eux. »

Et la Pentecôte, ce n’est pas uniquement un événement du passé.

Pierre, le premier a prophétisé après cette extraordinaire illumination et d'annoncer l'éventuel 3 jours des ténèbres avant le retour glorieux de NSJC :

« Alors Pierre, se présentant avec les Onze, éleva la voix et leur dit : " Juifs (note : aujourd’hui : chrétiens), et vous tous qui séjournez à Jérusalem (aujourd’hui Rome, qui domine Babylone : la terre), sachez bien ceci, et prêtez l'oreille à mes paroles :

Ces hommes ne sont pas ivres, comme vous le supposez, car c'est la troisième heure du jour (note : indice de la résurrection des deux témoins après trois jours).

Ce que vous voyez, c'est ce qui a été annoncé par le prophète Joël :

" Dans les derniers jours, dit le Seigneur, je répandrai de mon Esprit sur toute chair, et vos fils ainsi que vos filles prophétiseront, et vos jeunes gens auront des visions, et vos vieillards des songes.

Oui, dans ces jours-là, je répandrai de mon Esprit sur mes serviteurs et sur mes servantes, et ils prophétiseront.

Et je ferai paraître des prodiges en haut dans le ciel, et des miracles en bas sur la terre : du sang, du feu, et des tourbillons de fumée ; le soleil se changera en ténèbres, et la lune en sang, avant que vienne le jour du Seigneur, le jour grand et glorieux.

Alors quiconque invoquera le nom du Seigneur sera sauvé. »

22 Avril

L’ARCHE MARIE Partie IV

LE SIGNE DE LA VIERGE : LA CROIX ET L'ARC-EN-CIEL.

Le pape renouvelle ses vœux humanistes à la mère terre en ce jubilé de la 50ème journée mondiale de la terre, dans la pure lignée de « Laudato Si » :

«Nous avons péché contre la terre, contre notre prochain, et en définitive contre le Créateur, le Père bon qui fournit ce qu’il faut pour chacun et qui veut que nous vivions ensemble en communion et prospérité». «Dieu pardonne toujours, nous les hommes nous pardonnons parfois, mais la Terre ne pardonne jamais»...

«En ce temps pascal de renouveau, engageons-nous à aimer et apprécier le magnifique don de la terre, notre maison commune, et à prendre soin de tous les membres de la famille humaine. Comme frères et sœurs que nous sommes, supplions ensemble notre Père céleste : “Envoie-sur nous ton Esprit et renouvelle la face de la terre”» (vaticannews.va).

Le péché envers le Père passe par le péché écologique qu’il veut instituer.

De la pure doctrine luciférienne.

Le péché est de ne pas reconnaître le Christ comme Notre Sauveur, d’avoir sombré dans l’apostasie.

Le seul chemin vers le Père, c'est le Christ.

Ses prières sont vaines. Le Ciel est sourd à cause de nos péchés répétés à ne pas agir selon les commandements du Christ.

Il n'a pas compris. Il continue d'envoûter. Il ne comprends pas que c'est le temps de la parabole du figuier aux rameaux tendres.

L'important est de sauver des âmes. Demander pénitence.

Il n'y plus de temps pour vivre en « communion et prospérité ».

Nous avons eu 2000 ans, une génération pour le faire, et c'est terminer.

Babylone est vouée à la mort. La grande prostituée également.

Nous ne pouvons remettre le soin de notre âme entres les mains de cet imposteur, la bête de la mer.

Cette imposture est tellement flagrante que l’humanité dopé à la peur du coronavirus ni voie rien.

Cette semaine, la bête de la terre a convoqué par vidéoconférence les six responsables des religions en France ainsi que les responsables des grandes loges maçonniques.

Et oui, les loges maçonniques sont parties intégrantes de la religion à leurs yeux.

Nous savons laquelle.

Puis la bête de la terre et la bête de la mer ont discuté pour démontrer leurs convergences.

C’est normal puisque ils servent le même maître et qu'ils atteignent le but final.

« Solliciter, dès lors, un entretien avec le pape, explique-t-on encore à Paris, était naturel puisqu’il s’agit de travailler à une mobilisation internationale où la «voix» de chaque «grande conscience» planétaire compte, en vue de «créer des convergences». (lefigaro.fr)

Tout a été démontré.

Nous n’avons plus besoin de preuves.

La coupe déborde.

Le Ciel est sur le point de nous rappeler à l’ordre.

Par le Signe de la Vierge au mois de mai.

Si nous avions besoin d’une autre preuve que nous y sommes vraiment, la promesse de la Sainte Vierge faite aux enfants à Fatima en 1917 est réalisée :

« Au Portugal se conservera toujours le dogme de la Foi ».

Or, dans cette crise du coronavirus qui est moindre au Portugal, les messes et les sacrements pourront reprendre le 1 mai.

Retour au Signe de la Vierge :

On l’a spécifié dans l’analyse précédente.

Le signe de la Vierge doit être vu par toute la Terre et de tous les peuples.

Or, la position des deux comètes (ATLAS divisée et SWAN) à proximité du Soleil le 24 mai permet à toutes les nations de voir ce signe, si c’est l’intention de la Sainte Vierge.

Ce n’est pas qu’un signe céleste confiné qu’à l’hémisphère sud ou nord.

Or, l’humanité est dans une situation idéale pour observer et voir un signe car toute activité est arrêté à cause du confinement dû au coronavirus.

Et le moment est aussi opportun face à l’affront de Satan, où le sacrifice et l’oblation sont arrêtés.

Et on le répète, une telle situation ne se représentera plus.

Pensez-vous que la clique judéo-maçonnique va permettre le retour des messes catholiques?

Si c’est le cas, ce sera la messe œcuménique de commémoration à la sauce François, qu’il devrait bientôt annoncer.

Le signe est donc très significatif en cette période critique.

Les deux comètes seront dans la constellation de Persée, un peu à gauche et en haut du soleil, presque en conjonction.

Pour que le signe soit visible par tous, il n’y a qu’une condition possible : il doit obligatoirement être associé au soleil, visible par tous, de jour, et le suivre.

Mais des comètes visibles de jour, c’est pratiquement impossible.

Revenons donc aux deux comètes présentes.

Personne (ou on le nous cache) n’a vu jusqu’à maintenant que les trajectoires d’ATLAS et de SWAN s’entrecroisent.

C’est l’histoire de l’idiot qui regarde le doigt au lieu de la lune lorsque le sage la pointe parce que les astronomes ne regardent que l’une ou l’autre des comètes.

La probabilité d’une telle rencontre est pratiquement nulle, surtout que cela se passera à proximité du soleil.

Mais quand « Dieu a d’autres plans » c’est possible.

Voici les images superposées des deux comètes avec les trajectoires anticipées par la NASA.

La date : le 21 mai 2020, jour de l’Ascension de Notre Seigneur.

ATLAS vient d’en haut et descend vers le soleil et SWAN passe à droite de la planète mars et se dirige vers le haut. Les deux points sont très proches.




Or, deux corps célestes qui s’approchent un de l’autre sont influencés par la gravité. Donc, un attire l’autre.

Et, ATLAS étant divisée en trois parties depuis le 11 avril ne fait qu’augmenter la probabilité d’une collision potentielle.

Quelle est la conséquence d’une collision, même partielle entres deux comètes (phénomène jamais observé par l’astronomie moderne)?

Selon les physiciens, une collision frontale aurait comme conséquence que « les comètes se désintégreraient très probablement en morceaux plus petits. De plus, la grande quantité d'énergie thermique produite par la collision peut être capable de vaporiser la glace en eau gazeuse, et peut également produire des particules de verre à partir de la fusion des particules de roche.»

Mais même s’il n’y pas collision, l’expansion des gaz et des particules de deux comètes s’approchant du soleil au même point peut produire un voile spatial.

On a tous déjà assisté ou presque au phénomène de parhélie par une froide nuit d’hiver.

Le soleil se réfracte au travers les nuages hauts nommés cirrus et deux autres soleils apparaissent alors de chaque côté (image).

Or, un soleil au centre et deux autres de chaque côtés donnent…

Une croix.

On connaît tous ce voile nuageux formé de cristaux de glace.

La collision des deux comètes auraient donc pour effet de solidifier des particules de verre qui pourraient produire le même phénomène de réfraction de la lumière solaire, comme à travers un prisme.

Regardez de nouveau l’image ci-haut et vous verrez que la position de la collision des deux comètes est en ligne directe terre-soleil.

Un voile aurait le même effet que la lumière à travers un prisme: elle est déviée.

Un phénomène de parhélie spatiale est donc du domaine du possible.

Et que se produit-il dans le ciel près un orage lorsque la lumière solaire passe à travers les gouttes d’eau?

Un arc-en-ciel.

Ce qui est du domaine des deux miracles de la danse du soleil expliqués le 21 avril, celui de Fatima en 1917 et celui de Tre Fontana en 1980 (il y a 40 ans cette année, ce qui représente les 40 jours au désert).

On se rappelle qu’à Fatima qu’il était permis de voir le soleil sans avoir mal aux yeux.

C’était un phénomène local.

Ici, nous aurions droit à un phénomène mondial.

Il y a eu trois phases dans le miracle du 13 octobre 1917 à Fatima :

- Apparition des couleurs lors de la « danse du soleil »
- Une pause où « le soleil s’arrêta »
- Puis la chute du soleil à la toute fin.

On peut y associer facilement les phases suivantes par rapport aux prophéties :

- Avertissement ou action de grâces de la Sainte Vierge
- Pause de réflexion, de conversion, temps de paix court ou long
- Suivi de la purification par le feu.

Or, le nombre de jours entre le 10 avril (Vendredi Saint) et le 13 mai 2020 (103 ème anniversaire de Fatima, où la bête de la mer qui singe le 5 de Marie par le 5ème anniversaire de « Laudato Si » sera contré en ce mois de Marie) est de 33 jours!

Le chiffre parfait.

Le chiffre du Christ.

Et, le nombre de jours entre les 7 ans complétés de la bête de la mer, soit le 19 mars 2020, jour de la fête de Saint-Joseph, et la fête de Notre-Dame Auxiliatrice le 24 mai,  est de 66 jours!

Le chiffre de l'homme.

Le 19 est le chiffre du jugement.

Et, le 13 mars 2013 au soir, l'annonce de la traditionnelle fumée blanche est apparue à 19 h 6, confirmée peu après par la sonnerie, à toute volée, des six cloches de la basilique : encore le 19, chiffre du Jugement et le 6 de l'homme.

Ce signe de la Sainte Vierge si on se fit à la centurie  (II-41) de Nostradamus, et ce signe durerait 7 jours.

Centurie II-41:

La grand estoille par sept jours bruslera,
Nuée fera deux soleils apparoir,
Le gros mastin toute nuict hurlera,
Quand grand pontife changera de terroir.

Et ce phénomène marque la fuite de François.

La centurie II-15 précise aussi le moment :

«Un peu devant monarque trucidé ?
Castor Pollux en nef, astre crinite :
L'erain public par terre & mer vuidé,
Pise, Ast, Ferrare, Turin terre interdicte.»

Un peu avant que le pape soit assassiné (Pietro Parolin), l'église auras deux frères (deux papes), alors on verra l'étoile chevelue (la comète), par terre et mer (les armées ennemies) pilleront l'argent public, les villes italiennes de Pise, Ast, Ferrare et Turin seront terre interdite (exactement ce qui arrive par le coronavirus en Italie et par l’hécatombe économique en train de se produire).

Confirmons avec les dires de Malachi Martin (voir introduction de l’analyse du 21 avril) :

- Ce sera un choc pour tout le monde : effectivement le monde n’en a que pour le coronavirus en ce moment. Ce sera toute une surprise.

- Cela montrera que Dieu existe: la probabilité qu’un tel événement arrive est pratiquement nulle. Seul l’intervention de la Main Divine le permet. Les chrétiens reconnaîtront le signe. Les tièdes hésiteront. Les athées et les apostats idolatront la science.

- Lorsqu'un jour de printemps : en effet, c’est au printemps.

- Vous verrez dans le ciel un signe, comme une aurore boréale : comme un voile de différentes couleurs, comme celles de l’arc-en-ciel… Ou une croix dans le ciel.

- Tout commencera…

Tout concorde.

Tout pointe sur le 24 mai.

Un signe qui rappelle la parabole du figuier où Jésus nous affirme que la vision des rameaux tendres nous confirme que l’été est proche.

Or, du dimanche des rameaux 2020 au 24 mai il y a 49 jours.

Le chiffre de la limite du diable.

Ce qui confirme que lorsque nous verrons ce signe dans le ciel nous saurons que le Fils de l'homme est proche, qu'il est à la porte.

21 Avril

L’ARCHE MARIE Partie III

LE SIGNE DE LA VIERGE

Malachi Martin qui avait lu le troisième secret de Fatima déclara en 1997 que « le grand facteur déclenchant aura lieu dans le ciel. Observez toujours le ciel. Le signe de la Vierge apparaîtra dans le ciel, et c'est pour bientôt. D'ici les 10 ou 20 prochaines années. Ce sera un choc pour tout le monde. Cela montrera que Dieu existe. Lorsqu'un jour de printemps, vous verrez dans le ciel un signe, comme une aurore boréale, tout commencera... »

Malachi Martin précisa aussi à propos du 3ème secret : « Cela concerne la perte de la foi au sommet de L’Église, et que les cardinaux s’opposeront aux cardinaux, les évêques aux évêques ». Le prêtre jésuite ajoutera : « Et le dernier pape sera sous le contrôle de Satan. »

Quel était le signe de la Vierge?

Il s’agit bien-sûr du miracle du Soleil à Fatima!

Seul miracle où la date a été donnée d’avance.

Soeur Lucie :

« Ce fut alors que l'on put regarder parfaitement le soleil, rapporte le père de Jacinthe et de François, sans en être incommodé. On aurait dit qu'il s'éteignait et se rallumait, tantôt d'une manière, tantôt d'une autre. Il lançait des faisceaux de lumière, de-ci, de-là, et peignait tout de différentes couleurs : les arbres, les gens, le sol, l'air. Mais la grande preuve du miracle était que le soleil ne faisait pas mal aux yeux. »

Donc, ce signe  qualifié de « choc pour tout le monde » doit être obligatoirement :

- Un événement que nous pouvons relier au miracle du Soleil du 13 octobre 1917.
- Vu partout sur la Terre.
- Reconnu par tous comme un phénomène anormal et non pas seulement par les chrétiens réveillés.

Il y a déjà eu une autre occasion où ce phénomène s’est reproduit localement et qui a son importance.

Ce fut le 12 avril 1980, en commémoration du 33e anniversaire de l'apparition (le 12 avril 1947) de Tre Fontane qui ont mené au dogme de l’Assomption par Pie XII.

Plusieurs milliers de personnes réunies aux Tre Fontane assistèrent à un "miracle du soleil". L'astre se serait mis en mouvement et le ciel serait devenu bleu, violet puis rose.

Les deux phénomènes ont un point en commun : des couleurs comme l’arc-en-ciel.

L’arc-en-ciel c’est l’alliance entre Dieu et son peuple après le déluge.

L’arc-en-ciel, c’est le pont marial de 5 mois, le chiffre de la Sainte Vierge, de Notre-Dame du Rosaire le 13 mai 1917 à Notre-Dame du Mont Carmel le 13 octobre 1917.

Il y a 153 jours du 13 mai au 13 octobre et on le sait (voir analyses précédentes), c’est le chiffre des justes, du jubilés des jubilés de Saint-Augustin.

Or, il y a aussi 153 jours du 19 mars, Fête de Saint-Joseph, au 19 août, date où la l’apparition a été décalée à Fatima parce qu’on avait enfermé les enfants le 13 août.

Et il est clair qu’à la fin des temps, la Sainte Famille a toute son importance car Joseph est Père de l'Église.

C’est ce qu’ont vu les enfants le 13 octobre 1917.

L’arc-en-ciel, c’est le signe bafoué par Satan, maître de l'inversion.

Il s’en est approprié comme signe des droits LGBT et maintenant comme signe « humaniste » comme victoire future de la science face au coronavirus.

L’autre signe en relation avec le soleil est tiré de l’Apocalypse : « puis il parut dans le ciel un grand signe : une femme revêtue du soleil, la lune sous ses pieds, et une couronne de douze étoiles sur sa tête. »

Et on sait grâce à la Tilma que c’est la Vierge de Guadelupe avec comme fond les constellations du Ciel.

C’est le signe qui marque le début de l’action de la Sainte Vierge donné par Jean XXIII dans la fin de la prophétie de l’église concernant Benoît XVI : « éclatera le règne béni de la Très Sainte Vierge ».

Il y a deux parties au miracle d’octobre 1917, entrecoupées d'une pause du soleil : la danse du soleil avec ses couleurs et le soleil qui fonce sur la Terre, la Babylone, la purification par le feu.

Pendant que la foule voyait le miracle, les trois voyants eux assistaient aux apparitions de la divine famille. Et la dame en blanc révéla qu’elle était Notre-Dame du Rosaire, puis est apparu comme Notre-Dame des Sept Douleurs et finalement comme Notre-Dame du Mont Carmel.

Remarquez bien.

Ceux en état de grâce voient la Sainte Famille et les trois Notre-Dame source de Salut. Cela représente le petit reste d’aujourd’hui, les 144000 élus de l’Apocalypse.

Le reste de la foule, signifiant aujourd'hui Babylone athée et apostate, ne voit que la danse du soleil avant la chute de ce dernier.

Signe d’espoir pour les uns, signe de purification pour les autres.

Aucun doute, c’est le signe de la Vierge et c’est elle qui nous donne les armes pour lutter en cette fin des temps : le rosaire (ND du Rosaire) et le scapulaire (ND de Carmel), tout en confirmant qu’elle est « corédemptrice » (ND Sept Douleurs).

Or, le 13 octobre 2020 ce sera le 103ème anniversaire du miracle du Soleil, et on le sait (voir analyses précédentes), c’est l’aboutissement par le chiffre de la trinité, le 3, additionné aux 100 ans donnés par le Christ (vision de Léon XIII) depuis 1917.

Or, curieusement, la 103ème devise des prophéties des papes de Saint-Malachi est « Ignis Ardens », ou Feu Ardent, est celle du pape Saint Pie X, gardien de la tradition, symbole des deux témoins que sont la loi et les prophètes des derniers temps.

Elle est précédée de la 102ème devise « Lumen in Caelo » (Lumière dans le Ciel) attribuée à…. Léon XIII qui nous a laissé la prière de Saint-Michel Archange pour cette occasion spécifique.

Deux figures dominantes des derniers temps : les deux témoins et la prière de Saint-Michel Archange, contre l’église conciliaire sous la domination de Satan.

Et Lumière dans le Ciel, c’est ce que nous risquons de voir en cette 102ème année de Fatima qui se termine le 13 mai 2020.

Nous savons par les analyses précédentes que la comète ATLAS  approche de sa position la plus près du Soleil en cette fin mai 2020 (voir analyses précédentes).

Or, nous apprenions le 11 avril que le noyau s’est brisé en trois morceaux (spaceweather.com)

Ce qui anéantissait tout signe de comète visible à l’œil nu, un signe de la Vierge pour la fin mai.

Or, est apparu encore une fois cette année, une comète inattendue, la comète SWAN. (spaceweather.com), et ce...

Le 11 avril!

Le 11 avril c’était le Samedi Saint, la journée de Jésus au tombeau, signe d’espérance pour les chrétiens qui veillent et qui attendent sa résurrection.

Le 11 par contre, on le sait, c’est le chiffre par excellence des franc-maçons.

Eux, ils le croient mort (les messes sont arrêtées) tout comme les grand prêtres du temps le croyaient.

Mais c’est la journée où « Jésus est descendu aux enfers » .

« Il a rejoint les morts dans leur demeure, le Shéol, comme dit la Bible en hébreu, et qu’Il a ouvert les portes du ciel à ceux qui L’avaient précédé. » (fr.aleteia.org)

Les deux comètes nous donnent un premier signe, foi et espérance: pendant que l’une va à perte, l’autre est signe de résurrection.

Cette comète Swan est plus petite, dans l’hémisphère sud pour l’instant, et ne sera probablement pas visible à l’œil nu.

Mais comme signe potentiel, il ne faut pas négliger le Ciel…

Et tout a commencé le Samedi Saint.

20 Avril

L’ARCHE MARIE partie II

AUXILIUM CHRISTIANORUM

Alors que plusieurs trouvent incroyable la situation actuelle dû au confinement mondial, les chrétiens ne peuvent trouver meilleur exemple de la justesse des paroles du Christ, « des aveugles qui conduisent les aveugles ».

La science et l’humanisme via la miséricorde infinie sont rois. C’est ce que confirme François.

Tout comme il va à sa perte, ainsi vont les adorateurs de l’humanisme et les apostats.

Mais il y a toujours cette période de paix, qui donne la chance d’ouvrir les yeux et de se convertir.

C’est le temps de Marie, l’Immaculée, Reine du Monde.

Le mois de mai, c’est le mois de Marie, le 5ème mois, le chiffre de Marie.

Et c’est le temps d’« Auxilium Christianorum » : la fête oubliée… ou presque. (blog.catholicapedia.net et voir analyses précédentes).

Le culte de Notre-Dame Auxiliatrice!

C'est sur l'écriteau de la colonne «Marie» du songe des trois blancheurs de Don Bosco, songe de la dernière bataille de la fin des temps.

Ce titre donné à la Sainte Vierge Marie fut officiellement introduit dans l’Église par Pie V, après la célèbre victoire de Lépante en 1571, lorsque qu'il ordonna d'inscrire dans la litanie Lorétienne l'invocation "Maria Auxilium Christianorum, ora pro nobis".

«Pie VII en institua la fête, le jour de sa rentrée à Rome, après les années de captivité à Savone puis à Fontainebleau. C'était le 24 mai 1814, la fête fut donc fixée au 24 mai.»

Confirmé par l’Esprit-Saint  à Maria Valtorta : « "c’est maintenant l’heure de Marie". Elle est le prophète des derniers temps, l’arche mystique posée entre le Ciel et la terre qui, telle celle de Noé, rassemble et abrite ceux qui seront sauvés parce qu’ils l’auront voulu.

C’est l’ultime recours.

Ce temps de Marie est aussi appelé la « Vierge des derniers temps. »

Or, le 24 mai, François avait l’intention de souligner le 5ème anniversaire de « Laudato Si », son ode à l’humanisme écologique, la maison commune, tout en se rendant dans le diocèse d’Acerra, au centre de la « Terre des feux et des poisons ».

C’est un intéressant jeu de mots dans le contexte où l’Antéchrist est sur le trône de Saint-Pierre.

Le 5 appartient à Marie, et non à l’humanisme divinisé.

Elle ne laissera pas faire.

« De même qu'il n'est permis à personne de négliger ses devoirs envers Dieu, et que le plus grand de tous les devoirs est d'embrasser d'esprit et de cœur la religion, non pas celle que chacun préfère, mais celle que Dieu a prescrite et que des preuves certaines et indubitables établissent comme la seule vraie entre toutes, ainsi les sociétés politiques ne peuvent sans crime se conduire comme si Dieu n'existait en aucune manière, ou se passer de la religion comme étrangère et inutile, ou en admettre une indifféremment selon leur bon plaisir » (Léon XIII… Un pilier encore valide en ces derniers temps!).

Le temps aidant, une partie du chapitre 17 de l’Apocalypse devient plus claire (voir analyses précédentes)… Il faut se rappeler que Saint-Jean a la vision avec Benoît XVI comme étant celui qui subsiste, François n’étant pas élu :

« C'est ici qu'il faut un esprit doué de sagesse. — Les sept têtes sont sept montagnes, sur lesquelles la femme (l’église prostituée) est assise. Ce sont aussi sept rois (papes depuis le traité de Latran où le Vatican est devenu un royaume temporel) :

Les cinq premiers sont tombés, l'un subsiste (Benoît XVI), l'autre n'est pas encore venu (François), et quand il sera venu, il doit demeurer peu de temps (règne court confirmé par Jean XXIII).

Et la bête qui était et qui n'est plus, en est elle-même un huitième et elle est des sept, et elle s'en va à la perdition. (Ici, dans le contexte où François a laissé tombé le titre de Vicaire du Christ, qu’il se vante du titre d’évêque de Rome et qu’il prépare le nouvel œcuménisme, c’est bien le pape qui était mais n’est plus, qui en lui-même est un huitième dans la suite des papes, et il s’en va à la perdition).

Et les dix cornes que tu as vues sont dix rois qui n'ont pas encore reçu la royauté, mais qui recevront un pouvoir de roi pour une heure avec la bête. (donc les dix rois (ici le G7 + la Russie et les deux européens. Voir, G7 sur wikipedia) Ils ont le plein pouvoir avec François, maintenant que tout est paralysé à cause du coronavirus).

Ceux-ci ont un seul et même dessein, et ils mettent au service de la bête leur puissance et leur autorité.

Ils feront la guerre à l'Agneau, mais l'Agneau les vaincra, parce qu'il est Seigneur des seigneurs et Roi des rois, et ceux qui l'accompagnent sont les appelés, les élus et les fidèles. " (Effectivement, les messes ont été interdites. Ils font la guerre à l’Agneau. C’est une guerre des âmes).

Et il me dit : " Les eaux que tu as vues, au lieu où la prostituée est assise, ce sont des peuples, des foules, des nations et des langues.

Et les dix cornes que tu as vues sur la bête haïront elles mêmes la prostituée ; elles la rendront désolée et nue ; elles mangeront ses chairs et la consumeront par le feu.(C’est bien ce que la clique judéo-maçonnique a fait. Il ne reste presque plus rien de l’Église pré-Vatican II… Au niveau temporel évidemment).

Car Dieu leur a mis au cœur d'exécuter son dessein, et de donner leur royauté à la bête, jusqu'à ce que les paroles de Dieu soient accomplies.

Et la femme que tu as vue, c'est la grande cité qui a la royauté sur les rois de la terre. (Rome… Et elle sera détruite)" »

La bête est l’humanisme religieux  personnifié par François.

Rappelons le regretté Serge Monast : « le pouvoir religieux est au-dessus du politique. »

Évidemment puisqu’il s’agît ici de la survie des âmes.

Les 10 derniers rois, en fait presque tous les dirigeants politiques sont allés voir le pape pour se faire reconnaître.

La quatrième bête (voir analyses précédentes), le 666, est la partie financière de ce système humaniste sur laquelle toute la religion matérialiste repose.

Elle a été blessée à mort en 2008. Mais elle fut ressuscitée par les 10 rois avec la monnaie de singe.

Mais la fin approche. Babylone la grande est sur le point de tomber car l’économie post-coronavirus est morte.

Ce que confirme l’Apocalypse chapitre 18… « … Les rois de la terre qui se sont livrés avec elle à l'impudicité et au luxe, pleureront et se lamenteront sur son sort, quand ils verront la fumée de son embrasement. Se tenant à distance, par crainte de ses tourments, ils diront : " Malheur ! Malheur ! O grande ville, Babylone, ô puissante cité, en une heure est venu ton jugement ! " Et les marchands de la terre pleurent et sont dans le deuil à son sujet, parce que personne n'achète plus leur cargaison… »

Babylone Nations-Unies et Babylone Vatican sont mortes.

La 6ème période de la bête est sur le point de se terminer.

Le 7ème sceau est à nos portes.

Le signe de Jean XXIII qui le confirmera est l’assassinat du successeur par intérim de François (voir analyses précédentes).

La prophétie politique de Jean XXIII #26 « Lumière de la Lumière », très difficile à décrypter, y fait référence.

« Amie rotonde défait tes cheveux (comète en vue donc)...

La chevelure, ou coma (mot latin de même sens), forme un halo à peu près sphérique entourant le noyau. Des gaz sont libérées, de l’eau qui forme ensuite des cristaux de glace, de l’hydrogène.

« Je dis vos prénoms, parce que vous ne pourrez vous cacher quand vous serez appelés.

Wang, Levi, Rustov, Sherman, Tour.

Léonard sera au-dessus de vous, maître et frère, maître et esclave.

Unis donc avant le passage noir.

Gog et Magog se disputent son nom, mais ils connaissent tous deux le passage, aujourd'hui que le Calvaire est retourné.

Mais la croix n'est pas prête… »

Ce sont les membres permanents du comité de sécurité des Nations-Unies.

La Chine, la France, la Russie, la Grande-Bretagne, les États-Unis…

Et Léonard (leo, hard en anglais) est le lion rigide, au-dessus d'eux.

Le religieux est au-dessus du politque...

C'est François.

Et ces derniers tout comme François s’activent intensément dernièrement. Évidemment puisque la tension est à son comble en Mer de Chine et en Syrie.

«Lors d’un échange téléphonique, le président russe et son homologue français ont discuté de « la possibilité de l’organisation d’une réunion de travail, en vidéoconférence, des dirigeants des pays membres permanents du Conseil de Sécurité de l’ONU », a indiqué le Kremlin dans un communiqué, sans donner plus de détails. » (lapresse.ca)

Toutes ces nations sont présentes en Syrie, prêtes pour l’acte final (la Terre frisera le massacre selon Jean XXIII), lorsque le calvaire sera retourné (c’est à dire lorsque le grand frère à la croix renversée sans les lis aura son heure; mais la croix n’est pas prête… À cause du temps de paix qui sera accordé).

« Quand les mille ans seront accomplis, Satan sera relâché de sa prison. Et il sortira pour séduire les nations qui sont aux quatre coins de la terre, Gog et Magog, afin de les rassembler pour la guerre » (Saint-jean, Apocalypse).

Le passage, il est symbolisé par la Pâques de l’Antéchrist, et il approche.

C’est ce que nous avons démontré dans les dernières analyses.

Rappelons la Pâques de 1949. Pour la première fois, un pape, Pie XII parle en français à la télévision et déclare :

« On a dit au monde que la religion était à son déclin, et à l’aide de cette nouvelle merveille (la télévision) le monde verra le grandiose triomphe de l’Eucharistie et de Marie.
On lui a dit que la papauté était morte ou mourante, et il verra les foules déborder de toutes parts de l’immense Place Saint Pierre pour recevoir la bénédiction du pape et pour entendre sa parole.
On lui a dit que l’Église ne comptait plus, et il la verra, persécutée ou glorieuse, mais partout vivante !
On lui a dit qu’il ne trouverait de secours, de bonté, de dévouement, que par une philanthropie que ni la foi ou la charité divine n’inspirent et n’animent, et il verra les disciples du Christ vouer leurs vies jusqu’à la mort incluse au service des malades, des vieillards, des prisonniers, des lépreux, sous tous les climats, partout où le corps souffre, où le cœur gémit, où l’âme est en détresse.
Alors le monde détrompé lèvera les yeux, contemplera dans le ravissement, la lumière toute offrande maternelle de l'Église  brillante sur lui, rendant gloire à Dieu! »

ET la prophétie politique #26 se termine par une prière à la Vierge Marie, une prière d’espoir pour le petit reste que Jean XXIII nomme « les vieux », c'est à dire ceux qui ont encore à coeur la religion catholique traditionnelle.

Marie c’est notre arche, celle qui mène au Christ, seul voie pour le Royaume des Cieux.

Et il est grand temps d’entrer dans l’Arche Marie.

Noé a eu l’avertissement 7 jours avant la montée des eaux.

Le mois de mai, le mois de Marie, est marqué par le 103ème anniversaire de Fatima le 13, et par la fête de Notre-Dame Auxiliatrice, Secours des Chrétiens le 24.

Cela fera 449 ans depuis la victoire de Lépante. Le 49, c'est la limite du diable.

Après ces dates, nous entrons en territoire inconnu.

Le délai pour la Salut des âmes demandé par Marie à son Fils, Celle qui retient son bras, expirera lorsqu’Il jugera que la coupe remplie par la grande « apostasie » déborde.

Ainsi, le Jour du Jugement, personne ne le connaît.

19 Avril

L’ARCHE MARIE partie I

QUASIMODO

C’est le dimanche de Quasimodo, cette partie de l’évangile où Jésus donne la preuve de sa résurrection à Thomas.

Cette journée ouvre le temps où Marie, la femme de l’Apocalypse, donnera la preuve à François qu’elle est bien « corédemptrice » et Reine du Monde.

Il est fini le temps où ce dernier dénigrait la Sainte Vierge.

Car il est là le mystère d’iniquité. C’est un séducteur à l’image de son véritable maître.

La Sainte Vierge à Fatima nous avait averti des erreurs répandues par le communisme.

Aujourd’hui, ce n’est plus un pape que nous avons, mais un marxiste au pouvoir, qui mêle miséricorde infinie et socialisme intentionnellement pour encourager la perte des âmes.

« La dérive marxisante du Pontificat » (benoit-et-moi.fr)

Son homélie en ce dimanche de Quasimodo en est une autre preuve. Il réussit le tour de force de dévier cet épisode de l’évangile vers la miséricorde infinie, tout en utilisant un langage endort l'âme au lieu de la réveiller!

(Rappelons le. C’est sa manière de dire que le péché n’existe plus. C’est le moitié possible de la semaine de Daniel au jubilé de 2016. Ce fut l’élimination de la nécessité du sacrifice du Christ sur la croix). (vaticannews.va)

Tout prêtre qui sait reconnaître les signes, encore plus « l’évêque de Rome », devrait dans la situation actuelle demander pénitence et récitation du rosaire comme le demande Marie dans ses apparitions, comme le demandait Pie XII durant la guerre.

Il est plus que temps d’affirmer qu’il n’y a qu’une seule voie, celle de Christ, et de crier haut et fort comme Thomas : « Mon Seigneur, et mon Dieu ! »

Mais non.

Avec François, tout est en surface.

À l’intérieur, c’est une autre vérité.

Nous l’avons vu aussi à maintes reprises avec le Saint-Sacrement. Il ne s’agenouille pas devant lui mais il baise les pieds de visiteurs au Vatican.

Il béni avec le Saint-Sacrement le 27 mars sur le parvis de la basilique Saint-Pierre, mais au fond, il n’y croit pas. D’où le miracle de Buenos Aires qui lui a été démontré en 1996, où l’hostie s’est fait chair.

C’est le même constat avec notre Sainte Mère.

Elle a droit a des qualificatifs mielleux et superficiels lors des fêtes mariales, mais la vérité, c’est qu’il la dénigre.

En décembre dernier, il la traite de métisse lors de la fête de Notre-Dame de Guadelupe. Il refuse par la même occasion le titre de «corédemptrice».

Roberto Mattei (benoit-et-moi.fr) : « Mais le pape François, au lieu d’alimenter la dévotion et l’adoration envers Marie, veut la dépouiller Elle aussi des titres qui lui appartiennent. Le 12 décembre 2019, le Pape avait liquidé la possibilité de nouveaux dogmes mariaux, comme celui sur Marie corédemptrice, en déclarant : « quand on nous dit qu’il faut déclarer tel ou tel dogme, ou faire tel ou tel autre, ne nous perdons pas dans des bêtises ». Et le 3 avril 2020, il a répété que la Sainte Vierge « n’a pas demandé à être une quasi-rédemptrice, ou un corédemptrice. Non. Il n’y a qu’un seul rédempteur. Seulement disciple et mère »…

Saint Alphonse Marie de Liguori affirme: « Quand une opinion honore de quelque manière la Sainte Vierge, elle a un certain fondement et n’a rien de contraire ni à la foi ni aux décrets de l’Église, ni à la vérité, ne pas l’accepter et la contredire parce que l’opinion contraire pourrait aussi être vraie dénote une faible dévotion à la Mère de Dieu. Je ne veux pas être compté parmi ces esprits peu dévots, et je ne voudrais pas non plus que mon lecteur le soit, mais je voudrais plutôt être compté parmi ceux qui croient pleinement et fermement tout ce que, sans erreur, on peut croire des grandeurs de Marie » »

Les Grandeurs de Marie seront révélés. Notre-Dame de Guadelupe, c’est la femme de l’Apocalypse avec les deux pieds sur la lune.

Son heure approche. Son peuple est en marche.

Son mois béni approche.

L’Arche Marie n’a jamais été si importante vu la situation.

16 avril

L’ACTE FINAL

« Oh ! ne Nous demandez pas qui est « l'ennemi » ni sous quel aspect il se présente. Il se trouve partout et au milieu de tous : il sait être violent et rusé. Ces derniers siècles, il a tenté de réaliser la désagrégation intellectuelle, morale, sociale de l'unité dans l'organisme mystérieux du Christ. Il a voulu la nature sans la grâce ; la raison sans la foi ; la liberté sans l'autorité ; parfois l'autorité sans la liberté. C'est un « ennemi » devenu de plus en plus concret, avec une absence de scrupules qui surprend encore : le Christ oui, l'Eglise non ! Puis : Dieu oui, le Christ non ! Finalement le cri impie : Dieu est mort ; et même : Dieu n'a jamais existé. Et voici, maintenant, la tentative d'édifier la structure du monde sur des bases que Nous n'hésitons pas à indiquer comme principales responsables de la menace qui pèse sur l'humanité : une économie sans Dieu, un droit sans Dieu, une politique sans Dieu. L'« ennemi » s'est employé et s'emploie à ce que le Christ soit un étranger dans les universités, dans l'école, dans la famille, dans l'administration de la justice, dans l'activité législative, dans les assises des nations, là où se décide la paix ou la guerre».

(Pie XII dans son discours aux hommes de l’Action catholique d’Italie le 12 octobre 1952. )

La fuite de François ou son décès futur est accompagnée de « Mikail et Jean descendront sur terre.» selon Jean XXIII, ce qui confirme que c’est l’ouverture du 7ème sceau par l’assassinat probable du cardinal Pietro Parolin (ouverture confirmée par Jean XXIII dans la prophétie le concernant).

C’est donc avec empressement que l’antéchrist système pousse son plan en avant dans le contexte actuel créé de toutes pièces pour faire accepter la marque de la bête via un vaccin couplé d’un marqueur électronique.

Bill Gates et sa femme poussent la promotion d’un tel vaccin depuis le début de la crise. « «Vous verrez des corps dans les rues de l'Afrique», prévient Melinda Gates et affirme que le vaccin est la «solution ultime» contre le COVID-19 ».

Les géants que sont Google et Apple développent une application dudit téléphone intelligent pour suivre à la trace les « infectés ».

On rappelle que les deux royaumes visés par la destruction par Satan est le Vatican, personnifié par la bête de la mer, et la fille aînée de l’Église, la France, personnifiée par la bête de la Terre.

Et la bête de la Terre a parlé le 13 avril.

Emmanuel Macron, a confirmé dans son discours le « plan de l’après 11 mai ».

Il y aura donc un « avant » et un « après » à partir de la date butoir du 11 mai 2020.

Le 11, ce n’est pas un hasard.

C’est le chiffre préféré des kabbalistes (11 septembre 2001 par exemple).

Et la bête de la mer, François, confirme aussi qu’il y aura un « après »...

« Cardinal Turkson: penser aux conséquences du Covid-19 pour ne pas être pris au dépourvu.

Le préfet du dicastère pour Service du développement humain intégral souligne l'engagement en faveur des "Églises locales pour sauver des vies et aider les plus pauvres". Cinq groupes de travail sont créés pour faire face à l'urgence et réfléchir à l'avenir...

Quel est le mandat qui a été donné à votre dicastère et quelle est votre mission?

Le Saint-Père nous a confié deux missions principales. La première concerne l’instant présent: la nécessité d'offrir rapidement, avec sollicitude, avec immédiateté le signe concret du soutien du Saint-Père et de l'Église. Nous devons offrir notre contribution, en ce moment d'urgence. Il s'agit de mettre en place des actions de soutien aux Églises locales pour sauver des vies, pour aider les plus pauvres. La seconde concerne l'après, le futur, il s'agit du changement. Le Pape est convaincu que nous sommes dans une période de changement, et il réfléchit à ce qui se passera après l'urgence, aux conséquences économiques et sociales de la pandémie, ce à quoi nous devrons faire face, et surtout à la manière dont l'Eglise pourra se proposer comme référence sûre dans un monde perdu face à un événement inattendu. Contribuer à l'élaboration d'une réflexion sur ce sujet est notre deuxième mission. Le Pape nous a demandé du concret et de la créativité, une approche scientifique et de l'imagination, une pensée universelle et la capacité de comprendre les besoins locaux. » (vaticannews.va)

Et c’est quoi la mission du dicastère pour Service du développement humain intégral formé par François en août 2017?

« Foi et développement intégral : L'Église entend proposer un humanisme à la hauteur du plan d'amour de Dieu dans l'histoire, un humanisme intégral et solidaire capable de créer un nouvel ordre social, économique et politique, fondé sur la dignité et la liberté de chaque personne humaine, à réaliser dans la paix, la justice et la solidarité. »

Il n’y aura pas de retour à la normale.

C’est clair.

La clique judéo-maçonnique joue son tout pour le tout.

Mais Dieu avait d’autres plans...

14 avril

La Pâques de l’Antéchrist partie II

LA CONFIRMATION PAR UN JUBILÉ DES JUBILÉS

Le jubilé des jubilés est de 153 ans nous confirme Saint-Augustin (voir analyses précédentes, et ne pas oublier la notion de l’addition du 3, comme ici 150+3).

Logiquement, Satan devrait avoir lui aussi ses jubilés qui précèdent puisqu’il singe.

Vérifions si le jubilé des jubilés de 2020 est précédé par 3 jubilés de 50 ans.

Retour en arrière:

A) 2020 - 53 années donnent 1967.

Deux faits importants ont eu lieu en cette année (caractères gras et surlignement de notre part):

1. Octobre 1967, c’est la contre offensive des cardinaux conservateurs contre le nouvel Ordo Missae.

« Le Bref examen critique du nouvel Ordo Missae constitue une « lettre à Paul VI » émise par les cardinaux Ottaviani et Bacci au sujet du nouveau Missel, de la Messe dite « Paul VI ».

Ce texte intervient dans un contexte lié au Synode épiscopal convoqué à Rome au mois d'octobre 1967 qui a dû prononcer un jugement sur la célébration expérimentale d'une messe dite « messe normative ». Ils prennent alors la tête d'un courant opposé au sein du collège des cardinaux à une réforme liturgique allant selon eux, trop loin.

Ceux-ci, en prolégomènes considèrent qu'alors même que beaucoup de nouveautés apparaissent dans le nouvel Ordo Missae, tant de choses éternelles sont reléguées à une place subsidiaire. Ils ajoutent que les modifications liturgiques entraînent une confusion telle, que des vérités toujours crues par les fidèles pourraient s'avérer remises en causes. Ils illustrent cette opinion par l'altération voire l'abolition des gestes sacrés par lesquels s'exprime spontanément la foi en la présence réelle. A savoir : les génuflexions (dont le nombre est réduite à trois pour le prêtre et à une seule pour l'assemblée) ; la purification des doigts du prêtre au-dessus du calice et dans le calice ; la préservation de tout contact profane pour les doigts du prêtre après la consécration ; la consécration de l'autel mobile...etc.

Ils poursuivent leurs interrogations quant à la place de l'autel au sein même de la messe et même des églises. En effet, la comparaison du numéro 262 et du numéro 276 exclut selon eux que le Saint Sacrement puisse être conservé sur l'autel majeur ce qui aura pour conséquence de créer une dichotomie entre la Présence du Souverain Prêtre dans le prêtre célébrant et cette même Présence réalisée sacramentellement. Auparavant, c'était une unique présence.

Désormais, il est recommandé de conserver le Saint Sacrement à part, dans un "lieu favorable à la dévotion privée des fidèles", comme s'il s'agissait d'une relique. Ainsi, ce qui attirera immédiatement le regard quand on entrera dans une église ne sera plus le Tabernacle mais "une table dépouillée et nue". Ils considèrent alors, que cela oppose piété liturgique et piété privée, "on dresse autel contre autel".
Par ailleurs, ils s'interrogent sur l'intérêt d'une telle modification de la liturgie alors même que la Constitution apostolique Missale romanum affirme que l'ancien Missel promulgué par Saint Pie V fut pendant quatre siècles la norme de la célébration du Sacrifice et à l'origine d'"innombrables saints" qui y trouvèrent une nourriture spirituelle surabondante de leur piété envers Dieu. » (fr.wikipedia.org)

La cible est donc l'abolition du sacrifice. C'est évident.

D'où la très sévère prophétie de Jean XXIII concernant Paul VI.

2. En 1965, le pape Paul VI, lors du discours inaugural de la dernière session du concile Vatican II le 14 septembre, fait part de son intention d’établir le synode des évêques.

Les synodes, c’est ce qu’utilise François pour faire l’acte final de destruction.

Il a d’ailleurs changé les règles le 15 septembre 2018 (jour anniversaire du motu proprio) en signant la constitution apostolique Episcopalis communio réformant le Synode des évêques. Cette constitution renforce les enquêtes préliminaires avant le Synode et la rédaction du document final.

C’est ce qu’il a utilisé comme argument lors de la publication de l’exhortation post-synodale en février lorsque Benoît XVI et le cardinal Sarah lui ont coupé les deux jambes : François a confirmé que ce qui était important était le document final et non l’exhortation.

Or, la première Assemblée Générale Ordinaire du synode des évêques a eu lieu…

Du 29 septembre au 29 octobre 1967.

Évidemment, les franc-maçons notoires du Vatican étaient à l'honneur:

Le président était S. Em. le Card. Jean Villot, Préfet de la  Congrégation pour le Clergé (Vatican), un franc-maçon reconnu.

Un des secrétaires spéciaux  était R. P. Annibale Bugnini, C.M., Sous-secrétaire de la Congrégation pour les Rites (Vatican), autre franc-maçon reconnu qui était le conseiller de Paul VI pour la rédaction du nouveau Missel.

Or, la réunion préparatoire au synode a eu lieu en avril 1967.

Il y a donc 53 ans ce mois-ci.

Ce qui rejoint la partie I hier de l'analyse: nous entrons dans un point tournant à partir du 19 avril, et ce, jusqu'au 19 octobre.

« On pensait présenter au Synode les rites de la messe, de l'office divin, du baptême des enfants, du mariage, des ordres sacrés, les lectures de la messe, les préfaces et le calendrier. » (référence : La réforme de la Liturgie, Annibale Bugnini).

Donc, tout était sur la table, messe et sacrements compris.

1967 additionné de 3 donne 1970 où les décisions de 1967 devaient être implantées.

Ce qui fut.

Paul VI a achevé la révision de la messe du rite romain en promulguant en 1969 et en publiant en 1970 une nouvelle édition du Missale Romanum.

L’enjeu on le sait, c’est la messe, l’élimination de la présence réelle, le dernier obstacle.

Ce sont donc des jubilés de destruction de l’Église pour Satan auxquels nous assistons.

Après avoir détruit ou réduit à presque rien l'église temporelle (ce qui sera achevé en 1929 par le traité de Latran), le spirituel devait logiquement suivre.

Remontons donc plus loin.

B) 1967 - 50 ans donne 1917.

C'est l'année où les dernières monarchies qui avaient un quelconque lien avec l'Église sont éliminées suite à la grande guerre.

En octobre 1917 a lieu la révolution bolchévique dont la Sainte Vierge a averti 3 mois à l’avance sans l’apparition à Fatima 13 juillet.

La consolidation du pouvoir et du territoire russe est établit en 1920. Trois années plus tard.

Le socialisme. C’est le poison dont est enivré François.

Plus besoin de preuves à ce sujet.

Remontons encore de 50 années.

C) 1917 - 50 ans donne 1867.

1867, c’est Garibaldi qui commence l’attaque contre le Vatican.

3 ans plus tard, 1870, c’est la défaite.

D) De retour en 2020.

Logiquement selon notre analyse, ce qui a été décidé en 2017 doit être implanté en 2020.

Que s'est-il passé en 2017?

C'est l'année où François est déclaré hérétique par un groupe de théologiens mais il passe outre et ne dit rien.

C’est la tourmente Amoris Laetitia. C’est une confirmation théologique de l’abomination sur le trône, mais vu le degré d’apostasie atteint, cela ne fait pas beaucoup de vagues.

Mais, une fois tombé dans une erreur contraire à la foi, le pape cesse d’être le chef de l’Église : il s’exclut lui-même de la hiérarchie et de ce fait, tout catholique peut à la rigueur, l’accuser.

Octobre 2017, c’est aussi l’annonce de la dernière salve, le synode amazonien.

C’est donc durant ce mois que la bête de la mer ne s'est plus gênée pour agir en cachette, où nous avons commencer à voir le vrai visage de François.

Et, François célèbre un jubilé relié aux désirs de Satan:

« Le Pape aspire à une pleine communion avec les méthodistes. Le Pape François a salué les progrès accomplis dans l’œcuménisme, en recevant ce matin une délégation du Conseil méthodiste mondial. Le Pape François a reçu ce jeudi matin, 19 octobre 2017, une délégation du Conseil méthodiste mondial, à l’occasion du 50e anniversaire du début du dialogue théologique méthodiste-catholique

 «Nous avons appris à nous reconnaître frères et sœurs en Christ ; maintenant, il est temps de se préparer, avec une espérance humble et un engagement concret, vers cette reconnaissance pleine qui aura lieu, avec l’aide de Dieu, quand nous pourrons finalement nous retrouver ensemble dans la fraction du Pain». Le Pape a conclu en récitant le Notre Père avec la délégation méthodiste.»

Dans la fraction du pain : voilà le point important, le but à atteindre.

L’enjeu, c’est la messe.

Le pape ne s'agenouille pas devant le Saint-Sacrement. Il ne croit pas à la Présence Réelle et le Seigneur le lui a rappelé par le miracle de 1996.

C'est d'ailleurs à la Fête-Dieu suivant en juin 2018 qu'il célèbre la solennité du Corps et du Sang du Christ, dérogeant ainsi, comme Paul VI l’avait fait il y a tout juste 50 ans, à la tradition qui veut la procession papale de la Fête-Dieu se déroule sur la via Merulana, entre les basiliques Saint-Jean du Latran et Sainte-Marie-Majeure.

Un jubilé qui relie l'alpha et l'omega de Vatican II comme énoncé hier (lien entre les anneaux du pêcheur).

Nous somme donc bien à la fin d'un parcours. Vatican II... « Tout est accompli » pour parodier le Christ.

2020, c’est l’arrêt de la messe et des sacrements au Vatican, et dans le monde à cause du coronavirus.

C'est l'implantation dans le concret de son désir de 2017.

L’avenir nous dira si cette interdiction perdure...

La fraction du pain à la sauce protestante n'est qu'un repas commémoratif.

Elle nie la présence réelle et réduit le Christ à un simple prophète, acceptable par la clique judéo-maçonnique, qui peut alors introduire son messie et devenir le seul peuple prêtre dans la nouvelle religion universelle.

12 avril

La Pâques de l’Antéchrist partie I

LE CHIFFRE PARFAIT

Jésus nous l’a désigné : 33 ans.

Âge de la mort et de la résurrection du Christ.

Durée de la papauté du dernier pape qui a essayé d’enrayer le plan judéo-maçonnique, Jean-Paul I, 33 jours.

Nous savons que François a été obligé par la providence divine de repousser son pacte sur l’éducation du 14 mai à la période allant du 11 au 18 octobre 2020.

Nous savons déjà qu’une équipe avait déjà rédigé le pacte à l’insu de tous en février.

C’est un tournant majeur pour les deux Babylone, car ce pacte représente la clé pour former la jeune génération à la nouvelle religion de Satan.

Or, on sait que pour Jésus, ce qu’il y a de plus précieux, ce sont les enfants (laissez venir à moi les petits enfants… etc.) car leur âme n’a pas été pervertie par la fange de Babylone.

Mais Dieu avait d’autres plan.

Rappel  des derniers temps par Anne Catherine Emmerich :

« Je vis une forte opposition entre deux papes … et je vis combien funestes seraient les conséquences de cette fausse Église… »

« Quand le royaume de l’Antéchrist sera proche, apparaîtra une fausse religion qui ira contre l’unité de Dieu et de son Église. Cela entraînera le plus grand schisme jamais vu dans le monde. »

«  Je vis qu’un certain nombre de pasteurs acceptaient des idées dangereuses pour l’Église. Ils construisaient une grande Église, étrange et extravagante. N’importe qui était accepté, afin de s’y joindre et d’avoir les mêmes droits: les évangélistes, les catholiques, les sectes de toutes croyances. Ce devait être la nouvelle église … mais Dieu avait d’autres projets … »

Mais Dieu avait d’autres projets.

C’est bien ce qu’Il nous a indiqué en repoussant tout ce que prévoyait François ce printemps : pacte sur l’éducation et la rencontre économique qui elle, est reportée en novembre.

« La rencontre prévue ce mois-ci à Assise sur « L’Économie de (saint?) François » a été reportée au mois de novembre pour cause de coronavirus. Mais le péril pour l’Église reste bien présent, … cette rencontre d’Assise va enfin faire comprendre à certains que plus que d’Europe (où il y a maintenant une monnaie commune) nous devrions quitter l’Unesco-ONU avant qu’ils ne nous imposent une foi commune » (benoit-et-moi.fr).

Et l'économie selon François, c'est le monde financier de l'après virus que l'élite judéo-maçonnique prépare. Il en est une des têtes. Il conditionne l'humanité à la naissance du nouveau système, par l'éducation et par l'économie.

Voici ce qu'il avait à dire aujourd'hui. Ce ne peut pas être plus humaniste et socialiste comme discours. De la pure doctrine de Lucifer:

« Face à cette crise sanitaire planétaire, et alors que plusieurs pays du monde commencent à réfléchir à l’après-virus, le Pape parle du modèle économico-financier actuel qui n’est pas selon lui adéquat. Il espère ainsi que les gouvernements comprennent que «les paradigmes technocratiques (que l’État ou les marchés financiers soient au cœur du système) ne sont pas suffisants pour faire face à cette crise ou aux autres grands problèmes de l'humanité». Pour le Pape, «aujourd'hui plus que jamais, les personnes, les communautés, les peuples doivent être au centre, unis pour guérir, pour soigner, pour partager»…

Le Pape conclut sa lettre avec cette piste de réflexion pour l’avenir : «Il est peut-être temps de réfléchir à un salaire universel qui reconnaisse et donne de la dignité aux tâches nobles et irremplaçables que vous accomplissez». Un salaire universel qui soit capable de garantir qu’aucun travailleur ne soit privé de droits, «une réalité si humaine et si chrétienne». » (vaticannews.va)

Le pacte sur l’éducation lui  est prévue pour la signature autour du 18 octobre prochain, soit 103 ans après le miracle du Soleil à Fatima.

Mgr Williamson dans cet article, nous révèle aussi un indice intéressant en pointant le doigt sur le krach de 1987, il y a presque 33 ans… (stmarcelinitiative.com).

Le chiffre parfait.

Singé par Satan?

L'ampleur du krach du 19 octobre 1987 a été en partie imputée à la négociation d'actions programmée par ordinateur, qui était alors en pleine émergence dans le milieu boursier américain.

Date donc où la clique judéo-maçonnique via les ordinateurs qui ont pris le dessus par des algorithmes boursiers pour la première fois, soumettant le petit peuple à l’esclavage en les ruinant encore plus à chaque manœuvres suivantes (2000, 2008,2020).

Et si nous en sommes là aujourd’hui, à un peuple réduit à l’esclavage où personne ne peut acheter ni vendre sans la marque de la bête, c’est bien grâce à l’ordinateur, miniaturisé aujourd’hui dans le téléphone intelligent.

Il y 44 ans, ce mois-ci, la bête marquait sa progression avec la vente du premier ordinateur Apple (la pomme; jardin d’Éden). Le « Apple 1 » a été vendu 666,6 dollars.

C’est tout dire.

Aujourd’hui, Apple est le numéro 1 mondial du téléphone intelligent.

Et avec le coronavirus, on veut marquer la population avec un traceur dans le dit téléphone.

Donc, Satan nous pointe sur le 19 octobre 2020.

Peut-on anticiper que Babylone Nations-Unies (système financier, etc.) s’autodétruira le 10 octobre pour ressusciter le 12? . Un autre lundi noir?

Pourquoi cette date?

Parce que la Pâques chrétienne qui a lieu le 12 avril cette année lui sert à marquer l’humiliation et non la victoire. Une Pâques célébrée que par le pape seul à la basilique Saint-Pierre, pointe aux chrétiens du monde le « vide », comme si Dieu les avaient abandonnés, comme s’Il n’existait pas.

Or, le 12 avril additionné de 6 mois, le chiffre de la bête donne le 12 octobre.

Octobre c’est le second mois de Marie et c’est l’affront qu’il fait en la défiant durant le mois du Rosaire. Il sait pertinemment que c’est Elle qui lui écrasera la tête du talon.

« La fête de Notre-Dame du Rosaire, célébrée le 7 octobre, a été instituée par le Pie V en 1573, pour remercier Marie de cette victoire. En 1883, le pape Léon XIII décrétait solennellement que le mois d'octobre de cette année-là serait entièrement consacré à «la Saint Reine du Rosaire». Depuis, le mois d'octobre, durant lequel comme au mois de mai, on prie particulièrement la Vierge, est appelé le mois du Rosaire. »

C’est aussi juste avant le 13 octobre, la dernière apparition de Fatima, et on le rappelle, il y a presque 103 ans.

Puisque l’antéchrist système (Babylone Nations-Unies, la bête de la Terre, une des deux Babylone de Jean XXIII) doit mourir, il doit la faire ressuscité, comme le Christ.

C’est ici qu’entre probablement le nouveau système et la nouvelle monnaie, car les conséquences post-coronavirus ne laisseront pas le choix aux gouvernants.

Ce sera l’apparition de la 4ème tête de l’Apocalypse et de Daniel, avec les 10 rois régnants pour peu de temps.

Et comme preuve tangible de sa résurrection, il fera comme le Christ a fait pour Thomas en lui permettant de mettre son doigt dans les trous de ses mains.

Ce dimanche est nommé « dimanche de Quasimodo » dans la tradition chrétienne catholique.

Cette année, c’est donc le 19 avril.

(C’est aussi la date de l’élection de Benoît XVI en 2005 et on sait qu’il aura 93 ans le 16 avril.)

Additionné de 6 mois, cela donne le 19 octobre, exactement à la date du chiffre parfait de 33 ans après le krach de 1987.

Ce qu’il fait pour Babylone Nations-Unies, il doit absolument le faire pour Babylone Vatican (la bête de la mer).

En même temps.

Effectivement.

Le 6, c’est un chiffre d’homme nous rappelle Saint-Jean. C’est le chiffre de la période de Satan, la grande apostasie, l’humanisme.

C’est ce qui caractérise le Vatican en cette ère apocalyptique.

La période du passage (la Pâques) du 6 (qui appartient à Satan) au 7 (qui appartient à Dieu) nous est indiquée par le prophète Daniel : durée de la bête de 1260 jours soit 42 mois.

42 c’est 6X7… Du 6 vers le 7.

(Note : Il y a 42 jours entre le 9 mars et le 20 avril, depuis que le Vatican a arrêté toute cérémonie et tout sacrement en Italie.)

Et la bête de la mer vient tout juste de nous indiquer qu’elle veut devenir comme  Dieu.

Le pape François s’est mis en priorité au-dessus des titres historiques dans l’annuaire du Vatican 2020 (voir analyses précédentes).

François ne portait pas l’anneau du pêcheur, symbole de la papauté, à son doigt lors de la messe du Vendredi Saint et pour le chemin de croix!

Rappelons que François porte le même modèle que celui que portait le pape Paul VI  et qui représente ainsi Saint Pierre tenant les clefs du Royaume. Celui de Benoît XVI affichait quant à lui l’apôtre et ses filets lors de la pêche miraculeuse dans le lac de Tibériade.

Temps de séparation du bon grain de l’ivraie sous Benoît XVI, alpha et oméga de Vatican II de Paul VI à François. Les clefs de quel royaume vraiment?

Alors que Benoît XVI, le katéchon en action, retient toujours le bras de Jésus.

Sa mission est de sauver le plus d’âmes possibles : son anneau symbolise le jubilé des jubilés des 153 poissons.

Donc François, la bête de la mer veut devenir un 7.

L’élection de François  a eu lieu le 13 mars 2013.

Il fut intronisé le 19 mars 2013.

Cela fait donc 7 ans.

Le 19 mars additionné de 7 mois donne le 19 octobre 2020.

La singerie du triple 7 est sur le point de se terminer.

Ce que nous rappelle Jean XXIII car la durée du pontificat de François pourrait aussi être la nouvelle église de Caïn:

« La fille de Caïn est montée au Nord, pour prêcher. Luxure dans la nouvelle Babylone, pour sept ans. La septième année tombe le septième voile de Salomé, mais il n'existe pas d'empereur, il n'existe pas qui saura lever l'épée et couper le cou de Jean. Le temps est proche. »

Le 7ème voile de Salomé terminera donc le compte à rebours : 7 ans, 7 voiles à enlever.

Tout s’accomplit au 7ème voile.

On a durant 7 ans découvert le vrai visage de François, petit à petit, voile après voile.

Nous sommes aussi mis sur la piste par la révélation des 7 sceaux, 7 trompettes, et 7 coupes de l’Apocalypse : ce n’est qu’à la fin de la sixième période (période de l’Antéchrist), qui se termine par la résurrection des deux témoins au septième sceau qu’a lieu le Jugement.

C'est en lien avec l’épisode de Jéricho avant l’entrée en Terre Promise.

Les hébreux ont fait le tour de la ville 6 jours de suite comme indiqué. Au septième et dernier jour, il ont fait dans le même jour sept tours, mais ce n’est qu’au septième tour que les murailles s’effondrent : 7 tours, 7ème jour, 7ème tour de la septième journée : 777.

Les chrétiens doivent faire preuve de foi et d’espérance pour s'ancrer dans l'Esprit durant les tribulations, jusqu’au dernier 7,

C’est ce que nous rappelle Daniel :« Heureux celui qui attendra et arrivera jusqu'à mille trois cent trente-cinq jours ! »

Parce que Dieu ne laissera François pas aller jusqu’au bout.

Daniel nous rappelle (chap.3,47 relié à l’abomination de la désolation) que les flammes du brasier ne peuvent dépasser 49 coudées.

Quarante-neuf, nous disent les Pères de l’Église, correspond à la limite du diable car c’est 7X7.

Il est donc clair qu’à partir de maintenant, et Benoît XVI et François ne se rendront probablement pas  jusqu’à octobre.

Et si c’est comme l’épisode de Jéricho, c’est durant le 7ème mois que cela se passera, tout juste avant le 19 octobre, à la 7ème trompette.

08 avril

Mercredi Saint via Maria Valtorta... C’est l’avertissement en Matthieu 24… Lorsque vous verrez l’abomination de la désolation…

Et Jésus confirme les 3 jours de ténèbres tels que prédits par Padre Pio et Anne-Marie Taïgi entres autres.

Il nous demande de demeurer éveiller, de sortir de l’esprit de Babylone.

« Il y en aura beaucoup qui seront purifiés, blanchis et éprouvés ; et les méchants feront le mal, et aucun méchant ne comprendra ; mais les intelligents comprendront. » (Daniel, 12,10)

« Rappelez-vous également ceci : craignez plutôt les alliances faciles et les flatteries d'un étranger que ses légions. En effet, tant que vous serez fidèles aux lois de Dieu et de la Patrie, vous vaincrez même si vous êtes encerclés par des armées puissantes, mais quand vous serez corrompus par le poison subtil donné comme un miel enivrant par l'étranger qui a formé des desseins contre vous, Dieu vous abandonnera à cause de vos péchés, et vous serez vaincus et assujettis, sans que votre faux allié livre une bataille sanglante contre vous.  »

Il nous indique clairement qu'il faut demeurer fidèle à la loi et les prophètes, et non pas de succomber au miel enivrant des deux Babylone Vatican et Nations-Unies (et ses dérivés, tel que l’Organisation Mondiale de la Santé présentement).

« Veillez donc car vous ne savez pas à quelle heure viendra votre Seigneur. Pensez de nouveau à ceci : si le chef de famille savait à quelle heure vient le voleur, il veillerait et ne laisserait pas dépouiller sa maison. Veillez donc et priez, en étant toujours préparés à sa venue, sans que vos cœurs tombent dans la torpeur par des abus et des excès de toutes espèces et que vos esprits ne soient pas éloignés et fermés aux choses du Ciel par le soin excessif aux choses de la Terre, et que le lacet de la mort ne vous prenne pas à l'improviste quand vous ne serez pas préparés. Car, rappelez-vous, tous vous devez mourir. Tous les hommes, dès leur naissance, sont destinés à la mort, et c'est une venue particulière du Christ cette mort et le jugement subséquent, qui devra se répéter pour tous les hommes à la venue solennelle du Fils de l'homme. »

« Elle ne passera pas cette génération qui n'a pas voulu de Moi avant que tout cela se produise. Ma parole ne tombera pas. Ce que je dis sera. Le cœur et la pensée des hommes peuvent changer, mais ma parole ne change pas. Le ciel et la terre passeront mais mes paroles ne passeront pas. »

C’est bien ce que nous constatons.

Le mercredi saint c’est la trahison de Judas dans la tradition de l’Église.

C’est le thème qu’a développé François dans sa messe quotidienne à Sainte-Marthe.

À caractère humaniste. Bien-sûr.

La traite humaine et l’amour de l’argent.

Et il nous démontre encore une fois son manque flagrant de profondeur théologique.

Ce pape est un imposteur.

Il faut savoir décoder, avoir les oreilles pour entendre.

« … Le garçon Judas, peut-être bon, avec de bonnes intentions, finit par être un traître au point d'aller au marché pour vendre : "Il est allé voir les chefs des prêtres et leur a dit : "Combien voulez-vous me donner pour que je vous le donne, directement ?” À mon avis, cet homme était complètement fou…

Comment est le mystère de Judas ? Je ne sais pas…

« Oui, cela me réconforte de contempler ce chapiteau de Vézelay (un sculpture représentant le corps de Judas porté par Jésus, ndlr) :

Comment Judas a-t-il fini ? Je ne sais pas…

Malheur à cet homme par lequel le Fils de l'homme est trahi : il vaudrait mieux pour cet homme qu'il ne soit jamais né ! Mais cela signifie-t-il que Judas est en enfer ? Je ne sais pas… » (vaticannews.va)

Et François fini son interlocution en confirmant qu’il était possédé par le diable.

« le diable est entré dans Judas, c'est le diable qui l'a conduit jusqu'ici. Et comment l'histoire s'est-elle terminée ? Le diable est un mauvais payeur, il n'est pas un payeur fiable. Il vous promet tout, vous fait tout voir et, à la fin, il vous laisse seul dans votre désespoir de vous pendre. »

C’est encore le mystère d’iniquité des derniers temps à l’œuvre : le sens de l’ambiguïté pour égarer du droit chemin.

L’utilisation des contradictions. Une arme redoutable.

« Je ne sais pas… » répété à plusieurs reprises suivi du « c’est le diable » parce que cela s’applique à la nouvelle religion humaniste, socialiste, d’égalité et de liberté.

S’applique dans le sens que l’argent est sale et produit des inégalités, donc incarné par le diable, ennemi de l’idéologie de la théologie de la libération.

Il faut avoir la mémoire vive...

François n’a-t-il pas affirmé aussi dans le passé que l’enfer, donc le diable, n’existe pas?

Tout comme le pape noir… « Le père Arturo Sosa, supérieur général des jésuites, a estimé dans la presse italienne que Satan était une « réalité symbolique ». (la-croix.com)

Et juin 2016 où son histoire avec le chapiteau de Vézelay  a commencé?

« Il est extraordinaire - pour un pape - de confondre le diable (au double visage) avec Jésus. C'est arrivé jeudi quand Bergoglio a évoqué de façon erronée un chapiteau de la cathédrale du Vézelay: un "échange de personnes" emblématiques de ce pontificat...

En revanche, le fait de les confondre (Jésus et le diable), et même d'envisager que Judas soit sauvé (sans s'en s'être repenti) donnant à comprendre que même lui n'a pas fini en enfer, est bel et bien de son cru. » (benoit-et-moi.fr)

Le chapiteau de Vézelay. Cela réconforte François…

Or, la référence à Jésus portant le corps de Judas sur ses épaules est en lien direct avec l’évangile apocryphe de Judas.

C’est de la gnose! Et la gnose est une hérisie!
(voir lien benoit-et-moi.fr pour l’explication et la photo du jeune homme imberbe qui n’a rien du Christ!)

Mais qui est le vrai traître? Qui est le Judas qui a trahi l'Église?

Çà. Nous le savons.

De plus, ce jeune homme portant le corps de Judas ne se dirige pas vers le chœur, vers la miséricorde, mais il le transporte hors de la cathédrale, vers les ténèbres.

Mais les ténèbres, cela n’existe pas, non?

Car François a bel et bien aboli le péché durant le jubilé de la miséricorde infini célébrant le jubilé (50 ans) de Vatican II.

Ce jubilé s’est terminé le 20 novembre 2016 en la fête du Christ-Roi, terme qu’il n’ose même pas prononcer.

Quel affront.

À l’audience générale aujourd'hui, le thème était la croix.

Dans la croix, Dieu révèle son vrai visage.

Contemplons la croix du Seigneur, là où se révèle pleinement son amour et son vrai visage : c’est en substance le cœur de la catéchèse délivrée par le Pape François au cours de l’audience générale de ce Mercredi Saint, qui s’est tenue dans la bibliothèque du Palais apostolique… » (vaticannews.va)

Mais qu’est-ce que la croix et qui est le diable pour François?

L’ambiguïté et la contradiction encore à l’œuvre…

4 avril 2017, durant le sermon à Sainte-Marthe…

« Bergoglio va jusqu'à affirmer dans l'église que «Jésus s'est fait diable» et tout le monde fait mine de rien :

« Mais qu'est la croix pour nous? » est la question posée par François. «Oui, elle est le signe des chrétiens, elle est le symbole des chrétiens... «le souvenir de celui qui s'est fait péché, qui s'est fait diable, serpent, pour nous; qui s'est abaissé jusqu'à s'anéantir totalement».» (benoit-et-moi.fr)

Vraiment?

Le maître du mensonge est à l'oeuvre.

Il peut bien porter le titre d' « abomination de la désolation ».

Les chrétiens catholiques ont raisons d'être déçus.

07 avril

Le Mardi Saint via Maria Valtorta…

C’est l’explication du figuier stérile maudit par le Christ et qui s’est desséché... De ces prêtres ou des chrétiens vides de l’intérieur, qui n’ont plus la force et s’agenouillent devant les forces du mal et se conforment en interdisant les messes…

C’est le même constat pour l’humanité avec la grande apostasie.

Signe de mort pour l’église et pour Babylone la Terre.
 
«Elles n’ont plus de moelle, tu l’as dit. Or ce qui vaut d’un arbre peut s’appliquer à une nation ou à une religion : quand il ne reste que l’écorce dure et le feuillage inutile — c’est‑à‑dire la férocité et un aspect extérieur hypocrite —, c’est signe que la mort est là. La moelle, blanche et pleine de sève, correspond à la sainteté, à la spiritualité. L’écorce dure et le feuillage inutile à l’humanité dépourvue de vie spirituelle et de justice. Malheur aux religions qui deviennent humaines parce que leurs prêtres et leurs fidèles n’ont plus l’esprit vital. Malheur aux nations dont les chefs ne sont que férocité et verbosité tapageuse dépourvue d’idées fécondes ! Malheur aux hommes qui n’ont plus de vie spirituelle !

… Comment alors, en si peu de temps, peut arriver tout ce que Lui dit précéder son retour ? Guerres, destructions, esclavage, persécutions, l'Évangile prêché dans le monde entier, désolation et abomination dans la maison de Dieu, et puis des tremblements de terre, des pestes, de faux prophètes, des signes dans le soleil et dans les étoiles... Eh ! il faut des siècles pour faire tout cela !.. »

Comme spécifié hier, le Père a accordé « deux éternités » pour que la génération chrétienne accomplisse ce qu’Israël a refusé d’accomplir.

Les derniers 2000 ans ont été effectivement marqués parce que vient d’affirmer le Christ.

L’Évangile, grâce aux technologies des communications a été prêché par toute la Terre. Nul ne peut ignorer que le Christ est venu sauf les reclus.

L’abomination est sur le trône.

Il ne manque que le signe dans le soleil et dans les étoiles. Signe répété par le miracle du Soleil à Fatima le 13 octobre 1917.

103 ans en octobre 2020.

Il faut toujours attendre le 3, le chiffre de la Trinité.

Nous avons vu dans les analyses passées que la Sainte Vierge utilise aussi le 3 pour avertir.

Ce que Jésus confirme en ce mardi saint via Maria Valtorta :

« Mon Père n'a pas fait de Moi son serviteur seulement pour faire revivre les tribus de Jacob, pour convertir ce qui reste d'Israël : les restes, mais Il m'a donné comme lumière des Nations afin que je sois le "Sauveur" pour toute la Terre. C'est pour cela qu'en ces trente-trois années d'exil du Ciel et du sein du Père, j'ai continué à croître en Grâce et en Sagesse près de Dieu et près des hommes, pour atteindre l'âge parfait, et en ces trois dernières années, après avoir brûlé mon âme et mon esprit au feu de l'amour et l'avoir trempée au froid de la pénitence, j'ai fait "de ma bouche une sorte d'épée tranchante »

Mgr Vigano confirme en ce mardi l’abomination de la désolation sur le trône, surtout de l’annuaire du Vatican et sur la bénédiction « Urbi et Orbi » du 27 mars, ainsi que sur la Sainte Vierge Marie.

Ce qui confirme que de rabaisser Jésus et Marie à de simples humains laisse la voie libre à la nouvelle religion humaniste.

C’est exactement ce que confirme Pierre Hillard dans son dernier volume.

La clique judéo-maçonnique peut très bien accepter l’idée de Jésus comme étant un prophète; Et non le Messie.

Ainsi, leur messie a maintenant la place pour se manifester.

Notez que plusieurs rabbins annoncent sa venue étant donné les circonstances du coronavirus avant la pâques juive, un signe selon eux.

La clique ultra-ordodoxe a même demandé à faire le sacrifice de l’agneau pascal sur l’esplanade du temple; une première depuis 2000 ans si elle est accordée.

« Derrière tout cela, comme on peut le voir, il n’y a pas d’humilité, mais la poursuite d’un but narcissique et politique: il ne s’agit pas de donner un exemple édifiant, mais de plaire au monde.

Il me semble que le moment est venu de nous interroger sérieusement sur l’impasse canonique dans laquelle nous nous sommes laissés conduire par cette dissociation entre le munus et ceux qui le couvrent: on ne peut pas exiger l’obéissance au Pape si, en même temps, celui qui est assis sur le trône se comporte comme s’il ne l’était pas; parce que, ce faisant, on opère une authentique mystification, on joue avec l’obéissance et avec le sens hiérarchique des fidèles, mais en même temps on se considère comme des liberi battitori déliés de tous les devoirs et de toutes les limites que la Papauté impose…

… Bergoglio utilisent ses excentricités comme un moyen de démythifier la papauté, c’est-à-dire de l’humilier, de l’abaisser à ce qui, par essence, ne peut et ne doit pas être. Ceux qui qui se délectent de l’abolition du titre de Vicaire du Christ ne se moquent bien de l’humilité du Pape ; tout ce qui compte, c’est la poursuite d’un dessein politique ciblé visant à démolir l’Église et ses institutions les plus vénérables, en s’alignant sur la pensée dominante…

… Les fidèles – et le clergé lui-même – sont scandalisés par la façon dont Bergoglio parle de la Vierge, par la facilité avec laquelle il se permet de rabaisser et d’humilier Sa très sainte personne, sans jamais utiliser les titres qui lui sont dus et en prenant soin de ne pas répéter l’enseignement constant de l’Église…

… la négation de dogmes et de vérités théologiques, même ceux qui ne sont pas définis solennellement, implique une conséquence extrêmement destructrice, car la Vérité – qui est Dieu lui-même – ne peut avoir de parties sacrifiables. Si l’on touche à un dogme apparemment marginal par rapport aux dogmes trinitaires ou christologiques, on touche à tout l’édifice doctrinal. Et permettez-moi de vous rappeler qu’en plus des horreurs du métissage marial, nous avons également entendu des idées fausses sur la divinité même du Christ, subrepticement insinuées par les interviews données à un journal notoirement anti-catholique.

Quant à la maudite pachamama, il est évident qu’une substitution progressive de la Mère de Dieu par la Mère Terre est en cours, par respect pour la religion mondialiste et écologique. Qu’ils fassent très attention lorsqu’ils se moquent de la Vierge: les offenses que Notre Seigneur pardonne lorsqu’elles lui sont adressées, il ne leur pardonne pas si elles ont pour objet Sa Très Sainte Mère…

Quant à s’asseoir devant le Saint-Sacrement, c’est une habitude constante de François dans toutes les célébrations auxquelles il assiste, à commencer par le Corpus Christi, qu’il déserte lui-même avec ostentation et intolérance. Il n’est pas surprenant que cette insistance sur l’humilité du pape récurrent dans le récit des courtisans se dissolve précisément à la seule occasion où le pape et Bergoglio pouvaient vraiment s’humilier, c’est-à-dire en s’agenouillant devant le Saint-Sacrement…

Ce sont des jours difficiles, non seulement à cause de la pandémie, mais aussi à cause de ce sentiment d’incertitude et de la crainte d’une catastrophe imminente. Ne nous laissons pas séduire par ceux qui tentent de nous priver de la paix intérieure: nous sommes le temple de l’Esprit Saint, et si nous sommes dans la grâce de Dieu dans notre âme habite la Très Sainte Trinité. Essayons de rendre cette demeure moins indigne, par une prière plus sincère et confiante. Nous avons un Avocat invincible: la Très Sainte Vierge; nous lui demandons, à Elle, Consolatrice des affligés, d’intercéder pour nous auprès du Trône du Très-Haut, à Elle qui a participé à notre Rédemption en vertu de Son union très spéciale avec Son Divin Fils, et qui est notre Médiatrice auprès de Lui. » (benoit-et-moi.fr).

06 avril

Le lundi avant la Pâque via Maria Valtorta…

C’est la parabole du figuier stérile qui a mené à la destruction de Jérusalem, et qui se répète aujourd’hui avec la destruction de Babylone puisque les « gentils » n’ont pas su prendre la relève correctement malgré les avertissements.

Le soir venu, Jésus passe la nuit au Gethsémani avec les apôtres et demande à Pierre, Jacques et Jean de prier pour ne pas tomber en tentation mais à plusieurs reprises, ils tombent endormis.

Du commentaire de Mgr Williamson :

« Le chemin de l’Eglise suit la trace divine, et non la trace humaine menant à la ruine. Certes, il ne manque ni de foi, ni de courage, ni de dévotion envers son divin Maître, mais au lieu de prier dans le Jardin des Oliviers, il a dormi. Or, si au lieu de dormir, il avait prié, ses pensées auraient pu être divines au lieu de n’être qu’humaines, bien trop humaines. Il aurait alors pu comprendre que la démarche de Jésus était, sans commune mesure, bien plus élevée que la sienne, aussi courageux et dévoué que lui, Pierre, pût être. »  (stmarcelinitiative.com).

Voilà le piège dans lequel il ne faut pas tomber.

De Maria Valtorta :

« C'est seulement après que cette Terre aura péché contre Moi, et rappelez-vous que ce sont des paroles du Seigneur à son prophète, après seulement que le peuple et non seulement celui-ci en particulier, mais le grand peuple d'Adam commencera à gémir : "Allons vers le Seigneur. Lui qui nous a blessés nous guérira". Et le monde des rachetés dira : "Après deux jours, c'est-à-dire deux temps de l'éternité, durant lesquels il nous aura laissés à la merci de l'Ennemi, qui avec toutes ses armes nous aura frappés et tués comme nous avons frappé et tué le Saint — et nous le frappons et le tuons parce que toujours il y aura la race des Caïns qui tueront par leurs blasphèmes et leurs œuvres mauvaises le Fils de Dieu, le Rédempteur, en décochant des flèches mortelles non sur son éternelle Personne glorifiée, mais sur leur âme rachetée par Lui, pour la tuer, et pour le tuer par conséquent dans leurs âmes.

C'est seulement après ces deux temps que viendra le troisième jour et que nous ressusciterons en sa présence dans le Royaume du Christ sur la Terre et que nous vivrons en sa présence dans le triomphe de l'esprit. Nous le connaîtrons, nous apprendrons à connaître le Seigneur pour être prêts à soutenir, grâce à cette vraie connaissance de Dieu, la dernière bataille que Lucifer livrera à l'homme avant la sonnerie de l'ange de la septième trompette qui ouvrira le chœur bienheureux des saints de Dieu, au nombre parfait pour l'éternité — et ni le plus petit enfant, ni le vieillard le plus âgé ne pourra jamais être ajouté au nombre — le chœur qui chantera; "Il est fini le pauvre royaume de la Terre. Le monde est passé en revue avec tous ses habitants devant le Juge victorieux. Et les élus sont maintenant entre les mains de notre Seigneur et de son Christ, et Lui est notre Roi pour toujours. Louange au Seigneur Dieu Tout Puissant qui est, qui était et qui sera, parce qu'il a pris son grand pouvoir et qu'il est entré en possession de son royaume".

Oh ! qui parmi vous saura rappeler les paroles de cette prophétie qui résonne déjà dans les paroles de Daniel avec un son voilé, et qui maintenant retentit par la voix du Sage devant le monde étonné et devant vous, plus étonnés que le monde ? !  »

La référence à Daniel ici est du chapitre 7, 21-22.

« Je regardai, et cette corne faisait la guerre aux Saints et l'emportait sur eux, jusqu'à ce que le vieillard vint, que le jugement fut donné aux Saints du Très Haut, et que le temps arriva où les Saints possédèrent le royaume. » qui traite de l’apparition de la quatrième bête (remarquez que le chapitre 7 et l’Apocalypse chapitre 13 traitent du même événement).

Or la quatrième bête sera le moment, très proche, où Satan (6), par son esprit (6) se présentera sous les traits d’un humain (6) et qui complétera l’aboutissement de l’humanisme dans le 666, un nombre d’homme comme dit Saint-Jean, donc sans Christ, dans l'apostasie.

Nous y sommes puisque la prophétie de Jésus s’accomplie… « Après deux jours, c'est-à-dire deux temps de l'éternité, durant lesquels il nous aura laissés à la merci de l'Ennemi… », c’est à dire 2000 ans.

« C'est seulement après ces deux temps que viendra le troisième jour… » donc la résurrection après les trois jours de ténèbres.

Kyrie Eleison
Seigneur ! Aie pitié de nous !

5 avril

Jésus via Maria Valtorta au soir du dimanche des rameaux :

« En tout homme il y a un autre homme qui se révèle aux heures les plus graves. Il y a le héros qui, aux heures du plus grand danger, bondit de l'homme doux que le monde a l'habitude de voir et juge insignifiant, le héros qui dit à la lutte : "Me voici", qui dit à l'ennemi, à l'arrogant : "Mesure-toi avec moi". Et il y a le saint qui, alors que tous s'enfuient terrorisés devant les tyrans qui veulent des victimes, dit : "Prenez-moi en otage et en sacrifice. Je paie pour tous". Et il y a le cynique qui profite personnellement des malheurs de tous et rit sur les corps des victimes. Il y a le traître qui a son courage particulier : celui du mal. Le traître qui est l'amalgame du cynique et du lâche, qui est aussi une catégorie qui se manifeste dans les heures graves. Car cyniquement il tire profit d'un malheur et lâchement il passe au parti le plus fort, osant, pour en tirer profit, affronter le mépris des ennemis et les malédictions de ceux qu'il abandonne. Il y a enfin le type le plus répandu, le lâche qui, aux heures graves, n'est capable que de regretter d'avoir fait connaître son appartenance à un parti et à un homme, maintenant frappé par l'anathème, et de s'enfuir... Ce lâche n'est pas aussi criminel que le cynique ni aussi dégoûtant que le traître. Mais il montre toujours l'imperfection de sa structure spirituelle. »

En ces temps graves, soyons parfait comme le Père céleste est parfait, dans notre structure spirituelle.

Prions pour ne pas renier le Christ Roi et demeurer fort par Lui, avec Lui et en Lui.

Aujourd’hui François nous a parlé de trahison.

Ce qui est lié directement avec l’analyse d’hier.

« Jésus a été trahi par des «gens qui l’acclamaient et qui ensuite ont crié : "Qu’il soit crucifié !" (Mt 27, 22). Il a été trahi par l’institution religieuse qui l’a condamné injustement et par l’institution politique qui s’est lavé les mains». Lorsque chacun découvre qu'il a été trahi, «naît au fond du cœur une déception telle que la vie semble ne plus avoir de sens. Cela arrive parce que nous sommes nés pour être aimés et pour aimer, et la chose la plus douloureuse c’est d’être trahi par celui qui a promis de nous être loyal et proche. Nous ne pouvons pas non plus imaginer comme cela a été douloureux pour Dieu, qui est amour»…

La chrétienté se sent trahi parce que François a trahi l’Église.

Ce règne grand et bref décrit par Jean XXIII à propos de François est malheureusement un règne pour faire adorer la bête décrite dans l’Apocalypse.

Les espoirs contenus dans le cœur de tous les chrétiens lors du 13 mars 2013 ne sont plus pour ceux qui connaissent la vérité

François: « ''Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ?'' (Mt 27, 46). C’est une phrase forte». Pour la première fois, Jésus qui avait souffert de l'abandon des siens, utilisait le nom de «Dieu», pour crier un «pourquoi» déchirant, «Ce sont en réalité les paroles d’un Psaume (cf. 21, 2) : on y dit que Jésus a aussi porté en prière l’extrême désolation».

De nouveau, cette épreuve était faite pour nous servir, a continué le Souverain Pontife, pour «que lorsque nous nous sentons le dos au mur, que nous nous rappelions que nous ne sommes pas seuls. Jésus a éprouvé l’abandon total, la situation qui lui est la plus étrangère, afin de nous être solidaire en tout. Il l’a fait pour moi, pour toi, pour te dire : “N’aie pas peur, tu n’es pas seul. J’ai éprouvé toute ta désolation pour être toujours à ton côté ”». Voilà ainsi jusqu’où Jésus nous a servi, «descendant dans l’abîme de nos souffrances les plus atroces, jusqu’à la trahison et à l’abandon». » (vaticannews.va)

Solidaire, pour toi, aimer, être aimer…

Tous des termes qui s’applique à la philosophie maçonnique socialiste : égalité, fraternité, et liberté… Sans le Christ.

Incapable d’identifier ce temps crucial que nous vivons.

Ou volontairement oublier.

Où sont les Hosannas pour le Christ Roi dans ses discours?

Les rameaux sont à l’image de l’oasis dans le désert d’Israël, terre promise qui s’est desséchée, peuple élu qui n’a pas su cultiver cet oasis, l’Élu dans son cœur.

« Trouverais-je la foi à mon retour? »

Avons-nous su cultiver cet oasis dans nos cœurs, en tant que fils et filles de Dieu, et en tant que peuple de Dieu, à qui la mission d’évangélisation à été confiée à la mort et résurrection de NSJC?..

Le temps d’une génération.

2000 ans.

« Mgr Pierbattista Pizzaballa, administrateur du patriarcat latin de Jérusalem, a présidé pour le dimanche des Rameaux une liturgie depuis le Dominus Flevit sur le Mont des Oliviers, avant de bénir la ville et le monde avec une relique de la Sainte Croix… »

Et il a su trouver les mots nécessaires.

Car la perte de âmes est en jeu.

«  Nous n'avons pas levé nos palmes et nos rameaux d’oliviers pour crier “Hosanna» à notre Roi, Jésus-Christ. Les rues qui, en ce jour, seraient pleines de monde et de chants, d'hymnes et de cornemuses sont vides et silencieuses». Une expérience qui doit inviter au questionnement,«Que pouvons-nous faire dans ces moments dramatiques pour la vie du monde et pour la nôtre ?» (vaticannews.va)

04 avril

À l’occasion de l’ouverture de la semaine pascale avec le dimanche des rameaux demain, le pape adresse son message humaniste (vaticannews.va)

Ce n’est plus le Christ qui sauve. Pour lui son sacrifice est vain puisqu’il se tait sur ce sujet, ce qui semble invraisemblable mais qui ne surprend pas en regard de ce que nous savons des événements.

Nous vivons quand même un moment historique!

Les forces du mal ont interdit la célébration de la Pâques à l'échelle planétaire.

Mais non. Point de mot sur la passion et la résurrection du Christ.

Les deux Babylone agissent en synchronicité, main dans la main.

Vatican et Nations-Unies sont sur le sprint final pour atteindre leur but de nouvelle société mondiale d’égalité et de fraternité; Sans le Christ.

Aucun hasard.

Mgr Vigano via Lifestenews.com confirme l’identification du Judas de cette Passion de l’Église face à la suppression du titre de Vicaire du Christ par le pape.

Il élève même François au titre de « tyran ».

Le temps est crucial. Le choix des mots pour découvrir la vérité a toute son importance.

Notez aussi cette parution de  l’annuaire a eu lieu le 25 mars, jour de l’Annonciation!

Le bureau de presse du Vatican essaie de minimiser le fait, mais le vrai François s’est fait jour :

« Matteo Bruni, directeur du bureau de presse du Vatican, a déclaré au Catholic News Service qu ‘«il n’y a pas eu de suppression» d’un titre.
« La définition d ‘ » historique « par rapport aux titres attribués au pape sur l’une des pages qui lui sont consacrées dans l’Annuario Pontificio de 2020 me semble indiquer le lien avec l’histoire de la papauté », a déclaré Bruni, ajoutant que tous les autres titres «sont censés être liés historiquement au titre d’évêque de Rome car au moment où il est désigné par le conclave pour guider l’église de Rome, l’élu acquiert les titres liés à cette nomination»…. »

Mais il est bien évident (photo de nouveau avec le lien) que JORGE MARIO BERGOGLIO est en haut de page, bien en évidence.

Le narcissisme et l’orgueil sont biens ancrés chez les fils de Satan.

Laissons la parole à Mgr Vigano:

« … Ce changement dans la présentation et le contenu d’un texte officiel de l’Église catholique ne peut être ignoré, et il n’est pas possible de l’attribuer à un geste d’humilité de la part de François, ce qui n’est pas en accord avec le fait que son nom soit si en évidence. Au lieu de cela, il semble possible d’y voir l’admission – passée sous silence – d’une sorte d’usurpation, par laquelle ce n’est pas le «Servus servorum Dei» qui règne, mais la personne de Jorge Mario Bergoglio, qui a officiellement renié être le Vicaire du Christ, successeur du Prince des Apôtres et Souverain Pontife, comme s’ils étaient des signes dérangeants du passé: seulement de simples «titres historiques».
Un geste presque provocateur – pourrait-on dire – dans lequel Francois transcende chaque titre. Ou pire: un acte pour modifier officiellement la papauté, par lequel il ne se reconnaît plus comme gardien , mais devient maître de l’Église, libre de la démolir de l’intérieur sans avoir à répondre à personne. Bref, un tyran.

Que la signification de cet acte des plus graves n’échappe pas aux pasteurs et aux fidèles, car par cela le doux Christ sur terre – comme sainte Catherine l’appelait le pape – se libère de son rôle de Vicaire pour se proclamer, dans un délire d’orgueil, absolu monarque même en ce qui concerne le Christ.

Nous approchons des jours sacrés de la Passion du Sauveur, qui commence dans la chambre haute avec la trahison de l’un des Douze. Il n’est pas illégitime de se demander si les paroles compréhensives avec lesquelles Bergoglio a tenté de réhabiliter Judas le 16 juin 2016 n’étaient pas une tentative maladroite de s’exonérer.

Cette pensée effrayante est encore confirmée par la terrible décision de permettre une interdiction presque universelle de la célébration publique de Pâques, pour la première fois depuis la résurrection de Notre-Seigneur Jésus-Christ. »

Ce passage de l’Apocalypse de Saint-Jean est maintenant très clair :

Saint-Jean eu la vision de la bête « monter de la terre […], qui avait deux cornes semblables à celles d’un agneau, et qui parlait comme un dragon. Elle exerçait toute la puissance de la première bête en sa présence, et elle amenait la terre et ses habitants à adorer la première bête » (Ap 13, 11).

Retrouvons Jésus au Dimanche des Rameaux via Maria Valtorta, puisque son discours s'applique à notre temps, à Babylone la Terre au lieu de Jérusalem:

« Et toi, cité qui veux ta ruine et sur qui je pleure, sache que ton Christ prie pour ta rédemption. Oh ! si au moins en cette heure qui te reste tu savais venir à Celui qui serait ta paix ! Si au moins tu comprenais à cette heure l'Amour qui passe au milieu de toi et si tu te dépouillais de la haine qui te rend aveugle et folle, cruelle pour toi-même et pour ton bien ! Mais un jour viendra où tu te rappelleras cette heure ! Trop tard alors pour pleurer et te repentir ! L'Amour sera passé et sera disparu de tes routes et il restera la Haine que tu as préférée. Et la haine se tournera vers toi, vers tes enfants. Car on a ce qu'on a voulu, et la haine se paie par la haine.
Et ce ne sera pas alors la haine des forts contre le désarmé. Mais ce sera haine contre haine, et donc guerre et mort. Entourée de tranchées et de gens armés, tu souffriras avant d'être détruite et tu verras tomber tes fils tués par les armes et par la faim, et les survivants être prisonniers et méprisés, et tu demanderas miséricorde, et tu ne la trouveras plus parce que tu n'as pas voulu connaître ton Salut.

Je pleure, amis, car j'ai un cœur d'homme et les ruines de la patrie m'arrachent des larmes. Mais que ce qui est juste s'accomplisse puisque dans ces murs la corruption dépasse toute limite et attire le châtiment de Dieu. Malheur aux citoyens qui sont la cause du mal de leur patrie ! Malheur aux chefs qui en sont la principale cause ! Malheur à ceux qui devraient être saints pour amener les autres à être honnêtes, et qui au contraire profanent la Maison de leur ministère et eux-mêmes ! Venez. À rien ne servira mon action. Mais faisons en sorte que la Lumière brille encore une fois au milieu des Ténèbres !"

Ce sont toujours les profanations du culte de Dieu, de la Loi de Dieu, qui provoquent les châtiments du Ciel. En faisant de la Maison de Dieu une caverne de voleurs, ces prêtres indignes et ces indignes croyants (de nom seulement] attiraient sur tout le peuple malédiction et mort. Inutile de donner tel ou tel nom au mal qui fait souffrir un peuple. Cherchez le nom exact en ceci : "Punition d'une vie de brutes". Dieu se retire et le Mal s'avance. Voilà le fruit d'une vie nationale indigne du nom de chrétienne.  »

Mais,

L’Église renaîtra autrement …

À l’approche de l’anniversaire de l’incendie de Notre Dame de Paris, retrouvons le père Henri Boulad dans son sermon d’il y a un an, car c’est très d’actualité... Et inspirant pour ceux qui croient.

« Il fallait que le Christ meurt pour entrer dans sa Gloire.

Il faut que l’Église meurt pour renaître»

03 avril

Çà va très vite. Comme prévu.

Pendant que François nous montre le Saint-Sacrement à la pluie battante, il confirme son statut de dévastateur en coulisses.

Le 1er avril, il a approuvé les deux textes liturgiques de lutte au coronavirus.

Une nouvelle messe en temps de pandémie et une intention supplémentaire pour les liturgies du Vendredi Saint qui approche.

Plusieurs commentent que cette nouvelle Eucharistie est  dépouillée de toute référence à la repentance et à la colère de Dieu.

Il préfère, fidèle à son thème de miséricorde infinie, « regarder avec compassion les affligés, d'accorder le repos éternel aux morts, le réconfort aux personnes en deuil, la guérison aux malades, la paix aux mourants, la force aux travailleurs de la santé, la sagesse à nos dirigeants, et le courage de tendre la main à tous dans l'amour ».

Comme nous l’avions analysé, la bénédiction « Urbi et Orbi » n’était pas valide car non précédée du sacrement de la pénitence.

Ce ne sont que de vœux pieux à la sauce humaniste.

Que les deux témoins se lèvent! Leur heure est venue!

La nouvelle liturgie ne reconnaît pas Dieu non plus comme ayant la seule autorité et le seul pouvoir de mettre fin à la pandémie.

Alors que dans le recueil de l'ancienne « Messe pour la délivrance de la mort en temps de peste », le prêtre implore Dieu de « retirer le fléau de ta colère » et « accueille avec pardon le retour de ton peuple vers toi ... tant qu'il est fidèle à ton service. »

Et François confirme ce que nous savions tous en l’observant depuis 7 ans.

Il proclame le triomphe de l’humanisme et en tant qu’abomination de la désolation sur le trône de Saint-Pierre, il s’élève au-dessus de Dieu.

IL A ABANDONNÉ SON TITRE DE « VICAIRE DU CHRIST ».

C’est majeur. C’est un grand signe qui confirme le mystère d’iniquité, le visage à deux face, le sens de l’ambiguïté, bref tout ce qui appartient au monde de Satan.

« Le pape François abandonne le titre de «Vicaire du Christ» dans l’annuaire du Vatican.

Le titre de «Vicaire de Jésus-Christ» provient de la Sainte Écriture où Jésus accorde à Saint-Pierre le pouvoir des clés dans l’Église .
2 avril 2020 ( LifeSiteNews ) – Dans une décision surprise, le pape François a retiré le titre historique et essentiel «Vicaire du Christ» de l’Annuaire pontifical 2020, l’annuaire annuel du Saint-Siège, reléguant le titre en note de bas de page, le qualifiant de « titre historique.  »

Alors que les annuaires précédents mentionnaient le titre «Vicaire du Christ» et le nom du pape régnant sous ce titre, le répertoire annuel de cette année ne fait que mentionner le nom «Jorge Mario Bergoglio», le nom de l’homme qui est devenu pape François en 2013.

Le cardinal Gerhard Müller, ancien préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi, a qualifié le changement de «barbarie théologique».

Comme le rapporte le correspondant allemand de Rome, Guido Horst, pour le journal Die Tagespost , cette nouvelle entrée a étonné des experts du Vatican bien informés. Il écrit que l’ Annuario Pontificio de cette année a «interdit» le titre du pape «Vicaire du Christ», ce qui en fait un «titre historique» qui appartient désormais à une note de bas de page...

Le titre de «Vicaire de Jésus-Christ», cependant, «provient de la Sainte Écriture, dans laquelle Jésus a accordé à Saint-Pierre le pouvoir des clés dans l’Église», explique Horst.

Après ces titres supplémentaires, venait généralement le nom du pontife actuel, une courte biographie de lui, ainsi que les dates de son élection et de son investiture.

Cependant, la nouvelle entrée sur le Pape commence maintenant – au lieu du titre «Vicaire de Jésus-Christ» – avec le titre suivant: «Jorge Mario Bergoglio». Ce titre est suivi d’une courte biographie et des dates de son élection et de son investiture. Enfin – et ceci après une ligne indiquant que les «notes de bas de page» (selon les mots de Guido Horst) sont à venir – il y a, sous le sous-titre «titres historiques»: Vicaire de Jésus-Christ, Successeur du Prince des Apôtres, Suprême Pontife de l’Église universelle, primat d’Italie, archevêque et métropolite de la province romaine, souverain de l’État de la Cité du Vatican et serviteur des serviteurs de Dieu.

Selon Horst, un tel changement de la présentation du Pontife romain dans l’ Annuario Pontificio « ne pouvait avoir lieu qu’à la demande de François lui-même. »

Dans ses commentaires au Tagespost , le Cardinal Gerhard Müller souligne que dans les nouvelles présentations des titres du Pape, il y a des titres mélangés avec une signification dogmatique avec ceux qui n’ont pas un tel poids et qui ont un fond historique (tels que « Souverain de l’État de la Cité du Vatican »).

Le cardinal allemand poursuit en parlant de «l’embarras» que l’Annuario Pontificio a «rabaissé des éléments essentiels de l’enseignement catholique sur la primauté [du pape] comme simple annexe historique». Il a insisté sur le fait que «c’est une barbarie théologique de rabaisser comme fardeau historique les titres du pape« successeur de Pierre, représentant du Christ et chef visible de toute l’Église ».» Il a déclaré que les évêques, en tant que successeurs des apôtres, «Avec le ‘Successeur de Pierre, représentant du Christ et chef visible de toute l’Église, dirigez la maison du Dieu vivant». ( Lumen gentium 18)

« Aucun pape ou concile œcuménique », a poursuivi le prélat allemand, « ne pourrait, par référence à sa plus haute autorité sur l’Église, supprimer la primauté, l’épiscopat ou les sacrements, ou les réinterpréter dans leur essence ».

Un commentateur cité par Guido Horst a noté que le changement dans l’annuaire dénotait une «compréhension défectueuse du bureau», soulignant que des titres importants tels que «Successeur du prince des apôtres» ont également été déclassés en tant que simples titres historiques.

Le professeur Armin Schwibach, correspondant à Rome pour le site autrichien Kath.net, a commenté sur Twitter: « Il semble qu’ils continuent de tout démanteler. »»

La biographie de Jorge Mario Bergoglio est maintenant au-dessus de tout le reste et les titres sont en bas. (photo sur le lien lifesitenews.com ci-haut).

Les titres sont introduits par « Titoli storici » ou  «titres historiques».

Ainsi Bergoglio est plus élevé que tous ces titres. L'Histoire et la Tradition sont du passé.

Regardez-moi.

JE SUIS LA RÉFÉRENCE.

L’Église est trahie.

Elle a son Judas comme le Christ l’a eu.

Un peu à l’avance par rapport aux prévisions.

Il n’y a que la protection de Benoît XVI maintenant. Pour combien de temps?

Anna Maria Taigi confirme qu’

«  Un jour viendra où le Pape enfermé au Vatican se trouvera comprimé comme dans un cercle de fer. Toute espérance humaine sera perdue et c’est alors que Dieu fera éclater, tout à coup, sa miséricorde…

Les cadavres tués aux environs de Rome seront aussi nombreux que les poissons charriés dans cette ville par un récent débordement du Tibre…

La religion doit être persécutée et les prêtres massacrés. Les Églises seront fermées, mais seulement pour un court laps de temps. Le Saint-Père sera obligé de quitter Rome. »

Voilà.

La fuite de François approche.

01 avril

Il existe deux échéances dans les prophéties de Jean XXIII.

La première « Il y a vingt siècles plus l'âge du Sauveur. Amen. » qui termine les prophéties de l’Église.

Benoît XVI a confirmé qu’il y a une marge d’erreur de six ou sept ans quant à la naissance du Christ, ce qui donne 2026.

La deuxième est de 7 ans démarrant lors de l’identification de la « fille de Caïn » (qui devait normalement concorder avec la semaine du prophète Daniel si nous devons en tenir compte).

Selon nos deux hypothèses, nous aurions donc 2023 si la fille de Caïn est la nouvelle église oecuménique instaurée par la signature de François avec les luthériens en octobre 2016, ou nous aurions 2025 si Greta Thunberg est la fille de Caïn sortie de l’ombre en août 2018.

Puisque le sacrifice et l’oblation sont maintenant arrêtés à cause de la crise du coronavirus, il faudrait pencher pour la première hypothèse car ce fait arrive à la moitié de la semaine de Daniel comme prophétisé.

Et ce temps, on le sait de la bouche même de NSJC sera raccourci.

Nous ne connaîtront ni le jour ni l’heure du Jugement, seulement les signes qui nous avertiront de l’arrivée imminente de la chute de Babylone, des deux Babylone identifiées par Jean XXIII.

Donc en théorie il resterait entre 3 à 5 ans mais…

Nous constatons qu’il y a une accélération dans la suite des événements car les puissances du mal sentent leurs fins et ils doivent agir vite pour séduire le plus d’âmes possibles.

La clique judéo-maçonniste est passée en vitesse grand V.

Le degré de déchaînement des fils et des filles de Satan est donc en relation directe avec la patience de NSJC.

Sinon, le petit reste y passerait.

C’est donc dire qu’il faut être prêt.

Maintenant.

Il n’y a plus de temps pour s’interroger à propos du signe de la bête révélé dans l’Apocalypse.

Évidement, nous pourrions avoir un signe physique, matériel, mais quand on y réfléchit ce signe est déjà de notre monde depuis longtemps. Quiconque n’a pas un compte de banque ne peut recevoir sa paye ou faire des transactions pour subvenir à ses besoins. La carte de crédit, débit ou le téléphone intelligent n’ont fait que rendre évident cette vérité avec le temps.

La marque de la bête la plus dangereuse… Elle est du domaine spirituel.

Le monde apostasié infiltré dans ses pensées par le mal représente la marque sur le front, et la manière d’agir dans cette société représente la marque sur la main droite.

Le triage du bon grain et de l’ivraie est donc relier à notre façon de penser et d’agir en société.

Selon les commandements du Christ, ou contre.

La charité ne doit pas se refroidir. C’est le temps de l’épreuve.

La foi et l’espérance doivent primer.

Les événements et les nécessités pour prendre soins de notre corps, notre temple physique, nous contraignent d’être dans le monde.

Mais, par la Grâce divine et par nos efforts conscients pour se conformer à Sa Volonté selon les principes enseignés par Jésus, nous sommes en mesure de vivre dans le monde sans être du monde.

Cette distinction, établie par le Christ lui-même nous permet d’agir en tant que fils et filles de Dieu quels que soient les choix.

Il s’agit, ainsi, de fuir l’esprit du monde, de se réfugier dans sa grotte intérieure par la prière et la méditation, et ne pas se laisser conduire vers la perte de l’âme.

Voilà comment ne pas adhérer à la marque de la bête.

Mgr Vigano dans une lettre aux italiens nous rappelle ce temps si important :

« … Ce que nous assistons à ces heures est dramatique - certainement dans toute l'Italie, mais d'une manière tragiquement exemplaire, à Rome, le cœur du catholicisme.

Le scénario est d'autant plus déconcertant que ce qui est en jeu n'est pas seulement la santé publique mais le salut des âmes - et depuis quelque temps maintenant, en tant que pasteurs, nous avons cessé d'enflammer le cœur de nos fidèles avec le désir du salut éternel. Nous les avons ainsi privés de ces dons surnaturels qui nous rendent capables de faire face aux épreuves ici-bas, même aux assauts de la mort, avec le pouvoir de la foi et cette étincelle d'espérance inépuisable et inébranlable qui nous vient de notre aspiration au destin de la gloire. pour laquelle nous avons été créés... » Carlo Maria Viganò
(remnantnewspaper.com)

Mars 2020

30 mars

« Ton règne sera grand et bref. Père, il sera bref mais il te mènera loin, dans la lointaine terre où tu es né et où tu seras enseveli.  A Rome ils ne voudront pas te donner. »

C’est le début de la prophétie concernant François.

Vous l’avez vu seul, ou presque, place Saint-Pierre pour la bénédiction "Urbi et Orbi" exceptionnelle vendredi dernier.

Seul, non pas à cause d’un schisme ou d’une guerre, mais par le confinement dû au coronavirus.

« À Rome ils ne voudront pas te donner ».

Il faut avec cette image réaliser que si François décède prochainement, on ne pourra faire de funérailles papales à la régulière vu le contexte sanitaire.

On ne pourrait dire adieu à l’évêque de « Rome », d’où l’interprétation possible de la phrase.

Une fenêtre temporelle est ouverte avec la pandémie. 

Et d’où la bénédiction exceptionnelle, hors contexte habituel (lors de l’élection d’un pape, à Noël ou Pâques).

« Supplication au Seigneur pour la guérison d'un monde blessé et souffrant » mentionne la presse du Vatican (vaticannews.va).

La supplication fait énormément penser à la miséricorde infini accordé par le pape lors du jubilé de 2016, à l’entrée dans la semaine possible de Daniel.

Elle demande un remède divin au corps malade et un changement dans les cœurs.

C’est très « humaniste ». C’est comme demander un retour à la normale, au monde apostasié, aux deux Babylone.

Et l’indulgence qui a suivi relève de la miséricorde infini.

Encore une fois, le pape laisse sous-entendre que le péché et le jugement n’existent plus.

Or, que demandaient les papes qui ont précédé en de telles circonstances?

La pénitence!

Il faut changer sa manière de penser, d’agir, et retourner au Père selon les principes enseignés par le Christ.

« Signez-vous sept fois avec une main fatiguée et attendez. » confirme Jean XXIII dans la prophétie de l'Église #11, c'est à dire, repentez-vous.

Une indulgence qui n’est pas précéder du sacrement du pardon et de la pénitence est non valide.

Ce qui n’est pas le cas ici.

Il nous rappelle que nous sommes dans la barque « humaniste » avant toute chose.

«Dans notre monde, que tu aimes plus que nous, nous sommes allés de l’avant à toute vitesse, en nous sentant forts et capables dans tous les domaines. Avides de gains, nous nous sommes laissé absorber par les choses et étourdir par la hâte. Nous ne nous sommes pas arrêtés face à tes rappels, nous ne nous sommes pas réveillés face à des guerres et à des injustices planétaires, nous n’avons pas écouté le cri des pauvres et de notre planète gravement malade. Nous avons continué notre route, imperturbables, en pensant rester toujours sains dans un monde malade. Maintenant, alors que nous sommes dans une mer agitée, nous t’implorons : “Réveille-toi Seigneur !”»

Voici son introduction tiré de cette épisode décrite par Saint-Marc :

««Comme les disciples de l’Évangile, nous avons été pris au dépourvu par une tempête inattendue et furieuse. Nous nous nous rendons compte que nous nous trouvons dans la même barque, tous fragiles et désorientés, mais en même temps tous importants et nécessaires, tous appelés à ramer ensemble, tous ayant besoin de nous réconforter mutuellement».

Tout comme les disciples, nous pouvons nous sentir «perdus» et surpris par l’attitude de Jésus dans cette scène de l’Évangile :  «Malgré tout le bruit, il dort serein, confiant dans le Père – c’est la seule fois où, dans l’Évangile, nous voyons Jésus dormir –. Puis, quand il est réveillé, après avoir calmé le vent et les eaux, il s’adresse aux disciples sur un ton de reproche : “Pourquoi êtes-vous si craintifs ? N’avez-vous pas encore la foi ?” (v. 40).»

Les disciples réagissent en adressant aussi un reproche à Jésus :  «“Maître, nous sommes perdus ; cela ne te fait rien ?” (v. 38). Ils pensent que Jésus se désintéresse d’eux, qu’il ne se soucie pas d’eux. Entre nous, dans nos familles, l’une des choses qui fait le plus mal, c’est quand nous nous entendons dire : “Tu ne te soucies pas de moi ?”. C’est une phrase qui blesse et déclenche des tempêtes dans le cœur. Cela aura aussi touché Jésus, car lui, plus que personne, tient à nous. En effet, une fois invoqué, il sauve ses disciples découragés.»»
N’y a-t-il pas plus humaniste et égoïste d’affirmer : « Tu ne te soucies pas de moi? ».

Qu’a réellement dit Jésus et sur quoi François aurait dû mettre l’accent?

N’avez-vous pas encore la foi?!!!

Il semble bien être le seul qui ne s’interroge pas sur la fin des temps.

Il me semble qu’une pandémie fait réfléchir à ce sujet.

Vais-je trouver encore une seule personne qui a la foi à mon retour?

Voilà le nœuds du sujet!

Voilà ce qu’il aurait dû pointer.

« Il leur adressa encore une parabole, pour montrer qu'il faut prier toujours et sans se lasser. Il dit : " Il y avait dans une ville un juge qui ne craignait point Dieu, et ne se souciait pas des hommes. Il y avait aussi dans cette ville une veuve qui venait à lui, disant : Fais-moi justice de mon adversaire. Et pendant longtemps il ne le voulut point ; mais ensuite il dit en lui-même : Encore que je ne craigne pas Dieu et ne me soucie pas des hommes, cependant, parce que cette veuve m'importune, je lui ferai justice, afin qu'elle ne vienne pas sans cesse me tourmenter.

Entendez, ajouta le Seigneur, ce que dit ce juge inique.
Et Dieu ne ferait pas justice à ses élus qui crient à lui nuit et jour, et il tarderait à leur égard ?
Je vous le dis, il leur fera bientôt justice. Seulement, quand le Fils de l'homme viendra, trouvera-t-il la foi sur terre ? " (Luc, 18) »

Le billet de Roberto Mattei via benoit-et-moi.fr qui résume bien le point:

« L’événement le plus symbolique et le plus paradoxal est peut-être la fermeture du Sanctuaire de Lourdes, lieu par excellence de la guérison physique et spirituelle, qui barricade ses portes, de peur que quelqu’un ne tombe malade en allant prier Dieu pour sa santé. Tout cela n’est-il qu’une manœuvre? Sommes-nous face à un pouvoir totalitaire qui restreint les libertés des citoyens et persécute les chrétiens ?..

Beaucoup invitent à prier, mais qui rappelle la possibilité de se trouver au début d’un grand châtiment? Et pourtant, c’est la prédiction de Fatima, dont le centième anniversaire a été rappelé par beaucoup en 2017. Le 25 mars, le cardinal António Augusto dos Santos Marto, évêque de Leiria-Fátima, a renouvelé la cérémonie de consécration au Cœur Immaculé de Marie pour toute la péninsule ibérique. C’est certainement un acte méritoire, mais la Vierge a demandé quelque chose de plus: la consécration spécifique de la Russie, faite par le Pape, en union avec tous les évêques du monde. C’est l’acte, jamais fait auparavant, que tout le monde attend avant qu’il ne soit trop tard…

Le châtiment commence lorsque l’idée d’un Dieu juste et gratifiant est perdue, pour s’appuyer sur la fausse image d’un Dieu qui, comme l’a dit le pape François, « ne permet pas les tragédies pour punir la culpabilité » (Angelus, 28 février 2016). ..
Pourtant, même le « bon Pape », Jean XXIII, a rappelé que « l’homme, qui sème la faute, récolte la punition. Le châtiment de Dieu est Sa réponse aux péchés des hommes » ; c’est pourquoi « Il (Jésus) vous dit de fuir le péché, la cause principale des grands châtiments » (Radiomessage du 28 décembre 1958)…

Refuser de voir la main de Dieu derrière les grandes catastrophes de l’histoire est un symptôme de ce manque de foi.
(benoit-et-moi.fr)

27 mars

S’il y avait encore des doutes quant à la montée soudaine en puissance des deux Babylone Vatican et Nations-Unies avant leurs chutes…

Ils sont maintenant dissipés pour ceux qui sont éveillés.

En pleine journée de l’Annonciation, nous apprenions la « pensée du pape » face à la crise.

Et, ce n’est pas un châtiment de Dieu pour nous repentir. Et non.

À la manière de « Laudato Si » et du synode amazonien, le pape explique que le châtiment vient de la « mère Terre » et il invoque le « dieu humaniste » pour nous sauver.

Jésus, le Christ Notre Seigneur, n’a plus sa place avec lui.

« 24 mars 2020 ( LifeSiteNews ) – Le pape François a déclaré dimanche à un journaliste espagnol qu’il pensait que la pandémie de coronavirus venait de la nature « en crise » en réponse à la pollution de l’environnement.

Déclarant que « curieusement la planète n’a pas été très propre depuis longtemps », l’intervieweur a demandé: « Est-il possible que ce soit l’heure pour la nature de régler ses comptes avec nous? »

Le pape François a répondu: « Il y a un dicton que vous savez sûrement: Dieu pardonne toujours, nous pardonnons parfois, [mais] la nature ne pardonne jamais. »

«Incendies, tremblements de terre. . . c’est-à-dire que la nature a une crise, afin que nous prenions soin de la nature. » …
le pape François a fait peu de références à Dieu, sauf pour admettre qu’il a parfois douté de l’existence de Dieu dans le passé. (Cependant, la vidéo est éditée et certaines parties peuvent avoir été supprimées.)

« Pardonnez la question, mais dans une situation comme celle-ci, est-il possible d’avoir une crise de foi? » demanda Évole. « Un pape peut-il même douter de l’existence de Dieu? »

« De toute évidence », a répondu Francis. « Personne n’est exempté des tentations existentielles. » …

Lorsqu’on lui a demandé s’il était un «optimiste» concernant la situation, Francis a répondu qu’il avait «de l’espoir» dans les gens.

«J’ai de l’espoir dans l’humanité, chez les hommes et les femmes, j’ai de l’espoir dans les nations. J’ai beaucoup d’espoir. Les nations vont apprendre par cette crise à repenser leur vie. Nous allons mieux sortir – moins, bien sûr. Beaucoup restent sur la route et c’est difficile. Mais j’ai confiance que nous allons mieux sortir. »….

En novembre dernier, le Pape a déclaré qu’il espérait ajouter le «« péché écologique « contre notre maison commune » au Catéchisme de l’Église catholique. «Nous devons introduire – nous y pensons – au Catéchisme de l’Église catholique le péché contre l’écologie, le« péché écologique »contre notre maison commune, car un devoir est en jeu», a déclaré le Pape.»

Et le 25 mars dernier, Babylone Nations-Unies fait sa propre annonce, court-circuitant la fête de l’Annonce faites par l’Archange Gabriel à la Vierge Marie,  et demande l’aide du dieu humaniste:

« COVID-19: «l’humanité entière» menacée, l’ONU lance un plan » voit-on dans les médias aujourd’hui… Antonio Guterres, en lançant un « Plan de réponse humanitaire mondial » s’étendant jusqu’à décembre…
« Face à cette menace, « l’ensemble de l’humanité doit riposter. Une action et une solidarité mondiales sont cruciales », a-t-il ajouté, lors de la présentation via vidéo du plan de l’ONU. » (lapresse.ca)

La fin est proche et le « dieu humaniste » n’y pourra rien.

Cinq personnes habitant ou travaillant à Sainte-Marthe ont contracté le coronavirus forçant François à se retrancher dans ses appartements.

« …Le pape a cessé de déjeuner dans la salle commune. Il passe la plupart de son temps enfermé dans son appartement du dernier étage. Son secrétaire particulier lui apporte le déjeuner et le dîner…» (benoit-et-moi.fr).

Le pape préfère protéger sa personne au lieu de faire confiance au Christ et d'aller dans les rues faire des processions avec le Saint-Sacrement.

Il préfère les biens terresters au Salut Éternel!

C'est un imposteur. L'abomination de la désolation sur le trône de Saint-Pierre.

L’épilogue de cette saga du coronavirus approche, la clique judéo-maçonniste ressort ses pantins d’autrefois pour tester l’idée du gouvernement mondial auprès du peuple pour connaître l’état de soumission actuelle, et identifier les récalcitrants.

« 26 mars 2020 ( LifeSiteNews ) – Un ancien Premier ministre britannique a appelé à la création d’un gouvernement mondial pour faire face à la pandémie de coronavirus.

Gordon Brown, qui était à la fois Premier ministre et chef du Parti travailliste de gauche britannique de 2007 à 2010, a déclaré aux médias britanniques que le gouvernement mondial qu’il proposait traiterait les crises médicales et financières provoquées par COVID-19. Il dirigerait les efforts pour trouver un vaccin contre le virus, organiserait sa production et son achat et arrêterait les profiteurs. Cela permettrait également d’orienter la réponse des banques centrales, de protéger les marchés mondiaux émergents et de «convenir d’une approche commune de l’utilisation des dépenses publiques pour stimuler la croissance»…»

La dictature sanitaire en sera le moyen qu’ils ont trouvé pour faire avaler la pilule à ceux qui hésitent.

Nous arrivons au point de la marque de la bête de la l’Apocalypse.

« Nous faisons l’expérience dans notre chair qu’au nom de la santé, il est possible de révoquer la liberté, de suspendre les droits élémentaires et la démocratie, et d’imposer des règles restrictives sans si et sans mais, jusqu’au couvre-feu. Il est possible de mettre un pays en résidence surveillée, d’isoler des individus, d’empêcher tout rassemblement éventuel de personnes, de décomposer la société en molécules et de ne la maintenir qu’avec les instructions à distance du pouvoir sanitaire.
Mais si au total vous avez votre maison et votre confort minimum, votre vie passable, sinon sereine, alors non, la préservation de la santé est un impératif absolu, et justifie tout renoncement. Et notre société est une société préoccupée par sa santé et finalement nantie, qui a un impératif très humain et unanime de vivre aussi longtemps et aussi bien que possible. Par conséquent, face à la terreur d’être contaminé et au risque de mourir, il n’y a pas de droit, pas de liberté, pas de vote, pas d’opinion qui tienne. Tout d’abord, la santé. Le désir de sécurité, jusqu’alors imposé, devient une priorité absolue. C’est de la biopolitique. » (benoit-et-moi.fr)

Ne laissons pas tomber les bras.

Le Seigneur demande fidélité et persévérance.

Il est temps d’avoir son Rosaire proche et ses chandelles bénies de la chandeleur.

Et d'avoir sous la main la prière de Léon XIII à Saint-Michel Archange, instaurée après sa vision de l'enfer, lorsque les démons ont été relâchés en 1884.

Elle faisait partie de la Sainte Messe de 1886 jusqu'à Vatican II.

C'est Paul VI, et oui, qui la retira avant le dernier droit contre l'Église (voir analyse Paul VI dans les prophéties de l'Église)

Saint Michel Archange,
défendez-nous dans le combat
et soyez notre protecteur contre la méchanceté et les embûches du démon.
Que Dieu lui commande, nous vous en supplions;
et vous, Prince de la Milice Céleste,
par le pouvoir divin qui vous a été confié,
précipitez au fond des enfers Satan
et les autres esprits mauvais qui
parcourent le monde pour la perte des âmes.
AMEN.

25 mars

En ce jour glorieux de l’Annonciation, demandons la protection de la Sainte Vierge et de son Fils, NSJC.

Car, le « Pouvoir Religieux » de Babylone est sur le point de submerger le monde.

Babylone « Nations-Unies » a demandé le confinement, et par détour, l’arrêt de tout culte sur la Terre.

Babylone Vatican a suivi comme un mouton et a interdit la messe dans les églises.

Cette fenêtre qu’ils ont ouverte est un point de non retour.

« COVID-19: «l’humanité entière» menacée, l’ONU lance un plan » voit-on dans les médias aujourd’hui… Antonio Guterres, en lançant un « Plan de réponse humanitaire mondial » s’étendant jusqu’à décembre...
« Face à cette menace, « l’ensemble de l’humanité doit riposter. Une action et une solidarité mondiales sont cruciales », a-t-il ajouté, lors de la présentation via vidéo du plan de l’ONU. » (source : lapresse.ca)

Voilà.

Babylone lance un appel au dieu humaniste au lieu de s’adresser à la Sainte Vierge en ce jour béni.

Tout ce qui n’a pas trait à la nouvelle religion universelle doit être converti ou éliminé.

Il en est ainsi dans la prophétie concernant Benoît XVI.

Ce dernier est sur le point de décéder tout comme le Dalaï Lama (le saint aux pieds nus de la prophétie – voir analyse Jean-Paul II).

Les deux Babylone seront volontairement abattues pour faire place au nouvel ordre mondial (10 nouvelles régions mondiales, avec une monnaie commune, soit les 10 rois de l’Apocalypse qui régneront avec la bête pour une heure).

Pour les catholiques, c’est la Nouvelle Jérusalem en préparation, en silence, en prières.

« Que la Mère soit une ».

Jean XXIII annonce ensuite le programme : la destruction de tout ce que cette société prenait pour acquis, coulé dans le ciment, immuable, par le dévastateur annoncé par Daniel, le grand frère d’Orient à la croix renversée sans les lis.

« La terre détruira le ciment… »

Puisque les prophéties concernant Benoît XVI et François vont de pair, il est donc évident que François devra fuir Rome bientôt, démissionner, ou mourir.

La vision de Pie X est à nos portes :

« Ce que j’ai vu est horrible ! Sera-ce moi, sera-ce mon successeur ? Je l’ignore. Mais ce qui est certain, c’est que j’ai vu le pape fuir du Vatican en marchant sur les cadavres de ses prêtres ! Ne le dites à personne, tant que je vivrai !..
J’ai vu l’un de mes successeurs du même nom qui s’enfuyait par-dessus les corps de ses frères. Il ira quelque part, et après un bref répit, il mourra de mort cruelle. « Je vois les Russes à Gênes. »».

Les russes sont entrés en Italie… Cette semaine… À Rome… À deux pas du Vatican. Pour aider l’Italie avec le coronavirus en établissant une base militaire en Italie.

« Vu de Russie. Envoi d’aide en Italie : le geste pas complètement désintéressé du Kremlin » (courrierinternational.com)

La situation actuelle pousse aussi l’Iran dans ses tranchées. Le coronavirus est dévastateur et les religieux au pouvoir n’auront plus rien à perdre.

Nous pouvons estimer avec une grande probabilité maintenant que le grand frère d’Orient à la croix renversée sans les lis est l’Ayatollah Khamenie comme nous l’anticipions.

La situation en Italie n’est guère mieux. C’est la fin de l’Italie, comme prophétisé par Jean XXIII. La Chine et la Russie sont bel et bien en Italie… Par intérêt économique suivant la crise.

« Rebelle, ultime rebelle à l'Europe, liée par Sévère aux drapeaux rouges. » (prophétie Jean XXIII concernant la dernière Italie).

« La terre détruira le ciment » représente bien-sûr l’ouverture du 7ème sceau, c’est à dire « Mikail et Jean descendront sur terre. » de la prophétie concernant François.

Ce qui est confirmé par l’assassinat presque immédiate de Pierre le Romain de la prophétie de Saint-Malachie, du successeur de François, le cardinal Pietro Parolin, élu par acclamation ou par succession immédiate vu son poste de Secrétaire d’État.

Ce qui est confirmé dans la prophétie concernant Jean XXIII :

« Mais le jour où le Père qui viendra après lui des brumes sera frappé, même sa voix sera entendue dans la tombe. Le Père mort ouvrira le septième sceau.»

Et : « La terre frisera le massacre. Un seul mourra pour tous et il était le meilleur. »

Il est fort probable que nous allons assister à une guerre éclair dans ce contexte de coronavirus.

Les États-Unis seront très affaiblis et ne voudront pas perdre leur dominance mondiale.

L’Iran en profitera pour menacer.

Tout arrivera et se terminera rapidement. Les trois prophéties « Le Temps est Proche », la « Foudre en Plein Jour » et le « Grand Éclair à l’Orient » vont s’enclencher.

Puis viendra la période de fausse paix où Satan régnera pour un très court laps de temps comme indiqué par NSJC.
(Ce que nous indiquions hier via un écrit de Maria Valtorta : « Après la défaite de l’Antéchrist viendra une période de paix pour donner aux humains, secoués par la stupeur des sept plaies et de la chute de Babylone, le temps de se rassembler sous mon signe. L’époque antichrétienne atteindra sa puissance maximale dans sa troisième manifestation, c’est-à-dire à la dernière venue de Satan. »).

C’est la période prophétisée à La Salette :

« "Avant que ceci arrive, il y aura une espèce de fausse paix dans le monde ; on ne pensera qu'à se divertir ; les méchants se livreront à toutes sortes de péchés. Mais les enfants de la Sainte Église, les enfants de la Foi, mes vrais imitateurs, croîtront dans l'amour de Dieu et dans les vertus qui me sont les plus chères. Heureuses les âmes humbles conduites par l’Esprit-Saint ! Je combattrai avec elles jusqu'à ce qu'elles arrivent à la plénitude de l'âge. »

C’est la demi-heure de l’Apocalypse avant les 7 trompettes.

Le chapitre 17,12  de l’Apocalypse indique que les dix rois recevront le pouvoir de régner pendant une heure avec la bête.

Or, maintenant que sacrifice et de l’oblation sont interdits, nous savons que la domination du dévastateur sera de 3.5 années ou moins (car la période sera raccourcie).

Alors la moitié, une demi-heure, est d’environ 1.5 années.

Puis ce sera le Jugement.

Mais d'abord, la chute des deux Babylone.

« Où croyez-vous fuir, maintenant que vous avez détruit les Églises et tué le dernier Père ? »

« Attendez le signe de Jean. L'agneau est prêt. Signez-vous sept fois avec une main fatiguée et attendez. La lumière vient encore de l'Occident. »

Voilà.

La table est mise.

Nul ne connaît le Jour ni l’Heure, mais nous pouvons voir les signes comme indiqués par NSJC dans la parabole du figuier.

24 mars

« La ''Prise du Pouvoir Politique et Militaire'' par l'Antéchrist sous la conduite des Nations-Unies (notons, ici, que le premier Pouvoir étant situé au-dessus du Politique et Militaire, est un ''Pouvoir Religieux''). » (Le regretté Serge Monast, Le Complot des Nations-Unies contre la Chrétienté.)

Qui est éveillé ne se laisse pas berner.

C’est bel et bien une guerre de « Pouvoir Religieux » que nous avons sous les yeux.

L’attention est tournée vers une solution humaniste pour un problème qui dépasse l’humain. Autrefois, il n’y a pas si longtemps, nous aurions assisté à des grandes processions du Saint-Sacrement dans les rues.

Mais l’église s’est soumise au nouvel ordre mondial.

Et, le sacrifice et l’oblation ont cessé. À la moitié de la semaine probable prévue par Daniel.

C’était le but ultime de Satan. Il pense qu’il a vaincu le dernier obstacle. Ce qui est faux.

« … et sur l'aile des abominations viendra un dévastateur, et cela jusqu'à ce que la destruction et ce qui a été décrété se répandent sur le dévasté. » (Daniel, chap.9)

Le dévastateur… Le coronavirus?

Un rappel des paroles du Christ via Maria Valtorta pour identifier la période actuelle :

« Nous sommes maintenant dans la période que j’appelle la période des précurseurs de l’Antéchrist. Puis viendra celle de l’Antéchrist, qui est le précurseur de Satan. Celui-ci sera aidé par les manifestations de Satan, les deux bêtes nommées dans l’Apocalypse.Cette période sera pire que la période actuelle. Le Mal s’accroît toujours plus. Après la défaite de l’Antéchrist viendra une période de paix pour donner aux humains, secoués par la stupeur des sept plaies et de la chute de Babylone, le temps de se rassembler sous mon signe. L’époque antichrétienne atteindra sa puissance maximale dans sa troisième manifestation, c’est-à-dire à la dernière venue de Satan. »

Donc, la crise actuelle représente la fin, la défaite annoncée de l’antéchrist, avant la période de paix, prévue par les prophéties de Jean XXIII aussi.

Les 3,5 années de la semaine Daniel atteintes indiquent qu’un événement important est à nos portes.

Tout va aller très vite pour ce passage, cette Pâques, car celui qui retient le mystère d’iniquité indiqué par Saint-Paul, est sur le point de partir.

Il s’agît ici de Benoît XVI.

Rappel du Christ de sa lettre aux Thessaloniciens via Maria Valtorta:

« "Déjà le mystère d'iniquité est en action". Il reprenait en disant :

"Cependant il y a à présent celui qui le retient, et continuera à le retenir jusqu'au jour où il sera enlevé".

Lorsque les neuf dixièmes de l'Humanité repoussent Celui qui retient l'évolution du mystère d'iniquité, au point que ce mystère se change en horrible réalité, avec le règne infâme de la Bête qui se proclamera Dieu en prétendant aux honneurs divins; lorsqu'on réserve à la Bête des honneurs divins; lorsque cette Bête est invoquée et évoquée avec des rites obscènes pratiqués en son honneur; Dieu peut-il continuer à faire barrage au Serpent qui s'avance de l'abîme? »

C’est bien ce dont nous avons été témoins avec les rites païens observés à la basilique Saint-Pierre durant le synode amazonien.

Méditons ces paroles de NSJC via Maria Valtorta en ce temps si important :

« Lucifer ! Comme il doit rire de son rire horrible en ces temps, en ces heures de gloire qui lui appartiennent! Il se tient sur son trône — lui, le maudit, le foudroyé, le chassé par Dieu — il se tient sur le trône que les hommes lui élèvent, et l'Agneau est offert à son infâme dérision. On offre à son horrible raillerie Celui qu'il n'a jamais pu vaincre, Celui dans lequel il n'a jamais pu pénétrer, Celui qui l'a vaincu cent fois et mille fois, Celui qui l'oblige à s'avouer vaincu depuis vingt siècles, Celui qui le vaincra jusqu'à la fin, en libérant de son infâme puissance les esprits de bonne volonté.

Il sera vaincu. Mais en attendant il fait figure de vainqueur. Et le Sacrement des sacrements, ce mystère d'amour auquel l'amour humain même le plus séraphique ne parvient pas à rendre digne honneur, ce mystère d'amour est livré à Satan par des hommes comme moyen pour son triomphe éphémère. »

« Il suffit que Dieu vous abandonne, et déjà vous vous donnez la mort, l'angoisse, le désespoir de vous-mêmes. La colère de Dieu, la vraie, la colère immuable de Dieu, plus que par des châtiments, elle se manifeste par le fait de vous abandonner à vous-mêmes. Ce que vous appelez colère de Dieu, c'est-à-dire les guerres, les atroces moyens de destruction, les cataclysmes et les pestilences, ne sont pas vraiment colère sans retour, ou colère absolue. Ce sont des reproches, des rappels de la part d'un Père offensé, mais encore empressé à accorder le pardon et le secours à ses enfants coupables.

Mais lorsque "impiété et injustice" auront gagné 99% de l'humanité, lorsque l'impiété et l'injustice mentale ou matérielle auront envahi chaque classe sociale, au point de faire pénétrer l'abomination dans la maison de Dieu – l'abomination et la désolation dont vous parle le prophète et dont le Verbe vous donne confirmation, cette "désolation" dont vous n'avez pas encore saisi le sens exact, et dont il est dit qu'elle sera signe de la fin, et elle le sera – alors Dieu ne vous reprendra plus par des châtiments paternels (qui n'en sauvent plus beaucoup, il faut le dire, parce que le plus grand nombre d'entre vous est déjà au service de Satan), mais il vous laissera abandonnés à vous-mêmes. Il se retirera. Il cessera d'agir. Il cessera d'agir jusqu'au moment où, dans un éclair de son vouloir, il dira à ses anges d'ouvrir les sept sceaux, de sonner les quatre trompettes, de libérer l'aigle des trois malheurs. »

Il est toujours temps de choisir son camp afin de ne pas se retrouver dans le tiers de l’humanité, c’est à dire la 3è partie des humains.

Don Jean de Monléon (Commentaire sur l’Apocalypse) divise l’humanité en trois catégories :

- Ceux qui n’ont jamais commis de fautes graves et qui cherchent en tout temps à accomplir la loi de Dieu ;

- Ceux qui, après de sérieux désordres, se convertissent et font pénitence ;

- Ceux qui, au contraire, ne veulent point faire pénitence et meurent dans leur péché.

Cette dernière catégorie est celle de la mort de l’âme.

Les deux prochaines semaines sont importantes, surtout à partir du jeudi Saint.

Peut-être verront nous le Judas des derniers temps.

Tout cela sous le signe d’une comète qui approche.

Vive le Christ Roi! Vive Marie Reine du Monde! Vive Sainte-Jeanne D’Arc! Vive Saint-Jean Baptiste!

Qu’ils nous protègent et nous gardent dignes du Royaume des Cieux.

22 mars

C’est la plus grande crise depuis la deuxième guerre mondiale.

L’Italie est sous le choc.

On a vu la semaine passée que Bergame, patrie de Jean XXIII, était devenue l’épicentre du coronavirus en Italie.

Cette semaine, c’est Brescia, patrie de Paul VI, où la croix de Jean-Paul II était tombée, tuant un jeune touriste en avril 2014, est devenue le nouvel épicentre du coronavirus.

C’est la condamnation de Vatican II.

Les signes pour ceux qui ont les yeux ouverts sont évidents.

Satan a détruit la famille, tellement que l’humanité moderne ne sait plus ce qu’est la famille.

En congé forcé, dans leurs demeures, les parents sont forcés de redécouvrir la cellule familiale.

Le cycle de la génération loisirs est terminé. Ceux qui n'ont pas cultivé leur spiritualité, leur être intérieur, vont crouler sous le stress et l'anxiété.

Peu sont capables de vivrent reclus, avec soi-même, dans le silence.

La planète est paralysée.

La politique de la peur par l’élite judéo-maçonnienne est efficace.

Les mesures de confinements deviennent soudainement « lois martiales », « lois de mesures de guerre », etc.

Menaces d’emprisonnement jusqu’à 1 an en Jordanie, vérification des papiers par la police en France, l’armée dans les rues en Italie,…

Nous prépare-t-on un état policier mondial, avec une monnaie mondiale, une religion mondiale, via un vaccin mondial?

« Ceux qui renoncerait à une liberté essentielle pour acquérir un peu de sécurité temporaire, ne méritent ni la liberté ni la sécurité. »

Benjamin Franklin

Cela résume bien la pensée judéo-maçonnique.

Pour ceux qui ne le savent pas, Franklin, un des pères fondateurs des États-Unis, fut un franc-maçon notable des loges américaines et françaises (il a initié Voltaire entre autre).

Cette période « des lumières » dont il fut participant, menant à la révolution de 1789 et qui coupa la royauté de droit divin, fut un coup de barre monumental de Satan dont nous voyons l’aboutissement maintenant (voir les écrits de Pierre Hillard).

Il y a guerre de pouvoirs. Le clan de Satan est divisé et s’autodétruira.

Poutine devient empereur avec la modification de la constitution.

Poutine sème le chaos avec la guerre du pétrole contre l’Arabie Saoudite.

Poutine bloque les résolutions aux Nations-Unies dont la dernière : les membres du conseil des Nations-Unies devant l’épidémie monstre dans l’État de New York ont demandé de suspendre les votes en personne. La Russie a mis son droit de veto.

La tactique de Poutine est de semer le chaos pour ensuite proposer les solutions avancer par la Russie pour résoudre les problèmes qu’il a lui même engendrés.

Notre Dame à Fatima mentionnait de se méfier de la Russie, du communisme, et demandait sa consécration, ce qui ne fut fait correctement.

Le résultat est là.

L’abbé Souffrant avait prédit la chute de la République Française l’année des deux printemps.

2020 est une année de deux printemps.

Sa prophétie continuait par l’envahissement de la France par la Russie via l’Italie.

Ce chaos fait naître l’espoir pour les chrétiens allumés.

Le Temps est Proche.

« Ouvrez votre cœur au lis. La voix sera puissante, annoncée par les trompettes. » Prophétie concernant l'Église #12

19 mars

En cette fête de Saint-Joseph, 7 ans depuis l’intronisation de l’antichrist François, qui personnifie la bête de la mer de l’Apocalypse, celui dont parle NSCJ en référence au prophète Daniel.

Nous entrons dans la septième période de l’Apocalypse. Tout va s’accélérer.

« Mais le jour où le Père qui viendra après lui des brumes sera frappé, même sa voix sera entendue dans la tombe. Le Père mort ouvrira le septième sceau.» spécifie Jean XXIII dans la prophétie le concernant. Nous approchons.

Dans son livre « le Prophète Daniel », Dom Jean de Monléon, en référence à ce passage, « sache seulement que, depuis le moment où le sacrifice perpétuel aura été aboli, c’est-à-dire depuis le moment où l’Antéchrist, à l’apogée de sa puissance, aura réussi à empêcher sur la face entière de l’univers, tout acte de culte public envers Dieu et à établir à la place, l’abomination de la désolation, c’est-à-dire se faire adorer lui-même, il s’écoulera 1290 jours, soit trois ans et demi. (p.218). »

Tout acte de culte public envers Dieu. C’était impensable… jusqu’à ce que le coronavirus apparaisse.

Toutes les célébrations sont interdites un peu partout sur la planète.

Nous vivons la mise à mort des deux témoins de l’Apocalypse, ceux fidèles à la loi et aux prophètes, ceux qui résistent.

Nous allons voir le signe de la bête, le 666, à son apogée.

Satan, prince du mensonge, est le maître incontesté de l’inversion. Il se présente donc avec le masque du Bien, mais dirige le monde dans l’abîme.

En voulant sauver le monde du coronavirus, il provoque une inversion inimaginable pour l’aveugle humaniste : il l’entraîne dans le chaos qui le mènera à la perte de son âme s’il ne se réveille pas.

Jean XXIII dans « Le temps est proche », durant le temps des deux empereurs, spécifiait que « Les cris et les barrières de la contestation se lèvent, mais déjà la Bête sort de l'eau. »

Déjà la bête sort de l’eau, c’est à dire de la foule, et c’est la bête de la mer, donc François.

Ce que Pier Carpi avait interprété :

« « déjà la Bête sort de l'eau ». Nous sommes dans l'Apocalypse de Jean, aux signes de la fin des temps, peut-être seulement de manière figurative, selon la clef symbolique qui sous-entend la fin d'un type de vie, pour l'avènement d'une civilisation humaine supérieure, fondée sur la foi, la connaissance, la fraternité entre les hommes.
C'est en ce sens que j'ai cru pouvoir interpréter toute la clef des prophéties d'Angelo Roncalli. Si, en de nombreux endroits, cataclysmes, famines, guerres, peurs menacent l'humanité, ce sont les paroles de consolation, de résurrection, de progrès authentique des hommes qui prédominent. Tout le texte, à mon avis, est remarquablement riche d'espoir, je dirais de foi dans l'avenir de l'homme, lié à son essence indivisible de fils, de créature de Dieu. »

Il avait vu juste. À une virgule près : c’est l’humanisme mais sans Dieu.

En 1988, la revue « The Economist » (propriétaire des hautes sphères judéo-maçonnistes soumises à Satan) annonçait le nouvelle monnaie, le Phoenix pour 2018.

Avec cette crise du coronavirus, on parle déjà d’abolir la monnaie sonnante, car l’argent papier peut être porteur de virus.

L’économie est à l’arrêt. Les célébrations eucharistiques sont à l’arrêt.

Le cri de célébration de Satan est donc proche.

Cette fenêtre d’opportunité inespérée ou  concoctée de toutes pièces ne se représentera probablement plus; à moins d’une guerre.

Les prochaines semaines sont à surveiller, et surtout la célébration de la semaine Sainte à l’intérieur de la basilique Saint-Pierre, devant la « tombe du va-nu-pieds » en référence à la prophétie concernant Benoît XVI.

D’autant plus que nous aurons probablement le signe d’une comète commençant à être visible durant la semaine Sainte.

Est-ce le coronavirus?

« La terre détruira le ciment et de terre sera, Reine, ta nouvelle Église.»

Ou, est-ce la purification par le feu?

NSJC a donné 100 ans au démon pour mettre à bas son Église.

La Sainte Vierge a averti en 1917 que le socialisme-communisme (nouvel ordre mondial) est l’ennemi, l’antichrist système.

C’est à partir de ce moment que le reste des monarchies ont été abolies, que la révolution bolchevique a eu lieu, que la franc-maçonnerie a accentuée son emprise au Vatican par infiltration.

Puis est venu l’accord du Latran, établissant le royaume du Vatican. L’église est ainsi devenue temporelle.

La Société des Nations s’est transformée en Nations-Unies après la deuxième guerre mondiale.

Puis est venu Vatican II et Jean XXIII.

Et puis la technologie a séduit les âmes.

La bête de la Terre et la bête de la mer ont ainsi marché main dans la main pour établir le pouvoir du dragon.

1917+100 ans nous donne 2017.

Le Christ a avertit via les mystiques que Satan le singerait à la fin des temps.

Il aurait son heure de gloire par une mort et une résurrection annoncée.

La civilisation que nous connaissons va à la mort pour faire renaître le système mondial humaniste dans toute sa splendeur. Le 666 de l’Apocalypse.

Du côté spirituel, le catholicisme est sur le point de s’éteindre pour être remplacé par l’œcuménisme.

27 octobre 1986 : la rencontre d’Assise de Jean-Paul II réunissant les têtes dirigeantes des diverses religions mondiales est le fruit de Vatican II.

Comme le Christ, elle représente la naissance de la vie cachée de l’antichrist, pour une durée totale de 30 ans.

Le 20 septembre 2016, François retourne à Assise pour célébrer ces 30 ans, ce qui est le signal du début de la vie publique de l’antichrist.

Qui commence avec cette fraternisation avec les luthériens en octobre 2016.

L’antichrist ne se cache plus, mais les aveugles ne peuvent le voir.

Les horreurs des synodes ont suivis et François annonça le 15 octobre 2017 que tous verraient le triomphe de l’antichrist par la tenue d’un synode amazonien en octobre 2019.

Ce qui fut fait par des célébrations païennes à l’intérieur des églises de Rome, le culte à la terre mère, la pachamama.

Les auteur de la revue judéo-maçonnique « The Economist », inspiré par Satan, avait effectivement annoncé la venue de l’antichrist sur sa couverture de 2017 (lien ici. Vous pouvez observer les détails avec la loupe virtuelle)

La carte de la tour foudroyée en deux produisant le V de la victoire: le schisme au Vatican (subtilement, c’est la tour de l’écusson papale de Jean XXIII), mais c’est aussi le système humaniste socialiste d’un côté et la chrétienté de l’autre, suivie de la carte du jugement via le pion Trump.

La carte suivant représente le monde moderne, soumis, pris dans la toile d’araignée, qui a beau contesté (carte suivante) mais qui va à sa perte car le ravin trop haut pour s’en échappé, conduit par l’ermite-élitiste.

La mort est le résultat (coronavirus?). Mort physique, mort spirituelle, et mort du système économique qui malgré le déversement gigantesque à l’infinie de monnaie fraîche dans le système depuis 2017 (carte du magicien avec le symbole de l’infini au-dessus de sa tête) est représentée par la carte de la roue de fortune.

Puis vient la carte de la comète.

3 années de vie publique donc d’octobre 2016 à octobre 2019.

3 mois de plus pour la publication de l’exhortation amazonienne.

Ce qui colle à la semaine probable du prophète Daniel.

L’antichrist en effet est prêt pour sa crucifixion et sa résurrection.

Après seulement viendra la période de paix prophétisée par plusieurs dont Jean XXIII, la demi-heure de silence de l’Apocalypse, avant le jugement final.

La Pâques (le passage) de l’antichrist semble sur le point de remplacer la Pâques chrétienne en 2020.

Il ne faut pas se laisser berner.

Le regretté Serge Monast avait averti :

« ...L'Église, sous le pouvoir de l'Anti-Pape, sera absolument identique à l'Église de Jérusalem au temps de Jésus-Christ. Elle partagera l'idéologie des Nations-Unies de la même manière que les Prêtres du Temple partageaient l'Idéologie et le Pouvoir avec les Romains. Elle conservera les croyances en Jésus-Christ comme façade afin de dissimuler ses réels intérêts qui seront, en réalité, la richesse, le Pouvoir Politique et Religieux, et l'opportunisme sur tous les fronts tel que cela était le cas de l'Église de Jérusalem au temps de l'Empire Romain. Elle établira de nouveaux ''Concepts Religieux'', tous basés sur la divinité de l'Homme où celui-ci sera considéré comme étant le ''Centre''... ... En accord avec l'Agenda International à remplir, la première initiative de l'Anti-Pape en sera une de réconciliation truquée avec l'ensemble des Églises Chrétiennes du monde... L'élection d'un Anti-Pape aura eu pour effet de provoquer un ''Schisme'' majeur, supposé être le dernier devant survenir dans le Monde Chrétien…

Voici donc le «Mensonge des Mensonges»! Voici «l'Abomination des Abominations»! Les faux chrétiens étant à la tête de la nouvelle église mondiale; et prétendant être les seuls et uniques représentants de Jésus-Christ d'un côté; de l'autre, les vrais et réels disciples de Jésus-Christ sur la route du Calvaire considérés comme étant les ennemies de l'État Mondial tel que cela était le cas, il y a deux milles ans, en face des prêtres de Jérusalem, et en face de l'empereur romain à Rome.»

La comète ATLAS continue de surprendre. Elle s’active plus vite que prévue.

C’est stupéfiant cette synchronisation avec le coronavirus, la semaine Sainte, et le mois de Marie.

Une photo prise hier. Profitez-en pour observer les merveilles créées par le Père car l’image est en haute densité. Beaucoup de galaxies et d’étoiles. C’est magnifique.

18 mars

Ils ont créés le chaos, et les Ministres du Soleil ont confié le troupeau aux loups.

« Et le peuple suit : soumis, sonné, résigné, convaincu même…. o n’a jamais envoyé les moutons à l’abattoir avec autant d’assentiment de leur part, car les animaux, eux, le sentent quand on les mène à la mort, tandis que nous….

Les banques centrales n’ont qu’une seule utilité, elles payent et éviteront la faillite de certains acteurs de la finance, mais… cela ne changera rien à l’histoire à savoir que l’on ne peut pas « imprimer » un vaccin, que l’on ne peut pas imprimer pour l’économie réelle.

Retenez bien ceci.

Les impressions de billets sont efficaces pour l’économie financière qui ne vit que de fausse monnaie et de reconnaissances de dettes.

Les impressions de billets sont inefficaces pour sauver l’économie réelle. » (Charles Sannat – Insolentiae.com)

« Le cardinal Stella invite à célébrer Pâques chez soi, en communion avec le Pape.

La seule fois dans l’histoire récente où le Vatican à limiter les célébrations de Paques, ce fut en 1941 en pleine Seconde Guerre mondiale. Pie XII avait alors estimé que «la tristesse des temps actuels pour l’humanité ne s’harmonisait pas avec la fête de joie qui constitue le caractère principal de Pâques, fête de résurrection». Il avait lu à la radio son message Urbi et Orbi «depuis la solitude de sa bibliothèque privée», écrivait alors le quotidien français La Croix. » (vaticannews.va)

Le sacrifice perpétuel est pratiquement à l'arrêt. C'est bien ce que voulais les élites judéo-maçonniques. L'enjeu c'est la messe. L'oecuménisme globaliste va essayer de combler le vide. Le « messie » juif de l'élite est sur le point d'apparaître selon quelques rabbins.

L’épicentre du coronavirus en Italie est la patrie de Jean XXIII, comme un signe condamnant Vatican II.

« Coronavirus: les prêtres de Bergame paient un lourd tribut.

Le diocèse de Bergame est particulièrement exposé dans la lutte contre l’épidémie de coronavirus et le soin pastoral aux malades. Au moins six prêtres de ce diocèse ont déjà perdu la vie après avoir contracté cette maladie...

Bergame, une localité de 120 000 habitants située au nord-est de la Lombardie, vit les heures les plus sombres de son histoire récente. Ce territoire habituellement tranquille et prospère, qui vit naître saint Jean XXIII en 1881 dans le village de Sotto il Monte, est devenu l’épicentre de l’épidémie de coronavirus qui a pris une ampleur extrêmement violente en Italie du Nord, le cœur industriel et économique du pays. »
(vaticannews.va)

Et dans tout ce chaos (assez incroyable tout de même; la planète est à l’arrêt. L’auriez-vous cru? C’est tout un tour de force.), le Danemark adopte une loi autorisant les vaccinations forcées contre les coronavirus

En Israël, Netanyahu se donne de larges pouvoirs d'écoute téléphonique pour lutter contre le coronavirus «ennemi invisible».

Poutine change la constitution et devient lui aussi un candidat au titre d’empereur.

Les deux témoins (ceux fidèles à la loi et aux prophètes) sont toujours à l'oeuvre:

« Quand les Ministres du Soleil confient le troupeau aux ténèbres.

Ce à quoi nous assistons en ces heures est dramatique; dans toute l’Italie, certes, mais de manière tragiquement exemplaire à Rome, cœur de la catholicité. Un scénario d’autant plus déconcertant que l’enjeu n’est pas seulement la santé publique mais le salut des âmes, le salut éternel, dont nous avons depuis longtemps cessé d’enflammer nos fidèles en tant que pasteurs. Nous les avons ainsi privés de ces dons surnaturels qui nous rendent capables d’affronter les épreuves d’ici-bas, jusqu’aux assauts de la mort, avec la force de la foi et avec ce frisson d’espoir inépuisable et inébranlable qui nous vient de l’aspiration au destin de gloire pour lequel nous avons été créés.

Les déclarations de la CEI et celles du cardinal vicaire de Rome, ainsi que les images surréalistes et spectrales qui nous parviennent du Vatican, sont autant d’expressions de l’obscurcissement de la foi qui a frappé les sommets de l’Église. Les Ministres du Soleil, comme aimait les appeler sainte Catherine de Sienne, en ont provoqué l’éclipse, livrant le troupeau aux caligines des ténèbres épaisses.

A propos des mesures prises par la Conférence épiscopale: alors que celles émises par l’État étaient encore limitées aux seules zones à risque, à des exercices déterminés et à des tranches horaires précises, la Conférence épiscopale italienne avait déjà annulé la totalité des célébrations liturgiques publiques dans toutes les églises du territoire, contribuant ainsi à alimenter la peur et la panique et privant les fidèles du confort inaliénable des sacrements. Il est difficile de ne pas penser qu’une telle mesure n’a pas été proposée au président de la CEI par celui qui, protégé par les murs léonins, rêve depuis sept ans d’une église sortante, accidentée, hôpital de campagne, qui n’hésite pas à embrasser tout le monde et à se salir.

Le cardinal Bassetti, zélé au point d’apparaître plus royaliste que le roi, semble avoir oublié une leçon très importante: c’est que l’Église, pour servir le bien commun et l’État, ne doit en aucun cas renoncer à elle-même, ni faillir à sa mission d’annoncer le Christ notre seul Seigneur et Sauveur, elle doit se garder d’obscurcir ses divines prérogatives de Sagesse et de Vérité et ne doit d’aucune façon abdiquer l’Autorité qui lui vient du Souverain des rois de la terre, Notre Seigneur Jésus-Christ.

Les événements ecclésiaux de ces heures ont mis en évidence, s’il en était encore besoin, la tragique sujétion de l’Église à un État qui s’efforce et fait tout son possible pour détruire l’identité chrétienne de notre Italie, l’asservissant à un agenda idéologique, immoral, ennemi de l’homme et de la famille, mondialiste, malthusien, avorteur, immigrationiste, qui veut la destruction de l’Église, et certainement pas le bien de notre pays.

Quelques prêtres et fidèles laïcs, faisant preuve de courage et de sagesse, ont pourvu à l’absence d’une voix faisant autorité et de gestes d’encouragement de la part du Vicaire du Christ et des pasteurs .

Ouvrez, ou plutôt ouvrez grand les portes au Christ! Ouvrez, ou plutôt, ouvrez grand les portes de nos églises afin que les fidèles puissent y entrer, se repentir de leurs péchés, participer au Saint Sacrifice de la Messe et puiser au trésor de grâces qui jaillissent du Cœur transpercé du Christ, notre seul Rédempteur qui peut nous sauver du péché et de la mort.

Carlo Maria Viganò

13 mars

7 ans de pontificat pour François, fêtés en pleine crise du coronavirus.

Place Saint-Pierre et la basilique sont vides. (webcams Vaticanstate.va)

Seul témoin à l’intérieur de la basilique Saint-Pierre : la webcam du tombeau de Jean-Paul II… Et puisque nous approchons rapidement de la fin de la prophétie concernant Benoît XVI… Qui sait ce qu’elle nous réserve?..

« devant la tombe du va-nu-pieds, éclatera le règne béni de la Très Sainte Vierge. Écoutez ses paroles. »

Qu’arriverait-il si Benoît XVI décédait? Aucune cérémonie à la basilique étant donné le coronavirus?

Il faut aussi toujours avoir en mémoire les 7 années de la semaine de Daniel entre les deux hypothèses plausibles : depuis l’apparition de la fille de Caïn (vois analyses précédentes) ou depuis la célèbre signature de François avec les luthériens en Suède en octobre 2016…

Car 2016 + 3.5 années donnent avril 2020.

Arrêt du sacrifice et de l’oblation en avril 2020… Et si la messe de Pâques était annulée le 12 avril à cause du coronavirus?

Çà commence déjà à être le cas aux États-Unis :

« Un évêque américain annule la célébration publique de Pâques à propos du coronavirus
L'évêque Anthony B. Taylor de Little Rock, Arkansas a également annulé les confirmations, qualifiant la Sainte-Cène de `` rassemblement non essentiel '', et décourage l'onction des malades pour les personnes souffrant de coronavirus. » (lifesitenews.com)

Antonio Socci:

«Ce pontificat a commencé avec le slogan« église sortante » et maintenant le pape et les cardinaux se sont littéralement barricadés au Vatican (même l'Angélus a été diffusé en direct) à cause du coronavirus. [...] Il n'y a plus de ponts, mais des murs, très hauts et infranchissables, derrière lesquels se cachent le pape, les cardinaux et les monarques », écrit-il dans un article du 9 mars.
 
Socci a déclaré que le virus a révélé la "grande hypocrisie de" l'Église progressiste "" en ce que, tandis que le pape François a dit que "le berger doit prendre l'odeur des moutons", lui et d'autres bergers se sont enfermés et ont décidé de rester "Bien à l'écart des moutons et de leur souffle."

«L'autre slogan de Bergoglio était« l'église est un hôpital de campagne ». Et ici, dès que l'épidémie a éclaté, les traces de cet hôpital de campagne sont totalement perdues », écrit-il.

Socci a déclaré que la situation était "complètement déroutante pour les catholiques, qui ont l'impression d'avoir été abandonnés par ceux qui devraient être leurs pasteurs".

Socci a également déclaré dans un autre article que la fermeture de toutes les messes publiques «enseigne que dans le malheur, il vaut mieux laisser Dieu derrière lui, 'parce qu'il ne sert à rien.' » (lifesitenews.com)


L’Église est veuve comme dans la prophétie concernant Benoît XVI.

Et la situation mondiale ressemble de plus en plus à la prophétie « Le Temps est Proche ».

Avec tous ces confinements au niveau mondial pendant un certain temps, c’est la mort de l’économie telle que nous la connaissons.

La vigueur d’une économie repose sur la rapidité des échanges. Or, ceux-ci étant arrêtés, il n’y a plus qu’à constater la mort ce cette dernière.

Ce que l’on voit sur les bourses internationales.

La famine suivra dans certains endroits comme dans la prophétie.

La Chine qui menaçait l’hégémonie du puissant dollar américain et qui le faisait tout autant avec ses nouvelles armes, a le genou à terre.

Dieu a déchaîné la guerre de la nature.

Les exercices militaires de grandes envergures en Europe et en Norvège qui devaient débuter cette semaine ont été annulés.

Mais la situation est loin de se refroidir du côté de l’Iran.

La temps de fausse paix, le silence d'une demi-heure décrit dans l'Apocalypse approche.

Mais auparavant, le « Grand Éclair à l'Orient ».

11 mars

Pendant que l’attention est détourné par la crise du coronavirus, le Vatican annonce que la basilique et la place Saint-Pierre sont fermés jusqu’au 3 avril, tout comme la suspension des messes jusqu’à cette date dans toute l’Italie.

La réponse du responsable de l’église polonaise, elle, est centrée sur la foi, comme il devrait en être en Italie et ailleurs:

« Les évêques polonais appellent à davantage de messes en réponse au coronavirus: «inimaginable» pour fermer les églises
«Tout comme les hôpitaux traitent les maladies du corps, l’Église sert, entre autres, à traiter les maladies de l’âme; c’est pourquoi il est inimaginable de ne pas prier dans nos églises », a déclaré l’archevêque Stanisław Gądecki, chef de la conférence épiscopale polonaise… »

… L’historien italien Roberto de Mattei a décrit comment le pape saint Grégoire le Grand a réagi à un fléau mortel lors de son pontificat. Après son élection en 590, Grégoire a dirigé une procession pénitentielle des fidèles à travers Rome.
«Alors que la multitude traversait la ville, dans un silence sépulcral, la peste atteignit un tel point de fureur qu’en l’espace d’une heure, quatre-vingts personnes tombèrent mortes au sol. Cependant, Grégoire n’a pas cessé une seconde d’exhorter les gens à continuer de prier et a insisté pour que l’image de la Vierge peinte par saint Luc et conservée à Santa Maria Maggiore soit portée au devant de la procession », a raconté de Mattei… » (lifesitenews.com).

Mais le pape a donné encore une fois la preuve que sa foi est ailleurs…

Il a célébré l’angélus de dimanche en vidéo conférence sur la place Saint-Pierre avec une rapide visite au balcon pour saluer.

« Ce pontificat a commencé avec le slogan « l’église sortante » et aujourd’hui le pape et les cardinaux se sont littéralement barricadés au Vatican (même l’Angélus a été diffusé en streaming) à cause de la peur du coronavirus…

La grande hypocrisie de l' «église progressiste» se révèle aussi de cette façon. Bergoglio disait que les bergers doivent prendre l’odeur des brebis, mais lui et les bergers se sont enfuis et maintenant ils sont bien loin des brebis et de leur souffle (seuls quelques curés restent dans les tranchées)…

L’église de Bergoglio a décrété que pour les fidèles, la messe est finie et que pour la première fois en deux mille ans, le pays qui est le centre du christianisme restera totalement, et pendant des jours, sans messe.

Un événement qui peut laisser les athées et les agnostiques indifférents, mais pour des millions de catholiques, c’est un véritable choc. Non seulement parce qu’ils sont privés du sacrifice eucharistique précisément dans une situation épidémique tragique, dans laquelle le besoin de prier se fait le plus sentir, mais aussi à cause de ce qu’est la Messe en soi. Padre Pio de Pietrelcina disait: « le monde pourrait être sans soleil, mais il ne pourrait pas être sans la Sainte Messe ».

Un paradoxe avec lequel le saint mystique entendait faire comprendre la puissance infinie d’intercession et de protection qu’est – pour l’humanité toute entière – le renouvellement quotidien du sacrifice du Christ sur la croix: le grand exorcisme qui protège le monde du mal et de l’autodestruction.

On a évoqué la prophétie apocalyptique de Daniel qui vit un jour « le sacrifice quotidien aboli » et « l’abomination de la désolation érigée ». C’est évidemment un événement traumatisant pour l’Église…

Pour la première fois depuis des siècles, dans une calamité comme celle-ci, Dieu a été totalement effacé. Depuis vingt siècles, sur notre terre ,c’est le contraire qui s’est produit. Toutes nos villes ont des églises qui sont des ex voto pour la fin des fléaux, durant lesquels les villes se mettaient sous la protection de la Vierge. Aujourd’hui, Dieu est effacé.

C’est une situation sans précédent, qui désoriente complètement les catholiques, qui se sentent abandonnés par ceux qui devraient être les bergers, mais qui se sentent aussi privés de la présence de Dieu au moment où le besoin de se confier et de prier est le plus fort (benoit-et-moi.fr). »

Quelle que soit l’époque et peu importe le fléau, L’Église catholique a toujours considéré le recours à Dieu et exprimé sa foi.

La fin de la feuille de route de François s’additionne d’un détail avec le synode sur la synodalité convoqué en 2022.

Il attend la fin du synode allemand qui dure 2 ans.

Il mettra fort probablement les conclusions dans son exhortation 2022. Les réformes allemandes serviront donc de finir le travail non achevé de l’exhortation amazonienne.

« « Le pape François appelle à la prochaine réunion mondiale des évêques pour se concentrer sur la «synodalité»

Le terme vague est considéré par certains évêques comme un mot de code pour changer la façon dont l'Église est structurée.

ROME, Italie, 9 mars 2020 ( LifeSiteNews ) - Le pape François a décidé que le prochain synode mondial des évêques en octobre 2022 se concentrera sur la «synodalité».

La devise «Pour une église synodale: communion, participation et mission» a été annoncée samedi par le cardinal Lorenzo Baldisseri, secrétaire général du synode des évêques.

Le cardinal Raymond Burke a critiqué le concept de «synodalité» dans une interview de 2018.

"C'est devenu comme un slogan, destiné à suggérer une sorte de nouvelle église qui est démocratique et dans laquelle l'autorité du pontife romain est relativisée et diminuée - sinon détruite", a déclaré le cardinal Burke dans une interview exclusive avec LifeSiteNews à l'époque...

Selon le cardinal Burke, le sens traditionnel du terme synode était «de trouver des moyens d'enseigner la foi catholique plus efficacement et de promouvoir la discipline appropriée dans l'Église. C'est essentiellement ce qu'est un synode d'évêques - c'est sa définition. »

«C'est une réunion des évêques pour aider le Pape à voir comment enseigner la foi plus efficacement et comment promouvoir une vie chrétienne plus fidèle conformément à la discipline de l'Église», a-t-il poursuivi. "Mais maintenant, apparemment, le terme 'synodalité' est utilisé pour suggérer que les conférences des évêques auraient une autorité doctrinale."

Le cardinal Robert Sarah, préfet de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements, a également critiqué la synodalité telle qu'elle a été présentée lors du pontificat actuel.

«Les gens essaient de détacher les églises locales de Rome. Les gens veulent être autonomes vis-à-vis de Rome et du vicaire de Jésus-Christ, c'est-à-dire Pierre, lui qui donne des directives à l'église de Rome », a déclaré Sarah.

Mgr Athanasius Schneider a également fait part de ses préoccupations concernant le concept de synodalité, affirmant dans une interview en 2018 que cette expression était utilisée par les principaux dirigeants de l'Église au moment du Synode des jeunes comme un moyen de «promouvoir leur propre programme».

«Pousser à travers le thème de la« synodalité »dans le document final (du Synode des jeunes), au mépris des méthodes synodales authentiques… est la démonstration d'un cléricalisme exaspéré. Un tel cléricalisme «synodal» vise à transformer la vie de l'Église en un style de parlement mondain et protestant avec des discussions et des processus de vote continus sur des questions qui ne peuvent pas être mises aux voix », a-t-il dit...

Le Saint-Père a souligné que depuis le début de son ministère «en tant qu'évêque de Rome» en 2013, «j'ai cherché à renforcer le synode, qui est l'un des héritages les plus précieux du Concile Vatican II».

Il a fait référence au pape Paul VI, qui a établi le synode des évêques comme institution dans l'Église en 1965, juste avant la fin de Vatican II. «Pour le bienheureux Paul VI, le synode des évêques était censé reproduire l'image du Concile œcuménique et refléter son esprit et sa méthode», a déclaré le pape François...

Selon le pape François, la hiérarchie dans l'Église est comme «une pyramide inversée»...

Les évêques allemands ont utilisé le concept de synodalité pour pousser leur propre agenda dans leur «voie synodale» de renversement de l'enseignement sexuel catholique...

Le pape François, dans son discours de 2015, a souligné l'importance de la synodalité pour les relations entre l'Église catholique et les autres communautés chrétiennes.

«Je suis persuadé que dans une église synodale, une plus grande lumière peut être apportée sur l'exercice de la primauté pétrinienne. Le Pape n'est pas, par lui-même, au-dessus de l'Église; mais en son sein comme l'un des baptisés, et au sein du collège des évêques comme évêque parmi les évêques, appelé en même temps - en tant que successeur de Pierre - à diriger l'église de Rome qui préside en charité à toutes les églises », a déclaré François...

Aucune information allant au-delà de la devise du prochain synode sur la synodalité n'a été divulguée. Cependant, Marc Frings, secrétaire général du Comité central des catholiques allemands et acteur clé du Chemin synodal, a déjà signalé l'influence allemande à laquelle on peut s'attendre.

«Pour l'instant, (le pape François) ne rêve« que »d'une véritable synodalité. À l'automne 2022, (le chemin synodal) sera pour le moment terminé. Les catholiques allemands seront prêts à partager leurs expériences et leurs résultats concrets avec l'Église universelle », a-t-il tweeté .  »

Dans l’analyse du 8 décembre 2019, nous confirmions que selon plusieurs experts les mois de février et mars étaient la dernière fenêtre pour une chute de l’économie et la limite pour déclarer la guerre à l’Iran (avant les élections présidentielles américaines.)

Nous y sommes.

09 mars

Coronavirus :

C’est le chaos économique et probablement le dernier acte de la mondialisation par l’élite, et c’est la guerre de la nature prophétisée par Jean XXIII.

Charles Sannat discute de l’anticipation et de la préparation à une telle crise (vidéo).

« Pourquoi la crise économique sera bien pire que celle de 2008 »

On a vu dans la dernière analyse que le pacte éducatif du pape sera signé le 14 octobre prochain, après l’anniversaire de la 103ème année du miracle du Soleil à Fatima.

En mars 2018 nous avions constaté dans nos analyses que la Sainte Vierge agissait avec un délai lié au nombre 3, le chiffre de la Trinité (avertissement 3 mois avant la révolution bolchévique, etc...).

Le 100 + 3 du 13 octobre 2020 pourrait donc être important.

Il faut toujours avoir en mémoire le chiffre 153, le nombre caractéristique de la mission du Christ dans le nouveau testament qui symbolise l’ensemble des rachetés.

Il pointe la période du tri du bon grain de l’ivraie cité par NSJC dans la bible.

L’église est veuve depuis le 28 octobre 2018.

Jean XXIII relie ce veuvage à la prophétie de Benoît XVI où «Deux frères et personne ne sera le vrai Père. La Mère sera veuve.», de même qu'il confirme le tout à la prophétie de l'Église #11 où «Où croyez-vous fuir, maintenant que vous avez détruit les Églises et tué le dernier Père ?».

Le 28 octobre 1958 Jean XXIII, est élu à la papauté grâce à la franc-maçonnerie selon plusieurs sources. C'est l'entrée officielle de l'ennemi au Vatican.

Or,  Saint Paul prescrit qu'une femme ne peut être inscrite au groupe des veuves que si elle est âgée d'au moins 60 ans. (1 Ti 5,9)

On sait depuis août 2018 que la fille de Caïn, Greta Thunberg, a commencé le compte à rebours des 7 ans prophétisés par Jean XXIII.

En septembre 2018, la bête de la Terre, Emmanuel Macron, apôtre évident de la nouvelle religion des changements climatiques, a été désigné «champion de la Terre» à New York le 26 septembre 2018, aux Nations-Unies.

Nous apprenions le 26 septembre 2018 que la bête de la mer, le pape François, avait signé l’accord Chine-Vatican sur la nomination des évêques, provoquant l’ire du cardinal Zen.

Nous pouvons donc affirmer que la probabilité du début de la semaine prophétisée par Daniel a débuté à l’automne 2018.
Or, ce que craignais le cardinal Zen sera conclu en 2022. L’exemple de la Chine sera appliqué à toutes les églises.

François convoque un autre synode :

« Le Pape convoque un synode sur l’Église et la synodalité en 2022
Dans deux ans, la prochaine assemblée générale ordinaire du synode des évêques se tiendra sur le thème de la synodalité…
«Pour une Église synodale : communion, participation et mission» : c’est le thème de la XVIe assemblée générale ordinaire du synode des évêques convoquée par le Pape François…

Niveaux de synodalité

Le premier niveau d’exercice de la synodalité a lieu dans les Églises particulières. Le deuxième niveau est celui des provinces et des régions ecclésiastiques, des conseils particuliers et surtout des conférences épiscopales. Le dernier niveau est celui de l’Église universelle. «Ici, le synode des évêques, représentant l’épiscopat catholique – a rappelé le Pape – devient une expression de la collégialité épiscopale au sein d’une Église synodale». » (vaticannews.va).

C’est l’annonce de la fin de la feuille de route, car l’exhortation de ce synode signifiera que la pyramide sera inversée et que les décisions doctrinales et pastorales se prendront à la base. François aura réussi et l’Église n’aura plus de tête.

Rappelons l’extrait de la dernière lettre de Zen:

« D’ailleurs, quels seraient ces changements doctrinaux ? Le cardinal Re ne l’explique pas clairement, mais ils concernent certainement au moins les Églises nationales. Et ici, la différence radicale entre ce pontificat et celui de Benoît XVI apparaît encore plus clairement. On peut penser que la possible légitimation des « Églises indépendantes » est une évolution des pouvoirs attribués aux Conférences épiscopales nationales, que le Pape François voudrait accroître. Il l’a dit explicitement dans Evangelii Gaudium (2013) lorsqu’il a souhaité « un statut des conférences épiscopales qui les conçoive comme des sujets aux attribution concrètes, incluant également une authentique autorité doctrinale » (n° 32).
C’est une conception opposée à celle de saint Jean Paul II et de Benoît XVI. » (benoit-et-moi.fr).

Or, selon la semaine de Daniel, le sacrifice et l’oblation cessera à la moitié de la semaine, ce qui donne en 2022.

Le pape vient d’annoncer qu’il veut repenser l’Église.

Tout se tient.

07 mars

Le coronavirus change la donne au Vatican.

Au lieu d’être signé après la 103ème année des apparitions de Fatima, et bien le pacte éducatif si cher au pape sera signé après la 103ème année du miracle du Soleil.

« 3 mars 2020 ( LifeSiteNews ) – Le Vatican a annoncé qu’il reportait son événement du Pacte mondial sur l’éducation , prévu en mai, jusqu’en octobre en raison «de l’incertitude liée à la propagation du coronavirus».
Le pape François a lancé l’initiative en septembre dernier, déclarant qu ‘«un pacte éducatif mondial est nécessaire pour nous éduquer à la solidarité universelle et à un nouvel humanisme.

Un programme d’une semaine d’événements liés au «pacte pour l’éducation» devait se tenir à Rome du 10 au 17 mai. L’événement se déroulera désormais du 11 au 18 octobre, le pacte devant être signé le 14 octobre… » (lifesitenews.com)

Mais, tout n’est pas annulé puisque certaines activités ne nécessitent pas nécessairement la présence de François.

« Le Pape invite l’Église à célébrer la Semaine Laudato Si’.

Dans un message vidéo, le Saint-Père exhorte à répondre à la crise écologique. Cette Semaine, organisée à l’occasion des cinq ans de la publication de l’encyclique Laudato Si’, veut inciter les paroisses et les communautés à réfléchir et à approfondir leur engagement en s’inspirant des écrits du Pape.

La Semaine Laudato Si’ sera célébrée du 16 au 24 mai prochain… » (vaticannews.va)

Et elle se termine en pleine apparition de la comète ATLAS au plus près de la Terre le 24 mai.

Le pape a aussi reporté la rencontre sur l’économie prévue à Assise au mois de novembre, elle qui devait être une pierre angulaire de son œuvre humaniste.

Cette rencontre économique d’Assise reportée semblait être la consécration de la nouvelle religion.

« La rencontre prévue ce mois-ci à Assise sur « L’Économie de (saint?) François » a été reportée au mois de novembre pour cause de coronavirus. Mais le péril pour l’Église reste bien présent, et ce pourrait être la véritable conclusion du Synode pour l’Amazonie (et pas le célibat sacerdotal, comme on l’a cru). L’analyse (experte) d’Ettore Gotti-Tedeschi…

Une métaphore inspirée par le vieux proverbe chinois qui dit « Quand le doigt pointe vers la lune, il y en a qui regardent le doigt et non la lune. »

J’ai eu l’impression, confirmée par la conclusion, que le thème du célibat sacerdotal était peut-être le « doigt » et non la lune. La conclusion, en effet était qu’il ne s’agissait pas d’un synode sur le célibat. Je crains que ce soit vrai.

La lune, c’est-à-dire le véritable objectif du synode, passé inaperçu ou sous-estimé, est probablement un nouveau paradigme économique. Je crains qu’on ne puisse le comprendre qu’après la conférence d’Assise, reportée à novembre, sur « L’Économie de François ».

La lune, qui pourrait bien être le véritable objectif du Synode, était d’utiliser l’économie pour « mortifier » la religion catholique en la réduisant à une religion qui ne sait pas protéger la création, donc une religion à réformer. Comme le souci de la création est la véritable priorité et qu’il est reconnu que les religions païennes la protègent mieux, elles ont été indiquées comme exemplaires…

Le thème principal que nous nous attendions à voir discuté à Assise se réfère au nouveau bien commun dans le monde global. Le report de 9 mois nous fait espérer qu’on pourra redimensionner la confusion créée par le « doigt » qui, en indiquant la « lune », aurait peut-être utilisé les suggestives, et vieilles mais toujours vivantes « illusions utopistes » référées au bien commun – telles que bonheur, inclusion, responsabilité, paix, égalité, fraternité, solidarité, etc. – .

Toutes choses bonnes seulement si elles sont centrées sur des références à la Vérité du Christ, et non sur un « nouvel humanisme », (sans Dieu) nécessaire pour dépasser le vieux capitalisme autoréférentiel et obsolète. Ce n’est pas un préjugé de notre part, les noms des participants prévus pour la Conférence ne laissent guère de doutes quant à cette légitime suspicion. Il ne faut pas que la lune passe inaperçue à Assise car c’est la morale catholique qui est en péril.

Elle peut en effet être modifiée en proposant de nouvelles vertus morales adaptées à l’époque, grâce à un nouveau concept d’éducation pour la protection correcte et due de la Terre Mère, qui pourrait être proposé pour remplacer la religion obsolète et inadéquate (comme il ressort des conclusions du synode amazonien). La lune que nous risquons de ne pas voir pourrait être l’esprit du nouveau bien commun mondial défini par l’UNESCO, mais sans la doctrine sociale de l’Église.

Hier, un sage prêtre, faisant référence à la conférence d’Assise, m’a fait le commentaire suivant: « Mon cher ami, cette rencontre d’Assise va enfin faire comprendre à certains que plus que d’Europe (où il y a maintenant une monnaie commune) nous devrions quitter l’Unesco-ONU avant qu’ils ne nous imposent une foi commune. » (benoit-et-moi.fr)

03 mars

Groupe naval américain en Méditéranée, navires russes en route pour contrer le désir de guerre de la Turquie contre la Syrie…

Il va s’en dire que la région chauffe et que la pression augmente.

Tout semble se mettre en place. Guerre, coronavirus, les deux empereurs,… « Le Temps est Proche ».

La guerre de la nature est déclenchée et « l’empereur chinois » voit la Chine se transformer en un désert économique, avec en prime une invasion de sauterelles, et la chute des marchés fait s’effondrer la tour de rêve de « l’empereur américain » en pleine année électorale.

« N’aimez pas le monde, ni rien de ce qui fait partie du monde. En celui qui aime le monde, l’amour du Père ne peut vivre, car dans le monde il y n’y a que désir de la chair, concupiscence des yeux, étalage de vanité » (1 Jean 2:15).

Chaque chrétien qui résiste au monde babylonien a une très grande valeur pour le Père. C’est le temps des néo-martyrs car cette persécution qui relève de l’apostasie est cruelle: elle s’en prend à l’Esprit et à l’âme et non au corps.

Donc sauver une âme dans ces derniers temps est d’une importance primordiale, mais il faut avant tout sauver la sienne tout en ne laissant pas la charité se refroidir. La foi est la fondation et la charité est le toit. La charité sans la foi ne peut tenir.

Au Vatican :

Il semblait que le coronavirus avait attaqué la tête même de l'église, François, qui depuis cinq jours annule messes et rencontres depuis son malaise de la messe du mercredi des cendres où il a serré la main des italiens masqués lors de l'audience.

Mais les médias rapportent aujourd’hui qu’il a été testé négatif.

Il a quand même annuler sa participation aux exercices du Carême. Qui dit vrai?

« Le Pape suivra les exercices de Carême depuis le Vatican.

À l’issue de l’angélus, ce dimanche, le Pape François a annoncé qu’il ne participerait pas en personne aux exercices spirituels de Carême avec la Curie romaine à Ariccia. Le Saint-Père doit rester au Vatican pour soigner un rhume. » (vaticannews.va)

Retour sur l’exhortation amazonienne :

Plus de 50% des références dont fait mention le pape sont issus de ses propres idées ou écrits. Les autres sont issus des papes conciliaires.
Aucune référence ou presque aux papes pré-Vatican II ou aux pères de l’Église.

C’est donc la preuve que François développe une doctrine qui lui est propre et qui se nourrit de lui-même. C’est le signe de l’esprit du mal, de l’orgueil.

Ce qui confirme bien que la boucle est bouclée. Vatican II clame sa victoire.

L’intégration à la nouvelle religion universelle peut se faire.

D’ailleurs, une guerre ouverte est déclarée entre le cardinal Zen et le Vatican sur la question de la Chine depuis quelques mois, mais elle s’est intensifiée dans les dernières semaines.

Voici un exemple avancée par le cardinal Zen en réponse à une lettre du cardinal Re au nom du pape François qui démontre ce que nous avançons ci-haut sur le développement de sa propre doctrine, son nouvel humanisme.

Toute sa feuille de route mène à la séparation d'avec Dieu, le « nouvel humanisme » de François où l'humain se libère (voir analyses précédentes).

Ce nouvel humanisme sera concrétisé le 14 mai avec la signature du pacte éducatif.

La fin de sa feuille de route sera marquée par le transfert des points doctrinaux aux Conférences épiscopales nationales comme il l'a toujours indiqué, d'où la guerre entre le cardinal Zen et le Vatican sur la question de l'entente avec la Chine car c'est l'ouverture qui permettrait l'application pratique de l'exhortation amazonienne.

« D’ailleurs, quels seraient ces changements doctrinaux ? Le cardinal Re ne l’explique pas clairement, mais ils concernent certainement au moins les Églises nationales. Et ici, la différence radicale entre ce pontificat et celui de Benoît XVI apparaît encore plus clairement. On peut penser que la possible légitimation des « Églises indépendantes » est une évolution des pouvoirs attribués aux Conférences épiscopales nationales, que le Pape François voudrait accroître. Il l’a dit explicitement dans Evangelii Gaudium (2013) lorsqu’il a souhaité « un statut des conférences épiscopales qui les conçoive comme des sujets aux attribution concrètes, incluant également une authentique autorité doctrinale » (n° 32).

C’est une conception opposée à celle de saint Jean Paul II et de Benoît XVI. » (benoit-et-moi.fr)

Zen implique aussi le cardinal Parolin encore une fois:

« Je ne comprends pas la dernière partie de votre lettre, pour le moins confuse. Les faits sont là. J’ai la preuve que Parolin manipule le Saint-Père, qui me montre toujours beaucoup d’affection, mais ne répond pas à mes questions. Face aux prises de positions du Saint-Siège que je ne parviens pas à comprendre, je dis à tous les frères désolés qui s’adressent à moi de ne pas critiquer ceux qui suivent ces dispositions. Toutefois, comme les dispositions laissent encore la liberté à ceux qui ont une objection de conscience, je les encourage à se retirer dans les catacombes, sans s’opposer aux injustices, sinon ils finiraient par nous en remettre en plus. » (benoit-et-moi.fr)

Et l’archevêque Vitanò confirme les craintes du cardinal Zen.

« L'archevêque Viganò répond aux critiques du cardinal Zen: le Vatican a livré l'Église chinoise à l'ennemi.

Très chère Éminence,

Il s'agit de l'archevêque Carlo Maria Viganò, ancien nonce apostolique aux États-Unis d'Amérique.

J'ai suivi profondément - partageant dans la prière vos souffrances - vos nombreux appels sincères au pape Bergoglio concernant la situation tragique de l'Église martyre en Chine, qu'il a lui-même aggravée de façon coupable par l'accord secret perfide et méchant signé par le Saint-Siège avec le communiste chinois. Gouvernement.

Vos appels sincères, cher Frère en Christ, ont été systématiquement ignorés et même moqués d'une manière hypocrite et perverse. Quant au cardinal Parolin, il a agi comme un simple exécuteur téméraire d'un ordre diabolique d'en haut.

J'ai lu ce matin la lettre ignominieuse et honteuse que le cardinal Giovanni Battista Re a adressée à tous les cardinaux contre vous. Je suis profondément attristé et indigné, et je souhaite vous exprimer toute mon affection, ma prière et ma solidarité fraternelle dans l'épiscopat.

Vous êtes un courageux confesseur de la foi et vous avez toute mon estime et ma vénération!

Malheureusement, au Vatican, le mensonge a été inscrit dans le système, la vérité a été totalement renversée et la tromperie la plus perverse est pratiquée sans vergogne même par les personnalités les plus insoupçonnées, qui se sont désormais livrées à la complicité de l'adversaire. Ils sont même allés jusqu'à dire que «le pape Benoît XVI avait approuvé le projet d'accord» signé en 2018, alors que nous connaissons tous sa résistance acharnée et sa désapprobation répétée des conditions imposées par un régime persécuteur et sanglant.

Le Vatican a tout fait et plus pour remettre l'Église martyre chinoise entre les mains de l'ennemi: il l'a fait en signant le Pacte secret; il l'a fait en légitimant des «évêques» excommuniés qui sont des agents du régime; il l'a fait par la déposition d'évêques légitimes; il l'a fait en forçant les prêtres fidèles à s'inscrire auprès d'une église qui a succombé à la dictature communiste; il le fait quotidiennement en gardant le silence sur la fureur persécutrice qui a acquis une force sans précédent, précisément depuis la signature de ce malheureux Accord. Il le fait maintenant avec cette lettre ignoble à tous les cardinaux, qui vise à vous accuser, à vous dénigrer et à vous isoler.

Notre Seigneur nous assure que rien ni personne ne pourra jamais lui arracher ceux qui résistent à l'ennemi infernal et à ses acolytes, les conquérant «par le sang de l'agneau» et par le témoignage de leur martyre (cf. Rév. 12:11).

Votre exemple, cher Cardinal, et le prix très élevé que vous payez pour défendre la cause de Dieu et son église, nous donne une secousse salutaire, il nous arrache à l'inertie et à l'accoutumance avec lesquelles nous assistons passivement à la reddition de l'Église catholique. , à ses plus hauts niveaux et dans sa hiérarchie, à l'hérésie et à l'apostasie, en suivant le Prince de ce monde, qui est menteur et meurtrier depuis le début (cf. Jn 8, 44).

Parce que, Domine, parce populo tuo, quem redemisti, Christe, sanguine tuo, ne in aeternum irascaris nobis .

+ Carlo Maria Viganò
Archevêque titulaire de Ulpiana Nonce apostolique  »

Février 2020

7 février

La première session du synode parallèle allemand à l’exhortation apostolique amazonien est terminée.

Mgr Schneider monte au créneau en essayant d’écorcher le moins possible le pape, en demeurant dans le respect afin qu’il comprenne.

Force est de constater que «Le pape ne peut pas se taire en regardant les loups dévorer le troupeau»…

Il a également insisté sur le fait que, en tant que «maître suprême» et «protecteur» de la foi catholique, le pape François «a le grave devoir de protéger les« petits », c'est-à-dire les simples fidèles et les prêtres et évêques en Allemagne qui ont été mis sur la périphérie et dont la voix a été étouffée »par des prélats mondains qui sont plutôt chargés de protéger le troupeau du Christ. «Le pape ne peut pas rester passif ou se taire en regardant les« loups »dévorer le troupeau ou les« pyromanes »incendier la maison», a-t-il dit. (lifesitenews.com - traduction)

Voici une très longue lettre d’une carmélite qui s’alarme de l’extinction des puissances de prière (traduction de l’article dans One Peter Five)

Ici les parties principales qui reflète l’état de l’Église vu par les religieux (ses) :

« Arrêter le rythme cardiaque de l’Église. (Note de l’éditeur: l’article suivant provient de 1P5 d’une religieuse carmélite qui craint pour sa commande.)

Pendant des siècles, les religieuses contemplatives ont été reconnues comme étant le «rythme cardiaque de l’Église»...

Le pape François s’est prononcé fermement contre l’euthanasie, mais en même temps, il a approuvé la publication de documents officiels du Vatican qui, de toute évidence, œuvrent pour la disparition précipitée de la vie contemplative. Les règles et directives énoncées dans ces documents ont déjà provoqué la division, la fusion ou la dissolution complète de nombreuses communautés religieuses contre la volonté de bon nombre des religieux concernés… Pourquoi cela arrive-t-il?..

Ceux qui contrôlent le Vatican voient ces religieux contemplatifs – en particulier ceux «conservateurs» attachés au charisme reçu de leurs fondateurs – comme un obstacle plutôt qu’une aide à leurs projets pour l’Église. Les mesures imposées à ces religieuses par «Cor Orans» et «Vultum Dei Quaerere», équivalent à dire: «Il est clair qu’elles ont dépassé leur date d’expiration, et il est donc grand temps qu’elles soient supprimées.»…

Malgré les nombreuses tentatives qui ont été faites au cours des siècles pour supprimer les monastères et les couvents (qui ont tous eu lieu à l’instigation de Satan, qui déteste de telles puissances de la prière), pas une fois ils n’ont été aussi proches du succès qu’aujourd’hui.
Un coup d’œil à certains des faits historiques suggère que la raison d’un tel succès est que cette fois, l’attaque est venue non pas de l’extérieur, mais de l’intérieur de l’Église elle-même.

Avant le Concile Vatican II, la vie religieuse était florissante et il y avait une abondance d’âmes généreuses consacrant leur vie à la prière et au sacrifice – non seulement dans les ordres contemplatifs, mais dans toutes les formes de vie sacerdotale et religieuse...
Que reste-t-il de tout cela aujourd’hui?..

Il est clair que si le rythme cardiaque de l’Église est arrêté, le Corps mystique du Christ sera inévitablement incapable de survivre, tout comme il est évident que si vous privez une personne de nourriture et d’eau, elle ne peut pas rester vivante longtemps.
Ceux qui travaillent à la destruction de la vie religieuse contemplative ne peuvent pas en même temps travailler pour le bien du Corps mystique du Christ. C’est impossible...

Pauvres individus égarés, qui accordent plus d’importance à l’argent qu’à la prière! Le temps viendra où ils se rendront compte qu’en poursuivant l’un au détriment de l’autre, ils ont tout perdu, y compris leur âme.
Chers lecteurs, ne soyez pas choqués ou scandalisés par ces mots. Jésus a dit: «Tout arbre qui ne produit pas de bons fruits sera coupé et jeté au feu. C’est pourquoi, par leurs fruits, vous les connaîtrez »(Matthieu 7: 19-20).

Les fruits de Vatican II et ses conséquences du modernisme sont de mauvais fruits. Et puisqu’un bon arbre ne peut pas produire de mauvais fruits, il est logique de conclure que les loups sont entrés dans le troupeau pour se disperser et détruire. Le chaos, la confusion et la destruction sont l’œuvre du diable. L’œuvre de Dieu apporte la paix et l’unité.
Jésus nous dit clairement: «Aucun homme ne peut servir deux maîtres. Car soit il haïra l’un et aimera l’autre; soit il soutiendra l’un et méprisera l’autre. Vous ne pouvez pas servir Dieu et Mammon »(Matt. 6:24).

Malheureusement, depuis le Concile Vatican II, les dirigeants de l’Église n’ont pas tenu compte de cet avertissement. Ils ont ouvertement cherché à unir l’Église et le monde – non pas à la manière catholique, en promouvant et en adhérant aux enseignements de l’Évangile, mais en adaptant l’Église pour qu’elle s’intègre au monde.

Leur objectif aujourd’hui n’est donc plus d’obtenir la conversion de l’humanité par la prédication et la prière; par conséquent, ils n’apprécient pas les religieux contemplatifs, dont le but principal est la prière. Ils ont abandonné la vision catholique pour la vision du monde, qui ne concerne que le bien-être temporel de l’homme...

Le seul espoir pour la survie du «cœur priant» de l’Église est de reconnaître que tant que le Vatican est rempli d’hommes désireux de la mort de l’Église, il est vain d’espérer qu’il sera bénéfique de chercher reconnaissance et approbation. Autrefois, nous pouvions être assurés que l’approbation de Rome signifiait l’approbation de Dieu. Maintenant, nous sommes obligés de choisir entre les deux. C’est une question de vie ou de mort. »

C’était la fête au Vatican et un peu partout dans le monde pour la fraternité en ce 4 février :

« Un an du Document d’Abou Dhabi, le Pape espère en un futur libéré de la haine (Vaticannews.va).

Un an après la signature par le Pape François et le Grand Imam d’Al-Azhar du Document sur la Fraternité humaine, les membres du Comité supérieur visant à l’aggiornamento du texte sont réunis à Abou Dhabi. À cette occasion, un «Prix international de la fraternité humaine» a été présenté, une initiative soutenue par le Pape. François qui espère en «un avenir meilleur pour l’humanité» dans un message vidéo.

Dans un message vidéo publié ce mardi 4 février, le Pape évoque la signature, il y a un an à Abou Dhabi, du Document sur la Fraternité humaine avec «son frère» le Grand Imam d’Al-Azhar Ahmad Al-Tayyib. «Nous célébrons aujourd’hui le premier anniversaire de ce grand événement humanitaire, en espérant en un avenir meilleur pour l’humanité, un futur libéré de la haine, de la rancœur, de l’extrémisme et du terrorisme, dans lequel les valeurs de paix, d’amour et de fraternité prévalent», y affirme le Souverain pontife…

Le Pape dit apprécier le soutien des Emirats arabes unis qui accueillent la rencontre d’aujourd’hui. Il salue le travail réalisé par les membres du Comité supérieur visant à l’aggiornamento du texte, et plus largement «tous ceux qui, en humanité, aident leurs frères et sœurs pauvres, malades, persécutés et faibles, sans distinction de religion, de couleur ou de race».

La «Abrahamic House», un incubateur multiconfessionnel pour le changement social, est également remerciée par le Pape pour son initiative : un prix international pour la fraternité humaine. François se dit «heureux de pouvoir participer à ce moment de présentation du Prix international de la fraternité humaine » qui vise à encourager «tous les modèles vertueux d’hommes et de femmes qui, dans le monde, incarnent l’amour par des actions et des sacrifices faits pour le bien d’autrui, quelles que soient leurs différences de religion ou d’appartenance ethnique et culturelle».

Enfin, le Pape demande à Dieu de «bénir tout effort qui profite au bien de l’humanité et nous aide à progresser dans la fraternité »

C’est le pont tant promu par François vers la rencontre sur l’éducation  le 14 mai prochain.

C’est bien la feuille de route du pape en action. Le document est signé un peu partout dans le monde.

«… Le Document a d’ailleurs été signé en Asie par des Européens et des Africains, souligne-t-il. Pour lui, ce texte est une méthodologie synthétique permettant aux habitants du monde de vivre ensemble et en paix. Au Caire, son université a déjà commencé à enseigner le Document pour la Fraternité, et des initiatives promouvant ses valeurs ont été mises en place.

Il faut voir le Document comme un texte éthique fondamental de notre temps, a observé Irina Bokova, l’ancienne directrice générale de l’Unesco et membre du Conseil souverain. Les jeunes peuvent trouver des réponses dans ce texte en harmonie avec les objectifs de l’ONU en matière d’éducation… » (vaticannews.va)

Il y a eu un comité pour la fraternité humaine qui avait été rassembler après la signature du 4 février 2019, et un an après, il dévoile sa stratégie.

« Le Haut comité pour la fraternité humaine dévoile sa stratégie.

Pour aider à la mise en œuvre du document sur la fraternité humaine signée il y a un an aux Émirats Arabes Unis, un Haut comité a été créé en septembre 2019 pour mettre en œuvre ces recommandations. L’éducation et les jeunes seront au cœur de sa stratégie.

Pour célébrer le premier anniversaire du document sur la fraternité humaine signé l‘année dernière aux Émirats Arabes Unis par le pape François et le grand imam d‘Al-Azhar, Ahmed Al Tayeb, le Haut comité s’est réuni hier, lundi 3 février 2020, sur la somptueuse île de Saadiyat à Abu Dhabi.

C‘est sur cette île des Émirats Arabes Unis, qui accueille aussi le musée du Louvre, que sera construite à l‘horizon 2022 la maison familiale abrahamique – un complexe réunissant une mosquée, une église et une synagogue. Le Haut comité a la responsabilité de mener à terme ce projet d‘envergure…

« Tout l’enjeu, au-delà de la symbolique du projet, est maintenant de réfléchir à comment allons-nous remplir cet espace mais aussi lui donner vie, à l’aide des recommandations du document pour la fraternité humaine. Nous n‘avons pas simplement l‘ambition de faire un projet touristique. Ce monument s’adresse à tout le monde », poursuit celle qui donne aussi un cours sur la diplomatie culturelle à Sciences-Po. Car le document est « inclusif. Il concerne l‘humanité entière, croyants ou non », argumente-t-elle.

L‘éducation devrait être centrale dans cette réflexion. « C’est en effet l‘une des priorités de notre comité. Nous réfléchissions à la manière dont nous allons intégrer ce document dans les différents systèmes éducatifs du monde entier », ajoute Irina Bokova.
Dans cet esprit, Mohamed Hussein Mahrasawi, président de l‘Université d’Al Azhar et membre du comité, a annoncé que le document pour la fraternité humaine sera à présent enseigné aux étudiants de l‘institution islamique sunnite basée au Caire, en Égypte. Près de 400 000 étudiants y sont inscrits…

« nous allons certainement proposer aux Nations Unies que le 4 février devienne la journée internationale de la tolérance. C‘est important de le faire. Mais ce sera à l‘Assemblée générale des Nations Unies de le décider », conclut Irina Bokova qui pourra aussi profiter de son expérience au sein du système des Nations unies… » (lacroix.com)

Humanisme, relativisme, naturalisme, socialisme, démocratie, fraternité universelle maçonnique, laïcité…

Voilà.

Le Vatican et le pape s’associe de façon claire au programme judéo-maçonnique de contrôle et de formation des esprits.

Incroyable.

Il n’y a plus aucune différence entre le Vatican et les Nations-Unies.

Les deux Babylone de la prophétie de Jean XXIII concernant Benoît XVI sont confirmées et en symbiose.

Cette prophétie peut se donc être accomplie dans son entièreté maintenant.

Et c’est probablement dans le court terme.

Pour faire suite le 5 février le pape défendait « une nouvelle architecture financière mondiale » (vaticannews.va)

La partie la plus importante du discours du pape :

« « Il y a plus de 70 ans, la Déclaration universelle des droits de l’homme des Nations Unies engageait tous les États Membres à prendre soin des pauvres sur leur terre et dans leur foyer et dans le monde entier, à savoir le foyer commun. Les gouvernements ont reconnu que la protection sociale, le revenu de base, les soins médicaux pour tous et l’éducation universelle étaient inhérents à la dignité humaine fondamentale et, par conséquent, aux droits humains fondamentaux. Ces droits économiques et un environnement sûr pour tous sont la mesure la plus fondamentale de la solidarité humaine. Et la bonne nouvelle est que, alors qu’en 1948 ces objectifs n’étaient pas à portée immédiate, aujourd’hui, dans un monde beaucoup plus développé et interconnecté, ils le sont. Vous tous, qui vous êtes si aimablement réunis ici, êtes les dirigeants financiers et les spécialistes économiques du monde. Avec vos collègues, vous contribuez à établir les règles fiscales mondiales, informer le public mondial sur notre situation économique et conseiller les gouvernements du monde sur les budgets. Vous savez de première main quelles sont les injustices de notre économie mondiale actuelle. Travaillons ensemble pour mettre fin à ces injustices. Lorsque les organismes de crédit multilatéraux conseillent les différentes nations, il est important de prendre en compte les nobles concepts de justice fiscale, les budgets publics responsables de leur endettement et, surtout, la promotion efficace et protagoniste des plus pauvres dans le cadre social. Rappelez-leur leur responsabilité d’offrir une assistance au développement des nations pauvres et un allégement de la dette des nations les plus endettées. Rappelez-leur l’impératif d’arrêter le changement climatique provoqué par l’homme, comme toutes les nations l’ont promis, afin de ne pas détruire la base de notre maison commune…

Le temps présent exige et appelle à franchir une étape qui passe de la logique insulaire et antagoniste, comme seul mécanisme autorisé pour la résolution des conflits, à une autre capable de promouvoir l’interconnexion qui favorise une culture de la rencontre où la base solide d’une nouvelle l’architecture financière internationale est renouvelée… » (catholicculture.org - traduction)

Et aujourd’hui, François trace encore le chemin vers la rencontre du 14 mai 2020.

« Le Pape invite à s’unir pour proposer un nouveau pacte éducatif.

… Ce vendredi 7 février à la mi-journée, le Pape s’est adressé aux participants d’un séminaire organisé par l’Académie pontificale des Sciences sociales sur l’«Éducation: un pacte mondial»…» (vaticannews.va)

C’est la feuille de route en action cette semaine avec François… :

Il fête les 1 an du pacte « fraternel », il proclame qu’il veut un nouveau pacte « financier » mondial, et il pousse son pacte « éducatif »…

L’aspect spirituel (fraternel) est couvert, l’aspect matériel (financier) est couvert, et l’aspect moral (éducatif) sera couvert le 14 mai.

C’est bien là un programme socialiste, marxiste, communiste, humaniste…

Peu importe le nom, il s’agit bien d’un plan inspiré par Satan.

Et tout sera bouclé le 12 février prochain avec la publication de l’exhortation amazonienne.

« ROME, 7 février 2020 (LifeSiteNews) – Le Vatican a annoncé aujourd’hui que le document de synthèse très attendu du pape François sur le Synode de l’Amazonie sera publié le mercredi 12 février.

Selon une déclaration publiée vendredi, «Querida Amazonia» [Chère Amazonie], l’exhortation post-apostolique du Pape à l’Assemblée spéciale du Synode des évêques sur la région panamazonienne, sera présentée lors d’une conférence de presse à 13 heures à la Sainte Voir Bureau de presse…. » 

La date n’est pas anodine.

Nous savions qu’il fallait surveiller autour du 11 février avec l’atteinte des 7 ans de l’annonce de démission de Benoît XVI.

Nous y sommes presque.

04 février

L’économie chinoise est paralysée.

Les rues des villes en quarantaine sont désertes.

Cela ressemble bien de plus en plus au « second empereur dans le désert, attaqué par les animaux de la peste, inconnus. » de la prophétie à mesure que le virus progresse.

Comme à l’accoutumé, les responsables mentent sur toute la ligne.

Ils sortent les cadavres des hôpitaux en cachette pour les incinérer immédiatement afin de ne pas créer de panique et truquer les chiffres.

Il semblerait effectivement que l’épidémie ait commencé au tout début de décembre et que le virus serait la conséquence de recherches sur les armes bactériologiques.

Une scientifique biologiste aurait volé le virus au centre de recherche de Winnipeg au Canada. Les autorités canadiennes enquêtent sur le sujet. (zerohedge.com)

Le virus aurait été ensuite apporté au centre de recherche en guerre biologique de Wuhan. Ce centre cherchait effectivement un scientifique «qui utilisera les chauves-souris pour rechercher le mécanisme moléculaire qui permet aux coronavirus associés à Ebola et au SRAS de rester dormants pendant longtemps sans provoquer de maladies. » (zerohedge.com)

Auto-immuniser des militaires à un virus pour ensuite le disséminé contre l’ennemi, tel semblait être le projet chinois...

Du côté du Vatican, il faut surveiller la volonté du pape derrière l’invitation au nouveau pacte mondial de l’éducation qui aura lieu à Rome le 14 mai 2020.

Cette date n’est pas anodine pour les judéo-maçonnistes.

En effet, 3 jours après que François ait annoncé sa rencontre du 14 mai, un groupe de leaders évangélistes se sont réunis à Washington pour décréter « 2020 Année mondiale de la Bible » pour tous les évangélistes du monde.

Ces évangélistes prépareraient cette ultime fête 2020 depuis les deux dernières décennies, surtout depuis quatre ans.

François appuie cette initiative car elle fait partie de son plan d’œcuménisme mondial.

La rencontre du 14 mai 2020 du pape était programmée depuis longtemps dans sa feuille de route puisque le pacte d’Abu Dhabi fait partie de cette démarche.

Et il y a un an aujourd’hui…

« Conférence à Abou Dhabi un an après la Déclaration. En vue du premier anniversaire de la signature du Document d'Abou Dhabi, le Cardinal Ayuso Guixot a rappelé l'importance de ce Document: «Le texte de la Déclaration devient de plus en plus important, même au-delà des relations entre chrétiens et musulmans». Demain, mardi 4 février, en préparation de l'événement sur le «Pacte mondial pour l'éducation», un congrès sur le document d'Abou Dhabi se tiendra aux Émirats arabes unis, comme une nouvelle occasion de poursuivre sur la voie tracée par le Pape François et le Grand Imam d'Al-Azhar. » (vaticannews.va)

Voilà. Le lien est évident.

Il y a 4 ans, l’événement « Together 2016 » avait lieu à Washington.

Si vous vous rappelez c’était une réunion poussée par ces mêmes évangélistes pour réunir les chrétiens à Washington le 16 juillet 2016.
Le pape ne pouvant y être présent s’était adressé à eux par vidéo et lançait l’invitation.

C’était scandaleux en 2016 et cela l’est encore plus aujourd’hui à mesure que l’on nous dévoile « la feuille de route ».

Un pape ayant été élu pour faire contrepoids à la montée des évangélistes en Amérique du Sud exécute en fait le contraire: il s’inspire des évangélistes et détruit l’Église pour en arriver à l’idéal de l’œcuménisme.

Le terrain a été préparé avec la technologie. Les jeunes ne savent plus qui ils sont et d’où ils viennent. Les journées mondiales de la jeunesse font partie de ce plan. Et en 2020, ils sont mûres pour s’identifier à la nouvelle religion, celle de Lucifer.

Les paroles de François sont claires à ce sujet lors de son appel à la conférence de mai 2020:

« … Il est plus que jamais nécessaire d’unir nos efforts dans une vaste alliance éducative pour former des personnes mûres, capables de surmonter les morcellements et les oppositions, et recoudre le tissu des relations en vue d’une humanité plus fraternelle.
Notre monde contemporain est en constante transformation ; il est traversé par de multiples crises. Nous vivons un changement d’époque : une métamorphose non seulement culturelle mais aussi anthropologique qui engendre de nouveaux langages et rejette, sans discernement, les paradigmes qui nous sont offerts par l’histoire. L’éducation se heurte à ce que certains appellent « rapidación », qui emprisonne l’existence dans la spirale de la vitesse technologique et numérique, en changeant constamment les points de référence. Dans ce contexte, l’identité elle-même perd de la consistance et la structure psychologique se désintègre face à un changement incessant qui « contraste avec la lenteur naturelle de l’évolution biologique » (Laudato si’, n. 18).

Or, chaque changement exige un parcours éducatif impliquant tout le monde. Pour cette raison, il est nécessaire de construire un « village de l’éducation » où on partage, dans la diversité, l’engagement à créer un réseau de relations humaines et ouvertes. Un proverbe africain dit qu’« il faut tout un village pour élever un enfant ». Ce village, nous devons le construire comme condition pour éduquer. Tout d’abord, le terrain est assaini des discriminations grâce à l’introduction de la fraternité, comme je l’ai indiqué dans le document que j’ai signé avec le Grand Imam d’Al-Azhar à Abou Dhabi, le 4 février dernier.

Dans un tel village, il devient plus facile de trouver une convergence mondiale en vue d’une éducation qui sache être porteuse d’une alliance entre toutes les composantes de la personne : entre l’étude et la vie ; entre les générations ; entre les enseignants, les étudiants, les familles et la société civile selon leurs expressions intellectuelles, scientifiques, artistiques, sportives, politiques, entrepreneuriales et solidaires. Une alliance entre les habitants de la Terre et la « maison commune » à laquelle nous devons sauvegarde et respect. Une alliance génératrice de paix, de justice et d’accueil entre tous les peuples de la famille humaine ainsi que de dialogue entre les religions.
Pour atteindre ces objectifs mondiaux, le chemin commun du « village de l’éducation » doit franchir des étapes importantes. D’abord, avoir le courage de placer la personne au centre. À cette fin, il est nécessaire de signer un pacte qui donne une âme aux processus éducatifs formels et informels, lesquels ne peuvent ignorer le fait que tout, dans le monde, est intimement lié et qu’il est nécessaire de trouver, selon une saine anthropologie, d’autres façons de comprendre l’économie, la politique, la croissance et le progrès. Dans un parcours d’écologie intégrale, la valeur spécifique de chaque créature est mise au centre, en relation avec les personnes et avec la réalité qui l’entoure, et un mode de vie qui rejette la culture du déchet est proposé… » (vatican.va)

Le vice-président américain a visité le pape le 24 janvier dernier.

« … Sa visite au Vatican intervient une semaine après que l’ambassadeur américain pour la liberté de religion, Sam Brownback, se soit rendu à Rome pour le lancement de l’initiative «Abrahamic Faiths» du 14 au 15 janvier, hébergée à la résidence de Callista Gingrich. Le symposium a réuni des dirigeants chrétiens, juifs et musulmans à Rome «pour accroître le soutien à la liberté religieuse dans le monde», a déclaré Gingrich lors du lancement. Le symposium s’est inspiré du document de 2018 sur «La fraternité humaine pour la paix dans le monde et vivre ensemble», une déclaration commune signée à Abu Dhabi en février dernier par le pape François et le grand imam d’Al-Azhar…
Pence, un catholique baptisé qui s’identifie maintenant comme évangélique, a parlé avec tendresse de son enfance catholique et a déclaré aux diplomates, aux membres du Congrès, aux prêtres et aux prélats catholiques lors de la réunion annuelle qu’être parmi eux ressemblait à «rentrer à la maison».
Soulignant l’engagement du président Trump en faveur de la liberté de religion au pays et à l’étranger, Pence leur a assuré que «la protection et la promotion de la liberté de religion sont une priorité de politique étrangère pour cette administration»… » (traduction google) (lifesitenews.com)

L'annonce de la nouvelle religion universelle n'est plus très loin...

Janvier 2020

29 janvier

« Dieu a déchaîné la guerre de la nature pour empêcher la guerre des hommes. » (prophétie Le Temps est Proche).

Il semble que les événements mondiaux penchent vers ce constat à mesure que nous nous rapprochons du moment fatidique, la guerre des hommes, ou, le « Grand Éclair à l’Orient ».

L’épidémie du coronavirus semble plus importante qu’anticiper et elle a déjà des impacts au niveau économique puisque les vacances chinoises pour le nouvel an ont été prolongées, ce qui a mis à l’arrêt plusieurs usines de productions.

Un krach économique augmenterait évidement les tensions géopolitiques puisque ce serait la première fois qu’on assisterait à ce phénomène dans un contexte de mondialisation, et d’injection massive de fonds par les banques centrales qui maintiennent à flots cette économie artificielle depuis des années.

C’est sans compter aussi sur l’invasion des sauterelles au sud de l'Asie en passant par le Moyen-Orient, et qui a maintenant atteint la côte est africaine, dévastant tout sur son passage. Si des mesures urgentes ne sont pas prise immédiatement selon certaines autorités, le phénomène pourrait être 500 fois plus étendue que présentement.

Il y a aussi une augmentation importante du nombre de volcans en éruption (les plus violents entres autres) et des tremblements de terre dans les derniers mois qui laissent à penser qu’effectivement Dieu utilise la nature pour tempérer la folie de l’humanisme où Il a été oublié.

Le plan de paix du président américain (concocté par son gendre juif orthodoxe) pour la Palestine a été présenté hier et la conclusion est simple: il est rejeté immédiatement par les autorités palestiniennes.

Cette mascarade évidente de l’axe judéo-maçonniste ne s’inscrit que dans un plan global où Israël doit dominer, être le seul peuple prêtre et établir le grand Israël.

Ce plan ne sert qu’à mettre le feu aux poudres. Le « Grand Éclair à l’Orient » se rapproche.

La seule paix possible est la « Paix du Christ par le Règne du Christ » (Pie XI, encyclique Ubi Arcano Dei, 23 décembre 1922).

23 janvier

Le livre de Benoît XVI sur le célibat sort avec deux signatures en Italie.

Comme on le confirmait, il tient à ce que ce soit Benoît et non pape émérite.

« ... Il faut dire que la fin de cette histoire qui serait comique, hélas pour l’Eglise, si elle n’était pas tragique, double hélas pour l’Eglise, apparaît presque ridicule. Donc le livre a été écrit par Robert Sarah AVEC Joseph Ratzinger/Benoît XVI. Les fins diplomates de la Secrétairerie d’État et de la Cour n’ont peut-être pas réalisé que l’utilisation du double nom renforce, et non affaiblit, la présence du pape hélas émérite.

Et, en substance, ceci constitue une défaite retentissante. Oui, car il est vrai que Benoît XVI a écrit un long document contre l’hypothèse – imminente dans l’exhortation apostolique sur l’Amazonie – d’affaiblir le célibat, ouvrant la voie à l’Allemagne, à la Hollande, à la Belgique, à la France, etc. Il est vrai que Benoît XVI est toujours là, lucide, vivant même s’il est fragile, et capable, lorsqu’il juge que la situation devient dangereuse pour l’Église et la Foi, de dire une parole lourde et importante. Et que toute la mise en scène est imputable au Convive de Pierre (1)... » (benoit-et-moi.fr)

Cette attaque contre Benoît XVI a fait bondir le cardinal Müller (un des cinq des dubias) qui voit lui aussi l’Église déraper...

« Ce qui est surprenant ici, c’est que ces ennemis de l’Église issus des rangs du néo-atéisme vétéro-libéral et marxiste fassent front commun avec le sécularisme au sein de l’Église, lequel est animé par le désir de transformer l’Église de Dieu en une organisation humanitaire active à l’échelle mondiale…

Cette « Église de l’indifférentisme dogmatique et du relativisme moral », qui pourrait aussi inclure des athées et des non-croyants, a le droit de parler de climat, de surpopulation, de migrants; mais elle doit garder le silence sur l’avortement, l’auto-amputation au nom du changement de sexe, l’euthanasie et le caractère moralement répréhensible d’une union sexuelle hors mariage entre un homme et une femme. Elle devrait absolument accepter la révolution sexuelle comme acte de libération du rejet du corps de la morale sexuelle catholique…

Gerhard Ludwig Müller » (benoit-et-moi.fr)

Le cardinal Burke (un des cinq des dubias), juste avant la parution du volume en français rappelait justement qu’il faut se coller à la doctrine de l’Église du Christ.
« … Les gens continuent de parler du« magistère du pape François ». Récemment, j’ai parlé à deux jeunes prêtres qui ont raconté une conversation qu’ils ont eue avec un troisième jeune prêtre qui étudiait la théologie morale. Il leur a dit: «Nous avons le magistère du pape François qui est complètement nouveau; nous devons maintenant abandonner toutes les anciennes catégories et développer une nouvelle théologie pour correspondre à ce magistère. « C’est tout simplement absurde – ce n’est pas le magistère! Les prêtres et les fidèles laïcs doivent comprendre cela », a-t-il dit.
Face aux défis de la doctrine de l’Église, Burke a déclaré que les prêtres fidèles et les laïcs «doivent être préparés».
«La seule réponse dans la situation dans laquelle nous nous trouvons actuellement est de nous rabattre sur l’enseignement constant de l’Église, contenu dans le Catéchisme de l’Église catholique et dans l’enseignement magistral officiel de l’Église. Cela doit être notre point de référence, a-t-il dit… » (lifesitenews.com – traduction).

21 janvier

Après le décès du général iranien, un virus semblable au SRAS apparaît en Chine et se propage rapidement, ce qui est probablement une partie des prophéties « Grand Éclair à l’Orient / Le Temps est Proche » où on peut percevoir la fin des deux empereurs.

« Le premier empereur meurt de faim, enfermé dans la tour de son rêve(Trump en procédure de destitution assurément ; mourir de faim ou de soif de pouvoir)

Et « Le second empereur dans le désert, attaqué par les animaux de la peste, inconnus. » (le président chinois ; mourir dans le désert, c’est-à-dire une épidémie).

Au Vatican, les critiques pleuvent sur Benoît XVI. On le traite d’antipape. On veut le condamner au silence.

Mais toute cette mascarade de Satan cache la vérité, c’est-à-dire que Benoît XVI est toujours pape, et que le conclave qui a suivi était… Invalide.

«… comme on ne reçoit pas de consécration comme pape, quand un pape renonce au pontificat, il ne peut pas devenir pape émérite, parce qu’il n’est plus pape. Il ne redevient même pas cardinal, mais évêque, et c’est tout. Par conséquent, Benoît XVI, avec la renonciation au ministerium mais pas au munus (c’est-à-dire à l’exercice actif, mais pas au mandat) a fait quelque chose qu’il ne pouvait pas faire et donc sa renonciation n’est pas valable. Mais si sa renonciation est invalide, le conclave qui a suivi l’est aussi, tout comme le pape qui est sorti de ce conclave. » (benoit-et-moi.fr)

Donc tous ceux qui se défoulent sur les réseaux sociaux et dans les médias contre Benoît XVI n’ont pas compris qu’il est toujours pape, en retrait et priant pour l’Église.

En fait, il semble que ce n’est pas pour rien que François ne se déclare qu’évêque de Rome. Cela fait partie du plan pour éliminer la papauté afin que l’Église se fonde dans la nouvelle religion universelle. Depuis plus de six ans, l’appartement papal est vide et la fenêtre n’est ouverte que pour l’Angélus du dimanche.

Jean XXIII : « Deux frères et personne ne sera le vrai Père. La Mère sera veuve. »

Le siège de Saint-Pierre est effectivement vide.

« Je vis une forte opposition entre deux papes … et je vis combien funestes seraient les conséquences de cette fausse Église… »

« Quand le royaume de l’Antéchrist sera proche, apparaîtra une fausse religion qui ira contre l’unité de Dieu et de son Église. Cela entraînera le plus grand schisme jamais vu dans le monde». »

«  Je vis qu’un certain nombre de pasteurs acceptaient des idées dangereuses pour l’Église. Ils construisaient une grande Église, étrange et extravagante. N’importe qui était accepté, afin de s’y joindre et d’avoir les mêmes droits: les évangélistes, les catholiques, les sectes de toutes croyances. Ce devait être la nouvelle église … mais Dieu avait d’autres projets … » (Anne Catherine Emmerich ; benoit-et-moi.fr)

La vigne de Benoît XVI arrachée. (Lien benoit-et-moi.fr ci-haut)

« Dans l'embarras total du Vatican , les premières photos de la destruction inexplicable du vignoble par Benoît XVI, cadeau symbolique qui lui a été fait par Coldiretti lorsqu'il était au pouvoir, ont commencé à circuler sur les réseaux sociaux. Les images d'aujourd'hui comparées à la situation précédente font en réalité une certaine impression car elles montrent l'éradication totale des rangées dans les jardins de la villa papale de Castel Gandolfo. Ils ont été placés juste en face de la statue de Jésus le Bon Pasteur, pour se souvenir du passage de l'Évangile mentionné par Ratzinger lui-même au moment de son élection. «Je suis un humble ouvrier dans la vigne du Seigneur». » (ilmessaggero.it)

Benoît XVI se considérait toujours associé à la vigne, au Christ, dont nous sommes les sarments.

« Rome, le 13 août 2007 - (E.S.M.) -  «Je suis la vraie vigne» , dit le Seigneur. Cette vigne, fait observer Benoît XVI, ne pourra plus jamais être arrachée, elle ne pourra plus jamais être livrée à l'abandon ni au pillage. Elle appartient définitivement à Dieu. Par le Fils, Dieu lui-même vit en elle. La promesse est irrévocable, l'unité est devenue indestructible.»

Ce qui présage ce que nous savons. La mort de l’Église avant la résurrection.

Mais le décès de Benoît XVI doit survenir avant.

« Je vis le Pape en prières ; il était entouré de faux amis qui souvent faisaient le contraire de ce qu’il disait.
Je vis le saint Père dans une grande tribulation et une grande angoisse touchant l’Église. Je le vis entouré de traîtres.
Ils veulent enlever au pasteur le pâturage qui lui appartient ! Ils veulent en imposer un qui livre tout aux ennemis ! (alors saisie de colère, A.C. Emmerich leva le poing en disant) Coquins d’allemands ! Attendez ! Vous n’y réussirez pas ! Le pasteur est sur un rocher ! Vous prêtres, vous ne bougez pas ! Vous dormez et la bergerie brûle par tous les bouts ! Vous ne faites rien ! Oh, comme vous pleurerez cela un jour ! ». (Anne-Catherine Emmerich).

C’est bien ce que nous vivons avec la saga du livre « Des profondeurs de nos cœurs ». Plusieurs vaticanistes évoquent la traîtrise du secrétaire particulier de Benoît XVI.

Et c’est bien ce qui se prépare avec le synode allemand du 30 janvier.

20 janvier

L’auto-dissolution de l’Église.

C’est ce à quoi nous assistons.

Ce n’est pas une surprise car le Seigneur avait bien spécifié que son Église subirait sa passion avant de ressusciter.

Et elle passe par la division.

« … J’ai la nette impression qu’une partie de l’Église, y compris au sommet, travaille pour arriver à la fin du christianisme, ou du moins arriver à un christianisme édulcoré, réduit à un simple sentimentalisme. Sous l’égide du « choix pastoral », la doctrine est détruite, et il est clair que sans doctrine il ne peut y avoir de pastorale. Nous sommes confrontés à des responsables de l’Église qui travaillent pour que l’Église soit liquidée et transformée en quelque chose de différent, peut-être en une béquille du mondialisme.

En général, quel est la plus grande contestation à adresser à Bergoglio ?

En deux mots, je crois que François a introduit le relativisme dans le magistère, avec la morale du cas par cas, qui est l’ennemi mortel de la pensée catholique, et l’idée que toutes les croyances sont finalement équivalentes. De plus, il l’a fait en utilisant l’ambiguïté, ce qui rend l’attaque encore plus insidieuse .» (benoit-et-moi.fr)

«Si le royaume de Satan était divisé, comment pourrait-il tenir ? » (Jésus).

Et pour cacher cette vérité, ce schisme, rien de mieux que de contacter son ami athéiste Scalfari et de lui glisser quelques mensonges à publier...

« Le pape François a déclaré, écrit Scalfari, que «Ratzinger a fait savoir qu’il n’était pas du tout du côté du cardinal Sarah ni qu’il avait jamais autorisé un livre à double signature avec lui. Benoît a ensuite fait parvenir toute sa solidarité à François...» (catt.ch)
« Nous citons l’une des rares citations dans lesquelles Scalfari attribue au pape François ce qui suit: «Je suis ému, comme vous le savez parce que nous avons parlé plusieurs fois, par le désir d’une survie active de notre Église, de mettre à jour notre esprit collectif à la société civile et moderne, les religions, et pas seulement le chrétien catholique, nous devons très bien nous connaître et, dans une profondeur culturelle et spirituelle, activer la société moderne ». (infovaticana.com)

Voilà qui est confirmer.

Activer la société moderne, l’humanisme, le royaume de Satan.

L’exhortation post-synodale amazonienne confirmera dans son ambiguïté habituelle ce que tous redoutent (dont le mariage de prêtres) et ouvrira des portes qui à la manière de Luther donneront le ton à la destruction de la doctrine via les évêchés allemands.

« … Cette façon de faire cause de graves torts à l’Église. Le Pape devrait confirmer la doctrine, et il le fait aussi, mais ces confirmations ne nous rassurent pas, car il semble avoir une conception nouvelle et différente de la relation entre la doctrine et la pratique...» (benoit-et-moi.fr)

Un petit rappel alors pour François… de la part de la Sainte Vierge Marie via Sainte-Brigitte de Suède:

« La Très-Sainte Vierge lui montra comment l'ineffable dignité du prêtre, appelé à consacrer le Corps sacré du Fils de Dieu, était incompatible avec une union charnelle; et elle termina par ces graves paroles . «Apprends que si un Pape se montrait disposé à autoriser le mariage des prêtres, il s'attirerait un jugement terrible; Dieu le frapperait de cécité et surdité spirituelles; il ne pourrait plus rien dire, ni rien faire, ni rien goûter dans l'ordre surnaturel; et, en outre, après sa mort, son âme serait précipitée au fond de l'enfer, pour y rester éternellement la proie des démons. Oui, lors même que le saint Pape Grégoire eût établi cette loi, il n'aurait jamais obtenu miséricorde devant Dieu, à moins qu'il ne l'eût rapportée humblement, avant de mourir. »»

16 janvier

Des profondeurs de nos cœurs…

Vous êtes tous témoins de cette saga sur la publication du nouveau livre du cardinal Sarah écrit en collaboration avec Benoît XVI.
Oui. Benoît XVI.

Et non pape émérite… Ou Joseph Ratzinger.

François et la bande de St-Gaal ont exigé que le nom de Benoît XVI soit retirer de la prochaine édition… Mais le contenu demeure.

 « Je peux confirmer que ce matin, sur indication du pape émérite, j’ai demandé au cardinal Robert Sarah », principal auteur du livre, « de contacter les éditeurs du livre en les priant d’enlever le nom de Benoît XVI », a déclaré Mgr Georg Gaenswein, secrétaire particulier de longue date de l’Allemand Joseph Ratzinger.» (lapresse.ca)

(Mgr Vigano affirme que Benoît XVI est dans une prison doré avec comme gardien son secrétaire Gaenswein ( benoit-et-moi.fr )

Ce fut une surprise pour les progressistes qui s’affairaient à préparer la parution de l’exhortation apostolique du synode amazonien à la fin janvier ou au début février.

La position contraire contenue dans le livre leur a coupé l’herbe sous le pied.

Comme le dit si bien Mgr Schneider : «  « On pourrait dire que l’intervention du cardinal Sarah a provoqué, pour ainsi dire, la colère de l’enfer.
Le cardinal Sarah, dit-il, a «donné la parole» à de nombreux évêques, prêtres et laïcs, qui ont été «étouffés» par des «groupes influents» qui sont loués par le monde mais peuvent à juste titre être comptés parmi les «ennemis de la foi catholique». (lifesitenews.com)

Antonio Socci réagit en affirmant que « … Sarah aborde également d’autres questions brûlantes – de l’ Eucharistie à la liturgie – qui sont également sous le feu des «révolutionnaires». En fait, le pouvoir clérical actuel essaie d’être homologué aux confessions protestantes de l’Europe du Nord , c’est pourquoi la controverse porte sur les sacrements qui sont les piliers de l’Église catholique. Ce n’est pas un hasard si le sacerdoce, le célibat et l’Eucharistie ont marqué les grandes ruptures de Luther. Mais suivre ce chemin provoque le suicide de l’Église. (antoniosocci.com)

On a vu la fureur de François avec l’incident du 1 janvier au Vatican.

Nous assistons maintenant à la fureur infernal de François multiplier par cent, homme de pouvoir qui n’accepte pas la qu’on le contrarie. 

C’est donc la guerre avec Benoît XVI.

Nous le savions grâce à la prophétie concernant Benoît XVI : Deux pères, aucun n’est chef de l’Église (en fait un pape « émérite » qui a
démissionné et un évêque de Rome), et il y a un schisme profond entre le cardinaux.

Ce qui confirme l’analyse que Pier Carpi en avait fait en 1976.

François a bien révélé son jeu lors de la messe à Sainte-Marthe le 14 janvier dernier.

« L’autorité n’est pas le commandement, mais la cohérence.

Combien de mal est fait par des chrétiens «incohérents» et des pasteurs «schizophrènes» qui ne témoignent pas et qui s’éloignent ainsi du style du Seigneur, de son authentique «autorité», a affirmé le Pape François lors de la messe à Sainte-Marthe,
«Jésus a enseigné comme quelqu’un qui a de l’autorité». L’Évangile de Marc (Mc 1,21b-28) nous parle aujourd’hui de l’enseignement de Jésus dans le temple et de la réaction du peuple à sa façon d’agir avec «autorité», à la différence des scribes. C’est à partir de cette comparaison que le Pape s’inspire immédiatement pour expliquer la différence qui existe entre «avoir l’autorité» , «l’autorité intérieure» comme Jésus lui-même, et «exercer l’autorité sans l’avoir, comme les scribes», qui bien qu’ils soient spécialistes de l’enseignement de la loi et écoutés par le peuple, n’ont pas été crus… Au contraire, les scribes n’ont pas été cohérents et Jésus, souligne le Pape, d’une part, exhorte les gens à «faire ce qu’ils disent mais pas ce qu’ils font», d’autre part, ne manque pas une occasion de leur faire des reproches. Et le mot que Jésus utilise pour qualifier cette incohérence, cette schizophrénie, est «hypocrisie».»(vaticannews.va)

Voilà. Benoît est en plein dans le viseur de François, et selon ce dernier, il est schizophrène.

Utiliser ses sermons et l’Évangile pour salir Benoît XVI nous prouve qu’il est bien le dragon de l’Apocalypse qui parle comme un agneau.

Il n’y a plus de retour en arrière possible.

Déjà la presse progressiste bombarde Benoît XVI qui a rompu le « pacte de silence » et on demande une clarification sur sa présence au Vatican.

Ils vont le faire mourir.

Il semble aussi que le sermon ne s’adressait pas uniquement à Benoît XVI mais aux évêques qui venait de recevoir une lettre de « soutien » de la part du cardinal Hummes, demandé par François, sur la publication à venir de l’exhortation sur le synode amazonien.

« … Dans la lettre, Hummes, expliquant que le projet d’exhortation est en cours de révision, fournit aux évêques une liste de textes utiles pour se documenter, il veut souligner que les « nouveaux chemins » ont été « élaborés sous la conduite de l’Esprit Saint » et souligne que le Pape considère important que les évêques reçoivent le document « avant que la presse ne commence à le commenter », afin qu’ils « puissent se joindre à lui dans la présentation ».

L’hypothèse que l’exhortation peut aussi, en tout ou en partie, ne pas plaire ou ne pas avoir l’accord de tel ou tel évêque n’est pas prise en considération. Au contraire, dans un langage curieux, on dit que l’intention des suggestions faites est que vous la « souteniez discrètement, comme Ordinaire, en communion avec le Pape François ». En bref: Monsieur l’évêque, sachez que vous n’avez pas le choix, si l’exhortation ne vous plaît pas, cela signifie que vous n’êtes pas en communion avec le pape… » (benoit-et-moi.fr)

Hummes spécifie que l’exhortation est présentement en revue pour correction et traduction et demande aux évêques de se faire accompagner dans les conférences de presse par un autochtone (indigène) si c’est relié à sa région, un expert en religion (prêtre ou religieux, laïc ou laïque), un « expert » du climat ou de l’écologie, et un « jeune » impliqué dans le ministère des pairs.

Est-ce que l’exhortation amazonienne serait un amalgame des conclusions des autres synode?

- Laudato Si (besoin de la présence d’un expert écologique)
- Amoris Laetitia (besoin d’un expert religieux pour la doctrine)
- Christus Vivit (besoin d’un jeune impliqué)
- Et un autochtone (exhortation amazonienne).

Le mystère d’iniquité est à l’œuvre.

Deux églises parallèles depuis Vatican II.

Les chrétiens n’y voient que du feu.

Et le reste du monde se laisse conduire tranquillement au précipice…

« Comment on manipule vos pensées avec les mots… » L’édito de Charles Sannat. (insolentiae.com)

7 janvier

L’Iran hisse le drapeau rouge sur la « mosquée messianique », déclarant pour la première fois la « guerre de la fin des temps » (alterinfo.ch).

Voilà où nous en sommes en ce 7 janvier.

Les chiittes sont prêt pour la venue du Mahdi, qui amènera le messie musulman.

Ils ont besoin d’une guerre pour le voir arriver.

Netflix a justement sorti sa série « Le Messie » ou en anglais « MESSIAH » où le «A» dans le titre est bien-sûr remplacer par une pyramide illuminati. (trailer pour vous faire une idée de ce nouveau messie via le lien suivant:
(journaldugeek.com)

Tout cela par hasard le 1 janvier 2020.

« le Messie », suscite grandement la polémique dans les médias.

Tout y est embrouillé et personne ne sait s’il est juif, chrétien, ou musulman…

Mais ils oublient tous qu’il est… Humaniste!

Car, la majorité des « goys »  ne savent pas que l’humanisme EST la nouvelle religion.

L’élite judéo-maçonnique nous y prépare à cette guerre et ce n’est pas une surprise avec l’Iran…

Et c’est une diversion.

Les talmudistes judéo-maçonniques savent que la fin des temps aura lieu quand une guerre entre Israël et l’Iran aura lieu (100000 milices pro-iraniennes sont infiltrées dans les pays limitrophes à Israël présentement).

Deux peuples, deux messies attendues… Qui ne servent que de paravent pour le but réel.

Mais, le président du CFR (Counsil of Foreign Relations, organisme d’influence de l’élite) a affirmé que le monde sera le champ de bataille après l’escalade iranienne.

Parce que nous le savons, la cible c’est l’Incarnation, et par ricochet, le Vatican.

La chute des deux Babylone approche.

03 janvier

Assassinat du général iranien en ce 3 janvier... Est-ce l'une des étapes correspondant à la prophétie « Grand Éclair à l'Orient » ? Il semble que ce pourrait être le cas. À surveiller.

02 janvier

Le retrait imminent du katéchon ou le décès éminent de Benoît XVI nous force encore une fois à reconsidérer l’hypothèse de la semaine de Daniel (voir analyses précédentes) nous indiquant que le sacrifice et l’oblation auraient pus être arrêté en octobre 2016 par la fraternisation des disciples de Luther avec le pape (surtout la statue dans la salle Paul VI le jour de la fête de Fatima!), et le jubilé de la miséricorde, soit l’abolition du péché, ou de l’inutilité de l’Incarnation par ce geste.

La revue Chiesa Viva (lien du 17 décembre) est plus claire sur ce sujet et laisse donc la porte ouverte au fait que la fille de Caïn puisse être l’église Vatican II à son apogée avec l’élection de François.

« 31 octobre 2016: Bergoglio se rend en Suède pour célébrer, avec les luthériens, le début du cinquième centenaire des hérésies de Martin Luther. Le Vatican a publié un document très grave: “Commémoration commune luthérienne-catholique romaine de la réforme luthérienne”.

Notez les points suivants:

– 154: le terme “transsubstantiation” est abandonné en tant qu’explicatif du changement substantiel qui se produit dans l’Eucharistie, et il ne dit rien contre les termes “impanation” ou “consubstantiation” utilisés par les luthériens. Selon ces termes, Jésus serait présent à travers la foi de la communauté et Jésus disparaîtrait une fois la célébration terminée.

– 158: l’Eucharistie n’est décrite que comme une mémoire (anamnèse), telle que les luthériens l’ont toujours conçue.

– 159: on abandonne la doctrine qui affirme que dans chaque messe, le sacrifice du Christ se renouvelle de façon non sanglante, comme l’a toujours professé l’Église catholique depuis deux mille ans. »

Ainsi, la volonté d’éliminer de la transsubstantiation de l’Eucharistie est confirmée et donc ancrée dans le concret, même si la nouvelle messe œcuménique n’est pas encore en vigueur.

Il y a donc cette possibilité comme fille de Caïn tout comme nous avons Greta Thunberg.

Nous devrions avoir une confirmation d'ici Pâques.

Mais il faut laisser la porte ouverte au fait que la fille de Caïn ne pourrait n’être autre chose que la révélation à découvert de l’église conciliaire Vatican II avec la montée de l’abomination sur le trône de Saint-Pierre.

Nous avons pu voir son vrai visage avec la vidéo du 1 janvier 2020, Place Saint-Pierre: (benoit-et-moi.fr).

Ce ne serait donc pas une coïncidence car à la fin des temps les deux Babylone représentant le système humaniste aux niveaux temporel et spirituel n’ont pu qu’être vues et comprises par tous par la révélation de l’Antéchrist-personne (le mystère d’iniquité de Saint Paul).

La fille de Caïn serait concomitante avec l’élection de François.

Cet indice était nécessaire pour voir au grand jour la vérité.

Elle est bien montée au nord puisque le pape vient d’Argentine.

Et tout juste 7 ans plus tard, nous pouvons affirmer qu’elle a bien prêchée l’église humaniste.

Caïn a vu son sacrifice rejeté par Dieu parce que ce n’était que les fruits de la Terre dont il avait en abondance, alors qu’Abel a sacrifié un agneau qui mettait en péril son avenir, faisant confiance au Père. Cet événement préfigurait évidement le sacrifice de l’agneau sur la croix.

Or, avec la nouvelle messe de 1969 (tiré de Chiesa Viva , lien 17 décembre) on y a introduit le «Béni sois-tu, Seigneur, Dieu de l’univers! De ta bonté nous avons reçu ce pain, fruit de la terre et du travail de l’homme; fruit de la vigne et du travail de l’homme; … »

Donc, comme Caïn, c’est bien le « du travail des hommes » qui est présenté au Père sur l’offertoire.

Qu’a fait le pape François durant le synode sur l’Amazonie ?

Il a présenté les fruits de la Terre et la Pachamama. Le paganisme en pleine basilique Saint-Pierre. La célébration de la victoire.

Le trône de Saint-Pierre est donc bel et bien occupé par le malin. C’est confirmer.

Que reste-t-il de plus à prouver ?

D’où le fait qu’il faut considérer cette hypothèse de la fille de Caïn à nouveau.

Lors de la solennité de Marie le 1 janvier, le pape a adressé cette prière à la Vierge Marie: «Ô Mère, engendre en nous l’espérance, apporte nous l’unité. Femme du salut, nous te confions cette année, conserve-la dans ton cœur».

Unité donc selon la philosophie judéo-maçonnique. L’œcuménisme si cher au pape.

L’Église est en déroute.

Mais, il n’a pas si bien dit.

La Sainte-Vierge le prendra au mot car c’est bien d'unité dont il est question à la fin de la prophétie concernant Benoît XVI...

Mais sous une toute autre dimension.

01 janvier

2020 : la sortie du retardateur (le katéchon).

Les signes se sont multipliés depuis l’analyse du 8 décembre.

Outre les bouleversements climatologiques, les points chauds au niveau géopolitique ont pris de l’ampleur.

Mais c’est vers l’Église qu’il faut se tourner, et de ce côté, le pape et ses sbires ont célébré la victoire.

Petit retour en arrière.

Le 16 décembre 1913 décédait le maître des francs-maçons au Vatican, le cardinal Rampolla, élu pape en 1903, mais qui grâce à l’intervention de l’empereur François-Joseph qui usa de son droit de veto, fut évincé.

Ce qui n’empêcha pas les cardinaux de mettre son buste dans la salle papale en face de la liste des papes décédés avec l’inscription suivante :
« Marianus Rampolla del Tindaro titulaire de Sainte-Cécile (tu Transtevere) étant dévôt du bienheureux Pierre et ayant comme archiprêtre de la basilique offert à cette dernière une splendeur insigne l’Ordre des Chanoines plein de reconnaissance envers ce grand homme perpétue sa mémoire année 1914. »

100 ans plus tard, les années accordées au démons pour agir (dans la vision de Léon XIII, son prédécesseur) et détruire l’Église étaient écoulées.

La bête pouvait se glorifier de sa victoire et agir à découvert en élisant le destructeur, débutant ainsi la semaine de Daniel.

C’est ainsi que François a célébré la victoire le 21 décembre dernier en s’adressant à la Curie. Comme d’habitude le sens de l’ambiguïté prime, et pour comprendre il faut inverser.

« Pape François: la Curie change pour mieux servir l’humanité.. » et qui demande d’utiliser l’arme du diable, les médias électroniques pour aller évangéliser les peuples qui ne connaissent pas…

Et non il me mentionne pas Jésus encore une fois.

Il utilise « mieux annoncer l’Évangile dans un monde déchristianisé. ».

Comme il faut inverser, alors il confirme la victoire de Satan : Le monde est déchristianisé.

(Dans le langage palladiste ou judéo-maçonnique, il faut prendre le contraire : Dieu est Lucifer, le bon Dieu, et Adonaï est le Père, le Dieu mauvais des catholiques.)

L’Évangile de qui donc?

Il confirme au moins ce que nous savons, que « le présent «n’est pas simplement un temps de changement, mais un changement d’époque».

Mais, malheureusement, d’ajouter que «l’attitude saine» est de «se laisser interroger par les défis du temps présent».

Donc plus besoin du Saint-Esprit semble-t-il. Et en ce temps présent, l’humanisme triomphe.

Il laisse ensuite le mot de la fin à son mentor jésuite, le cardinal Martini, maître d’œuvre de tous ces aberrants synodes auxquels nous assistons (et principal rival de Benoît XVI au conclave de 2005 avec Bergoglio):

« Le dernier mot, le Pape l’a laissé au cardinal Martini qui, sur le point de mourir, avait dit : «L’Église a deux cents ans de retard. Pourquoi ne se bouge-t-elle pas ? On a peur ? peur au lieu d’avoir du courage ? Cependant, la foi est le fondement de l’Église. La foi, la confiance, le courage. […] Seul l’amour surmonte la fatigue». »

Comme dans son message lors de sa rencontre avec le secrétaire des Nations-Unies, seul l’amour compte pour sauver l’Église, Noël c’est l’amour…

Nous sommes loin de « Je Suis le Chemin, la Vérité, et la Vie ».(vaticannews.va)

Ensuite, le film de Netflix, « les deux papes », a fait sa sortie mondiale le 20 décembre. Ce film d’inspiration francs-maçonnique montre la victoire de Bergoglio, le réformiste, sur Benoît XVI, le conservateur.

Le film confirme la citation de son mentor Martini (ci-haut), et Bergoglio l’a affirmé : le monde est déchristianisé.

Pourquoi cette date ?

Parce que le lendemain 21 décembre 2019 il s’agissait d’un date de victoire de la bête.

Vous vous rappelez le 21 décembre 2012 ?

Date de fin du monde maya poussée de l’avant pour effrayer la populace.

C’était bien le début de la fin pour l’élite judéo-maçonnique, la fin du monde chrétien.

C’est bien là que la bête a commencé à agir à découvert, le 21 décembre 2012.

En cette même date, Benoît XVI dans son discours à la curie célébrait la conclusion du synode d’influence « martinienne » sur la nouvelle évangélisation et prônait le nouvel œcuménisme que livrera ensuite François.

On connaît la suite… Démission de Benoît XVI et élection de François le 13 mars 2013.

Le 21 décembre 2019, ce fut aussi le samedi des quatre saisons.

La dernière année où ce samedi tomba un 21 décembre fut 2013 (année d’élection de l’antéchrist personne).

Et la lecture du jour en cette fête de Saint-Thomas était la 2ème lettre de Saint-Paul aux Thessaloniciens, celle concernant le katéchon !

C’est un autre signe qu’un cycle se termine.

«… Que personne ne vous égare d’aucune manière; car il faut que vienne d’abord l’apostasie, et que se révèle l’homme de péché, le fils de la perdition, l’adversaire qui s’élève contre tout ce qui est appelé Dieu ou honoré d’un culte, jusqu’à s’asseoir dans le sanctuaire de Dieu, et à se présenter comme s’il était Dieu. Ne vous souvenez-vous pas que je vous disais ces choses, lorsque j’étais encore chez vous? Et maintenant vous savez ce qui le retient, pour qu’il se manifeste en son temps.»

Apostasie générale: nous avons. Le fils de la perdition : nous avons depuis 2013.

Mais il fallait qu’il se manifeste en son temps. Bergoglio était le préféré du groupe de Saint-Gall mené par Martini en 2005. Mais le Ciel veillait. Ce n’était pas encore le temps de Bergoglio.

« Car le mystère d’iniquité est déjà à l’œuvre ; il suffit que soit écarté celui qui le retient à présent. »

Le mystère d’iniquité (l’antéchrist système humaniste à l’intérieur de l’Église) était à l’œuvre depuis Vatican II, agitant très fort Benoît XVI au passage. Il suffisait donc que Benoît XVI soit écarté pour le voir au grand jour. Le Ciel nous a laissé deux papes en fonction, pour nous faire voir qu’il y a un imposteur.(Ce que confirme la prophétie de Jean XXIII concernant Benoît XVI.)

« Et alors se découvrira l’impie, que le Seigneur (Jésus) exterminera par le souffle de sa bouche, et anéantira par l’éclat de son avènement.»

L’éclat de son avènement. Il s’agit donc bien de période précédent le retour de NSJC.

« Dans son apparition cet impie sera, par la puissance de Satan, accompagné de toutes sortes de miracles, de signes et de prodiges mensongers, avec toutes les séductions de l’iniquité, pour ceux qui se perdent, parce qu’ils n’ont pas ouvert leur cœur à l’amour de la vérité qui les eût sauvés.»

Miracles, signes et prodiges, représentent la technologie moderne. Et nous avons découvert qui était vraiment François durant ces 7 années.

Malgré tout, il séduit. Il est populaire malgré toutes les énormités qu’il prononce.

« C’est pourquoi Dieu leur envoie une puissance d’égarement qui les fait croire au mensonge ; ainsi seront jugés tous ceux qui n’ont pas cru à la vérité, mais qui se sont complus dans le mal. » (IIThessaloniciens2, 1:12)

Et la 7ème église de l’Apocalypse est bien mentionné pour François :

«... Je connais tes œuvres : tu n'es ni froid ni chaud. Plût à Dieu que tu fusses froid ou chaud ! Aussi, parce que tu es tiède et que tu n'es ni froid ni chaud, je vais te vomir de ma bouche...»

Ce cycle se termine en 2020. Le retardateur, Benoît XVI, a fait son œuvre.

7 ans de prières pour réparer, pour que l’Église retourne à sa vraie nature, telle que l’a voulu le Christ.

Pour les aveugles, l’éclatement du règne bénie de la Sainte-Vierge frappera comme l’éclair, soudain, inattendu.


Les prophéties de la semaine sainte:

Ne succombe pas au sommeil, homme du futur, parce que les Signes de Dieu ne sont donnés, ni au rêveur, ni à l'insensé. Il a été dit que ton Seigneur viendra comme un voleur, et le Temps où Il viendra sur chacun de vous d'une manière inattendue, sera une période de l'Histoire pendant laquelle la plupart des hommes seront endormis. Surveillez pour les Signes; comprenez le sens profond de Sa Passion parce que celle-ci renferme le Sceau Divin de votre Salut.

Ferme tes yeux sur le monde; place tes mains sur tes oreilles, et arrête de parler inutilement parce que ton Dieu a quelque chose à confier à ton âme angoissée et isolée.

Viendra un jour ou Jésus sera acclamé dans différentes contrées, et même en face de plusieurs Royaumes en même temps. Méfie-toi de ce jour! Crains justement ce jour si alors tu es en état de péché, et que tu te réjouisses d'être ainsi. Mais si par contre tu es un vrai serviteur de Dieu, alors réjouis-toi parce ce que le jour de ta délivrance est proche.

Lorsque les acclamations se seront estompées, alors viendra la ''Nuit des Nuits'', la ''Trahison des Trahisons'' contre la Chrétienté; au moment où se couchera le Dimanche des Rameaux. Dans ces jours les plus tristes qu'il sera donné à l'homme de vivre, Judas renaîtra des profondeurs pour un court temps. Quoi que des vrais Chrétiens pourront alors déployer contre le Blasphème, les plans pour vivre l'infamie des âges devront être bus jusqu'à la lie.

Puis après la ''NUIT DU JARDIN DES OLIVIERS'', immédiatement suivie par l'arrestation, la Nuit couvrira alors toute l'humanité pendant que beaucoup de Dirigeants Chrétiens et leurs disciples s'empresseront de se cacher, et que d'autres trahiront leur propre sang aussi bien que leur propre chair. Mais cette Nuit verra aussi quelques Chrétiens, plus rares, mourir bravement ave leur Dirigeants comme martyrs. Pour cela, ils seront quelques-unes des pierres les plus brillantes de la couronne de leur Seigneur.

Encore une fois, Pierre reniera trois fois avoir été un vrai disciple de Jésus alors qu'une large partie de la Chrétienté quittera pour un temps la vraie Foi. Eux aussi renieront leur Foi en trois majeures occasions. Alors que la Nuit suivra son cours, les temps de l'esclavage s'étendront partout.

Ne sois pas un insensé. Ne te laisse pas mener par ton orgueil en croyant que tu seras protégé de ces terribles événements parce que tu as eu une bonne vie chrétienne, ou encore que tu échapperas aux sentiers de la Croix parce que tu es rempli de toutes sortes de considérations pour toi-même, y compris de te voir comme un Saint. Ne te rappelles-tu pas ce que le Seigneur avait un jour demandé à celui qui se croyait être un vrai croyant en Dieu? Ne te souviens-tu pas ce qu'Il répondit à ce jeune homme fier et riche; qu'il donne tous ses biens aux pauvres, et le suivre? Et que dire des premiers siècles de l'Église lorsque les vrais Chrétiens mouraient de toutes les manières pour leur Foi? Étaient-ils tous fous, ou se trompaient-ils en choisissant d'être dévorés par des bêtes sauvages en face d'une foule qui les insultait, et se riait d'eux? Ne sois pas un insensé!

En face de Haut Prêtre de la fausse Jérusalem d'alors à Rome, les Chrétiens de ces temps troublés devront répondre pour la Foi de leurs pères dans laquelle ils continuent de croire. Ils seront traînés du Grand Prêtre à Caïphe où ils seront insultés, ridiculisés, couverts de crachats, puis accusés de haute trahison parce qu'il leur sera rappelé leur vie passé de violence et de trahison contre l'humanité. Ils seront détenus, et accusés de sorcellerie parce que leurs pères auront accompli des miracles à travers l'histoire; accusés mille fois de meurtre parce que leurs pères auront exterminé des tribus au nom de la Croix à travers l'histoire; accusés d'avoir induit dans de fausses croyances parce que leurs pères auront enseigné aux multitudes, que Jésus était le seul et unique Dieu de l'univers; accusés d'idolâtrie parce qu'ils croiront Jésus être Dieu; et accusés de perversion contre leurs propres enfants parce qu'ils leur auront enseigné des valeurs chrétiennes du passé.

Pour tout cela, ils seront privés de leur liberté pendant que leurs enfants leur seront enlevés par les authorités pour être placés comme apprentis dans des familles riches partageant les croyances du nouveau royaume.

Encore une fois, ne vois pas un insensé! Comme la Chrétienté a pris ses ailes à Rome, les persécutions partiront aussi de Rome parce qu'en ces Temps, l'Église sera alors inversée par rapport à elle-même. Comme cela fut, cela sera encore parce que les élus seront les premiers à donner leur sang pour leur Seigneur. Pierre et Paul mourront à Rome pour le plaisir de la foule pervertie.

Les représentants religieux des ténèbres seront tellement exaspérés par l'humilité et la Foi inébranlables des disciples de Pierre et Paul, qu'ils en perdront tous leurs moyens. Ils les remettront donc au Ponce Pilate de leur royaume religieux. Ce sera alors dans son palais que ces premières vraies  brebis seront jugées pour des crimes qu'elle n'ont jamais commis.

Pour affaiblir leur Foi et leur courage; de même que pour plaire aux Prêtres du Temple de ces Temps, cet ambassadeur de l'Empereur les soumettra à tous genres de tortures, toutes aussi insidieuses les unes que les autres car elles auront été créées afin de briser la volonté. Là ils seront couronnés de la Couronne d'Épines des Temps alors qu'ils auront à souffrir, dans leur esprit, l'agonie de voir les multitudes rejeter Jésus comme étant leur seule voie possible de Salut.

Alourdis par le poids de la Croix, ils graviront le Calvaire où la foule les accablera de sa rage sans limites. Trois fois la Chrétienté succombera sur ses genoux, mais trois fois elle se relèvera dans une acceptation totale de sa destinée.

Arrivée au sommet du Calvaire, ses mains seront crucifiées parce que le monde sera alors privé de la Charité; ses pieds seront crucifiées parce qu'il lui aura été interdit d'apporter la Parole de Dieu aux multitudes. Puis le corps de cette Chrétienté sera étiré à l'extrême sur la Croix parce qu'il devra servir d'exemple aux foules perverties de nouvel Empire.

Puis viendra un Temps de sécheresse alors que toute la Chrétienté sera privée de la Présence et des Paroles de Dieu. Elle ne recevra que des paroles amères et un isolement absolu du reste du monde.

Comme Jésus a dit: ''Père pourquoi m'as-tu abandonné?'', la Chrétienté vivra l'abandon total à elle-même, sans aucune consolations.

Puis la lance transpercera son Côté duquel une goutte de sang, et une goutte d'eau s'échapperont parce qu'alors, il lui faudra, elle aussi, atteindre à la mort sans certitudes avant que Dieu le Père ne se laisse toucher, puis laisse tomber Son Bras sur l'Humanité.

Pendant un temps indéterminé, un silence lourd couvrira alors toute l'étendue de la terre. Du Vendredi Saint à la dernière heure du Samedi Saint, juste avant le Dimanche de Pâques, l'Humanité sera recouverte d'épais ténèbres pendant trois jours et trois nuits alors que Dieu punira Lui-même les hommes. L'Antéchrist sera jeté en Enfer alors que partout sur la terre, toute construction humaine portant sur un brin d'orgueil, sera anéantie. Les souffrances des hommes seront à la mesure de leurs maux intérieurs. Plus leur état sera de péché, d'éloignement de Dieu, plus leurs souffrances seront grandes. C'est alors que la terre entière ressemblera à un vaste cimetière, un désert sans horizons. Uniquement ceux qui auront héroïquement conservé au fond d'eux-mêmes la vraie Foi en Jésus-Christ, la Foi des premiers martyrs de l'Église, la Foi des Saints, survivront à la Sainte Colère de Dieu.

Malheur à toi homme de ces Temps qui se riera de ces Prophéties, car ton absence d'humilité te plongera davantage dans l'esclavage de tes fautes, sans espoirs éternels.

Dans son Amour incompréhensible pour Ses enfants, Dieu n'aura laissé à l'Antéchrist que cinq Pouvoirs sur les Hommes. Ceux-ci n'auront de force que sur les cinq sens de l'homme: ''Celui de la Vue, de l'Odorat, du Toucher, de l'Ouie et du Goût.'' Il ne pourra jamais atteindre à l'âme de l'homme car celle-ci ne lui appartient aucunement. Mais sur ces ''Cinq Sens'', il aura tout pouvoir.

Sois donc vigilant homme du futur parce qu'en ces derniers jours, tes Sens seront tes pires ennemis. Pour les atteindre, les corrompre, et faire de toi son esclave, l'Antéchrist développera de tels machines séductrices que sans l'aide de Dieu, même les Élus ne pourraient se sauver. Et si le Temps des Temps n'était alors écourté, tous se perdraient, même les Choisis. En ces jours sombres, uniquement l'Humble pourra résister aux lumières séduisantes de la fausse liberté.

Encore une fois, ne sois pas un insensé. N'as-tu pas encore compris que tu es la seule créature de Dieu dans tout l'univers? Méfies-toi de tes sens, car ceux-ci t'enchaîneront pour l'éternité.


Grand Réveil Louis D'Alencourt



Louis a fait un travail extraordinaire, convertissant nombres de coeurs et réconfortant dans l'Espérance tant d'autres.

Paix à son âme. Nos prières l'accompagnent.

Louis avait compilé une liste d'adresses emails au cas où il y aurait une rupture du site pour une quelconque raison, pour pouvoir continuer à communiquer.

Ce qui est arrivé.

Avec son décès, la liste est perdue, et le site va probablement disparaître avec le temps.

Un ami du Grand Réveil a archivé la totalité des articles et des commentaires.

Vous pouvez télécharger les articles ici ou choisir vos articles en pdf sur le site de Louis D'Alencourt qui est toujours actif: https://legrandreveil.wordpress.com/

Acte de réparation à la Vierge Immaculée

A réciter le premier samedi du mois…

Très Sainte et Immaculée Vierge Marie, Mère de Dieu, qui êtes aussi notre Mère : nous nous agenouillons respectueusement devant vous, afin de réparer par ce témoignage d’honneur et d’amour toute la souffrance que vous ont causée à vous et à votre Divin Fils, la négligence, l’ingratitude, le reniement et les blasphèmes.

Ô Marie, chef-d’œuvre incomparable de la Très Sainte Trinité, objet des complaisances éternelles de Dieu ! Le Fils Eternel de Dieu est votre Fils selon la nature humaine, le sang de votre sang. Votre dignité touche ainsi à l’infini ; vous êtes, ô Marie, l’Immaculée Conception, pleine de grâces et de mérites, la Vierge-Mère, la Reine du Ciel et de la Terre. Vous êtes notre Co-Rédemptrice, notre Médiatrice et notre réconciliatrice. Vous êtes la Mère de la Sainte Eglise et l’exterminatrice de toutes les hérésies, la Trésorière du Cœur de Jésus, la Dispensatrice de toutes les faveurs célestes, la Toute-Puissance suppliante, la Mère de miséricorde, notre Consolatrice et notre Refuge.
Votre bonté et votre miséricorde égalent votre force et votre dignité. Et cependant, il y a des malheureux qui, comme de vrais suppôts de l’enfer, vous dédaignent et vous insultent, vous et votre Divin Fils. Il en est qui méconnaissent votre dignité incomparable et vos bontés maternelles. D’autres qui sapent l’œuvre de la Rédemption dans les âmes rachetées par le sang de Jésus et qui cherchent à déchristianiser le monde.

Et combien, même parmi les chrétiens, qui aiment trop peu leur Mère et montrent par leur manière d’agir qu’ils n’ont pas assez de confiance en Vous, Mère de miséricorde, consolatrice des affligés, et refuge des pécheurs. Combien qui se flattent, ô Mère, de vous aimer de tout cœur et continuent étourdiment de renouveler par le péché les souffrances de Jésus et de transpercer votre Cœur maternel. Et moi-même que j’estime peu ce que vous êtes pour nous ! Que de fois je me suis joint aux bourreaux du Calvaire ! Et, au lieu d’être pour vous un fils aimant, j’ai trop souvent attristé votre tendre cœur de Mère par ma négligence et mon indifférence.
Ô Cœur maternel de Marie, ayez pitié de nous ! Miséricorde et conversion pour ceux qui cherchent à déraciner dans les âmes des pauvres et des enfants l’amour pour Jésus et pour vous. Miséricorde et conversion pour tous les pécheurs ! Miséricorde et pardon pour moi aussi, pour toutes mes fautes et mes négligences !

A titre de réparation, ô la meilleure des Mères, je vous offre la louange et tout l’honneur qui vous ont jamais été rendus par le ciel et la terre, en particulier par le Divin Cœur de Jésus. Je vous présente tout l’hommage qu’on vous rend aujourd’hui sur toute la terre, en public et au foyer. Je m’offre aussi moi-même avec mon amour d’enfant et ma piété, avec toutes les adversités et les bonnes actions de ce jour. Je vous promets d’être désormais tout vôtre, d’animer et de répandre votre culte, tant que je le pourrai.

Ô bonne Mère, répandez en nous et sur le monde entier, le surplus de votre miséricorde maternelle, en même temps qu’une vive piété pour Jésus et votre Saint Cœur ! Exterminez les hérésies, et écrasez pour toujours la tête du serpent infernal ! Obtenez la paix pour la terre, et la victoire pour notre Mère la Sainte Eglise ! Régnez sur nous et sur le monde entier, et que, par votre règne, nous arrive le règne du Divin Cœur de Jésus ! Ô bon Jésus, je vous en conjure par l’amour que vous portez à votre Mère : accordez-moi de l’aimer vraiment comme vous l’aimez et comme vous désirez qu’elle soit aimée. Ainsi-soit-il !
Indulgence plénière pour tous ceux qui, le premier samedi du mois vont à la communion et font acte de Réparation pour les blasphèmes contre la Vierge Immaculée.  

Prière de Notre-Dame du Saint Rosaire :

« Ô Bienheureuse Vierge Marie, Reine des Cieux et Mère de la Miséricorde, nous nous tournons vers toi avec des cœurs humbles et reconnaissants en ce moment sacré où nous invoquons les mystères de ton Saint Rosaire. Toi qui es notre étoile du matin, guide-nous à travers les méandres de nos vies, éclairant notre chemin de la lumière de ton Fils bien-aimé, Jésus-Christ.

Au commencement de chaque Ave Maria, nous méditons sur l'Annonciation, ce moment divin où l'Archange Gabriel t'a saluée comme pleine de grâce, et où tu as, avec une humble soumission, accepté la volonté de Dieu en devenant la Mère du Sauveur. Que cette méditation nous enseigne l'obéissance confiante face aux desseins mystérieux de Dieu, et qu'elle fortifie notre foi en sa providence divine.

Pendant chaque dizaine, nous contemplons les mystères joyeux, lumineux, douloureux et glorieux de la vie de ton Fils, Jésus. Que ces moments de prière approfondissent notre compréhension de l'amour infini de Dieu manifesté en Jésus-Christ, et que nous soyons inspirés à suivre ses enseignements et à imiter son exemple.

Au cours des mystères joyeux, nous réfléchissons à la naissance du Christ, à son enfance à Nazareth et à la présentation au Temple. Sainte Marie, Mère de Dieu, intercède pour nous, afin que, comme toi, nous puissions accueillir Jésus dans nos vies avec une joie ineffable.

Dans les mystères lumineux, nous contemplons le baptême de Jésus, ses miracles et l'institution de l'Eucharistie. Sainte Marie, Reine des Apôtres, accorde-nous la grâce de vivre nos vies à la lumière de la vérité éternelle de ton Fils.

Les mystères douloureux nous conduisent au jardin de Gethsémani, au chemin de croix, à la crucifixion et à la mort de Jésus sur la croix.

Mère compatissante, sois notre réconfort dans les moments de souffrance, et guide-nous à travers les épreuves de la vie avec la foi inébranlable que tu as démontrée au pied de la croix.

Les mystères glorieux célèbrent la résurrection, l'Ascension, la Pentecôte et ton couronnement comme Reine du Ciel. Sainte Marie, notre Reine et notre Mère, aide-nous à aspirer à la gloire éternelle du Royaume de Dieu et à cheminer avec espérance vers notre patrie céleste.

Pendant chaque Ave Maria, nous te prions pour notre église, pour tous les fidèles, pour les âmes du purgatoire, et pour le monde entier. Ô Notre-Dame du Saint Rosaire, prie pour nous, maintenant et à l'heure de notre mort.